Misère de la politique (étrangère) macronienne…

Par Lucien SA Oulahbib

L’affaissement (plus que l’effondrement pas encore visible), quoique multiforme, n’a en effet pas de limites, puisqu’au-delà de l’adage, non seulement le fond a été atteint, et même dépassé, mais les gnomes non plus de Zurich, mais du Quai (d’Orsay) le creusent toujours encore « plus loin » (jusqu’à ne même plus lire les notes de la DGSE sur le Niger et donc encore moins les transmettre…), risquant de se trouver en Chine alliée de la Russie membre des Brics dont l’hôte de leur futur sommet aurait cependant refusé la venue du Mr Smith installé à la Lanterne par la Secte SHAA (et se remettant toujours d’une tournée sensuellement arrosée à Kinshasa…), en attendant d’y être pendu ?…

Mais non ! Cela ne se fait plus, et c’est même déconseillé, surtout pour les délinquants étrangers (alors que ces derniers ne s’en privent pas d’appliquer « leur » sentence, certes avec d’autres moyens : voiture, couteau, marteau — ah les filles ah les filles [elles me rendent marteau]). Haro sur les autochtones ayant le malheur de l’être (définition même du « racisme » pourtant, mais chut, il est même peu recommandé de se défendre…). Alors que dans certains endroits d’Afrique la sanction mutilante semble bien être de nouveau conseillée, du moins son synonyme en matière de sévérité : à commencer par couper quelques mains aux voleurs dont le geste peut mettre en danger la vie de toute une famille, voire un clan, lorsqu’il s’agit d’un vol de vaches comme le relate Anne-Laure Bonnel. Ceci peut expliquer le pourquoi d’une adhésion plus incisive à l’islam originel prôné par certains groupes et ce à l’identique de ce qui s’est passé en Afghanistan, les affidés, avides d’une justice efficace — sanctionnant le coupable au lieu de l’excuser — préfèrent et parfois faute de mieux s’en remettre à ce pouvoir politico-religieux violent et par ailleurs suffisamment malin pour se surajouter aux structures ancestrales comme les tribus au lieu de les écarter ou les remplacer, celles-ci étant bien loin d’avoir disparu, mais seulement mises en sommeil par la tentative surfaite depuis la fin officielle de la colonisation de remplacer leurs institutions (chefferie, palabres) par un système de partis politiques qui correspond bien plus à l’essaimage urbain brassé au fil des ans (via les corporations métiers salons, clubs) qu’il soit occidental ou indien…

L’analyse fine de cette complexité-là ne plaît certes pas aux caciques du Quai qui ont de plus en plus « désappris » depuis des lustres la philosophie politique des relations internationales à l’aulne de ce retour au marxisme vulgaire qu’est le léninisme (voyant par exemple seulement la mécanique impérialiste comme « stade suprême »), alors qu’elle a toujours été la constante première de toute géopolitique digne de ce nom, comme on le voit bien aujourd’hui lorsque les franges ultra de l’État mafieux démocratico-républicain US (ayant eu la peau de JFK, de son frère et bientôt du neveu ?…) ont décidé de casser les reins européens en empêchant l’UE et en particulier l’Allemagne de prospérer conjointement à une Russie en pleine expansion (5e puissance mondiale tous critères confondus) par le biais d’un cheval de Troie, le régime mafieux installé à Kiev (qui pourtant avait décidé de négocier dès mars 2022 à Minsk et à Istanbul) afin d’éviter toute « Eurasie » possible, et par là toute concurrence ; mais ce non pas en vue de « préparer » l’affrontement supposé avec « la » Chine dominée également par un régime mafieux (qui d’ailleurs cache bien son jeu comme il a été vu lors de ladite crise sanitaire avec ses accointances avec l’OMS de Bill Gates sans parler des labos militaires), mais surtout en vue de rester le seul « hégémon », coûte que coûte, assis avec entêtement tel Picsou sur la pyramide Ponzi des 30 000 milliards de dettes qu’il faut bien contenir… par la guerre… à l’exception de celle avec Pékin par trop périlleuse et surtout contre-productive depuis que les Brics se sont considérablement renforcés…

Le statu quo dans ce cas prévaut, celui dit de « l’état stationnaire » vivifié cependant par la Grande Réinitialisation avec « urgence » climatique à la clé maintenant que les idées de « passe » et de « confinement » auront été médiatisées en suffisance comme il a été vu par toute personne se réinformant aux bonnes sources (d’où l’idée cependant de l’en empêcher, encore plus, à partir du 25 août…).

À cette misère intellectuelle (s’aggravant vu l’état de feu-SciencePo en particulier, de l’Université en général, mais aussi d’officine privée comme l’Iref) s’ajoute un tiers-mondisme bas de gamme (mâtiné cependant de Samir Amin — Centre/Périphérie ressourcé dans du Bourdieu ou « la faute à »…) encore diffusé au plus haut niveau pourtant, parlant par exemple toujours de » pays défavorisés » ou en « voie de » y ajoutant maintenant l’impact supposé négatif des réseaux sociaux, surtout s’ils ne sont pas domestiqués et mis hors d’état de nuire lorsqu’ils sont supposés être dans des mains « poutiniennes », simplifiant ainsi à l’extrême la complexité du rejet actuel de l’influence et présence française (en particulier azertienne comme on l’a vu au Cameroun dernièrement) ce qui permet de maintenir, même involontairement, l’alliance implicite entre les diverses strates mafieuses inter et extra-africaines. Ainsi le reproche de Bamako à Paris de n’avoir pas écrasé les Touaregs au nord du Mali… Résultat : ces derniers ainsi pressés par ces éléments maliens formés au jacobinisme germanopratin font de plus en plus alliance avec certains djihadistes plus ou moins tolérés d’ailleurs par la junte installée à Alger et aussi par les forces spéciales américaines installées depuis plusieurs années en sous-main dans les zones pétrolières névralgiques sahariennes y voyant là un moyen d’affaiblir encore plus l’influence française…

Ainsi, avec tous ces impairs et manques rien ne va plus à la roulette macronienne. Et pourtant le maître bateleur continue de distribuer des leçons d’universalisme, confondu, hélas, avec l’Universel réel ou ce résultat effectif de ce qui est techniquement nécessaire mais qui, lui, ne peut être jamais imposé, seulement choisi comme optimum d’organisation par « les » populations, si et seulement si « elles » y trouvent intérêt, à un certain degré de leur histoire commune ; ce qui est loin d’être le cas s’agissant du système des partis, du moins dans certains pays à la structure socio-économique bien peu « urbaine » en ce sens où ne s’y trouvent pas encore suffisamment brassés familles et clans par et dans d’autres polarités (corporations, métiers, salons, clubs…) comme ce fut le cas en Occident avec l’émergence de la Ville et en Inde avec la diminution progressive du pouvoir des Castes…

Toute cette approche en analyse sociopolitique et socioculturelle n’est, bien sûr, toujours pas faite, mais la suffisance du Quai reste sans égale, gardant seulement pourtant du faste diplomatique d’antan sa seule apparence mondaine et ses recyclages embarrassés de ministres remerciés (quoiqu’aigris pour certains accusant ainsi « l’extrême droite » d’avoir comploté contre eux… Gageons que les Vérificateurs sauront les… conforter sur ce point…). Pendant ce temps, la Roue tourne (dirait Soljenitsyne)




Qu’ils mangent des insectes ! Remettre en question la réinitialisation de l’alimentation par les entreprises du WEF

[Source : off-guardian.org]

Par Colin Todhunter

Le modèle agroalimentaire mondialisé actuel repose sur des politiques commerciales injustes, sur l’effet de levier de la dette souveraine, sur les déplacements de population et sur la dépossession des terres. Il alimente la monoculture de produits de base et l’insécurité alimentaire, ainsi que la dégradation des sols et de l’environnement.

Il est responsable de l’augmentation du nombre de maladies, de régimes alimentaires pauvres en nutriments, de la réduction de la gamme des cultures vivrières, des pénuries d’eau, des ruissellements de produits chimiques, de l’endettement croissant des agriculteurs, de l’affaiblissement et de la destruction des communautés locales et de l’éradication de la biodiversité.

Le modèle repose sur un paradigme politique qui privilégie l’urbanisation, les marchés mondiaux, les longues chaînes d’approvisionnement, les intrants propriétaires externes, les aliments hautement transformés et la dépendance à l’égard du marché (des entreprises) au détriment des communautés rurales, des petites entreprises indépendantes et des petites exploitations agricoles, des marchés locaux, des chaînes d’approvisionnement courtes, des ressources de l’exploitation, des cultures agroécologiques diversifiées, des régimes alimentaires riches en éléments nutritifs et de la souveraineté alimentaire.

Il est clair que la manière dont nous produisons et consommons actuellement nos aliments pose d’énormes problèmes environnementaux, sociaux et sanitaires et qu’un changement de paradigme s’impose.

C’est pourquoi certains optimistes — ou ceux qui prennent leurs désirs pour des réalités — auraient pu espérer de véritables solutions aux problèmes et aux défis décrits ci-dessus lors de la deuxième édition du Sommet des Nations unies sur les systèmes alimentaires (UNFSS) qui s’est déroulée la semaine dernière à Rome.

L’UNFSS a déclaré qu’il visait à fournir les dernières approches scientifiques basées sur des preuves provenant du monde entier, à lancer une série de nouveaux engagements par le biais de coalitions d’action et à mobiliser de nouveaux financements et partenariats. Ces « coalitions d’action » s’articulent autour de la mise en œuvre d’une « transition alimentaire » plus durable, plus efficace et plus respectueuse de l’environnement.

Fondé sur un partenariat entre les Nations unies et le Forum économique mondial (FEM), l’UNFSS est toutefois influencé de manière disproportionnée par les entreprises, manque de transparence et de responsabilité et détourne l’énergie et les ressources financières des véritables solutions nécessaires pour lutter contre les multiples crises de la faim, de l’environnement et de la santé.

Selon un article paru récemment sur le site web The Canary, les principales initiatives multipartites (MSI) présentes au sommet 2023 comprennent le WEF, le Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale, l’EAT (Forum EAT, Fondation EAT et Commission EAT-Lancet sur les systèmes alimentaires sains et durables), le World Business Council on Sustainable Development [Conseil mondial des entreprises pour le développement durable] et l’Alliance for a Green Revolution in Africa [Alliance pour une révolution verte en Afrique].

Les entreprises mondiales du secteur agroalimentaire, dont Coca-Cola, Danone, Kelloggs, Nestlé, PepsiCo, Tyson Foods, Unilever, Bayer et Syngenta, étaient également présentes en force, de même que la banque néerlandaise Rabobank, la fondation Mastercard, la fondation Bill et Melinda Gates et la fondation Rockefeller.

Dans le cadre de son « partenariat stratégique » avec l’ONU, le WEF considère que les MSI sont essentielles à la réalisation de sa vision d’une « grande réinitialisation » — en l’occurrence, une transition alimentaire. Le sommet comprend une puissante alliance d’entreprises mondiales, de fondations influentes et de pays riches qui tentent de s’approprier le récit de la « transformation des systèmes alimentaires ». Ces intérêts visent à renforcer la concentration des entreprises et l’influence de l’agro-industrie sur les institutions publiques.

Hannah Sharland, l’auteur de l’article paru dans The Canary, écrit :

« … l’ONU donne sciemment aux entreprises qui parrainent la destruction de la planète une place de choix à la table des négociations. Ce sont précisément ces entreprises qui déterminent déjà l’état des systèmes alimentaires mondiaux ».

Elle conclut que les solutions à une crise mondiale en plein essor ne peuvent être trouvées dans le système capitaliste d’entreprise qui l’a fabriquée.

Lors d’une conférence de presse tenue le 17 juillet 2023, les représentants de la Réponse autonome des peuples à l’UNFSS ont souligné la nécessité d’actions urgentes et coordonnées pour lutter contre la faim dans le monde. La réponse a pris la forme d’une déclaration des représentants des mouvements pour la justice alimentaire, des organisations de petits producteurs alimentaires et des peuples autochtones.

La déclaration dénonce l’approche des Nations unies. Saúl Vicente, du Conseil international des traités indiens, a déclaré que les organisateurs du sommet cherchaient à vendre leur projet industriel et d’entreprise comme une « transformation ».

Les mouvements et organisations qui s’opposent au sommet appellent à un abandon rapide des modèles industriels pilotés par les entreprises au profit de systèmes alimentaires biodiversifiés, agroécologiques et gérés par les communautés, qui privilégient l’intérêt public par rapport à la recherche du profit. Cela implique de garantir les droits des peuples à accéder à la terre et aux ressources productives et à les contrôler, tout en promouvant la production agroécologique et les semences paysannes.

La réponse au sommet ajoute que, malgré la reconnaissance croissante de l’échec des systèmes alimentaires industriels sur tant de fronts, l’agrobusiness et les entreprises alimentaires continuent d’essayer de maintenir leur contrôle. Elles déploient la numérisation, l’intelligence artificielle et d’autres technologies de l’information et de la communication pour promouvoir une nouvelle vague de dépendance ou de déplacement des agriculteurs, d’accaparement des ressources, d’extraction des richesses et d’exploitation de la main-d’œuvre, et pour restructurer les systèmes alimentaires vers une plus grande concentration du pouvoir et des chaînes de valeur toujours plus mondialisées.

Shalmali Guttal, de Focus on the Global South [Focus sur le Sud global], explique :

«… des personnes du monde entier ont présenté des stratégies concrètes et efficaces… la souveraineté alimentaire, l’agroécologie, la revitalisation de la biodiversité, les marchés territoriaux et l’économie solidaire. Les preuves sont accablantes : les solutions conçues par les petits producteurs de denrées alimentaires et les peuples autochtones non seulement nourrissent le monde, mais font également progresser l’égalité des sexes, la justice sociale et économique, l’autonomisation des jeunes, les droits des travailleurs et une véritable résilience face aux crises ».

Guttal demande « pourquoi les décideurs politiques n’écoutent-ils pas cela et ne fournissent-ils pas un soutien adéquat ? »

La réponse est simple. L’ONU s’est ralliée au WEF et aux géants de l’agroalimentaire et du Big Data, qui n’ont pas de temps à consacrer à la gouvernance démocratique.

Un nouveau rapport de FIAN International a été publié parallèlement à la déclaration de la Réponse autonome des peuples. Le rapport — Food Systems Transformation — In which direction ? [Transformation des systèmes alimentaires – Dans quelle direction ?] — appelle à une révision urgente de l’architecture de la gouvernance alimentaire mondiale afin de garantir une prise de décision qui donne la priorité au bien public et au droit à l’alimentation pour tous.

Sofia Monsalve, secrétaire générale de FIAN International, déclare :

« La principale pierre d’achoppement à l’adoption de mesures efficaces en faveur de systèmes alimentaires plus résilients, diversifiés, localisés et agroécologiques est constituée par les intérêts économiques de ceux qui font progresser les systèmes alimentaires industriels pilotés par les entreprises et qui en tirent profit. »

Ces intérêts promeuvent le multipartenariat : un processus qui implique que les entreprises, leurs groupes de façade et leurs armées de lobbyistes cooptent les organismes publics pour qu’ils agissent en leur nom au nom de « l’alimentation du monde » et de la « durabilité ».

Un processus qui place de puissants intérêts privés sur le siège conducteur, orientant les décideurs politiques pour faciliter les besoins des entreprises tout en mettant de côté les fortes préoccupations et les solutions avancées par de nombreuses organisations de la société civile, de petits producteurs alimentaires et de travailleurs, de peuples indigènes ainsi que d’éminents universitaires.

Les entreprises mêmes qui sont responsables des problèmes du système alimentaire actuel. Elles proposent toujours la même chose, cette fois dans un emballage biosynthétique, génétiquement modifié, mangeur d’insectes, écomoderniste et faussement vert (voir l’article en ligne « From net zero to glyphosate : agritech’s greenwashed corporate power grab » [Du « net zero » au glyphosate : la prise de pouvoir de l’entreprise agritech par l’écoblanchiment]).

Alors que plus de 800 millions de personnes se couchent le ventre vide sous le régime alimentaire actuel, ces entreprises et leurs riches investisseurs continuent à rechercher toujours plus de profit et de contrôle. Le système économique garantit qu’ils ne sont pas motivés par la justice alimentaire ou toute autre forme de justice. Ils sont contraints de maximiser leurs profits, notamment en attribuant une valeur marchande à tous les aspects de la nature et des pratiques sociales, qu’il s’agisse de connaissances, de terres, de données, d’eau, de semences ou de systèmes d’échange de ressources.

En s’assurant habilement (et cyniquement) que les besoins des marchés mondiaux (c’est-à-dire les besoins des chaînes d’approvisionnement des entreprises et leurs stratégies de recherche de profit) sont devenus synonymes des besoins de l’agriculture moderne, ces entreprises se sont assuré un paradigme politique hégémonique et intéressé parmi les décideurs, qui est profondément ancré dans les esprits.

C’est pour cette raison que la réponse autonome des peuples à l’UNFSS appelle à une mobilisation de masse pour défier le pouvoir des grandes entreprises :

« [Ce pouvoir] doit être démantelé afin que le bien commun soit privilégié par rapport aux intérêts des entreprises. Il est temps de relier nos luttes et de lutter ensemble pour un monde meilleur fondé sur le respect mutuel, la justice sociale, l’équité, la solidarité et l’harmonie avec notre mère la Terre ».

La tâche peut sembler ardue, surtout si l’on considère la financiarisation du secteur agricole et alimentaire qui s’est développée parallèlement à l’agenda néolibéral et à la financiarisation générale de l’économie mondiale. Cela signifie que des entreprises extrêmement puissantes comme BlackRock — qui détient des parts dans un certain nombre des plus grandes entreprises agroalimentaires du monde — ont tout intérêt à consolider le système existant.

Mais l’espoir prévaut. En 2021, le groupe ETC et le groupe international d’experts sur les systèmes alimentaires durables ont publié le rapport A Long Food Movement : Transformer les systèmes alimentaires d’ici 2045. Ce rapport appelle les organisations de base, les ONG internationales, les groupes d’agriculteurs et de pêcheurs, les coopératives et les syndicats à collaborer plus étroitement pour transformer les flux financiers et les systèmes alimentaires de fond en comble.

L’auteur principal du rapport, Pat Mooney, affirme que la société civile peut lutter et développer des systèmes de production agroécologiques sains et équitables, construire des chaînes d’approvisionnement courtes (basées sur la communauté) et restructurer et démocratiser les structures de gouvernance.




L’insidieuse vérité sur les repas scolaires gratuits

Les Nations unies militent en faveur de la gratuité universelle des repas scolaires, mais ce niveau de contrôle serait facilement détourné.

Par Kit Knightly

Une campagne internationale se développe pour instaurer la gratuité des repas scolaires dans le monde entier. À première vue, il s’agit d’une excellente idée…
mais à l’ère de la nouvelle normalité, rien n’est jamais vraiment gratuit.
Alors, déballons…

La campagne est menée par la Coalition pour les repas scolaires (SMC), soutenue par les Nations unies, dont l’objectif autoproclamé est « des repas scolaires gratuits pour chaque enfant d’ici 2030 » (pour une raison quelconque, ils sont obsédés par cette date).

[Voir aussi :
Agenda 2030
Great Reset ou Réinitialisation
Klaus Schwab et Harari]

La SMC compte déjà plus de 80 gouvernements nationaux signataires de son engagement, avec plus de 90 « partenaires » (dont la Fondation Rockefeller), et ces chiffres sont susceptibles d’augmenter après leur présentation au Sommet mondial de l’alimentation de l’ONU plus tôt aujourd’hui.

Dans le même temps, la Coalition reçoit des articles de presse élogieux, comme celui-ci du rédacteur économique du Guardian, Larry Elliot :

Pour que le système fonctionne, les pays riches devraient financer environ un tiers du coût annuel de 6 milliards de dollars, le reste étant financé par les gouvernements des pays à faible revenu au moyen de leur budget ou d’idées de financement novatrices telles que l’échange de créances contre des repas scolaires, dans le cadre duquel les pays canaliseraient les économies réalisées grâce à l’allègement de la dette vers des programmes de repas scolaires. À l’heure où les budgets d’aide sont réduits, 2 milliards de dollars par an ne sont pas grand-chose pour les gouvernements donateurs et ne représentent que l’équivalent d’une journée de subventions annuelles aux producteurs de denrées alimentaires. C’est un petit prix à payer pour quelque chose qui pourrait faire tant de bien.

Ce programme se cache dans l’ombre de la politique britannique depuis un certain temps, la députée travailliste Zarah Sultana ayant été la première à promouvoir la gratuité des repas scolaires pour tous les enfants de l’enseignement primaire à l’hiver 2022.

Il est étrange d’écrire sur ce sujet avec scepticisme, car, en tant que gauchiste autoproclamé depuis toujours, la gratuité des repas scolaires est exactement le type de politique que j’aurais probablement soutenue sans poser de questions il y a quelques années à peine…

… mais ces quelques années ont été des années Covid, et elles nous ont beaucoup appris.

Premièrement, et c’est le plus important, il est devenu de plus en plus évident qu’une politique n’est juste que dans la mesure où les personnes qui la mettent en œuvre le sont, et qu’elle n’est décente que dans la mesure où l’intention qui la sous-tend l’est aussi, et, aussi superficiellement humain que ce plan puisse paraître, l’impact pratique serait de confier encore plus de contrôle au même État meurtrier et eugéniste qui a récemment tué des milliers de personnes par un mensonge.

Deuxièmement, un monopole est un monopole — qu’il soit privé ou soutenu par l’État — et dès lors qu’un monopole existe, la liberté de choisir est morte. La liberté de choix est toujours la première liberté à disparaître, mais jamais la dernière.

Réfléchissez un instant à ce que signifie exactement la gratuité des repas scolaires dans un monde post-covidique encore sous le choc d’une crise financière délibérément créée et au milieu d’une transformation de type « Grande Réinitialisation ».

  • 1) Le coût de la vie monte en flèche et de nombreux parents — qu’ils travaillent ou qu’ils soient au chômage — n’ont tout simplement pas les moyens de chauffer leur maison ou de nourrir leurs enfants.
  • 2) Le « Covid » a provoqué une forte augmentation du nombre d’enfants scolarisés à domicile dans tous les pays du monde.
  • 3) une campagne est en cours pour « révolutionner les systèmes alimentaires mondiaux » en encourageant la consommation d’insectes, d’OGM et de « viande » produite en laboratoire.

Traçons le point d’intersection de toutes ces politiques.
De quoi s’agit-il ?
Essentiellement, les repas scolaires gratuits peuvent être utilisés pour…

  • a) contrer l’augmentation de la scolarisation à domicile en soudoyant ou en contraignant les parents en difficulté à garder leurs enfants à l’école pour qu’ils puissent être nourris ;
  • b) conditionner les enfants (et leurs parents) à accepter de manger tout ce que l’État choisit de leur fournir — qu’il s’agisse de végétalisme GM « sain », de hamburgers d’insectes ou de pâtes alimentaires cultivées en laboratoire ;
  • c) ce conditionnement contribuera à normaliser l’acceptation plus générale de ces « aliments ».

Et il ne s’agit là que de la phase passive du contrôle. Nous pouvons supposer que cela ne s’arrêtera pas là, car ce n’est jamais le cas.

Peut-être que les repas scolaires gratuits seront un jour liés à l’acceptation des paiements du revenu de base universel, ou conditionnés à votre carte d’identité numérique ou à votre score de crédit social.
Peut-être que seuls les enfants vaccinés auront droit aux repas scolaires gratuits.
Je suis sûr que vous voyez où je veux en venir.
La triste vérité, c’est que nous vivons à une époque où les entreprises et les États sont de plus en plus envahissants et hostiles à l’être humain.
La nourriture sera peut-être gratuite au sens financier du terme, mais il y aura très certainement un prix à payer.




Les mondialistes préparent un choc financier, en voici la preuve

[Source : birchgold.com]

[Photo : Talashow]

[NDLR Passages surlignés en jaune par le traducteur.]

Par Brandon Smith

À la fin du mois de juin, des chefs de gouvernement du monde entier se sont réunis à Paris à l’occasion du Sommet pour un nouveau pacte financier mondial. Parmi les participants figuraient le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, la secrétaire au Trésor américain, Janet Yellen, la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, et le président de la Banque mondiale, Ajay Banga.

L’objectif supposé du sommet était de trouver des solutions financières pour lutter contre la pauvreté tout en réduisant les « émissions qui réchauffent la planète ». Comme pour tous les événements liés au changement climatique, la discussion à Paris s’est inévitablement orientée vers la centralisation internationale du pouvoir et la formation d’un consortium mondial pour résoudre les problèmes que, selon eux, les nations souveraines ne peuvent ou ne veulent pas résoudre.

Cependant, ce que j’observe de plus en plus ces deux dernières années, c’est une convergence de récits…

Les banques centrales et les institutions financières mondiales sont soudain plus préoccupées par la taxation du carbone et le réchauffement climatique que par la stagflation et la détérioration de l’économie. Probablement parce que c’était le but recherché depuis le début.

L’effondrement économique fait partie du plan.

Le « changement climatique » est un écran de fumée

Les mondialistes utilisent désormais la question du changement climatique comme un cheval de Troie pour leurs plans visant à accroître leur contrôle sur la finance internationale et l’autorité monétaire. En d’autres termes, ils ne cachent plus que l’agenda du changement climatique fait partie de l’agenda de la Grande Réinitialisation. Ils suggèrent même que la menace du changement climatique soit utilisée comme un tremplin pour donner aux banques mondiales encore plus de pouvoir pour contrôler la distribution des richesses et abattre le système existant afin de le remplacer par quelque chose d’autre.

Quelque chose de « meilleur » et de « plus juste ». Quelque chose qu’ils contrôlent encore plus complètement.

Le président français Emmanuel Macron a déclaré aux délégués du sommet de Paris que « le monde a besoin d’un choc financier public » pour lutter contre le réchauffement climatique tout en créant une « équité » pour les nations moins riches. Il a également affirmé que le système actuel n’était pas adapté pour relever les défis mondiaux.

Les intervenants de l’événement ont suggéré que le cadre économique international avait été mis à mal par de multiples crises, notamment la pandémie et la guerre en Ukraine. Cependant, ils se sont concentrés sur « la spirale du coût des catastrophes climatiques intensifiée par le réchauffement climatique » pour expliquer la déstabilisation actuelle des systèmes financiers.

Il s’agit évidemment d’un non-sens, mais cela correspond au récit que les mondialistes tentent de mettre au point.

Cela donne à peu près ceci :

  • – L’objectif du système financier mondial est de redistribuer les richesses.
  • – L’un des aspects de chaque crise est la perte financière (à la fois directe, sur les victimes, et indirecte, y compris, par exemple, la baisse de la productivité ou l’augmentation des taux d’assurance).
  • – Les banques centrales, qui ne peuvent pas empêcher les tremblements de terre, peuvent remédier aux pertes financières, généralement par la planche à billets.
  • – Les banques centrales utilisent donc la réponse à la crise comme excuse pour s’engager dans l’inflation monétaire
  • – … ce qui rend les victimes de la crise plus dépendantes du gouvernement centralisé
  • – et donne aux banques centrales un argument convaincant pour accroître leur propre pouvoir.

Comme nous ne le savons que trop bien, en l’absence d’une crise médiatiquement acceptable, les mondialistes sont parfaitement heureux d’en inventer une.

Je pense qu’il n’y a pas de crise climatique d’origine humaine, pas de « réchauffement climatique anthropique », comme je l’ai décrit précédemment.

Mais combien de personnes peuvent être amenées à croire qu’il y a une crise climatique et qu’elle constitue une menace existentielle pour notre civilisation ? Comment exploiter cette peur hystérique ?

Ne jamais gaspiller une crise

Mia Mottley, Première ministre de la Barbade, a plaidé en faveur d’une réorganisation des rôles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international pour faire face à la crise climatique. Elle affirme :

« Ce qui nous est demandé aujourd’hui, c’est une transformation absolue et non une réforme de nos institutions… »

Il s’agit d’un thème commun aux mondialistes. « Nos institutions dépassées n’ont pas le pouvoir de prévenir les catastrophes. »

En d’autres termes, [selon les mondialistes] les institutions financières mondialistes devraient se voir accorder un pouvoir absolu et être chargées de l’utiliser de manière responsable.

Antonio Guterres, chef de l’ONU, a déclaré que le système financier mondial actuel, conçu à la fin de la Seconde Guerre mondiale dans le cadre des accords de Bretton Woods, ne parvenait pas à relever les défis modernes et qu’il « perpétuait, voire aggravait, les inégalités ».

En d’autres termes, il plaide pour un nouvel ordre mondial.

« Nous pouvons prendre des mesures dès maintenant et faire un pas de géant vers la justice mondiale », a-t-il déclaré. Il a proposé une relance de 500 milliards de dollars par an pour des investissements dans le « développement durable » et « l’action climatique ». Il a également présenté un plan visant à utiliser les droits de tirage spéciaux (DTS) du FMI comme outil pour « stimuler la liquidité mondiale ».

Posez-vous la question : que s’est-il passé la dernière fois que les banques centrales ont décidé de stimuler la liquidité mondiale ?

C’est exact : la pire crise économique des cinquante dernières années.

Les banquiers centraux vous diront que ce n’est pas eux, mais la Covid, l’invasion de l’Ukraine et le changement climatique.

C’est absurde. Ce sont les banques et leur utilisation de la manipulation monétaire qui ont déclenché la plus forte inflation depuis une génération. Ce qui a conduit les banques centrales à augmenter les taux d’intérêt en période de faiblesse économique, ce qui a toujours provoqué l’explosion de la dette et des désastres économiques dans le passé.

Les banquiers et les mondialistes ont causé le problème ! Ils ne devraient pas être chargés de le résoudre.

Pourtant, ils sont là, cherchant à prendre le contrôle et à instituer un plan d’égalité mondiale de type Grande Réinitialisation pour résoudre la calamité qu’ils ont créée.

On pourrait considérer tout cela comme de simples intrigues de palais, des bureaucrates qui se battent pour obtenir des budgets plus importants et des mandats plus ambitieux. Je pense que cela mène à un endroit beaucoup plus sombre…

L’impôt mondial sur la fortune

L’année dernière, les Nations Unies ont proposé que les économies développées et émergentes, y compris les États-Unis et la Chine, paient une sorte de « taxe sur le succès » d’au moins 2,4 milliards de dollars par an, en raison de leurs émissions de carbone. Cette taxe permettrait de créer un fonds de lutte contre le changement climatique, dont l’argent serait redistribué aux pays les plus pauvres.

D’autres idées sur la table incluent la taxation des bénéfices tirés des combustibles fossiles et des transactions financières, dont les recettes iraient au fonds de lutte contre le changement climatique. (En d’autres termes, ils espèrent taxer les compagnies pétrolières et gazières jusqu’à ce que les prix deviennent si élevés que le citoyen moyen ne peut plus se permettre de conduire.)

Le président français adore l’idée d’une taxe internationale sur les émissions de carbone provenant du transport maritime, censée rendre le fret outre-mer plus coûteux afin de réduire la demande en matière de fabrication et d’exportation.

Quel est le point commun de ces projets ?

Ils visent tous à gonfler les prix, ce qui a pour effet de réduire la consommation.
C’est l’objectif déclaré. Mais il s’agit d’un projet beaucoup plus vaste.

Il est important de comprendre que le changement climatique n’est rien d’autre qu’un moyen de mettre en place un système économique mondial entièrement centralisé, probablement sous le contrôle des institutions mondialistes existantes telles que le FMI, la BRI, la Banque mondiale et l’ONU.

Le versement annuel des nations les plus riches dans les coffres des institutions mondiales est un acte d’hommage, une preuve de fidélité. C’est aussi un moyen pour des groupes comme le FMI de créer un système de plus grande interdépendance.

Si d’importantes sommes d’argent transitent par les institutions mondialistes, celles-ci deviennent les arbitres de la redistribution de ces richesses. Elles peuvent facilement mettre en place un système de récompenses et de punitions.

Elles peuvent punir les pays qui ne suivent pas servilement leur diktat et s’occuper des pays qui se plient à leurs exigences.

Je soupçonne que tout cela aboutisse à une crise monétaire artificielle que les mondialistes utiliseront comme une occasion d’introduire enfin leur modèle de CBDC (Central Bank Digital Currency). Une fois les CBDC mises en place, le pouvoir des banquiers centraux de dominer le public sera complet. Un système sans argent liquide, sans confidentialité des transactions et avec la possibilité de fermer les comptes bancaires des individus et des groupes à volonté ?

C’est le scénario rêvé des totalitaires.

Ce n’est pas une erreur si le public est constamment bombardé de propagande sur le réchauffement climatique ces jours-ci — les pouvoirs en place ont besoin d’une crise existentielle comme générateur de peur. Lorsque les gens ont peur, ils ne réfléchissent pas rationnellement et se tournent souvent vers les pires dirigeants possibles pour les soulager. Et une menace mondiale exige une réponse mondiale, n’est-ce pas ?

La propagande catastrophiste sur le changement climatique, si elle est acceptée par le public, permettra un large éventail de changements systémiques qui n’ont rien à voir avec l’environnement et tout à voir avec la domination financière.

La taxation et la redistribution des richesses nationales. L’imposition du FMI et de la Banque mondiale en tant que médiateurs pour les fonds mondiaux. L’utilisation du panier de DTS du FMI comme monnaie globale de facto. L’introduction des CBDC et d’une société sans numéraire. Aucune de ces mesures n’aurait d’incidence sur le changement climatique, même s’il s’agissait d’une menace légitime, à moins bien sûr que l’intention ultime ne soit de détruire l’économie au point que l’industrie meure, que le commerce se rétracte et que la population s’effondre parce que la survie devient intenable.

Elles peuvent tourner cela comme ils veulent, mais lorsque les élites appellent à un « choc financier », elles appellent en réalité à un étranglement dramatique du système économique mondial, de sorte qu’il ne puisse plus répondre aux besoins du monde.

Lorsqu’elles réclament une taxation et un tribut à l’échelle mondiale au nom de l’« égalité », elles n’essaient pas de rendre tout le monde également riche, elles veulent que tout le monde soit également pauvre. Et lorsqu’elles réclament une surveillance centralisée des nations au nom de la sauvegarde de la planète, ce qu’elles veulent en réalité, c’est une gouvernance mondiale.

Une solution pour préserver votre liberté financière personnelle est de diversifier votre épargne avec des métaux précieux physiques. L’or et l’argent existent en dehors du système financier mondial. C’est l’une des rares formes d’argent à valeur universelle, respectueuse de la vie privée, qui ne peut être annulée en appuyant sur un bouton.

Si vous croyez, comme moi, à la liberté et à la responsabilité personnelle, vous savez probablement déjà que posséder de l’or et de l’argent est un moyen éprouvé de protéger vos économies durement gagnées contre les crises imaginaires et les mondialistes cupides.

[Note de Joseph : l’or et l’argent ne se mangent pas, mais se volent facilement. La Terre peut servir à cultiver, mais les élites travaillent à supprimer toute propriété privée pour ceux qui n’appartiennent pas à leur clan, ceci notamment en augmentant les taxes sur les propriétés foncières et en mettant en place des normes de plus en plus contraignantes et dispendieuses. La seule richesse qu’ils ne peuvent dérober est d’ordre intérieur. Nous nous trouvons probablement à l’apogée d’une guerre spirituelle multimillénaire et la pression exercée sur le plan matériel ne peut alors trouver d’exutoire véritable et viable sans une connexion suffisante aux plans psychique et spirituel pour y puiser les meilleures solutions concrètes ainsi que la force, le courage et la volonté de manifester adéquatement ces dernières, c’est-à-dire avec abnégation, intelligence, amour et sagesse.]




L’effondrement de l’Occident, printemps/été 2023

[Source : unz.com]

Par Hans Vogel

La question de savoir si l’Occident est en chute libre ne relève plus de la spéculation. C’est clairement le cas, et c’est clairement intentionnel. Le « Great Covid Show » [Grand spectacle de la Covid], organisé par les suspects habituels, semble avoir créé les conditions propices à la « Grande Réinitialisation ». Il y a eu quelques accrocs, car une opération aussi vaste et globale que le « Great Covid Show » dépassait les capacités techniques et intellectuelles des néoconservateurs Américains et de leurs acolytes étrangers, y compris le FÉM [Forum Économique Mondial], l’OMS et l’UE.

L’opération militaire spéciale russe en Ukraine a compliqué les choses. Comme dans une partie d’échecs, la Russie oblige les États-Unis et leurs vassaux à faire des mouvements qu’ils n’avaient pas prévus ou qu’ils ne comptaient faire que plus tard dans la partie. Ces mouvements ne sont certainement pas à leur avantage. C’est pourquoi les gouvernements prennent des décisions aussi radicales dans tant de domaines différents, et ce simultanément.

Ils avaient prévu de réorganiser radicalement l’agriculture, en suivant l’exemple donné par les bolcheviks après 1929, lorsqu’ils ont commencé à expulser et à exterminer les koulaks. Au lieu de la collectivisation, les bolcheviks d’aujourd’hui veulent que des entreprises géantes dominent l’agriculture. Mais l’essence de ces projets est la même : les petits agriculteurs et les agriculteurs intermédiaires doivent être délogés, soit volontairement, soit par la force brute. Apparemment un peu plus tôt que ne le prévoyait le scénario original, le gouvernement néerlandais a entamé une guerre contre les agriculteurs qui, comme dans l’ex-URSS, risque d’entraîner une pénurie alimentaire généralisée, voire une famine.

De la même manière, avec une Allemagne obéissante en tête de peloton, les États clients des États-Unis en Europe commettent actuellement un suicide économique en coupant leur industrie de sources fiables d’énergie abordable, obligeant les producteurs et le public à compter sur l’énergie éolienne et solaire. Tout cela se fait au nom de ce que l’on appelle l’agenda vert, afin de réduire les émissions de carbone et d’azote. Dans le même temps, les partisans du changement climatique anthropique encouragent la destruction de l’environnement à une échelle véritablement gigantesque partout où l’on trouve du lithium et d’autres minerais nécessaires à la fabrication de batteries électriques. Comme tous les éléments du programme de la mafia de la Grande Réinitialisation, le discours officiel sur le changement climatique repose sur les contradictions les plus flagrantes.

Les contradictions les plus flagrantes se retrouvent dans le fonctionnement quotidien des gouvernements, en particulier dans l’UE. Comme le gouvernement des Pays-Bas, la plupart d’entre eux prennent régulièrement des décisions qui sont en violation claire ou implicite de la constitution et d’autres législations.

Malgré les innombrables contradictions au niveau de la politique elle-même, du discours politique officiel et des contradictions intrinsèques qui sous-tendent la plupart des décisions politiques, c’est un miracle que l’empire américain parvienne encore à rester en vie. Cela explique peut-être aussi pourquoi l’IA est actuellement déployée : dans l’espoir qu’elle contribuera à maintenir la puissance américaine. Cependant, on peut douter que l’IA se révèle capable de fonctionner dans un environnement où la confusion et la contradiction juridiques, linguistiques et lexicographiques sont devenues la norme.

Les hommes politiques, les médias publics et privés de l’Occident se réfèrent consciencieusement à « notre démocratie », aux « valeurs occidentales » (censées défendre les droits de l’homme), à la « transparence » et à « l’État de droit », tout en faisant et en préconisant tout ce qui est diamétralement opposé à ces valeurs. Après tout, l’IA, comme le système électronique qu’elle est, fonctionne sur le principe que « 0 » est « 0 » et que « 1 » est « 1 ». Lorsque « 0 » peut également signifier « 1 » et que « 1 » est parfois « 0 », l’effondrement est inévitable. Comment savoir si la « démocratie » signifie « le règne de la majorité populaire » ou son contraire, le règne d’une clique de criminels corrompus, comme c’est le cas dans les « démocraties » modernes ? En outre, étant donné la détermination fanatique avec laquelle les sources d’énergie fiables sont abandonnées partout en Occident, précisément au moment où tout ce qui permet la vie dépend de l’électronique, l’ensemble du système ressemble de plus en plus à une maison construite sur des sables mouvants.

[Note de Joseph : comme le rappelle le documentaire Le Grand Réveil, la démocratie est une forme de gouvernement qui s’impose toujours au détriment d’une partie de la population (au moins les 49 % minoritaires) dont la liberté n’est alors pas le moins du monde respectée. Et dans la pratique des États, seule une partie de la population a le droit de vote, ce qui fait qu’en réalité la proportion de liberté non respectée dépasse les deux tiers de la population. Si l’on ajoute que le vote est souvent conditionné aux campagnes de « communication » (lire : « propagande ») et aux sondages relativement manipulés et orientés, ceci sous la houlette des financeurs, alors les démocraties se révèlent le pouvoir facile d’une petite minorité financièrement riche et influante au détriment de la large majorité bien plus pauvre. En résumé, la démocratie est la forme de gouvernement favorite des usuriers et des banquiers.]

Où que l’on regarde en Europe, l’effondrement est à portée de main. Aujourd’hui, rouler sur les célèbres autoroutes allemandes est un véritable calvaire. Il fut un temps où l’on pouvait admirer des paysages splendides et parfois spectaculaires tout en roulant tranquillement sur la surface lisse d’autoroutes impeccablement entretenues. Avec une longueur totale de plus de 13 000 kilomètres, l’Allemagne possède le quatrième réseau au monde, précédé seulement par l’Espagne, les États-Unis et la Chine. Il y a 50 millions de voitures en Allemagne, mais le réseau est aussi intensivement utilisé par les camionneurs étrangers qui livrent et ramassent des marchandises et, en été et en hiver, par des millions d’étrangers qui se rendent à leurs destinations de vacances. Le réseau Autobahn est utilisé de manière très intensive, mais son entretien a longtemps été négligé et, par conséquent, de vastes tronçons d’autoroute doivent être rétrécis pour permettre la réparation des routes et des ponts. Cela provoque des embouteillages longs et fastidieux dans tout le pays, de tôt le matin à tard le soir. Si l’on ajoute à cela le fait que de nombreux conducteurs sont originaires de pays non occidentaux, où la proverbiale discipline allemande et le respect des règles et règlements ne sont pas enseignés dès le plus jeune âge, il est clair que conduire sur l’Autobahn consomme une quantité démesurée de temps et d’énergie. En fait, le système autoroutier allemand semble très proche du point de rupture.

En tirant cette conclusion, il m’est venu à l’esprit que les autoroutes fédérales allemandes sont un symbole de ce qui se passe dans toute l’Europe : les piliers mêmes qui soutiennent l’État et la société sont en train de s’effondrer. Bien sûr, pour ceux qui ont des yeux pour voir, l’effondrement a déjà eu lieu il y a un certain temps, peut-être deux décennies, si ce n’est plus tôt. À l’instar des trois tours du WTC qui se sont effondrées le 11 septembre, l’effondrement commence de manière hésitante, puis s’accélère. Comme dans le cas des tours du WTC, la destruction généralisée qui a lieu aujourd’hui en Occident est planifiée. Cependant, dans un certain nombre de domaines, l’effondrement avait déjà commencé bien avant sous la forme de la corruption. Les personnes corrompues se déplaçant d’un domaine à l’autre, la corruption se propage encore plus rapidement et finit par devenir systémique.

Par exemple, la corruption académique peut conduire au plagiat et à la manipulation des données de recherche. Mme Ursula von der Leyen, docteur en médecine, présidente non élue de l’Union européenne des sciences sociales, n’a jamais pu se débarrasser de l’odeur de fraude académique (commise lors de la rédaction de sa thèse) qui l’entoure. Il n’est donc pas surprenant d’apprendre qu’elle a conclu des accords secrets avec la société Pfizer pour la fourniture de vaccins non testés et qu’elle les a imposés à un public sans méfiance lors du grand spectacle de la Covid. Corrompue un jour, corrompue toujours, pourrait-on dire.

Alors que la fraude détruit de plus en plus la valeur de la recherche universitaire, l’enseignement universitaire lui-même est également attaqué. Le ministre néerlandais de l’Éducation a l’intention de réduire de moitié le nombre de crédits requis pour les étudiants de première année. Cela signifie que davantage d’étudiants seront autorisés à rester pour devenir des étudiants de deuxième année, avec le résultat final prévisible que les diplômes universitaires se dévalueront encore plus.

La corruption dans le domaine de la médecine est devenue évidente au cours du « Great Covid Show », à tel point qu’aujourd’hui, aucun médecin n’est digne de confiance. Pour dire les choses simplement, les médecins de famille et les spécialistes sont essentiellement des dealers de drogue [NDT En anglais, le mot « drug » signifie à la fois drogue (ou stupéfiant) et médicament] au service de Big Pharma. Il existe encore quelques médecins honnêtes et décents, mais ils sont difficiles à trouver.

À l’instar de la recherche universitaire, de l’éducation, de la politique et de la médecine, le système judiciaire est gangrené par la corruption et en chute libre. Prenons par exemple le cas récent du professeur Sucharit Bhakdi1, accusé d’antisémitisme sur la base des preuves les plus minces que l’on puisse imaginer. Bien que ce critique éloquent et influent des politiques covid décrétées par le gouvernement allemand ait été acquitté, le procureur général a néanmoins décidé de faire appel et de continuer à essayer de mettre le docteur Bhakdi derrière les barreaux à n’importe quel prix. Qu’un procureur procède de la sorte, en niant totalement le fait qu’il n’existe aucune preuve à l’appui de l’affaire, est plus qu’une parodie de justice : c’est transformer la justice en une plaisanterie stupide. Il est d’ailleurs inquiétant de constater que personne ne sourcille, ce qui montre bien à quel point le système judiciaire en Allemagne (et d’ailleurs dans le reste de l’Europe) a été corrompu.

Pourtant, aux yeux de l’État, exprimer des doutes ou des inquiétudes sur de telles questions est un péché. Tout récemment, le service d’espionnage néerlandais AIVD a publié un rapport indiquant qu’environ 100 000 citoyens néerlandais se méfient de l’État et du gouvernement, ce qui ferait d’eux des « théoriciens de la conspiration ». De plus en plus, et presque ouvertement, il est suggéré que ces personnes doivent être soumises à un traitement psychiatrique. Toute personne saine d’esprit ne ferait pas plus confiance au gouvernement que le gouvernement ne lui fait confiance, et il ne fait aucun doute que de nombreuses personnes sont fidèles à ce principe, mais apparemment le gouvernement des Pays-Bas, qui est, bien entendu, un pays « démocratique », n’est pas de cet avis.

Il y a plus de raisons qu’il n’en faut de se méfier du gouvernement, non seulement des Pays-Bas, mais de toutes les nations de l’UE. Le gouvernement allemand, dominé par les Verts, est devenu le chien de poche belliqueux et autodestructeur [aux ordres] des États-Unis, déterminé à chasser l’industrie et à humilier, appauvrir et décimer les Allemands de souche. Le gouvernement italien, dirigé par Giorgia Meloni, élue en raison de ses promesses solennelles de mettre fin à l’immigration illégale d’Africains noirs et de musulmans grossièrement non qualifiés, non éduqués et hostiles, encourage désormais activement ces personnes à venir en Italie. Le président français Macron, qui ressemble et agit comme un adolescent homosexuel qui a épousé sa mère, n’a cessé de mener des politiques visant à détruire la classe moyenne française. Le gouvernement néerlandais a présidé à l’appauvrissement de la classe moyenne, au point qu’aujourd’hui, 400 000 écoliers vivent sous le seuil de pauvreté, et dont les parents sont incapables de payer le petit-déjeuner et de nouveaux vêtements.

Le gouvernement allemand envisage sérieusement d’interdire le parti conservateur AfD. Cela n’a rien de surprenant dans un pays qui a une vénérable tradition d’interdiction des partis jugés indésirables dans son système démocratique. Pendant de nombreuses années, le parti communiste a été interdit en Allemagne de l’Ouest. Aux Pays-Bas, le parti conservateur FvD s’attend à une décision d’interdiction dans un avenir proche. Tout cela s’inscrit dans le cadre de l’Ukraine, qui défend les « valeurs occidentales » contre les méchants Russes : Zelensky a tout simplement interdit onze partis. Vive la démocratie !

Il n’est pas surprenant que la colère de la population s’accumule depuis un certain temps, et qu’elle augmente à chaque fois que les gouvernements publient un nouveau décret limitant davantage les libertés ou augmentant les prix.

La France ayant toujours été une nation où la classe moyenne est forte et la classe ouvrière militante, et où les gens sont prêts à descendre dans la rue pour exprimer leur indignation et leur colère, il n’est guère surprenant qu’au cours des dernières années, elle ait été le théâtre de manifestations massives du mouvement des Gilets Jaunes et de personnes protestant contre des réductions drastiques des retraites. Après avoir vu comment ces manifestations pacifiques ont été brutalement et impitoyablement réprimées par la police et les escadrons de tueurs à gages, les Nord-Africains et les Africains noirs des banlieues ont adopté une approche différente. Étant donné qu’au moins 15 % des 65 millions d’habitants de la France métropolitaine sont maghrébins (marocains, algériens, tunisiens) ou noirs, et que la plupart d’entre eux vivent dans les grandes villes, Paris, Lyon, Marseille, Lille, Toulouse, Bordeaux, l’heure est grave : Paris, Lyon, Marseille, Lille, Toulouse, Bordeaux, maintenant qu’ils entrent en scène, les choses semblent bien sérieuses.

La vague de guerre urbaine en France signifie que l’effondrement est entré dans une nouvelle phase, celle d’une violence anti-étatique organisée et coordonnée avec des connotations raciales.

Les musulmans d’Afrique du Nord et les Noirs d’Afrique participent à ce qui ressemble à une guerre civile contre des cibles étatiques, culturelles et commerciales et contre des Français blancs. Par conséquent, l’éruption actuelle de violence n’a pas seulement l’étoffe d’une guerre civile, mais plutôt d’une guerre raciale.

Quel que soit l’élément déclencheur de la vague de violence actuelle, celle-ci doit également être considérée comme une conséquence logique de décennies de politiques françaises décrétées sur ordre de la Commission européenne non élue.

Ce qui s’est passé en France pourrait facilement se produire demain dans d’autres pays de l’UE, pour la simple raison que les conditions dans de nombreux endroits sont similaires à celles de la France. De nombreux États membres de l’UE, notamment l’Allemagne, la Suède, les Pays-Bas et la Belgique, comptent également des minorités musulmanes de 10 à 15 % [de la population générale]. Comme de nombreux quartiers et banlieues populaires en France, certaines parties des villes suédoises de Stockholm, Göteborg et Malmö sont depuis longtemps inaccessibles à la police. Il en va de même pour un certain nombre de villes allemandes, notamment Berlin et la région de la Ruhr. À Bruxelles, même sous le nez des commissaires du Quatrième Reich, des quartiers entiers de cette ville sont des zones interdites.

D’aucuns ont suggéré que les événements survenus en France s’inscrivaient dans le cadre de la « grande remise à zéro » prônée par le Forum Économique Mondial (FÉM).

En fait, cette « grande remise à zéro » n’est qu’un autre terme pour beaucoup de destruction, de maladie, de mort, de guerre, de misère et de peur. Il semblerait que les quatre cavaliers de l’Apocalypse aient envoyé leur avant-garde préparer le terrain et qu’ils ne tarderont pas à se manifester. À cet égard, il convient de noter que le slogan « reconstruire en mieux » [NDT « Bild Back Better » — en abrégé BBB, en anglais], si important et si omniprésent il y a encore quelques années, a complètement disparu de la propagande d’État partout.

Pour « reconstruire en mieux », il faut d’abord tout casser. De toute évidence, ce n’est pas ce que les dirigeants de tous les États « démocratiques » de l’Occident ont raconté à leurs « électeurs ».

Mais ne vous inquiétez pas, l’« Occident » est composé de sociétés « fondées sur des valeurs » et soumises à l’« État de droit », où l’« équité », la « diversité » et les « droits de l’homme » sont défendus, où les « émissions de carbone et d’azote » sont limitées et où les « fake news » et la « désinformation » sont interdites.





Le Grand Réveil

[Source : @quantumleaptraduction]

Le Grand Réveil (par Mikki Willis), est le troisième volet de la série Plandemic.
Cette expérience documentaire assemble les pièces du puzzle pour révéler une vue d’ensemble de ce qui se passe réellement en Amérique et au-delà.
Le Grand Réveil se veut un phare pour nous guider hors de la tempête et vers un avenir plus radieux.

Participants à ce projet de traduction :

Le Déclencheur
https://odysee.com/@Q…uestions:6

Karoline participation au doublage

Elo Trad
https://odysee.com/@Elo:84

Quantum Leap Traduction
https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2

Quadrillage Traduction
https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1

Quartz Traduction
https://odysee.com/@Quartz:1

L’Aile à Stick
https://odysee.com/@laileastick:4




[Source : @Gl33tchmob]

Voici le premier épisode de la série PLANDEMIC, un documentaire de 26 minutes, qui a été vu par plus d’un milliard de personnes dans le monde, établissant un record historique. Ce documentaire expose des agendas cachés.

En 2021, j’ai pu récupérer la vidéo traduite et doublée avant sa suppression par Youtube. Je l’ai recompilé afin d’avoir la meilleure définition possible.

La vidéo d’origine a été traduite et doublée par la chaîne Youtube = TRADUCTION DOCUMENTAIRES — qui a cessé son activité sur Youtube —




[Source : @PiloteGG]



[Voir aussi :
Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin,
Les mécanismes des régimes totalitaires,
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective,
La conquête communiste du Canada — La réponse à la COVID-19 révèle que le Canada a succombé à une attaque vieille de décennies,
L’ultralibéralisme communiste, le « meilleur » des deux mondes ? Quand la France sera la Chine… Vive la République Populaire de France !,
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade,
Vers un empire mondial : l’humanité condamnée à une prison unipolaire et à un goulag numérique,
« Vous n’êtes pas woke ? Nous vous supprimons »,
Changer le Système ?]




La transformation de l’OMS en dictature hygiénique

Conférence de Lucien Cerise à Moscou

[Source : strategika.fr]

Le 26 mai 2023, Lucien Cerise participait à la conférence trimestrielle du Club français de Moscou (Comitas Gentium). L’événement organisé par Karine Bechet-Golovko, professeur de droit à l’université Lomonossov de Moscou, se tenait dans la capitale russe à la Bibliothèque Tourgueniev et s’articulait autour de deux grands thèmes : la transformation des institutions et de la justice internationales.1 Voici le texte de sa prise de parole.

Source : cultureetracines.com — 13 juin 2023

Par Lucien Cerise

Bonjour et merci pour cette invitation à Moscou !
Mon domaine de recherche est l’ingénierie sociale, ou « social engineering » en anglais. Le monde russophone parle plutôt de « technologies politiques », dont une variante s’appelle le « contrôle réflexif », et fut inventée par un Russe avec un nom français, Vladimir Lefevre.2 Dans tous les cas, il s’agit d’une méthode de transformation furtive de la société et des individus qui la composent. Voyons maintenant comment l’Organisation Mondiale de la Santé travaille à transformer le monde entier en dictature sanitaire.

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) organise tous les ans une Assemblée mondiale de la santé. Cette année, elle se tient à Genève du 21 au 30 mai, c’est-à-dire au moment où nous parlons. L’objectif de cette 76e assemblée de l’OMS est principalement d’élaborer un « traité international sur la prévention des pandémies », nouvel outil du Règlement sanitaire international (RSI) déjà adopté par tous les pays du monde. On observe au cours du temps une tendance lourde dans les institutions internationales. Originellement conçues pour être des tables rondes respectant la multipolarité et la souveraineté des nations, ainsi que l’horizontalité des échanges, elles tendent à adopter au fil des années une structure hiérarchique verticale pour devenir contraignantes sur le plan légal, voire coercitives sur les plans juridique et pénal. En 2016, l’OMS écrivait à propos de son RSI :

« Le Règlement sanitaire international (2005) (RSI) fournit un cadre juridique global qui définit les droits et obligations des pays dans la gestion des événements et des urgences de santé publique susceptibles de traverser les frontières. Le RSI est un instrument de droit international juridiquement contraignant pour 196 pays, dont les 194 États membres de l’OMS. »3

Originellement conçues pour pacifier les relations d’un monde décentralisé, les institutions internationales tendent à concentrer et centraliser toujours plus l’exercice du pouvoir dans les mains de bureaucrates et de technocrates inconnus du public. Au fil du temps, ces institutions quittent leur caractère internationales pour devenir supranationales, et cherchent à imposer par l’intimidation et la ruse une idéologie que certains appellent le globalisme et d’autres le libéralisme. En fait, il vaudrait mieux appeler cette idéologie le transhumanisme, car elle attaque les fondements de la nature humaine. Le Forum Économique Mondial parle de Grande Réinitialisation (Great Reset) pour qualifier cette nouvelle réalité transhumaniste qui se déploie un peu partout au prétexte d’un risque sanitaire, autorisant à mettre sur pieds une « médecine prédictive », équivalent de la « justice prédictive », ou actuarielle, qui permet de prendre des mesures sur la base d’un potentiel et non de la réalité factuelle en acte. Le 21 avril 2023, une conférence était organisée au parlement européen à l’initiative de Virginie Joron (Rassemblement National) sur le thème « Le Traité de l’OMS sur les pandémies : Nos libertés en danger ? » Pendant sa présentation, le docteur David Bell, médecin clinicien, spécialiste de l’épidémiologie du paludisme, chercheur et consultant à l’OMS, remarquait dans les projets d’amendements au Règlement sanitaire international une extension de la définition « des pandémies et des urgences sanitaires, y compris l’introduction du “potentiel” de préjudice plutôt que du préjudice réel. »4

Ainsi, l’OMS travaille en ce moment à implémenter un traité international sur la prévention des pandémies qui devrait lui permettre de prendre le contrôle du corps des individus, comme on l’a vu en 2020, en s’appuyant, non sur un problème sanitaire réel, mais sur la représentation d’un problème sanitaire possible. Ce que l’on appelle un risque, c’est-à-dire l’idée d’un danger, et non pas un danger présent. Dans les propositions d’amendements au RSI discutées en ce moment, on peut lire :

« 4. Pour déterminer si un événement constitue une urgence de santé publique de portée internationale, le Directeur général tient compte : (…) e) d’une évaluation du risque pour la santé humaine, du risque de
propagation internationale de maladies et du risque d’entraves au trafic international. »5

Plus besoin d’une pandémie réelle pour enfermer les gens chez eux, la parole du directeur général de l’OMS suffit. Un dicton français dit : « Il vaut mieux prévenir que guérir. » Pour une fois, la sagesse populaire se trompe, ou du moins doit être relativisée, car si l’on absolutise ce principe, cela ouvre les portes à l’arbitraire. Les concepts de biopouvoir et de biopolitique introduits dans le vocabulaire philosophique par Michel Foucault, puis retravaillés par Giorgio Agamben, permettent de faire le lien entre justice et médecine prédictives, deux approches qui convergent dans cette nouvelle forme de contrôle social s’appliquant indistinctement sur tous les individus, au prétexte d’un risque collectif. Le 1er février 2023, l’OMS divulgue dans son projet préliminaire un dispositif conceptuel résumé par le slogan « Une seule santé », apparemment généreux et responsable, mais en fait complètement fou, cherchant à créer une solidarité sanitaire universelle étendue aux animaux et aux objets inanimés, le tout sous contrôle de l’OMS, évidemment, et insistant sur la censure de toute information alternative :

« 8. (…) Tous les États sont responsables de la santé de leur population, ce qui inclut la prévention, la préparation, la riposte et le relèvement en cas de pandémie. Or, les pandémies passées ont démontré que personne n’est en sécurité tant que la sécurité de tous n’est pas assurée. Étant donné que la santé de tous les peuples dépend de la coopération la plus étroite des individus et des États, toutes les Parties sont liées par les obligations du CA+ de l’OMS.
(…) 14. “Une seule santé” – Les mesures multisectorielles et pluridisciplinaires devraient tenir compte des liens qui unissent les êtres humains, les animaux, les végétaux et l’environnement qu’ils ont tous en commun, pour lesquels il conviendrait de renforcer et d’appliquer une démarche cohérente, intégrée et unificatrice dans le but d’équilibrer et d’optimiser durablement la santé des personnes, des animaux et des écosystèmes, notamment, mais pas exclusivement, en prêtant attention à la prévention des épidémies dues à des agents pathogènes résistants aux antimicrobiens et des zoonoses.
(…) Article 17. Renforcement des connaissances en matière de pandémies et de santé publique b) assurer régulièrement une veille et une analyse des réseaux sociaux en vue de déterminer la prévalence et les profils des informations fausses ou trompeuses et ainsi de concevoir des communications et des messages destinés au public et de contrer les informations fausses ou trompeuses et la désinformation, renforçant ainsi la confiance du public ;
(…) »6

Parmi les fondements du droit, il y a l’individualisation de la peine et la pénalisation des actes accomplis, et seulement des actes accomplis, ce qui est synonyme de l’administration de la preuve. En résumé : on ne pénalise que le délit accompli par la personne juridique qui l’a accompli réellement. Autrement dit, la pénalisation est forcément rétrospective et limitée. Limitée par quoi ? Limitée par le réel. Ces deux fondements sont des garde-fous qui permettent de contrôler les risques de dérives arbitraires de la justice en réorientant le processus juridique en permanence sur le réel de ce qui a été vraiment accompli par quelqu’un, et non sur une estimation des juges. Or, c’est justement ce type de dérive arbitraire que la nouvelle tendance de la « justice prédictive » essaye de normaliser en détachant le Droit du réel et de l’exigence d’administration de la preuve. La justice prédictive, dont l’introducteur en France est le criminologue Alain Bauer, évolue dans le domaine du risque, c’est-à-dire non plus du réel en acte et accompli, mais dans le domaine du potentiel. Elle cherche à banaliser la pénalisation par anticipation, ce qui revient à transgresser les deux principes élémentaires du droit susdits : le caractère rétrospectif et individualisé du jugement. Le nouveau courant de la médecine prédictive est grevé lui aussi des mêmes défauts. Sous prétexte d’anticiper sur un risque détecté, mais non réalisé, un risque potentiel, on prendra des mesures concrètes dans le réel, non justifiées dans le présent, et en oubliant qu’un risque potentiel n’est pas une fatalité. La médecine prédictive cherche ainsi à déboulonner du fronton des hôpitaux le principe hippocratique « D’abord, ne pas nuire » (Primum non nocere) pour le remplacer par la fameuse phrase du Docteur Knock : « Les gens en bonne santé sont des malades qui s’ignorent. » La justice prédictive fait l’analogue et essaye de diffuser l’idée que « Les gens honnêtes sont des délinquants potentiels. » Ce qui est toujours vrai et toujours faux, en même temps, puisque ce n’est pas actuel, ce n’est pas réel, mais potentiel, et cela repose donc non sur des faits, mais sur des représentations, ce qui permet au passage de transgresser l’individualisation de la peine et la réalité du délit en les diluant dans un potentiel délictuel collectif.
La notion de « population à risque » fait la jonction entre la justice et la médecine prédictives, et permet aussi de diluer l’individualisation du traitement médical et la réalité de la maladie dans la notion de « mesures sanitaires » prises par anticipation, et s’appliquant aux individus sains, non malades et bien-portants, renommés « cas asymptomatiques », autant qu’aux malades présentant des symptômes réels.

L’OMS est fille de son temps et obéit à cette tendance de la postmodernité déjà remarquée par Jean
Baudrillard dans les années 1960, soit la résorption du réel dans sa représentation, le remplacement complet du territoire par sa carte, la substitution intégrale de la chose objective par le mot qui la désigne. C’est la fin du réel, la fin de toute extériorité à la parole, donc la fin des contre-pouvoirs et le règne sans partage de l’arbitraire subjectif. Ce que la psychologie désigne aussi du terme de psychose.


1 Le Club français de Moscou. « La transformation des institutions internationales »
https://comitasgentium.com/fr/actualites/le-club-francais-de-moscou-la-transformation-des-institutions-internationales/

2« Du contrôle réflexif »
https://kolesnyk.fr/posts/du-controle-reflexif/

3 « International Health Regulations (2005) — Third edition», WHO, 01/01/16:

« The International Health Regulations (2005) (IHR) provide an overarching legal framework that defines countries’ rights and obligations in handling public health events and emergencies that have the potential to cross borders. The IHR are an instrument of international law that is legally-binding on 196 countries, including the 194 WHO Member States. »

https://www.who.int/publications/i/item/9789241580496

4 « Conférence “Le Traité de l’OMS sur les pandémies : Nos libertés en danger ?” au Parlement Européen » (1:10:30): « IHR draft amendments. Expand the definitions of pandemics and health emergencies, including the introduction of ˈpotentialˈ for harm rather than actual harm. »
https://www.youtube.com/watch?v=Jislxl-1M8M

5 « Renforcement de la préparation et de la riposte de l’OMS aux urgences sanitaires. Proposition d’amendements au Règlement sanitaire international (2005) », OMS, SOIXANTE-QUINZIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ, A75/18, Point 16.2 de l’ordre du jour provisoire, 12 avril 2022, page 7.
https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA75/A75_18-fr.pdf
Version anglaise :
https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA75/A75_18-en.pdf?trk=public_post_comment-text

6 Quatrième réunion de l’organe intergouvernemental de négociation chargé de rédiger et de négocier une convention, un accord ou un autre instrument international de l’OMS sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies. Projet préliminaire de CA+ de l’OMS soumis à l’examen de l’organe intergouvernemental de négociation à sa quatrième réunion. Convention, accord ou autre instrument international de l’OMS sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies (« CA+ de l’OMS »), Point 3 de l’ordre du jour provisoire. 1er février 2023.
https://www.who.int/fr/news-room/questions-and-answers/item/pandemic-prevention–preparedness-
and-response-accord




Télévision et Dictature

[Source : AVATAR Media]

Le Coup de Gueule de Nicolas Bonnal




Comment les incendies de forêt au Canada transforment le changement climatique en une « urgence de santé publique »

[Source : off-guardian.org]

Les incendies de forêt annuels ont frappé et, comme d’habitude, ils sont synonymes d’alarmisme climatique et de tentatives d’imposer un programme de contrôle social.

Par Kit Knightly

Les incendies de forêt au Canada font la une des journaux, mais cette nouvelle dose de peur liée au climat n’est qu’une nouvelle étape d’une campagne de propagande visant à « passer de la covid au climat ».

[Voir aussi :
Tout le sud du Québec a simultanément pris feu
et
Incendies de forêt au Canada : données contre hystérie climatique]

Tout d’abord, parlons des incendies eux-mêmes.

Les feux de forêt, ou incendies sauvages, sont un phénomène parfaitement naturel et un élément vital de l’écosystème, qui permet la repousse et l’apport de nutriments dans le sol.

Ils se sont produits pendant des centaines de millions d’années avant l’existence de l’homme et continueront à se produire bien après que nous ayons disparu.

Les incendies actuels sont-ils particulièrement graves ? Ou particulièrement étendus ?

Nous ne le savons pas. Nous savons par contre, grâce à notre couverture de la « crise » de l’Amazonie en 2019, que les médias se sont déjà appuyés sur des statistiques manipulées pour donner l’impression que les incendies de forêt étaient plus graves qu’ils ne l’étaient.

Nous savons également que des efforts sont déployés pour associer les incendies de forêt annuels à un prétendu changement climatique d’origine humaine, même s’il est librement admis que d’autres facteurs sont probablement à l’origine de ces incendies.

Nous savons également que cette histoire ne ferait pas la une des journaux si elle ne servait pas un certain objectif. Quel est donc cet objectif ? Quelle est l’histoire derrière l’histoire ?

Eh bien, il s’agit en partie de l’histoire de la « qualité de l’air ».

Vous souvenez-vous des palabres sur les cuisinières à gaz, il y a quelques mois ? Les Bleus voulaient les interdire et les Rouges ne le voulaient pas, mais la véritable histoire derrière cette histoire était une propagande visant à réglementer la qualité de l’air à l’intérieur des bâtiments. J’ai écrit à l’époque :

Je pense qu’une nouvelle technologie « intelligente » est en train de voir le jour, qui contrôlera la qualité de l’air et les émissions de CO2 à l’intérieur des bâtiments. Comme les compteurs d’eau et d’électricité intelligents, mais pour l’air.

Il s’avère que j’avais raison… en fait, la technologie existait déjà.

Le « Smart Air Monitor » d’Amazon est connecté à Alexa et déclenche des alarmes si la qualité de l’air est mauvaise. Bien entendu, vous devez activer Alexa pour l’utiliser. Cela signifie que vous devez accepter qu’Amazon recueille vos données et écoute vos conversations.

L’Union européenne a lancé sa propre application de surveillance de la qualité de l’air, ce qui tombe à point nommé. Ces derniers jours, de nombreuses publications publient effrontément des publicités et des « analyses » pour des « moniteurs d’air intelligents » ou des filtres HEPA.

Mais il s’agit sans doute plus d’opportunisme et de cupidité que d’autre chose.

Le véritable objectif est le changement climatique — pas seulement la propagation habituelle de la panique, ou même l’élaboration de fausses preuves de son existence — mais le changement d’image.

Transformer le changement climatique d’une question environnementale en une question de santé publique.

Cette idée n’est pas nouvelle, elle a commencé presque dès l’arrivée de la Covid et a fait la une des journaux lorsque nous avons vu le premier « diagnostic du changement climatique » à la fin de l’année 2021. Mais elle a clairement pris de l’ampleur au cours des derniers mois.

En mars, le Council on Foreign Relations a publié un article intitulé « Managing the Health Risks of Climate Change » (Gérer les risques sanitaires du changement climatique), qui s’ouvre sur :

Le changement climatique s’est hissé au premier rang des priorités sanitaires mondiales, menaçant les individus et les populations par de multiples voies d’exposition, sur toute la gamme des conditions de santé physique et mentale et des déterminants sociaux de la santé.

En avril, le Guardian a publié un article d’opinion intitulé :

L’urgence climatique est la plus grande crise sanitaire de notre temps — plus grande que la Covid

Puis, fin mai, l’Organisation mondiale de la santé, qui venait de déclarer la fin de la « phase d’urgence » de la Covid, a lancé « un appel passionné à une action climatique urgente », son président Tedros Adhanom Ghebreyesus déclarant [souligné par l’auteur] :

Les raisons les plus pressantes d’une action climatique urgente sont les impacts non pas futurs, mais actuels, sur la santé […] La crise climatique est une crise sanitaire, qui alimente les épidémies, contribue à l’augmentation des taux de maladies non transmissibles et menace de submerger notre personnel et nos infrastructures de santé ».

La semaine dernière, la Cairo Review of Global Affairs — une publication de l’Université américaine du Caire — a publié une interview de la jeune envoyée de la COP27, Omnia El Omrani, intitulée simplement « Le changement climatique : Une urgence sanitaire mondiale ».

L’article utilise le mot « santé » plus de cinquante fois et souligne que nous devons « maintenir la santé au cœur des négociations sur le changement climatique », affirme que la politique sur le changement climatique n’est pas « une réponse à des incitations politiques ou économiques, mais une anticipation d’une crise sanitaire en évolution » et, ce qui est peut-être le plus révélateur, établit un parallèle direct avec la Covid :

Comme nous l’avons vu avec la COVID-19, qui était une urgence sanitaire, les pays ont réagi et ont mobilisé des ressources et des financements. Il doit en être de même pour le changement climatique. Il s’agit d’une urgence sanitaire.

Parallèlement, et apparemment par pure coïncidence, l’Académie royale néerlandaise des arts et des sciences (KNAW) vient de publier un rapport sur « l’impact du changement climatique sur la santé, mettant en garde contre les conséquences désastreuses si le monde n’agit pas pour freiner le réchauffement de la planète » :

Si le changement climatique continue à réchauffer la terre sans relâche, des milliards de personnes pourraient souffrir de « stress thermique, de maladies infectieuses, de malnutrition, d’inondations et de problèmes de santé mentale ».

(Je sais que vous en avez assez que je vous dise « je vous l’avais bien dit », mais j’ai effectivement prédit l’année dernière que toutes sortes de maladies, des maladies transmises par l’eau aux problèmes de santé mentale, seraient reclassées dans la catégorie des « problèmes de santé liés au climat »).

Les déclarations politiques à large spectre sont accompagnées de l’habituel saupoudrage d’anecdotes et de faits divers pour ajouter de la saveur à la salade de propagande. Des articles comme « Le changement climatique nuit à ma santé mentale », publié aujourd’hui même par la BBC.

… et nous revenons ainsi aux incendies de forêt canadiens et à la mauvaise qualité de l’air dont tout le monde parle. La presse tient à souligner que les incendies ont été provoqués par le changement climatique, que la mauvaise qualité de l’air est donc due au changement climatique et que la mauvaise qualité de l’air constitue un risque majeur pour la santé publique.

Donc, changement climatique = mauvais pour la santé publique.

Les gens sont encouragés à « se masquer » dans tout l’est des États-Unis, et les New-Yorkais sont invités à rester à l’intérieur. Il ne s’agit pas seulement d’une nouvelle normalisation des masques et des confinements, mais d’une astuce psychologique qui amène les gens à associer « changement climatique » et « covid » dans leur esprit.

Comme je l’ai écrit l’année dernière :

La Covid a fonctionné et le climat n’a pas fonctionné. Pendant des décennies, ils ont attisé la peur du public à propos d’une « nouvelle ère glaciaire », des pluies acides, du trou dans la couche d’ozone et d’une myriade d’autres catastrophes climatiques supposées naissantes, sans jamais atteindre le dixième du niveau d’hystérie créé par la « pandémie » de Covid-19. Quelque part, un responsable des relations publiques pas particulièrement brillant a décidé que le moyen de faire passer le « pivot de la Covid vers le climat » était d’essayer de transformer la catastrophe environnementale prévue de longue date en un problème de santé publique.

… et c’est ce qu’ils font. Parce qu’ils ont besoin du bon type de peur.

Il s’agit de transformer la vague anxiété liée au changement climatique — que la plupart des gens ont tout simplement commencé à ignorer — en une peur primitive de soi qui a envahi le monde lors de la « pandémie ».

Le genre d’hystérie panique qui a poussé les gens à pulvériser du poivre de cayenne sur des inconnus et à coller des bâches en plastique partout dans la maison.

C’est le genre de folie dont ils auront besoin dans la population générale s’ils veulent faire passer la Grande Réinitialisation Verte.




OMS : Un pass de plus vers le Nouvel Ordre Mondial. Le « passe sanitaire » de l’UE est adopté à l’échelle internationale

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Alors que le certificat Covid numérique européen devait expirer en juin, l’OMS reprend le flambeau et adoptera ce « modèle » européen en tant que premier élément du Réseau mondial de certification sanitaire numérique le Global Digital Health Certification Network, qui mettra au point « une large gamme de produits numériques » pour la santé de tous.

Dans le communiqué de presse de l’agence onusienne, il est intéressant de noter les concepts tels que « gamme de produits », « santé numérique » et la revendication de plus en plus affirmée du rôle autoritaire de l’OMS :

La commissaire à la santé Stella Kyriakides y affirme que :

En tant qu’autorité directrice et coordinatrice dans le domaine de la santé, des travaux ayant un caractère international, l’OMS est le meilleur partenaire pour faire progresser les travaux que nous avons entamés au sein de l’UE et continuer à mettre au point des solutions mondiales en matière de santé numérique.

Thierry Breton, commissaire au marché intérieur :

Estime que le certificat de l’Union a facilité les voyages et le tourisme international, en révélant que près de 80 pays s’y sont connectés, et ajoute être ravi que l’OMS s’appuie sur les principes de protection de la vie privée et la technologie de pointe du certificat de l’UE pour créer un outil mondial contre les futures pandémies.

Est-il besoin de rappeler qu’un système de contrôle et de discrimination permanent des individus par des interventions sur le corps est l’exemple même d’une politique totalitaire, même si les données sont rendues anonymes pour les tiers ?

Un pas de plus est franchi dans la suppression des droits souverains les plus élémentaires, lorsque l’on apprend que l’OMS utilisera sa propre structure dans le but de permettre au monde de bénéficier de la convergence des certificats numériques. L’OMS établira les normes et validera les signatures pour éviter la fraude.

Comme on pouvait l’imaginer, les acteurs du « nouvel ordre mondial » ont donc mis les bouchées doubles : ce premier élément du système mondial de surveillance de l’OMS sera opérationnel en juin 2023 et devrait se développer progressivement dans les mois à venir.

Par ailleurs, l’on observe bien que la formalisation de ces plans dans des traités internationaux — qu’il s’agisse du traité pandémies ou des amendements au Règlement sanitaire international — n’est pas réellement un frein à la mise en place des instruments de contrôle destinés à opérer la « révolution numérique » du Grand Reset.

Schéma de l’identité numérique selon le Forum économique mondial

Contrôler le trafic aérien

Lors de son Assemblée mondiale de la santé, l’OMS a par exemple proposé d’adopter, « en coopération avec l’Organisation de l’aviation civile internationale [OACI, une autre agence onusienne]… et d’autres organisations compétentes, les exigences auxquelles les documents sous forme numérique ou papier doivent satisfaire en ce qui concerne l’interopérabilité des plates-formes de technologie de l’information, les exigences techniques des documents de santé, ainsi que les garanties visant à réduire le risque d’abus et de falsification ». Et l’on sait que l’IATA, qui est une organisation privée régulant aussi les transporteurs aériens, figure également parmi les partenaires privilégiés des négociations au traité pandémie.

De cette manière, les États membres réticents à abandonner leur souveraineté au profit d’un organe de gouvernance centralisé tel que l’OMS, seront toute de même soumis aux diktats émis par la législation internationale des transports et ne resteraient maîtres que du trafic intérieur.

Ce « tour de passe-passe » opéré par les agences onusiennes, les institutions européennes et les agences internationales n’est pas vraiment surprenant.

En effet, la couleur avait été clairement annoncée au World Government Summit du G20 à Jakarta par le Premier ministre indonésien Sadikin. Lors de son discours inaugural, il avait insisté sur l’importance de développer le marché digital de la surveillance globale et d’introduire des certificats Covid en faisant appel aux sempiternelles « menaces » de l’urgence sanitaire :

Nous comprenons que notre ennemi n’est pas un être humain, mais un agent pathogène. Notre ennemi est un agent pathogène… Ces agents pathogènes ont besoin d’un système de surveillance, comme lorsque vous êtes attaqué par un extraterrestre à l’extérieur du pays. À l’échelle mondiale, tous les pays relient leur système radar afin d’assurer une excellente surveillance si l’ennemi vient de l’extérieur de la Terre. Maintenant, la même chose se produit, nous devons renforcer et relier notre système radar pour les pathogènes… Et quelles sont les opportunités pour vous ? C’est l’occasion pour vous de vous lancer dans la biotechnologie. Car c’est la plus grande menace pour l’humanité. C’est pourquoi les gens et le gouvernement seront politiquement poussés à dépenser dans ce secteur.

