500 millions

[Source et auteur : Lou Laurenz via PG]

Franc-maçonnerie, assassinat de Kennedy, 11 septembre, Apollo 11, guerre mondiale, Khazars… Tous ces événements [ou éléments] ont un point commun. Devinez lequel.

[Voir aussi :
Le Nouvel Ordre Mondial est en route et nous devons le combattre — Rav Dynovisz
La fin du Nouvel Ordre Mondial avant la délivrance finale
Le secret de l’exil juif et le dévoilement du messie
Le mensonge et l’hypocrisie domineront le monde avant la délivrance
La dictature sanitaire aura une fin
L’épouse du Machiah sera une Française
Rav Dynovisz : la délivrance finale viendra de France
Lettre à Myriam Palomba sur les deux religions juives
Histoire juive, religion juive : le poids de trois millénaires, par Israël Shahak
La synagogue de Satan
Le troisième Temple de Jérusalem et l’embrasement de la Terre Sainte – Analyse de Pierre-Antoine Plaquevent
Remise en question de l’ascendance hébraïque et sémitique des juifs ashkénazes
L’importance de l’Ukraine pour le Nouvel Ordre Mondial
La guerre en Ukraine : La cinquième colonne en Russie et le clan Rothschild
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen
L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare]

Liste des intervenants :
Stéphane Blet, Philippe Ploncard D’assac, Pierre Hillard, Henri Guillemin, Tony Miotto, Alain Soral, Pierre Dortiguier, Philippe De Villiers, Johan Livernette, Claire Séverac, André Fontaine, Aldo Stérone, Alexandre Havard.

[Note de Joseph concernant le prétendu virus du SIDA et les armes biologiques « virales » évoquées à un moment dans la première vidéo : celles-ci n’ont jamais pu se propager de manière naturelle et nécessitent une inoculation directe, le plus souvent sous forme de « vaccin » ; aucun virus pathogène n’a jamais été scientifiquement isolé, purifié et caractérisé. L’équipe de chercheurs allemands autour de Stefan Lanka offre un million d’euros au premier virologue qui sera capable d’isoler, purifier et caractériser ne serait-ce qu’un tel virus (censé produire une maladie dite virale). Le prix n’a pas encore été réclamé. Quand un virologue prétend isoler un virus, il ne fait que répéter un vieux rituel qui n’a rien de scientifique, mais ressemble bien davantage à une mauvaise recette de cuisine et ne permet nullement de démontrer scientifiquement la présence de virus pathogènes. Le séquençage génétique opéré en fin du rituel n’est qu’une opération logicielle, une escroquerie intellectuelle.
Voir notamment, dans le dossier Vaccins et Virus :
Pierre Chaillot : « Il est faux de dire que l’on a isolé un virus ».
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Commentaires sur le VIH de Montagnier
Démontage de la théorie virale
Déclaration sur l’isolement des virus
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
et L’enterrement de la théorie virale (qui rappelle notamment ce qu’est la méthodologie scientifique).
En réponse à l’argument « Oui, mais les virus fabriqués en labos p4 ? », voir en complément :
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
L’hypothèse virale pourtant démontrée fallacieuse, voire frauduleuse, perdure depuis des décennies au lieu d’avoir été abandonnée il y a 70 ans, car elle est le fondement d’une bonne partie des recettes financières de Big Pharma (l’autre partie étant la théorie mère, celle des germes pathogènes) et universellement enseignée aux médecins et autres personnels soignants lors de leur formation (ou endoctrinement) universitaire. Et c’est elle qui a notamment permis la justification des mesures prétendument « sanitaires », mais en réalité tyranniques et sanitairement nocives lors de la « plandémie » Covid-19. C’est par son biais que le Nouvel Ordre Mondial se finalise. Elle représente la pierre angulaire de l’édifice mondialiste.
Entretenir l’arnaque virale revient à favoriser la finalisation du Nouvel Ordre Mondial et l’établissement du totalitarisme planétaire. Tant que des gens ont peur de méchants virus pourtant inexistants jusqu’à preuve scientifique réelle du contraire, ils seront enclins à accepter les pires mesures contre eux-mêmes sous prétexte de santé et de sécurité. Pour que l’Humanité connaisse enfin la liberté, il faudra autre chose que seulement dénoncer les vaxins et leurs effets secondaires. Il faudra faire tomber la pierre angulaire qu’est l’hypothèse virale.]

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Référendum volé : deux poids, deux mesures pour le « complotisme » ?

[Source : quebecnouvelles.info]

[Photo : Jacques Parizeau, indépendantiste et 26e Premier ministre du Québec]

Par Philippe Sauro-Cinq-Mars

C’était en 2020 après l’élection présidentielle américaine et la chose m’avait frappé : entre deux articles pour traiter Donald Trump de mauvais perdant et de conspirationniste pour avoir remis en question les résultats de l’élection, Normand Lester publiait un article sur son sujet de prédilection : « Les fraudes électorales lors du référendum de 1995 » ! Le journaliste ayant passé les dernières décennies à étudier cette théorie d’un référendum volé ne voyait aucune contradiction dans le fait de dire qu’après seulement quelques jours, le camp Trump ne disposait pas de preuves suffisantes pour parler de fraude. Mon but ici n’étant certainement pas de confirmer ou infirmer l’une ou l’autre de ces théories, mais simplement d’analyser en quoi notre attitude envers la remise en question des narratifs officiels a évoluée. Car avant de pouvoir prouver une fraude, il faut d’abord se laisser le droit d’être sceptique, mais en 2023, ça vous vaut instantanément d’être taxé de « complotiste ».

Le complotisme normal d’un autre temps

Replacez-vous il n’y a que quelques années ; sans qu’on ne le remarque, les théories « complotistes » étaient tout à fait normalisées, ou en tout cas, on reconnaissait d’emblée la possibilité de complots ou de conspirations aux plus hauts échelons du pouvoir. Déjà, on savait que la guerre en Irak était fondée sur un mensonge et on spéculait que Bush ne voulait que « voler le pétrole » irakien. Et ce n’était pas un mensonge innocent : cette guerre a tellement déstabilisé la région que quelques années plus tard, pratiquement l’ensemble du Moyen-Orient et du Maghreb tombait en guerre civile, avec résultat, au total, des millions de morts.

Mais ça, ce n’est qu’une « conspiration » parmi une multitude d’autres qui formaient jusqu’à récemment un univers social complètement imprégné de cet esprit de méfiance envers les élites. On peut retourner jusqu’à Kennedy : peu de gens doutent encore qu’un président américain ait été assassiné par la CIA. Je vais simplement répéter pour qu’on se comprenne bien : la majorité des gens croient que la CIA a ASSASSINÉ UN PRÉSIDENT EN FONCTION. C’est complètement « mainstream ». On s’entend que les possibles fraudes électorales de Biden, c’est de la petite bière en comparaison.

Et que dire du financement des Contras nicaraguayens par la vente de cocaïne en sol américain par la CIA pendant l’administration Reagan ? Et quid du coup d’État contre Mossadegh. En fait, on pourrait carrément remonter à la Guerre de l’Opium, aux accords de Sykes Picot ou que sais-je ! De manière générale, il était convenu que les grandes puissances et leurs services de renseignements faisaient régulièrement du sale boulot dans les coulisses.

Mais ce n’est pas seulement les sphères politiques qui étaient visées par cet esprit complotiste ; les milieux financiers et les multinationales étaient accusés, parfois encore plus sévèrement, de comploter leur domination mondiale. Particulièrement à gauche, on tenait pour acquis que les puissants formaient des monopoles et écrasaient la compétition par des tactiques déloyales. On tenait pour acquis que des armées de lobbyistes achetaient des passe-droits réglementaires en coulisse pour continuer de polluer et exploiter les gens. Contre quoi pensez-vous que les altermondialistes protestaient lors des grands sommets internationaux ? Contre une mondialisation organisée à huis clos à l’avantage des grandes corporations et de sphères politiques corrompues ! Il n’y avait pas d’ambiguïté là-dessus.

En soi, tout l’imaginaire de gauche est teinté de complotisme ; le marxisme n’est-il pas, dans sa plus simple expression, la théorie d’une caste d’élite (bourgeoisie) qui a volé les moyens de production à une caste d’exploités (le prolétariat) ?

Évidemment, au début des années 2000, on distingue ces contestations sociales du complotisme, jugé plus farfelu, par exemple les histoires d’aliens, de franc-maçons ou de complot juif mondial. La théorie du complot autour du 11 septembre est un peu à mi-chemin, à la limite d’être mainstream, mais quand même déconsidérée. N’en reste pas moins qu’à tous les niveaux, on contestait les élites et les accusait de complot : Monsanto qui accapare des droits sur le vivant, les industries automobile et pétrolière qui auraient « acheté les brevets des voitures électriques pour éteindre leur développement », l’industrie du sucre qui nous rend accros, etc.

Rappelez-vous que ces idées étaient tellement fortes qu’elles ont éventuellement mené à ces mouvements « occupy » autour de 2011, et les manifestants faisaient des blagues de guillotine devant Wall Street… Il serait tentant de penser que ça a eu un gros impact, et que les puissants ont dû réfléchir à une manière de calmer ces éruptions populaires dans les années suivantes… Mais je ne fais que spéculer, évidemment ! Je ne voudrais pas démarrer une nouvelle théorie conspirationniste !

La méfiance québécoise

Maintenant, le Québec, en tant que nation conquise, ayant connu une histoire marquée par les trahisons, de la conquête au référendum de 1995 en passant par le serment du test, le rapport Durham, l’acte d’union, le paiement de la dette du Haut-Canada, le rapatriement de la constitution et j’en passe, a développé un esprit particulièrement « complotiste » envers les élites anglaises ou fédérales.

Il n’y a pas seulement les soupçons d’un vol du référendum de 1995 qu’on puisse associer à une remise en question du narratif officiel et à un « complot » pour maintenir le Québec dans la fédération. Pensez simplement à la « nuit des longs couteaux », où Pierre Elliott-Trudeau et les ministres des autres provinces ont signé la constitution en laissant dormir René Lévesque ! Certains Québécois refusent encore aujourd’hui de reconnaître que le Québec fait partie de la constitution canadienne !

Et que dire de toutes ces commissions d’enquête des dernières décennies, sur le scandale des commandites, l’industrie de la construction, la nomination des juges, etc. Un niveau de corruption ahurissant a été dévoilé et est reconnu de tous. Et qui dit corruption dit fraude et complots. Personne n’est dupe sur le fait que l’État, le gouvernement et les milieux d’affaires sont constamment parasités par de la corruption.

Maintenant, beaucoup de Québécois pensent à raison que le Canada « post-national » de Justin Trudeau veut noyer le Québec dans une vague migratoire sans précédent ; tout dépend de la formulation, évidemment, mais même les principaux partis nationalistes le disent à mots couverts.

Personne n’oserait traiter les souverainistes de complotistes lorsqu’ils soulignent ces différentes fraudes ou conspirations pour empêcher l’indépendance et l’émancipation québécoise. Personne ne contredit réellement que de nombreuses preuves démontrent des irrégularités lors du référendum de 1995. D’ailleurs, il est commun de reconnaître qu’avec un peu de recul, l’affirmation incendiaire de Jacques Parizeau comme quoi le référendum a été perdu à cause de « l’argent et des votes ethniques » était assez légitime.

L’ère de la « post-factualité »

Mais voilà, en 2023, il semblerait que toutes les remises en question qui sont un peu trop d’actualité sont taxées de « complotisme ». On fait la guerre aux « coucous » et l’ostracisme social bat son plein.

D’abord, la montée populiste de Trump et un tout nouveau type d’activisme moqueur sur les réseaux sociaux semble avoir activé une panique dans les médias traditionnels. Si la désinformation existait déjà sur le web, la politisation radicale des contenus à partir du milieu des années 2010 et une polarisation extrême causée par le débat sur la réponse à la montée islamiste a fourni des justifications pour réglementer et censurer les contenus web.

En fait, dès le lendemain de l’élection de Trump, les médias, qui lui prédisaient une défaite cuisante, se justifient en accusant « l’ère de la post-factualité ». Au même moment, Trump réalise que le gouvernement précédent a mis sa campagne sous écoute afin de trouver quelque chose de compromettant à son sujet. C’est alors que les démocrates sortent la théorie tout à fait conspirationniste du « Russia-Gate », où on prétend que Trump aurait obtenu de l’aide de la Russie.

Carrément, on peut dire que toute cette histoire de collusion entre Trump et la Russie était précisément un rejet des résultats de l’élection de 2016. Les démocrates ont contesté cette élection pendant tout le mandat de Trump, utilisant des hashtags comme #NOTMYPRESIDENT et tentant à deux reprises de le destituer ! C’était la définition même d’une théorie du complot, il est donc curieux de voir comment la théorie d’une fraude électorale en 2020 est moins prise au sérieux, cette fois, puisque portée par les Républicains.

Quoiqu’il en soit, on voyait déjà à ce stade s’établir une nouvelle démarcation entre « l’acceptable » et le « complotisme », qui suivait étrangement des lignes partisanes en défaveur de la droite. Les médias traditionnels et une gauche étrangement enlignée avec des élites de plus en plus woke commençaient à accuser cette nouvelle droite de propager des « théories du complot » d’extrême droite. Remarquez d’ailleurs l’ironie : cette nouvelle droite répudiait définitivement le néo-libéralisme pour épouser une position plus identitaire et altermondialiste… Et la gauche, anciennement altermondialiste et opposée au néo-libéralisme accusait désormais la droite de complotisme. Ça ne s’invente pas…

Enfin, la pandémie a scellé définitivement cette ambiance de maccarthysme anti-complotiste en Occident. Le nécessité de solidarité sociale face à l’incertitude du virus, l’application de mesures d’urgence, le partage d’une situation collective intensément vécue ; tout ça a contribué à la formation d’un unanimisme intransigeant. Toute critique était désormais perçue comme une rébellion dangereuse, toute remise en question comme la propagation de théories dangereuses. Du jour au lendemain, se méfier de l’industrie pharmaceutique, des gouvernements et de leurs ententes internationales est devenu automatiquement conspirationniste.

Vous vous rappelez du lab de Wuhan ? Cette théorie était considérée comme complotiste pendant plus d’un an, et ce même si les agences de renseignements en faisaient la théorie la plus probable. Je répète : les agences de renseignement américaines, canadiennes, britanniques, australiennes et néo-zélandaises étaient tous d’accord que le virus s’était probablement échappé du laboratoire, mais parce que nos médias disaient le contraire, affirmer la même chose était proscrit. On peut parler aussi de l’efficacité des masques, du vaccin et des allégements réglementaires ayant accéléré sa production. On peut parler aussi des coûts psychologiques et économiques des mesures sanitaires, parfois extrêmement sévères. Et on peut aussi se rappeler la panique omicron, où des journaux publiaient, noir sur blanc, qu’il fallait « écœurer » les non-vaccinés et les « covidiots » pendant que le Premier ministre tentait de leur faire payer des impôts supplémentaires… Et c’est sans parler du passeport vaccinal et de l’exclusion sociale engendrée.

La ligne était désormais clairement définie : d’un côté, les gens bien qui acceptent absolument toutes les directives gouvernementales et leur narratif, et de l’autre, les « coucous » conspirationnistes qui osent « contredire la science » et qui sont un danger public à éliminer.

C’est à l’histoire d’en juger

J’ai une relation spéciale avec le conspirationnisme. Je ne pourrais nier l’existence de conspirations, puisque mon ancêtre en a fomenté une et en a payé de sa tête.

En effet, Henry Ruzé d’Effiat, dit Marquis de Cinq-Mars, était un proche du roi Louis XIII et avait développé une forte rancune contre le célèbre Cardinal Richelieu, qui agissait comme ministre du roi. Il a donc fomenté un complot avec quelques nobles et le Royaume d’Espagne afin d’assassiner Richelieu et restituer des territoires pris à l’Espagne quelques années auparavant. Une armée espagnole était aux frontières, prête à agir, mais le complot échoua et Cinq-Mars fut pendu sur la place des terreaux, à Lyon.

C’est probablement ce qui est rassurant par rapport aux conspirations : vient un temps où il n’est plus controversé de les admettre.

Dans une perspective historique, la polarisation des camps qui s’affrontent n’est plus la même, et on peut analyser la chose à tête reposée. En ce sens, même si ça demeure relativement récent, faire la lumière sur les fraudes du référendum de 1995 apparaît comme une activité plutôt apaisante en comparaison avec la toxicité des débats autour de l’élection présidentielle américaine de 2020. Disons qu’un sujet est considéré comme tout à fait acceptable, tandis que l’autre vous vaut l’opprobre public.

Mais il faudra un jour reconnaître que rien n’est tout noir ou tout blanc, et que pour remettre en question les résultats du référendum de 1995, il a d’abord fallu qu’on se permette, en tant que société, de remettre en question le narratif officiel. Et que jamais les peuples ne devraient baisser leurs gardes face à la corruption de leurs élites. Un jour, tout finit par se savoir, et l’histoire finira par trancher.




Le Forum Économique Mondial nous promet l’esclavage par l’Intelligence Artificielle

[Source : fr.gatestoneinstitute.org]

[Illustration : photo de Fabrice Coffrini/AFP via Getty Images]

Par J.B. Shurk

Traduction du texte original : The World Economic Forum’s ‘AI Enslavement’ is Coming for YOU!

La mission du Forum Économique Mondial (World Economic Forum, WEF) est remarquablement simple : le gouvernement mondial doit être confié aux meilleurs et aux plus intelligents. En langage WEF, un schéma de supervision totale et de modification du comportement créera un avenir « durable » pour l’humanité. Les humains sont perçus comme des « choses » à compter, mélanger, catégoriser, étiqueter, surveiller, manipuler et contrôler. Ils deviennent de simples rouages ​​de la grande machine technocratique transhumaniste du WEF. Sur la photo : le fondateur et président exécutif du WEF, Klaus Schwab, à Davos le 23 mai 2022.

[Sur l’IA voir aussi :
Le danger manifeste et actuel de l’IA
https://www.anguillesousroche.com/intelligence-artificielle/un-expert-en-ia-affirme-que-chatgpt-est-beaucoup-plus-stupide-que-les-gens-le-pensent/
La Tyrannie Numérique
Des membres du personnel de Google avertissent des dangers de Bard AI
D’après le physicien Philippe Guillemant, l’IA GPT-4 est une mystification annonciatrice d’une maladie]

Quand Sir Thomas More a écrit sa satire sociopolitique sur une société insulaire fictive dans le Nouveau Monde, il l’a baptisée Utopia, un terme inventé dérivé du grec et signifiant « non-lieu ». More a eu beau expliquer avec humour que sa communauté idéalisée n’existait nulle part, des planificateurs centraux sont demeurés imperméables à la plaisanterie et, de siècle en siècle, ont poursuivi le fantasme de sociétés utopiques. Pire encore, chaque fois qu’une communauté religieuse pacifique a cherché à se séparer de la civilisation moderne, un tyran avide a surgi qui a entrepris d’imposer sa volonté à tous les autres.

À chaque génération, un mégalomane se lève pour proclamer : « si le monde fait exactement ce que je demande, je lui offrirai le paradis sur Terre ». Habituellement, ces personnalités narcissiques entrent dans l’Histoire avec l’étiquette de bouffons vaniteux ou de tyrans sanguinaires — et le plus souvent les deux.

Aujourd’hui, Klaus Schwab, leader du Forum économique mondial (WEF), promet un « Great Reset » (Grande Réinitialisation) à l’humanité. Son Utopia combinera une technologie de précision, une gestion centralisée des ressources de la Terre, la surveillance attentive des citoyens, la fusion de l’intelligence humaine et artificielle et la centralisation du pouvoir politique entre les mains d’une petite classe de professionnels à l’expertise reconnue. Bien que le WEF ait passé les 50 dernières années à organiser des conférences, à publier des propositions politiques et à mettre en relation les leaders mondiaux de l’industrie, de la banque, des technologies de l’information, de la collecte de renseignements, de la stratégie militaire et de la politique, son objectif est remarquablement simple : les meilleurs et les plus intelligents devraient gouverner le monde.

Hormis ses prétentions à « sauver le monde » d’une croissance démographique incontrôlée et d’une apocalypse climatique, le WEF ne présente rien de nouveau sous le soleil. Ses racines plongent deux millénaires et demi en arrière quand Platon, le philosophe grec, a proposé que la cité-État idéale soit gouvernée par des « rois philosophes ». Tout comme Platon, les « élites » mondialisées du Forum économique mondial ont passé le monde au crible et en ont conclu — faut-il s’en étonner ? — que les sages devraient prendre le pouvoir. Loin de promouvoir une quelconque idée nouvelle, Schwab et ses acolytes marchent sur les traces d’un Grec de l’Antiquité. Depuis un demi-siècle, les membres du WEF sont en quête d’un gouvernement mondial parfait. Nul besoin de demander l’avis des populations occidentales concernées, Ô surprise, ces « rois philosophes » se sont autoproclamés dirigeants du monde. Comme c’est pratique !

Comme toutes les utopies qui eu lieu précédemment, le nouvel ordre mondial du WEF s’avère remarquablement centralisé. Les « experts » du climat désigneront les types d’énergie que les entreprises et les consommateurs seront autorisés à utiliser. D’autres « experts » en durabilité établiront la liste des aliments autorisés (principalement aux non-membres de l’« élite »). Des « experts » de la désinformation détermineront ce qui mérite d’être connu et débattu. Des « experts » de la santé calculeront le nombre de « vaccins » toujours plus récents qu’il convient d’injecter à chacun ; ils diront également si les citoyens doivent être confinés « pour leur propre bien » et si des masques faciaux doivent être portés pour mesurer le niveau d’obéissance de la population. Les « experts » de l’extrémisme détermineront les types de discours « nuisibles ». Les « experts » du racisme expliqueront à tous que certains groupes sociaux bénéficient d’un « privilège » indu. Des « experts » de l’inégalité redéfiniront le droit de propriété et les groupes que l’État doit récompenser. Des « experts » de tout ce qui est nécessaire à l’État expliqueront que l’État agit raisonnablement à chaque étape du processus. Bien entendu, la liberté de pensée, la liberté d’expression, les droits individuels, et d’autres libertés personnelles ne figurent pas au programme de l’avenir conçu par le WEF pour la bonne raison qu’ils sont étrangers à l’expertise approuvée par les rois philosophes. À aucun moment, les besoins, les désirs ou les préoccupations d’un individu ne devront entraver le « souverain bien ». C’est la vision terne de l’Utopia version Schwab.

Pour réussir, Schwab et le clan WEF utiliseront les nouvelles technologies. Elles serviront à affaiblir la race humaine plutôt qu’à la renforcer. Chacun est déjà familiarisé avec les conditions de son futur asservissement. Les monnaies numériques de la banque centrale permettront aux gouvernements non seulement de suivre les revenus et les dépenses de chaque citoyen en temps réel, mais aussi de limiter les dépenses d’une personne en fonction de son score de « crédit social ». Ce dernier aura été déterminé par le gouvernement, ou relativement aux infractions commises envers le « bien commun » ou peut-être en raison de la détention injuste d’un « privilège systémique ». Les passeports numériques de vaccination autoriseront non seulement un suivi universel des déplacements de chaque personne, mais garantiront également le respect — avec punitions à la clé — des futures ordonnances obligatoires lors de la proclamation des « urgences sanitaires ». Des empreintes carbone personnelles seront créées qui mesureront le niveau de « culpabilité » de chaque individu dans le changement climatique d’origine humaine. Ces empreintes carbone auront pour conséquence d’enregistrer tout ce qu’une personne mange et chacun de ses déplacements, tout en « incitant » constamment chaque citoyen à modifier son comportement, à l’aide de récompenses et de sanctions numériques. Il va sans dire que des pouvoirs aussi omnipotents inciteront tous les gouvernements à multiplier les atteintes à la vie privée tandis que les « urgences sanitaires » deviendront de plus en plus nombreuses tandis que les « incitations » et autres coups d’épaule (nudge) du gouvernement se feront chaque fois plus intrusifs.

Ce descriptif semble plus dystopique qu’utopique et ressemble à s’y méprendre à une prison indésirable surveillée par des matons gouvernementaux qui n’ont de comptes à rendre à personne. Mais telle est la situation. Les fanatiques du WEF ne cachent même plus leurs intentions, allant déjà jusqu’à promouvoir la construction de « Villes intelligentes » ou de « Villes de Quinze Minutes » dans lesquelles il est prévu d’entasser des dizaines de millions de personnes vivant côte à côte dans de petits complexes d’appartements et se déplaçant dans un labyrinthe d’entrées et de sorties accessibles uniquement à l’aide de clés numériques individualisées. L’objectif est de créer un panoptique numérique mettant en œuvre tous les programmes de surveillance ci-dessus, pour fournir aux futurs dirigeants un contrôle absolu, plongeant le monde dans un état permanent d’incarcération docile. Dans le langage du WEF, ces schémas de surveillance totale et d’incitation à la modification des comportements créeront un avenir « durable » pour l’humanité. Il ne fait aucun doute que les gardiens de prison ressentent la même chose lorsque les condamnés sont gardés derrière les barreaux dans des rangées de cages sécurisées. La différence est que dans l’Utopie du WEF, aucun crime n’a besoin d’être commis pour se voir infliger les « récompenses » injustes de Schwab.

Si les Occidentaux prenaient conscience de ce qui les attend, ils risqueraient l’apoplexie et résisteraient au nouvel ordre mondial du WEF. C’est ce qui explique que la guerre la plus importante jamais menée est celle qui n’est jamais discutée ouvertement dans la presse : la guerre secrète de l’information. Lorsque les gens sont autorisés à débattre ouvertement d’idées sur la place publique (y compris les médias sociaux et les pages Web libres de toute interdiction de la part des moteurs de recherche), ce « marché libre » mène les idées là où les gens qui débattent ont envie de les mener. Mais pour que les « narratifs » mis au point par les gouvernements survivent, mais aussi dominent toutes les opinions dissidentes, les plates-formes alliées au gouvernement doivent faire pencher la balance de la liberté d’expression en leur faveur en ridiculisant, censurant voire en criminalisant les pensées et les paroles dissidentes. Sur tout autre marché, une telle ingérence serait considérée comme une entente anticoncurrentielle qui viole les lois antitrust. Mais parce que les acolytes du Forum économique mondial traitent le droit d’échanger des idées contradictoires comme une « désinformation » dangereuse, le « libre marché des idées » s’est transformé en un « espace sûr » contrôlé pour les amis du gouvernement.

Que se passe-t-il lorsque l’ambivalence du gouvernement envers la liberté d’expression rencontre la force technocratique amorale de l’Utopia mondiale du WEF ? Eh bien, comme l’a récemment proclamé Herr Schwab au Sommet mondial des gouvernements de Dubaï, à l’occasion d’un débat sur l’intelligence artificielle (IA), les chatbots et les identités numériques : « Celui qui maîtrise ces technologies sera — d’une certaine manière — le maître du monde ». (Après une telle déclaration, le projet de gouvernement mondial peut-il être toujours qualifié de « théorie du complot » ?) Si le WEF contrôle le monde numérique, alors il contrôlera essentiellement le peuple. Certaines idées qui relevaient autrefois de la science-fiction deviennent aujourd’hui réalité : les technocrates du WEF ont même un plan pour « pirater » l’esprit des salariés en surveillant et en décodant leurs ondes cérébrales.

Google est à la pointe de ce combat pour le contrôle de la pensée : le géant de la recherche sur Internet a en cours un programme de « pre-bunking » destiné à « immuniser » les gens contre la « propagande » ou la « désinformation ». En d’autres termes, il s’agit d’endoctriner les internautes bien intentionnés avec une propagande brassée maison et estampillée Google. En manipulant ses utilisateurs à leur insu, le mastodonte des moteurs de recherche pense pouvoir conjurer les idées concurrentes. Génial !

Bill Gates, le fondateur de Microsoft, est du même avis. Au journal allemand Handelsblatt, l’expert autoproclamé des vaccins a affirmé que les technologies de l’IA représentent de puissants outils de lutte contre la « désinformation numérique » et la « polarisation politique ». Cette déclaration fait suite à une découverte récente selon laquelle Microsoft s’est servie d’un think tank britannique, Global Disinformation Index (GDI), pour inscrire discrètement les médias conservateurs américains sur une liste noire de manière à les priver de revenus publicitaires. Le comble ? Le département d’État américain a financé le « travail sur la désinformation » du GDI en versant des fonds publics à l’association National Endowment for Democracy et à sa filiale Global Engagement Center pour que ces fonds soient ensuite reversés à GDI, juste avant que GDI ne blanchisse la sordide discrimination des idées prônée par Microsoft et d’autres entreprises derrière un mince voile d’« objectivité ».

Fidèles aux préconisations du WEF de construire un partenariat tout-puissant entre le secteur privé et les autorités gouvernementales, Microsoft et le Département d’État ont trouvé le moyen de saper la dissidence en demandant à une organisation tierce, GDI, de qualifier de « désinformation nuisible » tous les discours inscrits sur sa « Liste d’exclusion dynamique ».

Partout en Occident — Allemagne, Canada, Suisse, Belgique — des médias financés par des fonds publics travaillent ensemble à « développer des solutions en ligne » pour contrer « les commentaires haineux et la désinformation croissante ». Qu’est-ce qui pourrait mal tourner lorsque des institutions contrôlées par l’État s’entendent pour contrôler l’information ? Comme en a témoigné Yoel Roth, ancien responsable « Confiance et Sécurité » de Twitter, devant le Congrès, « la liberté d’expression illimitée se traduit paradoxalement par moins de parole, pas par plus ». De cette norme orwellienne du double langage, la frontière entre la protection de la liberté d’expression et la censure pure et simple passe par le fait de savoir si l’orateur articule un point de vue conforme aux idées de la coalition des titans de la Big Tech et des autorités gouvernementales ou non. Dans l’Utopia de Schwab, la véritable liberté d’expression n’a pas sa place.

Que se passe-t-il lorsque la censure est entièrement contrôlée par les outils numériques de l’intelligence artificielle (IA) ? Certains dirigeants politiques ont lancé un avertissement sur la « menace existentielle » que l’IA fait courir à l’humanité. Et des pionniers de la technologie comme Eric Schmidt, ancien cadre supérieur de Google, reconnaissent bien volontiers que les systèmes informatiques alimentés par l’IA devraient être considérés comme des équivalents nucléaires. Cela n’empêche pas la ruée vers une Utopia structurée par l’IA de se poursuive à toute allure. Toute personne saine d’esprit devrait réclamer du temps pour la réflexion. Car les biais cognitifs des Gates, Schmidt et autres « élites » de la Big Tech se répercuteront très certainement en biais numériques au sein de tout système d’intelligence artificielle.

ChatGPT, un logiciel d’intelligence artificielle lancé à la fin de l’année dernière, manifeste d’ores et déjà d’effrayants partis pris politiques. Il a ainsi expliqué qu’une insulte raciale était bien pire que l’anéantissement d’une ville par une bombe nucléaire. Une autre fois, ChatGPT a justifié l’annihilation des électeurs de Trump comme un mal nécessaire à la « défense de la démocratie » et a réclamé le blocage des « discours dangereux », tout en affirmant simultanément que « l’IA ne devrait pas permettre d’attenter à la liberté d’expression » des partisans de Biden. Quant au chatbot d’IA de Microsoft, à peine avait-il commencé de fonctionner qu’il a menacé ses utilisateurs.

Ces premiers signes troublants accréditent la comparaison de Schmidt entre l’IA et une bombe nucléaire. Mais les scientifiques impliqués dans le projet Manhattan de construction d’un engin nucléaire n’avaient pas — contrairement aux élites du WEF — le désir inextinguible de retourner ces armes impressionnantes d’IA contre les peuples occidentaux dont ils sont eux-mêmes issus.

De toute évidence, si le Forum économique mondial de Schwab se voit en maître du monde d’une utopie à base d’IA, cette dernière n’a que peu d’utilité pour les êtres humains. Dans ce système, le genre humain n’est plus qu’une « chose » qu’il faut compter, mélanger, catégoriser, étiqueter, surveiller, manipuler et contrôler. Chacun devient un rouage ​​de la grande machine technocratique transhumaniste du WEF — utile pendant un temps, peut-être, mais à terme un fardeau qu’il faut nourrir, loger et dont on peut logiquement se passer. Si l’intelligence artificielle peut élaborer la réflexion dont Schwab a besoin et soutenir les idées qu’il adore, alors les humains vont finir par représenter un obstacle. Plus le Forum économique mondial avancera dans son utopie centralisée, plus la « chosification » de la race humaine avancera à pas de géant vers son élimination.




Conspiracy Watch, Rothschild et la Shoah

[Source : Jean-Dominique Michel]

Cette officine de propagande [Conspiracy Watch] déploie son activité de désinformation et de manipulation de l’opinion aux frais du contribuable et de David de Rothschild. Tout en invoquant la mémoire des déportés. We have a problem…

[Voir aussi :
Pouvoir et médias : main dans la main pour torpiller l’info]

[Cependant, concernant les « virus », voir notamment :
Pourquoi s’inquiéter de vaccins quand l’hypothèse virale n’a jamais été démontrée après plus de 70 ans de tentatives faussement scientifiques ?
Dr Sam Bailey — Pourquoi les pathogènes n’existent pas
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
et autres articles du dossier Vaccins et virus]




Les abolitionnistes de frontières sont des nihilistes néonazis

Par Lucien SA Oulahbib

Pour injecter mortellement votre chien dites qu’il a la rage. Pour masquer votre nihilisme et votre adoration paganisée du chaos en défendant mordicus l’abolition des frontières au profit (voilé) du Reich Global, dites que « les racistes de l’extrême droite instrumentalisent l’immigration ». Vous aurez alors toute l’attention de la propagande nihiliste néonazie au pouvoir visant à détruire nations et individualités en ce sens où ce néonazisme en absorbant le léninisme et le néoléninisme (le queerisme déconstructiviste des feus soixante-huitards) est devenu non plus « national » mais « international », celui du socialisme étatiste sans frontiéristes dirigé par une technocratie globaliste nihiliste sans foi ni loi (tout en affichant un visage d’ange, celui de « la Bête de l’événement ») à la solde d’une Secte richissime et activiste (Soros, Gates, et consorts…). Celle-ci a mis sur pied une machine de guerre pire que l’Inquisition (qui était modératrice en réalité, tant les dénonciations pullulaient…), celle d’une traque implacable et tragique contre les nouveaux hérétiques (nommés « complotistes », parce qu’ils la dénoncent justement). Elle cherche ainsi à épurer le « sang impur » en vue de rebâtir enfin une nouvelle stratification pyramidale planétaire (les « rien » et « sans dents » en bas et les « éveillés » en haut), tout en le niant bien sûr farouchement avec des mines de vierge effarouchée : ainsi en France telle animatrice sur France-Inter ou telle dirigeante de la NUPES ; aux USA telle dirigeante démocrate niant les dernières révélations du rapport Durham lui-même édulcoré par ailleurs

Cette propagande nihiliste néonazie va par exemple monter en épingle, d’un côté, telle mise en exergue d’un assassinat crapuleux, celui de la très jeune Lola en France, effectuée pourtant par une personne non française et illégalement installée en France qui avait de ce fait bel et bien eu une injonction, formelle, de quitter le territoire, tandis que, de l’autre côté, cette propagande, putride, mettra en avant tel incendie comme l’habitation d’un maire qui voulait se substituer à l’ONU en installant sans en demander la permission aux habitants un centre de migrants alors que ces deux faits, l’incendie et l’installation, ont des causes distinctes, quand bien même existerait-il une corrélation que l’enquête n’a cependant pas encore établie d’ailleurs…

Or, en amalgamant, d’entrée de jeu, de manière vulgaire même, la stupeur horrifiée envers un assassinat tellement sordide, et l’incendie en effet inqualifiable d’un élu comme « preuves » ultimes de la « montée de l’extrême droite » cela revient seulement à détourner l’attention pour mieux noyer le fait que la meurtrière de Lola (assassinée avec préméditation) n’avait rien à faire en France depuis longtemps d’une part, et que l’incendie en question, d’autre part, n’enlève rien au fait que certains militent bel et bien pour une abolition des frontières, ce qui est également criminel même insidieusement opéré.

Ce qui fait que ce sont des créatures obscènes en ce sens où elles mettent en scène ce qui n’a pas lieu d’être, détruisant la scène constitutionnelle de la souveraineté nationale française garantie pourtant par les articles, irréfragables, du Bloc de constitutionnalité, en niant de fait l’existence de frontières et de lois sommant au départ lorsqu’il y a lieu, noyant ainsi le poisson en tentant de faire croire qu’au fond l’assassinat de Lola et l’installation forcée de centres à migration (véritables têtes de pont sans frontiéristes) seraient principalement des « inventions de l’extrême droite »…

« Cachez ce sein que je ne saurais voir ». Le meurtre odieux et sordide de Lola violée et découpée ne serait plus qu’un fait divers (ou d’été) et l’installation de centres à migrants ferait seulement preuve de générosité envers une population ayant été « dominée » autrefois, d’où la nécessité d’une repentance… permanente, alors que tout ceci est faux après plus de soixante ans de décolonisation. Il suffit d’ailleurs de comparer deux pays ayant eu des conditions bien difficiles au départ (et pour une part liée à des déchirures internes multiformes et toujours vivaces), la Corée du Sud et l’Algérie, pour bien comprendre que d’autres facteurs sont bien plus en jeu que « la » seule colonisation quant au développement de l’une et la régression avancée de l’autre…

Toute cette propagande, déjà nihiliste à la base (avec le queerisme comme seul mode d’accès à tout désir possible) s’avère être à la solde des affairistes de la Secte globaliste néonazie (SHAA) avides d’une main-d’œuvre bon marché et sexuellement exploitable (jeunes éphèbes et autres nymphes colorés) sans parler de la prostitution et du trafic d’organes, alors que cette question migratoire EST une affaire d’abord mondiale qui ne peut donc être traitée qu’au niveau des institutions onusiennes et même pas au sein de l’UE…

D’où la confirmation de plus en plus affirmée, démontrée par les faits, qu’il ne sert somme toute à rien de se mettre sur une position défensive avec un ton quelque peu justificatif et teinté d’agressivité blessée comme le font certains dont Éric Zemmour (récemment sur RTL le 21/05/23) alors qu’il s’agit surtout, d’abord, de souligner que la France ne peut pas résoudre la question à elle seule de « la misère du monde » et qu’il faut donc instamment, quitte à opérer la politique dite de « la chaise vide », sommer TOUTES les instances mondiales de prendre en charge cette question, jusqu’à exclure de l’ONU les États qui refuseraient d’opérer les réformes adéquates permettant que leur population reste dans le pays pour le développer au lieu de s’enfuir ainsi…

Et la fuite en avant visant à les « aider » en permanence, tout en effaçant leurs dettes au fur et à mesure ne sert à rien sinon à reculer comme mieux sauter, à l’instar de cette monumentale dette publique et privée qui un jour ou l’autre va exploser, au fur et à mesure que nous allons entrer dans la quatrième guerre mondiale (la 3e ayant été la guerre froide). Celle-ci a d’ailleurs déjà entamé son amorce avec l’injonction sanitaire, puis les préliminaires de la guerre contre ces anti-queeristes que sont devenus les Russes et derrière eux le reste du monde, avec en arrière fond l’injonction climatique visant à forcer les individus à ne plus être aussi autonomes, aussi mobiles, à les drainer peu à peu et de plus en plus vers le seul monde de la virtualité (déjà par la drogue des séries déconstructivistes), tandis que l’élite de la Secte peut vaquer avec morgue à ses occupations globales, le tout « au nom » de la « Transition » (ou le triomphe sur le tard de Trotski avec son « Programme de Transition »).

Le plus regrettable dans cette histoire de plus en plus sordide est que les réels défenseurs de la souveraineté nationale à la française (la Nation comme communauté de sol et non pas seulement de sang) sont bien loin de s’unir, au-delà de leur singularité, pour empêcher que puisse continuer à nuire ainsi cette absolue infamie de type hygiéniste, eugéniste, racialiste, affairiste ou le réel néonazisme en marche (décrit également par Arièle Bilheran) qui n’a plus rien à voir avec le pseudo néonazisme des adorateurs actuels du feu palefrenier wagnérien paganisé qui ne savent quoi faire d’ailleurs de l’épée de Charlemagne tant il n’a pas compris ce qu’elle signifie.

Seulement, face à cela, seule la division prévaut, et aussi l’opportunisme confondant surface médiatique et profondeur analytique, et qui découvre ici et là le nihilisme, là-bas l’affairisme (appelé faussement « néo-libéralisme » alors que la financiarisation a toujours été présente, lire le 18 Brumaire… de Marx), plus loin le scientisme hygiéniste, et le tout appelé pompeusement « wokisme » alors que cela fait depuis des décennies qu’une poignée de penseurs (dont je suis) tentent (vainement) d’alerter sur les racines idéologiques multiformes de ce « tout » et son instrumentalisation accélérée par la technostructure standardisée et élevée désormais en secte globale ayant comme visée la reconstitution d’une ligue dissoute, celle du retour vers la barbarie assumée ou la servitude comme structure sociale, colonne vertébrale, quand bien même l’adhésion à son émergence serait-elle « volontaire », effaçant ainsi des siècles d’humanisme, comme le désirait Foucault, leur maître en queerisme, lorsqu’il disait dans les Mots et les choses que le visage de l’Homme s’effacera sur le sable de l’Histoire comme s’il n’avait jamais existé (admirez d’ailleurs la tentative de voiler cet aveu)

Mais celui-ci sera défendu par un Finkielkraut, une Hélène Banoun, un Vincent Pavan (du CSI) sans se rendre compte des conséquences pour la « cause » qu’ils mettent en avant, alourdissant encore plus, s’il en est, la division (mais un pas positif a été franchi à Saintes récemment lors d’une réunion importante des dénonciateurs de la Secte qui ont pu s’expliquer longuement sur son injonction hygiéniste)…




Le retour de flamme végétalien : La vérité derrière l’agenda antimatière animale

[Source : Cogiito vie Sott.net]

Par Jan Wellmann

D’ici à une dizaine d’années, notre table ne contiendra plus d’aliments à haute densité, naturels et d’origine animale. Un examen plus approfondi de l’ordre du jour explique pourquoi il est nécessaire de commencer à planifier l’autosuffisance.

Dites-moi ce que vous mangez

« Dites-moi ce que vous mangez, et je vous dirai qui vous êtes », écrivait le gastronome français Jean Anthelme Brillat-Savarin dans son livre Physiologie du goût paru en 1825. 1

Friedrich Nietzsche s’est rallié à cette idée dans Ecce Homo près d’un siècle plus tard. Nietzsche a essayé le végétarisme, mais a conclu que la modération et l’équilibre en toutes choses étaient préférables, tout comme Brillat-Savarin, qui mettait également l’accent sur le plaisir et la qualité de la nourriture.

Un siècle plus tard, il est à nouveau temps de se rappeler que oui, en effet, « nous sommes ce que nous mangeons », car les ingénieurs sociaux visent à éliminer les aliments à haute densité d’origine animale – tels que la viande, les produits laitiers et les œufs – et à les remplacer par des aliments de synthèse d’origine végétale.

Par « plantes », nous n’entendons pas les êtres vivants qui poussent dans la nature, mais des variantes obtenues en laboratoire et fabriquées en usine.

Elles représentent l’un des nutriments les plus nocifs et les plus répandus, car elles endommagent le tractus gastro-intestinal, sapent l’équilibre microbien et perforent la muqueuse intestinale, pierres angulaires de nos systèmes digestif, immunitaire et endocrinien. 2

Que nous aimions ou non l’idée de nutriments à faible densité, manipulés génétiquement et fabriqués chimiquement n’a pas d’importance. Ce qui compte, c’est d’optimiser l’impact en CO2 de nos futures calories sans détruire la planète.

Cette histoire émotionnelle, psychologiquement calibrée, est composée à 50 % de cosmétiques et à 50 % de conneries.

Le véritable objectif est le contrôle

Comme Henry Kissinger, grand précepteur de Klaus Schwab et porte-parole du clan du gouvernement mondial, aurait dit : « Qui contrôle l’approvisionnement en nourriture contrôle les gens ; qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. » 3.

Il n’est pas nécessaire d’être un adepte de la théorie du complot pour se rendre compte que ces tangentes sont aujourd’hui pleinement engagées. Nous nous dirigeons vers un système d’enclos humain. Une fois à l’intérieur, la sortie sera difficile.

Nous nous concentrerons sur l’aspect alimentaire ci-dessous parce qu’il aura l’impact le plus immédiat et le plus profond sur ce que l’espèce humaine deviendra demain. Si nous ne parvenons pas à arrêter le vecteur actuel, nous serons confrontés à une population catastrophiquement plus malade et plus faible, qui dépendra des produits pharmaceutiques, des stimulants et d’une nounou pilotée par l’IA.

Une grande partie de la population a déjà subi un lavage de cerveau pour croire que la prochaine version sans viande du régime alimentaire américain standard (SAD) sera bénéfique pour les humains et la planète.

Une fois que l’on vous aura expliqué les avantages des hamburgers synthétiques végétaliens, une simple image d’un dîner au steak pourra activer les mots « cholestérol », « soins intensifs » et « défibrillateur » dans votre subconscient, ainsi qu’une animation GIF de vous, en train de vous tordre sur un canapé de télévision à cause d’une attaque coronarienne.

Vous verrez peut-être aussi des vaches dans des pâturages pastel péter des nuages de méthane, responsables de l’engloutissement de Bangkok, de la Nouvelle-Orléans, de Miami et de Venise sous la montée des eaux. N’oubliez pas les calottes glaciaires qui fondent, les ours polaires qui se noient, leurs petits qui meurent de faim et vos rêves de visiter Rome, en Italie, qui s’évaporent parce que le sud de l’Europe est en train de devenir une partie du Sahara.

Des choses terribles se produisent lorsque vous n’avez pas le courage moral de refuser un steak.

Il faut des décennies de récits élaborés pour en arriver à ce niveau d’abrutissement. Il faut un siècle d’opérations psychologiques pour faire avaler le discours anti-viande comme s’il s’agissait d’une série d’arguments scientifiques.

Malheureusement, ce n’est ni la première ni la dernière fois que nous nous faisons avoir.

Un précurseur historique : L’escroquerie sur le cholestérol

L’élimination progressive de la viande éclipsera probablement les dommages causés par l’élimination progressive des graisses saturées, qui a commencé avec l’engouement des années 1980 pour les aliments pauvres en graisses, alias le mythe des graisses saturées qui bouchent les artères.

Ce qui s’est passé en quelques décennies est historique, comme en témoigne l’explosion des taux d’obésité dans les pays industrialisés.

La campagne de désinformation sur les aliments pauvres en graisses a utilisé le cholestérol comme bouc émissaire. Manger des graisses entraîne un excès de cholestérol et donc des maladies cardiaques. Aujourd’hui, nous savons qu’il s’agit d’une fabrication de bout en bout.

Selon les dernières recherches évaluées par des pairs,

« un régime alimentaire composé d’un pourcentage élevé de graisses naturelles, d’une quantité modérée de protéines et d’une faible proportion d’hydrates de carbone nous aidera à perdre du poids, à prévenir les maladies, à satisfaire notre appétit, à réduire les fringales et à promouvoir la longévité  » 4.

La consommation de bonnes graisses (huile de coco, huile d’olive, graisses de viande biologique, avocat, huiles de poisson, etc.) est un moyen fiable d’obtenir des calories à haute densité tout en perdant du poids sainement, sans affecter notre taux de cholestérol.

D’ailleurs, la science non corrompue sait depuis longtemps que le cholestérol est indispensable à la vie. « C’est un élément essentiel de la construction des hormones, une partie cruciale du système immunitaire et un élément central de l’appareil de réparation des tissus de l’organisme. Sans cholestérol, il n’y aurait pas de renouvellement cellulaire et pas de vie », écrit le Dr Jeffry Gerber dans Eat Rich Live Long.

En cas de stress et d’inflammation dans l’organisme, comme c’est le cas pour la plupart des gens de nos jours, votre survie dépend de l’augmentation du taux de cholestérol, car il aide à guérir et à réparer les cellules endommagées. À moins que vous ne preniez un Lipitor, bien sûr, et que vous empêchiez le corps de se guérir lui-même.

En raison du marché de plusieurs milliards de dollars que représentent les pilules hypocholestérolémiantes, Big Pharma, aidée par Big Media et Big Healthcare, a d’abord diabolisé le cholestérol, puis manipulé le seuil de diagnostic de l' »hypercholestérolémie » jusqu’à ce que la quasi-totalité des êtres humains de la planète satisfassent aux critères pour prendre une statine.

En 2011, Pfizer gagnait 11 milliards de dollars rien que sur le Lipitor. En 2021, les ventes cumulées de Lipitor sur l’ensemble de sa durée de vie s’élevaient à plus de 163 milliards de dollars. 5 6 7 8

C’est une belle performance pour une pilule aux effets secondaires graves (perte rapide de mémoire, troubles de l’équilibre, douleurs musculaires aiguës) et à l’impact quasi nul sur la longévité ou le bien-être. 9 10

La grande conférence sur le cholestérol restera dans les annales et ne sera probablement surpassée que par l’héritage des injections de MRNA 11, mais il s’agit là d’une autre histoire (en cours de développement).

Nous entrons à présent dans le niveau suivant de dommages potentiels pour l’humanité. Comme nous le verrons à partir de données nutritionnelles objectives, l’absence de viande sera un accélérateur pour la santé physique et mentale collective déjà défaillante. Ou disons simplement « santé », puisque « mental » et « physique » sont tous deux des aspects de la santé métabolique, qui dépendent de notre niveau de nutrition et de notre mode de vie. 12 13

La nouvelle réalité nutritionnelle ne fera rien non plus pour lutter contre le changement climatique tout en compromettant la gestion efficace des terres au point de provoquer l’autosabotage de la planète.

Les arguments contre la viande

Les principaux arguments contre la viande – selon le récit des ingénieurs – sont les suivants :

  • 1) Éthique : l’industrie moderne de la viande est diabolique.
  • 2) Efficacité : la production de viande est inefficace et ne peut nourrir la population mondiale.
  • 3) Santé : La viande est mauvaise pour la santé et est liée au cancer, aux maladies coronariennes, etc.
  • 4) CO2 : La production de viande est à l’origine du changement climatique.
  • 5) De meilleures alternatives : Les nouvelles alternatives à la viande synthétique sont plus saines, plus rentables et plus respectueuses de l’environnement.
  • 6) Spirituel / religieux : pourquoi les humains devraient-ils avoir le droit de tuer et de manger d’autres formes de vie ?

Il y en a probablement d’autres, mais abordons-les d’abord.

« L’industrie de la viande est maléfique et écologiquement inefficace

Oui, c’est vrai. L’industrie de la viande transformée est l’un des grands maux de notre époque. Au cours du siècle dernier, nous avons normalisé la souffrance animale en gros en échange de tranches de protéines emballées sous vide et de bénéfices pour les entreprises. Nous pouvons sentir le cauchemar dans le produit final si notre conscience est encore attachée à nos papilles gustatives. Nous ne recevons pas seulement un morceau de cadavre marqué par une vie de torture, mais aussi un cocktail cancérigène de produits chimiques destinés à conserver l’animal suffisamment longtemps pour qu’il puisse être vendu et digéré (tableau 1).

C’est pourquoi les végétaliens disposent d’un argument aussi puissant et convaincant.

« S’il vous plaît, arrêtez cette folie ! C’est le crime du siècle ! » Et ils ont raison. L’offense est si grave que les sociétés extraterrestres futures nous brûleront probablement (comme dans le film Mars Attacks de Tim Burton) en raison de ce que nous avons fait subir aux animaux aux 20e et 21e siècles.

Cependant, l’argument de l’holocauste ne tient pas compte du fait que nous pourrions également travailler avec des animaux sans les soumettre à un holocauste. Nous pourrions remplacer les camps de concentration par des environnements respectueux des animaux et de l’environnement, où les animaux paissent en liberté, fertilisent le sol naturellement sans dérivés pétroliers et prospèrent sans cocktail d’hormones parce qu’ils sont libres et satisfaits. 14

Cette stratégie brillante, conçue par la nature, peut être imitée par l’agriculture régénératrice avec la diversité des cultures, le bétail en pâturage libre et la fertilisation naturelle en laissant les animaux et la végétation se mélanger. 15

L’abattoir moderne est un exemple de ce qui se passe lorsque nous remettons en question la nature et que nous accusons la viande de tous les maux – y compris la contamination (méthane, oxyde nitreux) et les maladies animales (nécessitant des antibiotiques et des hormones) – alors que les problèmes ne concernent que la méthode d’exécution.

« Au cours du siècle dernier, l’agriculture a déclaré la guerre à la terre à l’aide de combustibles fossiles, mécaniquement (labourage du sol), chimiquement (herbicides et pesticides) et biologiquement (technologie des OGM). En séparant l’élevage des cultures, nous avons dissocié les cycles bio et géochimiques du carbone, de l’eau, de l’azote, du phosphore et du soufre, et augmenté les émissions de méthane et d’oxyde nitreux, ainsi que l’eutrophisation et la contamination des sources d’eau »

écrivent les auteurs d’une étude approfondie sur les systèmes alimentaires durables. 16

La réaction instinctive à ces arguments est généralement d’ordre strictement émotionnel.

« On ne peut pas nourrir des milliards de personnes avec de la viande de pâturage ! La vérité est que le système actuel – des monocultures induites chimiquement qui produisent en série des terres arides et séparent les animaux de la nature – est l’équation insoutenable.

Les ambassadeurs pro-vegan oublient que la plupart des terres agricoles ne peuvent de toute façon pas être exploitées pour les cultures – en raison d’un terrain inadapté, d’un sol pauvre, d’un manque d’eau, etc. Les deux tiers des deux milliards d’hectares de prairies (par opposition aux terres agricoles) dans le monde ne peuvent pas être utilisés comme terres cultivables, ce qui les rend idéaux pour faire paître du bétail heureux. 17 18 19

Prenons l’exemple d’Alan Savory, un expert en gestion des terres qui a étudié les troupeaux dans son pays natal, le Zimbabwe. Lorsque les animaux sont laissés en liberté de manière à laisser suffisamment de temps de repos au sol pour qu’il se rétablisse (comme le veut la nature), la magie opère, avec un triple avantage :

Le troupeau vit en bonne santé et en liberté.

