Ils ne veulent pas éliminer la pauvreté. Ils veulent éliminer les pauvres

[Source : olivierdemeulenaere]

Par Olivier Demeulenaere

Par ses fonctions sur le terrain, en Afrique notamment, Gabriel Tereso a découvert progressivement comment, sous couvert d’aide publique au développement et de « politique de santé reproductive », certains Occidentaux visent en fait une limitation de la croissance démographique et la déconstruction du modèle familial dans les pays pauvres ou émergents, parfois à l’insu de leurs populations. Éliminer les pauvres plutôt que la pauvreté, voilà leur objectif.

Les moyens : la manipulation des opinions publiques, les programmes officiels (échanges « nourriture contre contraception », campagnes de stérilisation…), mais aussi l’ajout secret d’antigènes hCG dans les vaccins antitétaniques. L’auteur détaille ces politiques, davantage connues depuis la première conférence de Pékin en 1995.

Enfin, il montre comment elles se rattachent à la pensée eugéniste du XIXe siècle : une vision malthusienne promue aujourd’hui encore par de grandes fondations privées « philanthropiques ». Adossées à de puissants groupes financiers et industriels, celles-ci financent les ONG et les grandes institutions internationales (ONU, FMI, OMS…), s’appropriant ainsi la gouvernance mondiale des politiques d’aide au développement, au mépris de la démocratie et du bien commun.
L’auteur :

Gabriel Tereso est docteur en santé publique et spécialiste des politiques de santé dans les pays en développement. Il intervient comme expert en Afrique, en Asie ou en Amérique latine pour des organisations internationales, des cabinets d’étude ou les Nations unies pour lesquelles il a travaillé plusieurs années.

Source : Les Editions du Bien Commun

Rappels :

PLANDEMIE – Gates, Soros, Rockefeller, Buffet, Bezos : l’idéologie néo-malthusienne des élites globalistes

Rassurez-vous : Les « vaccins » Covid-19 ne stériliseront pas TOUTE la population !

[Voir aussi :
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019
Les valeurs familiales de Schwab
La grande conspiration criminelle du « zéro carbone »
Les mots de Christine Deviers Joncour sur Attali, le Covid et le plan de dépopulation]




Selon le chef du Service de renseignement extérieur (SVR) russe, il n’y aura pas de retour à l’ancien monde

[Source : rusreinfo.ru]

Note: Le rôle du SVR dans la situation actuelle est primordial puisqu’il contrôle des centaines d’agents opérant sous couverture dans le monde entier et pouvant être « activés » à tout moment en fonction des intérêts de la Russie.
Malgré les prétendues « informations » de certains « experts » auto-proclamés Sergey Narishkin reste une figure cle du gouvernement russe. Il peut être considéré comme un successeur potentiel de Vladimir Poutine.

Le chef du SVR (service de renseignement extérieur, équivalent de la CIA), Sergei Naryshkin, sur la situation en Ukraine et dans le monde

L’opération militaire spéciale de la Russie a été un véritable moment de vérité pour le monde russe, déclarant fermement qu’il était prêt à défendre pleinement son droit à une existence originale face au mondialisme agressif incarné par l’hégémonie américaine, l’élargissement de l’OTAN, la politique de « l’interventionnisme libéral » et la propagande LGBT.

L’amertume de la confrontation indique clairement que nous parlons de quelque chose de bien plus vaste que le sort du régime de Kiev. En fait, l’architecture de tout l’ordre mondial est en jeu. Nous pouvons dire avec confiance : il n’y aura pas de retour à l’ancien monde.

L’opération spéciale russe mettra définitivement fin aux tentatives de transformer l’Ukraine en un État fantoche russophobe, construisant son identité sur la base de la diabolisation de tout ce qui la relie objectivement à la Russie.

Au stade actuel, Washington considère que sa tâche principale est de prolonger le conflit autant que possible, de le rendre aussi coûteux que possible à la fois pour Moscou et Kiev, et en même temps d’empêcher l’escalade de se propager plus loin vers l’Occident. L’OTAN, comme le soulignent les « stratèges » américains, tente de transformer l’Ukraine « en une sorte d’Afghanistan ».

N’ayant ni la force ni le courage de défier la Russie ouvertement et honnêtement, l’Occident essaie d’organiser un blocus économique, informationnel et humanitaire pour notre pays, de créer une atmosphère de «toxicité» autour de lui qui y rendrait impossible la poursuite de la normalité la vie.

Tactiquement, cela utilise le mécanisme de la « culture d’annulation » élaboré par les élites libérales de gauche américaines sur leurs concurrents de droite, et désormais étendu au niveau mondial.

Une vie confortable et sécurisée, en particulier pour la classe moyenne, est depuis de nombreuses années l’un des piliers de la stabilité politique des pays occidentaux. Aujourd’hui, à cause de la « croisade » de Washington contre la Russie, la population des États-Unis et des pays de l’UE est confrontée à une hausse sans précédent des prix du carburant, de l’électricité et de la nourriture.

Les résidents d’Europe ont déjà commencé à se préparer mentalement aux perspectives d’introduire des cartes alimentaires et de couper les radiateurs, qui, il s’avère, « peuvent être facilement remplacées par des pulls ». Et tout cela sous prétexte d’aider le peuple ukrainien, alors que c’est précisément pour les ukrainiens que toutes ces mesures ne changent absolument rien.

Les élites occidentales utilisent simplement la situation actuelle pour mettre en œuvre des plans longtemps caressés pour l’élimination de facto de la classe moyenne dans l’esprit du scénario bien connu proposé par le Forum économique mondial de Davos : « D’ici 2030, vous n’aurez rien et vous serez heureux ! »

[Voir :
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux]

La volonté de maintenir le rôle d’hégémon mondial pousse les États-Unis à de dangereuses aventures militaro-politiques. Le développement de la confrontation géopolitique sur le théâtre d’opérations européen est suivi de près par les dirigeants des pays du monde non occidental. Tous, y compris les alliés des États-Unis, ne sont pas opposés à tester la force de l’hégémonie qui s’affaiblit en élargissant les limites de ce qui est possible en matière de politique étrangère et intérieure.

En ce moment, une étape fondamentalement nouvelle de l’histoire européenne et mondiale se déroule sous nos yeux. Son essence réside dans l’effondrement du monde unipolaire et du système de relations internationales fondé sur le droit du plus fort, c’est-à-dire les États-Unis, de détruire d’autres États afin d’empêcher la moindre possibilité de leur transformation en centres de pouvoir alternatifs.

Aujourd’hui, la Russie conteste ouvertement ce système – créant un monde véritablement multipolaire qui n’a jamais existé auparavant et dont tout le monde bénéficiera à l’avenir, même nos adversaires actuels.




Racines nazies de la famille royale britannique ?

[Source : Sott.net]

[Photo : © Popperfoto/Getty Images
Le duc de Windsor, qui fut pendant quelques mois en 1936 le roi Édouard,
lors d’une tournée dans l’Allemagne nazie en 1937.]

Les racines nazies de la Maison de Saxe-Cobourg-Gotha (Windsor) mises en lumière par de nouvelles révélations

Par Matt Ehret

Au milieu de la tempête de désinformation orwellienne qui façonne notre monde actuel, le haut est devenu le bas, le blanc est devenu le noir et le bien est devenu le mal [plus que jamais sans doute – NdT].

Bien que les maux du nazisme aient été vaincus principalement grâce aux sacrifices consentis par les Russes pendant la Seconde Guerre mondiale, il est de plus en plus courant d’affirmer que le véritable méchant de la grande guerre était Staline. Et en dépit du fait que les nazis refusant d’accepter le changement social et économique ont été absorbés par la machine de renseignement dirigée par les Five Eyes pendant la Guerre froide — lesquels ont donné naissance à des nazis de deuxième et troisième générations présents en Ukraine aujourd’hui — on nous répète que l’Ukraine est un temple de la liberté et un phare de la démocratie sur le territoire duquel nous devrions risquer d’allumer le feu nucléaire mondial pour le défendre.

Lorsque des vérités gênantes sont capables de percer l’illusion enivrée de Novlangue orwellienne qui a contaminé les grandes lignes de la pensée actuelle, elles constituent une véritable bouffée d’air frais. L’une de ces vérités concerne la reconnaissance par les médias mainstream de l’authenticité du contenu scandaleux et funeste de l’ordinateur portable de Hunter Biden. Ces révélations ont forcé les États-uniens à prendre conscience que leur actuel président a, sous le règne d’Obama, directement bénéficié des systèmes de pots-de-vin et de corruption qu’il supervisait alors qu’il était vice-roi d’une Ukraine infestée de nazis.

Le roi nazi de Channel 4 est nu

Une autre révélation explosive — laquelle a provoqué une onde de choc dans les grandes lignes de la pensée occidentale ces derniers jours — a été présentée dans un documentaire diffusé sur la chaîne britannique Channel 4, intitulé « Edward VIII : Britain’s Traitor King » [Le roi traître de Grande-Bretagne – NdT].

Ce film, basé sur un livre de l’historien Andrew Lownie qui va bientôt sortir, utilise des rapports récemment déclassifiés issus des archives royales pour raconter l’histoire du roi britannique nazi Édouard VIII, qui non seulement souhaitait la victoire des nazis pendant la Seconde Guerre mondiale, mais a activement travaillé à la réalisation de cet objectif depuis le moment où il a été contraint d’abdiquer le trône en 1936 (prétendument pour épouser une divorcée américaine, Wallis Simpson) jusqu’aux jours les plus sombres de la guerre elle-même.

Comme le prouve ce documentaire, apprendre à sa jeune nièce Elizabeth II comment faire un sieg heil correct ne fut pas sa seule courbette envers le nazisme.

Alors qu’il était en exil au Portugal, où le couple royal s’est lié avec l’élite allemande, le documentaire cite des câbles diplomatiques envoyés par Édouard à des responsables allemands, exigeant que les nazis bombardent sans relâche l’Angleterre pour la soumettre en 1940, encourageant la mort de millions de civils innocents. Le film cite également un discours peu connu dans lequel Édouard a appelé à la capitulation de la Grande-Bretagne devant les nazis en 1939, discours que la BBC a refusé de diffuser. Même après avoir été envoyé aux Bahamas par des fonctionnaires impériaux qui avaient décidé qu’il était plus opportun d’abattre leur monstre Frankenstein que de poursuivre leurs plans antérieurs pour un Nouvel Ordre mondial fasciste, le futur roi nazi avait envoyé un câble aux fonctionnaires d’Hitler indiquant qu’il était prêt à revenir en Europe si nécessaire et à reprendre sa place légitime sur le trône en tant que roi aryen.

Édouard VIII et Hitler
© Alamy Stock Photo
Édouard VIII et Hitler

Au-delà du film — Les racines nazies des Windsor

Outre le cas d’Édouard VIII, il existe de nombreux autres liens pour le moins embarrassants entre les nazis et la maison de Windsor (anciennement Saxe-Cobourg-Gotha) que le film ne mentionne pas, dont certains impliquent directement le défunt prince consort Philip Mountbatten (alias le [décédé – NdT] duc d’Édimbourg).

Trois des quatre sœurs du duc d’Édimbourg ont été mariées à des princes nazis, et le mari de l’une d’entre elles (Sophie) est devenu un officier Waffen SS ayant le rang d’Oberführer (chef supérieur).

Ce dernier, le prince Christophe de Hesse-Cassel, était le chef du Forschungsamt (Direction de la recherche scientifique), une opération spéciale de renseignement dirigée par Hermann Göring, et il était également Standartenführer (colonel) de la SS dans l’équipe personnelle de Heinrich Himmler. Les quatre beaux-frères de Philip, avec lesquels il vivait, sont tous devenus des fonctionnaires de haut rang du parti nazi.

Philip a lui-même perpétué la tradition familiale, ayant d’abord été éduqué dans les années 30 dans le cadre d’un programme nazi centré sur l’eugénisme, avant de fonder en 1961 le World Wildlife Fund (WWF) avec un autre ancien membre du parti nazi, le prince Bernhard des Pays-Bas, eugéniste de toujours et fondateur du groupe Bilderberg. Philip et Bernhard ont été rejoints par Sir Julian Huxley (alors président de l’Eugenics Society of Britain) en tant que cofondateur du WWF. Dans une interview accordée en août 1988 à la Deutsche Press Agentur, le prince Philip a proclamé son désir de revenir dans une prochaine vie sous la forme d’un virus mortel pour aider à « résoudre la surpopulation ».

Note du traducteur : En 1907, l’Eugenics Educational Society (qui deviendra après 1926 l’Eugenics Society) est fondée en Grande-Bretagne à l’initiative de Francis Galton (1822-1911) et de la réformatrice sociale Sybil Gotto. Source

Le pendant de l’Eugenics Society of Britain se situe de l’autre côté de l’Atlantique : l’American Eugenics Society et l’American Society of Human Eugenics, financées par les familles Rockefeller, Carnegie et Harriman, ainsi que par l’Institut Rockefeller pour la Recherche médicale. Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme

Quant à Francis Galton, l’homme qui voulait améliorer l’espèce humaine et le fondateur de l’eugénisme, il était le cousin de Charles Darwin — dont les théories ont elles aussi largement alimenté le délire eugéniste — et, entre autres, connu pour avoir mis en place de façon systématique la méthode d’identification des individus au moyen de leurs empreintes digitales. Il a également développé des techniques considérées comme l’ancêtre du morphing.

Francis Galton est aussi le père de la formule « nature vs culture », encore au cœur des débats contemporains ; il la devait sans doute à La Tempête, pièce de théâtre de Shakespeare, dans laquelle Prospero se désole que son esclave Caliban soit « Un démon, un diable-né, car à sa nature, la culture ne saurait adhérer ».

Voir aussi : De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses

En ce qui concerne ce virulent concept de réduction de la population, il convient de revenir sur l’œuvre et les paroles de celui qui fut un éminent vice-président du WWF de 1978 à 1981, Maurice Strong, et qui travaillait directement sous les ordres du prince Philip (alors président par intérim du WWF). Selon Justin TrudeauStrong avait cofondé le Forum économique mondial aux côtés de Klaus Schwab en 1971, présidé la Conférence des Nations unies sur la population de 1972 et sa suite à Rio de Janeiro en 1992, tout en jonglant avec un large éventail de casquettes : président de la Banque mondiale, auteur de la Charte de la Terre, fondateur de l’Agence des Nations unies pour la protection de l’environnement et architecte de l’Agenda 21 (récemment rebaptisé Agenda 2030).

Note du traducteur : À propos de Maurice Strong et de l’Agenda 2030, voir les deux articles suivants :

Attachez vos ceintures ! Mesdames, Messieurs maintenant le « Grand Reset » de l’économie mondiale de Davos. Que se passe-t-il après la pandémie de la Covid-19 ? :

[Maurice Strong était] un pétrolier canadien milliardaire et ami proche de David Rockefeller, c’est l’homme qui a joué un rôle central dans les années 1970 pour l’idée que les émissions de CO2 dues à l’homme rendaient le monde non durable. Strong a créé le Programme des Nations unies pour l’environnement et, en 1988, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) pour étudier exclusivement le CO2 d’origine humaine.

Et Vanguard, Blackrock, Big Pharma, Gates, FEM, OMS, ONU & Co — Monopole et Grande réinitialisation

Maurice Strong
© Wikimedia
Maurice Strong

Dans un entretien accordé en mai 1990 au magazine WEST, Strong évoque une réunion à Davos et s’interroge :

« Et si un petit groupe de dirigeants mondiaux arrivait à la conclusion que le principal risque pour la Terre provient des actions des pays riches ? Et si le monde devait survivre, ces pays riches devraient signer un accord réduisant leur impact sur l’environnement. Le feraient-ils ? La conclusion du groupe est « non ». Les pays riches ne le feraient pas. Ils ne changeraient pas. Alors, pour sauver la planète, le groupe décide : Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-il pas de notre responsabilité d’y parvenir ? »

Le prince Philip a fait preuve d’une froideur misanthrope similaire en contemplant le zoo humain :

« Vous ne pouvez pas garder un troupeau de moutons plus important que la quantité que vous êtes capable de nourrir. En d’autres termes, la conservation peut impliquer un abattage afin de maintenir un équilibre entre les nombres relatifs de chaque espèce dans un habitat particulier. Je me rends compte que c’est un sujet très délicat, mais il n’en reste pas moins que l’humanité fait partie du monde vivant. Chaque nouvelle superficie mise en culture signifie qu’une autre superficie est refusée aux espèces sauvages. »

Le cas troublant du Prince Charles

Bien que Philip soit décédé en 2021, son fils et héritier du trône a pris la mission de son père de réduire la population mondiale à cœur, en dirigeant diverses organisations de protection de l’environnement et en tant que parrain de la défunte Liverpool Care Pathway, dont il a été révélé qu’elle a euthanasié plus de 60 000 citoyens britanniques par an, sans leur consentement, entre 2001 et 2013.

Au cours de ses 18 années de règne, la Liverpool Care Pathway a fait pression sur des centaines de prestataires de soins de santé pour qu’ils inscrivent des millions de patients malades et âgés — et coûteux — sur des listes de « fin de vie » sans leur consentement, avec pour conséquence une déshydratation forcée et des perfusions de morphine pour accélérer la mort, alors que des traitements vitaux étaient encore disponibles.

En juin 2020, le prince Charles a cofondé avec son collègue Klaus Schwab l’Initiative Great Reset du Forum économique mondial afin de profiter de la « double crise existentielle » du changement climatique et d’une pandémie [orchestrée – NdT] pour remodeler radicalement les comportements et les systèmes économiques mondiaux. Au-delà des belles paroles utilisées par les milliardaires de Davos pour rallier l’humanité au sauvetage de la planète, le fait est que ces réformes « vertes », « Build Back Better » [reconstruire en mieux – NdT], qui adhèrent à l’énergie durable, à la réduction des émissions de carbone et aux réformes de l’alimentation, comme en témoigne l’agenda européen « Farm to Fork » [de la ferme à la fourchette – NdT], entraîneraient une échelle de mort dont même un Hitler pourrait rougir.

Le pedigree nazi de la famille royale et de ses fidèles dirigeants soulève la question suivante : Pourquoi leur poursuite de la doctrine eugénique nazie sous la forme des mouvements d’euthanasie et de croissance zéro n’a-t-elle pas été plus largement portée à la connaissance du public ? Dans quel type de monde vivons-nous, pour que des faits aussi ahurissants ne soient pas de notoriété publique ?

Le système du Conseil privé

J’espère qu’il devient de plus en plus clair que l’empire britannique et ses aspirations au contrôle de la population n’ont jamais pris fin avec l’annulation du projet Hitler en 1945.

J’espère qu’il devient également clair que cet empire n’a jamais été la nation de Grande-Bretagne, son Parlement ou son peuple.

Le véritable Empire a toujours été une oligarchie financière utilisée par un vaste réseau de structures de pouvoir pour promouvoir les intérêts de l’aristocratie européenne. L’épicentre actuel du pouvoir est constitué par les monarchies anglo-néerlandaises (autrement appelées les Founts of All Honours). C’est ce pouvoir qui contrôle le groupe Bilderberg, son appendice junior le Forum économique mondial, et qui dirige la politique américaine par l’intermédiaire du Council on Foreign Relations basé à New York (la version américaine de Chatham House), surnommé par Hillary Clinton « le vaisseau-mère ».

Note du traducteur : Un « Fount of Honour » désigne le chef d’État d’une nation qui, en vertu de sa position officielle, a le droit exclusif de conférer des titres légitimes de noblesse et des ordres de chevalerie à d’autres personnes.

Chatham House est un autre nom pour le Royal Institute for International Affairs (RIIA) créé en 1919 par les principaux Milnerites du mouvement de la Table ronde qui ont créé le Council on Foreign Relations (CFR) afin de promouvoir l’eugénisme et un gouvernement mondial sous l’égide de la Société des Nations. La branche américaine a reçu son nom pour éviter toute allusion à la terminologie britannique en raison de la méfiance des Américains à l’égard des intrigues britanniques. Les branches canadienne et australienne ont été créées en 1928 et dirigées depuis lors le plus souvent par des agents formés à Oxford. Dans le cas des États-Unis, l’actuel président du CFR, Richard Haass, a obtenu une bourse Rhodes à Oxford en 1978.

Note du traducteur : Ce mouvement est aussi connu sous le nom de Rhodes-Milner Round Table Groups. Parmi les premiers membres se trouvent Lord Balfour, Cecil Rhodes et Lord Nathan Mayer Rothschild. La Table ronde sera financée par la Banque Lazard, la J.P. Morgan & Co. ainsi que par la famille Astor. C’est aujourd’hui un think tank toujours actif. Selon Wikipédia, l’influence de ce groupe aurait et serait très exagéré. Ben voyons…

C’est à Lord Lothian, membre éminent de Chatham House, qu’Hitler a exposé en 1937 son concept de nouvel ordre mondial anglo-allemand en déclarant :

« L’Allemagne, l’Angleterre, la France, l’Italie, l’Amérique et la Scandinavie… devraient parvenir à un accord par lequel elles empêcheraient leurs ressortissants d’aider à l’industrialisation de pays comme la Chine et l’Inde. Il est suicidaire de promouvoir l’établissement d’industries manufacturières dans les pays agricoles d’Asie. »[1]

N’importe quel technocrate prônant un projet de « Reconstruire en mieux pour le monde entier » ou un « New Deal vert mondial » pourrait être l’auteur de cette déclaration.

Aujourd’hui, l’Institut canadien des affaires internationales a été rebaptisé Conseil international du Canada (CIC). Le CIC est présidé par Ben Rowswell, spécialiste du changement de régime formé à Oxford, qui a travaillé en étroite collaboration avec la conseillère privée Chrystia Freeland pour tenter de renverser le gouvernement de Maduro en faveur de Juan Guaido, un pantin du Forum économique mondial, une tentative qui se poursuit encore aujourd’hui.

Un pilier essentiel du contrôle des colonies sous influence anglo-néerlandaise reste le système du Conseil privé, qui est centré sur la Grande-Bretagne, mais qui possède des branches secondaires dans certains pays du Commonwealth. C’est sous l’influence de ce Conseil privé que les agents de niveau inférieur sont institués sous la forme de sous-ministres, de Conseil du Trésor, de comités restreints et d’autres fonctionnaires nommés dans la fonction publique. D’autres acteurs clés des secteurs public et privé gèrent les intérêts de la Couronne. Tous les membres du cabinet du gouvernement sont nommés conseillers privés et tous les conseillers privés prêtent un serment de secret et d’allégeance à la Reine, y compris le serment de garder secret ce qui est discuté lors des réunions du Conseil privé[2].

Note du traducteur : Voir à ce sujet l’excellent article La psychopathie mondialisée et le Partenariat public-privé mondial et ses mécanismes de gouvernance multipartite

Au temps pour les parangons de « l’ordre libre et démocratique fondé sur des règles » !

Comme le documentaire de Channel 4 sur le roi nazi devrait nous le rappeler, certains placards royaux ne peuvent plus contenir le grand nombre de squelettes que certaines forces puissantes ont souhaité mettre à l’abri des regards. L’incapacité de la civilisation occidentale à rejeter la Novlangue orwellienne et autres inversions de la vérité a donné lieu à une tension existentielle qui sera résolue d’une manière ou d’une autre. Quant à savoir si cela signifie que l’héritage anti-humain d’Hitler, du Prince Philip, d’Edward VIII et d’autres nazis royaux passés et présents poussera l’humanité vers un nouvel Âge sombre ou si cela nous fera sortir de notre torpeur et chercher un nouveau destin plus digne, rien n’est certain.

Notes

[1] Transcription depuis l’ouvrage de Sir James R.M. Butler, Lord Lothian, Philip Kerr, 1882-1940, Macmillan and Co., Londres, 1960, pp. 332

[2] Étant donné qu’il est difficile pour les gens ordinaires de se faire à l’idée qu’une institution aussi médiévale existe encore dans le monde moderne, voici une extrait choisi du Serment d’allégeance que tous les conseillers privés doivent prêter en entrant dans cette fonction :

« Je, [nom], jure solennellement et sincèrement être un fidèle serviteur de Sa Majesté la Reine Elizabeth II, en tant que membre du Conseil privé de Sa Majesté pour le Canada. Je déclarerai fidèlement, honnêtement et véritablement ma pensée et mon opinion sur toutes les questions à traiter, à débattre et à résoudre au Conseil privé. En cette qualité, je garderai secrètes toutes les questions qui me seront confiées et révélées ou qui seront traitées secrètement devant le Conseil. D’une manière générale, j’agirai en toutes choses comme un fidèle et véritable serviteur doit le faire pour Sa Majesté. »

À propos de l’auteur

Matthew Ehret est le rédacteur en chef de la Canadian Patriot Review et Chargé de mission à l’université américaine de Moscou. Il est l’auteur de la série de livres Untold History of Canada et de Clash of the Two Americas. En 2019, il a cofondé la Rising Tide Foundation, basée à Montréal. Cet article a été publié pour la première fois sur le site de la Fondation pour la culture stratégique.

Source de l’article initialement publié en anglais le 3 avril 2022 : Substack
Traduction et emphases : Sott.net




La Suisse a offert à Klaus Schwab le statut d’Organisation internationale. Une révolution antidémocratique

[Source : LHK]

Par Liliane Held-Khawam

[Photo : Le président ukrainien Zelenski au WEF. Notre texte sur le sujet: L’Ukraine, terrain de jeu des oligarques? Pendant ce temps, la Monnaie Unique Mondiale se précise sur fond de Dépossession.
https://lilianeheldkhawam.com/2022/03/08/lukraine-terrain-de-jeu-des-oligarques-pendant-ce-temps-la-monnaie-unique-mondiale-se-precise-sur-fond-de-depossession/]

Le Nouveau Monde [NDLR : alias ici le Nouvel Ordre Mondial, pas celui qui lui fera suite.] n’a que faire du concept de Nation, de Démocratie, et des Droits de l’homme. Toutes les crises qui nous terrassent sont autant d’écrans de fumée qui visent à détourner l’attention de la finalisation de la mise en place de la globalisation. À titre personnel, je ne crois pas qu’il existe sur cette terre un seul dirigeant politique de premier plan qui soit un véritable nationaliste ayant le moindre pouvoir opérationnel.

C’est techniquement impossible au vu de la pieuvre monétaro-financière qui régit la planète. Nous vivons une période où les traités et les accords qui comptent sont réglés hors du champ visuel. Quant à la gestion du grand public, celle-ci est déléguée à des communicants-influenceurs qui oscillent entre propagande et démagogie. Ainsi, le bon public est neutralisé grâce à des doses généreuses de messages émotionnels et anxiogènes à souhait. L’ essentiel, c’est qu’il ne bouge plus et qu’il se dise au fond de lui qu’il y a pire que lui dans ce monde.

Pour vous apporter quelques éléments qui étaient mes dires, je vais vous parler de la Suisse. En septembre 2013, suite à une énième trahison d’une dirigeante du pays, j’avais tenté d’alerter les gens sur le danger que courait le pays via le texte « La Suisse est un concept en danger ». Si cet article est depuis devenu un classique, je vous assure qu’il n’a eu aucun impact concret sur la désintégration du pays.

Les autorités suisses s’enfoncent dans le déni de la démocratie et accordent des privilèges formidables à Klaus Schwab.

Depuis quelque temps, Klaus Schwab a quitté sa discrétion (timidité?) légendaire pour épouser une sorte d’arrogance doublée d’orgueil tant il a besoin d’étaler sa victoire et celle de ses partenaires dans les médias et les conférences qu’ils concoctent avec ses disciples. Oui, Klaus Schwab veut donner de lui tous les jours un peu plus l’image d’un puissant gourou qui a réussi à créer une alliance planétaire avec l’ensemble des décideurs qui comptent. Et il est si fier de son concept de stakeholder management qu’il en oublierait presque de prendre en compte l’humanité qui peuple la terre et qui découvre cet homme dont les discours n’ont rien à envier aux dirigeants les moins bienveillants de l’histoire de l’humanité. De fait, ses propos sont une déclaration de guerre lancée aux populations puisqu’il se permet de définir le changement de leur nature humaine sans leur consentement. Ceci n’est pas juste une déclaration de guerre ami lecteur. Ceci est un projet génocidaire.

Et comme je n’ai pas l’habitude de vous faire perdre votre temps, je rappelle le texte qui prouve la dangerosité des paroles tenues par le monsieur, et/ou par son principal conseiller (vidéo Harari). L’idéologie qui est vantée dans les allées du World Economic Forum sont indignes du pays hôte, et donc de la Suisse!



Yuval Harari le maître à penser de Klaus Schwab, vous explique sa vision de l’ « humain » du futur. Sur Youtube pour activer la traduction :
https://www.youtube.com/watch?v=hL9uk4hKyg4

Klaus Schwab est donc gonflé à bloc. On perçoit dans ses interventions une espèce d’exaltation qui ne s’explique que par la dimension spirituelle du monsieur. En remettant en question la nature humaine, cet homme met à mal chaque ligne des textes de ce livre. Par conséquent, M Schwab est le symbole d’un bras de fer engagé contre le Dieu de la Bible, qui dit du début à la fin que l’homme est créé à son image. L’idéologie défendue par les messieurs ci-dessus désacralise la vie humaine et mènerait tôt ou tard à un société de maîtres et d’esclaves. Ne vous laissez pas berner par un revenu universel alors que la société du futur ne veut même pas investir sur les fragiles et les vulnérables.

Risque de créer une société de maîtres et d’esclaves! Ecole centrale de Lyon – Café éthique – Le Transhumain, l’avenir de l’homme ou sa fin ? Commentaires de certains scientifiques sur le sujet.
https://youtu.be/Zb0deyKIKwU?t=857

À titre personnel, Klaus Schwab me fait penser à Goliath qui se pavanait tous les jours devant le peuple hébreu du petit David. Cependant en tant que protestant, Klaus devrait savoir que du haut de ses 17 ans, et malgré l’absence d’équipement, le petit David a abattu le Goliath avec un caillou grâce à un simple … lance-pierre.

Le World Economic Forum est devenu une Organisation internationale

Si Klaus Schwab se sent si fort, ce n’est pas par hasard. Son organisation qui est une espèce de lobbyisme grandeur planétaire est devenue une Organisation internationale avec énormément de droits et très peu de devoirs. Evidemment tout cela se fait grâce à l’argent captif du contribuable suisse.

Je vous invite à regarder cette vidéo dans laquelle le monsieur vous explique qu’il a accès à tous les gouvernements de la planète, et peut-être pas seulement pour les inviter à des symposiums.

En quoi les propos lus et entendus ci-dessus répondent à la définition de l’Organisation internationale? Regardez sa définition dans le Larousse: Organisation internationale est un groupement composé ou non d’États (organisation intergouvernementale), à vocation soit universelle, soit régionale ou continentale. (Les organisations internationales ont notamment pour objet la sécurité collective des États et la promotion de la condition humaine dans la communauté mondiale.) En écoutant MM Schwab et Harari, je ne suis nullement rassurée quant à l’avenir de la condition humaine qu’elle soit locale ou mondiale!

En 2016, un traité signé par le Conseil fédéral suisse reconnaît le World Economic Forum en tant qu’Organisation internationale.

L’obtention du statut d’Organisation internationale a été un moment très important pour ce monsieur. Dans un article du Temps, il compare le WEF à la Croix Rouge puisque dans les deux cas, elles sont devenues hors mandat politique des organisations internationales. Notre question serait de savoir en quoi l’organisation de cet homme serait-elle aussi vitale à l’humanité qu’a pu l’être la Croix-Rouge lors de sa création?

Plus grave, selon mes convictions, le principe du stakeholder system, est une porte ouverte au totalitarisme d’un clan anonyme privé (cf la 1WorldCompany). Tout le monde a toujours su que le mélange public-privé, ainsi que le transfert des techniques de management dans la vie publique, serviraient de terreau sur lequel le fascisme prospère. Il n’y a aucun doute. Le World Economic Forum ne peut ignorer ce qui est présenté dans cet espace.

« Le fascisme devrait plutôt être appelé corporatisme, puisqu’il s’agit en fait de l’intégration des pouvoirs de l’Etat et des pouvoirs des marchés », dixit Mussolini.

Cela rejoint le sénateur T.Bone quand il déclarait le 4 juin 1943, au comité du Sénat américain pour les affaires militaires : Farben était Hitler et Hitler était Farben ».

Introduction de Coup d’Etat planétaire, 2019

Voici la liste des Organisations internationales admises par la Suisse :

Le 23 janvier 2015, soit 8 mois avant le lancement par le pape François de l’Agenda 2030, un accord a été signé
entre le Conseil fédéral suisse et la Fondation du World Economic Forum relatif au statut de la Fondation du World Economic Forum en Suisse

Or, selon Stéphane Paquin et Kristine Plouffe-Malette « Les organisations internationales sont créées par traités par des États souverains et représentent des lieux où ces derniers se réunissent dans le cadre de structures permanentes qui incluent généralement des instances de délibération et un organe exécutif et administratif. » C’est exactement ce que le Conseil fédéral offrit au WEF. Et s’ils ont pu le faire, c’est grâce aux pouvoirs nouveaux que leur a octroyés la Constitution post 1999. Depuis, le Conseil fédéral passe des accords-contrats en direct avec beaucoup beaucoup de monde. Et cela change la nature du pays.

Et que dit cet accord avec le WEF?

L’intégration des gouvernements avec les entreprises, les universités, le business est actée. C’est le principe de la cogouvernance publique-privée: « considérant que, conformément aux statuts de la Fondation, le World Economic Forum a pour mission d’intégrer les dirigeants du monde des affaires, des gouvernements, des milieux académiques et de la société dans son ensemble au sein d’une communauté œuvrant pour l’amélioration de l’état du monde, (…) »

Liberté d’action

Le WEF bénéficie d’un territoire qui s’appelle la Suisse au sein duquel la liberté d’action est garantie. Les exigences mises en place dans le cadre de la crise Covid ne devraient donc pas s’appliquer à un établissement comme le WEF. A moins que son chef, Klaus Schwab en décide autrement.

Art. 2 Liberté d’action

1 Le Conseil fédéral suisse garantit l’indépendance et la liberté d’action du World Economic Forum.

2 Il lui reconnaît une liberté de réunion absolue, comportant la liberté de discussion, de décision et de publication sur le territoire suisse.

Exonération fiscale

Le WEF est exonéré fiscalement! Nous contribuables suisses, nous devons fournir l’argent nécessaire pour que le WEF puisse bénéficier d’une infrastructure adéquate pour gérer son quotidien. Question: qui engrange les bénéfices su WEF? La famille Schwab? Si oui, comment et au nom de quoi un Conseil fédéral est-il autorisé à mettre un groupe d’individus hors des droits et des devoirs des citoyens?

Art. 3 Régime fiscal

1 Le World Economic Forum est exonéré de l’impôt fédéral direct (…)

2 La Caisse de pension du World Economic Forum est exonérée des impôts directs fédéraux, cantonaux et communaux, (…)

Liberté de disposer de fonds et de produits financiers, et d’or. A l’intérieur et HORS de la Suisse

En lisant ce document, on trébuche subitement sur un passage extraordinaire! Le WEF bénéficie de liberté de disposer de fonds sous toutes les formes, et leur circulation en Suisse et hors de Suisse n’est soumise à aucune contrainte. Les prudences quant aux risques liés à cette libre-circulation du genre de blanchiment d’argent ou de corruption de gouvernements, ne font pas partie de la réflexion. Le WEF est au-dessus de nos lois! L’Etat de droit est bel et bien mort!

Art. 4 Libre disposition de fonds

Le World Economic Forum peut recevoir, détenir, convertir et transférer tous les fonds quelconques, toutes devises, tous numéraires, de l’or et autres valeurs mobilières, en disposer librement tant à l’intérieur de la Suisse que dans ses relations avec l’étranger.

Promotion de la Suisse

Le World Economic Forum utilise les prestations du Département fédéral des Affaires étrangères pour intervenir dans les dossiers et les situations qui l’intéressent. Ainsi, il dispose de moyens gouvernementaux pour faire avancer ses visions politiques dans les crises gouvernementales. Bref, le DFAE deviendrait un consultant au service du WEF! En échange le WEF fait la promotion de la Suisse et de sa démocratie incomparable par exemple? Quel est l’intérêt de la Suisse à porter atteinte à l’Etat de droit et donc à s’abaisser pareillement?

Art. 6 Coopération entre le World Economic Forum et la Confédération

Le renforcement de la coopération entre le World Economic Forum et la Confédération fera l’objet d’un accord séparé entre le Département fédéral des affaires étrangères et le World Economic Forum, en lien notamment avec la politique de bons offices de la Suisse et la promotion de la politique d’Etat hôte de la Suisse

Et ce n’est pas tout! Le WEF bénéficie de l’infrastructure de la Suisse en tant qu’Etat partout dans le monde!

Art. 9 Assistance des représentations diplomatiques et consulaires suisses à l’étranger

Le World Economic Forum pourra avoir recours, en cas de nécessité, à l’assistance des représentations diplomatiques et consulaires suisses à l’étranger.

Et que fait-on en cas de problèmes? On négocie.

Art. 11 Règlement des différends

Tout différend entre les parties au présent Accord concernant l’interprétation ou l’application du présent Accord est réglé par des négociations entre les parties.

Un alinéa s’intéresse tout de même à la sécurité de la Suisse

Pour être complet, j’ai tout de même trouvé cet alinéa. Ca fait du bien de le lire même si on ne voit pas comment avec l’article 4 les problèmes liés à l’éventuelle circulation d’argent sale pourrait être traité avec l’article 6. A moins que la qualification de l’argent, propre ou sale, varie en fonction de son détenteur…

Art. 8 Sécurité de la Suisse

1 La compétence du Conseil fédéral suisse de prendre toutes les mesures nécessaires pour sauvegarder la sécurité de la Suisse est réservée :

Alors comment expliquer ce qui précède?

Les dirigeants du public ET du privé travaillent pour un projet unique qui mène invariablement à l’Agenda 2030

« Nous sommes la seule organisation qui fait la promotion de la coopération entre les secteurs public et privé. » Il a raison de préciser la chose, puisque le WEF a tenté de donner un vernis intellectuel et scientifique au tricotage entre les ressources des Etats publics et les mains privés. Un système extraordinairement inique, mais légalisé par des politiciens corrompus, a été mis en place avec un mépris total des populations réduites au statut de ressources productives. Les associations de suicide assisté se chargeront de sortir avec dignité ceux qui n’ont plus rien à offrir en matière de valeur ajoutée. C’est ce que nous avions tenté d’expliquer en 2019 sous le titre de Coup d’Etat planétaire.

Nous sommes donc à la croisée des chemins. Les modèles monétaires, financiers, économiques, fonciers, éducatifs, ou culturels de l’ancien monde sont en voie de liquidation. Les richesses associées ont néanmoins été captées par une oligarchie privée et corporatisée, qui se rend maîtresse de tous les leviers. Parallèlement à cela, elle tente d’unifier la planète sous des prétextes messianiques, auxquels sont rattachés des programmes de développement. Pour l’heure, nous avons pu constater que le concept générait une décrépitude de l’humanité et de la planète. A l’opposé, se trouve la micro-élite dotée de seigneuriage qui bénéficie d’une prospérité historique. Tout dépend donc de quel côté on se place pour évaluer l’écart entre les résultats promis et ceux observés. Les programmes mis en place sont porteurs d’un succès parfait pour les uns et d’un drame tout aussi prégnant pour le reste des vivants (animaux et planète inclus).

Pour atteindre le nouveau paradigme, les seigneurs mettent en place une révolution sociétale dans laquelle l’humanité risque de perdre ses dernières libertés et ses droits, avec en particulier le droit à la propriété privée. Ce faisant, elle dépendra du système omniprésent pour assurer sa subsistance. Un revenu universel et une économie de partage seront mis à disposition du terrien contre services rendus à la communauté.

Extrait de Coup d’Etat planétaire, 2019
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/03/remise-en-question-de-la-societe/

Une élite assez large, couvrant de nombreux secteurs, a participé à l’élaboration du projet.

Et ce projet unique est concrétisé dans l’Agenda 2030 qui vise la transformation du monde sous le prétexte de Développement durable jusqu’en 2019, puis au travers de  » l’opportunité  » offerte par le Covid, et actuellement grâce au soutien de la cause ukrainienne représentée par le héros national Zelenski.

Une formation unique en fil rouge du CV des leaders du public ou du privé

Plus récemment, Jim Rickards expliquait comment on a réussi à formater les mentalités des politiciens pour les faire adhérer à l’impensable. Cela fait des années que nous avons tous compris que les dirigeants politiques faussement labellisés droite-gauche, internationaliste ou nationaliste, poursuivent le même agenda. Et pour cause, ils ont été pratiquement tous formés dans les mêmes académies, ou ont subi des formations au sein des fondations du genre Rockfeller, American-French (ou Swiss) Foundation, celle des young leaders du WEF, etc. Ils ont été nourris au même lait maternel qui mène aux postes-clés. Qu’ils soient convaincus ou pas de la cohérence des modèles pseudo-scientifiques recouverts de jargons dédiés aux initiés, ils savent qu’ils doivent filer droit une fois nommés.

Davos 18 minutes

La suprématie du marché ne peut laisser de place à la démocratie.

Quand un homme politique vous parle de démocratie de marché, il se moque de son électorat. Il n’y a pas de démocratie, qui donne le pouvoir aux peuples, dans un système dominé par le marché. Cela est particulièrement un non-sens lorsque quelques entreprises ont la main mise sur tous les leviers de celui-ci et que les PME sont en train de couler. Comment donner du pouvoir politique à des populations qui n’ont pas voix au chapitre économique de base. La démocratie de marché porte dans son appellation même l’absurdité de mots irréconciliables.

Jacques Attali, fin influenceur de la société francophone, avait décrit clairement les conséquences de la captation par quelques-uns de ce marché planétaire vorace. Voici ce qu’il disait en 2016 au sujet de l’impuissance de la démocratie locale face à un marché global, spécialement quand les politiciens sont acquis à la cause des financiers…

Dans le proche avenir, on peut donc assister à une remise en cause de l’idéal des démocraties de marché

La démocratie sera progressivement critiquée, puis rejetée, parce qu’elle échouera à donner du sens et sera incapable de maîtriser les forces du marché, de prévoir les enjeux de long terme, de prendre des décisions impopulaires, de diffuser équitablement le progrès technique, de maîtriser le climat, de canaliser les migrations, d’organiser le vivre ensemble, de donner une voix égale à chacun, et encore moins aux générations futures; incapable de maîtriser la concentration des richesses et des pouvoirs, d’équilibrer les forces des marchés, de créer des emplois, de maintenir le niveau de vie des classes moyennes, de faire respecter la sécurité, de donner du sens à la rage, de maîtriser la colère. 

On expliquera que les mêmes soi-disant élites se reproduisent, et qu’elles décident en fonction de leurs seuls intérêts, qu’on présentera de plus en plus comme nomades, sans racines, contraires à l’intérêt des nations. Les classes moyennes mêleront dans un même opprobre les élites et les migrants, nomades de luxe et nomades de misère. 

[…] On préférera les plaisirs de l’instant à la défense de la liberté des générations suivantes. Le narcissisme imposera sa tyrannie. On refusera de mourir pour défendre les autres, ou des valeurs. Des boucs émissaires seront désignés parmi ceux qui sont différents, en particulier ceux venus d’ailleurs. On voudra les chasser, les exclure. 

On dira que la libération du désir illimité, voulue par le marché et la démocratie, provoque de la frustration, par l’impossibilité de satisfaire tant la demande de biens que la demande de renommée. La démocratie et le marché seront ainsi vus comme de plus en plus porteurs d’une idéologie nomade, contraire aux intérêts des peuples, qui sont, eux, sédentaires. 

La liberté sera vue aussi comme le droit de libérer la part diabolique qui est en soi, de moins en moins contrainte par la conscience et le respect de soi, d’être monstrueux, sectaire, suicidaire, tortionnaire. La liberté légitimera la rage et la colère, qui se retourneront contre elle. 

Emergeront alors des idéologies d’une grande violence, de l’écologie radicale au fondamentalisme religieux. La démocratie sera rejetée. Le totalitarisme revisité. 

Pour se protéger, on sera prêt à abandonner la démocratie au nom de la laïcité ou du fondamentalisme; on utilisera toutes les technologies dans une société d’hypersurveillance, où la sécurité deviendra un marché de masse. On sera prêt à oublier la liberté pour défendre la sécurité. On passera de la démocratie à la dictature en passant par l’étape de la « démocrature », dictature maquillée en démocratie. […] 

https://www.lexpress.fr/actualite/politique/jacques-attali-comment-sauver-la-democratie_1842174.html

Un devin Jacques Attali. On peut tout de même le remercier car il montre que tout aurait pu être anticipé et désamorcé à temps… Encore eut-il fallu que l’on en eusse envie…

LHK

Complément

Voici un texte qui répond à l’orgueil démesuré de toutes ces personnes qui méprisent l’humanité et la vie au naturel. Son auteur est le roi Salomon celui qui a recherché la sagesse plutôt que les richesses.

1 Paroles de l’Ecclésiaste, fils de David, roi de Jérusalem.

2 Vanité des vanités, dit l’Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité.

3 Quel avantage revient-il à l’homme de toute la peine qu’il se donne sous le soleil?

4 Une génération s’en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours.

5 Le soleil se lève, le soleil se couche; il soupire après le lieu d’où il se lève de nouveau.

6 Le vent se dirige vers le midi, tourne vers le nord; puis il tourne encore, et reprend les mêmes circuits.

7 Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n’est point remplie; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent.

8 Toutes choses sont en travail au delà de ce qu’on peut dire; l’oeil ne se rassasie pas de voir, et l’oreille ne se lasse pas d’entendre.

9 Ce qui a été, c’est ce qui sera, et ce qui s’est fait, c’est ce qui se fera, il n’y a rien de nouveau sous le soleil.

10 S’il est une chose dont on dise: Vois ceci, c’est nouveau! cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés.

11 On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.

12 Moi, l’Ecclésiaste, j’ai été roi d’Israël à Jérusalem. 

13 J’ai appliqué mon coeur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux: c’est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l’homme. 

14 J’ai vu tout ce qui se fait sous le soleil; et voici, tout est vanité et poursuite du vent.

15 Ce qui est courbé ne peut se redresser, et ce qui manque ne peut être compté.

16 J’ai dit en mon coeur: Voici, j’ai grandi et surpassé en sagesse tous ceux qui ont dominé avant moi sur Jérusalem, et mon coeur a vu beaucoup de sagesse et de science.

17 J’ai appliqué mon coeur à connaître la sagesse, et à connaître la sottise et la folie; j’ai compris que cela aussi c’est la poursuite du vent.

18 Car avec beaucoup de sagesse on a beaucoup de chagrin, et celui qui augmente sa science augmente sa douleur. (Ecclésiaste1, version Louis Segond)




Ce que personne ne vous a dit sur l’Ukraine et les journalistes – Époustouflant !

[Source : numidia-liberum]

Par Hannibal Genséric

Quelque chose d’incroyable  a été révélé par un brave héros de l’humanité.
Udo Ulfkotte était le rédacteur en chef de l’un des plus grands journaux européens, le Frankfurter Algemeine Zeitung .
Il y a quelques années, il a avoué au monde que des journalistes du monde entier sont payés par la CIA, des sociétés secrètes, des gouvernements, des milliardaires, etc. pour…  
toujours mentir et ne jamais dire la vérité au public.

[Voir aussi :
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA]

Téléchargez ce mème pour pouvoir le partager sur les réseaux sociaux.

Cet éditeur de journal a avoué que les journalistes sont payés pour…  pousser à la guerre avec la Russie !

C’est là qu’Ulfkotte a tracé la ligne. Après avoir menti au public pendant plus de 25 ans, il ne pouvait plus vivre avec sa conscience. Il a publiquement avoué sa culpabilité et exposé le cartel mondial des médias criminels, qui conduit l’humanité à sa perte.
Peu de temps après ses aveux, Ulfkotte a été retrouvé mort.
Écoutez sa confession dans cette vidéo :


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Incroyable tromperie

Ce qu’Ulfkotte a avoué peut facilement être observé quand on regarde comment les médias du monde entier mentent sur l’Ukraine. Regardez les exemples suivants…

Une photo d’une explosion à Gaza il y a des années, est publiée comme si cela venait de se produire en Ukraine… :

Une explosion en Chine à partir de 2015 est publiée comme si elle s’était produite en Ukraine, tout à l’heure… :

Une image d’un film de 2010 est publiée comme si elle avait été prise en Ukraine… :

Une autre scène d’un film, est utilisée pour ‘reporter’ sur ce qui se passe en Ukraine… :

Une image d’une explosion de gaz en 2018 est utilisée pour montrer la « destruction causée en Ukraine par la Russie ». La dame montrée avec un visage couvert de sang, est un célèbre acteur de crise, qui apparaît dans des dizaines d’images de «catastrophes». Théâtre pur… :

Dans cette courte vidéo, vous pouvez voir comment cet acteur de crise  est souvent utilisé pour tromper le public :


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Une photo de 2016 sert à attiser l’émotion, alors qu’elle n’a rien à voir avec la situation en Ukraine… :

Une vidéo de 2017 d’une explosion est publiée comme si cela s’était passé tout à l’heure en Ukraine… :

Une autre explosion de 2015 est utilisée par CNN   pour créer l’illusion d’une explosion en cours en Ukraine… :

Une agence de presse israélienne diffuse des images supposées de la zone de guerre ukrainienne. Il s’avère qu’ils ont utilisé une scène d’un film Star Wars… :

Une fille victime d’un attentat à la bombe en Syrie en 2018,  est montrée aujourd’hui comme si elle avait été blessée lors d’attentats à la bombe en Ukraine. :

Ces exemples montrent à quel point le monde est trompé à grande échelle. Images de films, catastrophes passées, acteurs de crise, … tous les moyens sont justifiés pour mentir au public.

[Voir aussi :
7 FAKE NEWS en provenance d’Ukraine
Festival de désinformation sur l’Ukraine par les médias mainstream]

La vérité est cachée

D’un autre côté, les médias cachent des informations critiques, qui jettent une toute autre lumière sur toute cette situation. Voici quelques exemples…

LES RUSSES NOURRISSENT LES UKRAINIENS

L’armée russe livre des centaines de milliers de livres de nourriture au peuple ukrainien. Cela a été rapporté par l’agence de presse russe RT, qui est d’ailleurs l’une des très rares agences de presse au monde à avoir rapporté la vérité sur la pandémie.

Fait intéressant, RT a maintenant été interdit partout dans le monde. Il est clair que leurs reportages ne seront peut-être pas entendus par l’humanité !

ENFANTS TERRORISTES

Ce que les grands médias cachent aussi au monde, c’est comment des enfants sont entraînés en Ukraine à devenir des terroristes, sur le modèle de Daech ! Le fameux « bataillon AZOV », un groupe de nazis opérant en Ukraine depuis de nombreuses années, a été financé par les derniers gouvernements à Kiev.

[Voir aussi :
Des enfants conditionnés et enrolés comme soldats par les néo-nazis d’Ukraine]

JEUNES FORMÉS À ÊTRE FASCISTES

La montée dangereuse du nazisme et du fascisme en Ukraine est illustrée dans cette vidéo, où un grand groupe d’adolescents chante les lignes suivantes :

« Salut l’Ukraine, mort aux ennemis, salut l’Ukraine, pendez les Russes, l’Ukraine avant tout !, l’Ukraine avant tout ! »

NAZIS EN UKRAINE

Ce documentaire complet révèle le mouvement dangereusement croissant du néo-nazisme en Ukraine :


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[Voir aussi :
France — Sénat : JO du 10 juin 2021 — question sur les néonazis d’Ukraine
Israël abasourdi par les néo-nazis ukrainiens
La vérité sur la révolution ukrainienne : des nazis soutenus par les USA !
Thierry Meyssan à propos des bataillons nazis ukrainiens
Convoi de la liberté, les croix gammées de qui? Justin Trudeau soutient les néo-nazis en Ukraine
Qui va dénazifier l’Ukraine ?]

BOMBARDANT LEUR PROPRE PEUPLE

Une autre réalité choquante dont vous n’entendrez pas un mot sur les grands médias, c’est la façon dont l’armée ukrainienne a bombardé  son propre peuple, après quoi elle a blâmé la Russie. Cette vidéo montre une jeune famille expliquant cette horreur. Alors que la Russie apporte des tonnes de nourriture au peuple ukrainien, sa propre armée le tue par des bombardements massifs :


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Leur histoire est confirmée par un reporter de guerre français du Donbass. Elle confirme que l’armée ukrainienne bombarde son propre peuple… :


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DES RÉVÉLATIONS INATTENDUES

Une émission de télévision française a fait une grosse erreur : ils ont invité une dame qui vit en Ukraine depuis 25 ans. Une fois qu’elle a commencé à dire la vérité sur ce qui se passe réellement là-bas, l’animatrice de télévision et les autres invités ont été choqués et ont commencé à se disputer dans une grande confusion.

L’une des choses que cette dame ukrainienne a révélées est la façon dont le gouvernement actuel s’est positionné, par la fraude électorale, comme un gouvernement fantoche pour les criminels.

Elle révèle comment les chaînes de télévision de l’opposition ont été interdites, de nombreux journalistes ont été assassinés et le pays fonctionne comme une dictature, alors que le monde extérieur l’a salué comme une «démocratie libre». Elle explique également comment des millions de personnes en Ukraine vivent dans des conditions terribles et que de nombreuses personnes sont en fait satisfaites de l’intervention de la Russie. Écoutez cette dame ukrainienne ici :


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NOUS AVONS DU PLAISIR À TUER

Dans le clip suivant, vous pouvez entendre des combattants ukrainiens parler de :

– comment ils suivent les ordres que leur donne l’Occident,
– comment ils s’amusent à tuer des gens,
– comment ils prévoient de faire de l’Ukraine une préoccupation pour le monde entier,
– comment ils envisagent de détruire la Russie.


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Les médias vous manipulent

Le but de cette guerre médiatique est d’inciter la population mondiale à la haine contre la Russie. Tout à coup, la Russie est le grand monstre noir. Bouh Poutine ! Tuez Poutine ! Quel méchant ! Mais… est-ce que les gens qui sont indignés maintenant se sont jamais souciés de l’une des guerres qui ont eu lieu récemment ? Les États-Unis ont largué au moins 337 000 bombes au cours des dernières années. Ils ont bombardé par exemple :

Syrie pendant 5 ans.
Yémen depuis 7 ans.
Somalie depuis 15 ans.
Irak pendant 16 ans.
Pakistan depuis 18 ans.
Afghanistan pendant 21 ans.

Personne ne s’en souciait. Aucune grande entreprise n’a appelé à la compassion envers aucun de ces pays. Il n’y a pas eu de boycott contre les USA. Aucun site Web, célébrité, entreprise technologique, restaurant, etc. ne diffusait de messages de soutien à l’un de ces pays. Alors… pourquoi le monde entier est-il soudainement indigné par l’Ukraine ?

Hypocrisie extrême

Les personnes mêmes qui accusent Poutine d’avoir fait quelque chose de « mal » sont celles qui ont assassiné des  millions de personnes, toute leur vie. Je vous ai déjà montré comment ces types ont largué des centaines de milliers de bombes –  souvent sur des civils innocents –  partout dans le monde. Mais ce sont aussi eux qui assassinent les enfants, avec la thérapie génique expérimentale, faussement étiquetée de v@ccine. Ce sont eux qui ont participé au lancement d’une pandémie sur l’humanité qui a tué plusieurs millions d’innocents (voir la preuve de la façon dont cela a été planifié).

Ce sont eux qui ont supprimé tous les remèdes contre le covid, assassinant efficacement des millions de personnes qui auraient pu être guéries avec un traitement précoce.

Ce sont eux qui détruisent systématiquement nos pays, afin de nous soumettre à un gouvernement mondial unique. Ce sont eux qui nous privent de nos libertés, de nos droits, de notre argent et, si nous les laissons faire, de nos vies. Ce sont eux qui poussent au génocide, pour réduire la population mondiale. Ce sont eux qui ont assassiné des scientifiques qui ont découvert des traitements anticancéreux salvateurs.

En bref, ce sont eux qui commettent des crimes contre l’humanité dans des proportions que nous ne pouvons même pas comprendre.

Et maintenant, ils se dressent contre le « mal » ? Ceux qui servent les forces du mal les plus profondes et les plus sombres dont la plupart d’entre nous ne peuvent même pas imaginer qu’elles existent ?  Réveillez-vous chères, bien-aimées, belles personnes! Vous êtes joué, trompé, soumis à un lavage de cerveau, manipulé par des gens si méchants qu’ils détruiraient tout ce qui vous est cher, y compris vous-même, si vous ne regardez pas.

Pourquoi ont-ils peur ?

Lorsque vous observez à quel point ces criminels veulent désespérément que vous haïssiez Poutine, vous devriez vous demander :  « Pourquoi ? Que fait Poutine, qui est apparemment une menace pour eux ?  Cela nous amène à une autre réalité de base : chaque fois que la cabale vous dit de haïr quelqu’un, cela signifie que cette personne est son ennemi, et probablement votre ami.

Avez-vous déjà vu quelqu’un à la télévision publique appeler à l’assassinat d’une personne ?  Pourtant, dans les médias américains, nous avons vu plusieurs personnes appeler au meurtre de Poutine. L’un d’eux est le sénateur américain Lindsey Graham. Il est d’abord apparu à la télévision, appelant au meurtre de Poutine, et il a répété son appel sur Twitter :

Pourquoi n’appellent-ils pas à l’élimination de George Soros, Bill Gates, Klaus Schwab, des Rothshild ou des Rockefeller, et de tous les autres maîtres criminels et meurtriers de masse, qui ont infligé au monde entier des souffrances que les mots ne peuvent même pas décrire?

Vous devez vous demander : pourquoi les dirigeants politiques et les personnalités des médias appellent-ils à l’assassinat de Poutine ? Que fait-il, que ces criminels soient si terrifiés par lui ?

Que se passe-t-il?

Comme nous le savons tous, la famille Biden a beaucoup traité avec le gouvernement ukrainien actuel et a reçu à plusieurs reprises plusieurs millions de dollars de sa part. Nous savons aussi à quel point les Biden sont criminels. Hunter Biden (le fils de Joe) a été surpris en train de maltraiter d’innombrables enfants, les achetant à des marchands d’enfants et les abusant de toutes les manières possibles. Son ordinateur portable a été saisi et les preuves sont là. Ici vous voyez une photo de l’ordinateur portable de Hunter, montrant une photo d’une fille kidnappée à Paris, et mise en vente sur le marché de la traite des êtres humains.

Joe Biden est également connu pour ses abus envers les enfants. Il ne peut pas garder ses mains loin d’un enfant qui s’approche de lui (tout comme zombie Joe, son père). La relation intime et continue de cette famille criminelle Biden avec le gouvernement ukrainien est assez révélatrice…

DIRIGEANTS UKRAINIENS SÉLECTIONNÉS PAR LES ÉTATS-UNIS

Un enregistrement audio a fait surface, révélant comment les politiciens américains – ceux qui font partie de l’État profond – sélectionnaient à la main qui ils mettraient dans le gouvernement ukrainien et qui ils garderaient à l’écart. Cela signifie que l’État profond contrôle complètement l’Ukraine !


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POUTINE ÉLIMINE LES LABORATOIRES D’ARMES BIOLOGIQUES

Il existe plusieurs laboratoires américains d’armes biologiques en Ukraine, dont la plupart sont très proches de la frontière avec la Russie. Les rapports des frappes de Poutine montrent comment il a ciblé ces laboratoires d’armes biologiques ! L’État profond aux États-Unis essaie frénétiquement d’empêcher Poutine de détruire ces laboratoires d’armes biologiques ! (source). Poutine n’« envahit » pas l’Ukraine. Il détruit les laboratoires d’armes biologiques !  L’Ukraine était en train d’être préparée comme un bastion majeur pour les opérations de la cabale, en Europe et en Asie. Poutine fait simplement le ménage.

[Voir aussi :
Le Conseil de sécurité et les laboratoires biologiques ukrainiens
L’OMS a demandé à l’Ukraine de détruire les « agents pathogènes à haute menace » dans les laboratoires pour prévenir la propagation des maladies
Moscou accuse Kiev et Washington d’avoir mené des «programmes biologiques militaires» en Ukraine. Mise à jour
Poutine ordonne à l’armée de détruire les laboratoires biologiques en Ukraine alors que les États-Unis éliminent les preuves de leur existence. Mise à jour]

MISSILES AMÉRICAINS LE LONG DE LA FRONTIÈRE RUSSE

Dans la vidéo suivante, vous pouvez entendre Poutine expliquer comment les États-Unis ont positionné des missiles tout le long de la frontière ukrainienne avec la Russie Il explique que personne ne permettrait jamais à son voisin de faire une telle chose. que se passerait-il si la Russie positionnait des missiles nucléaires tout le long des frontières canado-mexicaine avec les États-Unis ? C’est une simple question de légitime défense, explique Poutine. L’Ukraine était en train d’être préparée comme un bastion majeur pour les opérations de la cabale, en Europe et en Asie. Leur but était d’anéantir la Russie. Poutine empêche simplement leur invasion, en éliminant les laboratoires d’armes biologiques, les bases militaires, les rampes de lancement de missiles, etc.

[Voir aussi :
Un ancien Premier ministre ukrainien affirme que Poutine a sauvé des centaines de milliers de vies
En pleine guerre de l’Ukraine, l’OTAN rattrapé par la vérité. Mise à jour 2
La Russie contre la guerre nucléaire, bactériologique et l’épuration ethnique qui étaient projetées par l’Ukraine
L’agenda du suicide occidental en profondeur
L’Ukraine n’est pas une victime, elle est partie prenante de l’agenda du Nouvel Ordre Mondial
Réinformation sur l’Ukraine. Mise à jour
Qui est responsable de la guerre en Ukraine ? Qui s’en réjouit ?
Le plan stratégique des États-Unis contre la fédération de Russie a été élaboré il y a trois ans par le think tank américain Rand Corporation
L’homme qui a vendu l’Ukraine
Héros de guerre ou coupable de haute trahison ? Un chef d’État au service de ses concitoyens ou à la solde d’une puissance étrangère ?
Vladimir Poutine déclare la guerre aux Straussiens
UKRAINE : Les vrais enjeux
L’Art de la guerre — Ukraine : c’est l’OTAN qui a lancé l’attaque il y a huit ans
Ukraine : dernier message du 24 février de Vladimir Poutine à son peuple]

Qui est Poutine –  Vraiment ?

Poutine a peut-être été formé en tant que jeune leader mondial par le WEF, il peut être impliqué dans la franc-maçonnerie (ce qu’il faut être, pour occuper ce genre de poste gouvernemental), cela ne signifie pas qu’il a embrassé leur programme diabolique dans son cœur . Certaines personnes très pieuses ont émergé de certains des environnements les plus sombres. Pensez à l’archevêque Carlo Maria Vigano, qui est une lumière brillante au Vatican, qui est le chef du serpent mondial de la cabale ! Ce héros de l’humanité a dénoncé la maltraitance intense des enfants et la corruption financière au Vatican, et se bat maintenant avec acharnement contre le nouvel ordre mondial, dans lequel le Vatican joue un rôle clé.

[Voir aussi :
L’Arche de Gabriel : de La Mecque à l’Antarctique
et
Les deux témoins]

Écoutez CE MESSAGE INCROYABLE


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Transcription en Français (
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale) :

Depuis maintenant deux ans, nous assistons à un coup d’État mondial dans lequel une élite financière et idéologique a réussi à prendre le contrôle d’une partie des gouvernements nationaux, des institutions publiques et privées, des médias, de la justice, des politiciens et des chefs religieux. Tous, sans distinction, sont devenus esclaves de ces nouveaux maîtres qui assurent pouvoir, argent et affirmation sociale à leurs complices. Les droits fondamentaux, qui jusqu’à hier étaient présentés comme inviolables, ont été foulés aux pieds au nom d’une urgence : aujourd’hui urgence sanitaire, demain urgence écologique, puis urgence internet.

Ce coup d’État mondial prive les citoyens de toute possibilité de défense, puisque les pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire sont complices de la violation de la loi, de la justice et de l’objet pour lequel ils existent. C’est un coup d’État global car cette attaque criminelle contre des citoyens s’étend au monde entier, à de très rares exceptions près. C’est une guerre mondiale, où les ennemis sont nous tous, même ceux qui, sans le vouloir, n’ont pas encore compris la signification de ce qui se passe.

C’est une guerre menée non pas avec des armes mais avec des règles illégitimes, des politiques économiques perverses et des limitations intolérables des droits naturels. Des organisations supranationales, financées en grande partie par les conspirateurs de ce coup d’État, s’ingèrent dans le gouvernement des nations individuelles et dans la vie, les relations et la santé de milliards de personnes. Ils le font pour de l’argent, certes, mais plus encore pour centraliser le pouvoir afin d’établir une dictature planétaire. C’est la Grande Réinitialisation du Forum Economique Mondial,  l’Agenda 2030 des Nations Unies. C’est le plan du Nouvel Ordre mondial, dans lequel une république universelle asservit tout le monde et une religion de l’humanité annule la foi en Christ.

Face à ce coup d’État mondial, il est nécessaire de former une alliance anti-mondialiste internationale qui rassemble tous ceux qui veulent s’opposer à la dictature, qui n’ont pas l’intention de devenir les esclaves d’un pouvoir sans visage, qui ne veulent pas annuler leur propre identité, leur propre individualité, leur propre foi religieuse. Si l’attaque est globale, la défense doit aussi être globale.

J’appelle les dirigeants, les dirigeants politiques et religieux, les intellectuels et toutes les personnes de bonne volonté, les invitant à s’unir dans une alliance qui lance un manifeste anti-mondialiste, réfutant point par point les erreurs et les déviations de la dystopie du Nouvel Ordre mondial et proposant des alternatives concrètes pour un programme politique inspiré par le bien commun, les principes moraux du christianisme, les valeurs traditionnelles, la protection de la vie et de la famille naturelle, la protection de l’entreprise et du travail, la promotion de l’éducation et de la recherche, et le respect de la création.

Cette alliance anti-mondialiste devra rassembler les nations qui entendent échapper au joug infernal de la tyrannie et affirmer leur propre souveraineté, en concluant des accords de collaboration mutuelle avec des nations et des peuples qui partagent leurs principes et le désir commun de liberté, de justice et de bonté. Elle devra dénoncer les crimes des élites, identifier les responsables, les dénoncer devant les tribunaux internationaux, et limiter leur pouvoir excessif et leur influence néfaste. Elle devra empêcher l’action des lobbies, surtout en luttant contre la corruption des agents de l’État et de ceux qui travaillent dans l’industrie de l’information, et en gelant les capitaux servant à déstabiliser l’ordre social.

Dans les nations où les gouvernements sont inféodés aux élites, pourront être mis en place des mouvements de résistance populaire et des comités de libération nationale, comprenant des représentants de tous les secteurs de la société qui proposeront une réforme radicale de la politique, inspirée par le bien commun et fermement opposée au projet néo-malthusien de l’agenda mondialiste. J’invite tous ceux qui veulent défendre la société chrétienne traditionnelle à se réunir dans un forum international, qui se tiendra le plus tôt possible, dans lequel des représentants de diverses nations se réuniront pour présenter une proposition sérieuse, concrète et claire.

Mon appel s’adresse aux dirigeants politiques et aux gouvernants soucieux du bien de leurs citoyens, laissant de côté les anciens systèmes de partis politiques et la logique imposée par un système asservi au pouvoir et à l’argent. J’appelle les nations chrétiennes ensemble, d’est en ouest, invitant les chefs d’État et les forces saines des institutions, de l’économie, du travail, des universités, de la santé et de l’information à se joindre à un projet commun, perturbant les anciens systèmes et mettant de côté les hostilités qui sont désirées par les ennemis de l’humanité au nom de Divide et impera [diviser pour régner].

Nous n’acceptons pas les règles de notre adversaire, car elles sont précisément faites pour nous empêcher de réagir et d’organiser une opposition efficace et percutante. J’appelle les nations et leurs citoyens à s’allier sous la Croix de Notre-Seigneur Jésus-Christ, le seul Roi et Sauveur, le Prince de la Paix — In hoc signo vinces [par ce signe, tu vaincras].

Fondons cette alliance altermondialiste, donnons-lui un programme simple et clair, et libérons l’humanité d’un régime totalitaire qui rassemble en lui les horreurs des pires dictatures de tous les temps. Si nous continuons à tarder, si nous ne comprenons pas la menace qui pèse sur nous tous, si nous ne réagissons pas en nous organisant en une résistance ferme et courageuse, ce régime infernal qui s’installe partout ne sera pas arrêté. Et que Dieu tout-puissant nous assiste et nous protège.

[Voir aussi :
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

Peut être une image de texte qui dit ’Vatican City UN NWO Agenda 2030 Roman Law Washington D.C. Jerusalem Justitia Omnibus War Terror Zionist Government The City of London Wallstreet NY 出 Strige Money & Finance Rothschild Banking Jesuits 'Illuminati' Knights Templar Knights Malta 32°+ Freemasons Organized Religion Secret Services Societies Military, Police, Mafia UN, US. EU, G20, NATO Big Bank, Big Media, Big Industry National, Regional Local Politics NGOs, Think Tanks, Big Charities The Roman Power Pyramid’

De même, Poutine a toujours pris une position audacieuse contre le nouvel ordre mondial et a fait tout son possible pour exposer leurs plans. Ses discours sont partout sur Internet, où il met en garde l’humanité contre le gouvernement mondial satanique. Il a dénoncé publiquement des criminels comme George Soros, Bill Gates et les Rothschild, retirant autant qu’il le pouvait leur influence de la Russie.

Dans tout ce que Poutine a fait et dit au cours de la dernière décennie, il est devenu clair qu’il n’est pas un ami de la cabale, mais qu’il s’y oppose farouchement.

Cela devient d’autant plus évident par la façon dont la cabale essaie de détruire la Russie maintenant. Des dizaines de leurs grandes entreprises quittent maintenant la Russie, essayant de replonger la Russie dans l’âge des ténèbres avec l’absence des meilleurs services, solutions et technologies occidentales.

Ce qu’ils ne comprennent pas, c’est que cela encouragera les Russes à construire leurs propres systèmes, ce qui rendra la Russie d’autant plus puissante contre la cabale, car ils ne compteront plus sur leurs services.

Si des cyberattaques majeures se produisent, elles seront causées par la cabale, mais… d’autres seront blâmés, y compris la Russie. C’est toujours comme ça qu’ils fonctionnent : ils causent un désastre et blâment quelqu’un d’autre. Le fait que Schwab ait prédit des cyberattaques montre que c’est à leur ordre du jour.

Peut être une image de 2 personnes et texte

La seule façon de comprendre l’attaque mondiale actuelle contre la Russie est de savoir comment cette nation est un obstacle majeur pour le gouvernement mondial unique.

Il en va de même pour l’Amérique. La cabale a tenté de détruire à la fois la Russie et l’Amérique de l’intérieur, en positionnant des marionnettes corrompues au sein des gouvernements, et par la corruption massive et le chantage d’individus influents dans ces pays. Ils ont également essayé d’amener ces deux nations à déclencher une guerre nucléaire.

Ils ont raté.

Même maintenant, avec un gouvernement fantoche cabaliste en place, ils s’exposent plus que jamais, provoquant d’autant plus une montée de feu patriote à travers l’Amérique.

Rapide vue d’ensemble

✔︎ Poutine appelle au retour à Dieu, et à Ses valeurs, qui est l’exact opposé de la cabale, qui sert le royaume des ténèbres.

✔︎ Poutine a condamné la montée de la perversion, qui est l’exact opposé de la cabale, qui pousse à la perversion.

✔︎ Poutine a pris une position audacieuse contre le mondialisme et le Nouvel Ordre Mondial, faisant de lui un obstacle à leurs plans.

✔︎ C’est pourquoi la cabale a payé des journalistes en Amérique et en Europe, essayant de provoquer la guerre avec la Russie.

✔︎ La cabale s’est emparée de l’Ukraine et en a fait un bastion pour ses opérations,  ce qui constitue une menace majeure pour la Russie.

✔︎ Poutine a supprimé les stations de lancement de missiles et les laboratoires d’armes biologiques, qui étaient positionnés le long de la frontière avec la Russie.

✔︎ L’Ukraine est une plaque tournante du néo-nazisme, où les enfants sont entraînés à devenir des terroristes.

✔︎ Les combattants ukrainiens se vantent de s’amuser à tuer des gens, et comment l’Ukraine va devenir « une préoccupation pour le monde entier ».

✔︎ L’Ukraine a été profondément au lit avec la cabale, et Biden en est un exemple frappant.

✔︎ L’État profond américain a trié sur le volet le gouvernement ukrainien, en faisant un gouvernement fantoche aux mains de criminels.

✔︎ Pendant des décennies, la cabale a tenté de provoquer une guerre nucléaire avec la Russie, pour détruire cette nation.

✔︎ Maintenant, une fois de plus, les médias de la cabale du monde entier appellent à la guerre contre la Russie, ce qui montre qu’ils veulent détruire la nation.

✔︎ Les médias mentent sur la Russie, afin de mettre l’opinion publique de leur côté, lorsqu’ils les attaquent.

En substance, Poutine défend simplement la Russie, contre une menace toujours croissante posée par l’OTAN et l’État profond/la Cabale. Dans le même temps, il abolit leurs bastions en Ukraine, qui comprend une plaque tournante du trafic d’enfants. Et il délivre le peuple ukrainien d’un gouvernement criminel qui opprime le peuple.

Cyber-pandémies

Hillary Clinton et Biden ont tous deux appelé à des cyberattaques contre la Russie. Klaus Schwab du WEF a annoncé publiquement qu’après les pandémies biologiques, il y aura une vague de cyberattaques. Ce serait bien plus dévastateur que n’importe quel virus biologique, car il fermerait toute l’infrastructure mondiale et provoquerait des pannes de courant, des perturbations des lignes d’approvisionnement, etc.

Si des cyberattaques majeures se produisent, elles seront causées par la cabale, mais… d’autres seront blâmés, y compris la Russie. C’est toujours comme ça qu’ils fonctionnent : ils causent un désastre et blâment quelqu’un d’autre. Le fait que Schwab ait prédit des cyberattaques montre que c’est à leur ordre du jour.

CONCLUSION : LES JOURNAPUTES

À New York, lors d’un banquet, le 25 septembre 1880, le célèbre journaliste John Swinton se fâche quand on propose de boire un toast à la liberté de la presse :

« Il n’existe pas, à ce jour, en Amérique, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi. Pas un seul parmi vous n’ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous aventurons à le faire, nous nous retrouverons à la rue illico. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de l’Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l’intellect. Tout cela, vous le savez aussi bien que moi ! »

(Cité dans : Labor’s Untold Story, de Richard O. Boyer et Herbert M. Morais, NY, 1955/1979.)

¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯¯

Quelques précisions  ici :

http://www.constitution.org/pub/swinton_press.htm

John Swinton sur l’indépendance de la presse

Des variations sur la citation ont été attribuées à tort à une réponse à un toast, par John Swinton, comme « l’ancien chef de cabinet du New York Times », devant le New York Press Club en 1953. Cependant, la recherche révèle que Swinton (1829 -1901), après avoir déménagé à New York, écrit un article occasionnel pour le New York Times et est embauché régulièrement en 1860 comme chef de la rédaction. Après avoir occupé ce poste tout au long de la guerre civile, il quitta le journal en 1870 et devint actif dans les luttes ouvrières de l’époque. Plus tard, il a occupé le même poste pendant huit ans dans le New York Sun et a ensuite publié une feuille de travail hebdomadaire, John Swinton’s Paper.

Les remarques ont apparemment été faites par Swinton, alors l’éminent journaliste new-yorkais, probablement une nuit de 1880. Swinton était l’invité d’honneur d’un banquet que lui offraient les dirigeants de son métier. Quelqu’un qui ne connaissait ni la presse ni Swinton a porté un toast à la presse indépendante. Swinton a indigné ses collègues en répondant :

Il n’existe pas, à cette date de l’histoire du monde, en Amérique, de presse indépendante. Tu le sais et je le sais.

Il n’y a pas un seul d’entre vous qui ose écrire ses opinions honnêtes, et si vous le faisiez, vous savez d’avance qu’elles ne paraîtraient jamais imprimées. Je suis payé chaque semaine pour garder mon opinion honnête hors du journal auquel je suis connecté. D’autres d’entre vous reçoivent des salaires similaires pour des choses similaires, et tous ceux d’entre vous qui seraient assez stupides pour écrire des opinions honnêtes se retrouveraient dans la rue à la recherche d’un autre emploi. Si je permettais à mes opinions honnêtes d’apparaître dans un seul numéro de mon journal, avant vingt-quatre heures, mon occupation serait terminée.

Le travail des journalistes est de détruire la vérité, de mentir carrément, de pervertir, de vilipender, de flatter aux pieds de Mammon, et de vendre son pays et sa race pour son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est-ce de porter un toast à une presse indépendante ?

Nous sommes les outils et les vassaux des hommes riches dans les coulisses. Nous sommes les pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d’autres hommes. Nous sommes des prostituées intellectuelles.

(Source : Labor’s Untold Story, par Richard O. Boyer et Herbert M. Morais, publié par United Electrical, Radio & Machine Workers of America, NY, 1955/1979.)

Hannibal Genséric




Une cyberattaque de grande envergure sous faux drapeau est maintenant imminente

[Source : alt-market.us]

Par Brandon Smith

4 mars 2022

Au début de l’année 2021, au plus fort de la peur des covidés générée par les médias, le Forum économique mondial a publié une série de tables rondes et de livres blancs décrivant une « pandémie » d’une nature totalement différente, qu’il a qualifiée de « cyber-attaque imminente aux caractéristiques similaires à celles des covidés ». Le programme du WEF était intitulé « Cyber Polygone » et dirigé avec un zèle inquiétant par le mondialiste Klaus Schwab.

Le WEF et Schwab sont surtout connus pour deux choses :

1) Leur implication dans un jeu de guerre appelé Event 201 qui simulait la propagation mondiale d’une pandémie de coronavirus. Cette simulation s’est déroulée deux mois AVANT la réalité, au début de l’année 2020, et la majorité des mesures présentées dans le jeu ont été mises en œuvre presque immédiatement après l’épidémie.

2) L’annonce enthousiaste de Klaus Schwab selon laquelle la pandémie était l' »opportunité » parfaite pour instituer ce qu’il appelle la « Grande Réinitialisation » de l’économie mondiale en même temps que l’essor de la Quatrième Révolution Industrielle, qui est la centralisation complète du commerce mondial et de la gouvernance dans un empire socialiste mondial où vous ne posséderez « rien, n’aurez aucune vie privée, et l’aimerez ».

[Voir aussi :
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »,
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
et
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]

Le fait que le WEF ait été si prescient en ce qui concerne la pandémie de covidés est un véritable miracle. C’était presque comme s’ils savaient que cela allait arriver, et leurs amis politiques dans diverses nations n’ont pas perdu de temps pour mettre en œuvre leurs politiques de mandat draconien dans le monde entier. L’Event 201 prévoyait un nombre initial de décès d’environ 65 millions de personnes, mais cela ne s’est pas produit. En fait, le taux médian de mortalité par infection du covid n’était que de 0,27 %. Le Covid ne tuait pas assez de personnes et le public commençait à remettre en question l’efficacité des mesures de confinement, les règles inutiles concernant les masques et la nécessité de prendre un vaccin expérimental à ARNm dont l’innocuité n’avait pas été testée à long terme.

[Note de Joseph Stroberg : le taux de mortalité attribué à la Covid est sensiblement le même que celui de la grippe, alors que dans le même temps :
1)- celle-ci a pratiquement disparu et comporte plusieurs symptômes similaires ;
2)- il n’y a pas eu de surmortalité significative au niveau mondial.
On peut facilement en déduire que la grippe a été rebaptisée Covid.

Si par ailleurs, l’Humanité finit un jour par reconnaître que :
1)- les maladies virales ne sont en réalité pas causées par des virus et qu’aucun virus n’a été réellement isolé (selon un point de vue réellement scientifique et rigoureux conforme à la définition du terme « isolé ». Voir L’enterrement de la théorie virale) ;
2)- les ondes électromagnétiques, surtout pulsées (comme le Wi-Fi, la 3G, la 4G, la 5G, le Bluetooth…), et les champs électriques artificiels engendrent des problèmes physiques aux symptômes notamment similaires à ceux de la grippe ou de la Covid (en plus d’autres effets possibles),
3)- les lieux d’implantation initiaux de la 5G sont aussi ceux où l’on a d’abord repéré les symptômes attribués à la Covid (Wuhan, Corée du Sud et Saint-Marin),

alors on pourra facilement conclure que les morts attribués à la grippe baptisée Covid-19 provenaient en réalité pour une grande part d’un manque de résistance des individus aux nouveaux rayonnements 5G, le corps humain n’y étant pas encore habitué.]

Aux États-Unis, les États conservateurs ont commencé à se soulever et à bloquer le programme des covidés. Aujourd’hui, le CDC et le gouvernement fédéral ont déclaré la suppression de la plupart des mandats et même les États bleus de gauche commencent à céder. Cependant, la plupart des États rouges conservateurs n’ont pas eu de mandat depuis plus d’un an ou un an et demi. Nous avons été sans restrictions pendant tout ce temps, et le gouvernement agit comme s’il venait de nous « permettre » d’être libres à nouveau.

La vérité est que les mondialistes du WEF et leurs partenaires étrangers ont échoué dans leurs efforts pour instaurer une tyrannie médicale, du moins aux États-Unis et dans certaines régions d’Europe. L’agenda s’est effondré parce que la science était contre eux à tous les égards. Ils n’avaient rien. Avec 99,7 % de personnes à l’abri du covid, il était impossible de susciter suffisamment de peur dans une partie suffisante de la population pour qu’elle renonce à ses libertés.

Ainsi, pour ceux d’entre nous qui ont suivi attentivement ces événements, la sonnette d’alarme a vraiment commencé à retentir lorsque le WEF a changé de vitesse et s’est soudainement concentré sur le récit d’une cyberattaque. Était-ce un plan B ?

En avril 2021, j’ai publié un article intitulé « Les mondialistes auront besoin d’une autre crise en Amérique pour faire échouer leur programme de réinitialisation ». Dans cet article, je décrivais les scénarios les plus probables pour le prochain événement catastrophique, qui comprenaient la guerre en Ukraine ainsi qu’une cyberattaque mondiale qui perturbe la chaîne d’approvisionnement. Dans cet article, je déclarais :

« Les médias et l’administration Biden sont très occupés à essayer de créer des tensions avec la Russie au sujet de l’Ukraine. Il y a un regain de tensions entre l’Iran et Israël et la déstabilisation continue de l’Occident en Syrie. Et, un danger croissant de confrontation avec la Chine au sujet de Taïwan…
Il y a … un avantage narratif aux tensions mondiales ; lorsqu’ils sont confrontés à une menace étrangère, les Américains sont-ils plus susceptibles de rejeter les notions de rébellion contre les intrusions du gouvernement ? Je ne doute pas que l’establishment tentera d’affirmer que le mouvement pour la liberté n’est pas un mouvement pour la liberté, mais un mouvement « astro-turf » créé par les Russes pour déstabiliser l’Amérique. C’est la stratégie de propagande des médias gauchistes depuis des années ; alors pourquoi s’arrêteraient-ils ? »

En juin 2021, j’ai écrit plus spécifiquement sur la nature suspecte du Cyber Polygon dans mon article « Cyber Polygon : Will The Next Globalist War Game Lead To Another Convenient Catastrophe ? » (Cyber Polygon : le prochain jeu de guerre mondialiste conduira-t-il à une autre catastrophe commode). Puis, en juillet 2021, j’ai écrit un article intitulé « Et si la prochaine cyberattaque majeure ciblait Internet ? J’y faisais cette observation :

« En juin de cette année, il y a eu un événement de panne d’Internet qui a conduit à de larges pans du Web à devenir sombres, y compris un certain nombre de sites d’information grand public, Amazon, eBay, Twitch, Reddit et une foule de sites Web gouvernementaux sont tombés en panne. Tout cela s’est produit lorsque la société Fastly, spécialisée dans les réseaux de diffusion de contenu (CDN), a eu un bug. Bien qu’Amazon ait remis son site en ligne en 20 minutes, cette brève panne a coûté à l’entreprise plus de 5,5 millions de dollars de chiffre d’affaires (et il ne s’agit que d’un seul site web !).

Fastly a identifié et corrigé le problème en deux heures, et continue d’affirmer que la panne n’avait rien à voir avec une cyberattaque. Cependant, elle a révélé une énorme vulnérabilité de l’internet (ce que von Clausewitz aurait appelé un schwerpunkt). Une grande partie du web dépend de seulement trois sociétés CDN, dont Fastly.

Voici ce qui me préoccupe : si une cyberattaque était menée sur ces points faibles du web, et que l’attaque impliquait un ver malveillant ou une autre arme hautement infectieuse, alors Klaus Schwab pourrait très bien avoir sa cyberpandémie. »

Aujourd’hui, les tensions guerrières avec la Russie sont sur le point de déborder et je soupçonne que ce n’est qu’une question de temps avant que la Chine ne lance également des opérations contre Taïwan. Mais il y a une menace bien plus grande à l’horizon. Je n’ai guère de doute, à ce stade, qu’une attaque sous faux drapeau contre les États-Unis ou l’Europe (ou les deux) est maintenant imminente, et ce que j’entends par « faux drapeau », c’est que l’attaque sera conçue pour profiter aux mondialistes et pas nécessairement au pays qui en est accusé.

Comme je l’ai noté dans le passé, Vladimir Poutine est un associé de longue date de nombreux mondialistes. Son amitié avec la goule du Nouvel Ordre Mondial, Henry Kissinger, a débuté il y a plusieurs décennies et ils continuent de se rencontrer pour des déjeuners réguliers, Kissinger agissant en tant que conseiller auprès de plusieurs branches du Kremlin. Poutine a également entretenu des relations suivies avec le WEF et la Russie a même rejoint le réseau de la quatrième révolution industrielle de Klaus Schwab l’année dernière. L’affirmation selon laquelle Poutine est anti-mondialiste est un mensonge, il est profondément impliqué dans le système mondialiste et l’a toujours été.

Les mondialistes jouent des deux côtés du conflit ukrainien. Telle est la réalité. Il est très important de comprendre et d’accepter ce fait, sinon vous ne serez pas en mesure de saisir les événements qui vont suivre.

Poutine a récemment menacé les gouvernements occidentaux de représailles d’une ampleur sans précédent s’ils tentent d’interférer en Ukraine. Le problème, c’est que de nombreux médias grand public et alternatifs ont automatiquement supposé qu’il s’agissait d’une menace de guerre nucléaire. Je ne pense pas que c’est à cela que Poutine faisait référence. J’ai une autre théorie…
Il est peu probable que les mondialistes passent les dernières décennies à construire l’une des grilles de contrôle technocratique les plus complexes de l’histoire pour suivre et dominer le public, pour ensuite tout anéantir en un clin d’œil avec des armes nucléaires. Un environnement post-nucléaire serait impossible à contrôler pour eux.  Ce qui est plus probable, à mon avis, c’est une cyberattaque massive qui vise la fonctionnalité de l’Internet lui-même, et il faudrait que cela se produise relativement vite.

La quantité d’opérations économiques et commerciales liées au web est stupéfiante. Même si l’internet devait s’arrêter pendant seulement deux semaines, les répercussions sur nos marchés et notre chaîne d’approvisionnement seraient dévastatrices. Par extension, les avantages pour les mondialistes seraient immenses. Ils pourraient mettre en place des filtres et des pare-feu sur toute partie du web qu’ils n’aiment pas (y compris les médias alternatifs) et prétendre que c’est pour protéger l’internet des sources possibles de propagation virale. Ils pourraient réduire le web à une poignée de sites d’entreprises et de gouvernements approuvés, tout cela au nom de la protection de l’intégrité du net.

En outre, une telle attaque serait un parfait bouc émissaire pour l’économie déjà en chute libre et l’inflation croissante. À ce moment-là, les banques centrales qui sont vraiment responsables de notre instabilité financière pourraient simplement dire que tout était « sur le point de revenir à la normale » jusqu’à ce que la Russie ou la Chine propage le cyber-virus. Et, peut-être que la Russie sera impliquée, mais ce ne sera pas Poutine qui donnera l’ordre, ce seront ses partenaires mondialistes derrière le rideau.

Le battage médiatique autour de l’Ukraine est à son comble en ce moment. Je trouve un peu bizarre la panique et l’indignation qu’elle suscite. C’est comme si les gens avaient oublié que le gouvernement américain vient de passer plus d’une décennie à dévaster un pays comme l’Irak sans raison valable. Personne ne semble mentionner l’hypocrisie d’exiger une guerre totale contre la Russie alors que les campagnes américaines en Irak ont tué des centaines de milliers de civils et que très peu de pays ont sourcillé à ce sujet.

Il est clair que les médias contrôlés tentent de convaincre les Occidentaux de soutenir une confrontation militaire directe avec la Russie pour un conflit qui n’a rien à voir avec nous. Il y a même de nombreux néo-conservateurs du GOP (Lindsay Graham, je vous regarde) qui font campagne pour que les vrais conservateurs soient d’accord avec un état de guerre. Je ne pense pas que cela gagne beaucoup de terrain, mais qu’est-ce qui a fonctionné comme une manipulation efficace contre les conservateurs dans le passé ?

Les mondialistes ont besoin d’un autre Pearl Harbor – une attaque du 11 septembre ou quelque chose d’encore plus grand. Ils ont besoin de quelque chose qui fasse enrager la population américaine, en particulier les conservateurs. Ils ont besoin d’une crise aux proportions épiques pour nous attirer dans une réponse émotionnelle et l’abandon de la logique. Ils ont également besoin d’un désastre bouc émissaire qu’ils pourront utiliser pour faire porter le chapeau à la crise économique imminente.

Je prédis que cet événement prendra la forme d’une cyber-attaque de grande envergure, et l’escalade des événements me laisse penser qu’ils vont essayer de mettre en œuvre une telle attaque à court terme. Peut-être dans les deux prochains mois et certainement avant la fin de l’année.

Il ne s’agit pas de la Russie. Il ne s’agit pas de l’Ukraine. La vraie guerre est entre les peuples libres et les mondialistes. Lorsqu’ils seront écartés et que leurs marionnettes le seront, la majorité de ces désastres cesseront. Tant qu’ils resteront au pouvoir, les événements de crise ne feront que s’accélérer et augmenter en fréquence jusqu’à ce qu’ils trouvent quelque chose qui fonctionne ; quelque chose qui fait que la plupart des gens sont prêts à abandonner leurs libertés en échange de la fausse promesse de sécurité.




Grand Jury – Session 2

[Sources : la-verite-vous-rendra-libres.org et @JeanneTraduction]

Aperçu

Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19e siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian Gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covid-19 n’est qu’une continuité, nous dit-il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendue de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées.
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.



Transcription

0:14 Reiner Fullmich :

Bonsoir ou bonjour, où que vous soyez. C’est le deuxième jour de l’enquête du grand jury. Il s’agit d’une procédure modèle qui va examiner de très près l’ensemble de la pandémie du Coronavirus, comment elle a commencé, les détails des tests PCR. Mais nous allons commencer aujourd’hui par un examen plus approfondi du contexte historique et géopolitique. Commençons donc par notre premier expert. Et c’est Matthew. Ce n’est pas vous. C’est Alex, Alex Thompson. Alex, s’il vous plaît, présentez-vous et ensuite nous allons passer directement in medias res [au cœur du sujet] comme le disent les latinistes. Votre micro est éteint.

1:10 Alex Thomson :

Merci beaucoup. Reiner. Je suis Alex Thomson. Pendant huit ans, j’ai fait partie de l’agence britannique de renseignement GCHQ, l’agence partenaire de la NSA. Ensuite, j’ai été un officier responsable pour l’ancienne Union Soviétique. Et un transcripteur en plusieurs langues, y compris le russe et l’allemand, de matériel intercepté. Dans la seconde moitié de cette période, j’ai également été membre de l’équipe interdisciplinaire du GCHQ pour les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires, la CBRN. En cette qualité, j’ai appris à connaître la façon dont les services de renseignement et l’establishment militaire anglo-américains considèrent leur état de domination en toute connaissance de cause, pour tout ce qui peut affecter la santé à grande échelle, et le potentiel de militarisation de ces agents. Mais vous m’avez demandé de faire un résumé d’environ 20 minutes de la situation géopolitique telle qu’elle se présentait dans le monde au cours de la période charnière qui a précédé l’après-Seconde Guerre mondiale, car la majeure partie des témoignages de ce soir et des sessions suivantes du grand jury se concentreront sur le monde d’après-1945. Et c’est à cette époque que de nombreux plans pour unifier les gouvernements mondiaux ont commencé à se mettre en place en théorie, dont les questions de santé qui vous préoccupent. Et je soutiens que la puissance dominante dans le monde, à savoir la City de Londres, le cœur financier de l’Empire britannique, s’est préparée à cette situation, à partir de 1870 environ. Dans le monde moderne, la monopolisation, la cartellisation du monde commence en théorie à cette époque. Tout ce que nous faisons, et par « nous », j’entends la chaîne UK Column news, car je suis également rejoint ce soir par Brian Gerrish, le co-rédacteur en chef, qui témoignera plus tard… Toutes nos enquêtes sur la corruption émanant des monopoles de la Couronne britannique et de l’argent de la City de Londres semblent remonter à cette période autour de 1870, au cours de laquelle, en résumé, plusieurs révolutions ont été menées par l’élite britannique, et toutes visaient à contenir la productivité et à empêcher la croissance de l’intelligence et de la propriété intellectuelle parmi les peuples autochtones de l’Empire britannique et des nations concurrentes. Il y a donc eu une révolution dans ce que vous pourriez appeler l’espace mental, qui depuis 2010, est un terme explicitement utilisé par le département central du gouvernement britannique, le Cabinet Office. Une révolution dans la qualité de l’éducation offerte aux écoliers britanniques et plus tard aux autres écoliers occidentaux, une révolution dans le vol de la propriété intellectuelle par l’élite. Une révolution dans le modèle des soins de santé et de leur libre accès, et chez nous, une révolution constitutionnelle, du modèle classique de démocratie libérale britannique, dont je sais qu’il a été explicitement copié sur la Grande-Bretagne par le continent européen et ses écoles de droit, à un modèle qui contrôle rigoureusement ce qui se passe au Parlement et dans les agences dirigées par les gouvernements utilisant le système des instructions de vote des partis. Tout cela s’est produit, comme je l’ai dit, autour de 1870 et, chez nous, en Grande-Bretagne, cela a été en grande partie achevé par l’année charnière entre 1947 et 1948, lorsque la Grande-Bretagne avait un service national de santé unique, autre que le Canada, qu’elle ouvrait la voie à l’unification militaire du continent européen et de l’ensemble de l’OTAN et que, de bien d’autres façons, y compris à travers la planification du droit et de la citoyenneté, elle menait le monde en réinventant la façon dont elle gérait sa population. Le nœud central ici est la ville de Londres, c’est-à-dire la City au cœur même de ce qu’on appelle aujourd’hui le Grand Londres. Ce point est important parce que la City de Londres et l’Église d’Angleterre sont les seules institutions qui ont survécu à toutes les révolutions constitutionnelles dans les îles britanniques, en gardant leurs privilèges et leur immense richesse intacts. La City de Londres se distingue des autres mégapoles mondiales en ce qu’elle a choisi de rester géographiquement petite alors que la zone urbaine qui l’entoure se développait. La City de Londres a toujours un statut juridique distinct des 32 autres arrondissements londoniens, et ne fait pas vraiment partie du Grand Londres en tant que tel, ses privilèges ayant été consacrés dès la Magna Carta de 1215. Son gouvernement autonome n’a jamais été remis en question. À plusieurs reprises au cours de son histoire, elle a exercé un pouvoir sur la couronne britannique et donc, sur une grande partie de la planète pendant l’Empire britannique, notamment pendant les guerres civiles du milieu du 17e siècle, lorsque la City de Londres est restée une puissance financière rivale de la couronne et a même, d’une certaine manière, aboli cette dernière pendant plus d’une décennie. Et après la restauration des couronnes et finalement la révolution anglaise. Six ans seulement après, avec l’arrivée du roi hollandais Guillaume III sur le trône de Grande-Bretagne, la Banque d’Angleterre a été créée en 1694 avec une injection de 12,5 millions de livres sterling de liquidités dans la couronne par ces actionnaires privés, dont on nous dit avec certitude qu’elles forment la base de toutes les dettes engendrées depuis lors jusqu’à ce jour, et les descendants actuels de ces actionnaires et autres personnes ayant droit à des parts de la Banque d’Angleterre sont tenus secrets. La City de Londres exerce également un pouvoir et un contrôle sur ce que l’on appelle la « mère des parlements », le parlement de Westminster, notamment sous la forme d’un fonctionnaire de la City de Londres, connu sous le nom de « remembrancer », qui siège à la Chambre des communes, où même le monarque n’est pas autorisé à entrer et qui enregistre les propos tenus au sujet des intérêts financiers. Il est trop compliqué de donner une définition de la Couronne selon le modèle britannique. Mais ce qui est important, c’est que le Cabinet Office et ministère qui a été créé au début du 20e siècle est le dépositaire effectif des prérogatives de la Couronne. Ainsi, lorsque des personnes extérieures au Royaume-Uni pensent à la Couronne, elles pensent souvent de manière excessive à l’ancienne situation où le monarque prêtait serment lors de son couronnement et était responsable devant le peuple. Dans la pratique, à partir de 1870 environ, la révolution constitutionnelle a fait en sorte que les financiers qui contrôlaient les partis politiques tirent en fait les leviers des prérogatives de la Couronne. Dans les coulisses, le modèle de gouvernement que la Grande-Bretagne possède encore et qu’elle a exporté dans le Commonwealth et dans le monde entier est celui d’un sanctuaire intérieur, le Conseil privé, qui gouverne en fait au nom de la Couronne, et ce n’est qu’en apparence, comme l’ont admis les principaux auteurs constitutionnels depuis les années 1870, c’est seulement pour le spectacle que le Parlement et les ministères sont consultés, comme s’il existait une séparation entre le pouvoir législatif exécutif et le pouvoir judiciaire au niveau du Conseil privé. Or, ce n’est pas le cas. Durant cette période cruciale dont nous parlons, l’éminent constitutionnaliste anglais Walter Bagehot, l’a admis au 17e siècle. Dans la deuxième édition de son livre, « La constitution anglaise », écrit en 1873, juste au moment où les instructions de vote des partis modernes ainsi que le think tank se mettaient en place pour établir la volonté du monopoleur dans la City de Londres, Walter Bagehot a écrit dans un paragraphe qu’il y avait une distinction entre, je cite, « les parties prestigieuses du gouvernement », c’est-à-dire les parties qui sont là pour le spectacle, et plus personnellement la Couronne et, je cite, « les parties efficaces dans le sens des parties fonctionnelles de la machine ». Et il admet que les parties attrayantes ont un but, mais servent seulement à attirer la force du soutien national vers les parties qui travaillent vraiment dans les coulisses. Maintenant, pour simplifier au maximum, je pense qu’il est important de souligner que l’universitaire en histoire de l’université de Georgetown, Carroll Quigley, ça s’épelle CARROLL Quigley, qui était le tuteur de Bill Clinton, entre autres, a écrit très franchement dans son livre, « Tragédie et Espoir », l’histoire du monde à cette époque, qu’il y a eu quatre révolutions industrielles. Oui, ce langage familier venant du Forum économique mondial a déjà été utilisé dans les années 1960 par Quigley et nous ne comprendrons pas cela à moins de voir que le point de vue adopté ici est celui de qui possède la population, d’abord en Grande-Bretagne et ensuite dans l’Empire britannique. Lors de la première révolution, la propriété de la terre et des moyens agricoles fournit la richesse, puis il y a une révolution industrielle mécanique, une deuxième révolution, puis une autre au cours de laquelle le capital financier domine le monde. Et c’est à partir de cette période, vers 1870, que la réserve d’argent de la City de Londres se rend compte que même cette bulle va éclater. Et que la meilleure façon de dominer le monde à l’avenir sera de posséder les esprits, la productivité et les pensées de ceux qui sont dans le modèle pour les empêcher de s’enfuir et de devenir un surproduit de leurs patrons. Ainsi, l’ère moderne de la capitalisation à la fois dans l’industrie et la géopolitique a commencé autour de l’année 1870. En l’espace de quelques années à peine, le monde est passé d’une situation dans laquelle la City de Londres et l’Empire britannique n’avaient aucune concurrence sérieuse à un monde dans lequel plusieurs économies industrialisées ont été capables de concurrencer la Grande-Bretagne. L’Empire britannique et son centre financier, la City de Londres, s’étaient massivement étendus en Asie au cours de la génération précédente, notamment avec les guerres afghanes et les guerres de l’opium dans les années 1840, les guerres de Crimée et la mutinerie indienne des années 1850. L’une des banques les plus puissantes de la City de Londres, la HSBC, date en fait de l’époque du commerce de l’opium chinois : la criminalité imprègne donc les banques de la City de Londres dès le départ. En Europe, l’ordre post-napoléonien imposé par la Grande-Bretagne lors du Congrès de Vienne en 1815 a commencé à s’effriter avec la réussite et l’échec des révolutions socialistes de 1848. La Russie et l’Autriche-Hongrie ainsi que les pays d’Europe de l’Est disposaient des armées terrestres les plus puissantes de l’époque, et ce sont eux qui ont sauvegardé l’Europe en restaurant les têtes couronnées. Par conséquent, l’obsession de la politique étrangère britannique depuis le milieu du 19e siècle — et c’est quelque chose que j’ai vu lorsque j’ai assisté aux réunions de Chatham House, le groupe de réflexion géopolitique suprême du monde à bien des égards, qui dit au Ministère des affaires étrangères ce qu’il doit faire — l’obsession de la politique étrangère britannique à partir du milieu du 19e siècle était une nouvelle stratégie, à savoir s’allier avec les grands rivaux du passé, la France et jusqu’à l’Empire ottoman, contre les alliés historiques de la Grande-Bretagne en Europe du Nord et en Europe centrale, afin d’empêcher toute future alliance russo-allemande qui pourrait devenir le bloc dominant du monde. Une seconde stratégie consistait à empêcher la montée fulgurante de la productivité intellectuelle américaine et la démocratisation de l’invention, et à essayer de capturer cela. Dès 1812, les troupes britanniques envahissant Washington DC ont notamment épargné l’office des brevets parce qu’elles savaient qu’en le brûlant, elles se tireraient une balle dans le pied et ne pourraient plus dominer les inventions américaines après la Révolution américaine. Vers 1860, sous l’impulsion de Bismarck, Garibaldi et du tsar Nicolas 1er, les trois plus grandes nations européennes, qui n’étaient auparavant grandes qu’en termes de culture, sont soudain devenues des États politiquement unifiés et économiquement modernes. Avec le débat de la grande et de la petite Allemagne, des signes sérieux indiquaient que l’Allemagne pourrait s’allier à l’Autriche pour former un seul État germanophone, et il était évident pour l’élite britannique qu’en l’espace d’une génération ou deux, ces trois pays, l’Allemagne, l’Italie et la Russie, deviendraient de grandes puissances, à peu près au même niveau que la Grande-Bretagne et la France. Les États-Unis sont sortis de la guerre civile en 1865 et ont entamé une ascension fulgurante vers la suprématie industrielle. L’élite britannique a correctement prévu que vers 1900, ces quatre nouvelles puissances commenceraient à avoir des forces navales aussi fortes que celles de la France ou de la Grande-Bretagne, et a prévu que les armées terrestres de ces puissances européennes seraient beaucoup plus fortes que celle de la Grande-Bretagne, de sorte que seule une alliance franco-britannique au nom des droits de l’homme et de la diffusion de la démocratie libérale, auparavant impensable, aurait pu tenir ces puissances en échec. En 1880, ce que l’on appelle la ruée vers l’Afrique battait son plein, ce qui a permis même à des nations européennes mineures sur le plan territorial, comme la Belgique et le Portugal, d’acquérir des ressources substantielles grâce à la colonisation de l’intérieur de l’Afrique, et de devenir de sérieux rivaux pour l’industrie et le commerce britanniques. Cela a mis la City de Londres dans un sérieux embarras, car, par exemple, le Portugal était le plus ancien allié de la Grande-Bretagne et la Belgique était un État qui devait son existence même à la négociation britannique de 1815. Des historiens ont avancé de sérieux arguments indiquant que la vague d’assassinats de l’ère édouardienne, notamment l’assassinat de la famille royale portugaise en 1908, et celui de l’archiduc François-Ferdinand en 1914, a été fomentée avec la connivence secrète de la City de Londres. Un pays asiatique est également devenu une grande puissance industrielle et militaire à la fin du 19e siècle, le Japon, et, à la grande surprise du monde entier, il a battu la Russie en 1905, donnant ainsi à de nombreuses populations coloniales d’Afrique et d’Asie l’idée qu’il n’y avait aucune raison pour qu’elles ne puissent pas elles aussi s’affirmer face à la domination européenne, comme l’avaient déjà fait les républiques d’Amérique latine contre l’Espagne. L’année suivante, 1906, fut celle de la course navale, de la crise du Dreadnought, qui a peut-être inévitablement déclenché le compte à rebours vers la Grande Guerre, la Première Guerre mondiale, car l’élite britannique et l’élite allemande étaient désormais déterminées à obtenir la weltherrschaft ou domination mondiale. Les deux pays se méfiaient à juste titre des motivations de l’autre. Ils étaient tous deux techniquement capables de dominer le monde, tant sur le plan industriel que dans l’espace mental, et disposaient tous deux pour la première fois de puissants blocs alliés. En résumé, le changement provoqué par la crise existentielle du milieu à la fin du 19e siècle a été le modèle commercial de la City de Londres tel que décrit par Quigley, les vagues successives de monopoles. Ce modèle en est venu à souligner l’importance de contrôler non plus seulement la force militaire ou les ressources matérielles, mais l’esprit des personnes désormais connues sous le nom de ressources humaines dans l’Empire britannique, et au-delà, et c’est pourquoi la science-fiction commence à parler de la propriété du patrimoine génétique de l’homme à partir de cette époque, afin que la City de Londres puisse vendre des biens et de plus en plus de services au reste du monde, qui ne pourrait jamais rattraper son retard dans l’espace mental. Le UK Column, les chercheurs et les commentateurs alliés constatent régulièrement que la City de Londres et les très riches institutions de pouvoir d’influence de la Grande-Bretagne, celles que Tony Blair, ce mois-ci encore, nous a dit que nous devions continuer à bien utiliser, mais en les dominant, comme le British Council, la BBC, les universités britanniques et l’Église d’Angleterre, que ces institutions continuent de considérer cette bataille pour l’esprit comme leur priorité absolue pour la domination du monde, et qu’elles considèrent la santé comme un sous-secteur de cette bataille. Nous sommes également pleinement convaincus, grâce à des découvertes répétées, que l’élite britannique se considère, à juste titre, comme la première puissance mondiale dans l’espace mental. En d’autres termes, la City de Londres fait faire aux autres nations le sale boulot pour elle. Et elle le fait surtout en réussissant le tour de force de faire en sorte que sa propre population, la Grande-Bretagne, le Commonwealth et les élites des autres nations adhèrent à sa perspective et à son récit, plutôt qu’à leurs propres perspectives et récits. C’est la vision que j’ai reçue lors de mon éducation d’élite britannique. Et c’est la vision que les agences de renseignement britanniques ont reçue pendant les deux guerres mondiales et la guerre froide. Ce n’est pas une stratégie officielle qui est enseignée dans les internats, les universités, les agences de renseignement ou lors de la formation des agents. Mais c’est en grande partie le credo des soi-disant lignées de familles d’élite qui dirigent la City de Londres. Et c’est le modus operandi des fondations anglo-américaines exonérées d’impôts, et des groupes de réflexion tels que Chatham House, une bulle qui a imposé les agendas de ces lignées aux gouvernements occidentaux. Une figure clé de l’année 1870 est celle de John Ruskin, apparemment inoffensif car il était le premier professeur d’art à Oxford. Mais il a apporté la doctrine selon laquelle l’élite britannique se devait d’exporter sa propre vision du monde au reste de la planète en termes très généraux. Et parmi les principaux étudiants qu’il influença, il y avait Cecil Rhodes, qui, bien sûr, est devenu fabuleusement riche en Afrique australe. Cecil Rhodes, et tout cela est documenté par de très nombreux historiens, a écrit des journaux secrets et formé des sociétés secrètes en 1891. Après 16 ans de planification, sa principale société secrète a été fondée. Les bourses Rhodes font partie de cette société. Les membres d’Oxford du réseau de Rhodes étaient des gens comme Lord Toynbee et Lord Milner, des géostratégistes bien connus. À Cambridge, il y avait le futur ministre des Affaires étrangères Lord Gray, et Lord Isha [orthographe incertaine]. À Londres, il y avait le journaliste de premier plan de l’époque, WT Stead, ainsi que des initiés et des membres du comité exécutif de Cecil Rhodes, parmi lesquels les hommes susmentionnés, plus Lord Rothschild. Après la mort de Rhodes en 1902, d’autres lignées anglaises de premier plan qui ont à plusieurs reprises entaché l’histoire de la City de Londres, comme les Astor, sont entrées dans ce cercle. Le cercle extérieur visant à réaliser la volonté de Cecil Rhodes — cette vision apparemment bénigne de la Grande-Bretagne forçant le monde à accepter sa démocratie libérale et à accepter cette façon de voir le monde — le cercle extérieur est devenu connu sous le nom de groupes de la Table ronde, qui sont toujours actifs aux États-Unis et dans sept autres pays et ont été mis en place à partir de 1909. Ce groupe considérait le succès de la Fédération canadienne de 1867 comme sa principale étude de cas, vous en entendrez parler plus tard par Matthew Ehret. Le Canada a été effectivement unifié politiquement et plus tard les autres colonies blanchies, les territoires blancs. Afin d’éviter la propagation de points de vue différents et de démocraties anglophones différentes dans le monde, ils devaient tous être rattachés au contrôle de la City de Londres. Ceci est également très contemporain, car parmi les nombreux boursiers de Rhodes qui dominent la politique mondiale et poussent le monde vers la globalisation, on trouve Bill Clinton, déjà mentionné, et au Forum Économique Mondial, la Professeur néo-zélandaise Ngaire Woods, qui s’est fait connaître cette année pour avoir déclaré au FEM que l’élite pouvait faire de grandes choses si elle s’unissait et si les gens du monde acceptaient simplement qu’elle était à leur tête. Rhodes a écrit dans l’un de ses journaux secrets, je cite, « pourquoi ne devrions-nous pas former de société secrète, avec un objectif », c’est-à-dire avec un seul objectif, « la promotion de l’Empire britannique, et la mise sous tutelle britannique de l’ensemble du monde non civilisé pour le rétablissement », à savoir le rétablissement de la Grande-Bretagne, « des États-Unis, et pour faire de la race anglo-saxonne un seul et unique empire ».

