Récompense virale de 1 500 000 euros

26/02/2024 (2024-02-26)

[Source : Isolate Truth Fund—Samuel Eckert]

Par Samuel Eckert

[Illustration : le personnage à droite est le professeur (?) Christian Drosten qui a été un acteur principal dans la « pandémie Covid-19 ». C’est lui qui a reçu des autorités chinoises les « séquences » du « virus SARS-CoV-2 » qui lui ont permis de proposer un test à l’OMS que celle-ci a immédiatement validé. NdT.]

NOUS AVONS CONSTATÉ…

Tous les virologues, et pas seulement ceux qui sont représentés, se sont trompés eux-mêmes et ont trompé le public en affirmant l’existence de virus pathogènes tels que le SRAS-CoV-2. Les virologues tuent involontairement des cellules dans des éprouvettes et pensent que cela prouve la présence et l’isolement d’un virus. Ce n’est qu’à partir de fragments de cellules mourantes que les virologues construisent mentalement une séquence génétique et la font passer pour un fait. Les méthodes de test n’offrent donc aucune valeur ni signification. Les structures typiques de cellules mourantes observées au microscope électronique sont présentées comme des virus. De telles structures n’ont encore jamais pu être détectées ou reconnues chez un être humain !

NOTRE BUT

Ces dérives ont éloigné la médecine de la réalité et de la compréhension de la vraie santé. Nous souhaitons contribuer à faire comprendre à tous, de manière approfondie, ce qu’est la maladie et la santé.

NOUS GARANTISSONS :

1,5 million d’euros pour un virologue qui apporte la preuve scientifique de l’existence d’un corona virus, y compris des expériences de contrôle documentées de toutes les étapes de la preuve.

Topez-là, le pari est tenu !

Il s’agit de réfuter

  1. Les virologues interprètent la mort des cellules en laboratoire comme étant d’origine virale. En raison de l’absence d’essais de contrôle, ils ne voient pas qu’ils tuent eux-mêmes et involontairement les cellules en laboratoire, en les affamant et en les empoisonnant. Cette interprétation erronée repose sur une seule publication de John Franklin Enders et d’un collègue datant du 1er juin 1954. Cette publication a fait l’objet d’une décision de la plus haute instance judiciaire lors du procès sur le virus de la rougeole, selon laquelle elle ne contenait aucune preuve d’un virus. Cette publication est devenue la base exclusive non seulement de la virologie de la rougeole, mais aussi de toute la virologie depuis 1954 et de l’hystérie de Corona. (NdT : Il s’agit du célèbre procès gagné en 2016 par Stefan Lanka devant la plus haute juridiction allemande — la cour fédérale de Justice de Karlsruhe — qui a montré que les preuves apportées par l’Institut Robert Koch, équivalent allemand de l’Institut Pasteur, censées prouver l’existence du virus de la rougeole n’avaient aucune valeur scientifique).
  2. Les virologues assemblent mentalement/par programme informatique de très courts morceaux d’information génétique de cellules mourantes en un très long brin de patrimoine génétique qu’ils font passer pour le brin du patrimoine génétique d’un virus. Ce processus intellectuel/programme informatique est appelé alignement. Ce faisant, ils n’ont pas effectué les essais de contrôle, la tentative de construire mentalement/par programme informatique le brin du patrimoine génétique souhaité à partir de courts morceaux d’information génétique provenant de sources non infectées.
  3. Pour l’alignement d’un virus, les virologues ont toujours besoin d’un brin de génome viral prédéterminé. Mais ils ne font que toujours utiliser à cet effet un brin de patrimoine génétique généré par la pensée ou par programme informatique, et jamais un brin réel, trouvé dans la réalité. Ils n’effectuent jamais d’essais de contrôle pour savoir si, à partir de l’ensemble des données existantes, des informations héréditaires pourraient ou non également être construites et donner des brins de matériel génétique « viraux » d’autres virus.
  4. Les virologues n’ont jamais vu ni isolé de « virus » chez les humains, les animaux, les plantes et leurs fluides. Ils ne l’ont fait qu’en apparence, de manière indirecte et toujours dans un laboratoire au moyen de systèmes cellulaires très spéciaux et artificiels. Ils n’ont jamais mentionné ou documenté les essais de contrôle pour savoir s’ils avaient également réussi à représenter et à isoler des virus dans et à partir de personnes, d’animaux, de plantes ou de leurs fluides.
  5. Les virologues n’ont jamais isolé les prétendus virus qu’ils photographient au microscope électronique, ne les ont jamais caractérisés biochimiquement et n’en ont jamais extrait leur supposé matériel génétique. Ils n’ont jamais réalisé ou publié d’expériences de contrôle pour savoir si, après l’isolation de ces structures, des protéines « virales » (de l’enveloppe du virus) et surtout le brin de patrimoine génétique viral, qui est censé être l’élément central et la caractéristique d’un virus, pouvaient effectivement être mis en évidence.
  6. Les virologues font passer pour des virus ou des composants viraux des artefacts typiques de tissus/cellules mourants et des structures typiques qui apparaissent lors de l’agitation de composants cellulaires tels que les protéines, les graisses et les solvants utilisés. Ici aussi, les essais de contrôle avec des cellules/tissus non infectés, mais traités de la même manière, font défaut.
  7. Les soi-disant expériences de transmission auxquelles se livrent les virologues pour prouver la transmissibilité et la pathogénicité des virus présumés réfutent toute la virologie. Ce sont manifestement les expériences elles-mêmes qui déclenchent les symptômes présentés comme preuve de l’existence et de l’effet des virus présumés dans l’expérimentation animale. Ici aussi, il n’y a pas d’expériences de contrôle dans lesquelles on fait exactement la même chose, mais avec du matériel non infecté ou stérilisé.

Traduction Jean Bitterlin 22 février 2024

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