Comment les sanctions accélèrent le Reset et la débâcle occidentale

Par Nicolas Bonnal

Comment les sanctions accélèrent le Reset et la débâcle occidentale :

« Le litre d’essence est à 2,13 euros, les 1000 m3 de gaz à 2500 dollars. On n’est qu’au début. Autrement dit pour nos énarques Trissotin : les sanctions ne renforcent pas les Russes ; elles les enrichissent. Et Poutine finance ainsi ses opérations. Il reste à ces élites mondialistes à se venger sur leur troupeau, ce qui semble facile vu le degré de soumission ou de conditionnement de ces populations accoutumées à être conditionnées et maltraitées. On pourrait avoir la confiscation de l’argent, la fin du gaz et de toute électricité, la fin des usines (déjà arrêtées en Allemagne), bref le Grand Reset de Schwab ou le plan Morgenthau, le célèbre banquier de Roosevelt qui voulait réduire de moitié la population allemande. »

J’ai demandé récemment si on vivait le Grand Reset ou simplement le grand épisode apocalyptique occidental : fin des énergies fossiles, fin de l’ère industrielle et bon écroulement de la cité Potemkine euro-américaine bâtie sur une montagne de dettes. La guerre de Poutine accélère cette formidable déglingue que certains ont prophétisée. Et comme il m’arrive d’être optimiste, je dirais qu’il semble difficile d’établir une dictature totalitaire et numérique dans le cadre d’un effondrement énergétique et systémique. On le peut après une guerre civile, mais je ne vois pas nos brillantes élites la gagner cette guerre.

Le litre d’essence est à 2,13 euros, les 1000 m3 de gaz à 2500 dollars. On n’est qu’au début. Dirigé par des Trudeau, des Macron et des Biden, l’occident est mal parti. Militairement il est nul (voyez mon texte sur Buchanan) et cela se savait en haut lieu. Cela se sait en tout lieu maintenant. Même Zelenski le dit. Il n’avait pas vu la défaite face à l’Iran, la défaite au Yémen, en Syrie et leur retraite de « roussie » en Afghanistan ? Bureaucratie odieuse destinée à plumer le contribuable l’OTAN n’est pas là pour se battre : tout au plus peut-il par son incompétence et sa chutzpah déclencher la Fin du Monde.

Restent la chasse aux chefs d’orchestre et la guerre hybride — qui n’est pas très brillante intellectuellement (souvenez-vous des frites rebaptisées Freedom fries pendant la très utile et morale guerre contre l’Irak). Patrick Armstrong repris par Bruno Bertez écrit à ce sujet :

« Pour l’Occident, tel qu’il a été, c’est fini. La confusion, les conneries, la vantardise, l’hystérie, les interdictions : l’Occident n’a plus rien dans sa besace. Verser de la vodka russe dans les toilettes, virer un chanteur et réalisateur, changer le nom d’une boisson ou d’une salade, interdire les chats ou les arbres, sanctionner un ploutocrate russe et voler son yacht, porter un t-shirt bleu et jaune. Pathétique. »

Il reste les sanctions, les goulues et jouissives sanctions, les érotomanes sanctions qui vont nous faire encore plus mal qu’à la Russie. Pourquoi ? « Les Occidentaux ne se tirent plus de balles dans le pied, mais dans la tête », disait Charles Gave à Bercoff. On rappellera que nous vivons dans une idiocratie, et ce dans tous les pays occidentaux. Pepe Escobar écrit lui sur notre présent effondrement industriel :

« … L’Allemagne et d’autres pays n’ont pas commencé à ressentir la douleur de la privation de gaz, de minéraux et de nourriture. CELA va être le vrai jeu… jusqu’à 60 % des industries manufacturières allemandes et 70 % des industries italiennes pourraient être contraintes de fermer définitivement, avec des conséquences sociales catastrophiques. La machine européenne ultra-kafkaïenne non élue à Bruxelles a choisi de commettre un triple hara-kiri en se présentant comme des vassaux abjects de l’Empire, en détruisant toutes les impulsions de souveraineté française et allemande restantes et en imposant l’aliénation de la Russie et de la Chine. »

L’occident anglo-saxon en est réduit comme à ses débuts (cf. Keynes) à la piraterie (on vole l’or, l’argent, les yachts, tout ce qui traîne).

Mais Patrick Armstrong ajoute :

« Le judo consiste à tromper et à utiliser la force de l’adversaire contre lui. Poutine, le judoka, a poussé l’Occident au suicide. Il a dévoilé ce qui n’était pas compris : Mettez votre argent dans nos banques, nous pouvons le confisquer ; placez vos actifs sur notre territoire, nous pouvons les voler ; utilisez notre argent et nous pouvons l’annuler ; mettez votre yacht dans notre port, nous pouvons le pirater ; Mettez votre or dans notre coffre, nous pouvons le saisir. »

Les conséquences sont claires avec la méfiance de tous les pays émergents (c’est le retour de Bandoeng ou du communisme nationaliste de décolonisation) et fin rapide du SWIFT :

« C’est une leçon qui retentira dans le monde entier. Une illustration nue que “l’ordre international fondé sur des règles” est simplement une fiction : nous élaborons les règles et vous ordonnons de leur obéir. Dans 2 ou 3 semaines, tout le monde dans le monde qui est sur la liste des cibles potentielles de l’Occident aura déplacé ses actifs hors de portée de l’Occident. Xi se permettra un petit sourire. »

@sosochannn

♬ son original – Sosochannn


Et Armstrong conclut :

« Quant aux sanctions occidentales contre la Russie, je pense qu’il y a une réponse très simple à cela : la semaine dernière, 1 000 mètres cubes de gaz coûtaient 1 000 $ ; aujourd’hui, c’est plus du double. La semaine prochaine, ce ne sera certainement pas moins cher. 

Idem pour l’aluminium, la potasse, le titane, le blé. Les compagnies aériennes russes louent leurs avions Maintenant quoi ? Moteurs-fusées russes. Ce que les Occidentaux ne comprennent pas, c’est que le rouble est la monnaie que les Russes utilisent à l’intérieur du pays, mais que le prix du pétrole et du gaz est la monnaie russe à l’extérieur du pays. Je suis stupéfait de la stupidité : ils se coupent la gorge et détruisent leurs propres économies. »

Autrement dit pour nos énarques Trissotin : les sanctions ne renforcent pas les Russes ; elles les enrichissent. Et Poutine finance ainsi ses opérations. Les menaces démentes de Biden contre l’Inde et le reste du monde ne risquent pas d’accroître la confiance dans ce système américain qui peut à tout moment voler sa clientèle.

Comme on sait, les Russes (cf. Laurence) ont des problèmes avec leurs banques, avec Apple, avec Facebook, avec Google, les GAFAM étant la dernière émanation impériale destinée à nous tourmenter plus que les Russes ou les Chinois. Mais rien qui ne puisse être réglé promptement (voir l’article de Karine à ce sujet), et celui d’Escobar sur la doctrine Glaziev (couper les ponts avec l’occident, et passer à l’étalon-or).

Il reste à ces élites mondialistes à se venger sur leur troupeau, ce qui semble facile vu le degré de soumission ou de conditionnement de ces populations accoutumées à être conditionnées et maltraitées. On pourrait avoir la confiscation de l’argent, la fin du gaz et de toute électricité, la fin des usines (déjà arrêtées en Allemagne), bref le Grand Reset de Schwab ou le plan Morgenthau, le célèbre banquier de Roosevelt qui voulait réduire de moitié la population allemande.

Sources :

https://thesaker.is/how-russia-will-counterpunch-the-u-s-eu-declaration-of-war/

https://russiepolitics.blogspot.com/2022/03/premiere-victoire-de-larmee-russe.html




La raison du retournement de Trudeau fait surface — L’Association des banquiers canadiens a été approuvée par le Forum économique mondial pour diriger la création d’une identité numérique

[Source : theconservativetreehouse.com]

Par Sundance

23 février 2022

La lumière du soleil est le meilleur désinfectant. Une vidéo promotionnelle de l’Association des banquiers canadiens (ABC) aide à bien relier tous les points sur la raison pour laquelle le gouvernement canadien a annulé si rapidement ses saisies d’actifs bancaires au cours des dernières 24 heures {pour plus de détails}. Et oui, comme nous le soupçonnions, c’est presque certainement le contact du Forum économique mondial avec la ministre canadienne des Finances, Chrystia Freeland, qui a déclenché le changement de position.

[Voir aussi :
Justin Trudeau est un « politicien bien formé » contrôlé par Klaus Schwab pour le compte de « Big Money ».]

Lorsque le premier ministre canadien Justin Trudeau et la ministre des Finances Chrystia Freeland ont annoncé qu’ils utiliseraient la déclaration de la loi sur les mesures d’urgence pour cibler les systèmes de soutien financier, les banques et les comptes des personnes qui protestaient contre les obligations de la vaccination anti-COVID, ils n’ont pas seulement sapé l’intégrité du système bancaire canadien – mais ils ont aussi, par inadvertance,  mis des bâtons dans les roues des plans du Forum économique mondial et de l’utilisation collaborative de l’Association des banquiers canadiens pour créer une identité numérique.

Dans le contexte de l’action du gouvernement canadien, REGARDEZ CETTE VIDÉO :

https://youtu.be/jRXR86wVSNw
Canadian Bankers Association Promotes Digital IDs And Refers To WEF #TheRayzorsEdge

Si le gouvernement canadien peut bloquer arbitrairement l’accès des citoyens à leur institution bancaire sans aucune procédure régulière, qu’est-ce que cela dit du système que l’Association des banquiers canadiens (ABC) mettait en place dans le cadre de son réseau d’identification numérique ?

Si l’identité numérique de l’ABC était en place, les mêmes personnes ciblées par l’utilisation de la loi sur les mesures d’urgence par Trudeau verraient leur identité entière bloquée par les mêmes mesures gouvernementales. La prise de conscience du problème, reflétée par une grave atteinte à la confiance dans le système bancaire, est un problème dramatique pour ceux qui travaillent à créer et à promouvoir l’identification numérique.

Ce n’est pas une coïncidence si le mécanisme de ciblage financier déployé par Trudeau/Freeland, le système bancaire canadien, est le même système utilisé pour créer l’identité numérique. À la suite du ciblage des comptes bancaires par le gouvernement, la ministre des Finances Freeland vient de créer un point de référence pour ceux qui s’opposeraient à l’autorisation de la création d’une identité numérique complète.

La raison pour laquelle le Forum économique mondial et l’Association des banquiers canadiens ont immédiatement contacté Trudeau et Freeland et leur ont dit de renoncer à leur plan est parfaitement claire. C’est presque certainement pourquoi Freeland est apparue si réprimandée, choquée et incapable de prendre pied hier {pour plus de détails}, et pourquoi le gouvernement canadien a simultanément informé le Parlement qu’il débloquait les comptes bancaires.

Justin Trudeau et Chrystia Freeland ont essentiellement brisé le code financier de l’omerta, en montrant à quel point il est facile pour le gouvernement de saisir vos comptes bancaires, vos cartes de crédit, vos comptes de retraite, vos assurances, vos hypothèques, votre accès aux prêts et de vous couper les vivres (sans procédure régulière).

La conséquence involontaire était un point de référence immédiat et clair si le gouvernement effectuait la même action avec une identité numérique en place.

Cependant, cette confiance minée et la foi dans le système bancaire ne peuvent être restaurées rapidement. Le dentifrice ne peut pas être remis dans le tube. Le cheval a quitté l’écurie.

Le gouvernement canadien doit rapidement limiter les dégâts. Cela explique pourquoi Justin Trudeau a abandonné la déclaration de la loi sur les mesures d’urgence.

Tout s’explique maintenant. Tout.

En effet, les chefs de gouvernement qui reçoivent leurs instructions des multinationales en charge du Forum économique mondial, c’est-à-dire la quasi-totalité d’entre eux, sont tellement ancrés dans leur besoin d’utiliser la COVID-19 comme levier pour le programme « Build Back Better (reconstruire en mieux) » qu’ils ne peuvent tout simplement pas y renoncer.

Sans la COVID-19, ils ne peuvent pas maintenir la campagne de vaccination. Sans la campagne de vaccination, ils ne peuvent pas maintenir le processus de passeport vaccinal en place. Sans le processus d’enregistrement du passeport vaccinal pour suivre et surveiller le comportement humain, les autorités gouvernementales ne peuvent pas remplir la mission d’un système complet d’identité numérique et de suivi du crédit social. En effet, tout ce qu’elles recherchent est subordonné au maintien de la prémisse de la COVID-19.

Ce n’est pas par hasard que le Forum économique mondial se trouve à l’épicentre de ce projet.

Comme nous l’avons déjà noté, les architectes de la société Build Back Better (FEM) guident les différents gouvernements sur les moyens de créer des systèmes d’enregistrement et de conformité efficaces, c’est-à-dire des moyens qui permettent aux citoyens de prouver qu’ils sont vaccinés et conformes. Alors que ces discussions ont lieu, il est prudent de faire une pause et de réfléchir très attentivement, avec sagesse.

Nous savons tous, au moment où nous lisons ces lignes, que sous couvert d’améliorer notre sécurité, le gouvernement fédéral américain est en discussion avec la communauté médicale, les sociétés multinationales et les employeurs de citoyens pour créer un processus plus efficace pour que vous puissiez enregistrer votre conformité aux vaccins.

Nous connaissons leur conversation sous la terminologie de Passeport COVID. L’objectif actuel est de créer un système nous permettant de montrer et de prouver notre statut de travailleur autorisé, qui, comme vous le savez, est basé sur votre obéissance à un vaccin obligatoire.

Des tests bêta sont menés dans diverses nations, chacune ayant des perspectives et des limitations constitutionnelles différentes, fondées sur des règles et des lois archaïques qui régissent la liberté.

En ce qui concerne les perspectives occidentales ou, faute d’un meilleur terme, « démocratiques« , l’Australie, la Nouvelle-Zélande, la France et l’Europe ouvrent la voie avec leur système technologique de points de contrôle de la vaccination et de statut vaccinal national/étatique lié à votre identification d’enregistrement.

La ville de New York a rejoint le processus des points de contrôle de la vaccination, car elle exige désormais le vaccin pour entrer dans toutes les entreprises privées. Los Angeles a rapidement suivi.

Les points de contrôle électroniques australiens sont essentiellement des passerelles où des codes QR sont scannés à partir des téléphones portables des citoyens vaccinés. Oui, camarades, il y a une application pour cela.

Actuellement, les scans du statut vaccinal sont enregistrés par d’heureux agents de conformité, les hôtes d’accueil à l’entrée de l’entreprise ou du lieu. En effet, l’hôte d’accueil de Walmart dispose d’un nouveau gadget pour scanner votre téléphone avant de vous laisser la garde d’un caddie.

Dans les restaurants, l’hôte ou l’hôtesse dispose d’un scanner de conformité similaire pour vous enregistrer avant de vous asseoir ou de confirmer votre réservation.

C’est simple et amusant. Vous affichez votre code QR sur votre téléphone portable (alias transpondeur portable et dispositif d’enregistrement), en utilisant l’application d’enregistrement, et votre téléphone est scanné et donne une réponse verte pour confirmer votre statut vaccinal correct et l’autorisation d’entrée.

Le gouvernement australien, tant au niveau fédéral qu’au niveau des États, travaille en étroite collaboration avec des entreprises de haute technologie (assoiffées du contrat national) pour évaluer le meilleur processus universel pouvant être déployé à l’échelle nationale.

Comme l’ont indiqué les six premières américaines, les systèmes matériels (scanners) et logiciels (enregistrement) sont tous testés pour trouver les unités portables les plus complètes et les plus pratiques. Entre-temps, aux États-Unis, des villes comme Los Angeles et New York attendent la conclusion du test bêta avant de déployer leur propre version du même processus.

En Europe, les processus de suivi et d’enregistrement des vaccins connus sous le nom de « passeport vert » de l’UE sont également testés.

Le « passeport vert » est un système technologique similaire qui permet à un citoyen vacciné et enregistré d’accéder à tous les lieux et sites précédemment confinés pendant la période d’atténuation de la COVID-19. Ce qui aurait été qualifié de « vaste théorie du complot de droite » il y a 24 mois, est aujourd’hui un processus de passeport COVID bien avancé.

Comme pour tout ce qui se passe dans notre ère technologique rapide, il n’est pas nécessaire de plisser les yeux pour voir l’horizon et accepter que ce processus finira par être automatisé, et qu’il y aura un gadget ou une passerelle de numérisation qui vous donnera automatiquement accès sans qu’une personne doive se tenir là et scanner individuellement le code QR sur chaque téléphone portable.

Comme pour toutes les choses de notre ère technologique rapide, vous n’avez pas à plisser les yeux pour voir l’horizon et accepter que ce processus finira par s’automatiser, et qu’il y aura un gadget ou une passerelle de numérisation vous accordant automatiquement l’accès sans qu’une personne ait besoin de se tenir là et scannez chaque code QR de téléphone portable individuellement.

Le processus automatisé est tout simplement logique. Vous savez très bien que votre téléphone portable transmet déjà une balise électronique permettant à votre chauffeur Uber ou Lyft d’accéder à votre emplacement en appuyant sur un bouton de l’écran tactile, une autre application pratique sur votre téléphone. Alors, pourquoi les passerelles n’accepteraient-elles pas simplement cette même transmission reconnaissable comme l’enregistrement de votre arrivée au café en conformité avec les lois de vaccination ?

La version automatisée est bien plus facile et bien plus cool que de devoir mettre la main dans sa poche ou son sac à main pour faire apparaître ce code QR sur l’écran. Souriez tous, le partenariat entre les grandes firmes technologiques et le gouvernement omniprésent est toujours là pour rendre votre transit plus fluide et plus transparent. Vous ne remarquerez même pas le récepteur électronique installé à l’entrée. Donnez-lui quelques semaines et vous ne vous souviendrez plus de la raison pour laquelle vous vous moquiez d’Alex Jones (NDT : journaliste « conspirationniste » américain), pas plus que vous ne vous souvenez de la raison pour laquelle vous enlevez vos chaussures à l’aéroport.

Cependant, au fur et à mesure de la création de ce processus, il convient de considérer que vous êtes en train de passer discrètement du statut de personne individuelle à celui de produit. Certains commencent à s’inquiéter dans le cadre du test bêta :

[…] « vous devez devenir un objet avec des attributs qui se trouvent dans une base de données. Au lieu de se promener anonymement et de faire toutes sortes de transactions à l’insu du gouvernement, les Australiens se retrouvent à passer par des « portes ». …

Tous les systèmes basés sur les produits ont ces portes pour contrôler le flux des stocks et éliminer les erreurs. C’est ainsi que les ordinateurs voient les choses. Plus il y a de portes, plus c’est clair.

Vous mettez à jour le gouvernement comme un colis est mis à jour par Australia Post sur son chemin vers un client. Si une erreur est détectée, des alertes automatiques sont émises et vous êtes arrêté dans votre démarche. En Nouvelle-Galles du Sud, cela se traduit par un grand « X » rouge sur l’application myGov pour les passeports vaccinaux (si vous avez réussi à relier votre compte Medicare sans faire exploser votre téléphone).

Les systèmes de contrôle des portes ont été adaptés du commerce de détail et transformés en solutions de foule à base humaine pour microgérer des millions de vies avec la même efficacité impitoyable que les codes-barres qui suivent les stocks. Il n’y a aucune nuance ou humanité dans cette ère numérique sans âme. Les codes-barres sont binaires. Bon – mauvais. Citoyen ou dissident.

Même si vous avez tous les attributs gouvernementaux requis pour passer les portes – deux vaccins, six rappels et un abonnement à vie à Microsoft – quelque chose peut mal tourner. Si vos données échouent au scanner, vous passerez au purgatoire numérique et deviendrez un message d’erreur. » (Lire la suite)

Cela pourrait poser problème si votre statut n’est pas enregistré correctement, ou si le système identifie une forme de non-conformité au mode de vie alternatif qui vous empêchera d’entrer. Mais bon, c’est à ça que servent les tests bêta, à résoudre tous ces bugs techniques et autres. Ne vous inquiétez pas…. passez votre chemin….

Mais encore une fois… 

« Pour ceux qui font partie de la classe privilégiée autorisée à faire du shopping, prenez note des panneaux Covid qui encouragent les transactions sans argent liquide sous le couvert de la « santé ». Les messages autour des cartes étant « plus sûres » vont se multiplier jusqu’à ce que le Trésor tente de supprimer entièrement l’argent liquide, presque certainement avec l’approbation du public. »

Attendez, maintenant nous plissons les yeux sur cette image familière à l’horizon parce que nous savons que ceux qui contrôlent les choses parlent d’une société sans argent liquide depuis un certain temps.

Nous savons également que les données sont considérées comme une marchandise majeure en soi. Pourquoi pensez-vous que tous les systèmes que vous rencontrez à l’ère moderne exigent votre numéro de téléphone, même si vous ne vous inscrivez à rien. Cela signifie que vous, nous, sommes tous liés à ce système d’enregistrement moderne qui définit notre statut. Nous savons également que les opérateurs du système achètent et vendent notre statut enregistré au sein de divers systèmes de vente au détail et de technologie.

Oui, cette ombre opaque devient un peu plus claire maintenant.

Vous essayez peut-être d’acheter de la nourriture pour chien et on vous refuse l’entrée à Pet Smart parce que vous n’avez pas renouvelé l’immatriculation de votre voiture. Ou peut-être que l’on vous bloque l’entrée parce que vous avez oublié de changer l’huile du véhicule que vous conduisez en leasing, et que Toyota a passé un accord bizarre avec un consortium de détaillants. Vous vous rendez chez le vidangeur qui apparaît comme par hasard dans l’application de conformité citoyenne – il n’est qu’à deux pâtés de maisons – ils effacent l’alerte après avoir effectué la vidange, et vous êtes à nouveau conforme aux règles de la passerelle.

Vous avez manqué votre piqûre de rappel ? Nous sommes désolés, citoyen, votre compte bancaire est gelé jusqu’à ce que votre conformité soit rétablie… Veuillez vous rendre au bureau de vaccination le plus proche, tel qu’il s’affiche sur l’écran de votre téléphone portable, afin de pouvoir accéder à tous les autres points de contrôle. …. tapez pour continuer !

Vous avez voté pour le mauvais candidat ? Participé, ou fait un don à une manifestation de camionneurs ?

Oui, où cela allait nous mener semblait clairement évident, et le Premier ministre canadien Justin Trudeau vient de réveiller les masses :




Fin de partie

[Source et auteur : Régis Chamagne]

L’ampleur et la nature de l’engagement militaire russe en Ukraine ont une signification qui me semble claire : la partie est finie !

Le changement de paradigme géopolitique que j’évoque depuis de nombreuses années à l’occasion de conférences ou dans des articles, sous l’aspect d’une courbe de Stuart Kauffman, est arrivé à son terme. Il ne reste plus qu’à l’accepter et à le traduire dans le droit international. C’est ce qu’avait proposé récemment Vladimir Poutine dans ce que la propagande occidentale avait nommé « ultimatum ». Le problème est qu’une puissance sur le déclin a du mal à accepter que sa grandeur soit passée. Par un phénomène naturel d’hystérésis elle continue à se voir dans la position de dominant alors que la réalité est déjà autre.

Différents scénarios sont alors possibles :

  • Le système de pouvoir est suffisamment intelligent pour percevoir l’effondrement de puissance, avec un temps de retard certes, et les dirigeants essaient de gérer au mieux « l’atterrissage ». C’est ce qu’avait tenté Mikhaïl Gorbatchev, mais il avait largement sous-estimé le manque de fiabilité des promesses anglo-américaines dont le génocide des indiens d’Amérique du nord offre un exemple saisissant. Je conseille au passage la lecture du livre d’Howard Zinn Une histoire populaire des États-Unis.
  • Le système de pouvoir est de type gérontocratique, réel ou symbolique (méfiez-vous des vieux qui ont l’air jeunes), et il vire à la paranoïa, au dogmatisme fondé sur une représentation désuète (le destin exceptionnel…) et devient totalement idéologique. Dans ce cas, on peut tenter d’amener ce système de pouvoir à revenir les pieds sur terre, petit à petit, de façon impressionniste, mais si cela ne fonctionne pas, il reste la douche froide ; c’est ce qui se passe en ce moment en Ukraine.

Anticipation

Si Vladimir Poutine a décidé l’action qu’il mène, c’est qu’il a envisagé tous les scénarios possibles et en particulier les réponses des pays occidentaux et qu’il a les moyens d’y répondre. Or la politique des pays occidentaux, qu’elle soit intérieure ou extérieure, est gouvernée par l’idéologie, non par la raison. Dans la situation actuelle, elle mène à l’hystérie. Mais surtout, du point de vue de V. Poutine, elle est prévisible car les idéologues sont prévisibles.

La suite sera pathétique

Les pays occidentaux ont commencé à « dénoncer très fermement et avec la plus grande vigueur cet acte d’agression russe ». En somme, ça pousse des cris d’orfraie, ça hurle, ça montre du doigt, ça donne des leçons, bref ça n’agit pas. Ça n’agit pas parce que ça ne peut pas agir, ça n’en a pas les moyens… Mais ça menace de sanctions, et c’est là que la situation risque de dégénérer pour les pays occidentaux, car la Russie, par la voix du porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, a annoncé « Les mesures de riposte suivront, bien évidemment. À quel point elles seront symétriques ou asymétriques, cela va dépendre de l’analyse des restrictions » imposées à la Russie.

Non seulement la Russie ne craint pas les sanctions, mais en outre sa réponse risque encore de surprendre tout le monde.

La Russie ne craint pas les sanctions :

  • En 2014, les sanctions européennes conséquentes à l’annexion de la Crimée ont renforcé la décision de Vladimir Poutine d’investir 52 milliards de dollars dans l’agriculture, afin de ne plus dépendre de l’extérieur en alimentation, et de ne plus craindre des pénuries en cas de sanctions occidentales. Depuis, d’importatrice de blé, la Russie est devenue le premier pays exportateur. D’ailleurs, en ce moment, les cours du blé et des céréales explosent. En outre, alors qu’avant 2014 elle n’avait quasiment pas d’élevages, aujourd’hui la Russie est autosuffisante en volailles et quasiment en viande de porc, grâce à des investissements massifs dans l’élevage industriel.
  • Dans la même dynamique, la Russie est un pays manufacturier en développement. D’ailleurs, elle manque de main d’œuvre pour soutenir ce développement. À cet égard, l’afflux de réfugiés russes d’Ukraine en Russie pourrait être une aubaine.
  • Dans le domaine des métaux, la Russie disposerait de 16 % des réserves mondiales de béryllium, 11 % du chrome, 22 % du cuivre, 38 % du manganèse, 79 % du mercure, 15 % du nickel, 16 % du niobium, 10 % du platine, 7 % du tantale, 49 % du vanadium, 24 % du zinc, ainsi que de réserves importantes en métaux rares comme le rhodium. En somme, des ressources variées qui couvrent les besoins dans les domaines stratégiques de la technologie du futur.
  • La Russie est autonome sur le plan de l’énergie tandis que les pays européens ne peuvent se passer du gaz russe. Le gaz russe, c’est 40 % du gaz européen. De plus, l’Europe n’a pas assez de capacités pour traiter le GNL américain. Elle manque de terminaux et de capacités de regazéification du gaz liquide. En particulier, l’Allemagne n’a aucun terminal ; c’est le maillon faible.
  • La Russie pourrait être exclue du système SWIFT, le système international de transactions financières. Mais là encore, la Russie a développé officiellement son propre système, ainsi que la Chine, et il y fort à parier qu’un système russo-chinois est déjà opérationnel. Or la Chine est actuellement « l’usine du monde », donc tous les pays qui importent des produits fabriqués en Chine devront utiliser le nouveau système de transactions ; ça fait du monde ! Ce n’est pas la Russie qui sera exclue de SWIFT, c’est SWIFT qui sera exclu des transactions internationales. Cela fait partie du changement de paradigme géopolitique.

La réponse de la Russie : une autre prise de judo ?

Que faut-il comprendre des paroles de Dmitri Peskov ? « Les mesures de riposte suivront, bien évidemment. À quel point elles seront symétriques ou asymétriques, cela va dépendre de l’analyse des restrictions. » Comme d’habitude, V. Poutine annonce la couleur.

La dépendance des différents pays occidentaux à la Russie (énergie, nourriture, métaux…) est très variable. Derrière les mots « symétriques » et « asymétriques », il y a une arme pour diviser le bel édifice occidental, pour créer des lignes de fracture. Il y aura ceux qui seront gentils avec la Russie et les têtus. Les premiers seront épargnés et invités à rejoindre le nouvel ordre mondial rapidement, les seconds auront du mal à passer l’hiver. Tout cela se passera sur fond de pièce de théâtre afin que les Occidentaux ne perdent pas la face. Gageons que Vladimir Poutine sera magnanime.

En résumé, Vladimir Poutine a décidé de siffler la fin de la partie de poker menteur avec les Occidentaux, USA en tête. Son jeu à lui sont les échecs ou le judo. Par cette action surprise, rapide et extrêmement bien préparée et coordonnée, la Russie démontre une fois de plus l’efficacité de son armée et sa supériorité technique. Le changement de paradigme géopolitique est en train d’être achevé et ceux qui voudront continuer à l’ignorer resteront un moment au bord de la route.

Régis Chamagne




François, pape des pauvres et de l’écologie ? Ou pape de l’élite globale ?

[Source : mondialisation.ca]

[Illustration : Flickr.com]

Par Matthieu Smyth

Le pape François. Le pape de la rupture. Le pape écolo, anticapitaliste, ami des pauvres et des migrants. Le pape bienveillant avec les gays et les divorcés, mais hostile aux traditionnalistes. Le réformateur de la curie romaine corrompue, l’éradicateur des abus sexuels ecclésiastiques… Ou plutôt le pape des paradoxes ? En effet, c’est avec Bayer-Monsanto et BP que François envisage de sauver l’environnement, avec Bank of America et les grands noms de Big Pharma comme Merck ou Johnson & Johnson qu’il désire refonder un capitalisme éthique. Serait-il alors surtout le pape d’une nouvelle logique de marketing ? En effet, c’est justement au nom de la défense de l’environnement, de l’inclusivité ou encore de la justice sociale que les acteurs corporate (c’est-à-dire du secteur privé) de la gouvernance globale sont décidés à faire accepter partout leur agenda — lequel n’est autre que de s’octroyer à eux-mêmes les pleins pouvoirs sur la planète.

Bergoglio, à cet égard, est un cas d’école. Il a choisi de faire du Vatican un porte-parole de cette gouvernance globale dans le sillage du Forum Économique Mondial de Davos (FEM). De fait, les décideurs de cette gouvernance, parce qu’ils n’entendent plus exploiter à leur profit la quête de bonheur consumériste des masses, mais comptent plutôt s’appuyer sur la coercition, ont désormais adopté une stratégie marketing qui cherche à déguiser leur soif de puissance en affichant une volonté de rupture d’avec le capitalisme néolibéral, individualiste et énergivore. L’élite globale accumule tous les biens qui lui manquent encore, confisque les libertés publiques et concentre les pouvoirs dans ses seules mains, mais elle habille ce golpe dans un narratif soucieux d’écologie, axé vers le bien commun, hostile aux libertés individuelles et critique vis-à-vis du libre marché. Le message que François adresse au monde est un des plus beaux exemples de cette nouvelle « com ».

Le pape du confinement, du contact tracking, des expériences médicales forcées et de la ségrégation

À la fin de l’hiver 2020, le pape François est apparu comme un héraut des restrictions prétendument sanitaires. Lorsque, au grand désarroi de beaucoup de catholiques, les gouvernements ont commencé d’interdire les réunions religieuses, il s’est empressé d’appuyer ces mesures de toute son autorité. Pour la première fois dans l’histoire, un pape, de concert avec les puissances séculières, interdisait aux catholiques d’aller à la messe ni à aucune autre cérémonie. Les quelques prélats qui s’opposaient aux mesures de « confinement » se sont vus réprimander ou ignorer — c’étaient d’ailleurs des conservateurs dont les propos étaient faciles à discréditer aux yeux du public. Quant à Mgr Viganò, qui dénonce publiquement cette collusion de la papauté et de la gouvernance globale corporate, il ne trouve plus d’écho dans les médias.

À l’opposé du mot d’ordre de son prédécesseur polonais, le pape a donc sans vergogne joint sa voix à celles de tous ceux qui, à l’instar du ministre de la santé britannique Hanson ou du français Véran, reprenaient l’antienne composée par les « experts » en santé publique : « Ayez peur ! » ; une antienne dont le verset aurait pu être :

« Tant que le vaccin n’est pas là, la méthode inédite de XI Jinping pour briser la courbe des infections est notre seul salut ».

Dans le très consensuel et très institutionnel New York Times, François est monté au créneau face à l’incompréhension populaire pour défendre l’approche chinoise : « Comme si les mesures que les gouvernements devaient imposer pour le bien de leur peuple constituaient une sorte d’attaque politique contre l’autonomie et la liberté personnelle ». Les populations sont incarcérées à domicile, les familles sont séparées, les rites collectifs bannis, les anciens agonisent isolés, les petites entreprises sont ruinées, des milliers de jeunes sont poussés au suicide, mais pour le bien commun. Les rares gouvernements qui, de par le monde, refusaient de céder à la panique et ne se pliaient pas aux mots d’ordre du PCC et de l’OMS, se virent rappelés à l’ordre par Bergoglio : car ils « ignorent les preuves douloureuses de la liste des victimes qui s’allonge, avec des conséquences pénibles inévitables ».

Depuis, il est devenu un avocat vigoureux de la campagne mondiale d’injections géniques expérimentales à but vaccinal. Pas un mot sur les traitements précoces essayés avec succès dans les pays pauvres. Pas un mot sur la létalité extrêmement faible du SARS-CoV-2. Pas un mot sur le caractère expérimental des injections concoctées par Pfizer, Moderna, AstraZeneca ou Johnson & Johnson. Et pas un mot sur leur dangerosité potentielle. Bergoglio ne s’écarte pas d’un iota du discours officiel répété inlassablement depuis des mois dans les médias : le monde est confronté à une terrible menace ; il faut rester chez soi ou sinon se « distancier socialement », subir le contact tracking et porter un masque ; seule une vaccination universelle peut nous en préserver.

Dans son livre interview Oltre la tempesta, François joint sa voix à celles des médias officiels et des politiciens afin d’enjoindre le public de « croire en la science ». Le Successeur de Pierre met sa foi et son espérance dans les déclarations triomphales de Pfizer ou Moderna, comme naguère on l’eu fait dans les articles du Credo : « Il nous faut trouver l’espoir et la foi dans la science aujourd’hui encore : grâce au vaccin, nous retrouvons lentement le chemin de la lumière ». On ne peut pas imaginer un seul instant que le choix des mots « foi et espoir » soit le fruit d’une inconséquence. Ces termes ne peuvent se référer dans la bouche d’un pape qu’aux deux premières des trois vertus chrétiennes dites théologales.

François appuie donc de toute son autorité la stratégie politique globale mise en œuvre à l’unisson par les gouvernements du G20 (grosso modo), et visant à imposer une expérimentation génique à tous les humains, que ce soit à travers le marketing, le chantage ou la coercition pure et simple. Dans une vidéo, il n’hésite pas à qualifier l’injection de « devoir moral », ni à la désigner comme un « acte d’amour »  (la troisième vertu théologale justement). Le sort des enfants soumis à cette expérience ne le préoccupe pas non plus. Outre ses appels répétés à la « vaccination » universelle, il a imposé la « vaccination » obligatoire au Vatican.

Encore plus surprenant : la Congrégation pour la doctrine de la foi — l’antique Inquisition — a souhaité lever les réticences que des croyants auraient pu éprouver à l’idée de se faire injecter un agent élaboré à partir de cellules prélevées sur des fœtus avortés. Rome, et dans la foulée toutes les conférences épiscopales du monde, n’ont pas reculé, pour se conformer à l’orthodoxie vaccinale officielle prônée par Anthony Fauci, Tedros Adhanom Ghebreyesus ou Bill Gates, à violer le tabou bimillénaire de l’orthodoxie catholique face à l’avortement. Sous prétexte d’urgence sanitaire. Là encore, François n’a eu à faire face qu’à l’opposition d’une poignée d’évêques.

En toute logique, François est partisan du passeport sanitaire ; passeport qu’il a du reste instauré au Vatican et dans certains séminaires. Dans le sillage du Vatican, quelques diocèses zélés, notamment au Canada, ont commencé à demander des preuves de « vaccination » pour pouvoir aller à la messe. Le chantage, le viol de la vie privée, la surveillance universelle numérique et la ségrégation sociale que le passeport sanitaire suppose laissent indifférent le pontife argentin.

Le pape du partenariat global

On pourrait voir dans tout cela du simple suivisme. Après tout, le pape reprend le discours et la politique de la quasi-totalité des gouvernements occidentaux. Mais il n’en est rien : le Vatican de François Bergoglio se veut un des partenaires actifs du grand bouleversement socioéconomique initié par la gouvernance globale, et prôné notamment par le Forum de Davos (WEF). Cette gouvernance globale est sensée réunir les principaux acteurs du privé et du public dans un « partenariat » justement. Avec ce partenariat qui est en fait une inféodation des pouvoirs publics, l’élite des technocrates peut tranquillement décider de l’avenir de la planète loin des aléas des processus démocratiques : c’est le Global Private-Public Partnership (GPPP).

Dans ce partenariat, les stakeholder capitalists — soit le complexe financiaro-informatique (pour simplifier : BlackRock, Vanguard et Big Tech) et les banques centrales (la BRI, la Fed, la BCE etc.) — constituent les partenaires « majoritaires ». Ils sont « partie-prenante » du bien public de manière décisive. Ce sont eux les véritables décideurs. Les partenaires « minoritaires » sont les gouvernants et leurs appareils d’état (à l’exception de la puissance publique de la Chine laquelle est plus haut dans la chaine alimentaire). Les états ne sont que des exécutants, un peu comme le « middle-management » de l’oligopole mondial technocratique. Dans l’entre deux, on trouve une pléiade d’autres stakeholders : banques internationales d’investissement, multinationales du Hi Tech et du Big Data, Big Pharma… Mais aussi des institutions internationales comme le FMI, la Banque Mondiale ou l’OMS, sans oublier les fondations privées telles le Wellcome Trust, le Rockefeller Institute ou la Fondation Bill & Melinda Gates. 

Et puis il faut encore ajouter les partenaires représentatifs globaux. Ces organes de discussions internationales s’efforcent de formuler les grandes stratégies politiques initiées par les « Senior Partners », puis de coordonner l’action des acteurs de leur mise en place. Le principal à l’heure actuelle est sans conteste le Forum Économique Mondial (WEF) dont le chairman exécutif Klaus Schwab a su faire de Davos, au fil du temps, le « hub » incontournable de ce partenariat. À la différence des très discrets clubs de discussion et Think Tank plus anciens comme le Council for Foreign Relations, la Rand Corporation, le Chatham House, le Bilderberg Group, le Group of Thirty ou la Commission Trilatérale, le WEF assume à grand renfort de publicité la mission qui lui a été accordée de coordonner les partenaires d’une gouvernance mondiale désormais assumée sans vergogne. Klaus Schwab ne s’est pas non plus caché d’avoir instalé des relais à des échelons inférieurs mais stratégiques avec ses Young Global Leaders (tel Emmanuel Macron), voire plus bas encore grâce aux Global Shapers.

La gouvernance globale n’a plus à se cacher d’essayer de tirer les ficelles de la planète désormais qu’elle les tire sans entrave. C’est donc le WEF qui se charge de faire son public relation. Il lui revient de vendre les concepts désignant la stratégie initiée par les policy makers de la gouvernance : le Great Reset et la IVe Révolution Industrielle. Sur les décombres de la crise du COVID et grâce à la « fenêtre d’opportunité » qu’elle offre, les stakeholder capitalists pourront « réinitialiser le monde », animé par une nouvelle forme de capitalisme qui transcende tant le keynésianisme que le néolibéralisme.

Ce futur radieux dont rêvent les stakeholders pour « ceux qui ne sont rien », comme le dit le président à Macron, est plaisamment décrit par le WEF comme un monde « où vous ne posséderez plus rien, n’aurez plus de vie privée, mais où vous serez heureux ». Il sera généreusement octroyé aux plébéiens par un consortium de grands financiers contrôlant les multinationales. Celles-ci exploiteront seules un marché planétaire, désormais captif après l’extinction programmée des petites entreprises indépendantes. Cette concentration absolue des biens et des pouvoirs dans les mains d’un oligopole technocratique sera mise en œuvre en particulier grâce à une numérisation centralisée de tous les objets manufacturés (IoT : « Internet of Things ») et de toutes nos activités (IoB : « Internet of Bodies »). Ce qui suppose la suppression de la vie privée au profit d’une surveillance numérique totale à travers des algorithmes pilotés par l’AI. Dès lors, l’activité humaine sera placée sous un contrôle non moins total, en premier lieu à travers le contrôle de toutes nos transactions. Dans cette vie idéale, les humains seront enfermés pour lutter contre le changement climatique et la biodiversité dans des villes « smart » mais « soutenables », mangeront une nourriture synthétique non carnée mais « écoresponsable » (car produite par les géants si bienveillants de l’agroalimentaires), accueilleront des modifications pour les « augmenter »…

Ce coup d’état planétaire, dont le but pourrait aussi se résumer simplement à la monétisation et l’accaparement de tous les biens naturels, doit s’effectuer — on l’aura compris — « pour notre bien ». Autrement dit, en instaurant un capitalisme prétendument « vert », décarboné et éthique, en donnant sa chance à tous, ou encore en offrant à chacun une santé optimale, les titanesques multinationales financières et industrielles, dont l’avidité infinie a jusqu’ici méthodiquement saccagé la planète et ruiné notre santé, vont chercher à s’approprier — pour mieux les préserver bien sûr — les derniers « actifs » (pour employer leur jargon) qui leur échappent encore, tels que nos corps, nos libertés ou les « communs »…

Or, le Vatican aimerait bien tenir son rang, sous la férule des géants de la finance, parmi les partenaires représentatifs globaux du GPPP, au côté du WEF ou du Chatham House. Mais avec une discrète dimension « religieuse » et soucieuse d’éthique que vient orner la patine d’une tradition vénérable. C’est un prestige assez « bankable » aux yeux de tous ces technocrates à la pointe de la modernité. Un peu comme la « méditation de pleine conscience » commercialisée par Jon Kabta Zinn et bénie depuis par l’élite managériale de Davos. François offre à la gouvernance globale une caution morale à la fois télégénique et antique qu’elle ne dédaigne pas, tout comme elle ne dédaigne pas d’instrumentaliser celle, d’origine plus moderne, des célébrités du showbiz. François ne rivalise pas avec des hôtes de Davos tels que Leonardo Di Caprio ou Bono, mais il jouit d’une certaine forme de popularité mondiale en particulier en dehors de son Église. Certes celle-ci est en déclin accéléré jusque dans ses bastions latino-américains et africains où les évangéliques la bousculent, mais le pape reste le seul et unique leader religieux d’envergure vraiment mondiale. Aucune autre religion ne peut se targuer d’un leadership aussi global que celui exercé par le pape. Grâce à la papauté, la gouvernance globale peut faire entendre au monde entier ses consignes depuis le haut du trône de Pierre. Gageons que Klaus Schwab, qui se voit comme le pasteur de la paroisse des élites, apprécie ce détail.

Le pape du Great Reset

En plus d’être une caution morale, François — mais avec plus de discrétion — joue un rôle comparable à celui de la malheureuse Greta Thunberg avec laquelle le Forum de Davos s’exhibe si volontiers. Tout comme elle, le pape critique le système économique actuel et appel de ses vœux un monde plus écologique. Ce sont justement les éléments principaux du narratif dont les décideurs planétaires, comme le CEO de BlackRock Larry Fink, ont choisi de s’emparer pour vendre la grande transformation qu’ils souhaitent mettre en œuvre.

À cet égard, le Vatican entretient d’étroites relations avec la finance internationale : l’APSA (Amministrazione del Patrimonio della Sede Apostolica, autrement dit la gestion du colossal portefeuille boursier et foncier du Vatican) n’avait-il pas depuis 2006 comme conseiller spécial Peter Sutherland ? Ardent partisan de « l’open border », il présidera aussi la Commission Internationale Catholique pour les Migrations depuis 2015 jusqu’à sa mort. Par ailleurs, ce « père de la globalisation » est l’ancien président du GATT, co-fondateur de l’OMC, chairman de BP et de Goldman-Sachs, et bien entendu membre du Foundation Board du WEF, entre autres choses… De même, en 2021, le pape François a nommé un Agenda Contributor du WEF, le très malthusien économiste Jeffrey Sachs, à l’Académie Pontificale des Sciences Sociales (il est par ailleurs un ami de Peter Daszak président d’Ecohealth-Alliance, l’institut qui finançait la recherche sur les « gains de fonction » chez les coronavirus, et lequel Daszak a été nommé par Sachs à la tête du comité du Lancet sur les origines de la pandémie, car, oui, c’est vraiment un petit monde).

Sans surprise, François s’implique personnellement avec le WEF : à quatre reprises, François a adressé un message à son sommet annuel ; parallèlement une table ronde présidée par le Vatican se tient chaque année au même sommet de Davos. Surtout il apparaît comme le fidèle porte-parole des thématiques promues par le WEF. Le pape s’est chargé de devenir un des communicants du « PR » de la grande transition économico-politique que Klaus Schwab a packagé sous l’appellation de « Great Reset ».

L’encyclique Fratelli tutti  d’octobre 2020 est révélatrice à cet égard : « Abstraction faite des manière différentes avec lesquels les divers pays ont répondu à la crise, leur incapacité à travailler ensemble est devenue vraiment évidente » écrit-il. « Quiconque s’imagine que la seule leçon qu’il faille en tirer est le nécessité d’améliorer ce que nous faisions déjà, ou de de rendre plus adéquates les systèmes et les régulations existantes, est dans le déni. […] La fragilité des systèmes qui dominent le monde face à la pandémie ont démontré que tout ne peux pas être résolu par la liberté du marché. […] Il est impératif d’adopter une politique économique proactive orientée vers la “promotion d’une économie qui favorise la diversité productive et créativité entrepreneuriale (business creativity)” (encycl. Laudato Si’), et rende possible la création des emplois et non leur destruction ».

Pour François, l’élément essentiel de cette mutation est bel et bien la gouvernance globale des partenaires privés et publics dont il est partisan. Dans son message de 2021 au FMI et à la Banque Mondiale, il déclare ainsi que la campagne d’expérimentation génique à but vaccinal actuel offre un cadre privilégié à ce partenariat libre de toute contrainte démocratique : « Ici, je réitère mon appel aux leaders gouvernementaux, aux entreprises et organisations internationales de faire l’effort d’œuvrer ensemble pour fournir des vaccins pour tous, en particulier aux plus vulnérables et à ceux qui sont le plus dans le besoin. […] Il demeure le besoin urgent d’un plan global qui puisse créer de nouvelles institutions et régénérer celles qui existent, spécialement celles de la gouvernance globale, et ainsi contribuer à bâtir un nouveau network de relations internationales pour promouvoir le développement humain intégral de tous les peuples ». 

C’est un leitmotiv pour François. Déjà Jean XXIII (encyclique Pacem in terris), le Concile Vatican II (constitution Gaudium et spes), et surtout Benoît XVI (encyclique Caritas in veritate) avaient identifié « un besoin urgent d’une véritable autorité politique mondiale » (§ 67). Mais, comme il le fait dans son encyclique Laudato Si’ de 2015, ou encore dans son message à l’ONU de la même année « pour une écologie intégrale », François, lui, ne cesse de réclamer une gouvernance globale plus forte notamment face au changement climatique. Cet appel adressé aux décideurs pour qu’ils se mobilisent contre le changement climatique, s’inscrit dans une critique de l’économie de marché, du consumérisme et de la compétition commerciale inhérente qui reflète l’agenda des élites globalistes : le consommateur et la compétition n’ont pas de place dans un marché captif aux mains d’un oligopole ; de même les dangers, notamment climatiques ou infectieux, qui pèsent sur la planète ont sonné le glas de l’état-nation westphalien tout comme de ce qui pouvait subsister ici ou là de démocratie. Place à la gouvernance mondiale technocratique.

 François ne cesse donc d’appeler de ses vœux un « nouvel ordre mondial » dont la « pandémie » serait la matrice. Le vrai « drame », aujourd’hui, « serait de gâcher la chance que nous donne la crise du COVID-19 ». On aura reconnu le story telling désormais célèbre du chairman du WEF Klaus Schwab, « La pandémie représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour repenser, réinventer et réinitialiser notre monde ». Pour François, « Le chemin du salut [je souligne] pour l’humanité passe par la création d’un nouveau modèle de développement », et donc par les politiques que justement la gouvernance globale prône, tel que le revenu universel minimum (notamment face au COVID), ou encore bien entendu la transition  « verte » et décarbonée.

Le pape de Bayer-Monsanto et Johnson & Johnson : un tournant historique

La papauté avait déjà connu dans le passé de sévères crises. Elle a pu devenir tour à tour le jouet de pontifes avides de pouvoir dont l’ambition était toute terrestre, ou au contraire le jouet de princes désireux de s’appuyer sur son prestige. Rome a cherché des soutiens ou des accommodements extérieurs parfois embarrassants. Pie VIII condamna en 1830 les insurgés catholiques polonais pour complaire au Tsar. Léon XIII excommunia les insurgés irlandais catholiques pour s’attirer les faveurs de l’Empire britannique. Le Vatican négocia longuement avec Lénine, passa un accord avec Mussolini et signa un concordat avec Hitler… Mais ici nous sommes face à un tournant historique. Jamais Rome n’avait été tentée d’embrasser les idéaux de ces régimes avec lesquels elle cherchait un compromis. Jamais la papauté n’avait eu pour ambition de devenir un de leur relais.

Aujourd’hui, pourtant, l’institution qui revendique une juridiction universelle sur les chrétiens s’affirme en même temps comme la partenaire d’une gouvernance mondiale technocratique placée sous l’égide des grandes multinationales. Elle se veut la partenaire « spirituelle » de l’élite technocratique et corporate qui aspire à dominer totalement la planète. Cette adhésion à l’agenda de ce néocapitalisme global a été formalisée par le lancement à Rome du Conseil pour un Capitalisme Inclusif. Il rassemble auprès du pape, dans une confrérie de « Guardians », des CEO œuvrant pour un capitalisme « éthique », « vert » et « équitable »… avec notamment ceux de Johnson & Johnson, Merck, Bank of America, BP ou Bayer-Monsanto — Bayer-Monsanto dont l’expertise en éthique et en écologie est mondialement reconnue. « Un nouveau partenariat historique entre des leaders des plus grands groupes mondiaux financiers et commerciaux et le Vatican […]. Il témoigne de l’urgence de rassembler les impératifs moraux tant que commerciaux pour réformer le capitalisme en une force puissante pour le bien de l’humanité. Sous l’égide morale de Sa Sainteté le pape François […] ». 

Placé sous la responsabilité de Lynn Forester de Rothschild, Managing Partner d’Inclusive Capital Partners, ce Conseil « suivra les avertissements du pape François » et « répondra aux demandes de la société qui réclame un modèle de croissance plus équitable et soutenable ». Sans surprise, le site web (à la page « commitments ») de nos capitalistes inclusifs est calqué sur les pages de celui des dix-sept Global Goals onusiens et davosiens pour 2030. Le WEF, on l’a compris, déploie une rhétorique qui peut sembler « de gauche » : il insiste sur les responsabilités écologiques des grands acteurs économiques actuels en particulier vis-à-vis du climat, sur leur volonté inclusive de ne négliger aucune minorité, sur leur souci de donner à tous sa chance, sur leur désir d’accueillir les réfugiés… De même, François se présente comme le pape « vert », gay friendly, ami des migrants, adversaire du changement climatique. Tout autant d’éléments décisifs du marketing que la gouvernance globale attache au nouveau paradigme économique qu’elle entend promouvoir.

Nous retrouvons d’ailleurs un discours semblable — avec tous ses tics de langage — à celui de Davos dans les documents du Dicastère pour la Promotion du Développement Humain Intégral institué le 17 août 2016 par la fusion de diverses autres commissions. Elle « exprime les soucis du Saint-Siège à propos des problèmes de justice et de paix, notamment ceux liés aux migrations, à la santé, au œuvres charitables et à la protection de la création » ; et ce en particulier « pour toute la famille humaine confrontée à la pandémie du COVID-19 ». Bien entendu, c’est à tous ceux qui sont partie prenante — les stakeholders — du destin de la planète et donc du développement humain qu’il revient de trouver les solutions adéquates.

Le pape de la IVe Révolution Industrielle et du transhumanisme

« Développée » par le père Philip Larrey, « en collaboration avec le Dicastère pour la Promotion du Développement Humain Intégral, avec le Saint-Siège ainsi qu’avec un consortium de leaders et de “luminaires”, Humanity 2-0 cherche à unir l’humanité autour de la cause commune de créer un monde meilleur pour nos enfants ». Humanity 2.0 « est un vecteur pour faciliter des entreprises collaboratives entre le secteur public, le privé et celui “basé sur la foi” — des secteurs traditionnellement cloisonnés ». On notera la présence de CEO tels que ceux de CISCO, Virgin ou Publicis dont le partenariat corporate vient bénir les ambitions du dit « vecteur ». Cependant, quasiment aucune référence chrétienne sur ce site, dominé par le visage d’Athéna, si ce n’est une citation de Thomas d’Aquin.

Son chairman, le père Larrey, est prêtre et doyen de la faculté de philosophie de l’Université du Latran mais aussi un apôtre de la Quatrième Révolution Industrielle chère à Klaus Schwab (actoninstitute.it). Il est aussi l’auteur du livre Artificial Humanity où il étale sa foi dans l’Intelligence Artificielle future — comme une entité réellement intelligente ! — et formule le souhait qu’elle reste humaine. 

François, en affichant sa foi dans ce qu’il pense être la technologie de demain, reprend presque mot pour mot ce discours sur l’IA, et appelle les chrétiens à « prier pour une IA “humaine” » : « La robotique peut nous rendre possible un monde meilleur si elle demeure liée au bien commun. […] Prions pour que le progrès de la robotique et de l’intelligence artificielle puisse toujours servir l’humanité. […] Nous pourrions dire : qu’elle “soit humaine” ». Non, «l’IA, la robotique et les autres innovations technologiques doivent être utilisées de telle sorte qu’elles contribuent au service de l’humanité et à la protection de notre maison commune», déclare-t-il Forum de Davos de 2018. On reconnait là un des thèmes chères au courant transhumaniste tel que l’expose Yuval Noah Harari un de ses portes paroles médiatiques. L’IA serait potentiellement dangereuse, mais pour que le bon peuple soit protégé de ces périls, il faut que l’élite technocratique la dirige…

L’idéologie transhumaniste, en particulier la croyance en la grande convergence bionumérique qu’il faut faire advenir, est un des points clefs de la IVe Révolution Industrielle prônée par Davos. L’humain et la machine doivent fusionner autour du data, avec l’aide de l’édition génomique et d’implants informatiques, en vue de créé « l’humain augmenté ». La barrière entre le biologique aléatoire et la technologie informatique programmable doit sauter. L’idée de vie tout comme celle de liberté sont obsolètes : la vie et en particulier l’âme humaine ne sont que des algorithmes particulièrement complexes de réactions chimiques et électromagnétique. Quiconque détiendra le data de ces algorithmes sera en mesure de « hacker » l’humain, comme le prétend Yuval Noah Harari devant ses maîtres de Davos en 2018. L’espérance en la possibilité de réaliser une vie éternelle ici-bas, soit en déjouant le vieillissement cellulaire, soit par un transfert de données cérébrales dans quelque disque dur surpuissant, commence à mobiliser de gros investissements. Même avec beaucoup d’imagination, on ne voit pas très bien comment concilier cette vision avec l’enseignement des prédécesseurs de François.

Cela n’a pas empêché le Père Larrey, dans le cadre des Global Leaders de présider des conférences à Rome, de concert avec Carlos Moreira et David Ferguson, tous deux penseurs du transhumanisme, co-auteurs du Transhumancode et liés comme il se doit au WEF de Davos avec leur Think Tank oiste — dont une en juillet 2019 rien de moins que sur cette même thématique du Transhuman Code. Nos bons apôtres de l’utopie technocratique à venir ont d’ailleurs recommencé en octobre 2021 sur le thème de la « Technology that Empowers Humanity »…

« Si nous voulons que tout reste comme tel… »

L’historien ne peut que s’interroger : comment une telle mutation est-elle possible ? Les divers scandales d’abus sexuels auxquels Bergoglio est personnellement mêlé fournissent un début d’explication. Le pape a couvert pendant longtemps d’éminents prélats (McCarrickZanchettaMaradiaga et d’autres encore) pourtant visés par de très graves accusations d’abus sexuels et de corruptions financières. Il a fallu que les crimes soient étalés de manière publique pour qu’il devînt impossible pour lui de ne plus les démettre de leur fonction. Le pape s’est montré tel qu’il est : un homme d’appareil prêt à toutes les extrémités pour protéger ses collaborateurs. Mais parallèlement, c’est ce même pape qui cherchait à donner satisfaction à l’opinion publique en adoptant une politique générale très agressive envers les prêtes accusés d’abus sexuels du même ordre. Un homme d’appareil tenu par l’esprit de corps, doublé d’un communicant comme se doit de l’être tout bon stakeholder moderne, toujours prêt à défléchir les accusations avec du story-telling bien huilé.

C’est donc sans motif que les conservateurs s’inquiètent de l’exposition de statuettes de la Pachamama dans une église non loin du Vatican comme d’une manifestation de syncrétisme voire de néopaganisme écologiste. Pas plus que ne doivent être prises pour argent comptant les déclarations publiques bruyantes « pour la planète », « pour le climat » ou « pour l’environnement » des stakeholder financiers ou industriels de Davos. Ces déclarations révèlent seulement l’appétit de l’élite globale de faire main-basse sur ce qu’il reste de biens naturels lui échappant encore. Non, pas plus que ses partenaires, François ne vénère la Terre-Mère : il « fait de la com’ ».

Oui, à l’évidence, le monde change et Rome change aussi. Le sommet de la hiérarchie catholique ne souhaite pas se retrouver dans une position contre-culturelle : elle préfère suivre l’idéologie dominante, jusqu’à son transhumanisme. À cela je propose une première explication très simple : la papauté est désormais extrêmement faible et François ne s’y résout pas. Quel que soit le prix. De par le monde, les églises sont vides ou en train de se vider comme en Amérique latine. Ne s’accrochent que des groupes socialement ultra minoritaires, disséminés, et tous marqués à des degrés divers par un net conservatisme, voire par le traditionalisme. Le Vatican est devenu une institution d’un autre âge, inadaptée à la taille et à l’influence des communautés qu’il supervise. Le pape n’a plus les moyens de s’adresser à tous les humains comme s’il était une autorité spirituelle et morale écoutée par des centaines de millions de condisciples dans le monde. Son seul atout face au monde sécularisé, c’est ce qu’il représente encore en théorie et non en réalité : une certaine aura associée à sa soutane blanche, la Place et la Basilique Saint-Pierre, le palais du Vatican, la Sixtine, les Gardes suisses (s’ils sont vaccinés !) et les universités pontificales. 

Or François a bâti sa vie sur une conformité aux cadres hiérarchiques auxquels il s’identifie. Il a mené toute sa carrière sous le signe de son adhésion conformiste au gré des flots à tous les discours dominants qui se sont succédés : depuis celui de Peròn jusqu’à celui de Schwab. Or, le catholicisme, trop affaibli, n’est désormais plus en mesure de lui fournir un schéma de pensée socialement hégémoniques, tandis que son instinct le plus profond de bureaucrate lui interdit de se soustraire à la pensée grégaire du moment. François n’aurait donc pas pu opter de se consacrer à la petite minorité catholique qui écoute encore le pape sans provoquer aux yeux du grand public la disparition de la Rome pontificale dans une forme d’anonymat et d’oubli. Un choix impossible pour un homme d’appareil. Non, son désir est de rester fidèle à l’institution romaine telle qu’il la voit : celle-ci doit rester un acteur planétaire — comme avant en un sens. Pour cela, la Rome de François a fait le choix d’essayer de devenir un stakeholder de la gouvernance globale en allouant à ses titanesques corporate partenaires ce qui reste de prestige séculaire à la papauté. Pour cela, elle a décidé de collaborer activement à l’instauration d’un système totalitaire global fondé sur la surveillance numérique et les expérimentations géniques. « Se vogliamo che tutto rimanga come è, bisogna che tutto cambi ! ».

Matthieu Smyth

Matthieu Smyth est Professeur à l’Université de Strasbourg (France) (Sciences religieuses)

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Matthieu Smyth, Mondialisation.ca, 2022

[Voir aussi :
Bill Gates a-t-il demandé à Bergoglio de fermer l’Église catholique ?
À la vitesse de la lumière Bergoglio entraîne l’Église catholique dans sa chute
La nouvelle prière Bergoglienne
Le Pape François a rencontré secrètement le PDG de Pfizer avant de rendre la vaccination obligatoire au Vatican
Le Diable a un pied dans la porte et le Vatican ne fait rien — où l’on retrouve encore Bill Gates
Vatican et troisième « vaccin » selon le Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »]




Grand Jury – Session 2

[Sources : la-verite-vous-rendra-libres.org et @JeanneTraduction]

Aperçu

Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19e siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian Gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covid-19 n’est qu’une continuité, nous dit-il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendue de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées.
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.



Transcription

0:14 Reiner Fullmich :

Bonsoir ou bonjour, où que vous soyez. C’est le deuxième jour de l’enquête du grand jury. Il s’agit d’une procédure modèle qui va examiner de très près l’ensemble de la pandémie du Coronavirus, comment elle a commencé, les détails des tests PCR. Mais nous allons commencer aujourd’hui par un examen plus approfondi du contexte historique et géopolitique. Commençons donc par notre premier expert. Et c’est Matthew. Ce n’est pas vous. C’est Alex, Alex Thompson. Alex, s’il vous plaît, présentez-vous et ensuite nous allons passer directement in medias res [au cœur du sujet] comme le disent les latinistes. Votre micro est éteint.

1:10 Alex Thomson :

Merci beaucoup. Reiner. Je suis Alex Thomson. Pendant huit ans, j’ai fait partie de l’agence britannique de renseignement GCHQ, l’agence partenaire de la NSA. Ensuite, j’ai été un officier responsable pour l’ancienne Union Soviétique. Et un transcripteur en plusieurs langues, y compris le russe et l’allemand, de matériel intercepté. Dans la seconde moitié de cette période, j’ai également été membre de l’équipe interdisciplinaire du GCHQ pour les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires, la CBRN. En cette qualité, j’ai appris à connaître la façon dont les services de renseignement et l’establishment militaire anglo-américains considèrent leur état de domination en toute connaissance de cause, pour tout ce qui peut affecter la santé à grande échelle, et le potentiel de militarisation de ces agents. Mais vous m’avez demandé de faire un résumé d’environ 20 minutes de la situation géopolitique telle qu’elle se présentait dans le monde au cours de la période charnière qui a précédé l’après-Seconde Guerre mondiale, car la majeure partie des témoignages de ce soir et des sessions suivantes du grand jury se concentreront sur le monde d’après-1945. Et c’est à cette époque que de nombreux plans pour unifier les gouvernements mondiaux ont commencé à se mettre en place en théorie, dont les questions de santé qui vous préoccupent. Et je soutiens que la puissance dominante dans le monde, à savoir la City de Londres, le cœur financier de l’Empire britannique, s’est préparée à cette situation, à partir de 1870 environ. Dans le monde moderne, la monopolisation, la cartellisation du monde commence en théorie à cette époque. Tout ce que nous faisons, et par « nous », j’entends la chaîne UK Column news, car je suis également rejoint ce soir par Brian Gerrish, le co-rédacteur en chef, qui témoignera plus tard… Toutes nos enquêtes sur la corruption émanant des monopoles de la Couronne britannique et de l’argent de la City de Londres semblent remonter à cette période autour de 1870, au cours de laquelle, en résumé, plusieurs révolutions ont été menées par l’élite britannique, et toutes visaient à contenir la productivité et à empêcher la croissance de l’intelligence et de la propriété intellectuelle parmi les peuples autochtones de l’Empire britannique et des nations concurrentes. Il y a donc eu une révolution dans ce que vous pourriez appeler l’espace mental, qui depuis 2010, est un terme explicitement utilisé par le département central du gouvernement britannique, le Cabinet Office. Une révolution dans la qualité de l’éducation offerte aux écoliers britanniques et plus tard aux autres écoliers occidentaux, une révolution dans le vol de la propriété intellectuelle par l’élite. Une révolution dans le modèle des soins de santé et de leur libre accès, et chez nous, une révolution constitutionnelle, du modèle classique de démocratie libérale britannique, dont je sais qu’il a été explicitement copié sur la Grande-Bretagne par le continent européen et ses écoles de droit, à un modèle qui contrôle rigoureusement ce qui se passe au Parlement et dans les agences dirigées par les gouvernements utilisant le système des instructions de vote des partis. Tout cela s’est produit, comme je l’ai dit, autour de 1870 et, chez nous, en Grande-Bretagne, cela a été en grande partie achevé par l’année charnière entre 1947 et 1948, lorsque la Grande-Bretagne avait un service national de santé unique, autre que le Canada, qu’elle ouvrait la voie à l’unification militaire du continent européen et de l’ensemble de l’OTAN et que, de bien d’autres façons, y compris à travers la planification du droit et de la citoyenneté, elle menait le monde en réinventant la façon dont elle gérait sa population. Le nœud central ici est la ville de Londres, c’est-à-dire la City au cœur même de ce qu’on appelle aujourd’hui le Grand Londres. Ce point est important parce que la City de Londres et l’Église d’Angleterre sont les seules institutions qui ont survécu à toutes les révolutions constitutionnelles dans les îles britanniques, en gardant leurs privilèges et leur immense richesse intacts. La City de Londres se distingue des autres mégapoles mondiales en ce qu’elle a choisi de rester géographiquement petite alors que la zone urbaine qui l’entoure se développait. La City de Londres a toujours un statut juridique distinct des 32 autres arrondissements londoniens, et ne fait pas vraiment partie du Grand Londres en tant que tel, ses privilèges ayant été consacrés dès la Magna Carta de 1215. Son gouvernement autonome n’a jamais été remis en question. À plusieurs reprises au cours de son histoire, elle a exercé un pouvoir sur la couronne britannique et donc, sur une grande partie de la planète pendant l’Empire britannique, notamment pendant les guerres civiles du milieu du 17e siècle, lorsque la City de Londres est restée une puissance financière rivale de la couronne et a même, d’une certaine manière, aboli cette dernière pendant plus d’une décennie. Et après la restauration des couronnes et finalement la révolution anglaise. Six ans seulement après, avec l’arrivée du roi hollandais Guillaume III sur le trône de Grande-Bretagne, la Banque d’Angleterre a été créée en 1694 avec une injection de 12,5 millions de livres sterling de liquidités dans la couronne par ces actionnaires privés, dont on nous dit avec certitude qu’elles forment la base de toutes les dettes engendrées depuis lors jusqu’à ce jour, et les descendants actuels de ces actionnaires et autres personnes ayant droit à des parts de la Banque d’Angleterre sont tenus secrets. La City de Londres exerce également un pouvoir et un contrôle sur ce que l’on appelle la « mère des parlements », le parlement de Westminster, notamment sous la forme d’un fonctionnaire de la City de Londres, connu sous le nom de « remembrancer », qui siège à la Chambre des communes, où même le monarque n’est pas autorisé à entrer et qui enregistre les propos tenus au sujet des intérêts financiers. Il est trop compliqué de donner une définition de la Couronne selon le modèle britannique. Mais ce qui est important, c’est que le Cabinet Office et ministère qui a été créé au début du 20e siècle est le dépositaire effectif des prérogatives de la Couronne. Ainsi, lorsque des personnes extérieures au Royaume-Uni pensent à la Couronne, elles pensent souvent de manière excessive à l’ancienne situation où le monarque prêtait serment lors de son couronnement et était responsable devant le peuple. Dans la pratique, à partir de 1870 environ, la révolution constitutionnelle a fait en sorte que les financiers qui contrôlaient les partis politiques tirent en fait les leviers des prérogatives de la Couronne. Dans les coulisses, le modèle de gouvernement que la Grande-Bretagne possède encore et qu’elle a exporté dans le Commonwealth et dans le monde entier est celui d’un sanctuaire intérieur, le Conseil privé, qui gouverne en fait au nom de la Couronne, et ce n’est qu’en apparence, comme l’ont admis les principaux auteurs constitutionnels depuis les années 1870, c’est seulement pour le spectacle que le Parlement et les ministères sont consultés, comme s’il existait une séparation entre le pouvoir législatif exécutif et le pouvoir judiciaire au niveau du Conseil privé. Or, ce n’est pas le cas. Durant cette période cruciale dont nous parlons, l’éminent constitutionnaliste anglais Walter Bagehot, l’a admis au 17e siècle. Dans la deuxième édition de son livre, « La constitution anglaise », écrit en 1873, juste au moment où les instructions de vote des partis modernes ainsi que le think tank se mettaient en place pour établir la volonté du monopoleur dans la City de Londres, Walter Bagehot a écrit dans un paragraphe qu’il y avait une distinction entre, je cite, « les parties prestigieuses du gouvernement », c’est-à-dire les parties qui sont là pour le spectacle, et plus personnellement la Couronne et, je cite, « les parties efficaces dans le sens des parties fonctionnelles de la machine ». Et il admet que les parties attrayantes ont un but, mais servent seulement à attirer la force du soutien national vers les parties qui travaillent vraiment dans les coulisses. Maintenant, pour simplifier au maximum, je pense qu’il est important de souligner que l’universitaire en histoire de l’université de Georgetown, Carroll Quigley, ça s’épelle CARROLL Quigley, qui était le tuteur de Bill Clinton, entre autres, a écrit très franchement dans son livre, « Tragédie et Espoir », l’histoire du monde à cette époque, qu’il y a eu quatre révolutions industrielles. Oui, ce langage familier venant du Forum économique mondial a déjà été utilisé dans les années 1960 par Quigley et nous ne comprendrons pas cela à moins de voir que le point de vue adopté ici est celui de qui possède la population, d’abord en Grande-Bretagne et ensuite dans l’Empire britannique. Lors de la première révolution, la propriété de la terre et des moyens agricoles fournit la richesse, puis il y a une révolution industrielle mécanique, une deuxième révolution, puis une autre au cours de laquelle le capital financier domine le monde. Et c’est à partir de cette période, vers 1870, que la réserve d’argent de la City de Londres se rend compte que même cette bulle va éclater. Et que la meilleure façon de dominer le monde à l’avenir sera de posséder les esprits, la productivité et les pensées de ceux qui sont dans le modèle pour les empêcher de s’enfuir et de devenir un surproduit de leurs patrons. Ainsi, l’ère moderne de la capitalisation à la fois dans l’industrie et la géopolitique a commencé autour de l’année 1870. En l’espace de quelques années à peine, le monde est passé d’une situation dans laquelle la City de Londres et l’Empire britannique n’avaient aucune concurrence sérieuse à un monde dans lequel plusieurs économies industrialisées ont été capables de concurrencer la Grande-Bretagne. L’Empire britannique et son centre financier, la City de Londres, s’étaient massivement étendus en Asie au cours de la génération précédente, notamment avec les guerres afghanes et les guerres de l’opium dans les années 1840, les guerres de Crimée et la mutinerie indienne des années 1850. L’une des banques les plus puissantes de la City de Londres, la HSBC, date en fait de l’époque du commerce de l’opium chinois : la criminalité imprègne donc les banques de la City de Londres dès le départ. En Europe, l’ordre post-napoléonien imposé par la Grande-Bretagne lors du Congrès de Vienne en 1815 a commencé à s’effriter avec la réussite et l’échec des révolutions socialistes de 1848. La Russie et l’Autriche-Hongrie ainsi que les pays d’Europe de l’Est disposaient des armées terrestres les plus puissantes de l’époque, et ce sont eux qui ont sauvegardé l’Europe en restaurant les têtes couronnées. Par conséquent, l’obsession de la politique étrangère britannique depuis le milieu du 19e siècle — et c’est quelque chose que j’ai vu lorsque j’ai assisté aux réunions de Chatham House, le groupe de réflexion géopolitique suprême du monde à bien des égards, qui dit au Ministère des affaires étrangères ce qu’il doit faire — l’obsession de la politique étrangère britannique à partir du milieu du 19e siècle était une nouvelle stratégie, à savoir s’allier avec les grands rivaux du passé, la France et jusqu’à l’Empire ottoman, contre les alliés historiques de la Grande-Bretagne en Europe du Nord et en Europe centrale, afin d’empêcher toute future alliance russo-allemande qui pourrait devenir le bloc dominant du monde. Une seconde stratégie consistait à empêcher la montée fulgurante de la productivité intellectuelle américaine et la démocratisation de l’invention, et à essayer de capturer cela. Dès 1812, les troupes britanniques envahissant Washington DC ont notamment épargné l’office des brevets parce qu’elles savaient qu’en le brûlant, elles se tireraient une balle dans le pied et ne pourraient plus dominer les inventions américaines après la Révolution américaine. Vers 1860, sous l’impulsion de Bismarck, Garibaldi et du tsar Nicolas 1er, les trois plus grandes nations européennes, qui n’étaient auparavant grandes qu’en termes de culture, sont soudain devenues des États politiquement unifiés et économiquement modernes. Avec le débat de la grande et de la petite Allemagne, des signes sérieux indiquaient que l’Allemagne pourrait s’allier à l’Autriche pour former un seul État germanophone, et il était évident pour l’élite britannique qu’en l’espace d’une génération ou deux, ces trois pays, l’Allemagne, l’Italie et la Russie, deviendraient de grandes puissances, à peu près au même niveau que la Grande-Bretagne et la France. Les États-Unis sont sortis de la guerre civile en 1865 et ont entamé une ascension fulgurante vers la suprématie industrielle. L’élite britannique a correctement prévu que vers 1900, ces quatre nouvelles puissances commenceraient à avoir des forces navales aussi fortes que celles de la France ou de la Grande-Bretagne, et a prévu que les armées terrestres de ces puissances européennes seraient beaucoup plus fortes que celle de la Grande-Bretagne, de sorte que seule une alliance franco-britannique au nom des droits de l’homme et de la diffusion de la démocratie libérale, auparavant impensable, aurait pu tenir ces puissances en échec. En 1880, ce que l’on appelle la ruée vers l’Afrique battait son plein, ce qui a permis même à des nations européennes mineures sur le plan territorial, comme la Belgique et le Portugal, d’acquérir des ressources substantielles grâce à la colonisation de l’intérieur de l’Afrique, et de devenir de sérieux rivaux pour l’industrie et le commerce britanniques. Cela a mis la City de Londres dans un sérieux embarras, car, par exemple, le Portugal était le plus ancien allié de la Grande-Bretagne et la Belgique était un État qui devait son existence même à la négociation britannique de 1815. Des historiens ont avancé de sérieux arguments indiquant que la vague d’assassinats de l’ère édouardienne, notamment l’assassinat de la famille royale portugaise en 1908, et celui de l’archiduc François-Ferdinand en 1914, a été fomentée avec la connivence secrète de la City de Londres. Un pays asiatique est également devenu une grande puissance industrielle et militaire à la fin du 19e siècle, le Japon, et, à la grande surprise du monde entier, il a battu la Russie en 1905, donnant ainsi à de nombreuses populations coloniales d’Afrique et d’Asie l’idée qu’il n’y avait aucune raison pour qu’elles ne puissent pas elles aussi s’affirmer face à la domination européenne, comme l’avaient déjà fait les républiques d’Amérique latine contre l’Espagne. L’année suivante, 1906, fut celle de la course navale, de la crise du Dreadnought, qui a peut-être inévitablement déclenché le compte à rebours vers la Grande Guerre, la Première Guerre mondiale, car l’élite britannique et l’élite allemande étaient désormais déterminées à obtenir la weltherrschaft ou domination mondiale. Les deux pays se méfiaient à juste titre des motivations de l’autre. Ils étaient tous deux techniquement capables de dominer le monde, tant sur le plan industriel que dans l’espace mental, et disposaient tous deux pour la première fois de puissants blocs alliés. En résumé, le changement provoqué par la crise existentielle du milieu à la fin du 19e siècle a été le modèle commercial de la City de Londres tel que décrit par Quigley, les vagues successives de monopoles. Ce modèle en est venu à souligner l’importance de contrôler non plus seulement la force militaire ou les ressources matérielles, mais l’esprit des personnes désormais connues sous le nom de ressources humaines dans l’Empire britannique, et au-delà, et c’est pourquoi la science-fiction commence à parler de la propriété du patrimoine génétique de l’homme à partir de cette époque, afin que la City de Londres puisse vendre des biens et de plus en plus de services au reste du monde, qui ne pourrait jamais rattraper son retard dans l’espace mental. Le UK Column, les chercheurs et les commentateurs alliés constatent régulièrement que la City de Londres et les très riches institutions de pouvoir d’influence de la Grande-Bretagne, celles que Tony Blair, ce mois-ci encore, nous a dit que nous devions continuer à bien utiliser, mais en les dominant, comme le British Council, la BBC, les universités britanniques et l’Église d’Angleterre, que ces institutions continuent de considérer cette bataille pour l’esprit comme leur priorité absolue pour la domination du monde, et qu’elles considèrent la santé comme un sous-secteur de cette bataille. Nous sommes également pleinement convaincus, grâce à des découvertes répétées, que l’élite britannique se considère, à juste titre, comme la première puissance mondiale dans l’espace mental. En d’autres termes, la City de Londres fait faire aux autres nations le sale boulot pour elle. Et elle le fait surtout en réussissant le tour de force de faire en sorte que sa propre population, la Grande-Bretagne, le Commonwealth et les élites des autres nations adhèrent à sa perspective et à son récit, plutôt qu’à leurs propres perspectives et récits. C’est la vision que j’ai reçue lors de mon éducation d’élite britannique. Et c’est la vision que les agences de renseignement britanniques ont reçue pendant les deux guerres mondiales et la guerre froide. Ce n’est pas une stratégie officielle qui est enseignée dans les internats, les universités, les agences de renseignement ou lors de la formation des agents. Mais c’est en grande partie le credo des soi-disant lignées de familles d’élite qui dirigent la City de Londres. Et c’est le modus operandi des fondations anglo-américaines exonérées d’impôts, et des groupes de réflexion tels que Chatham House, une bulle qui a imposé les agendas de ces lignées aux gouvernements occidentaux. Une figure clé de l’année 1870 est celle de John Ruskin, apparemment inoffensif car il était le premier professeur d’art à Oxford. Mais il a apporté la doctrine selon laquelle l’élite britannique se devait d’exporter sa propre vision du monde au reste de la planète en termes très généraux. Et parmi les principaux étudiants qu’il influença, il y avait Cecil Rhodes, qui, bien sûr, est devenu fabuleusement riche en Afrique australe. Cecil Rhodes, et tout cela est documenté par de très nombreux historiens, a écrit des journaux secrets et formé des sociétés secrètes en 1891. Après 16 ans de planification, sa principale société secrète a été fondée. Les bourses Rhodes font partie de cette société. Les membres d’Oxford du réseau de Rhodes étaient des gens comme Lord Toynbee et Lord Milner, des géostratégistes bien connus. À Cambridge, il y avait le futur ministre des Affaires étrangères Lord Gray, et Lord Isha [orthographe incertaine]. À Londres, il y avait le journaliste de premier plan de l’époque, WT Stead, ainsi que des initiés et des membres du comité exécutif de Cecil Rhodes, parmi lesquels les hommes susmentionnés, plus Lord Rothschild. Après la mort de Rhodes en 1902, d’autres lignées anglaises de premier plan qui ont à plusieurs reprises entaché l’histoire de la City de Londres, comme les Astor, sont entrées dans ce cercle. Le cercle extérieur visant à réaliser la volonté de Cecil Rhodes — cette vision apparemment bénigne de la Grande-Bretagne forçant le monde à accepter sa démocratie libérale et à accepter cette façon de voir le monde — le cercle extérieur est devenu connu sous le nom de groupes de la Table ronde, qui sont toujours actifs aux États-Unis et dans sept autres pays et ont été mis en place à partir de 1909. Ce groupe considérait le succès de la Fédération canadienne de 1867 comme sa principale étude de cas, vous en entendrez parler plus tard par Matthew Ehret. Le Canada a été effectivement unifié politiquement et plus tard les autres colonies blanchies, les territoires blancs. Afin d’éviter la propagation de points de vue différents et de démocraties anglophones différentes dans le monde, ils devaient tous être rattachés au contrôle de la City de Londres. Ceci est également très contemporain, car parmi les nombreux boursiers de Rhodes qui dominent la politique mondiale et poussent le monde vers la globalisation, on trouve Bill Clinton, déjà mentionné, et au Forum Économique Mondial, la Professeur néo-zélandaise Ngaire Woods, qui s’est fait connaître cette année pour avoir déclaré au FEM que l’élite pouvait faire de grandes choses si elle s’unissait et si les gens du monde acceptaient simplement qu’elle était à leur tête. Rhodes a écrit dans l’un de ses journaux secrets, je cite, « pourquoi ne devrions-nous pas former de société secrète, avec un objectif », c’est-à-dire avec un seul objectif, « la promotion de l’Empire britannique, et la mise sous tutelle britannique de l’ensemble du monde non civilisé pour le rétablissement », à savoir le rétablissement de la Grande-Bretagne, « des États-Unis, et pour faire de la race anglo-saxonne un seul et unique empire ».

20:42

Il a également écrit : « Formons le même genre de société, une église pour l’extension de l’Empire britannique ». On parle ici d’espace mental. Rhodes continue « une société qui devrait disposer de ses membres dans chaque partie de l’Empire britannique, œuvrant pour un objectif et une idée. Nous devrions placer ses membres dans nos universités et nos écoles, et nous devrions regarder la jeunesse anglaise passer entre leurs mains. Un seul peut-être sur 1000 aurait l’esprit et les sentiments adaptés à un tel objectif ». C’est à cela que servent les bourses Rhodes. « Il devrait être jugé de toutes les manières, il devrait être testé, pour voir s’il est endurant, doté d’éloquence, indifférent aux détails insignifiants de la vie, et s’il s’avère qu’il est ainsi », en d’autres termes, c’est un test psychologique, « alors il devrait être élu et prêter serment, ou jurer de garder le secret, pour servir durant le reste de sa vie son pays. Il devrait ensuite être soutenu, s’il n’en a pas les moyens, par la société et envoyé dans la partie de l’empire qui juge sa présence utile ». Et dans cette vision, bien sûr, les États-Unis font partie de l’empire. Dans un autre de ses testaments, Rhodes décrit plus en détail son intention, je cite : « pour l’établissement, la promotion et le développement d’une société secrète. Le véritable but et objet de cette société sera l’extension de la domination britannique à travers le monde. La colonisation par des sujets britanniques de toutes les terres où les moyens de subsistance sont accessibles par l’énergie, le travail et l’entreprise, et en particulier l’occupation par les colons britanniques de tout le continent africain, de la Terre Sainte, de la vallée de l’Euphrate », à savoir l’Irak moderne, « des îles de Chypre, et de l’île de Candie », à savoir la Crète, « de l’ensemble de – Pas sûr de l’ortographe du nom – l’Amérique du Sud, des îles du Pacifique n’étant pas jusqu’ici détenues par la Grande-Bretagne, de l’ensemble de l’archipel malais, de ceux longeant la Chine et le Japon », à savoir au large de la Chine et du Japon, « et le rétablissement final des États-Unis d’Amérique comme partie intégrante de l’Empire britannique ». Cette vision n’est pas l’apanage d’un Anglais particulièrement riche, mais elle s’est imposée aux États-Unis, dans ce qu’on appelle l’establishment de l’Est, la côte orientale, au moment où les États-Unis devenaient la puissance dominante du monde. Le témoignage clé à ce sujet est celui de Norman Dodd, DODD, donné peu avant sa mort en 1982 à G. Edward Griffin, que l’on trouve facilement en ligne en tapant Norman Dodd et fondations exonérées d’impôts. Dodd était le principal collaborateur de Reese, le membre du Congrès de l’est du Tennessee ou EECE, qui, dans les années 1950, a mené une enquête au nom du Congrès sur l’effet de ces fondations exonérées d’impôts aux États-Unis, lesquelles ont adopté la vision de la City de Londres et de Cecil Rhodes afin de dominer la richesse.

23:30

Maintenant, je vais lire ce que Dodd a dit dans cette interview. Il indique avoir embauché une avocate sceptique à Washington. C’était dans les années 1950 et il l’a envoyée à la bibliothèque de la Fondation Carnegie, l’une des principales fondations exonérées d’impôts, à laquelle elle a eu accès avec une ceinture de dictaphone, la technologie de l’époque pour enregistrer efficacement ce qu’elle lisait, afin de scanner la bibliothèque et de voir ce qui se disait à partir des années 1906 dont j’ai parlé plus tôt, et cette femme initialement sceptique je cite, indifférente aux objectifs du comité des risques, a découvert cela, ce qui l’a horrifiée. Elle a dicté dans sa ceinture, selon Dodd, « nous sommes maintenant en 1908, l’année où la Fondation Carnegie a commencé ses opérations. Et cette année-là », lit-elle tandis qu’elle se trouve dans la bibliothèque de la Fondation Carnegie, « la réunion des fiduciaires a pour la première fois soulevé une question précise dont ils ont discuté pendant tout le reste de l’année d’une manière très savante. Et la question est la suivante : existe-t-il un moyen connu, plus efficace que la guerre, en supposant que vous souhaitiez modifier la vie d’un peuple entier ? », et ils concluent que non, « aucun moyen plus efficace que la guerre, à cette fin, n’est connu de l’humanité ». La Fondation Carnegie a soulevé la deuxième question et en a discuté, à savoir, « comment impliquer les États-Unis dans une guerre » ? Je pourrais continuer sur cette lancée mais je n’ai pas le temps. Mais je pense que cela suffit en soi à donner les grandes lignes aux gens. Il ne suffit pas d’être de loin la plus grande puissance militaire et économique au monde, comme l’ont été les États-Unis avant et après la Première Guerre mondiale si votre espace mental est toujours contrôlé par l’idée selon laquelle le modèle démocratique libéral anglo -saxon est la seule possibilité. S’il est toujours contrôlé par l’hypothèse non vérifiée que tout le monde au sommet de ce modèle est payé pour la liberté, alors vous allez toujours trouver qu’un club d’intérêt personnel va diriger le monde. Et même dans des domaines tels que les soins de santé, que la Grande-Bretagne a été le premier pays au monde à nationaliser en 1948, vous allez découvrir que les gens supposent à tort et aveuglément que leurs meilleurs intérêts sont gardés à cœur. Dans deux minutes peut-être, j’aborderai l’autre point que je souhaite soulever, à savoir le financement des deux axes lors des deux guerres mondiales par la City de Londres et ses ramifications à Manhattan, Wall Street. Maintenant, ce n’est pas, encore une fois, une revendication sortie de nulle part. Des universitaires sérieux comme Anthony Sutton, qui travaillait à l’Institut Hoover de l’Université de Stanford en Californie, ont écrit des livres entiers à ce sujet, intitulés « Wall Street et la révolution bolchévique », et « Wall Street et l’ascension d’Hitler ». Tout cela est bien connu de ceux qui prennent la peine de s’informer à ce sujet. Il y avait toute une série de documents, qui ont été récupérés par Anthony Sutton : cela lui a coûté sa titularisation à Stanford. Il a mis tout ça dans ses livres. Et ce qu’il a découvert, c’est que, pour résumer, l’Union soviétique et le Troisième Reich ont été créés dans l’intérêt de la City de Londres et plus particulièrement de sa ramification à Wall Street. Et donc, si vous pouvez faire apparaître brièvement la première diapositive, que je vous ai demandé de mettre à l’écran, vous verrez un résultat de cela, à savoir qu’IBM avait une filiale monopolistique en Allemagne, dénommée Hollerith. Hollerit était le nom du propriétaire allemand. Pouvez-vous confirmer que cela est à l’écran en ce moment ? On va attendre un peu. Merci. Oui. Vous pouvez donc voir ici que Hollerith, le propriétaire allemand nominal de cette filiale d’IBM, propose au Troisième Reich Übersicht, ou une surveillance, en utilisant des cartes perforées, une technologie américaine concédée au Troisième Reich. En bas, vous pouvez lire Übersicht mit Hollerith Lochkarten, la connaissance totale de l’information par le biais des cartes perforées Hollerith. Et le nom de la société en bas est Deutsche Hollerith Maschinen Gesellschaft MBH, qui était à Berlin Lichterfelde.

28:01

La deuxième diapositive, que j’ai là, n’est qu’un exemple de l’étendue globale des services de renseignements britanniques dans des domaines que la constitution ne permet pas d’avoir. Vous pouvez voir ici un symbole d’arbre de Noël, indiquant que le MI5, même avant la Seconde Guerre mondiale, contrôlait qui accédait aux ondes de la BBC, qui était promu et qui était transféré. Tout cela se faisait donc sous le contrôle du MI5, les renseignements britanniques, qui sont théoriquement là pour la nation, mais qui ont en réalité été mis en place par les lignées dont je parle pour servir leurs objectifs privés. C’est en tout cas ainsi qu’ils considèrent la gestion du renseignement britannique. La troisième de mes quatre diapositives montre comment cela émerge en 2010, lorsque le Cabinet Office britannique, en collaboration avec un groupe de réflexion, l’Institute for Government, parle ouvertement de contrôler la pensée du monde et la pensée du peuple britannique. Ils étiquettent les parties du cerveau sous l’étiquette d’espace mental. Et sur la droite, je peux voir que vous avez mis le texte clé des pages 66 et 67 de ce document de 2010. Il est dit « même si les gens sont d’accord avec l’objectif comportemental » — c’est-à-dire en faisant pression pour que les gens se comportent comme le souhaitent les lignées plutôt que de mandater leurs gouvernements pour agir en leur nom — « même si les gens sont d’accord avec l’objectif comportemental, ils peuvent s’opposer aux moyens servant à l’atteindre. Les différents effets de l’espace mental entraîneront différents niveaux de controverse. Il existe plusieurs facteurs qui déterminent la controverse ». En d’autres termes, ils prévoient qu’on leur dira qu’il s’agit d’un renversement des objectifs du gouvernement, y compris dans le domaine des soins de santé, bien sûr. Ils poursuivent « Comme indiqué, les effets de l’espace mental dépendent au moins en partie du système automatique. Cela signifie que les citoyens peuvent ne pas réaliser pleinement que leur comportement est modifié, ou du moins de quelle manière il l’est. Il est clair que cela expose le gouvernement à des accusations de manipulation. Les gens ont tendance à penser que les tentatives visant à modifier leur comportement seront efficaces si on leur fournit simplement des informations de manière transparente. Cette aversion a un fondement psychologique, mais c’est essentiellement une question de confiance dans le gouvernement. L’absence de contrôle conscient a également des répercussions sur le consentement et la liberté de choix. Tout d’abord, il crée un besoin plus important pour les citoyens d’approuver l’utilisation du changement de comportement, peut-être en utilisant de nouvelles formes d’engagement démocratique ». On voit que dans ce modèle, la démocratie est le bien le plus élevé qui soit vendu, mais les leviers de manipulation de la démocratie sont entre les mains du cartel. « Deuxièmement, si l’effet fonctionne automatiquement, il offre peu de possibilités aux citoyens de se retirer ou de faire d’autres choix ; le concept d’architecture de choix est moins utile ici. Toute action susceptible de réduire le droit à l’erreur », le droit de refuser un traitement, par exemple, « sera très controversée. Bien sûr, certaines tentatives traditionnelles de changement de comportement ne sont pas explicites et elles ont suscité la controverse. Mais elles sont rarement accusées de manipulation, parce qu’elles sont fondées sur des actions conscientes visant à fournir et à enregistrer des informations, plutôt que sur des réactions inconscientes ». Je pense que cela établit assez bien le principe selon lequel nous sommes formés dans ce monde moderne dominé par la City de Londres et ses institutions dotées d’un pouvoir d’influence à penser que nous avons notre destin en main, parce que la démocratie libérale est souvent présentée comme étant le bon modèle face auquel tous les autres systèmes sont plus tyranniques et moins souhaitables. Mais toute la force du modèle de la City de Londres est qu’il peut même opérer à distance à travers d’autres pays comme les États-Unis et l’Allemagne, comme cela a été démontré ici, pour persuader les gens que ce qu’ils voulaient avant n’est pas vraiment ce qu’ils veulent maintenant. Et c’est le remplissage de l’espace mental, qui est, je pense, l’arme la plus puissante. C’est ce qui est disponible ici. Maintenant, je vois que j’ai dépassé le temps imparti. Je vais donc laisser le reste des détails, je n’aurais jamais pu espérer être exhaustif. Mais j’espère avoir donné aux gens un petit aperçu de la longue série de recherches historiques solides menées par des personnes connaissant bien l’establishment britannique afin d’établir que l’establishment britannique ne s’est pas battu loyalement depuis environ 1870. Et que la plupart des révolutions qu’il souhaitait provoquer, le contrôle de la démocratie par les instructions de vote des partis, le contrôle des soins de santé par les États obligatoires, les soins de santé fournis dans le modèle britannique et canadien, étaient tous en place dans la période d’après-guerre, qui est la période que Matthew Ehret va traiter d’après ce que j’ai compris pour nous amener dans l’ère d’après-1945.

32:56 Reiner Fuellmich :

Merci beaucoup, Alex, c’est une parfaite vue d’ensemble qui explique comment nous en sommes arrivés là. Si vous le permettez, j’aimerais juste poser quelques questions. Bien sûr, mes confrères feront de même. Mais est-il exact que la City de Londres est le véritable centre névralgique du Royaume-Uni ?

33:22 Alex Thomson :

Sans l’ombre d’un doute. Si vous avez eu mon parcours, c’est quelque chose que vous apprenez à l’internat, sans parler de l’université, dans le cadre du rugby et de Cambridge pour moi, et au moment où vous entrez dans la fonction publique, on vous regarde bizarrement si vous suggérez que le peuple de Grande-Bretagne ou de tout autre pays du Commonwealth est doté d’autodétermination. Non, il est entendu que la City de Londres possède le corps, l’âme et l’esprit du peuple.

33:49 Reiner Fuellmich :

En fin de compte, cela semble avoir commencé assez tôt. Je ne sais plus si ça a commencé en 1870 ou au début des années 1900, mais c’est le contrôle de l’esprit des gens que la City de Londres a voulu atteindre pour réaliser son objectif de domination mondiale, est-ce exact ?

34:13 Alex Thomson :

Oui, et ce n’est plus un problème spécifiquement anglo- saxon. Cela concerne aussi des pays du continent européen, l’Allemagne est l’un d’entre eux depuis 1949, la république fédérale bien sûr, la Belgique en est un autre qui, comme je l’ai dit dans ma présentation, a été créé par l’insistance britannique en 1815. Je traduis à un très haut niveau des communications gouvernementales issues des soi-disant agences nationales de santé de ces pays et destinées à leurs citoyens. Je les traduis en anglais pour les expatriés de ces pays, et les gouvernements belge et allemand, pour ne citer que ces deux exemples, suivent explicitement le point de vue de la City de Londres. Ils écrivent à la population en termes de gestion de la santé, en leur disant que leur mode de vie n’est pas assez bon ; leur corps, leur esprit, leur génétique, leur intelligence n’ont pas été optimisés. Et donc, ce bétail, cette population, n’est pas compétitive comme elle devrait l’être dans le monde. Il s’agit donc d’une extension du modèle de la City de Londres au continent européen, où il a su, à bien des égards, s’adapter aussi bien aux juridictions de droit civil codifié, très respectueuses de l’état de droit, qu’aux juridictions de common law.

35:22 Reiner Fuellmich :

Donc, en fin de compte, ce que nous voyons, c’est une institution très puissante financièrement, la City de Londres, qui s’étend sur l’Atlantique comme une cinquième colonne, comme certains le prétendent, car ils ont Wall Street. Ces deux puissances unies étaient ou sont encore le centre du pouvoir dans ce monde ?

35:52 Alex Thomson :

Oui, il y a eu de nombreux rebondissements, surtout au milieu du 20ème siècle, mais ce que vous avez dit est un résumé utile de l’ensemble du 20ème siècle, au cours duquel il y a eu des luttes. Pendant longtemps, il y a eu une guerre froide tout à fait exceptionnelle, avec des branches de l’aristocratie de la City de Londres qui étaient à la fois pro et anti Union soviétique. Je pourrais parler de cela pendant des heures, mais c’est secondaire par rapport au fait qu’il ne doit y avoir qu’un bloc allemand et qu’un bloc russe en Eurasie, et que ces deux blocs doivent être contrôlés et entravés par la puissance maritime britannique ou anglo-américaine et le pouvoir d’influence anglo-américain, qui établissent les modèles pour eux.

36:33 Reiner Fuellmich :

Je voulais clarifier une autre chose : vous avez mentionné que ce sont juste quelques familles qui dirigent vraiment la City de Londres. Vous avez donné les noms de Rothschild, Rhodes et Astor. Est-il vrai que seules quelques familles essaient de dominer le monde à travers la City de Londres ?

36:57 Alex Thomson :

Oui, je n’ai jamais trouvé meilleur matériel que celui d’un duo d’écrivains, qui est néerlandais et germano-américain. Le Hollandais s’appelle Robin de Ruiter, RUITER. Le co-auteur, le germano -américain de Caroline du Sud, s’appelle Fritz Springmeier. Leur livre porte le titre plutôt choquant de « Les lignées Illuminati », mais leur travail est solide. Et ils montrent systématiquement que la City de Londres, Manhattan et le continent européen sont très largement dominés par un petit nombre de familles. Souvent, on nous parle de 13 familles super puissantes. Mais il y a des niveaux au-dessous. Les Français, par exemple, parlent souvent des 200 familles qui dirigent l’État profond, mais les plus anciennes terrorisent les plus jeunes dans ce modèle, et le niveau le plus élevé que l’on puisse atteindre avant de sombrer dans des affirmations nébuleuses selon lesquelles Satan dirigerait le monde — ce que je crois en fin de compte — le niveau le plus élevé que l’on puisse atteindre est un niveau auquel les lignées germaniques d’Europe centrale font difficilement la trêve avec les lignées des îles britanniques, dont la plupart sont maintenant basées aux États-Unis. C’est le modèle le plus important et toutes les frustrations géopolitiques du 20e siècle sont en fin de compte liées à l’un ou l’autre de ces camps qui tentent de prendre l’ascendant : devons-nous suivre la City ou la renverser ? Et cela a à voir avec la frustration des superpuissances émergentes, notamment les Russes qui essaient de jouer à armes égales avec ce cartel de lignées, et qui échouent.

38:27 Reiner Fuellmich :

Et l’un des principaux moyens par lesquels ces quelques familles tentent de dominer le reste du monde semble être à travers l’espace mental, ce qui ressemble un peu au contrôle mental : est-ce que cela implique des opérations psychologiques ?

38:48 Alex Thomson :

Tout à fait. Aucune nation n’est entrée dans le jeu des opérations psychologiques avant la Grande-Bretagne. Dès qu’il y a eu des agences de renseignement officielles en Grande-Bretagne, à l’époque édouardienne, juste avant la Première Guerre mondiale, cela est devenu un point clé. Mais ils ont emprunté beaucoup de leurs idées à Vienne et à l’Allemagne, qui étaient à l’avant-garde dans le domaine de la psychologie à l’époque. Il s’agit donc d’un intérêt transnational des zones anglophones et germaniques pour dominer le monde de l’époque en utilisant les astuces de l’espace mental, qui ont été largement perfectionnées lorsque l’Amérique a acquis une hégémonie incontestée après 1945. Comme dans tant d’autres domaines, tels que l’opération Paperclip pour les domaines techniques, on a utilisé beaucoup d’esprits du Troisième Reich et de l’Union soviétique transférés aux États-Unis de manière clandestine. Cela a été considéré, depuis l’époque d’Edward Bernays et de Freud, comme le moyen le plus puissant de contrôler l’action dans le monde réel. Parce que si vous ne pouvez pas percevoir qu’il existe une autre façon de faire les choses que celle que l’on vous dit être la bonne, alors c’est évidemment le pouvoir suprême que vous pouvez avoir. Si vous avez ce pouvoir, vous contrôlez des gens qui sont plus nombreux, plus intelligents et plus forts que vous.

40:01 Reiner Fuellmich :

Ai-je bien entendu : vous avez utilisé le terme « bétail » ? Est-ce vraiment la vision que ces gens ont du reste du monde ?

40:10 Alex Thomson :

Dans les années 1990, lorsque j’étais dans un pensionnat britannique supérieur, ce terme était utilisé ouvertement par les petits-fils de personnes haut-placées à la City de Londres pour décrire la population britannique qui passait sous leurs propres fenêtres et se rendait en cours ou au travail en ville. Les termes qui étaient utilisés à leur sujet tournaient autour de l’idée qu’ils étaient du bétail, et ne méritaient pas une place dans le monde autre que sous la direction de l’élite britannique.

40:44 Reiner Fuellmich :

Merci beaucoup, Alex. Je ne veux pas empêcher mes confrères de poser des questions.

Alors s’il vous plaît, à votre tour.

40:56 Dexter L-J Ryneveldt :

Bonjour, M. Thomson, merci beaucoup pour votre témoignage. Vous m’entendez bien ?

Alex Thomson :

Très bien, merci.

Dexter L-J Ryneveldt :

Excellent. M. Thomson, je voudrais savoir, et vous avez en fait abordé le continent africain et plus précisément, vous avez mentionné Cecil John Roberts, j’aimerais que vous me disiez quel rôle joue actuellement la City de Londres sur le continent africain ? Pouvez-vous, s’il vous plaît, développer ce point ?

41:28 Alex Thomson :

Le rôle qu’elle joue est très sombre et complexe, et on le voit surtout lorsque des coups d’État et des révolutions se produisent dans les anciennes colonies britanniques. Bien sûr, il y a tout un groupe de pays anciennement colorés en rose sur la carte, allant du Caire jusqu’au Cap, où la Grande-Bretagne a presque installé un chemin de fer et une unique colonie. Et c’est dans ces pays qu’on le voit le plus clairement. Le fils de Mme Thatcher a été impliqué dans une tentative de coup d’État ratée dans un pays africain non anglophone, la Guinée équatoriale. Ce n’est qu’un exemple de tentative ratée, et les sponsors de la City de Londres ont laissé Margaret Thatcher nettoyer ça toute seule pour ainsi dire, lorsque cela a échoué. Je pense que ce que nous voyons plus particulièrement dans l’ancienne Rhodésie, maintenant la Zambie et le Zimbabwe, c’est qu’il y a eu un nœud où la City de Londres a engagé des personnes financièrement corrompues et puissantes et les contingents locaux des SAS de l’ère du pouvoir blanc, qui ont fait une grande partie du sale boulot, y compris à Londres dans la période d’après-guerre. Cela s’est fait sur la base de la possession, sur papier, de riches actifs miniers en Afrique australe. Voilà ce que je peux en dire en gros. Il y a même des morts suspectes jusqu’à la Chambre des tribunaux de Lancaster en 1979, ouvrant la voie au ZANU-PF pour prendre le relais du gouvernement Smith en Rhodésie, devenu par la suite le Zimbabwe, avec des avocats tombant, soi-disant, morts par la fenêtre. C’est un tableau extrêmement sombre. Et plus vous regardez certaines des entreprises impliquées, Kroll Security en est une qui me vient à l’esprit, plus vous voyez qu’il y a un lien entre le MI6, les SAS et la City de Londres. Et cela concerne l’Afrique du Sud, en particulier, comme principal atout.

43:17 Dexter L-J Ryneveldt :

Merci beaucoup. Êtes-vous donc d’accord avec moi, M. Thomson, pour dire qu’en ce qui concerne la domination financière, on voit que la dette est au cœur du COVID-19 ? Donc êtes-vous d’accord pour dire que la domination financière est au cœur de la pandémie de COVID-19 ?

43:36 Alex Thomson :

Oui, je le suis. Et je le nuancerais très légèrement en vous rappelant que, dans le résumé de Carroll Quigley sur la vision du monde de l’establishment de l’élite anglo-américaine, il souligne que la propriété des actifs financiers est déjà dépassée dans les années 1960. Et il sait que les grands esprits, pas nécessairement les bons, un siècle avant lui, l’avaient déjà vu venir. Ils considéraient que la vraie richesse était l’esprit humain, la santé humaine et la capacité de modifier et de transformer l’être humain en un nouveau modèle qui se comporterait comme prévu. C’est la grande richesse du monde. Mais avec cette réserve, si nous appelons ça la richesse, et par extension, nous pouvons l’appeler la richesse financière, alors oui, c’est le prix le plus élevé qui soit. Le problème de la City de Londres, c’est que si vous êtes quelque peu doué intellectuellement, et que vous venez d’un milieu britannique privilégié d’Oxford et de Cambridge, vous n’avez véritablement le choix qu’entre gagner de l’argent dans la City de Londres, ou vous engager dans une branche du service national, comme les services secrets ou l’armée. Et la différence que j’ai constatée à maintes reprises entre moi et ceux qui ont suivi l’autre voie dans ma cohorte était le principe qu’aucun des deux groupes ne doutait du fait que le véritable pouvoir dans le monde était de posséder le capital. Il s’agit juste de savoir si vous souhaitez être un agent du renseignement qui informe la City de Londres, ou si vous souhaitez faire partie du processus qui génère de l’argent. Il n’y a pas d’idéal plus élevé que cela dans le modèle américain.

45:08 Reiner Fuellmich :

D’accord, merci beaucoup. Je n’ai pas d’autres questions. Merci. Des questions de la part d’Ana ou de Virginie ? Ou Dipali ?

45:22 Ana Garner :

Oh, non, je pense que c’était vraiment excellent. La seule question que je voudrais poser est la suivante : comment expliquez-vous cela ? Vous avez mentionné plusieurs choses comme le copywriting, le copywriting de l’esprit humain, peut-être même de la génétique. Pensez-vous qu’il y ait un lien entre les vaccins actuels, les soi-disant vaccins de Pfizer, Moderna, Janssen et AstraZeneca : pensez-vous qu’il y ait une relation entre eux et cet objectif de copywriter les humains ?

45:53 Alex Thomson :

Je crois fermement que je ne suis pas qualifié d’un point de vue médical ou biotechnologique pour expliquer la part de vérité qu’il peut y avoir dans tout cela. Mais j’ai vu à maintes reprises que lorsqu’il y a de la hauteur, et lorsqu’il y a une croyance pseudo théologique parmi l’élite en Grande-Bretagne et en Amérique, on peut atteindre un certain objectif en faisant un certain tour, par exemple en modifiant un gène et en apposant un copyright sur le corps humain, c’est une motivation suffisante en soi pour alimenter une sérieuse tentative d’aller dans ce sens. Et je sais que lorsque Debi Evans interviendra dans le créneau de Brian Gerrish, plus tard dans la soirée, elle parlera de l’idée que l’édition génétique permettra de facto de copier sournoisement le nombre d’âmes et de corps de l’humanité qui sont concernés, de sorte qu’ils ne seront plus sous la protection du Créateur.

Ana Garner :

Merci. Merci.

46:48 Reiner Fullmich :

Ok, cela conclut le témoignage d’Alex Thomson. Nous allons maintenant écouter Matthew Ehret.

47:00 Matthew Ehret :

Merci, je dois dire que cette présentation a dépassé mes attentes. Et je pense qu’elle donne très bien le ton pour que je puisse reprendre le flambeau. Je voudrais juste revenir sur un seul point, qui est que peu importe ce que l’oligarchie peut souhaiter, légalement ou officiellement, la revendication de posséder l’âme ou le corps et la liberté des gens n’a aucun rapport avec la réalité. Il y a une loi naturelle qui est supérieure à la loi qu’ils souhaitent imposer à l’univers. Et c’est une partie du problème avec les penseurs de la tour d’ivoire. Ils veulent toujours que l’univers obéisse à leurs modèles mathématiques. Et ils piquent des crises de rage lorsqu’ils découvrent que l’univers est beaucoup plus créatif et bien moins linéaire qu’ils ne le souhaitent. Il s’agit donc d’une sorte de complexe de Dieu, qui signe finalement la chute des empires dans l’histoire, à chaque fois que vous voyez l’oligarchie s’auto-cannibaliser et s’effondrer sous ses propres contradictions. C’est quelque chose de naturel, ça doit se produire ainsi. La question est de savoir si nous sommes prêts à tolérer ce niveau de folie et d’immoralité, au point de sombrer avec ? Et c’est le même défi pour chaque génération. Ce n’est pas nouveau. Et à l’évidence, nous sommes au bout du système.

Je vais faire quelque chose d’un peu différent. Au départ, j’avais l’intention de parler davantage d’eugénisme. Mais à présent, je comprends que le 26 février, nous allons nous concentrer beaucoup plus sur l’eugénisme. Je ne le ferai donc pas. Je poursuivrai le thème qu’Alex a soulevé, mais je le ferai en traitant d’abord de la situation actuelle pendant environ huit minutes juste pour faire comprendre ce qu’est la mainmise britannique dans les affaires mondiales actuelles. Entrons dans les détails, à l’aide d’une petite vidéo d’une minute de Justin Trudeau, ici au Canada, où on voit cette ombre, une ombre qui a été imposée au peuple pour mener une politique qui ne vient pas vraiment de lui. Je pense que tout le monde reconnaît qu’il n’est pas vraiment aux manettes. C’est un peu une jeune version de Biden. Toute sa vie a été en quelque sorte manipulée. Mais la question qui se pose est la suivante : si ce type ressemble trop à une poupée Ken, sans cerveau ni âme pour prendre des décisions, quel est alors le pouvoir derrière le pseudo trône ? Je vais donc commencer par une vidéo. Ensuite, je reviendrai en arrière au 19ème siècle, en me focalisant un peu plus sur le Canada. Juste parce que c’est quelque chose d’actuel vu ce qui se passe en ce moment à Ottawa. Et nous continuerons ensuite jusqu’aux batailles de l’après -guerre pour voir comment cette chose s’est métamorphosée et recalibrée après la Seconde Guerre mondiale. Donc, nous allons faire cela de façon sommaire. Je vais essayer de ne pas trop simplifier, mais évidemment, c’est une question complexe, et je vais essayer de restituer ce qui doit être compris en étant rigoureux. La première chose, c’est la vidéo que j’ai promise, que je vais lancer maintenant. Elle dure environ une minute et demie. Est-ce que ça va le son ? J’espère que vous entendez. Ce n’est pas la vidéo. Je suis vraiment désolé. Je réessaie. Ok. Vous arrivez à voir « Canadian Press » ?

Reiner Fullmich :

Je la vois.

50:21 Matthew Ehret :

« Moi, Justin PJ. Trudeau, jure d’être fidèle et de porter une véritable allégeance à Sa Majesté la reine Elizabeth II, reine du Canada, à ses héritiers et successeurs, avec l’aide de Dieu. Moi, Justin PJ. Trudeau, jure solennellement et sincèrement d’être un serviteur fidèle et loyal de Sa Majesté la reine Elizabeth II, en tant que membre du Conseil privé de Sa Majesté pour le Canada. Je déclarerai fidèlement, honnêtement et véritablement ma pensée et mon opinion sur toutes les questions à traiter, à débattre et à résoudre au Conseil privé. Je garderai secrètes toutes les affaires qui me seront confiées et révélées en cette qualité, ou qui seront traitées secrètement en conseil. D’une manière générale, je ferai en toutes choses ce qu’un fidèle et véritable serviteur doit faire pour Sa Majesté, avec l’aide de Dieu. Moi, Justin P. J. Trudeau, je promets et jure solennellement et sincèrement que j’exercerai véritablement et fidèlement, au mieux de mes compétences et de mes connaissances, les pouvoirs et la confiance qui me sont conférés en tant que Premier ministre, avec l’aide de Dieu. »

C’est assez déroutant pour les personnes qui ont vu cela en 2017. Ce n’est pas le genre de chose que l’on attendrait d’un chef d’État prétendument démocrate lorsqu’il prononce son serment après une élection. Mais là encore, Trudeau n’est pas vraiment le chef de l’État, comme nous avons pu le constater. Il est à la fois membre du Conseil privé, ce qui est indispensable pour occuper un poste ministériel, au gouvernement ou dans l’opposition. Et le véritable chef d’État est le gouverneur général, cet homme plus âgé qui se tient à côté de lui et qui est la personne nommée pour exécuter les pouvoirs et l’autorité de la Couronne afin de donner la sanction royale à tout texte de loi qui devient loi au Canada.

Vous avez des lieutenants-gouverneurs, positionnés dans chaque province. Vous avez un bureau du Conseil privé. Vous avez toute cette structure byzantine étrange au-dessus de l’aspect public apparent de notre prétendue démocratie dans cette monarchie du Nord, qui est, encore une fois, très déroutante pour beaucoup de gens.

Nous allons approfondir un peu plus ce dont il s’agit. Quelle est cette anomalie et de quoi fait-elle partie au niveau international ? Comment a-t-elle vu le jour ?

J’ai donc préparé une série de diapositives. Il faut simplement retenir que le Canada fait, après tout, partie du Commonwealth, le Commonwealth britannique. C’est quelque chose qui a été créé à la fin des années 1930 afin de préparer, pour ainsi dire, la transformation de l’image extérieure de l’Empire britannique.

Aujourd’hui, il y a environ 54 pays dans le Commonwealth britannique, dont le centre est le Royaume-Uni. La reine d’Angleterre en est le chef. Cette entité occupe un territoire d’environ 12,2 millions de miles carrés, 2,4 milliards de personnes sont représentées sur ce territoire, soit 21 % de la superficie mondiale.

Et les gens célèbrent cette chose comme si c’était une institution démocratique. Et c’est quelque peu étrange. Quelle est cette chose ? En outre, si vous regardez beaucoup de ces territoires, une grande partie se trouve dans les Caraïbes, les zones d’Amérique latine ne sont pas vraiment concernées, mais une grande partie des Caraïbes l’est. Une grande partie de l’Afrique : il y a 19 nations africaines d’Afrique sub-saharienne. Il y a huit nations asiatiques, l’Inde étant la plus importante. Le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, évidemment, les Five Eyes moins les États-Unis.

Mais comparons cela à l’ancien Empire britannique. C’est une capture d’écran de la carte de 1920. C’est assez similaire, n’est-ce pas ?

Et les gens pensent : « L’empire britannique a tout bonnement disparu après la seconde guerre mondiale. Il a laissé ses territoires libres. Et maintenant l’Empire est le grand méchant empire américain. » C’est la mythologie qui nous a été transmise. Et c’est une mythologie. Comme Alex l’a expliqué, de manière très concise, le véritable pouvoir qui contrôle la cinquième colonne à l’intérieur des États-Unis, qui a toujours été là depuis 1776, a toujours été centralisé à Londres. Nous allons développer un peu plus ce point. Mais il n’a jamais disparu. Aucun empire de ce genre ne donne jamais volontairement la liberté. La liberté est quelque chose pour laquelle on se bat. En quelques mots, la question des intérêts miniers actuels, ce n’est pas quelque chose qui s’est produit dans les années 1880-1890 avec l’accaparement des terres en Afrique et la création par Cecil Rhodes de De Beers et Lonrho et d’autres intérêts miniers.

Il s’agit d’un rapport de 2016. C’est un rapport incroyable rédigé par une organisation à but non lucratif qui a réalisé des audits sur les intérêts britanniques. Ces intérêts qui contrôlent l’exploitation minière en Afrique, avec des sièges sociaux soit au Royaume-Uni, soit dans les territoires du Commonwealth, cotés à la Bourse de Londres. Et j’ai ajouté une petite citation ici, c’est un nouveau colonialisme britannique qui se bat pour les ressources énergétiques et minières africaines. Il est dit que : « 101 sociétés cotées à la Bourse de Londres — la plupart d’entre elles britanniques — possèdent des exploitations minières dans 37 pays d’Afrique subsaharienne. Ensemble, elles contrôlent plus de 1 000 milliards de dollars des ressources les plus précieuses de l’Afrique. Le gouvernement britannique a utilisé son pouvoir et son influence pour faire en sorte que les sociétés minières britanniques aient accès aux matières premières de l’Afrique. C’était le cas pendant la période coloniale, et c’est encore le cas aujourd’hui. » Ce rapport est disponible gratuitement en ligne au format PDF. Je ne vais pas entrer dans les détails. Il s’agit de plus de 70 % des intérêts miniers, qui comprennent également le raffinage des matériaux par des entreprises qui se trouvent dans les territoires sous contrôle britannique. Quelle est l’infrastructure qui permet cela ? Il y a quelque chose que beaucoup de gens ne savent pas. Il s’agit d’une organisation affiliée à la Fondation Bill & Melinda Gates ainsi qu’à la Banque mondiale, appelée Crown Agents [Agents de la Couronne]. Elle a été créée en 1833, selon son auto-description officielle, comme une émanation de la Couronne. Elle ne fait pas partie du gouvernement, mais son autorité provient de la source de tous les honneurs, la Couronne elle-même, c’est ainsi qu’est formée cette sorte de structure byzantine — de gouvernement fantôme. Il y a une sorte de hiérarchie de l’autorité. Elle ne vient pas du consentement des gouvernés. Elle vient du souverain singulier, la Couronne, qui que ce soit, en tant qu’institution héréditaire. Donc, cette organisation a été créée en 1833 en tant que filiale du Bureau des colonies britanniques pour gérer l’infrastructure matérielle, entre autres, des colonies internationales de l’Empire. Elle a changé plusieurs fois de nom au fil des ans et, en 1996, elle a été rebaptisée « Agents de la Couronne pour l’administration des gouvernements étrangers », et elle gère également l’infrastructure sanitaire, y compris les protocoles Covid de l’Europe de l’Est, en particulier de l’Ukraine. Elle gère de nombreux pays africains, le Sud-Soudan, la Birmanie. Et elle s’occupe de la gouvernance. Elle aide ces pays à adapter leurs mécanismes de gouvernance en fonction des normes de la Banque mondiale et du FMI. Elle est présente et fait cela depuis très longtemps, ce qui est très étrange. Et encore une fois, ils se nomment eux-mêmes agents de la Couronne ; ce n’est pas moi qui les calomnie ou les qualifie ainsi. Et cela existe, comme je l’ai dit, depuis très, très longtemps. C’est donc un aspect de cette chose en termes de maintien de l’Empire de l’ombre.

En ce qui concerne ce système géré par le Commonwealth et la City de Londres, les îles Caïmans et les banques offshore en sont le centre. Il existe un merveilleux documentaire que les gens peuvent regarder, intitulé The Spider’s Web : Britain’s Second Empire, qui est même disponible sur YouTube. Il aborde le sujet de manière plaisante, mais il montre clairement qu’à l’échelle internationale, 24 % des services financiers transitent par un grand nombre de paradis fiscaux des îles Caïmans, des Caraïbes et d’autres paradis fiscaux offshore contrôlés par les Britanniques.

Mais c’est aussi là que se trouve le centre mondial du blanchiment d’argent de la drogue et du financement du terrorisme. Les gens se disent : « La drogue, c’est juste un fléau naturel de notre société. Le terrorisme. C’est juste une chose naturelle qui est survenue. » Mais en réalité ce n’est pas le cas, c’est très artificiel. Ce n’est pas comme ça que la société humaine produit ces fléaux sociologiques. Ce sont des maladies créées qui sont de nature géopolitique, pas même de nature religieuse, qui sont cultivées depuis le sommet.

Il s’agit d’un rapport sénatorial de 2012 mené sur une longue période par le sénateur Carl Levin, récemment décédé, qui s’appelle « Vulnérabilités des États-Unis en matière de blanchiment d’argent, de drogue et de financement du terrorisme — l’affaire HSBC » dans le cadre duquel il a été révélé que HSBC était la première banque offshore au monde en matière de blanchiment d’argent. Comme Alex l’a souligné, la HSBC a été créée en 1865 afin de mettre en œuvre ou de gérer le commerce de l’opium, pour détruire la Chine — cela n’a jamais cessé. Ils ont été reconnus coupables. Ils se sont fait taper sur les doigts avec une amende de 1,9 milliards de dollars. Puis ils ont été autorisés à nommer leur propre commissaire aux comptes, qui a siégé pendant cinq ans. Et pour autant que je sache, ils continuent à faire ce qu’ils ont toujours fait. Ils possèdent également une énorme participation dans Air Canada. Toute personne qui prend un avion Air Canada verra des panneaux HSBC partout. Il s’agit d’un énorme élément d’infrastructure dans le cadre du triangle d’argent qui a été mis en place tout au long du 20e siècle. Vous avez la photo de la Reine à côté de Coutts. C’est la banque personnelle de la Reine, qui a également été reconnue coupable en 2012 de blanchiment d’argent de la drogue. Elle a payé sa petite amende de 10 millions de dollars, je crois, et la mauvaise publicité a fait que les comptes offshore responsables de la faillite qui effectuaient le blanchiment ont été vendus à la Banque Royale du Canada, qui effectue actuellement les mêmes opérations. Et c’est tout.

L’Afrique, en plus des 177 milliards de dollars de dettes qui la tiennent en otage, a environ 944 milliards de dollars de revenus provenant de l’extraction de richesses, qui se trouvent sur des comptes offshores britanniques. Il ne s’agit donc pas d’une nation débitrice, mais d’une nation créditrice en masse. C’est toute une histoire en soi.

La City de Londres, comme Alex l’a souligné, est une entité distincte. Même le gouvernement britannique ne peut pas vraiment faire grand-chose légalement pour l’arrêter. Ils ont leurs propres tribunaux, leur propre police. C’est une structure bizarre.

Et je voulais juste ajouter ceci. Et je n’ai même pas parlé de la guerre en Irak, des dossiers douteux créés par les services de renseignements britanniques qui ont permis de justifier les bombardements de l’Irak, de la Libye aussi — c’était plutôt des renseignements du MI6 — je n’ai pas parlé de ça. Je n’ai pas parlé des dossiers douteux sur les armes chimiques en Syrie, dont l’utilisation par Assad n’a jamais été prouvée, mais qui ont été utilisés pour justifier les sanctions et le changement de régime qu’ils tentent d’imposer depuis sept ans. Je n’ai pas parlé de cela. Mais tout ce que j’ai à dire, c’est que c’est omniprésent. La main britannique est partout, dès que vous creusez un peu. Même au niveau des dossiers douteux pour essayer de faire passer Poutine pour le grand ennemi qui contrôlerait Trump. Ces dossiers douteux nous ont été apportés par des gens comme Sir Richard Dearlove, l’homme qui à qui on doit l’affaire du Yellowcake [uranium] de la guerre en Irak. Cela a toujours été un mensonge et le rapport de la Commission Chilcot l’a prouvé. Et aussi, la question des boursiers Rhodes, des gens comme Strobe Talbott, qui est un boursier Rhodes, qui est arrivé avec Clinton et qui dirige Brookings depuis très longtemps. Il a également été derrière le Russiagate avec de nombreux autres boursiers Rhodes qui gèrent actuellement l’administration Biden, comme Jake Sullivan, Susan Rice, Eric Lander. Les Sciences sont des boursiers de Rhodes. Ils sont juste partout. Et je ne vais pas m’étendre là-dessus.

À présent, un peu de contexte historique. Je suis canadien. Donc, la question de Justin Trudeau, j’espère que c’est encore imprimé dans l’esprit des gens : qu’est-ce que c’est que ça ?

Donc, le Bureau du Conseil privé… contrairement à la Constitution ou à la Déclaration des États-Unis, le Canada a été fondé en 1867. La conférence originale avec nos Pères Fondateurs ne résultait pas d’une lutte pour la liberté, contrairement aux États-Unis, mais d’un rassemblement de loyalistes britanniques, des anti-républicains, qui étaient tous comme notre Père Fondateur, qui se trouve là dans le tableau. Johnny McDonald était un patriote de race aryenne, qui voulait un Canada aryen et qui disait : « Je suis né britannique et je mourrai britannique ». C’était une ordure immorale et répugnante. Et ce sont ces gens-là qui sont célébrés comme nos vaches sacrées que nous sommes censés honorer au Canada. Or, contrairement aux États-Unis — qui consacrent le droit à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur dans la Déclaration d’indépendance, ainsi que l’idée du principe du bien-être général, aujourd’hui et pour la postérité, dans la Constitution — le document fondateur canadien dit littéralement : « Attendu que les Provinces du Canada… », au nombre de quatre à l’époque « … ont exprimé leur désir d’être unies au niveau fédéral en un seul Dominion sous la Couronne du Royaume — Uni et de la Grande-Bretagne et de l’Irlande, avec une constitution similaire en principe à celle du Royaume-Uni. » — ce qui est en soi dans une certaine mesure une escroquerie puisque le Royaume-Uni n’a pas vraiment de constitution et qu’il s’agit donc d’une sorte de miroir de l’ombre. Et : « Considérant qu’une telle union contribuerait à la prospérité de ces provinces et favoriserait les intérêts de l’Empire britannique. » Donc notre fameux préambule est de promouvoir les intérêts de l’Empire britannique. C’est pour cela que nous avons été créés. Nous avons également été créés par cette conférence qui s’est tenue trois ans plus tôt, en 1864, alors que la guerre de Sécession touchait à sa fin, mais qu’elle était toujours en cours. Les Britanniques avaient consacré beaucoup de ressources à l’éclatement de l’Union, comme je l’ai expliqué dans des présentations précédentes. J’en ai également parlé dans mes livres Clash of the Two Americas et The Untold History of Canada.

Ce qui effrayait les Britanniques, comme je le démontre, c’est que le Canada comptait des hommes d’État pro -Lincoln à des postes de direction qui se battaient pour créer un pays indépendant à cette époque. Il y avait aussi des gens qui travaillaient à la création d’un Zollverein américain avec le Canada et les États-Unis réunis dans une union douanière basée sur le développement industriel, avec un type de politique, non pas comme l’Amérique d’aujourd’hui, mais une politique différente de l’orientation Lincoln-McKinley basée sur une véritable pensée à long terme où les êtres humains étaient considérés comme une créature que l’argent devait servir en investissant dans des infrastructures à grande échelle, dans la science et la technologie, mais aussi en travaillant à l’étranger avec l’Allemagne, qui faisait la même chose sous Otto von Bismarck, avec la Russie qui venait de vendre le territoire de l’Alaska aux États-Unis dans l’intention de construire un chemin de fer à travers le continent jusqu’en Eurasie. On considérait donc qu’il s’agissait d’un territoire vital qui devait rester sous le contrôle du ministère britannique des Affaires étrangères. Et cette Constitution a alors été rédigée. Les alliés de Lincoln ont été évincés du pouvoir et la Constitution a été gardée comme un rempart contre le danger d’une collaboration entre les États-Unis et la Russie. Sauf qu’un admirateur de Lincoln est devenu Premier ministre à un certain moment, Wilfrid Laurier, et il a organisé en 1911 la création d’une union douanière, et tous les projets de loi ont été adoptés et ils étaient enfin sur le point d’entrer en vigueur. Et malheureusement, il a été évincé lors d’un coup d’état orchestré par la Table ronde et certains francs-maçons orangistes qui ont la Reine et la Couronne, à la tête de ces différentes formations maçonniques libres. J’ai rédigé un article que j’ai publié sur le site de Canadian Patriot et qui reprend ces détails. A peine deux ans plus tard, Wilfrid Laurier écrit à son proche allié Oscar Douglas Skelton que : « Le Canada est maintenant gouverné par une junte siégeant à Londres, connue sous le nom de “Table ronde”, avec des ramifications à Toronto, à Winnipeg, à Victoria, les Tories (les conservateurs) et les Grits (les libéraux) recevant leurs idées de Londres et les imposant insidieusement à leurs partis respectifs. » C’était donc un aveu direct de l’homme lui-même. Il avait pour projet de faire du Canada, en l’espace d’une génération, une nation à l’image de Lincoln avec une population de 60 millions d’habitants, basée sur l’électrification et l’industrialisation à grande échelle — tout cela a été évincé, terminé, et la Table Ronde a repris le contrôle. Robert Borden, son remplaçant, était un membre de la Table Ronde qui a fini par contrôler la Chatham House du Canada dès sa création en tant que premier président. En 1918, la Table Ronde avait déjà initié une prise de contrôle du gouvernement britannique. Ils avaient évincé Herbert Asquith du gouvernement travailliste en 1916, non pas qu’il soit un type formidable, mais ils voulaient vraiment avoir un contrôle total sur les termes du Traité de Versailles et la fin de la Première Guerre mondiale. L’un des problèmes était qu’ils avaient besoin des États-Unis, ils avaient vraiment besoin de la puissance des États-Unis derrière eux et cela a toujours été l’objectif de la conception de Cecil Rhodes. Lord Lothian, qui était un membre éminent de la Table Ronde à l’époque et ambassadeur aux États-Unis, avait écrit — son autre nom était Philip Kerr, ils ont toujours des noms qui ressemblent aux méchants de Star Wars — il a écrit que le problème de la psyché américaine qui devait être traité était le suivant : « Il y a un concept fondamentalement différent en ce qui concerne la question entre la Grande-Bretagne et les États-Unis quant à la nécessité d’un contrôle civilisé sur des peuples politiquement arriérés… Les habitants de l’Afrique et de certaines parties de l’Asie se sont révélés incapables de se gouverner eux-mêmes… Pourtant, l’Amérique n’a non seulement aucune notion de cet aspect du problème, mais a été amenée à croire que le fait d’assumer ce type de responsabilité relève de…», je n’arrive pas à dire ce mot, « … d’un impérialisme inique. » Donc, c’est un problème, non ? Les Américains auraient ce problème qu’ils ne comprennent pas qu’il y a une responsabilité qui incombe à l’homme blanc, qu’ils doivent imposer parce qu’ils sont tout simplement scientifiquement meilleurs que les personnes à la peau plus foncée. Ils doivent imposer moralement et scientifiquement un contrôle anglo-américain sur les peuples arriérés et ils ne le comprennent pas. Et c’était un problème. Non pas qu’il n’y ait pas eu d’Américains qui l’aient compris — et cela fait à nouveau partie du problème de l’État profond américain que j’ai mentionné, qu’Alex a un peu évoqué, mais que s’est-il passé ?

Il y a donc eu plusieurs tentatives de nouveaux ordres mondiaux. Ce que nous voyons aujourd’hui n’est pas nouveau. J’y ai fait allusion dans des présentations précédentes, mais en 1919, vous avez eu la création de la Chatham House, vous avez eu la création de Versailles, la Société des Nations, le tout orchestré par Lord Milner qui, à cette époque, était une figure de proue contrôlant la politique étrangère britannique avec beaucoup d’autres membres de la Table Ronde. L’idée de la Société des Nations était de créer un pacte de sécurité collective, l’article 10, de se débarrasser de la souveraineté nationale sur l’économie et les affaires militaires et de créer effectivement un gouvernement mondial unique. Une partie de cela faisait également partie de la Fédération impériale, un peu comme l’Union européenne, c’est ce qu’ils voulaient pour, en résumé, pour le monde. Pourquoi cela a-t-il échoué ? Parce qu’il y a eu des gens au Canada, les libéraux avaient fait un retour aux années 1920 et ils ont résisté, les mouvements de l’État libre d’Irlande ont résisté, des gens comme Warren Harding, qui a été assassiné — je dis assassiné, je n’ai jamais vu de preuve du contraire, le président américain est mort après avoir mangé des huîtres empoisonnées. Mais le fait est que des nationalistes ont résisté et n’ont pas succombé à cette pression à l’époque. Donc, ça s’est essoufflé mais ils ont réessayé. En 1933, il y a eu la Conférence Internationale des Banquiers à Londres, centrée sur la Banque des Règlements Internationaux, la Banque d’Angleterre, et 66 nations y ont participé. L’idée était que la Grande Dépression serait résolue en transférant la souveraineté économique des États-nations vers une codification bancaire officiellement essentielle sous l’égide de la Banque d’Angleterre. Et la seule raison pour laquelle, après six mois, cela a échoué est que Franklin Roosevelt a retiré les délégations américaines de toute participation et que tout s’est écroulé. J’en ai parlé en détail dans le chapitre sept de mon livre Clash of the Two Americas. Puis il y a eu une autre tentative en 1944. Là encore, Roosevelt n’était pas encore décédé. John Maynard Keynes a été désigné cette fois-ci pour représenter l’Empire britannique à la conférence de Bretton Woods avec l’idée d’une monnaie mondiale unique gérée par la banque d’Angleterre appelée le « bancor », un taux de change international qui serait à nouveau effectivement une monnaie mondiale unique, en imaginant que les Américains, qui étaient sortis de la Seconde Guerre mondiale comme le seul pays intact, seraient le moteur ou les exécutants d’une reconquête anglo-américaine des nations du monde, dont beaucoup avaient combattu pendant la guerre et dont beaucoup avaient des idées d’indépendance et de liberté bien vivantes dans leur cœur. Ce n’était pas acceptable. J’ai une petite citation de Franklin Roosevelt, que j’aime beaucoup, dans laquelle il dit que « Ceux qui cherchent à établir des systèmes de gouvernement basés sur l’enrégimentement de tous les êtres humains par une poignée de dirigeants individuels appellent cela un nouvel ordre. Ce n’est pas nouveau et ce n’est pas un ordre. » C’était une citation très forte.

Donc, pour reprendre un peu là où Alex s’est arrêté, il y a un livre intitulé As He Saw It, écrit en 1946 par le fils de Roosevelt et son assistant, son assistant personnel, Elliot Roosevelt. Et il y retrace une grande partie des luttes entre Roosevelt et le gang de Churchill qui essayait toujours d’entraîner les États-Unis dans une confrérie de contrôle, à la Cecil Rhodes, à la Five Eyes, ce qui était déjà en train de se produire depuis la transformation de la Black Chamber en NSA en 1930, qui s’est intégrée de plus en plus dans le système britannique des Five Eyes, ce qui a toujours été la volonté de Cecil Rhodes. Mais dans ce livre… C’est un excellent livre. Les gens peuvent le trouver en ligne ; ils pourraient l’acheter ; ils devraient l’acheter. Il est sur archive.org. Je l’utilise beaucoup. Mais en 1944 après un conflit avec Churchill, à la conférence de Téhéran il me semble, je ne suis pas trop sûr de quelle conférence, mais il s’adresse à Elliot en disant : « Tu sais, à de nombreuses reprises, les hommes du Département d’État ont essayé de me cacher des messages, de les retarder, de les retenir d’une manière ou d’une autre, juste parce que certains de ces diplomates de carrière ne sont pas en accord avec ce qu’ils savent, je pense. Ils devraient travailler pour Winston. En fait, la plupart du temps, ils travaillent [pour Churchill]. Quand on y pense, un certain nombre d’entre eux sont convaincus que la façon dont l’Amérique doit mener sa politique étrangère est de découvrir ce que font les Britanniques et de le copier ! On m’a dit… il y a six ans, de nettoyer le Département d’État. C’est comme le bureau des affaires étrangères britannique. » Ainsi, le Bureau des services stratégiques, l’OSS [Office of Strategic Services] n’avait pas été nettoyé et l’OSS avait beaucoup de problèmes, mais il y avait encore beaucoup de patriotes et de nationalistes intégrés dans les services de renseignement américains au sein de l’OSS qui posaient problème à ceux qui essayaient de prendre le contrôle, qui occupaient déjà la plupart du Département d’État à cette époque.

Dans le livre d’Elliott, il y a une autre conflit fascinant entre lui et Churchill qui a été mise en évidence sur ce que serait l’après- guerre, quel type de principes de fonctionnement la gouvernerait, où la vision de Roosevelt pour le verdissement des déserts africains, l’extension de la Tennessee Valley Authority, les projets d’électrification rurale qui sortiraient les gens de la pauvreté et de la marginalisation aux États-Unis, qui seraient étendus grâce à des prêts à grande échelle au niveau international pour aider d’autres pays à avoir leurs propres programmes industriels, leurs propres autorités de la Tennessee Valley, et pour étendre véritablement le principe des quatre libertés au monde entier, à savoir que nous ne sommes pas censés nous contenter de belles paroles, mais que nous devons être réellement actifs. C’est pourquoi Bretton Woods, l’équipe keynésienne, a perdu. Et Harry Dexter White, qui est devenu le premier directeur du FMI — lui aussi mort dans des circonstances mystérieuses — la délégation américaine sous sa direction avait gagné et s’était assurée que même la Chine, l’Inde, l’Afrique, l’Amérique du Sud, la Russie participeraient toutes à la réception des projets de la Tennessee Valley Authority, tous approuvés par la délégation américaine. La délégation britannique s’est opposée à tous ces projets. Et même à cette époque, alors que Roosevelt avait pour socle une alliance Russie-Chine-États-Unis, la Russie a souscrit à hauteur d’un milliard de dollars au FMI à l’origine, avant que le rideau de fer ne l’oblige à en sortir. Tout cela pour dire que je radote, mais dans ce petit extrait que j’ai sélectionné, il décrit la soirée, en parlant avec Elliot après s’être confronté à Churchill, en disant : « Je parle d’une autre guerre. Je parle de ce qui arrivera à notre monde si, après cette guerre, nous permettons à des millions de gens de retomber dans le même semi-esclavage ! Ne pense pas un instant, Elliott, que les Américains seraient en train de mourir dans le Pacifique ce soir, s’il n’y avait pas eu la cupidité à courte vue des Français, des Britanniques et des Hollandais. Devrions-nous les laisser faire, encore une fois ? Ton fils aura à peu près le bon âge, dans quinze ou vingt ans. Une phrase, Elliot. Ensuite, je te flanquerai dehors. Je suis fatigué. C’est cette phrase : Quand nous aurons gagné la guerre, je ferai tout mon possible pour que les États-Unis ne soient pas forcés d’accepter un plan qui servira les ambitions impérialistes de la France, ou qui aidera ou soutiendra l’Empire britannique dans ses ambitions impériales. »

Puis, c’est le moment où se produit la tragédie. Wallace, c’est une longue histoire, mais Wallace est remplacé par Harry Truman, qui est une sorte de prototype de George Bush, le jeune anglophile des banquiers. Et il est nommé nouveau vice-président. Donc, Wallace était le Vice-président qui était complètement en phase avec la vision de Roosevelt. Roosevelt meurt le 12 avril ; aucune autopsie n’est jamais réalisée. Et immédiatement au cours du mois, des bombes nucléaires sont larguées sur un Japon vaincu par Truman. Le 20 septembre, l’OSS, l’agence de renseignement américaine, est dissoute. Et une purge, une purge massive commence. Si quelqu’un qui avait connaissance des financiers de Wall Street et de Londres à l’origine de la montée du fascisme et de l’eugénisme, il y a eu de nombreux rapports à ce sujet, ils ont tous été bannis dans l’année qui a suivi. Et à ce moment-là, le discours sur le rideau de fer est lancé et les gens se disent : « Ce sont les Américains qui ont créé le rideau de fer, qui a fait de la Russie et de la Chine leurs ennemis ». Non. C’est Winston Churchill qui est venu aux États-Unis, a séjourné à la Maison Blanche pendant une période prolongée, et a prononcé son discours où il a déclaré : « Ni la prévention de la guerre sur le rivage, ni l’essor continu de l’organisation mondiale ne seront gagnés sans ce que j’ai appelé l’Association fraternelle des peuples de langue anglaise. Cela signifie une relation spéciale entre le Commonwealth et l’Empire britannique et les États-Unis. » Henry Wallace, juste avant d’être limogé, était secrétaire au commerce et se battait contre cette folie qui lavait le cerveau des Américains pour en faire des foules paranoïaques, effrayées par l’infiltration et la conspiration. Tout le maccarthysme était une véritable atrocité dirigée par le FBI comme une dictature, ce qui était le cas, les États-Unis étaient devenus une dictature sous le FBI, dit : « Le fascisme [prévient-il] dans l’après-guerre poussera inévitablement à l’impérialisme anglo- saxon et finalement à la guerre avec la Russie. Déjà, les fascistes américains discutent et écrivent sur ce conflit et l’utilisent comme excuse pour leurs haines internes et leurs intolérances envers certaines races, croyances et classes. »

Évidemment, il y a un retour de bâton raciste total, encore une fois, sous l’égide de J. Edgar Hoover — un autre franc-maçon du 33e degré qui a dirigé le FBI pendant sept présidences américaines — qui soutenait la montée du racisme, le démantèlement des libertés civiles pour les Afro -Américains entre autres, mais aussi la coordination avec la CIA qui est bientôt reconstituée pour créer un nouveau système de gestion beaucoup plus conforme à la politique étrangère britannique. Des activités comme MK Ultra qui, à l’origine, utilisait une science élaborée par Tavistock, la branche des services secrets britanniques chargée de la guerre psychologique, l’infiltration Cointelpro qui reflétait aussi l’opération Gladio en Europe. Toutes ces choses ont été déployées et justifiées par les termes et conditions de l’ère de la « destruction mutuelle assurée ».

Donc, ça continue. Wallace est renvoyé après avoir prononcé son discours. La doctrine Truman est annoncée, une fois de plus. Qui est le principal organisateur de la Doctrine Truman ? L’un des principaux est George McGee, un boursier de Rhodes. La CIA centrale est créée en septembre 1918. C’est alors une sorte de nouvelle agence de renseignement reconstituée et nettoyée. Harry Dexter White meurt. Le FMI est détourné, car lui faisait partie de l’équipe de Roosevelt qui, à ce moment-là en 1948, se battait pour faire élire Wallace sous la direction du Parti progressiste aux élections de 48. Vous trouverez de nombreux grands patriotes des États-Unis qui sont morts ou ont vu leur carrière anéantie au sein de ce réseau. Et puis, il y a ce fameux mémorandum du Conseil de sécurité nationale (NSC) de juillet 1950 pour « sauver l’Empire britannique ». Je ne plaisante pas. Il s’agit littéralement d’un protocole émis en vertu de la logique selon laquelle si les Britanniques affaiblissent leurs intérêts économiques impériaux, alors les Soviétiques prendront et rempliront cet espace. Donc, l’intérêt de la politique étrangère américaine doit être de préserver les intérêts britanniques à l’étranger. Et c’est là que le FMI et la Banque mondiale ont été de plus en plus remaniés pour utiliser le colonialisme économique partout où cela était nécessaire. Si vous ne pouvez pas empêcher l’indépendance politique d’une nation, sabotez au moins son indépendance économique.

Une figure intéressante est celle de Clément Atlee, Premier ministre de l’après-Seconde Guerre mondiale, qui affirme avec force :

« Nous avons vu à maintes reprises qu’il existe un autre pouvoir que celui qui a son siège à Westminster. La City de Londres, un terme commode pour désigner un ensemble d’intérêts financiers, est en mesure de s’opposer au gouvernement du pays. Ceux qui contrôlent l’argent peuvent mener une politique intérieure et extérieure contraire à celle décidée par le peuple »

Encore une fois, vous avez même des Britanniques… donc ce n’est pas le gouvernement britannique, le peuple britannique est également victime, ainsi que de nombreuses personnalités au sein du gouvernement britannique, de ce pouvoir au-dessus des branches officielles visibles du gouvernement.

Tout au long de la guerre froide, et encore une fois, si vous ne pouvez pas comprendre l’architecture de la guerre froide, la question de la destruction mutuelle, de la guerre asymétrique, de la doctrine de la théorie des jeux, de l’application de l’analyse des systèmes pour gérer les renversements géopolitiques de gouvernements, des choses comme la guerre du Vietnam… Si vous ne prenez pas en compte des gens comme Dean Rusk, boursier de Rhodes, Walt Whitman Rostow, qui a dirigé la NSA pendant trois ans, qui était un boursier Rhodes de Balliol, Escott Reid, qui a été l’architecte de l’OTAN pour priver la Russie de toute influence sur les affaires militaires au Conseil de sécurité. L’OTAN, c’était Escott Reid, boursier de Rhodes, William Fulbright, boursier de Rhodes. Il y a tellement de choses qui se chevauchent. Donc, encore une fois, vous ne pouvez pas vraiment comprendre quelle est cette chose que JFK repoussait et essayait de combattre… Quelle était la chose contre laquelle Eisenhower mettait en garde dans son discours sur le complexe militaro-industriel ? Vous ne pouvez pas comprendre cela si vous ne regardez pas ces idéologues qui ont été infiltrés pendant des décennies. Il y en a eu 3 000 jusqu’ici au 20ème siècle qui ont été formés dans les couloirs d’Oxford. Non pas qu’ils soient tous mauvais. Je pense que Kristoffer Kristofferson est un acteur correct et peut-être que ses choix de films ne sont pas si bons parfois, mais je ne pense pas qu’il soit une mauvaise personne. Bien qu’il soit un boursier de Rhodes. Vous constaterez donc que vous ne pouvez pas être coupable par association, mais que vous ne pouvez rien comprendre si vous ne comprenez pas cette ruche très contrôlée et centralisée. Cela se coordonne également avec le mouvement de la Table Ronde américaine, qui est le Council on Foreign Relations [Conseil des relations étrangères]. Ce que Hillary Clinton a appelé « le vaisseau-mère » dans un discours de 2011, c’est le cas depuis 1921, la table ronde britannique en Amérique. Et même des gens que vous considérez comme des grands concepteurs géopolitiques américains comme Kissinger, Zbigniew Brzezinski, Samuel P. Huntington, le Choc des civilisations… un Canadien, Pierre Trudeau, qui a instauré sa propre loi martiale en 1970 et a vraiment réorganisé l’ensemble du gouvernement en un système cybernétique technocratique. Ils ont tous été formés par William Yandell Elliott à Harvard, qui dirigeait une structure que certains ont appelé la Chatham House de Harvard. William Yandell Elliott faisait partie de ces gens qui aimaient avoir de jeunes garçons sociopathes talentueux autour de lui, et il a formé des générations de ces géopoliticiens qui sont préparés. C’est comme une recherche de talents, comme Rhodes le décrit, c’est exactement ce qu’ils ont fait, et ensuite ils ont été placés à des postes d’autorité idéologique pour mener à bien une politique dont ils n’étaient pas à l’origine en soi, mais ils ont été mis en position de la réaliser.

Il y a eu des objections, et je souhaite juste rappeler les voix dissidentes, car ce n’est pas comme s’il s’agissait de créatures divines, n’est-ce pas ? Il y avait de vrais êtres humains, de vrais hommes d’État, surtout dans les années 1960. Vous avez Enrico Mattei, l’industriel italien. Vous avez Dag Hammarskjöld, le secrétaire général de l’ONU, qui avait un grand programme pour mettre fin à l’impérialisme et promouvoir le développement industriel dans divers pays, notamment en Afrique du Sud. Charles de Gaulle avait évité 30 tentatives d’assassinat. John F. Kennedy, évidemment. Patrice Lumumba. Je n’ai pas cité ici tous ceux qui ont été assassinés ou renversés par des coups d’État dirigés par la CIA et le MI6. Mais tout cela pour dire que c’était une période de potentiel majeur où le thème commun était la coopération et la rupture avec les méthodes mathématiques de gouvernance, l’introduction de nouvelles technologies, de nouvelles découvertes qui n’étaient pas monopolisées, et le faire en recherchant une coopération gagnant-gagnant, des points d’intérêt commun. C’est pourquoi JFK a offert aux Russes la possibilité de travailler avec les États-Unis sur un programme spatial commun. Cela permettrait de rompre avec ce mode de gouvernance basé sur l’équilibre mathématique de la terreur et de nous en libérer.

Je termine là-dessus, je pense qu’il me reste encore trois ou quatre minutes.

Donc, après l’ère des assassinats, dans les années 60, encore une fois très parallèle à ce qui s’est passé après les années 1890 jusqu’à la Première Guerre mondiale, l’ère des assassinats totaux et des coups d’État révolutionnaires colorés, la scène était désormais prête pour une recolonisation économique complète des États-Unis, en particulier. L’objectif a toujours été de reprendre le contrôle des États-Unis. Plusieurs choses se produisent. Et Kissinger est un personnage clé dans la plupart de ces événements. Vous avez la création en janvier 1971 du Groupe Inter-Alpha, créé selon le plan de Lord Jacob Rothschild, qui dirigeait N M Rothschild & Sons, mais qui a également constitué un intérêt financier bancaire majeur en tant que membre d’une dynastie de mercenaires depuis les années 1700. Ainsi, le Groupe Inter-Alpha des banques était une coterie, il y a une photo ici, des banques membres avec les principales banques mises en place dans chacun des pays européens ciblés pour promouvoir une nouvelle doctrine de déréglementation, de centralisation du pouvoir à l’écart des États-nations, en particulier en Europe, et son transfert vers la coterie supranationale privée des intérêts corporatifs et financiers au-dessus des autorités nationales. Je n’ai pas le temps d’entrer dans les détails, mais c’est en 1971 que ce groupe a été fondé. Il a depuis évolué en nombre depuis ses six fondateurs initiaux. Beaucoup de ces banques étaient toutes liées à des activités financières soutenant la montée du fascisme, que ce soit Franco, Mussolini ou Hitler, et plus récemment, à du blanchiment. Puis, le même mois, le Forum économique mondial est fondé par l’un des prodiges de Kissinger, que nous connaissons et méprisons tous, Klaus Schwab. En outre, l’un des cofondateurs était Maurice Strong — un oligarque canadien qui a été recruté par les Rockefeller et a été cofondateur du Club de Rome canadien, acteur majeur avec le Prince Philip, qui est celui qui souhaitait être réincarné en virus mortel — qui a dirigé le Forum économique mondial. Dans ma présentation du 26 février, nous entrerons en détail dans ce sujet [ ]. Donc, Maurice Strong, une autre figure qui est un cofondateur et un inspirateur de Klaus Schwab.