20:42

Il a également écrit : « Formons le même genre de société, une église pour l’extension de l’Empire britannique ». On parle ici d’espace mental. Rhodes continue « une société qui devrait disposer de ses membres dans chaque partie de l’Empire britannique, œuvrant pour un objectif et une idée. Nous devrions placer ses membres dans nos universités et nos écoles, et nous devrions regarder la jeunesse anglaise passer entre leurs mains. Un seul peut-être sur 1000 aurait l’esprit et les sentiments adaptés à un tel objectif ». C’est à cela que servent les bourses Rhodes. « Il devrait être jugé de toutes les manières, il devrait être testé, pour voir s’il est endurant, doté d’éloquence, indifférent aux détails insignifiants de la vie, et s’il s’avère qu’il est ainsi », en d’autres termes, c’est un test psychologique, « alors il devrait être élu et prêter serment, ou jurer de garder le secret, pour servir durant le reste de sa vie son pays. Il devrait ensuite être soutenu, s’il n’en a pas les moyens, par la société et envoyé dans la partie de l’empire qui juge sa présence utile ». Et dans cette vision, bien sûr, les États-Unis font partie de l’empire. Dans un autre de ses testaments, Rhodes décrit plus en détail son intention, je cite : « pour l’établissement, la promotion et le développement d’une société secrète. Le véritable but et objet de cette société sera l’extension de la domination britannique à travers le monde. La colonisation par des sujets britanniques de toutes les terres où les moyens de subsistance sont accessibles par l’énergie, le travail et l’entreprise, et en particulier l’occupation par les colons britanniques de tout le continent africain, de la Terre Sainte, de la vallée de l’Euphrate », à savoir l’Irak moderne, « des îles de Chypre, et de l’île de Candie », à savoir la Crète, « de l’ensemble de – Pas sûr de l’ortographe du nom – l’Amérique du Sud, des îles du Pacifique n’étant pas jusqu’ici détenues par la Grande-Bretagne, de l’ensemble de l’archipel malais, de ceux longeant la Chine et le Japon », à savoir au large de la Chine et du Japon, « et le rétablissement final des États-Unis d’Amérique comme partie intégrante de l’Empire britannique ». Cette vision n’est pas l’apanage d’un Anglais particulièrement riche, mais elle s’est imposée aux États-Unis, dans ce qu’on appelle l’establishment de l’Est, la côte orientale, au moment où les États-Unis devenaient la puissance dominante du monde. Le témoignage clé à ce sujet est celui de Norman Dodd, DODD, donné peu avant sa mort en 1982 à G. Edward Griffin, que l’on trouve facilement en ligne en tapant Norman Dodd et fondations exonérées d’impôts. Dodd était le principal collaborateur de Reese, le membre du Congrès de l’est du Tennessee ou EECE, qui, dans les années 1950, a mené une enquête au nom du Congrès sur l’effet de ces fondations exonérées d’impôts aux États-Unis, lesquelles ont adopté la vision de la City de Londres et de Cecil Rhodes afin de dominer la richesse.

23:30

Maintenant, je vais lire ce que Dodd a dit dans cette interview. Il indique avoir embauché une avocate sceptique à Washington. C’était dans les années 1950 et il l’a envoyée à la bibliothèque de la Fondation Carnegie, l’une des principales fondations exonérées d’impôts, à laquelle elle a eu accès avec une ceinture de dictaphone, la technologie de l’époque pour enregistrer efficacement ce qu’elle lisait, afin de scanner la bibliothèque et de voir ce qui se disait à partir des années 1906 dont j’ai parlé plus tôt, et cette femme initialement sceptique je cite, indifférente aux objectifs du comité des risques, a découvert cela, ce qui l’a horrifiée. Elle a dicté dans sa ceinture, selon Dodd, « nous sommes maintenant en 1908, l’année où la Fondation Carnegie a commencé ses opérations. Et cette année-là », lit-elle tandis qu’elle se trouve dans la bibliothèque de la Fondation Carnegie, « la réunion des fiduciaires a pour la première fois soulevé une question précise dont ils ont discuté pendant tout le reste de l’année d’une manière très savante. Et la question est la suivante : existe-t-il un moyen connu, plus efficace que la guerre, en supposant que vous souhaitiez modifier la vie d’un peuple entier ? », et ils concluent que non, « aucun moyen plus efficace que la guerre, à cette fin, n’est connu de l’humanité ». La Fondation Carnegie a soulevé la deuxième question et en a discuté, à savoir, « comment impliquer les États-Unis dans une guerre » ? Je pourrais continuer sur cette lancée mais je n’ai pas le temps. Mais je pense que cela suffit en soi à donner les grandes lignes aux gens. Il ne suffit pas d’être de loin la plus grande puissance militaire et économique au monde, comme l’ont été les États-Unis avant et après la Première Guerre mondiale si votre espace mental est toujours contrôlé par l’idée selon laquelle le modèle démocratique libéral anglo -saxon est la seule possibilité. S’il est toujours contrôlé par l’hypothèse non vérifiée que tout le monde au sommet de ce modèle est payé pour la liberté, alors vous allez toujours trouver qu’un club d’intérêt personnel va diriger le monde. Et même dans des domaines tels que les soins de santé, que la Grande-Bretagne a été le premier pays au monde à nationaliser en 1948, vous allez découvrir que les gens supposent à tort et aveuglément que leurs meilleurs intérêts sont gardés à cœur. Dans deux minutes peut-être, j’aborderai l’autre point que je souhaite soulever, à savoir le financement des deux axes lors des deux guerres mondiales par la City de Londres et ses ramifications à Manhattan, Wall Street. Maintenant, ce n’est pas, encore une fois, une revendication sortie de nulle part. Des universitaires sérieux comme Anthony Sutton, qui travaillait à l’Institut Hoover de l’Université de Stanford en Californie, ont écrit des livres entiers à ce sujet, intitulés « Wall Street et la révolution bolchévique », et « Wall Street et l’ascension d’Hitler ». Tout cela est bien connu de ceux qui prennent la peine de s’informer à ce sujet. Il y avait toute une série de documents, qui ont été récupérés par Anthony Sutton : cela lui a coûté sa titularisation à Stanford. Il a mis tout ça dans ses livres. Et ce qu’il a découvert, c’est que, pour résumer, l’Union soviétique et le Troisième Reich ont été créés dans l’intérêt de la City de Londres et plus particulièrement de sa ramification à Wall Street. Et donc, si vous pouvez faire apparaître brièvement la première diapositive, que je vous ai demandé de mettre à l’écran, vous verrez un résultat de cela, à savoir qu’IBM avait une filiale monopolistique en Allemagne, dénommée Hollerith. Hollerit était le nom du propriétaire allemand. Pouvez-vous confirmer que cela est à l’écran en ce moment ? On va attendre un peu. Merci. Oui. Vous pouvez donc voir ici que Hollerith, le propriétaire allemand nominal de cette filiale d’IBM, propose au Troisième Reich Übersicht, ou une surveillance, en utilisant des cartes perforées, une technologie américaine concédée au Troisième Reich. En bas, vous pouvez lire Übersicht mit Hollerith Lochkarten, la connaissance totale de l’information par le biais des cartes perforées Hollerith. Et le nom de la société en bas est Deutsche Hollerith Maschinen Gesellschaft MBH, qui était à Berlin Lichterfelde.

28:01

La deuxième diapositive, que j’ai là, n’est qu’un exemple de l’étendue globale des services de renseignements britanniques dans des domaines que la constitution ne permet pas d’avoir. Vous pouvez voir ici un symbole d’arbre de Noël, indiquant que le MI5, même avant la Seconde Guerre mondiale, contrôlait qui accédait aux ondes de la BBC, qui était promu et qui était transféré. Tout cela se faisait donc sous le contrôle du MI5, les renseignements britanniques, qui sont théoriquement là pour la nation, mais qui ont en réalité été mis en place par les lignées dont je parle pour servir leurs objectifs privés. C’est en tout cas ainsi qu’ils considèrent la gestion du renseignement britannique. La troisième de mes quatre diapositives montre comment cela émerge en 2010, lorsque le Cabinet Office britannique, en collaboration avec un groupe de réflexion, l’Institute for Government, parle ouvertement de contrôler la pensée du monde et la pensée du peuple britannique. Ils étiquettent les parties du cerveau sous l’étiquette d’espace mental. Et sur la droite, je peux voir que vous avez mis le texte clé des pages 66 et 67 de ce document de 2010. Il est dit « même si les gens sont d’accord avec l’objectif comportemental » — c’est-à-dire en faisant pression pour que les gens se comportent comme le souhaitent les lignées plutôt que de mandater leurs gouvernements pour agir en leur nom — « même si les gens sont d’accord avec l’objectif comportemental, ils peuvent s’opposer aux moyens servant à l’atteindre. Les différents effets de l’espace mental entraîneront différents niveaux de controverse. Il existe plusieurs facteurs qui déterminent la controverse ». En d’autres termes, ils prévoient qu’on leur dira qu’il s’agit d’un renversement des objectifs du gouvernement, y compris dans le domaine des soins de santé, bien sûr. Ils poursuivent « Comme indiqué, les effets de l’espace mental dépendent au moins en partie du système automatique. Cela signifie que les citoyens peuvent ne pas réaliser pleinement que leur comportement est modifié, ou du moins de quelle manière il l’est. Il est clair que cela expose le gouvernement à des accusations de manipulation. Les gens ont tendance à penser que les tentatives visant à modifier leur comportement seront efficaces si on leur fournit simplement des informations de manière transparente. Cette aversion a un fondement psychologique, mais c’est essentiellement une question de confiance dans le gouvernement. L’absence de contrôle conscient a également des répercussions sur le consentement et la liberté de choix. Tout d’abord, il crée un besoin plus important pour les citoyens d’approuver l’utilisation du changement de comportement, peut-être en utilisant de nouvelles formes d’engagement démocratique ». On voit que dans ce modèle, la démocratie est le bien le plus élevé qui soit vendu, mais les leviers de manipulation de la démocratie sont entre les mains du cartel. « Deuxièmement, si l’effet fonctionne automatiquement, il offre peu de possibilités aux citoyens de se retirer ou de faire d’autres choix ; le concept d’architecture de choix est moins utile ici. Toute action susceptible de réduire le droit à l’erreur », le droit de refuser un traitement, par exemple, « sera très controversée. Bien sûr, certaines tentatives traditionnelles de changement de comportement ne sont pas explicites et elles ont suscité la controverse. Mais elles sont rarement accusées de manipulation, parce qu’elles sont fondées sur des actions conscientes visant à fournir et à enregistrer des informations, plutôt que sur des réactions inconscientes ». Je pense que cela établit assez bien le principe selon lequel nous sommes formés dans ce monde moderne dominé par la City de Londres et ses institutions dotées d’un pouvoir d’influence à penser que nous avons notre destin en main, parce que la démocratie libérale est souvent présentée comme étant le bon modèle face auquel tous les autres systèmes sont plus tyranniques et moins souhaitables. Mais toute la force du modèle de la City de Londres est qu’il peut même opérer à distance à travers d’autres pays comme les États-Unis et l’Allemagne, comme cela a été démontré ici, pour persuader les gens que ce qu’ils voulaient avant n’est pas vraiment ce qu’ils veulent maintenant. Et c’est le remplissage de l’espace mental, qui est, je pense, l’arme la plus puissante. C’est ce qui est disponible ici. Maintenant, je vois que j’ai dépassé le temps imparti. Je vais donc laisser le reste des détails, je n’aurais jamais pu espérer être exhaustif. Mais j’espère avoir donné aux gens un petit aperçu de la longue série de recherches historiques solides menées par des personnes connaissant bien l’establishment britannique afin d’établir que l’establishment britannique ne s’est pas battu loyalement depuis environ 1870. Et que la plupart des révolutions qu’il souhaitait provoquer, le contrôle de la démocratie par les instructions de vote des partis, le contrôle des soins de santé par les États obligatoires, les soins de santé fournis dans le modèle britannique et canadien, étaient tous en place dans la période d’après-guerre, qui est la période que Matthew Ehret va traiter d’après ce que j’ai compris pour nous amener dans l’ère d’après-1945.

32:56 Reiner Fuellmich :

Merci beaucoup, Alex, c’est une parfaite vue d’ensemble qui explique comment nous en sommes arrivés là. Si vous le permettez, j’aimerais juste poser quelques questions. Bien sûr, mes confrères feront de même. Mais est-il exact que la City de Londres est le véritable centre névralgique du Royaume-Uni ?

33:22 Alex Thomson :

Sans l’ombre d’un doute. Si vous avez eu mon parcours, c’est quelque chose que vous apprenez à l’internat, sans parler de l’université, dans le cadre du rugby et de Cambridge pour moi, et au moment où vous entrez dans la fonction publique, on vous regarde bizarrement si vous suggérez que le peuple de Grande-Bretagne ou de tout autre pays du Commonwealth est doté d’autodétermination. Non, il est entendu que la City de Londres possède le corps, l’âme et l’esprit du peuple.

33:49 Reiner Fuellmich :

En fin de compte, cela semble avoir commencé assez tôt. Je ne sais plus si ça a commencé en 1870 ou au début des années 1900, mais c’est le contrôle de l’esprit des gens que la City de Londres a voulu atteindre pour réaliser son objectif de domination mondiale, est-ce exact ?

34:13 Alex Thomson :

Oui, et ce n’est plus un problème spécifiquement anglo- saxon. Cela concerne aussi des pays du continent européen, l’Allemagne est l’un d’entre eux depuis 1949, la république fédérale bien sûr, la Belgique en est un autre qui, comme je l’ai dit dans ma présentation, a été créé par l’insistance britannique en 1815. Je traduis à un très haut niveau des communications gouvernementales issues des soi-disant agences nationales de santé de ces pays et destinées à leurs citoyens. Je les traduis en anglais pour les expatriés de ces pays, et les gouvernements belge et allemand, pour ne citer que ces deux exemples, suivent explicitement le point de vue de la City de Londres. Ils écrivent à la population en termes de gestion de la santé, en leur disant que leur mode de vie n’est pas assez bon ; leur corps, leur esprit, leur génétique, leur intelligence n’ont pas été optimisés. Et donc, ce bétail, cette population, n’est pas compétitive comme elle devrait l’être dans le monde. Il s’agit donc d’une extension du modèle de la City de Londres au continent européen, où il a su, à bien des égards, s’adapter aussi bien aux juridictions de droit civil codifié, très respectueuses de l’état de droit, qu’aux juridictions de common law.

35:22 Reiner Fuellmich :

Donc, en fin de compte, ce que nous voyons, c’est une institution très puissante financièrement, la City de Londres, qui s’étend sur l’Atlantique comme une cinquième colonne, comme certains le prétendent, car ils ont Wall Street. Ces deux puissances unies étaient ou sont encore le centre du pouvoir dans ce monde ?

35:52 Alex Thomson :

Oui, il y a eu de nombreux rebondissements, surtout au milieu du 20ème siècle, mais ce que vous avez dit est un résumé utile de l’ensemble du 20ème siècle, au cours duquel il y a eu des luttes. Pendant longtemps, il y a eu une guerre froide tout à fait exceptionnelle, avec des branches de l’aristocratie de la City de Londres qui étaient à la fois pro et anti Union soviétique. Je pourrais parler de cela pendant des heures, mais c’est secondaire par rapport au fait qu’il ne doit y avoir qu’un bloc allemand et qu’un bloc russe en Eurasie, et que ces deux blocs doivent être contrôlés et entravés par la puissance maritime britannique ou anglo-américaine et le pouvoir d’influence anglo-américain, qui établissent les modèles pour eux.

36:33 Reiner Fuellmich :

Je voulais clarifier une autre chose : vous avez mentionné que ce sont juste quelques familles qui dirigent vraiment la City de Londres. Vous avez donné les noms de Rothschild, Rhodes et Astor. Est-il vrai que seules quelques familles essaient de dominer le monde à travers la City de Londres ?

36:57 Alex Thomson :

Oui, je n’ai jamais trouvé meilleur matériel que celui d’un duo d’écrivains, qui est néerlandais et germano-américain. Le Hollandais s’appelle Robin de Ruiter, RUITER. Le co-auteur, le germano -américain de Caroline du Sud, s’appelle Fritz Springmeier. Leur livre porte le titre plutôt choquant de « Les lignées Illuminati », mais leur travail est solide. Et ils montrent systématiquement que la City de Londres, Manhattan et le continent européen sont très largement dominés par un petit nombre de familles. Souvent, on nous parle de 13 familles super puissantes. Mais il y a des niveaux au-dessous. Les Français, par exemple, parlent souvent des 200 familles qui dirigent l’État profond, mais les plus anciennes terrorisent les plus jeunes dans ce modèle, et le niveau le plus élevé que l’on puisse atteindre avant de sombrer dans des affirmations nébuleuses selon lesquelles Satan dirigerait le monde — ce que je crois en fin de compte — le niveau le plus élevé que l’on puisse atteindre est un niveau auquel les lignées germaniques d’Europe centrale font difficilement la trêve avec les lignées des îles britanniques, dont la plupart sont maintenant basées aux États-Unis. C’est le modèle le plus important et toutes les frustrations géopolitiques du 20e siècle sont en fin de compte liées à l’un ou l’autre de ces camps qui tentent de prendre l’ascendant : devons-nous suivre la City ou la renverser ? Et cela a à voir avec la frustration des superpuissances émergentes, notamment les Russes qui essaient de jouer à armes égales avec ce cartel de lignées, et qui échouent.

38:27 Reiner Fuellmich :

Et l’un des principaux moyens par lesquels ces quelques familles tentent de dominer le reste du monde semble être à travers l’espace mental, ce qui ressemble un peu au contrôle mental : est-ce que cela implique des opérations psychologiques ?

38:48 Alex Thomson :

Tout à fait. Aucune nation n’est entrée dans le jeu des opérations psychologiques avant la Grande-Bretagne. Dès qu’il y a eu des agences de renseignement officielles en Grande-Bretagne, à l’époque édouardienne, juste avant la Première Guerre mondiale, cela est devenu un point clé. Mais ils ont emprunté beaucoup de leurs idées à Vienne et à l’Allemagne, qui étaient à l’avant-garde dans le domaine de la psychologie à l’époque. Il s’agit donc d’un intérêt transnational des zones anglophones et germaniques pour dominer le monde de l’époque en utilisant les astuces de l’espace mental, qui ont été largement perfectionnées lorsque l’Amérique a acquis une hégémonie incontestée après 1945. Comme dans tant d’autres domaines, tels que l’opération Paperclip pour les domaines techniques, on a utilisé beaucoup d’esprits du Troisième Reich et de l’Union soviétique transférés aux États-Unis de manière clandestine. Cela a été considéré, depuis l’époque d’Edward Bernays et de Freud, comme le moyen le plus puissant de contrôler l’action dans le monde réel. Parce que si vous ne pouvez pas percevoir qu’il existe une autre façon de faire les choses que celle que l’on vous dit être la bonne, alors c’est évidemment le pouvoir suprême que vous pouvez avoir. Si vous avez ce pouvoir, vous contrôlez des gens qui sont plus nombreux, plus intelligents et plus forts que vous.

40:01 Reiner Fuellmich :

Ai-je bien entendu : vous avez utilisé le terme « bétail » ? Est-ce vraiment la vision que ces gens ont du reste du monde ?

40:10 Alex Thomson :

Dans les années 1990, lorsque j’étais dans un pensionnat britannique supérieur, ce terme était utilisé ouvertement par les petits-fils de personnes haut-placées à la City de Londres pour décrire la population britannique qui passait sous leurs propres fenêtres et se rendait en cours ou au travail en ville. Les termes qui étaient utilisés à leur sujet tournaient autour de l’idée qu’ils étaient du bétail, et ne méritaient pas une place dans le monde autre que sous la direction de l’élite britannique.

40:44 Reiner Fuellmich :

Merci beaucoup, Alex. Je ne veux pas empêcher mes confrères de poser des questions.

Alors s’il vous plaît, à votre tour.

40:56 Dexter L-J Ryneveldt :

Bonjour, M. Thomson, merci beaucoup pour votre témoignage. Vous m’entendez bien ?

Alex Thomson :

Très bien, merci.

Dexter L-J Ryneveldt :

Excellent. M. Thomson, je voudrais savoir, et vous avez en fait abordé le continent africain et plus précisément, vous avez mentionné Cecil John Roberts, j’aimerais que vous me disiez quel rôle joue actuellement la City de Londres sur le continent africain ? Pouvez-vous, s’il vous plaît, développer ce point ?

41:28 Alex Thomson :

Le rôle qu’elle joue est très sombre et complexe, et on le voit surtout lorsque des coups d’État et des révolutions se produisent dans les anciennes colonies britanniques. Bien sûr, il y a tout un groupe de pays anciennement colorés en rose sur la carte, allant du Caire jusqu’au Cap, où la Grande-Bretagne a presque installé un chemin de fer et une unique colonie. Et c’est dans ces pays qu’on le voit le plus clairement. Le fils de Mme Thatcher a été impliqué dans une tentative de coup d’État ratée dans un pays africain non anglophone, la Guinée équatoriale. Ce n’est qu’un exemple de tentative ratée, et les sponsors de la City de Londres ont laissé Margaret Thatcher nettoyer ça toute seule pour ainsi dire, lorsque cela a échoué. Je pense que ce que nous voyons plus particulièrement dans l’ancienne Rhodésie, maintenant la Zambie et le Zimbabwe, c’est qu’il y a eu un nœud où la City de Londres a engagé des personnes financièrement corrompues et puissantes et les contingents locaux des SAS de l’ère du pouvoir blanc, qui ont fait une grande partie du sale boulot, y compris à Londres dans la période d’après-guerre. Cela s’est fait sur la base de la possession, sur papier, de riches actifs miniers en Afrique australe. Voilà ce que je peux en dire en gros. Il y a même des morts suspectes jusqu’à la Chambre des tribunaux de Lancaster en 1979, ouvrant la voie au ZANU-PF pour prendre le relais du gouvernement Smith en Rhodésie, devenu par la suite le Zimbabwe, avec des avocats tombant, soi-disant, morts par la fenêtre. C’est un tableau extrêmement sombre. Et plus vous regardez certaines des entreprises impliquées, Kroll Security en est une qui me vient à l’esprit, plus vous voyez qu’il y a un lien entre le MI6, les SAS et la City de Londres. Et cela concerne l’Afrique du Sud, en particulier, comme principal atout.

43:17 Dexter L-J Ryneveldt :

Merci beaucoup. Êtes-vous donc d’accord avec moi, M. Thomson, pour dire qu’en ce qui concerne la domination financière, on voit que la dette est au cœur du COVID-19 ? Donc êtes-vous d’accord pour dire que la domination financière est au cœur de la pandémie de COVID-19 ?

43:36 Alex Thomson :

Oui, je le suis. Et je le nuancerais très légèrement en vous rappelant que, dans le résumé de Carroll Quigley sur la vision du monde de l’establishment de l’élite anglo-américaine, il souligne que la propriété des actifs financiers est déjà dépassée dans les années 1960. Et il sait que les grands esprits, pas nécessairement les bons, un siècle avant lui, l’avaient déjà vu venir. Ils considéraient que la vraie richesse était l’esprit humain, la santé humaine et la capacité de modifier et de transformer l’être humain en un nouveau modèle qui se comporterait comme prévu. C’est la grande richesse du monde. Mais avec cette réserve, si nous appelons ça la richesse, et par extension, nous pouvons l’appeler la richesse financière, alors oui, c’est le prix le plus élevé qui soit. Le problème de la City de Londres, c’est que si vous êtes quelque peu doué intellectuellement, et que vous venez d’un milieu britannique privilégié d’Oxford et de Cambridge, vous n’avez véritablement le choix qu’entre gagner de l’argent dans la City de Londres, ou vous engager dans une branche du service national, comme les services secrets ou l’armée. Et la différence que j’ai constatée à maintes reprises entre moi et ceux qui ont suivi l’autre voie dans ma cohorte était le principe qu’aucun des deux groupes ne doutait du fait que le véritable pouvoir dans le monde était de posséder le capital. Il s’agit juste de savoir si vous souhaitez être un agent du renseignement qui informe la City de Londres, ou si vous souhaitez faire partie du processus qui génère de l’argent. Il n’y a pas d’idéal plus élevé que cela dans le modèle américain.

45:08 Reiner Fuellmich :

D’accord, merci beaucoup. Je n’ai pas d’autres questions. Merci. Des questions de la part d’Ana ou de Virginie ? Ou Dipali ?

45:22 Ana Garner :

Oh, non, je pense que c’était vraiment excellent. La seule question que je voudrais poser est la suivante : comment expliquez-vous cela ? Vous avez mentionné plusieurs choses comme le copywriting, le copywriting de l’esprit humain, peut-être même de la génétique. Pensez-vous qu’il y ait un lien entre les vaccins actuels, les soi-disant vaccins de Pfizer, Moderna, Janssen et AstraZeneca : pensez-vous qu’il y ait une relation entre eux et cet objectif de copywriter les humains ?

45:53 Alex Thomson :

Je crois fermement que je ne suis pas qualifié d’un point de vue médical ou biotechnologique pour expliquer la part de vérité qu’il peut y avoir dans tout cela. Mais j’ai vu à maintes reprises que lorsqu’il y a de la hauteur, et lorsqu’il y a une croyance pseudo théologique parmi l’élite en Grande-Bretagne et en Amérique, on peut atteindre un certain objectif en faisant un certain tour, par exemple en modifiant un gène et en apposant un copyright sur le corps humain, c’est une motivation suffisante en soi pour alimenter une sérieuse tentative d’aller dans ce sens. Et je sais que lorsque Debi Evans interviendra dans le créneau de Brian Gerrish, plus tard dans la soirée, elle parlera de l’idée que l’édition génétique permettra de facto de copier sournoisement le nombre d’âmes et de corps de l’humanité qui sont concernés, de sorte qu’ils ne seront plus sous la protection du Créateur.

Ana Garner :

Merci. Merci.

46:48 Reiner Fullmich :

Ok, cela conclut le témoignage d’Alex Thomson. Nous allons maintenant écouter Matthew Ehret.

47:00 Matthew Ehret :

Merci, je dois dire que cette présentation a dépassé mes attentes. Et je pense qu’elle donne très bien le ton pour que je puisse reprendre le flambeau. Je voudrais juste revenir sur un seul point, qui est que peu importe ce que l’oligarchie peut souhaiter, légalement ou officiellement, la revendication de posséder l’âme ou le corps et la liberté des gens n’a aucun rapport avec la réalité. Il y a une loi naturelle qui est supérieure à la loi qu’ils souhaitent imposer à l’univers. Et c’est une partie du problème avec les penseurs de la tour d’ivoire. Ils veulent toujours que l’univers obéisse à leurs modèles mathématiques. Et ils piquent des crises de rage lorsqu’ils découvrent que l’univers est beaucoup plus créatif et bien moins linéaire qu’ils ne le souhaitent. Il s’agit donc d’une sorte de complexe de Dieu, qui signe finalement la chute des empires dans l’histoire, à chaque fois que vous voyez l’oligarchie s’auto-cannibaliser et s’effondrer sous ses propres contradictions. C’est quelque chose de naturel, ça doit se produire ainsi. La question est de savoir si nous sommes prêts à tolérer ce niveau de folie et d’immoralité, au point de sombrer avec ? Et c’est le même défi pour chaque génération. Ce n’est pas nouveau. Et à l’évidence, nous sommes au bout du système.

Je vais faire quelque chose d’un peu différent. Au départ, j’avais l’intention de parler davantage d’eugénisme. Mais à présent, je comprends que le 26 février, nous allons nous concentrer beaucoup plus sur l’eugénisme. Je ne le ferai donc pas. Je poursuivrai le thème qu’Alex a soulevé, mais je le ferai en traitant d’abord de la situation actuelle pendant environ huit minutes juste pour faire comprendre ce qu’est la mainmise britannique dans les affaires mondiales actuelles. Entrons dans les détails, à l’aide d’une petite vidéo d’une minute de Justin Trudeau, ici au Canada, où on voit cette ombre, une ombre qui a été imposée au peuple pour mener une politique qui ne vient pas vraiment de lui. Je pense que tout le monde reconnaît qu’il n’est pas vraiment aux manettes. C’est un peu une jeune version de Biden. Toute sa vie a été en quelque sorte manipulée. Mais la question qui se pose est la suivante : si ce type ressemble trop à une poupée Ken, sans cerveau ni âme pour prendre des décisions, quel est alors le pouvoir derrière le pseudo trône ? Je vais donc commencer par une vidéo. Ensuite, je reviendrai en arrière au 19ème siècle, en me focalisant un peu plus sur le Canada. Juste parce que c’est quelque chose d’actuel vu ce qui se passe en ce moment à Ottawa. Et nous continuerons ensuite jusqu’aux batailles de l’après -guerre pour voir comment cette chose s’est métamorphosée et recalibrée après la Seconde Guerre mondiale. Donc, nous allons faire cela de façon sommaire. Je vais essayer de ne pas trop simplifier, mais évidemment, c’est une question complexe, et je vais essayer de restituer ce qui doit être compris en étant rigoureux. La première chose, c’est la vidéo que j’ai promise, que je vais lancer maintenant. Elle dure environ une minute et demie. Est-ce que ça va le son ? J’espère que vous entendez. Ce n’est pas la vidéo. Je suis vraiment désolé. Je réessaie. Ok. Vous arrivez à voir « Canadian Press » ?

Reiner Fullmich :

Je la vois.

50:21 Matthew Ehret :

« Moi, Justin PJ. Trudeau, jure d’être fidèle et de porter une véritable allégeance à Sa Majesté la reine Elizabeth II, reine du Canada, à ses héritiers et successeurs, avec l’aide de Dieu. Moi, Justin PJ. Trudeau, jure solennellement et sincèrement d’être un serviteur fidèle et loyal de Sa Majesté la reine Elizabeth II, en tant que membre du Conseil privé de Sa Majesté pour le Canada. Je déclarerai fidèlement, honnêtement et véritablement ma pensée et mon opinion sur toutes les questions à traiter, à débattre et à résoudre au Conseil privé. Je garderai secrètes toutes les affaires qui me seront confiées et révélées en cette qualité, ou qui seront traitées secrètement en conseil. D’une manière générale, je ferai en toutes choses ce qu’un fidèle et véritable serviteur doit faire pour Sa Majesté, avec l’aide de Dieu. Moi, Justin P. J. Trudeau, je promets et jure solennellement et sincèrement que j’exercerai véritablement et fidèlement, au mieux de mes compétences et de mes connaissances, les pouvoirs et la confiance qui me sont conférés en tant que Premier ministre, avec l’aide de Dieu. »

C’est assez déroutant pour les personnes qui ont vu cela en 2017. Ce n’est pas le genre de chose que l’on attendrait d’un chef d’État prétendument démocrate lorsqu’il prononce son serment après une élection. Mais là encore, Trudeau n’est pas vraiment le chef de l’État, comme nous avons pu le constater. Il est à la fois membre du Conseil privé, ce qui est indispensable pour occuper un poste ministériel, au gouvernement ou dans l’opposition. Et le véritable chef d’État est le gouverneur général, cet homme plus âgé qui se tient à côté de lui et qui est la personne nommée pour exécuter les pouvoirs et l’autorité de la Couronne afin de donner la sanction royale à tout texte de loi qui devient loi au Canada.

Vous avez des lieutenants-gouverneurs, positionnés dans chaque province. Vous avez un bureau du Conseil privé. Vous avez toute cette structure byzantine étrange au-dessus de l’aspect public apparent de notre prétendue démocratie dans cette monarchie du Nord, qui est, encore une fois, très déroutante pour beaucoup de gens.

Nous allons approfondir un peu plus ce dont il s’agit. Quelle est cette anomalie et de quoi fait-elle partie au niveau international ? Comment a-t-elle vu le jour ?

J’ai donc préparé une série de diapositives. Il faut simplement retenir que le Canada fait, après tout, partie du Commonwealth, le Commonwealth britannique. C’est quelque chose qui a été créé à la fin des années 1930 afin de préparer, pour ainsi dire, la transformation de l’image extérieure de l’Empire britannique.

Aujourd’hui, il y a environ 54 pays dans le Commonwealth britannique, dont le centre est le Royaume-Uni. La reine d’Angleterre en est le chef. Cette entité occupe un territoire d’environ 12,2 millions de miles carrés, 2,4 milliards de personnes sont représentées sur ce territoire, soit 21 % de la superficie mondiale.

Et les gens célèbrent cette chose comme si c’était une institution démocratique. Et c’est quelque peu étrange. Quelle est cette chose ? En outre, si vous regardez beaucoup de ces territoires, une grande partie se trouve dans les Caraïbes, les zones d’Amérique latine ne sont pas vraiment concernées, mais une grande partie des Caraïbes l’est. Une grande partie de l’Afrique : il y a 19 nations africaines d’Afrique sub-saharienne. Il y a huit nations asiatiques, l’Inde étant la plus importante. Le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, évidemment, les Five Eyes moins les États-Unis.

Mais comparons cela à l’ancien Empire britannique. C’est une capture d’écran de la carte de 1920. C’est assez similaire, n’est-ce pas ?

Et les gens pensent : « L’empire britannique a tout bonnement disparu après la seconde guerre mondiale. Il a laissé ses territoires libres. Et maintenant l’Empire est le grand méchant empire américain. » C’est la mythologie qui nous a été transmise. Et c’est une mythologie. Comme Alex l’a expliqué, de manière très concise, le véritable pouvoir qui contrôle la cinquième colonne à l’intérieur des États-Unis, qui a toujours été là depuis 1776, a toujours été centralisé à Londres. Nous allons développer un peu plus ce point. Mais il n’a jamais disparu. Aucun empire de ce genre ne donne jamais volontairement la liberté. La liberté est quelque chose pour laquelle on se bat. En quelques mots, la question des intérêts miniers actuels, ce n’est pas quelque chose qui s’est produit dans les années 1880-1890 avec l’accaparement des terres en Afrique et la création par Cecil Rhodes de De Beers et Lonrho et d’autres intérêts miniers.

Il s’agit d’un rapport de 2016. C’est un rapport incroyable rédigé par une organisation à but non lucratif qui a réalisé des audits sur les intérêts britanniques. Ces intérêts qui contrôlent l’exploitation minière en Afrique, avec des sièges sociaux soit au Royaume-Uni, soit dans les territoires du Commonwealth, cotés à la Bourse de Londres. Et j’ai ajouté une petite citation ici, c’est un nouveau colonialisme britannique qui se bat pour les ressources énergétiques et minières africaines. Il est dit que : « 101 sociétés cotées à la Bourse de Londres — la plupart d’entre elles britanniques — possèdent des exploitations minières dans 37 pays d’Afrique subsaharienne. Ensemble, elles contrôlent plus de 1 000 milliards de dollars des ressources les plus précieuses de l’Afrique. Le gouvernement britannique a utilisé son pouvoir et son influence pour faire en sorte que les sociétés minières britanniques aient accès aux matières premières de l’Afrique. C’était le cas pendant la période coloniale, et c’est encore le cas aujourd’hui. » Ce rapport est disponible gratuitement en ligne au format PDF. Je ne vais pas entrer dans les détails. Il s’agit de plus de 70 % des intérêts miniers, qui comprennent également le raffinage des matériaux par des entreprises qui se trouvent dans les territoires sous contrôle britannique. Quelle est l’infrastructure qui permet cela ? Il y a quelque chose que beaucoup de gens ne savent pas. Il s’agit d’une organisation affiliée à la Fondation Bill & Melinda Gates ainsi qu’à la Banque mondiale, appelée Crown Agents [Agents de la Couronne]. Elle a été créée en 1833, selon son auto-description officielle, comme une émanation de la Couronne. Elle ne fait pas partie du gouvernement, mais son autorité provient de la source de tous les honneurs, la Couronne elle-même, c’est ainsi qu’est formée cette sorte de structure byzantine — de gouvernement fantôme. Il y a une sorte de hiérarchie de l’autorité. Elle ne vient pas du consentement des gouvernés. Elle vient du souverain singulier, la Couronne, qui que ce soit, en tant qu’institution héréditaire. Donc, cette organisation a été créée en 1833 en tant que filiale du Bureau des colonies britanniques pour gérer l’infrastructure matérielle, entre autres, des colonies internationales de l’Empire. Elle a changé plusieurs fois de nom au fil des ans et, en 1996, elle a été rebaptisée « Agents de la Couronne pour l’administration des gouvernements étrangers », et elle gère également l’infrastructure sanitaire, y compris les protocoles Covid de l’Europe de l’Est, en particulier de l’Ukraine. Elle gère de nombreux pays africains, le Sud-Soudan, la Birmanie. Et elle s’occupe de la gouvernance. Elle aide ces pays à adapter leurs mécanismes de gouvernance en fonction des normes de la Banque mondiale et du FMI. Elle est présente et fait cela depuis très longtemps, ce qui est très étrange. Et encore une fois, ils se nomment eux-mêmes agents de la Couronne ; ce n’est pas moi qui les calomnie ou les qualifie ainsi. Et cela existe, comme je l’ai dit, depuis très, très longtemps. C’est donc un aspect de cette chose en termes de maintien de l’Empire de l’ombre.

En ce qui concerne ce système géré par le Commonwealth et la City de Londres, les îles Caïmans et les banques offshore en sont le centre. Il existe un merveilleux documentaire que les gens peuvent regarder, intitulé The Spider’s Web : Britain’s Second Empire, qui est même disponible sur YouTube. Il aborde le sujet de manière plaisante, mais il montre clairement qu’à l’échelle internationale, 24 % des services financiers transitent par un grand nombre de paradis fiscaux des îles Caïmans, des Caraïbes et d’autres paradis fiscaux offshore contrôlés par les Britanniques.

Mais c’est aussi là que se trouve le centre mondial du blanchiment d’argent de la drogue et du financement du terrorisme. Les gens se disent : « La drogue, c’est juste un fléau naturel de notre société. Le terrorisme. C’est juste une chose naturelle qui est survenue. » Mais en réalité ce n’est pas le cas, c’est très artificiel. Ce n’est pas comme ça que la société humaine produit ces fléaux sociologiques. Ce sont des maladies créées qui sont de nature géopolitique, pas même de nature religieuse, qui sont cultivées depuis le sommet.

Il s’agit d’un rapport sénatorial de 2012 mené sur une longue période par le sénateur Carl Levin, récemment décédé, qui s’appelle « Vulnérabilités des États-Unis en matière de blanchiment d’argent, de drogue et de financement du terrorisme — l’affaire HSBC » dans le cadre duquel il a été révélé que HSBC était la première banque offshore au monde en matière de blanchiment d’argent. Comme Alex l’a souligné, la HSBC a été créée en 1865 afin de mettre en œuvre ou de gérer le commerce de l’opium, pour détruire la Chine — cela n’a jamais cessé. Ils ont été reconnus coupables. Ils se sont fait taper sur les doigts avec une amende de 1,9 milliards de dollars. Puis ils ont été autorisés à nommer leur propre commissaire aux comptes, qui a siégé pendant cinq ans. Et pour autant que je sache, ils continuent à faire ce qu’ils ont toujours fait. Ils possèdent également une énorme participation dans Air Canada. Toute personne qui prend un avion Air Canada verra des panneaux HSBC partout. Il s’agit d’un énorme élément d’infrastructure dans le cadre du triangle d’argent qui a été mis en place tout au long du 20e siècle. Vous avez la photo de la Reine à côté de Coutts. C’est la banque personnelle de la Reine, qui a également été reconnue coupable en 2012 de blanchiment d’argent de la drogue. Elle a payé sa petite amende de 10 millions de dollars, je crois, et la mauvaise publicité a fait que les comptes offshore responsables de la faillite qui effectuaient le blanchiment ont été vendus à la Banque Royale du Canada, qui effectue actuellement les mêmes opérations. Et c’est tout.

L’Afrique, en plus des 177 milliards de dollars de dettes qui la tiennent en otage, a environ 944 milliards de dollars de revenus provenant de l’extraction de richesses, qui se trouvent sur des comptes offshores britanniques. Il ne s’agit donc pas d’une nation débitrice, mais d’une nation créditrice en masse. C’est toute une histoire en soi.

La City de Londres, comme Alex l’a souligné, est une entité distincte. Même le gouvernement britannique ne peut pas vraiment faire grand-chose légalement pour l’arrêter. Ils ont leurs propres tribunaux, leur propre police. C’est une structure bizarre.

Et je voulais juste ajouter ceci. Et je n’ai même pas parlé de la guerre en Irak, des dossiers douteux créés par les services de renseignements britanniques qui ont permis de justifier les bombardements de l’Irak, de la Libye aussi — c’était plutôt des renseignements du MI6 — je n’ai pas parlé de ça. Je n’ai pas parlé des dossiers douteux sur les armes chimiques en Syrie, dont l’utilisation par Assad n’a jamais été prouvée, mais qui ont été utilisés pour justifier les sanctions et le changement de régime qu’ils tentent d’imposer depuis sept ans. Je n’ai pas parlé de cela. Mais tout ce que j’ai à dire, c’est que c’est omniprésent. La main britannique est partout, dès que vous creusez un peu. Même au niveau des dossiers douteux pour essayer de faire passer Poutine pour le grand ennemi qui contrôlerait Trump. Ces dossiers douteux nous ont été apportés par des gens comme Sir Richard Dearlove, l’homme qui à qui on doit l’affaire du Yellowcake [uranium] de la guerre en Irak. Cela a toujours été un mensonge et le rapport de la Commission Chilcot l’a prouvé. Et aussi, la question des boursiers Rhodes, des gens comme Strobe Talbott, qui est un boursier Rhodes, qui est arrivé avec Clinton et qui dirige Brookings depuis très longtemps. Il a également été derrière le Russiagate avec de nombreux autres boursiers Rhodes qui gèrent actuellement l’administration Biden, comme Jake Sullivan, Susan Rice, Eric Lander. Les Sciences sont des boursiers de Rhodes. Ils sont juste partout. Et je ne vais pas m’étendre là-dessus.

À présent, un peu de contexte historique. Je suis canadien. Donc, la question de Justin Trudeau, j’espère que c’est encore imprimé dans l’esprit des gens : qu’est-ce que c’est que ça ?

Donc, le Bureau du Conseil privé… contrairement à la Constitution ou à la Déclaration des États-Unis, le Canada a été fondé en 1867. La conférence originale avec nos Pères Fondateurs ne résultait pas d’une lutte pour la liberté, contrairement aux États-Unis, mais d’un rassemblement de loyalistes britanniques, des anti-républicains, qui étaient tous comme notre Père Fondateur, qui se trouve là dans le tableau. Johnny McDonald était un patriote de race aryenne, qui voulait un Canada aryen et qui disait : « Je suis né britannique et je mourrai britannique ». C’était une ordure immorale et répugnante. Et ce sont ces gens-là qui sont célébrés comme nos vaches sacrées que nous sommes censés honorer au Canada. Or, contrairement aux États-Unis — qui consacrent le droit à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur dans la Déclaration d’indépendance, ainsi que l’idée du principe du bien-être général, aujourd’hui et pour la postérité, dans la Constitution — le document fondateur canadien dit littéralement : « Attendu que les Provinces du Canada… », au nombre de quatre à l’époque « … ont exprimé leur désir d’être unies au niveau fédéral en un seul Dominion sous la Couronne du Royaume — Uni et de la Grande-Bretagne et de l’Irlande, avec une constitution similaire en principe à celle du Royaume-Uni. » — ce qui est en soi dans une certaine mesure une escroquerie puisque le Royaume-Uni n’a pas vraiment de constitution et qu’il s’agit donc d’une sorte de miroir de l’ombre. Et : « Considérant qu’une telle union contribuerait à la prospérité de ces provinces et favoriserait les intérêts de l’Empire britannique. » Donc notre fameux préambule est de promouvoir les intérêts de l’Empire britannique. C’est pour cela que nous avons été créés. Nous avons également été créés par cette conférence qui s’est tenue trois ans plus tôt, en 1864, alors que la guerre de Sécession touchait à sa fin, mais qu’elle était toujours en cours. Les Britanniques avaient consacré beaucoup de ressources à l’éclatement de l’Union, comme je l’ai expliqué dans des présentations précédentes. J’en ai également parlé dans mes livres Clash of the Two Americas et The Untold History of Canada.

Ce qui effrayait les Britanniques, comme je le démontre, c’est que le Canada comptait des hommes d’État pro -Lincoln à des postes de direction qui se battaient pour créer un pays indépendant à cette époque. Il y avait aussi des gens qui travaillaient à la création d’un Zollverein américain avec le Canada et les États-Unis réunis dans une union douanière basée sur le développement industriel, avec un type de politique, non pas comme l’Amérique d’aujourd’hui, mais une politique différente de l’orientation Lincoln-McKinley basée sur une véritable pensée à long terme où les êtres humains étaient considérés comme une créature que l’argent devait servir en investissant dans des infrastructures à grande échelle, dans la science et la technologie, mais aussi en travaillant à l’étranger avec l’Allemagne, qui faisait la même chose sous Otto von Bismarck, avec la Russie qui venait de vendre le territoire de l’Alaska aux États-Unis dans l’intention de construire un chemin de fer à travers le continent jusqu’en Eurasie. On considérait donc qu’il s’agissait d’un territoire vital qui devait rester sous le contrôle du ministère britannique des Affaires étrangères. Et cette Constitution a alors été rédigée. Les alliés de Lincoln ont été évincés du pouvoir et la Constitution a été gardée comme un rempart contre le danger d’une collaboration entre les États-Unis et la Russie. Sauf qu’un admirateur de Lincoln est devenu Premier ministre à un certain moment, Wilfrid Laurier, et il a organisé en 1911 la création d’une union douanière, et tous les projets de loi ont été adoptés et ils étaient enfin sur le point d’entrer en vigueur. Et malheureusement, il a été évincé lors d’un coup d’état orchestré par la Table ronde et certains francs-maçons orangistes qui ont la Reine et la Couronne, à la tête de ces différentes formations maçonniques libres. J’ai rédigé un article que j’ai publié sur le site de Canadian Patriot et qui reprend ces détails. A peine deux ans plus tard, Wilfrid Laurier écrit à son proche allié Oscar Douglas Skelton que : « Le Canada est maintenant gouverné par une junte siégeant à Londres, connue sous le nom de “Table ronde”, avec des ramifications à Toronto, à Winnipeg, à Victoria, les Tories (les conservateurs) et les Grits (les libéraux) recevant leurs idées de Londres et les imposant insidieusement à leurs partis respectifs. » C’était donc un aveu direct de l’homme lui-même. Il avait pour projet de faire du Canada, en l’espace d’une génération, une nation à l’image de Lincoln avec une population de 60 millions d’habitants, basée sur l’électrification et l’industrialisation à grande échelle — tout cela a été évincé, terminé, et la Table Ronde a repris le contrôle. Robert Borden, son remplaçant, était un membre de la Table Ronde qui a fini par contrôler la Chatham House du Canada dès sa création en tant que premier président. En 1918, la Table Ronde avait déjà initié une prise de contrôle du gouvernement britannique. Ils avaient évincé Herbert Asquith du gouvernement travailliste en 1916, non pas qu’il soit un type formidable, mais ils voulaient vraiment avoir un contrôle total sur les termes du Traité de Versailles et la fin de la Première Guerre mondiale. L’un des problèmes était qu’ils avaient besoin des États-Unis, ils avaient vraiment besoin de la puissance des États-Unis derrière eux et cela a toujours été l’objectif de la conception de Cecil Rhodes. Lord Lothian, qui était un membre éminent de la Table Ronde à l’époque et ambassadeur aux États-Unis, avait écrit — son autre nom était Philip Kerr, ils ont toujours des noms qui ressemblent aux méchants de Star Wars — il a écrit que le problème de la psyché américaine qui devait être traité était le suivant : « Il y a un concept fondamentalement différent en ce qui concerne la question entre la Grande-Bretagne et les États-Unis quant à la nécessité d’un contrôle civilisé sur des peuples politiquement arriérés… Les habitants de l’Afrique et de certaines parties de l’Asie se sont révélés incapables de se gouverner eux-mêmes… Pourtant, l’Amérique n’a non seulement aucune notion de cet aspect du problème, mais a été amenée à croire que le fait d’assumer ce type de responsabilité relève de…», je n’arrive pas à dire ce mot, « … d’un impérialisme inique. » Donc, c’est un problème, non ? Les Américains auraient ce problème qu’ils ne comprennent pas qu’il y a une responsabilité qui incombe à l’homme blanc, qu’ils doivent imposer parce qu’ils sont tout simplement scientifiquement meilleurs que les personnes à la peau plus foncée. Ils doivent imposer moralement et scientifiquement un contrôle anglo-américain sur les peuples arriérés et ils ne le comprennent pas. Et c’était un problème. Non pas qu’il n’y ait pas eu d’Américains qui l’aient compris — et cela fait à nouveau partie du problème de l’État profond américain que j’ai mentionné, qu’Alex a un peu évoqué, mais que s’est-il passé ?

Il y a donc eu plusieurs tentatives de nouveaux ordres mondiaux. Ce que nous voyons aujourd’hui n’est pas nouveau. J’y ai fait allusion dans des présentations précédentes, mais en 1919, vous avez eu la création de la Chatham House, vous avez eu la création de Versailles, la Société des Nations, le tout orchestré par Lord Milner qui, à cette époque, était une figure de proue contrôlant la politique étrangère britannique avec beaucoup d’autres membres de la Table Ronde. L’idée de la Société des Nations était de créer un pacte de sécurité collective, l’article 10, de se débarrasser de la souveraineté nationale sur l’économie et les affaires militaires et de créer effectivement un gouvernement mondial unique. Une partie de cela faisait également partie de la Fédération impériale, un peu comme l’Union européenne, c’est ce qu’ils voulaient pour, en résumé, pour le monde. Pourquoi cela a-t-il échoué ? Parce qu’il y a eu des gens au Canada, les libéraux avaient fait un retour aux années 1920 et ils ont résisté, les mouvements de l’État libre d’Irlande ont résisté, des gens comme Warren Harding, qui a été assassiné — je dis assassiné, je n’ai jamais vu de preuve du contraire, le président américain est mort après avoir mangé des huîtres empoisonnées. Mais le fait est que des nationalistes ont résisté et n’ont pas succombé à cette pression à l’époque. Donc, ça s’est essoufflé mais ils ont réessayé. En 1933, il y a eu la Conférence Internationale des Banquiers à Londres, centrée sur la Banque des Règlements Internationaux, la Banque d’Angleterre, et 66 nations y ont participé. L’idée était que la Grande Dépression serait résolue en transférant la souveraineté économique des États-nations vers une codification bancaire officiellement essentielle sous l’égide de la Banque d’Angleterre. Et la seule raison pour laquelle, après six mois, cela a échoué est que Franklin Roosevelt a retiré les délégations américaines de toute participation et que tout s’est écroulé. J’en ai parlé en détail dans le chapitre sept de mon livre Clash of the Two Americas. Puis il y a eu une autre tentative en 1944. Là encore, Roosevelt n’était pas encore décédé. John Maynard Keynes a été désigné cette fois-ci pour représenter l’Empire britannique à la conférence de Bretton Woods avec l’idée d’une monnaie mondiale unique gérée par la banque d’Angleterre appelée le « bancor », un taux de change international qui serait à nouveau effectivement une monnaie mondiale unique, en imaginant que les Américains, qui étaient sortis de la Seconde Guerre mondiale comme le seul pays intact, seraient le moteur ou les exécutants d’une reconquête anglo-américaine des nations du monde, dont beaucoup avaient combattu pendant la guerre et dont beaucoup avaient des idées d’indépendance et de liberté bien vivantes dans leur cœur. Ce n’était pas acceptable. J’ai une petite citation de Franklin Roosevelt, que j’aime beaucoup, dans laquelle il dit que « Ceux qui cherchent à établir des systèmes de gouvernement basés sur l’enrégimentement de tous les êtres humains par une poignée de dirigeants individuels appellent cela un nouvel ordre. Ce n’est pas nouveau et ce n’est pas un ordre. » C’était une citation très forte.

Donc, pour reprendre un peu là où Alex s’est arrêté, il y a un livre intitulé As He Saw It, écrit en 1946 par le fils de Roosevelt et son assistant, son assistant personnel, Elliot Roosevelt. Et il y retrace une grande partie des luttes entre Roosevelt et le gang de Churchill qui essayait toujours d’entraîner les États-Unis dans une confrérie de contrôle, à la Cecil Rhodes, à la Five Eyes, ce qui était déjà en train de se produire depuis la transformation de la Black Chamber en NSA en 1930, qui s’est intégrée de plus en plus dans le système britannique des Five Eyes, ce qui a toujours été la volonté de Cecil Rhodes. Mais dans ce livre… C’est un excellent livre. Les gens peuvent le trouver en ligne ; ils pourraient l’acheter ; ils devraient l’acheter. Il est sur archive.org. Je l’utilise beaucoup. Mais en 1944 après un conflit avec Churchill, à la conférence de Téhéran il me semble, je ne suis pas trop sûr de quelle conférence, mais il s’adresse à Elliot en disant : « Tu sais, à de nombreuses reprises, les hommes du Département d’État ont essayé de me cacher des messages, de les retarder, de les retenir d’une manière ou d’une autre, juste parce que certains de ces diplomates de carrière ne sont pas en accord avec ce qu’ils savent, je pense. Ils devraient travailler pour Winston. En fait, la plupart du temps, ils travaillent [pour Churchill]. Quand on y pense, un certain nombre d’entre eux sont convaincus que la façon dont l’Amérique doit mener sa politique étrangère est de découvrir ce que font les Britanniques et de le copier ! On m’a dit… il y a six ans, de nettoyer le Département d’État. C’est comme le bureau des affaires étrangères britannique. » Ainsi, le Bureau des services stratégiques, l’OSS [Office of Strategic Services] n’avait pas été nettoyé et l’OSS avait beaucoup de problèmes, mais il y avait encore beaucoup de patriotes et de nationalistes intégrés dans les services de renseignement américains au sein de l’OSS qui posaient problème à ceux qui essayaient de prendre le contrôle, qui occupaient déjà la plupart du Département d’État à cette époque.

Dans le livre d’Elliott, il y a une autre conflit fascinant entre lui et Churchill qui a été mise en évidence sur ce que serait l’après- guerre, quel type de principes de fonctionnement la gouvernerait, où la vision de Roosevelt pour le verdissement des déserts africains, l’extension de la Tennessee Valley Authority, les projets d’électrification rurale qui sortiraient les gens de la pauvreté et de la marginalisation aux États-Unis, qui seraient étendus grâce à des prêts à grande échelle au niveau international pour aider d’autres pays à avoir leurs propres programmes industriels, leurs propres autorités de la Tennessee Valley, et pour étendre véritablement le principe des quatre libertés au monde entier, à savoir que nous ne sommes pas censés nous contenter de belles paroles, mais que nous devons être réellement actifs. C’est pourquoi Bretton Woods, l’équipe keynésienne, a perdu. Et Harry Dexter White, qui est devenu le premier directeur du FMI — lui aussi mort dans des circonstances mystérieuses — la délégation américaine sous sa direction avait gagné et s’était assurée que même la Chine, l’Inde, l’Afrique, l’Amérique du Sud, la Russie participeraient toutes à la réception des projets de la Tennessee Valley Authority, tous approuvés par la délégation américaine. La délégation britannique s’est opposée à tous ces projets. Et même à cette époque, alors que Roosevelt avait pour socle une alliance Russie-Chine-États-Unis, la Russie a souscrit à hauteur d’un milliard de dollars au FMI à l’origine, avant que le rideau de fer ne l’oblige à en sortir. Tout cela pour dire que je radote, mais dans ce petit extrait que j’ai sélectionné, il décrit la soirée, en parlant avec Elliot après s’être confronté à Churchill, en disant : « Je parle d’une autre guerre. Je parle de ce qui arrivera à notre monde si, après cette guerre, nous permettons à des millions de gens de retomber dans le même semi-esclavage ! Ne pense pas un instant, Elliott, que les Américains seraient en train de mourir dans le Pacifique ce soir, s’il n’y avait pas eu la cupidité à courte vue des Français, des Britanniques et des Hollandais. Devrions-nous les laisser faire, encore une fois ? Ton fils aura à peu près le bon âge, dans quinze ou vingt ans. Une phrase, Elliot. Ensuite, je te flanquerai dehors. Je suis fatigué. C’est cette phrase : Quand nous aurons gagné la guerre, je ferai tout mon possible pour que les États-Unis ne soient pas forcés d’accepter un plan qui servira les ambitions impérialistes de la France, ou qui aidera ou soutiendra l’Empire britannique dans ses ambitions impériales. »

Puis, c’est le moment où se produit la tragédie. Wallace, c’est une longue histoire, mais Wallace est remplacé par Harry Truman, qui est une sorte de prototype de George Bush, le jeune anglophile des banquiers. Et il est nommé nouveau vice-président. Donc, Wallace était le Vice-président qui était complètement en phase avec la vision de Roosevelt. Roosevelt meurt le 12 avril ; aucune autopsie n’est jamais réalisée. Et immédiatement au cours du mois, des bombes nucléaires sont larguées sur un Japon vaincu par Truman. Le 20 septembre, l’OSS, l’agence de renseignement américaine, est dissoute. Et une purge, une purge massive commence. Si quelqu’un qui avait connaissance des financiers de Wall Street et de Londres à l’origine de la montée du fascisme et de l’eugénisme, il y a eu de nombreux rapports à ce sujet, ils ont tous été bannis dans l’année qui a suivi. Et à ce moment-là, le discours sur le rideau de fer est lancé et les gens se disent : « Ce sont les Américains qui ont créé le rideau de fer, qui a fait de la Russie et de la Chine leurs ennemis ». Non. C’est Winston Churchill qui est venu aux États-Unis, a séjourné à la Maison Blanche pendant une période prolongée, et a prononcé son discours où il a déclaré : « Ni la prévention de la guerre sur le rivage, ni l’essor continu de l’organisation mondiale ne seront gagnés sans ce que j’ai appelé l’Association fraternelle des peuples de langue anglaise. Cela signifie une relation spéciale entre le Commonwealth et l’Empire britannique et les États-Unis. » Henry Wallace, juste avant d’être limogé, était secrétaire au commerce et se battait contre cette folie qui lavait le cerveau des Américains pour en faire des foules paranoïaques, effrayées par l’infiltration et la conspiration. Tout le maccarthysme était une véritable atrocité dirigée par le FBI comme une dictature, ce qui était le cas, les États-Unis étaient devenus une dictature sous le FBI, dit : « Le fascisme [prévient-il] dans l’après-guerre poussera inévitablement à l’impérialisme anglo- saxon et finalement à la guerre avec la Russie. Déjà, les fascistes américains discutent et écrivent sur ce conflit et l’utilisent comme excuse pour leurs haines internes et leurs intolérances envers certaines races, croyances et classes. »

Évidemment, il y a un retour de bâton raciste total, encore une fois, sous l’égide de J. Edgar Hoover — un autre franc-maçon du 33e degré qui a dirigé le FBI pendant sept présidences américaines — qui soutenait la montée du racisme, le démantèlement des libertés civiles pour les Afro -Américains entre autres, mais aussi la coordination avec la CIA qui est bientôt reconstituée pour créer un nouveau système de gestion beaucoup plus conforme à la politique étrangère britannique. Des activités comme MK Ultra qui, à l’origine, utilisait une science élaborée par Tavistock, la branche des services secrets britanniques chargée de la guerre psychologique, l’infiltration Cointelpro qui reflétait aussi l’opération Gladio en Europe. Toutes ces choses ont été déployées et justifiées par les termes et conditions de l’ère de la « destruction mutuelle assurée ».

Donc, ça continue. Wallace est renvoyé après avoir prononcé son discours. La doctrine Truman est annoncée, une fois de plus. Qui est le principal organisateur de la Doctrine Truman ? L’un des principaux est George McGee, un boursier de Rhodes. La CIA centrale est créée en septembre 1918. C’est alors une sorte de nouvelle agence de renseignement reconstituée et nettoyée. Harry Dexter White meurt. Le FMI est détourné, car lui faisait partie de l’équipe de Roosevelt qui, à ce moment-là en 1948, se battait pour faire élire Wallace sous la direction du Parti progressiste aux élections de 48. Vous trouverez de nombreux grands patriotes des États-Unis qui sont morts ou ont vu leur carrière anéantie au sein de ce réseau. Et puis, il y a ce fameux mémorandum du Conseil de sécurité nationale (NSC) de juillet 1950 pour « sauver l’Empire britannique ». Je ne plaisante pas. Il s’agit littéralement d’un protocole émis en vertu de la logique selon laquelle si les Britanniques affaiblissent leurs intérêts économiques impériaux, alors les Soviétiques prendront et rempliront cet espace. Donc, l’intérêt de la politique étrangère américaine doit être de préserver les intérêts britanniques à l’étranger. Et c’est là que le FMI et la Banque mondiale ont été de plus en plus remaniés pour utiliser le colonialisme économique partout où cela était nécessaire. Si vous ne pouvez pas empêcher l’indépendance politique d’une nation, sabotez au moins son indépendance économique.

Une figure intéressante est celle de Clément Atlee, Premier ministre de l’après-Seconde Guerre mondiale, qui affirme avec force :

« Nous avons vu à maintes reprises qu’il existe un autre pouvoir que celui qui a son siège à Westminster. La City de Londres, un terme commode pour désigner un ensemble d’intérêts financiers, est en mesure de s’opposer au gouvernement du pays. Ceux qui contrôlent l’argent peuvent mener une politique intérieure et extérieure contraire à celle décidée par le peuple »

Encore une fois, vous avez même des Britanniques… donc ce n’est pas le gouvernement britannique, le peuple britannique est également victime, ainsi que de nombreuses personnalités au sein du gouvernement britannique, de ce pouvoir au-dessus des branches officielles visibles du gouvernement.

Tout au long de la guerre froide, et encore une fois, si vous ne pouvez pas comprendre l’architecture de la guerre froide, la question de la destruction mutuelle, de la guerre asymétrique, de la doctrine de la théorie des jeux, de l’application de l’analyse des systèmes pour gérer les renversements géopolitiques de gouvernements, des choses comme la guerre du Vietnam… Si vous ne prenez pas en compte des gens comme Dean Rusk, boursier de Rhodes, Walt Whitman Rostow, qui a dirigé la NSA pendant trois ans, qui était un boursier Rhodes de Balliol, Escott Reid, qui a été l’architecte de l’OTAN pour priver la Russie de toute influence sur les affaires militaires au Conseil de sécurité. L’OTAN, c’était Escott Reid, boursier de Rhodes, William Fulbright, boursier de Rhodes. Il y a tellement de choses qui se chevauchent. Donc, encore une fois, vous ne pouvez pas vraiment comprendre quelle est cette chose que JFK repoussait et essayait de combattre… Quelle était la chose contre laquelle Eisenhower mettait en garde dans son discours sur le complexe militaro-industriel ? Vous ne pouvez pas comprendre cela si vous ne regardez pas ces idéologues qui ont été infiltrés pendant des décennies. Il y en a eu 3 000 jusqu’ici au 20ème siècle qui ont été formés dans les couloirs d’Oxford. Non pas qu’ils soient tous mauvais. Je pense que Kristoffer Kristofferson est un acteur correct et peut-être que ses choix de films ne sont pas si bons parfois, mais je ne pense pas qu’il soit une mauvaise personne. Bien qu’il soit un boursier de Rhodes. Vous constaterez donc que vous ne pouvez pas être coupable par association, mais que vous ne pouvez rien comprendre si vous ne comprenez pas cette ruche très contrôlée et centralisée. Cela se coordonne également avec le mouvement de la Table Ronde américaine, qui est le Council on Foreign Relations [Conseil des relations étrangères]. Ce que Hillary Clinton a appelé « le vaisseau-mère » dans un discours de 2011, c’est le cas depuis 1921, la table ronde britannique en Amérique. Et même des gens que vous considérez comme des grands concepteurs géopolitiques américains comme Kissinger, Zbigniew Brzezinski, Samuel P. Huntington, le Choc des civilisations… un Canadien, Pierre Trudeau, qui a instauré sa propre loi martiale en 1970 et a vraiment réorganisé l’ensemble du gouvernement en un système cybernétique technocratique. Ils ont tous été formés par William Yandell Elliott à Harvard, qui dirigeait une structure que certains ont appelé la Chatham House de Harvard. William Yandell Elliott faisait partie de ces gens qui aimaient avoir de jeunes garçons sociopathes talentueux autour de lui, et il a formé des générations de ces géopoliticiens qui sont préparés. C’est comme une recherche de talents, comme Rhodes le décrit, c’est exactement ce qu’ils ont fait, et ensuite ils ont été placés à des postes d’autorité idéologique pour mener à bien une politique dont ils n’étaient pas à l’origine en soi, mais ils ont été mis en position de la réaliser.

Il y a eu des objections, et je souhaite juste rappeler les voix dissidentes, car ce n’est pas comme s’il s’agissait de créatures divines, n’est-ce pas ? Il y avait de vrais êtres humains, de vrais hommes d’État, surtout dans les années 1960. Vous avez Enrico Mattei, l’industriel italien. Vous avez Dag Hammarskjöld, le secrétaire général de l’ONU, qui avait un grand programme pour mettre fin à l’impérialisme et promouvoir le développement industriel dans divers pays, notamment en Afrique du Sud. Charles de Gaulle avait évité 30 tentatives d’assassinat. John F. Kennedy, évidemment. Patrice Lumumba. Je n’ai pas cité ici tous ceux qui ont été assassinés ou renversés par des coups d’État dirigés par la CIA et le MI6. Mais tout cela pour dire que c’était une période de potentiel majeur où le thème commun était la coopération et la rupture avec les méthodes mathématiques de gouvernance, l’introduction de nouvelles technologies, de nouvelles découvertes qui n’étaient pas monopolisées, et le faire en recherchant une coopération gagnant-gagnant, des points d’intérêt commun. C’est pourquoi JFK a offert aux Russes la possibilité de travailler avec les États-Unis sur un programme spatial commun. Cela permettrait de rompre avec ce mode de gouvernance basé sur l’équilibre mathématique de la terreur et de nous en libérer.

Je termine là-dessus, je pense qu’il me reste encore trois ou quatre minutes.

Donc, après l’ère des assassinats, dans les années 60, encore une fois très parallèle à ce qui s’est passé après les années 1890 jusqu’à la Première Guerre mondiale, l’ère des assassinats totaux et des coups d’État révolutionnaires colorés, la scène était désormais prête pour une recolonisation économique complète des États-Unis, en particulier. L’objectif a toujours été de reprendre le contrôle des États-Unis. Plusieurs choses se produisent. Et Kissinger est un personnage clé dans la plupart de ces événements. Vous avez la création en janvier 1971 du Groupe Inter-Alpha, créé selon le plan de Lord Jacob Rothschild, qui dirigeait N M Rothschild & Sons, mais qui a également constitué un intérêt financier bancaire majeur en tant que membre d’une dynastie de mercenaires depuis les années 1700. Ainsi, le Groupe Inter-Alpha des banques était une coterie, il y a une photo ici, des banques membres avec les principales banques mises en place dans chacun des pays européens ciblés pour promouvoir une nouvelle doctrine de déréglementation, de centralisation du pouvoir à l’écart des États-nations, en particulier en Europe, et son transfert vers la coterie supranationale privée des intérêts corporatifs et financiers au-dessus des autorités nationales. Je n’ai pas le temps d’entrer dans les détails, mais c’est en 1971 que ce groupe a été fondé. Il a depuis évolué en nombre depuis ses six fondateurs initiaux. Beaucoup de ces banques étaient toutes liées à des activités financières soutenant la montée du fascisme, que ce soit Franco, Mussolini ou Hitler, et plus récemment, à du blanchiment. Puis, le même mois, le Forum économique mondial est fondé par l’un des prodiges de Kissinger, que nous connaissons et méprisons tous, Klaus Schwab. En outre, l’un des cofondateurs était Maurice Strong — un oligarque canadien qui a été recruté par les Rockefeller et a été cofondateur du Club de Rome canadien, acteur majeur avec le Prince Philip, qui est celui qui souhaitait être réincarné en virus mortel — qui a dirigé le Forum économique mondial. Dans ma présentation du 26 février, nous entrerons en détail dans ce sujet [ ]. Donc, Maurice Strong, une autre figure qui est un cofondateur et un inspirateur de Klaus Schwab.

Puis vous avez la grande affaire du 15 août 1971, lorsque le dollar américain est devenu flottant. Kissinger et Schultz, à la tête de l’administration Nixon, orchestrent le retrait du dollar de la réserve d’or, le système d’échange d’or ou le système de taux de change fixe, qui empêchait la spéculation sur les devises et les matières premières. Tant qu’il n’y avait pas de spéculation, il était difficile de mener le genre de guerre économique contre les nations qui essayaient de développer leurs infrastructures et leur base industrielle, ce qui a toujours été, même en remontant au 19ème siècle, un outil utilisé par l’Empire pour maintenir les nations déstabilisées, cette guerre économique. Donc, le taux de change fixe devait disparaître. Il garantissait trop de stabilité. Vous pouviez penser à des projets à long terme, sur 5 ou 20 ans, lorsque vous aviez une stabilité relative des monnaies. Et cela s’est répercuté sur les marchés flottants. Ainsi, tout d’un coup, les marchés sont devenus le facteur déterminant de la valeur du dollar, qui est devenu de plus en plus lié, toujours sous l’impulsion de Kissinger, au prix du pétrole sur les marchés au comptant. Donc, tout d’un coup, un certain chaos a été créé. Vous ne pouviez plus vraiment construire, maintenir ou améliorer votre infrastructure, c’est cette partie de votre économie à forte intensité de capital que vous devriez toujours avoir comme base de votre valeur économique dans le système, qui s’est atrophiée. Et de plus en plus, l’ère de la dérégulation et de la spéculation s’est ancrée. J’ai mentionné ici, pour faire bonne mesure, la Commission Trilatérale, fondée en 1973 par Brzezinski, Kissinger et David Rockefeller. Là encore, l’influence du Council on Foreign Relations, qui est à nouveau le mouvement de la Table ronde, est toujours là, de même que le groupe Bilderberg, qui est toujours là. Beaucoup de ces figures se recoupent avec cette autre entité dont je parlerai plus en détail le 26 février. Donc, voici ce qui prend le dessus sous Carter, la Commission Trilatérale. Presque tous les membres du cabinet de Carter sont membres de la Commission Trilatérale. Des gens comme Paul Volcker, qui devient le président de la Fed, appelle à une désintégration contrôlée de l’économie américaine en 1979, c’est-à-dire que les taux d’intérêt sont portés à 20 % ou plus pendant deux ans, détruisant les petites et moyennes entreprises et ne laissant que ces mastodontes de multinationales capables de survivre et de prospérer et de se faire engloutir par des fusions et acquisitions.

Henry Kissinger prononce, à ce moment-là, un discours à la Chatham House au Royaume-Uni, décrivant la différence entre les points de vue de Churchill et de Roosevelt sur l’après-guerre et décrivant, et les gens peuvent le lire, le discours complet est en annexe de mon deuxième volume. Il décrit comment il préférait la manière de concevoir la géopolitique de Churchill à celle de Roosevelt, qu’il considérait comme obsolète et incompatible avec la réalité. Mais il y décrit aussi l’époque où il était secrétaire d’État sous Nixon, où il dit : « Les Britanniques ont été en réalité tellement utiles qu’ils sont devenus un participant des délibérations internes américaines, à un degré probablement jamais pratiqué entre nations souveraines… », « Au cours de mes fonctions à la Maison Blanche, je tenais alors le bureau des affaires étrangères britannique mieux informé et plus étroitement engagé que le département d’État américain… C’était symptomatique. » Un aveu total. Ils ne cachent même pas ça en disant « non, ce n’est pas exactement ça ». Non, ils l’admettent tout simplement. Ils supposent juste que nous sommes trop bêtes pour mettre en relation les mots et les actions. Lord Jacob Rothschild en 1983 a prononcé un discours disant que : « Deux grands types d’institutions géantes, la société de services financiers mondiale et la banque commerciale internationale avec une compétence commerciale mondiale, peuvent converger pour former le conglomérat financier ultime, tout-puissant et à plusieurs têtes. » Il fait référence à l’effondrement de la division des activités bancaires : commerce, investissement, fiducie, assurance. Toutes ces activités avaient auparavant, sous Roosevelt, été conçues dans des compartiments séparés afin que vous ne puissiez pas spéculer avec l’épargne des gens. Vous ne pouviez pas le faire légalement. Il parlait de supprimer ces compartiments afin de pouvoir créer un nouveau type de banque universelle qui fait tout, ce que nous pourrions appeler aujourd’hui « too big to fail » [trop gros pour faire faillite]. C’est ce qui a été fait à l’origine en Grande-Bretagne sous le Big Bang de Margaret Thatcher, où la première vague de banque universelle a été créée à Londres, ce qui lui a permis de reprendre encore plus de contrôle qu’auparavant. On assiste à l’effondrement quasi total d’une bulle spéculative qui entraîne l’effondrement de 25 % de la bourse de New York. Pour éviter l’effondrement, Alan Greenspan est appelé à la rescousse et normalise immédiatement les instruments financiers créatifs, autrement appelés dérivés, qui étaient auparavant illégaux pour la plupart. Ces instruments étaient connus sous le nom de « junk bonds », des dettes titrisées qui n’avaient aucune valeur mais qui étaient tout de même titrisées, puis investies dans des assurances qui étaient également titrisées afin que les gens puissent… — c’est complexe, mais c’est fou. Ce n’est pas une façon de créer de la valeur. Et c’est devenu une sorte de tumeur cancéreuse qui s’est développée dans l’économie au point qu’en 1992, lorsque le traité de Maastricht a été signé — créant l’Union européenne comme une nouvelle consolidation pour se débarrasser des États-nations et du droit des nations à émettre leur propre crédit et à le contrôler en Europe – il y avait environ 2 000 milliards de dollars de produits dérivés. La même année, l’Union soviétique s’est dissoute. On célèbre la fin de l’histoire. George Bush dit en 1990 à l’ouverture de la guerre du Koweït que : « Nous avons devant nous l’opportunité de forger pour nous-mêmes et pour les générations futures un nouvel ordre mondial — lorsque nous réussirons — et nous réussirons — nous avons une véritable opportunité avec ce nouvel ordre mondial. » C’est donc à ce moment-là que Margaret Thatcher se vante d’avoir durci la position de Bush, qui hésitait sur la question de l’opération « Tempête du désert ». Mais encore une fois, l’idée était toujours la fin du système de l’État-nation. Finalement, à la fin de la guerre froide, c’est une ère unipolaire de ce qu’on pourrait appeler aujourd’hui l’ordre mondial néolibéral. L’Union soviétique est totalement privatisée, détruite, ciblée pour une destruction supervisée par Strobe Talbott, qui est l’homme de pointe sur le terrain, boursier de Rhodes, travaillant étroitement avec le FMI. L’ALENA est signé afin de se débarrasser à nouveau des pouvoirs des États-nations en Amérique du Nord et de faire passer les pouvoirs dans les mains des sociétés privées avant les nations. L’Organisation mondiale du commerce et ensuite le Glass Steagall : la séparation entre le commerce bancaire américain et la spéculation est brisée par Clinton, boursier de Rhodes, lors de son dernier mandat.

À partir de ce moment-là, on assiste à l’apparition du plus grand cancer des produits dérivés, qui passe de 2 000 milliards en 1992 à 70 000 milliards en 1999, ce qui correspond au PIB mondial des États-Unis. Au point que seulement dix ans plus tard, on assiste à la déréglementation complète des produits dérivés négociés de gré à gré, car le Glass Steagall a disparu, trop gros pour faire faillite, pour devenir plus grand que Dieu, ou c’est ce qu’ils veulent nous faire croire, alors nous devons les renflouer. En cas de faillite, c’est comme un pistolet sur la tempe. Et en 2007, lorsque survient effondrement suivant, 708 000 milliards de dollars de produits dérivés pèsent sur le système, dépassant de loin les 15 000 milliards de dollars du PIB américain.

Strobe Talbott en 1992 a déclaré dans son manifeste : « Tous les pays sont fondamentalement des arrangements sociaux… Peu importe à quel point ils peuvent sembler permanents ou même sacrés à un moment donné, en réalité, ils sont tous artificiels et temporaires… Peut-être que la souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout… Mais il a fallu les événements de notre propre siècle, merveilleux et terrible, pour plaider en faveur d’un gouvernement mondial. » C’est tiré de Birth of a Global Nation.

Deux dernières diapositives et je termine.

Pour être clair, la prise de contrôle des services financiers et l’effondrement de l’économie réelle : la partie réelle qui a de la valeur, qui maintient la vie est désormais la tendance. Vous avez le croisement de ce que vous avez ici, la location immobilière, le crédit-bail, la spéculation financière qui se chevauchent en 1987 avec la base manufacturière physique. Ce n’est qu’un des nombreux graphiques mis en avant. Une économie réelle ne fonctionne que si le côté financier est toujours au service de l’amélioration du côté réel : fabrication, infrastructure, science. Si le côté financier n’assure pas ce service, c’est du faux, c’est une bulle et la bulle éclatera. Et c’est pourquoi la bulle qui a été créée aujourd’hui, et qui éclate, était une désintégration planifiée, qui a toujours été prévue, depuis 1971.

La question est de savoir quand aura lieu la rupture ? La rupture a eu lieu. La question est de savoir pourquoi la Chine et la Russie sont encerclées par l’armée américaine et britannique. Pourquoi y a-t-il toutes ces opérations psychologiques ? Pourquoi y a-t-il tant de types différents d’opérations liées à la CIA pour détruire et déstabiliser l’Eurasie en ce moment ? J’en ai parlé dans ma dernière présentation, et c’est bien documenté. Que se passe-t-il ? De quoi ont-ils peur ?

Je vais terminer par cette dernière citation de Poutine. Les gens peuvent ressentir un sentiment de rage lorsqu’ils voient le visage de Poutine parce qu’ils ont été nourris de beaucoup de propagande dans les médias, ça m’est égal. Mais dans un récent discours, Poutine a déclaré :

« Seuls les États souverains peuvent répondre efficacement aux défis de l’époque et aux demandes des citoyens. Par conséquent, tout ordre international efficace devrait prendre en compte les intérêts et les capacités de l’État et procéder sur cette base, et non essayer de prouver qu’ils ne devraient pas exister. En outre, il est impossible d’imposer quoi que ce soit à quiconque, qu’il s’agisse des principes qui sous-tendent la structure sociopolitique ou des valeurs que quelqu’un, pour des raisons qui lui sont propres, a qualifiées d’universelles. Après tout, il est clair que lorsqu’une véritable crise survient, il ne reste qu’une seule valeur universelle, à savoir la vie humaine, que chaque État décide lui-même de protéger au mieux en fonction de ses capacités, de sa culture et de ses traditions. »

J’ai dépassé mon temps de parole. Je suis vraiment désolé, mais je tenais à présenter quelques enseignements clés de l’histoire mondiale. Et s’il y a des questions, s’il y a du temps pour cela, je serais heureux de répondre.

1:36:12 Reiner Fuellmich :

Merci, Matthew. Permettez-moi de vérifier que je vous ai bien compris. Le point principal est que l’Empire britannique n’a jamais cessé d’exister. Il est toujours là. Le colonialisme existe toujours, sauf qu’il existe sous un autre nom. Il n’a jamais cessé d’essayer de tirer les États-Unis en arrière, mais pour une raison qui nous échappe, il n’a pas vraiment réussi. Est-ce le résultat de tout cela, est-ce ce que nous voyons avec l’idée de l’État profond ? Est-ce que l’État profond est cette partie du pays qui essaie en résumé de réintroduire les États-Unis dans le système anglo-américain et dans la City de Londres ?

1:37:11 Matthew Ehret :

Je n’ai aucun problème avec ce que vous venez de dire. Oui, je n’ai aucun problème avec ça.

1:37:18 Reiner Fuellmich :

Pour autant que je sache, d’après ce que vous nous dites, cela n’a pas échoué au Canada. Leur tentative de garder le Canada sous contrôle a été très réussie. Je veux dire, rien qu’en écoutant comment Justin Trudeau a prêté son serment, il a juré allégeance à la Couronne britannique, à la Reine d’Angleterre. Cela ne dérange-t-il pas les Canadiens ?

1:37:49 Matthew Ehret :

Pour ceux qui le savent, c’est un changement de paradigme, mais il y a une grande dissonance cognitive qui a été mise en place par des années et des générations de conditionnement. Voici ce qu’il en est. Dans un des chapitres que je traite, la création d’un nationalisme synthétique au Canada a été organisée par nul autre que Lord Milner lui-même, qui a dirigé le Rhodes Trust en 1909 et est venu au Canada avec McIntyre, qui est le fondateur de la géopolitique dans sa forme moderne, mais à l’époque il était le directeur de la London School of Economics de la Fabian Society. Il a démissionné de son poste de directeur de la London School, suite à une offre faite par Lord Milner, qui fait partie de la Table Ronde, ce qui passe donc par Oxford. Donc, vous avez la LSC et ensuite Oxford. Il a donc démissionné de son poste pour venir au Canada avec Milner afin de formuler une grande stratégie visant à déterminer comment maintenir le Canada comme un rempart entre la Russie et les États-Unis et aussi avec l’Allemagne, car à l’époque, l’Allemagne n’était pas du tout un État fasciste. Il y avait encore beaucoup d’impulsions anticoloniales et antifascistes à des postes de pouvoir très élevés, autour de la Société Friedrich List et d’autres. Donc, il y a justement une citation où Milner a dit : « Parmi les trois plus grands dangers pour l’Empire britannique, ce que l’on préfère est une plus grande cohésion ». Donc, les trois principaux scénarios pour l’avenir du Canada sont : le premier, une plus grande cohésion et une intégration à la Fédération britannique. Cela ne va probablement pas se produire. Vous avez toujours Wilfrid Laurier, un admirateur de Lincoln, et d’autres, vous vous souvenez ? Donc, ça n’arrivera pas. Il a dit : le plus grand danger est une plus grande coopération avec les États-Unis, des États de 1909, c’est la plus grande menace pour l’Empire britannique. Le juste milieu est la croissance d’un nationalisme canadien. Et il rajoute : « Les Canadiens sont si merveilleusement ignorants des forces plus vastes de l’histoire, et ils se sentent supérieurs aux Américains dans presque tous les domaines. C’est facétieux et c’est fantastique. » Ce sont ses mots : « C’est juste fantastique à quel point ils sont ignorants ». « Et nous devrions suivre cette perspective et leur créer véritablement un nouveau nationalisme. » Et c’est exactement ce qui est devenu toute la tendance du 20ème siècle, aboutissant à la création artificielle du drapeau canadien avec une feuille d’érable qui ne veut rien dire. Contrairement aux autres pays qui ont des drapeaux qui signifient quelque chose, c’est littéralement juste une feuille d’érable. C’est ce qu’elle signifie. Et des gens comme Vincent Massey, qui était son prodige, est devenu notre premier gouverneur général canadien, qui a dirigé et géré une grande partie de tout cela. C’étaient tous des eugénistes. Ils ont également créé la Canadian Fabian Society, qui est toute une histoire dirigée par cinq boursiers de Rhodes en 1931.

Mais oui, au Canada, il y a une grande dissonance cognitive et beaucoup de mythes qui ont été créés et qui sont des vaches sacrées auxquelles nos esprits ont peur de se frotter. Mais maintenant que nous voyons le système démontrer sa véritable nature tyrannique, qu’il a toujours eue, mais comme nous n’y résistions pas, nous ne la ressentions pas. Mais à présent, dès que vous demandez quelque chose d’humain comme la liberté, vous voyez le masque tomber. Désormais, je pense que les gens sont beaucoup plus réceptifs à l’idée de se demander « Mais qu’est-ce qui se passe vraiment ? Qu’est-ce que cette chose appelée Canada ? » Et je pense que dans l’ensemble, les leçons des grands patriotes qui ont été évincés dans l’histoire du Canada… par exemple, nous avons eu notre dernier gouvernement national en 1963 qui a été renversé par un coup d’État dirigé par un boursier de Rhodes. En 1963, c’était notre dernier gouvernement national.

Il y a donc une soif de comprendre et je pense que plus les gens voient et réfléchissent à ce que Justin Trudeau a dit en 2017 et qu’ils observent ce qui s’est passé, plus ils arrivent à relier les choses entre elles. Ce qui est très important, c’est de se demander ce que devrait être une véritable nation souveraine. Nous savons ce qu’elle n’est pas maintenant, mais que devrait-elle faire ? Parce que nous avons de sérieux objectifs en matière de prix, la répartition de la production alimentaire, des chaînes d’approvisionnement et des infrastructures. Comment gérer cela de manière cohérente pour s’assurer que nos enfants, non seulement ne deviennent pas des esclaves dans ce système dystopique, mais qu’ils aient une vie dans laquelle ils puissent s’épanouir, où nous puissions investir dans une banque nationale qui serve les intérêts du peuple, avec d’autres nations qui s’organisent de manière commune. C’est toute une discussion qui doit vraiment avoir lieu. Et je pense que les manifestations actuelles à Ottawa sont une bonne étincelle. Il y a une aspiration à présent, comme je n’en ai jamais vu, pour ces grandes idées.

1:42:12 Reiner Fuellmich :

C’est le nationalisme canadien,…. nationalisme s’affirmant plutôt contre la couronne britannique, en substance, non ?

Matthew Ehret :

En substance. C’est basé sur un principe qui n’est pas artificiel. C’est vraiment basé sur le droit de nourrir nos familles, de travailler, d’avoir une vie. Les choses absolument fonda-mentales.

1:42:33 Reiner Fuellmich :

Une dernière question. Le pouvoir de la City de Londres combiné à la cinquième colonne de Wall Street, est-ce bien le cas ? Ai-je bien compris ? Que tout cet argent, tout ce pou-voir, était en mesure de déclencher deux guerres mondiales ? La première et la deuxième guerre mondiale, avec ces mastodontes financiers finançant les deux camps ?

1:43:04 Matthew Ehret :

Oh, oui. Absolument. J’ai l’impression d’avoir utilisé beaucoup de temps. Mais oui.

1:43:11 Reiner Fuellmich :

Ok. Je voulais juste m’assurer que je ne vous avais pas mal compris. Et enfin, les deux guerres mondiales, quiconque peut commencer deux guerres mondiales, n’a probable-ment aucun problème, parce que je l’ai noté quand vous l’avez dit, pour créer des mala-dies comme le terrorisme et le commerce de la drogue. Donc, en substance, cela a aussi eté créé, ou a été mise en place par ces mastodontes financiers que sont la City de Londres et Wall Street.

1:43:44 Matthew Ehret :

Oui, et je voudrais juste ajouter une petite chose à ce sujet, c’est que les Britanniques, et j’ai réalisé une interview avec Alex Craner basée sur une merveilleuse trilogie qu’il a écrite sur le projet britannique initial du Nouvel Ordre Mondial sous la direction de personnes comme Lord Halifax, les conciliateurs de la Grande-Bretagne qui étaient des gens comme Neville Chamberlain, qui faisaient partie d’une opération qui, jusqu’en 1939-1940, voulait toujours avoir des alliances fascistes anglo- américaines avec Hitler, et Mussolini et d’autres… pour gérer le monde dans le cadre d’un Nouvel Ordre Mondial et appliquer la po-litique eugéniste de contrôle de la population dans le cadre d’une société gérée de ma-nière scientifique depuis le plus haut niveau. C’était un projet, jusqu’à l’éviction de Neville Chamberlain, lorsque Hitler est devenu un monstre à la Frankenstein qui ne se conformait plus aux ordres et qu’il avait de plus grandes ambitions pour être à la tête du monde — au lieu d’être un exécutant secondaire de la volonté d’une classe bancaire. C’est alors qu’ils ont dû changer de stratégie et abandonner ce plan. Il y a toute une histoire là-dessus, mais oui, l’oligarchie… la leçon que j’en tire et que je souhaite que tout le monde puisse ti-rer de ça, c’est que les oligarchies se plantent beaucoup. Elles ne sont pas aussi puis-santes qu’elles veulent nous le faire croire, ce qui est, vous savez, une intimidation de l’es-prit. Chaque fois que vous regardez ce qu’ils essaient de faire… ce qu’ils essaient de faire aujourd’hui n’est pas nouveau, ils ont essayé de nombreuses fois, et généralement ça leur explose à la figure. Et cela leur porte préjudice aussi. Alors ils doivent se réorganiser et es-sayer quelque chose de nouveau.

1:45:13 Reiner Fuellmich :

Je comprends maintenant, cependant, que Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, dit qu’elle ne peut pas croire qu’elle combat les mêmes personnes, les mêmes structures, à nouveau, qu’elle a combattu il y a 75 ans, parce qu’il semble que ce qui s’est passé alors se reproduit. Matthew, je ne veux pas priver mes estimés collègues de poser des ques-tions. Alors, s’il vous plaît, allez-y, posez vos questions.

1:45:43 Dexter Ryneveldt :

Je vous remercie beaucoup pour votre témoignage. Matthiew, le sens même de votre dé-claration, le témoignage que vous avez donné, vous parlez de la nature et du droit. Comme nous le savons tous, le droit substantiel que nous utilisons dans ce grand jury est le droit naturel. J’aimerais donc que vous me disiez, sur la base de toutes les recherches que vous avez effectuées, quelle est l’importance du droit naturel pour la survie de l’huma-nité ? Et plus important encore, comment est-il lié au droit constitutionnel ? Merci.

Matthew Ehret :

Dexter, c’est une question formidable. C’est une très bonne question. D’après moi, toute l’histoire du monde a été façonnée par une bataille entre la loi artificielle — je veux dire, l’humanité est la seule espèce que nous connaissons qui crée et améliore les lois des sys-tèmes autour desquels nous nous organisons. Les autres animaux sont régis par leur géné-tique, leur environnement et leur nature pour être ce qu’ils sont, et c’est très bien ainsi. Mais les êtres humains sont les seuls à pouvoir élaborer des conceptions et à les appliquer pour gérer, volontairement, leur propre existence. Et puis, encore une fois, à pouvoir iden-tifier les problèmes de la pseudo machine métaphysique invisible de l’État et les améliorer. Mais sur quelle base devons-nous nous améliorer ? Selon quelle norme jugeons-nous les lois que nous créons nous-mêmes pour dire « Celle-ci est conforme à ce qui a été conçu par Dieu ». Et quelles sont celles qui sont déséquilibrées, qui ne sont pas en harmonie, que nous de-vons corriger, qui sont illégitimes ou, comme Thomas d’Aquin le dirait, qui constituent des formes de violence. Donc, si une loi peut effectivement détruire, vous priver de votre ca-pacité innée à exprimer votre vie, votre liberté, votre bonheur, vos pouvoirs créatifs… si c’est ce qu’une loi fait, ce n’est pas une loi, c’est une forme de violence. Elle n’a pas à être respectée. Et c’est ce que les pères fondateurs… si vous lisez les écrits de Benjamin Frank-lin, de Thomas Paine, ils étaient très sensibles au fait qu’il existe une loi supérieure. Elle n’est même pas séparée de la loi scientifique. C’est pourquoi Benjamin Franklin était à la fois un scientifique qui a découvert des principes d’électricité qu’il partageait. Mais dans son esprit, ses découvertes des lois de l’électricité n’étaient pas séparées des lois morales métaphysiques qui sont devenues le fondement de l’effort de sa vie pour créer une Répu-blique d’autogouvernance, fondée sur les droits inaliénables de l’individu et non sur les institutions héréditaires qui avaient gouverné la société pendant des milliers d’années. C’était la première fois que cela se faisait. Encore une fois, dans son esprit, il s’agissait de deux faces d’une même chose. La vraie science ne constitue pas une description mathé-matique ou une tentative d’imposer une formule à l’univers et d’attendre que l’univers s’y conforme. Il s’agit d’accorder notre propre raison créative en harmonie avec cet univers, qui sera alors toujours plus facile à découvrir. Et chaque fois que nous transmettons ces nouvelles découvertes dans n’importe quel domaine à nos semblables et que nous les ap-pliquons au processus de production, l’univers réagit en nous donnant des niveaux de vie plus élevés. Nous pouvons faire vivre un plus grand nombre de personnes à un niveau de vie supérieur à celui que nous aurions pu avoir si nous n’avions pas l’électricité, si nous n’avions pas la connaissance du feu, où nous vivions, par exemple, comme des bestiaux dans des grottes.

Mais cette nature réciproque de l’univers ayant cette qualité, que l’humanité a créée à l’image de cet univers sous certaines conditions, si nous respectons certains de ces prin-cipes, comme Benjamin Franklin et d’autres l’ont compris, nous en tirerons une plus grande émancipation. L’Empire, le système oligarchique d’une élite héréditaire, perdra les appuis où planter ses griffes, comme le parasite qu’il est, dans l’hôte. Il n’aura plus grand-chose à quoi s’accrocher, il perdra son pouvoir et implosera de lui-même, comme je pense que nous le voyons en ce moment.

1:49:19 Alex Thomson :

Puis-je ajouter quelque chose très brièvement, ce que nous voyons maintenant dans les ju-ridictions du Royaume-Uni, il y a la juridiction d’Angleterre et du Pays de Galles, la juridic-tion d’Irlande du Nord, la juridiction d’Ecosse. Les systèmes judiciaires de tous ces pays, qui relèvent essentiellement de la common law, commencent à s’attribuer, au niveau judi-ciaire, le pouvoir de décider de la « Mens Rea » ou ils sont plus avancés que n’importe quelle juridiction de common law ou de droit civil, comme nous l’avons constaté à plu-sieurs reprises, en affirmant que même si un jury est là pour la forme, et ils semblent es-sayer de s’en débarrasser maintenant sous la prétention fallacieuse que les exigences des traités internationaux les obligent à réduire l’utilisation des jurys, même si un jury est là pour la forme, ils se réservent le droit de déterminer ce qui était dans l’esprit de l’auteur du crime. Et très souvent maintenant, c’est une rédaction qui vient des fondations exo-nérées d’impôts telles que la Fondation Carnegie dont j’ai parlé plus tôt, via la bibliothèque de la Chambre des Communes, qui dit aux législateurs de Grande-Bretagne, qui ensuite entraînera d’autres pays sur la même voie, et que les législateurs sont informés qu’il existe une version terrestre du bien public ou du bien-être public, maintenant appelée bien-être collectif. C’est ce que les fondations ont fait tout au long du 20ème siècle, en créant des ennemis dans ce but précis. Et maintenant les tribunaux disent, si vous avez offensé la société, alors il n’y a pas de réparation, vous êtes coupable. Et c’est le plus grand pas en avant vers l’élimination du droit naturel que j’aie jamais vu. C’est allé plus loin que n’importe quel État totalitaire européen, que n’importe quelle cour internationale, c’est maintenant au niveau national britannique, par le biais de la législation et finalement des groupes de réflexion, que l’on abolit le concept selon lequel la loi naturelle décide si vous êtes coupable ou non.

1:51:04 Viviane Fischer :

Merci pour votre opinion, parce que nous voyons que ce n’est pas une constellation de pays fermés à 100 %. En ce moment, nous avons des réglementations encore très strictes en Australie et au Canada et ailleurs, mais vous dites qu’en Angleterre, c’est comme s’ils planifiaient ça sous un angle différent. C’est donc apparemment plus détendu pour le mo-mene, mais je veux dire qu’ils se préparent à finaliser sous un angle différent, en disant… sous un angle différent, comme créer une pénurie alimentaire en fait.

1:51:41 Alex Thomson :

Oui, j’en suis absolument convaincu, le Royaume-Uni est en tête, l’Anglo Commonwealth en second, et la résistance à cette idée sera en fait largement le fait des pays d’Europe centrale, parce qu’ils accordent plus de poids à l’état de droit et aux institutions des tribu-naux qu’aux jurés, par exemple, ils montreront une plus grande résistance, une résistance bienvenue pour ce cas. C’est certainement la Grande-Bretagne ou les groupes de réflexion basés en Grande-Bretagne qui poussent nos législateurs plus que partout ailleurs dans le monde, cette idée que si quelqu’un répond aux exigences d’un texte, il est convaincu qu’il est condamné sans aucune défense possible. C’est donc cette idée fallacieuse qui se cache derrière : « vous voulez offensé les intérêts du bien commun ? »C’est ce que je crains, et c’est ce qu’on peut comprendre, d’après ce que Matt a dit, mais je pense qu’en fait, ceux qui disent ça, c’est qu’ils ont peur, et qu’ils ne veulent aucune menace à leur narratif.

1:52:41 Reiner Fuellmich :

D’autres questions d’Ana, de Dipali, de Dexter ou de Virginie ? J’ai une question. Est-il possible que non seulement en Europe, mais aussi aux États-Unis, il y ait un mouvement qui, ayant compris ce qui se passe, essaie de prendre ses distances. Je parle des États-Unis qui essaient de prendre leurs distances par rapport aux Européens, et en particulier par rap-port à la City de Londres, parce que nous sommes tout simplement ensevelis sous les dettes, et que nous portons trop de poids mort avec nous. Je dis ça en termes courants. Qu’en pensez-vous, Alex ? Et Matthew ?

1:53:34 Alex Thomson :

Pour ma part, absolument. Et puis le récent témoignage que je vous ai donné, j’ai parlé de ça, qu’il y a une grande partie de l’Amérique centrale qui s’est réveillée et qui voit mainte-nant ce qu’ils considèrent comme un problème anglo ou anglo- européen les diriger, et je pense qu’ils commencent à en avoir marre de tout ça, à cause de la quantité de trahison impliquée et juste comme codicille au témoignage de Matt sur 1971, quand le coup finan-cier a été réalisé, une des indications que les Américains ont été utilisés comme des pions malheureux est que cette même année, Kissinger aurait dit que les militaires, et par là il entendait surtout les militaires américains, étaient des bêtes brutes et stupides qui fai-saient ce que d’autres leur demandaient et cette même année, étant le nouveau Secré-taire d’État sous l’administration Nixon. Il a obtenu d’un fabricant du Massachusetts, le seul fabricant au monde capable de produire des roulements à billes de précision, Brian Chucking Grinder, qu’il fournisse des roulements à billes à l’Union soviétique, afin de leur permettre de développer de multiples ogives pour « véhicules de rentrée indépendant », ce qui, je le sais, fait l’objet d’un de nos témoignages supplémentaires ce soir de la part de Jim Bush, alors qu’il était personnellement impliqué dans la partie américaine de cette af-faire, La quantité de trahison impliquée est telle que là où les États-Unis avaient une avance militaire ou économique, la cabale dont nous parlons l’a délibérément abolie et j’ai le sentiment très fort, grâce à mes contacts prolongés avec les États-Unis, qu’une grande partie des Américains ne souhaitent pas abolir leur héritage anglo-saxon, leur héritage de common law, mais ils en ont complètement assez du leadership intellectuel britannique et européen.

1:55:14 Reiner Fuellmich :

C’est parfaitement logique.

1:55:16 Matthew Ehret :

Je ne voudrais pas trop parler, parce que je sais que nous sommes en train de dépasser le temps imparti ici. Mais juste rapidement : il y a des cinquièmes colonnes en Russie, chaque pays a ses propres colonnes, ils ont leurs propres batailles entre les forces légi-times qui représentent leurs cultures contre ces autres infiltrations parasitaires. Je dirais qu’en Eurasie, vous avez eu un sérieux… un repli plus sérieux au point qu’il y a une véritable… Je ne pense pas que ce soit un jeu, je pense qu’il y a une véritable stratégie alterna-tive qui a été déployée en dehors du cadre de la prison de l’OTAN qui est en train d’imploser. Et qui n’est pas toujours… qui a toujours été conçue pour imploser. Et je pense qu’il y a des forces aux Etats-Unis, je le vois plus actuellement au niveau des Etats, qui ne veulent pas sombrer avec le bateau qui coule, il y a des forces partout en Europe. Malheu-reusement, les pouvoirs exécutifs fédéraux de la plupart des gouvernements transatlan-tiques ont été en grande partie récupérés, pas toujours entièrement, mais à un niveau dé-primant. Donc je n’ai pas… je ne suis pas un expert en planification géopolitique. Et j’espère que les forces créatives seront capables d’utiliser les auto-contradictions et la folie de l’empire à leur avantage, puisqu’encore une fois, cet empire est… il ne peut qu’une fois… il ne peut réussir qu’à se détruire. Et je vois qu’il y a des gens qui veulent avoir un futur, qui veulent survivre, et qui s’organisent naturellement. Et je pense juste qu’ils doivent affiner leur plan stratégique, en termes de ce qu’ils comprennent du monde, car beaucoup de gens pensent encore, surtout en Amérique… Beaucoup de patriotes qui n’aiment pas la grande réinitialisation ont tendance à tomber dans certains pièges qui sont tendus du récit de la guerre froide, que le vrai ennemi derrière tout n’est pas l’empire britannique, ce n’est pas l’oligarchie, ce n’est pas ça, ce seraient les communistes chinois qui voudraient dé-truire vos libertés, c’est ce qui serait derrière tout cela. Et vous savez, beaucoup de gens tombent dans ce piège. Et je crois que dans la mesure où ils s’accrochent à ces récits de Guerre Froide, ils vont auto- saboter leurs désirs communs de gagner la bataille contre cette menace oligarchique. Voilà, c’est ce que je tenais à dire.

1:57:31 Reiner Fuellmich :

Merci, Matthew. D’autres questions d’Ana ou de Dexter ? Ou Virginie ? Ou Dipali ?

1:57:39 Dexter Ryneveldt :

Pas d’autres questions pour ma part.

1:57:43 Ana Garner :

Aucune pour moi. Merci. Quelle belle présentation.

1:57:46 Reiner Fuellmich :

Oui, merci, Matthew. S’il n’y a pas d’autres questions, votre témoignage est terminé. Mat-thew, merci beaucoup. Nous allons maintenant nous tourner vers Brian Gerrish et Debbie Evans, pour leur présentation.

1:58:04 Brian Gerrish :

Merci beaucoup de m’avoir invité à participer. Vous m’avez demandé de me présenter. Je vais donc dire que ma première carrière a été celle d’un officier de la Royal Navy britannique. J’étais spécialisé dans la guerre anti-sous-marine. J’ai donc passé une grande partie de mon temps à traquer les sous-marins nucléaires russes, au plus fort de la guerre froide. Et bien sûr, je dirai qu’avec le temps, en vieillissant et en devenant plus sage, je me suis rendu compte que beaucoup de ce que je croyais à l’époque était incorrect. Mais pour vous donner une partie de mon expérience, j’étais très impliqué dans le système militaire à l’époque de la guerre froide. Et quand j’ai quitté la marine en 1993, j’ai découvert que tout n’était pas comme il semblait, dans la société et au Royaume-Uni. Et à force de traquer, principalement la fraude et la corruption dans ma propre ville, et d’entrer en contact avec des personnes qui voyaient la fraude et la corruption dans d’autres grandes villes britanniques, j’ai commencé à m’intéresser aux organisations qui, je le voyais, contrôlaient les événements, mais ces organisations n’étaient pas bien connues du public. Et où cela m’a mené, j’ai finalement rencontré un groupe de personnes formidables. Et maintenant, nous gérons UK Column en produisant des nouvelles trois fois par semaine. Auparavant, nous produisions un journal écrit, mais nous analysons constamment ce qui se passe.

C’est donc sur la base de mon expérience militaire antérieure, de mon expérience dans le monde civil, y compris les analyses à travers UK Column que je peux vous apporter mon témoignage ce soir. Et j’ajouterai que je suis ravi d’être accompagné d’une dame appelée Debbie Evans, qui a fait des recherches très approfondies avec nous, et j’ai pensé qu’il était tout à fait approprié qu’elle puisse donner une information de grand intérêt qu’elle a trouvé.

Maintenant, je n’ai que 30 minutes. Je vais donc essayer d’aller très vite. Et la première chose que j’aimerais faire est d’essayer d’élargir la portée de ce que nos intervenants initiaux avaient à dire dans leur témoignage. Et je crois que l’analyse démontre qu’ils ont créé des fondations, des start up et développé des organisations de gangsters. Et nous avons suivi leur histoire, nous avons appris bien des choses sur ces gens, leurs réseaux, leur mode d’opération, nous avons quelques preuves d’événements mondiaux qui nous montrent que ces groupes opèrent.

Si nous regardons comment les gangsters ont été traités et éliminés avec succès dans le passé, si nous nous intéressons à Al Capone ou d’autres gangsters, l’Amérique est probablement le bon endroit pour ce genre d’analogie.

On les a fait tomber en enquêtant sur les crimes qu’ils ont commis et en recueillant les preuves réelles de ces crimes, qu’il s’agisse de meurtres, de trafic de drogue ou de prostitution, il fallait les preuves réelles du crime, il fallait prouver l’intention. Il devait y avoir les personnes nommées qui étaient impliquées dans ces crimes.

Et ce n’est que lorsque les preuves ont été apportées qu’ils ont pu être traduits en justice et déclarés coupables, ou du moins traduits devant la loi, et finalement purger leur peine. Je vais donc dire que pour notre jury, qui est un public mondial, les deux premiers intervenants ont fait un excellent travail en disant qu’il y a une conspiration, un groupe de gangsters qui opèrent, ils ont un pouvoir et une richesse énormes.

Qu’est-ce que ces gangsters essaient de faire ? Je pense que l’objectif de ces gangsters est la domination du monde. Ils veulent tout contrôler, la société, les matières premières, les méthodes de production, les gens, la politique, tout doit passer sous leur contrôle. Et finalement, nous disons alors, quels sont les crimes ? Eh bien, le gardien des crimes les notait pendant que j’écoutais les orateurs. Nous regardons l’oppression, nous regardons l’esclavage. Nous parlons de la pauvreté, de la faim, de la traite des êtres humains. Et finalement, nous parlons de la mort. Et à ce stade, je crois que nous avons maintenant un événement mondial majeur très important qui se produit. Il s’agit de la pandémie de COVID 19, suivie d’un programme de vaccination, parce que, selon moi, les preuves irréfutables montrent que ces gangsters tuent des gens. Nous sommes donc ici pour, un recours à la loi pour parler de crime.

Quel est le crime, à mon avis, le crime est de perpétrer la mort. Les années précédentes, nous avons vu des gens mourir à cause des guerres qu’ils avaient créées. Mais plus récemment, nous voyons des gens mourir à cause de l’introduction d’une pandémie, et de la façon dont cette pandémie a été traitée, et de la façon dont elle est traitée entre guillemets avec un programme de vaccination. Maintenant, les deux intervenants ont mentionné quelque chose, qui je pense est très important. Alex a dit qu’ils veulent contrôler les esprits, et qu’ils veulent « un contrôle civil sur des personnes politiquement attardées ».. Et cette dernière citation montre absolument l’arrogance de ces individus, de ces gangsters, parce qu’ils croient que toute opinion qu’ils ont est l’opinion correcte, la valeur correcte. Et toute personne qui les conteste est un vaurien, qu’ils veulent en fin de compte éliminer de leur champ d’action, et qu’est-ce que cela signifie ? En fin de compte, ils voudraient que ces gens disparaissent et meurent.

Alors rappelons-nous et faisons le lien avec le fait que nous avons dit que c’est une bataille pour nos esprits, et c’est très vrai en ce moment lorsque je vous livre mes premières pensées sur ce qui se passe. Mais nous devons être conscients qu’à côté de la pandémie de COVID 19 et du programme de vaccination qui en découle, nous devons être conscients qu’il y a une bataille contre nos esprits avec une attaque psychologique politique appliquée. Donc, il se trouve que j’ai deux documents avec moi, le premier est intitulé santé mentale. Le sous -titre est planification stratégique pour la santé mentale, il a été rédigé par un certain JL Reese.

Il est intéressant de noter que la date figurant sur ce document que je détiens est octobre 1940. Donc, au milieu de la Seconde Guerre mondiale, au début de la Seconde Guerre mondiale, je devrais dire, nous avions un groupe de personnes qui allaient plus tard devenir très puissantes au sein du système de l’Organisation mondiale de la santé, qui discutaient de la manière dont ils allaient mettre en œuvre ce qu’ils appelaient l’hygiène mentale dans la nouvelle société.

Et ils ne se sont pas gênés parce qu’ils ont dit qu’en faisant cela, ils allaient infiltrer les organisations sociales, ils allaient attaquer les professions, ils allaient infiltrer les activités sociales, et les sociétés professionnelles, et qu’ils allaient déclencher un plan et une propagande à long terme. Et je vais appuyer ce document de 1940 en disant très rapidement, j’en ai un autre entre mes mains, que je suis bien sûr heureux de partager ceci en tant que preuve. Il s’intitule Psychiatrie, il fait partie du « Journal of the biology and pathology of interpersonal relations », il est daté de février 1946.

Et il parle du rétablissement de la société en temps de paix, et l’auteur est un certain G.B Chiesel2. Et si les gens font des recherches sur ce nom, ils trouveront un autre personnage qui est profondément lié au type de sociétés que les sujets nous présentent de manière très concise. Pourquoi devrions-nous y prêter attention aujourd’hui ? Parce qu’il parle de l’utilisation du système psychiatrique, afin de mettre en œuvre ce programme d’hygiène mentale. Et si notre jury souhaite savoir ce que signifie « l’hygiène mentale », et bien cela signifie essentiellement que vous n’êtes pas apte à être un être humain, à moins que vous n’adoptiez les vues, les valeurs et les opinions des gangsters qui, nous l’avons déjà identifié, ont un plan de domination.

