Pour en finir avec les plandémies

[Source : Vidéos du net]

Dr Sam Bailey et les Coronavirus de Reiner Fuellmich



La virologie pour les pays en développement… et les fanatiques du virus



[Voir aussi :]

40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid »

Voici tous les faits et sources clés actualisés concernant la prétendue « pandémie », pour vous aider à comprendre ce qui s’est passé dans le monde depuis janvier 2020 et à éclairer ceux de vos amis qui seraient encore prisonniers du brouillard de la « nouvelle normalité ».


Commentaires sur le VIH de Montagnier

« Nous remercions Djamel Tahi et Huw Christie de nous avoir demandé de commenter les réponses données par le Professeur Luc Montagnier dans son interview avec Djamel Tahi. Avant de commenter, nous avons pensé qu’il serait utile de commencer par un bref rappel des méthodes utilisées pour prouver l’existence des rétrovirus, et des preuves apportées par Montagnier et coll. 1983 de l’existence du “VIH”. »

Un groupe de scientifiques australiens affirme que personne jusqu’à présent n’a isolé le virus du SIDA, le VIH. Pour eux, les règles d’isolement des rétrovirus n’ont pas été soigneusement respectées pour le VIH. Ces règles sont les suivantes : culture, purification du matériel par ultracentrifugation, photographies au microscope électronique (ME) du matériel qui présente des bandes à la densité du rétrovirus, caractérisation de ces particules, preuve de l’infectivité des particules.


À quel point les virus sont-ils morts ?

Voici une interview de Stefan Lanka par un magazine allemand traitant de la Santé, interview qui permet de mieux intégrer des points fondamentaux sur l’arnaque virale.

Toutes les affirmations sur l’existence du virus sont réfutées.


L’invention du « virus Ebola »

Voici le travail de recherche de Mike Stone sur l’arnaque du « virus Ebola ».


Qu’est-ce qui nous rend réellement malades ?

Brève présentation de l’ouvrage.


Un nouveau paradigme médical

La médecine d’aujourd’hui se préoccupe d’éventuels dépistages précoces et dépense des millions d’euros pour éventuellement trouver un traitement pour tous les cancers ; pourtant, des millions de personnes meurent encore des cancers. Est-ce la bonne voie ? Ne devrions-nous pas plutôt nous préoccuper de comprendre pourquoi un cancer se déclenche ? Comment notre mode de vie est concerné ? Quel est le rôle de la génétique ? Pourquoi le cancer touche-t-il telles personnes et pas telles personnes ? Si une substance est cancérigène pourquoi ne tue-t-elle pas toutes les personnes en contact avec elle ? On comprend bien que le cancer est relié à l’histoire personnelle de l’individu. Elle touche tous les niveaux de son être : physiques, physiologiques et spirituelles. La médecine d’aujourd’hui ne peut répondre à cette nouvelle approche.


Go Virus Go !

Le Dr Stefan Lanka (…) raconte le « Procès du virus de la rougeole ». Stefan Lanka avait promis 100 000 euros à qui prouverait de manière scientifique l’existence du virus de la rougeole. Suite à l’action du Robert Koch Institut (équivalent allemand de l’Institut Pasteur) par l’intermédiaire d’un médecin (le Dr Bardens) Lanka a été traduit en justice et sommé de payer les 100 000 euros. Après un premier jugement, en sa défaveur, car bâclé et rempli de vices de forme, il a porté l’affaire devant la Cour d’Appel de Stuttgart qui lui a donné raison, jugement confirmé par la plus haute juridiction allemande, la Cour Fédérale de Justice de Karlsruhe.

Ce jugement, qui disait textuellement qu’aucune étude scientifique n’avait prouvé l’existence du virus de la rougeole — et plus généralement l’existence des virus, aurait dû être un coup de tonnerre dans le monde médical et dans tous les médias. À cette occasion, ces derniers se sont révélés être ce qu’ils sont réellement : des merdias qui ignorent tout simplement ce qui les dérange et pourrait les empêcher de profiter des offrandes versées par les laboratoires. Il va sans dire qu’aucun laboratoire ou institution de santé publique ne s’est hasardé, et pour cause, à « remettre le couvert » lors d’un autre procès.


« Virus », des décennies d’escroqueries ?

Couvertes pas l’industrie, les facultés de médecine, pharmacie, les médias et les politiques…

Le Covid est-il le mensonge de trop ?


Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?

Le dérèglement climatique au secours de Big Pharma ?

Tour d’horizon des problèmes autour de la théorie virale.
Et la prochaine étape probable quand la vaccination ne fera plus recette.


La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire

Ce documentaire aborde en détail les différents mythes et procédures sur lesquels repose la théorie des germes pathogènes, prétendument à l’origine de phénomènes de contagion, aussi appelée théorie des germes ou théorie microbienne.

L’histoire des épidémies telle que la poliomyélite, la variole et la grippe espagnole est retracée et le jargon des virologues et leurs techniques comme la PCR, le séquençage, l’effet cytopathique, le microscope électronique, les cultures cellulaires, l’isolement, la purification ou encore le concept d’anticorps sont analysés pour mieux comprendre sur quoi repose la virologie moderne et la théorie des germes dans son ensemble.

(Vidéo > 2 h 30)


Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio

L’un des résultats du prétendu nouveau coronavirus qui a émergé publiquement en 2019 est que la spécialisation médicale de la virologie a été élevée à une stature presque divine dans les médias. Peu de gens comprennent les origines de la virologie et son élévation à un rôle de premier plan dans la pratique de la médecine d’aujourd’hui. Pour cela, il faut se pencher sur les origines et la politique du premier institut de recherche médicale américain, l’Institut Rockefeller pour la recherche médicale, aujourd’hui l’Université Rockefeller, et ses travaux sur ce qu’il prétendait être un virus de la polio.


Le mythe de la contamination épidémique

Examen du socle de l’idéologie sanitaire actuelle qui ne repose sur aucune expérience et est contredite par les statistiques : la contamination
(Vidéo 1 h 25)


Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène

La vision du monde de tous ceux qui défendaient avec véhémence que l’existence du coronavirus avait été démontrée scientifiquement doit et va s’effondrer.


Démontage de la théorie virale

L’existence des virus de la polio, de la rougeole, du VIH, du CMV, de l’EBV, de l’hépatite C, de l’Ebola, de la grippe, du Zika et maintenant du coronavirus a-t-elle été démontrée et scientifiquement prouvée ?


Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS

Le mot « influenza » (« grippe ») est originaire d’Italie. Le premier enregistrement de cette maladie étrange et inexplicable s’est produit vers l’année 1580. Alors que le phénomène se reproduisait, des observateurs perspicaces ont reconnu qu’il avait tendance à « apparaître » simultanément à plusieurs endroits, parfois sur plusieurs continents. Afin d’expliquer ce fait cognitivement dissonant, les « scientifiques » italiens ont examiné les enregistrements des taches solaires et ont remarqué que les épidémies semblaient toujours coïncider avec des pics d’activité des taches solaires.


Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki

L’histoire du VIH/SIDA. Le scandale a débuté le 23 avril 1984. L’histoire qui était « trop grosse pour échouer » était remplie de lacunes et cela devint clair lorsqu’en 1992 une Enquête Fédérale américaine a révélé que le Dr Robert Gallo avait commis une fraude scientifique.


Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

TERRAIN expose le canular tyrannique de la pandémie mondiale, construite sur le modèle erroné de la maladie, connu sous le nom de “théorie des germes”. Ce documentaire en deux parties explore la théorie du terrain, un modèle de santé fonctionnant en symbiose avec la nature pour promouvoir le bien-être et la guérison, sans recourir à un paradigme médical corrompu et défaillant. TERRAIN motive et inspire les spectateurs à comprendre le pouvoir et la responsabilité du consentement. La première partie de TERRAIN remet en question la théorie des germes, un système de croyance obsolète et non scientifique basé sur des fraudes et des mauvaises interprétations. (Vidéo 55 min)


Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?

La question de l’existence de virus pathogènes reste importante, car la croyance en de tels virus mobilise des milliards de dollars de ressources et de fonds de recherche. Ces deux dernières années, nous avons également vu comment un prétendu virus peut être utilisé comme un outil politique pour mettre les populations au pas. Ce n’est pas la première fois que cela se produit : par exemple, la “découverte” du VIH dans les années 1980 a donné naissance à une industrie de plusieurs milliards de dollars et a également été utilisée à des fins politiques dans la plupart des régions du monde.


L’invention du SARS-CoV-2

Un mathématicien allemand travaillant avec le Dr Stefan Lanka vient de publier un rapport intitulé “Analyse structurelle des données de séquençage en virologie – Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2FR“. Il fournit encore plus de preuves que les virologues sont pris dans un monde de simulations informatiques – des simulations qui ne sont pas fiables même selon leurs propres termes, sans compter qu’elles sont déconnectées de la réalité. Cette analyse est une contribution importante qui expose un autre élément de l’anti-science utilisée pour soutenir cette fausse pandémie. En outre, il s’agit d’un démantèlement technique de la manière dont tous les “virus” sont inventés et ensuite “trouvés”, dans un jeu de tromperie permanent.


Analyse structurelle des données de séquençage en virologie — Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2

Stefan Lanka, en collaboration avec un mathématicien anonyme, a rendu publiques ses recherches sur l’analyse du génome du SARS-CoV-2 et des techniques et méthodes questionnables utilisées par les virologues.


L’interprétation erronée du virus — 2e partie

Début et fin de la crise corona, par le Dr Stefan Lanka. (…) Un des deux faits décisifs pour le SARS et la crise corona c’est qu’au moins 20 à 30 % de toutes les pneumonies sont atypiques. Les causes de la pneumonie atypique sont clairement connues et par conséquent on ne doit PAS affirmer qu’elles sont dues à un nouveau virus. Cette information est censurée par les infectiologues et virologues et est le fondement des peur et panique actuelles, parce que l’on crée l’impression chez ceux qui sont affectés, dans le public et chez les responsables politiques que la pneumonie atypique serait particulièrement dangereuse et souvent fatale (…)


Articles sur la théorie virale :
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva – Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la fraude des tests PCR :
Des courriels de 2020 font voler en éclats l’escroquerie du test PCR covid
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]

Et aussi les autres articles du dossier Vaccins et virus

Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19

Ricardo Delgado : « Malgré les preuves, ils continuent de nier. »

Des milliers de personnes, certaines vivant dans la ville de Séville (Espagne) et d’autres en streaming dans le reste du monde, ont pu contempler au microscope le contenu des vaccins, gardés secrets comme n’importe quelle arme de guerre.
Cet événement a eu lieu juste au troisième anniversaire de cette période de dystopie qu’ils ont appelée pandémie, causée par un virus tueur et contagieux qui n’existe pas, pas plus que les vagues épidémiques et les variants. Et oui, à la place, des milliers d’antennes 5G irradient des corps humains innocents, victimes du grand mensonge du système, inoculés avec une substance appelée vaccin qui contient de l’oxyde de graphène réduit, un nanomatériau qui marque l’avenir de l’humanité sur son chemin vers le transhumanisme.


Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur

Y aurait-il un lien entre le Coronavirus et la 5G ? Le chercheur et biologiste du bâtiment Paul Doyon a écrit un article brillant exposant les preuves. Et comment vous pouvez vous protéger : une stratégie de protection basée sur les champs électromagnétiques. Avertissement : il s’agit d’un article basé sur la science lourde avec près de 100 références à des études.


C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !

Après le 11 septembre, les armes biologiques sont devenues une préoccupation majeure avec des histoires effrayantes sur la possibilité que des échantillons de variole soient diffusés par aérosol contre des citoyens américains, obligeant l’administration Bush à stocker des vaccins. Il y avait des histoires terrifiantes de chercheurs recréant avec succès le génome de la grippe espagnole grâce à l’ingénierie inverse, ce qui était considéré comme une certitude de tomber accidentellement entre de mauvaises mains. Des mémos secrets ont été dévoilés de scientifiques recherchant la possibilité qu’al-Qaida ou ISIS utilise d’une manière ou d’une autre Ebola pour le bioterrorisme. Des rapports de laboratoires bricolant et modifiant génétiquement certains « virus » afin de les rendre plus mortels ont commencé à remplir les ondes des médias grand public. Les gens étaient conditionnés à se recroqueviller à l’idée que le terroriste acharné sécurise d’une manière ou d’une autre une arme biologique « virale » et déchaîne un fléau contagieux sur le monde. Les mini épidémies se produisent presque tous les deux ans depuis l’introduction du SRAS en 2003, préparant stratégiquement les masses pour l’événement du siècle avec le « SRAS-COV-2 ». Des théories ont été brandies sur le fait que les coupables invisibles impliqués dans ces épidémies étaient des créations concoctées en laboratoire et déchaînées sur la population sans méfiance. Ainsi, avec l’incertitude entourant l’origine animale du « SRAS-COV-2 », ce n’était qu’une question de temps avant que l’idée ne soit émise que ce n’était pas l’œuvre d’un « virus » naturel sautant d’un animal à l’autre et faisant des ravages à travers le monde avec une grippe légère. Ce « virus », associé à aucun nouveau symptôme de maladie, avait dû être créé de manière diabolique par des scientifiques fous dans les laboratoires de Wuhan.

Bien sûr, c’est un scénario qui est parfaitement logique pour les non informés, car l’Institut de virologie de Wuhan est en plein centre de Wuhan et ils ont une longue histoire d’expérimentation avec des « coronavirus » et des chauves-souris. Peu importe que les preuves du « SRAS-COV-2 » soient inexistantes, car dans ce scénario les virologues de Wuhan ont génétiquement conçu un tout nouveau « virus » à partir des restes d’autres « virus », conduisant ainsi à la « pandémie » même qui y est née. Ce « virus », créé grâce à des recherches secrètes sur le gain de fonction, avait dû s’échapper accidentellement du laboratoire ou être délibérément libéré à des fins néfastes. Cette intrigue de science-fiction conçue pour les films est défendue par ceux qui n’ont jamais remis en question le manque de preuves scientifiques de l’existence de « virus ». Cependant, pour ceux qui ont étudié ce sujet en profondeur, il est absolument clair que le récit du gain de fonction/de l’arme biologique/de la fuite de laboratoire est un appât basé sur la peur utilisé pour maintenir ceux qui remettent en question le scénario pharmaceutique officiel accrochés aux mensonges du complexe médico-industriel.


La virologie : pseudoscience au service de la domination

Tests PCR, absence de virus isolés, existence des exosomes, la « méthode » des virologues, le « séquençage » génétique… : un tour d’horizon des preuves du caractère non scientifique de la virologie.


Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?

Voici une synthèse du Dr Julien Devilléger, exposant les « preuves » fournies à ce jour d’un « virus SARS-CoV-2 » prétendument responsable du Covid, mais qui relèvent d’une farce.


Big Pharma (ô surprise !) a créé de toutes pièces la peur de l’hépatite B… pour vendre ses nouveaux vaccins

C’est l’une des interviews les plus révélatrices de l’histoire de l’industrie pharmaceutique.

En 1997, la revue Sciences et Avenir a publié un entretien avec un cadre du grand laboratoire pharmaceutique qui produisait le vaccin contre l’hépatite B.


Démantèlement de l’hypothèse virale

Le « virus de la rougeole » comme exemple. Les raisons pour lesquelles on devrait douter au sujet des affirmations concernant les virus. Que sont les virus et que ne sont-ils pas ? Comment l’existence des virus est-elle expérimentalement prouvée ?

Les scientifiques doivent douter. Ils doivent même douter de tout. Surtout de ce qui leur est cher, à savoir leurs propres découvertes et représentations. Cette règle de base du travail scientifique a pour but d’éviter les dérives et de mettre en évidence celles qui existent. De même, tout le monde a le droit de douter, si ce n’était pas le cas nous serions en dictature. De plus, la science n’est pas limitée à quelques institutions et spécialistes. Toute personne, disposant des connaissances nécessaires et des méthodes appropriées, peut et a le droit de pratiquer la science.

La science n’est science que si les affirmations sont vérifiables et compréhensibles et permettent des prédictions.


Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés

Voici un article fondamental qui montre bien que toute la virologie est une escroquerie.

Les virologues qui prétendent que des virus entraînent la maladie sont des fraudeurs scientifiques et doivent être poursuivis devant des tribunaux.


VIRUS TUEUR ??

Qu’est-ce qu’un virus ? Descendez au fond de l’antre où se cache le mystérieux virus et remettez tout en question. La pandémie bidon de coronavirus est une mystification monumentale, bien au-delà de ce que vous pourriez imaginer.


Épidémies et contagions

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voire fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.


Déclaration sur l’isolement des virus

La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition du mot “isolement”, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :


Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies

Nous ne vivons pas une épidémie, nous vivons une épidémie de peur.
“La Virus Mania est une maladie de la société moderne. Pour la guérir, il faudra vaincre la peur, la peur étant le virus contagieux le plus mortel, le plus efficacement transmis par les médias… l’erreur est humaine, mais entretenir l’erreur est diabolique”.(…)
Le Dr Kohnlein réfute scientifiquement les idées reçues selon lesquelles le SARS Coronavirus, le SIDA, la grippe asiatique, l’hépatite, la polio et le cancer du col de l’utérus sont causés par un virus.


Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans

“Je ne perçois pas la crise du coronavirus de la même façon que la plupart des gens. Pour moi, elle constitue plutôt l’occasion d’ouvrir à nouveau une controverse scientifique vieille de 150 ans que la plupart des pays occidentaux ont oubliée.
Le scientifique français Louis Pasteur (1822-1895) est largement célébré comme « le père de la théorie des germes » — l’idée que nous devenons malades lorsque notre corps est envahi par des organismes étrangers tels que des bactéries, des moisissures, des champignons(…)
Ce que l’on sait moins, c’est que d’autres scientifiques français œuvrant à cette époque dans le même domaine avaient des convictions pour le moins différentes, connues sous le nom de « théorie du terrain ».”


Fauci et la grande arnaque du sida

Le tout nouveau livre de Robert F. Kennedy Jr., « Le vrai Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », n’est pas le livre d’un politicien qui cherche à attirer l’attention. C’est le livre d’un homme déterminé à mettre sa réputation, sa carrière et sa vie en jeu dans la lutte contre le bioterrorisme des gouvernements captifs de l’industrie pharmaceutique. Il appelle à l’insurrection de masse, et son dernier mot est : « On se retrouvera sur les barricades ! »


Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons

L’anthrax est officiellement une infection causée par la bactérie Bacillus anthracis. Elle peut se manifester sous quatre formes : cutanée, pulmonaire, intestinale et par injection. Les symptômes commencent entre un jour et plus de deux mois après que la personne ait contracté l’infection.
La forme cutanée se présente sous la forme d’une vésicule noire caractéristique. La forme par inhalation se manifeste par de la fièvre, des douleurs thoraciques et un essoufflement. La forme intestinale se manifeste par une diarrhée (qui peut contenir du sang), des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements. La forme injectable se manifeste par de la fièvre et un abcès au point d’injection du médicament.(…)
Les symptômes de l’empoisonnement à l’arsenic sont remarquablement similaires à ceux de l’”anthrax”, notamment l’apparition de lésions cutanées noires. Comme l’anthrax, l’arsenic peut empoisonner par contact avec la peau, par inhalation et par le tube digestif. Si une injection contient de l’arsenic, elle provoquera une lésion au niveau du site.(…)
Le véritable mystère est de savoir pourquoi les scientifiques de l’époque n’ont pas fait le lien entre l’anthrax et l’arsenic.


La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Vous pensez que le coronavirus s’est échappé d’un laboratoire de Wuhan ? Vous pourriez souffrir de microbiophobie. Espérez-vous qu’un vaccin vous protégera contre le coronavirus ? Vous êtes probablement microbiophobe. Vous sentez-vous à l’abri du coronavirus en portant un masque, en vous isolant et en gardant une distance sociale ? Vous êtes certainement atteint de microbiophobie. La microbiophobie rampante – qui perturbe nos vies en raison de peurs irrationnelles des micro-organismes tels que les virus – est hors de contrôle dans nos sociétés ! Mais que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines.


Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies

Traduction de la table des matières et d’extraits du livre The Contagion Myth.
(Partie 1 : EXPOSER LA THÉORIE DU GERME
CHAPITRE 1 : CONTAGION
CHAPITRE 2 : ÉLECTRICITÉ ET MALADIE
CHAPITRE 3 : PANDÉMIES
CHAPITRE 4 : DU SIDA AU COVID
CHAPITRE 5 : TESTER L’ARNAQUE
CHAPITRE 6 : EXOSOMES
CHAPITRE 7 : RÉSONANCE
Partie 2 : QU’EST-CE QUI CAUSE LA MALADIE?
CHAPITRE 8 : L’EAU
CHAPITRE 9 : ALIMENTATION
CHAPITRE 10 : TOXINES
CHAPITRE 11 : L’ESPRIT, LE CORPS ET LE RÔLE DE LA PEUR
Partie 3: CHOIX…)


Ebola : briser les mensonges et la supercherie

Nous sommes avertis, de temps en temps, qu’une nouvelle épidémie d’Ebola (ou de Marburg) pourrait se propager. C’est l’une de ces attractions à venir dans le théâtre qui montre un film de virus après l’autre. (…) La campagne massive pour faire croire que le virus Ebola peut attaquer à tout moment, après le moindre contact, est plutôt réussie. (…) Pour ne pas résoudre les problèmes du peuple, une histoire servant de couverture est nécessaire, une histoire qui disculpe la structure du pouvoir.


La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2

Après les deux clous précédents enfoncés dans le cercueil de la théorie virale, dans cette troisième phase, le Dr Stefan Lanka montre qu’en appliquant la même technique que celle utilisée par les virologues, en utilisant les acides nucléiques qui ne proviennent pas de matériel supposé infectieux, mais de tissus humains, d’animaux et de plantes sains, vous pouvez construire le génome de n’importe quel « virus ». (Vidéo 8 min)


Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal

Après avoir étudié la biologie moléculaire au MIT, le Dr Kaufman a obtenu son diplôme de médecine à l’université de Caroline du Sud, puis s’est spécialisé en psychiatrie au centre médical de l’université de Duke. Des virus aux injections et aux médicaments, cette vidéo (> 1 h 20) aborde les hypothèses de base qui sous-tendent l’ensemble du récit sur le covid.


L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)


La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».


L’enterrement de la théorie virale

Pour déterminer la validité d’une théorie scientifique touchant une discipline particulière, il est bien davantage utile de connaître la démarche scientifique et le propre de la science que d’être un expert du domaine en question. Le propre de la science est le doute, la remise en question des connaissances acquises à la lumière de nouvelles données ou informations, par exemple suite à l’exploration de nouvelles voies ou à l’observation du réel sous un nouvel angle de vue ou selon une nouvelle perspective. Une théorie explicative de phénomènes observés ne peut être véritablement d’ordre scientifique que si elle est contestable par l’argumentation ou l’expérimentation dans le cadre de la démarche scientifique. Si a contrario elle se pose en vérité absolue ou définitive, alors elle ne relève pas de science, mais de superstition ou de croyances religieusement ou affectivement entretenues. À la lumière de nombreux faits et constats, nous allons tenter de montrer ici en quoi la théorie virale ne relève pas de science, mais de scientisme et de croyances erronées.




Bill Gates prépare un état carcéral pandémique mondial

[Source : theepochtimes.com]

[Photo : Bill Gates prend la parole sur scène lors du sommet TIME 100 2022 le 7 juin 2022 à New York.
(Jemal Countess/Getty Images for TIME)]

Par Jeffrey A. Tucker

On pourrait penser qu’une catastrophe épique comme la réponse au COVID devrait inciter à l’humilité et à la réflexion sur la façon dont la santé publique a pu se fourvoyer à ce point. Ils ont eu leur chance, mais ont créé un désastre mondial pour l’éternité.

C’est plus qu’évident pour tout observateur compétent. L’étape suivante pourrait être de voir s’il y a des endroits où les choses se sont plutôt bien passées, et la Suède vient tout de suite à l’esprit. Les pertes en matière d’éducation ont été inexistantes, car les écoles n’ont pas été fermées. En général, la vie s’est déroulée normalement et avec de très bons résultats.

[NDLR D’autres pays ou États, comme la Biélorussie et diverses nations africaines, ont été plus opposés aux mesures sanitaires que la Suède et ont obtenu de meilleurs résultats.]

On pourrait penser que la méthode suédoise est justifiée. Malheureusement, nos dirigeants ne se soucient pas des preuves, apparemment. Ce qui les préoccupe, c’est le pouvoir et l’argent à tout prix. En conséquence, nous assistons à un effort concerté non seulement pour doubler les erreurs la fois suivante, mais aussi pour les aggraver.

Les deux principales pièces à conviction sont apparues au cours du week-end.

New York Times : « We’re Making the Same Mistakes Again » (Nous refaisons les mêmes erreurs) par Bill Gates.

Wall Street Journal: « What Worked Against Covid: Masks, Closures and Vaccines » (Ce qui a fonctionné contre le Covid : masques, fermetures et vaccins), par Tom Frieden (ancien directeur du CDC).

Bill Gates profite de sa position privilégiée au New York Times pour plaider une fois de plus en faveur d’un corps d’urgence sanitaire mondial, installé au sein de l’Organisation Mondiale de la Santé et géré par les mêmes personnes qui ont mis au point la réponse à la pandémie cette fois-ci. En d’autres termes, il s’agirait d’un organe central du gouvernement mondial chargé d’imposer de nouvelles mesures de confinement au monde — des mesures de confinement qui permettraient d’attendre une nouvelle série de vaccins.

À l’en croire, il n’a rien appris du dernier gâchis qu’il a créé. En fait, il n’a aucune honte à le faire. Selon lui, le seul problème est que nous n’avons pas verrouillé assez rapidement, que nous n’avons pas distribué les vaccins assez vite et que nous n’avons pas mené assez de recherches à l’avance pour mettre au point le vaccin parfait. Et oui, cela nécessite nécessairement des recherches sur le gain de fonction.

En d’autres termes, selon M. Gates, la recherche doit continuer à bricoler dans les laboratoires avec des astuces qui anticipent les pathogènes du futur, ce qui augmente à nouveau le risque de fuites de laboratoires qui nécessitent alors des correctifs qui ne peuvent être produits et distribués que par les sociétés pharmaceutiques dans lesquelles il a de si gros investissements.

C’est ainsi que l’on se retrouve dans une boucle infernale : la recherche sur le gain de fonction pour anticiper le prochain agent pathogène en le créant et en risquant ainsi une fuite de laboratoire qui libère l’agent pathogène qui doit alors être corrigé par les vaccins eux-mêmes, mais que le monde doit verrouiller jusqu’à ce qu’ils puissent être administrés à des milliards de personnes.

Et n’oubliez pas que Gates n’est pas simplement un type qui écrit un article d’opinion. Il est de facto le propriétaire de l’Organisation Mondiale de la Santé, et sa volonté de mettre en place une bureaucratie permanente en cas de pandémie a donc beaucoup de poids. La bureaucratie dont il rêve passerait outre la souveraineté nationale pour s’assurer qu’il n’y ait plus jamais de Suède.

« Il est difficile pour un pays d’arrêter seul la propagation d’une maladie », écrit-il. « La plupart des actions les plus significatives nécessitent une coordination au plus haut niveau de l’État ».

Le modèle est toujours le même et il est tiré du monde de l’informatique. Il y a un disque dur propre, analogue au corps humain ou à des sociétés entières. Ils fonctionnent bien, mais une menace exogène apparaît sous la forme d’un logiciel malveillant. Pour la contrer, nous avons besoin de logiciels mis à jour. Il est clair qu’il ne faut pas allumer son ordinateur tant que le disque dur n’a pas été nettoyé.

Je ne plaisante pas : Les connaissances de M. Gates en matière de virus ne sont pas plus sophistiquées que cela. Il n’a absolument rien appris depuis des années. Il répète encore les lignes ridicules de ses TED Talks d’il y a des années.

[Note de Joseph : les connaissances des virologues ne semblent guère valoir mieux, car les recherches de quelques scientifiques, comme Stefan Lanka, qui appliquent eux la méthodologie scientifique (contrairement à la plupart des virologues) tendent à démontrer qu’il n’existe en fait aucun virus pathogène dans la nature, que ce que l’on a pris longtemps pour des virus causant des maladies est des exosomes produits naturellement par les tissus biologiques agressés d’une manière ou d’une autre (étant donné notamment leur grande sensibilité chimique et électrique), et que les maladies qualifiées de virales sont en réalité causées par différents facteurs tels que les pesticides agricoles qui se retrouvent dans les aliments, les polluants atmosphériques, les additifs chimiques alimentaires, les toxines qui se retrouvent dans l’eau courante, les ondes électromagnétiques pulsées de la téléphonie sans fil (dont la récente 5G auquel les organismes vivants ne sont pas habitués), du Wi-Fi, de la télévision digitale, des compteurs intelligents, etc.. Les symptômes de ces ondes sont connus depuis des décennies et recoupent ceux de la grippe, de la Covid qui est essentiellement la grippe rebaptisée, de la prétendue « Covid longue » et de plusieurs autres pathologies. Voir les dossiers 5G et ondes pulsées et Vaccins et virus pour plus d’informations.]

En réalité, cela n’a rien à voir avec les virus biologiques, que nous avons appris à gérer grâce au système immunitaire, un concept qui lui échappe totalement. Il trouve inconcevable que la meilleure stratégie pour les personnes en bonne santé soit de rencontrer le virus et d’entraîner le système immunitaire. En fait, il est consterné par cette idée, préférant uniquement des substances plus injectables conçues pour lutter contre les maladies.

[Note de Joseph : dans le nouveau paradigme médical ou sanitaire initié par des pionniers tels que Stefan Lanka, Andrew Kaufmann et Thomas Cowan, on peut en venir même à remettre en question la notion de système immunitaire, puisque la théorie des anticorps est contestable et contestée. Si les maladies ne sont nullement produites par des virus, la santé n’est alors pas rétablie par un système immunitaire, mais par un système de réparation et de nettoyage, ou encore de purification et de réharmonisation.]

Il n’a pas non plus compris que les virus — qu’ils proviennent des laboratoires ou de la nature — doivent tous obéir à la dynamique épidémiologique naturelle de la propagation des agents pathogènes. Plus ils sont mortels, moins ils sont susceptibles de se propager. L’inverse est également vrai : plus ils sont répandus, comme le COVID, moins ils sont graves.

[Note de Joseph : bien sûr si les virus n’existent pas, cette notion de contagion épidémique virale est également caduque et tout ce qui tourne autour relève de contes de fées. D’ailleurs, celle-ci n’a jamais pu être démontrée expérimentalement. Voir en particulier Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS. La plupart des apparentes contagions, notamment saisonnières, s’expliquent par l’exposition à une cause commune, comme notamment le retour du froid qui affaiblit l’organisme et le rend moins résistant aux causes toxiques endémiques (telles que la pollution électromagnétique ou la pollution atmosphérique qui existent toute l’année de manière fluctuante, mais auxquelles les organismes vivants parviennent à résister tant bien que mal, sauf lorsqu’ils sont affaiblis par ailleurs, par surmenage, manque de sommeil, coup de froid, stress…). Sinon, il existe un phénomène capable de propager des états pathologiques ou leurs symptômes : la communication par biophotons (voir Communication entre organismes vivants par biophotons).]

La raison en est simple : un agent pathogène a besoin d’un hôte vivant. Certes, il existe d’autres variables telles que la latence, c’est-à-dire la durée pendant laquelle le virus vit dans l’hôte avant que les symptômes débilitants n’apparaissent. En dehors de cela, un laboratoire ne peut rien créer qui sorte de cette matrice.

[Note de Joseph : ceci dans le cadre du conte de fées viral. Dans le nouveau paradigme, on perçoit l’absurdité conceptuelle de virus pourtant non vivants et donc non intelligents (puisque simples bouts d’ADN ou d’ARN déconnectés des tissus biologiques), mais qui seraient assez futés pour savoir se retenir de tuer l’hôte en dosant leur prétendue capacité à pirater des cellules vivantes pour s’y multiplier et les achever du même coup. Dans cette histoire pour enfants, ils sont censés savoir n’envahir qu’un nombre limité de cellules (et non la totalité de celles de l’hôte) alors qu’ils ne sont que des assemblages morts de séquences chimiques, des molécules plus ou moins grosses et longues, mais sans la moindre source d’intelligence en dehors de celle de leur créateur. Comme si ces molécules chimiques avaient la capacité de faire grève ou de dire à un certain moment : « Stop ! On a assez fait de carnage pour aujourd’hui. On s’arrête. On se met en vacances, en mode furtif et on reprendra le travail la saison prochaine. ». Ce sont pourtant juste de grosses molécules chimiques inertes, éventuellement enveloppées de lipides !]

Si vous pouvez comprendre ce paragraphe, je peux vous promettre ceci. Vous en savez maintenant beaucoup plus sur les virus que Bill Gates. [Note de Joseph : ou bien vous connaissez seulement mieux l’histoire de ce conte de fées.] Et pourtant, c’est lui qui exerce une influence décisive sur la politique mondiale en matière de pandémie. La raison est très simple : c’est son argent. Ce n’est certainement pas son intelligence. En fait, il est assez choquant de voir comment son argent seul a réussi à acheter le silence des scientifiques du monde entier, qui se sont montrés terriblement obséquieux et déférents à l’égard des idées farfelues que Gates colporte depuis des décennies. [Note de Joseph : elles ne sont pourtant guère plus farfelues et moins scientifiques que celles des virologues scientistes. La meilleure manière de stopper celui-ci est de répandre la remise en question et le démontage de la théorie virale.]

Tom Frieden, l’auteur de l’article susmentionné paru dans le Wall Street Journal, en est un bon exemple. Malgré tous les problèmes liés à la réponse à la pandémie, écrit-il, nous savons ce qui fonctionne : le masquage, le confinement et les vaccins (idéalement obligatoires). L’article est exaspérant au point qu’il est même frustrant d’écrire une réponse. Et ce, parce que sa conclusion est déjà intégrée dans la prose. Il propose une multitude de liens vers d’autres études au cas où vous douteriez de sa véracité, tout en évitant soigneusement le grand nombre d’études qui démontrent le contraire.

Alors, oui, j’ai passé trop de temps au cours de la semaine à examiner les preuves de sa thèse. En ce qui concerne les masques, il cite des études absurdes datant d’il y a trois ans. L’une d’entre elles portait sur l’utilisation de masques en Arizona pendant trois semaines et concluait à une différence dans les taux d’infection. Mais cette étude a été réalisée au cours de la plus petite vague initiale de 2020 et est entièrement invalidée par les analyses ultérieures des deux mêmes comtés, sans parler des centaines d’études de qualité qui n’ont montré aucune différence dans la propagation virale en fonction du port du masque.

[Note de Joseph : il est bien évident qu’en absence de virus pathogènes, le masque ne peut que servir à dégrader la santé, notamment par manque d’oxygène et par excès de CO2 dans le sang, ou tout au plus à créer un effet placebo favorisant la résistance du corps par la puissance des croyances.]

Une autre étude provient d’un navire de la marine où l’on a demandé aux gens de s’autodéclarer. Il ne s’agit même pas d’une étude scientifique sérieuse et pourtant l’ancien directeur du CDC la cite. Cette même étude a été utilisée par le CDC pour justifier sa propre campagne en faveur des masques. Elle a été publiée dans la série MMWR sur une période de trois ans, qui comprenait certaines des pires données scientifiques jamais diffusées par une bureaucratie moderne.

En ce qui concerne les fermetures d’entreprises, Frieden ne prend même pas la peine de citer une étude pour les défendre. Il se contente d’affirmer le droit des gouvernements à fermer des entreprises s’ils le souhaitent. Ce que ces personnes ne mentionnent jamais, c’est que les fermetures d’entreprises incluent également le droit du gouvernement de fermer votre maison aux fêtes et votre église aux services religieux. En d’autres termes, il s’agit d’une attaque massive contre les droits de l’homme durement acquis depuis plus de 1000 ans.

Enfin, en ce qui concerne l’efficacité des vaccins, toutes les études qu’il cite sont basées sur des modèles informatiques bidons qui peuvent générer n’importe quelle conclusion en fonction des paramètres des variables d’entrée. Il s’agit du type de modèles que les scientifiques sérieux travaillant, par exemple, dans le domaine de l’économie ont cessé d’utiliser il y a plusieurs décennies. Et pourtant, les épidémiologistes continuent de s’en servir pour justifier leurs politiques préférées.

Bien entendu, il ignore les centaines d’études réalisées aux États-Unis et dans le monde entier qui ne montrent aucune relation entre les interventions gouvernementales et les bons [ou les mauvais] résultats en matière de santé au cours de la pandémie.

Il y a lieu d’être profondément alarmé par ces deux articles. Les auteurs parlent au nom de certaines des personnes les plus puissantes du monde. Ils expliquent exactement ce qu’ils veulent faire. Ils sont totalement imperméables aux preuves. Et ils révèlent toute leur ambition de passer outre, d’inverser et d’abolir effectivement tout ce que l’on appelait autrefois la liberté.

Incroyablement, ils ont l’audace d’écrire ces choses au milieu du carnage qu’ils ont créé la dernière fois. Tout cela me rappelle le célèbre résumé de l’Empire romain écrit par le grand historien Tacite, paraphrasant Calgacus :

« Ces pillards du monde, après avoir épuisé la terre par leurs dévastations, fouillent l’océan : stimulés par l’avarice, si leur ennemi est riche ; par l’ambition, s’il est pauvre ; insatiables de l’Orient et de l’Occident : le seul peuple qui contemple la richesse et l’indigence avec une égale avidité. Ravager, massacrer, usurper sous de faux titres, ils appellent cela l’empire ; et là où ils font un désert, ils appellent cela la paix ».

Bill Gates et Tom Frieden ont créé un désert et l’appellent la santé.




À propos de l’auteur

Jeffrey A. Tucker est le fondateur et président du Brownstone Institute, et l’auteur de plusieurs milliers d’articles dans la presse savante et populaire, ainsi que de 10 livres en cinq langues, le plus récent “Liberty or Lockdown.” Il est également l’éditeur de The Best of Mises. Il écrit une chronique quotidienne sur l’économie pour The Epoch Times et parle largement des sujets de l’économie, de la technologie, de la philosophie sociale et de la culture.




Comment le corona a tué Pasteur

[Source : neosante.eu via santeglobale.world]

Par Yves RASIR

[NDLR Les liens vers des articles sur Nouveau Monde sont ajoutés]

Il y a trois ans, le 29 janvier 2020 exactement, je publiais ma première infolettre sur ce qui ne s’appelait pas encore le covid-19. Dans ce billet, je déplorais déjà la psychose délirante qui allait entraîner, sous prétexte sanitaire, un déferlement totalitaire hallucinant. Dès ce premier édito consacré au Corona Circus (*), j’exprimais cependant ma conviction qu’à toute chose malheur est bon. Le monde allait enfin réaliser que la médecine pasteurienne fait fausse route, que sa théorie du germe ne tient pas debout et que les virus sont innocents des méfaits qu’on leur impute. Trente-six mois plus tard, force est de reconnaître que mon optimisme était quelque peu béat. Même chez les résistants à la mascarade coronavirale et au traquenard vaccinal, il y a une grande majorité de gens qui continuent de penser que les microbes sont la cause des maladies infectieuses et que celles-ci sont incontestablement contagieuses. Ce double mythe introduit par Louis Pasteur au 19e siècle n’en finit plus d’empoisonner les esprits. Ce ne sont pourtant pas les preuves de son inanité qui manquent ! Durant ces trois années, nous avons collecté quantité d’indices indiquant que le virus couronné n’était pour rien dans cette pseudo-pandémie. Le vrai coupable reste à identifier, mais il y a toute une série d’éléments permettant de disculper l’hypothétique sars-cov-2 dans la survenue de grippes légèrement atypiques et de leurs complications pneumopathiques. (…) Pour nous, le corona n’a jamais tué personne, si ce n’est le saint patron de la virophobie et sa fausse théorie.

1) L’introuvable patient zéro

Dès l’entame de l’opération plandémique, les médias aux ordres nous l’ont répété à l’envi : les autorités sanitaires de chaque pays étaient sur pied de guerre pour retrouver les « patients zéro », c’est-à-dire leurs premiers contaminés nationaux. Le but de cette traque était bien sûr de remonter la chaîne de transmission du virus afin de stopper sa progression. Les épidémiologistes se sont donc mis en chasse pour retracer les contacts des malades et coincer le gibier, à savoir les tout premiers covidés arrivés ou infectés sur le sol national. Le hic, c’est que les chasseurs sont toujours rentrés bredouilles. En Chine, ils ne sont pas arrivés à dénicher le patient zéro malgré une longue enquête concentrée autour du marché aux animaux de Wuhan, pourtant épicentre de l’épidémie. En Italie, la piste d’un migrant chinois ou d’un touriste italien débarquant de Chine a été évoquée, mais le « coupable » n’a pas été identifié. Idem en Belgique, idem en France, idem en fait partout dans le monde. Les enquêteurs n’ont jamais réussi à remonter les filières jusqu’au cas initial, car il manquait toujours des maillons dans les chaînes de transmission. Les premiers malades ne se connaissaient pas et il n’y avait pas eu de possibilité de contact entre eux. Ça la fout un peu mal pour la théorie du virus made in China se disséminant facilement avant les masques, gestes barrières et autres confinements. Une chauve-souris ou un pangolin aurait donc pris l’avion et débarqué incognito ? Les gardiens du dogme pasteurien s’en tirent en expliquant qu’une personne sans symptômes a très bien pu refiler le virus tueur à un autre porteur qui a lui-même essaimé pendant la période d’incubation. C’est pratique, l’asymptomatologie, pour voler au secours de la virologie. Mais c’est aussi se tirer une balle dans le pied comme nous allons le voir au point suivant.