Le quatrième accord que nous avons conclu… lorsque nous aurons une autre pandémie, nous comprendrons que pour arrêter la propagation du virus, nous devons limiter, et non pas arrêter, les déplacements des personnes… Nous aurons donc un certificat de santé numérique, reconnu par l’OMS, si vous avez été vacciné ou testé correctement, alors vous pourrez vous déplacer.

Les pays du G20 ont convenu de mettre en place ce certificat numérique en utilisant la norme de l’OMS et nous le soumettrons à la prochaine Assemblée mondiale de la santé à Genève en tant que révision du règlement sanitaire international.

[Note de Joseph : s’il existe un moyen humainement réalisable de stopper le plan mondialiste, sachant que rien d’autre pour l’instant n’a pu stopper ce dernier, c’est de répandre largement la réfutation scientifiquement justifiée de la théorie virale, surtout auprès des médecins et autres personnels soignants. En faisant tomber cette croyance scientiste de l’hypothèse virale (religieusement entretenue depuis plus d’un siècle jusque dans les facultés de médecine), et en se tournant vers un nouveau paradigme médical (médecine intégrative, naturopathie…), l’Humanité fera tomber la peur de prétendus méchants virus et rendra caduques et totalement injustifiées les mesures « sanitaires » et les vaxinations, entraînant ensuite la chute probable de Bib Pharma, puis du Nouvel Ordre Mondial qui a besoin de telles mesures et de telles croyances pour fonctionner. Voir le dossier Vaccins et virus]

Rappelons que c’est lors du même sommet qu’Emmanuel Macron a appelé avec ferveur à la création d’un ordre mondial unique et non bi-polaire (USA vs Chine)

Le certificat « couteau suisse » de l’OMS

L’OMS a ainsi pris les devants, en signant un contrat avec T-Systems, le 23 février dernier. Cette filiale de Deutsche Telekom avait déjà développé la passerelle européenne pour les certificats de vaccination (DCC, Digital Covid Certificate). Le nouveau système, toujours basée sur les codes QR serait également utilisé pour d’autres vaccinations, comme la polio ou la fièvre jaune.

C’est aussi T-Systems qui avait déjà mis en place le European Federation Gateway Service (EFGS), le service qui permet aux applications de traçage du Covid des États membres de fonctionner au-delà des frontières.

Auparavant, Telekom avaient travaillé en partenariat avec SAP à l’application de traçage Corona du gouvernement allemand :

Avec plus de 43 millions de téléchargements, c’est l’une des applications de traçage les plus populaires au monde. Grâce à ses nombreuses fonctions supplémentaires, telles que l’enregistrement des événements ou le stockage universel des certificats, elle a acquis la réputation d’être « le couteau suisse de la pandémie ».

Le « couteau suisse » fait bien référence au fait qu’il y ait une intention plus large que d’y inclure les seuls certificats de vaccination. La portée de cet outil concernerait à la fois le domaine de la santé en général, ainsi que les applications liées à l’identité numérique.

L’OMS aux commandes de la santé numérique mondiale

Pour l’OMS, il s’agit d’aller au-delà des certificats de vaccination et de tout bonnement gérer, voire imposer le marché des solutions de santé numérique à l’échelle nationale. C’est pourquoi l’agence travaille sans relâche au développement des technologies qu’il ne restera plus qu’à approuver :

D’un point de vue pratique, l’agence élabore les standards « SMART » (Standards-based, Machine-readable, Adaptive, Requirements-based, and Testable) qui devraient permettre à toutes ces applications numériques de fonctionner de manière « interopérable ». Ceci se retrouve par exemple dans le projet de l’Atlas de la santé numérique :

« Conformément au troisième objectif, le Secrétariat (de l’OMS) a aidé les États membres à utiliser l’Atlas de la santé numérique de l’OMS pour recenser et gérer les solutions de santé numérique au niveau national et coordonner les investissements, et a lancé la plateforme du Centre d’échange d’informations sur la santé numérique de l’OMS afin d’évaluer et de répertorier les solutions numériques en fonction des spécifications de l’OMS en matière d’interopérabilité et d’alignement sur les recommandations de l’OMS ».

Extract of the Classification Framework from the WHO Classification
of Digital Health Interventions Guide

L’identité numérique européenne

De son côté l’Union européenne mène tout ce projet avec l’identité numérique européenne, et le portefeuille numérique, auxquels l’Union prévoit d’intégrer le dossier médical et le carnet de vaccination individuel (c’est déjà le cas sur les cartes d’identité en Belgique par exemple). Chaque citoyen et résident de l’UE aurait accès à un « portefeuille numérique personnel » qui comprendrait les cartes d’identité nationales, les certificats de naissance et médicaux, ainsi que les permis de conduire. Ceci s’intègre dans le cadre de la transformation numérique de l’Europe et la décennie digitale de l’Union, telle que définie dans son programme politique de septembre 2021.

Sur cette illustration provenant du site de l’UE, l’on voit illustré en bas à gauche le concept de « jumeau numérique » ou « digital twins » qui permettra par une gouvernance par intelligence artificielle via l’observation en temps réel des individus à l’intérieur des villes connectées ou SMART cities. La Flandres fait partie de ce projet pilote.
En haut, la gouvernance est exercée de manière « digitale » selon l’idéal « technocratique », où le pouvoir absolu est exercé par une oligarchie anonyme et invisible qui se cache derrière le rempart des algorithmes.

Toutes ces propositions et initiatives sont étroitement alignées sur les objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, et du Forum économique mondial, en particulier sur la cible 16.9 de l’Agenda 2030 du « développement durable », qui appelle à la mise en place d’une identité juridique numérique pour tous, y compris les nouveau-nés, d’ici 2030.

L’on peut s’inquiéter du fait qu’elles soit menées de concert par la Commission européenne, le Forum économique mondial et le secrétariat ou bureau de l’OMS, en dehors du champs politique des parlements nationaux. Dans un tel contexte, les nouveaux membres ajoutés au Bureau par son directeur Tedros ne sont pas à même de dissiper les craintes d’une prise de pouvoir totalitaire et de l’instrumentalisation accrue de la santé au service d’un agenda politique et militaire.

En premier lieu, il faut noter que l’entrée de la Corée du Nord au « bureau de direction » a suscité de vives réactions de plusieurs pays, dont la Corée du Sud et le Japon. Pour les autres arrivants, l’on observe que le nombre de pays africains s’est renforcé avec des pays n’ayant guère de poids : le Togo, le Lesotho, les Commores et le Cameroun. Il y a aussi les Barbades, l’Australie, la Suisse et… l’Ukraine !

Aucun de ces pays n’est un exemple de démocratie ou du respect des droits humains, à l’exception de la Suisse, où se trouve le siège l’OMS.

S’agit-il vraiment d’un choix lié à des enjeux sanitaires ? Ou est-on face à des positions stratégiques en cas de conflit international ? L’on peut aussi penser que Tedros chercherait à renforcer des votes anti-démocratiques pour imposer la suite de l’agenda totalitaire grâce à des soutiens déjà acquis…

Quoi qu’il en soit, ce nouveau passe sanitaire de l’OMS est une mauvaise nouvelle pour la démocratie et la santé et marque un pas supplémentaire vers le fantasme de « la fusion entre l’identité physique, biologique et numérique » du Grand Reset ; et ce mode d’esclavage par la technocratie, rêvé et annoncée par Klaus Schwab, dans la poursuite de ses idéaux transhumanistes, semble chaque jour resserrer son étau sur la population mondiale.

Malheureusement, tout porte à croire que les programmes et les acteurs de cette grande réinitialisation s’inscrivent bien dans la continuité de l’époque la plus sombre de notre histoire. (Voir la série « Plus Jamais, c’est maintenant et mondial », de Vera Sharav, une rescapée des camps nazis, dans laquelle de nombreux survivants de l’Holocauste dénoncent les parallèles avec l’ascension du nazisme).

Une chose est sûre : tous les empires sont tombés par un défaut de ressources et par le manque de soutien des populations. C’est une chose de décider que l’on va tout contrôler partout, c’en est une autre d’y parvenir en pratique, même si les lois sont imposées et si la technologie existe. À terme, cette énième tentative totalitaire ne peut qu’échouer.




Vers un empire mondial : l’humanité condamnée à une prison unipolaire et à un goulag numérique

[Source : Global Research]

[Source de l’illustration : Children’s Health Defense]

Les parents de l’auteur, qui ont échappé à une dictature dans les années 1950, n’auraient aujourd’hui aucun endroit où se réfugier et se cacher.

Par David Skripac

Introduction

« COVID est essentiel, car c’est ce qui convainc les gens d’accepter, de légitimer, une surveillance biométrique totale ».

Yuval Noah Harari, Forum Économique Mondial

En utilisant le faux récit du « virus COVID » comme couverture, les parasites privilégiés et assoiffés de pouvoir qui pillent les richesses du monde ont fortement accéléré leur plan de longue date visant à créer un empire mondial unique qui est entièrement sous leur commandement.

Cet empire mondial unique emploiera finalement les services de toutes les institutions transnationales de la planète afin de réglementer et de contrôler tous les aspects de la vie humaine.

Il s’agit d’un empire mondial dirigé par un club exclusif, fort de 8 000 à 10 000 membres, dont les membres ne prêtent allégeance à aucun drapeau national, qui se considèrent avec snobisme comme supérieurs à leurs compatriotes et qui sont indifférents à l’idéologie politique tant qu’ils peuvent contrôler la structure politique de l’intérieur. Ils visent à effacer toutes les frontières nationales et sont en bonne voie pour déchirer les constitutions de tous les États-nations.

Il s’agit d’un empire mondial qui, contrairement à ce qui se passait autrefois, n’a pas besoin d’armée permanente pour mener la guerre sur un champ de bataille contre un empire adverse. En effet, à l’ère de l’empire mondial unique, l’ennemi à soumettre est chacun d’entre nous.

Cette mission est accomplie grâce à une campagne de guerre de l’information sophistiquée, conçue pour surveiller et manipuler chacune de nos pensées, de nos paroles et de nos actes.

Il est important de noter que cette attaque offensive contre nous a pour but de supprimer et d’éradiquer la liberté dans tous les aspects de notre vie : la liberté économique, la liberté politique (en particulier la liberté de transmettre et de recevoir des informations et d’accepter ou de rejeter des informations), la liberté de mouvement physique, la liberté de décision en matière de soins de santé et, surtout, l’indépendance de penser par nous-mêmes, ce que l’on peut appeler la liberté mentale.

Avant d’exposer plus en détail cet empire mondial, j’aimerais partager avec vous, cher lecteur, une histoire concernant mes parents. Elle permet d’établir un contraste entre la version des années 1950, caractérisée par une surveillance de masse et des restrictions sévères des libertés individuelles dans certaines parties du monde, et la version des années 2020, caractérisée par la répression, dans laquelle l’ensemble de l’humanité, quel que soit l’endroit où elle vit, est régulièrement et subrepticement enfermée dans une grille de contrôle totalitaire omniprésente.

Un retour en arrière en 1955

En 1955, mes parents, Maida et Janko, ont tout risqué en quittant leur pays, la République fédérale socialiste de Yougoslavie. Ils n’ont pas pris cette décision à la légère, car cela signifiait tout perdre, peut-être même leur vie, si les autorités yougoslaves découvraient que mes parents n’avaient pas l’intention de revenir après avoir visité l’Autriche voisine pour ce qu’ils ont dit aux gardes-frontières n’être qu’une simple excursion amusante d’un week-end.

Josip Broz Tito
(sous licence du domaine public)

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la Yougoslavie était dirigée par les communistes sous la houlette de Josip Broz Tito. Bien que le gouvernement de Tito ait tenté d’améliorer le niveau de vie du citoyen moyen, le régime autoritaire de ses apparatchiks laissait beaucoup à désirer.

Par exemple, l’un des principaux obstacles au progrès était la corruption enracinée à tous les niveaux du gouvernement yougoslave. Les membres du parti communiste bénéficiaient de privilèges et de faveurs, tandis que tous les autres devaient attendre des mois pour obtenir des produits de première nécessité, tels que des denrées alimentaires et des logements. Parmi les membres du parti, les pots-de-vin et la corruption étaient monnaie courante. La progression dans l’échelle sociale et politique était basée sur l’allégeance au parti et sur les connaissances, et non sur le mérite.

Un autre inconvénient majeur du règne de Tito était la réduction des libertés individuelles. Mes parents ont été les premiers témoins de l’érosion de leurs droits fondamentaux — leur droit de se réunir, leur droit de s’exprimer librement, leur droit de voyager et leur droit de posséder une entreprise. Si quelqu’un s’élevait courageusement, en public ou en privé, contre ces injustices, l’État surveillait et traquait ses moindres faits et gestes. Il pouvait même être surveillé par un voisin curieux, qui pouvait très bien travailler comme mouchard pour le gouvernement.

Le réseau de surveillance de la société yougoslave et les restrictions imposées aux libertés civiles se sont aggravés à mesure que le fossé entre Belgrade et Moscou s’est creusé à la fin des années 1940 et au début des années 1950. À partir de 1948, les Soviétiques ont activement tenté de s’immiscer dans les affaires politiques intérieures de la Yougoslavie. Ils cherchent même à renverser le gouvernement yougoslave, car Moscou désapprouve le désir de Tito de suivre une voie indépendante, distincte du bloc de l’Est dominé par les Soviétiques.

En juin 1948, par exemple, les Soviétiques se sont adressés au peuple yougoslave en l’appelant à renverser son gouvernement. Pourtant, malgré l’ombre de Moscou qui imprègne tous les niveaux des affaires politiques internes de la Yougoslavie, les communistes de Tito parviennent à conserver le pouvoir. L’URSS et ses alliés d’Europe de l’Est refusent cependant de battre en retraite. Ils menacent toujours d’envahir le pays sous n’importe quel prétexte.

À la demande de Staline, les Soviétiques ont tenté d’assassiner Tito à plusieurs reprises. Pendant ce temps, des voisins autrefois amicaux comme la Hongrie et la Roumanie, désormais sous l’emprise de l’URSS, bloquent les frontières de la Yougoslavie et tirent sur les gardes-frontières yougoslaves, les tuant parfois.

C’est dans ce contexte que mes parents ont pris la décision fatidique de quitter leur pays. Depuis des années, ils entendaient parler de la « Terre promise » : le continent nord-américain. Un pays où l’économie d’après-guerre était en plein essor. Une terre aux possibilités infinies et aux opportunités innombrables. Une terre où, si l’on est prêt à travailler dur, tout est possible. Il était temps pour eux de partir.

Heureusement, ma mère était restée en contact avec Franc Kopitar, un ami proche de sa famille depuis l’enfance. Après avoir servi dans les rangs des partisans de Tito (son nom de code de partisan était Silvo) pendant la Seconde Guerre mondiale, Franc avait rejoint l’agence publique yougoslave de tourisme et de transport Putnik. (L’agence a ensuite été rebaptisée Kompas, nom qu’elle porte encore aujourd’hui).

Bien que Franc soit un patriote, prêt à faire tout ce qui est nécessaire pour défendre sa nation contre une force militaire envahissante, il se méfie profondément des communistes. C’est pourquoi il était prêt à aider secrètement mes parents à échapper à la poigne de fer de Tito et à chercher une vie meilleure.

En 1955, grâce à ses relations au sein du gouvernement, Franc a pu obtenir le visa et les documents de voyage nécessaires pour permettre à mes parents de se rendre à Graz, en Autriche, avec un « laissez-passer temporaire pour le week-end ». Les documents étaient authentiques : ils portaient les cachets d’autorisation requis et d’autres marques susceptibles d’induire les autorités en erreur en leur faisant croire que mes parents reviendraient après leur séjour d’un week-end dans l’Autriche voisine.

Franc avait demandé à mes parents de meubler entièrement leur appartement avec des meubles nouvellement achetés avant leur départ. Il savait que cela permettrait d’induire en erreur toute personne susceptible de s’intéresser aux projets de voyage de mes parents. Après tout, pourquoi quelqu’un dépenserait-il tous ses maigres revenus pour acheter des meubles neufs pour son appartement s’il prévoyait de quitter définitivement le pays ?

Après avoir mis en place le décor trompeur de chambres décorées et mis en œuvre leur plan trompeur, mes parents, désormais pratiquement sans le sou, ont emballé tout ce qu’ils chérissaient dans deux petites valises et se sont mis en route pour la gare de Ljubljana par un froid après-midi de janvier 1955.

Remplis d’espoir et d’inquiétude, ils montent à bord du train qui les mènera à la frontière entre la Yougoslavie et l’Autriche. Ne sachant pas comment cette journée mémorable allait se terminer, trois questions pesaient lourdement sur leur esprit :

Qui et quoi les attend à la frontière ?

Si leurs papiers n’étaient pas en règle, allaient-ils être emmenés en prison et interrogés pendant des jours ?

Pire encore, si leurs papiers n’étaient pas en règle ou si leur attitude semblait suspecte, ils seraient tirés du train et escortés jusqu’à une forêt voisine, pour ne plus jamais être revus. Ils savent qu’une telle fin tragique a frappé de nombreuses âmes malheureuses qui ont tenté d’échapper au règne de Tito.

Le train atteint la frontière autrichienne à la tombée de la nuit. (À l’époque, l’Autriche était divisée en quatre zones d’occupation alliées : britannique, américaine, française et soviétique). Avant qu’il ne soit autorisé à passer dans la zone d’occupation britannique, les autorités militaires yougoslaves sont montées à bord à la recherche de toute personne ayant l’air un tant soit peu suspecte ou soupçonnée de voyager sans autorisation.

Franc avait demandé à mes parents de regarder les soldats droit dans les yeux et de sourire lorsqu’on leur demandait de présenter leurs documents pour inspection. Il était impératif d’établir un contact visuel. Si vous semblez éviter le regard direct des autorités ou si vous avez l’air nerveux, on vous ordonne immédiatement de débarquer.

Mais établir un contact visuel était plus facile à dire qu’à faire. Mes parents ont regardé, impuissants, un passager interrogé avant eux être sorti de leur wagon et traîné dans la forêt adjacente. Quelques secondes plus tard, ils ont entendu l’écho de coups de feu.

Des années plus tard, mes parents m’ont dit que c’était l’un des moments les plus difficiles qu’ils aient jamais eu à endurer. Ils se souvenaient avoir ressenti une peur et une crainte morbides en se forçant à rester assis calmement et à ne pas transpirer, alors que leurs entrailles se transformaient en gelée.

À leur grand soulagement, lorsque leurs documents ont été examinés, tout était en ordre. Rien dans leurs papiers, leur visage ou leurs actions ne trahissait leur secret. Ils sont donc autorisés à rester dans le train et à se rendre en Autriche.

Arrivés à la gare de Graz, ils n’ont aucune idée de ce qu’ils doivent faire ou de l’endroit où ils doivent se rendre. Ils sont restés sur le quai jusqu’à ce qu’un homme vêtu d’un trench-coat gris s’approche et leur demande, dans un croate parfait (mais avec un accent britannique) : « Êtes-vous en visite ou en train de vous évader ? »

Après avoir entendu leur réponse, l’homme les a escortés jusqu’à un centre de traitement, où ils ont reçu de la nourriture et de l’eau de la part de l’organisation humanitaire catholique Caritas Internationalis. De là, ils ont été transportés en bus, avec d’autres réfugiés, vers un camp de personnes déplacées (DP Camp Nr. 1001) situé à Wels, en Autriche, dans la zone d’occupation américaine.

Là, mes parents ont été interrogés et traités par des fonctionnaires américains, avant d’être conduits à leurs logements, étroits, mais heureusement propres, dans ce camp surpeuplé.

Bien que le camp soit rempli de réfugiés venus de toute l’Europe de l’Est, tout le monde s’est efforcé de s’entendre. Mes parents ont rencontré des gens merveilleux de toutes les nationalités voisines — hongroise, ukrainienne, slovène, serbe, croate et bosniaque — et de toutes les couches de la société pendant leur séjour au camp. Le soir, tout le monde jouait aux cartes et partageait des histoires, toujours pleines d’intrigues et souvent pathétiques, sur leur voyage éprouvant depuis l’Europe de l’Est.

Après avoir passé trois mois au camp DP, mes parents ont été invités à s’installer dans la maison d’une merveilleuse famille autrichienne dans le cadre du programme de parrainage des réfugiés du gouvernement autrichien, coordonné par le Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR). Ce programme avait pour but d’aider les réfugiés à apprendre la langue allemande tout en leur offrant un métier afin qu’ils puissent mieux s’assimiler et contribuer à la société autrichienne. (En moyenne, environ dix pour cent de tous les réfugiés finissent par rester définitivement en Autriche, tandis que les autres partent à l’étranger).

Bien qu’ils aient tissé des liens d’amitié durables au cours de leurs seize mois d’hébergement dans la famille autrichienne, ils ont néanmoins pris la décision audacieuse de traverser l’Atlantique Nord jusqu’au port de Montréal, au Canada, en 1957.

Le reste, comme on dit, appartient à l’histoire.

Avance jusqu’en 2023

Ces derniers temps, je me suis posé la question : si mes parents vivaient aujourd’hui dans la région connue sous le nom d’ex-Yougoslavie et s’ils cherchaient à s’installer dans un pays qui leur promettrait d’améliorer leur sort, où iraient-ils ?

S’ils cherchaient un endroit où les droits inhérents et inaliénables des citoyens sont respectés par le gouvernement, pourraient-ils trouver un tel endroit sur n’importe quel continent ?

Se rendraient-ils encore au Canada, pays du Commonwealth ?

S’aventureraient-ils jusqu’aux deux pays les plus méridionaux du Commonwealth, la Nouvelle-Zélande et l’Australie ?

Fuiraient-ils vers les États-Unis, ostensiblement libres ? Ou vers un pays de l’Union européenne contrôlé par les États-Unis ?

Pourquoi ne pas s’installer dans l’un des pays du BRIC, par exemple le Brésil, la Russie ou l’Inde ? (Non, ils ne seraient probablement pas tentés par la Chine !)

Une façon de répondre à ces questions est d’examiner les conditions politiques et économiques actuelles dans les pays susmentionnés et de déterminer le « facteur liberté » — ou son absence — dans chacun d’entre eux.

En passant d’un pays à l’autre, nous examinerons les actions de leurs gouvernements au cours des trois dernières années et nous tirerons une conclusion au nom de mes parents.

Commençons par le pays qu’ils ont adopté et dans lequel je suis né et j’ai grandi : le Canada.

Un regard sur le Canada en 2023

Lorsque mes parents ont immigré au Canada en 1957, c’était en effet une terre d’opportunités et d’abondance. Il était possible pour une famille de classe moyenne, à revenu unique, avec deux enfants, de posséder une maison, deux véhicules et peut-être un chalet d’été.

Mes parents n’avaient qu’un niveau d’études de sixième année, mais ils étaient prêts à travailler dur. En l’espace de deux ans, ils ont gagné et économisé suffisamment pour créer leur propre entreprise, un salon de beauté. En 1963, ils ont pu acheter leur première maison individuelle pour 10 000 dollars, avec un acompte de 5 000 dollars. Cinq ans plus tard, ils ont réussi à rembourser l’hypothèque grâce à leurs modestes revenus. Avec le recul, je trouve leur détermination et leur sens de l’épargne incroyables !

Maintenant, imaginez ce que serait le même scénario aujourd’hui. En janvier 2023, le prix de vente moyen d’une maison individuelle au Canada était de 612 204 $. Si nous faisons comme mes parents, en versant la moitié du prix, nous devrons débourser la somme astronomique de 306 000 $ à l’avance, puis rembourser les 306 000 $ restants au cours des cinq prochaines années.

Cela représente environ 61 200 dollars de paiements hypothécaires annuels, sans compter les intérêts. Si l’on tient compte du coût de la nourriture, des vêtements et du carburant — soit 40 000 dollars de plus par an pour une famille moyenne de quatre personnes —, il faudrait gagner environ 100 000 dollars par an, plus 100 000 dollars environ pour couvrir les impôts fonciers et les impôts sur le revenu, ainsi que les intérêts hypothécaires.

Ainsi, nous devrions gagner environ 200 000 dollars de revenus annuels avant impôts pour mener un style de vie relativement modéré, payer notre hypothèque, nos impôts et les coûts de base de la vie — tout cela pour réaliser ce que mes parents ont pu faire au début des années 1960 avec un revenu à l’époque beaucoup plus modeste. Un tel scénario, semble-t-il, possible, ne serait-ce que de loin, aujourd’hui ? Je ne le crois pas.

La vérité, c’est qu’au Canada, comme dans la plupart des pays du monde, le coût de la vie est monté en flèche. La vaste classe moyenne qui existait au Canada et dans la plupart des pays occidentaux entre les années 1950 et 1980, trois décennies au cours desquelles le travailleur moyen pouvait être propriétaire de son logement, est en train de disparaître.

L’inflation rapide a rongé le pouvoir d’achat des dollars canadiens et américains, alors même que les coûts du logement ont grimpé, grimpé et grimpé encore. Pire encore, la hausse des prix de l’énergie, de l’alimentation, des biens ménagers et des soins de santé a contribué à la spirale inflationniste, qui aggrave une baisse déjà importante des salaires réels.

Sur la scène politique, la conduite actuelle du gouvernement canadien est pratiquement méconnaissable par rapport à celle du gouvernement qui l’a précédé dans les années 1950. Le régime actuel du Canada, comme la plupart des soi-disant « démocraties libérales occidentales », a fait preuve de mépris pour la vérité et la liberté individuelle depuis que la pseudo-pandémie a été lâchée sur le monde en mars 2020.

Comme la plupart des pays, les gouvernements fédéral et provinciaux du Canada ont mis en œuvre des mesures COVID répréhensibles — enfermement, éloignement physique, masquage, quarantaine, codes QR et mandats de thérapie génique expérimentale à l’ARNm — pour lutter contre le prétendu « virus mortel COVID ».

LIBERTÉ — MERCI, LES CAMIONNEURS
(Source: David Skripac)

Lorsque des Canadiens de tous horizons se sont révoltés pacifiquement contre l’atteinte à leurs droits inaliénables et constitutionnels en formant le Convoi pour la liberté des camionneurs et en y participant, le régime a pris des mesures de représailles. Plein de dépit, le voyou Trudeau a trouvé un moyen extrême de priver les manifestants de leur droit de se réunir pacifiquement. Le 14 février 2022, il a invoqué la loi sur les situations d’urgence, une première dans l’histoire du Canada.

L’invocation de la loi sur les situations d’urgence a permis à la police d’Ottawa et à la Gendarmerie royale du Canada (GRC) de démanteler par la force la manifestation pacifique de plusieurs milliers de personnes qui s’est déroulée pendant quatre semaines dans la capitale nationale. Malgré leur ordre, leur respect et leur non-violence, ces citoyens non armés ont été battus par des agents brutaux armés de fusils. Deux manifestants âgés ont été piétinés par des chevaux de police, et des journalistes ont été aspergés de gaz poivré et ont reçu des coups de feu.

Sous le prétexte de la loi sur l’état d’urgence, le gouvernement fédéral est allé jusqu’à geler les comptes bancaires de certains Canadiens qui avaient organisé ou soutenu financièrement le convoi.

Puis, le 27 avril 2023, plus d’un an après la dispersion de la manifestation, le projet de loi C-11, officiellement connu sous le nom de Loi sur la diffusion en ligne, est devenu une loi. Les lâches sénateurs canadiens ont voté en sa faveur malgré l’échec de tous les amendements qu’ils avaient précédemment recommandés. La nouvelle loi mettra en œuvre une législation radicale de censure d’Internet qui réduira au silence les Canadiens ordinaires sur les plateformes de médias sociaux.

En résumé, le Canada a complètement perdu son sens de l’humanité. La compassion et la gentillesse pour lesquelles les Canadiens sont connus dans le monde entier existent toujours, mais elles sont supprimées et enterrées sous une montagne de mensonges propagés par le gouvernement et ses manipulateurs, qui font partie intégrante de la dictature mondiale susmentionnée.

CONCLUSION : Maida et Janko ne trouveraient pas la liberté économique, la liberté politique, la liberté physique, la liberté des soins de santé ou la liberté mentale dans le Canada d’aujourd’hui.

Nous allons maintenant jeter un coup d’œil à trois autres pays du Commonwealth des Nations.

Un regard sur l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Royaume-Uni en 2023

Les dirigeants des cinquante-cinq autres nations du Commonwealth n’ont pas trouvé d’excuse pour suivre le blocage des comptes bancaires du Canada, mais certains d’entre eux ont adopté des mesures particulièrement sauvages pour éradiquer une nouvelle maladie présumée appelée COVID-19.

Le gouvernement australien a non seulement imposé des couvre-feux, le port de masques, l’éloignement physique et l’arrêt de l’économie par le biais de confinements, mais il a également ordonné à l’armée de patrouiller dans les rues de la ville pendant ces confinements. Dans les Territoires du Nord, les soldats ont évacué de force les habitants soupçonnés d’être atteints de la redoutable maladie et les ont transportés dans des camps de quarantaine.

Dans deux grandes villes australiennes, les marionnettes politiques contrôlées par les oligarques mondiaux n’ont peut-être pas gelé les comptes bancaires des manifestants du confinement, mais elles ont ordonné à des policiers en tenue antiémeute d’assister aux manifestations à Melbourne et à Sydney, où ils ont tiré des balles en caoutchouc sur des fuyards non armés et ont aspergé de gaz poivré le visage d’une femme de 70 ans qui était tombée et gisait sans défense dans la rue.

De même, la Nouvelle-Zélande s’est transformée en un véritable État policier, imposant des détentions à domicile et des zones de quarantaine à l’échelle de la ville. Quiconque est surpris à enfreindre les ordres draconiens du gouvernement risque d’être arrêté, voire condamné à une peine de prison. En mars 2023, par exemple, le pasteur Billy Te Kahika et son collègue Vincent Eastwood ont été condamnés respectivement à quatre mois et trois mois d’emprisonnement pour avoir organisé et participé illégalement à une manifestation devant TVNZ.

En plus de mettre en œuvre des mesures COVID impitoyables similaires à celles de l’Australie, le Premier ministre néo-zélandais Jacinda Ardern a arbitrairement imposé la « vaccination » aux fonctionnaires de la santé publique, aux pharmaciens, aux barbiers, aux enseignants et aux employés des services d’aide à la communauté. (Plus d’informations sur Ardern plus bas).

Le gouvernement britannique, sans être aussi sévère que ses homologues australiens ou kiwis, s’est néanmoins comporté de manière répressive et répréhensible dans ses efforts anti-COVID. La police a reçu l’ordre de limiter les rassemblements à six personnes dans les pubs, les restaurants, les cinémas et les espaces extérieurs.

Comme ses partenaires du Commonwealth, la Grande-Bretagne n’a pas hésité à utiliser des tactiques douteuses pour manipuler une partie de sa population. Sa « nudge unit » [unité de soutien], créée par le Cabinet Office en 2010, applique les principes de la science du comportement, c’est-à-dire la pression de la propagande, pour orienter les politiques publiques dans tous les domaines, du paiement des impôts à l’isolation des maisons. Pendant la plandémie, cette « nudge unit » non responsable et non éthique a effrayé le public, lui a fait honte et l’a pris comme bouc émissaire pour l’inciter à prendre la piqûre COVID.

Il ne faut pas oublier que le Royaume-Uni abrite l’un des plus grands technocrates du monde, le roi Charles III, qui vient d’être couronné. En janvier 2020, le prince Charles est retourné à Davos pour la première fois depuis trente ans afin de prendre la parole lors d’une réunion annuelle du Forum Économique Mondial (FÉM), qui célébrait alors son 50e anniversaire. Et quel sujet ce pseudo-environnementaliste a-t-il abordé ? Bien sûr, sa passion pour l’adoption de la décarbonisation et d’autres initiatives de développement durable, dont il devait savoir qu’elles étaient conçues pour appauvrir davantage les pauvres et enrichir davantage Son Altesse Royale et ses copains avares dans le monde entier.

CONCLUSION : Maida et Janko ne trouveraient pas la liberté économique, la liberté politique, la liberté physique, la liberté des soins de santé ou la liberté mentale dans les pays du Commonwealth des Nations d’aujourd’hui.

Nous nous arrêtons ici pour nous interroger : qui sont les acteurs qui lisent leurs répliques à partir du même scénario mondial et qui jouent un rôle identique en tant qu’agents d’exécution du gouvernement mondial émergent ?

Au Canada, les acteurs les plus notables sont le Premier ministre Justin Trudeau et la vice-première ministre Chrystia Freeland. Tous deux sont des laquais de Klaus Schwab et des diplômés de son académie Young Global Leaders (YGL), l’organe d’endoctrinement du Forum Économique Mondial (FÉM).

Parmi les autres personnages de ce drame en cours — les diplômés des YGL — figurent l’ancienne Première ministre dictatoriale néo-zélandaise devenue étudiante à Harvard, le président français Emmanuel Macron, tout aussi despotique, le Premier ministre russe — président depuis 1999 — Vladimir Poutine, et les tyrans de la technologie Bill Gates et Mark Zuckerberg. Selon une source, il y aurait environ 3 800 YGLs, et ce n’est pas fini.

[NDLR Concernant la rumeur selon laquelle Poutine serait aussi un YGL, voir :
https://www.guyboulianne.info/2023/01/29/un-nouveau-travail-de-demystification-vladimir-poutine-est-il-bien-un-young-global-leader-du-forum-economique-mondial-de-klaus-schwab/]

La principale raison d’être des YGLs, semble-t-il, est de mener à bien les initiatives du FÉM en matière de Grande Réinitialisation et de Quatrième Révolution Industrielle. L’agenda du FÉM est soutenu par le groupe secret de Bilderberg, par les dépopulationnistes malthusiens du Club de Rome eugénique et, surtout, par l’organisation mondiale qui a donné naissance au FÉM : les Nations unies.

Par le biais de son Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et de son sinistre Agenda 2030 — ce dernier étant assorti d’objectifs de développement durable (ODD) admirables, mais en réalité emprisonnants —, l’ONU a mis en place un système destiné à soumettre l’ensemble de la population de la planète en transformant chaque être humain en serf féodal, en esclave technocratique et en transhumain mangeur d’insectes et de viande synthétique — ou de terre végétale !

À l’heure où j’écris ces lignes, les 17 objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 sont en train d’être mis en place dans le monde entier grâce à la grande remise à zéro du FÉM et à sa quatrième révolution industrielle transhumaniste.

Et, à l’heure où j’écris ces lignes, la mise en place de ces ODD est encouragée par de nombreuses banques centrales, notamment la Banque d’Angleterre, la Banque du Canada, la Banque centrale européenne (BCE), la Banque populaire de Chine (BPC), la Banque centrale de la Fédération de Russie (BCR) et la Réserve fédérale américaine (la Fed). Ces banques centrales et celles d’autres pays coordonnent leurs efforts avec ce que l’auteur de Tragedy and Hope, Carroll Quigley, appelle le « sommet » du réseau des banques centrales, la Banque des règlements internationaux (BRI), basée à Bâle, en Suisse.

Les banquiers centraux ont l’intention de mettre en place, dans tous les pays du monde, le mécanisme de contrôle social le plus étendu et le plus oppressif jamais conçu : la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) (au début, chaque pays aura sa propre CBDC, mais il est logique qu’à terme elles soient fusionnées en une seule monnaie numérique mondiale).

La mise en œuvre des CBDC, combinée au déploiement d’un système d’identification numérique, pays par pays, sonnera le glas de la liberté humaine. Les banques centrales vendront les CBDC et les cartes d’identité numériques au public non averti comme une garantie de protection de l’anonymat et des données de l’utilisateur. Toutefois, ce discours ne sera qu’une tromperie destinée à masquer les intentions malveillantes et la tendance dictatoriale de cette monumentale grille de contrôle.

Sur les 208 nations dotées d’une banque centrale, 119 développent actuellement leur propre forme de monnaie numérique.

Cela nous amène aux États-Unis d’Amérique, à leur Banque fédérale de réserve qui voit tout, qui sait tout, qui contrôle tout, et à leurs autres formes d’emprisonnement et d’esclavage.

Un regard sur les États-Unis en 2023

Outre le déploiement prévu de la CBDC émise par la Réserve fédérale, un mouvement se dessine en faveur du lancement d’une identité numérique à l’échelle nationale aux États-Unis.

Les sénateurs américains Kyrsten Sinema (Arizona) et Cynthia Lummis (Wyoming) ont présenté le projet de loi 884 du Sénat, également connu sous le nom de « Improving Digital Identity Act of 2023 » (loi sur l’amélioration de l’identité numérique de 2023). Si ce projet de loi est adopté par les deux chambres et promulgué, tous les Américains devront posséder une pièce d’identité numérique valide s’ils veulent se connecter à Internet, ouvrir et gérer un compte bancaire, obtenir un passeport et accéder aux soins médicaux. En fait, il s’agit d’imiter le système de notation sociale que le gouvernement chinois utilise pour suivre et contrôler ses citoyens. C’est ce même système que le FÉM est si désireux de déployer dans le reste du monde.

Le SB 884 est la preuve la plus récente, la plus évidente et la plus inquiétante du partenariat public-privé que le gouvernement américain entretient avec Big Tech. Il montre l’intention du gouvernement, contrôlé par les entreprises, hautement centralisé et soucieux de la sécurité, de surveiller les mouvements de l’ensemble de la population américaine.

[NDLR À propos du partenariat public-privé, voir Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !]

Bien entendu, le panoptique créé par la loi sur l’amélioration de l’identité numérique permettra aux agences fédérales et étatiques américaines non seulement de surveiller les actions de chacun, mais aussi de bloquer, de réduire au silence et de mettre à l’écart les dissidents qui ne sont pas d’accord avec le discours officiel. Tous les niveaux de gouvernement pourront ouvertement, activement et légalement censurer les citoyens et ignorer leurs droits tels qu’ils sont codifiés par les constitutions des États-Unis et de ses 50 États.

C’est exactement ce que Google et son YouTube, Meta et son Facebook, Twitter et d’autres plateformes de médias sociaux ont fait à leurs utilisateurs dans leurs tentatives de réduire au silence quiconque présente des faits gênants sur la COVID ou tout autre programme politiquement sensible.

Pour ceux d’entre vous qui pensent que l’État de Floride est un brillant exemple de préservation de la liberté et des droits de l’homme, détrompez-vous. Le gouverneur Ron DeSantis vient de mettre sur la touche le projet de loi 222 du Sénat de Floride, le projet de loi sur la protection de la liberté médicale. Ce projet de loi aurait mis fin à toute discrimination à l’encontre des personnes non vaccinées, à tous les mandats de vaccination existants et futurs, et à tous les passeports de vaccination existants et futurs pour tous les Floridiens, quels que soient les vaccins imposés par le gouvernement fédéral ou par les eugénistes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) — qui, comme le FME, est alliée à l’ONU.

À la place, le gouverneur DeSantis promeut le SB 252, qui mettrait fin aux obligations vaccinales et aux passeports uniquement pour les « vaccins COVID-19 » existants. Avec le SB 252, les citoyens de Floride ne seraient pas protégés contre les futures « pandémies », les futures obligations vaccinales ou les futures obligations de passeport vaccinal.

Par conséquent, à l’avenir, lorsque le directeur (lire : le dictateur) de l’OMS déclarera une nouvelle pandémie en vertu des vagues exigences stipulées dans le nouveau « traité mondial sur les pandémies » à venir — sans même une once de preuve de l’existence d’une maladie contagieuse — les Floridiens devront abandonner leur autonomie corporelle à une toute nouvelle série de mandats draconiens.

À certains égards, les États-Unis sont les pires au monde lorsqu’il s’agit de priver les citoyens du droit de prendre leurs propres décisions en matière de soins de santé et de sauvegarder leur souveraineté mentale et physique. En effet, en plus de travailler depuis plusieurs années en étroite collaboration avec les idéologues transhumanistes de l’OMS, de la Fondation Rockefeller, du FÉM et d’autres agences des Nations unies, le gouvernement fédéral américain a été à l’épicentre du développement, des essais et du déploiement des « contre-mesures » expérimentales de la thérapie génique à base d’ARNm. Cette recherche et les produits qui en résultent ont eu des effets néfastes sur la vie non seulement des Américains, mais aussi des populations du monde entier.

Avec le recul, nous nous souvenons qu’au début de l’année 2020, le gouvernement américain, dans le cadre de l’opération Warp Speed (OWS), a travaillé main dans la main avec le ministère de la Défense (DoD) et sa branche « US Army Contracting Command », ainsi qu’avec le Conseil de sécurité nationale (NSC) et la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA), afin d’attribuer des contrats de développement clinique et de fabrication à des sociétés de biotechnologie et de biotechnologie, pour attribuer des contrats de développement clinique et de fabrication à chacun des fabricants de « vaccins » — Pfizer, Moderna, Astrazeneca, Novavax, GlaxsoSmithKline (GSK) et Jansen — avant même le déploiement des dangereuses thérapies géniques expérimentales COVID-19 dans les 50 États américains et dans le reste du monde.

Le ministère de la Défense est allé jusqu’à concevoir, superviser et organiser les essais cliniques très sensibles de ces produits expérimentaux. Ces mesures sont généralement prises par les fabricants de vaccins eux-mêmes. Elles prennent traditionnellement des années et des années, alors que les essais du COVID-19 ont apparemment été menés en quelques semaines.

CONCLUSION : Maida et Janko ne trouveraient pas la liberté économique, la liberté politique, la liberté physique, la liberté des soins de santé ou la liberté mentale dans les États-Unis d’Amérique d’aujourd’hui.

Mais que se passerait-il si mes parents décidaient de s’installer dans l’Allemagne d’aujourd’hui ou dans la partie allemande de la Suisse ?

Ou s’ils avaient choisi de rejoindre les manifestants anti-Macron en France au lieu de partir, comme ils l’ont fait, du port du Havre sur un bateau à destination du port de Montréal ?

Ou s’ils s’étaient sentis concernés par les agriculteurs persécutés aux Pays-Bas et avaient choisi de lutter aux côtés de ces derniers ?

Ou s’ils choisissaient de rester dans l’Autriche des années 2020 ?

Trouveraient-ils un semblant de liberté dans les pays de l’Union européenne ?

Un regard sur l’UE en 2023

La réponse est simple : Non ! L’UE est un échec économique, politique et social prémédité.

En fait, l’UE a été imaginée non pas par les citoyens d’une quelconque nation européenne, mais par la Central Intelligence Agency (CIA) et le Club de Rome de David Rockefeller. La raison pour laquelle ils ont créé l’UE était douloureusement évidente : il est plus facile pour les agences de renseignement et les eugénistes avoués de contrôler une entité plus grande, dépendante, compromise et impuissante que de contrôler de nombreux États-nations souverains, plus petits et toujours indépendants.

Les dirigeants — si on peut les appeler ainsi — des nations européennes sont des marionnettes de l’UE. En tant que tels, ils font tout ce qui est en leur pouvoir pour désindustrialiser et détruire leurs économies respectives. Comme je viens de le dire, des gouvernements nationaux et régionaux affaiblis sont beaucoup plus faciles à intégrer dans un empire mondial que des gouvernements forts et indépendants. Les dirigeants de l’Allemagne, de la France, de l’Autriche, de l’Espagne, etc. doivent le savoir, ce qui signifie qu’ils sont corrompus jusqu’à la moelle.

En voici un exemple frappant. Les soi-disant chefs d’État européens insistent sur le fait qu’ils protègent la souveraineté et la sécurité nationales de leur propre pays en imposant des sanctions économiques à la Russie, à la demande de Washington. Ils prétendent que ces sanctions sont destinées à blesser le grand méchant ours qui a osé attaquer l’Ukraine contrôlée par l’OTAN.

Mais ce n’est pas vrai. Les sanctions sont en fait en train de décimer leurs propres économies et leurs propres peuples. Les pénuries d’énergie, la hausse des prix des marchandises, les pénuries alimentaires et la hausse des taux d’intérêt dans toute l’Europe sont autant de résultats voulus de ces sanctions. Je le répète : les dirigeants de l’Allemagne, de la France, de l’Autriche, de l’Espagne, etc. doivent le savoir, ce qui signifie qu’ils ont été corrompus jusqu’à la moelle.

Ils prétendent également que la structure du gouvernement central de l’UE à Bruxelles est une « démocratie représentative ». Non, ce n’est pas le cas. C’est loin d’être le cas. Au cœur de cette structure se trouve la Commission européenne (CE), l’organe exécutif de l’UE, composée de fonctionnaires non élus. L’actuelle présidente de la CE, Ursula von der Leyen, notoirement corrompue, définit la politique de l’ensemble de l’UE à huis clos. Une fois que la Commission européenne a formulé une nouvelle politique, ce n’est qu’une question de temps avant que les bureaucrates du Parlement européen ne l’approuvent.

Le secret, la non-transparence et l’absence de responsabilité sont les maîtres mots. La CE est une farce et un échec sur toute la ligne.

De même, la prétendue indépendance de la Banque centrale européenne (BCE) est un leurre. Bien que son site Internet indique que la BCE n’est pas « autorisée à demander ou à recevoir des instructions des institutions ou organes de l’UE, d’un gouvernement d’un État membre ou de tout autre organisme », la BCE est fortement influencée par la banque qui l’a créée en 1999 : la BRI.

Et, comme la BRI, les opérations quotidiennes de la BCE sont tenues secrètes. Elle ne publie jamais de communiqué de presse après une réunion de politique monétaire de son conseil des gouverneurs, malgré les résolutions répétées du Parlement européen l’exigeant.

En outre, sa structure, son mode de fonctionnement et son manque de responsabilité reflètent ceux de la BRI. En bref, il est difficile d’imaginer une institution plus antidémocratique que la BCE. Pourtant, c’est à cette banque que les pays de la zone euro sont invités à faire aveuglément confiance lorsqu’il s’agit de formuler leur politique monétaire. C’est tout simplement ahurissant !

Avec une telle structure autocratique déjà en place, il a été très facile pour les membres de la CE de se rallier à la thèse de la « pandémie » en concluant des accords en coulisses avec les laboratoires pharmaceutiques pour acheter des millions de doses du « vaccin » COVID-19 et en recommandant à tous les États membres de mettre en œuvre les mesures criminelles prévues par le COVID-19.

De même, il a été facile de persuader les États membres de l’UE de rester silencieux après que Washington, la véritable puissance derrière l’OTAN, a commis un acte de guerre flagrant contre eux en détruisant le gazoduc Nord Stream 2.

Nous avons parlé précédemment de quelques diplômés de l’académie YGL de Klaus Schwab, en mentionnant le nom d’un ancien élève européen, le Français Macron. Parmi les autres Young Global Leaders qui ont gravi les échelons politiques en Europe, citons l’ancienne chancelière allemande Angela Merkel et l’actuel chancelier allemand Olaf Scholz. Ils ne sont pas en reste : La présidente de l’Union européenne, Ursula von der Leyen, qui siège au conseil d’administration du FÉM.

Il n’est pas surprenant que les États membres de l’UE suivent l’exemple des États-Unis en mettant en place un système d’identification numérique basé sur le modèle chinois d’asservissement et d’emprisonnement.

L’image provient de @Ver365_UK/Twitter

La Croatie (qui faisait autrefois partie de la Yougoslavie), d’où est originaire mon père, Janko, prévoit d’être le premier membre de l’UE à déployer le système d’identification numérique pour les voyageurs qui prennent l’avion entre Zagreb et Helsinki cet été. Le « projet pilote » fait appel à la société Verify 365, basée au Royaume-Uni, pour fusionner l’identité électronique des passagers avec le nouveau système de portefeuille numérique MyID. Comme toujours, le système est présenté au public comme « un moyen sûr, sécurisé et pratique de prouver qui vous êtes ».

Heureusement, certains citoyens des pays de l’UE s’élèvent pour défier l’oligarchie au pouvoir. Aux Pays-Bas, par exemple, des milliers d’agriculteurs néerlandais se sont révoltés contre le projet insensé de leur gouvernement de réduire les émissions d’azote en fermant définitivement plus de 11 000 exploitations. Les agriculteurs ont créé leur propre mouvement politique, le Mouvement des agriculteurs et des citoyens — ou BoerburgerBeweging (BBB) — qui a récemment triomphé lors d’élections régionales après des mois de manifestations généralisées de tracteurs.

Il y a aussi les millions de citoyens mécontents qui descendent régulièrement dans les rues de Paris et d’autres grandes villes françaises pour protester contre diverses « réformes » économiques et politiques. Leur plainte initiale concernant la hausse des taxes sur les carburants (vous vous souvenez du mouvement des gilets jaunes en 2019 ?) s’est transformée en une révolte contre la décision du « monarque » Macron de faire passer l’âge légal de la retraite de 62 à 64 ans. L’invocation par Macron de l’article 49.3 — pour la 11e fois au cours de son « règne » — lui a permis de contourner l’Assemblée nationale (la chambre basse du Parlement français). Le 1er mai, les manifestations contre cette injustice perçue ont dégénéré.

Certes, ces manifestations massives et la victoire encourageante du BBB sont des étapes positives. Cependant, aucune libération majeure des Européens vis-à-vis de leurs propres gouvernements n’aura lieu tant que l’ensemble de l’édifice de l’UE n’aura pas été démantelé. Ce n’est qu’alors que les peuples de chaque nation européenne seront véritablement libérés des chaînes de l’establishment de Washington qui dicte tous les aspects — militaires, économiques et autres — de leur vie.

CONCLUSION : Maida et Janko ne trouveraient pas la liberté économique, la liberté politique, la liberté physique, la liberté des soins de santé ou la liberté mentale dans les pays de l’Union européenne d’aujourd’hui.

En toute justice, nous devons souligner que les mécanismes de contrôle et de surveillance totalitaires, tels que les cartes d’identité numériques et les CBDC, ne sont pas l’apanage des pays occidentaux. Si nous nous aventurons dans les pays de l’Est, nous rencontrerons exactement la même grille de contrôle en cours d’élaboration, avec les mêmes acteurs mondialistes et impérialistes à la barre, qui veillent tous à ce que l’Est, comme l’Ouest, reste sous leur domination.

Un groupe de nations qui n’est ni géographiquement à l’Est ni à l’Ouest, mais qui a formé un bloc pour contrer la domination des États-Unis et de leurs alliés, est ce que l’ancien économiste en chef de Goldman Sachs, Jim O’Neill, a appelé les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud).

Je m’interroge : mes parents trouveraient-ils un havre de liberté dans l’un des pays des BRICS ? Nous le saurons bientôt.

Un regard sur les BRICS en 2023

D’innombrables experts et journalistes des médias alternatifs ont estimé que les nations BRICS — en particulier la Russie, la Chine et l’Inde — menaient la charge dans une croisade antimondialiste, anti-gouvernance mondiale et anti-empire mondial unique.

Au contraire, rien n’est plus faux.

Voici quelques preuves de leur incompréhension de la réalité géopolitique :

  • – Tous les pays des BRICS sont fermement engagés dans la Quatrième révolution industrielle du FÉM et dans l’Agenda 2030 de l’ONU — notamment ses ODD [Objectifs de Développement Durable].
  • – Les banques centrales du Brésil, de la Russie, de l’Inde, de la Chine et de l’Afrique du Sud vont toutes de l’avant avec des plans visant à déployer leurs CBDC programmables dès que possible. Parmi ces cinq banques centrales, la Banque populaire de Chine (PBoC) et la Banque de réserve de l’Inde (RBI) envisagent de fixer des dates d’expiration pour leurs CBDC.
  • – Les BRICS ne contestent pas l’hégémonie économique de l’Occident. Leurs initiatives financières sont profondément liées à la Banque mondiale et au FMI. Par conséquent, ils doivent être considérés comme étroitement liés à l’establishment de Washington, et non comme entrant en conflit avec lui (malgré les apparences contraires).

En ce qui concerne le COVID-19, le Chinois Xi Jinping et le Russe Vladimir Poutine ont été les premiers à mettre en place un État de surveillance de la biosécurité.

En effet, depuis que l’alerte à la plandémie a été annoncée au début de 2020, le Kremlin a été complice, tout comme l’Occident, de la mise en œuvre de mesures anti-humaines et anti-santé néfastes sous la direction de la tyrannie sanitaire de l’OMS.

Image tirée d’InfoBrics

Par exemple, le président Poutine et son ministre de la Santé (et membre du conseil exécutif de l’OMS) Mikhail Albertovič Murashko ont promu la vaccination de masse. Leur injection Sputnik V est pratiquement identique à celle du géant pharmaceutique britannico-suédois AstraZeneca. En fait, le Fonds russe d’investissement direct (RDIF) — le fonds du Kremlin qui finance Spoutnik V — a signé un mémorandum de coopération avec AstraZeneca en décembre 2020.

En outre, la Russie a introduit des mandats de vaccination pour certaines régions du pays et des vaccins obligatoires pour les militaires.

La Russie n’ayant pas d’équivalent du système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) du CDC américain, il est difficile de savoir exactement combien de Russes sont blessés ou assassinés par leur vaccin expérimental Sputnik V. Néanmoins, grâce au ministère argentin de la Santé, nous savons que, sur les trois « vaccins » adoptés par le gouvernement argentin — Spoutnik V, AstraZeneca et Sinopharm (Chine) —, l’injection de Spoutnik V a été la première à provoquer des réactions indésirables, devançant de loin les deux autres.

Les médecins russes sont bien conscients des risques sanitaires associés à Sputnik V, mais ils sont qualifiés de « terroristes » et menacés par l’État d’amendes excessives et de peines de prison s’ils expriment leurs inquiétudes. Effrayés par les conséquences, la plupart d’entre eux s’autocensurent.

Si vous pensez que la surveillance biométrique est l’apanage de la Chine et de l’Occident, vous vous trompez. Herman Gref, PDG de la banque russe Sberbank et membre du conseil d’administration du FÉM (avec Ursula von der Leyden, rappelons-le), s’est associé au titan russe des télécommunications Rostelecom pour former Digital Identification Technologies JV, qui créera un système biométrique unifié pour l’ensemble de la Russie.

Bientôt, les pauvres gens de Russie, victimes de la propagande et ponctionnés, ne pourront plus accéder à aucun service gouvernemental s’ils ne fournissent pas leurs données biométriques, ce qui rendra inutile l’utilisation de codes QR.

Faut-il s’étonner que Poutine et ses fonctionnaires ne restreignent pas plus les libertés individuelles que les tyrans occidentaux ? Pourquoi le serions-nous ? Qu’est-ce qui empêcherait Poutine de suivre les traces de ses prédécesseurs ? Rien à ma connaissance, à moins que le peuple russe ne commence à se mobiliser et à protester massivement, comme l’ont fait ses frères et sœurs français à Paris.

Pensez-y : lorsque Mikhaïl Gorbatchev présidait l’ancienne Union soviétique, il était un membre avoué du Club de Rome, un mouvement mondialiste et eugéniste. Il s’est également associé au mondialiste-eugéniste canadien Maurice Strong pour mettre en place le projet de développement durable mondial de la Charte de la Terre, en liaison avec l’Agenda 21. Gorbatchev et Strong ont tous deux été des figures de proue des premières mesures prises par les Nations unies en faveur de la gouvernance mondiale.

Ce n’est pas parce que l’Union soviétique s’est éteinte et que Gorbatchev et Strong ne sont plus parmi nous qu’il faut supposer que le dirigeant russe depuis vingt-quatre ans ne poursuit pas les mêmes objectifs mondialistes. En effet, Poutine n’est pas du genre à laisser les autres dirigeants du monde accaparer les feux de la rampe, s’emparer de toutes les billes ou devenir dangereusement plus grand et plus fort que lui.

À vrai dire, la Russie et la Chine, membres du bloc BRICS, ne sont qu’une autre version de la même grille de contrôle totalitaire mise en place par les technocrates occidentaux. Ni l’un ni l’autre n’offrent à leurs populations la moindre issue, le moindre salut face aux méfaits des produits biologiques, de la biométrie et de la biosécurité.

En fait, la Chine a été le banc d’essai de tous les mécanismes totalitaires qui ont été ou seront lâchés sur le reste du monde. Pendant la pseudo-pandémie, la Chine a lancé une série de mesures vicieuses COVID-19 — confinements inhumains, codes QR obligatoires, surveillance biométrique omniprésente, vaccination obligatoire de masse, règles de masquage forcées et appliquées, et tests constants. En bref, la Chine est une véritable dictature scientifique, une technocratie.

Et qu’en est-il des trois autres nations BRICS : Brésil, Inde et Afrique du Sud ?

En plus d’être à bord du wagon du FÉM, du wagon de l’OMS, du wagon du CDBC, du wagon de la Banque mondiale et du FMI, et donc de tout le wagon hégémonique occidental, ces trois pays ont-ils mis en place des politiciens, des politiques ou des programmes orientés vers la liberté qui donneraient à mes parents l’envie de s’y réfugier ?

Tout d’abord, le Brésil. Le plus grand pays d’Amérique du Sud est désormais sous la coupe de la cabale mondialiste depuis l’élection de Luiz Inácio Lulada Silva (communément appelé « Lula »), le 39e président du Brésil. Contrairement à son prédécesseur, Jair Bolsonaro, qui a refusé de signer un traité international sur les pandémies et s’est opposé à certains aspects du plan de lutte contre les maladies infectieuses, Lula adhère pleinement à l’agenda monolithique et dominateur de l’OMS, de la GAVI et du FÉM.

C’est ainsi qu’il faut comprendre : en février 2023, Lula a déclaré que pour que les familles restent éligibles au fameux programme Bolsa Family (BFP), un programme social destiné aux familles les plus pauvres, elles doivent faire vacciner leurs enfants, en particulier avec la thérapie génique expérimentale COVID-19. Dans le cas contraire, elles perdent les avantages qui leur sont accordés dans le cadre du BFP.

Ensuite, l’Inde. Contrairement à ce qu’affirment les médias grand public et alternatifs, la Fondation Gates n’a jamais été « expulsée » de l’Inde. En fait, c’est le contraire qui est vrai. En 2006, par exemple, la Fondation Bill et Melinda Gates, en collaboration avec l’ancien Premier ministre indien Manmohan, a lancé la Public Health Foundation of India (PHFI).

Au fil des ans, la PHFI a reçu des fonds de sociétés pharmaceutiques (GSK, Pfizer, Johnson & Johnson), de « philanthropes » (les suspects habituels : Bill et Melinda Gates et les Rockefeller) et d’ONG (la Banque mondiale et l’USAID). Lorsque l’OMS a déclaré la « pandémie » au début de l’année 2020, les membres de l’IFSP étaient parfaitement préparés à créer, conseiller et diriger la task force nationale COVID du gouvernement indien. Il n’est donc pas exagéré de conclure que l’IFSP a joué un rôle central dans l’orientation de toutes les mesures COVID-19 et des politiques liées à l’injection de COVID-19 en Inde.

Enfin, l’Afrique du Sud. En étroite collaboration avec les médias serviles du pays, le gouvernement sud-africain, dirigé par le président Cyril Ramaphosa, a imposé l’un des confinements les plus longs et les plus sévères du continent. L’impact de la fermeture des petites entreprises sur une population qui dépend en grande partie de salaires hebdomadaires de subsistance a été catastrophique. L’État n’ayant pas versé de subventions aux pauvres et aux travailleurs indépendants pendant plus d’un an, près d’un quart des petites entreprises ont fait faillite et le chômage a grimpé en flèche.

Brian Pottinger, qui écrit pour UnHerd, décrit les conséquences pour les personnes courageuses qui ont osé défier les restrictions insensées du gouvernement sud-africain :

Toute une partie de la population a été criminalisée : au cours des quatre premiers mois de l’épidémie, 230 000 citoyens, soit 0,4 % de la population, ont été accusés d’avoir enfreint les règlements relatifs aux catastrophes pour avoir enfreint les restrictions, 311 d’entre eux étant des policiers. Toutes les accusations ont été abandonnées par la suite : le système de justice pénale ne pouvait tout simplement pas faire face.

Il est donc impossible de justifier que le modèle économique des BRICS soit considéré comme une alternative à la mondialisation de l’Occident, alors qu’il s’agit en réalité d’une autre forme de mondialisation, d’une approche différente de la mondialisation.

Comme le modèle occidental, le modèle des BRICS est structurellement inflationniste. Comme le modèle occidental, le modèle des BRICS n’est pas basé sur le libre marché, mais plutôt sur la politique industrielle. Enfin, le modèle des BRICS fait partie intégrante, tout comme le modèle occidental, du nouvel ordre mondial international. Il s’agit du même plan dysfonctionnel, mais sous des appellations différentes.

CONCLUSION : Maida et Janko ne trouveraient la liberté économique, la liberté politique, la liberté physique, la liberté des soins de santé ou la liberté mentale dans aucun des pays BRICS d’aujourd’hui.

Il est vrai que des rivalités entre grandes puissances se déroulent sur la scène mondiale. Pour le commun des mortels, il peut sembler que nous vivons dans un monde multipolaire, où les nations affaiblies de l’Ouest — dirigées par l’empire américain en déclin — d’un côté de la ligne de partage, luttent pour conserver leur suprématie sur les nations énergiques de l’Est — dirigées par la Russie et la Chine — de l’autre côté de la ligne de partage.

« Mais les exemples de multipolarité abondent », insistez-vous.

Je comprends : il y a le conflit en Ukraine, où des innocents des deux côtés souffrent et meurent inutilement.

Je comprends : les tensions se développent au large des côtes chinoises, où l’empire américain tente en vain d’empêcher l’inévitable prise de contrôle de Taïwan par la Chine.

Je comprends : Ce même empire américain, qui se meurt lentement, tente fébrilement d’empêcher l’intégration économique entre l’Europe et la Russie en faisant exploser le gazoduc Nord Stream 2, permettant ainsi à Washington de maintenir son emprise temporaire sur cette région jusqu’à ce que son effondrement économique inéluctable soit achevé.

Cependant, malgré le vernis de multipolarité, il existe — comme je l’ai mentionné au début de cet article — un empire mondial unique opérant à un niveau supérieur. Ou, pourrait-on dire, au niveau de l’État profond. L’empire unipolaire existe en dehors du champ de perception général de la majorité de la population mondiale. Il transcende non seulement la division Est-Ouest, mais aussi tous les autres clivages entre les nations. Nous allons maintenant voir comment il en est ainsi.

L’empire mondial : une prison unipolaire, un goulag numérique

Au sommet de l’empire mondial se trouve « la banque centrale de toutes les banques centrales », la Banque des règlements internationaux (BRI), très secrète et qui n’a aucun compte à rendre. Sa mission est de diriger et de coordonner les politiques monétaires et fiscales de toutes les banques centrales du monde. C’est ainsi que la BRI contrôle directement la masse monétaire mondiale et indirectement le commerce et les économies nationales.

En occupant une position aussi influente et éminente, la BRI constitue le sommet d’une structure pyramidale qui consiste en une hiérarchie d’organisations et d’institutions en forme d’échelle constituant l’empire mondial. Toutes sont dirigées par ce que j’appelle la classe des parasites.

Source: Iain Davis

Selon le tableau du Partenariat public-privé mondial (G3P) créé par le chercheur et journaliste britannique Iain Davis, la structure de l’empire mondial est conçue de manière à ce que la chaîne de commandement aille de la BRI aux banques centrales du monde entier et de celles-ci aux…
… décideurs politiques des groupes de réflexion. Ceux-ci comprennent divers fonds et fondations Rockefeller, ainsi que le Club de Rome fondé par Rockefeller, la Commission trilatérale fondée par Rockefeller et le Conseil des relations étrangères (CFR) fondé par Rockefeller. Certains de ces groupes de réflexion n’ont pas d’origine Rockefeller, notamment l’équivalent britannique du CFR, le Royal Institute for International Affairs (RIIA), et l’eugéniste pur et dur Chatham House, fondé par le diplomate britannique Lionel Curtis au lendemain de la Première Guerre mondiale.

Les groupes de réflexion travaillent en partenariat avec la BRI et les banques centrales pour définir les objectifs de la politique internationale publique-privée. Une fois que ces objectifs généraux sont formulés, ils sont transmis aux…
… distributeurs de politiques, tels que les Nations unies fondées par Rockefeller, l’OMS et le GIEC, le Fonds monétaire international (FMI), la Banque mondiale, d’ostensibles philanthropes (on pense notamment à la Fondation Bill et Melinda Gates), des entreprises mondiales et des ONG.

Comme leur nom l’indique, les distributeurs sont chargés de diffuser les politiques à grande échelle, aux quatre coins du monde. Ils veillent à ce que les politiques se retrouvent également entre les mains des fonctionnaires de l’échelon inférieur, que l’on appelle…
… les responsables de l’application des politiques. Ils comprennent les différentes branches de l’armée, le pouvoir judiciaire, les forces de police et de sécurité, ainsi que tout autre organe d’application de la loi mis en place à tous les niveaux du gouvernement (national, provincial, étatique, local).

Ces organes gouvernementaux chargés de l’application de la loi travaillent en collaboration avec des autorités « scientifiques » sélectionnées, telles que…
… les National Institutes of Health (NIH), la Food and Drug Administration (FDA), les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), la Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) et le Scientific Advisory Group for Emergencies (SAGE) du Royaume-Uni.

Toutes ces agences et autorités doivent justifier les politiques qu’elles sont tenues de mettre en œuvre. Elles rédigent souvent des règles, des règlements, des ordonnances et des codes pour ces politiques, qu’elles transmettent ensuite aux organisations situées au plus bas de l’échelle. Iain Davis les appelle…
… les « propagandistes politiques » — ou, en termes polis, les gestionnaires de la perception. Ces groupes de médias et de relations publiques, composés des médias traditionnels (journaux, magazines, chaînes de télévision et stations de radio de l’establishment), des plateformes de médias sociaux (Facebook, YouTube, Twitter) et des vérificateurs de faits (Full Fact, PolitiFact, Snopes, AP Fact Check, Poynter, etc.), travaillent aux côtés de guerriers hybrides (77 th Brigade et HutEighteen, par exemple) et de militants contre la haine. Ces derniers comprennent le Southern Poverty Law Center (SPLC), basé aux États-Unis, et le Center for Countering Digital Hate (CCDH), basé au Royaume-Uni.

Le travail des propagandistes consiste à persuader le public — les milliards de personnes ordinaires qui se trouvent sous la pyramide en forme d’échelle — d’accepter sans réfléchir les mensonges qu’on lui sert et d’acquiescer automatiquement aux politiques répressives.

En résumé, l’humanité n’a jamais été confrontée, au cours de son histoire, à un système de gouvernance totalitaire et technocratique aussi omniprésent.

Le but de cet empire despotique est de réduire, voire de supprimer, les libertés fondamentales des humains, de voler nos richesses, de saper nos forces physiques, morales, émotionnelles et spirituelles, de nous séparer de nos amis et de nos familles, et donc de nous contrôler de la tête aux pieds, d’ici à là et partout, de jour comme de nuit.

Dans l’ombre, la BRI et les banques centrales provoquent déjà l’effondrement de quelques grandes banques (Signature, Silicon Valley, First Republic). À partir de maintenant, le nombre de faillites bancaires ne fera qu’augmenter. Bientôt, les plus grandes banques (JPMorgan Chase & Co.) commenceront à engloutir non seulement leurs concurrents de taille moyenne et grande, mais aussi les petites banques régionales et locales.

Une fois que les banques centrales auront complètement mis en œuvre leur système monétaire et financier numérique contrôlé par l’IA, nous serons tous otages de leur empire mondial, condamnés à leur prison unipolaire, confinés dans leur goulag numérique.

L’empire américain en difficulté continuera d’exister pour le moment. Mais c’est uniquement parce que la classe des parasites qui se nourrit des richesses de l’Amérique depuis des siècles a toujours besoin de l’armée américaine pour exécuter ses ordres — son sale boulot — à l’étranger. Une fois que l’empire américain contrôlé par les entreprises aura atteint son but économique et militaire et ne sera plus un hôte viable, ces mêmes parasites avides organiseront un festin pour mettre fin à tous les festins, dans le but de vider jusqu’à la dernière goutte cette nation jadis forte et fière de l’être. Aucun empire n’a résisté aux générations de suceurs de sang.

Poutine, lui aussi, est dispensable et jetable aux yeux des parasites mondialistes. Il ne peut pas s’attirer leurs faveurs simplement en jouant le jeu de leur agenda, même s’il se perçoit comme l’un d’entre eux. Si la Russie ne fait pas attention, elle sera démembrée, morceau par morceau. Ses ressources précieuses seront arrachées et vendues. Elle sera transformée en une terre de fiefs en guerre. Les parasites sont des mangeurs de chances égales.

Même les gens ordinaires comme vous et moi ne sont pas à l’abri de la classe parasitaire, qui s’attache et absorbe tous ceux qui sont prêts à devenir ses hôtes. Quel que soit l’endroit où nous nous trouvons, nous vivons tous, à des degrés divers, à portée des tentacules de l’empire mondial des parasites.

Cela nous ramène à la question que j’ai posée au début de cet article : si mes parents étaient restés dans leur lieu de naissance, la région connue aujourd’hui sous le nom d’ex-Yougoslavie, pendant les 58 dernières années et si seulement maintenant, en 2023, ils décidaient qu’ils en avaient assez de la suppression de leurs droits par l’État technocratique, où iraient-ils pour trouver la liberté ?

Mon père, âgé de 96 ans, a répondu à cette question lorsque je la lui ai posée récemment. « Sachant ce qu’est le monde aujourd’hui, a-t-il répondu, je n’irais probablement nulle part. Certes, la Biélorussie est la référence en matière de non-respect du COVID, mais je resterais probablement dans mon pays d’origine, la Croatie. Je rejoindrais un réseau de personnes partageant les mêmes idées — quelqu’un comme le journaliste Andrija Klarić du podcast Slobodni — afin qu’ensemble nous puissions trouver des solutions à ce cauchemar. »

Cet article est écrit en mémoire de ma mère, Maida, et en hommage à son ami d’enfance Franc, qui les a sauvés, elle et son mari, Janko, d’une vie de répression en Yougoslavie et d’une possible mort par peloton d’exécution lors de leur fuite.

Elle rend également hommage à mon père, Janko, qui m’a persuadée d’ouvrir les yeux sur les réalités laides, quoique cachées, du monde. Avec persévérance et patience, il a martelé dans ma tête d’adolescent que tout n’est pas ce qu’il semble être. Il m’a dit de toujours tout remettre en question, d’obtenir autant de points de vue différents que possible sur n’importe quel sujet et, surtout, de « suivre la piste de l’argent, car il ne ment jamais ».

Ils voudraient que je dénonce et rejette l’empire mondial et son programme néfaste. Ils accueilleraient un monde véritablement multipolaire. Un monde dans lequel « nous, le peuple », vivons en paix, respectons le droit divin de chacun à la liberté, à la vie privée et à la souveraineté individuelle, et travaillons ensemble de manière à bénéficier à l’ensemble de l’humanité et à bénir notre belle terre abondante.


À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’une licence de technologie en ingénierie aérospatiale. Il a servi comme capitaine dans les Forces canadiennes pendant neuf ans. Au cours de ses deux périodes de service dans l’armée de l’air, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie ainsi qu’en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti.

Il est l’auteur du livre électronique Our Species Is Being Genetically Modified [Notre espèce est génétiquement modifiée] et contribue régulièrement à Global Research.


The original source of this article is Global Research
Copyright © David Skripac, Global Research, 2023




La France et les pays de l’Union Européenne sont-ils des pays « test » pour l’agenda 2030 ?

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Le Forum économique mondial est l’un des promoteurs de « l’Agenda 2030 ».
 Photo de Evangeline Shaw sur unsplash.com]

Par Caroline Porteu et Xavier Azalbert pour France-Soir

TRIBUNE/OPINION — L’« Agenda 2030 » est à la fois celui des Nations Unies et celui du Forum économique mondial (World Economic Forum) à Davos. Dans un article de 2016 (Welcome To 2030: I Own Nothing, Have No Privacy And Life Has Never Been Better*), le magazine Forbes en proposait une description complète qui ne manquera pas d’attirer l’attention des lecteurs !

[Voir aussi :
But des Agendas 21 et 2030
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier
Pourquoi le Great Reset est l’Agenda du Chaos….
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le Forum Économique Mondial nous promet l’esclavage par l’Intelligence Artificielle]

*Bienvenue en 2030 : Je ne possède rien, je n’ai aucune vie privée et la vie n’a jamais été meilleure

« Bienvenue en l’an 2030. Bienvenue dans ma ville — ou devrais-je dire, “notre ville”. Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède aucun électroménager ni aucun vêtement.

Cela peut vous sembler étrange, mais c’est parfaitement logique pour nous dans cette ville. Tout ce que vous considériez comme un produit est devenu un service. Nous avons accès au transport, à l’hébergement, à la nourriture et à tout ce dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne. Une par une, toutes ces choses sont devenues gratuites, donc cela n’avait plus de sens pour nous de posséder beaucoup. »

Cependant la description, au demeurant fort intéressante de cet agenda, avait déjà été proposée voici une trentaine d’années par des Américains dans un document intitulé « Des armes silencieuses pour des guerres tranquilles ».

[Voir aussi :
Protocoles de Toronto et Aurore Rouge — L’agenda élitiste
Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial
500 millions (titre tiré du premier commandement des Georgia Guidstones)
Les Georgia Guidestones — Compte à rebours vers le Great Reset ?
Georgia Guidestones – Rétrospective en 5 Actes (22/03/1980 – 06/07/2022)
Pourquoi le français n’apparaît-il pas sur les Georgia Guidestones ?
Le nouvel ordre des barbares ou comment le Great Reset est programmé depuis 1969 au moins
La synagogue de Satan]

Quelques passages des objectifs et des stratégies sont repris ci-après pour illustrer cet article.

L’analyse proposée dans ce document aurait a priori été établie par des membres du Groupe Bilderberg et par des officiers américains ou des membres de la CIA. Toutes ces informations sont précisées dans l’introduction dont une lecture intégrale est fortement recommandée. Il a été rédigé et signé par Gregory Allan en 1996 (Tous les droits sont réservés).

[NDLR Behold A Pale Horse, publié en 1991 :
https://archive.org/details/william-cooper-behold-a-pale-horse]

Certains passages sont tellement explicites qu’ils sont repris intégralement et mis en exergue pour que le lecteur puisse les identifier :

À travers cet article, il devient possible d’identifier « pourquoi les pays de l’Union Européenne et la France en particulier sont des pays tests dans la mise en place de ce nouvel Agenda que l’on veut nous imposer ».

Indépendance liée à la structure économique des ménages

Ce texte a été préparé par des Américains pour leurs compatriotes dont la mentalité est éloignée de celle des Européens et plus particulièrement de la mentalité française.

Une illustration flagrante, en termes d’économie : les Américains sont les plus endettés au monde avec un taux d’épargne très faible. En décembre 2022, leur taux d’épargne était de 4,2 % contre 16,3 % pour la France, quatre fois moins. L’endettement peut être considéré comme un obstacle à l’exercice de la liberté — liberté d’agir et liberté de pensée. La première préoccupation des ménages devient le remboursement de leurs emprunts pour éviter la saisie de leurs biens à l’instar de ce qui s’est passé pendant la crise de 2008 (crise des subprimes) avec l’explosion de la bulle immobilière américaine.

On peut deviner que les réactions d’une population très endettée seront plus faciles à anticiper et prévoir. Ainsi les conditions sont réunies pour une mise en place plus aisée de différents éléments de contrôle économique et financier.

Ces réformes seront d’autant plus favorisées si les causes de leur mise en place sont liées à des facteurs ou phénomènes exogènes/extérieurs — comme par exemple une baisse significative du niveau de vie qui serait liée à une inflation due à des causes externes (guerre ou climat) ou une augmentation du chômage et des baisses de subvention.

N’est-ce pas très exactement ce que nous sommes en train de vivre au sein de l’Union Européenne ?

Niveaux d’instruction et d’alphabétisation intrinsèquement liés

Dans l’extrait cité plus haut, une phrase a une importance toute particulière :

« La qualité de l’éducation donnée à la classe inférieure doit être la plus pauvre, afin que le fossé d’ignorance qui isole la classe inférieure de la classe supérieure soit et reste incompréhensible pour la classe inférieure. »

L’objectif qui en découle est limpide : faire baisser le niveau de l’éducation et d’instruction au travers d’une stratégie basée sur l’attaque de la cellule familiale et le contrôle de l’éducation des jeunes.

[Voir aussi :
Enseignement : de la grande vadrouille à la grande déprime
SAUVEZ L’ENSEIGNEMENT DES MATHÉMATIQUES EN FRANCE !
Mathématiques et Enseignement : entre état des lieux et état d’urgence
Jean-Paul Brighelli sur l’école : de la fabrique du crétin au consommateur semi-illettré
L’Éducation nationale fabrique des consommateurs
Le déclin de l’intelligence et l’appauvrissement du langage
Réformes de l’instruction : Macron perpétue le pacte diabolique
Pourquoi les « scientifiques » ne font pas de science ? Pourquoi l’obscurantisme est-il la règle ?
France — Le ministre de l’Éducation fait de la sexualité à l’école une de ses priorités
France : comment l’Éducation Nationale flique ses profs pour installer la cancel culture
Des machines et des profs
Objectifs de la pédagogie drag : « déstabiliser » et « transformer l’éducation » des enfants
Quand la science devient pseudo-science
L’avis d’Hélène Carrère d’Encausse sur l’écriture inclusive
L’inculture organisée dès les années 60 et la tragédie de l’ignorance généralisée
Profs, médecins : deux métiers sous influence
L’école à la maison, c’est fini
Sur la stupidité]

Le cas de la France est assez illustratif. Nul ne contestera qu’au cours des dernières années, le niveau de l’enseignement s’est appauvri de manière considérable en partie lié à la destruction de l’enseignement public.

Une étude internationale rappelait en 2020 que « les élèves français de CM1 et quatrième parmi les pires de l’UE en maths et sciences » et un article s’inquiétait en 2022 de la diminution de moitié du niveau d’orthographe des Français suite à une enquête de la Depp (Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance).

De plus, très récemment, le ministre de l’Éducation nationale a décrété que l’enseignement « privé » devait également suivre cette pente très descendante, la France ayant également un problème à gérer avec le niveau des élèves issus de l’immigration récente, en particulier dans ce que l’on appelle désormais : « les territoires perdus de la République ».

La pénurie d’enseignants est devenue un mal récurrent en Europe, sans parler des conditions de salaires qui sont totalement incohérentes pour des pays qui se prétendent être une UNION économique et monétaire.

Pour l’éducation, le World Economic Forum a dû également s’inspirer de ces théories pour la mise en place de l’agenda 2030 puisqu’ils ont même créé un site spécifique dédié à l’éducation et aux écoles nécessaires : « Rencontrez les 16 écoles qui définissent l’avenir de l’éducation ».