Je voudrais dire que lorsque j’ai commencé à faire des recherches sur ce qui se passait au Royaume-Uni du point de vue de la criminalité et de la fraude, des menaces et des brimades au niveau local, j’ai rapidement établi, à mon grand étonnement, qu’il existait une organisation caritative, appelée « Common Purpose », qui agissait de manière très politique en créant de futurs leaders. Et j’ai été fasciné par le fait que ces personnes s’installaient dans les villes britanniques et manipulaient de manière efficace en prenant le contrôle, pourrait-on dire, de la politique dans ces villes.

Donc, il y avait un groupe de personnes qui recrutaient des gens, qu’ils pouvaient considérer comme de futurs leaders, et qui commençaient à prendre le contrôle de villes au Royaume-Uni. Eh bien, si j’élargis le propos, en quelques années, cette organisation a opéré à l’étranger, dans des pays comme l’Allemagne, la Hollande, l’Inde, l’Australie, où ils recrutent des gens dans ces pays, afin de les intégrer dans un programme « d’agents du changement » pour changer notre façon de penser et de faire des affaires dans la société. Et si nous demandons d’où vient cette organisation, elle a été créée en 1985 environ, à la suite du retour d’une femme en particulier, la directrice générale de l’époque, Julia Middleton, de Chicago, me semble t’il, mais en tout cas, elle disait avoir appris des choses étonnantes sur la façon de changer la société. Et le point intéressant était qu’une grande somme d’argent a été collectée auprès d’un certain nombre de banques. Et rappelez-vous, le pouvoir monétaire a été au centre du dialogue des deux premiers intervenants, mais « Common Purpose » a pu se lancer grâce à des fonds provenant de grandes banques qui n’ont jamais été divulgués. Cependant, je peux dire avec une grande certitude que la Deutsche Bank était l’une des principales banques travaillant avec cette organisation.

Maintenant, pourquoi est ce que je parle de « Common Purpose » ? Eh bien, « Common Purpose » était un exemple clé d’une organisation que vous pouviez suivre, vous pouviez consulter les documents, vous ne pouviez pas voir les gens. Et vous pouviez constater qu’elle mettait en place un plan pour changer notre société sans que le citoyen moyen ne le réalise.

Alors où voulons-nous en venir maintenant ? Je pense que nous devons faire un petit récapitulatif de ce qu’Alex a mentionné, parce que j’aimerais vous ramener au document sur le concept mental, qui est ma première diapositive, si nous pouvons l’afficher à l’écran. – Introuvable sur internet, retranscription phonétique du nom énoncé à l’oral. Et ce document produit par le « Cabinet Office Britannique », est un document dans lequel ils ont travaillé avec des psychologues pendant longtemps, pour apprendre comment changer la façon dont les gens pensent et se comportent, sans que les gens comprennent ce qui se passe.

Ce n’est pas une simple opinion de ma part, car si nous passons à la deuxième diapositive, j’espère qu’elle s’affiche à l’écran. Si vous lisez le texte à l’écran, il est dit que le gouvernement, le gouvernement britannique, serait capable de contrôler les pensées des gens, la façon dont ils pensent et les comportements qu’ils adoptent. Et les gens ne se rendent pas nécessairement compte que cela s’est produit, il n’auraient pas conscience, que leur comportement, leurs pensées auraient changé, ils ne le sauraient pas. Mais le document précise encore que si les gens se rendaient compte que leur comportement avait changé, ils ne sauraient pas nécessairement comment cela aurait été fait.

Maintenant, laissez-moi relier cela, plus ou moins à ce jour avec la pandémie de COVID 19, parce que si nous amenons la diapositive trois, sur votre écran, ce sont les rapports de « Spy B », comme on l’appelle, c’est une section des scientifiques experts du gouvernement britannique, des groupes d’experts, qui faisaient des commentaires sur la façon dont nous devrions, je cite, combattre le COVID. Mais « Spy B » était une équipe de spécialistes, y compris des spécialistes du comportement, qui ont utilisé la psychologie appliquée pour amener les gens à adhérer à la politique du gouvernement britannique sur le COVID-19. Et c’est pourquoi j’attire l’attention des gens sur deux paragraphes : l’un se trouve en bas de la page de gauche, où il est dit que le niveau perçu de menace personnelle doit être augmenté chez les personnes confiantes, en utilisant des messages émotionnels percutants.

C’était donc une équipe gouvernementale qui préconisait l’utilisation de la psychologie appliquée pour rendre les gens craintifs. Et je dirais qu’il n’est pas étonnant que nous ayons maintenant des psychologues et des psychiatres qualifiés qui soulignent le danger de rendre les gens peureux, en particulier si vous utilisez des techniques qui impliquent qu’ils n’ont aucun moyen de savoir d’où vient cette peur. Ce n’est pas mon jugement, je cite directement les propos de l’homme du gouvernement britannique. Et ce qui est tout aussi inquiétant, c’est qu’un paragraphe ultérieur, le paragraphe sept, parle de coercition, dans lequel il est dit que l’on devrait envisager l’utilisation de la désapprobation sociale. Mais avec une forte mise en garde concernant les conséquences négatives indésirables. Ce dont ils parlent, c’est d’utiliser les gens pour faire la police entre eux, pour dire, je porte un masque, vous ne portez pas de masque, vous êtes une mauvaise personne, sortez de mon chemin. Mais la mise en garde qu’ils ont introduite à ce sujet est qu’ils reconnaissent que cette technologie psychologique pourrait déclencher la violence dans les communautés.

Maintenant, je passe rapidement dans cette présentation sur la façon dont ils parlent dans le domaine du contrôle des populations où nous voyons le gouvernement britannique en 2009 en 2010, figurant sur ce document original, mais jusqu’à aujourd’hui aussi, se vanter du fait qu’il pourrait utiliser la psychologie appliquée pour changer la façon dont les gens pensent et la façon dont les gens se comportent.

Qu’ont-ils fait de cette méthodologie ? Cette psychologie a été en fait vendue initialement aux États-Unis et à l’Australie… regardez ce qui se passe en Australie avec le verrouillage COVID en ce moment, mais finalement, ces technologies psychologiques, comme Debbie va en parler dans quelques instants, ont été vendues dans le monde entier.

Nous avons donc maintenant des gouvernements du monde entier capables d’utiliser cette psychologie comportementale appliquée pour changer les opinions, les valeurs et le comportement des gens qui ne savent tout simplement pas que cela a été utilisé contre eux. Et pour renforcer ce point, si on peut faire apparaître à l’écran la quatrième diapositive, voici un document que je n’ai trouvé que très récemment, mais qui s’intitule « Behavioural Insights applied to policy, Germany country overview », c’est un document de l’UE, qui vante effectivement exactement la même chose, à savoir comment la psychologie comportementale appliquée peut être utilisée pour changer l’opinion publique communautaire. Et il donne toute une liste d’organisations allemandes, dont je suis sûr qu’elles seront, pardon, je suis sûr qu’elles seront beaucoup plus significatives pour le jury que pour moi, mais beaucoup d’entre elles sont des universités et des organismes de recherche.

Ce document est la preuve vraiment évidente que ces techniques de psychologie politique ont certainement été répandues dans toute l’Europe.

Je vais donc suggérer qu’il est très clair que nous avons une équipe de gangsters au pouvoir, qu’il s’agisse du Royaume-Uni, de l’Union européenne ou des États-Unis, et qu’entre les mains de ces gangsters, il y a une méthode de psychologie comportementale très dangereuse.

Permettez-moi maintenant de passer au sujet du COVID-19, et en particulier aux effets des vaccins.

Au Royaume-Uni, nous avons la « Medicine and Health Products Regulatory organization », la MHRA, qui est censée assurer la sécurité du public en ce qui concerne les produits pharmaceutiques et les vaccins. Et dans le cadre du programme de vaccination au Royaume-Uni, ils ont recueilli des données sur les effets indésirables des vaccins, excusez-moi… qu’ils appellent les « Yellow Cards ». Et à ce jour, si je peux trouver les chiffres, parce que je les ai notés, aujourd’hui… leurs propres statistiques disent qu’il y a eu près un million et demi d’effets indésirables des vaccins, et qu’il y a eu près 2000 décès, avec une mise en garde qu’ils ont faite eux-mêmes pour dire qu’ils pensent qu’il est probable que seulement 10 % des effets indésirables des vaccins qui se sont réellement produits ont été enregistrés. Bien entendu, cela fait passer le nombre de décès de 2000 à 20 000.

Ce qui est intéressant, c’est que nous commençons à voir les décès dus aux vaccins dépasser les dommages causés par le COVID-19. Mais nous devons nous rappeler que la MHRA est un département gouvernemental parfaitement prêt à utiliser les mêmes compétences en psychologie appliquée, que le gouvernement britannique s’est vanté de pouvoir utiliser, pour tromper le public et changer son comportement.

Ainsi, lorsque nous nous sommes adressés à la MHRA et que nous leur avons posé une question simple : où est votre évaluation quantitative des risques pour montrer que les effets indésirables des vaccins ne sont pas le résultat des vaccinations elles-mêmes ? La MHRA s’abstient de répondre et produit des réponses très confuses. Mais le fait est que cette organisation clé, la MHRA, n’a pas mené d’évaluation quantitative des risques concernant les effets indésirables des vaccinations.

Et je veux dire au jury, nous sommes dans un tribunal, la MHRA a le devoir de protéger le public des produits pharmaceutiques dangereux. Elle sait que des gens meurent à cause de la campagne de vaccination. Et je voudrais ajouter que le gouvernement britannique le sait certainement. Mais il est prêt à utiliser la psychologie dans tous les domaines, écrits et médiatiques, autour des dangers du COVID dans la politique de vaccination.

Avant de céder la parole à Debbie pour qu’elle explique le fonctionnement du système. Je voulais juste souligner que, bien sûr, l’ensemble du contrôle de la politique du COVID-19, et la soi-disant politique de soins de santé autour des vaccinations COVID-19 a été effectué par le Cabinet Office britannique qui a une équipe de psychologie comportementale appliquée intégrée. Nous savons donc de quoi ils sont capables, ils s’en vantent dans leur propre document. Et finalement, nous voyons la preuve réelle que des gens souffrent et meurent.

Mais j’aimerais passer la parole à Debbie, parce que si nous suivons cette piste, nous arrivons à la façon dont le système fonctionne au Royaume-Uni, où du moins, nous assistons à une forme de fascisme médical, entre le gouvernement et l’industrie pharmaceutique mondiale, travaillant aux côtés des universités et des organisations caritatives dans ce qui a été appelé le Triangle d’or au Royaume-Uni. Donc permettez moi de passer la parole à Debbie, pour utiliser les 15 dernières minutes.

2:21:23 Debi Evans

Merci, Brian. Bonsoir à tous. Mon nom est Debbie Evans. Je suis une infirmière diplômée d’État à la retraite. J’ai été formée au Royal Free Hospital de Londres, où, par coïncidence, on soigne la fièvre de Lassa depuis aujourd’hui au Royaume-Uni. Et j’ai suivi une formation postuniversitaire à l’hôpital St. Bartholomew dans la ville de Londres. Et j’ai été conseiller au ministère de la santé pour le gouvernement britannique pendant cinq ans et je suis un chercheur médical et Brian nous a amené là dans ce que nous appelons au Royaume – Uni le triangle des hôpitaux ou les université d’or, le triangle d’or des universités, et il y a une capture d’écran d’une carte du Royaume-Uni, si vous pouvez l’afficher juste pour montrer les emplacements d’Oxford, Cambridge et Londres, dans ce triangle, je ne sais pas si vous pouvez le voir ou non. Vous pouvez le voir fabuleux.

Cambridge est le plus grand centre de technologie numérique du Royaume-Uni. Elle est classée 12e dans l’indice numérique européen, et elle est en fait connue sous le nom de Silicon Fen. Il y a un énorme campus biomédical sur le site, il y a une capture d’écran du campus biomédical, qui vous indiquera ce qu’il y a sur le puissant campus biomédical et ce qu’on y trouve, entre autres l’hôpital Papworth, qui a été déplacé sur le campus biomédical et qui est spécialisé dans le cœur et les poumons. Nous avons également l’hôpital d’Addenbrooke, spécialisé dans les dons d’organes et les transplantations. Boris Johnson, notre Premier ministre, nous a également annoncé qu’un hôpital de recherche sur le can-cer serait également érigé sur ce campus, ce qui représente un coût énorme malgré le fait que les taux de cancer au Royaume-Uni sont en baisse, le Medical Research Council Can-cer Research UK, sur lequel je reviendrai dans une minute, le laboratoire régénératif McLa-ren et le centre de transfusion sanguine du NHS. Donc tout cela est entre autres, à Cam-bridge et AstraZeneca a son siège avec GlaxoSmithKline aussi, ce qui est intéressant à propos de Cambridge, c’est que Cancer Research UK, qui est censé être une organisation caritative, mais semble ne pas l’être du tout.

Le professeur Robert West est consultant pour Cancer Research UK. Et il fait également partie de l’équipe B, l’équipe comportementale dont Brian vient de parler à propos de « Sage ». La femme du professeur Robert West, le professeur Susan Michie, est à la tête de l’équipe Behavioural Insights au cabinet ministériel. C’est une communiste de longue date, qui a conçu la méthode de changement de comportement et l’a déployée dans de nombreux pays. Le Behavioural Insights Team semble être devenu mondial.

En ce qui concerne le triangle d’or d’Oxford, nous avons l’une des économies de technolo-gie numérique les plus dynamiques du Royaume-Uni, avec un grand campus, Oxford Nano-pore, de très haute technologie, et un campus médical. Nous avons aussi Milton Keynes, qui est mentionnée dans ce triangle d’or parce que c’est la première ville intelligente du Royaume-Uni qui utilise des capteurs, et je reviendrai sur l’innovation technologique.

Donc, en arrivant à Londres, il y a une autre diapositive, Med city. Si vous pouvez la voir, qui est une ville économique de la connaissance, elle est censée être la capitale numé-rique de l’Europe. Et elle a été nommée par Tech Nation, attirant 2,1 milliards de milliards d’investissements. Donc le Triangle d’Or au Royaume-Uni est l’endroit où toute l’attention semble être concentrée. Le gouvernement britannique vient d’ailleurs de l’annoncer, en in-vestissant 5,5 milliards dans les infrastructures autour du Triangle d’Or, parfois connu sous le nom de « Lox Bridge Triangle » et de « The Brain Curve », je crois qu’on l’appelle aussi ainsi. Ainsi, lorsque nous examinons le Triangle d’Or, et que les universités sont mieux impli-quées, nous pouvons voir que les « Universités d’Or » Oxford et Cambridge, j’y ai également rattaché le Russell Group, qui sont 24 universités au sein du Russell Group, qui travaillent très étroitement avec les universités du Triangle d’Or et reçoivent beaucoup de fonds.

Ce que je vois, c’est que deux choses se profilent à l’horizon. La première est que la MHRA, au Royaume-Uni, souhaite devenir l’organisme de réglementation mondial. Raj Long, qui est directrice adjointe de la Fondation Bill et Melinda Gates, siège à son conseil d’adminis-tration. Elle est spécialisée dans la sécurité et la pharmacovigilance et est également le scientifique en chef de Microsoft. Nous voyons donc d’énormes conflits d’intérêts ici. Nous constatons également des conflits d’intérêts entre le gouvernement britannique et les mi-nistres. Certains ministres ont des intérêts dans les quatre grandes sociétés d’audit, KPMG et Microsoft, ainsi que dans Deloitte, AstraZeneca, Goldman Sachs et la Banque euro-péenne d’investissement. Donc beaucoup de nos ministres ont des conflits d’intérêts dans ces… dans ces domaines.

Ce que nous pouvons voir, c’est que Deloitte en particulier, en se concentrant sur Deloitte pour une minute, parce que Deloitte & Ernst, KPMG, et Price Waterhouse Coopers repré-sentent 67 % de la gestion comptable mondiale, soit quatre sociétés basées à Londres.

Deloitte a été central dans le « test and trace »

Lord Bethel, qui a maintenant démissionné, avait une société qui ne faisait que du lob-bying au nom de Deloitte, pour des appels d’offres. Et c’est très inquiétant de voir que lorsque vous voyez toutes ces sociétés imbriquées les unes dans les autres, ce qui pourrait se passer à l’avenir, et je veux juste revenir très rapidement sur la façon dont les orga-nismes de bienfaisance semblent être impliqués dans cette affaire ainsi que les organisa-tions gouvernementales et ce que j’appellerais en fait le cancer du Royaume Unis. Je cherche mes notes. Je suis vraiment désolé. J’ai un carnet de notes pour essayer d’être très rapide, parce que je sais que nous n’avons pas beaucoup de temps.

On ne peut pas dire que le Royaume-Uni soit financé par de nombreuses sociétés pharma-ceutiques. En fait, je dirais que c’est le centre de recherche et de développement des so-ciétés pharmaceutiques, AstraZeneca GlaxoSmithKline, Bill et Melinda Gates, mais aussi le professeur Robert West, le mari du professeur Susan Michies, qui conseille la recherche sur le cancer, une équipe d’analyse comportementale, financée par Pfizer et par Cancer Research UK, qui se trouve également au milieu du campus biomédical de Cambridge. En outre, en ce qui concerne le gouvernement britannique, il a publié un guide sur l’hésitation à se faire vacciner avec des mesures d’intervention le 27 septembre 2019, bien avant que Wuhan ne soit mentionné. Ils se penchent également sur la résistance aux antibiotiques, qui me préoccupe beaucoup.

Le gouvernement britannique a son propre représentant, Sally Davis, qui a été notre chef du département de la santé, et qui est la représentante du Royaume-Uni pour la résistance anti-microbienne. Et ce que je vois venir, c’est que les gens sont testés pour le VIH, mais selon Forbes, la prochaine pandémie devrait être la tuberculose. Je sais que le professeur Montagnier, — j’aimerais envoyer mes sincères condoléances à sa famille et à tous ceux qui le connaissent, c’est extrêmement triste qu’il soit décédé récemment. Mais le Professeur Montagnier faisait allusion à l’un de ses collègues à propos du vaccin BCG. Et il semblerait que le professeur Chris Whitty, notre médecin en chef, ait fait une présentation à la maison Gresham il y a trois nuits, et qu’il ait également fait le lien entre la tuberculose et le VIH. Et l’Organisation Mondiale de la Santé est très désireuse d’éradiquer la résistance aux antimicrobiens. Et la tuberculose, — nous avons le BCG pour la tuberculose, depuis très longtemps, et on pense que les taux de tuberculose augmentent de façon exponentielle, y compris ici au Royaume-Uni. Et nous assistons maintenant au développement de nouveaux vaccins contre la tuberculose et de nouvelles installations de dépistage de la tuberculose.

Je regarde donc l’ensemble et je vois des références à la tuberculose. Je m’intéresse également au cancer et à la démence, car il semblerait qu’ils soient également en augmentation. En particulier, en ce qui concerne le cancer, nous ne connaissons évidemment pas les effets secondaires à long terme des vaccins, ni s’ils peuvent être cancérigènes, mais il est certain que l’un des antiviraux qu’ils utilisent ici au Royaume-Uni et au Royaume-Uni seul, le Molnupinavir, semblerait être cancérigène, tératogène et mutagène. Nous l’utilisons ici dans le cadre d’un essai clinique avec le panoramique, de sorte que les patients qui le reçoivent sont immédiatement connectés à l’essai.

Toutes ces choses que nous voyons maintenant se dérouler, je ne sais pas si vous êtes au courant de la pandémie SPARS de 2025 à 2028, qui était un scénario futuriste. Je pense que Brian pourrait probablement vous en montrer une copie. Je pense qu’il en a une à portée de main. Pandémie SPARS, de 2025 à 2028, qui était un scénario futuriste du Centre John Hopkins sur ce qui se passerait si un coronavirus infectait le monde. Cela vous liste les événements mois par mois : ce à quoi vous pouvez vous attendre de la part des médias, des entreprises pharmaceutiques, des gouvernements, en ce qui concerne les confinements, les tests, les antibiotiques et la résistance aux antibiotiques. La résistance aux antibiotiques est un sujet très, très important, sur lequel tout le monde se penche, la Banque Mondiale, le Forum Economique Mondial, le gouvernement britannique, presque tous les gouvernements du monde s’intéressent à la résistance aux antibiotiques. Je me dis donc que nous pourrions peut-être nous intéresser aux superbactéries à l’avenir.

En ce qui concerne le retour aux Big 4, mais il semblerait que nous ayons également des conflits d’intérêts en ce qui concerne le PDG de Deloitte, qui a quitté Deloitte pour prendre sa retraite, mais qui fait maintenant partie du conseil d’administration de Pfizer.

Nous avons également le gouvernement britannique, le Hansard du gouvernement britannique. En mai 2014, il devait y avoir une fusion entre Pfizer et AstraZeneca. Mais le gouvernement britannique était très indécis à ce sujet. Il y a donc une référence dans l’Hansard au volume 753, elle a été débattue le 6 mai 2014, et encore dans la colonne 161 le 7 mai 2014, avec l’ancien secrétaire d’État Matt Hancock qui parle.

Notre gouvernement britannique est impliqué jusqu’au cou, je crois, en ce qui concerne les produits pharmaceutiques, nous semblons nous diriger vers une superpuissance mondiale des sciences de la vie, depuis que nous avons eu le Brexit, la plupart de l’agenda concerne les sciences de la vie et comment nous pouvons être le partenaire mondial des sciences de la vie.

Cancer Research UK et l’organisation Francis Crick travaillent ensemble et sont financés en grande partie par des dons publics, mais aussi par les grandes entreprises pharmaceutiques. Il y a aussi des publicités dans les médias grand public pour une société appelée Omaze, et c’est un concours où vous pouvez gagner une maison de 3 millions de livres, mais les dons et les recettes vont au Cancer Research UK. Certains des bailleurs de fonds de Cancer Research UK, qui sont basés sur le campus biomédical de Cambridge, sont la Fondation Bill et Melinda Gates, Google, le Forum Economique Mondial, Imperial College, Cambridge, UKRI3, la Banque d’Angleterre AstraZeneca, le Crick Institute, CQC, et la BBC. Ils sont donc très, très lourdement financés. Et je ne pense pas que le public le sache lorsqu’il saute d’un avion pour essayer de collecter des fonds pour la recherche sur le cancer.

Le Pr. Witthey et que tous nos experts nous disent que les taux de cancer sont en baisse. Cependant, nous semblons tester des personnes en bonne santé au Royaume-Uni pour le cancer en utilisant une société de Bill Gates, Grail, qui était une coentreprise avec Jeff Bezos, elle a maintenant été contractée pour travailler au sein du National Health Service, afin de séquencer le génome en utilisant le cancer, nous testons des personnes en bonne santé. Et je voudrais demander pourquoi nous testons des personnes en bonne santé. La raison invoquée par les gouvernements est que le fardeau et le coût du cancer, du vieillissement et de la démence sont si élevés que nous devons accélérer rapidement le diagnostic et le traitement. En fait, la sécurité passe à peu près à la trappe, comme c’est le cas pour le développement des vaccins, qui va maintenant être confié à Bill et Melinda Gates et à Patrick Balance, dans le cadre de la « 100 Days Mission ». Ainsi, pour toute autre pandémie qui pourrait survenir, vous pouvez garantir que vous disposerez d’un vaccin dans les 100 jours, conformément à la « 100 Days Mission ». Mais je ne sais pas si quelqu’un veut poser des questions, je suis très consciente que je suis en train de dépasser le temps. Donc je ne veux pas prendre trop de place.

2:37:31 Ana Garner :

Je voudrais poser des questions à chacun d’entre vous, s’il vous plaît, concernant la manipulation psychologique qui a eu lieu. Je m’appelle Ana Garner et je viens du Nouveau Mexique, aux États-Unis. Mlle Evans, vous avez mentionné que vous aviez été conseillère du gouvernement au ministère de la Santé. Et c’est très pertinent ici. Parce que j’ai l’impression que cela s’est passé aux États-Unis de manière extensive. En tant que conseiller du département de la santé publique. Savez-vous qu’ils utilisent les techniques psychologiques et comportementales dont M. Gerrish a parlé, comme un moyen d’appliquer leur programme de coercition et d’isolement social, la coercition des personnes subissant des interventions médicales expérimentales, avez-vous remarqué que cela fait partie de leur modus operandi, dirons-nous ?

2:38:29 Debi Evans :

Lorsque j’étais conseillère au ministère de la Santé, ce qui devenait flagrant, c’est que tout conseiller était vraiment là pour la forme, et que nous n’étions pas vraiment écoutés. Beaucoup d’entre nous étaient ignorés. Je ne dirais pas que nous avons été contraints. Je n’ai certainement pas l’impression d’avoir été forcée à dire ou à faire quoi que ce soit. Je suis assez forte. Alors je les ai défié, probablement que le fait que je défie les gens causait plus d’ennuis parce que je ne me conformais pas. Mais c’était purement symbolique. Pour la coercition, oui, je pouvais voir d’énormes problèmes au sein de la fonction publique, beaucoup de problèmes personnels, beaucoup d’intimidation. J’étais très proche de l’un — A prononcer U-K-R-I — des hauts fonctionnaires de notre conseil d’administration, dirigé par Norman Lamb, le secrétaire d’État de l’époque, et il y avait beaucoup d’intimidation. Il y avait beaucoup de compétition au sein de la fonction publique, nous l’avons remarqué, mais en tant que conseiller, je ne faisais pas partie de la fonction publique. Donc c’était juste mes observations.

2:39:40 Ana Garner :

Je ne veux pas vous interrompre ou quoi que ce soit, mais ce à quoi je faisais référence sont les techniques psychologiques pour contraindre les gens, par opposition aux personnes impliquées dans le conseil, plutôt le public.

2:39:56 Brian Gerrish :

Puis-je intervenir ?

2:39:59 Ana Garner :

Oui.

2:40:00 Brian Gerrish :

Je vais répondre. Dans le cadre des recherches avec UK Column, nous l’avons fait par le biais de UK Column. L’un des domaines qui nous intéressait le plus était la formation au sein de notre service national de santé par cette organisation caritative, qui sélectionnait les futurs dirigeants. C’était donc Common Purpose. Nous avons donc vu la manipulation des gens et de leurs valeurs par cette organisation particulière. Et cela s’est transformé en un secteur spécifique du NHS, appelé NHS leaders. Il s’agissait soi-disant de personnes à la carrière accélérée qui allaient mener le NHS vers des soins de santé encore meilleurs. Mais ce que nous constatons, c’est qu’au fur et à mesure que ces leaders, avec leurs valeurs nouvellement acquises, se sont révélés, le style de gestion du NHS est devenu de plus en plus dominateur et intimidant. Et les idées sont devenues de moins en moins axées sur les soins et le traitement des personnes malades ou blessées. Et ça s’est plus axé sur l’importance des profits et de l’argent au sein du NHS. Il était évident que la psychologie des gens était manipulée. Nous avons mis en ligne sur le site UK Column un article intitulé « Vers un million d’agents de changement ». Et ce n’était pas notre titre. C’est le titre d’unarticle écrit par un membre du NHS, formé par Common Purpose, qui a dit que le NHS, afin d’atteindre, selon mes mots « une future utopie », allait avoir besoin d’un million d’agents de changement. Et qu’est-ce qu’ils entendent par là ? Des personnes qui allaient perturber les performances du NHS, afin d’assurer sa transition vers ce qui était censé être une prestation de classe mondiale. Je peux donc vous donner un exemple spécifique où nous avons examiné comment la gestion et le leadership au sein du NHS et de la présidence ont changé.

Je vais vous donner un exemple très simple sur la psychologie appliquée dans le NHS pendant la crise du COVID. Parce que des mantras ont été introduits, au lieu de décisions médicales, les infirmières et les médecins ont commencé à suivre des mantras. Et l’un de ceux qui nous a été dit par un médecin pleinement qualifié ou hautement qualifié au cours des derniers jours, et par les proches de quelqu’un qui avait souffert était que le mantra était « Non vacciné, mort assurée », « Non vacciné, mort assurée ».

C’est simplement que si la personne était considérée ou étiquetée comme ayant le COVID, s’il a été déterminé qu’elle n’était pas vaccinée, le seul résultat de leur traitement médical était la voie de la mort. Et il ne fait aucun doute que ces mantras de trois mots que nous avons vus utilisés par le gouvernement en particulier ont été transmis au NHS, à tel point, que des médecins qualifiés nous ont dit qu’ils étaient stupéfaits de ne pas pouvoir discuter des chiffres authentiques du gouvernement sur, par exemple, les effets indésirables des vaccins, parce que la personne se détourne simplement d’eux, refuse de leur parler ou devient très agressive. Et le fait psychologique sur lequel nous pouvons nous appuyer en ce moment dans le témoignage est la disonnance cognitive chez les individus qui résulte du changement de leurs valeurs mentales. Je pourrais en parler pendant longtemps, mais je vais dire que oui, nous constatons certainement qu’il y a une application de la psychologie dans de nombreux domaines du NHS, et son effet global est une dégradation du traitement des soins de santé. Dans la mesure où des personnes sont tuées alors qu’elles auraient pu survivre sans problème si elles avaient reçu le bon traitement.

2:44:44 Ana Garner :

Oui, merci pour cette clarification. Et j’avais aussi une question complémentaire pour vous, M. Gerrish, qui est la suivante. Cette opération psychologique par définition semble être très subtile et la plupart des gens n’ont pas conscience d’être manipulés. Si c’est le cas, avez-vous une opinion sur la façon dont on peut atteindre ces personnes de manière à les réveiller ? J’ai entendu parler de la dissonance psychologique et de ce genre de choses, la dissonance cognitive, y a-t-il un moyen d’encourager ces personnes à voir ce qui se passe réellement, qu’elles sont manipulées de cette façon ?

2:45:27 Brian Gerrish :

C’est bien sûr une question très importante, et la réponse, et je parle en mon nom ici, parce que je n’ai pas de formation professionnelle en psychologie. Mais à la suite de mon travail et de mes enquêtes depuis de nombreuses années, et des conseils que j’ai reçus de personnes pleinement qualifiées, je vais emettre un commentaire personnel, mais je crois que c’est très approprié. Si vous appliquez une forme d’hypnose aux gens, l’effet sur un public ciblé forme généralement une courbe en cloche.

Vous trouverez que certaines personnes peuvent être complètement hypnotisées, j’ai fait des mises en scène pour démontrer comment les gens feraient des choses qu’ils ne feraient pas normalement devant un public parce qu’ils sont dans un état de transe. Mais si nous utilisons plus de formes de manipulation, l’effet sur le public cible est une courbe en cloche. Certaines personnes sont très absorbées par le message qui a été transmis, mais ca tombe d’un côté ou de l’autre pour certaines personnes sur qui ça ne prend pas.

Les indications que nous avons eues jusqu’à présent, et qui ont été confirmées par des psychologues qualifiés, sont les suivantes : en premier lieu, nous devons nous concentrer sur les personnes qui ne sont manifestement pas affectées afin de diffuser le message d’avertissement sur ce qui se passe. Nous devons clairement cibler les professionnels de la psychologie et de la psychiatrie pour dire qu’il s’agit d’un abus de ces professions particulières, en particulier les psychologues cliniques et les psychiatres, qui peuvent dire qu’il y a un résultat bénéfique pour la santé. Et aussi de se rendre compte que les gens qui ont été soumis à cette forme de recadrage ou de manipulation mentale sont des victimes, et donc il faut les traiter de manière très douce et rassurante. Pourquoi ? Parce que si nous les abordons d’une manière très brutale, d’une manière noire et blanche pour essayer de leur faire voir la vérité, le résultat est que soit ils vont devenir très hostiles, le résultat sera une dissonance cognitive, ou peut-être qu’ils vont devenir malades mentalement en raison de l’immense attaque contre leur système de valeurs.

Je voudrais juste vous dire qu’il est très significatif que dans toute la documentation sur l’utilisation de la psychologie appliquée par le gouvernement britannique pour faire passer son agenda politique, il n’y a absolument aucune évaluation des effets négatifs de la psychologie de recherche, sur les personnes qui ont peut-être des problèmes sous-jacents de santé mentale, d’anxiété ou de dépression. Et en effet, lorsque les gens ont des problèmes de santé mentale non diagnostiqués, ils ne sont même pas conscients qu’ils ont un problème. Si quelqu’un utilise cette psychologie sur eux, il peut faire d’immenses dégâts. Et je crois que c’est nouveau, excusez-moi, ce n’est pas une coïncidence que les statistiques officielles au Royaume-Uni montrent maintenant que la politique de confinement a provoqué une énorme poussée de suicides, et de maladies mentales, en particulier chez les jeunes personnes tragiquement.

Mais encore une fois, nous pouvons démontrer que le gouvernement britannique cache ou manipule, les ensembles de données qui le montrent, ou qu’il utilise la psychologie appliquée dans la façon dont il présente ces ensembles de données au public, afin d’induire le public en erreur. C’est la nature de la bête. Une fois que vous comprenez que vous avez ce que je vais appeler un système politique criminel, qui a la capacité d’utiliser la psychologie appliquée, pour changer la façon dont le public pense, nous avons une arme très, très dangereuse dans les mains de ces élitistes, et cela est facilement prouvé par un document clé où ils se vantaient que nous devons rendre les gens plus craintifs, plus anxieux. Et il y a beaucoup d’autres documents qui ont également démontré, — au bénéfice des Allemands parmi le public et dans l’équipe, que la psychologie comportementale appliquée a maintenant été lâchée en Allemagne, certainement en France, parce que l’un des membres de l’équipe personnelle de Sarkozy, un monsieur appelé Ivor Williams4, a eu des réunions au Royaume-Uni, facilitées par le conseil franco-britannique en 2010, pour discuter de la façon dont les experts français, neurologiques et psychologiques vont travailler avec les Britanniques, afin de développer ces techniques psychologiques appliquées. Les preuves sont là. Quand vous savez ce que vous cherchez c’est évident. Mais mon Dieu, c’est la chose la plus dangereuse que nous ayons jamais vue.

Si vous aviez de la propagande et de la manipulation politique au sein de l’Allemagne nazie, de bien des façons, on peut voir les parades, les bannières, les lumières, la rhétorique, les affiches, mais ce que nous avons déclenché sur nous maintenant est une attaque subliminale sur nos esprits. Et tant que nous n’aurons pas fait toute la lumière sur cette affaire, il sera très, très difficile pour nous d’enlever le couvercle de ce que ces gens font par le biais de leur COVID et de leur attaque de vaccination sur les gens. Chacune des compagnies pharmaceutiques a accès à ces armes psychologiques, chacune des sociétés juridiques…

Donc partout où nous voyons des organisations caritatives, des industries, des organismes publics travaillant avec le gouvernement britannique, nous savons que l’utilisation de la psychologie est répartie entre eux. Donc nous devons commencer à parler de ça de manière très importante. Et nous devons tout d’abord nous occuper des personnes qui ne sont pas affectées, qui réalisent que quelque chose ne va pas, mais qui ne savent pas ce que c’est. Et puis dans le public, il pourrait y avoir des professionnels très intelligents et hautement qualifiés. Et je vais vous laisser réfléchir à ce qu’un psychologue hautement qualifié m’a dit, c’est un ouï-dire, mais je vais répéter ce qu’il m’a dit, « Brian, la chose à retenir, est que les gens qui sont intelligents et ont un esprit très interrogatif, peuvent être plus sensibles à l’utilisation de l’hypnose, au recadrage de la psychologie appliquée que quelqu’un qui est moins intelligent, et qui a un esprit moins interrogatif. » Donc c’est très faux. Si quelqu’un pense : « Je suis une personne brillante, je suis intelligent, je suis hautement qualifié, cela ne m’affectera pas. » Au contraire, vous serez peut-être plus vulnérable.

2:53:36 Debi Evans :

C’est une cascade d’informations. Les professionnels du NSH auxquels je parle, tous ceux à qui je parle, sont très confus. Il y a une cascade d’informations chaque jour, les choses changent. Je vois des professionnels du NHS faire des choses qui leur seraient complètement étrangères, donner des dépresseurs respiratoires à des patients souffrant de troubles respiratoires. C’est tout simplement étranger à ce qu’on nous a appris. Les gens sont donc effrayés. Et je me fais l’écho de ce que Brian a dit, quand les gens commencent à se réveiller, ils ont peur. Ils ne savent pas ce qui se passe. Ils ont besoin que nous les rassurions parce qu’en ce moment, l’ordre du jour est la confusion, le chaos et la crise.

Pour en revenir à ce que Brian vient de dire, à propos de Deloitte et des Big 4, — pour ceux qui ne connaissent pas Deloitte, ils ont écrit des articles sur l’avenir de la ville de Londres, les essais cliniques, leur ancien PDG est maintenant membre du conseil d’administration de Pfizer, ils sont impliqués dans le NHS, ils sont impliqués dans l’intelligence corporative, comme les trois autres. Et clairement, lorsque Brian mentionnait la SPARS pandémie qui va de pair, avec l’opération Clade X et Crimson Contagion. Clade X a été tenu par l’Université Johns Hopkins, en 2018 je pense, simulant 900 millions de morts, et Crimson Contagion, un autre exercice aussi, qui a été fait pendant le règne de Trump pour la réponse à une pandémie, une pandémie de grippe en cours. Donc, tout cela a été bien documenté, et bien documenté dans le brevet pour le test COVID par les Rothschild. Encore une fois, tout ce que nous pouvons voir dans ce brevet dans le document principal, nous le voyons être déployé maintenant, y compris les biocapteurs. Beaucoup de gens ont parlé des puces RFID, mais peu de gens parlent de l’avènement des biocapteurs, et du fait que les biocapteurs n’ont pas besoin d’Internet. Ils peuvent se trouver dans vos vêtements, sur la — À vérifier — semelle de vos chaussures ou dans votre nourriture. Et les biocapteurs semblent être la voie à suivre, au point qu’il existe un institut de biocapteurs ici au Royaume-Uni, à Bristol, et que la MHRA a approuvé l’un des biocapteurs, car les gens auront des biocapteurs dans leur voiture, sur leur ordinateur portable, et leurs données biométriques seront renvoyées, de sorte que toutes vos données biométriques indiquent si vous êtes apte à conduire un train, apte à conduire un car, apte à faire quoi que ce soit. Vos données biométriques seront stockées, et ça se passe en ce moment.

2:56:38 Brian Gerrish :

Donc, si je résume un peu. Ce que nous voyons, c’est un système politique intégré avec des sociétés commerciales mondiales, des sociétés pharmaceutiques, qui mettent en place un programme, qui consiste à tester des vaccins sur une population sans se soucier des dommages et des morts. Où vont-ils ? Ils vont manipuler nos gènes, il n’y a aucun doute là-dessus. Toutes les données que nous voyons en ce moment disent que c’est le Royaume-Uni qui dit qu’il va prendre la tête du monde dans la mise en place de ce programme. Le Royaume-Uni, et je vais nuancer cela et dire que je crois que cela sera finalement dirigé par la City de Londres. Mais tous les documents britanniques disent « nous allons prendre la tête du monde ». Et c’est le même Royaume-Uni qui a libéré cette psychologie appliquée malveillante pour changer la façon dont les processus cognitifs fonctionnent. C’est une combinaison très, très dangereuse.

2:57:55 Debi Evans :

Et peut-être que nous pourrions souligner — pardon, mon dernier point Alex, c’est que l’argument de vente unique du Royaume-Uni est le National Health Service, il n’y a aucun moyen d’y renoncer. Donc dès le moment où vous êtes conçu, que les mères enceintes ont eu un écographie, il y a des données sur cet être humain particulier jusqu’au jour de notre mort, il n’y a aucun moyen de se retirer du NHS. Donc les données du NHS sont très, très précieuses. Et c’est complètement unique au reste du monde.

2:58:31 Alex Thomson :

Si nous pouvions illustrer succinctement cela avec la diapositive que je n’ai pas montrée, je pense qu’elle résume en fait ce que Brian et Debi viennent de dire, si Paul peut la trouver en quelques secondes. C’est une diapositive que UK Column a beaucoup utilisé, un organigramme de l’agence dirigeante du gouvernement britannique, le Cabinet Office avec un nouveau groupe, nouveau depuis que j’ai quitté le renseignement britannique appelé le Conseil National de Sécurité, comme l’exemple américain, de l’ère FDR, il n’est pas original et pas constitutionnel. Et tous les organes qui se détachent du cabinet et qui sont sous son contrôle dans le cadre de cet organigramme ont pour but de contrôler l’agenda. Et pour répondre à la question qui a été posée ici, pour nous empêcher de montrer à plus de gens quel est le paradigme, c’est pour les empêcher d’être effrayés par la psychologie appliquée qui leur est enseignée.

L’armée est impliquée en tant que 77e régiment, 13e brigade des transmissions, il y a une toute nouvelle agence de sécurité du gouvernement britannique, la soi-disant Agence de sécurité sanitaire, le Centre conjoint de biosécurité, toutes ces agences ont été créées depuis mon époque et la responsabilité incombe à ce cabinet. Et toutes les bonnes études sur le Cabinet Office vous montreront que les comités de direction ont une ligne directe avec la City de Londres, qu’ils représentent une volonté d’élite, qu’il n’y a aucun contrôle démocratique et que même la couronne personnelle du monarque n’est pas impliquée. Je ne sais pas si cela a été montré à l’écran il y a un instant ou non, mais les gens peuvent aussi facilement le trouver comme l’un des principaux graphiques de UK Column, « Cabinet Office Censorship Network », je crois que nous l’avons nommé ainsi dans une version.

3:00:07 Reiner Fuellmich :

Donc, en fin de compte, ce à quoi nous avons affaire est un système britannique de manipulation psychiatrique, qui a été vendu dans le monde entier, plus ou moins. Nous avons la City de Londres, encore une fois, qui vise le contrôle mondial. Est-ce que c’est pour cela que les gens de Common Purpose créent leurs propres futurs leaders, est-ce que c’est une position spéciale, distincte du programme Young Global Leaders ?

3:00:44 Brian Gerrish :

Eh bien, l’attaque vient d’actions parallèles. Je pense fortement que beaucoup de gens qui sont à common Purpose n’ont aucune idée de ce qu’est l’objectif général, ils sont recrutés. A l’époque où j’ai fait des recherches approfondies, quelqu’un était recruté localement et on lui demandait de nous rejoindre, ce n’était pas comme si les gens allaient à Common Purpose pour rejoindre le réseau, Common Purpose cherchait les personnes qu’il voulait. Et l’agenda était clairement de former ce futur leader à travailler avec d’autres futurs leaders de Common Purpose. Et c’est pourquoi il est si significatif de voir que Common Purpose fonctionne maintenant, par exemple, très fortement en Inde, et l’ancien Premier ministre David Cameron faisait partie de l’équipe qui a promu Common Purpose en Inde. Common Purpose est donc l’une des voies par lesquelles les gens sont recrutés et recadrés.

Le Forum Economique Mondial, Young Global Leaders seraient une autre voie par laquelle des personnes probablement plus puissantes sont recrutées, recadrées pour les mettre en phase avec leur nouveau rôle. Ainsi, Common Purpose fonctionne particulièrement avec le niveau public de bas niveau dans un premier temps. Mais au fur et à mesure que le temps passait, à partir de 1985, il était clair de voir qu’ils s’impliquaient avec les entreprises, les grandes multionationnales beaucoup plus fortement. Et puis à partir de là, ils ont atteint leur statut de mondial. Mais qu’est-ce qu’on fait ? On sélectionne des gens, on caresse leur ego, parce que quelqu’un suggère qu’ils vont devenir un futur leader très important. Le Forum Economique Mondial les appelle des leaders mondiaux. Et puis ces personnes sont rassemblées pour changer le monde. C’est ça l’objectif.

3:03:52 Reiner Fuellmich :

Eh bien, merci beaucoup. Je pense que notre prochain témoin, Whitney Webb, est un peu stressée. Je déteste vous interrompre, mais c’est pourquoi je pense que nous devons lui donner une chance de combler les lacunes, ce que nous allons essayer de faire en posant des questions. À moins que mes estimés collègues n’aient d’autres questions, nous aimerions vous remercier tous les trois pour vos excellentes présentations. Et ensuite, nous allons passer à Whitney, est-ce que cela vous convient ?

Eh bien, merci beaucoup, Brian, Alex et Debbie. C’est très important. En ce qui concerne le contexte géopolitique et historique de ce dont nous sommes témoins, et Matthew bien sûr. Whitney, l’une des questions que je continue à me poser est de savoir quel est le rôle de la Chine dans tout cela ? Si vous regardez cela comme un jeu dominé par les Anglo-Américains ou la City de Londres, quel est vraiment le rôle de la Chine dans tout cela ?

3:04:29 Whitney Webb :

Bonjour, vous m’entendez bien ?

3:04:30 Reiner Fuellmich :

Oui, nous pouvons vous entendre.

3:04:31 Withney Webb :

Ok, super. Alors, je ne suis pas vraiment une experte de la Chine, mais j’ai fait quelques travaux sur les réseaux transnationaux de capital et d’influence, pour ainsi dire, ce nœud en quelques sortes, dont les gens ont parlé jusqu’à présent aujourd’hui. La City de Londres, Wall Street, et comment ils sont très influents en Chine. L’exemple le plus accessible est sans doute celui de Steve Schwarzman, un capital de Blackstone, qui finance le programme d’une université chinoise, je ne sais plus laquelle exactement, mais elle est très prestigieuse. Et c’est un peu sa version personnelle du programme des Young Global Leaders du WEF. Le Blackstone Group est intimement lié à BlackRock, étant issu de la même sphère à Wall Street. Il est considéré comme l’un des chuchoteurs américains de la Chine, tout comme, bien sûr, la figure originale de la politique américaine qui a porté ce genre de titre : Henry Kissinger.

En outre, vous avez quelqu’un comme Henry Paulson, qui a été secrétaire au Trésor sous George W. Bush, et qui travaillait auparavant pour Goldman Sachs. Il est également très impliqué en Chine et possède une fondation philanthropique axée sur la Chine. Mike Bloomberg est un autre individu qui a ressuscité un événement qui était organisé par le Forum Economique Mondial en Chine, je crois qu’il s’appelait la « réunion annuelle des nouveaux champions », qui a cessé en 2018. Depuis 2018, il s’agit du Bloomberg New Economy Forum, qui est essentiellement axé sur les relations entre les États-Unis et la Chine, et que s’y passe-t-il ? Les décisions prises lors de cette réunion sont là pour faciliter la création de ce système particulier dont les gens ont parlé, cette sorte de grille de contrôle technocratique, qui a été construite conjointement par les dirigeants américains et chinois. Et il y a une autre chose sur laquelle j’ai écrit il y a quelques années, c’est cette organisation appelée la « Commission de sécurité nationale sur l’intelligence artificielle », qui était dirigée par Eric Schmidt, l’ancien PDG de Google. Dans cette commission, c’était principalement la Silicon Valley, l’armée américaine et la communauté du renseignement américaine qui étaient représentées. Et en 2019, avant le COVID, ils ont parlé de la nécessité de battre la Chine dans la course à l’armement de l’IA, ou de travailler ensemble avec la Chine dans la construction de cette sorte de grille de contrôle technocratique pilotée par l’IA, comme un moyen d’éviter une guerre mondiale.

C’était une idée défendue par Henry Kissinger, dans l’un des événements de cette commission particulière, et Eric Schmidt l’a également soulignée. Et donc, dans un sens, cela est lié au Great Reset, comme on l’appelle souvent, qui se déroule dans le monde entier. Mais aux États-Unis, en particulier, dans ce contexte, il y a un effort pour numériser complètement chaque secteur de l’économie et de la société afin d’amasser des données pour les utiliser pour former des algorithmes d’IA. Fondamentalement, cette commission, et les forces représentées là-bas considèrent qu’il est nécessaire pour les États-Unis de maintenir leur hégémonie militaire et économique actuelle, d’avoir les meilleurs algorithmes d’IA, ils ont besoin d’avoir les plus grandes réserves de données. Ils reconnaissent que la Chine, en raison de sa grande population, et plus de systèmes de contrôle technologique déjà en place est loin devant les États-Unis en termes d’amasser ce type de données.

Et donc les Etats-Unis, cette organisation, avant le COVID, parlaient de la nécessité de forcer de toute urgence les gens à tout faire en ligne, du shopping au télétravail et toutes ces choses, à la télémédecine, et bien sûr, il y a eu une énorme poussée pour cela, pendant le COVID-19. Et lorsqu’ils ont envisagé cet espèce de contexte de nouvelle guerre froide, ils ont déclaré dans leurs propres documents qu’il était nécessaire de le faire avec la Chine, en créant essentiellement le même système de manière parallèle et en collaboration, afin d’éviter une guerre mondiale, et c’est essentiellement ce qui se passe lors d’événements comme le Bloomberg New Economy Forum et d’autres choses de ce genre. Je ne sais pas si vous voulez que j’aille plus loin parce que je sais qu’il y a une limite de temps et que je dois partir dans 30 minutes.

3:09:03 Reiner Fuellmich :

Le système de crédit social, c’est une invention de qui ? Est-ce vraiment les Chinois ? Et quand je dis les Chinois, je veux dire, les dirigeants chinois, pas le peuple chinois. A-t-il été inventé par les dirigeants chinois, ou cela a été inventé en coopération avec la City de Londres et les intérêts financiers anglo -américains ?

3:09:28 Withney Webb :

Je n’ai jamais vraiment écrit sur l’origine de ce système. Donc je ne pense pas être la bonne personne pour parler de ça spécifiquement. Mais d’après ce que je comprends, il y a manifestement une sorte de système technocratique biométrique qui existe en Chine. Et évidemment, il a été développé par les dirigeants chinois, ou du moins avec leur bénédiction, et mis en œuvre par le gouvernement là-bas. Mais il convient de souligner également que depuis l’ouverture de la Chine, pendant l’ère Nixon, — qui a bien sûr impliqué Kissinger de manière assez intime, il y a eu beaucoup d’échanges entre les dirigeants chinois, bien qu’ils soient publiquement étiquetés communistes, avec les mêmes réseaux transnationaux de capitaux occidentaux. Et aussi, des négociations avec les dirigeants occidentaux qui, en fin de compte, ont leurs gouvernements essentiellement co -optés par ce même réseau transnational de capital.

3:10:29 Viviane Fischer :

Nous voyons quelqu’un comme Henry Kissinger surgir, encore et encore. Cela a-t-il changé entre -temps ? Il ne s’agit plus tellement de figures individuelles, mais plutôt d’un réseau de personnes qui se connectent entre ces différents domaines d’intérêt ?

3:10:50 Withney Webb :

Bien sûr, je pense que Kissinger est définitivement en voie de disparition, à cause de son âge, et ce depuis un certain temps. Il y a donc beaucoup de personnes qu’il a encadrées, en particulier lorsqu’il enseignait à Harvard, qui sont devenues la nouvelle génération de Kissinger, avec Klaus Schwab, qui en est fièrement l’exemple principal.

Je vois que Matthew a commenté, et il est probablement plus qualifié pour parler de certaines de ces choses que moi, car j’avais l’impression qu’il allait parler de Dark Winter et de l’Anthrax, mais je peux continuer à parler de cela si vous préférez.

3:11:32 Matthew Ehret :

Si vous voulez parler de Dark Winter et de l’Anthrax, vous devriez le faire. Je pensais que la présentation était terminée.

3:11:38 Reiner Fuellmich :

Non, non, non. Avez-vous une réponse à cette question : quel est le rôle de la Chine dans tout cela, Matthew ?

3:11:48 Matthew Ehret :

Oui j’en ai une, mais c’est assez long. J’allais juste demander, est-ce que vous êtes au courant que Soros s’est fait virer en 89 lors de l’éviction de Zhao Ziyang ? Et le Club de Rome en Chine ?

3:12:00 Reiner Fuellmich :

Non je ne le savais pas.

3:12:04 Matthew Ehret :

Zhao Ziyang… Je peux peut-être intervenir une minute, mais je ne veux pas du tout empiéter sur le temps de Whitney, Zhao Ziyang est l’homme de Soros en Chine, il était surnommé « le Gorbatchev de la Chine ». Il a dirigé le parti communiste chinois pendant deux ans en 87 -88 et 89, et il a d’ailleurs dirigé un groupe de réflexion avec Soros. Il a fait venir Alvin Toffler, le transhumaniste, il a appelé à la quatrième révolution industrielle et a fait venir le Club de Rome et ses modèles informatiques pour gérer la politique de l’enfant unique en 79 et 80. C’était l’un de ses principaux collaborateurs. Et durant toutes les années 80, un effort a été engagé pour obtenir un processus de perestroïka à la Eltsine en Chine, ce qui se passait en Russie pour privatiser tout leur système bancaire et apporter les technocrates, Milton Friedman et tout le reste. Mais il a été évincé parce qu’il y a eu un coup d’état en 89 qu’il était censé diriger. La CIA et le MI6 ont publié un article à ce sujet, mais il est utile de se pencher sur ces anomalies, par exemple pourquoi Soros n’a-t-il pas été autorisé à opérer en Chine au cours des 30 dernières années, alors qu’il dirige l’Occident ?

3:12:58 Reiner Fuellmich :

Oui, pourquoi cela ?

3:13:01 Matthew Ehret :

Oui, c’est toute une histoire. Je pourrais en parler plus tard. Whitney est brillante, je ne veux pas rendre sa place.

3:13:07 Reiner Fuellmich :

Essayez de nous donner les bases de tout cela.

3:13:11 Matthew Ehret :

Très bien, pour l’essentiel je pense que c’est très lié à ce contre quoi Gutierrez a mis en garde quand il a dit que deux paradigmes opposés différents émergent autour de la géopolitique de l’IA, l’année dernière, ou même pas, c’était en novembre dernier. Mais jusqu’en 2010-2011, Soros disait encore que la Chine était le modèle à suivre parce qu’ils aiment le crédit social, ils aiment les contrôles technocratiques, les contrôles centralisés, ils aiment ces choses, les transhumanistes « Borgs » de l’Occident, ils adorent ça. Ils n’aiment pas l’utilisation réelle du crédit national, car la Chine n’a jamais privatisé sa banque centrale. Et ils n’aiment pas non plus le développement d’infrastructures à grande échelle, le train à grande vitesse, toutes ces choses qui ont sorti les gens de la pauvreté, environ un milliard de personnes, en à peine 20 ans. Ils détestent l’idée qu’un État-nation détermine leur destin économique. Donc il y a une opposition sur le fait que l’IA ne disparaîtra pas, beaucoup de ces choses ne disparaîtront pas. Et la Chine a été pénétrée par des colonnes de l’État profond, comme des cinquièmes colonnes, pendant longtemps, qu’elle a essayé d’éliminer. Jack Ma est un excellent exemple. C’est un administrateur du Forum Economique Mondial, qui a appelé au renversement, en résumé, à un changement de régime économique en Chine l’année dernière. Et il a plus ou moins été évincé, c’est comme s’il avait été totalement dépouillé de son pouvoir. Vous avez donc la preuve de ces luttes, en particulier avec la clique de milliardaires de Shanghai qui s’est alliée aux listes libérales occidentales. La Russie fait de même. Ils ont leurs propres cinquièmes colonnes autour de leur banque centrale libérale, privatisée et en lien avec l’Occident, qui est liée à beaucoup de ces réseaux pharmaceutiques à l’intérieur de la Russie. Donc il y a des combats qui se déroulent un peu partout. Mais je pense que l’encerclement militaire de la Chine et de la Russie est une question sérieuse à laquelle les gens devraient réfléchir. C’est comme s’il y avait quelque chose qui effrayait l’oligarchie au point qu’ils étaient… je ne sais pas ce que vous pensez de ça, comme pourquoi mettraient-ils tant d’efforts pour procéder à cet endiguement total, cette domination totale de la Chine et de la Russie ?

3:15:09 Reiner Fuellmich :

Whitney, James Bush est avec nous et il va nous donner les détails de l’opération Dark Winter, l’opération Lockstep des Rockefeller et l’Event 201. Mais si vous pouviez nous présenter cela, ce sera probablement très utile.

3:15:28 Withney Webb :

Eh bien, j’allais parler de quelque chose qui est probablement un peu différent, plus de l’importance de Dark Winter, certains des parallèles entre 2001 et certaines des figures qui étaient derrière le COVID et l’Anthrax, ont en commun des choses comme ça. Je vais donc être assez brève.

Je vais le laisser, puisqu’il est là, parler de Dark Winter en détail. Mais pour ceux qui ne le savent pas, il s’agissait d’une simulation d’une épidémie de variole, mais elle incluait également la menace potentielle d’une attaque à l’Anthrax, elle prévoyait des parties importantes de ce qui deviendrait le récit du 11 septembre 2001, les personnes qui ont participé à cet exercice immédiatement après le 11 septembre ont montré une apparente prescience de ces attaques, les attaques à l’Anthrax qui ont suivi peu après. Nous avons donc, bien sûr, la simulation précédant l’Event 201, nous l’avons aussi. Il y a aussi Crimson Contagion, que Debbie a mentionnée, il y a quelques instants.

Et c’est significatif parce que la personne qui a prononcé le nom de Dark Winter dans l’exercice, Robert Kadlec, le secrétaire adjoint du HHS pour la préparation et la réponse sous l’administration Trump, il a dirigé cet exercice Crimson Contagion en 2019. Après les attaques à l’Anthrax de 2001, il a assumé beaucoup de pouvoir et a essentiellement construit ce poste de secrétaire adjoint pendant un peu moins de 20 ans, et puis il l’a occupé juste au moment où le COVID a eu lieu. Quelle coïncidence. Mais Crimson Contagion est importante car elle n’a pas duré que quelques jours, comme l’Event 201 ou Dark Winter, cela a duré de janvier 2019 à août 2019. Et elle a impliqué une coopération public-privé, elle s’est produite au niveau fédéral, au niveau régional, au niveau local, au niveau municipal, c’était très étendu. Et aussi, on pourrait dire, dans un sens, que c’est un peu plus prédictif que ce qui est arrivé plus tard comme l’Event 201, dans le sens où il se concentrait sur l’apparition d’une pandémie de grippe en Chine, alors que l’Event 201 avait lieu en Amérique du Sud.

Mais l’Event 201 et Dark Winter ont des liens très importants. Principalement, les personnes impliquées dans ces deux événements, comme Thomas Inglesby, avaient des liens avec des organisations comme l’Institute for Homeland Security, créé à la fin des années 90, qui était intimement lié à la CIA, et d’autres institutions qui avaient également des liens avec les services de renseignement.

Au-delà des points communs entre ces deux simulations, entre les attaques à l’Anthrax et le COVID, il y a le spectre de la recherche sur les gains de fonction qui est très présent. Ainsi, dans le cas de l’Anthrax, en 1997, le Pentagone a élaboré des plans pour créer génétiquement une variété plus puissante d’Anthrax, soit-disant parce qu’un scientifique russe avait prétendu avoir créé une souche d’Anthrax résistante au vaccin standard contre l’Anthrax et aux études sur les animaux, mais pas nécessairement dans un but de guerre biologique ou de défense biologique, mais le Pentagone s’en est servi pour justifier ces expériences de gain de fonction.

À la même époque, en 1997, la CIA a également commencé à mener des expériences de gain de fonction sur l’Anthrax. Et ces expériences se déroulaient dans une installation appelée Battelle, située à West Jefferson, dans l’Ohio, qui a actuellement des liens avec la fondation Leslie Wexner pour les personnes qui connaissant son rôle dans le réseau Epstein, mais qui est aussi un sous -traitant de la CIA et de l’armée. Je ne vais pas entrer dans les détails extrêmes sur ce sujet. Mais essentiellement un atout de la CIA à l’époque, un transfuge du programme d’armes biologiques et de défense biologique de l’Union soviétique, Ken Alibek, était le directeur de programme pour ces études de gain de fonction à Battelle, et lui et un autre personnage du nom de William Patrick, qui n’était pas initialement suspecté des attaques mais qui a ensuite été ajouté à l’enquête, il a couvert ces attaques, ils étaient essentiellement les personnes dirigeant ce gain de fonction. Et la plupart des gens qui se penchent sur les attaques à l’Anthrax et qui savent que Bruce Ivens n’était pas un loup solitaire et sont conscients de l’inexactitude de la narration, y compris plusieurs procureurs américains qu’a eu Ivens à l’époque, qui se sont suicidés très prématurément, croient que Battelle était responsable et tous les chercheurs sérieux sur l’Anthrax de 2001 que je connais, pensent que Battelle était le site de l’Anthrax qui a été utilisé dans les attaques.

Passons à un autre parallèle : les solutions de biosurveillance. C’est sans doute l’une des plus importantes dans le contexte de ce dont nous avons parlé aujourd’hui.

Donc, après les attaques à l’Anthrax, et aussi le 11 septembre, il y a eu une poussée pour créer un système au sein de la DARPA, appelé « la conscience totale de l’information ». L’un de ces programmes s’appelait le programme de biosurveillance, qui visait à développer, je cite « les technologies de l’information nécessaires et les prototypes qui en résultent, capables de détecter automatiquement la libération couverte d’un agent pathogène biologique ». Et cela serait accompli par la surveillance de sources de données non traditionnelles, de données médicales pré-diagnostiques et d’indicateurs comportementaux obtenus à partir de données civiles, essentiellement. Même s’ils prétendaient se concentrer sur les attaques bioterroristes, ils voulaient acquérir des capacités de détection précoce pour toute sorte d’épidémie normale, qui seraient ensuite automatisées, avec certains, je suppose les précurseurs des algorithmes d’intelligence artificielle d’aujourd’hui. Et ils voulaient en gros un programme d’exploration massive de données. C’était essentiellement le but de cela.

3:21:36

« La connaissance totale de l’information » a été rejetée par le Congrès parce qu’il a été souligné avec précision qu’elle éliminerait entièrement les libertés civiles pour les Américains, et que le droit à la vie privée n’existerait plus, donc il a été mis au rebut. Mais les architectes de « la connaissance totale de l’information », y compris la figure néoconservatrice Richard Perle, ont travaillé main dans la main avec Peter Thiel et Alex Karp pour créer Palantir, qui est le successeur privé de « la connaissance totale de l’information », « la connaissance totale de l’information » ayant été un partenariat public-privé avec l’armée américaine. Mais Palantir n’était pas tellement impliqué avec les militaires après sa création, il était plus intimement impliqué avec la CIA, la CIA pouvait les aider à créer leur produit et la CIA était leur seul client de 2005 à 2008.

Certains aspects du Programme de « connaissance totale de l’information », qui a été supprimé, comme le programme de biosurveillance, ont été ressuscités à l’époque du COVID sous la direction de personnes comme Robert Kadlec, comme la surveillance des systèmes d’eaux usées, pour détecter les épidémies, tout cela avait été planifié à cette époque. Et ce n’est pas une coïncidence si toutes ces données, de nos jours, dans cette ère COVID particulière, — si vous voulez l’appeler ainsi, sont introduites dans une base de données gérée par Palantir. Et le Royaume-Uni, le NHS, les données COVID sont gérées par Palantir aussi. C’est donc une sorte de grille de contrôle anglo-américaine de la connaissance totale de l’information, qui est apparue dans Palantir et qui ne reçoit certainement pas l’attention qu’elle mérite, mais ses origines remontent à cette période particulière en 2001, chez ceux qui l’ont mis en place il y a de nombreux acteurs qui reviennent. Il faut aussi souligner que Peter Thiel est un important bailleur de fonds des médias de droite, y compris dans la sphère des médias alternatifs. — Je vais laisser cela de côté, car c’est pour une autre fois. —La dernière chose que je veux souligner, c’est que la situation de l’Anthrax et ce qui se passe avec le COVID-19 est le sauvetage fortuit de sociétés de vaccins en péril ayant des liens profonds avec l’armée américaine.

Donc le premier serait Bioport, qui est aujourd’hui Emergent Biosolutions. Ils ont changé son nom en 2004 à cause de la controverse autour de leur vaccin contre l’Anthrax, sur lequel ils avaient le monopole de la production et de la vente dans l’armée américaine, ce même réseau responsable des attaques à l’Anthrax a mandaté l’utilisation du vaccin contre l’Anthrax pour les troupes américaines.

Il a fini par provoquer ce que l’on appelle souvent le syndrome de la guerre du Golfe et toute une série d’effets indésirables. Et ils ont été renfloués par le Pentagone plusieurs fois parce que leurs usines ont été fermées à plusieurs reprises en raison de violations des règles de sécurité et de santé, entre autres choses, et ils n’ont pas utilisé l’argent pour réparer ces usines. Ils utilisaient les primes pour les cadres et les réaménagements des bureaux des cadres, entre autres choses, ce qui est tout à fait typique dans ces milieux, semble-t-il.

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Mais quoi qu’il en soit, ils se sont associés à Battelle à la fin de l’année 2000. Comme je l’ai mentionné, Battelle effectuait ce gain de fonction pour le Pentagone et la CIA à l’époque, et ces recherches sont entrées dans une nouvelle phase lorsque ce partenariat a commencé, car elles concernaient directement le vaccin contre l’anthrax.

En septembre 2001, le Pentagone allait publier un rapport sur la manière de poursuivre son programme de vaccination obligatoire contre l’Anthrax sans cette société, et le 11 septembre 2001 a fait dérailler ce projet, car l’aile administrative qui travaillait sur ce rapport a été frappée par un avion le 11 septembre 2001, alors qu’elle menait cette enquête, et Donald Rumsfeld a décidé de sauver ce programme.

Et les préoccupations qui ont été entendues au Congrès et dans tout le système politique américain, au niveau national à l’époque au sujet de ce produit vaccinal particulier ont disparu dans la panique des attaques à l’Anthrax, et elles ont été remplacées par des appels non seulement à rendre la campagne de vaccination obligatoire pour l’armée, mais aussi pour les services de secours, pour les enseignants, les pompiers, les policiers, et ainsi de suite.

Et, bien sûr, aujourd’hui le point commun de ce genre d’entrepris est Moderna. Ils ont même admis maintenant qu’ils étaient sur le point de s’effondrer, s’il n’y avait pas eu l’arrivée du COVID-19 au moment précis où il est arrivé.

Je tiens à souligner que un mois ou deux de différence et ils auraient totalement fait faillite. Et bien sûr, Moderna a des liens très étroits avec l’armée américaine, plus précisément avec la DARPA, qui les finance depuis 2012, je crois. Pour plus d’informations sur ces choses là, vous pouvez aller sur mon site web, unlimitedhangout.com et regarder la série d’enquêtes, « l’Ingénierie de la contagion » sur la question de l’Anthrax. Et puis j’en ai une appelée Moderna, sur Moderna. J’ai oublié le nom exact de la série, je crois qu’elle s’appelle « Moderna obtient son miracle » ou quelque chose comme ça pour le COVID-19.

Je vais m’arrêter là, car il me reste 10 minutes au cas où vous voudriez poser des questions sur un autre sujet.

3:26:53 Viviane Fischer :

Une petite question sur Emergent Biosolutions, ils sont impliqués dans la production des vaccins maintenant, est-ce exact ?

3:27:02 Whitney Webb :

Oui, eh bien, à l’origine, ils étaient, je pense qu’après avoir produit, je crois six… un nombre très important de doses pour le vaccin Johnson & Johnson qui ont été jugées contaminées et inutilisables, je pense qu’ils sont passés à la trappe. Mais il est intéressant de souligner que Robert Kadlec, que j’ai mentionné plus tôt, a des liens profonds et de longue date avec cette société et a en fait fondé une société distincte avec le fondateur d’Emergent Biosolutions. Et même le Washington Post, a été forcé d’admettre qu’il a fait preuve de favoritisme dans l’attribution des contrats pour le COVID-19.

Donc, malgré leurs antécédents vraiment épouvantables, et même des plaintes au sein du système, ils ont obtenu des contrats pour produire des vaccins. Je ne me souviens plus exactement quelles étaient les entreprises concernées, mais le vaccin de Johnson & Johnson en faisait partie, et ils ont été très critiquées.

Donc je ne suis pas sûre qu’ils en fabriquent encore. Mais je dirais que certaines de ces entreprises d’ARNm, en particulier Moderna, ont maintenant décidé d’utiliser une nouvelle entreprise créée à l’époque du COVID, appelée « Resilience », pour produire leur ARN spécifiquement pour leur vaccin. Il y a des personnes de la Fondation Bill et Melinda Gates, de la FDA, du conseil d’administration de Pfizer, un membre de la Commission du 11 septembre, le directeur d’In-Q-Tel, la société de capital-risque de la CIA, entre autres groupes, qui fabriquent leurs produits, et cette entreprise a été créée en novembre 2020. Et ils espèrent produire de l’ARNm pour les États-Unis et au Canada.

3:28:45 Viviane Fischer :

Il semble qu’il y ait des luttes internes, mais tous ces intérêts différents tirent dans la même direction. Mais il n’est pas clair qui va faire le, qui va être le leader de la meute.

3:29:00 Whitney Webb :

Oui. Je pense que les querelles internes sont plus liées au processus qu’à l’agenda général.

3:29:16 Reiner Fuellmich :

Les deux sociétés d’ARNm, Moderna et BioN’Tech, qui sont utilisées par Pfizer, ont toutes deux été soumises à une forte pression récemment. Le prix de leurs actions s’est plus ou moins effondré. Cela est dû au fait qu’une décision prise aux États-Unis, oblige Pfizer à déclassifier plus ou moins les documents qu’elle voulait cacher au public, et que, tout d’un coup, — il y a une interview récente d’un banquier d’affaires du nom d’Ed Dowd l’explique en détail, tout d’un coup lorsque les gens voient ce qui se passe réellement, ils décident de vendre leurs actions. Le sauvetage semble donc ne pas avoir vraiment fonctionné. Mais c’est seulement parce que d’autres personnes ont exposé ce qui se passe réellement.

3:30:14 Whitney Webb :

Exact, et je ne pense pas qu’ils l’aient vraiment prévu…

3:30:21 Reiner Fuellmich :

Cela prouve le point de Matthews, ils n’ont pas vraiment tout sous contrôle.

3:30:25 Whitney Webb :

Oui, je suis d’accord avec ça aussi. Et je pense que c’est la raison pour laquelle nous les voyons, par exemple, dans divers pays, en particulier les pays occidentaux, lever les restrictions pour le moment, comme l’a dit Leana Wen, l’experte médicale de CNN, afin que la confiance du public puisse être restaurée. Nous pouvons donc utiliser ces mesures, encore une fois, à l’avenir, pour une « deuxième pandémie », ou une sorte d’événement dans cet genre.

Et si vous regardez le Forum Economique Mondial depuis l’année dernière, leur thème principal pour l’année dernière était de rétablir la confiance avec le public. C’est donc quelque chose qui les préoccupe vraiment, le manque de confiance du public envers les élites. Mais je pense qu’ils sont encore dans cet état d’esprit, « eh bien, même s’ils commencent à ne plus nous faire confiance en masse, qu’allons-nous faire à ce sujet ? »

Je pense que c’est essentiellement de ça qu’il s’agit, mais je pense qu’ils prévoient aussi d’essayer d’intensifier différentes choses qui ne sont pas forcément le COVID au fur et à mesure que ce récit particulier s’effrite, pour essayer de garder les gens divisés, distraits et confus par la masse d’informations qui sortent tout le temps. Ce qui est, comme je l’ai déjà expliqué, une sorte de PsyOp, c’est le côté opération psychologique de ce qui se passe.

3:31:47 Reiner Fuellmich :

Ok, bon, y a-t-il d’autres questions de votre part, Virginie, ou Dexter, ou Ana ? Ou Dipali ?

3:32:00 Dexter Ryneveldt :

Pas de questions de ma part. Merci beaucoup. Mrs. Webb

3:32:05 Reiner Fuellmich :

Oui, merci beaucoup. Merci beaucoup. Et nous allons maintenant… Allez-y s’il vous plaît.

3:32:12 Viviane Fischer :

Oui, nous allons maintenant insérer quelques témoins, parce que, vous savez, nous le devons, — pour les archives, et pour que le public voit que nous savons ce qui se passe vraiment. Et c’est tellement fou, ce que nous avons vécu au cours de ces deux années que nous semblons parfois oublier, ce que nous avions, ce que nous pensions être la façon normale dont les choses seraient traitées, que vous pouviez choisir sans être trompés, si vous vouliez avoir un traitement médical, ou si vous vouliez protester contre quelque chose comme, sans avoir affaire à la police et ainsi de suite.

Et donc nous avons préparé, je pense que c’est deux vidéos. Et nous avons deux témoins, un en direct ici avec nous, et un autre dans le zoom. Et je voudrais commencer à vous montrer ce que nous avons vécu, lorsque nous avons appris par un lanceur d’alerte que dans une maison de retraite ici à Berlin, qu’une certaine vaccination allait avoir lieu, je pense que c’était un dimanche, et les flacons étaient fournis, ou du moins amenés par des soldats.

Et donc lorsque les personnes âgées ont été confrontées à des soldats, quand ils ont travaillé avec les médecins pour faire le vaccin, et certains, une personne n’était pas vraiment volontaire pour l’accepter. Je veux dire, — c’était dans la « section démence » de cette maison de retraite, et certains d’entre eux n’étaient manifestement pas en mesure de signer les papiers eux-mêmes. Mais il faut quand même respecter une sorte de volonté naturelle, ils doivent exprimer s’ils veulent être traités ou non.

Nous allons donc voir cela. Nous avons donc eu un dénonciateur qui nous a parlé de cet incident, et ce qui s’est passé ensuite, c’est que sur ces 31 personnes qui ont été vaccinées, huit sont décédées assez rapidement après la vaccination, dans les quelques semainesqui ont suivi, et je pense que la dernière personne qui est morte, c’était deux ou trois mois plus tard, et ils étaient vraiment en bonne forme, c’était…

3:34:47 Reiner Fuellmich :

Avant le vaccin.

3:34:50 Viviane Fischer :

Avant la vaccination, c’était la section où ils pouvaient se promener librement, et certains faisaient du jogging tous les jours, quelqu’un jouait du piano. Et donc, ils chantaient des chansons la nuit précédente. Et puis déjà le soir, certains d’entre eux avaient de sérieux problèmes.

Et ce qui est également intéressant à ce sujet, c’est que plus tard, nous avons pris contact avec la police, et j’ai personnellement désposé une accusation criminelle, une plainte, et je leur ai demandé, — parce que des deux personnes qui sont décédées, les dernières, les corps étaient encore aux pompes funèbres. Donc, nous avons informé la police et ous leur avons qu’ils devraient enquêter à ce sujet avec le procureur de district. Et ils nous ont envoyé une lettre disant qu’ils ne voyaient rien de suspect, et qu’ils ne pouvaient pas commencer à enquêter. Vous savez, je pense que c’est particulier. Et donc après que nous ayons fait l’interview du lanceur d’alerte, un deuxième lanceur d’alerte, s’est présenté et a fourni quelques images que vous pouvez voir maintenant.

3:36:09 Reiner Fuellmich :

C’est pour illustrer ce dont nous parlons vraiment. Parce qu’aujourd’hui, ce soir, nous avons parlé de la préparation de ce qui se passe réellement, et maintenant nous examinons les conséquences. Parce que je pense qu’il est important pour nous et pour le jury de comprendre que nous ne parlons pas seulement de jeux non pertinents qui sont joués, de jeux de pouvoir, mais que ces jeux ont des conséquences très graves. Et c’est ce que ce clip vidéo illustre très clairement.

3:36:45 Vidéo #1 — Sous-titrage

De l’armée. Le médecin de la maison est toujours présent… et des aides-soignants. Donc un groupe de trois : un soignant, un médecin et un soldat. Quel rôle jouent les soldats ? Personne qui travaille dans les soins infirmiers… avec les malades mentaux ou physiques, ou la démence ne peut me dire… que la force n’est pas utilisée … à la fois mentalement et physiquement… Non, personne n’a rien dit, mais mon impression était… que les soldats… étaient là pour garder le vaccin. Et après, il était très clair pour moi… que c’était pour envoyer une « déclaration » aux personnes âgées. Parce que vous pouviez sentir… l’atmosphère d’intimidation. On ne reconnaissait pas nos résidents. Ce n’étaient pas les mêmes vieux résidents… qui faisaient librement… ce qu’ils font instinctivement. mais assis… et étaient complètement silencieux et immobiles. Comment ont-ils montré cette peur ? Pouvaient-ils la verbaliser ? Vous pouviez le voir… à partir de leur comportement différent. Ils étaient très intimidés, très calmes, très renfermés, ils ne sont pas encore prêts à mourir. Leurs yeux sont ouverts. Ils sont agités. Ce fort tremblement… modifie leur respiration. La pâleur de leur visage est très différente. Ils sont très déstabilisés, avec cette secousse. Et cette fois, comme dit : Ce tremblement constant du haut du corps… ce tremblement, avec lequel je ne suis pas familier… dans cette situation non plus… qui s’est produit avec beaucoup… C’est la force physique et psychologique, également pour le test PCR. C’est une violence appliquée qui est utilisée… pour faire ces procédures. Aussi cette vaccination… c’est de la violence, violence physique et mentale. Ils passent tout simplement à travers. Et pour les résidents ? Exactement la même chose. Intimidation totale. Je crois que c’était aussi cette dynamique de groupe. Ces quatre personnes au même endroit… et soudain, voyant ces sauvages étrangers… Ils étaient tous intimidés… Une résidente, elle avait montré des signes de résistance… comme nous le savons déjà d’elle. Quand il n’y avait que trois personnes dans la pièce, on remarque immédiatement que la situation est différente. Clairement, ils viennent vous voir dans votre lit. Mais vous pouvez dire…

3:38:55 Reiner Fuellmich :

Donc ça montre que… ce que vous avez dit Brian, ils tuent des gens. Ils ne tuent pas des gens en théorie, ils tuent des gens dans la vie réelle. Une des personnes que nous avons vu dans cette vidéo, qui a été filmée avec une caméra cachée est morte, le vieil homme en pyjama est mort.

C’est donc de cela qu’il s’agit. Il y a des conséquences réelles. En conséquence de ces soi-disant jeux de pouvoir, il s’agit en fait de contrôle. Et il s’agit en fait de réduire la population. Comme l’illustre clairement ce court clip vidéo, et ce n’est qu’un exemple. Il existe de nombreux autres exemples de ce type. Nous avons obtenu de nombreuses informations de maisons de retraite similaires où la même chose s’est produite.

Cet exemple est particulièrement impressionnant pour nous, car il se déroule ici même à Berlin. 31 personnes ont été vaccinées et en l’espace de deux semaines environ, huit d’entre elles étaient décédées, 11 autres avaient développé des symptômes très graves. Nous ne savons pas ce qui leur est arrivé, mais ces huit personnes décédées, l’une d’entre elles, comme l’a mentionné Viviane, jouait du piano la veille de sa vaccination, une autre était un coureur et il courait la veille de son injection. C’est de cela qu’il s’agit vraiment.

3:40:34 Viviane Fischer :

Oui, alors maintenant, nous avons un autre clip vidéo que nous allons voir. Il s’agit d’une petite manifestation, comme une veillée, qui a eu lieu pendant, — je pense que le témoin va nous le dire dans une seconde, plusieurs jours, 60 -62 jours, et c’était le dernier jour où il y avait soi-disant une petite réunion. Mais c’était un petit événement et vous serez surpris par le nombre de policiers par rapport à la taille de l’événement que vous allez voir et par la dureté avec laquelle ils y ont mis fin. Je pense que nous allons d’abord montrer le clip et ensuite nous allons parler à Roman Mironov.

Vidéo #2 —En allemand

3:41:28

3:41:41 : — Nos enfants vaccinés n’ont pas    de protection

3:41:48 : Nos enfants n’ont que nous et…

3:41:54 : — Attention, Attention, la Police vous parle, s’il vous plaît, pour votre compréhension

3:42:03 : — Je dois parler

Chers messieurs, laissez tomber votre vieille culpabilité, laissez tomber votre matérialisme

3:42:10 : laisser tomber et donne-leur de voir leur foyer

3:42:17 : — Cela signifie que votre manifestation doit s’arrêter, vous devez vous diriger direction Gare Centrale

3:42:23 : Je répète, en raison du non-respect des mesures sanitaires…

3:42:38 Viviane Fischer :

Vous pouvez voir à quel point c’est disproportionné par rapport à ce qui se passe, il n’y avait même pas de « normes sanitaires » qui sont enfreintes. Et à une époque antérieure, nous aurions pensé que c’était un événement normal. Mais peut-être que nous allons juste parler à Roman Mironov.

Reiner Fuellmich :

Roman, que s’est-il passé ?

3:43:07 Roman Mironov :

Je ne parle pas très bien anglais, alors je vais devoir parler en allemand.

3:43:15 Viviane Fischer  :

En quelques mots, pouvez-vous nous expliquer que vous aviez fait cette démonstration 60 fois et pourquoi elle s’est terminée de cette façon.

3:43:30 Roman Mironov :

Exactement, j’avais organisé une veillée devant le bureau du chancelier parce que les manifestations n’étaient plus possibles à Berlin, parce que ça a toujours dégénéré en violence policière, et donc j’ai organisé une veillée parce qu’avec quelques personnes juste devant le bureau du chancelier, la police ne peut pas déborder aussi facilement et nous avons fait ça sur une période de plus de deux mois. Et très fréquemment il y avait des médias avec nous et ils nous écrivaient, et ils n’ont jamais fait de reportage sur nous, ils étaient juste là parce qu’il se passait quelque chose au bureau du chancelier. L’un d’entre nous s’était inscrit au bureau du Chancelier et le dernier jour, le 1er juin, était la Journée mondiale de l’enfance. Nous avons résisté là-bas. Nous n’avons pas mis de masque, c’est le moindre niveau de résistance que l’on puisse offrir, et bien sûr, ça a dégénéré et notre assemblée a été dissoute.

3:44:30 Viviane Fischer :

Nous allons avoir d’autres exemples mais je résume rapidement, deux mois après la Malwacher, à un moment où, de toute façon, il ne devait pas se tenir de manifestation importante, c’était une manifestation qui était directement liée aux enfants.

Et en fait, il y avait beaucoup de médias habituellement là et mais ils n’ont jamais parlé de cette manifestation parce qu’ils voulaient la garder sous le tapis, ne pas en parler. La seule chose qui n’a pas été respectée, c’est qu’à l’extérieur, il fallait porter des masques, même si les gens gardaient leurs distances. Et donc vous pouvez voir que la police a immédiatement décidé de tuer cette petite manifestation ou cette petite protestation à ce moment-là.

Donc Roman, merci beaucoup pour votre déclaration et pour avoir partagé cette expérience avec nous. Oui, maintenant nous avons…

3:46:05 Reiner Fuellmich

C’est maintenant à James Bush.

3:46:12 Viviane Fischer :

Puis nous continuerons avec d’autres exemples à l’avenir.

3:46:17 Reiner Fuellmich :

Oui. Maintenant, James, vous avez attendu pendant un certain temps, mais nous sommes très intéressés à entendre parler de l’opération Dark Winter, la simulation Lockstep des Rockefeller et l’Event 201.

3:46:45 James Bush :

Ok. Je suis absolument sidéré par tout ce que j’ai entendu aujourd’hui, et par l’intelligence et l’expérience de l’équipe qui produit ceci, alors je voulais tous vous remercier.

Mon passif est très simple. J’ai pris ma retraite après 20 ans dans le Corps des Marines des États-Unis en tant que Lieutenant Colonel. J’étais un officier d’infanterie, un officier de reconnaissance des forces. Puis je suis devenu ingénieur et j’ai travaillé pour la société Honeywell en tant qu’ingénieur de guidage de lancement pour le programme Shuttle. Puis je suis devenu ingénieur des opérations spéciales pour les environnements spéciaux et les systèmes mécaniques. J’étais le responsable de l’ingénierie et le gestionnaire du North Colorado Medical Center pour le Centre de recherche sur les maladies infectieuses de l’Université d’État du Colorado. Et pour le centre de recherche sur les vecteurs du Centre de contrôle des maladies du Colorado, Fort Collins. Mon intérêt pour ce sujet a été éveillé bien avant que je ne sois au courant de ce qui se passe aujourd’hui, je travaillais pour Hewlett Packard. Dans le cadre de mes fonctions d’ingénieur, j’étais le responsable de la biosécurité pour les Rocheuses de l’Ouest et j’ai été invité à participer à un programme appelé Dark Winter à Oklahoma City en juin 2001. Et à ce stade, je ne suis pas sûr de savoir comment… je vais partager mon écran et je vais afficher une présentation assez rapide et je suis sincère, c’est plus rapide que les autres.

C’est le résumé de qui je suis, je l’ai déjà parcouru avec vous. J’ai un Master en ingénierie mécanique, un Bachelor en épidémiologie.

Voici Dark Winter, vous en avez entendu parler et vous le savez peut-être déjà, mais c’était ostensiblement un programme soutenu par le gouvernement et des organisations privées les 22 et 23 juin 2001 à la base aérienne d’Andrews à Oklahoma City.

Vous trouvez également ANSER Homeland Security et CSIS. L’Oklahoma National Memorial Center pour la biodéfense civile, ce sont des organisations qui ont été les précurseurs de tous les éléments nécessaires à la création d’un système d’armes biologiques aux États-Unis.

Donc Dark Winter, ces diapositives que vous allez voir ne sont qu’une très, très petite partie d’un jeu de diapositives qui a été généré pendant cette présentation. Et ce n’était pas une présentation. Ce n’était pas une véritable étude, ils nous ont appelé pour étudier cela. Mais en fait, quand nous sommes arrivés, ils ont dit : « Ok, voici ce que nous faisons, asseyez-vous et regardez et voici les conclusions auxquelles nous sommes parvenus. S’il vous plaît, ramenez ceci dans vos entreprises, dans vos organisations et partagez le avec elles. » Parce que le gouvernement contrôlait totalement la procédure.

Il s’agissait d’un exercice conçu pour simuler la réaction possible à une introduction délibérée de la variole dans trois États en 2002.

Dark Winter a été développé en tant que programme par les Centers for Strategic and International Studies, et le Johns Hopkins Center et l’ANSER pour la sécurité intérieure, et je crois que vous avez tous déjà entendu ces noms, vous allez continuer à les entendre au cours de ce processus d’analyse de ce qui arrive à notre pays.

L’ANSER Institute for Homeland Security a finalement été converti en un cabinet ministériel financé au niveau national, appelé Homeland Security.

Les participants clés, nous allons vous montrer qui ils sont, quels sont les objectifs. A l’origine c’était un scénario. Donc notre gouvernement, comme vous le savez, et beaucoup de gouvernements aiment vraiment les scénarios, ils aiment bien, « Et si on faisait ça ? Et si ça arrivait ? Quelles seraient les prochaines étapes ? »

C’était censé être une étude de scénario, mais il faut connaître les personnages qui jouent ce rôle. Nous sommes en 2001, et certaines des personnes les plus importantes du gouvernement et de la défense des États-Unis d’Amérique ont pris leur congé pour aller à Oklahoma City, et ont posé la question, que se passe-t-il si on est frappé par la variole ? Et la variole est clairement définie par toutes les organisations, l’Organisation Mondiale de la Santé, le CDC, la FEMA, tout le monde dit que c’est une maladie pandémique parce qu’elle a un taux de mortalité d’environ 32 à 33 %.

3:52:21

Par opposition au coronavirus, qui, selon la personne à laquelle on s’adresse aujourd’hui, représente peut-être 0,01 % ou 0,02 %. Ils ont donc utilisé une véritable maladie pandémique pour voir ce qui se passerait, mais les personnes qui sont venues étaient Sam Nunn, le sénateur américain, Frank Keating, il était le gouverneur de l’Oklahoma, le conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, le directeur de la CIA des États-Unis, le secrétaire à la Défense John White, le président de l’armée américaine, le chef d’état-major, le général John Tilelli, le secrétaire d’État des États-Unis Frank Wisner, la secrétaire à la santé et aux services sociaux Margaret Hamburg, le procureur général George Terwilliger, le directeur de la FEMA, Jerry Hauer, et le directeur du FBI.

Maintenant, et je suis sûr que ce type d’assemblage de personnes a été formé auparavant. Mais je ne pense pas que dans l’histoire des États-Unis, ils soient jamais venus à une réunion comme celle-ci, ont créé un document, ont créé un scénario et ont ensuite disparu, parce que dans les deux ou trois jours suivant la fin de ce programme, certains d’entre nous ont obtenu des copies réelles des diapositives. Et partout ailleurs ça a disparu, c’était sur internet pendant un moment, mais si vous vous souvenez, en 2001, internet n’était pas ce qu’il est aujourd’hui. Et il m’a fallu plusieurs années pour trouver cela sur Internet. En attendant, j’en avais une copie sur mon ordinateur. Et plus tard, lorsque je travaillais pour le centre de contrôle des maladies, le CDC, j’en parlais à divers chercheurs et leur demandais ce qu’ils en pensaient et ils ont tous en quelque sorte tourné le dos et sont partis. Ils ne voulaient pas parler de ce dont il s’agissait.

La question est donc de savoir ce qui se passerait si une attaque locale d’armes biologiques devait frapper l’Amérique avec un agent pathogène contagieux qui pourrait paralyser le pays, la réponse du gouvernement posera un énorme défi aux libertés civiles, le moins nous sommes préparés aux plus grandes menaces, plus il y aura de menaces sur les libertés civiles.

Donc, dans la documentation de départ, les premiers mots sont sur nos libertés civiles qu’ils vont prendre au cours de cet événement. Je vais donc rester sur cette page un moment et vous dire que pendant cette étude, qui a duré deux jours, nous sommes sortis tôt, parce que cette étude, quand nous sommes arrivés, ils avaient toutes sortes de diapositives, et je serai heureux de montrer ces diapositives à tous ceux qui veulent les voir. Mais les diapositives montrent vraiment le processus de réflexion, l’initiation d’un agenda, par lequel ils voulaient partager avec les gens dans la salle, et les gens dans la salle étaient des personnes issues de la science, de l’industrie et des affaires. Et ils nous disaient, comment cela va-t-il vous affecter ? Ils ont montré ce qui s’est passé après un jour, après six jours, après trois jours, combien de personnes sont malades, combien de personnes ont été blessées, combien de personnes sont mortes, et comment cela progresse.

Ce document a été fourni comme un moyen de créer deux ou trois choses. La première est un tutoriel sur la façon d’initier et d’obtenir les résultats que nous voulons d’une maladie pandémique. L’autre serait de savoir comment contrôler, quels seraient les résultats. Combien de personnes mourraient ? Comment s’occuper des inoculations ?

Il s’agissait d’une maladie connue, qui avait un taux de mortalité extraordinairement élevé. Et ils ont traduit cela dans la réalité et cela leur a donné l’opportunité de créer une ébauche, une amorce, un document qu’ils peuvent utiliser, lorsqu’il s’agit de créer une arme biologique, un événement pandémique de sécurité nationale.

C’est ce qu’ils ont fait. Et comme je l’ai dit, je serai heureux de partager le reste de ces documents. Ma présentation actuelle sur Dark Winter dure environ 2h30, parce que j’entre dans tous les détails de ce qu’est une installation de niveau de biosécurité 1, 2, 3 et 4, où elles se trouvent, comment elles sont utilisées et comment notre gouvernement et nos universités étudient cela. Mais il y a une richesse d’informations que ce diaporama et Reiner m’a demandé de rester relativement court.

Donc c’est le début. C’est la première étape, où notre gouvernement a engagé certaines des personnes les plus puissantes de notre administration pour mettre en avant ce concept. La suivante était l’opération Lockstep et l’opération Lockstep était ostensiblement faite par Ralph Emerson. Il n’arrêtait pas de faire référence à John D. Rockefeller.

Il était prétendu que c’était une approche en trois étapes pour un confinement permanent résultant en une dépopulation massive. J’ai fait d’importantes recherches sur ce sujet. Et l’Operation Lockstep était en fait un concept créé par des personnes faisant des recherches. Non seulement l’Operation Lockstep, mais aussi sur le livre de 54 pages de Ralph Emerson… Excusez-moi, Ralph Emerson a écrit le livre, The New World Order et il faisait 320 pages. Et l’information principale de toute cette Operation Lockstep vient de la page 18 de ce livre.

Il y avait deux éléments, l’Operation Lockstep a été créée par des informations provenant de l’agenda du New World Order, et un autre programme qui est sorti de l’institution Rockefeller. Donc ma question est, qu’est-ce que c’est vraiment ? Donc le document publié est essentiellement, des gens se sont réunis et ont dit, « Ok, basé sur la lecture des informations du nouvel ordre mondial, voici ce que nous voyons se passer » et cela correspond parfaitement à ce qui est dans le document de 320 pages du New World Order.

Et c’est un modèle très clair de ce qui s’est réellement passé. Et la raison pour cela, c’est que l’Operation Lockstep est sortie à la mi-juin ou juillet de l’année dernière, beaucoup de gens ont essayé de la réfuter, mais il n’y avait personne qui…

3:59:47 Reiner Fuellmich

Que s’est-il passé ?

3:59:50 James Bush :

… créé selon les documents, en 1989. Donc vous avez 2001, Dark Winter, vous avez 1989 quand l’Opération Lockstep et les premiers documents ont été créés pour cela, et puis nous avançons au fur et à mesure de l’histoire de notre nation. Vous voyez le New World Order de Ralph Emerson, vous voyez la Fondation Rockefeller et la Global Trading Organization qui ont contribué au New World Order, Rockefeller a contribué au livre suivant, qui est un livre d’environ 54 pages appelé « scénarios pour le futur de la technologie et du développement international ».

Cela a été fait par la Fondation Rockefeller. Et sur Internet, vous trouvez qu’il fait constamment référence à ce que vous voyez sur le côté droit de la page, c’est-à-dire la première phase, la deuxième phase, la troisième phase En 1989, personne ne savait rien des radiations 5G. Personne ne savait rien de précis sur le Coronavirus.

Donc, quelque part cette information est sortie, mais c’était vraiment une combinaison de données créées dans le New World Order et je ne sais pas combien de personnes ont lu le New World Order, mais c’est un livre d’instruction malveillant et dégoûtant sur la façon de détruire la civilisation occidentale. Et il cite George Bush et toute la litanie de personnes dont nous parlons souvent.

4:01:40 Reiner Fuellmich :

James, pouvez-vous nous faire une faveur et lire ces trois paragraphes ? Parce que je pense que c’est extrêmement important pour que les gens comprennent ce qui s’est passé en 1989.

4:01:52 James Bush :

Je serai heureux de le faire.

Première phase : rhume, grippe, symptômes bénins, tout au plus une approbation médiatique de la paranoïa et de la peur de masse, des systèmes de test défectueux, qui détectent tout matériel génétique dans le corps et déclenche un résultat positif. Le nombre de cas de COVID est gonflé par la modification des certificats de décès, qui comptent double et classent tous les décès, y compris les autres maladies et les causes naturelles, dans la catégorie COVID-19. Le confinement nous conditionnera à vivre sous des lois draconiennes, empêchera les protestations et identifiera la résistance publique. C’est la première étape.

La deuxième phase. La première phase conduira à la compromission et à la fragilité du système immunitaire par le manque de nourriture, l’éloignement social, le port du masque et le manque de contact avec la lumière du soleil et les bactéries saines. L’exposition aux radiations de 5G attaquera encore plus le système immunitaire. Ainsi, lorsque les gens réapparaîtront dans la société, davantage de personnes tomberont malades. On en attribuera la responsabilité au COVID-19. Tout cela se produira avant que la vaccination ne soit prête, afin de la justifier. Un confinement plus long et plus puissant suivra jusqu’à ce que tout le monde prenne le vaccin. — C’est leur intention. —

Troisième phase. Si une majorité de la population résiste au vaccin, un virus SRAS VIH MERS militarisé sera libéré. Beaucoup de gens en mourront. Il y aura des survivants, ce sera la survie du plus fort. Ce sera aussi l’ultime poussée pour que tout le monde se fasse vacciner afin de revenir à la normale. Ceux qui se seront fait vacciner seront en guerre contre ceux qui ne l’auront pas fait. Ce sera l’anarchie.

L’extrait provient de la page 18. Et l’autre document, qui est « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international ». Donc tout cela est lié. Et cela a étédivulgué, et il a été conçu comme un document pour faire deux choses. Dire aux gens où ils vont. Et si vous dites à quelqu’un que ça va arriver et que vous continuez à le lire, les gens finissent par accepter que ça arrive. Nous avons entendu ça tous les jours.

Passons à la suivante. Lockstep est l’accomplissement des concepts et des objectifs exprimés et sollicités dans les philosophies du New World Order, et les scénarios pour le futur de la Technologie et du Développement International. Ces concepts et ces programmes ont été mis en œuvre pour la pandémie COVID-19. L’auteur réel des documents Lockstep est inconnu, mais il est clair que le Lockstep a été créé en 1989. Je suis désolé, le New World Order a été créé en 1989. Et les « Scénarios pour les Technologies Futures » ont été créés en 2010. Et c’est à ce moment que l’autre documentconnu sous le nom de Lockstep a été créé.

La page suivante, je ne sais pas si vous pouvez tous la lire, je vais essayer de ne pas trop m’y attarder. Mais c’est le concept du scénario. C’est le scénario Lockstep. C’est un scénario réalisé par notre gouvernement, qui étudie ce que devrait être le Lockstep.

« Un monde où le gouvernement exerce un contrôle plus strict et un leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et une résistance croissante des citoyens. En 2012, la pandémie que le monde avait anticipée depuis des années a finalement frappé.

Contrairement à 2019, H1N1, cette nouvelle une souche de grippe provenant d’oies sauvages, — c’est une supposition —, était extrêmement virulente et mortelle. Même les nations les mieux préparées à une pandémie ont été rapidement dépassées par le virus qui s’est répandu dans le monde entier, infectant près de 20 % de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement 7 mois. La majorité d’entre eux étaient de jeunes adultes en bonne santé. La pandémie a également eu un effet mortel sur les économies, la mobilité internationale et l’immobilisation des personnes et des biens, affaiblissant des industries comme le tourisme et brisant les chaînes d’approvisionnement mondiales. Même au niveau local, des magasins et des bâtiments normalement animés sont restés vides pendant des mois, sans employés ni clients. La pandémie a touché la planète en dirigeant de manière disproportionnée l’Afrique, l’Asie du Sud-Est et l’Amérique du Sud, où le virus s’est répandu comme une traînée de poudre en l’absence de protocoles officiels de confinement. Mais même dans les pays développés, le confinement était un défi. La politique initiale des États-Unis consistant à « déconseiller fortement » aux citoyens de prendre l’avion s’est avérée mortelle dans son indulgence. »

— Je vais sauter la suite. —

Cependant, quelques pays s’en sont mieux sortis, la Chine en particulier. Le gouvernement chinois a mis rapidement en place une quarantaine obligatoire pour tous les citoyens ainsi que la fermeture quasi hermétique et immédiate des frontières, ce qui a sauvé des millions. »

Cette information a été écrite, c’est de là que vient le concept entier. Ils ont donc eu le Dark Winter, ils ont décidé qu’ils ne voulaient vraiment pas utiliser quelque chose comme la variole, et le développement et les modifications génétiques des maladies sont pratiquées dans le monde entier. Et ostensiblement, c’est utilisé pour le développement de médicaments et la médecine préventive. Mais en réalité, et je le dis pour avoir dirigé des laboratoires, j’ai travaillé sur 6 Coronavirus, j’ai travaillé sur 78 autres maladies de niveau de biosécurité 3 et 3+. La raison pour laquelle les universités, l’armée et le gouvernement font ces recherches est un programme d’armes biologiques, ils essaient de trouver des outils moins coûteux à utiliser contre un ennemi commun. Ils développent des outils dont ils peuvent contrôler l’’ensemble du développement du processus…

04:08:02

Là où j’ai travaillé, pour le CDC et le CSU….. Je n’ai jamais vu un vaccin sortir en moins de

six ans. Et ils ont essayé de nous dire, ils ont essayé de dire aux scientifiques qu’ils ont créé des vaccins qui sont sûrs. Qu’il y a quatre vaccins différents, qui font des choses différentes au corps humain. Et d’ailleurs ils l’ont fait en moins de neuf mois. Mesdames et Messieurs, je ne peux que vous dire que de mon point de vue, ce sont des mensonges, des mensonges et encore des mensonges. Enfin, le 18 octobre 2019, beaucoup d’entre vous savent déjà ce qui s’est passé, mais le Centre John Hopkins, le groupe Bill et Melinda Gates et le Forum économique mondial ; ici nous revenons à l’aspect financier de cette atrocité, le Centre John Hopkins pour la sécurité sanitaire en partenariat avec le Forum économique mondial et la fondation Bill et Melinda gates ont organisé l’événement 201. Un exercice de pandémie de haut niveau, le 18 octobre 2019 à New York, l’exercice a illustré les domaines où les partenariats public-privé seraient nécessaires en cas de réponse à une pandémie grave, afin de diminuer les conséquences économiques et sociales à grande échelle. Il y a eu des déclarations sur le nouveau Coronavirus, des exercices de pandémie.

Ces dernières années, le monde a connu un nombre croissant d’événements épidémiques : environ 200 événements par an. Ces événements sont en augmentation, et ainsi de suite. Les experts s’accordent à dire que ce n’est qu’une question de temps avant que les épidémies ne deviennent mondiales. Comment ont-ils pu organiser une réunion avec toutes les personnes les plus importantes de la côte Est à New York le 28 octobre, pour que tout à coup, moins d’un mois plus tard, nous ayons maintenant le coronavirus qui émerge, de la province de Wuhan ?

Je vais vous dire comment on gère un laboratoire. J’ai géré l’un des plus grands du pays, celui de l’Université d’État du Colorado. Les virus n’en sortent pas accidentellement. Vous pouviez les sortir vous-mêmes, du temps où j’y travaillais. Je peux en sortir n’importe quand avec le virus de la peste, avec le VIH, avec la tuberculose, avec toutes sortes de Corona ; D’ailleurs les Coronas n’étaient même pas utilisées dans les installations de niveau 3. C’était des niveau 2. Vous vous demandez pourquoi ? Voyez avec la CIA. Donc la question demeure : comment se fait-il que dans tous les médias, vous vous levez le matin, vous écoutez une station de radio, vous allez sur une chaîne de télévision, et ils disent tous exactement la même chose ? Connaissez-vous tous l’opération Mockingbird ? Mockingbird est un programme de la CIA qui a été créé après la seconde guerre mondiale et qui est toujours opérationnel aujourd’hui. C’est comme ça que la CIA crée un dialogue et travaille avec les six ou sept grands systèmes médiatiques du monde.

Et je peux dire ceci, parce que vous ne connaissez pas son nom : Ma fille est un officier de renseignement militaire dans l’armée américaine. Elle y est depuis 12 ans. Elle est major, sélectionnée pour être lieutenant-colonel. Je lui ai montré tout ça et elle a dit : « oui, c’est ce qu’ils font. Ils le font maintenant ». Donc la question… il y a beaucoup de questions sur le pourquoi. Et je pense que les bonnes questions sont celles que vous avez posées aujourd’hui. Mais il y a une information importante que je voulais partager avec vous. Lorsque j’ai commencé à gérer les centres de recherche sur les maladies infectieuses, tous deux à Fort Collins, il y a environ 14 ans, il y avait 25 à 27 laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4 dans le monde. Nous sommes maintenant en 2022, et ceci provient directement du site web du CDC, je l’ai comparé à d’autres sites web également : c’est la répartition des laboratoires de niveau de biosécurité 3 et 4 dans le monde et vous pouvez voir que l’Australie en a quatre, presque tous les autres pays en ont un ou deux, l’Allemagne en a trois, l’Inde en a trois. Le Royaume-Uni en a six. Les États-Unis en ont 15, et quand j’ai commencé cette activité, ils n’en avait que trois.

le niveau de biosécurité trois, ce sont ceux qui travaillent sur des maladies comme le coronavirus, la grippe, le VIH, des virus qui ne sont pas extraordinairement puissants. Ils en font des armes biologique. Mais le niveau 3 est le banc d’essai du niveau 4. Il y a plusieurs petits pays… plusieurs petits pays ont un ou deux niveau 3. Tous les pays sur la liste des niveaux 4 ont autant de niveau 3 que de niveau 4. Les États-Unis ont plus de 200 laboratoire de biosécurité niveau 3 sur le territoire américain. Donc, entre les niveaux de sécurité 3 et 4, les États-Unis d’Amérique ont 215 installations de recherche sur les armes biologiques, qu’ils appellent « recherches normales ». Mais je peux vous dire que ce n’est pas le cas.

04:14:59 Reiner Fuellmich :

Une question. Je dois vous poser ces deux questions, car après avoir regardé les documents que vous nous avez montrés de l’opération lockstep… je veux dire… vous avez cité ces trois paragraphes. ces termes étaient-ils vraiment inclus dans ce document ? Je veux dire, des termes comme « COVID-19 ». Et l’autre terme aussi : « 5G » ? Etaient-il vraiment inclus ?

04:15:28 Vivianne Fischer :

Cela vient d’un livre.

05:15:31 James Bush :

[Il s’embrouille dans les pages de son document]
Vous êtes observateur. Et c’est absolument… Hier, une question a été posée sur les documents utilisés dans l’opération lockstep. C’est exactement ce qu’ils sont. C’est le… je pensais que ce document était partout sur internet… J’ai dit que je ne pouvais pas trouver l’auteur de ce document en particulier. Il était dit que c’était à la page 18 dans toutes les références… au lieu de cela… Oui c’était page 18. Et la page 18 à laquelle il se référait était la page du scénario que j’avais trouvée. Je vais voir si je peux revenir en arrière.

04:16:07 Viviane Fischer :

Ok, mais en gros, c’est comme une inspiration qu’ils ont utilisé pour le scénario lockstep.

04:16:14 Reiner Fuellmich :

La question est de savoir si c’était vraiment inclus à l’époque, en 1989, ces deux termes ?

04:16:20 James Bush : [Toujours embrouillé dans ses notes]

Non, C’est donc qu’il y a, il y a le document… le document 2020 qui était sur internet. Et dans le scénario pour la technologie future et le développement international… je suis désolé, j’allais mettre la page 18. Attendez non ! C’EST la page 18, les scénarios lockstep ?

04:16:44 Reiner Fuellmich :

Non, l’autre, avec les trois paragraphes. On vient de le regarder. C’est la diapositive numéro 10. La numéro 10, c’est ça.

04:16:53 James Bush :

C’est celle-ci, sur laquelle on était.

Reiner Fuellmich :

C’est ça, la numéro 10

James Bush :

La 10.

Reiner Fuellmich :

Celle-là.

James Bush :

Cette, cette diapositive sur le côté droit ?

04:17:07 Reiner Fuellmich :

Oui. Est-ce que ça vient vraiment de ce livre écrit en 1989 ?

04:17:12 James Bush :

Non, ça ne vient pas de là. Ce que je veux dire, c’est que ce document et cette diapositive ont été créés par quelqu’un qui s’est référé à cette page, vous la voyez ? cela provient de l’opération lockstep qui a été créée par l’Institut Rockefeller. Ils ont pris ça et ils ont modifié les événements actuels, ils y ont ajouté les concepts de ce paragraphe, et ils ont… et le monde y a cru. Et ce qui est ironique, c’est que si vous regardez le contenu du paragraphe des scénarios pour le futur du document technologique, c’est de là qu’ils ont tiré cette information. Et la 5g et le COVID-19 ne sont pas dans ce paragraphe.

04:18:09 Reiner Fuellmich :

C’est ce que je pensais.

04:18:10 James Bush :

Oui. Mais ça relie quand même tout ça, parce que l’information était là en 1989, 2001, 2010. Et à présent pour l’événement 201, en 2019. Il y a donc une progression qui va de pair avec le dialogue historique que vos autres conférenciers et experts en histoire ont présenté. Et celui-ci partage vraiment l’information. Et de mon point de vue, le Dark Winter est un facteur critique pour montrer qu’ils ont la capacité et l’intention de faire quelque chose de similaire à l’evenement 20. L’evenement 201 est le second dark winter.

Voilà pour Dark Winter. C’est l’information que je peux partager avec vous sur l’opération Mockingbird, et l’opération lockstep. Pour l’opération lockstep, après que nous ayons commencé à faire plus de recherches, j’ai voulu faire exactement ce que vous avez dit, j’ai voulu trouver cette page particulière dans ce livre, Le Nouvel Ordre Mondial par Ralph Epperson. Je l’ai lu, mais il n’y avait rien, j’ai cherché les scénarios pour l’avenir de la technologie, il n’y avait rien. J’ai cherché toutes les informations que je pouvais sur Internet. Et clairement, quelqu’un a fait ce document particulier pour le faire correspondre. Et c’était une tentative de, de coordonner ça. Ca donne du crédit au Nouvel Ordre Mondial. Je ne sais pas combien de personnes dans le groupe, ici, ont lu le Nouvel Ordre Mondial ? Je dois essayer de m’en sortir.

04:20:22 Reiner Fuellmich :

Eh bien, le problème avec des documents comme celui-là, c’est qu’ils sont non seulement déroutants, mais ils nous font paraître mauvais.

04:20:35 James Bush :

C’est pourquoi je voulais vous le montrer. Parce que je ne suis pas sûr que nous puissions parler de l’opération lockstep, à moins de nous référer simplement au livre « le Nouvel Ordre Mondial » et aux scénarios. Ceux-là sont plus crédibles, mais pas lockstep.

04:20:56 Reiner Fuellmich :

Je comprends.

Eh bien, merci, James, cela nous mène tout droit au rôle probable de l’Organisation mondiale de la santé dans tout cela. Nous avons deux autres intervenants pour cela. Mais en attendant, y a-t-il des questions que Virginie, Dexter, Dipali, voulez poser ?

04:21:29 Dexter Ryneveldt :

M. Bush, merci pour le témoignage. Je voudrais juste que vous me disiez : vous avez mentionné que, d’après votre expérience, il faut environ au moins six ans avant qu’un vaccin soit mis sur le marché. J’aimerais faire un rapprochement avec l’operation ward speed. Comment ses informations sont-elles liées ? Parce que dans un sens, il semble qu’ils aient mis très rapidement des vaccins contre le covid-19 sur le marché. Ils se justifient en disant que c’est grâce à l’opération warpspeed. Pouvez-vous éclaircir ce point ?

04:22:14 James Bush :

La réponse à cette question est qu’ils ne font pas un vrai vaccin, ils créent un modificateur d’ADN qui n’a rien à voir avec le processus normal. Le processus de découvrir une maladie et d’apprendre à lutter contre elle au sein du corps humain, en appliquant les bons produits chimiques, en effectunt les bons tests, en faisant des tests sur l’homme, sur l’animal, et en développant un vrai vaccin.