2) La prolifération des asymptomatiques

Des microbes sans malade et des malades sans microbe, ce n’est pas nouveau. Pour chaque maladie dite infectieuse, il est notoire que la présence du germe n’est pas forcément pathogène et que son absence n’empêche pas toujours le stade pathologique. Par exemple, une majorité d’entre nous héberge la bactérie Helicobacter Pylori, mais une toute petite minorité va déclencher un ulcère ou un cancer de l’estomac, tandis que l’agent bactérien n’est pas toujours retrouvé chez les ulcéreux et les cancéreux gastriques. C’est déjà une fameuse faille du narratif pasteurien faisant du micro-organisme le principal fautif. Le sida est arrivé à point nommé, car on nous a alors expliqué que les assaillants pouvaient rester cachés ou s’endormir avant d’attaquer. Avec le corona, cette pirouette n’est cependant pas valable puisque l’intrus est censé entrer par le nez, progresser vers les poumons s’il surmonte l’immunité locale et déclencher presque à coup sûr une infection respiratoire, comme le virus de la grippe. Or il s’est avéré que la proportion de covid asymptomatiques était très importante. Les estimations ont varié entre 15 et 70 % au fil du temps, mais la plus sérieuse étude sur la question a évalué le pourcentage à 40,5 %. Il y a donc plus de quatre cas sur dix qui ne sont précisément que des cas, c’est-à-dire des tests PCR positifs ne reflétant même pas un nez qui coule ou une petite toux. C’est logique puisque cette technique de dépistage génère une myriade de faux positifs et qu’elle n’a pas été inventée pour poser un diagnostic. Cet instrument a cependant été employé pour accuser le virus et c’est même le seul « témoin » de l’accusation, laquelle n’a jamais dénoncé la trop grande sensibilité du test. Grâce à la PCR et à la pullulation de contaminés non malades, on a eu l’éclatante démonstration que les fondations du paradigme pasteurien sont pour le moins branlantes. La corrélation entre virus et maladie, qui n’est déjà pas un lien de causalité, est loin d’être évidente !

3) Les soignants pas plus touchés

La théorie virale est d’autant plus bancale que le personnel soignant n’a pas été décimé par le supposé fléau infectieux. Les autorités sanitaires ont prétendu le contraire, nous ont fait applaudir les héroïques médecins et infirmières « en première ligne sur le front », mais n’ont jamais apporté la preuve que leurs troupes étaient davantage concernées par l’épidémie. En Belgique comme en France, les chiffres de décès par métier ont toujours été cachés et ce n’est que par la presse ou via des mutuelles que des cas ont sporadiquement été rapportés. Rien de statistiquement anormal. Côté belge, je n’ai pour ma part identifié qu’une dizaine de soignants dont la mort a été attribuée au covid. Et j’ai fait remarquer à l’époque que quatre d’entre eux étaient d’origine africaine, ce qui n’est pas anodin puisque les Noirs et métis vivant en Occident sont à risque de carence en vitamine D au sortir de l’hiver, les peaux foncées synthétisant moins bien cette précieuse alliée de l’immunité. À défaut de « payer un lourd tribut », les héros ont-ils davantage été exposés au virus ? Même pas ! Certaines études ont bien conclu que les professionnels du soin étaient proportionnellement plus nombreux parmi les contaminés, mais ce sont des trompe-l’œil puisque les pros se sont évidemment testés plus souvent et que la méthode PCR génère plein de faux positifs. Bien plus intéressant de ce point de vue, le test sérologique n’a montré aucune différence entre les soignants et la population générale selon une étude menée en Belgique par l’Institut Sciensano. Avec ou sans blouse blanche, les Belges ont rencontré le virus dans des proportions équivalentes. L’Institut en a déduit que les toubibs et le personnel infirmier s’étaient bien protégés, mais l’on se souviendra que ces deux corporations se plaignaient du manque d’équipements avant et durant la première vague. Pour intégrer que le récit pasteurien est mensonger, il suffit de se rappeler les temps précovidiens et les épidémies de grippe annuelle. Bien que non masqués et serrant les mains de leurs patients sans arroser les leurs de gel hydroalcoolique, les médecins de terrain n’ont jamais massivement succombé à l’influenza censée se transmettre, lui aussi, par les contacts cutanés ou les microgouttelettes en suspension dans l’air. On n’a jamais vu les rangs des généralistes être décimés par la pourtant réputée contagieuse grippe saisonnière, et ce n’est pas le corona qui a changé la donne. Allô Pasteur ?

4) Les omniprésentes comorbidités

Le microbe n’est rien, le terrain est tout. Jamais cette phrase attribuée à Antoine Béchamp ou Claude Bernard et qu’aurait admise Louis Pasteur sur son lit de mort n’a été plus conforme à la réalité. Pour autant qu’il existe, le sars-cov2 a très bien révélé que son rôle était nul ou infime en regard du terrain, c’est-à-dire de la santé et de la vitalité du patient en amont de l’épisode infectieux. À Wuhan déjà et en Italie surtout, il est très vite apparu que cette grippe à corona — famille de particules impliquée, je vous le rappelle, dans 13 à 18 % des syndromes grippaux hivernaux habituels — épargnait totalement les enfants et accablait très préférentiellement les aînés porteurs de comorbidités. Selon les données italiennes observées partout ailleurs, pas moins de 94 % des « covidécédés » souffraient préalablement d’obésité, de diabète et/ou d’hypertension. Chez les 6 % restants, on pouvait encore soupçonner un cancer sous-jacent ou une autre maladie chronique non diagnostiquée. Bref, « il y avait toujours quelque chose quand on cherchait un peu », comme l’a déclaré le Dr Louis Fouché lors de sa toute première vidéo enregistrée à l’IHU de Marseille. Certes, l’anesthésiste-réanimateur s’est lui aussi farci le covid par la suite, à l’automne 2021, et « ce n’était pas rien » comme il l’a confié après sa convalescence. Comme lui, des centaines de milliers de gens pas vieux et en apparente bonne santé ont également été frappés et secoués par cette grippe à l’impact extrêmement variable : rhinite légère chez les uns et pneumonie sévère chez les autres, avec toute la palette de gravité entre ces deux pôles. Est-ce pour autant la revanche de la théorie du germe ? Pas du tout selon nous. Dans la vision qui est la nôtre, l’agent infectieux est soit endogène et produit par l’individu (théorie des microzymas), soit exogène et « téléchargé » par les patients dont l’immunité laisse à désirer. Au début, il était logique que les plus fragiles tombent les premiers. Ensuite, il n’était pas moins logique que l’infection survienne sur d’autres terrains. Comme nous l’avons maintes fois souligné, l’infectiologie classique a comme axiome que les agents infectieux les plus virulents sont aussi les moins contagieux et qu’inversement, les plus transmissibles sont aussi les plus inoffensifs. Cela s’est encore vérifié spectaculairement puisque les chiffres de mortalité se sont tassés à mesure que le covid gagnait en popularité. Autrement dit, les gens en bonne santé ont « fait » la maladie quand elle ne présentait plus guère de danger. Pourquoi l’affection en a-t-elle néanmoins affecté beaucoup ? C’est ici qu’il faut prendre en compte la médecine du Dr Hamer et bien comprendre le rôle auxiliaire des agents infectieux qui viennent participer au processus de guérison. En d’autres termes, le virus couronné s’est probablement invité chez tous ceux qui, à des degrés très divers, avaient déjà une faiblesse réclamant correction. Le surpoids, même modéré, est l’un de ces handicaps répertoriés. Les subcarences en vitamines et minéraux en sont un autre, de même que la sédentarité. Il est archiprouvé que le manque d’activité physique et le déficit micronutritionnel (en zinc et vitamine D essentiellement) sont des facteurs favorisants prépondérants de la grippe classique comme de la grippe covid. De notre point de vue, les conflits relationnels et la perte d’équilibre émotionnelle ne sont évidemment pas à négliger et ils constituent même une « comorbidité » décisive. Même s’il incarne la sérénité, Louis Fouché a quand même somatisé après avoir perdu son poste hospitalier. Bref, la théorie du terrain sort à nos yeux consolidée par ces trois années plutôt mortelles pour le modèle pasteurien.

5) Les clusters aux abonnés absents

Le grand méchant loup n’effrayant pas assez, il fallait agiter le spectre de meutes entières attaquant férocement les humains sans défense. Et comme le mot « foyer » ne permet pas de jargonner en faisant le malin à la télé, les politiciens et leurs conseillers ont sorti l’anglicisme « cluster » de leur trousse MacKinsey. Signifiant « groupe » ou « grappe », ce terme désigne les foyers épidémiques apparaissant lorsque le cruel virus se propage et contamine des individus réunis dans un même endroit. Selon le récit covidiste, tout rassemblement aurait été un terrain de jeu pour l’agent infectieux et il fallait à tout prix éviter la multiplication des clusters. Cette autre forme de modélisation mathématique s’est cependant avérée aussi foireuse que les prévisions de mortalité et les foyers de contagion n’ont pas du tout répondu aux pronostics. Certes, l’étude française Épi-Phare a mis en évidence que le lieu de travail et le foyer familial étaient le point de départ de petites flambées épidémiques. C’est facilement explicable du fait que ces deux milieux de vie sont propices aux conflits relationnels et que les personnes en présence subissent les mêmes influences environnementales. Les bars et restaurants ? Comme l’a exposé le mathématicien Vincent Pavan, le seul travail scientifique qui a servi à justifier leur fermeture était en réalité un piètre sondage truffé de manquements méthodologiques. Rien ne prouve que les bistrots et les restos soient des clusters en puissance parce qu’on y ouvre la bouche. Le plus ennuyeux pour la théorie pasteurienne, c’est que les contaminations ont complètement déserté les transports en commun. Même agglutinés dans des wagons bondés, les usagers du train ou du métro n’y auraient pas « chopé » le covid parce qu’ils étaient masqués. La bonne blague, alors que ces lieux clos sont de véritables bouillons de culture paradisiaques pour les germes de toute nature ! La preuve la plus flagrante que la hantise des clusters ne repose sur rien, c’est que les grands rassemblements de 2020, comme le salon du bâtiment en Belgique ou les fêtes de la musique en France, n’ont donné lieu à aucune vague d’infections parmi les participants. Idem en 2021 pour les raves-parties sauvages et les « boums » des jeunes Bruxellois au Bois de la Cambre. Les médias et les médecins de plateau avaient prédit le pire, mais le virus a boudé les joyeux fêtards. Cherchez l’erreur !

6) Une symptomatologie non spécifique

Un microbe pour chaque maladie, une maladie pour chaque microbe : c’est le rêve et le « business model » des plandémistes catastrophistes. Selon leur credo, chaque virus émergent va donner lieu à une pathologie particulière se distinguant par des symptômes particuliers. Avec le sars-cov2, on allait voir que le covid était du jamais vu, du parfaitement inédit ! Hélas pour les faux prophètes, les signes cliniques de la grippe classique et de la grippe covid sont tellement ressemblants qu’aujourd’hui encore, les quatre principaux (toux, fièvre, fatigue, courbatures) ne permettent pas de faire la différence. Même Bill Gates vient de reconnaître que son fléau chéri avait tout l’air d’une grippe pas bien méchante. La détresse respiratoire aiguë ? Ça peut arriver après tout refroidissement assorti de complications. La perte provisoire du goût et de l’odorat ? Elles ont sans doute été plus fréquentes, mais ce n’est pas une exclusivité covidienne. C’était aussi la première fois que des milliards de gens acceptaient de se faire farfouiller le nez avec un long coton-tige porteur de nanoparticules toxiques. Les pneumopathies atypiques ? Comme nous l’avons signalé, cette catégorie existait déjà dans la nomenclature pour désigner certaines bronchopneumonies bactériennes. Le covid a été une grande coque-vide dans laquelle on a mis toutes les autres maladies respiratoires (3 millions d’hospitalisations chaque année en France) soudainement disparues ou en nette régression. Même les non infectieuses comme l’emphysème ou le cancer du poumon ont mystérieusement reflué ! Les troubles de la coagulation et les hypoxies silencieuses ? Ils ne sont pas non plus l’apanage du covid et peuvent être imputables à diverses intoxications, notamment au cyanure ou au mercure. Bref, on ne voit toujours pas ce qui permet d’incriminer un « nouveau corona » plus dangereux que ses cousins et que l’influenza. Comme d’habitude, ce sont les surinfections bactériennes qui ont tué et non un virus plus virulent qu’un autre. La symptomatologie du covid est d’ailleurs si peu spécifique qu’il a fallu le test PCR pour décréter qu’une nouvelle maladie avait débarqué. Trois ans plus tard, les tableaux cliniques de la grippe normale et de sa rivale coronavirale demeurent tellement similaires qu’un nouveau test de dépistage vient d’être commercialisé pour les différencier. Et le fabricant promet déjà un test trivalent permettant de faire le tri entre grippe, covid et bronchiolite. Il n’y a pas aveu plus clair que les médecins pasteuriens y perdent leur latin et que les génomes viraux ne peuvent être reliés à des symptômes spéciaux. 

7) La propagation démentie par les statistiques

C’est la grenade dernièrement dégoupillée par le statisticien Pierre Chaillot : les courbes épidémiques ne confirment absolument pas la thèse d’un virus arrivant quelque part et se propageant progressivement. Et ceci est vrai pour toutes les épidémies grippales ! Pour examiner cet argument de poids, je vous renvoie au livre récemment publié par le jeune scientifique français et à l’interview qu’il a accordée au mensuel Néosanté dans son numéro de janvier. Je l’ai déjà partagé dans ma lettre du 14 décembre, mais voici un extrait particulièrement percutant de cet entretien démystifiant : « Mes rencontres avec d’autres chercheurs ont contribué à modifier mes croyances sur la genèse des épidémies. Denis Rancourt, chercheur canadien, a contribué à m’ouvrir les yeux : aucune mortalité hivernale ne s’est jamais propagée. Tous les pays de l’hémisphère nord ont des pics de mortalité simultanés. Il n’y a pas de « propagation » épidémique expliquant la mortalité, il y a une apparition, partout en même temps, de malades, suivie d’une hausse des décès. S’il y avait propagation, on observerait nécessairement sur les courbes de mortalité des décalages de plusieurs semaines à plusieurs mois entre les pics de décès de deux pays. Or les décès sont parfaitement synchronisés tous les ans, tous les hivers pour tous les pays. Différents échanges stimulants avec d’autres scientifiques, comme Eusèbe Rioché et Jacques Colin de Verdière, qui ont contribué à la rédaction du livre, m’ont conduit à abandonner des présupposés que je croyais « scientifiques ». Pierre Chaillot ne nie pas catégoriquement que des particules virales puissent se propager dans la population. Ce n’est pas son domaine de compétence et il ne prend pas parti dans ce débat. En revanche, son analyse statistique infirme totalement que « ce quelque chose » qui se propagerait a un impact sur la mortalité ou les hospitalisations. Or si la maladie et la mort ne sont pas corrélées à la circulation du virus accusé, que reste-t-il de sa culpabilité ? Et au-delà, que reste-t-il du paradigme pasteurien inculpant les microbes et oubliant le terrain ? J’ai beau chercher, je ne vois rien.

8) La saisonnalité de l’infection

Pour autant qu’il existe et qu’il soit réellement émergent, le sars-cov2 fait incontestablement partie des virus dits hivernaux. Ça ne veut pas dire que ces particules roupillent en été et se réveillent aux premiers frimas, ça signifie que leur activité et leur supposée nocivité sont fonction du climat. Souvenez-vous de la première vague : elle a déferlé en mars 2020 et refluait déjà mi-avril. La seconde vague, elle, a débuté à la rentrée et a culminé en fin de saison automnale. Il est très vite apparu que le covid était une maladie saisonnière et qu’à l’instar de la grippe annuelle, elle sévissait plus ou moins sévèrement selon qu’il faisait chaud ou froid. C’est ce que des épidémiologistes compétents comme Jean-François Toussaint ou Laurent Toubiana ont rapidement expliqué en s’attirant pourtant les foudres des télétoubibs et des modélisateurs fous comme Martin Blachier. C’est aussi ce que le statisticien Pierre Chaillot démontre imparablement dans son bouquin : les courbes épidémiques de la virose corona ont épousé très étroitement celles des températures. Comme je l’ai relaté dans ma lettre « Coup de froid pour la doxa », ce constat est accablant pour la religion covidiste et pour la doctrine pasteurienne faisant du germe le facteur pathogène principal. Attention : l’analyse de Chaillot ne montre pas que le froid mérite à son tour d’être pointé du doigt. Elle montre uniquement que l’élément causal est à chercher dans les conditions de vie, et notamment dans celles liées aux saisons. Et le jeune statisticien de mentionner une piste, celle de l’assèchement de l’air qui peut favoriser la pénétration de particules fines au fond des bronches. Ces particules ne sont pas forcément virales et peuvent aussi provenir d’une pollution de l’air ambiant, comme c’était le cas à Wuhan en 2019. En début d’été 2021, la saisonnalité du covid ne semblait plus aussi évidente, car beaucoup ont contracté la maladie en juillet. On se souviendra toutefois que le printemps avait été pourri et que l’entame des vacances n’était pas non plus des plus chaleureuses. De plus, c’est en mai-juin que la première vague d’injections expérimentales s’était abattue sur les moins de 60 ans ne voulant plus manquer leurs transhumances estivales. Simple coïncidence ? Plusieurs études scientifiques, dont celle de la microbiologiste Hélène Banoun, ont suggéré que les fraîchement vaccinés étaient contagieux en excrétant soit l’ARN messager, soit leurs protéines spike, soit encore leurs anticorps facilitateurs d’infection. Cette hypothèse du « vaccine shedding » ne fait pas consensus, mais elle apporterait une explication à ce pic de juillet 2021 qui fait figure d’exception confirmant la règle, celle-ci étant que les syndromes grippaux, covid compris, frappent très préférentiellement en automne et en hiver. Si les virus détalent dès que le mercure remonte, doit-on encore en avoir peur et les juger responsables de nos maux ? Il me semble que la question induit la réponse.

9) Notre suspect l’est plus que jamais

C’est dans notre infolettre du 25 mars 2020 que nous avons lancé ce pavé dans la mare : nous tenions un suspect ! Grâce aux recherches du « journaliste citoyen » Dominique Guillet, nous avons en effet révélé la raison très probable pour laquelle l’Italie du Nord, et la Lombardie en particulier, était sévèrement frappée par la « première vague » de covid. C’est en effet dans cette région que deux mois auparavant, les autorités avaient procédé à une grande campagne de vaccination contre la méningite. Suite à une mini-épidémie ayant fait deux morts, elles avaient décidé de vacciner gratuitement toute la population vulnérable, c’est-à-dire les personnes âgées. Voilà sans doute pourquoi les séniors de Bergame ou de Brescia tombaient comme des mouches tandis que leurs homologues de Bologne ou de Turin étaient peu frappés par le fléau prétendument importé de Chine. En Lombardie, c’est parfois d’un village à l’autre que la situation sanitaire et le taux de remplissage du cimetière variaient fortement, ce qui est incompatible avec la thèse d’un virus qui se propage, mais qui se comprend aisément si le vaccin anti-méningocoque est en cause. Pour vérifier la corrélation, il suffisait de superposer la carte des décès avec celle de la couverture vaccinale, ce qui n’a pas été fait par les épidémiologistes italiens trop occupés à traquer l’introuvable patient zéro chinois. Notre suspect était d’autant plus à soupçonner qu’à Madrid, épicentre espagnol de la flambée de covid, on avait également vacciné contre la méningite à l’automne 2019. Mais n’oublions pas non plus le vaccin antigrippal ! Dans ses numéros 100 (mai 2020), 103 (septembre 2020) et 107 (janvier 2021), la revue Néosanté a pointé les effets délétères de ces injections en exposant, nombreuses sources scientifiques à l’appui, qu’elles avaient certainement fait le lit des pneumopathies atypiques attribuées au coronavirus. Certes, aucun « grand » média ni aucun gouvernement n’ont exploré cette piste. Mais ça ne veut pas dire qu’elle n’est pas sérieuse. Je pense même que c’est l’inverse et que le suspect n’a pas été inquiété en raison de son évidente culpabilité. Pour notre part, nous restons en tout cas convaincus que les campagnes vaccinales contre la méningite et contre la grippe sont liées aux ravages de l’hypothétique virus couronné. En juillet dernier, des chercheurs allemands ont encore publié une étude qui confirme nos soupçons. Elle montre clairement qu’au printemps 2020, la vaccination antigrippale était le facteur de risque numéro un face à la « pandémie ». Un risque encore plus important que la carence en vitamine D !

10) L’échec des mesures sanitaires

L’innocence de la particule baptisée sars-cov2 dans l’éclosion de la pseudo-épidémie de covid est d’autant plus patente qu’aucune mesure destinée à l’endiguer n’a été efficace. Faut-il vous égrener tous les articles et travaux scientifiques que nous avons mentionnés dans nos billets durant trois ans parce qu’ils montraient l’inefficacité de la distanciation sociale, des confinements ou du port du masque ? Concernant la muselière, il y avait à un moment donné plus de 130 études attestant de sa parfaite incapacité à museler le virus, mais nous avons arrêté de les compter. Inutile de continuer à canarder l’ambulance des croyances pasteuriennes puisqu’elle est complètement hors d’usage. Histoire de l’envoyer définitivement à la casse, citons toutefois cette récente méta-analyse de la prestigieuse Collaboration Cochrane. Selon ce réseau de chercheurs indépendants, qui a analysé 78 études de qualité, il n’y a absolument aucune preuve que les bâillons buccaux permettent et ont jamais permis d’enrayer les épidémies d’infections respiratoires. Qu’ils soient chirurgicaux ou industriels, les masques ne marchent tout simplement pas. La seule règle d’hygiène qui semble avoir un modeste effet protecteur, c’est le lavage des mains. Aucune autre « barrière » physique érigée contre les présumés assaillants viraux n’a satisfait aux essais rigoureusement contrôlés. Mais a-t-on encore besoin de tester les « stratégies non pharmaceutiques » quand nous avons eu l’éclatante démonstration de leur inutilité ? Énorme caillou dans la chaussure covido-pasteurienne, la Suède a sauvegardé la vérité en ne cédant pas à la terreur. Sans fermer ses écoles, magasins ou restaurants, et sans imposer le port du masque, ce pays a pourtant échappé aux scénarios apocalyptiques qu’on lui avait prédits. Et il s’en est plutôt bien sorti en termes de mortalité par habitant. A contrario, les pays européens et les états américains qui ont été le plus loin dans le délire liberticide ont à rougir de leurs statistiques pandémiques. La Chine ? Tout en la soupçonnant de dissimuler ses morts, les experts occidentaux nous ont expliqué que ce pays devait l’endiguement du fléau infectieux à sa stricte politique « zéro covid ». Or l’année 2022 a fait crouler ce mythe puisque les confinements impitoyables n’ont pas empêché l’envol des contaminations. L’abandon de cette politique début décembre allait-il conduire à la catastrophe ? Caramba, encore raté pour les modélisateurs : les hôpitaux et cimetières chinois ont bien été débordés de mi-décembre à mi-janvier, mais pas plus qu’ailleurs. En France ou en Angleterre, les morgues et les funérariums étaient même davantage saturés, comme l’ont rapporté plusieurs médias invoquant le grand retour de la grippe influenza. Bref, on chercherait en vain un quelconque lien entre l’action d’un coronavirus létal et les décisions adoptées pour éloigner le péril viral. Leur échec magistral signe à nos yeux la cuisante déroute du paradigme pasteurien.

11) Le plantage des vaccins

Faut-il tirer sur cette autre ambulance ? Quand ils nous ont vendu le vaccin, les labos pharmafieux et leurs délégués commerciaux politiciens avaient fait miroiter que le virus allait s’arrêter de circuler. Or il est désormais allègrement prouvé que les injections géniques n’ont pas empêché leurs bénéficiaires d’être « contaminés » par l’ennemi public ni de le « transmettre » à autrui. Vaccinés ou pas à l’ARN messager, des millions d’Occidentaux ont « fait le covid » en 2021 et 2022. En évitant les formes graves ? Si cette foutaise était vraie, on aurait dû voir un « effet vaccin » dans les chiffres de mortalité. Or comme le souligne le général Delawarde dans son dernier rapport, on ne voit aucune trace d’un « miracle vaccinal » s’étant produit dans le monde depuis l’arrivée du messie en seringue. En 2021, le nombre officiel de décès covid (3,62 millions) a même été supérieur à celui de 2020 (1,83 million). Selon Dominique Delawarde, il est manifeste que les vaccins Pfizer et Moderna ont une efficacité négative puisque sur la seule année 2022, les 30 pays de l’OTAN, très vaccinés, ont eu un taux de mortalité covid 7,4 fois supérieur à celui du reste du monde pour la même période. Tous les pays de l’OTAN, sans aucune exception, ont un taux de mortalité par millier d’habitants supérieur à la moyenne du monde non otanien. D’où vient ? C’est à tout le moins la preuve chiffrée que les vaccins expérimentaux occidentaux ont échoué à combattre la maladie ciblée. Les vaccins classiques ont-ils fait mieux ? On peut en douter puisque 90 % des Chinois ont reçu le vaccin développé en Chine et que cette couverture optimale n’a pas permis d’éviter de nouvelles flambées épidémiques. Il faudrait voir ce qu’il en est en Russie et à Cuba, deux autres pays « inventeurs » de vaccins anticovid, mais il serait de toute façon difficile de distinguer le ralentissement naturel de l’épidémie d’un éventuel impact des valences locales. En revanche, il y a un continent entier qui fait office de groupe témoin : vu que l’Afrique est très peu vaccinée et qu’elle reste très peu concernée par le covid, on peut rationnellement postuler qu’aucun vaccin n’était nécessaire pour affronter le cataclysme. En continuant à bien se porter sans se faire piquer, les Africains torpillent le dogme pasteurien selon lequel un nouveau virus couronné aurait pris la planète d’assaut en 2020.

12) L’immunité collective, on l’attend toujours

La vision pasteurienne des maladies infectieuses est d’autant plus révolue qu’un autre mythe fondateur venant de Pasteur s’est fracassé à l’occasion de la « crise sanitaire » : celui de l’immunité collective. Quand ils ont vu que cette protection de troupeau faisait défaut, les prélats de l’église vaccinaliste se sont vite rabattus sur le taux d’infections naturelles. Celui-ci grimpant en flèche « grâce » aux nouveaux variants, la collectivité serait bientôt immunisée par l’effet cumulé des campagnes vaccinales et de la propagation virale. Las, la réalité est encore venue démentir les modèles et le Graal de l’immunité grégaire n’a jamais été atteint. Tout le monde connaît quelqu’un qui, vaxxé ou pas, a contracté plusieurs fois la maladie. Et c’est bien normal puisque la notion de bouclier collectif est une fumisterie totale. Elle a été inventée en son temps pour expliquer la décélération progressive des épidémies et leur disparition, mais cette mythologie n’a jamais été scientifiquement validée. Les maladies infectieuses ont toujours disparu bien avant que le seuil théorique de contamination ou de vaccination pour les faire cesser ne soit atteint. Certes, le covid se singularise puisque ce stade est allègrement dépassé (selon les estimations, près de 90 % de la population auraient déjà rencontré le virus d’une manière ou d’une autre) et que des « vagues » continuent à déferler. Mais c’est justement une preuve supplémentaire que cette fable de l’immunité collective ne repose sur rien. Comme nous l’avons étayé dans un dossier de Néosanté (N° 126 d’octobre 2022), l’immunité est par nature individuelle, car elle dépend du terrain de chacun (physique, psychologique, génétique…) et non de celui du voisin. Les micro-organismes sont innocents des pathologies dont on les accuse, car le système immunitaire lui-même n’a rien à voir avec un dispositif militaire chargé de mener une guerre. Ça, c’est ce que Néosanté avait expliqué en octobre 202 dans un dossier sur « La symbiose ignorée » rédigé par le Dr Éric Ancelet. Depuis lors, le parapluie commun promis en vain se fait toujours attendre…

13) Les anticorps ne veulent rien dire

Dans la mythologie pasteurienne, le système immunitaire est un champ de bataille opposant perpétuellement des microbes hostiles à de vaillants défenseurs qui ne font que riposter à l’agression. Un peu comme une guerre d’Ukraine permanente avec les vils Russes dans le rôle des virus et les cellules de l’immunité dans le rôle des braves Occidentaux qui n’ont rien fait de mal et cherchent simplement à protéger leur camp de l’ennemi féroce. Lorsque ce dernier utilise de nouvelles armes, le corps humain s’adapte et mobilise des troupes appelées anticorps ou immunoglobulines. Selon la Sainte Église de Vaccinologie, il suffit de stimuler la production de ces protéines défensives en mimant une attaque pour que l’organisme soit dorénavant immunisé contre l’agresseur. Certes, depuis deux ans, le clergé pasteurien a appris à nuancer sa doctrine. Devant l’échec des vaccins rédempteurs et l’absence d’immunisation par infection, les prélats de cette religion sont bien obligés de reconnaître que le système immunitaire est plus compliqué que ça, que l’immunité humorale n’est qu’une fraction de la réponse et que les agents de l’immunité innée (macrophages, cellules NK…) ne font pas de la figuration. Il n’empêche que pour les gardiens de la Foi, le dogme des anticorps demeure coulé dans le bronze : s’ils sont présents dans le sang, c’est qu’ils ont rencontré l’assaillant et sont aptes à l’éliminer. Une importante minorité de patients infectés par le coronavirus (8 % selon certaines études) développe zéro anticorps ? On ferme les yeux. Plus de 99 % des vaccinés ont développé des anticorps, mais la plupart d’entre eux ont quand même fait la maladie ? Circulez, y’a rien à voir. Des tests sérologiques reviennent positifs alors que les testés n’ont jamais été malades ? Faisons semblant de rien. Les anticorps ne sont pas spécifiques au sars-cov2 et leur dosage n’est donc pas plus fiable qu’un dépistage PCR ? Chut, ne l’ébruitez surtout pas ! Avec le sida, ce secret est resté bien gardé. Très peu de gens savent que le test HIV peut réagir à 70 situations pathologiques autres que l’immunodéficience acquise, par exemple au palu, à la tuberculose ou.. à l’état de grossesse. Grâce au covid, on sait désormais que la séropositivité peut aussi découler d’une ancienne grippe ou d’un bête nez qui coule. La présence d’anticorps est d’autant moins significative que le procédé de détection, explique le biologiste Stefano Scoglio dans le Néosanté de février, consiste à faire réagir l’individu à une « protéine recombinante », autrement dit à un antigène trafiqué en laboratoire et qui n’existe pas dans la nature. En vérité, toute cette patascience des anticorps ne mérite qu’un sort : la poubelle.

14) La grippe n’existe pas

C’est un argument que j’ai soulevé dès ma deuxième lettre consacrée à la « pandémie » débutante : la grippe de Wuhan ne serait probablement pas plus réelle que la grippe habituelle qui, elle non plus, n’existe pas. On peut bien sûr souffrir de syndromes grippaux, c’est-à-dire d’un ensemble de symptômes classables dans un tableau clinique appelé « grippe ». Mais il est faux de croire que ce tableau signale la présence problématique de telle ou telle particule virale. Dans un article retentissant paru dans le British Medical Journal en 2013, le Dr Peter Doshi a révélé qu’aux États-Unis, 84 % des diagnostics de grippe étaient erronés puisque le virus Influenza n’était retrouvé que dans 16 % des échantillons. Pour leur étude publiée en 2017, des chercheurs néerlandais ont voulu évaluer la contribution du virus influenza et des autres pathogènes respiratoires dans les syndromes grippaux. Pour ce faire, ils ont suivi une cohorte d’adultes de plus de 60 ans pendant deux saisons hivernales. Ils ont trouvé que le virus de la grippe était responsable de seulement 18 à 34 % des épisodes fébriles accompagnés des autres symptômes caractéristiques de la maladie (céphalées, courbatures, maux de gorge, rhinite, toux et douleurs thoraciques). Certes, les scientifiques se sont empressés de pointer d’autres coupables du doigt : ils ont détecté d’autres micro-organismes réputés pathogènes (bactéries, rhinovirus, coronavirus, pneumovirus et autres « para-influenzae ») dans 60 % des cas au cours de la première saison et dans 44 % des cas la saison suivante. Mais ça ne suffit pas à dissimuler sous le tapis que la grande majorité des grippes surviennent en l’absence de leur virus attitré et qu’au moins 20 % des épisodes grippaux se déroulent SANS présence virale détectée. Au passage, vous aurez noté que le vaccin est une belle arnaque puisqu’il ne contient que le seul Influenza et que ce dernier est de toute façon très minoritaire chez les personnes grippées. A fortiori, l’immunisation artificielle NE PEUT PAS marcher quand ces dernières n’hébergent aucun agent infectieux. On comprend dès lors mieux que la réalité des « maladies virales sans virus » soit entourée d’une telle discrétion : ça fout par terre le mythe vaccinal et la légende pasteurienne du germe causal. Avec le covid, on a eu la démonstration supplémentaire que seuls les tests de dépistage rendent possible un tri entre syndromes grippaux. Dans la vie réelle, le médecin est bien incapable de distinguer une grippe d’une autre…

15) La guerre biologique, c’est de la science-fiction

Dans son discours-fleuve à la nation, Vladimir Poutine l’a encore répété hier : les laboratoires de recherche ukrainiens financés par les Américains avaient pour mission de fabriquer des armes biologiques dirigées contre la Russie. Selon les documents trouvés par l’armée russe, le projet était de rendre des virus hautement pathogènes et de les disséminer vers l’Est, par exemple via des oiseaux migrateurs. Personnellement, je pense que cette accusation est plausible et crédible. Quand il peut mettre au point un arsenal illégal, mais très létal, l’Oncle Sam ne se gêne jamais. On l’a vu notamment en Serbie et en Irak avec l’usage de bombes à uranium appauvri qui ont fait et continuent de faire des ravages dans la population civile. Il y a donc certainement des chercheurs qui cherchent obstinément à détourner la vie microcosmique pour semer la mort. Mais a-t-on la moindre preuve qu’ils aient trouvé et qu’ils soient parvenus à leurs fins ? Pas à ma connaissance. Jusqu’à démonstration du contraire, la guerre biologique est un oxymore et une fiction qui n’existe qu’au cinéma. Certes, il est possible d’empoisonner de l’eau ou de la nourriture avec des bactéries et de contaminer quelques personnes mises en contact tactile ou aérien avec des bacilles dangereux. Mais à part dans les films hollywoodiens, qui a jamais vu un microbe manipulé avec succès pour en faire une arme de destruction massive ? Dans une interview récente, le très pasteurien Christian Perronne affirme que les Japonais y sont arrivés au siècle dernier et que leurs armes bactériologiques ont fait des « millions de morts » en Chine. Ah bon ? Le professeur prend ses fantasmes biophobiques pour la réalité, car cet article très documenté raconte tout autre chose. Le Japon a bien fait des expériences cruelles sur des prisonniers chinois et tenté de provoquer des épidémies de peste ou de choléra, mais avec des résultats très limités et décevants de leur point de vue. Les virus ? N’en déplaise au général russe Igor Kirillov, convaincu que celui du covid vient des labos ukrainiens, il n’y a pas non plus d’élément probant démontrant qu’ils ont déjà servi militairement. Ni civilement, d’ailleurs. Depuis trois ans, la thèse selon laquelle le corona aurait été manufacturé dans un laboratoire de haute sécurité puis relâché accidentellement ou intentionnellement dans la nature a fait beaucoup d’adeptes. Ceux-ci croient mordicus qu’un virus inoffensif a été tripatouillé à Wuhan ou ailleurs et que les « gains de fonction » obtenus sont à l’origine de la tragédie covidienne. L’inconvénient de ce scénario, c’est que l’hypothétique virus mutant a fait chou blanc et que la tragique pandémie virale n’a jamais eu lieu. Comme il l’a raconté la semaine dernière à Luxembourg, l’épidémiologiste Laurent Toubiana a obtenu les chiffres 2020 de mortalité par cancer et maladies cardiovasculaires : ils ont également et très étrangement chuté cette année-là ! Cela confirme clairement que la coque vide-19 a été fabriquée à partir de rien, ou plutôt à partir de toutes les autres pathologies rebaptisées pour les besoins de la psychose. Perso, je ne pige pas pourquoi beaucoup de résistants s’accrochent à ce récit improuvé du virus échappé d’un labo. Ni pourquoi nombre d’entre eux souscrivent si facilement à la fiction de la « guerre biologique ». Si de telles armes étaient disponibles, m’est avis que l’empire étasunien les aurait déjà larguées sans état d’âme…

16) Le virus est seulement… informatique

Et si les virus eux-mêmes n’existaient pas ? Si vous lisez régulièrement Néosanté, vous savez que cette question insolente est posée par des scientifiques sérieux et que plusieurs d’entre eux y répondent par la négative. Le « nouveau » coronavirus a relancé la controverse et ces mêmes trublions virosceptiques (Andrew Kaufman, Stefan Lanka, Thomas Cowan, Stefano Scoglio, Sam Bailey…) proclament que l’agent infectieux n’a jamais été inculpé dans les règles de l’art, c’est-à-dire prélevé chez un malade, isolé et cultivé sans artifices puis réintroduit dans un organisme sain en réussissant à le rendre malade. Je ne suis pas qualifié pour prendre part à ce débat, mais ça ne m’empêche pas de le suivre attentivement. Or récemment, une pièce saisissante a émergé dans le dossier sous forme d’un article de The Exposé. Il s’agit en fait d’un échange de mails entre la blogueuse britannique Frances Leader et la MHRA (Medicine and Healthcare products Regulatory Agency), l’agence qui contrôle les médicaments au Royaume-Uni. Dans ces courriels datant de fin 2020, les responsables de l’agence confessent que la séquence génomique qui a servi à la mise au point du vaccin Pfizer ne provient pas d’un prélèvement chez une personne infectée, mais qu’elle a été générée par ordinateur. Autrement dit, le virus utilisé n’a pas de réalité matérielle prouvée, il émane d’un modèle informatique lui-même alimenté par une banque de gènes viraux séquencés de main d’homme. Et le vaccin non plus n’a pas été conçu sur base de particules virales trouvées chez un patient, mais obtenu par « combinaison de synthèse génique et de technologie recombinant l’ADN ». Lorsqu’elle a divulgué ces échanges, Frances Leader a été immédiatement censurée par Twitter, mais leur contenu est toujours lisible sur son blog personnel. On comprend que les censeurs ont vite réagi, car c’est de la dynamite, ces aveux de la MHRA. Au-delà de la grande coronarnaque, ils pourraient faire s’écrouler tout le château de cartes pasteurien déjà copieusement lézardé…




Le Nouvel Ordre Mondial, une opportunité offerte par la crise sanitaire

[Source : sentadepuydt.substack.com]

Par Senta Depuydt

Cela n’a échappé à personne. Sous couvert de réponse à l’urgence sanitaire, les démocraties et leurs économies ont été suspendues partout sur la planète pour être remplacées par des modes de gouvernance autoritaires, secrets et de type militaire.

Progressivement, l’on a découvert un « coup d’état mondial » en cours, une prise de contrôle de la société entière par une élite globale, dont la partie visible est représentée au Forum économique de Davos. Son objectif affiché, est de « saisir l’opportunité de la pandémie pour effectuer un grand reset planétaire vers la 4ème révolution industrielle », soit une société de surveillance et de contrôle par la technologie. Une tentative de transformer l’OMS en un organe de gouvernance mondial, qui serait légitimé par le motif de l’urgence sanitaire est bien en cours.

Peut-on parler d’un nouvel ordre mondial ?

Commençons par une citation: le 23 novembre 2022, au « World Government Summit », lors du sommet du gouvernement mondial, Macron a appelé à la constitution d’un ordre mondial unique.  « Êtes-vous du côté des États-Unis ou de la Chine ? Parce que maintenant, progressivement, beaucoup de gens aimeraient voir deux ordres dans ce monde. C’est une énorme erreur, même pour les États-Unis et la Chine. Nous avons besoin d’un nouvel ordre mondial unique » !

Il faut donc en parler publiquement, puisque les chefs d’état ne s’en privent pas et qu’il est indispensable de dénoncer cette atteinte à la souveraineté des peuples. Le projet n’est certes pas nouveau, l’on pourrait remonter aux empires, ou plus récemment à la politique de l’après-guerre avec la mise en place des organisations internationales et les objectifs des politiques américaines et brittaniques.

Mais en ce qui concerne l’instrumentalisation du domaine de la santé comme arme de stratégie politique, c’est avec la notion de la lutte internationale contre le sida que les choses ont commencé à se mettre en place. Et d’après Robert F. Kennedy, Jr qui en a retracé l’historique dans son livre « Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma: leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », c’est la rencontre et l’alliance entre Bill Gates et Anthony Fauci en 2010 qui a initié la stratégie de vaccination à l’échelle mondiale. D’abord avec le programme de « la décennie des vaccins », ensuite avec le Global Health Security Agenda.

La ligne de temps de l’urgence sanitaire

Lancé en novembre 2014, l’agenda de la sécurité sanitaire global (Global Health Security Agenda) a été précipité par deux facteurs: d’une part les révélations du lanceur d’alerte du CDC William Thompson qui a avoué noir sur blanc avoir commis une fraude scientifique majeure pour dissimuler le lien entre l’autisme et la vaccination. Et d’autre part, la réponse à cette nouvelle sur les réseaux sociaux qui ont été inondés de témoignages de victimes ayant subis des dommages vaccinaux.

Ces évènements qui ont provoqué une véritable panique au sein du cartel des vaccins (et des gouvernements) ont suscité l’élaboration et la mise en oeuvre d’un plan ayant pour objectif de renverser les accusations et de passer à une contre-offensive pour imposer la vaccination à l’échelle planétaire. Etant donné que la plupart des démocraties avaient bétonné les principes du libre choix du patient dans leur constitution ou dans leurs lois sur la santé, l’urgence sanitaire représentait le seul moyen de faire tomber ces obstacles aux obligations vaccinales.

Au sortir de cette première réunion à la Maison Blanche à laquelle participaient l’OMS, différentes organisations onusiennes et les ministres de la santé d’environ 40 pays, la Californie, l’Italie, le Portugal (et sans doute la France) furent désignés comme pays pilotes pour tenter d’étendre les obligations vaccinales, en partant d’une campagne internationale axée sur les dangers du grand retour de la rougeole.

En 2016, lors de la campagne présidentielle aux Etats-Unis, le sujet fut au coeur des débats, notamment suite à la sortie du film Vaxxed qui relayait les aveux de Thompson. Trump prônait la liberté vaccinale et l’ouverture d’une enquête sur les effets secondaires présidée par Robert F. Kennedy, Jr., tandis que Clinton répétait inlassablement que « la terre est ronde, le ciel est bleu et les vaccins sont sûrs ».