Le troupeau contribue à revitaliser les terres arides au point de transformer des zones désertifiées en terres fertiles (c’est la seule technique connue qui y parvienne aujourd’hui avec succès).

Le troupeau produit une viande exceptionnellement riche en nutriments, sans hormones, sans antibiotiques et sans produits chimiques.

Le discours TED d’Alan sur la méthode du pâturage planifié holistique vaut la peine d’être écouté. Vous vous demanderez pourquoi cette méthode n’a pas encore été largement adoptée dans d’autres parties du monde. C’est la réponse à l’un des problèmes les plus urgents de notre planète : les terres arides.20 21

Les terres arides représentent près de 30 à 41 % de la surface terrestre mondiale et abritent aujourd’hui une personne sur trois. La dégradation de la qualité des terres dans les régions arides est responsable d’une réduction du produit intérieur national pouvant aller jusqu’à 8 % par an.

« Nous pouvons éviter le sort commun des sociétés anciennes tant que nous ne répétons pas leur grande folie de dépouiller la couche arable fertile à un rythme insoutenable. Malheureusement, c’est exactement ce que nous sommes en train de faire, mais cette fois à l’échelle mondiale »

écrit David Montgomery dans son livre Dirt, The Erosion of Civilizations (La saleté, l’érosion des civilisations).

Pourquoi les médias ne parlent-ils pas de cette histoire ?

La réponse est que les ingénieurs sociaux devraient renoncer à argumenter contre la possibilité d’une production de viande éthique.

Le discours végan met de côté le fait que nous pouvons travailler avec les animaux sur un pied d’égalité. Il veut que nous nous concentrions sur un crime éthique parce que c’est la campagne de recrutement parfaite pour les mouvements anti-viande.

L’effort de recrutement éthique fonctionne, mais, étonnamment, il n’a pas produit suffisamment de fantassins pour une révolution. Bien que le récit des deux dernières décennies ait considérablement augmenté le nombre de végétaliens, celui-ci reste inférieur à 3 % de la population des États-Unis et de l’Union européenne 22, 23, 24.

C’est pourquoi les ingénieurs sociaux ont depuis longtemps compris qu’ils devaient pimenter l’histoire au-delà de l’éthique.

La viande doit également être mauvaise pour l’homme et la planète.

« La viande est mauvaise pour l’homme »

Même si tous les aliments « d’origine végétale » étaient en fait naturels, fabriqués à partir de légumes, de fruits et de graines propres, un régime purement végétalien ne suffirait pas à maintenir la plupart des gens en bonne santé.

« J’écris ce livre comme une mise en garde. Un régime végétarien – en particulier une version pauvre en graisses, et plus particulièrement un régime végétalien – n’est pas suffisant pour assurer l’entretien et la réparation à long terme du corps humain. Pour dire les choses crûment, il vous portera préjudice. J’en sais quelque chose.

Deux ans après être devenue végétalienne, ma santé s’est détériorée, et ce de manière catastrophique. J’ai développé une maladie dégénérative des articulations dont je souffrirai toute ma vie. Cela a commencé au printemps par une douleur étrange et sourde à un endroit dont je ne savais pas qu’il pouvait être sensible. À la fin de l’été, j’avais l’impression d’avoir des éclats d’obus dans la colonne vertébrale »,

écrit Lierre Keith dans son livre The Vegetarian Myth :

Food, Justice, and Sustainability (Le mythe végétarien : alimentation, justice et durabilité). Lierre est une ancienne végétalienne qui a consacré sa vie à comprendre la science de la nutrition (citation complète).25

Au début, les végétaliens éveillés – souvent des jeunes filles – qui abandonnent la viande pour des raisons éthiques se sentent plus forts, plus légers, plus éveillés et plus énergiques – ils se sentent plus sûrs d’eux. Au fil des ans, les problèmes chroniques s’accumulent lentement. Tout comme les grenouilles dans l’eau frémissante ne remarquent pas l’augmentation de la température, les végétaliens ne remarquent pas la perte progressive d’énergie, la fatigue et l’apparition de problèmes chroniques. Ils doivent se heurter à un mur, souvent après la deuxième décennie, avant de se rendre compte que quelque chose ne va vraiment pas.

Nous avons souvent besoin d’un voyage en ambulance pour nous permettre de changer notre façon de penser. C’est ce que j’ai fait. Et même les soins intensifs ne suffisent généralement pas à faire redémarrer le cerveau. Nous devons également être exposés à des données correctes et non corrompues. Ces deux facteurs coïncident rarement.

J’ai découvert le côté négatif du véganisme grâce à des études métabolomiques du sang qui examinent la production cellulaire d’ATP, le fameux cycle citrique, à l’aide d’analyses moléculaires du sang. Bien que je mangeais déjà de la viande, mes valeurs sanguines m’indiquaient qu’il fallait que je consomme davantage de viande pour améliorer mon équilibre en acides aminés. L’expert en métabolomique m’a dit que mon profil nutritionnel était celui d’un homme des cavernes. Mon nouveau régime riche en viande et en graisses a changé la donne. Après des années de fatigue, je me suis épanoui. J’ai décidé de faire profiter d’autres personnes des scanners métabolomiques pour les aider à identifier leur profil nutritionnel unique et à être en meilleure santé. Un historique de plus de 15 000 scanners métabolomiques m’a appris que l’incidence des problèmes chroniques était nettement plus élevée chez les femmes de la quarantaine et de la cinquantaine qui suivaient un régime végétalien depuis au moins 15 à 20 ans 26.

Plus tard, j’ai commencé à travailler avec des scanners biophysiques 27 28 qui ne prennent que 12 minutes pour mesurer le niveau énergétique du corps humain et j’ai remarqué un thème commun dans plus d’un millier de mesures. Les femmes qui ont évité la viande pendant plus de dix ans présentaient davantage de problèmes chroniques, une baisse d’énergie, une plus grande incidence de dépression, des problèmes intestinaux et un système immunitaire plus faible.

Convaincre un végétalien de changer de tact est délicat, car les arguments – notamment éthiques et spirituels – sont profondément ancrés dans le récit émotionnel. Sur la poignée – une douzaine – de personnes que j’ai eu l’honneur de convaincre de compléter leur alimentation avec de la viande biologique

– « au moins un tout petit peu de bœuf biologique ou de foie de poulet deux fois par semaine » – 95 % ont changé d’avis au bout de quelques semaines et sont restés fidèles aux produits d’origine animale.

« Modération et équilibre », vous vous souvenez ?

Il est important de souligner que le régime alimentaire est toujours très individuel. Tout le monde n’a pas besoin de viande comme les autres. Mais on peut affirmer que presque tout le monde a besoin de produits d’origine animale dans son alimentation. La raison en est simple. La viande peut fournir certains nutriments essentiels qu’aucun produit végétalien ne peut fournir avec la même efficacité métabolique.

Bien que l’Académie de nutrition et de diététique (AND) soit citée comme ayant déclaré que « toutes les grandes sociétés de diététique ont publié des articles affirmant qu’un régime végétalien est nutritionnellement adéquat à tous les stades de la santé humaine », cette déclaration est accompagnée d’une liste de tous les nutriments qui doivent être obtenus par l’enrichissement et les suppléments, ce qui revient à admettre qu’un régime végétalien n’est pas, en soi, sûr ou complet », écrit Jayne Buxton dans The Great Plant-Based Con (La grande arnaque des plantes).

« Les nutriments que l’on ne trouve que dans les aliments d’origine animale comprennent les vitamines A, B12, D3 et K2 préformées (sous-type MK4), le fer héminique, la taurine, la carnosine, la créatine, l’ALC, l’EPA et le DHA. Le zinc, l’iode, la méthionine, la leucine, la choline et la glycine sont des nutriments dont la teneur est faible dans les plantes. En outre, les plantes présentent souvent différentes formes d’un même nutriment qui sont moins biodisponibles et sont métabolisées différemment  » 29.

Jetons un coup d’œil rapide au Top 5.

La vitamine A est essentielle à l’assimilation des protéines et du calcium, à la croissance osseuse, à la vue, au fonctionnement du système immunitaire, à la fonction thyroïdienne et à la production d’hormones sexuelles et de stress. Les régimes végétariens et végétaliens souffrent d’une carence quasi-totale en vitamine A.30

La vitamine D favorise la solidité des os, la santé du système immunitaire, la réduction des inflammations, le métabolisme des minéraux, l’absorption du calcium, le tonus musculaire, le métabolisme sain du glucose, la fonction cellulaire et la longévité. L’organisme a naturellement besoin de D3, qu’il fabrique lorsqu’il est exposé au soleil. Néanmoins, l’organisme a besoin d’aliments d’origine animale (y compris les crustacés, les huiles de foie de poisson, les jaunes d’œuf, les abats, la graisse de beurre et la graisse d’oiseaux et de porcs) car la D2 provenant des plantes est largement inférieure et la D3 provenant des aliments d’origine animale est beaucoup plus biodisponible et puissante. 31

La vitamine B12 joue un rôle dans la synthèse de l’ADN, la formation de la myéline, la production de globules rouges et le maintien du système nerveux central. Il n’existe pas de sources végétales fiables de B12, c’est pourquoi les végétariens et les végétaliens présentent des niveaux élevés de carence en B12. Les symptômes comprennent la fatigue, la dépression, l’anxiété, une mauvaise mémoire, des problèmes d’équilibre, une détérioration de la vision, une confusion mentale ou une perte de mémoire, et la dépression. 32 33

Des données similaires s’appliquent aux acides gras oméga 3, qui sont essentiels pour les membranes cellulaires. Il n’est pas facile d’obtenir des oméga-3 à partir de graines de lin ou de chia. Le poisson gras ou la viande nourrie à l’herbe seraient une bien meilleure alternative pour préserver la santé cellulaire.

Qu’en est-il des minéraux ? Il est extrêmement difficile d’obtenir les 17 minéraux essentiels exclusivement à partir de sources végétales. Si nous devions éviter les aliments d’origine animale, nous devrions consommer des quantités insoutenables d’équivalents végétaux pour atteindre des niveaux minimaux acceptables. 34 35

La liste est encore longue.

Il est bon de se rappeler l’histoire des tribus indigènes. Avant que le colonialisme occidental ne les atteigne, elles prospéraient grâce à des régimes riches en graisses et centrés sur la viande, sans souffrir de maladies chroniques.

Deux médecins missionnaires arrivés au Kenya dans les années 1920 ont écrit que « l’hypertension et le diabète étaient absents… la population indigène était aussi mince que les anciens Égyptiens ».

Il a fallu quarante ans de régimes britanniques à forte teneur en glucides pour transformer les Kényans minces en Africains obèses souffrant d’une multitude de problèmes de santé, à commencer par les caries dentaires, puis « la goutte, l’obésité, le diabète et l’hypertension, qui finissent par les englober tous », ont observé les missionnaires 36.

L’Inde a également été transformée en « capitale mondiale du diabète » grâce aux habitudes alimentaires introduites par les Britanniques. Les régimes alimentaires occidentaux ont littéralement anéanti les Inuits en parfaite santé, les Amérindiens, les Zoulous, les Indiens du Natal, les cultures polynésiennes, les Indiens Yanomamo et Xingu du Brésil, et tous ceux qui ont été acculturés de gré ou de force à notre mode de vie.

« La viande rouge provoque le cancer

Qu’en est-il de toutes les études « interminables » qui « prouvent » que les mangeurs de viande sont plus malades et plus enclins aux maladies chroniques ? Qu’en est-il de la corrélation entre la viande rouge et le cancer ?

C’est un peu comme l’angle « 99 % des scientifiques sont d’accord… » utilisé dans tant de contes de fées aujourd’hui, de l’ARNM au changement climatique. Lorsque l’on soulève le rideau, on découvre une autre réalité. Souvent, les rares scientifiques qui ne sont pas d’accord avec le « consensus » sont des scientifiques indépendants et intègres, qui ne sont pas influencés par les salaires des entreprises ou les subventions de recherche.

C’est ce qu’on appelle le syndrome de Copernic.

Les deux études établissant un lien entre le cancer et la consommation de viande rouge, par exemple, comparent les consommateurs de viande transformée (voir le tableau 1 ci-dessous pour la liste des produits chimiques et cancérigènes contenus dans la viande transformée moderne) à des végétariens, sans tenir compte des différences de mode de vie (les mangeurs de viande sont aussi plus souvent des fumeurs et des buveurs), ni d’autres variables. En bref, les recherches sont « cuisinées » pour donner une mauvaise image de la viande. Ces études erronées sont ensuite propagées par l’OMS et citées par les médias grand public comme si elles représentaient des vérités axiomatiques. 37

TABLEAU 1 – ADDITIFS DANS LA VIANDE TRANSFORMÉE

Les bisphénols, tels que le BPA, peuvent agir comme l’hormone œstrogène, interférer avec la puberté et la fertilité, augmenter la masse graisseuse et causer des problèmes avec les systèmes immunitaire et nerveux.
Les nitrates/nitrites sont utilisés pour prolonger la durée de conservation, préserver les aliments et rehausser la couleur des viandes salées. Lorsqu’ils sont chauffés ou mélangés à l’acide gastrique, les nitrites peuvent produire des nitrosamines, liées à un risque accru de cancer du côlon et du pancréas.

Le tert-butyl hydroquinone (TBHQ), un conservateur présent dans de nombreux aliments transformés, peut nuire au système immunitaire.

Les substances per- et poly-fluoroalkyles (PFAS) sont un groupe de produits chimiques qui peuvent s’accumuler dans l’organisme et qui ont été associés à des problèmes de santé tels que des perturbations hormonales, des problèmes du système immunitaire et des cancers.

Le glutamate monosodique (MSG), auquel certaines personnes peuvent être sensibles ou allergiques, provoque des symptômes tels que des maux de tête, des nausées et des douleurs thoraciques.

Les sulfites, qui sont utilisés comme conservateurs et peuvent déclencher de l’asthme.

Les phosphates sont parfois ajoutés aux viandes transformées et, lorsqu’ils sont consommés en quantités excessives, ils peuvent augmenter le risque de maladie cardiaque.

Les hormones peuvent être utilisées dans la production animale pour favoriser la croissance et potentiellement perturber l’équilibre hormonal chez l’homme.

Il ne fait aucun doute que la consommation de ces produits chimiques, même sans viande rouge, vous rendra probablement malade.

« Les études épidémiologiques qui établissent des associations inverses entre la consommation de viande rouge et la santé ne font pas de distinction entre la viande provenant d’animaux nourris avec des aliments riches en céréales dans des parcs d’engraissement et celle provenant d’animaux qui se nourrissent de mélanges de plantes riches en phytochimie. Elles n’abordent pas non plus la question de savoir comment les herbes, les épices, les légumes et les fruits consommés au cours d’un repas avec de la viande peuvent améliorer la santé », écrit Fred Provenza dans Frontiers in Nutrition.38

Il est difficile de trouver une seule étude prouvant que les viandes biologiques ont un effet négatif sur la santé.

« Les avantages pour l’homme de la consommation de viande riche en phytochimie/biochimie s’accumulent au fur et à mesure que le bétail assimile certains phytochimiques et en convertit d’autres en métabolites qui deviennent des muscles et des graisses, lesquels deviennent les phytochimiques/biochimiques qui promeuvent la santé. Ce phénomène est similaire, mais distinct, des avantages obtenus par la consommation d’herbes, d’épices, de légumes et de fruits riches en phytochimie. Cet ensemble élargi de composés – phytochimiques et métabolites produits par les animaux à partir des plantes – devrait être pris en compte dans les tentatives de compréhension des avantages pour l’homme, tels que l’atténuation du stress oxydatif et de l’inflammation liés au cancer, aux maladies cardiovasculaires et au syndrome métabolique », poursuit Fred Provenza.

La dissonance cognitive qui accompagne la recherche de la vérité sur la viande est comparable au fait de s’accrocher à un taureau enragé avec un chapeau de cow-boy. La situation devient rapidement de plus en plus folle. Mais accrochez-vous encore un peu.

« Le changement climatique est dû aux excréments et aux bourbiers des vaches

Les vaches sont responsables de l’apocalypse à venir si l’on en croit la légende. Mais il y a un hic.

L’histoire originale de la contribution catastrophique des vaches aux niveaux de méthane provient d’une étude de l’Université d’Oxford 39 qui a été citée lors d’une émission publique au Royaume-Uni en 2020. Les médias ont détourné l’histoire pour en faire la preuve que les humains pourraient réduire leur empreinte carbone de 61 à 73 % s’ils devenaient végétaliens. Cependant, l’étude d’Oxford fait référence à l’empreinte de différents aliments, et non à celle de l’homme. La différence est de taille.

L’empreinte alimentaire d’un individu est estimée à 16 % au maximum, ce qui signifie que le maximum théorique de réduction de l’empreinte individuelle en devenant végétalien est de 16 % sur 73 %, soit environ 10 %.

Cependant, même ce maximum de 10 % est faussé, car l’ensemble de l’argumentation est déséquilibrée.

Prenons un exemple pour illustrer à quel point l’argumentation est biaisée.

Si vous enfermez un millier de lapins dans une petite cabane et qu’ils détruisent l’endroit avec leurs crottes, blâmez-vous les lapins pour avoir détruit la cabane, ou prenez-vous la responsabilité de les avoir enfermés dans la cabane en premier lieu ?

Tant que des milliards d’animaux d’élevage seront séparés du cycle de l’azote, produisant des déchets qui ne sont pas recyclés efficacement dans la nature, des dommages incalculables continueront d’être causés aux animaux et à la planète, y compris de vastes quantités de méthane inutilement libérées. 40

Si, en revanche, nous suivons le cycle naturel de la Terre et intégrons des animaux en pâturage libre dans nos futurs plans écologiques, nous bénéficierons d’un autre avantage qui inversera la tendance, à savoir la séquestration, c’est-à-dire la manière dont la gestion naturelle des terres capture le CO2. Cette séquestration peut être accélérée grâce à la sylvopasture, qui est un moyen d’intégrer des arbres dans les paysages de travail. 41 42

Les politiques de gestion des terres axées sur la séquestration ont le pouvoir d’inverser le changement climatique, la désertification et la production de méthane, mais elles sont rarement, voire jamais, abordées par les scientifiques ou les médias. Vous vous demandez pourquoi ?

Au lieu de cela, les médias grand public propagent des allégations absurdes faites dans le cadre d’opérations publicitaires telles que le documentaire Cowspiracy, qui prétend que l’agriculture animale est responsable de 51 % de l’ensemble des émissions de gaz à effet de serre. Bien que les producteurs aient été contraints de se rétracter par la suite, l’histoire est restée dans l’esprit du public, car elle s’inscrit dans le cadre de la narration technique.

« Les nouveaux substituts synthétiques de la viande sont meilleurs »

Les aliments transformés, pauvres en graisses et à base de plantes, ont déclenché l’épidémie d’obésité dans les années 1980, mais on veut nous faire croire que les nouveaux aliments ultra-transformés (Frankenstein) seront excellents pour nous.

L’industrie de la fausse viande progresse déjà à pas de géant. Selon Bloomberg, le marché de la viande d’origine végétale pourrait atteindre 450 milliards de dollars d’ici à 2040 et croître d’au moins 70 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie 43 44.

Les UPF représentent une menace redoutable pour la santé mondiale. Le Dr Robert Lustig, endocrinologue pédiatrique, explique dans son livre 45 comment les FUP ont déjà contribué à alimenter des maladies non transmissibles telles que le diabète, les maladies cardiaques, le cancer et la démence. Selon le Dr Joan Ifland, les UPF créent également une dépendance, sont obésogènes (contribuent à l’obésité) et ont tendance à perturber le système immunitaire 46.

La plupart des personnes qui confondront probablement les régimes à base de plantes avec une alimentation saine et végétalienne s’apprêtent à faire un tour mortel avec des protéines synthétiques ultra-transformées, des additifs, des conservateurs, des stabilisateurs, des concoctions d’OGM, des émulsifiants, des huiles de graines, des sucres, des régulateurs d’acidité et des épaississants régurgités dans une matrice d’éprouvettes d’une manière qui les rendra accros pour toute la vie.

Les UPF ne vont pas seulement remplacer les produits carnés naturels, mais aussi les produits laitiers, les œufs et les céréales.

Nous sommes ce que nous mangeons.

Un jour, nous pourrons croire que les gaufrettes de silicone au goût et à l’odeur délicieux sont bonnes pour nous, accompagnées de tofu, tandis qu’un programme d’intelligence artificielle décidera de la prochaine destination de notre fauteuil roulant.

« Pourquoi les humains devraient-ils être autorisés à tuer des animaux ? »

Pour des raisons compréhensibles, cet argument éthique est celui qui fait le plus grand nombre de convertis au véganisme. Il est louable d’être choqué par les conditions de vie des animaux qui souffrent dans les abattoirs, mais accuser la consommation de viande d’être responsable du mal est une réponse artificielle et simplifiée au problème, puisque nous savons déjà à quel point le problème pourrait être résolu facilement avec des modèles d’agriculture régénératrice.

Il y a également un autre aspect que le récit principal occulte dans ce contexte : la quantité de souffrances et de meurtres d’animaux dus à l’agriculture moderne en tant que telle. La monoculture n’est pas possible sans l’abattage massif de formes de vie diversifiées.

Peu d’agriculteurs font le calcul.

« Pour cultiver 214 acres de fruits à noyaux et d’avocats sur cette ferme, je dois tuer au moins trente-cinq à quarante mille spermophiles par an, des milliers d’écureuils terrestres, des milliers d’abeilles, des milliers de papillons, des milliers de colibris, ces trois derniers éléments étant complètement accidentels, les deux autres étant des prédateurs ou des parasites que je tuerais intentionnellement », calcule l’agriculteur californien John Chester 47.

La culture de 400 tonnes de pois dans une seule ferme entraîne la mort de 1 500 animaux par an, des cerfs aux canards.

Un milliard de souris sont tuées en Australie pour protéger la viande. Quarante mille canards sont tués pour protéger la production de riz. Un producteur de pommes moyen tue 120 opossums en un an pour protéger son verger.

En 2013, les riziculteurs de Nouvelle-Galles du Sud ont tué 200 000 canards indigènes. Le ministère américain de l’Agriculture estime à 1,3 million le nombre d’animaux indigènes tués chaque année pour protéger l’agriculture non animale. Au total, au moins vingt-cinq fois plus d’animaux sensibles sont tués par kilo de protéines utilisables par rapport à la production de viande.48

Cependant, le calcul n’est pas pertinent ici. Il existe un argument plus profond, lié à la nature de la vie, que nous devrions prendre en considération.

Toute forme de vie dépend de la consommation d’autres formes de vie. Même les légumes sont des mangeurs de viande si vous observez une carcasse laissée dans la forêt ou le pâturage, alors que le cycle de la vie et de l’énergie poursuit son destin inévitable de transmutation éternelle d’une forme à l’autre.

Lierre Keith raconte l’histoire d’un pommier situé près des tombes de Roger Williams, le fondateur de Rhode Island.

« On a découvert que les racines de l’arbre avaient poussé dans les tombes et pris la forme de squelettes humains, alors que les tombes avaient été vidées de toute particule de poussière humaine. Il ne restait plus aucune trace de quoi que ce soit.

Le pommier a mangé un humain. Le pommier est-il mauvais ?

« L’un des principaux problèmes de la mythologie est de réconcilier l’esprit avec cette condition préalable brutale de toute vie, qui vit en tuant et en mangeant des vies. Vous ne vous faites pas d’illusions en ne mangeant que des légumes, car eux aussi sont vivants. L’essence de la vie est donc de se manger elle-même ! La vie vit de vies, et la réconciliation de l’esprit et de la sensibilité humaine avec ce fait fondamental ». écrit Joseph Campbell, l’avant-dernière autorité en matière de civilisations anciennes.

Même si nous nous en tenons aux principes les plus purs de la nature, où nous protégeons les animaux, la planète et les intérêts humains avec un équilibre égal, nous continuerons à nous manger les uns les autres.

Sans aucun doute, nous devrons le faire en étant plus gentils les uns envers les autres.

Épilogue : Raccourcir le « consensus scientifique »

Comme nous l’avons déjà appris, toute affirmation s’appuyant sur le « consensus scientifique » doit être considérée comme digne d’une enquête si elle est utilisée pour justifier l’agenda de l’ingénieur.

Si un opposant, tel qu’un « négateur du climat », est démoli par les médias ou par son entourage professionnel, nous devrions examiner de plus près ses modèles de données.

Il y a quelques années, j’étais convaincu de l’élévation du niveau de la mer, de l’effondrement des icebergs et de la sixième extinction. Aujourd’hui, je pense que nous devrions nous pencher sur la partie « anthropique » du « consensus ».49

Si une histoire correspond à l’avenir envisagé pour la nutrition, nous devrions sortir nos loupes et creuser avec un dévouement infernal.

La recherche de la vérité est un facteur déterminant pour l’avenir de notre espèce. Rien n’est plus important que de préserver notre santé et notre énergie. Pour cela, nous devons à nouveau nous intégrer à la nature, manger de manière saine, naturelle et équilibrée, et nous occuper de choses qui nous passionnent.


Source : https://greenmedinfo.com/blog/vegan-backfire-truth-behind-antimeat-agenda

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Références




Décadence de l’art

[Source : Esprits Français – NTD]

Stéphane Cairn, auteur & compositeur & interprète est l’invité de Ying Huang :

« La chanson, que je n’ose même pas appeler un texte en fait, c’est indigent, c’est creux, c’est une vacuité totale, ça se vide de sens, ça se vide de toute substantifique moelle, de quintessence, ça n’a plus d’épaisseur, de densité, il n’y a plus rien. »

[Voir aussi :
Effets de l’art moderne
Éric Zemmour et la destruction de la culture française (par Malraux) sous de Gaulle
L’environnement urbain moderne cache un lourd secret qui explique sa laideur
Le couple Macron continue de massacrer le palais de l’Élysée]




Révélations explosives sur le FBI : Non seulement le FBI a inventé une fausse « collusion » entre Trump et la Russie, mais il a étouffé 4 enquêtes criminelles sur les Clinton. Silence total des médias français qui n’ont cessés de salir Trump !

[Source : europe-israel.org]

[Voir aussi :
Le rapport Durham sur la supposée collusion Trump-Russie a été publié]

Le rapport très attendu du conseiller spécial John Durham sur les origines de l’enquête du FBI sur la campagne Trump en 2016 a révélé que les hauts dirigeants du Bureau ont mis fin à quatre enquêtes criminelles sur Hillary et Bill Clinton.

En 2014, le FBI a enquêté sur les affirmations d’une source confidentielle « bien placée » selon lesquelles un gouvernement étranger non nommé avait l’intention de « contribuer à la campagne présidentielle anticipée d’Hillary Clinton, afin de gagner de l’influence auprès d’elle si elle remportait la présidence », indique le rapport.

Le bureau local chargé d’enquêter sur ces allégations a « presque immédiatement » demandé un mandat en vertu de la loi sur la surveillance du renseignement étranger (FISA), mais ce mandat est resté « dans les limbes » pendant environ quatre mois, principalement en raison de la campagne présidentielle de Mme Clinton, qui était alors attendue.

Comme indiqué dans le rapport de Durham :

Selon un autre agent, la demande s’est attardée parce que « tout le monde était ‘super plus prudent’ » et « effrayé par le grand nom [Clinton] » impliqué. « [L]es gens étaient assez « tippy-toeing » autour de HRC parce qu’il y avait une chance qu’elle soit le prochain président. »

Le rapport de Durham a également révélé que trois bureaux locaux distincts du FBI à Washington, DC, Little Rock, Arkansas, et New York City, New York, ont ouvert des enquêtes sur « une activité criminelle possible impliquant la Fondation Clinton » moins d’un an avant l’élection présidentielle de novembre 2016.

L’une de ces enquêtes a été déclenchée par le livre de Peter Schweizer, collaborateur de Breitbart News, Clinton Cash, qui a révélé le réseau mondial de trafic d’influence de la Fondation Clinton.

Comme l’indique le rapport de Durham :

À partir de janvier 2016, trois bureaux locaux du FBI, le New York Field Office ( » NYFO* « ), le Washington Field Office ( » WFO* « ) et le Little Rock Field Office ( » LRFO** « ), ont ouvert des enquêtes sur d’éventuelles activités criminelles impliquant la Fondation Clinton. La communication d’ouverture de l’IRFO faisait référence à un produit de renseignement et à un rapport financier corroborant qu’une « industrie commerciale particulière a probablement engagé un fonctionnaire fédéral dans un système de flux d’avantages, à savoir que d’importantes contributions monétaires ont été versées à une organisation à but non lucratif, sous le contrôle direct et indirect du fonctionnaire fédéral, en échange d’une action et/ou d’une influence favorable du gouvernement ». L’enquête de la WFO a été ouverte en tant qu’enquête préliminaire, car l’agent chargé du dossier souhaitait déterminer s’il pouvait obtenir des informations supplémentaires pour corroborer les allégations d’un livre récemment publié, Clinton Cash, de Peter Schweizer, avant de chercher à convertir l’affaire en enquête complète. En outre, les enquêtes du LRFO et du NYFO comprenaient des prédictions basées sur des rapports de sources qui identifiaient les gouvernements étrangers qui avaient fait, ou proposé de faire, des contributions à la Fondation en échange d’un traitement favorable ou préférentiel de la part de Clinton.

S’adressant au DailyMail, M. Schweizer a déclaré avoir reçu « un appel de quelqu’un du bureau du FBI de New York après la sortie du livre ».

« Il y a eu un article du New York Times sur Uranium One. Il confirmait en quelque sorte ce que nous avions dans le livre. Je pense que c’est ce qui a déclenché l’intérêt », a déclaré M. Schweizer. « Dans le cas de la Fondation Clinton, il y a eu transfert d’importantes sommes d’argent, des positions politiques ont été affectées et des preuves certifiables ont été apportées.

« Je ne suis pas juriste, je ne peux donc pas dire ce qui était illégal. Mais il y avait bel et bien quelque chose, avec tous les discours, les dons et les effets politiques, et personne ne l’a jamais vraiment contesté », a-t-il ajouté.

En fin de compte, la direction du FBI a organisé une réunion conjointe avec les trois bureaux locaux, le siège du FBI et les bureaux des procureurs des États-Unis concernés. La première réunion conjointe a eu lieu le 1er février 2016. Cependant, le chef de la section de l’intégrité publique du ministère de la Justice, Ray Hulser, a déclaré que le briefing du FBI lors de cette réunion était « mal présenté » et qu’il n’y avait « pas assez de prédictions pour au moins l’une des enquêtes ».

Une deuxième réunion conjointe a eu lieu le 22 février 2016, présidée par l’ancien directeur adjoint du FBI Andrew McCabe.

M. McCabe « a d’abord ordonné aux bureaux locaux de clore leurs dossiers », mais il a ensuite accepté de « reconsidérer la décision finale concernant ces dossiers », indique le rapport de M. Durham.

Paul Abbate, qui était à l’époque directeur adjoint du bureau local du FBI à Washington, a décrit le comportement de M. McCabe lors de la réunion conjointe comme étant « négatif », « agacé » et « en colère ».

Comme le précise le rapport :

Selon Abbate, McCabe a déclaré « ils [le département] disent qu’il n’y a rien ici » et « pourquoi faisons-nous cela ? ». À la fin de la réunion, Campbell a indiqué que l’approbation du directeur adjoint serait requise pour toute mesure d’enquête manifeste.

Le rapport de Durham révèle également que l’ancien directeur du FBI, James Comey, a exigé, par le biais d’un intermédiaire, que le bureau local de New York « cesse et abandonne » son enquête sur la Fondation Clinton.

En début de semaine, M. McCabe a affirmé que le rapport Durham n’avait « jamais fait l’objet d’une enquête légitime ».

« Nous savions depuis le début exactement ce que John Durham allait conclure, et c’est ce que nous avons vu aujourd’hui. Nous savions depuis le début qu’il ne s’agissait pas d’une enquête légitime », a déclaré M. McCabe. « Il s’agissait d’une opération politique visant à infliger une sorte de châtiment aux ennemis présumés de Donald Trump et au FBI.

Le rapport de Durham a mis en évidence les différentes approches du FBI concernant leurs enquêtes sur Clinton et l’ancien président Donald Trump.

« L’utilisation de briefings défensifs en 2015 contraste avec le fait que le FBI n’a pas fourni de briefing défensif à la campagne Trump environ un an plus tard, lorsque l’Australie a partagé les informations de Papadopoulos », indique le rapport.

Le représentant républicain de Floride Matt Gaetz, qui siège à la sous-commission « Armement du gouvernement fédéral » de la commission judiciaire de la Chambre des représentants, a déclaré au DailyMail que le rapport de M. Durham méritait « une exposition et un examen supplémentaires ».

« Les Clinton avaient une équipe de personnes au FBI qui s’interposaient pour eux afin d’éviter toute culpabilité criminelle », a déclaré M. Gaetz à l’hebdomadaire. « Ces questions méritent absolument d’être exposées et examinées de manière plus approfondie.

L’ancien député Jason Chaffetz (R-UT) a déclaré que les enquêtes du FBI sur les Clinton « ont été stoppées par les hauts responsables qui avaient un désir politique évident de voir Donald Trump perdre et Hillary Clinton gagner. »

« C’est vraiment dégoûtant. Ces enquêtes doivent absolument être réexaminées », a-t-il déclaré au DailyMail. « Il n’y a aucune raison pour que le Congrès n’organise pas une série d’auditions avec les agents de terrain qui poursuivaient la Fondation Clinton, ainsi que des entretiens publics avec eux.

© Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info. Traduit et adapté depuis un article de Breitbart


Le rapport Durham dit que la CIA a informé le vice-président Biden, en 2016, que la collusion de Trump avec la Russie était bidon

Le rapport final du conseiller spécial John Durham aura peut-être des conséquences au-delà des défaillances du FBI qu’il a exposées dans le cadre de la fausse accusation de collusion de Trump avec la Russie, aujourd’hui discréditée.

Voici des extraits de l’article paru sur Just the News.

Le président Joe Biden, qui doit faire face à une campagne de réélection ; le Congrès, qui doit décider s’il faut mettre fin à l’espionnage sans mandat ; et des alliés des États-Unis, souvent sollicités pour aider les services de renseignement américains, sont tous confrontés à des questions qui « donnent à réfléchir » à la suite des révélations fracassantes du rapport.

Les conclusions principales de Durham ne seront guère une surprise pour les lecteurs de Dreuz qui ont suivi cette scandaleuse saga, d’où tous les protagonistes sont sortis sans une égratignure, parce qu’ils sont Démocrates, dont protégés par le Deep State, et que les Républicains sont trop mous pour passer à l’offensive.

  1. Le FBI ne disposait d’aucune preuve ni d’aucun renseignement justifiant l’ouverture d’une enquête sur Donald Trump en tant que candidat du GOP à la présidence en 2016,
  2. Le FBI a piétiné ses propres règles faites pour protéger les libertés civiles.
  3. Il a fermé les yeux lorsque des lumières rouges clignotantes indiquaient que les allégations de collusion avec la Russie n’étaient rien d’autre qu’un sale coup politique d’Hillary Clinton et de ses partisans.

Mais la question de savoir ce qu’il faut faire de ces faits et comment imposer des conséquences aux mauvais comportements mis en évidence dans le rapport de 306 pages est loin d’être réglée : preuve est faite que la gauche possède aujourd’hui un passe-droit quasi total.

Le président de la commission judiciaire de la Chambre des représentants, Jim Jordan, a entamé le processus de correction de ces questions en convoquant Durham pour témoigner devant sa commission la semaine prochaine. Il a suggéré que son collègue pourrait utiliser le pouvoir de la bourse pour punir les acteurs qui ont permis à l’enquête sur la collusion avec la Russie de perdurer pendant trois ans en l’absence de toute justification ou de toute preuve. On peut supposer sans prendre de gros risques qu’il n’en fera rien : les Républicains menacent beaucoup, mais ne passent pas souvent à l’acte.

Plusieurs acteurs clés seraient également confrontés à de nouvelles questions concernant leur propre comportement s’ils n’étaient pas Démocrates.

1Le président actuel – déjà confronté à une affaire louche, à savoir que ses alliés de la communauté du renseignement ont fabriqué un faux narratif pour l’élection de 2020 en présentant faussement l’ordinateur portable de Hunter Biden comme une désinformation russe – faux narratif que Biden a utilisé lors d’un débat présidentiel – est mentionné dans le rapport Durham comme ayant été informé à l’été 2016 d’un plan de la campagne Clinton visant à fabriquer le scandale de la Russie contre Trump.

Biden était présent lors d’une réunion d’information organisée le 3 août 2016 au cours de laquelle le directeur de la CIA de l’époque, John Brennan, a rencontré des représentants de l’administration Obama pour les informer que des efforts étaient déployés pour faire croire que la Russie s’ingérait dans les élections, Brennan savait que l’histoire était bidon.

Plus précisément, les notes manuscrites déclassifiées du directeur Brennan indiquent qu’il a informé les participants à la réunion de « l’approbation par Hillary Clinton, le 26 juillet, d’une proposition de l’un de ses conseillers [de campagne] visant à vilipender Donald Trump en créant le scandale d’une ingérence des services de sécurité russes », a écrit M. Durham dans le rapport.

2Les alliés – qui considèrent généralement les États-Unis comme le chef de file en matière d’enquêtes honnêtes et de renseignements précis – prendront certainement une pause en lisant que les Etats-Unis du président Obama se sont comportés comme une République bananière. La réaction de la Grande-Bretagne, qui s’est exprimée à grand renfort de jurons, lorsqu’elle s’est rendu compte qu’elle avait été entraînée dans une enquête de contre-espionnage sans aucun fondement est un douloureux exemple.

Le rapport décrit les interactions entre l’attaché juridique du FBI à Londres et les responsables des services de renseignement au sujet du mauvais accueil réservé à l’enquête par les services de renseignement britanniques. L’attaché de Londres a exprimé son incrédulité face à la « minceur » des preuves à l’appui de l’affaire, et a déclaré aux fonctionnaires que le personnel britannique était « ouvertement sceptique ». Il a averti que les plans du FBI pour une opération « n’avaient pas de sens ».

Après que des responsables du renseignement américain ont montré à des agents britanniques l’enregistrement d’un conseiller de Trump, l’attaché a décrit la réaction britannique comme n’étant « pas positive en raison de l’absence de toute preuve ». Lors d’une interaction ultérieure, l’attaché a déclaré que les Britanniques en avaient « assez ».

3L’ancien enquêteur de la Chambre des représentants, Kash Patel, a indiqué, lors d’une apparition lundi dans l’émission de télévision « Just the News, Noise Noise », que les révélations sur les protestations et moqueries de l’étranger à l’égard de l’enquête allaient saper les États-Unis en tant que modèle sur lequel fonder un système de justice impartial.

« Cette révélation », a-t-il déclaré, « continue d’éroder notre système judiciaire et de créer un système de justice à deux vitesses. Les gens ne peuvent plus regarder l’Amérique et se demander comment mettre en place un système de justice unique et uniforme ».

4Le Congrès doit également décider si le FBI – qui a violé ses propres règles et permis la poursuite d’une enquête en l’absence de toute preuve d’actes répréhensibles – doit se voir confier pour plusieurs années encore les formidables outils de renseignement dont il a abusé dans le cadre de la fausse collusion avec la Russie, notamment la demande, qu’ils ont obtenue, de surveillance sans mandat au titre des mandats FISA (cour secrète qui autorise la mise sous écoute et sous surveillance d’Américains dans le cas de menace intérieure), qui doivent être renouvelés cette année.

Un homme de longue date du FBI, Kevin Brock, directeur adjoint du renseignement à la retraite, a déclaré lundi soir à l’émission de télévision « Just the News, No Noise » que la confiance du bureau était certainement diminuée.

« Le FBI a été essentiellement détourné par une poignée de cadres supérieurs qui avaient un but, qui n’aimaient pas Donald Trump, et qui ont utilisé les pouvoirs impressionnants du FBI pour lancer une enquête au mépris de toutes les directives et restrictions légales qui empêcheraient l’utilisation abusive du FBI », a noté M. Brock.

« Ils ont ouvert un dossier sans précaution adéquate, les précautions qui sont vitales pour protéger chaque Américain d’un FBI qui mènerait une enquête parce qu’il n’aime pas la couleur de vos chaussures », a-t-il ajouté.

Le rapport Durham est sans équivoque quant aux fautes commises par le FBI

Ni les forces de l’ordre américaines ni la communauté du renseignement ne disposaient de preuves réelles de collusion, et ce depuis le début de l’enquête baptisée « ouragan Crossfire », écrit Durham dans son rapport de 300 pages envoyé au Congrès, et pourtant, ils ont continué leur « enquête » pendant trois ans.

Ceci est en phase avec tous les articles publiés sur Dreuz sur le sujet entre 2016 et 2019. Tous les médias français ont diffusé des thèses conspirationnistes, tandis que Dreuz rapportait des faits réels. Et c’est Dreuz qu’on accuse d’être complotiste.

  • Durham a reproché au ministère et au FBI de ne pas avoir respecté leurs propres normes.
  • Il les accuse d’avoir permis la poursuite d’une enquête, y compris la surveillance d’un citoyen américain, sans le moindre fondement, et ce en vertu de la loi sur la surveillance du renseignement étranger (Foreign Intelligence Surveillance Act ou FISA).

« Sur la base de l’examen de Crossfire Hurricane et des activités de renseignement connexes, nous avons conclu que le ministère et le FBI n’ont pas respecté leur importante mission de stricte fidélité à la loi dans le cadre de certains événements et activités décrits dans le présent rapport », écrit Durham.

« Le personnel du FBI a également ignoré à plusieurs reprises des règles importantes lorsqu’il a continué à demander le renouvellement de cette surveillance FISA tout en reconnaissant – à l’époque et a posteriori – qu’il ne croyait pas sincèrement qu’il y avait des raisons de penser que la cible [Donald Trump] était sciemment engagée dans des activités de renseignement clandestines pour le compte d’une puissance étrangère ».

Le FBI a reconnu les manquements du passé, affirmant que les conclusions de Durham justifiaient les changements apportés par l’actuel directeur Christopher Wray après avoir succédé au directeur James Comey, qui a été limogé. Sauf que la reconnaissance de manquements et la promesse d’y remédier est le nom de code pour s’en tirer à bon compte et continuer comme si de rien n’était.

« La conduite en 2016 et 2017 que le conseiller spécial Durham a examinée était la raison pour laquelle la direction actuelle du FBI a déjà mis en œuvre des dizaines de mesures correctives, qui sont maintenant en place depuis un certain temps. Si ces réformes avaient été mises en place en 2016, les faux pas identifiés dans le rapport auraient pu être évités », a déclaré le FBI.

« Ce rapport renforce l’importance de veiller à ce que le FBI continue à faire son travail avec la rigueur, l’objectivité et le professionnalisme que le peuple américain mérite et attend à juste titre ».

J’espère que vous ne croyez pas un mot de ce communiqué. Le FBI a continué jusqu’à présent à politiser sa puissante capacité policière.

M. Durham a notamment reproché au FBI de s’être appuyé sur des preuves issues de la campagne de la candidate Démocrate à l’élection présidentielle de 2016, Hillary Clinton, y compris le dossier Steele, aujourd’hui discrédité, estimant que les dirigeants n’avaient pas la méfiance nécessaire à l’égard d’allégations motivées par des considérations politiques. Là, Durham se trompe totalement : les dirigeants savaient exactement ce qu’ils faisaient.

« Notre enquête a également révélé que les cadres supérieurs du FBI ont fait preuve d’un sérieux manque de rigueur analytique à l’égard des informations qu’ils recevaient, en particulier celles provenant de personnes et d’entités affiliées à des partis politiques », a-t-il écrit. « Ces informations ont en partie déclenché et soutenu Crossfire Hurricane et ont contribué à l’enquête du conseiller spécial Mueller.

 »En particulier, ils se sont beaucoup appuyés sur des pistes d’enquête fournies ou financées (directement ou indirectement) par les opposants politiques de Trump. Le ministère n’a pas examiné ou remis en question de manière adéquate ces documents et les motivations de ceux qui les ont fournis, même lorsque, à peu près au même moment, le directeur du FBI et d’autres personnes ont appris l’existence de renseignements importants et potentiellement contraires. »

Justice à deux vitesses : aucune enquête contre Clinton

Le procureur spécial a souligné ce qu’il a décrit comme un double système de justice, notant que le FBI n’a jamais ouvert d’enquête de contre-espionnage sur la campagne de Mme Clinton, bien qu’il ait reçu des informations selon lesquelles elle avait autorisé un sale coup visant à dépeindre M. Trump comme un laquais du président russe Vladimir Poutine afin d’influencer le résultat de l’élection.

« Les actions du FBI concernant d’autres renseignements hautement significatifs qu’il a reçus d’une source étrangère fiable indiquaient un plan de campagne de Clinton visant à vilipender Trump en le liant à Vladimir Poutine, afin de détourner l’attention de ses propres problèmes liés à son utilisation d’un serveur de messagerie privé », a conclu le rapport.

« Contrairement à l’ouverture par le FBI d’une enquête complète sur des membres inconnus de la campagne Trump, sur la base d’informations non corroborées, le FBI n’a jamais ouvert d’enquête, émis des ordres, employé du personnel d’analyse, ou fourni des analyses en rapport avec les informations sur l’affaire distincte concernant le plan de la campagne Clinton.

Cette absence d’action s’est produite en dépit du fait que l’importance des renseignements sur les plans de Clinton était telle qu’elle a incité le directeur de la CIA à informer le Président, le vice-président, le procureur général, le directeur du FBI et d’autres hauts responsables du gouvernement de leur contenu dans les jours qui ont suivi leur réception », a également écrit Durham.

« Les renseignements étaient suffisamment important pour que la CIA envoie un mémorandum écrit officiel au directeur Comey [du FBI] et au directeur adjoint de la division du contre-espionnage du FBI, Peter Strzok [qui a participé à la fausse enquête contre Trump, que la publication de ses SMS a montré qu’il avait une haine extrême pour Trump], pour qu’ils l’examinent et agissent en conséquence.

Fausse enquête anti-Trump du FBI sous le nez du chef du contre-espionnage

M. Durham a présenté des preuves significatives selon lesquelles M. Strzok, qui a dirigé l’équipe Crossfire Hurricane, mais a été renvoyé du FBI, a travaillé avec l’avocate du FBI Lisa Page, avec laquelle il avait une liaison, pour contourner le chef du contre-espionnage du FBI, Bill Priestap, son patron, afin de poursuivre l’enquête en obtenant l’approbation du directeur adjoint du FBI de l’époque, Andrew McCabe, qui a lui aussi été renvoyé par la suite. Renvoyés, mais jamais sanctionnés, précisons-le.

Le rapport cite Priestap qui a identifié « des cas où Strzok a partagé des informations directement avec McCabe avant que Priestap ne puisse fournir les informations à McCabe lui-même ». Priestap a déclaré que ces actions le rendaient « fou ». Il a également déclaré au Bureau que Strzok était le pire délinquant à cet égard et que ces événements se produisaient principalement lorsqu’il (Priestap) voulait aller dans une direction et qu’ils (Page et Strzok) n’étaient pas d’accord et le contournaient donc ».

Le rapport a également révélé que l’agent qui a été contacté pour la première fois le 5 juillet 2016 par l’ex-agent du MI6 Christopher Steele, l’auteur du tristement célèbre dossier financé par la campagne d’Hillary Clinton, savait que la campagne de Clinton était liée à son travail, y compris la mention « HC » dans ses notes. Cet agent a déclaré que sa première réaction aux allégations de Steele concernant la collusion entre Trump et la Russie était « incrédule » et que Steele était « politiquement motivé », mais qu’il avait tout de même transmis les allégations au FBI.

« Nonobstant son scepticisme à l’égard du rapport, l’agent a estimé que les allégations étaient quelque chose qu’il ne pouvait pas ignorer arbitrairement », indique le rapport.

Conclusions

  • Première conclusion : Dreuz a été dans le mille tout au long de ce scandale. Tous les articles que Dreuz a publié sont confirmés et corroborés par ce dossier Durham.
  • A contrario, les médias français, tous les médias français, ont diffusé les thèses conspirationnistes de la collusion de Trump avec la Russie, sans vérification, sans recul, sans enquête, sans analyse, ils se sont contentés de reprendre les propos complotistes du Washington Post et du New York Times. Et si vous consultez les organes de fact checking, c’est Dreuz qui est accusé.
  • L’autre conclusion est que cette affaire étant plus grave que le Watergate – puisque le FBI et l’administration Obama sont impliqués, contrairement au scandale qui impliquait Nixon – il est maintenant établi qu’un scandale de cette envergure n’existe que si les médias décident que c’est un scandale. S’ils veulent l’étouffer, le minimiser ou l’occulter, ils en ont le pouvoir. Un terrible pouvoir.

© Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.


Ce que vaut réellement le rapport Durham

Bravo au Washington Times pour son article du 16 mai suggérant l’annulation des prix Pulitzer décernés au New York Times et au Washington Post pour avoir publié des reportages concernant la prétendue collusion de Donald Trump avec la Russie. Voici la description des reportages nationaux qui ont reçu des prix Pulitzer en 2018, par les responsables de Pulitzer :

Aux équipes du New York Times et du Washington Post

Pour une couverture profondément sourcée, rapportée sans relâche dans l’intérêt public qui a considérablement fait progresser la compréhension de la nation de l’ingérence russe dans l’élection présidentielle de 2016 et de ses liens avec la campagne Trump, l’équipe de transition du président élu et son éventuelle administration. (L’article du New York Times, soumis dans cette catégorie, a été retenu par le conseil d’administration et s’est vu décerner le prix conjointement).

« Une couverture sourcée et implacable dans l’intérêt du public » ?

C’est du délire.

Comparez cette fabrication de Pulitzer à un bref extrait du Rapport Durham, cité par The Hill :

« Les faits objectifs montrent que la gestion par le FBI d’aspects importants de l’affaire Crossfire Hurricane a été gravement déficiente », écrit M. Durham, qui affirme que le bureau s’est appuyé sur des « renseignements bruts, non analysés et non corroborés.

L’avocat spécial, John Durham a conclu que le FBI « s’est appuyé sur des renseignements bruts, non analysés et non corroborés ». Le Washington Post et le New York Times osent-ils prétendre qu’ils sont allés au-delà de l’empressement du FBI à discréditer la campagne présidentielle de Trump en 2016 pour des raisons politiques ?

Il est intéressant de noter que le compte rendu du Rapport Durham publié dans le Times du 16 mai omet le terme « non corroboré », lancé par l’avocat spécial comme une lance dans le cœur du FBI – et de ceux qui ont avalé avec empressement le mensonge désormais connu sous le nom de « canular russe ».

Compte tenu de la définition de « non corroboré », je ne doute pas que le Times a évité ces termes comme un vampire évite la lumière du soleil : « non confirmé ou étayé par d’autres preuves ou informations ». C’est le verdict du Rapport Durham concernant l’aide apportée par le FBI à la campagne d’Hillary Clinton. Vraisemblablement, ce verdict s’applique aux prix Pulitzer bidons remis au Times et au Washington Post pour leur service dans la tentative de démolir la présidence de Donald Trump.

N’oublions pas que le FBI aurait offert un million de dollars à Christopher Steele s’il pouvait corroborer son dossier sur M. Trump, dossier financé par Hillary Clinton. M. Steele n’a pas saisi sa chance d’obtenir un million de dollars.

À la mi-octobre 2016, le FBI aurait dû savoir que l’opération Crossfire Hurricane – l’opération visant à écraser Trump – était une opération de désinformation démocrate. Mais ils n’ont pas voulu laisser passer la chance d’aider Hillary à devenir présidente.

La vérité c’est que l’opération Crossfire Hurricane était un exemple de projection politique au énième degré – les méchants n’étant pas les Russes, mais les zélateurs gauchistes du renseignement américain.

Le Times affirme que John Durham n’a pas réussi à faire des « révélations fracassantes ».

Mais comment les auteurs du « canular russe » peuvent-ils répondre de manière convaincante à des questions fondées sur les conclusions du Rapport ?

Comment, pour donner un exemple, le déshonoré Adam Schiff peut-il défendre son affirmation sur la collusion russe telle qu’elle a été rapportée par Politico il y a quatre ans, à savoir que les preuves étaient « visibles pour tous » ?

Autre exemple, comment Nicholas Kristof peut-il aujourd’hui corroborer sa chronique de décembre 2016 dans laquelle il ridiculise le Président élu Donald Trump, le surnommant « le caniche des Russes » ?

Il ne le peut pas, bien sûr, sauf à continuer à porter un faux témoignage.

Mais c’est là le véritable enjeu du Rapport Durham, en l’absence de « révélations fracassantes ». Le Rapport Durham est un livre blanc destiné au peuple américain, qui présente les preuves que la cabale visant à saper et à détruire Donald J. Trump est formée par une bande de menteurs déterminés à transformer le pays à leur propre image.

Il appartient maintenant aux Républicains de la Chambre des représentants d’utiliser le rapport du conseiller spécial John Durham comme guide de travail pour chasser ces coquins de ce qu’ils prétendent être leur habitat naturel : Washington, D.C.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.

Source : American Thinker




Urgence climatique ?

[Source : reinfoquebec.ca]

Par Patrick Vesin et Christian Leray

La question de l’évolution du climat n’est pas nouvelle. Déjà en 1990, elle faisait partie des préoccupations importantes. Où en sommes-nous aujourd’hui ?

Changement climatique : état des lieux

En 2007 était annoncée la publication du quatrième rapport d’évaluation du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) intitulé « Changements Climatiques 2007 ». Trois rapports l’avaient précédé en 1990, 1995 et 2001. Ce quatrième rapport, présentant un résumé de recherches des six années précédentes, était destiné spécifiquement aux décideurs, et contenait les résultats des travaux de plus de 450 grands auteurs, 800 contributeurs et 2 500 scientifiques originaires de plus de 130 pays.

Dans ce rapport, il est écrit : « Les activités humaines sont à l’origine de l’émission des gaz à effet de serre. La concentration de tous ces gaz s’est fortement accrue pendant l’ère industrielle et elle est entièrement imputable aux activités humaines. ». On y indique en particulier que le niveau de la mer monte, que la quantité de neige et de glace est en train de diminuer et qu’il est très improbable que le réchauffement du XXe siècle puisse s’expliquer par des causes naturelles.