Puis vous avez la grande affaire du 15 août 1971, lorsque le dollar américain est devenu flottant. Kissinger et Schultz, à la tête de l’administration Nixon, orchestrent le retrait du dollar de la réserve d’or, le système d’échange d’or ou le système de taux de change fixe, qui empêchait la spéculation sur les devises et les matières premières. Tant qu’il n’y avait pas de spéculation, il était difficile de mener le genre de guerre économique contre les nations qui essayaient de développer leurs infrastructures et leur base industrielle, ce qui a toujours été, même en remontant au 19ème siècle, un outil utilisé par l’Empire pour maintenir les nations déstabilisées, cette guerre économique. Donc, le taux de change fixe devait disparaître. Il garantissait trop de stabilité. Vous pouviez penser à des projets à long terme, sur 5 ou 20 ans, lorsque vous aviez une stabilité relative des monnaies. Et cela s’est répercuté sur les marchés flottants. Ainsi, tout d’un coup, les marchés sont devenus le facteur déterminant de la valeur du dollar, qui est devenu de plus en plus lié, toujours sous l’impulsion de Kissinger, au prix du pétrole sur les marchés au comptant. Donc, tout d’un coup, un certain chaos a été créé. Vous ne pouviez plus vraiment construire, maintenir ou améliorer votre infrastructure, c’est cette partie de votre économie à forte intensité de capital que vous devriez toujours avoir comme base de votre valeur économique dans le système, qui s’est atrophiée. Et de plus en plus, l’ère de la dérégulation et de la spéculation s’est ancrée. J’ai mentionné ici, pour faire bonne mesure, la Commission Trilatérale, fondée en 1973 par Brzezinski, Kissinger et David Rockefeller. Là encore, l’influence du Council on Foreign Relations, qui est à nouveau le mouvement de la Table ronde, est toujours là, de même que le groupe Bilderberg, qui est toujours là. Beaucoup de ces figures se recoupent avec cette autre entité dont je parlerai plus en détail le 26 février. Donc, voici ce qui prend le dessus sous Carter, la Commission Trilatérale. Presque tous les membres du cabinet de Carter sont membres de la Commission Trilatérale. Des gens comme Paul Volcker, qui devient le président de la Fed, appelle à une désintégration contrôlée de l’économie américaine en 1979, c’est-à-dire que les taux d’intérêt sont portés à 20 % ou plus pendant deux ans, détruisant les petites et moyennes entreprises et ne laissant que ces mastodontes de multinationales capables de survivre et de prospérer et de se faire engloutir par des fusions et acquisitions.

Henry Kissinger prononce, à ce moment-là, un discours à la Chatham House au Royaume-Uni, décrivant la différence entre les points de vue de Churchill et de Roosevelt sur l’après-guerre et décrivant, et les gens peuvent le lire, le discours complet est en annexe de mon deuxième volume. Il décrit comment il préférait la manière de concevoir la géopolitique de Churchill à celle de Roosevelt, qu’il considérait comme obsolète et incompatible avec la réalité. Mais il y décrit aussi l’époque où il était secrétaire d’État sous Nixon, où il dit : « Les Britanniques ont été en réalité tellement utiles qu’ils sont devenus un participant des délibérations internes américaines, à un degré probablement jamais pratiqué entre nations souveraines… », « Au cours de mes fonctions à la Maison Blanche, je tenais alors le bureau des affaires étrangères britannique mieux informé et plus étroitement engagé que le département d’État américain… C’était symptomatique. » Un aveu total. Ils ne cachent même pas ça en disant « non, ce n’est pas exactement ça ». Non, ils l’admettent tout simplement. Ils supposent juste que nous sommes trop bêtes pour mettre en relation les mots et les actions. Lord Jacob Rothschild en 1983 a prononcé un discours disant que : « Deux grands types d’institutions géantes, la société de services financiers mondiale et la banque commerciale internationale avec une compétence commerciale mondiale, peuvent converger pour former le conglomérat financier ultime, tout-puissant et à plusieurs têtes. » Il fait référence à l’effondrement de la division des activités bancaires : commerce, investissement, fiducie, assurance. Toutes ces activités avaient auparavant, sous Roosevelt, été conçues dans des compartiments séparés afin que vous ne puissiez pas spéculer avec l’épargne des gens. Vous ne pouviez pas le faire légalement. Il parlait de supprimer ces compartiments afin de pouvoir créer un nouveau type de banque universelle qui fait tout, ce que nous pourrions appeler aujourd’hui « too big to fail » [trop gros pour faire faillite]. C’est ce qui a été fait à l’origine en Grande-Bretagne sous le Big Bang de Margaret Thatcher, où la première vague de banque universelle a été créée à Londres, ce qui lui a permis de reprendre encore plus de contrôle qu’auparavant. On assiste à l’effondrement quasi total d’une bulle spéculative qui entraîne l’effondrement de 25 % de la bourse de New York. Pour éviter l’effondrement, Alan Greenspan est appelé à la rescousse et normalise immédiatement les instruments financiers créatifs, autrement appelés dérivés, qui étaient auparavant illégaux pour la plupart. Ces instruments étaient connus sous le nom de « junk bonds », des dettes titrisées qui n’avaient aucune valeur mais qui étaient tout de même titrisées, puis investies dans des assurances qui étaient également titrisées afin que les gens puissent… — c’est complexe, mais c’est fou. Ce n’est pas une façon de créer de la valeur. Et c’est devenu une sorte de tumeur cancéreuse qui s’est développée dans l’économie au point qu’en 1992, lorsque le traité de Maastricht a été signé — créant l’Union européenne comme une nouvelle consolidation pour se débarrasser des États-nations et du droit des nations à émettre leur propre crédit et à le contrôler en Europe – il y avait environ 2 000 milliards de dollars de produits dérivés. La même année, l’Union soviétique s’est dissoute. On célèbre la fin de l’histoire. George Bush dit en 1990 à l’ouverture de la guerre du Koweït que : « Nous avons devant nous l’opportunité de forger pour nous-mêmes et pour les générations futures un nouvel ordre mondial — lorsque nous réussirons — et nous réussirons — nous avons une véritable opportunité avec ce nouvel ordre mondial. » C’est donc à ce moment-là que Margaret Thatcher se vante d’avoir durci la position de Bush, qui hésitait sur la question de l’opération « Tempête du désert ». Mais encore une fois, l’idée était toujours la fin du système de l’État-nation. Finalement, à la fin de la guerre froide, c’est une ère unipolaire de ce qu’on pourrait appeler aujourd’hui l’ordre mondial néolibéral. L’Union soviétique est totalement privatisée, détruite, ciblée pour une destruction supervisée par Strobe Talbott, qui est l’homme de pointe sur le terrain, boursier de Rhodes, travaillant étroitement avec le FMI. L’ALENA est signé afin de se débarrasser à nouveau des pouvoirs des États-nations en Amérique du Nord et de faire passer les pouvoirs dans les mains des sociétés privées avant les nations. L’Organisation mondiale du commerce et ensuite le Glass Steagall : la séparation entre le commerce bancaire américain et la spéculation est brisée par Clinton, boursier de Rhodes, lors de son dernier mandat.

À partir de ce moment-là, on assiste à l’apparition du plus grand cancer des produits dérivés, qui passe de 2 000 milliards en 1992 à 70 000 milliards en 1999, ce qui correspond au PIB mondial des États-Unis. Au point que seulement dix ans plus tard, on assiste à la déréglementation complète des produits dérivés négociés de gré à gré, car le Glass Steagall a disparu, trop gros pour faire faillite, pour devenir plus grand que Dieu, ou c’est ce qu’ils veulent nous faire croire, alors nous devons les renflouer. En cas de faillite, c’est comme un pistolet sur la tempe. Et en 2007, lorsque survient effondrement suivant, 708 000 milliards de dollars de produits dérivés pèsent sur le système, dépassant de loin les 15 000 milliards de dollars du PIB américain.

Strobe Talbott en 1992 a déclaré dans son manifeste : « Tous les pays sont fondamentalement des arrangements sociaux… Peu importe à quel point ils peuvent sembler permanents ou même sacrés à un moment donné, en réalité, ils sont tous artificiels et temporaires… Peut-être que la souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout… Mais il a fallu les événements de notre propre siècle, merveilleux et terrible, pour plaider en faveur d’un gouvernement mondial. » C’est tiré de Birth of a Global Nation.

Deux dernières diapositives et je termine.

Pour être clair, la prise de contrôle des services financiers et l’effondrement de l’économie réelle : la partie réelle qui a de la valeur, qui maintient la vie est désormais la tendance. Vous avez le croisement de ce que vous avez ici, la location immobilière, le crédit-bail, la spéculation financière qui se chevauchent en 1987 avec la base manufacturière physique. Ce n’est qu’un des nombreux graphiques mis en avant. Une économie réelle ne fonctionne que si le côté financier est toujours au service de l’amélioration du côté réel : fabrication, infrastructure, science. Si le côté financier n’assure pas ce service, c’est du faux, c’est une bulle et la bulle éclatera. Et c’est pourquoi la bulle qui a été créée aujourd’hui, et qui éclate, était une désintégration planifiée, qui a toujours été prévue, depuis 1971.

La question est de savoir quand aura lieu la rupture ? La rupture a eu lieu. La question est de savoir pourquoi la Chine et la Russie sont encerclées par l’armée américaine et britannique. Pourquoi y a-t-il toutes ces opérations psychologiques ? Pourquoi y a-t-il tant de types différents d’opérations liées à la CIA pour détruire et déstabiliser l’Eurasie en ce moment ? J’en ai parlé dans ma dernière présentation, et c’est bien documenté. Que se passe-t-il ? De quoi ont-ils peur ?

Je vais terminer par cette dernière citation de Poutine. Les gens peuvent ressentir un sentiment de rage lorsqu’ils voient le visage de Poutine parce qu’ils ont été nourris de beaucoup de propagande dans les médias, ça m’est égal. Mais dans un récent discours, Poutine a déclaré :

« Seuls les États souverains peuvent répondre efficacement aux défis de l’époque et aux demandes des citoyens. Par conséquent, tout ordre international efficace devrait prendre en compte les intérêts et les capacités de l’État et procéder sur cette base, et non essayer de prouver qu’ils ne devraient pas exister. En outre, il est impossible d’imposer quoi que ce soit à quiconque, qu’il s’agisse des principes qui sous-tendent la structure sociopolitique ou des valeurs que quelqu’un, pour des raisons qui lui sont propres, a qualifiées d’universelles. Après tout, il est clair que lorsqu’une véritable crise survient, il ne reste qu’une seule valeur universelle, à savoir la vie humaine, que chaque État décide lui-même de protéger au mieux en fonction de ses capacités, de sa culture et de ses traditions. »

J’ai dépassé mon temps de parole. Je suis vraiment désolé, mais je tenais à présenter quelques enseignements clés de l’histoire mondiale. Et s’il y a des questions, s’il y a du temps pour cela, je serais heureux de répondre.

1:36:12 Reiner Fuellmich :

Merci, Matthew. Permettez-moi de vérifier que je vous ai bien compris. Le point principal est que l’Empire britannique n’a jamais cessé d’exister. Il est toujours là. Le colonialisme existe toujours, sauf qu’il existe sous un autre nom. Il n’a jamais cessé d’essayer de tirer les États-Unis en arrière, mais pour une raison qui nous échappe, il n’a pas vraiment réussi. Est-ce le résultat de tout cela, est-ce ce que nous voyons avec l’idée de l’État profond ? Est-ce que l’État profond est cette partie du pays qui essaie en résumé de réintroduire les États-Unis dans le système anglo-américain et dans la City de Londres ?

1:37:11 Matthew Ehret :

Je n’ai aucun problème avec ce que vous venez de dire. Oui, je n’ai aucun problème avec ça.

1:37:18 Reiner Fuellmich :

Pour autant que je sache, d’après ce que vous nous dites, cela n’a pas échoué au Canada. Leur tentative de garder le Canada sous contrôle a été très réussie. Je veux dire, rien qu’en écoutant comment Justin Trudeau a prêté son serment, il a juré allégeance à la Couronne britannique, à la Reine d’Angleterre. Cela ne dérange-t-il pas les Canadiens ?

1:37:49 Matthew Ehret :

Pour ceux qui le savent, c’est un changement de paradigme, mais il y a une grande dissonance cognitive qui a été mise en place par des années et des générations de conditionnement. Voici ce qu’il en est. Dans un des chapitres que je traite, la création d’un nationalisme synthétique au Canada a été organisée par nul autre que Lord Milner lui-même, qui a dirigé le Rhodes Trust en 1909 et est venu au Canada avec McIntyre, qui est le fondateur de la géopolitique dans sa forme moderne, mais à l’époque il était le directeur de la London School of Economics de la Fabian Society. Il a démissionné de son poste de directeur de la London School, suite à une offre faite par Lord Milner, qui fait partie de la Table Ronde, ce qui passe donc par Oxford. Donc, vous avez la LSC et ensuite Oxford. Il a donc démissionné de son poste pour venir au Canada avec Milner afin de formuler une grande stratégie visant à déterminer comment maintenir le Canada comme un rempart entre la Russie et les États-Unis et aussi avec l’Allemagne, car à l’époque, l’Allemagne n’était pas du tout un État fasciste. Il y avait encore beaucoup d’impulsions anticoloniales et antifascistes à des postes de pouvoir très élevés, autour de la Société Friedrich List et d’autres. Donc, il y a justement une citation où Milner a dit : « Parmi les trois plus grands dangers pour l’Empire britannique, ce que l’on préfère est une plus grande cohésion ». Donc, les trois principaux scénarios pour l’avenir du Canada sont : le premier, une plus grande cohésion et une intégration à la Fédération britannique. Cela ne va probablement pas se produire. Vous avez toujours Wilfrid Laurier, un admirateur de Lincoln, et d’autres, vous vous souvenez ? Donc, ça n’arrivera pas. Il a dit : le plus grand danger est une plus grande coopération avec les États-Unis, des États de 1909, c’est la plus grande menace pour l’Empire britannique. Le juste milieu est la croissance d’un nationalisme canadien. Et il rajoute : « Les Canadiens sont si merveilleusement ignorants des forces plus vastes de l’histoire, et ils se sentent supérieurs aux Américains dans presque tous les domaines. C’est facétieux et c’est fantastique. » Ce sont ses mots : « C’est juste fantastique à quel point ils sont ignorants ». « Et nous devrions suivre cette perspective et leur créer véritablement un nouveau nationalisme. » Et c’est exactement ce qui est devenu toute la tendance du 20ème siècle, aboutissant à la création artificielle du drapeau canadien avec une feuille d’érable qui ne veut rien dire. Contrairement aux autres pays qui ont des drapeaux qui signifient quelque chose, c’est littéralement juste une feuille d’érable. C’est ce qu’elle signifie. Et des gens comme Vincent Massey, qui était son prodige, est devenu notre premier gouverneur général canadien, qui a dirigé et géré une grande partie de tout cela. C’étaient tous des eugénistes. Ils ont également créé la Canadian Fabian Society, qui est toute une histoire dirigée par cinq boursiers de Rhodes en 1931.

Mais oui, au Canada, il y a une grande dissonance cognitive et beaucoup de mythes qui ont été créés et qui sont des vaches sacrées auxquelles nos esprits ont peur de se frotter. Mais maintenant que nous voyons le système démontrer sa véritable nature tyrannique, qu’il a toujours eue, mais comme nous n’y résistions pas, nous ne la ressentions pas. Mais à présent, dès que vous demandez quelque chose d’humain comme la liberté, vous voyez le masque tomber. Désormais, je pense que les gens sont beaucoup plus réceptifs à l’idée de se demander « Mais qu’est-ce qui se passe vraiment ? Qu’est-ce que cette chose appelée Canada ? » Et je pense que dans l’ensemble, les leçons des grands patriotes qui ont été évincés dans l’histoire du Canada… par exemple, nous avons eu notre dernier gouvernement national en 1963 qui a été renversé par un coup d’État dirigé par un boursier de Rhodes. En 1963, c’était notre dernier gouvernement national.

Il y a donc une soif de comprendre et je pense que plus les gens voient et réfléchissent à ce que Justin Trudeau a dit en 2017 et qu’ils observent ce qui s’est passé, plus ils arrivent à relier les choses entre elles. Ce qui est très important, c’est de se demander ce que devrait être une véritable nation souveraine. Nous savons ce qu’elle n’est pas maintenant, mais que devrait-elle faire ? Parce que nous avons de sérieux objectifs en matière de prix, la répartition de la production alimentaire, des chaînes d’approvisionnement et des infrastructures. Comment gérer cela de manière cohérente pour s’assurer que nos enfants, non seulement ne deviennent pas des esclaves dans ce système dystopique, mais qu’ils aient une vie dans laquelle ils puissent s’épanouir, où nous puissions investir dans une banque nationale qui serve les intérêts du peuple, avec d’autres nations qui s’organisent de manière commune. C’est toute une discussion qui doit vraiment avoir lieu. Et je pense que les manifestations actuelles à Ottawa sont une bonne étincelle. Il y a une aspiration à présent, comme je n’en ai jamais vu, pour ces grandes idées.

1:42:12 Reiner Fuellmich :

C’est le nationalisme canadien,…. nationalisme s’affirmant plutôt contre la couronne britannique, en substance, non ?

Matthew Ehret :

En substance. C’est basé sur un principe qui n’est pas artificiel. C’est vraiment basé sur le droit de nourrir nos familles, de travailler, d’avoir une vie. Les choses absolument fonda-mentales.

1:42:33 Reiner Fuellmich :

Une dernière question. Le pouvoir de la City de Londres combiné à la cinquième colonne de Wall Street, est-ce bien le cas ? Ai-je bien compris ? Que tout cet argent, tout ce pou-voir, était en mesure de déclencher deux guerres mondiales ? La première et la deuxième guerre mondiale, avec ces mastodontes financiers finançant les deux camps ?

1:43:04 Matthew Ehret :

Oh, oui. Absolument. J’ai l’impression d’avoir utilisé beaucoup de temps. Mais oui.

1:43:11 Reiner Fuellmich :

Ok. Je voulais juste m’assurer que je ne vous avais pas mal compris. Et enfin, les deux guerres mondiales, quiconque peut commencer deux guerres mondiales, n’a probable-ment aucun problème, parce que je l’ai noté quand vous l’avez dit, pour créer des mala-dies comme le terrorisme et le commerce de la drogue. Donc, en substance, cela a aussi eté créé, ou a été mise en place par ces mastodontes financiers que sont la City de Londres et Wall Street.

1:43:44 Matthew Ehret :

Oui, et je voudrais juste ajouter une petite chose à ce sujet, c’est que les Britanniques, et j’ai réalisé une interview avec Alex Craner basée sur une merveilleuse trilogie qu’il a écrite sur le projet britannique initial du Nouvel Ordre Mondial sous la direction de personnes comme Lord Halifax, les conciliateurs de la Grande-Bretagne qui étaient des gens comme Neville Chamberlain, qui faisaient partie d’une opération qui, jusqu’en 1939-1940, voulait toujours avoir des alliances fascistes anglo- américaines avec Hitler, et Mussolini et d’autres… pour gérer le monde dans le cadre d’un Nouvel Ordre Mondial et appliquer la po-litique eugéniste de contrôle de la population dans le cadre d’une société gérée de ma-nière scientifique depuis le plus haut niveau. C’était un projet, jusqu’à l’éviction de Neville Chamberlain, lorsque Hitler est devenu un monstre à la Frankenstein qui ne se conformait plus aux ordres et qu’il avait de plus grandes ambitions pour être à la tête du monde — au lieu d’être un exécutant secondaire de la volonté d’une classe bancaire. C’est alors qu’ils ont dû changer de stratégie et abandonner ce plan. Il y a toute une histoire là-dessus, mais oui, l’oligarchie… la leçon que j’en tire et que je souhaite que tout le monde puisse ti-rer de ça, c’est que les oligarchies se plantent beaucoup. Elles ne sont pas aussi puis-santes qu’elles veulent nous le faire croire, ce qui est, vous savez, une intimidation de l’es-prit. Chaque fois que vous regardez ce qu’ils essaient de faire… ce qu’ils essaient de faire aujourd’hui n’est pas nouveau, ils ont essayé de nombreuses fois, et généralement ça leur explose à la figure. Et cela leur porte préjudice aussi. Alors ils doivent se réorganiser et es-sayer quelque chose de nouveau.

1:45:13 Reiner Fuellmich :

Je comprends maintenant, cependant, que Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, dit qu’elle ne peut pas croire qu’elle combat les mêmes personnes, les mêmes structures, à nouveau, qu’elle a combattu il y a 75 ans, parce qu’il semble que ce qui s’est passé alors se reproduit. Matthew, je ne veux pas priver mes estimés collègues de poser des ques-tions. Alors, s’il vous plaît, allez-y, posez vos questions.

1:45:43 Dexter Ryneveldt :

Je vous remercie beaucoup pour votre témoignage. Matthiew, le sens même de votre dé-claration, le témoignage que vous avez donné, vous parlez de la nature et du droit. Comme nous le savons tous, le droit substantiel que nous utilisons dans ce grand jury est le droit naturel. J’aimerais donc que vous me disiez, sur la base de toutes les recherches que vous avez effectuées, quelle est l’importance du droit naturel pour la survie de l’huma-nité ? Et plus important encore, comment est-il lié au droit constitutionnel ? Merci.

Matthew Ehret :

Dexter, c’est une question formidable. C’est une très bonne question. D’après moi, toute l’histoire du monde a été façonnée par une bataille entre la loi artificielle — je veux dire, l’humanité est la seule espèce que nous connaissons qui crée et améliore les lois des sys-tèmes autour desquels nous nous organisons. Les autres animaux sont régis par leur géné-tique, leur environnement et leur nature pour être ce qu’ils sont, et c’est très bien ainsi. Mais les êtres humains sont les seuls à pouvoir élaborer des conceptions et à les appliquer pour gérer, volontairement, leur propre existence. Et puis, encore une fois, à pouvoir iden-tifier les problèmes de la pseudo machine métaphysique invisible de l’État et les améliorer. Mais sur quelle base devons-nous nous améliorer ? Selon quelle norme jugeons-nous les lois que nous créons nous-mêmes pour dire « Celle-ci est conforme à ce qui a été conçu par Dieu ». Et quelles sont celles qui sont déséquilibrées, qui ne sont pas en harmonie, que nous de-vons corriger, qui sont illégitimes ou, comme Thomas d’Aquin le dirait, qui constituent des formes de violence. Donc, si une loi peut effectivement détruire, vous priver de votre ca-pacité innée à exprimer votre vie, votre liberté, votre bonheur, vos pouvoirs créatifs… si c’est ce qu’une loi fait, ce n’est pas une loi, c’est une forme de violence. Elle n’a pas à être respectée. Et c’est ce que les pères fondateurs… si vous lisez les écrits de Benjamin Frank-lin, de Thomas Paine, ils étaient très sensibles au fait qu’il existe une loi supérieure. Elle n’est même pas séparée de la loi scientifique. C’est pourquoi Benjamin Franklin était à la fois un scientifique qui a découvert des principes d’électricité qu’il partageait. Mais dans son esprit, ses découvertes des lois de l’électricité n’étaient pas séparées des lois morales métaphysiques qui sont devenues le fondement de l’effort de sa vie pour créer une Répu-blique d’autogouvernance, fondée sur les droits inaliénables de l’individu et non sur les institutions héréditaires qui avaient gouverné la société pendant des milliers d’années. C’était la première fois que cela se faisait. Encore une fois, dans son esprit, il s’agissait de deux faces d’une même chose. La vraie science ne constitue pas une description mathé-matique ou une tentative d’imposer une formule à l’univers et d’attendre que l’univers s’y conforme. Il s’agit d’accorder notre propre raison créative en harmonie avec cet univers, qui sera alors toujours plus facile à découvrir. Et chaque fois que nous transmettons ces nouvelles découvertes dans n’importe quel domaine à nos semblables et que nous les ap-pliquons au processus de production, l’univers réagit en nous donnant des niveaux de vie plus élevés. Nous pouvons faire vivre un plus grand nombre de personnes à un niveau de vie supérieur à celui que nous aurions pu avoir si nous n’avions pas l’électricité, si nous n’avions pas la connaissance du feu, où nous vivions, par exemple, comme des bestiaux dans des grottes.

Mais cette nature réciproque de l’univers ayant cette qualité, que l’humanité a créée à l’image de cet univers sous certaines conditions, si nous respectons certains de ces prin-cipes, comme Benjamin Franklin et d’autres l’ont compris, nous en tirerons une plus grande émancipation. L’Empire, le système oligarchique d’une élite héréditaire, perdra les appuis où planter ses griffes, comme le parasite qu’il est, dans l’hôte. Il n’aura plus grand-chose à quoi s’accrocher, il perdra son pouvoir et implosera de lui-même, comme je pense que nous le voyons en ce moment.

1:49:19 Alex Thomson :

Puis-je ajouter quelque chose très brièvement, ce que nous voyons maintenant dans les ju-ridictions du Royaume-Uni, il y a la juridiction d’Angleterre et du Pays de Galles, la juridic-tion d’Irlande du Nord, la juridiction d’Ecosse. Les systèmes judiciaires de tous ces pays, qui relèvent essentiellement de la common law, commencent à s’attribuer, au niveau judi-ciaire, le pouvoir de décider de la « Mens Rea » ou ils sont plus avancés que n’importe quelle juridiction de common law ou de droit civil, comme nous l’avons constaté à plu-sieurs reprises, en affirmant que même si un jury est là pour la forme, et ils semblent es-sayer de s’en débarrasser maintenant sous la prétention fallacieuse que les exigences des traités internationaux les obligent à réduire l’utilisation des jurys, même si un jury est là pour la forme, ils se réservent le droit de déterminer ce qui était dans l’esprit de l’auteur du crime. Et très souvent maintenant, c’est une rédaction qui vient des fondations exo-nérées d’impôts telles que la Fondation Carnegie dont j’ai parlé plus tôt, via la bibliothèque de la Chambre des Communes, qui dit aux législateurs de Grande-Bretagne, qui ensuite entraînera d’autres pays sur la même voie, et que les législateurs sont informés qu’il existe une version terrestre du bien public ou du bien-être public, maintenant appelée bien-être collectif. C’est ce que les fondations ont fait tout au long du 20ème siècle, en créant des ennemis dans ce but précis. Et maintenant les tribunaux disent, si vous avez offensé la société, alors il n’y a pas de réparation, vous êtes coupable. Et c’est le plus grand pas en avant vers l’élimination du droit naturel que j’aie jamais vu. C’est allé plus loin que n’importe quel État totalitaire européen, que n’importe quelle cour internationale, c’est maintenant au niveau national britannique, par le biais de la législation et finalement des groupes de réflexion, que l’on abolit le concept selon lequel la loi naturelle décide si vous êtes coupable ou non.

1:51:04 Viviane Fischer :

Merci pour votre opinion, parce que nous voyons que ce n’est pas une constellation de pays fermés à 100 %. En ce moment, nous avons des réglementations encore très strictes en Australie et au Canada et ailleurs, mais vous dites qu’en Angleterre, c’est comme s’ils planifiaient ça sous un angle différent. C’est donc apparemment plus détendu pour le mo-mene, mais je veux dire qu’ils se préparent à finaliser sous un angle différent, en disant… sous un angle différent, comme créer une pénurie alimentaire en fait.

1:51:41 Alex Thomson :

Oui, j’en suis absolument convaincu, le Royaume-Uni est en tête, l’Anglo Commonwealth en second, et la résistance à cette idée sera en fait largement le fait des pays d’Europe centrale, parce qu’ils accordent plus de poids à l’état de droit et aux institutions des tribu-naux qu’aux jurés, par exemple, ils montreront une plus grande résistance, une résistance bienvenue pour ce cas. C’est certainement la Grande-Bretagne ou les groupes de réflexion basés en Grande-Bretagne qui poussent nos législateurs plus que partout ailleurs dans le monde, cette idée que si quelqu’un répond aux exigences d’un texte, il est convaincu qu’il est condamné sans aucune défense possible. C’est donc cette idée fallacieuse qui se cache derrière : « vous voulez offensé les intérêts du bien commun ? »C’est ce que je crains, et c’est ce qu’on peut comprendre, d’après ce que Matt a dit, mais je pense qu’en fait, ceux qui disent ça, c’est qu’ils ont peur, et qu’ils ne veulent aucune menace à leur narratif.

1:52:41 Reiner Fuellmich :

D’autres questions d’Ana, de Dipali, de Dexter ou de Virginie ? J’ai une question. Est-il possible que non seulement en Europe, mais aussi aux États-Unis, il y ait un mouvement qui, ayant compris ce qui se passe, essaie de prendre ses distances. Je parle des États-Unis qui essaient de prendre leurs distances par rapport aux Européens, et en particulier par rap-port à la City de Londres, parce que nous sommes tout simplement ensevelis sous les dettes, et que nous portons trop de poids mort avec nous. Je dis ça en termes courants. Qu’en pensez-vous, Alex ? Et Matthew ?

1:53:34 Alex Thomson :

Pour ma part, absolument. Et puis le récent témoignage que je vous ai donné, j’ai parlé de ça, qu’il y a une grande partie de l’Amérique centrale qui s’est réveillée et qui voit mainte-nant ce qu’ils considèrent comme un problème anglo ou anglo- européen les diriger, et je pense qu’ils commencent à en avoir marre de tout ça, à cause de la quantité de trahison impliquée et juste comme codicille au témoignage de Matt sur 1971, quand le coup finan-cier a été réalisé, une des indications que les Américains ont été utilisés comme des pions malheureux est que cette même année, Kissinger aurait dit que les militaires, et par là il entendait surtout les militaires américains, étaient des bêtes brutes et stupides qui fai-saient ce que d’autres leur demandaient et cette même année, étant le nouveau Secré-taire d’État sous l’administration Nixon. Il a obtenu d’un fabricant du Massachusetts, le seul fabricant au monde capable de produire des roulements à billes de précision, Brian Chucking Grinder, qu’il fournisse des roulements à billes à l’Union soviétique, afin de leur permettre de développer de multiples ogives pour « véhicules de rentrée indépendant », ce qui, je le sais, fait l’objet d’un de nos témoignages supplémentaires ce soir de la part de Jim Bush, alors qu’il était personnellement impliqué dans la partie américaine de cette af-faire, La quantité de trahison impliquée est telle que là où les États-Unis avaient une avance militaire ou économique, la cabale dont nous parlons l’a délibérément abolie et j’ai le sentiment très fort, grâce à mes contacts prolongés avec les États-Unis, qu’une grande partie des Américains ne souhaitent pas abolir leur héritage anglo-saxon, leur héritage de common law, mais ils en ont complètement assez du leadership intellectuel britannique et européen.

1:55:14 Reiner Fuellmich :

C’est parfaitement logique.

1:55:16 Matthew Ehret :

Je ne voudrais pas trop parler, parce que je sais que nous sommes en train de dépasser le temps imparti ici. Mais juste rapidement : il y a des cinquièmes colonnes en Russie, chaque pays a ses propres colonnes, ils ont leurs propres batailles entre les forces légi-times qui représentent leurs cultures contre ces autres infiltrations parasitaires. Je dirais qu’en Eurasie, vous avez eu un sérieux… un repli plus sérieux au point qu’il y a une véritable… Je ne pense pas que ce soit un jeu, je pense qu’il y a une véritable stratégie alterna-tive qui a été déployée en dehors du cadre de la prison de l’OTAN qui est en train d’imploser. Et qui n’est pas toujours… qui a toujours été conçue pour imploser. Et je pense qu’il y a des forces aux Etats-Unis, je le vois plus actuellement au niveau des Etats, qui ne veulent pas sombrer avec le bateau qui coule, il y a des forces partout en Europe. Malheu-reusement, les pouvoirs exécutifs fédéraux de la plupart des gouvernements transatlan-tiques ont été en grande partie récupérés, pas toujours entièrement, mais à un niveau dé-primant. Donc je n’ai pas… je ne suis pas un expert en planification géopolitique. Et j’espère que les forces créatives seront capables d’utiliser les auto-contradictions et la folie de l’empire à leur avantage, puisqu’encore une fois, cet empire est… il ne peut qu’une fois… il ne peut réussir qu’à se détruire. Et je vois qu’il y a des gens qui veulent avoir un futur, qui veulent survivre, et qui s’organisent naturellement. Et je pense juste qu’ils doivent affiner leur plan stratégique, en termes de ce qu’ils comprennent du monde, car beaucoup de gens pensent encore, surtout en Amérique… Beaucoup de patriotes qui n’aiment pas la grande réinitialisation ont tendance à tomber dans certains pièges qui sont tendus du récit de la guerre froide, que le vrai ennemi derrière tout n’est pas l’empire britannique, ce n’est pas l’oligarchie, ce n’est pas ça, ce seraient les communistes chinois qui voudraient dé-truire vos libertés, c’est ce qui serait derrière tout cela. Et vous savez, beaucoup de gens tombent dans ce piège. Et je crois que dans la mesure où ils s’accrochent à ces récits de Guerre Froide, ils vont auto- saboter leurs désirs communs de gagner la bataille contre cette menace oligarchique. Voilà, c’est ce que je tenais à dire.

1:57:31 Reiner Fuellmich :

Merci, Matthew. D’autres questions d’Ana ou de Dexter ? Ou Virginie ? Ou Dipali ?

1:57:39 Dexter Ryneveldt :

Pas d’autres questions pour ma part.

1:57:43 Ana Garner :

Aucune pour moi. Merci. Quelle belle présentation.

1:57:46 Reiner Fuellmich :

Oui, merci, Matthew. S’il n’y a pas d’autres questions, votre témoignage est terminé. Mat-thew, merci beaucoup. Nous allons maintenant nous tourner vers Brian Gerrish et Debbie Evans, pour leur présentation.

1:58:04 Brian Gerrish :

Merci beaucoup de m’avoir invité à participer. Vous m’avez demandé de me présenter. Je vais donc dire que ma première carrière a été celle d’un officier de la Royal Navy britannique. J’étais spécialisé dans la guerre anti-sous-marine. J’ai donc passé une grande partie de mon temps à traquer les sous-marins nucléaires russes, au plus fort de la guerre froide. Et bien sûr, je dirai qu’avec le temps, en vieillissant et en devenant plus sage, je me suis rendu compte que beaucoup de ce que je croyais à l’époque était incorrect. Mais pour vous donner une partie de mon expérience, j’étais très impliqué dans le système militaire à l’époque de la guerre froide. Et quand j’ai quitté la marine en 1993, j’ai découvert que tout n’était pas comme il semblait, dans la société et au Royaume-Uni. Et à force de traquer, principalement la fraude et la corruption dans ma propre ville, et d’entrer en contact avec des personnes qui voyaient la fraude et la corruption dans d’autres grandes villes britanniques, j’ai commencé à m’intéresser aux organisations qui, je le voyais, contrôlaient les événements, mais ces organisations n’étaient pas bien connues du public. Et où cela m’a mené, j’ai finalement rencontré un groupe de personnes formidables. Et maintenant, nous gérons UK Column en produisant des nouvelles trois fois par semaine. Auparavant, nous produisions un journal écrit, mais nous analysons constamment ce qui se passe.

C’est donc sur la base de mon expérience militaire antérieure, de mon expérience dans le monde civil, y compris les analyses à travers UK Column que je peux vous apporter mon témoignage ce soir. Et j’ajouterai que je suis ravi d’être accompagné d’une dame appelée Debbie Evans, qui a fait des recherches très approfondies avec nous, et j’ai pensé qu’il était tout à fait approprié qu’elle puisse donner une information de grand intérêt qu’elle a trouvé.

Maintenant, je n’ai que 30 minutes. Je vais donc essayer d’aller très vite. Et la première chose que j’aimerais faire est d’essayer d’élargir la portée de ce que nos intervenants initiaux avaient à dire dans leur témoignage. Et je crois que l’analyse démontre qu’ils ont créé des fondations, des start up et développé des organisations de gangsters. Et nous avons suivi leur histoire, nous avons appris bien des choses sur ces gens, leurs réseaux, leur mode d’opération, nous avons quelques preuves d’événements mondiaux qui nous montrent que ces groupes opèrent.

Si nous regardons comment les gangsters ont été traités et éliminés avec succès dans le passé, si nous nous intéressons à Al Capone ou d’autres gangsters, l’Amérique est probablement le bon endroit pour ce genre d’analogie.

On les a fait tomber en enquêtant sur les crimes qu’ils ont commis et en recueillant les preuves réelles de ces crimes, qu’il s’agisse de meurtres, de trafic de drogue ou de prostitution, il fallait les preuves réelles du crime, il fallait prouver l’intention. Il devait y avoir les personnes nommées qui étaient impliquées dans ces crimes.

Et ce n’est que lorsque les preuves ont été apportées qu’ils ont pu être traduits en justice et déclarés coupables, ou du moins traduits devant la loi, et finalement purger leur peine. Je vais donc dire que pour notre jury, qui est un public mondial, les deux premiers intervenants ont fait un excellent travail en disant qu’il y a une conspiration, un groupe de gangsters qui opèrent, ils ont un pouvoir et une richesse énormes.

Qu’est-ce que ces gangsters essaient de faire ? Je pense que l’objectif de ces gangsters est la domination du monde. Ils veulent tout contrôler, la société, les matières premières, les méthodes de production, les gens, la politique, tout doit passer sous leur contrôle. Et finalement, nous disons alors, quels sont les crimes ? Eh bien, le gardien des crimes les notait pendant que j’écoutais les orateurs. Nous regardons l’oppression, nous regardons l’esclavage. Nous parlons de la pauvreté, de la faim, de la traite des êtres humains. Et finalement, nous parlons de la mort. Et à ce stade, je crois que nous avons maintenant un événement mondial majeur très important qui se produit. Il s’agit de la pandémie de COVID 19, suivie d’un programme de vaccination, parce que, selon moi, les preuves irréfutables montrent que ces gangsters tuent des gens. Nous sommes donc ici pour, un recours à la loi pour parler de crime.

Quel est le crime, à mon avis, le crime est de perpétrer la mort. Les années précédentes, nous avons vu des gens mourir à cause des guerres qu’ils avaient créées. Mais plus récemment, nous voyons des gens mourir à cause de l’introduction d’une pandémie, et de la façon dont cette pandémie a été traitée, et de la façon dont elle est traitée entre guillemets avec un programme de vaccination. Maintenant, les deux intervenants ont mentionné quelque chose, qui je pense est très important. Alex a dit qu’ils veulent contrôler les esprits, et qu’ils veulent « un contrôle civil sur des personnes politiquement attardées ».. Et cette dernière citation montre absolument l’arrogance de ces individus, de ces gangsters, parce qu’ils croient que toute opinion qu’ils ont est l’opinion correcte, la valeur correcte. Et toute personne qui les conteste est un vaurien, qu’ils veulent en fin de compte éliminer de leur champ d’action, et qu’est-ce que cela signifie ? En fin de compte, ils voudraient que ces gens disparaissent et meurent.

Alors rappelons-nous et faisons le lien avec le fait que nous avons dit que c’est une bataille pour nos esprits, et c’est très vrai en ce moment lorsque je vous livre mes premières pensées sur ce qui se passe. Mais nous devons être conscients qu’à côté de la pandémie de COVID 19 et du programme de vaccination qui en découle, nous devons être conscients qu’il y a une bataille contre nos esprits avec une attaque psychologique politique appliquée. Donc, il se trouve que j’ai deux documents avec moi, le premier est intitulé santé mentale. Le sous -titre est planification stratégique pour la santé mentale, il a été rédigé par un certain JL Reese.

Il est intéressant de noter que la date figurant sur ce document que je détiens est octobre 1940. Donc, au milieu de la Seconde Guerre mondiale, au début de la Seconde Guerre mondiale, je devrais dire, nous avions un groupe de personnes qui allaient plus tard devenir très puissantes au sein du système de l’Organisation mondiale de la santé, qui discutaient de la manière dont ils allaient mettre en œuvre ce qu’ils appelaient l’hygiène mentale dans la nouvelle société.

Et ils ne se sont pas gênés parce qu’ils ont dit qu’en faisant cela, ils allaient infiltrer les organisations sociales, ils allaient attaquer les professions, ils allaient infiltrer les activités sociales, et les sociétés professionnelles, et qu’ils allaient déclencher un plan et une propagande à long terme. Et je vais appuyer ce document de 1940 en disant très rapidement, j’en ai un autre entre mes mains, que je suis bien sûr heureux de partager ceci en tant que preuve. Il s’intitule Psychiatrie, il fait partie du « Journal of the biology and pathology of interpersonal relations », il est daté de février 1946.

Et il parle du rétablissement de la société en temps de paix, et l’auteur est un certain G.B Chiesel2. Et si les gens font des recherches sur ce nom, ils trouveront un autre personnage qui est profondément lié au type de sociétés que les sujets nous présentent de manière très concise. Pourquoi devrions-nous y prêter attention aujourd’hui ? Parce qu’il parle de l’utilisation du système psychiatrique, afin de mettre en œuvre ce programme d’hygiène mentale. Et si notre jury souhaite savoir ce que signifie « l’hygiène mentale », et bien cela signifie essentiellement que vous n’êtes pas apte à être un être humain, à moins que vous n’adoptiez les vues, les valeurs et les opinions des gangsters qui, nous l’avons déjà identifié, ont un plan de domination.

Je voudrais dire que lorsque j’ai commencé à faire des recherches sur ce qui se passait au Royaume-Uni du point de vue de la criminalité et de la fraude, des menaces et des brimades au niveau local, j’ai rapidement établi, à mon grand étonnement, qu’il existait une organisation caritative, appelée « Common Purpose », qui agissait de manière très politique en créant de futurs leaders. Et j’ai été fasciné par le fait que ces personnes s’installaient dans les villes britanniques et manipulaient de manière efficace en prenant le contrôle, pourrait-on dire, de la politique dans ces villes.

Donc, il y avait un groupe de personnes qui recrutaient des gens, qu’ils pouvaient considérer comme de futurs leaders, et qui commençaient à prendre le contrôle de villes au Royaume-Uni. Eh bien, si j’élargis le propos, en quelques années, cette organisation a opéré à l’étranger, dans des pays comme l’Allemagne, la Hollande, l’Inde, l’Australie, où ils recrutent des gens dans ces pays, afin de les intégrer dans un programme « d’agents du changement » pour changer notre façon de penser et de faire des affaires dans la société. Et si nous demandons d’où vient cette organisation, elle a été créée en 1985 environ, à la suite du retour d’une femme en particulier, la directrice générale de l’époque, Julia Middleton, de Chicago, me semble t’il, mais en tout cas, elle disait avoir appris des choses étonnantes sur la façon de changer la société. Et le point intéressant était qu’une grande somme d’argent a été collectée auprès d’un certain nombre de banques. Et rappelez-vous, le pouvoir monétaire a été au centre du dialogue des deux premiers intervenants, mais « Common Purpose » a pu se lancer grâce à des fonds provenant de grandes banques qui n’ont jamais été divulgués. Cependant, je peux dire avec une grande certitude que la Deutsche Bank était l’une des principales banques travaillant avec cette organisation.

Maintenant, pourquoi est ce que je parle de « Common Purpose » ? Eh bien, « Common Purpose » était un exemple clé d’une organisation que vous pouviez suivre, vous pouviez consulter les documents, vous ne pouviez pas voir les gens. Et vous pouviez constater qu’elle mettait en place un plan pour changer notre société sans que le citoyen moyen ne le réalise.

Alors où voulons-nous en venir maintenant ? Je pense que nous devons faire un petit récapitulatif de ce qu’Alex a mentionné, parce que j’aimerais vous ramener au document sur le concept mental, qui est ma première diapositive, si nous pouvons l’afficher à l’écran. – Introuvable sur internet, retranscription phonétique du nom énoncé à l’oral. Et ce document produit par le « Cabinet Office Britannique », est un document dans lequel ils ont travaillé avec des psychologues pendant longtemps, pour apprendre comment changer la façon dont les gens pensent et se comportent, sans que les gens comprennent ce qui se passe.

Ce n’est pas une simple opinion de ma part, car si nous passons à la deuxième diapositive, j’espère qu’elle s’affiche à l’écran. Si vous lisez le texte à l’écran, il est dit que le gouvernement, le gouvernement britannique, serait capable de contrôler les pensées des gens, la façon dont ils pensent et les comportements qu’ils adoptent. Et les gens ne se rendent pas nécessairement compte que cela s’est produit, il n’auraient pas conscience, que leur comportement, leurs pensées auraient changé, ils ne le sauraient pas. Mais le document précise encore que si les gens se rendaient compte que leur comportement avait changé, ils ne sauraient pas nécessairement comment cela aurait été fait.

Maintenant, laissez-moi relier cela, plus ou moins à ce jour avec la pandémie de COVID 19, parce que si nous amenons la diapositive trois, sur votre écran, ce sont les rapports de « Spy B », comme on l’appelle, c’est une section des scientifiques experts du gouvernement britannique, des groupes d’experts, qui faisaient des commentaires sur la façon dont nous devrions, je cite, combattre le COVID. Mais « Spy B » était une équipe de spécialistes, y compris des spécialistes du comportement, qui ont utilisé la psychologie appliquée pour amener les gens à adhérer à la politique du gouvernement britannique sur le COVID-19. Et c’est pourquoi j’attire l’attention des gens sur deux paragraphes : l’un se trouve en bas de la page de gauche, où il est dit que le niveau perçu de menace personnelle doit être augmenté chez les personnes confiantes, en utilisant des messages émotionnels percutants.

C’était donc une équipe gouvernementale qui préconisait l’utilisation de la psychologie appliquée pour rendre les gens craintifs. Et je dirais qu’il n’est pas étonnant que nous ayons maintenant des psychologues et des psychiatres qualifiés qui soulignent le danger de rendre les gens peureux, en particulier si vous utilisez des techniques qui impliquent qu’ils n’ont aucun moyen de savoir d’où vient cette peur. Ce n’est pas mon jugement, je cite directement les propos de l’homme du gouvernement britannique. Et ce qui est tout aussi inquiétant, c’est qu’un paragraphe ultérieur, le paragraphe sept, parle de coercition, dans lequel il est dit que l’on devrait envisager l’utilisation de la désapprobation sociale. Mais avec une forte mise en garde concernant les conséquences négatives indésirables. Ce dont ils parlent, c’est d’utiliser les gens pour faire la police entre eux, pour dire, je porte un masque, vous ne portez pas de masque, vous êtes une mauvaise personne, sortez de mon chemin. Mais la mise en garde qu’ils ont introduite à ce sujet est qu’ils reconnaissent que cette technologie psychologique pourrait déclencher la violence dans les communautés.

Maintenant, je passe rapidement dans cette présentation sur la façon dont ils parlent dans le domaine du contrôle des populations où nous voyons le gouvernement britannique en 2009 en 2010, figurant sur ce document original, mais jusqu’à aujourd’hui aussi, se vanter du fait qu’il pourrait utiliser la psychologie appliquée pour changer la façon dont les gens pensent et la façon dont les gens se comportent.

Qu’ont-ils fait de cette méthodologie ? Cette psychologie a été en fait vendue initialement aux États-Unis et à l’Australie… regardez ce qui se passe en Australie avec le verrouillage COVID en ce moment, mais finalement, ces technologies psychologiques, comme Debbie va en parler dans quelques instants, ont été vendues dans le monde entier.

Nous avons donc maintenant des gouvernements du monde entier capables d’utiliser cette psychologie comportementale appliquée pour changer les opinions, les valeurs et le comportement des gens qui ne savent tout simplement pas que cela a été utilisé contre eux. Et pour renforcer ce point, si on peut faire apparaître à l’écran la quatrième diapositive, voici un document que je n’ai trouvé que très récemment, mais qui s’intitule « Behavioural Insights applied to policy, Germany country overview », c’est un document de l’UE, qui vante effectivement exactement la même chose, à savoir comment la psychologie comportementale appliquée peut être utilisée pour changer l’opinion publique communautaire. Et il donne toute une liste d’organisations allemandes, dont je suis sûr qu’elles seront, pardon, je suis sûr qu’elles seront beaucoup plus significatives pour le jury que pour moi, mais beaucoup d’entre elles sont des universités et des organismes de recherche.

Ce document est la preuve vraiment évidente que ces techniques de psychologie politique ont certainement été répandues dans toute l’Europe.

Je vais donc suggérer qu’il est très clair que nous avons une équipe de gangsters au pouvoir, qu’il s’agisse du Royaume-Uni, de l’Union européenne ou des États-Unis, et qu’entre les mains de ces gangsters, il y a une méthode de psychologie comportementale très dangereuse.

Permettez-moi maintenant de passer au sujet du COVID-19, et en particulier aux effets des vaccins.

Au Royaume-Uni, nous avons la « Medicine and Health Products Regulatory organization », la MHRA, qui est censée assurer la sécurité du public en ce qui concerne les produits pharmaceutiques et les vaccins. Et dans le cadre du programme de vaccination au Royaume-Uni, ils ont recueilli des données sur les effets indésirables des vaccins, excusez-moi… qu’ils appellent les « Yellow Cards ». Et à ce jour, si je peux trouver les chiffres, parce que je les ai notés, aujourd’hui… leurs propres statistiques disent qu’il y a eu près un million et demi d’effets indésirables des vaccins, et qu’il y a eu près 2000 décès, avec une mise en garde qu’ils ont faite eux-mêmes pour dire qu’ils pensent qu’il est probable que seulement 10 % des effets indésirables des vaccins qui se sont réellement produits ont été enregistrés. Bien entendu, cela fait passer le nombre de décès de 2000 à 20 000.

Ce qui est intéressant, c’est que nous commençons à voir les décès dus aux vaccins dépasser les dommages causés par le COVID-19. Mais nous devons nous rappeler que la MHRA est un département gouvernemental parfaitement prêt à utiliser les mêmes compétences en psychologie appliquée, que le gouvernement britannique s’est vanté de pouvoir utiliser, pour tromper le public et changer son comportement.

Ainsi, lorsque nous nous sommes adressés à la MHRA et que nous leur avons posé une question simple : où est votre évaluation quantitative des risques pour montrer que les effets indésirables des vaccins ne sont pas le résultat des vaccinations elles-mêmes ? La MHRA s’abstient de répondre et produit des réponses très confuses. Mais le fait est que cette organisation clé, la MHRA, n’a pas mené d’évaluation quantitative des risques concernant les effets indésirables des vaccinations.

Et je veux dire au jury, nous sommes dans un tribunal, la MHRA a le devoir de protéger le public des produits pharmaceutiques dangereux. Elle sait que des gens meurent à cause de la campagne de vaccination. Et je voudrais ajouter que le gouvernement britannique le sait certainement. Mais il est prêt à utiliser la psychologie dans tous les domaines, écrits et médiatiques, autour des dangers du COVID dans la politique de vaccination.

Avant de céder la parole à Debbie pour qu’elle explique le fonctionnement du système. Je voulais juste souligner que, bien sûr, l’ensemble du contrôle de la politique du COVID-19, et la soi-disant politique de soins de santé autour des vaccinations COVID-19 a été effectué par le Cabinet Office britannique qui a une équipe de psychologie comportementale appliquée intégrée. Nous savons donc de quoi ils sont capables, ils s’en vantent dans leur propre document. Et finalement, nous voyons la preuve réelle que des gens souffrent et meurent.

Mais j’aimerais passer la parole à Debbie, parce que si nous suivons cette piste, nous arrivons à la façon dont le système fonctionne au Royaume-Uni, où du moins, nous assistons à une forme de fascisme médical, entre le gouvernement et l’industrie pharmaceutique mondiale, travaillant aux côtés des universités et des organisations caritatives dans ce qui a été appelé le Triangle d’or au Royaume-Uni. Donc permettez moi de passer la parole à Debbie, pour utiliser les 15 dernières minutes.

2:21:23 Debi Evans

Merci, Brian. Bonsoir à tous. Mon nom est Debbie Evans. Je suis une infirmière diplômée d’État à la retraite. J’ai été formée au Royal Free Hospital de Londres, où, par coïncidence, on soigne la fièvre de Lassa depuis aujourd’hui au Royaume-Uni. Et j’ai suivi une formation postuniversitaire à l’hôpital St. Bartholomew dans la ville de Londres. Et j’ai été conseiller au ministère de la santé pour le gouvernement britannique pendant cinq ans et je suis un chercheur médical et Brian nous a amené là dans ce que nous appelons au Royaume – Uni le triangle des hôpitaux ou les université d’or, le triangle d’or des universités, et il y a une capture d’écran d’une carte du Royaume-Uni, si vous pouvez l’afficher juste pour montrer les emplacements d’Oxford, Cambridge et Londres, dans ce triangle, je ne sais pas si vous pouvez le voir ou non. Vous pouvez le voir fabuleux.

Cambridge est le plus grand centre de technologie numérique du Royaume-Uni. Elle est classée 12e dans l’indice numérique européen, et elle est en fait connue sous le nom de Silicon Fen. Il y a un énorme campus biomédical sur le site, il y a une capture d’écran du campus biomédical, qui vous indiquera ce qu’il y a sur le puissant campus biomédical et ce qu’on y trouve, entre autres l’hôpital Papworth, qui a été déplacé sur le campus biomédical et qui est spécialisé dans le cœur et les poumons. Nous avons également l’hôpital d’Addenbrooke, spécialisé dans les dons d’organes et les transplantations. Boris Johnson, notre Premier ministre, nous a également annoncé qu’un hôpital de recherche sur le can-cer serait également érigé sur ce campus, ce qui représente un coût énorme malgré le fait que les taux de cancer au Royaume-Uni sont en baisse, le Medical Research Council Can-cer Research UK, sur lequel je reviendrai dans une minute, le laboratoire régénératif McLa-ren et le centre de transfusion sanguine du NHS. Donc tout cela est entre autres, à Cam-bridge et AstraZeneca a son siège avec GlaxoSmithKline aussi, ce qui est intéressant à propos de Cambridge, c’est que Cancer Research UK, qui est censé être une organisation caritative, mais semble ne pas l’être du tout.

Le professeur Robert West est consultant pour Cancer Research UK. Et il fait également partie de l’équipe B, l’équipe comportementale dont Brian vient de parler à propos de « Sage ». La femme du professeur Robert West, le professeur Susan Michie, est à la tête de l’équipe Behavioural Insights au cabinet ministériel. C’est une communiste de longue date, qui a conçu la méthode de changement de comportement et l’a déployée dans de nombreux pays. Le Behavioural Insights Team semble être devenu mondial.

En ce qui concerne le triangle d’or d’Oxford, nous avons l’une des économies de technolo-gie numérique les plus dynamiques du Royaume-Uni, avec un grand campus, Oxford Nano-pore, de très haute technologie, et un campus médical. Nous avons aussi Milton Keynes, qui est mentionnée dans ce triangle d’or parce que c’est la première ville intelligente du Royaume-Uni qui utilise des capteurs, et je reviendrai sur l’innovation technologique.

Donc, en arrivant à Londres, il y a une autre diapositive, Med city. Si vous pouvez la voir, qui est une ville économique de la connaissance, elle est censée être la capitale numé-rique de l’Europe. Et elle a été nommée par Tech Nation, attirant 2,1 milliards de milliards d’investissements. Donc le Triangle d’Or au Royaume-Uni est l’endroit où toute l’attention semble être concentrée. Le gouvernement britannique vient d’ailleurs de l’annoncer, en in-vestissant 5,5 milliards dans les infrastructures autour du Triangle d’Or, parfois connu sous le nom de « Lox Bridge Triangle » et de « The Brain Curve », je crois qu’on l’appelle aussi ainsi. Ainsi, lorsque nous examinons le Triangle d’Or, et que les universités sont mieux impli-quées, nous pouvons voir que les « Universités d’Or » Oxford et Cambridge, j’y ai également rattaché le Russell Group, qui sont 24 universités au sein du Russell Group, qui travaillent très étroitement avec les universités du Triangle d’Or et reçoivent beaucoup de fonds.

Ce que je vois, c’est que deux choses se profilent à l’horizon. La première est que la MHRA, au Royaume-Uni, souhaite devenir l’organisme de réglementation mondial. Raj Long, qui est directrice adjointe de la Fondation Bill et Melinda Gates, siège à son conseil d’adminis-tration. Elle est spécialisée dans la sécurité et la pharmacovigilance et est également le scientifique en chef de Microsoft. Nous voyons donc d’énormes conflits d’intérêts ici. Nous constatons également des conflits d’intérêts entre le gouvernement britannique et les mi-nistres. Certains ministres ont des intérêts dans les quatre grandes sociétés d’audit, KPMG et Microsoft, ainsi que dans Deloitte, AstraZeneca, Goldman Sachs et la Banque euro-péenne d’investissement. Donc beaucoup de nos ministres ont des conflits d’intérêts dans ces… dans ces domaines.

Ce que nous pouvons voir, c’est que Deloitte en particulier, en se concentrant sur Deloitte pour une minute, parce que Deloitte & Ernst, KPMG, et Price Waterhouse Coopers repré-sentent 67 % de la gestion comptable mondiale, soit quatre sociétés basées à Londres.

Deloitte a été central dans le « test and trace »

Lord Bethel, qui a maintenant démissionné, avait une société qui ne faisait que du lob-bying au nom de Deloitte, pour des appels d’offres. Et c’est très inquiétant de voir que lorsque vous voyez toutes ces sociétés imbriquées les unes dans les autres, ce qui pourrait se passer à l’avenir, et je veux juste revenir très rapidement sur la façon dont les orga-nismes de bienfaisance semblent être impliqués dans cette affaire ainsi que les organisa-tions gouvernementales et ce que j’appellerais en fait le cancer du Royaume Unis. Je cherche mes notes. Je suis vraiment désolé. J’ai un carnet de notes pour essayer d’être très rapide, parce que je sais que nous n’avons pas beaucoup de temps.

On ne peut pas dire que le Royaume-Uni soit financé par de nombreuses sociétés pharma-ceutiques. En fait, je dirais que c’est le centre de recherche et de développement des so-ciétés pharmaceutiques, AstraZeneca GlaxoSmithKline, Bill et Melinda Gates, mais aussi le professeur Robert West, le mari du professeur Susan Michies, qui conseille la recherche sur le cancer, une équipe d’analyse comportementale, financée par Pfizer et par Cancer Research UK, qui se trouve également au milieu du campus biomédical de Cambridge. En outre, en ce qui concerne le gouvernement britannique, il a publié un guide sur l’hésitation à se faire vacciner avec des mesures d’intervention le 27 septembre 2019, bien avant que Wuhan ne soit mentionné. Ils se penchent également sur la résistance aux antibiotiques, qui me préoccupe beaucoup.

Le gouvernement britannique a son propre représentant, Sally Davis, qui a été notre chef du département de la santé, et qui est la représentante du Royaume-Uni pour la résistance anti-microbienne. Et ce que je vois venir, c’est que les gens sont testés pour le VIH, mais selon Forbes, la prochaine pandémie devrait être la tuberculose. Je sais que le professeur Montagnier, — j’aimerais envoyer mes sincères condoléances à sa famille et à tous ceux qui le connaissent, c’est extrêmement triste qu’il soit décédé récemment. Mais le Professeur Montagnier faisait allusion à l’un de ses collègues à propos du vaccin BCG. Et il semblerait que le professeur Chris Whitty, notre médecin en chef, ait fait une présentation à la maison Gresham il y a trois nuits, et qu’il ait également fait le lien entre la tuberculose et le VIH. Et l’Organisation Mondiale de la Santé est très désireuse d’éradiquer la résistance aux antimicrobiens. Et la tuberculose, — nous avons le BCG pour la tuberculose, depuis très longtemps, et on pense que les taux de tuberculose augmentent de façon exponentielle, y compris ici au Royaume-Uni. Et nous assistons maintenant au développement de nouveaux vaccins contre la tuberculose et de nouvelles installations de dépistage de la tuberculose.

Je regarde donc l’ensemble et je vois des références à la tuberculose. Je m’intéresse également au cancer et à la démence, car il semblerait qu’ils soient également en augmentation. En particulier, en ce qui concerne le cancer, nous ne connaissons évidemment pas les effets secondaires à long terme des vaccins, ni s’ils peuvent être cancérigènes, mais il est certain que l’un des antiviraux qu’ils utilisent ici au Royaume-Uni et au Royaume-Uni seul, le Molnupinavir, semblerait être cancérigène, tératogène et mutagène. Nous l’utilisons ici dans le cadre d’un essai clinique avec le panoramique, de sorte que les patients qui le reçoivent sont immédiatement connectés à l’essai.

Toutes ces choses que nous voyons maintenant se dérouler, je ne sais pas si vous êtes au courant de la pandémie SPARS de 2025 à 2028, qui était un scénario futuriste. Je pense que Brian pourrait probablement vous en montrer une copie. Je pense qu’il en a une à portée de main. Pandémie SPARS, de 2025 à 2028, qui était un scénario futuriste du Centre John Hopkins sur ce qui se passerait si un coronavirus infectait le monde. Cela vous liste les événements mois par mois : ce à quoi vous pouvez vous attendre de la part des médias, des entreprises pharmaceutiques, des gouvernements, en ce qui concerne les confinements, les tests, les antibiotiques et la résistance aux antibiotiques. La résistance aux antibiotiques est un sujet très, très important, sur lequel tout le monde se penche, la Banque Mondiale, le Forum Economique Mondial, le gouvernement britannique, presque tous les gouvernements du monde s’intéressent à la résistance aux antibiotiques. Je me dis donc que nous pourrions peut-être nous intéresser aux superbactéries à l’avenir.

En ce qui concerne le retour aux Big 4, mais il semblerait que nous ayons également des conflits d’intérêts en ce qui concerne le PDG de Deloitte, qui a quitté Deloitte pour prendre sa retraite, mais qui fait maintenant partie du conseil d’administration de Pfizer.

Nous avons également le gouvernement britannique, le Hansard du gouvernement britannique. En mai 2014, il devait y avoir une fusion entre Pfizer et AstraZeneca. Mais le gouvernement britannique était très indécis à ce sujet. Il y a donc une référence dans l’Hansard au volume 753, elle a été débattue le 6 mai 2014, et encore dans la colonne 161 le 7 mai 2014, avec l’ancien secrétaire d’État Matt Hancock qui parle.

Notre gouvernement britannique est impliqué jusqu’au cou, je crois, en ce qui concerne les produits pharmaceutiques, nous semblons nous diriger vers une superpuissance mondiale des sciences de la vie, depuis que nous avons eu le Brexit, la plupart de l’agenda concerne les sciences de la vie et comment nous pouvons être le partenaire mondial des sciences de la vie.

Cancer Research UK et l’organisation Francis Crick travaillent ensemble et sont financés en grande partie par des dons publics, mais aussi par les grandes entreprises pharmaceutiques. Il y a aussi des publicités dans les médias grand public pour une société appelée Omaze, et c’est un concours où vous pouvez gagner une maison de 3 millions de livres, mais les dons et les recettes vont au Cancer Research UK. Certains des bailleurs de fonds de Cancer Research UK, qui sont basés sur le campus biomédical de Cambridge, sont la Fondation Bill et Melinda Gates, Google, le Forum Economique Mondial, Imperial College, Cambridge, UKRI3, la Banque d’Angleterre AstraZeneca, le Crick Institute, CQC, et la BBC. Ils sont donc très, très lourdement financés. Et je ne pense pas que le public le sache lorsqu’il saute d’un avion pour essayer de collecter des fonds pour la recherche sur le cancer.

Le Pr. Witthey et que tous nos experts nous disent que les taux de cancer sont en baisse. Cependant, nous semblons tester des personnes en bonne santé au Royaume-Uni pour le cancer en utilisant une société de Bill Gates, Grail, qui était une coentreprise avec Jeff Bezos, elle a maintenant été contractée pour travailler au sein du National Health Service, afin de séquencer le génome en utilisant le cancer, nous testons des personnes en bonne santé. Et je voudrais demander pourquoi nous testons des personnes en bonne santé. La raison invoquée par les gouvernements est que le fardeau et le coût du cancer, du vieillissement et de la démence sont si élevés que nous devons accélérer rapidement le diagnostic et le traitement. En fait, la sécurité passe à peu près à la trappe, comme c’est le cas pour le développement des vaccins, qui va maintenant être confié à Bill et Melinda Gates et à Patrick Balance, dans le cadre de la « 100 Days Mission ». Ainsi, pour toute autre pandémie qui pourrait survenir, vous pouvez garantir que vous disposerez d’un vaccin dans les 100 jours, conformément à la « 100 Days Mission ». Mais je ne sais pas si quelqu’un veut poser des questions, je suis très consciente que je suis en train de dépasser le temps. Donc je ne veux pas prendre trop de place.

2:37:31 Ana Garner :

Je voudrais poser des questions à chacun d’entre vous, s’il vous plaît, concernant la manipulation psychologique qui a eu lieu. Je m’appelle Ana Garner et je viens du Nouveau Mexique, aux États-Unis. Mlle Evans, vous avez mentionné que vous aviez été conseillère du gouvernement au ministère de la Santé. Et c’est très pertinent ici. Parce que j’ai l’impression que cela s’est passé aux États-Unis de manière extensive. En tant que conseiller du département de la santé publique. Savez-vous qu’ils utilisent les techniques psychologiques et comportementales dont M. Gerrish a parlé, comme un moyen d’appliquer leur programme de coercition et d’isolement social, la coercition des personnes subissant des interventions médicales expérimentales, avez-vous remarqué que cela fait partie de leur modus operandi, dirons-nous ?

2:38:29 Debi Evans :

Lorsque j’étais conseillère au ministère de la Santé, ce qui devenait flagrant, c’est que tout conseiller était vraiment là pour la forme, et que nous n’étions pas vraiment écoutés. Beaucoup d’entre nous étaient ignorés. Je ne dirais pas que nous avons été contraints. Je n’ai certainement pas l’impression d’avoir été forcée à dire ou à faire quoi que ce soit. Je suis assez forte. Alors je les ai défié, probablement que le fait que je défie les gens causait plus d’ennuis parce que je ne me conformais pas. Mais c’était purement symbolique. Pour la coercition, oui, je pouvais voir d’énormes problèmes au sein de la fonction publique, beaucoup de problèmes personnels, beaucoup d’intimidation. J’étais très proche de l’un — A prononcer U-K-R-I — des hauts fonctionnaires de notre conseil d’administration, dirigé par Norman Lamb, le secrétaire d’État de l’époque, et il y avait beaucoup d’intimidation. Il y avait beaucoup de compétition au sein de la fonction publique, nous l’avons remarqué, mais en tant que conseiller, je ne faisais pas partie de la fonction publique. Donc c’était juste mes observations.

2:39:40 Ana Garner :

Je ne veux pas vous interrompre ou quoi que ce soit, mais ce à quoi je faisais référence sont les techniques psychologiques pour contraindre les gens, par opposition aux personnes impliquées dans le conseil, plutôt le public.

2:39:56 Brian Gerrish :

Puis-je intervenir ?

2:39:59 Ana Garner :

Oui.

2:40:00 Brian Gerrish :

Je vais répondre. Dans le cadre des recherches avec UK Column, nous l’avons fait par le biais de UK Column. L’un des domaines qui nous intéressait le plus était la formation au sein de notre service national de santé par cette organisation caritative, qui sélectionnait les futurs dirigeants. C’était donc Common Purpose. Nous avons donc vu la manipulation des gens et de leurs valeurs par cette organisation particulière. Et cela s’est transformé en un secteur spécifique du NHS, appelé NHS leaders. Il s’agissait soi-disant de personnes à la carrière accélérée qui allaient mener le NHS vers des soins de santé encore meilleurs. Mais ce que nous constatons, c’est qu’au fur et à mesure que ces leaders, avec leurs valeurs nouvellement acquises, se sont révélés, le style de gestion du NHS est devenu de plus en plus dominateur et intimidant. Et les idées sont devenues de moins en moins axées sur les soins et le traitement des personnes malades ou blessées. Et ça s’est plus axé sur l’importance des profits et de l’argent au sein du NHS. Il était évident que la psychologie des gens était manipulée. Nous avons mis en ligne sur le site UK Column un article intitulé « Vers un million d’agents de changement ». Et ce n’était pas notre titre. C’est le titre d’unarticle écrit par un membre du NHS, formé par Common Purpose, qui a dit que le NHS, afin d’atteindre, selon mes mots « une future utopie », allait avoir besoin d’un million d’agents de changement. Et qu’est-ce qu’ils entendent par là ? Des personnes qui allaient perturber les performances du NHS, afin d’assurer sa transition vers ce qui était censé être une prestation de classe mondiale. Je peux donc vous donner un exemple spécifique où nous avons examiné comment la gestion et le leadership au sein du NHS et de la présidence ont changé.

Je vais vous donner un exemple très simple sur la psychologie appliquée dans le NHS pendant la crise du COVID. Parce que des mantras ont été introduits, au lieu de décisions médicales, les infirmières et les médecins ont commencé à suivre des mantras. Et l’un de ceux qui nous a été dit par un médecin pleinement qualifié ou hautement qualifié au cours des derniers jours, et par les proches de quelqu’un qui avait souffert était que le mantra était « Non vacciné, mort assurée », « Non vacciné, mort assurée ».

C’est simplement que si la personne était considérée ou étiquetée comme ayant le COVID, s’il a été déterminé qu’elle n’était pas vaccinée, le seul résultat de leur traitement médical était la voie de la mort. Et il ne fait aucun doute que ces mantras de trois mots que nous avons vus utilisés par le gouvernement en particulier ont été transmis au NHS, à tel point, que des médecins qualifiés nous ont dit qu’ils étaient stupéfaits de ne pas pouvoir discuter des chiffres authentiques du gouvernement sur, par exemple, les effets indésirables des vaccins, parce que la personne se détourne simplement d’eux, refuse de leur parler ou devient très agressive. Et le fait psychologique sur lequel nous pouvons nous appuyer en ce moment dans le témoignage est la disonnance cognitive chez les individus qui résulte du changement de leurs valeurs mentales. Je pourrais en parler pendant longtemps, mais je vais dire que oui, nous constatons certainement qu’il y a une application de la psychologie dans de nombreux domaines du NHS, et son effet global est une dégradation du traitement des soins de santé. Dans la mesure où des personnes sont tuées alors qu’elles auraient pu survivre sans problème si elles avaient reçu le bon traitement.

2:44:44 Ana Garner :

Oui, merci pour cette clarification. Et j’avais aussi une question complémentaire pour vous, M. Gerrish, qui est la suivante. Cette opération psychologique par définition semble être très subtile et la plupart des gens n’ont pas conscience d’être manipulés. Si c’est le cas, avez-vous une opinion sur la façon dont on peut atteindre ces personnes de manière à les réveiller ? J’ai entendu parler de la dissonance psychologique et de ce genre de choses, la dissonance cognitive, y a-t-il un moyen d’encourager ces personnes à voir ce qui se passe réellement, qu’elles sont manipulées de cette façon ?

2:45:27 Brian Gerrish :

C’est bien sûr une question très importante, et la réponse, et je parle en mon nom ici, parce que je n’ai pas de formation professionnelle en psychologie. Mais à la suite de mon travail et de mes enquêtes depuis de nombreuses années, et des conseils que j’ai reçus de personnes pleinement qualifiées, je vais emettre un commentaire personnel, mais je crois que c’est très approprié. Si vous appliquez une forme d’hypnose aux gens, l’effet sur un public ciblé forme généralement une courbe en cloche.

Vous trouverez que certaines personnes peuvent être complètement hypnotisées, j’ai fait des mises en scène pour démontrer comment les gens feraient des choses qu’ils ne feraient pas normalement devant un public parce qu’ils sont dans un état de transe. Mais si nous utilisons plus de formes de manipulation, l’effet sur le public cible est une courbe en cloche. Certaines personnes sont très absorbées par le message qui a été transmis, mais ca tombe d’un côté ou de l’autre pour certaines personnes sur qui ça ne prend pas.

Les indications que nous avons eues jusqu’à présent, et qui ont été confirmées par des psychologues qualifiés, sont les suivantes : en premier lieu, nous devons nous concentrer sur les personnes qui ne sont manifestement pas affectées afin de diffuser le message d’avertissement sur ce qui se passe. Nous devons clairement cibler les professionnels de la psychologie et de la psychiatrie pour dire qu’il s’agit d’un abus de ces professions particulières, en particulier les psychologues cliniques et les psychiatres, qui peuvent dire qu’il y a un résultat bénéfique pour la santé. Et aussi de se rendre compte que les gens qui ont été soumis à cette forme de recadrage ou de manipulation mentale sont des victimes, et donc il faut les traiter de manière très douce et rassurante. Pourquoi ? Parce que si nous les abordons d’une manière très brutale, d’une manière noire et blanche pour essayer de leur faire voir la vérité, le résultat est que soit ils vont devenir très hostiles, le résultat sera une dissonance cognitive, ou peut-être qu’ils vont devenir malades mentalement en raison de l’immense attaque contre leur système de valeurs.

Je voudrais juste vous dire qu’il est très significatif que dans toute la documentation sur l’utilisation de la psychologie appliquée par le gouvernement britannique pour faire passer son agenda politique, il n’y a absolument aucune évaluation des effets négatifs de la psychologie de recherche, sur les personnes qui ont peut-être des problèmes sous-jacents de santé mentale, d’anxiété ou de dépression. Et en effet, lorsque les gens ont des problèmes de santé mentale non diagnostiqués, ils ne sont même pas conscients qu’ils ont un problème. Si quelqu’un utilise cette psychologie sur eux, il peut faire d’immenses dégâts. Et je crois que c’est nouveau, excusez-moi, ce n’est pas une coïncidence que les statistiques officielles au Royaume-Uni montrent maintenant que la politique de confinement a provoqué une énorme poussée de suicides, et de maladies mentales, en particulier chez les jeunes personnes tragiquement.

Mais encore une fois, nous pouvons démontrer que le gouvernement britannique cache ou manipule, les ensembles de données qui le montrent, ou qu’il utilise la psychologie appliquée dans la façon dont il présente ces ensembles de données au public, afin d’induire le public en erreur. C’est la nature de la bête. Une fois que vous comprenez que vous avez ce que je vais appeler un système politique criminel, qui a la capacité d’utiliser la psychologie appliquée, pour changer la façon dont le public pense, nous avons une arme très, très dangereuse dans les mains de ces élitistes, et cela est facilement prouvé par un document clé où ils se vantaient que nous devons rendre les gens plus craintifs, plus anxieux. Et il y a beaucoup d’autres documents qui ont également démontré, — au bénéfice des Allemands parmi le public et dans l’équipe, que la psychologie comportementale appliquée a maintenant été lâchée en Allemagne, certainement en France, parce que l’un des membres de l’équipe personnelle de Sarkozy, un monsieur appelé Ivor Williams4, a eu des réunions au Royaume-Uni, facilitées par le conseil franco-britannique en 2010, pour discuter de la façon dont les experts français, neurologiques et psychologiques vont travailler avec les Britanniques, afin de développer ces techniques psychologiques appliquées. Les preuves sont là. Quand vous savez ce que vous cherchez c’est évident. Mais mon Dieu, c’est la chose la plus dangereuse que nous ayons jamais vue.

Si vous aviez de la propagande et de la manipulation politique au sein de l’Allemagne nazie, de bien des façons, on peut voir les parades, les bannières, les lumières, la rhétorique, les affiches, mais ce que nous avons déclenché sur nous maintenant est une attaque subliminale sur nos esprits. Et tant que nous n’aurons pas fait toute la lumière sur cette affaire, il sera très, très difficile pour nous d’enlever le couvercle de ce que ces gens font par le biais de leur COVID et de leur attaque de vaccination sur les gens. Chacune des compagnies pharmaceutiques a accès à ces armes psychologiques, chacune des sociétés juridiques…

Donc partout où nous voyons des organisations caritatives, des industries, des organismes publics travaillant avec le gouvernement britannique, nous savons que l’utilisation de la psychologie est répartie entre eux. Donc nous devons commencer à parler de ça de manière très importante. Et nous devons tout d’abord nous occuper des personnes qui ne sont pas affectées, qui réalisent que quelque chose ne va pas, mais qui ne savent pas ce que c’est. Et puis dans le public, il pourrait y avoir des professionnels très intelligents et hautement qualifiés. Et je vais vous laisser réfléchir à ce qu’un psychologue hautement qualifié m’a dit, c’est un ouï-dire, mais je vais répéter ce qu’il m’a dit, « Brian, la chose à retenir, est que les gens qui sont intelligents et ont un esprit très interrogatif, peuvent être plus sensibles à l’utilisation de l’hypnose, au recadrage de la psychologie appliquée que quelqu’un qui est moins intelligent, et qui a un esprit moins interrogatif. » Donc c’est très faux. Si quelqu’un pense : « Je suis une personne brillante, je suis intelligent, je suis hautement qualifié, cela ne m’affectera pas. » Au contraire, vous serez peut-être plus vulnérable.

2:53:36 Debi Evans :

C’est une cascade d’informations. Les professionnels du NSH auxquels je parle, tous ceux à qui je parle, sont très confus. Il y a une cascade d’informations chaque jour, les choses changent. Je vois des professionnels du NHS faire des choses qui leur seraient complètement étrangères, donner des dépresseurs respiratoires à des patients souffrant de troubles respiratoires. C’est tout simplement étranger à ce qu’on nous a appris. Les gens sont donc effrayés. Et je me fais l’écho de ce que Brian a dit, quand les gens commencent à se réveiller, ils ont peur. Ils ne savent pas ce qui se passe. Ils ont besoin que nous les rassurions parce qu’en ce moment, l’ordre du jour est la confusion, le chaos et la crise.

Pour en revenir à ce que Brian vient de dire, à propos de Deloitte et des Big 4, — pour ceux qui ne connaissent pas Deloitte, ils ont écrit des articles sur l’avenir de la ville de Londres, les essais cliniques, leur ancien PDG est maintenant membre du conseil d’administration de Pfizer, ils sont impliqués dans le NHS, ils sont impliqués dans l’intelligence corporative, comme les trois autres. Et clairement, lorsque Brian mentionnait la SPARS pandémie qui va de pair, avec l’opération Clade X et Crimson Contagion. Clade X a été tenu par l’Université Johns Hopkins, en 2018 je pense, simulant 900 millions de morts, et Crimson Contagion, un autre exercice aussi, qui a été fait pendant le règne de Trump pour la réponse à une pandémie, une pandémie de grippe en cours. Donc, tout cela a été bien documenté, et bien documenté dans le brevet pour le test COVID par les Rothschild. Encore une fois, tout ce que nous pouvons voir dans ce brevet dans le document principal, nous le voyons être déployé maintenant, y compris les biocapteurs. Beaucoup de gens ont parlé des puces RFID, mais peu de gens parlent de l’avènement des biocapteurs, et du fait que les biocapteurs n’ont pas besoin d’Internet. Ils peuvent se trouver dans vos vêtements, sur la — À vérifier — semelle de vos chaussures ou dans votre nourriture. Et les biocapteurs semblent être la voie à suivre, au point qu’il existe un institut de biocapteurs ici au Royaume-Uni, à Bristol, et que la MHRA a approuvé l’un des biocapteurs, car les gens auront des biocapteurs dans leur voiture, sur leur ordinateur portable, et leurs données biométriques seront renvoyées, de sorte que toutes vos données biométriques indiquent si vous êtes apte à conduire un train, apte à conduire un car, apte à faire quoi que ce soit. Vos données biométriques seront stockées, et ça se passe en ce moment.

2:56:38 Brian Gerrish :

Donc, si je résume un peu. Ce que nous voyons, c’est un système politique intégré avec des sociétés commerciales mondiales, des sociétés pharmaceutiques, qui mettent en place un programme, qui consiste à tester des vaccins sur une population sans se soucier des dommages et des morts. Où vont-ils ? Ils vont manipuler nos gènes, il n’y a aucun doute là-dessus. Toutes les données que nous voyons en ce moment disent que c’est le Royaume-Uni qui dit qu’il va prendre la tête du monde dans la mise en place de ce programme. Le Royaume-Uni, et je vais nuancer cela et dire que je crois que cela sera finalement dirigé par la City de Londres. Mais tous les documents britanniques disent « nous allons prendre la tête du monde ». Et c’est le même Royaume-Uni qui a libéré cette psychologie appliquée malveillante pour changer la façon dont les processus cognitifs fonctionnent. C’est une combinaison très, très dangereuse.

2:57:55 Debi Evans :

Et peut-être que nous pourrions souligner — pardon, mon dernier point Alex, c’est que l’argument de vente unique du Royaume-Uni est le National Health Service, il n’y a aucun moyen d’y renoncer. Donc dès le moment où vous êtes conçu, que les mères enceintes ont eu un écographie, il y a des données sur cet être humain particulier jusqu’au jour de notre mort, il n’y a aucun moyen de se retirer du NHS. Donc les données du NHS sont très, très précieuses. Et c’est complètement unique au reste du monde.

2:58:31 Alex Thomson :

Si nous pouvions illustrer succinctement cela avec la diapositive que je n’ai pas montrée, je pense qu’elle résume en fait ce que Brian et Debi viennent de dire, si Paul peut la trouver en quelques secondes. C’est une diapositive que UK Column a beaucoup utilisé, un organigramme de l’agence dirigeante du gouvernement britannique, le Cabinet Office avec un nouveau groupe, nouveau depuis que j’ai quitté le renseignement britannique appelé le Conseil National de Sécurité, comme l’exemple américain, de l’ère FDR, il n’est pas original et pas constitutionnel. Et tous les organes qui se détachent du cabinet et qui sont sous son contrôle dans le cadre de cet organigramme ont pour but de contrôler l’agenda. Et pour répondre à la question qui a été posée ici, pour nous empêcher de montrer à plus de gens quel est le paradigme, c’est pour les empêcher d’être effrayés par la psychologie appliquée qui leur est enseignée.

L’armée est impliquée en tant que 77e régiment, 13e brigade des transmissions, il y a une toute nouvelle agence de sécurité du gouvernement britannique, la soi-disant Agence de sécurité sanitaire, le Centre conjoint de biosécurité, toutes ces agences ont été créées depuis mon époque et la responsabilité incombe à ce cabinet. Et toutes les bonnes études sur le Cabinet Office vous montreront que les comités de direction ont une ligne directe avec la City de Londres, qu’ils représentent une volonté d’élite, qu’il n’y a aucun contrôle démocratique et que même la couronne personnelle du monarque n’est pas impliquée. Je ne sais pas si cela a été montré à l’écran il y a un instant ou non, mais les gens peuvent aussi facilement le trouver comme l’un des principaux graphiques de UK Column, « Cabinet Office Censorship Network », je crois que nous l’avons nommé ainsi dans une version.

3:00:07 Reiner Fuellmich :

Donc, en fin de compte, ce à quoi nous avons affaire est un système britannique de manipulation psychiatrique, qui a été vendu dans le monde entier, plus ou moins. Nous avons la City de Londres, encore une fois, qui vise le contrôle mondial. Est-ce que c’est pour cela que les gens de Common Purpose créent leurs propres futurs leaders, est-ce que c’est une position spéciale, distincte du programme Young Global Leaders ?

3:00:44 Brian Gerrish :

Eh bien, l’attaque vient d’actions parallèles. Je pense fortement que beaucoup de gens qui sont à common Purpose n’ont aucune idée de ce qu’est l’objectif général, ils sont recrutés. A l’époque où j’ai fait des recherches approfondies, quelqu’un était recruté localement et on lui demandait de nous rejoindre, ce n’était pas comme si les gens allaient à Common Purpose pour rejoindre le réseau, Common Purpose cherchait les personnes qu’il voulait. Et l’agenda était clairement de former ce futur leader à travailler avec d’autres futurs leaders de Common Purpose. Et c’est pourquoi il est si significatif de voir que Common Purpose fonctionne maintenant, par exemple, très fortement en Inde, et l’ancien Premier ministre David Cameron faisait partie de l’équipe qui a promu Common Purpose en Inde. Common Purpose est donc l’une des voies par lesquelles les gens sont recrutés et recadrés.

Le Forum Economique Mondial, Young Global Leaders seraient une autre voie par laquelle des personnes probablement plus puissantes sont recrutées, recadrées pour les mettre en phase avec leur nouveau rôle. Ainsi, Common Purpose fonctionne particulièrement avec le niveau public de bas niveau dans un premier temps. Mais au fur et à mesure que le temps passait, à partir de 1985, il était clair de voir qu’ils s’impliquaient avec les entreprises, les grandes multionationnales beaucoup plus fortement. Et puis à partir de là, ils ont atteint leur statut de mondial. Mais qu’est-ce qu’on fait ? On sélectionne des gens, on caresse leur ego, parce que quelqu’un suggère qu’ils vont devenir un futur leader très important. Le Forum Economique Mondial les appelle des leaders mondiaux. Et puis ces personnes sont rassemblées pour changer le monde. C’est ça l’objectif.

3:03:52 Reiner Fuellmich :

Eh bien, merci beaucoup. Je pense que notre prochain témoin, Whitney Webb, est un peu stressée. Je déteste vous interrompre, mais c’est pourquoi je pense que nous devons lui donner une chance de combler les lacunes, ce que nous allons essayer de faire en posant des questions. À moins que mes estimés collègues n’aient d’autres questions, nous aimerions vous remercier tous les trois pour vos excellentes présentations. Et ensuite, nous allons passer à Whitney, est-ce que cela vous convient ?

Eh bien, merci beaucoup, Brian, Alex et Debbie. C’est très important. En ce qui concerne le contexte géopolitique et historique de ce dont nous sommes témoins, et Matthew bien sûr. Whitney, l’une des questions que je continue à me poser est de savoir quel est le rôle de la Chine dans tout cela ? Si vous regardez cela comme un jeu dominé par les Anglo-Américains ou la City de Londres, quel est vraiment le rôle de la Chine dans tout cela ?

3:04:29 Whitney Webb :

Bonjour, vous m’entendez bien ?

3:04:30 Reiner Fuellmich :

Oui, nous pouvons vous entendre.

3:04:31 Withney Webb :

Ok, super. Alors, je ne suis pas vraiment une experte de la Chine, mais j’ai fait quelques travaux sur les réseaux transnationaux de capital et d’influence, pour ainsi dire, ce nœud en quelques sortes, dont les gens ont parlé jusqu’à présent aujourd’hui. La City de Londres, Wall Street, et comment ils sont très influents en Chine. L’exemple le plus accessible est sans doute celui de Steve Schwarzman, un capital de Blackstone, qui finance le programme d’une université chinoise, je ne sais plus laquelle exactement, mais elle est très prestigieuse. Et c’est un peu sa version personnelle du programme des Young Global Leaders du WEF. Le Blackstone Group est intimement lié à BlackRock, étant issu de la même sphère à Wall Street. Il est considéré comme l’un des chuchoteurs américains de la Chine, tout comme, bien sûr, la figure originale de la politique américaine qui a porté ce genre de titre : Henry Kissinger.

En outre, vous avez quelqu’un comme Henry Paulson, qui a été secrétaire au Trésor sous George W. Bush, et qui travaillait auparavant pour Goldman Sachs. Il est également très impliqué en Chine et possède une fondation philanthropique axée sur la Chine. Mike Bloomberg est un autre individu qui a ressuscité un événement qui était organisé par le Forum Economique Mondial en Chine, je crois qu’il s’appelait la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui a cessé en 2018. Depuis 2018, il s’agit du Bloomberg New Economy Forum, qui est essentiellement axé sur les relations entre les États-Unis et la Chine, et que s’y passe-t-il ? Les décisions prises lors de cette réunion sont là pour faciliter la création de ce système particulier dont les gens ont parlé, cette sorte de grille de contrôle technocratique, qui a été construite conjointement par les dirigeants américains et chinois. Et il y a une autre chose sur laquelle j’ai écrit il y a quelques années, c’est cette organisation appelée la « Commission de sécurité nationale sur l’intelligence artificielle », qui était dirigée par Eric Schmidt, l’ancien PDG de Google. Dans cette commission, c’était principalement la Silicon Valley, l’armée américaine et la communauté du renseignement américaine qui étaient représentées. Et en 2019, avant le COVID, ils ont parlé de la nécessité de battre la Chine dans la course à l’armement de l’IA, ou de travailler ensemble avec la Chine dans la construction de cette sorte de grille de contrôle technocratique pilotée par l’IA, comme un moyen d’éviter une guerre mondiale.

C’était une idée défendue par Henry Kissinger, dans l’un des événements de cette commission particulière, et Eric Schmidt l’a également soulignée. Et donc, dans un sens, cela est lié au Great Reset, comme on l’appelle souvent, qui se déroule dans le monde entier. Mais aux États-Unis, en particulier, dans ce contexte, il y a un effort pour numériser complètement chaque secteur de l’économie et de la société afin d’amasser des données pour les utiliser pour former des algorithmes d’IA. Fondamentalement, cette commission, et les forces représentées là-bas considèrent qu’il est nécessaire pour les États-Unis de maintenir leur hégémonie militaire et économique actuelle, d’avoir les meilleurs algorithmes d’IA, ils ont besoin d’avoir les plus grandes réserves de données. Ils reconnaissent que la Chine, en raison de sa grande population, et plus de systèmes de contrôle technologique déjà en place est loin devant les États-Unis en termes d’amasser ce type de données.

Et donc les Etats-Unis, cette organisation, avant le COVID, parlaient de la nécessité de forcer de toute urgence les gens à tout faire en ligne, du shopping au télétravail et toutes ces choses, à la télémédecine, et bien sûr, il y a eu une énorme poussée pour cela, pendant le COVID-19. Et lorsqu’ils ont envisagé cet espèce de contexte de nouvelle guerre froide, ils ont déclaré dans leurs propres documents qu’il était nécessaire de le faire avec la Chine, en créant essentiellement le même système de manière parallèle et en collaboration, afin d’éviter une guerre mondiale, et c’est essentiellement ce qui se passe lors d’événements comme le Bloomberg New Economy Forum et d’autres choses de ce genre. Je ne sais pas si vous voulez que j’aille plus loin parce que je sais qu’il y a une limite de temps et que je dois partir dans 30 minutes.

3:09:03 Reiner Fuellmich :

Le système de crédit social, c’est une invention de qui ? Est-ce vraiment les Chinois ? Et quand je dis les Chinois, je veux dire, les dirigeants chinois, pas le peuple chinois. A-t-il été inventé par les dirigeants chinois, ou cela a été inventé en coopération avec la City de Londres et les intérêts financiers anglo -américains ?

3:09:28 Withney Webb :

Je n’ai jamais vraiment écrit sur l’origine de ce système. Donc je ne pense pas être la bonne personne pour parler de ça spécifiquement. Mais d’après ce que je comprends, il y a manifestement une sorte de système technocratique biométrique qui existe en Chine. Et évidemment, il a été développé par les dirigeants chinois, ou du moins avec leur bénédiction, et mis en œuvre par le gouvernement là-bas. Mais il convient de souligner également que depuis l’ouverture de la Chine, pendant l’ère Nixon, — qui a bien sûr impliqué Kissinger de manière assez intime, il y a eu beaucoup d’échanges entre les dirigeants chinois, bien qu’ils soient publiquement étiquetés communistes, avec les mêmes réseaux transnationaux de capitaux occidentaux. Et aussi, des négociations avec les dirigeants occidentaux qui, en fin de compte, ont leurs gouvernements essentiellement co -optés par ce même réseau transnational de capital.

3:10:29 Viviane Fischer :

Nous voyons quelqu’un comme Henry Kissinger surgir, encore et encore. Cela a-t-il changé entre -temps ? Il ne s’agit plus tellement de figures individuelles, mais plutôt d’un réseau de personnes qui se connectent entre ces différents domaines d’intérêt ?

3:10:50 Withney Webb :

Bien sûr, je pense que Kissinger est définitivement en voie de disparition, à cause de son âge, et ce depuis un certain temps. Il y a donc beaucoup de personnes qu’il a encadrées, en particulier lorsqu’il enseignait à Harvard, qui sont devenues la nouvelle génération de Kissinger, avec Klaus Schwab, qui en est fièrement l’exemple principal.

Je vois que Matthew a commenté, et il est probablement plus qualifié pour parler de certaines de ces choses que moi, car j’avais l’impression qu’il allait parler de Dark Winter et de l’Anthrax, mais je peux continuer à parler de cela si vous préférez.

3:11:32 Matthew Ehret :

Si vous voulez parler de Dark Winter et de l’Anthrax, vous devriez le faire. Je pensais que la présentation était terminée.

3:11:38 Reiner Fuellmich :

Non, non, non. Avez-vous une réponse à cette question : quel est le rôle de la Chine dans tout cela, Matthew ?

3:11:48 Matthew Ehret :

Oui j’en ai une, mais c’est assez long. J’allais juste demander, est-ce que vous êtes au courant que Soros s’est fait virer en 89 lors de l’éviction de Zhao Ziyang ? Et le Club de Rome en Chine ?

3:12:00 Reiner Fuellmich :

Non je ne le savais pas.

3:12:04 Matthew Ehret :

Zhao Ziyang… Je peux peut-être intervenir une minute, mais je ne veux pas du tout empiéter sur le temps de Whitney, Zhao Ziyang est l’homme de Soros en Chine, il était surnommé « le Gorbatchev de la Chine ». Il a dirigé le parti communiste chinois pendant deux ans en 87 -88 et 89, et il a d’ailleurs dirigé un groupe de réflexion avec Soros. Il a fait venir Alvin Toffler, le transhumaniste, il a appelé à la quatrième révolution industrielle et a fait venir le Club de Rome et ses modèles informatiques pour gérer la politique de l’enfant unique en 79 et 80. C’était l’un de ses principaux collaborateurs. Et durant toutes les années 80, un effort a été engagé pour obtenir un processus de perestroïka à la Eltsine en Chine, ce qui se passait en Russie pour privatiser tout leur système bancaire et apporter les technocrates, Milton Friedman et tout le reste. Mais il a été évincé parce qu’il y a eu un coup d’état en 89 qu’il était censé diriger. La CIA et le MI6 ont publié un article à ce sujet, mais il est utile de se pencher sur ces anomalies, par exemple pourquoi Soros n’a-t-il pas été autorisé à opérer en Chine au cours des 30 dernières années, alors qu’il dirige l’Occident ?

3:12:58 Reiner Fuellmich :

Oui, pourquoi cela ?

3:13:01 Matthew Ehret :

Oui, c’est toute une histoire. Je pourrais en parler plus tard. Whitney est brillante, je ne veux pas rendre sa place.

3:13:07 Reiner Fuellmich :

Essayez de nous donner les bases de tout cela.

3:13:11 Matthew Ehret :

Très bien, pour l’essentiel je pense que c’est très lié à ce contre quoi Gutierrez a mis en garde quand il a dit que deux paradigmes opposés différents émergent autour de la géopolitique de l’IA, l’année dernière, ou même pas, c’était en novembre dernier. Mais jusqu’en 2010-2011, Soros disait encore que la Chine était le modèle à suivre parce qu’ils aiment le crédit social, ils aiment les contrôles technocratiques, les contrôles centralisés, ils aiment ces choses, les transhumanistes « Borgs » de l’Occident, ils adorent ça. Ils n’aiment pas l’utilisation réelle du crédit national, car la Chine n’a jamais privatisé sa banque centrale. Et ils n’aiment pas non plus le développement d’infrastructures à grande échelle, le train à grande vitesse, toutes ces choses qui ont sorti les gens de la pauvreté, environ un milliard de personnes, en à peine 20 ans. Ils détestent l’idée qu’un État-nation détermine leur destin économique. Donc il y a une opposition sur le fait que l’IA ne disparaîtra pas, beaucoup de ces choses ne disparaîtront pas. Et la Chine a été pénétrée par des colonnes de l’État profond, comme des cinquièmes colonnes, pendant longtemps, qu’elle a essayé d’éliminer. Jack Ma est un excellent exemple. C’est un administrateur du Forum Economique Mondial, qui a appelé au renversement, en résumé, à un changement de régime économique en Chine l’année dernière. Et il a plus ou moins été évincé, c’est comme s’il avait été totalement dépouillé de son pouvoir. Vous avez donc la preuve de ces luttes, en particulier avec la clique de milliardaires de Shanghai qui s’est alliée aux listes libérales occidentales. La Russie fait de même. Ils ont leurs propres cinquièmes colonnes autour de leur banque centrale libérale, privatisée et en lien avec l’Occident, qui est liée à beaucoup de ces réseaux pharmaceutiques à l’intérieur de la Russie. Donc il y a des combats qui se déroulent un peu partout. Mais je pense que l’encerclement militaire de la Chine et de la Russie est une question sérieuse à laquelle les gens devraient réfléchir. C’est comme s’il y avait quelque chose qui effrayait l’oligarchie au point qu’ils étaient… je ne sais pas ce que vous pensez de ça, comme pourquoi mettraient-ils tant d’efforts pour procéder à cet endiguement total, cette domination totale de la Chine et de la Russie ?

3:15:09 Reiner Fuellmich :

Whitney, James Bush est avec nous et il va nous donner les détails de l’opération Dark Winter, l’opération Lockstep des Rockefeller et l’Event 201. Mais si vous pouviez nous présenter cela, ce sera probablement très utile.

3:15:28 Withney Webb :

Eh bien, j’allais parler de quelque chose qui est probablement un peu différent, plus de l’importance de Dark Winter, certains des parallèles entre 2001 et certaines des figures qui étaient derrière le COVID et l’Anthrax, ont en commun des choses comme ça. Je vais donc être assez brève.

Je vais le laisser, puisqu’il est là, parler de Dark Winter en détail. Mais pour ceux qui ne le savent pas, il s’agissait d’une simulation d’une épidémie de variole, mais elle incluait également la menace potentielle d’une attaque à l’Anthrax, elle prévoyait des parties importantes de ce qui deviendrait le récit du 11 septembre 2001, les personnes qui ont participé à cet exercice immédiatement après le 11 septembre ont montré une apparente prescience de ces attaques, les attaques à l’Anthrax qui ont suivi peu après. Nous avons donc, bien sûr, la simulation précédant l’Event 201, nous l’avons aussi. Il y a aussi Crimson Contagion, que Debbie a mentionnée, il y a quelques instants.

Et c’est significatif parce que la personne qui a prononcé le nom de Dark Winter dans l’exercice, Robert Kadlec, le secrétaire adjoint du HHS pour la préparation et la réponse sous l’administration Trump, il a dirigé cet exercice Crimson Contagion en 2019. Après les attaques à l’Anthrax de 2001, il a assumé beaucoup de pouvoir et a essentiellement construit ce poste de secrétaire adjoint pendant un peu moins de 20 ans, et puis il l’a occupé juste au moment où le COVID a eu lieu. Quelle coïncidence. Mais Crimson Contagion est importante car elle n’a pas duré que quelques jours, comme l’Event 201 ou Dark Winter, cela a duré de janvier 2019 à août 2019. Et elle a impliqué une coopération public-privé, elle s’est produite au niveau fédéral, au niveau régional, au niveau local, au niveau municipal, c’était très étendu. Et aussi, on pourrait dire, dans un sens, que c’est un peu plus prédictif que ce qui est arrivé plus tard comme l’Event 201, dans le sens où il se concentrait sur l’apparition d’une pandémie de grippe en Chine, alors que l’Event 201 avait lieu en Amérique du Sud.

Mais l’Event 201 et Dark Winter ont des liens très importants. Principalement, les personnes impliquées dans ces deux événements, comme Thomas Inglesby, avaient des liens avec des organisations comme l’Institute for Homeland Security, créé à la fin des années 90, qui était intimement lié à la CIA, et d’autres institutions qui avaient également des liens avec les services de renseignement.

Au-delà des points communs entre ces deux simulations, entre les attaques à l’Anthrax et le COVID, il y a le spectre de la recherche sur les gains de fonction qui est très présent. Ainsi, dans le cas de l’Anthrax, en 1997, le Pentagone a élaboré des plans pour créer génétiquement une variété plus puissante d’Anthrax, soit-disant parce qu’un scientifique russe avait prétendu avoir créé une souche d’Anthrax résistante au vaccin standard contre l’Anthrax et aux études sur les animaux, mais pas nécessairement dans un but de guerre biologique ou de défense biologique, mais le Pentagone s’en est servi pour justifier ces expériences de gain de fonction.

À la même époque, en 1997, la CIA a également commencé à mener des expériences de gain de fonction sur l’Anthrax. Et ces expériences se déroulaient dans une installation appelée Battelle, située à West Jefferson, dans l’Ohio, qui a actuellement des liens avec la fondation Leslie Wexner pour les personnes qui connaissant son rôle dans le réseau Epstein, mais qui est aussi un sous -traitant de la CIA et de l’armée. Je ne vais pas entrer dans les détails extrêmes sur ce sujet. Mais essentiellement un atout de la CIA à l’époque, un transfuge du programme d’armes biologiques et de défense biologique de l’Union soviétique, Ken Alibek, était le directeur de programme pour ces études de gain de fonction à Battelle, et lui et un autre personnage du nom de William Patrick, qui n’était pas initialement suspecté des attaques mais qui a ensuite été ajouté à l’enquête, il a couvert ces attaques, ils étaient essentiellement les personnes dirigeant ce gain de fonction. Et la plupart des gens qui se penchent sur les attaques à l’Anthrax et qui savent que Bruce Ivens n’était pas un loup solitaire et sont conscients de l’inexactitude de la narration, y compris plusieurs procureurs américains qu’a eu Ivens à l’époque, qui se sont suicidés très prématurément, croient que Battelle était responsable et tous les chercheurs sérieux sur l’Anthrax de 2001 que je connais, pensent que Battelle était le site de l’Anthrax qui a été utilisé dans les attaques.

Passons à un autre parallèle : les solutions de biosurveillance. C’est sans doute l’une des plus importantes dans le contexte de ce dont nous avons parlé aujourd’hui.

Donc, après les attaques à l’Anthrax, et aussi le 11 septembre, il y a eu une poussée pour créer un système au sein de la DARPA, appelé « la conscience totale de l’information ». L’un de ces programmes s’appelait le programme de biosurveillance, qui visait à développer, je cite « les technologies de l’information nécessaires et les prototypes qui en résultent, capables de détecter automatiquement la libération couverte d’un agent pathogène biologique ». Et cela serait accompli par la surveillance de sources de données non traditionnelles, de données médicales pré-diagnostiques et d’indicateurs comportementaux obtenus à partir de données civiles, essentiellement. Même s’ils prétendaient se concentrer sur les attaques bioterroristes, ils voulaient acquérir des capacités de détection précoce pour toute sorte d’épidémie normale, qui seraient ensuite automatisées, avec certains, je suppose les précurseurs des algorithmes d’intelligence artificielle d’aujourd’hui. Et ils voulaient en gros un programme d’exploration massive de données. C’était essentiellement le but de cela.

3:21:36

« La connaissance totale de l’information » a été rejetée par le Congrès parce qu’il a été souligné avec précision qu’elle éliminerait entièrement les libertés civiles pour les Américains, et que le droit à la vie privée n’existerait plus, donc il a été mis au rebut. Mais les architectes de « la connaissance totale de l’information », y compris la figure néoconservatrice Richard Perle, ont travaillé main dans la main avec Peter Thiel et Alex Karp pour créer Palantir, qui est le successeur privé de « la connaissance totale de l’information », « la connaissance totale de l’information » ayant été un partenariat public-privé avec l’armée américaine. Mais Palantir n’était pas tellement impliqué avec les militaires après sa création, il était plus intimement impliqué avec la CIA, la CIA pouvait les aider à créer leur produit et la CIA était leur seul client de 2005 à 2008.

Certains aspects du Programme de « connaissance totale de l’information », qui a été supprimé, comme le programme de biosurveillance, ont été ressuscités à l’époque du COVID sous la direction de personnes comme Robert Kadlec, comme la surveillance des systèmes d’eaux usées, pour détecter les épidémies, tout cela avait été planifié à cette époque. Et ce n’est pas une coïncidence si toutes ces données, de nos jours, dans cette ère COVID particulière, — si vous voulez l’appeler ainsi, sont introduites dans une base de données gérée par Palantir. Et le Royaume-Uni, le NHS, les données COVID sont gérées par Palantir aussi. C’est donc une sorte de grille de contrôle anglo-américaine de la connaissance totale de l’information, qui est apparue dans Palantir et qui ne reçoit certainement pas l’attention qu’elle mérite, mais ses origines remontent à cette période particulière en 2001, chez ceux qui l’ont mis en place il y a de nombreux acteurs qui reviennent. Il faut aussi souligner que Peter Thiel est un important bailleur de fonds des médias de droite, y compris dans la sphère des médias alternatifs. — Je vais laisser cela de côté, car c’est pour une autre fois. —La dernière chose que je veux souligner, c’est que la situation de l’Anthrax et ce qui se passe avec le COVID-19 est le sauvetage fortuit de sociétés de vaccins en péril ayant des liens profonds avec l’armée américaine.

Donc le premier serait Bioport, qui est aujourd’hui Emergent Biosolutions. Ils ont changé son nom en 2004 à cause de la controverse autour de leur vaccin contre l’Anthrax, sur lequel ils avaient le monopole de la production et de la vente dans l’armée américaine, ce même réseau responsable des attaques à l’Anthrax a mandaté l’utilisation du vaccin contre l’Anthrax pour les troupes américaines.

Il a fini par provoquer ce que l’on appelle souvent le syndrome de la guerre du Golfe et toute une série d’effets indésirables. Et ils ont été renfloués par le Pentagone plusieurs fois parce que leurs usines ont été fermées à plusieurs reprises en raison de violations des règles de sécurité et de santé, entre autres choses, et ils n’ont pas utilisé l’argent pour réparer ces usines. Ils utilisaient les primes pour les cadres et les réaménagements des bureaux des cadres, entre autres choses, ce qui est tout à fait typique dans ces milieux, semble-t-il.

3:24:45

Mais quoi qu’il en soit, ils se sont associés à Battelle à la fin de l’année 2000. Comme je l’ai mentionné, Battelle effectuait ce gain de fonction pour le Pentagone et la CIA à l’époque, et ces recherches sont entrées dans une nouvelle phase lorsque ce partenariat a commencé, car elles concernaient directement le vaccin contre l’anthrax.

En septembre 2001, le Pentagone allait publier un rapport sur la manière de poursuivre son programme de vaccination obligatoire contre l’Anthrax sans cette société, et le 11 septembre 2001 a fait dérailler ce projet, car l’aile administrative qui travaillait sur ce rapport a été frappée par un avion le 11 septembre 2001, alors qu’elle menait cette enquête, et Donald Rumsfeld a décidé de sauver ce programme.

Et les préoccupations qui ont été entendues au Congrès et dans tout le système politique américain, au niveau national à l’époque au sujet de ce produit vaccinal particulier ont disparu dans la panique des attaques à l’Anthrax, et elles ont été remplacées par des appels non seulement à rendre la campagne de vaccination obligatoire pour l’armée, mais aussi pour les services de secours, pour les enseignants, les pompiers, les policiers, et ainsi de suite.

Et, bien sûr, aujourd’hui le point commun de ce genre d’entrepris est Moderna. Ils ont même admis maintenant qu’ils étaient sur le point de s’effondrer, s’il n’y avait pas eu l’arrivée du COVID-19 au moment précis où il est arrivé.

Je tiens à souligner que un mois ou deux de différence et ils auraient totalement fait faillite. Et bien sûr, Moderna a des liens très étroits avec l’armée américaine, plus précisément avec la DARPA, qui les finance depuis 2012, je crois. Pour plus d’informations sur ces choses là, vous pouvez aller sur mon site web, unlimitedhangout.com et regarder la série d’enquêtes, « l’Ingénierie de la contagion » sur la question de l’Anthrax. Et puis j’en ai une appelée Moderna, sur Moderna. J’ai oublié le nom exact de la série, je crois qu’elle s’appelle « Moderna obtient son miracle » ou quelque chose comme ça pour le COVID-19.

Je vais m’arrêter là, car il me reste 10 minutes au cas où vous voudriez poser des questions sur un autre sujet.

3:26:53 Viviane Fischer :

Une petite question sur Emergent Biosolutions, ils sont impliqués dans la production des vaccins maintenant, est-ce exact ?

3:27:02 Whitney Webb :

Oui, eh bien, à l’origine, ils étaient, je pense qu’après avoir produit, je crois six… un nombre très important de doses pour le vaccin Johnson & Johnson qui ont été jugées contaminées et inutilisables, je pense qu’ils sont passés à la trappe. Mais il est intéressant de souligner que Robert Kadlec, que j’ai mentionné plus tôt, a des liens profonds et de longue date avec cette société et a en fait fondé une société distincte avec le fondateur d’Emergent Biosolutions. Et même le Washington Post, a été forcé d’admettre qu’il a fait preuve de favoritisme dans l’attribution des contrats pour le COVID-19.

Donc, malgré leurs antécédents vraiment épouvantables, et même des plaintes au sein du système, ils ont obtenu des contrats pour produire des vaccins. Je ne me souviens plus exactement quelles étaient les entreprises concernées, mais le vaccin de Johnson & Johnson en faisait partie, et ils ont été très critiquées.

Donc je ne suis pas sûre qu’ils en fabriquent encore. Mais je dirais que certaines de ces entreprises d’ARNm, en particulier Moderna, ont maintenant décidé d’utiliser une nouvelle entreprise créée à l’époque du COVID, appelée « Resilience », pour produire leur ARN spécifiquement pour leur vaccin. Il y a des personnes de la Fondation Bill et Melinda Gates, de la FDA, du conseil d’administration de Pfizer, un membre de la Commission du 11 septembre, le directeur d’In-Q-Tel, la société de capital-risque de la CIA, entre autres groupes, qui fabriquent leurs produits, et cette entreprise a été créée en novembre 2020. Et ils espèrent produire de l’ARNm pour les États-Unis et au Canada.

3:28:45 Viviane Fischer :

Il semble qu’il y ait des luttes internes, mais tous ces intérêts différents tirent dans la même direction. Mais il n’est pas clair qui va faire le, qui va être le leader de la meute.

3:29:00 Whitney Webb :

Oui. Je pense que les querelles internes sont plus liées au processus qu’à l’agenda général.

3:29:16 Reiner Fuellmich :

Les deux sociétés d’ARNm, Moderna et BioN’Tech, qui sont utilisées par Pfizer, ont toutes deux été soumises à une forte pression récemment. Le prix de leurs actions s’est plus ou moins effondré. Cela est dû au fait qu’une décision prise aux États-Unis, oblige Pfizer à déclassifier plus ou moins les documents qu’elle voulait cacher au public, et que, tout d’un coup, — il y a une interview récente d’un banquier d’affaires du nom d’Ed Dowd l’explique en détail, tout d’un coup lorsque les gens voient ce qui se passe réellement, ils décident de vendre leurs actions. Le sauvetage semble donc ne pas avoir vraiment fonctionné. Mais c’est seulement parce que d’autres personnes ont exposé ce qui se passe réellement.

3:30:14 Whitney Webb :

Exact, et je ne pense pas qu’ils l’aient vraiment prévu…

3:30:21 Reiner Fuellmich :

Cela prouve le point de Matthews, ils n’ont pas vraiment tout sous contrôle.

3:30:25 Whitney Webb :

Oui, je suis d’accord avec ça aussi. Et je pense que c’est la raison pour laquelle nous les voyons, par exemple, dans divers pays, en particulier les pays occidentaux, lever les restrictions pour le moment, comme l’a dit Leana Wen, l’experte médicale de CNN, afin que la confiance du public puisse être restaurée. Nous pouvons donc utiliser ces mesures, encore une fois, à l’avenir, pour une « deuxième pandémie », ou une sorte d’événement dans cet genre.

Et si vous regardez le Forum Economique Mondial depuis l’année dernière, leur thème principal pour l’année dernière était de rétablir la confiance avec le public. C’est donc quelque chose qui les préoccupe vraiment, le manque de confiance du public envers les élites. Mais je pense qu’ils sont encore dans cet état d’esprit, « eh bien, même s’ils commencent à ne plus nous faire confiance en masse, qu’allons-nous faire à ce sujet ? »

Je pense que c’est essentiellement de ça qu’il s’agit, mais je pense qu’ils prévoient aussi d’essayer d’intensifier différentes choses qui ne sont pas forcément le COVID au fur et à mesure que ce récit particulier s’effrite, pour essayer de garder les gens divisés, distraits et confus par la masse d’informations qui sortent tout le temps. Ce qui est, comme je l’ai déjà expliqué, une sorte de PsyOp, c’est le côté opération psychologique de ce qui se passe.

3:31:47 Reiner Fuellmich :

Ok, bon, y a-t-il d’autres questions de votre part, Virginie, ou Dexter, ou Ana ? Ou Dipali ?

3:32:00 Dexter Ryneveldt :

Pas de questions de ma part. Merci beaucoup. Mrs. Webb

3:32:05 Reiner Fuellmich :

Oui, merci beaucoup. Merci beaucoup. Et nous allons maintenant… Allez-y s’il vous plaît.

3:32:12 Viviane Fischer :

Oui, nous allons maintenant insérer quelques témoins, parce que, vous savez, nous le devons, — pour les archives, et pour que le public voit que nous savons ce qui se passe vraiment. Et c’est tellement fou, ce que nous avons vécu au cours de ces deux années que nous semblons parfois oublier, ce que nous avions, ce que nous pensions être la façon normale dont les choses seraient traitées, que vous pouviez choisir sans être trompés, si vous vouliez avoir un traitement médical, ou si vous vouliez protester contre quelque chose comme, sans avoir affaire à la police et ainsi de suite.

Et donc nous avons préparé, je pense que c’est deux vidéos. Et nous avons deux témoins, un en direct ici avec nous, et un autre dans le zoom. Et je voudrais commencer à vous montrer ce que nous avons vécu, lorsque nous avons appris par un lanceur d’alerte que dans une maison de retraite ici à Berlin, qu’une certaine vaccination allait avoir lieu, je pense que c’était un dimanche, et les flacons étaient fournis, ou du moins amenés par des soldats.

Et donc lorsque les personnes âgées ont été confrontées à des soldats, quand ils ont travaillé avec les médecins pour faire le vaccin, et certains, une personne n’était pas vraiment volontaire pour l’accepter. Je veux dire, — c’était dans la « section démence » de cette maison de retraite, et certains d’entre eux n’étaient manifestement pas en mesure de signer les papiers eux-mêmes. Mais il faut quand même respecter une sorte de volonté naturelle, ils doivent exprimer s’ils veulent être traités ou non.

Nous allons donc voir cela. Nous avons donc eu un dénonciateur qui nous a parlé de cet incident, et ce qui s’est passé ensuite, c’est que sur ces 31 personnes qui ont été vaccinées, huit sont décédées assez rapidement après la vaccination, dans les quelques semainesqui ont suivi, et je pense que la dernière personne qui est morte, c’était deux ou trois mois plus tard, et ils étaient vraiment en bonne forme, c’était…

3:34:47 Reiner Fuellmich :

Avant le vaccin.

3:34:50 Viviane Fischer :

Avant la vaccination, c’était la section où ils pouvaient se promener librement, et certains faisaient du jogging tous les jours, quelqu’un jouait du piano. Et donc, ils chantaient des chansons la nuit précédente. Et puis déjà le soir, certains d’entre eux avaient de sérieux problèmes.

Et ce qui est également intéressant à ce sujet, c’est que plus tard, nous avons pris contact avec la police, et j’ai personnellement désposé une accusation criminelle, une plainte, et je leur ai demandé, — parce que des deux personnes qui sont décédées, les dernières, les corps étaient encore aux pompes funèbres. Donc, nous avons informé la police et ous leur avons qu’ils devraient enquêter à ce sujet avec le procureur de district. Et ils nous ont envoyé une lettre disant qu’ils ne voyaient rien de suspect, et qu’ils ne pouvaient pas commencer à enquêter. Vous savez, je pense que c’est particulier. Et donc après que nous ayons fait l’interview du lanceur d’alerte, un deuxième lanceur d’alerte, s’est présenté et a fourni quelques images que vous pouvez voir maintenant.

3:36:09 Reiner Fuellmich :

C’est pour illustrer ce dont nous parlons vraiment. Parce qu’aujourd’hui, ce soir, nous avons parlé de la préparation de ce qui se passe réellement, et maintenant nous examinons les conséquences. Parce que je pense qu’il est important pour nous et pour le jury de comprendre que nous ne parlons pas seulement de jeux non pertinents qui sont joués, de jeux de pouvoir, mais que ces jeux ont des conséquences très graves. Et c’est ce que ce clip vidéo illustre très clairement.

3:36:45 Vidéo #1 — Sous-titrage

De l’armée. Le médecin de la maison est toujours présent… et des aides-soignants. Donc un groupe de trois : un soignant, un médecin et un soldat. Quel rôle jouent les soldats ? Personne qui travaille dans les soins infirmiers… avec les malades mentaux ou physiques, ou la démence ne peut me dire… que la force n’est pas utilisée … à la fois mentalement et physiquement… Non, personne n’a rien dit, mais mon impression était… que les soldats… étaient là pour garder le vaccin. Et après, il était très clair pour moi… que c’était pour envoyer une « déclaration » aux personnes âgées. Parce que vous pouviez sentir… l’atmosphère d’intimidation. On ne reconnaissait pas nos résidents. Ce n’étaient pas les mêmes vieux résidents… qui faisaient librement… ce qu’ils font instinctivement. mais assis… et étaient complètement silencieux et immobiles. Comment ont-ils montré cette peur ? Pouvaient-ils la verbaliser ? Vous pouviez le voir… à partir de leur comportement différent. Ils étaient très intimidés, très calmes, très renfermés, ils ne sont pas encore prêts à mourir. Leurs yeux sont ouverts. Ils sont agités. Ce fort tremblement… modifie leur respiration. La pâleur de leur visage est très différente. Ils sont très déstabilisés, avec cette secousse. Et cette fois, comme dit : Ce tremblement constant du haut du corps… ce tremblement, avec lequel je ne suis pas familier… dans cette situation non plus… qui s’est produit avec beaucoup… C’est la force physique et psychologique, également pour le test PCR. C’est une violence appliquée qui est utilisée… pour faire ces procédures. Aussi cette vaccination… c’est de la violence, violence physique et mentale. Ils passent tout simplement à travers. Et pour les résidents ? Exactement la même chose. Intimidation totale. Je crois que c’était aussi cette dynamique de groupe. Ces quatre personnes au même endroit… et soudain, voyant ces sauvages étrangers… Ils étaient tous intimidés… Une résidente, elle avait montré des signes de résistance… comme nous le savons déjà d’elle. Quand il n’y avait que trois personnes dans la pièce, on remarque immédiatement que la situation est différente. Clairement, ils viennent vous voir dans votre lit. Mais vous pouvez dire…

3:38:55 Reiner Fuellmich :

Donc ça montre que… ce que vous avez dit Brian, ils tuent des gens. Ils ne tuent pas des gens en théorie, ils tuent des gens dans la vie réelle. Une des personnes que nous avons vu dans cette vidéo, qui a été filmée avec une caméra cachée est morte, le vieil homme en pyjama est mort.

C’est donc de cela qu’il s’agit. Il y a des conséquences réelles. En conséquence de ces soi-disant jeux de pouvoir, il s’agit en fait de contrôle. Et il s’agit en fait de réduire la population. Comme l’illustre clairement ce court clip vidéo, et ce n’est qu’un exemple. Il existe de nombreux autres exemples de ce type. Nous avons obtenu de nombreuses informations de maisons de retraite similaires où la même chose s’est produite.

Cet exemple est particulièrement impressionnant pour nous, car il se déroule ici même à Berlin. 31 personnes ont été vaccinées et en l’espace de deux semaines environ, huit d’entre elles étaient décédées, 11 autres avaient développé des symptômes très graves. Nous ne savons pas ce qui leur est arrivé, mais ces huit personnes décédées, l’une d’entre elles, comme l’a mentionné Viviane, jouait du piano la veille de sa vaccination, une autre était un coureur et il courait la veille de son injection. C’est de cela qu’il s’agit vraiment.

3:40:34 Viviane Fischer :

Oui, alors maintenant, nous avons un autre clip vidéo que nous allons voir. Il s’agit d’une petite manifestation, comme une veillée, qui a eu lieu pendant, — je pense que le témoin va nous le dire dans une seconde, plusieurs jours, 60 -62 jours, et c’était le dernier jour où il y avait soi-disant une petite réunion. Mais c’était un petit événement et vous serez surpris par le nombre de policiers par rapport à la taille de l’événement que vous allez voir et par la dureté avec laquelle ils y ont mis fin. Je pense que nous allons d’abord montrer le clip et ensuite nous allons parler à Roman Mironov.

Vidéo #2 —En allemand

3:41:28

3:41:41 : — Nos enfants vaccinés n’ont pas    de protection

3:41:48 : Nos enfants n’ont que nous et…

3:41:54 : — Attention, Attention, la Police vous parle, s’il vous plaît, pour votre compréhension

3:42:03 : — Je dois parler

Chers messieurs, laissez tomber votre vieille culpabilité, laissez tomber votre matérialisme

3:42:10 : laisser tomber et donne-leur de voir leur foyer

3:42:17 : — Cela signifie que votre manifestation doit s’arrêter, vous devez vous diriger direction Gare Centrale

3:42:23 : Je répète, en raison du non-respect des mesures sanitaires…

3:42:38 Viviane Fischer :

Vous pouvez voir à quel point c’est disproportionné par rapport à ce qui se passe, il n’y avait même pas de « normes sanitaires » qui sont enfreintes. Et à une époque antérieure, nous aurions pensé que c’était un événement normal. Mais peut-être que nous allons juste parler à Roman Mironov.

Reiner Fuellmich :

Roman, que s’est-il passé ?

3:43:07 Roman Mironov :

Je ne parle pas très bien anglais, alors je vais devoir parler en allemand.

3:43:15 Viviane Fischer  :

En quelques mots, pouvez-vous nous expliquer que vous aviez fait cette démonstration 60 fois et pourquoi elle s’est terminée de cette façon.

3:43:30 Roman Mironov :

Exactement, j’avais organisé une veillée devant le bureau du chancelier parce que les manifestations n’étaient plus possibles à Berlin, parce que ça a toujours dégénéré en violence policière, et donc j’ai organisé une veillée parce qu’avec quelques personnes juste devant le bureau du chancelier, la police ne peut pas déborder aussi facilement et nous avons fait ça sur une période de plus de deux mois. Et très fréquemment il y avait des médias avec nous et ils nous écrivaient, et ils n’ont jamais fait de reportage sur nous, ils étaient juste là parce qu’il se passait quelque chose au bureau du chancelier. L’un d’entre nous s’était inscrit au bureau du Chancelier et le dernier jour, le 1er juin, était la Journée mondiale de l’enfance. Nous avons résisté là-bas. Nous n’avons pas mis de masque, c’est le moindre niveau de résistance que l’on puisse offrir, et bien sûr, ça a dégénéré et notre assemblée a été dissoute.

3:44:30 Viviane Fischer :

Nous allons avoir d’autres exemples mais je résume rapidement, deux mois après la Malwacher, à un moment où, de toute façon, il ne devait pas se tenir de manifestation importante, c’était une manifestation qui était directement liée aux enfants.

Et en fait, il y avait beaucoup de médias habituellement là et mais ils n’ont jamais parlé de cette manifestation parce qu’ils voulaient la garder sous le tapis, ne pas en parler. La seule chose qui n’a pas été respectée, c’est qu’à l’extérieur, il fallait porter des masques, même si les gens gardaient leurs distances. Et donc vous pouvez voir que la police a immédiatement décidé de tuer cette petite manifestation ou cette petite protestation à ce moment-là.

Donc Roman, merci beaucoup pour votre déclaration et pour avoir partagé cette expérience avec nous. Oui, maintenant nous avons…

3:46:05 Reiner Fuellmich

C’est maintenant à James Bush.

3:46:12 Viviane Fischer :

Puis nous continuerons avec d’autres exemples à l’avenir.

3:46:17 Reiner Fuellmich :

Oui. Maintenant, James, vous avez attendu pendant un certain temps, mais nous sommes très intéressés à entendre parler de l’opération Dark Winter, la simulation Lockstep des Rockefeller et l’Event 201.

3:46:45 James Bush :

Ok. Je suis absolument sidéré par tout ce que j’ai entendu aujourd’hui, et par l’intelligence et l’expérience de l’équipe qui produit ceci, alors je voulais tous vous remercier.

Mon passif est très simple. J’ai pris ma retraite après 20 ans dans le Corps des Marines des États-Unis en tant que Lieutenant Colonel. J’étais un officier d’infanterie, un officier de reconnaissance des forces. Puis je suis devenu ingénieur et j’ai travaillé pour la société Honeywell en tant qu’ingénieur de guidage de lancement pour le programme Shuttle. Puis je suis devenu ingénieur des opérations spéciales pour les environnements spéciaux et les systèmes mécaniques. J’étais le responsable de l’ingénierie et le gestionnaire du North Colorado Medical Center pour le Centre de recherche sur les maladies infectieuses de l’Université d’État du Colorado. Et pour le centre de recherche sur les vecteurs du Centre de contrôle des maladies du Colorado, Fort Collins. Mon intérêt pour ce sujet a été éveillé bien avant que je ne sois au courant de ce qui se passe aujourd’hui, je travaillais pour Hewlett Packard. Dans le cadre de mes fonctions d’ingénieur, j’étais le responsable de la biosécurité pour les Rocheuses de l’Ouest et j’ai été invité à participer à un programme appelé Dark Winter à Oklahoma City en juin 2001. Et à ce stade, je ne suis pas sûr de savoir comment… je vais partager mon écran et je vais afficher une présentation assez rapide et je suis sincère, c’est plus rapide que les autres.

C’est le résumé de qui je suis, je l’ai déjà parcouru avec vous. J’ai un Master en ingénierie mécanique, un Bachelor en épidémiologie.

Voici Dark Winter, vous en avez entendu parler et vous le savez peut-être déjà, mais c’était ostensiblement un programme soutenu par le gouvernement et des organisations privées les 22 et 23 juin 2001 à la base aérienne d’Andrews à Oklahoma City.

Vous trouvez également ANSER Homeland Security et CSIS. L’Oklahoma National Memorial Center pour la biodéfense civile, ce sont des organisations qui ont été les précurseurs de tous les éléments nécessaires à la création d’un système d’armes biologiques aux États-Unis.

Donc Dark Winter, ces diapositives que vous allez voir ne sont qu’une très, très petite partie d’un jeu de diapositives qui a été généré pendant cette présentation. Et ce n’était pas une présentation. Ce n’était pas une véritable étude, ils nous ont appelé pour étudier cela. Mais en fait, quand nous sommes arrivés, ils ont dit : « Ok, voici ce que nous faisons, asseyez-vous et regardez et voici les conclusions auxquelles nous sommes parvenus. S’il vous plaît, ramenez ceci dans vos entreprises, dans vos organisations et partagez le avec elles. » Parce que le gouvernement contrôlait totalement la procédure.

Il s’agissait d’un exercice conçu pour simuler la réaction possible à une introduction délibérée de la variole dans trois États en 2002.

Dark Winter a été développé en tant que programme par les Centers for Strategic and International Studies, et le Johns Hopkins Center et l’ANSER pour la sécurité intérieure, et je crois que vous avez tous déjà entendu ces noms, vous allez continuer à les entendre au cours de ce processus d’analyse de ce qui arrive à notre pays.

L’ANSER Institute for Homeland Security a finalement été converti en un cabinet ministériel financé au niveau national, appelé Homeland Security.

Les participants clés, nous allons vous montrer qui ils sont, quels sont les objectifs. A l’origine c’était un scénario. Donc notre gouvernement, comme vous le savez, et beaucoup de gouvernements aiment vraiment les scénarios, ils aiment bien, « Et si on faisait ça ? Et si ça arrivait ? Quelles seraient les prochaines étapes ? »

C’était censé être une étude de scénario, mais il faut connaître les personnages qui jouent ce rôle. Nous sommes en 2001, et certaines des personnes les plus importantes du gouvernement et de la défense des États-Unis d’Amérique ont pris leur congé pour aller à Oklahoma City, et ont posé la question, que se passe-t-il si on est frappé par la variole ? Et la variole est clairement définie par toutes les organisations, l’Organisation Mondiale de la Santé, le CDC, la FEMA, tout le monde dit que c’est une maladie pandémique parce qu’elle a un taux de mortalité d’environ 32 à 33 %.

3:52:21

Par opposition au coronavirus, qui, selon la personne à laquelle on s’adresse aujourd’hui, représente peut-être 0,01 % ou 0,02 %. Ils ont donc utilisé une véritable maladie pandémique pour voir ce qui se passerait, mais les personnes qui sont venues étaient Sam Nunn, le sénateur américain, Frank Keating, il était le gouverneur de l’Oklahoma, le conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, le directeur de la CIA des États-Unis, le secrétaire à la Défense John White, le président de l’armée américaine, le chef d’état-major, le général John Tilelli, le secrétaire d’État des États-Unis Frank Wisner, la secrétaire à la santé et aux services sociaux Margaret Hamburg, le procureur général George Terwilliger, le directeur de la FEMA, Jerry Hauer, et le directeur du FBI.

Maintenant, et je suis sûr que ce type d’assemblage de personnes a été formé auparavant. Mais je ne pense pas que dans l’histoire des États-Unis, ils soient jamais venus à une réunion comme celle-ci, ont créé un document, ont créé un scénario et ont ensuite disparu, parce que dans les deux ou trois jours suivant la fin de ce programme, certains d’entre nous ont obtenu des copies réelles des diapositives. Et partout ailleurs ça a disparu, c’était sur internet pendant un moment, mais si vous vous souvenez, en 2001, internet n’était pas ce qu’il est aujourd’hui. Et il m’a fallu plusieurs années pour trouver cela sur Internet. En attendant, j’en avais une copie sur mon ordinateur. Et plus tard, lorsque je travaillais pour le centre de contrôle des maladies, le CDC, j’en parlais à divers chercheurs et leur demandais ce qu’ils en pensaient et ils ont tous en quelque sorte tourné le dos et sont partis. Ils ne voulaient pas parler de ce dont il s’agissait.

La question est donc de savoir ce qui se passerait si une attaque locale d’armes biologiques devait frapper l’Amérique avec un agent pathogène contagieux qui pourrait paralyser le pays, la réponse du gouvernement posera un énorme défi aux libertés civiles, le moins nous sommes préparés aux plus grandes menaces, plus il y aura de menaces sur les libertés civiles.

Donc, dans la documentation de départ, les premiers mots sont sur nos libertés civiles qu’ils vont prendre au cours de cet événement. Je vais donc rester sur cette page un moment et vous dire que pendant cette étude, qui a duré deux jours, nous sommes sortis tôt, parce que cette étude, quand nous sommes arrivés, ils avaient toutes sortes de diapositives, et je serai heureux de montrer ces diapositives à tous ceux qui veulent les voir. Mais les diapositives montrent vraiment le processus de réflexion, l’initiation d’un agenda, par lequel ils voulaient partager avec les gens dans la salle, et les gens dans la salle étaient des personnes issues de la science, de l’industrie et des affaires. Et ils nous disaient, comment cela va-t-il vous affecter ? Ils ont montré ce qui s’est passé après un jour, après six jours, après trois jours, combien de personnes sont malades, combien de personnes ont été blessées, combien de personnes sont mortes, et comment cela progresse.

Ce document a été fourni comme un moyen de créer deux ou trois choses. La première est un tutoriel sur la façon d’initier et d’obtenir les résultats que nous voulons d’une maladie pandémique. L’autre serait de savoir comment contrôler, quels seraient les résultats. Combien de personnes mourraient ? Comment s’occuper des inoculations ?

Il s’agissait d’une maladie connue, qui avait un taux de mortalité extraordinairement élevé. Et ils ont traduit cela dans la réalité et cela leur a donné l’opportunité de créer une ébauche, une amorce, un document qu’ils peuvent utiliser, lorsqu’il s’agit de créer une arme biologique, un événement pandémique de sécurité nationale.

C’est ce qu’ils ont fait. Et comme je l’ai dit, je serai heureux de partager le reste de ces documents. Ma présentation actuelle sur Dark Winter dure environ 2h30, parce que j’entre dans tous les détails de ce qu’est une installation de niveau de biosécurité 1, 2, 3 et 4, où elles se trouvent, comment elles sont utilisées et comment notre gouvernement et nos universités étudient cela. Mais il y a une richesse d’informations que ce diaporama et Reiner m’a demandé de rester relativement court.

Donc c’est le début. C’est la première étape, où notre gouvernement a engagé certaines des personnes les plus puissantes de notre administration pour mettre en avant ce concept. La suivante était l’opération Lockstep et l’opération Lockstep était ostensiblement faite par Ralph Emerson. Il n’arrêtait pas de faire référence à John D. Rockefeller.

Il était prétendu que c’était une approche en trois étapes pour un confinement permanent résultant en une dépopulation massive. J’ai fait d’importantes recherches sur ce sujet. Et l’Operation Lockstep était en fait un concept créé par des personnes faisant des recherches. Non seulement l’Operation Lockstep, mais aussi sur le livre de 54 pages de Ralph Emerson… Excusez-moi, Ralph Emerson a écrit le livre, The New World Order et il faisait 320 pages. Et l’information principale de toute cette Operation Lockstep vient de la page 18 de ce livre.

Il y avait deux éléments, l’Operation Lockstep a été créée par des informations provenant de l’agenda du New World Order, et un autre programme qui est sorti de l’institution Rockefeller. Donc ma question est, qu’est-ce que c’est vraiment ? Donc le document publié est essentiellement, des gens se sont réunis et ont dit, « Ok, basé sur la lecture des informations du nouvel ordre mondial, voici ce que nous voyons se passer » et cela correspond parfaitement à ce qui est dans le document de 320 pages du New World Order.

Et c’est un modèle très clair de ce qui s’est réellement passé. Et la raison pour cela, c’est que l’Operation Lockstep est sortie à la mi-juin ou juillet de l’année dernière, beaucoup de gens ont essayé de la réfuter, mais il n’y avait personne qui…

3:59:47 Reiner Fuellmich

Que s’est-il passé ?

3:59:50 James Bush :

… créé selon les documents, en 1989. Donc vous avez 2001, Dark Winter, vous avez 1989 quand l’Opération Lockstep et les premiers documents ont été créés pour cela, et puis nous avançons au fur et à mesure de l’histoire de notre nation. Vous voyez le New World Order de Ralph Emerson, vous voyez la Fondation Rockefeller et la Global Trading Organization qui ont contribué au New World Order, Rockefeller a contribué au livre suivant, qui est un livre d’environ 54 pages appelé « scénarios pour le futur de la technologie et du développement international ».

Cela a été fait par la Fondation Rockefeller. Et sur Internet, vous trouvez qu’il fait constamment référence à ce que vous voyez sur le côté droit de la page, c’est-à-dire la première phase, la deuxième phase, la troisième phase En 1989, personne ne savait rien des radiations 5G. Personne ne savait rien de précis sur le Coronavirus.

Donc, quelque part cette information est sortie, mais c’était vraiment une combinaison de données créées dans le New World Order et je ne sais pas combien de personnes ont lu le New World Order, mais c’est un livre d’instruction malveillant et dégoûtant sur la façon de détruire la civilisation occidentale. Et il cite George Bush et toute la litanie de personnes dont nous parlons souvent.

4:01:40 Reiner Fuellmich :

James, pouvez-vous nous faire une faveur et lire ces trois paragraphes ? Parce que je pense que c’est extrêmement important pour que les gens comprennent ce qui s’est passé en 1989.

4:01:52 James Bush :

Je serai heureux de le faire.

Première phase : rhume, grippe, symptômes bénins, tout au plus une approbation médiatique de la paranoïa et de la peur de masse, des systèmes de test défectueux, qui détectent tout matériel génétique dans le corps et déclenche un résultat positif. Le nombre de cas de COVID est gonflé par la modification des certificats de décès, qui comptent double et classent tous les décès, y compris les autres maladies et les causes naturelles, dans la catégorie COVID-19. Le confinement nous conditionnera à vivre sous des lois draconiennes, empêchera les protestations et identifiera la résistance publique. C’est la première étape.

La deuxième phase. La première phase conduira à la compromission et à la fragilité du système immunitaire par le manque de nourriture, l’éloignement social, le port du masque et le manque de contact avec la lumière du soleil et les bactéries saines. L’exposition aux radiations de 5G attaquera encore plus le système immunitaire. Ainsi, lorsque les gens réapparaîtront dans la société, davantage de personnes tomberont malades. On en attribuera la responsabilité au COVID-19. Tout cela se produira avant que la vaccination ne soit prête, afin de la justifier. Un confinement plus long et plus puissant suivra jusqu’à ce que tout le monde prenne le vaccin. — C’est leur intention. —

Troisième phase. Si une majorité de la population résiste au vaccin, un virus SRAS VIH MERS militarisé sera libéré. Beaucoup de gens en mourront. Il y aura des survivants, ce sera la survie du plus fort. Ce sera aussi l’ultime poussée pour que tout le monde se fasse vacciner afin de revenir à la normale. Ceux qui se seront fait vacciner seront en guerre contre ceux qui ne l’auront pas fait. Ce sera l’anarchie.

L’extrait provient de la page 18. Et l’autre document, qui est « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international ». Donc tout cela est lié. Et cela a étédivulgué, et il a été conçu comme un document pour faire deux choses. Dire aux gens où ils vont. Et si vous dites à quelqu’un que ça va arriver et que vous continuez à le lire, les gens finissent par accepter que ça arrive. Nous avons entendu ça tous les jours.

Passons à la suivante. Lockstep est l’accomplissement des concepts et des objectifs exprimés et sollicités dans les philosophies du New World Order, et les scénarios pour le futur de la Technologie et du Développement International. Ces concepts et ces programmes ont été mis en œuvre pour la pandémie COVID-19. L’auteur réel des documents Lockstep est inconnu, mais il est clair que le Lockstep a été créé en 1989. Je suis désolé, le New World Order a été créé en 1989. Et les « Scénarios pour les Technologies Futures » ont été créés en 2010. Et c’est à ce moment que l’autre documentconnu sous le nom de Lockstep a été créé.

La page suivante, je ne sais pas si vous pouvez tous la lire, je vais essayer de ne pas trop m’y attarder. Mais c’est le concept du scénario. C’est le scénario Lockstep. C’est un scénario réalisé par notre gouvernement, qui étudie ce que devrait être le Lockstep.

« Un monde où le gouvernement exerce un contrôle plus strict et un leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et une résistance croissante des citoyens. En 2012, la pandémie que le monde avait anticipée depuis des années a finalement frappé.

Contrairement à 2019, H1N1, cette nouvelle une souche de grippe provenant d’oies sauvages, — c’est une supposition —, était extrêmement virulente et mortelle. Même les nations les mieux préparées à une pandémie ont été rapidement dépassées par le virus qui s’est répandu dans le monde entier, infectant près de 20 % de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement 7 mois. La majorité d’entre eux étaient de jeunes adultes en bonne santé. La pandémie a également eu un effet mortel sur les économies, la mobilité internationale et l’immobilisation des personnes et des biens, affaiblissant des industries comme le tourisme et brisant les chaînes d’approvisionnement mondiales. Même au niveau local, des magasins et des bâtiments normalement animés sont restés vides pendant des mois, sans employés ni clients. La pandémie a touché la planète en dirigeant de manière disproportionnée l’Afrique, l’Asie du Sud-Est et l’Amérique du Sud, où le virus s’est répandu comme une traînée de poudre en l’absence de protocoles officiels de confinement. Mais même dans les pays développés, le confinement était un défi. La politique initiale des États-Unis consistant à « déconseiller fortement » aux citoyens de prendre l’avion s’est avérée mortelle dans son indulgence. »

— Je vais sauter la suite. —

Cependant, quelques pays s’en sont mieux sortis, la Chine en particulier. Le gouvernement chinois a mis rapidement en place une quarantaine obligatoire pour tous les citoyens ainsi que la fermeture quasi hermétique et immédiate des frontières, ce qui a sauvé des millions. »

Cette information a été écrite, c’est de là que vient le concept entier. Ils ont donc eu le Dark Winter, ils ont décidé qu’ils ne voulaient vraiment pas utiliser quelque chose comme la variole, et le développement et les modifications génétiques des maladies sont pratiquées dans le monde entier. Et ostensiblement, c’est utilisé pour le développement de médicaments et la médecine préventive. Mais en réalité, et je le dis pour avoir dirigé des laboratoires, j’ai travaillé sur 6 Coronavirus, j’ai travaillé sur 78 autres maladies de niveau de biosécurité 3 et 3+. La raison pour laquelle les universités, l’armée et le gouvernement font ces recherches est un programme d’armes biologiques, ils essaient de trouver des outils moins coûteux à utiliser contre un ennemi commun. Ils développent des outils dont ils peuvent contrôler l’’ensemble du développement du processus…

04:08:02

Là où j’ai travaillé, pour le CDC et le CSU….. Je n’ai jamais vu un vaccin sortir en moins de

six ans. Et ils ont essayé de nous dire, ils ont essayé de dire aux scientifiques qu’ils ont créé des vaccins qui sont sûrs. Qu’il y a quatre vaccins différents, qui font des choses différentes au corps humain. Et d’ailleurs ils l’ont fait en moins de neuf mois. Mesdames et Messieurs, je ne peux que vous dire que de mon point de vue, ce sont des mensonges, des mensonges et encore des mensonges. Enfin, le 18 octobre 2019, beaucoup d’entre vous savent déjà ce qui s’est passé, mais le Centre John Hopkins, le groupe Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial ; ici nous revenons à l’aspect financier de cette atrocité, le Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire en partenariat avec le Forum économique mondial et la fondation Bill et Melinda gates ont organisé l’événement 201. Un exercice de pandémie de haut niveau, le 18 octobre 2019 à New York, l’exercice a illustré les domaines où les partenariats public-privé seraient nécessaires en cas de réponse à une pandémie grave, afin de diminuer les conséquences économiques et sociales à grande échelle. Il y a eu des déclarations sur le nouveau Coronavirus, des exercices de pandémie.

Ces dernières années, le monde a connu un nombre croissant d’événements épidémiques : environ 200 événements par an. Ces événements sont en augmentation, et ainsi de suite. Les experts s’accordent à dire que ce n’est qu’une question de temps avant que les épidémies ne deviennent mondiales. Comment ont-ils pu organiser une réunion avec toutes les personnes les plus importantes de la côte Est à New York le 28 octobre, pour que tout à coup, moins d’un mois plus tard, nous ayons maintenant le coronavirus qui émerge, de la province de Wuhan ?

Je vais vous dire comment on gère un laboratoire. J’ai géré l’un des plus grands du pays, celui de l’Université d’État du Colorado. Les virus n’en sortent pas accidentellement. Vous pouviez les sortir vous-mêmes, du temps où j’y travaillais. Je peux en sortir n’importe quand avec le virus de la peste, avec le VIH, avec la tuberculose, avec toutes sortes de Corona ; D’ailleurs les Coronas n’étaient même pas utilisées dans les installations de niveau 3. C’était des niveau 2. Vous vous demandez pourquoi ? Voyez avec la CIA. Donc la question demeure : comment se fait-il que dans tous les médias, vous vous levez le matin, vous écoutez une station de radio, vous allez sur une chaîne de télévision, et ils disent tous exactement la même chose ? Connaissez-vous tous l’opération Mockingbird ? Mockingbird est un programme de la CIA qui a été créé après la seconde guerre mondiale et qui est toujours opérationnel aujourd’hui. C’est comme ça que la CIA crée un dialogue et travaille avec les six ou sept grands systèmes médiatiques du monde.

Et je peux dire ceci, parce que vous ne connaissez pas son nom : Ma fille est un officier de renseignement militaire dans l’armée américaine. Elle y est depuis 12 ans. Elle est major, sélectionnée pour être lieutenant-colonel. Je lui ai montré tout ça et elle a dit : « oui, c’est ce qu’ils font. Ils le font maintenant ». Donc la question… il y a beaucoup de questions sur le pourquoi. Et je pense que les bonnes questions sont celles que vous avez posées aujourd’hui. Mais il y a une information importante que je voulais partager avec vous. Lorsque j’ai commencé à gérer les centres de recherche sur les maladies infectieuses, tous deux à Fort Collins, il y a environ 14 ans, il y avait 25 à 27 laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4 dans le monde. Nous sommes maintenant en 2022, et ceci provient directement du site web du CDC, je l’ai comparé à d’autres sites web également : c’est la répartition des laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4 dans le monde et vous pouvez voir que l’Australie en a quatre, presque tous les autres pays en ont un ou deux, l’Allemagne en a trois, l’Inde en a trois. Le Royaume-Uni en a six. Les États-Unis en ont 15, et quand j’ai commencé cette activité, ils n’en avait que trois.

le niveau de biosécurité trois, ce sont ceux qui travaillent sur des maladies comme le coronavirus, la grippe, le VIH, des virus qui ne sont pas extraordinairement puissants. Ils en font des armes biologique. Mais le niveau 3 est le banc d’essai du niveau 4. Il y a plusieurs petits pays… plusieurs petits pays ont un ou deux niveau 3. Tous les pays sur la liste des niveaux 4 ont autant de niveau 3 que de niveau 4. Les États-Unis ont plus de 200 laboratoire de biosécurité niveau 3 sur le territoire américain. Donc, entre les niveaux de sécurité 3 et 4, les États-Unis d’Amérique ont 215 installations de recherche sur les armes biologiques, qu’ils appellent « recherches normales ». Mais je peux vous dire que ce n’est pas le cas.

04:14:59 Reiner Fuellmich :

Une question. Je dois vous poser ces deux questions, car après avoir regardé les documents que vous nous avez montrés de l’opération lockstep… je veux dire… vous avez cité ces trois paragraphes. ces termes étaient-ils vraiment inclus dans ce document ? Je veux dire, des termes comme « COVID-19 ». Et l’autre terme aussi : « 5G » ? Etaient-il vraiment inclus ?

04:15:28 Vivianne Fischer :

Cela vient d’un livre.

05:15:31 James Bush :

[Il s’embrouille dans les pages de son document]
Vous êtes observateur. Et c’est absolument… Hier, une question a été posée sur les documents utilisés dans l’opération lockstep. C’est exactement ce qu’ils sont. C’est le… je pensais que ce document était partout sur internet… J’ai dit que je ne pouvais pas trouver l’auteur de ce document en particulier. Il était dit que c’était à la page 18 dans toutes les références… au lieu de cela… Oui c’était page 18. Et la page 18 à laquelle il se référait était la page du scénario que j’avais trouvée. Je vais voir si je peux revenir en arrière.

04:16:07 Viviane Fischer :

Ok, mais en gros, c’est comme une inspiration qu’ils ont utilisé pour le scénario lockstep.

04:16:14 Reiner Fuellmich :

La question est de savoir si c’était vraiment inclus à l’époque, en 1989, ces deux termes ?

04:16:20 James Bush : [Toujours embrouillé dans ses notes]

Non, C’est donc qu’il y a, il y a le document… le document 2020 qui était sur internet. Et dans le scénario pour la technologie future et le développement international… je suis désolé, j’allais mettre la page 18. Attendez non ! C’EST la page 18, les scénarios lockstep ?

04:16:44 Reiner Fuellmich :

Non, l’autre, avec les trois paragraphes. On vient de le regarder. C’est la diapositive numéro 10. La numéro 10, c’est ça.

04:16:53 James Bush :

C’est celle-ci, sur laquelle on était.

Reiner Fuellmich :

C’est ça, la numéro 10

James Bush :

La 10.

Reiner Fuellmich :

Celle-là.

James Bush :

Cette, cette diapositive sur le côté droit ?

04:17:07 Reiner Fuellmich :

Oui. Est-ce que ça vient vraiment de ce livre écrit en 1989 ?

04:17:12 James Bush :

Non, ça ne vient pas de là. Ce que je veux dire, c’est que ce document et cette diapositive ont été créés par quelqu’un qui s’est référé à cette page, vous la voyez ? cela provient de l’opération lockstep qui a été créée par l’Institut Rockefeller. Ils ont pris ça et ils ont modifié les événements actuels, ils y ont ajouté les concepts de ce paragraphe, et ils ont… et le monde y a cru. Et ce qui est ironique, c’est que si vous regardez le contenu du paragraphe des scénarios pour le futur du document technologique, c’est de là qu’ils ont tiré cette information. Et la 5g et le COVID-19 ne sont pas dans ce paragraphe.

04:18:09 Reiner Fuellmich :

C’est ce que je pensais.

04:18:10 James Bush :

Oui. Mais ça relie quand même tout ça, parce que l’information était là en 1989, 2001, 2010. Et à présent pour l’événement 201, en 2019. Il y a donc une progression qui va de pair avec le dialogue historique que vos autres conférenciers et experts en histoire ont présenté. Et celui-ci partage vraiment l’information. Et de mon point de vue, le Dark Winter est un facteur critique pour montrer qu’ils ont la capacité et l’intention de faire quelque chose de similaire à l’evenement 20. L’evenement 201 est le second dark winter.

Voilà pour Dark Winter. C’est l’information que je peux partager avec vous sur l’opération Mockingbird, et l’opération lockstep. Pour l’opération lockstep, après que nous ayons commencé à faire plus de recherches, j’ai voulu faire exactement ce que vous avez dit, j’ai voulu trouver cette page particulière dans ce livre, Le Nouvel Ordre Mondial par Ralph Epperson. Je l’ai lu, mais il n’y avait rien, j’ai cherché les scénarios pour l’avenir de la technologie, il n’y avait rien. J’ai cherché toutes les informations que je pouvais sur Internet. Et clairement, quelqu’un a fait ce document particulier pour le faire correspondre. Et c’était une tentative de, de coordonner ça. Ca donne du crédit au Nouvel Ordre Mondial. Je ne sais pas combien de personnes dans le groupe, ici, ont lu le Nouvel Ordre Mondial ? Je dois essayer de m’en sortir.

04:20:22 Reiner Fuellmich :

Eh bien, le problème avec des documents comme celui-là, c’est qu’ils sont non seulement déroutants, mais ils nous font paraître mauvais.

04:20:35 James Bush :

C’est pourquoi je voulais vous le montrer. Parce que je ne suis pas sûr que nous puissions parler de l’opération lockstep, à moins de nous référer simplement au livre « le Nouvel Ordre Mondial » et aux scénarios. Ceux-là sont plus crédibles, mais pas lockstep.

04:20:56 Reiner Fuellmich :

Je comprends.

Eh bien, merci, James, cela nous mène tout droit au rôle probable de l’Organisation mondiale de la santé dans tout cela. Nous avons deux autres intervenants pour cela. Mais en attendant, y a-t-il des questions que Virginie, Dexter, Dipali, voulez poser ?

04:21:29 Dexter Ryneveldt :

M. Bush, merci pour le témoignage. Je voudrais juste que vous me disiez : vous avez mentionné que, d’après votre expérience, il faut environ au moins six ans avant qu’un vaccin soit mis sur le marché. J’aimerais faire un rapprochement avec l’operation ward speed. Comment ses informations sont-elles liées ? Parce que dans un sens, il semble qu’ils aient mis très rapidement des vaccins contre le covid-19 sur le marché. Ils se justifient en disant que c’est grâce à l’opération warpspeed. Pouvez-vous éclaircir ce point ?

04:22:14 James Bush :

La réponse à cette question est qu’ils ne font pas un vrai vaccin, ils créent un modificateur d’ADN qui n’a rien à voir avec le processus normal. Le processus de découvrir une maladie et d’apprendre à lutter contre elle au sein du corps humain, en appliquant les bons produits chimiques, en effectunt les bons tests, en faisant des tests sur l’homme, sur l’animal, et en développant un vrai vaccin.