En novembre, à la veille de la victoire de Trump, Obama signa avec Bill Gates un gigantesque financement pour lancer le programme du GHSA à l’échelle planétaire. Ensuite Gates fit rapidement comprendre à Trump qu’il devait abandonner toute idée d’étudier la sûreté des vaccins.

En 2017, le débat sur la vaccination qui était particulièrement animé en France, fut complètement passé sous silence durant la campagne électorale, alors que le nouveau gouvernement devait obligatoirement se prononcer sur l’extension des obligations vaccinales. Ce fut l’année du combat des fake news et des lois de censure, prônées par l’Union européenne et adoptées par une majorité d’états membres.

L’année suivante, à Mar del Plata, le G20 décida d’investir massivement dans la préparation aux futures pandémies. Dans les semaines suivant cette réunion au sommet, l’Argentine fut le premier pays à instaurer une politique refusant l’accès aux documents administratif et à l’éducation, aux non-vaccinés. En décembre, le conseil de l’Europe vota une recommandation à l’union sur la vaccination avec l’objectif de vacciner tous les citoyens, tout au long de la vie et de lancer un programme de passeports vaccinaux à l’échelle européenne.

Début 2019, ce plan mondial de la vaccination (voir l’article « la prophétie Nexus »), et de la mise en place d’un agenda de contrôle par une surveillance à l’échelle planétaire, sous prétexte d’une urgence sanitaire, était déjà palpable .

L’on pouvait identifier des narratifs communs à tous les pays, alors qu’ils étaient clairement déconnectés de la situation épidémiologique locale. L’on retrouvait aussi les mêmes « incidents », les même phrases dans la bouche des politiques – « il est inacceptable de mourir de la rougeole » – et des propositions de lois identiques étaient votées partout, en même temps. L’on a donc assisté aux répétitions du choeur international de guignols (les chefs d’état) que la pandémie a offert au monde avec des slogans comme « aplatir la courbe », « tous ensemble », « la nouvelle norme » et « Build back better ».

Le choeur des guignols de Davos

2019, mise en place de l’agenda de la pandémie et du nouvel ordre mondial

Si, comme le prétendent aujourd’hui certains scientifiques, le virus de la pandémie était déjà en circulation dès mars 2019 (partons de l’hypothèse qu’il existe ou que son existence ait été déclarée à divers niveaux décisionnels), il a bien pu servir à accélérer la mise en place d’une série d’instruments ayant pour objectif d’opérer une prise de contrôle mondial au profit de l’élite de Davos.

[NDLR L’existence de virus pathogènes, dont celle d’un supposé SRAS-CoV-2 est de plus en plus contestée par de véritables scientifiques non inféodés à Big Pharma, dont l’équipe allemande autour du professeur Stefan Lanka.
Voir le dossier Vaccins et virus.]

En juillet, l’ONU a signé un accord de coopération avec le Forum économique mondial sur la mise en place de l’agenda 2030. Cet acte constitue d’une certaine manière un aveu du fait que les chefs d’état de la planète se considèrent au service des milliardaires, plutôt qu’à celui du peuple qu’ils représentent.

A côté de cette étape politique, le 22 août, lors de la réunion annuelle des banques centrales à Jacksonhole, Blackrock a présenté le programme de réforme économique qui serait mis en oeuvre sous couvert de réponse à la pandémie. Cette opération (ea. ruiner l’économie, siphonner la trésorerie des gouvernements, imposer des emprunts exorbitants et opérer un gigantesque transfert de la manne publique aux mains des privés) a connu un coup d’accélérateur, en mars 2020, le jour de la déclaration de la crise sanitaire par le directeur de l’OMS.

Au mois d’octobre a eu lieu la grande répétition générale nommée Event 201, permettant aux différents acteurs de cette offensive en partenariat public et privé d’accorder leurs violons.

L’on pourrait encore citer toute une série d’éléments pour compléter ce tableau. Tout indique qu’en réalité, d’une certaine manière, une forme de gouvernance mondiale était déjà là. Sinon comment expliquer que 190 pays aient abandonné leurs programmes nationaux de réponse aux urgences sanitaires, pour adopter en l’espace de quelques jours un discours et des politiques identiques et inédites?

Le gouvernement mondial est déjà là, mais il cherche à se légitimer

Progressivement, l’on voit les différentes pièces du puzzle s’assembler. Dans le monde occidental, tout le monopole de la richesse est concentrée dans trois grands groupes d’investissements : Blackrock, Vanguard et State Street. A elles seules, ces compagnies et leurs principaux actionnaires peuvent imposer des politiques de gouvernance à tout le système économique, tant dans le secteur public que privé.

L’agenda durable et les politiques du FEM sont adoptées par les banques centrales et imposées aux gouvernements, parfois via l’adoption des politiques globales européennes, mais aussi dans des accords bilatéraux directs. Exit la volonté du peuple.

Petit à petit ce pouvoir invisible se dévoile, ou du moins ses exécutants. D’ailleurs, Klaus Schwab ne craint plus de se vanter publiquement d’avoir infiltré les cabinets de la majorité des gouvernements.

L’on imagine à quel point cela doit être frustrant de se dire que l’on possède tout un royaume, mais que l’on ne peut y faire exécuter sa volonté de manière directe. Il semble pourtant logique qu’une mafia mondiale aspire à se reposer en installant un système de gouvernance par la technologie, avec la possibilité constante d’en modifier les règles dans un mode de gouvernance « agile ». (c’est à dire, basé sur la persuasion qu’il existe des données « objectives » censées justifier tous les caprices de l’élite).

Le nouvel ordre mondial cherche à se rendre visible et à se légitimer, en utilisant l’urgence sanitaire pour créer un bureau de décision central et supranational au sein de l’OMS. Ces efforts se déroulent sur deux voies parallèles: la révision du Règlement sanitaire international et la négociation d’un « traité pandémies ».

[Pour soutenir Senta Depuydt,
voir sur son site]




Lien entre 5G et Covid-19

[Source : @Roms17]

[NDLR À un moment, il apparaît « bouse de taureau » dans la transcription en français, mais il s’agit d’une traduction littérale de « bull dung » synonyme de « bullshit » et qui signifie dans le contexte plutôt « connerie ».]

[Note de Joseph : dans la vidéo suivante est évoqué le caractère éventuellement choquant que la 5G puisse induire des virus comme réponse cellulaire. Cependant, Stefan Lanka a pu scientifiquement démontrer que les « virus » sont en réalité des composants cellulaires par ailleurs connus (isolés et caractérisés) produits par des cellules agressées (et elles peuvent l’être par des ondes pulsées telles que la 5 G, la 4 G ou le Wi-Fi), alors que jusqu’à présent aucun virus pathogène n’a pu être réellement isolé et caractérisé à partir de tissus biologiques soi-disant infectés.
Voir au moins :
À quel point les virus sont-ils morts ? dans le dossier Vaccins et virus.
Et pour ce qui concerne la 5G comme cause possible et probable de la 5G :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G dans le dossier 5G et ondes pulsées.]






L’eau PI

Source : https://wissenschafftplus.de/uploads/article/PI-Wasser-und-eine-neue-Theorie-des-Lebens.pdf

[Traduction : Jean Bitterlin]

Comprendre l’eau ~ Reconnaître la vie L’eau PI
Plus que de la simple H2O énergisée

Par le Dr Stefan Lanka

Il existe plusieurs possibilités d’apporter de l’énergie à l’eau. Par le mouvement, l’irradiation, la pression, le chauffage et la dissolution de substances. Une aide à la réponse pour savoir quelle méthode d’énergisation de l’eau est utile aux hommes, aux animaux et aux plantes, il faut se demander ce que fait la Nature. La Nature énergétise-t-elle l’eau lorsque la vie biologique se développe à partir de l’eau ? La Vie énergétise-t-elle l’eau afin de se maintenir et de se multiplier ? Si oui, comment et pourquoi ? La réponse donne un aperçu des secrets de la vie.

En 1964, le professeur Shoi Yamashita a commencé à s’interroger sur ce que fait la plante pour transformer un bourgeon en feuille ou en fleur. Il a supposé qu’il y avait une cause matérielle, une hormone que la plante produit. Sa réflexion était que le bourgeon se transformerait automatiquement en feuille si la plante ne produisait pas l’hormone supposée, le florigène, ou si elle ne la produisait pas à cet endroit. L’hormone supposée n’a pas été trouvée à ce jour. Ce que le professeur Yamashita a découvert, c’est que le liquide tissulaire du bourgeon changeait lorsqu’il se transformait en fleur. Le liquide est devenu plus riche en énergie de manière mesurable, ce qui se répétait aux endroits des plantes à chaque fois qu’un bourgeon se transformait en fleur. Il a découvert que le contenu énergétique et la composition du liquide tissulaire formant les fleurs étaient similaires à ceux des tissus humains.

Le professeur Yamashita, en collaboration avec le docteur Shinji Makino, a alors tenté de comprendre comment la plante parvenait à produire ce gain d’énergie. Il a découvert que la plante utilisait certains minéraux pour ce faire et s’est rendu compte que ceux-ci étaient constitués de deux formes de fer chargées différemment. Ils ont réussi à copier ce processus et à l’appliquer techniquement. Ils ont utilisé pour cela certains composés de fer et des molécules dont les protéines sont constituées. Ils ont relié ces différents composés en un complexe qui s’active de lui-même dans l’eau et enrichit l’eau en énergie. Il est ainsi possible d’énergiser l’eau de manière mesurable. Ils ont pu représenter le gain d’énergie par deux techniques physiques. L’eau enrichie en énergie par cette technique a été appelée eau PI. Cette eau PI a fait l’objet de vastes essais dans les domaines de l’agriculture, de la médecine et de la technique.

Les succès documentés de l’augmentation de la productivité, de la qualité, de la santé et de l’amélioration des performances sont plus qu’étonnants1. Les deux chercheurs se sont toutefois retrouvés face à une énigme. Ils n’avaient pas d’explication et ne pouvaient pas élaborer de théorie sur l’origine de l’augmentation mesurable de l’énergie dans le processus de l’eau PI et comment on pouvait expliquer l’intervention de l’eau PI sur l’énorme augmentation de quantité et de qualité dans les domaines de l’agriculture, de la santé et l’amélioration des performances techniques. Ils ont donc supposé que la source de cette augmentation prouvée d’énergie était une forme inconnue d’énergie cosmique. En fin de compte, ils avaient raison, car l’énergie contenue dans l’eau PI provient du soleil et du cosmos. Mais dans le monde scientifique, cela leur a fait perdre de la crédibilité et de l’intérêt. L’impossibilité d’expliquer le mécanisme a conduit à l’arrêt de la recherche fondamentale PI dans les universités.

En 1996, le fils de l’empereur du Japon a honoré de sa présence une conférence de chercheurs PI et a fait part de son expérience personnelle et positive avec l’eau PI. Après cela, le sujet a également disparu de la scène publique. En 1996, les droits de distribution de l’eau PI pour l’Europe ont été confiés à la société Maunawai, spécialisée dans l’eau PI. Maunawai signifie « source de montagne » en hawaïen. L’entreprise permet la recherche fondamentale et la poursuite du développement de la technique de l’eau PI. L’un des résultats de la promotion de la recherche en est l’explication suivante sur la manière dont la technique PI permet d’énergiser l’eau. Cette explication a été obtenue en mettant en relation les connaissances sur l’eau PI et celles du biologiste le Dr Augustin. Sous cet éclairage, le mécanisme PI a été reconnu comme un processus essentiel dans la matérialisation de la vie biologique à partir de l’eau.

Comment expliquer l’effet PI de l’eau ?

Une découverte faite en 1986 par le Dr Peter Augustin explique l’augmentation de l’énergie dans le processus PI de l’eau2. Le Dr Augustin s’est rendu compte que la membrane qui forme la tension de surface sur l’eau est riche en énergie et présente les propriétés de base de la vie. Elle se contracte, mais peut également se dilater, c’est-à-dire croître. Le Dr Augustin l’a constaté à l’aide d’un dispositif de mesure simple, l’étrier de Lenard, qui permet de mesurer la tension de rupture de la membrane de surface de l’eau (NdT : la méthode de l’étrier de Lenard consiste à suspendre dans le liquide un étrier dans lequel est soudé un fil extrêmement fin, généralement en platine, de manière à ce qu’il soit juste immergé dans le liquide et mouillé par celui-ci). Les mesures et la connaissance de la tension de surface de l’eau sont essentielles pour de nombreuses applications techniques. Il s’est rendu compte que la fine membrane se contracte avec une grande force et se dilate à nouveau d’elle-même lorsqu’on lui présente de l’eau à cet effet.

L’étrier de Lénard : la partie mobile de l’étrier Lénard est tirée vers le haut par la membrane de surface qui se contracte lorsque l’on retire le poids. Elle se dilate à nouveau lorsqu’on lui offre de l’eau.

Le Dr Augustin a constaté que la membrane de la tension superficielle est composée d’une substance différente de celle de l’eau liquide. Seules les substances liposolubles s’y dissolvent, alors que seules les substances hydrosolubles se dissolvent dans l’eau liquide. En déterminant la densité, le quotient de la masse et du volume, il a constaté que la masse volumique de cette substance a une densité d’environ 1,4 kg par litre. L’eau liquide a une densité maximale de près de 1 kg par litre à 4 degrés Celsius. En mesurant la masse et en déterminant le volume, il a constaté que les tissus vivants ont toujours une densité supérieure à celle de l’eau.

Il a constaté que la densité élevée des tissus vivants ne résultait pas d’une dissolution accrue de minéraux ou d’autres substances dans les tissus. Il a déterminé la densité des graines de courge qui germent dans de l’eau distillée et a constaté que les graines étaient plus légères que l’eau avant la germination et flottent donc, mais qu’au moment de la germination, elles présentent une densité d’environ 1,4 kg/litre. Il en conclut que la substance dense qui compose la membrane de surface s’accumule dans le germe.

La membrane possède les propriétés de base de la vie : contraction et croissance.

En physique, il a été calculé que l’eau liquide comprimée à une pression de 130 000 bars peut atteindre une densité d’environ 1,4 kg par litre. En 2010, un chercheur a transformé de l’eau congelée à -130 degrés Celsius avec une pression de 1 000 atmosphères en un liquide d’une densité de 1,4 kg par litre. Il a constaté que le liquide était visqueux3. En 2018, des chercheurs suisses ont reconnu que cette eau visqueuse était liposoluble, c’est-à-dire très différente de l’eau liquide4. Ils ont ainsi confirmé les observations et les résultats des chercheurs du 19e siècle et ceux du Dr Augustin, qui ont constaté que le liquide, dont les tissus et les cellules sont constitués, est visqueux et liposoluble5.

La substance élémentaire : La force emmagasinée dans la substance de la tension superficielle peut être représentée en faisant correspondre la pression de 130 000 atmosphères avec laquelle l’eau liquide est comprimée à une colonne d’eau d’une hauteur de 1,3 million de mètres.

Avec la preuve que l’eau se transforme sous l’effet de la pression en une substance dense et donc riche en énergie permet de comprendre le gain d’énergie dans le processus PI de l’eau. Grâce aux expériences de germination et à la densité élevée ainsi obtenue, l’hypothèse selon laquelle la substance qui compose la membrane de la tension superficielle est la même que celle en laquelle l’eau se transforme sous l’effet d’une pression élevée. La tension superficielle peut être augmentée en dissolvant des substances appropriées ou en créant la substance qui compose la membrane de tension superficielle. Le complexe de fer découvert dans les plantes ne libère cependant pas de substances susceptibles d’augmenter la tension de surface, car le processus PI ne s’épuise pas et peut être détecté même avec de faibles quantités du complexe fer-protéine déterminé.

Les araignées d’eau : la membrane sur l’eau, qui produit la tension de surface, porte sur de minuscules points de contact des insectes qui peuvent peser jusqu’à 20 grammes.

De ce fait, le gain d’énergie dans la production d’eau PI s’explique par le mécanisme de production de surface postulé par le Dr Augustin. Pour le Dr Augustin, c’était, en plus des mouvements de toutes sortes, particulièrement le tourbillonnement, les mouvements rythmiques des protéines, qui réalisaient la libération de la substance dense et riche en énergie. Ce qu’il n’a pas vu, c’est que ce sont les composés de fer II/fer III (NdT : l’ion fer II est un atome de fer qui a perdu 2 électrons, le fer pouvant également en perdre 3 pour donner l’ion fer III) qui, par leur modification constante et rythmique de leur constitution, de leur liposolubilité et de leur hydrosolubilité, extraient la substance liposoluble riche en énergie de l’eau liquide polarisée. L’eau PI est donc de l’eau qui est enrichie en substance de surface riche en énergie. On peut imaginer que d’autres complexes minéraux participent également à ce processus de libération d’énergie.

Fer II/Fer III : Certains composés du fer changent rapidement d’état de charge. Le fer 2+ devient du fer 3+ et inversement. Le fer 2+ est soluble dans l’eau et le fer 3+ est soluble dans les graisses et libère la substance de la membrane de surface dans l’environnement. L’énergie nécessaire à cet effet provient entre autres de la chaleur existante, du rayonnement infrarouge et probablement de toutes les formes d’énergie et de rayonnement.

Ce que les chercheurs japonais n’ont pas vu, c’est que la biologie n’opère pas ce processus uniquement dans les plantes, mais dans tous les êtres vivants. Des enzymes importantes du métabolisme des bactéries, des champignons, des unicellulaires, des non-cellulaires et de tous les organismes complexes utilisent dans leur métabolisme énergétique des enzymes dont le fer est l’élément central et actif dans leur centre actif. Le fer joue un rôle décisif dans le pigment rouge de l’hémoglobine des globules rouges6, dans la myoglobine du muscle, dans les cytochromes, etc. pour n’en citer que quelques-uns. Même la vitamine B12, produite par les bactéries utilise le fer pour libérer l’énergie de l’eau.

En termes de masse, le fer est le deuxième élément le plus répandu sur terre et partout où il y a du fer, où il forme certains complexes et où il y a de l’eau, la substance de construction et d’énergie de la vie est libérée. La Terre est vivante. Comme la fusion des éléments dans les étoiles se traduit toujours par du fer, que l’Espace tout entier est rempli d’eau et de substance de membrane superficielle qui le maintient et qui relie tout, que même notre soleil est probablement constitué de cette substance, puisqu’il a une densité de 1,41 kg par litre, il est justifié de supposer que la vie est partout. Comme il est prouvé que l’eau et sa substance dense qui en est issue et qui se transforme à nouveau en eau en libérant de l’énergie absorbent des informations de toutes sortes, les stockent et les retransmettent, une idée concrète est maintenant donnée que tout est lié à tout. Même les processus de la conscience, de la sensation et peut-être même de la pensée.

Les connaissances acquises grâce à Viktor Schauberger sur l’eau, en particulier les effets et les descriptions de la formation de tourbillons et les forces énormes qui se dégagent alors de l’eau7, peuvent désormais être mieux comprises grâce à la connaissance de la substance originelle, la substance élémentaire. De même, cette connaissance permet de mieux comprendre le phénomène des courants guérisseurs décrits par Bruno Groening8 ainsi que les descriptions concrètes des processus d’énergie et de guérison par le médecin Franz Anton Mesmer (1734 à 1815)9 peuvent être reproduits.

Pour moi, il est clair que le courant de guérison palpable est le flux de la substance dense dans les tissus et les nerfs, que la philosophie et la médecine chinoises appellent le Chi. L’ère du Verseau, dont on parle tant, peut désormais commencer ou a toujours existé et seuls quelques-uns l’ont ressentie ? Les paragraphes suivants présentent d’autres résultats de recherche qui confirment la théorie augustinienne de la matière première de la vie et donnent un aperçu de l’importance de la synthèse du savoir augustinien avec la recherche japonaise par Shoi Yamashita, Shinji Makino et leurs collègues.

La quatrième phase de l’eau

L’eau, comme nous l’avons appris jusqu’à présent, peut prendre trois formes différentes, appelées phases : liquide, gazeuse et glace. L’existence d’une quatrième phase de l’eau a été signalée par le professeur Gilbert Ning Ling dès 1958. Le professeur Gerald Pollack a repris et élargi ses découvertes. Il a prouvé et visualisé que l’eau peut prendre une quatrième forme, une quatrième phase, qui se comporte de manière très différente de l’eau liquide. Cette quatrième phase de l’eau naît sous la forme d’une fine couche partout où l’eau entre en contact avec des surfaces. Comme cette couche est liposoluble et repousse les substances polaires solubles dans l’eau, il a appelé cette couche la zone d’exclusion. Cette substance est plus énergétique que l’eau liquide10.

On peut en conclure que cette substance est identique à la substance de la fine membrane de la tension superficielle de l’eau et à la substance visqueuse qui peut être produite par la pression et identique à la substance visqueuse qui compose les tissus et les cellules. L’épaisseur de cette couche, et donc de la tension superficielle de l’eau, varie en fonction de la teneur énergétique de l’eau. Cela permet d’expliquer que l’eau a des teneurs énergétiques différentes, indépendamment de la température et des substances qui y sont dissoutes.

L’Eau-PI : L’eau stagnante a une faible teneur en énergie, elle peut rapidement basculer et devenir ainsi impropre à la consommation. L’eau en mouvement a plus de substance en surface, donc plus d’énergie. L’eau PI produit constamment de l’énergie, car les complexes de fer actifs génèrent et libèrent constamment dans l’eau une substance riche en énergie. Cela explique que l’eau PI reste fraîche plus longtemps et a meilleur goût que l’eau en bouteille sans les complexes de fer correspondants. (Eau stagnante — Eau en mouvement – Eau PI)

Il s’ensuit que toutes les techniques qui font bouger l’eau, en particulier celles qui forment des tourbillons, enrichissent l’eau liquide de la substance de la membrane de surface, la rendant ainsi plus riche en énergie, donc l’énergisant. L’adage « le mouvement, c’est la vie » prend un sens plus profond dans cette optique. Partout où la vie se déplace ou est déplacée, l’eau entre en contact avec des surfaces ou crée, en s’écoulant et par formation de tourbillons internes, créant ainsi des structures internes, créant ainsi une substance de surface riche en énergie avec laquelle la vie biologique se forme, se déplace et se développe.

Substance originelle/substance élémentaire/Quatrième phase de l’eau : l’eau ou une substance à part entière ?

Les professeurs Gilbert N. Ling, Gerald H. Pollack et d’autres chercheurs dans le domaine de l’eau partent du principe que cette quatrième phase de l’eau a certes des propriétés très différentes de l’eau liquide, mais qu’elle est en principe de l’eau. Ils expliquent ces caractéristiques par le fait que propriétés différentes par un réarrangement de ses molécules qui n’a pas encore été compris ni expliqué. Le Dr Augustin part du principe que cette substance est une substance à part entière : la substance originelle de la vie, à partir de laquelle naissent tous les éléments, les molécules et la vie biologique. Il a d’abord appelé cette substance eau dense, mais s’est très vite rendu compte que cette appellation était trompeuse. Le nom incite à reconnaître cette substance comme une forme particulière de l’eau et non comme une forme autonome.

J’ai proposé le terme de substance élémentaire, car les arguments du Dr Augustin sont convaincants, à savoir que tous les éléments qui existent sont également issus de cette substance. Pour en savoir plus sur l’aspect de la formation des éléments à partir de cette substance voir dans une prochaine contribution. Je favorise le point de vue de Peter Augustin selon lequel cette substance est une substance autonome à partir de laquelle se forme la vie biologique et je fournis ci-après des arguments et des indications qui renforcent ce point de vue.

Microscopie électronique de la cellule : — Membranes : les cellules coupées en tranches pour la microscopie électronique doivent avoir des membranes plus épaisses si les cellules sont coupées en biais ou à leurs extrémités. Ce n’est pas le cas, les membranes apparaissent comme ayant la même épaisseur partout.

Depuis 1972, le professeur Harold Hillmann et ses collègues ont souligné que les cellules ne peuvent pas ressembler à ce qu’elles sont représentées dans les graphiques. Les graphiques représentent des cellules remplies d’eau et entourées d’une membrane à double couche. Hillmann et ses collègues ont analysé des centaines de milliers de photos de cellules prises au microscope électronique et ont constaté plusieurs choses à la fois : jamais de membranes à double couche n’ont été vues, mais toujours une fine bordure. Ce que tous les microscopistes électroniques ont négligé, c’est que la membrane doit se présenter dans sa « bonne » épaisseur lorsque la cellule est coupée en deux pour la prise de vue au microscope électronique et plus épaisse si elle est coupée en biais ou à son extrémité incurvée. Le résultat est décevant : la membrane est toujours de la même épaisseur sur tous les clichés.

Soit les modifications massives des cellules lors de la préparation pour l’examen au microscope électronique produisent une destruction de la structure initiale et/ou la force du faisceau d’électrons détruit la structure cellulaire au moment où il frappe l’échantillon à observer. L’explication selon laquelle les tissus et les cellules sont constitués d’une substance dense, liposoluble et visqueuse, sans bordure membranaire, peut expliquer ces faits constatés par Hillmann. Lors de l’impact du faisceau d’électrons sur les échantillons à examiner, les sous-couches résineuses s’évaporent et les substances de contraste métalliques dans lesquelles les tissus et les cellules ont été enrobés pour l’examen et génèrent toujours un mince liseré autour des structures sphériques. Le diamètre de cet ourlet est en outre plus fin que les indications fournies par les chercheurs qui fabriquent et examinent des membranes cellulaires artificielles.

L’hypothèse selon laquelle les cellules sont constituées de la substance dense reconnue par Augustin est également étayée par le fait, mentionné par Hillmann et ses collègues, qu’aucune photographie de cellules prise au microscope électronique (ME) ne montre les pores et les pompes à ions qui, selon la théorie cellulaire dominante, doivent être présents pour que la cellule puisse faire cela si elle était constituée d’eau. De même, sont absents de tous les clichés ME11 les récepteurs avec lesquels les cellules communiqueraient et se présenteraient au système immunitaire postulé soit comme propres, soit comme étrangères, soit comme dégénérées.

Microscopie électronique de la cellule : Récepteurs, pores et pompes à ions : aucune photo de cellules prise au microscope électronique ne montre des structures dans la membrane qui, selon la théorie cellulaire, doivent pourtant y être très nombreuses : Les pores, les pompes à ions et les récepteurs qui, selon la théorie cellulaire, sont essentiels à la communication et au métabolisme de la cellule.

Mon hypothèse selon laquelle les cellules et les tissus sont constitués de cette substance dense explique sans effort et mieux que jamais les propriétés et les performances observées des bactéries, des cellules, des tissus, des hormones, du sang, de la lymphe, des nerfs et du cerveau. Cette hypothèse fournit également une explication sur le fait que le tissu pulmonaire lui-même n’effectue qu’un échange de graisses et ne s’approvisionne pas en hydrates de carbone : pour pouvoir absorber de manière optimale la substance élémentaire qui se trouve dans l’air sous forme de bulles. Celle-ci est liposoluble, se condense en brouillard lorsqu’elle se refroidit et se transforme en eau liquide des gouttelettes de la pluie lorsqu’elle dégage de l’énergie. Lorsque cela se produit au-dessus des Alpes, nous avons ici, au lac de Constance, le fœhn.

L’hypothèse selon laquelle les tissus et les cellules sont constitués à partir de la substance élémentaire s’explique par d’autres observations : les propriétés et la composition des amibes (NdT : organisme unicellulaire qui doit se procurer sa nourriture et qui ne peut la fabriquer par photosynthèse) et des tardigrades (NdT : animal à 8 pattes d’environ 1 mm capable de résister à des environnements extrêmes, considéré comme l’animal le plus indestructible au monde) et de nombreux organismes pouvant atteindre plusieurs mètres de taille, dans lesquels aucune cellule n’est détectable.

Caulerpa : Un organisme unicellulaire sans cellule. Comme, sous l’influence de la théorie cellulaire, les scientifiques actuels ne peuvent se représenter la vie que dans des cellules, tous les nombreux organismes dans lesquels on ne voit pas de cellules, mais beaucoup de noyaux libres et de bactéries sont appelés organismes unicellulaires. Caulerpa est présente dans toutes les mers et dans de nombreux aquariums d’eau de mer, car elle est très robuste.

En leur sein, les noyaux et les bactéries respirant l’oxygène, les mitochondries, flottent librement dans une substance visqueuse. Les cellules ne sont formées qu’à des fins spéciales, par exemple la reproduction sexuelle. Un exemple éminent et bien étudié est l’algue marine Caulerpa, de la taille d’un mètre, qui se reproduit principalement en séparant des parties d’elle-même et en les faisant vivre à volonté.

Tissus : grâce aux techniques actuelles d’observation du vivant dans les tissus, il s’avère que les tissus eux-mêmes sont vivants, contiennent des noyaux et des bactéries qui se déplacent librement à l’intérieur. Sur leurs bords, les tissus forment des étranglements tissulaires qui peuvent donner naissance à de nouveaux tissus, mais aussi à des cellules souches, qui constituent alors les véritables cellules libres. La plupart des « cellules » sont en réalité des fragments de tissus intimement liés entre eux et qui ont été interprétés à tort comme des cellules individuelles et libres de se déplacer, uniquement en raison des techniques de représentation utilisées jusqu’à présent.

Il en résulte une tout autre image de la structure et de la fonction des organismes, même si ceux-ci sont appelés organismes pluricellulaires, comme par exemple les plantes, les animaux et les hommes. Dans le cas des plantes, le nom d’organisme pluricellulaire est contredit par le fait que toutes les « cellules » n’apparaissent comme cellules individuelles que grâce à leur environnement stabilisant. En réalité, elles sont toutes reliées entre elles par des ouvertures de l’environnement dur. De nombreuses « cellules » des « organismes pluricellulaires » des animaux ne ressemblent à des cellules individuelles que parce que les techniques d’isolation et de fixation des tissus, de coloration des tissus, de mort des tissus, leur donnent en réalité un aspect très différent de celui que l’on trouve dans les graphiques des manuels scolaires et dans notre imagination. Hillmann et ses collègues, dans l’analyse des représentations en microscopie optique, ont également réfuté les idées reçues sur l’apparence et la forme des cellules12.

Avant Hillmann et ses collègues, les chercheurs avaient déjà découvert qu’il est impossible de parler de cellules dans le muscle cardiaque. Elles sont si étroitement imbriquées les unes dans les autres qu’il est impossible, même avec la meilleure volonté du monde, de savoir où commence et où finit une cellule. C’est finalement le cas de toutes les « cellules », à l’exception des quelques vraies cellules qui peuvent se déplacer librement dans le corps. Ces cellules libres ne peuvent se maintenir que dans le tissu semi-liquide ou liquide du sang. Cet aspect n’a pas été remarqué par les biologistes cellulaires, bien qu’ils sachent que « les cellules » en éprouvette ne peuvent se maintenir que dans le tissu liquide d’un sérum sanguin embryonnaire. À ce jour, tous les composants et mécanismes du sérum embryonnaire ne sont pas connus, car on n’a pas réussi à développer un sérum artificiel dans lequel des « cellules » pourraient vivre en dehors du corps.

Entre-temps, les résultats de la recherche sur les cellules souches indiquent très clairement que tous les participants à la théorie cellulaire depuis 1858 ont négligé le point essentiel. Les tissus forment des niches de cellules souches, dans lesquelles se forment les cellules souches. Ce n’est qu’à partir des cellules souches que se forment les types de cellules que nous considérons comme des cellules. Les cellules souches ont toujours un aspect différent des cellules, se divisent et se comportent différemment. Elles forment en permanence des tissus qui doivent être constamment et artificiellement dissous dans l’éprouvette pour que ces « cellules » immortelles puissent exister. De ce point de vue, les cellules souches ne sont pas des « cellules immortelles », mais des spécialisations tissulaires qui, dans l’éprouvette, sont artificiellement empêchées de se reconstituer en tissus dans lesquels les noyaux, les bactéries (mitochondries, etc.) et d’autres composants peuvent se déplacer librement.

Certains chercheurs en recherche fondamentale ont reconnu depuis longtemps que les « corps cellulaires » sont à leurs bords si fortement liés au liquide (plasma cellulaire) des autres « cellules » que leurs limites ne peuvent pas être déterminées. Ils forment, selon la technique d’observation, un réseau en constante évolution de connexions de petits à grands diamètres13. Ces réseaux en constante évolution, dans les clichés de coupe au microscope électronique, pour lesquels le tissu doit être noyé dans de la résine synthétique, fixé chimiquement, coloré et découpé en fines lamelles selon le point de vue, ont été interprétés comme étant des particules cellulaires typiques, de minuscules à géantes, ou comme des virus. Même l’inventeur de l’idée du virus du SIDA, le VIH, Robert Gallo, semble faire marche arrière en publiant en 2016 que les particules cellulaires ne sont guère différentes des virus14.

Il en résulte l’image suivante : Ce ne sont pas les cellules qui produisent les tissus « morts », mais les tissus vivants produisent sur leurs bords des étranglements tissulaires qui apparaissent au microscope comme des cellules, bien que seule une minorité d’entre eux soit réellement autonome et ne peuvent vivre qu’un certain temps. Ces étranglements des tissus, appelés cellules souches, forment constamment de nouveaux tissus, de sorte que du « point de vue cellulaire », il semble que ce sont les cellules (souches) qui forment les tissus. D’un point de vue actuel, rendu possible par les techniques d’observation du vivant, il en va autrement. Les tissus vivent et forment des cellules, comme le tissu ovarien des soi-disant ovules, qui ne devient un tissu formant des cellules qu’après avoir fusionné avec le tissu des spermatozoïdes.

Probablement sous l’influence de connaissances par ailleurs strictement dissimulées du professeur Hillmann et de ses collègues, le fait s’est au moins glissé dans les manuels scolaires qu’il n’y a pas, en dehors du cerveau, d’anneaux de serrage postulés sur les cellules nerveuses myélinisées qui devraient pourtant exister selon la théorie pour pouvoir expliquer la conduction des soi-disant impulsions nerveuses. Il est admis qu’il a été reconnu entre-temps que les anneaux de laçage n’existent pas en dehors du cerveau. Le cytoplasme des « cellules de Schwann » est si fortement imbriqué à ces endroits que la distance et l’interruption prétendues entre deux « cellules de Schwann » sont inexistantes15. « Mon cher cygne ! » (NdT : en allemand « schwan » signifie « cygne ») En fait, c’est Rudolf Virchow qui n’a pas reconnu la superficialité de Theodor Schwann et qui l’a reprise dans sa théorie lorsqu’il a inventé en 1858 la théorie cellulaire de la vie qui domine encore aujourd’hui. C’est à Schwann que l’on doit les interprétations erronées selon lesquelles les cellules sont constituées d’eau liquide et sont entourées d’une membrane16.

C’est à nouveau le professeur Hillmann qui a reconnu et redécouvert la seule connaissance correcte de Rudolf Virchow, qu’il a lui-même élaborée, à savoir que le cerveau se trouve de 50 % à 80 % dans un état de tissu semi-liquide, dans lequel les noyaux et les bactéries se déplacent librement. Virchow a appelé cette substance du cerveau la glie. Dans cette masse, on interprète trois types de cellules gliales qui n’ont pas encore été mises en évidence par des techniques microscopiques17. Virchow a abandonné cette connaissance au profit de sa théorie cellulaire. Il a complètement renoncé à sa théorie cellulaire et à la médecine à l’âge de 49 ans, bien qu’à ce moment-là, aucune question relative à la maladie et à la guérison n’ait été résolue18.

Élargissement de la vision des fonctions du sang, des nerfs et du cerveau

Les découvertes du Dr Augustin ont permis de comprendre d’où provient l’énergie du complexe de fer qui est libérée dans le processus PI. Il s’ensuit que c’est exactement la même chose qui se passe dans les globules rouges, puisqu’un complexe de fer y est également actif de la même manière19. On peut en déduire, ainsi que d’autres observations et expériences, que la tâche principale des nerfs est le transport de la substance élémentaire dense et riche en énergie. Il en résulte une autre tâche primaire du cerveau : la réception centrale, le contrôle et la distribution des flux de substance élémentaire riche en énergie par le cerveau20.

La présence et la répartition variable de la substance élémentaire dense sont à leur tour à la base de l’apparition de signaux spécifiques dans le cerveau, qui sont dus à des compositions plus ou moins denses de la matrice cérébrale. Ces signaux, obtenus par tomographie informatisée à rayons X, permettent d’identifier les processus de la maladie, de la guérison, les obstacles à la guérison et les crises de guérison dangereuses ainsi que leurs causes, afin de les atténuer ou de les éviter21.

Cœur/circulation/nerfs : la fonction primaire de la circulation artérielle est de produire la substance élémentaire dense en faisant tourbillonner le sang, le cœur formant et libérant des corps vertébraux à partir du sang. Ceux-ci libèrent la substance élémentaire formée sur les bords des corps vertébraux, qui est absorbée par le revêtement des artères et acheminée vers les tissus et les nerfs. La substance élémentaire dense est absorbée par le revêtement des veines, une partie est libérée dans les nerfs et une partie — avec libération de chaleur et augmentation du volume par la libération d’eau — dans les veines. L’augmentation de volume déplace passivement le sang veineux vers le cœur, ce qui est rendu possible par des clapets anti-retours qui n’existent que dans les veines.

La vision de la fonction des nerfs et du cerveau en tant que conducteurs de la substance élémentaire dense est étayée par des découvertes selon lesquelles des impulsions mécaniques se propagent à travers les nerfs. Celles-ci ont été découvertes en 1979 par le Japonais Ichiji Tasaki, qui a prouvé qu’elles n’étaient pas générées par des décharges électriques, mais à l’inverse c’est la pression qui génère les signaux électriques. Ces découvertes ont été reprises, confirmées et approfondies par le professeur Thomas Heimburg et ses collègues. Ils sont certains que la transmission et le traitement des informations se font par les nerfs et, dans le cerveau, par des impulsions mécaniques22. En complément on peut ajouter que dans la substance élémentaire dense, dont le transport déclenche les impulsions mécaniques, des informations sensorielles peuvent être stockées, traitées et restituées de toutes les manières imaginables. Rappelons seulement une source d’information très importante : les odeurs. Sans l’odorat, il est difficile, voire impossible, de s’orienter de manière pratique.

Il ressort de toutes les considérations sur ce sujet que boire de l’eau PI permet de soutenir et de stimuler son corps et soi-même de manière optimale. Toutes les colonies humaines se sont développées depuis toujours autour de sources d’eau et toutes les eaux de source bénéfiques pour la santé contiennent du fer. La toxicité du fer dans l’organisme, lorsqu’il dépasse une certaine concentration, peut s’expliquer par exemple par la formation d’une trop grande quantité de substance élémentaire et, par conséquent, par la présence d’une quantité insuffisante d’eau liquide dans l’organisme, dans laquelle les enzymes et les substances agissent et qui ne sont pas liposolubles. Ma recommandation : buvez la quantité d’eau physiologiquement suffisante23 dans laquelle il n’y a ni trop ni trop peu de fer, comme celle de l’eau PI, qui a été développée au Japon et perfectionnée en Allemagne.

L’eau Maunawai : grâce à une recherche et un développement conséquents de la technique japonaise de l’eau PI, il a été possible de compenser même un excès de calcaire. La technique PI de Maunawai libère du calcium à partir du calcaire, qui est restitué à la surface de l’eau sous la forme d’un film facilement soluble et amovible. l’eau est libérée. Cela facilite la formation de bicarbonate de soude, qui provoque un déplacement d’un pH acide vers un pH basique. (Eau vide — Eau de source de montagne — Eau Maunawai)

L’eau PI Maunawai

En plus de l’effet de l’eau PI, les chercheurs japonais ont étudié leurs sources curatives et se sont, là aussi, inspirés de la Nature pour savoir comment une eau optimale et biodisponible est produite. Ils ont découvert dans les sources thermales les complexes Eau PI et bien plus encore, à savoir que l’eau de surface est débarrassée de toutes sortes de toxines par la couche d’humus. Dans le système Eau PI, cette fonction d’humus a été introduite sous la forme d’un charbon actif particulier et spécialement préparé, et placé en amont de l’énergisation de l’eau comme étape de filtrage. Ils se sont ensuite rendu compte que les eaux vides devaient être remplies de certains minéraux afin de permettre au corps le maintien de la composition idéale des liquides qui composent le sang, les tissus et les cellules.

C’est ainsi que des minéraux et des substances ont été recherchés et trouvés pour compenser un excès ou un manque de minéraux, comme cela se produit dans les sources thermales étudiées. Ce que les chercheurs japonais ont résolu de manière optimale, c’est un tourbillonnement constant de l’eau, rendu possible par la forme sphérique dans laquelle ont été placés les matériaux utilisés dans les étapes ultérieures de la fabrication de l’eau PI. Outre l’effet PI, une augmentation de la production de substance élémentaire et la libération d’énergie, cela a permis une biodisponibilité optimale de l’eau PI.

Il existe encore une autre explication qui, outre l’effet PI, permet d’expliquer les effets incroyablement positifs obtenus en matière de santé robuste et d’amélioration des performances agricoles et techniques grâce à l’eau PI24. Les indications à ce sujet proviennent du chercheur dans le domaine de l’eau Friedrich Hacheney. Il a développé une technique de turbine avec laquelle il libère une grande quantité de substance de surface par un énorme tourbillonnement de l’eau. Comme cette substance de surface est très liposoluble, elle attire toutes les substances grasses et à cause de cela dissout donc certains plastiques, il a appelé l’eau ainsi produite de l’eau lévitée en raison de ces propriétés « absorbantes » et des propriétés absorbantes des tourbillons qu’il a observées partout dans la vie25.

Friedrich Hacheney a reconnu qu’un tourbillonnement technique particulier et puissant de l’eau, appelé « lévitation », efface les informations physiquement stockées des substances dissoutes dans l’eau. L’eau absorbe les états vibratoires des substances et les conserve, même si elles ont été éliminées de l’eau de manière optimale ou si l’eau a été diluée au point que la substance marquante ne s’y trouve plus. Il a étudié la réaction de plantes qui réagissaient à une eau imprégnée de substances toxiques comme si ces substances étaient présentes en forte concentration. Si cette eau imprégnée ou informée était soumise à une lévitation, c’est-à-dire si elle était soumise à un fort tourbillonnement l’eau perdait l’empreinte des substances toxiques. Les plantes arrosées avec cette eau ne présentaient aucune réaction de stress, ce qui optimisait la qualité et la quantité de la croissance des plantes26.