[Voir aussi :
dossier Climat]

Récemment les Nations Unies ont approuvé le sixième rapport du GIEC. « Au début de la réunion, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a appelé les délégués à fournir des “faits bruts et concrets” pour affirmer clairement qu’il reste peu de temps pour que le monde limite le réchauffement climatique à 1,5 degré Celsius par rapport à l’époque préindustrielle. »

En fait la peur a été installée auprès de la population, à savoir que ce sont les dernières chances de l’humanité. Des études montrent par exemple que 60 % des jeunes se disent « très inquiets » des changements climatiques. Ils jugent même leur futur « effrayant », au point où 40 % d’entre eux déclarent qu’ils « ne veulent pas d’enfant par peur du dérèglement climatique ».

Quand on constate l’ampleur des recherches, il ne viendrait certainement pas à l’idée de la population en général de contester ces rapports. Et il serait donc légitime de dire : le sujet est clos et urgent. La population est très inquiète : passons à l’action afin de protéger les générations futures.

Quelques questions

Cependant, pour un esprit critique, Il y a tout de même lieu de se questionner.

1— D’abord sur les affirmations de l’ancien vice-président américain Al Gore, prix Nobel de la paix sur le sujet du réchauffement climatique, qui avait affirmé en 2009 qu’à brève échéance (2013) l’Arctique serait libre de glace en été.

Plus globalement, cette Une de La Presse (mais on peut en trouver facilement des dizaines d’autres) montre que derrière leur catastrophisme, aucune des prédictions apocalyptiques annoncées ne s’est réalisée. Peut-on alors continuer de les croire ?

2— Ce catastrophisme doit nous mener à nous interroger sur ce que publient les médias subventionnés en ce qui concerne le climat. On ne parle que d’urgence et de réchauffement climatique et on nous affirme que les spécialistes dans le domaine sont d’accord. Ce qui devrait déjà nous donner la puce à l’oreille : un consensus en science, cela n’existe pas !

3— Le propre de la science est de débattre, de remettre en question. Cependant, force est de constater que les débats publics sur la question se font rares. En fait, c’est même à se demander s’ils existent, tellement il semble que seuls les tenants d’un réchauffement climatique dû à l’activité humaine ont le droit à la parole. L’invisibilisation des chercheurs en désaccord empêche tout débat de fond, censure la pensée et interdit le raisonnement.

4— Dès que l’on s’interroge sur le sujet, l’expression théorie du complot réapparaît, expression qu’on appelait auparavant esprit critique, considéré comme salutaire pour une démocratie.

5— À cet égard, il est important de se rappeler la parole du sociologue Edgar Morin : « Toute contestation d’une affirmation officielle ou d’une croyance largement répandue peut être désormais considérée comme complotiste. »

6— Dans les faits, tous les experts dans le domaine ne sont pas d’accord avec cette affirmation du réchauffement climatique. Mais comme on l’a vu, ceux qui remettent en doute le discours officiel sont invisibilisés. Et encore seraient-ils sans doute beaucoup plus nombreux s’il n’y avait pas des menaces sur leurs carrières ou leurs financements s’ils osent s’exprimer.

On remarque aussi que de nombreux « experts » du GIEC ne sont pas des scientifiques. Par exemple, son président, Hoesung Lee, est un économiste… tout comme le 3e auteur du dernier rapport de l’organisme, M. Dipak Dasgupta. Cela est un peu gênant.

Que penser alors quand le climatologue français Marcel Leroux affirme de son côté qu’il y a en fait des régions qui se réchauffent et d’autres qui se refroidissent et qu’on ne sait pas si la terre se réchauffe ?

Toujours selon lui, dire que le changement climatique est dû à l’effet de serre est une nouveauté ! Les causes sont déjà connues : les paramètres de Milanković (paramètres astronomiques qui engendrent des variations cycliques du climat terrestre), les variations de l’activité solaire (qui auraient pour conséquence « un réchauffement global de notre système solaire »), le géomagnétisme, le rayonnement cosmique, le volcanisme. Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau qui agit à 95 % sur ce qu’on appelle l’effet de serre et non le gaz carbonique.

Source : https://pgibertie.com/2023/05/09/pour-le-dernier-prix-nobel-de-physique-2022-john-clauser-il-ny-a-pas-de-crise-climatique-les-temperatures-mondiales-sont-a-leur-niveau-de-1998/

Ce que l’on constate dans les faits, c’est que contrairement à une opinion pourtant largement répandue, c’est la hausse des températures, due aux cycles de Milanković, qui provoque l’augmentation de la concentration de gaz à effet de serre dans l’atmosphère (cela est dû au fait que « si l’océan se réchauffe, il dégage du CO2 et augmente donc la concentration atmosphérique. C’est l’application de la Loi de Henry sur la solubilité des gaz dans l’eau ») et non l’inverse (Caillon & al, 2003). Comment alors le taux de CO2, qui suit la hausse des températures, pourrait-il expliquer la hausse des températures ?

Selon certains scientifiques, il n’y a pas d’urgence climatique

Tout cela conduit le dernier prix Nobel de Physique (2022), John Clauser, à déclarer qu’« il n’y a pas de crise climatique ». D’après lui, les températures mondiales sont à leur niveau de 1998.

Cela est confirmé par des scientifiques qui ont analysé des carottes de glace en Antarctique et qui montrent qu’il faisait par exemple plus chaud en l’an 1 000 qu’aujourd’hui. Ils notent que les températures les plus basses au cours des 8 000 dernières années ont eu lieu vers 1875… date à laquelle ont débuté les relevés météo et de température, ce qui explique que la hausse nous semble anormale.

Source : https://odysee.com/@vcuendet:1/Carottes-de-glace-et-climat:c?r=GfgcXMkyNuAXMxwiKBa54SiaXQBebDMP

Prises dans un contexte historique s’étalant sur les 800 000 dernières années, les températures actuelles sont certes élevées mais s’inscrivent dans des cycles « normaux » d’élévation puis de baisse des températures. Alors peut-être la hausse actuelle est-elle accélérée par l’activité humaine. Mais doit-on pour autant paniquer ?

Ainsi, Steven Koonin, l’ancien conseiller climat du président Obama, affirme qu’il faudrait stopper l’hystérie autour de la « crise climatique » et de tout ce qui va avec : nouvelles taxes, nouveaux impôts, nouvelles réglementations.

De son côté, tout en ne niant pas les problèmes écologiques, l’ancien PDG de Greenpeace, Patrick Albert Moore, avoue que le changement climatique sert à effrayer les gens et à les contrôler.

Et ce sont plus de mille experts qui ont publié un rapport et qui affirment qu’il n’y a pas d’urgence climatique, que ce soit d’origine humaine ou autre ! Les conclusions du rapport vont à l’encontre des efforts déployés pour se débarrasser des combustibles fossiles, déployer le plus rapidement possible des véhicules électriques et dépenser des milliards de dollars dans des projets d’énergie verte à court terme, etc.

À ce sujet, il est fascinant de constater à quel point le mirage de la « transition écologique » est un dogme… qui n’a pas de sens. Ainsi, Aurore Stéphant, ingénieure géologue minière, explique que tous les minerais de la terre seront largement insuffisants pour permettre cette transition.

Même les médias subventionnés québécois commencent à se poser des questions. Le journal Les Affaires constate ainsi l’impossibilité des objectifs fixés. Il affirme :

Dans votre Plan pour une économie verte (PEV) 2030, votre gouvernement établit un objectif de 1,6 million de véhicules électriques sur les routes du Québec d’ici 2030. Sachant qu’en juillet 2022, ce nombre était d’environ 150 000, cela signifie 1,45 million de nouveaux véhicules électriques au cours des sept prochaines années.

Une batterie de voiture électrique contient, en moyenne, 7 kg de lithium. L’atteinte de cet objectif du PEV nécessiterait donc plus de 10 000 tonnes de lithium. Or, la production mondiale totale de lithium, au cours des dernières années, varie entre 80 000 et 100 000 tonnes par année.

Conclusion : urgence climatique ou contrôle social ?

Il y a de quoi en perdre son latin, à savoir ne plus rien comprendre, y perdre la tête, ne plus savoir que faire ou que dire.

Devant des opinions si opposées, qui dit vrai ?

Si on choisit l’option qu’il n’y a pas d’urgence climatique (voire que la transition écologique est une utopie irréalisable), on se fait traiter de climatosceptique et de négationniste.

Si on choisit l’option de l’urgence climatique, on cède à la peur.

Ce qui est certain est qu’on a laissé beaucoup de place à l’urgence climatique dans les publications gouvernementales, les médias subventionnés, écrits ou audiovisuels.

Ceux qui pensent qu’il n’y a pas d’urgence, même s’ils sont des experts dans ce domaine, ont de la difficulté à s’y faire entendre quand ils ne sont pas censurés.

Dans un article récent du journal Le Devoir, n’y voit-on pas écrit : « C’est le 3 mai qu’est soulignée cette année la Journée mondiale de la liberté de la presse. C’est un rappel que la liberté d’expression et de la presse est la clef de voûte de tous les droits de la personne. »

Il serait peut-être le temps de faire ce que l’on dit ! Car les conséquences sur nos libertés risquent d’être majeures. En effet, les populations apeurées pourraient, comme lors de la COVID-19, accepter des décisions radicales, comme, par exemple, des « confinements climatiques ». Une méthode qui semble privilégiée est les « villes 15 minutes », dans lesquelles, en principe, tout se trouvera à moins de 15 minutes de marche… avec de grandes limitations quant à l’utilisation de son auto, limitations qui seront scrutées grâce à une myriade de caméras biométriques. Un projet pilote va être mené prochainement à Oxford. La Ville de Montréal affirme « adhérer au concept ». Et c’est peut-être le cas de votre ville… sans que vous ne le sachiez.

D’autres mesures, comme un « passeport carbone », sont envisagées. Passeport qui sera probablement couplé à votre identité numérique et votre compte en banque : dépassez votre bilan carbone du mois et vous pourriez ne plus pouvoir faire d’achats, ne plus pouvoir acheter un billet d’avion, de l’essence… ou des fruits au prétexte qu’ils ne sont pas produits localement. Les achats effectués à plus de 15 minutes de marche de votre domicile pourraient aussi être rendus impossibles. Etc.

Tout cela amène à s’interroger sur cet intérêt soudain pour le changement climatique (depuis la « fin » de la COVID-19)… alors que nous faisons face à d’autres immenses défis environnementaux, comme les plastiques, notamment dans les océans, mais aussi tous les produits chimiques persistants comme le mercure (tellement présent dans les océans qu’il devient dangereux de consommer du poisson), les PFAS et bien d’autres.

Finalement, l’enjeu du « changement climatique » est-il vraiment climatique… ou politique ? Au prétexte d’une prétendue « crise climatique », nous apprêtons-nous à entrer dans une société de contrôle ?

Nous donnerons le mot de la fin à Ivan Rioufol, grand intellectuel français :

La leçon à en tirer, c’est qu’un peuple soumis à une politique de la peur — que ce soit la peur climatique, la peur du populisme, la peur de la guerre ou encore d’un virus — peut renoncer à toutes ses libertés essentielles.




Alexandre Havard : « 2 grands prophètes ont prévu le drame qui arrive »

D’origine française, russe et géorgienne, Alexandre Havard vit à Moscou depuis une quinzaine d’années. Juriste de formation, il a exercé le métier d’avocat plusieurs années avant de se consacrer au développement du système de Leadership Vertueux : une approche du leadership fondée sur la science de la vertu élaborée par les anciens Grecs.

Pour Alexandre Havard, bien que notre civilisation soit obsédée par l’idée de « Progrès », la conception que nous en avons désormais, si elle se pare de toutes les vertus, est devenue étrangère à toute notion d’élévation spirituelle.

« Certains pensent qu’un système politique peut résoudre tous les problèmes de l’humanité, ils mettent toute leur foi dans la politique. Ils nient la nature humaine, ils nient le fait que le mal extérieur n’est qu’une conséquence du mal intérieur, qui se trouve dans le cœur de l’homme. Cela mène à l’idéologie », observe Alexandre Havard. Nous vivons dans un monde où règnent le politiquement correct, le culturellement correct, le religieusement correct, etc. ».

« D’autres pensent que le progrès technique va provoquer le progrès moral, que la technologie va sauver l’humanité, poursuit-il. Le développement technologique permet de réaliser des choses incroyables, mais si l’on refuse de comprendre qu’il existe des tendances basses dans le cœur des hommes contre lesquelles il faut lutter, ce progrès technologique peut conduire à la fin du monde. »

« L’humanité n’a pas besoin d’être sauvée par un système. Elle a besoin d’être sauvée par le caractère, par la vertu, pour que chaque individu dépasse ses tendances misérables et devienne une personne excellente, ajoute-t-il. Le vrai Progrès c’est le développement spirituel. Il faut encourager chacun à prendre de bonnes décisions, à vouloir faire le bien, à vouloir être bon », ajoute-t-il.

Selon Alexandre Havard, nous traversons une crise du leadership, la plupart des responsables politiques au pouvoir n’étant pas de véritables leaders à même d’exalter les aspirations les plus nobles de leur peuple.

« Nos dirigeants ne sont pas des leaders, ils ne méritent pas le pouvoir, souligne-t-il. Mais on se rend bien compte que ces hommes politiques ne dirigent rien du tout. Ce sont des marionnettes élues par la finance et les médias, ceux qui dirigent sont derrière eux, ce sont des gens très influents, qui ont beaucoup d’argent, et qui ont une vision désastreuse de la personne humaine. »

« Je pense que la société va vers un chaos total provoqué par ces manipulateurs, mais qu’il y a d’autres personnes au-dessus d’eux qui veulent ce processus pour se présenter comme des “sauveurs”, poursuit Alexandre Havard. Ces “sauveurs” sont très différents, ils ont l’air bons, ils ont l’air capables, ils sont très attrayants. Ce sont les plus dangereux. Beaucoup de gens regardent les manipulateurs, mais pas ceux qui viendront après. C’est là que sera le grand combat. »

Et Alexandre Havard de conclure :

« Le drame de l’homme moderne vient du fait qu’il perd le sens de sa propre liberté. Il ne faut pas renoncer à la liberté au nom de la sécurité, du pain et des jeux. Là où il n’y a pas de liberté, il n’y a pas d’amour, il y a des esclaves et des zombies. Ce n’est pas l’objectif de notre existence. »

[Voir aussi :
Alexandre Havard : « On arrive à la fin des mensonges »]

00:00 Introduction

01:49 Quelle est la différence entre la vocation et la mission ? Pourquoi est-il important de découvrir sa mission dans l’existence ? Comment y parvenir ?

11:08 En quoi le monde moderne fait-il l’expérience d’une crise de la formation et d’une crise de l’éducation ?

19:26 Qu’est-ce qui distingue le tempérament du caractère ? Pourquoi est-il fondamental de faire la différence ?

34:02 Quelle est la différence entre l’éthique des vertus et l’éthique des règles ? En quoi l’éthique des vertus favorise-t-elle davantage l’épanouissement individuel et collectif ?

40:33 En quoi la notion de progrès a-t-elle été dévoyée ? Pourquoi le perfectionnement moral d’un individu constitue-t-il le progrès véritable ?

49:48 Nos dirigeants sont-ils de véritables leaders ? Incarnent-ils la grandeur ou la pusillanimité ?

01:00:22 Comment surmonter les bouleversements auxquels nous sommes confrontés ?

01:14:10 Qu’est-ce que « l’Idée russe » ? Quelles sont les particularités qui distinguent la Russie de l’Occident ?

01:22:54 En quoi la France et la Russie ont-elles une affinité historique et culturelle particulière ? La guerre en Ukraine risque-t-elle de compromettre de manière durable les rapports entre nos deux pays ?




EUGÉNIE BASTIÉ : TOUCHE PAS À MON SEXE

[Source : lincorrect.org]

[Photo : © Benjamin de Diesbach pour L’Incorrect]

Par Rémi Carlu

L’essayiste et journaliste du Figaro publie Sauvez la différence des sexes, court mais excellent texte dans lequel elle défend l’altérité des sexes dans ses dimensions naturelle et culturelle, que menacent aujourd’hui les pensées néo-féministes de la déconstruction.

Comment le féminisme, pensé au départ pour émanciper les femmes, en est arrivé à nier l’existence du sexe féminin ?

Le féminisme a connu trois vagues. La première consistait à donner aux femmes des droits politiques et civils déjà obtenus pour les hommes. Ensuite, la révolution sexuelle des années 70 a renversé le patriarcat en donnant aux femmes le pouvoir de s’approprier la reproduction. Nous sommes maintenant dans une troisième vague qui consiste à gommer la différence des sexes sous prétexte que toute différence serait une construction sociale au service de la domination masculine — idée que l’on trouve déjà chez Simone de Beauvoir. En effaçant cette différence, on aboutirait à l’égalité et donc à l’émancipation totale des femmes. Ainsi, le féminisme est devenu le syndicat d’un sujet qu’il déconstruit par ailleurs. La femme doit être partout, mais elle n’existe pas. C’est évidemment un mensonge scientifique. Le problème de ce féminisme est qu’il s’est construit sur le modèle du marxisme : la lutte des classes a été appliquée à la rivalité entre hommes et femmes. Mais là où la différence des classes n’existe pas dans la nature, la différence des sexes est bien réelle. On peut renverser un ordre social, pas l’ordre naturel.

Comment, malgré l’évidence biologique donc, cette idéologie peut-elle prospérer ?

Comme toute idéologie, elle séduit, car elle offre des clés de lecture du monde, en prenant le relais des vieilles utopies. Comme on ne peut plus changer le monde, on change son sexe. Il y a là une espèce de repli du fantasme de toute-puissance dans la sphère de l’intime. L’impuissance révolutionnaire dans la cité se réfugie dans la politique de l’intime. On fait de sa propre vie une révolution, pour entretenir le fantasme moderne du progrès.

Sur la différence des sexes, comment nature et culture s’articulent-elles ?

Il y a deux mensonges : le premier consiste à dire que toute la différence des sexes est un construit social ; le second que tout ce qui est construit doit être déconstruit. À l’inverse, je pense qu’il y a un substrat biologique évident, et que le construit ne mérite pas nécessairement d’être déconstruit. Il existe de belles constructions sociales comme la paternité, qui n’existe pas dans la nature chez les chimpanzés ou les bonobos. Certains construits sont donc positifs et ne méritent pas d’être mis en pièces. D’ailleurs, il n’est pas facile de déconstruire et parfois, il est même plus facile de renoncer à la nature qu’à la culture, par exemple avec les techniques de maîtrise de la procréation.

Lire aussi : Néo-féminisme : l’ennemi des femmes

La culture nous imprègne collectivement, et penser que l’on peut tout gommer d’un trait de plume sans conséquence est absolument vertigineux. Le problème d’un certain féminisme est qu’il est rousseauiste : il pense que l’homme sauvage est naturellement bon et que c’est la société qui le corrompt en éduquant les hommes à être des salauds envers les femmes. Or c’est l’inverse : l’homme a naturellement des pulsions sexuelles et agressives, et tout le travail de la civilisation est de mettre à distance ces pulsions, à travers le mariage ou la galanterie.

Pouvez-vous nous éclairer sur ce paradoxe qui bat en brèche l’argumentaire féministe : c’est dans les sociétés où l’égalité formelle est la plus poussée que les comportements sont les plus genrés.

C’est en Norvège qu’apparaît le paradoxe du fossé sur le marché du travail. En clair, plus les sociétés sont égalitaires, c’est-à-dire que l’on offre aux filles le choix de faire les métiers qu’elles souhaitent, plus les choix de carrière sont genrés : les jeunes hommes se tournent vers les métiers de l’objet alors que les
filles se dirigent vers les métiers du soin. Plus la liberté de choix est grande, plus les différences s’affirment — alors que dans les pays émergents, beaucoup plus de femmes qui vont faire des carrières d’ingénieur pour se hisser socialement. Cela prouve qu’en moyenne, les choix sont genrés et s’expliquent en partie par des différences biologiques — même s’il existe évidemment des contre- exemples.

La complémentarité des sexes suppose que chacun dispose de caractéristiques propres. Qu’est-ce qui distingue les deux sexes ?

J’essaye d’éviter tout discours essentialiste. Toutefois, il subsiste une différence majeure : la maternité. La femme engendre dans son propre corps alors que l’homme engendre dans le corps d’autrui. Ce n’est pas une petite différence : nous ne sommes pas de simples esprits placés dans un corps, celui-ci forme véritablement notre rapport au monde. Ainsi, il y a une différence fondamentale entre père et mère dans leur rapport à l’enfant. Porter l’enfant induit un rapport plus fusionnel pour la mère, alors que le père est plutôt là pour couper la mère de l’enfant. Il y a aussi un rapport au temps différent. Par les règles ou la ménopause, le corps des femmes se rappelle à elles, et elles sont donc davantage taraudées par la question de la maternité. En clair, le discours féministe doit prendre en compte la maternité, car c’est de là que viennent les principaux problèmes qui se posent aux femmes, notamment sur la manière de concilier vie professionnelle et vie familiale. Évidemment, cela ne veut pas dire que nous sommes figés dans des rôles déterminés.

J’essaye d’éviter tout discours essentialiste. Toutefois, il subsiste une différence majeure : la maternité.

Eugénie Bastié

On doit laisser le choix aux femmes contrairement à Simone de Beauvoir qui disait à une journaliste américaine qu’il ne fallait pas laisser aux femmes le choix de rester à la maison, car elles continueraient de le faire si on le leur donnait. C’est assez révélateur d’une volonté d’ingénierie sociale qui rejoint Rousseau : « On les forcera à être libre. »

Il y a ces derniers temps de nombreuses femmes qui disent publiquement regretter d’avoir eu des enfants. Comment analysez-vous ce phénomène ?

À chaque débat féministe, on parle d’un « tabou », en l’occurrence le tabou du regret d’être mère. J’y vois une grande arrogance qui m’exaspère, comme si on n’en avait jamais parlé avant elles. S’il y a une femme dans l’histoire qui symbolise le regret d’être mère, c’est la Vierge Marie. Dans les faits, elle était évidemment contente d’avoir mis cet enfant au monde, mais elle ressent une immense douleur lorsqu’on lui annonce que son fils va être crucifié. On présente aujourd’hui la maternité comme un fardeau qui pèse sur l’émancipation des femmes. Cette idée est vraie si l’on considère que l’émancipation des femmes consiste à en faire des hommes comme les autres, en mettant la carrière professionnelle au centre de la société. Mais je ne crois pas que la femme doive être réduite à cela.

Pour émanciper les femmes, le féminisme en a donc fait des hommes.

La France est très marquée par le féminisme de Beauvoir qui considérait la maternité comme un fardeau. Et de son point de vue, elle n’a pas tort, car c’est dans la maternité que gît le patriarcat. D’après elle, faire des enfants empêche la femme de devenir l’égal de l’homme. Or, au lieu d’adapter l’économie au
corps de la femme, on a demandé aux femmes d’adapter leur corps à l’économie. On leur demande d’être les plus performantes au moment où elles sont le plus fécondes, plutôt que d’imaginer d’autres échelles de valeurs. On leur fait croire qu’elles peuvent être à la fois des mères épanouies et des travailleuses performantes. Le féminisme ment aux femmes et cela crée de nombreuses frustrations.

En quoi le patriarcat est-il mort à partir du contrôle de la fécondité par les femmes ? Et quel est le rôle de la mécanisation dans cette mise
à mort ?

Sandrine Rousseau devrait en prendre de la graine, car c’est le monde industriel et capitaliste qui a permis l’émancipation de la femme. Si elle veut la décroissance, il va falloir qu’elle retourne au patriarcat, car ce sont la technique (pilule et avortement) et la machine qui ont dévalorisé le rôle masculin et permis la société d’aujourd’hui. Le patriarcat n’est pas un complot des hommes contre les femmes, mais un marché : la femme s’occupe du foyer pendant que l’homme gagne son pain ou meurt à la guerre. À partir du moment où la force masculine n’a plus de sens et où on ne meurt plus à la guerre, ce contrat-là n’a plus de sens.

Par la contraception et l’avortement, la révolution sexuelle est une révolution au même titre que le renversement des trois ordres menant à la démocratie. C’est pour cela qu’il y a une cristallisation sur la question de l’IVG : c’est le pivot qui fait basculer d’un régime à l’autre. Aujourd’hui en Occident, on n’est plus dans un régime patriarcal, on est même peut-être en train de basculer dans un régime matriarcal.

Le patriarcat n’est pas un complot des hommes contre les femmes, mais un marché : la femme s’occupe du foyer pendant que l’homme gagne son pain ou meurt à la guerre.

Eugénie Bastié

Or le féminisme actuel refuse de voir que le monde a changé. Il ne voit pas les nouvelles menaces à venir, ni le malaise masculin. Si on prolonge toutes les courbes, on voit que les hommes sont mal lotis dans beaucoup de domaines, notamment l’éducation. Car là gît le problème de fond : la force physique qui fondait le privilège masculin n’a plus d’utilité, tandis que la femme a toujours le privilège de la maternité. Les femmes ont gagné un nouveau rôle alors que les hommes ont été destitués du leur.

Au fond, l’homme n’est-il pas devenu inutile ?

Il a encore un rôle à jouer en tant que père. On s’aperçoit aujourd’hui qu’il y a une surreprésentation des enfants sans père dans la délinquance. Les familles monoparentales sont une catastrophe absolue, problème que l’on nie par peur de stigmatiser. Malgré les hypocrisies bourgeoises du XIXe siècle, le mariage offrait un cadre de stabilité familiale qui donnait un rôle à chacun. L’absence d’injonction au mariage à notre époque crée beaucoup de dysfonctionnements sociaux.

S’il existe bien un fond naturel indépassable, ne surestimez-vous pas la menace que représente cette déconstruction ?

Il est certain que la différence des sexes existera toujours. Mais quel est l’habillage culturel qu’on lui donnera ? Souhaite-t-on donner des modèles
qui incarnent cette différence, ou au contraire l’éradiquer ? Au risque qu’elle ressurgisse de manière caricaturale comme c’est le cas dans la pornographie, dans le masculinisme, dans la culture banlieusarde ou dans l’islam. Je crois que l’on doit préserver un modèle français de la féminité et de la masculinité pour combler le vide actuel.

Lire aussi : Régler son compte au (néo) féminisme

On a tendance à croire que tout ce qui est traditionnel est une forme d’oppression, alors qu’il s’agit de solutions trouvées à un problème qui ont fait leurs preuves dans le temps. À cet égard, je crois beaucoup à l’éducation genrée parce qu’on ne peut pas s’adresser pareillement aux garçons et aux filles, surtout à l’adolescence.

On vit d’ailleurs un mouvement de balancier. Nous sommes allés tellement loin dans la déconstruction qu’il y aura peut-être une appétence pour de nouvelles normes. Je considère le mouvement #MeToo comme un retour de bâton. On a fait croire que l’acte sexuel était banal pour les femmes comme pour les hommes ; finalement, on s’aperçoit que cela entraîne des souffrances et des regrets. Il y a un aspect civilisateur dans #MeToo. Le paradoxe est que
ce besoin de normes s’exprime dans le langage du progressisme.

Rémi Carlu




Comment la Secte globaliste en France absorbe le discours adverse pour des raisons purement électorales

Par Lucien SA Oulahbib

C’est tout de même lamentable, méprisable, voire ridicule : depuis que la cote de confiance envers les capacités de la France à rembourser sa dette aura été dégradée par une agence de notation — et en attendant la note des autres bientôt à venir —, il fallait bien accélérer le processus de propagande inouï mis en place. Ainsi, la machine à promettre, toujours promettre, accélère l’intensité de sa productivité (la seule qui fonctionne encore), alors que le poids de l’industrie française continue de s’affaiblir, y compris vis-à-vis de l’Italie (ne parlons pas de l’Allemagne) et que la priorité de la priorité aurait été plutôt d’annoncer la sortie française, immédiate, du marché inique européen de l’énergie, et aussi l’arrêt sine die des sanctions unilatérales contre la Russie puisque les tentatives de négociation ont été en réalité essentiellement bloquées par le bloc anglo-saxon (Istanbul, mars 2022), sans oublier la violation des accords de Minsk 1 et 2, reconnue comme telle d’ailleurs par les représentants allemands et français, ce qui nécessite dans ce cas d’en tirer, immédiatement, toutes les conséquences afin que la parole diplomatique de la France soit enfin pleinement restaurée.

Mais au lieu de déclencher sur le champ toutes ces mesures salutaires, la démagogie au Pouvoir est au contraire de plus en plus assumée, agressive, et s’avère être devenue le seul outil tangible en guise de politique gouvernementale. Celle-ci a adopté maintenant cette tactique (déjà ancienne) d’absorber l’énergie du discours adverse afin de prendre les parts de marché dans les publics encore indécis ou qui avaient voté in fine au second tour en faveur de l’Agent Smith mis en place par la Secte SHAA pour liquider les acquis nationaux français tout en disant exactement le contraire et traitant d’extrême droite et de complotiste toute question à ce sujet.

Promettre ainsi tout un tas de mesures « protectionnistes vertes » alors qu’elles ont déjà peu de chances de passer au niveau européen et qu’elles coûtent « un pognon de dingue » revient à s’approprier la fibre souverainiste à bon compte et qu’il est de bon ton de déclencher un an avant les élections européennes. Ceci permet ainsi de faire coup double : admettre une inégalité dans les coûts avec certains pays dont les importations alourdissent le déficit commercial français de plus en plus abyssal ; mais en même temps vociférer sur « l’administration » de l’UE qui empêchera bien sûr un tel protectionnisme ou alors le permettra mais à la marge….

Ainsi ce qui tient d’Agent Smith au pouvoir en France veut absorber en même temps les énergies souverainistes et écologistes, tout en absorbant également l’énergie de l’ultragauche nihiliste en interdisant toute manifestation patriote jusqu’à l’hommage à Jeanne d’Arc, ce qui est non seulement une honte (cette dernière n’a rien à voir avec toute hystérie d’où qu’elle vienne), mais aussi l’affichage brutal d’un mépris flagrant et absolu de toute démocratie constitutionnelle. Dans celle-ci, seul le Peuple EST souverain et non pas une Secte ayant cependant il est vrai réussi à se faire élire par une frange de plus en plus minoritaire du corps électoral, ce qui ouvre une crise de légitimité de plus en plus béante.

Ceci confirme aussi le basculement absolument sectaire du gouvernement actuel dit « français » en démocrature de facto qui associe autoritarisme et nihilisme pur et dur, y compris en décrétant que les principes du queerisme néonazi visant à la manipulation marchandisée des sexes doivent être ingurgités dès le plus jeune âge, tout en visant de façon plus générale à poser le mensonge comme vérité indiscutable sous peine d’être traité de complotiste et/ou d’extrême droite. Ceci est la caractéristique typique d’un comportement sectaire, celle de cette Secte globaliste ayant absorbé toutes les énergies précédentes (comme l’a théorisé Blanchot dans l’instant de ma mort) et qui a décidé d’accélérer la liquidation des nations, peuples, individus depuis les expérimentations à grande échelle réussies au niveau sanitaire et aujourd’hui climatique, et sans frontiéristes.

Ainsi, réduits à être de plus en plus des Lego interchangeables, nations, peuples et individus sont de plus en plus poussés, voire sommés, à survivre dans la réalité virtuelle (se déplacer tous en voiture électrique sera impossible), alors que la réalité imaginaire, celle du rêve qui se prolonge en « vrai » sera, elle, vécue par la seule élite de la Secte. C’est elle en effet qui peut de plus en plus se déplacer sans passe d’aucune sorte.

Un nouveau type d’immunité émerge ainsi, mais il sera de plus en plus dénié pour le grand nombre, lui arrachant alors celle qui lui est la plus naturelle, au profit de ce qui est de plus en plus construit et qu’il lui faut s’auto-injecter par injonction contradictoire : si tu ne le fais pas, c’est que tu es un blanc hétéronormé dans la tête, tueur de la planète et esclavagiste ; autant de mantras hypnotiques, typiques d’un endoctrinement, d’un envoûtement sectaire qui ne repose bien sûr sur aucun argument fondé (hormis quelques chiffres manipulés), mais plutôt asséné, cependant durci dans son énonciation médiatique avec la menace de se voir exclu socialement si l’on n’y acquiesce pas.

D’où la constitution de nouveaux parias, pestiférés qui peuvent également servir de boucs émissaires ou victimes expiatoires le cas échéant, comportement typique, là aussi, des dérives sectaires.

Alea jacta est.




La Grande-Bretagne et la Grande Réinitialisation du roi Charles

[Source : marie-claire-tellier via RI]

Traduction Marie-Claire Tellier

Par Matthew Ehret

Cette semaine, le monde a été exposé à un aspect troublant, archaïque et bizarre de la pagination, que l’on n’avait pas vu depuis plus de 70 ans, avec le couronnement du roi Charles III en tant que chef du Commonwealth britannique mondial, chef de l’Église anglicane et porte-parole d’un programme appelé Global Britain qui a été mis en ligne en tant que mandat officiel du parti conservateur en 2021.

Après avoir géré un empire mondial d’asservissement économique et avoir envahi presque toutes les nations de la Terre à un moment ou à un autre1, la Grande-Bretagne continue d’exercer un vaste contrôle sur les concessions minières d’Afrique avec plus de 1 000 milliards de dollars d’intérêts miniers directs contrôlés par des sociétés britanniques et/ou basées dans le Commonwealth britannique. Selon le rapport 2016 produit par War on Want 2 :

« 101 sociétés cotées à la Bourse de Londres (LSE) — dont la plupart sont britanniques — ont des activités minières dans 37 pays d’Afrique subsaharienne. Elles contrôlent collectivement les ressources les plus précieuses de l’Afrique pour une valeur de plus de 1 000 milliards de dollars. Le gouvernement britannique a usé de son pouvoir et de son influence pour s’assurer que les sociétés minières britanniques aient accès aux matières premières de l’Afrique. C’était le cas pendant la période coloniale et c’est encore le cas aujourd’hui ».

La City

Comme je le souligne dans mon nouveau livre The Anglo Venetian Roots of the Deep State, le « mile carré » appelé la City de Londres (une entité juridique distincte de Londres elle-même) est le centre névralgique de la finance mondiale, la Banque d’Angleterre et les paradis fiscaux offshore du Commonwealth dirigeant des milliers de milliards de dollars de blanchiment d’argent de la drogue, de financement du terrorisme et d’autres pratiques corrompues à l’échelle mondiale. La souveraineté de la City, qui échappe à toute juridiction nationale, a été consacrée par la « Magna Carta » oligarchique de 1214, qui a fait de la place financière une société supranationale capable de gérer ses propres forces de police et son propre système judiciaire… qu’elle continue d’entretenir 800 ans plus tard.

Au cours des 183 années qui se sont écoulées entre 1763 et 1946, période pendant laquelle la suprématie britannique unipolaire a exercé la plus grande influence directe sur le monde, les nations appauvries du monde se sont retrouvées encore plus appauvries, moins capables d’acquérir des moyens de production industrielle et plus en guerre avec elles-mêmes et avec leurs voisins par le biais de la tactique « diviser pour régner ». Comme cet empire a pris la forme de la « relation spéciale » anglo-américaine après 1945, cette tendance n’en a été qu’exacerbée.

Le rôle déterminant des services de renseignement britanniques

Du point de vue des opérations de renseignement au niveau mondial, la Grande-Bretagne est le créateur et la structure de commandement centrale de l’appareil de renseignement des Cinq Yeux. Elle a également été surnommée le « Londonistan » pour avoir fourni des refuges aux groupes terroristes internationaux qui ont trouvé refuge dans l’idéologie libérale de surface de la Grande-Bretagne tolérante3.

Les services de renseignement britanniques ont également contribué à la création et/ou ont continué à soutenir des groupes terroristes à l’échelle internationale, comme le souligne Michael Billington, chercheur à l’EIR, dans le rapport British Creation and Control of Islamic Terror (2020) : Background to China’s Defeat of Terror in Xinjiang4.

Tout en nourrissant le terrorisme mondial et l’islam radical, les services secrets britanniques n’ont pas perdu de temps pour cultiver les variantes les plus enragées du sionisme politique, et ont créé l’État d’Israël lui-même à partir du programme de la Table ronde/Société Fabienne, que l’on a fini par appeler « les accords Balfour ». L’histoire de la création par la Grande-Bretagne du sionisme politique et du christianisme croyant en l’Enlèvement de l’Église est décrite dans un épisode de 2021 du Grand Jeu :

The Strategic Hour: Wuhan Labs, Zionism, Rapture and the Creation of Synthetic Cults

Dans cet épisode de l’Heure Stratégique sur Rogue News, Matt Ehret démonte les mensonges et les fausses pistes qui conduisent les Occidentaux à croire que la main du mal qui façonne la Grande Réinitialisation et la fabrication du Covid-19 comme arme destinée à renverser l’ordre mondial est la Chine. Nous examinons les preuves de cette fraude et explorons le modus operandi des techniques anglo-américaines d’utilisation de la terreur biologique sur les populations à l’étranger et à l’intérieur du pays depuis plus d’un siècle, ainsi que la création par les francs-maçons britanniques de cultes qui ont armé des groupes de juifs et de chrétiens à la fin du 19e siècle pour conduire un mouvement géopolitique de « fin des temps » qui s’exprime aujourd’hui dans la montée des néocons, le Projet pour un nouveau siècle américain et la nouvelle ère de la guerre des armes biologiques après le 11 septembre 2001. Nous explorons comment les techniques de mauvaise orientation et de tromperie ont été utilisées pour créer la guerre froide à l’aide d’un canular connu sous le nom d’« affaire Gouzenko », qui utilisait des preuves falsifiées élaborées par les services secrets britanniques pour persuader les imbéciles occidentaux que leur ancien allié, la Russie, devait être détesté et craint plutôt que respecté, ce qui a donné naissance à un ordre mondial dystopique. Nous explorerons également comment la même formule utilisée dans le canular de Gouzenko a été réutilisée dans le cas du 11 septembre pour justifier une nouvelle ère de terreur à l’étranger et la montée d’un État de surveillance à l’intérieur du pays. La pièce de Shakespeare Othello, que Matt et V explorent comme le meilleur antidote aux opérations psychologiques impériales, reste la clé principale pour percer le secret des arts obscurs du contre-espionnage utilisés par les empires depuis l’époque de Babylone jusqu’à aujourd’hui.

Alors que la Chine a accordé des prêts à grande échelle pour des corridors de transport, de nouvelles zones industrielles et des investissements dans le charbon, le pétrole, le gaz naturel, l’hydroélectricité et l’énergie nucléaire à des pays qui ont désespérément besoin d’un véritable développement, la Grande-Bretagne et ses cohortes américaines/européennes ont passé des décennies à n’accorder que des prêts assortis de conditions et de technologies vertes « appropriées » qui empêcheront à jamais l’Afrique ou d’autres nations pauvres de se tenir debout sur leurs deux pieds.

L’idée de Global Britain a toujours eu en son cœur le concept d’un Commonwealth britannique intégré avec les Five Eyes à la tête du renseignement, la City de Londres à la tête de la finance et les structures héréditaires du pouvoir centrées autour de la Couronne en tant que source titulaire de tous les honneurs par lesquels toutes les branches de l’État profond international dérivent leurs pouvoirs.

Les agents de la Couronne

Depuis 1833, la Grande-Bretagne est gérée par un système pseudo-privé d’agents de la Couronne, aujourd’hui appelés agents de la Couronne pour le gouvernement et l’administration d’outre-mer. Ce vaste organisme existe en tant que statut semi-officiel et se décrit comme « une émanation de la Couronne ». Il est extrêmement actif en Europe centrale et orientale et se concentre principalement sur le système économique, énergétique et de gestion de la santé de l’Ukraine. L’agence est partenaire de la Banque mondiale, des Nations unies et de la Fondation Bill et Melinda Gates et agit comme une gigantesque société de portefeuille dont l’un des actionnaires est la Fondation des agents de la Couronne, basée à Southwark, à Londres.

Créé dans les années 1930 pour donner un nouveau visage à l’Empire britannique, le Commonwealth britannique occupe aujourd’hui un territoire de 12,2 millions de kilomètres carrés, compte 2,4 milliards d’habitants et représente 21 % de la superficie mondiale. Pour ceux qui croient encore au mythe de la disparition de l’Empire britannique après la Seconde Guerre mondiale, il est intéressant de comparer les cartes du Commonwealth et de l’Empire.

Le fait est que l’Empire britannique continue d’exercer une vaste influence sur les affaires du monde. Bien qu’il ait théoriquement disparu après la Seconde Guerre mondiale, cédant la place à un « Empire américain », Global Britain est simplement une tentative d’expliciter ce qui a toujours été vrai. Aujourd’hui, les stratèges qui gèrent la « fête de sortie » de l’agenda Global Britain tentent désespérément de positionner le Commonwealth comme le centre d’une nouvelle ère post-résolution.

En tant qu’institution entièrement organisée autour d’institutions héréditaires, la pièce maîtresse de la continuité de cette réforme repose sur une famille régnante occupant la position de Prima inter pares officielle autour de laquelle l’ensemble de la structure de contrôle peut exercer son influence.

A l’époque actuelle, ce rôle est dévolu à une certaine créature consanguine du nom de Charles.

La reine est morte, vive le roi

« London Bridge is Down », tels sont les mots de code prononcés par le secrétaire privé de la reine, Edward Young, à l’intention des hauts fonctionnaires lors du décès de la reine Élisabeth II.

Ce code a été choisi dans le cadre d’un protocole plus large appelé étrangement « opération Licorne » pour des raisons qui dépassent l’imagination la plus folle de cet auteur et qui déclenche une série d’actions culminant avec l’onction du Prince Charles comme nouveau Roi de Grande-Bretagne et du Commonwealth.

Les Canadiens qui pensaient ne plus être contraints de regarder leur Premier ministre déclarer servilement ses serments de fidélité (et ses serments de secret) à un monarque consanguin siégeant de l’autre côté de l’océan, comme cela s’était produit en 2017, seront très déçus.

Justin Trudeau prête serment Justin Trudeau a officiellement prêté serment en tant que 23e Premier ministre du Canada. Trudeau a prêté serment à Rideau Hall, à Ottawa, mercredi. (4 novembre) LA PRESSE CANADIENNE
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Avons-nous bien compris ?

La loi canadienne sur les serments parlementaires de 1866 exige que les deux chambres du Parlement prêtent serment d’allégeance après la mort de tous les monarques en exercice. C’est exact, chaque membre du gouvernement soi-disant « élu et démocratique » du Canada doit prêter serment de fidélité non pas au peuple ou à une constitution inexistante, mais à une lignée familiale consanguine à l’autre bout du monde.

Des serments similaires ont été lus par les élus de tous les autres États membres du Commonwealth Five Eyes.

Il convient donc de se demander si l’institution des pouvoirs héréditaires dont Charles a hérité n’est qu’une cérémonie sans substance ni influence réelles.

Bien que la majorité des citoyens, y compris les sujets britanniques, pensent que c’est le cas, les faits indiquent une réalité très différente.

Le prince Charles : le plus grand propriétaire foncier du monde

Cela vous surprendra peut-être, mais la Couronne britannique est le plus grand propriétaire foncier du monde, avec des possessions s’élevant à 6,6 milliards d’acres en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Irlande du Nord, au Canada, en Grande-Bretagne et dans les îles Malouines5.

[NDRL Selon d’autres sources (bien évidemment « complotistes »), la « Couronne » désignerait en réalité le syndicat ou groupe privé propriétaire de la City de Londres. Voir par exemple, en anglais :
https://www.bibliotecapleyades.net/sociopolitica/sociopol_globalelite177.htm
https://wakeup-world.com/2013/11/05/the-crown-empire-and-the-city-of-london-corporation/
https://steemit.com/sovereign/@sadcorp/the-crown-city-of-london-8ad6750f28f07
En français :
https://reseauinternational.net/trois-corporations-dirigent-le-monde-la-ville-de-londres-washington-dc-et-le-vatican/
https://www.divulgation.fr/actu-politique/trois-societes-dirigent-le-monde-la-city-de-londres-washington-dc-et-le-vatican/]

Outre les « Crown Lands » et les « Crown Corporations » qui appartiennent légalement au monarque britannique, une organisation appelée « The Crown Estate » est l’un des plus grands groupes immobiliers au monde. Die Welt Business décrit ainsi cette institution qui verse chaque année 25 % de ses revenus directement dans la bourse du monarque6 :

« Le Crown Estate possède des biens immobiliers dans tout le Royaume-Uni, des châteaux et des cottages aux terres agricoles et aux forêts, en passant par les parcs commerciaux et les centres commerciaux. Il possède plus de la moitié du littoral britannique, ce qui lui confère des droits de vente aux enchères extrêmement précieux pour les activités commerciales en mer, telles que les parcs éoliens ».

La Couronne contrôle la quasi-totalité des fonds marins (et la moitié du littoral) du Royaume-Uni. Toute entreprise souhaitant construire des éoliennes en mer dans le cadre du « Green New Deal » est obligée de louer ses fonds marins à la Couronne. Byline Times note que la Couronne deviendra « le plus grand bénéficiaire de l’agenda vert du Royaume-Uni », qui a récemment dévoilé un plan en 10 points pour une « révolution verte » et une décarbonisation complète d’ici à 2050. Pour ceux qui ne comprennent pas l’explosion des prix des sources d’énergie inefficaces dans toute l’Angleterre, ils ne pourraient pas aller bien loin sans apprécier le gâchis des fermes éoliennes, subventionnées par le contribuable.

Le prince Charles lui-même a démontré qu’il ne considérait certainement pas la Couronne comme une entité symbolique et a été accusé de « lobbying incontinent » en 2013 lorsque des dizaines de lettres personnelles (surnommées les « Black Spider Memos ») adressées à des députés et au Premier ministre ont été rendues publiques après une intense bataille juridique pour les garder secrètes. Le biographe officiel de Charles, Jonathan Dimbleby, a même écrit en 2013 qu’après la succession de Charles à la Couronne, les choses deviendraient beaucoup plus concrètes et « qu’une révolution constitutionnelle tranquille se préparait »7.

Les pouvoirs de prérogative sont réels

Bien que de nombreux efforts soient déployés pour présenter les pouvoirs de prérogative de la Couronne comme purement symboliques, ils couvrent presque toutes les branches de la gouvernance et ont parfois été utilisés… bien que les sphères d’influence britanniques où ils s’appliquent le plus soient généralement tellement autorégulées qu’elles ne nécessitent que très peu d’intervention de la part d’une influence extérieure pour les maintenir dans le droit chemin.

Ces pouvoirs ont été révélés publiquement pour la première fois en 2003 et dans un article intitulé « Mystery Lifted on the Prerogative Powers »8, le London Guardian a noté que ces pouvoirs comprennent (mais ne sont pas limités à) :

« Les affaires intérieures, la nomination et la révocation des ministres, la convocation, la prorogation et la dissolution du Parlement, la sanction royale des projets de loi, la nomination et la réglementation de la fonction publique, l’engagement d’officiers dans les forces armées, la direction de la disposition des forces armées au Royaume-Uni (et dans d’autres nations du Commonwealth), la nomination du Queen’s Counsel, la délivrance et le retrait des passeports, la prérogative de la miséricorde. (S’appliquait dans les cas de peine capitale. Encore utilisée, par exemple pour remédier à des erreurs dans le calcul de la peine), l’octroi de distinctions honorifiques, la création de sociétés par charte, les affaires étrangères, la conclusion de traités, la déclaration de guerre, le déploiement de forces armées à l’étranger, la reconnaissance d’États étrangers, ainsi que l’accréditation et l’accueil de diplomates ».

Lorsqu’un projet de loi a été présenté au Parlement en 2009 proposant de limiter ces pouvoirs, un examen du ministère de la Justice mené par le Conseil privé a conclu que de telles limitations « affaibliraient dangereusement » la capacité de l’État à répondre à une crise, et le projet de loi a été rapidement rejeté9.

Au niveau provincial, nous trouvons des lieutenants-gouverneurs qui (au Canada) sont membres des Chevaliers franc-maçons de Saint-Jean de Jérusalem.

Le roi Charles et la Grande Réinitialisation

Le 3 juin 2020, Charles a démontré cette approche plus pratique de la gouvernance en devenant le patron officiel de la Grande Réinitialisation du Forum économique mondial et en lançant officiellement le projet en tweetant #TheGreatReset (La Grande Réinitialisation).

Sur son site officiel, le Prince a lancé le projet en déclarant :

« Aujourd’hui, par l’intermédiaire de l’initiative de HRH pour des marchés durables et du Forum économique mondial, le Prince de Galles a lancé une nouvelle initiative mondiale, la Grande Réinitialisation ».

Un éco-guerrier, roi d’une nouvelle croisade

Charles a fait preuve d’un enthousiasme pour la décarbonisation du monde que l’on ne trouve généralement que chez un fanatique religieux qui s’érige en éco-guerrier des monarques, en roi croisé d’une nouvelle religion, sauf qu’au lieu des musulmans de Terre sainte, nos nouveaux croisés écolos connectés à Davos ont ciblé le dioxyde de carbone et la civilisation industrielle, l’agriculture et les mangeurs inutiles qui en sont la cause, comme étant la menace empoisonnée qui doit être détruite. Charles semble se voir marcher sur les traces de son père fondateur du WWF en tant que nouveau porte-parole principal d’une transformation totale de la société sous l’égide d’un sacerdoce de la gouvernance verte du WEF.

L’édition de juillet 2022 du Spectator australien a bien caractérisé l’activisme misanthropique de Charles dans les termes suivants :

« L’environnementalisme dont le prince a décidé de s’occuper en attendant de monter sur le trône n’est pas une sorte d’activité apolitique et inoffensive de plantation d’arbres ou de sauvegarde de la forêt tropicale. Il ne fait pas de câlins aux pandas et ne finance pas de refuges pour les animaux sauvages. Au contraire, il s’est engagé dans une entreprise hybride et un soulèvement politique qui menacent la survie du système politique qu’il est censé superviser. En plus d’être une trahison du citoyen ordinaire, ses actions représentent un manquement à son seul devoir en tant que futur roi : protéger la monarchie constitutionnelle de la montée du fascisme climatique et du mondialisme ».

Racines nazies de la Maison de Saxe-Cobourg-Gotha

Le rôle de la Couronne dans le renouveau des pratiques du totalitarisme mondial, du contrôle de la population et du fascisme n’est pas sans précédent. Le documentaire Edward VIII : Britain’s traitor King, diffusé sur la chaîne britannique Channel 4, a récemment révélé un fait gênant : le cœur fasciste de la Couronne était bien vivant pendant les années les plus sombres avant et pendant la Seconde Guerre mondiale.

[Voir aussi :
Les origines allemandes de la famille royale britannique
Les secrets de la reine : tout savoir sur l’élite mondialiste avec Pierre Hillard
Racines nazies de la famille royale britannique ?]

Ce film, basé sur un livre à paraître prochainement de l’historien Andrew Lownie, utilise des rapports récemment déclassifiés des archives royales pour raconter l’histoire du roi nazi britannique Édouard VIII, qui non seulement souhaitait une victoire nazie lors de la Seconde Guerre mondiale, mais a activement œuvré à la réalisation de cet objectif depuis le moment où il a été contraint d’abdiquer le trône en 1936 (prétendument pour épouser une divorcée américaine, Wallis Simpson) jusqu’aux jours les plus sombres de la guerre proprement dite.

Comme le prouve ce documentaire, apprendre à sa jeune nièce Elizabeth II comment faire un « sieg heil » en bonne et due forme n’a pas été sa seule danse avec le nazisme.

Alors qu’il était en exil au Portugal, où le hobby royal fricotait avec l’élite allemande, le documentaire cite des câbles diplomatiques envoyés par Edward à des responsables allemands exigeant que les nazis bombardent sans relâche l’Angleterre pour la soumettre en 1940, encourageant ainsi la mort de millions de civils innocents. Le film cite également un discours peu connu dans lequel Edward a appelé à la capitulation de la Grande-Bretagne face aux nazis en 1939 et que la BBC a refusé de diffuser. Même après avoir été envoyé aux Bahamas par des fonctionnaires impériaux qui avaient décidé qu’il était plus opportun d’abattre leur monstre de Frankenstein que de poursuivre leurs plans antérieurs pour un nouvel ordre mondial fasciste, le futur roi nazi avait câblé aux fonctionnaires d’Hitler pour leur faire part de sa volonté de revenir en Europe en cas de besoin et de reprendre sa place légitime sur le trône en tant que roi aryen.

Au-delà du film : D’autres racines nazies des Windsor

Au-delà du cas d’Édouard VIII, il existe de nombreuses autres connexions nazies embarrassantes avec la maison Windsor (anciennement Saxe-Cobourg-Gotha) que le film n’a pas mentionnées, dont certaines impliquent directement le défunt prince consort Philip Mountbatten (alias le duc d’Édimbourg).

Les trois sœurs du duc d’Édimbourg ont toutes été mariées à des princes nazis, et le mari de l’une d’entre elles (Sophie) est devenu officier de la Waffen SS avec le grade d’Oberführer (chef supérieur).

Le mari de Sophie, la sœur de Philippe, le prince Christophe de Hesse-Cassel, était chef du Forschungsamt (Direction de la recherche scientifique), une opération spéciale de renseignement dirigée par Hermann Göring, et il était également Standartenführer (colonel) de la SS au sein de l’état-major personnel de Heinrich Himmler. Les quatre beaux-frères de Philip, avec lesquels il vivait, sont tous devenus de hauts responsables du parti nazi.

Philip lui-même a perpétué la tradition familiale, ayant d’abord été éduqué dans le cadre d’un programme nazi axé sur l’eugénisme dans les années 1930, avant de fonder en 1961 le Fonds mondial pour la nature (WWF) avec un autre ancien membre du parti nazi, le prince Bernhard des Pays-Bas, eugéniste de longue date et fondateur du groupe Bilderberg. Philip et Bernhard ont été rejoints par Sir Julian Huxley (alors président de la Société eugénique de Grande-Bretagne) en tant que cofondateur du WWF.

Dans une interview accordée en août 1988 à la Deutsche Press Agentur, le Prince Philip a proclamé son désir de revenir dans une prochaine vie sous la forme d’un virus mortel pour aider à « résoudre le problème de la surpopulation ».