Le matériel qu’ils injectent aux gens aujourd’hui, en ce qui me concerne… Et comme je l’ai dit, j’ai travaillé sur des vaccins pendant 12 ans dans des environnements où mon travail, dans ces installations, était de diriger le comité de biosécurité et d’empêcher la maladie de se propager. Pendant mon mandat, il y avait 6000 chercheurs dans ces installations, et personne n’est jamais tombé malade. Donc nous savions ce qui causait la maladie, nous avons pu l’arrêter. Mais il a également été intégré dans la compréhension de la connaissance que vous ne pouvez pas développer un vaccin avec précision en moins de six ans. Et donc quand j’ai commencé à entendre les gens dire que nous allions en avoir un cette année… Ils injectent des produits dont on ne sait pas ce qu’ils contiennent. Je ne suis pas chimiste, je ne suis pas médecin. Je ne suis pas un docteur de recherche, mais j’ai travaillé avec eux. Et je peux vous dire qu’il n’y aura jamais d’inoculation dans mes bras ou dans ceux de quelqu’un de ma famille. Parce que j’ai peur de ce qu’il y a là-dedans. Et c’est ce que certains de vos autres experts vont dire, également. Regardez les documents dont nous avons déjà parlé aujourd’hui, comment les gens réagissent, ils réagissent très rapidement, sûrement après avoir reçu l’inoculation, et cela ne serait pas le cas avec une vraie vaccination.

04:24:16 Dexter Ryneveldt :

Merci, Monsieur.

04:24:21 James Bush :

Et je veux juste répéter, pour le cas où il y aurait la moindre question, au sujet d’un virus qui se serait échappé de Wuhan. Le laboratoire de Wuhan est un la boratoire de niveau trois. Le virus sur lequel ils travaillaient en Chine était dans un niveau 3. Il ne répond donc pas aux exigences de soin, de considération et de sécurité extrêmes d’un niveau 4. Et quand je gérais les installations du Colorado, nous avons fait des tests pour savoir si les gens pouvaient sortir de notre bâtiment avec un agent selectif, c’est-a-dire un virus dangereux. Encore une fois, allez sur le site du CDC et cherchez « agent selectif ». Et ça vous dit en gros qu’un agent selectif peut être génétiquement modifié pour devenir une arme de destruction massive. C’est pour ça qu’on les appelle des agents sélectifs. Mais à l’époque, on a fait des tests, on a fait venir des gens du Corps des ingénieurs de l’Armée, du FBI, des pompiers locaux, de la police, et on a fait des tests pour savoir si quelqu’un pouvait sortir de notre installation. Il n’y avait aucun moyen de les arrêter. Si quelqu’un voulait sortir avec ce matériel, on ne pouvait pas l’arrêter. Donc là, dans ces laboratoires dont je viens de vous montrer les chiffres, il n’y a aucun moyen d’empêcher quiconque de sortir ces choses. Donc ce sur quoi ils travaillent dans ces laboratoires, c’est, en ce qui me concerne, un programme d’armes biologiques. Et ce sur quoi ils travaillent est essentiellement la capacité de modifier d’autres formes d’injections pour contrôler et tuer la population générale. Et c’est pour ça qu’ils le font au pas de course. C’est une chimère, vous connaissez tous le concept de chimère ?

04:26:28 Dexter Ryneveldt :

Vous pouvez expliquer le concept ?

04:26:33 James Bush :

Un vaccin chimérique consiste à développer un médicament et à l’injecter à un animal ou à une personne. Et cela prépare le corps à certaines réactions. Et puis vous revenez avec la deuxième partie de la chimère, vous l’injectez et cela provoque des changements extraordinairement grands, voire la mort. Donc je crois que les injections sont chimériques, et pour aller dans le sens de votre question sur les vaccins eux-mêmes : Comment est-il possible que vous ayez une maladie ? Il y a deux questions en fait : comment est-il possible d’avoir une maladie qui est en train d’être résolue grâce à un vaccin avec une efficacité de 95 à 100 %, avec quatre types différents d’injections qui ne se ressemblent même pas dans leur contenu, et qu’au-delà de ça, dans l’histoire de l’humanité, la science et la médecine n’ont jamais trouvé de remède pour le rhume et la grippe, qui sont tous deux des coronavirus.

04:27:53 Reiner Fuellmich :

Pardon, Dexter.

04:27:56 Dexter Ryneveldt :

Pas de souci. On peut passer à vous, Reiner ?

04:27:58 Reiner Fuellmich :

Je voulais juste mentionner que d’autres experts qui vont témoigner ont entre-temps clarifié la situation, du moins en ce qui concerne Pfizer biontech. Pfizer est concerné, il n’a pas une efficacité de 95 %. C’est moins de 1 %. Certaines personnes disent même qu’il n’a absolument aucune efficacité. C’est parce que nous voyons que les pays qui ont un taux de vaccination très élevé, ont également un taux de contamination très élevé, comme Israël, comme le Royaume-Uni. Ils ont également un taux très élevé de contamination. En d’autres termes, les vaccins ne semblent pas du tout fonctionner. Ca signifie vous avez probablement raison, Jim. Nous ne pouvons pas appeler ces injections des vaccins, mais d’autres experts nous en apprendront davantage à ce sujet.

04:28:51 James Bush :

Merci pour tout ce que vous faites, et si je peux aider davantage, je le ferai.

04:28:54 Reiner Fuellmich :

Jim, merci beaucoup. Merci beaucoup de nous avoir guidés à travers ces interventions. Bon, maintenant nous allons parler au Dr Astrid StuckelBerger et le Dr Sylvia Behrendt. Toutes deux travaillent pour l’Organisation Mondiale de la Santé. Qui commence ?

04:29:18 Sylvia Behrendt :

Je pense que c’est moi. Et ensuite Astrid va continuer.

Reiner Fuellmich :

Très bien.

04:29:24 Sylvia Behrendt :

Merci beaucoup. Mes références sont les suivantes : j’ai obtenu mon doctorat à l’Université de Saint-Gall, en Suisse, sur le thème du Règlement sanitaire international et de l’autorité exécutive de l’Organisation mondiale de la santé en cas d’urgence de santé publique de portée internationale, titre très long. Et ce n’est pas mon téléphone qui sonne. Et j’étais un chercheur invité à Georgetown Law, par le professeur Gaston, financé par le Fonds national suisse. Plus tard, j’ai collaboré avec le secrétariat du règlement sanitaire international à Genève, à l’Organisation mondiale de la santé, et j’ai effectué des missions dans les pays de l’O. M. S. dans le but de mettre en œuvre au niveau national le règlement sanitaire de l’Internet. Voilà.

Les autres experts qui ont fourni leur expertise, la dernière fois, nous avons entendu M. Bush, qui a parlé de l’engrenage financier, les questions politiques et de sécurité, en particulier sous le paradigme du bioterrorisme qui fournissent la preuve qu’il ya une dérive qui a conduit à la pandémie actuelle COVID 19. Je voudrais attirer l’attention sur le fait que nous ne sommes pas actuellement confrontés à la réponse médicale à une pandémie. La plupart des critiques formulées par les scientifiques et les médecins portaient sur le fait que, d’un point de vue purement médical, toutes les mesures sanitaires recommandées et exigées par les autorités sanitaires nationales sont en fait contraires aux connaissances épidémiologiques et médicales. Et ce, à dessein. Je l’affirme, parce que le concept sous-jacent utilisé pour COVID-19 ne suit pas les principes scientifiques établis, mais plutôt une idéologie différente, qualifiée de sécurité sanitaire mondiale, et censée traiter la santé comme une question de sécurité nationale, en instaurant partout des états d’urgence et d’exception pour y faire face. Par conséquent, je considère qu’il est crucial de fournir une brève analyse historique de ce concept. Afin de comprendre que la crise sanitaire mondiale actuelle à laquelle nous sommes confrontée ne concerne pas la science médicale, et la santé au sens commun, comme on pourrait l’espérer. Le remplacement progressif des objectifs médicaux par des objectifs politiques a commencé dans le contexte des maladies infectieuses émergentes au début des années 1990. Comme nous l’avons déjà entendu, ce sont les États-Unis qui, en peu de temps, ont institutionnalisé cette nouvelle approche, mais en créant rapidement une toute nouvelle division appelée « maladies infectieuses émergentes et informations ». Il est intéressant de noter qu’ils n’ont pas engagé le personnel du département de contrôle des maladies transmissibles à ce moment-là.

Cette politique a confirmé le nouveau changement de paradigme, qui consistait initialement à réduire l’incidence des maladies endémiques régionales, et qui consiste maintenant à se concentrer uniquement sur la prévention de la propagation internationale en temps réel, et de préférence dans un délai de 24 heures. Il était donc nécessaire de mettre en place un appareil technocratique de réseaux de surveillance capable de faire face à ces nouvelles menaces. Par conséquent, en 2001, l’Assemblée mondiale de la santé a adopté une résolution qui introduisait déjà ce nouveau concept et appelait pour la première fois à trouver une définition de l’urgence de santé publique de portée internationale, dans le but de réviser les lois sanitaires obsolètes, appelées Règlement sanitaire international, car personne ne s’intéressait aux lois sanitaires à cette époque. Le problème était qu’elles avaient un champ d’application très étroit et ne s’appliquaient qu’à la fièvre jaune, de couleur noire. Dans le même temps, en particulier dans le cadre de la planification de scénarios bioterroristes aux États-Unis, nous avons tous entendu beaucoup de choses au niveau militaire et universitaire, mais l’exercice le plus important,

nous avons tous entendu en ce moment beaucoup de choses, au niveau militaire et académique, mais l’evenement le plus important, comme Dark Winter,

a été organisé et, curieusement, tous ces événements ont été très brefs après cela. Mais ce qui est aussi très intéressant et que nous n’avons pas entendu, c’est que non seulement les exercices ont eu lieu, mais qu’ils se sont aussi transformés en réalité, la législation aux Etats-Unis a été préparée pour réduire les libertés civiles pour la lutte contre le bioterrorisme à partir de 1999. Cette entreprise a été lancée par le CDC et finalement finalisée par des professeurs de l’université de Georgetown comme le professeur Gostin, en collaboration avec l’université Johns Hopkins, et elle a été appelée la « loi modèle sur les pouvoirs sanitaires d’urgence des États ». Ce modèle de loi a été vivement critiqué à l’époque aux États-Unis pour avoir transformé la gouvernance en dictature, qui a fini par s’étendre à de nombreux États. Ainsi, l’étape la plus importante du processus de révision du Règlement sanitaire international, qui est un traité international, a été l’apparition du syndrome respiratoire aigu sévère, abrégé en SARS comme nous le savons tous, en 2002, qui s’est accompagnée d’une alerte médiatique sans commune mesure avec la menace de la maladie, qui était remarquablement faible. En outre, il y avait un quasi-consensus parmi les scientifiques sur le fait que la nouvelle épidémie de SARS aurait pu avoir un potentiel bioterroriste. Cet optique politique bioterroriste qui parlait d’explosion de cas, a conduit à l’accord de la communauté internationale sur le fait que les anciennes lois devaient être réécrites par l’OMS pour inclure le bioterrorisme, mais sans nommer officiellement cet objectif. Cela s’inscrivait dans le paradigme d’une approche ouverte de tous les risques, ce qui signifie que non seulement diverses sources de risques sont incluses, mais aussi que toute dissémination de virus intentionnelle relèverait du paradigme de l’OMS, et que les règles sanitaires internationales devait être révisées. Ainsi, la dimension juridique du concept de sécurité sanitaire mondiale a finalement été intégrée avec succès dans les règlements sanitaires internationaux en 2005. Et c’est le modèle américain des urgences de santé publique, qui a été exporté à la communauté internationale, et qui est maintenant fusionné aux constitutions internationales qui ont atteint le stade où nous n’avons jamais eu de telles dispositions constitutionnelles d’urgence. Ensuite, les dispositions internationales obsolètes de confinement des maladies ont été remplacées pour inclure les agents pathogènes, qui constituent une menace pour la sécurité nationale, et nécessitent un régime d’urgence qui permet cette inflation des normes juridiques, non seulement en termes de réglementation de la sécurité médicale, mais aussi en termes de normes fondamentales, de libertés et de droits civils. Selon ce nouveau paradigme, les maladies endémiques qui comptent pour le plus grand nombre de décès ne relèvent pas de l’attention de cet ensemble de règles mondiales, qui sont maintenant la procédure standard pour les pandémies, mais seulement les pathogènes nouvellement identifiés sans traitement médical, qui nécessitent donc une autorisation d’urgence car ces substances sont toutes non autorisées. En outre, l’importance des diagnostics est apparue dans le cadre de l’idéologie de la sécurité sanitaire mondiale comme une nouvelle question prioritaire car, selon cette idéologie, la menace doit être identifiée et combattue avant d’avoir des effets dévastateurs. Ainsi, la disponibilité des diagnostics est considérée comme une exigence nécessaire pour la préparation et la réponse à la pandémie. J’espère que vous pouvez suivre.

En outre, sous la menace du bioterrorisme, la construction de laboratoires a été stimulé dans le monde entier, comme M. Bush nous l’a déjà expliqué, parce que les armes biologiques sont définies comme des armes de destruction massive et constituent un crime en vertu du droit international, la seule voie légale pour entreprendre légalement des recherches et des traitements médicaux est appelée biodéfense, qui a lieu dans les laboratoires comme nous l’avons appris. Je voudrais rappeler que tous les coronavirus du SARS sont généralemnt classés dans la catégorie américaine C des agents potentiels de bioterrorisme, et également classé sous le régime d’experts de l’UE pour le double usage, qui se réfère au potentiel de l’utilisation civile et militaire. Cela aide maintenant à dépeindre l’image plus clairement. Certaines connaissances historiques sont nécessaires pour comprendre que L’OMS et la communauté mondiale ne combatent pas le covid-19 conformément à l’avancée de nos connaissances. Après avoir lutté contre le covid comme contre une menace pour la nation, de façon disproportionnée, avec une terminologie militaire au lieu de la terminologie médicale, on parle maintenant de contre-mesures médicales et non médicales. Et dans tous les ministères de la santé, de nouveaux départements sont créés, appelés départements de sécurité sanitaire nationale. C’était donc la première partie de mon expertise. Avez-vous des questions, parce que j’aimerais expliquer comment toutes ces maladies nouvellement identifiées sont arrivées à l’OMS. On avance ? Ok, Si vous n’avez pas de questions. Dans un deuxième temps, j’aimerais parler plus en détail du petit nombre de cas de pneumonie classique de Wuhan à la fin de 2019, et dans les premiers jours de 2020, qui a été signalé à qui et s’est rapidement transformé en une urgence de santé publique de dimension internationale.

Dans un deuxième temps, je voudrais expliquer plus en détail pourquoi le petit nombre de cas de pneumonie d’un opposant typique de Wuhan à la fin de 2019, et dans les premiers jours de 2020, ont été signalés à l’oms et ont rapidement abouti à une urgence de santé publique de portée internationale, et peu après à une pandémie. Tout cela est dû au Règlement sanitaire international et à sa révision. De plus, les règles sanitaires auxquels on fait référence incluent une approche tous risques. Certains agents pathogènes, comme toute nouvelle souche d’un sous-type de grippe ou tout coronavirus de service, sont toujours prioritaires et doivent être signalés dans un délai de 24 heures à l’OMS. L’identification de ce nouveau virus a été possible parce que la Chine a un régime de dépistage très strict pour les maladies respiratoires, depuis l’épidémie de SRAS en 2002. Donc il a été possible pour la Chine d’identifier ce nouveau pathogène. Le 1er Janvier déjà, l’OMS a demandé plus d’informations sur l’épidémie. Le 3 janvier, la Chine a notifié officiellement l’existence d’un groupe de 44 patients, dont 11 étaient gravement atteints de pneumonie d’étiologie inconnue.

04:40:09 Reiner Fuellmich :

Ca ne ressemble pas à une pandémie.

04:40:13 Sylvia Behrendt :

Oui, c’est vrai. L’OMS a demandé plus d’informations, et il y a eu la fermeture du marché de Wuhan. Donc cette politisation, et l’intérêt de l’OMS à ce stade très précoce au premier janvier, alors que seulement 44 personnes ont eu cette pneumonie atypique et que 11 personnes ont souffert gravement de cette pneumonie atypique est effectivement un aspect intéressant. Cela devrait conduire à certaines précautions, mais comment la crise a-t-elle commencé, sachant qu’aucun décès n’a été signalé ni aucun cas international, et que le potentiel de transmission interhumaine n’a pas été évalué à ce moment-là. Entre-temps, le nouveau virus a été identifié comme étant le SARS-Coronavirus. Cela signifie donc que l’identification de ce nouveau virus relève du Règlement sanitaire international. Cela nécessite un rapport officiel de l’OMS, et le directeur général est obligé de constituer un comité d’urgence en vertu des règles internationales. Une fois que cette notification officielle a été reçue, il est donc légalement obligé de constituer le comité d’urgence. Et là, ça devient intéressant. Dans le même temps, le professeur Drosten et d’autres personnes ont travaillé intensément au sein de la présidence pour fournir à l’oms un test de diagnostic, par exemple via la méthode PCR, pour ce nouveau virus. Le professeur Drosten a également été le chercheur le plus misen avant en 2003, lorsque le nouveau coronavirus du SRAS a été identifié, et depuis lors, il a été nommé expert de l’oms. son premier protocole a été officiellement remis à l’oms le 13 janvier 2020, ce qui implique qu’il avait bien sûr travaillé avant cette date de soumission, et l’oms a immédiatement recueilli ce premier protocole de cet essai. Plus tard, cet essai a été un peu révisé et finalement publié dans l’eurosurveillance tour le 23 Janvier. Il a également contribué à l’orientation provisoire de « loms qu’ils ont fait le 10 janvier, et cette orientation provisoire a été publiée. Vous pourrez avoir plus d’informations plus tard, si vous voulez, mais ça devient compliqué. Ce guide d’information a été publié dans le cadre d’un ensemble complet d’environ 10 documents d’orientation de l’OMS, a destination des pays, couvrant des sujets liés à la gestion d’une épidémie de la nouvelle souche de coronavirus. Donc, le 10 janvier, un ensemble complet de documents avait déjà été publié à ce moment-là, ce qui est intéressant

04:44:58 Reiner Fuellmich :

Alors qu’il n’y avait littéralement aucun cas à l’exception des 44 cas.

04:43:03 Sylvia Behrendt :

Et ca a été publié officiellement, pourtant il faut beaucoup de temps pour que l’oms publie quelque chose parce que cela doit être approuvé. Il est important de noter que, comme toute demande liée au sars-coronavirus, ou notification officielle, le directeur général a dû convoquer un comité d’urgence COVID-19 comme une obligation légale. Vous pouvez trouver sur le site de l’OMS les experts qui sont dans ce comité, et lire leur CV. Ce comité d’urgence conseille le directeur général quand il déclare qu’une urgence de santé publique de portée internationale existe. C’est une autorité exécutive du directeur général en conformité avec les principes juridiques énoncés en vertu des règles internationales. La première réunion s’est tenue le 22 janvier et les experts ne sont pas tombés d’accord sur l’existence ou non d’une urgence de santé publique de portée internationale. Et ils ont convenu qu’il n’y avait pas de propagation internationale de l’épidémie du nouveau coronavirus. Il y avait alors 17 décès et 557 cas confirmés le 22 janvier. Ils ont donc décidé que 10 jours plus tard, ils se reuniraient à nouveau et se consulteraient pour évaluer la situation actuelle des nouveaux cas. C’est ce qu’ils ont fait le 30 janvier et, à ce moment-là, les cas sont passés de plus de 500 à 14 fois plus, soit 7711 cas confirmés et 12 167 cas suspects. Tout cela figure dans la déclaration du second comité d’urgence de l’OMS, dans les informations officielles, que vous pouvez consulter vous-même.

04:44:58 Reiner Fuellmich :

Est-ce que les cas sont définis par des résultats de tests positifs ?

04:45:04 Sylvia Behrendt :

Eh bien, les cas sont définis ainsi selon l’essai du professeur Drosten, parce que c’était une publication officielle diffusée le 13 janvier. Et il a également été intégré dans le guide publié plus tard, intitulé « Tests de laboratoire pour les cas suspectés de coronavirus ». Ces documents sont toujours en ligne sur le site de l’OMS. Parfois on les supprime, mais ceux-là sont toujours en ligne et peuvent toujours être consultés. Et c’est toujours une référence à Drosten et à sa publication.

04:46:36 Reiner Fuellmich :

Quand a eu lieu la première réunion d’urgence et quand a eu lieu la seconde ?

04:45:49 Sylvia Behrendt :

La première a eu lieu le 22 janvier et ils se sont mis d’accord pour ne pas y assister. Ils n’avaient pas assez de cas parce qu’il n’y avait que 555 ou 557 cas. Et il n’y avait pas de propagation internationale et la propagation internationale est une condition préalable pour parler d’urgence sanitaire publique. Donc ils ont du attendre 10 jours, et à ce moment, les cas avaient été multipliés par 14. Le tout détecté par diagnostic rapide. Le comité a mentionné ces diagnostics rapides dans leurs déclarations et se sont satisfait de leur utilisation, qui a permis de diagnostiqué cette nouvelle menace appelé SARS-CoV-2.

04:46:36 Reiner Fuellmich :

Donc ce qu’il s’est passé, c’est que Drosten a livré son kit de test à l’Organisation mondiale de la santé et grâce à l’utilisation de son nouveau test, tout d’un coup, nous avions 14 fois le nombre de cas qui existaient avant qu’il utilise son test.

04:46:56 Sylvia Behrendt :

C’est ce que disent les documents

04:46:59 Vivianne Fischer :

Je voudrais faire une remarque à ce sujet, parce que nous avons également des informations provenant du Freedom of Information Act, que nous avons faite avec la Charité, et vous savez, il s’avère qu’en fait la société Tib Molbiol a produit et developpé le test avec Drosten. Ils ont été répertoriés comme tels, et ils s’occupaient essentiellement de la logistique dont la Charité a parlé. Quand quelq’un entrait en contact avec Drosten… les nouveaux pays savaient que Drosten était encharge et développaient ces tests, conformément au kit d’information émis par l’OMS.

04:47:53 Sylvia Behrendt :

Les essais de tests

04:47:55 Vivianne Fischer :

Les essais de tests

04:47:56 Sylvia Behrendt :

Envoyé par l’OMS aux états membres, car c’était alors une directive officielle

04:48:01 Vivianne Fischer :

Mais il y avait un échangé d’information entre Drosten et Tib Molbiol. Ils pouvaient échanger, puis Tib Molbiol pouvait expédier pour Drosten ou pourd’autres. Donc ils avaient les cartes en main et pouvaient expédier des tets dans le monde entier. Ca ne passait pas par l’OMS, à mon avis, mais par cette connexion, et cela leur donnait un avantage.

04:48:31 Reiner Fuellmich :

Ce que ça signifie, c’est que les cas de contaminations dont ils avaient besoin pour déclarer un état d’urgence sanitaire international, ces cas sont arivés à cause des tests, c’est exact ?

04:48:48 Sylvia Behrendt :

Ils leur fallait au moins des contaminations internationales et ils devaient les diagnostiquer. Et sans test de diagnostic, ce n’est pas possible. Or le seul qui a donné ces tests est désigné dans le document sous le nom Drosten, c’est ce que disent les documents.

04:49:05 Reiner Fuellmich :

Sans ces tests, l’OMS 10 jours plus tard aurait encore eu probablement 44 cas ou peut-être 500 cas, mais pas 15 fois plus.

04:49:19 Sylvia Behrendt :

S’il n’y a pas de test, vous ne pouvez pas parler de nouveau virus. C’est là le problème. La chose vraiment importante que tout le monde devrait savoir est la proclamation d’une urgence de santé publique de portée internationale. Parce que c’est lié à la fabrication de vaccins. C’est en fait la chose la plus importante que toute personne légale ou quiconque devrait savoir, ce n’est pas la pandémie, il n’y a aucune conséquence légale si l’OMS proclame ou définit une pandémie. C’est juste intéressant pour les médias. Mais l’urgence de santé publique est liée à la réglementation et à l’autorisation d’utilisation d’urgence.

04:50:03 Reiner Fuellmich :

Sans une urgence de santé publique de portée internationale, il ne peut y avoir aucune utilisation de médicaments non testés comme les vaccins.

04:50:12 Sylvia Behrendt :

C’est vrai, parce que toutes les lois secondaires comme celles de l’UE, de la FDA aux États-Unis, utilisent le concept d’urgence de santé publique, également proclamé par l’OMS

04:50:24 Reiner Fuellmich :

Ok, Virginie veut poser une question.

04:50:28 Virginie de Araujo Recchia :

Oui, Mme Behrendt, Virginie de Araujo, avocate en France. Je voudrais confirmer avec vous que M. Bill Gates a fait pression sur l’OMS déclarer la pandémie et nous savons que la Charité, qui est lié à Drosten a développé ces tests, avec le financement de la Fondation Bill et Melinda Gates et Wellcome Trust. Je ne sais pas si vous pouvez confirmer cela.

04:51:00 Sylvia Behrendt :

Peut-être Astrid… je ne suis pas très au courant du financement. Je suis plutôt sur les questions de réglementation.

04:51:09 Astrid Stuckelberger :

C’est une bonne question. Ce que nous pouvons confirmer, et c’est ce que j’allais vous expliquer, c’est qu’il y a vraiment un plan depuis 2000, peut-être même avant, 1999, il y a un plan que vous pouvez voir chronologiquement avec les événements, qui consiste à monter l’organisation GAVI, l’Alliance pour les vaccins de l’UNICEF pour commencer à rejoindre les Nations Unies, pas seulement avec l’UNICEF, mais avec la Banque Mondiale et l’OMS par le biais d’un financement d’IFFM, l’International Financing Facility Immunization. Ils ont donc fait un trio, c’était en 2006. Ils ont commencé cela, et en même temps, GAVI est devenu une alliance globale en Suisse, en tant que fondation. Ils se sont donc enregistrés en 2006. Dans le même temps, ils ont formé un accord tripartite entre la banque mondiale, l’OMS et GAVI pour recevoir le financement des états membres. Vous pouvez trouver cela sur le web. Donc, c’était la première étape. Et comme vous le savez, en 2006, la réglementation sanitaire internationale a commencé à être dans la phase de mise en œuvre. Et ce que nous pouvons découvrir, c’est qu’en suivant ce qu’elle fait… je vais aller à l’essentiel. En 2009 elle s’est enregistrée en tant qu’organisation internationale en Suisse, d’un nouveau type, et nous avons un communiqué de presse du gouvernement suisse qui montre qu’elle a été créée spécifiquement pour M. Bill Gates.

Cette organisation internationale aurait une immunité totale, vous ne pouvez rien faire, vous ne pouvez même pas l’envoyer au tribunal, ils font leur propre tribunal s’ils ont un désaccord. Et à partir de là, ca a commencé, nous avons les documents de l’OMS, le logo, ils ont des conseils exécutifs, j’ai découvert récemment qu’on peut tout trouver sur le web, donc on peut trouver ça. Ils ont choisi la décennie 2010-2020 comme la décennie du vaccin. Et nous avons mis en œuvre des règlementations sanitaires, parce qu’il a fallu instruire et former les pays pour qu’ils soient prêts. Et nous avons terminé le premier cycle en 2012.

De 2009 à 2012, nous avons reçu l’Université de Georgetown, l’université de Pretoria, et j’étais avec l’Université de Genève. Et à ce moment-là, quand nous avons fini le cycle, nous avons reçu des fonds à nouveau du Japon, et soudain, ça s’est arrêté : ils ont dit qu’il n’y avait plus de fonds. Pourtant nous avions presque un contrat signé. J’ai découvert pourquoi : parce qu’en 2012, à l’Assemblée Mondiale de la Santé, ils ont désigné Bill Gates comme chef de file du plan d’action mondial pour les vaccins 2012-2020. Donc tout s’éclaire. A partir de ce moment il était aux commandes. Et c’est mentionné, ils savent que GAVI est le leader de tout ce qui concerne les vaccins. Et plus seulement pour les enfants comme avec l’UNICEF, pour le monde entier. Donc vous pouvez le voir, c’est une preuve suffisante qu’il y a au moins un plan.

Et ça continue, Bill Gates est dans le groupe de travail SAGE, le groupe consultatif des experts stratégiques, et ils ont même… c’est très drôle… Enfin non, ce n’est pas drôle, mais ils ont même fait en 2016, un rapport d’évaluation de ce plan d’action mondial pour les vaccins 2012-2020. Et en 2016, ils étaient très énervés parce qu’ils n’ont pas immunisé le monde entier. Pour eux, l’immunisation c’est la vaccination, ils prendraient n’importe quel prétexte pour vacciner. Et ne parlent pas d’expérimentation ou de validation, ils ne parlent que du vaccin, bien sûr, et en 2016, on voit vraiment qu’ils ne sont pas contents.

M. Gavi/Global dit que nous devons vraiment faire un effort. Donc ils ont fait un programme qui s’appelle « le programme accélérateur » pour les vaccins. Voilà, donc c’est au moins une partie des étapes que vous pouvez voir très clairement, tout est sur le web, sans parler du financement, dont je peux parler aussi…

04:55:53 Reiner Fuellmich :

Qu’est-ce qui s’est passé ? Qui a reçu l’immunité diplomatique en 2009 ? Était-ce GAVI ou la Fondation Bill et Melinda Gates ? Ou était-ce un Bill Gates personnellement, ou tous ces gens ?

04:56:07 Astrid Stuckelberger :

C’est vraiment GAVI Alliance, la fondation GAVI, mais ils ont enlevé le nom de Fondation. Et dans l’accord, c’est bien GAVI, l’Alliance globale pour la vaccination. Oui, je peux trouver le terme exact dans mon papier. Mais la Fondation Bill et Melinda Gates, d’après ce que je découvre de plus en plus, c’est plutôt le mécanisme financier, le financement, ou la réception des fonds pour les programmes. Et j’ai découvert encore une fois, que le gouvernement Suisse, la FDA de la Suisse, a signé un accord pour la période 2020-2023, pour fournir à la Bill et Melinda Gates Foundation 900 000 dollars en 3 ans, donc 300 000 chaque année pour son programme, son projet. Et vous ne pouvez pas voir ça dans le papier, vous devez aller chercher dans les projets. Je n’y suis pas allé, mais ça concerne le vaccin. Donc je suppose que lorsqu’on prend le modèle suisse, ou comme Sylvia l’a dit, la mécanique entre la réglementation nationale et internationale, on applique ce système comme un modèle partout dans le monde, et la loi sur les épidémies d’un pays est contrainte par les règlements de santé internationaux. Nous avons constaté qu’en Suisse, même la constitution suisse contient une petite ligne qu’ils ont ajoutée sans nous demander notre avis, qui dit que le droit international supplante le droit national en matière de santé. Et puis vous pouvez voir cela dans la loi sur les épidémies qui a été adoptée en 2016. Donc probablement dans tous les pays, il faudrait vérifier, j’en suis presque sûre, — on l’a vu au Canada, il y a une loi sur les épidémies ou une loi d’urgence qui dit aux pays, qu’ils doivent obéir au règlement sanitaire international. Et donc si une urgence de santé publique internationale est déclarée, chaque pays doit se mettre immédiatement à obéir.

Et c’est ce qui explique pourquoi le 16 ou le 17 mars, le monde entier s’est verrouillé, c’est une situation compréhensible, avec ce règlement sanitaire international. Avec le sars-cov-1, ça ne s’était pas passé comme ça, que soudainement le virus soit partout. Mais c’est ce qui se passe avec Omicron, ça commence en Afrique du Sud et le jour suivant, c’est dans le monde entier.

04:58:56 Reiner Fuellmich :

Oui… Mais est-ce qu’il y a, en ce qui concerne le Règlement sanitaire international, Sylvia et Astrid, est-ce qu’il y a une légitimité démocratique à ce Règlement sanitaire international ? Est-ce que ceux qui ont inventé ces règlements sanitaires internationales ont été élus à un poste quelconque ? Y a-t-il une quelconque légitimité démocratique à cela ? Ou s’agit-il simplement d’une entreprise privée dirigée par des personnes qui contrôlent l’Organisation Mondiale de la Santé ?

04:59:29 Astrid Stuckelberger :

Je peux répondre à votre première question et ensuite Sylvia pourra compléter. Quand nous enseignions et formions, au sujet du règlement sanitaire international, c’était la question qui revenait très souvent, comment se fait-il que cela soit contraignant pour les États membres ? Et c’était une réponse extraordinaire, qui vous expliquera à quel point il est important de regarder ce nouveau traité sur la pandémie. L’OMS, et j’ai vraiment fouillé et fouillée, est le seul programme spécialisée des Nations Unis, ou la seule Agence qui possède une Constitution. La Constitution de l’OMS. Pas convention, Constitution. Les article 21, 19, 21.1 et 21.2 engagent directement les états membres s’ils adoptent le règlement sanitaire international. Donc ils n’ont pas besoin de passer par toute la procédure du traité. C’est pour cela que c’est très dangereux, car cette constitution semble destinée à remplacer toutes les constitutions du monde, autrement pourquoi utiliser le mot Constitution ? Et donc la réponse des juristes de l’OMS a toujours été : « Oh, nous avons adopté ça à l’assemblée générale de 2005 sous la Constitution de l’OMS, article 21. A et article 2. »

5:00:58 Reiner Fuellmich :

Oui, mais ce qui est drôle, et ce n’est pas drôle du tout, c’est que ceux qui ont créé les règlements sanitaires internationaux n’ont pas été élus… ou ne possèdent aucune autorité ? Ou bien existe-t-il un lien entre le peuple des États membres, pas leurs gouvernements, le peuple des États membres et ces règlements sanitaires internationaux ? Ou bien n’y a-t-il que la constitution qu’ils ont eux-mêmes inventée ?

5:01:29 Astrid Stuckelberger :

Alors, permettez-moi d’expliquer les rouages des Nations Unies. Et c’est presque pareil pour toutes ces grandes agences comme le Bureau International du Travail, l’ITU télécommunication, pour les réfugiés ; chaque année, vous avez une assemblée mondiale, comme pour une ONG, une Assemblée Mondiale de la Santé se déroule chaque année aux Nations Unies à Genève, en mai, la troisième semaine de mai, tous les états membres ont leur petit siège et sont réunis. Ils ont un programme et décident ensemble de celui du monde. Normalement, s’il faut prendre une décision importante, ils ne sont que des représentants de l’Assemblée générale des Nations unies. Ils doivent donc s’adresser à l’Assemblée générale, et obtenir la bénédiction du Secrétaire général, le chef des Nations Unies, qui lui doit donner sa bénédiction à l’OMS. Je ne vois pas cela dans le cas de la réglementation internationale de la santé, si c’est une piste, euh, un indice.

5:02:40 Silvia Behrendt :

J’ajoute à cela les règlements internationaux en matière de santé, car nous avons commencé vers 18:15, il y a quelques heures. Et c’est un régime très intéressant parce que ce traité international remonte aux Conventions Sanitaires de 1850. C’est donc l’un des plus anciens régimes juridiques internationaux, qui a été repris par l’OMS et qui a été reconnu dans la constitution de l’OMS, parce qu’ils avaient déjà à l’esprit, et c’est très vrai, qu’ils voulaient instaurer un régime réglementaire de procédure accélérée. Ils ont donc mis en place un processus réglementaire qui stipule que, dans le cadre des règlements relatifs aux pertes sanitaires, qui sont à présent les pertes liées à une pandémie, auxquels vous pouvez vous référer, les États membres doivent choisir de ne pas participer, et non de participer. Ainsi, en vertu de la résolution adoptée, un traité international doit entrer en vigueur dans l’État membre, sinon celui-ci doit se retirer volontairement. C’est donc le processus inverse du droit international. Et c’est un élément très singulier. Et je pense qu’aucune autre organisation internationale, je n’ai trouvé aucune autre organisation internationale possédant cette capacité. Mais ce qu’ils ont réalisé est démocratique, car il s’agissait d’un processus de négociation intergouvernemental. Et ce qui est intéressant, c’est qu’uniquement à cause de l’émergence du SRAS, ils ont développé cette nouvelle idéologie adaptée de l’idée de sécurité sanitaire globale selon laquelle ce ne sont pas les maladies endémiques qui sont dévastatrices pour les populations, mais seulement les nouvelles maladies pour lesquelles il n’existe pas de traitement médical. Ils ont donc inséré ce nouveau concept dans les anciennes lois qui avaient toujours existé, l’OMS existait dans le monde. Ils ont donc adopté ce tout nouveau concept… Oui, une idéologie. Et c’est la situation extrêmement frappante que nous vivons maintenant. Et cela a été adopté sous forme de résolution. Et point intéressant, il s’agit d’un traité international et l’OMS n’en fait pas partie. Elle est seulement liée par la résolution de divers autres traités internationaux, comme la convention-cadre pour la lutte antitabac, dont l’OMS est signataire. C’est donc une loi internationale un peu délicate.

5:05:02 Reiner Fuellmich :

Je ne comprends toujours pas. Je ne vois pas de lien entre moi, mes compatriotes et ces règlements sanitaires internationaux.

05:05:12 Dr Silvia Behrendt :

C’est le problème du droit international.

05:05:20 Reiner Fuellmich :

Eh bien, pas vraiment, je pense que c’est assez unique.

05:05:23 Silvia Behrendt :

Parce que les États membres l’ont adopté, ils ont donné leur accord en 2005. Ils ont tous dit qu’ils souhaitaient ce nouveau type de règles en droit international. Et maintenant, ils sont obligés de l’appliquer au niveau national, ou depuis 2007. C’est entré en vigueur, et ils sont tenus de l’appliquer. Et par exemple, l’Autriche, je vis en Autriche, notre Constitution ne comporte pas de clause d’urgence. Et nous n’avons pas adopté de lois sanitaires, nos lois épidémiologiques, il n’y a pas de clause d’urgence et nous avons toujours le même système. C’est ce que je dis toujours, quel que soit le système juridique et la constitution des pays, évidemment le système peut avoir un impact sur n’importe quel pays et n’importe quel système constitutionnel et régime juridique, c’est possible avec ou sans clause d’urgence, ils appliquent des règles d’urgence. C’est ce que je vois, du moins c’est mon opinion.

05:06:24 Astrid Stuckelberger :

C’est comme pour les Objectifs de Développement du Millénaire, et les Objectifs de Développement Durable qui semblaient correspondre, vous savez, de 2000 à 2015, et 2015 à 2030. Avec les Objectifs de Développement Durable qu’ils ont créé, ils mettent en place tout un mécanisme là-autour, et cela devient de plus en plus obscur, et il est de plus en plus difficile de savoir à quel point nos citoyens décident vraiment, et nous ne décidons plus rien. Parce que ça devient tellement complexe et opaque.

05:06:54 Reiner Fuellmich :

Nous devons absolument reconquérir notre souveraineté. C’est la conclusion que j’en tire. Parce que même si l’UE veut proposer une nouvelle loi, par exemple, elle peut décider d’introduire ces lois, mais à moins que les États membres ne la ratifient dans leur propre pays, elle ne devient pas une loi dans leur pays. C’est donc assez surprenant pour moi. Et je pense à tous ces juristes qui devraient aussi être au courant de ces questions. C’est très inquiétant, je pense.

05:07:56 Silvia Behrendt :

Et l’UE a créé cette agence HERA, qui est similaire, mais probablement beaucoup plus coercitive, et c’est un énorme, énorme problème. Et ils ne possèdent aucune autorité en matière de santé, mais ils prétendent quand même l’avoir, ils créent les agences et nous donnent des instructions sans processus démocratique.

05:07:53 Reiner Fuellmich :

HERA est l’acronyme de Health Emergency Response Agency (Agence d’intervention d’urgence sanitaire). En effet. Et n’y a-t-il pas une rumeur selon laquelle si les gouvernements des États membres de l’UE s’effondrent, ils prendront le relais avec une sorte de mini gouvernement mondial sous la Commission européenne ? Est-ce que cela semble plausible ?

05:08:16 Dr Silvia Behrendt :

Je n’en ai aucune idée, mais je suis sûre qu’ils en seraient ravis.

05:08:20 Astrid Stuckelberger :

Oui, c’est l’idée de ce traité sur la pandémie. Parce que ce traité sur la pandémie contient des articles à la fin qui disent qu’avec la Constitution de l’OMS, nous n’avons pas besoin d’autres Constitutions en tant qu’États membres, et non seulement ils diminuent le pouvoir des États membres, — ce qui est la raison de l’existence des Nations Unies, mais ils ont invité tout un tas d’acteurs non étatiques, comme ils les appellent, les ONG, Gavi, les ONG intergouvernementales, les organisations internationales, parce que vous pouvez utiliser beaucoup de choses, Bill & Melinda Gates pourrait être une ONG et puis ils ont différentes activités, la Fondation Rockefeller, je les ai rencontrés à l’OMS, ils viennent, ils participent à des réunions, et ce sont des ONG, nous ne savons pas qui elles sont. Les acteurs non étatiques sont donc également invités à participer à ce nouveau traité, qui reprendrait littéralement, par le biais de la constitution de l’OMS, une constitution mondiale en cas de pandémie.

05:09:20 Reiner Fuellmich :

En fin de compte, nous sommes en présence d’associations privées, voire de particuliers, qui prennent le contrôle de nos gouvernements nationaux par le biais de l’Organisation mondiale de la santé et qui utilisent la santé comme un levier pour faire ce qu’ils veulent.

05:09:40 Astrid Stuckelberger :

Oui, on pourrait dire cela parce que le partenariat public-privé a été utilisé, vous pouvez le voir à travers le financement, parce que GAVI et les partenaires privés ont commencé à envahir et à interférer dans l’ensemble des Nations Unies. En fait, je me suis penchée sur cette question lors de l’organisation des journées portes-ouvertes de l’adhésion de la Suisse aux Nations Unies, pendant deux jours, etc. J’ai donc découvert nombre d’organisations dont personne n’entend parler, et l’une d’entre elles est une entité privée appelée le Pacte Mondial des Nations unies. Ce Pacte mondial des Nations Unies ne concerne que le secteur privé. Et ils peuvent, par exemple, financer. Je veux dire, c’est ouvert aux partenariats.

05:10:33 Silvia Behrendt :

Oui. Et juste pour compléter cela, la mise en œuvre du Règlement sanitaire international, c’est très étrange, parce que c’est fait par des évaluations externes de Trump effectuées par le Global Health Security Agenda (Agenda de la sécurité sanitaire mondiale). Et si vous regardez leur page web, vous verrez qu’ils ont un consortium privé, et vous ne savez pas, vous n’avez aucune information, quel consortium privé fait ça. Mais vous savez que ces évaluateurs externes vont en Allemagne, vont dans tous les pays, cela figure même sur le site web du RKI. Et ils chantent à quel point c’est fantastique. Mais ils ne disent pas que c’est mis en œuvre par des entités privées, vous ne savez pas. Je ne veux donc pas de lois exécutées par des entités privées. C’est absolument contraire à la démocratie. Et ils en sont très fiers. Très fiers.

05:11:28 Reiner Fuellmich :

C’est bizarre.

05:11:31 Virginie de Araujo Recchia :

Si je comprends bien, il n’y a pas de conseillers privés qui travaillent aussi avec l’OMS comme McKinsey et Centure ? Ils sont aussi le bras de la Fondation Bill Gates ?

05:11:48 Astrid Stuckelberger :

Hum, oui, c’est une bonne question. En fait, j’ai cherché le lien entre McKinsey et l’OMS parce que nous savons qu’ils créent la communication. Et je pense qu’ils l’ont placée sous quelque chose qu’ils sont en train de mettre en place, un panel intergouvernemental, quel est le titre exact, panel intergouvernemental pour ce traité, pour négocier, réseau de négociation intergouvernemental, quelque chose comme ça. Donc, cela vient de se dérouler au conseil exécutif. C’est un peu inquiétant parce que je pense que toutes ces agences de communication sont noyées là-dedans. Il n’y en a pas qu’une.

05:12:34 Viviane Fischer :

Qu’est-ce que ce traité ajoute à la situation actuelle ?

05:12:39 Dr Silvia Behrendt :

Eh bien, le traité est vraiment mythique. Je viens d’entendre l’ancien conseiller juridique de l’OMS en parler, c’est disponible sur internet. Et c’est très politique, c’est probablement, le partisan le plus féroce est Charles Michel, il a suggéré ce traité à l’Union européenne, une fois que ce traité, les États-Unis sont une sorte de poster, ils ont proposé que les RH soient renforcées. Le problème sera donc un monde à double voie, car s’ils se précipitent sur un traité, seul un petit nombre de signataires le signeront, alors que les RH sont un outil universellement reconnu. Et nous n’avons pas mentionné qu’il contiendrait en fait de bons aspects, qui sont négligés et violés. Il comporte une clause de mise en œuvre des droits de l’homme qui n’est pas respectée, carrément violée. Il y a donc eu des compromis à la fin, lorsqu’ils ont adopté la résolution. Mais c’est juste qu’ils ne sont pas mentionnés, et personne ne le fait, aucun tribunal, vous savez, ne trouve une violation de ceci. Le problème est donc que ce qu’ils aimeraient mettre en place, c’est en amont et en aval de l’industrie pharmaceutique, probablement parce que le champ d’application du traité n’est même pas clair. La seule chose est que cela suscite beaucoup de communication. Le directeur général est un très grand partisan de ce traité, parce qu’il est très politique d’une certaine manière. Et c’est très, très étrange, le genre d’intentions qui se cachent là-derrière. Et on y fait appel pour la préparation et la réponse. Donc ce que nous savons, c’est qu’ils ont inventé une nouvelle procédure qui est aussi problématique. C’est ce qu’on appelle l’utilisation d’urgence de la récession par l’OMS, c’est une très grosse entreprise, Big Pharma peut s’adresser à l’OMS et dire : « Je suis en train d’inventer un nouveau produit pharmaceutique ou un nouvel ensemble de diagnostic pour ce type de maladie pour cette urgence de santé publique. Et nous aimerions que vous l’inscriviez sur notre liste », et ensuite, celui qui l’inscrit sur la liste ajoute une clause de non-responsabilité, indiquant qu’il n’y a aucune garantie et aucune approbation de l’OMS et que si quelqu’un meurt, ce n’est pas la faute de l’OMS, ce n’est qu’une liste. Et puis GAVI prend cette liste et dit : « Oh, nous pouvons l’exporter dans le monde entier, même sans autorités médicales rigoureuses et très compétentes. Nous avons cette liste de l’OMS, maintenant nous pouvons l’offrir au monde entier. » C’est ce qu’ils font. Dans les traités de Gavi et de l’Alliance pour les vaccins, ce centre Covax, comme on l’appelle. Le troisième pilote de cet accélérateur ACT (https://www.who.int/fr/initiatives/act-accelerator) (Dispositif pour accélérer l’accès aux outils de lutte contre la COVID-19). Donc, aujourd’hui, on aimerait probablement trouver de meilleurs moyens de réglementation pour que le fait que les grandes entreprises pharmaceutiques s’adressent à une organisation internationale devienne un processus normal. Mais il s’agit en fait, d’un traité de droit international privé, pas de droit international public. Parce que le problème du droit international coutumier n’est pas reconnu. Son cas d’utilisation ius cogens (loi impérieuse), ça veut dire que c’est une norme à laquelle vous ne pouvez pas déroger, qu’il n’existe aucun traitement médical quel qu’il soit, proprement sans votre consentement. Donc, oui, c’est un énorme problème.

05:16:13 Reiner Fuellmich :

Nous avons donc appris ce soir de la part de tous les autres experts, y compris bien sûr des trois qui ont témoigné au début de cette session, que par exemple au Royaume-Uni, les soins de santé ont été largement privatisés, ils sont contrôlés par des groupes privés, voire des organisations caritatives privées. Nous avons appris que grâce à cette privatisation, même leur système psychiatrique a été privatisé. Des privés se trouvent derrière tout ça, et c’est comme ça qu’ils contrôlent tout. Ils créent même leurs propres futurs leaders, à l’instar du Forum économique mondial. Cela signifie qu’ils disposent de leurs propres membres à qui ils semblent dire ce qu’ils doivent faire à des postes de pouvoir au sein du gouvernement. Maintenant, si je regarde l’OMS, il y a un homme du nom de Tedros. C’est le directeur général. Qui est-il ? J’ai lu dans les journaux que dans son propre pays, les gens sont… et qu’une plainte pénale a été déposée contre lui pour génocide. Est-ce la marionnette typique, disons, que les entités privées qui dirigent le spectacle de la santé utilisent pour atteindre leurs objectifs ?

05:17:46 Astrid Stuckelberger :

Non, je dois dire que je n’ai jamais vu un tel directeur général. J’en ai connu beaucoup… Je sais aussi de l’intérieur que le personnel était très mécontent de lui. Et ils ont demandé sa démission et bien sûr, cela ne s’est jamais produit. Donc, oui.

Et un autre scoop, si je ne l’ai pas déjà dit, est que dans le conseil d’administration de la fondation GAVI, vous pouvez voir les noms des personnes qui ont fait partie de GAVI. Eh bien, Tedros a fait partie de GAVI avant d’être élu directeur général, conflit d’intérêts. Il a donc fait partie du conseil d’administration entre, je l’ai écrit ici, le 22 janvier 2009 et septembre 2011. C’est l’un d’entre eux. Et l’autre personne en conflit d’intérêt, la présidente de l’Irlande, qui était à la tête de la Commission des droits de l’homme. Je la connais mais je suis très surprise qu’elle ait été là avec le président, avec même la signature de GAVI, de novembre 2008 à septembre 2011. Je peux vous donner les papiers, pas de problème. Vous savez, c’est très précis, du 25 novembre 2008 au 14 septembre 2011.

Donc vous voyez, il y a beaucoup de noms que je ne connais pas. Et je suis sûre que vous y trouverez de nombreux noms que vous pouvez peut-être aussi trouver dans vos pays. Parce que des représentants de pays siègent à GAVI avant même d’être en poste. Il est donc clair qu’il était déjà lié à Bill Gates.

05:19:23 Reiner Fuellmich :

Donc, où que vous regardiez, vous voyez des conflits d’intérêts. Debi et Ana lèvent la main.

05:19:32 Ana Garner :

Oui, j’ai vérifié pour voir quels pays sont membres de l’OMS, et vous ? J’en vois beaucoup, beaucoup, beaucoup, en fait, je n’en vois aucun que je ne reconnais pas. Est-ce qu’il y a des pays ? 194 ? Y a-t-il des pays qui ne sont pas membres de l’OMS ?

05:19:53 Astrid Stuckelberger :

Pour le moment ? Je pense les Etats-Unis… ah non ils sont revenus. Non, le Vatican est un observateur aux Nations Unies, comme vous le savez peut-être ou pas. Et c’est aussi un sujet que je voulais aborder quand vous parlez des valeurs, de la religion, d’opérations psychologiques. Oui, donc ce sont des observateurs et ils sont partout. Les autres religions siègent en général au Conseil Mondial des Églises, juste en face du grand bâtiment que Bill Gates a construit avec notre argent suisse en trois ans. Je veux dire, vous devez le savoir.

Oh, non, c’était une question, alors j’ai répondu…

05:20:37 Ana Garner :

Il n’y a donc pas de pays qui ne soient pas membres. Le Vatican est peut-être un observateur, mais n’est pas un membre. Mais…

05:20:46 Astrid Stuckelberger :

Non, non. Je ne sais pas s’il y en a, Sylvia, que diriez-vous ? Même s’il y en avait 196 ? Votre son est coupé, Sylvia.

05:20:56 Silvia Behrendt :

Il y en a donc 196 dans le Règlement sanitaire international, parce que le Vatican et le Liechtenstein ne sont pas membres de l’OMS. Mais ils sont signataires du Règlement sanitaire international.

05:21:10 Reiner Fuellmich :

Debi a levé la main.

05:21:12 Astrid Stuckelberger :

Je voudrais juste ajouter quelque chose qui pourrait être intéressant sur le plan juridique. Dans l’annexe, dans les notes à la fin de ce règlement sanitaire international de 2005, deux pays ont émis des réserves, disant qu’ils n’étaient pas entièrement d’accord avec ce règlement, parce qu’ils voulaient appliquer leur sécurité globale au niveau national, et vous devinez de qui il s’agit. Les États-Unis et l’Iran. Il est donc intéressant de voir que deux pays ont réussi à émettre une réserve à ce sujet. Comment se fait-il que les autres ne l’aient pas fait ?

05:21:48 Reiner Fuellmich :

C’est parce que leur peuple n’a pas encore parlé, mais il le fera. Debi ?

05:21:52 Debi Evans :

Oh, merci. Je voudrais juste mentionner très rapidement, lorsque vous avez parlé du Royaume-Uni, que nous avons également un sérieux problème ici avec les personnes non vaccinées, car toute personne admise à l’hôpital positive au COVID-19 semble ou semblerait être placée dans un programme de soins de fin de vie accéléré, et il semble que l’on administre aux patients du Midazolam et de la morphine. Et ce, sans leur consentement. Sans le consentement de leur famille. Ces décisions sont prises par les praticiens seuls. Et les familles et le patient n’ont rien à dire. Je voulais donc m’assurer d’inclure les victimes de ce désastre absolu qui ne sont pas vaccinées. Et aussi, juste pour attirer votre attention sur le Cepi. Il a été fondé en 2017. Et Cepi et GAVI ont travaillé en étroite collaboration, en fait, financièrement très proches. Et lorsque le Cepi a été lancé en 2017, Bill Gates, lors du lancement du Forum économique mondial, a déclaré qu’en gros, ils allaient supprimer la sécurité des essais cliniques, ce serait seulement, et il l’a dit sans détour, et en fait la colonne des nouvelles du Royaume-Uni l’a relaté. Mais Bill Gates a déclaré que les données relatives à la sécurité et à la fabrication seraient réduites, ce qui permettrait à la mission « 100 jours » d’aller de l’avant et de déployer les vaccins dans les 100 jours suivant la déclaration de pandémie par l’Organisation mondiale de la santé. Je tenais donc à le mentionner. Et aussi, concernant Whitney qui parlait plus tôt de la DARPA, nous avons notre propre DARPA en version diluée, si vous voulez, nous avons la nôtre, mais nous avons aussi Wellcome Leap sur lequel Whitney a obtenu beaucoup d’informations quand il s’agit d’acheter des armes et de fabriquer des produits biochimiques. Et je vais aussi juste revenir sur le brevet, parce que le brevet de Rothschild de 2015, si vous regardez le document complet, tout ce que nous voyons aujourd’hui fait partie de ce brevet qui a été approuvé en 2020. Mais on lui a donné la priorité en 2015. Il a donc été rédigé en 2015. Et ce que nous voyons aujourd’hui, c’est tout ce qui se trouve dans ce brevet, de sorte qu’avec la pandémie de SPARS et la pandémie de SPARS 2025 à 2028, il y avait un coronavirus, et certains des noms sont les mêmes que dans le scénario futuriste de John Hopkins, comme Corovax. Cela présente donc beaucoup de similitudes.

Et je sais que nous avons parlé, vous avez parlé de parallèle, mais je voudrais juste rappeler aux gens que SPARS pandémie 2025 à 28, donne une répartition mensuelle. Et si vous regardez quand nous avons commencé, en mars, quand nous avons eu le premier cas, dans notre pays en tout cas, ou en décembre à Wuhan, cela progresse littéralement mois par mois. La prédiction pour l’avenir semble donc être la résistance aux antimicrobiens, ce qui est déjà écrit dans le SPARS. Et nous constatons que de nombreuses personnes dans ce pays ne sont pas en mesure d’accéder à des antibiotiques et que les généralistes et les médecins ici ne veulent pas en prescrire. Je voulais juste ajouter ça. Merci.

05:25:35 Reiner Fuellmich :

Nous avons donc de nombreuses raisons de nous inquiéter de notre souveraineté. L’une d’entre elles, et non la moindre, est le Règlement sanitaire international de l’Organisation mondiale de la santé. Cela semble être le thème principal. Il s’agit de la manière dont, par le biais de leur constitution et de la révision du Règlement sanitaire international, ils semblent essayer de prendre le contrôle du reste du monde, y compris, bien sûr, de l’ensemble des 196 États membres. Cette évaluation est-elle correcte ?

05:26:09 Silvia Behrendt :

Oui, du moins je le pense, car dans la première partie de mon expertise, j’ai souligné que cet agenda incluait les aspects militaires, mais ils n’avaient pas été nommés. C’est la raison pour laquelle nous avons maintenant une sorte de réponse à la pandémie non médicale, disproportionnée et politique. Et nous ne nous en rendons pas compte. Parce qu’ils ont inclus ce scénario bio- terroriste et ont adapté le langage à la sécurité sanitaire mondiale, c’est aussi ce centre de bio défense civile ou quelque chose comme ça. Au temps de Dark Winter, ça s’appelait Johns Hopkins Global Health Security Center, centre pour la bio défense civile, je crois que c’était le nom correct. Et ils avaient aussi un journal appelé Bio -terrorisme, ou Bio -défense et maintenant il s’appelle Global health security (Sécurité sanitaire mondiale). Nous ne devons donc pas oublier que le travail sur la bio-défense peut continuer du moins. C’est donc bien plus politique, comme en conviennent les politiciens eux-mêmes.

05:27:19 Astrid Stuckelberger :

J’ajouterai deux points : d’une part, nous devrions nous inquiéter de l’ensemble des Nations Unies, car les Objectifs de Développement Durable sont 17 objectifs et 169 cibles, c’est l’Agenda 2030. Et tout cela est imbriqué surtout avec le changement climatique par exemple, mais il faudrait examiner de nombreux autres mécanismes.

Le second, l’Alliance des Nations Unies pour le financement des SDG, de quoi s’agit-il ? Quand vous creusez, vous découvrez de nombreux éléments très mystérieux que nous devons comprendre. Mais l’autre point qui pourrait vous intéresser… rappelez-vous que la pandémie, ou l’urgence de santé publique de portée internationale comporte quatre typologies, je prenais en charge les études de cas, et il était très important de les distinguer. Et c’est ce que nous devrions faire avec ce qui se passe maintenant, parce que nous sommes tous concentrés sur le facteur biologique. Mais en fait, le premier est la biologie infectieuse. Le second est la biologie alimentaire. Et il y a toute une organisation là-derrière qui s’appelle Infostan. Le troisième est chimique, et le chimique c’est le mercure, peut être le métal, etc. Et j’invitais un expert Karsten Gutschmidt, un Allemand, il présentait toujours de très bons rapports, mais il était très difficile de trouver des experts là-bas. Et la quatrième, qui est très importante, vous allez voir pourquoi, c’est la radiation radionucléaire. Et c’est encore plus difficile de trouver des experts.

Et je m’en rends compte, parce que dans nos cours, nous avons invité des personnes qui s’occupent de cela. Il s’agit de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique basée à Vienne, des experts en matière de radionucléaire, Tchernobyl, Fukushima, ils sont les premiers concernés. Et ce qui m’a choquée lorsque nous faisions les études de cas de Fukushima, nous avions également demandé ce que l’OMS avait fait. Et ils ont dit non, l’OMS n’a pas été autorisée à accéder à Fukushima, le visa leur a été refusé. Parce que le premier à être présent est l’AIEA, l’Agence Internationale de l’Energie Atomique. Et ce qui est très étrange, c’est qu’ils ont un accord, ou en tout cas, une déclaration écrite qui leur donne le pouvoir sur l’OMS. Je suis donc allée voir ce qu’ils font avec le COVID aujourd’hui même. Je suis donc très heureuse ou très effrayée de vous annoncer qu’ils sont en charge du kit RT-PCR.

Et en fait, juste avant de dire comment ils ont présenté ça, si ils sont indépendants des Nations Unies, ils possèdent leur propre traité international. Et ils font chaque année un rapport à l’Assemblée générale des Nations Unies et au Conseil de Sécurité. C’est pour les menaces de bombe nucléaire qui pourraient tuer la planète entière. Donc, ils disent que l’AIEA a développé une technologie de diagnostic dérivée du nucléaire qui peut aider à détecter et identifier le COVID ou n’importe quoi d’autre chez nous, chez les humains et chez les animaux. Parce que les animaux sont traités par des vétérinaires et par la FAO, l’Organisation de l’Administration Alimentaire. Et ils ont développé ce test. Et ce test est très efficace, la RT-PCR, parce que c’est une réaction en chaîne par polymérase et un test rapide, ils pensent qu’ils sont les experts, en particulier pour Ebola, Zika, et le virus de la peste porcine africaine. Donc, j’ai lu ça juste aujourd’hui. Et pour moi, ça sonne l’alarme, parce qu’ils offrent maintenant le kit de test PCR, et leur laboratoire. Ils sont donc liés à des laboratoires. Et nous en parlions, c’est là où se trouve le pouvoir et où les choses doivent être, je pense, examinées de plus près, je ne sais pas ce que vous pensez, c’est un peu inquiétant.

05:31:53 Reiner Fuellmich :

Vous voulez dire que d’autres organisations privées ou semi-privées ou la plupart de ces organisations, dont nous avons parlé ce soir, presque toutes les organisations internationales sont plus ou moins contrôlées par des citoyens privés, par des groupes privés, des organisations caritatives, etc. Cela nous ramène au thème dont nous avons entendu parler aujourd’hui, à savoir que la City de Londres, la grande finance, contrôle tout, par l’intermédiaire de ses émissaires, de privés qui tentent de contrôler le reste du monde. Encore une fois, nous devons reprendre notre souveraineté, c’est tout ce que cela me dit en ce moment. Et nous devons également examiner de plus près les tests PCR, ce que nous ferons dans la séance de demain.

05:32:44 Astrid Stuckelberger :

Et peut-être aussi regarder toutes les ONG. Parce que l’OMS gère l’alliance mondiale des hôpitaux, l’alliance mondiale des alliances d’alliances. Beaucoup de Britanniques sont responsables. Et vous devez aussi savoir que de nombreux militaires sont là, car le CDC aux États-Unis, était autrefois militaire. Et je pense qu’il l’est toujours, d’ailleurs. Donc, je pense que nous devons démêler les ONG mondiales, ou les BINGO, les intérêts financiers des ONG, parce que ces mécanismes les rendent très difficile à trouver. Et elles ont beaucoup de pouvoir, plus que nous le pensons.

05:33:27 Reiner Fuellmich :

Les gens doivent apprendre qu’ils doivent se déconnecter et observer, regarder, démarrer la démocratie de base, regarder leurs régions et leurs communautés. Ce sont eux qui savent le mieux ce qui est bon pour eux. Il est déjà très tard. Je sais que Dipali a quelques heures d’avance sur nous, trois ou quatre heures, n’est-ce pas ? Dipali ?

05:33:52 Dipali Ojha :

Oui, quatre heures et demie.

05:33:54 Reiner Fuellmich :

Oh, mon Dieu ! La journée a été très longue. Et à moins qu’il y ait d’autres questions, je pense que nous devrions clore cette session pour ce soir. Oui, allez-y, Dexter, je vous en prie.

05:34:07 Dexter L-J Ryneveldt :

Oui, je veux juste parler au Dr Silvia, vous avez mentionné la sécurité sanitaire mondiale. Et j’aimerais peut-être juste la mettre en perspective par rapport aux changements de définition de l’Organisation Mondiale de la Santé en 2009.

05:34:25 Silvia Behrendt :

Eh bien, vous voulez dire que vous vous référez à ce troisième critère de pandémie ?

05:34:31 Dexter L-J Ryneveldt :

C’est exact. Oui.

05:34:34 Silvia Behrendt :

Mon opinion est qu’ils ont juste réalisé que l’OMS a compris qu’elle n’avait plus besoin d’une définition de pandémie. Parce que tout ce qui est nécessaire est un simulacre, une urgence de santé publique de portée internationale, parce qu’ils veulent fabriquer des vaccins. Et la façon dont la pandémie est définie dans les documents non juridiques n’a pas d’importance. Ils ont donc réduit le seuil très élevé, car ils ont réalisé qu’ils pouvaient, à tout moment, faire de l’urgence de santé publique une urgence de portée internationale. Tant qu’ils disposent de diagnostics. Ils n’ont donc pas prêté attention à ce thème, je pense. Et c’est notre problème. Et aussi pour les avocats qui cherchent toujours cette définition de pandémie. Mais il n’y a pas de conséquences juridiques liées à la définition d’une pandémie. Par contre, les conséquences juridiques sont énormes si vous proclamez, si le directeur général prend cette autorité et proclame une urgence de santé publique de portée internationale.

05:35:43 Dexter L-J Ryneveldt :

Merci beaucoup.

05:35:47 Virginie de Araujo Recchia :

Est-ce que ça explique peut-être pourquoi ils utilisent les modèles de Sir Ferguson pour augmenter la peur et expliquer qu’il y a une pandémie parce qu’avec les mathématiques épidémiologiques qu’ils ont utilisées là-dessus, ça ne sert à rien. C’est utilisé à tort pour étudier la propagation du virus, ils utilisent ces informations synthétiques à partir de ces modèles, peut-être, parce que ça paraît très étrange qu’ils utilisent les modèles de Sir Ferguson, et ça ne marche pas du tout. Et ces modèles ont été dupliqués dans d’autres pays, comme en France, par exemple. Et nous avons pris cela pour acquis. Ce n’est pas du tout basé sur l’expérience de la médecine, ce ne sont que des mathématiques. On ne peut pas du tout utiliser ça. Mais j’aimerais savoir si c’est pour cette raison que l’OMS a utilisé ces modèles, pour augmenter la peur de la pandémie et pour manipuler les masses.

05:37:12 Silvia Behrendt :

Je ne connais pas les détails, parce qu’en fait, ils avaient tout ce qu’il fallait pour proclamer une urgence de santé publique et les gouvernements nationaux avaient besoin de la population pour qu’elle accepte, je suppose. Ils en avaient donc besoin pour la population, car il y a aussi eu le premier simulacre déclaré en 2009, où des vaccins ont été fabriqués, mais personne n’a été menacé. En tout cas, je n’ai pas été menacée par cette simulation parce qu’il n’y avait pas de communiqués de presse qui nous menaçaient, mais maintenant ils avaient besoin que la population reste à la maison pendant les confinements et pour se faire vacciner à la fin, c’est mon explication personnelle, je ne sais pas.

05:37:53 Virginie de Araujo Recchia :

Oui, d’après le modèle de Sir Ferguson, les vaccins étaient la seule solution, pas de traitement du tout, seulement des vaccins.

05:38:07 Astrid Stuckelberger :

Je pourrais juste ajouter, ils ont changé beaucoup de définitions, ou de définitions scientifiques, pas seulement la pandémie, ils ont changé la définition des professionnels de santé, c’est tout le monde, ils ont changé la confidentialité des données, il n’y a plus de confidentialité des données. Ils n’ont pas fait d’éthique, par exemple, dans la communication dans le cours de la mise en œuvre du règlement sanitaire international. On devrait en faire, c’est pour rassurer les gens, « on ne sait pas, on cherche quelque chose, vous allez être fixé vous allez savoir ce qui se passe ». Et petit à petit, on tient les gens informés. Et là, c’était la peur, tout de suite. Et non seulement c’était une opération psychologique qui vise à instiller cette peur, cette peur constante avec des cas, avec des images de mort qui n’étaient pas des morts, parce que nous savons aujourd’hui qu’il n’y a pas plus de mortalité en 2020, mais aussi avec des contradictions déjà mentionnées. C’est dans la psychologie de Melanie Klein, vous rendez les gens et les enfants psychotiques quand vous dites « je t’aime mais je te déteste » et vous faites pression ou vous dites je « t’aime et je te déteste » en même temps par votre comportement.

Ils ont donc fabriqué un délire de cohérence, pas de contrôle, pas de sentiment de contrôle. C’est aussi un autre concept en psychologie. Et ils ont totalement insécurisé les gens, ce qui diminue leur immunité, d’ailleurs, et psychologiquement, ils ont aussi supprimé toutes les religions et tous les systèmes de croyance. C’est quelque chose qui maintient les gens en vie et ils ont censuré la religion, ils ont censuré la mort. Ils ont interdit le rituel de la mort qui est l’un des plus importants si vous voulez bien faire votre deuil. Je veux dire, la cohérence et la guérison. Ils ont donc fait beaucoup de choses. Pas seulement cette manipulation… Je ne connais pas M. Ferguson, mais je pense que je pourrais en ajouter une, ils ont complètement inversé les valeurs. Et c’est un peu le syndrome psychotique de Melanie Klein, je l’appelle le syndrome d’Hansel et Gretel, « parce que je vous aime, je vais vous donner ça, je vais être éthique, nous allons bien vous traiter avec le vaccin », et ils les tuent. Et ils ont complètement abrogé les directives de recherche éthique, que nous avons élaborées entre 2006 et 2009. J’étais impliquée là-dedans. Donc, toutes les valeurs sont aussi une opération psychologique. Ils ont changé les valeurs et les définitions.

05:40:50 Reiner Fuellmich :

Il est certain qu’il ne s’agit pas de santé.

05:40:55 Debi Evans :

En ce qui concerne le Professeur Ferguson, si je peux juste clarifier le point de vue du Professeur en 2002. Il a modélisé la survenue de 50 000 décès au Royaume-Uni à cause de la maladie de la vache folle. Et il l’a modélisé de manière complètement incorrecte, alors nous avons incinéré tout notre bétail à cause de 150 décès. C’était donc très incorrect. Nous avons été très surpris au Royaume-Uni lorsque nous avons appris que Neil Ferguson était responsable de la modélisation de cette pandémie, car il s’était montré très imprécis lors de la précédente. Il a également fait la une des journaux à plusieurs reprises et a dû démissionner de son poste à SAGE parce qu’il a été pris en train d’enfreindre les règles de confinement. Je voulais juste ajouter cela à son propos.

05:41:38 Reiner Fuellmich :

La question est : comment se fait-il qu’il soit toujours en poste ?

05:41:41 Debi Evans :

C’est une très bonne question. Et je ne peux pas y répondre. Je crains que ce soit le cas. Il ne devrait pas…

05:41:47 Astrid Stuckelberger :

Conflit d’intérêt.

05:41:50 Debi Evans :

Absolument.

05:41:51 Astrid Stuckelberger :

Ou népotisme..

05:41:53 Debi Evans :

Il travaille aussi en étroite collaboration avec l’Arabie Saoudite. J’ai oublié de trouver le nom, je n’arrive ni à le lire ni à le prononcer. Mais il travaille à l’Imperial College qui a le plus grand nombre d’anciens élèves chinois. Quand le président Xi est venu en visite officielle, la seule université qu’il a visitée était l’Imperial qui a d’énormes liens avec la Chine. Et ils ont aussi racheté un certain nombre de nos hôpitaux, si bien que nous avons maintenant un NHS Trust impérial. Donc l’Imperial, je pourrais continuer pendant des heures sur l’Imperial et le professeur Alice Gast qui en est la présidente, elle a donné une conférence basée sur 1984, George Orwell, 1984. Beaucoup de choses se passent à l’Imperial et je pourrais en dire beaucoup plus, mais le professeur Ferguson a été discrédité en 2002 pour la maladie de la vache folle, et je voulais juste le mentionner. Merci.

05:42:55 Reiner Fuellmich :

C’est étonnant effectivement, le nombre de personnes qui sont totalement incompétentes dans leur domaine. L’une d’entre elles est la personne qui dirige la Commission européenne, elle a échoué à tous les postes qu’elle a occupés. C’est incroyable le nombre d’incompétents qui sont maintenus en poste, évidemment par ceux qui les y ont mis. Ces gens super riches, d’une manière ou d’une autre, semblent être alimentés et maintenus en vie par la City de Londres et ses cinquièmes colonnes qui semblent être partout dans le monde. Nous devrons examiner de plus près tous ces événements.

05:43:43 Astrid Stuckelberger :

Je voudrais juste ajouter une chose, nous parlions de McKinsey, et le fils de Von der Leyen travaille pour McKinsey, et le fils de Fabius en France travaille pour McKinsey. Et vous connaissez le népotisme ? C’est un terme utilisé pour les Papes…

05:44:03 Virginie de Araujo Recchia :

Ursula von der Leyen a aussi eu un problème quand elle était ministre de la défense en Allemagne, je crois.

05:44:07 Reiner Fuellmich :

Et aussi quand elle était secrétaire aux familles, je crois, ou quelque chose comme ça. Elle a toujours eu des problèmes, mais elle a toujours été maintenue en poste.

05:44:17 Virginie de Araujo :

Et c’était déjà un problème avec les contrats de McKinsey.

05:44:21 Reiner Fuellmich :

C’est majeur. Je pense que McKinsey est une institution majeure et tout cela parce que nous avons appris par un autre expert que Bill Gates utilise McKinsey pour s’assurer que ses conseillers deviennent les conseillers de, par exemple, Ursula von der Leyen et de toutes les autres personnalités politiques majeures, par le biais de McKinsey et de leur réseau.

05:44:55 Astrid Stuckelberger :

Oui, c’est incroyable que nous ayons exactement les mêmes messages il y a deux ans dans les magasins et dans les aéroports, et maintenant. Vous savez, lavez-vous les mains, mettez votre masque, je veux dire, en Europe, du moins pour ceux qui ont ces mesures, et c’est la même voix. C’est comme une agence de marketing.

05:45:15 Reiner Fuellmich :

Tout à fait.

05:45:16 Astrid Stuckelberger :

Alors il faut aussi analyser ça, si c’est la même voix partout. Il y a quelque chose de bizarre.

05:45:22 Reiner Fuellmich :

Nous nous penchons également sur cette question. Mais ce soir, la journée a été très longue. Et je sais que Dipali a besoin de sommeil, comme nous tous. Donc, à moins qu’il n’y ait d’autres questions auxquelles il est urgent de répondre, je pense que nous devrions clore notre séance du jour. Et je tiens vraiment à remercier tout le monde, cela a été extrêmement précieux. Merci, Astrid. Merci, Virginie. Merci, Silvia. Merci, Dexter, Ana et Dipali. Et bien sûr, merci, Debi. Merci beaucoup, beaucoup. Un grand pas de fait. Merci.




Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »

[Source : lemediaen442.fr]

L’archevêque Carlo Maria Viganò a fait l’éloge des camionneurs canadiens qui protestent contre l’obligation vaccinal et les a exhortés à prier pour que la cause de la liberté triomphe de la tyrannie.

« Votre protestation, chers amis camionneurs canadiens, rejoint un chœur mondial qui veut s’opposer à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial sur les décombres des États-nations. »


Chers frères et sœurs camionneurs canadiens,

Le coup d’État mondial qui, au cours de ces deux années de farce psycho-pandémique, a été mené par l’élite mondialiste apparaît plus clairement si nous ne nous limitons pas à considérer ce qui s’est passé dans des nations individuelles, mais élargissons notre regard à ce qui s’est passé partout.

Votre protestation, chers amis camionneurs canadiens, rejoint un chœur mondial qui veut s’opposer à l’établissement du Nouvel Ordre mondial sur les décombres des États-nations, à travers la Grande Réinitialisation voulue par le Forum économique mondial et par les Nations-Unies sous le nom d’Agenda 2030 . Et nous savons que de nombreux chefs de gouvernement ont participé à l’ École des jeunes leaders de Klaus Schwab — les soi-disant Global Leaders for Tomorrow — à commencer par Justin Trudeau et Emmanuel Macron, Jacinta Ardern et Boris Johnson, et avant cela Angela Merkel, Nicolas Sarkozy et Tony Blair. 

Il semblerait que le Canada soit – avec l’Australie, l’Italie, l’Autriche et la France – l’une des nations les plus infiltrées par les mondialistes. Et dans ce projet infernal, il ne faut pas seulement considérer la farce psycho-pandémique, mais aussi l’atteinte aux traditions et à l’identité chrétienne – en fait, plus précisément à l’identité catholique – de ces pays. 

Vous l’avez compris instinctivement, et votre aspiration à la liberté s’est manifestée dans toute son harmonie coordonnée, se dirigeant vers la capitale Ottawa. Chers camionneurs, vous rencontrez de grandes difficultés, non seulement parce que vous renoncez à votre travail pour manifester, mais aussi à cause des conditions météorologiques défavorables, des longues nuits dans le froid et des tentatives d’évacuation auxquelles vous faites face. Mais parallèlement à ces difficultés, vous avez également connu la proximité de nombre de vos concitoyens, qui comme vous ont compris la menace qui se profile et veulent vous soutenir dans la contestation contre le régime. Permettez-moi également de vous exprimer mon soutien et ma proximité spirituelle, à laquelle je joins la prière pour que votre manifestation soit couronnée de succès et puisse également s’étendre à d’autres pays. 

De nos jours, nous voyons tomber les masques des tyrans du monde entier, et malheureusement nous voyons aussi tant de conformisme, tant de peur, tant de lâcheté chez des personnes que nous considérions jusqu’à hier comme des amis, même parmi les membres de notre famille. Pourtant, précisément à cause de cette situation extrême, nous découvrons avec étonnement des gestes d’humanité faits par des étrangers, des signes de solidarité et de fraternité de la part de ceux qui se sentent proches de nous dans le combat commun. Nous découvrons tant de générosité et tant d’envie pour nous secouer de cette torpeur. Nous découvrons que nous ne sommes plus disposés à subir passivement la destruction de notre monde imposée par une cabale de criminels sans scrupules, assoiffés de pouvoir et d’argent. 

Dans cette attaque incessante contre le monde traditionnel, non seulement votre mode de vie et votre identité ont été touchés, mais aussi vos biens, vos activités et votre travail. C’est le Great Reset, c’est l’avenir promis par des slogans comme Build Back Better, c’est l’avenir de milliards de personnes contrôlées dans chacun de leurs mouvements, dans toutes leurs transactions, dans chaque achat, chaque pratique bureaucratique, chaque activité. Des automates sans âme ni volonté, privés de leur identité, réduits à disposer d’un revenu universel qui leur permet de survivre, de n’acheter que ce que d’autres ont déjà décidé de mettre en vente, transformés par un sérum génétique en malades chroniques. 

Aujourd’hui plus que jamais, il est essentiel que vous preniez conscience qu’il n’est plus possible d’assister passivement : il faut prendre position, se battre pour la liberté, exiger le respect des libertés naturelles. Mais plus encore, chers frères canadiens, il faut comprendre que cette dystopie sert à établir la dictature du Nouvel Ordre mondial et à effacer totalement toute trace de Notre Seigneur Jésus-Christ de la société, de l’histoire et des traditions des peuples. 

Manifestez pour vos droits, amis canadiens : mais que ces droits ne se limitent pas à une simple revendication de la liberté d’entrer dans les supermarchés ou de ne pas se faire vacciner : que ce soit aussi une revendication fière et courageuse de votre sacro-saint droit d’être des hommes libres. Mais votre démonstration doit être celle de la vraie liberté, vous rappelant que c’est la Vérité – c’est-à-dire Notre-Seigneur Jésus-Christ – qui seule peut vous garantir la liberté : la vérité vous rendra libre .

Prions pour que le Christ revienne régner dans la société, dans vos cœurs et dans vos familles. Prenez l’arme spirituelle du Saint Rosaire et priez la Sainte-Vierge, sainte Anne, saint George et les saints Martyrs canadiens pour protéger votre patrie.

Je voudrais conclure mon appel en vous demandant de prier avec moi, avec les paroles que Notre-Seigneur nous a enseignées : qu’elles soient le sceau de ce réveil, de cette libération nationale. Prions-le tous ensemble, à voix haute, pour que notre prière monte jusqu’au Ciel, mais aussi pour qu’elle résonne puissamment sur ces places, dans ces rues, jusqu’aux palais des puissants :

Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié ; que ton règne vienne ; que ta volonté soit faite sur la Terre comme au Ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien. Et pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous soumets pas à la tentation; mais délivre-nous du mal. Amen.

Carlo Maria Viganò, archevêque

7 février 2022.

[Voir aussi :
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commu]




Quelles actions résistantes mener en 2022 ?

Par Joseph Stroberg

2021 a pratiquement démontré que divers types d’actions entreprises pour tenter de se libérer de la tyrannie covidienne, voire de certains gouvernements, n’ont pour l’instant pas donné grand-chose et se sont même révélées dans certains cas relativement futiles ou stériles. Plusieurs raisons peuvent expliquer ces échecs (notamment des manifestations) ou ces retards dans l’obtention de résultats lorsque ceux-ci sont encore possibles (comme dans le cas de certaines procédures judiciaires). Pour espérer mieux en 2022, nous gagnons à commencer par reconsidérer le tableau des forces en présence dans cette nouvelle forme de guerre, un conflit dont la véritable cible n’est pas un virus, mais l’Humanité.

Comme pour toute action sur le plan physique, tout l’art de la guerre se ramène en définitive à trouver, puis à mettre en œuvre les moyens qui permettent d’obtenir le résultat optimal avec la dépense minimale d’énergie. En d’autres termes, l’art le plus fin respecte le principe physique de « moindre action » et l’on découvrira peut-être un jour que l’art sublime est celui qui se trouve en plein accord des lois physiques et métaphysiques de l’univers (ceci incluant alors les dimensions psychologiques, psychiques et spirituelles). Cela vaut donc notamment pour la guerre et l’art de la mener avec le minimum de pertes, mais le maximum de résultats dans le temps minimal possible.

L’idée de cet article est venue de la suggestion d’un lecteur, Bernard, qui propose le type d’action suivante pour 2022 :

« Il ne s’agirait pas de manifester lors des déplacements des dirigeants, mais lors de leurs déclarations à la télévision. En effet, à chaque fois qu’ils font une déclaration, c’est pour nous annoncer des contraintes supplémentaires. Une manifestation sur les balcons serait une façon concrète de réagir pour leur dire NON tout de suite, les désapprouver et leur faire savoir immédiatement.

À la réflexion, je me demande même si ça ne serait pas plus efficace de renouveler cette manifestation tous les soirs à 20 h (l’heure du début des journaux télévisés en France). On l’a bien fait pendant le confinement pour applaudir les soignants tous les soirs à 20 h, et même dans une petite ville de 4300 habitants passifs comme la mienne, on entendait la clameur des manifestants.

Je pense qu’une manifestation facile à mettre en œuvre par chacun individuellement pourrait devenir massive. Dans ces conditions, elle permettrait aux indécis et aux endormis de prendre conscience de la force que nous représentons en étant solidaires dans la contestation.

De plus, je crois que cela constituerait une manifestation non violente, mais très forte si elle prend de l’ampleur. Beaucoup d’activistes insistent sur la nécessité d’actions non violentes pour éviter de tomber dans un piège qui conduirait aussitôt le gouvernement à décréter la loi martiale. Et ils ont raison, le pouvoir n’attend que ça ! »

Nous examinerons donc ici si ce mode d’action ou d’autres sont susceptibles de respecter ou non un minimum le principe de moindre action et par conséquent s’ils font ou non honneur à l’art de la guerre et auront des chances faibles ou fortes de faire tomber l’arnaque plandémique ou même le Nouvel Ordre Mondial.

En physique, il existe des phénomènes qui permettent d’obtenir de grands effets avec une faible dépense d’énergie, ceci parce que les efforts sont soit diffusés dans le temps (cas de la résonance), soit démultipliés par le jeu de la mécanique (comme pour l’effet de levier) ou d’autres lois. Ainsi, lorsque des soldats marchent sur un pont à sa fréquence propre exacte, ils le font entrer en vibration, en « résonance » de manière de plus en plus forte et peuvent finir par dépasser la limite de résistance de ses matériaux, puis donc le briser. En économie, ils parlent d’effet de levier lorsque certaines formes d’action ou d’investissement relativement faibles permettent d’obtenir de grands rendements et donc un bon retour sur investissement. De nouveau en mécanique, un moteur électrique bien huilé engendre peu de frottements et tourne donc plus rapidement, avec moins de pertes d’énergie sous forme de chaleur. Par analogie, on peut chercher sur le plan sociétal, les types d’actions qui sont susceptibles de respecter au mieux ces grands principes physiques extrapolables sur d’autres plans.

Les actions les plus efficaces pour faire tomber le Nouvel Ordre Mondial, doivent tenir compte à la fois de tels principes et lois universelles, mais aussi bien sûr de la nature même de ce Système (voir Vie et mort des systèmes). Le Nouvel Ordre Mondial est un système organisé autour de concepts et d’idéologies matérialistes qui découlent ultimement de la peur de la mort physique. C’est pour cette raison essentielle que notamment ses promoteurs et ses valets cherchent l’immortalité par le biais des machines, de l’IA (Intelligence Artificielle) et du transhumanisme, après l’avoir illusoirement et vainement cherchée via l’alchimie incomprise et ne l’avoir toujours pas trouvée par le biais des manipulations génétiques. Leur présente quête est pareillement vouée à l’échec, car la matière elle-même n’est pas immortelle, mais périssable, limitée dans le temps et dans l’espace.

Pour espérer faire durer leur vie sur Terre, les mondialistes cherchent à se ménager un paradis confortable en réduisant la population terrestre à cinq cents millions d’individus (voir Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial), en contrôlant le climat (au moins selon leurs croyances par la diminution de la production de CO2 — dioxyde de carbone, voire par l’utilisation d’installations telles que HAARP), en parquant le commun des mortels dans les villes pendant qu’ils se réserveront les vastes territoires sauvages et la campagne, selon les vœux du Forum Économique Mondial et de l’Agenda 2030 de l’ONU. (Voir par exemple Le « Great Reset » n’est pas du complotisme, « L’Agenda 2030 » [vert] de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !, et But des Agendas 21 et 2030)

Pour mener à bien leur programme qui date de plusieurs décennies et même possiblement d’au moins quelques siècles (se le transmettant alors de génération en génération), ils disposent maintenant des ressources suivantes :

  • au moins 90 % de la finance mondiale ;
  • la mainmise sur les multinationales ;
  • le contrôle des médias « mainstream » (dominants) ;
  • les organismes internationaux qu’ils ont créés de manière non démocratique (ONU, OMS, OMC…) ;
  • l’appui des grandes institutions religieuses (le faux pape actuel étant par exemple un fervent promoteur du N.O.M., de la vaccination, de la réduction du CO2, etc.) ;
  • le contrôle de la médecine via les entreprises pharmaceutiques, l’OMS, la GAVI et les ordres professionnels des personnels de la Santé (médecins, infirmiers…) ;
  • le contrôle de la plupart des ressources minérales, pétrolières et énergétiques exploitées, au moins dans les pays sous leur influence directe, éventuellement par la corruption des hommes politiques lorsque ces ressources sont étatiques ;
  • même chose pour les ressources agroalimentaires, de plus en plus d’agriculteurs et de petits producteurs étant réduits à la faillite ou au suicide ;
  • le contrôle des juges les plus influents (par le chantage, les menaces de mort ou la corruption), spécialement au niveau des plus hautes juridictions nationales et internationales ;
  • etc. ?

Connaissant les caractéristiques fondamentales et les forces du Nouvel Ordre Mondial, quelles stratégies, méthodes et actions ont des chances d’aboutir ? Si le point de vue exposé plus haut est réaliste, alors ce seront celles qui respectent le mieux le principe de moindre action et l’art de la guerre qui en découle en ce qui concerne la gestion victorieuse des conflits (dans le cas, comme ici, où il n’existe pour l’instant aucune conciliation possible, tant et aussi longtemps qu’il n’apparaîtrait pas un conciliateur d’envergure et d’impartialité suffisantes pour être reconnu par les deux parties en conflit).

Et elles devront bien sûr pouvoir être menées réellement par les résistants, c’est-à-dire qu’elles devront d’abord compter sur leurs propres ressources qui sont dérisoires sur le plan matériel par rapport à celles de l’adversaire. Chercher à l’affamer, comme il avait été notamment proposé dans Ne plus nourrir la Bête, demanderait beaucoup trop de temps et de cohésion internationale pour être réaliste à ce stade de la situation. Le gros monstre plein de graisse tiendrait bien plus longtemps que les petites bestioles malingres à un tel jeu. Ces dernières ne peuvent guère non plus espérer pouvoir voler la nourriture du premier, car elles auraient bien plus de chances de se faire écraser face à la puissance de feu de l’assaillant lors de toute tentative d’un tel ordre. Alors quoi d’autre, lorsque l’on dispose de peu de ressources face à un puissant adversaire ?

Pour le Nouvel Ordre Mondial, la lutte est apparemment très facile, au point que ses promoteurs et ses agents ne se cachent même plus (voir Nos bourreaux ne se cachent même plus ! et Les Peuples et les États piétinés, les comploteurs ne se cachent même plus). En cas de tentative de rébellion de la populace, ils n’ont qu’à viser les têtes et les décapiter. Sans leader, la résistance devient aussi forte et opérante qu’un poulet sans tête. Cependant, il existe diverses stratégies en cas de conflit asymétrique, comme c’est le cas de la présente guerre menée par l’élite contre l’Humanité. L’une d’elles est la guérilla, mais encore une fois, c’est une approche longue et nous n’avons plus le temps pour ce genre de chose. De plus, habituellement la guérilla n’a des chances de succès que si elle s’appuie sur une aide étrangère ou à la rigueur sur l’ensemble de la population opprimée. Ici, l’équivalent du support étranger serait une aide extraterrestre ou surnaturelle. Aucune de ces deux sortes n’est pour l’instant visible à l’horizon. Quant au soutien du peuple, avec les deux tiers en état hypnotique pro N.O.M., il est plutôt vain de le chercher.

Oublions la guérilla et la tentative d’affamer ! Ne comptons pas trop non plus sur les approches juridiques alors même que la justice est probablement aussi corrompue que le monde politique et les médias, et qu’en plus l’adversaire peut s’ingénier à faire durer les procédures et à jouer sur les myriades de lois pour aboutir au final à un non-lieu. Quoi d’autre ? Eh bien il existe aussi la stratégie de certains arts martiaux, comme le Judo, qui consiste à retourner la force de l’adversaire contre lui. La technique est voisine de l’effet de levier et fait purement appel aux lois physiques de la mécanique. On utilise par exemple l’élan de l’adversaire pour le déséquilibrer ou pour dévier ses coups et les rendre inopérants, voire retournés contre lui-même. Les deux forces principales de l’adversaire dans la phase actuelle du conflit sont les médias qui sont utilisés par l’« hypnotiseur », contrôleur mental des foules, et la théorie virale qui donne le crédit à l’hypnose par sa justification des pseudo vaccins. (Voir Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin)

Retourner les médias contre l’adversaire nécessite de parvenir à d’abord retourner certains journalistes mainstream, ceci grâce à une relativement grande puissance démonstrative déjà présente dans de nombreux médias alternatifs. Cela ne peut bien sûr fonctionner que sur des journalistes, assez rares, qui ne soient pas déjà hypnotisés et qui ne soient pas non plus corrompus. Et il faut sans doute aussi qu’ils soient prêts à perdre leur emploi. Ce n’est pas gagné. Et ça peut aussi prendre du temps pour atteindre un pouvoir d’influence suffisant dans ces médias dominants. Quant à convaincre du caractère possiblement ou probablement frauduleux et fallacieux de la théorie virale, ceci relève pour l’instant de « Mission impossible », au moins tant et aussi longtemps qu’un nombre significatif de médecins et/ou de chercheurs en médecine ne se penchent pas sérieusement et sans a priori sur la question.

Si l’on peut difficilement actuellement attaquer l’idée germe utilisée pour engendrer la psychose de masse Covid (à savoir l’existence d’un méchant virus qui leur donne une explication de leur angoisse existentielle), est-il possible de renverser cette sorte d’hypnose collective d’une autre manière ?

Annuler une hypnose se fait plus simplement par l’hypnotiseur lui-même. Cependant, comme ici ce dernier est l’assaillant, il n’a aucun intérêt à détruire son arme. Par contre, un autre hypnotiseur peut éventuellement produire une contre hypnose, c’est-à-dire implanter de nouvelles instructions ou croyances dans l’esprit de l’hypnotisé, mais dans ce cas il ne vaut pas mieux que son adversaire qui a perdu tout sens moral. Toute hypnose ou intervention similaire devrait se faire, comme pour tout acte médical, avec un consentement libre et éclairé du patient. Donc, oublions aussi cette possibilité ! Néanmoins, le réveil d’une hypnose peut aussi être produit par un choc salutaire du genre d’une douche froide ou par un bruit soudain qui fait sortir l’individu de sa torpeur. Une conséquence probable est alors malheureusement un état de déséquilibre psychologique plus ou moins marqué, l’individu perdant son centrage ou son alignement intérieur entre ses différentes composantes de personnalité (physiques, émotionnelles et mentales). Le « charme » est rompu, mais rien n’est venu le remplacer. Ce n’est guère mieux.

Revenons maintenant à la proposition de Bernard. Elle revient à utiliser les médias contre le Système, en permettant à ce type de démonstration d’être largement connu, un peu comme au temps initial des Gilets Jaunes. Elle coûte peu d’énergie et se trouve reliée au phénomène de résonance évoqué plus haut, par son côté cyclique (la répétition de l’action chaque jour à heure fixe). Cependant, pour être efficace et agir dans un sens de réveil de l’hypnose, le « bruit » provoqué, la parole prononcée, le discours proposé… doit être porteur d’un message fort, capable d’offrir une meilleure réponse que le virus à l’angoisse existentielle, au vide intérieur ressenti par les individus… Les participants doivent eux-mêmes éviter tout signe reliant au mensonge colporté par l’hypnotiseur et doivent dont refuser masque, distanciation et confinement, au moins à l’heure de leur démonstration. Sortir alors dehors et s’y réunir à plusieurs qui se serrent les coudes ou se tiennent par la main et non masqués pendant qu’une partie d’entre eux tape sur des casseroles ou joue du tambour en rythme aurait sans doute plus de poids qu’isolés sur des balcons. Reprendre en chœur la chanson des partisans (par exemple, ou un chant équivalant qui puisse être porteur d’au moins une partie du message à passer) serait sans doute mieux que des casseroles et des tambours ou pourrait accompagner ces derniers. (Voir aussi Ami entends-tu les sanglots longs des violons de l’automne ? L’heure est venue de passer à l’action !). Bien sûr l’efficacité potentielle de cette approche sera au moins proportionnelle au nombre de participants.

L’approche qui vient d’être succinctement présentée réunit plusieurs éléments compatibles avec l’art de la guerre, particulièrement contre un adversaire à la puissance disproportionnée. Si elle implique un nombre suffisant de Français (ou d’autres nations), elle pourrait à un moment donné aussi être suivie d’une autre démonstration de grande ampleur qui elle serait la preuve d’une cohésion suffisante de la Résistance, comme proposé dans l’article France — Une croix pour faire tomber le régime. Les personnes qui trouvent l’idée intéressante et faisable gagneront à rapidement se contacter pour organiser concrètement les premières démonstrations et si possible simultanément dans plusieurs villes de France. Il n’est probablement pas nécessaire que chaque jour cela dure plus de 30 minutes, voire même plus de 10.


Note : par ailleurs, ce n’est pas parce que certaines actions semblent bien moins efficaces que d’autres et ont peu de chances a priori d’aboutir à des résultats concrets qu’il faut pour autant y renoncer si l’on sent devoir les mener à bien. Il est déjà arrivé de nombreuses fois dans l’Histoire humaine où une réussite est intervenue (dans un projet donné ou lors de la tentative de relever un défi particulier), ceci même contre toute attente.




L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale

[Source : lemediaen442.fr]

Dans une vidéo envoyée à plusieurs médias, Mgr Carlo Maria Viganò appelle les croyants à s’unir dans une alliance anti-mondialiste pour libérer l’humanité du régime totalitaire. Un message fort est envoyé aux croyants du monde entier, afin de lutter et vaincre les élites maléfiques, ces conspirateurs qui souhaitent réduire en esclavage des hommes et des femmes libres.

« Face à ce coup d’État mondial, il est nécessaire de former une alliance anti-mondialiste internationale qui rassemble tous ceux qui veulent s’opposer à la dictature. »

[Voir aussi :
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]


Depuis maintenant deux ans, nous assistons à un coup d’État mondial dans lequel une élite financière et idéologique a réussi à prendre le contrôle d’une partie des gouvernements nationaux, des institutions publiques et privées, des médias, de la justice, des politiciens et des chefs religieux. Tous, sans distinction, sont devenus esclaves de ces nouveaux maîtres qui assurent pouvoir, argent et affirmation sociale à leurs complices. Les droits fondamentaux, qui jusqu’à hier étaient présentés comme inviolables, ont été foulés aux pieds au nom d’une urgence : aujourd’hui urgence sanitaire, demain urgence écologique, puis urgence internet.

Ce coup d’État mondial prive les citoyens de toute possibilité de défense, puisque les pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire sont complices de la violation de la loi, de la justice et de l’objet pour lequel ils existent. C’est un coup d’État global car cette attaque criminelle contre des citoyens s’étend au monde entier, à de très rares exceptions près. C’est une guerre mondiale, où les ennemis sont nous tous, même ceux qui, sans le vouloir, n’ont pas encore compris la signification de ce qui se passe.

C’est une guerre menée non pas avec des armes mais avec des règles illégitimes, des politiques économiques perverses et des limitations intolérables des droits naturels. Des organisations supranationales, financées en grande partie par les conspirateurs de ce coup d’État, s’ingèrent dans le gouvernement des nations individuelles et dans la vie, les relations et la santé de milliards de personnes. Ils le font pour de l’argent, certes, mais plus encore pour centraliser le pouvoir afin d’établir une dictature planétaire. C’est la Grande Réinitialisation du Forum Economique Mondial,  l’Agenda 2030 des Nations Unies. C’est le plan du Nouvel Ordre mondial, dans lequel une république universelle asservit tout le monde et une religion de l’humanité annule la foi en Christ.

Face à ce coup d’État mondial, il est nécessaire de former une alliance anti-mondialiste internationale qui rassemble tous ceux qui veulent s’opposer à la dictature, qui n’ont pas l’intention de devenir les esclaves d’un pouvoir sans visage, qui ne veulent pas annuler leur propre identité, leur propre individualité, leur propre foi religieuse. Si l’attaque est globale, la défense doit aussi être globale.

« J’appelle les dirigeants, les dirigeants politiques et religieux, les intellectuels et toutes les personnes de bonne volonté, les invitant à s’unir. »

J’appelle les dirigeants, les dirigeants politiques et religieux, les intellectuels et toutes les personnes de bonne volonté, les invitant à s’unir dans une alliance qui lance un manifeste anti-mondialiste, réfutant point par point les erreurs et les déviations de la dystopie du Nouvel Ordre mondial et proposant des alternatives concrètes pour un programme politique inspiré par le bien commun, les principes moraux du christianisme, les valeurs traditionnelles, la protection de la vie et de la famille naturelle, la protection de l’entreprise et du travail, la promotion de l’éducation et de la recherche, et le respect de la création.

Cette alliance anti-mondialiste devra rassembler les nations qui entendent échapper au joug infernal de la tyrannie et affirmer leur propre souveraineté, en concluant des accords de collaboration mutuelle avec des nations et des peuples qui partagent leurs principes et le désir commun de liberté, de justice et de bonté. Elle devra dénoncer les crimes des élites, identifier les responsables, les dénoncer devant les tribunaux internationaux, et limiter leur pouvoir excessif et leur influence néfaste. Elle devra empêcher l’action des lobbies, surtout en luttant contre la corruption des agents de l’État et de ceux qui travaillent dans l’industrie de l’information, et en gelant les capitaux servant à déstabiliser l’ordre social.

Dans les nations où les gouvernements sont inféodés aux élites, pourront être mis en place des mouvements de résistance populaire et des comités de libération nationale, comprenant des représentants de tous les secteurs de la société qui proposeront une réforme radicale de la politique, inspirée par le bien commun et fermement opposée au projet néo-malthusien de l’agenda mondialiste. J’invite tous ceux qui veulent défendre la société chrétienne traditionnelle à se réunir dans un forum international, qui se tiendra le plus tôt possible, dans lequel des représentants de diverses nations se réuniront pour présenter une proposition sérieuse, concrète et claire.

«  Mon appel s’adresse aux dirigeants politiques et aux gouvernants soucieux du bien de leurs citoyens, laissant de côté les anciens systèmes de partis politiques et la logique imposée par un système asservi au pouvoir et à l’argent. »

Mon appel s’adresse aux dirigeants politiques et aux gouvernants soucieux du bien de leurs citoyens, laissant de côté les anciens systèmes de partis politiques et la logique imposée par un système asservi au pouvoir et à l’argent. J’appelle les nations chrétiennes ensemble, d’est en ouest, invitant les chefs d’État et les forces saines des institutions, de l’économie, du travail, des universités, de la santé et de l’information à se joindre à un projet commun, perturbant les anciens systèmes et mettant de côté les hostilités qui sont désirées par les ennemis de l’humanité au nom de Divide et impera [diviser pour régner].

Nous n’acceptons pas les règles de notre adversaire, car elles sont précisément faites pour nous empêcher de réagir et d’organiser une opposition efficace et percutante. J’appelle les nations et leurs citoyens à s’allier sous la Croix de Notre-Seigneur Jésus-Christ, le seul Roi et Sauveur, le Prince de la Paix — In hoc signo vinces [par ce signe, tu vaincras].

Fondons cette alliance altermondialiste, donnons-lui un programme simple et clair, et libérons l’humanité d’un régime totalitaire qui rassemble en lui les horreurs des pires dictatures de tous les temps. Si nous continuons à tarder, si nous ne comprenons pas la menace qui pèse sur nous tous, si nous ne réagissons pas en nous organisant en une résistance ferme et courageuse, ce régime infernal qui s’installe partout ne sera pas arrêté. Et que Dieu tout-puissant nous assiste et nous protège.

Vous pouvez télécharger une copie de l’appel de Mgr Carlo Maria Vigano ici :


Appeal Anti-Globalist Alliance by Jim Hoft

Le Média en 4-4-2




Le troublant Accord signé par la France en décembre 2019 confirme le pouvoir mondial de l’OMS. Fin probable de l’hôpital public…

[Source et auteur : LHK]

Nous avons vu dans notre dernière publication que l’OMS a l’ambition de s’approprier la gouvernance mondiale de la santé avec des conséquences définitives et irrémédiables sur l’autorité locale, celle-ci devenant une simple exécutante de l’organisation supranationale.

En faisant mes recherches sur la montée en puissance de l’OMS (vs l’autorité locale), je suis tombée hier sur des informations très intéressantes qui concernent la France, et curieusement 3 ministères sont signataires dont celui de la Santé de Agnès Buzyn, actuellement sur la sellette.
https://www.ouest-france.fr/politique/agnes-buzyn/justice-agnes-buzyn-affirme-n-avoir-aucun-doute-que-la-verite-sera-connue-95f88e73-51f7-4f29-9102-67db15e5b961

Ce n’est pas la première fois que nous parlons d’elle ici. Souvenez-vous quand nous avions découvert le dossier où la ministre de l’époque demandait le classement de l’hydroxychloroquine dans la catégorie des molécules vénéneuses. Nous avions alors trouvé que le timing de ce classement était incroyablement troublant par rapport à l’émergence du Covid.
https://lilianeheldkhawam.com/2020/03/18/un-timing-troublant-qui-consista-a-compliquer-lacces-a-lhydroxychloroquine/

Nous avions parlé aussi d’elle dans l’étude du rôle de Alain Fisher, le monsieur vaccin de France, qui avait réussi à faire passer l’obligation de faire injecter 11 vaccins aux enfants. La ministre de l’époque était Mme Buzyn.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/06/24/alain-fischer-le-pediatre-qui-fait-le-grand-ecart-entre-la-recherche-scientifique-les-multinationales-et-les-fondations-rothschild-les-citoyens-doivent-se-mobiliser/

La vidéo ci-dessous montre à quel point Mme Buzyn était contestée dans le milieu hospitalier mis sous pression de manière chronique et interpellante.



D’autres scandales connus et moins connus avaient fait de la ministre de la Santé une personne encombrante à la fin de son mandat.

Ce décor planté, voici l’incroyable découverte que j’ai faite hier soir. Un décret avait été publié en mars 2020.

Décret n° 2020-243 du 12 mars 2020 portant publication de l’accord-cadre entre le Gouvernement de la République française et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un partenariat renforcé pour la période 2020-2025 (ensemble deux annexes), signé à Paris le 16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019 (1)

Ce Décret daté du 12 mars 2020 est passé entre le Gouvernement de la République française et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un partenariat renforcé. Jusque-là rien de spécial. Il y a une pandémie et un gouvernement décide de passer un accord avec un organisme mondial afin de définir la collaboration.

Texte du Décret et de ses annexes

decret-nc2b0-2020-243-du-12-mars-2020-portant-publication-de-laccord-cadre-entre-le-gouvernement-de-la-republique-francaise-et-oms-pour-un-partenariat-renforce-legifranceTélécharger

Ce texte converge de manière très précise avec les arguments relevés dans notre dernière publication.

Un accord-cadre qui couvre la période 2020-2025

Ce qui interroge plus, c’est le contrat-cadre qui est au coeur de ce décret. Or, il a été signé avec l’OMS à Paris le 16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019. Au moment où le virus circulait déjà à Colmar…
https://lilianeheldkhawam.com/2020/03/24/3-decembre-2019-au-moins-un-cas-avere-de-coronavirus-a-colmar/

… confirmé par la suite :
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/02/10/le-sars-cov-2-circulait-sans-doute-en-france-des-novembre-2019_6069431_3244.html

La signature intervient après que des hospitalisations eurent lieu à Wuhan :
https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-des-chercheurs-de-wuhan-hospitalises-des-novembre-2019-la-chine-dement-da7fb9bc-bc80-11eb-a359-3a714ef76b03

En décembre 2019, Paris ne pouvait ignorer ce qu’il se passait à Colmar ou à Wuhan. C’est d’autant plus vrai que Mme Buzyn a pris ses fonctions quelques semaines après l’inauguration du laboratoire P4 de Wuhan à laquelle assistait son mari Yves Lévy, à l’époque directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Elle ne pouvait donc ignorer que le virus circulait à ce moment.
https://lilianeheldkhawam.com/2020/01/26/la-sulfureuse-cooperation-franco-chinoise-a-wuhan-challenges/

Or, nous retrouvons le nom de Mme Buzyn en tant que signataire de l’Accord avec l’OMS. Et ce papier est signé en décembre 2019, plus exactement le 31 du mois. Qu’est-ce qui justifiait cette précipitation?

Les signataires

En effet, l’accord-cadre (contrat) qui lie le Gouvernement de la République française et l’OMS pour un partenariat renforcé pour la période 2020-2025, a été signé à Paris le16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019. On y notera la participation du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. En quoi est-il concerné à l’heure où on ne parlait pas encore de trouver des vaccins révolutionnaires, ni de tests, et de vaccination sur les lieux d’enseignement?

Quelques commentaires sur l’Accord

Dans cet accord, nous nous bornerons à relever quelques éléments intéressants. L’OMS est l’autorité directrice et coordinatrice des travaux en matière de santé mondiale. Elle est donc d’abord une Autorité qui a un rôle non seulement de coordination supranationale, mais aussi opérationnel sur le terrain. Et ce à l’intérieur de TOUS les pays du monde.

Réaffirmant le rôle de l’OMS, renforcé par le processus de transformation en cours, en tant qu’autorité directrice et coordinatrice des travaux en santé mondiale et garante de la santé de tous les peuples ;
Soulignant que la France et l’OMS souhaitent travailler ensemble à faire progresser la Couverture sanitaire universelle (CSU) et poursuivre leurs efforts vers la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies

extrait des objectifs de l’accord-cadre signé en 2019 entre la France et l’OMS

Cela signifie qu’il faut imaginer qu’un jour viendra où c’est l’OMS qui devra prendre le relai en matière de décision et de mise à disposition de ressources venues d’autres pays, à l’image du recrutement massif de personnel soignant libanais pour la France. Le tout en référence aux ODD qui sont les objectifs de l’Agenda 2030.

Peut être une image de 3 personnes, personnes debout et texte qui dit ’NOUS RECRUTONS La 1ère entreprise sociale d'Europe recrute des MÉDECINS Libanais, Libanaises Un salaire attractif, prise en compte de l'ancienneté et l'expérience Regroupement familial accéléré Une aide financière à l'installation Un accompagnement individuel et facilitateur Si vous êtes: Médecin Anesthésiste Réanimateur, Pédiatre, Gynécologue Obstétricien, Cardiologue, Pneumologue Endocrinologue, Chirurgien Digestif, Chirurgien Urologue, Chirurgien Orthopédiste, Ophtalmologue, Oncologue, Médecin Généraliste. Vous êtes prêt pour un nouveau départ en France? N'hésitez pas, envoyez votre CV beleyconsulting@gmail.com’
Le pillage des cerveaux est en cours après que la finance internationale ait mis en place un embargo sur tout ce qui permet non de vivre mais de survivre. La jeunesse et les gens les mieux éduqués sont cueillis facilement et pour bien moins cher que leurs équivalents locaux.

Dans son Article II qui décrit le champ et les domaines de coopération, nous relevons brièvement la référence à l’harmonisation, à la structure transversale des processus (cf nos travaux sur le Coup d’Etat planétaire), et à des ingénieurs sanitaires (cf nos travaux sur l’ingénierie sanitaire, la nanomédecine, etc Exemple:
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/02/notre-sante-livree-aux-ingenieurs/comment-page-1/).

Avec le recul, un objectif de ce texte attire particulièrement l’attention. Je rappelle qu’il a été signé le 16 décembre déjà à Paris. Soit AVANT que la crise du Covid ne démarre officiellement en Europe :

(…) une meilleure protection des populations face aux situations d’urgence sanitaire, notamment à travers le renforcement de la sécurité sanitaire, y compris la lutte contre les flambées épidémiques et les maladies à potentiel pandémique et la mise en œuvre du Règlement sanitaire international (RSI), notamment par les activités menées par le bureau de l’OMS à Lyon ;

Décret n° 2020-243 du 12 mars 2020 portant publication de l’accord-cadre entre le Gouvernement de la République française et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un partenariat renforcé pour la période 2020-2025 (ensemble deux annexes), signé à Paris le 16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019 (1)

Administration des dons accordés à l’OMS

Un passage de cet accord-cadre mérite attention. Il s’agit d’un extrait du financement de l’OMS par Paris. Dans le point 3.4 des Dispositions financières, il est dit que:

« La France concourt aux mécanismes mis en œuvre par l’OMS avec ses donateurs afin de mieux prévoir et aligner les ressources disponibles de l’Organisation avec les budgets programmes approuvés par ses Etats membres, en particulier à travers les processus de dialogue financier. »

Coup de théâtre le 16 février 2020, Mme Buzyn quitte précipitamment son poste .