Le matériel qu’ils injectent aux gens aujourd’hui, en ce qui me concerne… Et comme je l’ai dit, j’ai travaillé sur des vaccins pendant 12 ans dans des environnements où mon travail, dans ces installations, était de diriger le comité de biosécurité et d’empêcher la maladie de se propager. Pendant mon mandat, il y avait 6000 chercheurs dans ces installations, et personne n’est jamais tombé malade. Donc nous savions ce qui causait la maladie, nous avons pu l’arrêter. Mais il a également été intégré dans la compréhension de la connaissance que vous ne pouvez pas développer un vaccin avec précision en moins de six ans. Et donc quand j’ai commencé à entendre les gens dire que nous allions en avoir un cette année… Ils injectent des produits dont on ne sait pas ce qu’ils contiennent. Je ne suis pas chimiste, je ne suis pas médecin. Je ne suis pas un docteur de recherche, mais j’ai travaillé avec eux. Et je peux vous dire qu’il n’y aura jamais d’inoculation dans mes bras ou dans ceux de quelqu’un de ma famille. Parce que j’ai peur de ce qu’il y a là-dedans. Et c’est ce que certains de vos autres experts vont dire, également. Regardez les documents dont nous avons déjà parlé aujourd’hui, comment les gens réagissent, ils réagissent très rapidement, sûrement après avoir reçu l’inoculation, et cela ne serait pas le cas avec une vraie vaccination.

04:24:16 Dexter Ryneveldt :

Merci, Monsieur.

04:24:21 James Bush :

Et je veux juste répéter, pour le cas où il y aurait la moindre question, au sujet d’un virus qui se serait échappé de Wuhan. Le laboratoire de Wuhan est un la boratoire de niveau trois. Le virus sur lequel ils travaillaient en Chine était dans un niveau 3. Il ne répond donc pas aux exigences de soin, de considération et de sécurité extrêmes d’un niveau 4. Et quand je gérais les installations du Colorado, nous avons fait des tests pour savoir si les gens pouvaient sortir de notre bâtiment avec un agent selectif, c’est-a-dire un virus dangereux. Encore une fois, allez sur le site du CDC et cherchez « agent selectif ». Et ça vous dit en gros qu’un agent selectif peut être génétiquement modifié pour devenir une arme de destruction massive. C’est pour ça qu’on les appelle des agents sélectifs. Mais à l’époque, on a fait des tests, on a fait venir des gens du Corps des ingénieurs de l’Armée, du FBI, des pompiers locaux, de la police, et on a fait des tests pour savoir si quelqu’un pouvait sortir de notre installation. Il n’y avait aucun moyen de les arrêter. Si quelqu’un voulait sortir avec ce matériel, on ne pouvait pas l’arrêter. Donc là, dans ces laboratoires dont je viens de vous montrer les chiffres, il n’y a aucun moyen d’empêcher quiconque de sortir ces choses. Donc ce sur quoi ils travaillent dans ces laboratoires, c’est, en ce qui me concerne, un programme d’armes biologiques. Et ce sur quoi ils travaillent est essentiellement la capacité de modifier d’autres formes d’injections pour contrôler et tuer la population générale. Et c’est pour ça qu’ils le font au pas de course. C’est une chimère, vous connaissez tous le concept de chimère ?

04:26:28 Dexter Ryneveldt :

Vous pouvez expliquer le concept ?

04:26:33 James Bush :

Un vaccin chimérique consiste à développer un médicament et à l’injecter à un animal ou à une personne. Et cela prépare le corps à certaines réactions. Et puis vous revenez avec la deuxième partie de la chimère, vous l’injectez et cela provoque des changements extraordinairement grands, voire la mort. Donc je crois que les injections sont chimériques, et pour aller dans le sens de votre question sur les vaccins eux-mêmes : Comment est-il possible que vous ayez une maladie ? Il y a deux questions en fait : comment est-il possible d’avoir une maladie qui est en train d’être résolue grâce à un vaccin avec une efficacité de 95 à 100 %, avec quatre types différents d’injections qui ne se ressemblent même pas dans leur contenu, et qu’au-delà de ça, dans l’histoire de l’humanité, la science et la médecine n’ont jamais trouvé de remède pour le rhume et la grippe, qui sont tous deux des coronavirus.

04:27:53 Reiner Fuellmich :

Pardon, Dexter.

04:27:56 Dexter Ryneveldt :

Pas de souci. On peut passer à vous, Reiner ?

04:27:58 Reiner Fuellmich :

Je voulais juste mentionner que d’autres experts qui vont témoigner ont entre-temps clarifié la situation, du moins en ce qui concerne Pfizer biontech. Pfizer est concerné, il n’a pas une efficacité de 95 %. C’est moins de 1 %. Certaines personnes disent même qu’il n’a absolument aucune efficacité. C’est parce que nous voyons que les pays qui ont un taux de vaccination très élevé, ont également un taux de contamination très élevé, comme Israël, comme le Royaume-Uni. Ils ont également un taux très élevé de contamination. En d’autres termes, les vaccins ne semblent pas du tout fonctionner. Ca signifie vous avez probablement raison, Jim. Nous ne pouvons pas appeler ces injections des vaccins, mais d’autres experts nous en apprendront davantage à ce sujet.

04:28:51 James Bush :

Merci pour tout ce que vous faites, et si je peux aider davantage, je le ferai.

04:28:54 Reiner Fuellmich :

Jim, merci beaucoup. Merci beaucoup de nous avoir guidés à travers ces interventions. Bon, maintenant nous allons parler au Dr Astrid StuckelBerger et le Dr Sylvia Behrendt. Toutes deux travaillent pour l’Organisation Mondiale de la Santé. Qui commence ?

04:29:18 Sylvia Behrendt :

Je pense que c’est moi. Et ensuite Astrid va continuer.

Reiner Fuellmich :

Très bien.

04:29:24 Sylvia Behrendt :

Merci beaucoup. Mes références sont les suivantes : j’ai obtenu mon doctorat à l’Université de Saint-Gall, en Suisse, sur le thème du Règlement sanitaire international et de l’autorité exécutive de l’Organisation mondiale de la santé en cas d’urgence de santé publique de portée internationale, titre très long. Et ce n’est pas mon téléphone qui sonne. Et j’étais un chercheur invité à Georgetown Law, par le professeur Gaston, financé par le Fonds national suisse. Plus tard, j’ai collaboré avec le secrétariat du règlement sanitaire international à Genève, à l’Organisation mondiale de la santé, et j’ai effectué des missions dans les pays de l’O. M. S. dans le but de mettre en œuvre au niveau national le règlement sanitaire de l’Internet. Voilà.

Les autres experts qui ont fourni leur expertise, la dernière fois, nous avons entendu M. Bush, qui a parlé de l’engrenage financier, les questions politiques et de sécurité, en particulier sous le paradigme du bioterrorisme qui fournissent la preuve qu’il ya une dérive qui a conduit à la pandémie actuelle COVID 19. Je voudrais attirer l’attention sur le fait que nous ne sommes pas actuellement confrontés à la réponse médicale à une pandémie. La plupart des critiques formulées par les scientifiques et les médecins portaient sur le fait que, d’un point de vue purement médical, toutes les mesures sanitaires recommandées et exigées par les autorités sanitaires nationales sont en fait contraires aux connaissances épidémiologiques et médicales. Et ce, à dessein. Je l’affirme, parce que le concept sous-jacent utilisé pour COVID-19 ne suit pas les principes scientifiques établis, mais plutôt une idéologie différente, qualifiée de sécurité sanitaire mondiale, et censée traiter la santé comme une question de sécurité nationale, en instaurant partout des états d’urgence et d’exception pour y faire face. Par conséquent, je considère qu’il est crucial de fournir une brève analyse historique de ce concept. Afin de comprendre que la crise sanitaire mondiale actuelle à laquelle nous sommes confrontée ne concerne pas la science médicale, et la santé au sens commun, comme on pourrait l’espérer. Le remplacement progressif des objectifs médicaux par des objectifs politiques a commencé dans le contexte des maladies infectieuses émergentes au début des années 1990. Comme nous l’avons déjà entendu, ce sont les États-Unis qui, en peu de temps, ont institutionnalisé cette nouvelle approche, mais en créant rapidement une toute nouvelle division appelée « maladies infectieuses émergentes et informations ». Il est intéressant de noter qu’ils n’ont pas engagé le personnel du département de contrôle des maladies transmissibles à ce moment-là.

Cette politique a confirmé le nouveau changement de paradigme, qui consistait initialement à réduire l’incidence des maladies endémiques régionales, et qui consiste maintenant à se concentrer uniquement sur la prévention de la propagation internationale en temps réel, et de préférence dans un délai de 24 heures. Il était donc nécessaire de mettre en place un appareil technocratique de réseaux de surveillance capable de faire face à ces nouvelles menaces. Par conséquent, en 2001, l’Assemblée mondiale de la santé a adopté une résolution qui introduisait déjà ce nouveau concept et appelait pour la première fois à trouver une définition de l’urgence de santé publique de portée internationale, dans le but de réviser les lois sanitaires obsolètes, appelées Règlement sanitaire international, car personne ne s’intéressait aux lois sanitaires à cette époque. Le problème était qu’elles avaient un champ d’application très étroit et ne s’appliquaient qu’à la fièvre jaune, de couleur noire. Dans le même temps, en particulier dans le cadre de la planification de scénarios bioterroristes aux États-Unis, nous avons tous entendu beaucoup de choses au niveau militaire et universitaire, mais l’exercice le plus important,

nous avons tous entendu en ce moment beaucoup de choses, au niveau militaire et académique, mais l’evenement le plus important, comme Dark Winter,

a été organisé et, curieusement, tous ces événements ont été très brefs après cela. Mais ce qui est aussi très intéressant et que nous n’avons pas entendu, c’est que non seulement les exercices ont eu lieu, mais qu’ils se sont aussi transformés en réalité, la législation aux Etats-Unis a été préparée pour réduire les libertés civiles pour la lutte contre le bioterrorisme à partir de 1999. Cette entreprise a été lancée par le CDC et finalement finalisée par des professeurs de l’université de Georgetown comme le professeur Gostin, en collaboration avec l’université Johns Hopkins, et elle a été appelée la « loi modèle sur les pouvoirs sanitaires d’urgence des États ». Ce modèle de loi a été vivement critiqué à l’époque aux États-Unis pour avoir transformé la gouvernance en dictature, qui a fini par s’étendre à de nombreux États. Ainsi, l’étape la plus importante du processus de révision du Règlement sanitaire international, qui est un traité international, a été l’apparition du syndrome respiratoire aigu sévère, abrégé en SARS comme nous le savons tous, en 2002, qui s’est accompagnée d’une alerte médiatique sans commune mesure avec la menace de la maladie, qui était remarquablement faible. En outre, il y avait un quasi-consensus parmi les scientifiques sur le fait que la nouvelle épidémie de SARS aurait pu avoir un potentiel bioterroriste. Cet optique politique bioterroriste qui parlait d’explosion de cas, a conduit à l’accord de la communauté internationale sur le fait que les anciennes lois devaient être réécrites par l’OMS pour inclure le bioterrorisme, mais sans nommer officiellement cet objectif. Cela s’inscrivait dans le paradigme d’une approche ouverte de tous les risques, ce qui signifie que non seulement diverses sources de risques sont incluses, mais aussi que toute dissémination de virus intentionnelle relèverait du paradigme de l’OMS, et que les règles sanitaires internationales devait être révisées. Ainsi, la dimension juridique du concept de sécurité sanitaire mondiale a finalement été intégrée avec succès dans les règlements sanitaires internationaux en 2005. Et c’est le modèle américain des urgences de santé publique, qui a été exporté à la communauté internationale, et qui est maintenant fusionné aux constitutions internationales qui ont atteint le stade où nous n’avons jamais eu de telles dispositions constitutionnelles d’urgence. Ensuite, les dispositions internationales obsolètes de confinement des maladies ont été remplacées pour inclure les agents pathogènes, qui constituent une menace pour la sécurité nationale, et nécessitent un régime d’urgence qui permet cette inflation des normes juridiques, non seulement en termes de réglementation de la sécurité médicale, mais aussi en termes de normes fondamentales, de libertés et de droits civils. Selon ce nouveau paradigme, les maladies endémiques qui comptent pour le plus grand nombre de décès ne relèvent pas de l’attention de cet ensemble de règles mondiales, qui sont maintenant la procédure standard pour les pandémies, mais seulement les pathogènes nouvellement identifiés sans traitement médical, qui nécessitent donc une autorisation d’urgence car ces substances sont toutes non autorisées. En outre, l’importance des diagnostics est apparue dans le cadre de l’idéologie de la sécurité sanitaire mondiale comme une nouvelle question prioritaire car, selon cette idéologie, la menace doit être identifiée et combattue avant d’avoir des effets dévastateurs. Ainsi, la disponibilité des diagnostics est considérée comme une exigence nécessaire pour la préparation et la réponse à la pandémie. J’espère que vous pouvez suivre.

En outre, sous la menace du bioterrorisme, la construction de laboratoires a été stimulé dans le monde entier, comme M. Bush nous l’a déjà expliqué, parce que les armes biologiques sont définies comme des armes de destruction massive et constituent un crime en vertu du droit international, la seule voie légale pour entreprendre légalement des recherches et des traitements médicaux est appelée biodéfense, qui a lieu dans les laboratoires comme nous l’avons appris. Je voudrais rappeler que tous les coronavirus du SARS sont généralemnt classés dans la catégorie américaine C des agents potentiels de bioterrorisme, et également classé sous le régime d’experts de l’UE pour le double usage, qui se réfère au potentiel de l’utilisation civile et militaire. Cela aide maintenant à dépeindre l’image plus clairement. Certaines connaissances historiques sont nécessaires pour comprendre que L’OMS et la communauté mondiale ne combatent pas le covid-19 conformément à l’avancée de nos connaissances. Après avoir lutté contre le covid comme contre une menace pour la nation, de façon disproportionnée, avec une terminologie militaire au lieu de la terminologie médicale, on parle maintenant de contre-mesures médicales et non médicales. Et dans tous les ministères de la santé, de nouveaux départements sont créés, appelés départements de sécurité sanitaire nationale. C’était donc la première partie de mon expertise. Avez-vous des questions, parce que j’aimerais expliquer comment toutes ces maladies nouvellement identifiées sont arrivées à l’OMS. On avance ? Ok, Si vous n’avez pas de questions. Dans un deuxième temps, j’aimerais parler plus en détail du petit nombre de cas de pneumonie classique de Wuhan à la fin de 2019, et dans les premiers jours de 2020, qui a été signalé à qui et s’est rapidement transformé en une urgence de santé publique de dimension internationale.

Dans un deuxième temps, je voudrais expliquer plus en détail pourquoi le petit nombre de cas de pneumonie d’un opposant typique de Wuhan à la fin de 2019, et dans les premiers jours de 2020, ont été signalés à l’oms et ont rapidement abouti à une urgence de santé publique de portée internationale, et peu après à une pandémie. Tout cela est dû au Règlement sanitaire international et à sa révision. De plus, les règles sanitaires auxquels on fait référence incluent une approche tous risques. Certains agents pathogènes, comme toute nouvelle souche d’un sous-type de grippe ou tout coronavirus de service, sont toujours prioritaires et doivent être signalés dans un délai de 24 heures à l’OMS. L’identification de ce nouveau virus a été possible parce que la Chine a un régime de dépistage très strict pour les maladies respiratoires, depuis l’épidémie de SRAS en 2002. Donc il a été possible pour la Chine d’identifier ce nouveau pathogène. Le 1er Janvier déjà, l’OMS a demandé plus d’informations sur l’épidémie. Le 3 janvier, la Chine a notifié officiellement l’existence d’un groupe de 44 patients, dont 11 étaient gravement atteints de pneumonie d’étiologie inconnue.

04:40:09 Reiner Fuellmich :

Ca ne ressemble pas à une pandémie.

04:40:13 Sylvia Behrendt :

Oui, c’est vrai. L’OMS a demandé plus d’informations, et il y a eu la fermeture du marché de Wuhan. Donc cette politisation, et l’intérêt de l’OMS à ce stade très précoce au premier janvier, alors que seulement 44 personnes ont eu cette pneumonie atypique et que 11 personnes ont souffert gravement de cette pneumonie atypique est effectivement un aspect intéressant. Cela devrait conduire à certaines précautions, mais comment la crise a-t-elle commencé, sachant qu’aucun décès n’a été signalé ni aucun cas international, et que le potentiel de transmission interhumaine n’a pas été évalué à ce moment-là. Entre-temps, le nouveau virus a été identifié comme étant le SARS-Coronavirus. Cela signifie donc que l’identification de ce nouveau virus relève du Règlement sanitaire international. Cela nécessite un rapport officiel de l’OMS, et le directeur général est obligé de constituer un comité d’urgence en vertu des règles internationales. Une fois que cette notification officielle a été reçue, il est donc légalement obligé de constituer le comité d’urgence. Et là, ça devient intéressant. Dans le même temps, le professeur Drosten et d’autres personnes ont travaillé intensément au sein de la présidence pour fournir à l’oms un test de diagnostic, par exemple via la méthode PCR, pour ce nouveau virus. Le professeur Drosten a également été le chercheur le plus misen avant en 2003, lorsque le nouveau coronavirus du SRAS a été identifié, et depuis lors, il a été nommé expert de l’oms. son premier protocole a été officiellement remis à l’oms le 13 janvier 2020, ce qui implique qu’il avait bien sûr travaillé avant cette date de soumission, et l’oms a immédiatement recueilli ce premier protocole de cet essai. Plus tard, cet essai a été un peu révisé et finalement publié dans l’eurosurveillance tour le 23 Janvier. Il a également contribué à l’orientation provisoire de « loms qu’ils ont fait le 10 janvier, et cette orientation provisoire a été publiée. Vous pourrez avoir plus d’informations plus tard, si vous voulez, mais ça devient compliqué. Ce guide d’information a été publié dans le cadre d’un ensemble complet d’environ 10 documents d’orientation de l’OMS, a destination des pays, couvrant des sujets liés à la gestion d’une épidémie de la nouvelle souche de coronavirus. Donc, le 10 janvier, un ensemble complet de documents avait déjà été publié à ce moment-là, ce qui est intéressant

04:44:58 Reiner Fuellmich :

Alors qu’il n’y avait littéralement aucun cas à l’exception des 44 cas.

04:43:03 Sylvia Behrendt :

Et ca a été publié officiellement, pourtant il faut beaucoup de temps pour que l’oms publie quelque chose parce que cela doit être approuvé. Il est important de noter que, comme toute demande liée au sars-coronavirus, ou notification officielle, le directeur général a dû convoquer un comité d’urgence COVID-19 comme une obligation légale. Vous pouvez trouver sur le site de l’OMS les experts qui sont dans ce comité, et lire leur CV. Ce comité d’urgence conseille le directeur général quand il déclare qu’une urgence de santé publique de portée internationale existe. C’est une autorité exécutive du directeur général en conformité avec les principes juridiques énoncés en vertu des règles internationales. La première réunion s’est tenue le 22 janvier et les experts ne sont pas tombés d’accord sur l’existence ou non d’une urgence de santé publique de portée internationale. Et ils ont convenu qu’il n’y avait pas de propagation internationale de l’épidémie du nouveau coronavirus. Il y avait alors 17 décès et 557 cas confirmés le 22 janvier. Ils ont donc décidé que 10 jours plus tard, ils se reuniraient à nouveau et se consulteraient pour évaluer la situation actuelle des nouveaux cas. C’est ce qu’ils ont fait le 30 janvier et, à ce moment-là, les cas sont passés de plus de 500 à 14 fois plus, soit 7711 cas confirmés et 12 167 cas suspects. Tout cela figure dans la déclaration du second comité d’urgence de l’OMS, dans les informations officielles, que vous pouvez consulter vous-même.

04:44:58 Reiner Fuellmich :

Est-ce que les cas sont définis par des résultats de tests positifs ?

04:45:04 Sylvia Behrendt :

Eh bien, les cas sont définis ainsi selon l’essai du professeur Drosten, parce que c’était une publication officielle diffusée le 13 janvier. Et il a également été intégré dans le guide publié plus tard, intitulé « Tests de laboratoire pour les cas suspectés de coronavirus ». Ces documents sont toujours en ligne sur le site de l’OMS. Parfois on les supprime, mais ceux-là sont toujours en ligne et peuvent toujours être consultés. Et c’est toujours une référence à Drosten et à sa publication.

04:46:36 Reiner Fuellmich :

Quand a eu lieu la première réunion d’urgence et quand a eu lieu la seconde ?

04:45:49 Sylvia Behrendt :

La première a eu lieu le 22 janvier et ils se sont mis d’accord pour ne pas y assister. Ils n’avaient pas assez de cas parce qu’il n’y avait que 555 ou 557 cas. Et il n’y avait pas de propagation internationale et la propagation internationale est une condition préalable pour parler d’urgence sanitaire publique. Donc ils ont du attendre 10 jours, et à ce moment, les cas avaient été multipliés par 14. Le tout détecté par diagnostic rapide. Le comité a mentionné ces diagnostics rapides dans leurs déclarations et se sont satisfait de leur utilisation, qui a permis de diagnostiqué cette nouvelle menace appelé SARS-CoV-2.

04:46:36 Reiner Fuellmich :

Donc ce qu’il s’est passé, c’est que Drosten a livré son kit de test à l’Organisation mondiale de la santé et grâce à l’utilisation de son nouveau test, tout d’un coup, nous avions 14 fois le nombre de cas qui existaient avant qu’il utilise son test.

04:46:56 Sylvia Behrendt :

C’est ce que disent les documents

04:46:59 Vivianne Fischer :

Je voudrais faire une remarque à ce sujet, parce que nous avons également des informations provenant du Freedom of Information Act, que nous avons faite avec la Charité, et vous savez, il s’avère qu’en fait la société Tib Molbiol a produit et developpé le test avec Drosten. Ils ont été répertoriés comme tels, et ils s’occupaient essentiellement de la logistique dont la Charité a parlé. Quand quelq’un entrait en contact avec Drosten… les nouveaux pays savaient que Drosten était encharge et développaient ces tests, conformément au kit d’information émis par l’OMS.

04:47:53 Sylvia Behrendt :

Les essais de tests

04:47:55 Vivianne Fischer :

Les essais de tests

04:47:56 Sylvia Behrendt :

Envoyé par l’OMS aux états membres, car c’était alors une directive officielle

04:48:01 Vivianne Fischer :

Mais il y avait un échangé d’information entre Drosten et Tib Molbiol. Ils pouvaient échanger, puis Tib Molbiol pouvait expédier pour Drosten ou pourd’autres. Donc ils avaient les cartes en main et pouvaient expédier des tets dans le monde entier. Ca ne passait pas par l’OMS, à mon avis, mais par cette connexion, et cela leur donnait un avantage.

04:48:31 Reiner Fuellmich :

Ce que ça signifie, c’est que les cas de contaminations dont ils avaient besoin pour déclarer un état d’urgence sanitaire international, ces cas sont arivés à cause des tests, c’est exact ?

04:48:48 Sylvia Behrendt :

Ils leur fallait au moins des contaminations internationales et ils devaient les diagnostiquer. Et sans test de diagnostic, ce n’est pas possible. Or le seul qui a donné ces tests est désigné dans le document sous le nom Drosten, c’est ce que disent les documents.

04:49:05 Reiner Fuellmich :

Sans ces tests, l’OMS 10 jours plus tard aurait encore eu probablement 44 cas ou peut-être 500 cas, mais pas 15 fois plus.

04:49:19 Sylvia Behrendt :

S’il n’y a pas de test, vous ne pouvez pas parler de nouveau virus. C’est là le problème. La chose vraiment importante que tout le monde devrait savoir est la proclamation d’une urgence de santé publique de portée internationale. Parce que c’est lié à la fabrication de vaccins. C’est en fait la chose la plus importante que toute personne légale ou quiconque devrait savoir, ce n’est pas la pandémie, il n’y a aucune conséquence légale si l’OMS proclame ou définit une pandémie. C’est juste intéressant pour les médias. Mais l’urgence de santé publique est liée à la réglementation et à l’autorisation d’utilisation d’urgence.

04:50:03 Reiner Fuellmich :

Sans une urgence de santé publique de portée internationale, il ne peut y avoir aucune utilisation de médicaments non testés comme les vaccins.

04:50:12 Sylvia Behrendt :

C’est vrai, parce que toutes les lois secondaires comme celles de l’UE, de la FDA aux États-Unis, utilisent le concept d’urgence de santé publique, également proclamé par l’OMS

04:50:24 Reiner Fuellmich :

Ok, Virginie veut poser une question.

04:50:28 Virginie de Araujo Recchia :

Oui, Mme Behrendt, Virginie de Araujo, avocate en France. Je voudrais confirmer avec vous que M. Bill Gates a fait pression sur l’OMS déclarer la pandémie et nous savons que la Charité, qui est lié à Drosten a développé ces tests, avec le financement de la Fondation Bill et Melinda Gates et Wellcome Trust. Je ne sais pas si vous pouvez confirmer cela.

04:51:00 Sylvia Behrendt :

Peut-être Astrid… je ne suis pas très au courant du financement. Je suis plutôt sur les questions de réglementation.

04:51:09 Astrid Stuckelberger :

C’est une bonne question. Ce que nous pouvons confirmer, et c’est ce que j’allais vous expliquer, c’est qu’il y a vraiment un plan depuis 2000, peut-être même avant, 1999, il y a un plan que vous pouvez voir chronologiquement avec les événements, qui consiste à monter l’organisation GAVI, l’Alliance pour les vaccins de l’UNICEF pour commencer à rejoindre les Nations Unies, pas seulement avec l’UNICEF, mais avec la Banque Mondiale et l’OMS par le biais d’un financement d’IFFM, l’International Financing Facility Immunization. Ils ont donc fait un trio, c’était en 2006. Ils ont commencé cela, et en même temps, GAVI est devenu une alliance globale en Suisse, en tant que fondation. Ils se sont donc enregistrés en 2006. Dans le même temps, ils ont formé un accord tripartite entre la banque mondiale, l’OMS et GAVI pour recevoir le financement des états membres. Vous pouvez trouver cela sur le web. Donc, c’était la première étape. Et comme vous le savez, en 2006, la réglementation sanitaire internationale a commencé à être dans la phase de mise en œuvre. Et ce que nous pouvons découvrir, c’est qu’en suivant ce qu’elle fait… je vais aller à l’essentiel. En 2009 elle s’est enregistrée en tant qu’organisation internationale en Suisse, d’un nouveau type, et nous avons un communiqué de presse du gouvernement suisse qui montre qu’elle a été créée spécifiquement pour M. Bill Gates.

Cette organisation internationale aurait une immunité totale, vous ne pouvez rien faire, vous ne pouvez même pas l’envoyer au tribunal, ils font leur propre tribunal s’ils ont un désaccord. Et à partir de là, ca a commencé, nous avons les documents de l’OMS, le logo, ils ont des conseils exécutifs, j’ai découvert récemment qu’on peut tout trouver sur le web, donc on peut trouver ça. Ils ont choisi la décennie 2010-2020 comme la décennie du vaccin. Et nous avons mis en œuvre des règlementations sanitaires, parce qu’il a fallu instruire et former les pays pour qu’ils soient prêts. Et nous avons terminé le premier cycle en 2012.

De 2009 à 2012, nous avons reçu l’Université de Georgetown, l’université de Pretoria, et j’étais avec l’Université de Genève. Et à ce moment-là, quand nous avons fini le cycle, nous avons reçu des fonds à nouveau du Japon, et soudain, ça s’est arrêté : ils ont dit qu’il n’y avait plus de fonds. Pourtant nous avions presque un contrat signé. J’ai découvert pourquoi : parce qu’en 2012, à l’Assemblée Mondiale de la Santé, ils ont désigné Bill Gates comme chef de file du plan d’action mondial pour les vaccins 2012-2020. Donc tout s’éclaire. A partir de ce moment il était aux commandes. Et c’est mentionné, ils savent que GAVI est le leader de tout ce qui concerne les vaccins. Et plus seulement pour les enfants comme avec l’UNICEF, pour le monde entier. Donc vous pouvez le voir, c’est une preuve suffisante qu’il y a au moins un plan.

Et ça continue, Bill Gates est dans le groupe de travail SAGE, le groupe consultatif des experts stratégiques, et ils ont même… c’est très drôle… Enfin non, ce n’est pas drôle, mais ils ont même fait en 2016, un rapport d’évaluation de ce plan d’action mondial pour les vaccins 2012-2020. Et en 2016, ils étaient très énervés parce qu’ils n’ont pas immunisé le monde entier. Pour eux, l’immunisation c’est la vaccination, ils prendraient n’importe quel prétexte pour vacciner. Et ne parlent pas d’expérimentation ou de validation, ils ne parlent que du vaccin, bien sûr, et en 2016, on voit vraiment qu’ils ne sont pas contents.

M. Gavi/Global dit que nous devons vraiment faire un effort. Donc ils ont fait un programme qui s’appelle « le programme accélérateur » pour les vaccins. Voilà, donc c’est au moins une partie des étapes que vous pouvez voir très clairement, tout est sur le web, sans parler du financement, dont je peux parler aussi…

04:55:53 Reiner Fuellmich :

Qu’est-ce qui s’est passé ? Qui a reçu l’immunité diplomatique en 2009 ? Était-ce GAVI ou la Fondation Bill et Melinda Gates ? Ou était-ce un Bill Gates personnellement, ou tous ces gens ?

04:56:07 Astrid Stuckelberger :

C’est vraiment GAVI Alliance, la fondation GAVI, mais ils ont enlevé le nom de Fondation. Et dans l’accord, c’est bien GAVI, l’Alliance globale pour la vaccination. Oui, je peux trouver le terme exact dans mon papier. Mais la Fondation Bill et Melinda Gates, d’après ce que je découvre de plus en plus, c’est plutôt le mécanisme financier, le financement, ou la réception des fonds pour les programmes. Et j’ai découvert encore une fois, que le gouvernement Suisse, la FDA de la Suisse, a signé un accord pour la période 2020-2023, pour fournir à la Bill et Melinda Gates Foundation 900 000 dollars en 3 ans, donc 300 000 chaque année pour son programme, son projet. Et vous ne pouvez pas voir ça dans le papier, vous devez aller chercher dans les projets. Je n’y suis pas allé, mais ça concerne le vaccin. Donc je suppose que lorsqu’on prend le modèle suisse, ou comme Sylvia l’a dit, la mécanique entre la réglementation nationale et internationale, on applique ce système comme un modèle partout dans le monde, et la loi sur les épidémies d’un pays est contrainte par les règlements de santé internationaux. Nous avons constaté qu’en Suisse, même la constitution suisse contient une petite ligne qu’ils ont ajoutée sans nous demander notre avis, qui dit que le droit international supplante le droit national en matière de santé. Et puis vous pouvez voir cela dans la loi sur les épidémies qui a été adoptée en 2016. Donc probablement dans tous les pays, il faudrait vérifier, j’en suis presque sûre, — on l’a vu au Canada, il y a une loi sur les épidémies ou une loi d’urgence qui dit aux pays, qu’ils doivent obéir au règlement sanitaire international. Et donc si une urgence de santé publique internationale est déclarée, chaque pays doit se mettre immédiatement à obéir.

Et c’est ce qui explique pourquoi le 16 ou le 17 mars, le monde entier s’est verrouillé, c’est une situation compréhensible, avec ce règlement sanitaire international. Avec le sars-cov-1, ça ne s’était pas passé comme ça, que soudainement le virus soit partout. Mais c’est ce qui se passe avec Omicron, ça commence en Afrique du Sud et le jour suivant, c’est dans le monde entier.

04:58:56 Reiner Fuellmich :

Oui… Mais est-ce qu’il y a, en ce qui concerne le Règlement sanitaire international, Sylvia et Astrid, est-ce qu’il y a une légitimité démocratique à ce Règlement sanitaire international ? Est-ce que ceux qui ont inventé ces règlements sanitaires internationales ont été élus à un poste quelconque ? Y a-t-il une quelconque légitimité démocratique à cela ? Ou s’agit-il simplement d’une entreprise privée dirigée par des personnes qui contrôlent l’Organisation Mondiale de la Santé ?

04:59:29 Astrid Stuckelberger :

Je peux répondre à votre première question et ensuite Sylvia pourra compléter. Quand nous enseignions et formions, au sujet du règlement sanitaire international, c’était la question qui revenait très souvent, comment se fait-il que cela soit contraignant pour les États membres ? Et c’était une réponse extraordinaire, qui vous expliquera à quel point il est important de regarder ce nouveau traité sur la pandémie. L’OMS, et j’ai vraiment fouillé et fouillée, est le seul programme spécialisée des Nations Unis, ou la seule Agence qui possède une Constitution. La Constitution de l’OMS. Pas convention, Constitution. Les article 21, 19, 21.1 et 21.2 engagent directement les états membres s’ils adoptent le règlement sanitaire international. Donc ils n’ont pas besoin de passer par toute la procédure du traité. C’est pour cela que c’est très dangereux, car cette constitution semble destinée à remplacer toutes les constitutions du monde, autrement pourquoi utiliser le mot Constitution ? Et donc la réponse des juristes de l’OMS a toujours été : « Oh, nous avons adopté ça à l’assemblée générale de 2005 sous la Constitution de l’OMS, article 21. A et article 2. »

5:00:58 Reiner Fuellmich :

Oui, mais ce qui est drôle, et ce n’est pas drôle du tout, c’est que ceux qui ont créé les règlements sanitaires internationaux n’ont pas été élus… ou ne possèdent aucune autorité ? Ou bien existe-t-il un lien entre le peuple des États membres, pas leurs gouvernements, le peuple des États membres et ces règlements sanitaires internationaux ? Ou bien n’y a-t-il que la constitution qu’ils ont eux-mêmes inventée ?

5:01:29 Astrid Stuckelberger :

Alors, permettez-moi d’expliquer les rouages des Nations Unies. Et c’est presque pareil pour toutes ces grandes agences comme le Bureau International du Travail, l’ITU télécommunication, pour les réfugiés ; chaque année, vous avez une assemblée mondiale, comme pour une ONG, une Assemblée Mondiale de la Santé se déroule chaque année aux Nations Unies à Genève, en mai, la troisième semaine de mai, tous les états membres ont leur petit siège et sont réunis. Ils ont un programme et décident ensemble de celui du monde. Normalement, s’il faut prendre une décision importante, ils ne sont que des représentants de l’Assemblée générale des Nations unies. Ils doivent donc s’adresser à l’Assemblée générale, et obtenir la bénédiction du Secrétaire général, le chef des Nations Unies, qui lui doit donner sa bénédiction à l’OMS. Je ne vois pas cela dans le cas de la réglementation internationale de la santé, si c’est une piste, euh, un indice.

5:02:40 Silvia Behrendt :

J’ajoute à cela les règlements internationaux en matière de santé, car nous avons commencé vers 18:15, il y a quelques heures. Et c’est un régime très intéressant parce que ce traité international remonte aux Conventions Sanitaires de 1850. C’est donc l’un des plus anciens régimes juridiques internationaux, qui a été repris par l’OMS et qui a été reconnu dans la constitution de l’OMS, parce qu’ils avaient déjà à l’esprit, et c’est très vrai, qu’ils voulaient instaurer un régime réglementaire de procédure accélérée. Ils ont donc mis en place un processus réglementaire qui stipule que, dans le cadre des règlements relatifs aux pertes sanitaires, qui sont à présent les pertes liées à une pandémie, auxquels vous pouvez vous référer, les États membres doivent choisir de ne pas participer, et non de participer. Ainsi, en vertu de la résolution adoptée, un traité international doit entrer en vigueur dans l’État membre, sinon celui-ci doit se retirer volontairement. C’est donc le processus inverse du droit international. Et c’est un élément très singulier. Et je pense qu’aucune autre organisation internationale, je n’ai trouvé aucune autre organisation internationale possédant cette capacité. Mais ce qu’ils ont réalisé est démocratique, car il s’agissait d’un processus de négociation intergouvernemental. Et ce qui est intéressant, c’est qu’uniquement à cause de l’émergence du SRAS, ils ont développé cette nouvelle idéologie adaptée de l’idée de sécurité sanitaire globale selon laquelle ce ne sont pas les maladies endémiques qui sont dévastatrices pour les populations, mais seulement les nouvelles maladies pour lesquelles il n’existe pas de traitement médical. Ils ont donc inséré ce nouveau concept dans les anciennes lois qui avaient toujours existé, l’OMS existait dans le monde. Ils ont donc adopté ce tout nouveau concept… Oui, une idéologie. Et c’est la situation extrêmement frappante que nous vivons maintenant. Et cela a été adopté sous forme de résolution. Et point intéressant, il s’agit d’un traité international et l’OMS n’en fait pas partie. Elle est seulement liée par la résolution de divers autres traités internationaux, comme la convention-cadre pour la lutte antitabac, dont l’OMS est signataire. C’est donc une loi internationale un peu délicate.

5:05:02 Reiner Fuellmich :

Je ne comprends toujours pas. Je ne vois pas de lien entre moi, mes compatriotes et ces règlements sanitaires internationaux.

05:05:12 Dr Silvia Behrendt :

C’est le problème du droit international.

05:05:20 Reiner Fuellmich :

Eh bien, pas vraiment, je pense que c’est assez unique.

05:05:23 Silvia Behrendt :

Parce que les États membres l’ont adopté, ils ont donné leur accord en 2005. Ils ont tous dit qu’ils souhaitaient ce nouveau type de règles en droit international. Et maintenant, ils sont obligés de l’appliquer au niveau national, ou depuis 2007. C’est entré en vigueur, et ils sont tenus de l’appliquer. Et par exemple, l’Autriche, je vis en Autriche, notre Constitution ne comporte pas de clause d’urgence. Et nous n’avons pas adopté de lois sanitaires, nos lois épidémiologiques, il n’y a pas de clause d’urgence et nous avons toujours le même système. C’est ce que je dis toujours, quel que soit le système juridique et la constitution des pays, évidemment le système peut avoir un impact sur n’importe quel pays et n’importe quel système constitutionnel et régime juridique, c’est possible avec ou sans clause d’urgence, ils appliquent des règles d’urgence. C’est ce que je vois, du moins c’est mon opinion.

05:06:24 Astrid Stuckelberger :

C’est comme pour les Objectifs de Développement du Millénaire, et les Objectifs de Développement Durable qui semblaient correspondre, vous savez, de 2000 à 2015, et 2015 à 2030. Avec les Objectifs de Développement Durable qu’ils ont créé, ils mettent en place tout un mécanisme là-autour, et cela devient de plus en plus obscur, et il est de plus en plus difficile de savoir à quel point nos citoyens décident vraiment, et nous ne décidons plus rien. Parce que ça devient tellement complexe et opaque.

05:06:54 Reiner Fuellmich :

Nous devons absolument reconquérir notre souveraineté. C’est la conclusion que j’en tire. Parce que même si l’UE veut proposer une nouvelle loi, par exemple, elle peut décider d’introduire ces lois, mais à moins que les États membres ne la ratifient dans leur propre pays, elle ne devient pas une loi dans leur pays. C’est donc assez surprenant pour moi. Et je pense à tous ces juristes qui devraient aussi être au courant de ces questions. C’est très inquiétant, je pense.

05:07:56 Silvia Behrendt :

Et l’UE a créé cette agence HERA, qui est similaire, mais probablement beaucoup plus coercitive, et c’est un énorme, énorme problème. Et ils ne possèdent aucune autorité en matière de santé, mais ils prétendent quand même l’avoir, ils créent les agences et nous donnent des instructions sans processus démocratique.

05:07:53 Reiner Fuellmich :

HERA est l’acronyme de Health Emergency Response Agency (Agence d’intervention d’urgence sanitaire). En effet. Et n’y a-t-il pas une rumeur selon laquelle si les gouvernements des États membres de l’UE s’effondrent, ils prendront le relais avec une sorte de mini gouvernement mondial sous la Commission européenne ? Est-ce que cela semble plausible ?

05:08:16 Dr Silvia Behrendt :

Je n’en ai aucune idée, mais je suis sûre qu’ils en seraient ravis.

05:08:20 Astrid Stuckelberger :

Oui, c’est l’idée de ce traité sur la pandémie. Parce que ce traité sur la pandémie contient des articles à la fin qui disent qu’avec la Constitution de l’OMS, nous n’avons pas besoin d’autres Constitutions en tant qu’États membres, et non seulement ils diminuent le pouvoir des États membres, — ce qui est la raison de l’existence des Nations Unies, mais ils ont invité tout un tas d’acteurs non étatiques, comme ils les appellent, les ONG, Gavi, les ONG intergouvernementales, les organisations internationales, parce que vous pouvez utiliser beaucoup de choses, Bill & Melinda Gates pourrait être une ONG et puis ils ont différentes activités, la Fondation Rockefeller, je les ai rencontrés à l’OMS, ils viennent, ils participent à des réunions, et ce sont des ONG, nous ne savons pas qui elles sont. Les acteurs non étatiques sont donc également invités à participer à ce nouveau traité, qui reprendrait littéralement, par le biais de la constitution de l’OMS, une constitution mondiale en cas de pandémie.

05:09:20 Reiner Fuellmich :

En fin de compte, nous sommes en présence d’associations privées, voire de particuliers, qui prennent le contrôle de nos gouvernements nationaux par le biais de l’Organisation mondiale de la santé et qui utilisent la santé comme un levier pour faire ce qu’ils veulent.

05:09:40 Astrid Stuckelberger :

Oui, on pourrait dire cela parce que le partenariat public-privé a été utilisé, vous pouvez le voir à travers le financement, parce que GAVI et les partenaires privés ont commencé à envahir et à interférer dans l’ensemble des Nations Unies. En fait, je me suis penchée sur cette question lors de l’organisation des journées portes-ouvertes de l’adhésion de la Suisse aux Nations Unies, pendant deux jours, etc. J’ai donc découvert nombre d’organisations dont personne n’entend parler, et l’une d’entre elles est une entité privée appelée le Pacte Mondial des Nations unies. Ce Pacte mondial des Nations Unies ne concerne que le secteur privé. Et ils peuvent, par exemple, financer. Je veux dire, c’est ouvert aux partenariats.

05:10:33 Silvia Behrendt :

Oui. Et juste pour compléter cela, la mise en œuvre du Règlement sanitaire international, c’est très étrange, parce que c’est fait par des évaluations externes de Trump effectuées par le Global Health Security Agenda (Agenda de la sécurité sanitaire mondiale). Et si vous regardez leur page web, vous verrez qu’ils ont un consortium privé, et vous ne savez pas, vous n’avez aucune information, quel consortium privé fait ça. Mais vous savez que ces évaluateurs externes vont en Allemagne, vont dans tous les pays, cela figure même sur le site web du RKI. Et ils chantent à quel point c’est fantastique. Mais ils ne disent pas que c’est mis en œuvre par des entités privées, vous ne savez pas. Je ne veux donc pas de lois exécutées par des entités privées. C’est absolument contraire à la démocratie. Et ils en sont très fiers. Très fiers.

05:11:28 Reiner Fuellmich :

C’est bizarre.

05:11:31 Virginie de Araujo Recchia :

Si je comprends bien, il n’y a pas de conseillers privés qui travaillent aussi avec l’OMS comme McKinsey et Centure ? Ils sont aussi le bras de la Fondation Bill Gates ?

05:11:48 Astrid Stuckelberger :

Hum, oui, c’est une bonne question. En fait, j’ai cherché le lien entre McKinsey et l’OMS parce que nous savons qu’ils créent la communication. Et je pense qu’ils l’ont placée sous quelque chose qu’ils sont en train de mettre en place, un panel intergouvernemental, quel est le titre exact, panel intergouvernemental pour ce traité, pour négocier, réseau de négociation intergouvernemental, quelque chose comme ça. Donc, cela vient de se dérouler au conseil exécutif. C’est un peu inquiétant parce que je pense que toutes ces agences de communication sont noyées là-dedans. Il n’y en a pas qu’une.

05:12:34 Viviane Fischer :

Qu’est-ce que ce traité ajoute à la situation actuelle ?

05:12:39 Dr Silvia Behrendt :

Eh bien, le traité est vraiment mythique. Je viens d’entendre l’ancien conseiller juridique de l’OMS en parler, c’est disponible sur internet. Et c’est très politique, c’est probablement, le partisan le plus féroce est Charles Michel, il a suggéré ce traité à l’Union européenne, une fois que ce traité, les États-Unis sont une sorte de poster, ils ont proposé que les RH soient renforcées. Le problème sera donc un monde à double voie, car s’ils se précipitent sur un traité, seul un petit nombre de signataires le signeront, alors que les RH sont un outil universellement reconnu. Et nous n’avons pas mentionné qu’il contiendrait en fait de bons aspects, qui sont négligés et violés. Il comporte une clause de mise en œuvre des droits de l’homme qui n’est pas respectée, carrément violée. Il y a donc eu des compromis à la fin, lorsqu’ils ont adopté la résolution. Mais c’est juste qu’ils ne sont pas mentionnés, et personne ne le fait, aucun tribunal, vous savez, ne trouve une violation de ceci. Le problème est donc que ce qu’ils aimeraient mettre en place, c’est en amont et en aval de l’industrie pharmaceutique, probablement parce que le champ d’application du traité n’est même pas clair. La seule chose est que cela suscite beaucoup de communication. Le directeur général est un très grand partisan de ce traité, parce qu’il est très politique d’une certaine manière. Et c’est très, très étrange, le genre d’intentions qui se cachent là-derrière. Et on y fait appel pour la préparation et la réponse. Donc ce que nous savons, c’est qu’ils ont inventé une nouvelle procédure qui est aussi problématique. C’est ce qu’on appelle l’utilisation d’urgence de la récession par l’OMS, c’est une très grosse entreprise, Big Pharma peut s’adresser à l’OMS et dire : « Je suis en train d’inventer un nouveau produit pharmaceutique ou un nouvel ensemble de diagnostic pour ce type de maladie pour cette urgence de santé publique. Et nous aimerions que vous l’inscriviez sur notre liste », et ensuite, celui qui l’inscrit sur la liste ajoute une clause de non-responsabilité, indiquant qu’il n’y a aucune garantie et aucune approbation de l’OMS et que si quelqu’un meurt, ce n’est pas la faute de l’OMS, ce n’est qu’une liste. Et puis GAVI prend cette liste et dit : « Oh, nous pouvons l’exporter dans le monde entier, même sans autorités médicales rigoureuses et très compétentes. Nous avons cette liste de l’OMS, maintenant nous pouvons l’offrir au monde entier. » C’est ce qu’ils font. Dans les traités de Gavi et de l’Alliance pour les vaccins, ce centre Covax, comme on l’appelle. Le troisième pilote de cet accélérateur ACT (https://www.who.int/fr/initiatives/act-accelerator) (Dispositif pour accélérer l’accès aux outils de lutte contre la COVID-19). Donc, aujourd’hui, on aimerait probablement trouver de meilleurs moyens de réglementation pour que le fait que les grandes entreprises pharmaceutiques s’adressent à une organisation internationale devienne un processus normal. Mais il s’agit en fait, d’un traité de droit international privé, pas de droit international public. Parce que le problème du droit international coutumier n’est pas reconnu. Son cas d’utilisation ius cogens (loi impérieuse), ça veut dire que c’est une norme à laquelle vous ne pouvez pas déroger, qu’il n’existe aucun traitement médical quel qu’il soit, proprement sans votre consentement. Donc, oui, c’est un énorme problème.

05:16:13 Reiner Fuellmich :

Nous avons donc appris ce soir de la part de tous les autres experts, y compris bien sûr des trois qui ont témoigné au début de cette session, que par exemple au Royaume-Uni, les soins de santé ont été largement privatisés, ils sont contrôlés par des groupes privés, voire des organisations caritatives privées. Nous avons appris que grâce à cette privatisation, même leur système psychiatrique a été privatisé. Des privés se trouvent derrière tout ça, et c’est comme ça qu’ils contrôlent tout. Ils créent même leurs propres futurs leaders, à l’instar du Forum économique mondial. Cela signifie qu’ils disposent de leurs propres membres à qui ils semblent dire ce qu’ils doivent faire à des postes de pouvoir au sein du gouvernement. Maintenant, si je regarde l’OMS, il y a un homme du nom de Tedros. C’est le directeur général. Qui est-il ? J’ai lu dans les journaux que dans son propre pays, les gens sont… et qu’une plainte pénale a été déposée contre lui pour génocide. Est-ce la marionnette typique, disons, que les entités privées qui dirigent le spectacle de la santé utilisent pour atteindre leurs objectifs ?

05:17:46 Astrid Stuckelberger :

Non, je dois dire que je n’ai jamais vu un tel directeur général. J’en ai connu beaucoup… Je sais aussi de l’intérieur que le personnel était très mécontent de lui. Et ils ont demandé sa démission et bien sûr, cela ne s’est jamais produit. Donc, oui.

Et un autre scoop, si je ne l’ai pas déjà dit, est que dans le conseil d’administration de la fondation GAVI, vous pouvez voir les noms des personnes qui ont fait partie de GAVI. Eh bien, Tedros a fait partie de GAVI avant d’être élu directeur général, conflit d’intérêts. Il a donc fait partie du conseil d’administration entre, je l’ai écrit ici, le 22 janvier 2009 et septembre 2011. C’est l’un d’entre eux. Et l’autre personne en conflit d’intérêt, la présidente de l’Irlande, qui était à la tête de la Commission des droits de l’homme. Je la connais mais je suis très surprise qu’elle ait été là avec le président, avec même la signature de GAVI, de novembre 2008 à septembre 2011. Je peux vous donner les papiers, pas de problème. Vous savez, c’est très précis, du 25 novembre 2008 au 14 septembre 2011.

Donc vous voyez, il y a beaucoup de noms que je ne connais pas. Et je suis sûre que vous y trouverez de nombreux noms que vous pouvez peut-être aussi trouver dans vos pays. Parce que des représentants de pays siègent à GAVI avant même d’être en poste. Il est donc clair qu’il était déjà lié à Bill Gates.

05:19:23 Reiner Fuellmich :

Donc, où que vous regardiez, vous voyez des conflits d’intérêts. Debi et Ana lèvent la main.

05:19:32 Ana Garner :

Oui, j’ai vérifié pour voir quels pays sont membres de l’OMS, et vous ? J’en vois beaucoup, beaucoup, beaucoup, en fait, je n’en vois aucun que je ne reconnais pas. Est-ce qu’il y a des pays ? 194 ? Y a-t-il des pays qui ne sont pas membres de l’OMS ?

05:19:53 Astrid Stuckelberger :

Pour le moment ? Je pense les Etats-Unis… ah non ils sont revenus. Non, le Vatican est un observateur aux Nations Unies, comme vous le savez peut-être ou pas. Et c’est aussi un sujet que je voulais aborder quand vous parlez des valeurs, de la religion, d’opérations psychologiques. Oui, donc ce sont des observateurs et ils sont partout. Les autres religions siègent en général au Conseil Mondial des Églises, juste en face du grand bâtiment que Bill Gates a construit avec notre argent suisse en trois ans. Je veux dire, vous devez le savoir.

Oh, non, c’était une question, alors j’ai répondu…

05:20:37 Ana Garner :

Il n’y a donc pas de pays qui ne soient pas membres. Le Vatican est peut-être un observateur, mais n’est pas un membre. Mais…

05:20:46 Astrid Stuckelberger :

Non, non. Je ne sais pas s’il y en a, Sylvia, que diriez-vous ? Même s’il y en avait 196 ? Votre son est coupé, Sylvia.

05:20:56 Silvia Behrendt :

Il y en a donc 196 dans le Règlement sanitaire international, parce que le Vatican et le Liechtenstein ne sont pas membres de l’OMS. Mais ils sont signataires du Règlement sanitaire international.

05:21:10 Reiner Fuellmich :

Debi a levé la main.

05:21:12 Astrid Stuckelberger :

Je voudrais juste ajouter quelque chose qui pourrait être intéressant sur le plan juridique. Dans l’annexe, dans les notes à la fin de ce règlement sanitaire international de 2005, deux pays ont émis des réserves, disant qu’ils n’étaient pas entièrement d’accord avec ce règlement, parce qu’ils voulaient appliquer leur sécurité globale au niveau national, et vous devinez de qui il s’agit. Les États-Unis et l’Iran. Il est donc intéressant de voir que deux pays ont réussi à émettre une réserve à ce sujet. Comment se fait-il que les autres ne l’aient pas fait ?

05:21:48 Reiner Fuellmich :

C’est parce que leur peuple n’a pas encore parlé, mais il le fera. Debi ?

05:21:52 Debi Evans :

Oh, merci. Je voudrais juste mentionner très rapidement, lorsque vous avez parlé du Royaume-Uni, que nous avons également un sérieux problème ici avec les personnes non vaccinées, car toute personne admise à l’hôpital positive au COVID-19 semble ou semblerait être placée dans un programme de soins de fin de vie accéléré, et il semble que l’on administre aux patients du Midazolam et de la morphine. Et ce, sans leur consentement. Sans le consentement de leur famille. Ces décisions sont prises par les praticiens seuls. Et les familles et le patient n’ont rien à dire. Je voulais donc m’assurer d’inclure les victimes de ce désastre absolu qui ne sont pas vaccinées. Et aussi, juste pour attirer votre attention sur le Cepi. Il a été fondé en 2017. Et Cepi et GAVI ont travaillé en étroite collaboration, en fait, financièrement très proches. Et lorsque le Cepi a été lancé en 2017, Bill Gates, lors du lancement du Forum économique mondial, a déclaré qu’en gros, ils allaient supprimer la sécurité des essais cliniques, ce serait seulement, et il l’a dit sans détour, et en fait la colonne des nouvelles du Royaume-Uni l’a relaté. Mais Bill Gates a déclaré que les données relatives à la sécurité et à la fabrication seraient réduites, ce qui permettrait à la mission « 100 jours » d’aller de l’avant et de déployer les vaccins dans les 100 jours suivant la déclaration de pandémie par l’Organisation mondiale de la santé. Je tenais donc à le mentionner. Et aussi, concernant Whitney qui parlait plus tôt de la DARPA, nous avons notre propre DARPA en version diluée, si vous voulez, nous avons la nôtre, mais nous avons aussi Wellcome Leap sur lequel Whitney a obtenu beaucoup d’informations quand il s’agit d’acheter des armes et de fabriquer des produits biochimiques. Et je vais aussi juste revenir sur le brevet, parce que le brevet de Rothschild de 2015, si vous regardez le document complet, tout ce que nous voyons aujourd’hui fait partie de ce brevet qui a été approuvé en 2020. Mais on lui a donné la priorité en 2015. Il a donc été rédigé en 2015. Et ce que nous voyons aujourd’hui, c’est tout ce qui se trouve dans ce brevet, de sorte qu’avec la pandémie de SPARS et la pandémie de SPARS 2025 à 2028, il y avait un coronavirus, et certains des noms sont les mêmes que dans le scénario futuriste de John Hopkins, comme Corovax. Cela présente donc beaucoup de similitudes.

Et je sais que nous avons parlé, vous avez parlé de parallèle, mais je voudrais juste rappeler aux gens que SPARS pandémie 2025 à 28, donne une répartition mensuelle. Et si vous regardez quand nous avons commencé, en mars, quand nous avons eu le premier cas, dans notre pays en tout cas, ou en décembre à Wuhan, cela progresse littéralement mois par mois. La prédiction pour l’avenir semble donc être la résistance aux antimicrobiens, ce qui est déjà écrit dans le SPARS. Et nous constatons que de nombreuses personnes dans ce pays ne sont pas en mesure d’accéder à des antibiotiques et que les généralistes et les médecins ici ne veulent pas en prescrire. Je voulais juste ajouter ça. Merci.

05:25:35 Reiner Fuellmich :

Nous avons donc de nombreuses raisons de nous inquiéter de notre souveraineté. L’une d’entre elles, et non la moindre, est le Règlement sanitaire international de l’Organisation mondiale de la santé. Cela semble être le thème principal. Il s’agit de la manière dont, par le biais de leur constitution et de la révision du Règlement sanitaire international, ils semblent essayer de prendre le contrôle du reste du monde, y compris, bien sûr, de l’ensemble des 196 États membres. Cette évaluation est-elle correcte ?

05:26:09 Silvia Behrendt :

Oui, du moins je le pense, car dans la première partie de mon expertise, j’ai souligné que cet agenda incluait les aspects militaires, mais ils n’avaient pas été nommés. C’est la raison pour laquelle nous avons maintenant une sorte de réponse à la pandémie non médicale, disproportionnée et politique. Et nous ne nous en rendons pas compte. Parce qu’ils ont inclus ce scénario bio- terroriste et ont adapté le langage à la sécurité sanitaire mondiale, c’est aussi ce centre de bio défense civile ou quelque chose comme ça. Au temps de Dark Winter, ça s’appelait Johns Hopkins Global Health Security Center, centre pour la bio défense civile, je crois que c’était le nom correct. Et ils avaient aussi un journal appelé Bio -terrorisme, ou Bio -défense et maintenant il s’appelle Global health security (Sécurité sanitaire mondiale). Nous ne devons donc pas oublier que le travail sur la bio-défense peut continuer du moins. C’est donc bien plus politique, comme en conviennent les politiciens eux-mêmes.

05:27:19 Astrid Stuckelberger :

J’ajouterai deux points : d’une part, nous devrions nous inquiéter de l’ensemble des Nations Unies, car les Objectifs de Développement Durable sont 17 objectifs et 169 cibles, c’est l’Agenda 2030. Et tout cela est imbriqué surtout avec le changement climatique par exemple, mais il faudrait examiner de nombreux autres mécanismes.

Le second, l’Alliance des Nations Unies pour le financement des SDG, de quoi s’agit-il ? Quand vous creusez, vous découvrez de nombreux éléments très mystérieux que nous devons comprendre. Mais l’autre point qui pourrait vous intéresser… rappelez-vous que la pandémie, ou l’urgence de santé publique de portée internationale comporte quatre typologies, je prenais en charge les études de cas, et il était très important de les distinguer. Et c’est ce que nous devrions faire avec ce qui se passe maintenant, parce que nous sommes tous concentrés sur le facteur biologique. Mais en fait, le premier est la biologie infectieuse. Le second est la biologie alimentaire. Et il y a toute une organisation là-derrière qui s’appelle Infostan. Le troisième est chimique, et le chimique c’est le mercure, peut être le métal, etc. Et j’invitais un expert Karsten Gutschmidt, un Allemand, il présentait toujours de très bons rapports, mais il était très difficile de trouver des experts là-bas. Et la quatrième, qui est très importante, vous allez voir pourquoi, c’est la radiation radionucléaire. Et c’est encore plus difficile de trouver des experts.

Et je m’en rends compte, parce que dans nos cours, nous avons invité des personnes qui s’occupent de cela. Il s’agit de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique basée à Vienne, des experts en matière de radionucléaire, Tchernobyl, Fukushima, ils sont les premiers concernés. Et ce qui m’a choquée lorsque nous faisions les études de cas de Fukushima, nous avions également demandé ce que l’OMS avait fait. Et ils ont dit non, l’OMS n’a pas été autorisée à accéder à Fukushima, le visa leur a été refusé. Parce que le premier à être présent est l’AIEA, l’Agence Internationale de l’Energie Atomique. Et ce qui est très étrange, c’est qu’ils ont un accord, ou en tout cas, une déclaration écrite qui leur donne le pouvoir sur l’OMS. Je suis donc allée voir ce qu’ils font avec le COVID aujourd’hui même. Je suis donc très heureuse ou très effrayée de vous annoncer qu’ils sont en charge du kit RT-PCR.

Et en fait, juste avant de dire comment ils ont présenté ça, si ils sont indépendants des Nations Unies, ils possèdent leur propre traité international. Et ils font chaque année un rapport à l’Assemblée générale des Nations Unies et au Conseil de Sécurité. C’est pour les menaces de bombe nucléaire qui pourraient tuer la planète entière. Donc, ils disent que l’AIEA a développé une technologie de diagnostic dérivée du nucléaire qui peut aider à détecter et identifier le COVID ou n’importe quoi d’autre chez nous, chez les humains et chez les animaux. Parce que les animaux sont traités par des vétérinaires et par la FAO, l’Organisation de l’Administration Alimentaire. Et ils ont développé ce test. Et ce test est très efficace, la RT-PCR, parce que c’est une réaction en chaîne par polymérase et un test rapide, ils pensent qu’ils sont les experts, en particulier pour Ebola, Zika, et le virus de la peste porcine africaine. Donc, j’ai lu ça juste aujourd’hui. Et pour moi, ça sonne l’alarme, parce qu’ils offrent maintenant le kit de test PCR, et leur laboratoire. Ils sont donc liés à des laboratoires. Et nous en parlions, c’est là où se trouve le pouvoir et où les choses doivent être, je pense, examinées de plus près, je ne sais pas ce que vous pensez, c’est un peu inquiétant.

05:31:53 Reiner Fuellmich :

Vous voulez dire que d’autres organisations privées ou semi-privées ou la plupart de ces organisations, dont nous avons parlé ce soir, presque toutes les organisations internationales sont plus ou moins contrôlées par des citoyens privés, par des groupes privés, des organisations caritatives, etc. Cela nous ramène au thème dont nous avons entendu parler aujourd’hui, à savoir que la City de Londres, la grande finance, contrôle tout, par l’intermédiaire de ses émissaires, de privés qui tentent de contrôler le reste du monde. Encore une fois, nous devons reprendre notre souveraineté, c’est tout ce que cela me dit en ce moment. Et nous devons également examiner de plus près les tests PCR, ce que nous ferons dans la séance de demain.

05:32:44 Astrid Stuckelberger :

Et peut-être aussi regarder toutes les ONG. Parce que l’OMS gère l’alliance mondiale des hôpitaux, l’alliance mondiale des alliances d’alliances. Beaucoup de Britanniques sont responsables. Et vous devez aussi savoir que de nombreux militaires sont là, car le CDC aux États-Unis, était autrefois militaire. Et je pense qu’il l’est toujours, d’ailleurs. Donc, je pense que nous devons démêler les ONG mondiales, ou les BINGO, les intérêts financiers des ONG, parce que ces mécanismes les rendent très difficile à trouver. Et elles ont beaucoup de pouvoir, plus que nous le pensons.

05:33:27 Reiner Fuellmich :

Les gens doivent apprendre qu’ils doivent se déconnecter et observer, regarder, démarrer la démocratie de base, regarder leurs régions et leurs communautés. Ce sont eux qui savent le mieux ce qui est bon pour eux. Il est déjà très tard. Je sais que Dipali a quelques heures d’avance sur nous, trois ou quatre heures, n’est-ce pas ? Dipali ?

05:33:52 Dipali Ojha :

Oui, quatre heures et demie.

05:33:54 Reiner Fuellmich :

Oh, mon Dieu ! La journée a été très longue. Et à moins qu’il y ait d’autres questions, je pense que nous devrions clore cette session pour ce soir. Oui, allez-y, Dexter, je vous en prie.

05:34:07 Dexter L-J Ryneveldt :

Oui, je veux juste parler au Dr Silvia, vous avez mentionné la sécurité sanitaire mondiale. Et j’aimerais peut-être juste la mettre en perspective par rapport aux changements de définition de l’Organisation Mondiale de la Santé en 2009.

05:34:25 Silvia Behrendt :

Eh bien, vous voulez dire que vous vous référez à ce troisième critère de pandémie ?

05:34:31 Dexter L-J Ryneveldt :

C’est exact. Oui.

05:34:34 Silvia Behrendt :

Mon opinion est qu’ils ont juste réalisé que l’OMS a compris qu’elle n’avait plus besoin d’une définition de pandémie. Parce que tout ce qui est nécessaire est un simulacre, une urgence de santé publique de portée internationale, parce qu’ils veulent fabriquer des vaccins. Et la façon dont la pandémie est définie dans les documents non juridiques n’a pas d’importance. Ils ont donc réduit le seuil très élevé, car ils ont réalisé qu’ils pouvaient, à tout moment, faire de l’urgence de santé publique une urgence de portée internationale. Tant qu’ils disposent de diagnostics. Ils n’ont donc pas prêté attention à ce thème, je pense. Et c’est notre problème. Et aussi pour les avocats qui cherchent toujours cette définition de pandémie. Mais il n’y a pas de conséquences juridiques liées à la définition d’une pandémie. Par contre, les conséquences juridiques sont énormes si vous proclamez, si le directeur général prend cette autorité et proclame une urgence de santé publique de portée internationale.

05:35:43 Dexter L-J Ryneveldt :

Merci beaucoup.

05:35:47 Virginie de Araujo Recchia :

Est-ce que ça explique peut-être pourquoi ils utilisent les modèles de Sir Ferguson pour augmenter la peur et expliquer qu’il y a une pandémie parce qu’avec les mathématiques épidémiologiques qu’ils ont utilisées là-dessus, ça ne sert à rien. C’est utilisé à tort pour étudier la propagation du virus, ils utilisent ces informations synthétiques à partir de ces modèles, peut-être, parce que ça paraît très étrange qu’ils utilisent les modèles de Sir Ferguson, et ça ne marche pas du tout. Et ces modèles ont été dupliqués dans d’autres pays, comme en France, par exemple. Et nous avons pris cela pour acquis. Ce n’est pas du tout basé sur l’expérience de la médecine, ce ne sont que des mathématiques. On ne peut pas du tout utiliser ça. Mais j’aimerais savoir si c’est pour cette raison que l’OMS a utilisé ces modèles, pour augmenter la peur de la pandémie et pour manipuler les masses.

05:37:12 Silvia Behrendt :

Je ne connais pas les détails, parce qu’en fait, ils avaient tout ce qu’il fallait pour proclamer une urgence de santé publique et les gouvernements nationaux avaient besoin de la population pour qu’elle accepte, je suppose. Ils en avaient donc besoin pour la population, car il y a aussi eu le premier simulacre déclaré en 2009, où des vaccins ont été fabriqués, mais personne n’a été menacé. En tout cas, je n’ai pas été menacée par cette simulation parce qu’il n’y avait pas de communiqués de presse qui nous menaçaient, mais maintenant ils avaient besoin que la population reste à la maison pendant les confinements et pour se faire vacciner à la fin, c’est mon explication personnelle, je ne sais pas.

05:37:53 Virginie de Araujo Recchia :

Oui, d’après le modèle de Sir Ferguson, les vaccins étaient la seule solution, pas de traitement du tout, seulement des vaccins.

05:38:07 Astrid Stuckelberger :

Je pourrais juste ajouter, ils ont changé beaucoup de définitions, ou de définitions scientifiques, pas seulement la pandémie, ils ont changé la définition des professionnels de santé, c’est tout le monde, ils ont changé la confidentialité des données, il n’y a plus de confidentialité des données. Ils n’ont pas fait d’éthique, par exemple, dans la communication dans le cours de la mise en œuvre du règlement sanitaire international. On devrait en faire, c’est pour rassurer les gens, « on ne sait pas, on cherche quelque chose, vous allez être fixé vous allez savoir ce qui se passe ». Et petit à petit, on tient les gens informés. Et là, c’était la peur, tout de suite. Et non seulement c’était une opération psychologique qui vise à instiller cette peur, cette peur constante avec des cas, avec des images de mort qui n’étaient pas des morts, parce que nous savons aujourd’hui qu’il n’y a pas plus de mortalité en 2020, mais aussi avec des contradictions déjà mentionnées. C’est dans la psychologie de Melanie Klein, vous rendez les gens et les enfants psychotiques quand vous dites « je t’aime mais je te déteste » et vous faites pression ou vous dites je « t’aime et je te déteste » en même temps par votre comportement.

Ils ont donc fabriqué un délire de cohérence, pas de contrôle, pas de sentiment de contrôle. C’est aussi un autre concept en psychologie. Et ils ont totalement insécurisé les gens, ce qui diminue leur immunité, d’ailleurs, et psychologiquement, ils ont aussi supprimé toutes les religions et tous les systèmes de croyance. C’est quelque chose qui maintient les gens en vie et ils ont censuré la religion, ils ont censuré la mort. Ils ont interdit le rituel de la mort qui est l’un des plus importants si vous voulez bien faire votre deuil. Je veux dire, la cohérence et la guérison. Ils ont donc fait beaucoup de choses. Pas seulement cette manipulation… Je ne connais pas M. Ferguson, mais je pense que je pourrais en ajouter une, ils ont complètement inversé les valeurs. Et c’est un peu le syndrome psychotique de Melanie Klein, je l’appelle le syndrome d’Hansel et Gretel, « parce que je vous aime, je vais vous donner ça, je vais être éthique, nous allons bien vous traiter avec le vaccin », et ils les tuent. Et ils ont complètement abrogé les directives de recherche éthique, que nous avons élaborées entre 2006 et 2009. J’étais impliquée là-dedans. Donc, toutes les valeurs sont aussi une opération psychologique. Ils ont changé les valeurs et les définitions.

05:40:50 Reiner Fuellmich :

Il est certain qu’il ne s’agit pas de santé.

05:40:55 Debi Evans :

En ce qui concerne le Professeur Ferguson, si je peux juste clarifier le point de vue du Professeur en 2002. Il a modélisé la survenue de 50 000 décès au Royaume-Uni à cause de la maladie de la vache folle. Et il l’a modélisé de manière complètement incorrecte, alors nous avons incinéré tout notre bétail à cause de 150 décès. C’était donc très incorrect. Nous avons été très surpris au Royaume-Uni lorsque nous avons appris que Neil Ferguson était responsable de la modélisation de cette pandémie, car il s’était montré très imprécis lors de la précédente. Il a également fait la une des journaux à plusieurs reprises et a dû démissionner de son poste à SAGE parce qu’il a été pris en train d’enfreindre les règles de confinement. Je voulais juste ajouter cela à son propos.

05:41:38 Reiner Fuellmich :

La question est : comment se fait-il qu’il soit toujours en poste ?

05:41:41 Debi Evans :

C’est une très bonne question. Et je ne peux pas y répondre. Je crains que ce soit le cas. Il ne devrait pas…

05:41:47 Astrid Stuckelberger :

Conflit d’intérêt.

05:41:50 Debi Evans :

Absolument.

05:41:51 Astrid Stuckelberger :

Ou népotisme..

05:41:53 Debi Evans :

Il travaille aussi en étroite collaboration avec l’Arabie Saoudite. J’ai oublié de trouver le nom, je n’arrive ni à le lire ni à le prononcer. Mais il travaille à l’Imperial College qui a le plus grand nombre d’anciens élèves chinois. Quand le président Xi est venu en visite officielle, la seule université qu’il a visitée était l’Imperial qui a d’énormes liens avec la Chine. Et ils ont aussi racheté un certain nombre de nos hôpitaux, si bien que nous avons maintenant un NHS Trust impérial. Donc l’Imperial, je pourrais continuer pendant des heures sur l’Imperial et le professeur Alice Gast qui en est la présidente, elle a donné une conférence basée sur 1984, George Orwell, 1984. Beaucoup de choses se passent à l’Imperial et je pourrais en dire beaucoup plus, mais le professeur Ferguson a été discrédité en 2002 pour la maladie de la vache folle, et je voulais juste le mentionner. Merci.

05:42:55 Reiner Fuellmich :

C’est étonnant effectivement, le nombre de personnes qui sont totalement incompétentes dans leur domaine. L’une d’entre elles est la personne qui dirige la Commission européenne, elle a échoué à tous les postes qu’elle a occupés. C’est incroyable le nombre d’incompétents qui sont maintenus en poste, évidemment par ceux qui les y ont mis. Ces gens super riches, d’une manière ou d’une autre, semblent être alimentés et maintenus en vie par la City de Londres et ses cinquièmes colonnes qui semblent être partout dans le monde. Nous devrons examiner de plus près tous ces événements.

05:43:43 Astrid Stuckelberger :

Je voudrais juste ajouter une chose, nous parlions de McKinsey, et le fils de Von der Leyen travaille pour McKinsey, et le fils de Fabius en France travaille pour McKinsey. Et vous connaissez le népotisme ? C’est un terme utilisé pour les Papes…

05:44:03 Virginie de Araujo Recchia :

Ursula von der Leyen a aussi eu un problème quand elle était ministre de la défense en Allemagne, je crois.

05:44:07 Reiner Fuellmich :

Et aussi quand elle était secrétaire aux familles, je crois, ou quelque chose comme ça. Elle a toujours eu des problèmes, mais elle a toujours été maintenue en poste.

05:44:17 Virginie de Araujo :

Et c’était déjà un problème avec les contrats de McKinsey.

05:44:21 Reiner Fuellmich :

C’est majeur. Je pense que McKinsey est une institution majeure et tout cela parce que nous avons appris par un autre expert que Bill Gates utilise McKinsey pour s’assurer que ses conseillers deviennent les conseillers de, par exemple, Ursula von der Leyen et de toutes les autres personnalités politiques majeures, par le biais de McKinsey et de leur réseau.

05:44:55 Astrid Stuckelberger :

Oui, c’est incroyable que nous ayons exactement les mêmes messages il y a deux ans dans les magasins et dans les aéroports, et maintenant. Vous savez, lavez-vous les mains, mettez votre masque, je veux dire, en Europe, du moins pour ceux qui ont ces mesures, et c’est la même voix. C’est comme une agence de marketing.

05:45:15 Reiner Fuellmich :

Tout à fait.

05:45:16 Astrid Stuckelberger :

Alors il faut aussi analyser ça, si c’est la même voix partout. Il y a quelque chose de bizarre.

05:45:22 Reiner Fuellmich :

Nous nous penchons également sur cette question. Mais ce soir, la journée a été très longue. Et je sais que Dipali a besoin de sommeil, comme nous tous. Donc, à moins qu’il n’y ait d’autres questions auxquelles il est urgent de répondre, je pense que nous devrions clore notre séance du jour. Et je tiens vraiment à remercier tout le monde, cela a été extrêmement précieux. Merci, Astrid. Merci, Virginie. Merci, Silvia. Merci, Dexter, Ana et Dipali. Et bien sûr, merci, Debi. Merci beaucoup, beaucoup. Un grand pas de fait. Merci.




Déconstruction : les dessous de l’attaque des « Woke » contre la science

[Source : RL]

Par Alain Falento

Nous entendrons par wokisme ce corpus idéologique qui réunit tous ceux qui ont vocation à se plaindre, tous ceux qui considèrent que si leur vie, leur statut social ou leur surface financière ne sont pas en accord avec leurs espérances, c’est uniquement parce que les Occidentaux blancs, et principalement les mâles, œuvrent depuis des millénaires pour qu’il en soit ainsi. Le nom « woke », qui signifie « éveillé » en anglais, montre immédiatement l’humilité de tous ces gens, puisque par définition, les non-woke sont donc des « endormis », des bœufs.

[Voir aussi :
L’idéologie woke saborde l’identité culturelle du Canada
Sept signes d’alerte indiquant que quelqu’un que vous connaissez est en train de devenir « woke »
Tintin, Astérix et Lucky Luke brûlés et jetés: le milieu scolaire canadien livré au mouvement «woke»?
La star hollywoodienne Kirstie Alley dit qu’elle croit que les démocrates et la foule « woke » sont déterminés à normaliser la pédophilie auprès des masses
Le wokisme est plus une idéologie religieuse que politique]

S’agrègent donc autour de ce concept les féministes, les minorités sexuelles, raciales et tous ceux qui s’estiment légitimes à se plaindre et à réclamer des compensations. Ils sont bien entendu implicitement extrêmement hiérarchisés ; tout en haut de la pyramide trônent les transsexuel.l.e.genr.é () .es.binair.e.s.ou non (veuillez excuser ma syntaxe approximative) noires handicapées, qui ont vocation à tirer la grande majorité des bénéfices, puis par ruissellement on retrouvera tout en bas la femme blanche hétérosexuelle féministe. Au milieu, toutes les combinaisons les plus improbables sont envisageables. Une sorte de pyramide de Ponzi qui ne fonctionne que par cooptation.

Tout ce petit monde n’a qu’une seule obsession : faire cracher au bassinet et humilier le Monstre, l’Infâme, unique responsable de toutes ces discriminations : l’homme blanc hétérosexuel. Si possible chrétien.
Bien entendu, un certain nombre de concepts fondateurs furent nécessaires à la construction de cette idéologie, représentatifs des différents courants. Ainsi, « le privilège blanc », « la culture du viol », « le patriarcat » et « le racisme systémique » forment le socle du wokisme.
Muni de ce trousseau idéologique, que n’importe quel abruti peut s’approprier en quelques instants et surtout auquel il peut s’identifier, les leaders de la non-pensée woke sont donc partis à l’assaut des systèmes universitaires des pays occidentaux.

Comme tout parasite ou nuisible, les woke ont choisi comme porte d’entrée les endroits les plus friables de nos universités, là où les fondations sont faiblardes, où tout est discutable, où tout est affaire d’opinion, où tout le monde peut raconter n’importe quoi, là où les étudiants sont connus pour être les plus faibles intellectuellement, à savoir les prétendues « sciences humaines ».

La stratégie de conquête universitaire des woke est simple. Ils mettent un pied dans la porte, parviennent à placer l’un des leurs à un poste de maître de conférences, ce dernier deviendra professeur, ne recrutera que des thésards woke qui deviendront eux-mêmes professeurs. En quelques années ils parviennent à s’emparer de pans entiers des universités.

Jusqu’à maintenant cela ne représentait pas vraiment un problème car il faut le dire, on se fout royalement des sciences humaines. Tout le monde sait parfaitement que ce sont de gigantesques usines à chômeurs prétentieux qui finissent dans le meilleur des cas dans les centres de tris postaux. Ils sont un peu – si l’on peut se permettre une analogie biologique – la couche de graisse incompressible du corps de la société. Un étudiant woke a au moins le mérite, de par son statut, de ne pas figurer dans les statistiques du chômage.

Tout aurait pu en rester là. Mais les woke sont ambitieux, hargneux, vindicatifs. Il leur en fallait plus.
Depuis quelques semaines nous voyons se répandre dans la presse dite « progressiste » et féministe des articles sur le condor de Californie.
Slate, Le Huffington post, Libération n’ont d’yeux que pour cet oiseau qui n’est pourtant qu’un charognard géant peu ragoûtant.

Cette soudaine passion pour l’ornithologie mérite toute notre attention car ces idéologues malfaisants ne font jamais rien par hasard ; leur instinct de destruction est sans égal et tout article qui semble de près ou de loin scientifique a nécessairement un but malsain bien précis.
Le point de départ de cette épidémie d’articles vient d’une découverte récente sur cette espèce d’oiseaux. Des biologistes ont observé des cas de reproduction par parthénogenèse sur certaines femelles. La parthénogenèse n’est pas un phénomène nouveau, il est observé depuis longtemps chez les reptiles, mais il n’avait jamais été observé chez des oiseaux de grande taille.

Schématiquement la parthénogenèse est une forme de reproduction par laquelle une femelle donne naissance à un nouvel individu sans que l’œuf ait été fécondé par un mâle.
Les esprits les plus vicieux d’entre vous auront déjà compris de quoi il s’agit. Il n’en fallait pas plus à quelques féministes incultes pour se vautrer dans un anthropomorphisme grotesque. À en croire ces articles, Madame Condor de Californie et ses copines en ont eu assez de ces Messieurs Machos Condor et elles ont décidé de faire des bébés toutes seules par parthénogenèse.

Nous n’aurons pas la cruauté d’analyser en détail les conclusions que tirent ces pseudo-journalistes de cette découverte. Mélangeant théorie de l’évolution mal comprise et féminisme, elles en déduisent que ce phénomène est bon pour la nature car il évite les bagarres entre mâles pour l’accès aux femelles. La société Condor de Californie s’en trouverait ainsi apaisée, la violence éradiquée, les ressources épargnées.

Bien entendu, à aucun moment ne leur vient à l’idée que si la reproduction sexuée s’est imposée dans la Nature, c’est qu’elle permet de conserver une diversité génétique nécessaire pour que l’espèce puisse s’adapter à des modifications de l’environnement. La parthénogenèse, quant à elle, entraîne un appauvrissement du patrimoine génétique qui, s’il se généralise, aboutirait implacablement à la disparition de l’espèce.

De même, elles semblent ne pas avoir intégré le fait que ces phénomènes ne sont nullement le fait de la volonté d’individus mais le fruit de millions d’années de sélection naturelle, en tout cas selon le paradigme scientifique en vigueur de nos jours.
L’intérêt qu’il convient de porter à ces articles réside dans le fait qu’il représente une première incursion des woke dans les sciences de la vie. Cette apologie de la parthénogenèse n’a d’autre objectif que de démontrer le caractère superflu et même nuisible des mâles. La prochaine étape, qui ne tardera pas à venir, consistera à demander notre euthanasie pure et simple, ou pour le moins symbolique, par notre « déconstruction ».

La déconstruction. Voilà l’outil de base, la boule de démolition de tout woke qui se respecte. Les woke veulent déconstruire tout et tout le monde et repartir de zéro.
Mais qu’est-ce exactement que cette déconstruction ?
Ce concept, emprunté au philosophe français Jacques Derrida, qui eut un succès fou au États-Unis dans certains « nanocosmes » universitaires et psychanalystes dans les années soixante, nous revient donc en pleine gueule tel un boomerang.

Pour rester poli, le moins que l’on puisse dire, c’est que cette doctrine est aux mieux absconse, et au pire, inutile et incertaine.
Afin de se faire une opinion, rien ne vaut ces lignes d’un thuriféraire de Derrida, philosophe autoproclamé, décrivant la déconstruction comme : «  la construction d’une dimension supplémentaire à l’analyse, une dimension prenant en compte, en plus de l’objet analysé, l’analyste et son langage, une dimension où le contenu et le contenant de la production analytique s’enchevêtrent et se disséminent, une dimension hyperréflexive dans laquelle tout en-soi, quelle que soit son apparente fixité, se révèle dans un vertigineux mouvement hélicoïdal dont la force centrifuge le projette ailleurs que dans sa simple possibilité d’être, et finalement le projette dans l’impossible ». Certains appellent cela de la philosophie…

Ce salmigondis, une fois digéré et recraché par le sociologue Pierre Bourdieu, puis simplifié, devient la fameuse « déconstruction » des préjugés. L’induction logique, qui a permis le développement de notre science, est balayée d’un revers de main. Le but même de la sociologie est nié. Bien entendu aucun préjugé n’a de fondements. Toute généralisation est à bannir. Seule la particularité doit être considérée. Une seule forme de préjugé est cependant admise, celle envers les hommes blancs qui, eux, sont tous coupables de tous les maux passés, présents et à venir pour l’éternité.

D’aucuns pourraient considérer qu’il n’est pas nécessaire de se préoccuper des élucubrations d’une poignée de fous (en réalité des folles majoritairement) car ils sont extrêmement minoritaires et par conséquent marginalisés. Penser ainsi c’est commettre une grossière erreur d’appréciation.
Il est bon de rappeler que la Russie n’a pas sombré si brutalement dans la nuit communiste parce qu’une majorité de Russes se seraient convertis en quelques années. Il est avéré que le communisme soviétique s’est imposé alors que seul un petit pourcentage de la population adhérait à cette doctrine. La grande majorité n’y a juste pas prêté attention.

Se contenter de ricaner des wokes c’est ricaner des termites qui rongent votre charpente. À la fin ils gagnent et le toit s’effondre. Comme le disait le comte de Montalembert : « Vous avez beau ne pas vous occuper de politique, la politique s’occupe de vous tout de même ». Il faut de même s’intéresser aux wokes avant que ces derniers ne décident de notre sort et de celui de nos enfants en entraînant notre société dans un maelström de bêtise et d’ignorance.

Les gauchistes et autres wokes se sont mis en capacité de proposer un système paralogique cohérent, facilement transmissible et aisément accessible aux esprits faibles.
Le responsable de tous les maux de la Terre est l’homme blanc occidental chrétien hétérosexuel. Ce dernier a exploité et violenté les femmes depuis toujours en les privant de nourriture (c’est ainsi que la grande pensée de l’anthropologue Françoise Héritier explique que les femmes soient plus petites que les hommes). De même il a, par la colonisation, exploité les richesses des Africains et nié leur immense culture. À partir de ces préceptes simples tout est donc permis à son encontre. Les minorités raciales ne réussissent pas dans le système scolaire, c’est que l’école est raciste et discriminatoire. Les ethnies africaines se massacrent entre elles, c’est l’héritage de la colonisation.

Les élites africaines sont corrompues, c’est bien entendu à cause des corrupteurs occidentaux.
Après avoir revisité l’histoire, la sociologie et l’anthropologie, les wokes débarquent maintenant dans les sciences, utilisant la biologie comme porte d’entrée. Au Royaume-Uni, les écoliers apprennent à l’école que la majorité des découvertes scientifiques seraient le fait de femmes, que l’Histoire des sciences, écrites par les hommes, aurait volontairement éclipsées. Einstein n’était que le vulgaire scribe de son épouse, Pasteur un pitoyable plagiaire de sa femme. J’ai même découvert il y a quelques semaines que Beethoven était de toute évidence…de race noire.

La prochaine étape de cette entreprise destructrice concernera, à n’en pas douter, les fondements mêmes de la rationalité, à savoir la logique et les mathématiques. L’illuminée Sandrine Rousseau a d’ailleurs déjà ouvert la porte en affirmant qu’elle préférait une sorcière à un homme rationnel.
En effet, la logique dite « standard », sur laquelle se fondent les mathématiques et a fortiori toute notre science, est basée sur trois principes fondamentaux que sont le principe d’identité, le principe du tiers exclu et le principe de non-contradiction (il existe des logiques alternatives mais à ma connaissance elles ne sont que des curiosités universitaires).

Les noms en eux-mêmes de ces trois principes sont parfaitement insupportables aux oreilles d’un woke. Pas assez inclusifs, trop genrés, trop blancs, trop masculins. Le mot principe est lui-même masculin. C’est insupportable.
De plus les mathématiques c’est difficile, exigeant. Les slogans et affirmations gratuites n’y ont pas leurs places. Les mathématiques et la logique sont donc des instruments de domination des mâles occidentaux blancs sur les femmes et les racisés. Il faut les déconstruire au plus vite.
Au moment même où j’écris ces lignes, je viens de découvrir qu’il existe une manière déconstructiviste de résoudre une équation du premier degré.

Il y a fort à parier que dans les mois qui viennent, les mathématiques seront attaquées frontalement, probablement dans les universités américaines les plus vérolées par l’idéologie woko-féministo-BlackLivesMatteriste. Les traditionnels petits problèmes de trains et de robinets seront certainement remplacés par des ateliers collaboratifs au sein desquels les étudiants auront l’opportunité de développer leur intuition. Ces nouveaux préceptes pédagogiques seront importés chez nous par nos gauchistes et cela en sera terminé de la capacité de la France à produire des ingénieurs et scientifiques de haut niveau.

On peut légitimement se demander pour quelle raison les universitaires raisonnables, qui représentent encore une majorité, ne s’opposent pas à cette mascarade ? La réponse n’est que trop évidente : par lâcheté, par peur d’être taxé de racisme ou d’incitation à la discrimination. Les plus courageux ont déjà été excommuniés.

Si ne nous parvenons pas à endiguer cette vague d’imbécillité, nous pourrons toujours caresser le secret espoir que ces gens développeront leur propre logique, leur propre science, qu’ils les utiliseront pour construire des trains et des avions woke… et qu’ils les emprunteront.
Quant à moi je continuerai à utiliser les modes de transport issus de la bonne vieille science moisie, occidentale, blanche, non racialisée et non déconstruite.




Inversion accusatoire de Trudeau envers le mouvement de la liberté – Appel unifié avec les Premières Nations pour rétablir l’ordre constitutionnel canadien

Par Joseph Stroberg

Trudeau a accusé les parcipants au mouvement pour la liberté d’être des racistes

En réalité, nous pouvons observer en particulier que les Premières Nations [les autochtones amérindiens] y participent :



Voir aussi :

et

Du côté de Trudeau

Justin Trudeau photographié en blackface lors d’un événement en 2001.
(Académie West Point Grey)

Trudeau a accusé les participants d’être de soutenir les nazis

En réalité :

Du côté de Trudeau

Le vice-président du Parlement ukrainien, Andriy Parubiy, s’est rendu à Ottawa en février 2016 et a rencontré le premier ministre. Lors de cette réunion (de gauche à droite), l’ambassadeur d’Ukraine au Canada Andriy Shevchenko, le vice-président de la Verkhovna Rada Andriy Parubiy, le Premier ministre Justin Trudeau et le député Borys Wrzesnewskyj.
Andriy Parubiy cofondateur du parti social-national néo-nazi d’Ukraine (rebaptisé par la suite Svoboda) a été invité par Trudeau à Ottawa en 2016. Parubiy est un partisan du leader nazi de la Seconde Guerre mondiale, Stepan Bandera. (Voir mondialisation.ca)

Du côté du mouvement de la liberté

Les médias mainstream prétendent avoir vu un symbole nazi brandi par un manifestant. Dans l’hypothèse où un individu aurait été vu avec un symbole nazi parmi la foule des manifestants à Ottawa, il se pose les questions suivantes :

Quel est le contexte du symbole ? Sur certaines affiches ou images, l’usage d’un tel symbole peut notamment servir à dénoncer le nazisme ou une tendance similaire. Exemple :

Pour dénoncer la dérive totalitaire de l’Union Européenne

Est-ce qu’une poignée d’individus qui brandiraient des symboles nazis au milieu ou en marge d’une foule de manifestants peuvent prétendre pour autant représenter celle-ci ? Ou bien s’y sont-ils glissés, éventuellement à la demande d’agents gouvernementaux ou médiatiques, pour tenter d’apporter un discrédit sur la manifestation ?




Témoignage d’un camionneur québécois sur ce qu’il se passe à Ottawa : « C’est l’amour… C’est tellement beau… C’est magique… C’est le Nouveau Monde qui commence là. Il n’y a plus de différences… Autochtones, noirs, blancs… Il y a de la nourriture pour tout le monde… Tout le monde pleure, de joie. »

[Source : videopress.com]

Transcription par jbl1960

Bonjour tout le monde.

Je vous fais cette vidéo pour dire ce qui se passe à Ottawa où je suis passé cette fin de semaine, tant ce fut une expérience unique… C’est… Je sais même pas comment l’expliquer, mais c’est vraiment magique.

Je vais faire tout mon possible pour y retourner en fin de semaine parce que là je manque un peu d’argent, mais je tiens absolument à y retourner. Parce que quand vous arrivez là, je vous le dis, et tous ceux qui l’ont vécu comprendront et sauront de quoi je parle, mais tout le monde pleure. [NdJBL : le gars pleure également dans la vidéo et a les yeux mouillés tout du long] ;

Toutes les personnes qui étaient présentes, on a pleuré, on a pleuré de joie, parce que c’est vraiment indescriptible quand tu arrives à Ottawa et que tu vois ce qui se passe. C’est quelque chose qu’on n’a jamais vu avant, personne. C’est indescriptible. C’est juste de l’amour, du bonheur, tout le monde est content de se voir.

Y’a plus aucune différence, on est juste un grand peuple UNI. Tout ce qui arrive à Ottawa, c’est ça que tu ressens. Tu ressens toute l’énergie de l’amour de tout le monde. C’est vraiment capoté [= C’est fou. Ou formidable, étrange, original…].

Alors, il se passe plein d’affaires à Ottawa. Ça brasse pas mal, car il y a les Premières Nations qui ont pris le contrôle du Parc de la Confédération. Le Grand Chef des Premières Nations du Canada est venu avec des documents importants et les peuples autochtones ont décidé de s’y installer et de planter des tipis pour un moment !

Les anciens des peuples premiers font des cérémonies ancestrales. Et lors de la dernière cérémonie, c’était une véritable communion avec les blancs [NdJBL : ceux que j’appelle les colons de papier].C’était quelque chose qu’on n’avait jamais vu et c’est totalement magique ce qui s’y passe.

Les anciens autochtones ont donné une couverture qui date de cent, cent cinquante ans au responsable du Mouvement sur place, ainsi qu’une pipe noire/calumet de la paix. Le Grand Chef a serré le responsable du site dans ses bras et je ne sais pas si vous vous rendez-compte de ce qui se passe, mais c’est du jamais vu !

À partir de là, il n’y a plus de guerre, plus de jugement. Y’a plus de différences entre nous. Nous sommes juste des êtres humains, dans l’amour, la fraternité. Tous nous le ressentons ici, ainsi. Tout le monde s’entraide, la nourriture est offerte, c’est l’abondance pour tout le monde.

C’est le NOUVEAU MONDE qui a commencé, ici, à Ottawa et l’émotion me submerge tellement tout ce qui se passe est fort. C’est trop beau et jamais j’aurais cru voir ça de ma vie ; UN PEUPLE UNI comme ça… Et c’est là que je veux être aujourd’hui, car la ville d’Ottawa appartient désormais au peuple. Tout le monde se parle, échange. La ville est devenue un grand salon où tout le monde parle, mange… Allez-y tellement c’est incroyable ce qui s’y passe.

Tout le monde est là pour t’aimer, pour t’aider. Que vous soyez non vacciné, vacciné, double-dosé, boosté, que vous soyez un autochtone, un blanc, un noir, un Français, un Anglais, tout le monde t’aime.

La division, la différence n’existe plus à Ottawa. C’est vraiment le Nouveau Monde qu’on attendait TOUS et qui se concrétise maintenant, ici. J’étais impatient que cela s’étende partout ailleurs parce que si tout le monde vit cette même expérience, il n’y aura plus personne dans la peine, le malheur, plus de guerre. Ça, c’est clair.

J’espère pouvoir y retourner samedi, car ce que j’ai vécu là-bas… C’était les plus beaux moments de ma vie et je veux recommencer ça. Et nous sommes très nombreux à ressentir cela et j’appelle tous ceux qui veulent le vivre à y aller, parce que c’est magique. C’est l’expérience d’une vie… Venez tous. On va pas partir demain alors que les Amérindiens sont en train d’installer leurs tipis et que l’entraide est totale !

Ceux qui n’ont pas les moyens d’aller à Ottawa, organisez-vous pour venir, sinon allez à Québec pour supporter le Mouvement.

ARRÊTEZ la DIVISION ! N’écoutez pas les trolls qui sont là pour vous décourager, vous diviser et empêcher la cohésion des peuples. ILS n’y arriveront pas NOUS SOMMES UNIS !

Même si je pleure, je n’ai jamais été aussi heureux de ma vie, car ce qui arrive là c’est tellement beau, avec ce que les autochtones nous préparent, ÇA VA CHANGER NOTRE PAYS et NOTRE FAÇON DE VOIR le Monde !

Préparez-vous à ça. C’est la magie d’Ottawa qui va s’étendre partout, c’est que du bonheur.

Salut tout le monde – Je vous aime TOUS(TES), à ceux qui ne sont pas d’accord avec moi, je m’en fous, je vous envoie de l’amour, parce que si vous avez de mauvais sentiments envers nous autres, c’est parce que vous manquez d’amour et que je vous souhaite de trouver l’amour tout le monde.

Salut !




Le combat pour les libertés paye ! Au 11 février 2022 quatre provinces canadiennes vont être libérées grâce aux convois de la liberté

Par Gérard Delépine

Il y a trois semaines, dans un silence assourdissant des médias, les camions de la liberté ont commencé leur croisade contre les mesures prétendument sanitaires qu’imposaient les dirigeants canadiens et en particulier le passe vaccinal.

Trudeau et sa clique ont d’abord méprisé les camionneurs, puis les ont accusés d’être des complotistes, des suprémacistes blancs (l’une des figures du mouvement est une Indienne !), puis d’être manipulés par Moscou.

Il a affirmé qu’ils n’étaient qu’une poignée.

Mais sur les routes, les camionneurs ont partout été salués par la population.

Des manifestants applaudissent depuis un pont au-dessus d’une autoroute proche de Toronto le convoi de camions qui convergeait vers Ottawa, jeudi 27 janvier 2022 | COLE BURSTON/AFP

et les policiers ont refusé de les arrêter.

Fin janvier, ils ont occupé Ottawa dans le calme comme ils l’avaient promis et Trudeau s’est caché dans sa propriété sous protection policière pendant près d’une semaine, car il aurait été infecté par le Covid malgré ses trois doses.

À Ottawa, malgré l’état d’urgence décrété par le maire, l’occupation du centre-ville autour du parlement s’est poursuivie dans le calme.

« La situation actuelle est complètement hors de contrôle, car ce sont les protestataires qui font la loi », a déploré dimanche 6 février 2022, le maire Jim Watson sur une radio locale, constatant que les manifestants « sont beaucoup plus nombreux que nos policiers ».

L’état d’urgence est décrété.

Pour mettre fin à l’occupation de la ville, le maire prévient :

« Toute personne qui tenterait d’apporter un soutien matériel (carburant, etc.) aux manifestants risque d’être arrêtée. Cette mesure est désormais en vigueur. »

Dimanche 6 février, la police d’Ottawa a indiqué avoir procédé à 7 interpellations et 100 contraventions…(([1] https://twitter.com/OttawaPolice/status/1490657893657546753)) Peter Sloly, chef de la police d’Ottawa reconnaissant qu’il n’avait « pas suffisamment de ressources pour arrêter les manifestants ».

Le Centre de justice pour les libertés constitutionnelles (JCCF), un groupe juridique représentant le Freedom Convoy à Ottawa, a déclaré que :

« la police enfreindrait la loi si la police tentait d’intimider ou d’arrêter des personnes qui apportent de la nourriture ou d’autres fournitures à des camionneurs qui exercent pacifiquement leurs charte, droits et libertés à Ottawa ».

« Les personnes qui apportent de la nourriture, de l’eau, de l’essence ou d’autres fournitures aux camionneurs qui manifestent pacifiquement n’enfreignent aucune loi. Il n’y a aucun fondement à cette menace policière », a déclaré l’avocat du JCCF, Nicholas Wansbutter dans un communiqué.

Certaines provinces canadiennes ont annoncé qu’elles annulaient leurs mandats de vaccination alors que les camionneurs canadiens protestataires continuent de bloquer les principales artères à la frontière canado-américaine et obstruent la capitale canadienne malgré la répression de la police d’Ottawa.

Premières victoires

Le Premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney, a annoncé lors d’un point de presse le 8 février que le programme de passeport vaccinal de la province prendrait fin à minuit et que la plupart des règles sanitaires de la province seraient terminées dans les trois semaines. Kenney a annoncé que les règles de masque obligatoires seront annulées pour les enfants de moins de 12 ans dans tous les contextes et pour tous les enfants dans les écoles.

Le 8 février 2022, le Premier ministre de la Saskatchewan, Scott Moe, a également déclaré que son gouvernement commencerait à lever ses ordonnances de santé publique en cas de pandémie selon une approche progressive, à compter de lundi 14 février avec la suppression de son programme de passeport vaccinal.

Le Québec, qui avait précédemment annoncé son intention d’imposer des amendes punitives aux non-vaccinés, a déclaré le 8 février que la plupart des restrictions seraient levées d’ici le 14 mars. Le Premier ministre du Québec, François Legault, a signalé la levée des mesures Covid dans sa juridiction d’ici la mi-mars.

« Nous devrons apprendre à vivre avec le virus. Il y aura peut-être une sixième vague éventuellement, mais nous devrons vivre avec Covid »

La province des îles du Prince Edward a également annoncé qu’elle allait supprimer les restrictions prétendument sanitaires.

Tamara Lich, l’une des leaders du mouvement, répondant à Trudeau qui refuse pour l’instant d’abolir les mesures sanitaires a déclaré :

« Notre départ se fera quand le Premier ministre fera la bonne chose et mettra fin à toutes les obligations et restrictions ».

Ces premières victoires montrent que les protestations populaires massives peuvent faire reculer les tyrans.

Effectivement les choses bougent puisqu’au Parlement fédéral, les conservateurs menés par Candice Bergen ont présenté une motion demandant au gouvernement de Trudeau de présenter un plan pour mettre fin aux obligations vaccinales et aux restrictions sanitaires d’ici la fin du mois.

Cette motion pourrait être adoptée grâce à l’appui du Bloc québécois Mario Simard qui s’est dit favorable.

CONVOI DE LA LIBERTÉ français. Le convoi de la liberté est en route

Les premiers véhicules doivent arriver à Paris ce vendredi 11 février 2022.



[Voir aussi :
L’ancien tireur d’élite de Trudeau coordonne la sécurité bénévolement pour les camionneurs après sa démission pour refus de se faire vacciner
La couverture biaisée par les grands médias de la manifestation des camionneurs canadiens
Camionneurs de la liberté à Ottawa : l’astucieuse et encourageante analyse d’une journaliste canadienne
Dernières nouvelles du Canada : Trudeau a fui les camionneurs (sous le prétexte local de test positif à la Covid)
Canada : le milliardaire Elon Musk soutient les camionneurs ; Trudeau se planque à l’arrivée des routiers
Camionneurs : au tour de l’Europe ?
Les camionneurs australiens organisent à leur tour un convoi vers leur capitale
Canada : un énorme convoi de camions se dirige vers la capitale pour protester contre l’obligation vaccinale des camionneurs. Mise à jour 4
100.000 camionneurs veulent bloquer Ottawa pour libérer le Canada
Convois de la liberté : après la sidération du peuple, la sidération de la caste
Le convoi de la liberté en France et ailleurs dans le monde — 9 février… Mise à jour 3
« Convoi de la liberté », la révolte populaire ne faiblit pas malgré la répression et les menaces
Manifestations à Londres et NY en soutien au Convoi de la Liberté
Impact positif du Convoi de la liberté à Ottawa au Canada
Carlson fustige Justin Trudeau sur les ondes de Fox News : « Il n’y a pas de despote plus effrayant que le premier ministre du Canada »
LE Grand Réveil de l’Amérique ! Mise à jour 3
La majorité des Canadiens souhaitent maintenant la fin de toutes les restrictions sanitaires
Le Canada tout entier s’est joint au convoi, sauf Trudeau qui accuse Freedom Convoy 2022 de propager la haine, le racisme et la violence
Désinformation contre le convoi de la liberté, de la part d’un organe de propagande mainstream
Les médias mainstream canadiens continuent bien sûr de mentir. Mise à jour 5
Les routiers canadiens roulent vers la capitale Ottawa contre le pass vaccinal]




« Convoi de la liberté », la révolte populaire ne faiblit pas malgré la répression et les menaces

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Les manifestations contre les mesures sanitaires se poursuivent dans la capitale canadienne. Une situation « hors de contrôle » pour le maire de la ville qui sollicite l’aide des autorités fédérales. La « répression » a déjà commencé, la police d’Ottawa a menacé d’arrêter quiconque apporterait de l’essence ou un autre soutien matériel aux camionneurs. Autre manœuvre de coercition, la plateforme de récolte de dons « GoFundMe », grâce à laquelle les organisateurs du « Freedom Convoy » canadien ont réussi à récolter dix millions de dollars, a communiqué qu’elle ne leur reverserait pas les fonds. À l’instar des milliers de camionneurs canadiens qui protestent dans la capitale Ottawa, les camionneurs d’autres pays ont commencé à organiser leurs propres versions du « Freedom Convoy ».

Le maire d’Ottawa déclare l’état d’urgence

Le maire d’Ottawa, Jim Watson, a déclaré l’état d’urgence alors qu’environ 500 camions et véhicules du « Freedom Convoy » continuent de s’attarder dans les rues de la capitale canadienne pour protester contre les mandats de vaccination.

“Déclarer l’état d’urgence reflète le grave danger et la menace pour la sûreté et la sécurité des résidents posés par les manifestations en cours et souligne la nécessité du soutien d’autres juridictions et niveaux de gouvernement”, a déclaré la ville dans un communiqué.

Une situation «hors de contrôle», Jim Watson. La capitale fédérale a besoin de renforts pour mettre fin à l’état de «siège» dans lequel elle se trouve, a-t-il expliqué dans une lettre au gouvernement, plaidant pour l’envoi de 1800 policiers supplémentaires. «Nous devons mettre fin à cette manifestation, mais nous ne pouvons pas le faire seuls», a reconnu lundi le chef de la police Peter Sloly, appelant lui aussi «à l’aide».

Le chef de la police d’Ottawa a laissé entendre que les Forces armées canadiennes pourraient devoir être appelées pour gérer les manifestants persistants dans la capitale canadienne.

“Il s’agit d’un problème national, pas d’un problème d’Ottawa“, a déclaré le chef de la police d’Ottawa, Peter Sloly , lors d’une séance d’information aux conseillers municipaux. “Je suis de plus en plus inquiet qu’il n’y ait pas de solution policière à cela.”

Justin Trudeau, de retour en personne à la Chambre des communes, après une semaine d’isolement pour cause de Covid, a déclaré “Il faut que ça cesse”.

Néanmoins, le premier ministre a admis que l’envoi de l’armée pour mettre fin au mandat anti-vaccin et à la manifestation anti-gouvernementale qui a paralysé la capitale nationale pendant près d’une semaine n’est “pas dans les cartes pour le moment”.

Insensibles aux déclarations politiques, les manifestants, eux, continuent de réclamer “la levée des obligations vaccinales, des restrictions, et le rétablissement des droits et des libertés des Canadiens”, a déclaré lundi Tamara Lich, l’une des organisatrices du mouvement, lors d’un live sur YouTube.

“Nous essayons, en ce moment, de tendre la main à tous les partis fédéraux afin que nous puissions commencer des pourparlers et voir comment nous pouvons avancer”, a-t-elle ajouté.

Les politiciens “ne savent pas quoi faire de nous. Mais tout ce qu’ils ont à faire, c’est de revenir à la raison. C’est à eux de résoudre ça”, a estimé auprès de l’AFP John Lambert, 59 ans, camionneur et manifestant.

Trudeau amplifie la répression

“Quiconque tenterait d’apporter des supports matériels (gaz, etc.) aux manifestants pourrait faire l’objet d’une arrestation. L’application est en cours”, a annoncé la police dans un tweet arborant la mention “IMPORTANT”.

Les manifestants, de leur côté, se sont dits étonnés de l’élan de soutien de leurs concitoyens canadiens. 

“Le soutien a été incroyable”clame un camionneur. “Je n’ai jamais rien vu de tel. Je n’ai jamais été aussi fier d’être Canadien.”

Nicholas Wansbutter, qui a été engagé par le Justice Centre de Calgary pour représenter le « Freedom Convoy », a condamné les actions de la police d’Ottawa comme potentiellement illégales

“Les personnes qui apportent de la nourriture, de l’eau, de l’essence ou d’autres fournitures aux camionneurs qui manifestent pacifiquement n’enfreignent aucune loi. Il n’y a aucun fondement à cette menace policière. “, a déclaré Wansbutter dans un communiqué.

« Dans une société libre et démocratique régie par la primauté du droit, les citoyens peuvent librement s’associer les uns aux autres, y compris pour donner et recevoir des biens et des cadeaux. Il n’y a aucune loi qui permettrait à la Police d’Ottawa d’arrêter des personnes pour avoir donné du carburant ou de la nourriture à un autre Canadien », a poursuivi Wansbutter. 

“Les camionneurs eux-mêmes exercent leurs libertés d’expression, d’association et de réunion pacifique, comme ils ont légalement le droit de le faire.”

La police d’Ottawa a annoncé, dimanche 6 février, que plus de 450 contraventions avaient été émises depuis samedi matin pour des infractions allant du bruit excessif et des violations de la ceinture de sécurité aux plaques d’immatriculation obstruées et aux silencieux inappropriés. Ils ont également annoncé avoir ouvert 97 enquêtes pénales liées au Freedom Convoy.

Encore plus absurde, un juge ontarien a accordé, lundi 7 février, une injonction de 10 jours interdisant aux camionneurs stationnés dans les rues du centre-ville d’Ottawa de klaxonner constamment.

“Tonner un klaxon n’est pas l’expression d’une grande pensée à ma connaissance”, a déclaré le juge de la Cour supérieure de l’Ontario, Hugh McLean, lors d’une procédure judiciaire, selon la CBC.

La plateforme GoFundMe suspend la collecte de fonds du mouvement des camionneurs canadiens

Le GoFundMe a été lancé le 14 janvier par Tamara Lich, qui est également secrétaire du parti séparatiste occidental Maverick. Elle indique que l’argent servira à payer le carburant ainsi que la nourriture et l’hébergement des camionneurs participants.

La page GoFundMe pour soutenir le “Freedom Convoy” des camionneurs canadiens approchait les 10 millions de dollars lundi 1er février, soit plus d’argent que les principaux partis politiques fédéraux du Canada n’ont collecté au cours du dernier trimestre de 2021.

Des reportages avaient commencé à circuler la semaine dernière, signalant que la page GoFundMe pour “Freedom Convoy 2022” avait été gelée et que les organisateurs devaient expliquer comment les millions de dollars de fonds collectés seraient dépensés

«Cette cagnotte est actuellement suspendue car nous la vérifions afin de nous s’assurer qu’elle est conforme à nos conditions d’utilisation et aux lois et réglementations applicables» : telle est la mention ajoutée par la plateforme de financement participatif GoFundMe le 2 février à propos de la collecte de soutien.

La plateforme précise «collaborer avec les forces de l’ordre locales» à cet effet.
« Nous avons maintenant la preuve par les forces de l’ordre que la manifestation auparavant pacifique s’est transformée en occupation, avec des rapports de police faisant état de violence et d’autres activités illégales. ». Un narratif que Trudeau et les libéraux employaient aussi pour discréditer le mouvement quelques jours auparavant.

Après avoir versé le premier million récolté aux organisateurs, la plateforme a décidé de geler les neuf millions restants et de clore la campagne de dons

Le Justice Centre for Constitutional Freedoms , le cabinet d’avocats basé à Calgary, a annoncé qu’il représentait le Freedom Convoy 2022 à Ottawa et qu’il avait une équipe d’avocats sur le sol fournissant une assistance et des conseils juridiques.

“L’équipe juridique du Justice Center travaille au nom des organisateurs du convoi pour s’assurer que tous les fonds collectés par GoFundMe sont remis aux camionneurs aux fins prévues“, a déclaré le cabinet d’avocats dans un communiqué.

Preuve que ce « racket » choque, le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a déclaré que lui et le procureur général de l’État enquêteraient sur GoFundMe après que la plate-forme en ligne de financement participatif ait mis fin à la campagne de financement officielle canadienne “Freedom Convoy”. Confronté à des allégations de fraude, GoFundMe est ensuite revenu sur sa position concernant la redistribution des fonds et a déclaré qu’il rembourserait automatiquement les milliers de donateurs.

Un vent de liberté qui s’internationalise

Des camionneurs du monde entier roulent en solidarité avec le convoi canadien. Des initiatives comparables ont été observées à Leeuwarden aux Pays-Bas, à Schwerin en Allemagne, ou encore à Canberra en Australie.

Au moins 1 000 personnes se sont rassemblées près du Parlement à Canberra pour protester contre le mandat du vaccin et les restrictions, a rapporté samedi le Canberra Times. Les organisateurs ont appelé 5 millions d’Australiens à converger vers la capitale avant le retour du Parlement le 8 février.

Les camionneurs à travers l’Europe prévoient également des convois. Un groupe du World Freedom Convoy sur Signal prévoit deux manifestations distinctes, a rapporté le Brussels Times . En une semaine environ, 40 000 personnes ont rejoint le chat Signal. Les camionneurs prévoient de se rendre dans leurs capitales respectives le 7 février, et le groupe européen élargi se dirigera vers Bruxelles le 14 février.

Aram Lemmer, propriétaire d’une entreprise et organisateur en Autriche, a déclaré au Toronto Star que lui et deux autres organisateurs s’étaient engagés à envoyer 2 500 véhicules à Vienne en convoi le 13 février, y compris des voitures, des camions, des tracteurs et des cyclistes. Ils exigent que le gouvernement renonce à toutes les restrictions et démissionne. 

En France, le mouvement semble monter en puissance puisque des centaines de publications ont été postées sur les réseaux. Parmi elles, des appels à la mobilisation pacifique et des offres pour fournir logement, boissons, nourriture, ou couvertures en guise de soutien. De plus en plus d’automobilistes affichent également leur participation au mouvement en publiant des photos de leur véhicule avec une feuille A4 accrochée sur le tableau de bord ou un sticker: “je soutiens le convoi de la liberté”.

Sans surprise les syndicats ont indiqué qu’ils ne participeront pas au convoi.

“Aujourd’hui, on n’a pas de renseignements démontrant que cela s’organise de manière importante”, a répondu ce mardi 8 février sur BFMTV, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin. “Mais nous sommes attentifs et la réponse de l’Etat sera extrêmement ferme si c’est le cas.”

Enfin côté américain, un groupe de camionneurs prévoit une manifestation aux États-Unis, se rendant au Capitole américain à Washington, DC.

Brian Brase, co-organisateur de la manifestation américaine, a déclaré à que l’effort des camionneurs américains était “un peu moins de 140 000 personnes lorsque Facebook nous a censuré”Le 2 février, Facebook a supprimé une page Facebook intitulée “Convoy to DC 2022”.

Brase a déclaré que des camionneurs de partout aux États-Unis appelaient à se joindre à l’effort. “Nous avons des entreprises de camionnage de tout le pays qui nous appellent, chauffeurs”, a-t-il déclaré. Il a taquiné un communiqué de presse majeur avec des détails le mardi 8 février. “Le volume de réponse… Je vais dire que nous serons aussi grands que le Canada, sinon plus.”

Le soulèvement du peuple canadien est incroyable et ce « siège » de leur capitale Ottawa se fait avec un niveau d’intelligence rarement vu auparavant. Ils savent à quoi s’attendre en détail de la part des médias, des agitateurs/contre-manifestants ainsi que des personnes introduites dans la foule pour causer des problèmes.

Ils ont apporté assez de fournitures pour être là pendant des semaines. Ils ont installé des cantines et des services dans les rues.

Ce sont des gens qui savent ce qu’ils font et Trudeau le sent. Malgré cela il s’obstine comme en atteste son gouvernement libéral qui tente de ressusciter un projet de loi sur la censure en ligne. 




Carlson fustige Justin Trudeau sur les ondes de Fox News : « Il n’y a pas de despote plus effrayant que le premier ministre du Canada »

[Source : guyboulianne.info]

Par Guy Boulianne

Lundi le 1er février, Tucker Carlson a accusé les médias canadiens d’être le porte-parole de Justin Trudeau et a déclaré qu’ils avaient « troué certaines lignes d’attaque empruntées à CNN et NBC News » pour salir les camionneurs qui protestaient contre les mandats de vaccination du Premier ministre. Dans cet épisode de “Tucker Carlson Tonight”, l’animateur de Fox News a reproché à Trudeau de ne pas avoir rencontré les camionneurs. « Donc, je rencontrerai les gens lors d’un rassemblement tant que je suis d’accord avec leurs objectifs, tant qu’ils sont d’accord avec moi, c’est tout à fait bien, comme Black Lives Matter », a déclaré Tucker, imitant le premier ministre. « Vous avez l’impression que même quelqu’un d’aussi faible que Justin Trudeau se rend compte que ce n’est pas un argument gagnant. Il avait besoin de ses amis dans les médias d’État pour l’aider. »

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Carlson a ajouté : « Ils ont donc tracé des lignes d’attaque contre les camionneurs – des lignes qu’ils ont empruntées directement à CNN et NBC News ici aux États-Unis.  (…) Alors, voici le radiodiffuseur d’État canadien qui invente une affirmation, à partir de rien, selon laquelle Vladimir Poutine lui-même pourrait être responsable de ce convoi de camionneurs. » Il a ensuite diffusé un clip de CBC de l’animateur Nil Koksal disant que les acteurs russes craignaient « de continuer à alimenter les choses, alors que cette protestation grandit, peut-être même qu’ils en sont les instigateurs dès le départ », étant donné le soutien du Canada à l’Ukraine.

Carlson a également qualifié Trudeau de « tyran », affirmant que le Premier ministre canadien « a utilisé le COVID pour court-circuiter la démocratie et mettre fin au christianisme organisé » au Canada, alors que les camionneurs du « Convoi de la liberté » (Freedom Convoy) continuent de protester.

« Il n’y a pas de despote plus effrayant au monde que Justin Trudeau du Canada », a déclaré Carlson. « En l’espace de quelques années seulement, Trudeau a transformé une nation longtemps célèbre pour Molson, ses chiens de traîneau et sa gentillesse en un État de surveillance punitive implacable. »

Vous pouvez regarder le commentaire de Tucker Carlson et lire sa transcription en français. Cet épisode de l’émission « Tucker Carlson Tonight » fut diffusée le 1er février 2022 sur les ondes de Fox News.



Tucker: Trudeau a utilisé la COVID-19 pour court-circuiter la démocratie au Canada

Avez-vous déjà remarqué à quel point presque tous les dirigeants de presque tous les pays du monde occidental, en particulier du monde occidental anglophone, semblent un peu pareils ? Ils sont ce que nous appelons néolibéraux. Ils sont tous faibles et craintifs, si vous y réfléchissez. Et pourtant, si vous les écoutiez parler, vous penseriez qu’ils sont omnipotents : « Nous allons inverser le changement climatique mondial. Nous allons vacciner le monde. Nous allons mettre fin à tous les préjugés humains et les remplacer par l’équité. Nous allons propager la démocratie aux nations sans instruction avec des armes à feu, et ils vont nous aimer pour cela. Nous pouvons faire toutes ces choses parce que nous sommes tout-puissants. Nous sommes comme des dieux. Tu n’auras pas de dieux devant nous. »

Maintenant, ce sont surtout des gens chétifs. Mais quand ils parlent, ils sonnent comme César debout dans des robes violettes sur le forum, commandant le monde connu. Joe Biden sonne très souvent comme ça, tout comme cette petite femme grinçante aux dents bizarres qui dirige la Nouvelle-Zélande. Ils sonnent tous comme ça. Ils sont incroyablement grandioses. C’est par conception. Ils préfèrent parler de racheter l’humanité plutôt que de réparer l’école de votre enfant ou de remplacer le panneau d’arrêt à la fin de votre bloc.

Alors vous devez vous demander, pourquoi parlent-ils de cette façon ? Et la réponse, bien sûr, c’est parce qu’ils sont terrifiés. Ils prétendent être puissants parce qu’ils savent qu’ils ne le sont pas. C’est du bluff. C’est une pose calculée.

DERNIÈRE NOUVELLE : L’avocat du « Convoi de la liberté », Keith Wilson, prévient que le chef de la police d’Ottawa a annoncé un assaut sur les manifestants. Il a annoncé des mesures très spécifiques — que nous voyons uniquement dans les régimes oppressifs à travers le monde — qui seront mises en place. Il a effectivement annoncé qu’il va annuler la Charte des droits constitutionnels et interdire les assemblées pacifiques et la liberté d’expression.

En fait, ils savent exactement à quel point ils sont faibles. Ils comprennent le peu de soutien populaire qu’ils ont en réalité et ils peuvent sentir leur emprise s’effondrer. Et si vous vous demandez si c’est vrai, remarquez comment ils réagissent de manière excessive au moindre défi à leur pouvoir. Vous vous souvenez il y a un an, lorsque le QAnon Shaman a traversé le Congrès lors de son voyage à la mescaline, riant et répandant de bonnes vibrations ? C’était assez amusant. Mais les démocrates de Washington en ont été paniqués, tellement paniqués qu’ils ont appelé l’armée américaine et envoyé ce pauvre type en prison. C’est bizarre comme ils deviennent susceptibles quand vous suggérez qu’ils ont volé l’élection présidentielle, je me demande pourquoi ?

Mais ce n’est pas le comportement des dirigeants sûrs. C’est ainsi qu’agissent les despotes lorsqu’ils craignent d’être renversés. Et il n’y a pas de despote plus effrayant au monde que Justin Trudeau du Canada. En l’espace de quelques années seulement, Trudeau a transformé une nation longtemps connue pour ses Molson et ses chiens de traîneau dans la gentillesse en un État de surveillance punitive implacable. Les gens ont longtemps chuchoté, avec le plus grand sérieux, que Justin Trudeau est le fils biologique de Fidel Castro. Vous pourriez en rire, mais maintenant cela devient assez facile à croire. Trudeau a utilisé systématiquement la COVID pour court-circuiter la démocratie au Canada et y mettre fin au christianisme organisé.

Les Canadiens ne peuvent plus voyager librement dans leur propre pays. Ils ne peuvent plus retourner dans leur pays à certains endroits. Des pasteurs ont été emprisonnés pour avoir organisé des offices religieux. Les personnes non vaccinées peuvent être envoyées en prison pour avoir acheté certains produits dans les magasins. Dans la ville de Gatineau, les membres d’une famille ont été arrêtés pour avoir célébré le réveillon du Nouvel An dans leur propre maison. Toutes les grandes institutions au Canada prétendent que tout cela est parfaitement normal, qu’il en a toujours été ainsi. Les médias canadiens, qui sont largement contrôlés par le gouvernement, soutiennent ces politiques et Trudeau sans réserve. En Nouvelle-Écosse, les manifestations contre les mandats de vaccination de Justin Trudeau sont désormais interdites par la loi.

Rarement une nation a changé aussi rapidement ou plus clairement pour le pire. Et la semaine dernière, des milliers de camionneurs canadiens ont atteint leur limite. Un convoi de camionneurs a convergé vers la capitale Ottawa pour exiger, pacifiquement, joyeusement mais avec persistance, la fin de la tyrannie de Justin Trudeau. La réponse de Justin Trudeau à cette démonstration de démocratie ? Il a fui la ville. Trudeau a évacué sa résidence officielle et s’est caché dans un endroit tenu secret. Il est encore recroquevillé ce soir. Reviendra-t-il ? A-t-il abdiqué ? Le Canada sera-t-il gouverné par une junte de camionneurs ? Eh bien, pas à ce stade. Il est sorti par vidéoconférence de son antre pour déclarer que les citoyens canadiens qui ne sont pas d’accord avec lui attaquent en fait la démocratie.

TRUDEAU : « Il y a un droit de manifester, il y a un droit de faire entendre sa voix, haut et fort. Il n’y a pas le droit de fermer notre démocratie ou nos processus démocratiques, il n’y a pas le droit d’abuser, d’intimider et de harceler vos concitoyens. »

Donc, exprimer vos opinions est une attaque contre la démocratie ? Et au fait, comment osez-vous exprimer vos opinions comme si vous étiez des gens libres. C’est la tyrannie. La démocratie, c’est quand vous obéissez comme des serfs. Trudeau vient de le dire efficacement. Et puis parce qu’il n’a aucune conscience de soi, Trudeau a annoncé qu’il avait contracté le COVID, ce qui est parfait. En d’autres termes, prenez cette injection ou bien, comme vous pouvez le constater d’après le fait que je suis maintenant malade, cela fonctionne parfaitement.

Si le Canada était dans un pays, ce serait une remarquable comédie noire. Alors vous vous posez peut-être des questions sur ces hordes de Wisigoths qui sont descendus à Ottawa, ceux qui ont chassé Justin Trudeau de la ville. À quoi ressemblent-ils?

Liberté, amour, démonstrations patriotiques agitant des drapeaux canadiens. Terrifiant. Mais si vous regardez attentivement ces images, vous pouvez voir le vrai problème. C’étaient des gens de la classe ouvrière. Ce sont eux qui livrent vos boîtes Amazon. Et Justin Trudeau est repoussé par eux. Ces gens ont fait un pas en dehors de leurs voies. Laisse juste le paquet sur le porche et fous le camp d’ici. Mais ils ne sont pas sortis de là. Ils sont toujours à Ottawa, et Justin Trudeau ne les rencontrera pas parce qu’il ne rencontre jamais des gens comme ça, pas simplement parce qu’ils sont cols bleus et sales, bien qu’ils le soient évidemment, mais parce qu’ils ne sont pas d’accord avec lui. Comme le rappelle Justin Trudeau, c’est ça la démocratie. La démocratie sermonne les gens qui hochent beaucoup la tête en réponse. Regardez-le expliquer.

TRUDEAU : « J’ai assisté à des manifestations et à des rassemblements dans le passé lorsque j’étais d’accord avec les objectifs, lorsque j’ai soutenu les personnes exprimant leurs préoccupations et leurs problèmes, Black Lives Matter en est un excellent exemple. »

Donc, je vais rencontrer les gens lors d’un rassemblement tant que je suis d’accord avec leurs objectifs, tant qu’ils sont d’accord avec moi, c’est très bien, comme Black Lives Matter. Vous avez l’impression que même quelqu’un d’aussi faible que Justin Trudeau se rend compte que ce n’est pas un argument gagnant. Il avait besoin que ses amis des médias d’État l’aident. Ils ont donc lancé des lignes d’attaque contre les lignes de camionneurs qu’ils ont empruntées directement à CNN et NBC News ici aux États-Unis. Voici donc le radiodiffuseur d’État du Canada qui invente une affirmation, à partir de rien, selon laquelle Vladimir Poutine lui-même pourrait être responsable de ce convoi de camionneurs.

CBC NEWS : « Vous savez, étant donné le soutien du Canada à l’Ukraine dans cette crise actuelle avec la Russie, je ne sais pas si c’est tiré par les cheveux de demander, mais on craint que des acteurs russes continuent d’alimenter les choses alors que cette protestation grandit, peut-être même qu’ils en sont les instigateurs dès le départ. »

Russie. Vous devez aimer le Canada. Mais soyons honnêtes, ils volent toujours nos idées et en produisent une copie un peu bâclée. Nous avons Wal-Mart, ils ont Canadian Tire, pour ne pas être méchants. La Russie, bien sûr, Poutine l’a fait. Il n’y a aucune preuve de cela. Aucune source. Ils viennent de lire le Twitter américain. Et le présentateur des médias d’État est profondément inquiet. Qui achète ça ? Personne ne va acheter ça, c’est tellement prima fascia absurde, alors ils ont continué. Voici Justin Trudeau de son bunker offrant une autre raison de se méfier de la chasse à la tête de la nouvelle nation du Truckistan, anciennement connue sous le nom de Canada.

TRUDEAU : « Nous ne céderons pas à ceux qui arborent des drapeaux racistes. Nous ne céderons pas devant ceux qui se livrent au vandalisme ou qui déshonorent la mémoire de nos anciens combattants. »

Déshonorer la mémoire, trop de drapeaux canadiens. Il y a comme trois mauvaises personnes dans la foule, alors ignorez-les toutes, mesdames et messieurs. Heureusement, en revanche, personne dans aucun rassemblement BLM n’a jamais incendié un palais de justice ou abattu qui que ce soit ou incendié un bâtiment. Mais ces camionneurs, apparemment, il y avait un drapeau raciste. Alors ne faites pas attention. Aux États-Unis, nous ne tomberions probablement pas dans le piège à cette date tardive. Nous sommes un peu blasés à ce stade parce que nous l’avons vu tellement de fois. Oh, ils avaient un drapeau confédéré, peu importe, nous pouvons ignorer leurs préoccupations. L’élection s’est très bien passée.

Donc, encore une fois, nous l’avons déjà vu. Mais au Canada, ils ne l’ont probablement pas vu, ils ont quelques années de retard sur nous. Et donc, vous savez, ils sont en quelque sorte impressionnés par cela. Des affirmations comme celle-ci se sont produites ici il y a quelques mois, comme vous vous en souvenez peut-être, lorsque des agents démocrates ont transporté des torches tiki pour salir Glenn Youngkin en tant que suprémaciste blanc. Encore une fois, Trudeau avait des raisons de penser que les Canadiens n’avaient pas vu cela, et il pourrait peut-être s’en tirer comme ça. Trudeau affine cette argumentation depuis des mois maintenant. En septembre dernier, vous vous souviendrez peut-être qu’il a accusé les personnes qui s’opposaient à la vaccination obligatoire, se faisant vacciner parce que le gouvernement l’exigeait, d’être racistes.

TRUDEAU : « Mais aussi, il y a des gens qui s’opposent farouchement à la vaccination. Qui ne croit pas à la science. Qui sont souvent misogynes, souvent racistes aussi. »

Pauvres Canadiens. Ce sont de bonnes personnes. Ils n’ont pas beaucoup de sources d’information. Ils ont été exposés sans arrêt pendant deux ans à ce genre de propagande. Si vous ne croyez pas à l’injection obligatoire d’un médicament expérimental, vous êtes raciste. Apparemment, certains y croient, au moins un contre-manifestant ce week-end y a cru.

REBEL NEWS : « Qu’est-ce qu’il a dit, désolé ? »

MANIFESTANT : « Donc, il est écrit : “F*** votre agenda nationaliste blanc”. »

DEUXIÈME MANIFESTANT : « Je ne suis pas blanc ; cela n’a rien à voir avec le blanc. Cela n’a rien à voir avec les camionneurs. C’est une question de liberté pour tous les Canadiens. Vous ne pouvez pas être marron, noir, blanc, quelle que soit la couleur que vous voulez être. C’est une question de liberté. Trudeau n’a pas le droit de nous mettre dans cette condition ni même de vouloir que le pays aille à l’école. C’est une chose terrible à faire. »

Oh, Dieu merci pour Rebel News. Vous pensez que Fox est une anomalie aux États-Unis, que diriez-vous d’être Rebel News ? Littéralement les seules personnes dans tout le Canada qui jouent franc-jeu. Alors les voilà, essayant de vous dire qu’un gars du sous-continent est un nationaliste w=blanc. Ils essaient, ils essaient dur. Et maintenant ils ont des preuves, elles vous sont présentées par CNN, naturellement, en collaboration avec la CBC. Apparemment, préparez-vous, il y avait un signe Trump dans la foule des camionneurs.

CNN : « Compte tenu du risque potentiel, Jim, Justin Trudeau et sa famille, il a trois enfants, vivent à environ un mile de la Colline du Parlement. Ils ont maintenant été déplacés quelque part. Nous ne savons pas où, c’est un endroit non divulgué par prudence. Je dirai également que l’ancien président Trump soutient certainement ce groupe. J’ai été là-bas. J’ai vu des pancartes de partisans de Trump là-bas. Et cela conduit à une question plus large, Jim. Ils sont toujours au centre-ville. La police vient de publier une déclaration disant, écoutez, nous avons besoin que les camions partent, nous avons besoin que les gens partent, cette ville doit recommencer à fonctionner, et le problème est de savoir comment partir. Les personnes qui ont organisé cela disent qu’elles resteront là-bas des mois si nécessaire. »

JIM ACOSTA CNN : « D’accord. Et nous savons que vous resterez au top. Situation alarmante là-bas à Ottawa. … Merci beaucoup. »

Maintenant, nous ne savons pas qui est cette femme, mais elle devrait avoir complètement honte d’elle-même. C’est une journaliste, et pourtant elle vient de vous dire que le parti au pouvoir au Canada veut que les gens qui protestent contre ses politiques partent. Et puis elle hoche gravement la tête qu’ils doivent partir. Les choses doivent revenir à la normale. Ils doivent diriger la ville en faisant toutes les choses importantes que les Canadiens font à Ottawa. CNN se range ouvertement du côté du gouvernement Trudeau, car on ne peut pas contester le pouvoir. Je veux dire, c’est ce que nous faisons dans les médias, c’est pour vous rappeler : obéissez, acceptez votre sort, les riches ont parlé, faites la queue. Et nous avons un drapeau Trump pour le prouver.

Mais ça empire. Il y avait plus de drapeaux racistes ce week-end. L’un d’eux importait ostensiblement de ce pays. Nous en avons maintenant la preuve définitive. Nous apprenons des médias canadiens qu’il y avait un raciste dans la foule.

TWITTER VIDEO (à un homme tenant un drapeau confédéré) : « Mais maintenant il s’en va, maintenant il est parti. Nous l’avons appelé. Il sait qu’il va se tenir la tête de honte maintenant. »

Oh, c’est tellement génial. Vous remarquerez sur la photo qu’il n’y a qu’une seule personne qui a le visage complètement couvert. Et il se trouve qu’il porte un drapeau confédéré. Maintenant, la foule le regarde et dit, oh, attendez une seconde, nous savons qui vous êtes, vous êtes Ray Epps. Oh, désolé, mais nous ne vous faisons pas confiance. Exactement comme la foule à Washington la veille du 6 janvier de l’année dernière a dit à Ray Epps : Sortez d’ici, nourris.

Donc, les gens sur la scène ne croyaient pas que ce type était autre chose qu’un provocateur, et nous ne savons pas exactement qui il était. Nous vous laisserons en tirer vos propres conclusions. Mais nous sommes censés croire que ce type portant un masque intégral avec un drapeau confédéré prouve que toute la manifestation est raciste. Justin Trudeau a toutes les raisons de s’enfuir comme un terrifié, mauviette qu’il est, et on peut ignorer les inquiétudes des gens du convoi de camionneurs. Mais nous avons quelques questions.

Qui était exactement ce type qui tenait le drapeau et où est Justin Trudeau en ce moment ? On ne sait pas d’où il diffusait ce week-end, mais ce qui est clair, c’est que contrairement à Saddam ou Mouammar Kadhafi, nous ne pourrons jamais le savoir.

Maintenant, vous vous dites que dans une démocratie, vous devriez savoir ce qu’est le chef de l’État, n’est-ce pas ? N’avez-vous pas le droit si vous êtes un électeur, les Canadiens ne devraient-ils pas avoir le droit de savoir où il se trouve ? Ouais, mais ça n’a pas d’importance parce que Justin Trudeau peut se cacher n’importe où. C’est un maître du déguisement. N’importe quel endroit dans le monde où Justin Trudeau pourrait se fondre, et vous ne sauriez jamais que c’était lui.

Et pour le prouver, nous avons une série de photographies. Toutes sont réelles et représentent toutes le premier ministre canadien Justin Trudeau. Vous pouvez le voir ne pas ressembler beaucoup à un Canadien français, plutôt sombre, en fait. Il s’agit d’un rassemblement sur le thème des mille et une nuits lorsqu’il était professeur de lycée. Oh, il a le visage noir. Intéressant. Vous pouvez également le voir se fondre de manière convaincante en tant que star de Bollywood en Inde. Les mains se serrent dans le respect et la prière. Ou, vous pouvez le voir flanqué de ses nouveaux compatriotes, ils n’ont aucune idée qu’ils sont en présence d’un politicien canadien. C’est à quel point Justin Trudeau est convaincant lorsqu’il décide de jouer au déguisement. Ils pensent qu’il est l’un d’entre eux. J’adore les samoussas, dit Justin. Nous aussi, disent les Indiens. Ils n’ont aucune idée qu’ils parlent à un Canadien. Mais quand il ne trompe pas les gens en Inde, il trompe les Amérindiens. Et oui, il y a une différence bigot. Tous les Indiens ne sont pas pareils. Justin Trudeau portait la coiffe traditionnelle de l’une des nombreuses tribus indigènes du Canada, comme les Aztèques, Justin Trudeau vous arrachera le cœur, mesdames. Et, est-ce Clark Kent de la renommée de Superman ? Non, encore une fois, c’est juste Justin Trudeau.

Il peut incarner des personnages fictifs. Vous pouvez le voir ressembler à un pilote échoué dans le désert d’un des films Star Wars. Il pourrait littéralement se cacher sur une scène sonore à Hollywood au moment où nous parlons. Il peut même être dans un ranch. Incroyable. Tant que personne ne lui tend une arme ou ne lui demande d’où vient la nourriture, c’est un éleveur convaincant. Alors, oui, Justin Trudeau peut changer bien plus que sa couleur de peau. Si vous voyez cet homme sous l’un de ses divers déguisements, ne l’approchez pas. Il se cache peut-être dans une cabane quelconque au milieu de nulle part, mais il contrôle parfaitement Ottawa, du moins pour le moment.




Les médias mainstream canadiens continuent bien sûr de mentir. Mise à jour 5

Par Joseph Stroberg

Tous les jours, plusieurs fois dans la journée, depuis le début de la démonstration pacifique des camionneurs canadiens, ces médias subventionnés par les entreprises pharmaceutiques, par le monde de la finance et/ou grâce à nos impôts passent leur temps à amoindrir et à dénigrer le mouvement et les camionneurs. Profitant au besoin de groupuscules néonazis ou d’individus isolés payés à cette fin et qui se sont infiltrés dans la foule qui soutient le mouvement, ces médias rapportent en boucle de rares actes dégradants tels que le vol de la nourriture de personnes sans domicile fixe, ou encore la défécation en pleine rue, alors que dans le même temps les camionneurs bénéficient de toilettes portables et de l’accès à certains hôtels pour leur douche, ainsi que d’une incroyable logistique de ravitaillement aussi bien alimentaire qu’en carburant pour les camions.(([1] Voir notamment : Camionneurs de la liberté à Ottawa : l’astucieuse et encourageante analyse d’une journaliste canadienne)).

Voici un témoignage significatif (source brighteon.com) :

J’y étais samedi soir. On estime qu’il y avait 2,2 millions de personnes. Pas les quelques milliers dont parlent les médias.

Il y avait des convois vers Ottawa en provenance de l’ouest, de l’est et du sud. Des camionneurs sont venus de l’Alaska (États-Unis) et se sont joints à la branche ouest…

Lorsque le premier camion du convoi de l’ouest a traversé le Manitoba pour entrer en Ontario, le dernier camion était encore en Saskatchewan ! Cette seule partie du convoi de protestation était aussi longue que le Manitoba est large, soit plus de 280 MILES [450 kilomètres] DE LONG.

On estime que 60 à 80 MILLIERS de camions étaient en circulation. J’ai lu des rapports des médias faisant état de « douzaines de camions ». Si vous avez vu des images du rassemblement (([2] Voir :
Canada : manifestation devant le parlement d’Ottawa et compléments sur le convoi routier. Mise à jour
Canada : un énorme convoi de camions se dirige vers la capitale pour protester contre l’obligation vaccinale des camionneurs. Mise à jour 4
Les routiers canadiens roulent vers la capitale Ottawa contre le pass vaccinal
100 000 camionneurs veulent bloquer Ottawa pour libérer le Canada)), vous ne voyez peut-être que 15 % des camions qui sont à Ottawa mais qui ne sont pas autorisés à y entrer. Les autoroutes environnantes sont bondées de camions. Les agriculteurs locaux font des aires de stationnement pour les camions qui ne sont pas encore à Ottawa. Je connais beaucoup de gens qui rassemblent des groupes pour aller participer aux journées à venir.

C’était l’une des choses les plus émouvantes que j’aie jamais vécues. L’amour et la joie qui régnaient partout étaient extraordinaires. Aucune arrestation, aucun problème. Quelqu’un a mis un drapeau canadien sur la statue de Terry Fox et l’a accroché à l’envers, signifiant un pays en détresse. Cela a entraîné des dizaines d’histoires honteuses de la part des grands médias (msm [MainStream Media]) sur les dommages causés par le rassemblement aux sites historiques. Les [mêmes] médias avaient à peine parlé des statues qui avaient été détruites et même brisées lors d’autres protestations de groupes que le gouvernement apprécie. Ici, la statue était recouverte d’un drapeau et les manifestants ont même nettoyé la statue avant de l’orner du drapeau canadien. Un certain nombre de bouquets de fleurs ont également été déposés aux pieds de la statue. (Il ne s’agit en aucun cas de profanation).

Toute la nuit, on a pu voir des manifestants tenant non seulement des drapeaux et des pancartes, mais aussi des sacs à ordures. Ils ramassaient les ordures. Les gens intelligents savent que le gouvernement cherche tout ce qu’il peut utiliser pour discréditer la manifestation. Apparemment, des piles de briques ont été repérées lorsque le convoi est entré dans Ottawa. Les organisateurs ont rapidement fait garder les briques par des personnes jusqu’à ce que la police soit informée et se présente pour les enlever. Je pense que les briques étaient là pour que les instigateurs soutenus par le gouvernement les utilisent pour tenter de déclencher quelque chose. La manifestation est tout à fait pacifique et bruyante 🙂 ET NE FAIT QUE COMMENCER. La page « go fund me » a maintenant dépassé les 8 millions de dollars [10 millions maintenant] ! Assez pour que les camionneurs restent là pendant des années ! Nous ne partirons pas, Trudum !

Mise à jour 5

Lors d’une émission télévisée populaire au Québec, sur la chaîne d’informations continues LCN, une chef d’entreprise qui était présente depuis 4 jours à Ottawa a témoigné de ce qu’elle a vu sur place et elle a complètement démoli ce que les présentateurs et les prétendus journalistes de ce même média répètent en boucle. Son témoignage est conforme à ce qui a été rapporté dans le présent article et dans les précédents sur le mouvement des camionneurs. Alors qu’elle a passé son temps à circuler dans la foule, à parler avec les uns et les autres, à aider les camionneurs… elle n’a notamment jamais vu des excréments humains par terre ni de pancartes néonazies ni de personnes radicales ou perturbatrices. Elle a reproché à ces « journalistes » de se focaliser sur au maximum 1 % de gens (qu’elle-même n’a pas vus) et d’en parler 95 % du temps, alors que sur place l’ambiance est calme, plutôt festive ou familiale, conviviale, avec de l’entraide de la part des habitants (contrairement au prétendu raz le bol de la population rapporté par ces médias).

Mise à jour 4

Mise à jour 3

https://twitter.com/brienico/status/1488793906141667343?s=11

Mise à jour 2

Mise à jour

https://twitter.com/karimamarkhodj1/status/1488805640218816512?s=11

Ce que fait la police par opposition au discours médiatique qui laisse entendre qu’elle va rapidement faire dégager les camionneurs :


Autres effets :




L’enterrement de la théorie virale

Par Joseph Stroberg

Pour déterminer la validité d’une théorie scientifique touchant une discipline particulière, il est bien davantage utile de connaître la démarche scientifique et le propre de la science que d’être un expert du domaine en question. Le propre de la science est le doute, la remise en question des connaissances acquises à la lumière de nouvelles données ou informations, par exemple suite à l’exploration de nouvelles voies ou à l’observation du réel sous un nouvel angle de vue ou selon une nouvelle perspective. Une théorie explicative de phénomènes observés ne peut être véritablement d’ordre scientifique que si elle est contestable par l’argumentation ou l’expérimentation dans le cadre de la démarche scientifique. Si a contrario elle se pose en vérité absolue ou définitive, alors elle ne relève pas de science, mais de superstition ou de croyances religieusement ou affectivement entretenues. À la lumière de nombreux faits et constats, nous allons tenter de montrer ici en quoi la théorie virale ne relève pas de science, mais de scientisme et de croyances erronées.

1)- La démarche scientifique

Il s’agit d’une méthode rigoureuse pour tenter d’expliquer la réalité objective, présentée schématiquement ici.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

1. L’analyse

Elle consiste à subdiviser l’étude en éléments plus simples aux propriétés et fonctions particulières.

La modélisation

La modélisation est une phase de l’analyse consistant à rechercher les interactions entre les éléments de l’objet d’étude, dont les relations de cause à effet qui peuvent exister entre eux ou vis-à-vis de systèmes extérieurs.

La démonstration d’un lien de causalité

De manière rigoureuse, pour établir l’existence d’une relation de cause à effet entre un phénomène ou élément A et un phénomène ou élément B, il est nécessaire et suffisant de vérifier les conditions exposées ci-après.

(Voir https://nouveau-monde.ca/leffondrement-de-lhypothese-virale/)

La démonstration scientifique s’appuie sur la logique. En logique pure, pour qu’un phénomène, un événement, un objet ou un être vivant soit la cause unique d’un autre phénomène, événement, objet ou être vivant, il doit respecter les conditions logiques suivantes :
Il est suffisant que la présence de la cause entraîne la présence de la conséquence prévue
ou inversement que l’absence de la conséquence implique l’absence de la cause.
Si la cause est effectivement unique, il n’y a bien sûr aucune autre cause systématiquement présente.

Il est par contre nécessaire que l’absence de la cause entraîne l’absence de la conséquence prévue, ou qu’inversement la présence du phénomène prévu implique la présence de la cause.

Exemple en climatologie :

Si les nuages étaient la cause unique de la pluie, il serait suffisant que la présence de nuages entraîne celle de la pluie et inversement l’absence de pluie impliquerait l’absence de nuages.

Or, on observe assez souvent la présence de nuages sans qu’il y ait de pluie du tout et dans certains cas, au lieu de pluie, on a plutôt de la neige ou de la grêle.

De plus, il serait nécessaire que l’absence de nuages entraîne l’absence de la pluie
ou inversement que la présence de la pluie implique celle des nuages.

Mais dans la pratique, on a pu pourtant observer de la pluie fine en certains lieux et circonstances sans nuages visibles, par phénomène de condensation localisée de vapeur d’eau.

Donc, tout cela montre logiquement que les nuages ne sont pas la cause unique de la pluie et que d’autres facteurs (ou éléments causaux) interviennent, comme la température et la pression de l’atmosphère.

Exemple en virologie :

Si un virus donné (comme le supposé SRAS-CoV-2 pourtant jamais physiquement isolé) était la cause unique de la maladie Covid-19 qu’on lui attribue, alors il serait suffisant que sa présence entraîne la maladie associée, et inversement l’absence de la maladie impliquerait l’absence du virus.

Or, on observe assez souvent que des personnes auraient prétendument le SRAS-CoV-2 dans leur organisme alors qu’elles ne sont pas malades et n’ont aucun symptôme, au point qu’on les appelle « malades asymptomatiques ».

De plus, il serait nécessaire que l’absence du virus entraîne l’absence de la maladie ou qu’inversement la présence de la maladie entraîne celle du virus.
Or, comme les symptômes de cette maladie couvrent d’autres maladies ou phénomènes (comme les symptômes de la grippe ou comme les effets sur la santé d’ondes électromagnétiques pulsées) et que l’on a pu les observer sans le moindre lien avec le SRAS-CoV-2, on peut dire que l’on a des personnes qui aujourd’hui seraient diagnostiquées Covid-19 sans pour autant que l’on y détecte de SRAS-CoV-2.

Donc tout cela montre qu’au mieux le SRAS-CoV-2 n’est pas la cause unique de la Covid-19, mais que d’autres facteurs doivent logiquement intervenir s’il a quelque chose à y voir (et si par hasard il existe vraiment, mais n’est pas un simple artefact virtuel produit d’une méthodologie qui n’a rien de scientifique).

Exemple en électricité :

Si le courant électrique est la cause unique de la lumière d’une lampe, il est suffisant que la présence du courant dans le filament de l’ampoule entraîne son éclairage et inversement, l’absence de courant implique l’absence de lumière.

Ceci est effectivement observé à partir du moment où le courant est d’intensité suffisante. (En toute rigueur, on pourrait toutefois ici invoquer une cause secondaire, à savoir l’existence d’une résistance électrique au passage du courant dans le filament. Et donc en toute rigueur le courant électrique est la cause principale, mais pas unique de l’éclairage de la lampe.)

De plus, il est nécessaire que l’absence de courant entraîne l’absence de lumière dans l’ampoule
ou inversement que la présence de lumière implique celle du courant.

On n’observe effectivement pas de lampes électriques allumées sans qu’elles soient parcourues par un courant électrique

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond aux faits objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut sembler cohérente et logique de prime abord, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel.

  • Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ».
  • Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ».

Exemple :

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des expériences, des mesures et des évaluations pour vérifier leur conformité à ce que prévoit la théorie. Une bonne théorie doit être prédictive.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproduits autant de fois que nécessaire afin de réduire la part d’erreurs et des biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption et qui peuvent amener à fausser les résultats).

Contre-expériences

Appelées aussi expériences de contrôle ou encore expériences témoins, elles consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter pourtant d’obtenir les mêmes effets.

Par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement.

2)- La théorie virale

Cette théorie suppose depuis 1954 que des virus de taille nettement plus petite que celle des bactéries et des cellules végétales, animales ou humaines sont susceptibles d’y pénétrer pour s’y multiplier en utilisant leur matériel génétique, puis d’en sortir pour aller infecter d’autres individus de même espèce, voire d’autres espèces, alors qu’ils ne sont pas eux-mêmes vivants. L’effet d’une telle invasion parasitaire serait alors l’apparition subséquente des maladies non bactériennes telles que la grippe, la variole et la polio. Le lien de causalité supposé est le suivant : la cause est le virus et l’effet automatique est alors une maladie virale spécifique aux symptômes caractéristiques. Le gros problème est que l’existence d’un tel lien causal n’a jamais été établie pour aucun des supposés virus, comme nous allons le voir, et que l’existence même de telles particules (non vivantes qui seraient externes aux organismes vivants végétaux, animaux et humains, mais guère capables de survivre hors d’eux plus de quelques heures) n’est pas non plus scientifiquement et rigoureusement démontrée.

Que font les virologues lorsqu’ils prétendent isoler un virus ?

« Les virologistes croient aux virus parce qu’ils ajoutent au tissu et aux cultures cellulaires du sang, de la salive ou d’autres fluides corporels supposés infectés — après avoir retiré les nutriments de la culture cellulaire respective et après avoir commencé à l’empoisonner avec des antibiotiques toxiques. Ils pensent que la culture cellulaire est alors tuée par les virus. »

Dr Stefan Lanka, qui ne revendique plus le titre de « virologue », dans https://nouveau-monde.ca/la-fausse-idee-appelee-virus-la-rougeole-a-titre-dexemple/

« Les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. À l’encontre de tout bon sens, de toute logique, de l’usage de la langue anglaise et de l’intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion [ou soupe chimico-génétique] contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico » [du mot « silicium », pour indiquer sa nature purement logicielle, puisque les microprocesseurs à la base du fonctionnement des ordinateurs sont faits de semi-conducteurs en silicium]. À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel. »

Dr Andrew Kaufman, dans https://nouveau-monde.ca/declaration-sur-lisolement-des-virus/

« La théorie des virus pathogènes remonte au XIXe siècle et les virologues ont passé la première moitié du XXe siècle à essayer d’extraire ces virus présumés directement d’hôtes vivants. Les échecs répétés les ont amenés à changer de cap dans les années 1950 afin de conserver une quelconque crédibilité. Les virologues devaient fournir quelque chose à montrer à leurs investisseurs potentiels, y compris à l’industrie pharmaceutique en plein essor qui s’impatientait de développer des vaccins et des traitements antimicrobiens.

En 1954, des scientifiques ont rapporté qu’ils avaient des preuves de la présence du virus de la rougeole en se basant sur l’observation qu’un échantillon provenant d’un patient atteint de la rougeole avait tué certaines cellules dans un tube à essai. Ces phénomènes sont connus sous le nom d’”effets cytopathiques”. Les auteurs ont admis que “bien qu’il n’y ait aucune raison de conclure que les facteurs in vivo [chez l’homme] sont les mêmes que ceux qui sous-tendent la formation de cellules géantes et les perturbations nucléaires in vitro [dans le tube à essai], l’apparition de ces phénomènes… pourrait être associée au virus de la rougeole.”