Tout au long de sa vie, le prince Philip a fait preuve d’une misanthropie froide en contemplant le zoo humain et en affirmant :

« On ne peut pas garder un troupeau de moutons plus important que ce que l’on est capable de nourrir. En d’autres termes, la conservation peut impliquer l’abattage afin de maintenir un équilibre entre les nombres relatifs de chaque espèce dans un habitat particulier. Je me rends compte qu’il s’agit d’un sujet très délicat, mais il n’en reste pas moins que l’humanité fait partie du monde vivant. Chaque nouvel hectare mis en culture signifie un nouvel hectare refusé aux espèces sauvages ».

Il convient de noter que le roi Charles a poursuivi l’héritage de son père en tant que président de la World Wildlife Foundation britannique, qu’il dirige depuis plus de 30 ans.

Le pedigree nazi de la famille royale et de ses fidèles gestionnaires soulève une question : Pourquoi la poursuite de la doctrine eugénique nazie sous la forme des mouvements d’euthanasie et de croissance zéro n’est-elle pas plus largement connue ? Dans quel monde vivons-nous pour que des faits aussi surprenants ne soient pas connus de tous ?

Le véritable Empire a toujours été une oligarchie financière utilisée par un vaste réseau de structures de pouvoir pour promouvoir les intérêts de l’aristocratie européenne ; l’épicentre actuel du pouvoir est constitué par les monarchies anglo-néerlandaises.

C’est ce pouvoir qui contrôle le groupe Bilderberg et son appendice junior, le Forum économique mondial, et qui oriente la politique américaine par l’intermédiaire du Council on Foreign Relations, basé à New York (la version américaine de Chatham House).

C’est à Lord Lothian, membre éminent de Chatham House, qu’Hitler a exposé en 1937 son concept de nouvel ordre mondial anglo-allemand :

« L’Allemagne, l’Angleterre, la France, l’Italie, l’Amérique et la Scandinavie devraient parvenir à un accord par lequel ils empêcheraient leurs ressortissants d’aider à l’industrialisation de pays tels que la Chine et l’Inde. Il est suicidaire de promouvoir l’établissement d’industries manufacturières dans les pays agricoles d’Asie ».

N’importe quel technocrate prônant le programme « Build Back Better for the World » ou le « Global Green New Deal » aurait pu dire la même chose.

Aujourd’hui, l’Institut canadien des affaires internationales a été rebaptisé Conseil international du Canada (CIC). Le CIC est présidé par Ben Rowswell, spécialiste du changement de régime formé à Oxford, qui a travaillé en étroite collaboration avec la conseillère privée Chrystia Freeland pour tenter de renverser le gouvernement de Maduro en faveur de Juan Guaido, marionnette du FEM, ce qui se poursuit encore aujourd’hui.

L’un des principaux piliers du contrôle des colonies sous influence anglo-néerlandaise reste le système du Conseil privé, qui est centré sur la Grande-Bretagne, mais qui possède des branches secondaires dans certains pays du Commonwealth. C’est sous l’influence du Conseil privé que sont institués des agents de niveau inférieur, sous la forme de sous-ministres, du Conseil du Trésor, de comités restreints et d’autres fonctionnaires nommés dans la fonction publique. D’autres nœuds clés des secteurs public et privé gèrent les intérêts de la Couronne. Tous les membres du cabinet du gouvernement sont nommés conseillers privés et tous les conseillers privés prêtent serment de secret et d’allégeance à la Reine, y compris de garder le secret sur les sujets abordés lors des réunions du conseil privé.

La couronne, clé de la continuité de l’empire

Bien entendu, il serait stupide de croire que Charles (ou tout autre monarque ayant régné précédemment) est une personne à part entière, tout en ignorant l’armada d’assistants, de courtisans et de grands stratèges byzantins qui gravitent autour de la Couronne en tant qu’institution parfois surnommée « la source de tous les honneurs ». La source de tous les honneurs est un terme officiel qui désigne l’idée juridique selon laquelle toute l’autorité pour les affaires publiques et privées émane de la source unique de la Couronne et de sa lignée ininterrompue.

La continuité est essentielle pour un empire, et l’importance de maintenir des institutions qui transcendent les vies individuelles a toujours été une préoccupation majeure.

Dans un monde post-1776 qui commençait à goûter à l’autonomie, à la liberté et à la démocratie en tant que nouveau mode d’auto-organisation, la « stabilité » des institutions héréditaires était gravement menacée.

Les dimensions internationales de 1776 et la manière dont un âge de raison a été subverti

MATTHEW EHRET

4 JUILLET 2021

En ce 4 juillet, une ombre plus grande que d’habitude est projetée sur l’Amérique, qui se trouve confrontée à de sérieux problèmes historiques. Si l’existence d’une oligarchie et d’un « État profond » international ne doit pas être ignorée en tant que force politique de l’histoire — organisant des guerres, des assassinats et promouvant l’asservissement économique des peuples et des nations à travers le monde — il n’en demeure pas moins que l’oligarchie et l’« État profond » ne sont pas des forces politiques.

Lire l’article complet

Il n’est pas exagéré de dire que les 250 dernières années ont été marquées par le choc de ces deux paradigmes opposés d’organisation de la société. Alors qu’un paradigme considère comme évidente l’existence de droits inaliénables pour tous les individus, l’autre système suppose que les seuls droits inaliénables sont ceux détenus par une classe de maîtres oligarchiques qui souhaitent régner sur des sujets (alias : mangeurs inutiles) dont les niveaux de population doivent être périodiquement abattus pour faciliter la gestion.

La supposition que les droits ne peuvent être accordés ou refusés par une lignée supérieure est véritablement anathème pour tout système d’oligarchie, même s’il se dissimule derrière le costume d’une espèce de démocratie conçue pour apaiser la plèbe, mais sans lui donner, à elle ou à ses représentants, les moyens d’influencer quoi que ce soit de vraiment significatif sur leur réalité.

Source

Notes




« Les enfants devraient avoir des partenaires sexuels », affirment l’ONU et l’OMS

[Source : stopworldcontrol.com]

Ce rapport de preuves révèle comment l’Organisation mondiale de la santé et les Nations unies sexualisent les petits enfants dans l’enseignement primaire partout dans le monde, dans le but de normaliser la pédophilie. Ce rapport n’est constitué que de preuves solides, avec de nombreux documents officiels, vidéos, livres, archives, etc. Tous les documents PDF peuvent être téléchargés dans la section « Références » à la fin de ce rapport.

« Les jeunes enfants sont des êtres sexuels qui doivent avoir des partenaires sexuels et commencer à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible. C’est pourquoi les écoles maternelles et élémentaires doivent apprendre aux enfants à développer la convoitise et le désir sexuel, à apprendre la masturbation, à construire des relations homosexuelles, à utiliser la pornographie en ligne et à apprendre différentes techniques sexuelles telles que la fellation. »

Il s’agit là d’un résumé limité des directives officielles émises par l’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies à l’intention des autorités éducatives du monde entier. Pendant ce temps, des organisations judiciaires publient des déclarations selon lesquelles les relations sexuelles entre petits enfants et adultes devraient être légalisées, tandis que des médias appellent à l’acceptation de la pédophilie comme une orientation sexuelle normale.

L’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies demandent aux autorités éducatives du monde entier de s’assurer que les jeunes enfants ont des partenaires sexuels.

Préparer les enfants à avoir des partenaires sexuels

Les Nations Unies ont publié le document intitulé « Guide technique international sur l’éducation sexuelle »1, qui constitue la ligne directrice officielle pour les écoles élémentaires du monde entier. L’objectif de ce document est décrit à la page 16 : 

préparer les enfants à avoir des relations sexuelles.  

À la page 17, les Nations unies expliquent que ce guide est destiné à aider les enfants à établir des relations avec des partenaires romantiques ou sexuels. 

À la page 71, les éducateurs sont invités à enseigner aux enfants dès l’âge de 5 ans les baisers, les étreintes, les attouchements et les comportements sexuels. Les enfants de 9 ans doivent être sensibilisés à la masturbation, à l’attirance sexuelle et à la stimulation sexuelle.

Les Nations unies déclarent que les écoles primaires doivent enseigner aux enfants la masturbation, les comportements sexuels, l’attirance sexuelle et la stimulation sexuelle.

Apprendre aux enfants à avoir des relations sexuelles

L’Organisation Mondiale de la Santé développe actuellement un programme visant à garantir que les jeunes enfants aient des partenaires sexuels. Son document intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe »2 contient les instructions suivantes à l’intention des écoles maternelles et élémentaires:

✔︎ Les enfants de 0 à 4 ans doivent apprendre ce qu’est la masturbation et s’intéresser à leur propre corps et à celui des autres.

✔︎ Les enfants de 4 à 6 ans doivent apprendre la masturbation et être encouragés à exprimer leurs besoins et désirs sexuels.

✔︎ Les enfants de 6 à 9 ans doivent apprendre ce que sont les rapports sexuels, la pornographie en ligne, l’amour secret et l’autostimulation.

✔︎ Les enfants de 9 à 12 an doivent avoir leur première expérience sexuelle et apprendre à utiliser la pornographie en ligne.  

L’OMS demande aux enseignants du monde entier d’enseigner aux enfants de 9 ans comment avoir des rapports sexuels pour la première fois, comment faire l’expérience de la sexualité en utilisant l’internet et les téléphones portables et comment apprendre différentes techniques sexuelles.

Apprendre aux enfants à se masturber

La vidéo suivante fait partie d’un programme scolaire européen qui travaille en étroite collaboration avec l’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies pour mettre en œuvre leur programme dans les écoles au niveau national. Il s’agit d’un exemple concret de l’application de ces directives, en l’occurrence aux Pays-Bas. La vidéo montre comment de jeunes enfants sont encouragés par des enseignants à se masturber. Cette pratique a été diffusée dans des milliers d’écoles dans le cadre du programme d’éducation sexuelle complète » de l’OMS, dont l’objectif est de faire en sorte que les enfants commencent à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible. 

L’éditeur de cette vidéo, la Fondation Rutgers, opère dans 27 pays, est un partenaire étroit de l’OMS et de l’ONU, et est financé par Bill Gates.  

La langue parlée dans la vidéo est le Néerlandais, mais sachez qu’il s’agit d’un exemple réel de l’exécution d’un programme INTERNATIONAL de l’Organisation Mondiale de la Santé et des Nations Unies, ce qui signifie que cette vidéo sera diffusée dans les écoles publiques de tous les pays du monde



La sexualisation des enfants fait partie de l’Agenda 2030 de l’ONU

Les logos figurant sur le document des Nations Unies intitulé « Guide technique international sur l’éducation sexuelle » montrent que ce document fait partie des objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 des Nations Unies.

L’Agenda 2030 des Nations Unies est un plan visant à transformer tous les aspects de l’existence humaine sur terre d’ici 2030. Selon leurs propres termes:3

Nous avons adopté une décision historique sur un ensemble complet, de grande portée et centré sur l’être humain d’objectifs et de cibles universels et transformateurs. Nous nous engageons à travailler sans relâche à la mise en œuvre intégrale de cet agenda d’ici à 2030.

Ils indiquent clairement que la transformation de la vie humaine atteindra chaque personne dans le monde :  

En nous engageant dans ce voyage collectif, nous nous engageons à ce que personne ne soit laissé pour compte.

Il s’agit d’objectifs et de cibles universels qui concernent le monde entier, les pays développés comme les pays en développement.

Les déclarations officielles des Nations Unies sont claires : elles veulent que le monde entier soit transformé. Veiller à ce que les petits enfants aient des relations sexuelles, apprennent à se masturber et utilisent la pornographie en ligne fait partie de cet agenda. Aux États-Unis, l’administration Biden a publié des déclarations confirmant les plans de mise en œuvre de ce programme sur l’ensemble du territoire américain dès que possible, et au plus tard en 2030.4

Nous ferons preuve de leadership et prendrons des mesures collectives pour mettre en œuvre l’Agenda 2030 pour le développement durable et accélérer la réalisation des ODD d’ici 2030  et relever les défis du développement en redynamisant un multilatéralisme plus inclusif et une réforme visant à mettre en œuvre l’Agenda 2030.

Veuillez comprendre la gravité de cette situation : les « directives techniques internationales sur l’éducation sexuelle » des Nations Unies font partie des objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 des Nations Unies. L’administration Biden s’engage à accélérer la mise en œuvre afin que l’Agenda soit réalisé d’ici 2030. Il en va de même pour toutes les autres nations du monde qui soutiennent l’Agenda 2030 des Nations unies.

Rutgers : éditeur mondial d’éducation sexuelle

Dans ce rapport, nous examinerons de plus près la manière dont ce programme est mis en œuvre, par exemple, aux Pays-Bas, en Europe. Les Pays-Bas sont au cœur de ce programme mondial de sexualisation des jeunes enfants. Ce qui s’y passe se répandra dans le monde entier : aux États-Unis, au Canada, en Australie, au Royaume-Uni, en Afrique, en Asie, etc. Ce pays est le siège d’un éditeur mondial de cette « éducation sexuelle complète » : la Fondation Rutgers.5 A Un membre du personnel de Rutgers, Ineke van der Vlugt, a contribué aux « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe » de l’OMS, ce qui montre à quel point cette fondation travaille en étroite collaboration avec l’Organisation Mondiale de la Santé.  

Rutgers est présent dans 27 pays et est financé par des organisations mondiales telles que la Fondation Bill et Melinda Gates et la Fédération internationale pour le planning familial, dont les racines sont aux États-Unis.6

Au printemps 2023, Rutgers a lancé un programme national aux Pays-Bas sous le nom de « Spring Fever ».7 Une affiche a été placée dans les écoles primaires du pays. Une affiche scolaire a été affichée dans les écoles primaires du pays. Je l’ai traduite en anglais pour notre public mondial et j’ai ajouté des points forts pour révéler le message de cette affiche scolaire. Deux garçons se tiennent la main et disent : « Oui, nous le voulons tous les deux ». Deux jeunes filles trouvent un « endroit sûr » pour avoir des relations sexuelles.

Cette affiche scolaire apprend aux jeunes enfants
du même sexe à « le faire » l’un avec l’autre 

Le programme d’études « Spring Fever » (fièvre printanière) insiste de manière agressive sur le thème de l’homosexualité auprès d’enfants vulnérables et sans méfiance. Vous trouverez ci-dessous des illustrations de ce programme destiné aux écoles primaires.

C’est une chose qu’une personne se batte avec son identité sexuelle, mais c’en est une autre que de pousser la confusion sexuelle dans les écoles élémentaires pour endoctriner les enfants à poursuivre un mode de vie homosexuel. Pourtant, l’Organisation mondiale de la santé et les Nations unies donnent des instructions directes pour que les enfants soient poussés vers l’homosexualité. À la page 40 des « Standards pour l’éducation sexuelle », les écoles sont invitées à enseigner aux enfants de quatre ans les « relations entre personnes du même sexe », et à la page 44, les éducateurs sont invités à enseigner aux enfants de neuf ans « l’amitié et l’amour envers les personnes du même sexe ».

Dans l’application pratique du partenaire de l’OMS, la Fondation Rutgers, nous voyons qu’il ne s’agit pas seulement d’informer les enfants, mais qu’il s’agit de les encourager activement à suivre la voie de l’homosexualité, le plus tôt possible.  

L’Organisation Mondiale de la Santé demande aux écoles d’encourager les jeunes enfants à avoir des relations homosexuelles avec leurs amis. Une affiche scolaire montre deux filles trouvant un endroit sûr et deux garçons acceptant d’avoir des relations sexuelles. 

Enseigner la fellation à des enfants de 6 ans

L’un des livres pour enfants recommandés par Rutgers pour les écoles primaires s’intitule « What is sex ? » (Qu’est-ce que le sexe ?) de Channah Zwiep. Voici une page de ce livre, avec un extrait ci-dessous :

« La fellation est un acte sexuel avec la bouche. C’est pourquoi on l’appelle le sexe ora. »

« Tu t’es déjà donné un baiser sur un point sensible de ton corps ?  Essayez. Qu’est-ce que tu ressens ? »

« La peau d’une bite ou d’un vagin est également très sensible. C’est pourquoi les gens aiment parfois se toucher à cet endroit avec leur bouche. Quand quelqu’un lèche ou suce une bite, cela s’appelle la succion. Bien entendu, une femme peut faire de même. Si quelqu’un lèche un vagin, cela s’appelle « manger la chatte ».

Vous trouverez ci-dessous une capture d’écran de la brochure de Rutgers destinée aux écoles primaires, qui recommande cette pornographie enfantine aux enfants de six ans.8

Traduction :

« Qu’est-ce que le sexe ? Questions des jeunes enfants sur la physicalité et la sexualité »

(Channah Zwiep)

Pourquoi voudrait-on que des enfants de 4 à 8 ans sachent tout sur le sexe oral ? 

Voici une autre page de ce programme destiné aux écoles primaires.9 Elle s’adresse aux enfants de 10 ans :

« Exemples de choses que tu peux faire avec le sexe : embrasser (avec la langue), caresser, tripoter (lécher le vagin), pipoter (lécher/sucer le pénis), doigter, se branler, baiser dans le vagin (sexe vaginal) et baiser dans l’anus (sexe anal) ».

Une autre page est un guide pratique sur la façon de commencer à se masturber :

« Toucher son propre corps, son vagin et son clitoris pour obtenir une sensation agréable s’appelle la masturbation. Vous pouvez le faire, par exemple, en mettant un doigt dans votre vagin (doigter) ou en frottant votre clitoris ».

L’endoctrinement « mignon »

Les illustrations suivantes font partie de ce programme national obligatoire. Une personne non avertie penserait : « Oh, comme c’est mignon ! ». Mais lorsqu’on réalise que ces images ont pour but d’enseigner aux tout-petits à se masturber et de s’assurer que tous les enfants auront des partenaires sexuels, ces dessins mignons deviennent très inquiétants.

Si l’on examine de plus près le programme scolaire européen « Fièvre printanière », créé par Rutgers pour l’ONU et l’OMS, on constate que l’objectif des cours est clairement défini:10

« Les petits enfants doivent tout savoir sur la luxure, l’excitation physique et l’intimité. Ils doivent savoir que tout le monde a des sentiments sexuels et qu’ils ne doivent pas avoir honte ».

La honte est un sentiment naturel fondamental qu’éprouvent tous les enfants normaux et qui les protège contre les violences et les préjudices causés par des expériences sexuelles inappropriées et prématurées. La sexualité est probablement la partie la plus sensible et la plus vulnérable de notre humanité, qui peut nous traumatiser à vie si elle est mal abordée. La honte est une barrière de défense essentielle pour assurer notre sécurité. Ces programmes scolaires visent à supprimer cette barrière naturelle, afin que les petits enfants n’écoutent plus leur instinct naturel qui leur dit de protéger leur corps. Cela les rend extrêmement vulnérables et en fait des proies faciles pour les prédateurs sexuels.

Pourquoi l’OMS s’obstine-t-elle à détruire la saine barrière de la honte qui protège naturellement les enfants ?

Enseigner les techniques sexuelles aux enfants de 7 ans

Voici un exemple de programme scolaire officiel aux Pays-Bas, publié par l’Ecole du programme scolaire (School Leerplan Onderwijs), l’éditeur officiel de tous les programmes scolaires. Nous pouvons constater qu’il s’agit d’une mise en œuvre directe des « Normes pour l’éducation sexuelle » de l’OMS et des « Directives techniques internationales sur l’éducation sexuelle » de l’ONU:11

✔︎ Les tout-petits âgés de 0 à 4 ans doivent apprendre à tomber amoureux, à être intimes et à éprouver des sentiments sexuels.

✔︎ Les enfants de 5 ans et plus doivent apprendre les relations sexuelles, la pornographie en ligne et l’expérience de la luxure en touchant leur propre corps.

✔︎ À partir de 7 ans, ils doivent apprendre les différentes techniques sexuelles.

TRADUCTION :

0-4 ans

  • l’amour et le fait d’être amoureux
  • l’intimité
  • les sentiments sexuels

5 à 8 ans

  • le sexe dans les médias (y compris Internet)
  • le plaisir et la convoitise lorsqu’on touche son propre corps
  • rapports sexuels

9-12 ans

  • actes et contacts sexuels
  • l’orientation sexuelle,comportement sexuel des jeunes (variabilité du comportement sexuel)
  • plaisir, masturbation, orgasme
  • différences entre l’identité sexuelle et le sexe biologique

Les enfants doivent être initiés à la sexualité le plus tôt possible

Rutgers a publié un guide pour former les enseignants à endoctriner les jeunes enfants sur la sexualité.12 Dans ce guide, ils font plusieurs références au guide de l’OMS, « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe », confirmant ainsi qu’ils collaborent étroitement avec l’Organisation Mondiale de la Santé. Je me dois de le répéter, car certains lecteurs pourraient être enclins à considérer qu’il s’agit d’un incident localisé en Europe, alors qu’il s’agit d’un programme international.

Dans ce document, Rutgers énonce clairement l’objectif de ce type d’éducation (voir la photo du document ci-dessous) :

« L’éducation sexuelle et relationnelle donne aux enfants des idées qui les aideront à commencer à avoir des relations sexuelles plus tôt. »

L’idée de ce type d’éducation sexuelle n’est pas d’aider les enfants dans leur développement naturel – vers une sexualité saine et mature – mais l’objectif est de les endoctriner pour qu’ils commencent à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible.

Rutgers déclare aux éducateurs que le but de cette éducation sexuelle est de donner aux enfants des idées pour qu’ils commencent à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible.

Jeux sexuels à l’école primaire

Plusieurs écoles organisent des jeux sexuels, où les enfants prennent les organes génitaux de leurs camarades dans leur bouche, les lèchent, mettent leurs doigts dans le vagin des filles, etc. Vous trouverez ci-dessous un reportage sur des jeux sexuels organisés dans une école primaire aux Pays-Bas.13

« De jeunes enfants se tripotent, se touchent les parties génitales dans la bouche ou regardent sous la porte des toilettes. C’est ce qui se passe dans les groupes 3 et 4 de l’école élémentaire De Springplank à Den Bosch, expliquent les parents des enfants à Omroep Brabant. Les parents sont furieux contre le conseil d’administration de l’école élémentaire ».

De nombreuses écoles introduisent des jeux pour les enfants dans lesquels ils doivent mémoriser les organes génitaux afin de marquer des points. Il s’agit là d’une autre stratégie visant à supprimer la honte naturelle et à désensibiliser les jeunes enfants, afin qu’ils baissent leur garde face à une intrusion sexuelle prématurée. La plupart d’entre nous trouvent cela dégoûtant. Pouvons-nous imaginer l’impact que cela a sur les petits enfants, qui sont forcés de voir cela à l’école ?

Dans le cadre du programme scolaire  » Fièvre printanière  » de Rutgers, de l’OMS et de l’ONU, des clitoris en 3D sont distribués aux petites filles pour les encourager à se masturber. Bien entendu, ils défendent cette pratique en affirmant qu’il est important que les filles connaissent leur propre corps.

Une mère choquée met le monde en garde

De nombreux parents ont, à juste titre, réagi avec indignation à cette sexualisation extrême des enfants. Dans la vidéo ci-dessous, vous pouvez entendre une mère des Pays-Bas expliquer comment les enfants pratiquent le sexe oral à l’école et se masturbent les uns les autres. Elle lance un avertissement à tous les parents du monde entier. Encore une fois, il faut comprendre que cela fait partie de l’Agenda 2030, dont les Nations Unies déclarent « qu’il concerne le monde entier ».

Maltraitance d’enfants dans une école de Floride

Alors que je travaillais sur ce rapport, j’ai reçu un courriel d’une mère de Floride, aux États-Unis, qui préfère garder l’anonymat dans ce rapport. Elle m’a confirmé que ce qui se passe en Europe se passe aussi en Amérique. Voici ce qu’elle m’a écrit au sujet de sa fille :  

« Tout ce que vous rapportez lui est arrivé. Elle a utilisé une autre fille pour toucher ma fille (masturbation), elle lui a dit des mots horribles, elle a utilisé son téléphone portable pour faire de la pornographie »

Elle a essayé de s’adresser aux autorités pour protéger son enfant, mais elle s’est heurtée à une dureté glaciale. Il était clair que personne ne voulait l’aider.

Des experts alarmés en Écosse

Une dépêche alarmante en provenance d’Écosse : 

L’approche « normative » de l’Écosse en matière d’éducation sexuelle normalise l’activité sexuelle des mineurs et risque de perpétuer l’exploitation sexuelle des enfants, selon un analyste de premier plan.

Le degré d’obéissance des écoles aux instructions de l’ONU et de l’OMS dépend de chacune d’entre elles, et certaines écoles seront naturellement pires que d’autres. Mais il s’agit d’une obligation pour toutes les écoles publiques du monde.

La sexualisation des enfants dans le monde entier

La sexualisation des enfants se produit également en dehors des écoles. Ces images de terrains de jeux pour enfants ont été approuvées par les autorités locales et les écoles.

Dans le monde de la mode, la sexualisation extrême des enfants est répandue depuis des décennies. Voici un exemple de Vogue Paris Cadeaux datant de 2010. 

Le film français « Cuties », disponible sur Netflix, a suscité une vague d’indignation dans le monde entier, car il montrait des jeunes filles exécutant des danses érotiques incluant des mouvements sexuels complets.

Il existe une pression mondiale pour sexualiser les petits enfants par tous les moyens : dessins animés, films, livres, films, mode, produits d’entreprise, etc. Et maintenant, l’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies vont jusqu’à demander aux écoles maternelles et élémentaires d’inclure cette sexualisation dans leurs programmes d’enseignement.

Promouvoir une sexualité débridée pour réduire la population humaine

Quelle est la véritable motivation de l’opération stratégique mondiale visant à sexualiser les petits enfants ? Dans la prochaine partie de ce rapport, nous dévoilerons des preuves indéniables de la façon dont cette opération s’inscrit dans un programme visant à normaliser la pédophilie dans toutes les nations du monde. Cela est particulièrement évident si l’on considère l’éditeur qui a été choisi par l’OMS et l’ONU pour mettre en œuvre ce programme dans 27 pays : la Fondation Rutgers.

La fondation Rutgers a été inspirée par Jan Rutgers (1850-1924), un farouche opposant au mariage, qu’il considérait comme contre nature. Il prônait avec passion la réduction de la population humaine, en imposant à la société une culture du sexe libre.

Lorsque la Fondation Rutgers a été créée en 1969, son objectif principal était de réduire la croissance démographique par l’éducation sexuelle, l’avortement et la contraception.14 En 1999, Rutgers a fusionné avec le groupe NISSO (Netherlands Institute for Social Sexological Research), dont l’objectif était également de réduire les taux de natalité en encourageant l’avortement, la sexualité libre et l’éducation sexuelle. En 2011, Rutgers a de nouveau fusionné avec la Fondation Mondiale pour la Population, qui avait la même mission de réduire la population mondiale par le biais de l’avortement et de l’éducation sexuelle.

Le fil conducteur de l’histoire de Rutgers est l’agenda visant à réduire la population humaine en encourageant une sexualité débridée dans la société. Lorsque les gens sont sexuellement pervertis, ils ne peuvent pas former des familles saines et n’ont pas de descendance.

Rutgers a toujours poussé à la normalisation de la pédophilie

Outre son programme de réduction de la population humaine, Rutgers a toujours été fortement impliqué dans le mouvement mondial de normalisation de la pédophilie. En 1946, l’Association néerlandaise pour la réforme sexuelle (NVSH) a été fondée, toujours dans le but de réduire la population humaine. La NVSH a organisé des groupes de travail sur la pédophilie qui étaient soutenus par le sénateur du parti travailliste, le Dr. Edward Brongersma. Ce même Brongersma est ensuite devenu le chef de file du mouvement d’acceptation de la pédophilie dans les années 1970.

Brongersma était connu pour ses fréquents voyages en Asie, où il abusait d’esclaves sexuelles mineures. En 1950, il a été condamné pour fornication avec une jeune fille de 16 ans, ce qui lui a valu 11 mois de prison.

Après sa libération, Brongersma est devenu membre du conseil d’administration de la NVSH, où il a de nouveau organisé des groupes de travail sur la pédophilie. Ils ont publié le magazine NIKS (abréviation néerlandaise de  »Vers l’intégration de la sexualité infantile »).15 Dans une archive en ligne de ce magazine, on peut voir l’obscénité écœurante qui y était promue :16

Des enfants nus en couverture exposant leurs organes génitaux et des enfants ayant des rapports sexuels.17

Le magazine publié par Brongersma a publié dans son édition de septembre 1982 une bande dessinée décrivant comment un pédophile a des relations sexuelles orales avec une jeune fille. La bande dessinée est accompagnée d’une transcription.18 Soyez conscient de la nature explicite de cette transcription. 

TRADUCTION

« Parfois, je ne comprends vraiment pas le monde des grandes personnes. Prenons, par exemple, le cas de mon oncle Loet. Ce n’est pas vraiment mon oncle, mais il aime bien que je l’appelle comme ça. Je lui rends souvent visite à la sortie de l’école. On y est beaucoup plus à l’aise que chez nous.

L’autre jour, je suis assise sur le canapé avec lui en train de boire du thé, et il pose sa main sur ma jambe. Lentement, il remonte ma robe et commence à me caresser le ventre. Il n’avait jamais fait cela auparavant. Parfois, il me caressait les cheveux, et parfois j’avais droit à un baiser sur le front, rien de plus.

Je trouvais cela idiot, mais c’était une sensation agréable, alors je n’ai rien dit. Un peu plus tard, il s’est agenouillé par terre devant moi, a enlevé ma culotte et a commencé à me sucer la chatte. Sa moustache me chatouillait merveilleusement. Je regrette qu’il se soit soudainement arrêté après quelques minutes, mais oui, c’était parce qu’un homme marchait juste derrière la fenêtre, qui a alors cassé sa bouteille de yaourt. Maintenant, l’oncle Loet est en prison. Mes parents sont bouleversés. Je suis triste et tout le monde a l’air bizarre avec moi ».


L’état d’esprit propagé par cette publication est qu’il est préférable d’être avec un pédophile plutôt qu’avec sa famille. Il est « injuste » que le prédateur soit en prison, alors que l’homme qui l’a pris en flagrant délit est libre.  

Tels sont les principes fondamentaux de la pédophilie : ce qu’ils font est bien, et ceux qui s’y opposent sont mauvais. Cet état d’esprit est également promu dans les guides des Nations Unies, de l’Organisation Mondiale de la Santé et de Rutgers, bien que dans des formulations plus sophistiquées. Il n’en demeure pas moins que la promotion des relations sexuelles avec les enfants est un droit de l’homme et que s’y opposer constitue une violation des droits de l’homme.

Une autre édition du magazine pédophile de Brongersma s’intitule « l’épisode anti-éducation » et contient un article qui explique à quel point la famille naturelle est « mauvaise ». L’article est intitulé : « Comment tuer mon père et ma mère ? » Je cite :19

« Dans la famille, l’amour est impossible. L’amour parental est un mensonge… la famille limite, aigrit, raille, décourage, maltraite, froisse… »

L’un des principes de base de la pédophilie est que la famille est une prison et que les enfants doivent être « libérés » de la famille par les pédophiles.

Rutgers fait partie d’un réseau mondial de pédophilie

Le magazine pédophile NIKS a présenté des pédophiles internationaux de premier plan comme Theo Sandfort, qui a écrit pour plusieurs publications pédophiles bien connues comme Paedo Alert News et le British Paidika.20 En 1999, Rutgers a publié un rapport de ce même pédophile, Sandfort. En 2000, une autre organisation pédophile a fait la une des journaux pour avoir constitué des archives de pornographie enfantine. Son fondateur, Frits Bernard, était un pédophile invétéré. Les statuts de l’organisation précisent qu’elle collabore avec Rutgers.

Le 22 juin 1979, Rutgers a signé une pétition, avec le pédophile Brongersma, condamné au pénal, en faveur de la légalisation des relations sexuelles avec des enfants.21 

L’actuel président du conseil de surveillance de Rutgers est Andrée van Es, ancienne politicienne de la Gauche verte et du PSP, un parti qui a également fait pression pour la légalisation de la pédophilie.22 L’ancien directeur de Rutgers, Pieter Wijnsma, a déclaré dans une interview qu’il avait encouragé un groupe d’enfants de l’école primaire à se masturber parce que « l’aspect du désir sexuel devait être développé ».23

L’organisation du pédophile Brongersma a été remplacée par le Fonds pour la Recherche Scientifique sur la Sexualité (FWOS),24 qui affirme que la vaste collection de pédopornographie de Brongersma est gérée par Rutgers. Ce successeur de Brongersma a également financé plusieurs projets de Rutgers. L’énoncé de leur mission est le suivant :25

« La FWOS cherche à comprendre, à acquérir et à diffuser des connaissances sur le comportement sexuel et l’expérience sexuelle des enfants… ».

Rappelons que la FWOS est le successeur légal des travaux de Brongersma, qui a fréquemment abusé d’esclaves sexuels asiatiques, a été emprisonné pour avoir abusé d’un jeune garçon, possédait une vaste collection de matériel pédopornographique et publiait un magazine qui faisait la promotion de l’abus d’enfants.

La FWOS est l’un des financiers de Rutgers – la fondation désignée par l’OMS et l’ONU pour créer du matériel scolaire dans 27 pays.

Seksueel onderwijs voor kleine kinderen : gewoon doen ! En 2010, Rutgers et FWOS ont organisé une conférence sur l’éducation sexuelle des jeunes enfants. Ils ont également publié un ouvrage commun intitulé « Education sexuelle des jeunes enfants : faites-le ! »26

Le magazine parle d’un enfant de six ans qui se masturbe, d’un enfant de neuf ans qui regarde de la pornographie et d’un enfant de cinq ans qui a des relations sexuelles orales avec une fille.

RUTGERS ET LA PÉDOPHILIE

Preuve que l’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies s’associent à un éminent promoteur de la pédophilie

✔︎ Rutgers a publié un rapport du célèbre pédophile Theo Sandfort.

✔︎ Rutgers a collaboré avec la Fondation Frits Bernard qui possédait une vaste collection de matériel pédopornographique. 

✔︎ Rutgers a signé une pétition en faveur de la légalisation des relations sexuelles avec des enfants.

✔︎ L’actuel président du conseil de surveillance de Rutgers est Andrée van Es, ancienne politicienne de la Gauche verte et du PSP, un parti qui a également fait pression en faveur de la légalisation de la pédophilie.

✔︎ L’ancien directeur de Rutgers, Pieter Wijnsma, a appris aux enfants à se masturber pour développer leur désir sexuel.

✔︎ Rutgers est financé par FWOS, le successeur légal du pédophile et abuseur d’esclaves sexuels Brongersma.

✔︎ Rutgers a publié un magazine décrivant un enfant de 6 ans se masturbant, un enfant de 9 ans regardant de la pornographie et un enfant de 5 ans ayant des relations sexuelles orales.

✔︎ Rutgers demande aux enseignants de s’assurer que les enfants commencent à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible.

✔︎ Rutgers recommande un livre pour enfants qui encourage les jeunes enfants à pratiquer la fellation..

✔︎ Le programme d’études de Rutgers pour les écoles élémentaires stipule que les jeunes enfants doivent tout savoir sur la convoitise, l’excitation physique et l’intimité. 

✔︎ Rutgers publie du matériel scolaire pour les enfants de 10 ans qui dit : « Les exemples de choses que vous pouvez faire avec le sexe sont (langue) embrasser, caresser, tripoter (lécher le vagin), sucer (lécher/sucrer le pénis), doigter, se branler, avoir une bite dans le vagin (sexe vaginal) et une bite dans l’anus (sexe anal) ».

✔︎ Rutgers distribue des affiches scolaires qui incitent les jeunes enfants à se livrer à des actes homosexuels.

Il est alarmant de constater que cette organisation pédophile explicite a été choisie par l’OMS et l’ONU pour mettre en œuvre leur programme de sexualisation des jeunes enfants dans le monde entier.

Le manuel de pédophilie « n’est pas illégal » selon le ministre de la justice 

Aux Pays-Bas, qui semblent être le centre du programme mondial de normalisation de la pédophilie, un parti politique pour la pédophilie a été fondé et soutenu par le gouvernement. Ce « parti pédo » a distribué un manuel de 1 000 pages à l’intention des pédophiles, qui enseigne aux adultes comment violer les bébés et les enfants en bas âge.27

Le Manuel pour les pédophiles explique notamment les points suivants :

✔︎ Les méthodes de séduction des enfants, par exemple en dégonflant les pneus de leur vélo et en proposant de le réparer pour gagner leur confiance ;

✔︎ Comment utiliser des techniques psychologiques pour amener les enfants à consentir à des relations sexuelles, par exemple en les récompensant avec de l’argent ou des cadeaux ;

✔︎ Comment étirer le rectum des bébés et des jeunes enfants en vue de rapports sexuels anaux ;

✔︎ Où trouver des enfants ;

✔︎ Quels sont les âges les plus sûrs (les bébés sont sûrs, car ils ne parlent pas encore ; les enfants de 3 à 4 ans sont dangereux, car ils ne peuvent pas garder de secrets) ;

✔︎ Comment utiliser les techniques médico-légales pour cacher votre ADN, afin que la police ne puisse pas vous retrouver ;

Voici quelques citations tirées de ce manuel :

« La pédagogie du secret consiste à apprendre à l’enfant à garder des secrets. Nous y parvenons en utilisant des méthodes pédagogiques spéciales basées sur une combinaison de psychologie de l’enfant et d’expériences réelles de pédophiles professionnels. »

« Vous devez en apprendre beaucoup sur les preuves et la criminalistique afin de rendre la tâche de la police aussi difficile que possible lors de votre arrestation. Ces trois conseils importants permettent de s’assurer que toutes les traces d’ADN sont effacées après une activité sexuelle avec l’enfant. […] Cela peut sembler compliqué, mais de nombreux pédophiles ont été envoyés en prison parce qu’ils étaient trop paresseux pour effectuer ces trois tâches simples. S’ils l’avaient fait, la police n’aurait pas de preuves et ils seraient libres »

Marcel Janinga est un père qui a découvert que son voisin abusait de sa fille depuis sa naissance – alors qu’elle était bébé – en utilisant les techniques qu’il avait apprises dans le Manuel du pédophile. Ce n’est qu’à l’âge de 3 ans que ces abus ont été révélés, la fillette se plaignant de douleurs. Ils ont découvert que le voisin avait abusé de cette fille deux fois par semaine, le mercredi et le vendredi.

Marcel a créé la « Fondation contre les abus envers les enfants » pour lutter contre ces horreurs.28 Il a demandé au gouvernement d’arrêter la distribution de ce manuel, mais le ministre néerlandais de la justice, Ferd Grapperhaus, a affirmé qu’il ne contenait rien d’illégal et qu’il devait donc être autorisé.29 Après l’indignation massive du public et la pression croissante exercée pendant plusieurs années, ce ministre de la justice n’a finalement pas eu d’autre choix que de changer de position et, en 2023, le Manuel pour les pédophiles a finalement été déclaré illégal.

Mais seulement après avoir été autorisé à se répandre largement pendant de nombreuses années, provoquant non seulement des viols massifs, mais aussi des meurtres d’enfants en bas âge.

Un « Manuel pour pédophiles » de 1 000 pages expliquant comment séduire, manipuler, soudoyer et violer des bébés, des jeunes enfants et des enfants en bas âge a été autorisé pendant de nombreuses années par le ministre néerlandais de la justice, Ferd Grapperhaus. 

Les juges demandent la dépénalisation de la pédophilie

On peut se demander comment un ministre de la justice peut refuser d’interdire un manuel de pédophilie qui explique comment violer des bébés et des enfants en bas âge, comment effacer ses traces d’ADN auprès de la police, comment séduire des enfants, etc. Le pouvoir judiciaire n’est-il pas la principale institution chargée de lutter contre ces crimes horribles ? Ce qui suit explique ce qui se passe…

Le Comité international de juristes (CIJ) et l’ONUSIDA (une division des Nations unies) ont publié un rapport dans lequel ils appellent à la dépénalisation des relations sexuelles entre adultes et enfants.30 Ils affirment que les petits enfants peuvent consentir à des relations sexuelles, ce qui les rend acceptables. Ce n’est que lorsque les enfants déposent une plainte officielle auprès de la police que l’abus sexuel doit être considéré comme un crime. Voici leur déclaration de la page 22 :

« En ce qui concerne l’application du droit pénal, tout âge minimum prescrit pour le consentement à des relations sexuelles doit être appliqué de manière non discriminatoire. L’application ne peut être liée au sexe/genre des participants ou à l’âge du consentement au mariage. En outre un comportement sexuel impliquant des personnes n’ayant pas l’âge minimum de consentement à des relations sexuelles prescrit au niveau national peut être consensuel, en fait, mais pas en droit ».

Selon le Comité international de juristes, les relations sexuelles avec des enfants ne devraient pas être considérées comme un acte criminel si l’enfant y consent. Cela ne tient pas compte du fait que les adultes ont un avantage mental considérable sur un petit enfant, qui n’a aucune défense psychologique contre les pouvoirs de persuasion d’un prédateur rusé. Le Manuel du pédophile explique de nombreuses techniques psychologiques permettant de manipuler un enfant pour qu’il donne son « consentement ». Nous connaissons tous l’exemple d’un inconnu qui offre une délicieuse glace à un enfant pour l’attirer dans ses filets. Tout adulte sensé comprend qu’un enfant ne peut jamais consentir à une relation sexuelle, puisqu’il n’a aucune idée de ce qui se passe. Ce n’est qu’une fois adulte qu’il commence à se rendre compte de ce qui lui est arrivé. Ces attouchements provoquent des traumatismes à vie, car il ne s’agit pas seulement d’un abus physique, mais aussi d’un abus mental, les enfants étant victimes de techniques psychologiques sophistiquées qui les ont manipulés pour qu’ils donnent leur « consentement ».

La déclaration du Comité international de juristes montre à quel point la pédophilie est déjà profondément ancrée dans notre société. Cela souligne la nécessité cruciale pour toutes les bonnes volontés de s’élever.

Manifeste explicite de pédophilie

Les pédophiles donnent l’impression que les enfants ont le « droit » d’être victimes d’abus sexuels de la part d’adultes, par le biais de déclarations telles que : « Le sexe est un droit humain pour les personnes de tous âges » et « Le droit d’expérimenter la sexualité ne devrait pas être limité par l’âge ».

La Fondation internationale pour la planification familiale (une organisation d’avortement fondée par le père de Bill Gates) a publié un véritable manifeste sur la pédophilie intitulé « EJACULER ! », qui a été distribué au sein des Nations Unies.31

Ce manifeste contient à plusieurs reprises des déclarations explicites typiquement utilisées par les pédophiles.

À la page 9 de ce manifeste, l’IPPF déclare ce qui suit : 

« Il existe une idée fausse selon laquelle les jeunes (c’est-à-dire les petits enfants) ne sont pas ou ne devraient pas être des êtres sexuels.

À la page 16, on peut lire ce qui suit :

« La sexualité et le plaisir sexuel sont des éléments importants de l’être humain pour tout le monde, – quel que soit l’âge.

Il s’agit littéralement des arguments typiques utilisés par les pédophiles pour affirmer que les bébés, les jeunes enfants, les enfants et les adolescents ont le « droit humain » d’avoir des relations sexuelles.  

Le fait que les arguments typiques des pédophiles constituent le message central de ces documents prouve une fois pour toutes qu’ils poussent à la normalisation de la pédophilie. 

Le planning familial couvre les abus sexuels

Tout en appelant le monde à considérer les relations sexuelles entre adultes et petits enfants comme l’expression d’un droit humain fondamental, le Planning familial s’est avéré dissimuler systématiquement les plaintes concernant les abus sexuels dévastateurs commis sur des enfants. Voir ce documentaire révélateur de Live Action… 



Les médias encouragent la normalisation de la pédophilie

Les médias se sont joints à l’opération mondiale de normalisation de la pédophilie. Voici une petite compilation de ce qui est en réalité une véritable avalanche de messages, tous ayant une seule mission : convaincre le monde que les pédophiles sont bons et que ceux qui défendent les enfants sont des monstres.

Transcription de certains titres de ces posts :

La pédophilie est-elle une orientation sexuelle ?

La pédophilie est une « orientation sexuelle – comme l’hétérosexualité ou l’homosexualité ».

5 façons de mal comprendre les pédophiles

Sympathie et science pour ceux qui veulent avoir des relations sexuelles avec des enfants

Je suis un pédophile, vous êtes des monstres

Tous les pédophiles ne sont pas de mauvaises personnes

Ce qui est particulièrement alarmant, c’est qu’aucun de ces articles de presse – littéralement pas un seul – ne prend la défense des enfants sans défense. Ils ne parlent que des pédophiles « incompris – pas un mot sur les enfants ! 

Un fonctionnaire de l’OMS et de l’ONU arrêté pour pédophilie

Les pratiques pédophiles des hauts fonctionnaires de l’Organisation Mondiale de la Santé et des Nations Unies sont généralement soigneusement dissimulées, mais de temps en temps, l’un d’entre eux se fait prendre. C’est ce qui est arrivé à Peter Dalglish, un haut fonctionnaire qui a occupé de hautes fonctions au sein des Nations Unies, de l’UNICEF et de l’Organisation Mondiale de la Santé pendant plus de 30 ans, et le fondateur de l’Internationale Enfants de la Rue. Il a été décoré de l’Ordre du Canada pour son travail humanitaire exceptionnel. En 2015, il était le « représentant national » des Nations unies à Kaboul.  

En 2018, Dalglish a été pris en flagrant délit d’abus sur deux garçons mineurs au Népal et a été condamné à neuf ans de prison.32

Dalglish attirait les enfants loin de leurs parents en leur proposant de les éduquer, de les emmener à l’étranger et de leur fournir un emploi. Les détectives affirment qu’il a abusé d’enfants pendant une période de 15 ans alors qu’il était haut fonctionnaire à l’ONU et à l’OMS.

L’Organisation mondiale de la santé est une entité privée

L’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies sont les principales entités qui poussent l’agenda de la pédophilie dans le monde entier. Nous devons toutefois nous rappeler qu’il ne s’agit pas d’organisations gouvernementales, mais d’organisations privées, détenues par des élites financières. En tant qu’organisations privées, elles n’ont aucune autorité sur qui que ce soit. Pourtant, elles fonctionnent comme un gouvernement mondial unique, contrôlant le système mondial de santé et d’éducation.

Au cours de la pandémie, il est devenu évident pour le monde entier que l’OMS ne sert pas les intérêts de l’humanité, mais plutôt les agendas criminels d’entités occultes.

L’OMS a supprimé des remèdes éprouvés contre la COVID-19  et a ordonné aux entreprises de médias sociaux de censurer les scientifiques et les médecins qui parlaient de traitements efficaces. C’est elle qui a dit au monde qu’une injection expérimentale était la seule réponse à la pandémie, ce qui a entraîné des millions de morts et des centaines de millions de personnes handicapées à vie à cause de ces inoculations non testées.

Pourquoi les gouvernements démocratiques du monde entier abandonnent-ils leurs nations aux mains d’une organisation privée ?

Bill Gates contrôle l’Organisation mondiale de la santé

C’est Bill Gates, multimilliardaire et porte-parole des élites financières, qui est à l’origine de l’ordre du jour visant à supprimer tous les traitements efficaces contre la COVID-19 et à convaincre le monde que seule une injection expérimentale non testée peut nous sauver. Il est le premier vendeur de vaccins au monde et a gagné des sommes astronomiques grâce à ce complot d’inoculation à l’échelle mondiale. 

Lorsque l’on sait que Bill Gates est le principal bienfaiteur de l’OMS, on comprend également qu’il a toute autorité sur les politiques de l’organisation.

Bill Gates est également connu pour ses relations étroites avec Jeffrey Epstein, qui organisait des soirées sexuelles avec des enfants pour les élites sur sa fameuse île d’Epstein.33 Epstein a été arrêté en 2018 sous l’administration Trump, et se serait pendu dans sa cellule de prison. Le nom de Bill Gates apparaît plusieurs fois sur les registres des vols à destination de l’île d’Epstein.34

Les médias grand public et Google – qui appartiennent tous aux élites – se tordent dans toutes sortes de nœuds bizarres pour nier cela, mais les registres de vol ne mentent pas, pas plus que les photographies de Gates et d’Epstein.

Bill Gates et d’autres entités fortunées utilisent l’Organisation Mondiale de la Santé pour sexualiser les petits enfants du monde entier. Gates finance l’organisation pédophile Rutgers pour créer du matériel scolaire pour des dizaines de nations.

Pourquoi insistent-ils pour normaliser la pédophilie ?

Pourquoi les élites financières insistent-elles pour sexualiser les petits enfants dans tous les pays du monde ? La réponse est donnée dans notre rapport de preuves qui détaille comment la majorité des élites ont une chose en commun : elles sont fortement impliquées dans l’abus organisé d’enfants.

Ceci est confirmé par l’ancien directeur du FBI Ted Gunderson, ainsi que par d’anciens membres de l’armée, de la maréchaussée, de la gendarmerie, de la police et des détectives. Leurs témoignages sont révélés dans ce rapport.

Calin Georgescu, ancien directeur exécutif des Nations Unies, a témoigné devant le Comité d’Enquête sur les Crimes Internationaux que l’ONU est une plateforme permettant aux oligarques criminels de mettre en œuvre un agenda néfaste. Le documentaire « Secrets of the United Nations » (voir ci-dessous) révèle tout cela en détails. Ce film est à voir absolument pour tous ceux qui veulent comprendre ce qui se passe dans notre monde. Georgescu a également déclaré que les oligarques qui se cachent derrière les Nations Unies sont des pédophiles. Ne manquez pas de regarder ce film…



Le documentaire « Chute de la cabale » révèle comment des représentants et des militaires des Nations Unies ont violé des milliers et des milliers d’enfants et de femmes dans des pays où ils prétendaient apporter la paix. Ces séries documentaires ont été créées par un enquêteur plusieurs fois primé et un ancien analyste de la criminalité financière de la police néerlandaise.35 Dans l’épisode ci-dessous, ils dévoilent la nature extrêmement sombre des Nations Unies et les traces de sang des horribles abus sexuels qu’elles laissent dans le monde entier… 

De nombreux témoignages de victimes survivantes et de témoins oculaires de tous les pays du monde montrent que ces élites financières sont profondément impliquées dans des abus sexuels systématiques sur des enfants. 

L’une d’entre elles est l’ancien mannequin Nathalie Augustina, dont l’esprit a été programmé par la CIA pour servir de chaton sexuel à des familles royales, des hauts fonctionnaires et des célébrités hollywoodiennes. Elle raconte son histoire déchirante dans le livre « Nathalie – Confessions d’un mannequin » (néerlandais).36

Les révélations de Nathalie ont été confirmées en détail par l’ancienne juriste Anne Marie van Blijenburgh, qui a témoigné en 2014 devant le Tribunal pour les crimes commis par l’Église et l’État (ITCCS) qu’elle avait assisté à trois reprises à des réunions au cours desquelles des enfants étaient violés et assassinés sur une scène, devant un public composé de représentants du gouvernement, de la magistrature, de l’armée, de la police, de l’éducation, des médias, etc. Son témoignage d’expert est présenté dans notre rapport « Abus sexuels organisés par des fonctionnaires de haut niveau« .

« Ils veulent avoir accès aux enfants sans être poursuivis »

Nous sommes en contact direct avec plusieurs victimes survivantes de ces pratiques cruelles des élites. L’une d’entre elles est une dame du Canada, dont je ne citerai pas le nom pour sa protection. Elle est née dans les cercles des élites et m’a écrit plusieurs lettres. Je partage ci-dessous une partie de ce qu’elle m’a envoyé. Veuillez comprendre que, bien que ces informations soient profondément troublantes, elles sont confirmées par des membres du FBI, de l’armée, des agences de renseignement, de la police, de la gendarmerie et des maréchaussées du monde entier, ainsi que par d’innombrables autres témoins oculaires, dans le rapport susmentionné.

« Une enfance typique de cette horreur verra des enfants violés plusieurs milliers de fois avant d’atteindre l’âge de 18 ans. Il s’agit d’un réseau de culte satanique à l’échelle mondiale. Et ils gagnent une grande partie de leur argent en trafiquant des enfants. C’est brutal. … Ils tentent de placer leurs membres au sommet des domaines dans le monde entier. »

Concernant la normalisation de la pédophilie par le biais du système éducatif mondial, ce survivant des élites m’a envoyé ce qui suit :

Oui, c’est un comportement normal dans les sectes. Tout le monde est encouragé à avoir des relations sexuelles les uns avec les autres. Les frères et sœurs entre eux… les enfants et les adultes… les enfants avec les enfants… les enfants avec les animaux… tout cela n’est pas seulement encouragé, c’est obligatoire. Ils prennent donc le comportement normal d’une secte et essaient de le rendre courant… et vous avez tout à fait raison…  ils veulent avoir accès aux enfants 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, pour faire ce qu’ils veulent avec eux sans être poursuivis. »

Un ancien directeur exécutif des Nations Unies, un enquêteur primé, un analyste de la police, un juriste et un témoin oculaire, ainsi que plusieurs victimes survivantes, tous disent la même chose : les élites financières derrière les Nations Unies sont impliquées dans la pédophilie organisée.

Allons-nous nous lever et défendre les enfants ?

Si nous ne nous levons pas pour mettre un terme à ce sombre programme, qui se fait passer pour une absurde « défense des droits de l’homme », tous les enfants du monde finiront par grandir en étant victimes d’abus sexuels pendant des années – et seront également formés pour devenir des prédateurs sexuels. Et cela ne s’arrête pas là, car les personnes qui suppriment les limites saines et naturelles continueront à supprimer les limites suivantes, parce qu’il n’y a pas de fin à leur désir effréné. Comme nous le disent les victimes survivantes des élites, le sexe avec les animaux est la prochaine étape, tout comme le sexe avec les cadavres.