Avec un extrait extrêmement intéressant :

« La promotion de ces compétences nécessitera une évolution vers de nouvelles approches radicales de l’apprentissage qui sont personnalisées et adaptées au rythme de chacun, accessibles et inclusives, axées sur les problèmes et collaboratives. Cet apprentissage dure toute la vie et est défini par les étudiants. »

Ce passage renvoie aux récentes déclarations du Président Macron sur la réforme de l’enseignement professionnel.

Le site du WEF va même jusqu’à proposer des écoles qui font de nouvelles formations, en particulier aux USA :

Prospect Schools (États-Unis) : ce réseau d’écoles a été conçu en mettant l’accent sur l’inclusion. Chaque classe est conçue pour être diversifiée et inclusive, assurant un équilibre entre la race et l’ethnicité des étudiants, la maîtrise de l’anglais, le sexe, l’identité de genre et l’orientation sexuelle. L’école embauche des enseignants pour refléter la diversité de leur population étudiante et les enseignants suivent régulièrement des formations sur l’égalité et l’inclusion tout au long de l’année.

De plus faire baisser le niveau d’instruction en attaquant la cellule familiale est également un objectif cité plus haut :

Qu’il s’agisse de familles monoparentales, de familles dont les deux parents travaillent, si les parents ne trouvent pas le temps de les aider, de leur faire réciter leurs leçons, ou de se faire aider, le niveau ne peut que baisser. Ce qui est parfaitement défini par le terme « orphelins du travail ».

Et c’est là où une partie de l’Europe, dont la France, diverge un peu sur la notion de structure familiale en fonction de la religion dominante. Sont visés ici bien entendu les pays latins : la France, l’Italie, l’Espagne ou le Portugal, pays dans lesquels la dominante catholique est incontestable, ce qui nous amène au point suivant.

Destruction des croyances, de la religion

Dans ce document intitulé « Armes silencieuses pour des Guerres Tranquilles », un paragraphe particulier attire l’attention. Celui qui s’intitule « Modèles d’habitudes » – Forces et faiblesses

Diverses méthodes y sont dénommées « méthodes d’adaptation — d’adaptabilité — comportement » : celles-là mêmes qui permettent d’échapper à la réalité. Elles se retrouvent côte à côte et mises au même niveau :

Les déclarations de Yuval Noah Harari, supposé conseiller de Klaus Schwab (leader du World Economic Forum), pour qui les religions sont des fakes news et « L’homme a acquis des pouvoirs divins pour régner sur l’humanité » prennent alors tout leur sens !

La France a (ou avait) la réputation d’être championne dans le domaine de l’esprit critique, développé depuis l’ère des lumières. La France était également la « fille aînée de l’Église » même si la mise en place de la loi de 1905 a réduit fortement l’influence du catholicisme, en particulier sur l’éducation des jeunes. Il est plus difficile d’obtenir un contrôle total des individus et de faire croire en une nouvelle religion si les dogmes de cette nouvelle religion sont en contradiction avec les dogmes de la religion préexistante.

Dans ce domaine, le catholicisme a cette particularité d’avoir des enseignants d’un niveau assez élevé et en particulier les prêtres (8 ans de séminaire) ainsi qu’une structure hiérarchique réelle très efficace. Cet aspect ne se retrouve pas dans le protestantisme ou l’Islam dont des interprétations divergentes du Coran existent.

Le dogme catholique apparaît aussi en totale opposition avec la plupart des principes de la « nouvelle religion de Davos » ainsi qu’un certain nombre de concepts issus du Wokisme comme l’identité de genre, l’homosexualité ou encore l’homme numérique, la relation à l’argent, l’usure…

Même si elle est en net déclin en France, la religion catholique devient par là même la première cible à abattre et à déconstruire.

La destruction de la cellule familiale fait partie des stratégies qui vont permettre une manipulation mentale plus efficace, en particulier sur les jeunes et les enfants, manipulation conforme aux moyens conseillés pour réaliser l’objectif de cet agenda 2030. La politique vaccinale Covid des enfants en est une illustration criante : seule l’autorité parentale d’un parent était requise pour faire vacciner un enfant alors que l’autorité parentale est normalement partagée par les deux parents. Cette destruction est également plus difficile dans les milieux catholiques pour qui la notion de famille revêt une importance considérable. Les récentes annonces de notre ministre de l’Éducation nationale sur l’enseignement privé (à majorité catholique dans notre pays) ne sont sans doute pas étrangères aux objectifs qui lui ont été fixés.

[Voir aussi :
La religion d’État. Quelques observations sur le culte mondialiste, par Mgr Carlo Maria Viganò
Selon Mgr Viganò, Le Great Reset (ou Réinitialisation) est une religion
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

La laïcité française est-elle un obstacle à l’Agenda 2030 ?

La loi de 1905 avait comme objectif de mettre définitivement fin aux guerres de religion qui ont agité notre pays pendant plusieurs siècles et également d’ouvrir l’éducation à tous et à toutes, quels que soient l’origine, le milieu social, ou le genre.

Cette loi qui actait la neutralité de l’État vis-à-vis de la religion en instaurant une séparation totale entre l’Église et l’État proclamait également la liberté de conscience et le libre exercice des cultes, « La République assure la liberté de conscience ». Elle a pour corollaire la liberté religieuse, la liberté d’exercice du culte et la non-discrimination entre les religions.

Elle a également eu comme conséquence d’améliorer les conditions du « vivre ensemble » des différentes communautés vivant sur le territoire en augmentant leurs interactions, ce qui a provoqué une hausse très nette des « mariages mixtes » ce qui n’était pas le cas dans d’autres pays vivant selon les conceptions anglo-saxonnes qui font que les communautés se côtoient mais ne se mélangent pas, ce qui favorise le « Diviser pour régner ».

Il y a donc deux principes qui sont totalement antagonistes avec l’esprit de l’Agenda 2030 qui n’est rien d’autre qu’une nouvelle religion : la séparation de l’Église et de l’État et la liberté de conscience.

À partir du moment où cet agenda prévoit la mise en place d’un contrôle social total sur les individus, leurs modes de vie, leur consommation, leurs opinions, une séparation des pouvoirs devient inconcevable.

De la même manière, La liberté de conscience telle qu’elle est définie à l’article 18 de la DUDH (Déclaration Universelle des Droits de l’Homme) définie par l’Assemblée Générale des Nations unies en 1948 est totalement incompatible avec la manipulation mentale, les critères d’obéissance absolue qui caractérisent le Nouvel Homme Numérique de Davos.

« Article 18 : Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion » ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.

Cette loi légifère « le doute » et donc autorise et encourage « l’esprit critique ». Elle est par définition totalement incompatible avec le « contrôle social » et tout agenda qui chercherait à le mettre en place se trouverait confronté à cette difficulté constitutionnelle.

Cela permet d’apporter un éclairage sur l’attention toute particulière qui a été donné à la France dans ce domaine. Et plus particulièrement sur la pugnacité à la mise en place de l’Agenda 2030 en France. Car s’il passe en France, il passera probablement partout !




Twitter et la Dictature Européenne

[Source : AVATAR Media]

Le coup de gueule de Nicolas Bonnal.




Plus Jamais, Épisode 4. « Cette fois, nous sommes tous Juifs » !

[Sources : sentadepuydt.substack.com et @Plusjamais]

[Pour voir les trois épisodes précédents :
« Plus jamais Ça ! » — épisodes 1 à 3]

Mike Yeadon explique pourquoi les vaccins sont une arme de génocide et les Afro-Américains voient le retour de l’esclavage, de la ségrégation et de l’eugénisme.

Par SENTA DEPUYDT

Un plan mondial d’extermination et d’esclavage.

« Cette fois nous sommes tous Juifs », le Dr Zelenko revient en détail sur le plan eugéniste des Rockefeller. Il montre comment ils étaient le principal financier des recherches sur l’eugénisme dans l’Allemagne nazie, jusqu’à financer le fameux docteur Mengele et l’usine d’IG Farben qui a fabriqué le fameux Zyklon B. Il explique aussi comment ils ont ensuite complètement éliminé les médecines et la pharmacopée traditionnelles par l’infiltration et la corruption des universités américaines et l’imposition de médicaments chimiques à base de pétrole. Enfin, il montre comment ils étaient à nouveau à la manœuvre dans le Covid, par exemple en bloquant les traitements à l’hydroxychloroquine.

[Voir aussi :
Comment Rockefeller a créé Big Pharma
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910]

Si vous remarquez bien, toutes les initiatives de cette famille ont pour thème l’anéantissement des êtres humains. La raison pour laquelle je m’en prends à cette famille, c’est que la Fondation Rockefeller est encore partout avec ses recherches insensées. Prenons l’exemple d’un des complices de ce génocide, le Dr Rick Bright, qui a saboté l’ordre du président Trump de rendre l’hydroxychloroquine disponible pour chaque Américain par le biais du stock national de médicaments. Il les a littéralement sabotés et a été renvoyé pour insubordination. Eh bien, il travaille maintenant en tant que directeur à la Fondation Rockefeller.

La liste de revenu de base universel est la future liste d’extermination des « bouches inutiles ».

Dr Zelenko met aussi en garde contre les effets « collatéraux » du Grand Reset :

Il y a un thème récurrent : beaucoup de ces grandes familles comme les Rockefeller sont au mieux démoniaques. Elon Musk a présenté ses robots humanoïdes et Yuval Harari a déclaré textuellement que ces robots remplaceraient 90 % de la main-d’œuvre humaine. Par conséquent, nous avons besoin d’un revenu de base universel. Laissez-moi vous dire ce qu’est cette liste de revenus de base universels. Vous pensez que les dégénérés qui ne valorisent pas la vie, qui nous considèrent comme de la vermine, veulent donner de l’argent gratuit à des mangeurs inutiles ?

Note : Elon Musk vient d’obtenir l’autorisation pour tester les implants cérébraux Neuralink sur les êtres humains.

La monnaie numérique des banques centrales (Central Bank Digital Currency) et l’identité numérique sont les deux instruments de la dictature et de l’esclavage

Vera Sharav attire l’attention sur les dangers des « camps de concentration numériques ».

En ce moment, ils poussent la monnaie unique, la monnaie numérique centralisée pour remplacer l’argent liquide. C’est un extrême — cela et la carte d’identité numérique sont les deux méthodes pour pousser tout le monde vers la dictature et l’esclavage, l’esclavage personnel. Si nous optons pour ces deux solutions, c’est perdu d’avance. Ce n’est pas pour rien que, par exemple, l’Union européenne n’a pas fonctionné. Tout le monde pensait que cela permettrait d’éviter les guerres. Mais il s’agissait de petites guerres comparées à celle-ci. Lorsque vous donnez le contrôle mondial à un groupe, il peut détruire la majeure partie du monde, pour un simple caprice, parce qu’il n’a aucun compte à rendre.

C’est une arme fabriquée par l’homme pour changer totalement la société. Et ils ont un nom pour cela : la Grande Réinitialisation, le Nouvel Ordre Mondial. Personne ne nous a demandé si nous voulions changer notre monde et quand d’autres le font à notre place, c’est souvent catastrophique.

C’est également ce que craint Mike Yeadon, sous couvert de passeport vaccinal, d’identité numérique et de monnaie numérique, c’est en réalité un système de contrôle total qui se profile.

S’il n’y a pas d’argent liquide et que tout est numérique, je peux vous assurer que le grand ordinateur dans le ciel sait exactement ce que vous êtes sur le point d’acheter, à qui et où, et s’il ne le veut pas, l’algorithme vous le refusera. Ce ne sera pas personnel. Ils n’auront pas besoin de vous contrôler individuellement. Mais si l’algorithme vous dit : « Vous n’avez pas le droit d’être à plus de huit kilomètres de chez vous », et que vous êtes à huit kilomètres et demi de chez vous et que vous essayez d’acheter une pizza, l’algorithme vous dira : « Désolé, vous ne pouvez pas faire cet achat ».

C’est aussi la fin de la politique. Actuellement en Chine. Ils transforment le passeport vaccinal des gens en rouge sur un simple clic. Ces gens ne peuvent littéralement plus quitter leur immeuble. Ou ils ne peuvent plus monter dans un train parce qu’ils doivent utiliser leur carte d’identité numérique obligatoire pour se déplacer ou que leur compte le leur interdit.

Voilà ce que sont les passeports vaccinaux. Il s’agit d’une répétition de la carte d’identité numérique obligatoire. Vous devrez porter une pièce d’identité numérique à tout moment pour que la machine, peu importe, Skynet sache où vous êtes à chaque instant. Vous n’avez aucune liberté. Vous ne pouvez plus jamais décider de votre propre droit d’être où que ce soit ou de faire quoi que ce soit. Le pire, c’est qu’une fois en place, vous ne pouvez pas vous y opposer. Vous ne pouvez pas voter contre. Vous ne pouvez pas faire campagne sur ce thème. On ne pourra pas l’arrêter. Ne laissez pas cela se produire. Je pense que tout cela est proche, très proche maintenant.

Note : L’Union européenne avance bon train sur son programme d’identité numérique européenne.

Mike Yeadon est parmi les personnes plus qualifiées pour comprendre ce qui se passe réellement :

Je suis diplômé en biochimie et en toxicologie. J’ai un doctorat en pharmacologie respiratoire, c’est-à-dire l’étude des médicaments sur la respiration des mammifères. Ensuite, j’ai travaillé pendant 32 ans pour la Recherche et le Développement en biopharmaceutique. Je suis un chercheur, et jusqu’en 2011, j’étais responsable de la recherche mondiale pour le groupe Allergie et Pneumologie de Pfizer. Mon travail s’étendait de l’idée du développement d’un médicament jusqu’à la preuve de concept chez les patients.

Au début de l’interview il explique comment chaque mesure de réponse la pandémie a été un mauvais choix intentionnel, basé sur des fraudes scientifiques.

Toutes les mesures imposées, y compris les confinements et les masques, n’ont rien faire d’utile. Les personnes qui n’ont pas de symptômes, par exemple, ne peuvent pas infecter une autre personne. Cette idée de séparer les gens les uns des autres est totalement absurde. Même les médecins de plateau doivent savoir que ce que je viens de dire est vrai. Si vous vous portez parfaitement bien et que vous n’avez pas de symptômes, vous ne pouvez pas transmettre une maladie que vous n’avez pas à quelqu’un d’autre. Tout de même, il faut reste sérieux !

Non, vous n’avez pas besoin de vous éloigner de quelqu’un d’autre. On n’a jamais eu besoin de le faire. C’était un mensonge pour séparer les gens. Pourquoi ? Pour les empêcher de parler entre eux. Sinon : « Ils auraient discuté et ils auraient compris ». Ils savaient que s’ils ne séparaient pas les gens au cours des premières semaines, ça n’aurait pas marché.

Quant aux masques, ils répètent qu’ils ne servent à rien et que leur usage prolongé représente plutôt un danger pour la santé.

Ils ne filtrent rien dans les voies respiratoires. Ce sont tout au plus des protections contre les éclaboussures. Les personnes qui portent des masques en tissu toute la journée, jour après jour après jour, ça arrive, portent l’équivalent d’un sous-vêtement sale. Le masque devient littéralement une boîte de Petri où se développent des bactéries, des champignons. Et devinez quoi ? Vous les respirez dans vos voies respiratoires et si vous n’avez pas de chance, elles s’incrustent.

Mais surtout il démontre de manière édifiante comment et pourquoi les vaccins à base de la protéine Spike sont dangereux.

Mike Yeadon soulève alors une question extrêmement lourde de conséquences :

Pourquoi tous les fabricants de vaccins Covid, ont-ils choisi d’utiliser la protéine Spike pour leur vaccin, la protéine qui est l’agent toxique dans la maladie, alors que d’autres protéines de Coronavirus (inoffensives) auraient pu être utilisées ?

On peut décomposer le virus en six ou sept petits éléments. Si vous les aviez devant vous sur la table, ces morceaux de l’agent pathogène, et que vous vous demandiez : « Quels sont les critères de choix pour en sélectionner un pour le vaccin ? », vous seriez probablement d’accord avec ce raisonnement : « Le virus est un agent pathogène, ne prenons pas l’élément qui est toxique en soi ».

Le seul élément qui produit des effets indésirables importants, dans toutes les espèces testées, est la protéine Spike. Elle est vraiment mauvaise. Elle a des conséquences neurologiques néfastes. Elle peut déclencher l’activation des plaquettes, ce qui peut conduire à la formation de caillots sanguins et à de nombreuses autres choses.

Devinez lequel ils ont choisi ? La protéine Spike !

Les quatre entreprises ont choisi la protéine Spike. Si vous et moi dirigions des séances de brainstorming concurrentes dans différentes parties de l’entreprise, sur la manière de concevoir ce vaccin, vous et moi — je ne peux pas croire que l’un d’entre nous quitterait ces salles de réunion en choisissant la protéine Spike comme réponse. Je suis sûr que vous diriez : « Ne choisissez pas quelque chose qui, une fois exprimé dans le corps humain, pourrait être toxique. »

Quatre entreprises, à mon avis, ont choisi la mauvaise réponse, la réponse contraire à la sécurité, à chaque fois ! Et je crains, mesdames et messieurs, que ce ne soit pas de la chance. Vous n’êtes pas stupides. C’est délibéré. Je pense que c’est coordonné et qu’il s’agit d’une malversation. Vous devez savoir que ce que vous avez fait est mal. Vous devez savoir.

À ses yeux, il n’y a aucun doute qu’il s’agit d’un agissement criminel, et que ces injections sont une arme biologique.

Il adresse une mise en garde publique à trois de ses anciens collègues, directeurs scientifiques des laboratoires ayant fabriqué des vaccins Covid :

Il vous faut démissionner, passer aux aveux, me débattre ou de me poursuivre en justice. Vous êtes responsable d’une activité criminelle. Faites au moins l’une des quatre choses que je viens de citer, ou vous êtes un lâche !

Chez AstraZeneca, Sir Menelas Pangalos

Bonjour Mene, nous avons travaillé ensemble chez Pfizer il y a quelque temps et vous sembliez être un homme raisonnable. Que faites-vous à présent ? Votre entreprise fabrique, une fois de plus, une expérience humaine mal testée, épouvantablement conçue et inappropriée, qui enfreint le code de Nuremberg comme les autres.

Note : comme la plupart des serviteurs du génocide de l’élite globale, Menelas Pangalos a reçu les honneurs publics, en l’occurrence, il a été anobli par le prince William du Royaume-Uni.

Mathai Mammen, Johnson & Johnson

Bonjour Mathai, il est temps que tu avoues, que tu démissionnes ou que tu débattes avec moi. Parce que vous ne pouvez pas vous cacher derrière l’idée que les choses dont je viens de parler avec Vera ne sont pas correctes et que vous êtes responsable de ce vaccin qui nuit aux gens. Il tue des gens

Note : Mathai Mammen a démissionné peu après, le 8 août 2022.

James Merson, Pfizer

Au sein de mon ancien employeur Pfizer que j’ai quitté en très bons termes, j’ai adoré travailler chez Pfizer, je salue donc le Dr James Merson. Il a occupé le bureau voisin du mien pendant des années. Il était vice-président senior et responsable de la recherche sur les vaccins.

Alors James, il est temps de démissionner, d’avouer, de débattre avec moi ou de me poursuivre en justice. Tu dois faire l’une de ces quatre choses, car tous les auditeurs savent que ce que je dis est vrai.

Vous savez quoi ? Un mensonge déteste être remis en question. La vérité, elle, ne craint pas d’être confrontée. Si vous étiez assez nombreux à démissionner d’un seul coup, vous y mettriez fin. Je pense que vous pourriez sauver le monde si dix cadres supérieurs de la R&D, de n’importe laquelle de ces entreprises, rédigeaient une lettre ouverte de trois paragraphes et démissionnaient. Vous y mettriez fin.

Andrew Barr est historien et il a démarré l’association « Jews For Justice » pour parler des violations actuelles du code de Nuremberg et des similitudes avec le passé, en particulier avec le traitement réservé aux personnes non vaccinées et le traitement des Juifs dans l’Allemagne nazie. En tant que descendant de victimes de l’Holocauste, il lui semble nécessaire d’avoir un débat entre Juifs.

Les seules personnes qui peuvent nous dire de nous taire sont d’autres Juifs, et nous aurons alors un débat.

Ici, en Grande-Bretagne, le COVID a été annoncé le 23 février, lorsque le Premier ministre a soudainement levé toutes les restrictions. La guerre en Ukraine a commencé le 24 février, une coïncidence étonnante. Mon point de vue sur la politique COVID tend à être qu’il s’agissait d’un test d’obéissance massif…

L’objectif est de conditionner la population pour qu’elle laisse le gouvernement lui imposer des choses qu’elle n’aurait jamais acceptées autrement. Après les avoir poussés si loin, les gouvernements peuvent faire marche arrière, mais ils peuvent recommencer. Ils ont établi le principe. C’est ce qui est effrayant. Non pas que cela se produira nécessairement pour une autre maladie, mais le principe de forcer les gens à faire ce que l’on veut qu’ils fassent est établi.

Beaucoup de gens ont complètement perdu confiance dans le corps médical, ainsi que, évidemment, dans les médias. Israël a une longue histoire de vente de ses citoyens aux sociétés pharmaceutiques des États-Unis et au complexe pharmaceutique américain pour qu’ils fassent l’objet d’expériences. Il y a le scandale de la teigne, qui impliquait l’exposition de Juifs séfarades à des doses massives de radiations, soi-disant pour traiter la teigne, mais en fait c’était une expérience pour voir quel niveau de radiations ils pourraient tolérer. Dans les années 1950, à une époque où Israël était un pays incroyablement pauvre, les États-Unis leur ont donné plusieurs fois leur budget annuel pour soumettre les Juifs séfarades à cette horrible expérience.

Je ne sais pas si vous avez eu les mêmes informations aux États-Unis, mais les médias grand public britanniques ont fait état de ce nouveau phénomène du « syndrome de la mort subite de l’adulte », un phénomène inexplicable d’adultes qui tombent soudainement raides morts. Quelle pourrait en être la cause ? Ils n’en ont aucune idée. Il faut enquêter sur ce phénomène. Mais je parie qu’il y a une cause qui ne sera pas étudiée. Comme le fait que lorsqu’ils étaient censés fermer tout le pays au printemps 2020 pour protéger toutes les personnes âgées, en réalité ils assassinaient toutes les personnes âgées en leur donnant du midazolam (ndlr : proche du Rivotril) et de la morphine.

Kevin Jenkins est co-président de la Fondation du Dr Zelenko. Il se bat contre les oligarques parce qu’il estime que c’est LA bataille de l’humanité.

Ce combat est le nôtre. Il est temps pour nous de sortir et de nous battre pour nos enfants, parce que je pense que c’est la chose la plus importante. Leur laisser un endroit où ils peuvent être libres et comprendre que la souveraineté de leur corps et leur droit de choisir est « Mon corps, mon choix ».

Nous devons maintenant arrêter cette industrie maléfique et ses partenaires, le système monétaire et les grandes entreprises technologiques.

Nous avons du pain sur la planche. On nous a menti. Nous ne nous laisserons pas transformer en marchandise. Nous nous battrons contre cet esclavage mondial. Nous continuerons à éduquer les gens. Nous allons nous battre pour nos enfants, pour cette terre et pour ce pays.

C’est facile pour moi de le dire parce que je suis un Noir américain et que je comprends l’esclavage. Une meilleure compréhension de l’histoire m’a permis de voir les choses plus rapidement.

Pour moi le pass, je l’ai appelé le passeport de l’esclavage depuis le début. Il y a 60 ans, je ne pouvais pas rentrer dans un magasin parce que « je n’étais pas propre »…

Pensez à la communauté juive, à la communauté noire, aux personnes qui ont vécu dans la Russie communiste, aux personnes qui ont vécu dans le monde entier. Pensez à la façon dont ils ont vraiment oublié les horreurs que leurs ancêtres ont vécues, que leurs ancêtres ont vécues en abandonnant leur corps et en renonçant à leur liberté simplement pour dire : « Regardez-moi, je suis propre. Je suis propre. » C’est déchirant.

Dr Aaron Lewis est un évêque protestant, afro-américain et juif. Il a été éduqué dans la religion protestante tout en étant très proche de la religion et de la communauté juive hassidique de Brooklyn, dont ses grands-parents faisaient partie.

Il rappelle qu’une des leçons les plus importantes à retenir de l’Holocauste, c’est de ne pas assister à l’horreur en silence :

Lorsque je pense à l’Holocauste et à ses leçons — l’une d’entre elles étant que le silence était dangereux, traître — cela m’a toujours poussé à dire quelque chose, à faire une déclaration, à prendre les mesures nécessaires pour ne pas dire, à un moment donné de ma vie : « J’aurais aimé avoir fait ceci. J’aurais aimé dire ceci. J’aurais pu sauver cette vie, mais je n’ai rien fait ». Je ne veux pas que ce soit l’épitaphe sur ma pierre tombale. Je veux que ce soit : « Il a agi. À défaut d’autre chose, il a agi. » Aujourd’hui, tout mon temps est consacré à sauver des vies.

Il insiste aussi sur l’importance de faire comprendre ce qui se déroule en ce moment :

L’une de mes abolitionnistes préférées de l’histoire est Harriet Tubman. Je l’adore. Elle a dit : « J’ai libéré des milliers d’esclaves. » Et elle a ajouté : « J’aurais pu en libérer des milliers d’autres si seulement ils avaient su qu’ils étaient des esclaves. »

C’est une déclaration puissante parce que je crois que c’est là où nous en sommes aujourd’hui. Nous sommes à un moment où les gens ne savent même pas ce qui se passe. Ils sont dans le déni le plus total. Ils ne relient même pas les points entre eux. Ils ignorent complètement les signes flagrants de ce qui se passe dans la société. Même avec la propagande, la personne moyenne d’aujourd’hui ne comprendrait pas à quel point ce que nous vivons aujourd’hui est un parallèle direct avec ce que nous vivions dans les années trente et quarante. Et c’est effrayant, car si nous faisions attention à ce qui s’est passé, nous pourrions éviter ce qui se passe aujourd’hui.

C’est le même film que l’on rejoue aujourd’hui…






Le Forum Économique Mondial nous promet l’esclavage par l’Intelligence Artificielle

[Source : fr.gatestoneinstitute.org]

[Illustration : photo de Fabrice Coffrini/AFP via Getty Images]

Par J.B. Shurk

Traduction du texte original : The World Economic Forum’s ‘AI Enslavement’ is Coming for YOU!

La mission du Forum Économique Mondial (World Economic Forum, WEF) est remarquablement simple : le gouvernement mondial doit être confié aux meilleurs et aux plus intelligents. En langage WEF, un schéma de supervision totale et de modification du comportement créera un avenir « durable » pour l’humanité. Les humains sont perçus comme des « choses » à compter, mélanger, catégoriser, étiqueter, surveiller, manipuler et contrôler. Ils deviennent de simples rouages ​​de la grande machine technocratique transhumaniste du WEF. Sur la photo : le fondateur et président exécutif du WEF, Klaus Schwab, à Davos le 23 mai 2022.

[Sur l’IA voir aussi :
Le danger manifeste et actuel de l’IA
https://www.anguillesousroche.com/intelligence-artificielle/un-expert-en-ia-affirme-que-chatgpt-est-beaucoup-plus-stupide-que-les-gens-le-pensent/
La Tyrannie Numérique
Des membres du personnel de Google avertissent des dangers de Bard AI
D’après le physicien Philippe Guillemant, l’IA GPT-4 est une mystification annonciatrice d’une maladie]

Quand Sir Thomas More a écrit sa satire sociopolitique sur une société insulaire fictive dans le Nouveau Monde, il l’a baptisée Utopia, un terme inventé dérivé du grec et signifiant « non-lieu ». More a eu beau expliquer avec humour que sa communauté idéalisée n’existait nulle part, des planificateurs centraux sont demeurés imperméables à la plaisanterie et, de siècle en siècle, ont poursuivi le fantasme de sociétés utopiques. Pire encore, chaque fois qu’une communauté religieuse pacifique a cherché à se séparer de la civilisation moderne, un tyran avide a surgi qui a entrepris d’imposer sa volonté à tous les autres.

À chaque génération, un mégalomane se lève pour proclamer : « si le monde fait exactement ce que je demande, je lui offrirai le paradis sur Terre ». Habituellement, ces personnalités narcissiques entrent dans l’Histoire avec l’étiquette de bouffons vaniteux ou de tyrans sanguinaires — et le plus souvent les deux.

Aujourd’hui, Klaus Schwab, leader du Forum économique mondial (WEF), promet un « Great Reset » (Grande Réinitialisation) à l’humanité. Son Utopia combinera une technologie de précision, une gestion centralisée des ressources de la Terre, la surveillance attentive des citoyens, la fusion de l’intelligence humaine et artificielle et la centralisation du pouvoir politique entre les mains d’une petite classe de professionnels à l’expertise reconnue. Bien que le WEF ait passé les 50 dernières années à organiser des conférences, à publier des propositions politiques et à mettre en relation les leaders mondiaux de l’industrie, de la banque, des technologies de l’information, de la collecte de renseignements, de la stratégie militaire et de la politique, son objectif est remarquablement simple : les meilleurs et les plus intelligents devraient gouverner le monde.

Hormis ses prétentions à « sauver le monde » d’une croissance démographique incontrôlée et d’une apocalypse climatique, le WEF ne présente rien de nouveau sous le soleil. Ses racines plongent deux millénaires et demi en arrière quand Platon, le philosophe grec, a proposé que la cité-État idéale soit gouvernée par des « rois philosophes ». Tout comme Platon, les « élites » mondialisées du Forum économique mondial ont passé le monde au crible et en ont conclu — faut-il s’en étonner ? — que les sages devraient prendre le pouvoir. Loin de promouvoir une quelconque idée nouvelle, Schwab et ses acolytes marchent sur les traces d’un Grec de l’Antiquité. Depuis un demi-siècle, les membres du WEF sont en quête d’un gouvernement mondial parfait. Nul besoin de demander l’avis des populations occidentales concernées, Ô surprise, ces « rois philosophes » se sont autoproclamés dirigeants du monde. Comme c’est pratique !

Comme toutes les utopies qui eu lieu précédemment, le nouvel ordre mondial du WEF s’avère remarquablement centralisé. Les « experts » du climat désigneront les types d’énergie que les entreprises et les consommateurs seront autorisés à utiliser. D’autres « experts » en durabilité établiront la liste des aliments autorisés (principalement aux non-membres de l’« élite »). Des « experts » de la désinformation détermineront ce qui mérite d’être connu et débattu. Des « experts » de la santé calculeront le nombre de « vaccins » toujours plus récents qu’il convient d’injecter à chacun ; ils diront également si les citoyens doivent être confinés « pour leur propre bien » et si des masques faciaux doivent être portés pour mesurer le niveau d’obéissance de la population. Les « experts » de l’extrémisme détermineront les types de discours « nuisibles ». Les « experts » du racisme expliqueront à tous que certains groupes sociaux bénéficient d’un « privilège » indu. Des « experts » de l’inégalité redéfiniront le droit de propriété et les groupes que l’État doit récompenser. Des « experts » de tout ce qui est nécessaire à l’État expliqueront que l’État agit raisonnablement à chaque étape du processus. Bien entendu, la liberté de pensée, la liberté d’expression, les droits individuels, et d’autres libertés personnelles ne figurent pas au programme de l’avenir conçu par le WEF pour la bonne raison qu’ils sont étrangers à l’expertise approuvée par les rois philosophes. À aucun moment, les besoins, les désirs ou les préoccupations d’un individu ne devront entraver le « souverain bien ». C’est la vision terne de l’Utopia version Schwab.

Pour réussir, Schwab et le clan WEF utiliseront les nouvelles technologies. Elles serviront à affaiblir la race humaine plutôt qu’à la renforcer. Chacun est déjà familiarisé avec les conditions de son futur asservissement. Les monnaies numériques de la banque centrale permettront aux gouvernements non seulement de suivre les revenus et les dépenses de chaque citoyen en temps réel, mais aussi de limiter les dépenses d’une personne en fonction de son score de « crédit social ». Ce dernier aura été déterminé par le gouvernement, ou relativement aux infractions commises envers le « bien commun » ou peut-être en raison de la détention injuste d’un « privilège systémique ». Les passeports numériques de vaccination autoriseront non seulement un suivi universel des déplacements de chaque personne, mais garantiront également le respect — avec punitions à la clé — des futures ordonnances obligatoires lors de la proclamation des « urgences sanitaires ». Des empreintes carbone personnelles seront créées qui mesureront le niveau de « culpabilité » de chaque individu dans le changement climatique d’origine humaine. Ces empreintes carbone auront pour conséquence d’enregistrer tout ce qu’une personne mange et chacun de ses déplacements, tout en « incitant » constamment chaque citoyen à modifier son comportement, à l’aide de récompenses et de sanctions numériques. Il va sans dire que des pouvoirs aussi omnipotents inciteront tous les gouvernements à multiplier les atteintes à la vie privée tandis que les « urgences sanitaires » deviendront de plus en plus nombreuses tandis que les « incitations » et autres coups d’épaule (nudge) du gouvernement se feront chaque fois plus intrusifs.

Ce descriptif semble plus dystopique qu’utopique et ressemble à s’y méprendre à une prison indésirable surveillée par des matons gouvernementaux qui n’ont de comptes à rendre à personne. Mais telle est la situation. Les fanatiques du WEF ne cachent même plus leurs intentions, allant déjà jusqu’à promouvoir la construction de « Villes intelligentes » ou de « Villes de Quinze Minutes » dans lesquelles il est prévu d’entasser des dizaines de millions de personnes vivant côte à côte dans de petits complexes d’appartements et se déplaçant dans un labyrinthe d’entrées et de sorties accessibles uniquement à l’aide de clés numériques individualisées. L’objectif est de créer un panoptique numérique mettant en œuvre tous les programmes de surveillance ci-dessus, pour fournir aux futurs dirigeants un contrôle absolu, plongeant le monde dans un état permanent d’incarcération docile. Dans le langage du WEF, ces schémas de surveillance totale et d’incitation à la modification des comportements créeront un avenir « durable » pour l’humanité. Il ne fait aucun doute que les gardiens de prison ressentent la même chose lorsque les condamnés sont gardés derrière les barreaux dans des rangées de cages sécurisées. La différence est que dans l’Utopie du WEF, aucun crime n’a besoin d’être commis pour se voir infliger les « récompenses » injustes de Schwab.

Si les Occidentaux prenaient conscience de ce qui les attend, ils risqueraient l’apoplexie et résisteraient au nouvel ordre mondial du WEF. C’est ce qui explique que la guerre la plus importante jamais menée est celle qui n’est jamais discutée ouvertement dans la presse : la guerre secrète de l’information. Lorsque les gens sont autorisés à débattre ouvertement d’idées sur la place publique (y compris les médias sociaux et les pages Web libres de toute interdiction de la part des moteurs de recherche), ce « marché libre » mène les idées là où les gens qui débattent ont envie de les mener. Mais pour que les « narratifs » mis au point par les gouvernements survivent, mais aussi dominent toutes les opinions dissidentes, les plates-formes alliées au gouvernement doivent faire pencher la balance de la liberté d’expression en leur faveur en ridiculisant, censurant voire en criminalisant les pensées et les paroles dissidentes. Sur tout autre marché, une telle ingérence serait considérée comme une entente anticoncurrentielle qui viole les lois antitrust. Mais parce que les acolytes du Forum économique mondial traitent le droit d’échanger des idées contradictoires comme une « désinformation » dangereuse, le « libre marché des idées » s’est transformé en un « espace sûr » contrôlé pour les amis du gouvernement.

Que se passe-t-il lorsque l’ambivalence du gouvernement envers la liberté d’expression rencontre la force technocratique amorale de l’Utopia mondiale du WEF ? Eh bien, comme l’a récemment proclamé Herr Schwab au Sommet mondial des gouvernements de Dubaï, à l’occasion d’un débat sur l’intelligence artificielle (IA), les chatbots et les identités numériques : « Celui qui maîtrise ces technologies sera — d’une certaine manière — le maître du monde ». (Après une telle déclaration, le projet de gouvernement mondial peut-il être toujours qualifié de « théorie du complot » ?) Si le WEF contrôle le monde numérique, alors il contrôlera essentiellement le peuple. Certaines idées qui relevaient autrefois de la science-fiction deviennent aujourd’hui réalité : les technocrates du WEF ont même un plan pour « pirater » l’esprit des salariés en surveillant et en décodant leurs ondes cérébrales.

Google est à la pointe de ce combat pour le contrôle de la pensée : le géant de la recherche sur Internet a en cours un programme de « pre-bunking » destiné à « immuniser » les gens contre la « propagande » ou la « désinformation ». En d’autres termes, il s’agit d’endoctriner les internautes bien intentionnés avec une propagande brassée maison et estampillée Google. En manipulant ses utilisateurs à leur insu, le mastodonte des moteurs de recherche pense pouvoir conjurer les idées concurrentes. Génial !

Bill Gates, le fondateur de Microsoft, est du même avis. Au journal allemand Handelsblatt, l’expert autoproclamé des vaccins a affirmé que les technologies de l’IA représentent de puissants outils de lutte contre la « désinformation numérique » et la « polarisation politique ». Cette déclaration fait suite à une découverte récente selon laquelle Microsoft s’est servie d’un think tank britannique, Global Disinformation Index (GDI), pour inscrire discrètement les médias conservateurs américains sur une liste noire de manière à les priver de revenus publicitaires. Le comble ? Le département d’État américain a financé le « travail sur la désinformation » du GDI en versant des fonds publics à l’association National Endowment for Democracy et à sa filiale Global Engagement Center pour que ces fonds soient ensuite reversés à GDI, juste avant que GDI ne blanchisse la sordide discrimination des idées prônée par Microsoft et d’autres entreprises derrière un mince voile d’« objectivité ».

Fidèles aux préconisations du WEF de construire un partenariat tout-puissant entre le secteur privé et les autorités gouvernementales, Microsoft et le Département d’État ont trouvé le moyen de saper la dissidence en demandant à une organisation tierce, GDI, de qualifier de « désinformation nuisible » tous les discours inscrits sur sa « Liste d’exclusion dynamique ».

Partout en Occident — Allemagne, Canada, Suisse, Belgique — des médias financés par des fonds publics travaillent ensemble à « développer des solutions en ligne » pour contrer « les commentaires haineux et la désinformation croissante ». Qu’est-ce qui pourrait mal tourner lorsque des institutions contrôlées par l’État s’entendent pour contrôler l’information ? Comme en a témoigné Yoel Roth, ancien responsable « Confiance et Sécurité » de Twitter, devant le Congrès, « la liberté d’expression illimitée se traduit paradoxalement par moins de parole, pas par plus ». De cette norme orwellienne du double langage, la frontière entre la protection de la liberté d’expression et la censure pure et simple passe par le fait de savoir si l’orateur articule un point de vue conforme aux idées de la coalition des titans de la Big Tech et des autorités gouvernementales ou non. Dans l’Utopia de Schwab, la véritable liberté d’expression n’a pas sa place.

Que se passe-t-il lorsque la censure est entièrement contrôlée par les outils numériques de l’intelligence artificielle (IA) ? Certains dirigeants politiques ont lancé un avertissement sur la « menace existentielle » que l’IA fait courir à l’humanité. Et des pionniers de la technologie comme Eric Schmidt, ancien cadre supérieur de Google, reconnaissent bien volontiers que les systèmes informatiques alimentés par l’IA devraient être considérés comme des équivalents nucléaires. Cela n’empêche pas la ruée vers une Utopia structurée par l’IA de se poursuive à toute allure. Toute personne saine d’esprit devrait réclamer du temps pour la réflexion. Car les biais cognitifs des Gates, Schmidt et autres « élites » de la Big Tech se répercuteront très certainement en biais numériques au sein de tout système d’intelligence artificielle.

ChatGPT, un logiciel d’intelligence artificielle lancé à la fin de l’année dernière, manifeste d’ores et déjà d’effrayants partis pris politiques. Il a ainsi expliqué qu’une insulte raciale était bien pire que l’anéantissement d’une ville par une bombe nucléaire. Une autre fois, ChatGPT a justifié l’annihilation des électeurs de Trump comme un mal nécessaire à la « défense de la démocratie » et a réclamé le blocage des « discours dangereux », tout en affirmant simultanément que « l’IA ne devrait pas permettre d’attenter à la liberté d’expression » des partisans de Biden. Quant au chatbot d’IA de Microsoft, à peine avait-il commencé de fonctionner qu’il a menacé ses utilisateurs.

Ces premiers signes troublants accréditent la comparaison de Schmidt entre l’IA et une bombe nucléaire. Mais les scientifiques impliqués dans le projet Manhattan de construction d’un engin nucléaire n’avaient pas — contrairement aux élites du WEF — le désir inextinguible de retourner ces armes impressionnantes d’IA contre les peuples occidentaux dont ils sont eux-mêmes issus.

De toute évidence, si le Forum économique mondial de Schwab se voit en maître du monde d’une utopie à base d’IA, cette dernière n’a que peu d’utilité pour les êtres humains. Dans ce système, le genre humain n’est plus qu’une « chose » qu’il faut compter, mélanger, catégoriser, étiqueter, surveiller, manipuler et contrôler. Chacun devient un rouage ​​de la grande machine technocratique transhumaniste du WEF — utile pendant un temps, peut-être, mais à terme un fardeau qu’il faut nourrir, loger et dont on peut logiquement se passer. Si l’intelligence artificielle peut élaborer la réflexion dont Schwab a besoin et soutenir les idées qu’il adore, alors les humains vont finir par représenter un obstacle. Plus le Forum économique mondial avancera dans son utopie centralisée, plus la « chosification » de la race humaine avancera à pas de géant vers son élimination.




Un ex-président de Greenpeace : « Le changement climatique, c’est pour effrayer les gens afin de les contrôler et faire de l’argent »

[Source : lemediaen442.fr]

Patrick Albert Moore, ex-président de Greenpeace :

« Quand le changement climatique est apparu pour la première fois comme un problème, j’ai réalisé que nous étions dupés et qu’il s’agissait d’argent… cet argent est fait pour créer des récits qui effraieront les gens… »



La servitude volontaire par la peur

« Tout ce que les dirigeants ont à faire, c’est de dire au peuple qu’ils ont quelque chose à craindre. Pointez du doigt la source de leur peur, et vous pourrez obtenir des humains qu’ils fassent tout ce que vous désirez. Vous pouvez les rendre obéissants. »

Goering, Le Journal de Nuremberg, Gustave Gilbert, 1947

Le marketing de la honte

« Même dans les pays où le régime de confinement était le plus strict, comme en France, les autorités sanitaires insistaient sur la nécessité de passer un peu de temps à l’extérieur chaque jour. […] Cela permettra de créer des liens plus profonds et plus personnels au niveau individuel avec les éléments “macro” que nous avons évoqués plus tôt concernant la préservation de nos écosystèmes et la nécessité de produire et de consommer de manière respectueuse de l’environnement. »

Covid-19 : la grande réinitialisation, Klaus Schwab, Thierry Malleret, 2020 Forum économique mondial

La responsabilisation est la figure moderne de la honte. L’idée du marketing de la honte est de mettre en exergue un prétendu « problème ». Il s’agit  de créer des angoisses, des peurs et des hontes (et non plus un besoin) tout en lui apportant une solution. Le besoin naîtra de lui-même dans la tête du consommateur ! Les marques sont de plus en plus nombreuses à investir dans ce discours de la culpabilité. Elles incitent à se montrer responsable dans chaque acte de consommation courante.

L’utilisation de la culpabilité se multiplie autant dans les campagnes de prévention (campagne 2014 de la sécurité routière « Trop vite, trop tard. On ne regrette de rouler trop vite que quand il est trop tard ») ou de santé publique (« Pour votre santé, évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé ») mais également pour des publicités de produits (« se faire plaisir sans mauvaise conscience » avec la Honda CR-Z Hybrid).

Le marketing de l’écologie

Un exemple : les bouteilles ne sont plus consignées. On  peut toujours taper « bouteilles consignées » sur Service-Public.fr : aucun résultat. Vous n’y êtes pour rien si elles ne sont pas reprises par les commerces, mais si vous les jetez, c’est votre faute. Ça met la planète en danger. En revanche, si vous tapez tri sélectif, vous avez l’embarras du choix. Le ministère de l’écologie vous explique tout en détail : « par exemple, le carton d’emballage de la boîte de biscuits doit être séparé de la barquette en plastique ou du film, avant d’être jeté dans le bac de collecte. »…Les déchets de verre sont à déposer en général au niveau de points d’apport volontaire qui leur sont spécifiques. » Vous remarquerez que les belles bouteilles soigneusement vidées par les amateurs de bon vin, sont déjà  qualifiées de « déchets ».

Suivez l’argent…

Si vous triez les bouteilles (c’est-à-dire si vous les cassez) dans une poubelle spéciale, c’est bien, vous êtes éco-responsable. Tout-à-fait accessoirement l’industrie du verre va prospérer. O-I FRANCE est le principal fabricant de bouteilles en Europe et domine le marché français. Son chiffre d’affaires de 2021 frôlait les 800 millions d’euros. Sa maison mère (actionnaires majoritaires : Fidelity et Vanguard) a réalisé un bénéfice de 6,4 milliards de dollars en 2021. Selon une enquête mondiale menée en 2014 par le groupe marketing Nielsen sur la Responsabilité sociale des entreprises, 52 % des consommateurs dans le monde seraient prêts à payer davantage pour des produits fabriqués par des entreprises engagées sur le plan environnemental et social. Actuellement, la facture d’énergie de la verrerie de Puy-Guillaume représente 20 % des coûts fixes. Est-ce bien éco-responsable ?

Côté plastique, après avoir détruit les petits commerces où on pouvait faire ses courses avec un panier, le gouvernement favorable aux grandes surfaces se rachète une moralité en interdisant les concombres sous cellophane, les poires en barquette, les courgettes en sachet plastique. Tout le reste peut rester emballé (surtout dans les McDo Drive).

On vous laisse sur le refrain qu’entonne la joyeuse bande du prince Charles, Bill Gates & Cie dans les sélects clubs Bilderberg et Davos.




La Pulsion Génocidaire

[Source : AVATAR Media]

Le Coup de Gueule de Nicolas Bonnal.




La Grande-Bretagne et la Grande Réinitialisation du roi Charles

[Source : marie-claire-tellier via RI]

Traduction Marie-Claire Tellier

Par Matthew Ehret

Cette semaine, le monde a été exposé à un aspect troublant, archaïque et bizarre de la pagination, que l’on n’avait pas vu depuis plus de 70 ans, avec le couronnement du roi Charles III en tant que chef du Commonwealth britannique mondial, chef de l’Église anglicane et porte-parole d’un programme appelé Global Britain qui a été mis en ligne en tant que mandat officiel du parti conservateur en 2021.

Après avoir géré un empire mondial d’asservissement économique et avoir envahi presque toutes les nations de la Terre à un moment ou à un autre1, la Grande-Bretagne continue d’exercer un vaste contrôle sur les concessions minières d’Afrique avec plus de 1 000 milliards de dollars d’intérêts miniers directs contrôlés par des sociétés britanniques et/ou basées dans le Commonwealth britannique. Selon le rapport 2016 produit par War on Want 2 :

« 101 sociétés cotées à la Bourse de Londres (LSE) — dont la plupart sont britanniques — ont des activités minières dans 37 pays d’Afrique subsaharienne. Elles contrôlent collectivement les ressources les plus précieuses de l’Afrique pour une valeur de plus de 1 000 milliards de dollars. Le gouvernement britannique a usé de son pouvoir et de son influence pour s’assurer que les sociétés minières britanniques aient accès aux matières premières de l’Afrique. C’était le cas pendant la période coloniale et c’est encore le cas aujourd’hui ».

La City

Comme je le souligne dans mon nouveau livre The Anglo Venetian Roots of the Deep State, le « mile carré » appelé la City de Londres (une entité juridique distincte de Londres elle-même) est le centre névralgique de la finance mondiale, la Banque d’Angleterre et les paradis fiscaux offshore du Commonwealth dirigeant des milliers de milliards de dollars de blanchiment d’argent de la drogue, de financement du terrorisme et d’autres pratiques corrompues à l’échelle mondiale. La souveraineté de la City, qui échappe à toute juridiction nationale, a été consacrée par la « Magna Carta » oligarchique de 1214, qui a fait de la place financière une société supranationale capable de gérer ses propres forces de police et son propre système judiciaire… qu’elle continue d’entretenir 800 ans plus tard.

Au cours des 183 années qui se sont écoulées entre 1763 et 1946, période pendant laquelle la suprématie britannique unipolaire a exercé la plus grande influence directe sur le monde, les nations appauvries du monde se sont retrouvées encore plus appauvries, moins capables d’acquérir des moyens de production industrielle et plus en guerre avec elles-mêmes et avec leurs voisins par le biais de la tactique « diviser pour régner ». Comme cet empire a pris la forme de la « relation spéciale » anglo-américaine après 1945, cette tendance n’en a été qu’exacerbée.

Le rôle déterminant des services de renseignement britanniques

Du point de vue des opérations de renseignement au niveau mondial, la Grande-Bretagne est le créateur et la structure de commandement centrale de l’appareil de renseignement des Cinq Yeux. Elle a également été surnommée le « Londonistan » pour avoir fourni des refuges aux groupes terroristes internationaux qui ont trouvé refuge dans l’idéologie libérale de surface de la Grande-Bretagne tolérante3.

Les services de renseignement britanniques ont également contribué à la création et/ou ont continué à soutenir des groupes terroristes à l’échelle internationale, comme le souligne Michael Billington, chercheur à l’EIR, dans le rapport British Creation and Control of Islamic Terror (2020) : Background to China’s Defeat of Terror in Xinjiang4.

Tout en nourrissant le terrorisme mondial et l’islam radical, les services secrets britanniques n’ont pas perdu de temps pour cultiver les variantes les plus enragées du sionisme politique, et ont créé l’État d’Israël lui-même à partir du programme de la Table ronde/Société Fabienne, que l’on a fini par appeler « les accords Balfour ». L’histoire de la création par la Grande-Bretagne du sionisme politique et du christianisme croyant en l’Enlèvement de l’Église est décrite dans un épisode de 2021 du Grand Jeu :

The Strategic Hour: Wuhan Labs, Zionism, Rapture and the Creation of Synthetic Cults

Dans cet épisode de l’Heure Stratégique sur Rogue News, Matt Ehret démonte les mensonges et les fausses pistes qui conduisent les Occidentaux à croire que la main du mal qui façonne la Grande Réinitialisation et la fabrication du Covid-19 comme arme destinée à renverser l’ordre mondial est la Chine. Nous examinons les preuves de cette fraude et explorons le modus operandi des techniques anglo-américaines d’utilisation de la terreur biologique sur les populations à l’étranger et à l’intérieur du pays depuis plus d’un siècle, ainsi que la création par les francs-maçons britanniques de cultes qui ont armé des groupes de juifs et de chrétiens à la fin du 19e siècle pour conduire un mouvement géopolitique de « fin des temps » qui s’exprime aujourd’hui dans la montée des néocons, le Projet pour un nouveau siècle américain et la nouvelle ère de la guerre des armes biologiques après le 11 septembre 2001. Nous explorons comment les techniques de mauvaise orientation et de tromperie ont été utilisées pour créer la guerre froide à l’aide d’un canular connu sous le nom d’« affaire Gouzenko », qui utilisait des preuves falsifiées élaborées par les services secrets britanniques pour persuader les imbéciles occidentaux que leur ancien allié, la Russie, devait être détesté et craint plutôt que respecté, ce qui a donné naissance à un ordre mondial dystopique. Nous explorerons également comment la même formule utilisée dans le canular de Gouzenko a été réutilisée dans le cas du 11 septembre pour justifier une nouvelle ère de terreur à l’étranger et la montée d’un État de surveillance à l’intérieur du pays. La pièce de Shakespeare Othello, que Matt et V explorent comme le meilleur antidote aux opérations psychologiques impériales, reste la clé principale pour percer le secret des arts obscurs du contre-espionnage utilisés par les empires depuis l’époque de Babylone jusqu’à aujourd’hui.

Alors que la Chine a accordé des prêts à grande échelle pour des corridors de transport, de nouvelles zones industrielles et des investissements dans le charbon, le pétrole, le gaz naturel, l’hydroélectricité et l’énergie nucléaire à des pays qui ont désespérément besoin d’un véritable développement, la Grande-Bretagne et ses cohortes américaines/européennes ont passé des décennies à n’accorder que des prêts assortis de conditions et de technologies vertes « appropriées » qui empêcheront à jamais l’Afrique ou d’autres nations pauvres de se tenir debout sur leurs deux pieds.

L’idée de Global Britain a toujours eu en son cœur le concept d’un Commonwealth britannique intégré avec les Five Eyes à la tête du renseignement, la City de Londres à la tête de la finance et les structures héréditaires du pouvoir centrées autour de la Couronne en tant que source titulaire de tous les honneurs par lesquels toutes les branches de l’État profond international dérivent leurs pouvoirs.

Les agents de la Couronne

Depuis 1833, la Grande-Bretagne est gérée par un système pseudo-privé d’agents de la Couronne, aujourd’hui appelés agents de la Couronne pour le gouvernement et l’administration d’outre-mer. Ce vaste organisme existe en tant que statut semi-officiel et se décrit comme « une émanation de la Couronne ». Il est extrêmement actif en Europe centrale et orientale et se concentre principalement sur le système économique, énergétique et de gestion de la santé de l’Ukraine. L’agence est partenaire de la Banque mondiale, des Nations unies et de la Fondation Bill et Melinda Gates et agit comme une gigantesque société de portefeuille dont l’un des actionnaires est la Fondation des agents de la Couronne, basée à Southwark, à Londres.

Créé dans les années 1930 pour donner un nouveau visage à l’Empire britannique, le Commonwealth britannique occupe aujourd’hui un territoire de 12,2 millions de kilomètres carrés, compte 2,4 milliards d’habitants et représente 21 % de la superficie mondiale. Pour ceux qui croient encore au mythe de la disparition de l’Empire britannique après la Seconde Guerre mondiale, il est intéressant de comparer les cartes du Commonwealth et de l’Empire.

Le fait est que l’Empire britannique continue d’exercer une vaste influence sur les affaires du monde. Bien qu’il ait théoriquement disparu après la Seconde Guerre mondiale, cédant la place à un « Empire américain », Global Britain est simplement une tentative d’expliciter ce qui a toujours été vrai. Aujourd’hui, les stratèges qui gèrent la « fête de sortie » de l’agenda Global Britain tentent désespérément de positionner le Commonwealth comme le centre d’une nouvelle ère post-résolution.

En tant qu’institution entièrement organisée autour d’institutions héréditaires, la pièce maîtresse de la continuité de cette réforme repose sur une famille régnante occupant la position de Prima inter pares officielle autour de laquelle l’ensemble de la structure de contrôle peut exercer son influence.

A l’époque actuelle, ce rôle est dévolu à une certaine créature consanguine du nom de Charles.

La reine est morte, vive le roi

« London Bridge is Down », tels sont les mots de code prononcés par le secrétaire privé de la reine, Edward Young, à l’intention des hauts fonctionnaires lors du décès de la reine Élisabeth II.

Ce code a été choisi dans le cadre d’un protocole plus large appelé étrangement « opération Licorne » pour des raisons qui dépassent l’imagination la plus folle de cet auteur et qui déclenche une série d’actions culminant avec l’onction du Prince Charles comme nouveau Roi de Grande-Bretagne et du Commonwealth.

Les Canadiens qui pensaient ne plus être contraints de regarder leur Premier ministre déclarer servilement ses serments de fidélité (et ses serments de secret) à un monarque consanguin siégeant de l’autre côté de l’océan, comme cela s’était produit en 2017, seront très déçus.

Justin Trudeau prête serment Justin Trudeau a officiellement prêté serment en tant que 23e Premier ministre du Canada. Trudeau a prêté serment à Rideau Hall, à Ottawa, mercredi. (4 novembre) LA PRESSE CANADIENNE
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Avons-nous bien compris ?

La loi canadienne sur les serments parlementaires de 1866 exige que les deux chambres du Parlement prêtent serment d’allégeance après la mort de tous les monarques en exercice. C’est exact, chaque membre du gouvernement soi-disant « élu et démocratique » du Canada doit prêter serment de fidélité non pas au peuple ou à une constitution inexistante, mais à une lignée familiale consanguine à l’autre bout du monde.

Des serments similaires ont été lus par les élus de tous les autres États membres du Commonwealth Five Eyes.

Il convient donc de se demander si l’institution des pouvoirs héréditaires dont Charles a hérité n’est qu’une cérémonie sans substance ni influence réelles.

Bien que la majorité des citoyens, y compris les sujets britanniques, pensent que c’est le cas, les faits indiquent une réalité très différente.

Le prince Charles : le plus grand propriétaire foncier du monde

Cela vous surprendra peut-être, mais la Couronne britannique est le plus grand propriétaire foncier du monde, avec des possessions s’élevant à 6,6 milliards d’acres en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Irlande du Nord, au Canada, en Grande-Bretagne et dans les îles Malouines5.

[NDRL Selon d’autres sources (bien évidemment « complotistes »), la « Couronne » désignerait en réalité le syndicat ou groupe privé propriétaire de la City de Londres. Voir par exemple, en anglais :
https://www.bibliotecapleyades.net/sociopolitica/sociopol_globalelite177.htm
https://wakeup-world.com/2013/11/05/the-crown-empire-and-the-city-of-london-corporation/
https://steemit.com/sovereign/@sadcorp/the-crown-city-of-london-8ad6750f28f07
En français :
https://reseauinternational.net/trois-corporations-dirigent-le-monde-la-ville-de-londres-washington-dc-et-le-vatican/
https://www.divulgation.fr/actu-politique/trois-societes-dirigent-le-monde-la-city-de-londres-washington-dc-et-le-vatican/]

Outre les « Crown Lands » et les « Crown Corporations » qui appartiennent légalement au monarque britannique, une organisation appelée « The Crown Estate » est l’un des plus grands groupes immobiliers au monde. Die Welt Business décrit ainsi cette institution qui verse chaque année 25 % de ses revenus directement dans la bourse du monarque6 :

« Le Crown Estate possède des biens immobiliers dans tout le Royaume-Uni, des châteaux et des cottages aux terres agricoles et aux forêts, en passant par les parcs commerciaux et les centres commerciaux. Il possède plus de la moitié du littoral britannique, ce qui lui confère des droits de vente aux enchères extrêmement précieux pour les activités commerciales en mer, telles que les parcs éoliens ».

La Couronne contrôle la quasi-totalité des fonds marins (et la moitié du littoral) du Royaume-Uni. Toute entreprise souhaitant construire des éoliennes en mer dans le cadre du « Green New Deal » est obligée de louer ses fonds marins à la Couronne. Byline Times note que la Couronne deviendra « le plus grand bénéficiaire de l’agenda vert du Royaume-Uni », qui a récemment dévoilé un plan en 10 points pour une « révolution verte » et une décarbonisation complète d’ici à 2050. Pour ceux qui ne comprennent pas l’explosion des prix des sources d’énergie inefficaces dans toute l’Angleterre, ils ne pourraient pas aller bien loin sans apprécier le gâchis des fermes éoliennes, subventionnées par le contribuable.

Le prince Charles lui-même a démontré qu’il ne considérait certainement pas la Couronne comme une entité symbolique et a été accusé de « lobbying incontinent » en 2013 lorsque des dizaines de lettres personnelles (surnommées les « Black Spider Memos ») adressées à des députés et au Premier ministre ont été rendues publiques après une intense bataille juridique pour les garder secrètes. Le biographe officiel de Charles, Jonathan Dimbleby, a même écrit en 2013 qu’après la succession de Charles à la Couronne, les choses deviendraient beaucoup plus concrètes et « qu’une révolution constitutionnelle tranquille se préparait »7.

Les pouvoirs de prérogative sont réels

Bien que de nombreux efforts soient déployés pour présenter les pouvoirs de prérogative de la Couronne comme purement symboliques, ils couvrent presque toutes les branches de la gouvernance et ont parfois été utilisés… bien que les sphères d’influence britanniques où ils s’appliquent le plus soient généralement tellement autorégulées qu’elles ne nécessitent que très peu d’intervention de la part d’une influence extérieure pour les maintenir dans le droit chemin.

Ces pouvoirs ont été révélés publiquement pour la première fois en 2003 et dans un article intitulé « Mystery Lifted on the Prerogative Powers »8, le London Guardian a noté que ces pouvoirs comprennent (mais ne sont pas limités à) :

« Les affaires intérieures, la nomination et la révocation des ministres, la convocation, la prorogation et la dissolution du Parlement, la sanction royale des projets de loi, la nomination et la réglementation de la fonction publique, l’engagement d’officiers dans les forces armées, la direction de la disposition des forces armées au Royaume-Uni (et dans d’autres nations du Commonwealth), la nomination du Queen’s Counsel, la délivrance et le retrait des passeports, la prérogative de la miséricorde. (S’appliquait dans les cas de peine capitale. Encore utilisée, par exemple pour remédier à des erreurs dans le calcul de la peine), l’octroi de distinctions honorifiques, la création de sociétés par charte, les affaires étrangères, la conclusion de traités, la déclaration de guerre, le déploiement de forces armées à l’étranger, la reconnaissance d’États étrangers, ainsi que l’accréditation et l’accueil de diplomates ».

Lorsqu’un projet de loi a été présenté au Parlement en 2009 proposant de limiter ces pouvoirs, un examen du ministère de la Justice mené par le Conseil privé a conclu que de telles limitations « affaibliraient dangereusement » la capacité de l’État à répondre à une crise, et le projet de loi a été rapidement rejeté9.

Au niveau provincial, nous trouvons des lieutenants-gouverneurs qui (au Canada) sont membres des Chevaliers franc-maçons de Saint-Jean de Jérusalem.

Le roi Charles et la Grande Réinitialisation

Le 3 juin 2020, Charles a démontré cette approche plus pratique de la gouvernance en devenant le patron officiel de la Grande Réinitialisation du Forum économique mondial et en lançant officiellement le projet en tweetant #TheGreatReset (La Grande Réinitialisation).

Sur son site officiel, le Prince a lancé le projet en déclarant :

« Aujourd’hui, par l’intermédiaire de l’initiative de HRH pour des marchés durables et du Forum économique mondial, le Prince de Galles a lancé une nouvelle initiative mondiale, la Grande Réinitialisation ».

Un éco-guerrier, roi d’une nouvelle croisade

Charles a fait preuve d’un enthousiasme pour la décarbonisation du monde que l’on ne trouve généralement que chez un fanatique religieux qui s’érige en éco-guerrier des monarques, en roi croisé d’une nouvelle religion, sauf qu’au lieu des musulmans de Terre sainte, nos nouveaux croisés écolos connectés à Davos ont ciblé le dioxyde de carbone et la civilisation industrielle, l’agriculture et les mangeurs inutiles qui en sont la cause, comme étant la menace empoisonnée qui doit être détruite. Charles semble se voir marcher sur les traces de son père fondateur du WWF en tant que nouveau porte-parole principal d’une transformation totale de la société sous l’égide d’un sacerdoce de la gouvernance verte du WEF.

L’édition de juillet 2022 du Spectator australien a bien caractérisé l’activisme misanthropique de Charles dans les termes suivants :

« L’environnementalisme dont le prince a décidé de s’occuper en attendant de monter sur le trône n’est pas une sorte d’activité apolitique et inoffensive de plantation d’arbres ou de sauvegarde de la forêt tropicale. Il ne fait pas de câlins aux pandas et ne finance pas de refuges pour les animaux sauvages. Au contraire, il s’est engagé dans une entreprise hybride et un soulèvement politique qui menacent la survie du système politique qu’il est censé superviser. En plus d’être une trahison du citoyen ordinaire, ses actions représentent un manquement à son seul devoir en tant que futur roi : protéger la monarchie constitutionnelle de la montée du fascisme climatique et du mondialisme ».

Racines nazies de la Maison de Saxe-Cobourg-Gotha

Le rôle de la Couronne dans le renouveau des pratiques du totalitarisme mondial, du contrôle de la population et du fascisme n’est pas sans précédent. Le documentaire Edward VIII : Britain’s traitor King, diffusé sur la chaîne britannique Channel 4, a récemment révélé un fait gênant : le cœur fasciste de la Couronne était bien vivant pendant les années les plus sombres avant et pendant la Seconde Guerre mondiale.

[Voir aussi :
Les origines allemandes de la famille royale britannique
Les secrets de la reine : tout savoir sur l’élite mondialiste avec Pierre Hillard
Racines nazies de la famille royale britannique ?]

Ce film, basé sur un livre à paraître prochainement de l’historien Andrew Lownie, utilise des rapports récemment déclassifiés des archives royales pour raconter l’histoire du roi nazi britannique Édouard VIII, qui non seulement souhaitait une victoire nazie lors de la Seconde Guerre mondiale, mais a activement œuvré à la réalisation de cet objectif depuis le moment où il a été contraint d’abdiquer le trône en 1936 (prétendument pour épouser une divorcée américaine, Wallis Simpson) jusqu’aux jours les plus sombres de la guerre proprement dite.

Comme le prouve ce documentaire, apprendre à sa jeune nièce Elizabeth II comment faire un « sieg heil » en bonne et due forme n’a pas été sa seule danse avec le nazisme.

Alors qu’il était en exil au Portugal, où le hobby royal fricotait avec l’élite allemande, le documentaire cite des câbles diplomatiques envoyés par Edward à des responsables allemands exigeant que les nazis bombardent sans relâche l’Angleterre pour la soumettre en 1940, encourageant ainsi la mort de millions de civils innocents. Le film cite également un discours peu connu dans lequel Edward a appelé à la capitulation de la Grande-Bretagne face aux nazis en 1939 et que la BBC a refusé de diffuser. Même après avoir été envoyé aux Bahamas par des fonctionnaires impériaux qui avaient décidé qu’il était plus opportun d’abattre leur monstre de Frankenstein que de poursuivre leurs plans antérieurs pour un nouvel ordre mondial fasciste, le futur roi nazi avait câblé aux fonctionnaires d’Hitler pour leur faire part de sa volonté de revenir en Europe en cas de besoin et de reprendre sa place légitime sur le trône en tant que roi aryen.

Au-delà du film : D’autres racines nazies des Windsor

Au-delà du cas d’Édouard VIII, il existe de nombreuses autres connexions nazies embarrassantes avec la maison Windsor (anciennement Saxe-Cobourg-Gotha) que le film n’a pas mentionnées, dont certaines impliquent directement le défunt prince consort Philip Mountbatten (alias le duc d’Édimbourg).

Les trois sœurs du duc d’Édimbourg ont toutes été mariées à des princes nazis, et le mari de l’une d’entre elles (Sophie) est devenu officier de la Waffen SS avec le grade d’Oberführer (chef supérieur).

Le mari de Sophie, la sœur de Philippe, le prince Christophe de Hesse-Cassel, était chef du Forschungsamt (Direction de la recherche scientifique), une opération spéciale de renseignement dirigée par Hermann Göring, et il était également Standartenführer (colonel) de la SS au sein de l’état-major personnel de Heinrich Himmler. Les quatre beaux-frères de Philip, avec lesquels il vivait, sont tous devenus de hauts responsables du parti nazi.

Philip lui-même a perpétué la tradition familiale, ayant d’abord été éduqué dans le cadre d’un programme nazi axé sur l’eugénisme dans les années 1930, avant de fonder en 1961 le Fonds mondial pour la nature (WWF) avec un autre ancien membre du parti nazi, le prince Bernhard des Pays-Bas, eugéniste de longue date et fondateur du groupe Bilderberg. Philip et Bernhard ont été rejoints par Sir Julian Huxley (alors président de la Société eugénique de Grande-Bretagne) en tant que cofondateur du WWF.

Dans une interview accordée en août 1988 à la Deutsche Press Agentur, le Prince Philip a proclamé son désir de revenir dans une prochaine vie sous la forme d’un virus mortel pour aider à « résoudre le problème de la surpopulation ».

Tout au long de sa vie, le prince Philip a fait preuve d’une misanthropie froide en contemplant le zoo humain et en affirmant :

« On ne peut pas garder un troupeau de moutons plus important que ce que l’on est capable de nourrir. En d’autres termes, la conservation peut impliquer l’abattage afin de maintenir un équilibre entre les nombres relatifs de chaque espèce dans un habitat particulier. Je me rends compte qu’il s’agit d’un sujet très délicat, mais il n’en reste pas moins que l’humanité fait partie du monde vivant. Chaque nouvel hectare mis en culture signifie un nouvel hectare refusé aux espèces sauvages ».

Il convient de noter que le roi Charles a poursuivi l’héritage de son père en tant que président de la World Wildlife Foundation britannique, qu’il dirige depuis plus de 30 ans.

Le pedigree nazi de la famille royale et de ses fidèles gestionnaires soulève une question : Pourquoi la poursuite de la doctrine eugénique nazie sous la forme des mouvements d’euthanasie et de croissance zéro n’est-elle pas plus largement connue ? Dans quel monde vivons-nous pour que des faits aussi surprenants ne soient pas connus de tous ?

Le véritable Empire a toujours été une oligarchie financière utilisée par un vaste réseau de structures de pouvoir pour promouvoir les intérêts de l’aristocratie européenne ; l’épicentre actuel du pouvoir est constitué par les monarchies anglo-néerlandaises.

C’est ce pouvoir qui contrôle le groupe Bilderberg et son appendice junior, le Forum économique mondial, et qui oriente la politique américaine par l’intermédiaire du Council on Foreign Relations, basé à New York (la version américaine de Chatham House).

C’est à Lord Lothian, membre éminent de Chatham House, qu’Hitler a exposé en 1937 son concept de nouvel ordre mondial anglo-allemand :

« L’Allemagne, l’Angleterre, la France, l’Italie, l’Amérique et la Scandinavie devraient parvenir à un accord par lequel ils empêcheraient leurs ressortissants d’aider à l’industrialisation de pays tels que la Chine et l’Inde. Il est suicidaire de promouvoir l’établissement d’industries manufacturières dans les pays agricoles d’Asie ».

N’importe quel technocrate prônant le programme « Build Back Better for the World » ou le « Global Green New Deal » aurait pu dire la même chose.

Aujourd’hui, l’Institut canadien des affaires internationales a été rebaptisé Conseil international du Canada (CIC). Le CIC est présidé par Ben Rowswell, spécialiste du changement de régime formé à Oxford, qui a travaillé en étroite collaboration avec la conseillère privée Chrystia Freeland pour tenter de renverser le gouvernement de Maduro en faveur de Juan Guaido, marionnette du FEM, ce qui se poursuit encore aujourd’hui.

L’un des principaux piliers du contrôle des colonies sous influence anglo-néerlandaise reste le système du Conseil privé, qui est centré sur la Grande-Bretagne, mais qui possède des branches secondaires dans certains pays du Commonwealth. C’est sous l’influence du Conseil privé que sont institués des agents de niveau inférieur, sous la forme de sous-ministres, du Conseil du Trésor, de comités restreints et d’autres fonctionnaires nommés dans la fonction publique. D’autres nœuds clés des secteurs public et privé gèrent les intérêts de la Couronne. Tous les membres du cabinet du gouvernement sont nommés conseillers privés et tous les conseillers privés prêtent serment de secret et d’allégeance à la Reine, y compris de garder le secret sur les sujets abordés lors des réunions du conseil privé.

La couronne, clé de la continuité de l’empire

Bien entendu, il serait stupide de croire que Charles (ou tout autre monarque ayant régné précédemment) est une personne à part entière, tout en ignorant l’armada d’assistants, de courtisans et de grands stratèges byzantins qui gravitent autour de la Couronne en tant qu’institution parfois surnommée « la source de tous les honneurs ». La source de tous les honneurs est un terme officiel qui désigne l’idée juridique selon laquelle toute l’autorité pour les affaires publiques et privées émane de la source unique de la Couronne et de sa lignée ininterrompue.

La continuité est essentielle pour un empire, et l’importance de maintenir des institutions qui transcendent les vies individuelles a toujours été une préoccupation majeure.

Dans un monde post-1776 qui commençait à goûter à l’autonomie, à la liberté et à la démocratie en tant que nouveau mode d’auto-organisation, la « stabilité » des institutions héréditaires était gravement menacée.

Les dimensions internationales de 1776 et la manière dont un âge de raison a été subverti

MATTHEW EHRET

4 JUILLET 2021

En ce 4 juillet, une ombre plus grande que d’habitude est projetée sur l’Amérique, qui se trouve confrontée à de sérieux problèmes historiques. Si l’existence d’une oligarchie et d’un « État profond » international ne doit pas être ignorée en tant que force politique de l’histoire — organisant des guerres, des assassinats et promouvant l’asservissement économique des peuples et des nations à travers le monde — il n’en demeure pas moins que l’oligarchie et l’« État profond » ne sont pas des forces politiques.

Lire l’article complet

Il n’est pas exagéré de dire que les 250 dernières années ont été marquées par le choc de ces deux paradigmes opposés d’organisation de la société. Alors qu’un paradigme considère comme évidente l’existence de droits inaliénables pour tous les individus, l’autre système suppose que les seuls droits inaliénables sont ceux détenus par une classe de maîtres oligarchiques qui souhaitent régner sur des sujets (alias : mangeurs inutiles) dont les niveaux de population doivent être périodiquement abattus pour faciliter la gestion.

La supposition que les droits ne peuvent être accordés ou refusés par une lignée supérieure est véritablement anathème pour tout système d’oligarchie, même s’il se dissimule derrière le costume d’une espèce de démocratie conçue pour apaiser la plèbe, mais sans lui donner, à elle ou à ses représentants, les moyens d’influencer quoi que ce soit de vraiment significatif sur leur réalité.

Source

Notes




L’inclusion à l’honneur lors du Couronnement de Charles III

Par Gérard Le Maître

NB : Je ne vais pas me faire que des amis avec cette critique. La Royauté british fait beaucoup rêver, et même en France certains l’envient, imaginant que ce pourrait être l’une des solutions pour notre pays… Pourtant n’avons-nous pas un monarque… selon certaines mauvaises langues…?

L’inclusion à l’honneur lors du Couronnement de Charles III le Charlot-écolo-mondialiste

Couronnement : le roi Charles III souhaite mettre en avant le multiculturalisme

Le Grand Remplacement en marche au Royaume-Uni

Le Grand Remplacement prend tout son sens au Royaume-Uni. Un Premier ministre à Londres d’origine hindoue, un Premier ministre en Écosse d’origine pakistanaise et musulmane, et un maire de Londres tout aussi pakistanais et musulman, témoignent amplement de l’inclusion sous toutes ses formes, chère aux élites britanniques et du Grand Remplacement religieux, ethnique, sociétal, en cours dans l’île des Grands-Bretons.(([1] https://www.medias-presse.info/coran-couronnement-de-charles-iii/174103/))

Après la cérémonie de couronnement, une salutation conjointe des autres religions sera lue.

Selon le programme, des représentants du judaïsme, de l’islam, de l’hindouisme, du bouddhisme et des sikhs salueront Charles III en « voisins dans la foi ».

Ce virage œcuménique est encouragé par l’archevêque de Canterbury, Justin Welby. Par sa fonction, il diffuse ses idées très progressistes : il est favorable à la bénédiction des couples de même sexe, de plus, il aimerait que l’ordination des femmes évêques soit autorisée. C’est en vertu de ses convictions qu’il accepte que la religion anglicane ne soit pas la seule à être représentée lors de la cérémonie.(([2] https://www.bvoltaire.fr/couronnement-le-roi-charles-iii-souhaite-mettre-en-avant-le-multiculturalisme/))

Écologiste, il se dit, le Charlot ? Oui peut-être, il fallait bien qu’il occupe son oisiveté princière richissime et qu’on parle de lui de temps en temps autrement que de ses déboires de cœur et de famille…

Le faste et la débauche de centaines de millions de Sterling vont être claqués, sont-ils bien compatibles avec le bien de la planète ?

Des centaines d’avions et de jets des Grands du Monde vont affluer pour combien de milliers de tonnes de CO2 ? Tout cela est-il bien compatible pour sauver la planète qu’ils disent tellement en danger ??

Mais il est surtout devenu un agent et l’idiot (très) utile du mondialisme du FORUM de DAVOS du sinistre Klaus SCHWAB fils de dignitaire nazi.

Initiative « The Great Reset » : le Forum de Davos, le Prince Charles et autres mondialistes veulent une réinitialisation de l’économie « post-COVID »

Présentant le Great Reset Initiative dont il est l’un des principaux promoteurs, le Prince Charles a même semblé assez satisfait de la situation : « Nous avons une occasion en or de tirer quelque chose de bon de cette crise. Ses ondes de choc sans précédent pourraient bien rendre les gens plus réceptifs aux grandes visions du changement », a-t-il déclaré.

« Le choc et la grande peur mondiale sont en effet de puissants moteurs », disait-il…

Justement cette peur qui a été sublimée par les politiques, les médias, pour faire avaler toutes les restrictions, privations de libertés, obligation des injections de poison, a parfaitement fonctionné

Parmi les citations clefs de la réunion virtuelle en ligne au cours de laquelle le président du Forum économique mondial, le professeur Klaus Schwab, le prince Charles et plusieurs autres personnes ont présenté l’initiative Great Reset, on trouve de nombreuses remarques de ce type.

Affirmant que le « changement climatique » était un danger bien plus grand que la pandémie de coronavirus, le Prince Charles a appelé de ses vœux une « reprise verte » : « C’est une occasion que nous n’avons jamais eue auparavant et que nous n’aurons peut-être plus jamais », a-t-il déclaré. Recourant à des pronoms féminins pour évoquer « la Planète », ce qui revient, en anglais, à lui attribuer une personnalité, Charles a ajouté : « Nos activités ont endommagé son système immunitaire. »(([3] https://tanikomadagascar.wordpress.com/2020/12/08/initiative-the-great-reset-le-forum-de-davos-le-prince-charles-et-autres-mondialistes-veulent-une-reinitialisation-de-leconomie-post-covid/))

« Nous n’avons pas d’alternative, car sinon, à moins que nous ne prenions les mesures nécessaires et que nous reconstruisions d’une manière plus verte, plus durable et plus inclusive, nous finirons par avoir [plus] de pandémies et [plus] de catastrophes accélérant le réchauffement de la planète et le changement climatique », avait déclaré le prince Charles, reprenant le refrain du FEM selon lequel des interventions mondiales majeures dans les pratiques commerciales et les habitudes de consommation sont nécessaires pour éviter une « catastrophe imminente ».(([4] https://www.cqv.qc.ca/tags/prince_charles))

Les mêmes qui étaient les « invités » à Davos (dont Le Prince Charles) seront présents à ce grand raout…

Et pour finir une histoire bien triste.
La vie est dure parfois !
(pour certains plus que pour d’autres !!)