Création de l’Académie de l’OMS conformément à l’Accord-cadre et à l’Agenda 2030…

Le 24 février 2020 la France s’engage à verser 100 millions de dollars à l’OMS. Ca tombe bien puisque toutes les modalités d’administration des subventions étaient prévues dans le contrat signé en décembre 2019.

Voici un extrait du communiqué de l’OMS au sujet des 100 millions de subvention :

Aujourd’hui, le Ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, M. Jean-Yves Le Drian et le Directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, se sont rencontrés à la Mission permanente de la France auprès de l’Office des Nations Unies à Genève pour aborder la question, qui sera la plus grande plateforme de formation continue, et la plus innovante, dans le domaine de la santé mondiale.

L’Académie de l’OMS vise à atteindre des millions de personnes dans le monde, offrant un milieu d’apprentissage de haute technologie, constitué d’un pôle à Lyon et d’antennes dans les six Régions de l’OMS. L’Académie offrira des possibilités d’apprentissage aux dirigeants, aux enseignants, aux chercheurs, aux agents de santé, aux membres du personnel de l’OMS et au grand public et proposera des formations de grande qualité, multilingues, à la fois en ligne et en présentiel, et abritera un centre de simulation pour les situations d’urgence sanitaire à la pointe de la technologie.

La discussion qui a eu lieu aujourd’hui fait suite à une Déclaration d’intention signée par Emmanuel Macron, Président de la République française, et le Dr Tedros le 11 juin 2019 et à l’annonce par la France d’une contribution de US $100 millions (€90 millions) à l’OMS pour appuyer la création de l’Académie, qui sera une division interne de l’Organisation.

https://www.who.int/fr/news/item/24-02-2020-france-pledges-us100-million-for-who-academy

… Mme Buzyn devient ce septembre 2021 la directrice exécutive de ladite Académie de l’OMS!!! AJOUT

En clair, Mme Buzyn dirige en 2021 le centre qu’elle a créé avec l’OMS en 2019, la veille de quitter sa fonction de ministre de la santé. Ledit centre financé avec l’argent public français. Juste incroyable.

Soudain la crise des hôpitaux publics prend une autre allure

Le 13 janvier 2020, Mme Buzyn réagissait à la crise que connaît l’hôpital public:

« Dans certains endroits, la pression financière a été trop importante depuis 10 ou 15 ans et elle a dégradé considérablement les conditions de travail. Nous sommes dans une dynamique inverse », assure ce lundi sur franceinfo la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn alors que plus de 1 000 médecins ont signé une pétition et menacent d’abandonner – certains l’ont déjà fait – leurs fonctions administratives.

Et de poursuivre qu’elle dégageait « des financements dès ce mois de janvier : 150 000 euros ont été alloués aux hôpitaux dès ce mois-ci pour l’achat du matériel du quotidien« . Une somme ridicule donc en comparaison avec la donation de 100 millions de dollars à l’OMS…

Alors pourquoi?

La conclusion qui semble s’imposer à ce stade est que les gouvernants nationaux ont décidé de laisser couler les hôpitaux publics et autres assurances sociales au profit d’un système planétaire intégré et globalisé détenu par le marché de la finance (BigPharma entre autres).

Ce sont les financiers qui dirigent et dirigeront toujours plus la stratégie sanitaire locale et globale. Cela signifie très clairement qu’ils auront des droits sur le corps humain. Restera à envisager le sort des inutiles. A commencer par les personnes âgées…

Et ces gens ont des idées de ce que nous devrions être, faire et penser…

Entretemps, le personnel soignant des hôpitaux et les libéraux, clairement harcelés, risquent d’avoir des jours bien difficiles devant eux.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/09/04/la-medecine-financiarisee-est-numerique-elle-na-que-faire-dun-raoult-ou-dun-fouche/ https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/25/nanosante-le-metier-de-medecin-voue-a-disparaitre-changement-du-paradigme-medical/

LHK


Rappel :

https://lilianeheldkhawam.com/2021/10/11/important-loms-veut-lautorite-absolue-en-matiere-de-sante-publique-mondiale-alain-berset-en-fer-de-lance/




« Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ?

[Source : Sott.net]

Par David Skripac — Global Research

Cette année marque un tournant décisif dans l’histoire humaine. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont maintenant permis de modifier définitivement le génome humain — et de modifier à jamais la relation de l’humanité avec la Nature — au moyen d’une injection pharmaceutique expérimentale qui est faussement appelée « vaccin ».

À la lumière de cet événement déterminant, je crois que nous devons examiner attentivement les motifs et les actes qui sont en train de transformer l’humanité telle que nous la connaissons. Par ailleurs, nous devons examiner le traitement de plus en plus destructeur que nous réservons au monde naturel.

Afin d’étudier les multiples facteurs qui contribuent à accélérer la disparition de l’humanité et à compromettre notre rôle essentiel de protecteurs de la Terre et de ses milliards d’espèces végétales et animales, j’ai divisé cette étude en quatre parties principales, qui apparaîtront sous forme d’articles distincts.

Dans la première partie : Le microbiome et le virome, nous découvrirons que nous nageons littéralement dans une vaste mer d’informations génomiques qui ont joué un rôle essentiel pour que la vie commence et s’épanouisse sur cette Terre précieuse et qui essaie toujours d’aider toutes les espèces à survivre. La matrice des organismes qui composent le microbiome a construit un flux d’information viromique qui a permis l’adaptation et la biodiversité sur la planète. Et ce même flux d’information viromique est responsable de la construction de l’espèce humaine.

Dans la deuxième partie : Notre guerre contre la Nature, nous explorerons comment notre propre comportement imprudent détruit l’environnement, nous avançant ainsi vers la sixième extinction massive. J’entends par là que je couvrirai la véritable catastrophe environnementale, et non le canular financé par des milliardaires « réchauffement climatique/changement climatique » initié par le Club de Rome et promulgué par le Forum économique mondial (FEM).

Dans la troisième partie : Ce qui s’est passé en 2020, nous examinerons comment cette véritable dévastation environnementale a contribué à la « pandémie » qui a été déployée en 2020, qui a conduit à des injections expérimentales massives de substances inconnues dans des « sujets » humains en 2021, et qui n’a pas de fin prévisible. (J’ai mis « pandémie » entre guillemets en raison de son caractère frauduleux. En effet, il est décrit plus précisément et à juste titre comme une plandémie, une arnaque, une pseudo-pandémie ou tout autre terme indiquant une fausse pandémie.)

Dans la quatrième partie : Notre réponse, nous analyserons la réponse irresponsable et irrationnelle de la plupart des gens de la planète à cette soi-disant pandémie.


Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Le microbiome

Le microbiome (dérivé des mots grecs micro, qui signifie « petit », et biotikos, qui signifie « vivant ») est un écosystème massif composé de milliards de micro-organismes. Fait incroyable, quelque 40 000 espèces de bactéries, 300 000 espèces de parasites, 65 000 espèces de protozoaires et entre 3,5 millions et 5 millions d’espèces de champignons vivent dans l’environnement qui nous entoure et vivent dans ou sur le corps humain. Ce monde complexe de micro-organismes sécrète continuellement une mer de virus, qui servent de réseau de communication pour les bactéries, les parasites, les protozoaires et les champignons. Et, comme nous le découvrirons bientôt, ces virus ont toujours été là pour nous aider, pas pour nous nuire. En d’autres termes, ils sont porteurs de vie, et non mort.

Voici un indice de la complexité, de l’incroyable diversité et de la taille infinitésimale du microbiome : Le nombre de gènes dans le règne fongique est d’au moins 125 milliards ! Le génome humain, à titre de comparaison, se compose de seulement 20 000 gènes. Une mouche à fruits a 13 000 gènes, une puce en a 31 000. Ainsi, en termes de complexité génétique, le génome humain ne possède qu’un minuscule fragment d’information génétique par rapport au vaste monde de l’information génomique contenue dans le microbiome.

Un aspect fascinant du microbiome est son réseau de communication symbiotique, qui permet la transmission d’informations protéiques d’un micro-organisme à l’autre. Par exemple, le réseau mycélien (une matrice de filaments blancs fins) chez les champignons permet aux champignons de communiquer entre eux sur des distances qui peuvent s’étendre jusqu’à plusieurs kilomètres. Ces structures mycéliennes sont capables de transférer des ressources minérales et protéiques à plus d’un kilomètre. Comment ? Ils utilisent l’énergie lumineuse et les électrons qui circulent à travers les voies présentes dans le système du sol. De cette façon, le microbiome aide les plantes et d’autres formes de vie multicellulaires à prospérer. Il n’est pas exagéré d’appeler le réseau mycélien dans le royaume fongique le « cerveau » littéral de la planète. Soit dit en passant, tous les petits organismes intelligents qui composent le microbiome sont alimentés par l’énergie biophotonique du Soleil.

Commentaire : Voir notre Focus La science relative à l’intelligence végétale prend racine

Aussi difficile à comprendre, au moins 1,4 quadrillion de bactéries et 10 quadrillions de champignons vivent à l’intérieur du corps humain. Rien que dans le côlon humain on trouve 3,8 x 1013 cellules bactériennes. Chaque organe du corps, y compris le cerveau, a son propre microbiome. Le but des bactéries et des champignons dans notre corps est de nourrir et d’entretenir nos cellules, en nous gardant en bonne santé et en équilibre avec le microbiome plus vaste qui nous entoure.

Le virome

Le virome est l’immense monde dans lequel les messagers de Dame Nature existent. Il est composé de milliards et de milliards de virus produits par les bactéries, les parasites, les protozoaires et les champignons du microbiome susmentionné.

Le corps humain adulte moyen contient 1 x 1015 virus. En revanche, dans l’air qui enveloppe la Terre, il y a 1 x 1031virus ; dans le sol terrestre, il y a 2,5 x 1031 virus ; et dans les océans de la Terre, il y a 1,2 x 1030 virus. Pour donner une certaine perspective sur ces nombres impressionnants, 1 x 1031 est 10 millions de fois plus grand que le nombre d’étoiles connues dans l’Univers entier.

En termes simples, un virus est une information génomique, soit de l’ADN ou de l’ARN, enveloppée dans une enveloppe protéique. Les petits brins de protéines dépassant de la surface extérieure de l’enveloppe protéique d’un virus sont appelés protéines Spike. Les virus ne sont pas des organismes vivants. Ils ne produisent pas leur propre carburant. Ils n’ont pas de métabolisme pour produire de l’énergie. Et ils ne peuvent pas se reproduire.

Les virus voyagent à l’échelle mondiale, au-dessus de la couche limite atmosphérique, depuis des millions d’années, bien avant l’invention des machines de transport aérien. Leurs codes génétiques couvrent la Terre depuis des lustres, créant la biodiversité et permettant l’adaptation dans tout l’écosystème. Par adaptation, je veux dire que les virus cherchent toujours à adapter leurs codes génétiques dans le but de créer une santé résiliente dans toutes les formes de vie de la planète. Il est ridicule de suggérer que, pour voyager d’une région du globe à l’autre, un virus puisse sauter à bord d’un avion, comme la Division de la recherche sur la sécurité nationale de RAND voudrait nous le faire croire.

En outre, les virus — y compris les coronavirus — ne viennent pas par vagues pour disparaître ensuite sans laisser de trace, puis réapparaître miraculeusement plus tard au même endroit ou dans un autre. Au lieu de cela, les virus ne partent jamais, n’expirent jamais. Ils habitent tous les éléments de l’environnement qui nous entoure. En bref, ils sont omniprésents et toujours présents.

Notre relation avec des virus particuliers peut changer en raison de nos actions nocives envers la Nature. Chaque fois que les humains empoisonnent et polluent l’air, le sol et l’eau, ils créent un déséquilibre entre l’humanité et le virus — un déséquilibre qui peut nous amener à à être en déséquilibre avec un virus particulier.

Malheureusement, le régime de médecine allopathique, que les ploutocrates John D. Rockefeller et Andrew Carnegie ont imposé à la majeure partie du monde avec leur rapport Flexner de 1910, a encore une grande partie de la communauté scientifique qui croit que les bactéries, les champignons et les virus sont notre ennemi.

Le fondement du système de médecine allopathique de Rockefeller est la « théorie des germes » imparfaite de Louis Pasteur, qui affirme que des micro-organismes extérieurs tels que les bactéries et les virus attaquent, envahissent et infectent le corps, causant ainsi des maladies.

La plupart des pays occidentaux attribuent à Pasteur (1822-1895) un rôle fondamental dans l’établissement de ce que nous appelons la « médecine moderne » — un paradigme qui retrace l’origine de chaque maladie à un seul germe.

Sans la théorie de Pasteur, la plupart des médicaments modernes ne seraient jamais produits, promus ou prescrits — un fait qui explique pourquoi l’establishment médical d’aujourd’hui et son industrie pharmaceutique co-dépendante refusent de reconnaître leurs défauts ou d’admettre leur inefficacité.

En revanche, la « théorie du terrain », initiée par Claude Bernard (1813-1878) et plus tard construite par Antoine Béchamp (1816-1908), allègue que le terrain — c’est-à-dire l’environnement interne du corps — et non un germe externe détermine notre santé ou notre absence. Ce que Béchamp a appelé le « terrain » est très proche de ce que la médecine moderne a maintenant appelé le système immunitaire inné. Comme nous le verrons dans les paragraphes suivants, Béchamp était certainement sur la bonne voie pour découvrir comment le corps humain interagit vraiment avec l’environnement extérieur.

Commentaire : Pasteur ne s’est par contre pas promu tout seul… Il avait un sens aigu des relations publiques, et si l’on reprend le contexte de l’époque où fleurissait aussi la théorie de l’évolution de Darwin, l’on peut comprendre que des courants idéologiques avaient — et ont toujours — des intérêts bien précis à promouvoir Pasteur plutôt que Béchamp.

À eux deux, Pasteur et Darwin ont stérilisé toute véritable recherche spirituelle en la ramenant au seul terrain matérialiste et mécaniste. On peut aussi faire le parallèle entre ces matérialismes « scientifiques » et le capitalisme libéral dans lequel s’exerce la loi du marché, ramenée à la loi de la jungle où seul le plus fort peut survivre, une loi qui ne gère que les rapports matériels entre les différents organismes vivants. Sus aux faibles, sus aux vilains microbes qui nous attaquent, et tant pis si sans beaucoup d’entre eux, nous ne serions même pas là pour en parler.

Voir aussi nos Focus :

Contrairement à Pasteur, Béchamp avait une formation universitaire en sciences. Il croyait que la maladie était le résultat biologique des changements qui se produisent dans le corps lorsque ses processus métaboliques deviennent déséquilibrés. Lorsque le corps est dans un état de déséquilibre, a allégué Béchamp, les germes deviennent des symptômes qui, à leur tour, stimulent plus de symptômes, ce qui conduit finalement à la maladie.

Bien que Béchamp aille dans la bonne direction avec sa théorie du terrain, la tyrannie pharmaceutique dépendante des germes de Rockefeller a prévalu, en grande partie en raison d’importantes infusions d’argent, que Rockefeller et Carnegie ont volontiers fournies sous forme de subventions aux universités, aux hôpitaux et aux installations de recherche médicale. Leur grande taille « philanthropique », qui dépassait facilement 100 millions de dollars, leur a permis d’influencer la politique de l’ensemble de l’établissement médical américain et, éventuellement, de la plupart des pays occidentaux, les dirigeant vers un régime allopathique exclusivement chimique.

Je démontre dans cet article que, contrairement à ce que la médecine Rockefeller nous enseigne depuis plus de cent ans, les virus ne sont pas là pour attaquer nos cellules ou nous nuire de quelque manière que ce soit.. Au contraire, l’information moléculaire génétique sur l’ADN et l’ARN contenue dans les virus constitue en fait les éléments fondamentaux de la vie sur terre. Pour utiliser une analogie moderne, nous pouvons considérer le flux d’information d’un virus comme une mise à jour logicielle transportant une intelligence moléculaire importante qui peut être téléchargée, au besoin, sur n’importe quelle cellule d’un organisme multicellulaire vivant, y compris l’une des 70 milliards de cellules contenues dans le corps humain. Nos cellules régulent de nouvelles informations génomiques qui sont reçues et d’autres informations qui ne sont pas reçues. Les virus cherchent simplement à s’adapter aux cellules dans le but de créer une santé humaine résiliente.

Commentaire : Voir notre Focus Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2 et particulièrement la section sur les virus.

Un mot ici sur le système immunitaire.

Il existe deux types d’immunité : innée et adaptative

Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour.

Le système immunitaire inné fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes, comme l’APOBec3A/3G et le CAS9Ces enzymes sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus.

Le système immunitaire adaptatif monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.

Pour comprendre la rapidité avec laquelle le corps humain s’adapte lorsqu’il est exposé au virome, envisagez un nourrisson de sept jours. Il a 1 x 108 particules virales dans seulement un gramme de matières fécales. Même si cet enfant n’a pas la capacité de développer des anticorps à un stade aussi précoce de sa vie, il s’adapte néanmoins instantanément à ces particules virales, restant parfaitement en bonne santé. Au lieu de développer une fièvre, il reste en équilibre stable — l’homéostasie — avec le virome, tant microbien que génétiquement. Ce seul fait prouve que nous n’interagissons pas avec le virome par notre système immunitaire adaptatifmais que nous interagissons plutôt avec lui par l’intermédiaire de notre système immunitaire inné.

Quel est le principal point à retenir de ces faits ? Selon moi, c’est que la décision du corps d’adopter l’information génétique est un processus biologique très complexe et contrôlé. Il existe de nombreuses façons dont notre corps reste en équilibre avec l’immense mer d’informations génétiques que nous inspirons et avec lesquelles nous entrons en contact à chaque instant de notre vie.

Puisqu’un virus n’est pas un organisme vivant, notre système immunitaire inné ne peut pas tuer les virus — et il ne voudrait pas le faire. Au lieu de cela, comme mentionné ci-dessus, le système immunitaire inné entre simplement en équilibre génétique avec un nouveau virus. Il le fait en reproduisant ou en recevant des mises à jour de ce virus — et en répondant immédiatement à ce nouveau téléchargement viral. Une fois l’équilibre génétique atteint, généralement 4 à 5 jours après l’exposition initiale au virus, notre système immunitaire inné refuse de recevoir d’autres mises à jour.

De ces faits, nous pouvons conclure que les humains ne peuvent pas empêcher une « épidémie » de se produire, ni changer la trajectoire d’une épidémie. En d’autres termes, il est inutile — en fait, pire qu’inutile : c’est nocif — d’essayer de contrôler un virus par ailleurs utile en déployant un dispositif expérimental non approuvé d’édition génétique conçu pour produire une réponse immunitaire (aussi connue sous le nom de réponse adaptative du système immunitaire induite par l’injection). Ce modèle scientifique obsolète est biologiquement illogique et ne pourra jamais fonctionner. Nous savons maintenant qu’il interfère avec notre système immunitaire inné magnifiquement conçu, qui est parfaitement capable de gérer tout virus avec lequel nous pourrions développer un déséquilibre temporaire. (La façon exacte dont nous développons un déséquilibre avec un virus particulier, comme le virus du VIH ou tout coronavirus, sera expliquée plus loin dans l’article).

De plus, contrairement au récit officiel propagé par les fabricants de vaccins et les organismes de santé des gouvernements du monde entier, notre système immunitaire conserve en mémoire des virus avec lesquels notre corps a interagi et des gènes qui ont été insérés naturellement — après avoir reçu une nouvelle mise à jour virale — dans nos cellules. Dans le système immunitaire inné, par exemple, l’enzyme Cas9, qui est responsable du clivage de l’excès d’ADN lorsqu’une trop grande quantité d’un transfert viral est présentée à une cellule, est la banque de données de mémoire naturelle qui se souviendra du modèle d’ADN qu’elle a rencontré.

En outre, les dossiers permanents tenus par un système immunitaire inné sont transmis aux générations futures d’humains, qui n’auront donc jamais de réaction inflammatoire à un virus particulier. Même dans le système immunitaire adaptatif, les lymphocytes B (la source d’anticorps) et les lymphocytes T (stimuli des lymphocytes B) fournissent une immunité durable.

Une étude à plusieurs volets des NIH présentée par le Center for Infectious Disease Research and Policy (CIDRAP) en 2008 a prouvé de manière concluante que l’immunité aux anticorps peut durer toute une vie. Dans cette étude, un groupe de scientifiques, dirigé par le Dr. Eric Altschuler, a prélevé des échantillons de sang sur 32 survivants — âgés de 91 à 101 ans — de la pandémie de grippe espagnole de 1918. (En fait, le nom correct de cette pandémie est la grippe du Kansas — son lieu d’origine.) À leur grande surprise, les scientifiques ont découvert que, près d’un siècle plus tard, tous les participants à l’étude portaient encore les anticorps contre la même souche de grippe.

Commentaire : Et plus précisément en ce qui concerne cette grippe de 1918,

« La pandémie de grippe dite « espagnole » a débuté avec l’expérience brutale de l’Institut Rockefeller sur la vaccination des troupes américaines contre la méningite bactérienne. Cette expérience menée en 1918-1919 pourrait avoir tué cinquante à cent millions de personnes. Et si l’histoire qu’on nous a racontée sur cette pandémie n’était pas vraie ? Et si, au contraire, l’infection mortelle n’était ni la grippe ni d’origine espagnole ?
[…]
La pandémie n’était par grippale. On estime que 95 pour cent (ou plus) des décès ont été causés par une pneumonie bactérienne, et non par un virus de la grippe. La pandémie n’était pas d’origine espagnole. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas. Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé sur des chevaux par l’Institut Rockefeller pour le Medical Research de New York a été injecté aux soldats à Fort Riley.

Pendant le reste de l’année 1918, alors que ces soldats — vivant et voyageant souvent dans de mauvaises conditions sanitaires — étaient envoyés en Europe pour combattre, ils ont répandu la bactérie à chaque arrêt entre le Kansas et les tranchées de la ligne de front en France.
[…]
Pendant la Première Guerre mondiale, l’Institut Rockefeller a également envoyé son sérum expérimental contre les méningocoques en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d’autres pays, contribuant ainsi à la propagation de l’épidémie dans le monde entier. »

Sur la base des conclusions de cette étude vieille de 21 ans, nous pouvons rejeter la propagande qui nous est imposée par les médias mainstream et les organisations médicalesIl n’est pas vrai que l’immunité naturelle au virus Sras-CoV-2 peut s’estomper six mois à un an après l’exposition initiale. Et il n’est pas vrai qu’une injection expérimentale est le seul moyen d’atteindre l’immunité. De telles allégations non fondées ne sont que des ruses inventées pour faire avancer l’agenda avide de l’industrie pharmaceutique et des autres technocrates opérant en coulisses.

En résumé : Le pouvoir de l’immunité naturelle surpassera toujours toute présumée immunité contre un virus censé résulter d’une injection, qu’elle soit expérimentale ou approuvée par le gouvernement.

Du point de vue biologique, toute la vie sur Terre est construite à partir des séquences génétiques moléculaires d’ARN et d’ADN contenues dans les virus. Ces virus sont des systèmes d’administration génétique de nature complexe, ils demeurent essentiels à l’épanouissement et au maintien de la vie sur Terre. En fait, plus de 50 % des 20 000 gènes hérités par les humains d’aujourd’hui ont été insérés il y a des millions d’années dans le génome des mammifères par ces minuscules merveilles de la Nature. Au moins 8 % de ces gènes ont été insérés par des rétrovirus à ARN similaires au rétrovirus du VIH. (Un rétrovirus est un virus à ARN qui insère une copie d’ADN de son génome dans la cellule hôte afin de se répliquer.) Tout aussi intrigant est le fait qu’il y a des millions d’années, les mises à jour rétrovirales ont joué un rôle clé dans l’émergence des mammifères placentaires.

Fait intéressant à noter, une étude publiée en 2017 par le National Institute of Health (NIH) démontre que beaucoup d’entre nous sont porteurs du rétrovirus du VIH sans même le savoir. Dans cette étude, les chercheurs « ont exploré des données de séquence non humaines provenant du séquençage du génome entier » du sang de 8 240 adultes vivant aux États-Unis et en Europe — dont aucun n’a été établi comme étant atteint d’une maladie infectieuse. Ils ont constaté qu’un total de 42 % des participants ont obtenu un résultat positif pour la présence de 94 virus connus. Ces virus comprenaient le VIH, le virus de l’hépatite B, le virus de l’hépatite C et le virus de la grippe.

Nous avons été formés par la communauté médicale et les médias sous la coupe des entreprises pour croire que le VIH devrait prédominer chez les personnes vivant en Afrique subsaharienne. Après tout, nous dit-on, 95 % de tous les cas « séropositifs pour le VIH » proviennent de cette région du globe. Si tel était le cas, nous devrions nous attendre à voir dans d’autres régions très peu de VIH et une prévalence beaucoup plus élevée, par exemple, de l’hépatite C ou de la grippe. Au contraire : c’est juste l’inverse ! En fait, l’étude de 2017 a révélé une prévalence cinq fois plus élevée du VIH que d’hépatite C et de grippe chez ces 8 240 Américains et Européens asymptomatiques. Étonnamment, chacun était complètement en harmonie avec le virus du VIH, même si aucun d’entre eux n’avait jamais voyagé en Afrique. Nous devons conclure à partir de cette étude que non seulement le monde a tout simplement mal compris la prévalence du virus du VIH dans toutes les régions du monde, mais que notre peur de celui-ci — et du virome en général — est tout à fait injustifiée.

Étant donné que de nombreuses organisations puissantes, publiques et privées, bénéficient des énormes subventions et dons qui perpétuent le mouvement sans fin contre le SIDA, il n’est pas surprenant qu’aucune étude scientifique évaluée par les pairs n’ait été réalisée pour fournir des preuves concluantes qu’un virus appelé VIH provoque une maladie appelée SIDA. Si une telle étude devait être entreprise, elle prouverait que l’hypothèse du VIH au SIDA est sans fondement et, plus précisément, frauduleuse.

La question sur laquelle les scientifiques devraient se concentrer est la suivante : qu’est-ce qui se passe en Afrique subsaharienne qui crée une relation aussi anormale entre les personnes vivant dans cette région et le rétrovirus du VIH, ce qui fait que 95 % d’entre elles sont séropositives ?

Pour répondre à cette question, nous devons examiner le terrain où résident les virus et rester en équilibre avec le corps humain. (Par « terrain », j’entends une zone géographique avec son écosystème associé. Je ne fais pas référence ici à la théorie du terrain Bernard/Béchamp susmentionnée.) Lorsqu’un terrain est perturbé par quelque chose d’innaturel — par exemple, l’empoisonnement de l’environnement par un comportement humain irresponsable — les virus deviennent surexprimés et l’équilibre du corps avec le virome est perdu.

Compte tenu du terrain, nous constatons que le facteur numéro un commun à toutes les épidémies ou pandémies dites de maladies infectieuses est la destruction de l’écosystème. En d’autres termes, le terrain naturel a été modifié par un comportement humain irresponsable à un point tel que notre adaptation innée à toute l’information génétique qui nous entoure est sapée.

Commentaire : Il est toutefois à noter qu’un environnement peut aussi, comme l’Histoire nous l’apprend, être en partie ou totalement détruit par des changements cosmico-terrestres : ouragans, tornades, volcans, séismes, inondations, grêle, passage rapproché de comète, astéroïdes, et autres boules de feu météoriques, etc.

Ce n’est pas tant que les virus causent une maladie. C’est plutôt qu’ils présentent simplement au corps une nouvelle option d’adaptation génétique. Le système immunitaire inné de l’organisme détermine ensuite la quantité de ces nouvelles informations qu’il absorbera. Si les cellules ont un besoin urgent de réparation — peut-être en raison de mauvais choix alimentaires, d’un mode de vie sédentaire ou d’une toxicité dans l’environnement — le virus créera un événement inflammatoire au fur et à mesure que le corps traverse son processus de régénération. Cela s’accompagne généralement d’une fièvre, d’une perte d’appétit et d’un nombre élevé de globules blancs. Un tel événement inflammatoire est ce que nous appelons communément « la grippe ».

Ce que nous appelons de manière désobligeante une réaction inflammatoire — en laissant entendre qu’il est mauvais pour le corps — fait en réalité partie du processus de guérison du corps. L’inflammation est nécessaire pour créer une régénération dans le corps. Il agit au nom de l’organisme [corps], pas contre lui. Mais si le microbiome du corps est riche au lieu d’être déficient, il n’aura pas besoin d’une mise à jour et, par conséquent, aucune inflammation ne se produira.

Dans le cas de l’Afrique subsaharienne, l’écosystème est en train de mourir. L’effondrement des systèmes de sol riches en nutriments, la mauvaise hygiène de l’eau, le manque d’assainissement de base, une population souffrant de sous-alimentation chronique et l’élimination complète de l’agriculture biologique traditionnelle — dépassée par la révolution verte oxymoronique, imposée aux pays en développement par l’agriculture industrielle — ont provoqué un déséquilibre entre leur système immunitaire inné et l’environnement. Le syndrome connu sous le nom de « SIDA » est l’expression de ce déséquilibre. Le virus du VIH, découvert pour la première fois par le virologue français Luc Montagnier, a été faussement accusé d’être le principal responsable du SIDA — une forme de culpabilité par association. En fait, le virus du VIH est bénin et n’essaie pas de prendre en charge la mécanique d’une cellule.

La véritable racine du problème est que le système immunitaire inné du peuple subsaharien a été dégradé par un manque de nutrition à un point tel qu’il est en proie à une myriade de maladies, qui ont été regroupées collectivement sous le seul titre « SIDA ». Cependant, au lieu de s’adapter à la réalité de ce que provoque la terrible catastrophe écologique, les « scientifiques » blâment le virus du VIH comme un prétexte pour cacher des décennies de crimes environnementaux et économiques gouvernementaux et commerciaux.

D’après les informations recueillies jusqu’à présent, nous pouvons à juste titre conclure qu’il est impossible pour les virus ou les agents pathogènes de créer des pandémies et des épidémies de maladies infectieuses — car il n’existe pas de maladie infectieuse au sens traditionnel du terme — par exemple « SIDA », « Ebola » et d’autres pandémies « virales » non fondées. Oui, la propagande pharmaceutique pousse le paradigme des maladies infectieuses dans le monde entier depuis des siècles. Mais la croyance que de telles maladies existent n’est qu’une conséquence de la théorie des germes démystifiées de Pasteur. Ce que nous appelons communément une épidémie ou une pandémie est simplement le résultat de la dégradation du système immunitaireinnéd’une partie de la population de la planète. Les raisons de cette dégradation peuvent inclure l’empoisonnement chimique par des herbicides, des pesticides ou des aliments génétiquement modifiés, que nous examinerons plus en détail dans la partie suivante.

Comme nous pouvons le voir par la description ci-dessus du virome, il n’est pas exagéré de dire que le virome est le langage de toute vie sur Terre. Nous nageons littéralement dans une vaste mer d’informations génomiques qui demeure essentielle pour que la vie commence et s’épanouisse sur cette Terre précieuse et qui essaie toujours d’aider toutes les espèces à survivre. La matrice des organismes qui composent le microbiome a construit un flux d’information viromique qui a permis l’adaptation et la biodiversité sur la planète. Et c’est ce même flux d’information viromique qui a permis de façonner l’espèce humaine.

Ainsi, les humains ne sont pas séparés du virome et du microbiome, mais ils font plutôt partie intégrante du vaste écosystème complexe du virome et du microbiome. Pourtant, nous nous sommes de plus en plus placés en opposition directe avec le système vivant même dont nous faisons partie intégrante : la Nature.

Commentaire : Nous pouvons sérieusement, comme le fait l’article, nous interroger sur la fonction exact des microbes/virus dans l’écologie planétaire, et déterminer s’ils ne seraient pas en fait nécessaires à l’évolution de la vie sur Terre. Aucune de ces réponses ne peuvent être trouvées dans la biologie pasteurienne qui fait aujourd’hui religion.

Rappelons par ailleurs que dans l’approche matérialiste de Pasteur et de ses suiveurs (autoritaristes), notre système immunitaire serait « niais, étourdi et sans conscience » et il faudrait inoculer à l’organisme des agents extérieurs dont il « serait » dépourvu « à l’intérieur », tout en stérilisant l’environnement extérieur constitué de micro-organismes pathogènes à l’influence « néfaste ». On ne sait jamais, des fois que certains d’entre eux nous rendent plus intelligents ou plus réceptifs à certaines idées ou convictions situées à l’opposé du mantra délivré par les autorités bien mal pensantes, basé sur la toute-puissance médicale, pourtant bien insuffisante à éclairer les chercheurs de vérité.

Cette vision limitée de la Vie est exclusive, linéaire, compétitive, iatrogène, inopérante et fait l’objet d’un culte qui prétend que la maladie est extérieur à l’organisme, et qu’elle ne peut jamais, en rien, procéder d’un équilibre intérieur.

Cette vision est anti-vie.

À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’un baccalauréat en technologie en génie aérospatial. Au cours de ses deux périodes de service en tant que capitaine dans l’Aviation canadienne, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti. Utilisant un esprit curieux, un souci du détail et des compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré plus d’une centaine d’heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener cet article à bien.

Source de l’article publié initialement en anglais le 15 août 2021 : Global Research
Traduction : Mondialisation.ca
Corrections : Sott.net


Note du traducteur 1 : La première partie de cet article a été publiée sur Sott.net et concernait l’analyse du microbiome et du virome : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome.

Nous publions ici les deuxième, troisième et quatrième parties réunies.

Deuxième partie — Notre guerre contre la Nature

L’espèce connue sous le nom d’Homo sapiens est la seule sur cette planète qui cherche activement à s’éradiquer elle-même tout autant qu’à éradiquer son habitat. Tous les systèmes de soutien de la vie sur Terre — le sol, l’eau et l’air — sont en déclin, conséquence directe de notre activité économique actuelle, qui vise à extraire le plus possible de la Terre sacrée sans se soucier des conséquences qui en découlent.

En adoptant un paradigme économique aussi intolérable, nous ne respectons pas les limites écologiques ni les limites éthiques. Notre modèle économique axé sur la consommation, que nous avons conçu et dont nous sommes aujourd’hui esclaves, est à l’origine de carences perpétuelles : épuisement des ressources, perte de biodiversité et contamination par des substances toxiques, autant de facteurs qui causent des ravages perpétuels à l’ensemble de l’écosystème et à son environnement. Les méga-corporations continuent de propager l’idéologie de la croissance économique illimitée, qu’elles entendent tirer d’une planète aux ressources limitées et dont elles sont les seules à tirer un bénéfice financier. Leurs objectifs égocentriques se heurtent aux motivations généreuses des masses, qui privilégient le concept d’égalité des chances, y compris le droit égal de tous les humains à vivre dans un environnement sain. La quête incessante de profits par l’ensemble des milliardaires, au détriment du bien-être social de chacun, alimente la concurrence mondiale pour les ressources et provoque un holocauste écologique. En bref, nous assistons à une nouvelle forme de colonialisme imposée par la classe des prédateurs [qui sont aussi des parasites – NdT] à l’ensemble de l’humanité, alors que nous entrons dans ce que l’on appelle communément la sixième extinction de masse.

Considérez ce que nous faisons à notre eau douce. La surface de notre planète est composée à 80 % d’eau, dont 97 % d’eau salée. Les 3 % restants de nos réserves d’eau potable ont été traités avec une telle insouciance qu’elles sont très pollués et s’épuisent rapidement. Sur ces 3 % d’eau douce, au moins 29 % sont siphonnés par les industries de la viande et du lait, grandes consommatrices d’eau. Les Nations unies estiment qu’au cours de la prochaine décennie, 2 milliards de personnes souffriront d’une extrême pénurie d’eau et que, d’ici la fin du siècle, la moitié de la population mondiale connaîtra une forme ou une autre de pénurie d’eau.

Note du traducteur 2 : Ou peut-être plus exactement d’un rationnement de l’eau décidé dans les hautes sphères, peu importe la quantité disponible. Par ailleurs, les événements météorologiques de ces dernières années, et plus particulièrement de ces derniers mois, laisse à entendre que les Nations Unies pourraient avoir tort : certaines parties pourraient en effet être affectées par un manque d’eau (en Amérique du Nord de l’Ouest) mais d’autres (comme l’Asie et l’Europe) pourraient bien en avoir beaucoup trop. Les Nations Unies se feraient-elles l’écho d’un Agenda 2030, aujourd’hui bien identifié par nos lecteurs ?

Les industries minière et pétrolière ne sont pas non plus des amis de l’environnement. Aux États-Unis, les sociétés minières ont abattu plus de 500 montagnes dans les Appalaches, provoquant une immense pollution des sols et des eaux de surface. Dans d’autres régions du pays, le forage pour le pétrole et le gaz de schiste, appelé fracturation hydraulique mais plus connu sous le nom de « fracking », pompe depuis le sol des substances cancérigènes et des toxines qui sont rejetées dans l’air, l’eau et le sol de surface, ce qui aggrave encore le problème de la pollution. Bien qu’elle soit présentée comme une solution à la dépendance des États-Unis vis-à-vis du pétrole étranger, la fracturation est en fait le dernier acte de stupidité d’un pétro-État.

Livre Toxic Waters

Les industries de la viande et du lait susmentionnées ne font pas que monopoliser l’eau. L’agriculture animale — qui englobe les énormes fermes industrielles et les petites exploitations familiales — est également la principale cause des gaz à effet de serre, de la déforestation, de l’extinction des espèces et des « zones mortes » des océans. L’élevage industriel intensif des animaux et de leurs cultures fourragères est en grande partie responsable du taux le plus élevé d’extinction massive d’espèces depuis 65 millions d’années [ça se discute – NdT].

En outre, aucune autre industrie sur la planète n’a besoin d’autant de surface que l’agriculture animale : elle accapare 45 % de toutes les terres libres de glace de la planète. Selon la World Animal Foundation, 70 % de la forêt amazonienne est détruite dans le seul but de cultiver du soja ou du maïs OGM pour nourrir le bétail en Amérique du Sud et en Europe. Entre 1970 et 2019, un total de 718 927 kilomètres carrés de la partie brésilienne de la forêt amazonienne a été déboisé.

Note du traducteur 3 : À noter toutefois que la même World Animal Foundation (WAF) nous encourage au véganisme et nous demande de « sauver la planète ».

Quelques faits supplémentaires à prendre en considération :

  • La moitié de l’approvisionnement mondial en céréales est destinée aux animaux de boucherie, alors qu’un milliard de personnes souffrent de la faim.
  • Aux États-Unis, 54 % de l’eau douce est détournée par l’agriculture animale, alors que 99,8 % de la zone géographique de la Californie connaît une sécheresse critique.
  • À l’échelle mondiale, l’industrie de l’agriculture animale, qui tue au moins 72 milliards d’animaux terrestres chaque année (200 millions par jour), est à l’origine de 51 % de toutes les émissions de gaz à effet de serre, soit bien plus que les 13 % générés par tous les modes de transport réunis.

Note du traducteur 4 : C’est un fait, mais l’auteur ne fait pas mention de l’absurdité de nourrir des bovins et des ovins avec des céréales, ce qui n’est absolument pas leur régime naturelle. Ce n’est donc pas l’élevage animal en tant que tel qui devrait être soumis à la question, encore que l’aspect industriel et tout ce qui l’accompagne est à prendre en considération, mais bien la façon dont ils sont nourris qui est en soi contre-Nature. Par ailleurs, l’auteur omet aussi de faire mention des cultures agricoles destinés à alimenter les moteurs de voiture pour une consommation dite « verte » qui participe à la propagation des polluants dans l’air, voir plus bas à propos du glyphosate.

Le « fait » le plus surprenant concernant la dévastation causée par l’agriculture animale est que la quasi-totalité des prétendues organisations environnementales à but non lucratif sont silencieuses sur cette question.

La catastrophe environnementale est encore plus grave dans les océans du monde. L’industrie de la pêche commerciale détruit la vie océanique, y compris les fonds marins, à un rythme jamais vu dans l’Histoire. Aucune autre industrie ne tue plus d’animaux que ce commerce. Un rapport de Matthew Zampa pour Sentient Media observe qu’entre 37 et 120 milliards de poissons sont tués chaque année dans des fermes piscicoles commerciales créées par l’être humain et qu’au moins un autre trillion d’animaux aquatiques vivant dans des plans d’eau naturels sont tués pour chaque année pour les nourrir. Selon des recherches présentées sur le site Web d’Oceana, ce total stupéfiant ne comprend pas les 100 millions de requins et les 650 000 baleines, dauphins et phoques qui sont tués chaque année en tant que prises accessoires — les prises accessoires sont le nombre total d’animaux marins que les pêcheurs capturent involontairement dans leurs filets et tuent, soit en les rejetant en mer, soit en les ramenant au port.

Note du traducteur 5 : Les fermes piscicoles créées par l’être humain sont elles aussi contre-Nature et engendrent un nombre incalculable de maladies. Qui plus est, ces poissons sont nourris de farines, d’ingrédients douteux et de poissons qu’il faut bien prendre quelque par : et à part les étangs mentionnés par l’auteur, ils pourraient bien être prélevés dans ces mêmes bassins piscicoles…

En raison de cette extraction et de cette extermination, les populations mondiales de nombreuses espèces de vie aquatique sont en train de chuter à des niveaux proches de l’extinction. Une étude scientifique présentée dans le New York Times prévoit que si la pêche commerciale dans le monde se poursuit à son rythme actuel, les océans seront pratiquement vides en 2048.

Tout aussi inquiétant, les océans sont utilisés comme dépotoir pour les entreprises manufacturières et minières du monde entier. Il n’est donc pas surprenant que des chercheurs de la Scripps Institution of Oceanography de l’université de San Diego aient découvert que les populations de poissons [et de mammifères y compris terrestres, comme l’ours polaire – NdT] des océans sont contaminées par des métaux lourds comme le mercure, les polychlorobiphényles (PCB), les pesticides organochlorés (DDT et CHL), les polybromodiphényléthers (PBDE), les composés plastiques et l’hexachlorobenzène.

Les fabricants de produits chimiques synthétiques, de pesticides, d’insecticides, d’herbicides et d’engrais comptent parmi les pires ennemis de la Terre. La menace la plus récente pour notre environnement provient des cultures industrielles génétiquement modifiées, connues sous le nom d’organismes génétiquement modifiés (OGMs). Avec l’introduction de ces nouvelles cultures, nous avons accéléré notre capacité à manipuler la Nature à un rythme inimaginable à une époque antérieure. Malheureusement, en conséquence de notre ingérence, nous assistons à une explosion des maladies chroniques.

Note du traducteur 6 : Des facteurs naturels et cycliques peuvent aussi entrer en ligne de compte, bien que ce qui précède puisse en accélérer le processus.

Voir Oubliez le réchauffement climatique, nous sommes au bord de l’extinction !

Comment notre discussion susmentionnée sur les microbiomes, les viromes et l’immunité s’inscrit-elle dans ce tableau de désolation environnementale ?

Tout d’abord, depuis l’introduction de l’agriculture chimique et l’utilisation des OGMs à l’échelle mondiale en 1996, nous avons modifié notre environnement naturel à un point tel que nous décimons notre système immunitaire inné. (N’oubliez pas cette date : 1996.) En conséquence, les maladies auto-immunes et autres maladies chroniques qui, à une époque, ne touchaient qu’un infime pourcentage de la population générale, connaissent aujourd’hui une explosion de leur prévalence. Le timing de cette explosion ne nous échappe pas : ces maladies ont commencé à toucher les humains de manière importante à partir de 1996. Il n’est donc pas exagéré de conclure que l’utilisation prodigue des OGMs est liée au déclin marqué de la santé humaine au cours des deux dernières décennies et demie.

Je vais citer quelques exemples :

Dans le monde, une personne sur quatre souffre désormais d’allergies ; en Amérique du Nord, une personne sur trois est obèse ; aux États-Unis, une femme sur deux et un homme sur trois développeront un cancer au cours de leur vie.

En outre, le trouble du développement appelé « trouble du spectre autistique » est passé de 1 enfant sur 5 000 en 1975 à 1 sur 36 en 2016. Si la tendance actuelle se poursuit, on peut s’attendre à ce qu’un enfant sur trois soit atteint d’autisme d’ici 2035. Pendant la même période, nous avons assisté à une augmentation spectaculaire d’autres troubles du système immunitaire, tels que la maladie de Crohn, la maladie cœliaque, la maladie de Parkinson (chez les hommes), la maladie d’Alzheimer (chez les femmes), la démence et le diabète de type 1.

Note du traducteur 7 : Il faut aussi mentionner que la vaccination de masse avec un nombre délirant de vaccins inoculés dès les tout premiers jours de la vie concourt à considérablement affaiblir le système immunitaire inné et à désorganiser le système immunitaire adaptatif, lequel n’a techniquement aucune raison de s’activer, en général, tant que le premier est optimal. Le fait de développer des anticorps est déjà en soi le signe d’un système immunitaire inné affaibli.

Les cultures OGMs sont pulvérisées avec des herbicides, comme le Roundup de Bayer, qui contient l’ingrédient actif appelé glyphosate et qui est l’herbicide/antibiotique cancérigène le plus omniprésent de la planète. En 2014, plus de 747 millions de kg de glyphosate ont été utilisés dans le monde. Aujourd’hui, à peine sept ans plus tard, ce chiffre a plus que doublé, passant à 2 milliards de kg. Étant un composé soluble dans l’eau, le glyphosate contamine les eaux souterraines partout, de la Chine à l’Amérique du Nord. Comme si cela ne suffisait pas, le glyphosate contamine également l’air que nous respirons. Une étude de l’US Geological Survey réalisée en 2007 révèle que le Roundup (alias glyphosate) et son sous-produit toxique, l’acide aminométhylphosphonique (AMPA), ont été retrouvés dans plus de 75 % des échantillons d’air et de pluie testés dans le Mississippi en 2007.

Parallèlement, le plus long fleuve des États-Unis, le puissant Mississippi, et ses centaines d’affluents recueillent plus de 80 % du Roundup pulvérisé sur les cultures dans l’ensemble des États-Unis. Le fleuve Mississippi reçoit également des milliers d’autres polluants chimiques qui y sont déversés par les entreprises pétrochimiques. Il n’est pas surprenant que les personnes résidant le long des 140 derniers kilomètres du fleuve, qui traverse la Louisiane — plus précisément dans la région de Baton Rouge et de la Nouvelle-Orléans — aient l’un des taux de cancer les plus élevés au monde.

Note du traducteur 8 : Le glyphosate se retrouve dans l’atmosphère également en raison de l’usage de carburants dits « verts », qui sont issus de cultures OGMs traités au glyphosate et qui sortent des pots d’échappement de tous les véhicules, qui, pour « sauver la planète » contribuent à la polluer, elle, son environnement et toute la vie qui s’y développe.

Le brevet du Roundup, autrefois détenu par Monsanto (aujourd’hui Bayer), ayant expiré en 2000, la Chine est devenue le premier utilisateur et exportateur de glyphosate au monde. En 2017, la Chine a exporté dans le monde plus de 300 000 tonnes de glyphosate. Il s’avère que la province du Hubei, où siège la tristement célèbre Wuhan, est l’une des principales utilisatrices de glyphosate en Chine. Les effets toxiques combinés de la production porcine, de l’industrie lourde et de l’agriculture chimique dans la province de Hubei ont fait de cette région l’un des endroits les plus pollués de la planète. L’écosystème de Wuhan, autrefois diversifié et propre, a été complètement ravagé par les polluants d’origine humaine et l’utilisation massive de glyphosate dans l’agriculture industrielle.

Il existe un lien indiscutable entre le taux élevé de cancer actuel et l’utilisation massive de glyphosates. En une seule génération, le taux de cancer diagnostiqué chez les hommes a doublé. Parallèlement à cette augmentation, en 25 ans (environ une génération) entre 1990 et 2015, la toxicité de l’environnement a également doublé.

Les données statistiques compilées par Nancy L. Swanson et al. dans le Journal of Organic Systems fournissent des preuves accablantes d’une corrélation précise, de 1975 à 2010, entre l’utilisation du glyphosate et l’incidence de nombreux types de cancer, notamment le cancer de l’urine/de la vessie, le cancer du foie, le cancer de la thyroïde et la leucémie myéloïde. Les graphiques présentés dans l’étude de Swanson montrent que l’augmentation de la prévalence du cancer recoupe parfaitement l’augmentation de l’utilisation du glyphosate.

Un autre lien qui ne peut être ignoré est la baisse du nombre de spermatozoïdes masculins dans les pays occidentaux. Shanna Swan, épidémiologiste au Mount Sinai Medical Center de New York et éminente spécialiste de la santé génésique, prévoit que le nombre de spermatozoïdes de l’homme moyen sera nul d’ici 2045. Avec l’introduction des perturbateurs endocriniens, le nombre de spermatozoïdes masculins a chuté de 50 à 60 %, soit une moyenne de 1 à 2 % par an, entre 1973 et 2011. Il est vrai que les microplastiques perturbateurs endocriniens présents dans l’eau potable posent un problème, mais ce problème n’est rien en comparaison des effets néfastes de l’agriculture chimique et de l’utilisation du glyphosate, affirme le spécialiste de la médecine interne, de l’endocrinologie et du métabolisme, le Dr Zach Bush, sur son site web Global Health Education.

De plus, écrit le Dr. Bush,

« le glyphosate fonctionne comme un puissant agent chélateur, bloquant les nutriments dans les systèmes du sol, des plantes et de l’eau, de sorte que nous pouvons maintenant nous trouver dans un état biologique qui équivaut à une famine tout en étant confronté à l’excès calorique le plus extrême que l’humanité ait jamais produit. »

Note du traducteur 9 : Il est question ici de la population des États-Unis, en particulier. Cet « excès calorique » ne concerne évidemment pas les populations touchées par une famine à la fois nutritionnelle et calorique.

Les avertissements mondiaux d’autres scientifiques, médecins et environnementalistes abondent. Par exemple, le Dr Vandana Shiva, militante pour l’environnement et la souveraineté alimentaire et écoféministe basée à Delhi, en Inde, n’a cessé de mettre en garde, dans les livres et articles qu’elle écrit, et dans les discours et interviews qu’elle donne dans le monde entier, contre le fait que les OGMs ont ruiné la vie des sols et des plantes en inhibant leur capacité à stocker les micro-organismes et les minéraux, tels que le zinc, le fer et le magnésium, qui sont vitaux pour la réponse immunitaire des animaux et des humains. Dans son article d’opinion de 2012 intitulé « Mythes sur l’agriculture industrielle », le Dr Shiva cite une étude de 1995 selon laquelle l’agriculture industrielle (qui a commencé en 1965) est responsable de 75 % de l’érosion de la biodiversité de la Terre, de 75 % de la destruction de l’eau et de 40 % des gaz à effet de serre, alors qu’elle ne produit que 30 % de l’approvisionnement alimentaire des humains.

Note du traducteur 10 : Voir sur le sujet l’excellent ouvrage de Lierre KeithLe Mythe végétarien.

En 2013, Sott.net a publié un article qui présente l’ouvrage traduit cette année-là en français : Revue de livre – Le Mythe végétarien, nourriture, justice et pérennité.
Toujours en 2013, Sott.net a publié une interview exclusive avec l’auteur : Radio Interactive SOTT – Entretien avec Lierre Keith

En 2009, trois articles qui reprennent les Chapitres et 1 et 2 ont été traduits par Sott.net et également publiés :
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (1re partie)
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (2e partie)
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (3e partie)

Depuis le milieu des années 1990, l’agriculture industrielle/chimique a décimé le microbiome du sol à l’échelle mondiale. Pensez-y : en 2014, une haute fonctionnaire des Nations unies, Maria-Helena Semendo, de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), a expliqué à l’assemblée qu’à moins de développer de nouvelles approches de l’agriculture, la quantité mondiale de terres arables et productives par personne ne représentera en 2050 qu’un quart du niveau de 1960. À considérer également : dans une étude menée par l’université de Lancaster en septembre 2020, les chercheurs ont constaté que 90 % des sols cultivés de manière conventionnelle dans le monde s’amincissaient, et que 16 % d’entre eux avaient une durée de vie inférieure à un siècle.

En bref, la réduction susmentionnée du nombre de spermatozoïdes masculins, associée à la dégradation des sols dans le monde entier, sont les deux facteurs clés qui conduisent l’humanité vers l’extinction.

Chaque fois que nous pulvérisons du Roundup ou l’un des autres herbicides encore plus toxiques qui sont maintenant largement utilisés — comme le 2,4-D (le 2,4-dichlorophénoxyacétique est un ingrédient principal de l’herbicide de guerre chimique largement connu sous le nom d’Agent Orange) ou le dicamba (un herbicide 200 fois plus toxique que le glyphosate du Roundup) — nous détruisons le microbiome du sol, celui des mauvaises herbes, des plantes et des animaux ainsi que notre propre microbiome. Et, pour enfoncer le clou, le Roundup se disperse non seulement dans le sol mais aussi dans l’air. Tout comme ses produits concurrents.

Malheureusement, les herbicides ne sont pas la seule substance toxique présente dans l’air que nous respirons. De nombreux autres polluants — mercure, arsenic, soufre et cyanure, pour n’en citer que quatre — circulent également dans l’atmosphère. Ces toxines, qui sont produites par les secteurs du transport et de l’énergie, sont capables de se lier aux particules de carbone. Les particules fines de carbone, appelées PM2,5 (c’est-à-dire les particules inférieures à 2,5 microgrammes par mètre cube, soit 100 fois plus fines qu’un cheveu humain), sont un sous-produit de la combustion de carburant et des réactions chimiques. cette combustion est particulièrement préoccupante pour la santé humaine lorsque les niveaux de PM2,5 dans l’air sont élevés, comme le démontrent ces deux études de 2017 de la NIH National Library of Medicine et du The New England Journal of Medicine.

Il s’avère que les toxines ne sont pas les seules à se lier aux PM2,5 ; les virus aussi. Avant la révolution industrielle, les virus se dispersaient de manière [à peu près – NdT] égale dans l’atmosphère. Cependant, maintenant que les particules de carbone sont omniprésentes dans l’air, les virus se concentrent anormalement autour de cette substance. Plus la concentration de PM2,5 est élevée, plus la concentration de matériel viral est importante.

Chaque année, de la dernière semaine de septembre à la fin juin, la nature entre dans son cycle de sommeil dans l’hémisphère nord. Pendant cette période, les concentrations d’émissions de particules de carbone et de CO2 et d’autres polluants qui seraient normalement absorbées par les arbres, les plantes, les océans et le sol ne peuvent pas l’être. Il en résulte de très fortes concentrations de polluants qui se déplacent en direction de l’est avec les courants éoliens — Dans le même temps, des amas de virus à protéines Spike se sont accrochés aux particules de carbone. Les concentrations accrues de PM2,5 dans les zones où le sol a été dégradé au point que son microbiome vivant et doté d’une respiration aérobie a perdu la capacité d’absorber le carbone tout au long de l’année, quelle qu’en soit la saison, aggravent le problème et démontrent les effets néfastes de l’agriculture chimique.

Grâce à l’imagerie satellitaire de la NASA, nous pouvons voir, à partir de la mi-octobre de chaque année, un énorme panache de carbone qui flotte depuis les centres d’industrie lourde de Chine et d’autres régions industrielles du monde et se disperse dans un flux d’est à travers l’hémisphère nord. Au mois de mai, cette brume toxique recouvre l’hémisphère nord. Vous pouvez consulter le site IQAir pour une analyse en temps réel des données sur la toxicité des PM2,5 dans le monde.

De manière étrange, ce que nous appelons « la grippe saisonnière » coïncide parfaitement avec la période où la Nature entre dans son cycle de sommeil dans l’hémisphère nord. Pendant les mois que nous appelons « saison de la grippe », notre corps est plus susceptible de subir un événement inflammatoire — fièvre, congestion, toux et perte d’appétit. Ce phénomène se produit lorsque notre corps s’adapte et s’équilibre avec les toxines industriellesprésentes dans l’environnement. Lorsque l’été arrive, fin juin, la Nature reprend son cycle de régénération : les panaches de PM2,5 se dissipent lentement pour finalement se diluer, ce qui réduit notre risque de maladie respiratoire. C’est la raison pour laquelle nous ne souffrons que rarement, voire jamais, de grippe pendant les mois d’été dans l’hémisphère nord. Par conséquent, en suivant les flux de particules de carbone, nous pouvons en fait cartographier et prévoir exactement où se trouveront les points chauds des infections respiratoires, des « pandémies » et de la grippe saisonnière.

Note du traducteur 11 : Les toxines présentes dans l’environnement ne sont pas uniquement de nature industrielle, sinon l’ère pré-industrielle n’aurait pas eu son lot de « pandémies ». Toutefois, l’environnement qui est le nôtre aujourd’hui accentue certainement et de manière drastique ce qui était au départ un phénomène naturel et cyclique. Les éjections dues au volcanisme — et aux grands incendies — et les injections dues aux météores et autres phénomènes cosmiques font aussi partie du cycle naturel de la Terre et de son atmosphère, et l’augmentation ces dernières années de ces deux activités cycliques, en particulier, ajoute à la problématique. Le fait même de faire fi de leur existence et de leur impact sur notre environnement et sur la vie en général permet de ne focaliser que sur l’aspect humain des causes en question. Nous ne sommes pas séparés de ce qui constitue le système terrestre-atmosphérique, pas plus que la planète Terre n’est séparée de son système Solaire, pas plus que ce dernier n’est séparé de la Voie lactée, etc. Tout est lié.

Voir Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney – Ce qui se profile à l’horizon

Troisième partie — Que s’est-il passé en 2020-21 ? La « pandémie »

Cette année marque un tournant décisif dans l’Histoire de l’humanité. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est en train d’être génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont rendu possible la modification permanente du génome humain — et la modification à jamais de la relation de l’humanité avec la Nature — par le biais d’une injection pharmaceutique expérimentale faussement appelée « vaccin ».

À la lumière de cet événement déterminant, je crois que nous devons jeter un regard sobre sur les motifs et les actes qui sont en train de bouleverser l’humanité telle que nous la connaissons. Simultanément, nous devons examiner le traitement de plus en plus destructeur que nous réservons au monde naturel.

Dans les mois qui ont précédé 2020, la Terre a connu une série d’incendies de forêt sans précédent, de l’Australie à l’Amazonie et de l’Indonésie à la Californie. Rien qu’en Californie, la saison des feux de forêt de 2019 a détruit plus de 100 000 hectares de terre, ainsi que 732 structures. Au total, les feux de friches en 2019 dans le monde ont envoyé 7,8 milliards de tonnes métriques de CO2 et de particules de carbone dans la stratosphère — le plus haut niveau de PM2,5 depuis 2002. Une fois dans la stratosphère, les particules de carbone ont pu parcourir des milliers de kilomètres depuis leur provenance d’origine. De nombreuses villes du monde entier, comme Canberra, Wuhan, New York et Milan, ont connu une qualité d’air extrêmement faible en raison de niveaux extrêmement élevés de PM2,5.

Il s’avère que l’une des substances les plus toxiques générées par la combustion de matières synthétiques telles que le plastique, le nylon, la laine et la soie — combustion provoquée par des feux de forêt ou par des réactions chimiques industrielles — est le cyanure. Plus précisément, le cyanure d’hydrogène gazeux. Le cyanure est un agent hautement toxique qui provoque une hypoxie vasculaire et même la mort s’il n’est pas traité correctement.

Ainsi, alors que dans la seconde moitié de 2019 et le début de 2020 nous entrions dans la « saison de la grippe », nous nous trouvions face à la tempête parfaite de toxicité alors en circulation sur le globe. Les niveaux anormalement élevés de PM2,5, associés à des niveaux élevés de sous-produits industriels tels que le soufre, le mercure, l’arsenic, le carbone, le glyphosate et le cyanure, ont créé des conditions idéales pour supprimer le système immunitaire inné, en particulier chez les personnes fragiles et âgées, qui sont dans de nombreux cas déjà aux prises avec de graves conditions médicales sous-jacentes.

Pour aggraver les choses, la plupart des patients atteints de ces pathologies sous-jacentes — hypertension, diabète, obésité, maladie coronarienne et maladie rénale — prennent des médicaments couramment prescrits, notamment des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (IEC) pour contrôler la tension artérielle et des statines pour réduire le cholestérol. Or, nous savons aujourd’hui, grâce à une étude publiée pour la première fois le 31 mars 2020 dans l’American Journal of Physiology Heart and Circulatory Physiology (volume 318, numéro 5), que les IEC et les statines régulent à la hausse le récepteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) par lequel le coronavirus pénètre dans l’organisme.

L’ACE2 est une protéine qui se trouve à la surface de nombreux types de cellules du corps humain, notamment l’intestin, les reins, l’utérus, les testicules, le cerveau, le cœur et, plus important encore pour notre sujet, les poumons et les muqueuses nasales et orales.

L’enzyme ACE2 joue un rôle important en aidant l’organisme à réguler la pression artérielle et en contribuant à la cicatrisation des plaies et des inflammations. En outre, les acides aminés de l’ACE2 aident à capturer et à hacher une protéine nocive appelée angiotensine II, qui fait monter la pression artérielle et endommage les tissus. C’est pourquoi les médecins du monde occidental prescrivent généralement de l’ACE-I afin de stimuler l’expression de l’ACE2 et de réduire ainsi le risque d’hypertension artérielle. De plus, lorsque l’enzyme ACE2 est régulée, elle peut très facilement capturer — ou accrocher — n’importe laquelle des nombreuses protéines Spike émanant de la surface d’un coronavirus.

Puisque nous parlons des protéines Spike, j’aimerais faire quelques commentaires, sous forme de questions-réponses, sur la recherche sur le gain de fonction dans ce domaine.

La recherche sur le gain de fonction vise à modifier les caractéristiques fonctionnelles d’un virus dans le but d’accroître sa capacité à infecter une espèce et à augmenter potentiellement son impact en tant que pathogène aérien. En rendant un virus plus « mortel », on pense qu’il pourrait ensuite être utilisé contre un ennemi potentiel comme arme de guerre biologique. Nous savons qu’il existe des laboratoires de recherches sur le gain de fonction à Wuhan, en Chine, et dans les installations de l’armée américaine à Fort-Detrick, dans le Maryland — En 2018, au moins 15 autres pays, outre les États-Unis et la Chine, dont le Canada, le Royaume-Uni, la France, Israël, l’Allemagne et la Russie, avaient des programmes documentés d’armes biologiques et des laboratoires de recherche sur les armes biologiques.

  1. Est-il possible que les deux laboratoires de Wuhan et de Fort-Detrick, ou l’un d’entre eux, aient manipulé l’une des protéines Spike d’un coronavirus qui le rendrait encore plus apte à se connecter au récepteur ACE2, comme le suggère ce document de l’Institut de microbiologie humaine de New York ? Absolument.
  2. Le Dr Anthony Fauci a-t-il des liens financiers profonds avec le laboratoire de Wuhan de par sa position de directeur, depuis 1984, du National Institute of Allergy and Infectious diseases (NIAID) ? Absolument.
  3. Par extension, le gouvernement des États-Unis est-il indirectement ou directement impliqué dans le financement de l’Institut de virologie de Wuhan ? Absolument.
  4. Le Dr Fauci et le spécialiste du gain de fonction de l’université de Caroline du Nord, Ralph Baric, ont-ils reçu des millions de dollars de subventions de recherche de plusieurs agences fédérales — NIH, DARPA et NIAID — pour étudier le gain de fonction dans les coronavirus, comme l’indique clairement ce dossier du Dr David Martin ?

Néanmoins, nous ne devons pas perdre de vue le fait que toute cette attention portée au gain de fonction pourrait être en fait une opération psychologique habilement déguisée destinée à nous distraire du fait que nous ne disposons d’aucune preuve scientifique validée par des pairs qu’un coronavirus est à l’origine du syndrome respiratoire connu sous le nom de Covid-19.

En outre, l’attention soudaine et intense que les médias portent au Dr Fauci et au lien avec Wuhan pourrait être une tactique destinée à faire porter le chapeau à la Chine pour avoir créé la « crise », tout en occultant habilement le fait que de nombreux acteurs issus de nombreuses nations et organisations, comme le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé et la Fondation Bill & Melinda Gates, travaillent de concert avec la Chine pour « asservir » l’ensemble de l’humanité dans « un cauchemar technocratique dystopique ».

Ou bien, est-il possible que les véritables armes biologiques à gain de fonction soient les injections expérimentales non approuvées (appelées « vaccins anti-Covid-19 ») qui sont actuellement déployées dans le monde entier ? L’avenir nous le dira.

Pour en revenir aux événements de 2020, nous pouvons voir qu’en régulant à la hausse le récepteur ACE2 qui se trouve à la surface des poumons et de la muqueuse nasale, nous avons facilité la tâche d’un coronavirus [des protéines Spike, en fait – NdT], en conjonction avec les particules PM2,5 qui transportent du cyanure et d’autres possibles polluants, pour qu’il s’accroche et soit attiré dans la voie respiratoire. Une fois dans les voies respiratoires, les toxines finissent par passer dans la circulation sanguine et entrer dans les globules rouges de l’organisme. Lorsqu’une toxine pénètre dans un globule rouge, elle modifie la forme de la protéine hémoglobine qui transporte l’oxygène dans le globule rouge et rend ce dernier incapable de transporter l’oxygène. Ce processus prive littéralement l’organisme d’oxygène. Par conséquent, avec cette combinaison de variables, le décor était planté dans la seconde moitié de 2019 pour produire le système de diffusion parfait permettant l’empoisonnement au cyanure.

L’empoisonnement au cyanure provoque un état connu sous le nom d’hypoxie histotoxique. Cet état comprend les symptômes suivants

  • Changement de la couleur de la peau (allant du bleu au rouge) ;
  • Désorientation ;
  • Toux ;
  • Fréquence cardiaque élevée ;
  • Respiration rapide ;
  • Essoufflement (dû à la perte de la capacité des globules rouges à transporter l’oxygène) ;
  • Transpiration.

Par conséquent, à la fin de l’année 2019 et au début de l’année 2020, les professionnels de la santé de la province de Hubei, du nord de l’Italie, de la région métropolitaine de New York et d’ailleurs ont été confrontés à des patients présentant des symptômes d’empoisonnement au cyanure. Comme le souligne une étude du JAMAparue en avril 2020ces symptômes présentent toutes les caractéristiques d’une hypoxie histotoxique, mais aucun des symptômes d’une pneumonie ou d’une insuffisance respiratoire. En d’autres termes, ils n’avaient pas de fièvre (afébrile), pas d’accumulation de liquide dans les poumons et pas d’augmentation du nombre de globules blancs (que l’on s’attendrait à voir en cas d’infection).

Nous devons donc conclure que ces patients en détresse aiguë, dont beaucoup étaient âgés, devaient initialement souffrir d’hypoxie, etnonde pneumonie etpas non plusd’insuffisance respiratoire. La pneumonie et les micro-caillots de sang, qui ont fini par les tuer, sont survenus plusieurs jours ou semainesaprèsl’empoisonnement initial — et ce, uniquement parce que leur système immunitaire inné avait été tellement affaibli que leur organisme a succombé aux effets en cascade des infections secondaires.

Par ailleurs, toutes les personnes qui ont été touchées de manière aiguë par le Sras en 2002 et par le Mers en 2012 présentaient les mêmes symptômes d’hypoxie histotoxique, et non d’infection virale. En d’autres termes, leurs symptômes étaient identiques à ceux des cas aigus en 2020 de ce qui a été appelé à tort Covid-19.

Note du traducteur 14 : Le nom de Covid-19 peut tout aussi bien avoir été choisi à dessein, et non à tort : Cov ID 2019, ce qui pourrait indiquer une volonté programmée à l’avance d’utiliser ce nom et pas un autre ; le « lancement » en 2019 du programme de mise en place des identités numériques par le biais d’un coronavirus… peut-être.

En fin de compte, la plupart des patients hospitalisés en 2020 sont décédés des suites d’un événement toxicologique — qui a été baptisé à tort « Covid-19 » d’après ce qui a été appelé une nouvelle souche de coronavirus — et non de la maladie infectieuse ainsi nommée. Même au plus fort de la « pandémie », le prétendu Covid-19 ne représentait qu’un très faible pourcentage du total des décès en Italie et ailleurs.

Heureusement, le taux de mortalité global par infection signalé pour le syndrome Covid-19 n’est que légèrement supérieur à celui de la prétendue grippe saisonnière. Tout aussi heureusement (mais pas pour ses victimes), le syndrome n’a représenté un danger que pour un seul grand groupe de population : les personnes âgées atteintes d’au moins deux maladies chroniques majeures. La présence de comorbidités — maladies cardiaques, accidents vasculaires cérébraux et cancer du poumon — est à l’origine de la grande majorité de leurs décès. Mais pour les personnes de moins de 70 ans sans ces comorbidités, le risque de mourir dans un accident de voiture est plus élevé que le risque de mourir de ce que l’on appelle la maladie Covid-19. En effet, les maladies graves et les décès dus au Covid-19 ne sont survenus que chez des personnes plus jeunes souffrant de troubles de l’immunodéficience — obésité, diabète, maladies auto-immunes et immunodéficiences héréditaires.

Néanmoins, ces décès, bien que tragiques, ne justifient en aucun cas qu’un gouvernement viole les droits naturels des citoyens. Ces droits incluent la liberté de…

  • de se déplacer — y compris de quitter son domicile à toute heure du jour ou de la nuit ;
  • voyager — y compris entre états, provinces, pays et continents ;
  • s’associer — c’est-à-dire se réunir en personne avec ses amis et sa famille ;
  • se réunir — pour protester pacifiquement contre des édits injustes, des pratiques corrompues et la censure ;
  • prier — y compris se réunir avec d’autres croyants ;
  • exprimer son individualité — y compris choisir de porter ou non un masque ;
  • jouir d’une autonomie corporelle — notamment ne pas être contraint psychologiquement ou physiquement à recevoir des injections expérimentales de quelque nature que ce soit ;
  • rester en activité — au lieu d’être considéré par des politiciens tyranniques et des bureaucrates de la santé publique comme « non essentiel », une étiquette qui a forcé des millions de petites entreprises à fermer leurs portes, souvent de façon permanente.

Le Dr Bush résume comme suit les cas de maladies respiratoires aiguës sévères qu’il a observés en 2020 :

« Malheureusement, nous n’avons pas abordé la question comme un empoisonnement, mais comme une infection. Nous avons continué à croire que ces personnes qui mouraient, mouraient d’une infection. Je pense qu’elles étaient très clairement surchargées de PM2,5 liées au cyanure transporté dans l’environnement pulmonaire et finalement dans la circulation sanguine par le virus. Le virus est naturellement conçu pour pénétrer dans l’organisme par les poumons, les tissus vasculaires et les tissus neuronaux, comme nos sinus nasaux. Nous observons toutes ces pertes de goût et d’odeur chez les personnes exposées à ce virus parce qu’il passe par le récepteur ACE2 à la surface de tous ces tissus. Le récepteur ACE2 se lie au coronavirus [à la protéine Spike du virus – NdT] et attire le cyanure directement dans le globule [rouge] et empoisonne le corps humain avec des quantités élevées de pollution atmosphérique qui n’ont pas été respirées mais qui ont été littéralement acheminées de manière ingénieuse dans la circulation sanguine à l’aide d’un virus présent dans notre environnement depuis très longtemps. »

D’après sa description détaillée, nous pouvons clairement constater que les gens mouraient de toxicité environnementale, et non d’une infection virale. C’est précisément la raison pour laquelle il n’existe pas d’étude scientifique, évaluée par des pairs, apportant la preuve concluante qu’un virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie mortelle appelée Covid-19. De telles preuves n’existent pas, car le coronavirus, soi-disant, ne cherche pas à nuire à qui que ce soit, mais présente simplement une mise à jour virale à ceux qui en ont besoin.

Note du traducteur 15 : Cette mise à jour virale constitue l’essence mêmes des virus et en l’occurrence des coronavirus. Toutefois, avec le Sras-CoV-2, nous n’avons pas à faire à un coronavirus naturel, mais à une arme biologique développée en laboratoire.

Voir la partie sur les virus et leur vraie nature dans cet article : Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2

En résumé, deux scénarios différents se sont déroulés en 2020 :

Dans le premier scénario, nous avons vu des personnes présentant un événement inflammatoire marqué par de la fièvre, une congestion, une perte d’appétit, un nombre élevé de globules blancs et un malaise. Tous ces symptômes sont ceux auxquels on peut s’attendre lorsqu’un nouveau variant issu d’un coronavirus déclenche le système immunitaire inné — et éventuellement le système immunitaire adaptatif — lequel fait ce qu’il fait toujours pour nous ramener à l’équilibre après une nouvelle mise à jour génomique d’un virus. N’oubliez pas que les coronavirus nous donnent des informations génétiques qui régénèrent notre organisme ; ils œuvrent pour nous [et la vie en général – NdT] et ne nous infectent pas de maladies [sauf à ce que cet équilibre ne soit pas restauré et que les virus soient vus comme la cause des maladies – NdT].

Dans le second scénario, nous avons vu des personnes souffrant de comorbidités graves, parfois multiples, succomber finalement à un événement toxicologique, tel que décrit par le Dr Bush ci-dessus.

Certes, dans les deux scénarios, le coronavirus est présent, mais de façon bénigne. Comme je l’ai expliqué précédemment, un virus n’essaie pas de prendre le contrôle de la mécanique d’une cellule du corps. Il ne cause ni ne force rien. Il est simplement présent — un autre exemple de culpabilité par association, tout comme le faux lien entre le virus VIH et le Sida que j’ai décrit plus haut.

Note du traducteur 16 : « un virus n’essaie pas de prendre le contrôle de la mécanique d’une cellule du corps. Il ne cause ni ne force rien. » Un virus, non, mais un virus créé en laboratoire, sûrement.

À propos du VIH et du Sida, voici ce que Kary Mullis déclarait dans The San Diego Union-Tribune, le 15 Mai 1994 :

« Bien que plus de 75 000 articles ont été publiés sur le Sida, aucun n’a sérieusement étudié toutes les preuves pertinentes ni essayé de prouver que le VIH causait bien le sida. Quelques articles répondent à des objections spécifiques, mais ils commencent en supposant que le VIH est la cause du Sida, ce qui est justement la question problématique. S’il avait été possible d’écrire un tel article, il aurait déjà été écrit et ce serait la publication scientifique la plus citée du siècle. Puisque de tels articles n’existent pas, il est impossible de réfuter ou d’étayer les arguments qu’ils pourraient contenir. »

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[Voir aussi : Contestation du lien entre VIH et SIDA]
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Cependant, au lieu de faire la différence entre les deux scénarios, les responsables de la santé publique du monde entier, sous la direction de l’OMS totalement corrompue, les ont commodément regroupés dans une seule catégorie : Covid-19. Pour ce faire, ils ont utilisé le test RT-PCR, monstrueusement inapproprié et inexact, et son inventeur, Kary Mullis, a insisté (avant sa mort prématurée en août 2019) sur le fait qu’il n’était pas destiné à diagnostiquer une maladie mais simplement à vérifier la présence d’une charge virale.

Note du traducteur 17 : Kary Mullis a déclaré ce qui suit :

« C’est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malade. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »

Un des individus à qui profite les ventes de tests PCR est Christian Drosten, un virologue allemand, qui en 2003 a co-découvert le Sras ; on reste en famille. Il est devenu dès janvier 2020 le conseiller « Covid » d’Angella Merkel, il est le « Tony Fauci » allemand.

En dépit de ses résultats faciles à falsifier et donc souvent falsifiés, le test PCR est toujours utilisé dans le monde entier pour remplacer les analyses cliniques. Pourquoi ? La seule réponse logique est que le dépistage du coronavirus est une forme de contrôle destinée à créer une hystérie publique. Ne comprenant pas que la plupart des résultats positifs sont frauduleux, que les mots effrayants « cas positif » ne signifient pas la présence d’une infection, et que les personnes asymptomatiques ne peuvent ni avoir ni propager la maladie, le public a été trompé en croyant qu’un dangereux pathogène tue un grand pourcentage de la population.

En attisant la peur, les gouvernements du monde entier ont pu justifier des mesures de confinement et des obligations de porter un masque qui sont nuisibles et totalement inefficaces, ainsi que des mesures de distanciations sociales absurdes. Mais pourquoi provoquer intentionnellement la panique et pourquoi sévir comme des dictateurs ? Les politiciens et les responsables de la santé publique doivent soit obéir à des ordres menaçants, soit accepter des pots-de-vin irrésistibles, soit simplement suivre les instructions de leurs supérieurs, en croyant naïvement qu’ils font « ce qui est le mieux » dans l’intérêt de la sécurité publique. Dans la plupart des cas, ils doivent être incités, par la ruse ou par l’astuce [ou la corruption – NdT], à persuader les citoyens de prendre part à la plus grande expérience médicale de l’Histoire — une campagne mondiale de « vaccination » de masse conçue dans le but d’injecter à tout humain qui s’y conforme une thérapie génique expérimentale non testée, non approuvée, appelée ARNm anti-Covid-19 — dans quelques endroits, comme l’Italie, l’Arabie saoudite et le Tadjikistan, même les non conformistes sont contraints de se soumettre à l’aiguille Covid-19.

Les parallèles entre l’« épidémie de Sida » et la « pandémie de Covid-19 » sont trop frappants pour être ignorés. Dans les deux cas, l’acteur central est un virus bénin qui peut être facilement accusé d’être la cause première d’une maladie déclarée, en dépit de l’absence de toute preuve scientifique réelle examinée par des pairs pour étayer cette affirmation.

Note du traducteur 18 : Répétons-le encore une fois ; le Sras-CoV-2 a été créé en laboratoire et ce n’est pas le virus en soi qui est dangereux, mais bien la protéine Spike, la même que celle qui a reçu l’ordre en laboratoire via les injections anti-Covid-19 de pousser le corps humain à en produire en quantité industrielle. Quant à l’épidémie de Sida, ou plutôt son effrayant battage médiatique, elle a très probablement amorcé et fait remonter à la surface — par programmation — la peur ancrée dans l’inconscient d’une future épidémie, quelle qu’elle soit. À force de jouer avec les Lois de la Nature sans les comprendre, on peut s’attendre à moyen terme à un vrai drame, une vraie épidémie.

De même, dans les deux cas, le virus peut être utilisé comme façade pour masquer des décennies de dégradation environnementale engendrée par des entités gouvernementales et des entreprises, dont les responsables ne paient jamais sous forme d’amendes ou de peines de prison pour leurs crimes.

Enfin, dans les deux cas, l’histoire du virus procure d’immenses profits à l’industrie pharmaceutique mondiale, qui n’est jamais tenue financièrement responsable pour des dommages et des décès causés par ses vaccins ou ses médicaments — pour ces derniers, c’est le cas tant qu’on ne découvre pas qu’ils sont la véritable cause du décès (pensez à l’AZT).

Quatrième partie — Notre réponse

Plutôt que d’accepter la façon dont nous détruisons notre habitat, plutôt que d’apprendre les leçons que la Nature a tenté de nous enseigner au cours des 18 derniers mois, nous avons continué d’ignoré les ravages et nous avons refusé d’en tirer des leçons. En fait, au cours de la pseudo-pandémie de l’année dernière, l’humanité n’a fait qu’intensifier sa guerre contre la Nature.

Par exemple, depuis janvier de l’année dernière, 129 milliards de masques de protection (pour la plupart en polypropylène) et 65 milliards de gants en latex ont été jetés chaque mois, selon une étude publiée par la revue Environmental Science & Technology de ACS Publications.

Une partie importante de ces déchets finira par se retrouver dans les océans du monde, où ils prendront la forme de microplastiques polluants. Il y a aussi les milliards et les milliards de récipients alimentaires en plastique et en papier qui ont été utilisés — et jetés — en raison de l’augmentation des commandes de plats à emporter provoquée par la pandémie, une fois les restaurants fermés aux clients.

Et ce n’est là qu’une partie des dommages environnementaux causés par la plus grande des escroqueries. Les gouvernements du monde entier — notamment en Chine et en Italie — pulvérisent des biocides cancérigènes dans l’atmosphère. Cet ultime acte de folie, qui vise à contenir ou à détruire le virus redouté de manière injustifiée, soumet les piétons à des produits chimiques encore plus nocifs. Ces désinfectants finiront par se retrouver dans l’eau du robinet de millions de foyers. En bref, nous n’avons aucune idée des conséquences que les biocides peuvent avoir sur le microbiome et sur notre santé à long terme [voire à court terme considérant l’empilement des problématiques – NdT].

Pendant ce temps, des centaines, voire des milliers de professionnels de la santé et de scientifiques du monde entier ont osé respecter leur serment de ne pas nuire et de suivre leur conscience en disant la vérité sur les conséquences dévastatrices de l’adhésion aux directives liées à la fausse pandémie.

Ces hommes et ces femmes courageux — qui sont tous médecins ou titulaires d’un doctorat et portent donc le titre de « Dr » ou de « Pr » — sont notamment :

  • Robert Malone, inventeur de la technologie des vaccins à ARNm et à ADN ;
  • Lawrence Palevsky, pédiatre ;
  • Vladimir Zelenko, médecin généraliste ;
  • Judy Mikovits, avocate et ancienne scientifique du NIAID ;
  • Simone Gold, médecin et fondatrice de America’s Frontline Doctors ;
  • Stephen Malthouse, médecin de famille ;
  • Sucharit Bhakdi, microbiologiste ;
  • Byram Bridle, professeur associé d’immunologie virale ;
  • Paul Thomas, pédiatre ;
  • Richard Fleming, cardiologue ;
  • Patrick Philips, urgentiste et médecin de famille ;
  • Roger Hodkinson, pathologiste ;
  • et Mike Yeadon, ancien directeur scientifique de Pfizer… pour n’en citer que quelques-uns.

Chacun d’entre eux a exprimé de sérieuses inquiétudes quant aux effets secondaires potentiels de ces « vaccins » jamais testés, approuvés ou utilisés pour soigner les êtres humains. Et, pour s’être exprimé, chacun d’entre eux est menacé, censuré et pire encore.

Collectivement, leurs appréhensions vont de

  1. Comment les nanoparticules lipidiques (LNP) peuvent affecter le cerveau humain ;
  2. Comment l’utilisation du polyéthylène glycol (PEG) peut provoquer des réactions immunitaires anaphylactoïdes chez l’être humain;
  3. Comment les protéines Spike induites artificiellement qui se déplacent dans tout le corps humain peuvent produire des troubles de la coagulation du sang dans différentes parties du corps ;
  4. Comment ces protéines Spike en excès, qui constituent une toxine neurovasculaire pour le corps, peuvent être à l’origine de myocardites — inflammation du muscle cardiaque — chez les enfants et les jeunes adultes.

L’une des façons par lesquelles les praticiens de la médecine sont intimidés est le recours à la force des organismes qui les autorisent à exercer.
Par exemple, le Collège des médecins et chirurgiens de l’Ontario (CPSO) a publié une déclaration inquiétante fin avril 2020, menaçant de retirer l’autorisation d’exercer la médecine à tout médecin qui s’exprimerait publiquement — ou même poserait des questions — sur les effets secondaires nocifs des confinements et/ou des « vaccins » Covid-19 dont ils ont été témoins lorsqu’ils travaillaient en première ligne dans leurs hôpitaux et communautés locales. Aux États-Unis, la procédure de retrait de la licence d’un médecin est légèrement différente, mais le résultat final est le même.

Chaque État a son propre conseil médical qui peut suspendre temporairement une licence médicale sans audience si « le conseil estime que la conduite du titulaire de la licence a enfreint les normes de soins et a mis en danger la santé et la sécurité de plusieurs de ses patients ».

Note du traducteur 19 : La même chose s’est produite en France, et certainement aussi dans d’autres pays, notamment en Occident : Haro sur les médecins non alignés sur l’Agenda totalitaire des mondialistes implanté en France par son VRP Macron !
Rappelons aussi que les contrats signés entre les compagnies pharmaceutiques et les États stipulent que ces derniers doivent tout faire pour défendre le produit expérimental en question.

Voir PfizerLeak : Révélation sur les contrats Pfizer et leurs clauses « surprenantes »

Parmi les autres tentatives visant à empêcher les informations scientifiques vitales d’atteindre le public, citons le discrédit et la mise au silence des praticiens, médecins et scientifiques par les plateformes de médias sociaux grand public de Big Tech, comme YouTube de Google.

Cela ne devrait pas surprendre, puisque Google, qui a été créé par la CIA, entretient également des liens étroits avec des compagnies pharmaceutiques comme GlaxoSmithKline (GSK), enregistrée en Angleterre. Ces personnes sont également censurées de Facebook — une autre société privée créée par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) et la CIA — ainsi que d’Instagram, Amazon Web Services (AWS), Linkedin et Twitter.

Pire encore, des médecins ont été soumis à une censure extrême pour avoir fourni des preuves qu’il existe effectivement des traitements viables, efficaces et peu coûteux pour traiter le Covid-19 — des traitements qui rendent inutile le recours à un « vaccin ».

Par exemple, tous les médecins mentionnés ci-dessus, ainsi que des centaines d’autres dans de nombreux pays, n’ont pas seulement fait l’éloge des antipaludéens chloroquine et hydroxychloroquine et d’autres remèdes comme l’Ivermectin, l’azithromycine, la doxycycline et le zinc, dans le traitement de leurs patients atteints de Covid-19, mais ils ont démontré à plusieurs reprises leur efficacité. Ils ont prouvé, par exemple, que la chloroquine et l’hydroxychloroquine, lorsqu’ils sont administrés à petites doses prescrites, exercent relativement peu ou pas d’effets indésirables. De nombreuses études menées en Corée du Sud, en Chine et en France en témoignent également.

Néanmoins, les agences gouvernementales de santé — la FDA, les NIH et les CDC aux États-Unis, la MHRA au Royaume-Uni et Santé Canada [tout comme l’HAS en France – NdT] — ainsi que l’OMS interdisent continuellement ces traitements peu coûteux, tentent de décourager les gens de les utiliser et, avec la complicité des médias grand public, font à leur sujet des déclarations manifestement fallacieuses.

Pour savoir pourquoi cette suppression de traitements efficaces a lieu, il suffit de consulter l’autorisation d’utilisation d’urgence de vaccins contre le Covid-19 de la FDA qui a été délivrée en octobre 2020. À la page six de ce document, à la section lll, « Critères et considérations pour la délivrance d’une autorisation d’utilisation d’urgence pour un vaccin contre le Covid-19, la dernière puce de la liste indique clairement que la FDA ne peut délivrer une telle autorisation que si elle a déterminé qu’« il n’existe pas d’alternative adéquate, approuvée et disponible au produit pour diagnostiquer, prévenir ou traiter la maladie ou la condition médicale. » Cette déclaration signifie que toute la prémisse de l’autorisation d’utilisation d’urgence est basée sur la présupposition qu’il existe aucune alternative disponible.

En réalité, il existe plusieurs produits hors brevet bon marché parmi lesquels choisir, comme nous l’avons cité plus haut — et comme la FDA le sait parfaitement. Cependant, si elle devait permettre à un produit bon marché et facilement disponible comme l’hydroxychloroquine de dominer le marché, l’industrie pharmaceutique — qui semble dicter sa politique à la FDA — risquerait de perdre des milliards de dollars provenant des ventes de « vaccins » anti-Covid-19.

La cupidité est-elle à l’origine de la suppression par Big Pharma des informations sur les produits alternatifs ? Très certainement. Et les relations étroites que Big Pharma entretient avec les responsables des agences gouvernementales et avec les médias — ces derniers étant largement tributaires de la publicité pharmaceutique pour leur existence — empêcheront-elles la majorité du public de prendre connaissance de l’existence de ces produits alternatifs ? Il semblerait que oui. En d’autres termes, l’autorisation d’utilisation d’urgence n’aurait pas été publiée si la vérité sur les produits alternatifs avait pu être largement partagée.

Mais puisque cette vérité a été dissimulée, les décès dus aux « vaccinx anti-Covid-19 » sont de plus en plus nombreux.

En août 2021, et selon les données recueillies par EudraVigilance, au moins 21 000 personnes dans les 27 pays de l’Union européenne sont mortes après avoir reçu une injection de ces dispositifs qui modifient les gènes. Aux États-Unis, et selon les données fournies au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), c’est plus de 13 000 personnes ont succombé à ces injections. Le chiffre des États-Unis est choquant : il signifie que ces injections expérimentales ont causé plus de décès en l’espace de 6 mois que la combinaison de 70 vaccins différents approuvés en circulation au cours des 30 dernières années. Comme si cela ne suffisait pas, une étude de Harvard a conclu que seulement 1 % des dommages et des décès dus à tous les vaccins aux États-Unis sont signalés au VAERS. Même si le taux de déclaration est de 10 %, ce dernier reste faible par rapport aux chiffres réels.

Et pourtant, les injections anti-Covid-19 qui modifient les gènes continuent de faire l’objet d’une promotion agressive de la part des propagandistes et de leurs théories non scientifiques et non prouvées, et ce malgré les preuves que la propagation asymptomatique n’est pas possible, que nous n’avons pas besoin de ces injections et qu’elles ne sont ni sans danger ni efficaces, que le Covid-19 est très loin d’être aussi dangereux pour la vie qu’on l’avait prédit et que les enfants n’ont pas besoin d’être protégés contre ce virus. De plus, malgré leur insistance, il n’existe aucune preuve que le Sras-CoV-2 cause le Covid-19.

Note du traducteur 20 : En effet, et comme nous l’avons précisé dans la Note du traducteur 12, ce n’est pas le virus du Sras-CoV-2 créé en laboratoire qui est dangereux, mais bien sa protéine Spike. Donc, prétendre que c’est le virus du Sras-CoV-2 qui déclenche la maladie appelée Covid-19, est à tout le moins faux, voire une mystification.

Les gouvernements du monde entier continuent de corrompre et de contraindre les citoyens à recevoir ces injections — en violation directe du Code de Nuremberg et sur la seule base d’un prétendu « intérêt de la santé publique ». Ceux d’entre nous qui ont fait des recherches et lu sur ce sujet depuis que tout a commencé savent qu’il n’a jamais été question de préserver la santé publique. Il a toujours été question des objectifs qui visent à mettre en œuvre un plan de biosécurité mondial et une grille de contrôle transhumaniste qui, si ces objectifs étaient amenés à se réaliser, signifieraient la fin de l’espèce humaine [telle que nous la connaissons – NdT].

Cette crise largement fabriquée a fourni la rampe de lancement parfaite pour que la convergence biodigitale prenne place. Pour ceux d’entre vous qui pensent que la notion qui consiste à combiner le corps humain avec des systèmes numériques est une hyperbole ou un fantasme, je me permets d’attirer votre attention sur le document « Exploring Biodigital Convergence » [Explorer la convergence biodigitale – NdT] publié le 11 février 2020 par Horizons politiques Canada. Ce document indique que le comité directeur de la politique canadienne a discuté du concept effrayant consistant à modifier l’évolution du corps humain par l’intégration de nanotechnologies biologiques et numériques. En effet, il s’avère que la large modification génétique de l’espèce humaine en cours d’élaboration par les injections expérimentales soi-disant anti-Covid-19 n’est que la première phase de cette convergence transhumaniste.

Note du traducteur 21 : Nous avons publié la traduction en français de ce document : La convergence bionumérique ou comment faire miroiter aux populations un avenir meilleur synonyme de prison, et en voici notre présentation :

« cette « présentation » a le mérite de nous informer de l’état de la « science » dans le domaine bionumérique en général et dans ses développements en particulier, dans tous les champs d’application qui y sont envisagés, ou presque… Il en dit long également sur l’état psychopathique des élites au pouvoir, affamées de contrôle absolu (mais illusoire) sur l’ensemble du vivant qui anime notre planète, dans une sorte de course contre la montre (désespérée) engagée contre la Nature, les forces cosmiques et leur énorme potentiel créatif — bien que ce processus puisse d’abord passer par une phase destructrice. À ce jeu, qui est le plus fort ? »

Comme si le document canadien n’était pas assez alarmant à lui tout seul, une menace encore plus grande pour l’humanité est en train de se déployer ailleurs. En mai 2021, le ministère britannique de la Défense a publié un document intitulé « Human Augmentation — The Dawn of a New Paradigm » [L’humain augmenté — L’aube d’un nouveau paradigme – NdT]. Ce document a été élaboré par le Centre de développement, de concept et de doctrine du Royaume-Uni, en partenariat avec le Bureau de planification de la défense de la Bundeswehr allemande [les forces armées allemandes – NdT]. Leur objectif est de

« comprendre les implications futures de l’humain augmenté, en préparant le terrain pour une recherche et un développement de défense plus précis. »

En intégrant les recherches de spécialistes de la défense allemands, suédois, finlandais et britanniques, le projet du Centre de développement, de concept et de doctrine tente de mieux appréhender comment les technologies émergentes, telles que le génie génétique, les interfaces cerveau-ordinateur et la bioinformatique, peuvent renforcer les capacités de sécurité et de défense. Bien qu’elle soit présentée comme un outil stratégique à usage militaire, l’augmentation de l’humain sera sans aucun doute, à l’instar du développement de tant de programmes militaires au cours de l’histoire, finalement déployée pour être utilisée dans le secteur civil.

Je dois le dire sans ambages : les projets transhumanistes au Canada, au Royaume-Uni et en Europe, et probablement subrepticement dans d’autres pays, combinés à la destruction délibérée de l’écosystème, sont les deux plus grandes menaces existentielles auxquelles l’humanité est aujourd’hui confrontée. Peut-être même comme jamais auparavant.

Dernières remarques

Nous sommes bombardés sans relâche par une croyance qui fait d’un ancien virus — y compris ses variants — le seul coupable d’une crise sanitaire mondiale. Pourtant, il n’existe pas la moindre preuve que le virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19. Cette vision myope nous empêche de comprendre la véritable nature utile des virus, comme nous l’avons détaillé ci-dessus. En effet, les virus sont nos amis [ils font partie du système de la vie sur Terre, sans eux nous ne serions même pas là pour en parler – NdT].

En outre, cette vision nous empêche de voir le véritable désastre écologique qui se déroule autour de nous et que les virus tentent de nous aider à découvrir et à surmonter.

Non seulement l’humanité marche vers sa propre extinction, mais elle s’éloigne aussi rapidement de la science et s’étouffe au contraire dans le dogme technocratique anti-science [et anti-vie – NdT] — un dogme qui s’est transformé en une religion rigide dont les adeptes vénèrent de nombreuses divinités, dont l’un se nomme « Vaccin » et l’autre « Technologie ».

Note du traducteur 22 : Qu’est-ce que la « science » ? Selon Nissim Amzallag, dans son ouvrage intitulé La Réforme du vrai, il déclare :

« La science ne distille pas forcément le vrai, cela nous le savons depuis le début du XXe siècle. Et pourtant, une aura d’objectivité continue de protéger la science de toute critique non seulement sur ses fondements, mais encore sur la manière dont elle s’impose pour façonner la société. »

Dans on ouvrage, l’auteur explore l’Histoire pour savoir si la science « fut réellement motivée par un désir sincère d’intelligence du réel ». Même si nos lecteurs ne l’ont pas lu, il suffit de contempler notre présent pour se rendre compte que ce n’est pas le cas, et c’est un euphémisme.

Comme je l’ai expliqué au début de cet article (première partie), nous vivons une époque sans précédent, où les humains peuvent être génétiquement modifiés à un point tel qu’ils seront méconnaissables et dans laquelle le monde naturel est ravagé de façon presque irrémédiable.

Pourtant, si ces menaces sont mortifères, il existe aussi des signes d’espoir. Il n’est pas trop tard pour envisager une autre voie possible — une voie qui ne nous condamne pas à l’échec, mais nous invite plutôt à accepter que l’humanité est faite, depuis le début, pour s’intégrer de manière intrinsèque à la Nature. Si nous tirons les leçons de nos erreurs, nous avons la possibilité de nous éloigner de l’abîme du transhumanisme et de l’extinction des espèces. Nous pouvons au contraire embrasser notre belle planète avec toute sa glorieuse biodiversité — une Terre grouillante d’une vie abondante qui offre un aperçu de l’Univers parfait créé par Dieu, l’Esprit, et qui est conférée à la Création spirituelle de la divinité.
Permettons à notre bonne Terre et à notre bonté innée de devenir manifestes au lieu d’être obscurcies et finalement annihilées.

La Terre et chaque homme, femme, enfant et créature qui l’habitent sont en fait des idées infinies, éternelles et divines créées par un Esprit infini, éternel et divin. Il est temps pour nous de reconnaître cette vérité — et de la manifester dans nos vies.

À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’un baccalauréat en technologie en génie aérospatial. Au cours de ses deux périodes de service en tant que capitaine dans l’Aviation canadienne, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti. Utilisant un esprit curieux, un souci du détail et des compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré plus d’une centaine d’heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener cet article à bien.

Source des différentes parties initialement publiées en anglais :

Partie 2 – le 20 août 2021 : GlobalResearch
Partie 3 – le 15 septembre 2021 : GlobalResearch
Partie 4 – le 7 septembre 2021 : GlobalResearch

Note : La 3e partie a été publiée après la 4e.
Traduction : Sott.net




Qui contrôle le monde occidental aujourd’hui ?

[Source : reseauinternational.net]

Par Dominique Delawarde.

Les présidents ou chefs d’état occidentaux gouvernent-ils réellement leur pays ?

Subissent-ils des pressions, des influences de la part de groupes ou de lobbies transnationaux dont la puissance financière dépasse, de loin, celle des États et qui, en occident, tiennent entre leurs mains l’avenir des hommes politiques et l’économie des pays qu’ils dirigent ?

C’est une question que beaucoup de citoyens ne se posent jamais (ils s’en fichent et votent sous le coup de l’émotion du moment), mais c’est une question que d’autres citoyens, plus curieux, plus lucides, plus inquiets pour l’avenir de leurs enfants, plus éduqués peut être, se posent avec insistance.

Il convient donc d’y répondre le plus simplement du monde en se mettant à la portée des moins instruits de nos compatriotes, en se fondant sur des faits incontestables et facilement vérifiables par tous, sur des sources inattaquables, pour que chacun comprenne comment fonctionne le « système » et pourquoi un petit nombre d’acteurs, parfaitement identifiés, peuvent affaiblir un pays, contrôler son économie, faire plier des gouvernements, faire élire ou abattre un président, décider de la paix ou de la guerre en fonction de leurs intérêts, imposer leurs lois et leurs règles tout en sauvant les apparences, s’emparer du contrôle des médias mainstream les plus influents, manipuler les opinions publiques, contrôler une partie importante et suffisante des appareils exécutif, législatif et judiciaire… etc., etc.

Le documentaire ci-après, de sources néerlandaises et anglosaxonnes mais présenté en français, entre dans les coulisses du grand « théâtre » occidental, de manière très pédagogique et très factuelle, et décrit la situation telle qu’elle est aujourd’hui.

Il fait apparaître, progressivement, les institutions qui contrôlent, en fait, l’économie occidentale, et qui détiennent l’essentiel de la puissance financière. Il fait apparaître clairement les liens inextricables qui unissent ces institutions entre elles.

Tous les géopoliticiens dignes de ce nom devraient garder aujourd’hui, en arrière plan de leurs réflexions et de leurs analyses, ces éléments fondateurs de « la mondialisation heureuse » que l’on nous promet et que certains « dominants » voudraient bien voir aboutir à leur plus grand profit. (Great Reset)

Branchez votre ordinateur sur votre téléviseur, installez vous dans votre fauteuil et vous comprendrez mieux la marche du monde après 45 minutes de documentaire.

Les plus curieux pourront, si l’idée leur en vient, creuser les biographies des individus qui  ont fondé et/ou qui dirigent aujourd’hui les dix institutions dominantes. Ils découvriront alors QUI contrôle vraiment le monde occidental et, accessoirement, notre pays.

*

Voici un documentaire qui répond de manière limpide et irréfutable à la question : Qui contrôle vraiment le monde occidental aujourd’hui ?



Dominique Delawarde


[Voir aussi :
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Les 4 firmes qui possèdent les USA
Vers une gouvernance médico-génocidaire mondiale planifiée ?]




L’Afghanistan en phase 5 – Stratégie de retrait des États-Unis

[Source : www.kla.tv]

Par Ivo Sasek

Selon le documentaire « Comment fonctionnent les guerres modernes ? ». (www.kla.tv/7681 en français), le retrait de l’armée américaine d’Afghanistan correspond à la phase 5 d’une stratégie de guerre moderne. Le fait que le retrait américain ait lieu peu de temps avant le 20e anniversaire du 11 septembre signifie que non seulement le mensonge taliban autour du 11 septembre est encore renforcé, mais que la phase 6 a démarré : La population mondiale est censée être avide de contrôle total. – L’Afghanistan n’est pas un pays pétrolier, mais il se trouve qu’il est hyper-riche en lithium, le « nouveau pétrole » pour toute la mobilité électrique… Mais qui va s`en emparer ? La Chine rouge ou les milliardaires de l’État profond issus du Green Deal et donc le marché de l`électricité ? Une chose est sûre : nous nous emparerons des réfugiés.




L’armée américaine se retire de l’Afghanistan peu avant le vingtième anniversaire du 11 septembre. Les redoutables et apparemment tout-puissants Talibans sont de retour au pouvoir. Quelle horreur ! Le monde entier est sous le choc. Qui est capable de battre deux fois la nation la plus forte du monde ? C’est la question qui se pose. Par coïncidence, juste à temps pour la Journée mondiale de l’aide humanitaire, l’appel des organisations humanitaires résonne maintenant dans le monde entier : Faites des dons à l’Afghanistan et ouvrez d’urgence toutes les frontières aux réfugiés. C’est l’appel lancé. L’Afghanistan a plus que jamais besoin d’aide. D’un côté cela est bien sûr compréhensible. Dans une obéissance presque anticipée, le ministère allemand des Affaires étrangères a annoncé une aide d’urgence de 100 millions d’euros. Les Allemands sont riches, n’est-ce pas !

Parmi les 17 organisations d’aide criant d’une même voix, on trouve bien sûr une fois de plus l’OMS avec sa frénésie de vaccination et le Fonds des Nations unies pour l’enfance. Comme nous le savons tous, les enfants sont certainement l’outil de propagande le plus efficace pour atteindre un objectif. Mais s’agit-il une fois de plus de propagande ? La question à poser : « Pouvons-nous croire encore les catastrophes » ? Avant de trouver la réponse, examinons les choses de plus près, un peu plus en détail :

En tout cas, selon notre film « Comment fonctionnent les guerres modernes ? » (en français www.kla.tv/7681), le retrait de l’armée américaine d’Afghanistan correspond exactement à la phase 5 de la stratégie de guerre moderne. Comprenez-vous cela ? Un retrait dont l’objectif stratégique est que le pays précédemment contrôlé tombe délibérément dans le chaos total. Le fait que le retrait américain ait eu lieu peu avant le vingtième anniversaire du 11 septembre a la conséquence impérieuse, que non seulement le mensonge taliban autour du 11 septembre est encore renforcé, mais également que la phase 6 a démarré. Et quel est le but de la phase 6 dans le film ?

La population mondiale est censée assister à ces nouveaux drames talibans – elle doit souffrir en accéléré les mêmes chocs de terreur subis le 11 septembre 2001 – et toutes les femmes du monde doivent craindre d’être bientôt enfermées dans des trous sombres, vêtues de robes longues jusqu’aux chevilles, la tête entourée d’un foulard noir. Vous comprenez ? On est en train d’attiser la peur et la panique. Jusqu’à ce que le monde entier crie : « Aidez-nous » ! Qui peut combattre cette bête ? Chrétiens, tendez l’oreille !

Après tout, les Talibans semblent presque invincibles, maintenant qu’ils ont mis à genoux pour la deuxième fois la plus grande puissance protectrice du monde. Avec cette situation ils sont mis sur le devant de la scène et ils se mettent eux-mêmes au premier plan. Donc, en d’autres termes, le monde aurait envie de contrôler totalement l’Afghanistan.

Pour une fois, l’Afghanistan n’est pas un pays pétrolier, comme c’est généralement le cas, mais comme par hasard il se trouve qu’il est extrêmement riche en lithium. Peut-être tu te demandes, qu’est-ce que le lithium ? Le lithium est, en quelque sorte, le « nouveau pétrole » pour tous les véhicules électriques. Tu sais, c’est là que tout devient vraiment passionnant, car la question se pose automatiquement : Qui va mettre la main sur tout l’ « or électrique » ou le « pétrole électrique », en quelque sorte, là-bas? Au moins, la Chine a déjà annoncé très clairement ses intérêts. Et la Chine est toujours profondément communiste, profondément rouge.

Comprenez-vous ? Mais avec une certitude absolue, tous les milliardaires de l’État profond ont également remarqué quelles ressources minérales se trouvent en Afghanistan. Après tout, c’est grâce aux requins du Pacte vert que nous avons appris en premier lieu que le commerce des voitures électriques, etc. dépendait du « carburant » appelé lithium. En tout cas, Elon Musk, le junkie de l’espace et constructeur des voitures électriques Tesla, est certainement au courant de cela, après tout, Il est un influenceur secret constant de la politique mondiale. C’est ainsi que nous le connaissons. Grâce à ses tactiques, M. Musk, comme vous le savez, a même pu augmenter sa fortune de 137,5 milliards de dollars supplémentaires en seulement douze mois de Covid, dès le début ! Cet homme connaît son métier. Est-ce que vous comprenez ce qui se passe ici ?

La question la plus passionnante à l’heure actuelle est la suivante : Les tireurs de ficelles de l’État profond maçonnique de la Chine ou leurs opposants, les multinationales de l’État profond américain, vont-ils s’emparer de l`abondance de lithium – ou vont-ils même se partager fraternellement le gâteau ?

En guise de conclusion partielle, une chose au moins est certaine : une fois de plus, notre part du gâteau total ne sera que les flux des réfugiés. En d’autres termes, la guerre hybride se poursuit, elle s’accélère à nouveau, et en particulier une fois de plus contre nous, les Européens. Dans l’ensemble du scénario de retrait de l’Afghanistan se présente d`ailleurs un parallèle remarquable avec la prétendue chute de l’URSS, ainsi que du communisme. Car il s’agissait d’une chute stratégique planifiée en commun par la haute finance et le marxisme. Nous devons comprendre cela.

En d’autres termes, les mouvements stratégiques de la haute finance en combinaison avec le marxisme ont eu lieu depuis que le communisme existe. Les personnes non informées objecteront bien sûr : La haute finance et le marxisme sont des ennemis, ce sont deux choses tout-à-fait différentes. Je vous le dis, non, ce n’est pas comme ça. S’il vous plaît, laissez-vous corriger sur ce point, vous tous qui pensez de cette façon.
Le marxisme est une création délibérée de la haute finance pour l’établissement stratégique d’un gouvernement mondial, les deux faces de la même médaille. Encore aujourd’hui, rien n’a changé.

  • Et voici à nouveau le parallèle avec l’Afghanistan : au début des années 1950, l’Union soviétique était complètement dévastée sur le plan économique.
  • Parce qu’elle était militairement inférieure à l’Occident et que la classe ouvrière occidentale ne croyait pas du tout à la lutte des classes, on a tout simplement développé la stratégie de la guerre non armée.
  • Le stratège chinois Sun Tsu avait déjà fourni les fondements stratégiques de cette guerre hybride il y a plusieurs siècles.
  • Dès le début, la guerre soviétique était basée sur la tromperie délibérée et la désintégration imperceptible de l’ennemi occidental. En d’autres termes, la guerre hybride.

L’objectif était clair et bien défini : un gouvernement mondial communiste. Comment cela est-il censé fonctionner, demande le profane. C’est très simple :

  • La stratégie qui devait conduire à cet objectif commençait par le simulacre de sa propre chute, de sa propre faiblesse. La chute du communisme comme stratégie, vous voyez ? Vous devez comprendre comment ça fonctionne. De quoi parlons-nous aujourd’hui ? Nous parlons de la chute stratégique par le retrait de la grande puissance américaine, en raison de l’apparente supériorité des Talibans. Revenons à la chute du communisme et à ses parallèles. Vous pouvez y voir des parallèles :
  • Dans le même temps, les stratégies communistes ciblées à long terme visant à infiltrer l’Occident et à le rééduquer étaient déjà en cours. C’est ce qui se cache derrière tout cela. Mais comment, demandez-vous encore. Par le biais de la propagande, bien sûr, comment faire autrement ?
  • Tout s’est passé de manière stratégique et de l’intérieur, non plus avec des armes de guerre traditionnelles, mais avec des armes idéologiques, qu’on pourrait appeler hybrides.
  • Mais au cas où ces dernières ne seraient pas suffisantes, ils ont naturellement toujours gardé les différents moyens de guerre classiques déjà « prêts dans la poche ». Mais cela n’était qu’un second choix, au cas où le coup d’État sournois ne réussirait pas.
  • L’Occident était totalement aveugle devant ce stratagème et cette stratégie de guerre, et l’est encore aujourd’hui. Et là encore, il se passe des choses très parallèles.
  • La nouvelle stratégie soviétique à long terme a ensuite été divisée en quatre étapes successives. Vous pouvez dire quatre étapes, mais il n’y a qu’un seul but : Un gouvernement mondial communiste ! C’était l’objectif.

La première étape a impliqué au début une période de détente. Cela a rendu l’Ouest réceptif à tout ce qui venait alors « en rouge ».

  • Nikita Khrouchtchev a commencé à prendre publiquement ses distances avec Staline et ses génocides en 1956
  • Après une décision du congrès du parti, tout a été cependant fait pour convaincre l’Occident de la quasi « faiblesse » du bloc de l’Est.
  • Il y avait de la coopération, du dialogue et du commerce, tout a été littéralement recréé, si vous voulez, au milieu de cette hypocrisie.
  • Le bloc de l’Est a commencé à feindre la faiblesse en claironnant partout la division interne du monde communiste.
  • De cette manière, l’Occident était censé perdre toute crainte du danger rouge, selon le slogan : Voyez comment l’URSS est tout à coup devenue docile.

Une opposition contrôlée a été délibérément mise en place pour y parvenir. Dans tous les États du bloc de l’Est, elle a fait rage contre les gouvernements en place.

  • Et pendant qu’avait lieu cette rébellion contre le Kremlin secrètement contrôlée dans le monde entier, pendant qu’elle était propagée, dans le même temps, toute force d’opposition anticommuniste vraiment authentique était supprimée par la force et éliminée, écartée.