Le même ministre de la justice qui a insisté pendant des années sur le fait qu’il n’y avait rien de mal dans le Manuel des pédophiles a également déclaré que le sexe avec des cadavres n’était pas un crime.37 Et le ministre-président néerlandais Mark Rutte, qui est un membre enthousiaste du Forum Économique Mondial, a fait partie, dans ses jeunes années, d’un groupe politique qui a appelé à la légalisation du sexe avec des animaux.38

Aux États-Unis, nous assistons à l’invasion écœurante de drag-queens dans d’innombrables écoles, où les enfants sont exposés à des danses sexuelles perverses, à des histoires dégoûtantes et aux tenues anormales de monstres pervers qui s’en prennent aux enfants. Posez-vous la question :

Qui peut bien vouloir que des homosexuels exécutent des danses sexuelles devant des enfants ? Qu’est-ce qui se cache derrière tout cela ?

Johns Library de Portland, dans l’Oregon, des enfants ont été photographiés allongés sur le corps d’une drag queen.39

L’invasion soudaine de drag-queens dans des milliers d’écoles à travers le monde est clairement une opération stratégiquement orchestrée, similaire à l’éruption soudaine de la folie transgenre, qui est littéralement sortie de nulle part et s’est soudainement répandue partout. Tout cela se produit en même temps :

✔︎ qui ordonne à toutes les écoles publiques du monde entier de sexualiser les enfants

✔︎ introduisant d’innombrables drag-queens dans les écoles 

✔︎ en introduisant massivement la confusion transgenre dans tous les pays

✔︎ utiliser les médias pour appeler à l’acceptation de la pédophilie

✔︎ des juges appelant à la légalisation des relations sexuelles avec des mineurs

Cette situation est bien plus grave que nous ne pouvons l’imaginer. Comme le disent les dénonciateurs de l’élite, « ils veulent que tout le monde ait des relations sexuelles avec des mineurs » : « Ils veulent que tout le monde ait des relations sexuelles avec tout le monde ». Nous devons prendre position et protéger courageusement les enfants, partout dans le monde.

Partager ce rapport avec le monde entier

Il est essentiel que ce rapport parvienne au plus grand nombre. Merci de l’envoyer au plus grand nombre, par tous les moyens possibles. Vous pouvez par exemple copier cette courte lettre et l’envoyer aux journaux locaux, aux écoles, aux forces de l’ordre, aux églises, aux hôpitaux, aux hommes politiques, etc. Vous trouverez leurs coordonnées en effectuant une recherche rapide sur Internet.

À qui de droit,

L’Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies demandent aux autorités éducatives du monde entier d’apprendre aux bébés, aux enfants en bas âge et aux jeunes enfants à se masturber, à utiliser la pornographie, à apprendre différentes techniques sexuelles telles que la fellation, et à avoir des relations avec des personnes du même sexe. L’OMS et les Nations Unies demandent aux éducateurs d’encourager les enfants à commencer à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible et d’aider tous les enfants à avoir des partenaires sexuels. Les faits montrent que cela fait partie d’une opération mondiale visant à normaliser la pédophilie. Voir le rapport suivant :

Nous vous invitons à examiner attentivement ces informations.


Téléchargez le mème en couleur pour le distribuer par courriel et sur les médias sociaux, ou pour le faire imprimer par un service d’impression en ligne (tel que VistaPrint). Vous pouvez également télécharger le dépliant en noir et blanc pour l’imprimer sur votre propre imprimante et le distribuer dans votre communauté. Vous pouvez aussi les envoyer à un journal local pour qu’ils y soient placés en tant qu’annonce. Si vous avez besoin d’une résolution plus élevée ou de grandes quantités, contactez-nous

Inviter David à un entretien

Si vous voulez inviter David Sorensen de Stop World Control dans votre émission pour parler de ce sujet afin d’avertir le monde, alors contactez-nous

Références et téléchargements

Toutes les preuves des affirmations contenues dans ce rapport peuvent être trouvées en ouvrant le conteneur à bascule ci-dessous. Vous pouvez également télécharger tous les documents de l’OMS, de l’ONU, de l’IPPF, de Rutgers, etc. Si un lien a été supprimé d’Internet, vous pouvez le relocaliser en utilisant Archive.org.




Barrez-vous…

Par Lucien SA Oulahbib

Face aux périls, les supplétifs de la Secte — gaute et droiche — ne servent à rien sinon répandre ceux-ci et ensuite faire mine de s’en occuper pour justifier leur présence sonnante et trébuchante. Ils le sentent bien d’ailleurs en traînant savates et guêtres dans les officines parlementaires universitaires et médiatiques qui ne méritent pourtant pas une telle pestilence, elle-même tant injustement récompensée par des émoluments inconsidérés.

Ce n’est en effet plus tenable : qu’il s’agisse de la soumission française à l’Allemagne en matière énergétique et de celle-ci aux USA sur le même point, et également de tout ce qui se passe à Mayotte, dans les écoles et hôpitaux, les finances publiques, la retraite, divers conflits mondiaux, etc., l’incompétence se conjugue avec l’insolence avec tout ce fumet de totalitarisme mou, mais étouffant, faisant de la France actuelle une sorte de démocrature. On croyait que celle-ci était seulement l’apanage des pays corrompus, entraînés ainsi par ceux-là mêmes qui font ainsi la leçon au nom de la lutte contre le « complotisme » et les « cake news », cuisine peu ragoûtante qu’ils sont les premiers à essaimer.

Il peut être en effet observé que lorsque le mot « complotiste » ou « extrême-droite » est avancé (termes synonymes pour les Miliciens de la Secte), il s’agit précisément d’une gestuelle sectaire au sens d’exclure, immédiatement, toute question du champ même de ce qu’ils pensent être la « Raison » ; alors que celle-ci, par définition questionne le sens donné à telle ou telle in/formation : si a alors b si et seulement si a peut (doit) être lié à b…

Ainsi, lorsqu’un certain « Pain » se targue dans une vidéo d’associer Trump et « fake news » alors que celui-ci nie précisément le fait qu’il aurait été un agent russe en 2016 lors de sa première campagne électorale (le dossier s’avérant vide ou trafiqué) ou encore lorsque l’on sait maintenant que le contenu du « laptop » appartenant au fils Biden aura été délibérément étouffé par le FBI lors de la seconde campagne électorale de 2020, il s’avère que loin d’être du « pain » béni genre « conspi » ces deux exemples montrent surtout le degré de mensonge et du renversement de la preuve moulés dans de la crasse intellectuelle, le tout prétendument présenté en nouvelle cuisine symbolique alors qu’il s’agit des vieux plats rabougris de la propagande hitléro-stalinienne (celle du Pacte germano-soviétique par exemple) :

  • « plus c’est gros plus ça passe » (toute critique anti-injection expérimentale EST « antivax ») ;
  • ou « tous ceux qui ne sont pas d’accord sont des socio-traîtres des fascistes » (toute critique de l’immigration imposée EST raciste) ;
  • et autres sophismes et syllogismes qui apparaissent aussi gentils que les vœux pieux de Miss France (tendance historique) sur « la paix dans le monde ».

Leur virulence surmultipliée par l’écran en cinémascope et l’effet de résonance des médias serviles est surtout symptômes de cette malice absolue qui a pignon sur rue dans les milieux politiques universitaires et journalistiques dont les diplômes sont en réalité semblables à ceux délivrés en URSS ou chez les maoïstes : du copié-collé d’un catéchisme anti-conspi de base qu’il suffit de débiter pour obtenir subsides et « honneurs » (par légion…) et devenir ainsi membres de la Secte qui se distingue d’une Caste ou d’une Oligarchie en ce que s’agissant de ces deux dernières l’adhésion se fait par cooptation alors que pour la première il s’agit d’une adhésion au sens fort de se fondre dans la masse de la Milice pour être débité ensuite en éléments fanatiques qu’il est impossible par ailleurs de quitter sans tout perdre alors qu’un membre d’une Caste garde une relative autonomie.

Son but ultime ? Maquiller le réel de ce qui devrait être une « démocratie souveraine » qui ne sort pas seulement du cerveau d’un Poutine mais… de la Constitution française : Titre premier : De la souveraineté (Articles 2 à 4)…

Pour y arriver, tout un travail de sape se déploie façon novlangue, ces officines se drapant même du nom de « Marianne » pour se légitimer, ce qui est une honte absolue, le tout pour enfoncer des portes ouvertes du genre « regardez nous dénonçons ceux qui disent que nous sommes gouvernés par des lézards et que la Terre est plate “, alors que nous savons bien qu’ils se servent de ces impérities pour masquer leur réelle fonction : celle de travestir le réel tout en prétendant le révéler ; ils sont à chaque instant un oxymore assumé ; théorisé d’ailleurs par un Foucault lorsqu’il s’appropria le Paradoxe du Menteur, de même que Derrida remettant en cause la notion même de référent (dans Positions… également analysé dans Éthique et épistémologie du nihilisme).

“Barrez-vous plutôt”, pourrait-on leur dire. Vous ne servez à rien sinon à répandre celui-ci et en vivre. Vous êtes surtout un obstacle pour la recherche de “la” vérité, celle-ci entendue plutôt comme ce qui s’avère solidement établi, ainsi cette nécessité qu’est la liberté de penser et d’entreprendre dans des limites négociées démocratiquement, tout en étant continuellement perfectible, alors que vous n’êtes que le surgelé d’un réchauffé de vieilles pratiques totalitaires et que vous avez en plus le toupet d’appeler “progrès” un peu à la façon d’une guillotine qui prendrait de haut son ancêtre la hache, pour arriver au même résultat : la Terreur.

La Milice d’aujourd’hui ne fait qu’en accélérer le Retour. C’est tout. Aussi mieux vaut-il qu’elle se barre, laissez tomber, barrez-vous, vous ne faites pas le poids face aux périls qui sont déjà là….




L’OMS s’apprête-t-elle à prendre définitivement le contrôle sur les États pour la politique de santé ?

[Source : Virginie Joron]

Conférence sur le Traité de l’OMS sur les pandémies organisée par les députés européens Francesca DONATO, Stasys JAKELIŪNAS, Virginie JORON, Mislav KOLAKUŠIĆ, Sylvia LIMMER, Ivan Vilibor SINČIĆ et Cristian TERHEŞ avec la participation des experts de CHD Europe, Silvia BEHRENDT, David BELL, Philipp KRUSE et Wolfgang WODARG.




Étienne Chouard : « Une bonne constitution devrait empêcher l’accaparement des médias par les plus riches »

[Source : FranceSoir]

DEBRIEFING – Retraites, monnaie, finance, indépendance des pouvoirs et de la presse : Étienne Chouard revient dans cet entretien sur les sujets et les enjeux profonds qui agitent la France.

La question de la liberté d’expression est abordée : comment lui permettre de survivre ? Les médias, hélas, ne semblent plus garantir son exercice : “au lieu de médiatiser, ils censurent et ne font passer que la propagande du pouvoir”, selon le professeur d’économie et de droit à la retraite.

Chouard évoque par ailleurs la charte de Munich et le devenir du métier de journaliste. Peut-on imaginer la mise au point d’une “protection constitutionnelle” pour ce dernier, “d’origine citoyenne” ?

L’objectif serait de permettre aux journalistes d’exercer leurs enquêtes et autres fonctions en toute sérénité et de se tenir à l’écart de l’influence ou de la domination des intérêts financiers et politiques.



“Maximiser la vertu et minimiser le vice”, qui “existent en tout individu”, est toujours possible, selon Chouard. Est-ce là un espoir réduit à peau de chagrin de nos jours, en ce qui concerne les dérives inquiétantes de la sphère médiatique (invisibilisation de certaines thématiques, censures…) ?

Afin de garder l’espoir d’une évolution favorable à l’avenir, l’auteur de « Écrire nous-mêmes la constitution » (aux éditions Talma) cite Étienne de la Boétie : “Soyez donc résolus à ne plus servir et vous serez libre.”

  • Ce nouveau débriefing avec Étienne Chouard ouvre une série de plusieurs entretiens à venir en sa compagnie.

Les temps forts de l’entretien : 








Baby crash : demain, un monde sans bébés ?

[Publication initiale :
https://www.sante-sans-filtre.com]

Par Nicole Delépine

Médecin hospitalier, pédiatre et oncologue, Nicole Delépine se bat, depuis 40 ans, pour une meilleure prise en charge des malades à l’hôpital. Reconnue au niveau international pour sa connaissance du cancer, elle a notamment dénoncé les paradoxes du Gardasil, le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Elle vient de publier Les Enfants sacrifiés du Covid (Fauves).

Alors que 30 % des Françaises en âge de procréer ne souhaitent pas avoir d’enfants pour « sauver la planète bleue », l’avenir de l’humanité ne serait-il pas déjà compromis par la baisse de la fertilité qui s’observe depuis plusieurs décennies ? Ajoutez à cela les effets des injections géniques anti-Covid 19, et vous pouvez sérieusement douter des statistiques annonçant 10 milliards d’êtres humains en 2050 !

La baisse de la concentration de spermatozoïdes chez l’humain est connue depuis de nombreuses années et la synthèse récente de la revue de référence Human Reproduction Update montreune chute encore plus vertigineuse depuis une quarantaine d’années1. Surtout, elle souligne le déclin rapide de la fertilité masculine. Cette publication, de grande ampleur, est fondée sur des centaines d’études publiées sur le sujet et rassemble les données couvrant la période 1973-2018 disponibles dans plus d’une cinquantaine de pays.

Ainsi, en 45 ans, la concentration moyenne de gamètes dans le sperme de la population masculine générale est passée de 101 millions par millilitre (M/ml) à 49 M/ml, soit moitié moins ! En outre, comme le rappelle l’urologue française Valentine Frydman, « 20 % de l’infertilité est d’origine masculine stricte ». Pas étonnant, rien qu’avecce premier constat, que la fécondité chute partout dans le monde.

En France, près de 3,3 millions de personnes, soit environ 1 couple sur 6, sont directement touchées par un problème d’infertilité. Un phénomène qui ne cesse d’augmenter depuis une vingtaine d’années selon les professionnels du secteur, comme le Pr Jean-Marc Ayoubi2.

Le canari dans la mine

Ce déclin rapide de la fertilité masculine ne concerne pas seulement les pays du Nord, mais le monde entier. Le pire, c’est que, loin de ralentir pour se stabiliser, le phénomène est en forte accélération.

« En incluant toutes les données postérieures à 1973, le taux moyen de la chute est de 1,16 % par an au niveau mondial. Ce rythme a plus que doublé depuis le début du XXIsiècle, passant à un déclin de 2,64 % par an sur la période 2000 -2018. » Une accélération qualifiée d’« alarmante » par les auteurs de cette étude. « Nos résultats sont comme le canari dans la mine, déclare M. Levine. Nous avons entre les mains un problème grave qui, s’il n’est pas maîtrisé, pourrait menacer la survie de l’humanité. » Ces tendances concernent également les pays d’Afrique et d’Amérique du Sud3, pays qui n’avaient jamais connu un tel phénomène jusqu’alors.

Avant 2020, d’autres causes

Face à des changements inédits, comme la féminisation du sexe des poissons, de nombreuses études ont occupé des unités de recherche dans le monde.

Les experts évoquent, pêle-mêle, de possibles facteurs : d’abord les causes individuelles liées au mode de vie (tabagisme, sédentarité, alimentation, surconsommation médicamenteuse, etc.), mais aussi les causes globales, notamment environnementales (pesticides et produits de synthèse, pollution, etc.).

Tous les perturbateurs endocriniens4, 5 contenus dans le moindre de nos cosmétiques ou aliments industriels sont des molécules qui agissent directement sur notre système hormonal et qui peuvent engendrer, du fait de leur accumulation (le fameux « effet cocktail »), divers dysfonctionnements : insuffisance ovarienne, spermatogenèse défectueuse, fausses couches, grossesses pathologiques…

La donne change avec le Covid

L’arrivée du Covid a rebattu un peu les cartes. Si les premières mesures coercitives ont conduit certains à évoquer un probable baby-boom dans les neuf mois suivants, sous l’effet de la consolation de la couette, manifestement, il n’en fut rien.

La dépression collective induite par la succession de peurs inoculées, répétées comme un mantra par le pouvoir chaque heure de la journée, n’y est sûrement pas étrangère. La terreur d’une guerre nucléaire potentielle, d’un réchauffement climatique culpabilisant (dont le rôle humain reste à démontrer), les pénuries bien organisées (pas d’huile ni de moutarde en France et les rayons pleins en Italie), l’explosion du prix de l’essence, la menace de coupures d’électricité : bref le pouvoir passe son temps à nous menacer du pire… Ajoutez à cela la dépendance aux écrans, qui remplacent de plus en plus les relations humaines. Et vous comprenez assez aisément pourquoi le baby-boom tant annoncé n’a pas eu lieu.

La vaccination a-t-elle accéléré le déclin ?

En France, l’Insee confirme l’effondrement de la natalité depuis le début de la pseudo-vaccination.

« En 2022, la natalité connaît un décrochage historique, avec des chiffres jamais connus jusqu’ici. Cette tendance, qui a commencé à s’affirmer en juin 2022, c’est-à-dire 9 mois après l’atteinte de taux de vaccination de 85 % dans la population, s’est aggravée depuis le mois d’août, c’est-à-dire après la troisième dose. Pour l’instant, l’Insee ne donne aucune explication à cette baisse inquiétante pour l’avenir démographique du pays6. »

Les naissances repartaient en effet à la baisse dès mars 2022, avec un peu moins de naissances entre mars et juillet 2022 qu’entre mars et juillet 2020. En août 2022, il y a eu en revanche un peu plus de naissances qu’en août 2020. Mais en septembre 2022, les naissances repartent à la baisse, avec 4 % de bébés en moins qu’en septembre 2020, quand l’évolution des naissances n’était pas encore affectée par la pandémie de Covid-19.

La baisse s’intensifie en octobre, avec 6 % de bébés en moins qu’en octobre 2020. Près de 2 300 enfants sont nés chaque jour en France en septembre 2017. Ils n’étaient plus que 2 100 en 2020, quelques mois après le tout début de l’épidémie de Covid. Ils n’ont été que 2 000 en septembre 2022, 9 mois après le passage à la 3e dose… Le phénomène est très inquiétant…

Ailleurs dans le monde, même refrain ?

L’Australie a elle aussi enregistré une baisse de 63 % des naissances après l’introduction des « vaccins » covidés78. D’octobre à novembre 2021, le nombre de naissances a diminué de 21 % par rapport à la moyenne sur une période de 10 ans. Le mois suivant, de novembre à décembre, le nombre de naissances a diminué de 63 %.

« Décembre tombait environ neuf mois après le lancement des vaccins Covid », note D. James de Life-SiteNews à propos de cette période charnière qu’est la grossesse.

Le Dr L. McLindon, spécialiste de la fertilité, affirme avoir observé une augmentation massive des fausses couches chez ses propres patientes après l’introduction des vaccins. Avant l’opération Warp Speed9, le taux de fausses couches chez les patientes de McLindon était de 12 à 15 %. Aujourd’hui, parmi ses patientes vaccinées, il a atteint 74 %.

Taïwan a également connu une chute similaire de 23 % des naissances après le lancement de l’opération Warp Speed.

Aux États-Unis, ces 3 phénomènes inédits

Selon Brighteon.TV, les chercheurs N. Wolf et coll. ont identifié une longue liste de résultats négatifs associés aux vaccins, au-delà même du simple échec de la reproduction.

Ils incluent des problèmes de fertilité masculine affectant le sperme et la fonction prostatique, et de fertilité féminine. La Food and Drug Administration a même été informée à ce sujet dès le 1er avril 2021, sans aucune réaction. Des échographies ont révélé une inflammation et des calcifications anormales chez les fœtus environ huit semaines après l’injection, de même que des anomalies du pénis reconnues par Pfizer dans ses documents internes. Un taux actuel de 87,5 % de fausses couches a été révélé sur le VAERS10. La FOIA (agence américaine pour la liberté d’information11) révèle que Pfizer et les agences de régulation ont caché (ou en tout cas largement minoré) les dangers réels de l’injection contre le Covid pendant la grossesse, alors qu’ils avaient conscience que cela augmentait le risque de malformations congénitales et d’infertilité.

Cette fraude et cette tromperie auraient causé au moins 4 113 décès fœtaux dus à la vaccination contre le Covid-19 rien qu’aux États-Unis contre 2 239 décès fœtaux signalés au VAERS au cours des 30 années précédant les injections contre le Covid-19…12 Rappelons que le VAERS ne représente que 1, 2 ou 3 % des cas réels — en raison des non ou sous-déclarations. Si l’on multiplie le chiffre officiel par 40, qui est le facteur de sous-déclaration le plus souvent utilisé, il s’agirait probablement de 140 000 morts fœtales13.

Quant à l’allaitement des bébés par des mères vaccinées, il pourrait également aggraver le risque de mortalité périnatale. « De faibles niveaux transitoires d’ARNm du vaccin ont été détectés dans le sérum des mères vaccinées avec un transfert occasionnel dans leur lait maternel14. » Or, depuis au moins 2015, la FDA sait que les produits géniques sont excrétés15.

Pfizer et les agences savaient également que l’étude limitée sur les animaux montrait un risque important pour le fœtus en développement, mais ils ont activement choisi de supprimer cette information des documents publics.

Cette information a été révélée grâce à une demande d’accès à l’information américaine (FOI) adressée au Government Department of Health par la Therapeutic Goods Administration (TGA) du gouvernement australien.

Alors corrélation, causalité ou simple coïncidence ?

Bien sûr, les premières interprétations furent traitées de « complotistes » — comme si on pouvait légitimement faire confiance aveuglément à ces castes corrompues. Une analyse plus fine des données semble malheureusement conforter l’idée du rôle causal des injections géniques dans la baisse de la natalité des pays injectés et singulièrement en Suisse.

« Tout d’abord, on observe que la forte baisse du nombre de naissances vivantes intervient précisément neuf mois après l’ouverture de la vaccination à toutes les personnes âgées de 20 à 49 ans. » Ensuite, en comparant entre les régions, « on constate qu’il y a une corrélation entre le recul des naissances et la couverture vaccinale. En Suisse orientale (couverture vaccinale : 49,7 %), les naissances ont reculé de 8,6 % contre 18 % à Zurich (couverture vaccinale : 63,9 %)16. »

Un avocat suisse demande d’ailleurs la suspension définitive de cette injection génique au regard des dégâts notoires chez les enfants17.

Et maintenant ?

Le rôle de la pseudo-vaccination anti-Covid dans la baisse de la natalité et la mortalité néonatale semble statistiquement démontré à travers cette analyse qui ne saurait être exhaustive pour les besoins d’un court article. Toutefois, une analyse des données sur les taux de natalité dans les pays européens montre une baisse significative (pouvant atteindre 19 %) des naissances vivantes chez les 18-49 ans neuf mois après le début des vaccinations Covid, tout particulièrement dans les pays à taux de vaccination élevés.

En tant que pédiatre, permettez-moi d’être particulièrement inquiète. Il faut stopper toutes ces injections au plus vite, non seulement celles contre le Covid, mais aussi celles contre la rougeole, la grippe ou le cancer qui seraient basées sur la technologie ARNm.







Le FEM veut contrôler l’Internet et les réseaux sociaux pour « lutter contre la désinformation »

[Source : favoris-alcyonpleiades]








Le mari d’une animatrice à la BBC décédée suite au vaxin Covid intente une action en justice

[Source : encause.fr]

[Illustration : Lisa, la femme de Gareth Eve, est décédée en mai 2021 peu après avoir reçu le vaccin Covid d’AstraZeneca.]

Par Melissa Undor

Le mari de la présentatrice de la BBC Lisa Shaw, décédée après avoir reçu sa première piqûre de Covid, a déclaré qu’il intentait une action en justice.

Lisa est décédée en mai 2021, une semaine après avoir reçu l’injection. Dans les jours qui ont précédé sa mort, l’animatrice de BBC Radio Newcastle a souffert de violents maux de tête, qui se sont révélés être une hémorragie cérébrale.

Après avoir été admise à l’hôpital, elle a embrassé une dernière fois son mari Gareth Eve et lui a dit « Je suis fatiguée » avant de mourir tragiquement.

Il s’est maintenant exprimé en admettant qu’il n’avait « pas d’autre choix » que d’intenter une action en justice, car il envisage de poursuivre les fabricants du vaccin Oxford-AstraZeneca après n’avoir pas réussi à obtenir de réponses ailleurs.

Il fait partie d’un groupe d’environ 75 plaignants, dont certains ont perdu des membres de leur famille et d’autres ont survécu avec des blessures.

S’adressant à la BBC, il a déclaré :

« Il n’est pas dans mes habitudes de me retourner et de dire que je veux poursuivre quelqu’un en justice, mais pendant presque deux ans, nous avons essayé de nous engager avec le gouvernement et les députés depuis la mort de Lisa et aucun d’entre eux ne nous a contactés ou ne s’est engagé avec nous de quelque manière que ce soit. »

« C’est la raison pour laquelle nous n’avons pas d’autre choix – si le gouvernement ou AstraZeneca ne veulent pas dialoguer avec nous, que pouvons-nous faire d’autre ? »

Gareth a déclaré que tout ce qu’il voulait, c’était « une sorte de reconnaissance de ces décès ».

Il poursuit :

« Nous ne sommes pas des fous ou des théoriciens du complot, nous sommes des époux et des membres de familles qui ont perdu quelqu’un. »

« Ces choses sont arrivées à trop de gens et on nous fait sentir que c’est un sale secret, que nous parlons de quelque chose dont nous ne devrions pas parler. »

« Il est établi que le vaccin Covid d’AstaZeneca en est la cause – il ne s’agit pas de Covid, il ne s’agit pas du nombre de vies sauvées par le vaccin Covid, il s’agit de ce que ce vaccin a fait à Lisa et à d’autres familles, il ne s’agit pas de savoir s’il a été efficace ou si quelqu’un est anti-vaccin ».

Il a ajouté :

« Quel que soit l’argent, il ne ramènera pas la mère de mon fils ».

En août 2021, Karen Dilks, coroner de Newcastle, a conclu que Lisa était décédée d’une très rare « thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin », une maladie qui entraîne des gonflements et des hémorragies cérébrales.

Le vaccin d’AstraZeneca a été le premier à être approuvé au Royaume-Uni en décembre 2020 et a permis [soi-disant] de sauver des milliers de vies.

Un porte-parole du ministère de la santé a déclaré que tous les vaccins avaient fait l’objet d’essais rigoureux avant d’être distribués.

AstraZeneca a déclaré : « Nous ne sommes pas en mesure de commenter les affaires juridiques en cours. La sécurité des patients est notre priorité absolue et les autorités réglementaires ont des normes claires et strictes pour garantir l’utilisation la plus sûre possible de tous les médicaments, y compris les vaccins. Nous exprimons notre sympathie à tous ceux qui ont signalé des problèmes de santé ».

Le week-end dernier, le 1er avril, Gareth a tweeté : « Je t’aimerai toujours Lisa ».

Il élève désormais seul leur fils de huit ans, Zachary.

[Source anglaise : https://www.bbc.com/news/uk-england-tyne-65187992]






Objectifs de la pédagogie drag : « déstabiliser » et « transformer l’éducation » des enfants

[Source : tribunaldelinfaux.com]

[Image : L’heure du conte avec Carla Rossi. Celle-ci affirme que les enfants l’ont fait tomber par terre et lui ont monté dessus pour expliquer la photo controversée.]

Par Julie Levesque

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Pour ou contre L’heure du conte avec une drag queen ?

C’est la question de l’heure sans nuances qui divise, et la nouvelle normalité veut qu’aucun débat digne de ce nom n’ait lieu.

Les défenseurs de cette activité « familiale », qui ont la faveur des grands médias, vous diront que les intentions derrière ces prestations sont nobles et inoffensives : elles visent à initier les enfants à la diversité et à l’inclusion.

L’opposition à ces performances est très souvent présentée comme anti-drag et transphobe, mais rarement pour ce qu’elle est réellement : l’expression d’un gros malaise avec l’idée que des drag queens participent à l’éducation des enfants en leur enseignant de manière ludique la théorie du genre.

Ces opposants n’ont rien contre les drag queens, du moment qu’elles s’adressent à un public adulte.

[Voir aussi :
Belgique — La propagande transgenre dès la maternelle : le cri d’alarme d’une pédopsychiatre
WOKISME, THÉORIE du GENRE, toutes les dérives de cette Société LGBTQ+ qu’« ILS » veulent nous imposer par tous les moyens…
La vérité sort de la bouche des enfants
Transition de genre et chirurgie : un bien triste bilan
Devenir « trans » mène trop souvent au suicide : informez familles et candidats pour leur sécurité
Cerveaux d’enfants manipulés et théorie du genre : le pire de la « cancel culture » et la circulaire de septembre 2021
Le Great Reset cible les enfants. La mode trans lancée
Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE
MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Bastien Lejeune : « Ce n’est pas être homophobe de refuser l’idéologie LGBT du transsexualisme ou de l’indifférenciation sexuelle »
« Une femme est une femme, un homme est un homme » : Poutine s’engage à protéger la Russie de « l’obscurantisme de genre » de l’Occident
Un historien falsifie ses propres recherches sur la théorie du genre]

Même certaines drags ne comprennent pas pourquoi des parents souhaitent que leur enfant flirte avec ce milieu et s’opposent à L’heure du conte. Kitty Demure, par exemple, croit que L’heure du conte est non seulement néfaste pour les enfants, mais aussi pour la communauté gay :



Cette autre drag queen manifeste pour que les parents « gardent leurs foutus enfants » hors de sa vie et condamne les spectacles drags pour enfants, lesquels sont passés de la bibliothèque aux clubs de nuit, où l’on enseigne aux enfants à se trémousser pour de l’argent :

« Sortez vos foutus enfants de nos clubs gays […] Je ne comprends pas pourquoi moi, en tant qu’homosexuel, j’ai besoin de dire aux gens de garder leurs enfants hors de ma vie. »

Maxence Guay, un jeune trans bien de chez nous, avait pour sa part ceci à dire sur ce sujet brûlant d’actualité :



Les défenseurs de L’heure du conte ont ressorti Guilda des boules à mites pour nous rappeler qu’elle passait à la télé à heure de grande écoute, preuve qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil. La différence est que Guilda n’allait pas dans les garderies et s’adressait aux adultes.

Guilda était la « reine des cabarets », pas des Centres de la petite enfance :

Évidemment, ceux qui souhaitent normaliser la présence des drags auprès des enfants vous diront que ceux qui sont contre L’heure du conte sont non seulement « contre les drags », mais qu’ils en ont « peur », qu’ils sont intolérants, rétrogrades, liés à l’extrême droite religieuse et/ou, bien sûr, qu’ils sont issus de la « complosphère ».

Qui sont ces experts en radicalisation qui, sauf erreur, ne se sont jamais adressés à ceux qu’ils qualifient de radicaux? Les mêmes experts des mêmes organismes financés en février et mars 2020 par les deux paliers gouvernementaux pour discréditer les mouvements d’opposition au totalitarisme sanitaire : David Morin, cotitulaire de la Chaire UNESCO en prévention de la radicalisation et de l’extrémisme violent (UNESCO-PREV) et Frédérick Nadeau du Centre d’expertise et de formation sur les intégrismes religieux et la radicalisation (CEFIR).

Leur discours néomaccarthyste mérite d’être cité, tout comme les commentaires de l’auteur de l’article radio-canadien, le décrypteur Nicholas De Rosa :

David Morin

« On a vu la structuration dans les dernières années d’un écosystème de droite réactionnaire qui a réussi à capitaliser sur la période pandémique, sur les craintes des gens, sur des mesures parfois contestables de manière légitime et sur des contraintes instaurées par les gouvernements pour finalement être capables de faire passer leurs discours et d’avoir beaucoup d’écoute. Il y a ici une hybridation des idéologies. Il faut arrêter de les regarder en silo comme si on avait des mouvements clairs. Ce sont des gens qui vont basculer d’une idéologie à l’autre en fonction de l’actualité[…]

Le discours de façade [dumouvement contre les drag queens], c’est de dire : “Je ne veux pas rogner sur les droits et libertés d’une catégorie de citoyens. Je veux juste protéger les enfants.”

Mais quand on écoute bien le sous-discours, ça va souvent beaucoup plus loin que ça.On le voit vraiment aux États-Unis avec la

régression de la question du droit à l’avortement et la régression du droit des spectacles drag, même si pour l’instant, c’est juste le début. » (Soulignements ajoutés)

David Morin

Frédérick Nadeau

Pour Frédérick Nadeau, écrit le décrypteur :

« cet écosystème regroupe entre autres la droite identitaire, l’extrême droite, des militants anti-vaccins et des conservateurs qui ne sont pas extrémistes ni nécessairement radicaux, mais qui ont des tendances un peu plus religieuses. »

Nicholas De Rosa ajoute :

« L’idée non fondée que les drag queens ou des membres de la communauté LGBTQ+ veulent groomer des enfants a pris énormément d’ampleur dans la droite ultraconservatrice aux États-Unis dans la dernière année […] »

Contrairement aux « experts » cités par Nicholas De Rosa, l’auteure de ces lignes connaît bien le mouvement contestataire né en 2020 puisqu’elle a été sur le terrain durant les trois dernières années. Et les progressistes, gauchistes, ou anciens gauchistes, sont très nombreux dans ce mouvement qui est loin d’être un mouvement de droite.

Le portrait que brossent ces experts n’est que ça, un portrait, ou plutôt un collage d’idées reçues et de sentiments de supériorité morale et intellectuelle, saupoudré d’articles pseudo-scientifiques sur la psychologie des « complotistes » et leur santé mentale défaillante, résultant en une orgie d’étiquettes ressassées.

Au diable la nuance et la réflexion, les étiquettes sauvent du temps, mais surtout évitent des débats et permettent paradoxalement d’exclure des citoyens indésirables aux yeux des fascistes intellectuels au nom de l’inclusion, de la tolérance et de la diversité.

Il suffit pourtant d’explorer les origines de L’heure du conte pour en comprendre le véritable objectif, et ce de la bouche même de ceux qui en font la promotion : « déstabiliser » et « transformer l’éducation » des enfants.

Pour ceux qui voudraient s’épargner l’histoire de la théorie queer, vous pouvez passer à la dernière partie de cet article en cliquant sur le lien suivant : « La naissance de L’heure du conte ».

La théorie queer

Dans l’article « The Real Story Behind Drag Queen Story Hour » (La véritable histoire der L’heure du conte avec une drag queen), publié à l’automne 2022 dans City Journal, Christopher F. Rufo retrace les origines de L’heure du conte en remontant jusqu’à la naissance de la théorie du genre.

Le portrait qu’il brosse est aussi choquant qu’éclairant et très loin de la vision Calinours promue par la députée de Québec solidaire Manon Massé, qui s’en est pris à Éric Duhaime pour sa pétition Drag Queen : Protégeons nos enfants :

« Monsieur Duhaime pousse en faisant entendre que c’est dangereux pour les enfants. Entre vous et moi, il n’y a rien de dangereux pour les enfants. Au contraire, au Québec, on est fier de notre diversité.»

Cette vision innocente et naïve de la drag queen est déconstruite par Rufo :

« La drag queen peut sembler être une figure comique, mais elle porte un message tout à fait sérieux, à savoir la déconstruction du sexe, la reconstruction de la sexualité des enfants et la subversion de la vie de famille de la classe moyenne.

L’idéologie qui anime ce mouvement est née dans les donjons sexuels de San Francisco et a été incubée dans les écoles. Elle est maintenant transmise, avec le soutien officiel de l’État, dans un certain nombre de bibliothèques publiques et d’écoles aux États-Unis. En fouillant les fondements de cette idéologie et en parcourant la littérature de ses militants, les parents et les citoyens peuvent enfin comprendre la nouvelle politique sexuelle et formuler une stratégie pour y résister. » (Soulignements ajoutés)

L’auteur commence par résumer l’histoire de la théorie queer, laquelle remonte au début des années 1980 ave la publication de « Thinking Sex: Notes for a Radical Theory of the Politics of Sexuality » (Penser le sexe : pour une théorie radicale de la politique de la sexualité, un texte tiré du livre Marché au sexe), de Gayle S. Rubin, une activiste lesbienne.

Après une immersion dans la culture sexuelle underground des orgies et du BDSM (bondage, domination, sado-masochisme), Rubin s’est inspirée de l’œuvre du philosophe Michel Foucault pour « exposer la dynamique du pouvoir ayant façonné et réprimé l’expérience sexuelle humaine ».

Gayle S. Rubin

Selon elle, « les sociétés occidentales modernes évaluent les actes sexuels selon un système hiérarchique de valeur sexuelle ». Au sommet de la « pyramide érotique » de son époque, soit il y a 40 ans, on trouve les couples hétérosexuels mariés. Suivent les couples hétérosexuels non mariés et les autres hétéros, ensuite les couples gays dans des unions stables. Juste en haut des « castes sexuelles les plus méprisées » figurent les hommes et femmes homosexuelles aux « mœurs légères ». La base de cette « pyramide érotique » est composée de « transsexuels, de travestis, de fétichistes, de sadomasochistes, de travailleurs du sexe comme les prostitués et les mannequins de pornographie, et en bas de tous, ceux dont l’érotisme transgresse les frontières générationnelles. »

Un érotisme qui « transgresse les frontières générationnelles » n’est qu’un bel euphémisme pour « pédophilie ».

Selon l’auteur de l’article, Christopher F. Rufo, « le projet de Gayle S. Rubin et, par extension, celui de la théorie queer, consistait à questionner, déconstruire et subvertir cette hiérarchie sexuelle, et inaugurer un monde au-delà des limites ». (Soulignements ajoutés)

La thèse de la « construction sociale », affirme Rufo, constitue le « mécanisme clé » pour y parvenir.

Il écrit :

« La nouvelle érudition sur le comportement sexuel a donné au sexe une histoire et créé une alternative constructiviste à l’opinion selon laquelle le sexe est un phénomène naturel et pré-politique », écrit Rubin. « Cet ensemble de travaux repose sur l’hypothèse que la sexualité est constituée dans la société et dans l’histoire, et non pas ordonnée biologiquement. Cela ne signifie pas que les capacités biologiques ne sont pas des prérequis pour la sexualité humaine. Cela signifie que la sexualité n’est pas compréhensible en termes purement biologiques. » Autrement dit, les conceptions traditionnelles du sexe, qui considèrent ce comportement comme naturel et reflétant un ordre immuable, sont de la pure mythologie, conçue pour rationaliser et justifier les systèmes d’oppression. Pour Rubin et, plus tard, pour les théoriciens queer, le sexe et le genre étaient infiniment malléables. Il n’y avait rien de permanent au sujet de la sexualité humaine, qui était, en fait, « politique ». Grâce à une révolution des valeurs, ils croyaient que la hiérarchie sexuelle pouvait être démantelée et reconstruite à leur image. (Soulignements ajoutés)

Il cite Rubin :

« Une théorie radicale du sexe doit identifier, décrire, expliquer et dénoncer l’injustice érotique et l’oppression sexuelle. Une telle théorie a besoin d’outils conceptuels perfectionnés qui peuvent saisir le sujet et le garder en vue. Il doit construire de riches descriptions de la sexualité telle qu’elle existe dans la société et dans l’histoire. Il faut un langage critique convaincant qui puisse traduire la barbarie de la persécution sexuelle. » (Soulignements ajoutés)

Pour Rufo, la démystification des conventions sexuelles, sera suivie de la réhabilitation des groupes situés en bas de la hiérarchie, soit « les transsexuels, les travestis, les fétichistes, les sadomasochistes, les travailleurs du sexe ».

La conclusion logique de ce processus est, selon lui, « l’abolition des restrictions sur le comportement situé en bas de l’échelle morale – la pédophilie ».

Il semble que cette conclusion ne soit pas exagérée puisque Rubin emploie des termes euphémiques comme « boy-lover » (amoureux des garçons) et « hommes qui aiment les mineurs ». Elle critique violemment les lois contre la pornographie juvénile et promeut la légalisation et la normalisation de la pédophilie :

« Comme les communistes et les homosexuels dans les années 50, les amoureux des garçons sont tellement stigmatisés qu’il est difficile de trouver des défenseurs de leurs libertés civiles, encore moins de leur orientation érotique[…] Dans une vingtaine d’années, lorsqu’une partie de la fumée se sera dissipée, il sera beaucoup plus facile de montrer que ces hommes ont été victimes d’une chasse aux sorcières sauvage et injustifiée. » (Soulignements ajoutés)

La philosophie de Rubin repose sur celle de Michel Foucault, qui a fait partie d’un mouvement d’intellectuels français à l’époque de la libération sexuelle des années 1960-1970, lesquels souhaitaient légaliser les relations sexuelles entre les adultes et les mineurs.

Foucault a d’ailleurs été accusé de pédophilie par Guy Sorman dans Dictionnaire du Bullshit, paru en février 2021. D’autres affirment que « Michel Foucault n’était pas pédophile, mais il était séduit par les jeunes éphèbes ».

Le développement historique de l’art drag

L’histoire des drag queens aurait débuté à la fin du 19e siècle avec William Dorsey Swann, un esclave libéré qui s’habillait en femme et organisait des soirées olé olé dans sa résidence de Washington D.C. Jugé coupable d’avoir tenu une maison close en 1896, il a fait environ 10 mois de prison.

William Dorsey Swann, en robe.

Rufo voit en celui qui s’était autoproclamé « queen of drag » l’archétype parfait de la gauche : Swann s’est libéré de l’esclavage et d’une « culture sexuelle répressive, malgré les efforts de ses oppresseurs ».

Difficile de ne pas admirer un tel personnage. Des adultes consentants devraient être libres de faire ce qu’ils veulent de leur corps et d’avoir osé incarner cette liberté à une telle époque est certes louable.

« La drag est devenue explicitement politique sept décennies plus tard durant les émeutes de Stonewall en 1969, lors desquelles les clients d’un bar gay de New York ont affronté la police, donnant l’aval à une vague d’activisme gay et lesbienne », poursuit Rufo.

Émeutes de Stonewall 1969
Manifestation dans les jours suivant les émeutes.

Netflix a produit un documentaire sur l’une des figures drag ayant marqué cette époque, Marsha P. Johnson :

La révolution sexuelle a fait passer la performance drag de l’expérience sensuelle à une forme de résistance et de révolution, explique Rufo en citant un article de la revue de contre-culture Salmagundi.

Le drag est passé de la performance privée à la rue, devenant une « déclaration de rébellion publique ». Les performances qui, au départ, avaient pour but de se moquer des mœurs de la frange plus conservatrice de la société américaine ont évolué vers un besoin de choquer et de « repousser les limites » avec des costumes et des performances de plus en plus explicites et suggestives rappelant des « stars de la porno en chaleur ».

Vint la publication de Gender Trouble (Trouble dans le genre. Le féminisme et la subversion de l’identité) de Judith Butler en 1990, qui représente un autre moment critique de l’histoire des drags. Selon Rufo, Butler a élevé « le discours entourant la sexualité queer, le faisant passer de la rhétorique directe de Gayle Rubin au domaine de l’intellectualisme largement abstrait et parfois impénétrable ».

Butler a contribué de deux manières à cette théorie, écrit Rufo. D’abord, en « saturant la théorie queer de postmodernisme », ensuite en lui « fournissant une théorie du changement social basé sur le concept de la “performativité”, offrant un terrain conceptuel plus sophistiqué que la transgression charnelle ».

Rufo résume ainsi l’argument central de la théorie de Judith Butler :

Judith Butler © Jerry Bauer, Suhrkamp/Insel

« La société occidentale a créé un régime d’“hétérosexualité obligatoire et de phallogocentrisme”, qui a cherché à renforcer une notion singulière et unitaire du “sexe”, laquelle écrase et obscurcit la véritable complexité et la variation du sexe biologique, de l’identité de genre, de l’orientation sexuelle et du désir humain. Butler soutient que même le mot “femme”, bien qu’il se rapporte à une réalité biologique, est une construction sociale qui ne peut être définie avec un sens ou une catégorisation stable. Il n’y a rien d’essentiel dans “l’homme”, “la femme” ou “ le sexe”; ils sont tous créés et recréés par la culture humaine traditionnelle contingente ou, comme le dit Butler, ils sont tous définis par leur performance, qui peut changer, se transformer et s’adapter au fil du temps et de l’espace.

La théorie de Butler sur le changement social veut qu’une fois qu’il est établi que le sexe est malléable et utilisé comme instrument de pouvoir, actuellement en faveur de la “normativité hétérosexuelle”, alors le travail social de la reconstruction peut commencer. La drag queen incarne la théorie de Butler sur la déconstruction du genre. » (Soulignements ajoutés)

La théoricienne voit dans la performance drag, « trois dimensions significatives de la corporalité : le sexe anatomique, l’identité de genre et la performance de genre. » Elle voit la réalité du genre comme étant « changeable et révisable ». Sans ce changement de notion de ce qui est « réel et possible », aucune révolution politique n’est possible, dit-elle.

Rufo écrit :

« Dans les années 2000, la performance drag avait absorbé tous ces éléments —l’origine de justice sociale de l’histoire de William Dorsey Swann, le choc-et-stupeur charnel de Gayle Rubin et le postmodernisme éthéré de Judith Butler — et les avait rassemblés sur la scène. »

Il cite ensuite la théoricienne queer Sarah Hankins, selon laquelle il y aurait trois genres de drag : standard, burlesque et genderfuck, que l’on pourrait traduire en foutoir de genres. Elle décrit l’univers des drag queens comme une « économie sociosexuelle » en parlant de son expérience dans l’auditoire de spectacles drag :

« En tant que membre de l’auditoire, j’ai toujours vu l’échange de pourboires comme un paiement pour la gratification sexuelle. Et je suis consciente qu’en brandissant des billets, je peux satisfaire mon excitation, du moins en partie : je peux rapprocher les corps des artistes et les amener à me toucher ou me laisser les toucher. »

Tant que les performances de drag ont lieu devant des adultes consentants, rares sont ceux qui s’y opposeront. Vous rappelez-vous d’une manifestation anti-drag devant le Cabaret Mado ou L’Entre-Peau dans le Village gai à Montréal? Pourquoi Mado Lamotte n’a-t-elle jamais provoqué autant d’animosité que Barbada?

Probablement parce que Mado, drôlement sympathique et championne des blagues à caractère sexuel ne s’est jamais imposée auprès des enfants.

En 35 ans de carrière, Mado n’a jamais provoqué de controverse et comme le soulignait l’année dernière Radio-Canada, Mado a, « par sa créativité et sa douce folie, été un agent qui a contribué à l’acceptation de l’existence des communautés LBGTQ2S+ au Québec et au Canada ».

L’objectif drag

Pour revenir à l’article de Rufo, il résume ainsi « l’objectif drag » : « oblitérer les conceptions stables du genre par la performance et réhabiliter le bas de la hiérarchie sexuelle par l’élévation du marginal ».

Ici, Rufo parle de la théorie et d’une certaine forme de militantisme drag, non pas de l’objectif de toutes les performances drag.

Si son affirmation a le défaut de manquer de clarté et de nuances, il est difficile de ne pas lui donner raison sur la question de l’élévation du marginal.

N’est-ce pas exactement ce à quoi nous assistons depuis quelques années, l’élévation du marginal dans tout ce qui a trait au genre et à la sexualité? Le gavage médiatique, politique et commercial des personnes à l’identité de genre marginale va bien au-delà de l’acceptation sociale, de la tolérance et de l’inclusivité, et laisse transpirer un effort concerté de normaliser la marginalité sexuelle.

Les « drag shows » pour enfants sont non seulement de plus en plus nombreux aux États-Unis, en Australie et au Canada, mais ils sont de plus en plus osés.

Aux États-Unis, il n’est pas rare de voir des événements de drag queens « pour la famille » où les enfants sont invités à donner des pourboires à des drags presque nues qui font des danses lascives.

Dans cette vidéo on peut voir un spectacle drag de Noël « pour la famille » au contenu très sexuel et l’événement Drag the Kids to Pride, dans un bar, où l’on peut lire sur le mur : « It’s not gonna lick itself » (Ça ne se léchera pas tout seul) :



Une des drags interviewée croit et « espère » que ce genre d’événement aura pour effet que plus d’enfants seront portés « à faire du drag », car ça donne un gros « boost » de confiance en soi.

Les personnes qui trouvent immoral d’exposer des enfants à ce genre de performances sont de tous les horizons politiques, de toutes les classes sociales et de toutes les orientations sexuelles, n’en déplaise aux « experts » radio-canadiens.

La théoricienne Sarah Hankins, citée par Rufo, écrit au sujet de ces performances salaces :

« L’acte de payer une femme dominante/dominatrice, un homme qui supplie, un esclave mal rémunéré ou un garçon permet au membre de l’auditoire d’incarner temporairement une ou plusieurs des positions sociales “mauvaises/contre nature”, par exemple le pédophile, le prédateur pédophile gay renfermé, la femme cougar prédatrice, le sugar daddy ou la mama, même le jeune ou l’enfant sexualisé lui-même».

La performance genderfuck se servirait selon elle « “des clichés du primitivisme et de la dégénérescence comme outils de protestation et de libération” dans le but de renverser les tabous contre “la pédophilie, la nécrophilie, le fétichisme des objets érotiques et le sexe humain-animal” ». (Soulignements ajoutés)

« Ces performances, écrit Rufo, constituent la finalité, l’aboutissement de plus d’un siècle de travail, des boules de soie et de satin en passant par la politique hypercérébrale de déconstruction, jusqu’à l’anéantissement des notions traditionnelles du sexe. »

Au début des années 2000, une autre frange drag, représentée par Ru Paul, a troqué l‘idéologie pour le « bon vieux fun glamour américain », rendant le phénomène mainstream en l’intégrant aux « médias de masse et à la culture de consommation », ajoute Rufo.

Certains y ont vu l’opportunité de « transformer les performances drag en événements familiaux pouvant transmettre une version simplifiée de la théorie queer aux enfants ».

Et c’est ici que nous entrons dans le vif du sujet de l’heure : L’heure du conte avec une drag queen.

La naissance de L’heure du conte

Drag Queen Story Hour (L’heure du conte avec une drag queen) est une organisation non gouvernementale fondée en 2015 par Michelle Tea « pour promouvoir des performances drag “pour la famille” » (family-friendly). Il existe aujourd’hui 40 branches à travers les États-Unis.

Harris Kornstein, nom de scène Lil Miss Hot Mess, a été l’une des premières drag queens à présenter L’heure du conte dans les bibliothèques publiques aux États-Unis. Il a publié deux livres pour enfants ainsi que co-écrit l’article, « Drag pedagogy: The playful practice of queer imagination in early childhood » (La pédagogie drag : la pratique ludique de l’imagination queer dans la petite enfance) avec Harper Keenan, un homme transgenre et théoricien queer.

Lil Miss Hot Mess lors du L’heure du conte,
racontant l’histoire du mariage gay entre deux vers de terre, Worm Loves Worm.

Kornstein et Keenan écrivent dans ce manifeste que « l’école sert à redresser l’enfant pour qu’il corresponde en quelque sorte aux paramètres actuels de [la] vision [normative du citoyen idéal selon l’État] », ce qui n’est pas faux.

Rufo écrit :

« Pour perturber cette dynamique, les auteurs proposent une nouvelle méthode d’enseignement, la “pédagogie drag”, comme moyen de stimuler l’“imagination queer”, enseigner aux enfants “comment vivre de manière queer ” et “apporter des façons queer de savoir et d’être dans l’éducation des jeunes enfants”. Comme l’expliquent Kornstein et Keenan, il s’agit d’un projet intellectuel et politique exigeant des drag queens et des activistes qu’ils travaillent à saper les notions traditionnelles de la sexualité, en remplaçant la famille biologique par la famille idéologique, et en éveillant des désirs sexuels transgressifs chez les jeunes enfants. “En s’appuyant en partie sur la théorie queer et les études trans, les pédagogies queer et trans cherchent activement à déstabiliser la fonction normative de la scolarisation par l’éducation transformatrice”, écrivent-ils. “Il s’agit d’une orientation fondamentalement différente des mouvements vers l’inclusion ou l’assimilation des personnes LGBT dans les structures existantes de l’école et de la société”. » (Soulignements ajoutés)

Donc.

À ceux qui prétendent, comme Manon Massé, qu’il est uniquement question d’inclusion et d’acceptation, les principaux promoteurs de la pédagogie drag le disent eux-mêmes : les pédagogies queer et trans ont une « orientation fondamentalement différente des mouvements voués à l’inclusion » des communautés LGBTQIA2S+ et visent plutôt à « déstabiliser activement la fonction normative de la scolarisation par l’éducation transformatrice ».

Les parents ont-ils raison de s’inquiéter que des drag queens enseignent à leurs enfants « comment vivre de manière queer » ?

Certains n’y verront pas de problèmes, d’autres oui, car l’idéal recherché va bien au-delà de l’inclusion et de la tolérance.

L’heure du conte à Hamilton en Ontario, dans une brasserie.

Dans leur article sur la pédagogie drag, Kornstein et Keenan citent à ce sujet un passage du livre du théoricien queer José Esteban Muñoz, Cruiser l’utopie :

« La queerness n’est pas encore là. La queerness est une idéalité. Autrement dit, nous ne sommes pas encore queer. Il se peut que nous n’atteignions jamais la queerness, mais nous la sentons comme la chaude lumière d’un horizon empreint de puissance. Nous n’avons jamais été queer, pourtant la queerness existe pour nous comme une idéalité que nous pouvons distiller à partir du passé et utiliser pour imaginer un futur. Le futur est le domaine de la queerness. » (Soulignements ajoutés)

Cette utopie, cet avenir queer, L’heure du conte participe à le construire en lisant aux enfants des livres qui, d’après Keenan et Hornstein, « comprennent souvent des personnages queer et/ou trans, des thèmes de transgression des genres ou des récits sur le fait de ne pas se sentir à sa place et de trouver sa voix ».

Il est même parfois question de tabous :

« Certains transposent le penchant drag pour les tabous dans les idées qu’ont les enfants sur des sujets bêtes, comme faire des dégâts ou apprendre à être propre ».

Les pédagogues drag l’écrivent noir sur blanc :

« Pour nous, la pédagogie drag consiste moins à imiter les comportements particuliers des drag queens qu’à s’interroger sur les façons d’être queer/trans qui vont au-delà du présent. »

Ils affirment ouvertement que ce qui se passe en surface est moins important que ce que l’on peut lire « entre les lignes ».

Comme dans cette publication du chapitre britannique Drag Queen Story Hour, « L’amour n’a pas d’âge? »

C’est justement entre les lignes que se trouvent les véritables objectifs de la pédagogie drag, incluant L’heure du conte.