Quand j’étais gamin, mon père trompait ma mère et n’aimait pas ma famille.
Plus tard, mes parents ont divorcé.
Par la suite, ma mère est morte dans un accident de voiture.
Du coup, mon frère et moi vivions dans la grande maison de ma grand-mère.
La sœur de ma grand-mère était alcoolique.
Toute la famille vivait aux crochets de ma grand-mère, ce, grâce à ses économies.
Mon oncle a échappé à la prison grâce à un arrangement entre ma grand-mère et la justice.
Grand-mère est décédée récemment.
Mon petit frère a quitté la famille pour aller vivre à l’étranger et ne nous adresse plus la parole.
Papa, maintenant âgé de 73 ans, doit commencer à travailler pour subvenir aux besoins de la famille.
Et il va certainement me demander d’en faire autant…

Sincères salutations,
Prince William
Futur Roi d’Angleterre




La révolte française

[Source : AVATAR Media]

[Voir aussi :
Changer le Système ?]

LIVRES DE BONNAL CHEZ AVATAR EDITION

LIVRES DE N. BONNAL CHEZ D’AUTRES ÉDITEURS

LIVRES DE TETYANA POPOVA-BONNAL

SITE DE NICOLAS BONNAL

https://nicolasbonnal.wordpress.com/




Le programme vert « zéro carbone » est impossible à tous les égards

[Source : reseauinternational.net]

Par F. William Engdahl

Pourquoi les grands gouvernements, les entreprises, les groupes de réflexion et le Forum économique mondial de Davos font-ils tous la promotion d’un programme mondial « zéro carbone » visant à éliminer l’utilisation du pétrole, du gaz et du charbon ? Ils savent que le passage à l’électricité solaire et éolienne est impossible. C’est impossible parce que la demande de matières premières, du cuivre au cobalt en passant par le lithium, le béton et l’acier, dépasse l’offre mondiale.

C’est impossible en raison du coût faramineux des batteries de secours pour un réseau électrique « fiable » 100 % renouvelable. C’est également impossible sans provoquer l’effondrement de notre niveau de vie actuel et une rupture de notre approvisionnement alimentaire qui entraînera des décès massifs dus à la famine et à la maladie. Tout cela pour une fraude scientifique appelée réchauffement climatique d’origine humaine ?

La corruption éhontée qui entoure la récente campagne de vaccination menée par les grandes sociétés pharmaceutiques et les principaux responsables gouvernementaux à l’échelle mondiale est encore plus évidente lorsque l’on constate que les gouvernements de l’Union européenne et des États-Unis s’efforcent inconsidérément de promouvoir un programme vert dont les coûts et les avantages ont rarement fait l’objet d’un examen ouvert. Il y a une bonne raison à cela. Il s’agit d’un programme sinistre visant à détruire les économies industrielles et à réduire la population mondiale de plusieurs milliards d’êtres humains.

Nous pouvons examiner l’objectif déclaré de zéro carbone au niveau mondial d’ici à 2050, l’Agenda 2030 de l’ONU, prétendument pour empêcher ce qu’Al Gore et d’autres prétendent être un basculement vers une élévation irréversible du niveau de la mer, des « océans en ébullition », la fonte d’icebergs, une catastrophe mondiale et pire encore. Dans l’un de ses premiers actes, Joe Biden a proclamé en 2021 que l’économie des États-Unis deviendrait zéro carbone net d’ici à 2050 pour les transports, l’électricité et la fabrication. L’Union européenne, sous la direction d’Ursula von der Leyen, notoirement corrompue, a annoncé des objectifs similaires dans le cadre de son programme « Fit for 55 » et d’innombrables autres programmes verts.

L’agriculture et tous les aspects de l’agriculture moderne sont visés par de fausses allégations de dommages causés au climat par les gaz à effet de serre. Le pétrole, le gaz naturel, le charbon et même l’énergie nucléaire sans CO2 sont progressivement abandonnés. Pour la première fois dans l’histoire moderne, nous sommes poussés à passer d’une économie plus efficace sur le plan énergétique à une économie nettement moins efficace sur le plan énergétique. Personne à Washington, Berlin ou Bruxelles ne parle des véritables ressources naturelles nécessaires à cette fraude, et encore moins de son coût.

Une énergie verte et propre ?

L’un des aspects les plus remarquables de l’engouement mondial frauduleux pour les énergies vertes dites « propres et renouvelables » – solaire et éolienne – est leur caractère non renouvelable et écologiquement polluant. Presque aucune attention n’est accordée aux coûts environnementaux stupéfiants liés à la fabrication des gigantesques tours éoliennes, des panneaux solaires ou des batteries lithium-ion des véhicules électriques. Cette grave omission est délibérée.

Les panneaux solaires et les éoliennes géantes nécessitent d’énormes quantités de matières premières. Une évaluation technique standard de la production d’électricité solaire et éolienne « renouvelable » par rapport à la production actuelle d’électricité nucléaire, de gaz ou de charbon commencerait par une comparaison des matériaux en vrac utilisés, tels que le béton, l’acier, l’aluminium et le cuivre, consommés pour la production d’un térawattheure (TWh) d’électricité. L’énergie éolienne consomme 5 931 tonnes de matériaux en vrac par TWh, et l’énergie solaire 2441 tonnes, toutes deux bien plus élevées que le charbon, le gaz ou le nucléaire. La construction d’une seule éolienne nécessite 900 tonnes d’acier, 2500 tonnes de béton et 45 tonnes de plastique non recyclable. Les parcs solaires nécessitent encore plus de ciment, d’acier et de verre, sans parler des autres métaux. Il ne faut pas oublier que l’efficacité énergétique de l’énergie éolienne et solaire est nettement inférieure à celle de l’électricité conventionnelle.

Une étude récente de l‘Institute for Sustainable Futures détaille les exigences impossibles à satisfaire en matière d’exploitation minière, non seulement pour les véhicules électriques, mais aussi pour l’énergie électrique 100 % renouvelable, principalement les parcs solaires et éoliens. Le rapport note que les matières premières nécessaires à la fabrication des panneaux solaires photovoltaïques ou des éoliennes sont concentrées dans un petit nombre de pays : la Chine, l’Australie, la République démocratique du Congo, le Chili, la Bolivie et l’Argentine.

Il souligne que

« la Chine est le plus grand producteur de métaux utilisés dans les technologies solaires, photovoltaïques et éoliennes, avec la plus grande part de production d’aluminium, de cadmium, de gallium, d’indium, de terres rares, de sélénium et de tellure. En outre, la Chine exerce une grande influence sur le marché du cobalt et du lithium pour les batteries ». Et de poursuivre : « Alors que l’Australie est le plus grand producteur de lithium […] la plus grande mine de lithium, Greenbushes, en Australie occidentale, est détenue en majorité par une société chinoise ».

Ce n’est pas très bon quand l’Occident intensifie la confrontation avec la Chine.

En ce qui concerne l’énorme concentration de cobalt, ils notent que la République démocratique du Congo exploite plus de la moitié du cobalt mondial. L’exploitation minière dans ce pays a entraîné

« la contamination de l’air, de l’eau et du sol par des métaux lourds […], ce qui a eu de graves répercussions sur la santé des mineurs et des communautés environnantes en République démocratique du Congo, et la zone d’extraction du cobalt est l’un des dix endroits les plus pollués au monde. Environ 20% du cobalt provenant de la République démocratique du Congo est extrait par des mineurs artisanaux et à petite échelle qui travaillent dans des conditions dangereuses dans des mines creusées à la main et où le travail des enfants est très répandu ».

L’extraction et le raffinage des terres rares sont essentiels à la transition vers le zéro carbone dans les batteries, les éoliennes et les panneaux solaires. Selon un rapport du spécialiste de l’énergie Paul Driessen,

« la plupart des minerais de terres rares du monde sont extraits près de Baotou, en Mongolie intérieure, en pompant de l’acide dans le sol, puis traités à l’aide d’autres acides et produits chimiques. La production d’une tonne de métaux de terres rares libère jusqu’à 420 000 pieds cubes de gaz toxiques, 2600 pieds cubes d’eaux usées acides et une tonne de déchets radioactifs. Les boues noires qui en résultent sont déversées dans un lac nauséabond et sans vie. De nombreux habitants de la région souffrent de graves maladies cutanées et respiratoires, les enfants naissent avec des os mous et les taux de cancer ont grimpé en flèche ».

Les États-Unis envoient également la plupart de leurs minerais de terres rares en Chine pour qu’ils y soient traités depuis qu’ils ont mis fin à la transformation nationale sous la présidence Clinton.

Parce qu’elles sont beaucoup moins efficaces sur le plan énergétique, les terres utilisées pour produire l’électricité mondiale sans émission de carbone sont stupéfiantes. L’éolien et le solaire nécessitent jusqu’à 300 fois plus de terrain pour produire la même électricité qu’une centrale nucléaire classique. En Chine, 25 kilomètres carrés d’un parc solaire sont nécessaires pour produire 850 MW d’électricité, soit la taille d’une centrale nucléaire classique.

Coût pour le sol

Presque aucune étude du lobby vert n’examine la chaîne de production totale, de l’exploitation minière à la production de panneaux solaires et d’éoliennes, en passant par la fonte. Au lieu de cela, ils font des affirmations frauduleuses sur le prétendu coût inférieur par KWh de la production solaire ou éolienne à des coûts hautement subventionnés. En 2021, le professeur Simon P. Michaux du Geological Survey of Finland (GTK) a publié une étude inhabituelle sur les coûts des matières premières nécessaires à la mise en place d’une économie mondiale sans carbone. Les coûts sont stupéfiants.

Michaux souligne tout d’abord la réalité actuelle du défi de l’économie zéro carbone. En 2018, le système énergétique mondial dépendait à 85 % des combustibles carbonés (charbon, gaz, pétrole). Un autre 10 % provenait du nucléaire, pour un total de 95 % d’énergie conventionnelle. Seuls 4 % provenaient des énergies renouvelables, principalement le solaire et l’éolien. Nos politiciens parlent donc de remplacer 95 % de notre production énergétique mondiale actuelle d’ici à 2050 au plus tard, et une grande partie de cette production d’ici à 2030.

En ce qui concerne les véhicules électriques (voitures, camions ou bus), moins de 1 % du parc automobile mondial, qui compte quelque 1,4 milliard de véhicules, est aujourd’hui électrique. Il estime que

« la capacité annuelle totale d’électricité produite à partir de combustibles non fossiles à ajouter au réseau mondial devra être d’environ 37 670,6 TWh. Si l’on part de l’hypothèse d’un mix énergétique non fossile identique à celui de 2018, cela se traduit par 221 594 nouvelles centrales électriques supplémentaires à construire… Pour replacer ces chiffres dans leur contexte, le parc total de centrales électriques en 2018 (tous types confondus, y compris les centrales à combustibles fossiles) n’était que de 46 423 stations. Ce nombre élevé reflète le ratio de rendement énergétique de l’énergie investie (ERoEI) plus faible de l’énergie renouvelable par rapport aux combustibles fossiles actuels ».

Michaux estime en outre que si nous devions passer au tout VE,

« pour fabriquer une seule batterie pour chaque véhicule du parc mondial de transport (à l’exclusion des camions de classe 8), il faudrait 48,2 % des réserves mondiales de nickel de 2018 et 43,8 % des réserves mondiales de lithium. Les réserves actuelles de cobalt ne sont pas non plus suffisantes pour répondre à cette demande… Chacune des 1,39 milliard de batteries lithium-ion ne pourrait avoir qu’une durée de vie utile de 8 à 10 ans. Ainsi, 8 à 10 ans après leur fabrication, de nouvelles batteries de remplacement seront nécessaires, soit à partir d’une source minérale extraite, soit à partir d’une source métallique recyclée. Cela ne sera probablement pas pratique ».

Il décrit le problème de manière très légère.

Michaux attire également l’attention sur l’énorme demande de cuivre :

« Rien que pour le cuivre, il faut 4,5 milliards de tonnes (1000 kilogrammes par tonne) de cuivre, soit environ six fois le total de la production mondiale. C’est environ six fois la quantité totale que l’homme a extraite de la Terre jusqu’à présent. Le ratio roche-métal pour le cuivre étant supérieur à 500, il faudrait extraire et raffiner plus de 2250 milliards de tonnes de minerai ».

Et pour fonctionner, les équipements miniers devraient être alimentés par des moteurs diesel.

Michaux conclut simplement :

« Pour éliminer progressivement les produits pétroliers et remplacer l’utilisation du pétrole dans le secteur des transports par un parc de véhicules entièrement électriques, une capacité supplémentaire de 1,09 × 1013 kWh (10 895,7 TWh) de production d’électricité est nécessaire de la part du réseau électrique mondial pour charger les batteries des 1,416 milliard de véhicules du parc mondial. Comme la production mondiale totale d’électricité en 2018 était de 2,66 × 1013 kWh (annexe B), cela signifie que pour rendre viable la révolution des VE, il faut ajouter une capacité supplémentaire de 66,7 % de l’ensemble de la capacité mondiale existante de production d’électricité… La tâche consistant à faire la révolution des batteries des VE est d’une ampleur beaucoup plus grande que ce que l’on pensait auparavant ».

Il s’agit uniquement de remplacer les moteurs à combustion interne des véhicules à l’échelle mondiale.

[Voir aussi :

La solution : construire des véhicules plus petits, plus légers, avec moins d’équipement…

]

L’éolien et le solaire ?

Si l’on considère ensuite la proposition de remplacer les sources d’énergie électrique conventionnelles actuelles à 95 % par des panneaux solaires et de l’énergie éolienne sur terre et en mer pour atteindre l’objectif absurde et arbitraire de zéro carbone dans les prochaines années, tout cela pour éviter le faux « point de basculement » d’Al Gore, à savoir une augmentation de 1,5 °C de la température moyenne de la planète (qui est elle-même une notion absurde), le calcul devient encore plus absurde.

Le principal problème des parcs éoliens et solaires est qu’ils ne sont pas fiables, ce qui est essentiel pour notre économie moderne, même dans les pays en développement. Les pannes d’électricité imprévisibles qui affectent la stabilité du réseau étaient pratiquement inexistantes aux États-Unis ou en Europe avant l’introduction des grandes centrales solaires et éoliennes. Si nous insistons, comme le font les idéologues du zéro carbone, pour qu’aucune centrale de secours au pétrole, au gaz ou au charbon ne soit autorisée à stabiliser le réseau en période de faible ensoleillement, comme la nuit, les jours nuageux ou l’hiver, ou lorsque le vent ne souffle pas à la vitesse optimale, la seule réponse sérieuse envisagée est de construire des batteries de stockage pour les véhicules électriques, en grande quantité.

Les estimations du coût d’une telle batterie de secours varient. Van Snyder, mathématicien et ingénieur système à la retraite, calcule le coût d’une telle batterie de secours pour le réseau électrique des États-Unis afin de garantir une électricité fiable et régulière au niveau actuel :

« Combien coûteraient les batteries ? En prenant l’hypothèse la plus optimiste de 400 wattheures – ce qu’un véritable ingénieur ne ferait jamais – et en supposant que l’installation est gratuite – ce qu’un véritable ingénieur ne ferait jamais non plus – on pourrait consulter le catalogue de Tesla et découvrir que le prix est de 0,543 dollar par wattheure – avant l’installation – et que la période de garantie, à peu près égale à la durée de vie, est de dix ans. Les activistes insistent sur le fait qu’une économie américaine entièrement électrique aurait une demande moyenne de 1700 gigawatts. Si l’on évalue la formule 1 700 000 000 000 x 400 x 0,543 / 10, la réponse est 37 000 milliards de dollars, soit environ deux fois le PIB total des États-Unis en 2020, chaque année, pour les seules batteries ».

Une autre estimation de Ken Gregory, également ingénieur, est également incroyablement élevée. Il calcule :

« Si l’énergie électrique produite à partir de combustibles fossiles n’est pas disponible pour soutenir l’énergie S+W hautement variable et que seules des batteries peuvent être utilisées comme secours, ce dernier devient extrêmement coûteux… Le coût total de l’électrification des États-Unis s’élève à 258 000 milliards de dollars selon le profil 2019 et à 290 000 milliards de dollars selon le profil 2020 ».

L’agenda caché

Il est clair que les puissances à l’origine de ce programme fou de zéro carbone sont conscientes de cette réalité. Ils s’en moquent, car leur objectif n’a rien à voir avec l’environnement. Il s’agit d’eugénisme et d’abattage du troupeau humain, comme l’a fait remarquer feu le prince Philip.

Maurice Strong, fondateur du Programme des Nations unies pour l’environnement, a déclaré dans son discours d’ouverture du Sommet de la Terre de Rio en 1992 :

« Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-il pas de notre responsabilité d’y parvenir ? ».

Lors du sommet de Rio, Strong a supervisé la rédaction des objectifs de l’ONU en matière d’« environnement durable », de l’Agenda 21 pour le développement durable qui constitue la base de la Grande Réinitialisation de Klaus Schwab, ainsi que la création du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU.

Strong, un protégé de David Rockefeller, a été de loin la personnalité la plus influente derrière ce qui est aujourd’hui l’Agenda 2030 de l’ONU. Il était co-président du Forum économique mondial de Davos de Klaus Schwab. En 2015, lors du décès de Strong, le fondateur de Davos, Klaus Schwab, a écrit : « Il était mon mentor depuis la création du Forum : un grand ami, un conseiller indispensable et, pendant de nombreuses années, un membre de notre conseil de fondation ».

Article original en anglais : Davos WEF is Promoting Impossible Zero Carbon Green Agenda. All this for a scientific fraud called man-made global warming?

Traduction Réseau International






Changer le Système ?

Par Joseph Stroberg

Si par « Système » on entend l’organisation de la vie collective humaine et ceci plus particulièrement à notre époque et donc dans ses circonstances actuelles, dans quelle mesure et de quelle manière peut-on alors le changer volontairement ? Est-il humainement faisable et facile de changer la forme des gouvernements, les institutions administratives, financières ou juridiques diverses, le tissu économique, les bases culturelles et éducatives, etc. qui à eux tous représentent le Système ?

L’Histoire et la mémoire humaine tendent à indiquer que cette vie commune ou d’ensemble a déjà changé de forme et d’expression selon les lieux et les ères. Cependant, ces changements apparaissent le plus souvent aux historiens comme fortuits ou involontaires, résultats d’événements extérieurs, éventuellement catastrophiques, de concours de circonstances qui peuvent demander de nouvelles formes de réponses et d’organisation, rarement ou jamais le fruit d’une volonté collective exprimée dans une direction bien définie.

Par contre, de nos jours, il existe d’un côté une petite minorité puissamment organisée qui cherche à « réinitialiser » la société, voire la civilisation entière, sur un modèle qui en gros conserverait pourtant le pire du système actuel pour le peuple et offrirait ainsi son meilleur matériel aux élites dominantes. Et d’un autre côté, une autre minorité, en volume croissant, n’en peut plus de la situation, et peut en venir non pas à vouloir changer « le » Système pour en faire une énième variante tout aussi dysfonctionnelle que les précédentes, mais souhaiterait même carrément changer « de » système. Malheureusement, elle ne sait pas vraiment quoi créer d’autre ou comment le faire, à part quelques rares individus qui ont une idée plus précise de ce qu’ils souhaitent. Néanmoins, elle ne veut surtout pas du modèle proposé par la première minorité. Est-ce qu’au moins l’une d’elles est susceptible de concrétiser son objectif ?

Un système d’organisation collective humaine peut trouver deux sources principales d’inspiration : l’une que l’on qualifiera ici de « verticale », d’origine cosmique, spirituelle, ou encore « divine » ; et l’autre qualifiée d’« horizontale », de conception matérialiste ou artificielle. Paradoxalement, chacune portant sa croix, la seconde est fortement hiérarchique en disposition pyramidale verticale, avec les dominateurs tout au sommet et les esclaves à la base. Mais la première offre à chacun la même chance de s’exprimer et de vivre, considérant tous les individus sur un pied d’égalité, sans qu’aucun ne cherche à dominer les autres. Au contraire, les idées de service et d’humilité dans ce service y sont mises en avant : le vrai « roi » sert son peuple, mais ne se fait pas servir par lui.

Le premier système est verticalement relié au divin et agit horizontalement. Le second est horizontal matérialiste, mais agit verticalement, en écrasant la base. Comme l’écrasement ne pourrait se faire sous le seul poids de l’infime minorité du sommet, la verticale est découpée en une série de niveaux hiérarchiques de plus en plus « bas », caractérisés chacun par un nombre d’individus inversement proportionnel au pouvoir et à la liberté d’action dont dispose chaque membre de cet étage. Comme le second niveau depuis le haut compte plus d’individus que le premier, mais comme chacun de ces derniers dispose de moins de pouvoir (et se laisse écraser par les individus du sommet), le premier niveau se sert des individus du second pour écraser indirectement le troisième niveau, car par vengeance ou par simple continuité ou transfert de la même logique, les individus du second étage hiérarchique écrasent à leur tour ceux du troisième pourtant plus nombreux. Et ainsi de suite jusqu’au rez-de-chaussée où la base se trouve écrasée de proche en proche finalement par le sommet. Chaque niveau écrase celui immédiatement sous lui et se trouve écrasé par celui du dessus.

Une société matérialiste ne peut ainsi s’organiser que sur le modèle de la pyramide hiérarchique. Le poids du matériel est transféré progressivement aux étages inférieurs de la pyramide hiérarchique pendant que le sommet s’allège matériellement, en bénéficiant de nombreux privilèges, sous le prétexte d’avoir plus de responsabilités. Mais une société d’inspiration spirituelle ne peut s’organiser que sur le modèle de la croix debout : une inspiration verticale pour éclairer le monde ; l’égalité de traitement, de considération et des chances sur la branche horizontale ; le service et le sacrifice du « roi » ou du « messie » pour son peuple, à l’intersection des deux branches de la croix. Ce guide ou cet éclaireur ne s’y trouve pas plus privilégié matériellement que les autres et le seul privilège dont il dispose est celui de servir le plus grand nombre.

Tous les systèmes organisés par les êtres humains sont des expressions plus ou moins parfaites ou au contraire plus ou moins combinées de ces deux modèles de base. Plus l’Humanité se laisse inspirer par le divin, et plus elle développe l’approche de la croix tout en utilisant des analogies tirées de la nature en général ou de la forme humaine en particulier pour la mise en forme détaillée de sa société ou de sa civilisation. À l’inverse, plus elle développe l’approche matérialiste, et plus elle est artificielle, pyramidale, et tend à inverser les modèles proposés par la nature et à se forger une vision des choses opposée aux grands principes cosmiques. C’est ainsi, par exemple, qu’une humanité dominée par le matérialisme en est venue à croire que la nature reposait sur la compétition, la survie des plus forts, la « loi de la jungle », jusqu’à des niveaux microscopiques, au lieu de percevoir la fabuleuse coopération qui existe entre les myriades d’espèces vivantes, humaines, animales, végétales et même minérales, ceci effectivement jusqu’aux niveaux microscopiques. La maladie dans l’un de ces règnes provient d’un déséquilibre et ce dernier naît d’excès (ou d’empoisonnements) ou de déficiences dans l’acquisition, la distribution et/ou l’assimilation des ressources alimentaires ou énergétiques d’un ordre ou d’un autre.

Actuellement, le nouveau système voulu et promu par l’élite mondialiste est d’essence profondément matérialiste et artificielle. Pour la plus grande partie des populations du monde, il se traduit par une souffrance croissante sous le poids de l’écrasement par le sommet pyramidal. Celui-ci tend à monopoliser les ressources1 énergétiques, minérales, alimentaires, informationnelles (en en faisant des organes de propagande, de désinformation et d’abrutissement), éducationnelles (idem), culturelles (idem), etc. grâce aux échelons intermédiaires qui collaborent, volontairement ou aveuglément, au processus de « réinitialisation ». L’inversion de la Création ou des lois cosmiques se traduit en particulier par la montée de la théorie du genre et du transhumanisme et par la destruction croissante des religions et des valeurs traditionnelles qui avaient déjà perdu depuis des siècles leurs fondements au profit de la lettre et des codes (idéologiques, superstitieux, juridiques… et plus récemment informatiques et normatifs).

En réalité, l’élite mondialiste ne veut surtout pas changer le Système, et encore moins changer de système. Elle s’efforce seulement de le redémarrer avec un ensemble de conditions qui lui soient encore plus favorables qu’à l’époque de Nimrod et de la tour de Babel. Le chaos qu’elle produit lors du redémarrage n’est certainement pas pour elle, mais uniquement pour le peuple. Du moins si elle parvient à réaliser son plan jusqu’au bout. Elle veut toujours un monde basé sur les pyramides et le matérialisme, le culte du veau d’or qui lui a si bien réussi par le passé, les sacrifices humains, des enfants et des vierges pour en aspirer la vie… Elle se réserve des bases de repli, des abris antiatomiques, de véritables villes souterraines, et en surface des territoires immenses volés aux nations, les zones « protégées » où les individus ordinaires n’ont pas le droit d’aller. Elle a accaparé les ressources multiples de la planète, n’en laissant que des miettes aux milliards d’êtres humains du commun des mortels. Et ceux-ci n’ont guère bronché, car aveuglés, rendus sourds, fainéants, oisifs et abrutis, non seulement par le pain et les jeux, mais aussi par un petit confort matérialiste auquel ils s’attachent, par la destruction des grandes religions, par la propagande éducative, par l’encouragement au vice, par la déresponsabilisation, par les sortilèges modernes qui les maintiennent dans la peur, la confusion, les mirages et l’illusion…

Si certains êtres humains désirent ou veulent plus ou moins ardemment changer complètement de système et ne surtout pas risquer de retomber dans l’un des vieux schémas éculés, ils doivent se donner les moyens de le faire et cette fois abandonner les pyramides, pour viser la croix. L’Église Catholique Romaine a peut-être cru que donner aux églises de pierre une forme de croix suffirait à amener le règne d’un Christ, d’un Messie ou d’un Grand Monarque sur Terre. Cependant, celle-ci était couchée, tombée sur le sol, déracinée, sans plus de dimension verticale, et finalement réduite symboliquement au matérialisme concrétisé par les pierres, alors que l’Église du Christ était faite d’Hommes de chair et de sang. À un moment de cette aventure chrétienne déracinée, peut-être sous l’impulsion de quelques-uns des nombreux saints qui survivaient malgré tout en terre de France, la fille aînée de l’Église, on tenta de redonner une dimension verticale aux églises de pierre en érigeant alors les cathédrales gothiques. Cela ne fut visiblement pas suffisant, car ce pays connut ensuite la Révolution matérialiste. Cette dernière décapita d’abord la royauté — le lieutenant du Christ en terre de France — en 1793, avant de décapiter ensuite la bête ecclésiale de pierres elle-même, en 1798. Le tyran napoléonien lui enleva son terrain de chasse et la blessa mortellement en enfermant le pape.

S’il existe effectivement un Créateur, bien des chrétiens en général, et des catholiques en particulier, peuvent se demander comment un tel fait a été rendu possible si la France était bien la fille aînée de l’Église et si en le sein du Catholicisme romain subsistait encore au moins quelques traces d’esprit christique grâce notamment à des saints, à des prêtres de campagnes à forte vocation, ou encore à des moines serviteurs retirés en leur monastère. Eh bien, est-ce que cette Église de pierres suivait les traces et les enseignements du Christ, surtout aux plus hauts niveaux de sa pyramide hiérarchique ? Se montrait-elle humble, réellement charitable (et donc matériellement désintéressée), parangon d’amour et de pardon ? Qu’en était-il avec par exemple l’inquisition, les croisades, l’extermination des Albigeois ou encore le bûcher de Jeanne d’Arc ? Qu’aurait dit ou fait le Christ en voyant de tels « œuvres » ? Ne disait-il pas que l’on reconnaît l’arbre à ses fruits ?

La Création ne s’est pas opposée à la blessure mortelle du Catholicisme Romain, parce que celui-ci s’était dangereusement écarté de sa source christique. La Révolution française et Napoléon ont ainsi largement contribué au fait que nombre de Français confondent maintenant le christianisme originel avec sa déflexion catholique romaine au point que certains sont devenus de purs matérialistes ou que d’autres haïssent les chrétiens sans distinction. Maintenant, quel rapport avec la possibilité ou non de changer de système ? Eh bien, ceci a été mentionné ou au moins esquissé : pour réellement changer de système, comme l’actuel est basé sur la pyramide depuis plusieurs millénaires, l’alternative est de baser le nouveau sur la croix. Et tant qu’à faire, autant profiter de la voie indiquée il y a 2000 ans.

Les fondements de l’enseignement du Christ sont l’Amour, le Pardon, la Charité et l’Humilité. Et nul être humain ne peut réclamer le système alternatif à l’actuel s’il ne démontre pas lui-même suffisamment de telles qualités ou manières d’être et de se comporter. Il doit devenir le changement qu’il réclame pour la société. De manière naturelle, lorsqu’un volume suffisant d’êtres humains suivra une telle voie démonstratrice au niveau individuel, alors le changement civilisationnel se fera spontanément et en douceur. Ou bien, la condition sera présente pour qu’un changement soudain et plus ou moins miraculeux ou surnaturel se produise. « Aide-toi et le Ciel t’aidera ». Cela vaut aussi pour l’Humanité comme être collectif.

Les variations autour d’un système de type croix sont aussi nombreuses que celles qui ont pu avoir lieu principalement d’après la pyramide. L’Humanité n’aura que l’embarras du choix pour peaufiner la ou les formes de gouvernements, d’institutions, d’organisations ou de communautés diverses à adopter dans son Nouveau Monde radicalement différent du Nouvel Ordre Mondial. Chaque nation, chaque région, chaque groupe devrait alors être en mesure de s’autodéterminer et de choisir la forme qui lui convient le mieux. Ils seront tous libres d’en changer en fonction des circonstances. Et si par malheur certains d’entre eux voulaient de nouveau expérimenter des formes pyramidales, il conviendrait tout au plus de chercher à les en dissuader par la discussion raisonnable, leur rappelant les souffrances qui généralement en découlent (à part éventuellement pour ceux du sommet). Si nous avons été créés dotés de libre arbitre, il y a peu de chances que ce soit pour restreindre la liberté d’autrui.

Un nouveau système basé sur la croix, dans lequel l’Humanité se met à l’écoute de sa dimension spirituelle, se laisse ainsi inspirer par le divin, s’accompagne par essence du respect de la liberté individuelle et collective, ce qui se traduit notamment par la souveraineté aussi bien des nations que des divers groupes humains jusqu’au niveau individuel lui-même. Nul ne cherche plus à imposer sa volonté, ses idées ou ses croyances à d’autres, car le faire ferait automatiquement retomber dans les hiérarchies pyramidales oppressantes. Cependant, une telle liberté reste illusoire, factice ou seulement très temporaire si elle n’est pas fondée à la fois sur la responsabilité et sur la vérité, car l’irresponsabilité et le mensonge la détruisent plus ou moins rapidement.

Un individu irresponsable, par exemple lorsqu’il ne peut pas ou ne veut pas se préoccuper des conséquences possibles de ses choix et de ses actes (y compris de ses paroles), ou qui laisse porter aux autres ce qui devrait relever de sa propre responsabilité permet ainsi ou demande inconsciemment aux autres de décider à sa place, lui enlevant donc automatiquement la partie correspondante de liberté qui se trouve désormais assumée par autrui. C’est d’ailleurs la raison fondamentale pour laquelle les individus qui cherchent à se propulser au sommet des pyramides hiérarchiques mettent en œuvre des moyens ou des techniques pour amener les peuples à se comporter de manière de plus en plus irresponsable (notamment par la stimulation de la frivolité, de l’infantilisation et de l’addiction à des drogues) ou à réclamer la sécurité matérielle au détriment de leur liberté (par la stimulation de la peur, notamment via le terrorisme d’État, des psyops [opérations psychologiques] ou divers récits ou contes de fées plus ou moins terrorisants, comme le récent de la Covid…). En procédant ainsi, ils volent la liberté des autres ainsi d’ailleurs que leurs capacités créatrices afin d’en profiter des fruits. Ces individus se comportent comme des parasites prédateurs et n’ont aucune volonté de fonctionner de manière harmonieuse et symbiotique avec le reste de l’Humanité.

Un individu qui s’enferme dans le mensonge construit de fait une prison mentale qui peut s’accompagner d’une prison affective ou émotionnelle, surtout si la culpabilité, la honte, la peur d’être « découvert » ou d’autres sentiments négatifs s’en mêlent. C’est la raison fondamentale pour laquelle une liberté réelle ne peut s’obtenir dans ou par le mensonge. À l’inverse, la vérité nous affranchit.

« Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libres. »

Jean 8:32

La France est le pays des Francs, littéralement « les hommes libres », affranchis du mensonge. Elle est considérée par certains juifs et par certains chrétiens comme la seconde Jérusalem. Fille aînée de l’Église du Christ, elle est la terre des Français, ou des « François » en ancien français. Eh théorie, elle est donc particulièrement prédisposée à accueillir la Jérusalem céleste (Apocalypse 21.9-22,5), que l’on peut voir comme un nouveau système d’organisation humaine inspiré non plus sur la pyramide, mais sur la croix (qui est aussi un cube déplié ou « déployé ») :

Si l’on s’en tient aux dimensions exprimées par Jean de Patmos dans son texte prophétique et qu’on veut y voir une interprétation au moins partiellement concrète, alors la taille d’un côté du cube étant d’environ 2200 kilomètres, cela déborderait bien sûr la taille de la France seule et la surface d’une de ses faces représenterait environ 4,84 millions de kilomètres carrés, soit un peu plus que celle de la stricte Europe actuelle. Et si l’on considère la superficie totale du cube, soit 6 fois plus ou encore 29 millions de kilomètres carrés, cela pourrait inclure la totalité de la Russie et du Proche-Orient. En traduction plus symbolique, ceci pourrait signifier que la matérialisation de la Croix démarrant en France se propagerait dans un premier temps à l’Europe entière, puis déborderait sur le reste de la Russie, du Proche-Orient, et possiblement de l’Afrique du Nord, avant de se répandre sur la Terre entière. Aussi sûrement que le modèle antichristique imposé par la Révolution Française a fini par contaminer la planète entière, un réel nouveau système reposant enfin sur autre chose que la pyramide pourrait gagner le monde entier à partir de ce même pays.

Bien des êtres humains en général et des Français en particulier se plaignent de leurs gouvernements, de leurs leaders politiques, de leurs institutions, etc. sans réaliser la cause profonde de leur état corrompu. Ils ne peuvent pourtant pas réclamer et surtout obtenir un nouveau système s’ils ne réunissent pas auparavant les conditions nécessaires et suffisantes pour cela. L’une d’elles est d’accepter de voir la réalité en face, ceci en déchirant les voiles de l’illusion matérialiste et les multiples mensonges qu’elle a produits. Une autre est de se reconnecter à son âme et à sa dimension spirituelle. Une autre encore est de devenir soi-même le changement que l’on souhaite voir apparaître dans le monde. Et en fait, la seconde favorise les deux autres et elle tend à nous faire suivre spontanément l’exemple du Christ ou la voie du Bouddha et d’autres grands sages du passé qui au final aboutissent au même résultat : la libération par l’éveil au Réel et par le déploiement des qualités divines en l’Homme. Le bourgeon se transforme en fleur, puis en fruit. La chenille se transforme en papillon. Le plomb se transforme en or. Les ténèbres sont dissipées par la lumière.

On ne peut pas réclamer de l’Univers, de Dieu ou des autres ce que l’on n’est pas prêt soi-même à offrir. Si l’on souhaite une vie collective harmonieuse, il est nécessaire de commencer par trouver l’harmonie, et notamment la santé, en soi-même, car la maladie, y compris mentale ou affective, est le signe d’un déséquilibre, d’un manque d’harmonie : on absorbe trop de certaines choses, mais pas assez d’autres ; et souvent, on ne donne pas suffisamment. La vie sur Terre pourrait devenir une sorte de petit paradis, car cette planète est merveilleuse de vie et de beauté. Mais tout ce que l’Homme a trouvé à faire a été de la blesser, de l’enlaidir, de la corrompre, par paresse, avidité, recherche du confort, égoïsme… Et maintenant il se plaint, il souffre, il subit les conséquences de ce qu’il a produit par le passé. Il veut changer de Système : la forme des gouvernements, de l’économie, de la justice, de l’éducation, etc. Il doit commencer par se laver, par enlever sa propre corruption, par ouvrir ses oreilles, ses yeux, son esprit et son cœur. Aide-toi, le Ciel t’aidera.



1 Voir aussi :
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources




Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19

[Source : gibraltar-messenger.net via nicolasbonnal]

Ricardo Delgado :

« Malgré les preuves, ils continuent de nier. »

Entretien avec Ricardo Delgado, biostatisticien, fondateur et directeur de La Quinta Columna
(à propos de l’oxyde de graphène dans les « injectables » et de son utilité).

Par Magdalena del Amo

Des milliers de personnes, certaines vivant dans la ville de Séville (Espagne) et d’autres en streaming dans le reste du monde, ont pu contempler au microscope le contenu des vaccins, gardés secrets comme n’importe quelle arme de guerre.
Cet événement a eu lieu juste au troisième anniversaire de cette période de dystopie qu’ils ont appelée pandémie, causée par un virus tueur et contagieux qui n’existe pas, pas plus que les vagues [épidémiques] et les variants. Et oui, à la place, des milliers d’antennes [5G] irradient des corps humains innocents, victimes du grand mensonge du système, inoculés avec une substance appelée vaccin qui contient de l’oxyde de graphène réduit, un nanomatériau qui marque l’avenir de l’humanité sur son chemin vers le transhumanisme.

[Voir aussi :
TROIS ANS D’AVENTURE COVID résumés en 1600 mots,
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »,
La « maladie mystérieuse » de Wuhan est le mensonge fondamental de la Covid,
Le dossier Vaccins et virus avec notamment ses nombreux articles qui déglinguent la théorie virale,
Le dossier 5G et ondes pulsées dont
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur,
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux.]


Introduction spéciale de la Conférence –
Conférence de La Quinta Columna : Les jeux sont faits (19 mars 2023)
Liens directs plus bas, après l’interview.




Ricardo Delgado nous [à Gibraltar Messenger] a aimablement accordé cette interview qui, nous l’espérons, éclaircira certains doutes de nos lecteurs.

Magdalena del Amo : Au début de cette situation appelée pandémie, vous avez cru, comme beaucoup d’autres personnes, que la cause était un virus très contagieux et que la réponse nous viendrait des biologistes. En fait, ils ont commencé à nous mettre en garde contre l’ARNm et les protéines de pointe. Quand avez-vous compris qu’il fallait changer d’optique, que la vérité était ailleurs ?

Ricardo Delgado : Nous avons compris que les réponses directes ne pouvaient venir que d’un seul endroit : l’observation directe par l’analyse des « vaccins ». La médecine et la biologie ne pouvaient guère expliquer les dommages, car elles ne connaissaient pas la véritable cause qui en était à l’origine. En revanche, des disciplines comme l’épidémiologie nous ont donné les clés. Cela a été confirmé par le fait que la « maladie à la mode » et les premiers cas de ce qu’ils ont appelé « coronavirus » ont été enregistrés dans la ville chinoise de Wuhan, à partir du 30 novembre 2019 ; précisément, la première ville du monde choisie en temps et en lieu pour l’allumage technologique du réseau 5 G.

À ce jour, nous savons, grâce à l’analyse pionnière des produits injectables réalisée par La Quinta Columna et d’autres analyses ultérieures, ainsi qu’à celles effectuées dans d’autres parties du monde, que les échantillons ne contiennent AUCUN matériel biologique. Il est évident que la plate-forme ARNm et l’affectation de la fameuse protéine spike n’étaient que des écrans de fumée destinés à détourner les recherches de tous ceux qui ont analysé les « vaccins » in situ.

[Voir aussi :
La nanotechnologie dans les vaccins
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?]

Ricardo Delgado explique au public : « Ce qu’ils ont appelé Covid-19
est l’interaction de ce matériau non déclaré avec la biologie. »

Lorsque le graphène, inoculé et étiqueté comme « vaccin », entre en contact avec le sang, il génère la formation d’une couronne biomoléculaire de protéines. La fonction de cette couronne de protéines est de protéger notre biologie de l’introduction de matériel étranger pour le faire passer inaperçu. Cependant, certains groupes la qualifient de toxique et l’associent à la protéine spike. Une fois de plus, dans le seul but de détourner l’attention de l’origine de tous les dommages en biologie, puisque le mal est causé par la cause — le graphène — et non par sa conséquence — la couronne de protéines.

[Voir aussi :
Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène]

M del A : Partant du principe que la grande majorité des lecteurs abordent cette information pour la première fois, je voudrais décomposer les points les plus importants de la situation que nous vivons et, en particulier, du contenu des « vaccins ». Ce qu’ils ont découvert dans La Quinta Columna est alarmant. Comment en sont-ils arrivés à ces conclusions et sur quelles bases ?

R D : Nous nous appuyons sur les preuves corroborées par l’observation, sur le principe directeur de la méthode scientifique, sur l’utilisation d’outils scientifiquement validés pour connaître et caractériser ce que nous observons. Nos recherches ont été corroborées dans différentes parties du monde, ce qui nous a permis d’établir un modèle prédictif qui nous a même permis d’anticiper plus facilement ce qui allait se passer.

M del A : Ils ont trouvé de l’oxyde de graphène réduit dans les flacons, mais beaucoup en doutent et d’autres le nient. Pourquoi est-ce devenu un sujet tabou ?

R D : Les preuves de l’existence de l’oxyde de graphène réduit dans les inocula sont claires et ont été corroborées dans d’autres parties du monde par différents types de caractérisation, tels que la microscopie optique en champ clair et en champ sombre, les tests électroniques SEM et TEM, les tests de compatibilité avec l’absorption ultraviolette, la diffraction des rayons X, la comparaison optique avec les images du motif, les techniques de fluorescence et, surtout, la caractérisation par vibration RAMAN par balayage électronique, offrant la vibration RAMAN ou les pics caractéristiques de l’oxyde de graphène réduit.

Ricardo ouvre un flacon de Pfizer scellé et dépose une goutte
sur la plaque de verre du microscope, puis l’observe, devant le public.

M del A : Tout ceci est très technique et il faudrait suivre un cours pour le comprendre ; mais venons-en à la pratique : nous sommes face à un matériau quasi magique, inconnu jusqu’à récemment, doté de caractéristiques spectaculaires. Quelles sont ces qualités ?

R D : Lorsque l’on passe en revue la toxicité ou la biocompatibilité présumée du matériau en biologie humaine, la littérature scientifique est également très claire. Le graphène ou ses dérivés, comme l’oxyde de graphène réduit, possède des propriétés intrinsèques, notamment supraconductrices, magnétiques au contact des cellules vivantes, piézoélectriques, de haute capacité, radiomodulables, flexibles et transparentes.

[Voir aussi :
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations]

Sa capacité supraconductrice explique son affinité pour les organes éminemment électriques, tels que le système cardiaque et le système nerveux central, lire les neurones et la moelle épinière.
Le magnétisme acquis au contact des molécules organiques explique le phénomène magnétique apparu chez les personnes à qui l’on a inoculé le matériau.
En raison de sa qualité piézoélectrique, l’excitation du matériau pour générer de l’électricité sous n’importe quelle pression, qu’elle soit acoustique, de poids de l’eau ou autre, est expliquée.

[Voir aussi :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive]

La capacité du matériau est telle qu’il est actuellement utilisé pour la construction de batteries de pointe. Cette qualité lui permet de condenser l’énergie obtenue à partir de foyers externes. Ceci, ajouté à sa présence dans des organes vitaux comme le cœur, signifie que les décharges électriques que le matériau condense peuvent interrompre le tissu de conduction électrique cardiaque, générant des arythmies et l’évanouissement classique (dû à un manque d’apport sanguin cérébral) qui, dans de nombreux cas, se termine par une mort subite.

Le fait que ce matériau soit radiomodulable indique clairement qu’il est excité par les micro-ondes. En bref, il agit comme un amplificateur ou un catalyseur de signaux de rayonnement électromagnétique, comme la 5G actuelle. Sa dureté extraordinaire — 200 fois plus dur que l’acier — fait que notre biologie choisit de l’expulser au lieu de le dégrader.

M del A : Expliquez la toxicité de l’oxyde de graphène, étayée par les multiples dommages qu’il produit dans l’organisme : curieusement, ce sont les mêmes que ceux attribués au Covid.

R D : Je dois souligner que nous devons tous comprendre que ce métamatériau étranger à la biologie ne peut être inoffensif en son sein. D’abord, le système immunitaire le traite comme s’il s’agissait d’un agent pathogène. Selon leur voie d’entrée dans la biologie, leur toxicité est relative.

M del A : Que voulez-vous dire exactement ?

R D : Lorsque l’oxyde de graphène pénètre dans notre biologie par voie intramusculaire, le système immunitaire agit contre lui avec un maillage de neutrophiles et de globules blancs. Lorsqu’il se retrouve dans le poumon, qui est une des voies d’élimination, il est attaqué par des enzymes comme la myéloperoxydase. Au contact du sang, il est enveloppé d’une couronne protéique appelée couronne biologique ou couronne de biodistribution moléculaire. La fonction de ces protéines structurelles est de l’envelopper pour qu’il passe inaperçu par la biologie humaine en raison de sa haute toxicité.

L’oxyde de graphène est un coagulant et, en fait, les éponges d’oxyde de graphène sont utilisées dans les traitements hémostatiques pour guérir les blessures. La coagulation facilite également l’effet Rouleaux de l’action des micro-ondes elle-même. (L’effet Rouleaux est un empilement littéral de globules rouges [érythrocytes] et une déformation de ceux-ci que nous observons actuellement dans le sang des personnes inoculées lors de séances de microscopie optique). Évidemment, après la coagulation, nous obtenons, en conséquence, tous les types de thrombogénicité, ce qui a contribué à la thromboembolie et aux accidents vasculaires cérébraux, ainsi qu’aux attaques ischémiques, aux accidents vasculaires cérébraux, aux crises cardiaques et à d’autres troubles.

La qualité radiomodulable de l’oxyde de graphène doit également être prise en compte. En amplifiant le rayonnement micro-ondes entrant, nous amplifions également les dommages qu’il cause à l’organisme.

M del A : Quelle est la première réaction de l’organisme à l’entrée du graphène ?

Delgado parle au public du Covid-19 et de l’inflammation.

R D : Le premier mécanisme de réponse est l’inflammation partout où le matériau passe dans notre biologie. C’est pourquoi on observe des myocardites, des péricardites, des myopéricardites, des inflammations pulmonaires… Il traverse également les systèmes d’épuration tels que le foie et les reins. Dans le foie, il génère une inflammation du foie (hépatite) et d’importants problèmes dans les reins — où il reste longtemps — lorsqu’ils filtrent le sang contaminé par le matériau. Il imprègne également le système nerveux central, par affinité supraconductrice, où il altère son fonctionnement, générant des paralysies de toutes sortes. Il enflamme les neurones, entraînant divers types de neuropathies, dont la perte de mémoire initiale, l’inattention, le brouillard cérébral ou les difficultés de concentration.

En amplifiant les dégâts des rayonnements micro-ondes non ionisants, il augmente considérablement le stress oxydatif, ce qui contribue au vieillissement prématuré et à l’apparition de divers types de cancers et de tissus tumoraux.

Dans les cellules reproductrices — et selon la littérature scientifique elle-même — il affecte la motilité et la mobilité des spermatozoïdes humains, réduisant drastiquement la fertilité masculine.

Il affecte également la régulation hormonale chez les femmes, contribuant ainsi à leur infertilité et générant le syndrome post-ménopausique.

M del A : Il est entendu que ce n’est pas la même chose de recevoir un « vaccin » que d’en recevoir quatre, puisque l’organisme élimine le graphène.

R D : C’est exact. Les dommages sont directement proportionnels au nombre de doses et à la quantité de radiations électromagnétiques que le matériau absorbe, ou à la quantité d’exposition ciblée aux micro-ondes que l’inoculé reçoit.

Tous ces dommages, et d’autres que nous n’avons pas mentionnés, ne sont pas seulement la cause de la surmortalité actuelle due à ces pathologies, mais ont été clairement identifiés dans la littérature scientifique depuis des années, lorsque la cytotoxicité, la génotoxicité, la biocompatibilité et la biodistribution de l’oxyde de graphène en biologie sont passées en revue. Y compris le fameux « poumon Covid » qui n’est qu’une pneumopathie ou une inflammation pulmonaire, comme l’un des moyens d’éliminer le matériau, contribuant à la dyspnée — difficulté à respirer — et à la bronchiolite que nous voyons tous les jours.

M del A : Et tandis que la société continuait à s’effrayer d’un virus inexistant, médiatisé par des politiciens et des journalistes, La Quinta Columna, avec vous à sa tête, avait déjà découvert le véritable meurtrier de ce complot.

R D : En effet, La Quinta Columna a découvert et démontré cet empoisonnement prémédité de toute la société avec de l’oxyde de graphène réduit, alors que les institutions parlaient d’un « coronavirus » que, jusqu’à ce jour, personne n’a vu.

[Voir aussi :
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
L’invention du SARS-CoV-2
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène]

M del A : Il ne fait aucun doute que nous parlons d’une étape importante, d’une découverte vitale et transcendante, non seulement pour l’humanité actuelle, mais aussi pour celle de l’avenir dans sa transition vers le transhumanisme. Mais pourquoi cela ne parvient-il pas à la connaissance du grand public ou, si c’est le cas, c’est accompagné d’un certain scepticisme ?

Au cours de la conférence, Richard Delgado fait le lien
entre les décès dans les maisons de retraite et la campagne.

R D : Les preuves présentées sont connues d’un grand nombre de personnes dans le monde, mais il est vrai qu’elles n’ont pas pénétré la société dans la mesure nécessaire. Nous avons montré que ce matériel a été introduit massivement lors de la campagne de grippe de 2019, dont la population directe était les personnes âgées des résidences ou les gériatres, ce qui a contribué à la grande extermination des personnes âgées, qui faisait partie de ce qu’ils ont appelé la « première vague ».

Nous avons également démontré que ce qu’ils ont appelé « épidémies » et « vagues » n’est rien d’autre que la conséquence de l’augmentation des radiations environnementales au moyen d’antennes téléphoniques [3G, 4G, 5G…], dont les micro-ondes excitent l’oxyde de graphène (radiomodulable) pour générer davantage de stress oxydatif et, en fin de compte, tous les dommages précédemment observés en biologie. Et, malgré tout, une grande partie de la société ne le sait toujours pas.

M del A : Pensez-vous qu’il s’agit d’une pure dissonance cognitive ou d’autre chose ? Y a-t-il quelque chose qui nous échappe ?

R D : À mon avis, il y a des facteurs importants qui expliquent que ces preuves n’aient pas été mises en lumière par leur propre poids, mais permettez-moi de laisser cela pour la fin.

M del A : Comme vous voulez. Continuons à parler du matériau : pourquoi introduisent-ils de l’oxyde de graphène réduit dans cette « chose » qu’ils appellent vaccin ?

R D : C’est la grande question à laquelle nous trouvons également une réponse, précisément par le biais d’institutions officielles de très haut niveau et par l’examen de la littérature scientifique elle-même.

Nous avons mentionné précédemment la nature magnétique du graphène en contact avec des molécules organiques, n’est-ce pas ? Eh bien, si nous disposons d’un support magnétique en biologie et, de surcroît, supraconducteur — en affinité avec le cœur et les neurones —, nous avons la possibilité d’y lire et d’y écrire des informations, comme sur un disque dur (d’ordinateur*). Au niveau neuronal et dans le domaine des neurosciences, la lecture d’informations est un contrôle ou une supervision neuronale. L’écriture d’informations sur ce support magnétique — qui est de l’oxyde de graphène réduit — imprégnant les neurones est connue sous le nom de neuromodulation ou neurostimulation. Il s’agit de la capacité d’introduire ou d’insérer des pensées (instructions) ou de modifier des modèles de comportement humain à distance et sans fil (micro-ondes scalaires et millimétriques). Au niveau du système cardiaque, on parle également de biocapteur du cœur ou de stimulation du cœur à distance.

[Voir aussi :
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Biocontrôle : du cauchemar à la réalité
Selon le Dr Ana Mihalcea, ils veulent nous transformer en automates sans libre arbitre, grâce à la technologie des vaccins
Nanotechnologie et « vaccins »
Transformation cybernétique de l’Humanité
Le but démontré des injections antiCovid]

* Note du Messager de Gibraltar :

Le chemin du retour ou l’affrontement du feu

3:31 Le corps humain n’est rien d’autre qu’un ordinateur organique vivant très sophistiqué (selon les normes humaines), qui s’autoreproduit et s’autorépare (s’il n’est pas trop endommagé). Il s’agit d’une combinaison d’ordinateurs plus petits, par exemple le cerveau, les reins, le foie, etc., qui constituent collectivement l’ensemble, préprogrammé pour avoir des instincts animaux égoïstes, que votre âme doit apprendre à surmonter. Le cerveau humain physique fait fonctionner le corps et ses émotions, mais l’esprit et les sentiments appartiennent à l’âme. C’est pourquoi Jésus a dit que la chair n’a aucune valeur et que seul l’esprit (l’âme — le VRAI vous) a de la valeur (Jean 3:6 ; Jean 6:63).

3:34 Le Saint-Esprit, ou voix g(o)od [« good » : bon. Et « god » : dieu.], est implanté à l’intérieur du corps animal humain, avec l’âme et relié à elle. C’est la connexion télépathique de l’âme avec Dieu. Pour essayer de simplifier les choses, pour que vous puissiez comprendre plus facilement, si vous pouvez penser, pour un moment, à Dieu comme étant comme un maître-ordinateur et une banque de mémoire (fontaine de connaissance) ; avec le Saint-Esprit, comme la connexion de l’âme et le terminal d’ordinateur personnel, relié au maître ; par lequel, chaque âme est informée et enseignée en privé, individuellement et personnellement, ce qui est bon et ce qui est mauvais, par le Seigneur ; alors vous aurez une meilleure compréhension de la façon dont les choses fonctionnent.

[Voir aussi :
Mettez au régime votre IA (Intelligence Artificielle)]

3:35 Vous pouvez demander et recevoir des informations de Dieu en apprenant à utiliser votre connexion télépathique (le Saint-Esprit — 1 Jean 2:27). « Cherchez et vous trouverez », mais SEULEMENT si vous cherchez de TOUT votre cœur (Jér. 29:13), et avec l’humilité d’un enfant.

3:36 Malheureusement, tout ce que vous faites, c’est de lui demander de vous donner ceci ou cela, ou de faire ceci ou cela pour vous. Vous ne lui demandez JAMAIS ce que VOUS pouvez faire pour lui, n’est-ce pas ? N’est-ce pas très égoïste et unilatéral ?

3:37 L’autre voix, que tout le monde a dans la tête et sait parfaitement que c’est le mal, est évidemment la voix du Diable.

M del A : Apparemment, tout cela éclot soudainement, mais il semble qu’il y ait un plan méticuleusement établi qui synchronise plusieurs fronts.

R D : En effet. Toute cette recherche et sa propre littérature scientifique sont présentes au moment même où des personnages tels que l’ancien président du Chili, Sebastian Piñera, parlent d’« insertion de pensées, d’insertion de sentiments et de surveillance neuronale » le jour de l’appel d’offres pour le réseau 5 G. Dans le même temps, la Constitution chilienne est modifiée pour tenir compte de la « loi sur les droits neuronaux », et des dizaines de millions de stations de base et d’antennes téléphoniques sont déployées dans le monde entier. Et, entre autres événements, le directeur du Forum Économique Mondial lui-même nous parle des biocapteurs dans le cerveau d’ici 2030, de la « montée du transhumanisme » ou du nouvel être humain « Human 2.0 », du « cloud » et de « l’intelligence artificielle ».

[Voir aussi :
À quoi sert la vaccination de masse ? De l’infertilité au transhumanisme…
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique
Le support philosophique de la Grande Réinitialisation
Une emprise sur l’Humanité]

M del A : Tout indique que nous sommes sur la voie du transhumanisme, ou de la fin de « l’ère humaine », comme le dit José Luis Cordeiro. Ne trouvez-vous pas cela terrifiant ?

R D : En effet, c’est terrifiant, c’est la pire chose qui soit arrivée aux êtres humains dans toute leur histoire. L’objectif est plus que clair : transhumaniser tous les êtres humains en un minimum de temps, malgré les graves dommages et effets secondaires de cette technologie sur les comportements neuromodulaires et de neurostimulation, en plus de la supervision de tous les individus directement à partir de leurs neurones. Bref, la perte totale de l’espèce humaine actuelle. C’est-à-dire la disparition de l’humain actuel pour le transformer en « autre chose », privé de son essence, de son libre arbitre, de sa capacité à penser par lui-même et de sa tendance naturelle à la spiritualité. Et pour cela, le matériau qui sert d’INTERFACE est l’oxyde de graphène réduit. C’est la grande CLÉ. C’est pourquoi ils essaient de le nier ou de l’ignorer de toutes sortes de manières.

M del A : Nous avions laissé pour la fin sa réponse sur les raisons pour lesquelles cette importante découverte n’a pas été révélée, qui plus est, sous la forme d’un grand scandale. Quels sont les facteurs qui ont influencé et continuent d’influencer cette dissimulation ?

R D : Il y a plusieurs facteurs. Le premier et le plus évident est le contrôle que les gouvernements exercent sur les institutions dont ils ont la charge, notamment les médias, les établissements de santé, le système judiciaire, les syndicats, etc. Cela leur permet de mener à bien leurs programmes, parfaitement planifiés à l’avance. Mais il y a un autre facteur clairement exposé et que certains, apparemment dissidents, ne veulent même pas mentionner.

Il s’agit du concept de dissidence contrôlée, de fausse dissidence ou de faux dissidents. Il s’agit de personnes qui prétendent œuvrer pour la dissidence et la clarification de la Vérité, mais qui, néanmoins, introduisent toutes sortes d’obstacles pour qu’elle ne soit pas mise en lumière. Ce phénomène a été introduit dans toutes sortes de guerres. Et je ne dévoile rien de nouveau si je dis que nous sommes dans la pire des guerres, où l’ennemi à abattre est l’être humain lui-même.

[Voir aussi :
L’opposition contrôlée, selon Stanislas Berton
Opposition contrôlée et infiltration : comment les reconnaître ?
L’illusion du choix et de la liberté — L’opposition contrôlée est un mouvement de protestation dirigé par des agents du gouvernement]

M del A : Peut-on dire qu’il s’agit d’une action de contre-espionnage et qu’il existe un protocole d’action qui, dans ce cas précis, fonctionne ?

Ricardo Delgado sur le mal qui se cache derrière l’intention.

R D : C’est exact. Et dans cette façon d’agir, il y a plusieurs stratégies que je vais énumérer, en me référant au cas en question :

En général, les T.H.E.Y. The Hierarchy Enslaving You » : La Hiérarchie qui vous asservit. Et THEY : EUX] font tout leur possible pour retarder une première découverte, ou éliminer tous les « bons indices » qui arrivent, permettant la mise en œuvre de l’objectif qu’ils ont. Dans ce cas particulier, il s’agit de dissimuler l’utilité de l’oxyde de graphène en tant qu’interface.

— Ils se caractérisent par la négation des preuves ou des propriétés qu’elles présentent. Par exemple, ils nient l’existence du graphène dans les « vaccins », ainsi que le phénomène magnétique de l’inoculé ou l’émission d’adresses MAC détectées par Bluetooth.

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables]

— Ils s’infiltrent dans les bonnes recherches pour tenter de les retarder, en utilisant toutes sortes de stratégies.

— Ils introduisent de nouveaux foyers, supposés nocifs, pour neutraliser les dommages générés par la véritable cause, mais qu’ils doivent couvrir à tout prix. Par exemple, ils essaient d’envelopper l’oxyde de graphène avec du venin de serpent, des isotopes radioactifs, du venin d’abeille, des métaux lourds ou la fameuse protéine Spike (qui est précisément la réponse à l’introduction du graphène dans la biologie).

— Ils essaient d’envelopper la CLÉ avec n’importe quel élément distrayant afin qu’elle perde sa force.

— Ils recourent à la violence et aux attaques personnelles, manipulant ou déformant même la vie personnelle de ceux qui découvrent les preuves qui doivent être dissimulées.

— Normalement, ils sont financés économiquement par le système lui-même, ou bénéficient de promesses de promotions sociales dans le même domaine ou d’autres types d’avantages.

— Les groupes de dissidence contrôlée ont été créés avant que de véritables collectifs de dissidents n’apparaissent naturellement face à l’avancée de la situation qui commençait à nous affecter tous. Comme dans toute guerre, l’ennemi dispose de ces groupes, créés dans différentes parties du monde et avec des étiquettes similaires pour contrecarrer, capturer, effondrer et neutraliser les découvertes des groupes humains qui cherchent la vérité. Un exemple très significatif de ces groupes est celui des collectifs « pour la vérité », créés a priori dans différentes parties du monde et qui ont tenté de discréditer toute recherche, preuve ou découverte générée à partir de l’observation par des groupes véritablement dissidents.

— Comme la version officielle elle-même, ils utilisent dans leurs noms et leurs slogans des attributs dont la signification réelle est juste à l’opposé de la façon dont ils sont étiquetés. La véritable signification de « par la vérité » est « dissimuler la vérité ».

— Ils sont généralement actifs dans le Système lui-même, soit dans le domaine de la santé, soit dans le milieu universitaire ou autre (médecins, collèges officiels de biologistes, etc.).

— Ils sont organisés de manière hiérarchique, de sorte que leurs sommets sont occupés par des « porte-parole » qui gouvernent et parasitent tout le discours du collectif, de sorte que personne n’a d’opinion individuelle, et s’il en a une, elle est éclipsée par le sommet lui-même. Ainsi, ils dirigent le message où ils veulent et cachent les preuves.

— Ils introduisent des bots et des adeptes fictifs, ainsi que des trolls agressifs, sur diverses plateformes pour donner l’impression qu’ils bénéficient d’un soutien humain inconditionnel. En réalité, pratiquement personne ne les suit. Ce fait est évident lorsqu’ils donnent des conférences en public, qui sont suivies par un petit nombre de personnes.

— Ils sont chargés de capturer les personnes qui doutent de la version officielle (médecins, universitaires, avocats, journalistes, etc.) et de les introduire dans des collectifs, préalablement créés, pour éclipser le message qu’ils pourraient transmettre. Une fois à l’intérieur du collectif, ils sont liés aux directives du porte-parole de celui-ci. Par exemple : Avocats pour la vérité, ou Journalistes pour la vérité. Ils ont tendance à baser leurs « recherches » sur les « papiers » eux-mêmes, qui sont rédigés dans la version officielle, contre laquelle ils sont censés s’opposer.

— Ils ne font jamais de véritables analyses à l’aide d’outils scientifiques, car cela les obligerait à manipuler les résultats, à cacher ce qu’ils ont découvert. Au lieu de faire des recherches, ils préfèrent dire : « L’analyse des vaccins est une perte de temps » ; « Ne regardez pas au microscope, car vous ne verrez rien », ou « Obtenir des vaccins est très difficile ».

— Les travaux de ceux qui analysent au RAMAN, au microscope optique, au microscope électronique ou à toute autre technique permettant de SAVOIR comment caractériser le composant clé des « vaccins » sont ridiculisés et attaqués par cette fausse dissidence avec des arguments de pacotille. La plupart de ces attaques sont virulentes et personnelles.

— Ils utilisent leurs titres pour parler par « principe d’autorité » donné par la même institution ou celle à laquelle ils appartiennent, mais pas par « principe scientifique de preuve ».

— Ils utilisent les arguments de la version officielle — contre laquelle ils luttent apparemment — pour discréditer des travaux sérieux et indépendants. Par exemple, en s’appuyant sur les brochures officielles des « vaccins », alors que, précisément, des composants NON déclarés dans ces derniers sont dénoncés et pourraient faire tomber toute l’opération.

— Ils s’approchent des découvertes prouvées, avec lesquelles ils parviennent à capter un certain nombre d’honnêtes gens, puis se débarrassent de ce paradigme et reviennent à d’autres centres d’intérêt. Par exemple, ils admettent l’existence du graphène, mais soutiennent qu’il y en a très peu dans les « vaccins », ou reconnaissent que les vaccinés émettent des adresses MAC, mais rejettent le graphène.

— Ils se targuent de phrases telles que « Nous devons tous être unis » ou « Ensemble, nous sommes plus forts », précisément pour s’infiltrer.

— Ils se concentrent sur les dommages, mais pas sur la cause réelle qui en est à l’origine.

— Ils s’emploient à dénoncer des problèmes mineurs, afin de minimiser l’impact de ce qui est le plus dommageable. Par exemple, dénoncer les masques, la perte de libertés et de droits, ou l’inefficacité du test PCR, tout en dissimulant l’introduction de l’interface dans les produits injectables, qui est l’objectif pour atteindre le transhumanisme.

M del A : S’il en est ainsi, le citoyen ordinaire a la vie dure. D’une part, il est trompé par le système, et d’autre part, par ceux qu’il croit chercher la vérité. Avez-vous un dernier conseil à donner pour terminer ?

Richard Delgado explique au public comment nous pourrions mettre un terme
à cette évolution vers le transhumanisme.

R D : L’identification de ces « personnes » est vitale pour continuer à avancer, mettre en lumière les PREUVES et arrêter ou prévenir l’opération. La fausse dissidence est la première ligne de bataille que l’ennemi envoie dans nos rangs. Il y a des gens de bonne foi, qui n’ont pas appris à les identifier, et qui « font semblant d’avoir raison avec tout le monde », mais c’est tout simplement impossible, parce qu’ils font confiance et communiquent avec des traîtres, tous les jours et sans le savoir. Ils doivent choisir et abandonner tout autre intérêt que la Vérité, avant tout. Il n’y a pas de place pour les demi-mesures, en raison de la gravité à laquelle nous nous exposons. Nous ne pouvons pas permettre que la fausse dissidence continue à essayer de discréditer les preuves, et que celles-ci ne soient pas mises en lumière avec suffisamment de force, assurant ainsi la poursuite de l’opération contre l’être humain. C’est-à-dire la fin de l’ère humaine par le transhumanisme.

La conférence sur la chaîne Odysee de La Quinta –
Conference of La Quinta Columna: The game is over (19 March 2023)
(Aussi sur DGTV.)



Source : En espagnol : Periodista Digital – Ricardo Delgado: «A pesar de la evidencia, lo siguen negando»




La caverne de Platon

Par Bernard Thoorens

Je ne doute pas qu’une grande partie des lecteurs de ce site connaisse cette histoire, mais elle pourra leur servir à convaincre leur entourage : elle n’est pas inutile pour approfondir la notion de pensée/opinion/croyance versus connaissance/vérité et de monde sensible versus monde intelligible. Les quelques réflexions qui y ont été ajoutées pourront aider à prendre conscience de la réalité de notre environnement social, politique et spirituel.

Platon, philosophe du IVe et IIIe siècle avant Jésus-Christ, nous raconte la quête de la vérité au moyen de l’allégorie de la caverne. Conscient que sa philosophie n’est pas accessible à tout le monde, il utilise une allégorie, c’est-à-dire une image, tout comme Jésus qui, pour la même raison, utilisait des paraboles.

Pour Platon, depuis l’enfance nous vivons dans l’illusion, c’est la caverne, et nous en sommes prisonniers. Les habitants de la caverne voient des ombres projetées sur les murs. Elles symbolisent nos idées préconçues, nos opinions, nos pensées, nos idées, nos croyances. Cet univers nous apparaît comme la vraie vie, le réel. Nous ne le remettons pas en cause et nous vivons dans un conformisme intellectuel qui nous satisfait. Ceux qui projettent les ombres, les marionnettistes, manipulent les prisonniers ; ce sont des hommes politiques, des marketeurs qui « créent le besoin », des vendeurs de rêve.

Cependant tout cela nous trompe, nous cache la vérité, car ce que nous croyons est faux, notre rapport avec le réel est faussé, mais nos croyances ont la vie dure, tant elles sont ancrées dans nos esprits depuis longtemps et tant les marionnettistes les entretiennent avec empressement et perversité.

Puis le philosophe intervient, tel le professeur de philo dans « Le Cercle des poètes disparus », pour aider les prisonniers à sortir de la caverne malgré leur peur de l’inconnu. Une fois sortis, ceux-ci se rendent compte qu’ils ont été manipulés et maintenus dans l’ignorance par les marionnettistes. Leur découverte de la connaissance change leur vie, les rend libres et les rend heureux.

Platon utilise l’allégorie de la caverne pour nous dire que nous avons deux manières d’appréhender le monde autour de nous : une approche sensible et une approche intelligible. Pour lui l’éducation, c’est-à-dire la connaissance de la vérité des choses, consiste à passer de l’illusion du sensible à la connaissance intelligible, car le sensible est toujours subjectif. L’information qu’on nous délivre dans les médias télévisés s’adresse à notre être sensible : de l’émotion, du sensationnel, de la passion, de l’instinctif, jamais de réflexion. Cela rejoint bien la prosopopée de Carfantan (https://nouveau-monde.ca/le-conditionnement-collectif/)

L’allégorie de la caverne est une invitation à distinguer les apparences (les choses telles que nous les percevons) de la vérité (la correspondance entre nos idées et les Idées, qui sont intelligibles) pour découvrir la connaissance, le savoir, le réel, la liberté, le bonheur.

Appliqué à notre contexte local le plus récent, nous pouvons comprendre la connaissance, par exemple, comme étant la machination COVID mondialisée, relayée par les gouvernements et les institutions aux ordres, ou encore la guerre menée par l’OTAN-USA contre la Russie par Ukraine interposée. Un observateur attentif de la condition humaine, Daniel Vanhove, a écrit un article « D’où provient cette confusion générale observée en Occident ? » qu’il conclut ainsi :

« À la question posée en titre, d’une confusion que l’on observe et se généralise en Occident, un essai de réponse : elle résulte des mensonges hissés au rang de vérités et martelés par ceux qui ont le pouvoir et le contrôle des médias, allant jusqu’aux inversions accusatoires pour les étayer. C’est le résistant palestinien qui devient terroriste et le colon israélien la victime ; c’est le citoyen refusant l’injection génique qui est le danger et non le poison injecté ; c’est le chômeur licencié qui est fainéant et non l’entreprise qui maximise ses profits au détriment de l’humain ; ce sont les Gilets Jaunes les violents et non la police d’un État de droits qui mutile et tue ; ce sont les USA la démocratie exemplaire, et non les pays qui refusent ses diktats et sont alors soumis à d’impitoyables sanctions ; c’est S. Hussein et ses armes de destruction massives le danger et non C. Powell et sa fiole qui ment à l’ONU ; c’est la Russie qui est responsable de la guerre et non l’OTAN usant de l’Ukraine pour se rapprocher des frontières russes ; ce sont les chaînes d’infos et leurs journaleux qui détiennent la vérité, et non E. Snowden, réfugié en Russie, J. Assange qui croupit en prison anglaise, et d’autres encore qui sont parfois liquidés, dans l’indifférence générale de nos élus hypocrites, dépravés, malhonnêtes, etc. dans une liste longue comme un bras. Et, pensez-vous que cette situation imposée par la force peut se perpétuer sans retour de bâton ? Ce serait naïf : l’ordre de ce monde profondément injuste mené par l’Occident menteur et corrompu est en train de basculer. Et ce sera irréversible… quoi qu’il en coûte ! »

On reconnaît là la perversité d’une dérive totalitaire qui commence par modifier le langage, détourner les concepts, inverser le sens des mots pour mettre de la confusion dans les esprits. La spécialiste de ces comportements pathologiques, Ariane Bilheran l’explique très bien dans ses chroniques.

Je crois cependant que de la part de nos dirigeants ce n’est pas une maladie, seulement une perversité démoniaque. Jean Tardy, dans un article intitulé « Progressisme et paganisme — L’émergence d’un nouveau tribalisme », écrit :

« Devant ces comportements apparemment incompréhensibles, plusieurs concluent que les mondialistes sont tous des psychopathes ou des sociopathes. Autrement dit, ils souffriraient collectivement de maladie mentale !

Il n’en est rien. Ce que nous observons, au sein de l’élite mondialiste, c’est la rupture morale typique du tribalisme préchrétien et ses conséquences sur le comportement. Les promoteurs du Great Reset et leurs agents ne sont pas des fous. Ils sont aussi normaux que les Assyriens, les Romains ou les Aztèques l’étaient à leur époque ; leur comportement résulte de la même rupture et ils seront capables des mêmes atrocités. »

Déjà en 1907, c’est-à-dire peu de temps après la séparation de l’Église et de l’État, le pape Pie X écrivait dans sa lettre encyclique « Une fois encore » adressée au peuple français :

« On a déclaré la guerre à tout ce qui est surnaturel, parce que derrière le surnaturel, Dieu se trouve et que ce que l’on veut rayer du cœur et de l’esprit de l’homme, c’est Dieu. »

Et s’il fallait une preuve de plus de cette œuvre satanique, on pourrait évoquer l’avenir de notre société : nos enfants et l’éducation qu’ils « reçoivent » à l’école.

L’école laïque n’est que le prolongement de l’idéologie des loges talmudo-maçonnique, son but comme l’a dit le Pape Léon XIII dans Humanum genus est de « détruire tout ce que le christianisme a apporté dans la société, la famille, l’école, la justice et la paix. »

En 1886 le franc-maçon Jules Dequaire Grobel, inspecteur d’Académie, a dit à un Convent du Grand Orient [loge maçonnique] :

« Le but de l’école laïque n’est pas d’apprendre à lire, à écrire et à compter, c’est de former des libres-penseurs. Lorsqu’à 13 ans il a quitté les bancs de l’école, l’élève n’a pas profité de l’enseignement s’il reste croyant. L’école laïque n’aura porté ses fruits que si l’enfant est débarrassé du dogme, s’il a renié la foi de ses pères, s’il a renoncé à la foi catholique.

L’école laïque est un moule où l’on jette un fils de chrétien et d’où s’échappe un renégat.

Comme les choses n’iraient pas assez vite à notre gré pour que l’apostasie soit générale, nous nous emparerons du monopole de l’enseignement et alors force sera aux familles de nous livrer leurs enfants. »

Édifiant, non ?

Pour reprendre notre propos, nous pouvons aussi comprendre la connaissance, une fois sortis de la caverne, à un deuxième niveau, le premier étant celui des hommes, de la vérité sur leurs méfaits, les manipulations et les mensonges des dirigeants, de leurs commanditaires et de leurs affidés, sur ce qu’est réellement le mondialisme.

Le deuxième niveau, nous l’avons bien compris, se situe au plan spirituel. C’est un sujet très peu évoqué chez les éveillés/résistants (on ne nous appelle plus « complotistes »), tout juste effleuré. Il est traité essentiellement par les gens d’Église, et encore, leurs articles concernent bien souvent le Pape. Il faut dire qu’avec un Pape qui promeut la vaccination en faisant figurer sur la monnaie vaticane un enfant qui se fait piquer ; en approuvant le traité de Lisbonne qui légalise les droits des minorités sexuelles ; en concluant une « alliance mondiale » avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les grandes banques mondiales pour créer une Grande Réinitialisation (great reset) ; en vouant un culte au dieu païen Pachamama en compagnie de dignitaires de haut rang ; en acceptant de planter à l’entrée du Colisée une statue géante du dieu païen Moloch à qui l’on brûlait des enfants vivants en guise d’offrandes (le Colisée, propriété du Vatican, est l’un des amphithéâtres où des premiers chrétiens ont été torturés et exécutés pour divertir les foules païennes) ; ce Pape n’honore pas la communauté catholique. Et en tant que guide suprême des catholiques, il prend un sacré risque personnel vis-à-vis du Seigneur.

Tout se passe donc comme si ce deuxième niveau était tabou ou hors sujet. Or il serait utile de recadrer les événements que nous subissons dans leur contexte spirituel. Après tout, notre avenir est bien plus important après, qu’avant notre mort. Je vous propose ce sujet dans l’article https://nouveau-monde.ca/vivre-et-mourir/.






La Russie est toujours complice de la Grande Réinitialisation

[Source : off-guardian.org]

« La Russie et la Grande Réinitialisation — Résistance ou complicité ? » — un an après

Par Riley Waggaman

Il y a douze mois (plus quelques jours), nous avons participé à une table ronde animée par Whitney Webb et Kit Knightly, « Russia & the Great Reset—Resistance or Complicity? »

Un bref résumé de notre position (« Oui, la Russie est complice de la Grande Réinitialisation » ; 3 avril 2022) est rapidement devenu le deuxième article le plus lu sur ce blog.

En juillet, nous avons réexaminé cette question brûlante (Resetting Without Schwab: Russia & the Fourth Industrial Revolution), en nous appuyant sur l’ouvrage de Klaus Schwab intitulé Future of the Fourth Industrial Revolution (2018) pour nous guider dans les méandres technocratiques de Moscou.

Quoi qu’il en soit. Nous avons pensé qu’il serait approprié et éducatif de profiter du premier anniversaire du débat Zoom pour mettre à jour notre pronostic.

Ce qui suit est un addendum à l’article de juillet utilisant les mêmes catégories de la Grande Réinitialisation : les monnaies numériques, les villes sûres (et intelligentes), les « vaccins » génétiques et le développement durable.

MONNAIES NUMÉRIQUES

Un ensemble de projets de loi sur le rouble numérique fait actuellement son chemin à la Douma d’État. Initialement prévue pour le 1er avril, l’adoption de la législation est maintenant attendue pour le début du mois de mai.

Treize banques russes participent à un projet pilote de jeton numérique. Si l’essai est concluant, d’ici 3 à 5 ans, la CBDC de la Banque de Russie pourrait être utilisée pour les paiements sociaux, y compris les pensions, a rapporté Izvestia à la fin du mois de mars.

La monnaie traçable et programmable a été présentée au public comme un outil permettant de contourner les sanctions et de réduire la corruption.

Comme nous l’avons récemment souligné (le 29 janvier et le 28 mars), les activistes et les commentateurs russes, en particulier dans la sphère médiatique patriotique/conservatrice, n’y croient pas.

Source : Katyusha.org. January 17, 2023
Source : Tsargrad.tv. February 19, 2023

Même dans les médias pro-Poutine, l’affirmation selon laquelle le rouble numérique mettra fin au gaspillage et à l’escroquerie du gouvernement n’est pas prise au sérieux.

« Les vis seront serrées pour les citoyens ordinaires, alors qu’il y aura toujours des échappatoires pour les “serviteurs du peuple” », a déclaré l’animateur de Tsargrad TV, Yuri Pronko, lors d’une émission diffusée le 9 mars.

Deux semaines plus tard, M. Pronko a laissé entendre qu’il était illusoire de croire que le rouble numérique resterait facultatif.

