22/12/2021 (2021-12-22)
[Source : The Exposé]
Tradution : Michel Duchaine
Une nouvelle étude a été menée par des dizaines de médecins et de scientifiques de plusieurs universités, hôpitaux pour enfants et écoles de médecine des États-Unis et a été publiée dans le journal « Circulation » de l’American Heart Association (AHA) le 6 décembre 2021.
Les chercheurs ont enquêté sur 139 enfants et jeunes adultes avec 140 épisodes de myocardite suspectée, dont 49 ont été confirmés et 91 étaient probables. La plupart des patients étaient de sexe masculin (126) et l’âge médian était de 15,8 ans.
La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque, tandis que la péricardite est une inflammation des sacs protecteurs entourant le cœur. Les deux sont des conditions extrêmement graves en raison du rôle vital que joue le cœur pour maintenir une personne en vie et du fait que le muscle cardiaque ne peut pas se régénérer. Une myocardite grave peut entraîner un arrêt cardiaque et faire perdre des années à la vie d’une personne.
Les résultats montrent qu’une myocardite suspectée s’est produite chez 136 des patients, ce qui équivaut à 98% de tous les cas de myocardite. L’injection de Pfizer était responsable de 131 (94 %) de ces cas, 128 (92 %) étant survenus après la deuxième dose.
Les chercheurs déclarent dans leurs résultats que le symptôme le plus courant était la douleur thoracique, survenant chez 99% des patients, et que 26 patients (19%) ont été admis en soins intensifs en raison de la maladie.
Selon une récente mise à jour publiée en Grande Bretagne par le UK Medicine Regulator, la MHRA, au 17 novembre 21, il y avait eu 686 (6860) cas de myocardite et 578 (5780) cas de péricardite signalés comme effets indésirables des injections de Covid-19. Cela fait partie des 18.354 (183540) troubles cardiaques signalés avec 290 décès (2900).
Cependant, on sait qu’il y a une sous-déclaration flagrante des effets indésirables, la MHRA indiquant auparavant que seulement 10 % des effets indésirables sont signalés. Donc, les chiffres ci-dessus sont à multiplier par 10 pour obtenir les chiffres probables.
Le 29 novembre 21, l’Agence britannique de sécurité sanitaire (« UKHSA ») a reconnu que les troubles cardiaques sont un risque des injections de Covid. L’UKHSA a publié des directives cliniques pour soutenir la détection et la gestion des cas cliniques de myocardite et de péricardite associés aux injections de Covid. En particulier pour les enfants et les personnes de moins de 40 ans.
La première section des conseils cliniques de l’ UKHSA – « Contexte » – énumère quelques points importants. Le cinquième étant qu’un pourcentage élevé d’enfants hospitalisés souffrent de myocardite.
Début septembre, le Comité conjoint sur la vaccination et l’immunisation (« JCVI ») n’avait pas été en mesure de justifier de proposer l’injection expérimentale aux enfants . On sait que les enfants souffrent rarement d’une maladie Covid-19 grave, et encore moins qu’ils perdent la vie, et les injections de Covid-19 n’empêchent pas l’infection ou la transmission. La décision du médecin-chef d’Angleterre Chris Whitty et de ses collègues d’injecter des enfants, et la décision du gouvernement de la mettre en œuvre, étaient sans précédent. Avant cela, les conseils du JCVI avaient toujours été suivis.
Mais maintenant, au nom d’Omicron, le conseil a été modifié et tous les enfants de plus de 12 ans se verront désormais proposer une deuxième dose, bien que les autorités sachent que les enfants sont beaucoup plus susceptibles de souffrir de myocardite après la deuxième dose, comme le confirme la nouvelle étude. publié par l’American Heart Association.
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