Rufo l’explique dans le passage suivant :

« Pour les pédagogues drag, le parcours de vie traditionnel — grandir, se marier, travailler 40 heures par semaine et élever une famille — est une norme bourgeoise oppressive qu’il faut déconstruire et renverser. Alors que les drag queens prennent la parole dans leurs costumes sexuellement suggestifs, Kornstein et Keenan soutiennent que leur tâche consiste à perturber le “binaire entre la femme et la virilité”, à semer dans la salle des “thèmes transgressifs de genre” et à briser l’“avenir reproductif” de la “famille nucléaire” et du “mariage sexuellement monogame”, tous considérés comme des mécanismes d’oppression capitaliste et hétérosexuelle. Les livres sélectionnés dans de nombreuses représentations de L’heure du conte avec une drag queenCinderelliot, If You’re a Drag Queen et You Know It, The Gender Wheel, Bye Bye, Binaryet They, She, He, Easy as ABCfont la promotion de ce récit fondamental. Bien que les événements de L’heure du conte soient souvent considérés comme “pour la famille”, Kornstein et Keenan expliquent qu’il s’agit d’une forme de code: “Il se peut que L’heure du conte soit ‘pour la famille’, en ce sens qu’il est accessible et invitant pour les familles avec enfants, mais il s’agit moins d’une force d’assainissement que d’une introduction préparatoire à d’autres modes d’affiliation. Ici, L’heure du conte est ‘pour la famille’ au sens de ‘famille’ en tant que code queer de la vieille école pour identifier d’autres queers dans la rue et communiquer avec eux.” Autrement dit, le but n’est pas de renforcer la famille biologique, mais de faciliter la transition de l’enfant vers la famille idéologique. » (Soulignements ajoutés)

Le but de la pédagogie drag consiste, selon Rufo, à « reformuler la relation des enfants avec le sexe, la sexualité et l’érotisme ».

Il cite une autre pédagogue queer, Hannah Dyer, qui, selon lui, « expose le concept même d’“innocence de l’enfance” comme une illusion hétéropatriarcale oppressive ».

« Le but est donc, dit-elle, de renverser le système de l’hétéronormativité, qui comprend l’innocence de l’enfant, et de restructurer la sexualité de l’enfant à partir de ses fondements. Et les performances drag fournissent une méthode visuelle, symbolique et érotique pour y parvenir. »

Pour des raisons évidentes de mise en marché, L’heure du conte est présentée comme une façon ludique d’encourager l’inclusion et l’acceptation et non d’interroger l’enfant sur « les façons d’être queer/trans » et d’offrir « une relation queer avec les enfants, qui rompt avec l’avenir reproductif de la classe normative et de la famille nucléaire ».

Kornstein et Keenan révèlent eux-mêmes dans leur article que le double jeu est nécessaire pour atteindre les véritables objectifs recherchés par L’heure du conte :

« Bien que L’heure du conte avec une drag queen se positionne publiquement comme visant à “aider les enfants à développer l’empathie, à en apprendre davantage sur la diversité et la différence entre les sexes, et à exploiter leur créativité”, nous soutenons que ses contributions peuvent aller au-delà de la morale et des modèles[…] En tant qu’organisation, L’heure du conte avec une drag queen peut être incitée à réciter des formules portant sur l’harmonisation avec les normes des programmes d’études et l’apprentissage socioaffectif afin d’être lisible au sein des établissements publics d’enseignement et des organisations philanthropiques. Au bout du compte, le drag ne prend pas ces objectifs utilitaires trop au sérieux (mais il est très bon pour avoir le physique de l’emploi lorsque cela est nécessaire). » (Soulignements ajoutés)

Le but affiché, l’inclusion et l’apprentissage de la diversité, est donc une façade, un travestissement.

Rufo résume bien ce modus operandi :

« En d’autres termes, en tant que mouvement, L’heure du conte avec une drag queen a appris la danse de l’exploitation d’une organisation militante à flux de trésorerie positif, obtenant des contrats gouvernementaux et l’accès aux auditoires, tout en fournissant une défense rhétorique plausible contre les parents qui pourraient remettre en question la sagesse des hommes adultes qui créent “des sites de plaisir queer ” avec leurs enfants. »

Si le mouvement a opté pour les bibliothèques publiques, c’est que ces dernières sont « légalement tenues de fournir un accès égal aux organisations, sans égards à l’affiliation politique ou à l’idéologie ».

Alors, à quand L’heure du conte avec un « complotiste » dans les bibliothèques du Québec? Peut-être qu’un titre travesti du genre « Le conte plotiste » serait plus attrayant pour notre société à la dérive?

Parlant de dérive, Christian Rufo termine son article en montrant des exemples du phénomène « drag pour la famille » en affirmant que « les idéologies contiennent toujours leurs propres germes de destruction ».

Des activistes de L’heure du conte et des spectacles drags ont par ailleurs été arrêtés récemment pour possession de pornographie juvénile et relations avec des mineurs, alors que d’autres sont des délinquants pédosexuels avec des casiers criminels.

À ceux qui crieront à l’exception et aux pommes pourries, Rufo rétorque :

« Le projet philosophique et politique de cette théorie a toujours été de détrôner la culture hétérosexuelle traditionnelle et d’élever ce que Rubin appelait la “caste sexuelle” au bas de la hiérarchie, c’est-à-dire les transsexuels, les travestis, les fétichistes, les sadomasochistes, les prostituées, les vedettes de la pornographie et les pédophiles. L’heure du conte avec une drag queen peut tenter d’assainir les habitudes et de vérifier les antécédents criminels de ses artistes, la sous-culture de la théorie queer attirera toujours des hommes qui veulent suivre l’idéologie jusqu’à sa finalité.

Lorsque les parents, les électeurs et les dirigeants politiques comprendront la véritable nature de L’heure du conte et l’idéologie sous-jacente, ils travailleront rapidement pour rétablir les limites qui ont été temporairement — et de façon irresponsable — abandonnées. Ils traceront une ligne de démarcation claire entre la sexualité des adultes et l’innocence des enfants, et renverront les perversions du “genderfuck”, du “primitivisme” et de la “dégénérescence” à leur place, soit dans la marginalité. »

Il ne s’agit pas ici de rejeter les drags et les trans, mais plutôt de reconnaître que l’on ne peut pas forcer la normalisation des phénomènes marginaux, surtout pas auprès des enfants.

Si l’opposition à L’heure du conte avec une drag queen traduisait réellement le rejet des communautés LGBTQIA2S+, il y aurait eu de nombreuses manifestations contre la parade gay qui se tient chaque année. Or, cette parade laisse généralement indifférents ceux qui ressentent un profond malaise avec L’heure du conte ou s’y opposent.

Dans son entrevue à Tout le monde en parle, la drag Barbada prônait l’écoute et la compréhension de l’autre.

Malheureusement, au Québec, il y a des groupes que l’élite politico-médiatique ne veut pas entendre ni comprendre. Ceux-ci sont exclus du débat public, ne sont pas tolérés et sont stigmatisés.

Tout cela au nom de la tolérance et de l’inclusivité.






« Complotisme » et « écoterrorisme » : deux enfumages de la technocratie dirigeante

[Source : piecesetmaindoeuvre.com]

[Illustration : Des activistes de Sea Shepherd abordent un baleinier japonais, en février 2012. (Sipa)]

« Complotistes » (alias « conspirationnistes »), et « écoterroristes » figurent parmi les pires méchants de l’heure, en compagnie des « populistes », des « radicalisés », et de toute la séquelle des « phobes » — des « transphobes » aux « islamophobes »1.

Vous pouvez vérifier sur Gougueule : « Complotisme », 16 pages de références.

« Écoterrorisme », également 16 pages (« Afin d’afficher les résultats les plus pertinents, nous avons omis quelques entrées qui sont très similaires aux 157 entrées actuelles »). 16 pages,157 entrées, à multiplier par des dizaines de livres et des milliers d’unités de bruit médiatique.

« Un mensonge répété mille fois se transforme en vérité »

(punchline attribuée à Joseph Goebbels, le communicant d’Hitler).

Le renouveau de cette « menace complotiste » (après le 11 septembre, l’assassinat de Kennedy, etc.), est évidemment concomitant de l’épidémie de Covid-19, quand partout dans le monde de simples Terriens (et même des scientifiques), s’avisèrent :

  • de discuter l’explication officielle de l’origine du virus (chauve-souris + pangolin + marché populaire de Wuhan) ;
  • de critiquer les mesures dictatoriales prises pour le combattre (conseil de défense, assignation de populations à résidence, interdiction de soins des médecins généralistes, obligation vaccinale, etc.) ;
  • voire, de dénoncer l’emballement techno-totalitaire qui s’engouffrait dans l’occasion (télétravail, télé-enseignement, QR-codes…).

Les curieux peuvent lire Le règne machinal (la crise sanitaire et au-delà)2, une enquête qui a dit sur le vif ce qu’il y avait à dire là-dessus, à telle enseigne que paraissent avec plus ou moins de retard des hommages plus ou moins appuyés, du copiage littéral au pastiche sournois. Ainsi va le ruissellement des idées.

Que toute critique véridique de la technocratie dirigeante soit disqualifiée comme « complotiste » par ses agents (Rudy Reichstadt, Tristan Mendès-France, Antoine Bristielle), et ses agences (« les décodeurs » du Monde, « le vrai du faux » de France-info, Conspiracy Watch) ; que ces idéologues à gages et à subventions s’obsèdent de sectes délirantes et/ou judéophobes afin de dissimuler et de discréditer la critique radicale, voilà un lieu commun par lequel nous sommes passés en 2007 dans « L’invention de la “théorie du complot” », premier chapitre de Terreur et Possession. Enquête sur la police des populations à l’ère technologique3. Livre toujours en librairie.
Chapitre toujours en ligne.
Avec la citation culte de Michel Destot, alors ingénieur-maire de Grenoble :

« Faire croire que l’on imposerait un “nanomonde” totalitaire à la population sans débat préalable relève non seulement de la propagande mensongère, mais aussi d’une forme de paranoïa politique bien connue, qui s’appuie sur la théorie du complot, la haine des élites, des élus, des responsables4. »

Le peu de débats qu’il y eut sur l’avènement de ce nanomonde, ou monde-machine, c’est celui que nous avons imposé par nos enquêtes et nos actions depuis l’automne 2000, avec des brûlots tels que Le Laboratoire grenoblois (mars 2002)5, ou Nanotechnologies/Maxiservitude (janvier 2003)6 — d’abord diffusés en tracts et toujours en ligne. Ces brûlots ont servi de texte aux quelques actions menées avec l’aide rechignée et sporadique de quelques jeunes gens qui nous trouvaient bien catastrophistes, ou citoyennistes, ou… etc. Bref, bien rétifs aux diktats du milieu ; mais surtout trop (re) connus pour ce tas de mots par nous édifié et jeté à la face du technogratin, dans toutes les réunions officielles et publiques où nous intervenions, seuls contre la salle. Tu te souviens, Pimprenelle ?

Nous n’avons cessé que lorsque nos esclandres sont devenus une routine attendue et excitante pour les spectateurs qui se poussaient du coude (– Y’a PMO, il va se passer quelque chose !), cependant que nos anarchistes et révolutionnaires de camarades se tassaient et se taisaient dans leurs fauteuils. S’ils nous avaient accompagnés, bien sûr.

Quant aux effets concrets et conclusions de ce débat — ou des opérations de communication qui en furent le contrefeu et la contrefaçon officielle — chacun peut voir par lui-même, vingt ans après, si le progrès du monde-machine en fut retardé d’un instant7. Cependant que les candidats à la cogestion « citoyenne » et « alternative » d’Internet, du nucléaire et de la technopolice (de l’organisation technologique de la cité), continuent de réclamer sempiternellement à l’État ce qu’ils n’ont jamais été capables d’imposer : un vrai débat.

Mais que pourrait être ce « vrai débat » sinon un référendum posé en termes clairs (« Êtes-vous pour ou contre le développement d’une industrie nucléaire ? » — ou de « l’organisation informatique de la société ? », ou de « l’organisation scientifique du monde ? ») — et précédé d’une campagne à égalité de moyens entre opposants et partisans.

Où l’on verrait peut-être « la population » répondre par un oui franc et massif à un projet de « nanomonde totalitaire », conforme aux objectifs, aux intérêts et aux plans de la technocratie dirigeante, qui n’a jamais eu besoin de « comploter » pour les imposer, mais seulement de faire des commissions, des programmes, des budgets et des lois, au vu et au su de tous ceux qui se donnaient la peine de lire les rapports officiels ou les comptes-rendus du Monde. La « théorie du complot », c’est — une fois pour toutes — celle que les idéologues policiers de la technocratie ont inventée, afin d’en accuser la critique radicale, écologiste et anti-industrielle.

Nous voici donc, nous Pièces et main d’œuvre, et tous ceux qui partagent nos idées issues de l’enquête critique8, désignés comme « complotistes », et par suite comme « écoterroristes » potentiels par ceux qui détiennent le monopole légal de la parole autorisée et du « faux sans réplique » (oui, Debord. Commentaires sur la société du spectacle, 1988). Le monopole légal des fake news pour reprendre leur vocabulaire. Car le mauvais n’est pas la confection et la propagation de faussetés, mais l’usurpation en la matière des prérogatives du sociologue Gérald Bronner ou des spécialistes de l’Association française pour l’information scientifique (Afis)9.

Si le « complotiste » pense mal, l’« écoterroriste » agit mal. A fortiori s’ils sont réunis dans la même personne qui, s’étant persuadée de la nuisance radicale du smartphone, s’en va incendier une antenne de téléphonie mobile.

Ce n’est pas non plus d’aujourd’hui qu’un ministre de l’intérieur et son chœur de haut-parleurs éructent à tous les échos cette accusation d’« écoterrorisme » contre des manifestants décidés à occuper le site d’une future centrale nucléaire (Malville, 31 juillet 1977), ou d’un futur pillage d’eau. Ici, l’accusation s’inverse d’elle-même et joue comme un aveu. On ne voit guère de pires « écoterroristes » que ceux qui assèchent la terre et y répandent la radioactivité.

Il est donc logique que dans le monde réellement renversé, les machinistes fassent pendre les briseurs de machines, comme en Angleterre lors du mouvement luddite (1811-1812)10 ; que les nucléaristes dénoncent les écosaboteurs Françoise d’Eaubonne et Gérard Hof, après l’attentat contre la centrale de Fessenheim, le 3 mai 197511 ; que les technologistes et les industrialistes invectivent les membres du Gang de la clé à molette (Edward Abbey, 1975)12, tous ces adeptes de l’action directe et de la légitime défense qui firent sauter tant de machines et de locaux dans le sillage du mouvement antinucléaire13 ; avant que les activistes d’Earth First, aux États-Unis, ne passent à leur tour à l’écosabotage (1980), suscitant la traque et de grandiloquentes alarmes du FBI.

C’est de quoi nous avons traité en janvier 2009 dans À la recherche du nouvel ennemi14, quand huit ans après la World War on Terrorism, « les attentats à l’anthrax » commis par un scientifique de Fort Detrick et les alertes au « bioterrorisme », en France même, on vit l’écrivassier Jean-Christophe Rufin (Le Parfum d’Adam), et la journaliste du Monde Isabelle Mandraud, construire la figure de « l’écoterroriste » à l’aide de « récits bien documentés15 ».

C’est que « les ingénieurs de la survie » comme dit Charbonneau (Le feu vert, 1980), les technocrates du Green New Deal et de « la transition écologiste », ne peuvent tolérer d’opposition effective au redéveloppement du nucléaire, ni au rationnement des « ressources ». Chacun le sait depuis la mort de Rémi Fraisse à Sivens (26 octobre 2014), sinon depuis celle de Vital Michalon à Malville (31 juillet 1977) sous un déluge de 3000 grenades OF. Tout le monde le sait sauf les chefs, les organisateurs, toujours avides de puissance et d’exhibition. De défier l’État et son armée sur son terrain, en manœuvrant leur contre-armée sous la direction de leur contre-État, au moyen de leurs derniers joujoux de contre-technologie numérique (smartphones et messageries cryptées). Faut que ça saigne. Rien de tel qu’un martyr pour susciter l’union sacrée autour de ceux qui l’ont envoyé « au casse-pipe », comme il se dit autour de Sainte-Soline. Et d’autant mieux si le martyr était volontaire et « savait ce qu’il faisait ». La puissance et la gloire de l’Organisation, sa mainmise sur le mouvement écologiste, exigent des sacrifices humains. Mais il est vrai que ces « écologistes » — là ne sont pas « technophobes », ni anti-industriels. Ils veulent juste une autre machine.

« Eh bien, oui, je le répète à la face du monde ; toute “organisation” ne profite et ne profitera jamais qu’aux organisateurs ! Voilà ce que je veux “conter” encore avant de mourir. Tous ceux qui veulent faire de l’homme la bête d’un troupeau, sont ses assassins. »

Panaït Istrati, Vers l’autre flamme16

Pièces et main d’œuvre
Grenopolis, le 12 avril 2023







Le wokisme est un marxisme

[Source : quebecnouvelles.info]

Par Ophélien Champlain

L’idéologie qu’on appelle désormais communément le wokisme porte plusieurs autres noms, dont l’intersectionnalité et le terme « marxisme culturel », qui ne fait pas l’unanimité. L’appellation est d’une part rejetée par les partisans d’une gauche dure strictement économique qui désavoue le combat sociétal du wokisme tout en restant accrochée à la doctrine de Marx, et d’autre part, par les institutions qui soutiennent le wokisme. Bien qu’on puisse parfois apercevoir des militants wokes agiter des drapeaux rouges dans leurs manifestations, le mot « marxisme » n’est pas un choix judicieux si le but est de vendre une idéologie à la population générale.

Sur Wikipédia, la notion de marxisme culturel est présentée comme une théorie du complot propagée dans les milieux conservateurs et d’extrême droite. Comme quoi, bien qu’on puisse se fier à « l’encyclopédie libre » pour obtenir des informations objectives telles que la superficie d’un pays, on arrive en territoire biaisé comparable au département des sciences sociales de l’UQAM [NDLR Université du Québec à Montréal] quand il est question de sujets politiques.

N’en déplaise aux idéologues qui gèrent Wikipédia, le wokisme s’inscrit parfaitement dans la famille marxiste. Selon Marx, l’économie capitaliste permettait à la classe de l’élite bourgeoise de profiter exclusivement de privilèges et d’une forme spéciale de propriété tout en excluant, réprimant et opprimant le peuple. Pour transformer la société de manière à atteindre l’équité, il fallait éveiller le prolétariat, agent historique du changement, afin de l’amener à faire une révolution anticapitaliste.

Un siècle plus tard, Mao Zedong a adapté les théories de Marx et de Lénine à la situation politique et économique de la Chine. Sur le drapeau chinois, les quatre étoiles jaunes gravitant autour de la plus grande représentent les quatre classes qui devaient s’unir pour destituer la classe aristocratique au pouvoir et permettre d’instaurer la « Nouvelle Démocratie » de Mao Zedong : le prolétariat ouvrier, la paysannerie, la petite bourgeoisie [les commerçants] et les capitalistes patriotes.

Selon l’auteur américain James A. Lindsay, si le maoïsme est le marxisme-léninisme adapté aux caractéristiques chinoises, le wokisme est un maoïsme adapté aux caractéristiques américaines. Même principe, sauf que les classes en cause diffèrent.

Lindsay explique qu’en remplaçant le mot classe par race : on obtient la théorie critique de la race, qui est épicentrale au wokisme. Il cite l’article « Whiteness as Property » [« La blancheur en tant que propriété »] de la professeure Cheryl Harris, dans lequel elle soutient que la blancheur fonctionne comme une forme de propriété profondément ancrée dans la société américaine et les institutions juridiques, et que ce statut de propriété est une source clé d’inégalité raciale.

Une fois transposé, le privilège économique de la classe aristocratique devient essentiellement le privilège blanc, mais aussi masculin, hétérosexuel et d’héritage chrétien. Les classes sommées de s’unir contre la classe dite opprimante sont les personnes de couleur, les femmes, les LGBTQ+ et toutes celles qui bénéficient de points d’intersection selon le barème du féminisme intersectionnel. Le wokisme est empreint de la notion de privilège : il vise à atteindre l’équité sociale par la destruction de ceux-ci.

La participation de la classe ouvrière n’est plus sollicitée dans le nouveau combat révolutionnaire autre qu’à titre folklorique [pourquoi s’en priver si on peut gonfler les rangs], mais à la stricte condition de souscrire à la nouvelle religion woke.

À partir du moment où le wokisme fait de l’idéologie du genre LGBTQ+ un fer de lance [avec ses concepts abstraits tels que la non-binarité et la fluidité], il échappe au rationalisme et s’inscrit dans la colonne des croyances. Il en vient à s’apparenter au religieux dans la mesure où la notion d’identité de genre évoque une conception de l’âme. Il n’existe pas de preuves empiriques de l’existence de l’âme en tant qu’entité distincte du corps physique. Idem pour l’identité de genre.

Il faut noter que le marxisme porte également un caractère religieux. C’est pourquoi il ne coexiste pas avec les croyances religieuses [classiques], qui sont considérées comme un obstacle au développement de la société socialiste. L’État communiste est officiellement athée [ex-URSS, Chine, Cuba, Corée du Nord, Vietnam]. Tandis que l’athéisme a été promu comme un élément clé de la culture révolutionnaire communiste, il l’a aussi été dans la culture progressiste.

Les classes progressistes qui se sont éloignées du christianisme sont ainsi les plus enclines à tomber en proie au wokisme, ce qui est particulièrement évident dans le contexte étatsunien. Il fallait s’attendre à ce qu’une quelconque croyance spirituelle parareligieuse, philosophie politique ou mélange des deux vienne combler le vide laissé par la répudiation de la religion de souche. Inversement, la droite religieuse est la frange qui résiste le plus solidement.

Devenu protégé du corporatisme, le wokisme peut donner l’impression d’être diamétralement opposé au marxisme. Pourtant, pas tant que ça : il demeure porteur d’un combat de classes révolutionnaire pour atteindre l’équité, sauf que celles-ci ne sont plus déterminées en fonction du pouvoir économique. Le grand patronat, autrefois adversaire désigné de la lutte marxiste-léniniste, chaperonne désormais le combat marxiste-culturel woke à coups de notations ESG, qu’il utilise comme outil pour atteindre l’objectif du citoyen global déraciné soumis aux 17 objectifs de développement durable : un autre idéal utopique et centralisateur qui ne peut être atteint que par voie d’autoritarisme.

Ainsi, le wokisme n’en demeure pas moins un marxisme. La guerre culturelle menée en son nom porte un potentiel de violence et risque de déboucher sur pareil autoritarisme. Le globalisme corporatiste n’est que le capitalisme d’État à la chinoise élargi au monde entier.






Fuites au Pentagone : 5 façons de distinguer le VRAI du FAUX

[Source : off-guardian.org]

Par Kit Knightly

Nous avions promis un article plus long sur les « fuites » du Pentagone, le voici. Les lecteurs réguliers connaissent probablement mon point de vue sur les fuites de documents en général, mais si ce n’est pas le cas, permettez-moi de citer mon propre article de 2019 sur les (absurdes) « documents sur l’Afghanistan » :

Un grand nombre de « fuites » modernes n’ont rien à voir avec cela. Il s’agit d’exercices orwelliens visant à contrôler la conversation […] en veillant soigneusement à ce que l’« establishment » et l’« alternative » se rejoignent au milieu, contrôlés par la même source.

Cela ne veut pas dire que TOUTES les « fuites » sont automatiquement et toujours des exercices de contrôle narratif. Il est clair que certaines sont réelles… mais il est généralement assez facile de les distinguer. En fait, voici une petite liste de contrôle.

1. Si votre « fuite » vous dit des choses que vous savez déjà, il s’agit probablement d’une fausse fuite.

La « fuite » d’informations largement connues et accessibles au public est une tactique très courante. Dans les « fuites » du Pentagone, par exemple, il a été « révélé » que les États-Unis espionnaient la Corée du Sud, Israël et l’Ukraine. Mais les États-Unis espionnent tout le monde, y compris leurs alliés, et nous le savons tous depuis des décennies.

En outre, tout le monde espionne tout le monde, c’est ainsi que le jeu se déroule. Faire croire qu’il s’agit d’une grande révélation et l’indignation du gouvernement sud-coréen est la marque d’une fausse fuite.

2. Si votre « fuite » renforce le discours dominant, il s’agit probablement d’une fausse fuite.

Les fuites peuvent être utilisées pour gérer et/ou renforcer le discours dominant. Les Afghanistan Papers en sont, une fois de plus, un excellent exemple. L’« histoire secrète » qui n’a fait que répéter les mythes et les mensonges sur la guerre américaine.

Ou encore les courriels de Fauci, qui ont ressuscité la théorie des fuites de laboratoire sur les origines du Covid, mais qui ont renforcé l’idée que le Covid existait et qu’il était dangereux.

3. Si votre « fuite » fait l’objet d’une couverture médiatique massive, il s’agit probablement d’une fausse fuite.

L’un des signes révélateurs d’une fausse fuite est le fait que les médias grand public expliquent soigneusement à tout le monde l’importance de la fuite et ce qu’elle signifie. La BBC, Sky News, CNN et d’autres ont tous publié des articles et des vidéos explicatifs détaillant le contenu des fuites. Des porte-parole américains, comme John Kirby, ont déclaré que la presse ne devait pas parler des fuites, mais cela n’a fait aucune différence.

Nous savons que les médias d’entreprise ne sont qu’une extension de l’establishment et qu’ils ne rapportent que ce qu’on leur dit de rapporter. Ils n’ont aucun devoir de vérité ni aucun lien avec la réalité. S’ils publient les fuites, c’est parce qu’ils en ont reçu l’ordre, parce que cela sert le grand récit. Les fonctionnaires qui critiquent la presse pour avoir publié la « fuite » ne font qu’utiliser l’effet Streisand, le manuel « s’il vous plaît, ne me jetez pas dans la bruyère ».

4. Si la source de votre « fuite » est révélée immédiatement et publiquement, il s’agit probablement d’une fausse fuite.

Dans les jours qui ont suivi la récente fuite, la presse a publié le nom et le grade de l’auteur présumé de la fuite, son arrestation a été filmée et les vidéos envoyées à la presse, et il a été traduit en justice en public. Est-ce ainsi qu’opèrent les agences secrètes désireuses de dissimuler des informations importantes ?

À titre de comparaison, prenons l’exemple de Seth Rich. M. Rich était présumé être la source de fuites de courriels prouvant que le DNC truquait les votes en faveur d’Hillary Clinton. Il est mort d’une balle dans le dos tirée par des agresseurs qui ne lui ont rien pris.

5. Si votre « fuite » vous dit ce que vous voulez entendre, il s’agit probablement d’une fausse fuite.

Ne faites jamais confiance à quelqu’un qui ne vous dit que ce que vous voulez entendre, et cela vaut également pour les médias et les agences gouvernementales.

Dans les « fuites » les plus récentes, nous voyons comment ils alimentent très commodément les deux côtés du récit de la guerre.

L’une des « révélations » est que l’armée ukrainienne est à court de munitions antiaériennes. Cela signifie que, dans un avenir proche, la Russie pourrait potentiellement aplatir l’Ukraine grâce à sa supériorité aérienne.

Il s’agit, de toute évidence, d’une propagande visant à soutenir l’idée que « l’Ukraine a besoin de notre aide ». Elle sera utilisée pour affirmer que l’Occident « n’en a pas fait assez » pour protéger l’Ukraine et pour réclamer plus d’argent et/ou d’armes.

D’autre part, les « révélations » concernant l’épuisement des stocks de munitions et le nombre de victimes plus élevé que prévu, ainsi que la présence de forces spéciales de l’OTAN dans le pays, alimentent la position pro-russe des médias alternatifs occidentaux.

« Vous voyez, la Russie est en train de gagner », disent-ils, « Et la présence des forces de l’OTAN montre que la Russie avait raison, ne croyez pas la désinformation occidentale ».

Tout cela contribue à entretenir l’idée que le conflit représente des différences morales et stratégiques vitales, bien réelles et profondément ancrées, et qu’il ne s’agit pas simplement d’une guerre de territoire entre gangsters mondialistes rivaux, aussi précieuse pour son potentiel de distraction que pour toute autre chose.

Nous avons assisté à quelque chose de similaire au début de l’année, avec la publication du rapport de Sy Hersh sur la « vérité » derrière le sabotage de Nord Stream 2, un initié anonyme affirmant que les États-Unis en étaient responsables. Les deux parties s’attribuent des responsabilités, les deux parties détournent l’attention de l’impact réel — et probablement de l’objectif réel — de la fermeture de l’oléoduc.

[Voir aussi :
Comment les États-Unis ont détruit le gazoduc Nord Stream
et
Attaque terroriste du Nord Stream : Le complot s’épaissit]

*

Ayant établi comment repérer une fausse « fuite », nous pouvons voir que ces documents « hautement classifiés » du Pentagone entrent parfaitement dans la catégorie des « fausses fuites ».

La question qui se pose maintenant est la suivante : si les fuites sont des opérations psychologiques de l’État profond, quel en est l’objectif ?

Nous avons déjà partiellement répondu à cette question. L’Ukraine à court de missiles, par exemple, sera utilisée pour justifier encore plus de ressources et d’argent dans le puits sombre et sans fond des « dépenses militaires ».

Deuxièmement, nous pouvons d’ores et déjà constater que l’establishment se concentre sur Discord, la plateforme où les fuites ont été publiées pour la première fois. Il ne s’agit pas seulement de Discord, mais des services de discussions de groupe en général.

Comme c’est presque toujours le cas, la fausse « fuite » alimentera les appels à plus de sécurité et à un plus grand contrôle du contenu en ligne, car après tout, ces fuites « mettent en danger les actifs américains ».

Plus largement, elle alimente simplement un récit en perte de vitesse. Autant de faits à contester, autant d’arguments à faire valoir. Quelles sont les forces spéciales présentes dans le pays ? Quelles provocations mènent-elles ? Qui gagne « vraiment » ? Quels sont les chiffres les plus fiables ? Qui a mis en scène quelles atrocités pour discréditer quel camp ?

Les Chinois arment-ils la Russie en secret ? La Corée du Sud va-t-elle se retirer ? Qu’en est-il de l’auteur de la fuite ? Est-il un héros antiguerre ? Un narcissique qui a mis l’Amérique en danger ? Ou un traître raciste ? Doit-il aller en prison ? Pour combien de temps ?

Regardez les Rouges et les Bleus se disputer sur cette question.

Il s’agit d’un contenu conçu, dans le langage des médias sociaux, pour stimuler l’engagement. Parce que le système s’est adapté, ils ne fabriquent plus du consentement, ils cultivent la participation. Les réfutations hargneuses et les louanges chaleureuses s’enregistrent de la même manière dans l’algorithme. Ils ne veulent pas votre accord, ils veulent votre attention. Et lorsqu’ils sentent que l’histoire perd son public, eh bien, voici quelques faits super secrets que vous n’êtes pas censés connaître.

Voici la véritable histoire derrière l’histoire, pourquoi ne pas aller sur Facebook et en parler à tout le monde ?

Quel est le but ultime de ces fuites ? Le même objectif qu’un Cliffhanger (([[1] https://en.wikipedia.org/wiki/Cliffhanger_ (film))) de fin de saison ou la mort d’un personnage majeur. Elles font parler les gens, elles les entraînent dans leur histoire.
Ils veulent que vous la lisiez, que vous en débattiez et que vous viviez dans la réalité qu’ils ont créée [ou dans leur « matrice »]






Opposition contrôlée et les nouveaux inquisiteurs

[Source : marcha3200]

Par Martina Charbonnel

Pour être honnête, il faut admettre que nous sommes nombreux à nous être posé la question de savoir si des leaders d’opposition étaient contrôlés par le pouvoir.

Il est parfois difficile de faire entendre notre voix au milieu des collabos médicaux affirmés, des syndicats complices et des opposants politiques qui regardent ailleurs quand des gens meurent des suites des injections à ARNm expérimentales.

À présent, il faut composer avec les résistants suspectés de faire partie de l’opposition contrôlée, mais aussi avec leurs Inquisiteurs, ce qui complique la tâche.

[Voir aussi :
L’opposition contrôlée, selon Stanislas Berton
Opposition contrôlée et infiltration : comment les reconnaître ?
L’illusion du choix et de la liberté — L’opposition contrôlée est un mouvement de protestation dirigé par des agents du gouvernement]

Concernant les dirigeants politiques et syndicaux, l’opposition contrôlée n’est pas un mythe. Elle n’est pas non plus désintéressée. Entre le lobbying de Big Pharma et la peur de perdre sa place dans la petite élite politique, les opposants à Macron se taisent à propos des scandales les plus criants.

Mais qu’en est-il de l’accusation de faire partie de l’opposition contrôlée lorsqu’elle désigne des résistants avec lesquels nous nous battons depuis trois ans ?

Oui, Maître Brusa et Maître Di Vizio ont montré leurs limites. Mais peut-on vraiment attendre que deux avocats portent sur leurs épaules notre soif de justice et de réparation pour tous les préjudices que nous subissons depuis trois ans ? À chacun de les suivre pour ce qu’ils apportent à notre réflexion commune en restant lucide lorsque que leurs prises positions semblent en contradiction avec celles qu’ils ont précédemment défendues.

Parmi les internautes pionniers dans cette résistance, certains ont des réactions évoquant un peu le « syndrome de Stalec ». Fin 2020, ce fan du Professeur Raoult était devenu une référence sur Twitter. Du jour au lendemain il a totalement retourné sa veste ce qui a suscité beaucoup d’interrogations. Prenant un nouveau pseudo, il s’est fait le promoteur du discours de la secte des Nofakemed remettant en cause toutes ses anciennes affirmations.

Quoique moins radicale, la polémique actuelle sur la présence ou l’absence de graphène dans les produits injectés prend un peu cette tournure. Cette polémique est inutile lorsqu’elle n’est pas portée par des experts munis de leurs microscopes et des études qui étaient leurs propos. Sinon, ça revient à un débat pour ou contre sur un sujet que nous ne maîtrisons pas.

Nous assistons désormais à des procès d’intention et une chasse aux sorcières supposées faire partie de l’opposition contrôlée. Ça ressemble à L’Inquisition ou encore des procès staliniens. Sous la Terreur, la guillotine envers les supposés traîtres aurait réglé la question des suspects..

J’ai reproché au Professeur Raoult d’avoir voulu réserver ce vaccin-poison aux plus âgés et aux plus fragiles. Très déçue, je n’ai pourtant pas parlé d’opposition contrôlée. Il était évident qu’il cherchait un compromis pour son maintien à l’IHU de Marseille ou pour la survie de l’IHU et de son équipe. On aime ou pas cette attitude, mais elle est humaine.

Dernièrement, j’ai vu s’amorcer une campagne de dénigrement d’Alexandra Henrion Caude après le succès de son livre : « Les apprentis sorciers ». Des rumeurs détestables allant fouiner dans ses tweets passés, des supposées raisons de suspicion. Alexandra a pris le risque de compromettre sa carrière et ruiner sa réputation auprès de ses pairs. Certains se font une joie de taper sur une consœur tant le milieu de la recherche est encore un peu trop sous la domination masculine.

Je regrette qu’Alexandra n’ait pas persévéré dans le fait d’affirmer que ces produits à ARNm ne sont pas des vaccins. C’est dommage, mais je ne la juge pas. Pourquoi des personnes aussi exposées depuis trois ans devraient-elles être les seules à prendre les coups (parfois bien pire que les coups) ?

Pourquoi vouloir que les personnes qui ont combattu avec dès le début de la guerre du Covid aient un CV limpide et « complotissement correct » ?

Il y a quelque chose de malsain à vouloir mettre en évidence leurs relations privées ou de les assimiler à un membre de leur famille. Fouiner jusqu’au nauséabond pour salir des personnes exemplaires me fait penser aux concierges qui sous l’Occupation épluchaient le courrier des locataires pour dénoncer ceux qui leur paraissaient suspects.

Martine Wonner était députée LREM. Si elle n’avait pas bougé, elle aurait pu confortablement se faire réélire en 2022. Par son engagement, elle a tout perdu : sa place de députée et le droit d’exercer sa profession de psychiatre pour refus de l’injection expérimentale. Elle a été poursuivie par l’Ordre des médecins pour ses prises de position en tant que députée.

Louis Fouché réunit toute la gauche contre lui. Il n’exerce plus la médecine, mais on lui prête encore des intentions inavouables. Il est l’homme à abattre. Pourquoi ?

Qui sommes-nous pour juger du passé, des liens d’amitié des gens qui combattent avec nous ? Lorsque l’on n’a même pas le dixième du courage de ces personnes qui s’engagent totalement, il n’y a aucun mérite à accuser, dénigrer, faire courir des rumeurs.

Il n’y a pas de profil type du héros. Du jour au lendemain, n’importe lequel d’entre nous peut devenir un héros ou un salaud. Les périodes de crise nous révèlent.

Un repenti de Pfizer démontrant le danger des injections peut être plus utile à notre cause que des gens qui sur Twitter se contentent d’accuser les opposants contrôlés.

Mais alors, l’opposition contrôlée n’existe pas ? Je penserais plutôt à une opposition autorisée. Autorisée par qui ? Dans quelles limites ?

Des pressions existent pour limiter les propos dangereux pour le pouvoir en place. Ceci signifie que les gouvernants permettent à une partie de la vérité d’émerger comme on laisse un filet de vapeur s’échapper d’une cocotte minute.

Un certain nombre de choses ne peuvent pas être dites notamment si elles sont prouvées et diffusées largement, car trop déstabilisantes pour le pouvoir. Il y a un point de bascule qui semble difficile à franchir : par exemple, la vérité sur nombre de victimes des injections, la véritable contenance des flacons), la contrainte de l’injection d’un produit en phase d’essai devenu « vaccin » par une pirouette sémantique. Si toute la population connaissait ces informations, elle exigerait la démission et le jugement des coupables. Les plans du Nouvel Ordre Mondial s’effondreraient, car les gens prendraient conscience des intentions criminelles de l’élite mondialiste.

Pourquoi les gens les plus en vue hésitent-ils parfois devant ce point de bascule ? L’autocensure nous permet d’intérioriser la censure des réseaux sociaux avec pour conséquence le risque d’autocontrôle de nos pensées. La peur d’être assimilés à des complotistes, antisémites ou fachos entretient la plus sournoise de la censure.

Si nous modérons nos propos sur les réseaux sociaux pour ne pas risquer la suspension de notre compte, comment ne pas comprendre la retenue partielle des personnes les plus exposées ? Il n’existe pas de sauveur providentiel. C’est à chacun de nous qu’il incombe de partager les informations que nous avons et de contribuer l’émergence de la vérité et de la justice.






Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19

[Source : gibraltar-messenger.net via nicolasbonnal]

Ricardo Delgado :

« Malgré les preuves, ils continuent de nier. »

Entretien avec Ricardo Delgado, biostatisticien, fondateur et directeur de La Quinta Columna
(à propos de l’oxyde de graphène dans les « injectables » et de son utilité).

Par Magdalena del Amo

Des milliers de personnes, certaines vivant dans la ville de Séville (Espagne) et d’autres en streaming dans le reste du monde, ont pu contempler au microscope le contenu des vaccins, gardés secrets comme n’importe quelle arme de guerre.
Cet événement a eu lieu juste au troisième anniversaire de cette période de dystopie qu’ils ont appelée pandémie, causée par un virus tueur et contagieux qui n’existe pas, pas plus que les vagues [épidémiques] et les variants. Et oui, à la place, des milliers d’antennes [5G] irradient des corps humains innocents, victimes du grand mensonge du système, inoculés avec une substance appelée vaccin qui contient de l’oxyde de graphène réduit, un nanomatériau qui marque l’avenir de l’humanité sur son chemin vers le transhumanisme.

[Voir aussi :
TROIS ANS D’AVENTURE COVID résumés en 1600 mots,
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »,
La « maladie mystérieuse » de Wuhan est le mensonge fondamental de la Covid,
Le dossier Vaccins et virus avec notamment ses nombreux articles qui déglinguent la théorie virale,
Le dossier 5G et ondes pulsées dont
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur,
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux.]


Introduction spéciale de la Conférence –
Conférence de La Quinta Columna : Les jeux sont faits (19 mars 2023)
Liens directs plus bas, après l’interview.




Ricardo Delgado nous [à Gibraltar Messenger] a aimablement accordé cette interview qui, nous l’espérons, éclaircira certains doutes de nos lecteurs.

Magdalena del Amo : Au début de cette situation appelée pandémie, vous avez cru, comme beaucoup d’autres personnes, que la cause était un virus très contagieux et que la réponse nous viendrait des biologistes. En fait, ils ont commencé à nous mettre en garde contre l’ARNm et les protéines de pointe. Quand avez-vous compris qu’il fallait changer d’optique, que la vérité était ailleurs ?

Ricardo Delgado : Nous avons compris que les réponses directes ne pouvaient venir que d’un seul endroit : l’observation directe par l’analyse des « vaccins ». La médecine et la biologie ne pouvaient guère expliquer les dommages, car elles ne connaissaient pas la véritable cause qui en était à l’origine. En revanche, des disciplines comme l’épidémiologie nous ont donné les clés. Cela a été confirmé par le fait que la « maladie à la mode » et les premiers cas de ce qu’ils ont appelé « coronavirus » ont été enregistrés dans la ville chinoise de Wuhan, à partir du 30 novembre 2019 ; précisément, la première ville du monde choisie en temps et en lieu pour l’allumage technologique du réseau 5 G.

À ce jour, nous savons, grâce à l’analyse pionnière des produits injectables réalisée par La Quinta Columna et d’autres analyses ultérieures, ainsi qu’à celles effectuées dans d’autres parties du monde, que les échantillons ne contiennent AUCUN matériel biologique. Il est évident que la plate-forme ARNm et l’affectation de la fameuse protéine spike n’étaient que des écrans de fumée destinés à détourner les recherches de tous ceux qui ont analysé les « vaccins » in situ.

[Voir aussi :
La nanotechnologie dans les vaccins
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Vaccin anti-Covid ou arme biotechnologique ?]

Ricardo Delgado explique au public : « Ce qu’ils ont appelé Covid-19
est l’interaction de ce matériau non déclaré avec la biologie. »

Lorsque le graphène, inoculé et étiqueté comme « vaccin », entre en contact avec le sang, il génère la formation d’une couronne biomoléculaire de protéines. La fonction de cette couronne de protéines est de protéger notre biologie de l’introduction de matériel étranger pour le faire passer inaperçu. Cependant, certains groupes la qualifient de toxique et l’associent à la protéine spike. Une fois de plus, dans le seul but de détourner l’attention de l’origine de tous les dommages en biologie, puisque le mal est causé par la cause — le graphène — et non par sa conséquence — la couronne de protéines.

[Voir aussi :
Sources d’Anti-Oxydants pour Détruire la Couronne Nécro-Moléculaire d’Oxyde de Graphène]

M del A : Partant du principe que la grande majorité des lecteurs abordent cette information pour la première fois, je voudrais décomposer les points les plus importants de la situation que nous vivons et, en particulier, du contenu des « vaccins ». Ce qu’ils ont découvert dans La Quinta Columna est alarmant. Comment en sont-ils arrivés à ces conclusions et sur quelles bases ?

R D : Nous nous appuyons sur les preuves corroborées par l’observation, sur le principe directeur de la méthode scientifique, sur l’utilisation d’outils scientifiquement validés pour connaître et caractériser ce que nous observons. Nos recherches ont été corroborées dans différentes parties du monde, ce qui nous a permis d’établir un modèle prédictif qui nous a même permis d’anticiper plus facilement ce qui allait se passer.

M del A : Ils ont trouvé de l’oxyde de graphène réduit dans les flacons, mais beaucoup en doutent et d’autres le nient. Pourquoi est-ce devenu un sujet tabou ?

R D : Les preuves de l’existence de l’oxyde de graphène réduit dans les inocula sont claires et ont été corroborées dans d’autres parties du monde par différents types de caractérisation, tels que la microscopie optique en champ clair et en champ sombre, les tests électroniques SEM et TEM, les tests de compatibilité avec l’absorption ultraviolette, la diffraction des rayons X, la comparaison optique avec les images du motif, les techniques de fluorescence et, surtout, la caractérisation par vibration RAMAN par balayage électronique, offrant la vibration RAMAN ou les pics caractéristiques de l’oxyde de graphène réduit.

Ricardo ouvre un flacon de Pfizer scellé et dépose une goutte
sur la plaque de verre du microscope, puis l’observe, devant le public.

M del A : Tout ceci est très technique et il faudrait suivre un cours pour le comprendre ; mais venons-en à la pratique : nous sommes face à un matériau quasi magique, inconnu jusqu’à récemment, doté de caractéristiques spectaculaires. Quelles sont ces qualités ?

R D : Lorsque l’on passe en revue la toxicité ou la biocompatibilité présumée du matériau en biologie humaine, la littérature scientifique est également très claire. Le graphène ou ses dérivés, comme l’oxyde de graphène réduit, possède des propriétés intrinsèques, notamment supraconductrices, magnétiques au contact des cellules vivantes, piézoélectriques, de haute capacité, radiomodulables, flexibles et transparentes.

[Voir aussi :
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations]

Sa capacité supraconductrice explique son affinité pour les organes éminemment électriques, tels que le système cardiaque et le système nerveux central, lire les neurones et la moelle épinière.
Le magnétisme acquis au contact des molécules organiques explique le phénomène magnétique apparu chez les personnes à qui l’on a inoculé le matériau.
En raison de sa qualité piézoélectrique, l’excitation du matériau pour générer de l’électricité sous n’importe quelle pression, qu’elle soit acoustique, de poids de l’eau ou autre, est expliquée.

[Voir aussi :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive]

La capacité du matériau est telle qu’il est actuellement utilisé pour la construction de batteries de pointe. Cette qualité lui permet de condenser l’énergie obtenue à partir de foyers externes. Ceci, ajouté à sa présence dans des organes vitaux comme le cœur, signifie que les décharges électriques que le matériau condense peuvent interrompre le tissu de conduction électrique cardiaque, générant des arythmies et l’évanouissement classique (dû à un manque d’apport sanguin cérébral) qui, dans de nombreux cas, se termine par une mort subite.

Le fait que ce matériau soit radiomodulable indique clairement qu’il est excité par les micro-ondes. En bref, il agit comme un amplificateur ou un catalyseur de signaux de rayonnement électromagnétique, comme la 5G actuelle. Sa dureté extraordinaire — 200 fois plus dur que l’acier — fait que notre biologie choisit de l’expulser au lieu de le dégrader.

M del A : Expliquez la toxicité de l’oxyde de graphène, étayée par les multiples dommages qu’il produit dans l’organisme : curieusement, ce sont les mêmes que ceux attribués au Covid.

R D : Je dois souligner que nous devons tous comprendre que ce métamatériau étranger à la biologie ne peut être inoffensif en son sein. D’abord, le système immunitaire le traite comme s’il s’agissait d’un agent pathogène. Selon leur voie d’entrée dans la biologie, leur toxicité est relative.

M del A : Que voulez-vous dire exactement ?

R D : Lorsque l’oxyde de graphène pénètre dans notre biologie par voie intramusculaire, le système immunitaire agit contre lui avec un maillage de neutrophiles et de globules blancs. Lorsqu’il se retrouve dans le poumon, qui est une des voies d’élimination, il est attaqué par des enzymes comme la myéloperoxydase. Au contact du sang, il est enveloppé d’une couronne protéique appelée couronne biologique ou couronne de biodistribution moléculaire. La fonction de ces protéines structurelles est de l’envelopper pour qu’il passe inaperçu par la biologie humaine en raison de sa haute toxicité.

L’oxyde de graphène est un coagulant et, en fait, les éponges d’oxyde de graphène sont utilisées dans les traitements hémostatiques pour guérir les blessures. La coagulation facilite également l’effet Rouleaux de l’action des micro-ondes elle-même. (L’effet Rouleaux est un empilement littéral de globules rouges [érythrocytes] et une déformation de ceux-ci que nous observons actuellement dans le sang des personnes inoculées lors de séances de microscopie optique). Évidemment, après la coagulation, nous obtenons, en conséquence, tous les types de thrombogénicité, ce qui a contribué à la thromboembolie et aux accidents vasculaires cérébraux, ainsi qu’aux attaques ischémiques, aux accidents vasculaires cérébraux, aux crises cardiaques et à d’autres troubles.

La qualité radiomodulable de l’oxyde de graphène doit également être prise en compte. En amplifiant le rayonnement micro-ondes entrant, nous amplifions également les dommages qu’il cause à l’organisme.

M del A : Quelle est la première réaction de l’organisme à l’entrée du graphène ?

Delgado parle au public du Covid-19 et de l’inflammation.

R D : Le premier mécanisme de réponse est l’inflammation partout où le matériau passe dans notre biologie. C’est pourquoi on observe des myocardites, des péricardites, des myopéricardites, des inflammations pulmonaires… Il traverse également les systèmes d’épuration tels que le foie et les reins. Dans le foie, il génère une inflammation du foie (hépatite) et d’importants problèmes dans les reins — où il reste longtemps — lorsqu’ils filtrent le sang contaminé par le matériau. Il imprègne également le système nerveux central, par affinité supraconductrice, où il altère son fonctionnement, générant des paralysies de toutes sortes. Il enflamme les neurones, entraînant divers types de neuropathies, dont la perte de mémoire initiale, l’inattention, le brouillard cérébral ou les difficultés de concentration.

En amplifiant les dégâts des rayonnements micro-ondes non ionisants, il augmente considérablement le stress oxydatif, ce qui contribue au vieillissement prématuré et à l’apparition de divers types de cancers et de tissus tumoraux.

Dans les cellules reproductrices — et selon la littérature scientifique elle-même — il affecte la motilité et la mobilité des spermatozoïdes humains, réduisant drastiquement la fertilité masculine.

Il affecte également la régulation hormonale chez les femmes, contribuant ainsi à leur infertilité et générant le syndrome post-ménopausique.

M del A : Il est entendu que ce n’est pas la même chose de recevoir un « vaccin » que d’en recevoir quatre, puisque l’organisme élimine le graphène.

R D : C’est exact. Les dommages sont directement proportionnels au nombre de doses et à la quantité de radiations électromagnétiques que le matériau absorbe, ou à la quantité d’exposition ciblée aux micro-ondes que l’inoculé reçoit.

Tous ces dommages, et d’autres que nous n’avons pas mentionnés, ne sont pas seulement la cause de la surmortalité actuelle due à ces pathologies, mais ont été clairement identifiés dans la littérature scientifique depuis des années, lorsque la cytotoxicité, la génotoxicité, la biocompatibilité et la biodistribution de l’oxyde de graphène en biologie sont passées en revue. Y compris le fameux « poumon Covid » qui n’est qu’une pneumopathie ou une inflammation pulmonaire, comme l’un des moyens d’éliminer le matériau, contribuant à la dyspnée — difficulté à respirer — et à la bronchiolite que nous voyons tous les jours.

M del A : Et tandis que la société continuait à s’effrayer d’un virus inexistant, médiatisé par des politiciens et des journalistes, La Quinta Columna, avec vous à sa tête, avait déjà découvert le véritable meurtrier de ce complot.

R D : En effet, La Quinta Columna a découvert et démontré cet empoisonnement prémédité de toute la société avec de l’oxyde de graphène réduit, alors que les institutions parlaient d’un « coronavirus » que, jusqu’à ce jour, personne n’a vu.

[Voir aussi :
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
L’invention du SARS-CoV-2
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène]

M del A : Il ne fait aucun doute que nous parlons d’une étape importante, d’une découverte vitale et transcendante, non seulement pour l’humanité actuelle, mais aussi pour celle de l’avenir dans sa transition vers le transhumanisme. Mais pourquoi cela ne parvient-il pas à la connaissance du grand public ou, si c’est le cas, c’est accompagné d’un certain scepticisme ?

Au cours de la conférence, Richard Delgado fait le lien
entre les décès dans les maisons de retraite et la campagne.

R D : Les preuves présentées sont connues d’un grand nombre de personnes dans le monde, mais il est vrai qu’elles n’ont pas pénétré la société dans la mesure nécessaire. Nous avons montré que ce matériel a été introduit massivement lors de la campagne de grippe de 2019, dont la population directe était les personnes âgées des résidences ou les gériatres, ce qui a contribué à la grande extermination des personnes âgées, qui faisait partie de ce qu’ils ont appelé la « première vague ».

Nous avons également démontré que ce qu’ils ont appelé « épidémies » et « vagues » n’est rien d’autre que la conséquence de l’augmentation des radiations environnementales au moyen d’antennes téléphoniques [3G, 4G, 5G…], dont les micro-ondes excitent l’oxyde de graphène (radiomodulable) pour générer davantage de stress oxydatif et, en fin de compte, tous les dommages précédemment observés en biologie. Et, malgré tout, une grande partie de la société ne le sait toujours pas.

M del A : Pensez-vous qu’il s’agit d’une pure dissonance cognitive ou d’autre chose ? Y a-t-il quelque chose qui nous échappe ?

R D : À mon avis, il y a des facteurs importants qui expliquent que ces preuves n’aient pas été mises en lumière par leur propre poids, mais permettez-moi de laisser cela pour la fin.

M del A : Comme vous voulez. Continuons à parler du matériau : pourquoi introduisent-ils de l’oxyde de graphène réduit dans cette « chose » qu’ils appellent vaccin ?

R D : C’est la grande question à laquelle nous trouvons également une réponse, précisément par le biais d’institutions officielles de très haut niveau et par l’examen de la littérature scientifique elle-même.

Nous avons mentionné précédemment la nature magnétique du graphène en contact avec des molécules organiques, n’est-ce pas ? Eh bien, si nous disposons d’un support magnétique en biologie et, de surcroît, supraconducteur — en affinité avec le cœur et les neurones —, nous avons la possibilité d’y lire et d’y écrire des informations, comme sur un disque dur (d’ordinateur*). Au niveau neuronal et dans le domaine des neurosciences, la lecture d’informations est un contrôle ou une supervision neuronale. L’écriture d’informations sur ce support magnétique — qui est de l’oxyde de graphène réduit — imprégnant les neurones est connue sous le nom de neuromodulation ou neurostimulation. Il s’agit de la capacité d’introduire ou d’insérer des pensées (instructions) ou de modifier des modèles de comportement humain à distance et sans fil (micro-ondes scalaires et millimétriques). Au niveau du système cardiaque, on parle également de biocapteur du cœur ou de stimulation du cœur à distance.