« Tout est donc facultatif. Cependant, l’histoire nous apprend qu’une grande partie de ce qui a commencé sur une base volontaire est devenue obligatoire en très peu de temps. L’histoire des vaccins COVID, dont personne ne se souvient aujourd’hui, en est une confirmation éclatante », a ironisé le journaliste le 25 mars.

VILLES SÛRES (ET INTELLIGENTES)

Le programme russe « Safe City » utilise « des solutions organisationnelles, informationnelles, analytiques, prédictives et d’autres solutions méthodologiques, techniques et technologiques pour assurer la sécurité et le développement durable des villes ».

Le réseau national de caméras de vidéosurveillance, soutenu par la technologie de reconnaissance faciale, n’a cessé de croître en taille et en sophistication.

Une simple recherche sur Yandex a permis de constater un foisonnement d’activités au cours des deux dernières semaines.

La région de Tyumen prévoit d’ajouter 378 caméras à son réseau Safe City de 4 500 caméras de vidéosurveillance, a écrit Fedpress.ru le 24 mars.

Par ailleurs, les responsables de la ville de Voronezh finalisent les plans d’un « éco-quartier », ont rapporté les médias locaux le 25 mars :

Ce quartier numérique comprendra des interphones « intelligents » avec reconnaissance faciale, des entrées de parking avec reconnaissance des plaques d’immatriculation, une vidéosurveillance et des chargeurs de smartphones dans la cour.

Le 28 mars, le gouvernement de l’oblast de Leningrad a annoncé que 3 013 caméras de surveillance avaient été connectées au système Safe City de la région.

D’ici juillet, les caméras de vidéosurveillance des établissements d’enseignement seront « intégrées dans un système Safe City unique, ce qui permettra de protéger les jeunes Léningradois des menaces extérieures », a déclaré le gouvernement régional dans un communiqué de presse.

La région de Novgorod a installé 146 caméras de surveillance en 2022, ce qui porte à 700 le nombre total de caméras de vidéosurveillance dans le cadre de son programme « Safe City ».

« Les espaces publics de Veliky Novgorod et des régions de la région sont surveillés 24 heures sur 24 », a déclaré un média local le 29 mars.

À partir du 1er avril, les écoles de Rostov seront intégrées au système Safe City de la municipalité.

Source : Bloknot-rostov.ru

Le réseau Safe City installé dans la minuscule (selon les normes russes) République de Tchouvachie surveille plus de 1 300 endroits ; les caméras analysent les données en temps réel à l’aide d’algorithmes et de l’IA. Les services d’urgence et les services publics seront connectés au système d’ici la fin de l’année 2023, a rapporté Versia.ru le 7 avril.

L’introduction de systèmes d’identification biométrique et de « contrôle de la température » dans les écoles est sans doute l’aspect le plus inquiétant du programme Safe/Smart City.

« Le fait est que le secteur de l’éducation est en train de se transformer en un marché pour les entreprises numériques », a déclaré Olga Chetverikova, directrice du Fonds de soutien aux valeurs traditionnelles de l’héritage de la patrie, en octobre.

« Et si nous regardons les concours qu’ils ont annoncés : pour les appareils d’imagerie vidéo à Moscou — plus de 2 milliards de roubles. Un concours pour la fourniture d’appareils de dépistage corporel — 392 millions de roubles. Il devient clair que nous parlons d’affaires, que cela ne fait absolument rien pour les enfants, ni en termes d’éducation, ni en termes de santé, ni en termes de sécurité, mais que c’est d’un grand intérêt pour les structures informatiques commerciales ».

LES « VACCINS » GÉNÉTIQUES

Fin septembre, le Centre Gamaleya — le prétendu berceau du clone d’AstraZeneca Sputnik V — a annoncé qu’il commencerait à travailler sur son propre vaccin à ARNm.

« La technologie des vaccins à ARNm présente un avantage très important : elle peut être administrée au moins tous les mois », a expliqué Denis Logunov, directeur adjoint de Gamaleya.

Il a ajouté que les vaccins à ARNm de Moderna et de Pfizer étaient des exemples à suivre, car ils « confèrent tous deux une forte immunité après trois ou quatre vaccinations ».

Source : TASS

Un jour plus tard, l’institut public Vector a dévoilé ses propres projets de développement d’un vaccin à base d’ARNm.

« Le développement de vaccins à ARNm est un domaine prometteur dans le monde entier. On s’attend à ce que les avantages du vaccin en cours de développement par rapport aux vaccins russes existants […] soient la sécurité, la rapidité de production et le coût des médicaments », a rapporté TASS, citant un directeur adjoint de l’institut.

Source : TASS

Le ministère de la Santé a trouvé d’autres moyens d’accroître la « sécurité » et la « rapidité de production » des vaccins.

En octobre, le ministère a adopté de nouvelles règles permettant d’accélérer l’approbation des vaccins COVID « mis à jour ». Gamaleya, Vector et d’autres développeurs de vaccins russes n’ont plus qu’à tester leurs formules « améliorées » sur « 50 volontaires en bonne santé ». Pour accélérer le processus, les protocoles de ces « essais cliniques » peuvent commencer immédiatement, sans passer par l’examen standard des organismes de réglementation gouvernementaux.

La nouvelle procédure d’approbation améliorée prendra entre 16 et 38 jours.

Le directeur de Gamaleya, Alexander Gintsburg, a déclaré en janvier que Sputnik V devrait être mis à jour « tous les 9 à 10 mois », ajoutant que son équipe était déjà en train de développer un vaccin contre la souche dite « Kraken ».

Un mois plus tard, M. Gintsburg a annoncé que son nouveau « vaccin » COVID pour les enfants âgés de 6 à 11 ans avait passé avec succès les tests de sécurité et d’efficacité.

Le COVID a disparu des premières pages des journaux russes, alors à quoi tout cela sert-il ?

LE DÉVELOPPEMENT DURABLE

Nous avons récemment publié un rapport sur la romance actuelle de la Russie avec les objectifs de développement durable et l’agenda ESG, mais nous avons omis quelques développements curieux.

« Les banques [russes] déclarent qu’elles continueront à suivre la stratégie ESG, malgré l’isolement des agences de notation et d’analyse occidentales qui traitent de l’agenda du développement durable », a écrit Banking Review le 7 octobre.

De juillet 2021 à juillet 2022, le portefeuille de prêts ESG des banques russes a triplé pour atteindre 1,2 trillion de roubles, a rapporté le média.

L’enthousiasme soutenu pour tout ce qui touche à l’ESG a été exprimé dans un article d’opinion publié par la Chambre de commerce de Russie en novembre.

Source : tpprf.ru

Le 6 avril, le premier vice-président du conseil d’administration de Sberbank, Alexander Vedyakhin, a fait l’éloge de l’agenda ESG et a prédit qu’il « déterminerait l’avenir de la planète pour les décennies à venir ».

Source : irkutskmedia.ru

En ce qui concerne les objectifs de développement durable (ODD), la deuxième étape de la feuille de route russe pour la mise en œuvre des ODD a débuté en 2023. Cinquante villes russes mono-industrielles participeront à un projet de suivi de la « société, de l’environnement et de l’écologie ». Chaque municipalité recevra un plan personnalisé pour contribuer à la réalisation de l’utopie envisagée par les Nations unies.

La poursuite des ODD par la Russie a reçu un grand coup de pouce à la fin du mois de décembre, lorsque le président russe Vladimir Poutine a signé la loi sur le système biométrique unifié.

La base de données biométriques centralisée a été saluée par l’Union internationale des télécommunications (UIT), l’agence des Nations unies pour les technologies de l’information et de la communication, pour ses caractéristiques hautement durables.

ÉPILOGUE

Pour ne rien arranger, Poutine fréquente toujours Herman Gref, le banquier adorateur de Schwab qui est responsable de pas moins de 50 % de toutes les choses dégoûtantes que nous venons d’énumérer.

Absolutely unacceptable. Source : Kremlin.ru. November 24, 2022

Nous pensons toujours que la Russie est un endroit agréable et tranquille pour cultiver des pommes de terre et attendre patiemment que les chatbots sensibles exterminent tout le monde.

À la fin, il n’y aura plus que vous, les chatbots et les pommes de terre. Les chatbots vous garderont comme animal de compagnie ; pour s’amuser, ils coderont instantanément un programme JavaScript qui vous enfoncera une pomme de terre dans la bouche toutes les 15 secondes, pour toujours.

Mais oui, la Russie est toujours complice. En grande partie.



Riley Waggaman est votre humble correspondant à Moscou. Il a travaillé pour RT, Press TV, Russia Insider, etc. Dans sa jeunesse, il a assisté à une fête sur la pelouse de la Maison-Blanche où il a demandé à Barack Obama si le dénonciateur emprisonné Bradley Manning (Chelsea était encore un garçon à l’époque) « avait passé de bonnes Pâques ». Du bon temps, du bon temps. Vous pouvez vous abonner à son Substack ici, ou le suivre sur Twitter ou Telegram.




DU GRAND RÉVEIL

[Source : stanislasberton.com]

Par Stanislas Berton

« Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libres. »

Jean 8:32

L’événement le plus considérable de notre époque est le déchirement progressif du voile du mensonge qui recouvrait la réalité. Peu à peu, les populations occidentales découvrent un monde bien différent de celui qui leur avait été enseigné à l’école, présenté par les pouvoirs publics et diffusé par les médias de masse. Si une part croissante de la population a compris qu’elle vit sous « l’empire du mensonge » et qu’une minorité de dangereux fanatiques a pris le contrôle de l’État et utilise désormais les moyens de ce dernier pour mener une guerre impitoyable à son propre peuple, moins nombreux sont ceux à avoir compris l’ampleur des mensonges sur lesquels sont fondées nos sociétés.

Or, il ne peut y avoir de grand réveil ou de libération des peuples sans découverte de cette vérité maintenue cachée par les tyrans qui nous gouvernent et pour lesquels le mensonge est devenu un mode à part entière de gouvernement. Comme l’explique Martin Geddes dans un essai récemment traduit sur ce sitecette prise de conscience s’apparente à un retour à l’école primaire : quand tout est faux, tout est à réapprendre.

Dans cet essai, je vous propose une liste non exhaustive des principaux mensonges politiques, financiers, économiques, historiques, médicaux, scientifiques, culturels, philosophiques et spirituels afin de vous aider à évaluer le chemin que vous avez déjà parcouru vers le grand réveil et le travail qu’il vous reste peut-être à accomplir.

– politique

Savez-vous que nos dirigeants politiques, tous bords confondus, ne sont que des marionnettes sélectionnées en amont dont la légitimité repose sur des sondages bidons, des élections truquées et dont l’obéissance est garantie par la menace et le chantage ? Savez-vous que le vrai pouvoir réside dans des institutions comme le Council on Foreign Relations, le groupe Bilderberg ou le Forum économique mondial de Davos où nos dirigeants élus « démocratiquement » vont chaque année recevoir leur feuille de route ? Savez-vous que les dirigeants de ces organisations se vantent publiquement d’être parvenus à infiltrer la plupart des gouvernements de la planète ? Savez-vous que ces institutions elles-mêmes sont contrôlées par de puissantes dynasties familiales (Rothschild, Rockefeller, Warburg,…) qui ont remplacé ou coopté l’ancienne aristocratie ? Savez-vous que ces puissantes familles ont pour projet la dépopulation, la gouvernance mondiale et l’avènement d’une société de la surveillance généralisée dans laquelle « vous ne posséderez rien, mais vous serez heureux » ?

[Voir aussi :
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen
Quelles sont les structures de pouvoir qui gouvernent le monde ?
Les projets des Maîtres du Monde
Vera Sharav : « Un groupe d’oligarques a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis »
Entrevue intégrale de Mila Aleckovic (docteur en psychopathologies) pour comprendre ces psychopathes qui nous gouvernent
Les Nations-Unies sous le contrôle des oligarques
►Articles et vidéos de Monseigneur Viganò
►Articles sur Klaus Schwab
►Articles sur la Réinitialisation (ou Great Reset), le transhumanisme ou la dépopulation
Les fake news de l’État profond : Les manipulateurs du gouvernement contrôlent le cycle de l’information]

– économique

Savez-vous ce qu’est une banque centrale ? Savez-vous qu’en dépit de leur intitulé « officiel » (Banque d’Angleterre/Réserve Fédérale), il s’agit en réalité d’organisations privées possédant un monopole sur l’émission de la monnaie et utilisant ce privilège pour contrôler les États et les gouvernements par la dette ? Savez-vous que la Banque de France fut créée par Napoléon en 1804 et qu’il en fut l’un des principaux actionnaires avec des banquiers suisses ? Savez-vous que la loi 3 janvier 1973 imposa à l’État français de se financer auprès des banques privées et non auprès de la Banque de France, nationalisée en 1945 ? Avez-vous conscience de la quantité astronomique de monnaie créée dans le monde depuis la crise de 2008 ? Savez-vous que cette fausse monnaie été utilisée pour acheter des actifs bien réels (actions d’entreprise, terres agricoles, immobilier) et que cette création monétaire débridée s’apparente à un véritable casse du siècle au profit des plus riches et au détriment des plus pauvres et des classes moyennes ? Avez-vous conscience que la « richesse » de nos pays « développés » est en grande partie fictive, car elle ne repose plus sur une production réelle, mais principalement sur des flux financiers et des activités de service ? Pour finir, savez-vous que nous nous dirigeons vers des monnaies numériques directement contrôlées par les banques centrales où chacune de vos transactions pourra être identifiée et surveillée ?

https://youtu.be/QgttY3S_aBU

[Voir aussi :
Les financiers sont les maîtres du système
De l’empire britannique au IVème Reich
Le pari satanique des autorités financières mondiales
D’ici 2028, BlackRock et Vanguard posséderont « presque tout »
Vers la dématérialisation complète de la monnaie ?
Ce que planifient les banquiers centraux d’après Catherine Austin Fitts
⚡️ La disparition du cash est en marche : cryptomonnaies et destruction des libertés]

– historique

Dans quelle mesure avez-vous conscience que l’Histoire enseignée à l’école et diffusée par les médias ne correspond pas à la réalité ? Savez-vous par exemple que le Moyen-Age était loin d’être cette époque barbare et obscurantiste, mais peut-être légitimement considéré comme l’âge d’or de la civilisation occidentale ? Savez-vous que nombre des philosophes des « Lumières » comme Voltaire étaient des menteurs, des escrocs et ne pratiquaient pas en privé les valeurs qu’ils prétendaient défendre en public ? Savez-vous que la Révolution Française ne fut pas un mouvement populaire spontané, mais une « révolution de couleur » préparée de longue date par des sociétés secrètes dont la Franc-Maçonnerie ? Savez-vous que la destruction du catholicisme, l’abolition de la monarchie et la mort du roi Louis XVI furent décidées dès 1782 au Congrès de Wilhemsbad ? Savez-vous qu’en 1917, la révolution bolchevique fut financée par des grandes sociétés financières de Wall Street dont Trotski était l’agent ? Connaissez-vous le rôle joué par les puissances financières américaines et anglaises dans le financement du parti nazi et l’ascension d’Hitler ? Savez-vous que la déclassification récente de documents par le gouvernement américain met en évidence le rôle de la CIA dans l’assassinat du président Kennedy ? Savez-vous que le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a publiquement accusé les États-Unis d’être responsables du 11-septembre ? Vous souvenez-vous des « preuves » concernant les armes de destruction massive qui justifièrent l’intervention militaire américaine en Irak ?

[Voir aussi :
Les nazis ont-ils gagné la guerre ?
Les fondateurs de l’UE étaient financés par les USA pour installer un nazi comme président
Souvenirs de la montée du nazisme
Le discours de John F. Kennedy révélant l’existence des sociétés secrètes 10 jours avant son assassinat !
Lettre à Myriam Palomba sur les deux religions juives
La synagogue de Satan
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus]

– médical

Savez-vous que la médecine « moderne » dite allopathique devrait plutôt s’appeler « rockfellerienne » ? Savez-vous qu’elle s’est imposée uniquement grâce à un puissant lobbying doublé d’une prise de contrôle total des écoles de médecine avec pour but d’imposer le médicament « synthétique » et les vaccins comme seuls remèdes aux problèmes de santé ? Savez-vous que de nombreuses études mettent en évidence les problèmes graves causés par la vaccination obligatoire des nourrissons et remettent en cause le rôle des vaccins dans la disparition des maladies infectieuses ? Savez-vous que la psychiatrie moderne et le recours massif aux antidépresseurs ont été dénoncés par de nombreux professionnels de santé ainsi que des chercheurs comme une gigantesque arnaque ? Savez-vous que l’ivermectine n’est pas seulement un remède efficace contre le Covid, mais pourrait également être un traitement extrêmement bon marché contre certaines formes de cancer ?

[Voir aussi :
Dossier Vaccins et virus avec notamment de nombreux articles qui remettent en cause même la théorie virale, de manière étayée, argumentée et scientifique, qui exposent le caractère non scientifique et frauduleux de la virologie, ou qui proposent un nouveau paradigme dans le domaine de la santé.]

– scientifique

Savez-vous que les plus grands scientifiques russes et ukrainiens ont développé une théorie remettant en cause l’origine fossile du pétrole ? Savez-vous que les prédictions alarmistes du GIEC et l’influence de l’activité humaine sur les changements climatiques sont largement contestées par nombre de scientifiques, y compris plusieurs prix Nobel ? Savez-vous que les principes d’évolution et de sélection naturelle chers à Darwin sont aujourd’hui largement remis en cause par les biologistes et les généticiens ? Savez-vous que plusieurs responsables de revues scientifiques réputées ont reconnu qu’une large partie de la littérature scientifique était falsifiée, exagérée ou tout simplement fausse ? Savez-vous que la transfusion de sang jeune (parabiose hétérochronique) constitue une véritable cure de jouvence utilisée comme remède miracle par les puissants de ce monde ? Savez-vous que la CIA a développé durant des décennies un programme de contrôle mental extrêmement puissant (MK Ultra) qui permet de contrôler des individus sans même que ceux-ci en aient conscience ? Savez-vous qu’il existe de nombreuses recherches sur l’utilisation des nanotechnologies, y compris sous formes injectables, pour contrôler directement la pensée et le comportement ? Comprenez-vous ce que veut dire le professeur James Giordano quand il affirme devant les futurs officiers de l’armée américaine que « le cerveau humain sera le champ de bataille du XXIe siècle » ?

[Voir aussi :
Quand la science devient pseudo-science
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Climat — Pourquoi la théorie de l’effet de serre est erronée et les autres articles du dossier Climat
►Dossier 5G et ondes pulsées avec notamment l’impact des ondes em et des champs électriques sur la santé
La fabrique des faux souvenirs et le dossier MK-Ultra
La fabrication des perceptions
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
Comment fonctionne le contrôle mental réel
Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous]

– culturel

Saviez-vous que la révolution sexuelle et la « libération des femmes » n’ont pas été des phénomènes spontanés, mais sont les fruits d’une grande opération d’ingénierie sociale organisée par des racistes et des eugénistes comme Margaret Sanger ? Savez-vous que de nombreux groupes de musique de la contre-culture des années 60-70 possédaient des liens étroits avec la CIA et l’armée américaine ? Savez-vous que Disney, ainsi que tous les studios de cinéma, les labels musicaux et les éditeurs de jeux vidéo, son étroitement liés à la CIA ainsi qu’au complexe militaro-industriel américain ? Avez-vous conscience que le divertissement de masse et la culture populaire ont été utilisés pour normaliser certains comportements (homosexualité, transgenre) ou croyances (magie, sorcellerie, satanisme) dans le cadre de programmes sophistiqués d’ingénierie sociale ?

[Voir aussi :
Transgenre
La guerre de Cinquième Génération et les Psyops contre les peuples
Derrière la « guerre cognitive » de l’OTAN : une « bataille pour votre cerveau »
Lumière sur les bals masqués de l’UNICEF pour « sauver » les enfants
Tyrannie technologique et caractère démoniaque du monde moderne — Un rappel de monseigneur Gaume
L’empoisonnement des nations : Pharmakéia, sorcellerie et BigPharma]

– philosophique

Savez-vous que toute la philosophie moderne repose sur la vision déterministe et mécaniste de l’homme comparé à une machine ? Avez-vous conscience que cette vision s’oppose totalement à la doctrine chrétienne du libre arbitre ainsi qu’à la philosophie thomiste et aristotélicienne sur laquelle fut fondée la civilisation occidentale ? Comprenez-vous que dans la philosophie moderne, les choses ne possèdent plus d’essence propre, mais ne sont plus que ce que nous en pensons ? Avez-vous conscience que cette vision qui place l’Homme et sa subjectivité au centre de toute chose a pour conséquence directe le relativisme, le transhumanisme et la remise en cause de l’idée même de Bien et de Mal ? Comprenez-vous que le matriarcat et le culte de la Terre-Mère ne constituent pas des « progrès », mais correspondent à un retour à la barbarie pré-chrétienne où le sang des sacrifices finit toujours par couler pour souder le groupe et apaiser la colère des dieux (René Girard) ?

[Voir aussi :
Végano-écologisme et transhumanisme : l’union sacrée dans la haine de l’homme et donc dans la haine de Dieu
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
François-Xavier Bellamy : « Le transhumanisme est d’abord une détestation de l’humain »
Le transhumanisme et l’image de Dieu]

– spirituel

Comprenez-vous que la réduction de l’existence à sa simple dimension matérielle (naturalisme) conduit à nier le surnaturel, c’est-à-dire le pouvoir de la prière, la possibilité des miracles et l’existence des anges et des démons ? Avez-vous conscience que la déchristianisation de l’Occident est le fruit d’une gigantesque opération ingénierie sociale visant à détacher l’Homme de Dieu jusqu’à lui rendre impossible d’imaginer qu’Il existe ? Savez-vous que la neutralité religieuse est impossible et que la « laïcité » n’est que le nom officiel donné à la religion républicaine de l’égalité, du progrès et des droits de l’homme à laquelle la plupart des Français ont été convertis sans même en avoir conscience ? Comprenez-vous la différence entre la vision satanique du monde qui prétend faire de l’homme l’égal de Dieu et la vision chrétienne fondée sur la liberté, la charité et l’amour du Créateur pour sa création ? Que savez-vous de la pratique du satanisme, des sacrifices humains et du trafic d’enfants chez nos classes dirigeantes ? Vous êtes-vous déjà penché sur les attributs du Diable et établi un lien entre ces caractéristiques et l’explosion du phénomène transgenre ? Que voulait dire Baudelaire quand il écrivait que la plus grande ruse du diable est de vous faire croire qu’il n’existe pas ?

[Voir aussi :
Inversion
« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs
La religion d’État. Quelques observations sur le culte mondialiste, par Mgr Carlo Maria Viganò
Une emprise sur l’Humanité
La religion de l’Antéchrist]

Ce quelques exemples vous permettront peut-être de mieux comprendre pourquoi le monde moderne est fondé sur une accumulation de mensonges ainsi que sur une inversion diabolique du sens même des mots. Vous comprendrez donc peut-être mieux pourquoi tous ceux qui osent se poser des questions et cherchent à sortir de la prison cognitive dans laquelle nous avons été enfermés sont systématiquement désignés comme des fous, des extrémistes et des complotistes.

Vous comprendrez mieux pourquoi le pouvoir a construit un système social, éducatif et culturel conçu pour récompenser ceux qui acceptent cette soumission mentale et punir impitoyablement ceux qui refusent de s’y plier. Dans un tel système, les gens « éduqués » ou « informés » (universitaires, élus, médecins, journalistes, intellectuels) sont souvent ceux qui ont été le plus exposés à la propagande de ce système et pour lesquels la contestation de sa légitimité, ainsi que la remise en cause de leurs propres croyances, serait le plus risqué, pénible et coûteux.

Pour empêcher le grand réveil des peuples, ce système a eu la suprême habileté d’encadrer sa propre critique et de définir, y compris pour les résistants, les thèmes qu’il est acceptable ou non d’aborder. A titre d’exemple, s’il est désormais possible de parler du Grand Remplacement, il n’est toujours pas possible d’évoquer les réseaux mondialistes qui ont théorisé, organisé et imposé ce dernier. S’il est possible de dénoncer les excès du capitalisme financier, il est impossible de porter la critique jusqu’aux banques centrales et le rôle joué par la famille Rothschild dans leur création et leur gestion. S’il est possible de dénoncer les effets secondaires des vaccins Covid et les risques de l’ARN messager, plus rares sont ceux qui parlent de l’oxyde de graphène, de la convergence biodigitale ou du projet global de dépopulation. Pour finir, si beaucoup de gens se battent aujourd’hui pour sauver la France, peu nombreux sont ceux qui affirment que ce combat est avant tout spirituel et qu’il est illusoire d’espérer le remporter sans l’aide de Dieu.

Lors de sa dernière rencontre avec Vladimir Poutine, Xi Jiping déclarait :

« Ensemble, nous mettons en œuvre des changements qui ne se sont pas produits depuis cent ans. »

Le Grand Réveil s’inscrit pleinement dans ce processus et nous impose, quel que soit notre statut, nos connaissances et nos responsabilités, de sortir de notre zone de confort et de remettre en cause nos certitudes pour nous libérer du conditionnement mental auquel nous avons été soumis. Charles Péguy disait qu’il faut toujours dire ce que l’on voit, mais que ce qui est encore plus difficile est de voir ce que l’on voit. Notre vie durant nous avons été conditionnés à ne pas voir et à rejeter ce que nous voyions par peur du ridicule, de la sanction ou de l’ostracisation sociale. Le Grand Réveil consiste à dépasser cette peur, à ouvrir les yeux et enfin dire « je vois ».

« Heureux les humbles » nous disent les Béatitudes. Heureux en effet ceux qui ont su rester humbles ou garder « l’esprit du débutant », car il leur sera plus facile d’ouvrir les yeux, de rejeter « Satan, ses œuvres et ses pompes » et d’accepter le nouveau monde qui est en train de naître. Lacan disait : le réel, c’est quand on se cogne et pour l’Occident ainsi que tous ceux convaincus de la supériorité d’un modèle civilisationnel aujourd’hui en faillite, le retour au réel risque d’être rude. Quant à ceux qui ont ouvert les yeux, à eux d’anticiper le choc, de sauver tout ce qui peut encore l’être et de se préparer à reconstruire notre civilisation sur un gigantesque champ de ruines.

« Aux hommes, cela est impossible, mais à Dieu, tout est possible. »

Matthieu 19:26

Pour aller plus loin :

De l’empire du mensonge (Geddes)
De la désinformation
Des bonnes questions (Geddes)
De l’état du front (Geddes)




Un professeur finlandais expose les racines occultes du Forum économique mondial

[Source : medias-presse.info]

[Illustration : Great Reset et Great Narrative, les programmes officiels du Forum économique mondial de Klaus Schwab]

Par Pierre-Alain Depauw

« Les justifications des politiques mondiales de l’ONU et du Forum économique mondial, visant à subjuguer les gens, sont habillées sous forme de science, mais elles sont basées sur l’ésotérisme et l’occultisme. »

Côtoyant depuis une trentaine d’années des cercles du pouvoir dans le cadre de ses recherches, le professeur finlandais Mikko Paunio, considère que les politiques environnementales de l’ONU, du Club de Rome et du Forum économique mondial sont imprégnées d’ésotérisme.

Les arguments du professeur Mikko Paunio ont été présentés pour la première fois à un public finlandais en octobre 2022, dans une conférence intitulée « Occult Power ». Répétons-le, il ne s’agit pas d’un obscur théoricien du complot, mais d’un homme dont la longue carrière l’a mené dans les coulisses mêmes du pouvoir. Le professeur Paunio est un épidémiologiste qui a travaillé pour un certain nombre d’institutions de santé publique dans sa Finlande natale, et qui, après un bref passage à la Banque mondiale, est actuellement médecin principal au ministère des Affaires sociales et de la Santé de Finlande. Son travail en tant que conseiller scientifique et politique l’a amené à participer à des réunions au niveau des États à travers l’Europe et les États-Unis.

Il a combiné cela avec une opposition franche à la « religion » climatique dont les « idées néo-malthusiennes » sont un point de principe parmi l’élite technocratique. En fait, c’est son travail de spécialiste de la santé publique qui l’a d’abord alerté sur les sombres courants sous-jacents de ces misanthropes adorateurs de la nature et de leur culte à Gaïa.

« Quand j’étais jeune chercheur en médecine, je suis devenu l’un des secrétaires du Comité de l’énergie du Premier ministre en Finlande à la suite de l’accident de Tchernobyl. Moi-même et les autres secrétaires avons dû lire un flux de conscience manuscrit sans fin d’un membre du comité appelé Pentti Malaska, professeur d’études futures à l’Université d’économie et de commerce de Turku.

Qu’y avait-il de si remarquable dans cette rencontre ?

Il a été révélé plus tard qu’il était un occultiste. »

L’intérêt du professeur Paunio a été piqué, et c’est ainsi qu’a commencé son long voyage dans ce qu’il appelle « … le panthéisme nouveau et ancien de la nature développé dans le cadre de l’ONU, avec ses partenaires le Club de Rome et le Forum économique mondial. »

La création du Club de Rome en 1968 a été une étape importante dans le culte de la Terre, présentant l’humanité comme un handicap porté par une planète souffrante condamnée à un avenir catastrophique sans l’intervention d’une organisation internationale bienveillante et éclairée.

En combinant les prophéties de malheur avec la promesse d’espoir, il a creusé un sillon bien tracé par les dirigeants des bureaucraties internationales d’aujourd’hui. L’Organisation mondiale de la santé, les Nations Unies et le Forum économique mondial sont tous des représentants de cette méthode et sont bien sûr unis dans leur engagement envers les projets mondialistes.

Pourtant, il y a plus qu’un intérêt commun mondialiste qui unit ces organisations, explique le professeur Paunio.

« En 1991, dans mon premier livre, Vihreä valhe [Le mensonge vert], j’ai fait le constat qu’une grande partie des militants du mouvement néo-malthusien vert étaient attirés par l’anthroposophie ou la pensée occulte plus originale, c’est-à-dire, la théosophie. »

Le professeur Paunio accuse les maîtres du monde d’être directement inspirés d’une tradition occulte. Le panthéisme de la nature s’inspire spécifiquement de la « sagesse » de la théosophie, qui est basée sur l’ésotérisme et l’occultisme de l’escroc la plus célèbre du monde, Madame Blavatsky, qui prétendait avoir découvert la « vérité perdue » qui unit les religions du monde.

Klaus Schwab avait recruté Maurice Strong, un riche industriel canadien sans instruction (1929-2015), pour diriger la fondation du WEF. Maurice Strong était LA figure centrale dans la promotion du programme de développement durable depuis le premier sommet environnemental de l’ONU à Stockholm en 1972. Il était également un occultiste et un ésotériste invétéré.

Paunio a longuement écrit sur le développement de la tradition occulte à partir du 19e siècle, notant et nommant des personnalités politiques qui ont visiblement absorbé les principes du panthéisme de la nature.

Les découvertes du Professeur Paunio révèlent comment les organisations comme le WEF travaillent avec les gouvernements pour falsifier les preuves afin de promouvoir un programme d’effondrement.

Paunio explique comment le Forum économique mondial a, par exemple, utilisé un fonds d’innovation finlandais pour faire avancer la grande réinitialisation de Schwab.

En 2016, SITRA, qui est subordonné au Parlement finlandais, a rendu un rapport fabriqué sur le miracle de l’économie circulaire en Finlande et a créé le concept actuel d’économie circulaire pour le Forum économique mondial, qui est nocif pour l’environnement, la santé humaine et l’économie.

En exploitant ce concept, la Commission de l’Union européenne a fait des présentations aux législateurs de l’UE, par exemple, le règlement sur la taxonomie de la finance verte, le paquet sur l’économie circulaire de Jyrki Katainen et l’énorme paquet climatique Fit for 55, qui est encore principalement entre les mains des législateurs de l’UE, et ce qui conduira finalement à une planification quinquennale de style soviétique et à la chute de la société industrielle moderne.

Le professeur Paunio appelle les gens, simples travailleurs et entrepreneurs qui aiment leur pays et leur famille, à se réveiller pour défendre le réel et refuser ces expériences folles.

[Voir aussi :
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus
Les origines sombres de la Grande Réinitialisation de Davos
La religion du carbone
Les stratagèmes totalitaires des génocidaires mondialistes, partie 1
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Luciferisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur
Le programme de contrôle de la population]






Des mensonges, des absurdités et des folies partout

[Source : businessbourse.com]

L’auteur et journaliste de renom James Howard Kunstler (JHK) s’est rebellé et a souligné que le public américain se fait raconter un mensonge après l’autre par les médias corrompus, par le gouvernement et par la communauté médicale. Ce genre de mensonge, selon JHK, est une pure trahison de la part de toutes les parties, concernant les 600 millions d’injections d’armes biologiques que sont les vaccins contre le CV19, le système bancaire en ruine, sans oublier la guerre en Ukraine. Commençons par le génocide lié aux vaccins contre le Covid-19. Voici ce que JHK dit :

« Ils prétendent qu’ils n’ont eu aucun effet secondaire grave, car ils ignorent leurs propres statistiques, et ils ne veulent pas dresser un tableau réaliste pour que le public américain ne puisse pas voir quelles ont été les conséquences de leur programme de vaccination… Je ne pense pas qu’ils puissent en masquer la réalité encore longtemps. Il y a tout simplement trop de gens qui connaissent trop de personnes qui ont été blessées ou tuées par les vaccins. Le problème fondamental est que la malhonnêteté vous place dans une position de faiblesse, et que la vérité vous place dans une position de force. Finalement, si vous n’êtes pas honnête avec vous-même et les autres personnes autour de vous, tout le monde va finir par le savoir. Ils sont obligés d’amplifier les récits qui sont manifestement faux, et très bientôt, je pense que les gens vont être super énervés de la façon dont tout cela s’est passé. »

Avec la crise bancaire, JHK dit que le mensonge selon lequel tout est sous contrôle va également être exposé. Voici ce que JHK dit :

« Lorsque vous êtes obligé de rapidement sortir vos dépôts comme ce fut le cas à la “Silicon Valley Bank”, ils sortent leurs actifs en dessous de leur valeur supposée et ils deviennent insolvables. J’imagine qu’il y a beaucoup de dégâts qui vont s’intensifier très prochainement, et nous n’avons pas vu beaucoup d’action dans le racket des produits dérivés jusqu’à présent, et ce sera un gros problème quand cela se produira à cause des contrats complètement imprudents qui ont été faits. C’est vraiment un mauvais pari, et les personnes qui ont fait ce pari ne peuvent pas rembourser les pertes, et tout cela est vraiment un désastre qui est à la surface et qui va arriver très bientôt. »

JHK dit que la soi-disant réinitialisation va se produire, mais pas comme Klaus Schwab le souhaite. Tout deviendra extrêmement local, et JHK dit ceci :

« L’aspect social de la vie aggravera tout cela. »

Les mensonges sur l’Ukraine et la guerre perdue déclenchée par l’OTAN sont résumés par JHK :

« Rétrospectivement, tout le monde peut très bien comprendre pourquoi Donald Trump voulait tout simplement téléphoner à Zelensky au sujet des activités de la famille Biden en Ukraine. L’ensemble du portefeuille de l’Ukraine n’est qu’un gros sac de merde. À cause de ces activités, il y a une guerre contre le peuple, et cela inclut une guerre contre Donald Trump. Ils essaient par tous les moyens de le chasser du terrain de jeu… Je pense qu’il est prudent de dire que le gouvernement américain n’est pas votre ami. »

En conclusion, voici ce que JHK dit :

« C’est une période de l’histoire extrêmement perverse socialement et politiquement. J’ai grandi dans la période hippie. C’était assez fondé par rapport au délire et à la folie sans fondement dans lesquels ce pays est impliqué maintenant. Le fait qu’il y ait un débat sur l’heure de passage du conte drag queen pour les enfants est incroyable… C’est quoi ce cirque ? Un homme qui imite délibérément une femme à tous points de vue… C’est censé être bon pour les enfants et ne pas leur faire peur ? Il y a une folie uniforme à travers la culture, et on demande aux gens d’avaler des histoires de plus en plus absurdes. C’est là où nous en sommes aujourd’hui. On nous demande d’avaler des idées absurdes les unes après les autres. »



Source : usawatchdog.com


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40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »

[Source : off-guardian.org]

[NDLR Les numéros entre crochets renvoient aux faits correspondants, numérotés de 1 à 40, ou aux parties correspondantes, I à X]

Par Kit Knightly

Nous avons publié pour la première fois notre feuille d’information très populaire en septembre 2021, en réponse à des dizaines — voire des centaines — de demandes de sources et de données de la part de nos lecteurs. Il s’agissait d’une ressource et d’une mine de liens autant que d’un article, volontairement dépourvu d’interprétation, d’éditorialisation ou d’opinion.

La réponse a été incroyable : en quelques semaines, il est devenu notre article le plus consulté de tous les temps, et son trafic est resté constant depuis lors.

Mais le temps passe, et au fur et à mesure que de nouvelles données étaient publiées et que de nouveaux faits apparaissaient, il est devenu évident que nous devions mettre à jour l’article — non seulement en matière de faits, mais aussi en matière d’approche.

Voici donc tous les faits et sources clés actualisés concernant la prétendue « pandémie », pour vous aider à comprendre ce qui s’est passé dans le monde depuis janvier 2020 et à éclairer ceux de vos amis qui seraient encore prisonniers du brouillard de la « nouvelle normalité ».

PARTIE I : LES SYMPTÔMES

1. La « Covid-19 » et la grippe ont des symptômes IDENTIQUES. Il n’y a pas de symptômes ou d’ensembles de symptômes uniques ou spécifiques à la « Covid » et seulement à la « Covid ». Tous les symptômes de « Covid » sont communs à de nombreuses autres maladies et affections, y compris l’ensemble des infections respiratoires courantes connues sous le nom familier de « grippe ».

C’est ce qu’admettent volontiers les sources grand public et les « experts », qui décrivent régulièrement les symptômes de « Covid » comme « semblables à ceux de la grippe ».

Selon le site web du Centre américain de contrôle des maladies, qui compare la « Covid » et la grippe :

« Vous ne pouvez pas faire la différence entre la grippe et la Covid-19 rien qu’en regardant les symptômes, car ils ont certains des mêmes symptômes. »

Le NHS britannique déclare quant à lui :

« Les symptômes [de la Covid] ne sont pas différents de ceux de la grippe :
Les symptômes [de la Covid] sont très similaires à ceux d’autres maladies, telles que le rhume et la grippe. »

Alors que toutes les sources traditionnelles parlent de l’admission dans un langage doux — « certains des mêmes symptômes », « très similaires » — la vérité est que les symptômes sont identiques. Les seuls points de différence observés sont des équivoques sur la gravité et le délai d’apparition.

Cet article de Health Partners souligne que la « Covid » peut être à la fois plus grave et moins grave que la grippe, en précisant que la « Covid » peut parfois « ressembler davantage à un rhume »

Selon la Mayo Clinic, dans son article sur la « Covid » et la grippe, la seule différence entre les symptômes est qu’ils « apparaissent à des moments différents ».


2. Les « opacités en verre dépoli » ne sont PAS l’apanage de la « Covid ». Au début de la pandémie, il a été signalé que l’imagerie médicale révélait ce que l’on appelle des « opacités en verre dépoli » dans les poumons des personnes soupçonnées d’avoir contracté la grippe, et que ces opacités étaient utilisées pour diagnostiquer les patients, mais les anomalies en verre dépoli ne sont pas propres à la Covid.

Selon un article allemand publié dans la revue Radiologie en 2010 :

« L’opacité en verre dépoli (GGO) est définie comme une infiltration pulmonaire diffuse [qui peut être causée par] un œdème, un espace aérien et une pneumonie interstitielle, une pneumopathie non infectieuse ainsi que des manifestations tumorales. Des processus physiologiques, tels qu’une mauvaise ventilation des zones pulmonaires dépendantes et les effets de l’expiration, peuvent également se présenter sous la forme d’une opacité en verre dépoli. »

En 2012, le Journal of Respiratory Care a publié un article intitulé « The Imaging of Acute Respiratory Distress Syndrome » (L’imagerie du syndrome de détresse respiratoire aiguë) qui décrit les opacités en verre dépoli de la manière suivante [accentuation ajoutée] :

L’opacification en verre sur le scanner est un signe non spécifique qui reflète une réduction globale du contenu en air du poumon affecté.

En 2022, le Lancet a publié une étude de cas d’un médecin indien littéralement intitulée « Ground glass opacities are not always Covid-19 » (les opacités en verre dépoli ne sont pas toujours des Covid-19).

Un autre article, publié par Health.com en mai 2022, souligne que :

Les opacités en verre dépoli ne sont pas spécifiques à la Covid-19 […] elles peuvent apparaître en raison d’autres conditions et infections.

En bref, les opacités en verre dépoli sont une manifestation courante d’une maladie ou d’une lésion pulmonaire, et sont associées à la pneumonie, à la pneumonite, à la tuberculose et à de nombreuses autres affections.


3. La perte de l’odorat et du goût n’est PAS propre à la « Covid ». Comme pour les OGM, il a été largement rapporté que la perte du goût et de l’odorat était le signe révélateur de la « Covid », mais il s’agit d’un symptôme connu de nombreuses infections des voies respiratoires supérieures.

Selon un article publié en 2001 sur le site web de l’école de médecine de l’université du Connecticut :

Chez les adultes, les deux causes les plus courantes de troubles de l’odorat que nous voyons dans notre clinique sont les suivantes :
(1) la perte d’odorat due à un processus en cours dans le nez et/ou les sinus, comme les allergies nasales
et (2) la perte d’odorat due à une lésion du tissu nerveux spécialisé au sommet du nez (ou éventuellement des voies olfactives supérieures dans le cerveau) à la suite d’une infection virale antérieure des voies respiratoires supérieures.

Selon le NHS britannique, de nombreuses affections courantes sont connues pour provoquer des lésions aiguës et chroniques de l’odorat et du goût :

Les modifications de l’odorat sont le plus souvent causées par un rhume ou une grippe, une sinusite (infection des sinus) [ou] des allergies (comme le rhume des foins).


PARTIE II : DIAGNOSTIC ET TESTS PCR

4. Il n’est pas possible de diagnostiquer cliniquement la « Covid-19 ». Le diagnostic clinique est la pratique consistant à diagnostiquer une maladie sur la base d’un symptôme unique ou d’un ensemble de symptômes. Le Wiktionnaire le définit comme suit :

L’identification estimée de la maladie sous-jacente aux plaintes d’un patient en se basant uniquement sur les signes, les symptômes et les antécédents médicaux du patient plutôt que sur des examens de laboratoire ou d’imagerie médicale.

Étant donné que la « Covid-19 » n’a pas de profil symptomatique unique [1], et que TOUS les principaux symptômes de la « Covid » peuvent potentiellement s’appliquer à littéralement toutes les infections respiratoires courantes, il est impossible de diagnostiquer « Covid-19 » sur la base des symptômes.


5. Les tests de flux latéral ne sont pas fiables. Tout au long de la « pandémie », les « autotests » de dépistage de la « Covid » les plus fréquemment utilisés étaient les tests de flux latéral (LFT). Ces tests sont très peu fiables et sont connus pour donner des résultats positifs à partir de liquides ménagers tels que les jus de fruits et les sodas.

Au Royaume-Uni, les enfants « cassent » fréquemment leurs LFT en utilisant du vinaigre ou du coca-cola afin de créer des tests faussement positifs et d’obtenir quelques jours d’absence à l’école.

En février 2022, un « expert » a déclaré au Guardian que les LFT pouvaient donner des résultats faussement positifs en fonction du régime alimentaire de la personne testée ou en raison d’une « réaction croisée » avec un virus différent.

En février 2022, une équipe d’ » experts » de l’Imperial College a également indiqué que les LFT pouvaient « manquer » des personnes infectieuses. En d’autres termes, la position officielle est que les LFT produisent des résultats faussement négatifs ET des résultats faussement positifs.

En outre, il est reconnu — et c’est le sujet d’articles explicatifs — que les résultats des LFT et de la PCR se contredisent souvent. En d’autres termes, il est possible d’obtenir un résultat positif à l’un des tests, mais pas à l’autre.

En bref, les tests de flux latéral n’ont pratiquement aucune valeur diagnostique.


6. Les tests PCR n’ont pas été conçus pour diagnostiquer des maladies. Le test de Reverse-Transcriptase Polymerase Chain Reaction (RT-PCR) est décrit dans les médias comme « l’étalon-or » du diagnostic « Covid ».

Mais Kary Mullis, l’inventeur de ce procédé, lauréat du prix Nobel, n’a jamais eu l’intention de l’utiliser comme outil de diagnostic et l’a dit publiquement :

La PCR n’est qu’un procédé qui vous permet de produire une grande quantité de quelque chose à partir de quelque chose. Elle ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose que vous avez obtenue va vous faire du mal, ou quoi que ce soit de ce genre ».


7. Les tests PCR ont la réputation d’être imprécis et peu fiables. Les tests PCR « de référence » pour la « Covid » sont connus pour produire de nombreux résultats faussement positifs, en réagissant à du matériel ADN qui n’est pas spécifique au Sars-Cov-2.

Une étude chinoise a montré qu’un même patient pouvait obtenir deux résultats différents à partir du même test le même jour. En Allemagne, on sait que les tests ont réagi à des virus du rhume. Aux États-Unis, certains tests ont même réagi à l’échantillon de contrôle négatif.

Le président tanzanien John Magufuli, aujourd’hui décédé, a soumis des échantillons de chèvre, de papaye et d’huile de moteur à des tests PCR, qui se sont tous révélés positifs au virus.

Dès février 2020, les experts admettaient que le test n’était pas fiable. Le Dr Wang Cheng, président de l’Académie chinoise des sciences médicales, a déclaré à la télévision publique chinoise : « La précision des tests n’est que de 30 à 50 % ». Sur son propre site web, le gouvernement australien a déclaré : « Les données disponibles pour évaluer la précision et l’utilité clinique des tests Covid-19 disponibles sont limitées ». Un tribunal portugais a jugé que les tests PCR n’étaient pas fiables et ne devaient pas être utilisés pour le diagnostic.

Le manque de fiabilité des tests PCR n’est d’ailleurs pas propre à la « Covid ». Une étude réalisée en 2006 a révélé que les tests PCR pour un virus réagissaient également à d’autres virus. En 2007, la confiance accordée aux tests PCR a entraîné une « épidémie » de coqueluche qui n’a jamais existé.

Vous pouvez lire des analyses détaillées des défaillances des tests PCR ici, ici et ici.


8. Les valeurs CT des tests PCR sont trop élevées. Les tests PCR sont exécutés par cycles, le nombre de cycles que vous utilisez pour obtenir votre résultat est connu sous le nom de « seuil de cycle » ou valeur CT. Kary Mullis a déclaré :

« Si vous devez effectuer plus de 40 cycles […], il y a quelque chose qui ne va pas du tout avec votre PCR.»

Les lignes directrices du MIQE en matière de PCR vont dans le même sens : « Les valeurs [CT] supérieures à 40 sont suspectes en raison de la faible efficacité qu’elles impliquent et ne doivent généralement pas être rapportées. »

Le Dr Fauci lui-même a admis que toute valeur supérieure à 35 cycles n’est presque jamais cultivable [NDLR On ne peut pas en faire de culture virale].

Le Dr Juliet Morrison, virologue à l’université de Californie, à Riverside, a déclaré au New York Times : Tout test dont le seuil de cycle est supérieur à 35 est trop sensible… Je suis choquée que l’on puisse penser que 40 [cycles] peuvent représenter un résultat positif… Un seuil plus raisonnable serait de 30 à 35″.

Dans le même article, le Dr Michael Mina, de l’École de santé publique de Harvard, estime que la limite devrait être fixée à 30, et l’auteur poursuit en soulignant que la réduction du nombre de cycles de 40 à 30 aurait permis de réduire de 90 % le nombre de cas de « Covidés » dans certains États.

Les données du CDC suggèrent qu’aucun échantillon de plus de 33 cycles ne peut être cultivé, et l’Institut Robert Koch d’Allemagne affirme qu’aucun échantillon de plus de 30 cycles n’est susceptible d’être infectieux.

Malgré cela, on sait que la quasi-totalité des laboratoires américains effectuent leurs tests sur au moins 37 cycles et parfois jusqu’à 45. La « procédure opérationnelle standard » du NHS pour les tests PCR fixe la limite à 40 cycles.

Sur la base de ce que nous savons des valeurs CT, la majorité des résultats des tests PCR sont au mieux discutables.


9. L’Organisation mondiale de la santé a admis (à deux reprises) que les tests PCR produisaient de faux positifs. En décembre 2020, l’OMS a publié une note d’information sur le processus PCR, demandant aux laboratoires de se méfier des valeurs élevées de CT qui entraînent des résultats faussement positifs :

Lorsque les échantillons retournent une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir.

Puis, en janvier 2021, l’OMS a publié un autre mémo, cette fois-ci pour avertir que les tests PCR positifs « asymptomatiques » devaient être retestés, car il pouvait s’agir de faux positifs :

Lorsque les résultats du test ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et testé à nouveau en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.

Ces annonces ont coïncidé avec le lancement initial des « vaccins Covid ».


10. La base scientifique de TOUS les tests « Covid » est discutable. Le génome du virus Sars-Cov-2 a été prétendument séquencé par des scientifiques chinois en décembre 2019, puis publié le 10 janvier 2020. Moins de deux semaines plus tard, des virologues allemands (Christian Drosten et coll.) auraient utilisé le génome pour créer des tests PCR.

Ils ont rédigé un article intitulé Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR, qui a été soumis pour publication le 21 janvier 2020, puis accepté le 22 janvier. Cela signifie que l’article a été prétendument « évalué par les pairs » en moins de 24 heures. Un processus qui prend généralement des semaines.

Depuis lors, un consortium de plus de quarante scientifiques du vivant a demandé le retrait de l’article, rédigeant un long rapport détaillant dix erreurs majeures dans la méthodologie de l’article.

Ils ont également demandé la publication du rapport d’évaluation par les pairs de la revue, afin de prouver que l’article a bien été soumis au processus d’évaluation par les pairs. La revue n’a pas encore donné suite à cette demande.

Les tests Corman-Drosten sont à la base de tous les tests PCR « Covid » dans le monde. Si l’article est douteux, tous les tests PCR le sont également.


PARTIE III : « CAS » & « DÉCÈS »

11. Un très grand nombre de « cas de Covid » sont « asymptomatiques ». Au début de la « pandémie », il a été signalé que la majorité des « cas Covid » ne présentaient aucun symptôme. En mars 2020, des études réalisées en Italie suggéraient que 50 à 75 % des tests Covid positifs ne présentaient aucun symptôme. Une autre étude britannique datant d’août 2020 a révélé que 86 % des « patients Covid » ne présentaient aucun symptôme viral.

Un article chinois de mars 2020 a révélé que plus de 80 % des « cas asymptomatiques » étaient en fait de faux résultats positifs.

En bref, la grande majorité des « cas » survenus au cours de la première année de la « pandémie » étaient des personnes qui n’ont jamais été malades.

À la suite d’une directive de l’OMS visant à tester à nouveau les cas asymptomatiques [9] en janvier 2021 — juste au moment où les « vaccins » ont été déployés pour la première fois — le pourcentage de « cas asymptomatiques » aurait été plus faible, à savoir environ 40 %.


12. Les chiffres relatifs aux « cas cliniques » sont intrinsèquement dénués de sens. Depuis le début de la « pandémie », un « cas Covid » a été défini dans des termes garantissant un gonflement artificiel des statistiques.

Selon la définition de l’Organisation mondiale de la santé, un « cas confirmé » est toute personne dont le résultat de la PCR est positif, quels que soient les symptômes ou les antécédents personnels. En outre, on sait que de nombreuses agences sanitaires dans le monde — y compris le CDC américain — incluent les « cas probables » dans leurs statistiques.

L’OMS définit un « cas probable » comme toute personne répondant aux « critères cliniques » (c’est-à-dire présentant des symptômes grippaux) et ayant été en contact soit avec un « cas confirmé », soit avec un autre « cas probable » :

Cas probable : Un patient qui répond aux critères cliniques ET qui est en contact avec un cas probable ou confirmé, ou qui est lié à un groupe de Covid-19 ».

Comme nous l’avons vu plus haut, les tests PCR ne fonctionnent pas et produisent des faux positifs. Les tests de flux latéral produisent également des faux positifs. On sait que ces tests peuvent même donner des résultats contradictoires pour la même personne au même moment. Le « Covid-19 » ne présente pas non plus de profil symptomatique unique, ce qui exclut tout diagnostic clinique.

Si l’on ne peut pas tester la maladie de manière fiable en laboratoire, si l’on ne peut pas l’identifier par un profil de symptômes unique et si de nombreux « cas » sont reconnus comme « asymptomatiques », alors « Covid-19 » devient une étiquette dépourvue de sens.

En l’absence d’une quelconque méthode de diagnostic fiable, les statistiques sur les cas de toute maladie sont intrinsèquement dénuées de sens.


13. Les « décès Covid » ont été créés par manipulation statistique. Puisque les statistiques sur les cas de « Covid » sont gonflées [12], il s’ensuit naturellement que les statistiques sur les décès de la « Covid » ne sont pas fiables non plus. En fait, dès le début de la « pandémie », on a constaté que le nombre de « décès Covid » était artificiellement gonflé.

Selon l’Agence britannique des normes sanitaires, l’OMS a défini un « décès Covid » dans les termes suivants :

Un décès dû à la maladie Covid-19 est défini, à des fins de surveillance, comme un décès résultant d’une maladie cliniquement compatible chez un cas probable ou confirmé de maladie Covid-19, à moins qu’il existe une autre cause évidente de décès qui ne peut être liée à la maladie Covid-19 (par exemple, un traumatisme).

Tout au long de la « pandémie », de nombreux pays sont allés encore plus loin et ont défini un « décès par Covid » comme un « décès quelle qu’en soit la cause dans les 28/30/60 jours suivant un test positif ».

Les responsables de la santé du Danemark, de l’Italie, de l’Allemagne, du Royaume-Uni, des États-Unis, de l’Irlande du Nord et d’autres pays ont tous admis cette pratique :

Le CDC américain enregistre même les décès « probables » dus à la Covid dans ses statistiques.

En supprimant toute distinction entre les décès dus à la « Covid » et les décès dus à autre chose après un test positif à la Covid, on obtient naturellement des chiffres totalement dénués de sens concernant les « décès dus à la Covid ».

Le Dr John Lee, pathologiste britannique, a mis en garde contre cette « surestimation substantielle » dès avril 2020. D’autres sources grand public l’ont également signalé.

Compte tenu de l’énorme pourcentage d’ » infections Covid asymptomatiques » [11], de la prévalence bien connue de comorbidités graves [30] et du fait que tous les « tests Covid » ne sont absolument pas fiables [II], les chiffres des décès « Covid » sont des statistiques totalement dénuées de sens.


PARTIE IV : CONFINEMENTS

14. Le confinement n’empêche pas la propagation des maladies. Il n’y a que peu ou pas de preuves que le confinement ait un impact sur la limitation des « décès par Covid ». Si l’on compare les régions qui ont pratiqué le confinement à celles qui ne l’ont pas fait, on ne constate aucune tendance.

Décès en Floride (pas de confinement) et en Californie (confinement)
Décès en Suède (pas de confinement) et au Royaume-Uni (confinement)

Une méta-analyse de l’université Johns Hopkins, publiée en avant-première, a montré que les confinements n’avaient pratiquement aucun impact sur la mortalité du « Covid-19 », tandis qu’un autre article sur les « déterminants des décès de la Covid-19 », publié en avril 2021, a trouvé :

Peu de preuves que les confinements réduisent les décès


15. Le confinement tue. Il existe des preuves solides que les confinements — par le biais de dommages sociaux, économiques et autres sur la santé publique — sont plus mortels que le prétendu « virus ».

Le Dr David Nabarro, envoyé spécial de l’Organisation mondiale de la santé pour Covid-19, a décrit les confinements comme une « catastrophe mondiale » en octobre 2020 :

« L’Organisation mondiale de la santé ne préconise pas le confinement comme principal moyen de lutte contre le virus […] il semble que la pauvreté mondiale pourrait doubler d’ici l’année prochaine. Il se pourrait bien que la malnutrition infantile ait au moins doublé […] Il s’agit d’une catastrophe mondiale terrible, épouvantable ».

Un rapport des Nations unies datant d’avril 2020 prévoyait que des centaines de milliers d’enfants seraient tués par l’impact économique des fermetures d’usines, tandis que des dizaines de millions d’autres seraient confrontés à un risque de pauvreté et de famine.

Le chômage, la pauvreté, le suicide, l’alcoolisme, la toxicomanie et d’autres crises sociales et mentales se multiplient dans le monde entier. Les opérations chirurgicales et les dépistages manqués ou retardés ont déjà entraîné une augmentation de la mortalité due aux maladies cardiaques, au cancer et à d’autres affections dans de nombreux pays du monde.

Selon un rapport de la Banque mondiale datant de juin 2021, près de 100 millions de personnes ont été plongées dans l’extrême pauvreté à cause des « mesures anti-Covid ».

En janvier 2023, les services de santé du monde entier connaissent encore des retards chaotiques dans les traitements et les diagnostics. Les effets du confinement risquent de nuire à la santé publique pendant des années.

L’impact du confinement pourrait expliquer toute augmentation observée de la surmortalité [33].


16. Les bébés nés pendant le confinement ont un QI plus faible. Une étude réalisée à l’université de Brown a révélé que les enfants nés après mars 2020 avaient, en moyenne, un QI inférieur de 21 points à celui des générations précédentes, concluant :

« Des questions subsistent quant à l’impact du travail à domicile, de l’hébergement sur place et d’autres politiques de santé publique qui ont limité l’interaction sociale et les expériences typiques de l’enfance sur le développement neurologique des jeunes enfants. »

Cela reflète les rapports sur les enfants plus âgés (4-5 ans) qui font état d’un retard dans le développement des compétences sociales et d’une incapacité à lire les signes faciaux.


17. Les hôpitaux n’ont jamais été exceptionnellement surchargés. Le principal argument utilisé pour défendre les fermetures d’hôpitaux est que « l’aplanissement de la courbe » empêcherait un afflux rapide de cas et protégerait les systèmes de soins de santé de l’effondrement. Mais la plupart des systèmes de santé n’ont jamais été proches de l’effondrement.

En mars 2020, il a été signalé que les hôpitaux espagnols et italiens débordaient de patients, mais cela se produit chaque saison grippale. En 2017, les hôpitaux espagnols étaient à 200 % de leur capacité, et en 2015, des patients dormaient dans les couloirs. Selon un article du JAMA datant de mars 2020, les hôpitaux italiens « fonctionnent généralement à 85-90 % de leur capacité pendant les mois d’hiver ».

Au Royaume-Uni, le NHS est régulièrement sollicité à l’extrême pendant l’hiver.

Dans le cadre de sa politique Covid, le NHS a annoncé au printemps 2020 qu’il allait « réorganiser la capacité des hôpitaux de manière à traiter séparément les patients Covid et non Covid » et que « par conséquent, les hôpitaux connaîtront des pressions de capacité à des taux d’occupation globaux inférieurs à ce qu’ils auraient été auparavant ».

Cela signifie qu’ils ont supprimé des milliers de lits.

Oui, au cours d’une prétendue pandémie mortelle, ils ont en fait réduit le taux d’occupation maximal des hôpitaux.

Malgré cela, le NHS n’a jamais ressenti de pression au-delà de la saison grippale habituelle, et a même parfois eu quatre fois plus de lits vides que d’habitude.

Au Royaume-Uni et aux États-Unis, des millions ont été dépensés pour des hôpitaux d’urgence temporaires qui n’ont jamais été utilisés.

Un article paru dans Health Policy en novembre 2021 a révélé que, dans toute l’Europe occidentale, la « capacité de pointe » des lits de soins intensifs n’a été dépassée qu’un seul jour, en Lombardie, le 3 avril 2020.


18. Il y a eu une augmentation massive de l’utilisation de DNR « illégaux ». Les organismes de surveillance et les agences gouvernementales ont signalé une augmentation considérable de l’utilisation des ordonnances de non-réanimation (DNR) au cours des années 2020-2021.

Dès mars 2020, alors que la « pandémie » n’en était encore qu’à ses débuts, des articles paraissaient déjà dans des revues grand public, prédisant l’utilisation « unilatérale » de l’ordre de ne pas réanimer, une pratique qui avait « rarement joué un rôle avant Covid » :

Les cliniciens de certains établissements de soins de santé peuvent décider unilatéralement de rédiger un ordre de non-réanimation. Cette dernière approche n’est pas uniformément acceptée et, avant la Covid-19, elle avait rarement un rôle à jouer. Toutefois, au cours de cette pandémie, dans des situations extrêmes telles qu’un patient souffrant d’une maladie chronique sous-jacente grave et d’une insuffisance cardio-pulmonaire aiguë dont l’état s’aggrave malgré un traitement maximal, une DNR unilatérale peut avoir un rôle à jouer pour réduire le risque d’une réanimation cardio-pulmonaire médicalement futile pour les patients, les familles et les travailleurs de la santé.

Aux États-Unis, les hôpitaux ont envisagé des « DNR universels » pour tout patient testé positif à la Covid, et des infirmières dénonciatrices ont admis que le système DNR avait fait l’objet d’abus à New York.

Au Royaume-Uni, on a assisté à une augmentation « sans précédent » des DNR « illégaux » pour les personnes handicapées, les cabinets de médecins généralistes ont envoyé des lettres aux patients en phase non terminale leur recommandant de signer des DNR, tandis que d’autres médecins ont signé des « DNR globaux » pour des maisons de retraite entières.

Une étude réalisée par l’université de Sheffield a révélé que plus d’un tiers de tous les patients « soupçonnés » d’être en Covid avaient un ordre de non-réanimation joint à leur dossier dans les 24 heures suivant leur admission à l’hôpital.

Un article publié dans la revue « Public Health Frontiers » en mai 2021 a présenté des arguments « éthiques » en faveur de l’utilisation « unilatérale » des DNR chez les patients Covid :

Certains pays ont été contraints d’adopter une politique de DNR unilatérale pour certains groupes de patients […] Dans la situation difficile actuelle […], des décisions difficiles doivent être prises. Les avantages sociétaux plutôt qu’individuels pourraient prévaloir.

L’utilisation généralisée d’ordonnances de non-réanimation forcées ou illégales pourrait être à l’origine de toute augmentation de la mortalité en 2020/21 [33].


PARTIE V : VENTILATEURS

19. La ventilation n’est PAS un traitement des infections respiratoires. La ventilation mécanique n’est pas, et n’a jamais été, un traitement recommandé pour les infections respiratoires, quelles qu’elles soient. Au début de la pandémie, de nombreux médecins ont remis en question l’utilisation de ventilateurs pour traiter la « Covid ».

Le Dr Matt Strauss a écrit dans The Spectator :

Les ventilateurs ne guérissent aucune maladie. Ils peuvent remplir vos poumons d’air lorsque vous êtes incapable de le faire vous-même. Dans l’esprit du public, ils sont associés aux maladies pulmonaires, mais ce n’est en fait pas leur application la plus courante ou la plus appropriée.

Le Dr Thomas Voshaar, pneumologue allemand et président de l’Association des cliniques pneumologiques, a déclaré :

Lorsque nous avons lu les premières études et les premiers rapports en provenance de Chine et d’Italie, nous nous sommes immédiatement demandé pourquoi l’intubation était si fréquente dans ces pays. Cela contredisait notre expérience clinique de la pneumonie virale.

Malgré cela, l’OMS, les CDC, l’ECDC et le NHS ont tous « recommandé » que les patients atteints de Covid soient ventilés au lieu d’utiliser des méthodes non invasives.

Il ne s’agissait pas d’une politique médicale visant à traiter au mieux les patients, mais plutôt à réduire la propagation hypothétique de la Covid en empêchant les patients d’exhaler des gouttelettes d’aérosol, comme l’indiquent clairement les lignes directrices publiées officiellement.


20. Les ventilateurs tuent des gens. Mettre sous respirateur une personne souffrant de grippe, de pneumonie, de broncho-pneumopathie chronique obstructive ou de toute autre affection limitant la respiration ou affectant les poumons ne soulagera aucun de ces symptômes. En fait, il est presque certain que cela les aggravera et tuera beaucoup d’entre eux.

Les sondes d’intubation sont une source potentielle d’infection connue sous le nom de « pneumonie associée à la ventilation », qui, selon des études, touche jusqu’à 28 % de toutes les personnes placées sous ventilateur et tue 20 à 55 % des personnes infectées.

La ventilation mécanique endommage également la structure physique des poumons, entraînant des « lésions pulmonaires induites par le ventilateur », qui peuvent avoir un impact considérable sur la qualité de vie, voire entraîner la mort.

Les experts estiment que 40 à 50 % des patients ventilés meurent, quelle que soit leur maladie. Dans le monde entier, entre 66 et 86 % de tous les « patients Covid » mis sous respirateur sont décédés.

Selon l’infirmière infiltrée, les ventilateurs étaient si mal utilisés à New York qu’ils détruisaient les poumons des patients :

Cette politique relevait au mieux de la négligence et au pire du meurtre délibéré. Cette mauvaise utilisation des ventilateurs pourrait expliquer toute augmentation de la mortalité en 2020/21 [33].


PARTIE VI : MASQUES

21. Les masques ne fonctionnent pas. Au moins une douzaine d’études scientifiques ont montré que les masques n’empêchent en rien la propagation des virus respiratoires.

Une méta-analyse publiée par le CDC en mai 2020 n’a trouvé « aucune réduction significative de la transmission de la grippe avec l’utilisation de masques ».

Une revue canadienne de juillet 2020 a trouvé « des preuves limitées que l’utilisation de masques pourrait réduire le risque d’infections respiratoires virales ».

Une autre étude portant sur plus de 8 000 sujets a révélé que les masques « ne semblaient pas être efficaces contre les infections respiratoires virales confirmées en laboratoire ni contre les infections respiratoires cliniques ».

Il y en a littéralement trop pour les citer tous, mais vous pouvez les lire : [1] [2] [3] [4] [5] [6] [7] [8] [9] [10] ou lire un résumé par SPR ici.

Bien que certaines études prétendent montrer que les masques sont efficaces pour Covid, elles présentent toutes de sérieuses lacunes. L’une d’entre elles s’est appuyée sur des enquêtes autodéclarées. Une autre était si mal conçue qu’un groupe d’experts a demandé son retrait. Une troisième a été retirée après que ses prédictions se sont révélées totalement erronées.

L’OMS a commandé sa propre méta-analyse dans le Lancet, mais cette étude ne portait que sur les masques N95 et uniquement dans les hôpitaux. [Pour un aperçu complet des données erronées de cette étude, cliquez ici.]

Outre les preuves scientifiques, il existe de nombreuses preuves concrètes que les masques n’empêchent en rien la propagation des maladies.

Par exemple, le Dakota du Nord et le Dakota du Sud présentaient des chiffres presque identiques concernant les « cas », bien que l’un ait imposé le port du masque et l’autre non :

Au Kansas, les comtés sans obligation de porter des masques ont en fait enregistré moins de « cas » de Covid que les comtés avec obligation de porter des masques. Et bien que les masques soient très répandus au Japon, ce pays a connu en 2019 sa pire épidémie de grippe depuis des décennies.

Non seulement les masques ne fonctionnent pas, mais il était largement connu qu’ils ne fonctionnaient pas avant 2020.

Une revue de la littérature publiée en 2016 dans le Journal of Oral Health a révélé que :

Il n’y a pas de données scientifiques convaincantes qui soutiennent l’efficacité des masques pour la protection respiratoire.

(Cette étude a été discrètement retirée du site web du journal en juin 2020, car elle n’était « plus pertinente dans le climat actuel ».)

Une autre étude, publiée en 2020, mais réalisée en 2019, a trouvé :

Aucun effet significatif des masques sur la transmission de la grippe confirmée en laboratoire.

Dans sa revue de 2020 intitulée « Masks Don’t Work » [Les masques ne marchent pas], le Dr Denis Rancourt cite des études de 2009, 2010, 2012, 2016, 2017 et 2019… dont aucune n’a trouvé le moindre avantage significatif au port d’un masque.

Et, plus révélateur encore, dans son propre rapport sur la grippe de 2019, l’OMS elle-même a noté que :

il n’y a aucune preuve que [les masques soient] efficaces pour réduire la transmission


22. Les masques sont mauvais pour la santé. Porter un masque pendant de longues périodes, porter le même masque plus d’une fois et d’autres aspects des masques en tissu peuvent être mauvais pour la santé. Une longue étude sur les effets néfastes du port de masque a été récemment publiée par l’International Journal of Environmental Research and Public Health (Journal international de la recherche environnementale et de la santé publique).

Le Dr James Meehan a signalé en août 2020 qu’il constatait une augmentation des pneumonies bactériennes, des infections fongiques et des éruptions cutanées sur le visage.

Les masques sont également connus pour contenir des microfibres de plastique, qui endommagent les poumons lorsqu’elles sont inhalées et peuvent être potentiellement cancérigènes.

Le port de masques par les enfants encourage la respiration buccale, ce qui entraîne des déformations faciales.

Dans le monde entier, des personnes se sont évanouies à cause d’un empoisonnement au CO2 alors qu’elles portaient leur masque, et certains enfants en Chine ont même souffert d’un arrêt cardiaque soudain.

En outre, les masques peuvent en fait augmenter la probabilité de maladies respiratoires, comme l’a montré un essai sur les masques en tissu réalisé en 2015 :

La rétention d’humidité, la réutilisation des masques en tissu et une mauvaise filtration peuvent entraîner un risque accru d’infection.

Une nouvelle étude publiée en juillet 2022 a montré que les masques, en particulier ceux qui sont portés plusieurs fois, sont des terrains propices à la prolifération de bactéries et de microbes fongiques.

Un autre article sur l’efficacité des masques, publié en avril 2022 et évalué par des pairs, a constaté que les masques ne sont pas toujours efficaces :

Bien qu’aucune conclusion de cause à effet n’ait pu être déduite de cette analyse observationnelle, l’absence de corrélation négative entre l’utilisation des masques et les cas de Covid-19 et les décès suggère que l’utilisation généralisée des masques […] n’a pas été en mesure de réduire la transmission de la Covid-19. En outre, la corrélation positive modérée entre l’utilisation des masques et les décès en Europe occidentale suggère également que l’utilisation universelle des masques peut avoir eu des conséquences involontaires néfastes.


23. Les masques sont mauvais pour la planète. Des millions et des millions de masques jetables sont utilisés chaque mois depuis plus d’un an. Selon un rapport des Nations unies, la pandémie de Covid-19 entraînera probablement un doublement des déchets plastiques au cours des prochaines années, et la grande majorité d’entre eux sont des masques.

Le rapport poursuit en avertissant que ces masques (et d’autres déchets médicaux) boucheront les égouts et les systèmes d’irrigation, ce qui aura des répercussions sur la santé publique, l’irrigation et l’agriculture.

Une étude de l’Université de Swansea a révélé que « des métaux lourds et des fibres plastiques ont été libérés lorsque des masques jetés ont été immergés dans l’eau ». Ces matériaux sont toxiques pour l’homme et la faune.

Une autre étude, publiée en 2022, a révélé que :

Les masques jetables et les gants en plastique pourraient constituer un risque permanent pour la faune pendant des dizaines, voire des centaines d’années.


PARTIE VII : VACCINS

24. Les « vaccins » Covid sont totalement inédits. Avant 2020, aucun vaccin contre un coronavirus humain n’avait jamais été mis au point.

Après l’avènement de la « Covid », nous en aurions fabriqué plus de 20 en 18 mois.

Depuis des années, les scientifiques tentent de mettre au point un vaccin contre le SRAS et le MERS, sans grand succès. Certains des vaccins contre le SRAS qui ont échoué ont en fait provoqué une hypersensibilité au virus du SRAS. Cela signifie que les souris vaccinées pourraient potentiellement contracter la maladie plus gravement que les souris non vaccinées. Une autre tentative a provoqué des lésions hépatiques chez les furets.

Alors que la théorie des vaccins traditionnels veut que l’exposition de l’organisme à une souche affaiblie d’un micro-organisme déclenche une réponse immunitaire, nombre de ces nouveaux « vaccins » Covid sont des vaccins à ARNm.

Les vaccins ARNm (acide ribonucléique messager) fonctionnent théoriquement en injectant de l’ARNm viral dans le corps, où il se réplique à l’intérieur des cellules et encourage le corps à reconnaître et à fabriquer des antigènes pour les « protéines de pointe » du virus.

Les vaccins à ARNm font l’objet de recherches depuis les années 1990, mais avant 2020, aucun vaccin à ARNm n’a jamais été approuvé pour une utilisation chez l’homme.

Pourtant, après l’avènement de Covid, deux sociétés différentes ont fabriqué, à quelques semaines d’intervalle, deux vaccins ARNm prétendument « sûrs et efficaces ».


25. Les « vaccins Covid » ne confèrent pas d’immunité et ne préviennent pas la transmission. On admet volontiers que les « vaccins » Covid ne confèrent pas d’immunité contre l’infection et n’empêchent pas de transmettre la maladie à d’autres personnes. En effet, un article du British Medical Journal a souligné que les essais vaccinaux n’ont même pas été conçus pour essayer d’évaluer si les « vaccins » limitaient la transmission.

Les fabricants de vaccins eux-mêmes, lorsqu’ils ont publié les thérapies géniques à ARNm non testées, ont clairement indiqué que l’« efficacité » de leur produit était basée sur la « réduction de la sévérité des symptômes ».

En octobre 2022, Janine Small, cadre de Pfizer, témoignant devant le Parlement européen, a admis que Pfizer n’avait même pas testé si son vaccin empêchait la transmission de la « Covid » avant sa mise à disposition du public.


26. Les vaccins ont été mis au point à la hâte et leurs effets à long terme sont inconnus. La mise au point d’un vaccin est un processus lent et laborieux. En général, il faut de nombreuses années pour passer de la mise au point à l’essai, puis à l’approbation de l’utilisation publique. Les différents vaccins pour la Covid ont tous été développés et approuvés en moins d’un an.

Sur son propre site web, Moderna admet qu’il faut normalement 10 à 15 ans pour développer un vaccin, mais se vante d’avoir produit son SpikeVax « en deux mois ».

Il est évident qu’il ne peut y avoir de données de sécurité à long terme sur des produits chimiques datant de moins d’un an.

Pfizer l’admet même dans la fuite du contrat de fourniture entre le géant pharmaceutique et le gouvernement albanais :

« Les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas connus à l’heure actuelle et le vaccin peut avoir des effets indésirables qui ne sont pas connus à l’heure actuelle ».

En outre, aucun des vaccins n’a fait l’objet d’essais appropriés. Nombre d’entre eux n’ont pas été soumis à des essais préliminaires et les essais sur l’homme à un stade avancé n’ont pas été examinés par des pairs, n’ont pas publié leurs données, ne se termineront pas avant 2023 ou ont été abandonnés à la suite d’« effets indésirables graves ».


27. Les fabricants de vaccins se sont vus accorder une indemnité légale en cas de préjudice. La loi américaine sur la préparation aux situations d’urgence (Public Readiness and Emergency Preparedness Act—PREP) accorde une immunité jusqu’en 2024 au moins.

La loi européenne sur l’homologation des produits va dans le même sens, et des rapports font état de clauses de responsabilité confidentielles dans les contrats signés par l’UE avec les fabricants de vaccins.

Le Royaume-Uni est allé encore plus loin en accordant une indemnité légale permanente au gouvernement et à ses employés pour tout préjudice causé lorsqu’un patient est traité pour la Covid-19 ou la « Covid-19 suspecté ».

Là encore, la fuite du contrat albanais suggère que Pfizer, au moins, a fait de cette indemnité une exigence standard pour la fourniture des vaccins Covid :

L’acheteur accepte par la présente d’indemniser, de défendre et de dégager de toute responsabilité Pfizer […] contre tout(e) poursuite, réclamation, action, demande, perte, dommage, responsabilité, règlement, pénalité, amende, coût et dépense


28. Les « vaccins » Covid comportent un risque important d’effets secondaires indésirables. Les vaccins expérimentaux Covid ont potentiellement causé des dizaines d’affections graves chez des millions de personnes. Il s’agit notamment de myocardites (en particulier chez les jeunes garçons), de caillots sanguins, de réactions allergiques, d’affections cutanées, de paralysie de Bell, d’irrégularités menstruelles, etc. [Pour une description détaillée de ces affections, cliquez ici.]

Le système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) du CDC américain a reçu deux fois plus de notifications depuis l’introduction du vaccin contre la Covid que toutes les années précédentes réunies.

Source : OpenVAERS

PARTIE VIII : DONNÉES SUR LA MORTALITÉ

29. Le taux de survie de la « Covid » est supérieur à 99 %. Les experts médicaux du gouvernement ont tout fait pour souligner, dès le début de la pandémie, que la grande majorité de la population n’est pas menacée par la Covid.

Un nouvel examen global des données sur la Covid, publié en octobre 2022 par l’épidémiologiste de Stanford John Ioannidis (et coll.), a révélé un taux de mortalité médian d’à peine 0,07 % chez les personnes âgées de moins de 70 ans.

Presque toutes les études sur les anticorps portant sur le rapport infection-fatalité (RIF) de la Covid ont donné des résultats compris entre 0,04 % et 0,5 %. En d’autres termes, à supposer que la « Covid » ait jamais existé en tant que maladie distincte, son taux de survie était d’au moins 99,5 %.


30. La grande majorité des « morts de la Covid » présentent de graves comorbidités. En mars 2020, le gouvernement italien a publié des statistiques montrant que 99,2 % de ses « morts par Covid » présentaient au moins une comorbidité grave.

Il s’agit notamment du cancer, des maladies cardiaques, de la démence, de la maladie d’Alzheimer, de l’insuffisance rénale et du diabète. Plus de 50 % d’entre eux souffraient d’au moins trois maladies préexistantes graves.

Cette tendance s’est maintenue dans tous les autres pays au cours de la « pandémie ». Une requête FOIA d’octobre 2020 auprès de l’ONS britannique a révélé que moins de 10 % du décompte officiel des « décès dus à la Covid » à cette époque avaient la Covid comme seule cause de décès.

En résumé, la grande majorité des « décès par Covid » concernait des personnes très fragiles.

Cela a été interprété par la presse comme le fait que la vieillesse ou l’infirmité étaient des « facteurs de risque » pour la « Covid ». Cependant, il serait plus juste de dire que le facteur de risque numéro un pour « mourir de Covid » était déjà de mourir d’autre chose.