L’apparition du CPE (effet cytopathique) est à la base des allégations frauduleuses d’isolement et de pathogénicité de la virologie moderne : un échantillon (par exemple, un écouvillon nasal) est prélevé sur un patient et mélangé à des cellules dans un tube à essai, les cellules meurent et l’on déclare qu’un virus a été “isolé”. Ce que les virologues ne veulent pas que vous sachiez, c’est que les mêmes résultats peuvent être obtenus sans ajouter de prétendus échantillons de virus dans le tube à essai — en d’autres termes, c’est le processus lui-même, la privation de nourriture de la cellule et l’ajout de diverses substances toxiques telles que des antibiotiques et des antifongiques, qui provoquent la réaction et la mort des lignées cellulaires déjà anormales, sans qu’aucun virus ne soit nécessaire. (Des photographies d’infections “factices” sont parfois fournies, mais les détails de ces expériences se distinguent par leur absence).

Il y a, bien sûr, les images de ce qu’on prétend être le virus à l’origine de tous nos problèmes. Cependant, ces images 3D colorées ne sont rien d’autre que des images générées par ordinateur constituant une représentation artistique. »

Docteurs Mark Bailey et John Bevan-Smith dans https://nouveau-monde.ca/la-fraude-du-covid-19-et-la-guerre-contre-lhumanite/

Pour simplifier, les étapes du processus qui prétend isoler un virus et le caractériser sont les suivantes :

  1. récolte de matériel biologique infecté (sang, morve, peau, etc. selon le cas) ;
  2. prétendue « culture » des virus dans une préparation qui mélange le matériel infecté, des cellules prétendument propices à la culture virale, des antibiotiques et des antifongiques toxiques et des substances susceptibles de favoriser la multiplication virale ;
  3. après la mort des cellules de culture, centrifugation de la soupe résultante pour séparer les composants par densité et recueillir la couche supposée contenir les virus reproduits ;
  4. séquençage par logiciel informatique qui découpe d’abord en morceaux le matériel génétique recueilli avant de reconstituer virtuellement la supposée séquence génétique complète du supposé virus d’après un modèle de base supposé être celui du virus ou très proche de lui.

3)- Confrontation de la théorie virale à la rigueur scientifique

Avant même de chercher à déterminer la réalité ou non d’un lien causal entre virus et maladies qualifiées de virales, si au moins l’une des quatre étapes qui viennent d’être évoquées est démontrée sans fondement scientifique, alors c’est déjà suffisant pour faire s’effondrer la théorie puisqu’alors cela confirmerait qu’aucun virus ne peut être véritablement isolé en suivant une telle procédure. Et s’il ne peut pas être isolé, il devient impossible de démontrer ensuite qu’il provoque bien une maladie.

À notre connaissance, un seul scientifique s’est jusqu’à maintenant donné la peine d’effectuer des expériences de contrôle pour vérifier ou pour infirmer la validité du supposé processus d’isolement, de purification et de caractérisation d’un virus donné. Il s’agit de Stefan Lanka (Voir en particulier :
https://nouveau-monde.ca/stefan-lanka-conduit-les-experiences-temoins-refutant-la-virologie/
https://nouveau-monde.ca/la-verite-sur-la-rage-le-virus-de-la-mosaique-du-tabac-le-graphene-et-les-resultats-de-la-2e-phase-des-experiences-temoins/
https://nouveau-monde.ca/la-fin-de-la-virologie-la-3e-phase-des-experiences-temoins-du-sars-cov-2/)

Lors de la première phase, en plus des cellules humaines récoltées, on trouve au minimum le matériel génétique des cellules de cultures, mais aussi possiblement des cellules de chien, de chat ou de quoi que soit d’autre qui se trouve dans l’environnement de l’individu malade ou supposément infecté d’un virus.

Pour ce qui concerne la seconde phase, Lanka a effectué des expériences témoin qui démontrent que l’on parvient à faire mourir les cellules de culture sans ajouter aucun tissu biologique infecté, mais par le seul fait du processus lui-même. En d’autres termes, il a démontré ainsi que ce sont les conditions expérimentales seules qui produisent l’effet de mort cellulaire et de supposée multiplication virale qui en découle, ceci à cause des produits chimiques toxiques ajoutés et de l’insuffisance ou de l’inadéquation des nutriments reçus par les cellules de culture.

Lors de la troisième phase, en raison de la mixture présente dans l’étape 1, et compte tenu de l’absence à ce stade d’expériences de contrôle, il n’y a aucune assurance que le matériel génétique récolté après centrifugation et purification correspond uniquement à celui du malade ou de la personne soi-disant viralement infectée.

Et concernant la dernière phase, Lanka a démontré qu’il pouvait obtenir n’importe quelle séquence génétique virale, puisqu’au cours du processus, on commence par découper les brins d’ADN en petites séquences de nucléotides avant de les soumettre à un complexe processus de reconstitution logicielle lors duquel on élimine des éléments indésirables qui ne cadrent pas avec le modèle viral supposé et pour lequel on comble les trous en fonction de ce modèle, ceci à volonté. De plus et au final et le plus souvent, le puzzle ainsi reconstitué ne correspond même pas à 100 % du génome supposé. Pour donner une idée de la « valeur » scientifique d’une telle procédure qui n’est nullement expérimentale, mais purement informatique, ce procédé est similaire à celui qui consisterait à découper en petits morceaux les feuilles d’un millier de romans, à les mélanger au hasard, puis à s’efforcer de reconstituer un roman donné (par exemple Les trois mousquetaires) sans même être certain que ce roman faisait partie du lot des romans découpés en morceaux. Si les morceaux de feuilles sont suffisamment petits, après moult ajustements, rabotage de mots dans certains bouts de phrases, ou ajout de termes dans d’autres morceaux, on pourra presque sûrement à un moment donné s’approcher du roman voulu, disons avec le même pourcentage de précision que pour la séquençage génétique, à savoir quelque chose comme 99,7 %. Si le pourcentage descend trop bas, on parlera alors d’un roman « variant » : Omicron ou Delta, ou quoi que ce soit d’autre. Et si on est plus proche d’un des variants déjà trouvés que du roman original, on dira alors qu’on a affaire à un sous-variant. Quoi qu’il en soit, on ne reconstitue ainsi quasiment jamais le roman cherché et d’autre part, rien ne permet de s’assurer que ce roman viral était bien présent dans la mixture initiale.

Aucune des quatre étapes n’est scientifiquement rigoureuse, et lorsque Lanka a effectué les expériences témoins indispensables pour une telle rigueur, il a tout simplement démontré qu’il pouvait obtenir tout et n’importe quoi en matière de prétendus virus. Lui et quelques autres chercheurs ou médecins se sont penchés sur la littérature existante en matière d’isolement de virus et ont pu constater qu’aucun texte ne démontre scientifiquement et rigoureusement l’existence d’un virus avec un code génétique bien déterminé et qui aurait pu être simultanément observé par microscopie. La totalité du processus relève essentiellement de scientisme, voire de fraude involontaire ou intentionnelle, mais ne démontre scientifiquement rien et surtout pas l’existence de virus pathogènes non vivants, mais parasites qui se multiplieraient dans des cellules vivantes.

« La mort des tissus/cellules est également considérée comme l’isolation d’un virus parce qu’ils prétendent que quelque chose de l’extérieur, d’un autre organisme, a été apporté dans le laboratoire, bien qu’un virus n’ait jamais été isolé au sens du mot isolation, et n’ait jamais été photographié et caractérisé biochimiquement en tant que structure unique entière. Les micrographies électroniques des supposés virus montrent en réalité des particules cellulaires assez normales provenant de tissus et cellules en train de mourir, et la plupart des photos ne montrent qu’un modèle informatique (CGI — computer generated images — images générées par ordinateur ou images de synthèse — NdT). Parce que les parties impliquées CROIENT également que les tissus et cellules en train de mourir deviennent eux-mêmes des virus, leur mort est également considérée comme la propagation du virus. Les parties impliquées croient toujours ceci parce que le découvreur de cette méthode a reçu le Prix Nobel et ses articles sur les « virus » restent des articles de référence. »

Stefan Lanka dans https://nouveau-monde.ca/la-fausse-idee-appelee-virus-la-rougeole-a-titre-dexemple/

4)- Véritable cause des maladies et des apparentes contagions

La théorie virale s’avérant bidon, Lanka et quelques autres pionniers ont redécouvert les anciennes théories abandonnées à cause d’intérêts pharmaceutiques puissants et les ont améliorées à la lumière des dernières découvertes, notamment celle de l’existence scientifiquement démontrée elle des exosomes. Ces composants sont produits par les cellules organiques lorsqu’elles sont agressées d’une manière ou d’une autre par des toxines, par le froid, par des ondes électromagnétiques, par des champs électriques, par des émotions négatives ou par d’autres facteurs stressants. Ils ont la même apparence que celle attribuée à certains modèles de virus, parce que notamment le scientisme moderne de base matérialiste tend trop souvent à inverser causes et effets.

« Toutes les affirmations qui disent que les virus sont des agents pathogènes sont fausses et sont basées sur des erreurs d’interprétation facilement identifiables, compréhensibles et vérifiables. Les vraies causes des maladies et phénomènes qui sont imputées aux virus ont déjà été découvertes et recherchées : cette connaissance est désormais disponible. Tous les scientifiques qui pensent qu’ils travaillent en laboratoire sur des virus sont en fait en train de travailler sur des particules habituelles de tissus spécifiques en train de mourir ou sur des cellules qui ont été préparées d’une manière spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules sont en train de mourir parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et tissus infectés étaient en train de mourir parce qu’ils étaient affamés et empoisonnés suite aux expériences dans le laboratoire. »

Stefan Lanka dans https://nouveau-monde.ca/la-fausse-idee-appelee-virus-la-rougeole-a-titre-dexemple/

Par ailleurs, des expériences assez récentes tendent à démontrer que le corps humain, de nature électrique et magnétique, est également sensible à distance à la condition vitale des autres. Les phénomènes physiques de résonance et d’induction magnétique peuvent en partie expliquer l’influence contagieuse de la bonne ou au contraire de la mauvaise santé des uns sur les autres, en plus du fait que bien des prétendues « épidémies » ne résultent le plus souvent que de l’exposition à des facteurs communs à une région donnée, voire dans certains cas à la planète entière. Et dans pratiquement tous les cas d’épidémies historiques, on a pu trouver des explications alternatives à celle de bactéries ou de virus.

(Voir :
https://nouveau-monde.ca/la-contagion-quelques-elements-de-reponse-a-contrario-de-la-funeste-doxa-actuelle/

https://nouveau-monde.ca/le-mythe-de-la-contagion-virale-pourquoi-les-virus-incluant-les-%e2%80%89coronavirus%e2%80%89-ne-sont-pas-la-cause-des-maladies/
https://nouveau-monde.ca/epidemies-et-contagions/
https://nouveau-monde.ca/la-microbiophobie-ambiante-est-hors-de-controle-de-nouvelles-perspectives-sur-la-veritable-nature-des-virus/
https://nouveau-monde.ca/larc-en-ciel-invisible-une-histoire-de-lelectricite-et-de-la-vie)

Dans le cas particulier de la maladie Covid-19 qui regroupe de multiples symptômes (grippaux, cardio-vasculaires, etc.), il se trouve que ces symptômes ont été démontrés comme pouvant être causés par diverses ondes électromagnétiques, surtout sous forme artificielle pulsée et particulièrement dans la bande des micro-ondes. C’est comme par hasard le cas des ondes Wi-Fi, 3G, 4G, 4G+ et 5G. Et il apparaît que les lieux d’apparition de la Covid coïncident temporellement et géographiquement de manière plutôt précise avec celle de l’implantation de la 5G à laquelle le corps humain n’a pas encore eu le temps de s’adapter. Il apparaît également que des facteurs additionnels tels que la quantité de métaux, notamment lourds, dans le corps sont susceptibles d’aggraver les symptômes, car alors les cellules du corps éprouvent davantage de difficulté pour se purifier de l’agression subie. Le corps humain est de nature électrique et magnétique très sensible et l’existence des électrocardiogrammes et des électroencéphalogrammes en est une des preuves. Les ondes électromagnétiques pulsées évoquées ci-dessus sont fortement susceptibles de perturber les délicats équilibres et mécanismes biologiques qui reposent sur cette nature électrique et magnétique, comme le cycle énergétique de Krebs, les influx nerveux et les processus neuronaux. Chercher à ridiculiser la probable ou au moins possible causalité entre 5G et Covid ne relève pas de science, mais d’obscurantisme scientiste et de fermeture d’esprit ou au mieux de soumission à des intérêts financiers liés à l’industrie pharmaceutique et/ou à celle des télécommunications, secteurs particulièrement influents de nos jours.




Camionneurs de la liberté à Ottawa : l’astucieuse et encourageante analyse d’une journaliste canadienne

[Source : leblogdejeannesmits]

[Transmis par Nicolas Bonnal]

[Par moins vingt degrés…
On a vu des amish canadiens faire des heures en voiture à cheval pour nourrir les convois.
On a vu les fourrières d’OTAWA appelées par le maire être en grève « covid ».
On a vu toutes les églises ouvertes à OTAWA  pour accueillir, aider.
On a vu un peuple de « grindge » se lever avec dignité, organisation.]


« C’est avec plaisir que je vous présente ci-dessous les observations, analyses et commentaires astucieux de ma très douée consœur d’origine canadienne, Hilary White, qui vient de les publier sur Twitter. Elle s’émerveille devant l’organisation, le calme, la parfaite gestion d’un événement de grande envergure qui a mobilisé des milliers et des milliers de camions en vue de bloquer le centre d’Ottawa pour reconquérir les libertés ravies aux Canadiens sous prétexte de lutter contre la “pandémie du COVID” — en particulier la liberté vaccinale. C’est un message d’espoir et aussi une leçon. Voici ma rapide traduction de ce passionnant “fil Twitter” signé Hilary White, comme toujours remarquable de clairvoyance. »

Jeanne Smits

1) Les personnes qui organisent cet événement ont manifestement une expérience et une sérieuse formation en logistique. On n’obtient pas un tel résultat en faisant sauter quelques gars dans leur bahut pour partir dans la nuit.

2) Ils ont fait savoir qu’ils avaient l’intention de rester et la police d’Ottawa a indiqué qu’elle était prête à les laisser rester. Comment ont-ils pu organiser le campement d’un grand groupe de personnes dans leurs cabines de camion pendant des semaines ou des mois sans se préparer minutieusement à répondre à leurs besoins ? Réponse : les camions que nous avons vu rouler sur la Transcanadienne avec des remorques ne roulaient pas à vide. Ils étaient remplis de provisions.

3) Ils sont incroyablement disciplinés quant aux messages véhiculés, d’une manière et avec un niveau d’intelligence que je n’ai jamais vus de ma vie chez aucun organisateur de manifestation. Ils savaient avec précision à quoi il fallait s’attendre de la part des gouvernements provinciaux, fédéraux et municipaux. Ils savaient à quoi s’attendre en détail de la part des médias et des agitateurs/contre-manifestants, ainsi que des personnes introduites dans la foule pour semer le trouble, et ils ont mis en place un protocole bien coordonné, clairement communiqué et strictement appliqué pour y faire face, qui exclut absolument tout affrontement personnel direct ; dès qu’une présence suspecte est identifiée, les manifestants authentiques créent un cordon autour de celle-ci, un espace qui isole cette personne, et UN interlocuteur désigné appelle le membre de la police d’Ottawa désigné comme agent de liaison. Nous avons vu cette méthode fonctionner avec le type qui était la seule personne présente avec une cagoule qui lui couvrait tout le visage, et portant le drapeau confédéré.

4) On m’a signalé que les camionneurs sont arrivés munis de nourriture, de moyens de communication, de fournitures médicales et d’autres types de fournitures de survie, selon une méthode identique à celle utilisée dans les zones de guerre par les casques bleus canadiens qui approvisionnaient les villes assiégées pendant la guerre des Balkans, entre autres. En d’autres termes, on peut voir ici à quoi ressemblaient les opérations logistiques militaires canadiennes à Sarajevo et à Mostar…

5) Ils ont « bloqué » le centre de la ville d’Ottawa, mais cela n’a pas été fait au petit bonheur la chance. Ils l’ont fait en étroite coordination avec la police municipale d’Ottawa pour s’assurer qu’il y ait
– 1 – de l’espace pour que les véhicules des secours d’urgence puissent continuer à fonctionner
– 2 – de l’espace pour que de très grands groupes de personnes à pied puissent continuer à se rassembler, se rencontrer, parler et marcher ensemble. Ce n’est pas non plus un hasard.

6) Ils ont fait en sorte de répondre aux critiques de manière proactive. Lorsque les opposants ont commencé à hurler que quelqu’un avait recouvert la statue de Terry Fox d’un drapeau, ils ont fait en sorte qu’il y ait une vidéo de manifestants camionneurs clairement identifiables nettoyant soigneusement la statue, et que cette vidéo devienne virale. 

7) Ils sont incroyablement précis dans leurs messages, répondant instantanément et de manière transparente aux accusations, sans jamais chercher à s’excuser. Les organisateurs ont en même temps maintenu une discipline stricte en matière de communication, n’accordant pas d’interviews aux médias institutionnels, tout en restant visibles à titre personnel pour les gens sur le terrain, et en choisissant soigneusement leurs propres débouchés médiatiques :  cf.  @glennbeck 

8) Ils ont bien anticipé toute tentative éventuelle de les faire taire par l’intermédiaire des policiers, en prévoyant les attaques. Les forces de police de la ville d’Ottawa étant ridiculement petites, des bus entiers de réservistes ont été amenés de Toronto. Puis ceux-ci sont restés là à ne rien faire… Donc, quand les camionneurs ont vu que les policiers avaient un chemin ridiculement long à parcourir pour aller aux toilettes, ils ont déplacé des toilettes portables pour les mettre à leur disposition. Hier, on a appris que quelqu’un avait proposé du foin pour les chevaux de la police. Ce foin a été apporté dans les camions – ils savaient donc qu’ils en auraient besoin.

9) Tout cela me porte à penser que
– 1 – cette opération a été méticuleusement planifiée par des experts en logistique formés par des professionnels, mais c’est le genre de formation que l’on ne peut pas obtenir dans le secteur privé – les personnes qui s’occupent de cette opération sont d’anciens militaires – et 
– 2 – ils ont un plan plus ambitieux que de simplement garer un tas de camions le long de la rue Wellington en faisant #HonkHonk, et de faire une fête de rue pendant un week-end. Ils ont apporté assez de fournitures pour être là pendant des semaines. Ils ont installé des cantines et des services dans les rues qui ont été bloquées. Ce sont des gens qui savent vraiment ce qu’ils font. 
Ils ne parlent qu’aux personnes avec lesquelles ils ont choisi de parler. L’un d’entre eux était Glenn Beck : « Tout le monde en a marre. »
Et ils ne veulent pas seulement parler du Canada…
Il n’y a désormais plus le moindre doute dans mon esprit que le fait que #freedomconvoy2022 soit devenu mondial en une seule et même semaine n’est pas une coïncidence.

10) Si les camions sont déjà partis en Australie, il n’y a aucune chance que ce soit sur un coup de tête. L’été australien constitue un environnement tout aussi difficile pour la logistique que les prairies canadiennes en hiver. On ne fait pas une chose pareille au pied levé…

11) Le dernier point est que les mèmes sont la clef. Tout cela ressemble à une sorte de farce, et une sacrée bonne farce qui plus est. Cela me rappelle cette vieille blague d’ingénieur universitaire qui consiste à laisser une coccinelle Volkswagen en marche dans le bureau du doyen (ou comme cela s’est passé dans la vraie vie, la fois où le département d’ingénierie de l’UBC a suspendu une coccinelle VW au pont Lionsgate à Vancouver). Je pense que le seul pays au monde où l’on aurait pu inventer une telle chose est le Canada, en sachant exactement comment cela serait pris par le reste du monde. Les réactions d’étonnement devant le fait que les Canadiens « placides » et » pacifiques » aient enfin craqué et se soient lancés dans cette riposte franchement hilarante, qui a rempli le monde d’espoir, tel un rayon de soleil perçant les fumées du Mordor, EST précisément LE MESSAGE. Les Canadiens sont en fait les seuls au monde à avoir si profondément ancrée dans leur caractère national la capacité de rire d’eux-mêmes, de leurs dirigeants et de leur propre souffrance, qu’ils pourraient faire reculer les ténèbres de l’enfer en riant. Les mèmes sont un élément très important de la manifestation – et beaucoup se rendent compte que le sombre cauchemar dans lequel ils étaient plongés – le profond sentiment de désespoir qui a asservi le MONDE ENTIER pendant deux ans, a subitement commencé à se dissiper. Nous nous réveillons d’un cauchemar et nous nous rappelons que le monde est bon, que les gens sont forts et libres, que l’âcre tristesse du Monde à l’Envers ne correspond pas au monde qui nous a été donné par Dieu, et que nous ne sommes pas obligés d’y vivre. Nous pouvons tout simplement dire non. Nous sommes déjà libres.




Le recours aux forêts pour rester libre

[Source : euro-synergies.hautetfort.com]

Le recours aux forêts

Par Roberto Pecchioli 

Source : Ereticamente & https://www.ariannaeditrice.it/articoli/passare-al-bosco

Les ivrognes accusent le dernier verre : avant, ils étaient encore sobres. Ce n’est pas vrai, mais il y a toujours une goutte qui fait déborder le vase lorsqu’un changement, une idée, une adhésion ou un refus radical se matérialisent et deviennent soudainement réalité. L’écrivain a décidé d' »aller dans les forêts », d’entrer dans la clandestinité.

Admirateurs d’Ernst Jünger, nous entendons suivre les indications du Traité du Rebelle, celui qui va dans les forêts, chassé corps et âme par un ordre qui exige avant tout un contrôle capillaire. Le Rebelle sent qu’il n’appartient plus à rien et « franchit le méridien zéro par ses propres forces ». C’est le geste extrême de défiance au nom de la liberté la plus précieuse, celle de dire non.

Ces deux dernières années, les occasions de dissidence radicale se sont multipliées, et nous ressentons maintenant une accélération à laquelle nous ne pouvons échapper qu’en opposant un refus total, une distance existentielle, morale, voire physique. Nous pourrions énumérer une longue série de faits qui nous incitent à « recourir aux forêts », c’est-à-dire à franchir la frontière de la dissidence et à entrer dans le territoire de la rébellion. Citons-en quelques-uns : par exemple, les propos impromptus du président français Macron, le banquier de la galaxie Rothschild placé à la tête d’une grande nation. En inaugurant la présidence semestrielle de l’Union européenne, le jeune homme a demandé que l’avortement soit inclus comme un droit fondamental dans la Charte des droits de l’UE.

Nous ne voulons pas nous laisser entraîner dans un débat insidieux sur l’interruption volontaire de grossesse (IVG, acronyme bureaucratique neutre). Cependant, imaginer que se débarrasser des enfants à naître – c’est-à-dire des futurs membres de la communauté destinés à la perpétuer – puisse être un droit fondamental, c’est-à-dire quelque chose d’indiscutable, la pierre angulaire d’une société, est un signe de folie criminelle. Ce prétendu droit condamne une civilisation à la mort par extinction, foulant aux pieds le premier des « droits », le droit à la vie. De plus, ce serait un droit accordé à seulement la moitié de l’humanité, puisque – jusqu’à ce que les oligarques en décident autrement – les grossesses sont l’apanage des mammifères femelles. Nous utilisons le langage zoologique parce que c’est le seul langage compris par la culture post-humaine. Les pères – ou plutôt les fournisseurs de sperme – ne comptent pour rien, bien que cinquante pour cent du matériel génétique leur appartienne. A l’heure des droits inhumains et de la culture de l’effacement, le rôle des élites se confirme : fossoyeurs de la civilisation dont ils sont les enfants privilégiés.

Il ne reste que la forêt, ou l’image situationniste du petit homme derrière la grille de l’asile qui demande à un passant extérieur : comment c’est « là-dedans » ? Mauvais, merci. Pendant ce temps, le passeport sanitaire vert imposé aux Italiens sous sa super forme avance de manière menaçante. Mme Von der Leyen, l’angélique Ursula europoïde, prévient que la numérisation de l’existence doit se faire par étapes forcées. Frau Blue Eyes nous informe clairement que tous nos faits – compte bancaire, paiements, données de santé – deviendront numériques (une séquence de chiffres d’identification) insérés dans une sorte de carte d’identité universelle.

Qu’est-ce que le passeport vaccin si ce n’est le système d’exploitation, l’application matricielle dans laquelle nous pouvons insérer nos vies personnelles, intimes, économiques et relationnelles ? Même l’un des virologues vedettes de la télévision, Matteo Bassetti, commence à prendre ses distances, affirmant que ce pass n’a pas de réelle signification sanitaire et devient un instrument de division sociale. Bienvenue parmi nous, professeur. La preuve la plus éclatante en est le traitement réservé à une députée en exercice, Sara Cunial, qui n’est pas vaccinée et qui est empêchée de voter pour le président de la république. La presse en a peu parlé, sauf pour ridiculiser ou offenser la députée. Nous ne connaissons pas ses opinions politiques, mais nous sommes convaincus qu’elle a rendu un immense service à l’interprétation de ce qui se passe.

Récapitulons, pour que nous ayons le temps de réfléchir dans la forêt : le corps électoral qui vote pour le chef de l’État est composé de tous les députés et sénateurs, plus les représentants des régions. C’est ce que nous dit l’Article 83 de la Constitution (la plus belle du monde, hein !). En droit – c’est ce que nous ont appris ceux qui savaient, à l’époque de l’éducation civique – la forme est le fond. A tel point que les services parlementaires ont mis en place des formes de vote pour permettre au bureau de vote (le parlement en session commune) de ne pas exclure les malades, les personnes atteintes de la maladie de Covid et les positifs asymptomatiques. Un député étant décédé, ils se sont empressés, à juste titre, de proclamer élu son remplaçant afin de ne pas priver le corps électoral de son intégralité.

En revanche, Sara Cunial (photo), qui n’est pas vaccinée et ne dispose pas du sauf-conduit magique, ne peut pas voter bien qu’elle soit en parfaite santé. L’Italien moyen est indifférent aux questions de droit (en fait, il est constamment trompé par la loi) et tout au plus conseillerait-il au député vénitien de faire un tampon et d’exercer son droit sans faire d’histoires. Elle fait bien de ne pas s’incliner : elle va perdre sa bataille, mais elle a montré que la constitution ne compte pour rien, puisqu’un document administratif (le laissez-passer vert) vaut plus que le droit de vote. Dans quelques mois, il y aura des élections municipales : voulez-vous parier que vous ne pourrez pas voter sans laissez-passer vert, au mépris de l’article 48 de cet autre papier-là, dorénavant assimilé à des déchets à recycler ?

De cette façon, le système aura préétabli sa victoire, puisque les dissidents – ceux qui n’ont pas de laissez-passer et ceux qui ne veulent pas le montrer comme un signe de liberté – ne pourront pas exprimer leurs opinions. Pendant ce temps, celui qui possède la technologie qui a permis le laissez-passer vert et celui qui a le pouvoir de surveillance devient notre maître, mais qui s’en soucie. Nous ne nous plaindrons que lorsqu’ils nous empêcheront de retirer notre argent. Un puissant appareil de pouvoir privatisé (les géants de la technologie qui possèdent le savoir et les moyens de communication informatique ; les patrons de la finance qui créent de l’argent à partir de rien et nous le prêtent à titre gracieux, créant ainsi l’illusion de la dette ; les multinationales de la santé) fournit aux États – préalablement vidés de leur souveraineté et de leur pouvoir réel – l’arme du contrôle, devenu pouvoir sur la vie. Les peuples reculent devant la peur de la contagion et de la mort, devant la désinformation et la privation des outils de jugement.

Alexandre Soljenitsyne, qui comprenait la tyrannie, implorait ceux qui n’avaient pas le courage de la rébellion ouverte de ne pas devenir au moins complices du mal ; le message tombe dans l’indifférence. La tyrannie, écrit Jünger, n’est possible que si la liberté a été domestiquée, réduite à un concept vide. Tout a un prix et la condition de l’animal domestiqué entraîne celle de la bête de boucherie. Le système du politiquement correct et son extrême – la sous-culture des « réveillés » – est une expérience à grande échelle de domestication contrôlée. Il n’y a pas d’autre choix que de vivre en tant qu’immigrant illégal en essayant d’échapper à la Mégamachine et de maintenir la flamme de la liberté.

À une époque où la stupidité et l’ignorance sont élevées au rang de drapeau, rares sont ceux qui reconnaissent la grande portée symbolique et la tension morale d’un monument à Prague (photo, ci-dessous). Dédié à la mémoire de la violence communiste, il consiste en une série de figures humaines en bronze. Dans la première, on peut voir le corps intact ; dans la dernière, il ne reste que des lambeaux épars. Il s’agit d’un hommage aux victimes du communisme réel qui montre parfaitement comment la personne humaine est progressivement détruite afin de la soumettre jusqu’à sa disparition. Cela vaut pour tous les totalitarismes, même ceux qui avancent sur les ailes de la technologie et de la privatisation oligarchique de tout, insatiables dans leur volonté de dominer et d’annihiler l’autonomie intellectuelle et spirituelle.

Au début, il y a l’homme libre ; ensuite, la personne est conditionnée par le pouvoir de l’appareil de propagande et de répression. Au final, il reste une « entité » humaine, vouée à la seule survie biologique, privée de la volonté nécessaire pour penser, dans un contexte de démotivation, de désespoir et d’apathie.

Le vingtième siècle a changé la qualité de l’attaque contre la liberté, qui est devenue une science, assistée par de nouvelles connaissances appliquées contre l’homme, malgré les prémisses et les avertissements. Pensez au « conditionnement opérant » inventé par le psychologue comportementaliste Burrhus Skinner.  Nous vivons enfermés dans la « cage » de Skinner. Le psychologue a placé une souris – ou un pigeon – dans une cage munie de deux leviers. L’un a transmis un choc électrique, l’autre de la nourriture. Après plusieurs essais, l’animal a compris quel levier délivrait la nourriture (renforcement positif) et a compris qu’il ne fallait pas appuyer sur celui qui donnait le choc (renforcement négatif).

Le conditionnement opérant, récompense et punition, est né. Pour l’homme zoologique, la récompense est le droit à la pulsion libidinale ; la punition est la solitude, la dérision, la discrimination envers ceux qui n’appuient pas sur le bon levier. Le résultat est le conformisme plombé du troupeau.

L’université britannique de Northampton a récemment atteint la perfection, une autre goutte qui fait déborder le vase de la tolérance, un exemple brutal de conditionnement opératoire. Les professeurs de l’université – la classe dirigeante de la culture – ont décidé de mettre en garde les étudiants contre le contenu du roman 1984 de George Orwell, l’une des œuvres dans lesquelles la dénonciation du totalitarisme et l’aspiration à la liberté personnelle et communautaire sont les plus fortes. Le message transmis aux élèves est appelé « trigged warning », un avertissement psychologique qui rappelle une expérience traumatisante. « La lecture de 1984 peut aborder des sujets difficiles liés à la violence, au genre, à la sexualité, à la classe sociale, à la race, à la maltraitance, aux abus sexuels, aux idées politiques et au langage offensant. »

Un travail sur l’absence de liberté est fortement déconseillé car il est le vecteur de déclenchements – de traumatismes psychologiques – au nom de la prudence, de la peur, du silence. Dans le monde sensible, craintif et hypersensible du politiquement correct, il vaut mieux éviter ce qui pourrait déranger, c’est-à-dire faire réfléchir et prendre parti. Tout cela non pas au détriment des analphabètes, mais des jeunes universitaires. La conséquence est que la future classe dirigeante ne connaîtra rien – sous peine de souffrir sous la forme traumatique du déclenchement – des vices des dictatures et de la censure. L’avertissement détournera d’une œuvre qui pose des questions inconfortables et deviendra une aide puissante pour ceux qui s’arrogent une supériorité morale si grande qu’ils effacent tout ce qui ne coïncide pas avec leurs vues.

Dans le roman 1984, les étudiants britanniques pourraient découvrir l’autocensure qui les entoure et les restrictions à la liberté d’expression (deux processus qui marchent ensemble), des indications que le totem et le tabou démocratiques sont faux, du moins estompés, et que les groupes de pression progressistes ont pris le contrôle de l’opinion publique, alternant habilement renforcements positifs et négatifs, récompenses et punitions. Un exemple très clair est lié aux mots, à savoir le néo-langage mentionné par le « dangereux » Orwell. Il y a quelques années encore, on parlait de réchauffement de la planète ; plus tard, l’expression « changement climatique » s’est imposée. La situation est désormais qualifiée d' »urgence climatique ». Qu’est-ce qui a changé en quelques années? La réalité climatique planétaire s’est-elle soudainement précipitée ou le récit dominant a-t-il changé pour des raisons économiques et idéologiques ?

Décourager la lecture d’ouvrages qui obligent à la réflexion critique revient à s’enfermer dans la cage de Skinner. Des chocs électriques pour tout ce qui n’est pas un renforcement positif, la nourriture décidée par le pouvoir. Dans l’empire des Illuminati et des Eveillés, la déesse Raison se couche, dévorée par ses enfants. Laquelle des statues de Prague correspond à l’état de notre société ? Il est significatif que le monument se trouve dans la ville de Franz Kafka, qui a décrit avec lucidité la fragmentation de l’individu face à des structures sociales tellement plus fortes que lui.

Ce n’est qu’en passant par les forêts, exilés et clandestins, que nous pouvons rester semblables à la statue en position verticale, l’homme libre. Sans l’autonomie de lire et de tirer nos propres conclusions d’un livre, comme les étudiants de Northampton, nous sommes au bout du rouleau, la figure humaine brisée, sans bras, avec la moitié de la poitrine cassée, boiteuse. Les inquisiteurs sont au pouvoir, nous dirigeant vers un néo-monde qui cache la lumière comme dangereuse pour les yeux. Dans les forêts résonne l’admonition d’Augustin d’Hippone : « tant que nous vivons, nous luttons, et tant que nous luttons, c’est un signe que nous ne sommes pas encore vaincus et que l’Esprit vit en nous. Et si la mort ne vient pas à toi comme un vainqueur, qu’elle vienne à toi comme un guerrier. »




Les routiers canadiens roulent vers la capitale Ottawa contre le pass vaccinal

[Source : lemediaen442.fr]

Il faudra bien que les médias français en parlent un jour car ils ne pourront pas cacher ce qu’il se passe au Canada encore bien longtemps ! Le mouvement des routiers contre le pass vaccinal, baptisé Freedom Convoy 2022 (le convoi pour la liberté 2022), prend de l’ampleur chaque jour. Surtout qu’un convoi de 70 kilomètres de long, ça doit se voir non ?
Arrivée prévue dans la capitale Ottawa le 29 janvier… ça va faire du bruit non, 70 000 camions  ? Cet article évoque même le chiffre plausible de 150 000 véhicules !



À ce jour le financement participatif de leur mouvement, débuté il y a seulement 10 jours, a atteint les 3 millions d’euros de plus de 28 500 donateurs (le plus gros donateur a donné à lui — ou elle — tout seul la somme de 11 000 $CAD). L’argent récolté sera utilisé pour aider les chauffeurs à couvrir les frais de carburant, de nourriture et d’hébergement.

➤ Suivez les chauffeurs routiers sur cette page Facebook.

Freedom Convoy 2022

[Voir des tweets sur lemediaen442.fr]




100.000 camionneurs veulent bloquer Ottawa pour libérer le Canada

[Source : cruciforme.net]

Les médias les diabolisent, leur mouvement risque faire boule de neige : le vent du réveil des peuples se lève dans le pays où les restrictions anti-covid sont les plus délirantes du monde. Enquête.

Tamara Lich, qui a lancé la collecte GoFundMe, accusée de racisme : ça tombe mal, c’est une amérindienne « mate » de l’Alberta // Le convoi de la liberté fait 70km de long, dix fois plus long que le record précédent. Il entre au Guiness des records. // Tout l’argent GoFundMe ira bien aux routiers et reste acquis à la cause (avocats) // L’armée s’apprêterait à fermer les accès à la ville d’Ottawa. Blackout des médias // Suivez en direct le hashtag Twitter en bas de page

C’est l’événement de la décennie que les médias mainstream s’évertuent à minimiser. Justin Trudeau aura réussi ce que personne auparavant n’était parvenu à faire : unir les routiers canadiens en un grand mouvement national. Et même au delà puisque leurs collègues transfrontaliers rejoignent le Freedom Convoy, le « Convoi de la Liberté ». Leur mot d’ordre : « reprendre les libertés qu’ils n’auraient jamais du céder ».

Les camionneurs sont vent-debout contre le pouvoir central d’Ottawa, capitale du Canada, qui leur impose des restrictions délirantes, ainsi qu’en témoigne un français sur Sud Radio ce mardi. Plus de 100.000 d’entre eux (le nombre d’inscriptions serait en croissance exponentielle, 200.000 à l’heure où j’écris ces mots) se seraient enrôlés pour rejoindre la capitale et la bloquer à partir de samedi 29 janvier, pour une durée indéterminée.

Qui organise ce convoi ?

Les médias ont fait un choix : celui de diaboliser un adversaire idéologique. Pas difficile pourtant de connaître les motivations légitimes de ceux qui se tiennent derrière cette manifestation monstre. Il suffit d’écouter Tamara Lich, l’amérindienne de la tribu « mate » (Alberta) dont l’appel sincère a permis de récolter 4,5 millions de dollars en moins de 10 jours via la plateforme GoFundMe. Routière, canadienne, elle fait parti de Maverick, un mouvement patriote qui prônait quelques années en arrière l’indépendance de plusieurs provinces et le rattachement à l’Amérique de Trump.

On comprend dès lors l’inquiétude de la presse et de la classe politique qui dérivent dans l’indifférence générale vers le socialisme et la tyrannie, comme le démontrait cette semaine le québécois pro-vie Jean Tardy sur la chaîne youtube de Theovox, qui échappe pour l’instant à la censure.

Un risque sérieux de pénurie ?

Pour les lanceurs d’alerte, une pénurie intentionnelle se préparerait pour mettre le peuple à genoux et imposer une Grande Réinitialisation. Le covid servirait de prétexte à une forme de « crédit social environnementaliste » mondial. C’est le projet selon ce député européen. Pour les autres, ceux qui ont fait le choix de croire les médias mainstream, c’est l’absentéisme dû à omicron qui explique les rayonnages quasiment vides dans les supermarchés de toute l’Amérique du Nord.

Peu importe : les gigantesques files de camions qui convergent vers la capitale du Canada vont paralyser le pays et fermer le robinet du pétrole dans la plus pure tradition des mouvements sociaux nord-américains. Dans le Nouveau monde, on ne fait pas d’omelette sans casser les oeufs : les canadiens le savent, puisque le transport routier rapporte 1 milliard de dollars par jour à leur pays.

Un « câlin d’ours »

Rien ne les arrêtera désormais, et pas même la tentative de suspension de leur cagnotte GoFundMe plus tôt cet après-midi (leurs avocats rassurent : l’argent ira bien aux ayant droit). C’est par dizaines de milliers qu’ils s’apprêtent à faire un Bear Hug, un « câlin d’ours » (selon l’expression québécoise imagée qui cache une intention aussi redoutable qu’une OPA économique) à la capitale administrative du Canada. Il suffira au journaliste pas trop fainéant d’écouter un live Facebook ou deux pour comprendre que les routiers réunis envisagent ensuite de faire de même dans leurs provinces respectives, puisque là-bas chaque province est autonome.

Ce « gel » du transport pourrait ensuite s’étendre aux Etats-Unis, où le pouvoir en place n’a plus aucune légitimité pour une partie de la population. C’est à un réveil des consciences endormies par un cover up des médias que veulent procéder les camionneurs empêchés de travailler : on leur impose depuis mi-janvier un isolement de 14 jours s’ils ne sont pas vaccinés. Selon les autorités, dont on connaît désormais le parti-pris, 26.000 routiers canadiens (15% de l’effectif global) refuseraient l’injonction vaccinale. Selon les routiers eux-mêmes, ces chiffres pourraient par endroits être 2 à 3 fois plus importants. Et aux USA, le taux de vaccinés serait encore plus faible, les restrictions faisant par surcroît exploser les prix des fruits et légumes.

Un soutien de l’opinion et des forces de l’ordre ?

On les accuse de sédition, d’être des Gilets Jaunes. Ils sont pourtant parmi les plus respectueux des lois. Concernés par l’avenir de leurs enfants, ils ont souffert en silence en 2020. Populaires, ils ont lancé le programme « Adopt a trucker » : les habitants d’Ottawa qui le souhaitent pourront accueillir chez eux un routier et lui offrir un lit, une douche ou même… une salle de gym privée, puisque là-bas tout est interdit. L’essence et la nourriture sera pourvue par la cagnotte qui ne cessait de gonfler d’heure en heure, jusqu’à ce qu’elle soit censurée par un pouvoir aux abois.

Le compte à rebours est lancé avec l’approbation, murmure-t-on, d’une partie de l’armée et de la police, ulcérée également par les « mandats » vaccinaux. L’opération, qui démarre le 28 janvier au soir, pourrait faire des émules dans d’autres pays et initier une « giletjaunisation » généralisée. Les médias ne vous en parleront pas. Nous, à Cruciforme, nous serons là pour couvrir ce bras de fer et ce combat pour la Liberté avec un grand L. Celle de vivre une vie digne de ce nom loin des folies de quelques milliardaires hallucinés qui ne rêvent que de lendemains dystopiens.

(Crédit photo / vidéo : Cameron Hildebrand, Marie Oakes, Twitter)

Plus d’info

Message de soutien d’une policière d’Ottawa

Une policière se déclare honorée d’être dans la ville qui va accueillir le convoi. Elle affirme que l’ensemble de ses collègues soutient le combat des routiers « qui se battent pour nos libertés à tous ». Sa hiérarchie vient d’ouvrir une enquête pour la harceler.

https://twitter.com/erinhoward0118/status/1485596574126424065

Québec, USA : déni médiatique autour de la levée des restrictions liées au Covid

Olivier De Senailhac, résident au Québec, est au micro d’André Bercoff pour aborder les restrictions liées au Covid au Québec et aux Etats-Unis (Sud Radio, 25/01/2022)https://www.youtube.com/embed/8tLyH-AhF1w?feature=oembed

Un routier rectifie les mensonges des médias

  • Les routiers ne sont PAS contre la vaccination. Nombre d’entre eux sont vaccinés. Ils croient juste que chaque canadien devrait avoir la liberté de choisir sans subir de discriminations ou de restrictions en conséquence de ses choix.
  • L’Alliance des Routiers Canadiens est une organisation privée qui ne parle pas de la part de l’action actuelle.
  • Plus de confinements. Pas de vaccination forcée (et OUI, c’est forcer les gens quand tu dois CHOISIR entre une injection dont tu ne veux pas, et le fait de devoir nourrir ta famille).
  • Les routiers ne bloqueront PAS les véhicules d’urgence et assisteront toute personne dans le besoin. Ils ont mis en place un service de sécurité identifié. Les chauffeurs ont été brieffés et ont signé des décharges à leurs points de ralliement respectifs.
  • L’argent collecté (4,5millions de $) sera distribué selon une procédure stricte. Les routiers enregistrés doivent se rapporter à leurs chefs de groupes respectifs et fournir des justificatifs pour pouvoir être remboursés. Tout l’argent en surplus sera reversé à l’Association des Vétérans du Canada. Un avocat et des comptables en sont garants.

En direct #FreedomConvoyCanada

[Suite sur cruciforme.net]




Ce que signifie VRAIMENT « vivre avec le Covid » et la prochaine étape dans le plan de la gouvernance mondiale

[Source : Sott.net]

[Illustration : « Covid, je suis rentré à la maison ! »]

Par Kit Knightly — Off Guardian

Pourquoi les médias se mettent-ils désormais à minimiser l’hystérie Covid qu’ils ont jusqu’à aujourd’hui entretenue ? Est-ce parce que la « pandémie » est vraiment terminée ? Ou s’agit-il d’un élément important du processus de manipulation des esprits [particulièrement accéléré depuis près de deux ans – NdT] ?

Ces derniers jours, voire ces dernières semaines, nous avons assisté à une nette modification de l’attitude des médias mainstream face à la « pandémie » de Covid.

De nombreux exemples de ce que l’on pourrait qualifier de « dissidence » se sont produits, si les médias n’étaient pas aussi étroitement contrôlés. Mais, puisque les médias sont étroitement contrôlés, nous devons le qualifier de changement apparent du message.

Le Dr Steve James, consultant en anesthésie,a confronté le ministre britannique de la santé, Sajid Javid, sur la faiblesse de la science qui soutient les obligations vaccinales [anti-Covid-19 – NdT. Notez que cette confrontation a été diffusée sur Sky News :

Traduction : « La science n’est pas assez solide ».

« Regardez le moment où un consultant hospitalier non vacciné interpelle le ministre de la Santé Sajid Javid au sujet de la politique gouvernementale de vaccins COVID obligatoires pour le personnel du Service national de santé. »

Il y a quelques jours, le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC, a participé à l’émission « Good Morning America » pour parler de la vague « Omicron », et a fini par souligner que la plupart des décès « Omicron » présentent [à la base – NdT] de multiples comorbidités.

Note du traducteur : En effet, selon le CDC, « plus de 75 % des décès Covid se sont produits au sein d’une population qui était atteinte d’au moins quatre comorbidités. » et « 94 % des décès Covid se sont produits au sein d’une population qui présentait des problèmes de santé. »

On peut en effet parler d’un virage à 180° !!! Ou du moins, c’est à cela que ça ressemble…

Dans une autre interview, avec Fox News, le Dr Walenksy a déclaré que le CDC allait publier des données sur le nombre de personnes décédées à cause du Covid, et sur le nombre de personnes décédéesavecle Covid.

Tout ceci soulève une série de questions importantes.

  • Pourquoi le directeur du CDC s’engage-t-il (apparemment) dans ces argumentations sceptiques quant au Covid après avoir prétendu pendant deux ans qu’elles n’existaient pas ?
  • Pourquoi Sky News a-t-elle diffusé, puis tweeté, le clip vidéo d’un médecin défiant le ministre de la Santé ?
  • Pourquoi The Guardian publie-t-il des titres tels que « Il faut mettre fin aux vaccinations massives et vivre avec le Covid, selon l’ancien Monsieur vaccins », et pourquoi cite-t-il des membres du personnel médical qui affirment que nous devons « traiter le Covid comme la grippe » ?
  • Pourquoi de nouvelles études selon lesquelles les cellules T de rhumes ordinaires peuvent « vous protéger du Covid » sont-elles mises en avant par les médias mainstream ?

On ne peut pas nier que le discours change et qu’ils lèvent le pied dans la narration [jusque-là hystérique – NdT]. Un nouveau chapitre s’ajoute au récit : celui de « vivre avec le Covid ».

Depuis plus d’un mois, c’est une expression à la mode dans toute la presse occidentale.

Le 1er décembreForbes titrait :

« Pourquoi le Covid-19 endémique sera une cause de célébration. »

Un article qui affirmait, entre autres, que « le Covid-19 endémique ne sera pas pire que la grippe saisonnière ». Ce sentiment a est désormais répété ad nauseum dans de nombreux médias.

Nous avons déjà mentionné l’article du Guardian du 8 janvier, mais il y a aussi un article antérieur daté du 5 décembre et intitulé « De la pandémie à l’endémie : voici comment nous pourrions revenir à la normale ».

CNBC a publiétrois articles presque identiques sur ce sujet en l’espace de deux semaines :

« La pandémie de Covid pourrait prendre fin l’année prochaine, selon les experts – voici à quoi cela ressemble, et comment les États-Unis pourraient y parvenir » — 9 décembre
« La pandémie pourrait prendre fin en 2022 – selon les experts médicaux, voici à quoi une vie ‘normale’ pourrait bientôt ressembler » — 15 décembre
« Omicron pourrait flamber à travers les États-Unis – et potentiellement accélérer la fin de la pandémie de Covid, selon un expert » — 22 décembre

Le jour de l’an, Voxa publié un article intitulé :

« Malgré Omicron, le Covid-19 va devenir endémique. Voici comment. »

Bloombergannonce qu’Omicron marque la fin de « la phase aiguë de la pandémie ».

Hier encore, The New York Posttitrait : « Le Covid deviendra endémique d’ici la fin de l’année, selon l’ancien chef du groupe de travail de Biden », et USA Todayposait la question « La pandémie change. Omicron apportera-t-il une nouvelle normalité pour le Covid-19 ? »

Et plus tôt dans la journée, Channel 4 a affirmé que « Le Covid en 2022 » signifie « apprendre à vivre avec le virus ».

Le message n’est pas seulement véhiculé par les médias. Des rapports indiquent que « vivre avec le Covid »sera la stratégie du gouvernement britannique à l’horizon 2022, avec une publication officielle sur ce sujet attendue « dans les semaines à venir ».

Ainsi, « vivre avec le virus » va être ajouté au vocabulaire de la narration Covid aux côtés de « aplatir la courbe » et de « la nouvelle normalité ». Mais qu’est-ce que cela implique réellement ? Quand ils disent « vivre avec le Covid », que veulent-ils vraiment dire ?

Tout d’abord, ne commettons pas l’erreur de faire confiance à un gouvernement, un média mainstream ou un « expert », simplement parce qu’ils commencent à dire 20 % de la vérité. Ce sont des menteurs, ils ont un dessein, c’est toujours vrai, et vous ne devriez jamais l’oublier, même quand — ou plutôt surtout quand — ils vous disent soudain ce que vous voulez entendre. Ils ne reconnaissent pas soudainement avoir eu tort. Ils ne font pas volte-face, ils ne corrigent pas leurs erreurs, ils ne retrouvent pas la raison et ils ne changent pas de camp. Il n’ont pas abandonné leurs convictions antérieures. Aucune vague de mauvaise conscience ne traverse l’élite [elle n’en a pas – NdT].

Ils ont un objectif. Ils ont toujours un objectif. Vous devriez également chasser de votre esprit toute idée de « retour à la normale ». Ce n’est pas le cas. Comment le savons-nous ? Parce qu’ils l’ont dit.

La moitié des articles qui parlent de « vivre avec le Covid » expliquent en détail comment les choses ne changeront pas vraimentPrenez celui-là, tiré du Guardian d’hier [9 janvier – NdT] :

« Vivre avec le Covid ne signifie pas forcément renoncer à toute mesure de protection. »

Il indique que le Covid pourrait bientôt devenir endémique, que les tests de dépistage de masse sur les personnes asymptomatiques pourraient être contre-productifs et qu’il faudrait peut-être y mettre un terme, mais rien ne change en ce qui concerne les masques ou les [soi-disant – NdT] vaccins et tout cela laisse la porte grande ouverte à un nouveau « variant » qui pourrait à l’avenir déclencher d’autres confinements :

« Vivre avec le Covid ne doit pas signifier inverser toutes les mesures de protection. Si une meilleure ventilation et des masques faciaux réduisent l’impact des maladies respiratoires hivernales, c’est un point positif, même si le Système de santé n’est plus sous la menace imminente d’être débordé. Nous devrons également rester vigilants face à la menace de nouveaux variants qui pourraient encore nous amener à revenir en arrière. Aucune garantie n’existe quant au fait qu’un autre variant, plus infectieux et plus virulent qu’Omicron, puisse à l’avenir émerger. Les scientifiques affirment que le soutien des efforts de vaccination à l’échelle mondiale sera crucial pour sécuriser le chemin vers la normalité. »

Les masques, le télétravail et la distanciation sociale dans les endroits bondés pourraient tous rester dans les parages, selon l’un des articles de CNBC mentionnés ci-dessus. Et « les rappels d’injection Covid pourraient bien se transformer en vaccins annuels comme ceux contre la grippe ». Pendant ce temps-là, les « experts » nous avertissent que même lorsque le Covid sera devenu endémique, nous devrons nous préparer à des « flambées » tous les trois ou quatre mois. Il semble bien que « vivre avec le virus » signifie maintenir le statu quo, assouplir quelques restrictions, mais laisser la voie libre à de nouvelles vagues de peur hystérique et paranoïaque si le besoin s’en fait sentir.

Mais pourquoi ? Pourquoi font-ils cela maintenant ? Il se pourrait qu’il y ait des scissions et des dissensions, voire des fissures dans les allées du pouvoir. Il est possible que certains membres du grand club suprême souhaitent à ce stade mettre un terme à la pandémie, par crainte que toute avancée supplémentaire sur la voie de la « Grande réinitialisation » ne mette en péril leur propre position ou leur propre richesse.

Peut-être.

Ce qui me semble le plus probable, c’est qu’ils ont le sentiment d’être déjà allés trop loin, et que pousser plus loin pourrait faire voler en éclats tout leur scénario.

Pour utiliser une métaphore appropriée, imaginez le programme de la « Grande réinitialisation » comme une armée d’invasion, traversant ville après ville, remportant bataille après bataille et brûlant tout sur son passage. Il arrive un moment où vous devez vous arrêter. Vos lignes d’approvisionnement sont tendues, vos hommes sont fatigués et leur nombre diminue, et les citoyens soumis à l’occupation opposent de plus en plus de résistance. Persistez néanmoins, et toute votre stratégie pourrait s’effondrer.

Dans cette situation, il faut se retirer sur une position défendable et la fortifier. Vous ne rendez pas les terres que vous avez prises, ou du moins pas en grande partie, mais vous cessez d’avancer. Les gens dont vous avez envahi les terres, si fatigués de se battre, seront tellement heureux que la guerre soit terminée qu’ils seront soulagés par ce répit avant de réaliser à quel point les terres qui leur ont été prises sont nombreuses. Ils pourraient même affirmer « qu’ils les gardent, à condition qu’ils cessent de nous attaquer ». C’est ainsi que fonctionnent les conquêtes, depuis l’époque de la Rome antique et au-delà. Un cycle d’agressions suivi de fortifications.

Lorsque nous passerons de « pandémie » à « endémie », nos droits [supprimés en raison d’une soi-disant crise – NdT] ne nous seront pas rendus, les injections, la surveillance et le climat de peur et de paranoïa subsisteront, mais les gens seront tellement soulagés par la trêve dans la campagne d’effroi et de propagande qu’ils cesseront de résister. Ils ne riposteront pas, et la « nouvelle normalité » deviendra littéralement juste ça, normale.

Ils donneront probablement leur feu vert au financement de tout ce que Bill Gates voudra faire pour s’assurer que « le Covid soit la dernière pandémie ». Et puis, un jour, lorsque les gens seront à nouveau sages et dociles, un nouveau variant fera son apparition, ou encore nous aurons besoin d’un « confinement climatique », et la pression pour le contrôle de tous les aspects de nos vies reprendra de plus belle. La meilleure chose que nous puissions faire à ce stade est de ne pas tomber dans le piège.

La presse, les politiciens et Big Pharma ne viennent pas tous de découvrir la vérité, ils utilisent simplement quelques petites parties de la vérité qu’ils ont [à dessein – NdT] ignorées pendant deux ans pour fortifier leur position. Mais ce n’est pas une mauvaise chose pour autant. Le fait même qu’ils ressentent le besoin de le faire montre que la résistance se développe, et qu’ils essaient de nous endormir.

Ce serait le pire moment pour arrêter de se battre.

Note du traducteur : Et pour votre information, ça ne peut pas être fini, puisqu’il il ne faut jamais présumer de l’issue d’un événement qui est toujours en cours.

On peut cependant suspecter que ce changement d’orientation dans les messages ne sert qu’à déblayer le terrain narratif pour mettre en place la phase suivante qui devrait être introduite rapidement :

  • des « chocs » environnementaux qui mèneraient à d’éventuels confinements climatiques,
  • des pénuries croissantes de nourriture et de chauffage,
  • un chaos économique et inflationniste,
  • la mise hors service et/ou le remplacement d’Internet,
  • sans oublier de mentionner des « problèmes » avec la Russie,
  • voire une cyber-attaque mondiale…

Cette liste n’est pas exhaustive et le choix est large.

En d’autres termes, ces monstres pourraient bien ouvrir un deuxième front très bientôt, car comme l’aurait dit Virgile dans l’Énéide, et en se référant au Cheval de Troie :

« Je crains les Grecs, même lorsqu’ils font des cadeaux. »

Source de l’article initialement publié en anglais le 10 janvier 2022 : Off Guardian
Traduction et emphases : Sott.net




Ebola : briser les mensonges et la supercherie

[Source : nomorefakenews.com indiquée par lezarceleurs]

Par Jon Rappoport

Encore une fois, le virus fait la couverture

Nous sommes avertis, de temps en temps, qu’une nouvelle épidémie d’Ebola pourrait se propager. C’est l’une de ces attractions à venir dans le théâtre qui montre un film de virus après l’autre.

Dans ce cas, le hameçon de peur est le symptôme de saignement. Cela fait trembler les gens dans le noir. Ô mon Dieu, regarde le SANG. C’est… LE VIRUS.

Yahoo News, 26/02/21(([1] https://www.yahoo.com/now/exclusive-white-house-preparing-order-for-enhanced-airport-screenings-for-ebola-203354978.html)):

« … l’Organisation mondiale de la santé a signalé un groupe de cas d’Ebola en Guinée… L’administration Biden va de l’avant avec des plans pour dépister les passagers des compagnies aériennes de deux pays africains arrivant aux États-Unis pour Ebola… ”

Parce que je fais le travail que les autres ne feront pas… et parce que j’ai couvert l’histoire d’Ebola en 2017 et 2014, voici des citations essentielles de mes articles pendant cette période.

Il y a un résultat prévisible : dans les cliniques et les hôpitaux du Congo, les personnes effrayées qui arrivent avec ce que l’on appelle les « premiers signes » d’Ebola seront diagnostiquées comme des cas probables. Quels sont ces symptômes ? Fièvre, frissons, mal de gorge, toux, maux de tête, douleurs articulaires. Semble familier? Normalement, cela s’appellerait simplement la grippe.

La campagne massive pour faire croire que le virus Ebola peut attaquer à tout moment, après le moindre contact, est plutôt réussie.

Les gens se bousculent pour faire monter le niveau d’hystérie.

Et cela empêche de porter un regard attentif sur le Libéria, la Sierra Leone et la République de Guinée, trois pays africains où la pauvreté et la maladie font partie de la vie quotidienne d’un nombre écrasant de personnes.

La structure de commandement dans ces zones a un seul dicton : ne résolvez pas le problème humain.

Ne nettoyez pas les approvisionnements en eau contaminé. Ne rendez pas les terres volées aux gens afin qu’ils puissent prospérer et cultiver de la nourriture et enfin atteindre la santé nutritionnelle. Ne résolvez pas le surpeuplement. N’installez pas d’assainissement de base. Ne renforcez pas les systèmes immunitaires. Ne laissez pas les gens avoir le pouvoir, car ils se débarrasseraient alors des mastodontes que sont les entreprises locales et mondiales qui aspirent la terre de toutes ses ressources.

Pour ne pas résoudre les problèmes du peuple, une histoire servant de couverture est nécessaire, une histoire qui disculpe la structure du pouvoir.

Un virus pour servir de couverture

Tout tourne autour du virus. Le démon. L’étrange agresseur.

Oubliez tout le reste. Le virus est l’ennemi unique.

Oubliez par exemple le fait qu’une étude récente portant sur 15 pharmacies et 5 dispensaires de médicaments hospitaliers en Sierra Leone a découvert l’utilisation généralisée et déraisonnable des antibiotiques bêta-lactamines.

Ces médicaments sont hautement toxiques. Un de leurs effets ? Saignement excessif.

Ce qui se trouve justement être l’effrayant « effet Ebola » qui est claironné dans la presse mondiale.

(J Clin Microbiol, juillet 2013, 51(7), 2435-2438) et Annals of Internal Medicine déc. 1986, « Potentiel de saignement avec les nouveaux antibiotiques bêta-lactamines »)

Oubliez le fait que les entreprises de pesticides sont connues pour expédier des pesticides toxiques interdits en Afrique. Un effet des produits chimiques ? Saignement.

Oubliez ça. Tout tourne autour du virus et rien que du virus.

Oubliez le fait que, pendant des décennies, l’une des principales causes de décès dans le tiers monde a été la diarrhée incontrôléeLes électrolytes sont évacués du corps et l’adulte ou le bébé meurt(La diarrhée est également répertoriée comme un symptôme « Ebola ».)

Tout médecin sensé ferait de son premier ordre du jour de remplacer les électrolytes par une simple supplémentation, mais non, la ligne médicale standard va dans ce sens :

La diarrhée est causée par des germes dans le tractus intestinal, nous devons donc accumuler des quantités massives d’antibiotiques pour tuer les germes.

Les médicaments tuent toutes les bactéries de l’intestin, y compris celles qui sont nécessaires et bénéfiques, et le patient ne peut pas absorber le peu de nourriture à laquelle il a accès et il meurt.

En cours de route, il peut aussi saigner.

Mais non, tous les saignements viennent d’Ebola. C’est le virus. Ne pense à rien d’autre.

Oubliez le fait que les vaccins à adénovirus, qui ont été utilisés au Libéria, en Guinée et au Libéria (l’épicentre d’Ebola), ont, selon vaccines.gov, les effets indésirables suivants : sang dans les urines ou les selles et diarrhée.

Le journaliste Charles Yates a découvert un scandale au Libéria autour de la plantation de caoutchouc Firestone – déversement de produits chimiques, eau empoisonnée.

Et maladie de peau.

«Rash» est répertorié comme l’un des symptômes d’Ebola.

Ensuite, il y a l’usine d’embouteillage Liberia Coca Cola : un liquide noir immonde qui s’infiltre dans l’environnement – des animaux qui meurent.

La malnutrition chronique et la famine – des conditions endémiques au Libéria, en Sierra Leone et en Guinée – sont la première cause de déplétion des lymphocytes T (c’est-à-dire la suppression du système immunitaire) dans le monde.

Vous voyez le tableau ?

Dans une correspondance par e-mail avec moi, David Rasnick, PhD, a annoncé cette découverte choquante :

« J’ai examiné en détail la littérature sur l’isolement et l’Ems [EM : images au microscope électronique] des virus Ebola et Marburg. Je n’ai trouvé aucune preuve convaincante que le virus Ebola (et d’ailleurs Marburg) ait été isolé chez l’homme. Il n’y a certainement aucune preuve confirmative de l’isolement humain.

En d’autres termes, rien ne prouve que le virus Ebola existe réellement.

Rasnick a obtenu son doctorat au Georgia Institute of Technology et a passé 25 ans à travailler avec des protéases (une classe d’enzymes) et des inhibiteurs de protéase. Il est l’auteur du livre The Chromosomal Imbalance Theory of Cancer [La théorie du déséquilibre chromosomique du cancer]. Il a été membre du Comité consultatif présidentiel sur le sida d’Afrique du Sud.

Les vraies raisons de « l’épidémie d’Ebola » incluent, mais ne sont pas limitées à :
►la pollution industrielle ; 
►les pesticides organophosphorés (provoque des saignements)
►la vaste surutilisation d’antibiotiques (provoque des saignements); carences nutritionnelles graves et débilitantes (pouvant provoquer des saignements)
►famine; perte drastique d’électrolyte; 
►diarrhée chronique; 
►misère; guerre; 
►terres agricoles volées ; 
►les campagnes de vaccination (chez les personnes dont le système immunitaire est compromis, les vaccins peuvent facilement anéantir leurs derniers lambeaux de santé).

Qu’en est-il des médecins et des infirmières en Afrique de l’Ouest, qui traitent les patients atteints d’Ebola ? Ces agents de santé tombent malades de « la maladie redoutée ».

Le sont-ils?

Ils travaillent à des températures très élevées, dans des salles de clinique probablement aspergées de pesticides organophosphorés extrêmement toxiques. Ils sont enfermés dans des combinaisons de matières dangereuses, où les températures augmentent encore plus, entraînant la perte de jusqu’à cinq litres de fluides corporels pendant un quart de travail d’une heure. Ensuite, en convalescence, ils ont besoin d’une réhydratation par voie intraveineuse et sont aspergés de produits chimiques désinfectants toxiques. Ils retournent dans les combinaisons pour un autre tour de service. Un médecin a rapporté que, à l’intérieur de sa combinaison, il y avait du chlore (toxique). Ces facteurs à eux seuls pourraient causer une maladie dangereuse et même la mort, et, bien sûr, les symptômes de base de « Ebola ».

Les experts exprimaient de sérieux doutes sur Ebola, depuis 1977. Dès le début de l’hystérie.

La référence de 1977 ici est : « Ebola Virus Haemorrhagic Fever : Actes d’un colloque international sur l’infection par le virus Ebola et autres fièvres hémorragiques tenu à Anvers, Belgique, du 6 au 8 décembre 1977 ».

Ce rapport fait 280 pages. Cela vaut la peine d’être lu et étudié, pour voir comment les experts hésitent, couvrent leurs paris, et pourtant font des aveux préjudiciables :

Par exemple, « Il est impossible de considérer le diagnostic virologique de l’infection à virus Ebola indépendamment du diagnostic des fièvres hémorragiques en général. Le tableau clinique de la maladie est en effet trop peu spécifique pour permettre une quelconque hypothèse quant au virus qui pourrait être responsable d’un cas donné. »

Boom !

Pour ceux qui soulignent qu’il y a des antécédents de fièvres hémorragiques (hémorragiques) dans certaines parties de l’Afrique, il y a des antécédents de malnutrition horrible, dont un aspect est le scorbut, qui provoque des saignements de toutes les muqueuses.

Conclusion : pas besoin de virus pour expliquer le saignement.

Ensuite, nous avons des pesticides

La référence ici est « Mesurer les risques écologiques et sanitaires des pesticides dans l’agriculture ouest-africaine… » 17 février 2014, publié dans Philosophical Transactions of The Royal Society, par PC Jepson et al.

« L’enquête a été menée sur 19 sites dans cinq pays et a obtenu des informations auprès de 1704 personnes qui cultivaient 22 cultures différentes. Au cours des 2 années d’enquête, les agriculteurs ont déclaré avoir utilisé 31 pesticides…

… certains composés représentaient un risque élevé dans de multiples compartiments environnementaux et de santé humaine, notamment le carbofuran, le chlorpyrifos, le diméthoate, l’endosulfan et le méthamidophos.

Les effets sur la santé comprenaient l’inhibition de la cholinestérase, la toxicité pour le développement, l’altération de la fonction thyroïdienne et la diminution du nombre de globules rouges… »

L’étude note également que « les importations de pesticides en Afrique de l’Ouest ont augmenté d’environ 19 % par an dans les années 1990… bien avant la croissance de la production agricole de 2,5 %… » En d’autres termes, les pesticides ont inondé l’Afrique de l’Ouest.

Voici une autre observation essentielle faite dans l’étude :

« La distribution et la vente de pesticides en Afrique de l’Ouest ne sont pas efficacement réglementées. Les multiples canaux d’approvisionnement incluent généralement le reconditionnement de stocks obsolètes ou illégaux [extrêmement toxiques] et la correspondance entre le contenu des conteneurs et ce qui est indiqué sur l’étiquette est médiocre… »

Les fournisseurs de pesticides dissimulent des pesticides interdits – sur lesquels ils subissent une perte, car ils ne peuvent pas les vendre – et les placent dans des conteneurs étiquetés avec les noms des pesticides légaux

Considérons les pesticides spécifiquement mentionnés dans l’étude.

Carborfuran – Selon la fiche d’information sur les substances dangereuses du ministère de la Santé et des Services aux personnes âgées du New Jersey, l’exposition au carbofuran « peut causer de la faiblesse, de la transpiration, des nausées et des vomissements, des douleurs abdominales et une vision floue. Des niveaux plus élevés peuvent provoquer des contractions musculaires, une perte de coordination et peuvent provoquer un arrêt de la respiration [mort imminente].

Le chloropyrifos, le diméthoate et le méthamidophos sont des organophosphates. Le Pesticide Action Network décrit les organophosphorés comme « parmi les pesticides les plus toxiques de tous… ils désactivent une enzyme, la cholinestérase, qui est essentielle au bon fonctionnement des nerfs ».

L’endosulfan est progressivement éliminé à l’échelle mondiale, car il est extrêmement toxique et perturbe le système endocrinien.

Ces pesticides peuvent produire et produisent un certain nombre de symptômes appelés « Ebola » :

Saignements, nausées, vomissements, diarrhée, éruption cutanée, douleurs à l’estomac, coma.

Mais tout cela est balayé par l’hystérie autour du Virus.

Voici une citation d’une étude, « Potentiel de saignement avec les nouveaux antibiotiques bêta-lactamines« , Ann Intern Med décembre 1986 ; 105(6):924-31 :

« Plusieurs nouveaux antibiotiques bêta-lactamines altèrent l’hémostase normale [processus corporels qui arrêtent le saignement]… Ces antibiotiques provoquent souvent une prolongation marquée du temps de saignement du modèle (plus de 20 minutes)… un saignement dangereux dû à une agrégation plaquettaire altérée nécessite un traitement avec des concentrés plaquettaires. ”

Voici un résumé de MedlinePlus :

« La bactérie Clostridium difficile vit normalement dans l’intestin. Cependant, trop de ces bactéries peuvent se développer lorsque vous prenez des antibiotiquesLa bactérie dégage une forte toxine qui provoque une inflammation et des saignements dans la muqueuse du côlonTout antibiotique peut causer cette maladie. Les médicaments responsables du problème sont la plupart du temps l’ampicilline, la clindamycine, les fluoroquinolones et les céphalosporines… »

Examinons donc le niveau d’utilisation des antibiotiques en Afrique de l’Ouest et dans le tiers monde.

Voice of America, 26 février 2014, « … les antibiotiques sont devenus le choix automatique pour traiter un enfant fiévreux.

AAPS (Association américaine des scientifiques pharmaceutiques) :

« Par exemple, dans la plupart des régions d’Afrique de l’Ouest, les antibiotiques sont couramment vendus comme médicaments en vente libre. »

TWN (Third World Network):

« … une enquête menée en 1999 a montré que près d’un produit antidiarrhéique sur deux dans les pays du Tiers-Monde contenait un antibiotique inutile… » [et la diarrhée chronique dans le Tiers-Monde est une cause majeure de décès, donc vous pouvez être sûr que ces médicaments antidiarrhéiques sont consommés en grande quantité].

« … 75 produits (dont certains antibiotiques) qui avaient été retirés ou interdits dans un ou plusieurs pays européens ont été identifiés dans le tiers monde en 1991. »

Bien sûr, les antibiotiques interdits seraient exceptionnellement toxiques.

En Afrique de l’Ouest, l’utilisation d’antibiotiques atteint des sommets… et les antibiotiques provoquent des saignements.

Saigner où ? Dans le tube digestif.

À la lumière de cela, considérez l’extrait suivant de l’article de healthgrades.com, « Qu’est-ce que le vomissement de sang? »

« Les vomissements de sang indiquent la présence d’un saignement dans le tube digestif…

« Les vomissements de sang peuvent être causés par de nombreuses conditions différentes, et la gravité varie selon les individus. La matière vomie peut être rouge vif ou de couleur foncée comme du marc de café… »

Oui, il s’avère que toute source d’hémorragie interne dans le tube digestif, comme la surconsommation d’antibiotiques, peut amener une personne à vomir du sang.

« Le caractère unique » de « Ebola-blood-vomiting » est un conte de fées.

Quoi d’autre pourrait causer le symptôme de saignement « Ebola » en Afrique de l’Ouest ?

Nous avons le fait que les insecticides organophosphorés sont largement utilisés pour la pulvérisation intérieure, dans les maisons ouest-africaines et, sûrement, dans les cliniques, pour tuer les moustiques. Une étude rapporte : « Avec une résistance élevée au DDT présente dans une grande partie de l’Afrique de l’Ouest, les carbamates et les organophosphates sont des alternatives de plus en plus importantes aux pyréthrinoïdes pour la pulvérisation intradomiciliaire à effet rémanent (IRS). »

Parmi les effets, d’une exposition sévère aux organophosphorés : diarrhée, tremblements, démarche chancelante, troubles sanguins, décès, tous décrits en référence à Ebola.

Et puis il y a ceci : « Chez neuf patients souffrant d’intoxication aux organophosphorés, la fonction plaquettaire et les paramètres de coagulation sanguine ont été étudiés… Chez cinq des neuf patients, une tendance hémorragique marquée a été observée. La tendance hémorragique dans l’intoxication aux organophosphorés est probablement principalement causée par la fonction plaquettaire défectueuse. (Klin Wochenschur, 3 septembre 1984;62 (17):814-20, auteur : m. Zieman)

Du saignement. Mais pas d’un virus.

Et les vaccins ? Plusieurs campagnes de vaccination ont été menées en Afrique de l’Ouest. Je n’ai trouvé aucune enquête indépendante approfondie sur les ingrédients de ces vaccins. Mais par exemple, un simple vaccin contre la grippe, Fluvirin, comporte un risque «d’hémorragie».

Plusieurs autres vaccins de routine peuvent provoquer des vomissements. Le HiB, par exemple.

Nous avons ce rapport terrifiant – du Daily Observer (libérien), 14 octobre, « Breaking : Formaldéhyde dans l’eau causant prétendument des symptômes semblables à ceux d’Ebola » :

« Un homme de Schieffelin, une communauté située dans le comté de Margibi sur l’autoroute Robertsfield, a été arrêté pour avoir tenté de mettre du formaldéhyde dans un puits utilisé par la communauté. »

« Les rapports indiquent que vers 10 heures du matin, il s’est approché du puits avec de la poudre dans une bouteille. Assailli par la communauté, il a avoué qu’il avait été payé pour mettre du formaldéhyde dans le puits, et qu’il n’était pas le seul. Il aurait dit aux habitants de la communauté : « Nous sommes nombreux ». Il y a des agents à Harbel, Dolostown, Cotton Tree et d’autres communautés à travers le pays, a-t-il dit.

« La radio d’État, ELBC, rapporte qu’au moins 10 personnes dans la communauté de Dolostown sont mortes après avoir bu de l’eau provenant de puits empoisonnés. »

L’ATSDR (Agence américaine pour les substances toxiques et le registre des maladies) dans ses lignes directrices pour la prise en charge médicale de l’empoisonnement au formaldéhyde, énumère ces symptômes : « nausées, vomissements, douleurs, saignements, dépression du SNC, coma…« 

Il existe d’autres sources d’empoisonnement en Afrique de l’Ouest. Leurs composants et leurs effets nécessitent une étude plus approfondie.

Par exemple : Firestone.

Depuis près d’un siècle, l’entreprise exploite une immense plantation de caoutchouc au Libéria. Selon une estimation, Firestone contrôle 10 % des terres arables du pays.

Outre les conditions de vie et de travail misérables des habitants, qui saignent les arbres pour le caoutchouc et amènent leurs jeunes enfants au travail afin de respecter les quotas quotidiens de Firestone, il y a le problème de la pollution massive.

D’irinnews : « LIBERIA : la communauté exige des réponses sur la pollution par le caoutchouc » :

« MONROVIA, 4 juin 2009 (IRIN) – Les personnes vivant à côté de la plantation de Firestone Natural Rubber Company à Harbel, à 45 km de Monrovia, la capitale du Libéria, affirment que la pollution de la concession détruit leur santé, ruine leurs moyens de subsistance et tue même des habitants.

« La concession de caoutchouc de Firestone au Libéria est le deuxième plus grand producteur de caoutchouc en Afrique et emploie quelque 14 000 Libériens.

« Les habitants de la ville de Kpanyarh, juste à côté de la plantation de caoutchouc de Firestone à Harbel, disent que le ruisseau dans lequel ils pêchent et boivent leur eau pendant la saison sèche a été contaminé par des toxines. »

« ‘Nous avions l’habitude de pêcher et de boire l’eau’, a dit à IRIN John Powell, un habitant de Kpanyarh âgé de 67 ans, lors d’une visite au ruisseau qui coule juste à l’extérieur de la ville. Il a déclaré que l’eau était devenue toxique en octobre 2008. « Nous ne pouvons plus la boire. Certains de nos gens en sont déjà morts. Nous avons attiré l’attention de Firestone sur notre sort, mais ils l’ont ignoré.

« À la mi-mai, lors d’une visite d’IRIN dans la région, des vapeurs acides émanant du ruisseau ont fait couler les yeux des gens et ont rendu la respiration difficile.

D’après BBC News : « L’enquête de trois mois a révélé qu’une usine au sud-est de la capitale Monrovia était responsable de niveaux [toxiques] élevés d’orthophosphate dans les ruisseaux. »

De laborrights.org : En raison du manque d’eau potable sur la plantation, « cette situation fait que les entailleurs et autres employés non qualifiés et leurs familles n’ont d’autre choix que de boire dans des puits peu profonds et des ruisseaux ».

Et bien sûr, ces ruisseaux sont fortement pollués.

Qui sait combien et quels produits chimiques toxiques ont été rejetés de la plantation Firestone dans les ruisseaux et les rivières environnantes ?

Une enquête plus approfondie en Afrique de l’Ouest pourrait bien révéler encore plus de raisons de saignement, dont aucune n’a rien à voir avec un virus. La région regorge d’activités industrielles qui produisent des polluants majeurs – exploitation minière, exploration et forage pétroliers en mer, exploitation du caoutchouc, etc.

Ensuite, nous arrivons aux articles de presse effrayants sur les médecins et les agents de santé « frappés par Ebola, qui s’effondrent », qui traitent des patients dans les cliniques Ebola en Afrique de l’Ouest.

Ces agents de santé portaient des combinaisons de matières dangereuses. Isolés du monde extérieur, travaillant par quarts à l’intérieur de ces combinaisons bouillantes, où ils perdent 5 litres de liquide corporel par heure, ils sortent pour se réhydrater, s’aspergent de produits chimiques toxiques pour se désinfecter, puis rentrent à nouveau.

Un médecin a déclaré au Daily Mail qu’il pouvait sentir d’intenses vapeurs de chlore pendant qu’il travaillait dans son costume. Cela signifie que le produit chimique toxique était en fait avec lui.

Pas étonnant que certains agents de santé s’effondrent et meurent. Aucun virus n’est nécessaire.

Extrait du Daily Mail du 5 août 2014, un article intitulé « Dans des combinaisons chaudes bouillantes… » :

« Le docteur Hannah Spencer a révélé comment elle s’oblige à se sentir en sécurité à l’intérieur d’une combinaison Hazmat scellée à l’air chaud… »

« Ébullition : les médecins et les infirmières perdent jusqu’à cinq litres de sueur pendant une heure de travail en combinaison et doivent passer deux heures à se réhydrater après… »

« Pour minimiser le risque d’infection, ils doivent porter des bottes en caoutchouc épaisses qui arrivent jusqu’aux genoux, une combinaison imperméable, des gants, un masque facial, une cagoule et des lunettes pour s’assurer qu’aucun air ne puisse toucher leur peau. »

« Dr. Spencer, 27 ans, et ses collègues perdent jusqu’à cinq litres de sueur pendant un quart de travail traitant des victimes et doivent ensuite passer deux heures à se réhydrater.

« Dans leur camp, ils subissent de multiples décontaminations, notamment la pulvérisation de chlore sur leurs chaussures. »

« Dr. Spencer : « Nous aimerions maintenir une visite [du patient] entre 45 minutes et une heure, mais maintenant, nous l’étirons à près de deux heures. Nous nous soumettons à un stress physiologique très fort lorsque nous utilisons des équipements de protection individuelle.

« Nous transpirons, nous perdons de l’eau. Nous devenons plus chauds et cela fait des ravages sur le corps. Notre propre endurance commence à s’épuiser.

Dans un autre article du Daily Mail (« Ce qui est choquant, c’est à quoi ressemblent les patients atteints d’Ebola avant de mourir… »), le Dr Oliver Johnson décrit le travail en tenue de protection : « La chaleur des combinaisons est rapidement écrasante, car vos lunettes s’embuent et vous sentez le sueur dégoulinant en dessous. Et l’odeur de chlore est intense.

Vous voyez le tableau ? Imaginez perdre cinq litres d’eau de votre corps en une heure. Pendant que vous êtes pris au piège dans une combinaison de matières dangereuses encombrante. Pendant que vous traitez un patient qui, par exemple, pourrait vouloir s’échapper de la clinique parce qu’il a peur de vous et de votre médecine occidentale.

Imaginez avoir besoin de deux heures après être sorti de votre combinaison pour vous réhydrater. Ensuite, vous revenez pour plus. Bien sûr, vous vous décontaminez également avec des produits chimiques toxiques, notamment du chlore.

Mais cela n’a absolument rien à voir avec la raison pour laquelle vous pourriez tomber malade. Non. Si vous tombez malade, si vous vous effondrez ou si vous mourez subitement, c’est Ebola. Le virus.

Bien sûr que ça l’est. [Dans le discours officiel.]

Pas besoin de se demander. Ne posez pas de questions. Croyez l’Organisation mondiale de la santé et les Centers for Disease Control. Ils disent toujours la vérité.

Coda : L’enquêteuse canadienne, Christine Massey, a fait un travail époustouflant en remplissant des demandes en vertu de la Loi sur la liberté d’information pour obtenir la preuve que divers virus ont déjà été isolés et purifiés (c’est-à-dire découverts). Le 15 mars 2021, elle a reçu une réponse du CDC concernant le virus Ebola(([2] https://www.fluoridefreepeel.ca/wp-content/uploads/2021/03/CDC-Ebola-FOIA-request-response-No-Records.pdf)). Le CDC l’a informée qu’ils n’avaient trouvé aucun enregistrement indiquant que le virus avait jamais été isolé et purifié, à partir d’un échantillon de patient.

Massey et ses collègues ont déposé sept autres demandes FOIA auprès de diverses agences gouvernementales – à la recherche de preuves que le virus Ebola a déjà été isolé et purifié – et la réponse a toujours été la même : aucun document de ce type n’existe.

[Voir aussi :
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey]

En plus d’exposer l’horrible vérité sur « Ebola » et ce qui s’est réellement passé en Afrique de l’Ouest, j’ai une autre raison d’écrire cet article. Je recommande vivement cette méthode d’investigation aux chercheurs indépendants.

Vous commencez par la cause médicale supposée de la maladie et du décès. Vous examinez cette cause et voyez si elle existe réellement. Dans le même temps, vous effectuez une plongée profonde parallèle, afin de savoir si des causes non virales expliquent les symptômes de la maladie et de la mort.

Tout cela vise à « découvrir l’histoire qui sert de couverture » qui est promue pour cacher les crimes des entreprises et des gouvernements.

En 1987, alors que j’écrivais mon premier livre, AIDS INC. , j’ai sondé une grande quantité de données et j’ai trouvé ma voie dans cette approche. Cela a fonctionné à l’époque, et au cours des années qui ont suivi, cela a fonctionné à maintes reprises.

Comme je ne me lasse pas de le dire : « le virus » est la plus grande couverture jamais inventée.

[Voir aussi Nouvelle plandémie en vue ?
et ses liens annexes.]

(Dans ma collection Power Outside The Matrix , j’entre dans les détails de cette approche du journalisme d’investigation dont vous pouvez énormément bénéficier.)


SOURCES




L’art de la guerre

Source : ebooksgratuits.com

[Transmis par Philippe Loubière]

Par Sun Tzu

Sun Tzu

L’ART DE LA GUERRE

Les Treize Articles

traduit par le père Amiot

Publication du groupe « Ebooks libres et gratuits » – http://www.ebooksgratuits.com/

Source du texte : Jean-Philippe Thiébaud. http://www.ifrance.com/artdelaguerreselonsuntzu
Avec nos remerciements.

Table des matières

Article I De l’évaluation

Article II De l’engagement

Article III Des propositions de la victoire et de la défaite

Article IV De la mesure dans la disposition des moyens

Article V De la contenance

Article VI Du plein et du vide

Article VII De l’affrontement direct et indirect

Article VIII Des neuf changements

Article IX De la distribution des moyens

Article X De la topologie

Article XI Des neufs sortes de terrain

Article XII De l’art d’attaquer par le feu

Article XIII De la concorde et de la discorde

Article I
De l’évaluation

Sun Tzu dit : La guerre est d’une importance vitale pour l’État. C’est le domaine de la vie et de la mort : la conservation ou la perte de l’empire en dépendent ; il est impérieux de le bien régler. Ne pas faire de sérieuses réflexions sur ce qui le concerne, c’est faire preuve d’une coupable indifférence pour la conservation ou pour la perte de ce qu’on a de plus cher, et c’est ce qu’on ne doit pas trouver parmi nous.

Cinq choses principales doivent faire l’objet de nos continuelles méditations et de tous nos soins, comme le font ces grands artistes qui, lorsqu’ils entreprennent quelque chef-d’œuvre, ont toujours présent à l’esprit le but qu’ils se proposent, mettent à profit tout ce qu’ils voient, tout ce qu’ils entendent, ne négligent rien pour acquérir de nouvelles connaissances et tous les secours qui peuvent les conduire heureusement à leur fin.

Si nous voulons que la gloire et les succès accompagnent nos armes, nous ne devons jamais perdre de vue : la doctrine, le temps, l’espace, le commandement, la discipline.

La doctrine fait naître l’unité de penser ; elle nous inspire une même manière de vivre et de mourir, et nous rend intrépides et inébranlables dans les malheurs et dans la mort.

Si nous connaissons bien le temps, nous n’ignorerons point ces deux grands principes Yin et Yang par lesquels toutes les choses naturelles sont formées et par lesquels les éléments reçoivent leurs différentes modifications ; nous saurons le temps de leur union et de leur mutuel concours pour la production du froid, du chaud, de la sérénité ou de l’intempérie de l’air.

L’espace n’est pas moins digne de notre attention que le temps ; étudions le bien, et nous aurons la connaissance du haut et du bas, du loin comme du près, du large et de l’étroit, de ce qui demeure et de ce qui ne fait que passer.

J’entends par commandement, l’équité, l’amour pour ceux en particulier qui nous sont soumis et pour tous les hommes en général ; la science des ressources, le courage et la valeur, la rigueur, telles sont les qualités qui doivent caractériser celui qui est revêtu de la dignité de général ; vertus nécessaires pour l’acquisition desquelles nous ne devons rien négliger : seules elles peuvent nous mettre en état de marcher dignement à la tête des autres.

Aux connaissances dont je viens de parler, il faut ajouter celle de la discipline. Posséder l’art de ranger les troupes ; n’ignorer aucune des lois de la subordination et les faire observer à la rigueur ; être instruit des devoirs particuliers de chacun de nos subalternes ; savoir connaître les différents chemins par où on peut arriver à un même terme ; ne pas dédaigner d’entrer dans un détail exact de toutes les choses qui peuvent servir, et se mettre au fait de chacune d’elles en particulier. Tout cela ensemble forme un corps de discipline dont la connaissance pratique ne doit point échapper à la sagacité ni aux attentions d’un général.

Vous donc que le choix du prince a placé à la tête des armées, jetez les fondements de votre science militaire sur les cinq principes que je viens d’établir. La victoire suivra partout vos pas : vous n’éprouverez au contraire que les plus honteuses défaites si, par ignorance ou par présomption, vous venez à les omettre ou à les rejeter.

Les connaissances que je viens d’indiquer vous permettront de discerner, parmi les princes qui gouvernent le monde, celui qui a le plus de doctrine et de vertus ; vous connaîtrez les grands généraux qui peuvent se trouver dans les différents royaumes, de sorte que vous pourrez conjecturer assez sûrement quel est celui des deux antagonistes qui doit l’emporter ; et si vous devez entrer vous-même en lice, vous pourrez raisonnablement vous flatter de devenir victorieux.

Ces mêmes connaissances vous feront prévoir les moments les plus favorables, le temps et l’espace étant conjugués, pour ordonner le mouvement des troupes et les itinéraires qu’elles devront suivre, et dont vous réglerez à propos toutes les marches. Vous ne commencerez ni ne terminerez jamais la campagne hors de saison. Vous connaîtrez le fort et le faible, tant de ceux qu’on aura confiés à vos soins que des ennemis que vous aurez à combattre. Vous saurez en quelle quantité et dans quel état se trouveront les munitions de guerre et de bouche des deux armées, vous distribuerez les récompenses avec libéralité, mais avec choix, et vous n’épargnerez pas les châtiments quand il en sera besoin.

Admirateurs de vos vertus et de vos capacités, les officiers généraux placés sous votre autorité vous serviront autant par plaisir que par devoir. Ils entreront dans toutes vos vues, et leur exemple entraînera infailliblement celui des subalternes, et les simples soldats concourront eux-mêmes de toutes leurs forces à vous assurer les plus glorieux succès.

Estimé, respecté, chéri des vôtres, les peuples voisins viendront avec joie se ranger sous les étendards du prince que vous servez, ou pour vivre sous ses lois, ou pour obtenir simplement sa protection.

Également instruit de ce que vous pourrez et de ce que vous ne pourrez pas, vous ne formerez aucune entreprise qui ne puisse être menée à bonne fin. Vous verrez, avec la même pénétration, ce qui sera loin de vous comme ce qui se passera sous vos yeux, et ce qui se passera sous vos yeux comme ce qui en est le plus éloigné.

Vous profiterez de la dissension qui surgit chez vos ennemis pour attirer les mécontents dans votre parti en ne leur ménageant ni les promesses, ni les dons, ni les récompenses.

Si vos ennemis sont plus puissants et plus forts que vous, vous ne les attaquerez point, vous éviterez avec un grand soin ce qui peut conduire à un engagement général ; vous cacherez toujours avec une extrême attention l’état où vous vous trouverez.

Il y aura des occasions où vous vous abaisserez, et d’autres où vous affecterez d’avoir peur. Vous feindrez quelquefois d’être faible afin que vos ennemis, ouvrant la porte à la présomption et à l’orgueil, viennent ou vous attaquer mal à propos, ou se laissent surprendre eux-mêmes et tailler en pièces honteusement. Vous ferez en sorte que ceux qui vous sont inférieurs ne puissent jamais pénétrer vos desseins. Vous tiendrez vos troupes toujours alertes, toujours en mouvement et dans l’occupation, pour empêcher qu’elles ne se laissent amollir par un honteux repos.

Si vous prêtez quelque intérêt aux avantages de mes plans, faites en sorte de créer des situations qui contribuent à leur accomplissement.

J’entends par situation que le général agisse à bon escient, en harmonie avec ce qui est avantageux, et, par là-même, dispose de la maîtrise de l’équilibre.

Toute campagne guerrière doit être réglée sur le semblant ; feignez le désordre, ne manquez jamais d’offrir un appât à l’ennemi pour le leurrer, simulez l’infériorité pour encourager son arrogance, sachez attiser son courroux pour mieux le plonger dans la confusion : sa convoitise le lancera sur vous pour s’y briser.

Hâtez vos préparatifs lorsque vos adversaires se concentrent ; là où ils sont puissants, évitez-les.

Plongez l’adversaire dans d’inextricables épreuves et prolongez son épuisement en vous tenant à distance ; veillez à fortifier vos alliances au-dehors, et à affermir vos positions au-dedans par une politique de soldats-paysans.

Quel regret que de tout risquer en un seul combat, en négligeant la stratégie victorieuse, et faire dépendre le sort de vos armes d’une unique bataille !

Lorsque l’ennemi est uni, divisez-le ; et attaquez là où il n’est point préparé, en surgissant lorsqu’il ne vous attend point. Telles sont les clefs stratégiques de la victoire, mais prenez garde de ne point les engager par avance.

Que chacun se représente les évaluations faites dans le temple, avant les hostilités, comme des mesures : elles disent la victoire lorsqu’elles démontrent que votre force est supérieure à celle de l’ennemi ; elles indiquent la défaite lorsqu’elles démontrent qu’il est inférieur en force.

Considérez qu’avec de nombreux calculs on peut remporter la victoire, redoutez leur insuffisance. Combien celui qui n’en fait point a peu de chances de gagner !

C’est grâce à cette méthode que j’examine la situation, et l’issue apparaîtra clairement.

Article II
De l’engagement

Sun Tzu dit : Je suppose que vous commencez la campagne avec une armée de cent mille hommes, que vous êtes suffisamment pourvu des munitions de guerre et de bouche, que vous avez deux mille chariots, dont mille sont pour la course, et les autres uniquement pour le transport ; que jusqu’à cent lieues de vous, il y aura partout des vivres pour l’entretien de votre armée ; que vous faites transporter avec soin tout ce qui peut servir au raccommodage des armes et des chariots ; que les artisans et les autres qui ne sont pas du corps des soldats vous ont déjà précédé ou marchent séparément à votre suite ; que toutes les choses qui servent pour des usages étrangers, comme celles qui sont purement pour la guerre, sont toujours à couvert des injures de l’air et à l’abri des accidents fâcheux qui peuvent arriver.

Je suppose encore que vous avez mille onces d’argent à distribuer aux troupes chaque jour, et que leur solde est toujours payée à temps avec la plus rigoureuse exactitude. Dans ce cas, vous pouvez aller droit à l’ennemi. L’attaquer et le vaincre seront pour vous une même chose.

Je dis plus : ne différez pas de livrer le combat, n’attendez pas que vos armes contractent la rouille, ni que le tranchant de vos épées s’émousse. La victoire est le principal objectif de la guerre.

S’il s’agit de prendre une ville, hâtez-vous d’en faire le siège ; ne pensez qu’à cela, dirigez là toutes vos forces ; il faut ici tout brusquer ; si vous y manquez, vos troupes courent le risque de tenir longtemps la campagne, ce qui sera une source de funestes malheurs.

Les coffres du prince que vous servez s’épuiseront, vos armes perdues par la rouille ne pourront plus vous servir, l’ardeur de vos soldats se ralentira, leur courage et leurs forces s’évanouiront, les provisions se consumeront, et peut-être même vous trouverez-vous réduit aux plus fâcheuses extrémités.

Instruits du pitoyable état où vous serez alors, vos ennemis sortiront tout frais, fondront sur vous, et vous tailleront en pièces. Quoique jusqu’à ce jour vous ayez joui d’une grande réputation, désormais vous aurez perdu la face. En vain dans d’autres occasions aurez-vous donné des marques éclatantes de votre valeur, toute la gloire que vous aurez acquise sera effacée par ce dernier trait.

Je le répète : On ne saurait tenir les troupes longtemps en campagne, sans porter un très grand préjudice à l’État et sans donner une atteinte mortelle à sa propre réputation.

Ceux qui possèdent les vrais principes de l’art militaire ne s’y prennent pas à deux fois. Dès la première campagne, tout est fini ; ils ne consomment pas pendant trois années de suite des vivres inutilement. Ils trouvent le moyen de faire subsister leurs armées au dépens de l’ennemi, et épargnent à État les frais immenses qu’il est obligé de faire, lorsqu’il faut transporter bien loin toutes les provisions.

Ils n’ignorent point, et vous devez le savoir aussi, que rien n’épuise tant un royaume que les dépenses de cette nature ; car que l’armée soit aux frontières, ou qu’elle soit dans les pays éloignés, le peuple en souffre toujours ; toutes les choses nécessaires à la vie augmentent de prix, elles deviennent rares, et ceux même qui, dans les temps ordinaires, sont le plus à leur aise n’ont bientôt plus de quoi les acheter.

Le prince perçoit en hâte le tribut des denrées que chaque famille lui doit ; et la misère se répandant du sein des villes jusque dans les campagnes, des dix parties du nécessaire on est obligé d’en retrancher sept. Il n’est pas jusqu’au souverain qui ne ressente sa part des malheurs communs. Ses cuirasses, ses casques, ses flèches, ses arcs, ses boucliers, ses chars, ses lances, ses javelots, tout cela se détruira. Les chevaux, les bœufs même qui labourent les terres du domaine dépériront, et, des dix parties de sa dépense ordinaire, se verra contraint d’en retrancher six.

C’est pour prévenir tous ces désastres qu’un habile général n’oublie rien pour abréger les campagnes, et pour pouvoir vivre aux dépens de l’ennemi, ou tout au moins pour consommer les denrées étrangères, à prix d’argent, s’il le faut.

Si l’armée ennemie a une mesure de grain dans son camp, ayez-en vingt dans le vôtre ; si votre ennemi a cent vingt livres de fourrage pour ses chevaux, ayez-en deux mille quatre cents pour les vôtres. Ne laissez échapper aucune occasion de l’incommoder, faites-le périr en détail, trouvez les moyens de l’irriter pour le faire tomber dans quelque piège ; diminuez ses forces le plus que vous pourrez, en lui faisant faire des diversions, en lui tuant de temps en temps quelque parti, en lui enlevant de ses convois, de ses équipages, et d’autres choses qui pourront vous être de quelque utilité.

Lorsque vos gens auront pris sur l’ennemi au-delà de dix chars, commencez par récompenser libéralement tant ceux qui auront conduit l’entreprise que ceux qui l’auront exécutée. Employez ces chars aux mêmes usages que vous employez les vôtres, mais auparavant ôtez-en les marques distinctives qui pourront s’y trouver.

Traitez bien les prisonniers, nourrissez-les comme vos propres soldats ; faites en sorte, s’il se peut, qu’ils se trouvent mieux chez vous qu’ils ne le seraient dans leur propre camp, ou dans le sein même de leur patrie. Ne les laissez jamais oisifs, tirez parti de leurs services avec les défiances convenables, et, pour le dire en deux mots, conduisez-vous à leur égard comme s’ils étaient des troupes qui se fussent enrôlées librement sous vos étendards. Voilà ce que j’appelle gagner une bataille et devenir plus fort.

Si vous faites exactement ce que je viens de vous indiquer, les succès accompagneront tous vos pas, partout vous serez vainqueur, vous ménagerez la vie de vos soldats, vous affermirez votre pays dans ses anciennes possessions, vous lui en procurerez de nouvelles, vous augmenterez la splendeur et la gloire de État, et le prince ainsi que les sujets vous seront redevables de la douce tranquillité dans laquelle ils couleront désormais leurs jours.

L’essentiel est dans la victoire et non dans les opérations prolongées.

Le général qui s’entend dans l’art de la guerre est le ministre du destin du peuple et l’arbitre de la destinée de la victoire.

Quels objets peuvent être plus dignes de votre attention et de tous vos efforts !

Article III
Des propositions de la victoire et de la défaite

Sun Tzu dit : Voici quelques maximes dont vous devez être pénétré avant que de vouloir forcer des villes ou gagner des batailles.

Conserver les possessions et tous les droits du prince que vous servez, voilà quel doit être le premier de vos soins ; les agrandir en empiétant sur les ennemis, c’est ce que vous ne devez faire que lorsque vous y serez forcé.

Veiller au repos des villes de votre propre pays, voilà ce qui doit principalement vous occuper ; troubler celui des villes ennemies, ce ne doit être que votre pis-aller.

Mettre à couvert de toute insulte les villages amis, voilà ce à quoi vous devez penser ; faire des irruptions dans les villages ennemis, c’est ce à quoi la nécessité seule doit vous engager.

Empêcher que les hameaux et les chaumières des paysans ne souffrent le plus petit dommage, c’est ce qui mérite également votre attention ; porter le ravage et dévaster les installations agricoles de vos ennemis, c’est ce qu’une disette de tout doit seule vous faire entreprendre.

Conserver les possessions des ennemis est ce que vous devez faire en premier lieu, comme ce qu’il y a de plus parfait ; les détruire doit être l’effet de la nécessité. Si un général agit ainsi, sa conduite ne différera pas de celle des plus vertueux personnages ; elle s’accordera avec le Ciel et la Terre, dont les opérations tendent à la production et à la conservation des choses plutôt qu’à leur destruction.

Ces maximes une fois bien gravées dans votre cœur, je suis garant du succès.

Je dis plus : la meilleure politique guerrière est de prendre un État intact ; une politique inférieure à celle-ci consisterait à le ruiner.

Il vaut mieux que l’armée de l’ennemi soit faite prisonnière plutôt que détruite ; il importe davantage de prendre un bataillon intact que de l’anéantir.

Eussiez-vous cent combats à livrer, cent victoires en seraient le fruit.

Cependant ne cherchez pas à dompter vos ennemis au prix des combats et des victoires ; car, s’il y a des cas où ce qui est au-dessus du bon n’est pas bon lui-même, c’en est ici un où plus on s’élève au-dessus du bon, plus on s’approche du pernicieux et du mauvais.

Il faut plutôt subjuguer l’ennemi sans donner bataille : ce sera là le cas où plus vous vous élèverez au-dessus du bon, plus vous approcherez de l’incomparable et de l’excellent.

Les grands généraux en viennent à bout en découvrant tous les artifices de l’ennemi, en faisant avorter tous ses projets, en semant la discorde parmi ses partisans, en les tenant toujours en haleine, en empêchant les secours étrangers qu’il pourrait recevoir, et en lui ôtant toutes les facilités qu’il pourrait avoir de se déterminer à quelque chose d’avantageux pour lui.

Sun Tzu dit : Il est d’une importance suprême dans la guerre d’attaquer la stratégie de l’ennemi.

Celui qui excelle à résoudre les difficultés le fait avant qu’elles ne surviennent.

Celui qui arrache le trophée avant que les craintes de son ennemi ne prennent forme excelle dans la conquête.

Attaquez le plan de l’adversaire au moment où il naît.

Puis rompez ses alliances.

Puis attaquez son armée.

La pire des politiques consiste à attaquer les cités.

N’y consentez que si aucune autre solution ne peut être mise à exécution.

Il faut au moins trois mois pour préparer les chariots parés pour le combat, les armes nécessaires et l’équipement, et encore trois mois pour construire des talus le long des murs.

Si vous êtes contraint de faire le siège d’une place et de la réduire, disposez de telle sorte vos chars, vos boucliers et toutes les machines nécessaires pour monter à l’assaut, que tout soit en bon état lorsqu’il sera temps de l’employer.

Faites en sorte surtout que la reddition de la place ne soit pas prolongée au-delà de trois mois. Si, ce terme expiré, vous n’êtes pas encore venu à bout de vos fins, sûrement il y aura eu quelques fautes de votre part ; n’oubliez rien pour les réparer. À la tête de vos troupes, redoublez vos efforts ; en allant à l’assaut, imitez la vigilance, l’activité, l’ardeur et l’opiniâtreté des fourmis.

Je suppose que vous aurez fait auparavant les retranchements et les autres ouvrages nécessaires, que vous aurez élevé des redoutes pour découvrir ce qui se passe chez les assiégés, et que vous aurez paré à tous les inconvénients que votre prudence vous aura fait prévoir. Si, avec toutes ces précautions, il arrive que de trois parties de vos soldats vous ayez le malheur d’en perdre une, sans pouvoir être victorieux, soyez convaincu que vous n’avez pas bien attaqué.

Un habile général ne se trouve jamais réduit à de telles extrémités ; sans donner des batailles, il sait l’art d’humilier ses ennemis ; sans répandre une goutte de sang, sans tirer même l’épée, il vient à bout de prendre les villes ; sans mettre les pieds dans les royaumes étrangers, il trouve le moyen de les conquérir sans opérations prolongées ; et sans perdre un temps considérable à la tête de ses troupes, il procure une gloire immortelle au prince qu’il sert, il assure le bonheur de ses compatriotes, et fait que l’Univers lui est redevable du repos et de la paix : tel est le but auquel tous ceux qui commandent les armées doivent tendre sans cesse et sans jamais se décourager.

Votre but demeure de vous saisir de l’empire alors qu’il est intact ; ainsi vos troupes ne seront pas épuisées et vos gains seront complets. Tel est l’art de la stratégie victorieuse.

Il y a une infinité de situations différentes dans lesquelles vous pouvez vous trouver par rapport à l’ennemi. On ne saurait les prévoir toutes ; c’est pourquoi je n’entre pas dans un plus grand détail. Vos lumières et votre expérience vous suggéreront ce que vous aurez à faire, à mesure que les circonstances se présenteront. Néanmoins, je vais vous donner quelques conseils généraux dont vous pourrez faire usage à l’occasion.

Si vous êtes dix fois plus fort en nombre que ne l’est l’ennemi, environnez-le de toutes parts ; ne lui laissez aucun passage libre ; faites en sorte qu’il ne puisse ni s’évader pour aller camper ailleurs, ni recevoir le moindre secours.

Si vous avez cinq fois plus de monde que lui, disposez tellement votre armée qu’elle puisse l’attaquer par quatre côtés à la fois, lorsqu’il en sera temps.

Si l’ennemi est une fois moins fort que vous, contentez-vous de partager votre armée en deux.

Mais si de part et d’autre il y a une même quantité de monde, tout ce que vous pouvez faire c’est de hasarder le combat.

Si, au contraire, vous êtes moins fort que lui, soyez continuellement sur vos gardes, la plus petite faute serait de la dernière conséquence pour vous. Tâchez de vous mettre à l’abri, et évitez autant que vous le pourrez d’en venir aux mains avec lui ; la prudence et la fermeté d’un petit nombre de gens peuvent venir à bout de lasser et de dompter même une nombreuse armée. Ainsi vous êtes à la fois capable de vous protéger et de remporter une victoire complète.

Celui qui est à la tête des armées peut se regarder comme le soutien de État, et il l’est en effet. S’il est tel qu’il doit être, le royaume sera dans la prospérité ; si au contraire il n’a pas les qualités nécessaires pour remplir dignement le poste qu’il occupe, le royaume en souffrira infailliblement et se trouvera peut-être réduit à deux doigts de sa perte.

Un général ne peut bien servir État que d’une façon, mais il peut lui porter un très grand préjudice de bien des manières différentes.

Il faut beaucoup d’efforts et une conduite que la bravoure et la prudence accompagnent constamment pour pouvoir réussir : il ne faut qu’une faute pour tout perdre ; et, parmi les fautes qu’il peut faire, de combien de sortes n’y en a-t-il pas ? S’il lève des troupes hors de saison, s’il les fait sortir lorsqu’il ne faut pas qu’elles sortent, s’il n’a pas une connaissance exacte des lieux où il doit les conduire, s’il leur fait faire des campements désavantageux, s’il les fatigue hors de propos, s’il les fait revenir sans nécessité, s’il ignore les besoins de ceux qui composent son armée, s’il ne sait pas le genre d’occupation auquel chacun d’eux s’exerçait auparavant, afin d’en tirer parti suivant leurs talents ; s’il ne connaît pas le fort et le faible de ses gens, s’il n’a pas lieu de compter sur leur fidélité, s’il ne fait pas observer la discipline dans toute la rigueur, s’il manque du talent de bien gouverner, s’il est irrésolu et s’il chancelle dans les occasions où il faut prendre tout à coup son parti, s’il ne fait pas dédommager à propos ses soldats lorsqu’ils auront eu à souffrir, s’il permet qu’ils soient vexés sans raison par leurs officiers, s’il ne sait pas empêcher les dissensions qui pourraient naître parmi les chefs ; un général qui tomberait dans ces fautes rendrait l’armée boiteuse et épuiserait d’hommes et de vivres le royaume, et deviendrait lui-même la honteuse victime de son incapacité.

Sun Tzu dit : Dans le gouvernement des armées il y a sept maux :

I.  Imposer des ordres pris en Cour selon le bon plaisir du prince.

II. Rendre les officiers perplexes en dépêchant des émissaires ignorant les affaires militaires.

III. Mêler les règlements propres à l’ordre civil et à l’ordre militaire.

IV. Confondre la rigueur nécessaire au gouvernement de État, et la flexibilité que requiert le commandement des troupes.

V. Partager la responsabilité aux armées.

VI. Faire naître la suspicion, qui engendre le trouble : une armée confuse conduit à la victoire de l’autre.

VII. Attendre les ordres en toute circonstance, c’est comme informer un supérieur que vous voulez éteindre le feu : avant que l’ordre ne vous parvienne, les cendres sont déjà froides ; pourtant il est dit dans le code que l’on doit en référer à l’inspecteur en ces matières ! Comme si, en bâtissant une maison sur le bord de la route, on prenait conseil de ceux qui passent ; le travail ne serait pas encore achevé !

Tel est mon enseignement :

Nommer appartient au domaine réservé au souverain, décider de la bataille à celui du général.

Un prince de caractère doit choisir l’homme qui convient, le revêtir de responsabilités et attendre les résultats.

Pour être victorieux de ses ennemis, cinq circonstances sont nécessaires :

I. Savoir quand il est à propos de combattre, et quand il convient de se retirer.

II. Savoir employer le peu et le beaucoup suivant les circonstances.

III. Assortir habilement ses rangs.

Mensius dit : « La saison appropriée n’est pas aussi importante que les avantages du sol ; et tout cela n’est pas aussi important que l’harmonie des relations humaines. »

IV. Celui qui, prudent, se prépare à affronter l’ennemi qui n’est pas encore ; celui-là même sera victorieux. Tirer prétexte de sa rusticité et ne pas prévoir est le plus grand des crimes ; être prêt en-dehors de toute contingence est la plus grande des vertus.

V. Être à l’abri des ingérences du souverain dans tout ce qu’on peut tenter pour son service et la gloire de ses armes.

C’est dans ces cinq matières que se trouve la voie de la victoire.

Connais ton ennemi et connais-toi toi-même ; eussiez-vous cent guerres à soutenir, cent fois vous serez victorieux. Si tu ignores ton ennemi et que tu te connais toi-même, tes chances de perdre et de gagner seront égales.

Si tu ignores à la fois ton ennemi et toi-même, tu ne compteras tes combats que par tes défaites.

Article IV
De la mesure dans la disposition des moyens

Sun Tzu dit : Anciennement ceux qui étaient expérimentés dans l’art des combats se rendaient invincibles, attendaient que l’ennemi soit vulnérable et ne s’engageaient jamais dans des guerres qu’ils prévoyaient ne devoir pas finir avec avantage.

Avant que de les entreprendre, ils étaient comme sûrs du succès. Si l’occasion d’aller contre l’ennemi n’était pas favorable, ils attendaient des temps plus heureux.

Ils avaient pour principe que l’on ne pouvait être vaincu que par sa propre faute, et qu’on n’était jamais victorieux que par la faute des ennemis.

Se rendre invincible dépend de soi, rendre à coup sûr l’ennemi vulnérable dépend de lui-même.

Être instruit des moyens qui assurent la victoire n’est pas encore la remporter.

Ainsi, les habiles généraux savaient d’abord ce qu’ils devaient craindre ou ce qu’ils avaient à espérer, et ils avançaient ou reculaient la campagne, ils donnaient bataille ou ils se retranchaient, suivant les lumières qu’ils avaient, tant sur l’état de leurs propres troupes que sur celui des troupes de l’ennemi. S’ils se croyaient plus forts, ils ne craignaient pas d’aller au combat et d’attaquer les premiers. S’ils voyaient au contraire qu’ils fussent plus faibles, ils se retranchaient et se tenaient sur la défensive.

L’invincibilité se trouve dans la défense, la possibilité de victoire dans l’attaque.

Celui qui se défend montre que sa force est inadéquate, celui qui attaque qu’elle est abondante.

L’art de se tenir à propos sur la défensive ne le cède point à celui de combattre avec succès.

Les experts dans la défense doivent s’enfoncer jusqu’au centre de la Terre. Ceux, au contraire, qui veulent briller dans l’attaque doivent s’élever jusqu’au neuvième ciel. Pour se mettre en défense contre l’ennemi, il faut être caché dans le sein de la Terre, comme ces veines d’eau dont on ne sait pas la source, et dont on ne saurait trouver les sentiers. C’est ainsi que vous cacherez toutes vos démarches, et que vous serez impénétrable. Ceux qui combattent doivent s’élever jusqu’au neuvième ciel ; c’est-à-dire, il faut qu’ils combattent de telle sorte que l’Univers entier retentisse du bruit de leur gloire.

Sa propre conservation est le but principal qu’on doit se proposer dans ces deux cas. Savoir l’art de vaincre comme ceux qui ont fourni cette même carrière avec honneur, c’est précisément où vous devez tendre ; vouloir l’emporter sur tous, et chercher à raffiner dans les choses militaires, c’est risquer de ne pas égaler les grands maîtres, c’est s’exposer même à rester infiniment au-dessous d’eux, car c’est ici où ce qui est au-dessus du bon n’est pas bon lui-même.

Remporter des victoires par le moyen des combats a été regardé de tous temps par l’Univers entier comme quelque chose de bon, mais j’ose vous le dire, c’est encore ici où ce qui est au-dessus du bon est souvent pire que le mauvais. Prédire une victoire que l’homme ordinaire peut prévoir, et être appelé universellement expert, n’est pas le faîte de l’habileté guerrière. Car soulever le duvet des lapins en automne ne demande pas grande force ; il ne faut pas avoir les yeux bien pénétrants pour découvrir le soleil et la lune ; il ne faut pas avoir l’oreille bien délicate pour entendre le tonnerre lorsqu’il gronde avec fracas ; rien de plus naturel, rien de plus aisé, rien de plus simple que tout cela.

Les habiles guerriers ne trouvent pas plus de difficultés dans les combats ; ils font en sorte de remporter la bataille après avoir créé les conditions appropriées.

Ils ont tout prévu ; ils ont paré de leur part à toutes les éventualités. Ils savent la situation des ennemis, ils connaissent leurs forces, et n’ignorent point ce qu’ils peuvent faire et jusqu’où ils peuvent aller ; la victoire est une suite naturelle de leur savoir.

Aussi les victoires remportées par un maître dans l’art de la guerre ne lui rapportaient ni la réputation de sage, ni le mérite d’homme de valeur.

Qu’une victoire soit obtenue avant que la situation ne se soit cristallisée, voilà ce que le commun ne comprend pas.

C’est pourquoi l’auteur de la prise n’est pas revêtu de quelque réputation de sagacité. Avant que la lame de son glaive ne soit recouverte de sang, État ennemi s’est déjà soumis. Si vous subjuguez votre ennemi sans livrer combat, ne vous estimez pas homme de valeur.

Tels étaient nos Anciens : rien ne leur était plus aisé que de vaincre ; aussi ne croyaient-ils pas que les vains titres de vaillants, de héros, d’invincibles fussent un tribut d’éloges qu’ils eussent mérité. Ils n’attribuaient leur succès qu’au soin extrême qu’ils avaient eu d’éviter jusqu’à la plus petite faute.

Éviter jusqu’à la plus petite faute veut dire que, quoiqu’il fasse, il s’assure la victoire ; il conquiert un ennemi qui a déjà subi la défaite ; dans les plans jamais un déplacement inutile, dans la stratégie jamais un pas de fait en vain. Le commandant habile prend une position telle qu’il ne peut subir une défaite ; il ne manque aucune circonstance propre à lui garantir la maîtrise de son ennemi.

Une armée victorieuse remporte l’avantage, avant d’avoir cherché la bataille ; une armée vouée à la défaite combat dans l’espoir de gagner.

Ceux qui sont zélés dans l’art de la guerre cultivent le Tao et préservent les régulations ; ils sont donc capables de formuler des politiques de victoire.

Avant que d’en venir au combat, ils tâchaient d’humilier leurs ennemis, ils les mortifiaient, ils les fatiguaient de mille manières. Leurs propres camps étaient des lieux toujours à l’abri de toute insulte, des lieux toujours à couvert de toute surprise, des lieux toujours impénétrables. Ces généraux croyaient que, pour vaincre, il fallait que les troupes demandassent le combat avec ardeur ; et ils étaient persuadés que, lorsque ces mêmes troupes demandaient la victoire avec empressement, il arrivait ordinairement qu’elles étaient vaincues.

Ils ne veulent point dans les troupes une confiance trop aveugle, une confiance qui dégénère en présomption. Les troupes qui demandent la victoire sont des troupes ou amollies par la paresse, ou timides, ou présomptueuses. Des troupes au contraire qui, sans penser à la victoire, demandent le combat, sont des troupes endurcies au travail, des troupes vraiment aguerries, des troupes toujours sûres de vaincre.

C’est ainsi que d’un ton assuré ils osaient prévoir les triomphes ou les défaites, avant même que d’avoir fait un pas pour s’assurer des uns ou pour se préserver des autres.

Maintenant, voici les cinq éléments de l’art de la guerre :

I. La mesure de l’espace.

II. L’estimation des quantités.

III. Les règles de calcul.

IV. Les comparaisons.

V. Les chances de victoire.

Les mesures de l’espace sont dérivées du terrain ;

les quantités dérivent de la mesure ;

les chiffres émanent des quantités ;

les comparaisons découlent des chiffres ;

et la victoire est le fruit des comparaisons.

C’est par la disposition des forces qu’un général victorieux est capable de mener son peuple au combat, telles les eaux contenues qui, soudain relâchées, plongent dans un abîme sans fond.

Vous donc, qui êtes à la tête des armées, n’oubliez rien pour vous rendre digne de l’emploi que vous exercez. Jetez les yeux sur les mesures qui contiennent les quantités, et sur celles qui déterminent les dimensions : rappelez-vous les règles de calcul ; considérez les effets de la balance ; la victoire n’est que le fruit d’une supputation exacte.

Les considérations sur les différentes mesures vous conduiront à la connaissance de ce que la terre peut offrir d’utile pour vous ; vous saurez ce qu’elle produit, et vous profiterez toujours de ses dons ; vous n’ignorerez point les différentes routes qu’il faudra tenir pour arriver sûrement au terme que vous vous serez proposé.

Par le calcul, estimez si l’ennemi peut être attaqué, et c’est seulement après cela que la population doit être mobilisée et les troupes levées ; apprenez à distribuer toujours à propos les munitions de guerre et de bouche, à ne jamais donner dans les excès du trop ou du trop peu.

Enfin, si vous rappelez dans votre esprit les victoires qui ont été remportées en différents temps, et toutes les circonstances qui les ont accompagnées, vous n’ignorerez point les différents usages qu’on en aura faits, et vous saurez quels sont les avantages qu’elles auront procurés, ou quels sont les préjudices qu’elles auront portés aux vainqueurs eux-mêmes.

Un Y surpasse un Tchou. Dans les plateaux d’une balance, le Y emporte le Tchou. Soyez à vos ennemis ce que le est au Tchou.(([1] Si Y pèse environ 700 grammes, Tchou ne pèse même pas un gramme))

Après un premier avantage, n’allez pas vous endormir ou vouloir donner à vos troupes un repos hors de saison. Poussez votre pointe avec la même rapidité qu’un torrent qui se précipiterait de mille toises de haut. Que votre ennemi n’ait pas le temps de se reconnaître, et ne pensez à recueillir les fruits de votre victoire que lorsque sa défaite entière vous aura mis en état de le faire sûrement, avec loisir et tranquillité.

Article V
De la contenance

Sun Tzu dit : Généralement, le commandement du grand nombre est le même que pour le petit nombre, ce n’est qu’une question d’organisation. Contrôler le grand et le petit nombre n’est qu’une seule et même chose, ce n’est qu’une question de formation et de transmission des signaux.

Ayez les noms de tous les officiers tant généraux que subalternes ; inscrivez-les dans un catalogue à part, avec la note des talents et de la capacité de chacun d’eux, afin de pouvoir les employer avec avantage lorsque l’occasion en sera venue. Faites en sorte que tous ceux que vous devez commander soient persuadés que votre principale attention est de les préserver de tout dommage.

Les troupes que vous ferez avancer contre l’ennemi doivent être comme des pierres que vous lanceriez contre des œufs. De vous à l’ennemi, il ne doit y avoir d’autre différence que celle du fort au faible, du vide au plein.

La certitude de subir l’attaque de l’ennemi sans subir une défaite est fonction de la combinaison entre l’utilisation directe et indirecte des forces.(([2] Directe : fixer et distraire. Indirecte : rompre là où le coup n’est pas anticipé))

Usez généralement des forces directes pour engager la bataille, et des forces indirectes pour emporter la décision. Les ressources de ceux qui sont habiles dans l’utilisation des forces indirectes sont aussi infinies que celles des Cieux et de la Terre, et aussi inépuisables que le cours des grandes rivières.

Attaquez à découvert, mais soyez vainqueur en secret. Voilà en peu de mots en quoi consiste l’habileté et toute la perfection même du gouvernement des troupes. Le grand jour et les ténèbres, l’apparent et le secret ; voilà tout l’art. Ceux qui le possèdent sont comparables au Ciel et à la Terre, dont les mouvements ne sont jamais sans effet : ils ressemblent aux fleuves et aux mers dont les eaux ne sauraient tarir. Fussent-ils plongés dans les ténèbres de la mort, ils peuvent revenir à la vie ; comme le soleil et la lune, ils ont le temps où il faut se montrer, et celui où il faut disparaître ; comme les quatre saisons, ils ont les variétés qui leur conviennent ; comme les cinq tons de la musique, comme les cinq couleurs, comme les cinq goûts, ils peuvent aller à l’infini. Car qui a jamais entendu tous les airs qui peuvent résulter de la différente combinaison des tons ? Qui a jamais vu tout ce que peuvent présenter les couleurs différemment nuancées ? Qui a jamais savouré tout ce que les goûts différemment tempérés peuvent offrir d’agréable ou de piquant ? On n’assigne cependant que cinq couleurs et cinq sortes de goût.

Dans l’art militaire, et dans le bon gouvernement des troupes, il n’y a certes que deux sortes de forces ; leurs combinaisons étant sans limites, personne ne peut toutes les comprendre. Ces forces sont mutuellement productives et agissent entre elles. Ce serait dans la pratique une chaîne d’opérations dont on ne saurait voir le bout, tels ces anneaux multiples et entremêlés qu’il faut assembler pour former un annulaire, c’est comme une roue en mouvement qui n’a ni commencement ni fin.

Dans l’art militaire, chaque opération particulière a des parties qui demandent le grand jour, et des parties qui veulent les ténèbres du secret. Vouloir les assigner, cela ne se peut ; les circonstances peuvent seules les faire connaître et les déterminer. On oppose les plus grands quartiers de rochers à des eaux rapides dont on veut resserrer le lit : on n’emploie que des filets faibles et déliés pour prendre les petits oiseaux. Cependant, le fleuve rompt quelquefois ses digues après les avoir minées peu à peu, et les oiseaux viennent à bout de briser les chaînes qui les retiennent, à force de se débattre.

C’est par son élan que l’eau des torrents se heurte contre les rochers ; c’est sur la mesure de la distance que se règle le faucon pour briser le corps de sa proie.

Ceux-là possèdent véritablement l’art de bien gouverner les troupes, qui ont su et qui savent rendre leur puissance formidable, qui ont acquis une autorité sans borne, qui ne se laissent abattre par aucun événement, quelque fâcheux qu’il puisse être ; qui ne font rien avec précipitation ; qui se conduisent, lors même qu’ils sont surpris, avec le sang-froid qu’ils ont ordinairement dans les actions méditées et dans les cas prévus longtemps auparavant, et qui agissent toujours dans tout ce qu’ils font avec cette promptitude qui n’est guère que le fruit de l’habileté, jointe à une longue expérience. Ainsi l’élan de celui qui est habile dans l’art de la guerre est irrésistible, et son attaque est réglée avec précision.

Le potentiel de ces sortes de guerriers est comme celui de ces grands arcs totalement bandés, tout plie sous leurs coups, tout est renversé. Tels qu’un globe qui présente une égalité parfaite entre tous les points de sa surface, ils sont également forts partout ; partout leur résistance est la même. Dans le fort de la mêlée et d’un désordre apparent, ils savent garder un ordre que rien ne saurait interrompre, ils font naître la force du sein même de la faiblesse, ils font sortir le courage et la valeur du milieu de la poltronnerie et de la pusillanimité.

Mais savoir garder un ordre merveilleux au milieu même du désordre, cela ne se peut sans avoir fait auparavant de profondes réflexions sur tous les événements qui peuvent arriver.

Faire naître la force du sein même de la faiblesse, cela n’appartient qu’à ceux qui ont une puissance absolue et une autorité sans bornes (par le mot de puissance il ne faut pas entendre ici domination, mais cette faculté qui fait qu’on peut réduire en acte tout ce qu’on se propose). Savoir faire sortir le courage et la valeur du milieu de la poltronnerie et de la pusillanimité, c’est être héros soi-même, c’est être plus que héros, c’est être au-dessus des plus intrépides.

Un commandant habile recherche la victoire dans la situation et ne l’exige pas de ses subordonnés.

Quelque grand, quelque merveilleux que tout cela paraisse, j’exige cependant quelque chose de plus encore de ceux qui gouvernent les troupes : c’est l’art de faire mouvoir à son gré les ennemis. Ceux qui le possèdent, cet art admirable, disposent de la contenance de leurs gens et de l’armée qu’ils commandent, de telle sorte qu’ils font venir l’ennemi toutes les fois qu’ils le jugent à propos ; ils savent faire des libéralités quand il convient, ils en font même à ceux qu’ils veulent vaincre : ils donnent à l’ennemi et l’ennemi reçoit, ils lui abandonnent et il vient prendre. Ils sont prêts à tout ; ils profitent de toutes les circonstances ; toujours méfiants ils font surveiller les subordonnés qu’ils emploient et, se méfiant d’eux-mêmes, ils ne négligent aucun moyen qui puisse leur être utile.

Ils regardent les hommes, contre lesquels ils doivent combattre, comme des pierres ou des pièces de bois qu’ils seraient chargés de faire rouler de haut en bas.

La pierre et le bois n’ont aucun mouvement de leur nature ; s’ils sont une fois en repos, ils n’en sortent pas d’eux-mêmes, mais ils suivent le mouvement qu’on leur imprime ; s’ils sont carrés, ils s’arrêtent d’abord ; s’ils sont ronds, ils roulent jusqu’à ce qu’ils trouvent une résistance plus forte que la force qui leur était imprimée.

Faites en sorte que l’ennemi soit entre vos mains comme une pierre de figure ronde, que vous auriez à faire rouler d’une montagne qui aurait mille toises de haut : la force qui lui est imprimée est minime, les résultats sont énormes. C’est en cela qu’on reconnaîtra que vous avez de la puissance et de l’autorité.

Article VI
Du plein et du vide

Sun Tzu dit : Une des choses les plus essentielles que vous ayez à faire avant le combat, c’est de bien choisir le lieu de votre campement. Pour cela il faut user de diligence, il ne faut pas se laisser prévenir par l’ennemi, il faut être campé avant qu’il ait eu le temps de vous reconnaître, avant même qu’il ait pu être instruit de votre marche. La moindre négligence en ce genre peut être pour vous de la dernière conséquence. En général, il n’y a que du désavantage à camper après les autres.

Celui qui est capable de faire venir l’ennemi de sa propre initiative le fait en lui offrant quelque avantage ; et celui qui est désireux de l’en empêcher le fait en le blessant.

Celui qui est chargé de la conduite d’une armée, ne doit point se fier à d’autres pour un choix de cette importance ; il doit faire quelque chose de plus encore. S’il est véritablement habile, il pourra disposer à son gré du campement même et de toutes les marches de son ennemi. Un grand général n’attend pas qu’on le fasse aller, il sait faire venir. Si vous faites en sorte que l’ennemi cherche à se rendre de son plein gré dans les lieux où vous souhaitez précisément qu’il aille, faites en sorte aussi de lui aplanir toutes les difficultés et de lever tous les obstacles qu’il pourrait rencontrer ; de crainte qu’alarmé par les impossibilités qu’il suppute, où les inconvénients trop manifestes qu’il découvre, il renonce à son dessein. Vous en serez pour votre travail et pour vos peines, peut-être même pour quelque chose de plus.

La grande science est de lui faire vouloir tout ce que vous voulez qu’il fasse, et de lui fournir, sans qu’il s’en aperçoive, tous les moyens de vous seconder.

Après que vous aurez ainsi disposé du lieu de votre campement et de celui de l’ennemi lui-même, attendez tranquillement que votre adversaire fasse les premières démarches ; mais en attendant, tâchez de l’affamer au milieu de l’abondance, de lui procurer du tracas dans le sein du repos, et de lui susciter mille terreurs dans le temps même de sa plus grande sécurité.

Si, après avoir longtemps attendu, vous ne voyez pas que l’ennemi se dispose à sortir de son camp, sortez vous-même du vôtre ; par votre mouvement provoquez le sien, donnez-lui de fréquentes alarmes, faites-lui naître l’occasion de faire quelque imprudence dont vous puissiez tirer du profit.

S’il s’agit de garder, gardez avec force : ne vous endormez point. S’il s’agit d’aller, allez promptement, allez sûrement par des chemins qui ne soient connus que de vous.

Rendez-vous dans des lieux où l’ennemi ne puisse pas soupçonner que vous ayez dessein d’aller. Sortez tout à coup d’où il ne vous attend pas, et tombez sur lui lorsqu’il y pensera le moins.

Pour être certain de prendre ce que vous attaquez, il faut donner l’assaut là où il ne se protège pas ; pour être certain de garder ce que vous défendez, il faut défendre un endroit que l’ennemi n’attaque pas.

Si après avoir marché assez longtemps, si par vos marches et contre-marches vous avez parcouru l’espace de mille lieues sans que vous ayez reçu encore aucun dommage, sans même que vous ayez été arrêté, concluez : ou que l’ennemi ignore vos desseins, ou qu’il a peur de vous, ou qu’il ne fait pas garder les postes qui peuvent être de conséquence pour lui. Évitez de tomber dans un pareil défaut.

Le grand art d’un général est de faire en sorte que l’ennemi ignore toujours le lieu où il aura à combattre, et de lui dérober avec soin la connaissance des postes qu’il fait garder. S’il en vient à bout, et qu’il puisse cacher de même jusqu’aux moindres de ses démarches, ce n’est pas seulement un habile général, c’est un homme extraordinaire, c’est un prodige. Sans être vu, il voit ; il entend, sans être entendu ; il agit sans bruit et dispose comme il lui plaît du sort de ses ennemis.

De plus, si, les armées étant déployées, vous n’apercevez pas qu’il y ait un certain vide qui puisse vous favoriser, ne tentez pas d’enfoncer les bataillons ennemis. Si, lorsqu’ils prennent la fuite, ou qu’ils retournent sur leurs pas, ils usent d’une extrême diligence et marchent en bon ordre, ne tentez pas de les poursuivre ; ou, si vous les poursuivez, que ce ne soit jamais ni trop loin, ni dans les pays inconnus. Si, lorsque vous avez dessein de livrer la bataille, les ennemis restent dans leurs retranchements, n’allez pas les y attaquer, surtout s’ils sont bien retranchés, s’ils ont de larges fossés et des murailles élevées qui les couvrent. Si, au contraire, croyant qu’il n’est pas à propos de livrer le combat, vous voulez l’éviter, tenez-vous dans vos retranchements, et disposez-vous à soutenir l’attaque et à faire quelques sorties utiles.

Laissez fatiguer les ennemis, attendez qu’ils soient ou en désordre ou dans une très grande sécurité ; vous pourrez sortir alors et fondre sur eux avec avantage. Ayez constamment une extrême attention à ne jamais séparer les différents corps de vos armées. Faites qu’ils puissent toujours se soutenir aisément les uns les autres ; au contraire, faites faire à l’ennemi le plus de diversion qu’il se pourra. S’il se partage en dix corps, attaquez chacun d’eux séparément avec votre armée toute entière ; c’est le véritable moyen de combattre toujours avec avantage. De cette sorte, quelque petite que soit votre armée, le grand nombre sera toujours de votre côté.

Que l’ennemi ne sache jamais comment vous avez l’intention de le combattre, ni la manière dont vous vous disposez à l’attaquer, ou à vous défendre. Car, s’il se prépare au front, ses arrières seront faibles ; s’il se prépare à l’arrière, son front sera fragile ; s’il se prépare à sa gauche, sa droite sera vulnérable ; s’il se prépare à sa droite, sa gauche sera affaiblie ; et s’il se prépare en tous lieux, il sera partout en défaut. S’il l’ignore absolument, il fera de grands préparatifs, il tâchera de se rendre fort de tous les côtés, il divisera ses forces, et c’est justement ce qui fera sa perte.

Pour vous, n’en faites pas de même : que vos principales forces soient toutes du même côté ; si vous voulez attaquer de front, faites choix d’un secteur, et mettez à la tête de vos troupes tout ce que vous avez de meilleur. On résiste rarement à un premier effort, comme, au contraire, on se relève difficilement quand on d’abord du dessous. L’exemple des braves suffit pour encourager les plus lâches. Ceux-ci suivent sans peine le chemin qu’on leur montre, mais ils ne sauraient eux-mêmes le frayer. Si vous voulez faire donner l’aile gauche, tournez tous vos préparatifs de ce côté-là, et mettez à l’aile droite ce que vous avez de plus faible ; mais si vous voulez vaincre par l’aile droite, que ce soit à l’aile droite aussi que soient vos meilleures troupes et toute votre attention.

Celui qui dispose de peu d’hommes doit se préparer contre l’ennemi, celui qui en a beaucoup doit faire en sorte que l’ennemi se prépare contre lui.

Ce n’est pas tout. Comme il est essentiel que vous connaissiez à fond le lieu où vous devez combattre, il n’est pas moins important que vous soyez instruit du jour, de l’heure, du moment même du combat ; c’est une affaire de calcul sur laquelle il ne faut pas vous négliger. Si l’ennemi est loin de vous, sachez, jour par jour, le chemin qu’il fait, suivez-le pas à pas, quoique en apparence vous restiez immobile dans votre camp ; voyez tout ce qu’il fait, quoique vos yeux ne puissent pas aller jusqu’à lui ; écoutez tous les discours, quoique vous soyez hors de portée de l’entendre ; soyez témoin de toute sa conduite, entrez même dans le fond de son cœur pour y lire ses craintes ou ses espérances.

Pleinement instruit de tous ses desseins, de toutes ses marches, de toutes ses actions, vous le ferez venir chaque jour précisément où vous voulez qu’il arrive. En ce cas, vous l’obligerez à camper de manière que le front de son armée ne puisse pas recevoir du secours de ceux qui sont à la queue, que l’aile droite ne puisse pas aider l’aile gauche, et vous le combattrez ainsi dans le lieu et au temps qui vous conviendront le plus.

Avant le jour déterminé pour le combat, ne soyez ni trop loin ni trop près de l’ennemi. L’espace de quelques lieues seulement est le terme qui doit vous en approcher le plus, et dix lieues entières sont le plus grand espace que vous deviez laisser entre votre armée et la sienne.

Ne cherchez pas à avoir une armée trop nombreuse, la trop grande quantité de monde est souvent plus nuisible qu’elle n’est utile. Une petite armée bien disciplinée est invincible sous un bon général. À quoi servaient au roi d’Yue les belles et nombreuses cohortes qu’il avait sur pied, lorsqu’il était en guerre contre le roi de Ou ? Celui-ci, avec peu de troupes, avec une poignée de monde, le vainquit, le dompta, et ne lui laissa, de tous ses États, qu’un souvenir amer, et la honte éternelle de les avoir si mal gouvernés.

Je dis que la victoire peut être créée ; même si l’ennemi est en nombre, je peux l’empêcher d’engager le combat ; car, s’il ignore ma situation militaire, je peux faire en sorte qu’il se préoccupe de sa propre préparation : ainsi je lui ôte le loisir d’établir les plans pour me battre.

I. Détermine les plans de l’ennemi et tu sauras quelle stratégie sera couronnée de succès et celle qui ne le sera pas.

II. Perturbe-le et fais-lui dévoiler son ordre de bataille.

III. Détermine ses dispositions et fais-lui découvrir son champ de bataille.

IV. Mets-le à l’épreuve et apprends où sa force est abondante et où elle est déficiente.

V. La suprême tactique consiste à disposer ses troupes sans forme apparente ; alors les espions les plus pénétrants ne peuvent fureter et les sages ne peuvent établir des plans contre vous.

VI. C’est selon les formes que j’établis des plans pour la victoire, mais la multitude ne le comprend guère. Bien que tous puissent voir les aspects extérieurs, personne ne peut comprendre la voie selon laquelle j’ai créé la victoire.

VII. Et quand j’ai remporté une bataille, je ne répète pas ma tactique, mais je réponds aux circonstances selon une variété infinie de voies.

Cependant si vous n’aviez qu’une petite armée, n’allez pas mal à propos vouloir vous mesurer avec une armée nombreuse ; vous avez bien des précautions à prendre avant que d’en venir là. Quand on a les connaissances dont j’ai parlé plus haut, on sait s’il faut attaquer, ou se tenir simplement sur la défensive ; on sait quand il faut rester tranquille, et quand il est temps de se mettre en mouvement ; et si l’on est forcé de combattre, on sait si l’on sera vainqueur ou vaincu. À voir simplement la contenance des ennemis, on peut conclure sa victoire ou sa défaite, sa perte ou son salut. Encore une fois, si vous voulez attaquer le premier, ne le faites pas avant d’avoir examiné si vous avez tout ce qu’il faut pour réussir.

Au moment de déclencher votre action, lisez dans les premiers regards de vos soldats ; soyez attentif à leurs premiers mouvements ; et par leur ardeur ou leur nonchalance, par leur crainte ou leur intrépidité, concluez au succès ou à la défaite. Ce n’est point un présage trompeur que celui de la première contenance d’une armée prête à livrer le combat. Il en est telle qui ayant remporté la plus signalée victoire aurait été entièrement défaite si la bataille s’était livrée un jour plus tôt, ou quelques heures plus tard.

Il en doit être des troupes à peu près comme d’une eau courante. De même que l’eau qui coule évite les hauteurs et se hâte vers le pays plat, de même une armée évite la force et frappe la faiblesse.

Si la source est élevée, la rivière ou le ruisseau coulent rapidement. Si la source est presque de niveau, on s’aperçoit à peine de quelque mouvement. S’il se trouve quelque vide, l’eau le remplit d’elle-même dès qu’elle trouve la moindre issue qui la favorise. S’il y a des endroits trop pleins, l’eau cherche naturellement à se décharger ailleurs.

Pour vous, si, en parcourant les rangs de votre armée, vous voyez qu’il y a du vide, il faut le remplir ; si vous trouvez du surabondant, il faut le diminuer ; si vous apercevez du trop haut, il faut l’abaisser ; s’il y du trop bas, il faut le relever.

L’eau, dans son cours, suit la situation du terrain dans lequel elle coule ; de même, votre armée doit s’adapter au terrain sur lequel elle se meut. L’eau qui n’a point de pente ne saurait couler ; des troupes qui ne sont pas bien conduites ne sauraient vaincre.

Le général habile tirera parti des circonstances même les plus dangereuses et les plus critiques. Il saura faire prendre la forme qu’il voudra, non seulement à l’armée qu’il commande mais encore à celle des ennemis.

Les troupes, quelles qu’elles puissent être, n’ont pas des qualités constantes qui les rendent invincibles ; les plus mauvais soldats peuvent changer en bien et devenir d’excellents guerriers.

Conduisez-vous conformément à ce principe ; ne laissez échapper aucune occasion, lorsque vous la trouverez favorable. Les cinq éléments ne sont pas partout ni toujours également purs ; les quatre saisons ne se succèdent pas de la même manière chaque année ; le lever et le coucher du soleil ne sont pas constamment au même point de l’horizon. Parmi les jours, certains sont longs, d’autres courts. La lune croît et décroît et n’est pas toujours également brillante. Une armée bien conduite et bien disciplinée imite à propos toutes ces variétés.

Article VII
De l’affrontement direct et indirect

Sun Tzu dit : Après que le général aura reçu du souverain l’ordre de tenir la campagne, il rassemble les troupes et mobilise le peuple ; il fait de l’armée un ensemble harmonieux. Maintenant il doit mettre son attention à leur procurer des campements avantageux, car c’est de là principalement que dépend la réussite de ses projets et de toutes ses entreprises. Cette affaire n’est pas d’une exécution aussi facile qu’on pourrait bien se l’imaginer ; les difficultés s’y rencontrent souvent sans nombre, et de toutes espèces ; il ne faut rien oublier pour les aplanir et pour les vaincre.

Les troupes une fois campées, il faut tourner ses vues du côté du près et du loin, des avantages et des pertes, du travail et du repos, de la diligence et de la lenteur ; c’est-à-dire qu’il faut rendre près ce qui est loin, tirer profit de ses pertes même, substituer un utile travail à un honteux repos, convertir la lenteur en diligence ; il faut que vous soyez près lorsque l’ennemi vous croit bien loin ; que vous ayez un avantage réel lorsque l’ennemi croit vous avoir occasionné quelques pertes ; que vous soyez occupé de quelque utile travail lorsqu’il vous croit enseveli dans le repos, et que vous usiez de toute sorte de diligence lorsqu’il ne croit apercevoir dans vous que de la lenteur : c’est ainsi qu’en lui donnant le change, vous l’endormirez lui-même pour pouvoir l’attaquer lorsqu’il y pensera le moins, et sans qu’il ait le temps de se reconnaître.

L’art de profiter du près et du loin consiste à tenir l’ennemi éloigné du lieu que vous aurez choisi pour votre campement, et de tous les postes qui vous paraîtront de quelque conséquence. Il consiste à éloigner de l’ennemi tout ce qui pourrait lui être avantageux, et à rapprocher de vous tout ce dont vous pourrez tirer quelque avantage. Il consiste ensuite à vous tenir continuellement sur vos gardes pour n’être pas surpris, et à veiller sans cesse pour épier le moment de surprendre votre adversaire.

Ainsi prenez une voie indirecte et divertissez l’ennemi en lui présentant le leurre(([3] Morceau de cuir rouge en forme d’oiseau auquel on attachait un appât pour faire revenir le faucon sur le poing)); de cette façon vous pouvez vous mettre en route après lui, et arriver avant lui. Celui qui est capable de faire cela comprend l’approche directe et indirecte.

De plus : ne vous engagez jamais dans de petites actions que vous ne soyez sûr qu’elles tourneront à votre avantage, et encore ne le faites point si vous n’y êtes comme forcé, mais surtout gardez-vous bien de vous engager à une action générale si vous n’êtes comme assuré d’une victoire complète. Il est très dangereux d’avoir de la précipitation dans des cas semblables ; une bataille risquée mal à propos peut vous perdre entièrement : le moins qu’il puisse vous arriver, si l’événement en est douteux, ou que vous ne réussissiez qu’à demi, c’est de vous voir frustré de la plus grande partie de vos espérances, et de ne pouvoir parvenir à vos fins.

Avant que d’en venir à un combat définitif, il faut que vous l’ayez prévu, et que vous y soyez préparé depuis longtemps ; ne comptez jamais sur le hasard dans tout ce que vous ferez en ce genre. Après que vous aurez résolu de livrer la bataille, et que les préparatifs en seront déjà faits, laissez en lieu de sûreté tout le bagage inutile, faites dépouiller vos gens de tout ce qui pourrait les embarrasser ou les surcharger ; de leurs armes mêmes, ne leur laissez que celles qu’ils peuvent porter aisément.

Veillez, lorsque vous abandonnez votre camp dans l’espoir d’un avantage probable, à ce que celui-ci soit supérieur aux approvisionnements que vous abandonnez sûrement.

Si vous devez aller un peu loin, marchez jour et nuit ; faites le double du chemin ordinaire ; que l’élite de vos troupes soit à la tête ; mettez les plus faibles à la queue.

Prévoyez tout, disposez tout, et fondez sur l’ennemi lorsqu’il vous croit encore à cent lieues d’éloignement : dans ce cas, je vous annonce la victoire.

Mais si ayant à faire cent lieues de chemin avant que de pouvoir l’atteindre, vous n’en faites de votre côté que cinquante, et que l’ennemi s’étant avancé en fait autant ; de dix parties, il y en a cinq que vous serez vaincu, comme de trois parties il y en a deux que vous serez vainqueur. Si l’ennemi n’apprend que vous allez à lui que lorsqu’il ne vous reste plus que trente lieues à faire pour pouvoir le joindre, il est difficile que, dans le peu de temps qui lui reste, il puisse pourvoir à tout et se préparer à vous recevoir.

Sous prétexte de faire reposer vos gens, gardez-vous bien de manquer l’attaque, dès que vous serez arrivé. Un ennemi surpris est à demi vaincu ; il n’en est pas de même s’il a le temps de se reconnaître ; bientôt, il peut trouver des ressources pour vous échapper, et peut-être même pour vous perdre.

Ne négligez rien de tout ce qui peut contribuer au bon ordre, à la santé, à la sûreté de vos gens tant qu’ils seront sous votre conduite ; ayez grand soin que les armes de vos soldats soient toujours en bon état. Faites en sorte que les vivres soient sains, et ne leur manquent jamais ; ayez attention à ce que les provisions soient abondantes, et rassemblées à temps, car si vos troupes sont mal armées, s’il y a disette de vivres dans le camp, et si vous n’avez pas d’avance toutes les provisions nécessaires, il est difficile que vous puissiez réussir.

N’oubliez pas d’entretenir des intelligences secrètes avec les ministres étrangers, et soyez toujours instruit des desseins que peuvent avoir les princes alliés ou tributaires, des intentions bonnes ou mauvaises de ceux qui peuvent influer sur la conduite du maître que vous servez, et vous attirer vos ordres ou des défenses qui pourraient traverser vos projets et rendre par là tous vos soins inutiles.

Votre prudence et votre valeur ne sauraient tenir longtemps contre leurs cabales ou leurs mauvais conseils. Pour obvier à cet inconvénient, consultez-les dans certaines occasions, comme si vous aviez besoin de leurs lumières : que tous leurs amis soient les vôtres ; ne soyez jamais divisé d’intérêt avec eux, cédez-leur dans les petites choses, en un mot entretenez l’union la plus étroite qu’il vous sera possible.

Ayez une connaissance exacte et de détail de tout ce qui vous environne ; sachez où il y a une forêt, un petit bois, une rivière, un ruisseau, un terrain aride et pierreux, un lieu marécageux et malsain, une montagne, une colline, une petite élévation, un vallon, un précipice, un défilé, un champ ouvert, enfin tout ce qui peut servir ou nuire aux troupes que vous commandez. S’il arrive que vous soyez hors d’état de pouvoir être instruit par vous-même de l’avantage ou du désavantage du terrain, ayez des guides locaux sur lesquels vous puissiez compter sûrement.

La force militaire est réglée sur sa relation au semblant.

Déplacez-vous quand vous êtes à votre avantage, et créez des changements de situation en dispersant et concentrant les forces.

Dans les occasions où il s’agira d’être tranquille, qu’il règne dans votre camp une tranquillité semblable à celle qui règne au milieu des plus épaisses forêts. Lorsque, au contraire, il s’agira de faire des mouvements et du bruit, imitez le fracas du tonnerre ; s’il faut être ferme dans votre poste, soyez-y immobile comme une montagne ; s’il faut sortir pour aller au pillage, ayez l’activité du feu ; s’il faut éblouir l’ennemi, soyez comme un éclair ; s’il faut cacher vos desseins, soyez obscur comme les ténèbres. Gardez-vous sur toutes choses de faire jamais aucune sortie en vain. Lorsque vous ferez tant que d’envoyer quelque détachement, que ce soit toujours dans l’espérance, ou, pour mieux dire, dans la certitude d’un avantage réel. Pour éviter les mécontentements, faites toujours une exacte et juste répartition de tout ce que vous aurez enlevé à l’ennemi.

Celui qui connaît l’art de l’approche directe et indirecte sera victorieux. Voilà l’art de l’affrontement.

À tout ce que je viens de dire, il faut ajouter la manière de donner vos ordres et de les faire exécuter. Il est des occasions et des campements où la plupart de vos gens ne sauraient ni vous voir ni vous entendre ; les tambours, les étendards et les drapeaux peuvent suppléer à votre voix et à votre présence. Instruisez vos troupes de tous les signaux que vous pouvez employer. Si vous avez à faire des évolutions pendant la nuit, faites exécuter des ordres au bruit d’un grand nombre de tambours. Si, au contraire, c’est pendant le jour qu’il faut que vous agissiez, employez les drapeaux et les étendards pour faire savoir vos volontés.

Le fracas d’un grand nombre de tambours servira pendant la nuit autant à jeter l’épouvante parmi vos ennemis qu’à ranimer le courage de vos soldats : l’éclat d’un grand nombre d’étendards, la multitude de leurs évolutions, la diversité de leurs couleurs, et la bizarrerie de leur assemblage, en instruisant vos gens, les tiendront toujours en haleine pendant le jour, les occuperont et leur réjouiront le cœur, en jetant le trouble et la perplexité dans celui de vos ennemis.

Ainsi, outre l’avantage que vous aurez de faire savoir promptement toutes vos volontés à votre armée entière dans le même moment, vous aurez encore celui de lasser votre ennemi, en le rendant attentif à tout ce qu’il croit que vous voulez entreprendre, de lui faire naître des doutes continuels sur la conduite que vous devez tenir, et de lui inspirer d’éternelles frayeurs.

Si quelque brave veut sortir seul hors des rangs pour aller provoquer l’ennemi, ne le permettez point ; il arrive rarement qu’un tel homme puisse revenir. Il périt pour l’ordinaire, ou par la trahison, ou accablé par le grand nombre.

Lorsque vous verrez vos troupes bien disposées, ne manquez pas de profiter de leur ardeur : c’est à l’habileté du général à faire naître les occasions et à distinguer lorsqu’elles sont favorables ; mais il ne doit pas négliger pour cela de prendre l’avis des officiers généraux, ni de profiter de leurs lumières, surtout si elles ont le bien commun pour objet.

On peut voler à une armée son esprit et lui dérober son adresse, de même que le courage de son commandant.

Au petit matin, les esprits sont pénétrants ; durant la journée, ils s’alanguissent, et le soir, ils rentrent à la maison.

Mei Yao-tchen dit que matin, journée et soir représentent les phases d’une longue campagne.

Lors donc que vous voudrez attaquer l’ennemi, choisissez, pour le faire avec avantage, le temps où les soldats sont censés devoir être faibles ou fatigués. Vous aurez pris auparavant vos précautions, et vos troupes reposées et fraîches auront de leur côté l’avantage de la force et de la vigueur. Tel est le contrôle du facteur moral.

Si vous voyez que l’ordre règne dans les rangs ennemis, attendez qu’il soit interrompu, et que vous aperceviez quelque désordre. Si leur trop grande proximité vous offusque ou vous gêne, éloignez-vous afin de vous placer dans des dispositions plus sereines. Tel est le contrôle du facteur mental.

Si vous voyez qu’ils ont de l’ardeur, attendez qu’elle se ralentisse et qu’ils soient accablés sous le poids de l’ennui ou de la fatigue. Tel est le contrôle du facteur physique.

S’ils se sauvent sur des lieux élevés, ne les y poursuivez point ; si vous êtes vous-même dans des lieux peu favorables, ne soyez pas longtemps sans changer de situation. N’engagez pas le combat lorsque l’ennemi déploie ses bannières bien rangées et de formations en rang impressionnant ; voilà le contrôle des facteurs de changement des circonstances.

Si, réduits au désespoir, ils viennent pour vaincre ou pour périr, évitez leur rencontre.