Dans le système d’eau Maunawai-PI, le tourbillonnement de l’eau a été optimisé par une stratification ciblée des substances sphériques utilisées et donc par un meilleur écoulement de l’eau, sans qu’il soit nécessaire pour cela de recourir à un tourbillonnement entraîné mécaniquement et nécessitant beaucoup d’énergie. Le tourbillonnement Maunawai a été copié de la Nature, selon la devise de Schauberger : comprendre la Nature, copier la Nature. C’est pourquoi le processus PI Maunawai permet d’obtenir de belles empreintes durables dans l’eau, comme c’est le cas pour les eaux de source particulières27. Lors de la conception on s’est assuré que l’eau Maunawai PI n’entre pas en contact avec le métal, y compris dans les robinets à trois voies spécialement conçus pour réduire l’impact des champs électromagnétiques alternatifs sur l’eau.

Pour que le linge et le processus de lavage soient également optimisés PI, que la machine à laver soit protégée, que les consommations d’énergie, d’eau et de détergent soient nettement réduites, les boules de lavage Maunawai-Bio ont été mises au point28. Pour la douche c’est le pommeau de douche Maunawai-Eco29 (NdT : Eco pour « écologique ») au cas où il n’est pas possible d’installer un raccordement à un système de distribution Maunawai dans la maison ou dans l’appartement ou ne le sera que dans l’avenir avec les économies réalisées grâce à l’utilisation de la boule de lavage et du pommeau de douche bon marché.

En résumé

L’idée que tout ce qui existe est animé est présente dans toutes les cultures. L’eau y joue toujours un rôle essentiel. Dans notre culture, l’idée qui domine actuellement c’est que seules les cellules sont vivantes et que tout le reste, même les tissus dans lesquels vivent les cellules, est inanimé. Selon la théorie, une cellule primitive serait née par hasard, après que des molécules se soient formées et réunies par hasard au cours d’une longue période. Toutes les cellules seraient issues de cette cellule originelle. Les organismes se seraient développés à partir de cellules et l’eau contenue dans les cellules ne serait qu’un solvant pour les nombreuses molécules à l’origine du métabolisme. Selon la théorie, le métabolisme engendre la vie des cellules, maintient et augmente la vie. Toutes les substances en dehors de la cellule sont considérées comme inanimées et, si elles entrent dans le métabolisme, elles font partie de la vie pendant un certain temps.

Deux découvertes permettent d’élargir considérablement cette vision, à savoir que tout ce qui existe est lié : l’eau donne naissance à une substance jusqu’ici négligée ou mal interprétée, qui possède elle-même les propriétés de base de la vie : contraction, croissance et absorption, stockage, traitement et émission d’informations. Et : on a réussi techniquement à produire cette substance riche en énergie. Cette substance est la substance de construction, d’énergie et d’information de la vie. Les tissus et les cellules sont constitués de cette substance.

C’est dans les zones périphériques de l’eau que se forme cette substance, qui est très différente de l’eau liquide. Il existe des indications selon lesquelles tous les éléments et molécules que l’on trouve dans l’eau, la terre, les étoiles et la biologie sont trouvés dans cette substance. Le mot grec pour périphérie est PI. Les découvreurs japonais des processus par lesquels la Nature et la biologie énergétisent l’eau l’ont appelée eau PI. Le découvreur allemand désignait la substance élémentaire qui naît de l’eau, dont la vie est constituée et dont elle tire son énergie primaire comme substance originelle de la vie. En sumérien, PI signifie énergie vitale. La découverte de la substance élémentaire et les processus par lesquels la vie fait émerger cette substance de l’eau permet de nouvelles conceptions de la vie : comment la vie se matérialise à partir de l’eau et que tout ce qui existe est relié et interagit énergétiquement, spirituellement et matériellement.

Remerciements à :

  • Peter Augustin
  • Harold Hilmann et ses collègues
  • Shinji Makino
  • Shoi Yamashita

pour leur contribution à une meilleure compréhension et à la possibilité d’une connaissance scientifiquement fondée de l’intégration globale et cosmique de la vie.

Le biologiste suisse Adolf Portmann écrit à ce sujet dans son livre Aufbruch der Lebensforschung (L’aube de la recherche sur la Vie) Zurich 1965, page 56 :

Extrait du chapitre Éclairage et apparition dans le vivant

La recherche sur la Vie travaille actuellement dans de vastes domaines de son activité dans un oubli inquiétant de toutes les caractéristiques de la Vie qui ne sont pas directement liées au maintien de l’espèce. la conservation de l’espèce ou le métabolisme de l’individu. La biologie doit remédier à cet oubli et laisser agir activement une connaissance plus complète du vivant.

Elle doit reconnaître et mettre en pratique le fait que la relation au monde à travers l’intériorité et l’autoreprésentation énigmatiques de cette intériorité sont des propriétés vitales suprêmes qui, avec l’autoconservation, le développement personnel et la transformation de l’espèce, constituent sur un pied d’égalité l’ensemble du vivant, pour autant qu’il nous soit compréhensible.

À cette exigence d’une nouvelle conception de l’organisme, adaptée à la véritable grandeur de l’objet, s’associe l’autre conception, celle d’une conception globale de la réalité qui rencontre aussi avec respect le mystère de la création et qui, à partir de cette attitude, applique la méthode de l’étude de la Nature.

La connaissance de l’étendue et de la grandeur du Vivant dans chacune de ses expressions est la condition préalable à toute affirmation à part entière de la biologie.

Extrait du chapitre Liberté et lien à la lumière de la recherche sur la Vie du même livre (voir ci-dessus), page 250 :

Il est de la plus haute importance que la recherche sur la Vie elle-même mette en évidence ces fondements originels inconnus de notre être humain et du Vivant en général, sur tout ce que nous ne pouvons pas mettre en œuvre nous-mêmes, même avec nos systèmes de guidage conscients les plus développés.

Traduction Jean Bitterlin le 13 janvier 2023

Indication des sources

1 Le miracle de l’Eau-PI. La technique révolutionnaire de l’eau qui sauvera notre Planète et ses habitants. Makino, Shinji. Livre de 138 pages. Japon, 1994, USA, 1999.

2 L’Eau-PI. Lanka, Stefan. WissenschafftPlus n° 6/2016

3 Transition verre-liquide de l’eau à haute pression. Ove Andersson. PNAS, 5 juillet 2011, 108 (27) 11013-1016 ; https://doi.org/10.1073/pnas.1016520108

4 Au-delà de la congélation : l’eau amorphe dans le nano confinement doux biomimétique. Livia Salvati Manni, Salvatore Assenza, Michael Duss, Jijo J. Vallooran, Fanni Juranyi, Simon Jurt, Oliver Zerbe, Ehud M. Landau, Raffaele Mezzenga. Manuscrit soumis pour publication le 16 octobre 2018.

5 Voir 2.

6 Voir 2.

7 L’essence même de l’eau : textes originaux. Viktor Schauberger. 4e édition, 2014.

8 L’adoubement divin — l’expérience de vocation de Bruno Groening comme guérisseur miraculeux. Siegfried Johann Mohr. WissenschafftPlus 5/2016. et : Guérison psyché-cerveau-organe et guérison corps-âme-esprit. La nuit de la grande guérison et le jour où les crocus fleurissent. Partie I et II. Siegfried Johann Mohr. WissenschafftPlus 6/2017 et 1/2018.

9 Mesmer — magicien et technicien d’une médecine cosmobiologique. Siegfried Johann Mohr. WissenschafftPlus n° 6/2018.

10 L’eau — bien plus que H2O. Gerald H. Pollack. Livre de 368 pages, édition de 2015.

11 Biologie cellulaire fondée sur des preuves, avec quelques implications pour la recherche clinique. Harold Hillmann. Livre de 2008, 590 pages. Editions Shaker GmbH.

12 Voir 11.

13 Les nanotunnels des cellules. Vivian Callier. Spektrum.de du 10.10.2018.

14 Vésicules extracellulaires et virus : Sont-ils de proches parents ? Esther Nolte — ‘t Hoen, Tom Cremer, Robert C. Gallo et Leonid B. Margolis. Comptes rendus de la société américaine des sciences. PNAS | 16 août 2016 | vol. 113 | no. 33 | 9155-9161.
www.pnas.org/cgi/doi/10.1073/pnas.1605146113

15 http://www.embryology.ch/allemand/vcns/histogenese04.htm

16 Voir 2.

17 Une réévaluation radicale de la structure cellulaire du système nerveux des mammifères. Harold Hillmann. Article, 2011. 40 pages, consultable gratuitement sur Internet.

18 Rudolf Virchow, un stratège du pouvoir. Partie 1 et partie 2. Siegfried Johann Mohr. WissenschafftPlus n° 5/2015 et n° 6/2015 et Développement de la médecine et de l’Humanité. Stefan Lanka. WissenschafftPlus n° 6/2015.

19 Voir 2

20 Proposition pour une nouvelle vision du cerveau. Stefan Lanka (en allemand). WissenschafftPlus n° 3/2017.

21 Aspects matériels dans l’ABC actualisé de la thérapie. Stefan Lanka. WissenschafftPlus n° 4/2018.

22 Le cerveau mécanique. Douglas Fox. Cerveau et esprit 40, 10-2018.

23 Il existe manifestement différents types de respiration et d’alimentation, avec des besoins en eau potable différents. Voir à ce sujet les explications : Bases de la terlusollogie : application pratique d’un modèle de constitution bipolaire. Christian Hagena. Livre, 184 pages, 4e édition 2013. Et : L’équilibre acido-basique. Un vitalisateur de l’organisme. Siegfried Johann Mohr. WissenschafftPlus n° 2/2014.

24 Voir 1.

25 L’eau. Un hôte de la terre. Friedrich Hacheney. 347 pages, 1992.

26 L’eau vivifiée dans la recherche et l’application. Friedrich Hacheney. 150 pages, 1994.

27 https://wissenschafftplus.maunawai.com/cms/de/wassertropfen-forschung

28 https://wissenschafftplus.maunawai.com/shop/p/de/maunwai-pi-waschkugel-set

29 https://wissenschafftplus.maunawai.com/shop/p/de/maunawai-oeko-duschko




L’invention du « virus Ebola »

Par Jean Bitterlin

Voici le travail de recherche de Mike Stone sur l’arnaque du « virus Ebola ». Les articles provenant de l’OMS ou d’autres sources que l’analyse de l’auteur sont sur fond coloré.

[Voir aussi :
Ebola : briser les mensonges et la supercherie]

Quel que soit le « virus » sur lequel on se penche, on retrouve toujours le même narratif :

  1. L’émergence de « l’épidémie » se fonde sur des maladies préexistantes que l’on attribue à un « nouveau virus ». Pour Ebola il s’agissait du paludisme, de la fièvre typhoïde, de la méningite, de l’hépatite, etc., pour le VIH il s’agissait du sarcome de Kaposi, de la pneumonie cystite carinii auxquels se sont rajoutées près d’une trentaine d’autres maladies et pour le Covid-19 les pneumonies)
  2. Le « virus » en question n’est et n’a jamais été isolé (ce qui rend d’ailleurs impossible la mise au point d’un test) et personne ne l’a jamais vu.
  3. La « preuve de la présence du virus » est toujours indirecte : c’est la présence d’anticorps que l’on prétend être, sans aucun fondement scientifique, spécifiques au « virus ».
  4. Des malades qui ne sont pas porteurs de ces anticorps dits spécifiques et des bien-portants chez lesquels on trouve ces anticorps. Ces bien-portants sont alors appelés porteurs asymptomatiques du « virus », situation qui peut durer des années ! (On peut se demander alors ce que « foutent » ces virus pendant tout ce temps, doivent s’emmerder tapis dans des cellules et prêts à passer à l’attaque.)
  5. Des remèdes ou médicaments qui ont les mêmes effets pathogènes, effets pouvant aller jusqu’au décès, que l’on attribuera au « virus ». Dans le cas d’Ebola il s’agit de la chloroquine, dans le cas du VIH il s’agit de l’AZT…

Voici également une vidéo qui bien que datant mérite d’être visionnée même si les intervenants se situent dans l’hypothèse virale : https://www.dailymotion.com/video/xmq1ka

Le professeur De Harven qui est interviewé dans la vidéo est malheureusement décédé en mars 2019.

Dès le début de cette escroquerie phénoménale qu’est le « virus du SIDA » des voix se sont élevées pour dénoncer les graves incohérences de l’hypothèse d’une épidémie qui allait éradiquer l’Humanité. Qu’un Luc Montagnier ait persisté dans la fraude, n’ait jamais douté et n’ait jamais fait amende honorable malgré les décennies où aucun fait scientifique n’a pu corroborer cette hypothèse me fait dire qu’il est à classer dans la catégorie des pires criminels que l’Humanité ait connue.

Dès le début des années 1990 des voix se sont élevées (le groupe de Perth en Australie, le professeur Stefan Lanka en Allemagne) pour dénoncer l’hypothèse virale qui ne repose sur aucun fondement scientifique. Tous ceux qui, tout en restant dans cette hypothèse virale, ont combattu le narratif officiel du SIDA ont bien malgré eux contribué à la mise en œuvre de l’escroquerie Covid-19. Ne perdons pas 40 années supplémentaires en restant dans cette hypothèse virale. Je suis persuadé que nous devons nous concentrer que sur un seul objectif : balayer cette hypothèse, tout le reste n’a guère d’importance.

À vous de vous impliquer dans cette lutte en diffusant l’information autour de vous et de mettre à la poubelle tout ce qui provient des idiots utiles (à Big Pharma) tels que Perronne, Stuckelberger, Henrion-Caude… et bien d’autres


[Source : https://viroliegy.com/2022/09/26/the-ebola-virus-part-1/]

Par Mike Stone

Mon voyage pour découvrir les mensonges de la théorie du germe

Il y a quelques années, un de mes proches a été mal diagnostiqué et maltraité par notre système médical. Il a été victime de nombreux médicaments toxiques et de procédures médicales invasives inutiles qui lui ont malheureusement coûté la vie après des années de souffrance dans des conditions horribles.

En essayant de découvrir les meilleurs moyens de l’aider à traverser cette difficile crise sanitaire, je suis tombé sur les mensonges de la théorie des germes et sur l’état désastreux de notre système de « santé ». J’ai découvert la bataille entre Antoine Béchamp et le plagiaire Louis Pasteur. J’ai commencé à étudier les différences entre la théorie des germes et la théorie du terrain. J’ai pris conscience de l’influence des Rockefeller sur la création de notre establishment médical. Je me suis plongé dans les travaux de David Crowe, Stefan Lanka, Roberto Giraldo, du Groupe de Perth, de Liam Scheff, Celia Farber et bien d’autres.

En 2020, il est devenu évident que je ne pouvais plus rester sur la touche tout en accumulant ces informations pour moi-même. Le monde s’est passionné pour une « pandémie » fondée sur de nombreux faux prétextes et une désinformation/propagande délibérée. Nous nous sommes retrouvés dans une pandémie de tests entretenue par la PEUR. De trop nombreuses personnes ont agi sur la base d’informations inexactes provenant de sources grand public contrôlées par l’industrie pharmaceutique, sans jamais être conscientes du fait qu’il existe un côté beaucoup plus logique à ce débat. Un côté basé sur la connaissance et non sur la PEUR.

J’ai décidé qu’il était temps de partager cette information sur Facebook avec mes amis, ma famille et tous ceux qui avaient besoin de l’entendre. Malheureusement, cela est devenu de plus en plus difficile face à la censure actuelle. Ce paysage orwellien m’a conduit à la création de ce blog. J’ai l’intention de partager les articles que j’ai rédigés sur les méthodes fallacieuses utilisées en virologie, l’absence de preuves scientifiques valables concernant les « virus » et les anticorps, la supercherie de la génomique, les dangers des vaccins et de diverses interventions médicales, ainsi que de fournir des informations sur les meilleures façons de prendre soin de sa santé naturellement.

Je ne suis pas médecin, virologue, microbiologiste, scientifique, etc. Beaucoup s’en serviront contre moi. J’ai fait des études en sciences de la santé et de l’exercice. J’ai été entraîneur personnel, nutritionniste, et je suis actuellement coach en santé et bien-être. Ce que je partage ici est basé sur des années de recherche et de lecture d’études ou de sources originales. Je ferai toujours de mon mieux pour fournir les sources d’où proviennent les informations. C’est le meilleur conseil que j’ai reçu de Kary Mullis, l’inventeur du test PCR actuellement utilisé à tort dans le monde entier :

« Je pense que c’est de la simple logique. Cela ne nécessite pas que quelqu’un ait une connaissance spécialisée du domaine. Le fait est que s’il existait des preuves que le VIH cause le SIDA — si quelqu’un qui était en fait un spécialiste dans ce domaine pouvait écrire une analyse de la documentation, dans laquelle seraient citées un certain nombre d’études scientifiques qui, seules ou en groupe, pourraient soutenir l’hypothèse que le VIH est la cause probable du SIDA — quelqu’un l’aurait écrite. Il n’y a pas d’article, ni d’analyse de documentation mentionnant un certain nombre d’articles qui, pris ensemble, pourraient soutenir cette affirmation. »

Kary Mullis

J’espère que les informations que j’ai acquises au cours de mon voyage vous aideront dans le vôtre.

Le « virus » Ebola — 1re partie

Un commentaire a récemment été laissé sur l’un de mes articles et a attiré mon attention :

Si vous bande d’idiots (traduction libre !) êtes si sûrs que les virus n’existent pas, allez dans un pays d’Afrique et exposez-vous à Ebola. Faites-moi savoir comment ça se passe pour vous. J’attendrai. Mais encore une fois vous êtes tous trop idiots pour me prouver que j’ai tort.

Pour une raison quelconque, il y a des personnes qui semblent croire que pour prouver que les « virus » n’existent pas (sophisme de la non-existence), il faut soit s’injecter du sang « infecté » soit s’exposer à des individus « infectés ». Ces personnes estiment que la dissection des études qui ont été présentées comme des preuves de l’existence de ces entités pathogènes fictives n’est pas suffisamment convaincante. Dans ce cas précis, on m’a dit d’aller en Afrique et de m’exposer à un patient atteint d’Ebola. Cette personne a fièrement déclaré : « Prouve-moi que j’ai tort en te contaminant toi-même ». Bien sûr, si je tombais malade après m’être exposé à un patient atteint d’Ebola, cela ne prouverait en aucun cas qu’un « virus » en est la cause, car les toxines environnementales, le stress et la fatigue dus aux voyages, les changements dans les habitudes alimentaires et de sommeil, etc. pourraient tous être des facteurs potentiels conduisant à la maladie. Si je ne tombais pas malade, ces personnes se rabattraient sur des dispositifs de secours tels que les anticorps naturels ou les infections asymptomatiques comme explication probable de l’absence de maladie. Ce serait en fin de compte un exercice infructueux.

Malheureusement pour ceux qui font des demandes illogiques comme l’exemple ci-dessus, la charge de la preuve incombe à celui qui fait la déclaration positive. Si quelqu’un affirme qu’un « virus » existe, c’est à cette personne qu’il incombe de prouver l’existence de ce « virus » particulier. La meilleure façon de le faire serait de présenter les études fondamentales relatives à ce « virus ». Je trouve intéressant que ces personnes ne se tournent jamais vers la littérature scientifique pour tenter d’établir que l’existence de ces « virus », tels qu’Ebola, a été prouvée en premier lieu comme on le prétend. Cependant, je comprends leur frustration lorsqu’ils essaient de présenter les études originales comme preuve, car la preuve scientifique n’existe tout simplement pas dans aucun de ces documents.

Quoi qu’il en soit, Ebola est l’un de ce que je considère généralement comme les trois principaux « virus » avec lesquels les gens aiment défier ceux qui critiquent la virologie, les deux autres étant le VIH et la rage, dont j’ai parlé précédemment. Selon leurs exigences, pour réfuter la virologie, nous devons surmonter l’obstacle des « trois grands » en nous exposant physiquement à des patients malades. Malheureusement, même si j’adorerais faire un safari, tout laisser tomber et m’envoler pour l’Afrique afin de m’exposer à des « virus » imaginaires n’est pas vraiment une option réaliste pour moi en ce moment. Cependant, pourquoi engager des frais de voyage alors que je peux simplement démonter les preuves pseudo-scientifiques utilisées pour prouver l’existence dudit « virus » (que ces personnes ne veulent pas regarder et soumettre elles-mêmes) ?

Cet effondrement de la fraude Ebola sera présenté en deux parties. La première partie se concentre sur « l’isolement » du « virus » Ebola par trois groupes de chercheurs en 1976. J’ai fourni les trois documents soumis, un de chaque groupe, pour voir s’il existe des preuves scientifiques de l’existence d’un « virus » Ebola dans ces documents. Les chercheurs ont-ils respecté la méthode scientifique ? Ont-ils essayé de purifier et d’isoler correctement les particules supposées être le « virus » Ebola directement à partir des fluides d’un hôte malade ? Ces particules purifiées ont-elles été utilisées pour exposer un hôte sensible de manière naturelle ? Les images obtenues au microscope électronique ne montraient-elles que les particules supposées « virales » et rien d’autre ? Les chercheurs ont-ils effectué les expériences de contrôle appropriées ? C’est ce que nous allons découvrir.

La deuxième partie explore les incohérences du rapport de 23 pages publié par l’OMS en 1978, qui résume les recherches menées en 1976. Le récit comporte de nombreuses lacunes qui nécessitent un examen plus approfondi. Nous examinerons également d’autres causes potentielles des symptômes ressentis par les patients qui ont été bizarrement négligées par l’OMS.

C’est quoi le « virus » Ebola ?

Traduction du document du CDC :

Écologie et transmission du virus Ebola

La maladie du virus Ebola est une maladie zoonotique. Les zoonoses concernent les animaux et les humains.

1re colonne : Transmission d’animal à animal

Les preuves suggèrent que les chauves-souris sont les hôtes réservoirs pour le virus Ebola (satanée bestiole — la même qui nous a transmis le virus du Covid-19 !! – NdT). Les chauves-souris porteuses du virus peuvent le transmettre à d’autres animaux, les grands singes, les singes et les duikers (antilopes), tout comme elles peuvent le transmettre aux humains.

2colonne : Événement de débordement

Un « événement de débordement » se produit lorsqu’un animal (chauve-souris, singe, antilope) ou humain devient infecté par le virus Ebola par contact avec l’hôte réservoir. Ce contact pourrait se produire lors d’une chasse ou lors de la préparation de la viande de l’animal pour la manger.

3colonne : Transmission d’humain à humain

Une fois que le virus Ebola a infecté le premier humain, la transmission d’un humain à l’autre peut se produire par contact avec le sang et les fluides du corps des personnes malades ou par contact avec les corps de ceux qui sont décédés d’Ebola (p….. même les morts sont dangereux !!! – NdT)

4colonne : Survivants

Les survivants d’Ebola affrontent de nouveaux défis après la guérison. Certains survivants rapportent des effets tels que la fatigue et des douleurs musculaires et peuvent avoir à affronter la stigmatisation lorsqu’ils retournent dans leurs communautés.

Au milieu : Pratiques funéraires traditionnelles — Travailleurs de la Santé non protégés – Contacts non protégés avec le sang et les fluides corporels.

D’après le CDC, le « virus » Ebola a été découvert au Zaïre en 1976 (après une épidémie de fièvre hémorragique). De temps en temps le « virus » aime occasionnellement faire des apparitions en Afrique. L’on dit qu’il s’est d’abord transmis à l’homme par contact avec un animal infecté. Ensuite, le « virus » se transmet d’homme à homme par contact avec les fluides corporels d’une personne infectée :

« Le virus Ebola a été découvert pour la première fois en 1976 près de la rivière Ebola, dans ce qui est aujourd’hui la République Démocratique du Congo. Depuis lors, le virus infecte de temps en temps des personnes, ce qui a entraîné des épidémies dans plusieurs pays africains. Les scientifiques ne savent pas d’où vient le virus Ebola. Sur la base de virus similaires, ils pensent que la maladie du virus Ebola est transmise par les animaux, les chauves-souris ou les primates non humains étant la source la plus probable. Les animaux infectés porteurs du virus peuvent le transmettre à d’autres animaux, comme les grands singes, les singes, les antilopes et les humains.

Le virus se transmet d’abord à l’homme par contact direct avec le sang, les fluides corporels et les tissus des animaux. Le virus Ebola se transmet ensuite à d’autres personnes par contact direct avec les fluides corporels d’une personne malade ou décédée de la maladie du virus Ebola. Cela peut se produire lorsqu’une personne touche ces fluides corporels infectés ou des objets contaminés par eux. Le virus pénètre ensuite dans l’organisme par les lésions cutanées ou les muqueuses des yeux, du nez ou de la bouche. On peut contracter le virus par contact sexuel avec une personne malade ou guérie de l’EVD. Après la guérison de la maladie, le virus peut persister dans certains fluides corporels comme le sperme. » (NdT : EVD pour Ebola Virus Disease, Maladie due au Virus Ebola)

https://www.cdc.gov/vhf/ebola/about.html

Ministère de la Santé de la République d’Uganda — OMS — Unicef

(Ebola : Signes et symptômes
Fièvre – Vomissements – Sang lors de diarrhée ou dans l’urine – Maux de tête – Affaiblissement du corps – Maux de gorge – Douleur musculaire – Saignements des orifices corporels.)
OMS, l’image du gars qui vomit sur le sol est-elle vraiment nécessaire ?

Selon l’OMS, nous constatons que cette « maladie rare, mais grave, souvent mortelle » ne peut être transmise que par les personnes qui présentent des symptômes. Le « virus » Ebola est associé à une liste de symptômes non spécifiques, et est souvent confondu lors du diagnostic avec de nombreuses autres maladies et même avec une grossesse (!) :

Symptômes

La période d’incubation, qui est l’intervalle de temps entre l’infection par le virus et l’apparition des symptômes, est de 2 à 21 jours. Une personne infectée par Ebola ne peut pas transmettre la maladie avant qu’elle ne présente les symptômes.

Les symptômes de la maladie du virus Ebola peuvent être soudains et incluent :

  • Fièvre
  • Fatigue
  • Douleur musculaire
  • Maux de tête
  • Maux de gorge

Ceci est suivi de :

  • Vomissements
  • Diarrhées
  • Éruptions cutanées
  • Symptômes d’altération des fonctions rénales et hépatiques
  • Dans certains cas saignements internes et externes (par exemple suintements des gencives ou sang dans les selles)
  • Les résultats des laboratoires comprennent un faible nombre de globules blancs et de plaquettes et des enzymes hépatiques élevées.

Diagnostic

Il peut s’avérer difficile de distinguer cliniquement la maladie du virus Ebola d’autres maladies infectieuses telles que la malaria, la fièvre typhoïde et la méningite. De nombreux symptômes de la grossesse et la maladie Ebola sont également assez similaires. En raison des risques pour la grossesse, les femmes enceintes devraient idéalement être testées rapidement en cas de suspicion d’Ebola.

https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/ebola-virus-disease?gclid=Cj0KCQjwj7CZBhDHARIsAPPWv3cNnRDMQ6A8_meGwLE7XzuMOX1WvF97TctCB1A3nu1AfVv0MxnTwi4aAimkEALw_wcB

Le Dr Piot et les chasseurs du « virus » !

Indépendamment des symptômes non spécifiques et des similitudes de la maladie avec la grossesse, les chercheurs de 1976, constatant les mêmes signes et symptômes de fièvre hémorragique associés à de nombreuses affections, ont eu le sentiment, pour une raison quelconque, qu’ils avaient un nouveau « virus » sur les bras. Pour déterminer s’il s’agissait d’une nouvelle épidémie « virale » au Zaïre, des échantillons prélevés sur une infirmière malade ont été envoyés au Dr Peter Piot en Belgique, un homme qui venait de terminer ses études de médecine en 1976 et qui suivait une formation de microbiologiste clinique. Il est considéré comme l’un des chercheurs qui ont finalement découvert le nouveau « virus », quand bien même si le « virus » qu’il a « trouvé » ressemblait exactement au « virus » de Marburg, un autre « virus » découvert en 1967 qui présente une série de symptômes similaires :

Le scientifique qui a découvert Ebola

« Alors qu’il travaillait dans un laboratoire de l’Institut de Médecine Tropicale d’Anvers, en Belgique, Piot a reçu un thermos en plastique bon marché contenant deux flacons de sang et de la glace fondue. À l’intérieur se trouvait également une note manuscrite d’un médecin belge basé au Zaïre (aujourd’hui la République Démocratique du Congo). La note expliquait que le sang avait été prélevé sur une religieuse belge travaillant au Zaïre. Elle et deux cents autres personnes vivant dans une région reculée du Zaïre avaient été gravement atteintes d’une maladie mystérieuse. Le thermos avait été transporté sur un vol commercial en provenance de la capitale du Zaïre dans l’un des bagages accompagnés du passager ! En ouvrant le thermos, Piot et ses collègues ont été accueillis par un mélange gluant de glace fondue et de sang. Des deux flacons, un seul était resté intact, tandis que l’autre s’était brisé en route.

Piot et son équipe ont soupçonné la maladie inconnue d’être la fièvre jaune. L’Institut de Médecine Tropicale était qualifié pour traiter la fièvre jaune. Ils étaient loin de se douter que ce qui devait être appelé virus Ebola se cachait dans le thermos. À cette époque, les protocoles de biosécurité n’étaient pas aussi stricts qu’ils le sont aujourd’hui. Ne portant que de fins gants en latex, les scientifiques ont prélevé un échantillon de sang dans la fiole intacte et ont procédé à des tests standard. L’échantillon de sang a été soumis à des tests de dépistage de microbes connus, celui de la fièvre jaune et de plusieurs virus de fièvre hémorragique tels que Lassa, Marburg et dengue. Aucun des microbes ou virus potentiels n’a été trouvé dans le sang. Piot a également injecté à des souris des échantillons du sang de la nonne. Au bout d’une semaine, toutes les souris étaient mortes.

Lorsque les scientifiques ont examiné le sang au microscope, ils ont été surpris par ce qu’ils ont vu. « Nous avons vu une structure vermineuse gigantesque, gigantesque par rapport aux normes virales », explique Piot. Le seul autre virus connu qui avait une taille et une forme similaires était le virus de Marburg. Ce virus est apparu pour la première fois en 1967, lorsque 31 employés de laboratoire ont été atteints de fièvre hémorragique après avoir été en contact avec des singes infectés. En 1976, seules trois installations en dehors de l’Union soviétique étaient qualifiées pour traiter les virus mortels en toute sécurité : Porton Down près de Londres, Fort Detrick dans le Maryland et ce qui est aujourd’hui le CDC à Atlanta. L’Organisation Mondiale de la Santé a ordonné aux scientifiques belges d’envoyer leurs échantillons de sang au laboratoire du CDC, qui était à l’époque le centre de référence mondial pour les virus hémorragiques. Après avoir analysé le virus, le CDC a confirmé que l’échantillon contenait un tout nouveau virus hémorragique. Le Dr Piot dit avoir éprouvé un sentiment « d’excitation incroyable » avec la découverte d’Ebola.

Rétrospectivement, le Dr Piot dit qu’il a eu « de la chance de ne pas être infecté, non seulement dans le laboratoire, mais plus tard, lorsque je prélevais du sang sur les patients et que je les touchais. » Après son travail sur Ebola, le Dr Piot a mené des recherches sur l’épidémie de SIDA en Afrique, puis est devenu le directeur exécutif fondateur d’ONUSIDA, le programme commun des Nations Unies sur le VIH/SIDA. Le Dr Piot est actuellement directeur de l’Ecole d’Hygiène et de Médecine Tropicale de Londres.

https://www.nature.com/scitable/blog/viruses101/the_scientist_who_discovered_ebola/

Le Dr Piot surpris dans l’art de dormir tout en étant debout.

Il est intéressant de noter que si le Dr Piot a été largement crédité de la découverte du « virus » Ebola, cette affirmation a fait l’objet d’une certaine controverse, car de nombreuses autres personnes auraient été impliquées dans le processus de découverte. Même si le Dr Piot et ses collaborateurs ont affirmé avoir « isolé » le « virus » identique à celui de Marburg dans tous les sens du terme, ils ne savaient pas s’il s’agissait en fait d’un nouveau « virus ». Après l’insistance de l’OMS, des chercheurs du CDC ont reçu des échantillons pour vérifier si l’équipe de Piot avait trouvé quelque chose de nouveau :

L’histoire attribue à cet homme le mérite d’avoir découvert Ebola par lui-même. L’histoire a tort

Mais Pattyn et ses collègues ne savaient pas ce qu’ils regardaient. Ils ont vu un virus en forme de lasso qui ressemblait au virus de Marburg — la cause d’un type similaire de fièvre hémorragique découvert neuf ans plus tôt — mais n’avaient pas la capacité de déterminer avec certitude si ce qu’ils observaient était quelque chose de nouveau.

Comme le laboratoire d’Anvers n’était pas équipé pour travailler sur des virus mortels comme celui de Marburg, l’Organisation mondiale de la santé a demandé à Pattyn d’envoyer les échantillons aux laboratoires militaires britanniques de Porton Down. Les scientifiques ont commencé à l’étudier, mais ont également envoyé un échantillon au CDC.

L’équipe d’Atlanta a pu démontrer que l’épidémie de Yambuku était causée par un virus inconnu jusqu’alors, et non par Marburg. Webb a effectué les tests critiques.

« Il est certain que ceux qui devraient avoir le mérite de la découverte savaient en fait qu’ils avaient découvert quelque chose de nouveau », se souvient le Dr Joel Breman, épidémiologiste du CDC en 1976, qui avait dirigé l’enquête de terrain sur l’épidémie à Yambuku. « Savoir ce que c’est, différent de tout le reste — c’est ça la découverte d’un nouvel organisme ».

« Les équipes d’Anvers, de Porton Down et du CDC ont copublié des articles décrivant leur rôle dans la découverte d’Ebola dans le numéro du 12 mars 1977 du Lancet. Il y avait 15 auteurs en tout. »

« Dans l’interview accordée à STAT, Piot a reconnu que le mérite de la découverte effective revient à Johnson et à l’équipe du CDC.

Il a toutefois noté que lui et d’autres membres du laboratoire de Pattyn estimaient avoir le droit de se décrire comme codécouvreurs, en raison du travail qu’ils ont accompli pour isoler le virus à partir de l’échantillon de sang original. »

Qui mérite d’être crédité de la découverte du « virus » Ebola ?
Personne. 

Trois équipes distinctes composées de 15 chercheurs auraient été impliquées dans le processus de découverte du « virus » Ebola. Il y avait le groupe du Dr Piot à Anvers, le groupe militaire britannique à Porton Down et le groupe du CDC à Atlanta. Il a été décidé que le groupe du Dr Piot pouvait prétendre avoir « isolé » le « virus » semblable à celui de Marbourg, tandis que le CDC a eu le dernier mot pour déterminer que « l’isolat » était un nouveau « virus » et non le même vieux Marbourg de 1967. Malgré le drame lié à l’attribution correcte du mérite de la découverte d’Ebola aux bonnes personnes, lorsqu’on examine les trois études soumises au Lancet en 1977 par tous les chercheurs impliqués, on se rend compte que la question ne devrait pas du tout être de savoir qui a le mérite de la découverte d’un nouveau « virus ». Il apparaît clairement à la lecture de ces études qu’aucun de ces chercheurs ne mérite cette reconnaissance, car nulle part dans les articles, les particules supposées être le « virus » Ebola ne sont pas correctement purifiées et isolées directement à partir des fluides d’un hôte malade, et ensuite prouvées être pathogènes de manière naturelle.

Par exemple, dans l’étude du Dr Piot, ce que nous constatons c’est que le sang qu’il a reçu de l’infirmière malade ne contient jamais de « virus ». À aucun moment, l’article ne décrit un quelconque processus de purification (c’est-à-dire centrifugation, filtration, précipitation, etc.), et il n’y a donc aucune preuve de la présence de présumées particules « virales » directement dans les fluides de l’infirmière. Tout ce qui est décrit est le processus habituel de culture cellulaire utilisant des cellules Vero de singes verts africains, du milieu 199 et 7,5 % de sérum de veau. C’est exactement le contraire de la purification et de l’isolement, car de nombreux matériaux étrangers et contaminants ne sont pas séparés, mais au lieu de cela sont ajoutés ensemble dans une boîte de Petri. L’effet cytopathogène (ECP) observé dans les cultures cellulaires a d’abord été considéré comme non spécifique jusqu’à ce que les chercheurs changent le milieu au cinquième jour pour un milieu plus susceptible de produire un ECP et incubent la culture pendant une semaine supplémentaire, créant ainsi l’effet qu’ils voulaient voir. Les études de pathogénicité ont consisté à injecter du sang dans le cerveau et l’estomac de souris nouvellement nées et à affirmer que tout décès était dû au « virus » plutôt qu’à la méthode non naturelle d’injection du sang dans les animaux. Les résultats des anticorps indirects n’étaient pas spécifiques non plus et ont en fait déclenché la fièvre jaune, c’est ce le Dr Piot a déclaré être sa suspicion initiale. Les particules observées en microscopie électronique n’étaient pas de nouvelles entités distinctes et étaient en fait identiques à celles associées au « virus » de Marburg. Aucun contrôle n’a été effectué à l’aide de matériel provenant d’hôtes sains ou de personnes présentant des symptômes similaires de la maladie. En conclusion, le Dr Piot et ses collaborateurs ont déclaré qu’il était possible que tout ce qu’ils avaient fait c’était d’avoir « isolé » le « virus » de Marbourg, mais il a émis l’hypothèse qu’il s’agissait peut-être d’un parent distinct d’un point de vue sérologique ou peut-être d’un nouveau « virus » appartenant au même groupe de « virus » que la rage. En d’autres termes, ils ont utilisé les mêmes méthodes indirectes et obtenu des résultats non spécifiques, ce qui a en quelque sorte alerté l’OMS qu’un nouveau « virus » était en cause :

Isolation d’un virus de type Marburg à partir d’un cas de fièvre hémorragique

Une femme de 42 ans (la patiente M. E.) est tombée malade le 23 septembre 1976 à Yambuku, dans la province de l’Équateur, au Zaïre. Elle a été transportée par avion le 25 septembre à Kinshasa, où un syndrome hémorragique s’est progressivement développé. Du sang coagulé prélevé le 5e jour de la maladie a été envoyé sur glace à l’Institut de Médecine Tropicale d’Anvers. L’échantillon est arrivé dans la soirée du 29 septembre et a été conservé au réfrigérateur.

Le lendemain matin, le sérum a été inoculé à 6 souris jeunes adultes par voie intracérébrale et intrapéritonéale, à 2 portées de souris nouveau-nées par voie intracérébrale et à 10 tubes de cultures de cellules Vero (cultivées dans du milieu 199 contenant 7,5 % de sérum de veau).

Le sérum a été testé par fixation du complément pour les anticorps du virus de Lassa (le résultat était négatif) et par neutralisation sur cellules Vero pour les anticorps du virus de la fièvre jaune (les anticorps étaient présents à une dilution de 1/30).

Résultats des inoculations

Chez les souris

Un animal a été trouvé mort au 4jour et un second au 5e. Au 5jour les cerveaux ont été prélevés sur ces animaux et sur les survivants.

Chez les souris nouveau-nées

Au 5jour d’observation, un animal a été retrouvé mort et partiellement mangé dans chaque portée. Dans une portée, plusieurs souris avaient disparu les jours 6 et 7, ne laissant qu’un seul animal. En revanche, dans la deuxième portée, dont les animaux avaient été très sains pendant toute la période d’observation, il ne restait que trois jeunes souris : une morte, une paralysée et une très malade. Les cerveaux de ces animaux ont été prélevés et envoyés à l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton Down pour une étude plus approfondie.

Cellules Véro

Au cours des 4 premiers jours d’observation, certaines cellules du fond de la plupart des tubes se sont détachées de la surface du verre. Bien que ce phénomène ait d’abord été interprété comme un effet cytopathique partiel, il n’a pas augmenté au cours des jours suivants et a donc été considéré comme non spécifique. Au 5jour, le milieu de culture tissulaire a été remplacé par le milieu tamponné au succinate/acide succinique (tel que décrit par Plaisner et al.1) sans sérum. Selon notre expérience, ce milieu permet l’observation des cellules Vero pendant plusieurs semaines, alors que de nombreux arbovirus produisent un effet cytopathique dans ces conditions. Au 11e jour, un effet cytopathique très frappant a été observé dans ces cultures, la plupart des cellules étant encore attachées au verre. L’effet cytopathique était presque complet au 12e jour. (NdT : effet cytopathique ce sont les altérations métaboliques, biochimiques et morphologiques attribuées à un « virus » qui « infecterait » une cellule hôte)

Résultats de la microscopie électronique

Fig. 1 : Particules virales extracellulaires droites et croisées (agrandies x 112 000)

Le liquide surnageant de trois tubes a été décanté et ceux-ci ont été remplis de glutaraldéhyde à 3 % pendant 30 min. Les cellules ont ensuite été raclées dans une petite quantité de glutaraldéhyde, rincées avec du saccharose tamponné au cacodylate (7,5 %), postfixées dans du tétroxyde d’osmium tamponné au phosphate à 1 % et préparées par la méthode de coagulation à l’albumine. Une coloration de blocage a été effectuée avec de l’acétate d’uranyle à 0,5 %, suivie d’une déshydratation et d’une inclusion dans le milieu à faible viscosité de Spurr. L’examen au microscope électronique de coupes ultrafines de ce matériel a révélé des particules virales extracellulaires droites et croisées morphologiquement similaires au virus de Marburg (fig. 1). Des nucléocapsides intracellulaires ont également été observées, certaines d’entre elles semblant provenir de vésicules (fig. 2 et 3).