31. L’âge moyen du « décès par Covid » est supérieur à l’espérance de vie moyenne. L’âge moyen d’un « décès par Covid » au Royaume-Uni est de 82,5 ans. En Italie, il est de 86 ans. En Allemagne, il est de 83 ans. En Suisse, 86 ans. Au Canada, 86 ans. Les États-Unis, 78 ans, l’Australie, 82 ans.

Dans presque tous les cas, l’âge médian d’un « décès Covid » est supérieur à l’espérance de vie nationale.

Des recherches menées en mars 2021 ont montré que, dans les huit pays étudiés, plus de 64 % de tous les « décès par Covid » sont survenus chez des personnes dont l’espérance de vie était supérieure à l’espérance de vie nationale.

Ainsi, pour la majeure partie du monde, la « pandémie » n’a eu que peu ou pas d’impact sur l’espérance de vie. À titre de comparaison, la grippe espagnole a fait chuter l’espérance de vie de 28 % aux États-Unis en un peu plus d’un an. [source]


32. La mortalité par Covid reflète exactement la courbe de mortalité naturelle. Des études statistiques menées au Royaume-Uni et en Inde ont montré que la courbe de la « mortalité Covid » suit presque exactement la courbe de la mortalité attendue :

Le risque de décès « par Covid » suit presque exactement le risque de décès général.

La légère augmentation pour certains groupes d’âge plus élevés peut être expliquée par d’autres facteurs [15] [18] [20] [28].


33. Il n’y a pas eu de surmortalité inhabituelle. Le nombre de victimes de la « Covid », même avec des statistiques exagérées [13], n’a jamais été assez élevé pour justifier les réactions draconiennes de la plupart des gouvernements du monde.

En trois ans de « Covid », il y a eu environ 6,8 millions de « décès Covid », soit 2,3 millions par an. Cela représente 0,03 % de la population mondiale. À titre de comparaison, la grippe espagnole de 1918 a tué entre 25 et 100 millions de personnes en deux ans, soit entre 0,7 et 2,8 % de la population mondiale par an.

La presse a qualifié l’année 2020 de « l’année la plus meurtrière depuis la Seconde Guerre mondiale » au Royaume-Uni, mais cette affirmation est trompeuse, car elle ne tient pas compte de l’augmentation massive de la population depuis cette période. Une mesure statistique plus raisonnable de la mortalité est le taux de mortalité normalisé selon l’âge (ASMR) :

Selon cette mesure, 2020 n’est même pas la pire année pour la mortalité depuis 2000. En fait, depuis 1943, seules 9 années ont été meilleures que 2020.

De même, aux États-Unis, l’ASMR pour 2020 n’atteint que les niveaux de 2004 :

La Suède, qui ne s’est pas enfermée, a vu sa mortalité toutes causes confondues atteindre des niveaux jamais vus en 2012 :

L’ensemble des données de la Banque mondiale sur la mortalité estime qu’en 2020, le taux brut de mortalité mondiale est passé d’environ 7,6 à 8, soit un retour au niveau observé entre 2006 et 2011.

À partir de mai 2021, l’Organisation mondiale de la santé a commencé à discuter du « coût réel de la pandémie », encourageant les efforts visant à gonfler davantage le nombre de décès dus à la pandémie en attribuant tous les décès excédentaires depuis 2020 à la Covid. Cependant, étant donné que toute augmentation de la mortalité pourrait être attribuée à des causes autres que la Covid [faits 15, 18, 20 et 28], il s’agit soit d’un raisonnement irrationnel, soit d’une tromperie intentionnelle.

En outre, il existe des preuves solides que les décès excédentaires n’ont rien à voir avec la « Covid », puisque les décès excédentaires ont continué d’augmenter alors même que les cas de Covid auraient diminué. Comme l’a rapporté le Spectator en novembre 2022 :

Pourquoi la surmortalité est-elle plus élevée aujourd’hui que pendant la Covid ?

Le Royaume-Uni n’est pas le seul concerné, comme l’ont écrit Toby Green et Thomas Fazi pour Unherd le 30 janvier :

… malgré des taux de mortalité relativement bas pendant la Covid, la surmortalité globale dans tous les groupes d’âge en Europe en 2022 était aussi élevée qu’en 2020 et plus élevée qu’en 2021 — même dans les cohortes les plus âgées. Au-delà de l’Europe, la situation est à peu près la même…

Le fait que la surmortalité ait continué d’augmenter malgré le prétendu ralentissement de la « pandémie » prouve que la surmortalité n’a peut-être jamais été causée par la « Covid », mais qu’elle est en fait due à d’autres facteurs (par exemple, les retombées économiques et sociales des politiques de confinement et, éventuellement, la distribution de « vaccins » non testés et inutiles).


PARTIE IX : PLANIFICATION ET TROMPERIE

34. L’UE préparait des « passeports vaccinaux » au moins un AN avant le début de la pandémie. Les contre-mesures proposées pour la Covid, présentées au public comme des mesures d’urgence improvisées, existent depuis avant l’apparition de la maladie.

Deux documents de l’UE publiés en 2018, « 2018 State of Vaccine Confidence » et un rapport technique intitulé « Designing and implementing an immunisation information system » (conception et mise en œuvre d’un système d’information sur la vaccination) ont examiné la plausibilité d’un système de suivi des vaccinations à l’échelle de l’UE.

Ces documents ont été regroupés dans la « Feuille de route pour la vaccination » de 2019, qui (entre autres) établit une « étude de faisabilité » sur les passeports vaccinaux devant débuter en 2019 et s’achever en 2021 :

Les conclusions de ce rapport ont été rendues publiques en septembre 2019, un mois seulement avant l’événement 201 (ci-dessous).

En fait, les programmes de vaccination et d’immunisation sont reconnus comme « un point d’entrée pour l’identité numérique » depuis au moins 2018.

Fondée en 2016, ID2020 est une « alliance » corporative-gouvernementale dédiée à « fournir une identité numérique à tous ». En mars 2018, ID2020 a publié un article intitulé « Immunisation : un point d’entrée pour l’identité numérique », dans lequel l’auteur affirme :

L’immunisation représente une énorme opportunité pour mettre à l’échelle l’identité numérique.

ID2020 a été fondé conjointement par Microsoft, la Fondation Rockefeller et GAVI the Vaccine Alliance. Parmi ses « partenaires » figurent Facebook et l’ONU.


35. Un « exercice d’entraînement » a prédit la pandémie quelques semaines avant son déclenchement. En octobre 2019, le Forum économique mondial et l’université Johns Hopkins ont organisé l’Event 201. Il s’agissait d’un exercice d’entraînement basé sur un coronavirus zoonotique déclenchant une pandémie mondiale. L’exercice était parrainé par la Fondation Bill et Melinda Gates et GAVI, l’alliance pour les vaccins.

Les conclusions et les recommandations de l’exercice ont été publiées en novembre 2019 sous la forme d’un « appel à l’action ». Un mois plus tard, la Chine a enregistré son premier cas de « Covid ».


36. Les dirigeants mondiaux sceptiques à l’égard de la Covid « sont morts subitement ». Plusieurs dirigeants politiques qui s’opposaient aux politiques de l’Organisation mondiale de la santé en matière de Covid sont décédés de manière inattendue, pour voir leurs politiques anti-Covid de l’OMS annulées immédiatement par leurs successeurs.

Le 3 mai 2020, le président burundais Pierre Nkurunzia a qualifié la Covid de « canular ». Trois jours plus tard, le Council on Foreign Relations a mis en garde contre les « tendances dangereuses de la démocratie burundaise ».

Le 14 mai 2020, Nkurunzia a formellement expulsé les représentants de l’OMS du Burundi. Moins d’un mois plus tard, il meurt « d’une maladie soudaine ». Son successeur qualifie Covid de « notre plus grand ennemi » et invite l’OMS à revenir.

La situation a été presque identique en Tanzanie, où le président Covid-sceptique John Magufuli a mis en doute l’exactitude des tests PCR et a interdit l’utilisation des vaccins Covid dans son pays.

En mars 2021, Magufuli a disparu de la scène publique pendant des semaines. Une fois de plus, le Council on Foreign Relations a publié un article appelant à sa destitution et, une fois de plus, il a été rapporté qu’il était mort subitement.

Son successeur a immédiatement fait volte-face sur la Covid, imposant des quarantaines, une distanciation sociale et le port de masques, ainsi que l’adhésion de la Tanzanie au programme de vaccination de l’OMS et la vaccination de 10 millions de ses citoyens.


37. Pendant la « pandémie » de Covid, la grippe a presque complètement « disparu ». Aux États-Unis, depuis février 2020, les cas de grippe auraient chuté de plus de 98 %.

Les États-Unis ne sont pas les seuls concernés : en septembre 2020, le CDC américain a signalé que l’activité grippale avait nettement diminué aux États-Unis, en Australie, en Afrique du Sud et au Chili.

En avril 2021, le magazine Scientific American a publié un article intitulé « La grippe a disparu depuis plus d’un an » :

La grippe a disparu depuis plus d’un an.

L’explication donnée est que les mesures anti-Covidus — par exemple les masques et les confinements — ont empêché la propagation de la grippe. Mais nous avons établi que les masques et les confinements n’arrêtent pas la propagation des maladies respiratoires [14] [21].

En bref, à l’échelle mondiale, la grippe a presque totalement disparu en 2020 et 2021, ce qui ne peut s’expliquer par les mesures anti-Covid.

Pendant ce temps, une nouvelle maladie appelée « Covid », qui présente des symptômes identiques [1] et un taux de mortalité similaire [29] à celui de la grippe, affectait apparemment toutes les personnes normalement touchées par la grippe.


PARTIE X : PROFIT ET MOTIVATION

38. La pandémie de Covid a fait avancer un programme politique préexistant. Dès le début, la pandémie a servi de prétexte pour faire adopter des réformes des systèmes alimentaires, identitaires et monétaires, ainsi que pour faire avancer des programmes « verts » qui centralisent le pouvoir mondial et national.

Dès mars 2020, l’ancien Premier ministre britannique Gordon Brown appelait à un « gouvernement mondial » pour lutter contre la pandémie.

La pandémie a également entraîné un renforcement des pouvoirs de censure et de surveillance, tant en Chine qu’en Occident.

En septembre 2018, le rôle important de l’« identité numérique » dans le futur « contrat social » a été l’un des principaux sujets de discussion à Davos. En décembre 2020, The Economist a rapporté que « La Covid-19 stimule les plans nationaux visant à donner aux citoyens des identités numériques ».

En janvier 2019, il a été signalé que la Banque des règlements internationaux et 70 banques centrales du monde entier participaient à des recherches sur les monnaies numériques des banques centrales (CBDC). En juillet 2021, FinTech times a rapporté que la pandémie avait « accéléré le développement des monnaies numériques des banques centrales de cinq ans ».

Tout au long de l’année 2019, des articles et des documents ont appelé à une « transformation radicale » du système alimentaire mondial. En 2021, Deloitte indiquait que la « Covid » avait « accéléré la transformation de l’alimentation ».

Le Grantham Institute de l’Imperial College de Londres a publié un article affirmant que la Covid avait permis à des experts de « mettre un pied dans la porte » afin qu’ils puissent « plaider vigoureusement en faveur d’une reprise à “émissions nettes nulles” et d’un avenir résilient. »

Enfin, la pandémie a ouvert la voie à de profonds changements mondialistes dans les politiques de santé publique, sous la forme d’une proposition de « traité sur les pandémies ».


39. Les entreprises ont réalisé des profits colossaux grâce à la Covid. Les entreprises de nombreux secteurs ont réalisé d’énormes bénéfices grâce à la « pandémie », la plupart d’entre eux provenant de l’augmentation des dépenses publiques, qui ont permis de mettre l’argent public entre les mains du secteur privé.

Le marché mondial des masques de protection, par exemple, a augmenté de plus de 15 000 %, passant de 1,4 milliard de dollars en 2019 à 225 milliards de dollars en 2020. Et il ne s’agit que des masques de protection, pas des autres formes d’équipements de protection individuelle (EPI) qui ont tous connu une augmentation massive des dépenses personnelles et gouvernementales.

Rien qu’au Royaume-Uni, le coût du simple stockage de ces EPI a atteint plus d’un milliard de livres, tandis que 4 milliards de livres d’EPI inutilisés ont été gaspillés et que les autres radiations ont totalisé près de 10 milliards de livres.

Les gants en caoutchouc et les désinfectants pour les mains ont également connu une forte hausse de leur marché grâce aux dépenses publiques. Une grande partie de cet argent a été complètement gaspillée, les produits étant périmés.

Amazon a vu ses bénéfices doubler grâce à la Covid, et les plateformes de streaming ont gagné des millions de nouveaux utilisateurs grâce aux confinements.

C’est toutefois dans le secteur des vaccins que les bénéfices les plus importants ont été enregistrés. Depuis le déploiement des vaccins, les entreprises pharmaceutiques ont gagné environ 1 000 dollars par seconde.

Fin 2019, les revenus de Pfizer n’avaient jamais été aussi bas depuis 2010 ; deux ans plus tard, ils avaient augmenté de 150 % et n’avaient jamais été aussi élevés.

Dans les mois qui ont suivi le lancement du vaccin, 9 fabricants de vaccins sont devenus milliardaires. En mai 2022, ce nombre était passé à 40.


40. L’élite a fait fortune pendant la pandémie. Les entreprises pharmaceutiques ne sont pas les seules à avoir profité de Covid. Depuis le début du confinement, les personnes les plus riches se sont considérablement enrichies.

En octobre 2020, Business Insider a rapporté que « les milliardaires ont vu leur valeur nette augmenter d’un demi-milliard de dollars » au cours des six premiers mois de la pandémie.

En avril 2021, Forbes rapportait que 40 nouveaux milliardaires avaient été créés pour « lutter contre le coronavirus ».

Ce processus n’a fait que s’accélérer.

En mai 2022, le nombre de nouveaux milliardaires créés par la pandémie s’élevait à 543. Soit environ un toutes les 30 heures au cours des deux dernières années. Parmi eux, 40 nouveaux milliardaires dans le seul secteur pharmaceutique.

Parallèlement, la part de la richesse mondiale détenue par les milliardaires est passée de 10 % en 2019 à 14 % en 2022, soit une augmentation plus importante que les 16 années précédentes réunies.

Au total, les personnes les plus riches du monde ont augmenté leur richesse collective de plus de cinq mille milliards de dollars au cours des trois dernières années, et ce, grâce à la Covid.


CONCLUSION

J’ai tenu à dire, dans l’introduction de ce document, qu’il s’agissait d’une mise à jour non seulement en matière de faits, mais aussi en matière d’approche. Je vais maintenant clarifier les choses.

Lorsque la première édition de cette liste a été publiée, la « Covid » était encore un exercice de tir réel. Une guerre de propagande tentaculaire, où les faits étaient des munitions et où les lignes d’approvisionnement étaient tendues. Cette liste se devait d’être ce qu’elle était : courte, directe et facilement accessible.

Aujourd’hui, le front de la pandémie est plus calme. Une ruine boueuse d’un champ de bataille, parsemée de cadavres et de bannières molles sur des lances brisées. Abandonnés aux charognards, les deux camps se préparent à la prochaine grande offensive.

La « Covid » est doucement réduite au profit des discussions sur l’Ukraine, le changement climatique et même « la prochaine pandémie ».

Notre monde n’est pas revenu à la « normale » — et ne le fera probablement jamais — mais tandis que la transformation reste en place, l’agent de ce changement initial est lentement repoussé par de nouveaux fronts dans la guerre de la Grande Réinitialisation pour le contrôle du monde.

Nous disposons désormais d’un espace — et d’un temps — pour passer en revue l’ensemble du récit de la « Covid » et raconter la véritable histoire de la « pandémie » qui a mis le monde sens dessus dessous, afin de mieux vider ses poches.

L’édition précédente de cette liste a été volontairement laissée libre de toute interprétation de la part de l’auteur. Les faits devaient parler d’eux-mêmes, et c’est ce qu’ils ont fait. C’est d’ailleurs toujours le cas.

Néanmoins, en guise de conclusion pour le jury mondial, je voudrais résumer l’histoire que ces faits nous racontent.

  • — En 2017, 18 et 19, divers organismes internationaux et mondiaux ont mis en place des plans — ou discuté de la possibilité de mettre en place des campagnes de vaccination à l’échelle mondiale, y compris de la manière dont elles pourraient être utilisées pour faciliter l’introduction de passeports numériques liés aux dossiers médicaux.
  • — Fin 2019, un exercice international a été organisé autour d’un hypothétique coronavirus zoonotique provoquant une pandémie mondiale et planifiant une réponse possible.
  • — Deux mois plus tard, un coronavirus zoonotique prétendument réel a commencé à infecter des personnes. Cette « nouvelle maladie » présentait des symptômes typiques de la grippe et un taux de mortalité très similaire à celui des maladies saisonnières de type grippal. Par coïncidence, au cours de cette période, le nombre de cas de grippe aurait chuté à presque zéro.
  • — Les tests de dépistage de ce « nouveau virus » ont été réalisés à la hâte, sans passer par le processus habituel d’évaluation par les pairs.
  • — Des tests de masse sur des personnes asymptomatiques ont été utilisés pour créer des « cas de Covid », tandis que des tests de masse sur des personnes déjà mourantes à l’hôpital ont été utilisés pour créer des « décès de Covid ».
  • — En guise de « réponse » à la « pandémie », des confinements ont été instaurés, paralysant l’économie et provoquant une augmentation massive de la pauvreté, de la malnutrition, de la toxicomanie et de l’alcoolisme, ainsi que des problèmes de santé mentale. Tout en veillant à ce que les personnes souffrant de réels problèmes de santé évitent les hôpitaux par peur.
  • — Pendant ce temps, dans les hôpitaux, les « directives Covid » ont entraîné un abus meurtrier des ordonnances de non-réanimation et de la ventilation mécanique.
  • — Ces mesures ont tué des gens, contribuant à l’augmentation de la surmortalité qui a pu être officiellement imputée à la « Covid », mais qui n’a pas diminué malgré la réduction du nombre de « cas de Covid ».
  • — Les masques et la distanciation sociale ont été imposés au public — en dépit de leurs propres recherches montrant qu’ils sont inefficaces — afin d’accroître la peur du public et ont agi comme la seule preuve visuelle qu’il se passait quelque chose.
  • — C’est sous le couvert de cette fausse « pandémie » qu’a eu lieu le plus grand échange d’argent public entre des mains privées de tous les temps.
  • — La « pandémie » a également permis une centralisation massive du pouvoir, tant au niveau national que mondial. Les dirigeants de presque toutes les nations de la planète se sont emparés de plus de pouvoir en jouant le jeu, et ceux qui ont refusé ont été tués.
  • — Enfin, et surtout, la « Covid » a permis une accélération rapide d’un programme politique qui aspire à transformer le monde en un spectacle d’horreur dystopique. La surveillance numérique, les procédures médicales obligatoires, les couvre-feux, les brutalités policières et la censure ont été normalisés sous le couvert de la « protection de la santé publique ». Des programmes tels que la monnaie numérique, la « réforme alimentaire » et les politiques de « green new deal » ont vu leur vitesse de développement augmenter de manière significative.

Tels sont les faits essentiels de la pandémie, et ils ne racontent qu’une seule histoire. La « Covid » était un projet. Une fausse maladie, créée pour vendre un programme bien réel. C’est la seule explication rationnelle de toutes les preuves dont nous disposons.

L’« histoire officielle » ne tient pas la route. Si la Covid était une vraie maladie et une vraie pandémie, il n’aurait pas été nécessaire de recourir à des pratiques de test corrompues et à des tours de passe-passe statistiques pour qu’il se propage. Si elle était réellement mortelle, il ne serait pas nécessaire de recourir à des manipulations statistiques pour créer des « décès dus à la Covid ». Si les pouvoirs en place étaient honnêtes, ils n’auraient jamais mis en place des mesures de « santé publique » qui, selon leurs propres recherches, ne fonctionnent pas.

L’idée qu’il s’agit d’une boule de neige d’erreurs — une tempête parfaite de panique publique, d’incompétence gouvernementale et de cupidité des entreprises — ne constitue pas non plus une explication complète, car elle ne tient pas compte des nombreux actes de malhonnêteté prolifique et délibérée, et nous demande à nouveau de croire que l’événement 201 n’était qu’une simple coïncidence.

La théorie de la « fuite de laboratoire » ou de l’« arme biologique » — selon laquelle la « Covid » est une véritable maladie diffusée accidentellement ou délibérément au public — ne correspond pas non plus à la réalité, que ce soit sur le plan factuel ou logique. D’un point de vue factuel, comme pour la version officielle, un vrai virus n’aurait pas besoin de fausses statistiques pour se propager. D’un point de vue logique, il y a le problème du contrôle.

Comme le dit Mike Yeadon dans son récent article [« Why I don’t believe there ever was a Covid virus » (Pourquoi je ne crois pas qu’il y ait jamais eu un virus Covid]) :

« L’effet d’un nouvel agent pathogène mis en circulation ne peut être prédit avec précision. Il pourrait s’éteindre rapidement. Ou bien il pourrait s’avérer beaucoup plus mortel que prévu et détruire des civilisations avancées. »

Non, la seule histoire qui tienne la route, c’est que la « Covid » était une opération psychologique à l’échelle mondiale. La plus grande et la plus vaste campagne de propagande de tous les temps, dans le but unique de briser le monde et de le refaire à l’image des mondialistes.

C’est d’ailleurs ce qu’ils n’ont cessé de nous répéter. Une « grande remise à zéro » pour « mieux reconstruire » vers une « nouvelle normalité ». Ils n’ont pas caché leur intention :

La « Covid » était — et reste — un moyen trompeur pour atteindre une fin malveillante. Nous devons le voir, le comprendre et nous en souvenir. En effet, si nous n’analysons pas et ne comprenons pas correctement l’ampleur et la méthodologie de cette propagande, nous serons vulnérables aux mêmes méthodes la prochaine fois qu’elles seront déployées.

Si les moyens peuvent être retirés, la fin restera toujours la même.

Leur nouveau monde existe aujourd’hui, tout autour de nous. Mais il n’est qu’à moitié construit, et le but distinct et final de tout ce qu’ils feront et diront à l’avenir sera de travailler à son achèvement.

C’est le bon côté de la « Covid », si vous voulez en trouver un. Faute d’une meilleure analogie, le masque a glissé. Nous avons entrevu le mur de briques de Zappa. Nous savons maintenant ce qu’ils veulent vraiment.

Ils veulent contrôler tout et tout le monde. Ils veulent nous réduire – réduire notre intelligence, nos moyens, notre santé et nos droits. Ils veulent accélérer notre lente descente vers la tyrannie et construire un camp de travail mondial entouré de maux imaginaires qui hypnotisent les détenus en leur faisant croire que les barbelés sont là pour leur bien… parce qu’ils empêchent les monstres d’entrer.

En clair, ils veulent finir ce que la « Covid » a commencé. Mais tant que nous les verrons et les comprendrons, ils ne pourront jamais le faire.






Quel renversement du monde nous attend pour 2023 ?

[Source : reseauinternational.net]

par Thierry Mourrain

Ceux d’entre nous qui ont déjà lu des romans dystopiques, tels « 1984 », « le Maître du Haut Château », « le Meilleur des Mondes », « Fahrenheit 451 », « un Bonheur Insoutenable », se sont sûrement dit un jour : « C’est pas possible que la planète parte ainsi en sucette ! Heureusement que c’est une fiction, sinon je ne sais pas comment j’aurais supporté cette réalité ».

Je crois qu’en 2023 nous sommes arrivés à ce point de bascule où le monde qui vient n’aura plus rien à voir avec celui que nous connaissons actuellement. En d’autres termes, nous allons probablement vivre cette expérience saisissante de passer de l’autre côté du miroir de façon brutale et irréversible.

Sommes-nous prêts ? Allons-nous regretter la vie d’avant ? Ça dépendra du scénario qui l’emporte. Et c’est ce que nous allons voir ensemble plus bas. 

Mais examinons tout d’abord les raisons qui nous poussent, tel un piston hydraulique géant, vers un grand renversement.

  • Tensions critiques entre Russie-Chine-Corée du Nord et Occident
  • Jusqu’au-boutisme de l’hégémon USA-UK-Israël
  • Dérapage nucléaire d’un des belligérants
  • Luttes entre les idéologues mondialistes dégénérés et mortifères (wokisme, cancel culture, écologie, eugénisme, pédophilie, satanisme, LGBTisme) et les peuples du monde qui veulent vivre 
  • Krach gigantesque sur des marchés financiers en surchauffe
  • Déclassement et précarité croissants
  • Inflation alimentaire et énergétique 
  • Catastrophes et désastres écologiques déclenchés par l’homme ou par un événement naturel ou les deux (IA, Z machine, pandémie, tremblements de terre, tsunami)

L’accumulation de vecteurs de force aussi antagonistes est une anomalie dans notre Histoire. Jamais l’humanité n’a rencontré une telle volonté destructrice de l’âme, de l’esprit et du corps, tout en prétendant défendre le contraire.

Si on écoute les eschatologues, nous cochons toutes les cases pour entrer dans une ère pré-apocalyptique. En analysant les faits objectivement, on est obligé d’admettre que la situation mondiale est franchement aberrante et qu’une petite étincelle pourrait tout emporter.

Dans quelle direction ? C’est ce que nous allons tenter d’ébaucher ici au travers de ces six scénarios.

2023, les gens ont compris que le changement, c’est maintenant !

Pandémies, pénuries, guerres, écologisme culpabilisant et autres joyeusetés, les peuples ont appris à ne plus gober ces arnaques de la propagande occidentale basées sur l’instrumentalisation de la peur et la volonté de diviser. 

Les médias, principaux apôtres de cette idéologie, sont en berne, plus personne ne s’intéresse vraiment à leur bavardage. Idem pour le milieu politique, artistique et médical, larbins notoires du pouvoir.

Les gens ont compris quels étaient le vrai visage et la nature diabolique de leurs élites. Ils ont aussi réalisé qu’un des moyens de les abattre était de démolir d’une façon ou d’une autre la pyramide au-dessus de laquelle elles trônent.

Consommation raisonnée, alimentation locale, éducation des enfants à la maison, entraide, éco-lieux autonomes, suppression des écrans, lecture, réveil spirituel, retour des traditions, etc.. En faisant sécession avec le Système, les gens l’ont peu à peu précipité vers sa chute.

Ce n’était pas gagné, car au début, le confort bourgeois et le fétichisme de la marchandise les rattrapaient, puis, crise après crise, vexation après vexation, la prise de conscience a surgit. « Non, je ne signerais pas ce putain de pacte avec le diable ! »

Aujourd’hui, le rouleau compresseur mondialiste est au point mort, car il n’a plus de prises. Nul doute qu’il renaîtra un jour de ses cendres, mais pour le moment les populations sont immunisées.

Bien sûr, tout le monde a bien compris que ce scénario improbable ne se produira jamais. À cause de notre lâcheté ou de notre aveuglement, on sait tous, au fond, qu’on a perdu depuis longtemps le fil de notre histoire. Nous sommes à bord d’un train fou, commandé par des fous, qui nous entraîne loin, bien loin de notre Salut.

Subsistent de petits groupes d’humains isolés, insubordonnés, réfractaires au Système. Leur survie dépendra de leur aptitude à se cacher, s’unir et passer entre les mailles du filet. Bonne chance à eux. Bonne chance aussi aux autres !

2023, la Russie est vaincue en Ukraine

Le front s’est étendu et la Russie a fini par tomber. Elle est à rebâtir, ainsi que l’Ukraine, la Pologne, les Pays baltes et l’Europe du Nord, dévastés dans les bombardements.

Un plan Marshall V2.0 est enclenché pour aider à la reconstruction via le prêt et la dette. 

C’est la curée pour se partager le territoire russe qui part à la découpe. Changement de régime en Serbie et en Hongrie. L’Europe s’étire dorénavant jusqu’à Vladivostok. Moscou devient la capitale mondiale de la fierté LGBTQ+. L’Occident affaibli par la guerre ne peut se payer le luxe de s’emparer de Taïwan. La Corée du Nord résiste à une attaque massive de drones kamikazes.

Et hop, c’est reparti pour un tour ! On a échappé de peu à une troisième guerre mondiale dévastatrice et la machine économique et idéologique occidentale est relancée, jusqu’à la prochaine crise.

En Occident, sous prétexte d’empêcher de nouveaux conflits, le totalitarisme accélère le pas. La guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force !

Des IA traquent sur le Net les opinions divergentes. Tout dissident est placé en détention dans des camps de rééducation aménagés en Sibérie. L’utilisation de VPN est prohibée. La monnaie papier et la cryptomonnaie deviennent illégales. L’argent sur les comptes bancaires est transformé en monnaie numérique. 

Les identités biologiques et digitales fusionnent. Basé sur une technologie d’implants nanoscopiques électromagnétiques autoalimentés, chacun de nous émet dorénavant à vie un signal radio unique. Adopter ce procédé nommé « Trackme » devient la seule identification autorisée et la condition sine qua non d’une vie sociale. 

L’inemploi et les cessations d’activité ont tellement augmenté qu’un revenu universel s’est substitué aux allocations chômage.

Dorénavant les populations disposent d’un quota carbone mensuel, les incitant à se regrouper dans des habitations collectives.

Des brigades du peuple parcourent les campagnes afin de collecter la taxe foncière. Quand l’impôt ne peut être assumé, les propriétaires sont expulsés et la réquisition des champs justifiée comme un juste tribut pour nourrir la population.

L’euthanasie choisie est légalisée, y compris sur les enfants, sans même l’accord des parents.

Le taux de natalité s’effondre. 

90 % de la population est désormais contingentée dans de grands ensembles d’habitations collectives où les virus ne cessent de se propager malgré les plans de vaccination obligatoire.

On ne prend plus ni l’avion, ni même le train ou la voiture. Ça coûte tellement cher en malus carbone que ça éteint toute velléité de se déplacer autrement qu’à pied ou en vélo.

Des groupes de rebelles, indétectables, car ayant boycotté « Trackme » dès le début, se constituent et forment des poches de résistance, loin des villes. 

Privilégiant la low-tech et le camouflage pour se rendre invisibles des drones tueurs qui sillonnent le territoire, certains parviennent à pirater les systèmes contrôlant les accès aux cités dortoirs.

De petits combats en petites victoires, les rebelles deviennent peu à peu le clou dans la botte du pouvoir technocratique mondial en place.

Tracts, brouillages, attentats, recrutement de nouveaux dissidents dans les cités, les élites ne l’ont pas encore vu venir, mais la fin de leur règne approche. 

C’est après avoir cartographié patiemment leurs lieux de pouvoirs et de résidences qu’une attaque coordonnée sera lancée un matin. 

Avec le soutien de la Chine et de la Corée du Nord, par les airs et par le sol, les élites seront délogées et décimées en quelques jours dans une violence dévastatrice inouïe.

Le renouveau de l’humanité prendra du temps, mais, après la grande purge, la grande réinitialisation du monde pourra commencer. 

Cette fois-ci sur des bases réellement égalitaires et fraternelles.

2023, la Russie gagne en Ukraine

L’armée russe a vaincu l’armée ukrainienne. Le Donbass est repris en totalité. L’armée otanienne tente de contenir la ligne de front, mais celle-ci cède et la Russie s’empare de toute l’Ukraine. 

Dans un geste désespéré et fanatique, la Pologne, télécommandée par les USA, envoie une salve de missiles conventionnels longue portée vers Minsk, Moscou, Saint-Pétersbourg et Odessa.

Panique générale. Les sirènes retentissent dans le monde entier. Les chaînes de TV, qui avaient préparé l’opinion publique à cette éventualité, retransmettent les images en direct. Sur nos écrans, nous voyons à l’œuvre les batteries antimissiles russes S400 stopper net, haut dans le ciel, les fournées destinées au sol russe. En revanche, Minsk, trop près de la zone de tir, est touchée à plusieurs reprises en plein centre-ville.

La planète retient son souffle. On attend la réplique. Mais rien ne se passe.

Une heure plus tard, retransmis en simultané, Loukachenko et Poutine apparaissent côte à côte dans leur QG respectif. Loukachenko prend la parole en premier pour annoncer le bilan. Le nombre de victimes civiles dépasse les 10 000 morts et 30 000 blessés, beaucoup de bâtiments sont détruits dans la capitale biélorusse, dont le palais de la république et de nombreux musées. 

Poutine, dans un discours d’anthologie qui restera à jamais gravé dans les livres d’histoire, tient tout d’abord à rassurer les populations civiles occidentales.  Il ne cédera pas à la provocation qu’on attend de lui. La solution de représailles choisie, inoffensive pour l’homme, est en chemin et ne sera pas de type nucléaire, ni même conventionnel. Une dizaine de planeurs hypersoniques Avangard survolent actuellement les cibles, toutes occidentales. Centres de commandement de l’OTAN, bâtiments administratifs, zones de contingents militaires, usines de fabrications d’armes et de microprocesseurs, vont être rendus inutilisables suite à des explosions électromagnétiques déclenchées depuis la troposphère.

Vladimir Poutine prévoit de grandes perturbations et demande à toutes les populations d’être patientes. Les avions disposent de 2 heures pour atterrir sur le plus proche aéroport.

Compte à rebours : 2 h, 00

Afin d’en finir avec la guerre énergétique éternelle, source inépuisable de conflits, Poutine présente le plan de relance Sakharov qui a été conçu dans le plus grand secret par le Kremlin et ses alliés. Énergie libre pour tout le monde ! 

Des capteurs d’énergie libre ainsi que des adaptateurs pour moteurs thermiques et électriques sont déjà en production, les plans et modes d’emploi téléchargeables en open source. 

Hôpitaux, maisons de retraite et cliniques privées seront livrés les premiers. Des stocks ont été constitués pour les administrations et entreprises qui en feront la demande.

Devant la poussée populaire, les gouvernements mondialistes sont renversés ou rendent le tablier. Des élections anticipées s’organisent dans ces pays. Les partis souverainistes sont largement plébiscités. En France, Alain Soral remporte les élections avec 85 % des suffrages et un taux record d’abstention de 6,66 %.

Un nouveau monde abondant, fertile, fraternel, créatif, émancipateur est en train d’émerger. 

2023, guerre nucléaire

Des mini-nukes explosent à Kiev et dans un entrepôt militaire près de la frontière polonaise. Bilan : plusieurs dizaines de milliers de morts et des centaines de kilomètres carrés contaminés par la radioactivité.

Pour les médias, ça ne fait aucun doute, c’est la Russie. Des sondages la rendent responsable à 85 %. La diplomatie russe explique que c’est un false-flag mais reste inaudible.

Sur ordre de Joe Biden, Emmanuel Macron prend la tête du commandement militaire unifié européen. Depuis Jérusalem, il s’adresse à tous les membres de l’UE. La troisième guerre mondiale est déclarée contre la Russie. La mobilisation des troupes démarre dès l’âge de 14 ans. Des bataillons LGBTQ+ intègrent tous les corps d’armée.

Le lendemain, une dizaine d’ogives nucléaires sont tirées depuis les bases de l’OTAN vers la Russie.

Immédiatement, alors que le premier impact n’a pas encore eu lieu sur le sol russe, Paris, Londres, Berlin et Varsovie sont foudroyées et anéanties. Puis c’est le tour de Jérusalem, car elle abrite le QG du commandement mondial de l’OTAN. 

Réfugiés dans les bunkers, 95 % des équipes gouvernementales mondialistes sont vaporisées. 

Au large des côtes anglaises, américaines et pacifiques, suite à de gigantesques explosions sous-marines, des vagues géantes de 500 mètres de haut sont en approche.

Quelques ogives parviennent à pénétrer la défense aérienne russe et atteignent mortellement leur cible. Moscou n’est pas touchée, mais les principales grandes métropoles comme Kazan, Novossibirsk, Nijni Novgorod, Saint-Pétersbourg se volatilisent en poussières.

En zone Asie-Océanie, la Corée du Nord, alliée à la Chine, affronte le Japon, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Des dizaines d’explosions nucléaires sont enregistrées dans cette région. Le Japon disparaît. Les deux Corées n’existent plus. Déclenché par l’ampleur de l’onde de choc, un séisme parcourt la Mer de Chine, se dirigeant droit vers l’Amérique latine, emportant tout sur son passage. 

Avant de disparaître, la Corée du Nord lance deux de ses plus gros missiles hypersoniques nucléaires vers les États-Unis. La déflagration est tellement puissante que ⅔ du pays de l’Oncle Sam se vitrifie instantanément.

En Afrique et en Russie, les survivants s’organisent pour reconstruire le monde. 

Il faudra des siècles pour que refleurissent les campagnes, s’éclaircisse le ciel crépusculaire et revienne la paix dans les âmes et les cœurs.

2023, intervention exogène V1

Début 2023, des objets volants non identifiés commencent à apparaître dans le ciel au-dessus de petites villes et villages de campagne, majoritairement en Amérique latine, Asie et Afrique.

Dans le monde entier, des témoignages visuels affluent de toutes parts. Photos, vidéos, livres, les réseaux sociaux et les chaînes d’info regorgent de contenus montrant d’étranges objets ovoïdes volant à basse altitude dans le ciel. 

Ce qui surprend le plus, c’est le design épuré et le silence de ces engins volants.

Les premières prises de contact se produisent dans de petites agglomérations où les visiteurs arrivent de nuit, choisissant de se poser sur les places publiques ou près de lieux de cultes.

Peu à peu, les gens se familiarisent avec ces êtres humanoïdes et leurs fantastiques machines. Le calme, la puissance tranquille et la sérénité qu’ils dégagent étonnent et rassurent à la fois. Ils sont comme nous, des gens normaux, occupés à leur besogne, parlant la langue du pays, saluant les passants. Habillés de vêtements clairs et sobres, ils ne donnent pas l’impression d’être dans une tenue militaire, mais plutôt civile décontractée. 

Ici et là, ils invitent les curieux qui le souhaitent à entrer dans leur astronef. Parfois ils proposent de faire une balade de quelques heures. 

Ils répondent à toutes les questions, laissent prendre des photos, montrent des images de leur monde.

Tant que des militaires ou policiers ne viennent pas rôder alentour, les visiteurs prolongent leur séjour et tissent des liens avec les populations. Dès que rappliquent des forces armées, ils se retirent, prenant bien soin de laisser derrière eux des messages d’amitié et de paix.

En quelques semaines, tout le monde a bien compris que leur volonté n’est pas de convoler avec les puissants, encore moins de chercher à en tirer avantage, mais bien de communiquer avec les gens et d’instruire ceux qui le désirent. 

On apprend ainsi que de nombreuses civilisations évoluées existent dans l’univers, qu’elles nous étudient depuis des millénaires, y compris nos prières, attendant le moment opportun pour entrer en contact.

Ne voyant dans nos élites aucune volonté de tirer leurs peuples vers le haut, ils ont demandé à leurs émissaires de partir à la rencontre des communautés terriennes les plus avancées spirituellement. Charge à elles d’assurer la médiation avec les autres habitants de la terre.

La proposition est simple. Quiconque est intéressé par l’élévation de sa conscience doit prier et agir comme tel. Il sera alors contacté et recevra la connaissance nécessaire lui permettant d’éveiller son esprit.

Ce sera le début de l’âge d’or de l’humanité. 

2023, intervention exogène V2

Mai 2023. D’étranges objets survolent les grandes capitales partout dans le monde. Furtifs, véloces, ils apparaissent, s’immobilisent quelques instants dans le ciel, comme s’ils évaluaient nos infrastructures, puis s’évanouissent dans les airs. Leur envergure correspond à un cylindre d’une cinquantaine de mètres de long pour une dizaine de mètres de diamètre. Un gros sous-marin. La couleur est indéfinissable, car elle change constamment en fonction de l’environnement. Autour, un halo scintillant pulse en émettant un fort bourdonnement. 

C’est tellement hors-norme que cela provoque un mélange confus de sentiments, entre stupeur et effroi. Certains, consternés, ne savent s’ils contemplent un spectacle en 3DMax et doivent s’émerveiller ou s’enfuir en courant dans un bunker. L’imaginaire des blockbusters hollywoodiens et autres films catastrophes est certainement passé par là. 

En quelques jours, la nouvelle se répand dans le monde entier, envahissant les médias et les réseaux sociaux. Les extraterrestres sont arrivés sur terre ! Qui sont-ils ? Que veulent-ils ? Sont-ils amicaux ? Vont-ils prendre contact avec nous ? Nous exterminer ?

Des spécialistes sont invités sur les plateaux télé. On assiste à des débats houleux entre les partisans de la paix, de la guerre, ou de l’apocalypse. Religieux, militaires, scientifiques, politiques, people, tout le monde veut placer sa tirade. Certains commentateurs, toujours les mêmes, vont jusqu’à envisager un complot des Reptiliens pour instaurer un gouvernement mondial. Tout est bon, pourvu que ça suscite de l’émotion et pétrifie les gens devant leurs écrans.

Juin 2023. Les USA prennent le leadership. Ils décident d’envoyer des avions de chasse intercepter ces objets volants. Grâce aux caméras embarquées, on assiste en direct aux tentatives d’approches. La technologie de ces engins est juste prodigieuse. On ressent la tension des pilotes. « Mais comment peut-on suivre des oiseaux pareils, nom de Dieu ?! », crache d’une voix grésillante un des pilotes. « C’est une aberration, on croise à Mach 2.5 et ça virevolte comme si les lois de la physique… pshhhhhhhh ». On ne connaîtra pas la suite, le F15 disparaîtra brutalement des écrans radars.

Au même moment, sur les chaînes d’info sont retransmises des images nocturnes terrifiantes. Des villes, frappées par des orbes d’énergie dévastatrices, s’aplatissent comme des crêpes, puis s’enflamment ou explosent en particules embrasées. On reconnaît Londres, Berlin, Paris, New-York, Tokyo, San-Francisco, México, São-Paulo, Tel-Aviv… que des grandes métropoles mises à mort devant nos yeux. L’horreur. Les déflagrations sont titanesques. Quand des fragments incandescents s’élèvent dans l’atmosphère, on peut voir le ciel comme en plein jour. Et ce qu’on y voit est cauchemardesque.

Immobiles et imposantes, des formes sombres aux ventres hérissés de canons contemplent le chaos qu’elles propagent. On y est, les extraterrestres commencent à nous décimer !

Ce jour-là, le cours de la vie humaine sur terre changea à jamais.

Les sirènes se mirent à hurler jour et nuit. La loi martiale et le confinement général décrétés. Aucun avion civil ou commercial ne fut autorisé à circuler. Idem pour les bateaux, les trains et tous types de véhicules terrestres. 

L’effondrement des marchés financiers s’ensuivit, puis les émeutes et les pillages quelques jours après.

Septembre 2023. Sous le haut commandement du président des États-Unis, un Gouvernement Global de la Guerre (GGG) fut instauré, ordonnant deux mesures prioritaires : 1) la construction d’abris souterrains pour protéger les populations civiles, 2) la subordination totale à l’effort de guerre pour vaincre l’envahisseur.

Janvier 2789. Quelques siècles plus tard, l’humanité enterrée renversera la tyrannie et sortira enfin de sa geôle. Dehors, abasourdie, elle découvrira peu à peu la vérité. Le mythe des extraterrestres était un mensonge. Des milliards de vies innocentes furent massacrées. Quelques pays se dressèrent contre cette mystification, mais d’autres les empêchèrent d’intervenir.

En exhumant les archives de l’époque, on apprendra qu’un projet de psyop, ourdi par la CIA dans les années 1960-1970, portait le nom de « Blue Beam ». Cette opération consistait, grâce à divers moyens techniques et l’aide des médias de masse, à créer l’illusion d’une invasion extraterrestre. Objectif : terroriser et asservir les peuples. Parmi les moyens employés : d’immenses projections holographiques dans le ciel, des ondes électromagnétiques 5G pour parasiter le cerveau, la propulsion MHD procurant une grande agilité dans l’air à haute vitesse, l’utilisation de mini missiles nucléaires propres. 

Éradiquer la population en faisant porter le chapeau à des pseudo aliens envahisseurs, c’était ça le projet ! D’ailleurs, les abris souterrains avaient été construits secrètement pour loger quelques dizaines de millions d’habitants, pas des milliards ! 

En ces temps anciens, les false flags étaient fréquemment utilisés par les élites pour terroriser les masses en tuant d’innocents civils. Celui-ci fut en quelque sorte leur ultime chef-d’œuvre.




Les qualités extrêmement médicinales et enthéogéniques des tabacs (bios)

[Source : xochipelli.fr]

[Photo : Keystone/Jean-Christophe Bott]

[NDLR Un enthéogène est une substance psychotrope induisant un état modifié de conscience utilisée à des fins religieuses, spirituelles ou chamaniques. Il reste à déterminer si de tels états sont souhaitables sur le plan de l’équilibre psychologique et même dans une démarche spirituelle.]

[Note de Joseph : je ne suis pas fumeur, ne supporte pas l’odeur de fumée de tabac et ne possède pas d’actions dans les compagnies productrices de tabac. L’article est republié ici à titre informatif et de questionnement en raison de sa qualité.]

Par Xochi

Sommaire

  • Introduction
  • Nicotiana rustica
  • Emergence de Nicotiana rustica
  • Composants de Nicotiana rustica
  • Usages Traditionnels Médicinaux de Nicotiana rustica
  • Usages Traditionnels Enthéogéniques de Nicotiana rustica
  • Les Qualités Médicinales et Enthéogéniques des Rapés de Nicotiana rustica
  • dans la Forêt Amazonienne
  • Nicotiana tabacum
  • Emergence de Nicotiana tabacum
  • Aux Origines Historiques du Tabac Médicinal
  • Usages Médicinaux et Shamaniques Traditionnels de Nicotiana tabacum
  • Le Tabac: un Poison ou une Panacée?
  • Consommation de Tabac et Protection des Poumons
  • Consommation de Tabac et Protection des Poumons durant la Fausse Pandémie Covidienne
  • Propriétés anti-Microbiennes, Insecticides et de Phytorémédiation de Nicotiana tabacum
  • Les Alcaloïdes Pyridiniques des Tabacs
  • Les Qualités Médicinales de Nicotiana glutinosa
  • Les Qualités Médicinales de Nicotiana glauca

Introduction

L’objectif déclaré, et transparent, de ce présent essai, est de mettre en lumière que les diverses espèces de tabac — mais principalement Nicotiana rustica et Nicotiana tabacum — sont des plantes possédant des propriétés éminemment médicinales et enthéogéniques/visionnaires.

Durant la Grande Peste de Londres, en 1665/1666, les enfants fumaient du tabac pour se protéger les poumons — à l’instar des croque-morts. Pourquoi ?

En 1913, la Revue Médicale, « The Lancet », publia un article intitulé « The Germinal Properties of Tobacco Smoke ». Cet article mettait en exergue la destruction du Bacille du Choléra grâce à la fumée de tabac. Pourquoi ? [237]

En 2020, il n’y avait que très peu de fumeurs (environ 5 %) dans les hôpitaux de Chine, de France, des USA, d’Allemagne… accueillant les patients déclarés « Covidiens ». Pourquoi ?

Aujourd’hui, ce qui détruit et cancérise, physiquement, les Peuples de l’Humanité, ce n’est pas le tabac : ce sont les pollutions environnementales, générées par l’Industrie et l’Agriculture biocidaires, ainsi qu’une alimentation anti-nutritionnelle et, donc, empoisonnante — sans même évoquer le génocide permanent induit par les remèdes allopathiques et les vaccins de la Pharmacratie [233] — en France, sous la houlette de l’Académie Nationale du Génocide. [234]

Les campagnes hystériques antitabac sont à l’image des campagnes à l’encontre de la pandémie Covidienne inexistante ou du Réchauffement atmosphérique anthropique tout aussi inexistant.

D’ailleurs, selon le Wall Street Journal du 19 avril, l’administration de Biden, le squatter sénile de la Maison-Blanche, vient d’annoncer qu’elle considère de requérir des compagnies de tabac une baisse conséquente du taux de nicotine dans leurs cigarettes — conséquente au point de ne plus en contenir. [299]

Le déficit en Vitamine D tue… d’autant plus que cela fait plus d’un siècle que l’agriculture industrielle, et excessivement toxique, produit une alimentation dont le ratio Omega 3/Omega 6 est de 1/12 à 1/15 alors qu’il devrait être de 1/1 à 1/3. Il en résulte, alors, une oxydation de l’organisme induisant moult pathologies et cancérisations.

Vers la fin de sa vie, le philosophe Rudolf Steiner — après avoir gaspillé 20 années à promouvoir la soupe christo-centrique — donna l’un de ses cycles de conférences, les plus authentiquement païens, qui fut intitulé « Le Cours aux Agriculteurs » et qui fut à l’origine de l’Agriculture Biodynamique. Ce Cours aux Agriculteurs fut offert, en 1924, suite à la requête de paysans, Suisses et Allemands, effarés que leurs sols agricoles soient complètement oxydés par les intrants chimiques. En effet, l’Agriculture chimique avait déjà sévi, en Europe, depuis 1844 — l’année de publication du « Précis de Chimie » de Justus Liebig-Möser.

Depuis janvier 2011, et la publication dans la revue Nature des recherches réalisées par une équipe française [219], nous savons qu’une déficience en acides gras Omega 3 invalide totalement le fonctionnement harmonieux du système des endocannabinoïdes.

« Les cannabinoïdes affectent puissamment les réseaux neuronaux et ils jouent des rôles neuro-modulateurs essentiels au niveau du système immunitaire et des systèmes nerveux central et périphérique dans le corps humain. Nos corps produisent naturellement des cannabinoïdes (endocannabinoïdes) et les utilisent dans toutes les parties du corps où ils participent aux communications intracellulaires. Les cannabinoïdes (endo- ou ecto-) jouent des rôles modulateurs au niveau des neurotransmetteurs tels que GABA, 5 HT, glutamate, acétylcholine, noradrénaline et dopamine, à partir d’un certain nombre de structures du système nerveux central telles que le cervelet, l’hippocampe, le striatum, la substance grise et le cortex. Ils agissent tel un mécanisme autorécepteur présynaptique en modulant le GABA tout autant que l’acide glutamique dans le système neuronal. Les récepteurs au glutamate induisent, en fait, la synthèse d’endocannabinoïdes en réponse à des indices environnementaux (ou internes) afin de réguler la libération de GABA et les niveaux de système. La production d’endocannabinoïdes altère l’architecture neurocognitive, stimulant la plasticité neuronale et les réponses aux perturbations environnementales. Durant des périodes de stress intense, ils sont généralement produits en très forte quantité ».

Stephen Harrod Buhner. Plant Intelligence and the Imaginal Realm. Traduction de Xochi.

C’est le Professeur Raphael Mechoulam de l’Université Hébraïque de Jérusalem — celui-là même qui a impulsé toute la recherche israélienne sur le cannabis thérapeutique depuis 1962 — qui, en 1964, a découvert le principe actif principal du cannabis, le THC. C’est le Professeur Raphael Mechoulam, de nouveau, qui découvrit l’existence du système des cannabinoïdes endogènes — ou endocannabinoïdes — lorsque son équipe isola, en 1992, l’Anandamine — une dénomination résolument védique ! [263]. Notons, en effet, que cette appellation est dérivée du terme Sanskrit Ananda, signifiant « joie, félicité suprême ». Dans le corps humain, le système des endocannabinoïdes est vraisemblablement le système physiologique le plus important pour le maintien de la santé humaine. Il garantit l’homéostasie.

Selon l’INSERM, :

« Dans les pays industrialisés, les régimes alimentaires se sont appauvris en acides gras essentiels depuis le début du XXe siècle. Ainsi, le rapport entre les quantités d’acides gras polyinsaturés Oméga 6 et d’acides gras polyinsaturés Oméga 3 dans les rations alimentaires n’a cessé d’augmenter au cours du XXe siècle. Ces acides gras sont des lipides “essentiels”, car l’organisme ne peut les synthétiser de novo. Ils doivent donc être apportés par le régime alimentaire ». [221]

Ainsi, d’une part, le système des endocannabinoïdes est totalement dysfonctionnel chez une grande partie des êtres humains tandis que l’alimentation industrielle est archi-toxique et de plus en plus dépourvue des constituants les plus élémentaires pour la santé de l’humanité — tel qu’un ratio adéquat d’acides gras Omega 3. D’autre part, les Autorités — sous le prétexte insensé de nous protéger contre nous-mêmes — ont criminalisé (aux USA, en 2015, une arrestation/cannabis toutes les 45 secondes !!!) [214) une source avérée de cannabinoïdes naturels, le Cannabis, depuis les années 1940, pour protéger les industriels du papier, du nylon, des fertilisants de synthèse, etc., et maintenant pour protéger les Cartels de la Pharmacie.

D’ailleurs, alors que cet essai vient juste d’être publié, le squatter de l’Élysée — le Guide du Coviet Suprême — a décidé de lancer force répressions policières contre « la consommation de drogue » : « On se roule un joint dans son salon et à la fin on alimente la plus importante des sources d’insécurité… » [295] Sans plaisanter ? C’est le même Macron pour lequel, en juillet 2019, la légalisation du Cannabis pouvait devenir une proposition de sa campagne présidentielle pour 2022. [289] C’est le même Macron qui, le 4 septembre 2016, déclarait : « Cannabis : je crois que la légalisation a une forme d’efficacité ». [290]

Quitte à me répéter : l’affaire impliquant le grand voyou François Thierry — à savoir l’ex-patron de la Brigade des Stups — a-t-elle été classée sans suite ? Pour rappel : Ainsi que je le mentionnais, en passant, déjà, en 2019… Pendant que les petits dealers de banlieue moisissent dans les prisons sordides de l’État français, en attendant d’être multirécidiviste, François Thierry, l’ancien énarque et directeur de ce que l’on appelait, dans ma jeunesse, la Brigade des Stups, s’est fait gauler, le 17 octobre 2015, avec 7 tonnes de Haschich, [291] une substance non autorisée par la Convention Unique sur les Stupéfiants. Comme François Thierry est toujours en liberté non surveillée [292] , ainsi que certaines hautes magistrates impliquées — jusqu’au cou et jusqu’aux joints — on présuppose que cela frise la jurisprudence macroniste quant à la libéralisation, de facto, du Cannabis ! [293]

D’ailleurs, le 9 avril 2021, 18 policiers marseillais comparaissaient devant le tribunal [294] suite à l’affaire du haschich caché dans les faux plafonds de la BAC-Nord de Marseille ! Pourquoi, donc, ne pas légaliser, de suite, le trafic direct de Cannabis en Haschich, en provenance du clan royal du Maroc, et orchestré par la Haute Administration française — dont la mission réelle est de contrôler les Stupéfiants ? Cela ferait baisser les prix pour le lumpen prolétariat et la petite classe moyenne déjà affamés et intégralement ruinés par une année de confinement Covidien.

Pour rappel, aux USA, ce sont seulement 6 États sur 50 qui n’ont pas encore légalisé le Cannabis soit récréationnel, soit médical. Le Cannabis est, en effet, l’une des plantes médicinales maîtresses les plus thérapeutiques sur la planète.

Si, comme le prétend le Macron de service, « Sur le plan cognitif, les effets [du Cannabis] sont désastreux », alors, il est irresponsable et criminel, de la part du Sinistère de l’Edu/castration, et du Sinistère de la Culture, de continuer à promouvoir et enseigner, en France, les œuvres d’une pléthore d’artistes, d’écrivains, de poètes, de musiciens… — pour ne pas dire la grande majorité d’entre eux et d’entre elles — qui ne trouvèrent pas leur inspiration dans l’eau de source, mais, bien plutôt, dans l’opium, le cannabis, l’absinthe, les champignons magiques, etc., etc. Par exemple : Lewis Carroll, Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud, Thomas de Quincey, William Burroughs, Antonin Artaud, Honoré de Balzac, Samuel Taylor Coleridge, Théophile Gautier, Honoré Daumier, Guillaume Apollinaire, Eugène Delacroix, Amedeo Clemente Modigliani, Gustave Flaubert, Henri de Toulouse-Lautrec, Pablo Picasso, Jean Cocteau, Victor Hugo, Fernand Boissard, Alphonse Karr, Hector Berlioz, Edgar Allan Poe, Lord Byron, Percy Shelley, John Keats, Francisco Goya, etc., etc.

De plus, afin de bien dénoncer l’excès d’hydrates de carbone, précisons qu’une étude, de 2016 — publiée dans le Journal Cancer Epidemiology, Biomarkers and Prevention — a mis en exergue que plus le taux glycémique de l’alimentation est élevé, plus les risques de développer un cancer des poumons sont augmentés. En effet, ces chercheurs découvrirent qu’un taux glycémique élevé double, carrément, les risques de cancer pulmonaire. [223] [224]

C’est le Junk-Food Blues, le Blues du Gluten et du Sucre !

Une étude plus récente, de 2021 — publiée dans le Journal Lung Cancer — a mis en exergue que ce sont les hydrates de carbone provenant d’aliments excessivement processés et industriels (boissons gazeuses, pizzas, sucreries, croustilles, crèmes glacées, etc.) qui augmentent les risques de cancers pulmonaires. [225]

En France, selon les chiffres apportés par l’INSERM, ce sont environ 18 000 personnes qui meurent chaque année de bronchopneumopathie chronique obstructive — à savoir 50 décès par jour. En 2013, environ 145 000 personnes atteintes de formes sévères de cette pathologie ont bénéficié d’une oxygénothérapie de longue durée (associée ou non à un traitement par ventilation) — à savoir 400 personnes par jour.

En France, en 2019, avant le lancement de l’opération psychologique spéciale du CoqueVide/19, combien de patients ont-ils bénéficié, quotidiennement, d’une oxygénothérapie de longue durée ? À savoir, dans la discrétion la plus totale et non pas sous le feu des caméras de BFMTV, la chaîne de télévision d’Israël en France.

De plus, en France, selon les statistiques officielles, ce sont environ 33 000 personnes qui décèdent du cancer des poumons, tous les ans — à savoir 90 décès par jour. [228]

De plus, rappelons que ce sont 160 000 personnes qui décèdent annuellement de cancers en France — et les cancers ne sont pas tombés du ciel. [229]

Question : aujourd’hui, combien de ces personnes souffrant d’un cancer terminal des poumons, ou d’une bronchopneumopathie chronique obstructive terminale, sont accueillies, dans les hôpitaux, en service de réanimation oxygénée ?

D’ailleurs, ce sont l’Île-de-France et le Grand Est [227] qui ont été les plus médiatisés quant à l’impact supposé de la Covidette sur la population. Comme par hasard, ce sont, également, les deux régions de France les plus impactées par la bronchopneumopathie chronique obstructive. [226]

Autre question : Comment l’INSERM peut-il prétendre que les cancers des poumons chez les femmes sont en progression constante, en France, à cause de « l’augmentation de la consommation tabagique des femmes » [228] alors que, réellement, cette consommation est officiellement en baisse ? [235]

Pour rappel, en France — quotidiennement, à savoir tous les jours de chaque année, et ce, en progression — ce sont, ainsi, 140 personnes qui décèdent de cancer des poumons ou de bronchopneumopathie chronique obstructive. À savoir 51 000 personnes par an.

Décèdent-ils dans l’anonymat le plus total ou sous le feu des caméras des Médias corrompus tentant de terroriser les foules eu égard à une pandémie coronavirale inexistante ? Décèdent-ils avec ou sans certificat officiel de « décès Covidien » ?

À savoir, les 140 décès pulmonaires quotidiens en France — qui correspondent à 51 000 décès pulmonaires chaque année — ont-ils disparu des tableaux statistiques de l’INSEE pour être recyclés dans les fabulations de la Terreur Coronavirale estampillée d’État ?

La question essentielle qu’il faut se poser aujourd’hui : sur les milliers d’études « scientifiques et médicales » dont la fonction a été de « prouver » que le tabac est cancérigène, combien d’études ont été réalisées portant sur des fumeurs consommant du tabac bio, à savoir cultivé selon les méthodes de l’Agriculture biologique ? Combien d’études ont été réalisées portant sur des fumeurs consommant du tabac bio pur, à savoir sans addition de quelque 500 adjuvants, tous plus ou moins cancérigènes ?

La réponse est simple et limpide : aucune. Holy Smoke !

Et c’est d’autant plus grave, car le tabac est un bio-accumulateur, à savoir une plante extrêmement efficace pour pomper tous les polluants agricoles et industriels du sol — qui y demeurent, parfois, pendant des dizaines d’années.

Taxonomie des Tabacs

Le genre Nicotiana, dans la Famille des Solanacées, comprend, environ, 75 espèces — selon le Jardin Botanique de Kew en Angleterre. Toutes ces espèces sont originaires des trois Amériques et d’Australasie — sauf une espèce africaine qui est originaire de Namibie.

Avec 75 espèces, Nicotiana est le 6e genre de la Famille des Solanacées en termes du nombre d’espèces — après Solanum, Lycianthes, Cestrum, Physalis et Lycium.

Ces 75 espèces de Nicotiana sont réparties en 13 sections : Alatae, Nicotiana, Noctiflorae, Paniculatae, Petunioides, Polydicliae, Repandae, Rusticae, Suaveolentes, Sylvestres, Tomentosae, Trigonophyllae et Undulatae. [20]

La section Suaveolentes comprend 24 espèces, réparties en Australasie, et une seule espèce en Afrique — Nicotiana africana. Toutes les autres sections sont originaires des trois Amériques.

Aujourd’hui, les Tabacs sont cultivés principalement : soit pour la narcose, avec Nicotiana tabacum et Nicotiana rustica ; soit pour des usages industriels, avec Nicotiana glauca et Nicotiana rustica ; soit pour le secteur des chimères génétiques pharmaceutiques et autres élucubrations criminelles (fabrication de vaccins, de remèdes et de protéines), avec Nicotiana tabacum, Nicotiana plumbaginifolia et Nicotiana benthamiana ; soit pour les jardins de fleurs colorées et parfumées, avec Nicotiana alata, Nicotiana sylvestris, Nicotiana langsdorfii et Nicotiana x sanderae – ce dernier étant un hybride interspécifique entre Nicotiana forgetiana et Nicotiana alata. Certaines jardineries et [certains] catalogues de semences proposent, également, Nicotiana knightiana, Nicotiana suaveolens et des hybrides interspécifiques impliquant Nicotiana alata et Nicotiana mutabilis.

C’est l’Association Kokopelli qui possède la plus belle collection, au monde, de Tabacs, en semences bios — principalement de variétés de Nicotiana tabacum — avec plus d’une centaine de références. Ce sont, bien évidemment, des variétés très anciennes qui sont originaires des Amériques latines, ou des pays orientaux, ou encore des types Burley ou Virginia originaires d’Amérique du Nord. Prenez-en de la graine ! [18]

La banque de semences du ministère de l’Agriculture, aux USA, accueille 1900 accessions de Nicotiana tabacum, 87 accessions de Nicotiana rustica, 137 accessions représentant environ 60 espèces sauvages de Nicotiana et 80 accessions de Tabacs hybrides ou mutants. [15]

Les Peuples de l’Amérique du Nord ont fumé diverses espèces de Nicotiana — depuis des milliers d’années. Ce sont Nicotiana rustica, Nicotiana tabacum, Nicotiana attenuata, Nicotiana clevelandii, Nicotiana glauca, Nicotiana obtusifolia, Nicotiana plumbaginifolia, Nicotiana quadrivalvis, Nicotiana acuminata, Nicotiana clevelandii, Nicotiana plumbaginifolia et Nicotiana stocktonii. [208]

Selon l’horloge moléculaire des phylogénéticiens, Nicotiana quadrivalvis serait âgé d’environ 1 million d’années et serait le fruit d’une hybridation interspécifique entre Nicotiana obtusifolia, comme parent femelle, et Nicotiana attenuata comme parent mâle. [178]

Une étude, publiée en juin 2020, par l’Université de Washington, a évoqué les découvertes de vestiges végétaux dans une pipe utilisée, il y a plus de 1400 ans, par les Peuples du nord-ouest des USA — les Peuples Colville, Nez Percés… Ces Peuples amérindiens fumaient Nicotiana quadrivalvis en compagnie du Sumac à bois glabre (Rhus glabra) — pour ses qualités médicinales ou pour améliorer la saveur du tabac. Une seconde pipe, datant de la période de la colonisation européenne, a mis en valeur l’usage de Nicotiana rustica par ces mêmes Peuples — une espèce cultivée, principalement, sur la côte est des USA. [14]

Selon l’ouvrage de Daniel Moermann intitulé « Native American Ethnobotany », ce sont une centaine d’espèces végétales — représentant 55 genres botaniques — qui constituaient des plantes à fumer dans toute l’Amérique du Nord.

Une autre étude, de 2018, publiée par l’Université du Nouveau-Mexique, a mis en exergue que les Peuples du nord-ouest des USA, il y a plus de 1200 ans, fumaient des Tabacs sauvages : Nicotiana quadrivalvis, Nicotiana obtusifolia et Nicotiana attenuata (le tabac Coyote). Cette découverte invalide l’assertion historique commune selon laquelle ces Peuples n’auraient fumé, principalement, que du Raisin d’Ours (Arctostaphylos uva-ursi) avant l’introduction du tabac cultivé en 1790. [1]

J’ai rencontré, pour la première fois, le tabac Coyote (Nicotiana attenuata), en septembre 2014, près du Grand Canyon, sur le Mount Trumbull, dans le désert de Mojave, en Californie, alors que j’étais en quête de spécimens d’une espèce très rare de Sarrazin sauvage — jamais photographiée auparavant : Eriogonum pharnaceoides sp. cervinum. [16]

Nicotiana rustica

Émergence de Nicotiana rustica

Nicotiana rustica est appelée, en France, « Petit tabac », « tabac rustique » ou « tabac Aztèque ». Ses plantes font jusqu’à 80 cm de hauteur. Ses feuilles arrondies font entre 10 et 30 cm de longueur. Ses fleurs tubulaires sont de couleur jaune — ce qui les distingue, au premier regard, du tabac à fumer (Nicotiana tabacum) dont les fleurs sont de couleur rose/magenta ou, rarement, de couleur blanche.

Nicotiana rustica fait partie de la section Rusticae au sein du genre Nicotiana. Quatre sous-espèces de Nicotiana rustica ont été déterminées : Nicotiana rustica ssp. brasilia, Nicotiana rustica ssp. rustica, Nicotiana rustica ssp. pumila et Nicotiana rustica ssp. pavonii.

Nicotiana rustica serait originaire d’Amérique du Sud — plus précisément du sud du Pérou. [160] Tout comme Nicotiana tabacum, Nicotiana rustica est un allotétraploïde (ou amphidiploïde), à savoir que ces espèces possèdent un nombre de chromosomes égal à la somme des nombres chromosomiques de leurs parents. Selon les recherches, très récentes, effectuées par des phylogénéticiens, Nicotiana rustica serait issu de l’hybridation interspécifique entre d’une part, Nicotiana undulata (comme espèce paternelle) et, d’autre part, Nicotiana paniculata ou Nicotiana knightiana, ou leur ancêtre commun (comme espèce maternelle). Ces trois espèces parentales de Nicotiana rustica sont originaires du Pérou.

Au risque de sombrer dans la mythologie moléculaire, précisons que certains chercheurs ont même stipulé que dans le génome de Nicotiana rustica, Nicotiana undulata serait présent à hauteur de 41,4 % et l’ancêtre commun de Nicotiana paniculata et de Nicotiana knightiana serait présent à hauteur de 58,6 %. [143]

En effet, les phylogénéticiens, botanistes et agronomes, opérant dans le monde végétal, ont encore le droit, ou le privilège, d’avoir recours à des terminologies faisant référence à des genres (masculin, féminin, paternel, maternel). Les lobotomisés de la gauche caviar — et de l’extrême gauche masquée de noir — et autres LGBTs hébétés, n’ont pas encore imposé, à la sphère de la botanique, leurs délires « aculturels » sous mode « cancel », « call-out » ou « woke ».

L’émergence de Nicotiana rustica, à savoir l’événement dit de polyploïdisation se serait manifesté — selon l’horloge moléculaire d’un temps linéaire très putatif — durant une période se situant entre 460 000 à 650 000 années dans le passé. [160]

Les mythologies des Peuples Premiers sont beaucoup plus poétiques quant à l’émergence du tabac hallucinogène, Nicotiana rustica. Chez les Peuples Creek, Hitchiti et Yuchi, par exemple, le tabac a émergé de la Biosphère lorsqu’un jour, un couple fusionna d’amour, dans les bois, et qu’il en chut une goutte de sperme en terre.

Chez les Peuples Cherokee, il n’existait qu’une plante à tabac, à l’origine, dénommée « Tsa’lu » qui, un jour, fut volée par les oies dagul’ku. De nombreux animaux tentèrent de recouvrer le tabac, mais sans succès, car ils étaient tous trucidés par les oies. C’est finalement un petit colibri qui réussit l’exploit de récupérer cette plante originelle.

C’est la même narration racontée chez les Nahua de l’État de Guerrero au Mexique. Un jour, un dénommé Saint Pierre se prit d’envie irrésistible, et peu catholique, pour une femme et, durant leur fusion, une goutte de sperme tomba à terre : il en émergea le tabac. Dans le syncrétisme Nahuatl, leur permettant d’échapper aux persécutions des monothéistes, Saint-Pierre est, bien sûr, un avatar de Quetzalcóatl. Les feuilles de tabac séchées et préparées, par les Huichol, avec des cendres sont, ainsi, nommées « San Pedrito ». En Amérique Latine, les Peuples indigènes eurent recours, également, à la couverture de Saint-Pierre pour continuer à utiliser leurs cactus enthéogènes — qu’ils nommaient, traditionnellement, « Wachuma » — qu’ils qualifièrent de « San Pedro ». Il s’agit des espèces de cactus dans le genre Trichocereus — et particulièrement Trichocereus pachanoi.

D’ailleurs, selon le Codex Magliabechiano, Quetzalcóatl est réputé avoir engendré une chauve-souris par le même processus libérateur de sperme. Cette chauve-souris fut, alors, envoyée, par les divinités du panthéon Aztèque, pour aller mordre un morceau de chair de la vulve de la déesse de l’Amour et de la Beauté, Xochiquetzal. De ce morceau de vulve, furent créées les fleurs parfumées. C’est beau… mais que vont dire les féministes et les néo-darwinistes ?

Composants de Nicotiana rustica

Les feuilles de Nicotiana rustica sont couvertes de trichomes abondant en métabolites secondaires telles que la nicotine, la nornicotine, l’anatabine et l’anabasine. De par la haute teneur de ses feuilles en nicotine — à savoir de 5 à 16 % de leur biomasse sèche — Nicotiana rustica est, également, utilisée par la confection de pesticides botaniques, de sulfate de nicotine et d’acide nicotinique. L’acide nicotinique — appelé également niacine — et la nicotinamide correspondent à la Vitamine B3.

Selon l’analyse d’un écotype de Nicotiana rustica réalisée par Marion, vers 1960, la nicotine était distribuée selon les proportions suivantes dans la plante : 5 % dans les fleurs, 18 % dans les tiges, 13 % dans les racines et 64 % dans les feuilles.

Le psychopharmacologue américain, Ronald Keith Siegel, évoque dans son essai de 1972, « On the Use of Tagetes lucida and Nicotiana rustica as a Huichol Smoking Mixture: The Aztec « Yahutli » with Suggestive Hallucinogenic Effects », la découverte d’écotypes de Nicotiana rustica chez les Huichol possédant 18,76 % ± 2,6 % de nicotine. [196]

Une étude de 2011 a analysé l’huile essentielle des fleurs d’un écotype de Nicotiana rustica et a mis en exergue un taux de 26 % de nicotine et de 11 % du sesquiterpène, aromadendrène. [258]

De plus, Nicotiana rustica se caractérise par une très haute teneur d’acide citrique dans ses feuilles : à savoir de 15 à 20 % de leur biomasse sèche.

Nicotiana rustica, tout comme Nicotiana tabacum, contiennent, également, des inhibiteurs des monoamines oxydases — dont des alcaloïdes β-carbolines tels que la norharmane et l’harmane.

Les inhibiteurs des monoamines oxydases empêchent la destruction, par ces enzymes, de substances enthéogéniques — telles que le DMT contenu dans le Yopo ou dans l’Ayahuasca — qui peuvent alors circuler librement et impacter les neurotransmetteurs. Ainsi, selon Stephen Harrod Buhner, dans son ouvrage « Plant Intelligence and the Imaginal Realm » :

« Le DMT est élaboré dans les plantes en utilisant des enzymes pour convertir du tryptophane en tryptamine et en N-méthyltryptamine et finalement en N,N-diméthyltryptamine, le DMT. L’Ayahuasca — qui est de nos jours la préparation de DMT la plus communément utilisée — est une décoction de plantes combinant une espèce contenant du DMT (généralement Psychotria viridis ou Diplopterys cabrerana) et une autre espèce contenant des alcaloïdes β-carbolines (presque toujours Banisteriopsis caapi) qui sont des inhibiteurs des monoamines oxydases. Le DMT est complètement inactif s’il est pris oralement en raison de sa destruction par les enzymes monoamines oxydases présents dans les intestins et dans le foie humains. Les β-carbolines, dans la seconde plante de cette décoction d’Ayahuasca, inhibent les monoamines oxydases permettant ainsi au DMT de pénétrer, dans un état hautement actif, le flux sanguin et le système nerveux ».

La Fonction des Psychotropes dans l’Ecosystème. Stephen Harrod Buhner. Traduction de Xochi. [189]

Selon des recherches récentes, ces deux alcaloïdes (norharmane et harmane) ne compteraient que pour 10 % de l’activité inhibitrice des monoamines oxydases par le tabac. À ce jour, les autres inhibiteurs n’ont pas été découverts. [172] [173] Les β-carbolines possèdent, également, des propriétés anti-dépressives et neuro-protectrices. [174]

Au contraire de Nicotiana tabacum qui accumule le cadmium dans ses feuilles, Nicotiana rustica l’accumule dans ses racines. [138] [139] [169]

Le cadmium est un cancérigène très abondant, à notre époque, dans les fertilisants de synthèse de l’agrochimie ainsi que dans les boues d’épuration — et, donc, dans les sols agricoles. Le tabac à fumer industriel regorge d’autant plus de cadmium qu’il est un bio-accumulateur très puissant — de même que toutes les espèces de Nicotiana. [158]

Usages traditionnels médicinaux de Nicotiana rustica

Tant bien même Nicotiana rustica a été supplantée par Nicotiana tabacum, durant le siècle passé, cette espèce est, encore, cultivée, pour fumer, en Russie, en Amérique du Sud, au Vietnam, en Turquie, en Europe de l’Est, en Afrique… C’est une espèce très résiliente dans de nombreuses conditions pédologiques et atmosphériques.

Par exemple, au Soudan, il existe un tabac à priser — connu sous le nom de « Toombak » dans de nombreux pays africains et orientaux. Il est élaboré à partir de la poudre de Nicotiana rustica fermentée mélangée à une solution aqueuse de bicarbonate de soude. Son taux d’humidité varie entre 6 et 60 % et son taux de nicotine varie entre 8 et 102 mg par gramme de poids sec. Le processus consiste à sécher le tabac en champ, à le laisser fermenter pendant deux semaines (à une température entre 30 et 45 °C), à le sécher pendant deux mois, à le réduire en poudre et à le laisser se bonifier durant une année. Le Toombak est également dénommé « Sauté » et « Sultan El-kaif ». [183] [187]

Dans l’Himalaya, il existe un mélange à fumer dénommé « Khamera ». Selon l’ouvrage « The Encyclopedia of Psychoactive Plants: Ethnopharmacology and Its Applications », de Christian Rätsch, ce mélange contient, en sus de feuilles de Nicotiana rustica, un certain nombre d’espèces telles que Pandanus tectorius (Hala), Delphinium brunonianum (Delphinium à musc), Santalum album (Santal), Zizyphus jujuba (Jujubier), Areca catechu (Palmier à bétel), etc.

En Amérique du Nord, Nicotiana rustica s’est naturalisé à l’est du Canada ainsi qu’aux USA dans une grande partie de la région à l’est du Mississippi, en Oregon et dans le sus-ouest. Le Peuple Algonquin mélangeait Nicotiana rustica avec des Daturas. Le Peuple Paiute mélangeait Nicotiana rustica avec le « Kinni-Kinnick » — un mélange de diverses espèces dont : Garrya elliptica, Arctostaphylos uva-ursi, Chimaphila umbellata, Arenaria sp. Le Peuple Delaware mélangeait Nicotiana rustica avec le Sumac (Rhus glabra).

Le Peuple Shoshone mélangeait, dans la pipe, Nicotiana rustica avec des espèces de Sarrazin sauvage, Eriogonum inflatum ou Eriogonum trichopes.

J’ai rencontré ces Eriogonum dans les déserts de Death Valley. [184] Ils y sont dénommés les Trompettes du Désert et ce sont des curiosités botaniques propres à se faire pâmer les Réchauffistes, les Ecolo-Thermistes et autres Caniculs-Bénis, car les petites trompettes sont des poches contenant du dioxyde de carbone !!!

Nicotiana rustica a été traditionnellement utilisé par les Peuples amérindiens — Apalachee, Cherokee, Iroquois — pour les maux de tête, les crampes et les douleurs aiguës, les piqûres d’insectes, les maux de dents, les morsures de serpents, les troubles digestifs et rénaux, les évanouissements et l’apoplexie, la tuberculose ; pour ses propriétés anthelmintiques, antispasmodiques, analgésiques, cathartiques, diaphorétiques, diurétiques, émétiques, expectorantes ; et comme plante à fumer cérémonielle. Selon les ouvrages d’ethnobotanique : « Plants Used As Curatives by Certain Southeastern Tribes », « Cherokee Plants and Their Uses. A 400 Year History”, “Iroquois Medical Botany”, “Iroquois Foods and Food Preparation”, etc.

Une étude de 2011 a mis en exergue la capacité d’extraits de Nicotiana rustica (et de Luffa aegyptiaca) d’inhiber le venin du serpent venimeux Naja nigricollis, le Cobra cracheur à cou noir. [182]

Selon l’ouvrage, de 1697, d’Agustín de Vetancurt, « Teatro Mexicano: descripción breve de los sucesos ejemplares de la Nueva-España en el Nuevo Mundo Occidental de las Indias », les Indigènes du Mexique consommaient oralement le tabac pour rendre les hommes agiles dans tous les exercices corporels.

Agustín de Vetancurt précisa que, selon les Indigènes, le tabac « soigne tant de choses qu’il fait fuir la mort même ».

Chez les Aztèques, selon l’ouvrage d’Hernandez, Nicotiana rustica a été traditionnellement utilisé pour soigner les ballonnements d’estomac, l’asthme, les troubles utérins, les insomnies, les maux de tête, les inflammations de la rate, les maux de dents, la syphilis, les blessures d’arc et les morsures de serpents.