À un ennemi encerclé vous devez laisser une voie de sortie.

Si les ennemis réduits à l’extrémité abandonnent leur camp et veulent se frayer un chemin pour aller camper ailleurs, ne les arrêtez pas.

S’ils sont agiles et lestes, ne courez pas après eux ; s’ils manquent de tout, prévenez leur désespoir.

Ne vous acharnez pas sur un ennemi aux abois.

Voilà à peu près ce que j’avais à vous dire sur les différents avantages que vous devez tâcher de vous procurer lorsque à la tête d’une armée vous aurez à vous mesurer avec des ennemis qui, peut-être aussi prudents et aussi vaillants que vous, ne pourraient être vaincus, si vous n’usez de votre part des petits stratagèmes dont je viens de parler.

Article VIII
Des neuf changements

Sun Tzu dit : Ordinairement l’emploi des armées relève du commandant en chef, après que le souverain l’a mandaté pour mobiliser le peuple et assembler l’armée.

I. Si vous êtes dans des lieux marécageux, dans les lieux où il y a à craindre les inondations, dans les lieux couverts d’épaisses forêts ou de montagnes escarpées, dans des lieux déserts et arides, dans des lieux où il n’y a que des rivières et des ruisseaux, dans des lieux enfin d’où vous ne puissiez aisément tirer du secours, et où vous ne seriez appuyé d’aucune façon, tâchez d’en sortir le plus promptement qu’il vous sera possible. Allez chercher quelque endroit spacieux et vaste où vos troupes puissent s’étendre, d’où elles puissent sortir aisément, et où vos alliés puissent sans peine vous porter les secours dont vous pourriez avoir besoin.

II. Évitez, avec une extrême attention, de camper dans des lieux isolés ; ou si la nécessité vous y force, n’y restez qu’autant de temps qu’il en faut pour en sortir. Prenez sur-le-champ des mesures efficaces pour le faire en sûreté et en bon ordre.

III. Si vous vous trouvez dans des lieux éloignés des sources, des ruisseaux et des puits, où vous ne trouviez pas aisément des vivres et du fourrage, ne tardez pas de vous en tirer. Avant que de décamper, voyez si le lieu que vous choisissez est à l’abri par quelque montagne au moyen de laquelle vous soyez à couvert des surprises de l’ennemi, si vous pouvez en sortir aisément, et si vous y avez les commodités nécessaires pour vous procurer les vivres et les autres provisions ; s’il est tel, n’hésitez point à vous en emparer.

IV. Si vous êtes dans un lieu de mort, cherchez l’occasion de combattre. J’appelle lieu de mort ces sortes d’endroits où l’on a aucune ressource, où l’on dépérit insensiblement par l’intempérie de l’air, où les provisions se consument peu à peu sans espérance d’en pouvoir faire de nouvelles ; où les maladies, commençant à se mettre dans l’armée, semblent devoir y faire bientôt de grands ravages. Si vous vous trouvez dans de telles circonstances, hâtez-vous de livrer quelque combat. Je vous réponds que vos troupes n’oublieront rien pour bien se battre. Mourir de la main des ennemis leur paraîtra quelque chose de bien doux au prix de tous les maux qu’ils voient prêts à fondre sur eux et à les accabler.

V. Si, par hasard ou par votre faute, votre armée se rencontrait dans des lieux plein de défilés, où l’on pourrait aisément vous tendre des embûches, d’où il ne serait pas aisé de vous sauver en cas de poursuite, où l’on pourrait vous couper les vivres et les chemins, gardez-vous bien d’y attaquer l’ennemi ; mais si l’ennemi vous y attaque, combattez jusqu’à la mort. Ne vous contentez pas de quelque petit avantage ou d’une demi victoire ; ce pourrait être une amorce pour vous défaire entièrement. Soyez même sur vos gardes, après que vous aurez eu toutes les apparences d’une victoire complète.

VI. Quand vous saurez qu’une ville, quelque petite qu’elle soit, est bien fortifiée et abondamment pourvue de munitions de guerre et de bouche, gardez-vous bien d’en aller faire le siège ; et si vous n’êtes instruit de l’état où elle se trouve qu’après que le siège en aura été ouvert, ne vous obstinez pas à vouloir le continuer, vous courrez le risque de voir toutes vos forces échouer contre cette place, que vous serez enfin contraint d’abandonner honteusement.

VII. Ne négligez pas de courir après un petit avantage lorsque vous pourrez vous le procurer sûrement et sans aucune perte de votre part. Plusieurs de ces petits avantages qu’on pourrait acquérir et qu’on néglige occasionnent souvent de grandes pertes et des dommages irréparables.

VIII. Avant de songer à vous procurer quelque avantage, comparez-le avec le travail, la peine, les dépenses et les pertes d’hommes et de munitions qu’il pourra vous occasionner. Sachez à peu près si vous pourrez le conserver aisément ; après cela, vous vous déterminerez à le prendre ou à le laisser suivant les lois d’une saine prudence.

IX. Dans les occasions où il faudra prendre promptement son parti, n’allez pas vouloir attendre les ordres du prince. S’il est des cas où il faille agir contre des ordres reçus, n’hésitez pas, agissez sans crainte. La première et principale intention de celui qui vous met à la tête de ses troupes est que vous soyez vainqueur des ennemis. S’il avait prévu la circonstance où vous vous trouvez, il vous aurait dicté lui-même la conduite que vous voulez tenir.

Voilà ce que j’appelle les neuf changements ou les neuf circonstances principales qui doivent vous engager à changer la contenance ou la position de votre armée, à changer de situation, à aller ou à revenir, à attaquer ou à vous défendre, à agir ou à vous tenir en repos. Un bon général ne doit jamais dire : Quoi qu’il arrive, je ferai telle chose, j’irai là, j’attaquerai l’ennemi, j’assiégerai telle place. La circonstance seule doit le déterminer ; il ne doit pas s’en tenir à un système général, ni à une manière unique de gouverner. Chaque jour, chaque occasion, chaque circonstance demande une application particulière des mêmes principes. Les principes sont bons en eux-mêmes ; mais l’application qu’on en fait les rend souvent mauvais.

Un grand général doit savoir l’art des changements. S’il s’en tient à une connaissance vague de certains principes, à une application routinière des règles de l’art, si ses méthodes de commandement sont dépourvues de souplesse, s’il examine les situations conformément à quelques schémas, s’il prend ses résolutions d’une manière mécanique, il ne mérite pas de commander.

Un général est un homme qui, par le rang qu’il occupe, se trouve au-dessus d’une multitude d’autres hommes ; il faut par conséquent qu’il sache gouverner les hommes ; il faut qu’il sache les conduire ; il faut qu’il soit véritablement au-dessus d’eux, non pas seulement par sa dignité, mais par son esprit, par son savoir, par sa capacité, par sa conduite, par sa fermeté, par son courage et par ses vertus. Il faut qu’il sache distinguer les vrais d’avec les faux avantages, les véritables pertes d’avec ce qui n’en a que l’apparence ; qu’il sache compenser l’un par l’autre et tirer parti de tout. Il faut qu’il sache employer à propos certains artifices pour tromper l’ennemi, et qu’il se tienne sans cesse sur ses gardes pour n’être pas trompé lui-même. Il ne doit ignorer aucun des pièges qu’on peut lui tendre, il doit pénétrer tous les artifices de l’ennemi, de quelque nature qu’ils puissent être, mais il ne doit pas pour cela vouloir deviner. Tenez-vous sur vos gardes, voyez-le venir, éclairez ses démarches et toute sa conduite, et concluez. Vous courriez autrement le risque de vous tromper et d’être la dupe ou la triste victime de vos conjectures précipitées.

Si vous voulez n’être jamais effrayé par la multitude de vos travaux et de vos peines, attendez-vous toujours à tout ce qu’il y aura de plus dur et de plus pénible. Travaillez sans cesse à susciter des peines à l’ennemi. Vous pourrez le faire de plus d’une façon, mais voici ce qu’il y a d’essentiel en ce genre.

N’oubliez rien pour lui débaucher ce qu’il y aura de mieux dans son parti : offres, présents, caresses, que rien ne soit omis. Trompez même s’il le faut : engagez les gens d’honneur qui sont chez lui à des actions honteuses et indignes de leur réputation, à des actions dont ils aient lieu de rougir quand elles seront sues, et ne manquez pas de les faire divulguer.

Entretenez des liaisons secrètes avec ce qu’il y a de plus vicieux chez les ennemis ; servez-vous-en pour aller à vos fins, en leur joignant d’autres vicieux.

Traversez leur gouvernement, semez la dissension parmi leurs chefs, fournissez des sujets de colère aux uns contre les autres, faites-les murmurer contre leurs officiers, ameutez les officiers subalternes contre leurs supérieurs, faites en sorte qu’ils manquent de vivres et de munitions, répandez parmi eux quelques airs d’une musique voluptueuse qui leur amollisse le cœur, envoyez-leur des femmes pour achever de les corrompre, tâchez qu’ils sortent lorsqu’il faudra qu’ils soient dans leur camp, et qu’ils soient tranquilles dans leur camp lorsqu’il faudrait qu’ils tinssent la campagne ; faites leur donner sans cesse de fausses alarmes et de faux avis ; engagez dans vos intérêts les gouverneurs de leurs provinces ; voilà à peu près ce que vous devez faire, si vous voulez tromper par l’adresse et par la ruse.

Ceux des généraux qui brillaient parmi nos Anciens étaient des hommes sages, prévoyants, intrépides et durs au travail. Ils avaient toujours leurs sabres pendus à leurs côtés, ils ne présumaient jamais que l’ennemi ne viendrait pas, ils étaient toujours prêts à tout événement, ils se rendaient invincibles et, s’ils rencontraient l’ennemi, ils n’avaient pas besoin d’attendre du secours pour se mesurer avec lui. Les troupes qu’ils commandaient étaient bien disciplinées, et toujours disposées à faire un coup de main au premier signal qu’ils leur en donnaient.

Chez eux la lecture et l’étude précédaient la guerre et les y préparaient. Ils gardaient avec soin leurs frontières, et ne manquaient pas de bien fortifier leurs villes. Ils n’allaient pas contre l’ennemi, lorsqu’ils étaient instruits qu’il avait fait tous ses préparatifs pour les bien recevoir ; ils l’attaquaient par ses endroits faibles, et dans le temps de sa paresse et de son oisiveté.

Avant que de finir cet article, je dois vous prévenir contre cinq sortes de dangers, d’autant plus à redouter qu’ils paraissent moins à craindre, écueils funestes contre lesquels la prudence et la bravoure ont échoué plus d’une fois.

I. Le premier est une trop grande ardeur à affronter la mort ; ardeur téméraire qu’on honore souvent des beaux noms de courage, d’intrépidité et de valeur, mais qui, au fond, ne mérite guère que celui de lâcheté. Un général qui s’expose sans nécessité, comme le ferait un simple soldat, qui semble chercher les dangers et la mort, qui combat et qui fait combattre jusqu’à la dernière extrémité, est un homme qui mérite de mourir. C’est un homme sans tête, qui ne saurait trouver aucune ressource pour se tirer d’un mauvais pas ; c’est un lâche qui ne saurait souffrir le moindre échec sans en être consterné, et qui se croit perdu si tout ne lui réussit.

II. Le deuxième est une trop grande attention à conserver ses jours. On se croit nécessaire à l’armée entière ; on n’aurait garde de s’exposer ; on n’oserait pour cette raison se pourvoir de vivres chez l’ennemi ; tout fait ombrage, tout fait peur ; on est toujours en suspens, on ne se détermine à rien, on attend une occasion plus favorable, on perd celle qui se présente, on ne fait aucun mouvement ; mais l’ennemi, qui est toujours attentif, profite de tout, et fait bientôt perdre toute espérance à un général ainsi prudent. Il l’enveloppera, il lui coupera les vivres et le fera périr par le trop grand amour qu’il avait de conserver sa vie.

III. Le troisième est une colère précipitée. Un général qui ne sait pas se modérer, qui n’est pas maître de lui-même, et qui se laisse aller aux premiers mouvements d’indignation ou de colère, ne saurait manquer d’être la dupe des ennemis. Ils le provoqueront, ils lui tendront mille pièges que sa fureur l’empêchera de reconnaître, et dans lesquels il donnera infailliblement.

IV. Le quatrième est un point d’honneur mal entendu. Un général ne doit pas se piquer mal à propos, ni hors de raison ; il doit savoir dissimuler ; il ne doit point se décourager après quelque mauvais succès, ni croire que tout est perdu parce qu’il aura fait quelque faute ou qu’il aura reçu quelque échec. Pour vouloir réparer son honneur légèrement blessé, on le perd quelquefois sans ressources.

V. Le cinquième, enfin, est une trop grande complaisance ou une compassion trop tendre pour le soldat. Un général qui n’ose punir, qui ferme les yeux sur le désordre, qui craint que les siens ne soient toujours accablés sous le poids du travail, et qui n’oserait pour cette raison leur en imposer, est un général propre à tout perdre. Ceux d’un rang inférieur doivent avoir des peines ; il faut toujours avoir quelque occupation à leur donner ; il faut qu’ils aient toujours quelque chose à souffrir. Si vous voulez tirer parti de leur service, faites en sorte qu’ils ne soient jamais oisifs. Punissez avec sévérité, mais sans trop de rigueur. Procurez des peines et du travail, mais jusqu’à un certain point.

Un général doit se prémunir contre tous ces dangers. Sans trop chercher à vivre ou à mourir, il doit se conduire avec valeur et avec prudence, suivant que les circonstances l’exigent.

S’il a de justes raisons de se mettre en colère, qu’il le fasse, mais que ce ne soit pas en tigre qui ne connaît aucun frein.

S’il croit que son honneur est blessé, et qu’il veuille le réparer, que ce soit en suivant les règles de la sagesse, et non pas les caprices d’une mauvaise honte.

Qu’il aime ses soldats, qu’il les ménage, mais que ce soit avec discrétion.

S’il livre des batailles, s’il fait des mouvements dans son camp, s’il assiège des villes, s’il fait des excursions, qu’il joigne la ruse à la valeur, la sagesse à la force des armes ; qu’il répare tranquillement ses fautes lorsqu’il aura eu le malheur d’en faire ; qu’il profite de toutes celles de son ennemi, et qu’il le mette souvent dans l’occasion d’en faire de nouvelles.

Article IX
De la distribution des moyens

Sun Tzu dit : Avant que de faire camper vos troupes, sachez dans quelle position sont les ennemis, mettez-vous au fait du terrain et choisissez ce qu’il y aura de plus avantageux pour vous. On peut réduire à quatre points principaux ces différentes situations.

I. Si vous êtes dans le voisinage de quelque montagne, gardez-vous bien de vous emparer de la partie qui regarde le nord ; occupez au contraire le côté du midi : cet avantage n’est pas d’une petite conséquence. Depuis le penchant de la montagne, étendez-vous en sûreté jusque bien avant dans les vallons ; vous y trouverez de l’eau et du fourrage en abondance ; vous y serez égayé par la vue du soleil, réchauffé par ses rayons, et l’air que vous y respirerez sera tout autrement salubre que celui que vous respireriez de l’autre côté. Si les ennemis viennent par derrière la montagne dans le dessein de vous surprendre, instruit par ceux que vous aurez placé sur la cime, vous vous retirerez à loisir, si vous ne vous croyez pas en état de leur faire tête ; ou vous les attendrez de pied ferme pour les combattre si vous jugez que vous puissiez être vainqueur sans trop risquer. Cependant ne combattez sur les hauteurs que lorsque la nécessité vous y engagera, surtout n’y allez jamais chercher l’ennemi.

II. Si vous êtes auprès de quelque rivière, approchez-vous le plus que vous pourrez de sa source ; tâchez d’en connaître tous les bas-fonds et tous les endroits qu’on peut passer à gué. Si vous avez à la passer, ne le faites jamais en présence de l’ennemi ; mais si les ennemis, plus hardis, ou moins prudents que vous, veulent en hasarder le passage, ne les attaquez point que la moitié de leurs gens ne soit de l’autre côté ; vous combattrez alors avec tout l’avantage de deux contre un. Près des rivières mêmes tenez toujours les hauteurs, afin de pouvoir découvrir au loin ; n’attendez pas l’ennemi près des bords, n’allez pas au-devant de lui ; soyez toujours sur vos gardes de peur qu’étant surpris vous n’ayez pas un lieu pour vous retirer en cas de malheur.

III. Si vous êtes dans des lieux glissants, humides, marécageux et malsains, sortez-en le plus vite que vous pourrez ; vous ne sauriez vous y arrêter sans être exposé aux plus grands inconvénients ; la disette des vivres et les maladies viendraient bientôt vous y assiéger. Si vous êtes contraint d’y rester, tâchez d’en occuper les bords ; gardez-vous bien d’aller trop avant. S’il y a des forêts aux environs, laissez-les derrière vous.

IV. Si vous êtes en plaine dans des lieux unis et secs, ayez toujours votre gauche à découvert ; ménagez derrière vous quelque élévation d’où vos gens puissent découvrir au loin. Quand le devant de votre camp ne vous présentera que des objets de mort, ayez soin que les lieux qui sont derrière puissent vous offrir des secours contre l’extrême nécessité.

Tels sont les avantages des différents campements ; avantages précieux, d’où dépend la plus grande partie des succès militaires. C’est en particulier parce qu’il possédait à fond l’art des campements que l’Empereur Jaune triompha de ses ennemis et soumit à ses lois tous les princes voisins de ses États

Il faut conclure de tout ce que je viens de dire que les hauteurs sont en général plus salutaires aux troupes que les lieux bas et profonds. Dans les lieux élevés mêmes, il y a un choix à faire : c’est de camper toujours du côté du midi, parce que c’est là qu’on trouve l’abondance et la fertilité. Un campement de cette nature est un avant-coureur de la victoire. Le contentement et la santé, qui sont la suite ordinaire d’une bonne nourriture prise sous un ciel pur, donnent du courage et de la force au soldat, tandis que la tristesse, le mécontentement et les maladies l’épuisent, l’énervent, le rendent pusillanime et le découragent entièrement.

Il faut conclure encore que les campements près des rivières ont leurs avantages qu’il ne faut pas négliger, et leurs inconvénients qu’il faut tâcher d’éviter avec un grand soin. Je ne saurais trop vous le répéter, tenez le haut de la rivière, laissez-en le courant aux ennemis. Outre que les gués sont beaucoup plus fréquents vers la source, les eaux en sont plus pures et plus salubres.

Lorsque les pluies auront formé quelque torrent, ou qu’elles auront grossi le fleuve ou la rivière dont vous occupez les bords, attendez quelque temps avant que de vous mettre en marche ; surtout ne vous hasardez pas à passer de l’autre côté, attendez pour le faire que les eaux aient repris la tranquillité de leur cours ordinaire. Vous en aurez des preuves certaines si vous n’entendez plus un certain bruit sourd, qui tient plus du frémissement que du murmure, si vous ne voyez plus d’écume surnager, et si la terre ou le sable ne coulent plus avec l’eau.

Pour ce qui est des défilés et des lieux entrecoupés par des précipices et par des rochers, des lieux marécageux et glissants, des lieux étroits et couverts, lorsque la nécessité ou le hasard vous y aura conduit, tirez-vous-en le plus tôt qu’il vous sera possible, éloignez-vous-en le plus tôt que vous pourrez. Si vous en êtes loin, l’ennemi en sera près. Si vous fuyez, l’ennemi poursuivra et tombera peut-être dans les dangers que vous venez d’éviter.

Vous devez encore être extrêmement en garde contre une autre espèce de terrain. Il est des lieux couverts de broussailles ou de petits bois ; il en est qui sont pleins de hauts et de bas, où l’on est sans cesse ou sur des collines ou dans des vallons, défiez-vous-en ; soyez dans une attention continuelle. Ces sortes de lieux peuvent être pleins d’embuscades ; l’ennemi peut sortir à chaque instant vous surprendre, tomber sur vous et vous tailler en pièces. Si vous en êtes loin, n’en approchez pas ; si vous en êtes près, ne vous mettez pas en mouvement que vous n’ayez fait reconnaître tous les environs. Si l’ennemi vient vous y attaquer, faites en sorte qu’il ait tout le désavantage du terrain de son côté. Pour vous, ne l’attaquez que lorsque vous le verrez à découvert.

Enfin, quel que soit le lieu de votre campement, bon ou mauvais, il faut que vous en tiriez parti ; n’y soyez jamais oisif, ni sans faire quelque tentative ; éclairez toutes les démarches des ennemis ; ayez des espions de distance en distance, jusqu’au milieu de leur camp, jusque sous la tente de leur général. Ne négligez rien de tout ce qu’on pourra vous rapporter, faites attention à tout.

Si ceux de vos gens que vous avez envoyés à la découverte vous font dire que les arbres sont en mouvement, quoique par un temps calme, concluez que l’ennemi est en marche. Il peut se faire qu’il veuille venir à vous ; disposez toutes choses, préparez-vous à le bien recevoir, allez même au-devant de lui.

Si l’on vous rapporte que les champs sont couverts d’herbes, et que ces herbes sont fort hautes, tenez-vous sans cesse sur vos gardes ; veillez continuellement, de peur de quelque surprise.

Si l’on vous dit qu’on a vu des oiseaux attroupés voler par bandes sans s’arrêter, soyez en défiance ; on vient vous espionner ou vous tendre des pièges ; mais si, outre les oiseaux, on voit encore un grand nombre de quadrupèdes courir la campagne, comme s’ils n’avaient point de gîte, c’est une marque que les ennemis sont aux aguets.

Si l’on vous rapporte qu’on aperçoit au loin des tourbillons de poussière s’élever dans les airs, concluez que les ennemis sont en marche. Dans les endroits où la poussière est basse et épaisse sont les gens de pied ; dans les endroits où elle est moins épaisse et plus élevée sont la cavalerie et les chars.

Si l’on vous avertit que les ennemis sont dispersés et ne marchent que par pelotons, c’est une marque qu’ils ont eu à traverser quelque bois, qu’ils ont fait des abattis, et qu’ils sont fatigués ; ils cherchent alors à se rassembler.

Si vous apprenez qu’on aperçoit dans les campagnes des gens de pied et des hommes à cheval aller et venir, dispersés çà et là par petites bandes, ne doutez pas que les ennemis ne soient campés.

Tels sont les indices généraux dont vous devez tâcher de profiter, tant pour savoir la position de ceux avec lesquels vous devez vous mesurer que pour faire avorter leurs projets, et vous mettre à couvert de toute surprise de leur part. En voici quelques autres auxquels vous devez une plus particulière attention.

Lorsque ceux de vos espions qui sont près du camp des ennemis vous feront savoir qu’on y parle bas et d’une manière mystérieuse, que ces ennemis sont modestes dans leur façon d’agir et retenus dans tous leurs discours, concluez qu’ils pensent à une action générale, et qu’ils en font déjà les préparatifs : allez à eux sans perdre de temps. Ils veulent vous surprendre, surprenez-les vous-même.

Si vous apprenez au contraire qu’ils sont bruyants, fiers et hautains dans leurs discours, soyez certain qu’ils pensent à la retraite et qu’ils n’ont nullement envie d’en venir aux mains.

Lorsqu’on vous fera savoir qu’on a vu quantité de chars vides précéder leur armée, préparez-vous à combattre, car les ennemis viennent à vous en ordre de bataille.

Gardez-vous bien d’écouter alors les propositions de paix ou d’alliance qu’ils pourraient vous faire, ce ne serait qu’un artifice de leur part.

S’ils font des marches forcées, c’est qu’ils croient courir à la victoire ; s’ils vont et viennent, s’ils avancent en partie et qu’ils reculent autant, c’est qu’ils veulent vous attirer au combat ; si, la plupart du temps, debout et sans rien faire, ils s’appuient sur leurs armes comme sur des bâtons, c’est qu’ils sont aux expédients, qu’ils meurent presque de faim, et qu’ils pensent à se procurer de quoi vivre ; si passant près de quelque rivière, ils courent tous en désordre pour se désaltérer, c’est qu’ils ont souffert de la soif ; si leur ayant présenté l’appât de quelque chose d’utile pour eux, sans cependant qu’ils aient su ou voulu en profiter, c’est qu’ils se défient ou qu’ils ont peur ; s’ils n’ont pas le courage d’avancer, quoiqu’ils soient dans les circonstances où il faille le faire, c’est qu’ils sont dans l’embarras, dans les inquiétudes et les soucis.

Outre ce que je viens de dire, attachez-vous en particulier à savoir tous leurs différents campements. Vous pourrez les connaître au moyen des oiseaux que vous verrez attroupés dans certains endroits. Et si leurs campements ont été fréquents, vous pourrez conclure qu’ils ont peu d’habileté dans la connaissance des lieux. Le vol des oiseaux ou les cris de ceux-ci peuvent vous indiquer la présence d’embuscades invisibles.

Si vous apprenez que, dans le camp des ennemis, il y a des festins continuels, qu’on y boit et qu’on y mange avec fracas, soyez-en bien aise ; c’est une preuve infaillible que leurs généraux n’ont point d’autorité.

Si leurs étendards changent souvent de place, c’est une preuve qu’ils ne savent à quoi se déterminer, et que le désordre règne parmi eux. Si les soldats se groupent continuellement, et chuchotent entre eux, c’est que le général a perdu la confiance de son armée.

L’excès de récompenses et de punitions montre que le commandement est au bout de ses ressources, et dans une grande détresse ; si l’armée va même jusqu’à se saborder et briser ses marmites, c’est la preuve qu’elle est aux abois et qu’elle se battra jusqu’à la mort.

Si leurs officiers subalternes sont inquiets, mécontents et qu’ils se fâchent pour la moindre chose, c’est une preuve qu’ils sont ennuyés ou accablés sous le poids d’une fatigue inutile.

Si dans différents quartiers de leur camp on tue furtivement des chevaux, dont on permette ensuite de manger la chair, c’est une preuve que leurs provisions sont sur la fin.

Telles sont les attentions que vous devez à toutes les démarches que peuvent faire les ennemis. Une telle minutie dans les détails peut vous paraître superflue, mais mon dessein est de vous prévenir sur tout, et de vous convaincre que rien de tout ce qui peut contribuer à vous faire triompher n’est petit. L’expérience me l’a appris, elle vous l’apprendra de même ; je souhaite que ce ne soit pas à vos dépens.

Encore une fois, éclairez toutes les démarches de l’ennemi, quelles qu’elles puissent être ; mais veillez aussi sur vos propres troupes, ayez l’œil à tout, sachez tout, empêchez les vols et les brigandages, la débauche et l’ivrognerie, les mécontentements et les cabales, la paresse et l’oisiveté. Sans qu’il soit nécessaire qu’on vous en instruise, vous pourrez connaître par vous-même ceux de vos gens qui seront dans le cas, et voici comment.

Si quelques-uns de vos soldats, lorsqu’ils changent de poste ou de quartier, ont laissé tomber quelque chose, quoique de petite valeur, et qu’ils n’aient pas voulu se donner la peine de la ramasser ; s’ils ont oublié quelque ustensile dans leur première station, et qu’ils ne le réclament point, concluez que ce sont des voleurs, punissez-les comme tels.

Si dans votre armée on a des entretiens secrets, si l’on y parle souvent à l’oreille ou à voix basse, s’il y a des choses qu’on n’ose dire qu’à demi-mot, concluez que la peur s’est glissée parmi vos gens, que le mécontentement va suivre, et que les cabales ne tarderont pas à se former : hâtez-vous d’y mettre ordre.

Si vos troupes paraissent pauvres, et qu’elles manquent quelquefois d’un certain petit nécessaire ; outre la solde ordinaire, faites-leur distribuer quelque somme d’argent, mais gardez-vous bien d’être trop libéral, l’abondance d’argent est souvent plus funeste qu’elle n’est avantageuse, et plus préjudiciable qu’utile ; par l’abus qu’on en fait, elle est la source de la corruption des cœurs et la mère de tous les vices.

Si vos soldats, d’audacieux qu’ils étaient auparavant, deviennent timides et craintifs, si chez eux la faiblesse a pris la place de la force, la bassesse, celle de la magnanimité, soyez sûr que leur cœur est gâté ; cherchez la cause de leur dépravation et tranchez-la jusqu’à la racine.

Si, sous divers prétextes, quelques-uns vous demandent leur congé, c’est qu’ils n’ont pas envie de combattre, ne les refusez pas tous ; mais, en l’accordant à plusieurs, que ce soit à des conditions honteuses.

S’ils viennent en troupe vous demander justice d’un ton mutin et colère, écoutez leurs raisons, ayez-y égard ; mais, en leur donnant satisfaction d’un côté, punissez-les très sévèrement de l’autre.

Si, lorsque vous aurez fait appeler quelqu’un, il n’obéit pas promptement, s’il est longtemps à se rendre à vos ordres, et si, après que vous aurez fini de lui signifier vos volontés, il ne se retire pas, défiez-vous, soyez sur vos gardes.

En un mot, la conduite des troupes demande des attentions continuelles de la part d’un général. Sans quitter de vue l’armée des ennemis, il faut sans cesse éclairer la vôtre ; sachez lorsque le nombre des ennemis augmentera, soyez informé de la mort ou de la désertion du moindre de vos soldats.

Si l’armée ennemie est inférieure à la vôtre, et si elle n’ose pour cette raison se mesurer à vous, allez l’attaquer sans délai, ne lui donnez pas le temps de se renforcer ; une seule bataille est décisive dans ces occasions. Mais si, sans être au fait de la situation actuelle des ennemis, et sans avoir mis ordre à tout, vous vous avisez de les harceler pour les engager à un combat, vous courez le risque de tomber dans ses pièges, de vous faire battre, et de vous perdre sans ressource.

Si vous ne maintenez une exacte discipline dans votre armée, si vous ne punissez pas exactement jusqu’à la moindre faute, vous ne serez bientôt plus respecté, votre autorité même en souffrira, et les châtiments que vous pourrez employer dans la suite, bien loin d’arrêter les fautes, ne serviront qu’à augmenter le nombre des coupables. Or si vous n’êtes ni craint ni respecté, si vous n’avez qu’une autorité faible, et dont vous ne sauriez vous servir sans danger, comment pourrez-vous être avec honneur à la tête d’une armée ? Comment pourrez-vous vous opposer aux ennemis de État ?

Quand vous aurez à punir, faites-le de bonne heure et à mesure que les fautes l’exigent. Quand vous aurez des ordres à donner, ne les donnez point que vous ne soyez sûr que vous serez exactement obéi. Instruisez vos troupes, mais instruisez-les à propos ; ne les ennuyez point, ne les fatiguez point sans nécessité ; tout ce qu’elles peuvent faire de bon ou de mauvais, de bien ou de mal, est entre vos mains.

Dans la guerre, le grand nombre seul ne confère pas l’avantage ; n’avancez pas en comptant sur la seule puissance militaire. Une armée composée des mêmes hommes peut être très méprisable, quand elle sera commandée par tel général, tandis qu’elle sera invincible commandée par tel autre.

Article X
De la topologie

Sun Tzu dit : Sur la surface de la terre tous les lieux ne sont pas équivalents ; il y en a que vous devez fuir, et d’autres qui doivent être l’objet de vos recherches ; tous doivent vous être parfaitement connus.

Dans les premiers sont à ranger ceux qui n’offrent que d’étroits passages, qui sont bordés de rochers ou de précipices, qui n’ont pas d’accès facile avec les espaces libres desquels vous pouvez attendre du secours. Si vous êtes le premier à occuper ce terrain, bloquez les passages et attendez l’ennemi ; si l’ennemi est sur place avant vous, ne l’y suivez pas, à moins qu’il n’ait pas fermé complètement les défilés. Ayez-en une connaissance exacte pour ne pas y engager votre armée mal à propos.

Recherchez au contraire un lieu dans lequel il y aurait une montagne assez haute pour vous défendre de toute surprise, où l’on pourrait arriver et d’où l’on pourrait sortir par plusieurs chemins qui vous seraient parfaitement connus, où les vivres seraient en abondance, où les eaux ne sauraient manquer, où l’air serait salubre et le terrain assez uni ; un tel lieu doit faire l’objet de vos plus ardentes recherches. Mais soit que vous vouliez vous emparer de quelque campement avantageux, soit que vous cherchiez à éviter des lieux dangereux ou peu commodes, usez d’une extrême diligence, persuadé que l’ennemi a le même objet que vous.

Si le lieu que vous avez dessein de choisir est autant à la portée des ennemis qu’à la vôtre, si les ennemis peuvent s’y rendre aussi aisément que vous, il s’agit de les devancer. Pour cela, faites des marches pendant la nuit, mais arrêtez-vous au lever du soleil, et, s’il se peut, que ce soit toujours sur quelque éminence, afin de pouvoir découvrir au loin ; attendez alors que vos provisions et tout votre bagage soient arrivés ; si l’ennemi vient à vous, vous l’attendrez de pied ferme, et vous pourrez le combattre avec avantage.

Ne vous engagez jamais dans ces sortes de lieu où l’on peut aller très aisément, mais d’où l’on ne peut sortir qu’avec beaucoup de peine et une extrême difficulté ; si l’ennemi laisse un pareil camp entièrement libre, c’est qu’il cherche à vous leurrer ; gardez-vous bien d’avancer, mais trompez-le en pliant bagage. S’il est assez imprudent pour vous suivre, il sera obligé de traverser ce terrain scabreux. Lorsqu’il y aura engagé la moitié de ses troupes, allez à lui, il ne saurait vous échapper, frappez-le avantageusement et vous le vaincrez sans beaucoup de travail.

Une fois que vous serez campé avec tout l’avantage du terrain, attendez tranquillement que l’ennemi fasse les premières démarches et qu’il se mette en mouvement. S’il vient à vous en ordre de bataille, n’allez au-devant de lui que lorsque vous verrez qu’il lui sera difficile de retourner sur ses pas.

Un ennemi bien préparé pour le combat, et contre qui votre attaque a échoué, est dangereux : ne revenez pas à une seconde charge, retirez-vous dans votre camp, si vous le pouvez, et n’en sortez pas que vous ne voyiez clairement que vous le pouvez sans danger. Vous devez vous attendre que l’ennemi fera jouer bien des ressorts pour vous attirer : rendez inutiles tous les artifices qu’il pourrait employer.

Si votre rival vous a prévenu, et qu’il ait pris son camp dans le lieu où vous auriez dû prendre le vôtre, c’est-à-dire dans le lieu le plus avantageux, ne vous amusez point à vouloir l’en déloger en employant les stratagèmes communs ; vous travailleriez inutilement. Si la distance entre vous et lui est assez considérable et que les deux armées sont à peu près égales, il ne tombera pas aisément dans les pièges que vous lui tendrez pour l’attirer au combat : ne perdez pas votre temps inutilement, vous réussirez mieux d’un autre côté.

Ayez pour principe que votre ennemi cherche ses avantages avec autant d’empressement que vous pouvez chercher les vôtres : employez toute votre industrie à lui donner le change de ce côté-là ; mais surtout ne le prenez pas vous-même. Pour cela, n’oubliez jamais qu’on peut tromper ou être trompé de bien des façons. Je ne vous en rappellerai que six principales, parce qu’elles sont les sources d’où dérivent toutes les autres.

La première consiste dans la marche des troupes

La deuxième, dans leurs différents arrangements.

La troisième, dans leur position dans des lieux bourbeux.

La quatrième, dans leur désordre.

La cinquième, dans leur dépérissement.

Et la sixième, dans leur fuite.

Un général qui recevrait quelque échec, faute de ces connaissances, aurait tort d’accuser le Ciel de son malheur ; il doit se l’attribuer tout entier.

Si celui qui est à la tête des armées néglige de s’instruire à fond de tout ce qui a rapport aux troupes qu’il doit mener au combat et à celles qu’il doit combattre ; s’il ne connaît pas exactement le terrain où il est actuellement, celui où il doit se rendre, celui où l’on peut se retirer en cas de malheur, celui où l’on peut feindre d’aller sans avoir d’autre envie que celle d’y attirer l’ennemi, et celui où il peut être forcé de s’arrêter, lorsqu’il n’aura pas lieu de s’y attendre ; s’il fait mouvoir son armée hors de propos ; s’il n’est pas instruit de tous les mouvements de l’armée ennemie et des desseins qu’elle peut avoir dans la conduite qu’elle tient ; s’il divise ses troupes sans nécessité, ou sans y être comme forcé par la nature du lieu où il se trouve, ou sans avoir prévu tous les inconvénients qui pourraient en résulter, ou sans une certitude de quelque avantage réel de cette dispersion ; s’il souffre que le désordre s’insinue peu à peu dans son armée, ou si, sur des indices incertains, il se persuade trop aisément que le désordre règne dans l’armée ennemie, et qu’il agisse en conséquence ; si son armée dépérit insensiblement, sans qu’il se mette en devoir d’y apporter un prompt remède ; un tel général ne peut être que la dupe des ennemis, qui lui donneront le change par des fuites étudiées, par des marches feintes, et par un total de conduite dont il ne saurait manquer d’être la victime.

Les maximes suivantes doivent vous servir de règles pour toutes vos actions.

Si votre armée et celle de l’ennemi sont à peu près en nombre égal et d’égale force, il faut que des dix parties des avantages du terrain vous en ayez neuf pour vous ; mettez toute votre application, employez tous vos efforts et toute votre industrie pour vous les procurer. Si vous les possédez, votre ennemi se trouvera réduit à n’oser se montrer devant vous et à prendre la fuite dès que vous paraîtrez ; ou s’il est assez imprudent pour vouloir en venir à un combat, vous le combattrez avec l’avantage de dix contre un. Le contraire arrivera si, par négligence ou faute d’habileté, vous lui avez laissé le temps et les occasions de se procurer ce que vous n’avez pas.

Dans quelque position que vous puissiez être, si pendant que vos soldats sont forts et pleins de valeur, vos officiers sont faibles et lâches, votre armée ne saurait manquer d’avoir le dessous ; si, au contraire, la force et la valeur se trouve uniquement renfermées dans les officiers, tandis que la faiblesse et la lâcheté domineront dans le cœur des soldats, votre armée sera bientôt en déroute ; car les soldats pleins de courage et de valeur ne voudront pas se déshonorer ; ils ne voudront jamais que ce que des officiers lâches et timides ne sauraient leur accorder, de même des officiers vaillants et intrépides seront à coup sûr mal obéis par des soldats timides et poltrons.

Si les officiers généraux sont faciles à s’enflammer, et s’ils ne savent ni dissimuler ni mettre un frein à leur colère, quel qu’en puisse être le sujet, ils s’engageront d’eux-mêmes dans des actions ou de petits combats dont ils ne se tireront pas avec honneur, parce qu’ils les auront commencés avec précipitation, et qu’ils n’en auront pas prévu les inconvénients et toutes les suites ; il arrivera même qu’ils agiront contre l’intention expresse du général, sous divers prétextes qu’ils tâcheront de rendre plausibles ; et d’une action particulière commencée étourdiment et contre toutes les règles, on en viendra à un combat général, dont tout l’avantage sera du côté de l’ennemi. Veillez sur de tels officiers, ne les éloignez jamais de vos côtés ; quelques grandes qualités qu’ils puissent avoir d’ailleurs, ils vous causeraient de grands préjudices, peut-être même la perte de votre armée entière.

Si un général est pusillanime, il n’aura pas les sentiments d’honneur qui conviennent à une personne de son rang, il manquera du talent essentiel de donner de l’ardeur aux troupes ; il ralentira leur courage dans le temps qu’il faudrait le ranimer ; il ne saura ni les instruire ni les dresser à propos ; il ne croira jamais devoir compter sur les lumières, la valeur et l’habileté des officiers qui lui sont soumis, les officiers eux-mêmes ne sauront à quoi s’en tenir ; il fera faire mille fausses démarches à ses troupes, qu’il voudra disposer tantôt d’une façon et tantôt d’une autre, sans suivre aucun système, sans aucune méthode ; il hésitera sur tout, il ne se décidera sur rien, partout il ne verra que des sujets de crainte ; et alors le désordre, et un désordre général, régnera dans son armée.

Si un général ignore le fort et le faible de l’ennemi contre lequel il a à combattre, s’il n’est pas instruit à fond, tant des lieux qu’il occupe actuellement que de ceux qu’il peut occuper suivant les différents événements, il lui arrivera d’opposer à ce qu’il y a de plus fort dans l’armée ennemie ce qu’il y a de plus faible dans la sienne, à envoyer ses troupes faibles et aguerries contre les troupes fortes, ou contre celles qui n’ont aucune considération chez l’ennemi, à ne pas choisir des troupes d’élite pour son avant-garde, à faire attaquer par où il ne faudrait pas le faire, à laisser périr, faute de secours, ceux des siens qui se trouveraient hors d’état de résister, à se défendre mal à propos dans un mauvais poste, à céder légèrement un poste de la dernière importance ; dans ces sortes d’occasions il comptera sur quelque avantage imaginaire qui ne sera qu’un effet de la politique de l’ennemi, ou bien il perdra courage après un échec qui ne devrait être compté pour rien. Il se trouvera poursuivi sans s’y être attendu, il se trouvera enveloppé. On le combattra vivement, heureux alors s’il peut trouver son salut dans la fuite. C’est pourquoi, pour en revenir au sujet qui fait la matière de cet article, un bon général doit connaître tous les lieux qui sont ou qui peuvent être le théâtre de la guerre, aussi distinctement qu’il connaît tous les coins et recoins des cours et des jardins de sa propre maison.

J’ajoute dans cet article qu’une connaissance exacte du terrain est ce qu’il y a de plus essentiel parmi les matériaux qu’on peut employer pour un édifice aussi important à la tranquillité et à la gloire de État Ainsi un homme, que la naissance où les événements semblent destiner à la dignité de général, doit employer tous ses soins et faire tous ses efforts pour se rendre habile dans cette partie de l’art des guerriers.

Avec une connaissance exacte du terrain, un général peut se tirer d’affaire dans les circonstances les plus critiques. Il peut se procurer les secours qui lui manquent, il peut empêcher ceux qu’on envoie à l’ennemi ; il peut avancer, reculer et régler toutes ses démarches comme il le jugera à propos ; il peut disposer des marches de son ennemi et faire à son gré qu’il avance ou qu’il recule ; il peut le harceler sans crainte d’être surpris lui-même ; il peut l’incommoder de mille manières, et parer de son côté à tous les dommages qu’on voudrait lui causer. Calculer les distances et les degrés de difficulté du terrain, c’est contrôler la victoire. Celui qui combat avec la pleine connaissance de ces facteurs est certain de gagner ; il peut enfin finir ou prolonger la campagne, selon qu’il le jugera plus expédient pour sa gloire ou pour ses intérêts.

Vous pouvez compter sur une victoire certaine si vous connaissez tous les tours et tous les détours, tous les hauts et les bas, tous les allants et les aboutissants de tous les lieux que les deux armées peuvent occuper, depuis les plus près jusqu’à ceux qui sont les plus éloignés, parce qu’avec cette connaissance vous saurez quelle forme il sera plus à propos de donner aux différents corps de vos troupes, vous saurez sûrement quand il sera à propos de combattre ou lorsqu’il faudra différer la bataille, vous saurez interpréter la volonté du souverain suivant les circonstances, quels que puissent être les ordres que vous en aurez reçus ; vous le servirez véritablement en suivant vos lumières présentes, vous ne contracterez aucune tache qui puisse souiller votre réputation, et vous ne serez point exposé à périr ignominieusement pour avoir obéi.

Un général malheureux est toujours un général coupable.

Servir votre prince, faire l’avantage de État et le bonheur des peuples, c’est ce que vous devez avoir en vue ; remplissez ce triple objet, vous avez atteint le but.

Dans quelque espèce de terrain que vous soyez, vous devez regarder vos troupes comme des enfants qui ignorent tout et qui ne sauraient faire un pas ; il faut qu’elles soient conduites ; vous devez les regarder, dis-je, comme vos propres enfants ; il faut les conduire vous-même. Ainsi, s’il s’agit d’affronter les hasards, que vos gens ne les affrontent pas seuls, et qu’ils ne les affrontent qu’à votre suite. S’il s’agit de mourir, qu’ils meurent, mais mourez avec eux.

Je dis que vous devez aimer tous ceux qui sont sous votre conduite comme vous aimeriez vos propres enfants. Il ne faut pas cependant en faire des enfants gâtés ; ils seraient tels, si vous ne les corrigiez pas lorsqu’ils méritent de l’être, si, quoique plein d’attention, d’égards et de tendresse pour eux, vous ne pouviez pas les gouverner, ils se montreraient insoumis et peu empressés à répondre à vos désirs.

Dans quelque espèce de terrain que vous soyez, si vous êtes au fait de tout ce qui le concerne, si vous savez même par quel endroit il faut attaquer l’ennemi, mais si vous ignorez s’il est actuellement en état de défense ou non, s’il est disposé à vous bien recevoir, et s’il a fait les préparatifs nécessaires à tout événement, vos chances de victoire sont réduites de moitié.

Quoique vous ayez une pleine connaissance de tous les lieux, que vous sachiez même que les ennemis peuvent être attaqués, et par quel côté ils doivent l’être, si vous n’avez pas des indices certains que vos propres troupes peuvent attaquer avec avantage, j’ose vous le dire, vos chances de victoire sont réduites de moitié.

Si vous êtes au fait de l’état actuel des deux armées, si vous savez en même temps que vos troupes sont en état d’attaquer avec avantage, et que celles de l’ennemi leur sont inférieures en force et en nombre, mais si vous ne connaissez pas tous les coins et recoins des lieux circonvoisins, vous ne saurez s’il est invulnérable à l’attaque ; je vous l’assure, vos chances de victoire sont réduites de moitié.

Ceux qui sont véritablement habiles dans l’art militaire font toutes leurs marches sans désavantage, tous leurs mouvements sans désordre, toutes leurs attaques à coup sûr, toutes leurs défenses sans surprise, leurs campements avec choix, leurs retraites par système et avec méthode ; ils connaissent leurs propres forces, ils savent quelles sont celles de l’ennemi, ils sont instruits de tout ce qui concerne les lieux.

Donc je dis : Connais toi toi-même, connais ton ennemi, ta victoire ne sera jamais mise en danger. Connais le terrain, connais ton temps, ta victoire sera alors totale.

Article XI
Des neufs sortes de terrain

Sun Tzu dit : Il y a neuf sortes de lieux qui peuvent être à l’avantage ou au détriment de l’une ou de l’autre armée. 1° Des lieux de division ou de dispersion. 2° Des lieux légers. 3° Des lieux qui peuvent être disputés. 4° Des lieux de réunion. 5° Des lieux pleins et unis. 6° Des lieux à plusieurs issues. 7° Des lieux graves et importants. 8° Des lieux gâtés ou détruits. 9° Des lieux de mort.

I. J’appelle lieux de division ou de dispersion ceux qui sont près des frontières dans nos possessions. Des troupes qui se tiendraient longtemps sans nécessité au voisinage de leurs foyers sont composées d’hommes qui ont plus envie de perpétuer leur race que de s’exposer à la mort. À la première nouvelle qui se répandra de l’approche des ennemis, ou de quelque prochaine bataille, le général ne saura quel parti prendre, ni à quoi se déterminer, quand il verra ce grand appareil militaire se dissiper et s’évanouir comme un nuage poussé par les vents.

II. J’appelle lieux légers ou de légèreté ceux qui sont près des frontières, mais pénètrent par une brèche sur les terres des ennemis. Ces sortes de lieux n’ont rien qui puisse fixer. On peut regarder sans cesse derrière soi, et le retour étant trop aisé, il fait naître le désir de l’entreprendre à la première occasion : l’inconstance et le caprice trouvent infailliblement de quoi se contenter.

III. Les lieux qui sont à la bienséance des deux armées, où l’ennemi peut trouver son avantage aussi bien que nous pouvons trouver le nôtre, où l’on peut faire un campement dont la position, indépendamment de son utilité propre, peut nuire au parti opposé, et traverser quelques-unes de ses vues ; ces sortes de lieux peuvent être disputés, ils doivent même l’être. Ce sont là des terrains clés.

IV. Par les lieux de réunion, j’entends ceux où nous ne pouvons guère manquer de nous rendre et dans lesquels l’ennemi ne saurait presque manquer de se rendre aussi, ceux encore où l’ennemi, aussi à portée de ses frontières que vous l’êtes des vôtres, trouverait, ainsi que vous, sa sûreté en cas de malheur, ou les occasions de suivre sa bonne fortune, s’il avait d’abord du succès. Ce sont là des lieux qui permettent d’entrer en communication avec l’armée ennemie, ainsi que les zones de repli.

V. Les lieux que j’appelle simplement pleins et unis sont ceux qui, par leur configuration et leurs dimensions, permettent leur utilisation par les deux armées, mais, parce qu’ils sont au plus profond du territoire ennemi, ne doivent pas vous inciter à livrer bataille, à moins que la nécessité ne vous y contraigne, ou que vous n’y soyez forcé par l’ennemi, qui ne vous laisserait aucun moyen de pouvoir l’éviter.

VI. Les lieux à plusieurs issues, dont je veux parler ici, sont ceux en particulier qui permettent la jonction entre les différents États qui les entourent. Ces lieux forment le nœud des différents secours que peuvent apporter les princes voisins à celle des deux parties qu’il leur plaira de favoriser.

VII. Les lieux que je nomme graves et importants sont ceux qui, placés dans les États ennemis, présentent de tous côtés des villes, des forteresses, des montagnes, des défilés, des eaux, des ponts à passer, des campagnes arides à traverser, ou telle autre chose de cette nature.

VIII. Les lieux où tout serait à l’étroit, où une partie de l’armée ne serait pas à portée de voir l’autre ni de la secourir, où il y aurait des lacs, des marais, des torrents ou quelque mauvaise rivière, où l’on ne saurait marcher qu’avec de grandes fatigues et beaucoup d’embarras, où l’on ne pourrait aller que par pelotons, sont ceux que j’appelle gâtés ou détruits.

IX. Enfin, par des lieux de mort, j’entends tous ceux où l’on se trouve tellement réduit que, quelque parti que l’on prenne, on est toujours en danger ; j’entends des lieux dans lesquels, si l’on combat, on court évidemment le risque d’être battu, dans lesquels, si l’on reste tranquille, on se voit sur le point de périr de faim, de misère ou de maladie ; des lieux, en un mot, où l’on ne saurait rester et où l’on ne peut survivre que très difficilement en combattant avec le courage du désespoir.

Telles sont les neuf sortes de terrain dont j’avais à vous parler ; apprenez à les connaître, pour vous en défier ou pour en tirer parti.

Lorsque vous ne serez encore que dans des lieux de division, contenez bien vos troupes ; mais surtout ne livrez jamais de bataille, quelque favorables que les circonstances puissent vous paraître. La vue de leur pays et la facilité du retour occasionneraient bien des lâchetés : bientôt les campagnes seraient couvertes de fuyards.

Si vous êtes dans des lieux légers, n’y établissez point votre camp. Votre armée ne s’étant point encore saisie d’aucune ville, d’aucune forteresse, ni d’aucun poste important dans les possessions des ennemis, n’ayant derrière soi aucune digue qui puisse l’arrêter, voyant des difficultés, des peines et des embarras pour aller plus avant, il n’est pas douteux qu’elle ne soit tentée de préférer ce qui lui paraît le plus aisé à ce qui lui semblera difficile et plein de dangers.

Si vous avez reconnu de ces sortes de lieux qui vous paraissent devoir être disputés, commencez par vous en emparer : ne donnez pas à l’ennemi le temps de se reconnaître, employez toute votre diligence, que les formations ne se séparent pas, faites tous vos efforts pour vous en mettre dans une entière possession ; mais ne livrez point de combat pour en chasser l’ennemi. S’il vous a prévenu, usez de finesse pour l’en déloger, mais si vous y êtes une fois, n’en délogez pas.

Pour ce qui est des lieux de réunion, tâchez de vous y rendre avant l’ennemi ; faites en sorte que vous ayez une communication libre de tous les côtés ; que vos chevaux, vos chariots et tout votre bagage puissent aller et venir sans danger. N’oubliez rien de tout ce qui est en votre pouvoir pour vous assurer de la bonne volonté des peuples voisins, recherchez-la, demandez-la, achetez-la, obtenez-la à quelque prix que ce soit, elle vous est nécessaire ; et ce n’est guère que par ce moyen que votre armée peut avoir tout ce dont elle aura besoin. Si tout abonde de votre côté, il y a grande apparence que la disette régnera du côté de l’ennemi.

Dans les lieux pleins et unis, étendez-vous à l’aise, donnez-vous du large, faites des retranchements pour vous mettre à couvert de toute surprise, et attendez tranquillement que le temps et les circonstances vous ouvrent les voies pour faire quelque grande action.

Si vous êtes à portée de ces sortes de lieux qui ont plusieurs issues, où l’on peut se rendre par plusieurs chemins, commencez par les bien connaître ; alliez-vous aux États voisins, que rien n’échappe à vos recherches ; emparez-vous de toutes les avenues, n’en négligez aucune, quelque peu importante qu’elle vous paraisse, et gardez-les toutes très soigneusement.

Si vous vous trouvez dans des lieux graves et importants, rendez-vous maître de tout ce qui vous environne, ne laissez rien derrière vous, le plus petit poste doit être emporté ; sans cette précaution vous courriez le risque de manquer des vivres nécessaires à l’entretien de votre armée, ou de vous voir l’ennemi sur les bras lorsque vous y penseriez le moins, et d’être attaqué par plusieurs côtés à la fois.

Si vous êtes dans des lieux gâtés ou détruits, n’allez pas plus avant, retournez sur vos pas, fuyez le plus promptement qu’il vous sera possible.

Si vous êtes dans des lieux de mort, n’hésitez point à combattre, allez droit à l’ennemi, le plus tôt est le meilleur.

Telle est la conduite que tenaient nos anciens guerriers. Ces grands hommes, habiles et expérimentés dans leur art, avaient pour principe que la manière d’attaquer et de se défendre ne devait pas être invariablement la même, qu’elle devait être prise de la nature du terrain que l’on se occupait et de la position où l’on se trouvait. Ils disaient encore que la tête et la queue d’une armée ne devaient pas être commandées de la même façon, qu’il fallait combattre la tête et enfoncer la queue ; que la multitude et le petit nombre ne pouvaient pas être longtemps d’accord ; que les forts et les faibles, lorsqu’ils étaient ensemble, ne tardaient guère à se désunir ; que les hauts et les bas ne pouvaient être également utiles ; que les troupes étroitement unies pouvaient aisément se diviser, mais que celles qui étaient une fois divisées ne se réunissaient que très difficilement. Ils répétaient sans cesse qu’une armée ne devait jamais se mettre en mouvement qu’elle ne fût sûre de quelque avantage réel, et que, lorsqu’il n’y avait rien à gagner, il fallait se tenir tranquille et garder le camp.

En résumé, je vous dirai que toute votre conduite militaire doit être réglée suivant les circonstances ; que vous devez attaquer ou vous défendre selon que le théâtre de la guerre sera chez vous ou chez l’ennemi.

Si la guerre se fait dans votre propre pays, et si l’ennemi, sans vous avoir donné le temps de faire tous vos préparatifs, s’apprêtant à vous attaquer, vient avec une armée bien ordonnée pour l’envahir ou le démembrer, ou y faire des dégâts, ramassez promptement le plus de troupes que vous pourrez, envoyez demander du secours chez les voisins et chez les alliés, emparez-vous de quelques lieux qu’il chérit, et il se fera conforme à vos désirs, mettez-les en état de défense, ne fût-ce que pour gagner du temps ; la rapidité est la sève de la guerre.

Voyagez par les routes sur lesquelles il ne peut vous attendre ; mettez une partie de vos soins à empêcher que l’armée ennemie ne puisse recevoir des vivres, barrez-lui tous les chemins, ou du moins faites qu’elle n’en puisse trouver aucun sans embuscades, ou sans qu’elle soit obligée de l’emporter de vive force.

Les paysans peuvent en cela vous être d’un grand secours et vous servir mieux que vos propres troupes : faites-leur entendre seulement qu’ils doivent empêcher que d’injustes ravisseurs ne viennent s’emparer de toutes leurs possessions et ne leur enlèvent leur père, leur mère, leur femme et leurs enfants.

Ne vous tenez pas seulement sur la défensive, envoyez des partisans pour enlever des convois, harcelez, fatiguez, attaquez tantôt d’un côté, tantôt de l’autre ; forcez votre injuste agresseur à se repentir de sa témérité ; contraignez-le de retourner sur ses pas, n’emportant pour tout butin que la honte de n’avoir pu réussir.

Si vous faites la guerre dans le pays ennemi, ne divisez vos troupes que très rarement, ou mieux encore, ne les divisez jamais ; qu’elles soient toujours réunies et en état de se secourir mutuellement ; ayez soin qu’elles ne soient jamais que dans des lieux fertiles et abondants.

Si elles venaient à souffrir de la faim, la misère et les maladies feraient bientôt plus de ravage parmi elles que ne le pourrait faire dans plusieurs années le fer de l’ennemi.

Procurez-vous pacifiquement tous les secours dont vous aurez besoin ; n’employez la force que lorsque les autres voies auront été inutiles ; faites en sorte que les habitants des villages et de la campagne puissent trouver leurs intérêts à venir d’eux-mêmes vous offrir leurs denrées ; mais, je le répète, que vos troupes ne soient jamais divisées.

Tout le reste étant égal, on est plus fort de moitié lorsqu’on combat chez soi.

Si vous combattez chez l’ennemi, ayez égard à cette maxime, surtout si vous êtes un peu avant dans ses États : conduisez alors votre armée entière ; faites toutes vos opérations militaires dans le plus grand secret, je veux dire qu’il faut empêcher qu’aucun ne puisse pénétrer vos desseins : il suffit qu’on sache ce que vous voulez faire quand le temps de l’exécuter sera arrivé.

Il peut arriver que vous soyez réduit quelquefois à ne savoir où aller, ni de quel côté vous tourner ; dans ce cas ne précipitez rien, attendez tout du temps et des circonstances, soyez inébranlable dans le lieu où vous êtes.

Il peut arriver encore que vous vous trouviez engagé mal à propos ; gardez-vous bien alors de prendre la fuite, elle causerait votre perte ; périssez plutôt que de reculer, vous périrez au moins glorieusement ; cependant, faites bonne contenance. Votre armée, accoutumée à ignorer vos desseins, ignorera pareillement le péril qui la menace ; elle croira que vous avez eu vos raisons, et combattra avec autant d’ordre et de valeur que si vous l’aviez disposée depuis longtemps à la bataille.

Si dans ces sortes d’occasions vous triomphez, vos soldats redoubleront de force, de courage et de valeur ; votre réputation s’accroît dans la proportion même du risque que vous avez couru. Votre armée se croira invincible sous un chef tel que vous.

Quelque critiques que puissent être la situation et les circonstances où vous vous trouvez, ne désespérez de rien ; c’est dans les occasions où tout est à craindre qu’il ne faut rien craindre ; c’est lorsqu’on est environné de tous les dangers qu’il n’en faut redouter aucun ; c’est lorsqu’on est sans aucune ressource qu’il faut compter sur toutes ; c’est lorsqu’on est surpris qu’il faut surprendre l’ennemi lui-même.

Instruisez tellement vos troupes qu’elles puissent se trouver prêtes sans préparatifs, qu’elles trouvent de grands avantages là où elles n’en ont cherché aucun, que sans aucun ordre particulier de votre part, elles improvisent les dispositions à prendre, que sans défense expresse elles s’interdisent d’elles-mêmes tout ce qui est contre la discipline.

Veillez en particulier avec une extrême attention à ce qu’on ne sème pas de faux bruits, coupez racine aux plaintes et aux murmures, ne permettez pas qu’on tire des augures sinistres de tout ce qui peut arriver d’extraordinaire.

Si les devins ou les astrologues de l’armée ont prédit le bonheur, tenez-vous-en à leur décision ; s’ils parlent avec obscurité, interprétez en bien ; s’ils hésitent, ou qu’ils ne disent pas des choses avantageuses, ne les écoutez pas, faites-les taire.

Aimez vos troupes, et procurez-leur tous les secours, tous les avantages, toutes les commodités dont elles peuvent avoir besoin. Si elles essuient de rudes fatigues, ce n’est pas qu’elles s’y plaisent ; si elles endurent la faim, ce n’est pas qu’elles ne se soucient pas de manger ; si elles s’exposent à la mort, ce n’est point qu’elles n’aiment pas la vie. Si mes officiers n’ont pas un surcroît de richesses, ce n’est pas parce qu’ils dédaignent les biens de ce monde. Faites en vous-même de sérieuses réflexions sur tout cela.

Lorsque vous aurez tout disposé dans votre armée et que tous vos ordres auront été donnés, s’il arrive que vos troupes nonchalamment assises donnent des marques de tristesse, si elles vont jusqu’à verser des larmes, tirez-les promptement de cet état d’assoupissement et de léthargie, donnez-leur des festins, faites-leur entendre le bruit du tambour et des autres instruments militaires, exercez-les, faites-leur faire des évolutions, faites-leur changer de place, menez-les même dans des lieux un peu difficiles, où elles aient à travailler et à souffrir. Imitez la conduite de Tchouan Tchou et de Tsao-Kouei, vous changerez le cœur de vos soldats, vous les accoutumerez au travail, ils s’y endurciront, rien ne leur coûtera dans la suite.

Les quadrupèdes regimbent quand on les charge trop, ils deviennent inutiles quand ils sont forcés. Les oiseaux au contraire veulent être forcés pour être d’un bon usage. Les hommes tiennent un milieu entre les uns et les autres, il faut les charger, mais non pas jusqu’à les accabler ; il faut même les forcer, mais avec discernement et mesure.

Si vous voulez tirer un bon parti de votre armée, si vous voulez qu’elle soit invincible, faites qu’elle ressemble au Chouai Jen. Le Chouai Jen est une espèce de gros serpent qui se trouve dans la montagne de Tchang Chan. Si l’on frappe sur la tête de ce serpent, à l’instant sa queue va au secours, et se recourbe jusqu’à la tête ; qu’on le frappe sur la queue, la tête s’y trouve dans le moment pour la défendre ; qu’on le frappe sur le milieu ou sur quelque autre partie de son corps, sa tête et sa queue s’y trouvent d’abord réunies. Mais cela peut-il être pratiqué par une armée ? dira peut-être quelqu’un. Oui, cela se peut, cela se doit, et il le faut.

Quelques soldats du royaume de Ou se trouvèrent un jour à passer une rivière en même temps que d’autres soldats du royaume de Yue la passaient aussi ; un vent impétueux souffla, les barques furent renversées et les hommes auraient tous péri, s’ils ne se fussent aidés mutuellement : ils ne pensèrent pas alors qu’ils étaient ennemis, ils se rendirent au contraire tous les offices qu’on pouvait attendre d’une amitié tendre et sincère, ils coopérèrent comme la main droite avec la main gauche.

Je vous rappelle ce trait d’Histoire pour vous faire entendre que non seulement les différents corps de votre armée doivent se secourir mutuellement, mais encore qu’il faut que vous secouriez vos alliés, que vous donniez même du secours aux peuples vaincus qui en ont besoin ; car, s’ils vous sont soumis, c’est qu’ils n’ont pu faire autrement ; si leur souverain vous a déclaré la guerre, ce n’est pas de leur faute. Rendez-leur des services, ils auront leur tour pour vous en rendre aussi.

En quelque pays que vous soyez, quel que soit le lieu que vous occupiez, si dans votre armée il y a des étrangers, ou si, parmi les peuples vaincus, vous avez choisi des soldats pour grossir le nombre de vos troupes, ne souffrez jamais que dans les corps qu’ils composent ils soient ou les plus forts, ou en majorité. Quand on attache plusieurs chevaux à un même pieu, on se garde bien de mettre ceux qui sont indomptés, ou tous ensemble, ou avec d’autres en moindre nombre qu’eux, ils mettraient tout en désordre ; mais lorsqu’ils sont domptés, ils suivent aisément la multitude.

Dans quelque position que vous puissiez être, si votre armée est inférieure à celle des ennemis, votre seule conduite, si elle est bonne, peut la rendre victorieuse. Il n’est pas suffisant de compter sur les chevaux boiteux ou les chariots embourbés, mais à quoi vous servirait d’être placé avantageusement si vous ne saviez pas tirer parti de votre position ? À quoi servent la bravoure sans la prudence, la valeur sans la ruse ?

Un bon général tire parti de tout, et il n’est en état de tirer parti de tout que parce qu’il fait toutes ses opérations avec le plus grand secret, qu’il sait conserver son sang-froid, et qu’il gouverne avec droiture, de telle sorte néanmoins que son armée a sans cesse les oreilles trompées et les yeux fascinés. Il sait si bien que ses troupes ne savent jamais ce qu’elles doivent faire, ni ce qu’on doit leur commander. Si les événements changent, il change de conduite ; si ses méthodes, ses systèmes ont des inconvénients, il les corrige toutes les fois qu’il le veut, et comme il le veut. Si ses propres gens ignorent ses desseins, comment les ennemis pourraient-ils les pénétrer ?

Un habile général sait d’avance tout ce qu’il doit faire ; tout autre que lui doit l’ignorer absolument. Telle était la pratique de ceux de nos anciens guerriers qui se sont le plus distingués dans l’art sublime du gouvernement. Voulaient-ils prendre une ville d’assaut, ils n’en parlaient que lorsqu’ils étaient aux pieds des murs. Ils montaient les premiers, tout le monde les suivait ; et lorsqu’on était logé sur la muraille, ils faisaient rompre toutes les échelles. Étaient-ils bien avant dans les terres des alliés, ils redoublaient d’attention et de secret.

Partout ils conduisaient leurs armées comme un berger conduit un troupeau ; ils les faisaient aller où bon leur semblait, ils les faisaient revenir sur leurs pas, ils les faisaient retourner, et tout cela sans murmure, sans résistance de la part d’un seul.

La principale science d’un général consiste à bien connaître les neuf sortes de terrain, afin de pouvoir faire à propos les neuf changements. Elle consiste à savoir déployer et replier ses troupes suivant les lieux et les circonstances, à travailler efficacement à cacher ses propres intentions et à découvrir celles de l’ennemi, à avoir pour maxime certaine que les troupes sont très unies entre elles, lorsqu’elles sont bien avant dans les terres des ennemis ; qu’elles se divisent au contraire et se dispersent très aisément, lorsqu’on ne se tient qu’aux frontières ; qu’elles ont déjà la moitié de la victoire, lorsqu’elles se sont emparées de tous les allants et de tous les aboutissants, tant de l’endroit où elles doivent camper que des environs du camp de l’ennemi ; que c’est un commencement de succès que d’avoir pu camper dans un terrain vaste, spacieux et ouvert de tous côtés ; mais que c’est presque avoir vaincu, lorsque étant dans les possessions ennemies, elles se sont emparées de tous les petits postes, de tous les chemins, de tous les villages qui sont au loin des quatre côtés, et que, par leurs bonnes manières, elles ont gagné l’affection de ceux qu’elles veulent vaincre, ou qu’elles ont déjà vaincus.

Instruit par l’expérience et par mes propres réflexions, j’ai tâché, lorsque je commandais les armées, de réduire en pratique tout ce que je vous rappelle ici. Quand j’étais dans des lieux de division, je travaillais à l’union des cœurs et à l’uniformité des sentiments. Lorsque j’étais dans des lieux légers, je rassemblais mon monde, et je l’occupais utilement. Lorsqu’il s’agissait des lieux qu’on peut disputer, je m’en emparais le premier, quand je le pouvais ; si l’ennemi m’avait prévenu, j’allais après lui, et j’usais d’artifices pour l’en déloger. Lorsqu’il était question des lieux de réunion, j’observais tout avec une extrême diligence, et je voyais venir l’ennemi. Sur un terrain plein et uni, je m’étendais à l’aise et j’empêchais l’ennemi de s’étendre. Dans des lieux à plusieurs issues, quand il m’était impossible de les occuper tous, j’étais sur mes gardes, j’observais l’ennemi de près, je ne le perdais pas de vue. Dans des lieux graves et importants, je nourrissais bien le soldat, je l’accablais de caresses. Dans des lieux gâtés ou détruits, je tâchais de me tirer d’embarras, tantôt en faisant des détours et tantôt en remplissant les vides. Enfin, dans des lieux de morts, je faisais croire à l’ennemi que je ne pouvais survivre.

Les troupes bien disciplinées résistent quand elles sont encerclées ; elles redoublent d’efforts dans les extrémités, elles affrontent les dangers sans crainte, elles se battent jusqu’à la mort quand il n’y a pas d’alternative, et obéissent implicitement. Si celles que vous commandez ne sont pas telles, c’est votre faute ; vous ne méritez pas d’être à leur tête.

Si vous êtes ignorant des plans des États voisins, vous ne pourrez préparer vos alliances au moment opportun ; si vous ne savez pas en quel nombre sont les ennemis contre lesquels vous devez combattre, si vous ne connaissez pas leur fort et leur faible, vous ne ferez jamais les préparatifs ni les dispositions nécessaires pour la conduite de votre armée ; vous ne méritez pas de commander.

Si vous ignorez où il y a des montagnes et des collines, des lieux secs ou humides, des lieux escarpés ou pleins de défilés, des lieux marécageux ou pleins de périls, vous ne sauriez donner des ordres convenables, vous ne sauriez conduire votre armée ; vous êtes indigne de commander.

Si vous ne connaissez pas tous les chemins, si vous n’avez pas soin de vous munir de guides sûrs et fidèles pour vous conduire par les routes que vous ignorerez, vous ne parviendrez pas au terme que vous vous proposez, vous serez la dupe des ennemis ; vous ne méritez pas de commander.

Lorsqu’un grand hégémonique attaque un État puissant, il fait en sorte qu’il soit impossible à l’ennemi de se concentrer. Il intimide l’ennemi et empêche ses alliés de se joindre à lui. Il s’ensuit que le grand hégémonique ne combat pas des combinaisons puissantes États et ne nourrit pas le pouvoir d’autres États. Il s’appuie pour la réalisation de ses buts sur sa capacité d’intimider ses opposants et ainsi il peut prendre les villes ennemies et renverser État de l’ennemi.

Si vous ne savez pas combiner quatre et cinq tout à la fois, vos troupes ne sauraient aller de pair avec celles des vassaux et des feudataires. Lorsque les vassaux et les feudataires avaient à faire la guerre contre quelque grand prince, ils s’unissaient entre eux, ils tâchaient de troubler tout l’Univers, ils mettaient dans leur parti le plus de monde qu’il leur était possible, ils recherchaient surtout l’amitié de leurs voisins, ils l’achetaient même bien cher s’il le fallait. Ils ne donnaient pas à l’ennemi le temps de se reconnaître, encore moins celui d’avoir recours à ses alliés et de rassembler toutes ses forces, ils l’attaquaient lorsqu’il n’était pas encore en état de défense ; aussi, s’ils faisaient le siège d’une ville, ils s’en rendaient maîtres à coup sûr. S’ils voulaient conquérir une province, elle était à eux ; quelques grands avantages qu’ils se fussent d’abord procurés, ils ne s’endormaient pas, ils ne laissaient jamais leur armée s’amollir par l’oisiveté ou la débauche, ils entretenaient une exacte discipline, ils punissaient sévèrement, quand les cas l’exigeaient, et ils donnaient libéralement des récompenses, lorsque les occasions le demandaient. Outre les lois ordinaires de la guerre, ils en faisaient de particulières, suivant les circonstances des temps et des lieux.

Voulez-vous réussir ? Prenez pour modèle de votre conduite celle que je viens de vous tracer ; regardez votre armée comme un seul homme que vous seriez chargé de conduire, ne lui motivez jamais votre manière d’agir ; faites-lui savoir exactement tous vos avantages, mais cachez-lui avec grand soin jusqu’à la moindre de vos pertes ; faites toutes vos démarches dans le plus grand secret ; placez-les dans une situation périlleuse et elles survivront ; disposez-les sur un terrain de mort et elles vivront, car, lorsque l’armée est placée dans une telle situation, elle peut faire sortir la victoire des revers.

Accordez des récompenses sans vous préoccuper des usages habituels, publiez des ordres sans respect des précédents, ainsi vous pourrez vous servir de l’armée entière comme d’un seul homme.

Éclairez toutes les démarches de l’ennemi, ne manquez pas de prendre les mesures les plus efficaces pour pouvoir vous assurer de la personne de leur général ; faites tuer leur général, car vous ne combattez jamais que contre des rebelles.

Le nœud des opérations militaires dépend de votre faculté de faire semblant de vous conformer aux désirs de votre ennemi.

Ne divisez jamais vos forces ; la concentration vous permet de tuer son général, même à une distance de mille lieues ; là se trouve la capacité d’atteindre votre objet d’une manière ingénieuse.

Lorsque l’ennemi vous offre une opportunité, saisissez-en vite l’avantage ; anticipez-le en vous rendant maître de quelque chose qui lui importe et avancez suivant un plan fixé secrètement.

La doctrine de la guerre consiste à suivre la situation de l’ennemi afin de décider de la bataille.

Dès que votre armée sera hors des frontières, faites-en fermer les avenues, déchirez les instructions qui sont entre vos mains et ne souffrez pas qu’on écrive ou qu’on reçoive des nouvelles ; rompez vos relations avec les ennemis, assemblez votre conseil et exhortez-le à exécuter le plan ; après cela, allez à l’ennemi.

Avant que la campagne soit commencée, soyez comme une jeune fille qui ne sort pas de la maison ; elle s’occupe des affaires du ménage, elle a soin de tout préparer, elle voit tout, elle entend tout, elle fait tout, elle ne se mêle d’aucune affaire en apparence.

La campagne une fois commencée, vous devez avoir la promptitude d’un lièvre qui, se trouvant poursuivi par des chasseurs, tâcherait, par mille détours, de trouver enfin son gîte, pour s’y réfugier en sûreté.

Article XII
De l’art d’attaquer par le feu

Sun Tzu dit : Les différentes manières de combattre par le feu se réduisent à cinq. La première consiste à brûler les hommes ; la deuxième, à brûler les provisions ; la troisième, à brûler les bagages ; la quatrième, à brûler les arsenaux et les magasins ; et la cinquième, à utiliser des projectiles incendiaires.

Avant que d’entreprendre ce genre de combat, il faut avoir tout prévu, il faut avoir reconnu la position des ennemis, il faut s’être mis au fait de tous les chemins par où il pourrait s’échapper ou recevoir du secours, il faut s’être muni des choses nécessaires pour l’exécution du projet, il faut que le temps et les circonstances soient favorables.

Préparez d’abord toutes les matières combustibles dont vous voulez faire usage : dès que vous aurez mis le feu, faites attention à la fumée. Il y a le temps de mettre le feu, il y a le jour de le faire éclater : n’allez pas confondre ces deux choses. Le temps de mettre le feu est celui où tout est tranquille sous le Ciel, où la sérénité paraît devoir être de durée. Le jour de le faire éclater est celui où la lune se trouve sous une des quatre constellations, Qi, Pi, Y, Tchen. Il est rare que le vent ne souffle point alors, et il arrive très souvent qu’il souffle avec force.

Les cinq manières de combattre par le feu demandent de votre part une conduite qui varie suivant les circonstances : ces variations se réduisent à cinq. Je vais les indiquer, afin que vous puissiez les employer dans les occasions.

I. Dès que vous aurez mis le feu, si, après quelque temps, il n’y a aucune rumeur dans le camp des ennemis, si tout est tranquille chez eux, restez vous-même tranquille, n’entreprenez rien ; attaquer imprudemment, c’est chercher à se faire battre. Vous savez que le feu a pris, cela doit vous suffire : en attendant, vous devez supposer qu’il agit sourdement ; ses effets n’en seront que plus funestes. Il est au-dedans ; attendez qu’il éclate et que vous en voyiez des étincelles au-dehors, vous pourrez aller recevoir ceux qui ne chercheront qu’à se sauver.

II. Si peu de temps après avoir mis le feu, vous voyez qu’il s’élève par tourbillons, ne donnez pas aux ennemis le temps de l’éteindre, envoyez des gens pour l’attiser, disposez promptement toutes choses, et courez au combat.

III. Si malgré toutes vos mesures et tous les artifices que vous aurez pu employer, il n’a pas été possible à vos gens de pénétrer dans l’intérieur, et si vous êtes forcé à ne pouvoir mettre le feu que par dehors, observez de quel côté vient le vent ; c’est de ce côté que doit commencer l’incendie ; c’est par le même côté que vous devez attaquer. Dans ces sortes d’occasions, qu’il ne vous arrive jamais de combattre sous le vent.

IV. Si pendant le jour le vent a soufflé sans discontinuer, regardez comme une chose sûre que pendant la nuit il y aura un temps où il cessera ; prenez là-dessus vos précautions et vos arrangements.

V. Un général qui, pour combattre ses ennemis, sait employer le feu toujours à propos est un homme véritablement éclairé. Un général qui sait se servir de l’eau et de l’inondation pour la même fin est un excellent homme. Cependant, il ne faut employer l’eau qu’avec discrétion. Servez-vous-en, à la bonne heure ; mais que ce ne soit que pour gâter les chemins par où les ennemis pourraient s’échapper ou recevoir du secours.

Les différentes manières de combattre par le feu, telles que je viens de les indiquer, sont ordinairement suivies d’une pleine victoire, dont il faut que vous sachiez recueillir les fruits. Le plus considérable de tous, et celui sans lequel vous auriez perdu vos soins et vos peines, est de connaître le mérite de tous ceux qui se seront distingués, c’est de les récompenser en proportion de ce qu’ils auront fait pour la réussite de l’entreprise. Les hommes se conduisent ordinairement par l’intérêt ; si vos troupes ne trouvent dans le service que des peines et des travaux, vous ne les emploierez pas deux fois avec avantage.

La nécessité seule doit faire entreprendre la guerre. Les combats, de quelque nature qu’ils soient, ont toujours quelque chose de funeste pour les vainqueurs eux-mêmes ; il ne faut les livrer que lorsqu’on ne saurait faire la guerre autrement.

Lorsqu’un souverain est animé par la colère ou par la vengeance, qu’il ne lui arrive jamais de lever des troupes. Lorsqu’un général trouve qu’il a dans le cœur les mêmes sentiments, qu’il ne livre jamais de combats. Pour l’un et pour l’autre ce sont des temps nébuleux : qu’ils attendent les jours de sérénité pour se déterminer et pour entreprendre.

S’il y a quelque profit à espérer en vous mettant en mouvement, faites marcher votre armée ; si vous ne prévoyez aucun avantage, tenez-vous en repos ; eussiez-vous les sujets les plus légitimes d’être irrité, vous eût-on provoqué, insulté même, attendez, pour prendre votre parti, que le feu de la colère se soit dissipé et que les sentiments pacifiques s’élèvent en foule dans votre cœur. N’oubliez jamais que votre dessein, en faisant la guerre, doit être de procurer à État la gloire, la splendeur et la paix, et non pas d’y mettre le trouble, la désolation et la confusion.

Ce sont les intérêts du pays et non pas vos intérêts personnels que vous défendez. Vos vertus et vos vices, vos belles qualités et vos défauts rejaillissent également sur ceux que vous représentez. Vos moindres fautes sont toujours de conséquence ; les grandes sont souvent irréparables, et toujours très funestes. Il est difficile de soutenir un royaume que vous aurez mis sur le penchant de sa ruine ; il est impossible de le relever, s’il est une fois détruit : on ne ressuscite pas un mort.

De même qu’un prince sage et éclairé met tous ses soins à bien gouverner, ainsi un général habile n’oublie rien pour former de bonnes troupes, et pour les employer à sauvegarder État et à préserver l’armée.

Article XIII
De la concorde et de la discorde

Sun Tzu dit : Si, ayant sur pied une armée de cent mille hommes, vous devez la conduire jusqu’à la distance de cent lieues, il faut compter qu’au-dehors, comme au-dedans, tout sera en mouvement et en rumeur. Les villes et les villages dont vous aurez tiré les hommes qui composent vos troupes ; les hameaux et les campagnes dont vous aurez tiré vos provisions et tout l’attirail de ceux qui doivent les conduire ; les chemins remplis de gens qui vont et viennent, tout cela ne saurait arriver qu’il n’y ait bien des familles dans la désolation, bien des terres incultes, et bien des dépenses pour État

Sept cent mille familles dépourvues de leurs chefs ou de leurs soutiens se trouvent tout à coup hors d’état de vaquer à leurs travaux ordinaires ; les terres privées d’un pareil nombre de ceux qui les faisaient valoir diminuent, en proportion des soins qu’on leur refuse, la quantité comme la qualité de leurs productions.

Les appointements de tant d’officiers, la paie journalière de tant de soldats et l’entretien de tout le monde creusent peu à peu les greniers et les coffres du prince comme ceux du peuple, et ne sauraient manquer de les épuiser bientôt.

Être plusieurs années à observer ses ennemis, ou à faire la guerre, c’est ne point aimer le peuple, c’est être l’ennemi de son pays ; toutes les dépenses, toutes les peines, tous les travaux et toutes les fatigues de plusieurs années n’aboutissent le plus souvent, pour les vainqueurs eux-mêmes, qu’à une journée de triomphe et de gloire, celle où ils ont vaincu. N’employer pour vaincre que la voie des sièges et des batailles, c’est ignorer également et les devoirs de souverain et ceux de général ; c’est ne pas savoir gouverner ; c’est ne pas savoir servir État

Ainsi, le dessein de faire la guerre une fois formé, les troupes étant déjà sur pied et en état de tout entreprendre, ne dédaignez pas d’employer les artifices.

Commencez par vous mettre au fait de tout ce qui concerne les ennemis ; sachez exactement tous les rapports qu’ils peuvent avoir, leurs liaisons et leurs intérêts réciproques ; n’épargnez pas les grandes sommes d’argent ; n’ayez pas plus de regret à celui que vous ferez passer chez l’étranger, soit pour vous faire des créatures, soit pour vous procurer des connaissances exactes, qu’à celui que vous emploierez pour la paie de ceux qui sont enrôlés sous vos étendards : plus vous dépenserez, plus vous gagnerez ; c’est un argent que vous placez pour en retirer un gros intérêt.

Ayez des espions partout, soyez instruit de tout, ne négligez rien de ce que vous pourrez apprendre ; mais, quand vous aurez appris quelque chose, ne la confiez pas indiscrètement à tous ceux qui vous approchent.

Lorsque vous emploierez quelque artifice, ce n’est pas en invoquant les Esprits, ni en prévoyant à peu près ce qui doit ou peut arriver, que vous le ferez réussir ; c’est uniquement en sachant sûrement, par le rapport fidèle de ceux dont vous vous servirez, la disposition des ennemis, eu égard à ce que vous voulez qu’ils fassent.

Quand un habile général se met en mouvement, l’ennemi est déjà vaincu : quand il combat, il doit faire lui seul plus que toute son armée ensemble ; non pas toutefois par la force de son bras, mais par sa prudence, par sa manière de commander, et surtout par ses ruses. Il faut qu’au premier signal une partie de l’armée ennemie se range de son côté pour combattre sous ses étendards : il faut qu’il soit toujours le maître d’accorder la paix et de l’accorder aux conditions qu’il jugera à propos.

Le grand secret de venir à bout de tout consiste dans l’art de savoir mettre la division à propos ; division dans les villes et les villages, division extérieure, division entre les inférieurs et les supérieurs, division de mort, division de vie.

Ces cinq sortes de divisions ne sont que les branches d’un même tronc. Celui qui sait les mettre en usage est un homme véritablement digne de commander ; c’est le trésor de son souverain et le soutien de l’empire.

J’appelle division dans les villes et les villages celle par laquelle on trouve le moyen de détacher du parti ennemi les habitants des villes et des villages qui sont de sa domination, et de se les attacher de manière à pouvoir s’en servir sûrement dans le besoin.

J’appelle division extérieure celle par laquelle on trouve le moyen d’avoir à son service les officiers qui servent actuellement dans l’armée ennemie.

Par la division entre les inférieurs et les supérieurs, j’entends celle qui nous met en état de profiter de la mésintelligence que nous aurons su mettre entre alliés, entre les différents corps, ou entre les officiers de divers grades qui composent l’armée que nous aurons à combattre.

La division de mort est celle par laquelle, après avoir fait donner de faux avis sur l’état où nous nous trouvons, nous faisons courir des bruits tendancieux, lesquels nous faisons passer jusqu’à la cour de son souverain, qui, les croyant vrais, se conduit en conséquence envers ses généraux et tous les officiers qui sont actuellement à son service.

La division de vie est celle par laquelle on répand l’argent à pleines mains envers tous ceux qui, ayant quitté le service de leur légitime maître, ont passé de votre côté, ou pour combattre sous vos étendards, ou pour vous rendre d’autres services non moins essentiels.

Si vous avez su vous faire des créatures dans les villes et les villages des ennemis, vous ne manquerez pas d’y avoir bientôt quantité de gens qui vous seront entièrement dévoués. Vous saurez par leur moyen les dispositions du grand nombre des leurs à votre égard, ils vous suggéreront la manière et les moyens que vous devez employer pour gagner ceux de leurs compatriotes dont vous aurez le plus à craindre ; et quand le temps de faire des sièges sera venu, vous pourrez faire des conquêtes, sans être obligé de monter à l’assaut, sans coup férir, sans même tirer l’épée.

Si les ennemis qui sont actuellement occupés à vous faire la guerre ont à leur service des officiers qui ne sont pas d’accord entre eux ; si de mutuels soupçons, de petites jalousies, des intérêts personnels les tiennent divisés, vous trouverez aisément les moyens d’en détacher une partie, car quelque vertueux qu’ils puissent être d’ailleurs, quelque dévoués qu’ils soient à leur souverain, l’appât de la vengeance, celui des richesses ou des postes éminents que vous leur promettez, suffiront amplement pour les gagner ; et quand une fois ces passions seront allumées dans leur cœur, il n’est rien qu’ils ne tenteront pour les satisfaire.

Si les différents corps qui composent l’armée des ennemis ne se soutiennent pas entre eux, s’ils sont occupés à s’observer mutuellement, s’ils cherchent réciproquement à se nuire, il vous sera aisé d’entretenir leur mésintelligence, de fomenter leurs divisions ; vous les détruirez peu à peu les uns par les autres, sans qu’il soit besoin qu’aucun d’eux se déclare ouvertement pour votre parti ; tous vous serviront sans le vouloir, même sans le savoir.

Si vous avez fait courir des bruits, tant pour persuader ce que vous voulez qu’on croie de vous, que sur les fausses démarches que vous supposerez avoir été faites par les généraux ennemis ; si vous avez fait passer de faux avis jusqu’à la cour et au conseil même du prince contre les intérêts duquel vous avez à combattre ; si vous avez su faire douter des bonnes intentions de ceux mêmes dont la fidélité à leur prince vous sera la plus connue, bientôt vous verrez que chez les ennemis les soupçons ont pris la place de la confiance, que les récompenses ont été substituées aux châtiments et les châtiments aux récompenses, que les plus légers indices tiendront lieu des preuves les plus convaincantes pour faire périr quiconque sera soupçonné.

Alors les meilleurs officiers, leurs ministres les plus éclairés se dégoûteront, leur zèle se ralentira ; et se voyant sans espérance d’un meilleur sort, ils se réfugieront chez vous pour se délivrer des justes craintes dont ils étaient perpétuellement agités, et pour mettre leurs jours à couvert.

Leurs parents, leurs alliés ou leurs amis seront accusés, recherchés, mis à mort. Les complots se formeront, l’ambition se réveillera, ce ne seront plus que perfidies, que cruelles exécutions, que désordres, que révoltes de tous côtés.

Que vous restera-t-il à faire pour vous rendre maître d’un pays dont les peuples voudraient déjà vous voir en possession ?

Si vous récompensez ceux qui se seront donnés à vous pour se délivrer des justes craintes dont ils étaient perpétuellement agités, et pour mettre leurs jours à couvert ; si vous leur donnez de l’emploi, leurs parents, leurs alliés, leur amis seront autant de sujets que vous acquerrez à votre prince.

Si vous répandez l’argent à pleines mains, si vous traitez bien tout le monde, si vous empêchez que vos soldats ne fassent le moindre dégât dans les endroits par où ils passeront, si les peuples vaincus ne souffrent aucun dommage, assurez-vous qu’ils sont déjà gagnés, et que le bien qu’ils diront de vous attirera plus de sujets à votre maître et plus de villes sous sa domination que les plus brillantes victoires.

Soyez vigilant et éclairé ; mais montrez à l’extérieur beaucoup de sécurité, de simplicité et même d’indifférence ; soyez toujours sur vos gardes, quoique vous paraissiez ne penser à rien ; défiez-vous de tout, quoique vous paraissiez sans défiance ; soyez extrêmement secret, quoiqu’il paraisse que vous ne fassiez rien qu’à découvert ; ayez des espions partout ; au lieu de paroles, servez-vous de signaux ; voyez par la bouche, parlez par les yeux ; cela n’est pas aisé, cela est très difficile. On est quelquefois trompé lorsqu’on croit tromper les autres. Il n’y a qu’un homme d’une prudence consommée, qu’un homme extrêmement éclairé, qu’un sage du premier ordre qui puisse employer à propos et avec succès l’artifice des divisions. Si vous n’êtes point tel, vous devez y renoncer ; l’usage que vous en feriez ne tournerait qu’à votre détriment.

Après avoir enfanté quelque projet, si vous apprenez que votre secret a transpiré, faites mourir sans rémission tant ceux qui l’auront divulgué que ceux à la connaissance desquels il sera parvenu. Ceux-ci ne sont point coupables encore à la vérité, mais ils pourraient le devenir. Leur mort sauvera la vie à quelques milliers d’hommes et assurera la fidélité d’un plus grand nombre encore.

Punissez sévèrement, récompensez avec largesse : multipliez les espions, ayez-en partout, dans le propre palais du prince ennemi, dans l’hôtel de ses ministres, sous les tentes de ses généraux ; ayez une liste des principaux officiers qui sont à son service ; sachez leurs noms, leurs surnoms, le nombre de leurs enfants, de leurs parents, de leurs amis, de leurs domestiques ; que rien ne se passe chez eux que vous n’en soyez instruit.

Vous aurez vos espions partout : vous devez supposer que l’ennemi aura aussi les siens. Si vous venez à les découvrir, gardez-vous bien de les faire mettre à mort ; leurs jours doivent vous être infiniment précieux. Les espions des ennemis vous serviront efficacement, si vous mesurez tellement vos démarches, vos paroles et toutes vos actions, qu’ils ne puissent jamais donner que de faux avis à ceux qui les ont envoyés.

Enfin, un bon général doit tirer parti de tout ; il ne doit être surpris de rien, quoi que ce soit qui puisse arriver. Mais par-dessus tout, et de préférence à tout, il doit mettre en pratique ces cinq sortes de divisions. Rien n’est impossible à qui sait s’en servir.

Défendre les États de son souverain, les agrandir, faire chaque jour de nouvelles conquêtes, exterminer les ennemis, fonder même de nouvelles dynasties, tout cela peut n’être que l’effet des dissensions employées à propos.

Telle fut la voie qui permit l’avènement des dynasties Yin et Tcheou, lorsque des serviteurs transfuges contribuèrent à leur élévation.

Quel est celui de nos livres qui ne fait l’éloge de ces grands ministres ! L’Histoire leur a-t-elle jamais donné les noms de traîtres à leur patrie, ou de rebelles à leur souverain ? Seul le prince éclairé et le digne général peuvent gagner à leur service les esprits les plus pénétrants et accomplir de vastes desseins.

Une armée sans agents secrets est un homme sans yeux ni oreilles.





Brèves de Covid — Nous vivons une époque formidable qui nous met à l’abri de l’horreur. Humour coloré…

Par Alain Tortosa

14 janvier

Fait divers :
Accident mortel sur l’A7, le chauffard n’était pas vacciné.

« C’est la violence inhabituelle de l’accident qui a interpellé les services de secours. Un pompier a déclaré “en 20 ans de métier, je n’avais jamais vu un tel impact” Interrogé par les enquêteurs, le chauffard qui a miraculeusement survécu a déclaré “J’étais dans une spirale complotiste infernale et je regrette mon geste, j’invite tous les humains à se vacciner au plus vite.” Face que sa déclaration sauve des vies et que des irresponsables retrouvent la raison ! Le préfet en a aussi profité pour rappeler le résultat des dernières études scientifiques qui prouvent que le risque d’accident est multiplié par 10 quand on n’est pas vacciné et doublé si en plus on ne porte pas de masque FFP2 en voiture. »

Trafic :
Prévisions d’embouteillages pour le WE.

« Bison futé nous annonce que les routes seront saturées dans les prochaines semaines malgré une baisse de trafic de 90 % des automobilistes qui resteront chez eux. En effet selon les spécialistes, les 10 % qui prendront la route vont inexorablement congestionner autant les routes que s’ils avaient été 100 %. Cela pourrait, paraît-il, s’expliquer par une dégradation des routes. Bison Futé n’a pas été en mesure de nous dire quel pourcentage de voitures devraient rester chez elles pour éviter cette saturation. Il semblerait que même si 99 % des voitures renonçaient à sortir et que seul 1 % se rendaient sur les routes, cela pourrait quand même conduire à terme à la saturation totale du réseau. Notons que certains individus au QI fort peu développé continuent de se demander comment 10 % peut amener la même saturation que 100 %. Précisons que de nombreuses routes ont été fermées à l’initiative des autorités ces dernières années, ce qui pourrait participer à la congestion.  Sans compter que certains personnels responsables de l’entretien des routes sont interdits d’exercice ceci pouvant retarder les travaux. »

Santé :
Bonne nouvelle, le Covid n’est plus la seule maladie mortelle !

« L’année 2020 fut une année apocalyptique durant laquelle toute personne décédée l’était du Covid. Plus de mort de grippes, de cancers, d’AVC, de problèmes cardiaques… Le Covid s’arrangeait systématiquement pour voler la vedette des autres maladies. Rendez-vous compte de la perfidie d’un tel virus sans morale, ni foi, ni loi. Vous aviez par exemple un gentil cancer qui grignotait petit à petit la vie d’un patient depuis plus de 10 ans… enfin celui-ci allait mourir dans d’horribles souffrances et le cancer récolter justement les fruits de tant d’années de labeurs et de douleurs… Et au moment de donner le coup de grâce, ce petit con de virus pointait sa tête et le pauvre cancer n’avait qu’à pleurer seul dans son coin suite à l’annonce : « un nouveau mort du coronavirus ! ». Heureusement l’année 2021 a mis fin à cette injustice flagrante, et ce grâce au vaccin ! Ne pensez pas que la vaccination permette aux personnes en fin de vie de ne plus mourir, non, l’objet n’est pas là… Elle permet aux maladies ayant concouru à tuer le patient de recouvrer leur dignité. Ainsi un malade vacciné, positif au Covid et qui décède, a désormais le droit, et même l’obligation d’être mort de ses maladies principales. Cette même personne qui en 2020 aurait été déclarée morte du Covid est désormais décédée du cancer en étant positive au Covid. Ce vaccin permet donc de rétablir la justice ! Veuillez noter que seules les personnes vaccinées bénéficient de cette dérogation, les personnes non vaccinées décédées ET positives au Covid demeurent quant à elle mortes du Covid quand bien même elles eues été écrasées par un train… mais positives. On voit bien la justesse du slogan gouvernemental « vous ne voulez plus mourir du Covid, vaccinez-vous ! »

Santé :
Le casse-tête des vaccinés non vaccinés.

« Depuis que le bon sens a parlé et qu’il a été admis qu’un rappel aurait lieu tous les 3 mois, soit 4 rappels par an, les vaccinés seront désormais non vaccinés 4 fois 15 jours. En effet je vous rappelle que pour chaque injection, on considère que la dose n’est pas active avant quinze jours ! Ce qui porte désormais à deux mois (minimum) la durée annuelle durant laquelle tout vacciné sera considéré non vacciné. Anticiper la dose de rappel ne résoudrait pas le problème de la perte du statut vaccinal durant 15 jours. Car il y a consensus pour dire qu’il y a chute des défenses immunitaires dans les jours suivant l’injection avant que celle-ci ne prenne efficacement le relais. Le conseil scientifique travaille à une solution, mais hormis les mettre à l’isolement, ne voit pas d’alternatives. Le patronnât a quant à lui suggéré qu’elles soient considérées en vacances durant ces périodes transitoires et placées à l’isolement à leur domicile. »

Fait divers :
Accident de la route.

« Un drame a été évité près de Bourgoin Sur Cerises Molles. Un automobiliste de 42 ans a percuté la vitrine de l’épicerie hier soir à 21 h 30. Bien heureusement l’épicerie était fermée… L’automobiliste déclara qu’il ne comprenait pas et que contrairement à ses habitudes, il n’avait bu que 5 verres de Pastis. Envoyé en comparution immédiate, le juge s’est voulu clément en affirmant « heureusement, vous étiez vacciné et le vaccin vous a protégé. Sans celui-ci, l’accident eu pu être 10 fois pire. » L’automobiliste sortit libre avec un simple avertissement et une obligation de rappel vaccinal pour les 3 prochaines années. »

Société :
pass vaccinal, protégeons les non-vaccinés.

« Les faux pass constituent un fléau qu’il faut enrayer. Alors que le pass sanitaire permettait d’avoir quelques convives avec preuves de non-positivité dans les restaurants, le pass vaccinal met fin à cette situation. Désormais seules les personnes munies d’un QR-code vaccinal pourront pénétrer dans un restaurant ou pénétrer leur voisin(e) dans un club échangiste. Plus aucun élément ne permettra de savoir si votre voisin de table (vacciné) est positif au virus ! C’est pourquoi le ministre supplie les non-vaccinés de ne pas utiliser de faux QR-code. Le ministre a déclaré “il ne serait que folie de fréquenter ces lieux de hautes contaminations pour les non-vaccinés” et de préciser qu’ils mettent leur vie en danger. Une fois de plus, nous avons la preuve que le gouvernement ne vise pas par ces mesures à nuire aux non-vaccinés, mais à les protéger des vaccinés. Raisons pour lesquelles il a été proposé d’interdire l’entrée dans un hôpital pour les non-vaccinés, celui-ci étant un bouillon de culture de vaccinés positifs et donc extrêmement dangereux. »

Fait divers :
Le violeur vaccinateur.

« Enfin l’affaire du « violeur vaccinateur » a été élucidée. Depuis plusieurs mois, un mystérieux violeur agissait dans la ville de Miremoi Le Gros et sa proche banlieue. Le violeur ne ciblait que des non-citoyens non vaccinés, hommes, femmes et enfants. La population des bonnes gens vaccinés n’en avait que faire au point que ni la gendarmerie ni la police n’enquêtait sur l’affaire. Tout le monde jugeant “bien fait pour leur gueule, ils l’ont bien cherché ces cons et n’ont qu’à se vacciner comme tout le monde !” L’affaire aurait pu s’arrêter là sans le viol d’une sexagénaire qui, elle, était vaccinée. La famille de la victime a fini par convaincre celle-ci de porter plainte alors même que la victime disait garder un “excellent souvenir de l’agression”. Une enquête a été menée et le “violeur vaccinateur” a été interpellé. Celui-ci a immédiatement reconnu les faits et s’est excusé d’avoir agressé la vieille dame qui lui aurait dit qu’elle n’était pas vaccinée… d’aucuns se demandent si la victime n’aurait pas menti volontairement pour se faire violenter. Le violeur a alors expliqué aux enquêteurs qu’il était en mission pour le Seigneur. Qu’ayant entendu dire que l’on retrouvait de l’ARN messager dans les testicules et le sperme, celui-ci pénétrait ses victimes dans le but de les vacciner et donc les protéger. Le jugement a été rendu ce matin, le juge a indiqué “Nous avons bien pris note de la noble intention qui est la vôtre… Mais d’une part vous prenez le risque d’être contaminé et d’autre part le législateur n’a pas encore statué sur votre heureuse initiative. Personne ne doute du fait qu’il faudrait forcer les non-vaccinés à se vacciner, qu’ils n’ont que ce qu’ils méritent, mais pour autant il est encore un petit peu trop tôt pour promouvoir le viol des non-vaccinés, raison pour laquelle nous vous condamnons à cesser vos activités durant 6 mois et vous assurer de la prise régulière des doses de rappel.” »

Société :
Crise de l’autorité parentale.

« De plus en plus de pharmaciens témoignent de la perte d’autorité et du laxisme de certains parents. Des vidéos circulent sur Internet avec ces parents de la honte qui renoncent à faire tester leur enfant en plein caprice. Des enfants sans repères et visiblement sans éducation se livrent à des simagrées lors de la pénétration du petit coton-tige dans leur narine. Nous sommes ici au-delà du caprice en voyant ces enfants dont les qualités d’acteurs leur permettraient de devenir joueurs professionnels de football. Rappelons que le test PCR est totalement indolore et qu’il est totalement normal que le coton-tige soit imbibé de sang lorsqu’on le retire. Il en va de la survie des grands-parents de procéder à des tests massifs et réguliers de ces petits cons d’enfants sans conscience. Alors parents ressaisissez-vous et ne vous laissez pas manipuler par quelques gouttes de sang ou de crises épileptiques après le test. Note : En cas d’écoulement d’une substance grisâtre dans les heures qui suivent, merci de consulter un médecin. »

Fait divers :
Accident de la route.

« Moignon Sur Les Pauls, un automobiliste perd l’usage de ses freins dans la descente de Malmonté. Stupeur et sidération chez le conducteur qui ne comprend pas comment cela a pu se produire. En effet la voiture avait été révisée la veille, les freins vérifiés, les plaquettes de frein changées et le carnet d’entretien étant parfaitement à jour (tous les 3 mois). Le problème ne venant a priori ni de la voiture ni du conducteur, nous étions face à un mystère. C’était sans compter sur la logique et la perspicacité de l’inspecteur Lestapo. Après enquête, il a été établi que la voiture de son voisin était une vieille guimbarde non entretenue et qu’elle serait en toute logique la cause de la défaillance des freins du véhicule quasi neuf victime de l’accident. On ne redira jamais assez que les véhicules non entretenus, même à l’arrêt, menacent les véhicules entretenus. »

Santé :
Campagne de prévention du gouvernement.

« Nous avons tous vu cette excellente campagne gouvernementale dans laquelle le gouvernement incite les Français à ouvrir les fenêtres. Nul ne remet en doute le bon sens et l’intelligence de la mesure, mais les plus perspicaces d’entre vous ont remarqué une personne assise devant la fenêtre qui se prenait le flot de virus durant l’aération. C’est vraiment la faute à pas de chance ! Matignon réfléchit à une nouvelle campagne et un décret a désormais été publié dans lequel il est précisé « lors de l’aération d’un local, il est interdit à toute personne de plus de 90 cm debout ou 90 cm en position assise de se tenir plus de 34,5 secondes devant la fenêtre. Elle peut néanmoins se tenir debout après 5 min 27 s d’aération sauf en cas de vent violent rabattant qui fait re-rentrer les virus.» Notons que les membres de la fédération des personnes de petite taille se sont réjouis de cette mesure de bon sens. »

Santé :
Simplification du protocole sanitaire à l’école (faits réels).

« Le gouvernement soucieux d’allier protection des Français, bon sens et simplicité a modifié le protocole sanitaire. Lorsqu’un cas de Covid est déclaré dans une classe, les parents pourront attendre la fin de la journée pour aller chercher les enfants cas contact sauf s’ils sont symptomatiques. Les enfants cas contact devront faire 3 tests à J0, J+2 et J+4 avec attestation sur l’honneur. Les classes ne ferment plus lorsqu’un ou plusieurs cas de Covid sont déclarés dans une classe. Si un nouveau cas positif est identifié dans une classe dans un délai inférieur à 7 jours, les élèves n’ont plus à répéter le parcours des 3 tests. En revanche si un enfant n’est pas cas contact, mais positif et qu’il a une vaccination complète alors il doit subir un isolement de 5 jours, si le test effectué le 5e jour est négatif ET en l’absence de symptômes depuis 48 heures, l’isolement étant porté à 7 jours dans le cas contraire. Mais lorsqu’un enfant est positif sans vaccination ou avec une vaccination incomplète selon le nombre de doses exigées et selon qu’il ait attrapé le Covid il y a moins de 6 mois, l’isolement est de 7 jours et non 5 jours. Si le test effectué le 7e jour est négatif et en l’absence de symptômes depuis 48 h, l’isolement étant porté à 10 jours dans le cas contraire. Lorsqu’un enfant est cas contact, mais avec vaccination complète il n’y a pas d’isolement, mais un autotest immédiat et à J+2 et J+4. Lorsqu’un enfant est cas contact sans vaccination ou avec vaccination incomplète il y a isolement de 7 jours et un autotest à l’issue de l’isolement. Notez qu’il faudrait vraiment être de mauvaise foi pour critiquer ces mesures qui de toute évidence simplifient grandement le protocole. »

Santé :
Troubles de l’enfance et vaccination.

« Problèmes d’apprentissages scolaires, problèmes relationnels, retards, agressivité, et si c’était un déficit en vaccination ? La dernière étude publiée par BioNTech ne laisse aucun doute quant à l’origine de ces troubles. Dès la première dose, on constate une diminution de 40 % des symptômes, même chez les patients au tableau clinique le plus sombre. Plus le nombre de doses augmente et plus l’élève devient un élève modèle au point qu’au bout de quelques mois il obtient les félicitations des enseignants à l’exception du sport. Les seuls effets secondaires semblent être une apathie totalement compatible avec l’enseignement tel qu’il est pratiqué en France. De nouvelles études sont en cours chez les prisonniers, mais les premiers résultats semblent encourageants. La population des vaccinés est beaucoup plus docile et obtempère à toutes injonctions. Ceci est vérifié régulièrement en introduisant une directive stupide pour tout nouveau protocole sanitaire. La dernière étant que manger debout expose plus au virus que manger assis. »

Santé, Justice :
« Tous vaccinés tous protégés ! »

« Qui n’a pas entendu ce slogan qui a permis de sauver des millions de vies en France. Hélas à la suite d’une plainte déposée par un groupuscule néonazi de complotistes, le gouvernement s’est vu contraint de modifier le slogan. Celui-ci sera désormais « tous vaccinés, tous protégés d’un décès par Covid ». Et afin que le doute ne soit plus permis, un décret a été publié ce jour précisant : “Toute personne vaccinée décédée, qu’elle soit symptomatique ou pas, qu’elle soit positive ou pas au Sars-cov2 ne pourra être décédée du Covid du fait du vaccin déclaré efficace (voir décret concerné). Son décès sera obligatoirement dû à ses comorbidités et si aucune comorbidité n’est connue au moment de son décès, la cause de décès sera indiquée comme “autre” ou “arrêt cardiaque”. »

Société :
Lutte contre les embouteillages en ville.

« Les services de la voirie se félicitent de la mise en œuvre de restrictions de circulation à Voici en Courgette. La petite agglomération déplorait de nombreux accidents sur la commune. Depuis la mise en place des restrictions (distances entre les véhicules, interdiction de sortie pour les plus anciens, cache calandre, révision obligatoire, nettoyage des véhicules obligatoires, etc.), le nombre d’accidents n’a augmenté que de 66 % ! Les services concernés se félicitent des résultats obtenus et ont annoncé que sans ces mesures efficaces, l’augmentation eut été de 200 %. Nous remercions le maire qui grâce à sa volonté sans faille a permis de limiter l’augmentation des accidents grâce à des mesures audacieuses et efficaces à n’en point douter… Il a déclaré au micro de notre antenne “voici la preuve que des mesures fortes de restrictions des libertés de déplacement sont efficaces”. »

Société :
Grève des enseignants.

« C’est ce jeudi que doit avoir lieu la grève des enseignants. Une fois de plus ceux-ci se retrouvent contraints de faire grève face à l’indifférence du ministère de l’Éducation qui n’hésite pas à les utiliser comme de la chair à canon. Le carnage se poursuit, chaque jour des dizaines de cadavres d’enseignants sauvagement contaminés par des élèves irresponsables sont retrouvés dans les salles de classe. Des rumeurs courent indiquant que certains élèves boiraient le sang de leurs victimes. Et que font le ministère et l’académie ? Rien ! Pourtant cela fait plus d’un an que les enseignants proposent un protocole alliant sécurité des enseignants et bien être des élèves. Rappelons brièvement celui-ci qui consiste à enfermer chaque élève dans un réservoir étanche relié à un système de ventilation. L’élève ayant à la fois son repas de la cantine ainsi qu’une couche pour ses besoins. À la décharge du ministre, les premières expérimentations s’étaient soldées par un petit incident alors que le système de ventilation était en panne. L’enseignante prise de panique ayant préféré fuir que prendre le risque de voir les contaminateurs répandre la peste noire. Raison pour laquelle chaque élève, si le dispositif devait être adopté, aura désormais dans sa cage un canari afin de s’assurer que l’air est respirable. En attendant, c’est la peur au ventre que les enseignants vaccinés 3 doses et avec deux masques ffp2 et une consommation de gel hydroalcoolique de 1 litre à l’heure, pénètrent les salles de classe. Ne sachant jamais s’ils passeront leur soirée parmi les leurs ou à la morgue. Putain de guerre ! »

Santé :
Pourquoi le virus n’aime toujours pas les magasins si le métro…

« Cette nouvelle étude de l’Institut Pasteur ne fait que conforter ce que nous pensions tous, d’instinct… Il est évident que le virus n’aime pas les lieux de consommation même bondés. Je vous rappelle que le Sars-cov2 est un virus des champs issu de l’accouplement entre un pangolin et une chauve-souris. Ce n’est que lorsqu’il a été ramené de force en ville que celui-ci a commencé à s’en prendre aux humains. De fait il est logique de penser que magasins et transports en commun bondés lui rappellent de mauvais souvenirs. D’autre part, je voulais vous rappeler que les gestes barrières sont respectés scrupuleusement dans ces lieux. Personne ne touche un caddy ou une barre dans un transport en commun sans auparavant le laver au gel hydroalcoolique. De même qu’une distance de 12 cm pendant 30 minutes dans un transport en commun ne présente aucun risque de contamination, le masque étant efficace à 100 %, 12 heures d’affilée, et même dans un milieu humide. Heureusement que la science est avec nous pour nous expliquer… »

Sécurité routière :
Conduire en n’étant pas vacciné n’est plus une option.

« Vous vous rappelez sans doute le slogan des années 80, « boire ou conduire il faut choisir ». Il faudra désormais compter sur “non vacciné ou conduire il faut choisir”. C’est ainsi que le juge l’a signifié au chauffard qui avait provoqué un accident dans la nuit de jeudi à vendredi dans la banlieue de Tricotons En Chevreuil. Ce jeune conducteur apparemment sans passé de délinquant de la route avait pris la voiture après une soirée bien arrosée au jus de pomme. Mal lui en a pris, celui-ci n’étant pas conscient de la dangerosité inhérente de son statut vaccinal. Le juge lui a signifié que conduire en état de “carnet de vaccination non à jour”, y compris des doses de rappel, était une circonstance aggravante et que désormais il ne saurait être question de prendre le volant avec un pass vaccinal périmé ou inexistant. La leçon a, semble-t-il, été comprise par le délinquant qui s’est empressé d’aller faire deux doses de rappels coup sur coup. »

Politique :
Devons-nous réserver les mouchoirs aux vaccinés ?

« Face à la vague Omicron qui commence à nous submerger, de nombreuses têtes pensantes commencent à s’inquiéter. Le porte-parole nous a rassurés en nous indiquant que le gouvernement était totalement préparé à cette vague comme il l’a été depuis le début de la crise. Les dernières études sont formelles et prouvent que la 6e dose nous protège efficacement des formes graves entre la salle d’examen et la sortie du centre de vaccination. En revanche, il demeure un doute quant à la durée de l’immunité, si elle nous permettrait de rejoindre notre domicile protégé ou pas… Bref, il est probable qu’Omicron nous mette face à une épidémie de Rhume telle que le monde n’a jamais connu. Nous savons que les USA et la Chine ont acheté des stocks de mouchoirs et il n’est pas certain que la France en dispose suffisamment. Je vous rappelle que le masque perd un peu de son panache lorsque l’on commence à se moucher avec et que la morve coule par les fuites… D’où cette proposition de loi qui propose de réserver les mouchoirs aux seuls vaccinés protégés. Le Ministre de la Santé (prochainement béatifié par le pape) est venu à l’assemblée et nous a expliqué que cette mesure, apparemment de bon sens et en tous les cas juste et morale, n’était pas une bonne idée. En effet si nous empêchons les non-vaccinés de se moucher, on risque de voir leur morve se répandre en tous lieux et ainsi mettre en danger les vaccinés malgré leur vaccin efficace. Quand bien même il eût été juste de les laisser dans leur morve… La proposition de loi a donc été rejetée avec regret. »

Automobile :
Un nouvel additif pour protéger son moteur.

« Un ingénieur allemand a mis au point un additif pour moteur qui le protège et augmente sa durée de vie. Est-il efficace longtemps me direz-vous ? À cette question les spécialistes ont répondu qu’il perdait de l’efficacité avec le temps et qu’il suffisait d’en mettre plus. Pour autant des associations de consommateurs ont déclaré constater de graves dysfonctionnements sur des moteurs et même que certains avaient explosé. Alors qu’il eut été normal de procéder à des tests de sécurité, l’ensemble des acteurs de la profession a balayé le problème et indiqué que ceci n’était que hasard, que des moteurs récents pouvaient exploser et que c’était habituel. Les associations de consommateur ont insisté en affirmant que « non seulement il ne protège pas le moteur, mais il a l’air de le détraquer… » Ici encore la réponse fut simple “il suffit d’en mettre plus”. Les associations ont aussi alerté les consommateurs sur le fait que l’essence utilisée dans les moteurs n’était plus la même depuis quelques mois, que la composition avait changé. Pas d’écho, alors même que l’additif avait été conçu pour être efficace avec un type d’essence, les fabricants nous rassurent et affirment que l’additif fonctionne parfaitement même avec la nouvelle essence. »

Politique :
Décodage des propos du Président.

« Certains Français ont réclamé des explications face aux dernières déclarations du Président de la République. Alors même qu’il avait traité d’emmerdeurs et de non-citoyens les non-vaccinés, celui-ci a déclaré que tous les Français avaient droit à la tranquillité. Ce faisant, nous pouvons imaginer qu’aussi bien les Français que les étrangers en situation régulière vivant sur le sol français avaient droit à cette tranquillité. Une lecture rapide pourrait laisser entendre une certaine forme de contradiction entre le droit à la tranquillité tout en étant emmerdé par le Président. Difficile d’apporter la tranquillité et d’emmerder en même temps ! De plus, il a précisé vouloir doubler le nombre de policiers. Pour autant, croiser deux fois plus de policiers ne sera pas de nature à détendre la population qu’il entend emmerder… Seront-ils en mesure de se sentir tranquilles, j’en doute ».

Automobile :
Les voitures à essence responsables de la saturation du périphérique de Beltour Les Joyeuses !

« C’est ainsi que décrit l’association « Nous avons trouvé nos boucs émissaires ». En effet, cela fait désormais quelques mois que les propriétaires de véhicules à essence sont accusés d’engorger le périphérique ! Les propriétaires de véhicules électriques n’en démordent pas “Nous avons fait l’effort d’acheter les voitures électriques, n’hésitant pas à sacrifier des enfants dans des pays pauvres, et ces connards de propriétaires de vieilles bagnoles engorgent le périph et polluent au point que nous risquons de ne plus pouvoir nous déplacer librement”. Le président de l’association a déclaré que 3900 voitures en moyenne l’empruntaient chaque jour alors même que la capacité n’était que de 6000 véhicules jour. L’association a oublié (volontairement ?) de rappeler que 6000 véhicules était la capacité du périphérique Ouest et que le périphérique Est pouvait accueillir plus de 12 000 véhicules soit un total de 19 000 véhicules. Ainsi la saturation actuelle due aux véhicules ne représente que 20 % et non de 65 % comme le prétend mensongèrement cette association. D’autre part, les services de l’État ont admis leur incapacité à déterminer le type de véhicules concernés. La moitié d’entre eux seraient des camions et non des voitures qui sont toute l’année sur les routes. De fait, les voitures individuelles, celles qui sont accusées de saturer le périph, ne représentent en fait que 10 % du trafic potentiel. Et les dernières données semblent dire que seule la moitié sont des véhicules anciens à essence n’ayant pas disposé d’une révision tous les 3 mois. Bref ces boucs émissaires ne représentent qu’environ 5 % du trafic et ils ne sont donc pas responsables de la saturation du périphérique non saturé. »

Justice :
Le violeur porte plainte contre sa victime non vaccinée et obtient justice !

« À Partout les Noix, c’est ce mercredi que devait comparaître M X et Mlle Baudeleoin au Tribunal. Rappelons que M X avait violé Mlle Baudeleoin âgée de 9 ans dans une cage d’escalier le soir de la Saint-Sylvestre et l’avait laissée pour morte après l’avoir rouée de coups. Les voisins excédés par la présence de ce corps qu’ils devaient enjamber pour rentrer chez eux ont prévenu les services de la mairie afin de le faire enlever. Il se trouve que la victime était encore vivante et elle a pu être réanimée. Ce n’est que quelques jours plus tard que M. X a appris par la presse que l’irresponsable Mlle Baudeleoin, élève à l’école primaire Marc Dutroux, n’était pas vaccinée. Ses parents naviguant dans une sphère complotiste d’extrême droite antisémitisme opposée à toute vaccination. M. X s’est immédiatement rendu à la gendarmerie pour déposer plainte contre l’irresponsable. Les gendarmes ont bien heureusement entendu M X et procédé immédiatement à l’interpellation de la délinquante. Heureusement les examens médicaux ont permis de vérifier que M X n’avait pas été contaminé par l’odieuse criminelle. Lors de l’audience la coupable a reconnu les faits et jugement a été rendu. La coupable a été condamnée à 5 ans d’obligation de rester à résidence, verser une rente à vie à M X et bien entendu lui payer tous ses rappels vaccinaux. Ce fût aussi l’occasion pour la cour de rappeler que “violer n’est pas un acte anodin” et qu’il est important de s’assurer du statut vaccinal de ses victimes. En tous les cas, belle journée à Partout Les Noix pour redonner confiance au système judiciaire. »

Société :
Devons-nous laisser crever de faim les non-vaccinés ?

« Tel était le débat lors des journées des jeunes catholiques à l’université d’été En effet même si Sa Sainteté le pape a été claire en indiquant que les non-vaccinés devaient être excommuniés, ceci étant en accord avec les déclarations du Président de la République rappelant qu’ils ne sont plus des citoyens, le débat demeure quant à leur sort… Je vous rappelle que l’amendement déposé par le candidat LR aux élections proposant la mise à mort des non-vaccinés avait été violemment rejeté par la gauche et les écologistes qui avaient crié au scandale, ceux-ci rappelant avec justesse que le recyclage des cadavres toxiques n’était pas au point et que cette idée, quand bien même nul ne doute de sa justesse et de sa générosité, aurait un impact écologique désastreux.

Il n’en demeure pas moins vrai que des millions de voix de bons Français de toutes confessions s’étaient élevées pour dire à quel point il était injuste de nourrir les non-vaccinés à ne rien faire alors même que de bons Français vaccinés n’avaient pas de ressources pour se nourrir dignement. Raison donc de la création de ces universités d’été. Les débats furent vifs, mais courtois… Nous avions d’un côté les tenant de la ligne dure “qu’ils crèvent dans la charité” et de l’autre les mous, qui pensaient qu’on devait leur fournir le minimum pour les maintenir en vie, mais qu’ils devaient travailler pour obtenir leur nourriture. Les pro-mort ne manquèrent pas de souligner que ce travail constituerait une concurrence déloyale vis-à-vis des travailleurs pauvres de notre belle nation. Ce à quoi la branche gauchiste a proposé qu’il soit assorti une taxe sur leur travail dont les revenus seraient équitablement répartis parmi les 50 fortunes les plus riches de France. C’est grâce à cette proposition juste et équitable que la ligne pro-mort accepta la proposition tout en soulignant l’aspect immoral de laisser en vie des êtres sans âme qui tuent froidement bébés et personnes âgées par leur non-vaccination. »

Santé :
Nouveau protocole dans les clubs échangistes.

« Les membres des clubs échangistes n’auront désormais plus le droit de s’enculer en position debout. Les débats furent rudes à l’Assemblée et au Sénat. Pour une fois l’hémicycle était presque plein, le sujet étant d’importance nationale. Rappelons qu’il est désormais interdit de dîner ou boire debout au bar, que les boîtes de nuit sont fermées, mais que les clubs échangistes demeurent ouverts… D’aucuns, des mauvaises langues, ont dit que c’était du fait que de nombreuses personnalités politiques fréquentaient ces lieux de détente ou se mêlent ébats et débats philosophiques. La réalité est ici scientifique ! Le virus ne se déplace pas sous les 1 min 40 s comme le savent tous les virologues dignes de ce nom. Les directeurs d’établissement ont annoncé qu’ils feraient appliquer la règle et que tout contrevenant sera fouetté cul nu comme il se doit. Les clients sont donc désormais invités à se déshabiller à l’entrée de l’établissement puis à se déplacer à quatre pattes. En l’absence d’ébats, une distance de 40 cm devra être respectée entre le cul de la personne devant et le nez de la personne juste après. Les sénateurs ont déposé un amendement qui a été repris et accepté au Sénat. Qui oserait affirmer qu’ils ne servent à rien ? Cet amendement précise que les nains pourront continuer à se déplacer et enculer les autres participants en position debout (selon leur choix bien sûr). La fédération des nains de France s’est félicitée de cette mesure de bon sens. »

Météo :
Inondations dans le Sud-Ouest.

« Trop c’est trop ! C’est ainsi que le maire de Pas De Bol a débuté son allocution en apprenant que sa commune allait être inondée… Je suis profondément choqué a-t-il ajouté en précisant qu’il avait fait des travaux sur sa commune pour prévenir les inondations et que 100 % de ses administrés étaient vaccinés y compris les vaches et les cochons. Vous comprendrez bien sa colère quand il a appris que les habitants de la commune de Je Mantape avaient décidé de ne pas garder leurs eaux de ruissellement et décidé de les envoyer sur Pas De Bol. Le maire de Pas De Bol a voulu rappeler que cela n’avait rien d’étonnant sachant que les habitants de Je Mantape étaient les moins vaccinés de France. À quand les mesures qui s’imposent ?! »

Société :
Championnats du monde de vaccination.

« Des Français de l’étranger sont sur le point de gagner le Championnat du monde de nombre de doses. Certains vaccins étant non reconnus en Europe ou en France, ils ne peuvent s’intégrer au pass vaccinal. Obligation de refaire toutes les doses comme s’ils n’avaient eu aucune dose. Bien entendu, il n’y a strictement aucun risque à mélanger les vaccins, les technologies… C’est comme toutes les bonnes choses, ça ne peut pas faire de mal… Nous avons donc des ressortissants à l’étranger qui ont eu 6 doses… quelle chance ! En revanche, des participants de métropole ont déposé une plainte auprès du comité organisateur du concours, criant à la concurrence déloyale et à la triche. Afin de ne pas rester en reste et se faire battre, certains Français ont eu l’idée de dire que leur pass vaccinal était un faux afin de pouvoir bénéficier de 3 doses supplémentaires et ainsi rattraper les concurrents. L’organisateur a quand même rappelé que le concours n’était pas un sprint, mais une course de fond et qu’à raison d’une dose tous les trois moins pendant vingt ans, ils auraient largement la possibilité de se rattraper. »

Société :
Remous dans le monde du complotisme (reprise d’une idée parue dans des réseaux sociaux, l’auteur m’est inconnu).

« C’est l’effervescence et la panique depuis plusieurs semaines dans le monde du complotisme. Toutes les théories du complot se révèlent de plus en plus exactes comme l’origine du virus, la création du pass vaccinal et autres balivernes… Celles que les vérificateurs de l’information nommaient théories complotistes tombent les unes après les autres… Il ne reste plus qu’une ou deux théories comme le fait que tout ceci est orchestré en vue du Grand Reset afin de rendre esclaves les humains ou que le but est d’exterminer une grande partie de la population pour que les complotistes soient à court de théories. Un appel d’offres a été lancé afin de pouvoir réalimenter au plus vite… Pour l’instant les propositions ne séduisent pas énormément. Nous avons la théorie de la Terre plate, les chefs d’État qui ont été remplacés par des Reptiliens, la lune qui est une base extraterrestre depuis laquelle les humains sont contrôlés… Néanmoins ne soyons pas trop pessimistes, les meilleures théories sont celles diffusées par les maîtres de ce monde et les médias mainstream. Il n’y a pas de raison de penser qu’ils seront à court d’imagination pour nous nuire et ainsi nous pourrons de nouveau augmenter le nombre de théories du complot. »

Santé :
Traitement obligatoire dans la lutte contre le Sida pour fréquenter les clubs échangistes.

« Le gouvernement a agrée une seule marque de médicaments dans la lutte contre le Sida. Les pratiquants des clubs échangistes pourront désormais se livrer à leur hobby à l’unique condition qu’ils apportent la preuve d’une prise de médicament PZ dans les 3 derniers mois. En revanche les individus qui n’ont pas pris leur traitement se verront totalement interdire l’entrée des clubs même avec une preuve de séronégativité de moins de 24 heures. Quant à celles et ceux à jour de leur traitement et pour lesquels un test a indiqué qu’ils étaient séropositifs, pas d’inquiétude, ils pourront librement continuer à fréquenter les clubs et sans préservatif. Le chef du gouvernement a traité d’égoïstes celles et ceux qui refusaient de prendre ce traitement qui de toute évidence “sauvait des vies”. Vous aurez bien compris que la santé des pratiquants était le plus importante pour le gouvernement qui n’a pas hésité à prendre cette mesure de bon sens. »

Société :
Boycott des entreprises de non-vaccinés.

« L’association, “FIEF, Français Injectés Et Fiers” a lancé une campagne de boycott visant les entreprises dont le ou les dirigeants ne sont pas vaccinés. Cette initiative relevant tellement du bon sens que l’on s’étonne qu’elle n’ait pas eu lieu plus tôt. Pourquoi, nous, bons Français, devrions-nous apporter notre argent à des entreprises sans morale ni conscience qui par leur action ont du sang sur les mains ? Combien de milliers de compatriotes ont vu leur opération supprimée par la saturation des hôpitaux uniquement causée par ces sous-citoyens non vaccinés ? Le président de l’association a déclaré “Les priver de clients et de revenus n’est que justice, ces sous-merdes n’ont qu’à crever dans les caniveaux”. Notons que le Président de la République ainsi que le gouvernement ont salué cette initiative citoyenne et déclaré “nous espérons qu’il y en aura d’autres”… Les bruits de couloir laissent entendre que M Lucien Bolmerbug, président du Fief se verrait bientôt remettre la Légion d’honneur. »

Santé :
Le sport c’est dangereux.

« Le ministère des Sports avec le support du ministère de la Santé met en garde les jeunes contre la pratique sportive. Nous savons depuis des années que le sport peut causer des AVC, des thromboses et des myocardites sur des personnes apparemment en bonne santé. L’effort musculaire déclenchant ces symptômes sous-jacents. Le désormais célèbre slogan “pour plus de sûreté, je ne fais pas de sport” a d’ores et déjà permis de sauver des centaines de vie… Et rappelez-vous “tous vaccinés, tous protégés”. »

Santé :
Dans un coffre ! (Basé sur des faits réels)

« Une mère de famille ayant amené son enfant dans un centre de test afin de s’assurer qu’il était négatif a eu une excellente idée. Apprenant que celui-ci est positif, elle s’est justement empressée de lui coller une baffe en le traitant de petit con “tu aurais pu faire attention et respecter les gestes barrières”. Bien entendu en mère responsable elle lui a signifié qu’il serait consigné dans sa chambre pendant 15 jours avec un pot de chambre et que les repas lui seraient apportés… Il devra de plus porter un masque jour et nuit. Mais là n’est pas l’essentiel, les mesures précédentes n’étant que le minimum raisonnable… Justement paniquée par l’idée de revenir à la maison, elle a bien envisagé de le faire courir derrière la voiture, mais les 15 km d’autoroutes auraient fait perdre trop de temps à la mère. C’est alors qu’elle a eu l’idée géniale d’enfermer son enfant dans le coffre de sa voiture… Ah si tous les parents avaient autant de bonnes idées, nous serions vite débarrassés de ce fléau ! »

Santé, Société :
En France on n’a pas de pétrole, mais on a des idées.

« Tel était le slogan des années 70 suite à la crise pétrolière. Et il n’était pas vain. De multiples médecins médiatiques et hommes politiques regorgent d’imagination pour faire payer les non-citoyens que sont les non-vaccinés. Saluons ici l’excellente initiative de Christian Estrosi qui a proposé de confiner (assigner à résidence) les non-vaccinés en ayant auparavant rendu obligatoire la vaccination et donc introduit le pass vaccinal pour travailler. Mais afin que la mesure soit juste et comprise par l’ensemble des vrais Français, M. Estrosi a précisé que les égoïstes seraient aussi privés d’assurance chômage… On ne va quand même pas leur offrir le gîte et le couvert… merde ! Cette excellence initiative succède à d’autres bonnes idées comme faire payer un impôt supplémentaire aux non-vaccinés, les faire payer ou les interdire de soin à l’hôpital ou les mettre en prison. Ne doutons pas que de nouvelles idées verront le jour dans les prochains jours afin que les bons Français puissent être protégés de ces monstres sans foi ni loi. »

Religion :
Les non-vaccinés ont-ils une âme ?

« C’est de cette question dont ont débattu les évêques lors du dernier concile. Autant il y eut en toute logique unanimité pour excommunier les non-vaccinés qui de toute évidence ne pouvaient pas faire partie de l’église de Rome, autant le débat fut rude concernant la question de l’âme. L’église a fait de grands progrès ces dernières années avec la reconnaissance de l’avortement, de l’utilisation de cellules fœtales pour la fabrication de vaccins, mais demeure plus ou moins indécise sur les non-vaccinés. La devise catholique voudrait qu’on les aime, qu’on les aide, qu’on leur pardonne leurs errements, mais il n’est pas pour autant possible d’ignorer la profondeur de leur horreur qui ferait passer une orgie pédophile comme un hobby banal. Malgré la longueur des débats, il ne fut pas possible de trancher définitivement sur cette question. À ce jour donc les non-vaccinés ne sont ni considérés comme des humains ni comme des animaux. »

Justice :
Majorité pénale.

« Un débat à court en ce moment sur l’âge de la majorité pénale. En effet nous voyons de plus en plus d’enfants en bas âge contaminer leurs grands-parents innocents. Je vous rappelle que la morale veut que les enfants et petits enfants se sacrifient pour leurs grands-parents. C’est quand même la moindre des choses, le minimum de respect possible. Et puis, depuis quand les vieux devraient se sacrifier pour les jeunes ? N’importe quoi. Bref nous voyons même des bébés qui enlèvent leur masque dans la journée pour porter une tétine infectée à leur bouche ! Sans compter ces enfants qui au lieu de rester dans un cercle marqué sur le sol, vont vers d’autres enfants pour jouer. Une enseignante, horrifiée comme il se doit, a même assisté à l’acte criminel d’un enfant qui a voulu prêter sa gomme à un autre enfant. C’était sans compter sur l’intelligence, le bon sens et les réflexes de l’enseignante qui a immédiatement activé l’alarme incendie de l’école. Malgré la pluie, les enfants sont restés pendant 4 heures dans la cour, le temps que les locaux soient désinfectés. Il existe des milliers d’exemples… Bien entendu il semble logique de condamner les parents à de lourdes peines et les priver de leurs droits parentaux, mais on ne peut pas uniquement leur jeter la pierre. Nous savons tous que certains enfants sont mauvais par essence, ils sont incontrôlables et malgré toute la bonne volonté des parents se comportent en tueurs psychopathes prêts à tuer leurs aînés. Le bon sens voudrait donc que la majorité pénale soit désormais à partir de 3 ans. »

Covid :
Olivier Veran positif (en partie réel).

« Le Ministre de la Santé a-t-il été contaminé par ses enfants en âge d’aller à l’école primaire ? C’est en tous les cas la thèse la plus probable, s’ajoutant aux nombreuses victimes de leurs enfants comme Jean Castex ou le Dr Alexandre, si je ne me trompe. Cela nous démontre une fois de plus la dangerosité de ces enfants qui parfois ont un geste tendre en direction de leurs parents, enlevant le masque pendant une seconde. Pour être encore plus sérieux, force est de constater que le respect des gestes barrières et le port du masque nous mettent à l’abri de 110 % des contaminations, mais pas avec les enfants. De nombreuses voix s’élèvent pour réclamer un protocole sanitaire adapté aux enfants. Le principal dirigeant d’un syndicat enseignant a déclaré “ce n’est plus possible, il faut les mettre dans des camps sans quoi l’humanité risque de s’éteindre à cause de ces petits cons.” L’Australie, en avance sur les autres pays est en train de préparer des camps pour enfants dans des parcs d’attractions pour rendre leur incarcération plus ludique. Le porte-parole du gouvernement a quant à lui déclaré “je suis peut-être un enculé, mais au moins je ne risque pas d’être contaminé par mes enfants”. Il a été convenu que lors du prochain remaniement ministériel le quota d’enculés serait porté à 50 % au minimum afin de protéger le gouvernement en cas d’attaque infectieuse massive des enfants envers leurs parents. »

Société :
Plainte de l’association de consommateurs TousUnis.

« L’association de consommateurs TousUnis a déposé plainte contre la société de jeux éducatifs Es Lebe Die Lage. L’association reconnaît que l’idée du jeu “Ramasse tes virus” était excellente et permettait aux enfants de se familiariser à la filtration des virus par les masques. Le problème est que le jeu est totalement injouable. En effet, les enfants doivent ramasser du sable avec une épuisette, mais les trous font 3 cm de côté. Imaginez ces pauvres enfants dire “il est nul ce jeu, il faut vraiment être con pour croire qu’on peut ramasser du sable avec des trous pareils”. Contacté par notre rédaction, le fabricant a tenu à présenter ses excuses et précisé que les ingénieurs (irresponsables) s’étaient basés sur la proportionnalité réelle entre la taille d’un virus et les fibres d’un filtre à café. Une nouvelle version du jeu pourrait remplacer l’épuisette à trous par une épuisette en sac poubelle afin de s’assurer de l’efficacité du ramassage. »

Santé :
Pédophilie et inceste.

« La pédophilie permettrait de renforcer les défenses immunitaires de l’enfant. En ces temps troublés de pandémie mondiale, toute idée est bonne est à prendre. Des chercheurs du MIT sont arrivés à la conclusion que l’inceste pouvait augmenter de 40 % les défenses immunitaires chez l’enfant dès lors qu’il était violé par un proche membre de sa famille (grand-parent, parent, frère, oncle…) Bien évidemment l’agresseur pédophile devait être à jour de son parcours vaccinal afin d’augmenter l’efficacité du traitement. Il a été établi qu’il était préférable d’enculer l’enfant dans les 15 jours suivant le rappel, là où les anticorps sont les plus importants. Une fréquence de deux fois par mois étant suffisante pour maintenir l’immunité et d’une fois par mois pour les moins de 3 ans. Et bonne nouvelle, les effets secondaires sont relativement rares et anodins. Les chercheurs ont constaté quelques rares cas de suicide chez l’enfant ou un peu plus fréquent d’automutilations. Une campagne d’information sera bientôt diffusée en France et plusieurs personnalités publiques se sont généreusement proposées pour parrainer l’association “encule ton neveu”. »

Santé :
Amputation prophylactique.

« Des chercheurs allemands, toujours pionniers dans l’avancée de l’humanité, ont constaté que les enfants de moins de cinq ans qui n’avaient ni main ou ni bras, enlevaient beaucoup moins leurs masques. Ils ont donc acheté des enfants dans des orphelinats roumains et procédé à des amputations “prophylactiques”. Un peu sur le même principe que l’ablation du sein pour empêcher des femmes d’avoir un cancer du sein (pas con et tellement humain, hein ?). L’étude a été menée très sérieusement créant plusieurs groupes. Ceux à qui on coupait les mains, le groupe avec l’avant-bras coupé, le groupe avec tout le bras coupé et le groupe témoin qui possédait des bras et des mains. Les résultats ont montré que le meilleur résultat était obtenu en coupant le bras au niveau du coude avec une augmentation de 80 % de l’adhésion au port du masque. Nous pensons que d’ici un mois, l’opération (banale et sans danger ni contre-indications) devrait être proposée pour les parents qui le désirent aux enfants de moins de 5 ans. Le rapport bénéfice versus risque pour l’enfant étant totalement favorable au regard de la dangerosité du virus sans compter le bénéfice pour les grands-parents et la société. Il a été prouvé que plus l’enfant était mutilé jeune et moins il avait d’effets secondaires, oubliant avec l’âge qu’il avait des bras et des mains avant cette petite opération bénigne. Précisons qu’étant donné le côté anodin de l’opération, l’accord d’un seul parent sera nécessaire pour procéder à l’amputation des deux membres. »

Société :
Conférence-débat à l’université de Vichy.

« Les plus de 60 ans ont été conviés à une conférence à l’université de Vichy dont le thème était “Les enfants sont-ils une menace pour l’humanité ?” Les débats furent vifs, mais courtois. Il est bien loin le temps où nous étions naïfs à penser que les enfants étaient l’avenir de l’homme. Le fléau a rebattu les cartes et ces têtes blondes d’apparence innocente se sont révélées être de dangereux psychopathes tueurs de grands-parents. Comme bien souvent nous n’avons pas voulu ouvrir les yeux alors même que les enseignants nous avaient signalé très tôt la menace qu’ils représentent. Quand je pense qu’ils continuent à les côtoyer chaque jour au péril de leur vie, je suis admiratif. Arrêtons donc de tourner au tour du pot… Le plus simple et le plus efficace pour nous grands-parents serait de les tuer… Pour autant rappelons-nous que les enfants seront demain les adultes qui paieront les retraites et après-demain de paisibles retraités jouissant des plaisirs de la vie… La solution la plus raisonnable serait donc de faire des fermes d’élevage 100 % automatisées, sous cloche en dehors du monde afin de les faire pousser le plus vite possible et ainsi qu’ils deviennent des adultes au service des vieux. Ce n’est qu’avec des initiatives à la fois humanistes et efficaces que nous pourrons sortir du fléau. »

Merci

Alain Tortosa

Tout ceci n’est bien sûr qu’humour noir et caricature et ne saurait avoir de lien avec la réalité

14 janvier 2022.

https://7milliards.fr/tortosa20220114-breves-humour-noir.pdf




La déshumanisation numérique de l’humanité

[Source : etresouverain.com]

Par Julian Rose, Contributeur, Waking Times

Ray Kurzweil n’a pas de Dieu à honorer. Il a une machine, et il veut que nous passions tous à cette version numérique du divin. Il veut que nous devenions des super-ordinateurs, sauf de nom. Il l’appelle « la singularité », un nom à consonance quasi-religieuse. La singularité signifie « la fusion du réel et du synthétique ».

Kurzweil considère qu’il s’agit d’un acte suprême qui mettra fin à la nécessité de l’évolution humaine en transférant le sens et le but de la vie dans une encyclopédie électro-numérique « en temps réel » composée de billions de circuits électriques sans âme qui imitent ce que nous appelons la « connaissance ».

Il n’est pas le seul à penser de la sorte, il y a aussi Zuckerberg, Schwab, Musk et je ne sais qui d’autre. Et puis il y a toute une série d’adeptes qui suivent derrière, qui suivent tous le même chemin. Des dizaines de millions, voire des milliards d’entre eux. Ils ne se décrivent pas comme des adeptes de la « singularité », ils vénèrent simplement le même totem numérique et lui permettent de prendre progressivement le contrôle de leur vie – mégaoctet par mégaoctet, gigaoctet par gigaoctet – jusqu’à ce qu’ils ne puissent plus être décrits comme humains.

Lorsque vous voyez des personnes qui regardent constamment vers le bas, vous vous rendez compte qu’elles se métamorphosent en quelque chose de moins humain. L’aspiration – le désir de grandir, d’apprendre et d’être plus que ce que l’on est – est une action qui va vers le haut.

L’impulsion de l’aspiration à un état de conscience supérieur, est un mouvement ascendant. Comme un arbre ou une fleur qui tend vers la lumière, nous, les humains, le faisons aussi.

Mais ceux qui sont séduits par leurs téléphones portables, leurs I pods, leurs tabs et autres, regardent toujours en bas. Dans un endroit où la seule lumière est celle des LED sur le visage de leur appareil.

Lentement mais sûrement, les humains se transforment en ce à quoi ils sont accros. Ils perdent leur capacité à voir et à répondre à la Lumière réelle, leur ange gardien et leur lien inné avec la conscience cosmique universelle. Ils perdent leur humanité. Leur âme est neutralisée, court-circuitée, supprimée.

Chaque fois que l’on s’assied devant un écran lumineux, on est sujet à l’hypnose. On devient inconsciemment dépendant de ce qui est la technologie d’accès à un autre monde d’être et de percevoir : « un monde virtuel ».

Kurzweil et les milliards de personnes qui adoptent sa fascination pour l’existence virtuelle font peser un lourd fardeau sur le reste de la vie. Ils sont un poids mort imposé à la matière vivante. Ils sont les récepteurs et les émetteurs de champs énergétiques déformés – et ces champs polluent les champs vibratoires naturels responsables de la santé et du bien-être de toute matière vivante.

Les personnes qui ne regardent que vers le bas « répandent » leurs vibrations négatives sur les autres personnes de leur entourage. C’est une réalité vibratoire. Et lorsqu’il est associé au rayonnement EMF émanant de ce à quoi ils sont accros, les rythmes circadiens de la biosphère sont noyés dans un électrosmog omniprésent.

La résonance de Schumann (7,86 hertz), qui maintient l’équilibre de l’environnement naturel, y compris les êtres humains, la faune et la flore, est reléguée au second plan, tandis que les fréquences de rayonnement synthétique émises par les tours et les émetteurs 3, 4 et 5G deviennent le champ énergétique prédominant.

Un champ de tension qui est dispersé et accentué par les petites bombes à retardement de poche dont environ 95 % des personnes vivant et travaillant dans les sociétés occidentales ne peuvent supporter de se séparer.

Mais quand votre meilleur ami est une machine, vous êtes facilement victime de ses pouvoirs.

L’histoire d’amour de l’homme avec la technologie s’est intensifiée au fil des décennies. Il y a toujours eu une fascination pour ce qui semble rendre la vie quotidienne plus facile et plus « pratique ».

Mais le prix à payer pour les accessoires numériques de l’ère moderne, toujours plus high-tech et « irréparables », est beaucoup trop élevé. Ils ne peuvent pas être simplement rejetés comme quelque chose « dont on ne peut pas se passer ».

La nourriture, l’eau, les vêtements, le logement et les médicaments appartiennent à cette catégorie, mais pas les technologies de commodité qui tuent.

Nous, les humains, ne sommes pas des machines. Nous avons des corps physiques sensibles, des cerveaux étonnamment brillants et des pouvoirs exquis de perception et de spiritualité. Le rôle de la machine est de soutenir cette condition, et non de l’annuler. Il s’agit d’accentuer un sens créatif de la proportion et de la réactivité à « échelle humaine » dans la vie quotidienne.

Les multiples jouets technologiques d’aujourd’hui ont été transformés en armes. Ils sont nés de la recherche et du développement militaires. Ils ont été conçus et dessinés comme des armes intentionnelles et des outils de surveillance, combinés en un seul.

Ils ne sont accompagnés d’aucun avertissement sanitaire, si ce n’est de quelques précautions en petits caractères, moins évidentes que celles associées aux jouets en plastique. Les enfants sont incités à nouer des relations à long terme avec ces jouets électromagnétiques toxiques et avec les mondes virtuels dans lesquels ils attirent leurs propriétaires, comme des papillons de nuit vers la flamme. Ce sont des accessoires militaires, édulcorés et domestiqués pour devenir des outils de torture « amicale ». Des armes silencieuses qui déforment de manière séduisante la divine condition humaine.

Aujourd’hui, nous commençons à voir les conséquences désastreuses de l’adoption d’un tel degré de foi aveugle dans le faux dieu borgne appelé « progrès », avec sa promesse faustienne de nous rapprocher toujours plus de la terre promise de la perfection technologique. La transmutation d’êtres humains chaleureux, spontanés et créatifs en cyborgs stériles et sans âme.

Tel est le programme de Kurzweil, Zuckerberg, Gates et Schwab pour l’avenir de l’humanité ; ces sombres agents du génocide de l’âme humaine.

Alors protégez vos précieuses âmes sensibles avec votre propre vie. Ne les laissez jamais être asservies par la technologie. Donnez-leur le véritable espace de respiration dont elles ont besoin pour se faire connaître à vous.

Car seule votre âme connaît la véritable direction de la Terre promise.

[Voir aussi :
Effets nocifs des ondes pulsées (Wi-Fi, cellulaires, compteurs intelligents…)
Comment le système nous a rendus si mous
Réflexion sur la vie, la matière et la conscience
Numérisation, asservissement, Apocalypse
La religion de l’Antéchrist
Les machines pour jouer à Dieu]




La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité

[Source : cv19.fr (Recherches Covid-19)]

[Ndlr : de nombreux articles présentés par Nouveau Monde autour des approches alternatives à la théorie virale et à celle, plus générale, des germes proviennent du site Recherches Covid-19 qui effectue un remarquable travail de collecte d’informations dans ce domaine.]

Les docteurs Mark Bailey et John Bevan-Smith viennent de publier un article choc intitulé “La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité”.
Ils couvrent tout ce qui se cache derrière la fraude – y compris les acteurs, la PCR, la virologie, la modélisation et plus encore.


Contenus

Résumé

Première partie

L’agenda mondialiste
Le cheval de Troie
La double tromperie de la virologie
Les quatre piliers de la fraude COVID-19
Le premier pilier : L’isolement

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique
Le troisième pilier : La PCR
Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Troisième partie

En résumé
Conclusion
POST-SCRIPTUM
Crimes contre l’humanité
L’insulte finale
A propos des auteurs

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Résumé

Le COVID-19 est une fraude parce que son agent causal présumé, un prétendu nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2, n’a pas été prouvé comme existant dans la nature et n’a donc pas été établi comme la cause du COVID-19, la maladie et la pandémie inventées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Pour la même raison, il n’y a pas de variants du “virus”, qui n’existent que de manière hypothétique dans les ordinateurs, les banques de gènes en ligne et dans l’esprit de personnes innocentes qui ont été complètement bernées par leurs gouvernements.

La fraude du COVID-19, avec ses nombreuses allégations grotesques, ne constitue rien de moins qu’une guerre contre l’humanité menée par des organisations telles qu’Anser, Fors Marsh et Palantir qui mènent l’escroquerie par l’intermédiaire de Big Pharma, avec ses soutiens et ses complices, notamment le Forum économique mondial, la Fondation Bill et Melinda Gates, l’OMS, les conglomérats technologiques, les médias de masse, les gouvernements complices et les “pirates” du COVID tels que l’UNC Chapel Hill et l’Imperial College London, pour ne citer que quelques bénéficiaires de la fraude.

Le COVID-19 est une guerre contre l’humanité parce que les politiciens et leurs gouvernements continuent d’utiliser cette maladie imaginaire pour terroriser et emprisonner leurs citoyens, en les privant de leurs droits fondamentaux et de leurs libertés, et en violant leurs corps autrefois inviolables par des injections expérimentales et dangereuses contenant une séquence d’ARNm de protéine spike générée par ordinateur qui ordonne au corps de s’empoisonner. Ces injections infâmes, qui contiennent également des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées, affectent des millions de personnes et en tuent plusieurs milliers dans le monde entier, dont 218 Néo-Zélandais au 2 octobre 2021.[1]

Une fraude virologique est au cœur de ces crimes contre l’humanité : le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé physiquement ni démontré comme étant l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Dans cet article, les auteurs examinent le monde illusoire de la virologie pour expliquer comment un virus que personne n’a vu ni ne sait d’où il vient, dont personne ne sait ce qu’il fait ni où il va, traverse, selon les fraudeurs, les frontières et les barrières et vient vous chercher où que vous soyez. Comment se fait-il, demandent les auteurs, que cette folie fantasmagorique se soit transformée en un monde empreint de peur, dans lequel les gouvernements démocratiques ont abandonné les principes démocratiques pour s’engager dans le contrôle et la “suppression d’êtres humains”, ce qui pourrait simplement se transformer en une “variante” de la troisième guerre mondiale ?[2]


[Voir aussi :
L’effondrement de l’hypothèse virale
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey

Sur le graphène :
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

Sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

Sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

Sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]


Première partie

L’agenda mondialiste

Ne vous méprenez pas, nous sommes actuellement assaillis par une fraude mondiale d’une telle ampleur et d’une telle malveillance qu’elle menace notre existence même telle que nous la connaissons sur cette planète.

L’escroquerie concerne un prétendu nouveau coronavirus, inventé et non découvert par la virologie, qui a permis à Bill Gates de prédire une pandémie unique en son genre, nécessitant des milliards de vaccins pour la combattre, ce qui lui permet d’augmenter considérablement les actifs du Bill and Melinda Gates Trust qui se trouve aux côtés de la Bill and Melinda Gates Foundation (BMGF).[3]

Un autre qui se préparait avec impatience au déploiement de ces ” vaccins ” de masse, qui ne sont pas des vaccins mais des armes biologiques, était Peter Daszak de EcoHealth Alliance. Comme il l’a déclaré en 2015, “nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité des MCM [Contre-mesures médicales], comme un vaccin pan-influenza ou pan-coronavirus. Les médias sont un facteur clé, et l’économie suit le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront s’ils voient des bénéfices à la fin du processus.”[4]

En septembre 2019, le Global Preparedness Monitoring Board, une création de l’OMS et de la Banque mondiale, a conseillé aux pays de se préparer à un potentiel “pathogène respiratoire mortel” en investissant dans “des vaccins et des thérapeutiques innovants, une augmentation de la capacité de fabrication, des antiviraux à large spectre et des interventions non pharmaceutiques appropriées”. [5] Ils ont également conseillé que “tous les pays doivent développer un système pour partager immédiatement les séquences génomiques de tout nouveau pathogène”.[6]

Le monde était préparé à une ” pandémie ” et le 4 décembre 2019, le Dr Anthony.
Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré que son agence ” menait et soutenait des recherches pour développer des technologies de plateforme vaccinale de pointe qui pourraient être utilisées pour développer des vaccins antigrippaux universels ainsi que pour améliorer la vitesse et l’agilité du processus de fabrication des vaccins antigrippaux “. Ces plates-formes technologiques comprennent l’ADN, l’ARN messager (ARNm), les particules de type viral, les vaccins à base de vecteurs et les nanoparticules auto-assemblées.[7] Tout était donc prêt pour libérer les technologies génétiques et les nanoparticules sur des populations sans méfiance, sous couvert d’une crise sanitaire à quelques semaines de distance. Il suffisait de remplacer la grippe, qui n’avait plus réussi à effrayer le monde depuis longtemps, par un “nouveau” coronavirus mortel imaginaire.