Figure 2 : particules virales provenant des membranes intracellulaires. (Agrandies de x 112 000)
Figure 3 : Particules virales intracellulaires en coupe transversale. (Agrandies de x 112 000)

Au même moment, des sections du foie du patient chez qui ce virus avait été isolé et qui était décédé le 1er octobre sont devenues disponibles. Bien que l’ultrastructure de ce tissu soit très mal conservée, des particules virales similaires ont été observées.

Conclusion

Il a été conclu que l’agent responsable de l’épidémie de fièvre hémorragique en Afrique centrale était soit le virus de Marburg, soit un virus différent de celui-ci d’un point de vue sérologique, mais appartenant au même groupe de virus, soit le rhabdovirus ou le torovirus.

C’est lui Anthony Fauci ?

L’OMS souhaitant que les résultats soient examinés séparément par des laboratoires mieux équipés pour traiter le « virus » le plus dangereux supposé avoir été identifié à Anvers, il a été fait appel aux militaires britanniques de Porton Down pour confirmer les résultats. Dans le document de Porton Down, nous constatons une fois de plus l’absence de toute mention de la purification et d’isolement des particules supposées être un « virus ». On retrouve les mêmes expériences de culture cellulaire utilisant des cellules Vero que celles de l’équipe de Piot, allant même jusqu’à utiliser du matériel envoyé par Anvers. Porton Down s’est procuré à Anvers le sang de patients en phase aiguë, le matériel de culture cellulaire et les cerveaux de souris inoculées pour ses propres expériences de science folle. Aucun des ingrédients utilisés pour le processus de culture n’a été détaillé et même s’il est fait mention de contrôles, ceux-ci restent indéfinis. Au cours de leurs expériences de culture cellulaire, les chercheurs ont noté de légers effets cytopathogènes qu’ils ont attribués aux matériaux toxiques utilisés pour l’inoculation. Finalement, trois des cultures ont pris une couleur plus acide et ont provoqué des maladies lorsqu’elles ont été injectées dans l’estomac de jeunes cobayes, signalant ainsi aux chercheurs la présence d’un « virus ». Les autres études de pathogénicité réalisées comprenaient l’injection des cerveaux des souris tuées à Anvers dans le cerveau et l’estomac de souris nouveau-nées à Porton Down et la revendication d’un succès lorsque les souris finissaient par mourir.

Bien que les chercheurs aient supposé qu’ils étaient en présence d’un nouveau « virus », les structures observées par microscopie électronique des foies de cochons d’Inde étaient identiques à celles observées chez les cochons d’Inde et les singes inoculés lors des expériences sur le « virus » de Marburg en 1967 et 1975. Le surnageant de la culture cellulaire contenait des structures sinueuses allongées qui ressemblaient aux structures observées dans les cellules rénales de bébé hamster après infection par le « virus » de Marburg. En fait, les chercheurs ont admis que la maladie et les lésions produites chez les cobayes par les nouveaux agents ressemblaient à celles des cobayes inoculés avec les premiers niveaux de passage du « virus » de Marburg. À toutes fins utiles, les chercheurs auraient dû conclure qu’ils avaient « isolé » le « virus » de Marburg. Bien que cette conclusion aurait été tout aussi frauduleuse, elle aurait au moins correspondu à ce que les preuves pseudo-scientifiques indirectes indiquaient :

Fièvre hémorragique virale dans le sud du Soudan et le nord du Zaïre

Entre juillet et septembre 1976, des cas sporadiques de fièvre avec manifestations hémorragiques ont été signalés dans les régions de Nzara, Maridi et Lirangu dans le sud du Soudan. On pense que les premiers cas se sont produits dans des établissements agricoles. Un foyer d’une maladie similaire a également été signalé dans la zone de Bumba, dans le nord du Zaïre. Alors que l’épidémie s’intensifiait, le pourcentage inquiétant de cas signalés parmi le personnel hospitalier a suggéré une propagation directe de l’infection de personne à personne. La maladie commençait par une fièvre aiguë, des malaises, des maux de gorge, des douleurs musculaires, des vomissements et des diarrhées. Les personnes gravement touchées ont présenté des épistaxis, des hémorragies sous-conjonctivales, des hémoptysies, des hématémèses et le méléna. Certains patients ont également présenté des éruptions cutanées, des tremblements et des convulsions.

Provenance des spécimens

Des spécimens provenant de l’épidémie du nord du Zaïre ont été envoyés à l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton, par le professeur S. R. Pattyn de l’Institut de Médecine Tropicale d’Anvers. Il s’agissait d’un sérum en phase aiguë (n° 718), de matériel de culture cellulaire et de cerveaux de souris qui allaitaient et qui avaient déjà été inoculés avec le sérum. Nous avons reçu plus tard un spécimen de foie du même patient et également 5 spécimens de sang en phase aiguë du Zaïre par l’intermédiaire du professeur Pattyn. Les spécimens provenant du sud du Soudan ont été principalement collectés à l’hôpital de Maridi et nous ont été envoyés directement par le Dr Babiker el Tahir, le Dr D. H. Smith, le Dr K. Jones et le Dr M. Cornet, qui étaient sur place pour enquêter. Ils consistaient en 3 prélèvements de gorge, 3 échantillons d’urine, 6 échantillons de sang en phase aiguë et des échantillons de sérum de personnes en convalescence. Ces spécimens ont été envoyés sur de la glace sèche ou dans de l’azote liquide. Trois laboratoires engagés dans des études préliminaires sur l’agent étiologique ont rapporté l’isolement d’un virus qui était morphologiquement similaire au virus de Marburg.

Les résultats des tentatives d’isolement du virus

L’isolement du virus à partir du matériel humain original a été tenté dans : (1) des préparations de culture de cellules Vero ; (2) des souris allaitantes inoculées par voie intraparentérale (i.p.) et intracérébrale (i.c.) ; et (3) de jeunes cobayes (200-250g) inoculés par voie i.p.

L’isolement chez les cobayes

Jusqu’à présent, 5 isolations de l’agent étiologique ont été obtenues chez le cochon d’Inde : 4 provenant de spécimens du nord du Zaïre et 1 d’un spécimen du sud du Soudan. Les cobayes inoculés par ces spécimens sont devenus fébriles à 40,5 °C après une période d’incubation de 4 à 7 jours. La maladie fébrile a duré 4 à 5 jours pendant lesquels les cochons d’Inde ne se développaient pas et avaient l’air malade. Un des 12 cochons d’Inde inoculés avec le matériel original est mort le 12jour après l’inoculation. Les 11 autres cochons d’Inde se sont lentement rétablis et ont ensuite présenté des anticorps détectables par des tests d’anticorps fluorescents à des titres allant de 1/64 à 1/128. Lorsque du sang hépariné entier provenant de cochons d’Inde fébriles a été inoculé par voie i.p. à d’autres cochons d’Inde, cela a entraîné une maladie fébrile similaire chez ces derniers.

Résultats histopathologiques

Foie — Il y avait de nombreux foyers de nécrose qui n’avaient pas de distribution lobulaire cohérente et consistaient en des groupes de cellules hépatiques subissant une dégénérescence hyaline et une nécrose. Dans certaines des cellules en dégénérescence, de petits corps éosinophiles pléomorphes étaient présents dans le cytoplasme qui étaient positifs à l’acide périodique/Schiff et se coloraient en rouge vif avec la technique de Machiavello, mais ne se coloraient pas en métachromie avec le Giemsa. Les cellules de Kupffer étaient hypertrophiées, certains sinusoïdes contenaient des lymphocytes et les zones périportales étaient fortement infiltrées par des cellules lymphoréticulaires.

La rate et les ganglions lymphatiques – Il y avait un appauvrissement généralisé du tissu lymphoïde des follicules, qui contenait de petites zones de nécrose. De nombreux macrophages se sont accumulés dans les sinus.

Poumons — Les changements dans les poumons étaient légers : épaississement localisé et infiltration des septa inter alvéolaires par des cellules lymphoréticulaires.

Autres organes : aucune lésion n’a été détectée dans le cerveau, les reins ou les glandes surrénales.

Microscopie électronique du foie

Figure 1 : Foie de cobaye infecté, canalicules biliaires (réduit de x 40 000) : particules virales bourgeonnant hors de la membrane cellulaire.

De petits morceaux de foie d’un cobaye tué 5 jours après l’inoculation ont été fixés dans du tétroxyde d’osmium à 1 %. Des coupes ultrafines ont été colorées à l’acétate d’uranyle et au citrate de plomb et examinées au microscope électronique. La figure 1 montre des structures étonnamment similaires à celles observées dans les foies de cobayes et de singes infectés expérimentalement par le virus de Marburg.

Isolation chez les souris

Les cerveaux de souris de lait qui sont tombées malades après avoir été inoculées avec du sérum en phase aiguë par le professeur Pattyn à Anvers ont été réinoculés dans quatre portées de souris nouveau-nées. Les souris ont commencé à mourir le 5jour et étaient toutes mortes au 9jour. Ce matériel de passage chez les souris n’a pas encore été étudié plus profondément. Nous proposons d’inoculer ce matériel à des cochons d’Inde pour voir si l’infection caractéristique se développe avant que nous ne tentions d’autres études chez la souris.

Études sur les cultures cellulaires

L’isolement à partir des échantillons originaux de sérum et de sang a également été tenté dans des préparations de cellules Vero en culture. Un effet cytopathique partiel a été observé sous examen microscopique à faible puissance. Cet effet n’a pas progressé jusqu’à la destruction complète de la membrane cellulaire et pourrait être attribué à un effet toxique des spécimens inoculés. On a toutefois observé un net changement de couleur dans le milieu de trois de ces cultures. Au 6e ou 7e jour après l’inoculation, elles sont devenues nettement plus acides que les cultures témoins. Lorsque de jeunes cobayes ont été inoculés avec ces trois cultures cellulaires, une maladie fébrile s’est développée après 4 à 6 jours.

Figure 2 : fluides de culture de tissus infectés à partir de cellules Vero (agrandis de x 110 000) : aspect interne des particules virales avec une structure en forme d’épaulement.

Figure 3 : Liquide de culture tissulaire infectée de cellules Vero (agrandi x 139 000) particules virales ramifiées.

L’examen au microscope électronique du liquide de culture cellulaire a révélé des structures sinueuses allongées (figures 2 et 3) qui ressemblaient aux structures observées dans les cellules rénales de baby-hamster après infection par le virus de Marburg ».

Conclusion

La microscopie électronique de foies de cobayes infectés et de matériel de culture cellulaire a révélé des structures présentant une ressemblance frappante avec le virus de Marburg. La maladie et les lésions produites chez les cobayes par les nouveaux agents ressemblent à celles des cobayes inoculés avec des niveaux de passage précoce du virus de Marburg. Les lésions d’un échantillon de foie prélevé lors de l’autopsie d’un des patients du Zaïre étaient très similaires à celles produites dans le foie de cochons d’Inde infectés expérimentalement. Jusqu’à présent, nous ne disposons d’aucun élément positif permettant de penser que les virus isolés dans le nord du Zaïre et le sud du Soudan sont sérologiquement apparentés à la souche du virus de Marburg isolée en 1967. 18 sérums de convalescents collectés au Soudan présentaient des titres d’anticorps fluorescents allant de 1/4 à 1/128 contre l’un des isolats du virus du Zaïre. Bien que cette preuve soit faible, elle suggère que les deux épidémies ont été causées par des virus apparentés, sinon identiques. Des études sont en cours pour déterminer la relation entre les nouveaux isolats du Zaïre et du Soudan et la souche de Marburg isolée en 1967.

Une recherche active du « virus »

L’insistance de l’OMS pour un réexamen des preuves a finalement conduit l’équipe du CDC d’Atlanta à s’impliquer afin d’avoir le dernier mot sur la question de savoir si les « isolats » d’Anvers étaient constitués d’un nouveau « virus » ou non. Dans le document du CDC, il est indiqué que Porton Down a envoyé un aliquot (NdT : petit échantillon) de sang au CDC. Comme dans les études précédentes, ce spécimen a également été inoculé sur des cellules Vero. Une fois de plus, aucune procédure de purification n’a été détaillée et la composition exacte des matériaux utilisés pour la culture des cellules n’a jamais été fournie. Après avoir observé un ECP (NdT : rappel — effet cytopathique) « distinct », le liquide surnageant non purifié a été utilisé pour l’imagerie EM (NdT : Electron Microscopy ou microscopie électronique). Les chercheurs ont déclaré avoir observé un grand nombre de particules filamenteuses, d’un diamètre d’environ 100 nm et d’une longueur variant de 300 nm à plus de 1500 nm. Il s’agit d’une différence assez importante dans la gamme de tailles des particules, ce qui montre qu’elles ne sont pas homologues et qu’il pourrait s’agir de nombreux « virus » et/ou microbes différents. Les chercheurs ont également noté que, dans tous les détails, ces particules ne se distinguaient pas de celles observées lors des précédentes épidémies de « virus » de Marbourg. Même l’examen des tissus hépatiques a révélé les mêmes structures que celles observées dans les foies des humains et des cobayes lors des épidémies de Marbourg de 1967 et 1975. Les seules preuves d’une différence proposée entre ce qui a finalement été déclaré Ebola et le « virus » de Marbourg étaient les résultats des tests d’immunofluorescence indirecte des anticorps qui, comme son nom l’indique, est une forme de preuve INDIRECTE utilisant des réactions chimiques non spécifiques. En fait, les chercheurs admettent qu’il y avait une faible réaction entre les échantillons de Marburg et du Zaïre. Cependant, sur la base des faibles preuves sérologiques (qui contredisaient les résultats antérieurs concernant le « virus » de Marbourg) et malgré les nombreux aveux d’identification des mêmes particules que celles associées au « virus » de Marbourg, le CDC a eu le dernier mot en déclarant que le « virus » Ebola était en fait un nouveau « virus ». Ils l’ont déclaré en dépit du fait qu’il est clair que pas un seul des trois groupes de chercheurs n’a vraiment purifié et isolé un « virus » Ebola pour commencer :

Isolation et caractérisation d’un nouveau virus responsable de la fièvre hémorragique aiguë au Zaïre

Une épidémie de fièvre hémorragique avec un taux de mortalité exceptionnellement élevé s’est produite dans le sud du Soudan et le nord du Zaïre avec un pic de cas en septembre 1976. Une commission internationale de l’OMS a opéré au Soudan et au Zaïre à partir d’octobre. Des échantillons de sang et de tissus provenant de personnes atteintes de la maladie hémorragique ont été envoyés à des laboratoires en Belgique et en Angleterre, et les résultats de ces laboratoires figurent dans les rapports ci-joints. Pendant que ces spécimens étaient étudiés, Monsieur E. T. W. Bowen (du Microbiological Research Establishment de Porton Down) a envoyé un aliquot d’un spécimen de sang aigu provenant d’un patient du Zaïre (n° 718, patient M. E.) au CDC d’Atlanta, pour une étude complémentaire.

Ce spécimen et tous les spécimens aigus ultérieurs ont été inoculés dans des cellules Vero (singe vert africain). Trois jours plus tard, un changement cytopathique distinct (arrondi focal et réfractivité) était évident, et un aliquot du liquide surnageant a été prélevé pour une microscopie électronique à contraste négatif.

La microscopie électronique des cultures cellulaires

Des grilles recouvertes de carbone ont été successivement mises à flotter sur des gouttelettes de liquide de culture cellulaire, puis sur du silicotungstate de sodium à 2 % de pH 7. De grandes quantités de particules virales filamenteuses ont été observées (fig. 1). Leur diamètre était d’environ 100 nm et leur longueur variait de 300 nm à plus de 1500 nm. Un grand nombre d’entre elles présentaient des boursouflures terminales. Les particules avaient des projections régulières à la surface d’environ 10 nm de long et, après coloration, elles présentaient des stries transversales internes indiquant une structure centrale hélicoïdale (fig. 2). Dans tous les détails, ces particules ne se distinguaient pas des particules du virus de Marburg étudiées en 1967 (isolats d’Allemagne) et en 1975 (isolat d’Afrique du Sud). Deux caractéristiques étaient plus marquées dans l’isolat du Zaïre de 1976 : les particules filamenteuses étaient plus ramifiées (fig. 1) et la continuation de l’enveloppe au-delà des extrémités de la structure interne plus rigide était plus évidente (fig. 1, flèche).

Des cellules Vero infectées par le même isolat du Zaïre ont également été examinées par microscopie électronique à coupe fine. On a trouvé des particules virales filamenteuses bourgeonnant de la membrane plasmique des cellules (fig. 3), et de nombreuses cellules contenaient des corps d’inclusion. Ces inclusions intracytoplasmiques étaient complexes et distinctes, et consistaient en une substance finement fibrillaire ou granulaire qui se condensait en structures tubulaires. Ces dernières ont été considérées comme la structure hélicoïdale interne des particules virales matures. Ces tubules ont été sectionnés au hasard, certains en coupe transversale, d’autres linéairement. Les particules virales dans ces sections étaient identiques à celles observées dans les isolats de 1967 et 1975.

SPÉCIMENS DE FOIE POST-MORTEM

Des signes d’infection ont été observés par microscopie optique dans trois échantillons de foie humain post-mortem provenant du Zaïre (reçus dans du formol). L’infection de deux d’entre eux a été confirmée par microscopie électronique. Une nécrose hépatocellulaire éosinophile focale avec une infiltration inflammatoire modeste était proéminente. De grandes inclusions cosinophiles étaient présentes dans de nombreux hépatocytes intacts, en particulier près des sites de nécrose sévère (fig. 4). Ces inclusions plutôt lisses et réfractives étaient si caractéristiques qu’elles ont une signification diagnostique. Les spécimens de nécropsie fixés au formol et inclus dans du plastique ont été examinés au microscope électronique. Bien que le tissu hépatique ait été mal conservé, on a trouvé un grand nombre de particules virales filamenteuses et de corps d’inclusion (masses de tubules) (fig. 5) qui ne se distinguaient pas de ceux présents dans les foies humains et de cobayes infectés par le virus de Marburg étudiés en 1967 et 1975.

Comparaison antigénique avec Marburg

Une différence antigénique entre cet isolat et Marburg 67 a été mise en évidence par immunofluorescence indirecte (I.F.A.). Une suspension de cellules Vero infectées a été placée en gouttes sur des lames, séchée à l’air, puis fixée à l’acétone pendant 10 minutes à température ambiante. Les lames ont été conservées à -70 °C jusqu’à ce qu’elles soient testées. Des lames d’antigène Marburg 67, préparées de la même manière, ont été utilisées pour la comparaison. Les titres réciproques obtenus avec des sérums humains convalescents prélevés au cours des épidémies de 1967, 1975 et 1976 sont indiqués dans le tableau I. À l’exception d’une faible réaction à l’antigène de Marburg à une dilution de 1/4 du sérum de convalescent zaïrois, le nouvel isolat était distinct du virus de Marburg. Les titres homologues de Marburg de 128 et 64 obtenus avec les antigènes et antisérums de 67 et 75 étaient comparables à ceux rapportés par Wulff et Conrad.

Un sérum immunisé contre le nouvel agent a été préparé en une seule injection chez le cochon d’Inde, et des tests d’immunofluorescence réciproques ont été effectués avec des réactifs similaires disponibles pour le virus de Marburg. Les titres réciproques (tableau 2) ont confirmé par la suite la distinction entre les deux virus. Bien qu’un des deux sérums de convalescence précoce provenant du Soudan ait donné une réaction positive à l’antigène du Zaïre (tableau I), des travaux supplémentaires sont nécessaires pour déterminer si les agents de la maladie hémorragique provenant des deux pays sont identiques.

Le Virus Ebola

Avec l’accord du Prof. S. R. Pattyn de l’Institut de Médecine Tropicale et de E. T. W. Bowen de l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton Down, le nom de virus Ebola est proposé pour ce nouvel agent. Ebola est une petite rivière du Zaïre qui coule vers l’ouest, au nord de Yambuku, le village d’origine du patient dont le premier isolat a été obtenu. Par respect pour les pays concernés et en raison du manque de connaissances spécifiques sur la source naturelle originale du virus, il est également suggéré de ne pas utiliser de noms de pays ou de villes spécifiques.

Ils cherchent beaucoup ou peu ?

En résumé

  • Le « virus » Ebola a été découvert pour la première fois en 1976 près de la rivière Ebola, dans ce qui est aujourd’hui la République démocratique du Congo.
  • Depuis lors, le « virus » infecterait de temps en temps des personnes, ce qui a entraîné des épidémies dans plusieurs pays africains.
  • Le « virus » se transmet d’abord à l’homme par contact direct avec le sang, les fluides corporels et les tissus d’animaux.
  • Le « virus » Ebola se transmet ensuite à d’autres personnes par contact direct avec les fluides corporels d’une personne malade ou décédée de la maladie.
  • Cependant, une personne infectée par le virus Ebola ne peut pas propager la maladie tant qu’elle n’a pas développé de symptômes.
  • Il peut être difficile de distinguer cliniquement la maladie d’Ebola d’autres maladies infectieuses telles que le paludisme, la fièvre typhoïde et la méningite.
  • De nombreux symptômes de la grossesse et de la maladie à virus Ebola sont également très similaires.
  • Les symptômes habituels sont les suivants :
  • Fièvre

    • – Fatigue
    • – Douleurs musculaires
    • – Maux de tête
    • – Maux de gorge
    • – Vomissements
    • – Diarrhée
    • – Éruption cutanée
    • – Symptômes d’altération des fonctions rénale et hépatique. Dans certains cas, saignement interne et externe (par exemple, suintement des gencives ou sang dans les selles).
    • – Les résultats de laboratoire comprennent une faible numération des globules blancs et des plaquettes et une élévation des enzymes hépatiques.

  • En 1976, le Dr Peter Piot a reçu une bouteille thermos contenant des flacons de sang avec une note expliquant que le sang avait été prélevé sur une religieuse belge travaillant au Zaïre.
  • Elle et deux cents autres personnes vivant dans une région reculée du Zaïre étaient gravement atteintes d’une maladie mystérieuse.
  • Piot et ses collègues ont trouvé un mélange gluant de glace fondue et de sang, car des deux flacons, un seul était resté intact, tandis que l’autre s’était brisé lors du voyage.
  • Le Dr Peter Piot et son équipe ont soupçonné la maladie inconnue d’être la fièvre jaune.
  • Portant uniquement de fins gants en latex, les scientifiques ont prélevé un échantillon de sang de la fiole intacte et ont effectué des tests standards sur celui-ci.
  • L’échantillon de sang a été analysé pour détecter des microbes connus, la fièvre jaune et plusieurs « virus » de fièvre hémorragique tels que Lassa, Marburg et la dengue.
  • Aucun des microbes ou « virus » potentiels n’a été trouvé dans le sang.
  • Au microscope électronique, le Dr Piot a déclaré : « Nous avons vu un ver gigantesque comme structure — gigantesque par rapport aux normes virales. »
  • Le seul autre « virus » connu qui avait une taille et une forme similaires était le « virus » de Marburg.
  • En d’autres termes, Piot et ses collègues ont trouvé exactement les mêmes particules que celles que l’on prétend être du Marburg, mais ont déclaré qu’ils n’avaient pas trouvé de Marburg dans les échantillons de sang…
  • Rétrospectivement, le Dr Piot a déclaré qu’il avait eu de la chance de ne pas être infecté, non seulement au laboratoire, mais aussi plus tard, lorsqu’il prélevait du sang sur des patients et les touchait…
  • Piot et ses collègues ont vu un « virus » en forme de lasso qui ressemblait au « virus » de Marburg — à cause d’un type similaire de fièvre hémorragique découvert neuf ans plus tôt — mais n’avaient pas la capacité de déterminer avec certitude si ce qu’ils observaient était quelque chose de nouveau.
  • Les scientifiques de Porton Down ont commencé à étudier l’échantillon, mais ont également envoyé un échantillon au CDC après avoir été sollicités par l’OMS.
  • L’équipe du CDC d’Atlanta aurait démontré que l’épidémie de Yambuku était causée par un « virus » inconnu jusqu’alors, et non par le Marburg.
  • Les équipes d’Anvers, de Porton Down et du CDC ont copublié des articles décrivant leur rôle dans la découverte du virus Ebola dans le numéro du 12 mars 1977 du Lancet.
  • Dans l’interview accordée à STAT, Piot a reconnu que le mérite de la découverte effective revient à Johnson et à l’équipe du CDC.

  • Le sérum de l’infirmière malade a été inoculé à 6 jeunes souris adultes par voie intracérébrale et intrapéritonéale, à 2 portées de souris nouveau-nées par voie intracérébrale et intrapéritonéale (NdT : injection par le péritoine) et à 10 tubes de cultures de cellules Vero (cultivées dans un milieu 199 contenant 7,5 % de sérum de veau).
  • Le sérum a été testé par fixation du complément pour la recherche d’anticorps contre le « virus de Lassa » (le résultat était négatif) et par neutralisation sur cellules Vero pour la recherche d’anticorps contre le « virus » de la fièvre jaune (des anticorps étaient présents à une dilution de 1/30).
  • Au cours des 4 premiers jours d’observation, certaines cellules du fond de la plupart des tubes se sont détachées de la surface du verre et, bien que ce phénomène ait d’abord été interprété comme un effet cytopathique partiel, il n’a pas augmenté au cours des jours suivants et a donc été considéré comme non spécifique.
  • Au 5jour, le milieu de culture tissulaire a été remplacé par un milieu tamponné au succinate/acide succinique (comme décrit par Plaisner et al.1) sans sérum.
  • Au 11jour, un effet cytopathique très frappant a été observé dans ces cultures, la plupart des cellules étant encore attachées au verre et l’effet cytopathique était presque complet au 12jour.
  • En d’autres termes, Piot et ses collègues n’obtenaient pas l’ECP qu’ils voulaient voir, alors le milieu a été changé pour un milieu connu pour produire l’ECP avec des « arbovirus » et au 12e jour, ils ont obtenu l’effet qu’ils voulaient voir.
  • L’examen au microscope électronique de coupes ultrafines de ce matériel a révélé des particules virales extracellulaires droites et transversales morphologiquement similaires au « virus » de Marburg.
  • Bien que l’ultrastructure du tissu hépatique s’était très mal conservée, des particules de « virus » similaires ont été observées.
  • Il a été conclu que l’agent responsable de l’épidémie de fièvre hémorragique en Afrique centrale était soit le « virus » de Marburg, soit un « virus » sérologiquement différent de celui-ci, mais appartenant au même groupe de « virus », soit le « rhabdovirus », soit le « torovirus ».

  • Des spécimens provenant de l’épidémie du nord du Zaïre ont été envoyés à l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton Down par le professeur S. R. Pattyn de l’Institut de médecine tropicale d’Anvers. Il s’agissait d’un sérum en phase aiguë (n° 718), de matériel de culture cellulaire et de cerveaux de souris de lait qui avaient déjà été inoculés avec le sérum.
  • Trois laboratoires engagés dans des études préliminaires sur l’agent étiologique ont rapporté l’isolation d’un « virus » qui était morphologiquement similaire à celui de Marburg.
  • « L’isolation du virus » à partir du matériel humain original a été tentée dans :

    • des préparations de culture de cellules Vero
    • des souris de lait inoculées par voie intrapéritonéale (i.p.) et intracérébrale (i.c.)
    • de jeunes cobayes (200-250g) inoculés par voie i.p.

  • Chez les cobayes inoculés, une maladie fébrile a duré 4-5 jours pendant lesquels les cobayes ne se développaient pas et avaient l’air malades.
  • 1 des 12 cobayes inoculés avec le matériel original est mort le 12jour après l’inoculation, tandis que les 11 autres cobayes ont lentement récupéré.
  • De petits morceaux de foie d’un cobaye tué 5 jours après l’inoculation ont été fixés dans du tétroxyde d’osmium à 1 % et des structures étonnamment similaires à celles observées dans les foies de cobayes et de singes infectés expérimentalement par le « virus » de Marburg ont été observées.
  • Les cerveaux de souris de lait qui sont tombées malades après avoir été inoculées avec un sérum en phase aiguë par le professeur Pattyn à Anvers, ont été réinoculés dans quatre portées de souris de lait.
  • Les souris ont commencé à mourir au 5jour et étaient toutes mortes au 9e jour, mais ce matériel de passage de souris n’avait pas encore été davantage étudié.
  • Dans des expériences de culture cellulaire impliquant des cellules Vero, un effet cytopathique partiel a été observé sous un examen microscopique à faible puissance.
  • Cet effet n’a pas progressé jusqu’à la destruction complète du feuillet cellulaire et pourrait être attribué à un effet toxique des spécimens inoculés.
  • On a cependant observé un net changement de couleur dans le milieu de trois de ces cultures et, au 6e ou 7jour après l’inoculation, elles sont devenues nettement plus acides que les cultures témoins (qui n’ont pas été définies).
  • La microscopie électronique de foies de cobayes infectés et du matériel de culture cellulaire a révélé des structures présentant une ressemblance frappante avec le « virus » de Marburg.
  • Les chercheurs ont déclaré qu’ils n’avaient aucune preuve positive pour suggérer que les « virus isolés » du nord du Zaïre et du sud du Soudan étaient sérologiquement liés à la souche du « virus » de Marburg isolée en 1967.
  • En d’autres termes, ils n’avaient aucune preuve positive pour suggérer que le « virus », qui était identique à Marburg à tous les autres égards, n’était pas non plus exactement le même « virus », car ils ont simplement supposé que leurs nouveaux « isolats » étaient différents.
  • Les chercheurs ont admis que, même si leurs preuves étaient minces, elles suggéraient que les deux épidémies étaient causées par des « virus » apparentés, ou même identiques.

  • E. T. W. Bowen (de l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton Down) a envoyé un aliquot d’un échantillon de sang aigu provenant d’un patient du Zaïre (n° 718, patient M. E.) au CDC d’Atlanta, pour une étude complémentaire.
  • Ce spécimen et tous les spécimens aigus suivants ont été inoculés dans des cellules Vero (singe vert africain).
  • Trois jours plus tard, un changement cytopathique distinct (arrondissement focal et réfractivité) était évident, et un aliquot du liquide surnageant a été prélevée pour une microscopie électronique à contraste négatif.
  • Au microscope électronique, on a observé un grand nombre de particules « virales » filamenteuses d’un diamètre d’environ 100 nm et d’une longueur variant de 300 nm à plus de 1500 nm.
  • Dans tous les détails, ces particules ne se distinguaient pas des particules du « virus » de Marburg étudiées en 1967 (isolats d’Allemagne) et en 1975 (isolat d’Afrique du Sud).
  • Les cellules Vero infectées par le même « isolat » du Zaïre ont également été examinées par microscopie électronique en coupe fine et les particules de « virus » dans ces coupes étaient identiques à celles observées dans les « isolats » de 1967 et 1975.
  • Bien que le tissu hépatique ait été mal conservé lors de l’examen, on a trouvé un grand nombre de particules de « virus » filamenteux et de corps d’inclusion (masses de tubules) qui ne se distinguaient pas de ceux présents dans les foies humains et de cobayes infectés par le « virus » de Marburg étudiés en 1967 et 1975.
  • Une différence antigénique entre cet isolat et le Marburg « 67 a été mise en évidence par immunofluorescence indirecte (I.F.A.).
  • À l’exception d’une faible réaction à l’antigène de Marburg à une dilution de 1/4 du sérum de convalescence du Zaïre, le nouvel isolat était distinct du « virus » de Marburg.

Lorsque l’on cherche soit à prouver soit à réfuter une affirmation positive, telle que l’existence d’un « virus » Ebola, comme c’était le cas dans ce cas particulier, il faut toujours se tourner vers les documents de base originaux et voir si les preuves scientifiques qui soutiennent l’affirmation existent réellement. En remontant aux origines du « virus » Ebola, j’ai trouvé trois articles différents rédigés par trois équipes de chercheurs différentes dans trois régions différentes du monde. Quiconque comprend les méthodes pseudo-scientifiques employées par la virologie ne sera pas surpris de constater qu’à aucun moment les articles présentés ne respectent la méthode scientifique. Cette dernière est absolument essentielle pour qu’une étude soit considérée comme scientifique. Nulle part dans les articles, le « virus » Ebola n’est correctement purifié et isolé directement à partir des fluides d’un hôte malade et donc il n’existe aucune variable indépendante que les chercheurs peuvent faire varier et manipuler afin de déterminer la cause et l’effet. Sans une variable indépendante valide de particules purifiées/isolées, il ne peut y avoir de véritables études de pathogénicité utilisant une voie d’exposition naturelle, et il ne peut donc y avoir aucune allégation de pathogénicité. Sans contrôles appropriés, il n’y a aucun moyen de déterminer quels autres cofacteurs pourraient aussi potentiellement causer l’effet recherché par l’expérimentation, ce qui rend les résultats obtenus invalides et sans signification.

Ce que font ces chercheurs pseudo-scientifiques, c’est tenter de contourner la méthode scientifique en présentant des preuves indirectes fabriquées à la place des vraies preuves. Ce sont des escrocs qui vendent des résultats contrefaits. Au lieu d’un « virus » correctement purifié et isolé, nous obtenons une soupe de culture cellulaire non purifiée mélangée à de nombreux ingrédients toxiques tels que des cellules Vero, du milieu 199 et du sérum de veau à 7,5 %. Au lieu d’observer le « virus », nous obtenons une mort cellulaire non spécifique, connue sous le nom d’effet cytopathogène, imputée à un agent pathogène invisible qui peut être le résultat de bien d’autres choses qu’un « virus », comme le changement de milieu à mi-parcours pour un milieu plus approprié à la production de l’effet cytopathique désiré. Au lieu de ne visualiser que les particules censées être le nouveau « virus », nous obtenons des images par microscopie électronique de particules filamenteuses non purifiées et non isolées, de forme et de taille très variables, qui étaient auparavant associées au « virus » de Marburg. Nous obtenons des résultats histopathologiques de laboratoire montrant les mêmes résultats que ceux obtenus lors de l’investigation du « virus » de Marburg une décennie auparavant. Nous obtenons des résultats d’anticorps indirects non spécifiques utilisés pour affirmer que le « virus » est un nouveau « virus » de la même famille que le « virus » de Marburg, même si les autres résultats indirects auraient dû conduire à la conclusion qu’ils avaient soit découvert le même « virus » soit que les résultats dans les deux cas étaient frauduleux. En d’autres termes, les chercheurs ont trouvé exactement les mêmes particules dans des images par microscopie électronique associées à des cas présentant exactement les mêmes symptômes de la maladie attribuée à Marburg (et à de nombreuses autres maladies). Pourtant, comme les résultats des anticorps ne concordaient pas, plutôt que de remettre en question la crédibilité des résultats précédents concernant Marburg, les chercheurs ont décidé que ce qu’ils avaient découvert était un nouveau « virus ». Tout pour que l’histoire continue à vivre.

Cependant, si l’on revient en arrière pour enquêter sur le « virus » de Marburg, on constaterait que les mêmes pratiques pseudo-scientifiques ont été employées : aucun « virus » n’a jamais été purifié et isolé et les mêmes particules appartenant à la rage ont été identifiées comme étant celles du Marburg. Si l’on se penche sur le « virus » de la rage, on constate que le même schéma se répète, et ainsi de suite, en remontant aussi loin que possible dans le temps. Le même cycle de tromperie persiste : les mêmes symptômes de la maladie reçoivent un nouveau nom associé à des particules similaires et/ou identiques, sur la base de résultats d’anticorps indirects et contradictoires. Ce que l’on ne trouvera jamais, c’est une preuve directe de l’existence d’un « virus » qui adhère à la méthode scientifique. Tout ce que l’on trouvera c’est une fiction pseudo-scientifique présentée comme un fait scientifique.

Traduction du document ci-dessus :

À qui revient la charge de la preuve ?

Dire que la charge de la preuve n’incombe pas à la personne qui affirme, mais à quelqu’un d’autre qui doit la réfuter.

La charge de la preuve incombe à l’auteur d’une affirmation et ce n’est à personne d’autre de la réfuter. L’incapacité, ou le manque de volonté, de réfuter une affirmation ne la rend pas valide (cependant, nous devons toujours nous baser sur les meilleures preuves disponibles).

Bertrand déclare que la théière est, en ce moment même, en orbite autour du Soleil, entre la Terre et Mars, et que, puisque personne ne peut lui donner tort, son affirmation est donc valable.

Ceci étant dit, je répondrai à tous ceux qui prétendent que nous devons d’abord nous infecter intentionnellement pour pouvoir affirmer qu’il n’existe aucune preuve scientifique de l’existence d’un quelconque « virus ». C’est absurde et complètement à l’envers. La charge de la preuve incombe à toute personne qui affirme qu’un « virus » existe et c’est à elle de fournir les preuves à l’appui de son affirmation afin de la justifier. Cela exige logiquement que les preuves scientifiques de l’existence du « virus » Ebola soient contenues dans les documents de recherche originaux. J’ai fait le travail difficile pour ces personnes et j’ai retrouvé les études originales utilisées pour prouver l’existence du « virus » Ebola. J’ai montré qu’à aucun moment, la méthode scientifique n’a été respectée et que les particules supposées être Ebola n’ont jamais été correctement purifiées et isolées, ni prouvées pathogènes de manière naturelle. Si quelqu’un n’est pas d’accord avec cette affirmation, j’ai une proposition à faire. Montrez-moi, dans les trois articles que j’ai cités plus haut, où la méthode scientifique a été appliquée et respectée dès le début. Montrez-moi où les chercheurs ont purifié et isolé le « virus » directement de l’hôte malade. Montrez-moi que les particules dans les images de microscopie électronique ne sont que le « virus » et rien d’autre. Montrez-moi que ces particules purifiées et isolées peuvent rendre un hôte approprié malade de manière naturelle et non par des injections de toxines non purifiées directement dans le cerveau. Montrez-moi où les résultats sont reproduits et répliqués à grande échelle en utilisant les contrôles appropriés comme on devrait s’y attendre dans toute tentative scientifique. Si une personne prétendant l’existence du « virus » Ebola peut me montrer où, dans ces documents, il a été scientifiquement prouvé que le « virus » Ebola existe en suivant la méthode scientifique, alors j’irai en Afrique pour m’infecter intentionnellement à mes frais. Il est vrai qu’à ce moment-là, ils auront prouvé ce qu’ils avancent, ce qui rendra mon voyage en Afrique coûteux, inutile et potentiellement dangereux pour moi. Cependant, s’ils ne peuvent pas démontrer que cette preuve est contenue dans ces trois documents, ils concéderont que la preuve scientifique de l’existence du « virus » Ebola est introuvable et j’envisagerai un voyage gratuit en première classe pour un safari en Afrique.

Y a-t-il des preneurs ?

Le « Virus » Ebola — Partie 2

Dans la première partie de cette analyse de la fraude qu’est le « virus » Ebola, j’ai examiné les trois principales publications de trois équipes de chercheurs différentes qui ont été soumises à The Lancet en 1977 comme preuve de l’existence d’un nouveau « virus » provoquant une fièvre hémorragique en 1976. Les trois équipes, dont l’une était basée au CDC d’Atlanta, se sont coordonnées avec l’OMS afin d’associer le nouveau « virus » aux symptômes non spécifiques de la maladie survenue au Zaïre. Elles ont agi de la sorte alors que toutes les informations obtenues dans le cadre de leurs investigations pointaient vers le « virus » de Marburg, lui-même basé sur l’acquisition de preuves indirectes frauduleuses en 1967.

L’OMS ayant été intimement impliquée dans la coordination de ces trois équipes et dans la détermination du « virus » Ebola comme agent causal, j’ai pensé qu’il serait amusant de parcourir leur propre récit des événements qui ont conduit à cette conclusion. En 1978, l’OMS a eu la gentillesse de publier un rapport de 23 pages qui a servi de résumé des informations recueillies lors de l’enquête sur l’épidémie de fièvre hémorragique survenue dans un hôpital du Zaïre. Comme le rapport est assez long, je vais en donner les points les plus importants. Afin de faciliter la décomposition et la mise en évidence des informations pertinentes, je procède un peu différemment cette fois-ci. Au lieu de présenter les points saillants sous la forme d’un texte continu, les sections fournies du rapport seront séparées par des commentaires et des informations supplémentaires seront insérées en cours de route. Vous trouverez toujours le résumé habituel à la fin ainsi qu’un lien permettant de télécharger le rapport complet pour que chacun puisse le lire s’il le souhaite. Ceci étant dit, allons-y et voyons ce que nous pouvons découvrir sur ce « virus » directement auprès de l’OMS :

La fièvre hémorragique au Zaïre de 1976

« Entre le 1er septembre et le 24 octobre 1976, 318 cas de fièvre hémorragique virale aiguë sont survenus dans le nord du Zaïre. L’épidémie était centrée sur la zone de Bumba de la région de l’Équateur et la plupart des cas ont été enregistrés dans un rayon de 70 km autour de Yambuku, bien que quelques patients aient consulté à Bumba, Abumombazi et dans la capitale Kinshasa, où des cas individuels secondaires et tertiaires sont apparus. Il y a eu 280 décès et seulement 38 survivants confirmés sérologiquement. »

Je tiens tout d’abord à souligner que dans la section suivante, nous verrons que le dénominateur commun observé dans la grande majorité de ces cas de fièvre hémorragique était l’injection de médicaments comme la chloroquine, un antipaludéen, dans un hôpital du Zaïre. Je discuterai de l’utilisation de la chloroquine un peu plus tard, mais notez que le patient initial a reçu cette injection, car on présumait qu’il était atteint de paludisme en raison de ses symptômes. Après l’injection, ses symptômes sont entrés en rémission clinique, mais il a de nouveau eu de la fièvre 5 jours après le traitement. Alerte spoiler (NdT : avertissement indiquant qu’un détail important du développement de l’intrigue est sur le point d’être révélé) : nous apprendrons plus tard que le patient a subi une hémorragie gastro-intestinale après avoir reçu de la chloroquine et qu’il est finalement décédé le 8 septembre 1976 :

Le cas index de cette épidémie a présenté des symptômes le 1er septembre 1976, cinq jours après avoir reçu une injection de chloroquine pour un paludisme présumé à la clinique externe du Yambuku Mission Hospital (YMH). Il a eu une rémission clinique de ses symptômes de paludisme. Dans la semaine qui a suivi, plusieurs autres personnes qui avaient reçu des injections au même hôpital ont également souffert de la fièvre hémorragique Ebola, et presque tous les cas ultérieurs avaient soit reçu des injections à l’hôpital, soit eu un contact étroit avec un autre cas. La plupart de ces cas sont survenus au cours des quatre premières semaines de l’épidémie, après quoi l’hôpital a été fermé, 11 des 17 membres du personnel étant morts de la maladie. Tous les âges et les deux sexes ont été touchés, mais les femmes de 15 à 29 ans ont eu la plus forte incidence de la maladie, un phénomène fortement lié à la fréquentation des cliniques prénatales et ambulatoires de l’hôpital où elles recevaient des injections. Le taux global d’attaque secondaire était d’environ 5 %, bien qu’il ait atteint 20 % chez les proches parents tels que le conjoint, le parent ou l’enfant, le frère ou la sœur.