Selon l’ouvrage « Medicina, salud y nutrición Aztecas » d’Ortiz de Montellano, qui rapporte des écrits de Sahagun, les Aztèques soignaient les maux de tête avec des feuilles fraîches de tabac et une plante sternutatoire, « Ecuxo » (Amphipterygium adstringens) ainsi qu’avec une autre espèce nommée « Zozoyatic » (Schoenocaulon coulteri) — afin de provoquer des saignements de nez libérateurs.

Le tabac est considéré, en Amazonie, comme une plante médicinale maîtresse et comme le principal vecteur de la guérison chez les shamans et guérisseurs. En fait, pour les peuples amazoniens, le tabac est à ce point au cœur de la médecine traditionnelle que le terme employé pour décrire les guérisseurs, dans un certain nombre de langages, est étymologiquement lié aux termes dénommant le tabac.

Par exemple, chez le Peuple Yuracaré, des basses terres boliviennes, le terme « korrë-n-chata » signifie « celui qui consomme le tabac ». Chez les Peuples Ashaninka, du Pérou et du Brésil, et Matsigenka, du sud-est du Pérou, les termes « sheripiari » et « seripigari » signifient « celui qui est intoxiqué par le tabac ».

Dans une étude publiée récemment, à la fin de l’année 2020, dans la Revue « Frontiers in Pharmacology » et intitulée « “Tobacco Is the Chief Medicinal Plant in My Work” : Therapeutic Uses of Tobacco in Peruvian Amazonian Medicine Exemplified by the Work of a Maestro Tabaquero » [175] des chercheurs Suisses ont enquêté auprès d’un maitre Tabaquero Péruvien, Ernesto García Torres, âgé de 51 ans et guérisseur depuis son adolescence — à savoir, depuis 36 années.

Ernesto García Torres a recours au tabac (Nicotiana rustica) pour traiter des pathologies physiques telles que, principalement, les problèmes respiratoires, la sinusite, la goutte, les infections parasitaires des intestins, les infections parasitaires de l’épiderme et l’épilepsie.

« J’utilise un processus de préparation du tabac qui en fait un remède efficace pour les poumons. Préparé d’une autre manière, il peut s’avérer un poison pour les poumons, mais s’il est processé correctement, c’est une médecine qui guérit. Le tabac absorbe le phlegme et l’élimine du système respiratoire ».

Ernesto García Torres considère que le tabac est une substance thérapeutique chaude et qu’il n’est pas adapté pour traiter des conditions de chaleur interne, mais bien plutôt les conditions de froid interne. Par conséquent, par exemple, il prescrit le tabac pour des gaz intestinaux induits par un froid excessif, mais pas pour des inflammations intestinales aiguës.

Dans les traitements qu’il prodigue par la tabac, Ernesto García Torres met en exergue l’interaction permanente entre la sphère somatique et la sphère psychologique. La libération du système respiratoire, ou du tractus intestinal, va permettre de libérer le cerveau induisant, ainsi, un meilleur bien-être et une santé psychologique plus harmonieuse.

« Physiquement, le tabac purifie les intestins des parasites et des énergies négatives, mais, de par la connexion existant entre les intestins et le cerveau, lorsque les intestins sont libérés, il en est de même, pour le cerveau ».

Ce fut exactement le fondement de la Médecine de celui qui fut, en son époque, appelé le second Hahnemann, à savoir Edward Bach (1886-1936), le concepteur des Nosodes intestinaux et du système de soins homéopathiques connu sous le nom de Fleurs de Bach ou d’Élixirs floraux — dont nous fûmes, avec ma compagne et shakta Sofy, les initiateurs en France lorsque nous créâmes le Laboratoire DEVA, en 1986, dans le Vercors [176]. C’est, en effet, la santé des intestins qui détermine la santé psychologique de l’animal humain. Aujourd’hui, une pléthore d’études scientifiques ont mis en exergue la relation intime existant entre la microflore intestinale (ou son absence) avec la santé de la psyché.

Ernesto García Torres décline les bénéfices thérapeutiques du tabac pour les dynamiques psychologiques corrélées à l’attention, aux processus cognitifs, aux humeurs, à l’image de soi-même, aux peurs, aux anxiétés, etc. Selon les auteurs de cette étude :

« Le guérisseur décrit un remède tonique qui cible, spécifiquement, les conditions d’anxiété ou de dépression. Certains cas cliniques peuvent requérir un traitement durant de 3 à 6 mois, mais, généralement, 1 mois de traitement, avec ce remède, est suffisant pour des cas plus légers. Cependant, le Tabaquero explique que le tabac est contre-indiqué pour certains types de patients souffrant de nervosité chronique ou d’épuisement nerveux. De tels patients — même s’ils sont physiquement aptes à recevoir un traitement par le tabac — peuvent psychologiquement réagir à cette plante par de la panique ou une perte de contrôle. Le tabac est, également, contre-indiqué pour des conditions psychotiques sévères ». [175]

En fait, pour Ernesto García Torres, le tabac est, également, contre-indiqué chez les patients faisant preuve de comportements hostiles ou agressifs, ou souffrant de douleurs psychosomatiques, ou sujets à des pathologies induites par un excès de chaleur dans le cerveau — en résumé, chez les patients souffrant de conditions psychiatriques sévères. Par contre, « boire du tabac » peut aider une personne souffrant d’une addiction aux cigarettes ou à l’alcool :

« Lorsqu’une personne boit du tabac plusieurs fois, durant une période étendue de temps, elle va arrêter de fumer ».

Selon Ernesto García Torres, dans sa pratique chamanique, la médecine du tabac est, également, contre-indiquée pour les femmes enceintes ou allaitantes ; pour les patients souffrant de problèmes cardiaques, d’hypertension, de problèmes respiratoires sévères ou de lourdes pathologies hépatiques ; pour les patients traités avec des antibiotiques.

Pour Ernesto García Torres, selon le paradigme traditionnel Amazonien, la Médecine du tabac, en sus de ses propriétés biochimiques, convie ses qualités thérapeutiques au travers de la sphère énergétique et spirituelle.

« Il existe de nombreuses excellentes médecines, mais, en ce qui concerne les problématiques énergétiques, le tabac est suprême… De plus, tous les remèdes de plantes doivent être soufflés avec la fumée du tabac ».

Pour les shamans amazoniens, le tabac est, ainsi, corrélé à un puissant esprit de guérison. Chez de nombreux Peuples amazoniens, le tabac est le Père (de toutes les plantes médicinales) tandis que l’Ayahuasca est la mère (de toutes les plantes médicinales).

Le processus chamanique consistant à souffler la fumée du tabac, sur toutes les parties du corps des patients, n’est pas sans rappeler les pratiques Asiatiques de moxibustion par le biais desquelles les points d’acupuncture sont chauffés grâce à des moxas — confectionnés avec de l’Artemisia argyi, de l’Artemisia vulgaris, ou d’autres plantes médicinales. En effet, l’un des produits de la combustion des moxas est la fumée de moxa qui possède des propriétés antimicrobiennes et dont les applications thérapeutiques ont été validées dans le cas de blessures infectées, de vaginites, de prolapsus utérins, de verrues, de fistules anales, etc. [181]

Ernesto García Torres décrit les effets de la Médecine du tabac quant à leurs interactions entre les sphères somatique, psychologique, énergétique et spirituelle :

« Lorsque le tabac est ingéré, il se connecte à l’estomac, et, de par sa puissance énergétique, se connecte ensuite aux intestins. À partir des intestins, il se connecte au cerveau et au système nerveux et mobilise l’intégralité du système énergétique du corps. C’est au cours de ce processus que les vomissements sont déclenchés… Durant ces phases de vomissements, il ne s’agit pas que de vomir : le patient se libère de ses pathologies physiques, mais aussi — pour ceux qui sont capables de l’appréhender — il se libère de nombreux esprits maléfiques et il purifie l’entièreté de son champ énergétique… Une fois que le patient a vomi, il a libéré son mental, son cœur, ses intestins et l’intégralité de son corps. Il s’agit d’une métamorphose énergétique : la personne se sent plus légère, plus joyeuse, plus calme et faisant l’expérience d’une connexion plus amoureuse avec la Nature ». [175]

Une étude récente, de 2017, portant sur les relations entre le cerveau et les intestins, a mis en exergue que la nicotine affecte, de façon différenciée, les intestins mâles et les intestins femelles — en particulier, en ce qui concerne son impact sur les neurotransmetteurs (glutamate, glycine, GABA), sur la composition de la communauté du microbiome ainsi que sur le métabolome fécal. [188]

La Médecine traditionnelle Shamanique des Peuples de l’Amazonie est fondée, de plus, sur des pratiques de purges de l’estomac ou des intestins. Ainsi, les vomissements ou les diarrhées ne sont pas des effets indésirables de l’ingestion de plantes médicinales, mais ils constituent une clé essentielle du processus de guérison. Il en est, d’ailleurs, de même, strictement, dans les médecines traditionnelles tibétaine, chinoise, ayurvédique quant à la place prépondérante des plantes purificatrices, émétiques et purgatives.

Une étude espagnole, publiée en 2012, a mis en exergue 191 pratiques dépuratives, ayant recours à 114 différentes espèces végétales, dans les pratiques de guérison des curanderos, et des curanderas, du district de Chazuta au Pérou. Selon les auteurs, ces plantes dépuratives peuvent être considérées comme des « agents stresseurs médicinaux » dans la mesure où les vomissements, qu’ils induisent, activent les processus neuroendocriniens. [185]

La Médecine traditionnelle Shamanique des Peuples de l’Amazonie est fondée sur les mêmes principes que les Médecines traditionnelles des Mayas, des Aztèques ou encore des Tibétains : à savoir qu’un certain nombre de pathologies sont strictement corrélées à des disharmonies procédant d’un plan énergétique, existentiel et spirituel non matériel…

du moins, dont la matérialité se situe au-delà des conceptions mentales, et des perceptions sensorielles, issues du mariage — contre Nature, stérile et pas très gai — entre le paradigme monothéiste des religions abrahamiques et le paradigme monopolistique de la religion néo-darwiniste.

D’ailleurs, la société humaine est, aujourd’hui, très malade, énergétiquement, existentiellement et spirituellement, suite à la contamination des Peuples planétaires par un virus extra-terrestre génocidaire… qui sévit depuis quelques millénaires. Ainsi que les anciens Instructeurs et Initiés Païens avaient mis en garde, au tournant du premier millénaire : les Archontes de Yahvé/Yaldabaoth sévissent à Jérusalem.

Il est grand Temps que l’intégralité du corps de la société humaine se libère de toutes ses toxines énergétiques générées par des millénaires de religions monothéistes, de collusion victime-perpétrateur, de haine de Soi, de peur de la Nature, de déconnexion d’avec les forces vivantes de la mère animale planétaire.

Il est grand Temps de souffler la fumée du tabac chamanique afin de purifier l’intégralité de l’Atmosphère humaine et afin de convier les puissances authentiquement féminines de la mère — ses Muses, ses Dakinis et ses Grandes Sagesses — à venir participer à ce grand ménage de printemps.

La Chasse aux Prédateurs est ouverte, car le Temps est venu de la Grande Réinitialisation. Non pas la Réinitialisation globaliste et génocidaire du nouveau Santa Klaus (Schwab) du Forum économique mondial… mais la Réinitialisation pour la Vie, la Réinitialisation du Forum Oecuménique des Peuples. Oecuménique dans le sens étymologique de la racine grecque « oecumene », « terre habitée » — de « oikos/oikéô » (maison/habiter) et de « Ge/Gaïa », la Terre.

Usages traditionnels Enthéogéniques de Nicotiana rustica

« Dans une grande partie du monde des Peuples amérindiens, le tabac était considéré, et il l’est encore, comme l’un des cadeaux spéciaux que les divinités ont offerts à l’Humanité afin de l’aider à passer de “ce” monde au “monde de l’altérité” — celui-là même des divinités. Dans de nombreux cas, cette vision implique l’usage du tabac afin d’accéder, précisément, à certains états mystiques, ou à la transe chamanique extatique, que nous n’associons, communément, qu’avec les hallucinogènes botaniques les mieux connus. Pour ne mentionner qu’un seul exemple provenant du Mexique : non seulement avant la Conquête, mais durant des siècles plus tard, les shamans des communautés aztèques utilisaient le Picietl (Nicotiana rustica) en synergie avec les chants de certains mythes d’origine afin de se repositionner au cœur de ce que nous pourrions appeler un “temps mythique” — un temps où tout était possible — afin d’engager la puissance supra-naturelle, des divinités créatrices, et leur œuvre primordiale dans la restauration de la santé et de l’harmonie du patient. Cet usage du tabac se situe, ainsi, aux antipodes de son usage hédoniste.

Je ne souhaite pas en déduire que le tabac fut, universellement, utilisé pour déclencher des états altérés de conscience. Au contraire, il a été, probablement, au service d’un spectre plus étendu d’objectifs sacrés que toute autre plante originaire du Nouveau-Monde — et l’une de ses fonctions les plus essentielles, et virtuellement les plus universelles, étant en relation avec sa nature de nourriture divine pour les déités, principalement sous la forme de fumée. Il possédait, également, une fonction de soutien indispensable à la guérison chamanique — principalement, comme un fumigant, mais, parfois, aussi, comme une panacée. Néanmoins, il semble qu’il ait existé au moins un élément d’intoxication émergente dans l’acte chamanique de fumer, au sein de nombreuses cultures des Amériques, et une réelle intoxication au tabac au point d’induire une altération radicale de la conscience — une transe psychédélique — qui s’avéra, certainement, d’une importance essentielle dans le complexe extatique du Nouveau Monde. Cet élément, ainsi que ce que nous connaissons, de nos jours, quant à l’activité chimique du tabac, justifie d’assigner le tabac, tout comme les Amérindiens le firent eux-mêmes, à la flore psychédélique. Il existe, cependant, une différence majeure : aucune des plantes, que nous appelons communément hallucinogènes, n’est addictive… alors qu’il se pourrait que le tabac le soit ». Peter Furst. « Hallucinogens and Culture ».

En page 23. Traduction de Xochi.

Christian Ratsch et Claudia Müller-Ebeling, dans leur ouvrage « The Encyclopedia of Aphrodisiacs », évoquent un usage hallucinogène de Nicotiana rustica en synergie avec la Tagète lucide, Tagetes lucida, [170] chez le Peuple Huichol du Mexique :

« Tagetes lucida a été fumé — en tant qu’aphrodisiaque — depuis l’époque coloniale espagnole, soit pure, soit en mélange à fumer. Les sommités fleuries séchées et les feuilles sont fumées dans des cigarettes confectionnées avec des spathes de maïs. Les Huichol de la Sierra Madre appellent Tagetes lucida soit “Tumutsali”, soit “Yauhtli”, et ils fument cette plante soit pure soit en mélange avec l’espèce de tabac, Nicotiana rustica. Ce mélange est souvent utilisé conjointement à l’ingestion de peyotl ou de tesgüino (une bière de maïs confectionnée par les Tarahumaras) ou de nawa (une autre bière) ou de ci (une tequila). Ces mélanges sont supposés induire des hallucinations et peuvent, certainement, potentialiser les effets d’autres stimulants. En tant qu’aphrodisiaque, le yauhtli est mélangé avec le “Sinicuiche” — “l’ouvre soleil” en Nahuatl, à savoir l’espèce Heimia salicifolia. Il est conseillé aux femmes stériles de prendre des bains de Yauhtli avec les espèces Heimia salicifolia, Rosmarinus officinalis et Lavandula angustifolia ».

Aujourd’hui, les Huichol continuent de fumer les feuilles et les fleurs sèches de Tagetes lucida soit par elles-mêmes, soit mélangées avec Nicotiana rustica. Une étude récente, publiée au printemps 2021, fait état de découvertes archéologiques prouvant la présence de Tagetes lucida dans des céramiques Maya, du Yucatan, datant du premier millénaire de notre ère, qui furent utilisées pour conserver du tabac. [186]

En Nahuatl, Tagetes lucida est dénommé « Yauhtli » ou « Tlacopahtli ». Dans la langue ésotérique des shamans nahuas, le Nahuallatolli, il est dénommé « Cozauhqui tlamacazqui » — signifiant le « prêtre jaune ». Le complexe mélangeant le tabac et le Yauhtli est dénommé « Ye-tumutsali ».

Selon la mythologie Huichol, Nicotiana rustica, dénommée « yé » ou « yetl », est une plante du dieu du feu, Tatewari, qui est également le dieu des shamans — et qui était, auparavant, un faucon avant de se transformer en tabac. [159]

Voici ce que narre l’anthropologue Barbara Myerhoff (1935-1985) dans son ouvrage, de 1974, « Peyote Hunt: The Sacred Journey of the Huichol Indians », en page 126, au sujet de Nicotiana rustica, dans la quête du Peyotl par les Huichol :

« Il est sacré et consommé, exclusivement, en cérémonies, lorsque tous les hommes fument à l’unisson. Roulé dans des cigarettes confectionnées avec des enveloppes de maïs, le tabac est amené vers Wirikuta dans des gourdes verruqueuses sacrées (yékwe/Crescentia cujete) portées par les hommes âgés et les peyoteros expérimentés ».

Au Mexique, chez les antiques Mixtèques, le tabac (« yucu ino »), un tapis, et une poterie contenant du chocolat, représentent les symboles du mariage dans leur écriture pictographique. Que vont dire les féministes ? Il s’agit du pictographe « ino dzehua », « tabac et Chocolat ». Le couple Mixtèque est assis sur son tapis et partage d’une coupe de chocolat « fleuri » — car mousseux… de « fleurs de chocolat », « ita dzehua », dans la langue Mixtèque Dzaha Dzaui. Voir le Codex Vindobonensis en page 35.

Au Mexique, dans le Codex Bodley — dénommé, également, Codex Ñuu Tnoo–Ndisi Nuu — en page 39-II, un ambassadeur offre aux parents du jeune marié un collier d’or et une perle de jade entre du tabac moulu et une gousse de fèves de Chocolatl. Chez les Mixtèques, l’expression « yotasindi ino huico », « commander du tabac pour la cérémonie », signifiait organiser une fête.

Au Venezuela, les Peuples Warao mélangeaient des feuilles de Nicotiana rustica avec la résine, utilisée traditionnellement comme encens, de l’arbre Protium heptaphyllum (qui possède des propriétés analgésiques, antimicrobiennes et anti-inflammatoires) — de la même Famille des Bursacées que l’arbre utilisé, également, comme encens, en particulier durant les cérémonies d’Ayahuasca, et dénommé « Palo Santo », Bursera graveolens.

Tous les shamans de l’Amazonie considèrent Nicotiana rustica comme une plante médicinale et sacrée et ils la dénomment « Mapacho ». De par ses effets hallucinogéniques (psychoactifs ou enthéogéniques), ils l’utilisent pour la guérison, pour la divination et pour les visions — depuis des milliers d’années.

Selon l’ouvrage de Francisco Hernandez « Rerum Medicarum Novae Hispaniae », les Indigènes de Haïti préparaient des morceaux de canne creuse et perforés afin de fumer un mélange contenant Nicotiana rustica, des plantes médicinales, et du Liquidambar styraciflua, pour mieux dormir, soulager les douleurs, calmer les sensations de fatigue et soigner diverses pathologies. Au Mexique, les Aztèques mélangeaient des feuilles de Nicotiana rustica avec, également, la résine du Liquidambar — « Xochiocotzotl » en Nahuatl — ou bien avec des feuilles d’Ephedra nevadensis.

Il est à noter qu’en Iran et en Irak, les feuilles de Nicotiana rustica sont mélangées avec les cendres d’une autre espèce d’Ephedra — Ephedra pachyclada — et parfumées avec de l’huile de Jasmin.

Selon les recherches de l’ethnologue Lilián González Chévez, aujourd’hui encore, les Nahuas de l’État de Guerrero, au Mexique, ont recours à quelques espèces enthéogéniques dont : « Tenexyetl » (Nicotiana rustica), « Huaxchiquimolin » (Leucaena matudae), « Hueytlacatzintli » (Solandra guerrerensis), « Cecectzin » (Turbina corymbosa), « Rosita » (Cannabis sativa) et « Tlapatzintli » (Datura inoxia ou Brugmansia arborea). [198]

Le terme Nahuatl « Tenexyetl » signifie littéralement « tabac de pierre cendres ». Il est composé de « Te/Tetl » pour pierre, de « nextli » pour semences et de « yetl » pour tabac.

Chez les Mixtèques, Cihuacoatl, la Femme-Serpent, la Déesse de la Voie Lactée, est également l’esprit du tabac hallucinogène, le Picietl — Nicotiana rustica.

Dans le langage occulte des shamans Nahua (le « Nahuallatolli ») et selon ses expressions (les « Nahualtocaitl »), le tabac hallucinogène est appelé « le Guide et le Maître de toutes choses », « l’Esprit vert aux larges feuilles ». Il est, également, dénommé « Yetzintli » (le Vénérable tabac), « Xiuhpapatlantzin » (Les Vénérables Feuilles Volantes), « Xoxouhqui cihuatl » (la Femme de Couleur Vert Sombre, « Nonan, nota » (Ma mère, mon Père), « Tlazotli » (Le Précieux), « Chicnauh tlatetzotzonalli » (celui qui est frappé neuf fois), « Chicnauh tlatlamatellolli » (celui qui est déchiqueté neuf fois dans les mains), « Citlalcueye iconeuh » (le Fils de celle à la Jupe Etoilée) et « Citlalcueye ipiltzin » (l’Enfant Vénérable de celle à la Jupe Etoilée) et « Citlalcueye itlachihual » — à savoir le fils de Cihuacoatl, la Déesse de la Voie Lactée.

José de Acosta, dans son ouvrage de 1590, intitulé « Historia natural y moral de las Indias », évoque l’utilisation d’un baume/boisson, par les shamans indigènes — afin de « se transformer en sorciers et de communiquer avec le Diable », en personne. Ce baume — dénommé « Teotlacualli » signifiant « nourriture divine » — était confectionné à partir de cendres d’insectes et d’animaux venimeux (araignées, scorpions, geckos, vipères) mélangées avec beaucoup de tabac (Nicotiana rustica) et de semences moulues d’Ololiuhqui (Turbina corymbosa). [161]

La statue de Xochipelli — ou Xochipilli — qui se trouve, aujourd’hui, au Musée National d’Anthropologie de Mexico, présente la « guirlande magique » — pour emprunter une expression du Parzival de Wolfram von Eschenbach [180] des principales substances enthéogéniques utilisées dans le chamanisme des peuples méso-américains. Il s’agit des espèces suivantes : Nicotiana rustica, Turbina corymbosa/Ipomoea tricolor, Psilocybe aztecorum, Heimia salicifolia et Quararibea funebris. [190]

Selon Christian Ratsch, dans son ouvrage « The Encyclopedia of Psychoactive Plants », en page 378 :

« De nombreux shamans acquièrent leur capacité de voyager dans d’autres réalités grâce à l’aide du tabac. Ils apprennent à entrer dans “la maison du tabac”, à utiliser la fumée de tabac pour monter aux cieux et à communiquer avec les esprits de la plante du tabac — qui apparaissent souvent sous la forme de serpents. Lorsqu’ils réalisent des guérisons, les shamans soufflent, souvent, de la fumée sur le corps des patients afin de les libérer de l’emprise des esprits de la maladie ou bien de les en protéger. Pour les shamans initiés, la fumée du tabac constitue une porte vers l’autre monde, le monde des visions, le monde au-delà du temps et de l’espace ».

Chez le Peuple Kariña, au Venezuela, du jus de tabac mélangé à du jus de gingembre est déposé dans les yeux des apprentis shamans afin de leur ouvrir la vision nocturne et afin de les éveiller à la vision de l’autre monde — le monde du Nagual.

Selon Johannes Wilbert, dans son ouvrage de 1987, « Tobacco and Shamanism in South America », en page 378 :

« La relation intime existant entre le shaman et le jaguar est clairement mise en exergue dans le paradigme conceptuel et les croyances des Campa. Afin de devenir l’un de leurs jaguars-shamans, un novice doit ingérer une dose initiale de purée de tabac et apprendre le chant du tabac. Lorsque le tabac “atteint son cœur”, il reçoit une vision et rencontre l’Esprit de la vieille femme tabac auquel il demande une de ses filles. Des animaux vont, alors, lui apparaître, sous forme humaine, en prétendant être la fille-jaguar qu’il a demandée. Mais, s’il veut devenir un vrai jaguar-shaman et un guérisseur, il doit percevoir l’imposture et laisser passer tous les animaux déguisés jusqu’à ce qu’il entende un jaguar rugir dans la nuit sombre de la forêt. Il s’agit de la fille de la vieille femme qu’il doit aller rencontrer dans la forêt. Le jaguar attaque alors le novice qu’il déchiquette totalement. Si le jeune homme supporte l’épreuve sans fuir, son corps va redevenir entier et son tourmenteur jaguar va alors se transformer en une belle jeune femme ».

Traduction de Xochi.

Selon l’ouvrage de Fructuoso Irigoyen-Rascon (2015) « Tarahumara Medicine », en page 264 :

« Les Tarahumaras portent une très haute estime au tabac en tant que remède pour les morsures de serpents. Ils recommandent que tout un chacun puisse avoir, dans ses poches, du tabac — Wipa ou Wipaka. Certains affirment que les serpents à sonnettes vont pleurer, révélant ainsi leur présence, lorsqu’ils sentent le parfum du tabac. Lorsqu’un crotale mord une personne, de la fumée de tabac est, ainsi, soufflée sur la morsure. Robert Bye rapporte, également, que des feuilles de Nicotiana rustica sont utilisées en cataplasme sur les morsures d’autres animaux venimeux ».

Selon Robert Bye, dans son essai — paru en 1979, dans le Journal of Ethnopharmacology — intitulé « Hallucinogenic Plants of the Tarahumara », les Tarahumara utilisent, principalement, médicinalement, Nicotiana rustica pour soigner les maux de tête et les morsures d’animaux. Chez les Tarahumara, le tabac est considéré comme ayant des propriétés magiques et il est utilisé pour purifier les humains, les animaux et les champs. D’un point de vue magique et chamanique, le tabac est considéré comme second après « jíkuri », le Peyotl (Lophophora williamsii) et comme plus puissant que « Debuka », le Datura inoxia. [199] Les Tarahumaras fument, également, sur mode cérémoniel, l’espèce Nicotiana obtusifolia/Nicotiana trigonophylla — une espèce également fumée par le Peuple Hopi dans le sud-ouest des USA.

Les shamans Tarahumara mélangent le tabac avec du sang séché de « sope-chi » (une chauve-souris) avec la viande séchée de la « muri » (une tortue) afin de conférer des protections à l’encontre de la sorcellerie maléfique.

Les Qualités médicinales et Enthéogéniques des Rapés de Nicotiana rustica dans la Forêt Amazonienne

Tout comme pour certaines thérapies impliquant l’Ayahuasca, les divers mélanges de rapé ou bien le Yopo (Anadenanthera peregrina), le secret est, en effet, de vomir.

Si je puis amener quelques témoignages personnels. Depuis une douzaine d’années, je consomme libéralement cette plante qui fait chanter les neurones — le Cannabis — et qui les éveille aux inspirations des Muses et Dakinis — lorsqu’affinités prévalentes. Je peux témoigner avoir stoppé l’usage de la vaporisation de Cannabis par trois fois depuis 2009 — en particulier lorsque cet usage se déployait du matin jusqu’au soir, et du soir au matin ! À savoir, par deux fois, suite à des cérémonies d’Ayahuasca (accompagnées de rapé) — qui durèrent deux nuits consécutives, avec moult vomissements durant les montées de MahaKunda — et une fois à la suite d’une prise de Yopo, durant dix minutes, où je vomis pendant plusieurs heures. En ce qui me concerne, du moins, l’arrêt du Cannabis est instantané et dénué, strictement, de symptômes de décrochage.

La composition des rapés de l’Amérique du Sud varie en fonction des Tribus Amazoniennes qui les élaborent. En fait, en fonction des affinités personnelles, ou des diverses traditions chamaniques Amazoniennes, le rapé peut contenir une pléthore de substances diverses.

Par exemple, le Peuple Apurinã est réputé pour préparer des rapés, exempts de tabac, et de couleur vert pomme — et très éveilleurs. La composition de leurs rapés est restée secrète.

Quant au Peuple Huni Kui (Kaxinawá), ils utilisent, par exemple, dans leur rapé à base de tabac, des cendres de l’arbuste Murici (Byrsonima crassifolia) de la Famille des Malpighiacées ou des semences du Cumaru de Cheiro (Amburana cearensis) de la Famille des Fabacées.

Durant certaines périodes de ma vie, j’ai pu bénéficier de l’usage de rapé et je peux, également, témoigner avoir stoppé cet usage sans symptômes de décrochage malgré le fait que ces rapés soient, principalement, à base de tabac — Nicotiana rustica.

Quant au Peuple Kuntanawa, ils utilisent, par exemple, dans leur rapé à base de tabac, des plantes médicinales telles que Chamba (Campomanesia lineatifolia) de la Famille des Myrtacées, ou Anador (Dianthera pectoralis) de la Famille des Acanthacées ou encore le Tsunu (Platycyamus regnellii) de la Famille des Fabacées.

Quant au Peuple Nukini, ils confectionnent un rapé, à base de tabac, réputé pour convier des énergies féminines puissantes, car les plantes médicinales qu’il contient sont exclusivement collectées par les femmes. Ce sont le Parica (Shizolobium amazonicum) de la Famille des Fabacées, la Catinga de mulata (Tanacetum vulgare) de la Famille des Astéracées ou Anador (Dianthera pectoralis) de la Famille des Acanthacées.

L’anthropologue suédois Henry Wassén (1908-1996), dans son essai intitulé « Anthropological Survey of the Use of South American Snuffs », donne une liste très partielle de quelques espèces entrant dans la composition des plantes à priser et autres rapés — en sus du tabac. Ce sont : Nux moschata (Noix de muscade), Anadenanthera peregrina (Yopo), Anadenanthera colubrina (Yopo) Virola calophylla, Dianthera pectoralis, Chloroleucon tortum, Brugmansia candida.

Selon Wassén, d’ailleurs, le nom vernaculaire, chez le Peuple Kamsa, du Brugmansia candida signifie « l’intoxiquant du Jaguar » ou « la langue du Jaguar ».

Le célèbre ethnobotaniste de l’Université d’Harvard, Richard Evans Schultes (1915-2001), dans son essai intitulé « The Botanical Origins of South American Snuffs », décline, également, une liste d’espèces entrant dans la composition des plantes à priser et autres rapés — en sus de Nicotiana tabacum et de Nicotiana rustica. Ce sont : Theobroma subincanum (un Chocolat sauvage) , Cecropia sp., Virola calophylla, Virola calophylloidea, Virola elongata, Maquira sclerophylla, Dianthera pectoralis, Mendoncia aspera — et Erythroxylum coca (la Coca).

La botaniste et poète, Siri von Reis Althshul, a étudié les rapés Amazoniens connus sous le nom de « Vilca » ou « Wilca ». Ces rapés sont utilisés soit comme purgatif, soit comme ingrédient de la Chicha (la bière de maïs fermenté en Amérique du sud). Ils sont principalement préparés à partir des espèces Anadenanthera peregrina et Anadenanthera colubrina. Ils contiennent, également, les espèces suivantes : Banisteriopsis leiocarpa, Virola sebifera, Baccharis floribunda, Anadenanthera sp., Ipomoea sp., Calliandra calothyrsus, Leucaena guatemalensis.

Il est à noter que l’espèce Dianthera pectoralis (anciennement Justicia pectoralis) constitue l’un des composants majeurs dans ces rapés Amazoniens. Dianthera pectoralis est une plante médicinale très prisée dans les Amériques latines — en particulier par les femmes. Elle possède des propriétés sédatives, broncho-dilatatrices et anti-inflammatoires. Elle est, ainsi, utilisée pour traiter les problèmes respiratoires, l’asthme, les douleurs menstruelles, le diabète, les anxiétés, les symptômes de la ménopause, les problèmes de la prostate. Elle possède, également, des propriétés antibactériennes (à l’encontre de Acinetobacter baumannii et Klebsiella pneumoniae) et des propriétés insecticides (à l’encontre du moustique Aedes aegypti).

Une étude intitulée « COVID-19 : Is There Evidence for the Use of Herbal Medicines as Adjuvant Symptomatic Therapy? » [191] publiée, en août 2020, dans la revue Frontiers in Pharmacology — propose une palette de Plantes médicinales maîtresses pour tous ceux qui préfèrent les remèdes de la Nature afin de se soigner des symptômes des grippes, grippettes, et autres Covidettes, incluant Dianthera pectoralis… en sus de Sambucus nigra (Sureau), Althea officinalis (Guimauve), Glycyrrhiza glabra (Réglisse), Zingiber officinale (Gingembre), Commiphora molmol (Myrrhe), Pelargonium sidoides, Echinacea angustifolia, etc..

Je peux témoigner de mon utilisation, depuis plusieurs années, des racines de Pelargonium sidoides dénommé « Umckaloabo » [200] qui est originaire d’Afrique du Sud et que j’ai cultivée dans mon jardin dans le sud désertique de l’Oregon. C’est une plante souveraine dans le traitement de toutes les affections respiratoires. Cette plante médicinale maîtresse fut introduite en Europe, vers la fin du 19e siècle, par un mécanicien anglais Charles Henry Stevens qui, en 1897, fut guéri de sa tuberculose, lors d’un voyage en Afrique du Sud, par un guérisseur Zulu. Subséquemment, il commercialisa ce remède qu’il dénomma « Stevens’ Consumption Cure » et qui devint très réputé pour soigner la Tuberculose. [197] Le médecin français, Adrien Séchehaye, soigna 800 patients de la Tuberculose grâce à ce remède entre 1920 et 1930. En 1929, il publia un ouvrage intitulé « Le traitement de la tuberculose pulmonaire et chirurgicale par l’Umckaloabo ». Pelargonium sidoides est une plante médicinale interdite en France, par la Mafia Pharmacratique, mais elle est autorisée en Allemagne. [193]

Nicotiana tabacum

Émergence de Nicotiana tabacum

Nicotiana tabacum fait partie de la section « Nicotiana » au sein du genre Nicotiana. Ses fleurs sont de couleur rose/magenta ou, rarement, de couleur blanche. En fonction des variétés, la taille de la plante peut varier de 50 cm à plus de 2 mètres. En fonction des variétés, la taille des feuilles peut, quasiment, atteindre 90 cm de longueur.

J’ai du Bon tabac dans ma Tabatière — qui chez les Peuples amérindiens s’appelle « la Demeure du tabac ».

L’origine du tabac cultivé — à savoir de Nicotiana tabacum — est auréolée de profonds mystères : les néo-darwinistes en avalent leur chapeau de prestidigitateurs d’Évolution aléatoire, aveugle, hasardée, inconsciente et non intentionnée.

Les deux principales espèces de Tabacs cultivés commercialement (Nicotiana tabacum et Nicotiana rustica) ainsi que plusieurs autres espèces sont des hybrides amphidiploïdes (allotétraploïdes) — à savoir qu’ils possèdent un nombre de chromosomes égal à la somme des nombres chromosomiques de leurs parents.

En effet, si certains historiens font remonter l’origine de Nicotiana tabacum à 6000/10000 années, les phylogénéticiens estiment que « le processus de spéciation » de Nicotiana tabacum, à savoir son arrivée au cœur de la Biosphère Gaïenne, remonterait à une période beaucoup plus lointaine — mais à moins d’un million d’années, nonobstant !

En fait, l’événement de polyploïdisation — si l’on peut se permettre l’usage de termes quasi imprononçables — selon l’horloge moléculaire d’un temps linéaire très putatif, se serait manifesté il y a environ 200 000 à 600 000 années pour ce qui concerne les espèces amphidiploïdes Nicotiana rustica, Nicotiana tabacum et Nicotiana arentsii. [179] Quant à Nicotiana arentsii, cette espèce serait issue d’une hybridation impliquant Nicotiana wigandioides et Nicotiana undulata. [177] [178]

Selon cette même horloge moléculaire, la section Suaveolentes — dissidente, car Australasienne — aurait bénéficié d’un tel événement de polyploïdisation, il y a environ 5 à 10 millions d’années.

Ces phylogénéticiens (dont Jack Okamuro et Robert Goldberg, en 1985) considèrent, ainsi, que Nicotiana tabacum serait le fruit d’une hybridation entre, d’une part, Nicotiana sylvestris et d’autre part, Nicotiana tomentosiformis ou Nicotiana otophora — ou leur ancêtre commun ou un hybride de ces deux espèces appartenant à la Section Tomentosae. [21]

Au risque de sombrer dans la mythologie moléculaire, certains chercheurs ont même stipulé que dans le génome du tabac cultivé, Nicotiana sylvestris serait présent à hauteur de 40,3 % et Nicotiana tomentosiformis serait présent à hauteur de 59,7 %. [144] Qui plus est, Nicotiana sylvestris serait l’espèce « maternelle » et Nicotiana tomentosiformis serait l’espèce « paternelle ». Les Botanistes n’ont pas encore subi le formatage vertueux du nouveau langage inclusif.

Ainsi, selon le phylogénéticien Lewis Ramsey, de l’Université de Caroline Du Nord :

« Les accessions courantes des espèces génitrices probables de Nicotiana tabacum accumulent de la nornicotine, au lieu de la nicotine, en tant qu’alcaloïde majeur dans leurs feuilles sénescentes. Cette accumulation est le fruit d’un processus de conversion biochimique contrôlé, largement, par un seul gène dominant — qui est présent dans chacun des génomes des ancêtres de Nicotiana tabacum. De plus, les amphidiploïdes synthétiques — Nicotiana sylvestris x Nicotiana tomentosiformis ainsi que Nicotiana sylvestris x Nicotiana otophora — convertissent, également, la nornicotine en nicotine. Ainsi, les populations initiales de Nicotiana tabacum doivent avoir, aussi, probablement, accumulé de fortes teneurs en nornicotine. Cependant, quasiment toutes les accessions de Nicotiana tabacum collectionnées, de par le monde, dans les décennies 1930 et 1940, accumulent la nicotine en tant qu’alcaloïde majeur. Il est, donc, tentant de spéculer que des Indigènes, dans le passé, firent preuve de discrimination en sélectionnant des populations de Nicotiana tabacum chez lesquelles le processus physiologique de conversion de la nornicotine a été discontinué au niveau du contrôle génétique ». [15]

Traduction et soulignement de Xochi.

Doit-on comprendre que le phylogénéticien Lewis Ramsey soit tenté de suggérer que certains individus, des Peuples Premiers de l’Amérique latine, auraient eu la capacité de discriminer en repérant le gène dominant contrôlant la conversion de la nornicotine en nicotine chez les ancêtres putatifs du tabac cultivé ?

Par quel moyen ? De par la même capacité visionnaire avec laquelle les Ayahuasqueros affirment pouvoir observer — grâce à l’Ayahuasca — le niveau biomoléculaire des plantes médicinales au cœur de leurs forêts tropicales de l’Amazonie ? Et quelle est l’amplitude de temps ancien évoqué ? S’agit-il d’Indigènes Tabaqueros vivant il y a des milliers d’années, des dizaines de milliers d’années… ou bien quelques millions d’années ?

Au sujet de la « domestication » du tabac… puis-je réitérer ce que j’évoquais, en 2019, dans mon Canto en hommage à Maurice Chaudière : [22] Au-delà des processus de co-apprivoisement de l’agri/culture, qu’en est-il, réellement, des origines de toutes les espèces alimentaires domestiquées ? En effet, aujourd’hui, personne ne connaît, véritablement, l’ancêtre du maïs, ou, du moins, cette passation de pouvoir — miraculeusement invoquée par les phylogénéticiens — entre les genres botaniques Teosinte et Zea ; aujourd’hui, personne ne peut, encore, expliquer comment la domestication, prétendument humaine, a généré, d’une carotte sauvage, la carotte de Colmar ou celle de Guérande. Car si nous savions l’expliquer, pourquoi ne pourrions-nous, donc, pas le re/susciter ?

De fait, les théories officielles concernant les origines de l’agriculture, et de l’élevage, sont tout aussi farfelues que toutes les autres fadaises issues de la même hallucination collective sur modes néo-darwinistes. Il en est de l’oca, du maïs ou de la carotte — et de toutes les espèces alimentaires cultivées par les animaux humains — comme de la biodiversité de l’Explosion cambrienne : les ancêtres font défaut ou les phases intermédiaires sont inexistantes.

Se pourrait-il, donc, que le tabac cultivé ait « émergé », un jour — sous forme d’explosion — tout comme ont émergé, un jour, les Baleines, les Tortues, les Trilobites ? Se pourrait-il, donc, que l’Explosion du tabac cultivé soit à l’image de l’Explosion cambrienne, de l’Explosion d’Avallon, de l’Explosion des Angiospermes, de l’Explosion des Trilobites ?… ainsi que je l’ai, extensivement, évoqué dans mon Canto de 67 pages : « L’Hallucination Collective Néo-Darwiniste dans l’Oeil du Cyclone de la “Dé/Sélection Gaïenne” — au Plaisir de la Survie des Peuples ». [108]

Se pourrait-il, donc, que le tabac cultivé soit le sujet d’un « Dessein Intelligent et Ingénieux » ? Et pour quels motifs si ce ne sont le bien-être, la médecine et les états de transe visionnaire ?

D’ailleurs, certains chercheurs grognons émettent des doutes quant au fait que les complexes de remèdes des Peuples amazoniens soient « traditionnels » alors que, par exemple, ils mélangent de la Noix de muscade (originaire d’Indonésie) avec du tabac ou d’autres plantes médicinales ou enthéogéniques. Rappelons, donc, que l’Université de Cambridge, en décembre 2016, a communiqué sur la publication des recherches officielles d’archéologues de l’Inde qui affirment qu’au moins 85 espèces agricoles, originaires des Amériques, sont cultivées en Inde depuis une période antérieure au 8e siècle. [201]

Il est assez logique, et fertile, d’imaginer que si 85 espèces agricoles sont parvenues des Amériques en Inde et en Asie, il y a deux ou trois mille années, il serait strictement étonnant que des espèces asiatiques n’aient pas été apportées dans les Amériques — durant les mêmes voyages transocéaniques par bateaux ou durant un passage, hypothétique, du Détroit de Béring par des peuples eurasiatiques qui profitaient d’un moment d’accalmie et de réchauffement planétaire naturel et non anthropique.

Ce processus s’appelle « l’échange » et il constitue le fondement du mutualisme qui caractérise les relations humaines — ainsi que tout le tissu de Vie de la Biosphère.

Ainsi, aujourd’hui, qui pourrait affirmer depuis quand le cannabis asiatique a été cultivé au Mexique ou en Colombie ? D’autant plus qu’il est très clair que les premiers explorateurs ont affirmé que les Peuples de l’actuel Canada, par exemple, le cultivaient au moins pour des propos de tissage et de confection de vêtements — bien avant l’arrivée des premiers colons au 16e siècle. [202]

De plus, quid des révélations de l’historien et ethnologue, William Henry Holmes (1846 -1933), du Smithsonian Institute, concernant sa découverte de Cannabis datant de plus de deux millénaires en Amérique du Nord ? En effet, en 1891, William Henry Holmes, dans ses études de l’art textile préhistorique à l’est des USA, découvrit des centaines de pipes en argile, au Death Mask Mound des Bâtisseurs de Tumulus de la dénommée Culture Hopewell — dans l’actuel Ohio. Ces pipes contenaient des vestiges de Cannabis et étaient enveloppées dans des tissus de chanvre. Elles furent datées à — 200/ — 500 ans avant EC. [205] [206]

De plus quid de l’Optimum climatique médiéval — à savoir le Réchauffement atmosphérique non anthropique, de l’an 900 à l’an 1300 — lorsque les Vikings étaient les animateurs de l’Europe du Nord sur des mers glaciales… dénuées de glaces ? Quid de leur « découverte » de l’Amérique du Nord vers les années 950/1000 ? Faut-il rappeler que leurs voiles et leurs cordages étaient confectionnés avec du Cannabis/Chanvre ?

De plus, pour surfer sur la vague des voyages navals intercontinentaux, et des échanges de plantes médicinales ou agricoles maîtresses, quid de la découverte de Coca (Erythroxylum coca) et de tabac dans des momies égyptiennes datant de milliers d’années ? [236]

Aux origines historiques du tabac médicinal

C’est le 15 octobre 1492 que Christophe Colomb — le navigateur et grand fabulateur devant l’Éternel — découvrit non pas l’Amérique, mais l’existence du tabac lorsqu’un canoë passa, près de son navire, transportant des feuilles de cette espèce alors inconnue en Europe.

La découverte de l’Amérique par Christophe Colomb est une gigantesque farce — au même titre que le Coque/Vide19, que le Réchauffement atmosphérique anthropique au dioxyde de carbone… ou que l’histoire officielle des trois dernières guerres franco-allemandes. C’est, en effet, durant le Réchauffement atmosphérique naturel, et non anthropique, de l’Époque médiévale (entre 900 et 1300) que les Vikings arrivèrent sur la côte est de l’Amérique du Nord.

Un peu plus tard, en novembre 1492, deux marins de son équipage — Luis de Torrès et Rodrigo de Jerez — observèrent que les Indigènes, de ce qui est maintenant l’île de Cuba, transportaient des torches brûlantes, contenant du tabac, pour chasser les maladies et la fatigue :

« Nous observâmes avec inquiétude ce qui nous a semblé être un sacrifice rituel par le feu, car nombre de ces indigènes portaient à leur bouche des tubes ou des cylindres se consumant à leur extrémité et ils les suçaient, des tubes à travers lesquels ils aspiraient de la fumée, et de leur apparent confort nous en déduisons qu’il doit s’agir d’un rituel important dont ils semblent éprouver une satisfaction des plus grandes. Nous vîmes même d’ailleurs ces indigènes s’offrir les uns aux autres ces tubes étranges et les allumer ».

Rodrigo de Jerez, de retour dans son village en Espagne, Ayamonte, pratiqua, lui-même, la coutume de fumer le tabac. Il fut alors enfermé, dans les prisons de la Sainte Inquisition, pour péché de sorcellerie (à savoir, pour exhalation diabolique de fumée par la bouche), pendant sept années.

À cette époque, le tabac était dénommé, dans divers langages, « quauhyetl », « petun », « betum », « cogioba », « cohobba », « picietl », « yietl »… et il était fumé avec des pipes dénommées « tabaco » ou « tavaco ».

Le terme « petun » est, d’ailleurs, à l’origine du nom du genre « Petunia » — dans la même Famille des Solanacées — car le tabac est dénommé « petun » et « petuma » en Tupi et « peti » en Guarani. [12] Les Pétunias sont, également, des espèces possédant des propriétés médicinales — entre autres, de par la présence de peptides antimicrobiens. [10]

Les explorateurs Pedro Alonso Niño, Cristóbal de la Guerra et Amerigo Vespucci évoquèrent, aux Caraïbes et au Venezuela, vers 1500, l’usage du tabac — sans doute mélangé avec de la chaux ou de la craie — sous forme d’une poudre pour se nettoyer les dents.

Cette pratique perdure en Inde : la poudre dénommée « Mishri » ou « Masheri » contient du tabac et est utilisée pour l’hygiène dentaire. De plus, en Inde, de nombreux dentifrices (dant manjan) contiennent du tabac. [13] Chez les femmes, la prise de tabac est sous la forme de poudre de dentifrice pour 41 % d’entre elles. Chez les hommes, la prise de tabac est sous la forme de Chaini Khaini (poudre de tabac humide dénommée « snus ») pour 57 % d’entre eux et sous la forme de poudre de dentifrice, pour 8 % d’entre eux. [19] Ces dentifrices au tabac, ainsi que le Chaini Khaini contiennent, généralement, de très hauts niveaux de nicotine et de nitrosamines. [9]

Le taux de cancer de la cavité buccale, en Inde, est l’un des plus élevés au monde. Dans ce pays, 65 % des cancers, chez les hommes, et 33 % des cancers, chez les femmes, seraient corrélés à l’usage du tabac. La question se pose, une nouvelle fois, de savoir si l’incidence du tabac quant à l’émergence de cancers (si tant est que certaines hypothèses soient valides) serait identique si le tabac était cultivé selon des méthodes totalement respectueuses de l’environnement et de la santé humaine — et si le tabac n’était pas mélangé à de multiples additifs.

C’est, également, vers 1500, que le concept de tabac, comme panacée universelle, commença à prévaloir. L’explorateur portugais Pedro Alvarez Cabral rapporta l’usage du tabac au Brésil pour soigner les polypes, les abcès, les ulcères, les fistules, et de nombreuses autres pathologies.

À l’époque, le tabac était qualifié de « Remède de Dieu » et de « Plante Sacrée ».

Vers 1523/1524, lorsque l’explorateur italien Giovanni da Verrazano passa deux semaines, dans la baie de Narragansett (dans le présent Rhode Island), il commenta l’usage thérapeutique du tabac au roi François 1er, son sponsor : « Les Indiens vivent une longue vie, ils sont rarement malades et lorsqu’ils souffrent d’une blessure, ils se la soignent par le feu ».

En 1934, le chirurgien mexicain, Fernando Ocaranza Carmona (1876-1965) résuma les propriétés médicinales du tabac — dans le Mexique d’avant 1519 — comme étant narcotiques, analgésiques, émollientes et antidiarrhéiques. Il précisa, également, que les feuilles de tabac, en application externe, étaient utilisées pour soigner les douleurs, les blessures et les brûlures.

En 1529, le missionnaire espagnol Bernardino de Sahagún arriva au Mexique et commença à collecter des informations, auprès de quatre médecins nahuas, de la région de Tilaltelulco, sur l’usage du tabac médicinal — qu’il nomma « Picietl » et « Yietl ». Il rapporta que le fait de respirer le parfum de feuilles vertes et fraîches de tabac permettait de soulager les maux de tête persistants et que des feuilles, ou de la poudre, appliquées dans la bouche soignaient les cathares et les refroidissements.

C’est en 1535 que le terme « tabaco » apparut, pour la première fois imprimé, dans l’ouvrage « La Historia general de las Indias », de Gonzalo Fernandez de Oviedo — qui y indiqua, également, que les Espagnols commençaient à avoir recours au tabac pour traiter leur syphilis.

Dans le récit de son second voyage intitulé « Bref récit et succincte narration de la navigation faite en 1535 et 1536 par le capitaine Jacques Cartier aux îles de Canada, Hochelaga, Saguenay et autres » [40], Jacques Cartier y décrit comment les Indigènes fumaient du tabac dans des pipes pour se garder en bonne santé et au chaud. Cartier précisa que jamais les Indigènes ne se séparaient de leur tabac, ou de leur pipe, en voyage. Cet ouvrage fut, ainsi, le premier récit imprimé rapportant l’usage — dans les Amériques — de la pipe médicinale pour inhaler du tabac.

C’est également vers cette époque que l’ouvrage de Bartolomé de las Casas (1484-1566) intitulé « Historia de las Indias » fut rédigé, à savoir entre entre 1527 et 1559 — et il ne fut publié, pour la première fois, qu’en 1875 en Espagne. Bartolomé de las Casas arriva en Amérique en 1502 et consacra sa vie à défendre les Indigènes à l’encontre de leur extermination religieuse. Voici ce qu’il écrivit au sujet du tabac dans son ouvrage :

« Ce sont des herbes sèches, enveloppées dans une certaine feuille, sèche aussi, en forme de ces pétards en papier que font les garçons à la Pentecôte. Allumés par un bout ou par l’autre, ils le sucent ou l’aspirent ou reçoivent avec leur respiration vers l’intérieur cette fumée, dont ils s’endorment la chair et s’enivrent presque. Ainsi ils disent qu’ils ne sentent pas la fatigue. Ces pétards, ou n’importe comment que nous les appelions, ils les nomment tabacs ».

L’historien espagnol, Antonio de Herrera y Tordisillas, vécut dans la région de Tabasco, au Mexique, de 1601 à 1605, et écrivit au sujet du tabac :

« Dans ce pays, le tabac soigne les douleurs provoquées par les refroidissements ; lorsqu’il est fumé, il est bénéfique à l’encontre des refroidissements, de la toux et de l’asthme ; les Indiens et les Noirs l’utilisent en poudre, dans leur bouche, afin de s’endormir et de ne ressentir aucune douleur ».

Entre 1537 et 1539, ce furent 14 ouvrages, publiés en Europe (et un au Mexique), qui mentionnèrent l’usage médicinal du tabac. Ils furent rédigés en huit langages par des explorateurs, des historiens, des médecins, des missionnaires et des botanistes. Les auteurs mentionnèrent, alors, 19 pathologies soignées par le tabac médicinal.

C’est à cette époque que l’un de ces auteurs, jésuite de profession, affirma, même, que le tabac était le Remède de Dieu ! La Sainte Inquisition arrêta, alors, de persécuter les fumeurs de tabac et continua de vaquer à ses occupations et persécutions quotidiennes : à savoir, le massacre des sages-femmes, des guérisseuses, des thérapeutes, des sorciers et des sorcières, des shamans… et autres dissidents et hérétiques. La Sainte Inquisition retourna vers ses fumées privilégiées émanant des bûchers de la Rédemption.

Vers 1560, Jean Nicot, l’ambassadeur de France au Portugal, découvrit le tabac et en fit pousser dans son jardin de l’ambassade. L’un de ses serviteurs souffrait d’un furoncle — un Noli-me-tangere — sur le visage qui disparut intégralement lorsqu’il lui conseilla d’appliquer du jus de tabac, durant une dizaine de jours. Il guérit, par le même processus, en une dizaine de jours, le père de l’un de ses serviteurs qui souffrait, depuis deux années, d’une jambe totalement ulcérée. Il soigna, de même, une femme qui souffrait d’une teigne lui couvrant le visage. Enthousiasmé par ces guérisons, il envoya des graines de tabac à la cour royale française — à Catherine de Médicis qui souffrait de migraines chroniques.

En fait, dès 1507, un ouvrage en Latin, qui portait le titre « Cosmographiae introductio », fut imprimé — à Saint-Dié dans les Vosges — par le chanoine Vautrin Lud. Cet ouvrage présentait les lettres d’Amerigo Vespucci qui contenaient ses observations sur les pratiques de consommation de tabac qu’il avait observées durant ces quatre voyages dans les Amériques. Cosmographiae introductio fut publié en préambule du planisphère de Martin Waldsee Müller (le cartographe du Gymnasium Vosagense) qui proposa, pour la première fois, le nom « Ameriga » — en hommage à Amerigo Vespucci — pour le continent colonisé par les marchands européens, et persécuté par les monothéistes, sous la houlette de Christophe Colomb.

Voici ce que Jean Nicot écrivit au Cardinal de Lorraine, son protecteur :

« J’ai recouvré d’une herbe d’Inde de merveilleuse et expérimentée propriété contre le noli me tangere [dermatose prurigineuse qu’il ne fallait pas gratter] et les fistules déplorées comme irrémédiables par les médecins et de prompt et singulier remède aux nausées. Sitôt qu’elle aura donné sa graine, j’en enverrai à votre jardinier et de la plante même dedans un baril avec une introduction pour la replanter et entretenir ».

Sa générosité, dans la distribution de semences de tabac, lui valut la réputation « d’Ambassadeur du tabac ». Il est, ainsi, réputé comme ayant introduit le tabac en France — qu’il nomma « Nicotiane », dans son ouvrage « Commentaires de la Langue française ».

C’est pour rendre hommage à Jean Nicot que le genre botanique Nicotiana a été ainsi nommé par un médecin et botaniste Allemand, Adam Lonitzer en 1582 — dans son ouvrage « Kraüterbuch ». C’est le botaniste français, Jacques D’Aléchamps, qui nomma cette plante Nicotiana tabacum, en 1586, dans son ouvrage « Histoire Générale des Plantes » — et qui en fit une ample promotion, car il le considérait comme une panacée universelle.

En vérité, il semblerait que celui qui introduisit le tabac en France fut l’explorateur et moine Franciscain, André Thevet, qui écrivit, en 1558, dans son ouvrage « Singularités de la France Antarctique » : « Autre singularité d’une herbe, qu’ils nomment en leur langue Petun, laquelle ils portent ordinairement avec eux, pource qu’ils l’estiment merveilleusement profitable à plusieurs choses. Elle ressemble à notre buglosse. Or ils cueillent songneusement ceste herbe, et la font seicher à l’ombre dans leur petites cabannes. La maniere d’en user est telle. Ils l’enveloppent, estant seiche, quelque quantité de ceste herbe en une fueille de palmier, qui est fort grande, et la rollent comme de la longueur d’une chandelle, puis mettent le feu par un bout, et en reçoivent la fumée par le nez, et par la bouche. Elle est fort salubre, disent ils, pour faire distiller et consumer les humeurs superflues du cerveau. Davantage prise en cette façon, fait passer la faim, et la soif pour quelque temps. Parquoy ils en usent ordinairement, mesmes quand ils tiennent quelque propos entre eux, ils tirent ceste fumée, et puis parlent : ce qu’ils font coustumierement et successivement l’un apres l’autre en guerre, ou elle se trouve tres commode. Les femmes n’en usent aucunement. Vray est, que si lon prend trop de ceste fumée ou parfun, elle enteste et enivre, comme le fumet d’un fort vin ».

André Thevet nomma le tabac « Herbe angoumoisine » — du nom de sa ville natale — et n’apprécia absolument pas que que le tabac fût nommé en hommage à Jean Nicot : « Depuis un qidam, qui ne fit jamais le voyage, quelque dix ans après que je fus de retour de ce pays, lui donna son nom ». À titre de consolation posthume, un siècle plus tard, Carl von Linné nomma une espèce d’Apocynacée en son honneur : Thevetia ahouai.

La première édition, de 1564, de l’ouvrage « L’Agriculture et Maison Rustique », de Charles Estienne, évoqua le tabac, mais de façon incorrecte. Il fallut attendre son édition de 1570 — rédigée avec son beau-fils, le médecin Jean Liébault — pour que le tabac soit présenté adéquatement avec ses lettres de noblesse médicinale.

Cet ouvrage donna des conseils et des recettes thérapeutiques quant à l’usage du tabac et des diverses pathologies qu’il peut traiter : ulcères, teigne, doigts coupés, scrofules, asthme, furoncles, blessures, aphtes…

Entre 1586 et 1600, ce furent 38 ouvrages qui furent publiés décrivant les propriétés médicinales du tabac — dont trois ouvrages rédigés exclusivement à propos de cette espèce.

Dans ces ouvrages, ce furent 71 pathologies qui furent évoquées comme traitables par le tabac.

En 1588, le célèbre chirurgien anglais, William Clowes, publia son ouvrage intitulé « A prooued practise for all young chirurgians, concerning burnings with Gunpowder, and woundes made with Gunshot, Sword, Habbard, Pyke, Launce, or such other. » Il y décrivit plusieurs onguents, à base de tabac, dont l’un de sa propre invention. L’année suivante, un autre chirurgien anglais, John Banester, publia de nombreuses recettes (onguents, gargarismes, décoctions), à base de tabac, dans son ouvrage « An Antidotarie Chyrurgical ».

Le premier ouvrage rédigé, en Anglais, intégralement sur le thème du tabac, le fut, en 1595, par Anthony Chute : « Tabaco ». On y trouve la première représentation graphique d’un homme fumant une pipe de tabac.

C’est en 1597 que le célèbre botaniste anglais, John Gerard (1545-1612), publie son ouvrage « The Herbal » — qui constitue, en fait, une adaptation de l’œuvre du médecin et botaniste malinois Rembert Dodoens (1517-1585). C’est dans cet ouvrage que John Gerard commence à émettre des doutes, et des conseils de précaution, sur l’usage inconsidéré du tabac — et sur son impact potentiellement néfaste sur le cerveau et sur le foie.

À partir du tournant du siècle et de la publication, en juin 1601, d’un ouvrage antitabac intitulé « Work for chimny-sweepers/A Warning for Tabacconists » [29] — qui fut rédigé par un médecin anonyme, Philaretes — une controverse éclata à Londres au sujet de l’usage thérapeutique du tabac. Elle dura jusqu’en 1665 — avec des répercussions dans toute l’Europe. Durant cette période, ce furent 26 ouvrages qui furent publiés, sur la place de Londres même — par une quinzaine de médecins, des poètes, un juge et, même, le Roi Jacques Ier Stuart — au sujet des vertus thérapeutiques, ou des dangers pour la santé, du tabac.

C’est l’ouvrage publié par le Roi Jacques Ier, en 1604, « A Counterblaste to Tobacco », qui fut principalement responsable de la polémique entourant le tabac médicinal.

Parmi ces 26 ouvrages, ceux qui promouvaient le tabac comme plante médicinale maîtresse déclinèrent 179 pathologies traitables par cette plante.

En fait, comme le précise Marc Kirsch – qui reprend les exposés de Peter Mancall, en 2004, dans « Tales tobacco told in sixteenth-century Europe » – dans son essai, de 2010, intitulé « Le tabac. Genèse d’une Épidémie » :

« Peter Mancall montre comment la diffusion du tabac coïncide avec celle du livre imprimé, qui a joué un rôle clé pour faciliter l’implantation du tabac en Europe, répandant les informations et relayant les débats concernant les plantes découvertes en Amérique et les vertus qu’on leur prêtait… L’histoire du livre raconte comment le tabac a dû franchir un obstacle culturel pour s’imposer : à la différence d’autres ressources naturelles déjà connues ou plus facilement assimilables (or ou plantes alimentaires), il lui a fallu perdre ses connotations de spiritualité païenne, dans une Europe obsédée par le démon et la sorcellerie, pour que la connotation médicale, désacralisée et coupée du contexte spirituel, le rende culturellement acceptable. D’où des débats nombreux et animés entre propagandistes et détracteurs d’une plante utilisée dans leurs sombres rituels par des sauvages à peine humains, nus et cannibales, qu’il fallait se garder d’imiter ». [30]

Entre 1492 et 1860, ce sont 254 pathologies qui furent évoquées comme traitables par le tabac. Elles sont déclinées, par ordre alphabétique, sur trois pages, dans l’excellent essai rédigé, en 1967, par Grace Stewart, et intitulé « A History of the Medical Use of Tobacco. 1492-1860. » [24]

Usages médicinaux et chamaniques traditionnels de Nicotiana tabacum

Aujourd’hui, selon l’ouvrage « Medical Ethnobiology of the Highland Maya of Chiapas. Mexico », le tabac, Nicotiana tabacum, chez les Mayas Tzeltal et Tzotzil, constitue le remède suprême pour toutes les douleurs abdominales.

Chez les Mayas Tzeltal, les remèdes secondaires, pour cette pathologie, sont pourvus par les espèces suivantes : Lantana camara, Ocimum selloi, Tagetes lucida et Ageratina ligustrina. Chez les Mayas Tzotzil, ce sont : Tithonia diversifolia, Stevia ovata, Baccharis vaccinoides et Smallanthus maculata.

Les Mayas Tzeltal et Tzotzil utilisent, également, le tabac pour soigner les diarrhées sanglantes — en compagnie d’autres plantes telles que Ruta graveolens (Rue), Psidium guajava (Goyavier), Solanum lanceolatum, Equisetum hymale (une Prêle), Acaciella angustissima et Baccharis trinervis.

Chez de nombreux groupes Mayas du Chiapas et du Guatemala, le tabac est dénommé « May » — ou « Noholkik’uts ». Il est, également, dénommé « Hunac Ah Kinam », le Grand Seigneur des Maladies. Il s’agit, alors, de Nicotiana tabacum ou bien de Nicotiana rustica.

Selon l’ouvrage « Plantes médicinales des Mayas K’iché du Guatemala », de l’ethnologue français, Jean-Pierre Nicolas, le tabac constitue, aujourd’hui encore, une Plante médicinale maîtresse chez les Mayas K’iché. Ce peuple l’utilise, en application externe ou en ingestion, pour soigner les sinusites, les varices, les maux de gorge, la variole, les herpès ; pour éliminer les poux ; pour soutenir la femme durant l’accouchement ; comme purgatif ; pour éliminer la rouille des feuilles du blé (Puccinia recondita) ; pour se débarrasser du fungus Aspergillus fumigatus qui est responsable d’infections sévères chez les humains.

et, bien sûr, comme médecine purificatrice chamanique, pour gérer les « sustos » et le « mal de ojo. »

Voici ce que rapporte l’historienne et ethnologue, Mercedes de la Garza, dans son ouvrage « Sueño y alucinación en el mundo Nahuatl y Maya » :

« Le tabac (appelé “May” par plusieurs groupes du Chiapas, et du Guatemala, et “K’uts” par las Mayas Yucatèques), principalement, Nicotiana rustica, est peut-être la plante sacrée la plus importante dans le rituel et dans la vie quotidienne des groupes méso-américains ; il est une partie essentielle de l’attirail des shamanes et, presque toujours, il apparaît parmi les offrandes des dieux ; il combat les animaux mauvais, comme les serpents et les scorpions ; il est le médicament miraculeux qui guérit de nombreux maux et, en outre, qui aide et accompagne l’homme, lui donnant la force et protection dans ses voyages et dans les travaux de la vie quotidienne…

Ainsi, le tabac, ou May, aidait et protégeait l’homme, en même temps qu’il lui ouvrait les chemins des réalités sacrées, c’est-à-dire qu’il favorisait la transe extatique. Mais, en outre, le tabac était une manière de panacée qui soignait de multiples maladies ; aussi était-il la plante par excellence des shamanes, dont la fonction principale semble avoir été le traitement de maux divers, spécialement ceux de caractère magique. Parmi les propriétés curatives du tabac, nous pouvons signaler les suivantes : appliqué sur les jambes, comme onguent, il allégeait la fatigue ; il guérissait les piqûres de vipères et autres bestioles venimeuses ; il apaisait les douleurs et supprimait les enflures. Il guérissait, en outre, des frissons, fièvres et convulsions, maladies des yeux, dérangements intestinaux et nerveux, maladies de la peau, problèmes urinaires…

Dans le Ritual de la Bacabes, il est fait mention du tabac dans les traitements de diverses maladies : “frénésie de guacamya” (engourdissement), “frénésie errante” (fièvres intenses), “transe érotique” (fièvre, parler incohérent, folie). Ce sont les maladies qui, en Maya, sont nommées “tancas”.

Dans d’autres sources, il est dit qu’il soigne, de même, plusieurs sortes de fièvres, rôti dans la cendre. Bu avec du “Chacá” (arbre résineux dont le Diccionario de Motul signale divers usages curatifs), du piment et du miel, il combat la variole. Frotté sur le ventre, il expulse les parasites intestinaux. Bu avec du “Chacá” (Bursera simaruba), il soigne “les vers des dents”. Dans le “massage pour le placenta”, on récite une longue conjuration où on le compare au pénis qui pénètre dans les entrailles de Itzamcab, déité de la Terre, et on l’appelle Hunac Ah Kinam, le “Grand Seigneur des Maladies”. Dans le texte de guérisons des brûlures par le feu, il est fait mention d’une déité appelée Ix Muk Yak Kutz, “Celle qui suce le tabac”, nom que Thompson traduit par “Dame qui renforce le tabac”, l’identifiant à la chaux ».

Pages 132/133. Traduction, en 1990, des Éditions Trédaniel.

Selon le fantastique ouvrage, en page 242, de Dennis Breedlove et de Robert Laughlin, « The Flowering of Man. A Tzotzil Botany of Zinacantan » – édité par le Smithsonian Institute et dont le sujet est l’étude des Plantes médicinales chez les Mayas Tzotzil :

« Comme remède à une douleur dans la jambe ou dans le pied induite par un mauvais esprit (poslom), une saignée suivie d’un massage du membre avec un mélange composé de tabac, d’ail et de l’urine d’une femme qui est ensuite appliqué avec un morceau de tissu. Plus simplement, le membre peut être bandé avec des feuilles de tabac, qui ont été séchées sur le feu, ou massé avec un mélange de tabac et de camphre. Les feuilles séchées sont, également, utilisées pour les fractures d’os. Le tabac et le camphre peuvent être utilisés pour la gangrène (mos) et appliqués pour éliminer la gale. La potion “chaude”, constituée de tabac, d’ail et d’urine de femme, peut être utilisée pour soigner la constipation ou la rétention d’urine (makel). Pour l’urination douloureuse, le tabac peut être mélangé avec de l’alcool de canne à sucre et consommé.

dans ces histoires, et dans les discours de la vie quotidienne, est mise en exergue la puissance du tabac pour stupéfier, paralyser et aveugler un adversaire. Pour chasser un vent fort de son champ de maïs, le fermier peut cracher du tabac et de l’alcool de canne à sucre ou bien, encore, émietter du tabac sur le sol. Les shamans enterrent du tabac à chiquer à l’endroit même où une personne a souffert d’une perte de l’âme — afin d’incapaciter le Seigneur de la Terre. Ils crachent, également, du jus de tabac sur le sol pour chasser les sorcières et ils enduisent le corps du patient avec du tabac au moment de dormir… Une personne qui est poursuivie par un arc-en-ciel peut se protéger en répandant du tabac sur le sol. Si elle rencontre un serpent sur son chemin, il doit lui cracher du jus de tabac. Afin de protéger son champ de maïs des ratons laveurs, il doit y répandre, autour, du tabac er de l’ail. »

Traduction de Xochi.

Dennis Breedlove est un botaniste réputé et spécialiste de la flore du Chiapas au Mexique. C’est également un botaniste découvreur d’espèces botaniques. J’ai eu, ainsi, le plaisir d’aller crapahuter dans les montagnes au-dessus du Lac Isabella, en Californie, à 2500 mètres d’altitude (avec mon vieux camping-car de 10 mètres de longueur !), près du Piute Peak, afin d’aller photographier la rarissime espèce de Sarrazin sauvage, que Dennis Breedlove découvrit — Eriogonum breedlovei sp. breedlovei. [194]

Selon l’ouvrage « Plants of the Peten Itza’ Maya », en page 183, Nicotiana tabacum est utilisé, traditionnellement, chez les Mayas Itza, du Guatemala, pour traiter les morsures de serpents, les morsures de tiques, les infestations de vers intestinaux, la leishmaniose, les piqûres de scorpions, les plaies purulentes, les rhumatismes, les maux de tête.

Selon l’ouvrage « Poisons and Panaceas. An Ethnobotanical Study of Montserrat », en page 126, les Indigènes de l’île de Montserrat, dans les Caraïbes, utilisent, traditionnellement, Nicotiana tabacum pour traiter les refroidissements, les plaies et les verrues, les douleurs des hématomes, les maux de dents et pour ses propriétés sédatives et antispasmodiques.

Selon l’ouvrage « The Healing Forest. Medicinal and Toxic Plants of the North-West Amazonia », du célèbre ethnobotaniste de Harvard, Richard Evans Schultes, les peuples Tukanoan, Jivaro, Witoto, Bora, Tikuna utilisent, traditionnellement, Nicotiana tabacum pour soigner les contusions, les foulures, les plaies purulentes, les furoncles, la calvitie, les indispositions, les refroidissements, les morsures de serpents — ainsi que pour les affections pulmonaires.

« Le tabac est fumé à de rares occasions à l’exception de cérémonies et de rituels de guérison réalisés par les shamans qui soufflent de la fumée, ou crachent du jus de tabac sur le corps des patients, ou qui inhalent de la fumée — tout cela étant accompagné de rituels et d’incantations appropriées. Les Witotos, parfois, fument des cigares, mais il est possible que cette coutume soit récemment acquise. Durant les cérémonies d’Ayahuasca, il est fumé d’énormes cigares — parfois d’un mètre de longueur — particulièrement parmi les Tribus de Vaupés. Les Sionas de la région Mocoa, tout comme les Tribus occidentales de Tukanoan, ont, également, recours à des cigares cérémoniels gigantesques, mais, occasionnellement, élaborent de plus petits cigares à usage récréationnel… Les Jivaros et les Aguaruna de l’Équateur fument de longs cigares lors d’un festival du tabac dédié à la célébration de l’initiation de jeunes adolescents.

C’est une pratique commune de mâcher des feuilles de tabac chez de nombreuses Tribus — par exemple, les Cocamas, les Omaguas, les Zaparos, les Omuranas, les Sionas, les Inganos. Les hommes Waika conservent, à la bouche, une chique de feuilles de tabac, toute la journée. Les Nonoyu mélangent le tabac avec de la poudre de Coca pour chiquer.

Le jus de tabac est consommé par les Jivaros soit avec l’Ayahuasca (Banisteriopsis), soit avec le Maikoa (Brugmansia sp.). Parmi la Tribu Coto du Rio Napo, au Pérou, seul le shaman est autorisé à ingérer du jus de tabac par les narines alors que les hommes le boivent. Les Ayahuasqueros métis du Pérou mélangent l’Ayahuasca avec le tabac, en émiettant les feuilles et en les humidifiant avec leur salive. Le mélange est laissé à reposer toute une nuit dans la cavité d’un arbre, le Lupuna (Ceiba pentandra) dont le jus présumé toxique s’écoule dans le jus du tabac. Parmi les Tukanos occidentaux de Colombie et du Brésil, les maîtres Shamans font boire à leurs étudiants une gourde entière du jus de tabac pour induire des vomissements et éventuellement de la narcose. Les Jivaros de l’Équateur boivent le jus dans des cérémonies d’initiation, dans les quêtes de visions, dans les préparations à la guerre, dans les célébrations de victoires et dans la sorcellerie ; même les femmes consomment le jus de tabac durant des fêtes de mariages ou des initiations ».

En page 433. Traduction de Xochi.

Richard Evans Schultes précise, également, que l’utilisation rectale du tabac est inconnue en Amérique latine sauf chez les Jivaros Aguarunas qui le consomment de cette façon — soit seul, soit avec de l’Ayahuasca. Il est à noter que les Jivaros utilisent également le « Piri-piri » (une espèce de souchet dans le genre Cyperus) dans leurs mélanges enthéogéniques avec le tabac.

Quant aux Jivaros Shuar, leurs mélanges enthéogéniques incluent également le tabac et le « Piri-piri » ainsi que diverses espèces telles que Banisteriopsis caapi (l’Ayahuasca), Brugmansia suaveolens (le Floripondio), Brunfelsia grandiflora, Diplopterys cabrerana (le Chaliponga), Heliconia stricta, Ilex guayusa (le Guayusa) et Herrania sp. [192]

De l’autre côté de la planète, le tabac est également utilisé en Inde, par exemple, pour ses propriétés médicinales. Dans la Médecine traditionnelle et dans la Médecine ayurvédique, Nicotiana tabacum est prescrit pour soigner l’asthme, les rhumatismes, l’hernie étranglée, l’orchite, les pathologies cutanées, l’arthralgie, la goutte, le lumbago, les maux de dents, les rhinites chroniques, la toux, les infections du cuir chevelu, les morsures de scorpions, les troubles de l’estomac ainsi que pour ses propriétés sédatives, antispasmodiques, vermifuges, antiseptiques, émétiques. [207]

Les Tribus du district de Surguna, dans l’Andra Pradesh, appliquent des feuilles de tabac sur les testicules pour traiter l’hydrocèle.

Selon, l’ouvrage de Louis Girault, « Kallawaya, Guérisseurs Itinérants des Andes » (en page 395), Nicotiana tabacum est utilisé, traditionnellement, pour traiter les affections pulmonaires, les contusions, les obstructions intestinales, les infestations de parasites intestinaux, les infestations du cuir chevelu, les migraines.

Les guérisseurs itinérants, appelés Kallawaya, sont originaires de Bolivie. À ce jour, 980 plantes médicinales ont été répertoriées dans leur pharmacopée. Il est à noter que ces guérisseurs traditionnels possèdent un langage secret (en voie et en voix d’extinction avec 100 ou 200 locuteurs) qui se dénomme « Machaj Juyai » [195] — à l’instar du langage secret des shamans Nahua, le « Nahuallatolli ».

En août 2012, nous avons organisé le Festival Kokopelli-Pachamama à Ollantaytambo, au Pérou, accueillant, durant une semaine, les Gardiens de Semences de toute l’Amérique latine. Nous y avions invité le Centre de Médecine traditionnelle Amazonienne Takiwasi de Situlli, au Pérou — qui fut créé par le médecin Jacques Mabit. C’est, donc, avec grand plaisir que j’ai découvert deux monographies réalisées par l’une des chercheuses de Takiwasi, Céline Ochem. Je conseille la lecture de ces deux monographies excellentes à toute personne intéressée par le tabac, le Shamanisme et la Médecine traditionnelle amazonienne : « Le tabac et son usage en Médecine traditionnelle amazonienne » (2010. Sous la guidance du pharmacien Patrice de Bonneval) [259] et « L’Usage des Diètes en Médecine traditionnelle amazonienne » [260].

Jacques Mabit a, également, rédigé un essai intitulé « Sinchi, Sinchi, Negrito: Usage médicinal du tabac dans la Haute Amazonie Péruvienne ». [286]

Le tabac : un Poison ou une Panacée ?

Selon l’OMS (l’Organisation pour le Massacre Sanitaire), ce sont plus de 8 millions de personnes qui décéderaient annuellement de l’usage du tabac — dont 1,2 million en raison de tabagisme passif. [3]

Il est très vraisemblable que ces chiffres, à la grosse louche, soient à l’aune des statistiques évoquant des millions de décédés covidiens ! À savoir, de la pure propagande.

Aujourd’hui, on trouve dans des articles datant de 2021 — tel que celui du Journal des Femmes. Santé — l’affirmation selon laquelle « La nicotine n’est pas cancérigène, mais c’est elle qui est responsable d’une grande partie de l’addiction à la cigarette : on l’appelle l’addiction chimique ». [57]

Si la nicotine n’est pas cancérigène… comment le tabac l’est-il alors ?

En 2007, une étude grecque a analysé le taux des substances radioactive, radium et polonium, dans des cigarettes de tabac. En effet, les fertilisants de synthèse de l’agriculture chimique contiennent beaucoup de radium qui se transforme en radon et qui, lui-même, se transforme en polonium 210 et en plomb 210. [250]

Nonobstant, dès 2009, le Professeur Jean-Pol Tassin affirmait strictement le contraire : à savoir que la nicotine n’est strictement pas addictive. [62] Si cet éminent chercheur a raison, on comprend les efforts gigantesques déployés par l’Industrie de la cigarette pour modifier le tabac afin de favoriser la dépendance tabagique.