Les événements qui se sont déroulés au cours des 20 derniers mois auraient semblé inconcevables il y a encore deux ans, sauf dans l’esprit de personnes comme Gates et Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, qui avaient déjà imaginé de détruire la démocratie de l’intérieur par une réponse autodestructrice induite par la peur d’un tel virus. Comme Schwab l’a écrit dans La Grande Réinitialisation, semant les graines de son programme mondial : “Depuis qu’il a fait son entrée sur la scène mondiale, le COVID-19 a radicalement bouleversé la façon de gouverner les pays, de vivre avec les autres et de prendre part à l’économie mondiale. “[8] C’était une affirmation extraordinaire pour un coronavirus si “nouveau” que les séquences des protéines de pointe (spike) étaient déjà brevetées par leurs inventeurs et, dans le cas du brevet américain 7279327 B2, attribué à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, aux États-Unis, en 2007, et prétendument fourni à Moderna en novembre 2019, un mois avant que le COVID-19 ne fasse son entrée sur la scène mondiale à Wuhan.[9] C’est la chanson que Schwab aime chanter avec Thierry Malleret : ” La crise mondiale déclenchée par la pandémie de coronavirus n’a pas de parallèle dans l’histoire moderne. Nous ne pouvons pas être accusés d’hyperbole lorsque nous disons qu’elle plonge notre monde dans son ensemble et chacun d’entre nous individuellement dans les moments les plus difficiles que nous ayons connus depuis des générations. C’est un moment décisif pour nous – nous aurons à faire face à ses retombées pendant des années, et beaucoup de choses changeront à jamais”.[10] La choriste mondialiste, ancienne Premier ministre néo-zélandaise, Helen Clark, coprésidente du Groupe indépendant de l’OMS pour la préparation et la réponse à la pandémie, reprend le même refrain hyperbolique : “En moins d’un an et demi, le COVID-19 a infecté au moins 150 millions de personnes et en a tué plus de trois millions. Il s’agit de la pire crise sanitaire et socio-économique combinée de mémoire d’homme, et d’une catastrophe à tous les niveaux… Le COVID-19 est le Tchernobyl du XXIe siècle – non pas parce qu’une épidémie est comparable à un accident nucléaire, mais parce qu’il a montré si clairement la gravité de la menace qui pèse sur notre santé et notre bien-être. Elle a provoqué une crise si profonde et si étendue que les présidents, les premiers ministres et les responsables d’organismes internationaux et régionaux doivent maintenant accepter d’urgence leur responsabilité de transformer la manière dont le monde se prépare et réagit aux menaces sanitaires mondiales.”[11]

Ces affirmations absurdes et non fondées des mondialistes constituent une source de peur sur laquelle s’appuient les entreprises pharmaceutiques telles que Pfizer pour soutirer de vastes sommes d’argent aux États-nations qui vendent leur peuple pour une bouchée de pain. Cette pratique d’extorsion est à la base de l’accord de fabrication et de distribution qui a fait l’objet d’une fuite entre Pfizer et l’Albanie, en vertu duquel la première exigeait de la seconde qu’elle accepte que le “vaccin” Pfizer soit soumis à des “risques et incertitudes significatifs”, qu’il “puisse ne pas réussir pour” un large éventail de raisons, et que Pfizer n’ait “aucune responsabilité pour tout échec … dans le développement ou l’obtention de l’autorisation du produit conformément aux dates estimées décrites dans cet accord.[12]

Derrière les “leurres”, comme David Martin décrit les principaux acteurs pharmaceutiques – Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, Merck Ridgeback, Gilead Sciences – se trouvent les criminels parrainés par l’État, les “corsaires” : Anser, “le plus grand contractant de toute la campagne terroriste COVID”, qui gère l’opération Warp Speed ; Fors Marsh, l’agence qui a créé le label COVID-19 et qui est chargée de veiller à ce que le message COVID-19 soit le même dans le monde entier ; Palantir, de Peter Thiels, qui vous suit par téléphone où que vous soyez grâce à Gotham Data Tracking ; et Publicis Sapient, qui coordonne toutes les données COVID-19 et dit au monde entier combien il y a de cas COVID, bien qu’il n’y ait pas de cas COVID à compter.[13] Puis il y a les pirates, parmi lesquels on peut compter : Ralph Baric et son Chimera Laboratory à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, qui a reçu plus de 100 millions de dollars depuis 1999 pour transformer en armes les particules du coronavirus, dont 28 millions de dollars du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci pour transformer en armes la protéine spike ; Vanderbilt ; Emory ; Johns Hopkins University ; University of California System ; Massachusetts Institute of Technology ; New York University Langone ; German Centre for Infection Research ; Imperial College London ; Institute for Health Metrics and Evaluation ; et Erasmus.[14]

Le bouton “go” a été poussé sur cette fraude mondialiste lorsqu’un ouvrier de 41 ans s’est présenté à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec des symptômes indiscernables des autres maladies respiratoires courantes parmi les 11 millions de résidents qui subissent une pollution asphyxiante dans la capitale de la province chinoise du Hubei. Le génome d’un virus que personne n’avait vu, et encore moins isolé et purifié, a été publié début janvier 2020, rebaptisé SRAS-CoV-2 par le Comité international de taxonomie des virus le 11 février, le jour même où le chef d’orchestre de la fraude, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus (Tedros), a annoncé son compagnon conséquent : “nous avons maintenant un nom pour la maladie : COVID-19. Je vais l’épeler : C-O-V-I-D trait d’union 1 9 – COVID-19”.[15]

À la fin du mois de mars 2020, la démocratie était à genoux, le peuple en tant que peuple exclu de la vie publique, emprisonné dans ses foyers. Les camps d’exclusion étaient désormais nos maisons. Et puis l’impensable : les politiciens ont annoncé qu’ils allaient inoculer à leurs populations des injections génétiques codées hautement expérimentales, jamais utilisées auparavant sur des humains, et dont les essais cliniques, déjà tronqués et grotesques, devaient encore durer des années.[16] Nos représentants élus n’ont pas pris la peine de nous le dire. Ils ne nous ont pas dit non plus que ceux qui semblaient tolérer l’inoculation initiale pouvaient transporter dans leur corps des bombes à retardement de maladies neurodégénératives et auto-immunes potentielles ainsi que des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées.[17]

Le cheval de Troie

Tout tourne autour de ces deux concepts : absence et présence. De quoi est fait le SARS-CoV-2 : d’absence ou de présence ? Telle est la question que nous devons trancher. Car sans la présence instanciée du SARS-CoV-2, il n’y a pas de cas de COVID-19 à compter, et donc pas de motif ou de justification pour la réponse d’un gouvernement à une pandémie fantôme.

Cet assaut contre l’humanité s’appuie sur un cheval de Troie pour introduire la tromperie dans nos esprits et nos corps, rendant possible la réalisation de l’agenda mondialiste d’un réseau de contrôle de la population dans le but ultime apparent de contrôler les populations de toutes les manières possibles.[18]

Alors que les débats se poursuivent dans le monde entier sur les origines du COVID-19, le nombre de cas les plus récents, sa létalité et l’efficacité des prétendus vaccins, les participants à ces débats semblent tenir pour acquis qu’un virus existe réellement. La grande majorité du public et du corps médical ignore que le cheval de Troie est la virologie moderne et ses méthodes antiscientifiques qui affirment l’existence de virus tels que le SARS-CoV-2. La plupart seraient surpris d’apprendre que le “virus” n’a jamais été trouvé à l’intérieur d’un seul être humain et qu’il n’a jamais été démontré qu’il était la cause d’une quelconque maladie.

La double tromperie de la virologie

Le crime contre l’humanité COVID-19 exige l’absence de ce virus. Il n’existe donc aucune référence matérielle permettant de recouper le génome fictif, afin d’établir, par exemple, si les prétendues protéines du SARS-CoV-2 proviennent spécifiquement du prétendu virus.

Ce tour illusoire repose sur la double tromperie de la virologie : (a) la substitution de la signification du dictionnaire et du postulat scientifique du substantif “isolement” par son contraire ; et (b) la substitution de la fausse procuration consistant à induire des effets cytopathiques (CPE) en inoculant des lignées cellulaires typiquement anormales in vitro par la procuration postulée consistant à infecter un hôte sain ou non malade in vivo pour établir la causalité entre le pathogène supposé et la maladie. Cependant, même l’utilisation de lignées cellulaires “normales” ne permettrait pas d’établir la causalité selon les postulats de Koch ou tout autre postulat scientifique, puisqu’il s’agit simplement d’observations en éprouvette impliquant des virus présumés.

Cette double tromperie constitue une violation des postulats sur lesquels la communauté scientifique s’appuie depuis longtemps. Cette absence physique fait du SARS-CoV-2 une fraude sans faille, que les virologues financés par l’industrie applaudissent et que le complexe médico-pharmaceutique exploite et récompense. Cet art noir est si obscur et son langage si ardu que peu de gens dans le grand public s’arrêteraient pour le remettre en question. Même Stephen Bustin, expert en réaction en chaîne par polymérase (PCR) et créateur des protocoles MIQE conçus pour dompter le “Far West” de la RT-PCR, se laisse prendre à cette fraude virologique, comme il l’a révélé dans son interview avec Eric Coppolino :

Eric Coppolino (EFC) : Mais il y a deux définitions différentes de l’isolement qui circulent. L’une est que vous le séparez de tout le reste, et l’autre est que vous le mettez dans un bouillon et vous le trouvez.
Stephen Bustin (SB) : Oui. Eh bien, ce n’est pas vraiment mon domaine d’expertise. En ce qui me concerne, j’ai lu les articles et si c’est la façon standard d’isoler un pathogène, alors je n’ai aucun problème avec cela.
EFC : Eh bien, c’est la façon actuelle qui est utilisée, je dirais, que l’idée d’une véritable purification vous le séparez dans une centrifugeuse, et vous savez que vous avez un échantillon de seulement cela. Et c’est ce qui est séquencé et utilisé pour amorcer la PCR. Il ne semble pas que ce soit ce qui se passe…
SB : Eh bien, la façon dont la séquence a été établie, en prenant les échantillons du patient original, en cultivant quelque chose, puis en le séquençant, puis en désassemblant la séquence, et ce qui en est ressorti, c’est le virus du SRAS.[19] Qui ressemblait alors de très près à un virus du SRAS de chauve-souris. Et qui était évidemment différent. Donc, ça… Eh bien, vous savez, c’est une façon standard de faire les choses, donc je ne peux pas vraiment faire d’autres commentaires à ce sujet, sauf que pour moi, c’est parfaitement acceptable et c’est la façon de faire.[20]

Les quatre piliers de la fraude COVID-19

Si p, alors q ; maintenant q est vrai ; donc p est vrai. Par exemple : “Si les porcs ont des ailes, alors certains animaux ailés sont bons à manger ; maintenant certains animaux ailés sont bons à manger ; donc les porcs ont des ailes. Cette forme de déduction est appelée méthode scientifique. “[21] Bertrand Russell, 1946

La fraude mondiale COVID-19 repose sur quatre piliers, tous interdépendants.

Le premier pilier : L’isolement

La théorie des virus pathogènes remonte au XIXe siècle et les virologues ont passé la première moitié du XXe siècle à essayer d’extraire ces virus présumés directement d’hôtes vivants. Les échecs répétés les ont amenés à changer de cap dans les années 1950 afin de conserver une quelconque crédibilité. Les virologues devaient fournir quelque chose à montrer à leurs investisseurs potentiels, y compris à l’industrie pharmaceutique en plein essor qui s’impatientait de développer des vaccins et des traitements antimicrobiens.

En 1954, des scientifiques ont rapporté qu’ils avaient des preuves de la présence du virus de la rougeole en se basant sur l’observation qu’un échantillon provenant d’un patient atteint de la rougeole avait tué certaines cellules dans un tube à essai. Ces phénomènes sont connus sous le nom d’”effets cytopathiques”.[22] Les auteurs ont admis que “bien qu’il n’y ait aucune raison de conclure que les facteurs in vivo [chez l’homme] sont les mêmes que ceux qui sous-tendent la formation de cellules géantes et les perturbations nucléaires in vitro [dans le tube à essai], l’apparition de ces phénomènes … pourrait être associée au virus de la rougeole. “[23]

L’apparition du CPE (effet cytopathique) est à la base des allégations frauduleuses d’isolement et de pathogénicité de la virologie moderne : un échantillon (par exemple, un écouvillon nasal) est prélevé sur un patient et mélangé à des cellules dans un tube à essai, les cellules meurent et l’on déclare qu’un virus a été “isolé”. Ce que les virologues ne veulent pas que vous sachiez, c’est que les mêmes résultats peuvent être obtenus sans ajouter de prétendus échantillons de virus dans le tube à essai – en d’autres termes, c’est le processus lui-même, la privation de nourriture de la cellule et l’ajout de diverses substances toxiques telles que des antibiotiques et des antifongiques, qui provoquent la réaction et la mort des lignées cellulaires déjà anormales, sans qu’aucun virus ne soit nécessaire. (Des photographies d’infections “factices” sont parfois fournies, mais les détails de ces expériences se distinguent par leur absence).

Il y a, bien sûr, les images de ce qu’on prétend être le virus à l’origine de tous nos problèmes. Cependant, ces images 3D colorées ne sont rien d’autre que des images générées par ordinateur constituant une représentation artistique.[24] Elles ont été utilisées par les médias du monde entier pour alimenter l’imagination du public sur l’existence d’un minuscule microbe ressemblant à une mine marine qui pourrait le frapper et le couler à tout moment. Quant aux images de micrographie électronique mises en avant dans les publications scientifiques, elles montrent simplement des nanoparticules dans et autour de cellules de culture, comme décrit dans les expériences de laboratoire ci-dessus.

Schéma 1. ” Effets cytopathiques – aucun virus requis”[25]

Elles sont censées être les virus du SARS-CoV-2 sur la base de déclarations arbitraires. Par définition, un virus est une particule infectieuse qui peut provoquer une maladie chez un hôte vivant. Aucune de ces propriétés essentielles n’a été démontrée dans les expériences virologiques décrivant l’isolement et la pathogénicité prétendus.

Les virologues ont passé des décennies à tenter de le faire sans succès et, au lieu d’admettre qu’il pouvait y avoir un problème avec la théorie des virus, ils ont simplement changé le sens du mot. C’est un état de fait scandaleux. Le monde est actuellement pris en otage parce que les virologues n’isolent pas réellement les virus, ils se contentent de dire qu’ils le font, et ne semblent pas s’inquiéter du fait que l’assaut actuel contre l’humanité repose sur cette fraude scientifique évidente.

La première fraude, fondamentale, consiste à affirmer que le virus a été isolé et qu’il est l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Si cette affirmation (toujours non fondée) n’était pas acceptée, la fraude du COVID-19 imploserait, tout comme la “pandémie du siècle” de Gates. En d’autres termes, la fraude de l’isolement repose sur la violation du sens accepté pour tromper, alors que, par exemple, un “isolat” n’a pas plus été isolé que de simples pensées. Cela met en place un discours circulaire vicieux auquel il est impossible d’échapper : la prémisse de l’existence est établie par le mensonge, et par son insistance absolue, l’existence du virus est “confirmée” de manière concluante et répétée. La virologie se nourrit de cette insistance, car sans elle, il n’y a pas de virus, pas de virologie, pas de “tests” PCR “positifs”, et plus d’emplois pour les virologues qui inventent des virus que Big Pharma combat avec des “vaccins” miraculeux. C’est également la raison pour laquelle les idées qui vont à l’encontre de ce récit sont censurées par le gouvernement et par les grands médias, et pourquoi les agences de sécurité de ce pays terrorisent les personnes qu’elles prétendent protéger, en leur imposant la fraude virologique sur laquelle repose toute la mascarade. L’ensemble de l’appareil d’État est actuellement dédié à cette cause.

Fan Wu et al.[26]

Plutôt que de recourir à la méthode largement utilisée par les virologues pour affirmer l’isolement et la pathogénicité par l’induction de CPE (effet cytopathique), Fan Wu et al, les premiers inventeurs du génome du SARS-CoV-2, ont envoyé l’échantillon extrait du liquide pulmonaire du patient directement au séquençage pour deux plateformes d’assemblage de novo afin de rechercher de courts fragments génétiques ou “reads”.[27] Il est important de noter que les échantillons envoyés pour le séquençage n’étaient pas des virus physiquement isolés mais des échantillons bruts contenant des millions de fragments génétiques uniques provenant du patient lui-même, d’innombrables microbes, et même de l’air que le patient avait respiré sur le chemin de l’hôpital. Plus de 56,5 millions de “reads” ont été produites à partir de cette “soupe” génétique et assemblées pour créer 384 096 contigs (longues séquences génétiques) sur Megahit, et 1,32 million de contigs sur Trinity.[28] Peut-être avec une prédisposition à prouver leur canular infondé selon lequel il existe “la capacité continue de la propagation virale de l’animal à causer une maladie grave chez les humains”, Fan Wu et al. ont choisi la plus longue (30 474 nucléotides) qui, selon eux, avait une identité de nucléotides de 89,1 % avec le génome in silico du coronavirus de la chauve-souris (SL-CoVZC45) inventé en 2018.[29] Ainsi, un “génome” aussi proche génétiquement qu’un humain l’est d’un chat domestique abyssinien est devenu le modèle utilisé pour la conception d’amorces pour la méthode RT-PCR afin de soi-disant détecter un virus dont l’existence n’avait pas été démontrée.[30] Par la suite, il a été décidé que le génome avait besoin d’un couper-coller, peut-être pour le faire paraître encore plus proche des 29 802 nucléotides du modèle de chauve-souris SL-CoVZC45 et il a été réduit à 29 875 nucléotides dans la version suivante sur GenBank.[31] Mais les artistes n’en avaient pas fini avec leur création et un troisième et dernier modèle a été dessiné avec une séquence terminale complètement différente comportant 23 bases adénines consécutives, ce qui ressemblait davantage au modèle de chauve-souris qui comportait 26 bases adénines consécutives en queue.[32] On ne sait pas très bien comment les virologues ont pu savoir quel “génome” choisir alors que toutes les options étaient des constructions informatiques hypothétiques. Il devient donc rapidement évident que l’anti-science de la virologie et la perversion du mot “isolement” sont non seulement délirantes mais aussi très trompeuses et qu’elles ne peuvent servir de base à quoi que ce soit, et encore moins à la santé et au bien-être de populations entières.

Un an plus tard, le Dr Wu Zunyou, du CDC chinois, dans une interview avec Janis Mackey-Frayer, déclarait que l’isolement n’avait jamais eu lieu : “Ils n’ont pas isolé le virus”, a-t-il déclaré. “C’est la question [pourquoi aucune donnée n’a été partagée]. Je ne soupçonne pas que cela provienne de ce à quoi nous pensions au départ.”[33]

Cette fraude fondatrice a été récompensée par des subventions en 2020 d’un montant total de 900 000 dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates accordées aux deux institutions auxquelles 14 des 19 coauteurs de la fraude étaient affiliés : L’Université Fudan a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-006277 ” pour soutenir l’étude épidémiologique et identifier les risques élevés d’infection par le COVID-19, ce qui contribuera à la stratégie d’intervention de santé publique nationale et internationale et au développement de produits “, pour un montant total de 300 000 dollars ; et le China CDC a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-005832 ” pour soutenir la réponse d’urgence et l’évaluation, et préparer la Chine à la pandémie potentielle, ce qui contribuera non seulement à contrôler et à contenir la maladie, mais aussi à apporter l’expérience de la Chine à la santé mondiale “, pour un montant total de 600 000 dollars.[34]

Peng Zhou et al.

Des méthodes pseudo-scientifiques similaires et la même fausse revendication d’isolement se retrouvent dans l’article de Peng Zhou et al. reçu par Nature 13 jours après celui de Fan Wu et al. mais publié en ligne dans le même volume, 579, le même jour, le 3 février 2020.[35] Ces auteurs revendiquent également l’isolement réussi de ce qu’ils appellent “2019-nCoV BetaCoV/Wuhan/WIVO4/2019” (EPI_ISL_402124) mais sur la base des CPE (effets cytopathiques) qu’ils ont observés dans trois lignées cellulaires.[36] Cependant, il s’agit de substituts illégitimes de l’infection postulée d’un animal ou d’un hôte sain (non malade). Les trois lignées cellulaires utilisées étaient les suivantes : Les cellules Vero E6 (aneuploïdes) dérivées du rein d’un singe vert africain ; Huh7, une lignée cellulaire d’hépatocytes humains prélevée sur une tumeur du foie en 1982 et cultivée par la suite ; et les cellules HeLa humaines dérivées d’une femme humaine en 1951 souffrant d’un carcinome cervical et cultivées par la suite.[37] Aucune de ces lignées cellulaires ne répond au critère postulé d’un hôte sain avec lequel on peut tester la pathogénicité, mais elles sont privilégiées car elles produisent les effets recherchés, c’est-à-dire un effet cytopathique et l’apparition de vésicules extracellulaires. Aux lignées cellulaires ont été ajoutés, entre autres, des sels inorganiques, du sérum bovin fœtal pour nourrir les cellules, et un ensemble d’éléments cytotoxiques tels que l’amphotéricine B – un antifongique, la trypsine – qui hydrolyse les protéines, la pénicilline – un antibiotique, la streptomycine – un autre antibiotique, le glutaraldéhyde – un désinfectant et un fixateur, le tétroxyde d’osmium – un agent oxydant à toxicité aiguë, et la résine époxy – pour créer un substrat solide pour le découpage en tranches ultrafines.[38] Bizarrement, en se basant sur le fait qu’un ARN de provenance inconnue faisait partie de la culture dans laquelle de nombreuses cellules sont mortes à la suite d’une famine induite et d’un stress avec des ingrédients cytotoxiques, les auteurs ont affirmé qu’ils avaient réussi à isoler leur virus, 2019-nCoV BetaCov, et non que le cocktail d’ingrédients cytotoxiques avait décimé leurs lignées cellulaires anormales.

En bref, Peng Zhou et al. n’ont rempli aucun des postulats permettant d’identifier le virus ou de confirmer qu’il est à l’origine d’une quelconque maladie. Le prétendu virus n’avait même pas été physiquement isolé et purifié pour une caractérisation biochimique et restait donc entièrement théorique.

Cela n’a apparemment pas inquiété la Fondation Bill et Melinda Gates, la fondation qui fournit à l’Académie chinoise des sciences, à laquelle 24 des 27 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19, sous le numéro INV-006377, d’un montant total de 359 820 USD, dans le but suivant : “Soutenir le développement d’une plateforme d’essais pour la sélection de médicaments et de vaccins sous-unitaires contre le coronavirus, qui contribuera à l’innovation de produits pour le contrôle de la pandémie de COVID-19”.[39]

Na Zhu et al.

Publiés dans The New England Journal of Medicine le 20 février 2020, Na Zhu et ses collaborateurs décrivent leur étude des échantillons des voies respiratoires inférieures, y compris le liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA), prélevés chez quatre patients atteints de pneumonie de cause inconnue, qui s’étaient tous rendus au Huanan Seafood Market de Wuhan peu avant leur tableau clinique.[40]

Bien qu’ils affirment avoir isolé le virus, il est clair que les auteurs n’entendent pas le terme “isolement” dans le sens du dictionnaire et du principe, mais dans le sens antonymique de la virologie et dans celui de la substitution de cellules hôtes malades à des cellules non malades pour établir la causalité entre un prétendu virus et la maladie du patient.[41] Dans ce cas, le surnageant centrifugé à partir du LBA du patient “a été inoculé sur des cellules épithéliales humaines… réséquées à partir de patients subissant une chirurgie pour un cancer du poumon”, bien que prétendument exemptes d’agents pathogènes.[42] En tout état de cause, des cellules cancéreuses seraient présentes dans ces cellules et, comme elles ont l’habitude de le faire, ces cellules produiraient une abondance d’exosomes, qui seraient visibles par le biais de la microscopie électronique à transmission.[43] Contrairement à Fan Wu et al et Peng Zhou et al, Na Zhu et al ont bien produit des images de ce qu’ils ont décrit comme des “particules de 2019-nCoV” mais sans aucune vérification de leur composition biochimique à partir d’un spécimen purifié.[44] Il est tout simplement impossible d’établir, à partir des images proposées, que les particules sont des virus (c’est-à-dire infectieux et pathogènes) ou qu’elles contiennent le prétendu génome du SARS-CoV-2.

Pourtant, malgré cette double tromperie qui hante la virologie, les virologues s’accrochent à leurs convictions et à leur métier. Car comme le disent Na Zhu et al : “Bien que notre étude ne réponde pas aux postulats de Koch, nos analyses fournissent des preuves de l’implication du 2019-nCoV dans l’épidémie de Wuhan.”[45] La base de cette affirmation semble être que les auteurs ont placé des pointes en forme de flèche sur des vésicules extracellulaires de composition inconnue et les ont baptisées “2019-nCoV”.

L’implication et la composition inconnue étaient toutefois suffisantes pour la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a accordé à l’Institut national de contrôle et de prévention des maladies virales, auquel 13 des 18 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19 sous le numéro INV-019121 pour un montant de 71 700 dollars US “pour aider le CDC chinois à évaluer la qualité des réactifs de diagnostic sérologique du COVID-19 en Chine et fournir des preuves de l’utilisation scientifique des réactifs dans le diagnostic clinique et l’enquête épidémiologique”.[46]

Leon Caly et al.

Leon Caly et al. ont produit leur propre version sous le titre “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia” (isolement et partage rapide du nouveau coronavirus de 2019 (SRAS-CoV-2) chez le premier patient diagnostiqué avec COVID-19 en Australie) lorsqu’ils ont fait état d’un homme de 58 ans originaire de Wuhan qui s’est “senti mal” à son arrivée à Melbourne le 19 janvier 2020.[47]

Lorsqu’ils ont affirmé que les cellules Vero “présentaient des vésicules liées à la membrane cytoplasmique contenant des particules de coronavirus”, Caly et al. n’ont pas pu trouver de “virions” avec la prétendue protéine spike, ils ont donc ajouté de la trypsine au milieu de culture cellulaire, et avant qu’ils aient pu dire “Jack Robinson”, la trypsine, dont la fonction est de digérer les protéines, avait englouti la couche protéique externe d’un “virion” sphérique de 100 nm pour révéler “la frange caractéristique en forme de couronne des protéines spike”, ce qui, ajoutent-ils sans la moindre ironie, “a immédiatement amélioré la morphologie du virion”.[48] En d’autres termes, lorsque les exosomes ne ressemblaient pas au virus qu’ils souhaitaient, ils leur ont donné un petit coup de pouce trypsinisé. Les prétendus virions n’ayant pas été purifiés, leur composition biochimique n’a pas pu être établie : le “génome” proposé a en fait été constitué après avoir généré “environ 30 000 000 de “reads”” à partir du mélange de cultures de tissus.[49] Comme pour tous les autres articles de cette nature, aucune explication n’a été fournie quant à la manière dont ces particules seraient à l’origine de maladies ou si ces mêmes particules existent dans l’organisme humain. Là encore, on ne peut parler que de vésicules extracellulaires de signification inconnue, produites à partir de cellules rénales anormales de singe dans une éprouvette. Le problème supplémentaire de savoir si les images de micrographie électronique de tissus préparés in vitro ressemblent même à celles de cellules vivantes dépasse le cadre de cet essai.

Il n’est pas nécessaire d’en dire plus sur les folies de cet article et sur les absurdités virologiques qui le sous-tendent, si ce n’est pour ajouter que le ministère néo-zélandais de la santé (MOH) déclare qu’il s’agit d’un exemple “d’isolement et de culture du virus en laboratoire”.[50]

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique

Cette tragédie mondiale a été en grande partie rendue possible par le déclin de la science ” – l’étude systématique de la nature et du comportement de l’univers matériel et physique, basée sur l’observation, l’expérience et la mesure ” – vers le scientisme, “l’application non critique des méthodes scientifiques à des domaines d’étude inappropriés “.[51] Cela est devenu un système de croyance sécularisé dont l’autorité repose sur sa propre performativité et sur la présupposition d’une préexistence phénoménologique dans laquelle les suppositions et les hypothèses sont considérées comme concluantes et les abstractions sont traitées comme des répliques du réel.

Le deuxième pilier de la fraude COVID-19 est celui du séquençage génomique.

Les virologues prétendent avoir établi la structure génétique complète de virus tels que le ” SARS-CoV-2 ” et l’avoir téléchargée dans des banques de données, comme Fan Wu, Peng Zhou, Na Zhu, Leon Caly et leurs équipes l’ont fait au début de 2020, et comme beaucoup l’ont fait depuis. Là encore, ils affirment avoir un “isolat” du virus, mais cette déclaration est faite après avoir “construit” le génome à partir de leur mélange contenant des fragments génétiques de provenance inconnue. Dans le cas de Fan Wu et al, bien qu’il n’y ait pas de chauves-souris en vente dans le marché couvert de fruits de mer où le patient travaillait, et bien que les auteurs n’aient pas été en mesure de confirmer un hôte intermédiaire ou un réservoir pour leur virus, ils ont néanmoins choisi in silico (par ordinateur) un autre coronavirus de chauve-souris comme modèle pour créer WH-Human 1 (SARS.-CoV-2).[52] Tout cela, sans doute, fait partie intégrante du besoin de validation scientifique de la virologie, qui s’exprime dans sa quête depuis 20 ans de l’eldorado des chauves-souris où, selon elle, se trouvent tous les trésors du monde en matière de coronavirus.[53] En attendant, elle continue d’inventer des virus pour nourrir Big Pharma et se maintenir à flot.

Le processus utilisé par la virologie pour prétendre à “l’isolement” peut être résumé comme suit. À partir de la “soupe” biologique prélevée dans les poumons ou les écouvillons nasaux des patients, qui contient toutes sortes de matériel provenant du sujet humain, d’innombrables microbes commensaux et de contaminants potentiels, les plates-formes d’assemblage de novo recherchent de courts fragments génétiques. Après avoir trouvé des millions de fragments uniques dans le mélange, ces logiciels assemblent un “génome” (un long morceau) en fonction des paramètres définis dans le programme. En cours de route, il y a un peu de couper-coller et si des morceaux sont “manquants”, d’autres modèles prêts à l’emploi peuvent être ajoutés pour combler les lacunes. Cependant, les algorithmes, les modèles de probabilité et les sélections arbitraires créés par l’homme ne peuvent pas répondre par “oui” ou par “non” à la question de son existence physique dans la nature, notamment parce que tout “génome” de coronavirus utilisé comme modèle dans sa production sera également propositionnel, la méthodologie n’offrant aucun lien confirmable avec l’univers matériel ou physique, faisant du nouveau membre du genre Coronavirus un simple produit supplémentaire des processus sui-référentiels de la virologie.

Une analogie pour ces processus serait que vous trouviez un million de cartes sur le sol, chacune avec des phrases partielles. Vous commencez à les arranger pour en faire des phrases complètes, puis finalement une histoire. Si certaines parties ne correspondent pas, vous les jetez, et si des parties semblent manquer, vous empruntez un paragraphe d’une autre histoire. Mais comment savoir s’il s’agit d’une histoire existante et non d’une invention de votre part ? Et pourquoi n’y aurait-il pas dix petites histoires, ou pas d’histoire du tout ? En bref, vous ne pouvez pas prétendre connaître l’histoire si vous n’avez pas accès à l’histoire complète avant de commencer. Et c’est là que réside la tromperie de la virologie – les virologues ne travaillent pas avec un génome complet parce qu’ils ne travaillent pas avec un virus complet. Ils travaillent avec des morceaux aléatoires de matériel biologique et nous disent ensuite que cela constitue la preuve d’un virus. Cependant, ceux d’entre nous qui examinent attentivement leurs expériences peuvent voir qu’il y a un problème : il n’y a aucune preuve matérielle d’un quelconque virus.

En effet, ce que l’on ne dit pas au public, c’est qu’aucun virus appelé SARS-CoV-2 n’a jamais été réellement isolé et purifié en tant que structure unique. Ce qui se passe, c’est simplement le séquençage à l’aveugle d’échantillons bruts qui contiennent des fragments génétiques de provenance inconnue. Par conséquent, il n’existe aucune preuve, pas même la plus vague garantie, que le “génome” in silico qui en résulte existe dans la nature ou a quelque chose à voir avec un “virus”. De cette façon, cependant, l’invention du “virus” est présentée comme une découverte, son faux statut étant assuré rétroactivement par l’acte de dénotation par lequel sa dénomination prétend à son existence antérieure et à sa pathogénicité.

Qu’un génome hypothétique fictif inventé par une telle anti-science soit au cœur de cet assaut contre l’humanité est un scandale scientifique et éthique. C’est cette fausse science qui a mis le monde sens dessus dessous. C’est là le caractère insidieux du crime de la virologie, une version généralisée de la fausse revendication de l’isolement qui donne aux politiciens la “permission” de violer ceux qu’ils emploient, et d’étendre leur programme systématique de violation corporelle au secteur privé, les dernières victimes étant les travailleurs du commerce au détail et de l’hôtellerie.[54]

Pour le reste, le crime s’insinue dans notre conscience sous couvert de devoir et de bienfaisance, amenant nombre d’entre nous à accepter dans notre corps le contenu inconnu de flacons que le gouvernement n’a apparemment pas pris la peine de vérifier, produits par un fabricant ayant un palmarès spectaculaire de fraude médicale criminelle, contenu qui, en outre, introduit clandestinement dans notre corps des vecteurs génétiques aux effets mal déterminés, tout cela pour le plus grand bien de la protection de la société contre une maladie mortelle qui n’existe pas.[55]

La façon dont une démocratie contemporaine a pu se laisser prendre à une telle absurdité grotesque mais mortelle dépasse le cadre de cet essai. Il suffit de dire que c’est la raison pour laquelle le gouvernement néo-zélandais n’est pas “votre unique source de vérité”, mais un pourvoyeur criminel de mensonges monumentaux qu’il utilise pour couvrir ses lâches crimes contre l’humanité, ses actes de terreur et de démocide, ainsi que le carnage socio-économique généralisé et la dislocation qu’il continue d’infliger à la population de cette whenua [terre en Maori], reproduisant les circonstances antérieures à l’établissement des pires régimes totalitaires.

Le troisième pilier : La PCR

Le troisième pilier de la fraude COVID-19 concerne la mauvaise application de la PCR (modifiée en RT-PCR, reverse-transcriptase-PCR afin de détecter l’ARN monocaténaire, car la PCR ne peut qu’amplifier l’ADN avec précision). Cette application erronée porte sur l’amplification de séquences d’ARN prélevées sur des sujets humains qui appartiendraient au SARS-CoV-2 et à une maladie appelée COVID-19. Or, la PCR ne peut confirmer ni l’un ni l’autre de ces éléments ; sa capacité se limite uniquement à l’amplification des séquences nucléotidiques sélectionnées, et non à la détermination de leur provenance ou de leur signification. Cette fraude repose donc sur l’attribution d’une signification aux séquences amplifiées, qui est fournie par : (a) la référence au génome imaginaire in silico et non à une entité physique prouvée appelée SARS-CoV-2 ; et (b) une “maladie” qui, par un raisonnement circulaire absurde, a été définie par le résultat de la PCR lui-même. Le SARS-CoV-2 n’a jamais été localisé chez un sujet humain, isolé, purifié, puis photographié et caractérisé biochimiquement comme une structure unique. Il n’a pas été prouvé qu’il existe dans la nature ; en fait, des composants clés ont été brevetés en 2007, ce qui, par définition, signifierait qu’ils sont fabriqués par l’homme.[56] En ce qui concerne les courtes séquences nucléotidiques détectées par les kits PCR utilisés, elles existent mais proviennent d’ailleurs, et non d’un virus étiqueté ” SARS-CoV-2 ” (si la PCR est mal faite ou à des nombres de cycles élevés, comme c’est le cas habituellement, la séquence cible peut même ne pas exister dans l’échantillon et un résultat ” positif ” est simplement un artefact du processus). En outre, la PCR ne peut pas diagnostiquer le statut infectieux d’un humain de manière avérée et aucun lien cohérent n’a jamais été trouvé entre un état pathologique et les résultats de la PCR. En bref, la mauvaise application de la PCR signifie que le COVID-19 est une construction scientifiquement dénuée de sens qui ne représente rien de plus qu’une illusion référentielle.

Dès le départ, le but de cette application erronée était de fournir la base statistique d’une pandémie basée sur une maladie inventée par l’OMS au profit de l’élite et de certains membres de l’industrie pharmaceutique, et non pour l’humanité. Au 3 janvier 2020, avec seulement ” 44 cas-patients atteints de pneumonie d’étiologie inconnue “, il n’y avait aucune base pour amorcer le bouton de démarrage de la pandémie que l’OMS et l’industrie pharmaceutique recherchaient désespérément ; Moderna et BioNTech, le partenaire de Pfizer, avaient par exemple perdu près d’un milliard de dollars à eux deux en 2,5 années financières entre 2016 et 2019.[57]

Dr Kary Mullis, l’inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR) : “Cela ne vous dit pas que vous êtes malade.” (Photo : LA Times 13 août 2019)

Cependant, après la publication sur le site Internet de l’OMS, les 13 et 17 janvier 2020, de séquences de tests PCR non évaluées par des pairs, conçues par Christian Drosten et al. pour détecter le prétendu virus, des tests conçus, comme l’ont reconnu les auteurs, ” sans disposer de matériel viral “, le nombre de cas de COVID-19 a commencé à augmenter.[58]

Entre le 22 et le 24 janvier, l’OMS a convoqué une réunion d’urgence pour suivre la situation internationale, alors que seuls 17 décès et 581 cas avaient été signalés à ce stade.[59] Cette absence de cas posait un problème aux entreprises pharmaceutiques désireuses de mettre sur le marché leurs dispositifs hautement expérimentaux de codage génétique, déguisés en vaccins, sans avoir à passer par les processus d’approbation normaux, qu’elles doutaient de pouvoir satisfaire. [60] Une urgence de santé publique pourrait être le moyen de contourner les conditions d’autorisation rigoureuses des autorités réglementaires.[61] Les “tests” RT-PCR ont atteint leur objectif, produisant suffisamment de cas pour que Tedros déclare “une urgence de santé publique de portée internationale” (PHEIC), et pour alimenter la rhétorique : “L’heure est aux faits, pas à la peur. L’heure est à la science, pas aux rumeurs. L’heure est à la solidarité et non à la stigmatisation.”[62] En effet, en sept jours seulement, à partir du 24 janvier, le nombre de cas de COVID-19 a augmenté de 1 245,61 % dans le monde, passant de 581 à 7 818, dont 98 seulement en dehors de la Chine.[63] Le lendemain, le nombre total de cas était passé à 9 826.[64] La fraude internationale était là, au grand jour, avec la croissance astronomique d’un virus fantôme qui n’avait pas été isolé et dont on n’avait pas encore démontré qu’il était à l’origine d’une quelconque maladie. Tedros recommandait d’accélérer le “développement de vaccins, de thérapies et de diagnostics”, ce qui était encore plus important que “l’urgence de santé publique de portée internationale”.[65]

L’odeur de la fraude était partout. Drosten a omis de déclarer qu’il était membre du comité éditorial d’Eurosurveillance lorsque son article et celui de ses co-auteurs ont été publiés dans Eurosurveillance le 23 janvier, deux jours après avoir été soumis.[66] Il est également apparu que Drosten serait “probablement poursuivi en justice pour détention d’un titre de doctorat frauduleux”.[67] Un autre co-auteur, Chantal Reusken, a également omis de déclarer qu’elle faisait partie du comité éditorial d’Eurosurveillance, et un autre co-auteur de Drosten, Olfert Landt, PDG de TIB Molbiol, a omis de déclarer son conflit d’intérêts jusqu’au 29 juillet 2020, alors que sa société fabriquait un kit PCR basé sur les séquences de test publiées.[68] Pour Landt, la tromperie s’est avérée très payante, comme son entreprise l’indiquera plus tard : “TIB Molbiol … fournit des kits de test PCR COVID-19 depuis début janvier 2020. Au cours des 12 derniers mois, nous avons livré plus de 60 millions de tests.”[69]

Soudain, le monde a été plongé non pas dans une pandémie virale mais dans une pandémie de PCR générant la peur dans le monde entier. Mais la peur paie et paie bien. L’institution à laquelle les créateurs les plus éminents de cet article étaient associés, l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin, a reçu une subvention 2020 du BMGF sous le numéro INV-005971 “pour développer des outils de diagnostic et de virologie permettant une réponse rapide au nouveau coronavirus 2019” pour un montant total de 249 550 dollars.[70]

La pandémie de tests PCR a maintenant soutenu la pandémie fantôme de COVID-19 pendant presque deux ans. On prétend que la PCR peut détecter un virus et une infection, mais ce n’est qu’une tromperie de plus. La méthode PCR amplifie simplement des fragments génétiques, c’est tout. Comme nous l’avons établi, personne n’a de spécimen physiquement isolé ni même prouvé l’existence du virus. C’est pourquoi les séquences des tests PCR de Drosten ont été conçues sans virus, tout comme les séquences des tests des centres américains de contrôle et de protection des maladies (CDC).[71] En d’autres termes, la PCR a été calibrée pour détecter les séquences génétiques d’un “virus” dont l’existence dans la nature n’a pas été démontrée. Au lieu de cela, elle détecte des séquences de provenance inconnue que l’on trouve chez certains humains et, semble-t-il, chez certaines chèvres, une caille et un jaquier.[72] Comme l’a souligné Kary Mullis, l’inventeur de la PCR, lauréat du prix Nobel, la PCR “ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé va vous faire du mal ou quoi que ce soit de ce genre”.[73] En effet, bien qu’il se présente comme un “flux de travail diagnostique pour le 2019-nCoV”, l’article de Drosten décrit simplement la sensibilité analytique et la spécificité de leur protocole PCR pour amplifier les séquences nucléotidiques sélectionnées, il n’établit aucune spécificité diagnostique pour une quelconque condition clinique.[74] Ainsi, bien que les autorités sanitaires affirment que la PCR est adaptée au diagnostic du COVID-19, un tribunal autrichien a confirmé le contraire en mars 2021, son jugement faisant écho à celui de Mullis : “‘un test PCR n’est pas adapté au diagnostic et ne dit donc rien en soi sur la maladie ou l’infection d’une personne’”.[75] Le partenaire complémentaire dans le crime de la PCR est la définition de l’OMS d’un cas de “COVID-19”.[76] Essentiellement, un cas confirmé peut être et sera très probablement “une personne ayant un test d’amplification de l’acide nucléique (TAAN) positif”, c’est-à-dire un test PCR, que la personne soit malade ou non.[77] Cela a créé une situation absurde où un cas de “COVID-19” n’est rien d’autre que le résultat du test PCR d’un test qui n’en est pas un, car le test PCR n’a aucune capacité de diagnostic à cet égard, puisqu’il s’agit simplement d’un outil d’amplification. Les tests PCR “positifs” sont ensuite affichés par des organisations telles que l’Université et la Médecine John Hopkins qui présentent des statistiques dénuées de sens comme si elles étaient légitimes. En d’autres termes, aucun des 243 554 336 cas de COVID-19 affichés sur le tableau de bord du coronavirus de Johns Hopkins au 25 octobre 2021 n’existe en dehors du discours vicieusement circulaire qui repose uniquement sur la double prémisse non prouvée selon laquelle le SARS-CoV-2 a été isolé et est à l’origine du COVID-19.[78]

En conséquence, nous vivons aujourd’hui une tyrannie médicale, déconnectée du monde naturel et tellement absurde que la détection de quelques fragments génétiques chez une personne peut servir d’excuse pour enfermer une nation entière.

Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Les nombres astronomiques de cas produits par la méthode PCR sont devenus la base du nombre de reproduction (R0) qui a initialisé tous les modèles épidémiologiques du COVID-19. Pourtant, même en s’appuyant sur ces chiffres sans valeur, la modélisation des épidémies, connue depuis longtemps pour sa faillibilité prédictive, a quand même réussi à produire des prédictions spectaculairement grotesques.

Le plus grand pourvoyeur de cette absurdité spéculative est Neil Ferguson de l’Imperial College London (ICL), auteur principal du rapport 9 de l’ICL, publié sans examen par les pairs le 16 mars 2021, qui prédit que 550 000 personnes au Royaume-Uni et 2,2 millions de personnes aux États-Unis mourraient dans un délai d’environ trois mois sans intervention non pharmacologique (masque, confinement…)[79] Ses prédictions catastrophiques ont amené les gouvernements à changer de cheval à mi-chemin et ont provoqué, comme on pouvait s’y attendre, une panique généralisée parmi un public non averti, créant un environnement de peur et une volonté de se conformer aux politiques de “santé” publique dans de nombreux pays. Lorsqu’il a finalement publié les programmes du rapport 9 pour les soumettre à l’examen du public, Ferguson a constaté qu’ils étaient ridiculisés par les experts commerciaux et universitaires. Un expert commercial a estimé qu’il s’agissait d’un “désordre bogué qui ressemble plus à un bol de pâtes aux cheveux d’ange qu’à une pièce de programmation finement réglée”, tandis que des scientifiques de l’université d’Édimbourg ont signalé qu’il échouait “au test scientifique de base consistant à produire les mêmes résultats à partir du même ensemble initial de paramètres”.[80] Dix jours plus tard, Ferguson, qui estime que les modèles sont des “versions simplifiées de la réalité”, prédit, dans un autre article cosigné par l’ICL, que 40 millions de personnes pourraient mourir dans le monde à cause du COVID-19.[81]

La modélisation du chaos en Nouvelle-Zélande a été largement le domaine de trois groupes. Le premier à publier son rapport, daté du 27 février 2020, a été le groupe de modélisation commandé par le gouvernement, l’University of Otago Wellington COVID-19 Response Group (UOWCRG). Dans ce rapport, les modélisateurs “estiment que le nombre de décès probables se situe entre 12 600 et 33 600”, ce qui correspond à 0,67 % de la population néo-zélandaise et à plus de 52 millions de décès dans le monde.[82] N’ayant effectué aucun contrôle préalable sur les circonstances de l’origine du SARS-CoV-2, mais ayant recueilli diverses informations à son sujet de toutes parts, y compris ses données de reproduction (R0) provenant de quatre sources différentes et le nombre de cas d’infection en Australie, l’UOWCRG a prédit que le système hospitalier du pays serait submergé par “336 000 personnes” nécessitant une “hospitalisation”, et entre 67 000 et 79 000 patients nécessitant des unités de soins intensifs dans le pire des cas.[83]

Cependant, la fantasmagorie de mort massive sur laquelle l’état d’exception a été décidé ne repose pas sur les modélisateurs mandatés par le gouvernement, mais sur deux rapports de modélisation non mandatés et non évalués par des pairs, dont les huit auteurs, quatre pour chaque rapport, n’avaient aucune qualification en épidémiologie ni aucune expérience préalable de la modélisation d’une épidémie humaine. Leurs prédictions astronomiques n’étaient pas le fruit d’une rigueur scientifique mais d’une spéculation algorithmique fondée sur des chiffres de cas provenant du ministère de la santé pour l’un des rapports, et pour l’autre, sur des “comparaisons avec des données internationales sur les parcours des cas et des études de modélisation pour les épidémies au Royaume-Uni et aux États-Unis (Ferguson et al 2020)” afin de calibrer leur “nombre de reproduction avec contrôle (Rc)”.[84] Le premier de ces rapports provient de Wigram Capital Advisors, une petite société de conseil en macroéconomie spécialisée dans la Chine et l’Asie.[85] L’autre, Te Pūnaha Matatini (TPM), qui se décrit comme un “Centre d’excellence en recherche sur les systèmes complexes”, est rattaché à l’université d’Auckland.[86] Les modèles de Wigram ont été “exécutés autour du 22 mars” et prévoyaient 4 000 cas de COVID-19 pour le 3 avril et 10 000 pour le 9 avril.[87] C’est à la modélisation de Wigram que le gouvernement s’est référé le 23 mars quand il a affirmé : “Si la transmission dans la communauté décolle, le nombre de cas doublera tous les cinq jours.”[88] Si l’Australie avait connu le même nombre de cas le même jour, doublant tous les cinq jours, sa population de 25,5 millions d’habitants aurait été infectée à la mi-juin et, sur la même base, la population mondiale de 7,8 milliards d’habitants aurait été infectée à la fin de juillet 2020.[89]

L’auteur principal de TPM est intervenu de manière spectaculaire le dimanche 22 mars, en s’adressant aux médias avec l’affirmation alarmante que sa modélisation provisoire, réalisée sur la table de sa cuisine, suggérait que 60 000 personnes allaient mourir à moins qu’une “stratégie de suppression agressive” ne soit mise en œuvre “dès que possible”, ce qui, par miracle, permettrait de sauver 50 000 de ces vies.[90] Les modélisateurs n’avaient aucun précédent auquel se référer concernant les effets d’une telle stratégie, mais surtout, ils n’avaient aucune idée de l’existence même du virus. Comme l’a admis l’auteur principal, ces résultats ont été produits avec “beaucoup d’approximation” en se basant sur des données provenant de l’étranger, tandis que la modélisation elle-même traitait “la Nouvelle-Zélande comme une grande ville où tout le monde a la possibilité d’infecter quelqu’un d’autre”, une erreur fondamentale qui a contribué aux prévisions de mortalité grotesques du rapport.[91] Le lendemain matin, les 60 000 de TPM étaient passés à 1,67 % de la population, soit 83 500 personnes qui pourraient mourir sans aucune mesure d’intervention de “santé” publique, une histoire fantaisiste sans fondement dans la réalité mais qui a fait trembler les parlementaires et à laquelle les apprentis sorciers croient encore un an plus tard.[92] Extrapolé à la population mondiale, “le ministère de I’autopromotion de TPM” venait de prédire que 130 260 000 personnes allaient mourir dans le monde. Le petit groupe TPM a été richement récompensé par le gouvernement avec un prix de 6 millions de dollars pour l’avoir aidé à promouvoir un récit absurde et à susciter une peur sans fondement dans la population de la Nouvelle-Zélande.[93] Si TPM a remporté le prix de la prédiction la plus grotesque, l’ICL de Neil Ferguson a été le grand gagnant. Gates, qui apprécie une histoire effrayante qui confirme ses “prédictions”, qui ferme une grande partie du monde et qui décide que seuls les “vaccins” peuvent le rouvrir, a puisé dans ses réserves pour son frère d’armes de l’ICL, sortant de sa poche arrière un ensemble de subventions pour 2020 d’un montant total de 91 494 791 dollars.[94] Parmi ces subventions, citons INV-016635, d’un montant total de 1 080 771 USD, pour “évaluer l’efficacité potentielle d’un vaccin à base d’acide ribonucléique (ARN) contre le COVID-19”, INV-023013, d’un montant total de 140 041 USD, pour “modéliser l’impact potentiel des diagnostics rapides pour le COVID-19”, et INV-023210, d’un montant total de 1 487 605 USD, pour comprendre comment les impacts sociaux et autres impacts indirects du COVID-19 (distanciation sociale, quarantaine, etc.) et les perceptions du risque influencent les comportements sexuels à risque qui pourraient conduire au VIH.[95] Si l’année 2020 a été une année record pour l’ICL, M. Gates s’occupait depuis longtemps de l’ICL, la Fondation Bill et Melinda Gates lui ayant accordé des subventions depuis 2002 pour un montant total de 302 164 640 USD, soit environ 16 000 000 USD par an au cours des 19 dernières années.[96]

Alors que la confusion et le débat font rage sur ces modèles, sur les raisons pour lesquelles le “virus” se comporte si différemment selon les endroits, sur l’existence d’une surmortalité et sur l’efficacité des “vaccins”, tout cela n’est qu’une distraction. Si l’on examine l’article d’origine de Fan Wu et al. et tous ceux qui ont suivi, la vérité est que l’existence du “SARS-CoV-2” n’a pas été démontrée. Il n’y a pas de “COVID-19” en dehors d’un récit malveillant imposé à l’humanité.

Troisième partie

En résumé

La fraude du COVID-19 est l’œuvre d’élites internationales, de l’industrie pharmaceutique et de politiciens complices travaillant à un programme mondialiste, dont l’objectif semble être l’extinction des droits de l’homme et des libertés et le démantèlement de la démocratie dans le but de contrôler les populations et d’extorquer de vastes sommes d’argent aux pays sur la base qu’une maladie, le COVID-19, inventée par l’OMS, représente une menace sérieuse pour leurs populations.

Le fondement de cet agenda est la fraude selon laquelle un nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2 a été trouvé et isolé chez des sujets humains et qu’il a été démontré qu’il était la cause d’une maladie appelée COVID-19. Rien de tout cela ne s’est produit.

Le remède proposé pour ce supposé virus tueur est une protéine de pointe (spike) produite par une séquence génétique qui ne se trouve pas dans la nature mais dans un brevet américain de 2007. Les “vaccins” basés sur cette séquence ont tué plusieurs milliers de personnes dans le monde et en ont mutilé et blessé des millions d’autres.

La base statistique de cette pandémie fantôme a été déterminée par l’application erronée d’une méthode PCR qui n’a aucune spécificité diagnostique (clinique) établie. Elle n’a pas permis de diagnostiquer un seul cas d’une nouvelle maladie et n’a produit que des nombres de cas “COVID-19” sans signification.

En conséquence, le gouvernement néo-zélandais est complice de la fraude mondiale du COVID-19 et est donc accusé de crime inconsidéré, notamment de violation des droits de l’homme, de crimes contre l’humanité, de démocide, d’actes de terreur et de meurtre de masse.

Conclusion

Depuis l’entrée en vigueur, le 25 mars 2020, de l’Avis de préparation aux épidémies (COVID-19) 2020, nous vivons dans l’état d’urgence, que l’on peut décrire comme un espace liminal entre la loi et la vie, où la loi ne s’applique plus et où la force pure s’approprie l’anarchie pour se faire la loi.[97] Positionné dans une sorte de “no man’s land entre le droit public et le fait politique”, l’état d’urgence “n’est pas une dictature (qu’elle soit constitutionnelle ou inconstitutionnelle, commissariale ou souveraine) mais un espace dépourvu de droit, une zone d’anomie dans laquelle toutes les déterminations juridiques – et surtout la distinction même entre public et privé – sont désactivées.”[98] Nos maisons sont devenues des prisons, nos corps ne sont plus inviolables, la marque de l’aiguille détermine qui est inclus et qui est exclu, tout cela incarne l’état d’urgence et peut être considéré comme un signe avant-coureur de ce qui nous attend.

Pour conclure, nous espérons que cet essai pourra à la fois vous encourager et vous aider à vous préparer à ce qui nous attend. Car dans le climat actuel, dans ce contexte politique, les circonstances ne feront que continuer à se détériorer si nous ne nous soulevons pas en masse pour réclamer ce que nous avons appris qu’il est si facile de perdre mais volé par ce gouvernement en moins de deux ans, le tout sur la base d’une fraude imbécile qui a néanmoins terrorisé et divisé le peuple de Nouvelle-Zélande au point de le rendre dysfonctionnel, divisant les familles et les amis, les amants, les âmes sœurs, les collègues et les meilleurs amis.

Cet essai vise également à encourager la poursuite des recherches sur la légitimité des méthodologies employées par les virologues établis, ainsi que sur la mauvaise application de la PCR dans les diagnostics cliniques. Si ces méthodes anti-scientifiques continuent à être largement acceptées, nous risquons de voir encore plus de “pandémies” sans fondement, nécessitant encore plus de “vaccins”, se poursuivre indéfiniment dans le cadre de la “nouvelle normalité”. En fait, un fabricant a déjà fait part de son intention de “développer un vaccin combiné à ARNm “afin que les gens puissent recevoir une injection chaque automne pour une protection très efficace contre les virus respiratoires les plus problématiques”.[99]

Il n’y a rien de normal à ce que l’industrie pharmaceutique et les organisations mondialistes créent une demande de thérapies géniques inutiles par la peur et la création de pseudo-pandémies. Il n’y a rien de normal en ce qui concerne la censure sans précédent du débat scientifique et l’empêchement des praticiens médicaux de fournir un consentement éclairé à leurs communautés. Seuls les plus naïfs pourraient croire que, dans cet environnement artificiel, une cabale d’élites et une industrie ayant un bilan effroyable de préjudices et de décès font du monde un endroit plus sain pour ses habitants.

Les tyrannies naissent et disparaissent. Celle-ci, dans son ascension, est déjà en train de s’étouffer de son propre orgueil. Les façades scientifiques et idéologiques sur lesquelles cette escroquerie s’appuie entraîneront sa propre chute et, avec elle, une nouvelle ère dont nous hériterons tous. Les tyrans cachés, lorsqu’ils finissent par émerger, sont toujours nus, des vaisseaux vides remplis des idées des autres, faisant la guerre aux innocents pour se cacher de ce qui leur manque. Ils n’ont pas encore appris que le contrôle est une voie sans issue ou que ce qui fait s’élever l’esprit humain n’est rien d’autre que l’acceptation.

POST-SCRIPTUM

Dans le cadre du processus de reprise pacifique de ce qui appartient au peuple néo-zélandais, Heterodoxies Society Incorporated a déposé une procédure le 6 août 2021 devant la Haute Cour d’Auckland, CIV-2021-4041599. Malheureusement, depuis lors, sur la base d’un artifice juridique qui n’a aucune base statutaire apparente ou valeur juridique, l’affaire a été suspendue, c’est-à-dire confinée dans un équivalent de quarantaine juridique. Voici une partie de ce que la Cour a récemment refusé d’entendre.

Crimes contre l’humanité

“Il est question de bio-armement intentionnel de protéines de pointe à injecter aux gens pour les rendre dépendants d’un vaccin contre les ”pancoronavirus”. Cela n’a rien à voir avec un agent pathogène qui a été libéré… Il s’agit d’injecter aux gens une protéine S1 connue pour être nocive… La tragédie, c’est que nous sommes dans un monde où des centaines de millions de personnes se voient injecter une séquence informatique stimulant un agent pathogène… qui est vendue sous ce que l’office des brevets, la profession médicale et la FDA et ses propres normes cliniques ne considèrent pas comme un vaccin, mais en utilisant ce terme, nous soumettons maintenant des centaines de millions de personnes à ce que l’on savait être, en 2005, une arme biologique. ” Dr David Martin, 12 juillet 2021[100]

Le 20 septembre 2021, une conférence de presse s’est tenue à l’Institut de pathologie de Reutlingen, en Allemagne, afin de présenter, dans la première partie intitulée “Cause du décès après une vaccination Covid-19”, les conclusions des pathologistes Arne Burkhardt et Walter Lang qui avaient enquêté sur dix décès de personnes de plus de 50 ans décédées dans le contexte chronologique de l’administration de soi-disant vaccins COVID-19, dont le Comirnaty de Pfizer. Dans la deuxième partie, “Composants non déclarés des vaccins Covid-19”, les éléments non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits ont été présentés et discutés par divers participants, dont des médecins d’Allemagne et d’ailleurs.[101]

Le professeur Dr Burkhardt a enseigné pendant de nombreuses années aux universités de Hambourg, Berne et Tübingen, et a également été professeur invité/visiteur dans un certain nombre d’universités du monde entier. Il a dirigé l’Institut de pathologie de Reutlingen pendant 18 ans, après quoi il a exercé en tant que pathologiste. Il a publié plus de 150 articles dans des revues spécialisées. Le professeur Dr Walter Lang a travaillé comme pathologiste à la faculté de médecine de Hanovre de 1968 à 1985, puis a fondé un institut privé de pathologie à Hanovre où il a travaillé pendant 25 ans. De 1985 à 2020, il a effectué des examens de consultation pour la pathologie de la clinique pulmonaire de Herner. Ils étaient accompagnés dans cette présentation par le professeur Dr Werner Bergholz, ancien professeur d’électrotechnique spécialisé dans la gestion de la qualité et des risques à l’université Jacobs de Brême, qui avait travaillé pendant 17 ans dans la gestion de la production de puces chez Siemens avant cette nomination.[102]

Sur les dix personnes décédées qui ont subi un examen post mortem, Burkhardt et Lang, se fondant sur le matériel tissulaire obtenu auprès des médecins légistes qui avaient d’abord examiné les cas, ont estimé que cinq des décès étaient très probablement liés aux “vaccins” COVID-19, deux probablement, un n’était pas clair et ils ont considéré que deux n’avaient aucun lien de causalité.[103] “Dans trois cas, ils ont trouvé des maladies auto-immunes rares ; l’une d’entre elles était si rare qu’ils ne l’ont découverte qu’en regardant de près l’image numérisée. Il s’agissait de la maladie de Hashimoto, une hypothyroïdie déclenchée par une réaction auto-immune ; de la vascularite leucoclastique, une réaction inflammatoire dans les capillaires qui entraîne des saignements de la peau ; et du syndrome de Sjögren, une inflammation des glandes salivaires et lacrymales.”[104] On a observé un large éventail de maladies, certaines communes, d’autres rares. Les trouver dans un collectif de dix patients était “très extrême”, a déclaré Burkhardt.[105] Comme il le dit : “Nous sommes en présence d’un système immunitaire qui dépasse complètement les limites, qui s’attaque de lui-même à lui-même, et l’inflammation a lieu dans chaque organe, dans chaque vaisseau… et cela conduit à une forte réaction auto-immune et à des maladies. Ce sont des maladies, je dirais, qui sont de 1 pour 100 000 normalement.”[106]

Selon les pathologistes, les lymphocytes avaient afflué et causé une destruction cellulaire massive. Ils ont montré des images d’accumulations de lymphocytes dans une grande variété de tissus, du muscle cardiaque au rein, au foie, à la rate et à l’utérus”, et aussi “des images dans lesquelles le tissu a été massivement attaqué en conséquence, et toute une série de follicules lymphocytaires … au mauvais endroit, par exemple dans le tissu pulmonaire”.[107] Ils “ont également montré des détachements de cellules endothéliales – qui sont les cellules lisses qui forment la paroi des vaisseaux sanguins – des amas de globules rouges qui finissent par provoquer une thrombose, et des cellules géantes qui [s’étaient] formées autour des corps étrangers piégés”.[108] Burkhardt l’a décrit comme suit dans ce résumé paraphrasé de ses conclusions générales : “J’ai beaucoup réfléchi à ce que j’ai vu et je n’ai pu voir qu’une seule chose, à savoir des lymphocytes déchaînés (devenus fous furieux) dans tous les organes et tous les tissus. Nous assistons à une réaction immunitaire extrême, une attaque de soi-même contre soi-même (déclenchée par le vaccin). J’ai été témoin de l’hyperplasie (croissance excessive) et de l’activation des organes lymphatiques, des ganglions lymphatiques et de la rate, ainsi que de l’infiltration des lymphocytes dans les organes non lymphatiques. Le résultat (de cette tempête lymphocytaire) est la perte de la capacité et de la fonction immunitaires externes, combinée à une inflammation et une destruction des tissus causées par les lymphocytes, avec le risque d’une réaction auto-immune prolongée. Personne ne peut dire si et combien de temps il faudra à ces tissus pour se régénérer et retrouver leur état normal et sain.”[109]

Vous trouverez ci-dessous des diapositives représentatives préparées et présentées par le Dr Burkhardt lors de la conférence de presse :

Figure 2. Légende pour le cas 7 : C’est une image à plus haute résolution d’un follicule lymphatique dans le tissu alvéolaire pulmonaire. On voit également ces follicules lymphatiques autour des vaisseaux sanguins pulmonaires. Il s’agit d’une preuve évidente de dommages alvéolaires (dans les poumons). Ce qui se passe ici, c’est que l’appareil immunitaire d’une personne attaque ses propres tissus. Ainsi, les vaccins déclenchent des maladies auto-immunes qui peuvent ne pas se manifester avant plusieurs années. L’infiltration massive de lymphocytes dans les tissus cérébraux, cardiaques, pulmonaires et rénaux est un signal d’alarme pour les maladies auto-immunes et le cancer. Attendez-vous à voir les taux de cancer augmenter considérablement dans les années à venir.”
Figure 3. Légende pour le cas 2 : Cette diapositive montre des vaisseaux sanguins du tissu pulmonaire avec un amas d’érythrocytes (globules rouges).”
Figure 4. Légende : Le syncytium a englouti et tente de digérer une de ces structures non biologiques (identifiées par la flèche jaune) dans le tissu pulmonaire. Le syncytium va échouer dans sa tentative de digestion.”

Dans la deuxième partie, un large éventail d’images de corps étrangers trouvés dans les flacons des fabricants a été photographié et leurs mouvements enregistrés par vidéo. Selon les présentateurs, aucun de ces objets n’a jamais été trouvé dans les vaccins traditionnels et ne devrait se trouver dans le corps humain. Leurs formes vont de l’apparence d’une carte SIM à des filaments en forme de perles et à de grandes formes rocheuses. Ils semblent être des structures métalliques. Aucun des experts ne savait à quoi elles servaient. “Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience”, et pourtant “ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes”.[110]

Comme l’a dit Holger Fischer, avocat allemand et membre du panel, “nous n’avons pas à avoir la charge de la preuve. Si vous aviez une limonade présentant ce type de contamination, elle serait immédiatement retirée du marché.”[111] Maria Hubmer-Mogg, un médecin autrichien, a abondé dans le même sens. “Ces vaccins doivent être retirés immédiatement et leur utilisation d’urgence révoquée”.[112] Faisant référence au récit de la peur, elle a ajouté : “les gens veulent maintenant vacciner leurs enfants, même leurs tout-petits. C’est quelque chose d’inimaginable, c’est de la pure folie, et cette folie doit être arrêtée immédiatement.”[113]

Après plus de deux heures et demie, Fischer a clôturé la conférence de presse par la déclaration suivante : “Une chose est claire, quiconque persiste à poursuivre en connaissance de cause à partir d’aujourd’hui est légalement punissable ; ils ne peuvent pas dire qu’ils ne l’ont pas fait délibérément ou du moins en partie délibérément. Il s’agit d’un crime contre l’humanité que l’on appelle ” élimination d’êtres humains “, et les partis éliminent leur électorat ici … Beaucoup de gens ne savent pas à quel point ils sont malades. Beaucoup vont peut-être découvrir ce soir [qu’ils ont besoin] de se faire aider … Nous voulons sauver ce qui peut l’être chez ceux qui sont déjà vaccinés.”[114]

Vous trouverez ci-dessous une sélection d’images, présentées lors de la conférence, de nombreux objets non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits. Ces images devraient suffire à elles seules à mettre un terme immédiat au déploiement criminel du Comirnaty en Nouvelle-Zélande.

Figure 5. Légende : Le reste des diapositives montre des corps étrangers non biologiques trouvés dans les vaccins. Ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes. (Plusieurs des diapositives ont été fournies par d’autres médecins en Allemagne ou en Autriche). Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience.”
Figure 6. Légende : OVNIs trouvés dans les vaccins.”
Figure 7. Légende : (On dirait un téléphone portable pour moi !)”
Figure 8. Légende : Salamandre ?”
Figure 9. Légende : Un OVNI dans le sérum du vaccin.” Le Dr Burkhardt affirme en avoir vu des centaines dans des cellules, mais cette image est celle “d’une gouttelette de liquide vaccinal fortement agrandie par microscopie à champ sombre.”
Figure 10. Légende : Un autre filament perlé.”
Figure 11. Légende : Burkhardt remarque les rangées d’objets bleus sur la plus grande tache. Il se demande si ce ne sont pas des nanopuces en quelque sorte.” Ceci montre le corps étranger non biologique dans le liquide vaccinal.
Figure 12. Légende : “Burkhardt se demande si ceci est aussi une puce de graphène.” Est-ce qu’elle “transporte on ne sait quelle information vers l’appareil de fabrication des protéines dans les cellules.”

L’insulte finale

Alors que l’accord conclu par Pfizer avec le gouvernement néo-zélandais reste caché aux yeux du public, et que le contenu des flacons de Pfizer reste occulté par un gouvernement aveugle à sa propre perfidie, une fuite du contrat de fabrication et de fourniture de Pfizer avec l’Albanie ouvre une fenêtre sur le monde infâme dans lequel ce géant pharmaceutique exerce son pouvoir sur les Etats-nations et leur extorque de l’argent sur la base de la fraude COVID-19. Ce contrat, signé par trois fonctionnaires albanais, fait de leur gouvernement une partie au fait que “les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas actuellement connus.”[115] Pourtant, les énormes profits de Pfizer, qui s’élèvent à 12 dollars par flacon selon ce contrat, sont garantis même si une multitude de décès et de blessures surviennent, pour lesquels le gouvernement acheteur doit “indemniser, défendre et dégager de toute responsabilité Pfizer … contre tout procès, toute réclamation, toute action, toute demande, toute perte, tout dommage, toute responsabilité, tout règlement, toute pénalité, toute amende, tout coût et toute dépense … découlant du vaccin, s’y rapportant ou en résultant”.[116] S’agit-il du même type d’arrangement que celui auquel le ministre néo-zélandais des Finances a consenti lorsqu’il a accordé à Pfizer-BioNTech l’immunité de poursuites le 5 octobre 2020, un arrangement qui doit être notifié à la Chambre parce que l’indemnité dépasse 10 millions de dollars ?[117] Si c’est le cas, alors le gouvernement néo-zélandais est également lié par un contrat méprisable, qui sera caché au public pendant dix ans, pour l’achat d’un produit dont il sait et accepte qu’il est “sujet à des risques et des incertitudes significatifs… [et] peut ne pas être efficace”, mais qu’il n’a cessé de promouvoir comme “sûr et efficace”, qu’il a imposé à de larges pans de la population active et qu’il insiste pour que sa séquence de fabrication de poison et ses corps étrangers non déclarés soient introduits dans le corps de nos enfants.”[118]

À propos des auteurs

Dr Mark Bailey MB ChB (Bachelier en médecine et en chirurgie), PGDipMSM (Diplôme de troisième cycle en médecine musculo-squelettique), MHealSc (Maîtrise en sciences de la santé) (Otago)
Est un chercheur en microbiologie, industrie médicale et santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Dr John Bevan-Smith BA (Hons) First Class (Licence de lettres (4 ans) avec mention très bien), PhD (doctorat) (Auckland)
Est un chef d’entreprise, auteur et chercheur, qui a entrepris des recherches pour le Tribunal de Waitangi Te Rōpū Whakamana i te Tiriti o Waitangi/The Ministry of Justice Te Tāhū o te Ture.


Essai original (anglais) : https://drsambailey.com/2021/11/11/the-covid-19-fraud-war-on-humanity/
Présentation vidéo de la partie 1 de l’essai par le Dr. Samantha Bailey (anglais) : The COVID-19 Fraud & War On Humanity (Part 1)
Traduction française : https://cv19.fr

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Références

↑1 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Conférence de presse, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 1:27:20 : https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/ ; Au 25/9/21, un total de 2 448 262 événements indésirables et 26 041 décès avaient été signalés à l’Agence européenne des médicaments (Europe) ; au 15/9/21, un total de 1 204 555 événements indésirables et 1 662 décès avaient été signalés à Yellow Card (Royaume-Uni) ; au 1/10/21, un total de 2 826 646 événements indésirables et 16 310 décès avaient été signalés à VAERS (États-Unis). Le nombre total d’événements indésirables signalés dans ces trois régions s’élève à 6 479 563 et le nombre total de décès à 44 013. Compte tenu de la sous-déclaration connue de ces événements, il est prévu que les chiffres réels pourraient être au moins cinq fois plus élevés.
Voir : America’s Frontline Doctors et al. v Xavier Becerra, Secretary of the U.S. Department of Health and Human Services, et al., Civil Action No. 2:21-cv-00702-CLM, dépôt le 19 juillet 2021, 41 ; Citizens’ Adverse Events register.
↑2 Holger Fischer, in Burkhardt et al., “Cause of death after Covid-19 vaccination”, 2:19:13.
↑3 Bill Gates, “Responding to Covid-19 – A Once-in-a-Century Pandemic ?”, The New England Journal of Medicine (28 février 20) : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762#article_references ; interview de Bill Gates par Ellen DeGeneres, “Bill Gates on Finding a Vaccine for COVID-19, the Economy, and Returning to ‘Normal Life’”, YouTube (14 avril 20) : https://www.youtube.com/watch?v=5oEcxMfwJnw
↑4 “Developing MCMs for Coronaviruses”, dans Rapid Medical Countermeasure Response to Infectious Diseases : Enabling Sustainable Capabilities Through Ongoing Public- and Private-Sector Partnerships : Workshop Summary (Washington DC : National Academies Press, 12 février 2021) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK349040/
↑5 Global Preparedness Monitoring Board, “A World at Risk”, (Sept 2019), https://constitutionwatch.com.au/wpcontent/uploads/A-world-at-risk-WHO.pdf
↑6 Ibid.
↑7 Anthony S. Fauci, “The Role of the National Institutes of Health in Research Addressing Seasonal and Pandemic Influenza”, témoignage devant le House Committee on Energy and Commerce Subcommittee on Oversight and Investigations (4 déc. 2019) :
https://energycommerce.house.gov/sites/democrats.energycommerce.house.gov/files/documents/Testimony%20-%20Fauci%20%28NIH%29%2012.04.2019.pdf
↑8 Klaus Schwab et Thierry Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation (Forum Publishing, Genève, 2020), Couverture arrière
↑9 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No. : US 7,279,327 9 Oct 2007) ; Témoignage du Dr David Martin, “CDC Fraud”, audition de la commission d’enquête extraparlementaire German Corona (12 Jul 21) : https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/.
↑10 Schwab et Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation, 11.
↑11 Helen Clark et S.E. Ellen Johnson Sirleaf, coprésidentes du Groupe indépendant pour la préparation et la réponse aux pandémies, “COVID-19 : Make it the Last Pandemic”, OMS (mai 2021), 4.
↑12 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidentiel Protection Sociale, le Ministre d’Etat pour la Reconstruction et l’Institut de Santé Publique”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 7 (2.1 [b]-[d]) : http://ti-health.org/wp-content/uploads/2021/05/AlbaniaPfizer.pdf
↑13 Dr David Martin, Wise Traditions Conference 2021, “Follow the Patents, Then You Will Understand Covid”, (5 Nov 21) : https://rumble.com/vov60h-dr.-david-martin-follow-the-patents-then-you-will-understand-covid.html
↑14 Ibid, 25:11
↑15 “Remarques du Directeur général de l’OMS lors de la réunion d’information à l’intention des médias sur 2019-nCoV le 11 février 2020”, OMS (11 févr. 20), 2/4 : https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-remarks-at-the-mediabriefing-on-2019-ncov-on-11-february-2020 ; “Pourquoi le virus et la maladie ont-ils des noms différents ?”, OMS (11 févr. 20) : https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/technical-guidance/namingthe-coronavirus-disease-(covid-2019)-et-le-virus-qui-cause-it ; Fan Wu et al, “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank : MN908947.3, GenBank (18 mars 20, soumis le 5 janvier 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947
↑16 Paul D Thacker, “Covid-19 : un chercheur dénonce les problèmes d’intégrité des données dans l’essai vaccinal de Pfizer”, BMJ, 375/n2635 (2 Nov 21), 1-3 : https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2635
↑17 Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause de la mort après la vaccination Covid-19”, Conférence de presse Conférence, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 2:19:13.
↑18 James Corbett, “Bill Gates et la grille de contrôle de la population”, The Corbett Report, (18 mai 20) :
https://odysee.com/@corbettreport:0/gatespopulation:b
↑19 Remarque : Bustin s’est trompé dans ses souvenirs. Comme nous l’expliquons ci-dessous, cette étape non valide n’a pas été effectuée par les inventeurs du SARS-CoV-2.
↑20 Stephen A Bustin, “Why the need for qPCR publication guidelines?-The case for MIQE”, Methods, 50 (16 Dec 2009), 218 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19246619/ ; Interview de Stephen Bustin par Eric Coppolino, “Planet Waves FM Interview with Stephen Bustin conducted by Eric F Coppolino”, transcription par Joshua Halinen, New York 1er février 2021), 01:02:00 : https://cormandrostenreview.com/wp-content/uploads/2021/02/bustintranscript.pdf
↑21 Bertrand Russell, The Basic Writings of Bertrand Russell 1903-1959 (Londres : Routledge, 1992, publié pour la première fois 1961), 200
↑22 John F Enders et William C Peebles, “Propagation in Tissue Cultures of Cytopathogenic Agents from Patients with Measles”, Proceedings of the Society for Experimental Biology and Medicine (PSEBM), 86 (reçu le 16 mai 1954), 277-286.
↑23 Ibid., 287.
↑24 https://www.qwant.com/?client=brz-brave&q=SARS-CoV-2+images&t=images
↑25 La méconnaissance du virus – La rougeole comme exemple; Wissenschafftplus Magazin 01/2020; https://cv19.fr/2021/03/07/la-meconnaissance-du-virus-la-rougeole-comme-exemple/
↑26 Fan Wu, ISPOR Summit (2018): https://www.ispor.org/conferences-education/conferences/past-conferences/ispor-summit-2018/program/speakers/speaker/fan-wu-md-phd
↑27 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, Nature, Vol 579 (3 Feb 20, author correction 2 Apr 20), 266, Methods page: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3
↑28 Ibid. Megahit et Trinity sont les noms de deux plateformes d’assemblage de novo.
↑29 bid., 265-6, Methods page.
↑30 Joan Pontius et al, “Initial sequence and comparative analysis of the cat genome”, Genome Research, 17 (2007), 1680.
↑31 Fan Wu et al., “Wuhan seafood market pneumonia virus isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.2, GenBank (14 Jan 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.2/ ; Dan Hu et al., “Bat SARS-like coronavirus isolate bat-SL-CoVZC45, complete genome”, GenBank : MG772933.1, GenBank (29 sept. 2020) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MG772933.
↑32 Fan Wu et al., “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.3, GenBank (18 Mar 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.3.
↑33 Interview par Janis Mackey-Frayer du Dr Wu Zunyou, “Wuhan maintenant un an après”, NBC Nightly News Broadcast (Full) – 23 janvier 2021 | NBC Nightly News, NBC (23 Jan 21), 13:30-13:50 : https://www.youtube.com/watch?v=TjjA-8JXzYI
↑34 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑35 Peng Zhou et al., “A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin”, Nature, 579 (12 Mar 20), 270-273 plus 16 unnumbered supplementary papers: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2012-7.pdf
↑36 Ibid., 272.
↑37 Ibid, Résumé du rapport, deuxième page non numérotée.
↑38 Ibid, “Methods”, première page non numérotée.
↑39 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑40 Na Zhu et al., “A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019”, The New England Journal of Medicine, 382 (20 Feb 20, first published 24 Jan 20, updated 29 Jan 20), 728.
↑41 Ibid., 728, 730-31.
↑42 Ibid., 728.
↑43 Ibid., 731.
↑44 Ibid.*
↑45 Ibid., 733. Emphasis added.
↑46 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021).
↑47 Leon Caly et al., “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia”, MJA, 212/10 (1 Jun 20, received 25 Feb 20, accepted Mar 20, published 9 Mar 20), 459 : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.5694/mja2.50569.
↑48 Ibid., 461-62.
↑49 Ibid., Supplementary methods: https://onlinelibrary.wiley.com/action/downloadSupplement?doi=10.5694%2Fmja2.50569&file=mja250569-sup-0001-Supinfo.pdf
↑50 Letter of Rebecca Drew, Group Manager, Science and Insights, COVID-19 Health System Response, undated OIA letter Ref: H202008345, Ministry of Health. https://fyi.org.nz/request/14170-request-for-records-held-by-ministry-of-health-describing-the-isolation-of-a-sars-cov-2-virus-directly-taken-from-a-symptomatic-patient-of-covid-19
↑51 Jeremy Butterfield, Editorial Director, Collins Concise Dictionary Fifth Edition (Glasgow: HarperCollins, 2003), 1348.
↑52 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, 265, 268-9.
↑53 David Cyranoski, “SARS outbreak linked to Chinese bat cave”, Nature, 552 (7 Dec 17), 15-16.
↑54 Rahul Battharai, épidémie de Covid 19 Delta : Businesses welcome vaccine certificates for retail and hospitality ” NZ Herald (26 Oct 21) : https://www.nzherald.co.nz/business/covid-19-delta-outbreak-businesses-welcome-vaccine-certificates-for-retail-and-hospitality/WB2WIX4KHGR27ZZNS6JJXFIGKQ/
↑55 “Le ministère de la Justice annonce le règlement le plus important de son histoire en matière de fraude aux soins de santé”, ministère de la Justice des États-Unis (2 septembre 2009), 2 : https://www.justice.gov/opa/pr/justice-department-announces-largest-health-care-fraud-settlement-its-history.
↑56 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No.: US 7,279,327 9 OcT 2007).
↑57 ” Novel Coronavirus (2019-nCoV) Situation Report – 1 “, OMS (21 jan 20), 1 : https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/330760/nCoVsitrep21Jan2020-eng.pdf?sequence=3&isAllowed=y . Moderna, Inc, ” United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement ” (9 nov 2018), 12, 94 ; BioNTech SE, United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement “, (sans date, supposé 2019), 5, F-7 : https://investors.biontech.de/static-files/0eb8771c-1cda-4868-bb9f-bdb22dfd29e4 . Les pertes de Moderna se sont élevées à 230 314 000 dollars pour 2016, 255 916 000 dollars pour 2017 et 243 308 000 dollars pour les neuf mois à fin septembre 2018, et auraient besoin de plus d’investissements. Bien qu’ayant levé 1,1 milliard de dollars depuis 2008 dans le cadre de placements privés de leurs actions, BioNTech a tout de même enregistré une perte avant impôts de 85 950 000 € pour 2017 et de 48 262 000 € pour 2018.
↑58 Victor Corman, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Christian Drosten Charité Virology, Berlin, Germany; Olfert Landt, Tib-Molbiol, Berlin, Germany; Marion Koopmans, Erasmus MC, Rotterdam, The Netherlands; Maria Zambon, Public Health England, London. Additional advice by Malik Peiris, University of Hong Kong, “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor Corman, et al., “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor M Corman, Olfert Landt, Marco Kaiser, Richard Molenkamp, Adam Meijer, Daniel KW Chu, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Julia Schneider, Marie Luisa Schmidt, Daphne GJC Mulders, Bart L Haagmans, Bas van der Veer, Sharon van den Brink, Lisa Wijsman, Gabriel Goderski, Jean-Louis Romette, Joanna Ellis, Maria Zambon, Malik Peiris, Herman Goossens, Chantal Reusken, Marion PG Koopmans, Christian Drosten, “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23: https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045
↑59 Bloomfield Affidavit, (13 Jul 20), 8; “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21): https://en.wikipedia.org/wiki.COVID-19_pandemic_cases_in_January_2020
↑60 Moderna, Inc., “United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement” (9 Nov 2018), 12.
↑61 James Delingpole interview of Reiner Fuellmich, The Delingpod (23 May 21): http://www.odysee.com/@JamesDelingpoleChannel:0/feullmich:8
↑62 “WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20): https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-statement-on-ihr-emergency-committee-on-novel-coronavirus-(2019-ncov)
↑63 “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21); Andrew Joseph, “WHO declare coronavirus outbreak a global health emergency”, STAT (30 Jan 20).
↑64 Ibid.**
↑65 “WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20), 3.
↑66 Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 January 2020), 23.
↑67 William Engdahl, “Coronavirus Scandal Breaking in Merkel’s Germany”, (10 Dec 20): http://www.williamengdahl.com/englishNEO10Dec2020.php
↑68 Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, 29.
↑69 “RT-PCR test kits and VirSNiP Mutation Assays for strain surveillance”, TIB Molbiol (accessed 6 May 20): https://www.tib-molbiol.de/covid-19
↑70 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021).
↑71 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel: For Emergency Use Only Instructions for Use Catalog # 2019-nCoVEUA-01 1000 reactions”, 40: https://www.fda.gov/media/134922/download
↑72 Jesús García Blanca, “The scam has been confirmed: PCR does not detect SARS-CoV-2”, D-Salud-Discovery, 242 (8 Nov 20): https://www.dsalud.com/reportajes/fraudes-y-falsedades-en-el-ambito-medico/ ; English trans.: http://philosophers-stone.info/wp-content/uploads/2020/11/The-scam-has-been-confirmed-Dsalud-
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↑73 David James, “PCR Inventor: “It doesn’t tell you that you are sick”, OffGuardian (5 Oct 20): https://off-guardian.org/2020/10/05/pcr-inventor-it-doesnt-tell-you-that-you-are-sick/
↑74 Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23.
↑75 “Austrian Court Rules PCR Test Not Suitable For COVID-19 Diagnosis And That Lockdowns Has No Legal Basis”, GreatGameIndia (8 Apr 21): https://greatgameindia.com/austria-court-pcr-test/
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↑77 Ibid.***
↑78 Johns Hopkins University & Medicine Coronavirus Resource Center (accessed 25 Oct 21): https://coronavirus.jhu.edu/map.html
↑79 Neil M Ferguson et al., “Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID- 19 mortality and healthcare demand”, Imperial College London (16 Mar 20), 6, 7, 13: DOI: https://doi.org/10.25561/77482
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↑81 Neil M Ferguson et al., “Report 12: The Global Impact of COVID-19 and Strategies for Mitigation and Suppression “, Imperial College London (26 Mar 20), 1: https://doi.org/10.25561/77735
↑82 Lucy Barnard, Nick Wilson, Amanda Kvalsvig, Michael Baker, “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand: Revised Preliminary Report for the NZ Ministry of Health”, University of Otago Wellington (27 February 2020), 1, 5, 11, 12: https://www.health.govt.nz/publication/covid-19-modelling-reports; Bloomfield, Affidavit (13 Jul 20), 101.4.
↑83 Barnard et al., “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand”, 1, 2, 5; Denis Glover, “The Magpies”, in Enter Without Knocking (Christchurch: The Pegasus Press, 1971, first published 1964), 34; “Ventilators and ICU bed capacity”, Ministry of Health (11 May 20); Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501
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↑86 “Our Story”, Te Pūnaha Matatini: https://www.tepunahamatatini.ac.nz/about-us/
↑87 Jaijus Pallippadan-Johny, John McDermott, Rodney Jones and Michael Duddin, “Monitoring and Forecasting the COVID-19 Pandemic in New Zealand Including the Successful Impact of the Lockdown”, Public Health Expert (22 May 20): https://blogs.otago.ac.nz/pubhealthexpert/tag/pandemic/
↑88 “Post-Cabinet press conference”, Beehive (23 Mar 20), 1-3; “Prime Minister: COVID-19 Alert Level increased”, Beehive (23 Mar 20); “Post-Cabinet Press Conference 23 March 2020 on COVID19”, YouTube (23 Mar 20), 10:55.
↑89 Ashley Bloomfield, “COVID-19 media update, 24 March”, Ministry of Health (24 Mar 20), 5:08: https://www.health.govt.nz/news-media/news-items/covid-19-media-update-24-march#vid
↑90 Kate Newton, “The man modelling NZ’s Covid-19 spread from his kitchen table”, Radio NZ (27 Mar 20): https://www.rnz.co.nz/news/in- depth/412744/the-man-modelling-nz-s-covid-19-spread-from-his-kitchen- table; Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501 ; Nikki Macdonald, “Coronavirus: Controls could cut Kiwi deaths from 60,000 to 10,000”, Stuff (22 March 20): https://www.stuff.co.nz/national/health/coronavirus/120455106/corona virus-controls-could-cut-kiwi-deaths-from-60000-to-10000
↑91 Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20).
↑92 Alex James et al., “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4.
↑93 New Zealand Tax Payers Union, “Why Is Sean Hendy’s Modelling Group Getting $6m For Advice Treasury Is Paying $30k For Elsewhere?”, Community.Scoop (Oct 11 2021): https://community.scoop.co.nz/2021/10/why-is-sean-hendys-modelling-group-getting-6m-for-advice-treasury-is-paying-30k-for-elsewhere/
↑94 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑95 Ibid.****
↑96 Ibid..
↑97 Epidemic Preparedness (COVID-19) Notice 2020, New Zealand Gazette (25 March 2020).
↑98 Giorgio Agamben, trans. Kevin Attell, State of Exception (Chicago: The University of Chicago Press: 2005), 1, 50.
↑99 Phil Taylor, “Moderna plans triple vaccine targeting flu, COVID and RSV”, Pharmaphorum, (8 Jul 20): https://pharmaphorum.com/news/moderna-plans-triple-vaccine-targeting-flu-covid-and-rsv/
↑100 Evidence of Dr David Martin, “CDC Fraud”, Hearing of the German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee (12 Jul 21): https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/
↑101 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑102 Ibid.*****
↑103 Ibib., 15:50 to 26:20; “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination” (21 Sep 21)”, 1: Source: https://de.rt.com/inland/124390-lymphozyten-laufen-amok-pathologen-untersuchen-todesfaelle-nach-impfung/. Translated from German by http://www.DeepL.com/Translator.
↑104 Ibid.******
↑105 bid., 27:45 on.
↑106 Ibid., 53:00
↑107 “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination”, 1-2.
↑108 Ibid., 2.
↑109 Dr Calvin Luther Martin, “Close paraphrase of Dr Burkhardt’s overall conclusions” (accessed 13 Oct 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑110 Dr Burkhardt, “Slideshow presentation”, Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21); Ibid., 1:53:
↑111 2:19:13.
↑112 Ibid.*******
↑113 Ibid…
↑114 Ibid., 2:34:30.
↑115 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 19 (5.5).
↑116 Ibid., Attachment B – Delivery Schedule and Price, 22 (8.1).
↑117 Ben Strang, “Government grants vaccine suppliers indemnity against claims”, Stuff via Radio NZ (25 Jan 21): https://www.rnz.co.nz/news/alert-top/435107/government-grants-vaccine-suppliers-indemnity-against-claims
↑118 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 7 (2.1 [b]-[c]); “Dr Ashley Bloomfield and MedSafe’s Chris James talk about vaccine approvals”, Ministry of Health (4 Feb 21): https://www.youtube.com/watch?v=th4U_9Ddk4s



Quelles actions résistantes mener en 2022 ?

Par Joseph Stroberg

2021 a pratiquement démontré que divers types d’actions entreprises pour tenter de se libérer de la tyrannie covidienne, voire de certains gouvernements, n’ont pour l’instant pas donné grand-chose et se sont même révélées dans certains cas relativement futiles ou stériles. Plusieurs raisons peuvent expliquer ces échecs (notamment des manifestations) ou ces retards dans l’obtention de résultats lorsque ceux-ci sont encore possibles (comme dans le cas de certaines procédures judiciaires). Pour espérer mieux en 2022, nous gagnons à commencer par reconsidérer le tableau des forces en présence dans cette nouvelle forme de guerre, un conflit dont la véritable cible n’est pas un virus, mais l’Humanité.

Comme pour toute action sur le plan physique, tout l’art de la guerre se ramène en définitive à trouver, puis à mettre en œuvre les moyens qui permettent d’obtenir le résultat optimal avec la dépense minimale d’énergie. En d’autres termes, l’art le plus fin respecte le principe physique de « moindre action » et l’on découvrira peut-être un jour que l’art sublime est celui qui se trouve en plein accord des lois physiques et métaphysiques de l’univers (ceci incluant alors les dimensions psychologiques, psychiques et spirituelles). Cela vaut donc notamment pour la guerre et l’art de la mener avec le minimum de pertes, mais le maximum de résultats dans le temps minimal possible.

L’idée de cet article est venue de la suggestion d’un lecteur, Bernard, qui propose le type d’action suivante pour 2022 :

« Il ne s’agirait pas de manifester lors des déplacements des dirigeants, mais lors de leurs déclarations à la télévision. En effet, à chaque fois qu’ils font une déclaration, c’est pour nous annoncer des contraintes supplémentaires. Une manifestation sur les balcons serait une façon concrète de réagir pour leur dire NON tout de suite, les désapprouver et leur faire savoir immédiatement.

À la réflexion, je me demande même si ça ne serait pas plus efficace de renouveler cette manifestation tous les soirs à 20 h (l’heure du début des journaux télévisés en France). On l’a bien fait pendant le confinement pour applaudir les soignants tous les soirs à 20 h, et même dans une petite ville de 4300 habitants passifs comme la mienne, on entendait la clameur des manifestants.

Je pense qu’une manifestation facile à mettre en œuvre par chacun individuellement pourrait devenir massive. Dans ces conditions, elle permettrait aux indécis et aux endormis de prendre conscience de la force que nous représentons en étant solidaires dans la contestation.

De plus, je crois que cela constituerait une manifestation non violente, mais très forte si elle prend de l’ampleur. Beaucoup d’activistes insistent sur la nécessité d’actions non violentes pour éviter de tomber dans un piège qui conduirait aussitôt le gouvernement à décréter la loi martiale. Et ils ont raison, le pouvoir n’attend que ça ! »

Nous examinerons donc ici si ce mode d’action ou d’autres sont susceptibles de respecter ou non un minimum le principe de moindre action et par conséquent s’ils font ou non honneur à l’art de la guerre et auront des chances faibles ou fortes de faire tomber l’arnaque plandémique ou même le Nouvel Ordre Mondial.

En physique, il existe des phénomènes qui permettent d’obtenir de grands effets avec une faible dépense d’énergie, ceci parce que les efforts sont soit diffusés dans le temps (cas de la résonance), soit démultipliés par le jeu de la mécanique (comme pour l’effet de levier) ou d’autres lois. Ainsi, lorsque des soldats marchent sur un pont à sa fréquence propre exacte, ils le font entrer en vibration, en « résonance » de manière de plus en plus forte et peuvent finir par dépasser la limite de résistance de ses matériaux, puis donc le briser. En économie, ils parlent d’effet de levier lorsque certaines formes d’action ou d’investissement relativement faibles permettent d’obtenir de grands rendements et donc un bon retour sur investissement. De nouveau en mécanique, un moteur électrique bien huilé engendre peu de frottements et tourne donc plus rapidement, avec moins de pertes d’énergie sous forme de chaleur. Par analogie, on peut chercher sur le plan sociétal, les types d’actions qui sont susceptibles de respecter au mieux ces grands principes physiques extrapolables sur d’autres plans.

Les actions les plus efficaces pour faire tomber le Nouvel Ordre Mondial, doivent tenir compte à la fois de tels principes et lois universelles, mais aussi bien sûr de la nature même de ce Système (voir Vie et mort des systèmes). Le Nouvel Ordre Mondial est un système organisé autour de concepts et d’idéologies matérialistes qui découlent ultimement de la peur de la mort physique. C’est pour cette raison essentielle que notamment ses promoteurs et ses valets cherchent l’immortalité par le biais des machines, de l’IA (Intelligence Artificielle) et du transhumanisme, après l’avoir illusoirement et vainement cherchée via l’alchimie incomprise et ne l’avoir toujours pas trouvée par le biais des manipulations génétiques. Leur présente quête est pareillement vouée à l’échec, car la matière elle-même n’est pas immortelle, mais périssable, limitée dans le temps et dans l’espace.

Pour espérer faire durer leur vie sur Terre, les mondialistes cherchent à se ménager un paradis confortable en réduisant la population terrestre à cinq cents millions d’individus (voir Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial), en contrôlant le climat (au moins selon leurs croyances par la diminution de la production de CO2 — dioxyde de carbone, voire par l’utilisation d’installations telles que HAARP), en parquant le commun des mortels dans les villes pendant qu’ils se réserveront les vastes territoires sauvages et la campagne, selon les vœux du Forum Économique Mondial et de l’Agenda 2030 de l’ONU. (Voir par exemple Le « Great Reset » n’est pas du complotisme, « L’Agenda 2030 » [vert] de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !, et But des Agendas 21 et 2030)

Pour mener à bien leur programme qui date de plusieurs décennies et même possiblement d’au moins quelques siècles (se le transmettant alors de génération en génération), ils disposent maintenant des ressources suivantes :

  • au moins 90 % de la finance mondiale ;
  • la mainmise sur les multinationales ;
  • le contrôle des médias « mainstream » (dominants) ;
  • les organismes internationaux qu’ils ont créés de manière non démocratique (ONU, OMS, OMC…) ;
  • l’appui des grandes institutions religieuses (le faux pape actuel étant par exemple un fervent promoteur du N.O.M., de la vaccination, de la réduction du CO2, etc.) ;
  • le contrôle de la médecine via les entreprises pharmaceutiques, l’OMS, la GAVI et les ordres professionnels des personnels de la Santé (médecins, infirmiers…) ;
  • le contrôle de la plupart des ressources minérales, pétrolières et énergétiques exploitées, au moins dans les pays sous leur influence directe, éventuellement par la corruption des hommes politiques lorsque ces ressources sont étatiques ;
  • même chose pour les ressources agroalimentaires, de plus en plus d’agriculteurs et de petits producteurs étant réduits à la faillite ou au suicide ;
  • le contrôle des juges les plus influents (par le chantage, les menaces de mort ou la corruption), spécialement au niveau des plus hautes juridictions nationales et internationales ;
  • etc. ?

Connaissant les caractéristiques fondamentales et les forces du Nouvel Ordre Mondial, quelles stratégies, méthodes et actions ont des chances d’aboutir ? Si le point de vue exposé plus haut est réaliste, alors ce seront celles qui respectent le mieux le principe de moindre action et l’art de la guerre qui en découle en ce qui concerne la gestion victorieuse des conflits (dans le cas, comme ici, où il n’existe pour l’instant aucune conciliation possible, tant et aussi longtemps qu’il n’apparaîtrait pas un conciliateur d’envergure et d’impartialité suffisantes pour être reconnu par les deux parties en conflit).

Et elles devront bien sûr pouvoir être menées réellement par les résistants, c’est-à-dire qu’elles devront d’abord compter sur leurs propres ressources qui sont dérisoires sur le plan matériel par rapport à celles de l’adversaire. Chercher à l’affamer, comme il avait été notamment proposé dans Ne plus nourrir la Bête, demanderait beaucoup trop de temps et de cohésion internationale pour être réaliste à ce stade de la situation. Le gros monstre plein de graisse tiendrait bien plus longtemps que les petites bestioles malingres à un tel jeu. Ces dernières ne peuvent guère non plus espérer pouvoir voler la nourriture du premier, car elles auraient bien plus de chances de se faire écraser face à la puissance de feu de l’assaillant lors de toute tentative d’un tel ordre. Alors quoi d’autre, lorsque l’on dispose de peu de ressources face à un puissant adversaire ?

Pour le Nouvel Ordre Mondial, la lutte est apparemment très facile, au point que ses promoteurs et ses agents ne se cachent même plus (voir Nos bourreaux ne se cachent même plus ! et Les Peuples et les États piétinés, les comploteurs ne se cachent même plus). En cas de tentative de rébellion de la populace, ils n’ont qu’à viser les têtes et les décapiter. Sans leader, la résistance devient aussi forte et opérante qu’un poulet sans tête. Cependant, il existe diverses stratégies en cas de conflit asymétrique, comme c’est le cas de la présente guerre menée par l’élite contre l’Humanité. L’une d’elles est la guérilla, mais encore une fois, c’est une approche longue et nous n’avons plus le temps pour ce genre de chose. De plus, habituellement la guérilla n’a des chances de succès que si elle s’appuie sur une aide étrangère ou à la rigueur sur l’ensemble de la population opprimée. Ici, l’équivalent du support étranger serait une aide extraterrestre ou surnaturelle. Aucune de ces deux sortes n’est pour l’instant visible à l’horizon. Quant au soutien du peuple, avec les deux tiers en état hypnotique pro N.O.M., il est plutôt vain de le chercher.

Oublions la guérilla et la tentative d’affamer ! Ne comptons pas trop non plus sur les approches juridiques alors même que la justice est probablement aussi corrompue que le monde politique et les médias, et qu’en plus l’adversaire peut s’ingénier à faire durer les procédures et à jouer sur les myriades de lois pour aboutir au final à un non-lieu. Quoi d’autre ? Eh bien il existe aussi la stratégie de certains arts martiaux, comme le Judo, qui consiste à retourner la force de l’adversaire contre lui. La technique est voisine de l’effet de levier et fait purement appel aux lois physiques de la mécanique. On utilise par exemple l’élan de l’adversaire pour le déséquilibrer ou pour dévier ses coups et les rendre inopérants, voire retournés contre lui-même. Les deux forces principales de l’adversaire dans la phase actuelle du conflit sont les médias qui sont utilisés par l’« hypnotiseur », contrôleur mental des foules, et la théorie virale qui donne le crédit à l’hypnose par sa justification des pseudo vaccins. (Voir Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin)

Retourner les médias contre l’adversaire nécessite de parvenir à d’abord retourner certains journalistes mainstream, ceci grâce à une relativement grande puissance démonstrative déjà présente dans de nombreux médias alternatifs. Cela ne peut bien sûr fonctionner que sur des journalistes, assez rares, qui ne soient pas déjà hypnotisés et qui ne soient pas non plus corrompus. Et il faut sans doute aussi qu’ils soient prêts à perdre leur emploi. Ce n’est pas gagné. Et ça peut aussi prendre du temps pour atteindre un pouvoir d’influence suffisant dans ces médias dominants. Quant à convaincre du caractère possiblement ou probablement frauduleux et fallacieux de la théorie virale, ceci relève pour l’instant de « Mission impossible », au moins tant et aussi longtemps qu’un nombre significatif de médecins et/ou de chercheurs en médecine ne se penchent pas sérieusement et sans a priori sur la question.

Si l’on peut difficilement actuellement attaquer l’idée germe utilisée pour engendrer la psychose de masse Covid (à savoir l’existence d’un méchant virus qui leur donne une explication de leur angoisse existentielle), est-il possible de renverser cette sorte d’hypnose collective d’une autre manière ?

Annuler une hypnose se fait plus simplement par l’hypnotiseur lui-même. Cependant, comme ici ce dernier est l’assaillant, il n’a aucun intérêt à détruire son arme. Par contre, un autre hypnotiseur peut éventuellement produire une contre hypnose, c’est-à-dire implanter de nouvelles instructions ou croyances dans l’esprit de l’hypnotisé, mais dans ce cas il ne vaut pas mieux que son adversaire qui a perdu tout sens moral. Toute hypnose ou intervention similaire devrait se faire, comme pour tout acte médical, avec un consentement libre et éclairé du patient. Donc, oublions aussi cette possibilité ! Néanmoins, le réveil d’une hypnose peut aussi être produit par un choc salutaire du genre d’une douche froide ou par un bruit soudain qui fait sortir l’individu de sa torpeur. Une conséquence probable est alors malheureusement un état de déséquilibre psychologique plus ou moins marqué, l’individu perdant son centrage ou son alignement intérieur entre ses différentes composantes de personnalité (physiques, émotionnelles et mentales). Le « charme » est rompu, mais rien n’est venu le remplacer. Ce n’est guère mieux.

Revenons maintenant à la proposition de Bernard. Elle revient à utiliser les médias contre le Système, en permettant à ce type de démonstration d’être largement connu, un peu comme au temps initial des Gilets Jaunes. Elle coûte peu d’énergie et se trouve reliée au phénomène de résonance évoqué plus haut, par son côté cyclique (la répétition de l’action chaque jour à heure fixe). Cependant, pour être efficace et agir dans un sens de réveil de l’hypnose, le « bruit » provoqué, la parole prononcée, le discours proposé… doit être porteur d’un message fort, capable d’offrir une meilleure réponse que le virus à l’angoisse existentielle, au vide intérieur ressenti par les individus… Les participants doivent eux-mêmes éviter tout signe reliant au mensonge colporté par l’hypnotiseur et doivent dont refuser masque, distanciation et confinement, au moins à l’heure de leur démonstration. Sortir alors dehors et s’y réunir à plusieurs qui se serrent les coudes ou se tiennent par la main et non masqués pendant qu’une partie d’entre eux tape sur des casseroles ou joue du tambour en rythme aurait sans doute plus de poids qu’isolés sur des balcons. Reprendre en chœur la chanson des partisans (par exemple, ou un chant équivalant qui puisse être porteur d’au moins une partie du message à passer) serait sans doute mieux que des casseroles et des tambours ou pourrait accompagner ces derniers. (Voir aussi Ami entends-tu les sanglots longs des violons de l’automne ? L’heure est venue de passer à l’action !). Bien sûr l’efficacité potentielle de cette approche sera au moins proportionnelle au nombre de participants.

L’approche qui vient d’être succinctement présentée réunit plusieurs éléments compatibles avec l’art de la guerre, particulièrement contre un adversaire à la puissance disproportionnée. Si elle implique un nombre suffisant de Français (ou d’autres nations), elle pourrait à un moment donné aussi être suivie d’une autre démonstration de grande ampleur qui elle serait la preuve d’une cohésion suffisante de la Résistance, comme proposé dans l’article France — Une croix pour faire tomber le régime. Les personnes qui trouvent l’idée intéressante et faisable gagneront à rapidement se contacter pour organiser concrètement les premières démonstrations et si possible simultanément dans plusieurs villes de France. Il n’est probablement pas nécessaire que chaque jour cela dure plus de 30 minutes, voire même plus de 10.


Note : par ailleurs, ce n’est pas parce que certaines actions semblent bien moins efficaces que d’autres et ont peu de chances a priori d’aboutir à des résultats concrets qu’il faut pour autant y renoncer si l’on sent devoir les mener à bien. Il est déjà arrivé de nombreuses fois dans l’Histoire humaine où une réussite est intervenue (dans un projet donné ou lors de la tentative de relever un défi particulier), ceci même contre toute attente.




On va devoir bientôt passer en mode furtif et se préparer au pire

Par Lapin-Moutarde

[Site : heterodoxe.com]

Il est assez désespérant de constater que l’on n’arrive pas à convaincre plus de monde que ça, que la « pandémie » n’est qu’une triste farce qui a été mise en place dans le seul but de décimer la population mondiale et de vider les caisses des états aux seuls profits d’une poignée de multi-milliardaires séniles et dégénérés. Le truc est très bien ficelé, ils ont des moyens énormes qui leur ont été amenés sur un plateau par les traîtres qu’ils ont mis en place au sein des appareils d’états et ils s’y sont préparés méticuleusement depuis de nombreuses années. Ils ne s’en sont d’ailleurs pas tellement caché, mais les Médias aux ordres ont veillé au grain en affublant systématiquement tous les fouineurs d’un vocable suffixé en « iste » jetant ainsi l’opprobre sur l’irrévérencieux et faisant taire le moindre débat. Cela a été bien pratique.

Ceux qui, au bout de deux ans, n’ont pas compris que cela n’avait rien à voir avec la santé vont malencontreusement perdre toutes leurs illusions lorsqu’ils commenceront à voir tomber leurs proches à la suite de la septième ou huitième injection de soupe spiko-toxique nano-particulée. Ceux-la seront vraiment très en colère quand ils auront compris combien ils ont été trompés et copieusement trahis. Les gouvernements et leurs milices devront se préparer sérieusement, car le retour de bâton sera alors très très violent.

En ce moment, les gouvernements du monde entier mettent les bouchées doubles triples pour « inciter » les récalcitrants à se faire piquer comme de vulgaires bouts de jambon.

En France, il en reste beaucoup de ces irréductibles gaulois qui ne veulent pas se faire piquer, malgré tout ce que veulent laisser entendre les médias qui ne renâclent pas à faire leur propagande bien dégueulasse chaque jour qui passe. Du matin au soir. Il est vrai qu’ils vont à nouveau empocher le pactole. Sans doute le Marcheur Macron tient-il à les remercier pour la couverture médiatique outrancière dont il a profité et du flingage en règle de tous les autres candidats lors de l’élection de 2017…

Les Medias-Menteurs ne vont donc pas se gêner et vont pouvoir continuer tranquillement leur sale besogne. En dociles collaborateurs. Mais rappelez-vous quand-même que c’est notre pognon qui va dans les poches de tous ces escrocs. Il faudra qu’ils rendent des comptes de ça aussi.

Mais maintenant la délation commence à pointer le nez un peu partout dans le monde et ça va bientôt devenir compliqué pour les résistants.

Ayez confiance et gardez le courage

Nous sommes très nombreux. Il suffit de regarder toutes les vidéos de manifestations qui ont lieu tous les jours dans le monde entier sur les réseaux de confiance pour comprendre que la colère qui gronde est globale et légitime. Autant de gens se levant pour une même cause ne peuvent avoir tort.

Bien sûr, tous les résistants ne sont pas dans la rue. On ne peut pas leur en vouloir. Certains, bien que double/triple dosés n’en pensent pas moins, et le jour venu, ne seront pas difficiles à convaincre de rejoindre le maquis. Nous pourrons compter sur une bonne partie d’entre eux.

D’autres œuvrent dans l’ombre discrètement mais n’en sont pas moins efficaces. La moindre action compte. Le moindre Twitt compte. La moindre vidéo compte. Le moindre billet de Blog compte. Rappelez-vous que les résistants pendant la deuxième guerre mondiale avaient besoin de personnel pour faire à manger, monter la garde, faire de la reconnaissance, soigner, porter un courrier, réparer, coller des affiches, des tracts, recoudre des habits, etc. Tous ne guerroyaient pas.

Nous pouvons tous faire quelque chose d’utile le moment venu.

Alors il va falloir passer en mode furtif et se préparer au pire

Eh oui, vous pensez bien que le gouvernement ne va pas s’arrêter là. Ils ne le peuvent plus.

Ils sont allés tellement loin! Ils ne vont pas tarder à venir nous chercher et ils pourront certainement compter sur une grosse partie de la population pour les y aider. Ce sera « pour notre bien ».

Vous avez remarqué comme moi ce vent de délation qui se met en place sournoisement? Je n’étais pas né, mais ça me rappelle quand même quelque chose de pas très cool… Le régime en place n’a même pas besoin de se salir les mains, les pantins serviles qui défilent sur les plateaux TV et radio font très bien le boulot pour lequel ils sont grassement payés. Les médisances, manipulations et injures à l’encontre des mal nommés « anti-vaxx » pleuvent à verse. On voit même sur les réseaux pas si sociaux que ça, une multitude de messages de « bons citoyens » affichant fièrement leur trois ou quatre piquouzes tout en invectivant leurs congénères, parfois même de leur propre famille, qui ne veulent pas rentrer dans le rang.

Dorénavant, il va falloir être très prudents, faire attention à ce que l’on dit, et surtout à qui on le dit…

Même notre entourage sera amené bientôt à se retourner contre nous. Nous dénoncer, quoi…

Nous allons devoir faire profil bas si l’on veut durer encore un peu. Mais continuer la lutte le plus longtemps possible. Il est probable que certains d’entre nous auront à quitter leur emploi, ne pourront plus se loger, se nourrir — nous ne pouvons déjà plus recevoir des soins — c’est pourquoi il est important d’avoir une ou deux personnes vraiment de confiance dans notre entourage pour pouvoir s’entraider.

Nous devons être en mesure de prendre la tangente en très peu de temps. Pour cela, il est indispensable de préparer un nécessaire de voyage (genre sac de survie), avec de quoi dormir, s’abriter, se nourrir, se vêtir, s’orienter, et éventuellement… se défendre.

En cas de coup dur, vous n’aurez pas le temps de regrouper tous vos effets indispensables. Il sera trop tard.

Commencez dès maintenant, si ce n’est déjà fait, à regrouper le matériel important.

Ne pensez plus « printemps » !

Pensez bricolage, orientation, communication (il faudra vous passer de votre smartphone, votre montre connectée, même votre GPS), camping, nourriture, eau, chaud/froid, etc.

Lorsque ce moment arrivera, vous aurez la décision la plus importante de votre vie à prendre : partir ? rester ?

Partir sera à coup sûr la solution la plus difficile. La clandestinité n’est pas une sinécure. Vous aurez faim, vous aurez froid, vous serez traqué, vous aurez peur, vous serez fatigué, peut-être même malade ou blessé, vous ne pourrez faire confiance à personne, et vous devrez malgré tout tenir et essayer de retrouver des personnes dans la même situation et ayant le même but pour vous organiser. Mais vous pourrez y arriver, car votre combat est juste, et vous avez l’intime conviction d’oeuvrer pour le bien commun. Vous devrez alors vous rappeler quelques fondamentaux : lire une carte, s’orienter avec une boussole, faire du feu, « F.O.M.B.E.C » pour ceux à qui ça parle, etc.

Rester pourrait sembler être la décision la plus facile, la plus confortable aussi. Mais ce serait un renoncement total à toutes les valeurs qui déjà vous ont fait vous lever contre cette immense escroquerie. Et au vu de ce qui se prépare, il n’est pas certain que vous puissiez profiter d’une vie pépère (masqué, inoculé, tracé, mais pépère) très longtemps.

Partir n’est pas fuir

Partir pour mieux se retrouver et organiser la résistance. Nous le devons à nos enfants. Nous le devons à nos anciens. Certains n’ont pas manqué de courage pendant la période la plus sombre de notre histoire. C’est d’ailleurs grâce à eux que nous avons pu bénéficier des quelques années d’insouciance et d’une vie confortable pour la plupart d’entre nous. Eux aussi, à un moment donné ont eu à prendre une décision difficile.

Et puis, nous le devons aussi à tous ces scientifiques, médecins, chercheurs, avocats, journalistes , et d’autres encore qui se battent sans relâche pour essayer d’enrayer cette folie. Réfléchissez-y deux minutes : dans le fond, pourquoi toutes ces personnes brillantes, ayant un niveau de vie confortable et une position sociale établie se risqueraient-elles à tout perdre? Juste pour le plaisir de contredire la Doxa ? Pour faire le buzz ? Non, soyez sûrs que si il y en a bien qui se soucient du « bien commun » ce sont ces gens là. Ils prennent des très gros risques. Ils font tout ça pour nous. Nous n’avons pas le droit de les laisser tomber.

Et enfin, nous le devons à tous ces anonymes qui ont été pris dans ce grand tourbillon de lavage de cerveau organisé. Ils n’ont pas été en mesure de déceler les pièges tendus par les Médias. On les matraque à longueur d’antenne à coup de Nudge emprunté au marketing pour leur vendre une soupe nauséabonde, de spots publicitaires infâmes, de news mensongères annonçant des « cas » par milliers. La compétition est rude. Il n’est pas étonnant que la plupart des gens s’y soient laissé prendre. Nous devons aussi penser à eux.

Préparez-vous

Soyez en alerte tout le temps et partout. Restez calme, mais ne vous endormez pas. Leur technique bien rôdée est maintenant connue. Ils relâchent un peu la pression de temps en temps pour mieux resserrer la vis deux jours après. Il faut rester vigilant et essayer de déchiffrer le moindre signe avant-coureur de leur prochaine turpitude. Repérez autour de chez vous les mouvements inhabituels de véhicules, aéronefs ou personnels. Entendez la rumeur dans votre quartier, votre village. Ouvrez les yeux et les oreilles. Ça pourrait vite basculer…

Maintenant, arrêtez de penser « printemps » et préparez-vous !

Il n'y aura plus de batailles à mener de notre vivant, si nous perdons celle-là. Dr Dimone Gold - America's Frontline Doctors
« Il n’y aura plus de batailles à mener de notre vivant, si nous perdons celle-là ».
Dr Simone Gold – America’s Frontline Doctors



Quelle époque !!!

Auteur inconnu

Il neige.

Il a neigé toute la nuit. Ce matin, je décide de faire un bonhomme de neige sur le trottoir devant ma maison.

« … Je ne fais pourtant de mal à personne… »

9 h, mon bonhomme de neige est terminé. Il a fière allure.

9 h 5 : une féministe passe et me demande pourquoi je n’ai pas fait une bonne femme de neige ! Bon !

Je fais donc aussi une bonne femme de neige !

9 h 10 : la femme de ménage du voisin est scandalisée et me traite d’obsédé sexuel, parce que je lui ai fait des seins trop volumineux !

9 h 15 : au nom de la loi sur l’interdiction de fumer et la lutte contre le tabagisme, on me reproche d’avoir mis une pipe dans la bouche de mon bonhomme de neige. C’est un très mauvais exemple pour les jeunes.

9 h 20 : un couple gay me fait remarquer que j’aurais pu faire deux bonhommes de neige !

9 h 25 : une végétarienne me reproche d’avoir utilisé une carotte pour faire le nez de mon bonhomme ! On ne gaspille pas la nourriture. Et pourquoi des morceaux de charbon pour faire les yeux et les boutons, alors qu’il y a des gens qui n’ont pas les moyens de se chauffer ?!

9 h 30 : deux lesbiennes du quartier me demandent pourquoi je n’ai pas fait deux bonnes femmes de neige !

9 h 35 : on me traite de raciste parce que mon bonhomme et ma bonne femme sont blancs !

9 h 40 : des islamistes exigent que je mette un voile à la bonne femme de neige

9 h 45 : le voisin rouspète parce que la bonne femme de neige empiète sur son trottoir ! « À Pfulgriesheim, les trottoirs sont faits pour le stationnement des voitures et pas pour les piétons ; vous prenez la place de stationnement d’un client potentiel des restaurants ! »

9 h 50 : un gauchiste me reproche d’avoir mis un chapeau haut de forme sur la tête du bonhomme ! Le chapeau haut de forme est le symbole de l’aristocratie et du capitalisme !

9 h 55 : un groupe de Gilets Jaunes veut que je lui mette un gilet jaune. De peur qu’ils cassent tout, je cherche le gilet jaune dans ma voiture et le lui enfile.

10 h : des collégiens de passage essaient de mettre le feu à mon bonhomme avec leurs briquets : ils ne savent pas que la neige ne brûle pas !

10 h 5 : le temps de rentrer pour me réchauffer un peu, voilà que mes œuvres de neige se voient taguées avec une couleur verte, sans doute par un écolo du village : NON au GCO (=Contournement Ouest de Strasbourg) ! Je suis plutôt content que mon couple serve de support à ce message.

10 h 5 : la pasteure me fait gentiment remarquer que j’aurais pu faire don à Emmaüs du cache-nez en laine que j’ai mis au cou de ma bonne femme de neige. Il y a tant de personnes qui meurent de froid.

11 h : Les gendarmes de passage exigent que j’enlève le balai des bras du bonhomme. Le manche du balai pourrait servir d’arme.

11 h 5 : Le ton monte sérieusement quand je leur réponds qu’ils peuvent se mettre le manche du balai là où je pense !

11 h 10 : les flics me menottent et me conduisent au commissariat !

11 h 15 : une équipe de la télé FR3, alertée par je ne sais qui, filme toute la scène qui passe le soir aux infos régionales ! Je suis présenté comme un dangereux terroriste ! Un peu plus tard, sur Facebook, des djihadistes revendiquent l’opération.

Vers 19 h, on me relâche avec une convocation chez le juge dans 5 jours.

Tous les chiens du village ont pissé contre mon bonhomme et ma bonne femme de neige qui sont tout jaunes. (comme les gilets)

La morale de cette histoire : il n’y en a pas.

C’est le reflet du monde dans lequel nous vivons…??!!

La prochaine fois qu’il neigera, je reste au lit !




Agriculteurs français en difficulté

[Source : Philippe est dans l’pré]

[Ndlr : l’agriculture représente l’une des ressources de l’alimentation et sans alimentation, la disette, puis la famine s’installent.]




Nouvelle fausse pandémie en vue ?

Transmis par Philippe Loubière

[Note de Joseph : l’intérêt d’une telle vidéo n’est pas de faire peur, mais d’une part de comparer avec la crise Covid et d’autre part de se préparer aux éventualités présentées.

Si une fausse pandémie virale est préparée à l’aide d’une nouvelle arme biologique vaccinale, on peut au moins en diminuer les effets en renforçant son système immunitaire. Celui-ci est renforcé par notamment :
– l’absence de peur (garder confiance ou, mieux, la foi) ;
– une nourriture saine et équilibrée (donc au minimum non industrielle, bio et si possible issue de producteurs locaux, mais non pas de multinationales de l’agroalimentaire) ;
– des émotions positives ;
– des pensées saines ;
– l’absence de sources électromagnétiques artificielles (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G, 5G…) dans l’environnement quotidien (au besoin en se procurant des moyens de les contrer) ;
– etc.
]



Extraits :

Marburg le nouveau virus : arme biologique absolue

Soyons attentifs aux paroles de ces chercheurs : les Drs Kieran Morrisey et Roberto Petrella qui risquent leur vie à nous informer.

Bonjour. Je m’appelle Kieran Morrisey. Je suis un ingénieur de 61 ans et j’ai travaillé ces 22 dernières années dans un grand hôpital universitaire de Dublin où j’ai acquis une connaissance approfondie du fonctionnement du système de santé irlandais.

Attention à ce que je vais vous dire : il y aura bientôt une fausse pandémie appelée Marburg. « Ils l’ont déjà préparée… ».

Au cours de mes récentes études sur l’immunologie et la virologie pour essayer de mieux comprendre ce qui se passe avec les virus et les vaccins qu’ils promeuvent, j’ai découvert un article en 2017 écrit par deux scientifiques italiens — le couple Gatti et Montanari — qui testent des vaccins depuis 2004. Ils en ont examiné 44 au total et ont découvert que ces vaccins sont contaminés avec des nanoparticules inorganiques, y compris toutes sortes de substances telles que les métaux lourds, le plomb, etc.

Cela m’amène à penser que les vaccins provoquent des réactions immunitaires depuis de nombreuses années qui peuvent se présenter comme des grippes et d’autres maladies. Plus les symptômes apparaissent, plus on administre de vaccins pour tenter de les prévenir. Il me semble qu’il y a une sorte de boucle sans fin entre les vaccins et les maladies. Les vaccins provoquent des maladies qui exigent plus de vaccins. Nous devons aller au fond des choses. Cependant, au cours de l’enquête, j’ai découvert quelque chose d’encore plus inquiétant.

En avril, Bill Gates — GAVI a publié un article sur son site web dans lequel il affirmait que Marburg était la prochaine grande pandémie dont nous devions nous inquiéter. Marburg est une fièvre hémorragique relativement rare. Nous n’avons eu que 16 cas depuis 2005. Qu’est-ce que Bill Gates et GAVI savent que nous ne savons pas ? Pourquoi est-ce une menace ? Pourquoi l’OMS et les médias conventionnels publient-ils des articles sur cette maladie rare ?

J’ai fait des recherches approfondies et j’ai découvert qu’ils avaient déjà développé un test PCR pour cela. C’est très inquiétant, car maintenant ils peuvent prouver que n’importe qui pourrait avoir le Marburg avec ce test, comme dans le cas du Covid. Comme avec le test PCR actuel, il serait difficile de le réfuter. J’ai aussi trouvé qu’ils ont publié des articles qui affirment que la maladie de Marburg se transmet par les chauves-souris de façon asymptomatique, ce qui a été réfuté pendant la pandémie de Covid.

Si vous n’avez pas de symptômes, vous n’avez pas le virus, donc vous ne pouvez pas le transmettre asymptomatiquement.

Il n’y a pas de propagation asymptomatique d’un virus. Cela a déjà été accepté.

Cependant, des articles qui disent le contraire ont été publiés.

La nouveauté la plus inquiétante que j’ai découverte, c’est qu’on est en train de développer rapidement un nouveau vaccin pour Marburg appelé Rivax, qui contient de la ricine, une substance toxique utilisée dans les attentats terroristes du métro de Tokyo pour tuer un grand nombre de personnes.

Pourquoi auraient-ils mis une toxine si dangereuse dans un vaccin ? C’est très étrange et inquiétant. Mais comment pourraient-ils initier cette pandémie de Marburg sans la propager ? Très simple. Ils l’ont déjà initiée. Les lésions causées par les vaccins Covid comprennent des hémorragies et des caillots, qui sont très semblables à celles de la fièvre hémorragique. En administrant les vaccins de rappel aux prisonniers, dans les maisons de retraite et les hôpitaux, et aux enfants en contact étroit dans les écoles, ils provoquent davantage d’hémorragies et de caillots qu’ils appellent fièvre hémorragique. Ils feront le test avec leur nouveau test PCR et diront que c’est le Marburg.

Cela expliquerait le nombre excessif de morts que nous voyons dans les hôpitaux, ce sera une couverture. Ils diront que les décès ne sont pas dus à des lésions causées par le vaccin Covid, mais au Marburg. Il y aura une soudaine et très grande panique. Il y aura une hystérie de masse jamais vue auparavant. Les gens feront tout pour obtenir quelque chose qui les protège. Le vaccin Rivax sera lancé rapidement et administré à titre expérimental, comme ça s’est passé avec le vaccin Covid. Cependant, une grande différence avec le vaccin de ricine, c’est que l’infrastructure est en marche et les ressources sont déjà en place pour la développer et la gérer dans un laps de temps très court. Ils pourraient atteindre une couverture de 100 % de la population en un temps très court. La ricine contenue dans le vaccin va tuer des milliards de personnes très rapidement. Il n’y a aucun moyen de l’arrêter une fois que c’est commencé. Arrêter de se faire vacciner par le Covid est le seul moyen d’arrêter cette épidémie de Marburg annoncée par Bill Gates, GAVI, l’OMS et qui que ce soit d’autre derrière tout ça.

Nous devons convaincre nos amis, notre famille et tout le monde que c’est une erreur., que ce vaccin les rendra encore plus malades.

Vous devez compter sur votre immunité naturelle et la renforcer avec de la vitamine C et de la vitamine D, du zinc et tous les autres minéraux nécessaires. Si vous êtes atteint de Covid, l’ivermectine et l’hydroxychloroquine sont très efficaces. Nous n’avons pas besoin d’un vaccin qui provoque des symptômes de fièvre hémorragique. Nous devons arrêter ça immédiatement. Si nous ne le faisons pas, nous serons confrontés à une prétendue pandémie de Marburg qui sera le prétexte pour lancer le vaccin à base de ricine qui tuera des milliards de personnes. Nous sommes en mission urgente pour essayer d’arrêter ça avant que ça ne commence. Veuillez faire connaître cette vidéo à tout le monde. J’ai publié toutes les recherches dont j’ai parlé ici sur lewrockwell.com. S’il vous plaît, lisez-le. S’il vous plaît, faites vos propres recherches. Vous verrez que ce que je dis est vrai. Vous vous rendrez également compte que je ne gagne rien à dire tout cela, mais que je perds plutôt.

Je suis sur que mon travail à l’hôpital est en danger, et Dieu sait quoi d’autre. Mais je crois fermement que nous devons faire quelque chose avant qu’ils ne lancent cette menace de Marburg, prétexte pour injecter des substances toxiques de ricine.

Faire connaître cette vidéo (ou ce document).

Tedros le directeur de l’OMS lui-même annonce ce virus et les mesures terribles qui vont être prises…

« Le virus de Marburg est très différent de celui du Covid-19, mais la plupart des éléments de la solution sont les mêmes : isoler et traiter les personnes infectées, suivre et mettre en quarantaine les contacts et impliquer les communautés locales dans la solution. Il n’y a pas encore de vaccin autorisé contre le Marburg, mais plusieurs sont en cours de développement. L’OMS collabore avec ses partenaires pour suivre l’évolution de cette épidémie. »

Écoutons aussi ce que nous dit également le Dr Roberto Petrella médecin gynécologue italien.

Il s’agit d’une fièvre hémorragique similaire à celle du virus Ebola. Elle présentera les effets indésirables des vaccins Covid actuels : thrombose, microembolie, embolie diffuse qui (attention) se fera passer pour des symptômes de Marburg, c’est-à-dire d’un nouveau virus. Et vous, les Italiens (mais aussi les Français NDLR), vous allez y croire ! »

Quant à nos « amis » Bill Gates et Belinda, quelques milliards de cadavres, cela les fait sourire !


La solution ?

Horizontale : informer et arrêter ces vaxxxxxins mortels

Verticale : prier, car les messages du Ciel nous disent en substance : ceux qui n’ont rien à craindre sont ceux qui ont l’âme en paix. Le mal, c’est la peur.




Ami entends-tu les sanglots longs des violons de l’automne ? L’heure est venue de passer à l’action !

Par Diane Vincero

Ami entends-tu ?… Le vol noir des corbeaux sur nos plaines… Le chant des partisans, l’hymne de la Résistance française, chanson d’Anna Marly avec les paroles de Joseph Kessel et Maurice Druon. Résistance qui s’est constituée à l’appel du Général de Gaulle le 18 juin 1940 sur la BBC à Londres.

https://www.defense.gouv.fr/actualites/articles/le-saviez-vous-ami-entends-tu-le-chant-des-partisans

Les sanglots longs des violons de l’automne… (extrait du poème de Paul Verlaine « Chanson d’automne »), message crypté du 1er juin 1944 et des jours suivants, lancé sur les postes TSF à l’attention des résistants français du réseau Ventriloquist, chargé de saboter les installations ferroviaires et téléphoniques, en vue du débarquement en Normandie du 6 juin suivant.

En 1939-1945, les résistants s’opposaient à un ennemi désigné qui était les Allemands, sachant au passage que, comme toutes les guerres, elles ont toujours été orchestrées pour les intérêts personnels d’une poignée de dirigeants, et ont été menées à grand renfort de propagande, de lavage de cerveau pour stimuler les soldats (ces pauvres jeunes gens d’à peine 18 ans…) et les inciter à aller se faire tuer sur le front sous des prétextes tous aussi fallacieux les uns que les autres, mais, pour le plus grand bonheur de ces dirigeants… Ces guerres ont coûté la vie à des millions de soldats et de civils. Combien de parents brisés par la perte de ces enfants ? Combien de familles brisées par la perte d’un père ?

Donc en fait : « Soldats, c’est-à-dire vos enfants = de la chair à canon »….

Or, combien d’Allemands (pour n’évoquer qu’eux) pendant la guerre de 39-45 et après cette guerre, ont déploré de devoir (d’avoir dû) tuer des Français dont ils admiraient la Culture et envers lesquels ils n’éprouvaient aucune inimitié !!!… Combien de fois sur le front, il y a eu des échanges bienveillants, en douce, entre les soldats allemands et les soldats français, notamment à Noël ? Combien de fois des soldats allemands ont sauvé in extremis un enfant français du passage d’un bus ou d’un train ? Combien de Français aussi ont aidé des soldats allemands en mauvaise passe ? Etc., etc., etc.

Mais les journaux et les livres d’histoire préfèrent ne relater que ce qui va dans le sens voulu par les dirigeants, et tous ces faits ont été passés sous silence, parce qu’ils desservent trop le tableau guerrier voulu par ces derniers pour justifier leur action qui était de pousser les soldats et les peuples à s’entre-tuer pour des raisons bassement matérielles et personnelles…

Aujourd’hui, et pour la première fois dans l’histoire de l’Humanité, la guerre déclarée est celle des dirigeants directement contre leur propre peuple, sans même prendre la peine d’inventer un ennemi à l’étranger.

Et chose doublement inimaginable dans l’Histoire, cette guerre est déclarée à l’échelle mondiale, dans chaque pays, ce qui n’a jamais existé auparavant et qui laisse effectivement à penser qu’il s’agit d’une programmation de longue date, par un réseau de dirigeants politiques et de grands lobbies très puissants (pharmaceutiques, de l’industrie chimique comme Monsanto, mais aussi et surtout, les GAFA dont le pouvoir colossal actuel et à venir est même largement apprécié, voulu et décrit par des sénateurs dans leur rapport N° 673 du 3/6/2021 qui décrit tout le programme, telle une sorte de boule de cristal, de ce qui est en train de se dérouler actuellement… etc.), dirigeants qu’on ne peut décemment pas appeler « élite », car cela salirait les valeurs humaines et les rabaisseraient au rang d’un tas d’immondices…

Ainsi aujourd’hui, pour ce qui est de la France, l’ennemi contre lequel doit se battre la Résistance n’est pas les Allemands, mais… nos propres dirigeants qui nous ont déclaré la guerre….

En ce qui concerne le comportement de ces dirigeants de tous pays, il est celui des manipulateurs destructeurs. En effet, à y regarder de près, on retrouve ici tous les ingrédients de la manipulation destructrice, telle que décrite par le Docteur Pagnard dans son article « Quand le conte de fées se transforme en cauchemar » (https://nouveau-monde.ca/quand-le-conte-de-fees-se-transforme-en-cauchemar/), comme dans son livre « Crimes impunis ou Néonta : histoire d’un amour manipulé ».

Quand on reprend le canevas clinique de la manipulation destructrice telle que le Dr Pagnard le décrypte, on s’aperçoit que tout, dans le déroulement de la « crise Covid » depuis presque deux ans, s’emboîte parfaitement dans ce schéma !!…….

Les ingrédients en sont ceux-ci :

  • opération de charme, de séduction pour endormir l’Autre : « nous voulons votre bien, «nous vous promettons…» Ainsi, on a inventé une pandémie virale, pour apporter ensuite «dans l’intérêt du peuple», «LA solution salvatrice» pour le peuple qui est le port des masques, le confinement, les gestes barrières, les vaccins ».
  • au passage, on a imposé ces masques, les passes sanitaires et les contrôles afférents, visant à humilier les Français et à leur rappeler inlassablement « qu’il y a une pandémie », les réduisant à un statut dévalorisé de « moutons de Panurge ».
  • on a reproché aux Français de ne pas respecter les gestes barrières (que les dirigeants eux-mêmes ne respectent pas, et avec raison puisqu’ils savent que le Covid n’est qu’une mascarade…), de ne pas se vacciner, ce faisant, on a culpabilisé les Français, comme des enfants.
  • au passage, on les a isolés par le confinement, pour les vulnérabiliser, on les a divisés pour mieux régner, entre les vaccinés et les non-vaccinés.
  • on les sanctionne à tout va et de toutes les façons possibles pour les faire plier, de façon brutale, cruelle, pour les paralyser, en suspendant leurs contrats de travail et leurs salaires, en leur interdisant l’accès à l’hôpital pour visiter un membre de la famille, ou en leur interdisant l’accès aux soins, ce qui ne s’est jamais vu de mémoire d’Hippocrate…, en leur imposant le passe sanitaire et le vaccin, c’est-à-dire un passe vaccinal qui ne dit pas son nom, et en se remplissant les poches au passage grâce aux grands lobbies (l’argent étant le nerf de la guerre, comme le décrit le Dr Pagnard).
  • les dirigeants ont opéré par poussées successives, subrepticement, de façon perverse, en maniant progressivement, la carotte et le bâton : « vous recouvrerez votre liberté si vous vous faites vacciner », « la vaccination et le passe sanitaire ne seront pas obligatoires », autant de mensonges qui sont un pilier de la manipulation destructrice telle que décrite par le Dr Pagnard…, et parallèlement, le bâton : « si vous ne vous faites pas vacciner, vous serez confinés, sanctionnés, privés de travail, etc., etc. »

Dans certains pays, il est question de vacciner de force, voire d’interner en camp d’isolement…

Le maire de New York quant à lui, a fait une brillante démonstration, digne d’un enfant de maternelle (…) : « vous vous faites vacciner, vous aurez droit à un hamburger-frites gratuit »….

La carotte, réduite à sa plus simple (débile) expression infantilisante….

L’ensemble de ces comportements, de ces mesures, amène à un état de sidération voulu par les dirigeants qui est un véritable PTSD (état de stress post-traumatique) avec le syndrome dépressif qui l’accompagnent, tel que décrit par le Dr Pagnard et qui a coûté la vie à bon nombre de personnes, notamment de tous jeunes adolescents qui se sont suicidés

Le propre des manipulateurs destructeurs (MD), tel que le décrit le Dr Pagnard dans son livre « Crimes impunis » est leur intolérance à la frustration, leur immaturité. On le voit dans les réactions d’un certain nombre de dirigeants qui ne supportent pas d’être contredits et pas obéis et qui ont besoin de se rassembler en clan (celui de « l’élite ») pour se rassurer, s’encourager, parce que seuls, ils n’ont pas l’étoffe…

Nous connaissons maintenant le schéma selon lequel fonctionnent les dirigeants, et nous saurons à l’avenir décrypter toute future manipulation…

D’après le Dr Pagnard, les MD allient des traits appartenant tous au registre des psychoses, et qui sont des traits de personnalité perverse(dans le sens où ils instrumentalisent les autres qui ne les intéressent que dans la mesure de ce qu’ils peuvent en soutirer comme bénéfice, déniant par ailleurs l’existence de l’Autre), des traits paranoïaques (psychorigides, procéduriers, ils ont toujours raison, ne supportent pas la contradiction et refusent de se remettre en question, sont convaincus que l’extérieur est dangereux pour eux, d’où la nécessité de se protéger des autres, ici en l’occurrence du peuple, derrière : l’armée, la gendarmerie et… la police…), et enfin, des traits psychopathiques (avec leur intolérance à la frustration, leur immaturité, leur instabilité de vie et d’humeurs, leur propension à sortir de la légalité…)

Par définition, ces pervers sont AU-DESSUS DES LOIS, et ces paranoïaques FONT LES LOIS et ils nous en ont donné de magnifiques exemples dans toute cette campagne Covid, mais depuis bien plus longtemps encore, insensiblement, à l’insu de tous, amplifiant les coercitions dans différents champs de la vie quotidienne, toujours « pour notre bien », mais surtout pour des avantages financiers pour eux-mêmes (l’argent, le nerf de la guerre), tout en ne respectant pas les lois eux-mêmes…

Les MD sont classés comme insoignables en psychiatrie. Ils ne relèvent donc pas des hôpitaux psychiatriques, et SONT DONC RESPONSABLES DE LEURS ACTES. En d’autres termes, leur place est en prison, stricto sensu…

L’exemple du maire de New York est très intéressant, parce que les MD qu’on dit pourtant « intelligents », ont pour fâcheuse habitude d’énoncer le programme à venir. Là, dans cet exemple du hamburger-frites, ce qu’on entend, c’est le rapprochement entre la vaccination et la nourriture… Or, il est annoncé qu’aux USA, certains états font main basse sur des stocks de nourriture qu’ils ont détruits. Certains auraient même acheté des stocks de nourriture à des producteurs à un coût supérieur à la normale, en les menaçant de leur confisquer des subventions s’ils refusaient la transaction, stocks qui auraient ensuite été détruits…

Ainsi, le maire de New York, en étendant la campagne vaccinale au domaine de la nourriture, peut annoncer une suite qui sera encore plus féroce et cruelle en termes de coercition : pénuries alimentaires à large échelle et orchestrées, sous couvert de « réchauffement climatique » et autres balivernes là encore… pour encore plus paralyser et affoler les populations et les amener là encore et de force, au but voulu par ces sinistres et criminels dirigeants !!!!…..

Au passage, le réchauffement climatique (pollution de l’environnement) est une autre des tartes à la crème qui va être utilisée contre les peuples, et, la numérisation de tous les Terriens, permise par les GAFA, permettra là encore de les museler (blocage de compte en banques, etc., comme annoncé (sic…..) toujours dans le rapport du sénat évoqué ci-dessus…) cf. l’article « Santé et environnement : la future tarte à la crème du réchauffement climatique »

Santé et environnement : la future tarte à la crème du réchauffement climatique – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Là encore, les dirigeants vont mettre en avant de « beaux principes » comme la pollution de l’environnement, pour mieux culpabiliser les populations qui « sont responsables de cette catastrophique pollution par leurs voitures, etc. », ils vont les isoler en les empêchant de circuler, les sanctionner s’ils osent bouger, leur soutirer de l’argent en leur faisant payer des taxes à tout va, alors que les solutions non polluantes existent depuis le… XIXe siècle, comme décrit dans l’article ci-dessus !!!…. Mais dans le même temps, nos dirigeants vont continuer à se déplacer avec leurs jets privés, y compris pour se rendre aux COP de l’environnement (etc.), ce qui ne manquerait pas d’humour, si ce n’était l’expression manifeste du mépris profond qu’ils ont pour les populations et des mensonges qu’ils profèrent sur la pollution…

À bon entendeur, salut !!…

Il est donc grand temps de réagir…

Des militaires ont eux aussi été soumis à la suspension de travail et de salaire pour non-vaccination. Ils ont eu le cran de témoigner pour le journal Gallia Daily qui a ainsi permis de mettre en évidence le profond malaise qui sévit aujourd’hui dans l’armée et qui la sépare radicalement de ces dirigeants MD…

Témoignages de militaires : l’heure de la révolte a sonné – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

https://telegra.ph/Interview-avec-les-militaires-anti-vax-Je-suis-un-soldat-et-mon-pays-ne-veut-plus-de-moi-car-je-refuse-le-vaccin–PARTIE-1-11-28

et

https://telegra.ph/Interview-avec-les-militaires-anti-vax-Je-suis-un-soldat-et-mon-pays-ne-veut-plus-de-moi-car-je-refuse-le-vaccin–PARTIE-2-11-28

Ils avouent être nombreux à refuser la vaccination, à désapprouver totalement les mesures prises par les dirigeants contre le peuple, à avoir cherché des solutions pour ne pas sombrer.

Les gendarmes, pompiers et policiers ont également réagi.

Le seul obstacle qui pouvait empêcher le peuple d’agir était ces trois corps d’état, susceptibles de provoquer un bain de sang sur l’ordre exprès des dirigeants, et, comme d’habitude, pour protéger ces derniers de la population. Or, ils ont bien compris qu’ils sont issus du peuple et que c’est le peuple qu’ils doivent protéger, pas les dirigeants politiques et des grands lobbies…

Si la Résistance a réussi en 39-45, sans Internet (…), à s’organiser pour s’opposer à l’agresseur de l’époque, qui était matérialisé par toute une armée formatée, manipulée, gonflée à bloc « comme des petits soldats », alors aujourd’hui, face à cette poignée de dirigeants, l’action à entreprendre pour les paralyser est simple, sans effusion de sang, en allant les traquer jusqu’en Nouvelle-Zélande (ou ailleurs), sur leurs îles privées, si besoin, pour les enfermer en attendant le procès de Nüremberg 2.0 qui sera permis par la plainte du CSAPE près la CPI (Cour Pénale Internationale), instance internationale souveraine sur toutes les instances (corrompues) nationales et européennes, plainte pour crimes contre l’Humanité déposée en juin 2021, et à laquelle il faudra qu’un maximum de personnes s’associent pour en faire un char d’assaut….

https://www.csape.international/

Ne pas oublier que ces dirigeants ont modifié, créé, piétiné les sacro-saints textes de lois qui faisaient la noblesse de notre pays. Nous pouvons réinstaurer ces lois avec la même facilité déconcertante qu’ils les ont détruites, et faire tomber celles qu’ils ont inventées pour se dédouaner de leurs responsabilités, tout comme celle qu’ils ont sortie pour Big Pharma pour les dégager de toute responsabilité face aux effets secondaires de leurs vaccins, geste « très noble » de la part des dirigeants politiques (…), mais sans doute en cadeau de remerciements pour les remerciements qu’ils ont préalablement reçus de Big Pharma (vous savez, le jeu de l’ascenseur…..)…

Nous avons réagi, maintenant, nous devons nous fédérer et agir… Chacun de nous est comme le petit colibri, et tous ensemble, nous serons les plus forts (d’autant que nous sommes 68 millions de Français, et 7,8 milliards de Terriens, face à cette petite poignée de dirigeants indignes……) !!!

Ami entends-tu les sanglots longs des violons de l’automne ?…

[Voir aussi : France, relève-toi !]




Moi, Petit H — Confidences et réflexions d’un atome d’hydrogène. Nouvelle version

Mise à jour — Une nouvelle version du texte suivant est disponible ici :
https://librairie.bod.fr/moi-petit-h-elisabeth-giordano-9782493783165

Par Élisabeth Giordano

 « Toutes les choses sont faites d’atomes (de molécules), petites particules en agitation incessante, s’attirant mutuellement à petite distance les unes des autres et se repoussant si on cherche à trop les rapprocher ».

Richard Feynman

« En 1815, sur la base des tables de masses atomiques des éléments disponibles à cette époque, William Prout, chimiste et médecin britannique, fait l’hypothèse que la masse atomique de n’importe quel élément est un multiple entier de celle de l’hydrogène. Il suggère donc que l’atome d’hydrogène est la seule véritable particule fondamentale, et que tous les autres éléments sont constitués d’un amas de plusieurs atomes d’hydrogène. Bien que cette hypothèse soit infirmée par les mesures plus précises des masses atomiques obtenues par la suite, elle constitue pour l’époque une percée importante vers la compréhension de la structure de l’atome. »

(Wikipédia)

(Monsieur Prout avait bien pressenti toute mon importance, même si son hypothèse ne s’est pas révélée entièrement juste, elle a ouvert à une meilleure compréhension ! (Moi, Petit H)

Ah oui ! Drôlement serrés !

« TOUT SERRES, tout serrés, tout serrés, tout serrés, nous étions, dans même pas un point, un pixel, un atome, même pas un électron ! Oui ! Drôlement serrés, enfin quand je dis « serrés », c’est maintenant que je peux le dire, car là, il n’y avait rien, alors même la pensée de « être serrés » n’existait pas encore. D’ailleurs, est-ce qu’une pensée peut être serrée ? Un sentiment ? Une émotion ? Serré, c’est quand il y de la matière ! Et personne ne savait cela, sauf moi ! Mais tous, au complet, nous étions tous là ! Ah oui, je le redis, il y avait Tout, absolument Tout ce qui compose notre petit Univers : les galaxies, le Soleil Hélios, la Terre Gaïa, la Cordillère des Andes, les pommes et les pommiers, les insectes, toutes les symphonies et les quatuors de Beethoven, les opéras de Wagner, la musique de Schubert et son sublime quintet pour deux violoncelles, moi bien sûr et même vous tous les humains ! Les pierres, les océans avec les baleines, le murmure des vagues fleuries du cri des mouettes, la poule et son œuf, le chou-rave, les coquelicots, les forêts, les belles émotions, les belles pensées, Bouddha, Jésus (je ne sais plus si Barabbas était déjà là, ou s’il est arrivé après !), et donc vous l’aurez compris, l’ADN et toutes les données biologiques nécessaires aux formes de vie ! Voilà, tout ce qu’il faut pour une petite planète comme la vôtre. Et moi, oui bien sûr ! Car je suis le tout premier, le premier de Tout ce que vous connaissez, le premier de votre Univers, de notre Univers et chargé de la Connaissance de l’Origine (mais depuis tout ce « temps »…).

« Toute, absolument toute l’Information, rien que de l’Information consciente concentrée en un Point. Information qu’il restera, bien sûr à extraire, donner Vie, faire émerger à l’existence, révéler ces virtualités musicales entre autres, par les futurs êtres ayant les capacités de mettre à jour tous ces trésors. Et pareil pour toutes les planètes du futur Univers, et tout cela en même pas un point… Enfin ! Tout était potentiellement là, c’est pourquoi cela ne prenait pas de place ! Accompli, mais pas encore défini. Toute action sur la matière en vue de sa matérialisation demande une pensée, une pensée donc, primordiale à toute Conception. Il fallait juste une mise au point ajustée au milliardième de milliardième et plus encore, puis appuyer sur la touche « on »…

Tout ce qu’il faut…

« Nous, future matière, étions déjà tous là, en potentiel bien sûr, et nous attendions. Dieu, cet Absolu Indifférencié, (la Grande Pensée, l’Origine Primordiale, si vous préférez), enfin ce Quelque Chose qui était, est et sera, encore non défini dans cet Univers-là, mais avec de toute éternité, l’immense pouvoir de permettre l’accomplissement ultime à toutes ses propres émanations de consciences éternelles, dans des mondes matériels plus ou moins denses, savait exactement ce qu’il fallait pour le créer cet Univers matériel-là. Et avec une liste de tous les ingrédients nécessaires ; une centaine de sortes d’atomes à tout casser. Oui ! juste une série de cent, paraît que ça suffisait, mais des milliards et des milliards de milliards d’atomes, en fait 1 suivi de 80 zéros, (n’essayez pas de compter pour vérifier, on ne va pas chipoter pour quelques dizaines de milliards de plus ou de moins !) Mais alors avec un nombre de combinaisons incalculables ! Alors il fallait aussi une somme considérable de modes d’emploi pour que tous ces atomes puissent s’agencer pour créer. Oui, ici, c’était un Univers plutôt dense qu’il s’agissait de mettre en oeuvre. Et pour que cela ressemble à quelque chose de cohérent, il fallait un nombre incalculable de notices de Création, car il était hors de question de les laisser faire n’importe quoi, puis de voir si cela donnait quelque chose de correct. Non ! C’est un peu bête de croire cela, et la probabilité n’est même pas quasiment nulle, elle est NULLE, c’est tout ! Croire qu’il n’y a pas une téléonomie(([1] Finalité, projet.)) sous-jacente à la perfection de cet Univers et de ce qu’il contient, nie que la vie a un Sens, bien triste cela et ne rend pas joyeux !

« Bien sûr, Dieu, cette Entité Suprême, Créatrice unique et infinie, empreinte d’une Intelligence Infinie, d’où Elle se « trouvait », c’est-à-dire dans Son Super Univers totalement Immatériel et Spirituel, là où la Pensée prend instantanément forme, avait pu mitonner ce Projet-là en toute quiétude ; même laisser traîner ses plans ou renverser ses bouteilles d’encre de chine, sans que personne n’y voit aucun inconvénient. Tout cela bien entendu, au-delà des tracas administratifs, déclarations fiscales, partis politiques et médias corrompus, embêtements avec des voisins indélicats, fuites d’eau intempestives, enfin toutes les contrariétés liées à certains mondes matériels ! Au cours des âges, d’autres atomes et d’autres Consciences viendront s’ajouter à cette Création. Mais moi, j’avais la bougeotte, enfin ! comme on peut avoir la bougeotte dans même pas un point des millions de milliards de fois plus petit qu’un atome que vous pouvez déceler maintenant, bien épanoui avec son petit brouillard d’électrons autour de lui ! Oui ! Enfin, bien sûr, je l’avais potentiellement la bougeotte, j’en avais l’idée, tout le monde aura compris ! Mais cette « idée », simple idée de mouvement, comment la faire émerger, car le mouvement veut de l’espace ?

Avant même le Commencement, zut, ça commence déjà !

« C’était à moi que reviendrait l’honneur d’être le premier et d’avoir la plus grande famille. Nous étions très impatients de savoir ce que nous allions créer. Et évidemment, il y avait toujours des prétentieux qui voulaient faire partie de ci mais pas de ça, voler, mais pas ramper, être lumineux mais pas terne, vert mais pas gris, être Mozart mais pas Pinochet, Italo Calvino mais pas BHL, Victor Hugo mais pas Napoléon, etc. (Ici je vais mettre une parenthèse, même deux d’ailleurs : ces personnages, tout autant que les guerres, n’étaient pas vraiment prévus à l’Origine, mais nous verrons plus loin ce qu’il a bien pu se passer.). On voit que dès le tout début, il y avait déjà quelques controverses, ce qui peut expliquer bien des choses sur ce que vous vivez dans votre époque !