Notez ci-dessus que les femmes enceintes étaient parmi celles qui présentaient le plus de symptômes de la maladie dite d’Ebola. Vous vous souvenez de cette information de l’OMS dans la première partie ?

« Il peut être difficile de distinguer cliniquement la MVE (NdT : Maladie à Virus Ebola) d’autres maladies infectieuses telles que le paludisme, la fièvre typhoïde et la méningite. De nombreux symptômes de la grossesse et de la maladie à virus Ebola sont également très similaires. »

https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/ebola-virus-disease?gclid=Cj0KCQjwj7CZBhDHARIsAPPWv3cNnRDMQ6A8_meGwLE7XzuMOX1WvF97TctCB1A3nu1AfVv0MxnTwi4aAimkEALw_wcB

Sur le schéma ci-dessous :

EBOLA : Hoquet — Difficulté à avaler. Le hoquet est un symptôme d’Ebola ?!?!

OVERLAPPING SYMPTOMS (Symptômes qui se chevauchent) : Fièvre – Saignements — Maux de tête – Douleurs articulaires et musculaires – Faiblesse et fatigue – Douleurs abdominales, douleurs dans le quadrant supérieur droit – Difficultés à respirer – Vomissements – Diarrhées.

COMPLICATED LABOR (Accouchement compliqué) : Vision floue — Convulsions.

Selon l’OMS, les symptômes de la grossesse imitent ceux d’Ebola. Curieusement, c’est en 1976 que l’incidence de la maladie a été la plus élevée chez les femmes enceintes, qui ont reçu des injections (vraisemblablement de chloroquine, mais ce n’est pas directement indiqué) dans les cliniques prénatales et ambulatoires. Quelle coïncidence !

La surveillance active a révélé que des cas sont apparus dans 55 des quelque 550 villages qui ont été examinés maison par maison. La maladie était jusqu’à présent inconnue des habitants de la région touchée. Les recherches intensives de cas dans la région du nord-est du Zaïre, entre la zone de Bumba et la frontière soudanaise, près de Nzara et de Maridi, n’ont pas permis de trouver des preuves définitives d’un lien entre une épidémie de la maladie dans ce pays et le foyer près de Bumba. Néanmoins, il a été établi que les gens peuvent faire et font le voyage entre Nzara et Bumba en quatre jours au maximum : il a donc été considéré comme tout à fait possible qu’une personne infectée ait voyagé du Soudan à Yambuku et ait transféré le virus à une aiguille de l’hôpital alors qu’elle recevait une injection à la clinique externe.

Dans ce paragraphe suivant, l’OMS souligne que les symptômes d’Ebola ne sont pas spécifiques. Elle a tenté d’ajouter d’autres affections sous la marque Ebola, telles que l’hépatite, la pancréatite et la coagulation intravasculaire disséminée (un trouble de la coagulation sanguine entraînant des saignements massifs associés à une inflammation, une infection ou un cancer), mais les résultats de laboratoire n’étaient pas concluants :

La période d’incubation et la durée de la maladie clinique étaient en moyenne d’une semaine. Après 3 à 4 jours de symptômes et de signes non spécifiques, les patients ont généralement souffert d’un mal de gorge de plus en plus sévère, ont développé une éruption maculopapuleuse (NdT :type d’éruption cutanée caractérisé par une zone plate et rouge sur la peau, couverte de petites bosses confluentes), ont eu des douleurs abdominales rebelles et ont commencé à saigner de plusieurs endroits, principalement du tractus gastro-intestinal. Bien que les analyses de laboratoire aient été limitées et non concluantes, on a conclu que la pathogenèse de la maladie comprenait une hépatite non ictérique et peut-être une pancréatite aiguë ainsi qu’une coagulation intravasculaire disséminée.

Comme je l’ai montré dans la première partie, les particules que l’on prétend être le « virus » Ebola ont été reconnues comme étant morphologiquement identiques à celles associées au « virus » Marburg. Pourtant, l’OMS et leurs homologues du CDC ont déclaré que ces « virus » étaient immunologiquement différents sur la base de résultats d’anticorps indirects non spécifiques (antibody results.). Il est intéressant de noter que le « virus » n’a été « isolé » que dans 8 des 10 cultures cellulaires (cell cultures) réalisées et que les particules n’ont été trouvées que dans les échantillons de foie de trois cas :

Ce syndrome était causé par un virus morphologiquement similaire au virus de Marburg, mais immunologiquement distinct. Il a été nommé virus Ebola. L’agent a été isolé à partir du sang de 8 des 10 cas suspects en utilisant des cultures de cellules Vero. Les titrages d’échantillons en série obtenus chez un patient ont révélé une virémie persistante de 106,5 à 104,5 unités infectieuses du troisième jour de la maladie jusqu’à la mort au huitième jour. Des particules de virus Ebola ont été trouvées dans des échantillons de foie fixés au formol provenant de trois cas. Les survivants de l’infection présentaient des anticorps à fluorescence indirecte contre le virus Ebola à des titres de 1:64-1:256 dans les trois semaines suivant le début de la maladie et ces titres sériques ont persisté avec une légère diminution pendant une période de 4 mois.

Au total, 201 unités (200-300 ml chacune) de plasma contenant des anticorps du virus Ebola à des titres d’au moins 1:64 ont été obtenues et congelées. Deux de ces unités ont été utilisées pour traiter un employé de laboratoire infecté par le virus Ebola. Cette personne s’est rétablie, ce qui suggère que les anticorps ont pu être utiles sur le plan thérapeutique.

Notez que dans ce paragraphe suivant, l’OMS admet que la transmission du « virus » s’est arrêtée lors de l’arrêt des injections à l’hôpital.

Comme c’est étrange.

La transmission du virus a été interrompue par l’arrêt des injections et par l’isolement des patients dans leurs villages. L’utilisation de vêtements de protection et de respirateurs, l’isolement strict des patients et l’élimination soigneuse des excréments et des fomites (NdT : objets susceptibles d’être « contaminés » tels que les habits,…) potentiellement contaminés permettront presque certainement de prévenir de futures épidémies majeures. Le virus est probablement rarement transmis par des aérosols infectieux, bien que l’infection par de grosses gouttelettes reste une possibilité.

Nous apprenons également que des anticorps anti-Ebola ont été trouvés chez cinq personnes qui n’ont jamais été malades et n’ont jamais été en contact avec des personnes infectées. Ce que cela signifie en fin de compte, c’est que l’OMS a stratégiquement préparé le terrain afin d’avoir une excuse toute prête pour les cas asymptomatiques d’Ebola lorsque les anticorps dits « spécifiques » sont trouvés chez des personnes chez qui ils ne sont pas censés être trouvés :

Seules des enquêtes écologiques limitées ont été menées, car l’épidémiologie de l’épidémie suggérait fortement que le virus avait été importé dans la zone de Bumba. Le virus Ebola n’a pas été retrouvé dans des échantillons représentatifs de punaises de lit ou de rongeurs (Rattus rattus et Mastomys spp.) ayant un contact plus ou moins étroit avec l’homme. Des anticorps au virus Ebola ont cependant été trouvés chez cinq personnes qui n’étaient pas malades et n’avaient pas eu de contact avec les villages « infectés » ou l’hôpital de Yambuku pendant l’épidémie. Si ces résultats peuvent être confirmés par une méthode de test indépendante, ils suggèrent que le virus est en fait endémique dans la région et devraient conduire à des efforts supplémentaires pour découvrir un réservoir viral au Zaïre. »

Si l’on en croit les conclusions telles que présentées par l’OMS, le « virus » Ebola provient d’une personne infectée voyageant du Soudan au Zaïre. Cette personne non identifiée a été soignée à l’hôpital de Yambuku au moyen d’une injection parentérale. La même aiguille n’a pas été stérilisée et a ensuite été réutilisée sur un autre patient sans méfiance, ce qui a entraîné la propagation de la maladie de patient à patient par l’utilisation continue des mêmes aiguilles non stérilisées.

Dans le paragraphe qui suit, l’OMS plante la graine pour le récit qui va suivre. Il est affirmé que seulement 5 seringues et aiguilles ont été utilisées pour chaque patient tout au long de la journée. Si l’OMS affirme que les aiguilles n’ont pas été stérilisées, elle précise qu’elles ont été rincées dans des casseroles d’eau chaude et/ou bouillies.

Cinq seringues et aiguilles étaient remises chaque matin au personnel infirmier pour être utilisées dans le service de consultations externes, la clinique prénatale et les unités pour patients. Ces seringues et aiguilles n’étaient apparemment pas stérilisées entre leurs utilisations sur différents patients, mais rincées dans une casserole d’eau chaude. À la fin de la journée, elles étaient parfois bouillies. Le bloc opératoire disposait de ses propres instruments, seringues et aiguilles, qui étaient conservés séparément et autoclavés après usage.

Contrairement à ce qu’affirme l’OMS, l’utilisation de la chaleur est une forme courante de stérilisation dans les hôpitaux :

« La stérilisation est le processus qui consiste à tuer les micro-organismes et bactéries nocives présents sur un objet en les soumettant à un environnement qu’ils ne peuvent pas supporter.

« La stérilisation peut être effectuée par deux voies principales : l’application de chaleur et les moyens chimiques.

La chaleur est la forme la plus courante de stérilisation et est utilisée dans la plupart des hôpitaux et des cabinets médicaux via un autoclave. »

https://study.com/academy/lesson/how-to-sterilize-a-needle.html

L’OMS indique également que le service de chirurgie a utilisé des seringues et des aiguilles qui sont autoclavées après usage. Nous sommes donc censés croire que l’hôpital du Zaïre avait apparemment des protocoles différents pour la stérilisation des seringues et des aiguilles selon qu’il s’agissait de patients externes, de patients hospitalisés ou du service prénatal, par rapport au service de chirurgie. Bien que possible, est-ce probable ? Est-ce même important ? Comme nous l’avons appris précédemment, l’OMS a déclaré que la transmission « virale » s’est arrêtée lorsque les injections ont cessé à l’hôpital. Elle n’a pas parlé d’injections avec des aiguilles non stérilisées. Ce que l’OMS veut nous faire croire, c’est que la transmission du « virus » s’est arrêtée parce que le « virus » n’a pas été transféré par des injections avec des aiguilles non stérilisées entre les patients. Cependant, comme c’est toujours le cas, il existe un scénario beaucoup plus plausible et probable.

Le patient index a reçu une injection de chloroquine après avoir été diagnostiqué avec le paludisme. En fait, son hémorragie gastro-intestinale n’est apparue qu’après l’utilisation de la chloroquine. Cet antipaludéen est bien connu pour ses effets secondaires toxiques et graves. Pour une liste complète des effets secondaires signalés, vous pouvez cliquer ici, mais je souhaite mettre en évidence quelques-uns des plus importants :

  • douleurs au dos, aux jambes ou à l’estomac
  • selles noires et goudronneuses (NdT : des selles noires ou goudronneuses avec une odeur nauséabonde sont le signe d’un problème dans le tube digestif supérieur. Elles indiquent le plus souvent un saignement dans l’estomac, l’intestin grêle ou le côté droit du côlon.)
  • sang dans l’urine ou les selles
  • fièvre
  • éruption cutanée, urticaire ou démangeaisons
  • mal de gorge
  • saignement ou ecchymose inhabituels,
  • douleur dans la partie supérieure droite de l’abdomen ou de l’estomac,
  • vomissements

Relisez maintenant ce paragraphe du rapport de l’OMS :

« Après 3 à 4 jours de symptômes et de signes non spécifiques, les patients ont généralement souffert d’un mal de gorge progressivement sévère, ont développé une éruption maculopapulaire, ont eu des douleurs abdominales intraitables et ont commencé à saigner de plusieurs sites, principalement du tractus gastro-intestinal. »

On dirait que les symptômes de l’Ebola sévère correspondent parfaitement aux effets secondaires de l’injection de chloroquine. Allez savoir.

Il est intéressant de noter que la chloroquine a été étudiée comme médicament pour traiter les patients atteints d’Ebola, néanmoins sur des modèles animaux elle a entraîné une aggravation de la maladie et la mort :

« Cependant, alors que la chloroquine inhibait la réplication du virus Ebola in vitro, elle a provoqué une aggravation rapide de l’infection par Ebola chez les cobayes et ne faisait aucune différence sur la mortalité chez les souris ou les hamsters. »

« Lorsque la même dose (90 mg/kg) de chloroquine a été administrée à des hamsters infectés par le virus MA EBOV, l’étude a dû être interrompue le deuxième jour après le traitement. Presque tous les animaux traités, aussi bien dans le groupe MA EBOV que dans le groupe simulé, sont morts de toxicité aiguë après l’administration de chloroquine par voie intrapéritonéale, généralement dans les 30 minutes suivant le traitement (Figure 2, panneau B). »

https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/21/6/15-0176_article

Nous devons donc nous demander ce qui est le plus logique. Était-ce les aiguilles « non stérilisées » qui ont propagé un nouveau « virus » ou les effets secondaires des injections de médicaments toxiques qui ont entraîné les symptômes que l’on prétend être ceux d’Ebola ?

Injection mortelle

Le paragraphe suivant détaille ce qu’est un cas probable, possible et avéré d’Ebola. Selon l’OMS :

– Probable : vivre dans une zone endémique, avoir reçu une injection ou côtoyé un cas probable ou avéré et être décédé après avoir ressenti 2 symptômes ou plus.

– Prouvé : le « virus » a été « isolé » ou mis en évidence par microscopie électronique, ou les titres d’anticorps ont été produits dans les trois semaines suivant les symptômes.

– Possible : une personne présentant des maux de tête ou de la fièvre avec ou sans autres symptômes et ayant été en contact avec un cas probable ou avéré.

Il est intéressant de noter que l’OMS note que les cas possibles ont été traités avec des antipaludéens, des antibiotiques et des antipyrétiques afin d’exclure d’autres maladies communes à la région. En d’autres termes, s’ils n’étaient pas un cas probable/prouvé avant le traitement, ils l’étaient très probablement après :

« Un cas probable de fièvre hémorragique Ebola était une personne vivant dans la zone épidémique qui est décédée après un ou plusieurs jours avec deux ou plusieurs des symptômes et signes suivants : maux de tête, fièvre, douleurs abdominales, nausées et/ou vomissements, et saignements. Le patient doit avoir, au cours des trois semaines précédentes, reçu une injection ou été en contact avec un cas probable ou avéré, la maladie n’ayant pas été diagnostiquée autrement pour des raisons cliniques. Un cas avéré est une personne chez qui le virus Ebola a été isolé ou mis en évidence par microscopie électronique ou qui présentait un titre d’anticorps à fluorescence indirecte (IFA) d’au moins 1:64 contre le virus Ebola dans les trois semaines suivant l’apparition des symptômes. On a considéré qu’une infection par le virus Ebola était survenue chez des personnes qui présentaient un titre d’anticorps IFA similaire, mais qui n’avaient pas été malades entre le 30 août et le 15 novembre 1976.

Un cas possible était une personne présentant des maux de tête et/ou de la fièvre depuis au moins 24 heures, avec ou sans autres signes et symptômes, et ayant été en contact avec un cas probable ou avéré au cours des trois semaines précédentes. Ces patients ont été traités avec des antipaludéens, des antibiotiques et des antipyrétiques pour exclure d’autres maladies communes à la région. Les personnes signalant de tels symptômes ont eu un prélèvement sanguin rétrospectivement et leurs sérums ont été testés pour la recherche d’anticorps au virus Ebola. De même, tout cas de fièvre avec hémorragie signalé au ministère de la Santé dans n’importe quelle partie du Zaïre, quelle que soit l’issue clinique, était considéré comme un cas possible, et tous les efforts étaient faits pour établir un diagnostic par des moyens virologiques ou histopathologiques. »

Ce qui est intéressant dans le paragraphe qui suit, c’est la façon dont les équipes de surveillance ont entrepris de trouver des cas de la nouvelle maladie et comment elles ont apparemment éduqué les villageois au sujet d’une maladie qu’ils étaient censés encore essayer d’étudier et de comprendre eux-mêmes. Les équipes auraient été formées au diagnostic différentiel entre Ebola et d’autres maladies :

« Les objectifs des équipes de surveillance étaient de trouver les cas passés et actifs de fièvre hémorragique Ebola, de détecter les éventuels cas convalescents, d’éduquer le public sur la nature de la maladie et les moyens de la prévenir, et d’établir de manière incontestable la fin de l’épidémie. Dix équipes spéciales de surveillance active ont été recrutées et formées. Chacune était composée de quatre personnes : un chef d’équipe (médecin ou infirmier), deux infirmiers et un chauffeur. Les thèmes abordés lors de la formation étaient le diagnostic différentiel de la fièvre hémorragique Ebola, son épidémiologie (y compris les modes de transmission possibles), les moyens de protection du personnel, les méthodes de recensement des familles et d’enregistrement des cas probables et possibles. Les équipes ont reçu des formulaires standard, un calendrier écrit et des cartes détaillées montrant les villages qu’elles devaient couvrir pendant une période de deux semaines. Chaque équipe s’est vu attribuer un véhicule à quatre roues motrices, dont certains étaient équipés de radios, et a reçu de la nourriture, de l’eau, des blouses, des casquettes, des gants, des bottes, des respirateurs et du matériel pour prélever des échantillons de sang. La chloroquine, la tétracycline, l’aspirine et un médicament contre les parasites intestinaux étaient tous fournis sous forme de comprimés. Un médecin supervisait cinq équipes par de fréquentes visites sur le terrain et des examens administratifs. »

Selon le dictionnaire médical, le diagnostic différentiel est défini comme suit :

1. Une liste de maladies qui peuvent causer un signe clinique ou un symptôme particulier.

2. L’établissement d’un diagnostic par la comparaison des similitudes et des différences entre divers signes cliniques.

https://medical-dictionary.thefreedictionary.com/differential+diagnosis

Traduction du document : Le diagnostic différentiel d’une maladie fébrile aiguë, sévère, à courte incubation, en provenance d’Afrique subsaharienne, comprend :

Paludisme, autres entérites bactériennes, leptospirose, infections à rickettsies, peste, hépatite virale, dengue, Chikungunya, fièvre jaune, fièvre de la vallée du Rift, fièvre de Lassa, fièvre hémorragique de Marburg, grippe sévère, trypanosomiase africaine, pneumonie bactérienne, méningococcie (NdT : infection du sang), EVD (maladie à virus Ebola).

« Beaucoup de ces maladies se présentent de manière non spécifique, souvent avec de la fièvre et des malaises. Dans les cas avancés, l’hémorragie est fréquente, mais elle ne peut être présente que dans environ 50 % des cas d’EVD. Il y a eu au moins 20 cas suspects d’EVD aux États-Unis ; cependant, seul un cinquième de ces cas répondait aux critères de dépistage. Néanmoins, ces cas suspects drainent des ressources limitées en matière de soins de santé en raison de la crainte accrue de l’EVD. Certains des patients ont finalement souffert de paludisme et de grippe ».

https://westjem.com/perspective/ebola-virus-disease-essential-public-health-principles-clinicians.html

Pour diagnostiquer une maladie, il faut qu’il y ait des différences dans les signes et symptômes cliniques. Cela pose un sacré problème, car les symptômes d’Ebola ressemblent à ceux de nombreuses autres maladies plus courantes, comme la grippe, le paludisme, la fièvre typhoïde, la méningite, la fièvre jaune et même la grossesse. Il n’y a pas de différences évidentes dans la symptomatologie, c’est pourquoi le CDC (CDC) et l’OMS (WHO) déclarent tous deux que le diagnostic basé sur les seuls symptômes est difficile (c’est-à-dire impossible) et nécessite des méthodes indirectes de laboratoire pour confirmer l’infection. Les CDC affirment que le diagnostic d’Ebola nécessite l’utilisation de la PCR (requires use of PCR in order to “confirm” a case) pour « confirmer » un cas, ce qui n’était pas à la portée des chercheurs en 1976, la PCR n’ayant été inventée qu’en 1983. Dans le document de l’OMS d’août 2014 intitulé Ebola and Marburg virus disease epidemics : preparedness, alert, control, and evaluation (épidémies des maladies à virus Ebola et Marburg : préparation, alerte, contrôle et évaluation), il est indiqué que les cas doivent être confirmés en laboratoire, en rappelant que cela se fait soit par le biais de la PCR, soit par des tests d’anticorps IgM non spécifiques :

« CAS CONFIRMÉS EN LABORATOIRE :

Tout cas suspect ou probable dont le résultat de laboratoire est positif. Les cas confirmés en laboratoire doivent tester positif pour l’antigène du virus, soit par la détection de l’ARN du virus par la réaction en chaîne de la transcriptase inverse (RT-PCR), soit par la détection d’anticorps IgM dirigés contre le virus de Marburg ou d’Ebola. »

Il est absolument impossible que l’une de ces équipes ait pu établir un diagnostic différentiel sur la base des seuls symptômes cliniques. En fait, les chercheurs de 1976 avaient 15 cas possibles de fièvre hémorragique qui imitaient Ebola :

« Quinze cas possibles de fièvre hémorragique survenus en dehors de la zone épidémique principale ont été investigués à partir de Kinshasa. La fièvre hémorragique Ebola a été exclue dans chaque cas pour des raisons cliniques, virologiques ou pathologiques. Les diagnostics finaux comprenaient la fièvre typhoïde, l’hépatite virale, l’amibiase, l’œdème pulmonaire aigu et l’intoxication au monoxyde de carbone. »

Ils ont finalement décidé que ces 15 cas de fièvre hémorragique n’étaient pas de véritables cas d’Ebola, car les résultats des méthodes indirectes précédemment établies ont conduit à des diagnostics tels que la fièvre typhoïde, l’hépatite « virale », l’amibiase, l’œdème pulmonaire aigu et l’empoisonnement au monoxyde de carbone. La seule méthode permettant de « diagnostiquer » un cas d’Ebola était soit l’élimination basée sur ces méthodes indirectes précédemment établies pour d’autres maladies associées aux mêmes symptômes, soit les résultats d’anticorps indirects non spécifiques. Il s’agissait de la méthode circulaire permettant de prétendre qu’une personne présentant un ensemble de symptômes est un malade d’Ebola dans un cas, tandis qu’une autre personne présentant les mêmes symptômes est un malade du paludisme dans l’autre (NdT : astuce habituelle utilisée par les autorités sanitaires. Un malade vacciné a forcément une autre pathologie que celle contre laquelle il a été vacciné tandis que le non-vacciné, qui présente les mêmes symptômes, est étiqueté de la maladie). Ils aiment ignorer le fait que, pour que ces tests soient précis, il faut non seulement purifier et isoler le « virus » en question afin de calibrer et de valider les tests, mais aussi connaître la prévalence de la maladie. La prévalence de la maladie ne peut être déterminée que par le diagnostic clinique, en différenciant les symptômes entre ces maladies, ce qui est une impossibilité avouée, et les résultats des cas de 1976 à aujourd’hui sont donc totalement dénués de sens.

Origine et évolution de l’épidémie

Comme je l’ai déjà dit, nous apprenons ici que le premier patient atteint d’Ebola a été diagnostiqué comme souffrant de malaria, qu’il a reçu une injection de chloroquine et que ses symptômes se sont atténués pendant quelques jours avant de réapparaître plus graves qu’auparavant. Le patient est finalement décédé d’une hémorragie gastro-intestinale quelques jours plus tard :

« Le premier cas connu, un homme de 44 ans, instructeur à l’école de la mission, s’est présenté de lui-même à la clinique externe de l’hôpital de la mission de Yambuku (YMH) le 26 août 1976 avec une maladie fébrile que l’on pensait être le paludisme. Cet homme avait parcouru en voiture la zone de Mobaye-Bongo, dans le nord de la région de l’Équateur, du 10 au 22 août, avec 6 autres travailleurs de la mission. Le groupe a visité certaines des plus grandes villes (Abumombazi, Yakoma, Katokoli, Wapinda) le long de la route de Yambuku à Badolit, mais n’est jamais arrivé à ce village, car un pont avait été emporté par les eaux à quelques kilomètres à l’est de la ville. Le 22 août, de la viande d’antilope et de singe fraîche et fumée a été achetée sur la route à environ 50 km au nord de Yambuku. Le patient et sa famille ont mangé de l’antilope en ragoût à son retour, mais pas la viande de singe. Il a reçu de la chloroquine par injection parentérale le 26 août. Sa fièvre a rapidement disparu et il est resté sans fièvre jusqu’au 1er septembre, date à laquelle il est de nouveau monté à 39,2 °C. D’autres symptômes et signes ont suivi et il a été admis à l’YMH le 5 septembre pour une hémorragie gastro-intestinale. Il est décédé le 8 septembre. »

On note également que 9 autres cas de fièvre hémorragique sont survenus au cours de la première semaine et qu’ils avaient tous été traités pour d’autres maladies à l’hôpital. Aucun des diagnostics initiaux de ces 9 cas n’a été enregistré.

Au moins 9 autres cas sont survenus au cours de la première semaine de septembre, tous parmi des personnes qui avaient reçu un traitement pour d’autres maladies à la clinique externe de l’hôpital YMH. Les noms des personnes traitées à la clinique externe et les diagnostics spécifiques n’ont pas été enregistrés. Il a donc été impossible de déterminer si des personnes fiévreuses s’étaient rendues à YMH fin août. Il est toutefois intéressant de noter qu’un homme d’environ 30 ans a été admis dans le service médical le 28 août pour « dysenterie et épistaxis », un diagnostic qui n’avait pas été mentionné au cours des huit mois précédents. Cet homme, répertorié comme résidant à Yandongi, le village chef-lieu de la collectivité situé à environ 7 km de Yambuku, a quitté l’hôpital deux jours plus tard. Il s’est avéré être une personne totalement inconnue des habitants et des autorités de Yandongi.

Toutefois, il a été indiqué que l’injection parentérale était le principal mode d’administration de presque tous les médicaments :

Les histoires de cas ont rapidement suggéré que YMH était une source majeure de dissémination de la fièvre hémorragique Ebola. On a appris que l’injection parentérale était le principal mode d’administration de presque tous les médicaments. »

Pour ceux qui ne le savent pas, les injections parentérales sont administrées à travers la peau, généralement de l’une des cinq manières suivantes : sous-cutanée (dans la graisse), intrapéritonéale (dans l’estomac), intraveineuse (dans les veines), intradermique (sous la peau) et intramusculaire (dans le muscle). Ce processus contourne la peau et les muqueuses, ce qui entraîne certains inconvénients notables pour ce mode de traitement, notamment :

  1. L’administration de médicaments par ces voies est irréversible et présente plus de risques que les autres voies.
  2. Il s’agit d’une voie invasive d’administration de médicaments et, par conséquent, elle peut provoquer de la peur, de la douleur, des lésions tissulaires et/ou des infections.
  3. Les injections ont des limites pour l’administration de produits protéiques, en particulier ceux qui nécessitent des niveaux soutenus.
  4. Elle est généralement plus risquée.
  5. La préparation à injecter doit être stérile.
  6. Le médicament administré par voie parentérale, à l’exception de la voie intra-artérielle, peut encore être éliminé par un métabolisme de premier passage dans le foie avant d’être distribué dans le reste de l’organisme.
  7. Une aide est toujours nécessaire pour administrer une forme de dosage parentérale (NdT : le terme « parentéral » décrit toute administration de médicament autre que par voie orale).

https://www.pharmapproach.com/parenteral-route-of-drug-administration-advantages-and-disadvantages/

Cela confirme que les interventions médicales utilisant des injections risquées avec des effets secondaires toxiques connus étaient la source la plus probable de la maladie, y compris des symptômes tels que des saignements gastro-intestinaux. Bien sûr, aux yeux de l’OMS, il n’est pas possible que les injections de médicaments toxiques soient capables de produire lesdits symptômes et qu’elles soient la cause probable de la maladie, car il doit s’agir d’un nouveau « virus ». Cependant, comment ils ont pu conclure cela après aveux ci-dessous me dépasse :

« Tous les âges et les deux sexes ont été touchés (tableau 3), mais les femmes ont légèrement prédominé. Les taux d’attaque par âge/sexe, en utilisant la collectivité de Yandongi comme dénominateur de la population, ont montré que les femmes adultes avaient le taux d’attaque le plus élevé. Une grande partie de cet excès de maladie était associée à la réception d’injections parentérales à l’YMH ou dans l’une de ses cliniques. La distribution de la maladie par groupe d’âge et par type de transmission était essentiellement la même pour les deux sexes, sauf pour la maladie associée à l’injection chez les personnes âgées de 15 à 29 ans. Les femmes représentaient 22 des 24 cas de ce type dans l’étude menée dans 21 villages.

Le seul facteur de risque commun par rapport aux témoins appariés de la famille et du village pour 85 des 288 cas où le mode de transmission a été déterminé était la réception d’une ou plusieurs injections à l’YMH. Les injections reçues en dehors de l’YMH étaient très inhabituelles. D’autres facteurs tels qu’un cas-contact antérieur, une exposition à de la nourriture, à l’eau, aux bâtiments de l’hôpital, aux animaux domestiques et sauvages, ou un voyage dans les trois mois précédant l’apparition de la maladie, n’ont pas été associés à ce type de transmission. En outre, 149 autres personnes ont contracté la maladie après avoir été en contact avec des patients, généralement dans leur village d’origine, et 43 cas avaient des antécédents de contact avec des patients et d’injection dans les trois semaines précédant le début de la maladie. Dix-sept personnes qui vivaient en dehors de Yambuku ont eu des contacts à YMH et ont pu y recevoir des injections sans le signaler à leur famille.

La plupart des cas liés à l’injection sont survenus au cours des 4 premières semaines de l’épidémie (Fig. 4). En effet, il semble probable que la fermeture de l’YMH ait été l’événement le plus important dans l’éventuelle fin de l’épidémie.

Plusieurs paramètres ont été comparés pour les personnes ayant respectivement contracté l’infection par contact et par injection. Bien qu’aucune différence statistiquement significative n’ait été constatée en termes de durée des symptômes et des signes de la maladie (tableau 4), aucune personne dont le contact s’est fait exclusivement par injection parentérale n’a survécu à la maladie. »

Selon l’OMS, l’excès de maladie observé était lié aux injections. La maladie chez les femmes de 15 à 29 ans était plus élevée chez celles qui avaient reçu des injections pendant la grossesse. On a appelé ces cas « maladies associées aux injections ». Le seul dénominateur commun à tous les cas était la réception d’une ou plusieurs injections de médicaments capables de produire les symptômes associés à la maladie. Il n’y a eu aucun survivant parmi ceux qui ont reçu les injections et l’épidémie a pris fin après l’arrêt de ces traitements. Même après avoir résumé ces événements, l’injection invasive et les médicaments toxiques n’étaient apparemment pas une préoccupation pour l’OMS. Comme c’est toujours le cas, toutes les autres causes potentielles beaucoup plus logiques ont été écartées au profit de l’ennemi invisible illogique.

« Cinq générations consécutives de transmission de la fièvre hémorragique Ebola ont été documentées dans un cas. Aucun cas probable sporadique, apparemment spontané, n’a été enregistré. Lorsque la “famille” était définie comme l’ensemble des personnes vivant dans des logements contigus et partageant des cuisines communes, les taux d’attaque secondaire n’ont jamais dépassé 8 % (tableau 6). »

« En décembre 1976 et janvier 1977, des sérums ont été sollicités auprès du plus grand nombre possible de personnes ; 236 au total ont été obtenus. Trois personnes, dont 2 appartenant à des ménages cliniquement non infectés, qui n’avaient pas présenté de symptômes pendant ou depuis l’épidémie, ont présenté des titres IFA du virus Ebola d’au moins 1:64. Toutes les 3 avaient été en contact avec des cas mortels. » (NdT : IFA pour Indirect Immunofluorescence Assay. Il s’agit d’un test pour déterminer la présence d’anticorps)

Études sérologiques et écologiques

Le test porte la mention « Virus Ebola », il doit donc être spécifique.

Dans les quelques points marquants qui suivent, nous constatons que les mesures d’anticorps, dites spécifiques et utilisées pour le diagnostic, ne le sont pas tant que cela et étaient sujettes à caution. L’OMS a même déclaré qu’elle attendait le développement d’une méthode spécifique au type pour l’interprétation finale des résultats des anticorps. Il est également démontré que des réactions positives aux anticorps ont été trouvées chez des personnes en bonne santé qui n’avaient pas été malades récemment, n’avaient pas eu de contact avec des cas probables ou avérés et n’avaient pas d’antécédents de visite à l’hôpital. En d’autres termes, l’OMS a prétendu avoir trouvé des cas asymptomatiques d’Ebola en utilisant des tests d’anticorps dont elle admet qu’ils ont donné des résultats douteux.

« Des échantillons de sérum ont été obtenus en novembre et décembre 1976 et en janvier 1977 auprès de 984 personnes résidant dans 48 des 55 villes et villages ayant signalé des cas probables de la maladie. Ces personnes ont été classées comme malades cliniquement, non malades, mais en contact avec un cas, ou ni malades ni en contact. Plus de la moitié des sujets résidaient dans 8 villages, chacun ayant plus de 5 cas probables. Ces personnes ont été classées comme étant malades d’un point de vue clinique, non malades, mais ayant été en contact avec un cas ou ni malades ni cas contact. Plus de la moitié des sujets résidaient dans 8 villages, chacun de ces villages ayant au moins 5 cas probables. Des prélèvements de sang ont été effectués sur ces personnes lors de rapides sorties d’enquête, en prenant la famille entière comme unité d’étude. La composition de ces groupes par âge, sexe et caractéristique épidémiologique est donnée dans le tableau 7 ainsi que le nombre et la catégorie de personnes ayant des titres IFA du virus Ebola d’au moins 1:64. Les données de Yamolembia I sont incluses. Trente-huit positifs ont été trouvés. Vingt (16,5 %) des 121 personnes malades ont été confirmées comme ayant eu la fièvre hémorragique Ebola, et 10 (2,5 %) des 404 personnes en contact avec les cas avaient également de tels anticorps. Il y avait 4 personnes positives aux anticorps qui ont admis être ni malades ni avoir été en contact avec des malades. Ces personnes ont été interrogées une deuxième fois et ont subi un nouveau prélèvement sanguin, et il a été confirmé qu’elles avaient des anticorps Ebola IFA. Des anticorps ont également été trouvés dans les sérums de 4 personnes dont l’histoire n’était pas claire et qui n’ont pas pu être retrouvées une seconde fois pour une étude de confirmation.

Dans un effort supplémentaire pour documenter une infection asymptomatique simultanée ou une possible infection passée par le virus Ebola, on a prélevé du sang chez 442 personnes dans 4 villages voisins qui n’avaient pas connu de cas mortels de la maladie. Les sérums de 5 personnes âgées de 8 à 48 ans contenaient des anticorps IFA à des titres de 1:64. Aucune de ces personnes n’était malade, n’avait eu de contact avec des personnes dans d’autres villages ou n’avait visité l’hôpital YMH pendant l’épidémie.

Les sérums de 58 personnes appartenant à diverses catégories d’exposition présentaient des titres IFA anti-Ebola de 1:4 à 1 h 32. La spécificité de ces réactions a été mise en doute lorsqu’on a constaté que les échantillons de 4 des 200 Indiens San Blas au Panama présentaient également de tels « anticorps » pour le virus Ebola, mais pas pour le virus Marburg. L’interprétation finale de ces données attend la mise au point d’une autre méthode de mesure des anticorps spécifiques de type contre ces agents. »

L’excuse de l’infection asymptomatique est encore utilisée aujourd’hui pour dissimuler la découverte de résultats d’anticorps dits « spécifiques » chez des personnes en bonne santé. Extrait d’une étude du Lancet de 2014 :

« Les preuves suggèrent que de nombreuses infections à Ebola sont asymptomatiques, un facteur négligé par les résumés et les projections récentes de l’épidémie. En particulier, les résultats d’une enquête sérologique menée après l’épidémie d’Ebola ont montré que 71 % des personnes séropositives n’avaient pas la maladie ; une autre étude a signalé que 46 % des contacts étroits asymptomatiques de patients atteints d’Ebola étaient séropositifs. »

https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(14)61839-0/fulltext

Patients hospitalisés

Nous constatons ici que, dans 3 cas d’EBV à l’hôpital de Ngaliema, les patients ont tous présenté des symptômes similaires dans les premiers temps, notamment de la fièvre, des maux de tête, de l’anorexie, des vomissements, une éruption cutanée, des hémorragies et un mal de gorge sévère. Cependant, après quelques jours, les symptômes ont varié entre les trois patients. Cela peut s’expliquer par le fait que chaque patient a été soumis à des cocktails de traitements toxiques différents, décrits dans le paragraphe ci-dessous. Sans surprise, les trois patients ont succombé à leurs affections après le traitement. Il a été déterminé qu’ils ont tous souffert d’un choc hypovolémique, c’est-à-dire d’une perte de sang soudaine et importante qui empêche le cœur de pomper suffisamment de sang dans tout le corps, ce qui entraîne finalement la défaillance de plusieurs organes. L’une des causes possibles de ce choc est une lésion de l’estomac. Qu’est-ce qui pourrait conduire à un tel résultat chez ces patients ? Peut-être un traumatisme des organes gastro-intestinaux par le biais d’injections multiples de cocktails de médicaments toxiques connus pour endommager l’estomac ?

« Les premiers symptômes et signes chez les 3 patients de l’hôpital de Ngaliema comprenaient de la fièvre, des céphalées, de l’anorexie et des vomissements. Une éruption morbilliforme (NdT : une éruption cutanée qui ressemble à la rougeole) est apparue sur la partie antérieure du tronc chez chacun de ces patients au cinquième ou sixième jour, s’est étendue au dos et aux membres, puis s’est estompée dans les 48 heures. Les hémorragies et les maux de gorge sévères ont commencé entre le quatrième et le septième jour de la maladie.

Un patient a présenté des pétéchies buccales et conjonctivales à partir du quatrième jour, une hématémèse et un melæna à partir du quatrième jour, un saignement gingival le septième jour et un saignement des sites d’injection le huitième jour. Un autre patient n’a présenté que du melæna, à partir du sixième jour de la maladie. Le troisième patient a eu un seul épisode d’hématémèse le 7jour, suivi d’un melæna et d’ecchymoses le jour suivant. Une glossite et une pharyngite progressives débutant le troisième jour ont été notées chez un patient qui a développé un érythème et un œdème sévères du palais mou et du pharynx entraînant une dysphagie prononcée. Les trois patients ont été fébriles pendant toute la durée de la maladie, avec des températures fréquemment supérieures à 39 °C. Deux patients présentaient une tachycardie terminale. Un patient est décédé le 7jour et deux autres le 8jour de la maladie.

Des tests de laboratoire clinique ont été effectués sur le premier patient, mais seules quelques mesures ont été réalisées sur les deux autres cas afin d’éviter une exposition excessive du personnel de laboratoire de l’hôpital au virus. La numération leucocytaire du premier patient était de 7600 et 8900/mm3 respectivement aux 5e et 7jours. Les plaquettes aux 4e, 6e et 7jours étaient de 162 000, 150 000 et 150 000/mm; ce sont les jours où une hémorragie franche s’est produite. Pendant ce temps, le SGOT (NdT : enzyme du foie) sérique est passé de 90 à plus de 200 unités/ml et le SGPT (NdT : également enzyme du foie) est passé de 40 à plus de 200 unités/ml. La bilirubine sérique est passée de 25,6 tmol/l au jour 5 à 59,8 tmol/l au 7jour. Le temps de thromboplastine partielle (TTP) était de 47 secondes le cinquième jour. Cette patiente n’a produit que 200 ml d’urine le septième jour et aucune le lendemain, jour de son décès. La deuxième patiente, sur laquelle aucun test de laboratoire n’a été effectué, est devenue anurique au cours des deux derniers jours de sa vie.

Le troisième patient avait un nombre de globules blancs de 9 400 et 12 300/mm3 respectivement aux 7e et 8jours. Le nombre de plaquettes ces jours-là était de 253 000 et 205 000/mm3, tandis que les valeurs P17 étaient de 45 et 50 secondes, respectivement. Les produits de dégradation de la fibrine, mesurés à l’aide d’un kit commercial (Burroughs-Wellcome) ont été enregistrés comme 1+ et 2+ aux 7e et 8jours.

Le premier cas a été traité avec de l’aspirine, des antibiotiques, des corticostéroïdes, une transfusion sanguine et des fluides intraveineux. Le second patient a reçu de l’aspirine, de l’hydrocortisone, de l’immunoglobuline, des fluides intraveineux et un médicament expérimental, la moroxydine. De l’entérovioform a été administré pour contrôler la diarrhée, mais sans succès. Le troisième patient a été traité pour une malaria non confirmée pendant les deux premiers jours de la maladie. Lorsqu’il a été démontré que l’agent étiologique de l’épidémie était un virus de type Marburg, le 4jour on lui a administré 500 ml de plasma humain Marburg obtenu à partir d’un patient guéri en Afrique du Sud. Ce plasma avait un titre IFA de 1 h 32. En prévision d’une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD – NDT La coagulation intravasculaire disséminée se traduit par un excès de génération de thrombine et de fibrine dans la circulation), elle a reçu 16 000 unités d’héparine le sixième jour et 30 000 unités par jour par la suite. Bien que l’anticoagulation n’ait pas été satisfaisante, comme le montre le TCA normal (NdT : TCA ou Temps de Céphaline Activé est le temps de coagulation d’un plasma pauvre en plaquettes, recalcifié en présence de phospholipides et d’un activateur du système contact de la coagulation.) aux 7e et 8jours, elle a présenté moins de saignements cliniques que les deux autres patients. La veille de son décès, elle s’est plainte d’une douleur thoracique substernale et a présenté une tachycardie de 136 avec un rythme de galop. La digitalisation n’a que légèrement ralenti ce rythme. Elle présentait un œdème marqué du visage et des membres supérieurs.

