19/11/2023 (2023-11-19)
[Source : wissenschafftplus.de numéro Juillet-Septembre 2023]
Par le Dr Stefan Lanka
Effet désastreux de la critique du VIH et du SIDA
Un analyste va au fond des choses, un critique dénonce un aspect. Une critique qui ne touche pas au fond d’une chose stabilise inévitablement le récit. La fonction de la critique est de stabiliser une construction et de détourner l’attention de l’essentiel. Ici : existe-t-il des virus qui rendent malade ? La peur et la violence de la politique épidémiologique sont-elles justifiées ou s’agit-il de terreur ?
Le SIDA, en tant que GRID (NdT : en anglais Gay Related Immune Deficiency — déficience immunitaire liée à l’homosexualité), n’était à l’origine conçu uniquement que pour les hommes homosexuels, afin d’endiguer une invention unique dans l’histoire de l’humanité : La prostitution gratuite d’hommes pour les hommes, accessible au public. À partir d’un symptôme, en partie des taches devenant noires en raison de l’altération des tissus du derme, on a construit une faiblesse immunitaire prétendument virale et mortelle. La cause réelle des taches était d’une part toxique (drogues aspirées par voie nasale stimulantes sexuellement ; abus d’antibiotiques) et des chocs conflictuels (ici des conflits liés à la souillure).
Lorsque dans les années 70 ceux de la haute société qui pratiquaient le sexe en groupe a appris qu’un virus se propageait chez les homosexuels et qu’il avait muté d’une forme inoffensive à une forme mortelle au cours des dix dernières années, ils ont été pris de panique. Avec des demandes et des souhaits de dépistage, les hétérosexuels pratiquant le sexe en groupe ont submergé les services de santé non préparés (à ces demandes — NdT). Les autorités ont été contraintes de rebaptiser GRID en SIDA. Dans la phase initiale du GRID et lors du changement de nom en SIDA, les contradictions étaient si grandes que même l’homme le plus important de la science, John Maddox, éditeur de la revue spécialisée de premier plan Nature, a déclaré que c’était une preuve de Dieu que leur stupide SIDA n’ait pas explosé à la figure des Américains, c’est-à-dire qu’il ait été démasqué.
[Voir aussi :
►Commentaires sur le VIH de Montagnier
►Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki
►Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
►Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
►Fauci et la grande arnaque du SIDA
►Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
et autres articles du dossier Vaccins et virus]
De nombreuses personnes se posaient de nombreuses questions sur le virus, mais la critique du SIDA a sorti le fer chaud du feu et a fait monter la peur à l’infini. Ils affirmaient que le virus, le VIH, existait et que les méthodes de dépistage fonctionnaient. Le virus serait plus inoffensif qu’on ne le prétendait et difficilement transmissible, raison pour laquelle une personne testée positive devait consommer beaucoup de drogues ou avait de nombreuses relations sexuelles. Cela ruinerait son prétendu système immunitaire et déclencherait sa mort lente. Comme pour le Covid, les critiques du SIDA ont trouvé un écho dans le public et ont détourné l’attention du cœur du problème, à savoir le virus. Tous ces critiques sont issus de l’establishment et ne sautent pas par-dessus leur ombre. (NdT : l’expression allemande « Sauter par-dessus son ombre » signifie que l’on fait quelque chose alors que cela va à l’encontre de ses propres convictions ou de son caractère)
La phrase importante : le SIDA a été le premier exercice global d’obéissance, le Covid le second. La terreur de la peur du virus a été perfectionnée et peut être utilisée à tout moment. Les critiques ne sont pas seulement un soutien important de la terreur, ils augmentent la peur.
Conseil : S’il vous plaît, approfondissez vos connaissances, transmettez-les et empêchez ainsi la troisième guerre mondiale des épidémies. Le meilleur outil pour cela est notre magazine WissenschafftPlus (depuis 2003 !).
Effet catastrophique des détracteurs de la vaccination
En 1995, nous avons présenté pour la première fois la question de la preuve virale du VIH aux autorités sanitaires fédérales. La réponse a été honnête : il existe un consensus de la science dominante sur l’existence de ce virus. Des preuves écrites ne sont pas nécessaires. Les détracteurs du VIH/SIDA ont détourné l’attention du point central et ont consolidé l’affirmation d’une immunodéficience mortelle et transmissible. Nous avons étendu la question des preuves à tous les virus pathogènes. Les citoyens critiques envers les vaccins demandaient à leurs autorités sanitaires des preuves de l’existence des virus contre lesquels ils devraient faire vacciner leurs enfants. Les réponses : il n’y a pas de preuves concrètes. En Autriche, la pression sur les politiques a été telle que le Land de Haute-Autriche a organisé le 23 octobre 2001 le légendaire congrès pour et contre la vaccination.
Un grand infectiologue y a révélé la fonction des critiques de la vaccination. Il a remercié les critiques de la vaccination pour leur action, car une critique superficielle lui permet de vendre chaque année davantage de vaccins : Les critiques des vaccins attireraient l’attention sur les lacunes de l’argumentation, qui seraient ensuite comblées. Gratuit et meilleur que tous les stratèges en marketing !
À retenir : celui qui ne touche pas le point (NdT : le point essentiel, fondamental…) ou qui ne veut pas le toucher devient l’ami de celui qui est critiqué. Les critiques de la vaccination sont-ils naïfs ou rusés ?
Conseil : Apprenez à connaître la biologie réelle. Il est prouvé qu’il ne peut pas y avoir de virus pathogènes dans la nature ! Faites passer le message, afin que la dictature mondiale permanente de l’infection, entrée en vigueur aujourd’hui, soit démocratiquement balayée.
Traduction Jean Bitterlin 18.11.2023
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