Mais le sens et le but de cette opposition autodirigée étaient les suivants :

  • À savoir, ils n’ont exigé ni la fin immédiate ou absolue du communisme soviétique, ni l’autorisation de l’économie de marché telle que nous la connaissons ici.
  • De telles demandes sont venues des véritables opposants.
  • En revanche, l’opposition auto-installée ne demandait qu’une révision douce et la poursuite du développement du communisme, une version plus humaine du marxisme, pour ainsi dire, mais bien sûr pas sous ce nom.

Dans la deuxième étape, l’Occident a été déstabilisé.
Alors que l’opposition contrôlée a proclamé partout en Occident que l’URSS était faible et déchirée, ils ont commencé, en arrière-plan, la guerre hybride ciblée selon les directives de Lénine, Trotsky, c’est-à-dire du vieux Sun Tzu.

  • Autrement dit, la décomposition imperceptible a commencé, car cela a été instigué insidieusement à partir de l’intérieur.
  • Rééducation idéologique fondamentale, propagande sans fin.
  • Et tout cela selon le schéma de la désormais bien connue Grande Réinitialisation et de l’Agenda 2030, tel que nous l’avons déjà présenté sur Kla.TV.
  • Mais le fait que le Kremlin a toujours eu des amis puissants et des compagnons d’armes en Occident a été prouvé par les hommages décernés à Andrei Sakharov aux États-Unis et en Europe.
  • Des prix Nobel de la paix pour ceux qui ont promu la guerre hybride en secret, vous comprenez ?

Et puis vient l’étape 3. L’étape 3 consistait à simuler la disparition du communisme.
La chute, la simulation – c’est le sujet, c’est le parallèle aujourd’hui avec l’Afghanistan.
Vous simulez une chute, un déclin, une faiblesse.

Et puis, tel un messie, le secrétaire général du PCUS, Mikhaïl Gorbatchev, est entré sur la scène politique mondiale. Sa tâche consistait à libéraliser l’Union soviétique, à l’apprivoiser, pour ainsi dire, devant le monde entier :

  • Cependant, même pendant le tapage constant de la perestroïka, c’est le contraire de ce que la communauté mondiale croyait qui a été réalisé.
  • Le communisme n’a été ni aboli, ni apprivoisé, mais plutôt introduit sournoisement à l’Ouest, par la porte de derrière. C’est comme ça que ça marche, vous voyez, quand on feint la faiblesse.
  • Les communistes ont en fait caché leur secret de façon assez ouverte et assez insolente, car perestroïka ne signifie rien d’autre que transformation ou restructuration.
  • En d’autres termes, il ne s’agissait pas de mettre fin au marxisme, mais simplement de le polir un peu, de le restaurer.
  • L’image d’horreur qu’inspirait le communisme devait disparaître dans le monde entier, mais parallèlement, les concepts marxistes devaient être introduits clandestinement, bien sûr, en Occident et devenir la force dominante durable.
  • Ces concepts trompeurs de communisme sont mis en avant, surtout de nos jours, sous les termes que nous avons déjà appris à connaître, capitalisme actif, Great Reset, etc. Ils font, en quelque sorte, croire à l’âge d’or qui se profile avec sa solution à tous les problèmes sociaux.

Et c’est ainsi que la stratégie communiste se réalise:

  • Bien des années auparavant, ce n’est autre que le KGB qui a construit cette opposition ciblée.
  • Gorbatchev a alors défendu presque sans réserve ces dissidents, et leur a donné un accès direct aux radios d’État, etc.
  • Par ce biais, les opposants parrainés secrètement ont eu de nombreuses occasions de soulever des objections en public, qui ont ensuite été généreusement satisfaites.
  • C’est donc par le biais de ces dissidents que l’opinion occidentale a été délibérément façonnée et consolidée ; tout à fait dans l’esprit de Sun Tsu, mais aussi de Lénine & Cie. Je n’ai pas besoin de les énumérer tous.
  • Ensuite, après la fausse chute réussie du bloc de l’Est, l’Occident est, depuis 1991, un champ ouvert à toutes les formes d’infiltration, à toutes les formes d’influence et, bien sûr, à l’espionnage.
  • Voyez-vous, cette stratégie de guerre hybride des camps d’endoctrinement socialistes a insidieusement transformé notre société occidentale de sorte que les idéologies de Marx, Lénine, Engels, etc. sont aujourd’hui plus présentes, plus convoitées que jamais.
  • Mais plus sous les termes génériques mal compris de « communiste, léniniste ou marxiste » ; c’est précisément là que réside ce que je peux appeler la ruse troyenne.

Nous en sommes actuellement à l’étape 4, c’est-à-dire à l’introduction du communisme mondial. J’insiste à nouveau sur le fait que lorsque je parle de communisme mondial, il faut toujours voir un capitalisme et un communisme de haut degré.

En d’autres termes, de nos jours, la stratégie à long terme des Soviétiques commence également à porter ses fruits.

  • Le gouvernement mondial visé doit maintenant être pleinement installé par tous les moyens, qu’ils soient politiques ou, si nécessaire, militaires.
  • Dans la phase actuelle Il s’agit de faire croire que le système capitaliste a échoué, qu’il est en panne, ou mort. Si on compare avec l’Afghanistan : la grande puissance américaine a échoué, c’est-à-dire qu’elle arrive au bout. Vous pouvez apprendre de cela que si quelque chose est tellement martelé, c’est le contraire qui est la réalité.
  • Pour ce faire, la grave crise économique mondiale actuelle, avec le chômage de masse et la pauvreté, a été mise en scène, elle a été évoquée, pour ainsi dire. Tout cela se tient.
  • Grâce à l’effondrement insidieusement attisé de la classe moyenne, que nous expérimentons actuellement et avec elle une grande partie de la population, l’échec du capitalisme doit en quelque sorte être révélé et démontré. Vous voyez ces parallèles ?
  • Il s’agit ainsi d’imposer à notre monde occidental un système politique qui, à première vue, n’a pas particulièrement l’odeur du communisme soviétique que nous connaissons…
  • Celui-là ne serait guère accepté sans résistance.
  • C’est précisément la raison pour laquelle tous ces nouveaux termes nous tombent dessus comme par exemple : Capitalisme des parties prenantes, partenariats public-privé, New Deal, le Pacte Vert, grande réinitialisation, etc.
  • Dans l’embellissement de ce modèle néo-marxiste, la Chine et la Russie se voient soudain attribuer un rôle considérable, si on observe bien.
  • C’est aussi la raison de la participation active de ces deux grandes puissances au FEM de Davos avec sa grande réinitialisation, etc.

Pour résumer :

La stratégie à plusieurs niveaux de la guerre hybride que je viens de décrire était déjà construite stratégiquement dans les années 1950. En Afghanistan ça à commencer en 2001 et on peut voir tous les parallèles.

  • La stratégie de guerre hybride de l’époque était une stratégie commune entre la haute finance et le marxisme, je le souligne à nouveau, dont l’objectif est un gouvernement mondial absolu. La haute finance et le marxisme, je le répète, sont et était toujours les deux faces d’une même médaille. C’est pourquoi nous devons suspecter et reconnaître ces deux éléments dans cet acte de retrait d’Afghanistan.
  • Le communisme sous toutes ses formes, comme le marxisme, le léninisme, le maoïsme, etc., ont toujours dérivé de la haute finance. Cela il faut enfin le comprendre. Retenez bien cela.
  • La haute finance, en tant que tête secrète du communisme mondial, a toujours parfaitement su comment éliminer elle-même tous ses adversaires potentiels, et ce à travers les communistes de bonne foi. Il suffisait de leur faire comprendre que l’adversaire capitaliste était la classe moyenne, par exemple, le riche propriétaire d’usine, etc. dans leur région. Et ainsi ces prolétaires excités commençaient à serrer les poings et à se soulever contre leurs employeurs et à manifester.
  • De nos jours, avec la plandémie Covid-19 ciblée dans laquelle nous nous trouvons actuellement, les hyper capitalistes rusés tentent de donner le coup de grâce à toute la classe moyenne,
  • Tous les marxistes, communistes, verts, rouges, etc. bien intentionnés se rendront compte trop tard qu’ils ont été trompés par le grand capital pendant des siècles, qu’on a sournoisement abusé d’eux, qu’ils ont été instrumentalisés.
  • Ils mènent un combat absolument nécessaire contre le faux capitalisme, mais malheureusement sur un faux niveau, comme je viens de l’expliquer. Ainsi ils se sont donné le coup de grâce à eux-mêmes et à toute les classes moyennes.
  • En bref, dans la dernière ligne droite de cette stratégie déjà ancienne, l’Occident doit être complètement affamé et démonté au niveau politique et économique.
  • La Chine, en revanche, doit être construite avec le soutien de la Russie. C’est le plan qui se cache derrière. Et au-dessus de cela, comme je l’ai dit, se trouve le capitalisme de haut niveau. Ici, à l’arrière-plan, les Loges mondiales maçonniques divisées, que vous pouvez appeler Super Loges, se battent toujours pour la première place. Ça se passe en arrière-plan. Rappelez-vous bien ceci : l’État profond est profondément divisé – ce qui est une opportunité pour la communauté mondiale.
  • Par le biais de ces entités réunis, les décisions mondiales futures seront fondées sur les bases des puissances marxistes ancestrales.
  • Donc, tout ce parallèle entre la faiblesse prétendue de la grande puissance américaine en Afghanistan et de l’Union soviétique de l’époque m’apprend avant tout une chose, et maintenant j’arrive à la fin :
  • Je ne vois en fait qu’un seul moyen de faire face à ces forces insidieuses :

Je dis, apprenons tous à prier à nouveau. Prions pour que ces grandes puissances ne soient pas en mesure de nous envoyer une fois de plus dans leurs guerres, mais que leurs têtes, c’est-à-dire leurs dirigeants, s’achèvent les uns les autres – c’est leur travail, de s’éliminer les uns les autres – et que nous sortions vainqueurs de cette bataille finale des dirigeants sournois – oui, nous, le peuple !

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 44 ans.




Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire

[Source : LeoHohmann.com]

Par John Gideon Hartnett

Plusieurs nouvelles technologies qui semblent distinctes et non liées vont bientôt converger, créant un piège numérique géant qui attirera facilement les masses non informées.

Le piège numérique est déjà tendu et les élites mondialistes utilisent la COVID pour accélérer le processus de convergence. La plupart des gens tomberont dans le piège, ce qui les réduira finalement à un code QR humain – repérable, traçable et dépendant à 100% des Big Tech et du grand gouvernement pour leur existence.

Je vais défaire chacun de ces fils apparemment séparés qui seront progressivement fusionnés en une seule grille de contrôle socio-financière globale.

L’élément du programme le plus imminent nécessaire pour relancer ce système est le lancement réussi des passeports sanitaires numériques.

La France, l’Italie, l’Irlande, l’Allemagne, la Grèce et de nombreux autres pays ont commencé à imposer ces passeports à leurs citoyens, dont beaucoup envahissent les rues pour protester

Les citoyens protestent contre les pass sanitaires dans plus de 150 villes à travers la France.

Le mouvement vers les passeports sanitaires numériques aux États-Unis se fait plus progressivement, mais il prend de l’ampleur.  

Dans un briefing le lundi 2 août, le coordinateur de la réponse au coronavirus de Biden, Jeffrey Zients, a annoncé « qu’il est temps d’imposer certaines exigences » en ce qui concerne les vaccins anti-COVID.

Lorsqu’on lui a demandé des éclaircissements sur les règles COVID qui pourraient être mises en œuvre, l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a déclaré que rien n’est exclu.

Souvenez-vous de cette phrase : Rien n’est exclu.

Cela pourrait impliquer de rassembler les non vaccinés et de les placer dans des camps d’isolement et de quarantaine.

Un consortium universitaire composé de six universités a déjà un contrat avec le département américain de la Sécurité intérieure pour fournir une formation aux parties prenantes du gouvernement, des forces de l’ordre, des soins de santé et du secteur privé sur la façon de mettre en quarantaine « de grandes parties » des communautés rurales.

Mais la volonté de numériser la vie des Américains commencera dans les villes et se déplacera vers l’extérieur.

Le maire de New York, Bill de Blasio, est devenu le premier homme politique à saisir l’occasion d’exiger des passeports vaccinaux.

Malgré ce que l’on essaie de vous dire, séparer les Américains par statut vaccinal est une première historique. Cela n’a jamais été tenté auparavant, pas à travers les épidémies de polio ou de variole des années 1920, 30 et 40, pas pendant la grippe espagnole. Jamais.

De Blasio a ordonné aux entreprises de refuser le service aux non vaccinés, qui représentent 30 % de la population de la ville. Il reste à voir comment de Blasio appliquera cet édit. Appelera-t-il la police pour qu’elle ferme les entreprises qui n’exigent pas de leurs clients qu’ils montrent leurs papiers ?

Le gouverneur de New York Andrew Cuomo vise également des mandats de passeport vaccinal dans tout l’État, mais sait qu’il doit être un peu plus diplomatique dans son approche.

« Les entreprises privées, je leur demande et leur suggère de passer à l’admission uniquement pour les vaccinés. Passez à l’admission uniquement pour les vaccinés », a déclaré Cuomo lors d’une conférence de presse le 2 août.

« Je crois qu’il est dans votre propre intérêt commercial », a-t-il dit, « de gérer un établissement réservé aux vaccinés…. Nous avons des applications, dites simplement « vous devez montrer que vous avez été vacciné lorsque vous franchissez la porte. » »

En d’autres termes, « Montrez vos papiers ».

Pensez à ce que Cuomo dit ici.

Il « demande » avec force aux propriétaires d’entreprise d’éliminer 30 pour cent de la population de l’État de leur champ de clients potentiels et de les traiter comme des non-personnes.

Ceci est du pur fascisme et rappelle la propagande nazie qui a contraint les Allemands à refuser de faire des affaires avec les Juifs.

Si les propriétaires d’entreprise de New York écoutaient Cuomo, ils rendraient impossible aux personnes non vaccinées de nourrir leurs enfants.

Apprenez vos droits médicaux en tant qu’employé, étudiant, etc., et comment « dire non à l’aiguille » sur HealthyAmerican.org de Peggy Hall 

Les passeports numériques exigent que les gens téléchargent un code QR numérisable sur leur téléphone portable qui permettra aux entreprises de savoir qu’elles ont été vaccinées avant d’être autorisées à entrer et à recevoir le service [acheter ou vendre].

Cela nous amène à la deuxième étape du piège numérique qui cuit dans le four technologique – un nouveau système d’identification numérique mondial capable de fonctionner conjointement avec les passeports sanitaires numériques et le nouveau complexe médico-vaccinal.

Le leader de ce courant technologique est l’Alliance ID2020, une collaboration de plus de 35 membres dont Accenture, Microsoft, la Fondation Rockefeller, MasterCard, IBM, la Chambre de commerce internationale, MIT SafePaths et GAVI Global Vaccines Alliance de Bill Gates.

En février 2021, ID2020 a lancé le Good Health Pass Collaborative pour encourager une convergence transparente de toutes les applications d’accréditation des vaccins anti-COVID-19 développées par de nombreuses organisations différentes.

« Les certificats vaccinaux en papier peuvent être facilement falsifiés », prévient l’Alliance ID2020 dans un communiqué. « Le but des informations d’identification de santé est de prouver en toute sécurité qu’une personne a reçu un vaccin ou un test PCR. La nouvelle alliance cible particulièrement les voyages pour garantir que les informations d’identification fonctionnent de manière transfrontalière, intersectorielle et sans friction. »

L’alliance a publié un livre blanc sur le sujet pour ceux qui recherchent plus de détails.

Une autre pièce du puzzle techno-fasciste en évolution est la nouvelle monnaie numérique.

Les banques centrales du monde travaillent sur une monnaie numérique programmable basée sur la technologie de la chaîne de blocs. Cela signifie qu’ils seront en mesure de suivre vos dépenses et de vous couper les vivres pour quelque raison que ce soit.

Le Fonds monétaire international a publié un article sur son site Web en juillet, saluant l’Inde comme un leader mondial dans la lutte pour éliminer les espèces. Et bien sûr, la COVID a été mentionnée comme accélérant l’abandon du papier-monnaie. Le FMI a noté :

« La COVID-19 a accéléré l’utilisation des paiements numériques sans contact pour les petites transactions alors que les gens essaient de se protéger du virus. Ces avancées s’appuient sur India Stack, un système complet d’identité numérique, de paiement et de gestion des données sur lequel nous écrivons dans un nouvel article (Carrière-Swallow, Haksar et Patnam 2021). »

Comme vous pouvez le voir dans la déclaration ci-dessus, l’objectif est une identité numérique complète, combinant ses données de santé et son statut vaccinal avec des données bancaires et d’autres données personnellement identifiables.

Klaus Schwab nous a prévenus à l’avance du piège que lui et ses copains élitistes nous tendaient.

« La quatrième révolution industrielle conduira à une fusion de nos identités physique, biologique et numérique », a déclaré Schwab au Chicago Council on Global Affairs en novembre 2020.

Même avant cela, dans son livre de 2018, Shaping the Future of The Fourth Industrial Revolution, Schwab a écrit :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle ne s’arrêteront pas de faire partie du monde physique qui nous entoure, elles feront partie de nous.

« En effet, certains d’entre nous ont déjà le sentiment que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes d’aujourd’hui, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront presque certainement implantables dans notre corps et notre cerveau.

Lorsqu’il a écrit ces idées grandioses en 2018, cela ressemblait à la tarte dans le ciel des rêveries d’un futuriste déconnecté et peu y ont prêté attention. Post COVID, c’est sous notre nez et prêt à être mis en œuvre.

La dernière étape du programme technologique pour contrôler l’humanité est que les géants de la Big Tech travaillent ensemble pour éliminer toutes les voix dissidentes d’Internet. Leur objectif ultime est de créer un système où tous les utilisateurs ont un passeport Internet, sous réserve d’un examen périodique de votre activité en ligne.

Les géants de la Big Tech ont déjà déclaré qu’ils partageaient activement des informations dans le but de réprimer les « suprémacistes blancs » dans le cadre du Global Internet Forum to Counter Terrorism, un organisme auparavant réservé pour cibler les talibans et al-Qaïda. 

PayPal a annoncé qu’il travaillerait avec l’Anti-Defamation League notoirement marxiste pour parcourir l’Internet, à la recherche de voix « extrémistes » et « anti-gouvernementales » afin de rendre inactif leurs boutons de don PayPal.

Dans le cadre de ce système de notation sociale à la chinoise, les coupables d’infractions en ligne sont publiquement humiliés et réduits au silence. Les collecteurs d’informations sont payés pour dénoncer leurs voisins et les membres de leur famille. Une fois que votre pointage de crédit social descend en dessous d’un certain niveau, vous devenez tellement discrédité qu’il devient de plus en plus difficile de trouver un emploi, de voyager en avion, en train, en bus ou en voiture, d’obtenir des prêts ou d’inscrire vos enfants dans les meilleures écoles.

Ceux qui fournissent des informations qui vont à l’encontre le narratif seront signalés, avertis, et finalement bloqués en tant que diffuseurs de « désinformation ».

Vous perdez votre liberté d’expression, mais ce n’est pas tout.

Dans la société d’aujourd’hui, être retiré d’Internet signifie que vous ne pourrez pas acheter ou vendre en ligne ou effectuer un travail nécessitant une connexion Internet.

Ainsi, les passeports sanitaires, actuellement en cours de déploiement dans le monde entier, vous empêcheront d’acheter en personne de la nourriture et des produits de première nécessité, tandis que le prochain passeport Internet vous empêchera de commander vos produits de première nécessité en ligne. Vous vous retrouverez essentiellement avec le marché noir, en supposant qu’il y en ait un pour ceux qui sont jugés « impurs » et « impropres » pour le monde moderne en raison de leurs opinions dissidentes.

Toutes ces technologies fusionneront à l’intersection du Big Data, des grandes banques, de la Big Tech et du grand gouvernement. Votre pointage de crédit social sera désormais lié non seulement à votre activité sur Internet, mais aussi à votre compte bancaire et à votre statut vaccinal. Bienvenue dans la Grande réinitialisation, alias Nouvel Ordre Mondial.

Ajoutez les avancées de l’IA et de la reconnaissance faciale et des millions de caméras de surveillance et vous parlez d’un État esclavagiste verrouillé qui fait ressembler 1984 de George Orwell à un club de vacances.

Mais ne vous plaignez pas. Tout cela est « pour notre sécurité ».

On ne peut pas faire confiance aux gens pour faire ce qu’il faut, croire aux faits réels, mener le genre de vie qui aboutit à une société paisible et heureuse. Tous doivent se conformer aux nouveaux maîtres.

Il est maintenant temps de combattre ce système. Mais pour le combattre, vous devez reconnaître son existence et garder une longueur d’avance sur la stratégie maléfique de la cabale.

À un moment donné, la trappe se refermera. Il sera trop tard pour se retirer. Vous vous conformez ou devenez une non-personne. Un ennemi de l’État.

Ces voies distinctes d’évolution technologique finiront par fusionner pour créer une société dans laquelle tout, et chaque personne, est suivi numériquement. Pas seulement le mouvement de leur corps physique, mais leurs actions, leurs comportements et même leurs pensées.

Les élites comptent sur nous pour accepter ce système à ses débuts, fragmentés. La plupart des gens pensent de manière compartimentée. Ils ne relient pas les points. Ils seront trompés.

Les élites ne vont pas vous dire d’emblée tout ce qui est impliqué dans la quatrième révolution industrielle. Ils vont juste vous dire les parties qui semblent bonnes – commodité, inclusion, sûreté, sécurité.

Regardez la vidéo effrayante de 42 secondes publiée par le gouvernement australien exhortant les gens à créer une identité numérique (en anglais).

Une fois cette trappe fermée, il sera très difficile de sortir de ses griffes. Ne téléchargez pas d’applications, payez en espèces chaque fois que c’est possible, et arrêtez de marcher en somnambule vers le Nouvel Ordre Mondial.

Lisez l’article complet sur LeoHohmann.com.

[HGJ :] Ce que j’ai fait pour réduire mon empreinte numérique, c’est que j’ai acheté un téléphone « stupide » et ai désactivé le paramètre de localisation qui fonctionne sur les téléphones mobiles. Il n’a pas de fonction GPS et ne peut donc pas me suivre. J’ai acheté le livre de cartes à l’ancienne et j’apprends à naviguer à l’ancienne. Le téléphone stupide ne peut pas prendre d’applications et ne peut donc jamais être utilisé pour la lecture de code QR.

Pour faire mes courses, je sors une liasse d’espèces au guichet automatique à l’extérieur d’un centre commercial et n’utilise que de l’argent liquide dans n’importe quel magasin, n’importe où. Recommençons tous à utiliser de l’argent liquide, partout.


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Fit for 55 – Le Pacte vert européen et l’effondrement industriel de l’Europe

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par F. William Engdahl

L’une des rares déclarations honnêtes de Bill Gates a été sa remarque, début 2021, selon laquelle si vous pensez que les mesures du Covid sont mauvaises, attendez les mesures pour le réchauffement climatique. L’Union européenne est en train d’imposer, de haut en bas, les mesures les plus draconiennes à ce jour, qui détruiront effectivement l’industrie moderne à travers le visage des 27 États de l’Union européenne.

Sous de jolis noms tels que « Fit for 55 » et European Green Deal [Pacte vert pour l’Europe], des technocrates non élus finalisent à Bruxelles des mesures qui provoqueront le pire chômage industriel et le pire effondrement économique depuis la crise des années 30. Des industries telles que l’automobile ou le transport, la production d’électricité et l’acier sont sur la sellette, tout cela pour une hypothèse non prouvée appelée réchauffement climatique d’origine humaine.

Alors que la plupart des citoyens de l’UE ont été distraits par des restrictions sans fin concernant une « pandémie » de type grippal appelée Covid-19, les technocrates de la Commission européenne à Bruxelles ont préparé un programme de désintégration planifiée de l’économie industrielle de l’UE. L’aspect pratique d’un groupe supranational non élu, loin de Bruxelles ou de Strasbourg, est qu’il n’a pas de comptes à rendre à de véritables électeurs. Ils ont même un nom pour cela : Le déficit démocratique. Si les mesures sur le point d’être finalisées par la Commission européenne, sous la direction de la présidente allemande Ursula von der Leyen et du technocrate néerlandais Frans Timmermans, vice-président chargé du réchauffement climatique, sont adoptées, voici un aperçu de ce qui se passera.

« Fit for 55 »

Le 14 juillet, la Commission européenne présente son programme vert « Fit for 55 ». Bien que le titre ressemble davantage à une publicité pour un centre de santé pour personnes d’âge moyen, il s’agira du programme de désindustrialisation le plus draconien et le plus destructeur jamais imposé en dehors de la guerre.

Fit for 55 sera le cadre central des nouvelles lois et règles de Bruxelles pour réduire considérablement les émissions de CO2, en utilisant des systèmes tels que les taxes sur le carbone, les plafonds d’émission et les systèmes de plafonnement et d’échange.

En avril 2021, la Commission européenne a annoncé un nouvel objectif européen en matière de climat : Les émissions doivent être réduites de 55% d’ici 2030 par rapport à 1990, contre 40% précédemment. D’où le joli nom « Fit for 55 ». Mais l’industrie et la main-d’œuvre des États membres de l’UE seront tout sauf en bonne santé si ce plan est mis en œuvre. En clair, il s’agit d’un fascisme technocratique imposé sans débat public à quelque 455 millions de citoyens européens.

Ce « Fit for 55 » représentera la première fois au monde qu’un groupe de pays, l’UE, impose officiellement un programme visant à imposer un absurde « zéro » CO2 d’ici 2050 et une réduction de 55% du CO2 d’ici 2030. Le tsar du Pacte vert pour l’Europe, le commissaire Frans Timmermans, a déclaré en mai : « Nous allons renforcer le système d’échange de quotas d’émission de l’UE, actualiser la directive sur la taxation de l’énergie et proposer de nouvelles normes de CO2 pour les voitures, de nouvelles normes d’efficacité énergétique pour les bâtiments, de nouveaux objectifs pour les énergies renouvelables et de nouvelles façons de soutenir les carburants propres et les infrastructures pour des transports propres ». En réalité, il détruira l’industrie des transports, de l’acier, du ciment ainsi que la production d’électricité à partir de charbon et de gaz.

Voici les principales parties du sinistre Fit For 55.

Voitures et camions

L’un des principaux objectifs du « Pacte vert » pour l’UE sera de prendre des mesures qui obligeront les véhicules à moteur à combustion interne – voitures et camions à essence ou diesel – à respecter des limites d’émissions de CO2 si punitives qu’ils seront contraints de quitter les routes d’ici 2030, voire plus tôt. Le plan modifiera l’objectif actuel d’une réduction de 37,5% des émissions de CO2 des véhicules d’ici à 2030 pour le remplacer par un objectif de zéro émission d’ici à 2035, selon la rumeur.

Le 7 juillet, une coalition de syndicats, d’entreprises du secteur des transports et de fournisseurs, dont la Confédération européenne des Syndicats et l’Association des Constructeurs européens d’Automobiles, a adressé un appel urgent au tsar de l’écologie, Frans Timmermans. Ils ont déclaré : « …nous voulons voir la transformation industrielle et l’innovation en Europe, plutôt que la désindustrialisation et les perturbations sociales ». La lettre souligne que l’UE n’a aucun plan pour une soi-disant « transition juste » pour l’industrie automobile européenne, notamment aucune nouvelle formation qualifiante pour les travailleurs déplacés : « Actuellement, il n’existe aucun cadre de ce type pour les 16 millions de travailleurs de notre écosystème de mobilité, et notamment pour le secteur automobile européen, qui est un moteur de l’emploi industriel ».

Il ne s’agit pas d’un problème mineur, car la transition des voitures et camions à moteur à combustion interne vers les voitures électriques entraînera une perturbation sans précédent des chaînes de fournisseurs automobiles actuelles. La lettre souligne qu’à l’échelle de l’UE, le secteur automobile compte 8,5% de tous les emplois manufacturiers européens et a produit en 2019 près de 10% du PIB de la seule Allemagne, ainsi que 40% des dépenses de recherche et développement du pays. L’UE représente aujourd’hui plus de 50% des exportations mondiales de produits automobiles. Ils soulignent que la transition vers les véhicules zéro CO2 entraînera la perte d’au moins 2,4 millions d’emplois qualifiés et bien rémunérés dans l’UE. Des régions entières seront déprimées. La lettre souligne que Bruxelles n’a même pas encore dressé la carte des conséquences du Pacte vert pour le secteur automobile.

En avril, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a indiqué qu’en juillet, Fit for 55 pourrait étendre un système d’échange de quotas d’émission de carbone (SEQE) draconien au-delà des centrales électriques ou de l’industrie pour couvrir le transport routier et les bâtiments dans le cadre d’un ajout « pollueur-payeur ». Le lien avec le SEQE imposera automatiquement des pénalités financières aux conducteurs ou aux propriétaires, au-delà des taxes actuelles sur le carbone, malgré un impact très limité de quelque 3% sur les émissions. Cette mesure, qui s’ajoute au renforcement des normes d’émission des voitures, portera un coup fatal aux consommateurs et à l’industrie. Lorsque le gouvernement français a imposé une telle taxe carbone en 2018, elle a déclenché les manifestations nationales des Gilets jaunes et a obligé Paris à la retirer.

Acier

Le plan drastique de l’UE contient de nouvelles dispositions qui signifieront des changements radicaux pour les industries européennes de l’acier et du ciment, grandes consommatrices d’énergie. L’acier est la deuxième plus grande industrie au monde après le pétrole et le gaz. Actuellement, l’UE est le deuxième plus grand producteur d’acier au monde après la Chine. Sa production s’élève à plus de 177 millions de tonnes d’acier par an, soit 11% de la production mondiale. Mais le plan Timmermans introduira de nouvelles mesures qui pénaliseront ostensiblement les importations d’acier en provenance de producteurs « sales », mais qui, en fait, rendront l’acier européen moins compétitif au niveau mondial.

Des fuites dans le plan de l’UE indiquent qu’elle prévoit de supprimer les permis de polluer actuellement gratuits du SEQE pour les industries à forte intensité énergétique telles que l’acier ou le ciment. Cela portera un coup dévastateur à ces deux industries essentielles. Ils l’appellent le Mécanisme d’Ajustement du Carbone aux Frontières. Comme le souligne le Center for European Policy Network, les exportateurs européens d’acier « ne recevront aucune compensation pour la suppression de l’allocation gratuite. En conséquence, ils subissent des désavantages concurrentiels considérables par rapport à leurs concurrents des pays tiers ».

Taxes sur le carbone du charbon

Le nouvel objectif climatique de 55% de l’UE pour 2030 implique une élimination quasi-complète du charbon d’ici à 2030 dans l’ensemble de l’UE. L’Allemagne, qui est de loin le plus grand consommateur d’électricité au charbon de l’UE, sera touchée. Le gouvernement allemand, dont l’électricité est déjà la plus chère du monde en raison de la transition de l’Energiewende de Merkel vers des énergies solaire et éolienne peu fiables, qui entraînera la fermeture de la dernière centrale nucléaire en 2022, vient d’abandonner son projet d’élimination progressive du charbon d’ici à 2038. Elle abandonnera le charbon bien plus tôt, mais pour des raisons politiques évidentes en cette année électorale, elle n’a pas révélé sa nouvelle date « zéro charbon ».

Il est déjà évident qu’il est absurde de croire que l’UE, et en particulier l’Allemagne, sera en mesure d’atteindre le « zéro charbon » d’ici 2030, en le remplaçant non pas par du gaz naturel, mais par des énergies solaire et éolienne peu fiables. Le 1er janvier 2021, dans le cadre du mandat du gouvernement sur la réduction de la puissance du charbon, 11 centrales électriques au charbon d’une capacité totale de 4,7 GW ont été fermées. Cet arrêt progressif a duré huit jours, car plusieurs des centrales au charbon ont dû être reconnectées au réseau pour éviter les pannes dues à une période prolongée de vents faibles. Les centrales au charbon fermées ont reçu l’ordre de fonctionner en mode de réserve, aux frais des consommateurs. La commission gouvernementale de Berlin qui a rédigé le plan d’élimination progressive du charbon ne comprenait aucun représentant de l’industrie de l’électricité ni aucun expert en réseaux électriques.

Avec le nouvel élément du plan destructeur Fit for 55 de la Commission européenne, le cœur de l’industrie européenne, l’Allemagne, est préprogrammé non seulement pour un chômage industriel sévère dans les secteurs de l’acier, du ciment et de l’automobile. Elle est également préprogrammée pour des pannes d’électricité comme celle qui a dévasté le Texas au début de l’année 2021 lorsque les éoliennes ont gelé. En 2022, en Allemagne, comme nous l’avons indiqué, la dernière centrale nucléaire ainsi que d’autres centrales au charbon seront fermées, ce qui entraînera la suppression de 3% de l’électricité. En outre, 6 000 éoliennes seront également fermées en raison de leur âge, soit une réduction totale de 7%. Pourtant, l’ajout prévu de nouvelles éoliennes et de nouveaux panneaux solaires est loin de remplacer cette baisse, de sorte que d’ici 2022, l’Allemagne pourrait connaître un déficit de capacité de production de 10 à 15%.

La Grande Réinitialisation du FEM et le Pacte vert de l’UE

Ce que les citoyens sains d’esprit ont du mal à comprendre dans ce « Fit for 55 » de l’UE, dans la « Grande Réinitialisation » de Davos ou dans l’Agenda 2030 de l’ONU, c’est qu’il s’agit d’un plan technocratique délibéré pour la désintégration de l’économie, sous l’excuse frauduleuse d’un danger de réchauffement climatique non prouvé, qui prétend – sur la base de modèles informatiques douteux qui ignorent l’influence de notre soleil sur les cycles climatiques de la Terre – que nous verrons une catastrophe d’ici 2030 si le monde ne réduit pas les émissions de CO2 inoffensives et essentielles à la vie.

Le Forum économique mondial de Davos, toujours actif, joue également un rôle important dans l’élaboration du « Pacte Vert » pour l’Europe de la Commission européenne, dans le cadre de sa Grande Réinitialisation. En janvier 2020, le Forum économique mondial, lors de sa réunion annuelle à Davos, a réuni des leaders de l’industrie et du monde des affaires avec le vice-président exécutif Frans Timmermans pour étudier comment catalyser le Pacte vert pour l’Europe. Le dévoilement du 14 juillet par Bruxelles en est le résultat. Le FEM soutient le groupe d’action des PDG pour le Pacte vert européen afin que les grandes entreprises soutiennent le plan dystopique de Bruxelles.

F. William Engdahl

Article original en anglais :

“Fit for 55”: The EU Green Deal and the Industrial Collapse of Europe

Traduit par Réseau International
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © F. William Engdahl, Mondialisation.ca, 2021




Complot, conspiration, plan : dix faits troublants

[Source : ripostelaique.com]

Complot, conspiration, plan ?

[Preuves que la pandémie a été planifiée ?]

1) Bill Gates, aujourd’hui le principal acteur de l’OMS, préconisait déjà en 2010 la venue de « nouveaux vaccins » pour freiner la croissance démographique mondiale dans le cadre de la lutte contre les émissions de CO2. 
https://www.ted.com/talks/bill_gates_innovating_to_zero?language=fr#t-1374074

[►Qui finance l’OMS ? (siksik.org)
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé]

En 2015, l’organisation GAVI, subventionnée par Bill Gates, entre autres, et qui oriente la politique vaccinale mondiale, préconisait la vaccination pour atteindre 14 des 17 objectifs de développement durable (vaccins à gogo !).
https://www.gavi.org/fr/sante-mondiale-et-developpement/objectifs-de-developpement-durable

2) En octobre 2019 démarrent les jeux militaires de Wuhan pendant lesquels des athlètes connaîtront des problèmes respiratoires. En même temps, à New York, des dirigeants oligarques mondialistes simulent une pandémie dans le cadre d’un exercice baptisé « Event 201 ».

https://www.francetvinfo.fr/sports/des-sportifs-francais-contamines-par-le-covid-19-des-octobre-aux-jeux-militaires-de-wuhan_4515647.html

3) En novembre 2019 (avant la déclaration officielle de l’épidémie), PfizerBioNtech commande 2 lots de 800 millions de flacons à vaccins en verre spécial, jamais utilisés auparavant.

4) En janvier 2020, l’hydroxychloroquine est classée substance dangereuse par la ministre de la Santé, donc interdite de prescription, de même que (par la suite) tout médicament efficace pour soigner l’affection Covid (encore aujourd’hui), ce qui justifie une autorisation de mise sur le marché conditionnelle des injections géniques actuelles (seule solution envisagée depuis le début) sans recul de leurs effets à moyen et long terme.

[Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?]

5) Dès février/mars 2020, déclenchement et entretien de la peur dans la population : annonces morbides quotidiennes exagérées (on le sait maintenant, il n’y a pas eu de surmortalité en 2020), confinement général (d’abord en intérieur puis en extérieur), couvre-feu à horaires élastiques (deux mesures inutiles). Et tout au long de l’année 2020 et 2021, entretien volontaire de la confusion et de l’incertitude (masques d’abord inutiles puis obligatoires même pour les enfants dès 9 ans, sous peine de 135 € d’amende, annonces prédictives des vagues à venir, assimilation des personnes saines à des malades potentiels), annonce présidentielle d’une vaccination non obligatoire pour en arriver aujourd’hui à la volonté d’injecter toute la population dans une ambiance télévisuelle hystérique…

[►“Surmortalité Covid” en 2020 ? C’est la démographie, idiot !
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COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires]

6) Les médecins sont, depuis le début de la crise, empêchés de soigner par les autorités de santé (chose impensable) et sont contraints de conseiller à leurs patients de rester au domicile et de prendre du Doliprane jusqu’à l’apparition de l’insuffisance respiratoire les conduisant directement à l’intubation et au décès.

[►« Laissons les médecins prescrire » : la résistance des médecins libéraux s’organise
Vaccins et traitements : les masques tombent et vont tomber]

Des médicaments inefficaces voire dangereux comme le remdévisir (excessivement cher) seront autorisés et préconisés par nos instances de santé.

[Voir : « Le remdesivir ne soigne pas le Covid-19. Pire… » : Didier Raoult met l’OMS face à ses responsabilités]

Attaques médiatiques violentes de toute personne contestant la version officielle concernant les protocoles de soins, la réelle mortalité de la maladie (professeurs Raoult, Perronne, Toubiana…) ou l’origine du « virus » (professeur Montagnier), que ces professeurs soient de renommée mondiale ou prix Nobel !

[►La thèse d’un virus manipulé échappé d’un laboratoire chinois : le pavé dans la mare du Pr Luc Montagnier
Message du Professeur Perronne sur les vaccins contre la Covid-19 !]

7) Dans les Ehpad, le Rivotril sera légalisé et utilisé sans compter avec la bénédiction du ministre de la Santé.

[Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible]

8) De manière concomitante l’hyperclasse mondiale de Davos nous annonce un nouveau modèle économique après « le Great Reset ». Nouveau modèle ou effondrement inéluctable d’un capitalisme financier à bout de souffle entraînant une paupérisation croissante des populations ??

[►Crise financière de 2008, covid-19, “great reset” et contrôle des populations : la grande manipulation
Les valeurs familiales de Schwab
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
STRATÉGIE FINANCIÈRE ET GREAT RESET
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]

9) Alors que 72 % de la population était opposée à la mise en place du passeport vaccinal lors de la consultation du CESE, il nous est imposé via une instance supranationale non élue.

Ce passeport fait partie des projets de l’UE depuis 2018, bien avant la pseudo-pandémie !
https://participez.lecese.fr/pages/resultats-de-la-consultation-sur-le-passeport-vaccinal

10) Pour lancer la campagne « vaccinale », les dirigeants ont d’abord utilisé l’incitation puis l’injonction. Aujourd’hui, leur véritable objectif se précise puisqu’il est question d’imposer à toute la population l’obligation d’une expérimentation médicale aux effets inconnus voire dangereux. En effet, en Europe, on dénombre plus de 15 000 décès et plus de 1 500 000 effets secondaires dont la moitié sont graves ! Il est important de savoir que seuls 5 à 10 % des effets secondaires ou décès sont comptabilisés dans les centres de pharmaco-vigilance ! Rappelons aussi que les firmes pharmaceutiques sont exonérées de toute responsabilité en cas de problèmes suite à l’injection de leurs produits délétères !

[Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés]

Il est clair que nos dirigeants actuels organisent la fin de la souveraineté de notre pays pour le soumettre à l’oligarchie mondialiste qui progressivement s’est emparée du pouvoir financier, économique, législatif et aujourd’hui… sanitaire.

Si cette marche forcée vers un nouvel ordre mondial ne relève pas d’un complot, d’une conspiration, il paraît évident qu’elle se déroule selon un plan satanique élaboré de longue date pour entraîner la destruction des nations au vu des réactions quasi similaires dans les pays occidentaux lors de cette crise organisée.

Quel futur pour nos enfants ? Une identité numérique injectable pour un contrôle permanent ? La pérennisation d’un nouveau marché « vaccinal » scandaleusement lucratif pour les placements en Bourse de quelques milliardaires ? Des êtres humains continuellement pharmaco-dépendants d’injections mortifères annuelles voire bi-annuelles et/ou de médicaments chimiques entraînant la destruction de l’immunité naturelle ? Un chantage permanent à la vaccination pour bénéficier de l’accès à une vie normale et/ou à une future éventuelle monnaie numérique ? La domination tyrannique d’une hyperclasse mondiale avide de pouvoir et détentrice insolente de plus en plus de richesses ? Une dépopulation progressive de la classe nombreuse des « inutiles » au profit des « dieux » ?

Seule une large coalition de personnalités politiques animées d’un souverainisme national puissant s’opposant à la caste oligarchique, prônant aussi et surtout l’inviolabilité de l’intégrité corporelle des êtres humains (menace qui se fait jour aujourd’hui), pourra éviter la disparition de notre nation (en cours aujourd’hui) dans l’abîme d’un mondialisme à forte tendance génocidaire.

Philippe Rossi




Le dépeuplement et le vaccin à ARNm

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Peter Koenig

Le New York Times prévoit une réduction massive de la population

Étonnamment, le New York Times – 22 mai 2021 – prévoit une réduction massive de la population au cours des prochaines décennies.

« Les cris de bébés sont de la partie.
Plus de maisons abandonnées.
Vers le milieu de ce siècle, alors que les décès commenceront à dépasser les naissances, des changements difficiles à comprendre viendront. »

Capture d’écran de l’article du NYT

Et –

« Partout dans le monde, les pays sont confrontés à la stagnation démographique et à un effondrement de la fécondité, un renversement vertigineux inégalé dans l’histoire enregistrée qui rendra les fêtes de premier anniversaire plus rares que les funérailles, et les maisons vides une plaie oculaire commune. »

Et il continue,

« Les maisons de maternité ferment déjà en Italie. Des villes fantômes apparaissent dans le nord-est de la Chine. Les universités de Corée du Sud ne trouvent pas assez d’étudiants, et en Allemagne, des centaines de milliers de propriétés ont été rasées, et la terre a été transformée en parcs. »

Est-ce que tout cela est vrai ? Cela reste à vérifier. Un oubli ?

À aucun moment, l’article ne mentionne la nature eugéniste de la réduction délibérée de la population, en relation avec la pandémie de covidés, la campagne de vaccination forcée et, par de nombreux témoignages, toxique, avec un non-vaccin, mais plutôt une nouvelle « thérapie génique » de type ARNm totalement non testée que les CDC américains ont autorisée à appliquer comme « mesure d’urgence » dans ces circonstances désastreuses d’une pandémie, qui manque en fait toutes les caractéristiques d’une pandémie, mais doit être pompée pour la faire apparaître comme une pandémie – avec littéralement presque tous les décès provenant de toutes les causes – même les accidents de voiture – peuvent être – et « doit » être classé comme décès par covidé.

Aux États-Unis, les hôpitaux sont payés 13 000 dollars pour chaque patient diagnostiqué par covidé et 39 000 dollars pour chaque « patient covidé » mis sur un ventilateur. Plus tôt cette année, les médecins de New York sont arrivés à la conclusion que plus de 80 % des patients souffrant de ventilateur ne survivent pas au ventilateur. Voyez ceci.

Mais, quoi qu’il en soit – l’ « assouplissement » actuel des restrictions sur les covidés que connaissent les États-Unis et de nombreux pays européens, fait ressortir le bonheur, les sourires, la pensée festive et le sentiment joyeux de la population – dans l’espoir ferme que la pandémie est terminée. Ce n’est peut-être qu’une ruse et un prélude à bien pire à venir. J’espère que ce soupçon est faux.

Bien qu’il n’y ait pas de preuve concrète, on a l’impression qu’avec l’arrivée tardive de l’automne dans l’hémisphère nord, nous allons être frappés par une « nouvelle » variante fabriquée en laboratoire – beaucoup plus forte, qui nécessite des mesures gouvernementales de plus en plus oppressives et dictatoriales, davantage de vaccinations forcées avec une thérapie génique qui pourrait affecter le système neurologique de l’humanité. (Pour plus de détails, voir Confirmation que le vaccin Pfizer cause des maladies neurodégénératives)

Le NYT s’efforce d’expliquer pourquoi la population mondiale entre en recul et en déclin pur et simple, sans jamais mentionner la Covid et le programme mortel infâme.

« Bien que certains pays continuent de voir leur population augmenter, en particulier en Afrique, les taux de fécondité diminuent presque partout ailleurs. Les démographes prédisent maintenant que d’ici la seconde moitié du siècle ou peut-être plus tôt, la population mondiale entrera dans un déclin soutenu pour la première fois. »

Pourquoi le taux de fécondité diminuerait-il soudainement dans les pays « développés » ? Parce que les gens se rendent compte que pour sauver la planète, le monde a besoin de moins, beaucoup moins de « mangeurs » et de consommateurs ? – Ou plutôt a-t-il quelque chose à voir avec les faux « vaccins » Covid-19 largement contraints ? – voir Dr. La vidéo de Mercola ci-dessous.

N’est-ce pas précisément ce que le clan Gates-Rockefellers-Kissinger et al a à l’esprit ?

Est-ce la raison pour laquelle les injections de type ARNm – l’approbation d’urgence des CDC en tant que « thérapie génique » – comprennent des composants antifertilité et stérilisation ?

Et – pouvez-vous l’imaginer – les CDC ont récemment recommandé d’administrer cette « injection de génique non éprouvée et non testée aux femmes enceintes, alors que jamais auparavant et en aucun cas les femmes enceintes ne devraient recevoir de médicament « expérimental » non testé.

En fait, le taux d’avortement des femmes enceintes recevant l’inoculation de type ARNm peut atteindre 30 % – probablement considérablement plus élevé si l’on tient compte des cas non déclarés. Écoutez le Dr. Joseph Mercola.[en anglais]

Il y a la notion générale que le covid n’est pas une question de santé ou d’immunité, mais plutôt de dépeupler le monde ; un programme eugéniste, si vous préférez. Mike Whitney exprime une vision claire dans quelle direction va cette campagne inutile de vaccination contre la Covid-19. Cela n’a rien à voir avec la protection de la santé de la population. Au contraire. Il s’agit de dépeuplement. Ces deux citations disent tout.

« Il n’y a absolument pas besoin de vaccins pour éteindre la pandémie… Vous ne vaccinez pas les personnes qui ne sont pas à risque de contracter une maladie. Vous ne prévoyez pas non plus de vacciner des millions de personnes en forme et en bonne santé avec un vaccin [expérimental] qui n’a pas été largement testé sur des sujets humains. »

Le Dr. Mike Yeadon PhD, ancien vice-président et scientifique en chef de Pfizer pour les allergies et les maladies respiratoires. 

« Ce que nous savons sur le coronavirus grâce à 30 ans d’expérience, c’est qu’un vaccin contre le coronavirus a une particularité unique, c’est-à-dire que toute tentative de fabrication du vaccin a abouti à la création d’une classe d’anticorps qui rendent réellement les personnes vaccinées plus malades lorsqu’elles souffrent finalement d’une exposition au virus en question. » 

Robert F. Kennedy Jr.

Le NYT cite Frank Swiaczny, un démographe allemand qui était chef des tendances et de l’analyse démographiques pour les Nations Unies jusqu’à l’année dernière :

« Un changement de paradigme est nécessaire. Les pays doivent apprendre à vivre avec [un déclin démographique] et à s’y adapter. »

Pour renforcer ce changement de paradigme – et le faire apparaître – et vous convaincre, le lecteur, qu’il s’agit d’un phénomène normal et imparable, le NYT vous prédit, ou plutôt vous effraie, en spéculant / anticipant,

« Les ramifications et les réponses ont déjà commencé à apparaître, en particulier en Asie de l’Est et en Europe. De la Hongrie à la Chine, de la Suède au Japon, les gouvernements luttent pour équilibrer les demandes d’une cohorte vieillissante en plein essor avec les besoins des jeunes dont les décisions les plus intimes en matière de procréation sont façonnées par des facteurs à la fois positifs (plus de possibilités d’emploi pour les femmes) et négatifs (inégalité persistante entre les sexes et coût élevé de la vie). »

Nous savons qu’il s’agit d’un faux prétexte, et c’est un argument totalement fabriqué pour vous faire regarder dans l’autre direction, alors que dans deux à trois ans, vous pourrez voir mourir massivement de personnes bien en deçà de l’espérance de vie statistique moyenne.

Nous le savons tous, l’inégalité entre les sexes persiste dans l’Ouest depuis au moins 2000 ans. Et, bien que le coût de la vie n’ait cessé d’augmenter au cours des 50 premières années après la Seconde Guerre mondiale dans les pays industrialisés, il a plutôt stagné au cours des deux dernières décennies. Au contraire, dans certains cas – États-Unis, Europe – une tendance plutôt déflationniste est apparue. Un signe clair pour cela, ce sont les taux d’intérêt négatifs dans de nombreux pays industrialisés. Donc, le NYT essaie de vous faire croire ce qui est faux – tout cela pour justifier sa « prédiction » d’une réduction massive de la population ; pour vous habituer au diabolique plan Covid – et peut-être pour semer juste un peu de peur.

Comme les « vaccins » de l’ARNm sont expérimentaux, il n’y a pas d’antécédents sur la capacité du corps de se débarrasser des effets secondaires désastreux, comme la coagulation sanguine, conduisant à la thrombose, à une éventuelle paralysie et à la mort.

Selon les prévisions scientifiques, les injections d’ARNm affectent le génome humain et il est fort probable que le corps ne se désintoxique jamais de ce qui affecte l’ADN.

Si cette hypothèse est correcte, cela signifie, en bref, que vous ne serez plus jamais la même personne et que votre santé peut être affectée négativement pour le reste de votre vie. Il s’agit, sans aucun doute, d’un crime de génocide de masse contre l’humanité.  Cela coïncide avec les vues du Dr Joseph Mercola – voir ci-dessus, ainsi qu’avec celles du Dr. Sucharit Bhakdi sur la coagulation sanguine et ses conséquences désastreuses pour la santé, c’est-à-dire qu’elle peut entraîner des attaques cérébrales, des paralysies et la mort.

Dans le même ordre d’idées Vaccine Impact du 23 mai 2021 fait référence à cinq médecins réputés, qui discutent de la transmission du virus entre les personnes ayant reçu le vaccin à ARNm et celles qui n’ont pas été vaccinées. Ces scientifiques sont tous d’accord pour dire que si l’on ne réalise pas que ces vaccins sont conçus comme des armes biologiques dans le but de réduire la population mondiale, on ne comprendra jamais complètement ce que ces vaccins et Big Pharma sont capables de faire et comment prendre des mesures pour se protéger.

Le NYT nous prépare doucement à ce crime, qualifiant ce prochain « dépeuplement » de phénomène naturel, en raison d’un changement démographique – auquel on peut s’attendre en raison de notre « style de vie abondant » occidental, et du changement climatique causé par l’homme (mea-culpa, mea-culpa), entraînant une réduction des récoltes – famine – dans le monde en développement ou dans les pays du Sud global.

« Il s’agit d’une guerre mondiale intentionnelle contre le sang humain », selon le Dr. Sherri Tenpenny et la lauréate du prix Nobel, le Dr. Luc Montagnier, ainsi que le Dr. Mike Yeadon, ancien vice-président et chef de Pfizer Science – et d’autres.

« Les injections tueront et n’arrêteront jamais de tuer. »

Le Dr. Montagnier, parmi les meilleurs virologues du monde, prévoit une espérance de vie considérablement réduite pour beaucoup de ceux qui ont pris l’ »injection mortelle ».

Voir les dernières données officielles sur les décès et blessures [séquelles] par vaccin pour l’UE (de la fin décembre 2020 au 22 mai 2021)

Il y a des raisons et des causes à la fois médicales et économiques pour une population mondiale considérable sur lesquelles le NYT nous alerte.

Pourquoi feraient-ils cela ?

Pour nous préparer à l’un des crimes les plus horribles de l’histoire moderne de l’humanité. : Inventer (c’est-à-dire d’origine humaine) un coronavirus  invincible.

Après une décision du Forum économique mondial (FEM), en janvier 2020, l’OMS a appelé le virus en janvier 2020 d’abord le SRAS-CoV-2 – du nom du virus du SRAS qui a frappé la Chine à partir de 2002-2003, puis, quelques semaines plus tard, l’OMS a rebaptisé cette « bête » invisible – instrument de fabrication de la peur – Covid-19.

Le choc soudain d’être exposé à une épidémie mondiale et à une pandémie (selon les nouveaux critères soudains de l’OMS) a créé une pandémie de peur en vertu de laquelle les gens sont vulnérables et acceptent tout – pratiquement dans l’espoir que le danger mortel disparaisse.

C’est ainsi qu’en vertu d’une décision du FEM, l’OMS a déclaré cette maladie, en fait mineure, le 11 mars 2020 comme une pandémie, alors qu’il n’y avait que dans le monde entier, selon les statistiques de l’OMS, que 44 279 cas positifs et 1 440 décès en dehors de la Chine. La peur a augmenté et la « doctrine du choc » a fonctionné. Les 193 pays membres de l’ONU ont accepté le verrouillage total de la mi-mars 2020 – et ce sans justification médicale. 

« The Shock Doctrine » (2007), de Naomi Klein, décrivant comment le capitalisme du désastre profite des situations de choc, naturelles ou provoquées par le mandat, pour mettre en œuvre de nouvelles règles et réglementations, qui autrement n’auraient pas été facilement acceptées.

Un autre exemple est le Patriot Act américain qui était en préparation depuis des années, bien avant le 11 septembre ; il n’attendait qu’une catastrophe – c’est-à-dire le 11 septembre – pour être adopté à la hâte et accepté par le Congrès américain. Il a supprimé environ 80 % des libertés des personnes et a converti les lois du pays en une loi martiale permanente – et il est toujours applicable aujourd’hui, même avec quelques ajouts pratiques pour l’élite financière régnante.

Imaginez ! Les 193 pays membres de l’ONU à la fois – une impossibilité épidémiologique. Pourtant, les gens du monde entier ont accepté la nouvelle règle – qui a finalement détruit l’économie mondiale, l’a décimée au point où les petites et moyennes entreprises ont été littéralement anéanties, mettant les chômeurs dans la rue, se débrouillant pour survivre, augmentant les taux de pauvreté dans le monde de manière exponentielle.

Le chômage et la famine ont explosé.

La conséquence, en particulier dans les pays du Sud global, le désespoir, la souffrance d’être sans abri, sans nourriture – conduisant souvent au suicide et, sinon à la mort par famine. Cependant, ces quelques milliardaires au sommet, qui prétendent bientôt gouverner l’Ordre mondial unique, ont augmenté leur fortune combinée en quelques mois seulement de quelque 200 milliards de dollars.

Le Programme alimentaire mondial – le PAM a estimé que la population totale souffrant d’une famine aiguë était de plus d’un quart de milliard (265 millions) d’ici la fin de 2020, environ la moitié d’entre eux sont liés aux covidés – et augmentent régulièrement. « Ces nouveaux chiffres montrent l’ampleur de la catastrophe à laquelle nous sommes confrontés », déclare le PAM. Beaucoup d’entre eux ne survivront pas, mais les chiffres précis ne sont pas connus. Au fil du temps, ils deviendront catastrophiques, entraînant des centaines de milliers de décès. C’est le résultat de la criminalité élevée de la supra-cabale diabolique qui a inventé l’Agenda ID2020, l’Agenda 2030 de l’ONU, la Grande Réinitialisation [The Great Reset] – une souffrance mondiale criminelle, en particulier pour les personnes déjà pauvres et vulnérables.

Selon le Dr. Sucharit Bhakdi, microbiologiste allemand, et comme le rapporte The New American le 16 avril 2021 dans un article intitulé « Covid shots to Decimate the World Population ».

Le Dr Bhakdi avertit que l’hystérie du COVID est basée sur des mensonges et que les « vaccins » COVID, en particulier le type ARNm, sont prêts à provoquer une catastrophe mondiale et une possible décimation de la population humaine.

Le Dr Bhakdi explique tout d’abord que le test PCR a été utilisé de manière abusive pour susciter la peur d’une manière non scientifique..

Ensuite, il explique ce que les vaccins à ARNm vont faire au corps humain.

Il s’attend notamment à une coagulation sanguine mortelle massive [déjà survenant] ainsi qu’à des réponses du système immunitaire qui détruiront le corps humain.

Enfin, Bhakdi, qui a nous mis en garde contre une « catastrophe » imminente lors d’une interview de Fox News, vidéo qui est devenue virale. Il en appelle à des poursuites pénales contre les responsables et à l’arrêt immédiat de cette expérience mondiale. Voir ce qui suit.

Cela fournit un certain contexte pour l’article du NYT – contexte que, bien sûr, le New York Times ne mentionne pas. Il semble que le souci du Times soit avant tout d’avertir et de préparer les gens à ce qui pourrait arriver, mais aussi de répandre la peur, de rendre les gens plus vulnérables, plus faibles, de briser encore plus le système d’autodéfense humain. Le type de langage utilisé dans l’article du NYT laisse un lecteur innocent sans défense, dans la crainte de « céder à ce qui pourrait arriver ». C’est précisément ce qu’ils veulent

Une perspective positive

Cependant, il y a de l’espoir. L’article du NYT ne mentionne pas l’ »Espoir ». La meilleure façon pour l’humanité de répondre à la menace planétaire Covid est de résister collectivement par tous les moyens à la vaccination et de s’opposer activement à la numérisation de vos données personnelles ainsi que de votre argent.

Vous résisterez ainsi à l’emprise de l’intelligence artificielle et à l’asservissement par une super élite financière.

Nous avons clairement en nous le pouvoir de vaincre cette tyrannie diabolique qui plane sur nous – presque partout dans le monde sans exception. Il s’agit de croire en nous-mêmes, en la force de la pensée collective positive et aimante – et en la puissance de la solidarité.

Nous avons clairement le pouvoir en nous de surmonter cette tyrannie diabolique qui plane sur nous – presque partout dans le monde sans faute. Il s’agit de croire en nous-mêmes, collectivement, en la force de la pensée positive et de l’amour  – et en la puissance de la solidarité.

Peter Koenig


Article original en anglais :

Depopulation and the mRNA Vaccinele 15 juin 2021. Publié pour la première fois le 28 mai 2021.

Traduction par Maya pour Mondialisation.ca

Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il travaille depuis plus de 30 ans sur l’eau et l’environnement dans le monde entier. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur d’Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l’environnement et la cupidité des entreprises ; et coauteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sternues: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1 novembre 2020)

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2021




Les technocrates du Grand Reset ont-ils vraiment réfléchi à tout cela ?

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

La seule chose qui reste à détruire dans un monde peuplé uniquement d’élites, ce sont les autres élites. Il semblerait que le désir de dominer les autres ne s’arrête pas de lui-même.

Alors que le Programme alimentaire mondial des Nations unies annonce que quelque 270 millions de personnes dans le monde sont aujourd’hui menacées de famine, le débat actuel sur les véritables objectifs de la technocratie est profond. La question est de savoir si leur objectif tend plutôt vers une réduction majeure de la population, ou plutôt vers un nouveau type d’esclavage.

Il semble que les questions philosophiques et pratiques à long terme restent un mystère. Nous soutiendrons que le mal, et pas simplement l’influence de la base sur la superstructure, est au cœur de cette entreprise. Nous avons défini le mal comme le fait d’infliger le plus haut degré de douleur au plus grand nombre de sujets qui résistent. En bref, nous avons défini le mal comme un sadisme, qui consiste à infliger le mal parce qu’il apporte une satisfaction à ceux qui l’infligent.

Parce que le mal est fondamentalement une force destructrice, il ne peut rien créer : rien en lui n’est vraiment nouveau ni utile à l’humanité. Ses plaisirs sont éphémères et fallacieux. Il est insoutenable, autodestructeur et mène finalement à l’autodestruction.

Nous avons évalué de manière adéquate, à partir d’un certain nombre de sources, que des intérêts néfastes sont derrière ce processus, qui cherchent à faire en sorte que le processus concerne également l’exercice du pouvoir, en plus de plusieurs autres objectifs (rester au pouvoir, exercer le pouvoir d’une manière conforme à leurs croyances occultes sur le mal, etc.) Nous comprenons qu’ils sont « maléfiques » parce qu’ils impliquent un type de « pouvoir sur » (par opposition au pouvoir avec/consentement) qui tire ce pouvoir de l’apologie de la peur et du terrorisme sur la population. Le terrorisme est défini ici comme l’utilisation opérationnelle de la peur, de la douleur et d’autres blessures à des fins socio-politiques.

Si leurs plans n’avaient pas été ancrés dans le mal, ils auraient utilisé des tactiques de pouvoir doux, comme la fabrication du consentement, pour arriver à leurs fins.

Le but du Grand Reset est de transformer l’oligarchie ploutocratique au pouvoir en une oligarchie technocratique. La base de la ploutocratie est la finance, et l’introduction de l’IA et de l’automatisation élimine la base de la finance comme fondement d’une économie d’échelle. En effet, l’automatisation et la déflation évoluent en tandem, faisant des nouvelles technologies des perdants nets. Il faut donc introduire un nouveau paradigme qui tienne compte de cette « quatrième révolution industrielle » post-financière.

Comparaison côte à côte d’une chaîne de montage automobile : 1920 contre 2020 – « Les humains n’ont pas besoin de s’appliquer ».

Mais l’idéologie du Grand Reset est fondée sur le vieux paradigme financier, qui est celui de l’externalisation des coûts. Lorsque les êtres humains ne sont plus impliqués dans le processus de valorisation de la production de biens et de services, alors l’humanité elle-même est le coût qui doit être externalisé – éliminé.

Mais comment se fait-il que le sadisme soit devenu la religion occulte de la classe dirigeante, c’est une question du type « la poule ou l’œuf ». C’est-à-dire, est-ce que l’idéologie corporative a muté en sadisme occulte, ou est-ce que le sadisme occulte a trouvé son expression à travers l’idéologie corporative ? Cette question servira sans doute de base à une enquête ultérieure.

Nous nous référons souvent à des motivations ou à des processus néfastes en termes de « cupidité », d’« intérêt personnel », d’« obsession du pouvoir » ou de « crise de l’accumulation du capital », de « bulles spéculatives ».

Et cela ne suffit pas en dernière analyse, même si cela fournit un pouvoir explicatif. Le problème se pose en termes de pouvoir prédictif, car si nous sommes confrontés à une crise des rendements décroissants due à l’automatisation (comme la tendance croissante à la perte nette sur les nouveaux investissements en capital), les besoins psychologiques réels qui motivent la ploutocratie actuelle en tant que groupe de pouvoir sont en fait sapés par une réduction significative et soudaine de la population, ou par de nouvelles technologies post-coercitives qui éliminent l’action humaine. Cela peut sembler contre-intuitif, mais à la lumière d’une compréhension de la nature autodestructrice du mal, nous allons explorer cette question.

Lorsque nous établissons les probabilités de trois vecteurs politiques qui se croisent, nous pouvons encore mieux comprendre cette question. Ces vecteurs politiques sont
a.) le lien neuralink/l’IA/les implants neuraux/les protéines magnétiques et le transhumanisme qui y est associé,
b.) la dépopulation dans le cadre des objectifs déclarés de l’Agenda 2030,
c.) l’automatisation/la robotisation, le 4IR et l’IoT.

Cela fera suite à notre dernier article sur le sujet, La moralité du Grand Reset : L’euthanasie de l’inessentiel :

Implants neuronaux

Le développement et l’introduction d’implants neuronaux, de protéines magnétiques, etc. peuvent prendre de nombreuses directions. Certains de ces types d’implants promettent de donner aux élites des capacités cognitives « surhumaines ». Toutefois, une autre application très pratique consisterait à exiger que ces implants soient utilisés sur le grand public afin de les handicaper ou de contrôler leurs pensées d’une manière ou d’une autre.

En ce sens, les implants neuronaux peuvent fonctionner comme les produits pharmaceutiques utilisés en psychiatrie. Dans la création de cette sorte de « Meilleur des Mondes » huxleyien, nous pouvons facilement voir la continuation d’un paradigme qui existe déjà aujourd’hui. Il s’agit d’un paradigme où il est courant de trouver diverses dépressions, angoisses et névroses prévisibles causées par les conditions sociales contemporaines, mais traitées par la psychiatrie au lieu d’être résolues par la socio-économie.

Les implants neuronaux peuvent également remplir une fonction similaire, mais vont encore plus loin. Au-delà des émotions ou de l’effet de base sur la recapture de certaines hormones comme la sérotonine, etc., les implants neuronaux peuvent diriger les pensées ou modifier des processus cognitifs entiers. Au-delà des sentiments, des pulsions et des impulsions, les implants neuronaux promettent de produire des pensées réelles dans l’esprit du sujet.

Vanessa Tolosa, ingénieure au LLNL, présente un implant cérébral – crédit : Extreme Tech Magazine, juillet 2014.

Entre les deux, il existe une forme hybride – les nanotechnologies et la chimiogénétique travaillant avec l’optogénétique. Comme le système d’administration au cerveau peut se faire par injection, les nanolipides et autres composés peuvent se présenter sous forme de piqûres. Ils peuvent être administrés dans le cadre d’un régime de « vaccination » obligatoire (dans la mesure où ce terme a été redéfini), les nanotechnologies étant déjà présentes dans la piqûre du Covid-19.

Elles peuvent donc être incluses – qu’elles soient divulguées ou non au public – dans les vaccinations obligatoires.

Leur développement semble toutefois être une technologie qui soutiendrait l’esclavage, mais n’exclut pas le génocide. Il est certain que la capacité de contrôler les pensées d’une population atténuerait considérablement le risque aux yeux de l’appareil d’État, en particulier lorsqu’il s’oriente vers le génocide.

La dépopulation : Mythes et faits

Le contrôle et la réduction de la population font depuis longtemps partie des politiques de diverses institutions et groupes de réflexion engagés dans la gouvernance mondiale, de l’ONU au Forum économique mondial. Ils faisaient partie des objectifs du millénaire de l’ONU et, depuis l’aube du XXIe siècle, de l’Agenda 2030 de l’ONU.

Il est important d’introduire maintenant un cadre permettant de comprendre le problème de la population à la lumière du développement économique. On a longtemps pensé que le développement économique entraînait une stagnation, voire un déclin, de la population. L’idée ici est que l’éducation et l’urbanisation sont des processus qui conduisent à une meilleure connaissance de la planification familiale de base, parallèlement à un meilleur accès à l’avortement et au contrôle des naissances.

Le postulat sous-jacent est que les gens ne veulent naturellement pas être encombrés d’enfants, que les enfants sont un affront à la liberté dans l’abstrait. La formule est la suivante : à mesure que les gens sont mieux éduqués, qu’ils ont un travail plus intéressant et une vie plus riche, ils savent comment prévenir les grossesses et n’ont plus de penchant « primitif » pour les familles nombreuses.

Cette mythologie s’est construite autour de l’idée que les gens sont fondamentalement intéressés au sens le plus étroit du terme, à l’exclusion de tout autre désir, besoin ou impulsion. Ils sont présentés comme la norme afin de créer une culture plus large qui s’oppose à la procréation.

Au contraire, le véritable mécanisme qui pousse à la stagnation de la population dans le premier monde est la pression accrue du travail et l’augmentation du coût de la vie. Plutôt que d’attribuer la stagnation de la population à l’amélioration des conditions de vie, il s’agit plutôt de conditions austères imposées par la modernité tardive. Le coût de la propriété, des loyers, de la nourriture, ainsi que la baisse de la qualité des biens en raison de l’obsolescence planifiée accrue, ont accru la pression économique sur les individus et les couples. Elle a conduit à l’obligation pour les deux membres d’un ménage de travailler à temps plein. Et même avec cela, l’accession à la propriété dans les centres cosmopolites est pratiquement impossible pour la plupart. L’austérité a également entraîné une stagnation de l’espérance de vie.

Cette vérité est exposée dans de véritables documents d’orientation comme « Nouvelles stratégies pour ralentir la croissance démographique » (1995). Ici, le double langage est évident, avec des phrases facilement déchiffrables : « …réduire les grossesses non désirées en développant les services qui favorisent le choix reproductif et une meilleure santé, réduire la demande de familles nombreuses en créant des conditions favorables aux petites familles… ». Qu’est-ce que l’on peut bien entendre par « créer des conditions favorables aux petites familles » ?

Le développement économique ne réduit pas la population, mais si on y ajoute l’austérité et des obligations professionnelles exigeantes et rigides, on tombe sur une réponse. La prospérité économique, comme elle l’a fait depuis des temps immémoriaux, promet d’augmenter fortement la population en l’absence d’un programme de réduction de la population. Parce qu’un 4IR organique non introduit par la technocratie diminuerait les obligations de travail et augmenterait les marqueurs de qualité de vie, nous nous attendons à un boom démographique.

Par conséquent, les projections selon lesquelles la population atteindra un peu moins de 10 milliards d’habitants dans les années 2060 sont aussi erronées que linéaires. Sans une technocratie travaillant à réduire activement la population, comme ils le croient, une économie basée sur l’automatisation et l’IA verrait une explosion démographique.

Conclusion

Il est toujours probable que les technocrates en puissance ont effectivement réfléchi à la finalité et qu’il existe un grand nombre de possibilités qui leur permettront de récolter un plaisir sadique dans le cadre de l’exercice d’un pouvoir absolu, à perpétuité. Cela pourrait signifier augmenter la peur de l’extermination bien au-delà de la réduction réelle de la population. Cela pourrait signifier le maintien de nombreux aspects de l’agence pour la population contrôlée, de sorte que leurs douleurs soient intériorisées de manière multivariée et complexe, incluant des sentiments confus d’auto-culpabilité, d’identification à l’agresseur, de ressentiment, de regret, ainsi que des violations de la volonté et de la dignité. Encore une fois, si la volonté n’est pas un facteur, alors tous ces domaines potentiels de douleur psychologique ne sont pas présents.

Pour encadrer ce qui suit, il est fondamental de comprendre que dans une civilisation post-travail, le statut de l’humanité n’existe plus selon une mesure d’utilité. Soit la civilisation existe pour améliorer la condition humaine, soit pour augmenter la souffrance humaine. Il n’y a pas de compromis ou de coûts. La société est soit bonne, soit mauvaise.

Mais le mal est de courte durée et peu clairvoyant, et voici pourquoi : La réduction soudaine de la population est un pétard, il n’explose qu’une fois. Le plaisir que procure le processus d’éradication de milliards de personnes, ainsi que la peur, la douleur et la souffrance qui en découleraient, en l’espace de quelques années, ne peut être ressenti qu’une seule fois. C’est un rituel sacrificiel sur l’autel de Moloch qui ne peut être exécuté qu’une seule fois.

De même avec les technologies post-coercitives : Sans agence, contrôler les gens ne sert à rien en termes de violation de leur propre volonté ou désir. Faire souffrir un sujet qui ne résiste pas parce qu’il n’a pas de volonté donne au sadique beaucoup moins de plaisir que de faire souffrir un sujet contre sa volonté.

De plus, la position d’élite est relative à un certain nombre de facteurs tels que la distribution de la richesse, du pouvoir et/ou des privilèges, et le simple nombre en termes de population sur lequel on possède ces avantages.

S’il ne reste que des élites, elles n’auront fait qu’introduire un nouveau type de société égalitaire sur la base de la surabondance et d’une population humaine minuscule. Si les conditions de vie d’une humanité existante peuvent être considérablement réduites, alors le privilège et le luxe relatifs dont jouissent les élites augmentent dans la même proportion.

En l’absence d’une technologie radicale de prolongation de la vie, il est concevable que la science et la technologie aient déjà atteint le point zénithal auquel les privilèges et le luxe ne peuvent plus être améliorés. Une solution raisonnable consisterait à réduire les conditions de vie des autres afin d’améliorer leur propre privilège relatif. Plus le nombre de personnes qui vivent dans des conditions réduites est important, plus la position de privilège de chacun est réelle.

De même, il semblerait que le maintien d’une partie de la population humaine en tant que « possession » servirait à accroître la propriété des êtres humains, qui sont peut-être le type de possession le plus précieux, car ils sont conscients d’être possédés – mais seulement si cela les humilie. Car quel autre but pourrait avoir l’esclavage, dans un monde sans travail humain ?

A-t-il un sens, ou obtient-on une quelconque satisfaction, en gouvernant des personnes sans la possibilité d’avoir la volonté de consentir ou, au contraire, d’en vouloir au dirigeant ? Dans ce cas, nous pouvons le comprendre de la manière suivante : la possibilité de l’agence signifie que le gouvernement peut se faire avec leur soutien, ou contre leur volonté.

Mais le contrôle des processus cognitifs par les implants neuronaux élimine la possibilité de la volonté, ce qui priverait les technocrates du plaisir de gouverner avec ou contre la volonté des gouvernés.

Par conséquent, le cadre maléfique destructeur de ceux qui sont derrière la Grande Réinitialisation est révélé. L’utilisation de la stratégie, de la planification et de la ruse pour atteindre le résultat souhaité est prédominante. Mais ont-ils examiné les fondements de leurs désirs ? Comprennent-ils ce que leur victoire leur apporterait ?

La seule chose qui reste à détruire dans un monde peuplé uniquement d’élites, ce sont les autres élites. Il semblerait que le désir de dominer les autres ne s’arrête pas de lui-même.

Pour ces raisons, il est probable que certaines élites ont vu le problème dans cette fin de partie. Cela expliquerait le conflit inter-élite que nous avons exploré précédemment, et sur lequel nous reviendrons dans un avenir proche.




Après le covid, une cyberattaque mondiale ? — Pierre Hillard

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

Quel avenir nous réservent nos « élites » mondialisées ? Depuis l’arrivée du covid et les troubles qui en ont découlé, les oligarchies du monde entier semblent vouloir accélérer leur politique sur les peuples. Dans ce numéro de « Politique &Eco », Pierre Hillard, docteur en sciences politiques, dresse le panorama, véritable continuum, de l’idéologie mondialiste des origines à nos jours : de l’ouvrage « Utopia » de Thomas Moore en 1516, en passant par l’esprit des Lumières, l’Union paneuropéenne internationale, jusqu’aux dessins des différentes organisations comme le FMI ou le Forum économique international de Davos de Klaus Schwab, qui redoute une cyberattaque mondiale susceptible de provoquer l’effondrement du système financier international. Un entretien de salubrité publique… à diffuser en masse !

[Voir aussi :
La quatrième phase de Schwab
Le prétendu “plan Kalergi” de destruction de l’Europe
Comprendre l’Adversaire – Pierre Hillard
Des origines du mondialisme à la Société ouverte de Soros
Le Nouvel Ordre Mondial va-t-il gagner ?
Les valeurs familiales de Schwab
La vérité contre la peur
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Le Grand Reset pour les nuls
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]




Red Mirror : le livre pour comprendre le quotidien hypertechnologique des Chinois

[Source : ladn.eu]

[Photo : © Owen Winkel via Unsplash]

Dans Red Mirror : l’avenir s’écrit en Chine, le journaliste Simone Pieranni livre un récit précis et vivant du développement effréné des technologies en Chine. Voici quelques bonnes feuilles de cet ouvrage à lire absolument.

La Chine et sa surveillance de masseson système de notation des individus, l’omniprésence de la reconnaissance faciale… Le pays de Xi Jinping alimente de nombreux fantasmes et commentaires. Mais peu de témoignages rapportent avec précision la nature de ces technologies et leur impact sur les comportements des citoyens. Celui de Simone Pieranni, journaliste italien du quotidien Il manifesto, qui a vécu plusieurs années en Chine et continue de s’y rendre, est particulièrement instructif et précieux.

Son livre Red Mirror : l’avenir s’écrit en Chine raconte aussi la manière dont la Chine est devenue l’épicentre technologique du monde, en influençant largement l’Occident. Sa traduction française a été publiée aux éditions C&F le 4 février 2021. Extraits choisis.

L’application Wechat partout, tout le temps, sans interruption

« Pékin, mars 2019. Pendant que je prends mon petit-déjeuner à la maison, je consulte sur WeChat les nouvelles du jour. Puis je sors, et tout en me promenant dans les hutongs (les anciennes ruelles étroites de la capitale qui survivent aux nombreux changements qui ont lieu dans la ville), je réserve par WeChat un taxi pour me rendre à un rendez-vous dans un bar du quartier de l’électronique de la capitale chinoise. À l’intérieur du bar, grâce à mon identifiant WeChat, je mets mon smartphone en charge dans une des cabines spéciales près de l’entrée avant de rencontrer la personne avec laquelle j’ai rendez-vous. Puis je récupère mon smartphone et je règle ma consommation avec WeChat. J’ai faim, alors dès que je sors, je cherche un restaurant mongol – une de mes passions – à proximité. WeChat m’en indique un à quelques centaines de mètres de ma position, à l’intérieur d’un centre commercial. (…) Enfin, je rejoins un événement dans l’un des gratte-ciels de Jianguomen, la longue rue qui mène à la place Tian’anmen. L’invitation m’a été envoyée par une amie via WeChat lorsque j’étais encore en Italie : dans notre chat, je retrouve la localisation, le billet électronique et le reçu du paiement (que j’archive dans une application spéciale, toujours dans WeChat, qui vous aide à gérer votre comptabilité). (…) À la fin de la conférence, je vais dîner avec certains des participants. À un même moment, tous nos yeux se tournent vers nos téléphones : WeChat demande une mise à jour de nos informations. Et nous voilà, toute une tablée occupée à faire des selfies pour donner à WeChat notre consentement à garder le contrôle de nos données biométriques.»

« La super-app a fini par créer une sorte d’écosystème au sein duquel rien d’autre n’est nécessaire, car elle est capable de s’occuper de tous les aspects de notre vie quotidienne. Dans certaines villes, le profil WeChat est déjà utilisé comme document d’identité. Tout est dans WeChat et cela signifie qu’en Chine, si vous n’avez pas « l’app des apps», vous êtes complètement hors du monde. Ne pas télécharger WeChat est un véritable choix de vie.»

Le culte de la smart city

« On accède aux bureaux de l’entreprise Terminus à Pékin par reconnaissance faciale. Le hall d’entrée est entièrement blanc : les rideaux aux fenêtres, les bureaux de réception et deux fauteuils aux formes futuristes sont également blancs. La découpe en zigzag des portes qui permettent d’entrer dans les open spaces nous rappelle les films de science-fiction, notamment la célèbre saga Star Wars. Ce dispositif veut porter l’idée d’un « futur » plus ou moins imaginé et connu, car Terminus – fondée en 2015, une des nombreuses start-up chinoises devenue rapidement une « licorne », c’est- à-dire estimée à plus d’un milliard de dollars – manie l’avenir pour le rendre extrêmement « présent ». Son but est en effet de pourvoir au nom du gouvernement à la gestion « intelligente » de complexes résidentiels et de quartiers entiers des villes, en utilisant ce qui se fait de mieux en termes d’intelligence artificielle et d’Internet des Objets (IoT – Internet of Things). Les quartiers urbains gérés par Terminus fournissent toutes sortes d’informations tant sur les habitants que sur les passants. Toutes ces données proviennent du travail silencieux et incessant de caméras intelligentes, de systèmes de reconnaissance faciale, de géolocalisation, de voiceprint (empreintes vocales) et d’empreintes sonores : la fusion de toutes ces informations circule sur des écrans contrôlés par des agents de sécurité. Tout est consigné, chaque mouvement est enregistré. “Si pendant quelques jours nous ne voyons pas certains habitants du bâtiment – nous expliquent les chargés de la communication en traversant un couloir – nous allons vérifier que tout va bien”.»

[NDLR: ceci représente une partie de l’avenir de la plupart des pays occidentaux si le Nouvel Ordre Mondial parvient à s’implanter complètement : une société de zombies ou de robots entassés dans les villes pendant que les élites disposeront des ressources planétaires et des campagnes.
Voir :
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]




« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs

Par Alain Nicolaï, auteur du  Livre des Sept Sceaux (Le Retour à l’Évidence)

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« Nous sommes en guerre. »

Macron le 16 mars 2020

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Aux naïfs qui ne se sont pas encore rendu compte que la politique de Macron et de son gouvernement(([1] Gouvernement dont il faut se demander si une partie n’est pas manipulée par Macron, de même que la plupart des députés LREM. Remarque : ce qui ne les excuse en aucun cas, puisque, en théorie, ils devraient avoir un cerveau.)), loin d’être incohérente, est en fait simplement l’exécution d’un plan machiavélique préparé de longue date par la finance (le banco-centralisme), certains milliardaires et les partisans du nouvel ordre mondial, il va être présenté dans cet article une suite d’informations cachées au grand public qui le prouvent abondamment. Il est très facile de le démontrer, puisqu’une grande partie des textes et des vidéos ci-dessous proviennent de leurs propres sources. 

Au cours de l’histoire de France on n’a jamais vu un gouvernement provoquer une dépression économique. Cette pandémie de Corona a commencé en janvier 2020, pourquoi ?  

Extrait de la conférence faite le 20/11/2020 à Berlin par Paul Schreyer, journaliste d’investigations :

On peut bien sûr se dire : il y a un virus qui apparaît, et voilà. Si nous restons dans l’explication officielle, et après, ça a suivi son cours. C’est arrivé comme le destin l’a voulu. Si nous supposons maintenant que cela ne s’est pas produit de manière aussi fatale, mais que cela a été dirigé par certains cercles, une sorte de gymnastique mentale, alors il n’est peut-être pas inintéressant d’éclaircir ce qui s’est passé en septembre 2019.

Parce que c’est à ce moment-là qu’un très gros tremblement de terre s’est produit sur les marchés boursiers. Je n’avais presque rien remarqué. A l’époque, j’y ai vaguement fait attention, c’était juste un petit événement, mais je n’avais pas suivi et ce n’est que maintenant, lors de la préparation de ma conférence, que je l’ai examiné de plus près.

Comme je l’ai déjà dit au début, je n’ai pas encore abordé ce sujet dans mon livre. Pour vous donner une idée de ce qui s’est réellement passé, je vais simplement vous montrer un court article de presse qui résume assez bien la situation. C’est un article de la « Zeit » (un journal allemand). Il a été publié en octobre 2019, et on y lit:

« Court-circuit dans le système financier. La Réserve fédérale américaine veut empêcher une défaillance totale du marché monétaire en injectant des milliards de dollars. À quel point la situation est-elle critique? »

Je vais vous lire les informations clés de l’article pour que vous compreniez ce qui se passait : « La crise est survenue du jour au lendemain. Les banques étaient à court d’argent. Les banques centrales ont injecté des centaines de milliards de dollars sur le marché monétaire, juste pour éviter le pire. Tout cela ressemble à l’apogée de la crise financière mondiale il y a onze ans — mais en fait, il s’agit de l’avant-dernier lundi. » Donc septembre 2019. « C’est à ce moment-là qu’une partie essentielle du système financier mondial était au bord de l’effondrement, et le public n’a quasiment rien remarqué. »

« Dans la nuit du 17 septembre, un certain taux d’intérêt (…) a grimpé sans prévenir : le taux qui s’applique aux banques qui veulent emprunter à court terme. Normalement, les banques sont approvisionnées en argent liquide pour un intérêt d’environ deux pour cent (…) Mais soudain, l’argent liquide y coûtait dix pour cent. (…) La dernière fois que les banquiers centraux ont dû intervenir sur marché Repo (le marché des pension) — c’est le nom de cette place financière —, c’était après la disparition de la banque d’investissement Lehman Brothers en 2008. À l’époque, la détresse de cette banque d’investissement avait déclenché un état d’urgence dans cette partie du système financier, ce qui avait presque conduit à l’effondrement de l’économie mondiale. »

J’ai trouvé cela très intéressant et je le trouve toujours très intéressant. J’ai donc essayé de vérifier ça, de jeter un coup d’œil sur les chiffres. Je suis allé sur le site de la Réserve fédérale, la Réserve fédérale américaine. Et là, j’ai trouvé le graphique suivant. (Min. 53.32 * graphique)

Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas familiers avec la finance et les chiffres, ne vous inquiétez pas, ce graphique n’est pas magique. Pas aussi compliqué qu’il n’y paraît à première vue. Je vais essayer de l’expliquer brièvement : Le graphique montre le « bilan », c’est-à-dire le total des actifs de la banque centrale.

On pourrait le traduire ainsi : Le graphique montre la quantité d’argent que la Réserve fédérale apporte à l’économie américaine. Alors, combien d’obligations d’État achète-t-elle, et combien d’obligations de sociétés achète-t-elle.

Cela signifie que la Réserve fédérale crée de l’argent et le met sur le marché pour compenser le fait que les banques ne se prêtent plus d’argent parce qu’elles ont perdu confiance. C’est ce qui se passe. On pourrait nommer cela également, de manière un peu simplifiée, la courbe de température de l’économie américaine. En fait, c’est excatement ça. (*Min. 54.21).

Commençons par la gauche. En 2008, avant la crise financière, la Réserve fédérale avait des actifs totaux d’environ un trillion, 1’000 milliards de dollars. Ça a doublé en quelques semaines, à l’automne 2008. Oui, pourquoi ça a doublé ? Parce que les banques ont arrêté de se prêter de l’argent entre elles. La confiance a disparu. Et c’est à ce moment-là que la banque centrale doit intervenir, sinon le système s’effondre. C’est ce qui s’est passé.

Ce qui est intéressant, c’est qu’il n’a pas été réduit, le niveau est resté le même au cours des années suivantes. En 2010, 2011, il a été augmenté. 12,13,14, il a encore été augmenté. Ensuite, il y a eu une phase de plateau de 2015 à fin 2017. Avec une phase de plateau très élevée, quatre mille milliards, donc quatre fois le niveau d’avant la crise. Si vous regardez cela avec le recul d’aujourd’hui, vous pouvez voir que cette bulle était gigantesque. Il est clair pour nous qu’une bulle aussi importante ne peut être maintenue éternellement. À un moment donné, il faut la dégonfler ou elle va éclater. Et c’est exactement ce que la Réserve fédérale a essayé de faire à la fin de 2017. Elle a décidé de dégonfler lentement et délibérément cette bulle de manière continue. Vendre des actifs et ainsi dégonfler l’argent du système à nouveau. Et ça a bien marché pendant deux ans. De fin 2017 à fin 2019 — et là, nous allons zoomer — vous pouvez le voir à nouveau. Comment, continuellement, donc mois après mois, la banque centrale essaie de dégonfler la bulle. Et les marchés ont joué le jeu. Les investisseurs l’ont accepté.

Et en septembre 2019, quelque chose s’est produit. Je ne sais pas quoi, je ne peux pas vous le dire. Mais le fait est que la confiance dans ce marché financier, dans ce « marché repo » s’est effondrée en septembre 2019. Et cela a conduit la banque centrale à devoir changer totalement de cap. Ce qu’elle avait fait pendant deux ans, elle a dû l’inverser complètement. Il fallait recommencer à acheter. Cela a donc été un choc pour cette banque. Et vous pouvez voir, ce pic ici, n’a rien à voir du tout avec la Corona. Nous sommes en janvier 2020, et puis en mars, c’est la montée dans l’ombre de la Corona. Mais ce qui se passe ici, en octobre, novembre et décembre 2019, n’a rien à voir avec la crise de la Corona. Mais c’est le même mouvement qui s’est intensifié par la suite.

Si vous regardez ça maintenant… Oh non … D’abord, je voudrais vous montrer un rapport de janvier 2020, un rapport du 16 janvier, c’est-à-dire avant même que la Corona ne devienne le grand sujet médiatique. Le journaliste du Handelsblatt Norbert Häring a écrit un article sur cette augmentation. Et il y écrit :

« La FED a justifié son intervention — de manière peu convaincante — par une erreur de calcul temporaire de sa part (…). Il ne faut en aucun cas en conclure que les banques ne se font plus confiance. La prétendue erreur de calcul est apparemment assez persistante. Quatre mois plus tard, les prêts d’urgence (…) sont toujours disponibles en quantités illimitées, et il n’y a pas de fin en vue. 

La FED garde secrets les noms des bénéficiaires des prêts afin de ne pas les marquer d’une réputation d’indigence. (…) 

Peut-être que le boom des marchés financiers alimenté par les banques centrales est dans sa phase finale avant l’effondrement. »

Norbert Häring

Permettez-moi de replacer cela dans un contexte temporel plus large. J’ai choisi un graphique des actifs totaux de la Réserve fédérale remontant non pas à 10 ans, mais à 100 ans. C’est le nombre d’années d’existence de cette banque. (Min. 57.45 graphique) Voilà, c’est cette courbe.

C’est fait là où vous voyez dans quelle mesure la Réserve fédérale est impliquée dans l’économie américaine. Et nous voyons — nous sommes ici en 2008 — la crise financière. La dernière fois qu’une crise de cette ampleur s’est produite, c’était lors de la Grande Dépression de 1930. Les valeurs jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale ont été lentement réduites après la guerre mondiale. C’est le niveau, c’est la gravité que nous avons atteinte avec la crise financière de 2008 et aussi avec la crise qui a éclaté à nouveau en septembre 2019. C’est la dimension dans laquelle nous nous trouvons, sur le plan fiscal.

L’Event 201, l’ultime simulation basée sur les Relations Publiques

En octobre 2019, l’exercice suivant était  » l’événement 201 « . Voici l’endroit, l’hôtel où cet exercice a eu lieu. Nous voyons un hôtel chic de Manhattan, sur la 5e avenue. Et là-bas, c’est Central Park. Oui, et si vous descendez un peu la rue, à quelques rues d’ici, vous trouverez la tour Trump. C’est donc la rue la plus chère de Manhattan ici. Et cet hôtel a ouvert en 1930, en pleine crise économique, avec l’argent des grandes banques de Wall Street.

Et l’architecture de cet attique s’est inspirée de la chapelle de Versailles, la splendeur baroque de Louis XIV. C’est dans cette splendeur que les banquiers de Wall Street qui l’ont financé voulaient vivre. Ils se voyaient un peu à ce même niveau. Oui, l’hôtel est toujours là aujourd’hui. Et c’est là, à New York, qu’a eu lieu l’exercice « Event 201 », au cours duquel une pandémie de coronavirus a été répétée.

Laissez-moi vous dire qui est assis à cette table, afin que vous puissiez vous faire une idée des personnes qui répétaient : voici le modérateur du Center for Health Security (min 59:32), à côté de lui se trouve Christopher Elias. Nous l’avons vu tout à l’heure, il fait partie de la Fondation Bill Gates et a été conseiller du gouvernement fédéral, comme nous l’avons appris tout à l’heure. À sa droite, le directeur du Centre de contrôle des maladies. Ici, c’est le chef de l’agence chinoise de contrôle des maladies. Ils ont également participé à cet exercice. Et puis le vice-président de Johnson & Johnson, la plus grande société pharmaceutique du monde en termes de valeur marchande. Et elle, c’est l’ancienne vice-présidente de la CIA, elle était aussi dans ce panel. Et le monsieur en face est le président de l’agence de relations publiques Edelmann, la plus grande agence des relations publiques au monde.

Lors de cette conférence, lors de cet exercice, comme je l’ai dit, une pandémie de coronavirus a été jouée, également en termes de relations publiques.

Il est dit dans les documents relatifs à cet exercice que « les gouvernements devront travailler avec les sociétés des médias pour rechercher et développer des approches plus sophistiquées pour contrer la désinformation. Il va donc falloir développer la capacité d’inonder les médias d’informations rapides, précises et cohérentes. (…) Pour leur part, la presse devrait s’engager à faire en sorte que les messages officiels soient prioritaires et que les faux messages soient supprimés, y compris par le biais de la technologie. » Et c’est exactement ce qui se passe en ce moment même.

Voici une autre photo de cette conférence ; nous voyons l’organisatrice ici, il s’agit de la directrice du Centre pour la sécurité sanitaire, Anita Cicero. Elle est avocate. Elle a œuvré, avant de travailler pour cet institut, pour un grand cabinet d’avocats en tant que lobbyiste pharmaceutique. Elle avait trois cents avocats sous ses ordres et ses interlocuteurs comprenaient des membres de la Commission européenne, des hommes politiques du Sénat américain, auxquels elle a fait valoir les intérêts de l’industrie pharmaceutique avant de devenir ensuite vice-directrice de ce centre et d’aider à organiser des exercices comme celui-ci.

Ce que je trouve très intéressant, c’est la présentation en haut à gauche de l’image, où l’on voit comment cette crise, qui a été fictivement mise en scène, est illustrée. Vous pouvez donc voir ici un graphique, les numéros de cas, comment ils se développent. Vous pouvez voir quels pays sont touchés dans quelle mesure, vous pouvez voir comment les cours boursiers évoluent au même moment, combien de décès il y a, projeté sur les mois suivants.

M Schreyer montre l’infographie présentée lors de l’Event 201 et sa ressemblance avec celles qui nous accompagnent depuis plus d’une année.

Voir la transcription intégrale de la conférence sur le site de Liliane Held Khawam.(([2] https://lilianeheldkhawam.com/2021/04/18/une-serie-de-simulations-de-pandemie-a-precede-la-crise-du-covid-19-partie-1-paul-schreyer/)) (([3] https://lilianeheldkhawam.com/2021/04/21/une-pandemie-qui-survient-au-lendemain-du-crash-du-marche-des-repo-suite-et-fin-de-la-traduction-de-la-conference-de-paul-schreyer/))

À notre connaissance le premier à avoir dénoncé la crise sanitaire comme étant une manœuvre de la haute finance est un trader italien Andreas Cecchi.(([4] Version italienne et française de l’article original en partie flouté par la censure, repris par Nouveau Monde https://nouveau-monde.ca/le-bon-virus-au-bon-moment/))

Voici un court extrait de son article publié dès le 12 mai 2020 qui résume bien la situation :

« Le virus est vraiment arrivé au bon moment. S’il n’était pas arrivé, les taux d’intérêt auraient grimpé en flèche et le marché de la dette et le marché des produits dérivés (2,5 milliards de milliards — estimation BRI) auraient explosé en une supernova aux proportions bien pires que ce qui s’est passé (en 2008). Une crise pour laquelle il n’y a pas d’outil pour la gérer.

Arrêter l’économie et donc la demande de prêts et inonder les banques de liquidités nouvelles semblait être la solution la moins dommageable. Au moins pour eux. Le slogan “tout ira bien” qu’ils ont mis dans la bouche des zombies sans tête, a servi à réitérer que tout ira bien pour eux, pas pour nous, et que pour l’instant, l’effondrement monétaire n’aura pas lieu, car ils ont arrêté l’économie en jetant tout le monde. Nous restons immobiles, immobiles dans un coin, comme dans une prison planétaire. En sauvant les REPO, les Hedge Funds et donc les fonds de pension ont également été sauvés. Pour l’instant, les retraités peuvent se reposer tranquillement. Leur pension est assurée. »


À ces manœuvres, s’ajoutent de multiples projets préparés de longue date, comme on le comprend facilement en lisant :
l’Agenda 2030 de l’ONU,(([5] Voir sur https://www.lilianeheldkhawam.com))
la déclaration de la Banque Européenne(([6] https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/covid-19-une-annulation-de-la-dette-est-inenvisageable-affirme-christine-lagarde-CNT000001wZxp0.html))
ou celle de Klaus Schwab, Président fondateur du Forum Économique Mondial(([7] https://nouveau-monde.ca/dici-2030-nous-naurons-rien-et-nous-en-serons-heureux/ Ce qui se résume ainsi : pour le remboursement des dettes créer par votre gouvernement nous saisirons tous vos biens.)) 
qui convergent tous vers la prise de pouvoir qu’ils voudraient planétaire par la caste des fascistes.

La France est bloquée et privée de liberté depuis plus d’un an alors que Plus de 90 % des décès du Covid-19 surviennent chez les plus de 65 ans (lefigaro.fr)Il n’y a vraiment que les naïfs pour croire que derrière tout ceci il n’y a pas d’intentions cachées.

L’instrumentalisation de l’épidémie de Covid 19 rappelle les heures les plus sombres de l’histoire, avec la propagande nazie qui a fait d’une nation cultivée la victime d’un des plus grands criminels de l’histoire. Mais avec ce qui se passe actuellement en France et dans de nombreux pays, à l’exception notoire de la Fédération de Russie et de la République Populaire de Chine,(([8] La Chine et la Russie lancent une « économie mondiale de la résistance ». — Nouveau Monde  États qui ne sont plus confinés et qui ont repris leur marche en avant.)) nous avons franchi un pas de plus dans l’abjection :
l’Union Européenne, les gouvernements et les chefs d’État qui trahissent leur propre population.

Pour couronner  le tout, la dernière de Macron, l’entrepreneur de démolition :

« Nous devons déconstruire notre propre histoire. »

(([9] https://www.nice-provence.info/2021/04/22/chronique-decomposition-francaise-le-retour-des-barbares/))


La devise de la République française est Liberté — Égalité  Fraternité,
pour être parfaite elle devrait être, Équité Liberté Objectivité,
car cela donne :

Équité + Liberté + Objectivité = Fraternité.

Le peuple souverain transmet son pouvoir à son Président pour le guider.

Certes Nicolas Sarkozy et François Hollande étaient des partisans du nouvel ordre mondial comme l’indiquent certaines de leurs déclarations… , mais dans les faits, le seul président qui a osé — dans le pays qui a proclamé le premier les Droits de l’homme — ouvertement briser le Pacte Républicain, est le dénommé Macron. Aussi il ne faudra pas qu’il s’étonne le jour où il en paiera le prix cash !!!!!


Notes




Ils osent tout… C’est même à ça qu’on les reconnaît !!!

Par Jean

Second communiqué des Gilets Jaunes de la Victoire(([1] Premier communiqué :
http://www.profession-gendarme.com/les-peuples-et-les-etats-pietines-les-complotistes-ne-se-cachent-meme-plus/))

[Illustration : De haut en bas et de gauche à droite quelques participants du complot avec le badge de l’Agenda 2030 de l’ONU :
►Enrico Giovannini, Ministre de l’Infrastructure, Italie.
►Boris Johnson, Premier ministre du Royaume-Uni.
►Tédros Addhamon Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
►Bill Gates, Fondation Bill et Mélinda Gates.
►Emmanuel Macron, Président de la République française.
Merci à Maurizio Blondet, https://www.maurizioblondet.it]

Les comploteurs et leurs maîtres ont lancé à l’automne 2019 leur attaque qu’ils veulent définitive contre les Peuples et les Etats pour nous dissoudre dans la mondialisation. Les spadassins que l’on voit s’agiter sur les plateaux TV et dans la presse, ne sont que les mercenaires d’une caste composée de financiers et de milliardaires qui veulent nous contrôler et nous asservir. Leurs armes sont, les pouvoirs qu’ils détiennent, la peur du virus, et la vaccination. Ils sont dans l’obligation absolue de poursuivre leur plan sous peine de perdre la face. Pour cela, ils doivent, coûte que coûte, « ad infinitum » continuer à mettre la pression sur la population avec ce virus qui n’est qu’un prétexte amplifié par des médias subventionnés et des journalistes, dont la plupart sont au-dessous de tout. Toute cette clique entretient depuis plus d’un an la terreur sanitaire, le plus souvent avec des mensonges, des omissions, et des manipulations les plus grossières(([2] Le seuil épidémique a été modifié en juillet 2020 par les autorités sanitaires françaises sans que la population en soit avertie. (FranceSoir) Une preuve irréfutable d’une manipulation à grande échelle.)). Le confinement perpétuel est indispensable à ceux qui tirent les ficelles, c’est pour cela qu’ils vont prolonger l’état d’urgence et serrer de plus en plus la vis. Notamment pour bloquer les instances judiciaires afin d’éviter une cascade de procès qui risque de leur être fatal(([3] https://nouveau-monde.ca/la-bataille-judiciaire-bat-son-plein-refere-contre-les-confinements-et-couvre-feux/)), ou, par exemple, quand ceci va être déposé dans un tribunal international honnête(([4] https://nouveau-monde.ca/maitre-carlo-brusa-devoile-toute-la-supercherie-du-covid/)).

Selon eux il n’existe qu’une seule solution pour nous sortir de la crise covidienne, la « vaccination(([5] https://nouveau-monde.ca/oui-les-vaccins-sont-experimentaux-contrairement-a-ce-que-lafp-et-j-mansour-affirment-dans-leur-fast-check/)) (([6] https://www.cielvoile.fr/2021/03/l-ancien-vice-president-de-pfizer-a-l-aflds-il-est-tout-a-fait-possible-que-cela-soit-utilise-pour-une-depopulation-a-grande-echelle)) (([7] https://www.nexus.fr/actualite/billet-dhumeur/finalite-vaccination-guillemant/?fbclid=IwAR3n_IBxCm1Ah_LrRIyfHR8SEm3V9i6LUP5UMnB4alws3ts80YgQYRKQEEs#.YBHxv9OnByY.facebook)) (([8] https://nouveau-monde.ca/il-denonce-la-fausse-pandemie-orchestree-par-bill-gates/)), alors qu’il est maintenant abondamment prouvé qu’il existe des traitements très efficaces et à bas coûts. Par exemple : l’ivermectine(([9] https://planetes360.fr/dr-tess-lawrie-avis-aux-populations-du-monde-entier-livermectine-fonctionne/)) et le protocole Raoult avec son hydroxychloroquine qui a fait ses preuves notamment en Afrique. Mais ces solutions ne sont pas leur solution, vous comprenez ? Eux, ce qu’ils cherchent à tout prix avec l’alibi de la « vaccination », c’est d’injecter dans votre corps des composants qui n’ont rien à y faire.

Ce qui est le plus clair et le plus manifeste dans cette kabbale c’est que le dialogue n’existe plus depuis longtemps, seul subsiste les décisions autoritaires prises unilatéralement par un pouvoir qui est maintenant devenu ainsi, peu à peu, une dictature totalitaire. Ce pouvoir cherche à régenter entièrement nos vies. Ses décisions nous sont quasiment imposées par un pilonnage médiatique incessant. Malheur à ceux qui écoutent toute la journée BFMTV, dont son directeur Marc-Olivier Fogiel a osé dire « Dès qu’on a entendu ce que racontaient les rassuristes, on a fait en sorte de ne jamais plus les inviter. Nous sommes très vigilants sur cette crise pour éviter les fake news. »

Voyons un peu ce que ce sordide personnage considère comme étant une fake news, une seule info suffira : https://nouveau-monde.ca/fr/30-000-medecins-francais-sorganisent-reclamant-le-retour-a-la-normale-2e-conference-du-collectif-coordination-sante-libre-suite-de-lappel-du-9-janvier-2021/

Une paille, ce qui fait une moyenne de plus de 300 médecins par département !!!!! Fogiel n’est assurément pas un démocrate, toute cette engeance est du même tonneau.

Ceux d’entre nous qui ne se sont pas encore rendu compte que la quasi-totalité des informations objectives et vraiment nécessaires sont en fait censurés, devraient commencer dès maintenant à sérieusement réfléchir

Peter de Berlin : Quelque chose se passe sous nos yeux, mais nous ne le voyons pas ! — PLANETES360

Le confinement dans la caverne, une méthode qui a fait déjà fait ses preuves dans le passé pour préparer et faire démarrer les pires guerres qu’a connu l’humanité.

Dans le plan initial, Klaus Schwab le président fondateur du Forum de Davos (Forum Économique Mondial), misant sur un virus nettement plus violent et mortel, avait prévu un lockstep total sur l’ensemble de la planète. C’est-à-dire plus personne dans les rues. Tous les pays devaient être confinés et rester confinés en permanence, avec masques comme une muselière à perpétuité pour les gueux. Ceci est confirmé par le sinistre polonais de la santé(([10] https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/04/09/comme-attali-et-schwab-le-ministre-polonais-de-la-sante-promet-des-decennies-de-tyrannie-sanitaire/)) qui ne doute de rien. Heureusement pour nous, le virus à fait pschitt… et maintenant ils se retrouvent fort démunis, puisqu’entre autres, la Chine, depuis septembre 2020(([11] http://www.amb-chine.fr/fra/zgzfg/t1817634.htm , 22 septembre 2020, Conférence de presse de Lu Shaye, Ambassadeur de Chine en France.)), la Russie, la Turquie, plusieurs états américains … ont levé les restrictions sanitaires et ont donc remis en route leur économie. Vladimir Poutine leur faisant, en prime, l’affront de botter le cul du président Schwab en plein Forum virtuel du Davos 2021(([12] https://nouveau-monde.ca/discours-de-vladimir-poutine-au-forum-de-davos-2021-lhomme-ne-doit-pas-etre-un-moyen-mais-un-but-de-leconomie/)), une info, comme beaucoup d’autres, que l’on se garde bien de vous transmettre, et une déculottée cuisante qui les a certainement mis en fureur.

Ne pouvant plus faire marche arrière, malgré que le bateau fuit de toute part, ils continuent obstinément leur sinistre plan comme les créatures pitoyables qu’ils sont, mais d’une manière ou d’une autre ils sont faits comme des rats… ce n’est qu’une question de temps.


La suppression envisagée de l’ENA (École Nationale d’Administration) est un signe fort qui doit montrer clairement aux aveugles que Macron a bien choisi de trahir son pays et sa population pour donner le plein pouvoir sur nos vies et celles de nos enfants au cartel du Nouvel Ordre Mondial.


Ne vivez plus dans la peur, ne soyez plus des êtres passifs, réagissez, venez respirez l’air du large…(([13] TEASER – Vers un Grand Reset national anti-Davos ? — Avec Valérie Bugault))
La peur va changer de camps, bientôt nous les submergerons.


Notes




Un pas de plus au Canada vers l’achèvement du Nouvel Ordre Mondial — Projet de loi C-273 : Le revenu de base universel, ou l’amorce de la Grande Réinitialisation vers le crédit social et le communisme international

[Source et auteur : Guy Boulianne]

Projet de loi C-273 : Le revenu de base universel, ou l’amorce de la Grande Réinitialisation vers le crédit social et le communisme international

Tel qu’annoncé par le consultant Jean-Claude Larochelle, le 22 février 2021, la députée Julie Dzerowicz a présenté le Projet de loi C-273, le tout premier projet de loi canadien visant à instaurer un revenu de base national garanti.(([1] Jean-Claude Larochelle : « Projet de loi C-273, le tout premier projet de loi canadien pour un revenu de base universel ». Bourse technique, 7 mars 2021.)) Comme il est expliqué sur la plateforme UBI Works, c’est la première étape pour le gouvernement canadien afin de créer un revenu de base national en répondant à des questions importantes sur la meilleure façon de le mettre en place et de l’appliquer partout au Canada.

Le Projet de loi C-273 prévoit que la ministre des Finances Chrystia Freeland crée une stratégie nationale pour un revenu de base garanti, en incluant des partenariats potentiels avec les provinces, afin de déterminer la meilleure façon de structurer et de mettre en œuvre un revenu de base. Le projet de loi prévoit de soutenir des recherches spécifiques sur le revenu de base afin de déterminer comment il affecterait l’efficacité du gouvernement, comment il pourrait encourager l’esprit d’entreprise, la création d’emplois et les initiatives civiques dans une nouvelle économie, et comment il impacterait les Canadiens et nos communautés. Le projet de loi prévoit également un ensemble de normes nationales pour guider la conception et la mise en œuvre du revenu de base à travers le Canada.(([2] Chambre des communes du Canada : « Projet de loi C-273 – Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti ». Deuxième session, quarante-troisième législature, 69-70 Elizabeth II, 2020-2021. Première lecture le 22 février 2021. [PDF]))

Julie Dzerowicz s’exprime ainsi dans un communiqué de presse en date du 23 février :

« Le monde du travail est en constante évolution, nombre d’entre eux passant à l’économie des petits boulots de contrats temporaires et à court terme; et d’autres étant touchés par l’effet de l’automatisation et de l’Intelligence Artificielle. Il est important pour notre système de protection sociale de mieux refléter les besoins des Canadiens d’aujourd’hui et de demain et d’être beaucoup plus flexible dans la gestion des changements, des interruptions et des transitions de main-d’œuvre. (…) Alors que le Canada traverse cette pandémie, il planifie le post-COVID avec l’intention de dépenser 70 à 100 milliards de dollars sur trois ans pour relancer l’économie canadienne. C’est le moment idéal pour résoudre les problèmes structurels, tester des idées novatrices et mieux reconstruire nos fondements économiques et sociaux. »

(([3] Jessie Cooke : « La députée Julie Dzerowicz présente le projet de loi d’initiative parlementaire C-273 – Loi instituant une stratégie pour un revenu de base garanti ». Bureau de la députée Julie Dzerowicz, Toronto, 23 février 2021. Courriel: julie.dzerowicz.a2@parl.gc.ca | Tél.: 416-525-1949.))

Le terme revenu de base garanti est parfois utilisé de manière interchangeable avec un revenu vital garanti ou un revenu annuel garanti pour désigner un programme d’assistance sociale conçu pour aider les plus bas revenus de la société à vivre au-dessus du seuil de pauvreté en s’assurant qu’ils ont suffisamment d’argent pour subvenir aux besoins de base de la vie comme la nourriture, les vêtements et le logement. Le revenu de base universel est un autre terme utilisé par ses défenseurs. Ce terme est synonyme de « démogrant », qui englobe un modèle où tout le monde est éligible à un chèque.

La députée libérale Annie Koutrakis a déclaré que s’il y avait quelque chose à apprendre de la pandémie COVID-19, c’est qu’il fallait un programme de revenu de base.(([4] Zi-Ann Lum : « Liberal MP Says Some Cabinet Ministers ‘Very Supportive’ Of Basic Income ». HuffPost, February 25, 2021.))