Bien qu’aucune autopsie n’ait été pratiquée, il est apparu cliniquement que ces patients sont morts d’un choc hypovolémique (NdT : baisse du volume total de sang circulant dans l’organisme). Les preuves de la CIVD (NdT : voir ci-dessus) étaient fragmentaires, mais ce syndrome pourrait bien avoir précipité l’hémorragie et le choc dans tous les cas. La biopsie post-mortem du foie dans le premier cas a révélé une nécrose focale marquée des cellules hépatiques avec de grandes inclusions éosinophiles intracytoplasmiques. Des particules semblables au virus de Marburg ont été visualisées au microscope électronique (2).

Le virus Ebola a été retrouvé au jour 6 dans des échantillons de sang du patient 1 et aux jours 3 et 6 chez le patient 2. Les analyses quantitatives du virus sur le sang du troisième patient sont présentées dans le tableau 8. Aucun anticorps IFA contre les virus Ebola ou Marburg n’était présent.

Études rétrospectives sur le terrain

(Échantillon de sérum – Conjugués nanométriques d’anticorps étalon or – Antigènes virus Ebola – Anticorps de contrôle)
Comment ils veulent vous faire croire que les tests d’anticorps sont faits.

Si vous aviez besoin d’une raison supplémentaire pour douter des résultats des anticorps, ne cherchez pas plus loin. Dans cette étude portant sur 231 cas probables, 34 avaient des anticorps IFA. 59 % de ceux qui avaient des anticorps présentaient des symptômes, ce qui laisse 41 % de ces cas probables asymptomatiques. De nombreuses autres personnes qui ont eu un contact direct avec des cas mortels ont déclaré avoir eu des symptômes, mais pas d’anticorps. En d’autres termes, beaucoup de ceux qui étaient malades n’avaient pas d’anticorps et près de la moitié de ceux qui avaient des anticorps n’ont jamais été malades.

Des questionnaires ont été remplis pour 231 cas probables âgés d’un an ou plus, 34 personnes chez qui on a découvert des anticorps IFA du virus Ebola et 198 témoins. Le nombre de réponses obtenues pour chaque symptôme et les pourcentages de réponses positives dans ces groupes sont présentés dans le tableau 9. La fièvre et les maux de tête étaient presque invariablement présents. Le mal de tête irradiait souvent vers la colonne cervicale et était associé à des douleurs lombaires irradiant dans les jambes. Le mal de gorge était souvent signalé en association avec une sensation de « boule » dans la gorge. Les douleurs thoraciques et la pleurite étaient rares. Parmi les personnes présentant des anticorps, 59 % avaient un ou plusieurs symptômes, les plus importants étant la fièvre, les maux de tête, les douleurs abdominales et l’arthralgie. De nombreuses autres personnes qui avaient été en contact avec des cas mortels ont signalé des symptômes, mais ne présentaient pas d’anticorps au virus Ebola. La maladie chez les personnes porteuses d’anticorps était, en général, marquée par une profonde prostration, une perte de poids et une période de convalescence de 1 à 3 semaines. »

Selon l’OMS, un test de protéine urinaire, qui n’est plus utilisé comme diagnostic aujourd’hui, a été utilisé au début de l’épidémie pour diagnostiquer les cas. Combien de ces patients ont été mal diagnostiqués sur la base d’un test défectueux ?

« Le seul test de laboratoire clinique effectué sur les patients admis à l’hôpital de Yambuku était la protéine urinaire. Ce test a été rapporté comme étant uniformément positif et a été utilisé comme un critère de diagnostic majeur par les sœurs infirmières au début de l’épidémie.

L’OMS admet que les études virologiques, qui constituent sans doute la partie la plus importante des preuves (pseudo)scientifiques nécessaires pour comprendre un nouveau « virus », étaient limitées. Cela est évident puisqu’elles ont utilisé des échantillons de petite taille où « l’isolement du virus » n’a été tenté que dans 10 cas et où seules 4 biopsies du foie ont été réalisées :

Les études virologiques étaient limitées. Le virus Ebola a été isolé dans des cellules de rein de singe vert africain (Vero) à partir d’échantillons de sang dans 8 des 10 cas tentés. Ces spécimens ont été prélevés 2 à 13 jours après l’apparition des symptômes. Il est intéressant de noter la détection simultanée du virus et d’anticorps Ebola IFA à un titre de 1 h 32 chez un patient. Cet homme en était au 13e et avant-dernier jour de sa maladie. Des particules de virus Ebola ont également été visualisées dans 3 des 4 biopsies hépatiques post-mortem obtenues à partir de cas cliniquement suspects. »

Le « virus » Ebola aurait eu le taux de mortalité le plus élevé depuis la rage. Peut-être les cocktails toxiques injectés à ces patients ont-ils contribué à ce taux de mortalité élevé ?

« Aucune épidémie plus spectaculaire ou potentiellement explosive d’une nouvelle maladie virale aiguë ne s’est produite dans le monde au cours des 30 dernières années. Le taux de mortalité de 88 % de la fièvre hémorragique Ebola au Zaïre est le plus élevé jamais enregistré, à l’exception de l’infection par la rage. Dans ces circonstances, il n’est pas surprenant que de nombreuses informations souhaitées n’aient jamais été obtenues. Les retards dans la reconnaissance, la notification aux agences sanitaires internationales et le diagnostic spécifique de la maladie ont largement contribué à ce résultat. Aucun meilleur exemple ne vient à l’esprit pour illustrer la nécessité d’une surveillance nationale des maladies et d’une sollicitation rapide de l’aide internationale, ni la nécessité de développer des ressources internationales, comprenant du personnel, de l’équipement, des transports, des communications et des finances, qui peuvent être mises à disposition en quelques jours pour faire face à de telles urgences.

Il est intéressant de noter que le virus Ebola et la rage sont tous deux liés à des injections dangereuses. Dans le cas de la rage, jusque dans les années 1980, le traitement consistait en une série de piqûres dans l’estomac :

« Il y a eu une confusion parmi le grand public en raison des craintes historiques et des douloureuses injections de vaccin antirabique (vaccin à base de tissu nerveux administré sur l’abdomen) effectuées dans le passé. »

https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://www.who.int/docs/default-source/searo/india/health-topic-pdf/b5010.pdf%3Fsfvrsn%3D619e77a3_2&ved=2ahUKEwian7aUorb6AhXdkIkEHWPEBOg4ChAWegQIFRAB&usg=AOvVaw2S3jACpOqMEg9qBA6fmZj_

En fait, il pourrait y avoir jusqu’à 21 injections dans l’abdomen pour la rage :

« Il y a plusieurs années, le traitement contre la rage comprenait 21 injections dans l’estomac d’une personne. C’était extrêmement douloureux et nécessitait une longue aiguille. Cependant, depuis le début des années 1980, il existe un vaccin antirabique très différent pour traiter les humains exposés à la rage. »

https://www.oklahoman.com/story/lifestyle/health-fitness/2013/07/14/whats-it-like-to-get-a-rabies-shot/60899910007/

Les injections intrapéritonéales (dans la cavité de l’estomac) étant l’une des 5 voies utilisées pour le traitement parentéral, se pourrait-il que ces patients atteints d’Ebola en 1976 aient pu recevoir les médicaments toxiques de cette manière, comme on le faisait pour la rage jusque dans les années 1980 ? L’injection de médicaments toxiques directement dans l’estomac pourrait expliquer l’augmentation des hémorragies gastro-intestinales. Les dommages causés à l’estomac par un traumatisme sont également un facteur de risque de choc hypovolémique comme celui dont ont souffert les patients de l’hôpital de Ngaliema. Malheureusement, l’OMS ne définit pas la voie d’injection parentérale et nous ne pouvons donc que spéculer.

Les quelques paragraphes suivants présentent des éléments d’information aléatoires qui percent des trous dans l’histoire de l’OMS. Tout d’abord, vous verrez l’OMS admettre que les données de laboratoire étaient pratiquement inexistantes pour cette épidémie, mais elle confirme que le tableau clinique ressemblait au « virus » de Marburg. L’OMS pensait que les agents « isolés » au Soudan et au Zaïre étaient identiques, mais elle n’avait pas encore effectué les tests d’anticorps (précédemment admis comme douteux) pour le confirmer. L’OMS a affirmé que la virémie (présence de « virus » dans le sang) était une caractéristique constante du « virus », en se fondant sur une seule étude portant sur un seul patient. Toutefois, l’OMS a ensuite déclaré qu’aucune preuve n’avait été obtenue quant à la persistance du portage du « virus » dans les cas d’infection à Ebola au Zaïre, un phénomène documenté à deux reprises pour le « virus » de Marburg, mais elle a averti que cette information était basée sur un échantillon de petite taille. Il semble très clair que l’OMS aime avoir le beurre et l’argent du beurre :

Bien que les données de laboratoire soient pratiquement inexistantes, le tableau clinique observé lors de cette épidémie ressemblait à la maladie produite par le virus Marburg, un virus apparenté. En fait, l’évolution de la fièvre hémorragique Ebola semblait plus inexorable et moins variable que celle de l’infection par le virus de Marburg. Bien que cela soit loin d’être prouvé, nous soupçonnons que le syndrome de défibrination aiguë et la pancréatite étaient les principales caractéristiques du syndrome et qu’une grave maladie du foie était évidente.

Contrairement aux observations faites simultanément au Soudan, la maladie au Zaïre présentait moins de symptômes respiratoires, une évolution clinique plus courte et un taux de mortalité plus élevé (4). On ne sait pas si cela était dû à des différences dans la virulence du virus en soi ou à des variables relatives à l’hôte et à l’écologie, comme le climat (humidité relative). À l’heure actuelle, on pense que les agents récupérés au Soudan et au Zaïre sont identiques, bien que des tests de neutralisation définitifs n’aient pas encore été effectués.

La virémie semble être une caractéristique constante de l’infection par le virus Ebola chez l’homme. Le virus a persisté en grande quantité dans le sang dans le seul cas bien étudié. La découverte à la fois du virus et d’anticorps dans le sang d’un autre cas agonal 13 jours après l’apparition des symptômes soulève la possibilité, considérée comme improbable, que des complexes antigène-anticorps puissent contribuer à la pathologie de l’infection. Cette question, ainsi qu’un certain nombre d’autres questions virologiques importantes, ne peut être traitée pour l’instant que par des études sur des singes. L’une des nécessités les plus urgentes est de trouver un moyen de poser un diagnostic rapide dans les cas suspects de la maladie en recherchant des cellules contenant un antigène viral. Le diagnostic spécifique rétrospectif des cas mortels par examen au microscope électronique de biopsies hépatiques fixées au formol semble très prometteur et devrait être tenté dans tous les cas de maladie hémorragique fébrile aiguë en Afrique.

Aucune preuve de portage viral persistant n’a été obtenue dans les cas d’infection à Ebola au Zaïre, un phénomène documenté à deux reprises pour le virus de Marburg (5, 6). Mais il faut se rappeler que le nombre de sites appropriés et immuno-séquestrés échantillonnés était très faible. Cependant, le sperme d’un patient infecté par une souche zaïroise du virus Ebola au Royaume-Uni contenait du virus pendant plus de deux mois après l’apparition des symptômes (3).

Dans les derniers points saillants, nous obtenons la version simplifiée des événements de l’OMS qui réitère des points antérieurs qui auraient dû mettre en doute leurs conclusions selon lesquelles un nouveau « virus » était la cause de l’apparition d’une nouvelle maladie. Tout d’abord, l’OMS admet que le « virus » Ebola a un faible taux de transmission secondaire de personne à personne, ce qui signifie qu’il ne se propage pas facilement, même en cas de contact étroit avec des personnes « infectées ». Ils déclarent que l’on ne saura jamais comment le nouveau « virus » est arrivé à l’hôpital, mais ils pensent qu’il a été apporté du Soudan par un être humain. Il a été décidé que le « virus » se propageait par les aiguilles et les seringues contaminées utilisées pour les injections aux patients malades. Une fois que ces injections ont cessé, l’épidémie s’est arrêtée elle aussi :

L’épidémie du Zaïre présentait tous les attributs d’une épidémie de source commune, ainsi qu’un taux heureusement faible de transmission secondaire de personne à personne. Les moyens par lesquels le virus a été introduit dans l’Hôpital de la Mission de Yambuku ne seront probablement jamais connus avec précision, mais il semble possible qu’il ait été apporté directement du Soudan par un être humain. La dissémination de l’agent dans les villages de la région s’est faite principalement par le biais de matériel contaminé utilisé pour les injections parentérales. L’épidémie s’est calmée lorsque l’hôpital a été fermé par manque de personnel médical. Il a été démontré, lors de la petite épidémie de Kinshasa, qu’une élimination soigneuse des excréments et des fomites contaminés, ainsi que des soins infirmiers stricts utilisant des respirateurs, pouvaient rompre la chaîne de transmission. Des précautions d’isolement encore plus simples et un changement des coutumes culturelles lors des funérailles semblent avoir contribué à l’extinction de l’infection dans les villages.

Il est intéressant de noter que l’OMS a admis que les cas provoqués par l’injection étaient différents et plus susceptibles d’être mortels que ceux qui, selon elle, étaient des cas secondaires contractés sans injection. Ceci est évidemment logique si l’on considère que les symptômes non spécifiques de la maladie étaient le résultat de l’injection contre nature de divers médicaments toxiques directement dans les patients et non l’effet d’un nouveau « virus ». Les cas secondaires n’étaient rien d’autre que la recherche de symptômes similaires chez les villageois et l’utilisation de résultats d’anticorps frauduleux pour prétendre que les symptômes étaient causés par le même « virus » imaginaire.

Bien que les données ne soient pas toujours statistiquement convaincantes, nous avions la forte impression que la fièvre hémorragique Ebola acquise par injection différait de celle due au contact avec un autre cas. La mortalité était plus élevée. Dans une étude, les taux de transmission secondaire étaient également plus élevés à partir de cas index qui avaient été induits par voie parentérale. Il se peut que l’augmentation de la réplication et de l’excrétion du virus à la suite d’une infection parentérale explique tout ou partie de ces différences, mais d’autres causes n’ont nullement été exclues.

L’OMS a ensuite admis que les cas « néonatals » n’étaient pas complètement élucidés. En d’autres termes, elle n’a pas pu expliquer comment les bébés ont contracté la maladie de leur mère. On ne s’est apparemment pas interrogé sur les injections de médicaments nocifs dans les femmes enceintes, susceptibles de provoquer la mort et la maladie chez les nourrissons. Il fallait que ce soit ce « virus » magique qui traverse le placenta et infecte l’enfant à naître :

Les cas « néonatals » observés de la maladie n’ont pas été complètement élucidés. On souhaite savoir si le virus Ebola peut traverser le placenta et infecter le fœtus, et si le virus est présent dans le lait maternel et est infectieux s’il est ingéré.

Enfonçant une fois de plus le dernier clou dans le cercueil du « virus » Ebola, l’OMS nous a rappelé que de meilleurs tests d’anticorps étaient nécessaires pour pouvoir interpréter les résultats. Bien que les résultats frauduleux des tests d’anticorps ne doivent jamais être considérés comme des preuves, ces résultats étaient le seul moyen pour les chercheurs de différencier Ebola de « Marburg » et de nombreux autres « virus », et leur « exactitude » douteuse en dit long. Les résultats de l’IFA étaient essentiels pour démontrer que Marburg et Ebola étaient des « virus » différents, mais l’OMS n’était pas certaine de l’exactitude de ces résultats. Elle ajoute que, comme pour le « virus » Marburg, la source du « virus » Ebola était inconnue. Cela devrait vous dire tout ce que vous avez besoin de savoir :

Enfin, une meilleure méthode de mesure des anticorps du virus Ebola est nécessaire pour interpréter les résultats sérologiques rapportés ici. Le fait que moins de 20 % des personnes aient donné des antécédents de maladie aiguë après un contact avec un cas mortel n’est pas surprenant. La plupart de ces personnes avaient des maladies légères et spontanées, celles-ci étant hautement endémiques dans la région. Mais si les données de l’IFA sont correctes, au moins 2,5 % des personnes en contact avec des cas mortels ont connu une infection subclinique. En outre, la découverte d’anticorps chez quelques individus en l’absence de tout contact connu avec le virus Ebola pendant l’épidémie soulève la possibilité que l’agent est en fait endémique dans la région de Yambuku et est occasionnellement transmis à l’homme. Une réponse définitive est essentielle pour poursuivre l’exploration écologique de ce qui est maintenant un agent très mystérieux. Comme dans le cas du virus de Marburg, la source du virus Ebola est totalement inconnue au-delà du simple fait qu’il est d’origine africaine. »

EBOLA
Ce qu’on ne vous dit pas

En résumé

  • Entre le 1er septembre et le 24 octobre 1976, 318 cas de fièvre hémorragique « virale » aiguë (supposée) sont survenus dans le nord du Zaïre.
  • Il y a eu 280 décès et seulement 38 survivants confirmés sérologiquement (c’est-à-dire des résultats d’anticorps non spécifiques).
  • Le patient zéro de cette épidémie a présenté des symptômes le 1er septembre 1976, cinq jours après avoir reçu une injection de chloroquine pour un paludisme présumé à la clinique externe du Yambuku Mission Hospital (YMH).
  • Il a eu une rémission clinique de ses symptômes de paludisme.
  • Dans la semaine qui a suivi, plusieurs autres personnes qui avaient reçu des injections à l’hôpital YMH ont également souffert de la fièvre hémorragique Ebola, et presque tous les cas ultérieurs avaient soit reçu des injections à l’hôpital ou avaient été en contact étroit avec un autre cas.
  • Tous les âges et les deux sexes ont été touchés, mais les femmes de 15 à 29 ans ont eu la plus forte incidence de la maladie, un phénomène fortement lié à la fréquentation des cliniques prénatales et ambulatoires de l’hôpital où elles ont reçu les injections.
  • La recherche intensive de cas dans la région du nord-est du Zaïre, entre la zone de Bumba et la frontière soudanaise, près de Nzara et Maridi, n’a pas permis de détecter des preuves définitives d’un lien entre une épidémie de la maladie dans ce pays et le foyer près de Bumba.
  • Néanmoins, il a été établi que des personnes peuvent faire et font le voyage entre Nzara et Bumba en moins quatre jours : il a donc été considéré comme tout à fait possible qu’une personne infectée ait voyagé du Soudan à Yambuku et ait transféré le « virus » à une aiguille de l’hôpital alors qu’elle recevait une injection à la clinique externe.
  • En d’autres termes, ils n’ont pas pu établir de lien entre les deux épidémies, mais ont tout de même supposé qu’il était possible comme scénario hypothétique qu’un individu inconnu « infecté » porteur d’un nouveau « virus » se rende à l’hôpital et transmette sans le savoir le nouveau « virus » par le biais de la même aiguille utilisée avec d’autres patients.
  • Après 3 à 4 jours de symptômes et de signes non spécifiques, les patients présentent généralement un mal de gorge de plus en plus sévère, une éruption cutanée maculo-papuleuse, des douleurs abdominales irréductibles et des saignements en de multiples endroits, principalement dans le tractus gastro-intestinal.
  • Bien que les analyses de laboratoire aient été limitées et non concluantes, il a été conclu que la pathogenèse de la maladie comprenait une hépatite non ictérique et peut-être une pancréatite aiguë ainsi qu’une coagulation intravasculaire disséminée.
  • Ce syndrome a été causé par un « virus » morphologiquement similaire au « virus » de Marburg, mais immunologiquement distinct (c’est-à-dire que tout était identique à part les résultats des anticorps non spécifiques).
  • L’agent a été « isolé » du sang de 8 des 10 cas suspects à l’aide de cultures de cellules Vero. (NdT : aucun « virus » n’a jamais été isolé, les débris des cellules Vero utilisées ne permettent pas de dire que le « virus » a été isolé)
  • Des particules du « virus » Ebola ont été trouvées dans des échantillons de foie fixés au formol provenant de trois cas. (NdT : le « virus » n’ayant pas été isolé on peut se demander comment ce « virus » a pu être trouvé).
  • Les survivants de l’infection présentaient des anticorps fluorescents indirects contre le « virus » Ebola.
  • Un total de 201 unités (200-300 ml chacune) de plasma contenant des anticorps contre le « virus » Ebola à des titres d’au moins 1:64 ont été obtenues et congelées et utilisées sur une personne « infectée » qui s’est rétablie, ce qui leur a suggéré que les anticorps ont pu être utiles sur le plan thérapeutique (et les anticorps invisibles peuvent n’avoir absolument rien fait pendant que la personne se rétablissait malgré leur utilisation, ce qui revient donc à une spéculation inutile)
  • La transmission du « virus » a été interrompue par l’arrêt des injections et par l’isolement des patients dans leurs villages (c’est-à-dire que l’arrêt des injections de chloroquine a mis fin à la propagation du « virus »…).
  • Ils ont décidé, d’une manière ou d’une autre, que le « virus » est probablement rarement transmis par des aérosols infectieux, bien que l’infection par de grosses gouttelettes reste une possibilité (encore une spéculation sans preuve et sans fondement).
    (NdT : l’explication officielle de la « Science » sur la transmission par aérosol est la suivante : les « virus » sont transportées par de minuscules gouttelettes d’eau exhalées qui peuvent « voyager » grâce aux courants d’air. Ces gouttelettes sont soumises à la gravitation terrestre et finissent par retomber au sol ; leur « voyage » dans l’air est estimé à 1 min 50 s environ (en horizontal). En hiver l’air est plus sec et les gouttelettes sont donc plus rares et plus petites. Les « virus » peuvent donc être emportés plus facilement par les courants d’air, d’où une « transmission » plus facile et les « épidémies » !!!!)
  • Des anticorps au « virus » Ebola ont été trouvés chez cinq personnes qui n’étaient pas malades et n’avaient pas eu de contact avec les villages « infectés » ou l’hôpital de Yambuku pendant l’épidémie (en d’autres termes, soit les anticorps étaient soit non spécifiques et/ou il y a des patients Ebola asymptomatiques qui se promènent… ou le scénario le plus probable est que tout cela est frauduleux).
  • Cinq seringues et aiguilles ont été distribuées chaque matin au personnel infirmier pour être utilisées dans le service de consultation externe, la clinique prénatale et les salles d’attente.
  • Ces seringues et aiguilles n’étaient apparemment pas stérilisées entre leurs utilisations sur différents patients, mais rincées dans une casserole d’eau chaude et, à la fin de la journée, elles étaient parfois bouillies.
  • Cela a conduit les chercheurs à conclure qu’il s’agissait d’un « virus » transmis de personne à personne en raison de l’utilisation de l’aiguille plutôt que du contenu de l’injection.
  • Par ailleurs, les injections de chloroquine, comme celles qui ont été administrées aux patients, sont connues pour provoquer exactement les mêmes symptômes que ceux associés à Ebola : douleurs au dos, aux jambes ou à l’estomac – selles noires et goudronneuses – sang dans l’urine ou les selles – fièvre – éruption cutanée, urticaire ou démangeaisons – mal de gorge – saignement ou ecchymose inhabituels – douleur dans la partie supérieure droite de l’abdomen ou de l’estomac – vomissements.
  • Un cas probable de fièvre hémorragique Ebola est une personne vivant dans la zone épidémique qui est décédée après un ou plusieurs jours avec deux ou plusieurs des symptômes et signes suivants : maux de tête, fièvre, douleurs abdominales, nausées et/ou vomissements et saignements.
    Le patient doit avoir, au cours des trois semaines précédentes, reçu une injection ou été en contact avec un cas probable ou avéré, la maladie n’ayant pas été diagnostiquée autrement pour des raisons cliniques.
  • Un cas avéré est une personne sur laquelle le « virus » Ebola a été « isolé » ou mis en évidence par microscopie électronique ou qui présentait un titre d’anticorps fluorescent indirect (IFA) d’au moins 1:64 contre le « virus » Ebola dans les trois semaines suivant l’apparition des symptômes.
    On a considéré qu’une infection par le « virus » Ebola était survenue chez des personnes qui avaient un titre d’anticorps IFA similaire, mais qui n’avaient pas été malades entre le 30 août et le 15 novembre 1976.
  • Un cas possible était une personne présentant des maux de tête et/ou de la fièvre depuis au moins 24 heures, avec ou sans autres signes et symptômes, et ayant été en contact avec un cas probable ou avéré au cours des trois semaines précédentes.
    Ces patients ont été traités avec des antipaludéens, des antibiotiques et des antipyrétiques pour exclure d’autres maladies communes à la région.
  • En d’autres termes, dès lors que vous avez présenté un ou deux des symptômes non spécifiques et que vous avez reçu une injection ou que vous avez côtoyé des personnes dont la présence a été jugée probable/prouvée au moyen d’une microscopie électronique indirecte ou de résultats d’anticorps non spécifiques, vous êtes considéré comme un patient Ebola.
  • Les objectifs des équipes de surveillance étaient de trouver les cas passés et actifs de fièvre hémorragique Ebola, de détecter les éventuels cas convalescents afin d’éduquer le public sur la nature de la maladie et les moyens de la prévenir, et d’établir de manière incontestable la fin de l’épidémie (comment ont-ils éduqué le public sur la nature et les moyens de prévenir un « virus » qu’ils étaient encore censés identifier et étudier ?)
  • Les sujets abordés lors de la formation ont été le diagnostic différentiel de la fièvre hémorragique Ebola, son épidémiologie (y compris les modes de transmission possibles), les moyens de protéger le personnel, les méthodes pour obtenir les données de recensement des familles et enregistrer les cas probables et possibles (comment diagnostiquer de manière différentielle une maladie qui imite de nombreuses autres maladies partageant exactement les mêmes symptômes… et même la grossesse ?)
  • La chloroquine, la tétracycline, l’aspirine et un médicament contre les parasites intestinaux ont tous été fournis sous forme de comprimés (parce que si on ne peut pas trouver des cas naturellement, autant les créer).
  • Quinze cas possibles de fièvre hémorragique survenus en dehors de la zone épidémique principale ont été examinés à partir de Kinshasa et la fièvre hémorragique Ebola a été exclue dans chaque cas pour des raisons cliniques, virologiques ou pathologiques (c’est-à-dire que les preuves indirectes indiquaient d’autres causes supposées).
  • Les diagnostics finaux étaient les suivants : Fièvre typhoïde —Hépatite « virale » —Amibiase —Œdème pulmonaire aigu —Empoisonnement au monoxyde de carbone.
  • Le premier patient a reçu de la chloroquine par injection parentérale le 26 août. Sa fièvre a rapidement disparu et il est resté afébrile jusqu’au 1er septembre, date à laquelle il a de nouveau eu de la fièvre à 39,2 °C.
  • D’autres symptômes ont rapidement suivi et il a été admis au YMH le 5 septembre pour une hémorragie gastro-intestinale et est décédé le 8 septembre.
  • On a appris que l’injection parentérale (injections dans le corps par différentes voies) était le principal mode d’administration de presque tous les médicaments.
  • Le seul facteur de risque commun par rapport aux témoins appariés de la famille et du village pour 85 des 288 cas où le mode de transmission a été déterminé était la réception d’une ou plusieurs injections à l’hôpital YMH.
  • D’autres facteurs tels qu’un contact antérieur, l’exposition à la nourriture, à l’eau, aux bâtiments de l’hôpital, aux animaux domestiques et sauvages, ou un voyage dans les trois mois précédant l’apparition des symptômes, n’ont pas été associés à ce type de transmission.
  • D’autres facteurs tels qu’un contact antérieur avec un cas, une exposition à la nourriture, à l’eau, aux bâtiments de l’hôpital, aux animaux domestiques et sauvages, ou un voyage dans les trois mois précédant l’apparition de la maladie, n’ont pas été associés à ce type de transmission.
  • 43 cas avaient des antécédents de contact avec un patient et de réception d’une injection dans les trois semaines précédant le début de la maladie.
  • Dix-sept personnes qui vivaient en dehors de Yambuku ont été en contact avec l’hôpital de YMH et il est possible qu’elles aient eu des injections sans le signaler à leur famille.
  • Aucune personne dont le contact était exclusivement une injection parentérale n’a survécu à la maladie.
  • En fait, il semble probable que la fermeture de l’hôpital de Yambuku ait été le seul événement le plus important dans la fin éventuelle de l’épidémie.
  • En d’autres termes, le mode d’injection risqué et non naturel ainsi que les médicaments toxiques capables de produire exactement les mêmes symptômes sont les seuls éléments nécessaires pour expliquer ces cas, et non un nouveau « virus » invisible.
  • Aucun cas probable sporadique, apparemment spontané, n’a été enregistré.
  • Lorsque la « famille » a été définie comme l’ensemble des personnes vivant dans un logement contigu et partageant des cuisines communes, les taux d’attaque secondaire n’ont jamais dépassé 8 %.
  • Des efforts ont été faits pour documenter une infection asymptomatique simultanée ou une possible infection antérieure par le « virus » Ebola.
  • Les sérums de 5 personnes âgées de 8 à 48 ans contenaient des anticorps IFA à des titres de 1:64 et aucune de ces personnes n’était malade, n’avait eu de contact avec des personnes dans d’autres villages ou n’avait visité YMH pendant l’épidémie (c’est-à-dire qu’elles étaient asymptomatiques).
  • Les sérums de 58 personnes appartenant à diverses catégories d’exposition présentaient des titres IFA anti-Ebola compris entre 1:4 et 1:32. Néanmoins la spécificité de ces réactions a été mise en doute lorsqu’il a été constaté que des échantillons provenant de 4 des 200 Indiens San Blas du Panama présentaient également de tels « anticorps » contre le virus Ebola, mais pas contre le « virus » Marburg.
  • L’interprétation finale de ces données attendait la mise au point d’une autre méthode de mesure des anticorps spécifiques de ces agents.
  • En d’autres termes, les résultats des anticorps prétendument spécifiques n’étaient pas si spécifiques que cela et les résultats des anticorps devaient être confirmés par une méthode « plus spécifique » qui n’avait pas encore été mise au point.
  • Les premiers symptômes et signes observés chez les trois patients à l’hôpital Ngaliema comprenaient de la fièvre, des maux de tête, de l’anorexie et des vomissements, mais les autres symptômes variaient d’un patient à l’autre.
  • Des tests de laboratoire clinique ont été effectués sur le premier patient, mais seules quelques mesures ont été réalisées sur les deux autres cas afin d’éviter une exposition excessive du personnel de laboratoire de l’hôpital au « virus ».
  • Le premier patient a été traité avec de l’aspirine, des antibiotiques, des corticostéroïdes, une transfusion sanguine et des fluides intraveineux.
  • Le deuxième patient a reçu de l’aspirine, de l’hydrocortisone, des immunoglobulines, des liquides intraveineux, un médicament expérimental, la moroxydine, et de l’entérovioform pour contrôler la diarrhée, mais sans succès.
  • La troisième patiente a été traitée pour un paludisme non confirmé pendant les deux premiers jours de la maladie et, lorsqu’il s’est avéré que l’agent étiologique de l’épidémie était un « virus » de type Marburg, elle a reçu, le quatrième jour, 500 ml de plasma humain Marburg obtenu à partir d’un patient guéri en Afrique du Sud.
  • Les trois patients sont morts après le traitement.
  • Bien qu’aucune autopsie n’ait été pratiquée, il est apparu cliniquement que ces patients sont morts d’un choc hypovolémique (perte rapide de sang pouvant être causée par une hémorragie interne dans les organes abdominaux et le tube digestif).
  • Des particules ressemblant au virus de Marbourg ont été visualisées au microscope électronique dans un cas.
  • Aucun anticorps IFA contre les « virus » Ebola ou Marburg n’était présent chez les 3 victimes.
  • Des questionnaires ont été remplis pour 231 cas probables âgés d’un an ou plus, on a trouvé chez 34 personnes des anticorps IFA contre le « virus » Ebola, et 198 témoins parmi les personnes présentant des anticorps, 59 % avaient un ou plusieurs symptômes (41 % n’avaient apparemment aucun symptôme), les plus importants étant la fièvre, les maux de tête, les douleurs abdominales et l’arthralgie.
  • De nombreuses autres personnes qui avaient été en contact avec des cas mortels ont signalé des symptômes, mais n’avaient aucun anticorps du « virus » Ebola.
  • Nous pouvons voir ici à quel point les résultats des tests d’anticorps ne sont pas fiables lorsque 41 % des personnes ne présentaient aucun symptôme de la maladie et que celles qui ont eu des symptômes après avoir été en contact avec des cas mortels n’avaient aucun anticorps.
  • Le seul test de laboratoire clinique effectué sur les patients admis à l’hôpital de Yambuku était la protéine urinaire, qui a été signalée comme étant uniformément positive et utilisée comme critère de diagnostic majeur par les sœurs infirmières au début de l’épidémie (remarque : ce n’est pas un diagnostic utilisé aujourd’hui, ce qui amène à se demander combien de cas précoces ont été mal diagnostiqués en utilisant une méthode défectueuse qui n’est plus utilisée ?).
  • Les études virologiques ont été dites limitées.
  • Le « virus » Ebola a été « isolé » dans des cellules de rein de singe vert africain (Vero) provenant d’échantillons de sang dans 8 des 10 cas tentés.
  • Des particules de « virus » Ebola ont également été visualisées dans 3 des 4 biopsies hépatiques post-mortem obtenues à partir de cas cliniquement suspects.
  • Le taux de mortalité de 88 % de la fièvre hémorragique Ebola au Zaïre est le plus élevé jamais enregistré, à l’exception de l’infection par la rage.
  • Bien que les données de laboratoire soient pratiquement inexistantes, le tableau clinique observé lors de cette épidémie ressemblait à la maladie produite par le « virus » Marburg, un virus apparenté.
  • À cette époque, on pensait que les agents retrouvés au Soudan et au Zaïre étaient identiques, bien que des tests de neutralisation définitifs n’aient pas encore été effectués.
  • La virémie semblait être une caractéristique constante de l’infection par le « virus » Ebola chez l’homme, car le « virus » persistait en grande quantité dans le sang dans le seul cas bien étudié (un cas).
  • L’OMS a déclaré qu’un certain nombre d’autres questions virologiques importantes ne peuvent être abordées pour l’instant que par des études sur des singes.
  • Aucune preuve n’a été obtenue quant à la persistance du portage du « virus » dans les cas d’infection à Ebola au Zaïre, un phénomène documenté à deux reprises pour le « virus » de Marburg.
  • L’épidémie du Zaïre présentait tous les attributs d’une épidémie de source commune, ainsi qu’un taux heureusement faible de transmission secondaire de personne à personne (c’est-à-dire qu’elle n’était ni infectieuse ni transmissible).
  • Selon l’OMS, on ne saura probablement jamais avec précision par quel moyen le « virus » a été introduit dans l’hôpital de la mission de Yambuku, mais il semblait possible qu’il ait été apporté directement du Soudan par l’homme.
  • La dissémination de l’agent dans les villages de la région s’est faite principalement par le biais de matériel contaminé utilisé pour les injections parentérales (vous voyez comment ils ont parlé d’aiguilles « contaminées » plutôt que du mode d’injection avec de nombreuses toxines ?).
  • L’épidémie a reculé lorsque l’hôpital a été fermé par manque de personnel médical (et donc par l’arrêt des injections de médicaments toxiques).
  • L’OMS avait la forte impression que la fièvre hémorragique Ebola acquise par injection différait de celle due au contact avec un autre cas, car la mortalité était plus élevée.
  • Les cas « néonataux » observés n’ont pas été définitivement élucidés.
  • L’OMS a de nouveau admis qu’une meilleure méthode de mesure des anticorps du « virus » Ebola était nécessaire pour interpréter les résultats sérologiques rapportés ici (ce qui est un aveu assez troublant lorsque le seul moyen qui leur permettait d’affirmer l’existence d’un nouveau « virus » ainsi que de cas passés et présents était basé sur les résultats des anticorps).
  • Le fait que moins de 20 % des personnes aient donné des antécédents de maladie aiguë après avoir été en contact avec un cas mortel n’est apparemment pas une surprise.
  • L’OMS a déclaré que si les données de l’IFA sont correctes, au moins 2,5 % des personnes en contact avec des cas mortels ont souffert d’une infection subclinique (ces résultats d’anticorps semblent plutôt vagues si l’on en croit l’hésitation constante de l’OMS quant à leur exactitude).
  • En outre, la découverte d’anticorps chez quelques individus en l’absence de tout contact connu avec le « virus » Ebola pendant l’épidémie a soulevé la possibilité que l’agent soit en fait endémique dans la région de Yambuku et soit occasionnellement transmis à l’homme.
  • Comme dans le cas du « virus » de Marburg, la source du « virus » Ebola est totalement inconnue au-delà du simple fait qu’il est d’origine africaine.

Si l’on en croit les conclusions présentées par l’OMS, le « virus » Ebola provient d’une personne infectée qui a voyagé du Soudan au Zaïre. Cette personne non identifiée a été soignée à l’hôpital de Yambuku au moyen d’une injection parentérale. La même aiguille n’a pas été stérilisée et a ensuite été réutilisée sur un autre patient non suspect, ce qui a entraîné la propagation des symptômes non spécifiques de la maladie de patient à patient par l’utilisation continue des mêmes aiguilles non stérilisées. Cela peut avoir un certain sens pour ceux qui sont encore sous le charme « viral » et qui ne sont pas disposés à creuser un peu plus profondément que le simple fait de gratter la surface. Cependant, pour quiconque examine les preuves présentées de manière critique et logique, il existe une explication beaucoup plus raisonnable à l’apparente épidémie de maladie, autre qu’un « virus » Ebola récemment découvert.

Les symptômes associés au « virus » Ebola ne sont pas spécifiques et imitent d’autres maladies courantes dans la région, notamment la grippe, le paludisme, la fièvre jaune, la typhoïde et même la grossesse ; les symptômes n’étaient donc ni nouveaux ni inédits. Le patient initial a été traité pour le paludisme par une injection de chloroquine. Alors que les symptômes du paludisme disparaissaient cliniquement après le traitement, des symptômes plus graves sont apparus quelques jours plus tard et le patient a finalement succombé à une hémorragie gastro-intestinale. La chloroquine est un médicament toxique connu dont les effets secondaires connus sont des problèmes gastro-intestinaux et des saignements inhabituels. Le mode d’injection parentérale est réputé risqué et, s’il est effectué par la cavité abdominale, il peut entraîner des lésions des organes de l’abdomen. D’autres patients traités à l’hôpital pour des affections non liées présentant des symptômes similaires, y compris des femmes enceintes, ont également reçu des injections de différents médicaments et ont eux aussi développé les symptômes associés à une fièvre hémorragique sévère. De nombreux patients ont reçu des cocktails de nombreux médicaments et antibiotiques par injection parentérale. Toutes les personnes ayant reçu des injections à l’hôpital ont fini par mourir de leur maladie. L’OMS a même noté que les personnes ayant reçu les injections présentaient une présentation différente de la maladie par rapport aux cas n’ayant pas reçu d’injections, la principale différence étant une mortalité plus élevée chez les personnes traitées à l’hôpital. Il a été observé qu’une fois que les injections ont cessé, la transmission de la maladie s’est également arrêtée. Pour quiconque examine cette question de manière logique, il n’est pas difficile de voir le lien entre l’injection de médicaments toxiques et les symptômes de la maladie qui y sont associés. Il n’est pas nécessaire de trouver un nouveau « virus » pour expliquer ce phénomène, mais l’OMS a ignoré la possibilité de chercher du côté des injections parentérales de chloroquine et d’autres médicaments toxiques (et expérimentaux dans un cas au moins) dans le cadre de ses enquêtes.

Si l’on ajoute à cela le fait que les chercheurs n’ont jamais purifié ni isolé de « virus » directement à partir du sang d’un patient malade au Zaïre et que tous les résultats des concoctions de cultures cellulaires qu’ils ont créées en laboratoire présentaient les mêmes preuves indirectes associées au « virus » de Marburg découvert moins de dix ans auparavant, il est tout simplement étonnant qu’ils aient pu conclure à l’existence d’un nouveau « virus ». La seule preuve utilisée par les chercheurs pour affirmer que le « virus » Ebola était en quelque sorte un nouveau « virus » distinct de celui de Marbourg était les résultats du test des anticorps à fluorescence indirecte, dont l’OMS a admis qu’ils étaient loin d’être idéaux. En fait, les résultats des tests d’anticorps étaient très variables, de nombreuses personnes, n’ayant jamais eu de contact avec un patient atteint d’Ebola et n’ayant jamais été malades d’aucune manière, ayant été testées positives pour les anticorps censés être spécifiques au « virus ». Dans le même temps, de nombreuses personnes présentant des symptômes et ayant eu un contact direct avec des malades d’Ebola ne présentaient aucun anticorps. Comment les résultats de ces tests pouvaient-ils indiquer aux chercheurs qu’ils avaient un « virus » unique ? Lorsque l’on comprend la fraude de la recherche sur les anticorps et que l’existence de ces entités théoriques n’a jamais été scientifiquement prouvée, tout comme les « virus », il est facile de voir comment les résultats inexacts peuvent être utilisés pour affirmer ce que les chercheurs veulent bien leur faire dire. Lorsque l’on réalise que les résultats des tests d’anticorps contredisent directement les résultats de la recherche sur le virus de Marburg, démontrant ainsi que ces résultats sont également frauduleux, on comprend que le CDC et l’OMS n’avaient pas d’autre choix que d’essayer de prétendre qu’un nouveau « virus » lié au virus de Marburg était à blâmer afin de maintenir le mensonge sur la « précision » des résultats des tests d’anticorps.