[Voir aussi :
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Biocontrôle : du cauchemar à la réalité
Selon le Dr Ana Mihalcea, ils veulent nous transformer en automates sans libre arbitre, grâce à la technologie des vaccins
Nanotechnologie et « vaccins »
Transformation cybernétique de l’Humanité
Le but démontré des injections antiCovid]

* Note du Messager de Gibraltar :

Le chemin du retour ou l’affrontement du feu

3:31 Le corps humain n’est rien d’autre qu’un ordinateur organique vivant très sophistiqué (selon les normes humaines), qui s’autoreproduit et s’autorépare (s’il n’est pas trop endommagé). Il s’agit d’une combinaison d’ordinateurs plus petits, par exemple le cerveau, les reins, le foie, etc., qui constituent collectivement l’ensemble, préprogrammé pour avoir des instincts animaux égoïstes, que votre âme doit apprendre à surmonter. Le cerveau humain physique fait fonctionner le corps et ses émotions, mais l’esprit et les sentiments appartiennent à l’âme. C’est pourquoi Jésus a dit que la chair n’a aucune valeur et que seul l’esprit (l’âme — le VRAI vous) a de la valeur (Jean 3:6 ; Jean 6:63).

3:34 Le Saint-Esprit, ou voix g(o)od [« good » : bon. Et « god » : dieu.], est implanté à l’intérieur du corps animal humain, avec l’âme et relié à elle. C’est la connexion télépathique de l’âme avec Dieu. Pour essayer de simplifier les choses, pour que vous puissiez comprendre plus facilement, si vous pouvez penser, pour un moment, à Dieu comme étant comme un maître-ordinateur et une banque de mémoire (fontaine de connaissance) ; avec le Saint-Esprit, comme la connexion de l’âme et le terminal d’ordinateur personnel, relié au maître ; par lequel, chaque âme est informée et enseignée en privé, individuellement et personnellement, ce qui est bon et ce qui est mauvais, par le Seigneur ; alors vous aurez une meilleure compréhension de la façon dont les choses fonctionnent.

[Voir aussi :
Mettez au régime votre IA (Intelligence Artificielle)]

3:35 Vous pouvez demander et recevoir des informations de Dieu en apprenant à utiliser votre connexion télépathique (le Saint-Esprit — 1 Jean 2:27). « Cherchez et vous trouverez », mais SEULEMENT si vous cherchez de TOUT votre cœur (Jér. 29:13), et avec l’humilité d’un enfant.

3:36 Malheureusement, tout ce que vous faites, c’est de lui demander de vous donner ceci ou cela, ou de faire ceci ou cela pour vous. Vous ne lui demandez JAMAIS ce que VOUS pouvez faire pour lui, n’est-ce pas ? N’est-ce pas très égoïste et unilatéral ?

3:37 L’autre voix, que tout le monde a dans la tête et sait parfaitement que c’est le mal, est évidemment la voix du Diable.

M del A : Apparemment, tout cela éclot soudainement, mais il semble qu’il y ait un plan méticuleusement établi qui synchronise plusieurs fronts.

R D : En effet. Toute cette recherche et sa propre littérature scientifique sont présentes au moment même où des personnages tels que l’ancien président du Chili, Sebastian Piñera, parlent d’« insertion de pensées, d’insertion de sentiments et de surveillance neuronale » le jour de l’appel d’offres pour le réseau 5 G. Dans le même temps, la Constitution chilienne est modifiée pour tenir compte de la « loi sur les droits neuronaux », et des dizaines de millions de stations de base et d’antennes téléphoniques sont déployées dans le monde entier. Et, entre autres événements, le directeur du Forum Économique Mondial lui-même nous parle des biocapteurs dans le cerveau d’ici 2030, de la « montée du transhumanisme » ou du nouvel être humain « Human 2.0 », du « cloud » et de « l’intelligence artificielle ».

[Voir aussi :
À quoi sert la vaccination de masse ? De l’infertilité au transhumanisme…
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique
Le support philosophique de la Grande Réinitialisation
Une emprise sur l’Humanité]

M del A : Tout indique que nous sommes sur la voie du transhumanisme, ou de la fin de « l’ère humaine », comme le dit José Luis Cordeiro. Ne trouvez-vous pas cela terrifiant ?

R D : En effet, c’est terrifiant, c’est la pire chose qui soit arrivée aux êtres humains dans toute leur histoire. L’objectif est plus que clair : transhumaniser tous les êtres humains en un minimum de temps, malgré les graves dommages et effets secondaires de cette technologie sur les comportements neuromodulaires et de neurostimulation, en plus de la supervision de tous les individus directement à partir de leurs neurones. Bref, la perte totale de l’espèce humaine actuelle. C’est-à-dire la disparition de l’humain actuel pour le transformer en « autre chose », privé de son essence, de son libre arbitre, de sa capacité à penser par lui-même et de sa tendance naturelle à la spiritualité. Et pour cela, le matériau qui sert d’INTERFACE est l’oxyde de graphène réduit. C’est la grande CLÉ. C’est pourquoi ils essaient de le nier ou de l’ignorer de toutes sortes de manières.

M del A : Nous avions laissé pour la fin sa réponse sur les raisons pour lesquelles cette importante découverte n’a pas été révélée, qui plus est, sous la forme d’un grand scandale. Quels sont les facteurs qui ont influencé et continuent d’influencer cette dissimulation ?

R D : Il y a plusieurs facteurs. Le premier et le plus évident est le contrôle que les gouvernements exercent sur les institutions dont ils ont la charge, notamment les médias, les établissements de santé, le système judiciaire, les syndicats, etc. Cela leur permet de mener à bien leurs programmes, parfaitement planifiés à l’avance. Mais il y a un autre facteur clairement exposé et que certains, apparemment dissidents, ne veulent même pas mentionner.

Il s’agit du concept de dissidence contrôlée, de fausse dissidence ou de faux dissidents. Il s’agit de personnes qui prétendent œuvrer pour la dissidence et la clarification de la Vérité, mais qui, néanmoins, introduisent toutes sortes d’obstacles pour qu’elle ne soit pas mise en lumière. Ce phénomène a été introduit dans toutes sortes de guerres. Et je ne dévoile rien de nouveau si je dis que nous sommes dans la pire des guerres, où l’ennemi à abattre est l’être humain lui-même.

[Voir aussi :
L’opposition contrôlée, selon Stanislas Berton
Opposition contrôlée et infiltration : comment les reconnaître ?
L’illusion du choix et de la liberté — L’opposition contrôlée est un mouvement de protestation dirigé par des agents du gouvernement]

M del A : Peut-on dire qu’il s’agit d’une action de contre-espionnage et qu’il existe un protocole d’action qui, dans ce cas précis, fonctionne ?

Ricardo Delgado sur le mal qui se cache derrière l’intention.

R D : C’est exact. Et dans cette façon d’agir, il y a plusieurs stratégies que je vais énumérer, en me référant au cas en question :

En général, les T.H.E.Y. The Hierarchy Enslaving You » : La Hiérarchie qui vous asservit. Et THEY : EUX] font tout leur possible pour retarder une première découverte, ou éliminer tous les « bons indices » qui arrivent, permettant la mise en œuvre de l’objectif qu’ils ont. Dans ce cas particulier, il s’agit de dissimuler l’utilité de l’oxyde de graphène en tant qu’interface.

— Ils se caractérisent par la négation des preuves ou des propriétés qu’elles présentent. Par exemple, ils nient l’existence du graphène dans les « vaccins », ainsi que le phénomène magnétique de l’inoculé ou l’émission d’adresses MAC détectées par Bluetooth.

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables]

— Ils s’infiltrent dans les bonnes recherches pour tenter de les retarder, en utilisant toutes sortes de stratégies.

— Ils introduisent de nouveaux foyers, supposés nocifs, pour neutraliser les dommages générés par la véritable cause, mais qu’ils doivent couvrir à tout prix. Par exemple, ils essaient d’envelopper l’oxyde de graphène avec du venin de serpent, des isotopes radioactifs, du venin d’abeille, des métaux lourds ou la fameuse protéine Spike (qui est précisément la réponse à l’introduction du graphène dans la biologie).

— Ils essaient d’envelopper la CLÉ avec n’importe quel élément distrayant afin qu’elle perde sa force.

— Ils recourent à la violence et aux attaques personnelles, manipulant ou déformant même la vie personnelle de ceux qui découvrent les preuves qui doivent être dissimulées.

— Normalement, ils sont financés économiquement par le système lui-même, ou bénéficient de promesses de promotions sociales dans le même domaine ou d’autres types d’avantages.

— Les groupes de dissidence contrôlée ont été créés avant que de véritables collectifs de dissidents n’apparaissent naturellement face à l’avancée de la situation qui commençait à nous affecter tous. Comme dans toute guerre, l’ennemi dispose de ces groupes, créés dans différentes parties du monde et avec des étiquettes similaires pour contrecarrer, capturer, effondrer et neutraliser les découvertes des groupes humains qui cherchent la vérité. Un exemple très significatif de ces groupes est celui des collectifs « pour la vérité », créés a priori dans différentes parties du monde et qui ont tenté de discréditer toute recherche, preuve ou découverte générée à partir de l’observation par des groupes véritablement dissidents.

— Comme la version officielle elle-même, ils utilisent dans leurs noms et leurs slogans des attributs dont la signification réelle est juste à l’opposé de la façon dont ils sont étiquetés. La véritable signification de « par la vérité » est « dissimuler la vérité ».

— Ils sont généralement actifs dans le Système lui-même, soit dans le domaine de la santé, soit dans le milieu universitaire ou autre (médecins, collèges officiels de biologistes, etc.).

— Ils sont organisés de manière hiérarchique, de sorte que leurs sommets sont occupés par des « porte-parole » qui gouvernent et parasitent tout le discours du collectif, de sorte que personne n’a d’opinion individuelle, et s’il en a une, elle est éclipsée par le sommet lui-même. Ainsi, ils dirigent le message où ils veulent et cachent les preuves.

— Ils introduisent des bots et des adeptes fictifs, ainsi que des trolls agressifs, sur diverses plateformes pour donner l’impression qu’ils bénéficient d’un soutien humain inconditionnel. En réalité, pratiquement personne ne les suit. Ce fait est évident lorsqu’ils donnent des conférences en public, qui sont suivies par un petit nombre de personnes.

— Ils sont chargés de capturer les personnes qui doutent de la version officielle (médecins, universitaires, avocats, journalistes, etc.) et de les introduire dans des collectifs, préalablement créés, pour éclipser le message qu’ils pourraient transmettre. Une fois à l’intérieur du collectif, ils sont liés aux directives du porte-parole de celui-ci. Par exemple : Avocats pour la vérité, ou Journalistes pour la vérité. Ils ont tendance à baser leurs « recherches » sur les « papiers » eux-mêmes, qui sont rédigés dans la version officielle, contre laquelle ils sont censés s’opposer.

— Ils ne font jamais de véritables analyses à l’aide d’outils scientifiques, car cela les obligerait à manipuler les résultats, à cacher ce qu’ils ont découvert. Au lieu de faire des recherches, ils préfèrent dire : « L’analyse des vaccins est une perte de temps » ; « Ne regardez pas au microscope, car vous ne verrez rien », ou « Obtenir des vaccins est très difficile ».

— Les travaux de ceux qui analysent au RAMAN, au microscope optique, au microscope électronique ou à toute autre technique permettant de SAVOIR comment caractériser le composant clé des « vaccins » sont ridiculisés et attaqués par cette fausse dissidence avec des arguments de pacotille. La plupart de ces attaques sont virulentes et personnelles.

— Ils utilisent leurs titres pour parler par « principe d’autorité » donné par la même institution ou celle à laquelle ils appartiennent, mais pas par « principe scientifique de preuve ».

— Ils utilisent les arguments de la version officielle — contre laquelle ils luttent apparemment — pour discréditer des travaux sérieux et indépendants. Par exemple, en s’appuyant sur les brochures officielles des « vaccins », alors que, précisément, des composants NON déclarés dans ces derniers sont dénoncés et pourraient faire tomber toute l’opération.

— Ils s’approchent des découvertes prouvées, avec lesquelles ils parviennent à capter un certain nombre d’honnêtes gens, puis se débarrassent de ce paradigme et reviennent à d’autres centres d’intérêt. Par exemple, ils admettent l’existence du graphène, mais soutiennent qu’il y en a très peu dans les « vaccins », ou reconnaissent que les vaccinés émettent des adresses MAC, mais rejettent le graphène.

— Ils se targuent de phrases telles que « Nous devons tous être unis » ou « Ensemble, nous sommes plus forts », précisément pour s’infiltrer.

— Ils se concentrent sur les dommages, mais pas sur la cause réelle qui en est à l’origine.

— Ils s’emploient à dénoncer des problèmes mineurs, afin de minimiser l’impact de ce qui est le plus dommageable. Par exemple, dénoncer les masques, la perte de libertés et de droits, ou l’inefficacité du test PCR, tout en dissimulant l’introduction de l’interface dans les produits injectables, qui est l’objectif pour atteindre le transhumanisme.

M del A : S’il en est ainsi, le citoyen ordinaire a la vie dure. D’une part, il est trompé par le système, et d’autre part, par ceux qu’il croit chercher la vérité. Avez-vous un dernier conseil à donner pour terminer ?

Richard Delgado explique au public comment nous pourrions mettre un terme
à cette évolution vers le transhumanisme.

R D : L’identification de ces « personnes » est vitale pour continuer à avancer, mettre en lumière les PREUVES et arrêter ou prévenir l’opération. La fausse dissidence est la première ligne de bataille que l’ennemi envoie dans nos rangs. Il y a des gens de bonne foi, qui n’ont pas appris à les identifier, et qui « font semblant d’avoir raison avec tout le monde », mais c’est tout simplement impossible, parce qu’ils font confiance et communiquent avec des traîtres, tous les jours et sans le savoir. Ils doivent choisir et abandonner tout autre intérêt que la Vérité, avant tout. Il n’y a pas de place pour les demi-mesures, en raison de la gravité à laquelle nous nous exposons. Nous ne pouvons pas permettre que la fausse dissidence continue à essayer de discréditer les preuves, et que celles-ci ne soient pas mises en lumière avec suffisamment de force, assurant ainsi la poursuite de l’opération contre l’être humain. C’est-à-dire la fin de l’ère humaine par le transhumanisme.

La conférence sur la chaîne Odysee de La Quinta –
Conference of La Quinta Columna: The game is over (19 March 2023)
(Aussi sur DGTV.)



Source : En espagnol : Periodista Digital – Ricardo Delgado: «A pesar de la evidencia, lo siguen negando»




La caverne de Platon

Par Bernard Thoorens

Je ne doute pas qu’une grande partie des lecteurs de ce site connaisse cette histoire, mais elle pourra leur servir à convaincre leur entourage : elle n’est pas inutile pour approfondir la notion de pensée/opinion/croyance versus connaissance/vérité et de monde sensible versus monde intelligible. Les quelques réflexions qui y ont été ajoutées pourront aider à prendre conscience de la réalité de notre environnement social, politique et spirituel.

Platon, philosophe du IVe et IIIe siècle avant Jésus-Christ, nous raconte la quête de la vérité au moyen de l’allégorie de la caverne. Conscient que sa philosophie n’est pas accessible à tout le monde, il utilise une allégorie, c’est-à-dire une image, tout comme Jésus qui, pour la même raison, utilisait des paraboles.

Pour Platon, depuis l’enfance nous vivons dans l’illusion, c’est la caverne, et nous en sommes prisonniers. Les habitants de la caverne voient des ombres projetées sur les murs. Elles symbolisent nos idées préconçues, nos opinions, nos pensées, nos idées, nos croyances. Cet univers nous apparaît comme la vraie vie, le réel. Nous ne le remettons pas en cause et nous vivons dans un conformisme intellectuel qui nous satisfait. Ceux qui projettent les ombres, les marionnettistes, manipulent les prisonniers ; ce sont des hommes politiques, des marketeurs qui « créent le besoin », des vendeurs de rêve.

Cependant tout cela nous trompe, nous cache la vérité, car ce que nous croyons est faux, notre rapport avec le réel est faussé, mais nos croyances ont la vie dure, tant elles sont ancrées dans nos esprits depuis longtemps et tant les marionnettistes les entretiennent avec empressement et perversité.

Puis le philosophe intervient, tel le professeur de philo dans « Le Cercle des poètes disparus », pour aider les prisonniers à sortir de la caverne malgré leur peur de l’inconnu. Une fois sortis, ceux-ci se rendent compte qu’ils ont été manipulés et maintenus dans l’ignorance par les marionnettistes. Leur découverte de la connaissance change leur vie, les rend libres et les rend heureux.

Platon utilise l’allégorie de la caverne pour nous dire que nous avons deux manières d’appréhender le monde autour de nous : une approche sensible et une approche intelligible. Pour lui l’éducation, c’est-à-dire la connaissance de la vérité des choses, consiste à passer de l’illusion du sensible à la connaissance intelligible, car le sensible est toujours subjectif. L’information qu’on nous délivre dans les médias télévisés s’adresse à notre être sensible : de l’émotion, du sensationnel, de la passion, de l’instinctif, jamais de réflexion. Cela rejoint bien la prosopopée de Carfantan (https://nouveau-monde.ca/le-conditionnement-collectif/)

L’allégorie de la caverne est une invitation à distinguer les apparences (les choses telles que nous les percevons) de la vérité (la correspondance entre nos idées et les Idées, qui sont intelligibles) pour découvrir la connaissance, le savoir, le réel, la liberté, le bonheur.

Appliqué à notre contexte local le plus récent, nous pouvons comprendre la connaissance, par exemple, comme étant la machination COVID mondialisée, relayée par les gouvernements et les institutions aux ordres, ou encore la guerre menée par l’OTAN-USA contre la Russie par Ukraine interposée. Un observateur attentif de la condition humaine, Daniel Vanhove, a écrit un article « D’où provient cette confusion générale observée en Occident ? » qu’il conclut ainsi :

« À la question posée en titre, d’une confusion que l’on observe et se généralise en Occident, un essai de réponse : elle résulte des mensonges hissés au rang de vérités et martelés par ceux qui ont le pouvoir et le contrôle des médias, allant jusqu’aux inversions accusatoires pour les étayer. C’est le résistant palestinien qui devient terroriste et le colon israélien la victime ; c’est le citoyen refusant l’injection génique qui est le danger et non le poison injecté ; c’est le chômeur licencié qui est fainéant et non l’entreprise qui maximise ses profits au détriment de l’humain ; ce sont les Gilets Jaunes les violents et non la police d’un État de droits qui mutile et tue ; ce sont les USA la démocratie exemplaire, et non les pays qui refusent ses diktats et sont alors soumis à d’impitoyables sanctions ; c’est S. Hussein et ses armes de destruction massives le danger et non C. Powell et sa fiole qui ment à l’ONU ; c’est la Russie qui est responsable de la guerre et non l’OTAN usant de l’Ukraine pour se rapprocher des frontières russes ; ce sont les chaînes d’infos et leurs journaleux qui détiennent la vérité, et non E. Snowden, réfugié en Russie, J. Assange qui croupit en prison anglaise, et d’autres encore qui sont parfois liquidés, dans l’indifférence générale de nos élus hypocrites, dépravés, malhonnêtes, etc. dans une liste longue comme un bras. Et, pensez-vous que cette situation imposée par la force peut se perpétuer sans retour de bâton ? Ce serait naïf : l’ordre de ce monde profondément injuste mené par l’Occident menteur et corrompu est en train de basculer. Et ce sera irréversible… quoi qu’il en coûte ! »

On reconnaît là la perversité d’une dérive totalitaire qui commence par modifier le langage, détourner les concepts, inverser le sens des mots pour mettre de la confusion dans les esprits. La spécialiste de ces comportements pathologiques, Ariane Bilheran l’explique très bien dans ses chroniques.

Je crois cependant que de la part de nos dirigeants ce n’est pas une maladie, seulement une perversité démoniaque. Jean Tardy, dans un article intitulé « Progressisme et paganisme — L’émergence d’un nouveau tribalisme », écrit :

« Devant ces comportements apparemment incompréhensibles, plusieurs concluent que les mondialistes sont tous des psychopathes ou des sociopathes. Autrement dit, ils souffriraient collectivement de maladie mentale !

Il n’en est rien. Ce que nous observons, au sein de l’élite mondialiste, c’est la rupture morale typique du tribalisme préchrétien et ses conséquences sur le comportement. Les promoteurs du Great Reset et leurs agents ne sont pas des fous. Ils sont aussi normaux que les Assyriens, les Romains ou les Aztèques l’étaient à leur époque ; leur comportement résulte de la même rupture et ils seront capables des mêmes atrocités. »

Déjà en 1907, c’est-à-dire peu de temps après la séparation de l’Église et de l’État, le pape Pie X écrivait dans sa lettre encyclique « Une fois encore » adressée au peuple français :

« On a déclaré la guerre à tout ce qui est surnaturel, parce que derrière le surnaturel, Dieu se trouve et que ce que l’on veut rayer du cœur et de l’esprit de l’homme, c’est Dieu. »

Et s’il fallait une preuve de plus de cette œuvre satanique, on pourrait évoquer l’avenir de notre société : nos enfants et l’éducation qu’ils « reçoivent » à l’école.

L’école laïque n’est que le prolongement de l’idéologie des loges talmudo-maçonnique, son but comme l’a dit le Pape Léon XIII dans Humanum genus est de « détruire tout ce que le christianisme a apporté dans la société, la famille, l’école, la justice et la paix. »

En 1886 le franc-maçon Jules Dequaire Grobel, inspecteur d’Académie, a dit à un Convent du Grand Orient [loge maçonnique] :

« Le but de l’école laïque n’est pas d’apprendre à lire, à écrire et à compter, c’est de former des libres-penseurs. Lorsqu’à 13 ans il a quitté les bancs de l’école, l’élève n’a pas profité de l’enseignement s’il reste croyant. L’école laïque n’aura porté ses fruits que si l’enfant est débarrassé du dogme, s’il a renié la foi de ses pères, s’il a renoncé à la foi catholique.

L’école laïque est un moule où l’on jette un fils de chrétien et d’où s’échappe un renégat.

Comme les choses n’iraient pas assez vite à notre gré pour que l’apostasie soit générale, nous nous emparerons du monopole de l’enseignement et alors force sera aux familles de nous livrer leurs enfants. »

Édifiant, non ?

Pour reprendre notre propos, nous pouvons aussi comprendre la connaissance, une fois sortis de la caverne, à un deuxième niveau, le premier étant celui des hommes, de la vérité sur leurs méfaits, les manipulations et les mensonges des dirigeants, de leurs commanditaires et de leurs affidés, sur ce qu’est réellement le mondialisme.

Le deuxième niveau, nous l’avons bien compris, se situe au plan spirituel. C’est un sujet très peu évoqué chez les éveillés/résistants (on ne nous appelle plus « complotistes »), tout juste effleuré. Il est traité essentiellement par les gens d’Église, et encore, leurs articles concernent bien souvent le Pape. Il faut dire qu’avec un Pape qui promeut la vaccination en faisant figurer sur la monnaie vaticane un enfant qui se fait piquer ; en approuvant le traité de Lisbonne qui légalise les droits des minorités sexuelles ; en concluant une « alliance mondiale » avec les Rothschild, la Fondation Rockefeller et les grandes banques mondiales pour créer une Grande Réinitialisation (great reset) ; en vouant un culte au dieu païen Pachamama en compagnie de dignitaires de haut rang ; en acceptant de planter à l’entrée du Colisée une statue géante du dieu païen Moloch à qui l’on brûlait des enfants vivants en guise d’offrandes (le Colisée, propriété du Vatican, est l’un des amphithéâtres où des premiers chrétiens ont été torturés et exécutés pour divertir les foules païennes) ; ce Pape n’honore pas la communauté catholique. Et en tant que guide suprême des catholiques, il prend un sacré risque personnel vis-à-vis du Seigneur.

Tout se passe donc comme si ce deuxième niveau était tabou ou hors sujet. Or il serait utile de recadrer les événements que nous subissons dans leur contexte spirituel. Après tout, notre avenir est bien plus important après, qu’avant notre mort. Je vous propose ce sujet dans l’article https://nouveau-monde.ca/vivre-et-mourir/.






Macron sociopathe ?! Essai de profiling d’un président à la dérive

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

Nous ne le cachons pas : l’exercice est périlleux. La tentation a en effet existé de tout temps de dévoyer le débat politique en psychiatrisant les opposants ou même ses adversaires.

Ce fut en particulier, de sinistre mémoire, un trait caractéristique des régimes totalitaires. On se souvient ainsi comment Andreï et Elena Sakharov furent séquestrés en hôpital psychiatrique et médiqués à grands coups de neuroleptiques pour leur apprendre à critiquer le régime soviétique.

Plus récemment, Shirin Hatam, éminente juriste de l’organisation en santé mentale que je dirigeais alors, a rédigé une excellente analyse pour critiquer le recours à des étiquettes psychopathologiques pour qualifier Donald Trump – et croyez-moi, ses propres convictions politiques n’inclinaient aucunement dans le sens de celles du magnat de l’immobilier new-yorkais. Son point était de rappeler que nul ne doit ni ne peut juridiquement souffrir de discriminations du fait d’un diagnostic psychiatrique.

  • Pour lire « Trump et les droits des personnes souffrant de troubles psychiques » dans Le Temps : cliquer ici.

On a aussi vu, lors du diligent travail de propagande mené par les médias mainstream contre l’opposition à la politique sanitaire absurde et destructrice qui nous était imposée, certains titres avoir recours à des pseudo-études scientifiques pour dénigrer un peu plus les opposants. On a ainsi entendu que les gens qui refusaient de porter le masque (parfaitement inutile et nocif pour la santé) étaient des « narcissiques », des « personnalités antisociales » sinon « borderline ».

C’est dire s’il convient de prendre des précautions avant de s’aventurer sur ce terrain même sur lequel je prends ici la responsabilité de vous inviter.

Il importe malgré tout de ne pas être aveugle quant la réalité des risques liés aux caractéristiques psychopathologiques des personnalités avides de pouvoir ou y ayant accédé.

L’usage frénétique et malhonnête de l’éthique de « complotiste » par la presse corrompue a réalisé le travail de sape attendu des bons repères anthropologiques et culturels à cet égard.

  • Pour lire « Complotiste » : une étiquette manipulatoire  sur Anthropo-logiques : cliquer ici.
  • Pour lire « Misère de l’anticomplotisme » par Christian Ferrié, docteur en philosophie et en sciences politiques : cliquer ici.

Avant cette manipulation soigneusement orchestrée, il était non seulement de notoriété publique mais faisait même partie de notre bagage culturel ancestral que la recherche compulsive du pouvoir était en elle-même pathologique. Les obsédés dont il est question ayant comme particularité de n’avoir ni scrupules ni vergogne et donc d’être prêts à tout pour se hisser au pouvoir. Puis, une fois qu’ils y sont parvenus, pour s’y maintenir.

Le paradoxe du pouvoir

L’autre processus incontournable est que l’accession à des positions de pouvoir tend à faire perdre un ensemble de compétences utiles pour y accéder. Cela été abondamment étudié dans le domaine de la neuropsychologie sous la dénomination de « paradoxe du pouvoir » : l’exercice du pouvoir isole, tend à faire perdre l’empathie et même une capacité d’écoute élémentaire de tout point de vue divergent. Ce que décrit depuis longtemps l’entourage d’Emmanuel Macron…

  • Pour lire « Power Causes Brain Damage » sur Atlantico (en anglais) : cliquer ici.
  • Pour lire Emmanuel Macron “n’écoute personne”, le président s’isole au grand dam de ses soutiens dans Gala (si, si!) : cliquer ici.

Le vénérable Lord Acton avait troussé à la fin du XIXe siècle cette petite formule que nous avons tous entendue  :

Il existe donc une difficile réalité psychopathologique impliquée dans les réalités du pouvoir et a fortiori lorsque son exercice dérape dans des formes d’autoritarisme, de violence et même d’absolutisme.

C’est hélas la configuration dans laquelle se retrouve actuellement la France.

Le président actuel montre en effet -c’est ce que je montre dans l’analyse qui suit- un ensemble de caractéristiques propres aux profils les plus dangereux que l’on qualifie aujourd’hui de « sociopathes ». La sociopathie est une structure de la personnalité ainsi qu’un état d’esprit caractérisé par ce que les criminologues appellent désormais la tétrade noire.

Il s’agit de la combinaison de quatre traits principaux qui sont :

  • le narcissisme : « moi seul existe, les autres ne sont que des marionnettes sur la scène de mon monde » ;
  • le machiavélisme : « je suis prêt à toutes les manipulations et ne suis jamais engagé en aucune manière par ma parole ni les principes éthiques ou déontologiques qui prévalent » ;
  • la psychopathie, soit l’absence totale d’affect vis-à-vis des émotions des autres, en particulier l’expression de la douleur ;
  • le sadisme, c’est-à-dire la jubilation à infliger de la souffrance ou de l’humiliation à autrui.

Albert Jacquard nous avait averti, il y a une trentaine d’années, que nous étions en train de construire une société dangereuse : la compétition à outrance, qui s’est progressivement instaurée au détriment de la coopération comme mode par défaut de tous nos systèmes sociaux, tend à privilégier l’accession au pouvoir de profil sans foi ni loi, prêts à marcher sur les autres ou à user de tous les coups tordus pour arriver à leurs fins. Ainsi que de profils conformes, ceux qui ne prendront jamais aucun risque pour défendre l’éthique, la vérité ou l’honneur, excellant de ce fait dans la banalité du mal.

Force est de constater que c’est la situation qui prévaut aujourd’hui en France comme dans d’innombrables pays.

Le Conseil constitutionnel est composé d’un certain nombre de repris de justice ou de personnes ayant trempé dans des scandales extrêmement graves. Le gouvernement compte un nombre de « mis en examen » sans précédent. Le « président de la république » se comporte comme un autocrate complètement isolé et replié sur lui-même, de l’aveu même de ses propres troupes, avec des manières qui sont celles d’une petite frappe de banlieue. La violence d’état, verbale comme physique, avec le mensonge, sont devenus le registre banal de la clique au pouvoir.

Ajoutez à l’équation que l’État est infiltré par des intérêts économiques étrangers, par le biais de cabinets de conseil qui se sont vus attribuer des mandats faramineux pour se substituer à l’administration et aux corps constitués. Ainsi que l’existence d’une véritable « mafia d’état », pseudo élite privilégiée dont le but, depuis longtemps, est la préservation de ses propres intérêts et privilèges sans plus d’égards pour le bien commun et l’intérêt public.

  • Pour voir la présentation du livre « La mafia d’état » par Vincent Jauvert aux éditions du Seuil : cliquer ici.
  • Pour voir la présentation du livre « Les Infiltrés » de Matthieu Aron et Caroline Michel-Aguirre  aux éditions Allary : cliquer ici.

Une vaillante capitaine de police vient d’indiquer dans une interview à QG, un média libre : « nous ne sommes plus une police républicaine mais un bras armé du gouvernement. »

  • Lien vers l’interview «Police: se taire ou dégager» sur Quartier Interdit : cliquer ici.

La représentation nationale, en pleine faillite politique et morale, passant son temps à se chamailler sur des chiffons idéologiques brandis par le pouvoir en guise de détournement d’attention (comme la prochaine figuration de Marianne Schiappa dans Playboy) le peuple est laissé sans protection et sans défense face aux abus violents et illégaux du pouvoir macronien.

Les ministres en vue montrant les mêmes traits de caractère que ceux de la psychopathologie présidentielle, il nous faut oser l’hypothèse que nous faisons désormais face à un système gouvernemental  pervers, violent et dangereux.

C’est ce que je me suis permis de décrypter à votre attention dans la vidéo qui suit.

Si ce constat n’est évidemment pas rassurant, il avait accessoirement déjà été dessiné par un psychiatre italien, le Pr Adriano Segatori, dont je fais figurer deux éclairages à la suite de ma présentation.

Donner de l’intelligibilité aux choses reste une priorité absolue si nous voulons entretenir l’espoir d’un sursaut civique et citoyen, d’un réveil de la conscience populaire pour ne pas nous laisser maltraiter plus avant de la manière odieuse et profondément illégitime qui est mise en œuvre par la clique au pouvoir.

« Macron est un psychopathe », l’analyse d’un psychiatre italien

Qui est vraiment Emmanuel Macron ? par Adriano Segatori






DU GRAND RÉVEIL

[Source : stanislasberton.com]

Par Stanislas Berton

« Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libres. »

Jean 8:32

L’événement le plus considérable de notre époque est le déchirement progressif du voile du mensonge qui recouvrait la réalité. Peu à peu, les populations occidentales découvrent un monde bien différent de celui qui leur avait été enseigné à l’école, présenté par les pouvoirs publics et diffusé par les médias de masse. Si une part croissante de la population a compris qu’elle vit sous « l’empire du mensonge » et qu’une minorité de dangereux fanatiques a pris le contrôle de l’État et utilise désormais les moyens de ce dernier pour mener une guerre impitoyable à son propre peuple, moins nombreux sont ceux à avoir compris l’ampleur des mensonges sur lesquels sont fondées nos sociétés.

Or, il ne peut y avoir de grand réveil ou de libération des peuples sans découverte de cette vérité maintenue cachée par les tyrans qui nous gouvernent et pour lesquels le mensonge est devenu un mode à part entière de gouvernement. Comme l’explique Martin Geddes dans un essai récemment traduit sur ce sitecette prise de conscience s’apparente à un retour à l’école primaire : quand tout est faux, tout est à réapprendre.

Dans cet essai, je vous propose une liste non exhaustive des principaux mensonges politiques, financiers, économiques, historiques, médicaux, scientifiques, culturels, philosophiques et spirituels afin de vous aider à évaluer le chemin que vous avez déjà parcouru vers le grand réveil et le travail qu’il vous reste peut-être à accomplir.

– politique

Savez-vous que nos dirigeants politiques, tous bords confondus, ne sont que des marionnettes sélectionnées en amont dont la légitimité repose sur des sondages bidons, des élections truquées et dont l’obéissance est garantie par la menace et le chantage ? Savez-vous que le vrai pouvoir réside dans des institutions comme le Council on Foreign Relations, le groupe Bilderberg ou le Forum économique mondial de Davos où nos dirigeants élus « démocratiquement » vont chaque année recevoir leur feuille de route ? Savez-vous que les dirigeants de ces organisations se vantent publiquement d’être parvenus à infiltrer la plupart des gouvernements de la planète ? Savez-vous que ces institutions elles-mêmes sont contrôlées par de puissantes dynasties familiales (Rothschild, Rockefeller, Warburg,…) qui ont remplacé ou coopté l’ancienne aristocratie ? Savez-vous que ces puissantes familles ont pour projet la dépopulation, la gouvernance mondiale et l’avènement d’une société de la surveillance généralisée dans laquelle « vous ne posséderez rien, mais vous serez heureux » ?

[Voir aussi :
Les maîtres du monde : qui sont ces puissants qui dirigent le monde ? Par Dr Vladimir Zelenko & David John Sörensen
Quelles sont les structures de pouvoir qui gouvernent le monde ?
Les projets des Maîtres du Monde
Vera Sharav : « Un groupe d’oligarques a capturé les gouvernements de la même manière que les nazis »
Entrevue intégrale de Mila Aleckovic (docteur en psychopathologies) pour comprendre ces psychopathes qui nous gouvernent
Les Nations-Unies sous le contrôle des oligarques
►Articles et vidéos de Monseigneur Viganò
►Articles sur Klaus Schwab
►Articles sur la Réinitialisation (ou Great Reset), le transhumanisme ou la dépopulation
Les fake news de l’État profond : Les manipulateurs du gouvernement contrôlent le cycle de l’information]

– économique

Savez-vous ce qu’est une banque centrale ? Savez-vous qu’en dépit de leur intitulé « officiel » (Banque d’Angleterre/Réserve Fédérale), il s’agit en réalité d’organisations privées possédant un monopole sur l’émission de la monnaie et utilisant ce privilège pour contrôler les États et les gouvernements par la dette ? Savez-vous que la Banque de France fut créée par Napoléon en 1804 et qu’il en fut l’un des principaux actionnaires avec des banquiers suisses ? Savez-vous que la loi 3 janvier 1973 imposa à l’État français de se financer auprès des banques privées et non auprès de la Banque de France, nationalisée en 1945 ? Avez-vous conscience de la quantité astronomique de monnaie créée dans le monde depuis la crise de 2008 ? Savez-vous que cette fausse monnaie été utilisée pour acheter des actifs bien réels (actions d’entreprise, terres agricoles, immobilier) et que cette création monétaire débridée s’apparente à un véritable casse du siècle au profit des plus riches et au détriment des plus pauvres et des classes moyennes ? Avez-vous conscience que la « richesse » de nos pays « développés » est en grande partie fictive, car elle ne repose plus sur une production réelle, mais principalement sur des flux financiers et des activités de service ? Pour finir, savez-vous que nous nous dirigeons vers des monnaies numériques directement contrôlées par les banques centrales où chacune de vos transactions pourra être identifiée et surveillée ?

https://youtu.be/QgttY3S_aBU

[Voir aussi :
Les financiers sont les maîtres du système
De l’empire britannique au IVème Reich
Le pari satanique des autorités financières mondiales
D’ici 2028, BlackRock et Vanguard posséderont « presque tout »
Vers la dématérialisation complète de la monnaie ?
Ce que planifient les banquiers centraux d’après Catherine Austin Fitts
⚡️ La disparition du cash est en marche : cryptomonnaies et destruction des libertés]

– historique

Dans quelle mesure avez-vous conscience que l’Histoire enseignée à l’école et diffusée par les médias ne correspond pas à la réalité ? Savez-vous par exemple que le Moyen-Age était loin d’être cette époque barbare et obscurantiste, mais peut-être légitimement considéré comme l’âge d’or de la civilisation occidentale ? Savez-vous que nombre des philosophes des « Lumières » comme Voltaire étaient des menteurs, des escrocs et ne pratiquaient pas en privé les valeurs qu’ils prétendaient défendre en public ? Savez-vous que la Révolution Française ne fut pas un mouvement populaire spontané, mais une « révolution de couleur » préparée de longue date par des sociétés secrètes dont la Franc-Maçonnerie ? Savez-vous que la destruction du catholicisme, l’abolition de la monarchie et la mort du roi Louis XVI furent décidées dès 1782 au Congrès de Wilhemsbad ? Savez-vous qu’en 1917, la révolution bolchevique fut financée par des grandes sociétés financières de Wall Street dont Trotski était l’agent ? Connaissez-vous le rôle joué par les puissances financières américaines et anglaises dans le financement du parti nazi et l’ascension d’Hitler ? Savez-vous que la déclassification récente de documents par le gouvernement américain met en évidence le rôle de la CIA dans l’assassinat du président Kennedy ? Savez-vous que le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères a publiquement accusé les États-Unis d’être responsables du 11-septembre ? Vous souvenez-vous des « preuves » concernant les armes de destruction massive qui justifièrent l’intervention militaire américaine en Irak ?

[Voir aussi :
Les nazis ont-ils gagné la guerre ?
Les fondateurs de l’UE étaient financés par les USA pour installer un nazi comme président
Souvenirs de la montée du nazisme
Le discours de John F. Kennedy révélant l’existence des sociétés secrètes 10 jours avant son assassinat !
Lettre à Myriam Palomba sur les deux religions juives
La synagogue de Satan
École Arcane et Lucis Trust : mondialement influents, mais peu connus]

– médical

Savez-vous que la médecine « moderne » dite allopathique devrait plutôt s’appeler « rockfellerienne » ? Savez-vous qu’elle s’est imposée uniquement grâce à un puissant lobbying doublé d’une prise de contrôle total des écoles de médecine avec pour but d’imposer le médicament « synthétique » et les vaccins comme seuls remèdes aux problèmes de santé ? Savez-vous que de nombreuses études mettent en évidence les problèmes graves causés par la vaccination obligatoire des nourrissons et remettent en cause le rôle des vaccins dans la disparition des maladies infectieuses ? Savez-vous que la psychiatrie moderne et le recours massif aux antidépresseurs ont été dénoncés par de nombreux professionnels de santé ainsi que des chercheurs comme une gigantesque arnaque ? Savez-vous que l’ivermectine n’est pas seulement un remède efficace contre le Covid, mais pourrait également être un traitement extrêmement bon marché contre certaines formes de cancer ?

[Voir aussi :
Dossier Vaccins et virus avec notamment de nombreux articles qui remettent en cause même la théorie virale, de manière étayée, argumentée et scientifique, qui exposent le caractère non scientifique et frauduleux de la virologie, ou qui proposent un nouveau paradigme dans le domaine de la santé.]

– scientifique

Savez-vous que les plus grands scientifiques russes et ukrainiens ont développé une théorie remettant en cause l’origine fossile du pétrole ? Savez-vous que les prédictions alarmistes du GIEC et l’influence de l’activité humaine sur les changements climatiques sont largement contestées par nombre de scientifiques, y compris plusieurs prix Nobel ? Savez-vous que les principes d’évolution et de sélection naturelle chers à Darwin sont aujourd’hui largement remis en cause par les biologistes et les généticiens ? Savez-vous que plusieurs responsables de revues scientifiques réputées ont reconnu qu’une large partie de la littérature scientifique était falsifiée, exagérée ou tout simplement fausse ? Savez-vous que la transfusion de sang jeune (parabiose hétérochronique) constitue une véritable cure de jouvence utilisée comme remède miracle par les puissants de ce monde ? Savez-vous que la CIA a développé durant des décennies un programme de contrôle mental extrêmement puissant (MK Ultra) qui permet de contrôler des individus sans même que ceux-ci en aient conscience ? Savez-vous qu’il existe de nombreuses recherches sur l’utilisation des nanotechnologies, y compris sous formes injectables, pour contrôler directement la pensée et le comportement ? Comprenez-vous ce que veut dire le professeur James Giordano quand il affirme devant les futurs officiers de l’armée américaine que « le cerveau humain sera le champ de bataille du XXIe siècle » ?

[Voir aussi :
Quand la science devient pseudo-science
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Climat — Pourquoi la théorie de l’effet de serre est erronée et les autres articles du dossier Climat
►Dossier 5G et ondes pulsées avec notamment l’impact des ondes em et des champs électriques sur la santé
La fabrique des faux souvenirs et le dossier MK-Ultra
La fabrication des perceptions
Ariane Bilheran : « Seuls 3 types de profils résistent au déferlement totalitaire »
Comment fonctionne le contrôle mental réel
Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Des armes gouvernementales silencieuses pour mener une guerre secrète contre vous]

– culturel

Saviez-vous que la révolution sexuelle et la « libération des femmes » n’ont pas été des phénomènes spontanés, mais sont les fruits d’une grande opération d’ingénierie sociale organisée par des racistes et des eugénistes comme Margaret Sanger ? Savez-vous que de nombreux groupes de musique de la contre-culture des années 60-70 possédaient des liens étroits avec la CIA et l’armée américaine ? Savez-vous que Disney, ainsi que tous les studios de cinéma, les labels musicaux et les éditeurs de jeux vidéo, son étroitement liés à la CIA ainsi qu’au complexe militaro-industriel américain ? Avez-vous conscience que le divertissement de masse et la culture populaire ont été utilisés pour normaliser certains comportements (homosexualité, transgenre) ou croyances (magie, sorcellerie, satanisme) dans le cadre de programmes sophistiqués d’ingénierie sociale ?

[Voir aussi :
Transgenre
La guerre de Cinquième Génération et les Psyops contre les peuples
Derrière la « guerre cognitive » de l’OTAN : une « bataille pour votre cerveau »
Lumière sur les bals masqués de l’UNICEF pour « sauver » les enfants
Tyrannie technologique et caractère démoniaque du monde moderne — Un rappel de monseigneur Gaume
L’empoisonnement des nations : Pharmakéia, sorcellerie et BigPharma]

– philosophique

Savez-vous que toute la philosophie moderne repose sur la vision déterministe et mécaniste de l’homme comparé à une machine ? Avez-vous conscience que cette vision s’oppose totalement à la doctrine chrétienne du libre arbitre ainsi qu’à la philosophie thomiste et aristotélicienne sur laquelle fut fondée la civilisation occidentale ? Comprenez-vous que dans la philosophie moderne, les choses ne possèdent plus d’essence propre, mais ne sont plus que ce que nous en pensons ? Avez-vous conscience que cette vision qui place l’Homme et sa subjectivité au centre de toute chose a pour conséquence directe le relativisme, le transhumanisme et la remise en cause de l’idée même de Bien et de Mal ? Comprenez-vous que le matriarcat et le culte de la Terre-Mère ne constituent pas des « progrès », mais correspondent à un retour à la barbarie pré-chrétienne où le sang des sacrifices finit toujours par couler pour souder le groupe et apaiser la colère des dieux (René Girard) ?

[Voir aussi :
Végano-écologisme et transhumanisme : l’union sacrée dans la haine de l’homme et donc dans la haine de Dieu
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
François-Xavier Bellamy : « Le transhumanisme est d’abord une détestation de l’humain »
Le transhumanisme et l’image de Dieu]

– spirituel

Comprenez-vous que la réduction de l’existence à sa simple dimension matérielle (naturalisme) conduit à nier le surnaturel, c’est-à-dire le pouvoir de la prière, la possibilité des miracles et l’existence des anges et des démons ? Avez-vous conscience que la déchristianisation de l’Occident est le fruit d’une gigantesque opération ingénierie sociale visant à détacher l’Homme de Dieu jusqu’à lui rendre impossible d’imaginer qu’Il existe ? Savez-vous que la neutralité religieuse est impossible et que la « laïcité » n’est que le nom officiel donné à la religion républicaine de l’égalité, du progrès et des droits de l’homme à laquelle la plupart des Français ont été convertis sans même en avoir conscience ? Comprenez-vous la différence entre la vision satanique du monde qui prétend faire de l’homme l’égal de Dieu et la vision chrétienne fondée sur la liberté, la charité et l’amour du Créateur pour sa création ? Que savez-vous de la pratique du satanisme, des sacrifices humains et du trafic d’enfants chez nos classes dirigeantes ? Vous êtes-vous déjà penché sur les attributs du Diable et établi un lien entre ces caractéristiques et l’explosion du phénomène transgenre ? Que voulait dire Baudelaire quand il écrivait que la plus grande ruse du diable est de vous faire croire qu’il n’existe pas ?

[Voir aussi :
Inversion
« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs
La religion d’État. Quelques observations sur le culte mondialiste, par Mgr Carlo Maria Viganò
Une emprise sur l’Humanité
La religion de l’Antéchrist]

Ce quelques exemples vous permettront peut-être de mieux comprendre pourquoi le monde moderne est fondé sur une accumulation de mensonges ainsi que sur une inversion diabolique du sens même des mots. Vous comprendrez donc peut-être mieux pourquoi tous ceux qui osent se poser des questions et cherchent à sortir de la prison cognitive dans laquelle nous avons été enfermés sont systématiquement désignés comme des fous, des extrémistes et des complotistes.

Vous comprendrez mieux pourquoi le pouvoir a construit un système social, éducatif et culturel conçu pour récompenser ceux qui acceptent cette soumission mentale et punir impitoyablement ceux qui refusent de s’y plier. Dans un tel système, les gens « éduqués » ou « informés » (universitaires, élus, médecins, journalistes, intellectuels) sont souvent ceux qui ont été le plus exposés à la propagande de ce système et pour lesquels la contestation de sa légitimité, ainsi que la remise en cause de leurs propres croyances, serait le plus risqué, pénible et coûteux.

Pour empêcher le grand réveil des peuples, ce système a eu la suprême habileté d’encadrer sa propre critique et de définir, y compris pour les résistants, les thèmes qu’il est acceptable ou non d’aborder. A titre d’exemple, s’il est désormais possible de parler du Grand Remplacement, il n’est toujours pas possible d’évoquer les réseaux mondialistes qui ont théorisé, organisé et imposé ce dernier. S’il est possible de dénoncer les excès du capitalisme financier, il est impossible de porter la critique jusqu’aux banques centrales et le rôle joué par la famille Rothschild dans leur création et leur gestion. S’il est possible de dénoncer les effets secondaires des vaccins Covid et les risques de l’ARN messager, plus rares sont ceux qui parlent de l’oxyde de graphène, de la convergence biodigitale ou du projet global de dépopulation. Pour finir, si beaucoup de gens se battent aujourd’hui pour sauver la France, peu nombreux sont ceux qui affirment que ce combat est avant tout spirituel et qu’il est illusoire d’espérer le remporter sans l’aide de Dieu.

Lors de sa dernière rencontre avec Vladimir Poutine, Xi Jiping déclarait :

« Ensemble, nous mettons en œuvre des changements qui ne se sont pas produits depuis cent ans. »

Le Grand Réveil s’inscrit pleinement dans ce processus et nous impose, quel que soit notre statut, nos connaissances et nos responsabilités, de sortir de notre zone de confort et de remettre en cause nos certitudes pour nous libérer du conditionnement mental auquel nous avons été soumis. Charles Péguy disait qu’il faut toujours dire ce que l’on voit, mais que ce qui est encore plus difficile est de voir ce que l’on voit. Notre vie durant nous avons été conditionnés à ne pas voir et à rejeter ce que nous voyions par peur du ridicule, de la sanction ou de l’ostracisation sociale. Le Grand Réveil consiste à dépasser cette peur, à ouvrir les yeux et enfin dire « je vois ».

« Heureux les humbles » nous disent les Béatitudes. Heureux en effet ceux qui ont su rester humbles ou garder « l’esprit du débutant », car il leur sera plus facile d’ouvrir les yeux, de rejeter « Satan, ses œuvres et ses pompes » et d’accepter le nouveau monde qui est en train de naître. Lacan disait : le réel, c’est quand on se cogne et pour l’Occident ainsi que tous ceux convaincus de la supériorité d’un modèle civilisationnel aujourd’hui en faillite, le retour au réel risque d’être rude. Quant à ceux qui ont ouvert les yeux, à eux d’anticiper le choc, de sauver tout ce qui peut encore l’être et de se préparer à reconstruire notre civilisation sur un gigantesque champ de ruines.

« Aux hommes, cela est impossible, mais à Dieu, tout est possible. »

Matthieu 19:26

Pour aller plus loin :

De l’empire du mensonge (Geddes)
De la désinformation
Des bonnes questions (Geddes)
De l’état du front (Geddes)




Elon Musk est stupéfait après les révélations de François Hollande sur l’Ukraine et demande si la vidéo est réelle

[Source : lemediaen442.fr]

La vidéo qui fait le buzz sur les réseaux sociaux en ce moment montre l’ancien président français François Hollande piégé dans un canular par des Russes se faisant passer pour l’ancien président ukrainien Petro Porochenko. François Hollande avoue sans détour que les accords de Minsk étaient une ruse de l’OTAN pour militariser l’Ukraine, que les nations occidentales ont renversé le gouvernement ukrainien démocratiquement élu en 2014 et qu’il y a une participation à part entière de l’UE et de la France au conflit en Ukraine.

Article pour comprendre le contexte :
François Hollande piégé dans un canular : Il avoue la participation à part entière de l’UE et de la France au conflit en Ukraine

Des propos d’une extrême gravité venant d’un ancien président de la République ne pouvaient pas passer inaperçus. L’une des vidéos partagées sur Twitter par kanekoa.substack.com a atteint les 2 millions de vues en moins de 11 heures.

L’interview-canular de François Hollande est tellement explosif que le patron de SpaceX et Twitter, Elon Musk, n’en revient pas et demande sous la vidéo “Is this real?” (en français “C’est réel ?”). Le compte kanekoa.substack.com répond au milliardaire en lui renvoyant un lien vers Sud Radio.


Voici la vidéo en question :

Suite à ce coup de maître des Russes et aux aveux explosifs de l’ancien président français François Hollande, il sera difficile pour les médias grand public du monde entier d’ignorer ce scandale incroyable.




3 ans après Trump : un monde à la « dignité retrouvée » ?

[Source : quebecnouvelles.info]

Par Philippe Sauro-Cinq-Mars

Donald Trump est devenu aujourd’hui le premier président inculpé au criminel en raison d’une affaire de versement illicite d’argent de campagne à la pornstar [vedette du porno] Stormy Daniels lors de l’élection de 2016. Il a plaidé non coupable à sa comparution à New York et maintenant, le processus judiciaire se met en branle dans une véritable course contre-la-montre à l’approche des élections de 2024.

Cette accusation sans précédent dans l’histoire américaine, trois ans après la défaite du président controversé et sa quasi-disparition de l’espace public, fait désormais remonter à la surface les dissensions qui étaient communes entre 2016 et 2020. De part et d’autre du spectre, on retombe dans les insultes et les accusations de trahison.

De nombreux journalistes spéculent donc aujourd’hui sur le fait que Trump tentera de gagner du temps en allongeant le plus possible les procédures, en espérant être réélu avant leurs conclusions et bénéficier à nouveau de l’immunité présidentielle. Aucune mention n’est faite, cependant, sur les avantages politiques que peuvent tirer les démocrates de cette inculpation, et en quoi, de leur côté, ils chercheront logiquement à accélérer un verdict qui pourrait le rendre inéligible.

Encore une fois, on souligne à grands traits le support « irrationnel » des partisans du président déchu et on analyse avec gravité les comparaisons possibles avec les communautés sectaires. Dans un contentement à peine caché, la caste journalistique en profite pour malmener encore davantage les pro-Trump et les accuse de soutenir aveuglément leur champion. Il s’en trouvera peu pour souligner, cependant, que l’opposition acharnée, voire psychotique à Donald Trump relève de la même irrationalité, et n’est en ce sens qu’un effet miroir du support inconditionnel des trumpistes.

Et dans tout ce cirque, il faudra un jour avoir le courage de prendre un pas de recul et d’analyser honnêtement l’évolution politique des dernières années. Joe Biden avait promis le « retour de la décence » dans la politique américaine… Est-ce réellement le cas, ou ne sommes-nous pas au contraire dans une situation qui s’est nettement dégradée depuis le retour des démocrates ?

Le pire crime d’un président américain ?