« En tout cas, le problème fut en somme vite réglé : en ces temps indéterminés, il y en aura pour tout le monde, et toutes les expériences seront accessibles à tous, et nous passerons par tous les stades, et paf ! plus de jaloux, et comme nous étions tous mêlés les uns aux autres, nous garderons toujours le souvenir de cette proximité, ce qui fait que tout, dans cet Univers-là, sera connecté ! Plus tard, vous l’appellerez « l’intrication quantique ». Ce qui veut dire que quand l’un d’entre nous aura un état quelque part, ceux avec qui il a interagi le plus intimement, réagiront illico, même à des distances intersidérales, et comme nous étions tous connectés les uns aux autres…

Il se passera encore bien du temps avant que vous ne compreniez que la matière n’est qu’un accessoire, un support. Ce n’est qu’alors que vous pourrez retrouver la mémoire du Sens, la Conscience que la Raison gouverne tout, et que les interactions qui ont lieu au niveau quantique sont tout aussi valables au niveau macro. Bien sûr, il restera toujours quelques exceptions, macroscopiques cela va sans dire, tristes et rabat–joie, pour se croire seules à penser ici-bas ! Comment allions-nous bien pouvoir aller au-delà ?

Oh, my God !

« Indicible Transcendance du Tout, et bien au-delà de tout ce qui est répertorié maintenant, Dieu, puisque c’est son nom le plus courant, assez pratique somme toute – encore qu’un peu galvaudé à toutes les sauces –, mais plus commode que pas de nom du tout, car l’on peut se retrouver sans y pendre garde avec des machins, trucs et autres qualificatifs peu obligeants, avait donc en tête (pour imager toujours !), les Tenants et les Aboutissants, Quand et Où. Parce qu’au supposé point de départ de cette « partie » réservée pour cette création-là, il n’y avait rien, mais vraiment absolument rien à quoi se repérer, comme une ligne de départ avec un panneau « début », une galaxie tournant sur elle–même en un laps de temps bien déterminé, ou même une pendule qui sonne tous les quarts d’heure ! Mais bien sûr, pour Dieu c’était différent et toutes ces contraintes avaient peu de poids. Elle·Il n’était pas pressé·e par on ne sait quel horaire, puisque dans Son Super Univers extra temporel, extra luminique et extra tout d’ailleurs, le temps ainsi que l’espace « n’existaient » pas au sens où vous — êtres humains maintenant limités dans vos trois petites dimensions — l’entendez. La « Lumière », d’une « vitesse » simultanément nulle et infinie, c’est dire l’indicible, et d’une tout autre nature que celle qui nous sera réservée pour notre petit Univers matériel à nous ! Il n’y avait qu’au point de jonction entre Son « Côté » et le nôtre, c’est-à-dire le moment zéro de notre Univers, qu’un certain Fred Hoyle, par dérision, nommait aussi Big Bang, que cela pouvait tirailler, car en somme, il fallait juste le trouver cet alignement, un alignement d’une précision incommensurable !

« Oui ! C’est ce que vous appelez le « mur de Planck », enfin ça, c’est pour votre petite histoire, car en fait personne n’y comprend quelque chose. Dire combien de « temps » a duré cette gestation, reviendrait à demander à un fœtus depuis combien de mois il est dans le ventre de sa mère ! Et encore, il doit bien avoir un embryon de notion de temps (c’est le cas de le dire !), car sa mère mange, bouge, dort, en fait, a des rythmes, mais là, rien ! Puisque de « l’autre côté », pas de « temps » ni d’espace, enfin, rien à quoi un être dans la matière, peut se référer. C’est pourquoi, il vous est absolument impossible d’appréhender, vous, êtres vivants et finis, ce qui pourrait seulement approcher de cette Transcendance, cet Absolu Indifférencié, ce point de Conscience infinie, Énergie intelligente qui, par cette création cherche sans doute simplement à faire, par délégation, une expérience « matérielle », une sorte de jeu de construction ! Enfin bref, pour revenir au moment zéro, qui pourrait se représenter Dieu, un chronomètre à la « main » pour donner le grand départ ?

« Dieu, la Conscience Infinie, nous chérissait comme son grand projet, sans que l’on sache en quoi il allait consister. En focalisant Son Infinie Intelligence, celle-ci va devenir Énergie Consciente. On peut donc comprendre que le Processus exige une certaine mise en œuvre pour qu’il imprègne toutes les particules du futur Univers. Et cette « attente » avait évidemment sa raison d’être, car nous allions y être confrontés à ce fameux temps ! Nous étions littéralement enivrés de ce qui se préparait, car l’aboutissement ne pourrait être que grandiose. C’est sûr, là, pas question de faire des brouillons que l’on brûle ou que l’on jette à la poubelle dans le coin de l’écran, pour être sûr qu’aucune personne indiscrète n’ira diffuser vos bêtises sur Facebook ou Twitter ! Non, là, tout sera étalé au grand jour quand la Lumière sera. Oui ! J’avais été mis dans la confidence, dans le futur ici-bas de cet Univers, une Lumière sera, bien sûr beaucoup plus ordinaire, ondes ou particules selon l’humeur, et contrainte à quelque vitesse maximale par on ne sait quel radar ! Mais quand même, c’était ma seule fascinante certitude, et avec cette certitude, je me laissais même aller à faire des projets car, pour qu’il y ait de la lumière soumise à une vitesse, il faut de l’espace, et je pouvais ainsi avoir un avant-goût du grandiose projet que Dieu nous préparait : un espace, il faut quelque chose dedans, sinon ce n’est pas un espace ! Mais ce « quelque chose », non défini mais accompli, qu’allait-il en être ?

Prêt, partez !

« Et j’étais là à rêver, quand soudain je perçus qu’il allait enfin se passer quelque chose : j’ai remarqué une singularité dans cette Vacuité Ineffable et Transcendantale, un imperceptible déséquilibre, une interférence, une vibration, avec ce que je sais maintenant, oui ! une énergie extraordinaire, démentielle, portée par un Son ! Un Son merveilleux(([2] Que Richard Wagner a très bien concrétisé avec le début de l’Or du Rhin : « Le Prélude de l’OrduRhin s’ouvre sur un monde encore sans temporalité définie (en note : il ne faut guère plus de quelques mesures pour que l’auditeur ne sache déjà plus depuis combien de temps il écoute), et propose la narration d’une genèse imaginaire (?). Sur fond de paix paradigmatique, l’auditeur est invité à faire le silence en lui-même et à rentrer dans un temps sacré. Ainsi, de même que la matière se crée en se diversifiant elle-même, et que la vie procède de la division d’une seule cellule d’origine, le célèbre mi bémol d’abord immobile et seul, durant quatre mesures, engendre, par simples « divisions harmoniques » (en note : les notes progressivement ajoutées n’étant que les harmoniques naturels du mi bémol), sa vie propre. ». Guide des opéras de Wagner, Fayard.)) comme « soufflé » à « l’emplacement » du futur point de jonction. En fait, oui ! C’est l’Énergie-Son qui a trouvé le chemin, comme un projecteur de cinéma dont l’image se serait considérablement élargie quand elle atteint l’écran. Et là ! Juste au passage, cette Synergie s’est en quelque sorte cristallisée pour devenir future matière, et surtout le temps qui, comme sur une ligne de départ, attendait aussi, le coup de feu pour commencer à défiler. Enfin ! quand je dis « défiler », ce n’est pas vraiment en ligne, car comme tout le reste, le temps est un vortex, et selon la position occupée sur ce vortex, il ne va pas être ressenti de la même façon.

« Et moi, il m’arrivait un truc vraiment bizarre, avec le recul, je peux donner un nom : j’avais le trac, mais alors un trac comme il n’en a jamais existé avant (et pour cause !), mais même pas après, j’en suis sûr, un trac épouvantable, colossal ; j’avais le sentiment que Dieu m’avait abandonné, car je commençais certainement à, comment dire… m’en séparer quelque part. Quand même, une telle mission ! La hauteur de la tâche me paraissait colossale ! Mais là, maintenant, plus question de rêvasser ! J’allais devenir… un atome d’hydrogène, avec la missionde relier les Consciences Eternelles à chaque futur particule ! Mais pour l’instant, je n’étais encore qu’un potentiel proton, mais quel proton ! Le premier dans toute l’histoire de cet Univers-là ! Tout reposait sur moi… Impossible de reculer, j’étais comme au bord d’un gigantesque gouffre… qui d’un coup s’ouvrit devant moi !

« Et de toute Éternité, de tout Amour, de toute Émotion,

φ fut, est et sera φ
π fut, est et sera π
1 fut, est et sera 1,
1 fut, est et sera 2,
2 fut, est et sera 3,
3 fut, est et sera 5,
5 fut, est et sera 8,
8 fut, est et sera 13,
13 fut, est et sera 21
21 fut, est et sera 34
34 fut, est et sera 55
55 fut, est et sera 89
89 fut, est et sera 144……

de l’infiniment petit à l’infiniment grand. L’Univers se déployait dans la spirale d’or, devant, derrière, en haut, en bas, à une vitesse jamais atteinte depuis ! Et puis c’était tout nouveau, il y avait même un avant et un après, j’étais entré dans le temps ! Portée pas les multiples Consciences ayant existées de toute éternité, l’Énergie-Son s’est cristallisée en milliards, billions, trillions, etc. de vortex pour créer et ensuite agréger une matière consciente riche de toute l’Information nécessaire à Sa Manifestation. C’est alors que j’ai pu constater que la matière peut-être très bruyante ! Tout cela a fait un foin d’enfer (oups, pardon !). En plus, la matière, quand elle est animée, elle chauffe, c’est la thermodynamique, et plus elle est animée, plus elle chauffe ! Enfin pas grande importance, de toute façon, les consciences n’avaient encore ni oreilles ni capteurs sensoriels et évidemment, aucun thermomètre pour contrôler ne trainait dans les parages, de toutes façons avec cette chaleur, un thermomètre, même à mercure !

« Et puis là, j’ai senti, moi, déjà presque matériel, je sais maintenant, comme une vague immense dont l’écume était la plus douce des caresses : l’Amour, un Amour fou, gigantissime, foudroyant qui a fait que je n’étais plus seul, mais avec une myriade de protons, neutrons, électrons, et même d’antiparticules. Alors j’ai su que j’ai su que cette Fantastique Pensée d’Amour, cette Singularité Créatrice Grandiose, porté par toutes ces petites consciences, allait imprégner chaque future particule de cet Univers là, j’ai su que Dieu en était l’Origine Primordiale et la véritable Force Créatrice : oui ! une Sacrée Force Créatrice Sacrée…

De l’Amour mis en forme

« Maintenant, il s’agissait bien d’un insurmontable défi, car encore plus vite que la lumière basique qui vous sert d’éclairage et de repaire avec sa vitesse d’escargot, nous nous sommes retrouvées, nous, les potentielles particules, projetées dans un plasma, ce n’est rien de dire « brûlant », mais déjà dans un espace qui s’ouvrait à nous et qui continuera à se déployer tant qu’il y aura des Consciences pour le faire. Et puis la maturité aidant, la fougue des premiers instants a fini par se calmer, et la vitesse d’expansion est devenue plus raisonnable et fluctuante : un coup j’accélère, un coup je ralentis, sans doute pour être en phase avec le Super Univers, car c’est précisément le Super Univers qui donne sa cohérence à notre Univers matériel à nous !

« Un proton ! Maintenant j’étais un vrai proton d’hydrogène, et quand cette Colossale Énergie d’Amour m’a submergé, des milliards et des milliards de protons, neutrons, électrons, etc., se sont lancés en tourbillonnant dans l’espace qui se déployait plus vite que la vitesse de cette future Lumière. C’était parti, la « Pensée » de Dieu prenait Forme, se manifestait dans la Gloire, le Grand Déploiement, la Cohérence…

« Nous flottions tous ensemble à une incroyable vitesse, tissant la toile cosmique avec de petits motifs, disons le tout net : des grumeaux(([3] Grumeaux qui préfigurent déjà les futures galaxies !))… 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21……, φ, π, encore et encore, toujours et toujours, dans cet espace qui se créait à chaque milliardième de seconde. C’était une saga incroyable, car nous étions très fougueux, débutants dans la matérialité, et n’avions pas encore bien le schéma pour nous mettre chacun du côté qui nous était assigné, car à chaque fois qu’une particule rencontrait une antiparticule, cela pétait dans tous les sens. Finalement, nous, les particules, avons fini par investir notre cour de création, les antiparticules, elles, ont inverti l’intérieur de la Terre, et l’Immense Vague d’Amour, substance mère venant de l’Endroit du Super Univers, Éther divin imprégnant tout, tissant toujours et encore la magnifique ordonnance qui règne en maitresse absolue : de l’Amour mis en forme ! Alors vous bien sûr, avec cette manie de tout vouloir, malgré votre champ de vision extrêmement réduit, classifiez, ordonnez, comptabilisez dans ce que vous pensez être le « temps », et bien hop ; c’est la gravité, seule capable, selon vous, de mettre de l’ordre dans cette incroyable bamboula que sont ce que vous nommez les quatre forces fondamentales,(([4] Dans le confinement auquel vous contraint la vitesse limitée (par on ne sait quel radar, je ne le dirais jamais assez !) de la lumière, vous ne pouvez donc percevoir que 5 % de l’univers. Ces 5 % sont régis par 4, mais en fait plutôt 3 forces, ou interactions fondamentales qui vous enferment dans cette vision réduite, et permettent aux particules de ne pas se séparer, à la Terre de tourner autour du Soleil, au courant de passer dans un fil… Alors en effet, les scientifiques vont vous dire qu’une seule de ces forces ait manqué à l’appel et le monde que vous connaissez n’aurait jamais pu se manifester, enfin juste les 5% de ce que vous voyez, car vous êtes gouvernés par ce qui correspond à votre niveau vibratoire, et que vous nommez « les 4 forces fondamentales » et que vous décriez comme :
La gravitation est la plus faible de toutes, mais aussi celle qui a la plus grande portée, puisqu’elle agit sur l’ensemble de l’univers. Son intensité dépend de la masse de l’objet, c’est pourquoi elle se fait surtout sentir à l’échelle des planètes : elle les fait tourner autour de leur étoile, mais nous retient aussi au sol, et fait tomber les pommes ! Georges Brassens le disait, le chantait si bien : « la loi de la pesanteur est dure, mais c’est la loi ! » ! Nous y sommes tous soumis.
La force électromagnétique est bien supérieure à la force de gravité, mais n’agit que sur les particules chargées, soit positivement comme les protons, soit négativement comme les électrons. Elle soude les atomes, en les obligeant à partager leurs électrons pour former les molécules, qu’elle pousse ensuite à se combiner en de longues chaînes ; la plus haute expression de ces chaînes est l’ADN qui permet la vie telle que nous la connaissons…
La force, ou interaction nucléaire faible, est l’une, et sans doute la plus importante de ces quatre interactions fondamentales de la nature. Elle est responsable de la désintégration de particules subatomiques, est à l’origine de la fusion nucléaire dans les étoiles. Bien que d’une portée limitée (elle ne dépasse pas les frontières du noyau), elle est inexorable : toutes les particules, à de rares exceptions, sont destinées à se désintégrer. C’est la force la plus proche de l’Origine primordiale gorgée d’Amour et qui anime tout ce qui vit : minéral, végétal, animal et humain ! Mais les humains n’ont pas encore compris qu’elle est primordiale, et que sans elle, aucune manifestation ne saurait possible ! Elle maintenant timidement décrite, avec sa copine juste au-dessus, « force électrofaible ».
La force nucléaire forte donne naissance à l’énergie nucléaire.)) sans mettre en doute un seul instant que l’Univers n’est pour vous que matière minérale ; Conscience et Vie, ça non ! C’est pourtant ce que qu’il est avant toutes choses. Alors en effet, à votre niveau vibratoire, la gravité s’applique au ballet des astres. Mais si ce n’était qu’un leurre, juste une broutille pour amuser les scientifiques !

Un amour d’électron

« Un être normal – je dis bien normal, c’est-à-dire imprégné de l’Énergie d’Amour des Origines –, ne peut pas vivre sans l’Esprit, et de la même manière, ces forces ne peuvent être efficientes sans la Force Spirituelle qui vient du Super Univers comme nous venons de le voir !

Alors cela est devenu encore plus intense, et de délicieux petits picotements suivis d’un divin sentiment de plénitude nous a envahis : oui ! Le pur Amour, car gravitant autour de chacun de nous, un électron était maintenant notre partie indissociable : voilà ! nous étions devenus de vrais atomes, des atomes d’hydrogène !

« Ah ! Mon électron ! Nous nous aimons d’un indéfectible Amour et juré fidélité il y a, il y a ; en fait, de toute éternité. Dans le « temps » que vous aimez tant comptabiliser, ça fait peut-être quelques milliards d’années et des poussières. Nous, en tout cas, nous n’avons pas changé, nous sommes toujours les mêmes, et le même nombre ! C’était enivrant, mais aussi affolant cette écrasante responsabilité ; par nous devait arriver la complexité, et cela a immédiatement commencé…

« Les photons, émis en même temps que nous, facétieuses particules de lumière, une fois particule pour nous bousculer, une fois onde pour prendre de l’élan, étaient encore beaucoup trop serrées pour pouvoir briller à leur aise.

« Nous, en tant qu’atomes d’hydrogène (nous avions aussi la capacité onde-particule, mais pour l’instant, on gardait cela pour nous), c’est le nombre qui faisait notre force ; 75 % de ce petit bout d’Univers tout neuf, et avec un seul électron s’il vous plait ! L’hélium était là aussi, à faire un peu son crâneur avec ses deux protons et ses deux électrons, mais le temps passant, il s’est vite calmé, car à force de faire la java entre nous et avec les photons qui ne cessaient de nous rentrer dedans, il s’est créé tout un tas d’atomes avec plein de protons et d’électrons. Ah, oui ! C’était une sacrée java, je dirais même une Java Sacrée ! Les électrons volaient dans tous les sens, s’offrant aux plus racoleurs, ce qui fait que certains atomes se sont retrouvés avec plein d’électrons tournoyant autour d’eux. J’y tiens tellement au mien, je n’en ai qu’un et personne n’a jamais réussi à me le piquer !

Que la Lumière soit !

« Et tandis que, pris dans l’impulsion de son élan initial, le cosmos continue de se dilater, de s’étendre et de se refroidir, les photons, enfin bien sûr ! les simples photons matériels ordinaires disponibles en nombre illimité ici bas, mais ivres de joie quand même, et qui attendaient depuis des lustres de pouvoir briller à leur aise, peuvent enfin se montrer et révéler le grandiose projet. Voilà ! La lumière EST, traversant l’Univers dans l’anonymat pour illuminer les étoiles, et porter cette Grande Joie dans l’espace à sa vitesse, on ne peut plus limitée ! Enfin, c’est ce qui vous est conté… Mais il existe d’autres autre Lumières bien plus rapides, à commencer par la pensée ! Observez la pensée, elle est fulgurante. Fermez les yeux, pensez au Soleil, regardez le briller dans votre tête, sentez sa chaleur sur votre peau ; cela n’a pas pris 8 minutes ! Et pourtant, c’est le temps que met cette lumière électromagnétique à parvenir sur Gaïa. C’est sans doute à ce moment que l’on pourrait placer ce qui est écrit dans la Bible ; Dieu aurait dit : « Que la lumière soit, et la lumière fut. ».

« Maintenant, il faut bien spécifier que Dieu ou la Grande Conscience ou le Grand Concepteur, EST de toute éternité, et sera toujours dans le Super Univers (bien sûr hors temps et espace), là où la Pensée naît, se conceptualise, car cette Pensée, cette Conception sont indispensables pour qu’il y ait un Univers de matière, mais n’ayant rien de commun avec le Véritable ! En tant qu’êtres humains dans un monde de matière, pour extérioriser votre pensée, la révéler, vous avez besoin de la parole, de l’écriture, de gestes, d’objets extérieurs, etc. et de quelqu’un pour les recevoir. La « Pensée » de Dieu est l’Information Absolue et Totale, et Elle se condense en quelque sorte pour former des Univers, à tous niveaux de densité. Et cette Pensée, cette conception, des milliards de fois plus subtile que celle dans laquelle nous évoluons maintenant, chargée de toute cette Information va engendrer la matière et bien sûr, la Vie : c’est la Source Créatrice, (à ne pas confondre avec Dieu) « dépositaire » de Connaissances infinies grâce auxquelles Elle va donner forme à la Manifestation ! Sur Gaïa, une source n’est source que parce qu’il y a de l’eau, mais la source est en fait un concept ; enlevez l’eau, il n’y a plus de source ! J’ai dit que notre Univers est l’envers, pâle « copie » du Véritable, de l’Endroit d’où vient le Plan, la Pensée, la Conception, le « Matériel » spirituel de la Source. Et quand je dis « copie » ! en fait, pas moyen de comparer ! Quand vous créez quelque chose, êtes-vous cette chose ? Elle va révéler un peu de votre personnalité, mais ne pourra en aucun cas vous représenter, sauf si c’est un autoportrait, et encore !

« C’est donc la Source (déjà éloignée de Dieu, mais bien moins que vous d’Elle), qui va donner signification, structure, forme, à une partie minuscule d’Informations « contenues » dans le Véritable Univers, le Super Univers (qui bien sûr, sans espace ni temps, ne « contient » rien que nous puissions concevoir, car comment nommer l’indicible ?

« Que serait un compositeur sans chef d’orchestre et sans musiciens ?

« Que serait ce même chef sans partition et sans musiciens ?

« L’œuvre resterait dans la tête du compositeur, quelle tristesse ! Sans compter les multiples interprétations que vont nous en donner de géni·ales·aux chefs d’orchestre !

« Alors, que serait Dieu sans création ? Car créer à partir de rien ne peut être que le fait d’un « être » surnaturel (nous verrons plus loin que certains futures êtres ne faisant pas partie de ce Plan divin s’arrangeront pour créer à partir de rien !). Mais n’anticipons pas.

La Source

« C’est seulement à partir de cet Univers de matière que le temps apparaît, enfin quand je dis « temps », celui-là n’a pas grand-chose à voir avec cette chose dans laquelle vous évoluez, que vous pensez bêtement linéaire et comptabilisez avec toutes sortes de moyens plus ou moins cocasses. Oui ! il est en spirale, comme tout ce qui existe, comprenez bien que selon l’endroit où vous vous trouverez sur cette spirale, le ressenti ne sera pas le même ; il n’est donc pas universel. La Source, la grande Source qui englobe cet Univers de matière, naît à son point zéro, et elle va, comme toute bonne source, alimenter un nombre infini de Sources qui seront les Âmes et les Esprits de tous les astres habités par des êtres conscients. Il n’est pas facile de vous expliquer tout cela avec un vocabulaire (et souvent une « comprenette ») si limité !

« Sur Gaïa, une source jaillit, mince filet d’eau native purifiée par son trajet à travers les différentes couches qui composent le manteau terrestre. Elle en a profité pour faire son marché, et s’est ainsi chargée des minéraux qu’elle affectionne particulièrement, et des multiples mémoires qu’elle rencontre. Puis elle commence à couler à la surface et, tout en continuant à faire ses provisions, rencontre de nombreuses autres sources. Ensemble, elles vont devenir ruisseaux, rivières, fleuves, et majestueusement, se fondre dans la mer pour recommencer un cycle, mais en gagnant en connaissances et expériences au fil de milliards d’années. Le cycle est perpétuel, dans une éternelle continuité qui ne doit jamais s’arrêter sous peine de dissolution totale. Et à l’image de la petite source qui finit dans l’océan, les informations multiples récoltées dans le monde manifesté finissent par retourner à l’Origine Primordiale. A cette image, la grande Source, énergie suprême, avec Amour et Émotion, doit constamment jaillir du Super Univers, agençant toutes ces forces, véritable ADN de la Manifestation, à des degrés de précision absolument inimaginables, tant, dans tout ce qui vit, respire, que dans le majestueux ballet des galaxies, des nébuleuses, des soleils et leurs planètes où il est possible de retrouver la forme parfaite de la spirale d’or et du nombre qui en découle. Toujours, la Conscience, ainsi que la Vie, précèdent la matière. Ce que vous « voyez » avec vos sens émoussés, n’est qu’une toute petite partie de la réalité, puisque vous ne percevez même pas 10 %, tant de la matière, du vivant, que de l’univers ! Alors que ce flot impétueux de la vie cosmique vienne à se tarir, l’Univers entier de matière serait englouti dans un improbable néant.

Ben oui, pourquoi ?

« Alors me direz-vous, POURQUOI ? Pourquoi, si Dieu, la Grande Conscience est et sera de toute éternité, prend-elle la peine de créer des Univers ? Je n’ai pas la prétention, surtout moi, simple atome, de vouloir comparer un être humain à Dieu, mais après tout, pourquoi une religion dit que l’homme a été créé à Son Image ? Ce qui est d’une prétention extrême, entre nous soit-dit, comme si Dieu et même la Source avaient une image ! Mais gardons quand même l’exemple. Un être humain digne de ce nom, aspire à des connaissances dans tous les domaines inhérents à ses goûts, ses capacités, ses moyens ; il va explorer, qui, la musique, la danse, la science, la mécanique, la médecine ou la psychologie, qui, ses relations avec les animaux, la Nature, la cosmologie, etc. Peut-être la spiritualité (s’il ne déraille pas avec, si si, il y a des preuves et des preuves, et même avec d’autres disciplines, les ratés ne manquent pas, parfois on peut même se demander où vont se nicher les peaux de bananes, mais là n’est pas le propos, nous y reviendrons !). Tout cela pour enrichir la Grande Mémoire de sa planète où chacun pourra puiser et faire avancer toute l’humanité (enfin c’est ce qui était prévu dans le Plan Originel !) Ainsi, vous avez plus de connaissances, même les gens les plus simples, qu’il y a 100, 500, 1000 ans, encore que… Maintenant quel genre de connaissances ? Un peu dans le matériel, parce que pour ce qui est du spirituel, votre indigence s’apparente plus à celle d’un bonobo qu’à celle d’un humain bien constitué ! Mais admettons que l’homme ait suivi la bonne voie, celle de la néguentropie de la Vraie Pensée, celle qui mène sur les Bons Chemins…

« Donc Dieu, ou la Grande Conscience, toute omnisciente qu’Elle soit, a sans doute aussi soif de connaissance dans ce qui est le plus éloigné de sa Transcendance, et Elle ne peut donc expérimenter directement ce qui est Son opposé total ; la matière dense (c’est une question de champs vibratoires, ce serait comme vouloir mélanger du plomb et un gaz !), et que peut-être, c’est aussi une question de continuité pour ne pas être happé dans un impossible néant… Non, mais c’est bon ! Ne faites pas cette tête-là, je ne suis qu’un simple atome ! Mais je continue quand même, j’y tiens, pour une fois que j’ai un auditoire… Donc, ne pouvant faire ses expériences matérielles, Elle crée des Univers, envoie des émanations d’Elle-même, des Sources filles en quelque sorte. Une principale pour chaque Univers, puis d’Autres pour chaque galaxie et ensuite pour chaque planète, ensuite pour chaque être humain. Toutes sont chargées de créer selon les Plans Suprêmes, puis collecter, répertorier, classer, etc., ses trillions et trillions d’informations, venant du monde minéral, végétal, animal, puis humanoïde. C’est là, bien sûr que la moisson, normalement, devrait se montrer la plus productive avec à terme, des êtres pensants qui vont travailler pour l’enrichissement commun ! N’est-ce pas merveilleux ? Sauf qu’à l’époque présente, sur Gaïa, il y aurait comme quelques grains de sable dans les rouages !

« Vous autres, humains, vous commencez juste à retrouver ce que vos lointains ancêtres savaient de toute évidence ; il faut une connexion à la Source, à commencer celle de votre planète, pour que le monde et l’individu soient cohérents ! Alors à partir de maintenant, puisque l’Univers de matière existe, il ne sera plus question que de « la Source », et même des Sources, Pures Émanations de Dieu.

Au boulot !

« Alors, un beau jour, la Grande Source ivre de Joie et d’Amour, en collaboration avec toutes les Consciences Eternelles, s’est dit que cette fois, il était largement temps de vraiment mettre en œuvre le grand ballet aux yeux du monde. Nous allions, nous les atomes, montrer enfin de quoi nous étions capables ! Finie l’oisiveté, au boulot, vive la matière ! Les grumeaux déjà évoqués se sont mis à tourbillonner, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34…, φ, π, tant et si bien qu’il s’est formé des protogalaxies. Alors évidemment, on aurait presque dû s’en douter, les atomes qui avaient fait plein de provisions d’électrons grouillaient partout à faire les malins : « regardez, je suis le plus complexe, c’est moi qui en ai le plus ! ». Mais eux aussi, le temps passant (puisque maintenant, il défilait !), allaient en rabaisser, car les plus grosses étoiles nous préparaient en secret de gigantesques feux d’artifice, que même celui de New-York, en comparaison, ferait des milliards et des milliards de fois moins de bruit et de lumière qu’un pet de puce comparé au grand commencement ! Oui ! Car, avec leurs gros pétards et leurs gros projecteurs, arrivent sur la scène, les supernovas qui créent en explosant, tous les atomes complexes jusqu’aux atomes lourds, comme l’uranium blindé de protons et d’électrons (92 pour lui tout seul !), et qui vont tournoyer dans l’espace, transcendant les protogalaxies en vraies galaxies de toutes sortes. Et dans cette grande mise en scène, je me débrouillais toujours pour être dans une galaxie spirale, je les trouvais tellement plus belles ! Il y a, il y a… enfin ce qui est dit dans le scénario ; pas mal de temps ! Moi, j’avais choisi une gigantesque étoile qui se pavanait dans une splendide galaxie spirale : la Voie Lactée. « Regardez, disait cette étoile, je suis la plus belle, c’est moi qui brille le plus ! ». On la sentait quand même un peu prétentieuse ; c’est sûr, pour briller, elle brillait, des milliards de fois plus que notre soleil actuel ! Pour continuer à briller plus que les autres, elle a commencé par consumer tout son hydrogène qui s’est combiné avec d’autres éléments, moi, je me suis échappé juste à temps pour ne pas me faire piquer mon électron, et nous garder, moi et mon double, pour notre futur Amour…

« Puis elle a continué en brûlant toutes ses réserves, a fini par s’effondrer et quasiment rebondir sur elle-même, et s’est alors mise à gonfler, gonfler tant et si bien… qu’elle explosa  ! Moi, je m’étais éloigné pour pouvoir profiter du spectacle de l’extérieur ; c’est sûr, à côté de l’explosion du tout début, cela faisait un peu crottes de souris ayant abusé d’épinards, mais quand même ce n’était pas mal ! Elle était devenue une supernova, ensemençant cette partie de la Voie Lactée des éléments nécessaires à la vie et au futur système solaire, et j’étais fier, car c’est celui que m’avait assigné la Source. Rapidement, les gaz interstellaires se sont mis en rotation, toujours et toujours plus, pour attirer et concentrer la matière pour former le Soleil et ses planètes, parfois telluriques, parfois gazeuses, au cœur desquelles tourne toujours l’information primordiale…

Oui ! Un bien grand bal

« Le grand bal cosmique était lancé depuis, depuis… une petite éternité, et gagnait en une complexité qui devait répondre à un ordre extrêmement précis sous peine de dislocation totale, et nous l’avons déjà évoqué ; pas de poubelle ! Encore que nous verrons plus tard que certains vortex pourraient bien être des déchetteries cosmiques où tout y est recyclé, même… mais n’anticipons pas !

« Et plus l’Univers grandit, plus son équilibre doit être maintenu par le Super Univers et les Consciences Eternelles. Il faut bien vous rendre compte que vous ne percevez qu’environ 5 à 10 % de notre Univers, et ce que les physiciens appellent matière et énergie noires (parce qu’ils n’y voient goutte), ne sont autres que l’Énergie du Super Univers qui donne sa cohérence à son bébé. Et c’est d’ailleurs votre lumière basique avec sa vitesse limitée, qui agit en véritable barrage et vous masque le vrai « visage » de l’Univers. Ah, si seulement vous pouviez voir ne serait-ce qu’un aperçu de cette splendeur, vous seriez conquis à tout jamais ; toutes vos petites histoires humaines se dissoudraient dans la Réalité comme neige au soleil !

«  Toute création, de la plus humble à la plus grandiose doit être belle, de cette beauté qui touche au plus profond de l’être, créant une émotion divine qui élève, s’approchant le plus possible du côté si mystérieux et numineux(([5] Ce terme, plus large que celui de sacré, désigne ce qui est surnaturel, inexplicable. Le sentiment du numineux se révèle à l’être humain comme mystérieux, à la fois attirant et effrayant, échappant à son entendement…)) de la « Demeure » de Dieu. Et il faut avouer, que pour cette manifestation cosmique, la réussite semblait assez réussie ; les télescopes ne vous révèlent que les 5% de l’indicible beauté de cette vastitude. Ne serait-ce que de votre petite fenêtre, vous pouvez admirer le ballet de la Lune, du Soleil, des galaxies, vous enivrer des étoiles, et vous laissez aller aux rêves… Et cela juste avec ces fameux 5% de l’Univers matériel que vous pouvez observer ! Mais ceux qui peuvent retrouver quelques traces de ces connexions perdues, savent…

Passer aux choses sérieuses

« Comme nous l’avons évoqué, cet Univers a été créé parce qu’il existe, nulle part et partout, l’Endroit du décor… Maintenant, pour ce qui est de notre côté, l’envers donc, il faut obligatoirement des atomes qui vont s’agencer pour matérialiser des molécules dont l’organisation aboutira à toutes sortes de formes, pour aller vers une certaine complexité. Beaucoup d’aventures, d’associations diverses et variées, de supers explosions, de concrétions, de formations sont nécessaires pour en arriver au petit système solaire, que vous autres, êtres humains de la Terre, habitez ! Mais savez-vous comment vous en êtes arrivés là ? L’avantage d’être un élément aussi simple qu’un atome d’hydrogène, est que j’ai été partie prenante d’un nombre incalculable de mondes, d’êtres vivants, d’éléments. Je, moi, simple atome d’hydrogène, suis issu directement de L’Origine, mandaté par Dieu, et racine de tous les autres éléments !

Ah ! L’Amour !

« Oui, l’Amour indissociable à toute Source de vie, sublime ménage à trois, est celui qui nous unit, moi et mon alter égo, à un atome O… L’Eau, magique, divine, unique, à la prodigieuse mémoire, sans laquelle rien ne serait ! Notre amour s’appelle « liaison hydrogène » (nous sommes quand même les aînés !), ensemble, nous sommes hydrophiles, c’est plus fort que tout, nous nous aimons, nous voulons toujours rester liés, si l’on veut nous séparer, nous formons tout de suite de petites gouttes qui cherchent à se rassembler(([6] Les molécules d’eau ont une polarité, c’est-à-dire, un « côté » positif et un « côté » négatif, et à la manière d’aimants, s’agglutinent entre elles. Le côté positif d’une molécule d’eau attire le côté négatif d’une autre molécule. Les grappes de molécules ainsi constituées portent le nom scientifique de « clusters ». Dans une eau stagnante (bouteilles, tuyaux, mares, les clusters deviennent des macros clusters regroupant 15 à 80 molécules, ce qui n’est pas naturel. L’eau ne peut plus chanter la mélodie de la Vie, alors que dans un torrent de montagne, son mouvement permanent empêche ces macros clusters de se former. Elle se compose alors de molécules libres et de micro clusters de 2 à 6 molécules, et se trouve alors dans son véritable état d’eau micro structurée ; c’est ainsi qu’elle est porteuse de vie et de mémoires. Mais agglutinée en macro cluster, elle perd une partie de ses qualités de solvant, participe moins efficacement à la digestion des aliments, véhicule avec difficulté les micronutriments vers les cellules et pénètre moins facilement à l’intérieur des mêmes cellules. Son rôle essentiel de « nettoyant cellulaire » et son impact en matière de détoxication cellulaire s’en trouve amoindri.))! Mais nous sommes aussi copains avec tout ce qui nous entoure. Ah ! Sans lui, inutile d’imaginer un quelconque Possible de vie biologique ! La Source nous a imprégnés de Son Essence, de Sa Numinescence, de Sa Divinité ; H²O est bien le Principe Divin Créateur incarné, et seule substance terrestre à pouvoir s’approcher autant de la Source. Oui ! C’est un élément subtil, capricieux, fougueux, impétueux, parfois déchaîné, mais aussi souple, doux, suave, caressant, indispensable, fondamental, pure Merveille des Merveilles ! L’Eau, qui se souvient de tout, se faufile partout sur Gaïa, dessus, dessous, en l’air, creusant, décapant, sculptant, en fait, toujours en travaux, travaux dont vous pouvez admirer les œuvres sous leurs multiples aspects ; elle circule dans le minéral, le végétal, l’animal ! Elle se gorge des minéraux et des mémoires qu’elle trouve sur son passage, informe, transmet le Message Originel, tant sur Terre que dans l’espace. Des vallées aux grottes, des plaines aux canyons, des chutes aux lacs ; nous abreuvons tout ce qui vit, nous adorons tout ce que nous côtoyons et nous en assimilons la forme pour la transporter partout sur la Terre et même au-delà ! Oui, c’est en grande partie ce qui fait évoluer toutes choses : partout où nous allons, nous enregistrons toutes les formes, toutes les mémoires et ensuite, laissons empreintes, modèles, plans, schémas et nous constituons les corps de tout ce qui vit. C’est aussi comme cela que les futurs Êtres ont réussi à générer autant de diversité. Tantôt vapeur, nous bougeons dans tous les sens, on s’éclate dans les nuages pour retomber en pluie, neige, grêle, nous allons ensuite dans les cascades, les rivières, les fleuves, la mer, et repartons vers le ciel.. Et puis, glace pour se reposer un peu, c’est le repos syndical en quelque sorte ! Et il y a même eu des périodes où c’était le grand sommeil, quand Gaïa n’était qu’une énorme boule de glace, il y plus de 2 milliards d’années, les océans gelés sur 1 km de profondeur ! Le réveil, dans ces cas-là, long et fastidieux, peut se montrer un peu pâteux, mais la divine Mémoire se réactive, et la vie, grâce à nous, repart très vite…

De bons amis

« Comme vous voyez, depuis le tout début, nous avons fait du chemin, et on s’éclatait avec notre copain O pas prétentieux pour deux sous malgré ses 8 protons et électrons. Il est vrai que nous étions là avant lui, et nous, la grande famille des H, sans vouloir faire de l’anthropomorphisme, nous sommes de grands philanthropes. Nous aimons tous nos copains atomes, et nous nous associons volontiers avec d’autres atomes, ce qui fait la profusion et la diversité du monde. Mais moi, Petit H, je suis toujours fidèle à O qui sur Gaïa, était l’enfant des plantes (bien sûr, le modèle était déjà présent dans le cosmos). Avec lui, c’est à la vie à la mort ! J’avais suivi sa naissance ici pas à pas ; ce sont les cyanobactéries, de leur petit nom, algues bleu-vert qui, avec un programme intégré parfaitement défini, inventèrent la photosynthèse en s’arrangeant à capturer le carbone contenu dans le CO² et rejeter… de l’oxygène ! On peut penser que ce fut le début de l’élévation de sa concentration dans l’atmosphère de Gaïa. Que nenni ! A peine né, ce petit philanthrope a-t-il commencé à batifoler avec tous les éléments qui se trouvaient dans les parages, comme moi, mais aussi le carbone, le soufre, le fer… Les atomes sont trop heureux de trouver des copains pour pouvoir se transformer en d’autres éléments : certains sont fidèles, mais d’autres volages…

« Enfin au fil du temps, ayant satisfait tout le monde, il a fini par rouler pour lui, et atteindre dans l’air une concentration suffisante et idéale pour la majorité des êtres, tant végétaux qu’animaux, vivants sur Gaïa.

La Complexité, on y vient, on y vient…

« Maintenant, si les premiers assemblages de molécules, dont les acides aminés, restent assez simples et peuvent se faire automatiquement depuis l’impulsion de départ, ces dernières, pour arriver à la vie sensible et palpitante, vont passer un stade qui lui, demande une Intervention consciente : le vivant ! Car pour passer des chaînes d’acides aminés aux protéines qui sont des macromolécules, briques essentielles de chaque cellule présente sur Gaïa, il faut l’ADN ! Ces macromolécules ont de multiples fonctions : elles agencent la structure de la cellule, catalysent les molécules présentes pour obtenir de l’énergie ou bâtir des composants cellulaires. Elles sont aussi affectées au nettoyage. Elles vont donc former des cellules, puis des organes, puis des corps qui vont évoluer, et dont l’ADN pourra stoker des informations. Enfin ! sur le plan purement matériel, car nous allons bientôt voir que la matière est loin d’être seule. Arrivées à ce stade, toutes les subtilités de ce bel Univers pourront enfin être appréciées à leur juste valeur !

***

« La Nature de tous ces mondes, porteuse de cartes mères bien déterminées, avait donc façonné sous la direction avisée des élémentaux, les règnes minéral, végétal, et animal. Mais dans ce dernier règne, il fallait encore un petit supplément pour parachever cette grande œuvre, car ces mondes, comme nous l’avons déjà évoqué, avaient le but d’enrichir la Grande Pensée Universelle, (Dieu), d’expériences dans ce qui était le plus éloigné d’Elle : la matière dense et matérielle. Mais pas que : de pures émanations divines, que l’on pourrait nommer « graines d’esprit », attendaient (oui, encore une fois, si l’on peut dire !)… elles attendaient, il est vrai avec une certaine impatience, de… s’incarner avec le magistral potentiel de devenir conscientes d’elles-mêmes ! Vous savez qu’une graine a un programme hautement élaboré en elle, et dès qu’elle se trouve dans un substrat adéquat, elle donnera soit une petite graminée de quelques centimètres de haut, soit un séquoia ! Elle a donc un logiciel intégré personnel, et ne pourra en aucun cas donner autre chose que ce pourquoi elle a été programmée.

« C’était donc une toute nouvelle expérience : ces graines, « embryons » divins en quelque sorte, futurs esprits accomplis arrivés à la pleine conscience, étaient destinés, au terme de leur mission, à sublimer, transcender cette matière si grossière, la façonner. Faire évoluer ces planètes avec tous leurs écosystèmes sera donc leur mission, apportant leur quota d’évolution à ce merveilleux Univers pour qu’Il continue son chemin vers la Perfection Divine (en tous cas, au niveau de la Terre, entre autres, c’est ce qui était prévu !). Ce qui permettrait aussi à ces petites graines, une fois individualisées et arrivées au terme de leur « contrat », de retrouver seules le chemin de leur Origine, car de même nature que la Source, et normalement, immortelles et intemporelles. Mais elles allaient, en incarnant des corps humains, hériter d’un concept en même tant emblématique, crucial et fondamental : le libre arbitre ! Un libre arbitre normalement indéfectible qui allait les éloigner de la Source, avec l’éventuel piège de leur faire croire à leur omnipotence. Oui, un possible grain de sable peut s’immiscer dans cette belle ordonnance : l’EGO, mais n’anticipons pas !

Expériences

« Pour un projet ayant pour but de transcender une matière grossière en une matière beaucoup plus subtile avec au potentiel spirituellement évolutionniste, les planètes telluriques semblaient se montrer parfaites, et tant qu’à faire, autant peupler tout l’Univers avec ce modèle ! La grande Source, ayant déjà invoqué la vie sous toutes ses formes sur un nombre incalculable de planètes, passa ensuite la main à la Source qui allait abreuver Gaïa. Elle l’imprégna de sa pensée avec en prime, une besace(([7] On trouve d’ailleurs de nombreuses représentations de dieux Anunnaki tenant à la main une sorte de petit sac !)) où se trouvait une boîte de Pétri, pleine de petits chromosomes X tous mignons qui frétillaient en se tortillant avec leurs petits bras et leurs petites jambes sans savoir ce que l’on attendait d’eux. Et dans une petite poche spéciale de la besace, quelques superbes torsades d’ADN nouvellement élaborées, base universelle de Vie biologique dans cet Univers. Tout là-haut, bien attentives dans leur vaporeuse et immatérielle « corbeille », d’adorables petites graines d’Esprit observaient avec le plus grand intérêt – se poussant gentiment du coude pour être au meilleur poste –, les moindres « faits et gestes » de la Divine Pensée pendant que cette dernière assemblait les petits chromosomes X sur une magnifique torsade d’ADN de la meilleure qualité.

— Sur une si belle Terre nous allons vivre !

— C’est quoi « vivre » ?

— On ne sait pas trop, mais Dieu nous a promis qu’à chaque expérience terrestre, nous reviendrons avec plein de connaissances.

— Ah ! Quel genre de connaissances ?

— Ben ! Par exemple, nous allons connaître les sentiments, les Émotions, l’Amour, l’Empathie, la Compassion et même la Création, car nous aurons le Pouvoir Créateur, et puis plein de trucs que l’on ne sait même pas ce que c’est. En plus nous sommes chargées de mission…

— C’est sûr ? Et si cela ne marche pas ?

— Tu rigoles, Dieu a tout prévu… enfin j’espère !

— Oui ! Oui ! Cela nous plaît à nous de faire des expériences, s’écrient les petites graines en sautillant !

— C’est quoi des « expériences » ?

Dans un coin de la corbeille, une petite graine se renfrognait :

— Je ne veux pas y aller, j’ai peur !

— Peur ? Tu vois Lili, tu connais déjà un sentiment, bon, ce n’est peut-être pas le meilleur ! Non, tu as juste un peu le trac comme notre ami l’atome d’hydrogène, celui qui a ouvert le grand bal cosmique, tu vois maintenant comme il est content ? Tu ne peux pas rester éternellement une graine. Nous devons germer, pousser, grandir, devenir les plus belles fleurs ayant jamais existé ; aller vers la Perfection. Notre mission consistera à façonner, créer un riche écosystème sur cette Terre, et ainsi enrichir cet Univers-là de nos expériences et connaissances acquises dans la matière, pour revenir, si nous avons bien grandi, fusionner, dans un premier temps avec la Source de la planète, peut-être ensuite, la grande Source pour qu’Elle engramme à son tour, tout ce que nous aurons appris…

« De plus en plus impatientes, elles sautillaient en gazouillant, observant attentivement la Source parachever son œuvre ; c’était à qui sauterait en premier ! De toute façon, Dieu, la Grande Conscience avait bien dit qu’il y en aurait pour tout le monde, tout en sachant aussi que l’enthousiasme du début pourrait, si les choses se gâtaient, ne plus déclencher d’aussi joyeuses vocations.

***

« Mais pour que la graine d’esprit puisse germer et pousser dans les meilleures conditions, il faut un milieu beaucoup plus subtil qu’un corps aussi dense, même si ces premiers corps avaient un niveau vibratoire plus élevé, donc d’une matière beaucoup plus fine que le vôtre dans les temps présents. La Source allait alors exprimer d’elle-même dans une fulgurante Lumière, une « Matière » d’une extrême subtilité, impalpable, éthérée, éternellement connectée à Sa Nature divine, réceptacle sacré appelé Âme dont la fonction sera d’engrammer toutes les mémoires de la vie, et qui allait subtilement s’immiscer dans toutes les cellules du corps physique, et l’envelopper d’une douce Lumière juste avant l’incarnation des graines d’esprit. Cette « Enveloppe » sera, tout au long d’une vie, le réceptacle de toutes les expériences vécues et un lien entre le corps et ces petites entités spirituelles qui allaient grandir, grandir, éternellement connectées les unes avec les autres (enfin, c’était ce qui était prévu !) …

Et Dieu créa la femme…

« Ainsi, nos petites entités espiègles se tenaient prêtes à faire une expérience de vie dans cette humanité qui semblait s’annoncer. Et comme sur une ligne de départ, elles s’apprêtaient à bondir dès qu’un corps aurait été conçu.

« La Source, ayant assemblé avec le plus grand soin les petits chromosomes X sur cette magnifique torsade d’ADN à laquelle elle insuffla, en un « geste » – créateur bien évidemment –, le langage codé le plus dense et le plus élaboré que vous connaissez, le langage de la Vie, le langage de l’ADN ! Sortit alors, de son chapeau… une superbe Créature ! Flottant sur une couche immatérielle, elle semblait dormir et n’avait pas cette opacité qu’ont vos corps dans les temps présents ; la Lumière pouvait la traverser. Encadré de boucles brunes tombant sur ses épaules, son visage, aux traits finement dessinés, paraissait sans expression et sa peau, toute lisse (ce qui était complètement nouveau sur Gaïa, sauf les vers et certains nouveau-nés, les autres espèces ayant soit poils, plumes ou écailles, mais on ne discute pas les idées d’un dieu créateur, si saugrenues soient-elles !). Oui, cette peau, lumineuse et irisée, douce comme celle d’une pêche, avait cette transparence et cette sublime couleur indigo du ciel quand les premières étoiles commencent juste à la tombée de la nuit, à révéler leur présence, une poitrine galbée à faire pâlir un arc-en-ciel, des fesses rebondies comme des boules de brioches, des cuisses finement musclées, des épaules joliment arrondies ; qu’elle était belle !

***

« A ce stade de la Création, il faut bien comprendre qu’il ne s’agit que d’un corps, c’est-à-dire un contenant, mais un contenant avec toute une « mécanique » ultra perfectionnée, mais encore non opérationnelle ! Maintenant que vous avez des ordinateurs, je peux faire une comparaison simple. Vous venez d’en acquérir un, tout neuf, tout rutilant (sans traces de doigts ou autres estampilles ayant peu de rapports avec l’informatique !), avec plein de logiciels tout neufs aussi (qui ont, soit dit en passant, demandé un créateur !), la première chose à faire est de le brancher sur une source d’énergie, à ce stade, à part le petit voyant de charge, il ne se passe pas grand-chose. Et puis vous allez vous mettre devant votre machine, et l’ouvrir ! Et là, c’est comme s’il se mettait à vivre ! Oui, sans vous, que serait ce boitier ? Il va se charger de tout ce que vous avez envie d’y mettre et interagir avec d’autres ; vous allez activer sa mémoire vive avec votre personnalité…

***

« Nous en sommes donc à ce stade de la Création : l’ordinateur est devant vous, prêt à être utilisé, mais vous ne l’avez pas encore touché ! La Source se mit alors à rayonner, et telle une haleine providentielle, un halo vaporeux nimba instantanément la créature de son enveloppe subtile qui allait, en se densifiant jusqu’au contact du corps, se mettre en symbiose avec lui et lui survivre un temps plus ou moins long après la mort de ce corps. C’est L’Âme qui transmettra à l’Esprit toute la mémoire acquise pendant sa vie, c’est Elle qui ressentira des émotions, qui pourra souffrir si Elle est mal nourrie, et sublimer l’être si elle reçoit de bonnes « Nourritures Émotionnelles et surtout Spirituelles ».

« A peine cette indispensable intervention achevée, le visage, toujours sans expression, s’anima d’un indicible sourire, mais la vie n’y pétillait pas encore (c’est le courant, le voyant de charge de votre ordinateur). C’est alors que Lili, la petite graine d’esprit timide sauta dans le corps endormi ; « Lili, s’écrièrent les petites graines d’esprit, tu es la première ! Bravo, nous sommes fières de toi ! ». Instantanément, L’Être ouvrit ses grands yeux ; bordés de longs cils, ils étaient marron illuminés de multiples paillettes vertes et bleues scintillantes ; ce regard sublime, doux et pétillant de vie, reflétait toutefois une volonté farouche et fière. Puis, lentement, comme pour tester cette merveilleuse machine, avec une grâce innée, elle se mit debout. Tous les atomes présents étaient sous le charme de sa prestance, de son irradiante beauté (c’est tout juste si l’on n’entendit pas des sifflements !), et grâce à l’intrication, la nouvelle se répandit instantanément dans cette partie de la galaxie. Chacun voulait se faire respirer, avaler, l’accueillir dans les sources et les rivières où elle n’allait pas manquer de se baigner. Un charme fou, une allure enfantine, mutine et joyeuse couplée avec une incomparable délicatesse ; c’est sûr, nous allions rapidement nous habituer à cette nouvelle forme… Voilà, votre ordinateur est connecté au réseau, et vous allez le faire « vivre » !

« Vous comprenez maintenant que l’Âme et l’Esprit, comme le courant qui fournit l’énergie et l’humain qui va utiliser l’ordinateur, sont indispensables au corps tout en en étant indépendants.

Précautions

« Lili avait donc instantanément germée, radieuse et lumineuse, elle ÉTAIT, et pouvait communiquer avec, non seulement tous les règnes, mais l’Univers, la Source Créatrice, et même Dieu dans son Super Univers, car elle-même était devenue aussi, infiniment plus modestement bien sûr, une créatrice incarnée : elle avait la capacité de manifester toutes ses pensées, et ainsi, interpréter la Divine Partition. Comme son Âme et son Esprit étaient à l’image de la Pureté Originelle, il n’y avait aucun danger.

— Lili, lui dit alors la Grande Créatrice, te voilà prête à faire cette expérience unique de la Vie sur Terre. Ce corps de matière encore très éthéré que j’ai conçu d’après les Plans de Dieu est parfait, et tu devras en prendre un soin tout particulier, car il est ton véhicule dans ce monde, c’est une machine biologique ultra perfectionnée qui, bien entretenue, a un pouvoir de régénération très puissant et ne doit jamais « tomber en panne ». Tu auras aussi, par la force de ta pensée, le pouvoir d’agir sur tes gènes si tu en éprouves le besoin, mais bien entendu, avec le Discernement que je te donne.

— Nous aussi nous voulons venir, nous aussi nous voulons faire une expérience sur cette Terre là !

— Mais bien sûr que vous allez venir, Lili s’ennuierait sans vous !

Mise en garde

« Alors, instantanément, Gaïa fut peuplée de ces Êtres magnifiques !

« Puis ainsi parla la Source :

 — Cette planète est maintenant votre demeure et vous attendait depuis bien longtemps ! Vous allez grandir avec Elle, et en tant que créatrices incarnées, avec l’aide des élémentaux, votre mission sera de créer une Nature riche, parfaite, et aider tous les autres règnes à évoluer encore et toujours dans le sens de la Beauté, de la Perfection, vers une biodiversité raffinée de plus en plus subtile. Ma Source Fille, Âme de cette planète, attend que vous manifestiez, toujours dans la Joie et l’Amour, ce Pouvoir Créateur qui vous a été donné par l’Être Créateur Suprême (attention de ne pas confondre « pouvoir créateur » avec « l’Être Créateur », seul et unique.). Cette planète précise est destinée à devenir un modèle pour cette partie plutôt désertique de la galaxie, et vous, des exemples d’Intelligence, de Discernement, d’Empathie, d’Entente, de Perfection… La nuit, pendant que vos corps dormiront, vous pourrez revenir dans votre véritable maison, ici près de Moi à travers ma Fille, Âme de cette planète, pour me transmettre vos expériences et reprendre des forces pour affronter la journée où vous vivrez la vie des corps de matière. Votre ADN, entièrement décodé, vous maintient à un niveau vibratoire proche de celui de la Source de votre désormais planète. Vous serez ainsi les garantes des cycles évolutifs de la Terre qui, comme toutes les planètes habitées par des êtres biologiques, est protégée des radiations mortelles et dangers qui parcourent l’espace, par une ceinture(([8] La ceinture de Van Allen est une zone toroïdale [en forme de tore] entourant l’équateur et se situant dans la magnétosphère de la terre. Elle contient des particules énergétiques de grande densité, infranchissables et mortelles pour les êtres humains à l’aune de leurs connaissances actuelles. Elle est à l’origine des aurores boréales.)) de particules énergétiques de grande densité et surtout, d’énergie beaucoup plus subtiles.

« Mais attention ! Pour cela, vous devrez toujours maintenir la pureté de vos pensées, de vos actes, vivre dans l’Amour inconditionnel. La matière s’est formée par accrétion autour des premiers vortex en diminuant le haut taux vibratoire qui règne au cœur de toutes choses. Il en est ainsi, tant au centre des galaxies que des astres, des planètes, des cellules, des atomes. Mais la matière a une particularité comparée au pur éther qui règne dans les sphères de haut niveau vibratoire : elle peut densifier les déchets, physiques mais aussi mentaux, jusqu’à leur donner forme avec une apparence de vie qui pourra ensuite se manifester comme « forces obscures ». Ces forces obscures n’ont bien sûr, pas été créées par la Grande Conscience, Dieu. Elles font partie des inconvénients et tracas de la matière qui normalement se régénère et se purifie seule, mais malheureusement, elles peuvent se densifier jusqu’à créer un être au grand pouvoir d’imitation et qui pourra alors générer des copies d’humains physiquement indétectables, mais au même pouvoir maléfique que leur inventeur ! A la mort de leur corps physique, ces êtres n’ayant que l’esprit de ruche (car ils n’ont pas été dotés de cette fameuse petite graine d’Esprit !) n’auront, dans le meilleur des cas, que la possibilité de se fondre dans leur âme groupe, perdant ainsi la plus grande partie de leur individualité… Et je vous laisse le loisir d’imaginer ce que peut bien être cette âme groupe !

« Ce qui bien sûr, leur fait très peur. Ils n’ont donc pas de sentiments, d’émotions, pas de conscience du bien et du mal, avec quand même une nette préférence pour le mal. Je vous mets donc en garde, car pour croître, ils ont besoin, de malheur, de déréliction, etc., et de tout ce que peut amener la souffrance. N’ayant pas été créées par Dieu, la petite graine d’Esprit qui vous anime leurs est totalement étrangère, et face à ce manque, ces êtres sont très jaloux des êtres humains et ne désirent rien de mieux que s’en faire des esclaves.

« Bien sûr, ils finiront obligatoirement par être intégralement dissouts, mais peuvent réellement créer de grands tourments et attirer à eux nombre d’âmes qu’ils auront réussi à entraîner dans leur propre perdition. Et il en existe hélas dans l’Univers, générées par d’autres humanités qui elles, n’ont pas respecté les Lois de la Vie et de la Nature… Je me dois de vous mettre en garde, car ici comme ailleurs, si ces lois venaient à ne plus être respectées, il se pourrait que des séquences de votre ADN restent muettes, désactivant du même coup, vos corps les plus subtils ; il en découlerait des désordres, dégénérescences et maladies de toute nature.

« Oui ! Un bas taux vibratoire peut densifier de plus en plus les corps et les pensées, produisant sans cesse plus de désordres émotionnels, de la dualité tant intérieur qu’extérieur, c’est-à-dire du Loosh(([9] Ce terme vient de Robert Monroe ; l’être humain, à travers les expériences de la vie, génère une énergie qualifiée de LOOSH (se prononce  « louche »), de toutes qualités et de toutes sortes. Comme l’araignée produit les fils qui vont lui permettre de vivre et de se nourrir, les arbres émettent de l’oxygène et donnent des fruits, les mères ont du lait, les oiseaux chantent la beauté, la terre se couvre de végétation, etc., l’être humain, lui, produit du Loosh. Et ce Loosh, au fil des millénaires a perdu ses qualités premières : Amour, Compassion, vertu, sagesse…, car sont venus s’y ajouter tous les sentiments, attitudes et comportements de peur, angoisse, haine, vengeance, jalousie, envie, arrogance, présomption, agressivité, violence, etc.)) dont se nourrissent ces forces obscures bien présentes dans ces lieux éloignés du centre galactique, ce qui bien sûr les renforcerait. Les accompagne alors un cortège de conséquences déplorables : maladies, agonie, peur de la mort, cynisme, aveuglement, confusion, guerres, etc., qui rendent les êtres esclaves à ces forces qui ne rêvent que d’une chose : s’emparer de votre pouvoir créateur pour grandir, car sans Esprit et n’ayant pas été créées par Dieu, elles ne possèdent pas ce pouvoir créateur, et n’ont de cesse de s’emparer du vôtre.

« C’est pourquoi, il est primordial que vous gardiez vos pensées pures, saines et belles. Prenez bien conscience de cela, et mettez tout en œuvre pour que cette connaissance se transmette jusqu’à vos lointains descendants. Les effets des pensées et des actes impurs, malsains et laids se répercuteraient immédiatement sur le corps physique, comme nous venons de le voir. La liaison avec l’Âme deviendrait de plus en plus difficile, et quand une Âme est en souffrance, l’Esprit ne peut plus évoluer dans le bon sens.

« Ce corps, tant que vous gardez votre Âme pure, restera jeune et vous le quitterez quand bon vous semblera, en gardant toute votre conscience et la mémoire de l’histoire de la civilisation où vous aurez vécu, et bien sûr, votre mémoire personnelle. J’ai placé dans votre cerveau un petit cristal(([10] La glande pinéale)) qui vous permettra de toujours garder le contact entre vous, la Nature, Moi, la Source de votre planète et même Dieu ! Chaque incarnation, délibérément choisie et planifiée, sera donc très fructueuse, et l’occasion de faire des expériences très différentes sans avoir à recommencer un apprentissage long et laborieux. Une fois que vous aurez quitté vos corps morts, les cellules, imprégnées de la mémoire de toutes les connaissances et des enseignements que vous en aurez tirés, seront partagées avec les animaux spécialement conçus à cet effet, les charognards qui mangeront ce corps pour le recycler noblement, enrichissant ainsi, la faune, la flore, la Terre.

« Votre Esprit, quant à lui, reviendra vers Moi en transit, pour partager ces expériences qui, une fois analysées et transcendées, repartiront vers Dieu. Et quand l’Esprit aura fait toutes les expériences désirées, il pourra alors faire son Ascension, et continuer son chemin vers la Fusion Ultime.

Surtout, ne pas perdre la Mémoire !

« Alors, encore une fois, je le redis, si au cours des millénaires, vos descendants oublient ce message, oublient leur origine, leurs corps perdront ce haut taux vibratoire qui les caractérise actuellement et les protège des forces obscures. Ils pourraient alors perdre leurs connexions universelles avec Moi, la Nature — animaux, insectes, arbres, plantes…—, et bien sûr entre eux. Ils pourraient, suite logique soufflée par les forces obscures, être amenés à se croire seuls, perdus dans un immense univers minéral sans vie, arrivés par le plus grand des hasards sur une petite planète quelconque bien sûr sans créateur !

« Si ce haut taux vibratoire baisse, ces protections se montreront de moins en moins efficaces contre ces forces obscures qui chercheraient toutes les occasions possibles de s’emparer des êtres ayant un Esprit et surtout un ADN manipulable, afin de s’approprier leurs pouvoirs créateurs, insufflant au passage des émotions négatives, du Loosh, pour s’en nourrir. Apparaitraient alors densité et condensation avec tous les sentiments rendant les êtres malheureux qui deviendraient alors presque totalement hermétiques à toute spiritualité. Et soufflés par ces forces obscures, arriveraient cynisme, guerre, haine, vengeance (alors présentée comme quelque chose de naturel, de normal, de légitime), désir de puissance et peur comme moteur universel, le tout couronné par une sorte d’ironie acerbe. Les infortunés sous cette emprise auraient beaucoup de mal à refaire surface un jour, car ils se trouveraient pris dans la roue infernale du karma que ces forces obscures, encore elles décidément, prendraient bien soin de promulguer comme inéluctable.

« Nous l’avons vu, rien ne se perd, rien ne peut s’effacer, car il faut que chaque planète garde son équilibre. Gaïa, comme chaque être vivant, a un système immunitaire et un système de recyclage des déchets de tous les êtres vivants avec Elle hautement perfectionnés. Ces systèmes, s’ils ne sont pas entravés, sont infaillibles. Il en est de même pour la conscience !

« Mais tant que votre taux vibratoire est très élevé, ces odieuses forces ne peuvent en aucune façon vous atteindre, comme elles le font avec de nombreuses planètes. Après la mort de votre corps, votre Ascension sera immédiate, et vous pourrez évoluer vers des mondes plus subtils. Je le redis encore une fois, si par malheur vos descendants se laissent pervertir, une grande partie de leur ADN ne sera, non seulement plus décodé, mais aussi corrompu, alors les dramatiques conséquences que je viens d’évoquer risqueraient d’arriver. Mais en tout cas, pour votre compte, je vois que vous êtes pleines des meilleures intentions du monde. »

Partition Divine

« Et pendant des centaines de milliers d’années, tout fut comme la Source l’espérait ; le meilleur des mondes possible !

« La si belle Nature, savamment équilibrée que vous pouvez encore admirer, est leur œuvre. La Divine Partition toujours en tête, elles en ont interprété toutes les subtilités dans la Joie et la Jubilation de la Création ; elles ont « simplement » mis l’Amour en forme avec Gratitude, et un talent que les artistes de tous les temps ont toujours tenté de retrouver pour amener l’être humain à sa vraie nature. L’Art authentique est là pour éveiller, faire résonner, vibrer en chaque être humain son ancestrale Origine. Beethoven le pressentait quand il disait : « s’approcher toujours plus de la divinité pour répandre (par l’art) son rayonnement sur le genre humain, il n’est rien de plus haut. ».

« L’Art doit être sans cesse une spéculation entre la sensibilité, l’Émotion, l’Intelligible, le Beau, l’Harmonie, et résonner de façon positive en chacun. Hélas, ce que certains appellent « art » dans votre époque, ne fait que révéler des sentiments de peur, d’angoisse, de déréliction. Chacun voit la beauté au niveau de sa propre image…

« Ces Êtres étaient partout à l’ouvrage dans la Joie, l’Amour, la Gratitude et la bonne humeur, se reportant toujours à la Divine Partition pour la mélodie de la Vie. Je m’en souviens d’autant que leur « table à dessins » était l’Eau, l’Air, l’Énergie ! Et comme un peintre commence par dessiner le projet de ce qu’il veut réaliser sur sa toile, elles esquissaient leurs pensées, puis engrammaient tant les molécules du précieux liquide, que celles de l’Air en volutes de multiples énergies qui voyageaient ensuite sur toute la Terre. Ces premières « impressions » dispersées imprégnaient toutes choses, puis elles passaient à la réalisation, sculptant les formes, dessinant le délicat contour d’une fleur tout en nuance pour séduire les insectes, cherchant sans cesse l’harmonie, tant des formes que des couleurs, des fragrances que des mélodies, affinant sans cesse leur travail.

La Création était donc instantanée sur toute la Terre. Il fallait aussi veiller constamment au si fragile équilibre entre toutes les espèces, entourer d’Amour tout ce qui vibre, bouge, furète, respire, vit, animal, végétal, minéral, car même les pierres, le sable, la terre avaient leur respect, elles agissaient toujours dans la Compassion, l’Amour, l’Empathie, la Beauté ! Le parfait équilibre des espèces n’avait pas besoin de prédateurs, juste des carnivores charognards pour le ménage ! Il n’y avait pas non plus de parasites ! Nos Créatures étaient capables de faire résonner dans l’air lui-même de sublimes musiques, dont vos compositeurs les plus doués ne font que retrouver des bribes… et il en est de même de toutes les formes d’art ! Les êtres qui vous paraissent les plus doués ne font que remettre en service quelques gènes capables d’activer les connexions perdues, gènes qui sont muets chez la plupart des êtres humains, mais qui étaient totalement actifs à ces époques… Le but était, bien sûr, d’amener les êtres à la transcendance le plus facilement possible. Leurs vies étaient donc pleines à craquer, de SENS !

Et la Source créa l’homme…

« Pour moi, Petit H, comme pour tous, tout allait donc pour le mieux dans le meilleur des mondes. Et pourtant un beau jour, l’on crut voir dans le comportement de nos si charmantes artistes, une petite anomalie ; devant les mamans et leurs bébés, elles avaient de gros soupirs, les prenaient dans leurs bras, les câlinaient, mais on sentait qu’elles aussi, auraient aimé avoir les leurs ! Si un bébé ou des bébés perdaient leur mère, elles en trouvaient toujours une à convaincre pour les adopter, surtout si celle-ci avait perdu les siens, et n’hésitaient pas à les prendre elles-mêmes en charge si aucune maman n’était disponible !

« Tout le monde avait un regard porté sur la Source. Avec un chouïa d’appréhension, mais soumise à une certaine pression, la Grande Créatrice ressortit sa boite de pétri avec un léger soupir. Maintenant que les choses étaient lancées, la complexité aidant, il y avait forcément des expériences enrichissantes à faire pour tout le monde, et peut-être qu’avec un compagnon, elles auraient plus de facilité à encore améliorer ce monde d’Amour et de Beauté, leur principe Créateur s’unissant ainsi à un principe Artisan, même si l’intention première n’était pas de faire des êtres sexués. Et sachez que la Source n’a jamais dit : « croissez et multipliez », ce n’est pas du tout une bonne idée, et qui a forcément été le fait des forces maléfiques !

« Je fais une petite parenthèse ; dans cette présente époque, l’humain de cette terre est le seul prédateur à ne pas contrôler ses naissances en fonction des ressources. Il se conduit ainsi comme une proie dont les prédateurs contrôlent la prolifération ; l’humain aurait-il des prédateurs ? Posez-vous la question !

***

« La Source prit alors un chromosome X qu’Elle plaça sur une nouvelle torsade d’ADN, puis elle en prit un deuxième, qui lui se débattait (sans doute avait-il une idée de ce qui allait lui arriver !), et d’un coup de scalpel, lui coupa une jambe pour en faire un Y ! Puis Elle s’empressa de le poser à côté du premier, et ne sachant pas trop quoi faire de cette jambe amputée, elle la glissa, oui ! Là ! Oui ! Exactement là où vous pensez, juste à l’emplacement du futur entre-jambe, ce qui marquera la différenciation sexuelle, peut-être un peu disgracieux et voyant pour la position débout, mais tant pis, de toutes façons, cela vient d’un chromosome humain et ne peut pas s’accorder avec un autre organisme ! Et cela ne vous rappelle pas quelque chose ? La bible ! Où un dieu est sensé avoir pris une côte d’Adam pour faire Ève. Oui, bien sûr, c’est le contraire, une côte ressemble bien à une jambe de X ! 

« Une nouvelle fois, la corbeille des graines d’esprit a attiré les consciences éternelles désirant faire cette nouvelle expérience, une âme exhalée et hop ! Du même vaste geste créateur, apparut un homme !

« Alors maintenant, dit la Source, en espérant que vos lointains descendants ne perdront pas la mémoire de leur origine, et ne feront pas de leur sexe un objet de domination… »

Principe artisan

« Il était aussi très beau sans avoir la délicatesse de Lili et de ses compagnes, après tout, c’était un mâle ! En tout cas, sa carrure se présentait sous les meilleurs auspices pour un principe Artisan ; il était plus fort et charpenté pour des travaux plus durs. « Lili, lui dit alors la Source, tu as maintenant un compagnon, vous voilà unis pour la vie. Ensemble vous allez réaliser de belles choses, et continuer à faire de ce monde un sanctuaire où toutes les espèces pourront vivre en communion. Chacune de vous aura aussi le sien, vous formerez des couples fusionnels où l’Amour, l’Harmonie, la Tendresse seront vos grandes forces. Vous aurez un ou deux enfants, pas plus, que vous élèverez dans la Joie et l’Amour, leur inculquant l’Empathie, le Discernement, le Sens des Responsabilités, de la Beauté, du Bon, du Juste, de la Sagesse, vous les guiderez sur les meilleurs chemins, pour en faire des êtres humains accomplis. Que la Nature soit leur meilleure école ! Vous allez donc connaître l’amour charnel, puis celui que vous porterez à vos enfants dont la conception et la naissance feront l’objet de cérémonies sacrées pour inviter les plus beaux Esprits à venir s’incarner ! Mais cependant, comprenez que cet amour peut être perverti car il est beaucoup plus ordinaire que Celui que vous portez à la Création. Alors soyez toujours dans la Joie, l’Amour, l’Admiration, l’Enthousiasme, l’Émerveillement, la Félicité, l’Exaltation, le Rire, même les Larmes surtout elles sont d’Emotion !

Grands travaux

« Et pendant encore des centaines de milliers d’années, il en fut ainsi. Les hommes entreprirent, en concertation avec leurs compagnes et l’aide en parfaite harmonie, des élémentaux, les grands travaux de façonnage de la Terre : les montagnes, les vallées, les canyons, les grandes plaines, les fleuves, les deltas, les lacs, les océans enfin tous les merveilleux paysages qui jalonnent Gaïa. Ils ont ainsi façonné ce monde à leur convenance, ainsi qu’à celle des végétaux et animaux, en continuant l’Œuvre Divine, interprétant Sa Partition selon leur sensibilité et leur propre lecture, pour faire l’enchantement des tous les êtres humains capables d’apprécier les beautés de la Nature.

« Aux toutes premières époques, celles de Lili, de ses compagnes et compagnons, il n’était pas du tout utile de s’exprimer oralement ; l’Âme ensoleillée et l’Intuition reine permettaient de communiquer instantanément, communication d’ailleurs universelle, entre Esprits, mais aussi avec les autres règnes tant Animal que Végétal et Minéral. Communication rendue possible entre tous les êtres de la Nature, la Terre, l’Univers, la Source, grâce à la transcription intégrale de l’ADN…

Les corps n’étaient pas encore de cette matière grossière des temps présents qui les rend imperméables à tout ce qui est d’ordre subtil. Nous autres, simples atomes, n’étions pas aussi contraints quand nous formions un corps au taux vibratoire élevé. La Lumière s’immisçait ainsi jusqu’aux cellules et les irradiait, Joie et légèreté dominaient. Le mental n’édictait pas son implacable loi et n’était pas le maître absolu. Le mensonge, la haine, la trahison, la vengeance, la guerre, n’existaient pas ; la Vie sous toutes ses formes était sacrée ! Le mythe, largement diffusé par les contes de fées, qui veut que chaque être humain ait quelque part sur Gaïa sa princesse ou son prince charmant, vient de cette époque !

Toute la Beauté du monde

« Les choses ont alors suivi leur cours, et la Source de cette planète dont la mission est de proposer sens, structure, signifier l’espace et le mouvement, s’enrichissait toujours et encore, formait autour de la planète une superbe Lumière irradiante chargée de Joie et de Bonheur. Toute la Beauté de cette Création vient de cette époque où les humains, dont les corps étaient beaucoup moins denses que dans l’époque actuelle, avaient un pouvoir créateur sur les autres règnes, minéral, mais aussi sur le Vivant tant végétal, qu’animal. La gravité terrestre n’était pas de même nature que celle des temps présents, et le magnétisme élevé donnaient à toutes les espèces une longévité de vie considérable qui n’a rien de commun avec votre courte et souvent maladive vie ! Vos séquoias, qui vous paraissent si grands, ne seraient rien moins que des bâtons de sucettes à côté des arbres de ces époques, hélas lointaines ! Ces géants flirtaient avec le ciel et pouvaient dépasser certaines montagnes. Chacun était comme une forêt, et un véritable écosystème à lui seul. Souvent, leurs sommets se trouvaient dans les nuages, et ils attiraient la pluie comme bon leur semblait. Leurs feuilles avaient la capacité de transporter la lumière dans cette immense canopée ! Ils protégeaient la terre et un nombre incalculable d’espèces vivaient en leur sein. Le conte de Jack et le haricot magique ne fait qu’évoquer ce temps béni où Gaïa était en communication directe avec les cieux où aucun ogre ne vivait ! Ces êtres immenses et majestueux, dotés d’une Conscience, conseillaient même Lili, ses compagnes et compagnons dans leur travail de création. Des cultes leur étaient rendus, ils étaient considérés comme sacrés et piliers autour desquels s’ordonnait l’Univers, tant naturel et physique que surnaturel et métaphysique. Ces arbres devenaient ainsi les agents privilégiés entre les trois mondes : les souterrains et les abysses, la surface de la Terre et le Ciel, manifestation par excellence de la Présence Divine. Je ne me souviens plus si ces mastodontes sont morts naturellement avec la diminution du champ magnétique, ou ont été coupés ! Ce que vous prenez pour des montagnes plates ne sont que les souches minéralisées de ces arbres ! C’est un peu comme si une dimension avait disparu…

« En tout cas, il reste encore de ces temps sacrés, la perfection des fleurs, des arbres, si petits soient-ils, des insectes, des poissons, des reptiles et autres mammifères, et leurs relations avec la Nature. Le fragile et pourtant parfait équilibre que l’on trouve en chaque lieu, en chaque chose est le témoin de ces époques bénies. Les charmantes créatrices étaient imprégnées des plus belles pensées, pensées qui prenaient ainsi forme. Les liens avec les mondes d’en haut n’avaient pas été rompus et elles étaient comme des abeilles travaillant à la construction d’une merveilleuse ruche ; une activité de création permanente qu’il fallait sans cesse équilibrer ; Beauté, Harmonie encore préservées de la Nature des temps présents en sont les vestiges incontestables.

Et le temps passe, avec quelques formatages…

« Et les humanités se succédaient, à l’intérieur desquelles des civilisations de toutes sortes se développaient très rapidement avec des technologies hautement sophistiquées, et toujours inspirées par la Nature. L’énergie libre (et gratuite, bien entendu !) leur permettait d’atteindre de hauts niveaux technologiques et de voyager tant sur Terre que dans l’espace…

« Gaïa était florissante, foisonnante, son magnétisme élevé permettait à tout ce qui y vivait, la santé, la beauté et la prospérité, il n’y eut donc pas que des végétaux géants, mais aussi des humains, et bien sûr des animaux dont on retrouve encore quelques vestiges des plus petits. Ces civilisations atteignaient en peu de temps, de hauts degrés de spiritualité et de développement, car les mémoires, tant des peuples que des humains étaient préservées. L’Évolution avait donc atteint un très haut degré de spiritualité. Et la mort ? Personne ne la craignait ! Car tout le monde savait qu’il ne s’agissait que d’un simple changement d’état et, ou, le passeport vers l’Ascension.

« Et quand la Source de la planète (son Âme), qui suit toujours les choses de loin tout en enregistrant toute l’histoire des humanités successives, estime qu’une civilisation a achevé sa mission en œuvrant pour le bien commun, une partie d’Elle-même ascensionne avec cette civilisation qui disparait de la surface de la Terre avec une bonne partie de l’écosystème.

« Un reformatage complet sur de grandes périodes laisse très peu de traces matérielles, et les compteurs sont remis à zéro, mais l’Âme de la planète a soigneusement gardé des indices de la mémoire acquise qui va ainsi permettre à l’humanité suivante de repartir avec un capital mémorisé de connaissances. Comme nous l’avons vu, ces civilisations qui se développaient dans ces humanités ne possédaient pas une technologie lourde et dévastatrice comme la vôtre basée sur la chaleur et l’explosion ; leur pouvoir sur la matière n’avait pas besoin de cet arsenal infantile et destructeur dont vous êtes si fiers, car elles n’utilisaient que les merveilleuses subtilités de la Nature et du Ciel pour se procurer cette fameuse énergie en quantité largement suffisante à leur développement.

La dérive des continents, mais aussi, hélas ! Autres dérives…

« La Terre est naturellement protégée de toutes les catastrophes, par la ceinture de Van Allen. Parce que, c’est sûr, sans protections, les moyens ne manquent pas dans un tel Univers pour des opérations de remise à zéro ; météorites, sursauts gamma, volcanisme effréné, inversion des pôles et autres réjouissances… D’ailleurs, il en fut une que les protections de Gaïa ne purent éviter ; celle qui engendra la dérive des continents. Était-ce réellement une catastrophe ou une évolution ? Une planète proche de la terre, et qui suivait à peu près le même développement, a été détruite par l’inconséquence de ses habitants, chamboulant tout le système solaire. Certains débris forment maintenant ce que vous appelez la « Ceinture d’astéroïdes », et transitent entre Mars et Jupiter, encerclant d’ailleurs les quatre planètes telluriques !

« Mais au moment de l’explosion, ils étaient encore tous dispersés, et les plus gros sont venus heurter violemment Pangée, le seul grand continent où se la coulaient douce humains, dinosaures et autres bestioles, le fragmentant en cinq morceaux qui sont ensuite partis à la dérive tranquillement pour former les continents que vous connaissez maintenant, débouchant au final sur une formidable diversité biologique et humaine.

« Nos créatrices de génie ont eu après cela un super boulot ! En effet, chaque parcelle va alors suivre une évolution différente, créant par ce fait, une biodiversité exceptionnelle dans la galaxie. C’est pourquoi cette planète intéresse tant les peuples exogènes. Mais pour l’humain, ce fut un peu différent, car la belle union des temps primordiaux allait doucement se déliter. La planète, rudement bousculée, s’est alors penchée sur son axe par rapport au soleil, créant les saisons ; fini le farniente au soleil, il va falloir lutter contre le froid. Les pôles ont gelé, mais enfermant du même coup, une bonne partie de la mémoire contenue dans l’eau ! Nous y reviendrons. Est-ce la Terre, ballottant sur cet axe de travers et en proie à un grand trouble, qui a attiré la lune pour se stabiliser, ou est-ce une autre civilisation évoluée qui l’a amenée, je ne sais plus ? D’ailleurs, vous êtes-vous déjà posé la question d’être les seuls à habiter une terre, d’avoir une lune et un soleil sans nom ? Les autres astres du système solaire ont un nom, mais pas votre Terre. Gaïa est très peu employé, il en est de même pour la lune, Séléné et pour le soleil, Hélios ! Oui ! Les autres terres de notre système solaire et leurs lunes : Mercure, Vénus, Mars (Phobos et Deimos), Jupiter (Io, Europe, Ganymède etc.), Saturne (Mimas, Tétys etc), etc. Les soleils répertoriés ont tous un nom : Proxima du Centaure, Alpha Centauri A et B, Sirius etc. et encore etc. Mais vous, vous êtes sur une terre, avec une lune, les deux tournants autour d’un soleil ! Et vous êtes des « t’es rien » !

« Conséquences ou pas, au fil des temps, insidieusement, il semblerait qu’il y ait eu des informations perdues. Bien sûr, il fallait aussi que chaque humanité sur ces continents séparés, fasse ses propres expériences. Mais les protections normalement invincibles que procurent un haut niveau vibratoire n’ont plus été aussi performantes, comme si la création s’opacifiait, se recouvrait d’un voile occultant la vraie Réalité, celle de la Création Primordiale.

« Les opérations de remise à zéro ont été de plus en plus dévastatrices, laissant des humains hagards, perdant leur mémoire et de plus en plus soumis à des énergies plus élémentaires. Que se passait-il ?

« Et au lieu de devenir de plus en plus spirituels et continuer d’évoluer, ils ont commencé lentement à glisser vers le bas et perdre la Connaissance de leur Origine. Tout le contraire du bon sens, et du bon Sens d’ailleurs, car ils perdaient une notion essentielle : ils ne formaient plus une entité unie, mais une multitude de races, ce qui n’aurait pas du tout été un problème s’ils n’avaient pas perdu en même temps, la communication transpersonnelle. Le cristal (la glande pinéale) a perdu de son éclat, et ce voile occlusif semblait s’être installé sur toute la planète avec l’invitation à s’inventer des dieux de remplacement, pas forcément très reluisants.

Pente descendante et glissante…

« Comme la Source l’avait évoqué, lentement mais sûrement, la Nature ne leur a plus semblé avoir autant de valeur, la Ferveur et le Respect dont ils faisaient preuve se sont transformés en domination, et ils se sont crus beaucoup plus malins. Il était clair, qu’à partir de là, les nouvelles humanités perdaient du même coup leur haut taux vibratoire, s’éloignant inexorablement de la Connexion Divine pour aller se mettre de plus en plus sous le joug des basses fréquences qui règnent sur les zones très excentrées du centre spirituel des galaxies. De faux dieux se sont alors présentés à chaque tribu, pays, continents, se faisant passer, auprès de ces humains, comme de « vrais dieux »  et divinités à leurs images selon les traditions de ces désormais différents peuples. Et pour cela, ces personnages peu recommandables, avaient légèrement « bricolé » l’ADN des humains pour leur faire perdre le discernement, et du même coup leur mémoire ainsi que toutes leurs connexions. Facile ensuite de les enfermer dans des croyances, dogmes, rituels cruels, barbares pour leur faire générer du Loosh, et s’en nourrir ; diviser pour mieux régner, c’est bien connu !

« Ces entités sans esprit, sanguinaires et cruelles, commencent donc toujours par s’emparer de la souveraineté de chaque être dans le but de lui voler son pouvoir créateur, puis de l’exercer exclusivement à leur profit comme l’un d’entre eux, un certain Yahvé, se prétendant « dieu d’amour », plutôt amour vache entre nous, autoritaire, vindicatif, jaloux, réclamant des sacrifices sanglants, en échange de prétendues protections ! Alors, ces élohims, avec l’aide de ceux qu’ils favorisaient, prêtres, rois ou empereur ou simple valet à leur service, et en accord avec leurs propres semblables, ces « dieux », ont commencé la mise en esclavage de l’être humain devenu à leurs yeux un vulgaire bétail qu’il convient de diriger en tout, lui faisant croire encore à son libre arbitre. Et rien de tel que la religion pour asservir un peuple qui croit avoir un ou des dieux rien que pour lui ! Qu’il suffit de leur offrir de sanglants sacrifices ou des prières pour être exhaussés ! Qu’un certain dieu vous avait créés à son image ! Elle était bonne celle-là ! Oui ! Nous avons bien ri avec cela (encore qu’un peu jaune quand-même !). Bref, vous étiez descendus bien bas, et devenus d’une matière beaucoup plus grossière, de plus en plus denses, et engouffrés en masse dans le cycle infernal des réincarnations imposées par ces faux dieux se faisant passer pour des guides, attisant la vengeance pour se nourrir de souffrance au fil d’incarnations aléatoires.

Chute libre

« Ces entités sans esprit ne veulent absolument pas que vous connaissiez votre véritable nature et votre supériorité sur elles, et font tout pour vous pervertir. Elles ont poussé à des guerres, encore et encore, guerres qui sont toujours monnaies courantes et même galopantes, pour tout et n’importe quoi, pour enrichir encore et encore les banquiers, les marchands d’armes qui se frottent les mains, et quand la paix à grande échelle est longue, il y a… il y a, l’industrie pharmaceutique ! Mais voyons un peu comment cela est arrivé, j’ai capté une petite conversation rigolote comme tout (enfin moi j’ai trouvé, peut-être pas vous ?) :

— Tu m’as tué avec un couteau ? Attends un peu que je revienne m’incarner, je vais prendre un sabre pour te faire ta fête !

— Ah c’est comme cela ? Moi aussi, on m’a « conseillé » de revenir m’incarner, alors je vais pouvoir me venger, justement on vient juste d’inventer le fusil, pan, et voilà !

— Moi j’ai attendu pour m’incarner que l’on invente le canon, c’est tout nouveau, ça vient de sortir et je vais tuer toute ta famille !

— Rigolo ! Moi j’ai attendu les bombes, et avec des avions, je vais bombarder tout ton pays !

« Et voilà ! Conseillé et conditionné par ces entités sans esprit, les humains sont maintenant bien installés dans le cycle infernal des réincarnations, perdant leur mémoire pour recommencer toujours, dans cette roue infernale, les mêmes rôles bourreaux-victimes dans un triste jeu éternellement le même ; des guerres, massacres, affrontements, conflits de toutes natures, internationaux, politiques, de voisinage, familiaux etc., sans discernement, sans rien apprendre de la conséquence de leurs actes. Et cela continue, écoutez la suite :

— Coucou, c’est moi, tralala ! Tout marche pour nous comme sur des roulettes, maintenant nous avons enfin réussi à nous incarner dans des corps humains ! Nous nous amusons maintenant comme des fous de toi et de tes copains. La route fut longue et fastidieuse, mais là, nous avons quasiment gagné. A force de luttes menées contre tous ceux qui préconisaient la Paix, la Connaissance, le Bon, le Juste et toutes ces débilités d’humains sensibles et généreux, nous avons réussi à faire descendre votre niveau vibratoire, et ainsi, de nous emparer de votre Création. Oui, maintenant, la terre nous appartient, et depuis un bon moment, car déjà, quand Dieu a envoyé, venant directement du super Univers, une émanation de lui-même en la personne de Jésus, nous avons tenté de le corrompre avec ce qui pourtant marchait normalement très bien avec les humains. Comme le monde nous appartient désormais, nous pouvons faire des marchés ; je te donne ce qui m’appartient : un royaume, des terres, des peuples, la richesse, l’or, les diamants, le pouvoir, la notoriété, et en contre partie tu me donnes… tonpouvoircréateurtonEspritettonÂme ! Un marché avec Dieu parait, pour ceux qui ne voient pas beaucoup plus loin que le bout de leur nez (même s’ils l’ont long), est beaucoup plus aléatoire. Car Dieu ne peut donner à ceux qui suivent son chemin, que ce qui lui appartient : la Vie Éternelle dans l’Amour, la Félicité et la Joie, la Connaissance Ultime…, mais beaucoup trop subtil pour des êtres humains avides comme je vous ai rendus et qui veulent tout, tout de suite. Avec Jésus, que j’ai tenté dans le désert, je suis tombé sur un os ! D’une très haute montagne, je lui ai fait voir tous les royaumes du monde avec leur gloire : « Tout cela, je te le donnerai, si tu te prosternes pour m’adorer. ». Il m’a envoyé paître ! Mais cela ne lui a pas porté chance… Nous l’avons rapidement neutralisé, non mais sans blagues ; les choses auraient pu nous échapper ! Tu as sans doute pu apprécier au fil des siècles le sort que nous réservons à tous ceux qui se mettent en travers de nos plans !

Gloire à la peur, les sages à la trappe

« La peur, cela fait réfléchir n’est pas ? Des trucs du genre « aimez-vous les uns les autres »…, « traiter autrui comme soi-même » (c’est là que nous avons inventé le masochisme, pas mal trouvé comme parade à ces sornettes !)…, « chasser les marchands du temple »… C’est à partir de là qu’a germé en nous l’idée d’une matrice artificielle ressemblant un peu à l’Originelle, mais où nous aurions le pouvoir absolu, instaurant la peur, surtout celle du manque, et puis l’avidité de posséder… Un puissant réseau des futures banques avec tout ce qui s’en suit ferait très bien l’affaire… Oui, c’est moi, enfin une émanation de moi-même (j’en ai plein !) qui ai dit : Donnez-moi le pouvoir de créer la monnaie, et je me moque de qui fait les lois(([11] Mayer Amshel Rothschild))!  Et nous l’avons fait ! Et vous voyez bien tous les jours, que les lois, je m’en tamponne le coquillard ! Donc, Jésus, au final, il nous a bien rendu service, car nous avons complètement récupéré son enseignement stupide, pour en faire une religion basée sur la souffrance et la peur (bou, le vilain dieu qui va vous punir si vous n’êtes pas soumis), nous vous avons raconté qu’il était venu exprès pour se faire trucider, et qu’il vous avait ainsi levé de tous vos péchés (Oui, le fameux péché originel inventé de toutes pièces, mais ensuite vous vous êtes bien débrouillés tous seuls), et vous le croyez toujours, c’est dire ! Elle est bien bonne n’est-ce pas ! Vous assassinez de la plus odieuse façon un homme venu vous apporter l’Amour, et hop, votre conscience est devenue limpide (comme de l’eau dégout ! beurk !) ». Les femmes, qui connaissaient la nature et les plantes, nous les avons brûlées ; c’est vrai, elles ne rapportaient rien ! Nous préférons vous empoisonner avec des médicaments qui nous enrichissent ! Tu sais, j’ai été l’Inquisition, je vous ai enfermés dans une prison mentale en vous éloignant des lois universelles, de la Nature, de votre véritable nature, de votre être intérieur. Je vous ai faits complètement dépendants de mon système, et je poursuis ceux qui auraient des velléités d’indépendance. Sang, exil, tortures, assassinats, buchers, prisons, bagnes… furent et sont toujours ma réponse foudroyante (avec les progrès de la science, nous avons fait évoluer nos manières de faire), surtout s’il s’agit d’une personne ayant de la notoriété et ne m’obéissant pas, comme un président, par exemple, mais valable pour tous ceux qui se mettent en travers de ma route ! Maintenant, j’ai une apparence humaine, c’est moi qui ai le pouvoir ! Finis les rois de droit divin ou les présidents au code moral ! Plus à la mode ça ! C’est moi qui les choisis en vous faisant croire que c’est vous ! Je suis milliardaire ! Je peux tout, absolument tout acheter, je suis le fameux « complexe militaro industriel », je suis les labos pharmaceutiques (en ce moment ça marche du tonnerre de feu de dieu !), je tiens tous les rouages de vos sociétés, je déclare des guerres comme bon me semble pour servir mes intérêts. C’est moi qui ai organisé cela depuis le début.

Le gout du sang !

« Je fabrique de l’argent, des tas d’argent que j’ai institué comme étant le moteur de ce monde, j’ai inventé l’usure pour en avoir encore plus. Je vous donne de belles vitrines pour créer des besoins, vous forcer à consommer, pour cela, je vous prête de l’argent que je fabrique et je vous fais payer des INTERETS ! Je vous ruine et je ruine vos pays. J’ai eu un peu de mal pour arriver à mes fins, car les religions, qui ont quand même quelques bons côtés pour vous, réfutaient le prêt d’argent avec intérêt comme immoral, mais cela n’a pas été trop dur de les corrompre, et maintenant ils jouent presque tous le même jeu que nous ! Et puis nous avons mis en place, en France, pays un peu contestataire, une Révolution… Maintenant, plus de morale, de religions, le sexe et les jeux à outrance, et entre temps, je te fais travailler pour « gagner ta vie » en te faisant croire que c’est ce qu’il y a de mieux ici et je te pique ton pognon et ton énergie. J’entretiens en toi la peur et l’espoir ; comme cela, tu ne te révoltes pas, car tu es dans l’envie de devenir aussi riche que moi. Et tu n’y arrives pas, sauf quelques-uns bien corrompus, juste pour la vitrine. Forcément, cela vous rend tous agressifs, vengeurs. Et tu sais quoi ? Enfin non, tu ne sais pas encore vraiment, mais j’aime voir le sang couler, je m’en régale aussi, surtout celui des enfants ! Je t’ai donné l’exemple, et tu me suis avec zèle, je m’amuse encore en petit comité, mais tu te débrouilles très bien avec tes copains. Félicitations ! Oui, le sang, la douleur, les énergies de souffrance sont mes nourritures préférées, j’aime leur fumet. Déjà, quand j’étais Yahvé, je préférais les sanglantes offrandes d’Abel, égorgeur d’agneaux, et négligeais les fruits et légumes du jardin de Caïn que j’ai réussi à excéder jusqu’à ce qu’il tue son frère ! On en parle encore, et tout le monde trouve que Caïn est méchant ; tu vois comme on te manipule… C’est pour satisfaire ce goût du sang et de la souffrance qu’avec ton aide, j’organise des festivals de toutes sortes : guerres, attentats, maladies, etc. Tiens par exemple, la révolution française, vous pensez que c’est le peuple qui s’est révolté ? Pas du tout, nous avons envoyé des mercenaires qui ont fait le travail ! Bien sûr, avec la libération du prix du grain pour affamer les gens et autres babioles, pour pouvoir offrir des coupables, le terrain était bien préparé… Nous n’hésitons pas à massacrer les nôtres pour une grande œuvre, et nous sommes arrivés à nos fins : la démocratie ! Maintenant tout le monde se dispute, la droite, la gauche, le centre, les entre-deux… Oui, car le roi ne pouvait pas faire n’importe quoi, c’était un état de droit, et tout le monde regardait dans la même direction. Maintenant vous croyez avoir le pouvoir ? Que nenni ! Nous ne cachons rien, notre ami Tocqueville l’avait bien dit : Je ne crains pas le suffrage universel : les gens voteront comme on leur dira. Ce qui ne s’est jamais démenti depuis et avec la tricherie à grande échelle, nous arrivons à mettre en place nos propres valets. Non, quand vraiment le peuple se révolte, comme pendant la Commune de Paris ou autres, nous les massacrons tous… Et cette illusion du choix vous enlève toute velléité, ce qui nous donne un consentement tacite de votre part, nous en avons besoin pour être en règle avec les lois cosmiques : qui ne dit rien consent ! Nous avons volé les connaissances des initiés qui étaient restés cachés pour ne pas que leur usage soit détourné à des besoins personnels et passions impures, mais nous avons été plus malins… Voyez, vous n’êtes plus pour nous que des unités à production de Loosh.

Couches bâillon-muselière pour tout le monde (sauf nous !)

« Finalement, il ne nous a fallu, avec mes collègues, que quelques centaines de siècles pour arriver à nos fins et le tour est enfin joué. Nous avons maintenant un grand projet pour vous isoler encore plus dans vos boîtes respectives, vous adorez cela les boîtes ; vous ne faites que pianoter sur vos petits claviers toutes sortes de banalités, et les écrans de toutes natures pour bien vous cadrez, captent ce qui vous reste de discernement, et vous éloignent de votre vraie nature héritée des premières humanités. Comme cela nous pouvons bien mieux vous contrôler. Je vous prends toute votre énergie. Je fais plein de faux billets et d’argent factice, je vous le prête avec intérêts, et plus vous êtes pauvres, plus les intérêts sont GROS. Actuellement nous dominons le monde en maintenant le réseau social par l’abrutissement avec toutes sortes de manifestations diverses et variées ; sports et variétés à grands spectacles, élections, manifestations, sexe, clips et films sataniques, etc., et nous pouvons jouir du pouvoir sans souci et nous bâfrer de Loosh à la louche ! Vous êtes mes esclaves et je n’ai même pas à vous enchaîner, c’est vous qui demandez notre protection.

« Il suffit que je vous fasse peur avec la mort, dont nous avons soigneusement caché à ceux qui voulaient l’entendre, et surtout grâce aux « philosophes des Lumières », qu’elle n’était qu’un changement d’état de conscience, pour vous faire croire n’importe quelle super sornette, comme une épidémie et tous vous confiner chez vous (confinement, finement cons ? Plutôt grossièrement cons !), sans barrières, et avec l’obligation, pour des sorties très limitées, de vous faire vous-même un certificat de sortie ! Et hop, tout le monde dans la combine ; trois milliards de personnes s’enferment et ont peur les uns des autres, font carnaval avec des masques bâillons qui les empoisonnent en respirant un air vicié et en ne prenant pas assez d’oxygène qui alimente de cerveau (vous avez ainsi la réflexion en berne !), et en vous « protégeant » avec toutes sortes de produits toxiques qui bousillent le petit microbiote qui protège vos mains ! Tuer un virus alors que vous en portez des milliards ! C’est à hurler de rire ! On vous éloigne les uns des autres, ne vous touchez pas ! Ne vous embrassez pas ! Ne vous approchez pas de vos amis, de vos voisins, ne vous réunissez plus dans la convivialité (ben oui, il vous restait encore cela), vous ne pouvez plus échanger un sourire ! Le sourire est pourtant une chose merveilleuse que vous possédiez encore, et là, nous réussissons aussi à vous l’enlever. La peur ! La peur ! Quelle merveilleuse manipulatrice ! Et le bâillon, c’est vous qui le réclamez et même, vous vous en fabriquez, quel succès !

« Maintenant que je vous ai bien endormis avec ce magnifique jeu de cache bâillon auquel vous avez tous participés avec un zèle inespéré, je n’en reviens pas ; trois milliards, je vous coupe de la Nature en vous interdisant d’y aller, et vous écoutez ! Nous avions fait une première tentative avec le SRAS. Mais nous n’avions joué qu’avec la peur, et trop, c’est trop. Cette fois nous avons su tirer enseignement de nos erreurs ; on vous l’a joué double langage : non, non rien de grave (ce qui est la réalité), mais on vous égrenait le nombre de morts toutes les heures (ll faut savoir que quitter ce monde est très courant, et d’ailleurs, vous allez tous y passer ! La mortalité dans le monde correspond à 1,81 décès chaque seconde, soit 109 par minute, 157 000 par jour et 57,3 millions par an). Et maintenant, avec la bouillasse que l’on vous injecte, on va réduire la population dont le système immunitaire est déjà en triste état, et comme vous serez bien malades, on va vous vendre tout un tas de super thérapies !

La peur de la mort est notre meilleure amie

« Alors oui ! Cette peur de la mort est bien notre meilleure amie. Il a fallu pour cela promouvoir l’athéisme, le néant ça te vous fout les chocottes ! Vous allez donc vous accrocher à vos corps même dans un piteux état comme à ce que vous avez de plus précieux sur la terre avec vos biens matériels. On vous a bien persuadés que vous ne pouvez pas comptez sur votre système immunitaire, et que vous avez besoin de médicaments et de vaccins pour survivre, sans réaliser que l’espèce humaine a vécu avec les remèdes naturels qui se trouvent à profusion dans la nature. Et avec l’aide des bons médecins, vous mourrez dans la déchéance prolongée au maximum, la conscience complètement en berne, cela nous va très bien ; une fois de l’autre côté, nous pouvons directement, après nous être gavés de vos souffrances, vous recycler directement pour de nouvelles aventures dans notre matrice en éborgnant au passage encore un peu plus votre Âme et votre Esprit. Vous croyez que vous vivez plus longtemps (quel progrès !), oui peut-être, mais dans quel état ! Et en plus nous accélérons le temps. Vous n’avez pas remarqué qu’il passe de plus en plus vite, que vous n’arrivez plus à faire dans une journée autant de choses qu’avant ? Vous n’avez pas remarqué que les êtres humains d’antan pouvaient écrire, réaliser ce qui vous prendrait des vies actuellement ? Le leitmotiv préféré que nous vous avons mis dans la tête, n’est-il pas : « sauver des vies » ? « On n’a qu’une vie ! ». De votre courte vue, c’est louable, mais si vous voulez vraiment sauver quiconque, occupez-vous de l’Âme et de l’Esprit ! Certains pensent qu’ils vont pouvoir se libérer de notre emprise ! Grands naïfs va !

On y est presque !

« Quand les gens savent au plus profond d’eux-mêmes qu’ils ont une Âme et un Esprit, il en va tout autrement. La mort n’est plus cette promesse de néant tant redouté. Bon, ce n’est pas quelques irréductibles qui vont perturber nos plans ! Car la vitesse supérieure à laquelle nous étions passés avec la DETTE, ah la DETTE nous en avons rêvée pendant des siècles, et maintenant, elle est là, bien installée. Fabuleux ! Oui ! Prêter de l’argent à quelques personnes ne rapportait pas assez, alors nous avons eu l’idée de nous agrandir. Nous avons commencé avec quelques pays pour voir, et le succès va même au-delà de nos espérances, nous allons passer à la vitesse supérieure avec un gouvernement mondial. Il suffit de vous faire les marionnettes avec le suffrage universel et autres babioles, genre droits de l’homme, et hop, le tour est joué.

« Maintenant nous passons, à l’estocade finale, avec l’injection de la bouillasse déguisée en « vaccins » dont le succès même nous épatent. Il faut dire que nous avons mis le paquet ! On te les a embobinés avec toutes sortes de menaces pour leur injecter un paquet de saloperies qui vont entretenir la légende d’une pandémie qui n’a jamais existée : nous sommes quand même très forts ! Et après cela, on pourra encore mieux les diriger comme de bons petits robots grâce à l’opthogénétique(([12] L’optogénétique est un domaine de recherche et d’application associant les techniques de l’optique à celles de la génétique. Elle permet, par une stimulation lumineuse, d’altérer spécifiquement et localement un nombre limité de cellules modifiées génétiquement pour y être sensibles, sans perturber directement l’état des cellules voisines. Conceptualisée à la fin des années 1970, elle est consacrée par un mot dédié en 2006, puis élue méthode de l’année par Nature Methods en 2010. Les applications, en nombre croissant, incluent la cartographie fine des réseaux neuronaux, l’étude de leur physiologie et de leurs communications normales et pathologiques, et de potentielles interventions médicales restaurant par exemple l’audition ou la vision. (Wikipédia) )) et tout ce que l’on a mis dans la bouillasse ! Rappelez-vous, au début de votre premier confinement comme vous êtes tous précipités vers le papier hygiénique (qui, soit-dit en passant, n’est pas très hygiénique précisément, et vous entretient cet orifice malpropre, contribuant, entre autres, à des hémorroïdes. Oui ! vous avez perdu tout sens pratique ; il faut se laver, avec de l’eau et même du savon !). C’était un essai de manipulation très réussi pour préparer la suite !

Puis la méga crise économique qui va suivre carnaval en bâillon-couches et injection de la bouillasse, en vue de vous soutirer tout ce qu’il peut encore vous rester de biens et d’argent et surtout d’Âme ! Vous aurez donc des nouvelles alarmantes et des divertissements en veux-tu en voilà ! L’esprit critique ? Envolé ! Restez bien rivés sur vos écrans en permanence, mangeant, tant qu’il y en a encore ! une nourriture morte qui vous rend malades et pour nous, par ici la bonne soupe, tant monnayable qu’émotionnelle ; le retour sur investissement est très, très rentable ! Je vous fais rêver avec les publicités, les reines, les princesses, les princes, les vedettes, les stars que je contrôle et manipule comme je veux par toutes sortes de moyens savamment mis au point (avec l’aide de vos scientifiques, ah oui, ceux-là, ils sont bons quand ils sont corrompus et avides !). Je tiens quand même à vous dire que leurs images sont tout à fait factices et savamment travaillées pour provoquer en vous des sentiments : la preuve, j’arrive à vous les faire aimer ! Moi je sais que tous ces personnages sont, dans la plupart des cas, d’une affligeante banalité. Ce qui crée chez eux la schizophrénie d’ailleurs, mais c’est de la souffrance, et cela me convient à moi et mes potes, et puis on vous tient car

Vos enfants sont nos prisonniers

« Ca y est, vos enfants sous notre coupe. Même ceux qui auraient eu les capacités de s’opposer à nous et qui ont plus ou moins échappés à la vaccination, aux médicaments, aux nourritures frelatées sont maintenant captifs des écrans, des jeux, ils sont captifs, conditionnés pour ne plus vouloir vivre que dans ces mondes virtuels que nous leur imposons. Le monde leur fait peur, et ils ne veulent surtout plus voir autres choses : ils sont nos esclaves, et travailleront pour nous. Nous les conditionnons tout petits au sexe, à la pédophilie, au transgenre, à l’homosexualité, au cynisme, à la violence… Nous les éloignons de leur famille, de leur être intérieur, de l’air pur, du soleil, de la Nature… pour mieux les contrôler ; de mieux en mieux, nous les muselons…

« Ainsi, les possibilités de retrouver les chemins de votre dimension intérieure, de votre souveraineté et du pouvoir hérité des premières humanités sont très maigres, occultés sous ces voiles factices. Parce qu’avec tous les produits que l’on vous fait ingurgiter (pour votre bien !) et ceux que l’on déverse au-dessus de vos têtes, votre glande pinéale, vous savez le petit cristal dans votre tête (qui vous relie au Christ), il se calcifie, devient opaque, et fait de vous les zombies que nous espérions depuis tant de temps. Nous nous emparerons très bientôt intégralement de votre pouvoir créateur dont nous avons besoin pour exister, vous nous créez, avec toutes les suggestions, conditionnement, impositions de toute nature, notre monde idéal. Nous allons bientôt transférez votre intelligence dans l’Intelligence Artificielle, l’IA pour les intimes (Commentaire de Petit H : mais qu’ils sont donc bêtes !). Nous garderons toujours une masse moutonnante pour travailler pour nous, et puis voyez, vous commencez à être comme nous : haïr la beauté, la bonté, les belles émotions, être sadiques, cyniques, pédophiles (ça vient, ça vient même bien !), violents, etc. Alors conditionnés maintenant dès l’enfance, nous n’avons même plus besoin de nous cacher ! Avec internet, Hollywood, tout est là, étalé au grand jour. D’ailleurs, notre plan n’a rien de secret, allez donc voir ce qui est écrit sur les Georgia Guidestones, et vous verrezque nous ne cachons rien, tout est là, écrit dans la pierre ! Et avec la bouillasse que vous courrez vous faire injecter, vous allons arriver à nos fins. Nous n’avons plus besoin d’autant d’humains, vous avez fait tout ce que nous voulions, et maintenant, nous allons juste garder quelques spécimens pour nous servir. Bien sûr, les médias qui nous appartiennent et que nous contrôlons à 100% ne vous parlerons jamais de cela, et nous pouvons contrecarrer les vraies informations qui circulent sur internet en les dénonçant comme fakes news ! Qu’est-ce qu’on rigolent ! Nous avons donc, je le redis, votre consentement tacite : qui ne dit rien consent. Amusez-vous les enfants, amusez-vous bien ; on s’occupe de tout !».

« Si le Peuple avait la moindre idée de ce que nous avons fait, il nous traînerait dans la rue et nous lyncherait. » GeorgeH.W. Bush,1992.

Mais, c’est vrai, ça ! Qu’ils sont donc bêtes !

« Ah, oui ! qu’ils sont donc bêtes ! Ils imaginent qu’ils peuvent faire un être pensant avec l’IA. En plus c’est vous, les humains au pouvoir créateur, avec un véhicule-corps très performant, avec une Âme et un Esprit qui leur donnez le bâtons pour vous battre, car l’IA est bien une création humaine ! Et il y a plein d’humains soi-disant intelligents qui croient pour de vrai de vrai que c’est possible, car ils ont perdu toute foi, tant en eux-mêmes que dans l’Intelligence de la Création. Ils ne savent plus regarder, voir, entendre, écouter, admirer, laisser de divines émotions monter en eux. La technologie les fascine beaucoup plus que les mécanismes de la Vie, de la Nature, de l’Univers, du grand Pourquoi et Comment. ! Ils pensent qu’ils ont besoin de vaccins, de médicaments, de cette foutue technologie pour survivre, sans se demander ce qui fait que, vous les êtres humains, avez toujours survécu sans tout cela depuis si longtemps… Comment les premières créatures reconnaitraient-elles leurs très lointains descendants dans ces pauvres hères apeurés réclamant une fallacieuse protection qui les rend esclaves de leurs maîtres !

Karma

« Voilà, je lui ai laissé la parole pour que vous compreniez à qui vous avez affaire. Ils ne veulent pas que vous retrouviez votre souveraineté, et ont inventé un temps factice, jusqu’à en faire un dieu (de bas étage, cela va sans dire !), pour mieux vous phagocyter ! Et cela marche, puisque maintenant, c’est vous qui le fabriquez, qui lui donnez toute cette importance, cette valeur marchande. Dur, incompressible, aliénant, de plus en plus rapide. Il y a le grand temps universel de la manifestation dans son ensemble, qui évolue dans le ballet cosmique et constitue de notre Univers, et à l’intérieur, le temps humain, constitué de petites bulles en vortex : vous tombez dedans en naissant, et selon l’état de conscience de votre Âme, si vous le passez sans vous posez de questions quant au Sens de la Vie, du Pourquoi et du Comment, vous avez ensuite une peur bleue de le quitter. Il y en a même qui tente de lui échapper ! mdr, mort de rire comme vous dites, et alors quand vous parlez « d’éternité », alors là ! La mort précisément, enfermés que vous êtes dans cette espèce d’ersatz de temps, avec votre désormais karma, elle vous fait sacrément peur ! Vous n’aurez pas la révélation de tout ce que vos sens vous empêchent de voir. Mais que vous y restiez 100, 1000, 10 000 ans dans votre bulle ne changera pas grand-chose, et si vous n’avez rien compris, vous ressortirez au même point qu’à votre entrée, voire plus bas, et en ratant une marche vers l’Ascension. Bien sûr, si vous donnez libre cours à la haine, la vengeance et tous ces sentiments que l’on vous encourage à avoir dans ce laps de temps, et ce que vous vous inventez comme état d’âme, vous vous préparez de belles futures vies pas sympas du tout en retombant dans le karma…

Qu’est-ce qu’il est profond ce gouffre !

« Ainsi, en se densifiant, s’extériorisant, se diversifiant, ces humains ont fini par perdre, entre autres, la communication transpersonnelle. La symbolique de la tour de Babel ne raconte pas autre chose : leur relation avec les mondes plus élevés s’est définitivement perdue dans les méandres tortueux de leur mental trop content de prendre la place de l’Intuition, et c’est à cet instant que la parole fait son apparition comme moyen de communication principale, pour ne pas dire unique. Contrairement à que vous croyez, ce n’est pas un progrès, mais une régression ; dans la communication d’esprit à esprit, le mensonge n’existe pas, par contre, avec la parole, tout peut être compris de travers, à l’envers, tordu, distordu, récupéré, transformé. Avec des races différentes, des peuples très disparates ayant chacun un langage propre, et surtout sans connexions, non seulement entre eux, mais aussi avec leur être intérieur et la Source, les guerres sont inévitables. Dans ces conditions, les choses deviennent faciles pour des êtres imbus de dominer les autres, de les enfermer dans des dogmes de toutes natures pour les abrutir par la peur de soi-disant dieux tout puissants, et plus tard, de systèmes politiques corrompus. Et l’écriture a facilité ce passage !

« Il faut bien comprendre qu’elle n’a pas du tout été considérée comme une avancée majeure, car beaucoup prétendaient qu’elle risquait de ne plus faire travailler la mémoire. Les druides, entre autres, faisaient 20 années d’études, car ils devaient tout apprendre sans aucun support, et aucun maître n’aurait toléré que ses disciples « bachotent » en ânonnant leurs cours devant des feuillets. Le chef d’orchestre Karajan disait qu’il fallait avoir la partition dans la tête, et non la tête dans la partition !  Mon support d’écriture est quand-même très heureux d’avoir des livres…

Et le monologue devint causerie

— Ah c’est toi, Petit H qui me réveilles la nuit pour me faire écrire dans le noir avec une lampe électrique ?

— Oui ! Comme cela je suis sûr que tu m’entends !

— En effet, pour t’entendre, je t’entends, même quand je ne veux pas t’écouter ! Tu m’empêches de me rendormir tant que je n’ai pas écrit ce que tu me souffles, et si j’ai oublié mon cahier, tu m’obliges à aller le chercher ; tu prétends, avec raison d’ailleurs, que je ne vais pas me souvenir de tout ! Mais pourquoi m’as-tu choisie ?

— Je ne t’ai pas choisie, c’est toi qui m’as appelé ! J’ai compris que tu n’étais pas ravie d’être sur Terre. Tu t’es fait avoir, et puis, tu n’étais pas tout à fait comme les autres !

— Ah oui, « la Grande Conscience avait bien dit qu’il y en aurait pour tout le monde, mais elle savait aussi que l’enthousiasme du début pourrait par la suite ne plus déclencher de vocations aussi joyeuses. ». Je me souviens, je ne voulais pas revenir vivre sur ce monde terrestre, mais « on » m’y a obligée, enfin on a soutiré mon consentement. J’étais une petite fille triste même si ma famille m’adorait ; le monde que je voyais poindre à travers cet amour, me paraissait tellement dur ! Un monde pareil ! Qui aurait envie d’y revenir de son plein gré ! Mais ce n’est pas bien grave, j’ai appris plein de choses dans cette vie. Du plus loin que remonte ma mémoire (même pas une étincelle à côté de la tienne !), je ressentais la nécessité de respecter, les animaux, la Nature, la Terre, avec lesquels j’aimais me sentir unie. Avec l’âge, j’ai ajouté l’Univers dans lequel je pressentais une multitude de vies, les atomes, la Vie, la Mort, le Pourquoi, le Comment, etc. ! Tu es dans mon corps ?

— Oui, avec mon double, Petit H bis, nous sommes avec notre copain O. Nous formons une molécule d’eau avec une mignonne tête et dans ton corps il n’y a presque que de l’eau…

— Tu ne t’ennuies pas un peu, c’est petit par rapport à l’Univers ?

— M’ennuyer ? Tu rigoles ! Je ne suis qu’un atome, et il me faudrait plusieurs millions d’années de votre temps pour aller partout dans ton corps. Déjà avec 150 000 kilomètres de vaisseaux sanguins, j’ai de quoi naviguer, et tu es composée de 1013 cellules, c’est-à-dire 100 000 milliards ! Avant que je les aie toutes visitées, ton corps n’existera plus ! Et dans le cœur de ces cellules se passe la chose la plus extraordinaire du monde : le décodage de l’ADN, je ne m’en lasse pas ! Chaque seconde, des milliards de machines moléculaires copient ton ADN pour le transmuter en ARN qui va créer des protéines. Plus de 3 milliards de caractères qui sont  lus, décodés, interprétés, copiés chaque seconde pour fabriquer tes organes, ta peau, tes muscles, enfin tout ce qui fait ton corps, et il se passe encore tellement d’évènements incroyables, il y un boulot fou ici, et toi, tranquille, tu ne te doutes de rien ! Quand je vois cela, je me dis que les Plans de Dieu étaient quand même drôlement bien. Tu te rends bien compte que tu habites une machine biologique non reproductible par vos petits moyens technologiques, avec une multitude de programmes et en principe, avec un pouvoir de régénération par la puissance de l’Esprit (si toutefois on lui laisse le loisir de le faire et qu’elle (la machine) n’est pas trop délabrée pour réagir !).

— Oui, merci de me le rappeler, on a tendance à oublier ces merveilles tant elles nous paraissent banales et surtout cachées. Si je me coupe, je vais tranquillement attendre que cela cicatrise, par contre si je fais un accroc à un vêtement, je peux toujours patienter longtemps, le trou restera ! C’est seulement si nous sommes malades que nous prenons conscience, enfin pas tout le monde, qu’il y quelque chose qui dysfonctionne. Et si on laisse faire le corps, il se répare tout seul…

Branle bas de combat !

— Elle est bien bonne celle-là ! Mais quand tu es malade, c’est le grand chamboulement, tout le monde court partout, c’est le moment des grands nettoyages ! Tes milliards de bactéries ont décidé de te bousculer un peu, et se sont transformées en ce que votre ignorante médecine prend pour une attaque extérieure. Mais tout ce petit monde, en concertation, a évalué les désordre, et convenu qu’il fallait un bon coup de ménage. Alors bien sûr, selon l’état de la personne, sa façon de vivre, de se nourrir, de penser, le coup de semonce peut-être plus ou moins intense, et peut parfois aller jusqu’à la porte de sortie ! Mais la médecine « moderne » en a décidé autrement, et va rajouter une bonne couche de poison, histoire de croire qu’elle guérit, alors qu’elle ne fait que soigner, bien souvent temporairement. Dans la plupart du temps, le corps se débrouille très bien, et va guérir plus durablement. Bien sûr, dans ces moments, il y a les microbes opportunistes, qui vont profiter de la situation, et ceux qui vont carrément fabriquer des virus et autres balayeurs professionnels que votre science (« grâce » à Pasteur) va prendre pour des attaques extérieures. Mais tout vient du corps, et la peur est un très bon fabriquant de ce genre de maladies.

  • À ce propos, depuis le début de cette lamentable mascarade de corona-circus, je raconte à qui veut l’entendre mon histoire favorite pour illustrer cet épisode d’hypnose collective :

« Un pèlerin rencontre la peste et lui demande où elle va : « Je vais à Bagdad tuer 5000 personnes ! ». Six mois plus tard, ce même pèlerin rencontre de nouveau la peste :

  • Tu m’as menti ! Tu n’as pas tué 5 000 personnes, mais 50 000…
  • Pas du tout, j’en ai tué 5000… Les autres sont mortes de peur ! »

« Je sais que bien que la maladie vient de ce que le corps n’a pas été respecté, tant sur le plan physique que mental, car leur qualité est primordiale, que par la nourriture. Baignant constamment dans des sentiments négatifs dont les médias gavent une population avide des instincts les plus bas : vengeance, haine, agressivité, sexualité morbide — j’en passe et des meilleures —, le pauvre système immunitaire a bien du mal à faire son travail. Ajoutons à cela une nourriture industrielle sans aucune vitalité et la sacrosainte pharmacopée qui vient à « l’aide » des malheureux humains pour le plus grand bonheur des laboratoires pharmaceutiques ! Les microbes opportunistes, ne font que profiter de la bonne aubaine. Reconnais quand même que j’essaie de prendre soin de mon corps et de mes pensées ; il m’a été confié à ma naissance, et je dois finir mon chemin ici avec lui. Alors autant tenter le garder en état de marche pour le temps qui me reste ! Je n’aime pas rouler dans une vieille guimbarde toussotante et crachotante, avec de vilaines pensées qui font des crocs en jambe risquant de me laisser sur le bord du chemin sans crier gare. Le garagiste-médecin, cela coûte cher et on y perd son temps, et pour de bon, sa santé !

— Oui, c’est pour cela que je reste chez toi, car parfois, certains sont tellement malsains que c’est la croix et la bannière pour y aller ! Ensuite, quand le corps est recyclé, parfois avec bien du mal à cause de toute la chimie qui lui a été enfournée, il faut faire une cure de désintoxication pour s’en remettre ! Mais dans les anciens temps, il n’y avait jamais ce genre de soucis.

— Mais vas-y, raconte, que s’est-il passé avec les humanités ?

Histoires très, très anciennes

— Et bien chacune amenait ainsi son quota de connaissances, patiemment, comme l’on bâtit une maison grandiose, équilibrant, ajustant sans cesse. Nous étions arrivés à un résultat très satisfaisant pour ce coin isolé de la galaxie. Car cette Mission consistait à élever le niveau vibratoire de toute cette partie excentrée de la galaxie, et surtout ce bord externe où se trouve notre Soleil, et créer, créer sans relâche la Beauté sous toutes ses formes avec un raffinement extrême. Qui ne s’est pas extasié devant la grâce et les sublimes couleurs des oiseaux, agrémentées de leur musique, des papillons, du délicat et subtil parfum des fleurs ainsi que de leur beauté, du chatoiement des insectes et leurs murmures, du fabuleux équilibre entre les espèces, des saisons où chacun arrive au bon moment, comme les fleurs avec les insectes et la naissance des oisillons, et puis aussi la mise en œuvre du recyclage. A tous les niveaux, des bactéries aux charognards de toutes tailles, en passant par les fourmis et cette faune dont le travail consiste uniquement à transformer les déchets de toutes sortes, aux champignons dont le mycélium, aider de milliards de bactéries, vont muter les déchets végétaux en humus au parfum délicat de sous-bois, etc., enfin toutes les merveilles qui existent pour faire de cette planète une perle précieuse apte à illuminer cette partie de la galaxie. Tout cela dans la Joie inhérente à la Création, la vraie Joie du cœur que procure la plénitude du devoir accompli, semant artistement, tel un consciencieux et inoubliable concepteur, les plus belles œuvres pour le bien commun. Fières, étaient-elles ces humanités à la fin de leur Mission, quand les Esprits retournaient vers la Source pour en recevoir les Louanges, enrichies du bonheur d’avoir donné le meilleur dans leurs réalisations, car offrir le meilleur de soi-même procure toujours la vraie Joie.

« Elles connaissaient tellement bien la loi de réciprocité, ainsi, offrant le meilleur d’elles-mêmes, elles en recevaient aussi le meilleur ; les honneurs divins sont incommensurables ! Ainsi, au fil du temps, le joyau promettait d’illuminer ce petit coin d’espace de tous ses feux, et la si belle planète, où les petites graines d’Esprit avaient hâte de faire une expérience dans la matière, était devenue un havre de paix où le Bonheur, la Beauté, l’Harmonie régnaient, et rien ne semblait vouloir ternir ce bel essor…

— Il y a donc une âme commune aux humanités, voire aux civilisations, comme les animaux ont une âme groupe ?

— Oui, bien sûr, l’âme groupe de toutes les espèces est liée à la Source ! Sauf pour certaines catégories d’êtres non créés par Dieu, donc sans la petite graine d’esprit. Ils ne sont donc pas liés à la Source, mais ont leurs propres divinités (enfin ! justement pas très propres celles-là) ! Ces êtres, dépourvus du moindre esprit n’ont qu’une âme groupe, et à leur mort, pour eux, c’est au mieux la dissolution dans ce tronc commun.

Mais les êtres humains, en s’individualisant, en privilégiant le mental et l’égo, ont presque tous perdu cette capacité de communiquer avec leur âme groupe et par extension, la Source, contrairement aux animaux qui ne sont pas autant individualisés.

— Mais quand même, je remarque que certains animaux entretiennent avec leurs humains des relations qui sont très fortes, et apprennent l’Amour. Ne crois-tu pas que cela permet aussi à ces humains de retrouver un peu de cette capacité perdue ? Et l’animal, dans ce cas, respecté dans son identité, peut, peut-être, commencer un processus d’individualisation, mais sans pour autant perdre, lui, ses aptitudes à communiquer avec son âme groupe.

— En effet, les animaux ont des facultés que vous ne soupçonnez pas, vous qui avez tout perdu. Les premières humanités, nous l’avons vu, étaient en relation universelle avec tout ce qui vit, et même bien au-delà de la Terre, avec d’autres mondes, d’autres peuples extraterrestres qui venaient les visiter. Bien sûr, elles n’acceptaient que ceux qui étaient très positifs et dans une énergie commune, ce qui leur permettait de faire des échanges très fructueux. Et les humanités se succédaient en gardant la mémoire ancestrale de leurs histoires successives, évoluant avec toujours en perspective, la Beauté et l’Équilibre de la Nature qui restent les merveilleux témoignages qu’elles vous ont légués. Faudrait-il encore être capable de le reconnaître, oui ! Toi, je sais, tu apprécies !

— C’était chouette, dis donc !

— Ça c’est certain ! Mais, comme nous l’avons évoqué, il s’est passé quelque chose qui a inversé cette belle ordonnance, car déjà, la civilisation avant la vôtre avait complètement perdu son pouvoir créateur sur le vivant, et n’avait plus accès à son élaboration et à sa conduite avec une éthique spirituelle. Nous allons voir plus tard comment s’est opéré ce forfait.

Un peu d’archéologie

« Néanmoins, encore hautement évolués, ces grands bâtisseurs mettaient un soin tout particulier pour édifier leurs constructions destinées à recueillir les énergies terrestres et cosmiques. Être en Harmonie avec Gaïa, qu’ils savaient reliée au système sensitif énergétique conscient de l’Espace, de l’Univers, était leur priorité. N’ayant pas complètement perdu la mémoire, ils voulaient laisser les témoignages de leurs grandes connaissances en mathématiques, astronomie, architecture, etc., et de leur haute technologie dans des réalisations mégalithiques, preuve de leur grand pouvoir sur le minéral. Sans doute aussi, voulaient-ils laisser des fils conducteurs aux civilisations qui allaient les suivre pour les aider à affronter cette descente dans la matière (avaient-ils connaissance de l’inexorable involution actuelle ?). Mais curieusement, une partie de l’humanité des temps présents, aveuglée par ce qu’elle croit être sa propre lumière (et qui se trouverait plutôt être des ténèbres), préfère ignorer et croire que ce sont des humains plus primitifs qu’eux qui ont bâti tout cela avec des moyens rudimentaires !

Et maintenant

« Puis les humains des temps présents, poussés par leurs maîtres à qui ils ont abandonné les commandes de leur vie, ont laissé leur mental et leur égo prendre une place démesurée, reniant l’intuition qui pouvait encore les relier à leurs origines. La pensée pernicieuse qu’ils sont là par hasard les rend cyniques, personnels, vindicatifs… et, ou, très malheureux ! Ils ont renié leur foi en la Vie, pensant naïvement que tout se termine à la mort de leur corps, poussant même certains à se faire congeler en espérant que dans un temps futur, l’on pourra les ramener à la vie ! Mais leur âme est maintenant dans une grande souffrance et ne peut rompre les liens qui la maintiennent à ces corps congelés. Condamnés, cons damnés (vraiment, sans vouloir faire de mauvais jeu de mots, mais c’est trop tentant !), ils restent dans un état indéterminé qui leur interdit toute vision sur une réalité qu’ils n’ont jamais imaginée (et c’est peut-être là que le mauvais jeu de mots prend toute sa signification !).

« Ils s’empêtrent dans un réseau de fils qui les enchaînent les uns aux autres, et que tu as d’ailleurs bien décrit, sans avoir encore la vue que tu as maintenant, dans ton livre Sophia galactica, le jeune dieu(([13] Edition Atramenta : atramenta.net)):

Dans cet espace où sa conscience des choses prenait des allures dabsolu, certainesimagesseprécisaient,sérigeaient,saffinaient,incarnantceque le village des Portes et des Espaces lui avait révélé. Sortant d’une brume triste et morne, s’avançait maintenant un long cortège pathétique dêtressourdsàlamusiquedelavie,aveuglesàsesmultiplesaspects,mutilés deleurssentimentsetdeleursensibilité.Linfirmité des âmes, prenantformedanslescorps,semanifestaitpartoutelagammedesmaux qui frappent lespèce humaine : maladiestant physiques que mentales, dégénérescences.Évoluantdanslecirquedelaviehermétiquementclospar leurssoins,ilschangeaientdepersonnagesetderôles,revivanttoujoursles mêmessituations,perpétuellementinachevées,devieenvie.

Ellevoyaitdesfils fins etnus,reliantlesêtreslesunsauxautres,aux objets, aux événements, aux sentiments, au Ciel et à la Terre, semmêlant, au fur et à mesure de leur évolution, sur les chemins de vies. Une vision fulgurante lui montrait chaque mouvement, les ligotant de plus en plus serrés, les liens pénétrant profonment dans leur chair, et leur fermant les yeux,lesoreilles,lecœur,àlavéritableharmoniedelaVie,àlAmour, à la Compassion. À chaque point d’ancrage, des douleurs, des maladies apparaissaient, etpersonnenevoyaitde rapportentreces maux etlesfils.

Lacomplexidesenchevêtrementssintensifiaitaveclescourantssillonnant cesfils quellereconnutimmédiatement :jalousie,fiel, concupiscence, haine, envie, ressentiment, grief, vengeance, arrogance, soif de pouvoir, servitude,apitoiementsursoi,peur.

Lesêtresayantdépassécessentimentsnéprouvaientpaslemêmetype desouffrance. Unevisionpénétrante,plongeantdanslesprofondeursdu pas,sélevantverslefutur,uneconsciencepluslimpide,lecœuroffert à la Compassion et à lAmour, les ouvrait aux multiples messages de la vie. Les humains détiennent les rênes de leur destin, mais ils ne le savent pas. Ontils vraiment envie de grir, de devenir des êtres responsables ?La facilidu remède lui apparaissait maintenant :la prise de conscience de cette autre dimension où la voloninrieure peut dissoudre ces liens avec une simplicité déconcertante !Mettre en œuvre la détermination de selibérerdecesfardeauxsciemmentacceptés ! Vasteprogramme !

Maispouryarriver,ilfallaitvoir,entendre,sentir,affinerunsysme sensorielneprenantprésentementencomptequuneinfimeparcellede la réaliet occultant la partie la plus importante, située dans une autre dimension, celle de la Conscience, englobant les trois autres. Mais il faut souventàlêtrehumainungrandtraumatisme,affectant lecadredeses troisdimensions,pourqueson champdeconsciencesélargisse.

La plus belle fleur

— Ah oui ! On ne vit pas dans la matière sans laisser de traces, et mieux vaut laisser de belles fleurs embaumées que de vilains détritus malodorants.

— D’autant que comme tout s’équilibre et les vieux détritus ayant bien maturés, vont revenir à l’envoyeur ! Toutes ces merveilleuses connexions sont malheureusement, vu l’état de conscience de cette humanité présente, parcourues par de sales courants ! Et le Grand système nerveux central, dont la puissante Énergie est Amour, enregistre tout, et ça, beurk, c’est quelque peu indigeste ! Tout, absolument tout est Amour. Simplement, cet Amour, dans la matière, doit toujours être déployé et ordonné, mais ce sont des forces dont vous n’avez même pas idée qui régissent ce que vous voyez, et qu’avec votre courte vue, nommez « gravité ». La gravité, c’est vous qui l’inventez, et celle-là il lui faut de la place. Mais elle est juste là pour qu’un jour vous puissiez enfin ouvrir les yeux et surtout votre cœur !

« Vois, si tu prends la plus belle fleur du monde, c’est une pure merveille, elle ravit tous tes sens : elle te transmet sa beauté, sa Joie, son odeur t’enivre, sa caresse est douce et parfumée, tu peux voir en elle la perfection absolue. Mais si tu l’écrases, que tu en fais une petite bouillie, ce sont toujours les mêmes composants de la fleur qui sont devant toi, mais quelle tristesse ! A pleurer ! Vois, la haine, la vengeance, l’envie, la jalousie, la peur, la colère, etc., ne sont que l’Amour tout recroquevillé, ratatiné, emmêlé, piétiné, nié, oublié… Et c’est pour exprimer l’Amour que notre Univers est né, et moi, simple mais premier atome, j’ai vécu ce grand déploiement.

« Observe quand un humain « est amoureux », il est en expansion, en déploiement, il peut avoir l’impression de voler, il voit le monde avec d’autres yeux. Le véritable Amour est un état, pas un sentiment que vous confondez avec l’amour banal qui est juste une histoire d’hormones qui montent à la tête, enfin plutôt qui descend ! Oui, il est bien regrettable que ce soit souvent la seule expérimentation en cette matière ! Et quand le désir n’est plus là, tout se recroqueville, et souvent c’est la haine qui prend la place de ce qui était pris pour de l’Amour ; ce n’était que du désir sexuel assez mal déguisé, et que vous nommez amour, et encore… de moins en moins, car il est souvent question « d’activité sexuelle » ravalée au rang de simple fonction physiologique. L’Amour, comme je le disais, est un état, alors élargissez vos possibilités de le vivre au-delà du sexe (ce qui ne l’exclut pas, d’ailleurs) ; le monde en serait tout changé. Alors tu as bien compris, l’Amour est Expansion, Déploiement, Bonheur, Lumière, Joie, que sais-je encore ! C’est ta vraie nature, celle de ces petites graines d’esprit impatientes de faire des expériences dans la matière. Le cancer, c’est quand les cellules sont compressées, rabougries, emmêlées, stressées, et ça, les cellules, elles n’aiment pas du tout. L’ADN ne peut plus se répliquer correctement. Les causes peuvent être multiples, mais en règle générale, sauf cas extrême, genre irradiation, il s’agit toujours d’un mental et d’un égo rigides ou alors trop facilement influençables, sans aucune ouverture vers autres choses que le matériel pur et dur, et enclins à toutes sortes de peur et de ressentiments ! Il faut quand même ajouter un grand traumatisme affectif, une nourriture morte, les médicaments, les vaccins et tous les faux cancers que la médecine « détecte » avec toutes sortes procédés ; forcément, un cancéreux, ça rapporte un max…

« Et pour compléter le tout, la plupart habitent enfermés dans des casiers, voyagent par des moyens de transports serrés comme des cellules cancéreuses dans leur tumeur ou alors seuls dans leur véhicule, mais avec une radio qui braille. Et pour se distraire, ils vont dans des « boîtes », où, au bruit de musiques sataniques, ils se tortillent imbibés de sueur, d’alcool, enfin drogues de toutes sortes ! La majorité d’entre eux habitent dans des villes, voire de grandes métropoles, mégapoles, où de sinistres géants de fer, de verre et de béton, étendent leurs ombres patibulaires sur le grouillement humain. C’est pour cela aussi que les corps deviennent vieux, et ce processus, au fil des millénaires, est devenu l’anormalité !!!

Pénétrer au cœur de toutes choses…

« Laisser son regard pour commencer, prendre de la hauteur, de la profondeur, puis pénétrer au cœur de toutes choses. Mais les humains ne peuvent plus voir ; ils restent dans leurs idées bien compartimentées, sans regarder au-delà des apparences, c’est comme le cancer… Tout est cadré dans leur vie qu’ils ne voient plus qu’à travers des écrans. Leur vue ne peut plus s’élever, ne peut même se porter au loin sans leur donner le vertige ; la nature leur parait hostile, et quand en plus on leur interdit de s’y rendre sous peine d’amendes, voire de prison…

Et un coup de vent qui défroisse

« La Création de L’Univers, c’est tout le contraire ! C’est la grande force d’Amour qui vient de l’Endroit de l’Univers qui s’est déployée, et se déploie toujours et encore, mais avec parfois de minuscules zones toutes serrées, toutes comprimées, toutes emmêlées. Il n’y a que les êtres humains, enfermés dans leur mental, hermétiques à une réalité n’entrant pas dans leurs schémas de pensées, qui font cela ; les animaux et les végétaux en sont parfaitement incapables. Le remède est donc tout simple : dès que le cœur commence à s’ouvrir, c’est comme un coup de vent qui défroisse, dénoue, repasse, lisse, caresse, éclaire, illumine… Les connexions avec la Source, doucement se réactivent, la Joie, la Jubilation reviennent ; c’est comme un baume magique !

— Le système sensitif conscient de l’Univers ne doit pas beaucoup aimer ce genre de « zones de non-droit » hermétiques à Son Énergie. La Source a-t-elle un moyen de gérer cela, et comment réagit le « Cerveau » de Dieu ; il a donc des neurones ?

— Oui ! Votre Univers a des neurones, ce sont les amas, les superamas, et ce que vous appelez « matière noire » n’est autre que la Pensée de Dieu circulant dans ce grand courant d’énergie. C’est cette « Pensée » qui maintient la cohérence de cet Univers, comme votre conscience maintient le bon fonctionnement de votre corps (si vous lui en laissez les moyens !). Car comme pour vous, votre Conscience n’est pas dans votre tête, mais en dehors : c’est l’Esprit (issu des petites graines) qui survit éternellement au corps. Alors on pourrait dire que Dieu s’est littéralement incarné dans cet Univers au travers de la Source qui émane Sa Transcendance de l’Endroit du Super Univers vers l’envers, c’est-à-dire notre Univers. Et, à l’image de votre code génétique et de votre cerveau qui expriment à peine 10 % de leurs capacités, il en est de même pour votre perception de l’Univers. Comment dans ces conditions, pouvez-vous avoir une réelle connaissance de ce qui vous entoure, si vous ne prenez en compte que la matière ? L’Énergie divine vous est inaccessible, d’autant que la majorité des scientifiques la nient avec force.

« Pourtant, avec la physique quantique, ces mêmes scientifiques commencent à prendre en compte l’importance d’une présence, autrement dit de la Conscience. En effet, les particules ne se comportent pas de la même façon en présence d’un observateur, et cela, de façon systématique. Ce qui en déroute plus d’un ! Ils ne peuvent donc nier que la conscience a une place de premier choix dans l’ordre du monde, et que la fameuse théorie unifiée qui fait tant rêver les physiciens ne se fera qu’avec cette prise en compte… Bouddha a dit : « Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes est né de nos pensées. Par nos pensées, nous créons le monde. ».

Stop, transmission rompue

« Les anciennes civilisations dont vous avez des traces, avaient encore ces connaissances, mais les entités dont nous avons parlé plus haut, donc une petite minorité très puissante, a voulu se les réserver. En fait, l’Âme et l’Esprit n’aiment pas du tout les soi-disant « secrets », surtout si c’est pour avoir le pouvoir et la domination. Les êtres humains ont ainsi été guidés vers la guerre encore et encore, sans jamais remettre en cause cet état de fait, et vers des religions qui les ont enfermés dans des dogmes inébranlables, les conduisant vers l’oubli de leur véritable Nature. Ceux qui ont voulu préserver certaines de ces connaissances l’ont fait dans la pierre, et les fonctions de ces constructions érigées sur des lieux énergétiques stratégiques, étaient précisément de communiquer avec cette entité supérieure qu’est la Source, ce que n’avaient cependant pas oublié les bâtisseurs de cathédrales de votre civilisation…

« Et maintenant vous voilà, ici sur cette Terre, avec tous les boulets que les forces obscures vous ont collés sur le dos et ceux que vous avez rajoutés par vous-même ! Il se passe ce qu’avait envisagé la Source quand Elle faisait ses recommandations à Lili : le message ne s’est pas transmis, dommage pour vous ! Cependant, à votre petite décharge, il vous a été volontairement occulté, et ceux qui tentaient et tentent toujours d’ailleurs de le chercher, sont ostracisés, bannis, expulsés, excommuniés, proscris, tués, torturés, etc, j’en passe et des meilleurs ! Il faut dire aussi que dans les temps présents, la majorité des humains adorent de plus en plus se faire berner ! Vous l’aimez votre enfermement (ce qui a très bien été entendu !), mais attention : «  l’enfer me ment ! ». Et l’âme, prise dans cette cotte de mailles énergétique qu’est devenu le mental, évoluant dans toutes sortes de dogmes, croyances, convictions inébranlables, et maintenant cadrée (écrans), oublie sa véritable nature et dépérit. Votre extrême densité et votre faible taux vibratoire si éloigné de celui de la Source, vous coupent complètement de votre être intérieur, et par là-même, de toutes communications subtiles. Vous êtes tout ratatinés dans vos certitudes qui vous entravent et vous obligent à tourner encore et toujours dans votre bocal. Vous pensez n’être que votre corps, et vous lui donnez une importance artificielle ; vous êtes tombés dans la grande misère du sexe qui a perdu toute sacralité et dont toutes les perversions sont devenues légions et normalité, la maternité, une affaire de laboratoire, et ce que vous appelez vos « états d’âme » confiés à d’autres personnes tout aussi perturbées que vous, sinon plus !

« Vous ne voyez que les contours de l’image dont les émotions font partie – vos fameux « états d’âme » –, et vous croyez n’être que cette image ! Alors que moi, je vois la Totalité, et rata zut ! Ce n’est pas toujours très beau, je vois bien sûr, l’Âme, la pauvrette qui n’a plus aucun moyen d’expression ! Vous avez peur du silence et de la solitude qui pourtant pourraient vous aider à prendre conscience de votre être intérieur ! De surcroît, pour la majorité d’entre vous, une grande partie de l’ADN n’est plus codante pour toutes les subtilités de la vie spirituelle. Vous avez même l’outrecuidance de l’appeler « ADN poubelle ». Pour pallier cette défaillance, vous vous inventez des prisons de toutes les sortes ; l’athéisme qui est une religion à part entière avec ses dogmes (sans doute la plus dogmatique de toutes), ses prêtres sectaires et son Inquisition, englobant politique, science, sectes, adoration de toutes sortes de vedettes, princesses, etc., tout ceci se recoupant allègrement, et bien sûr les religions qui règnent toujours dans certains pays en maîtresses absolues. Ainsi, vous vous retrouvez ligotés par toutes sortes d’implacables liens. Enfermés dans les multiples murs de vos certitudes, vous vous croyez les premiers sur Gaïa, les seuls dans l’Univers, et les meilleurs ! Vous restez donc embourbés dans vos petites connaissances avec lesquelles vous pensez tout expliquer. Les quelques lamentables bricolages génétiques que vous pratiquez avec une impudence folle ne servent que les intérêts financiers de quelques-uns ! Le Bon, le Bien, le Discernement, le Sens des Responsabilités et de la Conséquence de ses actes ne sont pas vos priorités. Vous êtes devenus des « pousseurs de caddy » conditionnés à obéir et consommer ! Votre vie a perdu son sens sacré et vous ne savez plus du tout pourquoi vous êtes ici ! Il est évident que les populations exogènes de haut niveau vibratoire ne risquent plus de vous rendre visite, vous ne pouvez plus attirer que les malfrats de la galaxie !

Hou, hou ! Le Bon, le Bien, le Discernement où êtes-vous ?

« Vos capacités d’observation sont faibles, car prisonnières de dogmes, de croyances ; vous avez fermé la porte aux ouvertures cosmiques. Vous êtes capables de reconnaître du premier coup d’œil « la main de l’homme » dans un objet, même très rudimentaire comme une pierre taillée fabriquée par un de vos congénères présents ou passés, et de faire la différence avec un vulgaire caillou ! Reconnaitre dans ces objets, à juste titre, un projet, une pensée, une conception intelligente, aussi ! Par contre, la délicate sculpture d’un simple coquillage avec sa spirale, tout comme les galaxies, les fleurs de tournesols, les tornades, le temps, etc., délicate sculpture basée sur le Nombre d’Or et la Spirale de Fibonaci, ce simple coquillage  (et là, je ne parle que de la coquille, parce que la bestiole !) ? Mais vous ne pourriez d’aucunes façons reproduire dans sa perfection microscopique en mettant en œuvre toute votre intelligence et votre technologie ! Enfin, bien sûr, vous savez tous que c’est une bestiole qui a fabriqué cet habitat, mais même avec votre technologie, vous n’êtes pas capable de faire aussi bien ! Attendez, avec votre super cerveau, vous ne pouvez même pas égaler un limaçon ? Tout ce qui se situe hors de votre compréhension est arrivé comme cela, non ! Pas de plan, pas de pensée, par hasard, c’est la sacrosainte « évolution » ; c’est puéril et enfantin de croire cela ! Évolution bien sûr, qui n’est pas dans son intégralité à mettre à la poubelle, mais qui n’explique en aucune façon le passage des acides aminés en protéines. Oui ! Le langage de l’ADN est porteur d’informations complexes, plus denses et plus élaborées que n’importe quel programme informatique, et nécessaire à la réplication de la vie, et bien, encore sans rire, bof, le hasard et la nécessité ou autres théories, en tout cas, hors de question d’y voir une quelconque conception intelligente !

« Vous reconnaissez une conception intelligente dans ce que vous fabriquez ou concevez avec moult réflexions, plans, technologie, mais quand il s’agit du vivant, de ce qui sort de vos réalisations exclusivement matérielles, personne n’a pu y penser, vous êtes les seuls, ici-bas à créer avec votre intelligence. Une simple bactérie et son flagelle, véritable moteur biologique(([14] Il y a de nombreuses représentations de ce moteur sur internet et des « pièces » qui le composent ! Pure merveille technique, Howard Berg de Harvard l’a surnommée « la machine la plus efficace de l’univers » ! Certains de ces moteurs ont une vitesse de rotation de 100 000 tours/minute, et sont reliés à des mécanismes de transduction de signaux sensoriels qui leur fournissent des informations sur l’environnement. Même à cette vitesse, ils peuvent s’arrêter en un quart de tour, changer de cap et repartir à 100 000 tours/minute dans une autre direction. Ils sont composés d’un grand nombre d’éléments indispensables au fonctionnement de l’ensemble et dotés de deux vitesses en marche ; avant et arrière, d’un refroidissement liquide et d’une force protomotrice, de nombreuses « pièces » dont un arbre de transmission, une hélice. Tous ces composants fonctionnent comme un moteur fabriqué par l’humain, mais avec des performances infiniment supérieures, et doivent être « montés » dans un ordre bien défini, comme n’importe quel moteur ! De plus ils consomment très peu d’énergie.)) aux incroyables performances, sont beaucoup plus élaborés que n’importe quelle réalisation humaine, et bien sûr, impossible à « reproduire ». Les moteurs humains ont de bien faibles performances à côté de cette machine biologique ! Mais voilà ! La science exclut systématiquement une cause avant même de considérer les preuves. Et avec le moteur bactérien, nous avons une très faible probabilité et des caractéristiques d’une extrême précision pour arriver à une finalité, c’est-à-dire ce moteur, qui prouvent qu’il y a au départ une Information. Pourquoi nier avec un tel acharnement qu’il ait pu avoir un Concepteur ? Alors que s’est-il passé, tu as une idée ?

Une jambe amputée qui fait des siennes ?

— Il ne se serait pas passé un truc avec le principe artisan et les forces obscures qui auraient corrompu le principe artisan pour qu’il devienne principe guerrier ? Oui, je me souviens :

Sentant une certaine pression, et malgré un mauvais pressentiment, la Grande Créatrice ressortitsa boite de pétri avec un soupir.

« C’est cela ? Cette fichue jambe du X amputée est en train de faire des siennes :

En espérant que les lointains descendants ne perdront pas la mémoire de leur origine, et ne feront pas de leur sexe un objet de domination… » ?

— Eh bien ! Voilà ! Nous y sommes ! Il faut bien comprendre que le principe créateur, symbolisé par les femmes qui donnent la vie, n’a jamais au cours de ces millions d’années, dominé le principe artisan ; leur équilibre et leur entente étaient parfaits comme Dieu les avait voulus. Il en reste des traces dans les quelques vestiges de sociétés matriarcales restant sur Gaïa.

« Les esprits de la génération de Lili, devenues de magnifiques énergies, s’en étaient allés vers des mondes encore plus subtils à faire évoluer, pour continuer leur ascension, ascension en rapport avec le travail accompli sur Terre, et la Beauté des relations entre tous les Êtres. Quand une humanité a fini sa mission sur Terre, la Source revient vers le collectif d’Âmes qui a réussi cette ascension, et un « bilan » est alors dressé : « Quelle Terre laissez-vous ? Qu’avez-vous réalisé pour le bien des espèces ? Les avez-vous accompagnées dans leur évolution ? Avez-vous répandu, arrimée à Nature, la force d’Amour qui doit tout gouverner ? Comment vous êtes-vous comportés envers vos semblables, envers les autres règnes, envers Gaïa, vous qui avez la Conscience ? ».

— Ben dis donc, pour les premières, cela devait être facile, mais pour la nôtre, moi je dis « ayaïyaïe ! ». Il y a de la réincarnation à mort là-dedans, c’est le moment de le dire, et pas pour le meilleur ; dans ces conditions, cela peut durer encore longtemps ! Mais les forces obscures n’auraient-elles pas provoqué cette baisse vibratoire pour investir mentalement les humains les plus vulnérables ? On peut constater dans notre histoire, que certains êtres, particulièrement maléfiques, occupent presque toujours les plus hautes fonctions. Attirés exclusivement par l’amoncellement outrancier de biens matériels, le service à soi en excluant complètement le service à autrui, ils veulent ensuite le pouvoir, un pouvoir absolu qui mène tous les pays vers une dictature mondiale. Il leur est facile, avec le miroir aux alouettes d’une technologie d’écrans, de contrôle mental, de vaccins, de peur, de pousser de plus en plus de monde dans le sens contraire de l’Évolution, les entraînant ainsi avec eux dans les couches les plus éloignées de la spiritualité.  Mais comment ces forces obscures ont pu investir aussi facilement la conscience humaine ?