Le revenu de base est une idée utopique qui remonte à 500 ans et qui a toujours été promue par des Socialistes et des Fabiens de la première heure tels que Charles FourierJohn Stuart MillBertrand RussellGeorge D.H. ColeJames MeadeJames Tobin et John Kenneth Galbraith. Elle est fondée sur l’idée que donner de l’argent à ceux qui vivent dans la pauvreté serait un moyen plus efficace de prévenir le crime qu’en punissant des individus. Floyd Marinescu est le fondateur de UBI Works, un groupe à but non lucratif qui préconise le soutien d’un revenu de base universel. Rejoignant la conférence de presse de Dzerowicz, il a déclaré : 

« Chaque crise est une tendance accélérée. Et ce que COVID nous a montré, en accéléré, aurait pu prendre de cinq à dix ans en termes d’impacts des progrès technologiques sur le marché du travail — ce qui profite à certains, mais en nuit à beaucoup d’autres. »



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L’auteur de la chaîne Grand Angle, Richard Détente, écrit : 

« Le déclin des pays de l’Occident​ n’est plus à démontrer. Les États-Unis​ et l’Europe​ sont des économies appauvries dont les systèmes politiques sont régulièrement mis à mal par les élans démocratiques des peuples. Les élites d’en haut sont en recherche active de nouvelles stratégies destinées à ré-établir une vision progressiste et solide digne de concurrencer la Chine. » 

(([5] Richard Détente : « Great Reset & Théorie monétaire moderne | Moins de liberté contre un revenu universel ? ». Grand Angle, Youtube, 7 décembre 2020.))

Le soutien au revenu de base a pris un nouvel élan pendant la pandémie avec le déploiement par le gouvernement fédéral de l’Allocation canadienne d’intervention d’urgence (CERB) de 2000 $ par mois comme moyen de fournir de l’argent aux Canadiens dont les moyens de subsistance ont soudainement été touchés par le COVID-19. Ce programme, qui a été exécuté à la fois par l’Agence du revenu du Canada et le système d’assurance-emploi, a versé 81,6 milliards de dollars à 8,9 millions de personnes entre le 15 mars et le 3 octobre, selon les données gouvernementales.

Liliane Held-Khawam écrivait le 3 septembre 2019 sur son site internet : 

« Les néolibéraux d’hier et d’aujourd’hui prônent d’une seule et même voix le revenu universel. Après les taux négatifs confiscatoires, il s’agit donc d’une nouvelle étape du concept néolibéral. Probablement l’ultime avant le reset global. Avant de vous réjouir trop de cette supposée manne, dites-vous bien que quelqu’un va payer cette masse financière. Il s’agira très certainement de nouveaux gages que votre gouvernement et/ou des dirigeants de votre collectivité territoriale vont offrir contre cette création monétaire. A moins qu’il ne s’agisse tout bêtement de la redistribution de votre épargne (y compris assurances-vie, retraites, etc.). Dans tous les cas, la Dépossession entre dans sa dernière phase. »

(([6] Liliane Held-Khawam : « Revenu universel, dernière phase avant le reset global ? Vincent Held ». Publié le 3 septembre 2019.))

L’auteure et économiste écrivait plus récemment :

« A l’heure actuelle, il est question d’un passeport vaccinal. Or, plus je me documente sur le sujet, et plus je repense au Programme de Développement Durable de l’ONU pour 2030. J’avais présenté celui-ci dans Coup d’Etat planétaire en tant que nouvelle Constitution planétaire d’un territoire, de frontières et d’une économie atomisés et captés par la haute finance internationale. »

« Ce document officiel est très intéressant et très important car il relègue à l’arrière-plan le passeport national. Pourtant quelque chose de plus est en train de se passer. Les nouveaux documents “officiels” émis par des corporations globalisées signifient la fin des libertés individuelles au profit de l’humain en cours de normalisation et d’uniformisation. Le Green pass n’est rien d’autres que la marche vers la définition de normes standardisées et universelles auxquelles le transhumain idéal devra répondre. La digitalisation fait que l’évaluation permanente (crédit social) sera facilitée d’autant grâce à une connectivité permanente sur fond d’hygiénisme surfait. Les résultats qu’elle indiquera lui permettra de recevoir sa pitance. Zéro carbone bien sûr. »

« Le Green Pass est le sésame qui fait entrer le terrien dans le monde de l’Agenda 2030, un monde atomisé et complexe, incompréhensible au terrien normal. Ce passeport le reliera au Green New Deal de la haute finance, dont l’Agenda 2030 est l’aboutissement d’un long processus démarré avec le président Roosevelt et la fondation de la structure supranationale, enfant de Bretton Woods. »

(([7] Liliane Held-Khawam : « Un passeport vert pour un Etat mondial numérisé ». Publié le 5 mars 2021.))

La dernière lubie des ultra-riches, réunis à Davos, est le “Great Reset”, la « grande réinitialisation ». Derrière les démonstrations d’amitié habituelles, c’est un programme mondial pour surveiller et contrôler le monde grâce à la surveillance numérique. Klaus Schwab a annoncé le Great Reset en juin 2020. Selon le journaliste William Kergroach, cela consistera à nous dépouiller de tous nos actifs privés. Le Great Reset propose une identification électronique liée à votre compte bancaire et à vos dossiers de santé, qui finira, tout simplement, par vous dicter votre vie. Mais ils préfèrent nous dire qu’il faut se débarrasser du capitalisme et de la libre entreprise. Il faut les remplacer par du « développement durable » et du « capitalisme des parties prenantes », où l’entreprise se concentre sur la satisfaction des besoins de ses employés autant que de ses clients.

« La réinitialisation affectera tout, du gouvernement, de l’énergie et des finances à l’alimentation, à la médecine, à l’immobilier, à la police, et même aux interactions entre individus. La protection de la vie privée, bien sûr, est un obstacle majeur dans ce plan. C’est pourquoi ils font tout pour nous amener à renoncer à notre vie privée. Le transhumanisme, qui nous “améliorera” avec des machines, permettra également d’orienter nos pensées. Les mondialistes ont déclenché la pandémie covid-19 pour passer outre les oppositions et nous imposer ces réformes. » 

(([8] William Kergroach : « Leur “Great Reset”, c’est quoi ? ». Riposte Laïque, 16 décembre 2020.))

La dissidence est impensable et la soumission à ce système sera obligatoire. Les Chinois expérimentent déjà ce système. On punit, là-bas, un “mauvais” citoyen en bloquant ses accès à certains endroits ou en bloquant son compte bancaire. Dans un article daté du 12 décembre 2020, William Kergroach va jusqu’à écrire : 

« Plutôt que de mettre en place un revenu minimum garanti pour des masses désœuvrées, les élites mondialistes ont décidé de faire diminuer la population mondiale. La covid n’est que le début d’une guerre bactériologique engagée contre l’humanité. On s’attaque aujourd’hui aux plus âgés, demain, on attaquera dans la masse. Pourquoi ? Parce que les ressources de la planète diminuent, parce que l’on aura de moins en moins de travail à donner aux masses, parce que cela coûte cher et que l’alternative consisterait à ce que les plus riches partagent leurs richesses. »

(([9] William Kergroach : « L’avenir est au chômage mondial, sauf si on diminue la population… ». Riposte Laïque, 12 décembre 2020.))

J’espère que le lecteur aura compris que le coup d’état mondial perpétré par les élites mondialistes et leurs larbins, c’est-à-dire les politiciens fantoches, a été réglé comme une horloge et qu’il est exécuté avec la précision d’un orfèvre. La stratégie consiste en quelques étapes : déclencher une guerre bactériologique sans fin; restreindre les allées et venues de la population; retirer l’identité et faire taire chaque individu; provoquer la fermeture et la faillite des petites et moyennes entreprises; ruiner les gens et les soumettre à quémander leur pain; éliminer une partie de la population par le biais d’une opération eugénique; inoculer dans chaque individu des particules nano-technologiques par le biais de la vaccination obligatoire; déployer les technologies de la 5G, de la robotique, de la surveillance électronique et de l’intelligence artificielle; imposer un carnet de vaccination sans lequel nul ne pourra acheter, ni vendre, ni se déplacer; emprisonner les dissidents et les récalcitrants dans des camps conçus à cet effet; offrir un revenu de base universel aux citoyens dociles selon un schéma « méritocratique ».

L’une des dernières étapes consistera à instaurer le système de « crédit social » tel qu’il existe déjà en Chine et qui enfermera les individus dans une matrice numérique dont ils ne pourront pas s’échapper, ce qui conduira infailliblement l’humanité toute entière à son asservissement total.


Projet de loi C-273 — Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti

SOMMAIRE

Le texte prévoit l’obligation pour le ministre des Finances d’établir une stratégie nationale visant à évaluer des modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans le cadre de la stratégie du Canada en matière d’innovation et de croissance économique. Il prévoit aussi l’obligation de faire rapport relativement à cette stratégie.

2e session, 43e législature,
69-70 Elizabeth II, 2020-2021

CHAMBRE DES COMMUNES DU CANADA

PROJET DE LOI C-273

Loi concernant l’établissement d’une stratégie nationale sur le revenu de base garanti

Préambule

Attendu :

que tous les Canadiens ont le droit de voir leurs besoins essentiels satisfaits, de participer pleinement à la société et de vivre dans la dignité, quel que soit leur statut d’emploi;

que le gouvernement du Canada s’est engagé à promouvoir ces droits, notamment en réduisant les inégalités de revenu et autres disparités dans les collectivités partout au pays;

que le gouvernement du Canada s’est engagé à appuyer la main-d’œuvre du 21e siècle grâce à des structures de prestation de programmes et de services qui répondent mieux aux perturbations touchant la main-d’œuvre, ainsi qu’à un système d’aide sociale souple et adaptable;

que le gouvernement du Canada est déterminé à veiller à ce que le système d’aide sociale réponde aux besoins actuels et futurs des Canadiens et à rééquilibrer ses structures de prestation de programmes et de services afin d’optimiser la capacité des Canadiens à innover;

qu’un programme de revenu de base garanti pourrait accroître la capacité de croissance de l’économie et améliorer sa productivité;

qu’un programme de revenu de base garanti pourrait permettre à de nombreux Canadiens d’échapper à la pauvreté et leur offrirait la stabilité dont ils ont besoin pour accéder à des programmes d’études, obtenir des occasions d’emploi et réaliser leur plein potentiel,

Sa Majesté, sur l’avis et avec le consentement du Sénat et de la Chambre des communes du Canada, édicte :

Titre abrégé

Titre abrégé

1 Loi sur la stratégie nationale sur le revenu de base garanti.

Définition

Définition de ministre

2 Dans la présente loi, ministre s’entend du ministre des Finances.

Stratégie nationale

Établissement de la stratégie

3 (1) Le ministre établit une stratégie nationale visant à évaluer des modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti au Canada.

Consultation

(2) Pour établir la stratégie, le ministre consulte le ministre de l’Emploi et du Développement social, le ministre de l’Industrie, les représentants des gouvernements provinciaux responsables de l’emploi et du développement social, les chefs des collectivités et des gouvernements autochtones, les représentants des administrations municipales, des experts en matière de projets pilotes sur le revenu de base garanti, des universitaires et des intervenants clés, y compris des représentants d’organisations qui œuvrent dans les domaines du travail et de l’emploi et de l’entrepreneuriat et de l’innovation.

Contenu

(3) La stratégie comprend des mesures visant :

a) à lancer un projet pilote dans une ou plusieurs provinces afin de mettre à l’essai divers modèles de mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti;

b) à créer un cadre de normes nationales pour guider la mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans toute province;

c) à appuyer les programmes de recherche qui généreront des données pour guider la conception et la mise en œuvre d’un programme de revenu de base garanti dans chaque province, notamment par voie de collaboration avec des organisations et des institutions internationales qui possèdent de l’expérience en la matière;

d) à recueillir et à analyser des données afin d’évaluer, pour chaque modèle mis à l’essai, les éléments suivants :

(i) l’effet sur l’administration publique, notamment en ce qui concerne l’efficacité, la souplesse, le coût, la pérennité et la capacité d’adaptation des modèles de prestation de programmes et de services, de même que le potentiel d’un programme de revenu de base garanti pour ce qui est de réduire la complexité des programmes sociaux existants ou de les remplacer, de faire reculer la pauvreté et de soutenir la croissance économique,

(ii) l’effet sur les bénéficiaires et leur famille, notamment en ce qui concerne leur qualité de vie, leur santé physique et mentale, leur recours aux services de santé, de même qu’en ce qui concerne la stabilité du logement, le niveau de vie, l’alimentation, l’épargne, l’éducation, les relations sociales et la participation au marché du travail,

(iii) les bienfaits, directs ou indirects, pour le milieu de vie des bénéficiaires, notamment en ce qui concerne l’entrepreneuriat, la création d’emplois et l’action citoyenne;

e) à développer des paramètres permettant de mesurer les effets et bienfaits mentionnés aux sous-alinéas d)‍(i) à (iii).

Accords fédéro-provinciaux

4 Avec l’agrément du gouverneur en conseil, le ministre peut conclure avec le gouvernement d’une province un accord sur la collecte, l’analyse et l’échange de données dans le but de déterminer la meilleure manière de structurer et de mettre en œuvre un programme de revenu de base garanti dans la province.

Rapports au Parlement

Dépôt de la stratégie nationale

5 (1) Dans les deux ans suivant l’entrée en vigueur de la présente loi, le ministre établit un rapport énonçant la stratégie nationale et le fait déposer devant chaque chambre du Parlement dans les quinze premiers jours de séance de celle-ci suivant l’achèvement du rapport.

Publication

(2) Le ministre publie le rapport sur le site Web du ministère des Finances dans les dix jours suivant la date de son dépôt devant les deux chambres du Parlement.

Rapport

6 Dans les deux ans suivant la date du dépôt du rapport visé à l’article 5 devant les deux chambres du Parlement, le ministre établit, en consultation avec les parties mentionnées au paragraphe 3(2), un rapport faisant état des résultats de la mise en œuvre de la stratégie nationale dans chaque province et énonçant ses conclusions et recommandations, et le fait déposer devant chaque chambre du Parlement dans les quinze premiers jours de séance de celle-ci suivant l’achèvement du rapport.



RÉFÉRENCES :



De la démocratie pervertie à la guerre hybride contre les peuples

Par Alain Nicolaï, Le Livre des Sept Sceaux (Le Retour à l’Évidence)

« Celui qui ne fait pas la différence entre le bien et me mal n’est pas un homme. »

Proverbe touareg, Mali — Niger (Guide de la sagesse africaine, Liliane Prevost et Barnabé Laye, L’Harmattan, Paris/Toronto, 1999, page 180).

Première séquence : la métaphysique

Remarque : Vous avez peur de ne pas comprendre, rassurez-vous, vous allez vite comprendre.

Métaphysique, étymologie (XIIIe siècle) : mot savant emprunté au latin scolastique metaphysica, tiré des premiers mots du traité de métaphysique d’Aristote, méta ta phusika « après les choses de la nature », qui fait suite à son traité sur la nature. Le sens de « réflexion philosophique qui va au-delà de la nature et qui cherche à rendre compte par une théorie générale des principes fondamentaux de l’être » apparaît dès l’origine [source : Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Baumgartner et Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 495].

Métaphysique : analyse systématique de la réalité afin de connaître sa nature profonde. Sa méthode est basée sur l’algèbre de Boole :

0 — 1 = Fermé — Ouvert = Non — Oui = Faux — Vrai = Mauvais — Bon

L’algèbre de Boole est la base de la logique combinatoire et de la logique séquentielle. Elle est la base ses systèmes informatisés.

Métaphysique : son point de départ et d’arrivée est la connaissance absolue par la mise sous les yeux des lecteurs des choses significatives, des faits significatifs

La seule métaphysique valable est donc celle qui apporte des preuves irréfutables qui peuvent être vérifiées par tous les sujets de ce monde. Elle met sous les yeux du public ce que tout un chacun doit savoir. Elle explique la réalité et dévoile ce qui est caché, mais elle prend en compte la réflexion de Ludwig Wittgenstein : « Ce dont on ne peut parler, il faut le taire. » (Tractacus logico-philosophicus, Ludwig Wittgenstein Tel Gallimard, Paris, 1961, page 107).

Deuxième séquence : la démocratie

Remarque : N’oubliez jamais que le citoyen détient un énorme pouvoir qu’il faut savoir utiliser à bon escient.

Démocratie, étymologie (XIVe siècle), du grec démokratia « gouvernement exercé par le peuple » [Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 230].

Troisième séquence : la république

Remarque : Au point de vue de la société, avec la paix, la république est un de nos biens le plus précieux.

République, étymologie (XVIe siècle), emprunté au latin res publica « la chose publique, l’État, l’administration de l’État », est d’abord employée au sens de « État, communauté, société organisée » puis se spécialise à partir du XVII s au sens de « État dont la forme de gouvernement est fondée sur la souveraineté des citoyens. [Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 682].

Il en découle impérativement que le Président d’une véritable République doit être au service de ses concitoyens.

La devise de la République française « Liberté — Égalité — Fraternité » a pour origine la Révolution française. Elle donne le modèle de ce qu’est une véritable république dans l’absolu. Cette devise a été reprise sous diverses formes à travers le monde.

Il est bien évident que pour l’humanité son approche ne peut-être que relative.

À ce jour, toutes les républiques se rapprochent plus ou moins de cet idéal, mais malheureusement nombreuses sont les républiques bananières, celles-ci ne sont que des leurres pour les gogos.

Quatrième séquence : le court-circuitage 

Au niveau mondial et des continents, depuis de nombreuses décennies un important réseau d’instances internationales c’est mis en place : ONU, OMS (qui dépend de l’ONU), OMC, FMI, OTAN, Parlement européen…

Au niveau national, les citoyens élisent leurs représentants. En France en plus des municipales et des régionales, ils votent pour le choix des députés et des députés européens. En votant pour leur candidat, les citoyens pensent que celui-ci sera le meilleur des postulants pour défendre ses intérêts et/ou les intérêts de la collectivité. Le citoyen souhaite donc que son député ait la volonté, l’honnêteté et la capacité de le représenter justement.

Tant au niveau mondial et des continents, qu’au niveau national, toutes ces institutions fonctionnent, on veut bien le croire, démocratiquement, c’est-à-dire dans le sens exclusif du principe : la majorité décide des actions à mener.

Cinquième séquence : la démocratie utilisée comme arme contre les peuples

Un seul exemple parmi une multitude : Parlement européen, le vote du 27 novembre 2014

Ce funeste jour, le Parlement européen a massivement rejeté une motion de censure contre la nouvelle Commission présidée par Jean-Claude Juncker, déposée après les révélations sur le scandale d’évasion fiscale LuxLeaks. La motion, présentée par le groupe EFDD (Europe de la liberté et de la démocratie directe) du leader de l’Ukip britannique Nigel Farage, soutenue par le groupe de la Gauche unitaire européenne — Gauche verte nordique (GUE), a recueilli 101 voix, contre 461 et 88 abstentions.

EFDD (Europe de la liberté et de la démocratie directe) avait lancé la première riposte politique après des révélations fracassantes sur le vaste système d’évasion fiscale au Luxembourg, au profit des multinationales, mis en place sous l’autorité du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, lorsque ce dernier était Premier ministre du Grand-Duché de 1995 à 2013. C’était un système d’accords fiscaux « anticipés », négociés (tax rulings) avec plus de 2300 multinationales. Ces avantages scandaleux faits à l’insu de tous et lésant l’ensemble des contribuables européens avaient permis pendant toutes ces années une évasion fiscale colossale.

En clair, en votant contre, l’écrasante majorité des élus du peuple siégeant au Parlement européen a soutenu Jean-Claude Juncker. Les députés européens lui ont donné leur bénédiction.

Lors de ce vote, les citoyens ont été ignorés et bafoués, eux, à qui l’Europe demandait depuis des années, comme aux états, de se serrer la ceinture. Le Parlement européen a ainsi permis à Juncker de poursuivre tranquillement son mandat, comme si de rien n’était.

https://www.europarl.europa.eu/news/fr/press-room/20141121IPR79864/la-motion-de-censure-contre-la-commission-rejetee-par-une-large-majorite

Mais ce n’est pas tout, cet énorme scandale qui aurait du faire pendant longtemps les unes de la presse, et provoquer une révolution, a été étouffé par les médias dominants et par l’essentiel de la classe politique.

Encore une information cachée qui montre bien qu’ils se foutent de vous :

http://www.profession-gendarme.com/lunion-europeenne-sest-couchee-devant-les-labos-pharmaceutiques-whaouuuu-quelle-video/

combien d’autres ?

Sixième séquence : la guerre hybride contre les peuples

Les faits par Olivier Piacentini, diplômé de l’Institut d’Études Politiques de Paris section économie et finances :

https://nouveau-monde.ca/fr/strategie-financiere-et-great-reset/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/strategie-financiere-et-great-reset/

Les faits par Philippe Herlin, Docteur en économie du Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) :

https://nouveau-monde.ca/fr/grand-reset-on-assiste-a-un-transfert-de-richesses-qui-est-voulu-par-ceux-qui-nous-dirigent/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/grand-reset-on-assiste-a-un-transfert-de-richesses-qui-est-voulu-par-ceux-qui-nous-dirigent/

Les faits par Grégory Mannarino, Trader :

https://nouveau-monde.ca/fr/gregory-mannarino-le-virus-est-un-leurre-les-banques-centrales-veulent-tout-posseder-la-classe-moyenne-est-laminee-nous-vivons-dans-lillusion-reveillez-vous/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/gregory-mannarino-le-virus-est-un-leurre-les-banques-centrales-veulent-tout-posseder-la-classe-moyenne-est-laminee-nous-vivons-dans-lillusion-reveillez-vous/

L’analyse de l’ouvrage The Great Reset du président du Forum de Davos par des journalistes du Guardian :

https://off-guardian.org/2020/10/12/klaus-schwab-his-great-fascist-reset=
Version française :
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme

L’analyse de l’Agenda 2030 des Nations Unies, version intégrale non expurgée par Liliane Held Khawam  :

Vaccination :

https://nouveau-monde.ca/fr/la-vaccination-mondiale-le-veritable-objectif-de-loperation-covid-19/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/la-vaccination-mondiale-le-veritable-objectif-de-loperation-covid-19/

https://nouveau-monde.ca/fr/comprendre-les-specificites-de-la-vaccination-anti-covid19/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/comprendre-les-specificites-de-la-vaccination-anti-covid19/

Septième séquence : censure, désinformation, manipulation, terreur sanitaire… les autres armes de la guerre contre les peuples

Le savez-vous ?

France :

https://nouveau-monde.ca/fr/lechec-du-confinement-et-des-vaccins-reconnu-par-ceux-qui-les-ont-conseilles-le-pr-delfraissy-et-coll/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/lechec-du-confinement-et-des-vaccins-reconnu-par-ceux-qui-les-ont-conseilles-le-pr-delfraissy-et-coll/

https://nouveau-monde.ca/fr/30-000-medecins-francais-sorganisent-reclamant-le-retour-a-la-normale-2e-conference-du-collectif-coordination-sante-libre-suite-de-lappel-du-9-janvier-2021/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/30-000-medecins-francais-sorganisent-reclamant-le-retour-a-la-normale-2e-conference-du-collectif-coordination-sante-libre-suite-de-lappel-du-9-janvier-2021/

Collectif « laissons les médecins prescrire » : la liste des 30.000 médecins engagés ! – Le Libre Penseur

Russie :

https://nouveau-monde.ca/fr/devant-le-conseil-des-droits-de-lhomme-de-lonu-moscou-denonce-la-manipulation-de-lopinion-et-la-censure-des-points-de-vue-alternatifs/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/devant-le-conseil-des-droits-de-lhomme-de-lonu-moscou-denonce-la-manipulation-de-lopinion-et-la-censure-des-points-de-vue-alternatifs/

https://nouveau-monde.ca/fr/la-russie-contre-le-passeport-vaccinal-voulu-par-lunion-europeenne/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/la-russie-contre-le-passeport-vaccinal-voulu-par-lunion-europeenne/

Chine (le pompon) :

22 septembre 2020, question du journaliste de BFMTV lors de la conférence de presse de Lu Shaye, Ambassadeur de Chine en France :

BFMTV: vous avez réaffirmé tout à l’heure que la Chine a vaincu l’épidémie de Covid-19. Quels conseils la Chine peut donc apporter à la France? Certains spécialistes s’inquiètent que l’épidémie reparte à la hausse, que les chiffres repartent à la hausse. Quels conseils la Chine peut donner à la France pour vaincre elle aussi l’épidémie, par exemple en matière de dépistage ?

Lu Shaye : effectivement, la Chine a bien réussi à maîtriser l’épidémie de Covid-19. Et maintenant, la Chine ne compte plus de cas locaux. On compte seulement quelques dizaines de cas importés chaque jour. Je n’ai pas de conseil à donner à la France. Les Chinois n’ont pas l’habitude de donner des leçons aux autres pays.

L’intégralité de la conférence de presse, la fin de l’épidémie et le retour à la normale en Chine grâce à ce lien : 
http://www.amb-chine.fr/fra/zgzfg/t1817634.htm 
D’autres infos sur le site de l’Ambassade de Chine en France…

Les dissidents de l’ONU se réveillent

https://nouveau-monde.ca/fr/info-verifiee-la-pandemie-est-utilisee-comme-un-pretexte-selon-lonu/ :

https://nouveau-monde.ca/fr/info-verifiee-la-pandemie-est-utilisee-comme-un-pretexte-selon-lonu/

Pendant que vous dormez, la Russie et la Chine avancent… vous l’aurez deux fois dans l’os ! 

Deux éléments supplémentaires pour une conclusion qui s’impose

Le mépris absolu : 

https://www.businessbourse.com/2021/03/06/reponse-demmanuel-macron-a-une-femme-desesperee-et-a-bout-je-ne-suis-pas-la-pour-passer-vos-humeurs-trouvez-vous-quelquun-dautre/

« Le plus con des veaux est celui qui court après le boucher. »

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Alain Nicolaï, Le Livre des Sept Sceaux (Le Retour à l’Évidence)




La clef de la libération

Par Joseph Stroberg

Un nombre croissant d’êtres humains ne supportent plus la condition d’asservissement dans laquelle ils se trouvent plongés sous le prétexte de pandémie. Plusieurs en profitent pour sortir de l’hypnose(([1] Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose. MàJ)) produite par les élites par le biais des médias dominants et se mettent éventuellement à participer à des démarches collectives d’ordre judiciaire(([2] Le plus grand Nuremberg de tous les temps se prépare. Mise à jour 2: la démarche suit son cours)). D’autres se résignent, entre la peur de mourir et l’espoir qu’un vaccin viendrait les libérer et leur redonner leur vie d’avant, alors même que leurs maîtres dirigeants leur ont pourtant bien martelé que leur condition actuelle serait désormais la nouvelle normalité(([3] Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”)). De fait, presque tout le monde, à part les maîtres esclavagistes, se trouve emprisonné chez lui ou dans un espace bien plus restreint que celui connu auparavant. Existe-t-il alors une clef pour ouvrir la porte de cette prison ?

La première condition pour sortir d’une prison est de prendre conscience de l’existence de cette dernière, puis de réaliser que nous nous y trouvons enfermés. Certaines personnes pourraient penser que si on ne voit pas une prison, c’est qu’elle n’existe pas. Ont-elles demandé aux victimes de sectes ce qu’elles en pensent ? Les pires des geôles ne sont pas nécessairement faites de pierre, de béton ou de métal. Leurs murs peuvent au contraire être construits d’émotions, de pensées ou de croyances. Les geôliers le savent. Les maîtres, encore plus. Il existe de nombreux moyens pour enfermer émotionnellement, mentalement ou psychiquement un être humain et actuellement nos dirigeants esclavagistes les utilisent pratiquement tous.(([4] Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes))

Sur le plan émotionnel, l’outil le plus puissant est l’instillation de la peur, particulièrement la peur ultime, celle de la mort. Quoi de mieux, pour cela, qu’un ennemi létal et pratiquement invisible, une menace mortelle qui pèserait sur nous depuis n’importe où et même n’importe quoi ou n’importe qui ? Eh bien, les élites ont trouvé un coronavirus particulier — une des variétés de virus qui peuplent habituellement notre virome (constitué de centaines de milliers de milliards d’entre eux) — et ils l’ont peut-être même boosté génétiquement dans l’espoir d’en faire un super soldat. Malheureusement, celui-ci a fait pschitt !… Il s’est dégonflé ! À côté des 65 millions de morts prévus, il n’en a atteint qu’environ un million, du moins officiellement. Le nombre réel pourrait être nettement moindre. Qu’à cela ne tienne ! Les tests PCR sont venus à la rescousse, permettant de faire passer des personnes saines pour des malades et ainsi faire retrouver au piteux microbe son épouvantable aura. La peur était ainsi toujours au rendez-vous.(([5] S’échapper du syndrome de Stockholm — passer de la peur du virus (leurre) à un danger réel, la Grande Réinitialisation))

L’autre émotion fondamentale sur laquelle jouent les élites pour parvenir à leurs fins est paradoxalement une émotion positive : l’espoir ! Celle-ci est particulièrement utile contre ceux qui se sont rendu compte de leur incarcération. Il faut alors leur donner l’espoir qu’ils auront une remise de peine ou bien qu’ils parviendront à s’évader. L’alternance entre la peur et l’espoir(([6] La peur et l’espoir comme outils politiques)) engendre une condition psychologique analogue à celle subie par des rats de laboratoire qui subissent aléatoirement des chocs électriques et ceci sans nécessairement de raison(([7] Nous, rats de laboratoire)). Les êtres humains qui reçoivent ce genre de traitement, fait d’alternance de durée variable entre des périodes de peur et d’autres d’espoir (comme lorsqu’ils oscillent entre le confinement et l’espoir que le vaccin leur permettra de sortir) finissent par se retrouver en état hypnotique, brisés, soumis, prostrés au fond de leur cage. Les rats ne savent jamais lorsqu’ils vont recevoir leur prochaine décharge électrique ni leur prochaine portion de nourriture. Les êtres humains masqués ne savent jamais lorsqu’ils auront une aggravation de peine (plus de confinement, moins d’entreprises et de magasins ouverts, obligation du port d’un second masque sur le premier…) ni lorsqu’on va supposément les soulager (par le vaccin, par la livraison de nourriture à domicile, par une subvention, par une baisse d’impôts…).

Sur le plan mental, les principales armes sont connues des propagandistes depuis un siècle.(([8] Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19)) (([9] Une brève histoire de la propagande)) (([10] Le quatrième pouvoir ou propagande ?)) Il est d’autant plus facile de les utiliser que l’individu ou le groupe ciblé aura auparavant été adéquatement « préparé », comme par la Gestapo nazie avant un interrogatoire, avec un bon conditionnement émotionnel conduisant à son hypnose ou à sa destruction psychologique et psychique. L’individu devient alors une éponge prête à absorber toutes les idées voulues, toutes les croyances utiles au Système, toutes les illusions que seul un bon discernement mental serait capable de percer à jour. En d’autres termes, il a subi un lavage de cerveau et celui-ci est alors rempli de poison idéologique et de pensées creuses. Il est désormais incapable de penser par lui-même et croit devoir se reposer sur ses maîtres (paternalistes ou despotiques) pour vivre.

La plupart des individus qui n’ont pas déjà été brisés par la propagande médiatique autour de la Covid-19 ou ceux qui se sont sortis de leur état hypnotique léthargique grâce à un choc salutaire qui a pu leur arriver n’ont cependant pas encore découvert la clef qui pourrait ouvrir la porte de leur prison ni le moyen d’en briser les murs. S’ils l’avaient fait, ils n’auraient pas besoin de placer de l’espoir dans les démarches judiciaires ou législatives, car celles-ci restent intimement liées au Système qui a permis, grâce à leur participation, leur emprisonnement. Est-ce que beaucoup d’esclaves ont été libérés juste en le demandant à leur maître ? Les avocats et les députés, aussi bien intentionnés soient-ils, ne peuvent agir que dans le cadre des lois établies par les maîtres. Du moins, les croyances largement diffusées par le Système sont tellement ancrées que presque personne ne songe à se passer des premières ni de celui-ci.(([11] Demander au gouvernement ou aux tribunaux ne permettra jamais d’obtenir la liberté: seule la désobéissance massive peut prévaloir))

Si la libération de l’Humanité est collective, elle devra néanmoins passer par une prise de conscience individuelle. Car la clef réside à ce niveau. Chacun de ceux qui veulent se libérer doit trouver la clef pour que tous puissent sortir. L’individu détient la clef et il l’utilise au bénéfice de tous. Celui qui compte seulement sur les autres restera en cage. En effet, la prison est avant tout d’ordre invisible, construite par les peurs et les croyances. Dépasser nos propres peurs et voir nos croyances pour ce qu’elles sont ne relève que de nous-mêmes, pas des autres. Si nous ne sommes, individuellement, pas prêts à sortir sans masque, sans certificat de vaccination, sans autorisation écrite, sans test PCR…, à refuser de payer des amendes, à nous retrouver dans une cellule (capitonnée ou non) pour refus de payer, à voir notre salaire saisi, à voir notre maison saisie, à voir nos enfants saisis… par peur de la mort de faim ou de maladie ou du ridicule ou de ne pas faire comme les autres… alors nous resterons enfermés dans ces murs.

L’ironie du sort de ceux qui ne dépasseront pas leurs peurs, pour ne pas risquer de perdre leurs biens matériels, leurs enfants, leur illusoire sécurité ou encore leur santé est que pourtant ils perdront tout si le plan des élites va jusqu’au bout.(([12] Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux)) Et, pour l’instant, rien n’arrête ce dernier. Il ne s’arrêtera que lorsque suffisamment d’êtres humains auront trouvé la clef.(([13] Note sur l’avenir)) Celle-ci est une vibration, un Son, le Verbe, la parole, des pensées, idées ou prières, les trompettes de l’Apocalypse(([14] Regard sur l’Apocalypse)), à l’image des trompettes qui ont détruit les murailles de Jéricho, la note spécifique de notre âme, de notre conscience… Nous seuls pouvons détruire les murs de notre prison émotionnelle et psychique individuelle, par l’éveil de notre conscience, par la réalisation de notre nature qui n’est pas seulement de chair et de sang. Le Nouvel Ordre Mondial ne s’effondrera pas avant qu’un nombre suffisant d’entre nous, êtres humains sur la planète Terre, ayons trouvé la clef vibratoire de notre prison pour en faire tomber les murs ou pour en ouvrir la porte.





La république des nains de jardin — La plupart des hommes politiques prêts pour la trappe

Par Alain Nicolaï
La Métaphysique ou l’Éternel Retour du même

« L’heure a sonné, quelque chose d’énorme avance vers nous, un puissant orage se prépare, il est proche, et bientôt la paresse, l’indifférence, les préjugés contre le travail, l’ennui morbide de notre société, tout sera balayé. »

Le baron Touzenbakh dans Les Trois Sœurs d’Anton Tchekhov.

Première séquence : la métaphysique

Remarque : Vous avez peur de ne pas comprendre, rassurez-vous, vous allez vite comprendre.

Métaphysique, étymologie (XIIIe siècle) : mot savant emprunté au latin scolastique metaphysica, tiré des premiers mots du traité de métaphysique d’Aristote, méta ta phusika « après les choses de la nature », qui fait suite à son traité sur la nature. Le sens de « réflexion philosophique qui va au-delà de la nature et qui cherche à rendre compte par une théorie générale des principes fondamentaux de l’être » apparaît dès l’origine [source : Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Baumgartner et Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 495].

Métaphysique : analyse systématique de la réalité afin de connaître sa nature profonde. Sa méthode est basée sur l’algèbre de Boole :

0 – 1 = Fermé – Ouvert = Non – Oui = Faux – Vrai.

L’algèbre de Boole est la base de la logique combinatoire et de la logique séquentielle. Elle est la base ses systèmes informatisés.

Métaphysique : son point de départ et d’arrivée est la connaissance absolue par la mise sous les yeux des lecteurs des choses significatives, des faits significatifs…

La seule métaphysique valable est donc celle qui apporte des preuves irréfutables qui peuvent être vérifiées par tous les sujets de ce monde. Elle met sous les yeux du public ce que tout un chacun doit savoir. Elle explique la réalité et dévoile ce qui est caché, mais elle prend en compte la réflexion de Ludwig Wittgenstein :

« Ce dont on ne peut parler, il faut le taire. »

(Tractacus logico-philosophicus, Ludwig Wittgenstein Tel Gallimard, Paris, 1961, page 107).

Deuxième séquence : la démocratie

Remarque : N’oubliez jamais que le citoyen détient un énorme pouvoir qu’il faut savoir utiliser à bon escient.

Démocratie, étymologie (XIVe siècle), du grec démokratia « gouvernement exercé par le peuple » [Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 230].

Troisième séquence : la république

Remarque : Au point de vue de la société, avec la paix, la république est un de nos biens le plus précieux.

République, étymologie (XVIe siècle), emprunté au latin res publica « la chose publique, l’État, l’administration de l’État », est d’abord employée au sens de « État, communauté, société organisée » puis se spécialise à partir du XVII s au sens de « État dont la forme de gouvernement est fondée sur la souveraineté des citoyens. [Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 682].

Il en découle impérativement que le Président d’une véritable République doit être au service de ses concitoyens.

La devise de la République française « Liberté — Égalité — Fraternité » a pour origine la Révolution française. Elle donne le modèle de ce qu’est une véritable république dans l’absolu. Cette devise a été reprise sous diverses formes à travers le monde.

Il est bien évident que pour l’humanité son approche ne peut-être que relative.

À ce jour, toutes les républiques se rapprochent plus ou moins de cet idéal, mais malheureusement nombreuses sont les républiques bananières, celles-ci ne sont que des leurres pour les gogos.

Quatrième séquence : Les leçons de la crise et ce qui va advenir

Dans un précédent article publié le 30 octobre 2020 il a été démontré que les parlementaires ne savent pas pourquoi les citoyens les ont élus https://michelledastier.com/lassemblee-nationale-face-a-ses-responsabilites-par-alain/  (Article publié, entre autres, aussi sur profession gendarme.)

Depuis, jour après jour, les députés ont fait preuve d’une profonde incompréhension de la crise covidienne. Cette totale incapacité à l’appréhender dans tous ses aspects a culminé le 9 février 2021, jour, où la vaillante Martine Wonner,  a voulu jeter quelques lumières à la face des députés sur une crise « qui vous dépassent », en montrant, qu’ils existent d’autres voies que le soi-disant « vaccin »[1] pour traiter les malades et en finir avec le covid. Des paroles de simple bon sens, que même un ahuri  peut comprendre ! Les réponses aberrantes et à côté de la plaque du sinistre Véran auraient dû révolter l’ensemble de l’Assemblée, lui qui ne cherche avec ses complices qu’à « vacciner » la population avec sa saloperie. La non-réponse de Véran aurait dû provoquer un tollé dans l’hémicycle, au lieu de cela, quelques protestations courtoises !

Honte à Véran qui à répondu à Martine Wonner qu’il ne prenait pas en compte ceci : https://nouveau-monde.ca/fr/30-000-medecins-francais-sorganisent-reclamant-le-retour-a-la-normale-2e-conference-du-collectif-coordination-sante-libre-suite-de-lappel-du-9-janvier-2021/ !

La quasi non-réaction des présents, leur apathie, montre bien le niveau intellectuel lamentable de cette assemblée censée veiller à la bonne gouvernance et à la gestion correcte du pays. Ce comportement consternant fait  comprendre  pourquoi ils sont si faciles à manipuler. Martine Wonner a parfaitement raison, c’est bien une crise « qui vous dépassent », alors que de nombreux citoyens ont compris depuis longtemps que l’incompréhensible gestion de cette crise par l’exécutif doit bien avoir des motifs cachés…

Dans leur ensemble, les députés ont montré ainsi, avec cette crise, les limites manifestes de leurs capacités cérébrales. Nous n’allons pas citer tous les noms, mais certains ont presque atteint le sublime dans leur rôle d’idiot utile. Ils se reconnaîtront…

Des idiots utiles, surtout attachés, non pas au bien commun, mais au pouvoir et à ses multiples avantages. Oui, ce sont bien des idiots utiles, qui n’ont pas du tout compris les enjeux de la crise covidienne, simulacre servant à masquer le plan diabolique des mondialistes et de la finance.

Le point de départ étant à l’automne 2019 l’émergence d’une crise financière colossale, crise, bien plus importante que celle de 2008, totalement cachée à la population, subite, non prévue, par le cartel des financiers, et qui allaient sûrement les ruiner !  C’est alors que par « magie » apparu : Le bon virus au bon moment. À cette occasion, les mondialistes qui manœuvraient et complotaient en coulisse depuis de nombreuses années pour prendre le pouvoir absolu en ont profité pour lancer avec précipitation l’Agenda 2030 des Nations Unies, https://lilianeheldkhawam.com/2020/09/25/une-constitution-universelle-pour-un-etat-global-et-financiarise-sous-les-couleurs-de-lagenda-2030/#more-51763. Ceci est la version complète et commentée par Liliane Held-Khawam et non pas celles, expurgées, mises en place sur les différents sites officiels de l’ONU et ses comparses. Rappelons ici que l’OMS dépend de l’ONU et est financée en grande partie par des fonds privés, dont le principal donateur est la Fondation Bill et Melinda Gates.

Pour ne pas manquer leur coup, cette mafia a de très nombreux comparses comme le Forum de Davos, le FMI, la Banque centrale européenne… L’asservissement par la dette est leur arme principale suivie de près par leur soi-disant vaccin. En prenant le contrôle des républiques, des états, des populations, cette élite autoproclamée veut recréer le système des castes[2] et ainsi avoir de multiples larbins à son service.
 
Les députés l’ont-ils compris ? Aussi, que conclure de cette débâcle parlementaire ?


Notes

[1] https://nouveau-monde.ca/fr/celui-qui-ne-fait-pas-la-difference-entre-le-bien-et-le-mal-nest-pas-un-homme/
[2] https://nouveau-monde.ca/fr/proprietaires-et-proletaires-meme-combat/




La grande conspiration criminelle du « zéro carbone »

[Source : Réseau International]

par F. William Engdahl

Le Forum économique mondial de Davos proclame la nécessité d’atteindre un objectif mondial de « neutralité carbone » d’ici 2050. Pour la plupart des gens, cet objectif semble lointain et donc largement ignoré. Pourtant, les transformations en cours, de l’Allemagne aux États-Unis, en passant par d’innombrables autres économies, préparent le terrain pour la création de ce que l’on appelait dans les années 70 le nouvel Ordre économique international. En réalité, il s’agit d’un schéma directeur pour un corporativisme totalitaire technocratique mondial, qui promet un chômage énorme, une désindustrialisation et un effondrement économique à dessein. Voyons un peu le contexte.

Le Forum économique mondial (FEM) de Klaus Schwab fait actuellement la promotion de son thème favori, la Grande Réinitialisation de l’économie mondiale. La clé de tout cela est de comprendre ce que les mondialistes entendent par « neutralité carbone » d’ici 2050. L’UE mène la course, avec un plan audacieux visant à devenir le premier continent « neutre en carbone » au monde d’ici 2050 et à réduire ses émissions de CO2 d’au moins 55% d’ici 2030.

En août 2020, sur son blog, Bill Gates, autoproclamé tsar mondial du vaccin, a évoqué la crise climatique à venir : « Aussi terrible que soit cette pandémie, le changement climatique pourrait être pire… La baisse relativement faible des émissions cette année montre clairement que nous ne pouvons pas atteindre le niveau zéro des émissions simplement – ou même principalement – en prenant moins l’avion et en conduisant moins ».

Avec un quasi-monopole sur les médias grand public et les médias sociaux, le lobby du réchauffement climatique a pu amener une grande partie du monde à supposer que le mieux pour l’humanité est d’éliminer les hydrocarbures, notamment le pétrole, le gaz naturel, le charbon et même l’électricité nucléaire « sans carbone » d’ici 2050, ce qui, espérons-le, pourrait éviter une augmentation de 1,5 à 2 degrés centigrades de la température moyenne mondiale. Il n’y a qu’un seul problème à cet égard. C’est la couverture d’un agenda criminel ultérieur.

Les origines du « réchauffement planétaire »

Beaucoup ont oublié la thèse scientifique originale avancée pour justifier un changement radical de nos sources d’énergie. Il ne s’agissait pas de « changement climatique ». Le climat de la Terre est en constante évolution, en corrélation avec les changements dans l’émission d’éruptions solaires ou les cycles de taches solaires qui affectent le climat de la Terre. Au tournant du millénaire, alors que le précédent cycle de réchauffement dû à l’énergie solaire n’était plus évident, Al Gore et d’autres ont, par un tour de passe-passe linguistique, déplacé le récit du réchauffement climatique vers le « changement climatique ». Aujourd’hui, le récit de la peur est devenu si absurde que chaque événement météorologique inquiétant est traité comme une « crise climatique ». Chaque ouragan ou tempête d’hiver est présenté comme une preuve que les dieux du climat nous punissent pour le péché d’émission de CO2 par les humains.

Mais attendez. L’entière raison de la transition vers des sources d’énergie alternatives comme le solaire ou l’éolien, et de l’abandon des sources d’énergie au carbone, est leur affirmation selon laquelle le CO2 est un gaz à effet de serre qui monte dans l’atmosphère où il forme une couverture censée réchauffer la Terre en dessous – le réchauffement planétaire. Selon l’Agence américaine de Protection de l’Environnement, les émissions de gaz à effet de serre proviennent principalement du CO2. D’où l’accent mis sur « l’empreinte carbone ».

Ce qui n’est presque jamais dit, c’est que le CO2 ne peut pas s’envoler dans l’atmosphère à partir des gaz d’échappement des voitures ou des centrales au charbon ou d’autres origines anthropiques. Le dioxyde de carbone n’est pas du carbone ou de la suie. C’est un gaz invisible et inodore essentiel à la photosynthèse des plantes et à toutes les formes de vie sur terre, y compris la nôtre. Le CO2 a un poids moléculaire d’un peu plus de 44 alors que l’air (principalement de l’oxygène et de l’azote) n’a qu’un poids moléculaire de 29. La gravité spécifique du CO2 est environ 1,5 fois supérieure à celle de l’air. Cela laisse supposer que les gaz d’échappement des véhicules ou des centrales électriques ne s’élèvent pas dans l’atmosphère à plus de 12 miles au-dessus de la terre pour former l’effet de serre redouté.

Maurice Strong

Pour comprendre l’action criminelle qui se déroule aujourd’hui autour de Gates, Schwab et des partisans d’une prétendue économie mondiale « durable », il faut remonter à 1968, lorsque David Rockefeller et ses amis ont créé un mouvement autour de l’idée que la consommation humaine et la croissance démographique étaient le problème mondial majeur. Rockefeller, dont la richesse était basée sur le pétrole, a créé le Club néo-malthusien de Rome dans la villa Rockefeller à Bellagio, en Italie. Leur premier projet a été de financer une étude de pacotille au MIT intitulée « Les limites de la croissance » en 1972.

Au début des années 1970, l’un des principaux organisateurs du programme de « croissance zéro » de Rockefeller était son ami de longue date, un industriel canadien du pétrole nommé Maurice Strong, également membre du Club de Rome. En 1971, Maurice Strong est nommé sous-secrétaire des Nations unies et secrétaire général de la Conférence de la Journée de la Terre de Stockholm en juin 1972. Il a également été administrateur de la Fondation Rockefeller.

Maurice Strong a été l’un des principaux propagateurs de la théorie scientifiquement infondée selon laquelle les émissions anthropiques des véhicules de transport, des centrales au charbon et de l’agriculture ont provoqué une augmentation spectaculaire et accélérée de la température mondiale qui menace la civilisation, appelée réchauffement climatique. Il a inventé le terme élastique de « développement durable ».

En tant que président de la conférence de Stockholm des Nations unies pour la Journée de la Terre de 1972, Strong a encouragé la réduction de la population et l’abaissement des niveaux de vie dans le monde entier pour « sauver l’environnement ». Quelques années plus tard, le même Strong a déclaré :

« Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-ce pas notre responsabilité d’y parvenir ? »

C’est le programme connu aujourd’hui sous le nom de Grande Réinitialisation ou Agenda 2030 des Nations unies. Strong a ensuite créé le Groupe d’Experts intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC), un organe politique qui soutient l’affirmation non prouvée selon laquelle les émissions de CO2 produites par l’homme étaient sur le point de faire basculer notre monde dans une catastrophe écologique irréversible.

Le co-fondateur du Club de Rome, le Dr Alexander King, a reconnu la fraude essentielle de leur programme environnemental quelques années plus tard dans son livre, « La première révolution mondiale ». Il a déclaré :

« En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous sommes arrivés à l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres problèmes du même genre feraient l’affaire … Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine et ce n’est que par un changement d’attitude et de comportement qu’ils peuvent être surmontés. Le véritable ennemi, c’est donc l’humanité elle-même ».

King a admis que la « menace du réchauffement climatique » n’était qu’un stratagème pour justifier une attaque contre « l’humanité ». C’est ce que l’on appelle aujourd’hui la Grande Réinitialisation et la ruse du « zéro émission nette de carbone« .

Catastrophe des énergies alternatives

En 2011, sur les conseils de Joachim Schnellnhuber, de l’Institut de Recherche sur l’Impact climatique de Potsdam (PIK), Angela Merkel et le gouvernement allemand ont imposé une interdiction totale de l’électricité nucléaire d’ici 2022, dans le cadre d’une stratégie gouvernementale de 2001 appelée « Energiewende » ou « Tournant énergétique », pour s’appuyer sur le solaire, l’éolien et d’autres « énergies renouvelables ». L’objectif était de faire de l’Allemagne la première nation industrielle à être « neutre en carbone ».

Cette stratégie a été une catastrophe économique. Alors qu’elle disposait d’un des réseaux de production d’électricité les plus stables, fiables et à faible coût du monde industriel, l’Allemagne est devenue aujourd’hui le producteur d’électricité le plus cher du monde. Selon l’Association allemande de l’Industrie énergétique BDEW, au plus tard en 2023, lorsque la dernière centrale nucléaire fermera, l’Allemagne sera confrontée à des pénuries d’électricité. Dans le même temps, le charbon, la plus grande source d’énergie électrique, est progressivement éliminé pour atteindre l’objectif « zéro émission nette de carbone« . Les industries traditionnelles à forte intensité énergétique, telles que la sidérurgie, la production de verre, les produits chimiques de base, la fabrication de papier et de ciment, sont confrontées à une montée en flèche des coûts et à des fermetures ou des délocalisations et à la perte de millions d’emplois qualifiés. L’énergie éolienne et solaire, peu efficace, coûte aujourd’hui de 7 à 9 fois plus cher que le gaz.

L’Allemagne ayant peu d’ensoleillement par rapport aux pays tropicaux, le vent est considéré comme la principale source d’énergie verte. Il faut un apport énorme de béton et d’aluminium pour produire des parcs solaires ou éoliens. Il faut de l’énergie bon marché – gaz, charbon ou nucléaire – pour la produire. Au fur et à mesure de l’élimination de cette source d’énergie, le coût devient prohibitif, même sans « taxes sur le carbone » ajoutées.

L’Allemagne compte déjà quelque 30 000 éoliennes, soit plus que n’importe où ailleurs dans l’UE. Ces gigantesques éoliennes posent de graves problèmes de bruit ou de risques sanitaires liés aux infrasons pour les habitants des environs, ainsi que de dégâts causés par les intempéries et les oiseaux. D’ici 2025, on estime que 25% des éoliennes allemandes existantes devront être remplacées et l’élimination des déchets est un problème colossal. Les entreprises sont poursuivies en justice car les citoyens se rendent compte de la catastrophe qu’elles représentent. Pour atteindre les objectifs d’ici 2030, la Deutsche Bank a récemment admis que l’État devra créer une « éco-dictature ».

Dans le même temps, la pression allemande pour mettre fin au transport d’essence ou de diesel d’ici 2035 en faveur des véhicules électroniques est sur le point de détruire la plus grande et la plus rentable des industries allemandes, le secteur automobile, et de faire disparaître des millions d’emplois. Les véhicules alimentés par des batteries lithium-ion ont une « empreinte carbone » totale si l’on tient compte des effets de l’extraction du lithium et de la production de toutes les pièces, qui est pire que celle des voitures diesel. Et la quantité d’électricité supplémentaire nécessaire pour une Allemagne sans carbone d’ici 2050 serait bien plus importante qu’aujourd’hui, car des millions de chargeurs de batterie auront besoin d’une électricité de réseau fiable. Aujourd’hui, l’Allemagne et l’UE commencent à imposer de nouvelles « taxes sur le carbone », prétendument pour financer la transition vers le « Zéro Carbone ». Ces taxes ne feront qu’augmenter le prix de l’électricité et de l’énergie, assurant ainsi l’effondrement plus rapide de l’industrie allemande.

Dépopulation

Selon les partisans du programme « Zéro Carbone », c’est exactement ce qu’ils souhaitent : la désindustrialisation des économies les plus avancées, une stratégie calculée sur plusieurs décennies, comme l’a dit Maurice Strong, pour provoquer l’effondrement des civilisations industrialisées.

Faire de l’actuelle économie industrielle mondiale une dystopie de la combustion du bois et des éoliennes, où les coupures d’électricité deviennent la norme, comme c’est le cas actuellement en Californie, est un élément essentiel d’une Grande Réinitialisation dans le cadre de l’Agenda 2030 : le Pacte mondial des Nations unies pour la durabilité.

En 2015, Joachim Schnellnhuber, conseiller climatique de Merkel, a présenté le programme vert radical du pape François, la lettre encyclique Laudato Si, en tant que représentant de François à l’Académie pontificale des Sciences. Et il a conseillé l’UE sur son programme vert. Dans une interview accordée en 2015, Schnellnhuber a déclaré que la « science » a désormais déterminé que la capacité de charge maximale d’une population humaine « durable » était inférieure de quelque six milliards de personnes :

« D’une manière très cynique, c’est un triomphe pour la science car nous avons enfin stabilisé quelque chose, à savoir les estimations de la capacité de charge de la planète, à savoir moins d’un milliard de personnes ».

Pour ce faire, le monde industrialisé doit être démantelé. Christiana Figueres, contributrice à l’agenda du Forum économique mondial et ancienne secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations unies sur le Changement climatique, a révélé le véritable objectif de l’agenda climatique des Nations unies lors d’une conférence de presse tenue à Bruxelles en février 2015, où elle a déclaré : « C’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que nous nous donnons pour tâche de modifier intentionnellement le modèle de développement économique qui a régné depuis la révolution industrielle ».

Les remarques de Figueres pour 2015 sont reprises aujourd’hui par le président français Macron lors de « l’Agenda de Davos » du Forum économique mondial de janvier 2021, où il a déclaré que « dans les circonstances actuelles, le modèle capitaliste et l’économie ouverte ne sont plus réalisables ». Macron, un ancien banquier de Rothschild, a affirmé que « la seule façon de sortir de cette épidémie est de créer une économie qui se concentre davantage sur l’élimination du fossé entre les riches et les pauvres ». Merkel, Macron, Gates, Schwab et leurs amis y parviendront en ramenant le niveau de vie en Allemagne et dans l’OCDE au niveau de celui de l’Éthiopie ou du Soudan. C’est leur dystopie du Zéro Carbone. Limiter sévèrement les voyages en avion, en voiture, les déplacements des personnes, fermer les industries « polluantes », tout cela pour réduire le CO2. La pandémie de coronavirus ouvre la voie à la Grande Réinitialisation et à l’Agenda 2030 « Net Zéro Carbone » des Nations unies.

source : https://journal-neo.org

traduit par Réseau International




Le Grand Reset pour les nuls

[Source : Le Saker Francophone]

Où allons-nous ?


Par Tessa Lena − Source Tessa SubStack

Les paysans s’engraissent, et ils se reproduisent ! Oh non.

Qu’est-ce que le « Grand Reset » ? Le « Grand Reset«  est un projet massivement financé, désespérément ambitieux, coordonné au niveau international, mené par certaines des plus grandes multinationales et [des plus importants] acteurs financiers de la planète et réalisé par des organismes publics et des ONG coopérants. Son âme est une combinaison de science-fiction du début du XXe siècle, d’affiches soviétiques idylliques, de l’obsession d’un comptable dérangé avec une dépendance au jeu, et d’une version numérique améliorée de la « Destinée Manifeste ».

La raison mathématique du « Grand Reset » est que grâce à la technologie, la planète est devenue petite, et le modèle économique d’expansion infinie est foutu – mais de toute évidence, les super riches veulent continuer à rester super riches, et ils ont donc besoin d’un miracle, d’une autre bulle, plus un système chirurgicalement précis pour gérer ce qu’ils perçoivent comme « leurs ressources limitées ». Ainsi, ils veulent désespérément une bulle qui leur apporte une nouvelle croissance sortant littéralement de nulle part, tout en cherchant à serrer la ceinture des paysans, un effort qui commence par une « modification du comportement », c’est-à-dire le « reset » du sentiment des paysans occidentaux qu’ils ont droit à un niveau de vie élevé et à des libertés (ces horribles « privilèges »).

La raison psychologique du « Grand Reset » est la peur de perdre le contrôle de leur propriété, la planète. Je suppose que si vous possédez des milliards et que vous en déplacez des milliers de milliards, votre perception de la réalité devient étrange, et ce qu’il y a tout en bas ressemble à une fourmilière qui n’existe que pour vous servir. Juste des fourmis et des chiffres… votre patrimoine.

Ainsi, l’objectif pratique du « Grand Reset » est de restructurer fondamentalement l’économie mondiale et les relations géopolitiques en se basant sur deux hypothèses : premièrement, que chaque élément de la nature et chaque forme de vie fait partie de l’inventaire global (géré par l’État prétendument bienveillant, qui, à son tour, est détenu par plusieurs personnes riches devenues soudainement bienveillantes, via la technologie) – et deuxièmement, que tout l’inventaire doit être strictement comptabilisé : être enregistré dans une base de données centrale, être lisible par un scanner et facilement identifiable, et être géré par l’IA, en utilisant la « science » la plus récente. L’objectif est de compter puis de gérer et de contrôler efficacement toutes les ressources, y compris les personnes, à une échelle sans précédent, avec une anxiété et une précision numériques sans précédent – tout cela pendant que les maîtres continuent de s’adonner à leurs loisirs, profitant de vastes étendues de nature préservée, à l’abri des paysans souverains inutiles et de leur imprévisibilité. Le monde du roi se sent beaucoup plus prévisible et détendu lorsque le chaos de la subjectivité humaine est contenu pour de bon.

De plus, en guise de parenthèse potentiellement lucrative, une partie de ces « actifs » étroitement gérés peut également être transformés en de nouveaux instruments financiers et vendus. Le jeu continue !

En d’autres termes, c’est un féodalisme mondial « efficace » qui va bien plus loin que son frère médiéval puisque le scanner est un système de vision globale : chaque personne, chaque pierre et chaque baie est étiquetée et suivi numériquement. Dans ce cadre, chaque paysan a une fonction qui découle non pas du mystère de la vie, et non pas de sa vocation intérieure, mais de l’IA, le maître de l’efficacité et le serviteur du roi. Idéalement, les paysans peuvent être convaincus que c’est bon pour eux (ou nécessaire pour être en sécurité, voir « traçage des contacts ») et que c’est à cela que ressemblent le progrès et le bonheur – mais sinon, il y a d’autres moyens, de la violence classique aux prisons virtuelles en passant par les « pilules de la moralité« .

La réforme en question est censée bouleverser tous les domaines de la vie, à l’échelle planétaire : gouvernement, relations internationales, finances, énergie, alimentation, médecine, emploi, urbanisme, immobilier, application de la loi et interactions humaines – et elle commence par changer la façon dont nous nous considérons et dont nous entretenons notre relation avec le monde. En particulier, la vie privée est une énorme épine dans le pied de nos « grands resetters » – et au moment où je tape ces lignes, ils insistent sur le fait que la vie privée est un concept vraiment dépassé – en particulier lorsqu’il s’agit des données médicales des personnes, par exemple – et que nous ne pouvons tout simplement pas aller de l’avant vers un avenir radieux si des personnes stupides continuent à s’accrocher à leur vie privée.

Je passerai brièvement en revue les différents éléments de cette réforme glissante dans une seconde – mais pour résumer, le résultat final souhaité est un gigantesque convoyeur mondial, sans joie, hautement contrôlé, de tout et de tous, où la vie privée est extrêmement coûteuse, la dissidence est impensable et la soumission spirituelle est obligatoire. C’est comme une réalité médicamenteuse 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, sauf que les médicaments sont à la fois chimiques et numériques, et qu’ils vous signalent au vaisseau-mère, qui peut alors vous punir pour mauvais comportement en bloquant, par exemple, votre accès à certains endroits ou en bloquant votre compte bancaire numérique – peut-être sans aucune intervention humaine.

Ainsi, sur le plan sensoriel – en ce qui concerne l’argent et le pouvoir – ce convoyeur est une tentative des super riches d’organiser et de monétiser leurs « actifs », y compris les personnes, plus efficacement que jamais auparavant. Sur le plan théologique, l’initiative est façonnée par le transhumanisme, un système de croyance formel enraciné dans un sentiment pathologique d’être repoussé par tout ce qui est naturel – et une vision résultante des formes biologiques comme des robots défectueux, qui sont rendus parfaits, des tueurs en série parfaits, en se fusionnant avec les machines d’une manière qui redéfinit le sens de la vie et défie la mort elle-même.

Je voudrais souligner que nous ne devrions jamais sous-estimer l’importance des sentiments subjectifs et de la théologie dans la formation des événements historiques. Toute notre histoire est une somme de choix subjectifs – où les choix des plus puissants et des plus motivés pèsent plus lourd. Et la réforme religieuse, qui découle généralement de la préférence subjective de divers individus puissants pour ce à quoi devrait ressembler l’ensemble du tableau, a été un moteur de changements sociaux, économiques et culturels à grande échelle sur cette planète pendant des siècles. Ce que nous voyons ici, c’est une nouvelle religion – et même si je veux croire à la propreté et à la rationalité générales du système – à un niveau plus élevé, nous n’avons pas affaire à une tentative rationnelle, scientifique, honnête, bienveillante – ou même malavisée – d’améliorer les choses. Lorsqu’il s’agit des cerveaux du « Grand Reset », nous avons affaire à une combinaison d’avidité standard et de pathologie émotionnelle de fous agités et pourris qui paniquent devant la sauvegarde de leurs biens dans cette nouvelle ère, et qui en veulent à leur nature biologique en tant que telle et veulent être des dieux. Malheureusement, les fous sont riches et ont de bonnes relations, et ils peuvent engager un million de sous-fifres pour faire une présentation extérieure convaincante et rationnelle de leur nouvelle religion. Et pour soudoyer les médias. Et les politiciens. Et les universitaires. Et les organisateurs de campagne. Et les organisations à but non lucratif. Et n’oublions pas mes frères, les artistes, qui, par faim et par indignité, créeront alors de belles publicités artistiques et émouvantes pour tout ce qui rapporte. Et lorsque la boucle est bouclée, nous avons une toute nouvelle opinion publique et, techniquement, toujours une « démocratie » ! Si seulement ces théoriciens de la conspiration s’en allaient…

Alors, qui sont les personnes à la tête de cet effort et comment cet effort est-il coordonné ?

À première vue, ce sont les suspects habituels : les principaux capitalistes du monde, les dynasties historiquement riches de différentes parties de la Terre, les membres de la royauté laïque et religieuse, les milliardaires, etc. – en d’autres termes, ce sont les gens qui ont assez d’argent pour sentir que ce monde leur appartient, les 0,0001% – et peut-être aussi les gens qui se trouvent immédiatement en dessous d’eux qui cherchent à gravir les échelons. Certains visages familiers, d’autres que nous n’avons jamais vus.

De toute évidence, ils ne constituent pas une masse monolithique, et je suis sûr qu’ils ne sont pas d’accord entre eux sur tout et qu’ils se disputent probablement le droit de manger plus de paysans. Il y a certainement une rivalité entre les élites américaines et chinoises, par exemple, ou entre les élites américaines et russes – ainsi qu’entre les différents super requins à titre individuels. Mais dans l’ensemble, même s’ils sont en compétition, ils ont des intérêts et des messages communs, et il y a plus de camaraderie stratégique et de terrain d’entente entre eux qu’entre eux et les paysans. Par exemple, aucun d’entre eux n’est susceptible de refuser l’idée de créer une nouvelle classe d’actifs financiers pour gagner de l’argent ! En outre, ils ont aussi des conseillers qui, à leur tour, sont en concurrence les uns avec les autres pour obtenir le meilleur salaire, en essayant de faire passer leurs idées. Tous ces conseillers sont subjectifs, mais ils sont aussi largement et coûteusement coordonnés dans les domaines où ils partagent des intérêts communs.

Et actuellement, le concept « gagnant » du jour semble être un monde rempli d’abréviations : IA, 5G, IoT, et ainsi de suite. Un monde où l’argent est numérique, la nourriture cultivée en laboratoire, où tout est compté et contrôlé par des monopoles géants, et où les gens sont largement privés de leur libre arbitre. Un monde où chaque élément de la nature et chaque être vivant est soit un producteur de données, soit une source d’énergie – ou les deux. Un monde où le flux quotidien des paysans est micro-géré par une IA qui enregistre les pensées et les sentiments avant même que les gens n’aient la possibilité de les faire leurs. Un monde où la vie elle-même est sous-traitée à la machine, et où l’être humain est essentiellement un costume de viande.

Maintenant, je ne pense pas que cette vision exacte se réalisera jamais complètement. Il est probable qu’elle implose avant d’arriver à mi-chemin – et une partie de ce que je viens de décrire n’est rien d’autre que le rêve éveillé d’un esprit malade. Mais les puissants fous font de leur mieux pour que ce cauchemar devienne réalité. Ainsi, le danger n’est pas d’être dépassé par une IA prenant soudainement conscience d’elle même, mais de perturber la vie normale et de provoquer la misère totale que les fous peuvent causer à nos esprits et à nos corps alors qu’ils se précipitent pour découper le monde en morceaux, en utilisant diverses expressions pratiques telles que « crise sanitaire mondiale » ou « changement climatique ».

Et oui, il y a bien une coordination et une continuité, comme il y a une continuité dans les dynasties et les courants philosophiques. Certaines sont plus éphémères, d’autres plus concrètes. Du côté éphémère, la vision des « resetters » est liée aux idées futuristes qui étaient populaires au début du 20e siècle, au rêve d’un monopole mondial des entreprises qui a soutenu la révolution bolchevique de 1917, et à la volonté générale de contrôler le monde avec la technologie, ce qui a été tenté et a échoué en Union soviétique dans les années 60 – en utilisant un langage très similaire à celui d’aujourd’hui. Sur le plan concret, le « Grand Reset » (qui, soit dit en passant, est très bien coordonnée, dans la mesure où Biden et Johnson utilisent les mêmes mots codés proposés par le WEF) est issue des efforts déployés après la Seconde Guerre mondiale pour maintenir un équilibre des pouvoirs « acceptable » dans le monde, et une récolte les bénéfices « acceptable » des intérêts financiers.

Le langage de la « durabilité », qui est un pilier important du kit de marketing du « Grand Reset », a été initialement créé dans le cadre de divers programmes des Nations unies, tels que l’« Agenda 21«  et l’« Agenda 2030« , et je suis sûr que lors de la production de ces programmes, les deux éléments – conspiration et bienveillance – étaient présents. Ce sont tous deux des ensembles de documents extrêmement secs et ennuyeux sur la gestion des ressources et la justice, qui se lisent comme quelque chose écrit par un professeur soviétique fatigué et formaté, maîtrisant bien les termes bureaucratiques, écrit surtout pour justifier le salaire des bureaucrates et l’existence des Nations unies. Ce qui est intéressant dans ce dernier cas, c’est qu’en général, les Nations unies sont plutôt inutiles, ce qui signifie que les gens se réunissent, discutent, produisent de longs documents bureaucratiques et des résolutions non contraignantes – et qu’ensuite, il ne se passe rien d’essentiel. Mais pas cette fois-ci. Pas maintenant. Le programme est lancé ! Il doit donc être important pour quelqu’un qui paie. Et oui, je suis cynique. Dans tout ce qui se passe, il y a toujours une combinaison de bonnes intentions, d’avidité, d’ambition, de relations personnelles, d’intérêts financiers, d’illusions, etc. Les politiciens parlent aux financiers, les généraux parlent aux politiciens, quelqu’un est l’oncle de quelqu’un d’autre, et c’est ainsi que les choses se font. Malheureusement, moins le message est direct et plus la propagande est abondante, moins les bonnes intentions ont de valeur et plus il est facile pour les méchants de réaliser des absurdités.

Et bien sûr, des initiatives d’une telle ampleur peuvent passer par de très longues et tranquilles « phases de planification », au cours desquelles les idées souhaitées sont plantées dans la tête des personnes désirées par le biais de conversations privées, de petites réunions, de recherches financées, de conventions industrielles, etc. Ainsi, au moment où l’on appuie sur le bouton « action », on a l’impression qu’une tendance est déjà là. Et permettez-moi de répéter encore une fois qu’absolument tout dans l’histoire est le résultat de choix subjectifs faits par des personnes subjectives. La façon dont tout se passe dans l’histoire est que les gens se réunissent, décident de ce qu’ils veulent faire et le font. Lorsque des personnes importantes agissent, l’impact est plus visible. Donc, d’une certaine manière, tout est une « conspiration », parce que tout vient de l’action humaine. Et souvent, les personnes importantes dissimulent leurs actes. Cela ne devrait pas être une idée radicale.

Et oui, à l’heure actuelle, les principaux détenteurs du pouvoir en Occident ont compris qu’il est plus rentable et moins laborieux pour eux de simplement soudoyer les médias « officiels », les scientifiques, les universitaires, les politiciens et même l’« opposition contrôlée » – de convaincre les paysans à leur place – que de contrôler tout et tout le monde par la force. Et d’ailleurs, si le sommet de cette tour est une conspiration sérieuse, dans un sens où il s’agit d’un effort coordonné où les cerveaux agissent en général en alignement les uns avec les autres, sans révéler leurs véritables objectifs à long terme aux paysans, le reste de la tour est probablement l’affaire habituelle des humains, multipliée par le manque de sens des responsabilités morales, à l’ancienne. Plus on se rapproche du fond, plus l’ignorance et les intentions sont bonnes – car la plupart des gens croient qu’ils font le bien – mais cela ne change rien à la trajectoire tragique de la cavalcade du « reset ».

D’accord, mais attendez, il y a une vraie crise, et les riches se sont réveillés parce qu’ils veulent vivre ? Et s’il n’y avait pas de conspiration en soi, et qu’ils avaient simplement réalisé que la planète était en désordre, et qu’ils voulaient maintenant s’attaquer aux problèmes de la surpopulation et de la pollution parce qu’il y a vraiment trop de gens sur la planète qui consomment et polluent à l’excès ? Que répondez-vous à cela ?

Je suis heureux que vous posiez la question, alors parlons-en.

Il est absolument vrai que l’approche sans âme et utilitaire de la nature, de la vie et des autres êtres vivants a été extrêmement destructrice – la destruction la plus immédiate et la plus visible étant externalisée vers les « pays du tiers monde » et les personnes les moins fortunées financièrement en Occident. (Voyez les décharges, les allées du cancer, et les aliments non biologiques malsains et empoisonnés). Il est vrai que le consumérisme massif et l’utilisation de produits jetables (apportés par plus ou moins les mêmes partis qui réprimandent maintenant les gens pour leur consumérisme) ont créé beaucoup de désordre. Il est vrai que nos océans et nos poumons sont remplis de plastique, que le nombre de maladies chroniques monte en flèche et que de nombreuses espèces meurent. Il est vrai que notre sol, notre nourriture et notre corps sont contaminés par du glyphosate hautement toxique. Il est vrai qu’il s’écoule généralement des décennies entre le moment où les fabricants réalisent la toxicité de leur produit et celui où le dire dans une conversation cesse d’être une théorie du complot. Tout cela est vrai. Cependant, il est également vrai que les personnes qui pointent du doigt les maux sociaux et nous disent que nous avons besoin d’un « Grand Reset » sont issues des mêmes camps et lignées qui en sont à l’origine. Il est vrai que sous le langage de leurs brochures de marketing, il y a une toxicité et des ravages qui dépassent largement ce que nous avons aujourd’hui. Ainsi, ils sont soit des idiots, soit des menteurs – et je crains que ce soit le dernier cas. Aussi riches soient-ils, ils ne sont même pas moralement qualifiés pour réparer quoi que ce soit dans ce monde. Et quoi que nous choisissions de faire pour soigner notre relation avec la nature et entre nous, ça ne sera certainement pas le « Grand Reset » techno-fasciste et néo-féodal.

Une métaphore : Si le chef du Parti des violeurs proposait une plate-forme contre le viol qui n’arrêterait pas le viol mais qui donnerait une nouvelle image à l’acte même en disant que si l’on utilise un gode rose en plastique recyclé pour pénétrer, alors ce n’est pas un viol… penseriez-vous que c’est une plate-forme contre le viol pour de vrai ?

Alors non, ce ne sont pas eux qui doivent montrer la voie (regardez cette idée de poubelle dans l’espace). Si nous suivons, nous finirons par avoir un monde qui ressemble à ça :

En parlant de solutions, il y a beaucoup d’activistes et de leaders locaux, comme Vandana Shiva, par exemple, qui trouvent des moyens de guérir notre relation avec la nature. Il y a des lanceurs d’alerte. Il y a des avocats qui se battent contre les géants des entreprises et qui gagnent parfois. Il y a des médecins qui risquent leur carrière pour protéger leurs patients. Il y a des agriculteurs locaux. Il y a des artistes qui mettent leur âme à nu. Il y a des diseurs de vérité. Il y a de la dignité, et il y a du respect si nous insistons sur eux. Je crois que les bonnes solutions à long terme viennent de l’honnêteté et de la paix intérieure, et que chacun d’entre nous possède le génie unique qui nous aide à trouver la pièce du puzzle qui, en fin de compte, guérit le monde.

En ce qui concerne le fait qu’il y ait trop de gens sur la planète, je pense que même cela est une erreur. En fait, Vandana Shiva a produit une analyse de l’agriculture industrielle par rapport à l’agriculture locale traditionnelle en termes de chiffres, et il semble que « Big Agro » nous ait également menti sur leur importance. De plus, le plus grand « problème démographique » de l’Occident en ce moment est le nombre croissant de personnes âgées par rapport aux jeunes [un problème qui se règle tout seul et naturellement, NdT]. Et même dans le « monde en développement », les tendances semblent être différentes de ce que l’on nous apprend à penser. De plus, la planète en a assez pour tout le monde, et la raison pour laquelle nous sommes confrontés à la pénurie est que 0,0001% des gens contrôlent beaucoup de choses. Ironiquement, ce sont ces mêmes personnes qui s’inquiètent du fait qu’il n’y en a pas assez, qui poussent l’idée de surpopulation – souvent en se reproduisant avec enthousiasme – et qui infectent les jeunes cerveaux avec l’idée de surpopulation, au point que maintenant, certains jeunes de la classe moyenne ne veulent pas avoir d’enfants, « pour sauver la planète ». C’est vraiment la pagaille ?

Et oui, l’idée de surpopulation inquiète les dirigeants depuis quelques décennies. Je dirais qu’à certains moments, leurs pensées ont eu des connotations eugéniques (voir, par exemple, ce rapport Kissinger de 1974 qui se vante d’« inciter » les hommes en Inde à subir des vasectomies). Et non, il ne serait pas complètement fou d’affirmer que l’eugénisme n’a pas tout à fait disparu depuis qu’Hitler a ruiné la marque, et que quiconque se croit propriétaire du monde ne serait probablement pas contre une gestion un peu plus chirurgicale des tendances démographiques. Puis-je lire dans leurs pensées ? Non. Je ne peux pas dire qui pense quoi exactement, et heureusement pour moi, je ne suis pas invité à leurs réunions – mais de temps en temps, des personnalités comme Gates ou le Prince Charles disent des choses qui semblent tout à fait hitlériennes, et cela me fait réfléchir. D’un autre côté, je ne trouve pas cela particulièrement choquant parce que la nature humaine n’a pas changé depuis l’époque où l’eugénisme était socialement acceptable dans la « société respectable ». Ainsi, ma théorie est que certaines personnes puissantes du monde sont vraiment mauvaises et qu’elles tripotent probablement l’eugénisme – et certaines sont probablement simplement indifférentes aux désirs des paysans – mais de mon côté, je ne me soucie pas vraiment de savoir de quel côté ils penchent. Méchants ou indifférents, je ne veux pas qu’ils détruisent mon monde. Est-ce trop demander ?

Mon travail est de distribuer des poisons.
Ma condition est
La haine des formes biologiques.
On me traite de dérangé
Mais je suis le plus sain de tous.
On me traite de tueur impitoyable,
Un sadique, un robot, un roi.
Mais je ne suis qu’un perfectionniste.

Mon métier est distributeur de poisons.
Ma religion est
La haine des formes imprévisibles.
Mon poison vous trouvera
Dans les mots,
Dans l’eau que vous buvez,
Dans l’alimentation,
Dans l’air que vous respirez,
De cette façon ou d’une autre,
Il vous trouvera.

Mon travail est distributeur de poisons.
Un travail très concret.
Vous êtes le bienvenu.

Maintenant, examinons rapidement les zones qui, selon le plan du « Grand Reset », doivent être perturbées et complètement réaménagées. C’est un sujet gigantesque en soi, et je ne l’aborderai qu’en surface, en me concentrant particulièrement sur le langage utilisé et sur la manière dont il recoupe la « réponse à la pandémie ». Je vous encourage vivement à vous rendre sur le site du Forum économique mondial et à y jeter un coup d’œil.

État et gouvernance

Dans le nouveau monde, les pays existent toujours, mais ils obéissent tous à un ordre central. C’est « coopératif ». De nombreuses fonctions gouvernementales sont automatisées et déléguées à l’IA. Les décisions sont basées sur des données et des algorithmes. Il n’y a pas de vie privée, et il y a beaucoup plus de fluidité en ce qui concerne les migrations (donc malheureusement, le sentiment très humain d’être gentil avec les migrants qui est promu dans les médias n’est peut-être pas une question de gentillesse, ce qui est une déception pour moi personnellement). Il y a aussi une possibilité de remplacer les gouvernements humains par l’IA, mais pas immédiatement. Le raisonnement est simple : Pour que les super riches puissent gérer l’inventaire mondial, les gouvernements individuels doivent agir davantage comme des gestionnaires de niveau intermédiaire responsables devant les autorités internationales que comme des gouvernements fédéraux indépendants.

Vous vous rappelez comment les « magasins familiaux » ont été écartés du marché et remplacés par des chaînes de magasins ? Même chose ici, sauf que dans ce cas, ces « magasins du coin » sont des pays.

L’Amérique traditionnelle, aujourd’hui, s’y oppose fortement. Son habitude de la consommation généreuse et de la libre expression, sa politique étrangère égocentrique, son sentiment de droit et ses grandes maisons de banlieue sont une évidence. Une Amérique traditionnelle, indépendante et forte est un obstacle. Dans cette optique – et avec une mise en garde selon laquelle je ne pense pas qu’il existe un empire juste – j’ai le sentiment qu’il y a un effort actif pour « réduire l’Amérique », pour coopter son gouvernement, pour détruire les fermes et les petites entreprises – en particulier celles qui ne sont pas compatibles avec cet avenir entièrement numérique – et pour déchoir la classe moyenne qui y a droit, en particulier dans les carrières « dépassées ». On a l’impression que nous sommes actuellement en pleine « révolution colorée », un coup d’État en douceur. Habituellement, les élites américaines le font à d’autres nations, mais maintenant, cela se passe sur le sol national. On a l’impression que le programme du « Grand Reset », par ses messagers et par son argent, façonne à la fois la « réponse au Covid-19 » schizophrène et le mouvement « justice sociale / climat » soudainement généralisé et bien financé des super-entreprises, qui sont tous à ce stade entremêlés en termes de messages.

Tous deux prétendent promouvoir le bien public, et tous deux utilisent habilement des armes pour régler de vrais problèmes et faire monter en puissance des gens qui ont un réel amour de l’équité dans leur cœur – tout cela pour ouvrir la voie aux objectifs financiers des « grands resetters », tels que l’érosion complète de la vie privée (avec le traçage des contacts), le déplacement de toutes les activités humaines en ligne (eh bien, tout), l’application de la loi et la précriminalité basées sur l’IA (voir « définancer la police »), et ainsi de suite. Et oui, l’Amérique a de nombreux vrais problèmes. Mais ce n’est pas comme si les structures actuelles étaient remplacées par un conseil d’anciens indigènes sages et spirituellement ancrés qui sont profondément connectés à la Terre et qui ne blesseront aucune vie innocente. Ce que l’on tente – même si l’on dissimule mal le marketing – est bien pire, bien moins humain et bien plus destructeur que ce que nous avons aujourd’hui. Je n’aime pas cela.

La finance

C’est de la monnaie numérique, de la cryptographie et des paiements par téléphone portable tout le temps. Les citoyens doivent être totalement transparents et laisser une trace de tout ce qu’ils font, vous vous souvenez ?

La nourriture

Tout ce que je peux dire, c’est que j’espère que vous aimez la viande de cafard, parce que ça vient.

Remarques cyniques mises à part, le « futur de la nourriture » est un désastre. Les menteurs sur les chaises hautes ont le culot d’utiliser de bons mots comme « développement durable » mais il n’y a rien de durable dans cette chose. C’est du « Big Agro » sous stéroïdes, très toxique. Et, accessoirement, c’est aussi consommateur d’énergie car tous ces robots, capteurs et centres de données ne sont pas gratuits, mais qui compte.

De plus, les fermes d’aujourd’hui doivent disparaître. Non seulement les fâcheux fermiers traditionnels locaux sont en concurrence avec les aliments cultivés en laboratoire et les OGM brevetés, ainsi qu’avec les sols brevetés, mais ils prennent également la place nécessaire aux aires de loisirs de nos seigneurs, ainsi qu’aux parcs d’éoliennes et de panneaux solaires (qui prennent tous beaucoup de place, d’ailleurs). Et que savez-vous, peut-être que les rois veulent vraiment « conserver » certaines parcelles de la nature en la gardant libre de toute présence humaine. C’est leur inventaire, après tout, il est logique de bien l’entretenir.

Pas étonnant que la « réponse Covid-19 » frappe si durement les fermes, les obligeant à faire faillite…

Agriculture

Un nouveau rapport sur les citoyens du monde, publié par Navdanya, montre que derrière la bonne image de la Fondation Gates se cache une philosophie toxique de philanthro-capitalisme qui repose sur le rachat par les entreprises de nos semences, de notre agriculture, de notre alimentation, de nos connaissances et de la santé mondiale.

La cupidité de Bill Gates est l’une des personnes les plus riches de la planète et le fondateur de la plus grande organisation philanthropique au monde, la Fondation Bill et Melinda Gates. Un nouveau rapport sur les citoyens du monde, publié par Navdanya International, montre que derrière l’image de bon augure de la Fondation Gates se cache une entreprise toxique …

organicconsumers.org

L’éducation

En ligne.

Médecine

Télé-

Jusqu’à présent, tant en terme médecine qu’en terme d’éducation, nous sommes sur la bonne voie, grâce à la pandémie mondiale …

L’énergie

Celui-ci est intéressant. Parce que les combustibles fossiles, le diable du marketing actuel, sont vraiment mauvais. Il est vrai que l’extraction du pétrole est abusive pour la planète. Les déversements créent beaucoup de dégâts, et ils se produisent tout le temps. Les barons du pétrole sont des bandits. Les gens qui vivent à proximité des raffineries tombent malades. Le plastique, qui provient du pétrole, pollue tout, des océans à nos estomacs et à nos poumons. Cependant, les combustibles fossiles sont également la seule source d’énergie – en dehors du nucléaire – qui soit actuellement capable de soutenir les niveaux de consommation de la population mondiale. De plus, si vous regardez sous le capot du « vert », ce n’est pas si vert que ça, à moins que nous parlions de la couleur de l’argent. Les panneaux solaires prennent beaucoup d’espace, ils se dégradent rapidement et se transforment en amas toxiques.

solar power

Retour à la nature @backt0nature

Une ferme solaire étonnante

Les éoliennes prennent également beaucoup de place et ont leurs propres problèmes. Elles sont toutes deux très dépendantes du temps et ne fournissent pas suffisamment d’énergie. Il est également à noter que le récent film de Michael Moore, « Planète des Humains », qui explorait certains des aspects pas si verts de l’« énergie verte » et faisait la lumière sur une partie de la corruption du mouvement environnemental, a été attaqué par les leaders écologistes de manière vicieuse et si uniforme que le film a été retiré des principales plateformes et a en quelque sorte disparu de l’attention du public.

Quoi qu’il en soit, que se passera-t-il si les combustibles fossiles disparaissent ? Au fait – et c’est un point important – je ne suis pas convaincu que les « resetters » aient l’intention de faire disparaître les combustibles fossiles. Je pense que nous pourrions envisager un acte de repositionnement de l’image de marque. Jusqu’à récemment, je pensais qu’ils voulaient vraiment « démanteler » les combustibles fossiles, mais j’ai ensuite examiné la « technologie climatique » et maintenant je pense que les choses sont plus complexes, que cela pourrait être une manœuvre géopolitique stratégique. Je ne sais pas. Il existe des chevauchements technologiques particuliers entre les combustibles fossiles et l’énergie « verte », mais le temps nous le dira. En tout cas, s’ils disparaissent ou font semblant de disparaître, nous découvrirons rapidement que l’éolien et le solaire ne sont pas à la hauteur – et nous rencontrerons alors notre nouveau roi de l’énergie « verte », la fusion nucléaire, oui !!.

Quand cela arrivera, notre ami, le célèbre philanthro-capitaliste, viendra à notre secours. Il est très investi dans les réacteurs à fusion nucléaire – en fait, son projet préféré, selon lui. (En fait, il se trouve qu’il est très impliqué dans à peu près tous les points de la liste « Grand Reset », quel génie des affaires il est). Mais attendez, pour rendre l’intrigue encore plus intéressante, l’OMS, qui bénéficie bien sûr de son généreux financement, s’est donné beaucoup de mal dans le passé pour minimiser le bilan sanitaire d’incidents nucléaires tels que Tchernobyl et Fukushima.

Parlant d’énergie et de finances, parlons de « capital humain ». Dans le nouveau monde, le « capital humain » n’est pas seulement une métaphore pour les ressources humaines ou le travail. Microsoft, par exemple, a déposé un brevet pour une méthode permettant de transformer le comportement humain en crypto-monnaie, ce qui se fait grâce à un dispositif non spécifié couplé à un serveur qui enregistre l’activité du corps et « mine » la crypto. Puisque dans le cadre de la Nouvelle Normalité, le numérique et la cryptographie sont censés devenir courants, cela ressemble étrangement à un outil qui peut être utilisé à la fois pour contrôler étroitement le comportement des pauvres qui peuvent en dépendre pour leurs revenus et pour miner littéralement les corps des personnes dépendantes de l’aide sociale / recevant un revenu de base pour l’énergie (qui, soit dit en passant, est une chose réelle, croyez-le ou non).

En outre, ce brevet pourrait potentiellement être utilisé pour créer un nouvel instrument financier car, si elles sont exploitées pour l’énergie, ces personnes deviennent des « actifs » qui pourraient éventuellement être regroupés dans des portefeuilles virtuels et échangés virtuellement. Vous voyez comme c’est peaufiné ? Maintenant, nous parlons de véritable servage ! Et oui, cela fait très science-fiction, mais n’oublions pas que certains « visionnaires » milliardaires ne pensent pas comme les gens normaux, ou alors les travailleurs des entrepôts d’Amazon ne porteraient pas des couches pour sauter les pauses toilettes. N’oublions pas non plus qu’aujourd’hui, il y a des échanges d’objets très théoriques ainsi que des paris sur la météo. Beaucoup d’argent dans ce monde est gagné sur des choses étranges et arbitraires !

En parlant de la météo, le « Grand Reset » légitime également l’atrocité dangereuse et envahissante de la géo-ingénierie, et la rend potentiellement « cool » et « salvatrice », tout comme le font certains livres blancs sur le « mouvement pour le changement climatique ». J’ai remarqué cela et j’ai fait le deuil de ce fait il y a quelques années, en criant sur tous les toits à quel point c’était le bordel. Pulvériser de la merde toxique dans l’air, c’est cool et « vert » ? Quel acte de tromperie linguistique.

Un mot aussi sur le carbone. Je ne vais pas entrer dans le vif du sujet parce que l’article est déjà long, mais il semble que, quelle que soit l’histoire du carbone à sa naissance, elle s’est transformée en un outil permettant de créer un marché à partir de rien, et un tas d’instruments financiers permettant de gagner de l’argent, également à partir de rien. Prenez par exemple ce plan, soutenue par Gates et quelques géants du pétrole. Ce que je préfère, c’est qu’une fois le dioxyde de carbone éliminé de l’atmosphère à l’aide d’un cocktail de produits chimiques, l’une des façons de stocker le butin est de brûler un bouquet d’arbres (pardon, « biomasse »). Oui, c’est tout à fait logique, car qui peut gagner de l’argent en laissant simplement les arbres tranquilles et en les laissant faire le travail, gratuitement ? Quel genre d’idiot permettrait cela ?

Je voudrais également souligner le fait que lorsqu’il est stocké, il l’est en profondeur, comme jamais auparavant. (Que font les processus internes de la planète ? Quelqu’un a-t-il bien réfléchi à la question ?) Il faut aussi construire des pipelines pour transporter le dioxyde de carbone d’un endroit à l’autre, un peu comme on transporte du pétrole. Et enfin, le captage et le stockage du carbone sont incroyablement gourmands en énergie, et cette énergie provient de… combustibles fossiles ? Du nucléaire ? D’éoliennes qui doivent alors occuper la moitié de la surface de la planète ? Oh je ne sais pas… Et en parlant de langage, l’objectif n’est pas « Zero Carbon Emissions », mais « Net Zero Carbon Emissions », ce qui signifie que nous pouvons continuer à polluer, et ensuite construire une nouvelle industrie lucrative par-dessus, tout en créant un nouveau type de pollution. En d’autres termes, les affaires comme d’habitude…

Par ailleurs, alors que nous sommes sur le thème du « développement durable vert », la construction de technologies et d’infrastructures de surveillance – qui sont toutes extrêmement consommatrices d’énergie, sans parler des déchets – ne va-t-elle pas à l’encontre de l’idée écologique ? J’y ai pensé il y a quelque temps lorsque j’ai lu, avec beaucoup d’enthousiasme au début, le texte de la proposition de loi sur le Green New Deal.  justice oui !! … droits des indigènes, oui !! … attendez … des réseaux électriques « intelligents » ? N’est-ce pas exactement ce que veut la Big Tech, et cela n’implique-t-il pas un besoin de capteurs intelligents qui viennent avec plus d’infrastructures et de satellites, plus de tours, une perte de vie privée, et un nouveau type de pollution sans fil produisant des effets non testés sur la santé ? Cela m’a empêché d’avancer et m’a obligé à me pencher sur diverses initiatives « vertes » et, par conséquent, à découvrir divers squelettes dans le placard. Et puis je suis tombé par hasard sur le travail de Cory Morningstar, et je me suis dit : « ouahh ! Mon instinct était bon, ce n’est pas exactement ce qu’il semble ! »

Voilà une belle transition vers la façon dont le récit de la « crise sanitaire mondiale » s’inscrit dans le « Grand Reset ».

Tout d’abord, quelques notes de ménage.

Comme je l’ai déjà dit, le « Grand Reset » est un plan extrêmement ambitieux de restructuration de l’économie mondiale – et de la notion même de ce que signifie être en vie. (Est-ce qu’un zombie poussé par l’IA dont la prise de décision est externalisée est vraiment vivant ?) Sans une population qui coopère, cette réforme économique et religieuse ambitieuse ne peut pas réussir.

Quelle est la meilleure façon de faire coopérer la population à cette très étrange réforme ? C’est la peur, car les promesses de plaisir ne suffisent pas pour réaliser un changement aussi massif et bizarre. Il faut donc que ce soit la peur et le stress, que ce soit à cause d’un ennemi extérieur, d’une perspective de catastrophe naturelle ou d’une maladie.

N’oublions pas qu’avant 2020, il y a déjà eu un récit de la peur très coûteux, soutenu par plus ou moins les mêmes acteurs qui font maintenant pression pour le « Grand Reset ». Je parle bien sûr du récit militarisé du « changement climatique ». Et alors qu’il y a de nombreux problèmes environnementaux qui doivent être résolus dès que possible, le mouvement des entreprises en faveur du « changement climatique » s’est étrangement concentré sur des messages qui coïncident grosso modo avec ceux de la campagne pour le « Grand Reset », servant leurs objectifs financiers – et les trajectoires de financement se chevauchent également. Il semble donc que les intérêts financiers derrière la campagne du « Grand Reset » aient d’abord essayé d’utiliser le « mouvement climatique », mais cela n’a pas généré les niveaux de peur souhaités assez rapidement. Les gens ne s’en sont pas suffisamment souciés. J’ai personnellement suivi une formation et je connais bien l’« organisation » et les astuces de programmation neurolinguistique qui sont censées rendre le public très inquiet au sujet du climat. Le message est très bien pensé et bénéficie d’un généreux soutien financier, ce n’est pas un mouvement hippie de base – même si beaucoup de personnes y mettent sincèrement du leur. Tout comme les témoins de Jéhovah de la base qui frappent à votre porte peuvent être extrêmement sincères.

En tant qu’être humain, je ne fais confiance à aucune entité qui, froidement et de manière calculée, essaie de me faire peur et de déclencher une réaction de stress. Les personnes que j’ai écoutées ne semblaient pas elles-mêmes très effrayées. Ils étaient bien nourris, de classe moyenne, et pas sous-employés. Ils n’avaient pas peur d’être arrêtés lors d’une manifestation – et en fait ils ont cherché à être arrêtés, sans aucune crainte pour leur futur emploi. Après avoir vu cela, j’ai commencé à poser des questions sur les raisons pour lesquelles ils voulaient que j’aie peur, et sur ce qu’ils voulaient que je fasse. Lorsque j’ai commencé à poser des questions et à faire des recherches, il s’est avéré que la trajectoire des « solutions » comprenait des choses comme les réseaux intelligents, les voitures électriques (qui ne sont pas écologiques à distance) et la géo-ingénierie. Cela, pour moi, n’était pas acceptable. Cela signifiait également qu’ils ne respectaient pas vraiment la planète, car s’ils le faisaient, ils ne voudraient pas coller des tours partout ou pulvériser des saletés dans l’atmosphère pour bloquer le soleil. Maintenant, il est très possible que le mouvement environnemental ait été bon et honnête lorsqu’il a commencé – mais une grande partie a été détournée depuis, d’une manière très furtive où les gens sur le terrain ne se rendent même pas compte qui ils servent. Et encore une fois, permettez-moi de répéter : il y a un besoin énorme de vraie durabilité, c’est juste que les mesures pratiques qu’implique le langage codé du marketing ne sont pas du tout durables !

En tout cas, le fait d’effrayer les gens avec le récit officiel de l’urgence climatique a certainement créé une vague dans la conscience des gens et un certain degré d’anxiété environnementale, en particulier dans la Génération Z – mais cela n’a pas suffi à paralyser ou à mobiliser. Mais lorsque le virus est apparu, comme par magie, les choses ont commencé à se mettre en place rapidement – ce qui était impensable auparavant. Non, je ne dis pas que le virus n’est pas réel. Et je ne fais aucune déclaration définitive sur son origine ou sur la façon dont il est apparu. J’ai mes théories, mais il y a des choses que je ne peux pas savoir et que je ne peux pas changer. Mais ce que je sais, c’est que la réaction a été absurde, sans précédent, et étrangement conforme aux mesures qui étaient déjà à l’ordre du jour. En parlant d’urgence, Woodstock s’est produit pendant une grande pandémie…

Voyons donc

Avons-nous déplacé avec force la plupart des activités – telles que l’éducation, la médecine, le shopping, le sexe et les loisirs – en ligne pour l’instant, alors que nous travaillons à « numériser » le monde physique, pour faciliter le suivi et la surveillance ?

Validé.

Avons-nous, malgré le confinement des paysans en col blanc, poursuivi les travaux de construction, y compris la construction très robuste de nouvelles structures de télécommunications et d’antennes cellulaires, nécessaires pour soutenir l’Internet des Objets ?

Validé.

Avons-nous réussi à presque détruire les moyens de subsistance de nombreux agriculteurs indépendants qui étaient en concurrence avec nos nouveaux produits « comestibles », et aussi à perturber les chaînes d’approvisionnement alimentaire traditionnelles ?

Validé.

Avons-nous également réussi à détruire un bon nombre de petites entreprises locales ?

Bien sûr !

Les salles de concert et les théâtres ?

C’est certain.

Travaillons-nous à remplacer les services répressifs par l’IA ?

Bien sûr ! Définancez ! Définancez ! Définancez !

Essayons-nous de légitimer l’érosion complète de la vie privée et l’accès facile aux données de santé privées ?

Oui ! Parce qu’il y a urgence sanitaire.

Sommes-nous sur la bonne voie lorsqu’il s’agit de suivre chaque mouvement de chaque personne ?

Traçage des contacts, oui ! Mais certains pays sont encore à la traîne.

Une carte d’identité médicale numérique est-elle désormais exigée pour les voyages internationaux ?

Oui, le Common Pass est en ligne !

Avons-nous réussi à perturber les procédures politiques et juridiques et à créer le chaos ?

Oui, Monsieur !

Plus important encore, avons-nous réussi à perturber la pensée et les relations humaines au point que nous, le robot, l’agresseur, sommes maintenant le seul ami de tout le monde ?

Nous y travaillons encore, mais nous sommes proches.

Sommes-nous en bonne voie de préparer les gens à un large déploiement de vêtements intelligents ?

Oui. Portez votre masque.

Contrôlons-nous légalement la vie sexuelle des gens ?

Oui !

En parlant de cela, le contrôle par l’État du corps et de la sexualité des gens est un signe classique de réforme religieuse. Chaque fois que cela se produit, faites attention.

Ou alors, prenons des mesures d’enfermement, par exemple. Le confinement et les restrictions de mouvement et de contact physique sont d’excellents outils de modification du comportement – et la modification du comportement, également connue sous le nom d’ingénierie sociale, est certainement une forme d’art très respectée parmi les puissants. Un ingénieur social qui se respecte planifie dix étapes à l’avance et crée des situations dans lesquelles les cibles demandent les changements souhaités ! Je postule qu’actuellement, nous sommes soumis à une danse Sado&Maso involontaire. Nous sommes au milieu d’un rituel destiné à créer un sentiment de confusion, d’insécurité et de dépendance – qui sera finalement résolu par nos maîtres, ce dont nous serons très reconnaissants car nous voudrons juste que la tension insupportable soit résolue. Déjà, beaucoup ont développé le syndrome de Stockholm, se mettant du côté de l’agresseur. Les mesures sont totalement arbitraires – mais peu importe, on attend de nous que nous nous y pliions et que nous acceptions que nos souffrances et nos privations soient pour notre propre bien. Cela fait de nous une « meilleure personne ».

Aux yeux d’un psychopathe, il n’y a pas de joie.

Aux yeux d’un esclave, il y a acceptation d’un étrange sentiment d’engourdissement là où l’âme se trouvait auparavant.

Où allons-nous à partir de là ?

Pour ma part, je ne pense pas que nous devrions accepter l’obscurité. Je pense que notre meilleure option est d’insister sur la dignité et de trouver notre cœur. Nos cœurs nous diront quoi faire ensuite.

Tessa Lena

Liens et références

Histoire
Finance
Gouvernance
Modification du comportement
Alimentation et agriculture

https://ieep.eu/news/how-to-deliver-on-the-eu-farm-to-fork-s-protein-transition-objectiveshttps://interestingengineering.com/the-explosion-of-insect-proteinhttps://www.cnbc.com/2020/02/14/bug-protein-how-entrepreneurs-are-persuading-americans-to-eat-insects.htmlhttps://www.ibm.com/blockchain/solutions/food-trust

Éducation

Énergie et environnement
Reconstruire en mieux

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




La « Grande Réinitialisation » de Davos arrive

[Source : Réseau International]

par F. William Engdahl.

Pour ceux qui se demandent ce qui va se passer maintenant que la « pandémie » de Covid19 a pratiquement paralysé toute l’économie mondiale, propageant la pire dépression depuis les années 1930, les dirigeants de la plus grande ONG mondialiste, le Forum Économique Mondial de Davos, viennent de dévoiler les grandes lignes de ce à quoi nous pouvons nous attendre. Ces personnes ont décidé d’utiliser cette crise comme une opportunité.

Le 3 juin dernier, le Forum Économique Mondial de Davos (FEM) a dévoilé, via son site web, les grandes lignes de son prochain forum qui se tiendra en janvier 2021. Ils l’appellent « La Grande Rréinitialisation ». Il s’agit de profiter de l’impact stupéfiant du coronavirus pour faire avancer un agenda très spécifique. Il est à noter que cet agenda s’inscrit parfaitement dans un autre agenda bien précis, à savoir l’Agenda 2030 des Nations Unies de 2015. Le paradoxe du plus important forum mondial de grandes entreprises, celui qui a fait avancer l’agenda de mondialisation des entreprises depuis les années 1990 et qui adopte maintenant ce qu’ils appellent le développement durable, est énorme. Cela nous donne un indice que cet agenda ne correspond pas tout à fait à ce que le FEM et ses partenaires affirment.

La Grande Réinitialisation

Le 3 juin, le Président du FEM, Klaus Schwab, a publié une vidéo annonçant le thème annuel pour 2021, « La Grande Réinitialisation ». Il semble qu’il ne s’agisse de rien de moins que de promouvoir un programme global de restructuration de l’économie mondiale selon des lignes très spécifiques, qui ne ressemblent étonnamment pas à celles préconisées par le GIEC, par la Suédoise Greta et ses amis du monde des affaires comme Al Gore ou Larry Fink de Blackwater.

Il est intéressant de noter que les porte-parole du FEM situent la « réinitialisation » de l’économie mondiale dans le contexte du coronavirus et de l’effondrement de l’économie industrielle mondiale qui en découle. Le site web du FEM déclare : « Il y a de nombreuses raisons de poursuivre une grande réinitialisation, mais la plus urgente est le COVID-19 ». La Grande Réinitialisation de l’économie mondiale découle donc du covid19 et de « l’opportunité » qu’il représente.

En annonçant le thème de 2021, le fondateur du FEM, Schwab, a ensuite déclaré, en changeant habilement l’ordre du jour : « Nous n’avons qu’une seule planète et nous savons que le changement climatique pourrait être la prochaine catastrophe mondiale avec des conséquences encore plus dramatiques pour l’humanité« . Le sous-entendu est que le changement climatique est la raison sous-jacente de la catastrophe de la pandémie de coronavirus.

Pour souligner son programme vert « durable », le FEM accueille ensuite le futur roi d’Angleterre, le prince Charles. Se référant à la catastrophe mondiale du covid19, le prince de Galles déclare : « S’il y a une leçon essentielle à tirer de cette crise, c’est que nous devons placer la nature au cœur de notre fonctionnement. Nous ne pouvons tout simplement pas perdre plus de temps ». Aux côtés de Schwab et du Prince se trouve le Secrétaire Général de l’ONU, Antonio Guterres. Il déclare : « Nous devons construire des économies et des sociétés plus égales, plus inclusives et plus durables, qui soient plus résistantes face aux pandémies, au changement climatique et aux nombreux autres changements mondiaux auxquels nous sommes confrontés ». Notez son discours sur les « économies et sociétés durables » – nous y reviendrons plus tard. La nouvelle Directrice du FMI, Kristalina Georgieva, a également approuvé « La Grande Réinitialisation ». Parmi les autres reinitialisateurs du FEM, citons Ma Jun, Président du Comité des Finances Vertes de la Société Chinoise de Finance et de Banque et membre du Comité de Politique Monétaire de la Banque Populaire de Chine ; Bernard Looney, PDG de BP ; Ajay Banga, PDG de Mastercard ; Bradford Smith, Président de Microsoft.

Ne vous y trompez pas, la Grande Réinitialisation n’est pas une idée impulsive de Schwab et ses amis. Le site web du FEM déclare : « Les confinements du COVID-19 s’atténuent peut-être progressivement, mais l’anxiété concernant les perspectives sociales et économiques du monde ne fait que s’intensifier. Il y a de bonnes raisons de s’inquiéter : un fort ralentissement économique a déjà commencé, et nous pourrions être confrontés à la pire dépression depuis les années 1930. Mais, si cette issue est probable, elle n’est pas inévitable ». Les promoteurs du FEM ont de grands projets : « Le monde doit agir conjointement et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail. Chaque pays, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être transformée. En bref, nous avons besoin d’une « Grande Réinitialisation » du capitalisme« . C’est énorme.

Des changements radicaux

Schwab nous en dit plus sur l’agenda à venir : « Un des points positifs de la pandémie est qu’elle a montré à quelle vitesse nous pouvons apporter des changements radicaux à nos modes de vie. Presque instantanément, la crise a forcé les entreprises et les particuliers à abandonner des pratiques longtemps considérées comme essentielles, depuis les voyages aériens fréquents jusqu’au travail au bureau ». Ce sont censés être des points positifs ?

Il suggère que ces changements radicaux soient prolongés : « L’agenda de la Grande Réinitialisation aurait trois axes principaux. Le premier orienterait le marché vers des résultats plus équitables. À cette fin, les gouvernements devraient améliorer la coordination… et créer les conditions d’une « économie des parties prenantes… » Elle comprendrait « des modifications de l’impôt sur la fortune, la suppression des subventions aux combustibles fossiles et de nouvelles règles régissant la propriété intellectuelle, le commerce et la concurrence« .

Le deuxième volet de l’Agenda de la Grande Réinitialisation garantirait que « les investissements fassent progresser les objectifs communs, tels que l’égalité et la durabilité ». Ici, le chef du FEM déclare que les récents budgets de relance économique énormes de l’UE, des États-Unis, de la Chine et d’ailleurs doivent être utilisés pour créer une nouvelle économie, « plus résistante, équitable et durable à long terme ». Cela signifie, par exemple, la construction d’infrastructures urbaines « vertes » et la création d’incitations pour les industries afin d’améliorer leurs résultats en matière de mesures environnementales, sociales et de gouvernance« .

Enfin, la troisième étape de cette Grande Réinitialisation consistera à mettre en œuvre l’un des projets favoris de Schwab, la quatrième révolution industrielle : « La troisième et dernière priorité de l’Agenda de la Grande Réinitialisation est d’exploiter les innovations de la quatrième révolution industrielle pour soutenir le bien public, notamment en relevant les défis sanitaires et sociaux. Pendant la crise du COVID-19, des entreprises, des universités et d’autres ont uni leurs forces pour développer des diagnostics, des thérapies et d’éventuels vaccins, établir des centres d’essai, créer des mécanismes de traçage des infections et fournir des services de télémédecine. Imaginez ce qui pourrait être possible si des efforts concertés similaires étaient déployés dans tous les secteurs« . La quatrième révolution industrielle comprend les biotechnologies d’édition de gènes, les télécommunications 5G, l’intelligence artificielle, etc.

L’Agenda 2030 des Nations unies et la Grande Réinitialisation

Si nous comparons les détails de l’Agenda 2030 de l’ONU de 2015 avec la Grande Réinitialisation du FEM, nous constatons que les deux s’accordent très bien. Le thème de l’Agenda 2030 est un « monde durable », c’est-à-dire un monde où règnent l’égalité des revenus, l’égalité des sexes, les vaccins pour tous, sous l’égide de l’OMS et de la Coalition pour les Innovations en matière de Préparation aux Épidémies (CEPI), qui a été lancée en 2017 par le FEM en collaboration avec la Fondation Bill & Melinda Gates.

En 2015, les Nations Unies ont publié un document intitulé « Transformer notre monde : l’Agenda 2030 pour le Développement Durable ». L’administration Obama ne l’a jamais soumis au Sénat pour ratification, sachant que ce serait un échec. Pourtant, il est en train d’être mis en œuvre à l’échelle mondiale. Il comprend 17 objectifs de développement durable, prolongeant ainsi un Agenda21 antérieur. Les 17 objectifs incluent « mettre fin à la pauvreté et à la faim, sous toutes leurs formes et dimensions… protéger la planète de la dégradation, notamment par une consommation et une production durables, en gérant de manière durable ses ressources naturelles et en prenant des mesures urgentes pour lutter contre le changement climatique… Il appelle à une croissance économique durable, à une agriculture durable (OGM), à une énergie durable et moderne (éolienne, solaire), à des villes durables, à une industrialisation durable… Le mot durable est le mot clé. Si nous creusons un peu plus, il est clair qu’il s’agit d’un mot de code pour une réorganisation de la richesse mondiale par des moyens tels que des taxes punitives sur le carbone qui réduiront considérablement les voyages en avion et en voiture. Le monde moins développé ne s’élèvera pas au niveau des pays développés, mais à l’inverse, les civilisations avancées doivent voir leur niveau de vie baisser pour devenir « durables ».

Maurice Strong

Pour comprendre le double langage de la durabilité, il faut remonter à Maurice Strong, un pétrolier canadien milliardaire et ami proche de David Rockefeller, l’homme qui a joué un rôle central dans les années 1970 pour l’idée que les émissions de CO2 dues à l’homme rendaient le monde non durable. Strong a créé le Programme des Nations Unies pour l’Environnement et, en 1988, le Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC) pour étudier exclusivement l’émission de CO2 provoquée par les humains.

En 1992, Strong a déclaré : « Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-ce pas notre responsabilité d’y parvenir ? » Au Sommet de la Terre de Rio, Strong a ajouté la même année : « Les modes de vie et de consommation actuels de la classe moyenne aisée – impliquant une consommation élevée de viande, l’utilisation de combustibles fossiles, d’appareils électroménagers, d’air conditionné et de logements de banlieue – ne sont pas durables« .

La décision de diaboliser le CO2, l’un des composés les plus essentiels à la survie de toute vie, humaine et végétale, n’est pas le fruit du hasard. Comme le dit le Professeur Richard Lindzen, physicien de l’atmosphère au MIT, « le CO2 a des attraits différents pour chaque personne. Après tout, qu’est-ce que c’est ? – Ce n’est pas un polluant, c’est le produit de la respiration de chaque créature vivante, c’est le produit de la respiration de toutes les plantes, c’est essentiel pour la vie des plantes et la photosynthèse, c’est le produit de toutes les combustions industrielles, c’est le produit de la conduite automobile – je veux dire, si jamais vous vouliez un point de levier pour tout contrôler, de l’expiration à la conduite automobile, ce serait un rêve. C’est donc une sorte d’attrait fondamental pour la mentalité bureaucratique« .