Une étude suisse, de 2005, précise que :

« Lors de la fabrication de cigarettes suisses, on peut compter 25 % d’additifs sur la composition totale… La quantification de certaines substances a révélé de grandes concentrations de certains additifs, notamment le menthol dans des cigarettes classiques (0,02 à 13,3 µg/g), le 2-éthyl-1-hexanol (0,06 à 12 µg/g) et l’alcool benzylique (6,6 à 40,8 µg/g). On constate que l’adjonction abondante de menthol et la concentration élevée d’ammonium influent sur l’inhalation de la fumée et sur le potentiel de dépendance de la cigarette ». [66]

Quel est le nombre d’additifs que l’Industrie utilise pour agrémenter ses cigarettes de tabac ? Plus de 600 additifs y sont ajoutés : conservateurs, humectants, arômes et auxiliaires de fabrication — ce qui constitue, environ, 10 % du poids total de la cigarette. [59] [63]

On trouve une liste de 599 additifs au tabac, datant de 1994, chez Fakypedia — aimablement fournie par cinq multinationales de l’Industrie des Tabacs. [61]

En sus des additifs permis par les Autorités, le tabac industriel constitue une mine abondante de sous-produits dérivés des processus de culture, et de production, tels que : des pesticides, des herbicides, des insecticides, des métaux lourds, des micro-organismes, des déchets industriels (métal, carton, polystyrène, insectes et petits animaux) et d’autres substances telles que des solvants industriels et des dioxines.

N’est-il pas hautement révélateur que depuis la nouvelle loi, de janvier 2016, de modernisation du système de santé, et depuis l’Arrêté du 19 mai 2016, promulguant des emballages neutres pour le tabac avec moult « avertissements sanitaires », la composition du contenu des paquets de tabac ait totalement disparu ? [276]

Lorsque toutes ces substances sont pyrolysées, elles sont absorbées par les poumons, sans aucune discrimination. Même lorsque les additifs sont considérés comme naturels (cacao, sucre brun, réglisse, miel) on est incapable de savoir ce que leur combustion — en synergie avec des milliers de composants propres au tabac et en synergie avec des centaines d’additifs, de déchets industriels et de dioxines — peut provoquer comme effets délétères dans le corps humain.

Par exemple, les cigarettes contiennent du glycérol à hauteur de 1 à 4,5 % de leurs poids. Le glycérol constitue une substance amplement ajoutée à de nombreux produits industriels, et de consommation, tels que les savons, les détergents, les médicaments, les produits cosmétiques, les aliments, les boissons, les peintures, les résines et le papier. La combustion du glycérol libère de l’acroléine qui est une substance hautement cancérigène. [67]

Ainsi qu’il est évoqué, dans une autre partie de cet essai, les Tabacs sont intrinsèquement des bio-accumulateurs qui sont utilisés dans les processus de phytoremédiation. Cela signifie que ce sont des pompes à métaux lourds, à hydrocarbures, à isotopes radioactifs et à biocides qui purifient les sols de toutes ces substances archi toxiques.

Qui plus est, depuis des dizaines d’années — à savoir, officiellement et « légalement », depuis 1982 — l’Industrie a créé une pléthore de variétés de tabac qui sont des « chimères génétiques fonctionnelles » — à savoir des OGMs, des organismes génétiquement manipulés. Quelle est la fonction de ces chimères génétiques ? De rendre les Tabacs résistants aux herbicides, aux insecticides, aux fongicides, etc., afin de leur permettre de ne pas succomber sous l’assaut de tous ces biocides — à savoir, afin de leur permettre de métaboliser, de digérer, dans leurs tissus ces divers biocides.

Cela signifie que les Tabacs chimériques pourraient être encore plus toxiques que les variétés conventionnelles — ce qui n’est pas peu dire.

Et comble d’empoisonnement, depuis une quinzaine d’années, la Mafia Pharmacratique tente même de développer des vaccins injectables contenant des haptènes dont la fonction est d’impulser la production d’anticorps, se liant aux molécules de nicotine, afin de les empêcher de franchir la barrière entre le flux sanguin et le cerveau.

Parallèlement à la création de vaccins chimériques anti-nicotine, la Mafia Pharmacratique a développé des médications antitabac, à savoir pour permettre de stopper de fumer du tabac. En 2009, aux USA, la FDA a prié les fabricants de ces remèdes de prévenir les consommateurs du risque avéré d’avoir le mental partir en vrille et de développer des tendances suicidaires. Il s’agit du Ziban (bupropion) de GSK, du Champix et du Chantix (varénicline) de Pfizer… [79] [81]

Selon une étude, publiée en 2013 dans une revue scientifique canadienne, le Champix a été associé à un risque accru de plus de 70 % d’hospitalisations pour accidents cardiovasculaires graves, notamment des attaques cardiaques, des arythmies cardiaques, des ischémies ou encore des insuffisances cardiaques. [251]

GSK (GlaxoSmithKline) a, ainsi, contracté un partenariat avec Nabi Biopharmaceutical, en 2009 [82] afin de créer un vaccin anti-nicotine dénommé NicVAX. Il semble que ce fut un échec strictement total. [77] [84] Les autres sociétés nécrotechnologiques qui ont travaillé, sur la conception de vaccins anti-nicotine, sont Cytos, Celtic Pharma et Independent Pharmaceutica.

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La question essentielle qu’il faut se poser aujourd’hui : sur les milliers d’études « scientifiques et médicales » dont la fonction a été de « prouver » que le tabac est cancérigène, combien d’études ont été réalisées portant sur des fumeurs consommant du tabac bio, à savoir cultivé selon les méthodes de l’Agriculture biologique ? Combien d’études ont été réalisées portant sur des fumeurs consommant du tabac bio pur, à savoir sans addition de quelque 500 adjuvants, tous plus ou moins cancérigènes ?

La réponse est simple et limpide : aucune. Et c’est un scandale médical et scientifique, car au vu des propriétés médicinales exceptionnelles du tabac, qui sont déclinées ci-après, on peut imaginer quel serait l’impact thérapeutique du tabac, consommé sous divers modes, s’il était produit selon des méthodes totalement respectueuses de la Biosphère — à savoir sans biocides et sans chimères génétiques.

En règle générale, il apparaît que la consommation de tabac rend les fumeurs plus éveillés, plus alertes, plus attentifs, plus réactifs, plus mobiles, plus présents… Une pléthore d’études ont, en effet, mis en exergue les bénéfices du tabac en tant que substance favorisant les fonctions cognitives. [96] [97] [98] [114] [115] [116]

En bref, la consommation de tabac — de par son impact sur les neurotransmetteurs tels que la dopamine, la sérotonine et la noradrénaline — permet d’améliorer les fonctions sensorielles, motrices, cognitives (apprentissage, attention, mémoire)… ainsi que les fonctions de créativité.

La nicotine promeut la survie des neurones et protège donc à l’encontre des Maladies d’Alzheimer [28], ou de Parkinson, en dégradant ou en inhibant le gène SIRT6 qui code pour la protéine sirtuine 6 — une histone de la famille des sirtuines. [25] [27] [42] [45] [54]

Diverses études ont mis en lumière le fait que les chances de contracter la Maladie de Parkinson sont inversement proportionnelles à la quantité de tabac fumé. Il est, ainsi, estimé que les fumeurs de tabac ont 50 % de chances en moins de succomber à cette pathologie. [23] [74]

Une étude récente, de 2019, a mis en exergue que des gommes à mâcher, à base de Nicotine, augmentait la pression sanguine, en l’espace de 10 min, chez les patients souffrant de la Maladie de Parkinson — dont la moitié, généralement, sont sujets à de l’hypotension. [34]

Selon les recherches d’une équipe de l’Université de Caroline du Nord, le tabac désactiverait le gène NOS2A, en diminuant ainsi la destruction cellulaire. Ce gène est présent dans toutes les cellules et sa fonction est de générer de l’oxyde nitrique. [134]

Il est à noter que la nicotine, la caféine et la niacine — toutes substances ayant la capacité de diminuer l’impact de ces pathologies — se caractérisent par leur capacité de liaisons au fer. [33]

Une étude récente, de 2019, a mis en exergue que, dans le cas de toxicité induite par une teneur élevée en fer et en manganèse, provoquant des troubles neurodégénératifs, la nicotine possède une capacité neuroprotectrice en protégeant les cellules dopaminergiques — à savoir en chélatant ces métaux en excès. [32]

Vers 1998, diverses études ont été réalisées prouvant le fait que les femmes possédant des mutations du gène BRCA (à savoir une personne sur 1000) avaient moins tendance à développer un cancer du sein, une rectocolite hémorragique, un cancer de l’endomètre, etc., lorsqu’elles consommaient du tabac. [69] [70]

L’Hôpital Universitaire du Pays de Galles, à Cardiff, a réalisé diverses études mettant en exergue les propriétés anti-inflammatoires du tabac — en particulier en ce qui concerne la pathologie intestinale dénommée colite ulcéreuse — ou rectocolite hémorragique. [75] [80]

Une étude, de 1993, a mis en valeur le fait que la fumée de tabac supprime les inflammations, dans les poumons, induites par des radiations ionisantes utilisées dans le traitement de cancers du sein. [112]

En 2001, une étude suédoise a mis en valeur que les enfants dont les parents sont des fumeurs habituels de tabac étaient beaucoup moins enclins à développer des pathologies telles que l’asthme allergique, la rhinite allergique, les allergies alimentaires et l’eczéma atopique. [86] Une étude, de 2007, en Nouvelle-Zélande a produit, exactement, les mêmes résultats. [90]

En 2007, une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Californie a mis en exergue la capacité de la nicotine de déclencher encore plus de processus neuronaux, à savoir encore plus de créativité.

« Au cours de leurs expérimentations, ils examinèrent une section du cerveau d’une souris associée à l’ouïe qui contenait un neurone avec un axone le connectant au cortex. En utilisant la nicotine, ils stimulèrent le neurone afin de déterminer comment cela allait impacter un signal que le neurone envoyait au cortex. Sans appliquer la nicotine, environ 35 % des messages envoyés par le cerveau atteignirent le cortex. Mais quand la nicotine fut appliquée à l’axone, le niveau de succès doubla presque à un niveau d’environ 70 % ». [104]

En 2006, des chercheurs de l’Université Duke, en Caroline du Nord, ont mis en exergue la capacité de la nicotine de soulager la dépression d’individus non-fumeurs. Selon ces chercheurs, il est très vraisemblable qu’une partie des fumeurs de tabac le font en automédication, afin de soulager un état de dépression chronique. [100]

Ainsi, il est clair que l’usage de l’alcool et du tabac a fortement accru depuis le début des confinements organisés par le gang de criminels qui ont lancé leur opération psychologique spéciale dénommée « CoqueVide/19”. [91]

Une étude, publiée au printemps 2021, a mis en exergue que la nicotine, chez les archers, accroît leurs performances sportives en améliorant leur fonction cognitive et en stimulant les récepteurs adrénergiques de leur système nerveux sympathique. [127]

En 2011, une équipe de chercheurs de l’Université de Louisiane a publié ses recherches quant à ses découvertes de diterpènes, dénommés « cembranoides », dans la substance cireuse des feuilles fraîches de tabac. Ces cembranoides sont détruits par les processings industriels subséquents des feuilles de tabac. Les cembranoides sont, supposément, produits par la plante pour se défendre à l’encontre de prédateurs insectes ou microbiens. Ils possèdent une activité anti-carcinogénique — en particulier à l’encontre des cancers du sein et de la prostate. [125]

En Inde, le CTRI (Institut Central de Recherche sur le tabac) a publié les résultats de ses recherches portant sur la substance dénommée « Solanésol », dans le tabac — pour lesquelles il déposa un brevet. Le Solanésol est un sesquiterpène extrait des feuilles du tabac — de préférence, fraîches. Cette substance possède des propriétés médicinales à l’encontre des insuffisances cardiaques, de l’asthme, des troubles hépatiques, de l’hypertension, du cancer, du diabète, de l’anémie et de la dystrophie musculaire. [133]

Le Solanésol est riche en coenzyme Q10, l’ubiquinone — une enzyme possédant une très forte activité antioxydante [132] – et en vitamine K2.

En 2006, la ville de Xi’an, capitale de la province du Shaanxi en Chine, décida de stopper d’incinérer les « fausses cigarettes » — confectionnées à partir de tabac de très basse qualité et de copeaux de bois — et de les recycler afin d’en processer le Solanésol.

En effet, récemment, la demande pour le Solanésol est passé de 4000 tonnes par an, en 2000, à une prospective de 66 000 tonnes, pour l’année 2022. Le Solanésol se trouve dans la Famille des Solanacées — à hauteur de 0,3 à 3 % de la biomasse sèche. [146] Les feuilles sèches de tomate, par exemple, peuvent en contenir 1 %. [142]

En 2011, une équipe de chercheurs d’Australie a prouvé que la consommation de tabac, chez 11 000 fumeurs de tabac très âgés, protégeait leurs articulations. En effet, ceux qui fumèrent durant 48 années, ou plus, encouraient de 42 à 51 % moins de risques (en fonction de leur âge) de requérir des chirurgies de remplacement de hanches, et de genoux, détériorés par de l’arthrite ou par d’autres pathologies du même type. [141]

En fait, vers 1995, des études statistiques ont mis en valeur qu’au Japon la moyenne d’âge, pour les hommes, était de 76,5 années pour une population masculine comptant 59 % de fumeurs alors que la moyenne d’âge, pour les hommes, aux USA, était de 72,6 années pour une population masculine comptant 28 % de fumeurs. En fait, même, parmi les 15 pays occidentaux bénéficiant de la moyenne d’âge la plus élevée, sept d’entre eux présentaient un taux de fumeurs mâles deux fois plus important que celui des USA.

En 2004, une étude, de l’Université de la Floride du Sud, a suggéré qu’en sus de l’hypothèse prévalente, parmi les chercheurs, selon laquelle la nicotine permet de protéger le cerveau en se liant aux récepteurs nicotiniques de l’acétylcholine, situés sur les terminaisons nerveuses, il s’avérait que la nicotine peut protéger le cerveau d’une manière plus indirecte, à savoir en bloquant l’hyperactivité des cellules du système immunitaire — dénommées microglie — et en limitant, ainsi, une inflammation cérébrale excessive. [145]

En 2010, une étude a mis en exergue que les fumeurs de tabac, qui arrêtaient définitivement leur consommation, possédaient 70 % plus de risques de développer un diabète, en particulier durant les trois premières années. Ce risque redevenait statistiquement normal au bout d’une dizaine d’années. [152]

De nombreuses études ont mis en exergue que la consommation de tabac permet au cerveau de travailler plus rapidement, et plus intensément, et permet, également, au corps physique de faire preuve de beaucoup plus de résistance dans l’accomplissement de labeurs physiques. [252]

Au Danemark, en 2007/2008, la productivité au travail s’effondra nationalement juste après que l’État danois eût interdit l’usage du tabac dans tous les espaces de travail… mais ce n’est, peut-être, qu’une coïncidence. [253]

D’ailleurs, certaines études font remarquer que de nombreux champions de football étaient de très gros fumeurs de tabac au sommet de leur carrière : Zinedine Zidane, Diego Maradona, Johan Cruyff, Ronaldo, Dimitar Berbatov, Preben Elkjaer, etc.

Consommation de tabac et Protection des Poumons

Dès 1970, une étude publiée, dans le Bulletin européen de Physiopathologie respiratoire, mit en exergue que l’exposition chronique à de la fumée de tabac non seulement ne lèse pas les défenses immunitaires des poumons, mais, qu’au contraire, elle les stimule. [212]

En 2012, une étude portant sur les risques de développement de cancer des poumons suite à l’exposition continue de vapeurs de diesel, chez 12 000 mineurs, a prouvé que ces risques étaient sept fois supérieurs chez les non-fumeurs. [95] [209]

Selon l’Organisation pour le Massacre sanitaire, ce seraient 1,8 million de personnes décédant, annuellement, de cancers du poumon. Selon les propagandistes hystériques antitabac, une grande partie de ces cancers des poumons seraient induits par la consommation de tabac — à savoir la consommation de cigarettes de tabac contenant une palette de biocides sélectionnés parmi plus d’un demi-millier d’adjuvants toxiques. Les statistiques officielles [126] prétendent que le pourcentage de ces cancers des poumons, imputables à la fumée de tabac, serait de l’ordre de 80 % pour les USA et la France, 40 % pour l’Afrique sub-Saharienne et 61 % pour la population asiatique — en fait, 61 %, selon une étude de 2014, portant sur de très larges échantillons (70 %) des populations de Chine, du Japon, d’Inde, du Bangladesh, etc. [162]

En Europe, en 2016, ce sont 239 000 personnes qui sont décédées de cancers des poumons — représentant 20,5 % des décès par cancers et 5,3 % des décès totaux. [153]

Première question. Même si l’on part du principe fondamental que ce sont les adjuvants archi-toxiques du tabac qui provoquent le développement de cancers des poumons, comment peut-on expliquer de telles différences statistiques en fonction des pays ou des continents ?

Seconde question qui en découle. Ne pourrait-on pas émettre l’hypothèse selon laquelle les fumeurs du tabac meurent, également, de cancers de poumons induits par d’autres facteurs de pollution externes ? S’il en est ainsi, cela signifierait qu’un certain nombre de fumeurs de tabac ne meurent pas d’un cancer tabagique, mais d’un cancer environnemental.

Tout comme des millions de décédés ont été affublés — quel que soit la cause de leur décès : crises d’asthme, chutes dans les escaliers, accidents de moto… et, surtout, maladies pulmonaires chroniques obstructives — depuis février 2020, d’une mort « Covidienne »… parce que leurs faux tests PCR les avaient catalogués comme « positifs ».

En août 1963, le Président Kennedy mit fin aux essais nucléaires qui avaient été réalisés dans l’atmosphère et dans la mer depuis 1945. JF Kennedy, en vérité, voulait, également, stopper Monsanto, et la Pharmacratie US, car il savait, pertinemment, qu’il n’existe aucune différence entre l’impact d’une centrale nucléaire et un champ de l’agriculture toxique moderne : les deux sont des vecteurs de cancérisation, de mutagenèse, de crémations cellulaires. Les deux sont des vecteurs d’Holocauste génocidaire.

Pour rappel, en 2003, la quantité de plutonium en circulation sur la planète était estimée à 1855 tonnes. Pour rappel, ce sont 4200 kilos de plutonium qui ont été libérés dans la Biosphère, avant 1963, et environ 10 000 kilos jusqu’en 1980 — par le biais des « tests » en grandeur nature. Quelles sont les sources de cette libération de plutonium dans la Biosphère, en sus des essais de bombes nucléaires ? Ce sont les centres de recherche sur l’énergie nucléaire, les centres de recherches sur les armes nucléaires, les accidents et les « dépôts de déchets radioactifs »… [164]

Certains chercheurs affirment que ce sont des trillions de doses mortelles de particules radioactives microscopiques qui ont été libérées dans l’atmosphère par les milliers de tests atomiques qui y ont été réalisés. Selon le rapport publié par Nils-Olov et Ragnhild Ferm, en 2000, ce sont 2053 explosions nucléaires qui ont eu lieu sur la planète entre 1945 et 1998 — sans mentionner celles de la Corée du Nord. [204]

En France, les hommes meurent trois fois plus de cancers de poumons que de cancers de la prostate — avec 89 600 décès par cancer en 2018. En France, les femmes meurent, quasiment, tout autant de cancers de poumons que de cancers du sein — avec 67 800 décès par cancer en 2018.

La France est le leader mondial pour la production d’énergie nucléaire avec 58 centrales. La France est le leader européen de l’agriculture chimique, toxique et génocidaire.

En France, ce sont 200 millions de mètres cubes de « résidus à vie longue » — un euphémisme pour décrire des déchets radioactifs à vie, à savoir à Mort — qui ne possèdent pas de « filière de gestion »… À savoir qu’ils n’ont pas encore été enfouis au fin fond des océans dans des containers en béton — qui finiront, un jour, par se fissurer. L’ImMonde les appelle « des déchets radioactifs oubliés ». Oubliés par qui ? [147] [148] [149] [150]

Qui sont les responsables de cette cancérisation de la population française : le CEA ou bien la Cogema devenue Areva qui est devenue Orano ? Et pourquoi les responsables ne sont-ils pas en prison ?

De très nombreuses études [163] [167] ont étudié la relation existant entre les cancers des poumons et l’exposition au plutonium, ou à l’uranium, telles que les études de 2002 portant sur les 19 000 employés du centre nucléaire de Mayak en URSS [128] ou telle que les 11 études portant sur 68 000 travailleurs dans les mines d’uranium. [154] [155]

Selon les rapports du Professeur Chris Busby, le secrétaire de l’European Committee on Radiation Risk, ce seraient 63 millions de décès par cancers, jusqu’en 2003, qui seraient imputables à la radioactivité. [210]

En 1957, le British Medical Research Council signala que les cancers des poumons avaient doublé durant la période entre 1945 et 1955 — sans proposer une quelconque explication. Durant la même période, dans les régions proches d’Hiroshima et de Nagasaki, le taux de cancers des poumons tripla. En 1963, lorsque les essais atomiques officiels furent discontinués dans les îles du Pacifique, le taux de cancers des poumons avait quintuplé, dans cette zone, depuis 1945.

Suite au désastre nucléaire de Chernobyl, les 7156 travailleurs ukrainiens, qui participèrent à la tentative de neutralisation du réacteur, en 1986, moururent, principalement, de cancers des poumons. [129] [130] [136] [137]

Ce sont des dizaines de milliers de souris (qui constituent 96 % des animaux de laboratoire) qui ont été sacrifiées pour prouver que, très certainement, certaines formes de radioactivité génèrent, chez ces rongeurs, des cancers des poumons dont ils meurent inexorablement — et rapidement.

Par contre, ce sont également des dizaines de milliers de souris qui ont été « passées à tabac », dans les laboratoires de chercheurs hypocrites, pour tenter de prouver ce qui n’a jamais été prouvé. À savoir que personne n’a jamais pu prouver que le tabac induisait des cancers des poumons chez ces souris exposées, pendant des années, à l’équivalent de la fumée de 200 cigarettes — quotidiennement.

En 1963, le pathologiste Victor Buhler, de Kansas City, déclara, devant un comité spécial du Congrès US : « J’ai examiné des milliers de poumons, à la fois visuellement et microscopiquement. Je suis dans l’impossibilité de vous dire, en examinant un poumon, si son porteur originel était un fumeur ». [165]

En 1982, le Professor Schrauzer — alors président d’International Bio-inorganic Chemists — déclara devant un comité spécial du Congrès US : « Aucun composant de la fumée de cigarette n’a été validé comme cause de cancers des poumons chez l’homme. Personne n’a été capable de générer des cancers des poumons chez des animaux de laboratoire exposés à de la fumée de tabac ». Il ajouta, au contraire, que l’on savait, depuis longtemps, que certains composants du tabac protégeaient les animaux de laboratoire à l’encontre des cancers des poumons.

En 1983, le pathologiste Sheldon Sommers, de l’hôpital Lenox Hill de New York, déclara devant un comité spécial du Congrès US : « Il n’est pas possible, visuellement ou microscopiquement, ou de toute autre manière que je connaisse, de distinguer entre les poumons d’un fumeur et ceux d’un non-fumeur. Le noircissement des poumons est induit par des particules de carbone alors que fumer du tabac n’introduit pas des particules de carbone dans les poumons ».

Dans les années 80, le pathologiste hollandais Jan Zeldenrust déclara lors d’un interview radiophonique :

« Je n’ai jamais pu discerner si une paire de poumons appartient à un fumeur ou à un non-fumeur. Par contre, je peux clairement percevoir la différence entre des poumons malades et des poumons sains. Les seuls poumons noirs que j’ai observés proviennent de travailleurs dans les mines de charbon et dans les tourbières — jamais de fumeurs ».

Tous ces chercheurs furent accusés d’être des suppôts de l’Industrie du tabac. Pendant ce temps, la médecine continue d’avoir recours à des poumons de fumeurs pour réaliser des transplantations pulmonaires — même des poumons de fumeurs ayant fumé un paquet de cigarettes pendant 20 années. Tout va bien ? [156] [157]

Je conseille aux lecteurs très intéressés par la falsification des données pulmonaires, en France, quant aux dangers du tabac, de se reporter à deux articles très fertiles d’Oliver Bach, en 2011, repris par Sott France. [255] [256] [257]

Consommation de tabac et Protection des Poumons durant la Fausse Pandémie Covidienne

L’épidémie de « Grande Peste » qui sévit à Londres, en 1665-1666, tua entre un quart et la moitié de la population de la ville. Les médecins prescrivaient de fumer du tabac afin de protéger les poumons — selon ce que rapporte, vers 1700, un dénommé A. J. Bell. Les croque-morts qui fumaient ne périssaient pas. Bell précise, même, que dans les écoles, les enfants étaient obligés de fumer du tabac pour se protéger de la peste — sous peine d’être fouettés. [211]

À propos de pandémie, je viens de découvrir un article fort passionnant [213] intitulé « The State of Science, Microbiology, and Vaccines, Circa 1918 », publié en 2010, et qui fait l’état des recherches, à cette époque, concernant la pandémie de 1889/1890 (une pneumonie bactérienne ?) et le Bacille de Pfeiffer et, surtout, qui évoque la multitude de vaccins distribués durant la Grippe espagnole de 1918/1920 — qui fut, en fait, une pneumonie bactérienne à 99 %.

Cette étude de John M. Eyler fait écho à mon Canto « Psychose, Macronavirose, Vaccinose et Pot aux Roses » dans sa première partie intitulée « Vaccinations Anti-Méningite et Pathologies Respiratoires Imputées au Coronavirus ID/2019 ». [220]

De plus, elle valide, très amplement, les affirmations de la Doctoresse Naturopathe Eleanor McBean (1905-1989) quant à la distribution généralisée, durant cette pandémie de 1918/1920, de vaccins de toutes sortes provoquant la mort inexorable de tous les vaccinés.

« La maladie présentait les aspects de la peste noire, comme aussi de la fièvre typhoïde, de la diphtérie, de la pneumonie, de la variole, des maladies paralytiques, comme d’autres maladies contre lesquelles les populations avaient été vaccinées juste après la Première Guerre mondiale. On avait administré quantité de vaccins et de sérums toxiques à pratiquement toute la population. La situation devint réellement tragique quand éclatèrent tout d’un coup ces maladies engendrées par la médecine.

La pandémie s’éternisa deux ans, nourrie par les médicaments toxiques que les médecins prescrivaient pour supprimer les symptômes. Pour autant que j’aie pu l’observer, la grippe atteignait essentiellement les vaccinés. Ceux qui avaient refusé la vaccination échappaient à la maladie. Ma famille avait refusé toutes les vaccinations ; c’est ainsi que nous sommes restés tout le temps en excellente santé. Nous savions de par les enseignements de Graham, Trail, Tilden et d’autres, qu’on ne peut contaminer le corps avec de poisons sans que celui-ci ne devienne malade. »

Au printemps 2020, des chercheurs chinois s’aperçurent très rapidement, que le pourcentage de fumeurs de tabac dans les hôpitaux chinois, accueillant les patients supposément atteints par le CoqueVide/19, était très faible — à savoir, environ 6 %. [101] [102] [103] [106] [107] Il s’avéra que la situation était identique aux USA, en Allemagne (avec 6 %) [110] et en France (avec 5 %) [92]. En effet, aux USA, le CDC rapporta un taux minime de 1,3 % de fumeurs parmi les patients hospitalisés pour cause de CoqueVide/19 [109] — alors que les hôpitaux de New York rapportaient un taux de fumeurs de l’ordre de 5,2 %. [99]

Le 20 avril 2021, une équipe de chercheurs, en Inde, a publié une étude affirmant, de même, que les fumeurs de ce pays étaient très peu impactés par la gripette Covidienne. [318]

Certains chercheurs suggérèrent, même, et continuent de le suggérer, que la nicotine pharmaceutique pourrait être considérée comme une thérapie privilégiée dans le traitement de toutes les pneumonies — bactériennes ? — cataloguées sous la dénomination CoqueVide/19. [93] [94] [105]

En parlant de pneumonie bactérienne : quid de cette médecin hongroise qui déclare : « Le Covid est une pneumonie — certes atypique, mais une pneumonie — et doit être traité comme tel ». Flavia Groșan, une pneumologue, affirme, en effet, que c’est le protocole officiel (anti-CoqueVide) qui tue les patients. Elle soigne tous ses patients avec un antibiotique, la clarithromycine, et elle n’en a perdu aucun. [168]

Un article, très court, d’une équipe de chercheurs hollandais, paru dans la Revue Nature, le 26 février 2021, tenta de désactiver l’importance de toutes ces statistiques en prétendant qu’elles étaient surtout Chinoises (sic) ; qu’elles ne tenaient pas compte de certains éléments sociologiques ; que certains chercheurs étaient soudoyés par l’Industrie du tabac ; que l’équipe française, sous la direction de Jean-Pierre Changeux, n’avait pas tenu compte de toutes les personnes avec le statut d’ancien fumeur… bla, bla, bla. [83] Il est à noter que cette équipe néerlandaise se garda bien de remettre en question les chiffres du CDC (Center for Disease Control) aux USA — à savoir, 1,3 % de fumeurs parmi les patients hospitalisés pour cause de CoqueVide/19.

Ces chercheurs prétendirent, même, que l’augmentation des ventes de tabac, durant toute la période des confinements autoritaires et criminels institués par l’État profond (de corruptions et de démences), ne pouvait être dû qu’à la propagande mensongère stipulant que la nicotine offrait une protection anti-CoqueVide/19.

Le fait est que depuis l’imposition du confinement en camps de concentration urbains, d’une grande partie de la population des pays occidentaux, l’usage des substances psychoactives (tabac, Cannabis, alcools, opiacés, etc.) a fortement augmenté. Cui bono ?

En fait, en 2014, des chercheurs, de l’Université de Hong-kong, avaient déjà mis en valeur, dans une étude intitulée « Nicotine, an anti-inflammation molecule », que la nicotine possède une activité anti-inflammatoire dans les cellules du système nerveux et du système immunitaire. Ces chercheurs se focalisèrent, plus spécifiquement, sur les infections générées par ce que certains qualifient de grippe A. [85]

Cette étude reprenait les travaux de deux autres études, de 1998 et de 2004, qui analysèrent l’impact de la nicotine, pendant plusieurs semaines, chez des souris infectées avec des souches de grippe A. [111] [113]

En parlant de tabac, de vaccins, de CoqueVide/19 et de Coviet Suprême… aujourd’hui, GSK propose un nouveau vaccin anti-CoqueVide/19 réalisé en partenariat avec la société nécro-technologique Medicago — qui a lancé la phase 3 de ses essais en mars 2021. [89]

Ses techniciens insèrent des séquences génétiques dans des bactéries du sol modifiées génétiquement — à savoir des chimères génétiques de l’espèce Agrobacterium tumefaciens — qui sont inoculées dans les plantes de Nicotiana benthamiana. Voir l’étude, de 2007, intitulée « Replication-independent long-distance trafficking by viral RNAs in Nicotiana benthamiana. »… et tous aux abris ! [87]

Au printemps 2020, le directeur de Medicago déclara pouvoir produire, mensuellement, 10 millions de doses vaccinales anti-CoqueVide/19. Medicago se distingue de ses concurrents de par le fait que cette société utilise des plantes de l’espèce de tabac sauvage, Nicotiana benthamiana, comme bioréacteurs — et non pas des œufs de poule.

Il est vraiment dommage que, lorsque je rédigeai mon Canto satirique « Dansez la Vaccinade vers la Grande Hommelette Finale » [166] une satire extrêmement d’actualité de par l’imposition dictatoriale de vaccins génocidaires (un pléonasme) — je ne savais pas que les vaccins modernes étaient confectionnés dans des œufs… sinon, je me serais encore plus déchaîné et régalé ! En effet, c’est le cas, par exemple, depuis 80 années, pour la fabrication des vaccins « anti-grippe » (à 82 %) et il en est de même pour les vaccins à l’encontre, prétendument, de la rage et de la fièvre jaune.

Dans ce Canto de mars 2018 — inspiré de mes maîtres humoristes, le chansonnier Boby de l’Oeuf à Point (Boby Lapointe) et l’humoriste Coqueluche décédé prématurément d’un accident de moto surréaliste — j’avais même annoncé, avant l’heure, le Grand Confinement Covidien orchestré par le COVIET Macroniste Suprême sous la houlette du Guide très Mal-Aimé, MaCronfinement — un épidémiologiste en herbe.

« Le Grand Coquin Premier, amplement fêlé de la crête, s’est fendu de quelques coquetteries à ce point purulentes, et dictatoriales, que l’on peut humer que le point d’époullition, de la cocotte-minute, a été largement sous-estimé ! Sans ergoter, et pour sauver la Ripoublique de la vermine idéologique, ne voilà-t-il pas qu’il dé/crête restaurer la censure dans les menus du Poulailler. Interdiction formelle, sous peine de poulaillers de concentration, mobiles et fixes, de cocoriquoter quotidiennement et librement entre minuit et 23 h 59 — la dernière minute étant une minute de silence, volontaire et obligatoire, en hommage à la persécution de la race opprimée par une industrialisation prospère des champs de concentration : l’antique poulet de Bresse, l’ancêtre du Poulet de Graisse certifié hormoné, une AOI, une Appellation d’Origine Incontrôlée — une forme de Label à la Langue de Bois dormant ». [166]

Dans la course au lancement de vaccins anti-CoqueVide/19, Medicago n’est pas le seul partenaire de GSK. En effet, GlaxoSmithKline est, également, en partenariat avec CureVac [71] afin de développer un nouveau vaccin mARN (pouvant gérer de multiples variantes du coronavirus fantôme !!!) ; en partenariat avec Sanofi [78] afin de développer des vaccins protéiques recombinants, à base de protéines chimérisées ; en partenariat avec SK Bioscience [73], et Bill Gates, afin de développer un vaccin protéique recombinant peu onéreux avec nanoparticules — le vaccin GBP510 avec l’adjuvant de GSK dénommé AS03.

Faut-il rappeler que GSK fait partie du même gang que Pfizer avec lequel il a fusionné une partie de ses activités pharmaceutiques biocidaires en 2019 ? [121] C’est ce même Pfizer dont le « vaccin » mARN est en train de génocider le Peuple en Israël.

En effet, en février 2021, le biologiste Hervé Seligmann (de nationalité Israélienne-Luxembourgeoise) et l’ingénieur polytechnicien Haim Yativ (de nationalité israélienne) ont analysé les données vaccinales d’Israël dans un article publié sur le site nakim.org. Ils évoquent une seconde « Shoah » et prouvent que, depuis la vaccination mARN de Pfizer, en Israël, le taux de mortalité, attribué au CoqueVide/19, est 40 fois supérieur chez les personnes âgées et 240 fois supérieur chez les personnes jeunes. [117] [118] [119] [120]

Il serait, d’ailleurs, préférable de cesser de parler de vaccins dans le cas de Moderna et de Pfizer et de leur technologie ARNm/mRNA : il s’agit de chimères génétiques dont la fonction est de semer le chaos dans l’ADN humain. Peut-être en est-il de même, en fait, depuis les premiers vaccins industriels datant de 1875 ? Les vaccins ne sont, pour le corps humain, que des chimères génétiques dans le sens d’armes biologiques dont l’objectif est de détruire l’humanité — inexorablement. Avez-vous remarqué que Moderna (la société financée par Bill Gates et le ministère de la Défense US) porte mRNA dans on nom : modeRNA ?

Propriétés antimicrobiennes, insecticides et de phytoremédiation de Nicotiana tabacum

Une étude, de 2016, a étudié les capacités qu’ont certaines substances, sécrétées par les feuilles de diverses espèces de Nicotiana, de traiter la Maladie du pied noir du tabac provoquée par le fungus Phytophthora nicotianae — une pathologie fulgurante qui détruit, parfois, la totalité des plantations de tabac. Le sclaréol et la cis-abiénol synthase détruisaient les races 0 et 1 de Phytophthora nicotianae dans une proportion de 70 à 100 % tandis que le labdénédiol et la phylloplanine les détruisaient dans une proportion de 50 à 60 %. [2]

Une étude, de 1995, a étudié l’activité antimicrobienne des exsudats d’une vingtaine d’espèces de Nicotiana à l’encontre de l’anthracnose des cucurbitacées (Colletotrichum lagenarium). Les exsudats de Nicotiana rustica, Nicotiana acuminata, Nicotiana attenuata, Nicotiana clevelandii, Nicotiana maritima, Nicotiana miersii, Nicotiana noctiflora, Nicotiana occidentalis et Nicotiana bigelovii bloquaient totalement la germination des conidies de Colletotrichum lagenarium. Les exsudats testés étaient le labdénédiol, le sclaréol et le duvatriénédiol. [5]

Dans les années 1980/1990, avant l’émergence du tout chimérique dans la création variétale de Tabacs industriels, les chercheurs privilégièrent les variétés de tabac produisant le diterpène duvane. En effet, ces variétés libérant, dans leurs exsudats, des alpha — et beta-duvatriénédiols (DVT-diols) et des alpha — et beta-duvatriénols (DVT-ols), étaient beaucoup plus résistantes aux attaques d’insectes prédateurs — tel que le puceron du tabac (Myzus persicae nicotianae). [6]

Nicotiana tabacum est un bio-accumulateur qui peut être utilisé pour nettoyer les sols de tous contaminants. De nombreuses études ont ainsi validé les capacités de phytoremédiation caractéristiques de cette espèce pour divers contaminants industriels et agricoles : plomb, zinc, cadmium, uranium, cuivre, nickel, cobalt, arsenic, sélénium, mercure, chromium, hydrocarbures, biphényles polychlorés… [31] [35] [36] [49]

Les scientifiques néo-darwinistes — si tant est que l’on puisse parler de science pour qualifier leurs élucubrations — adorent tourner en rond et se mordre la queue « évolutive » : ils ont, ainsi, créé des variétés chimériques (transgéniques) de Nicotiana tabacum permettant de mieux dégrader les herbicides et les métaux lourds dont sont replets (un euphémisme) les sols agricoles. [37] [39] [41] [50] Tout va bien ?

Une étude bulgare de 2018 a même prouvé que des variétés transgéniques de tabac étaient beaucoup moins performantes, en termes de phytoremédiation, lorsqu’elles étaient cultivées avec des amendements organiques, tels que du compost ou du vermicompost. [48] On vit une époque formidable !

Une étude chinoise, de 2010, a mis en exergue que la capacité de phytoremédiation du tabac était grandement augmentée lorsqu’il était cultivé en association avec le trèfle japonais (Kummerowia striata). [47]

Une étude récente réalisée en Ouganda en 2019 — et impliquant une douzaine d’espèces — a mis en exergue que Nicotiana tabacum n’est pas l’espèce la plus performante quant à l’extraction d’hydrocarbures. En effet, Nicotiana tabacum arrivait en 10e rang après Hyparrhenia rufa, Oryza longistaminata, Gossypium barbadense, Tithonia diversifolia, Sorghum arundinaceum, Medicago sativa, Zea mays, Sorghum bicolor, Abelmoschus ficulneus et avant Eleusine coracana et Capsicum annuum. [64]

Les feuilles des plantes de Nicotiana produisent, à leur surface, des toxines foliaires en concentrations élevées afin d’inhiber les moisissures bleues et les infections fongiques. Nicotiana tabacum a, également, été investigué quant à sa production de phytoalexines comme vecteur de mécanisme de défense à l’encontre des infections microbiennes.

Une étude de 2000 et une étude plus récente, de 2020, intitulée « Clinical implications of nicotine as an antimicrobial agent and immune modulator », ont mis en exergue les propriétés antimicrobiennes de la nicotine à l’encontre de Candida albicans, Cryptococcus neoformans, Mycobacterium phlei, Escherichia coli, Klebsiella pneumoniae, Listeria monocytogenes — ainsi qu’à l’encontre des streptocoques viridans de la cavité orale. [215] [216]

Durant ces études, la nicotine n’eut quasiment aucune activité inhibitrice à l’encontre du spirochète de la Maladie de Lyme — Borrelia burgdorferi.

Une étude de 2015 a mis en valeur l’activité antiparasitaire de la nicotine, en synergie avec le thymol, chez le bourdon Bombus impatiens, à l’encontre du parasite Crithidia bombi dans la Famille des Trypanosomatidées. [217]

Les Alcaloïdes Pyridiniques des Tabacs

Les principaux alcaloïdes pyridiniques qui caractérisent les espèces au sein du genre Nicotiana sont : la nicotine, la nornicotine, l’anabasine et l’anatabine — et, dans une très moindre mesure, la cotinine et la myosmine. Dans de très nombreuses espèces, c’est la nicotine qui constitue le principal alcaloïde. [203]

Il existe des variations considérables, entre les diverses espèces de Nicotiana, quant au contenu total en alcaloïdes et quant à la composition, en pourcentage, de ces alcaloïdes. Ainsi Nicotiana forgetiana contient 0,043 % d’alcaloïdes tandis que Nicotiana rustica sp. brasilia peut en contenir jusqu’à 5,8 %. Le ratio est ainsi de 1 à 110. [122]

Certaines sections du genre Nicotiana se caractérisent par une composition spécifique en alcaloïdes. Ainsi dans la section Noctiflorae, c’est l’anabasine qui constitue l’alcaloïde majeur (79 % des alcaloïdes dans les racines et dans les feuilles) et il en est de même pour la section Suaveolentes (34 % des alcaloïdes dans les racines et dans les feuilles).

La nicotine constitue l’un des alcaloïdes pyridiniques les plus étudiés quant à sa capacité de conférer des résistances. De par le fait qu’elle puisse impacter les récepteurs de l’acétylcholine [26] dans le système nerveux des animaux, la nicotine s’avère extrêmement toxique pour la plupart des herbivores et ce fut l’un des premiers insecticides utilisés pour tenter de contrôler les prédateurs de l’agriculture.

Dès 1690, des extraits aqueux de feuilles de tabac étaient utilisés pour lutter contre les insectes suceurs des plantes de jardins.

Quelle est la nature des « effets nicotiniques » sur les fonctions neuromusculaires et synaptiques des mammifères ? La nicotine imite, en partie, l’activité de l’acétylcholine en interagissant avec les récepteurs de l’acétylcholine de sorte qu’ils ne puissent plus distinguer ces deux substances. Les effets nicotiniques les plus puissants se manifestent sur les jonctions neuromusculaires (muscles volontaires) et autres fonctions acétylcholiniques (glandes…).

Selon la mythologie des sciences génétiques modernes, ce seraient les sous unités α4, β 2 et α7 des récepteurs nicotiniques acétylcholiniques qui participeraient aux effets d’améliorations cognitives et motrices induites par la nicotine. [171]

Chez les insectes, les effets nicotiniques s’exercent sur les ganglions du système nerveux central, car leurs jonctions neuromusculaires ne sont pas acétylcholiniques. La nicotine et l’acétylcholine induisent des stimulations à faible concentration et des stases à forte concentration. Lors de situations d’empoisonnement par la nicotine, on peut observer ces deux effets en séquence, tout d’abord des stimulations (excitation, convulsions) et, subséquemment, des blocages (paralysie) — et éventuellement, la mort.

La dose fatale, chez l’animal humain, est de 60 mg : la mort survient en l’espace de 5 à 30 minutes — la plupart du temps par paralysie respiratoire.

La nicotine est métabolisée (à 70/90 %) par le foie et elle est excrétée dans l’urine. C’est l’enzyme dénommée Cytochrome P450 2A6 qui est responsable de la transformation de la nicotine en son métabolite principal, la cotinine. [123] Le métabolisme de la nicotine et de la cotinine est plus élevé chez les femmes que chez les hommes ; plus élevé chez les femmes prenant des contraceptifs que chez les femmes n’en prenant pas ; et plus élevé chez les femmes enceintes que chez les femmes non enceintes. [124]

La cotinine s’est avérée thérapeutique, et neuro-protectrice, à l’encontre de la Maladie d’Alzheimer, de la perte de mémoire, de la démence, etc. [135] [140] [151] Sa demi-vie, d’un point de vue pharmacologique, est de 15 à 19 heures alors que celle de la nicotine est de 2 à 3 heures.

Deux autres composés des Tabacs possèdent une activité insecticide, en sus de la nicotine : la nornicotine et l’anabasine. Le taux de nicotine, par exemple, chez Nicotiana tabacum et Nicotiana rustica, est de 2 à 8 %. Quant à la nornicotine, elle prédomine chez Nicotiana sylvestris.

La nicotine est soluble dans l’eau (à moins de 60 °C) ainsi que dans l’alcool, dans l’huile, dans l’éther…

Les diverses variétés de tabac contiennent de la nicotine à 95 % — du taux d’alcaloïdes. Cependant, en fonction des variétés, cette teneur en nicotine varie, généralement, de 0,3 % à 3 % — du poids sec de leurs feuilles. Il existe des variétés pouvant contenir jusqu’à 5 % et même, exceptionnellement, 7 % de nicotine.

Une étude Syrienne, de 2016, a analysé des taux de nicotine atteignant 6,7 % dans un type Virginia. [131]

Les Qualités médicinales de Nicotiana glutinosa

Elle fait partie de la section « Undulatae » au sein du genre Nicotiana. Nicotiana glutinosa possède la nornicotine comme alcaloïde majeur.

Selon Louis Girault, dans son ouvrage « Kallawaya, Guérisseurs Itinérants des Andes » (en page 396), une teinture mère alcoolique de ses feuilles et fleurs est utilisée en frictions à l’encontre des rhumatismes articulaires. Une décoction de ses feuilles et fleurs fraîches est réalisée afin de baigner les jeunes enfants pour les aider à marcher ou pour laver les animaux domestiques de la gale.

Une poudre de ses fleurs et feuilles séchées est, également, mélangée à la bière de maïs, la chicha, afin de la rendre plus enthéogénique.

Une étude, de 2019, a analysé les majeurs composants de l’huile essentielle d’un écotype de Nicotiana glutinosa : manool, sclarène, sclaréol et oxyde de manoyl. Son résinoïde contenait 33 % de nicotine, 8 % d’α-tocophérol, 7 % de sclaréol et 7 % de tridécanone, 7 % de solanone. [8]

L’oxyde de manoyle est un précurseur de la forskoline. Il possède une activité anti-proliférative, anti-mutagénique et anti-carcinogénique. Quant à la forskoline, elle possède une activité hypotensive, spasmolytique, cardiotonique. Elle active l’adénylate cyclase — une enzyme qui accroît la combustion des graisses — et elle diminue la pression oculaire. [4]

Le sclaréol est un alcool diterpénique bicyclique très présent dans la Sauge sclarée (Salvia sclarea). Il est hautement actif à l’encontre de fungi tels que Candida albicans, Candida parapsilosis, Candida glabrata et Candida tropicalis. Il possède, également, des propriétés anti-inflammatoires et, donc, un potentiel thérapeutique dans le traitement de l’arthrite rhumatoïde. [17]

Une étude, de 2012, a mis en exergue que le sclaréol et l’enzyme cis-abiénol synthase, extraits de plants de tabac, possèdent une activité antimicrobienne à l’encontre de Ralstonia solanacearum — le vecteur du flétrissement bactérien chez les Tabacs et les Tomates. [11]

Nicotiana glutinosa est également active à l’encontre de la tique sanguine (Rhipicephalus sanguineus). [7]

Les qualités médicinales de Nicotiana glauca

Nicotiana glauca est une espèce de tabac originaire, probablement, d’Amérique du Sud. C’est un arbuste dont la hauteur varie entre 1,50 et 6 mètres. Ses fleurs, de forme tubulaire, sont de couleur jaune. Cette espèce est très tolérante des zones marginales, sèches et arides. Elle fait partie de la section « Noctiflorae » au sein du genre Nicotiana.

Elle est nommée, en Français, « tabac glauque » ou « tabac arborescent ».

Traditionnellement, Nicotiana glauca a été utilisée pour soigner les furoncles, les coupures, les enflements, les hématomes, les maux de gorge, les glandes enflées, la jaunisse, les maux de tête, les rhumatismes et les blessures.

Par exemple, dans le Grand Chaco, en Amérique latine, les Peuples Wichi utilisent, traditionnellement, cette espèce — qu’ils nomment « palán-palán » — pour ses propriétés anti-rhumatismales, anti-arthritiques, pour soigner les plaies, les brûlures, les furoncles et les abcès. Ils utilisent, également, les feuilles sèches comme cicatrisants et pour soigner les morsures de serpents et les plaies coupantes. Les feuilles fraîches s’utilisent en applications externes pour les oreillons, et comme anti-rhumatismal et anti-inflammatoire ; les feuilles en décoction s’utilisent pour traiter l’acné et les douleurs dentaires. [52]

Selon Louis Girault, dans son ouvrage « Kallawaya, Guérisseurs Itinérants des Andes » (en page 395), ses feuilles séchées, mélangées à de la farine de blé et de l’argile, s’utilisent en cataplasmes pour résorber les hernies. Ses fleurs séchées, en cataplasmes, sont utilisées pour soigner l’asthme, les blessures infectées et les ulcères. Une décoction de ses parties aériennes est utilisée pour laver les animaux et les débarrasser de leurs parasites.

Une poudre de ses fleurs séchées est, également, mélangée à la bière de maïs, la chicha, afin de la rendre plus enthéogénique.

L’ethnobotaniste James Duke (1929-2017), dans son ouvrage « Medicinal Plants of Latin America » (en page 481), a décliné les activités biologiques de Nicotiana glauca : hépato-protectrices, insecticides, purgatives, spasmogéniques ; ainsi que ses capacités à bloquer les fonctions respiratoires et neuromusculaires et à générer de l’hypertension.

En Californie, les Peuples Cahuila, Diegeno et Mahuna ont, traditionnellement, utilisé Nicotiana glauca pour soigner la tuberculose, les maux de gorge, les scrofules, les rhumatismes, les blessures, les hématomes, les maux d’oreilles et comme émétique.

Le Peuple Cahuila l’utilisait, également, chamaniquement : rituels de chasse, divinations, rituels de funérailles, élimination des forces maléfiques, appels à la pluie, protection des récoltes, protection des voyageurs…

Des investigations pharmacologiques récentes ont mis en exergue ses propriétés hépato-protectrices [43], anti-tumorigéniques [55] [56], antioxydantes [72]

Ce sont l’acide palmatique et la scopolétine — de par leur forte activité apoptotique — qui, chez Nicotiana glauca, induisent cette propriété anti-tumorigénique.

Nicotiana glauca possède l’anabasine comme alcaloïde majeur — à hauteur de 97 %. Ses alcaloïdes mineurs sont la nicotine, la nornicotine et l’anatabine.

Ses fleurs et ses feuilles possèdent une activité antimicrobienne — par exemple, à l’encontre d’Escherichia coli et de Staphylococcus aureus. [53]

Diverses études ont mis en exergue que cette espèce est particulièrement adaptée à la phytoremédiation. [51] [88] Les chiméristes ont même créé une variété transgénique de Nicotiana glauca qui accumulerait deux fois plus de métaux lourds que l’espèce sauvage — parce que développant un système racinaire plus abondant. [38]

Nicotiana glauca possède une forte activité insecticide à l’encontre du Charançon du Palmier (Rhynchophorus ferrugineus). [65] En Érythrée, cette espèce est utilisée, traditionnellement, comme répulsif anti-moustique — avec le basilic Ocimum forskolei. [60]

Lorsque les colonisateurs-génocideurs envahirent l’Amérique du Sud, Nicotiana glauca était déjà utilisée comme insecticide naturel afin de protéger les plantes alimentaires des insectes prédateurs.

Comme Nicotiana glauca est considérée comme étant une espèce extrêmement invasive, elle a été envisagée, en Amérique latine, pour la production de biomasse et de carburant végétal — ou nécro-carburant. [76] Elle peut produire de la biomasse avec, seulement, 200 mm d’hygrométrie — ainsi que des températures supérieures à 40 °C.

En effet, en fonction des écotypes, sa biomasse est composée : de 20 à 28 % de glucose, de 8 à 14 % d’amidon, de 30 à 45 % de cellulose, de 20 % de protéines, de 1,5 à 2 % de lignines. Certains chercheurs ont calculé une production moyenne de 9 tonnes de biomasses sèche par hectare — et donc environ 1000 litres d’éthanol par hectare. Certains écotypes, en fonction des conditions hygrométriques, peuvent produire jusqu’à 15 tonnes de biomasses sèche à l’hectare. La densité de plantation est d’environ 20 000 plantes par hectare.

Une étude tunisienne de 2019 a analysé les majeurs composants de l’huile essentielle d’un écotype de Nicotiana glauca : l’eugénol était prépondérant, avec 59 %, suivi de nonadécane, eugényl acétate et 3-méthyltridécane. [44]

Une étude de 2019 mit en exergue que l’utilisation potentielle de Nicotiana glauca comme thérapie de substitution hormonale afin d’améliorer les symptômes de la ménopause — telles que l’ostéoporose et la sarcopénie — peut impacter l’homéostasie des muscles squelettiques et, donc, empirer ces symptômes. [46]

Les chiméristes déments ont inventé, en 2012, un hybride interspécifique transgénique entre Nicotiana glauca et Nicotiana tabacum qui ne synthétise pas d’alcaloïdes, mais qui exprime, supposément, l’hémagglutinine de la grippe A à la surface de ses feuilles… afin de confectionner des vaccins antigrippe qui soient ultra-purs ! [68]

On se demande bien pourquoi des scientifiques sont payés très chers pour inventer des vaccins végétaux ultra-purs, sur base de tabac, alors que les vaccins, actuellement sur le marché du génocide humain, sont farcis, littéralement, de tous les poisons possibles et imaginables : de la variole de vache, de l’aluminium, du hamster chimérique, de l’ADN de fœtus de poulet, de l’ADN de fœtus humain, de l’ADN de souris leucémique, des antibiotiques (Amoxiciline, Cefroxadine…) des acaricides (Cassythine), des métabolites de la morphine, du carbure de tungstène, du Viagra, des herbicides (Pachyrrhizone), des antiépileptiques (Vigabatrine et Gabapentine), un médicament anti-VIH, de l’Atovaquone, etc., etc., ad nauseam. [58]

Sans même évoquer les quelques 560 gènes, réputés pour être associés avec des formes de cancers, que l’Association Italienne Corvelva a découverts dans le vaccin tétravalent Priorix Tetra, de GSK, qui est un vaccin Rougeole-Rubéole-Oreillons-Varicelle. [58]

Chaque plante peut produire de 10 000 à 1 million de semences. Ces semences contiennent 40 % de lipides — principalement de l’acide linoléique à 75-78 % et ensuite, des acides oléique et palmatique. Un gramme de semences en contient environ 10 500.

Les semences germent à 20 °C en l’espace de 10 à 20 jours.




« La Fédération de Russie se présente indéniablement comme le dernier bastion de la civilisation contre la barbarie »

Message de Mgr Viganò au Congrès fondateur du Mouvement International Russophile (MIR) – Moscou, le14 mars 2023

[Voir aussi :
L’humanité s’organise pour contrer définitivement le dictat mondialiste (sur le MIR)
La religion d’État. Quelques observations sur le culte mondialiste, par Mgr Carlo Maria Viganò
Selon Mgr Viganò, Le Great Reset (ou Réinitialisation) est une religion
Monseigneur Viganò : « La franc-maçonnerie utilise l’OMS et l’église bergoglienne pour faire avancer son coup d’État mondial »
Entretien de Mgr Viganò avec l’Avocat Reiner Fuellmich du « COMITÉ D’ENQUÊTE CORONA ». Seconde partie
Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

[Source : medias-presse.info]

Chers amis, c’est pour moi une grande joie de pouvoir vous adresser un bref message à l’occasion de la constitution du Mouvement International des Russophiles.

Le Manifeste de cette association commence par un mot qui semble avoir disparu du vocabulaire occidental : amitié. Dans ce cas, c’est l’amitié pour les Russes, partagée par tant de personnes à travers le monde, et l’amitié des Russes envers les autres peuples, dans cet esprit de fraternité qui trouve son fondement dans la reconnaissance de nous-mêmes comme enfants de l’unique Père éternel et frères en Notre Seigneur Jésus-Christ.

Lorsque l’Empire Romain d’Occident perdit son rôle politique sous la pression des invasions barbares, le relais passa à Constantinople. Et lorsque l’Empire Romain d’Orient est également tombé avec la conquête de Byzance par Mehmed II, c’est Moscou qui a sauvé son héritage religieux et politique, avec ses Saints et ses Rois. La crise actuelle nous montre l’effondrement d’un Occident corrompu, dans lequel il n’y a pas de Pape Léon le Grand pour sauver son avenir, mais qui a encore un destin, s’il recouvre sa mission providentielle et reconnaît ce qui l’unit à la mission de la Russie.

Les événements récents nous ont montré que l’athéisme matérialiste qui a dévasté l’Empire Russe et le monde depuis 1917 – comme l’a annoncé la Très Sainte Vierge Marie à Fatima – s’est aujourd’hui unit au libéralisme dans l’idéologie mondialiste, qui sous-tend le projet délirant du Nouvel Ordre Mondial.

Un projet infernal, comme l’a souligné à juste titre le Président Vladimir Vladimirovič Poutine dans un récent discours [cf. https://nouveau-monde.ca/vladimir-poutine-la-russie-suspend-sa-participation-au-traite-start/], dans lequel la haine de la civilisation chrétienne veut créer une société d’esclaves inféodés à l’élite de Davos. Une société dystopique, sans passé et sans avenir, sans Foi et sans idéaux, sans culture et sans art, sans pères et mères, sans famille et sans État, sans enseignants et guides spirituels, sans respect pour les personnes âgées et sans espérance pour nos enfants. Nous ne pouvons pas être surpris qu’après avoir déchristianisé le monde occidental, cette élite considère la Russie comme un ennemi à renverser. La Fédération de Russie se présente indéniablement comme le dernier bastion de la civilisation contre la barbarie, et rassemble autour d’elle toutes les Nations qui n’entendent pas se soumettre à la colonisation de l’OTAN, de l’ONU, de l’OMS, de la Banque Mondiale, du Fond Monétaire International et cette ensemble de Fondations qui ont pour but l’endoctrinement des masses, la manipulation de l’information, la création de « printemps colorés » pour déstabiliser les gouvernements légitimement élus et semer le chaos, les guerres et la misère comme instrumentum regni [l’instrument du royaume]. La récente farce pandémique – menée avec des méthodes criminelles que je n’ai pas hésité à dénoncer depuis le début de l’année 2020 – a été suivie de nouvelles urgences – y compris la crise ukrainienne – délibérément provoquées dans le but de détruire le tissu social et économique des Nations, de décimer la population mondiale, de concentrer le contrôle entre les mains d’une oligarchie que personne n’a élue et qui a perpétré un véritable coup d’État mondial, dont tôt ou tard elle sera appelée à répondre devant le monde.

Les théoriciens de ce coup d’État ont des noms et des visages, à commencer par George Soros, Klaus Schwab et Bill Gates. Ceux qui déclarent aujourd’hui la Russie ennemie, considèrent aussi les Européens, les Américains, les Australiens et les Canadiens comme ennemis, et les traitent comme tels, les persécutant et les appauvrissant.

Mais alors que les émissaires du Forum Économique Mondial dans les gouvernements occidentaux peuvent légiférer contre le bien de leurs propres citoyens et tenir les dirigeants mondiaux entre leurs mains, ce  changement de régime qui a réussi dans d’autres États s’est arrêté aux frontières de la Russie. D’autre part, la fraude électorale de 2020 aux États-Unis d’Amérique était également indispensable pour empêcher la confirmation du Président Donald Trump, tout comme en 2013 l’État profond et l’Église profonde ont réussi à faire démissionner le pape Benoît XVI et à élire une personne agréée par le Nouvel Ordre Mondial, le jésuite Jorge Mario Bergoglio.

Votre engagement doit certainement promouvoir les relations d’amitié de la Russie avec tous les peuples, selon ce principe de multipolarité qui, dans une sage vision politique à long terme, est le meilleur moyen de combattre l’unipolarisme mondialiste.

Mais cette amitié, ces relations de concorde et de coopération mutuelle, ne peuvent ignorer la dénonciation du coup d’État perpétré contre l’humanité par de dangereux subversifs dont le but déclaré est l’établissement d’une tyrannie infernale dans laquelle la haine de Dieu et de l’homme créé à son image, la maladie, la mort, l’ignorance, la pauvreté, la violence, l’égoïsme, la corruption règnent en maîtres. C’est le royaume de l’Antichrist. Ce Léviathan doit être identifié et combattu, avec une action qui implique tous les peuples libres, tout d’abord en rejetant les points programmatiques de l’Agenda 2030 et de la Grande Réinitialisation par des initiatives communes. Nous avons besoin d’une Alliance antimondialiste qui rende aux citoyens le pouvoir qui leur a été enlevé, et aux Nations la souveraineté érodée et cédée au lobby de Davos. En cela, le rôle de la Fédération de Russie sera décisif, de même que le message que le Mouvement International des Russophiles apportera aux peuples d’un Occident qui a besoin d’être à nouveau fier de sa Foi et orgueilleux de la civilisation à laquelle les Saints Cyrille et Méthode ont également contribué.

Nous sommes en train de mener une bataille historique : demeurons sous le manteau de la Très Sainte Vierge, la glorieuse Nikopèia, avec l’Archange Saint Michel. La victoire appartient au Christ et à ceux qui se tiennent sous la sainte bannière de la Croix.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

14 mars 2023

© Traduction de F. de Villasmundo pour MPI relue et corrigée par Mgr Viganò

Le message vidéo de Mgr Viganò en italien




Lutter contre l’empiétement sur nos libertés

[Source : winteroak.org.uk]

Par Paul Cudenec

J’appartiens à cette catégorie de personnes très décriées qui ont passé leur vie à protester contre diverses choses.

J’ai manifesté — avec enthousiasme ! — contre la construction de routes et la fracturation hydraulique, contre les caméras de surveillance et les lois « antiterroristes », contre les foires aux armes et les usines de drones, contre les privatisations et le renflouement des banques, contre la City de Londres et la classe dirigeante britannique, contre l’OTAN et ses guerres, contre le G8, le G20 et la conférence Bilderberg, contre les confinements, les masques et les passeports vaccinaux.

L’une des remarques hostiles souvent formulées à l’égard de personnes comme moi est que nous sommes incohérents. En sautant d’un sujet à l’autre à intervalles réguliers, nous nous révélons sans gouvernail, superficiels, une simple « foule à louer » qui proteste juste pour le plaisir de protester et qui ne comprend même pas vraiment pourquoi nous sommes là.

Une deuxième critique est que nous sommes négatifs. Nous sommes toujours contre quelque chose, plutôt que pour. Nous sommes les « anti », les anti-tout.

Un troisième reproche est que nous sommes une nuisance publique, une minorité irritante et imbue d’elle-même qui essaie d’imposer ses préférences aux autres et qui ne veut pas simplement laisser les gens ordinaires vivre leur vie ordinaire.

Naturellement, je considère que ces trois jugements sont erronés !

Tout d’abord, je suis de plus en plus conscient que tout ce contre quoi je proteste depuis des années fait partie d’un seul et même phénomène que beaucoup d’entre nous appellent, pour faire court, le Système.

Il est évident qu’il existe un lien entre le commerce des armes et l’OTAN, par exemple, ou entre la City de Londres et la privatisation, mais j’ai fini par comprendre que ces deux domaines sont eux-mêmes des facettes d’une même entité globale, comme à peu près tout ce qui est indésirable, de la mondialisation aux « vaccins ».

Lutter depuis des décennies contre toutes ces manifestations d’un même phénomène n’a donc rien d’incohérent…

Le second reproche, celui d’être « anti », n’est valable que si l’on croit que s’opposer à une mauvaise chose est négatif.

Bien que les bannières sous lesquelles nous menons nos diverses campagnes ne soient pas toujours formulées uniquement en termes d’opposition, il est certainement vrai qu’il y a un thème sous-jacent d’être contre quelque chose.

Mais c’est inévitable ! Si les gens se mobilisent, s’organisent et agissent, c’est parce qu’il se passe quelque chose d’indésirable qu’ils veulent arrêter.

Toutes ces campagnes et luttes différentes se résument donc à une tentative décentralisée et largement non coordonnée d’arrêter, ou du moins de ralentir, les activités néfastes du phénomène global qui nous menace.

J’utilise le mot « phénomène » parce qu’à ce stade, le terme « système » commence à me sembler inadéquat. Un système pourrait facilement être quelque chose de statique, quelque chose qui est déjà en place et qu’il est difficile de supprimer.

Mais le problème central du phénomène en question est qu’il n’est jamais statique ou immobile et qu’il est en constante expansion.

C’est ce qu’il est en fait : une expansion, une accumulation, une croissance maligne.

C’est pourquoi il est toujours perçu par des gens comme moi comme une menace, une chose à laquelle il faut résister. Elle ne cesse d’empiéter, de confisquer, de voler, de développer, de détruire.

Si j’étais né dans un monde rempli de caméras de surveillance, je ne pense pas que j’aurais jamais eu l’idée de protester contre elles.

Appeler à une manifestation contre une route en place depuis 50 ans n’entraînerait pas une grande participation, même de la part des « anti » les plus intransigeants.

C’est la menace du changement qui nous motive, un changement dont nous pouvons voir qu’il est mauvais ou dangereux.

Et, pour répondre à la troisième critique commune, ce n’est pas nous, mais le Système toujours plus envahissant qui ne veut pas laisser les gens ordinaires et décents continuer à vivre leur vie ordinaire et décente.

C’était le cas lorsque les Anglais ruraux ont été chassés de leurs terres par les enclosures et poussés vers les usines de la première révolution industrielle, et c’est le cas aujourd’hui lorsque les Africains ruraux sont chassés de leurs terres et poussés vers l’esclavage des villes intelligentes de la quatrième révolution industrielle.

C’est le cas de chaque mode de vie traditionnel qui est détruit au nom du développement et de la modernité, de chaque individu qui est socialement éloigné de sa famille et de sa communauté, de chaque nouveau poison qui est introduit dans notre eau potable, notre air, notre nourriture ou notre corps.

C’est le cas de chaque clou enfoncé dans notre liberté, de chaque vis resserrée sur le contrôle total du Système, de chaque opinion désormais déclarée « crime » par ceux qui veulent tout nous prendre.

Ils ne veulent tout simplement pas nous laisser en paix, vivre notre vie comme nous l’entendons. Notre horizon est en permanence assombri par la menace de leur prochain état d’urgence, de leur prochaine guerre totale, de leur prochaine avancée technologique, de leur prochaine fausse pandémie, de leur prochain Grand Bond en avant, de leur Plan quinquennal, de leur Reich millénaire ou de leur Grande Réinitialisation.

S’opposer à ce processus invasif, que nous pourrions appeler l’empiétement, ce n’est pas être un perturbateur antisocial, mais un défenseur de ce que nous avons déjà, de ce que nous avions et de ce que nous méritons d’avoir à nouveau.

J’imagine les sérial refuseniks(([1] En URSS et dans les pays de l’Est, personne à qui certains droits ont été refusés, notamment celui d’émigrer. (Par extension) personne qui refuse de participer aux activités obligatoires, tel le service militaire (des objecteurs de conscience). Source)) comme moi dispersés tout autour d’une grande masse d’hommes, de femmes et d’enfants, qui sont rassemblés, régulièrement, vers les portes d’un gigantesque moulin à viande où ils seront réduits en liquidité pour nourrir la gloutonnerie de leurs méchants maîtres.

Brandissant nos drapeaux en lambeaux, nos bannières et nos pancartes, nous menons un combat d’arrière-garde contre les matraques et les aiguillons électriques brandis par des stormtroopers(([2] Les troupes d’élite de l’Empire dans la saga Star Wars)) mercenaires qui ne font que leur travail, à savoir s’assurer que nous nous dirigeons de manière durable et inclusive vers notre destin mortel.

Parfois, lors d’une attaque particulièrement violente des stormtroopers, comme ce fut le cas en 2020, nous sommes désorientés et, à notre grande surprise, nous nous retrouvons soudain de l’autre côté de la grande foule, combattant le même ennemi aux côtés de personnes que nous n’avons jamais vues auparavant.

Les oppresseurs ne cessent d’empiéter sur le terrain, forçant le peuple à se rapprocher des portes sinistres, et malgré tous nos efforts, nous sommes contraints de battre en retraite.

Mais pendant ce temps, nous continuons à appeler, par-dessus nos épaules, les masses qui avancent docilement vers leur destin, leur expliquant ce qui les attend et les exhortant à se joindre à nous dans notre résistance.

Et nous sommes encouragés dans nos efforts apparemment vains par la certitude que si jamais une grande partie de la foule se réveille, fait demi-tour et repart dans la direction opposée, les stormtroopers seront foulés aux pieds tandis que nous nous élancerons joyeusement et triomphalement vers la liberté.





Le programme de contrôle de la population

[Source : khouse.org]

Au-delà du contrôle des naissances

Par Dr Stan Monteith, M.D

Le contrôle planifié de la population, y compris le génocide, est un concept difficile à accepter pour les Américains. Même si le gouvernement américain aide à financer le programme chinois d’avortement, de stérilisation et d’infanticide forcés, ainsi que le « programme de planification familiale » des Nations unies, la plupart des gens trouvent impossible de croire que ces programmes font réellement partie d’un plan plus vaste visant à éliminer de larges segments de la population mondiale.

« Comment pouvez-vous croire cela ? » me demande-t-on souvent. La réponse est très simple : j’ai lu les écrits de ceux qui ont l’intention de dépeupler de grandes parties de la Terre et je les crois. Ils ont écrit sur la nécessité de réduire — par la force si nécessaire — la population mondiale.

[Voir aussi :
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
La Dr Rima Laibow avait connaissance du plan mondialiste vaxinal il y a 20 ans
La légalisation de l’euthanasie nous enferme dans une société de la pulsion de mort]

Margaret Sanger et le Planning familial

Nos impôts financent Planned Parenthood, une organisation fondée par Margaret Sanger. Dans le rapport annuel 1985 de Planned Parenthood, ses dirigeants ont proclamé qu’ils étaient « fiers de leur passé et qu’ils planifiaient leur avenir ».(([1] Killer Angel, George Grant, Reformer Press, p. 105, disponible auprès de Radio Liberty, P.O. Box 13, Santa Cruz, CA, 95 063.))

Comment peut-on prétendre être fier d’une organisation dont la fondatrice a écrit dans l’histoire qu’il fallait « exterminer les “mauvaises herbes humaines”… », mettre fin à la charité…, [recourir à] la ségrégation « des crétins, des inadaptés et des désaxés » et… [à] la stérilisation « des races génétiquement inférieures » ?(([1] Killer Angel, George Grant, Reformer Press, p. 65.))

Dans les années 1930, Margaret Sanger a publié The Birth Control Review, dans lequel elle soutenait ouvertement le « programme d’infanticide » de l’Allemagne nazie et défendait publiquement l’objectif de suprématie blanche aryenne d’Adolf Hitler. Avant la Seconde Guerre mondiale, elle a chargé le nazi Ernst Rudin, directeur des redoutables programmes d’expérimentation médicale allemands, de servir de conseiller auprès de son organisation.

Dans Killer Angel, George Grant a relaté la vie et les écrits de Margaret Sanger, y compris ses projets d’ingénierie génétique de la race humaine. Dans The Pivot of Civilization, Margaret Sanger appelle à « l’élimination des mauvaises herbes humaines », et à « l’arrêt de la charité » parce qu’elle prolonge la vie des personnes inaptes. Elle préconise la ségrégation des inaptes et leur interdit de se reproduire.

En 1939, Margaret Sanger organise le Negro Project, destiné à éliminer les membres de ce qu’elle considère comme une « race inférieure ». Elle justifie sa proposition par le fait que :

« Les masses de Noirs… en particulier dans le Sud, continuent à se reproduire de manière imprudente et désastreuse, avec pour résultat que l’augmentation chez les Noirs, plus encore que chez les Blancs, provient de la partie de la population la moins intelligente et la moins apte… ».(([3] Woman’s Body, Woman’s Right, Linda Gordon, Penguin Press, New York, p. 332; voir également Killer Angel, p. 73.))

Elle a ensuite révélé qu’elle avait l’intention « d’engager trois ou quatre pasteurs de couleur pour se rendre dans diverses enclaves noires afin de faire de la propagande en faveur du contrôle des naissances… L’approche éducative la plus efficace auprès des Noirs passe par un appel religieux. Nous ne voulons pas que l’on dise que nous voulons exterminer la population noire, et le pasteur est l’homme qui peut redresser cette idée si jamais elle vient à l’esprit de l’un de leurs membres les plus rebelles ».(([4] Killer Angel, p. 74: voir également Woman’s Body, Woman’s Right, pp. 229-334.))

Au fur et à mesure que l’organisation de Margaret Sanger se développe, elle écrit sur la nécessité de cibler également les groupes religieux à détruire, estimant que les « races dysgéniques » devraient inclure « les fondamentalistes et les catholiques » en plus des « Noirs, des Hispaniques [et] des Amérindiens ».(([5] Woman’s Body, Woman’s Right, pp. 229-334; voir également Killer Angel, p.73.)) Au fil des ans, Sanger devient de plus en plus obsédée par les croyances occultes et hostile au christianisme et au précepte américain de la liberté individuelle. Son dégoût pour l’Amérique est évident dans ses écrits :

« Le contrôle des naissances séduit les radicaux avancés parce qu’il est calculé pour saper l’autorité des églises chrétiennes. Je me réjouis de voir un jour l’humanité libérée de la tyrannie du christianisme, tout autant que de celle du capitalisme ».(([6] Killer Angel, p. 104.))

Tout comme Adolf Hitler, Margaret Sanger était une disciple de la théosophie et de sa fondatrice, Madame Blavatsky. Sanger et Hitler étaient tous deux impliqués dans une religion qui vénérait Lucifer et qui était alimentée par les mêmes forces spirituelles obscures.

Le Lucis Trust est un important représentant moderne de la théosophie, une extension de la Lucifer Publishing Company, qui est également une ONG des Nations unies. Le Lucis Trust a été fondé par Alice A. Bailey au début du 20e siècle. Bailey était une disciple de Madame Blavatsky et la dirigeante nominale de la Société théosophique au début des années 1900.

Le nom « Lucifer » ayant une très mauvaise connotation, Bailey a changé le nom de son organisation de Lucifer Publishing Company en Lucis Trust. La nature et les convictions de cette organisation sont toutefois restées les mêmes.

[Voir aussi :
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus
Les origines sombres de la Grande Réinitialisation de Davos
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Luciferisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur
Note sur les mouvements humains et la sagesse du Tao]

Le Lucis Trust est l’un des principaux groupes de façade par lesquels la théosophie influence la vie en Amérique. Les publications du Lucis Trust font régulièrement référence au « Plan » pour l’humanité qui a été établi par la « Hiérarchie ». Les disciples de Sanger sont encore en vie aujourd’hui et influencent les politiques nationales et internationales de contrôle de la population.

David Graber, chercheur biologiste au National Park Service, a été cité dans le Los Angeles Times Book Review Section du 22 octobre 1989, comme ayant déclaré :

« Le bonheur humain et certainement la fécondité humaine ne sont pas aussi importants qu’une planète sauvage et en bonne santé. Je connais des spécialistes des sciences sociales qui me rappellent que les hommes font partie de la nature, mais ce n’est pas vrai… Nous sommes devenus un fléau pour nous-mêmes et pour la Terre… Jusqu’à ce que les homosapiens décident de rejoindre la nature, certains d’entre nous ne peuvent qu’espérer que le bon virus se présentera ».(([7] Los Angeles Times, Book Review Section, 22 octobre 1989, p. 9.))

Dans The First Global Revolution, publié par le Conseil du Club de Rome, une organisation élitiste internationale, les auteurs notent que :

« En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres choses du même genre feraient l’affaire. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine… Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même ». (([8] The First Global Revolution: Club of Rome, Alexander King and Bertrand Schneider, Pantheon Books, New York, 1991, p. 115.))

Le 5 avril 1994, le Los Angeles Times citait David Pimentel, professeur à l’Université de Cornell, s’adressant à l’American Association for the Advancement of Science, qui déclarait que :

« La population mondiale totale ne devrait pas dépasser 2 milliards d’habitants au lieu des 5,6 milliards actuels ».

Dans Le Courrier de l’UNESCO de novembre 1991, Jacques Cousteau écrivait :

« Le dommage causé à la planète est fonction de la démographie, mais également du degré de développement. Un Américain fatigue la planète beaucoup plus que vingt Bangladeshis… C’est terrible à dire. Il faut que la population mondiale se stabilise et pour cela, il faudrait éliminer 350 000 personnes par jour. C’est si horrible à dire, qu’il ne faut même pas le dire ».(([9] “The Population Controllers,” New American Magazine, 6/27/94, p. 7.))

Dans The Impact of Science on Society (L’impact de la science sur la société), Bertrand Russell a déclaré :

« Actuellement, la population mondiale augmente… Jusqu’à présent, la guerre n’a pas eu d’effet majeur sur cette augmentation… Je ne prétends pas que le contrôle des naissances soit le seul moyen d’empêcher la population d’augmenter. Il y en a d’autres… Si une peste noire pouvait se répandre dans le monde une fois par génération, les survivants pourraient procréer librement sans que le monde soit trop plein… La situation pourrait être quelque peu désagréable, mais qu’en est-il ? Les personnes qui ont un esprit vraiment élevé sont indifférentes à la souffrance, en particulier à celle des autres. »

La société Negative Population Growth Inc. de Teaneck, dans le New Jersey, a récemment diffusé une lettre exposant son objectif à long terme :

« Nous pensons que notre objectif pour les États-Unis ne devrait pas dépasser 150 millions d’habitants, ce qui correspondait à notre taille en 1950. Pour le monde, nous pensons que notre objectif devrait être une population ne dépassant pas deux milliards d’habitants, soit sa taille peu après le début du siècle ».(([10] Documentation disponible auprès de Radio Liberty, P.O. Box 13, Santa Cruz, CA, 95 063.))

Il est impossible d’atteindre ce chiffre par le biais de l’attrition normale et du contrôle des naissances, et il existe suffisamment de preuves pour indiquer que d’autres plans sont à l’étude.

Davantage d’influence New Age

S’exprimant lors du Forum sur l’état du monde organisé par Gorbatchev à San Francisco en 1996, l’écrivain et philosophe du Nouvel Âge, le Dr Sam Keen, a déclaré qu’il existait un large consensus sur le fait que les institutions religieuses devaient assumer la responsabilité principale de l’explosion démographique.

Il a ajouté :

« Nous devons parler beaucoup plus clairement de la sexualité, de la contraception, de l’avortement, des valeurs qui contrôlent la population, parce que la crise écologique, en bref, est la crise démographique. Si l’on réduit la population de 90 %, il n’y a plus assez de gens pour causer beaucoup de dégâts écologiques ».

Les remarques du Dr Keen ont été accueillies par des applaudissements de la part de l’auditoire composé d’adeptes du New Age, de socialistes, d’internationalistes et d’occultistes.

Le mois prochain, nous explorerons quelques cas spécifiques de contrôle de la population, tant caché que flagrant, y compris le lien entre les avortements et le cancer du sein et ce qui s’est réellement passé pendant les massacres au Rwanda.

Cet article a été initialement publié dans le
Personal Update News Journal de septembre 1997