Justice humaine, Justice Divine

— Pour commencer, juste après la mort, chacun se retrouve devant un « miroir », mais pas pour se regarder le nombril et se trouver le ou la plus belle, c’est le « miroir » de l’Âme ! Un corps peut tant bien que mal masquer sa laideur et même une personne renommée « belle » ne pourra pas se cacher devant ce miroir. La beauté physique est éphémère et relative, la beauté de l’âme est éternelle ! Elle apparaît alors dans toute sa Lumière… ou sa noirceur absolue, sans échappatoire possible, nul endroit, nul espace pour s’y cacher, il n’y a plus que la Conscience, rien que l’Esprit, rien qu’une Énergie où tout est enregistré et les honneurs humains n’ont rien à voir avec les honneurs divins… La justice humaine est tellement faillible, mais pas votre conscience ! Un être humain qui a bien reçu la petite graine d’esprit, commet un forfait, un meurtre pour aller au pire, et comme il s’aperçoit qu’il y a eu des témoins, il les supprime tous ! Pas vu, pas pris, pense-t-il, mais il est vraisemblable que toutes ces ignobles actions vont le hanter pour le reste de sa vie, car, tapie au plus profond de lui, sa petite graine est là, toute recroquevillée, comme la petite fleur, mais elle est là quand même, comme ces graines que l’on retrouve parfois des milliers d’années plus tard, et qui ont encore un pouvoir germinatif ! A sa mort, il ressentira toutes les souffrances qu’il a infligées, et peut-être, s’il n’a pas pris conscience de ses forfaitures, revenir les vivre dans une incarnation future.

« Et là encore, il faut prendre en compte un phénomène peu connu. Si par ignorance, les âmes des victimes, qui peut-être ont aussi elles-mêmes pêché, veulent se venger, elles restent alors attachées à leur bourreau et continuent volontairement leur calvaire, puisqu’elles sont entraînées dans l’astral vers les plus basses énergies. C’est là que les forces obscures agissent, car elles se nourrissent de souffrance, de misère, et ont donc intérêt à la profusion en cette triste matière. Elles enferment donc les morts dans un carcan, leur montrent une belle lumière, puis se faisant passer pour de bons guides, leur conseillent de venir se racheter au prix de souffrances ou se venger c’est encore mieux, pour alimenter leur commerce et la roue. Et même les personnes qui n’ont jamais commis de graves fautes, mais meurent avec des regrets de n’avoir pas accompli ce qu’elles auraient voulu faire de leur vie, des jalousies, etc., voient ces pseudos « guides », pour les éloigner de la Vraie Voie, leur proposer de revenir refaire un essai, qu’elles seront aidées, qu’elles pourront réaliser leurs rêves ! Oui ! La rechute est tellement facile dans un monde où tout est fait pour pervertir l’être humain et l’éloigner à jamais de sa vraie Nature. Si plus personne ne vient alimenter la grande roue du karma sans fin, pure invention de ces forces maléfiques, leur sort est scellé… Alors, les forces obscures ont commencé, pour les humains vivants sur terre, à projeter sur l’écran gigantesque de la paroi interne de la ceinture de Van Allen, une projection holographique de plus en plus dense, complètement remaniée de l’univers, des planètes, des galaxies, et toutes sortes d’objets célestes. Nous sommes dans la grotte de Platon…

« Nous avons vu que les premières humanités, qui avaient un accès direct au ciel et dont les agissements et les pensées étaient pures, n’émettaient donc aucun déchet. La réincarnation serait censée rééquilibrer les forces qui se sont trouvées perverties par des comportements, des sentiments hautement néfastes, et en profonde opposition avec les forces d’Amour qui régissent cet Univers. Et le karma, que ces forces obscures prennent un malin plaisir à charger, vient non seulement freiner l’évolution, mais vont vous mener vers l’involution. L’Esprit s’étiole de plus en plus, pour finalement se dissoudre dans les vapeurs fumantes et nauséabondes du monde de ces entités sans esprit qui vont s’en délecter.

Laissez venir à nous les petites âmes perdues…

« Avec de pernicieux « conseils » prodigués par ces faux guides qui se prétendent là pour vous aider, ces derniers entraînent les êtres vers l’oubli de leur véritable nature, leur montrant qu’il faut souffrir pour évoluer ! Tu crois vraiment, sauf cas exceptionnel, que la souffrance peut guider vers la Lumière ? Qu’il faut tout oublier pour toujours recommencer à zéro. Imagine un enfant qui chaque nuit oublie tout ce qu’il a appris dans la journée. Va-t-il avoir une chance de passer en classe supérieure ? Tout cela ne rime à rien, et n’arrange que ces forces maléfiques qui se nourrissent de souffrance.

« En effet, la Conscience, profondément liée à l’Âme qui, par trop négligée, niée, piétinée, oubliée, en dépérissant, ne peut plus être le support de l’Esprit. Une terrible dissolution, le pire des scénarios, est alors parfaitement envisageable, et des trappes peuvent se créer dans l’espace-temps pour recycler ces âmes perdues… Cette dissolution fait évidemment très peur et pour cause, peur très nourrissante pour certains. Ceci est récent sur cette Terre, car nous l’avons vu, les premières humanités étaient des Âmes très pures, mais la densité provoquée et l’enfermement dans cette matrice qui occulte une Réalité au taux vibratoire affaibli, peuvent provoquer ces regrettables effets. Et plus ce taux vibratoire diminue, plus vous vous éloignez de la Source qui n’a rien à faire de vos aventures personnelles, et n’intervient donc évidemment pas dans vos petites histoires. Prier pour gagner un match de foot ou au loto, non ! C’est juste comique ! Et même si une prière était entendue, ce serait pour une vraie cause, une grande cause, pouvant profiter à Gaïa et à tous ses habitants. Vous pouvez le faire pour que les Âmes perdues, après leur flash de vie passée à la recherche de pouvoir à n’importe quel prix, de biens matériels, de plaisirs immédiats et destructeurs, sachent que seul un miroir les attend. Vous êtes insérés dans la gigantesque Entité Consciente et vivante qu’est l’Univers, mais hélas ! de plus en plus difficile à appréhender pour vous. Mais il se peut aussi que certaines prières communes soient entendues, mais vous devez toujours vous méfier, car les prières groupées dégagent beaucoup d’énergie qui peut être captée par le côté obscur qui va s’en trouver renforcé…

Y a plus personne au bout du fil

« Comme nous l’avons vu, dans le passé, environ tous les 200 000 ans, la ceinture de Van Allen se désactive et comme ses « parois » servent d’écran à l’hologramme de votre réalité, ce sera peut-être une occasion unique pour les êtres humains actuels d’enfin percevoir la Vrai Réalité. Selon leur façon de penser, cela peut se passer dans la Joie et la félicité, ou.. tout l’inverse ; une inversion des pôles ou autres réjouissances viennent alors mettre la pagaille dans la nature. Dans les temps très anciens, où la matrice n’existait pas encore, cela permettait aux humanités d’ascensionner quasiment au complet pour s’en aller vers d’autres mondes à faire évoluer, laissant la Terre suivre son propre cheminement avec ceux qui avaient raté la marche ! C’était donc un recyclage en règle.

« Bien sûr, la Source de cette planète distillait certaines connaissances acquises par ces civilisations, que les Âmes, de retour en incarnation, pouvaient capter et transmettre.

« Mais maintenant, enfermés dans cette matrice qui occulte la majeure partie d’une réalité que vous ne pouvez plus percevoir, les choses sont assez compliquées. Il faudrait que chaque humain vainque ses peurs, et en tout premier lieu, celle de mourir, car elle jette les plus peureux dans les mains des médecins à la botte des grands laboratoires qui ont tout intérêt à soigner et non pas à guérir. « L’espérance » de vie augmente, quel progrès, mais dans quel état ? De plus, les gens meurent, sans conscience et plus ou moins (plus que moins d’ailleurs !) hébétés par les drogues ingurgitées chaque jour et engoncés dans la certitude qu’il « n’y a rien après la mort ». Ils arrivent donc de l’autre côté en état d’inconscience, et l’ignorance arrange bien les gardiens de la matrice, qui peuvent alors diriger les âmes comme bon leur semble. Mais si chacun élève son niveau vibratoire avec de belles pensées, de belles actions sans pour autant ignorer la puissance des forces obscures, il en sera tout autrement… Pas facile avec la peur et toutes les casseroles que vous trimballez…

« Alors évidemment, pour vous, dans ce vaste Univers, ça manque de connexions ! C’est pour cela aussi que vous êtes tellement isolés dans votre coin. Nous les atomes, avons l’intrication, mais vous, êtres biologiques, qui avez perdu la communication transpersonnelle, engoncés dans un corps si opaque ; il ne vous reste que la parole, une parole extrêmement limitée, et dont la valeur peut souvent se montrer très contestable ! Sur Gaïa, vous avez créé des structures sociales indigentes au niveau spirituel qui vous privent de véritables communications. Et c’est paradoxalement à l’époque où vous avez développé des moyens technologiques très performants que, ironie du sort, vous êtes complètement isolés les uns des autres, et surtout sans aucune connexion à votre être véritable. Vos rapports deviennent des plus incohérents ; la violence et ses accessoires arrivent à un paroxysme rarement atteint.

Zut, vla les parasites et le « virus du siècle »

« A l’intérieur de ces grandes périodes, il y a quelques resets sous forme de déluges et, ou, volcanisme, qui sans tout détruire, laissent suffisamment de traces pour amuser les archéologues et les curieux, mais qui bizarrement semblent effacer la mémoire des grands faits. Pour votre toute petite histoire, ressasser, tant au niveau individuel que collectif, revenir sur le passé ne sert à rien, et surtout pas de recommencer les mêmes erreurs, voire d’amplifier les horreurs commises ultérieurement, comme tu peux, hélas, le constater dans les temps présents !

— Alors ? Que s’est-il donc passé ?

— Je ne suis qu’un simple atome, je ne reçois pas les Confidences de la Source directement, mais je suis présent dans bien des domaines. D’ailleurs c’est aussi là, avec la réincarnation forcée, que sont apparus les parasites !

— Ah oui, toutes ces horribles bestioles qui piquent, rongent, érodent, grattent, empoisonnent, sucent le sang en se nourrissant d’êtres vivants, …

— Oui, comme vos banquiers en quelque sorte, et leurs patrons encore au-dessus d’eux qui tirent les ficelles des marionnettes qui « gouvernent ». Les humains se font voler leur pouvoir créateur par ces entités sans esprit qui maintenant les parasitent complètement, et testent régulièrement leur degré de soumission et d’obéissance.

— Et là, avec la mascarade de « pandémie » au corona virus, ils ont pu voir qu’il suffit de leur dire :  « boou… le vilain virus, vite, vite restéz confinés chez vous, méfiez-vous des autres, mettez une couche sur votre visage, des saloperies sur les mains, n’allez plus qu’au supermarché et surtout pas sur les marchés en plein air ! La mort rode partout, dans les bois, sur les plages, dans les parcs (les supermarchés, ça c’est bon, c’est nous qui encaissons !), écoutez bien la télémensonge et le nombre de morts… ». Et ça a marché ! Oui ! Au-delà de toutes leurs espérances ! Et les psychopathes milliardaires, guidés par les forces obscures, prennent encore un peu plus l’ascendant sur leurs semblables, puis profitant de cet ascendant leur conférant un délire de puissance, entraînent les plus faibles avec eux dans les dépôts nauséeux des plus basses densités de la matière, ce qui semble être pour eux un moyen de survie.

« Cela me fait penser à une boule de neige sale, agglomérant autour d’elle tout ce qui se trouve sur son passage, et qui finit, telle une troupe d’araignées filant leur toile, par opacifier la lumière présente en chaque être humain. Et pour renforcer leur pouvoir, rien de tel que d’entretenir des guerres mesquines entre partis politiques corrompus, histoire de créer des camps qu’il faut forcément choisir. Amener le plus possible d’êtres cupides et vaniteux à dominer en rendant les peuples esclaves par toutes sortes de moyens, parasiter les esprits avec des histoires de races, de sociétés, de clans, de piqués à la bouillasse et pas piqués, ensuite imposer ce qu’il faut penser, mentir de manière éhontée par l’intermédiaire de médias corrompus jusqu’à la moelle, voilà leur tactique ! Ils savent trop bien que l’union fait la force ; diviser pour mieux régner, c’est bien connu ! Les religions, les noirs/les blancs, la droite/la gauche, les vieux/les jeunes, le nord/le sud, les hommes/les femmes, etc. Il faut donc créer et maintenir un climat de peur et d’incertitude avec, entre autres, des attentats bidons, le cancer, des phobies d’épidémies ; les microbes, c’est-à-dire le vivant, seraient bien plus dangereux que les multiples produits chimiques absorbés chaque jour par toutes sortes de voies multiples et variées.

— Moi, en tant qu’atome, je vois bien ce qu’il se passe à l’intérieur, et parfois ce n’est pas joli joli ! Tiens, par exemple, les vaccins ! Vous avez un système immunitaire très performant qui fait son apprentissage et son ménage ! Oui littéralement, avec de petites maladies infantiles qu’il faut absolument laisser faire leur office. La fièvre est une bénédiction qui permet au corps de faire le nettoyage à fond et élimine les indésirables. En plus, si vous la faites descendre artificiellement en supprimant le symptôme, ces bestioles ont le champ libre, le corps ne peut plus faire son ménage, et une grave maladie peut alors s’installer, comme la poliomyélite. Un accès de fièvre doit donc être respecté pour laisser le corps faire son travail ! Il pourra alors, tel un coach sportif entraîner ses poulains à être les meilleurs, et gagner toutes les batailles ! Oui, car c’est bien de cela qu’il s’agit, chaque « bataille » fait un bon ménage, le système immunitaire se fait les muscles pour préparer la vie future et affronter les aléas de la vie, tant sur le plan purement physiologique que psychologique, si toutefois on ne précipite pas l’enfant dans le système médical, scolaire et sociétal. Et c’est à cet entraînement quotidien que l’être humain doit se confronter, la maladie n’étant que le moyen trouvé par le corps pour se débarrasser de ses toxines.

Mais qu’il est donc mignon ce p’tit microbiote !

« Par exemple, on vous met du chlore dans l’eau du robinet, Cl, pour les intimes (qui lui, fait carrément son crâneur avec ses 17 protons et ses 17 électrons). Je dois dire que je ne l’aime pas trop, car quand il arrive quelque part, c’est un peu le genre « pousse-toi de là que je m’y mette ». Rajouté à l’eau, il zigouille tout ce qui vit, et nous, on aime bien avoir quelques copains dans l’eau. Une fois qu’il a tué tous les microbes, bien sûr les pas sympas comme les sympas, c’est plein de cadavres, et leurs déchets font souvent apparaître des virus, qui, je viens de l’évoquer, vont décider de faire le ménage à fond, et parfois tellement à fond que… Et puis vous savez l’Eau aime la Liberté, la Joie, la Lumière, parfois l’intimité dans les grottes et les cours d’eau souterrain, mais toujours libre ! Alors les canalisations toutes droites ça nous tuent ! On arrive chez vous moribonde, triste, dévitalisée avec plein de saloperies qui nous déstructurent, et c’est cela que vous buvez !

« En plus, quand vous prenez des antibiotiques, c’est un peu comme le chlore qui zigouille tout, et en premier lieu votre « microbiote », les 100 000 milliards de petites bêtes (environ 500 espèces), qui vivent dans votre corps, la grande majorité dans l’intestin, ce n’est pas l’idéal. Maltraitées, elles ne peuvent plus faire leur travail correctement, et pourront alors se révolter, devenir des opportunistes, voire des pathogènes, et créer toutes sortes de maladies que le bon docteur va soigner avec ses chers petits médicaments mijotés par les laboratoires pharmaceutiques qui sont si généreux avec les bons docteurs ! Mais sache qu’elles sont tes meilleures amies, et influencent même ton humeur, ton imagination, ta créativité, ton intuition… Imagine, tu es un véritable écosystème à toi toute seule ! Ça vit, ça se reproduit, ça défèque, ça exprime son code génétique ! Oui, je suis désolé de te le dire, mais le tien ne s’exprime que de 1 % pour l’ensemble de ton corps, alors je te pose la question : corporellement parlant, qui es-tu vraiment ?

— Un monde à moi toute seule !

  • Les cellules de ton corps ne sont que 10 000 milliards !
  • C’est pour cela, la solitude ! Et ce p’tit microbiote, je cois qu’il adore voyager ?
  • Quand vous touchez une personne, que vous l’embrassez, vous vous échangez une partie de ce p’tit microbiote ! Et à chaque embrassade, vous vous enrichissez !
  • et cela crée des liens…
  • Évidemment, ce n’est pas ce que l’on vous raconte ! Et tout ce petit monde s’entend à merveille et fait comprendre l’intérêt d’entretenir la paix en nous à tous les niveaux, car une révolte, à 100 000 milliards … En tous cas, quel modèle d’entente ! Et elles ne connaissent ni la rancune ni la vengeance, pas comme les humains qui adorent tant se gargariser avec leurs commémorations, travail de mémoire, films de violence, théories élevées au rang de dogmes et autres glorifications des plus nocifs d’entre eux en élevant vers le ciel de pathétiques « plus jamais ça ! » ! Et sempiternellement, cela recommence ; les victimes sont devenues bourreaux ! Le statut de « victime » est souvent très prisé par certains, ce qui donne de bonnes raisons de manifester la haine, et permet d’alimenter les égrégores négatifs qui entourent maintenant Gaïa… Car c’est sûr, s’il y a des victimes, il y a des bourreaux !

— Et les rôles deviennent interchangeables, s’alternant au fil du temps, de réincarnations en réincarnations savamment orchestrées, un coup bourreau, un coup victime ; qu’est-ce qu’ils peuvent s’amuser !

Sans se presser, le Mal est arrivé

— Voudrais-tu parler du Mal ? C’est par là qu’il est arrivé ?

— Bien sûr, le Mal ! Suggéré par les forces obscures, il est créé de toutes pièces par la violence, la haine, enfin tous ces sentiments d’une extrême négativité, et plus ils prennent de l’ampleur, plus le Mal prend de l’assurance. Car dans les temps présents, certaines victimes aiment leur statut qui leur donne du pouvoir, et va du coup légitimer le désir de se venger, et faire… d’autres victimes. Incroyable à dire, mais cela a été amplifié avec un humanisme très mal compris. Cette histoire de violence est arrivée tout doucement bien antérieurement à votre humanité, quand le principe artisan a commencé à vouloir prendre l’ascendant sur le principe créateur et le dominer, devenant alors le principe guerrier. Il s’est approprié la procréation, fécondant les femmes à tire-larigot pour avoir de la main d’œuvre pour le travail et la guerre, la guerre, la guerre, les conquêtes…

— Le Mal adore je suppose ?

— Devine, il a la faculté de renforcer les êtres qui le suivent ; plus il est alimenté par la souffrance, plus il est fort, et d’ailleurs cela se retourne contre eux, la preuve : mal à dit !

— En ce moment, ce sont de vrais festins, avec la peur, les guerres, les attentats, les soi-disant pandémies…

— Oui ! Et il devient de plus en plus fort !

« Comme nous l’avons évoqué, l’Âme mal nourrie, privée d’Amour, de Beauté, d’Émotions pures, d’Empathie… et dont le principal apport de nourriture, abondamment distribué par les médias, le cinéma, les jeux vidéos, sont la barbarie, le cynisme et leurs accessoires multiples, divers et variés, l’Âme se nécrose, ne laissant que des amas de cellules organisées en formes humaines vivantes, et ne peut plus être le support de l’esprit qui n’a plus le tremplin nécessaire à son ascension et peut disparaître complètement de la grande gerbe de la vie.

« Il est donc de première importance pour un Esprit de garder la pureté qui va lui permettre d’ascensionner, laissant la Terre et la biodiversité repartir sur un autre chemin avec de nouvelles graines d’Esprit. En effet, sans cette joyeuse graine Esprit avec des joues bien roses, l’être perd son individualité, c’est-à-dire sa capacité à l’évolution personnelle. Et comme la plupart des animaux et dans le meilleur des cas, la dissolution dans une âme groupe sera leur sort… Il faut bien comprendre que c’est l’Esprit qui a la capacité de juger du bien et du mal. Oui, certaines personnes prétendent qu’il n’y a pas de « bien et de mal » ; ils se placent ainsi d’office dans la catégorie des animaux. Un animal n’a pas cette notion, certains l’apprennent avec vous. Un prédateur qui dévore sa proie encore vivante n’a aucune notion de la souffrance qu’il lui inflige. Il la regarde comme vous pouvez regarder un bon gâteau dont vous allez vous régaler ! Par contre un être humain qui inflige une torture tant physique que mentale, a parfaitement conscience de ce qu’il fait. Du temps des premières humanités, comme nous l’avons déjà évoqué, il n’y avait pas de prédateurs, juste des charognards qui recyclaient les corps.

« Mais actuellement, comme la mémoire est presque systématiquement effacée à chaque incarnation forcée, il devient difficile de tirer des enseignements de la conséquence des actes d’une ancienne vie qui n’aurait pas été dans le bon sens. Il est vrai que certains, peut-être un peu moins programmables que les autres, et ayant la forte sensation d’avoir quelque chose à accomplir dans la matière, peuvent garder des traces de leurs anciennes vies sous forme de réminiscences. Mais là encore, la rigueur doit être de mise, car il est possible que des souvenirs injectés de force fassent du coup payer pour le karma de quelqu’un d’autre !

« Pour les autres, il ne s’agira que de revivre sempiternellement les mêmes événements, les mêmes épreuves, les mêmes souffrances sans jamais remettre en question leur condition d’esclaves de l’égo, et se laisser de plus en plus siphonner leur énergie. L’opportunité de s’éveiller ne les effleure pas une seule seconde et ainsi, le Mal avance dans son œuvre, jusqu’à ce qu’il ne reste plus d’eux à leur tour, comme nous venons de l’évoquer, qu’un amas de cellules organisées, un récipient organique en forme d’humain, sans cohérence spirituelle, avec la même apparence que les autres, mais sans aucun sentiment et empathie : un portail organique, selon l’expression consacrée.

Toujours plus bas

« Arrivé à ce stade, ils peuvent soit complètement sombrer dans les boues astrales, soit devenir eux-mêmes des tortionnaires de toutes espèces pour y échapper très provisoirement, sans aucun espoir de retour. Il n’y a plus alors de freins au délire du mental, ce qui explique les comportements guerriers, les conflits, les guerres de toute nature devenant ainsi le moteur de ces civilisations guidées par ces entités sans esprit où le peuple est réduit à une masse bêlante et amorphe, esclaves consentants. Ceux d’antan n’avaient qu’une idée, s’extraire de cette situation par tous les moyens au péril de leur vie, mais les esclaves de vos temps modernes réclament eux-mêmes leurs chaînes pour une fallacieuse protection, ceux qui peuvent renoncer à la liberté essentielle pour obtenir un peu de sécurité temporaire, ne méritent ni la liberté ni la sécurité. C’est Benjamin franklin qui le dit ! Il est pourtant important de savoir que refuser de voir la réalité n’a rien d’épanouissant, et celui qui préfère volontairement rester dans l’ignorance et croire tous les mensonges qui l’arrange, devient lui-même acteur et consentant. Libre, le Mal se pare alors de toutes sortes d’appâts, aptes à attirer à lui toute âme en mal de vivre.

— Tu veux dire que ceux qui ne cherchent pas à savoir et préfèrent, à l’instar des autruches supposées mettre leur tête dans le sable en cas de danger, seraient aussi coupables ?

Qui ne dit rien consent

— Comme tu le sais, les réponses vous viennent quand vous en avez besoin. Tu as cru dur comme fer au karma et que tout était juste. Puis tu as analysé tes propres expériences et compris que cette histoire est un grand piège.

— Alors les « élites », comme nous l’avons déjà évoqué, entités sans esprit, ont besoin de notre consentement pour pouvoir continuer leurs abjectes manipulations ? Et quoi de mieux que de faire croire que tout est juste : la guerre, la pédophilie, les sacrifices, le sang, le malheur, les dépressions, les disputes, le cynisme, etc. et encore etc. ; tout cela est leur nourriture préférée. Si je ne veux surtout pas savoir, où même si je pense que c’est juste, je donne implicitement mon consentement, j’accepte tout, je donne un accord tacite, je ne dis rien donc je suis d’accord, et qui ne dit rien consent…Même si je ne peux rien faire ici bas, le simple fait de réprouver montre que je ne suis pas d’accord, c’est cela ?

— Tout à fait, un être humain « normal » ne rêve pas de pouvoir absolu, de commander, d’avoir des quantités d’argent monstrueuses en appauvrissant volontairement ceux qui sont censés être ses semblables ! Ces êtres là, totalement dépourvus de la moindre once d’empathie, n’ont que quelques doubles avec lesquels ils s’allient (dans tous les sens du terme), pour perpétrer leurs méfaits. Le problème, c’est qu’ils rallient à leurs causes malsaines, tout un lot d’humains qui rêvent aussi de puissance. C’est nouveau sur Gaïa, un être humain sain d’esprit, ne peut agir de la sorte, sa Conscience lui dicte un autre comportement qui, s’il ne lui apporte pas la richesse matérielle, donne un rayonnement intérieur hautement profitable à tous. Dans les très anciennes civilisations, il n’y avait pas de dirigeant attitré et permanent. Chacun prenait la direction des opérations, avec l’aval de la majorité, dans le domaine qu’il connaissait le mieux. Une fois la tâche terminée, la personne retrouvait son statut ordinaire, et c’est peut-être une autre qui prenait « le pouvoir » dans un domaine différent. Il y avait aussi un conseil de sages dûment choisis pour leurs qualités d’Esprit exceptionnelles.

— On constate que ce pouvoir, au fil des temps, a montré que certains de ces êtres (soi-disant humains !) présentent une hypertrophie de la personnalité carrément pathologique. Et « l’histoire » ne retient que ceux-là, racontant avec gourmandise leur délire de pouvoir et de conquêtes ! Mais ne soyons pas trop pessimistes, je rencontre parfois des personnes dont le cœur est vraiment pur et à qui je n’hésiterais pas à confier mon bien le plus précieux en toute sécurité ! L’enseignement, mené avec discernement, peut aussi arriver à cet équilibre.

— C’est vrai, la transmission bien comprise, protège, mais que transmettez-vous vraiment ? Dans les écoles, vous fabriquez de petits robots bien obéissants avec des matières complètement artificielles et souvent fausses, petits robots bien conditionnés qui seront dans le consentement, allant jusqu’à occulter leur ressenti d’une autre réalité au profit de la doctrine officielle. Faire comme les autres devient une sorte de leitmotiv général ! C’est donc une véritable caution donnée aux « maîtres » qui va leur permettre de s’emparer de toutes les ressources, et en dernier lieu des Âmes moribondes.

Je ne suis qu’un atome…

« Et la Source, au nom du libre arbitre, n’intervient jamais. Plus le voile qui recouvre l’humanité devient opaque, plus les esprits faibles deviennent corruptibles. Maintenant, c’est un peu comme si vous n’étiez dans ce monde que pour tester vos capacités à transcender une matière qui n’a pas de réelle existence, juste pour vous exercer à retrouver dans cette opacité, le chemin sacré du retour à la Source, voir si vous allez vous reprendre et faire quelque chose de bien pour cette Terre et tout son écosystème !

— Franchement je me le demande aussi, mais n’y a-t-il pas quand même beaucoup de personnes actuellement dont la conscience s’éveille ?

— Oui, bien sûr, mais quand je vois tout ce que vos scientifiques mettent sur le dos de l’« évolution » qui n’est que le travail de ces premières humanités, il y a encore du boulot ! Je ne suis qu’un atome…

  • Mais quel atome !

— Ne me flatte pas ! Donc en tant qu’atome, je regrette les très anciens temps ; c’était tellement fabuleux de voir ces Créatures merveilleuses à l’œuvre. Toujours en suivant les Instructions venant de Dieu, elles s’amusaient comme des folles à manipuler le vivant. Et comme n’importe quel ingénieur ou bricoleur se gratte la tête pour réaliser tout ce qui fait votre civilisation, pour cela, il lui faut vraiment penser, faire des plans, réaliser au besoin des maquettes, cogiter encore et encore, et bien, elles faisaient exactement la même chose, mais avec beaucoup moins de bêtises, car leur but était toujours d’aller vers la Perfection dans une complexe simplicité. Chaque espèce, tant végétale qu’animale, retenait leur attention, et elles te leur bricolaient l’ADN tranquillement toujours vers le Mieux, le Beau, le Bon et tout en suivant le « Manuel d’Instructions ». Toutes ces phases que reconnaissent les biologistes qui bien sûr, mettent cela sur le dos de la sacro sainte « évolution », n’est que leur travail. Elles prenaient un soin tout particulier à équilibrer toutes les espèces entre elles et avec le milieu. Reprenant un ADN antérieur, et avec des mutations, elles créaient de nouvelles espèces adaptées à chaque biotope de manière à ce que Gaïa soit entièrement couverte de végétation et de vie. C’est exactement ce qu’avait fait la source, en prenant l’ADN des singes pour faire le corps de Lili, c’est pourquoi ces ADN, tant du monde animal que végétal se ressemblent autant ; tous les organismes vivants sont bâtis sur les mêmes bases, leur complexité étant déjà extrême, il faut simplifier au maximum ce qui peut l’être. Vos ingénieurs reprennent des plans antérieurs pour faire du nouveau, mais leurs motivations sont très, très loin de celles de Lili, de ses compagnes et compagnons !

« Les êtres vivants sont des machines biologiques d’une extrême complexité que vous commencez tout juste à découvrir. Mais vous êtes tellement imprégnés, pétris, façonnés, pour croire que tout cela ne dépend pas d’une Conception Intelligente, que la couleuvre est avalée sans effort, alors qu’il n’y a aucune logique dans cette religion scientifique ; une personne qui réfléchit en dehors de tout dogme et conditionnement ne peut cautionner cette façon de voir ; « c’est la nature ! ». Vous prenez cela comme un progrès par rapport à ce que vous considérez comme d’obscures croyances de temps lointains et révolus ! Même toi qui as compris cela depuis longtemps, parfois le doute t’effleure…

— Oui, c’est vrai, j’ai été comme beaucoup, conditionnée. Dans ma famille, c’était athée et athée plus plus ; la vie n’a pas de sens, nous sommes seuls dans l’Univers et le fruit du plus incroyable des hasards, allons, allons, nous sommes des gens raisonnables, respectables, cultivés. Nous sommes loin de ces temps obscurs où tout avait un sens, même s’il échappait à la raison. Et moi j’étais là-dedans ! J’ai sans doute échappé de peu au suicide, et je me suis mise à penser par moi-même, j’ai réfléchi, et mes expériences de vie m’ont fait comprendre que ce passage si fugace ne se limite pas à cette apparition dans la matière, qui malgré sa brièveté, conditionne la vraie Vie. J’ai vu comment les incarnations terrestres sont empilées les unes sur les autres, un peu comme une pile de crêpes (chaque crêpe représentant une vie) flottant l’une au-dessus de l’autre, venant du fin fond des temps et allant vers… Une fine trame de lumière les traverse comme un axe au milieu d’une roue et les relie entre elles. Et j’ai vu ces innombrables empilements reliés par d’autres fils parfois lumineux, parfois sombres où circulaient tous les sentiments humains, le tout ondulant dans un infini immatériel, instantané, où le temps, dans une folle illusion, ne défile que sur la surface de ces paliers… J’ai vu que seuls la Joie, l’Amour, la Beauté, la Compassion, la Vérité, le Pardon, la Tolérance, etc., sont les fondations indispensables à la Vie. Ce qui est présenté comme savoir secret, tout ce qui veut rester mystère et interdit peut cacher l’inavouable, et donne à ceux qui possèdent ces secrets un pouvoir dont il est si facile d’abuser. Maintenant, il est vrai que certains savoirs ont certainement dû rester cachés pour ne pas tomber aux mains d’êtres malfaisants.

Une Information à l’élaboration de la vie

— Quand chaque humain pourra voir, ressentir, comprendre et imager comme tu le fais avec tes petites possibilités, Gaïa pourra enfin changer. Mais la majorité n’est encore que dans une fonction de survie. La fin biologique qui terrorise la plupart des humains, n’est que la mise à la casse du véhicule, si perfectionné soit-il ! L’Âme prend le relais pour conduire l’Esprit vers sa destinée, conditionné par les actions du défunt conducteur de ce véhicule maintenant réduit à un amas de cellules sans vie. Quand vos scientifiques commenceront à prendre en compte et étudier les phénomènes qu’ils ne comprennent pas, plutôt que de tout rejeter, cette civilisation, s’il n’est pas trop tard, pourra enfin évoluer !

— Alors je me demande quelquefois si ces dogmes scientifiques, sous couvert de modernisme et d’esprits soi-disant « ouverts », ne sont pas plus terribles que l’Inquisition. Jacques Monod, prix Nobel s’il te plaît, écrit dans Le hasard et la nécessité : L’ancienne alliance est rompue (qui donnait un sens à la vie avec un dieu créateur !) ; l’homme sait enfin (enfin ce n’est pas trop tôt ?) qu’il est seul dans l’immensité indifférente de l’Univers, d’où il a émergé par hasard (je rajouterais bien, le plus improbable, gigantesquement improbable des hasards). Non plus que son destin, son devoir n’est inscrit nulle part (même en cherchant bien ? comme cela il peut bien faire n’importe quoi, et n’avoir de comptes à rendre à personne). A lui de choisir entre le Royaume et les ténèbres. Un petit coup de Jean-Paul Sartre par là-dessus, pour bien choisir les ténèbres dans le summum de la désespérance avec l’être et le néant, et le tour est joué ! L’un des plus grands gâchis du XXe siècle est en place. « Il y a quand-même le Royaume, mais quel royaume ? Celui de la technologie ? C’est consternant, accablant et notre situation actuelle est bien la suite logique de cette façon de voir les choses initiées par les « lumières ». Francis Crick, Nobel aussi pour ses recherches sur l’ADN, rajoute sa petite couche personnelle : Les biologistes doivent constamment se rappeler que ce qu’ils voient n’est pas le fruit d’une conception, mais d’une évolution. ». Encore une fois, on exclut une cause avant même de prendre en compte les preuves ! Ben oui ! Ils sont bien les dignes petits-fils de Darwin ! A la suite des philosophes de ces vraiment drôles de « lumières », il fallait coûte que coûte trouver une alternative à la religion et expliquer la vie sans avoir à faire intervenir une Conscience. C’est bien sûr à double tranchant cette histoire, car une religion par trop dogmatique ne va pas dans le sens d’une ouverture spirituelle.

— Oui, sais-tu qu’à cette époque, les scientifiques croyaient que l’unité fondamentale de la vie était la cellule qu’ils croyaient n’être qu’un simple globule de protoplasme, un morceau de gélatine en quelque sorte ! Mais la connaissance actuelle, grâce à la technologie du microscopique, vous fait entrevoir la formidable complexité qui règne dans ce petit truc de rien. Ce qui n’a pas entamé d’un iota la foi en Darwin qui avait pourtant bien dit : Si l’on pouvait démontrer qu’un organisme complexe existe, sans être l’aboutissement d’une succession de nombreuses et infimes mutations, ma théorie s’effondrerait totalement. Il est sûr que l’évolution existe, mais elle n’explique absolument pas comment est né la première cellule, ni les protéines, ni l’ADN, ni le moteur flagellaire bactérien, merveille de hautes technologies biologiques. Ces caractéristiques très particulières et indispensables n’ont aucune probabilité de se produire spontanément, car il en faudrait un nombre tellement considérable que l’on peut considérer qu’elles sont nulles. Il y a donc une INFORMATION à l’élaboration de la vie qui pour moi, simple atome, n’a rien de mystérieux ! Nous avons tous un plan intégré de tous nos possibles…

Ah ! Ces humains quand même !

« Car avec vous, les humains de Gaïa, c’est toujours pareil : vous avez eu des tas de gens, assez brillants, mais qui laissaient leurs découvertes « ouvertes ». Eux-mêmes avaient su faire fructifier les découvertes antérieures, et ils ne pensaient pas les leurs fermées une fois pour toutes. Et pourtant, après un siècle, deux, trois, même parfois plus, c’est comme si la gravure dans le marbre était inaltérable. Elle est donc suivie avec un fanatisme vengeur par des milliers, même des millions de personnes qui adhérent sans aucun esprit critique comme s’il s’agissait de vérités indétrônables. C’est bien à Joseph Goebbels que l’on attribue la phrase« un mensonge répété mille foisse transforme en vérité » ? C’est un peu la doctrine de vos temps « moderne » !

— Tiens oui, Pasteur (qui avait raté toutes ces expériences sur les vaccins !) avouait à la toute fin de sa vie que le plus important était le terrain, et que le microbe ne faisait que profiter de la situation. Mais les vaccins promettaient de tels profits à long terme, que l’impasse sur les expériences fut promptement faite. Et depuis 150 ans, tout est resté figé, via les grands labos, dans un dogme inattaquable. L’hygiène, c’est très bien, et elle a permis d’éradiquer des maladies très contagieuses comme la peste, mais, ensuite trop, c’est trop ! Le fait de se laver constamment les mains avec toutes sortes de produits souvent toxiques à long terme, ne permet plus à la paume de la main, qui sécrète une substance très subtile qui élimine beaucoup de microbes, de faire son travail correctement. Parfois un simple lavage à l’eau suffit, et il respecte la peau. Et voilà le trio infernal, Darwin, Freud (le « Pasteur du quiqui ») et Pasteur lui-même ont transformé l’être humain en singe obsédé sexuel et vacciné… Et l’on entend la sempiternelle « vérité » : les vaccins sauvent des vies. Ils ne sauvent rien du tout, et ils en abiment tellement !

« Il est maintenant interdit, sous peine d’excommunication et de marginalisation, de contredire ces monstres sacrés. Pour rester scientifique, il faut écarter les causes avant même de considérer les preuves. Il ne faut surtout pas l’évoquer, cette conception intelligente, car le naturalisme méthodologique exclut absolument d’évoquer l’intelligence et doit rester dans ce qui est « naturel ». Pour faire un escalier pas exemple, avec toutes les variantes possibles, tout le monde sait qu’il faut une formule, des plans, sacrément cogiter, puis seulement ensuite, passer à la réalisation.

— Oui ! Vous êtes vraiment drôles les humains, mais pour la molécule d’ADN qui contient un alphabet de 3 milliards de caractères en trois dimensions qui crée la vie, là c’est différent ! Avec votre alphabet, 26 lettres, et seulement deux dimensions, vous pouvez écrire des tas de choses très élaborées, mais presque simplettes par rapport à ce qu’écrit l’ADN. Comment pourriez-vous vous représenter un alphabet en trois dimensions, avec les lettres, flottant dans l’espace façon mobile pour bébé, et devoir les lire ? Et là c’est 3 milliards, transcrits, copiés, décodés pour fabriquer des protéines spécifiques chaque seconde, des milliards de fois et sans quasiment d’erreurs, et si erreurs il y a, un correcteur remet de l’ordre. Ici, c’est la VIE qui s’écrit, votre vie !

Une vie « propre » pas spécialement claire et limpide

« Sauf que tout le monde continue à regarder la télé, ses écrans, et faire ce que l’on dit : bosser, surtout consommer toutes les belles choses qui se fabriquent pour nous ! Amusements, distractions, divertissements, sexe, films, spectacles, loisirs, ne surtout pas penser par soi-même, nos chefs s’occupent du reste, ils pensent pour nous, « circulez, emballé, c’est pesé… ». Les esprits sont saturés avec des plats malsains pris devant des écrans auxquels une grande majorité est accro : la violence, la pornographie, la cupidité, la haine, l’égoïsme, les « mauvaises nouvelles » incessantes, la peur et la « terreur », avec tout plein de messages subliminaux ce qui explique bien des choses. Quand était la dernière fois où une belle pensée a été émise ? Où quelque chose de beau et pur s’est élevé de vous vers le ciel ? Car vous avez tous en vous des bribes de souvenirs de ces temps immémoriaux, généreux et joyeux. Mais pour l’instant, la planète est dans l’état où elle est en raison de toutes ces pensées collectives négatives.

 « Revenons un peu à l’ADN. Un ordinateur fonctionne sur un code binaire : 1 0 1 0 etc., et avec juste deux caractères, les informaticiens créent des programmes très complexes, n’est-ce pas ? L’ADN, c’est un code avec 4 caractères, A C G T(([15] Adénine (A), cytosine (C), guanine (G) ou thymine (T) qui vont, après des processus extrêmement complexes, aboutir à la fabrication des protéines.)) hyper plus sophistiqué qu’un vulgaire code binaire, vous ne pouvez même pas imaginer ce que vous pourriez faire avec des ordinateurs à ADN, comme celui que tu as imaginé dans ton livre Sophia Galactica, le jeune dieu, et que tu as baptisé : PADNER, acronyme de Principe ADN Émotive Reconnaissance.

— Je pense que les belles émotions sont volontairement exclues de toutes les actions humaines, et l’oligarchie veut faire de nous des robots souffrants pour produire du Loosh, toujours plus de Loosh sans aucun espoir de revenir à la condition humaine primordiale. J’avais donc imaginé que l’utilisateur pourrait placer un capteur au niveau de son plexus solaire, ainsi, seules les informations assimilables au moment émotionnel de la personne se trouveraient disponibles. Mais avec le niveau des informations qui circulent actuellement, ce n’est pas envisageable ; il faudrait que la nature humaine change du tout au tout, et que les vraies valeurs, celles qui animaient les anciennes humanités, reviennent. Mais dis-moi, comment est-on descendu si bas, nous sommes descendus dans les plus basses couches de la création, et nous avons fini par nous décrocher complètement du monde spirituel ?

— C’est un peu cela, oui ! Les entités sans esprit ont modifié votre ADN pour qu’il ne code plus que pour les choses matérielles : nourriture, sexualité, possession en tout genre, exaltation des instincts et des émotions de pacotilles ! Ensuite, avec des polluants divers et variés dont ils vous gratifient : les sacro saints médicaments et bien sûr, les vaccins ! Ah les vaccins, merveilleuse invention qui effondre le système immunitaire et vous rend dépendants de la médecine ; c’est la touche finale qui va faire de vous, au bout de quelques générations, de parfaits zombies…

  • Rudolf Steiner écrivant en 1917 : L’homme découvrira un vaccin qui pourra dès la prime jeunesse, par la voie du corps extirper la tendance à la spiritualité. A l’avenir, on vaccinera les enfants à l’aide d’un produit que l’on peut très bien composer et qui empêchera les enfants de développer en eux toute vie spirituelle. Et c’est bien ce qu’ils veulent avec en France, par exemple, 11 vaccins dès la naissance, les enfants sont maintenant, avec l’aide des écrans et des débilités distribuées sur les réseaux sociaux et les frasques du corona circus, dans un état mental qui ne présage rien de bon pour l’avenir.
  • Oui, c’est une descente vibratoire vertigineuse, et cette « condensation », comme nous l’avons vue, a commencé à créer dans l’astral des sortes de dépôts avec toutes les pensées négatives de jalousie, haine, peur, agressivité, j’en passe et des meilleures ! qui se sont de plus en plus concentrés pour finir par avoir une vie propre (enfin façon de parler, car pas spécialement claire et limpide !). Ainsi, cette descente va entraîner bien des humains, les éloignant de leur être intérieur, de leur Conscience, de la Source, de la pureté, avec des mirages, des bimbeloteries, des reflets, du cliquant… incitant les plus belliqueux à dominer par tous les moyens, donc à se battre et faire le Mal de plus en plus violemment. Ainsi, ces énergies, créées par certains humains et alimentées par les peurs, souffrances, douleurs, désespoir, lamentations et la suite, grandissent, se répandent, prennent force…

— Oui ! En 1775, un ingénieur présente au jeune roi Louis XVI « un orgue militaire » ancêtre des mitraillettes pouvant lancer 24 balles. Devant cette meurtrière machine, le roi et ses ministres la refusèrent, considérant son inventeur comme un ennemi de l’humanité… La Chine du Moyen Age connaissait la poudre, mais l’utilisait surtout pour des feux d’artifice et en médecine ! Dans l’antiquité, la guerre était l’affaire des militaires qui s’affrontaient sur un champ de bataille. De nos jours, ce ne sont pas des centaines, mais des millions, dizaines de millions de civils, femmes, enfants, vieillards qui sont massacrés par le complexe militaro-industriel, avec la bénédiction des « gouvernements »… Il y a donc une barbarie à distance, bien enveloppée dans du papier cadeau, plus grande que dans les temps plus anciens. Nous avons dramatiquement régressé !

Des « Lumières », pas très lumineuses

— Tu remarqueras que cette accélération s’est produite avec la négation de Dieu. Et cela est arrivé, dans un premier temps avec ce que vous appelez « les Lumières » dont Voltaire, pour ne citer que lui, s’était fait le porte drapeau. Arrivent là-dessus Darwin, Pasteur, Freud… n’en jetez plus, la cour est pleine ; vous êtes faits comme des rats de laboratoire !

« L’individualisme a commencé ses ravages avec le commerce, la propriété privée et surtout l’argent, qui a amené les banquiers à devenir de plus en plus avides, n’hésitant pas à jeter à la rue des centaines, des milliers, voire des millions (avec « le progrès ») de gens à la rue sans aucun état d’âme.

« Ceux qui agissent de cette manière perdent ainsi toute connexion avec leur conscience et ne sont plus reliés, ni au Ciel, c’est-à-dire à la Source, ni à l’entité humaine dans son ensemble, ni à la Nature. Avec cette descente effrénée dans la densité, Gaïa a perdu la place que lui donnaient ses habitants qui la situaient au centre de l’Univers sous le regard d’un dieu (pas très sympathique, et bien humain au demeurant), qui était censé régir plus ou moins les affaires humaines. Néanmoins, l’humanité restait encore en lien avec le Ciel et la Terre, mais ce dernier espoir lui fut bientôt enlevé, et une toute nouvelle religion s’est rapidement imposée : l’athéisme, encore plus sectaire et intolérante que tout ce qui avait précédé. Depuis son avènement, un être humain au mental disproportionné règne désormais sur le monde, et les guerres, massacres, famine, misère, savamment organisés par une élite sans conscience, clamant haut et fort à qui veut l’entendre, les bienfaits de ce nouvel ordre mondial. Bombardé par des médias asservis, qui présentent la démocratie comme une avancée majeure, avec la volonté de l’imposer au monde entier par tous les moyens, l’être humain se perd par faute de discernement. Cette démocratie est censée donner le pouvoir aux peuples, mais à part élire des maîtres qui, au lieu de rendre des comptes, ne font que voter des lois pour leur seul et unique intérêt, ce n’est que la triste façade d’un pouvoir absolu.

— Pour moi, c’est décidé ; je n’irai plus voter pour cette mascarade et élire des guignols, déjà que je n’y allais pas beaucoup  ! Ce fameux discernement qui lui fait tant défaut, l’être humain l’a volontiers abandonné pour devenir une sorte de zombie, un ensemble de cellules agencées par hasard dans un univers quelconque, et vivant une vie dénuée de sens. C’est depuis que ces liens sont coupés que nous avons perdu notre pouvoir créateur ?

— En effet, oui, les rares peuples qui vivent encore de chasse, de pêche et de cueillette, reconnaissent un ordre, une conception dans l’ordre, la beauté de la Nature et de l’Univers qui ne se manifeste pas dans une religion dogmatique. Ceux d’antan étaient beaucoup plus près de la vérité spirituelle qu’un missionnaire conditionné, empêtré dans son carcan religieux, prosélyte sans respect, et tentant de les convertir à une religion totalement incompréhensible pour eux. Il en reste si peu dans les temps présents de ces hommes authentiques ! Fermons ces parenthèses sordides, et revenons encore un instant à nos Êtres premiers dont les humanités se succédaient une fois leur quota effectué. Nous l’avons déjà évoqué, elles n’étaient pas aussi matérielles que vous car leur taux vibratoire était beaucoup plus élevé, et leur nourriture, essentiellement spirituelle, ne comportait que quelques fruits ; c’est leur pureté qui leur permettait de créer. Mais hélas ! Elles ont perdu ce pouvoir avec des pensées impures, leur taux vibratoire s’est alors ralenti avec la descente dans la matière et elles sont tombées dans le cycle des incarnations forcées. Seuls quelques sages pouvaient encore avoir une connexion spirituelle.

— C’est ce que l’on nomme le « péché originel » ?

— En partie, oui, mais c’est surtout l’hypertrophie du mental qui a accéléré les choses. Les hommes ont pensé être les maîtres de la Nature, ont créé des religions avec des dieux bien humains essentiellement masculins. Comme si La Source, et à fortiori Dieu, allaient se mêler de leurs histoires de bonobos ! Pour alimenter leurs corps de matière grossière, il leur a fallu cultiver, chasser, protéger leurs terres, faire la guerre pour de nouveaux territoires, surtout travailler. L’origine du mot travail vient du latin tripalium, qui était un instrument de torture à trois pieux et le verbe « travailler », lui, vient du latin populaire tripaliãre, qui signifie torturer avec le tripalium ! L’être humain n’est pas fait pour être esclave, il est pris dans un engrenage infernal qui va donc bientôt arriver à une conclusion.

— Bilan ?

— Je te laisse deviner…

— À première vue et dans l’immédiat, les choses n’ont pas l’air de se présenter sous les meilleurs auspices. J’ai vraiment une impression de fin de règne qui ne se fera certainement pas dans la douceur et la sérénité, comme toute catharsis. Les maîtres du monde, êtres dénués de tous sentiments humains, ne vont pas lâcher le morceau facilement. Ils ont néanmoins besoin de leurs esclaves. Peu leur importe de semer désolation et misère ! Ils ne perçoivent que leur pauvre petit présent de génération en génération sans percevoir qu’ils ont ainsi perdu leur âme, enfin leur Esprit. Brrr, je ne voudrais pas être à leur place, tant pis pour eux ! Ils sont coincés dans un cycle d’incarnations qui les obligent à revenir dans les mêmes familles pour profiter de tous les avantages qu’ils ont patiemment édifiés aux cours des siècles. Quand ils vont perdre, car ils vont perdre, c’est dans l’ordre des choses, la grande moulinette les attend…

Et pourtant !

« Mais en même temps, je ressens une sensation de mouvement ascendant, d’ouverture pour une encore trop petite portion de la population. Il est urgent, pour chaque humain de cette Terre, de sortir de ces schémas de pensées imposées. Comment retrouver la candeur et la juvénilité des musiciens d’antan qui écrivaient la musique que leur inspirait leur foi ? Musiques bien sûr, très élaborées, bases de toutes musiques actuelles. Mais on peut avoir l’impression que Beethoven a été parmi les premiers musiciens à percevoir et à exprimer, par sa musique, ce qui allait se passer sur Gaïa. Avec lui arrive le pathétique, l’expression de la douleur parce qu’il la ressentait au plus profond de lui-même. Mais il se sentait aussi relié à quelque chose de plus haut qui le poussait à transmettre la pure beauté de sa musique. Combien de fois ai-je pu citer ce qu’il écrivait : S’approcher toujours de la divinité pour répandre son rayonnement sur le genre humain, il n’est rien de plus haut. Pour lui bien sûr, la musique, art suprême par excellence ! Je perçois beaucoup moins cette désespérance avec les musiciens antérieurs, où j’ai une sensation plus instinctive et jubilatoire ! En tout cas, j’ai l’impression que ces êtres-là se sentaient investis de la mission de délivrer le message de la beauté et de l’émotion…

« J’aime aussi particulièrement ce que qu’écrivait Toscanini qui, avant de devenir un prestigieux chef d’orchestre, était violoncelliste et cité dans sa biographie par Harvey Sachs :

Mes premières impressions de Wagner remontent à 1878-1879 : à un concert de la Société de quatuors de Parme, j’entendis l’Ouverture de Tannhäuser qui me dérouta. Je me souviens d’un détail : mon professeur m’apporta à l’École l’une des parties de violoncelle de cette ouverture et m’en fit étudier divers passages, que je trouvais très difficiles. En 1884, Parme fut la troisième ville d’Italie à accueillir Lohengrin, après son succès à Bologne et son échec à Milan. J’étais dans l’orchestre. Et c’est là qu’émerveillé, je découvris pleinement le génie de Wagner. Dès la première répétition, ou plutôt dès les premières mesures du Prélude, je fus envahi de sensations magiques, surnaturelles ; ces harmonies célestes me révélèrent un monde nouveau, un monde dont personne ne soupçonnait l’existence jusqu’à ce que l’esprit transcendant de Wagner le découvrît.

« Comme le suggère Toscanini, chacun de nous ne fait qu’extraire, découvrir à son niveau, comme une statue sous son voile non encore levé, l’information multiple dans laquelle nous baignons. Nous avons vu que les Créatrices premières « étaient capables de faire résonner dans l’air lui-même de sublimes musiques, dont vos compositeurs les plus doués ne font que retrouver des bribes », ces informations dans lesquelles tous les êtres pensants peuvent venir puiser ou simplement recevoir plus ou moins passivement, selon les capacités créatrices de chacun. Nous sommes incapables d’imaginer quelque chose qui n’existe déjà, comme tu le disais Petit H, potentiellement. Et les compositeurs de génie ne font que faire surgir une vérité universelle, la Beauté, l’Émotion à travers les notes et leur merveilleux agencement du grand Potentiel de l’Univers :

Et là ! C’est sûr, surtout au tout début, on était drôlement serrés, mais il y avait déjà absolument Tout, l’Univers avec ses galaxies, le Soleil, la Terre, la Cordillère des Andes, les pommes et les pommiers, les insectes, toutes les symphonies et les quatuors de Beethoven, les opéras de Wagner, la musique de Schubert et son sublime quintet pour deux violoncelles, moi bien sûr et même vous tous les humains ! les pierres, les océans avec les baleines, le murmure des vagues fleuries du cri des mouettes, la poule et son œuf, le chou-rave, le balai- brosse, etc.

Mal, où es-tu ?

« Mais alors dis-moi, le Mal était déjà là aussi ?

— C’est le grand piège du libre arbitre ! Bien sûr que les premières humanités, ne connaissaient ni la haine, ni la vengeance, enfin tous ces jolis trucs que vous semblez aimer maintenant et multiplier à travers littérature, films, chansons et comportements. Elles avaient un libre arbitre total, mais avec une connexion divine et des corps beaucoup plus subtils, il était donc parfaitement impossible qu’elles matérialisent le Mal, et rien de toutes ces horreurs n’auraient pu exister dans ces temps bénis. Mais tu l’as vu : elles étaient créatrices, et bien plus modestement, vous l’êtes aussi encore. Malheureusement, quand les pensées ont commencé à devenir impures, elles se sont empressées de prendre forme dans la matière, comme nous l’avons évoqué, jusqu’à créer un être à forme parfaitement humaine, mais sans aucun sentiment et tellement jaloux de votre supériorité qu’ils prennent un soin tout particulier à ce que vous l’ignoriez. Vous êtes accusés de tous les maux de la Terre, et ils s’acharnent à faire de vous des êtres à leur image. Pourquoi crois-tu qu’il y a autant de guerres, de films de violence extrême, de jeux où toutes les perversions sont légions. Ils agissent maintenant sur les enfants avec un enseignement vide de sens et en les dirigeant vers une sexualité dépravée sous prétexte de libération et d’épanouissement ! Non ! Le péché originel qui n’a rien à voir avec une pomme et une femme gourmande, simplement une soif de connaissances mal dirigée et portée par un mental déjà fermé.

— C’est vrai, certaines personnes sont maintenant plus facilement attirées par le cynisme, l’agressivité, la violence sexuelle, etc. ! Le fait de regarder des films d’horreur, fait entre autres, partie de ces curiosités malsaines qui alimentent une négativité qui fait tout pour avoir une vie propre (oui, on l’a déjà dit, effet de langage !). Alors c’est sûr, si Richard Wagner et tous les compositeurs de génie, ne faisaient « qu’extraire » une musique déjà existante, il peut en effet devenir possible pour certains êtres, d’extraire les pensées malfaisantes qui traînent maintenant un peu partout.

— Il va donc falloir à présent que tes contemporains, s’ils ne veulent pas être engloutis dans la grande moulinette, redécouvrent la connexion perdue avec les animaux, la Nature, Gaïa, l’Univers, l’Amour Universel… Quand une humanité paraît prendre un chemin en impasse, s’incarne sur la planète un être spirituellement achevé qui vient leur apporter un enseignement, avec le risque conscient de se faire massacrer : oui, on ne dit pas impunément la Vérité ! Et en plus, quand une religion s’empare de l’enseignement en le déformant, catastrophe annoncée ! Oui, dis donc, Jésus s’est fait massacrer d’une ignoble façon et…

— Et hop, tous les péchés, évanouis. On a fait croire aux gens depuis 2000 ans qu’il fallait souffrir, et qu’assassiner un sage venu apporter la bonne parole pardonnait tout. Perso, je ne comprends pas ! Je pense que l’humanité s’en est remis une sacrée couche. D’ailleurs depuis, cela n’a pas été le paradis sur Gaïa, massacres et guerres sévissent de plus belle (enfin, encore façon de parler !). Il suffirait que tous les êtres humains, les vrais, ceux qui n’ont pas besoin de lois ou de religions pour être intègres, avec un vrai discernement et un sens des responsabilités étendues allant au-delà de leurs petits problèmes personnels, unissent leurs plus belles pensées, pour que les entités sans conscience qui dominent le monde soient purement et simplement éliminées.

Mais qu’ils sont donc vilains !

« Ils se croient maîtres d’un monde mourant, et reviennent s’incarner dans les mêmes lignées pour pouvoir profiter de leurs forfaits :

« Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’un pays et je n’aurai pas à me soucier de ceux qui font les lois ». M. A Rothschild (le fondateur de lignée). Ainsi donc, au fil des siècles, ils ont eu tout le temps de bien pérenniser leur pouvoir en se croyant les maîtres du monde, mais de quel monde ?

— « Leurs techniques sont d’une lamentable pauvreté, mais fonctionnent pourtant très bien :

1- on provoque un traumatisme créé artificiellement : une guerre, une crise économique, un attentat, une p andémie…

2- cela provoque une réaction : la peur ; le peuple demande qu’on le protège.

3- on propose alors des solutions pour atténuer la peur : une loi, une guerre « préventive », une taxe supplémentaire, la privation de liberté, un « vaccin » que j’appelle « la bouillasse », et l’espoir que tout va aller mieux… et cela marche, les gens y croient !

— Mais ce qu’ils ne savent pas, c’est qu’ils sont perdants d’avance, car ils sont en déphasage complet avec la Source. Nous avons vu que la force la plus puissante de cet Univers est l’Amour. Et vous n’en percevez que 5 à 10 % de cet Univers ! Imagine le jour où vous percevrez ne serait-ce que 50 % ! Je ne parle même pas de 100 %, cela n’est réservé qu’à ceux qui effectuent leur Ascension… Mais quand la Grande Vague arrivera, tous ceux qui n’ont vécu que dans les plus basses énergies seront d’office éliminés.

« Quand tes collègues vont finir par se réveiller de leur esclavage, ils s’apercevront que leur ignorance volontaire les a fait complices de tous les forfaits accomplis par ces forces obscures qui se manifestent partout, sans se cacher, surtout dans les divertissements. Est-il encore raisonnable de parler d’ « art » dans ce que l’on voit actuellement ? L’art en général se dégrade, le côté insaisissable, assorti des sensations de plénitude, de globalité, de bien-être, que les artistes ont toujours pris à cœur de transmettre, surtout en musique, sont remplacées par des procédés technologiques contondants (suite logique des « Lumières » et de l’influence mécaniste newtonienne), à l’opposé total de l’harmonie dans la Joie, n’apportant à ceux qui s’y adonnent, que sadisme, égoïsme, cynisme, violence, désarroi, suicide, malheur comme tristes effets. Ils ne reconnaissent plus le pouvoir qu’exerce la musique sur l’évolution, bien loin de ce que Beethoven exprimait, et ne cherchent plus du tout à s’approcher toujours plus de la divinité, mais plutôt à descendre le plus bas possible ! Ces divertissements ne font que flatter les aspects les plus sordides de l’être humain actuel avec tous ces jeunes qui vont à l’abattoir des âmes écouter des musiques démoniaques. Le sens du sacré et du divin, considéré comme désuet, archaïque, arriéré, est refoulé bien loin dans les méandres encombrés du fallacieux clinquant et de votre mental. Il n’y a plus d’évolution vers le meilleur, la bonté, la vérité, la justice, la beauté, etc.

« A la question « quelles sont vos réalisations pour faire évoluer les différents règnes et perfections de cette planète » ? Qui pourra répondre ? Vous avez été entraîné vers des comportements iniques, et le principe guerrier s’en est donné à cœur joie. Une de ses bonnes idées a été d’instaurer le droit divin, transmissible uniquement par les hommes (ben voyons !), c’est la « loi salique »…

— En remplaçant le « l » par un « d » on peut facilement confondre !

— En effet ! Loi salique qui a été transformée des siècles après Clovis pour évincer les femmes du pouvoir. Puis est arrivée la diabolisation des femmes, savamment renforcée par les religions.

« Mais maintenant, ce principe guerrier arrive à sa fin, et la matrice qui enserre Gaïa commence à perdre son opacité pour ceux qui veulent voir. Cela ne va sans doute pas se faire dans la douceur et la tranquillité, principe guerrier oblige.

Super Photon

« Et puis je dois te dire : je vais te quitter pour un certain temps !

— Tu ne viendras plus me parler à l’oreille la nuit ? Tu ne répondras plus à mes questions ? Nous n’aurons plus de discussions à bâtons rompus ? Comme je vais m’ennuyer de toi, mon Petit H !

— Mais ne t’inquiète pas, avec l’intrication, nous sommes liés pour l’éternité, tous les atomes de ton corps sont liés avec moi, et quand tu le quitteras, ton Âme se souviendra encore de moi ! Je suis appelé pour une grande mission, je ne sais pas encore de quoi il s’agit, mais tu vivras tout avec moi. Tu es consolée ?

— Alors, va…

***

Alors Petit H s’en est allé là-haut, tout là-haut.

« Durant un certain temps, j’ai vraiment cru qu’il m’avait abandonnée, mais voilà qu’un beau matin :

— Coucou, c’est moi, tu es là ?

 C’était vrai, je pouvais encore communiquer avec lui, comme s’il était toujours là, dans mon corps voyageant dans cette multitude.

— Petit H, comme je suis heureuse ! Alors, où es-tu ?

— Dans l’espace c’est drôlement vide ! La biologie, c’est bien plus conviviale et il s’y passe toujours des milliards de chose!

— Et la grande mission ?

— Oui, pour être grande, elle est grande, enfin en y réfléchissant bien, peut-être plus grande que le tout début, encore que…

— Alors ?

— J’étais tout là-haut, quand il s’est passé un drôle de truc, je n’ai pas vraiment saisi sur le coup. Nous avons vu que le Big bang nétait qu’une émanation de l’Endroit, enfin du Super Univers, demeure de Dieu indicible et inimaginable, et que le « passage » ne marche que dans un sens ; de l’Endroit vers l’envers (notre Univers). Rien ne peut atteindre Dieu dans Son Sanctuaire, seule Son Énergie alimente la Source. Il faut dire que cette Conscience Suprême a Toute la Connaissance en instantané, et donc celle des expériences de tous les êtres habitant les multitudes « envers », donc les Univers manifestés.

« Et bien, alors que j’étais là-haut avec juste quelques copains H, j’ai aperçu, non ! Je n’y croyais pas, imagine de la part d’un atome, un truc minuscule, pour le coup, c’était mini minus minuscule ! Il me semblait bien reconnaître le lieu, mais c’était tellement improbable de le retrouver ce lieu, que je n’y songeais même pas. Oui ! Je me suis retrouvé là où tout avait commencé ! Oui, oui, c’est sûr, c’était là ! Et ce que je n’aurais jamais dû voir, je l’ai vu ! Là, juste à l’emplacement où j’attendais il y 13 milliards d’années, moi le potentiel proton de ce futur Univers, j’ai vu, j’ai vu… SUPER PHOTON !

— Avec sa cape rouge, son petit caleçon, ses bottes, et son pyjama bleu ?

— Arrête de dire n’importe quoi, c’est sérieux. Ah toi, il faut toujours que tu trouves le moyen de rire.

— Tu peux toujours parler, c’est toi qui as donné le ton avec le balai-brosse et le chou-rave ! Donc, tu disais, un Super Photon !

— Non ! Pas un super photon, mais Lui, SUPER PHOTON, un peu comme moi, le Premier émané directement du Super Univers, et pas en potentiel s’il te plaît, puisqu’Il existe de toute éternité !

  • Super Photon ? Pas en potentiel ? Alors cela veut dire un autre Big Bang ?

— Oui, mais pas de la même nature que le premier. Le premier a donné naissance à la matière. Mais la grande Source de notre Univers a décidé que de nouveaux temps étaient arrivés. Super Photon n’est pas matériel, il n’est pas de même nature que les vulgaires photons soumis, par on ne sait quel radar, à une ridicule vitesse soi-disant indépassable, et qui fait que la lumière met un temps fou pour parcourir la distance, ne serait-ce que d’une galaxie à une autre. Distance que vous appelez annéelumière, et qui est exprimée en secondes et en mètres : 299 792 458 m / s. Alors en kilomètres seconde, vous divisez par 1000, et en kilomètres heure, vous multipliez le nombre trouvé par 3600, ce qui nous fait 1 079 252 848 800 kilomètres heure ! Imaginez donc la distance parcourue par la lumière en un an, si cela vous amuse, il faut multiplier ce chiffre par 24, pour avoir la distance parcourue en un jour, puis le résultat par 365 pour un an. Même la calculette ne va pouvoir l’afficher ! Et pourtant, c’est une vitesse d’escargot dans la vastitude de l’Univers. Notre plus proche voisine, la galaxie d’Andromède est à 2,55 millions d’années – lumière. C’est donc le temps que sa lumière met à nous parvenir, elle nous envoie en fait son image d’il y a 2,55 millions d’années. Elle a dû changer depuis ! Mais moi, Petit H, je peux communiquer avec les atomes d’hydrogène qui la composent, je les ai bien connus quand nous étions tous en un point ! Et puis, annéelumière, c’est beau, cela me fait toujours fantasmer, oui ! Il m’arrive parfois de rêver que je suis un photon, mais là ! J’ai rencontré Super Photon !  Et tu sais quoi ?

  • Non, bien sûr, vite, dis-moi !

Super Petit H !

 — Super Photon m’a reconnu ! Il m’a dit : « Ah, te voilà, Petit H, je t’attendais ! »  Tu te rends compte, il m’a reconnu ! J’en étais tout esbaudi !

— Tu as dû être content quand même ! Et que t’a-t-il dit encore ?

— Il m’a annoncé que j’allais moi aussi… devenir un Super Atome ! Super Petit H, cela vous pose un atome, non ?

  • Et quoi d’autre ? Il ne t’attendait pas juste pour te dire que tu allais devenir « Super Petit H ». Je comprends que tu sois ému, mon Petit H adoré, mais que t’a-t-il dit d’autre ?
  • Que les temps étaient venus ! Et là, je n’ai pas été déçu du voyage ; car, oui ! Cet Univers va ascensionner, enfin ! juste la partie qui sera prête le Grand Jour. Ce que vous appelez matière et énergie noire (parce que vous n’y voyez goutte), et qui donc représente 90 % de cet Univers, lui donnant sa cohérence actuelle, vont s’inverser comme une gigantesque vague pour ceux qui voudront voir, quand Super Photon avec tous ses copains vont déferler, et tous nous transcender !

— Ouah, nous serons alors dans unBatunivers !

— Oui, tu peux le voir comme cela. Enfin, pour dire simple, cette partie de l’Univers va ascensionner ! Sauf que les 10 % imprégnés de mauvaises énergies vont se recroqueviller, puisque l’Amour ne peut y circuler, tu sais comme la fleur dont je te parlais plus haut : Si tu prends la plus belle fleur du monde, c’est une pure merveille, elle ravit tous tes sens : elle te transmet sa beauté, son odeur t’enivre, sa caresse est douce et parfumée, tu peux voir en elle la perfection absolue. Mais si tu l’écrases, que tu en fais une petite bouillie, ce sont toujours les mêmes composants de la fleur qui sont devant toi, mais quelle tristesse ! À pleurer ! Vois, la haine, la vengeance, l’envie, la jalousie, la peur, la colère, etc., ne sont que l’Amour tout recroquevillé, ratatiné, emmêlé, piétiné, nié, oublié… Comme nous l’avons vu, c’est comme et pour cela que notre Univers est né, et moi, simple, mais premier atome, j’ai vécu ce grand déploiement.

« Et sans l’Énergie Divine, que vous ne savez pas reconnaître comme telle et appelez matière et énergie noires, ces 10% d’univers de matière ne pourront plus maintenir une si vaste cohérence. Tout le monde ressentira que le temps devient de plus en plus rapide, les scientifiques commenceront par percevoir que l’expansion n’est plus la même, et libre arbitre oblige, chacun (par exemple, les moutruches avec des muselières sous leurs yeux de poissons depuis trop longtemps hors de l’eau, piqués et repiqués avec la bouillasse) aura le choix de rester (grâce à la peur), dans un monde dont les problèmes actuels seront démultipliés, ou d’ascensionner sur une Terre libérée de ces horreurs. Les zones, où plus rien de subtil et de spirituel ne pourra circuler, resteront plus que jamais le domaine du karma, de la loi de réciprocité, enfin de toutes ces basses énergies qui régissent actuellement cette pauvre Gaïa. Et elle n’est pas la seule dans l’Univers, car beaucoup d’autres planètes sont dans la même situation et attendent ce grand moment.

« Quand la Lumière Divine des Super Photons va se manifester, ce sera instantané, car Elle, ne sera pas soumise au radar des photons matériels. Toute la matière et l’énergie dites noires, vont simplement devenir visibles, et encore une fois, le libre arbitre revenu de chaque habitant de l’Univers va se manifester : rester dans le résidu d’univers bien accroché à la matière dense avec tout ce que cela comporte, ou ascensionner. Un peu comme un crabe qui abandonne sa vieille carapace avec ses parasites pour une nouvelle… A cette image, pour ceux qui préféreront rester dans leur monde avec toutes leurs émotions négatives, véritable usine à Loosh, rien ne changera. Si ! En pire, puisqu’il n’y aura plus rien pour tempérer la violence…

— Merci mon Petit H pour toutes ces explications. Je suis soudain… très fatiguée… Dormir… Oui, dormir… Je sens… déjà… le rêve… arriver !

— Oui, je sais… Dors petite humaine, tu n’auras plus jamais besoin d’un gilet jaune ou d’aller dans la rue manifester ton mécontentement, je veille sur toi, et plus aucun humain ne sera une unité de production de Loosh… Adieu…

WWG1WGA(([16] Where We Go 1 We Go All, célèbre slogan des QAnon américains : où nous allons 1 nous allons tous. L’équivalent en français est « un pour tous, tous pour un ».))

Et son sommeil fut songe… Un songe surnaturel, universel, transcendantal, dont toutes les particules de son corps s’imprégnaient… Un songe commun avec tous les humains aux cœurs ouverts, purs, où l’Amour est prince et serviteur. Un songe où plus rien n’est séparé, Un est Tout, et Tout est Un… Un songe où les Âmes se retrouvent comme après une longue séparation. Un songe où la Terre Mère berce ses enfants chéris : « Dans quel cauchemar étiez-vous, dans quel cauchemar étions-nous ? Pourquoi a-t-il fallu descendre si bas ? ». Un songe où partout règnent la Joie, le Pardon, l’Empathie, mais aussi une effervescence très concrète. Que se passe-t-il donc ? Comme doucement caressé par un impalpable vent, un murmure embrase soudain tous ces esprits maintenant connectés et enflammés : « La Grande Vague Divine va se manifester, Elle va nous traverser, nous transformer, nous transcender ! ». Celles· ceux, encore sous l’emprise de sentiments un tant soit peu négatifs vont devoir les laisser se consumer dans le feu de l’Amour Universel s’ils veulent participer au grand renouveau, et le cœur réveillé, tenir une place active dans la grande fête de la transmutation.

C’est Gaïa qui va ascensionner en même temps que tout l’Univers. Elle va emmener le meilleur, pour faire revivre une Nature à la biodiversité foisonnante, débarrassée des parasites de toutes sortes. Oui ! à l’image de ces insectes et crustacés qui abandonnent leurs vieilles carapaces devenues trop petites avec les parasites qui vivent à sa surface, elle va passer à un niveau vibratoire beaucoup plus subtil, et laisser sans regrets une carcasse de planète à ceux qui ne veulent ou ne peuvent se défaire de leurs attaches matérielles, corporelles, leurs « biens » et vieilles rancunes, rancœurs, haine, vengeance… Il ne restera plus qu’un ersatz d’Elle-même, entouré d’un égrégore qui va l’enserrer toujours plus intensément de sa poigne de feu, de fer, de sang, habité par des êtres hagards, et qu’aucun cœur pur ne viendra plus tempérer et adoucir… Alors, tassé, comprimé, compacté à l’extrême, un vortex involutif, devenu trou noir, recyclera cette matière grossière.

« Qui m’aime me suive » dira la Terre, libre arbitre, libre arbitre oblige…

Présent éternel

Le songe, le songe paraît maintenant tellement réel, palpable à tous les rêveurs ! Serait-il devenu réalité ? Le don des premières créatures humaines au pouvoir créateur serait-il revenu ?

Maintenant, pour ces êtres nouveaux, le rêve est prémonitoire de cette nouvelle réalité qui s’annonce…

Devant leurs yeux décillés, le ciel déverse soudain des torrents de lumières miroitantes chargées de fleurs éclatantes aux mille féeriques couleurs bercées d’une merveilleuse musique et de divines fragrances, de merveilleuses émotions, d’étoiles scintillantes… De Gaïa elle-même jaillissent sources, rivières, fleuves dont l’onde transparente irradie des multiples reflets des pierres les plus précieuses. La Nature entière accueille ces divins courants, ondes bienfaisantes transmutant toutes choses. Encore incrédules, les rêveurs ? Voilà qu’ils font maintenant l’expérience de la communication instantanée et intégrale avec tout ce qui vit.

C’est un monde où il n’y a plus d’esclaves, plus de peurs : peur du jugement, peur de ne pas avoir de toit, de nourriture, car l’abondance est pour tout le monde. Un monde où nul n’a besoin d’espoir, car il est toujours dans le futur, et le futur n’existe pas encore, l’espoir peut être est un piège…

C’est un monde stable, un monde pur, un monde où chaque être peut s’exprimer, où chaque être a la même valeur. Il n’y a pas de discrimination au niveau de l’intelligence, au niveau de la culture ; tous les êtres sont égaux.

Plus qu’un ici et maintenant, simple et merveilleux, les origines retrouvées après cette interminable descente ; revenus l’Émerveillement, La Pure Joie, la Conscience supra sensorielle…

« Rêve, rêve encore un peu, mon support d’écriture, je suis en train de devenir Super Petit H ! »

Voilà, c’est le retour !

Présent éternel… Amour…

Joie, je suis Tout, buisson de Vie, foison de Vie, Nous et le Tout(([17] J’ai à ma grande surprise, écrit un jour cette phrase en CPA, Communication Profonde Accompagnée, ou psychophanie qui est une merveilleuse occasion de rencontre avec soi, cette personne si familière et pourtant si méconnue. C’est une rencontre avec son être intime pleine de potentiels et d’espérance.))

©Élisabeth Giordano





Le seul choix qui nous reste : l’esclavage ou la liberté

[Source : Dr Mercola]

Analyse par le Dr Joseph Mercola — 31 octobre 2021

Les toilettes intelligentes utiliseront les empreintes digitales anales.

La « plandémie » et le Grand Réveil

Bref aperçu :

  • Catherine Austin [Catherine Austin Fitts] a passé des décennies à dénoncer la corruption et la fraude dans le système bancaire et gouvernemental, et la corruption et la fraude sont les éléments moteurs de la pandémie COVID.
  • Nous assistons à un transfert de milliards de dollars de passifs envers les familles pour des soins de santé, d’invalidité, de compensations salariales, de chômage et de décès parce que les injections COVID sont obligatoires tandis que les laboratoires, les médecins et les entreprises ont été affranchis de toute responsabilité.
  • À ce jour, il n’y a aucune obligation vaccinale légalement valide. Les injections sont toujours sous autorisation d’utilisation en urgence, et il n’y a pas de document officiel du gouvernement, que ce soit sous forme législative, de loi ou de règlement, qui accorde une base légale à l’obligation. L’Administration Américaine de la Sécurité au Travail et de la Santé n’a pas non plus publié de règle concernant l’obligation vaccinale par des entreprises privées.
  • Les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et retrace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.
  • Pour empêcher la mise en œuvre finale de ce système de contrôle planifié, nous devons être prêts et disposés à faire des sacrifices à court terme. Nous devons être prêts à dire « Non, je ne me soumettrai pas, quelles qu’en soient les conséquences », ou nous perdrons même nos libertés les plus fondamentales.

[Voir aussi :
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
L’heure de la justice]

Habituellement, mes conversations avec des experts sur la pandémie COVID tournent autour de l’infection et de son traitement. L’interview d’aujourd’hui avec le gourou de la finance Catherine Austin Fitts s’attaquera le sujet de la COVID sous un angle différent.

Austin Fitts a passé des décennies à dénoncer la corruption et la fraude dans le système bancaire et gouvernemental, et la corruption et la fraude sont les éléments moteurs de la pandémie COVID.

« J’ai eu une carrière très réussie à Wall Street, puis je suis allée brièvement à Washington et j’ai été atterrée par la corruption hypothécaire et je suis partie », dit-elle. « J’ai créé mon propre cabinet, qui a très bien marché, et j’ai été prise dans un litige avec le gouvernement fédéral.

Cela était dû en partie à la découverte que les principaux médias étaient une entreprise criminelle. J’ai décidé pendant cette période que j’arrêterai d’essayer de discuter de quoi que ce soit avec des gens par le biais des médias. En fait, je répondrai que directement aux questions des gens. Ce processus de ne répondre que constamment aux questions des gens… s’est transformé en deux entreprises, dont l’une était une entreprise de conseils en investissements, lancée en 2007.

J’ai découvert que bon nombre des problèmes financiers et de nombreuses difficultés financières auxquels mes clients étaient confrontés étaient vraiment générés par la santé, et que nombreux d’entre eux provenaient de blessures vaccinales et d’effets indésirables des vaccins. Je ne suis plus conseillère en investissements… je de donne pas de conseil individuel en investissement.

Mais ce que j’ai découvert c’était qu’il était absolument impératif, si vous vouliez aider les clients à réussir à construire leur bien-être financier familial, d’intégrer les investissements dans la santé et le bien-être aux investissements dans les questions financières. J’avais des gens qui me disaient qu’ils mettaient des millions de dollars dans leur compte d’actions, mais qui n’avaient pas les moyens de se payer de la nourriture bio ou biodynamique.

J’ai l’air de, es-tu folle ? Donc il y avait une intégration qui devait se produire. À cause des extraordinaires dépenses liées aux blessures vaccinales et aux événements indésirables, cela m’a amenée à beaucoup m’intéresser aux vaccins. J’ai passé de nombreuses années à lire et à étudier ce qui se passait et pour quelles raisons les mensonges étaient si gros ».

Selon Austin Fitts, votre santé et vos finances personnelles ne peuvent tout simplement pas être séparées. Les deux sont vraiment comme les deux faces d’une même pièce et les personnes qui n’apprennent pas à naviguer à travers les mensonges des industries médicales et financières peuvent se retrouver en très mauvaise situation, tant du point de vue de la santé que du point de vue financier.

La fraude de l’injection

Un des crimes les plus odieux de cette pandémie est l’obligation de ces injections COVID expérimentales tout en donnant simultanément aux sociétés pharmaceutiques une immunité complète. Elles ne sont responsables de rien, peu importe combien de personnes sont blessées ou meurent. Une personne peut être forcée à prendre cette injection et souffrir d’une invalidité permanente nécessitant des millions de dollars de soins, et le patient doit en assumer les coûts, quand bien même il a été contraint.

« Au début de la pandémie COVID-19 j’ai publié un article intitulé « La Fraude de l’Injection »(([1] The Injection Fraud – It’s Not a Vaccine – Solari Report))» dit Austin Fitts, « et j’ai passé en revue tous les différents problèmes de responsabilité.

L’objectif des formulaires COVID-19 que nous avons publiés sur notre site Internet est d’essayer de ramener la responsabilité là où elle devrait être, parce que vous observez un transfert de milliards de dollars qui incombent aux familles pour des soins de santé, d’invalidité, de compensations salariales, de chômage, de décès, etc.,etc.. Le transfert des engagements financiers sur les particuliers est extraordinaire.

Ce que nous essayons de faire avec les formulaires COVID-19 c’est de donner aux personnes des formulaires qu’ils pourraient utiliser dans les négociations avec leurs employeurs et leurs écoles pour essayer de les tenir pour responsables du consentement éclairé… Ensuite il passe en revue les questions de soins de santé, les questions de handicap, les questions de compensations salariales, les questions d’assurance-vie…

Ce processus a commencé par quelque chose appelé le formulaire de déclaration de situation financière familiale. Nous avions de nombreux abonnés dont les épouses voulaient recevoir l’injection.

Il était très important pour moi de donner aux gens un formulaire qu’ils pourraient parcourir avec leur conjoint et m’assurer qu’un événement indésirable impactant le conjoint ne se traduirait pas en faillite pour la famille parce qu’il y a des mesures que les gens peuvent prendre pour protéger la famille de la catastrophe financière s’ils sont assez stupides pour aller prendre une de ces injections.

Donc cela a commencé avec le formulaire de déclaration de situation financière familiale, puis il s’est traduit en formulaire pour employé et pour l’université, et des abonnés m’ont dit qu’ils étaient en mesure de dissuader leurs employeurs d’exiger l’injection après qu’ils aient examiné ensemble le formulaire.

C’est incroyable parce que les employeurs et les universités ne font que mentir aux gens que ce soit au sujet des événements indésirables et des risques potentiels, ou de ce qu’est la loi.

Je mets au défi tout employeur qui essaie de dire qu’ils imposent ceci alors qu’ils sont encore sous autorisation d’utilisation d’urgence, de produire un document du gouvernement, qu’il s’agisse d’une disposition légale ou réglementaire, qui dit qu’ils ont une base juridique pour le faire. Pour autant que je sache, l’OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Sécurité au Travail et Administration de la Santé) n’a rien publié à ce jour. »

Y a-t-il un chantage conspirationniste en cours ?

Alors que je pense que de nombreux employeurs et d’administrateurs d’écoles sont tout simplement ignorants et ont été victimes de la campagne de propagande la plus réussie de l’Histoire moderne, Austin Fitts soupçonne qu’ils savent exactement ce qu’ils font.

« Je ne pense pas qu’il s’agisse de propagande », dit-elle. ‘Je pense qu’ils subissent une pression terrible à la fois du gouvernement et des banques… Je pense qu’il y a dans les coulisses un chantage conspirationniste RICO (Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act — Loi fédérale conçue pour combattre le crime organisé aux États-Unis — NdT) en cours.

Je pense qu’ils le comprennent. Et je pense qu’ils sont sérieusement menacés par le système bancaire. Si vous regardez la pression la plus forte que nous voyons, elle vient des banques centrales et du côté de la finance.

Depuis un an j’ai passé beaucoup de temps avec les Médecins pour l’éthique COVID à apprendre ce que ces médecins et scientifiques savent, ce qu’il y a dans cette injection COVID et ce qu’elle fait. Il y a toute une partie des ingrédients dont nous ne savons toujours pas ce qu’ils sont.

Et, j’ose le dire, je crois que c’est relié à la raison pour laquelle les directeurs des banques centrales insistent tant. Je pense que ces gars dépendent vraiment du réseau intelligent et d’une technologie effrayante pour les aider à passer aux dernières étapes du contrôle financier, qui est, je pense, ce pour quoi ils font pression. »

Il ne reste plus qu’un seul choix : l’esclavage ou la liberté

Pour empêcher la mise en œuvre de ce système de contrôle planifié, nous devons être prêts à faire des sacrifices à court terme. Tout le monde doit être prêt à dire « Non, je ne me soumettrai pas, quelle qu’en soit la conséquence, que vous m’enleviez ma pension de retraite, que vous me licenciez, que vous me discréditiez et que je ne puisse plus jamais travailler dans ma profession ». C’est cela qu’il faudra pour garder même nos libertés les plus fondamentales.

S’ils arrivent à imposer les passeports (les pass sanitaires — NdT), je dirais que, d’un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les monnaies numériques des banques centrales (MNBC – NdT). Donc, quoi que nous fassions, il nous faut arrêter les pass. Les pass leur donnent le genre de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui ensuite mène aux MNBC. — Catherine Austin Fitts

Comme l’a relevé Austin Fitts :

« Il s’agit d’esclavage ou de liberté. Si vous regardez ce qu’ils préparent, ce qu’ils visent, c’est une grille complète de contrôle financier et technologique. Ceci est de l’esclavage. Je veux dire, lorsque le Forum Économique Mondial dit, nous sommes en 2030 et vous n’avez pas de biens, qu’est-ce qui n’est pas clair là-dedans ? Vous n’avez pas de biens signifie que vous êtes un esclave ».

D’après les statistiques fédérales aux États-Unis, la richesse de la moitié inférieure de la population a augmenté durant la pandémie à cause de l’inflation immobilière. « Je peux vous assurer que ceci est une ruse », dit Austin Fitts. En ce qui concerne les liquidités, environ 70 à 80 % des Américains n’ont pratiquement pas de réserve d’argent liquide.

« C’est parce que ce que nous avons vu est un effort énorme pour… mettre en faillite la population et les gouvernements afin qu’il soit plus facile pour les directeurs des banques centrales de prendre le contrôle. C’est ce que j’ai écrit depuis 1998 que ceci est un coup d’État financier.

En ce moment le coup d’État financier est en train d’être consolidé, où les directeurs des banques centrales ne servent que de juridiction sur le Trésor et les recettes fiscales. Et s’ils peuvent obtenir les passeports avec la MNBC (rappel : Monnaie Numérique des Banques Centrales — NdT) alors il sera possible que les impôts soient retirés de nos comptes et que l’on prenne nos actifs.

Donc, nous sommes en présence d’un véritable coup d’État, et c’est pourquoi, si vous jetez un coup d’œil sur l’ensemble de la population, nous sommes les gars qui construisent la prison. Nous avons le pouvoir d’arrêter cela. »

Les raisons pour lesquelles nous devons rejeter les passeports vaccinaux

Je soupçonne que les MNBC sont au cœur de ce complot, et je crois fermement que les cryptomonnaies décentralisées telles que les Bitcoins sont une alternative puissante et importante pour contrer le contrôle des banques centrales sur le système financier. Austin Fitts n’est pas d’accord, soulignant que toutes les cryptomonnaies fonctionnent sur des systèmes contrôlés par le système de gouvernance existant.

« Je crois que toute technologie blockchain (une blockchain permet de stocker et d’échanger de la valeur sur Internet sans intermédiaire centralisé — NdT) dans le système de gouvernance actuel est un danger’, dit-elle. « Ayant plaidé pour le Ministère de la Justice durant 11 ans sur les questions financières et les questions d’argent, je pense qu’ils ont la capacité d’exercer un contrôle remarquable sur n’importe lequel d’entre eux… je veux dire, ils contrôlent le matériel informatique, les satellites, les câbles… et beaucoup de gens croient que les cryptomonnaies actuelles sont bien plus privées que je pense qu’elles ne le sont ».

Bien que le gouvernement ne contrôle pas les clés privées et les éléments décentralisés, ils ont toujours encore bon nombre de moyens d’accéder aux données privées de personnes ciblées. « J’ai vu plein de gens être assignés à comparaître et voir le FBI débarquer à leur porte, et c’est incroyable ce qu’ils choisissent de transmettre et de coopérer », dit Austin Fitts. En bref, la capacité du gouvernement de mettre à exécution une menace lorsqu’ils veulent quelque chose de vous est profonde, ce qui rend presque impossible toute résistance.

« Maintenant, je crois toujours que nous avons le pouvoir de renverser cela complètement, dit-elle. « Je veux néanmoins mentionner une chose, parce que la chose importante, notre point à risque, ce ne sont pas les MNBC. Il leur faudra un certain temps pour imaginer les MNBC. Notre point à risque se sont les passeports vaccinaux.

S’ils obtiennent les passeports, alors je dirais que, d’un point de vue pratique, nous perdons notre capacité à arrêter les MNBC. Donc, quoi que nous fassions, nous devons arrêter les passeports. Les passeports leur donnent le type de contrôle dont ils ont besoin sur les transactions numériques et financières ce qui conduit alors aux MNBC ».

Le passeport vaccinal est un ticket d’entrée pour l’esclavage financier

Comme l’explique Austin Fitts, les passeports vaccinaux créent une plate-forme pour un système de transactions numériques qui documente et trace toutes les transactions. Une fois combinés avec une monnaie numérique contrôlée par une banque centrale, ils auront la possibilité de bloquer les transactions.

Si le gouvernement ne veut pas que vous achetiez quoi que ce soit à plus de 8 km de votre domicile, ils ont la capacité de vous empêcher de le faire. S’ils ne veulent pas que vous achetiez des pizzas, ils ont la capacité de vous empêcher d’acheter des pizzas.

« Donc c’est l’Étape 1 pour la construction de cette grille de contrôle. Si vous allez sur solari.com et cliquez sur Cash Friday — qui est une campagne que nous menons pour inciter tout le monde à faire ses dépenses à l’aide d’argent liquide les vendredis — vous allez voir une vidéo de 56 secondes du directeur général de la Banque des Règlements Internationaux expliquant comment avec la MNBC ils auront la capacité de mettre en application toutes les règles qu’ils veulent créer sur les MNBC et votre argent.

C’est très effrayant et cela communique le contrôle qu’ils pensent qu’ils vont avoir lorsque ceci sera terminé. Mais pour obtenir ce contrôle, vous avez d’abord besoin que l’ensemble du système de passeport voie le jour. C’est en gros la grille d’information sur laquelle les MNBC peuvent ensuite se brancher…

Si vous avez un système de passeport qui est en place qui peut littéralement arrêter vos transactions financières à moins que vous n’ayez un autre rappel, imaginez, avec les MNBC, il peut arrêter toutes vos transactions. Il peut changer le montant de l’argent. Il peut retirer de l’argent de votre compte bancaire. En d’autres mots, ce n’est plus une monnaie. C’est un crédit que la société stocke et la société contrôle tout…

Les passeports sont déjà là. Nous devons arrêter cela maintenant. J’ai vu des applications de passeport qui montrent que les gens reçoivent huit rappels ou plus. Qui va s’inquiéter au sujet des MNBC si vous avez eu deux de ces injections et huit rappels ? Je veux dire, la question est : serez-vous encore en vie à ce moment-là ? Je ne sais pas ».

Que pouvez-vous faire maintenant ?

Donc, comment le citoyen moyen peut-il résister à ce plan diabolique ? Une des stratégies serait de déménager dans un État ou un pays qui a rendu illégal les obligations de détenir un passeport vaccinal. Une autre stratégie est de simplement refuser le passeport, quelles qu’en soient les conséquences.

Cela vaut également pour ceux qui ont eu une ou deux injections COVID. Pour que le passeport reste valide, vous devrez prendre des rappels. Combien êtes-vous prêt à en prendre ? Combien de fois êtes-vous prêt à risquer votre santé et votre vie ? À un moment donné il vous faudra prendre la même décision que tous ceux qui ne sont pas vaccinés — la liberté ou l’esclavage.

Ce que cela signifie c’est qu’il nous faudra également créer des systèmes alternatifs et parallèles pour tout ce dont on nous privera d’accès si nous n’avons pas de passeport vaccinal valide. Cela inclut l’éducation, la production alimentaire, toutes sortes de services, les soins de santé et l’économie.

Ces systèmes parallèles seront de toute façon cruciaux, puisqu’il semble que les programmes sociaux — Sécurité Sociale, Medicare et Medicaid — n’auront plus d’argent en 2028. Et, à mesure que ces programmes disparaissent, ils feront couler l’industrie pharmaceutique avec eux, puisqu’ils sont la première source de revenus des sociétés pharmaceutiques.

« J’ai découvert qu’il y avait toute une communauté de gens qui vivaient en VL (véhicule de loisir, véhicule aménagé avec à l’intérieur un espace de vie — NdT) tout simplement parce qu’ils ne faisaient confiance à aucune juridiction. Ils voulaient avoir la possibilité de se lever et de partir, et ce groupe est en progression constante.

Donc, mon sentiment c’est que nous devons dire non, et nous devons faire tout ce que nous pouvons faire. J’ai pris cette décision lors du litige auquel le gouvernement était partie prenante parce que j’étais absolument convaincue que si je continuais à dire non, il y avait de fortes chances que je puisse être tuée. J’ai été empoisonnée en maintes occasions, donc j’ai eu affaire à un harcèlement assez grave.

Tout ce que je peux vous dire c’est qu’avoir dit non s’est avéré être la chose la plus intelligente que je n’aie jamais faite. Je ne dis pas que ce n’est pas difficile. C’est exceptionnellement gênant. Je suis passé de personne nantie à une personne ayant à vivre des périodes de pauvreté extrême. C’était assez horrible.

Mais en même temps, vous sortez de l’autre bout et c’est une belle vie. C’est juste une belle vie que d’être libre … Je ne pense pas qu’il y ait un autre moyen de parvenir à une vie libre et inspirée que de s’y lancer. Il vous faut dire non. Et si nous ne disons pas non, nous allons être des esclaves. Franchement, je préfère être morte que de prendre ces injections. Dieu sait ce qui s’y trouve. »

Il n’y a pas de vaccination obligatoire aux États-Unis

Récemment, le président Biden a publié une directive présidentielle inconstitutionnelle selon laquelle les entreprises de 100 employés ou plus sont tenues de rendre obligatoire l’injection de tous les membres du personnel. L’amende peut s’élever jusqu’à 700 000 dollars par infraction.

De telles grosses amendes pourraient rapidement mettre en faillite toutes les entreprises hormis les plus riches si elles ne s’y conforment pas. Néanmoins, même ici, il y a le choix, parce qu’en l’état actuel des choses, il n’y a pas de règle ou de loi LÉGALE dictant des règles en matière de vaccination pour les entreprises privées.

« Ceci est un génocide », dit Austin Fitts. ‘Il n’y a pas de règle d’urgence temporaire OSHA (Occupational Safety and Health Administration — Administration de la Sécurité au Travail et de la Santé — NdT). Il n’y a pas de document. Si je suis une entreprise et que vous n’avez pas de loi, pas de règlement, pas de règlement d’urgence — vous ne pouvez pas légiférer par conférence de presse, et vous ne pouvez pas appliquer des sanctions pécuniaires à partir de rien.

Je ne sais pas sur quelle base juridique vous pouvez appliquer une sanction pécuniaire civile à une violation d’une loi non existante et d’une règle non existante. Maintenant, je ne suis pas en train de vous dire que vous ne pouvez pas trouver un juge et le menacer et l’effrayer afin qu’il adhère à cela. Mais je dois vous dire, s’il y a quelque chose qui vaut la peine d’être plaidé, c’est bien cela.

Mais voyons si une entreprise peut exister en tant que sujet politique. Si toutes les entreprises dans le Monde sont en fait captives du chantage de l’organisation SPECTRE — parce que ça tourne vraiment en James Bond — (alors), personne ne peut représenter l’actionnaire, parce qu’ils ne peuvent pas dire non au crime organisé.

Alors nous n’avons plus d’économie. Nous n’avons plus de marché boursier. Nous n’avons plus de pays. Nous n’avons plus de civilisation. Nous n’avons plus qu’une mafia, n’est-ce pas ? Tout a disparu.

Donc, pour moi, je ne peux songer à quelque chose de mieux à plaider que de savoir si oui ou non nous allons avoir une loi. Si tout n’est que la règle de la mafia, il n’y aura pas d’entreprises. Il n’y aura pas de marché boursier. Il n’y aura pas de système financier. Et bon nombre d’entre nous vont mourir.

Donc je pense qu’il va nous falloir décider si nous voulons ou non avoir un État de Droit… Je ne crois pas que le crime organisé avec toute sa force coercitive ait le pouvoir de tout saboter pendant que les gens se dressent. »

Qui est derrière tout cela ?

Quant à savoir qui est derrière cette gigantesque manipulation, c’est difficile à dire. Je pense que le plus proche que nous puissions arriver sur l’identité de ces criminels ce sont les actionnaires privés de Vanguard [Ndlr : et de Blackrock], parce que Vanguard possède la plupart des entreprises du Monde. Austin Fitts pense que ce sont les propriétaires privés des banques centrales. Elle explique :

« Vanguard appartient essentiellement à elle-même. Donc la question est qui la contrôle dans les coulisses ? J’ai un livre en ligne intitulé « Dillon Read et l’Aristocratie des Profits Boursiers ». J’ai essayé par trois fois de le publier en version papier et à chaque fois j’ai été menacée. La dernière fois ils ont menacé quelqu’un de ma famille.

Donc je l’ai laissé en ligne. (Dans ce livre), je raconte l’histoire de comment j’ai été une associée et membre du conseil d’administration de Dillon Read. À un moment donné, j’ai été surprise par leur choix du prochain président de la compagnie. (Il y avait) là (dans cette compagnie — NdT) un merveilleux associé dont le père avait dirigé la compagnie autrefois, alors je lui ai dit ‘Je suis surprise de ce choix. Ce n’est pas du tout un « gars de Nick » (Nick étant l’ancien président — NdT)

Nick Brady, le PDG de la compagnie, était allé (avait été élu — NdT) au Sénat pendant un moment, c’est pourquoi ils amenaient un autre président. Et mon associé a dit, ‘Nick ne l’a pas choisi. Les Rothschild l’ont choisi’. J’ai dit, ‘Attends une minute. Nous sommes propriétaires de l’entreprise. Qu’est-ce que les Rothschild ont à voir avec nous ? Et il m’a simplement regardée et a roulé les yeux… et est parti comme si j’étais la personne la plus stupide d’Amérique. 

Le surnom d’Austin Fitts donné par le comité qui dirige le Monde est “Mr Global”. Elle reconnaît qu’elle ne comprend pas complètement comment ça fonctionne au sommet, mais elle sait que la prise de décision est très centralisée, qu’elle est probablement gérée par le comité, et que les membres (du comité — NdT) sont tenus au secret pour une durée de 50 ans.

Depuis la Deuxième Guerre Mondiale, il y a une quantité d’argent énorme qui disparaît de manière constante à cause du système financier’, dit-elle. ‘C’est presque comme si la planète est une REIT (real estate investment trust — société d’investissement immobilière). Je n’oublierai jamais la scène du film ‘Jupiter Ascending’ où la princesse d’une galaxie lointaine regarde cette Terrienne et lui dit ‘La Terre n’est qu’une toute petite partie d’une société bien plus grande’.

En fait, si vous regardez le système financier, c’est comme ça que ça marche — comme si tout le monde était forcé à produire ce dividende et qu’il (le système financier — NdT) devient très dysfonctionnel à cause du secret.

Maintenant on m’a dit à plusieurs reprises — et j’ai tendance à le croire — que les personnes qui dirigent littéralement ce que la plupart des gens appellent l’État Profond ont essayé de comprendre comment ils pourraient augmenter la transparence et ils se heurtent à tellement de problèmes de responsabilité que tout simplement ils abandonnent.

S’il y a une solution dont nous avons tous besoin, c’est d’apporter une énorme transparence et réduire le risque avec les personnes au sommet. Parce que je pense qu’une des raisons pour lesquelles ils poussent au contrôle complet c’est… qu’ils peuvent alors gérer les choses de manière centralisée avec l’intelligence artificielle…

Le contrôle complet c’est : vous êtes sur un réseau intelligent qui est sous surveillance 24/7 (24 h/24, 7 jours/7 — NdT) et qui vous soumet à toutes sortes de propagande et de contrôle de l’esprit, et ils ont le pouvoir d’effacer votre compte si vous ne vous comportez pas bien. Ceci peut être géré par logiciel, l’IA (Intelligence Artificielle — NdT) et un réseau intelligent (grâce au passeport vaccinal et la MNBC)…

Je le décrirais comme un système d’esclavage… Ils peuvent littéralement garantir un être humain et le connecter au système bancaire, et ils peuvent arrêter toute révolution violente une fois qu’ils ont en gros numérisé et mis tout le monde sur un système de contrôle des transactions financières…

Je pense que c’est une terrible erreur. Mais je pense qu’ils… ne savent pas quoi faire d’autre. Si nous arrivons à nous sortir de cela, premièrement, nous devons simplement dire non et refuser de rentrer dans la boîte. L’autre (deuxièmement — NdT) c’est qu’il nous faut apporter de la transparence là où nous pouvons tous changer. Parce qu’il nous faut une réinitialisation. Si nous continuons comme nous le faisons, ça ne marchera pas. »

Il nous faut une réinitialisation, mais pas de ‘la grande réinitialisation’

Ils sont nombreux à avoir souligné que c’est une inéluctabilité mathématique que le système financier des banques centrales s’effondre. Vous ne pouvez pas accumuler des dettes à perpétuité. Ce n’est tout simplement qu’une question de quand. Comme l’a fait remarquer Austin Fitts, nous avons actuellement un retour sur investissement négatif.

Mais le système financier peut certainement être remanié pour un retour sur investissement positif. Néanmoins, pour faire cela, nous ne pouvons pas permettre aux sociétés de fonctionner au-dessus de lois. Elle explique :

« À l’heure actuelle, nous avons une doctrine juridique qui dit qu’aussi longtemps qu’ils peuvent se faire de l’argent, ils sont plus ou moins libres d’agir au-dessus des lois. L’économie doit être subordonnée à la société. Vous ne pouvez pas laisser votre vie économique déterminer la primauté du droit. Et donc, nous avons pratiquement donné une immunité juridique aux grandes banques internationales, et à travers elles, aux entreprises.

Le modèle d’entreprise actuel, tel qu’il existe actuellement, ne marche pas. Ce que nous observons c’est la destruction de la société afin qu’il puisse continuer à fonctionner. Franchement, vous ne pouvez pas avoir une économie ou une société en bonne santé si le secteur financier est dominant plutôt que subordonné. Le système financier devrait servir la société et la civilisation, et non l’inverse. »

Des signes d’un changement positif

Cependant, il y a des signes d’un réel changement — un changement positif. Austin Fitts fait remarquer, pour la première fois de sa vie, elle voit des personnes extrêmement talentueuses et bien éduquées qui ont toujours été réticentes à faire des vagues disant qu’elles veulent sortir (du système — NdT) ; elles préfèrent mourir plutôt que d’être réduites en esclavage par le crime organisé.

« Je me rappelle d’un scientifique et médecin vraiment formidable me disant, ‘Je suis prêt à commencer une toute nouvelle civilisation’. Il y a une vague de talents et de solennité que je n’ai jamais vue et qui dit ‘Je préfère faire partie de la nouveauté. J’en ai marre de celle-ci.

Donc je vois une formidable cassure — et non simplement un refoulement — de la part de personnes qui veulent être partie prenante de quelque chose de civilisé. Elles réalisent que la corruption a atteint un point où il est inutile d’essayer de s’entendre ou d’être au milieu de la route ou de suivre…

Le défi pour nous tous est comment pouvons-nous basculer nos économies et notre épargne retraite pour financer la création de cette nouvelle capacité ? D’une part, vous avez des étudiants qui quittent l’école et qui doivent faire l’école à la maison. D’autre part, vous avez des enseignants qui quittent l’école parce qu’ils ne veulent pas recevoir l’injection.

Nous devons créer des entreprises et des réseaux et des sites web qui nous aident à nous rencontrer. Si ce processus se déroule dans un esprit d’entreprise, il pourrait être très positif et très excitant.

C’est ce que je vois dans les nouveaux médias. Mais cela doit également se produire dans les services de santé et dans l’éducation, et il faudra que suffisamment de personnes réalisent que le Titanic est en train de couler. Il n’est pas possible de revenir en arrière. Elles pourraient tout aussi bien récupérer quelques planches et commencer à construire des arches.

Sans intégrité il n’y a pas de civilisation. Donc, si vous voulez faire partie de quelque chose qui a de l’intégrité, vous ne pouvez pas rester (dans l’ancien système). Je le répète, il n’y a pas de juste milieu… Je dis, dites oui à la science, dites oui à l’intégrité, dites oui à la loi.

La situation de chaque personne est différente, mais trouvez un moyen de traduire ce oui en quelque chose de productif. Soyez utile. C’est ce que j’ai essayé de faire. J’ai eu une vie merveilleuse en tant que banquier d’affaires, mais je me suis réveillée et je ne pouvais plus (continuer)… j’ai fait des transactions portant sur des milliards de dollars. Je ne savais pas faire un plan financier pour quelqu’un qui avait 25 000 dollars.

Donc j’ai commencé par simplement répondre aux questions des gens et ces questions ont évolué jusqu’à devenir deux entreprises, le Solari Report et le Solari Investment Advisory Services (pour cette dernière ‘Service de Conseils en Investissement — NdT). Cela a pris de nombreuses années, mais je n’ai fait qu’essayer d’être utile. Donc chacun d’entre nous doit commencer par là.

Nous devons nous demander ‘quelle compétence ai-je’ ? Quelles compétences puis-je acquérir ? Dans quelles compétences puis-je évoluer ? Et comment puis-je servir les gens autour de moi ? Que puis-je faire pour être utile ? Et nous partons de là.

Mais vous devez choisir l’intégrité et la civilisation ou choisir d’être un esclave du crime organisé. Vous devez faire ce choix. Et voulez-vous savoir ? C’est un choix dangereux. J’ai failli ne pas y arriver. Mais comme je l’ai dit à mon ancien collègue, je préfère mourir dans le désert que d’être dans des endroits souterrains avec vous les gars. »

Traduction Jean Bitterlin, le 12 novembre 2021




COP26 : comment les élites nous préparent un « pass carbone »

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par JULIEN G.

Le Nouvel Ordre Mondial est bien là et le Prince Charles a donné, à la COP26, un aperçu des moyens que les élites utiliseront pour parvenir à leurs fins. Après les états d’urgence attentat et sanitaire, les dirigeants mondiaux ont clairement montré leur volonté de mettre en place un état d’urgence climatique. Prenant prétexte de l’urgence climatique, cette politique doit permettre, non pas un développement plus harmonieux pour tous, mais un renflouement vert du système financier spéculatif actuel et quoi de mieux qu’un pass carbone ?

1. Le prince Charles en roue libre

Lors de la COP26, le Prince Charles a tenu des propos surréalistes concernant le futur de l’humanité. Des propos, qui par ailleurs, ont été peu ou pas repris par les médias hexagonaux.

La feuille de route ne parle pas de confinement pour fin 2021, mais de pénuries et d’installation de contrôles militaires pour le programme de transition et de renoncement à la dette.

Il a expliqué, d’un ton sur et monotone, qu’il fallait mettre en place une campagne militaire qui imposera la nouvelle transition économique mondiale afin de sauver la planète en y injectant des milliers de milliards de dollars, une somme plus importante que le PIB mondial !

Il affirme que les pays sont gravement endettés et qu’ils ne pourront pas faire face aux défis climatiques.

Qui pouvait mieux annoncer cette grande réinitialisation du monde que « son Altesse » dont l’obsession climatique est bien connue de tous !

Ségolène Royal l’avait d’ailleurs fait venir chez nous, en décembre 2015, pour trôner aux côtés de Michael Bloomberg (un des mécènes de Joe Biden), Al Gore et Arnold Schwarzenegger, au sommet de la COP21 aboutissant aux fameux Accords de Paris.

Si ces dirigeants mondiaux mettaient à disposition cet argent fictif gagné via la spéculation boursière, ce n’est pas pour le bien de l’humanité, mais pour en contrôler l’avenir.

Comment imaginer un seul instant que Jeff Bezos, le patron d’Amazon, devenu milliardaire en vendant des gadgets chinois aux Américains et aux Européens en détruisant leur industrie et leur petit commerce, puisse à un moment devenir une partie de la solution au problème climatique !

Nous assistons, donc, à la mise en place du Nouvel ordre mondial, une dictature mise en place par le secteur privé mondialiste, qui veut mettre fin aux démocraties que nous connaissons en utilisant systématiquement la menace pour arriver à ses fins.

Pour rappel, du 9 au 11 novembre 2020, s’est tenue une rencontre de haut niveau, baptisée Green Horizon summit, réunissant une centaine de décideurs financiers et économiques de haut vol, tous avides d’examiner comment passer de la théorie climatique à la spéculation verte : le Great Reset de leur portefeuille au détriment de la planète.

Selon les organisateurs, le sommet avait pour but d’accélérer l’innovation financière dans le climat, en promouvant des initiatives semblables à celles des obligations vertes.

2. Et maintenant l’état d’urgence climatique

En 2015, c’était la menace terroriste, depuis 2 ans nous sommes en état d’urgence sanitaire et demain ce sera la menace climatique.

En effet, comment ne pas admettre la conformité massive et sans questionnement des peuples aux réglementations restrictives et liberticides du COVID.

L’idée de confinement climatique pourrait être facilement normalisée à la lumière du respect massif des confinements pandémiques.

Alors qu’avec la crise sanitaire, beaucoup de responsables se rendent à l’évidence que la mondialisation financière a rongé la substance productive de nos économies et fragilisé nos secteurs publics, cette « Caste » voit comme une énorme menace le retour aux recettes économiques élémentaires ayant fait leurs preuves lors de la reconstruction d’après-guerre.

Pour ces élites déconnectées, il s’agit, donc, de saisir la formidable occasion que leur offre la peur suscitée par la crise sanitaire mondiale, pour imposer une dictature climatique et de contrôler directement le portefeuille de chaque citoyen.

De faire en sorte que l’essentiel des investissements soit affecté exclusivement au fameux New Green Deal et que les citoyens se comportent comme il faut.

L’idée est donc de mettre en place une tyrannie plus intrusive en misant sur le fait que les gens peuvent être plus disposés à accepter le suivi et les limitations liées aux quotas carbone personnels pour obtenir un climat plus sûr.

3. Un pass carbone pour contrôler chaque aspect de votre vie

Si, lors de cette COP26, les gouvernements décident soudainement de bannir le CO2 de leur économie, le monde pourrait connaître un retournement brutal des valeurs d’un tiers de l’économie mondiale, soit la partie liée aux hydrocarbures (lignite, charbon, gaz, pétrole, etc.) et l’écosystème qu’elles entretiennent (exploitation minière, pétrochimie, plastique, etc.).

Mieux vaut donc prendre les devants et organiser le verdissement de la finance mondiale, afin de limiter les frais et surtout les secousses.

Pour cette finance-là, faute d’une réelle opposition de la part de gouvernants obéissant à l’intérêt général et non aux lobbies, la crise pandémique de Covid-19 a offert une fenêtre de tir pour mettre en place le type de société totalitaire et de surveillance dont elle rêve depuis longtemps.

Car s’il s’agit, officiellement, de sauver le climat et la planète, en réalité, ce n’est que l’ultime bouée de sauvetage de la bulle des « actifs verts » et un moyen efficace pour la faire gonfler.

Nos élites, présentes à Glasgow, préparent donc des quotas de carbone personnels obligatoires qui introduiraient le rationnement dans tous les domaines de votre vie et ceci via une application qui enregistrerait vos déplacements, vos dépenses de chauffage et même la nourriture que vous mangez.

D’ailleurs, cette proposition avait été présentée dans la revue scientifique Nature par quatre experts de l’environnement comme un moyen de réduire les émissions mondiales de carbone.

Le discours ambiant de cette COP26 est donc que, face aux problèmes écologiques présents et à venir, il est nécessaire de mettre dans l’esprit collectif, que chaque citoyen soit conscient d’avoir un rôle à jouer dans la lutte contre le changement climatique, en proposant l’instauration d’un compte ou pass carbone.

À l’image d’un compte en banque, ce compte carbone sera crédité de 2000 kg de carbone par français par an, suivant les accords de Paris.
Il sera demandé lors de tout achat de produits ou services de première main générant une quantité non négligeable de carbone dans son cycle de production/commercialisation de présenter son compte ou pass carbone sur lequel sera débité le montant de carbone lié à la dépense.

Il est donc envisagé que pass sanitaire se transformera en pass carbone et donc une limitation des voyages, de la nourriture, des kilomètres en voiture, etc.

Le tout au nom de la prochaine crise à venir : le changement climatique.

Aujourd’hui le pass, renouvelé à minima jusqu’en juillet 2022, offre un QR code pour le vaccin. Et demain ce sera pour votre bilan carbone.

Et le surlendemain ?

Reste à savoir si les populations mondiales vont se laisser faire et se faire esclavagiser et de la sorte par cette caste.




Allocution du président de la République : « Mes chers compatriotes ou plutôt, mes amis, mes enfants, mes petits enfants… »

Par Alain Tortosa

« C’est toujours un immense plaisir de m’adresser à vous en cette fin d’année 2047.

Les plus perspicaces d’entre vous auront peut-être perçu une légère diminution de la bonhomie et de la jovialité qui me caractérisent habituellement. Vous n’êtes pas sans savoir que ma fidèle épouse, ma muse, vient de s’éteindre dans la force de l’âge. Elle aussi, terrassée par cet odieux et perfide virus.

Je vous fais confiance comme vous me faites confiance depuis le début la crise. Nous nous disons tout et vous savez que jamais je ne vous ai menti ou dissimulé la moindre information.

Nous savons tous que ma femme se dévouait corps et âme pour la nation et c’est probablement lors d’une de ces multiples missions humanitaires ou pour venir en aide aux plus démunis qu’elle a contracté le virus.

Mes amis, face à la souffrance et la maladie, il n’y a plus ni riche ni pauvre, mais notre condition humaine.

Les premiers éléments de l’enquête laissent penser qu’elle aurait été contaminée lors d’une visite dans une ferme éducative pour primo-délinquants non vaccinés.

N’écoutant que son cœur et au mépris du danger, elle aurait caressé une poule dont nous savons désormais que sa dernière injection remontait à plus de 8 mois. Une enquête est en cours et je ne manquerai pas de vous tenir informé. Sachez que justice passera et que les coupables seront châtiés comme il se doit.

Vous me connaissez, je parle de moi, de ma vie, je me laisse aller à mes émotions et j’en suis à oublier l’objet de mon intervention…

Je voudrais d’abord vous remercier encore de votre soutien actif. Sans vous, mes amis, nous n’aurions pas pu parcourir un tel chemin. Vingt-huit années de crise !

En premier lieu, permettez-moi de saluer le parlement qui, spontanément, après 18 votes, a finalement autorisé le Président de la République à garder son mandat tant que la crise sanitaire n’était pas terminée et lui donner les pleins pouvoirs. Et surtout vous, vous les 99,2 % de Français qui ont voté par Internet pour ma réélection et renouvelé votre pleine confiance pour des décennies.

Permettez-moi d’avoir une pensée émue pour les millions de nos compatriotes de moins de 30 ans qui, du fait du Covid, sont décédés du jour au lendemain d’AVC, de thromboses, de crises cardiaques ou de cancers aussi soudains que fulgurants. Réjouissons-nous que nous fussions tous vaccinés, cela a prévenu 10 fois plus de morts.

Cela fait désormais plusieurs années que 100 % des Français sont vaccinés avec un rappel tous les 3 mois.

Ceci grâce à une loi spontanément proposée puis votée par le parlement autorisant les autorités administratives à déchoir automatiquement de la nationalité française tous les ennemis du peuple refusant l’injection salvatrice.

Et il est bien loin le temps où l’on communiquait sur les risques ou les avantages de la vaccination à tel ou tel âge.

D’aucuns, des idéalistes, disent que nous aurions dû rendre la vaccination obligatoire à la naissance dès l’année 2020 et que nous aurions gagné ainsi quelques années de souffrance.

C’est peut-être vrai, je ne le nie pas, mais nous sommes un pays de liberté qui a toujours fait passer l’intérêt individuel, les droits de chacun et le principe de précaution avant toute autre préoccupation. Notre méthode nous a permis de rassurer les Français et nous assurer de l’innocuité de tous les vaccins.

Avec ces années de recul, nous avons désormais la preuve que le vaccin n’a tué PERSONNE sur la planète.

On ne peut pas en dire autant du changement climatique qui a entraîné le décès de millions de nos compatriotes, changement que nous sommes sur le point de maîtriser. Certains experts pensent que d’ici 70 ans nous aurons sauvé la planète !

J’en profite au passage pour remercier la grande Greta Thunberg, triple prix Nobel de la paix et de l’économie, avec qui je partage beaucoup, y compris son rapport à l’émotion. Elle est une icône à suivre… nous lui devons toutes les grandes lois climatiques comme l’interdiction d’un moyen de transport individuel au-delà d’un rayon d’action supérieur à 5 km. Mais aussi l’interdiction de chauffer sa maison à plus de 15 degrés ou l’usage des avions réservés aux personnes utiles, pour ne citer que ces quelques exemples.

Nous pouvons affirmer que la mise en œuvre du crédit écologique associé au pass vaccinal nous a permis de conserver nos valeurs et notre modèle basé prioritairement sur les libertés individuelles.

Je vous rappelle le slogan « la liberté individuelle prime, mais s’arrête au meurtre d’un ours blanc. »

Ma prise de parole est aussi l’occasion de saluer la mémoire de notre grand et glorieux Ministre de la Santé retrouvé mort chez lui il y a maintenant 5 ans. Ses proches ne comprennent toujours pas son suicide, lui qui avait tant donné pour la France… Avant son décès, il avait tenu quelques propos incohérents sur la crise, propos qui ont été depuis supprimés d’Internet et de tous les ordinateurs, en respect à sa mémoire et de son œuvre. Les résultats de l’enquête sont sans appel. Il a été établi qu’il s’est donné la mort en se tirant deux balles, dont une, dans le dos et que la première était déjà mortelle.

Nous ne doutons pas que son remplaçant, à l’éthique sans failles et au parcours professionnel exceptionnel l’ayant conduit au poste de président de Pfizer France, sera un atout majeur pour l’avenir et la santé de tous. Rappelons que la loi autorise désormais un ministre à conserver son emploi, et ce afin qu’il garde le contact avec le monde réel. Son expertise ne pouvant qu’être un plus dans la noble mission qu’il se doit d’accomplir.

Je salue au passage la probité de notre nouveau Ministre de la Santé et son esprit républicain, celui-ci ayant spontanément renoncé à son salaire de ministre pour ne garder que ses modestes émoluments au sein de l’entreprise Pfizer. Dans un esprit de transparence, son salaire de 1975,50 euros brut par mois a été rendu public. Moi-même, l’ensemble des députés et des membres du gouvernement le remercions aussi pour le WE inoubliable organisé à Little St James.

Cette vaccination volontaire et spontanée de tous les Français nous a permis de retrouver notre entière liberté.

Le pass sanitaire a été abandonné parce qu’il était source d’inégalités Rappelez-vous, seuls les nantis pouvaient se permettre de s’acheter un test quatre fois par jour pour vaquer à leurs occupations et pouvoir acheter leur nourriture. C’est grâce à un amendement conjoint du groupe socialiste et du groupe communiste, salué par l’ensemble des députés, que les tests ont été rendus interdits au nom du principe d’égalité.

La solidarité et la fraternité chères à notre grande nation nous ont conduits vers cette avancée majeure pour remplacer le pass sanitaire par un pass vaccinal et écologique pour tous.

Mesure de bon sens, vous en conviendrez…

Concernant les mauvais Français déchus de leur nationalité, les débats furent rudes à l’Assemblée. Les députés les plus idéalistes souhaitaient que nous les placions dans des bateaux que nous aurions coulés au large. Tollé immédiat, comme vous vous en doutez, du Ministre de l’Économie targuant que nous avions besoin de ces bateaux pour le commerce depuis la Chine démocratique et pour notre croissance infinie. Mais aussi du groupe écologique affirmant justement une fois de plus que « la mer n’est pas une poubelle dans laquelle on peut se débarrasser impunément de ses déchets ».

Il fut donc décidé de construire des camps de rééducation ou d’assigner à domicile ces ex-Français que nous ne pouvions expulser du fait que nulle nation n’en voulait.

Un programme de réinsertion fut mis en œuvre. Chaque paria pouvait décider de postuler à la nationalité française. Pour cela il s’engageait à :

  • Se vacciner tous les 15 jours pendant deux ans pour rattraper le retard.
  • Suivre des cours de citoyenneté et de déprogrammation des thèses complotistes.
  • Se couper définitivement de sa famille et de ses ex-amis restés complotistes.

À l’issue de deux années, il pouvait commencer à réintégrer la société avec un bracelet électronique, l’obligation d’un traitement psychiatrique à vie, et, bien entendu, interdiction de procréer et de s’approcher à moins de 500 m d’enfants innocents.

La transformation du pass sanitaire en pass vaccinal, écologique et social a été une avancée majeure dans nos libertés, mais aussi un formidable outil de croissance. Des centaines de millions de portiques de détection ont été installés dans toute la France. Aussi bien à l’entrée des administrations, entreprises, commerces, hôpitaux, mais aussi des lieux de loisirs. Plus aucun appareil, téléphone, four micro-ondes, ordinateur, voiture, carte bancaire ne pouvant fonctionner si vous n’étiez pas à jour de toutes vos obligations vaccinales et citoyennes.

Hélas ! le virus est encore là, mais heureusement, nos scientifiques ont trouvé la solution qui fait que nous serons bientôt sortis du tunnel et cette crise ne sera qu’un lointain souvenir. Preuve en est que la patience paye !

Je tenais aussi à souligner l’innovation et l’imagination de nos chercheurs. Une entreprise 100 % française aux capitaux chinois vient de mettre au point un micro-masque qu’il est possible d’insérer dans la paroi nasale des nouveau-nés. Ce masque écologique traité avec des nanoparticules qui détruisent le virus est sans danger pour les nourrissons et n’est à renouveler que tous les 6 mois chez son médecin traitant dans la caserne de son choix. J’en profite pour vous mettre en garde contre une vidéo virale qui montre un nouveau-né hurler 2 h 30 pendant et après lui avoir inséré le micro-masque. Nos services ont pu démontrer que ses parents, des anarchistes notoires, avaient torturé leur enfant avant de le lui mettre. Nous rappelons qu’à cet âge, l’enfant n’arrive pas à faire la différence entre le plaisir et la douleur. Nos spécialistes ont ainsi pu prouver que le plaisir pour le nourrisson était tel qu’il se mettait à pleurer de joie pendant quelques heures.

Après toutes ces années, nous voyons bien que le port du masque n’a eu aucune conséquence pour notre santé. Bien au contraire même, il permet de coller aux rythmes naturels de l’enfant. Désormais les bébés commencent à parler vers l’âge de 3 ans ce qui est beaucoup moins violent. Nous déplorons encore quelques rares déclenchements de crises de schizophrénie chez certains bébés, mais le masque n’est pas en cause. Ces bébés ont été traumatisés par des mères aussi stupides qu’irresponsables qui enlèvent leur masque devant un enfant découvrant un visage humain pour la première fois de sa vie.

Je profite de mon intervention pour rappeler l’importance vitale des gestes barrières et de ne jamais enlever son masque devant, ou à, son enfant, quand bien même il serait en train de s’étouffer.

Ici encore je salue une fois de plus l’innovation française avec la commercialisation de cabines individuelles de restauration avec verre fumé permettant à toute personne de pouvoir manger et d’enlever son masque en dehors de tout regard, mais surtout en toute sécurité sans risque d’assassiner un membre de sa famille, et ce, grâce au système de ventilation de la machine. Ces cabines individuelles peuvent être placées tout autour d’une table, elles sont munies d’écran de télé permettant de partager un moment convivial et de liberté avec les membres de sa famille ou des amis venus dîner. Fini le temps des contraintes dans les années 20 où il fallait faire manger papi et mamie dans la cuisine le jour de Noël pour ne pas les assassiner.

Le masque n’est de fait plus un sujet depuis quelques années. Nous le portons tous, tout le temps, partout, y compris pour dormir.

Côté économie, cette crise sanitaire est devenue un eldorado grâce aux efforts de chacun. Malgré les 20 000 milliards d’euros (planche à billets) injectés dans l’économie française, tous les indicateurs sont au vert :

  • La croissance est de 10 % par an.
  • Le déficit est en dessous des 3 %.
  • Le cac40 n’a jamais été aussi haut.
  • Le chômage n’est plus, nous sommes au plein emploi.
  • Les ménages n’ont jamais eu autant d’argent épargné.
  • L’industrie française a fait un bon au point que nous allons devoir faire venir 5 millions d’immigrés pour répondre à la demande croissante.

Nous voyons bien que les efforts ont payé et les résultats sont au-delà des espérances du haut-commissaire au plan.

Hélas ! les nouveaux variants ne cessent de voir le jour malgré les vaccins toujours plus efficaces. Cela prouve bien notre humilité face à ce virus… Bien heureusement, le Ministère de la Vérité a enfin réussi à faire taire les complotistes avec leurs théories de la terre plate, complotistes qui affirmaient que les vaccins bloquaient la souche d’origine et qu’ils étaient de nature à favoriser les variants. Hypothèse farfelue, réfutée par tous les grands chercheurs accrédités par le Ministre de la Santé.

Nous voyons le bout du tunnel, mais nous devons maintenir nos efforts. Il serait stupide de tout gâcher alors que nous approchons de l’immunité vaccinale de masse, qui, si tout va bien, devrait se produire l’année prochaine.

En effet, si tous les Français sont vaccinés, il demeure des animaux non vaccinés.

Nous savons depuis quelques mois que les poules et les cochons sont de forts vecteurs de propagation. Notre Ministre de la Santé, en collaboration étroite avec les plus grands chercheurs de son entreprise, nous a confirmé que le vaccin était parfaitement efficace et inoffensif chez ces animaux.

Le fait qu’un pourcentage non négligeable décèdent en pleine course n’a strictement rien d’inhabituel. Les études, réécrites cette année, prouvent qu’il en a toujours été ainsi. Des sujets jeunes et en bonne santé décèdent, c’est triste, mais c’est la nature.

Pour autant et malgré les campagnes de promotion de la vaccination, seuls 70 % des poules et des cochons de notre pays sont à ce jour vaccinés. C’est totalement irresponsable de la part de celles et ceux qui disent que nous n’avons pas assez de recul et que cela pourrait compromettre la santé des poussins, mais aussi leur capacité reproductive.

Balivernes !
Nos voisins israéliens l’ont fait depuis plusieurs mois et la situation chez eux aurait empiré de 70 % s’ils n’avaient pas pris ces mesures grâce auxquelles il n’y a que 30 % d’augmentation du taux de décès des poules (ils n’ont pas pu faire les tests sur les cochons). Preuve en est de l’efficacité sans commune mesure de cette vaccination qui évite de nombreux décès.

C’est pourquoi, sous conseil du Ministre de la Santé, j’ai décidé de rendre obligatoire dès ce jour la vaccination des poules et des cochons avec un rappel tous les 3 mois.

Dans un premier temps, nous avions pensé à brûler les animaux non vaccinés, mais sur proposition du Ministre de l’Écologie il a été décidé d’envoyer les poules et cochons non vaccinés dans les camps des parias.

Nul doute que cette mesure forte en faveur de la vaccination massive des poules et des cochons nous permettra de sortir de la crise et retrouver une vie encore plus normale alors qu’elle est déjà normale.

N’écoutez pas ces oiseaux de mauvais augure qui vous disent que demain il faudra rendre obligatoire la vaccination des chats et des chiens. Nous savons bien qu’ils ne sont ni porteurs ni vecteurs et que leur vaccination n’est donc pas à l’ordre du jour. Vaccination qui est même déconseillée à ce jour. Celle-ci ne sera jamais préconisée et encore moins rendue obligatoire, vous pouvez me croire les yeux fermés.

Le bout du tunnel est là mes amis. Ne perdez pas espoir !

N’oubliez pas que toutes ces mesures contraintes nous ont permis de retrouver nos libertés. Je n’hésiterai pas à citer une fois de plus notre grand maître G Orwell « l’interdit c’est la liberté ».

Vive la république, vive la France ! »

Propos(([1] Pure fiction évidemment. « toute ressemblance…, blablabli, blablabla »)) recueillis par Alain Tortosa.

Le 11 novembre 2047
https://7milliards.fr/tortosa20211111-allocution-president-2047.pdf




La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 3)

Par Arthur Firstenberg

Auteur de The Invisible Rainbow: A History of Electricity and Life
[L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie]

[Voir :
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 2)]

Les téléphones cellulaires ne sont pas là pour rester

Le jour où le service de téléphonie cellulaire numérique a été lancé à New York, j’étais loin de chez moi pour une conférence juridique de trois jours. Le jour de mon retour, j’ai eu des vertiges. Quelques jours plus tard, j’étais également nauséeux et j’avais des tremblements incontrôlables. J’ai eu la première crise d’asthme de ma vie. J’avais l’impression que mes globes oculaires étaient bombés, mes lèvres étaient sèches, grasses et gonflées, je sentais une pression dans ma poitrine et la plante de mes pieds me faisait mal. Je suis devenu si faible que je ne pouvais pas soulever un livre. Ma peau est devenue si sensible que je ne supportais pas d’être touché et je supportais à peine de porter mes vêtements. Ma tête grondait comme un train de marchandises. Après le quatrième jour, je ne pouvais ni dormir ni manger. Au cours de la sixième nuit, mon larynx a eu trois spasmes. Chaque fois que cela s’est produit, je n’ai pu ni inspirer ni expirer et j’ai cru que j’allais mourir. J’ai quitté la maison le lendemain matin, pour ne jamais y revenir.

Cela n’est pas arrivé qu’à moi, ou qu’à quelques personnes. À partir du 14 novembre 1996, le jour où Omnipoint Communications a allumé toutes ces tours cellulaires, des centaines de milliers de New-Yorkais sont tombés soudainement malades. Beaucoup ont pensé qu’ils avaient une crise cardiaque, une attaque ou une dépression nerveuse. Le département de la santé a appelé cela une épidémie de grippe, et cela a duré jusqu’au mois de mai suivant. Ils ne se sont pas demandé pourquoi elle ne touchait que New York et pas les villes voisines à cette époque. Les statistiques hebdomadaires de mortalité des Centres de contrôle des maladies ont révélé une augmentation de 17 % de la mortalité dans la ville à partir de la semaine du 17 novembre, pendant 11 semaines, qui a tué 2 300 personnes.

L’épidémie n’a touché Boston que l’année suivante, lorsque Sprint y a commencé à desservir la ville le 12 novembre 1997. Le taux de mortalité a augmenté de 15,5 % pendant 16 semaines. L’épidémie a frappé San Diego lorsque Pacific Bell y a commencé à desservir la ville le 1er novembre 1996. Elle a duré 17 semaines et la mortalité a augmenté de 14,5 %. Elle n’a pas touché la ville voisine de Los Angeles avant l’été suivant, lorsque Pacific Bell a commencé à la desservir le 3 juillet 1997, et la mortalité a augmenté de 30 % pendant les 15 semaines suivantes. Il a touché Philadelphie au printemps, lorsque Sprint y a commencé le service le 3 avril 1997, et Détroit à l’automne, lorsque Sprint y a commencé le service le 15 octobre 1997. Jacksonville, en Floride, avait été touchée l’automne précédent, lorsque Powertel avait commencé à y offrir des services le 15 octobre 1996. Il a touché Chicago, Milwaukee, Austin, San Antonio, Fort Worth, Houston, Atlanta, Fresno, Spokane, Portland, Sacramento, Charlotte et Tulsa, en commençant dans chaque ville le jour où le service de téléphonie cellulaire numérique est devenu disponible dans cette ville.

J’ai appris, en 1996, que les niveaux de puissance n’ont pas d’importance. Après que les micro-ondes m’aient presque tué à Brooklyn après seulement six jours d’exposition, j’étais sûr que les niveaux de rayonnement devaient être très élevés, et j’ai engagé un ingénieur professionnel, Stuart Maurer, pour qu’il se rende chez moi avec son analyseur de spectre afin de mesurer le rayonnement. Je suis descendu pour la journée de ma chambre de motel dans le nord de l’État de New York pour le surveiller. À mon grand étonnement, le niveau le plus élevé qu’il a mesuré, n’importe où dans ma maison, était de 0,0001 microwatts par centimètre carré. Il est clair que j’avais encore beaucoup à apprendre sur les micro-ondes, et que beaucoup de choses que je croyais savoir étaient fausses.

La même chose se produit aujourd’hui avec la 5G, sauf que cette fois, au lieu d’accuser un virus de la grippe, la société accuse un coronavirus. Et cette fois, cela se produit partout à la fois au lieu d’une ville à la fois. Le 13 octobre 2020, Verizon a publié un communiqué de presse annonçant la disponibilité de son réseau 5G dans tous les États-Unis, et le même jour, Apple a publié un communiqué de presse annonçant le lancement de son téléphone 5G, l’iPhone 12. L’iPhone 12 et 12 Pro étaient disponibles en magasin le 23 octobre, et les iPhone Mini et Max étaient disponibles début novembre. Et dans chaque État sauf deux, la mortalité a commencé à augmenter soudainement la semaine du 24 octobre ou peu après, et au plus tard la semaine du 21 novembre. Les deux exceptions sont le Wisconsin, où le pic de mortalité a commencé la semaine du 17 octobre, et Hawaï, qui n’a pas connu de hausse significative des décès l’hiver dernier. Au niveau national, la mortalité a augmenté en moyenne de 25 % pendant 20 semaines, et 300 000 personnes sont mortes.

Le phénomène se produit partout à la fois, y compris pour les oiseaux, les insectes, la faune et la flore. Un correspondant de Knoxville, Tennessee, m’a écrit la semaine dernière :

« Ces deux derniers mois, j’ai remarqué 5 bourdons maintenant sur nos fleurs qui m’ont paru paralysés. Nous avons malheureusement la 5G Ultra Wideband de Verizon très proche de notre maison, qui n’est disponible qu’à l’extérieur, et je pense qu’ils sont impactés par cela. Nous en avons amené 4 à l’intérieur de notre maison, chacun à des moments différents, et 3 des 4 se sont ranimés en 5 minutes environ, je les ai alors relâchés à l’extérieur. Le quatrième a mis un peu plus d’une heure à se ranimer avant de pouvoir s’envoler. »

Un autre observateur, à East Dover, Vermont, a écrit, il y a quelques jours :

« Nous cultivons 3 acres de cassis, 200 buissons de myrtilles (11 variétés) et une poignée d’autres plantes à baies originales. Notre petite ferme est certifiée biologique avec 8 acres ouverts certifiés (seulement 3 plantés) et le reste des 31 acres est boisé. Les cassis sont précoces et nos 4 variétés fleurissent toutes à quelques jours d’intervalle. Il y a tellement d’insectes pollinisateurs différents qui viennent dans les champs, y compris un certain type de bourdon avec un milieu rouge. C’est merveilleux de voir et d’entendre tous ces insectes de formes différentes travailler bruyamment.

Ce printemps, alors que je marchais le long des rangées et que j’admirais toutes les fleurs du champ de devant, je me suis soudain arrêtée car le silence était presque total. Il y avait deux bourdons parmi les 2 225 cassissiers et leur bourdonnement était très perceptible parce que tout était si silencieux. Lorsque j’en ai parlé à un pomiculteur de cinquième génération, il m’a dit que non seulement il n’y avait pas de pollinisateurs cette année, mais que le moment était mal choisi. Par exemple, ses asperges étaient en avance de deux semaines (les nôtres aussi). Par rapport à 2020, la floraison de nos cassis était en avance de deux semaines cette année. Le printemps a été froid, mais j’aurais pensé que cela aurait pu retarder la floraison. C’est donc une autre raison pour laquelle les insectes n’étaient pas encore là. Deux semaines, c’est un délai énorme ! Les myrtilles étaient aussi généralement en avance et la succession habituelle des floraisons à travers les variétés a été modifiée.

Le lendemain, j’ai couru chez Forever Wild, un éleveur d’abeilles, et j’ai obtenu une palette de quatre ruches. Il faisait trop froid pour qu’elles puissent voler. Elles sont donc restées dans leurs ruches au milieu d’une magnifique floraison de cassis. Apparemment, les bourdons volent lorsqu’il fait moins de 50 degrés [Fahrenheit], mais les abeilles domestiques ont besoin d’une température d’au moins 59 degrés [Fahrenheit]. L’éleveur d’abeilles a dit qu’elles pollinisaient un quart de l’État (Vermont) et que tous les gars du nord (surtout les [producteurs de] pommes) parlaient de la même chose : pas de pollinisateurs et surtout pas de bourdons.

Une autre curiosité cette année a été le fait que nous avons eu très peu de scarabées japonais. Cela pourrait être dû au fait que l’année a été extrêmement humide, mais il est intéressant de noter que les scarabées et les bourdons hivernent tous deux sous terre. Par ailleurs, lorsque j’ai rendu visite à mes parents en septembre à Concord, MA, ma mère a fait remarquer que tous les chênes avaient des taches sombres. Toutes les feuilles de nos arbres ont les mêmes taches ici dans le sud du Vermont, en particulier celles des hêtres et des trembles. J’ai planté nos premiers plants de baies en 2014, je n’ai donc pas une vaste expérience personnelle de la possession et de la gestion d’une ferme, mais j’espère continuer mes observations et je prévois de recréer cette expérience avec le grillage en aluminium que Katie Haggerty a faite, sauf avec des cassis. »

Une naturaliste grecque, Diana Kordas, a écrit en octobre depuis l’île de Samos, en Méditerranée orientale :

« Je vis à la campagne à quelques kilomètres de la capitale de Samos, Vathi, qui se trouve au fond d’une grande baie, et en face du village touristique de Kokkari. En juillet de cet été 2021, une tour cellulaire 5G pilote a été mise en service au-dessus de Kokkari. Cette tour cellulaire se trouve de l’autre côté de la baie, l’un de ses deux panneaux pointe directement vers nous, et elle se trouve à la même hauteur au-dessus du niveau de la mer que notre propriété. Elle se trouve à environ 6 kilomètres.

Là où nous vivons, nous sommes entourés de tours cellulaires et de boosters (14 au total) fonctionnant à des fréquences 2G, 3G et 4G. On a constaté une diminution progressive de la vie des insectes et des oiseaux ces dernières années, surtout depuis 2014, date à laquelle la 4G est arrivée ici. De nombreuses espèces sont touchées ; nous avons perdu les dernières lucioles (nous en avions beaucoup) il y a deux étés. Cela fait des années que nous n’avons pas eu d’insectes éclaboussés sur le pare-brise de la voiture alors que nous roulions. Mais depuis que cette tour cellulaire 5G a été mise en service de l’autre côté de la baie, nous avons perdu presque tous les pollinisateurs et bien d’autres insectes encore.

Au début de l’été, nous avions un grand nombre de pollinisateurs : bourdons, abeilles domestiques, plusieurs sortes d’abeilles sauvages, abeilles charpentières, guêpes de toutes sortes et syrphes. Nous avons tendance à les remarquer car nous cultivons tous nos propres fruits et légumes. Nos cultures du début de l’été ont été pollinisées sans problème, mais les melons, les tomates et les courgettes que nous avons plantés au début du mois de juillet ont produit très peu de fruits car ils n’ont pas reçu beaucoup de pollinisateurs malgré les nombreuses fleurs. Pas une seule courgette n’a été pollinisée et les tomates n’ont produit que 3 fruits ; les melons (pas autant que nous l’aurions espéré) semblent avoir été pollinisés par de minuscules papillons de nuit.

Nous possédons un terrain d’un hectare et demi, ce qui est une grande propriété pour l’île. Il comporte de nombreux grands arbres (pins, cyprès, caroubiers, pistachiers sauvages, oliviers, amandiers et un bosquet de gommiers mastic extrêmement rare) et quelques arbres fruitiers (abricots, prunes et poires) ainsi que des champs d’herbes et de plantes sauvages. Je tiens à préciser que nous n’utilisons aucun pesticide et que nos voisins n’en utilisent pas non plus. De plus, la plupart des terres qui nous entourent sont sauvages, tant en amont de la montagne qu’en aval de la mer. Notre propre terre n’a jamais reçu de pesticides et je dirais qu’il en va de même pour la plupart des terres qui nous entourent. Ce n’est PAS un problème de pesticides.

Nous gardons également nos terres aussi sauvages que possible, et à l’exception des parcelles que nous cultivons, les plantes sauvages sont autorisées à pousser librement : herbes, fleurs (beaucoup d’orchidées), et beaucoup de fenouil sauvage. Il y a beaucoup de buissons et de haies (je ne connais pas les noms anglais de ces plantes). Beaucoup d’arbres ont plus de 100 ans, et certains cyprès ont plus de 300 ans.

Lors de la plantation, nous avons tendance à faire des cultures intercalaires et à planter également des basilics et des zinnias à fleurs, qui attirent les pollinisateurs, parmi les autres plantes. Nous mettons également des soucoupes d’eau pour qu’ils puissent s’y abreuver – les abeilles ont soif. Nous avons habituellement beaucoup d’abeilles, de papillons, de syrphes, de guêpes, etc., de nombreuses espèces, et nous avions beaucoup de pollinisateurs jusqu’à récemment. Le déclin a commencé en juillet, lorsque la tour a été mise en service.

Les abeilles et autres pollinisateurs, et en fait la plupart des insectes, ont maintenant presque tous disparu. Nous le savons pour plusieurs raisons : l’une est ce que nous voyons (ou ne voyons pas) sur les plates-bandes de légumes, l’autre est ce que nous voyons généralement (ou ne voyons pas, c’est-à-dire presque rien) et la plus importante est ce que nous ne voyons pas sur les caroubiers. Chaque année à cette époque, les caroubiers mâles fleurissent abondamment et attirent des centaines de pollinisateurs : abeilles de toutes sortes, guêpes, frelons et syrphes. On ne peut pas s’approcher de ces arbres sans entendre un fort bourdonnement, et les insectes s’affairent sur eux toute la journée. Ces arbres fleurissent pendant environ un mois, ils sont en pleine floraison, et jusqu’à présent, il n’y a pratiquement rien eu sur eux : un bourdon, une abeille domestique, quelques frelons, quelques mouches de différentes espèces, un couple de minuscules abeilles sauvages. Nous vérifions plusieurs fois par jour, tous les jours.

Ce n’est pas non plus dû à la météo. Depuis que les caroubiers sont en fleur, nous avons eu des conditions météorologiques variées, des vents forts du nord aux vents assez forts du sud, entrecoupés de nombreux jours calmes. Il a plu une fois. Les températures sont dans la moyenne pour cette période de l’année. Qu’il y ait du vent ou non, qu’il fasse chaud ou froid, il n’y a pratiquement aucun pollinisateur sur les caroubes.

Un jour, nous avons également vérifié la présence d’abeilles sur tous les caroubiers mâles que nous avons pu trouver entre ici et Kokkari, et nous n’avons trouvé aucun insecte sur aucun autre caroubier en fleur – ou aucun insecte du tout, à part quelques mouches.

Les caroubiers en fleurs sont un bon indicateur de la présence de pollinisateurs, car ils en attirent un grand nombre. Certaines plantes ont un effet bénéfique, comme la « griffe de chat », une vigne grimpante épineuse qui a des fleurs très odorantes et qui fleurit en cette saison (nous n’avons pas vu de pollinisateurs sur elles non plus) et les fleurs d’oignon, qui attirent tous les types de guêpes et de frelons (mais pas les abeilles). Nous n’avons pas de fleurs d’oignon en ce moment, mais les fois précédentes où nous en avons eu, nous avons eu un grand nombre de guêpes et de frelons, y compris de nombreuses espèces que nous ne reconnaissions pas.

Sur nos terres, au moment où j’écris ces lignes, nous avons perdu non seulement les abeilles mais aussi toutes sortes d’autres insectes : des coléoptères de toutes sortes, y compris des hannetons et des coccinelles, des araignées qui tissent des toiles, des mantes, des papillons de nuit et des papillons (nous avons toujours de grandes nuées d’ombres sur les pins en juillet-août, mais presque pas cette année), des libellules de toutes sortes, des sauterelles et des grillons. Octobre est la saison des libellules, et nous avons actuellement le temps chaud et calme où elles arrivent par milliers. Cette année, nous avons peut-être 1/100e du nombre habituel. Nous avons quelques frelons (pas autant que d’habitude), des taons (moins que d’habitude) et des mouches (qui semblent de tous les insectes être les moins touchés).

Nous avons encore des moustiques, mais je crois que la raison en est qu’ils se reproduisent dans notre citerne, qui a des murs de pierre de deux pieds d’épaisseur et un toit en ciment – elle est protégée des champs électromagnétiques. Les moustiques pénètrent par le tuyau de trop-plein et les minuscules interstices dans les pierres qui recouvrent les trous de drainage. Notre voisin, qui a une citerne à toit ouvert et qui avait des milliers de larves de moustiques dans l’eau (et un gros problème de moustiques) plus tôt dans l’été, n’a maintenant aucun moustique. J’ai vérifié, et il n’y a plus de larves dans l’eau de sa citerne.

Je ne peux que penser que la tour cellulaire 5G est à l’origine de ces événements, car rien d’autre ne peut expliquer la chute soudaine et importante du nombre d’insectes ici. La tour a été mise en service en juillet et les pertes que nous constatons se sont produites depuis juillet. Je pense également que nous assistons à une baisse du nombre de petits rongeurs : rats, souris et campagnols. Nous ne perdons pas de fruits et légumes à cause des souris ou des rats, comme c’est toujours le cas. De plus, sur un terrain sauvage comme celui-ci, on a tendance à trouver des traces d’eux, ou à attraper des queues qui s’envolent dans le faisceau d’une torche la nuit, ou à les entendre (les rats des arbres peuvent être assez bruyants), et il semble qu’eux aussi soient partis ou s’en aillent. Mon voisin ne cesse de trouver des rats morts, mais il ne les empoisonne jamais, donc ils ne sont pas morts d’empoisonnement.

Nous constatons également des changements dans le comportement des animaux. Nous nourrissons un certain nombre de chacals dorés qui ont des difficultés à chasser en raison du manque d’animaux sauvages dans la région. La baie de Samos est déjà entourée de nombreuses tours et amplificateurs cellulaires, en plus de la nouvelle tour cellulaire 5G, et la faune, y compris les insectes et les oiseaux, est en déclin depuis des années. Cependant, au cours des dernières semaines, le nombre de chacals qui viennent chez nous a triplé et ils présentent des symptômes d’anxiété extrême, nous suivent le soir et commencent maintenant à apparaître dans la journée également (ils sont principalement nocturnes). Il s’agit d’animaux sauvages que nous ne traitons pas comme des animaux de compagnie, mais certains d’entre eux deviennent carrément collants, s’approchant à quelques mètres et restant assis pendant des périodes de temps à quelques mètres de nous. Certains d’entre eux, qui n’étaient pas agressifs auparavant, ont commencé à devenir très agressifs avec d’autres chacals et des bagarres éclatent constamment.

La région connaît également des problèmes avec les sangliers, qui sont également à la recherche de nourriture. Nous avons eu plusieurs rencontres trop rapprochées avec ces grands et dangereux animaux (qui apparaissent aussi à des moments où ils ne devraient pas, avant le coucher du soleil) et qui creusent de grandes portions de nos terres la nuit. J’ai été chargée par l’un d’eux et mon mari aussi. De nombreuses personnes les voient de jour, et ils ont creusé des jardins, des bosquets et les bords de la route. Cela ne s’était jamais produit auparavant.

Le nombre d’oiseaux diminue. Nous avons encore un assez grand nombre de mésanges charbonnières et de fauvettes sardes, qui ont tendance à se réfugier dans la couverture profonde des haies épaisses et des grands arbres, mais nous avons perdu toutes les mésanges et les pinsons. Nous avons quelques merles, mais cela fait longtemps que nous n’avons pas vu de mésange charbonnière ou de troglodyte. Les rouges-gorges ne sont pas encore arrivés du nord, alors qu’ils devraient l’être maintenant. Nous avons un couple de chouettes hulottes mais les petites chouettes ont disparu. Nous avons des geais et des corbeaux, quelques colombes à collier (en diminution) et des pigeons ramiers, qui sont devenus peu nombreux ces derniers temps. Le nombre de goélands (goélands à pattes jaunes) est en baisse et les mouettes qui étaient toujours présentes sur la plage en contrebas de nos terres ont complètement disparu. Les rapaces sont moins nombreux – nous avons habituellement des éperviers, des faucons d’Éléonore, des palombes, des buses et des aigles à bec court, mais ils évitent cette zone maintenant, bien que nous les voyions ailleurs, ainsi que des corbeaux.

Nous n’avons pratiquement pas vu d’oiseaux migrateurs dans cette zone cet automne : quelques moucherons, quelques pies-grièches écorcheuses et une bande de mouettes rieuses volant vers la mer, c’est tout. Nous avons entendu mais pas vu une volée de guêpiers, qui ne se sont pas arrêtés ici comme ils le font habituellement.

En conclusion, les tours cellulaires en général ont diminué le nombre d’insectes et de pollinisateurs dans cette zone, ainsi que le nombre d’oiseaux et la faune en général. La nouvelle tour cellulaire 5G a eu un effet dévastateur en très peu de temps, mais il est impossible d’en connaître toutes les conséquences avant le printemps prochain au plus tôt. »


Ceux d’entre vous qui se souviennent des pare-brise de voitures éclaboussés d’insectes, des jardins en feu avec des papillons et des abeilles, des chœurs bruyants de grillons sur la terre ferme et de grenouilles dans les étangs, et des volées épaisses d’oiseaux chanteurs chantant leur joie de vivre, comprendront ce que je vais dire. Les téléphones portables ne sont pas là pour rester. La question de savoir si les gens sont prêts à les abandonner est une autre question.

Si les gens acceptent d’abandonner les téléphones portables, l’amélioration soudaine et spectaculaire de la santé et du bien-être de chacun, ainsi que le retour de toutes nos espèces cousines perdues et en voie de disparition qui essaient encore de partager la Terre avec nous, redonneront de l’espoir à l’espèce humaine et catalyseront d’autres changements qui deviendront soudainement possibles, le plus important étant la fin de l’exploitation et de l’utilisation des combustibles fossiles, qui transforment l’oxygène de l’air en dioxyde de carbone, acidifient nos océans, polluent nos rivières, nos lacs, nos ruisseaux et nos nappes phréatiques, et remplissent les océans, la terre, l’atmosphère et nous-mêmes de particules de plastique.

Si les gens ne renoncent pas volontairement aux téléphones portables, alors notre planète n’a plus beaucoup de temps à vivre, et les téléphones portables mourront avec la Terre. Dans tous les cas, ils ne sont pas là pour rester. S’il vous plaît, rejoignez-moi pour travailler à la restauration de notre maison. Si vous ne l’avez pas encore signé, signez l’Appel international pour arrêter la 5G sur Terre et dans l’espace. Si votre organisation a un statut de consultation auprès des Nations Unies et a la possibilité de soumettre officiellement cet Appel aux Nations Unies, contactez-moi. Si votre organisation s’oppose à la 5G et que vous ne l’avez pas encore fait, contactez-moi à l’adresse info@cellphonetaskforce.org pour signer le mémoire d’amicus curiae soutenant notre cause devant la Cour suprême.

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