N’oublions pas que l’exercice de New York sur les pandémies, l’événement 201 du 18 octobre 2019, a été curieusement bien planifié et coparrainé par le Forum Économique Mondial et la Fondation Gates. Il était basé sur l’idée que « ce n’est qu’une question de temps avant qu’une de ces épidémies ne devienne mondiale – une pandémie aux conséquences potentiellement catastrophiques. Une pandémie grave, qui devient « l’Evénement 201″, nécessiterait une coopération fiable entre plusieurs industries, gouvernements nationaux et institutions internationales clés ». Le scénario de l’Événement 201 prévoyait « l’apparition d’un nouveau coronavirus zoonotique transmis de la chauve-souris au porc et à l’homme, qui finit par se transmettre efficacement d’homme à homme, entraînant une grave pandémie ». L’agent pathogène et la maladie qu’il provoque sont largement inspirés du SRAS, mais il est plus transmissible dans le cadre communautaire par des personnes présentant des symptômes bénins« .

La déclaration du Forum Économique Mondial de faire une Grande Réinitialisation est à tout point de vue une tentative à peine voilée de faire avancer le modèle dystopique « durable » de l’Agenda 2030, un « New Deal vert » mondial dans le sillage des mesures de lutte contre la pandémie de Covid19. Leurs liens étroits avec les projets de la Fondation Gates, avec l’OMS et avec les Nations Unies laissent penser que nous pourrions bientôt être confrontés à un monde bien plus sinistre après la fin de la pandémie de Covid19.

source : https://journal-neo.org

traduit par Réseau International




La « Réinitialisation mondiale » (« Global Reset ») – Désactivée. « L’État profond ».

[Source : Mondialisation.ca]

Par Peter Koenig

Imaginez, vous vivez dans un monde dans lequel on vous dit qu’il est une démocratie – et vous pouvez même le croire – mais en fait votre vie et votre destin sont entre les mains de quelques oligarques ultra-riches, ultra-puissants et ultra-inhumains. Ils peuvent être appelés État profond, ou simplement « la Bête », ou n’importe quoi d’autre d’obscur ou d’introuvable – peu importe. Ils sont inférieurs à 0,0001%.

Faute d’une meilleure expression, appelons-les pour l’instant les « individus obscurs » (“obscure individuals”).

Ces « individus obscurs » qui prétendent diriger notre monde n’ont jamais été élus. Nous n’avons pas besoin de les nommer. Vous découvrirez qui ils sont, et pourquoi ils sont célèbres, et certains d’entre eux totalement invisibles. Ils ont créé des structures, ou des organismes sans aucun format légal. Ils agissent totalement hors de la légalité internationale. Ils sont à l’avant-garde de « la Bête ». Il y a peut-être plusieurs « bêtes » en concurrence. Mais elles ont le même objectif : Un nouvel ordre mondial ou un seul ordre mondial (NWO, ou OWO).

Ces « individus obscurs » dirigent, par exemple, le Forum économique mondial (FEM – représentant la Grande industrie, la Grande finance et de Grande renommée), le Groupe des 7 – G7, le Groupe des 20 – G20 (les dirigeants des nations les plus « fortes » économiquement). Il existe également quelques entités de moindre importance, appelées la Société Bilderberg, le Conseil des relations étrangères (Council on Foreign Relations, CFR), Chatham House et d’autres encore.

Les membres de toutes ces entités se chevauchent. Et même ce front élargi représente moins de 0,001 %. Ils se sont tous superposés à des gouvernements nationaux souverains élus et constitutionnels, et à LA multinationale mondiale, les Nations unies, l’ONU.

En fait, ils ont coopté l’ONU pour faire leur travail. Les directeurs généraux de l’ONU, ainsi que les directeurs généraux des multiples sous-organisations de l’ONU, sont choisis pour la plupart par les États-Unis, avec le consentement de leurs vassaux européens – en fonction du profil politique et psychologique du candidat. Si sa « performance » à la tête de l’ONU ou de l’une de ses sous-organisations échoue, ses jours sont comptés. L’Union européenne, les organisations de Bretton Woods, la Banque mondiale et le FMI, ainsi que l’Organisation mondiale du commerce (OMC) – et – ne vous y méprenez pas – la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye, ont également été cooptés ou créés par la ou les « Bête(s) ». Elle n’a pas de pouvoir réel. Uniquement pour s’assurer que la loi est toujours du côté des hors-la-loi.

Outre les principales institutions financières internationales, la Banque mondiale et le FMI, il existe ce que l’on appelle les banques régionales de développement et autres institutions financières similaires, qui contrôlent les pays de leurs régions respectives.

 En fin de compte, c’est l’économie financière ou de la dette qui contrôle tout. Le banditisme néolibéral occidental a créé un système dans lequel la désobéissance politique peut être punie par l’oppression économique ou le vol pur et simple des biens nationaux dans les territoires internationaux. Le dénominateur commun de ce système est le dollar US (toujours) omniprésent.

Les « individus non élus »

La suprématie de ces « individus obscurs » non élus est de plus en plus évidente. Nous, « le Peuple », considérons qu’il est « normal » qu’ils prennent les décisions, et non pas ce que nous appelons – ou étions autrefois fiers d’appeler – nos nations souveraines et nos gouvernements souverainement élus. Ils sont devenus un troupeau de moutons obéissants. « La Bête » a progressivement et tranquillement pris le dessus. Nous n’avons pas remarqué. C’est la tactique du salami : vous le coupez tranche par tranche et quand le salami a disparu, vous vous rendez compte qu’il ne vous reste plus rien, que votre liberté, vos droits civils et humains ont disparu. À ce moment-là, il est trop tard. Le Patriot Act étasunien en est un bon exemple. Il a été préparé bien avant le 11 septembre. Une fois le 11 septembre « arrivé », le Patriot Act a été adopté par le Congrès en un rien de temps – pour la protection future du peuple – les gens l’ont réclamé par peur – et – bingo, le Patriot Act a privé environ 90% de la population étasunienne de sa liberté et de ses droits civils. Pour de bon.

Nous sommes devenus esclaves de « la Bête ». « La Bête » décide de l’essor ou de l’effondrement de nos économies, de qui devrait être endetté, quand et où une pandémie devrait éclater, et des conditions de survie à la pandémie, par exemple le confinement social. Et pour couronner le tout, les instruments que « la Bête » utilise, très astucieusement, sont un minuscule ennemi invisible, appelé virus, et un monstre énorme mais aussi invisible, appelé LA PEUR. Cela nous empêche d’aller dans la rue, de retrouver nos amis, d’aller au théâtre, de faire du sport ou de pique-niquer dans le parc.

Bientôt, « la Bête » décidera qui vivra et qui mourra, littéralement – si nous la laissons faire. Ce n’est peut-être pas si loin. Une autre vague de pandémie et les gens pourraient ainsi supplier, crier et hurler pour obtenir un vaccin, pour sonner le glas et pour le super profit des grandes sociétés pharmaceutiques – et pour atteindre les objectifs des eugénistes qui parcourent ouvertement le monde – voyez ceci. Il est encore temps de dire NON collectivement. Collectivement et solidairement.

Prenez le dernier cas d’imposture flagrante. Comme par hasard, après le passage de la première vague de Covid-19, au moins dans le « Nord global », où se prennent les grandes décisions mondiales, au début du mois de juin 2020, le président non élu du FEM, Klaus Schwab, a annoncé « La grande Réinitialisation » (“The Great Reset”). Profitant de l’effondrement économique – le choc de la crise, comme dans « La doctrine du choc » – M. Schwab, un des leaders de « la Bête », annonce ouvertement ce que le FEM va discuter et décider pour le monde à venir lors de son prochain Forum de Davos en janvier 2021. Pour plus de détails, voir ceci.

Nous, le peuple, accepterons-nous l’ordre du jour des individus du FEM non élus ?

Le FEM se concentrera de manière opportune sur la protection de ce qui reste de la Terre Mère ; évidemment, au centre se trouvera le « Réchauffement climatique », basé sur le CO2 produit par l’humain. L’instrument de cette protection de la nature et de l’humanité sera l’Agenda 2030 des Nations unies – qui équivaut aux Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies. Il sera axé sur la manière de reconstruire l’économie mondiale délibérément détruite, tout en respectant les principes (« verts ») des 17 ODD.

Mais attention, tout est relié. Il n’y a pas de coïncidences. Le tristement célèbre Agenda 2021, qui coïncide avec et complète le soi-disant Agenda 2030 des Nations unies, sera dûment inauguré par la déclaration officielle du FEM de « The Great Reset », en janvier 2021. De même, la mise en œuvre de l’agenda de « The Great Reset » a commencé en janvier 2020, avec le déclenchement de la pandémie de coronavirus – prévue depuis des décennies, les derniers événements visibles étant le rapport Rockefeller de 2010 avec son « Lockstep Scenario » (le Scénario du verrouillage), et l’événement 201, du 18 octobre à New York qui a simulé par ordinateur une pandémie de coronavirus, laissant en 18 mois 65 millions de morts et une économie en ruine. Cela a été programmée quelques semaines seulement avant le lancement de la véritable pandémie de COVID-19.
Voir COVID-19, We Are Now Living the « Lock Step Scenario »,
voir en français La farce et l’agenda diabolique d’un «verrouillage universel» 
et ceci et ceci (et en français ceci).

Les émeutes raciales

Des émeutes raciales, initiées par le mouvement Black Lives Matter (financé par la Fondation Ford et l’Open Society Foundation de Soros), à la suite de l’assassinat brutal de l’Afro-Américain George Floyd par une bande de policiers de Minneapolis se sont répandues comme un feu de brousse en un rien de temps dans plus de 160 villes dans le monde, d’abord aux États-Unis, puis en Europe. Ces émeutes ne sont pas seulement liées à l’agenda de « la Bête », mais elles constituent une déviation bien commode de la catastrophe humaine provoquée par la  pandémie Covid-19. Voir aussi ceci.

Le plan infâme de « la Bête » pour mettre en œuvre ce qui se cache réellement derrière l’Agenda 2030 des Nations unies est l’Agenda ID2020 qui demeure méconnue du grand public. Voir La pandémie du coronavirus COVID-19 : Le vrai danger est « l’Agenda ID2020 ». Cet agenda a été créé et financé par le gourou de la vaccination Bill Gates, tout comme la GAVI (Global Alliance for Vaccines and Immunizations), l’association des grandes entreprises pharmaceutiques – qui a participé à la création des vaccins coronavirus et qui finance avec la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) une part importante du budget de l’OMS

La « Grande réinitialisation » (« Great Reset »), telle qu’annoncée par Klaus Schwab du FEM, est censée être mise en œuvre par l’Agenda ID2020. C’est plus que ce que l’on pourrait croire. L’Agenda ID2020 est même intégré aux SDG, puisque la SDG 16.9 « d’ici 2030, fournira une identité légale [numérique] pour tous, y compris l’enregistrement gratuit des naissances« . Cela s’inscrit parfaitement dans l’objectif global de la SDG 16 : « Promouvoir des sociétés pacifiques et inclusives pour un développement durable, fournir un accès à la justice pour tous et mettre en place des institutions efficaces, responsables et inclusives à tous les niveaux ».

Suivant la voie officielle de l’Agenda 2030 des Nations unies pour la réalisation des SDG, l’Agenda ID2020 « mise en oeuvre » – qui est actuellement testé sur des écoliers au Bangladesh – fournira des cartes d’identité numérisées, éventuellement sous la forme de nanopuces implantées en même temps que les programmes de vaccination obligatoires, encouragera la numérisation de l’argent et le déploiement des 5G – qui seraient nécessaires pour télécharger et contrôler les données personnelles sur les nanopuces et pour contrôler la population. L’Agenda ID2020 inclura très probablement aussi des « programmes » – par la vaccination ? – de réduction significative de la population mondiale. L’eugénisme est une composante importante du contrôle de la population mondiale future dans le cadre d’un NOW / OWO – voir aussi Georgia Guidestones, mystérieusement construit en 1980.

L’élite dirigeante a utilisé le confinement comme instrument pour mener à bien ce programme. Sa mise en œuvre se heurterait naturellement à des protestations massives, organisées et financées selon les mêmes modalités que les protestations et manifestations du BLM. Il se peut qu’elles ne soient pas pacifiques – et qu’elles ne soient pas planifiées comme telles. En effet, pour contrôler la population aux États-Unis et en Europe, où l’on s’attendrait à la plupart des manifestations de la société civile, une militarisation totale de la population est nécessaire. Cela est en cours de préparation.

Dans son essai « The Big Plantation« , John Steppling rapporte, à partir d’un article de NYT, que

« Depuis 2006, un minimum de 93 763 mitrailleuses, 180 718 cartouches de chargeur, des centaines de silencieux et un nombre inconnu de lance-grenades ont été fournis aux services de police d’État et locaux aux États-Unis. Cela s’ajoute à au moins 533 avions et hélicoptères, et 432 MRAP – véhicules blindés de 9 pieds de haut, de 30 tonnes, protégés contre les embuscades et dotés de tourelles à canon et de plus de 44 900 pièces d’équipement de vision nocturne, régulièrement utilisés lors de raids nocturnes en Afghanistan et en Irak ».

Il ajoute que cette militarisation s’inscrit dans une plus vaste tendance. Depuis la fin des années 1990, environ 89 % des services de police étasuniens desservant des populations de 50 000 personnes ou plus disposaient d’une PPU (unité paramilitaire de police), soit près du double de ce qui existait au milieu des années 1980. Il appelle ces polices militarisées la nouvelle Gestapo.

Même avant la pandémie COVID-19, environ 15 à 20 % de la population se trouvait sur ou sous le seuil de pauvreté aux États-Unis. L’anéantissement économique post-covidien va au moins doubler ce pourcentage – et augmenter proportionnellement le risque de révoltes civiles et d’affrontements avec les autorités – ce qui renforce encore le raisonnement en faveur d’une force de police militarisée.

Le Crypto RMB chinois

Bien entendu, aucun de ces scénarios ne sera présenté au public par le FEM en janvier 2021. Il s’agit de décisions prises à huis clos par les acteurs clés de « la Bête ». Cependant, ce plan grandiose de la « Grande Réinitialisation » (« Great Reset ») ne va pas nécessairement se réaliser. La moitié au moins de la population mondiale et certains des pays les plus puissants, économiquement et militairement – comme la Chine et la Russie – y sont opposés. « Reset » peut-être oui, mais pas dans ces termes occidentaux. En fait, une réinitialisation de ce type est déjà en cours, la Chine étant sur le point de lancer une nouvelle monnaie cryptographique basée sur une chaîne de blocs, le RMB cryptographique, ou yuan. Il ne s’agit pas seulement d’une monnaie forte basée sur une économie solide, elle est également soutenue par l’or.

Alors que le président Trump continue de fustiger la Chine pour ses pratiques commerciales déloyales, pour sa mauvaise gestion de la pandémie de grippe (COVID-19), pour avoir volé des droits de propriété – une campagne sans fin contre la Chine -, pour avoir affirmé que la Chine dépend des États-Unis et que ces derniers vont couper les liens commerciaux avec la Chine – ou les couper complètement – la Chine appelle cela du bluff. La Chine se réoriente discrètement vers les pays de l’ANASE plus le Japon (oui, le Japon !) et la Corée du Sud, où le commerce représente déjà aujourd’hui environ 15 % de l’ensemble des échanges commerciaux de la Chine et devrait doubler au cours des cinq prochaines années.

Malgré le verrouillage et la perturbation des échanges commerciaux, les exportations globales de la Chine se sont rétablies avec une augmentation de 3,2 % en avril (par rapport à avril 2019). Cette performance globale des exportations chinoises s’est néanmoins accompagnée d’une baisse spectaculaire des échanges commerciaux entre les États-Unis et la Chine. Les exportations chinoises vers les États-Unis ont diminué de 7,9 % en avril (par rapport à avril 2019).

Il est clair que la grande majorité des industries étasuniennes ne pourraient pas survivre sans les chaînes d’approvisionnement chinoises. La dépendance occidentale à l’égard des fournitures médicales chinoises est particulièrement importante. Sans parler de la dépendance de la Chine à l’égard des consommateurs étasuniens. En 2019, la consommation totale des États-Unis, soit environ 70 % du PIB, s’élevait à 13,3 billions de dollars, dont une bonne partie est directement importée de Chine ou dépend des ingrédients provenant de Chine.

Les maîtres du FEM sont confrontés à un véritable dilemme. Leur plan dépend beaucoup de la suprématie du dollar qui continuerait à permettre l’application de sanctions et la confiscation des actifs des pays qui s’opposent à la domination des États-Unis ; une hégémonie du dollar qui permettrait d’imposer les composantes du programme « The Great Reset » (la Grande réinitialisation), comme décrit ci-dessus.

À l’heure actuelle, le dollar est une monnaie fiduciaire, une dette créée de toutes pièces. Il ne bénéficie d’aucun soutien. Par conséquent, sa valeur en tant que monnaie de réserve se dégrade de plus en plus, en particulier vis-à-vis du nouveau crypto-yuan de Chine. Afin de concurrencer le yuan chinois, le gouvernement étasunien devrait s’éloigner de son système monétaire Ponzi, en se séparant du Federal Reserve Act de 1913 et en imprimant sa propre monnaie de l’économie étasunienne et éventuellement de l’or (crypto) – et non pas de la monnaie fiduciaire de la FED, comme c’est le cas aujourd’hui. Cela impliquerait de couper les liens plus que centenaires avec la FED, propriété du clan Rothschild et Cie, et de créer une véritable banque centrale appartenant aux citoyens. Ce n’est pas impossible, mais grandement improbable. Ici, deux « bêtes » pourraient s’affronter, car une puissance mondiale est en jeu.

Pendant ce temps, la Chine, avec sa philosophie de création sans fin, continuerait d’avancer de façon imparable avec son gigantesque plan de développement socio-économique du 21e siècle, l’Initiative ceinture et route (la Nouvelle route de la soie) reliant la Chine au reste du monde avec des infrastructures de transport terrestre et maritime, avec des projets de recherche et industriels communs, des échanges culturels – et surtout, un commerce multinational (multinational trade) avec des caractéristiques « gagnant-gagnant », l’égalité pour tous les partenaires – vers un monde multipolaire, vers un monde avec un avenir commun pour l’humanité.

Aujourd’hui déjà, plus de 120 pays sont associés à l’ICR – et le projet en chantier est libre pour que d’autres pays s’y joignent – et pour défier, démasquer et « désactiver » la Grande réinitialisation (Great Reset) de l’Occident.

Peter Koenig


Article original en anglais :

Conspiracy Theory

The Global Reset – Unplugged. “The Deep State”, publié le 17 juin 2020.

Traduit par Maya pour Mondialisation

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[À propos de l’auteur]

Peter Koenig est économiste et analyste géopolitique. Il est également spécialiste des ressources en eau et de l’environnement. Il a travaillé pendant plus de 30 ans à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé dans le monde entier dans les domaines de l’environnement et de l’eau. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour Global Research, ICH, New Eastern Outlook (NEO), RT, Countercurrents, Sputnik, PressTV, The 21st Century, Greanville Post, Defend Democracy Press, The Saker Blog, et d’autres sites Internet. Il est l’auteur de Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l’environnement et la cupidité des entreprises – une fiction basée sur des faits et sur 30 ans d’expérience de la Banque mondiale dans le monde entier. Il est également co-auteur de The World Order and Revolution ! – Essais de la Résistance.
Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2020




Covid-19, élections américaines, confinement…et après, le Great Reset ?

[Source : Breizh-Info]

Si vous ne deviez actuellement vous renseigner que sur un sujet pour comprendre les enjeux autour du traitement de la question du Covid-19, des confinements à travers le monde, mais aussi des élections américaines et des conséquences qui en découleront, alors intéressez vous à la question du Great Reset, le grand Reset, donc nous avons déjà évoqué quelques concours ici.

Car le monde que certains appellent de leurs voeux est plutôt terrifiant, ne découle d’aucun complot mais de convergences d’intérêts entre des individus, des groupes, des entreprises, hauts placés, et doit absolument être décrypté.

C’est d’ailleurs ce que propose l’excellente lettre confidentielle Faits et Documents, dans ses trois derniers numéros que nous jugeons indispensables de posséder, de lire et de diffuser pour quiconque entend comprendre le monde qui vient.

La lettre confidentielle, fondée par Emmanuel Ratier et reprise avec brio par Xavier Poussard, est lue, y compris en très haut lieu, et sert de base de renseignements à de nombreux journalistes y compris de la presse mainstream, tant elle est précise, factuelle, incontestable.

Voici pour vous « mettre en appétit » ci-dessous, au sujet du Grand reset, le début du premier dossier que la lettre lui a consacré.

Qu’est ce que The Great Reset ?

Le 3 juin dernier, Klaus Schwab et le prince Charles annonçaient en grande pompe le lancement du Great Reset (« Grande Réinitialisation »), l’occasion pour le président du Forum économique mondial de présenter le Covid-19 comme « une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour repenser, réinventer et réinitialiser notre monde »

https://twitter.com/GaumontRene/status/1314304253696057349

S’affichaient, le 3 juin, aux côtés de l’héritier du trône britannique et du président du Forum économique mondial :

  • Antonio Guterres, ancien président de l’Internationale socialiste, ancien Haut-Commissaire des Nations unies pour les réfugiés, actuel secrétaire général de l’ONU. L’ONU est étroitement associée au Great Reset via les Objectifs du développement durable rassemblés en 2015 dans l’Agenda 2030.
  • Kristalina Georgieva, la directrice générale du FMI.
  • L’« économiste du climat » Nicholas Stern, membre de la commission économique installée par Emmanuel Macron à l’Élysée, membre du Conseil économique sur la santé de la planète de la Fondation Rockefeller. La famille Rockefeller a en effet joué un rôle primordial dans la réduction de l’écologie à la « décarbonation » et à la voiture électrique et ce, depuis le premier Sommet de la Terre et la publication du Rapport Meadows : les limites à la croissance (1972), jusqu’à l’accord de Paris sur le climat (2015) en passant par la création du GIEC (1988). C’est encore la Fondation Rockefeller, qui, dès 2010, a établi le « scénario narratif » de l’« étape verrouillage ».
  •  Ajaypal Singh Banga, PDG de Mastercard, membre du Council on Foreign Relations et de l’International Business Council du Forum économique mondial.
  • Bernard Looney, directeur général de BP.
  • Brad Smith qui représente Bill Gates, dont il est le successeur à la tête de Microsoft. Rappelons que le Forum économique mondial et la fondation Bill & Melinda Gates avaient coorganisé, en octobre 2019, Event 201, une étrange simulation autoréalisatrice de pandémie mondiale au coronavirus avant de lancer, dès le 23 janvier 2020, à l’occasion du forum de Davos, le programme mondial de vaccination (ARN messager). Coordonné par la Coalition pour les innovations en préparation aux épidémies (CEPI), ce programme est présidé par Richard Hatchett, qui se trouve être celui qui, au début des années 2000, a théorisé pour la première fois le confinement (lockdown) et la distanciation sociale (social distancing), alors qu’il officiait au sein de l’administration Bush Junior.
  • Le démocrate « nobélisé » Al Gore et l’ancien secrétaire d’État John Kerry, qui copréside le groupe de travail sur le changement climatique de Joe Biden, ont également soutenu publiquement cet agenda, appuyé par l’OCDE via un rapport intitulé Reconstruire en mieux : une reprise durable et résiliente après le COVID-19.
  • Représentée par son ministre des Finances Mohammed Al-Jadaan, l’Arabie saoudite, qui assure cette année la présidence du G20, participe également au Great Reset, via le projet Saoudi Vision 2030.
  • La Chine est représentée par Ma Jun, président du Comité de la finance verte et membre du Comité de la politique monétaire de la Banque populaire de Chine.

Intitulé COVID-19 : The Great Reset, ce plan de « réinitialisation du monde » a été publié au début de l’été 2020 par le Forum économique mondial chez Forum Publishing.

Il est cosigné par Klaus Schwab, par ailleurs membre du conseil international du Centre Peres pour la paix (sionisme) et ancien membre du comité de pilotage du Groupe Bilderberg (mondialisme), et par son bras droit, le consultant Thierry Malleret. Également connu sous le pseudonyme de Milton Peel, marié à l’ancienne assistante du prince Charles, Thierry Malleret est un consultant financier (The Monthly Barometer, IJ Partners, Rainbow Insight), spécialiste de la Russie qui a officié successivement au cabinet militaire de Jacques Chirac à Matignon, à la BERD auprès de Jacques Attali, puis comme principal conseiller de l’oligarque russo-israélien Mikhaïl Fridman en qualité de chef économiste d’Alfa Bank.

Sur le plan de la communication, le Great Reset repose avant tout sur la peur, puis sur les injonctions sanitaires et climatiques qui permettent d’obtenir un assujettissement de la population par le chantage compassionnel à « sauver des vies » et à « sauver le climat ». La lecture du Great Reset et l’analyse des forces en présence permettent d’établir un parallèle avec 1917. Avec une destruction contrôlée de l’économie réelle et de la classe moyenne occidentale, se dessine en effet un « bolchevisme 2.0 », où le vert a remplacé le rouge, le « social » s’est muté en « durable » et où le rôle de la Tchéka est occupé par la combinaison de l’intelligence artificielle (IA) et de la 5G. Au sommet du monde cauchemardesque du Great Reset, BlackRock, le plus gros gestionnaire d’actifs au monde détenant des intérêts majeurs dans les mégabanques, les gros médias, le Big Pharma et les géants du Web. Dictant leurs politiques aux banques centrales et aux États, ce pouvoir « fantôme » entend régner, grâce à son contrôle de l’intelligence artificielle (IA), sur une humanité drastiquement réduite en nombre, largement métissée et composée d’esclaves de la dette assignés à résidence.

D’une manière générale, le niveau d’adhésion des gouvernements au projet est strictement indexé sur leur acceptation du récit de la « pandémie de Covid-19 » imposée par les gros médias. Appliqué à la virgule près par la Commission européenne (via le Green Deal) et dans les pays du Commonwealth, le Great Reset constitue ce qu’Emmanuel Macron a pudiquement appelé « le jour d’après ». Il forme, outre-Atlantique, la colonne vertébrale du programme de Joe Biden. Une fois que l’on a pris connaissance de ce plan et qu’on l’a compris, l’action gouvernementale et les mesures Covid-19 que l’on croyait absurdes deviennent tout à fait cohérentes. Une cohérence impossible à assumer politiquement auprès du grand public.

Voici, sans commentaires, quelques citations tirées de COVID-19 : The Great Reset :

« La gouvernance mondiale est au cœur de toutes les autres questions. »

« L’hypothèse fondamentale est que la pandémie pourrait continuer à nous affecter jusqu’en 2022. […] Un retour complet à la « normale » ne peut être envisagé avant qu’un vaccin ne soit disponible. »

« Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est courte : jamais. […] Il y aura une ère « avant le coronavirus » (av. C) et « après le coronavirus » (apr. C). »

« Lorsqu’ils y sont confrontés, certains dirigeants de l’industrie et certains cadres supérieurs peuvent être tentés d’assimiler la réinitialisation à un redémarrage. […] . Cela n’arrivera pas parce que cela ne peut pas arriver ».

« Les mesures de distanciation sociale et physique risquent de persister après la disparition de la pandémie elle-même, justifiant la décision de nombreuses entreprises de différents secteurs d’accélérer l’automatisation. »

« Il est loin d’être certain que la crise du COVID-19 fasse pencher la balance en faveur du travail contre le capital. Politiquement et socialement, cela serait possible, mais la technologie change la donne. »

« Jusqu’à 86 % des emplois dans la restauration, 75 % des emplois dans le commerce de détail et 59 % des emplois dans le divertissement pourraient être automatisés d’ici à 2035. »

« Jusqu’à 75 % des restaurants indépendants pourraient ne pas survivre aux verrouillages et aux mesures de distanciation sociale ultérieures. »

« Aucune industrie ou entreprise ne sera épargnée. »

« La « tyrannie de la croissance du PIB » prendra fin. »

« La fiscalité augmentera. Comme par le passé, la logique sociale et la justification politique qui sous-tendent les augmentations seront basées sur le récit des « pays en guerre » (mais cette fois contre un ennemi invisible). »

« Le contrôle public des entreprises privées augmentera. »

« Les entreprises n’adhéreront pas nécessairement à ces mesures parce qu’elles les considèrent comme « bonnes », mais plutôt parce que le « prix » à payer pour ne pas s’y soumettre sera trop élevé en termes de colère des militants. »

« L’activisme des jeunes s’accroît dans le monde, étant révolutionné par les réseaux sociaux qui accentuent la mobilisation à un niveau qui aurait été impossible auparavant. Il prend de nombreuses formes différentes, allant de la participation politique non institutionnalisée aux manifestations et protestations, et aborde des questions aussi diverses que le changement climatique, les réformes économiques, l’égalité des sexes et les droits LGBTQ. La jeune génération est fermement à l’avant-garde du changement social. Il ne fait aucun doute qu’elle sera le catalyseur du changement et une source d’élan critique pour le Great Reset. »

« Avec le confinement, notre attachement à nos proches s’est renforcé, avec un sentiment renouvelé d’appréciation pour tous ceux que nous aimons : la famille et les amis. Mais le côté sombre à cela est le déclenchement d’une montée des sentiments patriotiques et nationalistes, avec des considérations religieuses et ethniques troublantes. En fin de compte, ce mélange toxique a fait ressortir le pire de nous-mêmes en tant que groupe social. »

« Vu en ces termes, le coronavirus a renforcé et non réinitialisé les problèmes liés à la santé mentale. […] Dans l’ère post-pandémique, ces questions peuvent désormais recevoir la priorité qu’elles méritent. Cela constituera une réinitialisation vitale. »

« La combinaison de l’intelligence artificielle (IA), de l’Internet des objets (IoT) et des capteurs et de la technologie portable produira de nouvelles perspectives sur le bien-être personnel. Ils surveilleront ce que nous sommes et ce que nous ressentons, et brouilleront progressivement les frontières entre les systèmes de santé publics et les systèmes de création de santé personnalisés – une distinction qui finira par s’effondrer. »

« L’impératif actuel de propulser, quoi qu’il arrive, « l’économie sans contact » et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifient qu’il n’y a plus de blocage. »

« Au fur et à mesure que la distanciation sociale et physique persistera, s’appuyer davantage sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander des conseils ou commander quelque chose gagnera peu à peu du terrain sur des habitudes autrefois enracinées […]. Si les considérations de santé deviennent primordiales, nous pouvons décider, par exemple, qu’un cours de cyclisme devant un écran à la maison ne correspond pas à la convivialité et au plaisir de le faire avec un groupe dans un cours en direct, mais est en fait plus sûr (et moins cher !). Le même raisonnement s’applique à de nombreux domaines différents comme prendre l’avion pour une réunion (Zoom est plus sûr, moins cher, plus vert et beaucoup plus pratique), se rendre à une réunion de famille éloignée pour le week-end (le groupe familial WhatsApp n’est pas aussi amusant mais, encore une fois, plus sûr, moins cher et plus écologique) ou même suivre un cours académique (pas aussi enrichissant, mais moins cher et plus pratique) ».

« L’endiguement de la pandémie de coronavirus nécessitera un réseau de surveillance mondial. »

« La recherche des contacts a une capacité inégalée et une place quasi essentielle dans l’arsenal de lutte contre le COVID-19, tout en étant en même temps positionnée pour devenir un catalyseur de la surveillance de masse. »

« Au cours des mois et des années à venir, le compromis entre les avantages pour la santé publique et la perte de la vie privée sera soigneusement pesé, devenant le sujet de nombreuses conversations et de débats animés. La plupart des gens, craignant le danger du COVID-19, se demanderont : n’est-il pas insensé de ne pas tirer parti de la puissance de la technologie pour venir à notre secours lorsque nous sommes victimes d’une épidémie et que nous sommes confrontés à une sorte de situation de vie ou de mort ? Ils seront alors disposés à renoncer à une grande partie de leur vie privée et conviendront que dans de telles circonstances, le pouvoir public peut légitimement passer outre les droits individuels. »

« À première vue, la pandémie et l’environnement peuvent sembler n’être que des cousins éloignés ; mais ils sont beaucoup plus proches et entrelacés qu’on ne le pense. […] Ils sont de nature mondiale et ne peuvent donc être correctement traités que d’une manière coordonnée au niveau mondial. »

« Plus la croissance démographique est élevée, plus nous perturbons l’environnement, plus le risque de nouvelles pandémies est élevé. »

« La fragilité des États reste l’un des défis mondiaux les plus critiques, particulièrement répandu en Afrique. […] La rupture des chaînes commerciales et d’approvisionnement causée par la pandémie provoquera une dévastation immédiate. »

« L’un des effets les plus évidents pour les parties les plus riches du monde de la misère économique, du mécontentement et de la faim dans les États les plus fragiles et les plus pauvres consistera en une nouvelle vague de migration de masse dans sa direction, comme celles qui ont eu lieu en Europe en 2016. »

Crédit photo : DR
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Comprendre l’Adversaire – Pierre Hillard. MàJ 26/11/2020

[Source : noach.es]

Pierre Hillard, qui dénonce depuis 20 ans les arcanes technocratiques abritant les germes d’un Nouvel Ordre Mondial, est de retour. Sa dernière vidéo « Covid-19 : l’étincelle avant le Grand Reset » dans laquelle il rappelle les enjeux messianiques, vient de franchir les 700 000 vues. Le pays retrouverait-il la mémoire ?

1. Bonjour Pierre, peux-tu brosser un tour d’horizon de la situation actuelle STP ?

Depuis l’apparition de la Covid-19 avec ses conséquences sanitaires, sociétales et économiques, nous pouvons affirmer que le processus de concrétisation de la gouvernance mondiale est lancé. La politique de confinement imposée aux Français du 17 mars au 11 mai 2020 a ébranlé les structures économiques du pays. Nous retrouvons des phénomènes similaires dans tous les pays du monde, en particulier l’Europe et l’Amérique du Nord. Comme j’ai souvent eu l’occasion de le dire en conférence ou de l’écrire dans mes livres, la finalité du mondialisme est d’aboutir à un système politique, économique et spirituel déjà exposé dans Utopia de Thomas MoreLa Nouvelle Atlantide de Francis Bacon1984 de George Orwell ou encore dans la série télévisée anglaise en 17 épisodes du Prisonnier de Patrick Mcgoohan. Régime totalitaire, collectiviste et imprégné d’un idéal spirituel issu du monde talmudo-kabbilistique, le système régentant l’humanité et présenté dans ces ouvrages et/ou films semble irréel, impensable en raison de son caractère implacable et inhumain. Et pourtant, nous y sommes ou, plus exactement, nous nous engageons dans cette voie préparée en haut lieu. On peut relever les préparatifs de cette surveillance orwellienne dans la vie de tous les jours. Ainsi, lors du déconfinement progressif de mai à juin 2020, le gouvernement français avait instauré une mesure permettant aux Français de se déplacer dans un rayon de moins de 100 km à partir de leur domicile sans l’obligation de présenter leurs papiers. Or, ironie de l’histoire, nous trouvons cette caractéristique dans le 1984 d’Orwell :

« Il n’était pas facile, en outre, de voyager seul sans attirer l’attention. Pour des distances inférieures à une centaine de kilomètre, il n’était pas nécessaire de faire viser son passeport, mais il y avait parfois des patrouilles qui rôdaient du côté des gares, examinaient les papiers (…) » 

1984 – George Orwell (page 158, édition de poche, Folio, 2006).

Parallèlement à cette bascule, nous constatons des tensions multiples s’amplifiant en raison de cette affaire de Covid-19. En effet, l’arrêt de l’activité économique a bouleversé les États en profondeur, ces derniers étant déjà minés par l’endettement public et privé et un chômage déguisé. C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Licenciements massifs et pauvreté en hausse sonnent l’hallali des pays développés. Nous entrons dans une nouvelle ère : l’économie verte (sous-entendu la fin de la consommation de masse) et la numérisation dans tous les domaines permettant le contrôle absolu des citoyens. Pour la réédition de Chroniques du Mondialisme L-5 aux Éditions Culture et Racines, j’ai fait une longue conclusion. Celle-ci est une sorte de bilan d’un monde né en 1945 en train de disparaître. Il y est évoqué et expliqué le rôle de nombreux acteurs comme l’Agenda 2030 et l’action du Forum Économique Mondial de Davos sous la direction de Klaus Schwab pour instaurer un nouveau monde liberticide dans le cadre de la grande réinitialisation. Son promoteur n’hésite pas à affirmer dans son dernier livre intitulé Covid-19 : the Great Reset (Covid-19 : la grande réinitialisation) que les objectifs ainsi que celui des élites mondialistes sont le remplacement des idées, des institutions, des processus et des règles actuelles (ndla : souligné par nous). Ce Forum de Davos, initialement prévu en janvier 2021, se réunit l’été prochain afin de lancer officiellement une politique qui est celle conduisant à notre asservissement. 

L’alignement des « trois 6 » est chose récurrente sur les logos des instances ou compagnies mondialistes.
Klauss Schwab
M « Great Reset » en tenue para-maçonnique sans masque de Darth Vader
à la Kaunas University of Technology

La devise gnostique « Scientia Ingenium Virtus » sur le blason, mot à mot « Science Intelligence Puissance » avec cerf blanc et non un agneau (cornes obligent) est à prendre comme « Pouvoir de la Connaissance ».

[NdNM : (Source : Guy Boulianne. Extraits.)

Bien que la robe que porte Klaus Schwab puisse paraître étrange au premier abord, elle ne cache aucun grand mystère. Il s’agit simplement de la tenue officielle alors qu’il recevait les insignes de docteur honoris causa de l’Université de technologie de Kaunas (KTU), en Lituanie, le 13 octobre 2017. [5] C’est la même chose concernant le blason de l’établissement d’enseignement supérieur et de recherche. La robe cérémonielle et ce blason se composent de plusieurs éléments qui peuvent être assimilés à l’occultisme mais, dans le cas qui nous occupe présentement, cela ne pourrait pas être attribué à Klaus Schwab.

Tous les insignes et attributs académiques de l’Université sont marqués par les armoiries de la KTU. Composé selon les exigences héraldiques strictes, le blason est divisé en trois champs spéciaux : Il est fabriqué à partir de couleurs héraldiques (dites teintures), de leurs combinaisons et de symboles distincts. La partie supérieure gauche des armoiries du KTU est le blason de la ville de Kaunas, qui symbolise l’emplacement de l’université. [6] La partie supérieure droite représente le symbole de la matière, qui incarne la lumière de la science. Un livre ouvert dans la partie inférieure des armoiries porte la devise de l’Université en latin Scientia, ingenium, virtus! (« Science, créativité, vertu! »). [7]

Références
  1. KTU News : Honorary Doctor of KTU Klaus Schwab: Industry 4.0 Must be Followed by Education 4.0. Kaunas University of Technology, October 16, 2017.
  2. Le blason de la ville de Kaunas : Le 30 juin 1993, les armoiries historiques de la ville de Kaunas ont été rétablies par un décret présidentiel spécial. Le blason présente un auroch blanc avec une croix dorée entre ses cornes, sur un fond rouge foncé. Les aurochs étaient le symbole héraldique original de la ville, établi en 1400. Le sceau héraldique de Kaunas, introduit au début du XVe siècle sous le règne du grand-duc Vytautas, est le plus ancien sceau héraldique de la ville connu sur le territoire du Grand-Duché de Lituanie. L’emblème actuel est le résultat de nombreuses études et discussions de la part de la Commission de l’héraldique lituanienne, et réalisé par l’artiste Raimondas Miknevičius. Un aurochs a remplacé un bison d’Europe, qui était représenté dans l’emblème de l’ère soviétique utilisé depuis 1969.
    • À propos du blason : « De gueules, à un aurochs passant gardien d’argent ensigné d’une croix d’or entre ses cornes ».
    • Kaunas a également un plus grand blason, qui est principalement utilisé à des fins de représentation de la ville de Kaunas. Le navire, les trois boules d’or et le texte latin « Diligite justitiam qui judicatis terram » (Chérissez la justice, vous qui jugez la terre) dans le plus grand blason font référence à Saint Nicolas, saint patron des marchands et des marins, qui était considéré en tant que gardien céleste de Kaunas par la reine Bona Sforza.
  3. Brand resources : « Logo and style guide embody KTU identity and ensure that a particular publication is associated with the University ». Kaunas University of Technology.

2. Cela fait un peu plus de 20 ans que tu dénonces les boisseaux technocratiques (UE, Alena, TAFTA…) abritant les germes d’un Nouvel Ordre Mondial messianique dont on voit aujourd’hui l’aube pointée derrière le Grand Reset. Ordo ab Chao ?

En effet, l’architecture qui se présente a été annoncée il y a bien longtemps. On peut l’illustrer avec le cas de Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU) dont l’objectif est de gérer les villes et communes à l’échelle planétaire dans le cadre de sept sections régionales :
1) Afrique ;
2) Asie-Pacifique ;
3) Eurasie ;
4) Europe ;
5) Moyen-Orient et Asie d’Ouest ;
6) Amérique latine et
7) Amérique du Nord.
Le principe d’une collaboration entre différentes cités n’est pas mauvais en soi en particulier pour trouver des moyens pour lutter contre la pollution ou encore apprendre à mieux gérer l’eau potable par exemple. Mais, comme on peut le constater, l’organisation planétaire se construit à partir de 7 sections régionales au sein desquelles les communautés urbaines s’émancipent peu à peu de l’autorité nationale. Tout cela se construit dans le cadre d’une gouvernance mondiale. Créées en 2004, CGLU est le résultat d’une combinaison d’instituts chargés de s’occuper de la gestion des villes. Il faut rappeler que le plus ancien de ces instituts s’appelle l’Union Internationale des Villes créée en … 1913 1. Avec cet exemple, on se rend compte que cet idéal de gouvernance mondiale et sa mise en pratique est une idée ancienne d’un point de vue matériel. On trouve aussi l’ensemble du programme « merveilleusement » exposé dans les écrits du révolutionnaire Anacharsis Cloots (1755-1794) dont les écrits, plus exactement les originaux de 1792 et 1793, ont été réunis en un seul livre (sans caviardage comme c’est le cas des versions officielles) La République du Genre Humain P-8 aux Éditions Omnia Veritas avec une préface de votre serviteur. Tout y est annoncé : la gouvernance mondiale appelée « République universelle », la technostructure planétaire divisée politiquement en « mille cases départementales », la disparition du catholicisme au profit de la « République Universelle » etc. Cependant, dans la mystique mondialiste, le passage à une étape supérieure repose toujours sur une transition violente. C’est le fameux principe Ordo ab Chao ou encore le Solve et Coagula avec un principe messianique et mystique en arrière-fond lié à l’esprit de la Kabbale. Quand Christine Lagarde, présidente du FMI en 2014, fait l’apologie du chiffre « 7 » dans une vidéo que tout le monde peut consulter 2, cela devrait interpeller plus d’une personne sur cet étrange discours.

En 1988, la monnaie mondiale était prévue pour 2018.
Octobre 2020 le Great Reset est annoncé pour 2021.

La grande réinitialisation ou Great Reset chère à Klaus Schwab, président du Forum Économique de Davos, n’est que l’allume-gaz pour parvenir à un stade supérieur. Nous sommes désormais devant l’immense bascule en cours de réalisation. L’exemple des tensions durant les élections américaines est révélateur d’une situation voulue pour tenter de déstabiliser ce pays dans l’espoir, pour certains, d’aboutir à une guerre civile qui aurait des répercussions planétaires dans tous les domaines. Signalons l’existence du Transition Integrity Project (TIP) mis en forme en juin 2020 dont le but est de prévenir une contestation des résultats électoraux par le président Trump 3. Ce phénomène révèle qu’il n’existe pas « un » État profond mais « des » États profonds rivaux entre eux. Il faut bien comprendre que deux formes de mondialisme s’affrontent : celui de la City de Londres voulant imposer un modèle unique planétaire où les États sont fracassés au profit d’une gouvernance mondiale tandis qu’une frange du monde anglo-saxon américain, de tendance patriote (d’où la fameuse formule : Make America great again), tient à défendre les intérêts politico-économiques mais aussi l’intégrité territoriale du pays. Pour cette frange anglo-saxonne représentée par Trump, les intérêts américains préservés doivent constituer un pilier et pouvoir s’agencer dans le cadre d’une gouvernance et/ou directoire mondial sans pour autant s’évaporer sur l’autel d’une unité planétaire et du libre-échange à tout crin. Concernant la galaxie mondialiste, il faut ajouter l’imprégnation d’un idéal messianique virulent chez certains dirigeants, absent chez d’autres tandis qu’une faction en accepte le principe mais … pas tout de suite (« neutralisation du messianisme » pour reprendre une expression de Gershom Scholem). L’enfer est divers et, surtout, divisé contre lui-même. Mais d’abord et avant tout, le point essentiel à retenir de l’esprit du mondialisme, c’est la volonté d’éradiquer le caractère messianique du Christ, c’est-à-dire l’Incarnation au profit d’un autre messianisme ; celui de la synagogue aveugle en attente de son « Messie » devant rendre sa gloire à Israël au dépens des nations.

​3. Tu présentes souvent les oeuvres de Science-Fiction comme les parties du programme d’« Après ». Outre l’orgueil, comment expliques-tu que l’élite balance ce genre d’infos ?

Des livres comme Utopia ou des films comme Elysium sont des instantanés du monde « idéal » voulus par les thuriféraires du mondialisme. Ce sont des puzzles de vérité qui permettent aussi d’imprégner les esprits d’une manière de penser et de réagir. Fort de cette imprégnation, il y a possibilité pour la partie adverse de connaître le trait psychologique de millions de personnes au mental structuré par ces livres et surtout par ces films puisque maintenant peu de personnes lisent. C’est une manière pour les adeptes du contrôle mental d’avoir un coup d’avance.

Pierre Hillard nous parle entre autres d’Elysium, de Mars Attacks et du Prisonnier (détails).
4. Ton dernier livre Sionisme et Mondialisme L-8 sous-titré « Le sionisme de ses origines au IIIè Reich, 1898-1941 » explique comment l’idéologie nazie a servi la cause sioniste. Comment, avant de l’écrire, as-tu pu imaginer cette improbable entente ?

Concernant la civilisation occidentale et ses caractéristiques, le point clef qu’il faut retenir est celui de l’Incarnation. Le Christ reconnu comme le Fils de Dieu incarné parachève les annonces messianiques de la Bible hébraïque devenue l’Ancien Testament pour les chrétiens. De nombreux Juifs n’ont pas reconnu ce fait et attendent toujours leur « Messie » au service de la seule gloire d’Israël et au dépens des nations. Un nouveau judaïsme, le Talmud, a été élaboré entre 100 et 500 ap. J-C. violemment anti-catholique, il sert de matrice à un idéal messianique juif en attente de son « Messie » en liaison avec la Kabbale, celle-ci étant l’interprétation ésotérique propre à ce milieu. Il s’agit pour les thuriféraires de ce monde révolté de maintenir une unité de pensée via une unité de sang. On est juif par la mère. À l’origine, cette affirmation raciale fut solennellement affichée dans les prescriptions données par Dieu dans le cadre de l’Ancien Testament. En effet, on peut lire dans le Deutéronome VII, 1-5 :

« (…) Tu ne contracteras point de mariage avec elles (ndla : femmes non-israélites), tu ne donneras point tes filles à leurs fils, et tu ne prendras point leurs filles pour tes fils ; car elles détourneraient de marcher après moi tes fils qui serviraient d’autres dieux (…). »

Ces injonctions matrimoniales, choquantes pour des lecteurs du XXIè siècle, doivent se comprendre dans le contexte de l’époque à finalité spirituelle. Selon ces textes religieux, le Messie devait naître du peuple hébreu, plus précisément, au sein de la tribu de Juda, celle-ci devant donner naissance au Messie issu de la famille royale de David. Cet idéal ne pouvait se faire que dans le cadre du mosaïsme débarrassé de toutes influences païennes sous-entendu d’essence satanique. Dans le cas contraire, une altération d’essence démoniaque aurait flétri ce mosaïsme interdisant la concrétisation physique du Messie à la fois Homme et Dieu … sous-entendu l’Incarnation. Ce principe, capital à saisir, fut à nouveau et solennellement proclamé lors du retour de la captivité des Juifs de Babylone (Vè siècle av. J-C). Le représentant religieux Esdras, au nom de ces exigences mosaïques (1er Livre d’Esdras, IX, 3-12 et X, 1-11), exigea le renvoi des femmes étrangères, mariées à des Israélites, et de leurs enfants … chose qui se fit.  Comme nous l’avons écrit dans Archives du Mondialisme L-7 (p. 71):

« (…) Ces mesures propres à l’Ancien Testament avaient pour but de maintenir les Hébreux loin de la contamination païenne d’essence démoniaque afin de permettre l’arrivée du Messie au sein d’un peuple spirituellement débarrassé de toute forme de corruption (le nazisme était aux antipodes de cet idéal). »

La non-reconnaissance de la divinité du Christ par les Juifs a conduit ces derniers à conserver ces référents raciaux devenus obsolètes pour les chrétiens. La Révélation, s’adressant à tous les peuples de la terre, n’avait plus besoin de cette protection raciale et ciblée à finalité spirituelle. Ce n’est pas le cas des Juifs rebelles au messianisme christique qui, conservant depuis 2000 ans ce concept et en attente de leur Messie afin d’assurer la seule gloire d’Israël sur les nations, ont imprégné certains peuples d’un tour d’esprit naturaliste pour les détourner du christianisme au profit d’un horizon purement terrestre et racialiste. Il y avait entre nazis et sionistes un fond commun de réflexions reposant sur l’idée de pureté de sang et de supériorité raciale. Le rejet des mariages mixtes caractérisait aussi ces deux mondes. D’une certaine manière, un terrain d’entente était temporairement possible entre ces théoriciens et, en même temps, frères ennemis. Il faut rappeler que le journal de la Fédération sioniste allemande, le Jüdische Rundschau, du 17 septembre 1935 a approuvé les lois de Nuremberg en particulier en condamnant les mariages mixtes. J’ai publié l’article de ce journal avec sa traduction complète en français.

L’Etoile de David au recto avec l’inscription « Un nazi se rend en Palestine », la Croix Gammée au verso ajoutant « et le raconte dans l’Angriff » (journal du ministre de la propagande Joseph Goebbels).
5. Ne peut-on pas expliquer l’Accord de la Haavara par le fait que les autorités nazies y voyaient là un moyen d’exiler les Juifs d’Allemagne avec leur consentement ?

En effet, l’Accord de la Haavara (« Transfert » en hébreu) d’août 1933 ou décret 54/33 est le fruit d’une convergence racialiste entre ces deux mondes reposant sur le principe du miroir inversé. Ce document émanant des autorités nazies fut intégralement publié dans le journal de la Fédération sioniste allemande, le Jüdische Rundschau, le 5 septembre 1933. Les sionistes estimaient que les Juifs allemands étaient étrangers au monde germanique et qu’ils devaient s’installer sur l’antique terre d’Israël. En contre-partie, les nazis considéraient l’élément juif comme un corps étranger à la nation allemande. Chacun était prêt à faire un pas vers l’autre afin de parachever son idéal de pureté raciale à partir d’un territoire bien établi. C’est donc à partir de cet accord qu’une collaboration entre ces deux milieux a perduré jusqu’en avril 1941. C’est à cette date que l’Agence Juive de Berlin, plaque tournante du flux migratoire juif vers la Palestine, a été définitivement fermée. Cependant, comme j’ai pu le montrer dans mon livre, les discussions lançant cette entreprise n’ont pas été entamées par les nazis mais par la République de Weimar au cours de l’année 1932. 

Soleil Noir au château de Wewelsburg
Le Sabbat des Sorcières (1798) de Goya

Sabbat et Soleil Noir renvoient à Pan et à Saturne ; les cornes et anneaux caractisant ce « Lord of the Ring ».

6. Si le Christ est le premier adversaire à la fois des empires sioniste et nazi (et de tout autre…) cela n’invalide t’il pas la thèse d’un Hitler animé par une foi chrétienne ?

Avant même de citer Hitler, il faut rappeler le point suivant. Les carnets complets de Theodor Herzl, fondateur du sionisme, sont très clairs à ce sujet. Il n’y a qu’un seul ennemi pour ce milieu : le catholicisme. Il n’y pas une seule remarque négative contre l’islam, le bouddhisme et même le protestantisme. Au cours d’une discussion avec l’ambassadeur ottoman à Vienne, Mahmud Nedim, ce dernier rappela à Herzl que les Juifs et les musulmans étaient en accord sur un point essentiel en matière religieuse : « Nous ne reconnaissons pas le Christ comme le Fils de Dieu. » Pour le judaïsme talmudo-kabbalistique rebelle à l’Incarnation, la préservation du sang juif se doit d’être maintenu dans le cadre d’une lignée messianique attendue et espérée depuis 2000 ans. Le nazisme, ce « Reich de 1000 ans », était lui aussi adepte d’une vue totalement anti-chrétienne. Ce fait fut dénoncé avec l’encyclique Mit brennender Sorge en 1937. Rédigée exceptionnellement en allemand et non en latin sous l’égide du futur Pie XII, le cardinal Pacelli, cette encyclique soulignait le caractère violemment anti-catholique de cette idéologie. Précisons que la vie d’Adolf Hitler était aux antipodes du catholicisme. Il n’allais pas à la messe et ne communiait pas. Vivant en concubinage avec Eva Braun pour finalement se suicider, son mode de vie était à l’opposé des préceptes de l’Église. Comme chef d’État chrétien, nous préférons l’Équatorien Gabriel Garcia Moreno (1821-1875). Afin de mieux saisir le caractère anti-chrétien du nazisme, nous présentons les passages clefs de cette encyclique condamnant le national-socialisme sans le citer … pour des raisons propres à la diplomatie vaticane dans le contexte tendu de cette époque. Nous avons mis en gras [surligné] des passages que nous jugeons importants :

« C’est avec une vive inquiétude et un étonnement croissant que, depuis longtemps, Nous suivons des yeux les douloureuses épreuves de l’Église et les vexations de plus en plus graves dont souffrent ceux et celles qui lui restent fidèles (…). Cette inquiétude n’a pas été diminuée par ce que les représentants du vénérable Épiscopat (…) Nous ont fait connaître. (…) Lorsqu’en été 1933, Vénérables Frères, Nous acceptâmes la négociation d’un Concordat [conclu le 20 juillet 1933], que le gouvernement du Reich, reprenant un projet vieux de plusieurs années, Nous proposait, (…) Nous étions guidé par le souci que Notre devoir Nous impose d’assurer en Allemagne la liberté de la mission bienfaisante de l’Église (…). Si l’arbre de la paix, planté par Nous en toute pureté d’intention dans la terre allemande, n’a pas produit les fruits (…) que Nous désirions ardemment, personne au monde,(…) ne pourra dire aujourd’hui que la faute en est à l’Église ou à son ChefLes expériences des dernières années mettent les responsabilités en pleine lumière ; elles révèlent des intrigues qui dès le début ne visaient qu’à une guerre d’extermination (…), l’ivraie de la méfiance, du mécontentement, de la haine, de la diffamation, d’une hostilité de principe, soit voilée soit ouverte, alimentée à mille sources et agissant par tous les moyens, contre le Christ et son Église. Eux, et eux seuls, avec leurs silencieux ou leurs bruyants complices, sont aujourd’hui responsables si, au lieu de l’arc-en-ciel de la paix, c’est l’orage des funestes luttes religieuses qui se montre à l’horizon de l’Allemagne. [concernant la politique du IIIè Reich à l’égard du Concordat de 1933] (…) une interprétation qui faussait le contrat ou le détournait de son but, ou le vidait de son contenu et aboutissait finalement à sa violation plus ou moins officielle, devint la loi inavouée (…). Aujourd’hui encore, où la lutte ouverte contre l’école confessionnelle, protégée par le Concordat, où la suppression du libre suffrage à ceux des catholiques qui ont le droit de veiller à l’éducation de la jeunesse, manifestent sur un terrain essentiel de la vie de l’Église la gravité impressionnante de la situation et l’angoisse sans exemple des consciences chrétiennes (…). Quiconque identifie, dans une confusion panthéistique, Dieu et l’univers, abaissant Dieu aux dimensions du monde ou élevant le monde à celles de Dieu n’est pas de ceux qui croient en Dieu (…). Quiconque prend la race, ou le peuple, ou l’État, ou la forme de l’État, ou les dépositaires du pouvoir, ou toute autre valeur fondamentale de la communauté humaine ‒ toutes choses qui tiennent dans l’ordre terrestre une place nécessaire et honorable ‒ quiconque prend ces notions pour les retirer de cette échelle de valeurs, même religieuses, et les divinise par un culte idolâtrique,celui-là renverse et fausse l’ordre des choses créé et ordonné par Dieu (…). Prenez garde, (…), à l’abus croissant, dans la parole comme dans les écrits, qui consiste à employer le nom de Dieu trois fois saint comme une étiquette vide de sens (…).

Swastika et Etoile de David s’entrelaçaient déjà dans la synagogue de Capharnaüm.

Seuls des esprits superficiels peuvent tomber dans l’erreur qui consiste à parler d’un Dieu national, d’une religion nationale ; seuls ils peuvent entreprendre la vaine tentative d’emprisonner Dieu (…) dans les frontières d’un seul peuple, dans l’étroitesse de la communauté de sang d’une seule race. (…) Nous remercions vos prêtres et tous vos fidèles, qui, dans la défense des droits de la Divine Majesté contre un nouveau paganisme agressif et favorisé, hélas, de bien des matières par des hommes influents, ont rempli et continuent à remplir leur devoir de chrétien(…)Personne ne peut donc dire : je crois en Dieu, cela me suffit en fait de religion (…). [Ne pas mépriser et ne pas rejeter l’Ancien Testament et les Hébreux, peuple élu à l’origine, même s’il est devenu déicide, selon la Tradition de l’Église, par la suite] Dieu a parlé à nos pères par les prophètes. (…)Les Livres sacrés de l’Ancien Testament sont entièrement Parole de Dieu et forment une partie substantielle de Sa Révélation. (…) Ils nous décrivent aussi le peuple choisi (ndla : le peuple hébreu), porteur de la Révélation et de la Promesse, s’égarant sans cesse loin de son Dieu pour se tourner vers le monde. (…) C’est précisément sur ce fond souvent obscur que ressort dans de plus frappantes perspectives la pédagogie de salut de l’Éternel, tour à tour avertissant, admonestant, frappant, relevant et béatifiant ses élus. Seuls l’aveuglement et l’orgueil peuvent fermer les yeux devant les trésors d’enseignement sauveur que recèle l’Ancien Testament. (…) Cette Révélation ne connaît pas de complément apporté de main d’homme, elle n’admet pas davantage d’être évincée et remplacée par d’arbitraires  »révélations » que certains porte-parole du temps présent prétendent faire dériver de ce qu’ils appellent le Mythe du Sang et de la Race. (…) Dans vos contrées, Vénérables Frères, retentissent des voix, dont le chœur va sans cesse se renforçant, qui invitent à sortir de l’Église. Parmi les meneurs, il en est plus d’un qui, par leur position officielle, cherchent à faire naître l’impression que cette sortie de l’Église et l’infidélité qu’elle comporte envers le Christ-Roi constituent une preuve particulièrement convaincante et méritoire de la fidélité envers l’État aujourd’hui. Par des mesures de contraintes cachées ou apparentes, (…) l’attachement des catholiques à leur foi (…) est soumise à une pression aussi contraire au droit qu’à la dignité humaine. (…) Si des hommes qui ne sont pas même unis dans la foi au Christviennent vous présenter la séduisante image d’une Église nationale allemande, sachez que ce n’est autre chose qu’un reniement de l’unique Église du Christ (…). [Concernant la grâce] Rejeter cette élévation gratuite et surnaturelle au nom d’un prétendu caractère allemand, est une erreur : c’est combattre ouvertement une vérité fondamentale du christianisme. (…) Aucune puissance coercitive de l’État, aucun idéal purement humain, si noble et si élevé soit-il en lui-même, ne sera jamais capable de remplacer en fin de compte les suprêmes et décisives impulsions  que donne la foi en Dieu et au Christ. [Concernant la famille et la jeunesse] Si l’État fonde une jeunesse nationale, cette organisation obligatoire doit être ouverte à tous, et c’est alors ‒ sans préjudice des droits des associations religieuses ‒ pour les jeunes gens eux-mêmes et pour les parents qui en répondent devant Dieu, un droit incontestable et inaliénable d’exiger que cette organisation d’État soit purgée de toutes les manifestations d’un esprit ennemi du christianisme et de l’Église, manifestations qui, tout récemment encore et aujourd’hui même, mettent la conscience des parents chrétiens dans une insoluble alternative, puisqu’ils ne peuvent pas donner à l’État ce qu’il exige qu’en dérobant à Dieu ce qui est à Dieu. (…) Et plus les ennemis s’efforcent de déguiser sous de beaux semblants leurs sombres desseins, plus il y a lieu d’y opposer une méfiance vigilante, une vigilance provoquée à la méfiance par une expérience trop amère. (…) Nous avons pesé chacun des mots de Cette lettre à la balance de la vérité (…). »

7. Sionisme et Mondialisme L-8 clôt la trilogie commencée en 2017 par Atlas du Mondialisme L-6 et poursuivie en 2019 par Archives du Mondialisme L-7. En quoi, ces trois livres forment-ils un ensemble ?

Ces trois ouvrages se complètent de la manière suivante. Atlas du Mondialisme L-6 avait pour objectif de présenter des points essentiels de géopolitique comme la construction européenne ou encore l’évolution politique des États-Unis dans le cadre du mondialisme parallèlement à la mise en place d’institutions pour parachever la gouvernance mondiale. Cependant, afin de bien saisir l’esprit du mondialisme, j’ai étudié le messianisme juif, ses caractéristiques et ses différents avatars (Shimon Bar Kokhba, Sabbataï TseviJacob Frank, …). La compréhension de ce milieu déchiré en interne par des factions rivales est absolument indispensable à cerner. Par exemple, il est absolument capital de comprendre les préceptes du rabbin Isaac Louria du XVIè siècle et son impact sur certaines communautés judaïques d’essence messianique. Dans le deuxième volume, Archives du Mondialisme L-7, j’ai traité de l’importance de l’Ancien Testament à ne pas rejeter comme le font de nombreuses personnes mêmes chrétiennes. En effet, le fil directeur de ces textes, qu’ils soient, selon les convictions de chacun, d’inspiration divine ou non, est d’annoncer l’Incarnation en la personne du Christ dans le cadre d’un monde païen âpre et dure. Or la non-reconnaissance de celui-ci par les Juifs a conduit ces derniers à élaborer un nouveau judaïsme violemment anti-catholique entre 100 et 500 ap. J-C, le Talmud, code civil et religieux de la synagogue rebelle. C’est ce milieu hostile qui a irrigué les bouleversements spirituels et politiques en Europe voulant mettre à bas la Révélation. C’est d’ailleurs ce que j’ai pu prouver, toujours dans ce livre, avec l’influence du milieu talmudo-kabbalistique dans la Révolution de 1789 conduisant, par la suite, aux préparatifs menant à l’émergence du sionisme ; c’est-à-dire à la volonté de créer un foyer juif en Palestine prélude à la création de l’État juif. C’est justement cette recherche qui m’a poussé à la rédaction du troisième tome Sionisme et Mondialisme L-8. J’ai eu la chance de mettre la main sur les carnets complets de Theodor Herzl mais aussi sur de nombreuses pièces d’archives expliquant les relations entre nazis et sionistes à partir d’un accord conclu entre ces deux mondes, l’accord de la Haavara. Il m’a été possible de prouver qu’une entente, certes souvent tendue, s’est concrétisée permettant de former environ 80 000 Juifs germanophones aux techniques agricoles, horticoles et artisanales dans 42 camps en Allemagne pour les expédier ensuite vers la Palestine sous mandat britannique. Ces Juifs germanophones formés ont constitué le substrat de la toute jeune économie israélienne à la création du pays en 1948.

8. Par ailleurs, tu es très sollicité pour écrire des préfaces de livres s’opposant au mondialisme avec des angles différents. Quelle en serait l’origine commune ?

Effectivement, j’ai eu l’occasion d’écrire de multiples préfaces pour des livres apparemment divers : L’Esprit Révolutionnaire Juif P-9 de Michael Jones, Histoire Secrète de l’Oligarchie Anglo-Américaine P-1 de Carroll Quigley, Le Réseau Rampolla P-5 d’Henri Barbier, La République Universelle du Genre Humain P-8 d’Anacharsis Cloots, De la Salette à Diana Vaughan P-4 de Paul-Étienne Pierrecourt, Le Nouvel Ordre Mondial P-3 de H. G. Wells ou encore Les Conséquences Politiques de la Paix de Jacques Bainville P-10. Les sujets traités par ces livres sont variés. Néanmoins, par des chemins différents, ces ouvrages révèlent que la finalité du sujet traité consiste à aboutir à la mise à mort de la Révélation directement ou par étape. Comme je l’ai déjà indiqué, pour cerner un sujet, il faut toujours saisir le fil directeur à partir d’une masse de documents. L’Incarnation annoncée dans la Bible hébraïque, avec ses conséquences spirituelles et temporelles, représente le point incontournable de la haine talmudo-kabbalistique depuis 2000 ans. Dans cette révolte, on relève cette volonté d’établir une gouvernance mondiale régie par une élite opposée à la Révélation régentant une humanité soumise aux directives du Temple rénové.

9. Justement, cette mystique mondialiste se retrouvant dans le noachisme, le sabbatéo-frankisme ou la gnose est protéiforme. A quels indices peut-on la reconnaître ?

Tout d’abord, s’il fallait résumer la finalité de la mystique mondialiste, nous dirions, en nous référant au spécialiste israélien Gershom Scholem, qu’il s’agit de faire du peuple juif, le peuple prêtre, intermédiaire unique entre le Dieu un et le reste de l’humanité non-juive régie par les lois noachides, cette dernière se trouvant comme simple prosélyte de la Porte au seuil du Temple rétabli pour la plus grande gloire d’Israël. La compréhension du noachisme pour les non-Juifs est essentielle. Nous en avons l’explication dans le livre du rabbin Élie BenamozeghIsraël et l’Humanité, dont j’ai synthétisé les propos dans Atlas du Mondialisme L-6. Régi par sept lois, le noachisme a pour but essentiel de détruire trois points clefs : l’Incarnation, la Sainte Trinité et le sacerdoce catholique.

« Un Maçon est obligé, de par sa Tenure, d’observer la Loi morale, en tant que vrai noachite… »

Article Premier des Constitutions d’Anderson de 1738

Les outils qui rendent possible cet « idéal » se trouvent dans l’esprit de la gnose issue du monde antique (Égypte, Mésopotamie, …) sublimant l’idée que l’homme, parcelle du divin, peut par sa seule intelligence et sa volonté rejoindre ce même divin. Cette gnose, reposant sur la magie et l’évocation des esprits, avait été déjà condamné par le prophète Isaïe (Is. VIII, 19 dans la Bible Hébraïque) sous l’appellation « oboth » et « Iidonime ». Le phénomène est donc ancien. Dès le début de l’ère chrétienne, nous relevons la présence de ce courant cherchant à pervertir l’Église et son enseignement. En effet, sous le règne du pape saint Pierre, Simon le Magicien se présenta à lui pour connaître ses « pouvoirs magiques » moyennant une rétribution financière d’où le mot simonie. Rabroué par l’apôtre, il se convertit faussement au catholicisme afin d’en découvrir les secrets et subvertir la toute jeune Église. Historiquement, nous avons affaire au premier marrane (Juif faussement converti). Par la suite, nous observons une pléthore d’hérésies (arianisme, catharisme, bogomiles, hussisme, protestantisme etc) qui, toutes, reposaient sur des principes remettant en cause les dogmes catholiques pour se rapprocher peu ou prou de l’idéal opposé de la synagogue aveugle. En s’intéressant aux causes profondes de ces mouvements, nous retrouvons toujours par des chemins détournés l’influence du monde juif talmudo-kabbalistique comme c’est le cas avec les cathares acquis au principe du Dieu bon et du Dieu mauvais (le démiurge) et à la migration des âmes ou gilgoul dans le langage kabbalistique. Le siège de la Kabbale au XIIè siècle était, comme par hasard, situé dans le sud de la France. Nous pouvons relever aussi Pic de la Mirandole, auteur de l’ouvrage Neuf Cents Conclusions, qui fut condamné par les autorités de l’Église en 1487 car ses travaux mettaient « la magie et la Kabbale au-dessus des Évangiles »Comme par hasard, Pic de la Mirandole était très lié aux milieux ésotériques, en particulier à un Juif sicilien faussement converti et devenu prêtre qui s’appelait Abu’l Faradj. Par la suite, nous pouvons relever dans ces multiples influences l’expression « Être suprême », terme cher à la Kabbale pour désigner un Dieu infini, dont nous retrouvons l’emploi dans le préambule de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme en 1789. Signalons l’existence d’un livre au titre à peine provocateur de l’universitaire juif américain Yuri Slezkine qui, pour définir le XXè siècle, n’a pas hésité à le nommer « Le siècle juif ». Il n’a pas tort.

« Ce noachisme s’impose de plus en plus dans les structures mentales. Ainsi, le Congrès des états-Unis a adopté dans le cadre de « l’Education Day », le 26 mars 1991, la reconnaissance des lois noachides comme socle de la société américaine. »

 Connaissez-vous le noachisme ? – Pierre Hillard

« 1920 – Before the Storm » de Jakub Różalski
10. Merci pour cet entretien. Dernière question quant à l’actualité. Penses-tu que la dictature sanitaire qui vient n’est-elle pas, par ses excès, une fantastique opportunité de réveiller les peuples avant le « Grand Reset ».

Il est vrai que de nombreuses personnes sentent que quelque chose ne va pas. L’instinct de survie se fait sentir et, peu importe l’origine sociale et le niveau d’étude, certains commencent à se poser les vraies questions. Cependant, je crois que la véritable bascule se fera dans l’effondrement financier et économique qui s’annonce. Tout s’écroulera et la famine se fera jour. Certains sauront lutter pour survivre tandis que d’autres seront incapables de le faire car tétanisés par l’horreur du moment. La guerre civile fera rage d’autant plus que des millions d’extra-Européens ne bénéficiant plus des allocations et autres subsides financiers sauront montrer un vif ressentiment à l’égard du pays d’accueil. Le peuple français est pris en étau entre un système politique, la République d’essence talmudo-kabbalistique, et la présence sur son sol de populations allogènes désireuses de conserver leur propre culture. Tout cela se terminera en guerre totale. Les civilisations sont mortelles. Concernant la France, espérons que la Providence saura faire surgir le chef capable de rétablir une civilisation française née du baptême de Clovis. Mais en attendant, que de souffrances en perspectives !

L’élite nous avait pourtant prévenu lors de la cérémonie des Jeux Olympiques de Londres de 2012 : masques, virus, 5G et enfants malades…
[NOTES]

1 – Cf. https://www.uclg.org/fr/centenaire.

2 – Cf. Christine Lagarde, patronne du FMI, annonce-t-elle en 2014 la venue du Grand Reset pour 2021 ?

3 – Cf. http://transitionintegrityproject.net.

4 – Sources composant la vidéo :
1) Nouvel Ordre Mondial -Pierre Hillard sur Fréquence Evasion ;
2) Intervention de Pierre Hillard – La France à l’épreuve de l’Union Européenne (pour en savoir ;
3) Conférence Pierre Hillard et Piero San Giorgio – Comprendre le Mondialisme et y survivre 2/2 ;
4) Pierre Hillard, spécialiste du mondialisme… origines, découvertes et terrifiantes perspectives ;
5) Songbird | Official Trailer [HD] | Coming Soon.
Cf. articles sur COVID-1984 et précisions complémentaires sur Golden Dawn.

LIVRES DE PIERRE HILLARD

1 – Minorités et Régionalismes dans l’Europe Fédérale des Régions (2001) – Editions François-Xavier de Guibert

2 – La Décomposition des Nations Européennes: de l’Union Euro-Atlantique à l’État Mondial (2005) – Editions François-Xavier de Guibert

3 – La Marche Irrésistible du Nouvel Ordre Mondial : Destination Babel (2007) – Editions François-Xavier de Guibert

4 – La Fondation Bertelsmann et la Gouvernance Mondiale (2009) – Editions François-Xavier de Guibert

5 – Chroniques du Mondialisme (2014) – Editions Culture & Racines

6 – Atlas du Mondialisme (2017) – Editions Culture & Racines

7 – Archives du Mondialisme (2019) – Editions Nouvelle Terre

8 – Sionisme et Mondialisme (2020) – Editions Nouvelle Terre

LIVRES PRÉFACÉS PAR PIERRE HILLARD

1 – Histoire Secrète de l’Oligarchie Anglo-Américaine de Carroll Quigley (2015) – Editions Culture & Racines

2 – La Guerre Secrète Contre les Peuples de Claire Severac (2015) – Editions Kontre Kulture

3 – Le Nouvel Ordre Mondial d’H.G. Wells (2018) – Editions du Rubicon

4 – De la Salette à Diana Vaughan de Paul-Étienne Pierrecourt (2018) – Editions Saint-Rémi

5 – Le Réseau Rampolla d’Henri Barbier (2018) – Editions Saint-Rémi

6 – De la Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ à la Passion de l’Église de Louis-Hubert Remy (2018) – Editions ACRF

7 – Le Monde Occulte des Comic Book de DC Comics à Marvel de Jérémy Lehut (2019) – Editions Omnia Veritas

8 – La République Universelle du Genre Humain d’Anacharsis Cloots (2019) – Editions Omnia Veritas

9 – L’Esprit Révolutionnaire Juif d’Eugene Michael Jones (2019) – Editions Saint-Rémi

10 – Les Conséquences Politiques de la Paix de Jacques Bainville (2020) – Editions du Verbe Haut




La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19

[Source : Guy Boulianne]

Voici un texte du Dr Igor Shepherd et de son épouse June. Le Dr Shepherd a travaillé pendant plusieurs années dans l’ex-Union soviétique en tant que professionnel de la santé spécialisé dans le développement d’armes biologiques mortelles. Il savait que ce programme top secret était consacré à l’avancement du communisme mondial et serait utilisé pour détruire les États-Unis.
Le Dr Shepherd a occupé pendant environ sept ans un poste de direction au sein du ministère de la Santé publique de l’État du Wyoming, mais a récemment été démis de ses fonctions en attendant une enquête sur le discours qu’il a prononcé lors d’une réunion du “Keep Colorado Free & Open”, dans une église de Loveland, Colorado, le 10 novembre 2020.

« Les gens qui essaient d’être des dieux échouent misérablement à chaque fois parce que leurs actes sont mauvais. »


Dès que le gouverneur de notre État a annoncé le verrouillage et les fermetures d’entreprises pour notre État (d’autres gouverneurs faisaient de même), mon mari et moi nous sommes regardés avec une extrême inquiétude. « L’Amérique est attaquée par l’ennemi », ai-je laissé échapper, effrayée, mes mots lourds et roulant à peine de ma langue. Mon mari, les yeux écarquillés, secoua la tête en accord. En tant que médecin, il savait que le Covid-19 était un virus de type bénin, semblable à la grippe saisonnière, et que le protocole de réponse extrême des gouverneurs était anormal et erroné. Nous savions tous les deux que quelque chose de sinistre se passait, et nous attendions pleinement que les Américains voient la même chose, se lèvent dans l’unité et arrêtent la prise de contrôle forcée de nos entreprises et libertés civiles. Comme nous avions tort !

Malgré quelques protestations au début (qui ont cessé depuis lors), la majorité des Américains ont adhéré sans conteste à la propagande pandémique et ont volontairement permis que leurs libertés soient détournées par un groupe de voyous dont les objectifs n’avaient rien à voir avec la santé de la population, mais tout à voir avec la restructuration et la réinitialisation du gouvernement, de l’économie et de la société américains. Nos soupçons ont été confirmés lorsque le 22 octobre 2020, Time Magazine a publié le premier article anticapitaliste ouvertement flagrant, intitulé « The Great Reset », faisant la promotion du nouveau gouvernement mondial communiste post-Covid 19 qui est prévu pour toutes les nations.

Agenda 21/Agenda 2030

La grande réinitialisation (Great Reset) est un gouvernement mondial planifié de style régime communiste, actuellement en cours (par la force) via la pandémie Covid-19 pré-planifiée et canularisée. C’est un programme mondial totalitaire qui est devenu populaire en 1987 grâce aux Nations Unies. Il s’intitulait Agenda 21, car l’objectif était de réinitialiser complètement tous les gouvernements et économies du monde d’ici 2021. Puisqu’ils ne sont pas en mesure de finaliser cet objectif d’ici 2021 et qu’ils devaient prolonger leur calendrier (bien qu’ils aient fait des progrès massifs cette année, en 2020, en utilisant cette pandémie), l’Agenda 21 a été mis à jour à l’Agenda 2030. Cela leur donne dix ans supplémentaires pour achever la prise de contrôle mondiale.

La plupart des Américains sont aveugles à cette invasion, car ils font confiance à des politiciens corrompus qui sont des traîtres à nos lois et libertés, et dont le seul dessein est de mettre en place un gouvernement communiste mondial. Et ce n’est pas seulement un avenir malheureux pour l’Amérique; toutes les nations seront soumises à l’emprise maléfique de ce nouveau gouvernement chimérique. Ses lois vont dévaster et dominer tous les aspects de notre vie quotidienne. En lisant la liste ci-dessous, vous pouvez commencer à voir pourquoi cette pandémie est un excellent outil pour les mondialistes. Voici les changements draconiens de style de vie que nous vivrons dans quelques années si les citoyens de notre nation ne repoussent pas rapidement :

En 1992, lors de la réunion du Sommet de la Terre de l’ONU, dirigée par le Secrétaire général Maurice Strong, l’Agenda 21 a été établi en tant que force mondiale (un rapport et une brochure de 1000 pages intitulé Agenda 21 ont été distribués avec les détails de l’agenda mondial communiste). Il est important de mentionner que Maurice Strong était un partisan dévoué et un résident de la Chine communiste. L’Agenda 21/2030 est fondé sur le communisme. Et pourtant, le président républicain George Bush, avec 177 autres dirigeants mondiaux, a embrassé et soutenu ce « Nouvel Ordre Mondial » communiste, et a signé sur l’Agenda 21. Le propre discours de Bush en 1991 a confirmé son objectif de remettre l’Amérique sous un Nouvel Ordre Mondial.


« Faire renoncer chacun à son droit de respirer de l’air frais est absolument diabolique et insensé. Et pourtant, ces fous qui dirigent notre pays s’en tirent avec toutes ces violations des droits civils parce que les citoyens permettent la parodie sans un regard de défi. »

Dr Igor Shepherd


Le développement durable

Le logo et le slogan du Sommet de la Terre qui se tint à Rio de Janeiro, et qui conduisit à l’adoption de l’Agenda 21, symbolisent bien le plan occulte de l’élite: « Le monde est entre nos mains ».

Afin de convaincre le public de monter à bord de cette “réinitialisation” communiste des gouvernements, l’Agenda 21/2030 est colporté dans le cadre d’un programme de « sauvegarde de l’environnement » fondé par les Nations Unies et appelé Développement durable. L’organisation partenaire, l’Institut international du développement durable (IIDD), expose et définit le développement durable comme : « Un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Le mot le plus simple pour définir le développement durable est le communisme.

Pour être encore plus précis, le développement durable est le mot « code » du communisme. Partout où vous voyez une organisation promouvoir le développement durable, ou utiliser les termes durable ou durabilité (et presque toutes les grandes entreprises et universités le font), elles promeuvent en fait l’Agenda 21/2030 mondial communiste. L’Agenda 21 ou l’Agenda 2030 n’est généralement pas mentionné aussi ouvertement parce que les partisans préfèrent cacher leur véritable objectif pour le communisme mondial sous un thème « sauver l’environnement ». Ils savent que les populations n’accepteront pas un style de vie communiste, mais s’engageront sans réserve pour sauver la planète. C’est pourquoi, par exemple, les croyances du « passage au vert » et du gaz vert et du changement climatique ont été imposées à la population et largement commercialisées.

Le terme de développement durable est devenu populaire après qu’un rapport de l’ONU de 1987 intitulé, « Notre avenir commun », a été publié par la Commission Brundtland. Cette commission porte le nom de sa présidente, Gro Brundtland, ancienne directrice de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et première femme vice-présidente de l’Internationale socialiste. Les mondialistes promouvant l’Agenda 21 (maintenant l’Agenda 2030) utilisent le terme Développement Durable pour infiltrer efficacement leur agenda communiste dans les villes, comtés et États américains; et d’autres nations. Cette pandémie est maintenant utilisée pour mettre en œuvre les changements.

George Bush Sr n’était pas le seul loup qui avait infiltré le gouvernement américain avec ses vues communistes, trompant ses électeurs. En 1993, le président Clinton a signé le décret 12852, qui a formé le « Conseil présidentiel du développement durable ».

En 2011, le président Obama est allé plus loin pour ancrer les Américains sous l’Agenda 21. (Bien sûr, contrairement à Bush et Clinton, la campagne et la présidence d’Obama ont ouvertement affiché son dévouement envers le communisme). Il a signé le décret 13575, qui a mis en place le « Conseil rural de la Maison Blanche ». Son ordre était sournois. La première section dit :

« Seize pour cent de la population américaine vit dans des comtés ruraux. Des communautés rurales fortes et durables sont essentielles pour gagner l’avenir et assurer la compétitivité américaine dans les années à venir. Ces communautés fournissent notre nourriture, nos fibres et notre énergie, préservent nos ressources naturelles et sont essentielles au développement de la science et de l’innovation. Bien que les communautés rurales soient confrontées à de nombreux défis, elles présentent également un énorme potentiel économique. Le gouvernement fédéral a un rôle important à jouer pour élargir l’accès au capital nécessaire à la croissance économique, promouvoir l’innovation, améliorer l’accès aux soins de santé et à l’éducation et développer les activités récréatives de plein air sur les terres publiques. »

Les communautés rurales durables dans la première section indiquent que le « Conseil rural de la Maison Blanche » nouvellement formé par Obama a été conçu pour promouvoir le plan Agenda 21 des Nations Unies. L’objectif d’Obama à travers ce décret était de transformer fondamentalement l’Amérique.

Presque tous les dirigeants du monde, y compris le président Donald Trump, sont derrière la mise en œuvre de l’Agenda 21/2030 du Développement durable en tant que nouveau mode de vie, ou en clair, en tant que nouveau mode de vie tyrannique dans le cadre de leur nouvel ordre mondial technocratique. Le site internet de la Maison Blanche révèle la vérité que Trump est d’accord avec les politiciens libéraux d’hier et d’aujourd’hui, et à 100% derrière l’agenda communiste du développement durable. Le 17 mai 2018, Trump a signé le décret 13834, intitulé « Opérations fédérales efficaces ». Dans cet ordre, il a le pouvoir de déléguer un dirigeant fédéral en chef de la durabilité (veuillez consulter le document “Implementing Instructions for Executive Order 13834 Efficient Federal Operations, du Conseil sur la qualité de l’environnement, Office fédéral de la durabilité),

En 2018, Trump a fait progresser les objectifs du Programme mondial unique à l’horizon 2030 en signant l’Accord Canada–États-Unis–Mexique (USMCA). Il a violé la feuille de route légale des lois américaines et a signé cet accord sans ratification du Congrès ou du Sénat. Trump est allé plus loin avec les objectifs de l’Agenda 2030 et, le 24 août 2019, a signé avec ses alliés « mondialistes » du G7 (Canada, France, Allemagne, Italie, Japon et Royaume-Uni) pour diriger spécifiquement le développement durable et d’autres questions relatives à la mondialisation des nations.

La Maison Blanche est à 100% derrière la grande réinitialisation (Great Reset), et ce pdf.doc 2015, page 18, sur l’Agence américaine pour le développement international (USAID) déclare clairement que les dirigeants du monde ont adopté l’Agenda 2030 pour le développement durable. Leur vision d’un “gouvernement ouvert pour soutenir le développement durable mondial” est établie sur une période de 15 ans (achèvement d’ici 2030), l’administration de la Maison-Blanche s’est engagée à faire en sorte que les efforts visant à mettre en œuvre les objectifs de développement durable (ODD) soient ouverts et transparent en consultation avec la société civile.

C’est pourquoi l’association de l’Agenda 21/2030 appelée Conseil international pour les initiatives écologiques locales (ICLEI), montre plus de 250 villes et comtés américains qui sont membres de ce mouvement pour restructurer le gouvernement, l’économie et la société américains. Elle compte également plus de 1 000 dirigeants municipaux dans 86 pays. Mais vous pouvez parier que l’adhésion dépasse désormais 250 villes américaines. Toutes les universités d’État de la côte ouest que j’ai recherchées sur Google sont liées aux objectifs de développement durable des Nations Unies, comme le montre par exemple l’Université d’État de l’Oregon. Je suis sûr que les universités des États du Midwest et de la côte Est ont les mêmes liens. Tous les fabricants de vaccins Covid-19, y compris AstraZeneca, font la promotion du développement durable sur leurs sites internet. C’est un objectif mondial déjà en place dans le monde entier.

Comment pouvons-nous faire confiance aux entreprises fabriquant les vaccins Covid-19 lorsqu’elles soutiennent un programme mondial qui approuve le dépeuplement ? Comment pouvons-nous être sûrs que leurs vaccins développés sont réellement sans danger pour nous et ne doivent pas être utilisés à des fins de stérilité, de génocide à long terme ou d’altération de l’ADN pour un contrôle mental massif des populations ? La modification génétique fait partie de la technologie sur les vaccins Covid-19, et donc qu’est-ce qui les empêchera de nous injecter des vaccins qui sont génétiquement modifiés pour provoquer le cancer, des mutations génétiques ou des maladies chroniques systémiques afin de faire progresser leur état d’esprit tordu pour atténuer le populations de nations ? Les sites Internet des différents fabricants de vaccins indiquent qu’ils travaillent en étroite collaboration avec la BARDA (Biomedical Advanced Research and Development Authority) et la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), deux agences militaires impliquées dans des projets d’armes biologiques pour les États-Unis. Les objectifs de former un nouveau gouvernement ont été infiltrés aux plus hauts niveaux à l’échelle mondiale, et c’est pourquoi les citoyens de chaque pays devraient interroger chaque politicien, organisation et société de vaccins liés au développement durable.


« Seuls les tyrans et les personnes qui haïssent l’humanité forceraient les jeunes enfants et les personnes âgées à être privés de l’oxygène vital nécessaire pour assurer une bonne santé. »

Dr Igor Shepherd

https://youtu.be/fUv9rBqtaJs
Film promotionnel de la DARPA pour son 50e anniversaire en 2008.

Forum économique mondial

Aujourd’hui, la principale organisation qui promeut l’Agenda 21/2030 du Développement durable est le Forum économique mondial (FEM). Le fondateur et président est le professeur milliardaire Klaus Schwab. Il est un idéologue et innovateur communiste qui est au centre des affaires mondiales depuis plus de quatre décennies. Il est convaincu que nous sommes au début d’une révolution qui changera fondamentalement notre façon de vivre, de travailler et de nous relier les uns aux autres. Et cette pandémie pré-planifiée a effectivement relancé sa révolution folle, alors qu’il avance avec ses plans tyranniques pour remodeler le monde sous une nouvelle utopie de type « zone crépusculaire » post-Covid 19. Le site internet du FEM explique en détail ce que le monde post Covid-19 ressemblera à d’ici 2030, une fois que les mondialistes auront atteint leurs objectifs.

La page sur le leadership et la gouvernance sur le site internet du FEM et la page de leurs membres et partenaires est informative. Mais ce qui est encore plus inquiétant, c’est que Schwab a récemment publié un autre livre intitulé : “COVID-19: La Grande Réinitialisation”. Ce livre détaille ce qui attend l’Amérique et le monde après que la pandémie planifiée ait atteint ses objectifs de contrôle humain complet grâce à l’Agenda 2030. Le livre déclare :

« “COVID-19: La Grande Réinitialisation” est un guide pour quiconque veut comprendre comment le Covid-19 a perturbé nos systèmes sociaux et économiques, et quels changements seront nécessaires pour créer un monde plus inclusif, résilient et durable à l’avenir. »

Klaus Schwab est une force à craindre car son culte « orwellien » a pris racine dans le monde entier. Des dirigeants du monde entier, y compris le président Trump, soutiennent ouvertement l’Agenda 2030 de Schwab. Des articles de presse apparaissent partout approuvant la Great Reset de Schwab, tout comme le Time Magazine. Trump lui-même fait la promotion du FEM et de Klaus Schwab sur le site internet de la Maison Blanche : whitehouse.gov.

Les Américains sont naïfs de penser qu’il existe encore un système bipartite et que nos votes comptent. Ce programme mondial pour contrôler tous les aspects de nos vies est mis en branle depuis des décennies, et ces politiciens infiltrés ont fait des pas de géant en trompant le public avec des promesses hogwash [ineptes]. Le président Trump, par exemple, prétend être un patriote conservateur, mais il est loin d’être fidèle à ce pays. Il suit la structure de gouvernance de l’Agenda 2030 et autorise illégalement les juridictions locales (comté, ville, état — comme les gouverneurs, les maires et les départements de la santé) à contourner le processus législatif et à créer leurs propres décrets exécutifs tyranniques et absurdes (sans la science médicale). Le Forum économique mondial, qui est à l’origine de l’Agenda 2030, le déclare sur son site Web :

« Peut-être que des centres de pouvoir alternatifs — au niveau local ou municipal — peuvent offrir une assurance et un moyen plus rapide de faire avancer les choses… Tous les gouvernements pourraient faire mieux en équilibrant l’autonomie et l’agilité au niveau local avec une coordination au niveau national. »

Cette déclaration est la raison pour laquelle le président Trump a renoncé à son autorité sur la réponse de Covid-19 et a délégué son pouvoir aux gouverneurs des États, qui à leur tour ont renoncé à une partie de leur autorité en la confiant aux maires et aux commissaires de comté. Chacun de ces gouverneurs et maires, etc., a rédigé ses propres règles et règlements différents, ce qui a créé la division et le chaos (le chaos affaiblit un gouvernement). Par exemple, certains gouverneurs imposaient des restrictions de voyage, des couvre-feux ou des restrictions folles sur les armes à feu. Certains n’autoriseraient pas les citoyens à se rendre dans leur propre propriété s’ils possédaient une deuxième maison dans l’État, à acheter de la peinture ou ne permettaient pas aux voyageurs de entrer dans leurs États sans mesures de quarantaine de 14 jours. Le maire de Los Angeles a établi une règle selon laquelle il couperait l’électricité et l’eau des maisons où se déroulaient de grands rassemblements. D’où ce maire tire-t-il son autorité pour des mesures aussi draconiennes ? Du président Trump. Trump a participé aux verrouillages, aux distanciations et aux violations des droits civils en ignorant la loi suprême de notre pays. Il a plutôt suivi les règles de gouvernance de l’Agenda 2030 qui confèrent plus de pouvoir de gouvernance aux juridictions locales. C’était un plan brillant pour démanteler notre nation. Une autre preuve de l’allégeance de Trump à l’ordre mondial est qu’il n’a rien fait pour arrêter les ordres illégaux de l’un de ces gouverneurs ou maires. Bien que nous l’entendions parler de l’iniquité, nous ne le verrons jamais arrêter l’injustice. C’est parce qu’il est à bord avec le Forum économique mondial et Klaus Schwab et d’autres dirigeants mondiaux dans la promotion d’un Nouvel Ordre mondial (qui comprend l’application de vaccinations dangereuses à la population par la force militaire).

La trahison n’est pas seulement dans notre gouvernement. L’armée américaine est le moteur de cette grande réinitialisation du communisme mondial. Les communistes ont infiltré l’Amérique de toutes les manières possibles. Les sites internet militaires soutiennent les Objectifs de développement durable et c’est pourquoi ils ont financé et établi des partenariats avec tous les fabricants de vaccins Covid-19. Les vaccins n’ont rien à voir avec notre santé, mais tout à voir avec le contrôle de notre esprit et de notre corps. Ils font partie de la pandémie de canular pré-planifiée qui sape notre mode de vie dans tous les aspects que nous pouvons imaginer. Ils contrôleront ce que nous mangeons, où nous allons, ce que nous faisons et comment nous pensons si nous ne nous élevons pas ensemble dans l’unité et ne les repoussons pas. Ils savent qu’en continuant à priver les Américains de plus de libertés, il y aura éventuellement une énorme opposition d’Américains armés qui se lèvera. Au lieu de créer une guerre sanglante dans les rues et de risquer de perdre beaucoup de leurs propres soldats, il leur est beaucoup plus facile de désarmer le peuple avant qu’une guerre ne puisse s’ensuivre en utilisant une méthode de mise à mort douce, mieux connue sous le nom d’arme biologique. Vacciner rapidement la population (Operaton Warp Speed ​​qui utilise l’armée pour dispenser les vaccins à la population) est une tactique brillante pour éliminer des centaines de milliers de citoyens sans tirer un seul coup. Leur injecter des vaccins toxiques ou altérant l’ADN paralyserait lentement la nation et permettrait l’achèvement de la grande réinitialisation du Nouvel Ordre Mondial.

Pendant ce temps, les ordonnances illégales et constamment contraires à la Constitution sont une jauge pour les mondialistes. Ils sont capables d’analyser la profondeur avec lesquelles ils peuvent manipuler les masses. Une fois qu’ils seront convaincus que les gens ne résisteront pas à leur tyrannie, ils poursuivront la prise de contrôle jusqu’à ce que leur Agenda 2030 soit pleinement mis en œuvre. Une chose est certaine, l’Agenda 2030 n’aurait pas pu accomplir cela rapidement sans la pandémie Covid-19. Cette pandémie était pré-planifiée afin d’ouvrir la porte à l’objectif de plusieurs décennies des élites mondiales de gouverner le monde d’une main de fer. Il existe un document fédéral allemand de réponse à la pandémie (à partir de la page 55) publié en 2012 qui décrit presque exactement un scénario de pandémie comme nous le voyons aujourd’hui. Le virus dans leur scénario est nommé « modi-sars » (coronavirus modifié), ce qui est beaucoup trop proche dans les similitudes avec le virus actuel Covid-19. Le document est étrange car il prédit que la pandémie durera 2 à 3 ans, avec des « vagues » de retour du virus, des réponses strictes, des pénuries alimentaires, des troubles civils et des changements sociétaux. C’est un modèle pour le Covid-19 actuel et les actions et réponses mondiales. L’événement 201 (Event 201), un exercice de pandémie mondiale organisé par le Johns Hopkins Center for Health Security, le Forum économique mondial et la Bill & Melinda Gates Foundation (qui soutiennent tous The Great Reset), s’est produit de manière suspecte le 18 octobre 2019, à New York, juste avant que la pandémie de Covid-19 commence. Il est également important de noter que le CDC chinois a participé à cet exercice. Le scénario pandémique de l’événement 201, comme le document allemand, a également utilisé un nouveau coronavirus simulé et prédit que des millions de personnes mourraient. Ce n’est pas un hasard si les gouvernances et les plaisirs politiques, économiques, religieux et sociétaux de l’Amérique et d’autres pays sont rapidement déstabilisés par cette pandémie, comme cela avait été planifié il y a des années.

Bon travail, les gens ! Depuis le confinement, tout est en train de devenir vert. Continuez !

Cette pandémie se poursuivra pendant 3 ans ou plus jusqu’à ce que les mondialistes aient complètement restructuré l’Amérique (et les autres nations). Ils conditionnent nos esprits à accepter les changements sociétaux à venir grâce à des verrouillages et au port forcé de masques. Les entreprises privées sont obligées de faire faillite car on leur ordonne de fermer ou de servir à un niveau de capacité réduit de 50%. Les mandats de port de masque dangereux montrent également la profondeur du mal auquel nous pouvons nous attendre sous ce nouveau gouvernement mondial. Seuls les tyrans et les personnes qui haïssent l’humanité forceraient les jeunes enfants et les personnes âgées à être privés de l’oxygène vital nécessaire pour assurer une bonne santé. Faire renoncer chacun à son droit de respirer de l’air frais est absolument diabolique et insensé. Et pourtant, ces fous qui dirigent notre pays s’en tirent avec toutes ces violations des droits civils parce que les citoyens permettent la parodie sans un regard de défi.

Chacune des réponses à la pandémie a été mise en œuvre pour « réinitialiser » l’Amérique et les nations. Les verrouillages et les distanciations sont une préparation à une vie d’isolement, car dans le cadre de l’Agenda 2030, la plupart des achats et des ventes se feront en ligne. Il n’y aura pas de magasinage, pas de rassemblement entre amis et pas de sorties dans les parcs. Ils sépareront les masses afin de les contrôler efficacement pour le style de vie isolé qu’ils ont prévu. Fermer des entreprises et les qualifier de « non essentielles » est un excellent plan pour éliminer la propriété privée. Seules les grandes entreprises qui font partie du Great Reset seront considérées comme « essentielles ». La vidéo sur le site internet du Great Reset indique très clairement que seul ce qui est « essentiel » sera nécessaire. Cette vidéo explique pourquoi les termes « essentiel » et « non essentiel » ont été adoptés. C’est la terminologie de la transformation gouvernementale, économique et sociétale de l’Agenda 2030. Les voyages, les avions, les voitures, la consommation de viande, la possession de maisons, de terrains ou d’appareils de luxe comme les climatiseurs seront tous considérés comme non essentiels, selon les règles du Great Reset. Et sur ce site Web, ils visent à reprogrammer les lecteurs pour qu’ils acceptent les changements mondiaux en louant les verrouillages et en nous traitant tous de « héros du changement climatique » parce que, comme ils le vantent fièrement, « tout devient maintenant vert » (comme pour isoler les gens les uns des autres c’est une bonne chose). Ils propagent le mensonge que moins de conduite, moins de vol, et moins de déplacements est ce qui est le mieux pour nous dans le cadre de cette nouvelle réinitialisation mondiale. En d’autres termes, nous sommes tous des héros si nous sommes prêts à vivre une vie d’isolement total et à renoncer à toutes nos libertés civiles afin de sauver l’environnement de la planète. Cette PsyOp [NdNM : « Opération Psychologique » – lien ajouté] du Nouvel Ordre Mondial est au-delà du diabolique.

Et une fois que les vaccinations Covid-19 seront dispensées, et que nos gènes humains d’origine seront corrompus par le génie génétique, et que nous perdons notre originalité et notre pureté naturelle en tant qu’êtres humains, ils auront réussi non seulement à nous asservir mais à contrôler nos esprits, nos pensées, nos comportements. et nos humeurs.

Technocratie

L’Agenda 2030 sera une nouvelle forme de totalitarisme étroitement liée à la technocratie. La technocratie est un système idéologique de gouvernance dans lequel ceux qui sont au pouvoir (les technocrates) contrôlent les masses et dirigent les nations grâce à des connaissances techniques avancées. C’est l’une des raisons pour lesquelles la technologie sans fil 5G était importante et s’est déployée, malgré la preuve scientifique de ses dangers pour la santé. Les verrouillages, fermetures d’entreprises et distanciations font partie d’un conditionnement pour préparer les masses à ce type de mode de vie sévèrement réglementé. Dans son livre, « Between Two Ages: Americas Role in the Technetronic Era », l’ancien gourou politique et mondialiste Zbigniew Brzezinski affirme que la souveraineté est une fiction et que « l’ère technétronique implique une société plus contrôlée et dirigée, dominée par une élite dont la revendication du pouvoir politique reposerait sur un savoir-faire scientifique prétendument supérieur utilisant les dernières techniques modernes pour influencer le comportement public et maintenir la société sous étroite surveillance et contrôle. »

La grande réinitialisation de Klaus Schwab est tout à propos de l’âge de la technocratie. Il a écrit un livre sur cette nouvelle ère en 2016 intitulé « The Fourth Industrial Revolution [NdNM: lien ajouté] ». Les critiques décrivent son livre comme suit : « Super informatique mobile omniprésente. Robots intelligents. Voitures autonomes. Améliorations neuro-technologiques du cerveau. Édition génétique. La preuve d’un changement dramatique est partout autour de nous et cela se produit à une vitesse exponentielle. » Klaus, bien sûr, veut que la technocratie soit utilisée comme un moyen de contrôler la population mondiale au profit de ceux qui sont au pouvoir.

Cette page du FEM de Schwab sur la mondialisation et ce qu’elle signifie pour le monde et l’Amérique coïncide avec son livre sur l’ère technocratique. En voici un extrait : 

« Le rythme sans précédent du changement technologique signifie que nos systèmes de santé, de transport, de communication, de production, de distribution et d’énergie — pour n’en nommer que quelques-uns — seront complètement transformés. La gestion de ce changement exigera non seulement de nouveaux cadres de coopération nationale et multinationale, mais aussi un nouveau modèle d’éducation, assorti de programmes ciblés pour enseigner de nouvelles compétences aux travailleurs. Avec les progrès de la robotique et de l’intelligence artificielle dans le contexte des sociétés vieillissantes, nous devrons passer d’un récit de production et de consommation à un récit de partage et de bienveillance. »

Bill Gates, le fondateur de Microsoft et de la Fondation Bill et Melinda Gates, le milliardaire excentrique qui a financé la pression pour le dépeuplement et les nouvelles vaccinations « ARN » Covid-19, a également le nez dans l’avancée de l’ère de la technocratie. Il a investi dans une nouvelle technologie satellitaire, investi 85 millions de dollars dans la société Kymeta Satellite, et a un brevet Microsoft en instance appelé Cryptocurrency System Using Body Activity Data (WO/2020/060606). Le brevet est créé pour fonctionner dans un système numérique sans numéraire en reliant les personnes à un serveur où des tâches réelles sont données et où l’énergie et les ondes cérébrales du corps sont générées et utilisées pour extraire la crypto-monnaie. Tel est bien sûr l’objectif de l’Agenda 2030 : contrôler nos finances grâce à une technologie de pointe. Une fois qu’un gouvernement contrôle nos comptes bancaires, il contrôle nos vies. Et cette forme d’achat et de vente sans numéraire n’est pas loin. Ceux qui ont créé cette pandémie ont provoqué des lock-out [fermetures] et des ordres de mise à distance pour conditionner la population à accepter cette nouvelle structure bancaire isolée. C’est pourquoi les démocrates de la Chambre ont ajouté un libellé dans le plan original de la loi CARES de 2 milliards de dollars qui appelait à la création d’un dollar numérique américain mandaté, par le biais de ce qu’ils ont appelé le portefeuille numérique. Cela n’a pas fait partie du projet de loi final, mais il le sera finalement, à mesure que le nouveau gouvernement technocratique ira de l’avant avec ses plans mondiaux.

L’entrepreneur milliardaire Elon Musk, qui est la force derrière les voitures électriques Tesla, est en phase avec l’idéologie technocratique inquiétante de Klaus Schwab. Musk a récemment dévoilé un implant cerveau-ordinateur sans fil pour les neurosciences qu’il appelle Neuralink. Neuralink vise à implanter des interfaces cerveau-ordinateur sans fil comprenant des milliers d’électrodes dans le cerveau pour aider à guérir les affections neurologiques et les lésions de la moelle épinière. Il a déjà fait implanter cette puce informatique de la taille d’une pièce dans le cerveau d’un porc pour des études. Cela peut sembler plausible et être une grande avancée pour la science médicale, mais ce n’est pas le cas. Le but ultime de Musk, comme Bill Gates, est de fusionner l’humanité avec l’intelligence artificielle et de créer le transhumain parfait. Musk est sur la même voie que Gates et est également investi dans les satellites. Ne pensez pas une seule minute que l’élite mondiale, les technocrates pesant actuellement leur pouvoir sur l’humanité, n’ont pas le même objectif en tête concernant le vaccin Covid-19 et leur nouvelle « édition génétique » révolutionnaire.


« Voler nos esprits par la tromperie est exactement leur plan d’action. Par conséquent, battons ce Nouvel Ordre Mondial et résistons à la tyrannie, et une partie de l’arrêt du Great Reset consiste à arrêter le vaccin ! »

Dr Igor Shepherd

Transhumanisme

Logo du mouvement transhumaniste

La technocratie ne peut être accomplie tant que chaque personne n’est pas vaccinée. Leurs plans vont au-delà de forcer les masses à rester à la maison devant leurs ordinateurs pour le reste de leur vie. Ils ont déjà mis en place un programme beaucoup plus néfaste et sinistre, et c’est le transhumanisme, qui est le contrôle du corps humain et de l’esprit humain en fusionnant l’humanité avec la machine. Pour ce faire, les mondialistes doivent modifier notre ADN avec de l’ADN artificiel. Le transhumanisme est leur but ultime pour contrôler le monde parce que les globalistes auront les capacités de contrôler la volonté du peuple. Ils ne nous diront certainement pas qu’ils vont altérer notre ADN et faire de nous des zombies parce que la plupart des gens (j’espère) lutteraient contre ce vol de notre esprit.

La pandémie de Covid-19 était l’outil parfait pour instiller la peur et la panique, et amener la population à accepter les vaccinations obligatoires qui contiennent de l’ADN artificiel qui peut changer de manière irréversible notre génome humain pour toujours. Cela semble-t-il absurde? Peut-être il y a 50 ans, mais dans le monde d’aujourd’hui, cette technologie est déjà développée. Les objectifs pour le contrôle mondial des nations n’ont rien de nouveau, et nous ne devons pas être naïfs en pensant que cette forme d’esclavage n’est pas le «sommet» ultime pour les dirigeants fous et avides de pouvoir.

En mai 2010, la Fondation Rockefeller, en lien avec le Global Business Network du futurologue Peter Schwartz, a publié un rapport prophétique (plus de preuves que la pandémie de Covid-19 était pré-planifiée) intitulé : “Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international” [NdNM : voir La crise de la covid-19 prévue en 2010 par la fondation Rockefeller ?]. Ce rapport contient différents scénarios de type futur. Un scénario semble être un modèle exact pour les réponses et les actions actuelles de la pandémie Covid. Il porte le sous-titre intrigant : « LOCK STEP : Un monde de contrôle gouvernemental plus strict et de leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et une répulsion croissante des citoyens ». Cette section indique :

« En 2012, la pandémie que le monde prévoyait depuis des années a finalement frappé. Contrairement à la grippe H1N1 de 2009, cette nouvelle souche de grippe — provenant d’oies sauvages — était extrêmement virulente et mortelle. Même les pays les plus préparés à la pandémie ont été rapidement submergés lorsque le virus sévit dans le monde entier, infectant près de 20% de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement sept mois … La pandémie a également eu un effet mortel sur les économies : la mobilité internationale des personnes et des marchandises s’est arrêtée, ce qui a affaibli des industries comme le tourisme et briser les chaînes d’approvisionnement mondiales. Même localement, des magasins et des immeubles de bureaux normalement animés sont restés vides pendant des mois, sans employés ni clients. »

L’extrait continue et est assez effrayant : 

« Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont fait preuve d’autorité et ont imposé des règles et des restrictions hermétiques, du port obligatoire de masques faciaux aux contrôles de la température corporelle aux entrées aux espaces communs comme les gares et supermarchés. Même après la disparition de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités sont restés stables et même intensifiés. Afin de se protéger de la propagation de problèmes de plus en plus mondiaux — des pandémies et du terrorisme transnational aux crises environnementales et à la pauvreté croissante — partout dans le monde ont pris une emprise plus ferme sur le pouvoir. »

Il ne fait aucun doute que cette pandémie était un outil pré-planifié pour mettre en œuvre un nouvel ordre mondial et réinitialiser la vie de chaque être humain [NdNM : voir Preuves que la pandémie a été planifiée ?]. Cette réinitialisation des nations et de l’Amérique est en cours et il est trop tard pour voter. Chaque nouveau président mettra en œuvre ce qui est déjà en place dans le cadre des objectifs de développement durable. Les racines de l’Agenda 21 ont commencé sous l’égide de l’ONU, par des communistes de Chine. Et maintenant, le gouvernement et l’armée américains sont à genoux dans des partenariats avec la Chine afin de développer les mauvais vaccins Covid-19. C’est une trahison contre les valeurs et les libertés américaines. La société de vaccins Pfizer Covid-19 est associée à Fosun, la société chinoise de vaccins de Shanghai, et tout comme Pfizer, Fosun est au lit avec les objectifs de développement durable. Pfizer est également en partenariat avec la société pharmaceutique chinoise CanSinoBIO. Une simple recherche sur Google montrera combien de Chinois ont été et sont actuellement liés à des entreprises américaines et européennes. Ce n’est pas une simple coïncidence si cette pandémie a commencé en Chine, ou que nos dirigeants suivent les réponses draconiennes de la Chine à la pandémie et nous privent de nos droits. La Chine fait déjà partie de notre gouvernement. Et ne pensez pas que la Russie est parfaitement propre. Ils ne font qu’un avec la Chine et cette réinitialisation mondiale, et tout aussi ravis de voir leur vision du communisme surpasser le monde libre.

Biden, un communiste avoué, sera bientôt le nouveau président, ce qui signifie des problèmes plus profonds pour l’Amérique. Nous avons une chance de repousser et de contrecarrer les plans mondiaux en résistant et en refusant de prendre le vaccin Covid-19. Ils ont besoin de nous tous vaccinés pour accomplir et finaliser ce nouveau gouvernement technocratique dictatorial extrême. Ils ne peuvent pas obtenir le contrôle total des masses tant qu’ils n’ont pas injecté ces vaccins génétiquement modifiés dans notre corps et modifié notre génome humain avec leurs matériaux synthétiques. Une fois vaccinés, nous devenons transhumains et nous mettons du mastic entre leurs mains pour un contrôle total de nos humeurs, comportements et pensées. Voler nos esprits par la tromperie est exactement leur plan d’action. Par conséquent, battons ce Nouvel Ordre Mondial et résistons à la tyrannie, et une partie de l’arrêt de la Grande Réinitialisation consiste à arrêter le vaccin !

https://youtu.be/TjlJekdfHI8

[Voir aussi : articles sur la Grande Réinitialisation ou Great Reset.]