On peut quand même se le demander : est-ce que ce qui est reproché à Donald Trump est réellement le pire crime qu’un président américain ait jamais commis ? Après tous ces scandales de soi-disant collusion avec la Russie, de « quiproquo » avec le président ukrainien, de « tentative de coup d’État », ce n’est qu’une vulgaire histoire de versement d’argent à une pornstar pour acheter son silence qui justifie l’inculpation de l’ancien président ? Vraiment ?

On peut comprendre que la chose relève du droit international et non de la justice américaine, mais il est difficile de ne pas penser au mensonge des armes de destruction massive en Irak utilisé par George W. Bush pour démarrer une guerre qui a profondément déstabilisé le monde et causé des centaines de milliers, voire des millions de morts. Et qu’en est-il des scandales ayant secoué l’administration Obama, avec son usage barbare de drones contre des populations civiles (et même des citoyens américains), ses programmes de surveillance par la NSA, etc.

Assange, Snowden ou Manning pourront vous en parler… Les véritables crimes des présidents, ils n’intéressent habituellement personne et on enferme plutôt ceux qui les dévoilent.

Dans tout ce brouillage médiatique qui fait du trumpisme la pire tare de la société occidentale, on passe aussi constamment sous silence des éléments beaucoup plus inquiétant de la politique américaine des dernières années dans le camp démocrate.

Qu’est-il advenu du scandale des emails d’Hillary Clinton, qui faisait preuve d’une négligence quasi criminelle dans la manipulation d’informations classifiées ?

Qui pour s’insurger que les démocrates aient mis la campagne Trump de 2016 sous écoute en créant un dossier bidon avec un de leurs collaborateurs, Christopher Steele ? Vous allez me dire qu’instrumentaliser les services de renseignement et espionner une campagne adverse serait moins grave que de conclure une entente à l’amiable avec une pornstar ?

La réalité, c’est que le système américain est gargantuesque et tellement puissant que le nombre de scandales possibles est incalculable. Des crimes, parfois d’une gravité extrême, il s’en commet dans les deux camps depuis des lustres… Et tout ça est bien connu. C’est pourquoi, habituellement, les présidents américains bénéficient d’une sorte d’immunité ; en temps normal, jamais, on n’aurait osé poursuivre un président pour une raison aussi ridicule que ce « scandale » du paiement à Stormy Daniels.

Ne pas voir le caractère politique de ces accusations, c’est aussi « sectaire » que de supporter aveuglément Donald Trump.

Censure de l’opposition

Maintenant, au-delà de la technicalité de cette nouvelle saga judiciaire pour Donald Trump, peut-on réellement dire que les Américains — et par extension le monde occidental — ont bénéficié de sa déchéance et de la prise du pouvoir par Biden en 2020 ? Le monde a-t-il réellement retrouvé sa dignité ?

Il faut quand même le dire ; quoiqu’on pense de « l’insurrection » du 6 janvier — qui s’apparente bien plus à une manifestation ayant dégénéré grâce à des négligences évidentes en termes de sécurité — Joe Biden a été assermenté devant un Washington occupé par l’armée, au même moment où on faisait disparaître complètement le président précédent des plateformes web et donc, de facto, de l’espace public.

Revirez ça comme vous voudrez, mais la comparaison avec une « république de banane » n’est pas venue de nulle part.

Les Twitter Files, dévoilés par Elon Musk après son achat de Twitter, ont démontré le niveau de coordination des démocrates avec ces géants du web… Il est difficile de prétendre à l’innocence.

Beaucoup de gens ont donc pensé, pendant trois ans, que Trump avait perdu en influence, alors qu’en réalité, il était simplement censuré partout. Cette censure et cette « culture de la cancellation [effacement, annulation] » souvent associée au wokisme est encore un enjeu qui inquiète une bonne part de la population. Et les accusations de complotisme pendant la pandémie n’ont fait que renforcer cette culture où s’éteint peu à peu la liberté d’expression.

Bref, s’il peut exister un tel niveau de coordination entre les médias et certaines factions politiques pour faire taire un président sortant, on peut s’imaginer ce qui est fait pour influencer l’opinion publique. Trois ans après Trump, dans cet occident de censure et de répression du débat, il est difficile d’y voir un « retour de la décence ».

Une économie au bord de la récession

Un élément, aussi, qu’on semble avoir bizarrement oublié, c’est la situation économique envieuse dans laquelle on se trouvait sous l’ère Trump en comparaison avec la situation catastrophique d’aujourd’hui.

Évidemment, on pourra toujours renvoyer la faute à la pandémie, qui a bouleversé le monde entier et qui a évidemment eu des impacts énormes sur l’économie. La chaîne d’approvisionnement a été déstabilisée, on a imprimé trop d’argent pour soutenir des populations entières qui ne travaillaient plus, on a dépensé des fortunes en mesures d’urgences précipitées, et évidemment, le climat de paralysie sociale était peu propice aux affaires.

Tout cela était attendu, mais nous en sommes sortis, de cette pandémie, et la reprise se fait attendre.

Biden, ainsi que beaucoup de ses homologues, dont Justin Trudeau, ne parvient pas à redémarrer complètement l’économie. L’inflation continue de monter et l’occident flirte avec la récession.

D’autant plus que les priorités ne sont plus vraiment à la reprise autant qu’à notre implication dans la guerre en Ukraine contre la Russie ou à nos objectifs de réductions de GES…

Un monde en guerre

On dira bien ce qu’on veut de Donald Trump, on pourra même dire qu’il était ami avec des dictateurs indéfendables comme Poutine ou Kim Jong-Un, mais d’un point de vue international, sa présidence a réglé plus de problèmes qu’elle en a causé. Trump n’a déclenché aucune guerre, il a surtout cherché à en terminer.

Lorsqu’il est arrivé au pouvoir, nous étions en pleine guerre contre l’État Islamique, avec des attentats réguliers un peu partout dans le monde, il s’est donc assuré d’annihiler cet état terroriste pendant sa première année. Le reste de sa présidence, il préférait les coups d’éclat, une salve de missiles semblable à celle des Russes en Syrie, la MOAB sur les Talibans en Afghanistan, le déplacement de la flotte américaine vers la Corée du Nord, etc. À la place d’enlisements militaires coûteux, il créait ainsi des symboles, des évènements géopolitiques pour marquer un point.

Il a alors promu une approche plus décentralisée, assumant en quelque sorte le caractère multipolaire du monde, promettant aux nations du monde de ne plus intervenir dans leurs régions si elles prenaient un peu plus leurs responsabilités en termes de terrorisme et de sécurité internationale.

Les anti-Trump primaires pourront bien refuser de le reconnaître, mais un certain optimisme régnait à l’international, et Trump était plutôt apprécié pour sa franchise et sa volonté pour les États-Unis d’être moins interventionnistes. Tout comme ils respectaient sa franchise lorsqu’il devait répondre avec force à une menace.

Même alors qu’il était visé par des soupçons de collusion avec la Russie, il a quand même osé tendre la main à Poutine pour chercher à établir une relation plus cordiale lors de leur rencontre à Helsinki.

En ce sens, on pourrait dire que la deuxième moitié des années dix étaient probablement l’apogée de « l’ouverture du monde » ; jamais les gens n’avaient autant voyagé dans l’histoire de l’humanité, et la situation politique et économique était particulièrement enviable.

Aujourd’hui, nous sommes à des années-lumière de cette situation. Nous sommes retournés dans des logiques de guerre froide et de compétition féroce, on sent l’Occident perdre l’initiative face à des puissances montantes et le cynisme politique semble partout l’emporter.

D’abord, la pandémie a eu pour effet de forcer la Chine à montrer ses vraies couleurs et son côté prédateur, et pourtant, nos gouvernements semblent complètement paralysés face à elle. Nous ne cessons de découvrir de nouvelles infiltrations de sa part, faisant craindre qu’elle influence nos politiciens au point de nous faire tomber sous son modèle totalitaire de « crédit social » d’ici peu. Les nouveaux développements technologiques ne font qu’augmenter cette peur dans la population.

D’autre part, nous sommes enlisés dans une guerre interposée contre la Russie en Ukraine, au point où, dans les derniers jours, les Russes ont déplacé des ogives nucléaires en Biélorussie. Si notre soutien au peuple ukrainien est vénérable, il faudra tout de même réaliser que mois après mois, la situation mondiale n’a fait que se dégrader, au point de craindre au déclenchement d’une troisième guerre mondiale…

D’autant plus que les rapports énergétiques sont déterminants dans cette guerre et que l’Europe s’est retrouvée en crise énergétique, alimentant encore davantage les problèmes économiques et l’instabilité mondiale. La Russie disposait alors du gros bout du bâton, ayant la main sur le robinet de gaz de l’Europe, et en cherchant à jouer les durs, les Occidentaux se sont fortement affaiblis.

Et malgré tout, dans cette situation catastrophique, ils trouvent le moyen de s’enfoncer encore davantage en s’imposant une transition énergétique prématurée qui consolide leur fragilité énergétique.

Wokisme et sénilité

Ainsi, ce « retour de la décence » post-Trump est beaucoup plus un « retour de l’aveuglement volontaire ». En aucun cas, sur aucun dossier, on ne pourrait affirmer qu’une présidence Biden a amélioré l’état du monde ou des États-Unis. Nous avons simplement renoué avec les pires tendances de la dégénérescence occidentale et censuré l’opinion contraire — i.e. le trumpisme.

La « guerre culturelle » contre les woke, si elle est sur toutes les lèvres, s’enlise elle aussi grâce au soutien tacite des démocrates et des institutions avec les pires factions d’extrême gauche de la société américaine. Les démocrates de Biden, qui sont bien prompts à accuser les républicains de tentative de coup d’État pour une manif qui dégénère, n’avaient pourtant aucun problème à soutenir des émeutes de Black Lives Matter où les pillages, les incendies et les violences étaient généralisés.

De manière générale, la culture occidentale continue de s’enfoncer dans des querelles raciales, identitaires ou relatives aux expressions de genre, et fait de l’Occident une blague à l’international. Il n’y a pas plus privilégié comme comportement que l’emballement des revendications individuelles toutes plus farfelues les unes que les autres qui émanent de la culture woke.

Et d’un autre côté, la grosse préoccupation de l’époque étant l’environnement, les gouvernements font une surenchère de mesures extrêmement contraignantes pour les populations, leur imposant la « sobriété énergétique » ou autres taxes ou quota de consommation, qui appauvrit l’Occident et le rend plus fragile d’un point de vue énergétique. Tout ça pendant que la Chine a le pouvoir d’effacer tous leurs efforts en quelques jours seulement.

***

Bref, 3 ans après Trump, nous avons un monde moins libre, moins performant économiquement, plus instable et guerrier, et plus woke et déconnecté. L’idée d’un « retour de la décence » qui était promise par Biden, n’est plus seulement éloignée ; nous en sommes à des années-lumière ! Et c’est dans ce contexte, de gens sérieux et proprets, de journaleux gravissimes et de castes politiques intouchables, qu’on nous informe avec passion que Donald Trump, le paria, est inculpé pour avoir payé le silence d’une pornstar quelque part pendant sa campagne en 2016…

Excusez mon français, mais « who cares? » [« qui s’en soucie ? »]. Nul n’est au-dessus de la loi, évidemment, et les politiciens ne doivent pas enfreindre les lois électorales, mais faire de cette affaire l’enjeu déterminant de la carrière politique d’un président aussi influent et controversé tient carrément de la caricature… Seulement un acharnement pathologique contre le personnage peut mener à ce cirque de politicaillerie de bas étages.



Philippe Sauro-Cinq-Mars

Diplômé de science politique à l’Université Laval en 2017, Philippe Sauro Cinq-Mars a concentré ses recherches sur les effets du post-modernisme sur les mouvements politiques contemporains. Il est l’auteur du livre « Les imposteurs de la gauche québécoise », publié aux éditions Les Intouchables en 2018.




L’opposition contrôlée, selon Stanislas Berton

[Source : medias-presse.info]

Tribune de Stanislas Berton

« Il viendra beaucoup de faux prophètes, et ils séduiront beaucoup de gens. »

Matthieu 24 : 11

Dans le cadre de cette guerre hors limites fondée sur l’infiltration plutôt que l’invasion et qui vise à détruire les nations occidentales de l’intérieur, il est nécessaire de présenter un des outils les plus redoutables utilisé par le système mondialiste pour maintenir son pouvoir : l’opposition contrôlée.

Comme nous l’avons expliqué dans notre essai consacré au mondialisme, le système économique, financier et politique mondial se trouve contrôlé par de puissantes dynasties familiales dissimulant leur pouvoir derrière des institutions présentées comme neutres ou philanthropiques, telles que le Forum Économique Mondial (WEF), le Council on Foreign Relations (CFR) ou encore l’Open Society Foundation de George Soros, chargées en réalité de mettre en application le projet mondialiste ainsi que de placer ses agents à des postes clés.

Considérant appartenir à une caste « d’élus » chargés de diriger une humanité assimilée à du bétail, cette oligarchie a développé au fil des siècles une véritable science du contrôle et de la manipulation des masses afin de développer son influence et conserver son pouvoir. Sachant que toute puissance visible finit toujours par être contestée ou attaquée, la meilleure protection ne consisterait-elle pas à dissimuler la source réelle du pouvoir et de prétendre que celui-ci se trouve détenu par des individus qui n’en posséderaient qu’un simulacre ?

Le meilleur moyen d’empêcher toute révolte ne serait-il pas, d’une part, de « fixer » l’attention du public sur le jeu électoral et de l’autre, de créer une opposition destinée à canaliser la colère populaire pour mieux la neutraliser ? Pour être sûr de gagner à tous les coups, la meilleure méthode ne serait-elle pas d’avoir plusieurs chevaux dans la course ? Grâce travaux de l’historien Anthony Sutton, nous savons par exemple aujourd’hui que les grandes sociétés financières de Wall Street participèrent au financement du mouvement bolchevique aussi bien qu’à celui du parti nazi…

Au sein des démocraties occidentales, la première forme de contrôle utilisée par l’oligarchie consiste à placer à la tête des formations politiques de premier plan, et donc en position d’éligibilité, des candidats sélectionnés en amont par les instances mondialistes, mis en avant par les médias qu’elles contrôlent et placés face à une « opposition » chargée d’entretenir la fiction du pluralisme ou de l’alternance.

Pour satisfaire chaque « segment de marché électoral », l’offre politique se trouve ainsi déclinée entre mondialistes d’extrême gauche, de gauche, du centre, de droite et d’extrême droite qui, malgré d’apparentes divergences de façade se rejoindront en réalité sur l’essentiel, c’est-à-dire la disparition des peuples, des cultures, des nations historiques et l’adhésion à une modernité qui place l’Homme au centre de toute chose et prétend faire de lui l’égal de Dieu. Pour obtenir la preuve de l’existence d’un tel système, il suffit de s’intéresser aux programmes de recrutement ou de formation mondialistes tels que les Young Global Leaders de la French-American Foundation et de constater que la totalité des dirigeants politiques européens et français des dernières décennies, de Nicolas Sarkozy à Emmanuel Macron à François Hollande ou Arnaud Montebourg sont passés par ceux-ci. Une preuve supplémentaire de cette collusion pourra être apportée par la progression imperturbable de l’agenda mondialiste, indépendamment de la « couleur » politique du parti au pouvoir ou encore le ralliement systématique des candidats ou partis « d’opposition » autour du candidat « progressiste ». Ce contrôle total du champ politique institutionnel a ainsi permis d’éviter toute contestation réelle du projet mondialiste et contribué à structurer la pensée et le discours autour de ses postulats philosophiques et politiques fondamentaux.

La deuxième forme de contrôle politique exercée par les mondialistes est moins connue, mais bien plus dangereuse. Elle consiste à créer une fausse opposition située, en apparence, hors du système et chargée de canaliser la colère du peuple tout en étant capable de servir comme « roue de secours » au cas où une trop forte pression populaire imposerait une « remise à plat » des institutions ou une « rénovation » de la classe politique.

Les méthodes qui président à la création d’une opposition contrôlée sont toujours à peu près les mêmes : un leader d’opposition est créé de toutes pièces ou habilement « retourné » ; il est attaqué par le système, parfois emprisonné ou traduit en justice ce qui lui permet de gagner en crédibilité et de renforcer son statut d’opposant. Il va ensuite créer une organisation « dissidente » à but politique ou engagée sur un sujet particulier. Cette organisation aura pour objectif de repérer les résistants, de contrôler l’accès à l’information et de tuer dans l’œuf toute initiative pouvant représenter une menace réelle pour l’oligarchie mondialiste. L’opposition contrôlée occupe toujours le terrain, dénonce, s’agite, manifeste, mais son activité ne débouche jamais sur une prise réelle du pouvoir ou une remise en cause profonde du statu quo.

À titre d’exemple, aux États-Unis, de nombreuses organisations « patriotes » furent créées pour prouver la fraude électorale suite à la « victoire » de Joe Biden à l’élection présidentielle de 2020. Ces organisations mobilisèrent des milliers de citoyens, multiplièrent les actions en justice et récoltèrent des millions de dollars pour réaliser des audits comme celui du comté de Maricopa. Dans ce cas précis, après de nombreuses annonces, le rapport final ne fut jamais présenté au public et l’équipe de « cyber ninjas » chargée de l’organisation finit tout simplement par disparaître dans la nature avec les données de l’audit… De la même manière, nous savons aujourd’hui que parmi les personnes ayant participé à la marche du 6 janvier sur le Capitole se trouvaient des membres de groupes radicaux officiellement « pro-Trump » dont les chefs étaient en même temps informateurs pour le FBI…

En France, Emmanuel Macron et Assa Traoré, égérie indigéniste, ont en commun d’avoir été tous les deux salariés des Rothschild, le premier par la banque et la seconde via la fondation du même nom. Dans un autre registre, des échanges de SMS et des enregistrements téléphoniques ont révélé une coordination et une collusion entre des dirigeants de la France « Insoumise » et Emmanuel Macron dans le cadre de ce « théâtre » démocratique précédemment évoqué. Plus récemment, l’affaire, totalement passée sous silence, du fiasco français des « convois de la liberté » porte toutes les marques d’un sabotage mené par une opposition contrôlée, selon le même schéma ayant contribué en 2018-2019 au noyautage et à la neutralisation du mouvement des Gilets Jaunes.

Ces quelques exemples permettent de comprendre la réalité de l’opposition contrôlée et du danger que ce stratagème représente dans le cadre de la guerre contre le totalitarisme mondialiste. Ceci étant dit, comment détecter et lutter contre les personnes ou les organisations susceptibles de faire partie de l’opposition contrôlée ?

Commençons tout d’abord par rappeler que le contrôle d’une organisation s’exerce toujours via son chef ou le premier cercle de ses dirigeants. Une structure d’opposition contrôlée peut être ainsi dirigée par des traîtres tout en étant peuplée de militants sincères croyant de bonne foi lutter contre le système ou défendre la cause que l’organisation est supposée défendre. Ceci étant dit, l’appartenance à l’opposition contrôlée peut être détectée par les réponses aux questions suivantes :

  • — Le mondialisme et son contrôle des institutions est-il publiquement mentionné ou son existence est-elle rejetée comme une théorie du complot ? Des sujets majeurs comme la fraude électorale, la pédophilie d’élite ou le trafic d’êtres humains sont-ils publiquement évoqués ? Les restrictions liées au Covid sont-elles dénoncées comme des attaques sans précédent sur nos libertés et rattachées au projet de Great Reset du Nouvel Ordre Mondial ?
  • — D’où proviennent les fonds qui financent le mouvement ou l’organisation ? Quelle est la source des revenus du dirigeant ? Celui-ci manifeste-t-il un amour excessif de l’argent ou des biens matériels ? Son engagement ou ses prises de paroles sont-elles toujours conditionnées à des paiements ou à des rémunérations ? Pourquoi la Bible dit-elle que « l’amour de l’argent est la source de tous les maux » ? (1 Timothée 6 : 10)
  • — Le dirigeant ou chef politique possède-t-il par son histoire familiale, ses amis, ses études ou ses réseaux professionnels des liens avec l’État profond ou des structures du pouvoir mondialiste ? A-t-il participé à des programmes comme celui des Young Leaders ? A-t-il bénéficié de financements ou de bourses d’études émanant d’institutions mondialistes ? Qui est son conjoint ? Quel rôle joue-t-il ? La médiatisation de l’homme ne sert-elle pas à cacher le pouvoir de la « femme » ? Pourquoi Q nous invite-t-il à « suivre les femmes » (follow the wives) ?
  • — Les mœurs du dirigeant sont-elles saines ? Mène-t-il une vie dissolue ? Est-il un déviant sexuel ? A-t-il défendu la pédophilie ? Est-il un consommateur régulier de drogues ? A-t-il une histoire d’abus sexuels ou de violences faites aux femmes ?
  • — Le dirigeant ou l’organisation rejettent-ils la foi catholique, jusqu’à contester l’apport objectif de la religion chrétienne en Occident ? Sont-ils liés à des sociétés secrètes ou à des puissances étrangères ? Font-ils référence à des croyances occultes ou à des spiritualités « alternatives » ? Si le dirigeant se prétend catholique, exprime-t-il des positions tranchées sur l’avortement ou l’euthanasie ou refuse-t-il d’être « clivant », prône la synthèse ou « l’adaptation aux réalités de notre époque » ?

[Note de Joseph : quand on voit au moins ce qu’est devenue l’Église Catholique Romaine de nos jours, avec notamment un faux pape (puisqu’étant jésuite, il n’a pas le droit de l’être. Voir aussi : Rien que la vérité sur la « démission » de Benoît XVI), mais vrai mondialiste à sa tête, et ses nombreux scandales de pédophilie, on peut probablement éliminer le critère du catholicisme comme indicateur de virginité. Voir aussi :
À la vitesse de la lumière Bergoglio entraîne l’Église catholique dans sa chute.
L’Église du Christ était faite d’Hommes et non de pierres, le terme signifiant « assemblée de fidèles ».
Les piliers de l’Enseignement du Christ sont : Amour, Pardon, Charité et Humilité. Si de nombreux saints ont basé leur vie sur cet enseignement, qu’en est-il de la hiérarchie catholique romaine avec son luxe ostentatoire ?]

Pour résumer, peut être considéré comme suspect :

  • — toute défense du supranationalisme, sous toutes ses formes, contre le fait national
  • — tout financement ou lien professionnel/privé avec des structures mondialistes
  • — tout rejet violent du catholicisme et de l’héritage chrétien de la France
  • — toute défense des postulats philosophiques de la modernité contre la Tradition

Pour finir, s’il convient de faire preuve de lucidité sur l’existence de l’opposition contrôlée, cette prise de conscience ne doit pas conduire à la paranoïa, au refus de l’engagement et à l’interprétation du moindre élément concordant comme une preuve absolue. D’une part, parce que l’erreur, la bêtise et l’incompétence demeurent toujours des explications possibles. D’autre part, parce que certaines personnes peuvent changer de camp ou « retourner leur veste », pour sauver leur peau. Et enfin, parce même identifiée comme telle, l’opposition contrôlée peut être utilisée, jusqu’à un certain point, dans la guerre contre le mondialisme.

Dans cette guerre de l’ombre, la prudence doit être la règle et pour espérer triompher, les patriotes et les dissidents doivent faire preuve de discernement, se poser les bonnes questions et développer, pour eux-mêmes ou leurs organisations, une véritable culture du renseignement.

Pour le reste, Dieu seul connaît le secret du cœur de chaque homme. Dans Son infinie miséricorde, il a néanmoins envoyé un avertissement extrêmement clair à ceux qui servent le « prince du mensonge » et cherchent ainsi à tromper le peuple :

« Car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu. C’est pourquoi tout ce que vous aurez dit dans les ténèbres sera entendu en pleine lumière, et ce que vous aurez dit à l’oreille dans le secret de vos chambres sera prêché sur tous les toits. »

(Luc 12 : 2)



Pour aller plus loin :




La gauche « nouvelle normalité »

[Source : off-guardian.org]

Par CJ Hopkins

Je suis donc allé à Londres pour parler à la gauche… non, pas « la gauche » à laquelle vous pensez probablement. Pas la gauche masquée et arborant un drapeau ukrainien. Pas la gauche ségrégationniste qui utilise des pronoms [comme « iel »]. Pas la gauche du WEF, de l’OMS, du FBI, de la CIA, du DHS et du MI6. Pas la gauche de la nouvelle normalité capitaliste mondiale. L’autre gauche. La gauche de la vieille école. La gauche « qui nie le Covid, qui théorise la conspiration, qui aime Poutine et qui est d’extrême droite ».

Nous étions environ 150 et nous nous sommes réunis dans une « église homophobe » à Islington. Oui, Islington, qui est plus ou moins le siège britannique de la gauche « Nouvelle Normalité ». Nous nous en moquions. « Qu’ils viennent nous chercher », disions-nous. Ils ne sont pas venus. C’était un samedi. Ils étaient probablement en train de faire du shopping ou de traquer des antisémites imaginaires. Nous sommes donc allés de l’avant et avons fait ce que nous avions à faire.

Notre « truc » était une conférence vaguement basée sur l’opposition de gauche au FEM [Forum Économique Mondial] et à ses diverses visions dystopiques de notre avenir… vous savez, manger les insectes, ne rien posséder, être heureux, ce genre de choses. J’ai été invité par le groupe Real Left [la gauche réelle, ou la vraie gauche] à participer à une table ronde avec Fabio Vighi, professeur de théorie critique à l’université de Cardiff. Nous n’avons pas beaucoup parlé du FEM. Nous avons surtout parlé du capitalisme mondial, du totalitarisme et de la « nouvelle gauche normale ».

Voici les grandes lignes de ce que j’ai dit à la conférence.

*

Pour comprendre ce qui est arrivé à la gauche (c’est-à-dire comment elle est devenue la nouvelle gauche normale), il faut comprendre l’histoire du capitalisme mondial au cours des 30 dernières années environ.

En fait, il faut remonter un peu plus loin, au début du 20e siècle, lorsque le grand jeu idéologique était encore en cours. À l’époque, le capitalisme, qui avait renversé les aristocraties, était en marche, transformant le monde en un grand marché. Il était contesté par deux idéologies opposées, le fascisme et le communisme. Elles se sont affrontées. Pour faire court, le capitalisme a gagné.

Le capitalisme mondial (« GloboCap ») est né. Aujourd’hui, le monde n’est plus qu’un grand monde capitaliste mondial. C’est le cas depuis le début des années 1990. GloboCap n’a pas d’adversaires extérieurs, il n’a donc rien d’autre à faire que Clear and Hold [Liquider et Tenir], c’est-à-dire éliminer les poches de résistance interne et mettre en œuvre l’uniformité idéologique. C’est ce qu’elle fait depuis 30 ans, d’abord dans l’ancien bloc soviétique, puis dans le cadre de la « guerre mondiale contre la terreur », et enfin dans nos soi-disant « démocraties occidentales », comme nous venons d’en faire l’expérience personnelle pendant la phase de choc et d’effroi du déploiement de la nouvelle normalité, et comme nous continuons à en faire l’expérience, bien que de manière un peu moins dramatique.

En d’autres termes, GloboCap devient totalitaire. Voilà ce qu’est la nouvelle normalité. Ce n’est pas le totalitarisme de votre grand-père. Il s’agit d’une nouvelle forme de totalitarisme capitaliste mondial. Elle présente un certain nombre de caractéristiques familières : suspension des droits constitutionnels, propagande officielle, escouades de tueurs à gages, censure, symboles omniprésents de conformité idéologique, restrictions gratuites de la liberté de mouvement et d’autres aspects de la vie quotidienne, haine et persécution des « Untermenschen » [Sous-hommes] officiels, ségrégation, criminalisation de la dissidence, violence collective, autodafé de livres, simulacre de procès, etc. Ce n’est pas ce genre de totalitarisme.

Pour le comprendre (ce qu’il serait bon de faire), il faut comprendre l’idéologie du capitalisme mondial, ce qui n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît. Le capitalisme mondial n’a pas d’idéologie… ou plutôt, son idéologie est la « réalité ». Lorsque vous n’avez pas d’adversaires idéologiques, vous n’avez pas besoin d’idéologie. Vous êtes fondamentalement Dieu.

La « réalité » est ce que vous dites qu’elle est, et quiconque n’est pas d’accord est un « négateur de la science », ou un « théoricien du complot », ou un « désinformateur », ou un autre type d’« extrémiste » délirant. Vous n’avez pas besoin de débattre d’idéologie avec qui que ce soit, car vous n’avez pas d’adversaires idéologiques. La société est divisée en deux groupes fondamentaux : (a) les « gens normaux », qui acceptent la « réalité », et (b) les « déviants » et les « extrémistes », qui ne l’acceptent pas.

Vos opposants politiques et idéologiques sont pathologisés et délégitimés de manière préventive. Après tout, qui s’opposerait à la « réalité », si ce n’est les menteurs et les cliniquement fous ?

Oui, bien sûr, il existe des conflits politiques et idéologiques intra-muros dans les limites de la soi-disant « normalité », tout comme il existe une concurrence intra-muros entre les entreprises mondiales, mais il est impossible de remettre en question le système idéologique lui-même, parce qu’il n’y a pas de terrain à l’extérieur duquel monter une attaque. C’est probablement la chose la plus difficile à accepter pour la plupart d’entre nous. Il n’y a pas de territoire idéologique en dehors du capitalisme mondial, il n’y a pas de « dehors ». Il n’y a pas d’« extérieur ». Il n’y a pas d’adversaires extérieurs. Il n’y a que des insurrections et des opérations de contre-insurrection.

Le reste est une compétition intra-muros.

Il y a une autre chose que nous devons comprendre à propos de l’idéologie capitaliste mondiale, et cela ne va pas faire plaisir à mes lecteurs conservateurs, libertaires ou gauchistes, mais c’est essentiel pour comprendre le nouveau capitalisme mondial. Mais c’est essentiel pour comprendre la nouvelle gauche normale et la forme du paysage idéologique actuel. Je vais essayer de rester aussi simple que possible et de ne pas me perdre dans un tas de charabia post-structuraliste.

Vous êtes prêts ? D’accord, c’est parti.

Le capitalisme est une machine à décoder les valeurs. Il décode la société des valeurs despotiques (c’est-à-dire les valeurs religieuses, les valeurs racistes, les valeurs socialistes, les valeurs traditionnelles, toutes les valeurs qui interfèrent avec les flux de capitaux sans entrave… le capitalisme ne fait pas de distinction). C’est ainsi que le capitalisme (ou la démocratie si vous êtes choqués) nous a libérés d’une « réalité » despotique dans laquelle les valeurs émanaient des aristocraties, des rois, des prêtres, de l’Église, etc. En fait, il a transféré l’émanation et l’application des valeurs des structures despotiques au marché, où tout est essentiellement une marchandise.

Alors, hourra… le capitalisme nous a libérés du despotisme ! J’en suis reconnaissant. Je ne suis pas un grand fan du despotisme. Le problème, c’est que ce n’est qu’une machine. Et elle n’a pas d’interrupteur. Et maintenant, elle domine la planète entière sans opposition ni restriction d’aucune sorte. Elle fait donc ce pour quoi elle a été conçue : dépouiller les sociétés de leurs valeurs despotiques, faire de tout et de chacun une marchandise, établir et imposer l’uniformité idéologique, neutraliser les poches de résistance interne.

La grande majorité de ces résistances sont réactionnaires. Je ne dis pas cela au sens péjoratif. La majeure partie de l’opposition à la nouvelle normalité provient de la droite politique traditionnelle, de personnes qui tentent de préserver leurs valeurs, c’est-à-dire de les empêcher d’être décodées par la machine à décoder les valeurs de GloboCap. Beaucoup de ces gens ne voient pas les choses de cette façon, parce qu’ils ne veulent pas admettre que ce à quoi ils résistent, c’est le capitalisme mondial, alors ils lui donnent d’autres noms comme « capitalisme de connivence », « corporatisme » ou « marxisme culturel ». Je ne me soucie pas vraiment du nom qu’ils lui donnent, sauf lorsqu’ils l’appellent « communisme », ce qui leur donne l’air extrêmement stupide.

Le fait est que ces personnes constituent une force réactionnaire qui s’oppose à la progression du capitalisme mondial et de son idéologie, qu’elles sachent ou non à quoi elles résistent. La Russie est une autre force réactionnaire de ce type, du moins dans la mesure où elle tente de défendre ce qui reste de sa souveraineté nationale. La Syrie et l’Iran sont deux autres exemples. Toutes ces forces réactionnaires sont intégrées dans le système GloboCap et résistent en même temps à son absorption. La dynamique est complexe. Il ne s’agit pas d’un dessin animé ou d’un film hollywoodien avec des « bons » et des « méchants ».

Quoi qu’il en soit, le champ de bataille se présente comme suit : GloboCap mène son opération « Clear-and-Hold », tandis que les réactionnaires (« populistes ») s’y opposent. Et c’est tout. Ce sont les seules forces significatives sur le champ de bataille, à l’heure actuelle.

Ce qui nous amène à l’état lamentable de la gauche.

La gauche — et j’entends « la gauche » au sens large, c’est-à-dire les libéraux, les gauchistes sérieux et les gauchistes de Brooklyn — se trouve dans une double contrainte idéologique. Soit elle s’aligne sur une GloboCap de plus en plus totalitaire, soit elle s’aligne sur le contrecoup réactionnaire.

Ils ne peuvent pas s’aligner sur les réactionnaires, parce que beaucoup d’entre eux sont… eh bien, vous savez, quelque peu bigots, ou ils croient en Dieu, ou ils s’opposent à ce que les drag-queens se frottent sur les enfants. Beaucoup d’entre eux possèdent plusieurs armes à feu (c’est-à-dire les réactionnaires, pas les drag queens) et font flotter des drapeaux américains géants devant leur maison (ou n’importe quel drapeau qu’ils arborent en Grande-Bretagne). Beaucoup d’entre eux ont voté pour Donald Trump, ou pour le Brexit, ou pour l’AfD ici en Allemagne, ou pour le Rassemblement national en France, ou pour Les Frères d’Italie. Il ne s’agit pas de personnes qui écoutent la BBC/NPR. Ce ne sont pas des gens qui utilisent des pronoms. Ce sont des gens de la classe ouvrière qui font peur.

La gauche s’est donc alignée sur GloboCap qui, après tout, continue à décoder toutes ces valeurs despotiques désagréables (c’est-à-dire le racisme et d’autres formes de bigoterie), à s’opposer aux dictateurs et aux fanatiques religieux, et à répandre la « démocratie » sur toute la planète. Vous pourriez penser que je suis facétieux. Ce n’est pas le cas. Le capitalisme mondial continue de le faire. Ce que je soutiens, comme tous les libéraux et les gauchistes.

Le problème, c’est qu’à mesure que le capitalisme mondial continue à faire cela, et qu’il en fait grand cas, il devient également totalitaire. Il ne décode pas ces valeurs despotiques par pure bonté d’âme. Ce qu’il fait, c’est établir une uniformité idéologique. Le problème, c’est qu’elle n’a pas d’idéologie. Tout ce qu’elle sait faire, c’est décoder les valeurs, transformer les sociétés en marchés et tout ce qu’elles contiennent en marchandises sans valeur. Ce qu’elle fait de manière totalitaire. Les nazis appelaient ce processus « Gleichschaltung » [Mise au pas, égalisation, égalité des chances], la synchronisation de tous les éléments de la société selon l’idéologie officielle. C’est ce qui se passe actuellement au niveau mondial.

GloboCap a entamé la transition d’une « réalité » d’idéologies concurrentes, d’États-nations souverains, de cultures et de valeurs vers une nouvelle « réalité » supranationale, post-idéologique, éventuellement transhumaine et mondialisée, et le message est le suivant : « vous êtes avec nous ou contre nous ».

La nouvelle gauche normale est évidemment avec GloboCap. Les gauchistes de la nouvelle normalité le nieront furieusement, alors qu’ils réclament une censure accrue de la dissidence et qu’ils acclament de véritables nazis au pied du mur.

Tout comme la droite « populiste » ne peut accepter le fait que ce à quoi elle s’oppose est une forme de capitalisme, la gauche néo-normande ne peut accepter le fait qu’elle s’aligne sur une nouvelle forme de totalitarisme. C’est littéralement inconcevable pour eux. Vous pouvez leur montrer des captures d’écran de leurs posts et Tweets dans lesquels ils appelaient à enfermer les « non vaccinés » dans des camps, et des photos de l’époque où ils formaient des foules fanatisées et menaçaient les gens qui ne chantaient pas leurs slogans, et ils vous regarderont comme si vous aviez perdu la tête.

*

Nous sommes donc un peu dans l’embarras. C’est en gros ce que j’ai dit à la conférence de Londres. J’aimerais avoir un plan d’action brillant à proposer. Malheureusement, ce n’est pas le cas. Il est probable que personne n’en ait à ce stade. Après tout, la nouvelle normalité ne fait que commencer.

Cela dit, s’il y a une chose dont je suis sûr, c’est que si vous ne voulez pas finir par manger les insectes, ne rien posséder et être heureux dans votre ville surveillée par l’IA pendant 15 minutes en attendant que votre application de crédit social mette à jour votre carnet de vaccination afin que vous puissiez accéder à votre compte CBDC et effectuer un nouveau paiement minimum sur votre dette de carte de crédit qui ne cesse de s’alourdir, ce serait probablement une bonne idée d’essayer de comprendre ce qui est en train de se passer.

Ou peut-être pas. Qu’est-ce que j’en sais ? Je ne suis qu’un vieux « gauchiste d’extrême droite ».






Les vaccins à ARNm sont une imposture. Les gens reçoivent une injection de nanotechnologie

[Source : etouffoir.blogspot.com via santeglobale.world]

https://karenkingston.substack.com/p/the-term-mrna-vaccines-is-a-sham

Les « vaccins » à liposomes cationiques à ARNm sont des nanotechnologies utilisées pour introduire de l’ADN non humain dans le corps des adultes et des enfants, transformant les cellules en usines d’armes biologiques à protéines de pointe causant des maladies.


Par Karen Kingston 1er mars 2023

[Voir aussi :
Karen Kingston : « La FDA a criminellement approuvé une arme biologique en tant que vaccin sûr et efficace. »
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Le pot aux roses de la Covid est-il découvert ?
L’asservissement par l’intelligence artificielle — Le Putsch transhumaniste.
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Le but démontré des injections antiCovid
La nanotechnologie dans les vaccins
Observation des injections anticovid]

Lorsque les nouveaux « vaccins à ARNm » sont devenus disponibles pour la première fois en décembre 2020, le peuple américain a appris que les « vaccins à ARNm » contenaient des lipides qui servaient de bulle protectrice autour de l’ARNm du SRAS-CoV-2 qui ferait que notre corps produirait la protéine « Spike ». Après avoir été injecté, notre corps produirait la protéine de pointe et notre système immunitaire produirait des anticorps afin que nous ne puissions PAS être infectés et NE PAS pouvoir infecter d’autres personnes avec le SRAS-CoV-2.

En 2020/2021, tout le monde [sauf quelques « complotistes »] pensait que le discours du « vaccin à ARNm » semblait raisonnable, sûr et à peu près conforme aux autres vaccins biologiques du passé.

Le seul problème est que tout ce qu’on nous a dit sur ce que SONT les « vaccins » à ARNm est inexact et mensonger, jusqu’au terme même de vaccin à ARNm. Les injections de COVID-19 ne sont pas des vaccins à ARNm. Les injections d’ARNm COVID-19 sont des injections de nanotechnologie.

Par exemple, les lipides et les phospholipides dans les injections d’ARNm ne sont pas des lipides. Les lipides sont des molécules naturelles qui forment les composés gras tels que les graisses et le cholestérol. Les lipides font partie des membranes de nos cellules pour aider à contrôler ce qui entre et sort des cellules. Les « lipides » dans les injections d’ARNm sont des molécules » synthétiques chargées électroniquement (des molécules non naturelles) et peuvent héberger des champs électromagnétiques. Ce sont des appareils électroniques.

Le site Web de Pfizer indique que sans le lipide cationique (nanotechnologie électronique), « il ne pourrait y avoir de vaccin à ARNm Pfizer-BioNTech ».

Alors, qui a inventé la nanotechnologie que Pfizer et Moderna appellent de manière trompeuse un lipide cationique ? Et à quoi sert cette nanotechnologie ? L’inventeur de la nanotechnologie de l’ARNm

Le 10 juin 2021, Brent Weinstein a animé une interview sur podcast Dark Horse avec le Dr Robert Malone et Steve Kirsch. Les trois hommes ont discuté à la fois des risques inconnus et de certains des risques connus des vaccins à ARNm » COVID-19 ». Le Dr Robert Malone a été présenté comme l’inventeur de la « technologie du vaccin à ARNm » et a gardé ce titre dans des dizaines, voire des centaines d’entretiens ultérieurs avec d’autres animateurs de médias.

Le Dr Malone a légitimement mérité le titre d’inventeur de la technologie des vaccins à ARNm. Le site Web du Dr Malone où il répertorie ses principaux brevets et publications contribuant à l’invention de la technologie des vaccins à ARNm (qui est la nanotechnologie), y compris la publication du Dr Malone en 1989, « Cationic Liposome — Transfection d’ARN médiée ».

Selon le résumé de l’article, le Dr Malone et deux de ses collègues, « ont développé une méthode efficace et reproductible pour la transfection d’ARN, en utilisant un lipide cationique synthétique incorporé dans un liposome (lipofectine). »,

Les nanoparticules électroniques ne sont pas des lipides, ce sont des nanotechnologies

BTW— Une substance synthétique qui porte une charge électronique n’est PAS un lipide. C’est un dispositif nanotechnologique/électronique. Se faire injecter des lipides sonne bien mieux que se faire injecter des nanotechnologies électroniques. On nous a dit que les nanotechnologies électroniques sont des vaccins à ARNm encapsulés dans des lipides parce qu’aucune personne saine d’esprit n’accepterait de se faire injecter un dispositif de nanotechnologie électronique.

Les liposomes cationiques ont-ils déjà été considérés comme une nanotechnologie ?

Selon l’article de décembre 2020, Nanomedicine for COVID-19 : The Role of Nanotechnology and Diagnosis of COVID-19, les liposomes étaient considérés comme des nanotechnologies liposomes (dispositifs d’administration de nanomédicaments) selon le rapport 2007 du groupe de travail sur la nanotechnologie de la FDA./

Quel est le but de la nanotechnologie cationique ?

Cationique signifie que la nanotechnologie héberge indépendamment une charge électronique positive (car après tout, la technologie qui n’héberge pas l’électricité par elle-même n’est qu’un morceau de matériau semblable à un métal ? Quoi qu’il en soit…) Selon le brevet de 1996 Livraison de séquences d’ADN exogènes dans un Mammifère, Le but de la nanotechnologie cationique d’ARNm était de produire de l’ADN non mammifère (ou ADN non humain) chez un mammifère (ou un humain). L’ADN non mammifère pourrait inclure l’ADN de reptiles, d’insectes ou d’autres espèces non vertébrées.

Selon le site Web de ThermoFisher, les lipides cationiques sont des nanotechnologies d’édition de gènes utilisées pour fournir de l’ADN et de l’ARN silencieux (ARNsi) dans les cellules.

Le site Web de ThermoFisher explique en outre comment les nanotechnologies d’édition de gènes des liposomes cationiques libèrent du matériel génétique étranger codé dans le noyau d’une cellule afin que la cellule puisse ensuite produire ou exprimer du matériel génétique étranger.

Comment la recherche humaine avec les nanotechnologies a-t-elle été autorisée en vertu des réglementations de la FDA et des NIH ?

Les nanotechnologies ont été étudiées et développées sous le couvert de la recherche sur le cancer et pour le « traitement » de maladies auto-immunes rares. Étant donné que les sujets de recherche n’avaient souvent plus que quelques jours ou semaines à vivre, le fait que les nanotechnologies d’ARNm modifient génétiquement les cellules du corps humain pour « s’attaquer à soi-même » et pour adsorber du matériel génétique inorganique (c’est-à-dire des métaux ou des toxines reptiliennes) dans le cytoplasme ou le noyau des cellules humaines entraînant souvent de nouvelles maladies auto-immunes (dont certaines ont des conséquences invalidantes ou mortelles à court terme) est passé inaperçu, car les sujets humains étaient souvent déjà handicapés et à haut risque de décès à court terme.

Selon la publication clinique du Dr Malone en 1989, il a utilisé la lipofectine pour pénétrer dans les cellules de mammifères afin que les cellules de souris expriment l’ADN de la luciole traditionnelle du nord-est, de la grenouille africaine à griffes et de la mouche des fruits.

Selon le site Web de ThermoFisher, la lipofectine est le réactif de choix pour intégrer l’ADN et l’ARN étrangers dans les cellules endothéliales. Les cellules endothéliales sont les cellules qui tapissent nos vaisseaux sanguins, nos ganglions lymphatiques et notre cœur.

La lipofectine est utilisée pour intégrer les séquences génétiques du cancer agressif dans les cellules humanisées

La lipofectine est également très efficace pour intégrer avec succès HeLa, l’ARNm code HeLa pour la forme de cancer la plus agressive connue de l’homme dans les cellules humaines pour produire un cancer à l’intérieur d’un mammifère (humain).

Selon le brevet de 1996 dont le Dr Malone est répertorié comme l’inventeur, Delivery of Exogenous DNA Sequences in a Mammal, les nanotechnologies de liposomes cationiques peuvent fournir des charges utiles de peptides toxiques non mammifères aux cellules humaines, telles que la ricine ou le venin de serpent cobra.

Lorsque des médecins de l’Université de Pittsburgh ont testé le liquide respiratoire de huit patients décédés d’une grave COVID-19 en 2020 en Lombardie, en Italie, ils ont découvert que la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 contenait du venin de cobra recréé synthétiquement, le venin de Krait, le virus [supposé] de la rage et la glycoprotéine 120 du [supposé] VIH.

[Note de Joseph : ce que les virologues appellent virus et VIH est essentiellement des séquences génétiques obtenues par logiciel suite à tout un processus qui n’a nullement permis d’isoler et de caractériser effectivement ces entités nanoscopiques. Voir notamment les articles suivants du dossier Vaccins et virus, du moins si vous êtes prêts à remettre en question la théorie virale :
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple,
L’interprétation erronée du virus — 2e partie
La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
À quel point les virus sont-ils morts ?
L’invention du « virus Ebola »
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?
Big Pharma (ô surprise !) a créé de toutes pièces la peur de l’hépatite B… pour vendre ses nouveaux vaccins
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
L’invention du SARS-CoV-2
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur]

La protéine de pointe du superantigène (SAg), connue sous le nom de Wuhan-Hu-1 S-2P, est programmée pour être produite par les cellules du corps humain par l’ARNm trouvé dans le vaccin à ARNm de Pfizer COMIRNATY.

Selon l’article publié en 2021 sur la nanotechnologie, il semble que les liposomes cationiques, les séquences d’ARNm du SRAS (SARS-1, MERS, SARS-2) et les nanoparticules lipidiques ne se trouvent pas seulement dans les injections de COVID-19, mais aussi le « virus lui-même » COVID-19 avec une taille de fichier de programme d’ARNm de 30 kb et un diamètre de véhicule de livraison par nanoparticules de 60 à 140 nm. Cela signifie que la nanotechnologie dans les « vaccins » est la même nanotechnologie qui a causé les pandémies et les urgences de santé publique.,

Des nanoparticules ont été utilisées dans d’anciens virus respiratoires

De manière alarmante, les experts en nanotechnologie de l’ARNm de l’Université de Californie à San Diego et de La Jolla affirment : « les nanoparticules précédentes… qui ont été utilisées dans les virus respiratoires ont des tailles à peu près similaires »

Les auteurs précisent qu’ils ne parlent pas d’agents pathogènes (ou de virus) d’origine naturelle lorsqu’ils font référence aux « nanotechnologies précédemment utilisées qui ont provoqué des virus pandémiques ». Les auteurs écrivent que « les nanoparticules comprennent des protéines autoassemblées et des nanoparticules à base de peptides (de 15 nm), des nanoparticules inorganiques (inorganiques = non issues de la nature = synthétiques) de 100 nm ».

La technologie des vaccins à ARNm et la « technologie de pandémie respiratoire » sont les mêmes technologies de nanoparticules.

Les nanotechnologies cationiques qui provoquent des pandémies virales, telles que COVID-19, sont les mêmes « 100 nm… protéines à autoassemblage et technologies de nanoparticules » trouvées dans les injections de COVID-19 (selon les injections, les brevets de vaccins à ARNm, les sites Web des fabricants et les dépôts de la FDA).

Les nanotechnologies LNP du « vaccin à ARNm » sont les armes biologiques qui ont rendu de nombreuses personnes malades à Wuhan et dans le monde en 2020, ce qui est confirmé par le » pitch 2018 d’EcoHealth Alliance à la DARPA.

Le concept de l’invention de la « technologie des vaccins à ARNm » est un terme impropre et une imposture. Le terme « vaccin à ARNm » est une couverture pour les nanotechnologies qui sont utilisées comme technologies d’édition de gènes et agents de guerre biologique sur les citoyens américains et mondiaux.

Les nanotechnologies des liposomes cationiques sont utilisées pour introduire de l’ADN non humain dans les cellules d’adultes et d’enfants afin de transformer leurs cellules en usines d’armes biologiques à protéines de pointe toxiques et pathogènes.

Lorsque les nanotechnologies nocives d’édition de gènes ont été lancées, on nous a dit que la science était trop compliquée à comprendre. C’était un mensonge. La science était cachée au peuple américain parce que si on nous donnait les brevets, les publications à comité de lecture et les données soumises par la FDA, il est clair que les « vaccins à ARNm » sont des armes biologiques qui ne peuvent que causer des maladies, des handicaps et la mort.

Faites confiance aux experts

On nous a dit de simplement de faire confiance à la science et aux experts. Malheureusement, presque aucun des experts n’a été honnête avec le peuple américain. Si j’ai pu comprendre en mai 2021 que les nanoparticules de lipides de vaccins à ARNm étaient des armes biologiques en lisant UN BREVET, comment se fait-il que l’inventeur de la nanotechnologie des liposomes cationiques du « vaccin à ARNm » n’ait toujours pas compris cela ?

« Veuillez trouver ci-joint le brevet mondial pour les vaccins à base de nanoparticules lipidiques d’ARNm (LNP). Je crois qu’ils concluront que les vaccins COVID-19 sont des armes biologiques sous le couvert de vaccins thérapeutiques à ARNm… Selon le brevet, les LNP peuvent cibler des organes et des systèmes spécifiques dans tout le corps, y compris, mais sans s’y limiter, les organes reproducteurs, cardiovasculaires, pulmonaires, et le système nerveux central, traversant spécifiquement la barrière hématoencéphalique. »

Karen Kingston, mai 2021

Pourquoi les experts qualifient-ils les armes biologiques de la nanotechnologie de vaccins à ARNm » et évitent-ils carrément le terme de nanotechnologie ?

Si Pfizer et Moderna n’ont aucun problème à coller le terme technologie (nanotechnologie) sur tous leurs sites Web, pourquoi nos dirigeants de confiance accusent-ils des gens comme moi et le Dr Ana Mihalcea de faire partie de « l’état profond » ou d’être « non crédibles » pour avoir souligné que les injections de COVID-19 contiennent des nanotechnologies d’édition de gènes ?

« La technologie de l’ARNm convient parfaitement à l’édition de gènes. »

Pfizer

« vaccin à ARNm » est un terme impropre. Personne n’a reçu d’injection de « lipide biologique » ou de « vaccin à ARNm ». Pfizer ne fait même pas référence à sa technologie d’édition de gènes d’ARNm en tant que thérapie, car l’ARNm n’est PAS une thérapie. La technologie de l’ARNm est une plate-forme d’armes biologiques nocive et mortelle à des fins de transhumanisme qui a été vendue aux civils du monde entier en tant que « technologie de vaccin ».

Plus de 265 millions d’Américains ont reçu une injection de nanotechnologie d’édition de gènes dans le cadre de la plus grande expérience humaine criminelle de l’histoire de l’humanité. C’est une guerre biologique.

Les experts de confiance sont-ils investis dans l’humanité ou le transhumanisme ?

Les grandes sociétés pharmaceutiques, les biotechnologies et d’autres organisations et individus qui investissent dans cette nanotechnologie d’édition de gènes appellent cette invention démoniaque des « vaccins à ARNm » des thérapies géniques uniquement parce que personne n’aurait jamais accepté autrement d’être « vacciné » si on leur avait dit que les tirs contenaient des nanotechnologies d’édition de gènes. »

Si un expert crédible en ARNm était honnête avec le peuple américain et disait au monde qu’il n’a PAS reçu d’injection d’un « vaccin à ARNm », mais qu’il a reçu une injection d’une arme biologique d’édition génétique destinée à le blesser et à lui faire du mal, je crois que l’humanité prendrait conscience du fait que nous avons tous été forcés sans le savoir de participer à la plus grande expérience humaine criminelle jamais menée dans l’histoire de l’humanité.

Le rapport Kingston. « LA VÉRITÉ vaincra ». Les exemptions pour l’utilisation expérimentale dans le domaine de la santé (des armes biologiques) peuvent créer une zone grise dans laquelle des enquêtes sur la viabilité des armes peuvent être entreprises.

« Malheur à vous, car vous construisez des tombeaux pour les prophètes, et ce sont vos ancêtres qui les ont tués. Vous témoignez donc que vous approuvez ce que vos ancêtres ont fait ; ils ont tué les prophètes, et vous bâtissez leurs tombeaux. »

Luc 11 : 46-47

La bonté à l’intérieur

Les gens me demandent souvent des conseils sur les suppléments et les traitements médicaux. Je ne peux pas vous faire de recommandations médicales, mais pour moi, je sais que réduire le niveau d’acide dans votre corps et prendre un supplément contenant de la zéolite peut aider à éliminer les métaux toxiques de votre corps. J’utilise personnellement ces produits pour me détoxifier, Organic Super Protein Organic Super Protein que vous pouvez commander ici.

Continuez le bon combat !

Si Pfizer et Moderna n’ont aucun problème à coller le terme technologie (nanotechnologie) sur tous leurs sites Web, pourquoi nos dirigeants de confiance accusent-ils des gens comme moi et le Dr Ana Mihalcea de faire partie de « l’état profond » ou d’être « non crédibles » pour avoir souligné que les injections de COVID-19 contiennent des nanotechnologies d’édition de gènes ?