Il est assez clair que toute l’affaire Ebola n’était qu’une gigantesque opération de camouflage des effets secondaires des médicaments toxiques injectés par voie parentérale. Comme les symptômes n’étaient pas spécifiques et correspondaient à de nombreuses autres maladies courantes dans la région, il était facile pour les chercheurs de trouver des personnes présentant des symptômes similaires afin de prétendre qu’elles étaient elles aussi victimes du « virus » pathogène nouvellement « découvert ». Ce schéma consistant à dissimuler des injections toxiques par la découverte d’un nouveau « virus » a été observé une décennie plus tôt avec le « virus » Marburg associé à l’expérimentation de la vaccination contre la polio. Ils ont également utilisé cette même tactique pour dissimuler des empoisonnements au moyen de produits chimiques, comme dans le cas de la polio et du DDT/arséniate de plomb. Lorsque tout le monde reconnaîtra ce schéma, il sera en mesure de voir clair dans la fraude et nous pourrons alors commencer à travailler ensemble pour faire en sorte que ces astuces ne soient plus utilisées pour tromper les crédules et les amener à avoir peur et à s’empoisonner davantage avec des médicaments et des injections toxiques. Ensemble, nous pouvons briser ce cercle vicieux une fois pour toutes.

Traduction Jean Bitterlin 31.12.2022




La virologie : pseudoscience au service de la domination

[Source : unpeudairfrais.org]

Par Jan Morvan, Fortuné Roussel et Patrick Visconti

Le spectacle se présente comme une énorme positivité indiscutable et inaccessible. Il ne dit rien de plus que « ce qui apparaît est bon, ce qui est bon apparaît ». L’attitude qu’il exige par principe est cette acceptation passive qu’il a déjà en fait obtenue par sa manière d’apparaître sans réplique, par son monopole de l’apparence.

La société du spectacle, Guy Debord, 1967

Il y a plus de cent ans, le Nouveau Dictionnaire des Synonymes français d’A.-L. Sardou définissait les nuances qu’il faut saisir entre : 

fallacieux, trompeur, imposteur, séducteur, insidieux, captieux ; et qui ensemble constituent aujourd’hui une sorte de palette des couleurs qui conviennent à un portrait de la société du spectacle.

Commentaires sur la société du spectacle, Guy Debord, 1988

Tout d’abord, nous reconnaissons le rôle important de l’association RéinfoCovid dans la résistance à l’oppression covidiste que nous subissons depuis mars 2020. Ce collectif a, en effet, réalisé un travail de contre-propagande qui a permis à de nombreux francophones d’entrer dans une forme de résistance et de préserver leur corps d’une injection toxique (qui aux dernières nouvelles contient de nombreux composés toxiques, principalement métalliques, tels que baryum, chrome, titane, gadolinium, aluminium(([1] « Des composés métalliques toxiques ont été trouvés dans tous les échantillons de vaccins contre la COVID analysés par des scientifiques allemands », 25/08/2022, The Defender, https://childrenshealthdefense.org/defender/des-composes-metalliques-toxiques-ont-ete-trouves-dans-tous-les-echantillons-de-vaccins-contre-la-covid-analyses-par-des-scientifiques-allemands/?lang=fr)) ).

Cependant, la majeure partie des articles et vidéos de RéinfoCovid supposent l’existence des virus. Nous prétendons que cette théorie n’est étayée par aucun argument scientifique valable. Les analyses de contradiction de la version officielle des évènements qui, dans leur immense majorité partent de cette hypothèse virale, ne permettent pas une compréhension de la situation et sont parfois même contre-productives pour la résistance. RéinfoCovid n’est qu’un exemple parmi d’autres et nous précisons que nous n’avons pas d’hostilité particulière pour ce collectif, car notre critique est tout aussi valable pour tous les autres acteurs de la résistance au covidisme qui adhèrent à l’hypothèse virale.

Les tests PCR

Les critiques remettant en cause la pertinence des tests PCR (Polymerase Chain Reaction) sont la plupart du temps focalisées sur le nombre de cycles d’amplification. Or, la réalité n’est pas que le nombre de faux positifs augmente lorsque l’on s’approche des 35 cycles, mais que ce test n’a aucune pertinence dès le premier cycle.

Les tests PCR « COVID » sont basés sur l’article Corman-Drosten de janvier 2020 ; article publié deux jours après sa soumission au journal Eurosurveillance (deux auteurs de l’article étant membres du comité éditorial du journal).

En novembre 2020, vingt-deux auteurs dont Mike Yeadon (ancien vice-président de la Division recherche en maladies allergiques et respiratoires chez Pfizer) et Stefano Scoglio (expert en microbiologie et en naturopathie, candidat au prix Nobel de médecine en 2018, et coauteur du livre « Virus Mania »), publient un rapport(([2] « Review report Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020 », 27/11/2020, https://cormandrostenreview.com/report/)) démontant point par point l’article de Drosten. Dans un résumé de ce rapport, publié sur le site de RéinfoCovid, il est écrit : « Les preuves irréfutables présentées par les auteurs rendent le test PCR du SRAS-CoV-2 inutile. »(([3] « Le test PCR actuel a-t-il une utilité ? », décembre 2020, https://reinfocovid.fr/science/utilite-test-pcr-actuel/))

L’analyse statistique réalisée par Pierre Chaillot (statisticien de formation et animateur de la chaîne YouTube Décoder l’éco) a démontré que les résultats de ces tests n’ont aucun lien avec le nombre de malades et que le taux de positivité a été augmenté artificiellement par l’élargissement du nombre de « variants » recherchés(([4] « Y a-t-il eu un déferlement de malades ? », 3e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/y-a-t-il-eu-un-d%C3%A9ferlement-de-malades:e)).

L’inventeur de la méthode PCR en 1983, Kari Mullis, est souvent cité pour avoir affirmé que ces tests ne permettent pas de détecter des virus libres et infectieux ; mais il a également expliqué son étonnement de n’avoir trouvé aucun article scientifique démontrant l’existence du virus du SIDA(([5] https://cv19.fr/2021/11/18/dr-kary-mullis-pourquoi-jai-commence-a-remettre-en-question-le-vih/)). Ajoutons que l’existence d’un seul virus n’a jamais été démontrée à ce jour.



Aucun virus n’a jamais été isolé

En mai 2020, la biostatisticienne canadienne Christine Massey a commencé à soumettre des demandes d’information de type FOIA (liberté de l’information, dans le cadre des lois de Freedom Of Infomation Act) à des organismes et agences de santé publique au Canada et de par le monde, pour tout document détenu décrivant l’isolement/la purification du prétendu « virus du COVID-19 », le SARS-COV-2. À ce jour, elle a collecté les réponses de 208 organisations de 35 pays, et aucune d’entre elles n’a cité un seul document décrivant la purification du prétendu virus à partir d’un seul échantillon de patient(([6] https://www.fluoridefreepeel.ca/fois-reveal-that-health-science-institutions-around-the-world-have-no-record-of-sars-cov-2-isolation-purification/, lire également cet interview https://cv19.fr/2021/10/13/le-virus-inexistant-une-interview-explosive-de-christine-massey/)).

Dans une forme d’activisme ironique, on trouve également cette invitation de Samuel Eckert, restée sans réponse malgré l’offre alléchante : « Vous n’y croyez pas et avez la preuve de l’existence du ”SARS-COV-2” ? Alors, empressez-vous de l’envoyer au Isolate Truth Found et vous gagnerez 1,5 million d’euros »(([7] https://samueleckert.net/isolate-truth-fund/ site censuré par Google mais pas par duckduckgo.com, idem pour les sites des docteurs en médecine Andrew Kaufman et Tom Cowan)).

En effet, si l’on s’en remet aux articles publiés (Matériel et méthodes) en décembre 2019/janvier février 2020 par les équipes chinoises et coréennes, le procédé présenté par les virologistes comme un « isolement du virus » ne correspond pas à une méthode scientifique valable. Cela a amplement été démontré par les travaux d’Andrew Kaufman, Tom Cowan, Stefan Lanka, Sam Bailey et bien d’autres(([8] https://unpeudairfrais.org/declaration-sur-lisolement-des-virus-par-morell-cowan-et-kaufman/https://unpeudairfrais.org/ressources-sur-linexistence-des-virus/)).

Les exosomes sont indiscernables des « virus »

Citons cette interview de Stefano Scoglio d’octobre 2020(([9] https://cv19.fr/2021/10/15/candidat-italien-au-prix-nobel-il-nest-pas-sur-que-ce-virus-existe/)) :

« La réalité est que le virus du SARS-COV-2 n’a jamais été isolé et testé. J’ai examiné toutes les études qui prétendent avoir isolé et même testé le virus, mais toutes ont fait quelque chose de très différent : ils ont pris le liquide pharyngé ou broncho-alvéolaire des patients, puis ils l’ont centrifugé pour séparer les molécules plus grosses et plus lourdes des molécules plus petites et plus légères, comme les prétendus virus ; ils ont ensuite pris le surnageant (la partie supérieure du matériel centrifugé) et ont appelé cette matrice extrêmement complexe « virus isolé » à laquelle ils ont ensuite appliqué la RT-PCR ».

« C’est assez technique, mais je vais essayer de simplifier : le surnageant contient de nombreux types de molécules, des milliards de micro et nanoparticules différentes, y compris ce qu’on appelle les vésicules extracellulaires (VE) et les exosomes, des particules utiles produites par notre corps et absolument indiscernables des « virus » ».

« Aujourd’hui, c’est une mission presque impossible de séparer les vésicules extracellulaires et les « virus » par les méthodes canoniques d’isolement des vésicules, comme l’ultracentrifugation différentielle, car ils sont souvent copelletés (rassemblés ensemble) en raison de leur taille similaire. »(([10] Giannessi F. et al., The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses, 2 Viruses 2020, 12, 571 ; doi:10.3390/v12050571, p.4, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7291340/)).

Les exosomes sont dotés d’une membrane du même type que celle des cellules. Véhicules de transport et d’expulsion de composants cellulaires, ils servent notamment à la communication cellulaire en transférant des ARN messagers d’une cellule l’autre (Wikipédia).

La « méthode » des virologistes

La lecture de la partie « Materials and methods » des articles de virologie laisse pantois. Les auteurs inoculent un surnageant éventuellement issu de liquide broncho-alvéolaire d’un patient aux symptômes de pneumonie, échantillon non purifié censé contenir un virus, dans une boîte de Petri en présence de cellules étrangères au prélèvement (la plupart du temps, il s’agit de cellules à capacité illimitée de division, disons tumorales de la lignée VERO issue d’un prélèvement d’épithélium de rein de singe vert africain en 1962 et répliquée depuis). Il est ajouté à cette culture : des antibiotiques toxiques particulièrement pour le tissu rénal tels que l’amphotericine B ou la gentamicine, du sérum fœtal bovin, et autres types de matériel biologique qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce qu’on appelle un « virus », et en outre dans des conditions de concentrations de milieux de culture cellulaire appauvris en substances nutritives. Le fait que ces cellules présentent des anomalies et une cytolyse élevée (effet cytopathique) à l’observation en microscopie électronique est ensuite présenté comme la preuve de la présence de virus.

De nombreux articles scientifiques présentent des micrographies censées représenter des virus, mais comment savoir s’il ne s’agit pas d’exosomes ou de cellules en dégénérescence, en sachant que le traitement des tissus pour l’analyse en microscopie électronique peut aussi largement induire des artefacts ?

Illustration tirée de l’article « Covid-19 : des images inédites du coronavirus SRAS-CoV-2 » publié en mars 2020 par Sciences et Avenir(([11] https://www.sciencesetavenir.fr/sante/le-coronavirus-covid-19-en-images_141916#animatedModal)).

Le « séquençage » génétique

Une autre « preuve » de l’existence des « virus », utilisée par les virologistes est le séquençage génétique. Pour comprendre comment est réalisé ce « séquençage des virus » à partir de cette soupe de surnageant évoquée plus haut, de ce véritable brouet grossier, nous vous recommandons cette conférence d’Andrew Kaufman(([12] Andrew Kaufman — Red Pill Expo — June 2021, https://odysee.com/@Scamdemic:7/Andrew-Kaufman-Red-Pill-Expo-2021)) qui présente la « méthode » décrite par les virologistes, censés avoir séquencé les premiers le SARS-COV-2 dans cet article intitulé « A new coronavirus associated with human respiratory disease in China » publié le 3 février 2020 dans le journal Nature(([13] https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3)).

Bien qu’il suffise de prendre connaissance de cette « méthode » pour comprendre que la virologie est une pseudoscience, Stefan Lanka a démontré son absurdité en reproduisant ce protocole fallacieux. Il a reproduit le procédé décrit dans les publications « d’isolement supposé », c’est-à-dire en présence des cellules VERO avec tous les traitements cytotoxiques pratiqués, mais cette fois sans y ajouter de prélèvement censé contenir un virus, et il a retrouvé les mêmes résultats que les virologistes (cytolyse cellulaire, micrographies censées représenter des virus, « séquençage »). En réalisant ces expériences témoins qui représentent le véritable contrôle nécessaire à toute expérimentation (qu’aucun virologiste ne prend la peine de faire), il a démontré à quel point la virologie était basée sur une fraude scientifique complète, une réelle imposture(([14] Stefan Lanka: « Virus, It’s Time To Go. », https://odysee.com/@Hmanpro:e/Time_To_Go:b, L’enterrement de la théorie virale par Joseph Stroberg, https://cv19.fr/2022/02/03/lenterrement-de-la-theorie-virale/)).

Plusieurs expériences pourraient être menées pour trancher le débat sur l’existence des « virus », une proposition a d’ailleurs été faite par plusieurs des auteurs cités précédemment en juillet 2022(([15] https://drsambailey.com/resources/settling-the-virus-debate/)). Elle reste sans réponse, ignorée et non médiatisée.

N’oublions pas, d’autre part, que l’hypothèse virale n’a aucune cohérence avec l’analyse des statistiques de la mortalité. Pierre Chaillot a démontré que le phénomène de contagion d’un département ou d’un pays à l’autre était inexistant(([16] Le mythe de la contamination épidémique, 5e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/le-mythe-de-la-contamination:e. Voir également sur la contagion interhumaine : Quelques études ayant tenté de prouver la contagion interhumaine, https://cv19.fr/2022/02/20/quelques-etudes-ayant-tente-de-prouver-la-contagion-interhumaine/)).

Certains pourraient rétorquer à ces considérations critiques en citant, par exemple, cet article de l’IHU de Marseille trouvant une corrélation entre le nombre de cycles PCR et la prétendue positivité de la mise en culture du virus(([17] Jaafar et al. 2021, Correlation Between 3790 Quantitative Polymerase Chain Reaction–Positives Samples and Positive Cell Cultures, Including 1941 Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Isolates, https://academic.oup.com/cid/article/72/11/e921/5912603)). Mais l’apparente cohérence des résultats ne démontre en rien l’existence d’un « virus », la méthode étant fondée sur une théorie qui n’a jamais été démontrée. De la même manière, l’efficacité des traitements dits « antiviraux » contre la maladie dite COVID-19 n’est pas une preuve qu’elle est provoquée par un virus.

On peut ajouter que la présentation par de nombreuses équipes de supposés « variants » avec à chaque fois une séquence nucléotidique différente ne permet en aucune manière de conclure à l’existence des « virus ». En effet, on notera que dans ce cas, c’est la technique de séquençage des acides nucléiques (méthode de Sanger ou de Gilbert par exemple) qui prend le pas sur la notion essentielle d’isolement en amont qui se trouve de fait occultée. Une séquence d’acide nucléique et même un catalogue de séquences ne disent rien sur leur origine, par conséquent c’est la procédure d’isolement qui est essentielle et déterminante pour pouvoir conclure. Le phénomène des » variants » correspond en réalité à l’incapacité des virologistes à reproduire l’expérience de séquençage.

Reconstruction de la phylogénie basée sur les « génomes » du « SRAS-CoV-2 » récupérés chez 1041 patients. Graphique tiré de l’article : « Clinical outcomes in patients infected with different SARS-CoV-2 variants at one hospital during three phases of the COVID-19 epidemic in Marseille », France, Hoang et al. 2021. doi: 10.1016/j.meegid.2021.105092

La virologie est une pseudoscience. Et il n’y a pas besoin d’être virologiste pour le comprendre. Pas plus qu’il ne faut être expert en licornes, pour savoir qu’elles n’existent pas. Il y a un « consensus scientifique » des virologistes sur l’existence des « virus » tout comme il y a un consensus des multimilliardaires sur les bienfaits du capitalisme. Un chercheur payé pour développer des plantes OGM croit que ces plantes sont un progrès pour l’humanité, sinon il aspire à changer de métier.

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus]

Mais alors, de quoi ces gens sont-ils malades ?

La première réponse est fournie par Pierre Chaillot : il n’y a pas eu d’augmentation extraordinaire de malades ou de décès avant l’arrivée des vaccins.

Si l’on tient compte de l’évolution de la pyramide des âges, on constate que l’année 2020 est la 6e année la moins mortelle de l’histoire de France(([18] « Y a-t-il eu une hécatombe quelque part ? », 1er épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/y-a-t-il-eu-une-h%C3%A9catombe-quelque-part:5)). Il n’y a pas eu de saturation hospitalière(([19] « Y a t il eu la saturation hospitalière annoncée ? », 2e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/y-a-t-il-eu-la-saturation-hospitali%C3%A8re:0)), mais c’est la codification des malades de l’OMS utilisée à l’hôpital et la tarification à l’acte qui expliquent ces pseudo chiffres à propos desquels le gouvernement nous ordonne de ne pas débattre(([20] La bureaucratie sanitaire au centre de la fraude, 4e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/la-bureaucratie-sanitaire-au-centre-de:e)).

Sur la période du premier confinement, on constate des augmentations anormales de la mortalité qui peuvent être expliquées par les mesures gouvernementales : la surmortalité à domicile (5000 décès) par l’abandon de soin, la surmortalité hospitalière (7000 décès) par une prise en charge trop tardive, et la surmortalité dans les EHPAD (5000 décès) par l’augmentation de l’utilisation de molécules pour « accompagner » la fin de vie du type Rivotril(([21] « Morts sous protection sanitaire », 6e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/morts-sous-protection-sanitaire:e)).

Deuxièmement, il ne faut pas inverser la charge de la preuve. Ce n’est pas à ceux qui prétendent que la théorie virale est une imposture de présenter une théorie alternative expliquant la maladie, mais aux virologistes de démontrer que la leur est juste.

Enfin, s’il fallait creuser une autre piste, on pourrait par exemple s’interroger sur le fait que les symptômes attribués au « virus » qui n’existe pas sont identiques à ceux d’une exposition aux ondes électromagnétiques, dont la 5G(([22] Rubik et Brown 2021, Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5G, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/)). D’autre part, il existe une corrélation temporelle et géographique entre les lieux d’apparition de ces malades et l’implantation de la 5G(([23] voir le livre de Tom Cowan à partir de la page 21, https://unpeudairfrais.org/wp-content/uploads/2022/06/Le-mythe-de-la-contagion-Tom-Cowan.pdf)).

[Voir aussi :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Paquet d’ondes radio
La maladie des ondes radio : l’histoire de l’électrohypersensibilité
Plus de 2 000 études documentaient les effets nocifs des ondes avant 1972]

Correspondance entre les effets biologiques de l’exposition aux rayonnements de communication sans fil et les manifestations de la COVID-19. Tableau tiré de l’article de Rubik et Brown 2021, Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5Ghttps://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/.

Mais à n’en pas douter, il ne faut pas s’attendre à des financements publics ou autres permettant d’orienter les recherches vers ce type d’explication de la santé dégradée des populations. L’occasion est trop belle avec cette hypothèse virale pour ceux qui dirigent le monde de pouvoir ainsi exercer un contrôle renforcé totalitaire des populations, de trouver un débouché illimité pour les injections de BigPharma par la production d’une sorte de marché captif et aussi d’occulter toutes les agressions de la société industrielle sur la santé des peuples par les innombrables pollutions dont elle est à l’origine.

L’ultime soutien à la thèse virale : le gain de fonction

De quoi s’agit-il ? La recherche médicale en « gain de fonction » consiste à modifier le génome d’un agent pathogène afin d’en augmenter la transmissibilité et la virulence, en l’occurrence il s’agira, dans la situation actuelle, de supposés « virus ». L’objectif annoncé est de mieux comprendre la pathogénicité de ces organismes, de leur interaction avec des hôtes potentiels et l’environnement et par cette stratégie, d’être prêts de manière plus efficace à faire face à de nouvelles pandémies. En clair, l’objectif déclaré est de créer des agents plus pathogènes que ceux présents hypothétiquement dans la Nature afin de produire des vaccins par anticipation censés protéger au mieux les populations. Ainsi, on n’hésiterait pas à modifier un » virus » de chauve-souris afin de le rendre transmissible à l’homme (zoonose) et à éventuellement lui adjoindre des séquences d’autres » virus » très délétères afin de le rendre plus agressif avec l’objectif d’avoir à disposition le plus souvent un vaccin où sera prévue cette évolution naturelle potentiellement menaçante de la pathogénicité(([24] Gain-of-Function Research: Ethical Analysis, Selgelid 2016, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4996883/.)).

Le prix Nobel de médecine 2008, Luc Montagnier, fut un des premiers à déclarer sur Cnews en avril 2020 que, grâce aux travaux d’un de ses collègues mathématicien, Jean-Claude Pérez, et à ceux de chercheurs indiens qui avaient étudié de très près la séquence du SARS-COV2, il s’avérait que des séquences du HIV y étaient présentes, allant donc dans le sens d’une création humaine dans le laboratoire P4 de Wuhan(([25] https://www.leparisien.fr/societe/coronavirus-et-vih-pourquoi-la-theorie-du-pr-luc-montagnier-est-invraisemblable-17-04-2020-8301387.php)).

Nous ne tiendrons pas compte du dénigrement méprisant des commentaires journalistiques à l’égard de Luc Montagnier dans ses affirmations, ce n’est bien sûr pas le sens de notre propos. Notre mépris à l’égard de cette profession sous contrôle oligarchique ne doit pas faire de doute, et l’objet de notre critique se situe ailleurs : l’hypothèse virale sous-jacente.

Aux États-Unis, cette affirmation d’un « virus » produit artificiellement par gain de fonction, selon toute probabilité dans le laboratoire de Wuhan, acquit de plus en plus de poids au niveau des courants d’opinion critiques de la version officielle de la pseudo pandémie ou « plandémie ». Il s’agit des courants d’opinion, animés par des personnalités qui ont en effet très tôt courageusement dénoncé la dramatisation de la présentation officielle de la « plandémie ». Ils se sont faits l’avocat des traitements précoces et des prises en charge alternatives de la maladie « COVID », et surtout ont dénoncé le caractère criminel des vaccinations et les tendances totalitaires des États qui les mettaient en place de manière toujours plus coercitive. Et il faut admettre que c’est tout à leur honneur et que cela permit en partie de mettre en garde une fraction des populations.

Exemple de 2 épisodes de l’émission « The Highwire » présentée par Del Bigtree dans lesquelles il est question de « gain de fonction »(([26] https://thehighwire.com/videos/the-investigation-into-covid-19s-origin-takes-new-twist/https://thehighwire.com/videos/shocking-gain-of-function-admission-by-faucis-nih/)).

L’organisation de Robert Kennedy Jr, Children Health Defense(([27] https://childrenshealthdefense.org/defender/documents-reveal-disturbing-details-gain-of-function-experiments/)), et de nombreux médecins et chercheurs tels que Robert Malone, Steve Kirsch, Joseph Mercola ou encore des journalistes critiques à forte audience tels que Matthew Del Bigtree avec son site The Highwire, Joe Rogan et son podcast à succès, ou encore Jeremy Hammond ont contribué à développer cette vision alternative à la version officielle. Cette dénonciation a connu un aspect plus strictement politique avec par exemple les auditions du Sénateur Rand Paul à l’encontre d’Anthony Fauci, l’ancien directeur du CDC, qui aurait délibérément aidé à financer ce type de recherche à Wuhan. Nul doute évidemment du caractère criminel de ce Fauci et de son organisation en lien avec la Fondation Gates et des forces qui n’œuvrent pas vraiment au bien de l’Humanité.

La seule question à poser à toutes ces personnalités, engagées de manière très honorable dans la dénonciation des dangers de la vaccination (innombrables effets secondaires pouvant mener à de graves infirmités, pathologies chroniques, voire la mort), c’est d’accepter d’apporter la preuve de la validité de cette notion de « virus » produit artificiellement par gain de fonction (échappé par accident ou volontairement selon les interprétations) dès lors qu’aucun « virus » n’a jamais pu être isolé. Par conséquent, puisqu’il n’y a pas eu d’isolement de « virus », comment peut-on produire ce type de recherche à partir de « virus » identifiés antérieurement, pour les rendre plus agressifs et délétères avec une stratégie qui sera honnête ou criminelle.

Il y a un réel problème de logique de base dans cette conception et il est à craindre que cette vision ne fasse, parmi les rangs des gens qui se posent des questions à travers le monde, que renforcer la terreur en validant de nouveau et en renforçant l’hypothèse virale. L’aspect ouvertement contre-productif de ces présentations des faits ne peut qu’éloigner toujours plus de la conscience de l’aspect central de l’imposture virologique qui pourra continuer ainsi à perdurer et nous entraîner toujours plus vers un monde de contrôle totalitaire à la déshumanisation accélérée pour le plus grand profit d’une pseudo élite criminelle.

Nous nous ne prononcerons pas, à ce stade, sur l’honnêteté intellectuelle de ces personnalités d’ailleurs aux caractéristiques fort diverses : manipulation/opposition contrôlée ou ingénuité par absence de curiosité et ignorance ou encore crainte de se décrédibiliser aux yeux du plus grand nombre(([28] https://viroliegy.com/2022/10/24/its-gain-of-fiction-story-time-with-rfk-jr-and-friends/)). Mais la question mérite d’être posée, elle est essentielle à la production d’un examen critique solide dans un monde où la fausse science sacralisée est l’outil majeur de la coercition.

La jeune fille à la licorne — 1604-1605 — Le Dominiquin.

Jan Morvan, Fortuné Roussel et Patrick Visconti.





Le docteur Julien Devilléger nous présente une synthèse qui expose des preuves : Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?

[Source : guyboulianne.info]

J’ai déjà écrit plusieurs articles concernant les différentes démarches judiciaires ou de dénonciation du Dr Julien Devilléger en Charente (France), c’est-à-dire le 9 août 2021, le 23 août 2021, le 30 septembre 2021, le 10 janvier 2022 et le 10 février 2022. Celui-ci m’a écrit le 26 octobre 2022 pour me faire part qu’il a préparé une synthèse concernant « un virus SARS-CoV-2 » que je vous présente ci-dessous. Il m’écrit :

« Bonjour Monsieur Boulianne,
J’ai écrit une synthèse, exposant les “preuves” fournies à ce jour d’un “virus SARS-CoV-2” responsable du Covid, qui relèvent d’une farce ! Je l’ai enfin signée sous mon nom, et plusieurs ont commencé à diffuser. Je vous l’envoie aussi au format texte pour que vous puissiez l’utiliser. Il y aura une suite…

Ce n’est pas le tout de clamer l’innocence du Covid. Il faut pouvoir réécrire l’histoire sans Covid… Et mieux vaut y aller par étapes, parce que c’est difficile de penser l’histoire du Covid sans virus! »

Guy Boulianne


Par Dr Julien Devilléger

Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?

La première représentation 3D du « novel coronavirus », devenu ensuite « SARS-CoV-2 », réalisée par Alissa Eckert et Dan Higgins, illustrateurs médicaux, est décrite comme une « image flatteuse, en gros plan, exposant les détails, a fait le tour du monde comme une pandémie visuelle », par Stéphane Baillargeon dans le journal « Le Devoir ». Il précise qu’« il y a des protéines de pointe (S), représentées par les grappes rouges dans l’image, qui permettent au virus de se fixer aux cellules humaines. » Il rajoute que Jodie Jenkinson, professeure à l’Institut des sciences médicales de l’Université de Toronto disait de cette image : «  Je ne saurais pas dire à quel point cette image du virus aide à le comprendre. Mais c’est une image emblématique, il n’y a pas de doute. » Cette image est seulement une représentation VIRTUELLE du « virus SARS-CoV-2 », mais a-t-on RÉELLEMENT identifié ce « virus », et a-t-on démontré que ce dernier était responsable de l’épidémie de COVID-19 ? On suspecte une épidémie quand plusieurs personnes ont présenté des symptômes comparables, dans une zone géographique précise et un laps de temps compatible.

Les causes des épidémies ne sont pas toutes virales, et peuvent être biologique, chimique, électromagnétique, radioactive, nutritionnelle, psychologique, etc. Un toxique dans l’air ou dans l’eau peut déclencher des symptômes comparables chez plusieurs personnes, décalés de quelques heures à quelques jours. Imaginez des campeurs se réveillant avec des maux de tête, et se rendant compte qu’ils ont dormi près d’une ligne haute tension, ou des millions de personnes déprimant en même temps, suite au deuil de leur « star » préférée…

Dans ces exemples, il n’y a pas de contamination par fluide d’une personne à l’autre, mais la chronologie des évènements est comparable à celle d’un virus. Il ne faut pas limiter la recherche aux virus, présents partout sans être nécessairement dangereux, mais au contraire tester toutes les hypothèses possibles. Le problème posé par l’hypothèse d’un « virus coupable » est qu’elle met habituellement fin à l’enquête en cours, et les autres causes possibles pouvant expliquer l’épidémie (chimiques, électromagnétiques, etc) sont alors balayées d’un revers de main !

« Modèle » technique habituel utilisé en virologie « moderne » :

  1. Prélèvement d’échantillons de tissu de l’organe atteint chez plusieurs malades, et mise en culture cellulaire. Photographie au microscope électronique du « virus ».
  2. On teste l’effet du virus sur les cellules (effet cytopathique : ECP), en sachant que le virus est cultivé dans une « SOUPE » chimique (milieu de culture), « indispensable » à sa culture, mais dont la toxicité est non (ou mal) évaluée. On dispose le résultat de la « soupe » dans des puits, et on calcule le pourcentage de puits où l’ECP est retrouvé.
  3. On teste alors la pathogénicité = induction de maladie sur animaux de laboratoires.
  4. Séquençage du « virus » (expérience princeps), dont la séquence est envoyée dans une banque génétique (GenBank) avec un numéro de brevet. Les autres centres recherchent alors la séquence génétique brevetée, considérée comme responsable de la maladie.
  5. On recherche des anticorps, même si la maladie n’apparaît pas.

Qu’en est-il dans le cas du « virus SARS-CoV-2 », agent présumé du COVID-19 ?

Robert Koch, père fondateur de la bactériologie, élabora les postulats de Koch en 1884, selon lesquels :

  • Le micro-organisme doit être présent en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais ABSENT des organismes sains.
  • Le micro-organisme doit pouvoir ETRE ISOLÉ, et croître en milieu de culture PUR (ne contenant que ce seul microbe).
  • Le micro-organisme cultivé doit déclencher la MÊME maladie chez un animal de laboratoire sensible.
  • Le micro-organisme doit être à nouveau isolé du nouvel organisme hôte rendu malade puis identifié comme étant identique à l’agent infectieux original.

Ces critères de rigueur ne sont malheureusement pas utilisés en virologie. En reprenant le « modèle » technique habituel utilisé en virologie « moderne » :

1. Prélèvement d’échantillons de tissu pulmonaire et d’autres tissus, sur malades.

2. Mise en culture du « virus SARS-CoV-2 » sur cellules Véro, qui sont des cellules rénales aneuploïdes (avec un nombre anormal de chromosomes) de singe vert d’Afrique, car la culture est très difficile sur cellules humaines, avec une « soupe » associant antibiotiques, antimycosiques, sérum fœtal de bœuf, trypsine, CO2 5%, et une incubation à 37°C. Chaque composant pris individuellement peut détruire une cellule. Une seule étude a évalué la toxicité de la « soupe », mais la dose de streptomycine (antibiotique ayant une toxicité rénale) du groupe avec virus aurait été doublée par rapport au groupe contrôle, ce qui serait une fraude !

L’ECP est obtenu sur les cellules Véro, mais pas sur les cellules humaines.

Photographie au microscope électronique du « virus », cultivé sur cellules Véro, et fixé avec une 2e « soupe »: alcool 30 à 100%, glutaraldéhyde, tétroxyde d’osmium, etc, dont la toxicité n’a pas été évaluée. Des photographies au microscope électronique sur échantillons pulmonaires lors d’autopsies, ont été réalisées sur des patients décédés du COVID-19, mais une étude du Lancet a remis en cause l’origine virale des structures photographiées, considérant qu’il s’agissait de réticulum endoplasmique, de corps multi-vésiculaires, ou de vésicules enrobées. Les peroxysomes, les lysosomes et exosomes, sont comparables à certaines photos de « virus ». (Annexe 1, 2, 3). Toutes les structures nommées sont présentes dans TOUTE cellule normale!

3. Pathogénicité étudiée sur des souris transgéniques, exprimant le récepteur ACE2 (enzyme de conversion de l’angiotensine 2), étant donné que ce récepteur aurait joué un rôle important pour le SARS-CoV en 2003.

Après inoculation intra-nasale, AUCUNE souris décédée. Une étude publiée a testé la pathogénicité en inoculant des singes par voie intra-nasale ou intra-trachéale, MAIS AUCUN singe n’a eu de symptôme.

4. Le séquençage a été réalisé à partir de la séquence brevetée, SANS PROUVER que cette dernière avait causé la pneumonie du 1er patient prélevé. Breveter une séquence génétique, enfiler un scaphandre, travailler sur du « gain de fonction » ne sont pas des preuves de la dangerosité du « virus », JAMAIS testée physiquement sur un humain ! Par contre, psychologiquement, ça marche diaboliquement bien !

Le séquençage nouvelle génération NGS, consiste en la création d’une banque, par fragmentation aléatoire de l’ADN (ou ARN), l’amplification clonale et Polymerase Chain Reaction (PCR), et le séquençage par synthèse, en sachant que la PCR a des limites liées aux amorces, à des erreurs de duplication, à la température d’hybridation, etc.

5. Les anticorps sont recherchés contre la « protéine spike », qui n’est pas isolée, mais modélisée (donc virtuelle) à partir d’images floues, non spécifiques (Annexe 2, 3) :

Au total :

Le « virus SARS-CoV-2 » est isolé selon les critères de virologie « moderne », mais cela :

  • ne prouve pas que la vésicule désignée comme « virus » soit pathologique.
  • ne prouve pas que la séquence génétique recherchée soit responsable d’une maladie.
  • ne prouve pas que l’effet toxique soit lié au seul « virus » et non au milieu de culture.
  • ne prouve pas qu’il existe une maladie contagieuse ou dangereuse pour l’Homme.

Pour l’instant, la preuve la plus fiable de l’existence du « virus SARS-CoV-2 » est celle-ci :

Il serait temps que les représentants politiques des Français, DÉPUTÉS et SÉNATEURS, demandent aux virologues, généticiens, infectiologues, et microbiologistes des PREUVES ÉCRITES de la responsabilité du « virus SARS-CoV-2 » dans le COVID-19, avec mise à disposition de tous, d’une liste d’études scientifiques publiées, revues par des pairs :

A) où une photographie du « virus SARS-CoV-2 » a été prise au microscope électronique sur échantillons pulmonaires et nasopharyngés de patients atteints de COVID-19, sur échantillons nasopharyngés de personnes saines, ainsi que sur échantillons pulmonaires et nasopharyngés de patients atteints de maladies inflammatoires pulmonaires (et non sur cellules de singe, dites Véro), afin de déterminer si cette structure photographiée est spécifique ou non de la COVID-19.

B) où la culture pure du « virus SARS-CoV-2 » a été réalisée sur des cellules humaines pulmonaires, associée à une réplication virale importante du « virus SARS-CoV-2 ».

C) où l’effet cytopathique (ECP) du « virus SARS-CoV-2 » avec son milieu de culture est statistiquement supérieur à l’ECP obtenu avec le milieu de culture seul. (Etudes dont la méthodologie statistique est détaillée, et dont la composition du milieu de culture utilisée est rigoureusement identique entre le groupe avec « virus » et le groupe « contrôle »).

D) où la pathogénicité étudiée sur les cobayes par inhalation du « virus SARS-CoV-2 » a entrainé un essoufflement.

E) où la séquence génétique du « virus SARS-CoV-2 » a été recherchée chez plusieurs patients atteints de COVID-19, chez plusieurs personnes saines ainsi que chez plusieurs patients atteints d’une autre maladie inflammatoire pulmonaire, afin de déterminer si cette séquence génétique est spécifique ou non de la COVID-19.

Si les scientifiques français arrêtaient de TWITTER (annexes 1, 2, 3) et se décidaient à fournir les PREUVES SCIENTIFIQUES, que PERSONNE n’a pu encore obtenir, cela éviterait alors que des recherches « inutiles » d’autres causes possibles du COVID-19, notamment électromagnétiques, chimiques et biologiques, ne soient débutées…

[NDLR Voir aussi les articles du dossier Vaccins et virus,
dont les suivants qui complètent bien celui du Dr Devilléger :
https://nouveau-monde.ca/go-virus-go/ (dans lequel le virologue Stefan Lanka présente le déroulement des procès ayant abouti à la conclusion en cours suprême allemande que le virus de la rougeole n’existait tout simplement pas ou au moins n’avait jamais été isolé et n’était pas responsable de la rougeole).
https://nouveau-monde.ca/demantelement-de-lhypothese-virale/
https://nouveau-monde.ca/confirmation-ecrite-les-scientifiques-ne-peuvent-apporter-aucune-preuve-de-lexistence-dun-virus-pathogene/
https://nouveau-monde.ca/demontage-de-la-theorie-virale/
https://nouveau-monde.ca/declaration-sur-lisolement-des-virus/
https://nouveau-monde.ca/virus-mania-comment-big-pharma-et-les-medias-inventent-les-epidemies/
https://nouveau-monde.ca/comment-reconnaitre-que-les-virologues-nous-ont-trompes/
https://nouveau-monde.ca/linvention-du-sars-cov-2/
https://nouveau-monde.ca/lenterrement-de-la-theorie-virale/
et Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ? du Dr Alain Tortosa, article qui représente un tour d’horizon des problèmes autour de la théorie virale et la prochaine étape probable quand la vaccination ne fera plus recette.]




Les chercheurs comprennent de mieux en mieux les causes de l’autisme

[Source : aimsib.org]

Alors que, de source officielle, l’autisme pourrait toucher un nouveau-né sur cent en France et que ce chiffre pourrait grimper à un sur quarante-quatre aux USA, les spécialistes de la question affectent toujours de ne se quereller que sur la définition exacte de la maladie. Il faudrait pourtant accepter de crever l’abcès du doute entourant la responsabilité des vaccins aluminiques dans la genèse de ces troubles incurables. Il faudrait admettre également que la frénésie vaccinale anticoquelucheuse chez les femmes enceintes est mortifère. Voici la démonstration d’Hypatie A, implacable, sourcée, terrible. Les adjuvants aluminiques induisent des complications catastrophiques et les défenseurs de ces vaccins doivent comprendre qu’il ne leur reste plus grand chose pour s’opposer à l’évidence. Des vaccins obligatoires qui donneraient l’autisme voire des lésions cérébrales de type « bébé secoué », des vaccins pour femmes enceintes qui induiraient des coqueluches post-natales, mais dans quel monde on vit ?  Bonne lecture.

Par Hypathie A

Résumé :
– Le système immunitaire est bien plus complexe et méconnu que ce qu’on croit.
– Les systèmes immunitaires et nerveux (entre autres) sont interconnectés : les mêmes molécules conditionnent les deux systèmes.
– Une très solide littérature démontre qu’activer de façon précoce le système immunitaire peut troubler le développement cérébral et nerveux du nourrisson.
– L’intensité, la durée et la fréquence des activations immunitaires sont des facteurs de risque, le tout en fonction du stade de développement du nourrisson.
– La vaccination a pour but d’activer le système immunitaire : pratiquée pendant la grossesse ou au début de la vie, elle présente un danger réel pour le développement nerveux du nourrisson (en particulier chez les garçons).
– Les adjuvants aluminiques sont un facteur supplémentaire de danger, en activant de manière répétée, plus fortement et plus durablement le système immunitaire (de façon immédiate ou retardée, l’aluminium étant neurotoxique).

Introduction

Les sites dédiés à l’autisme me laissent toujours perplexe : officiellement, on ne sait pas clairement ce qui cause l’autisme. Si tout le monde s’accorde pour considérer qu’il s’agit d’un trouble précoce du neurodéveloppement, probablement multifactoriel, personne ne semble lire la littérature scientifique sur le sujet.

Un exemple, l’article de l’INSERM dédié à l’autisme date toujours de 2018 ! Autant dire qu’on cultive l’obsolescence sur un sujet pourtant d’actualité.

Pour l’institution, l’origine est « largement génétique » [1] (ah bon ?) et bien sûr, il est impossible « de soigner l’autisme ». C’est quand même bizarre. Il y a des troubles, comme ça, qui impactent des millions d’enfants de façon dramatique [2] – la prévalence mondiale se situe officiellement entre 1 et 2% – et pourtant, on serait incapable d’en déterminer la cause… Sauf si on a l’idée saugrenue de lire la littérature scientifique. Car la recherche avance, malgré tout : elle a même fait d’énormes découvertes ces vingt dernières années. L’équipe du Dr Crépeaux nous offre aujourd’hui une revue [3] complète de la littérature.

On peut réellement affirmer qu’on sait quels sont les mécanismes en jeu dans l’apparition des troubles du neurodéveloppement. Et pourtant, l’information ne parvient pas au grand public.

Mais est-ce étonnant quand on comprend les implications cataclysmiques de ces découvertes ?

La clé de l’énigme : le système immunitaire

1 – Un système encore très mal connu

À en croire l’intégralité des articles grand public sur le sujet, le système immunitaire (SI) ne serait qu’un ensemble de « gentils policiers » chargés de poursuivre « les vilains pathogènes ». Il n’est question que de contrôle, de défense, d’attaque et d’entraînement.

Une « machine de guerre » dont chaque rouage n’aurait plus aucun secret à dévoiler… Il n’en est rien. Le système immunitaire est une galaxie inexplorée dont on aperçoit à peine quelques étoiles [4].

C’est ainsi, par exemple, qu’on se garde bien de communiquer sur le fait que le système immunitaire joue un rôle crucial dans le développement et le bon fonctionnement du système nerveux ou du système cardiaque [5]. Et donc, du SI dépend le meilleur… comme le pire, pour le développement de l’organisme [6].

Quelle importance, me direz-vous ? Eh bien, ça change tout ! Absolument tout, et on va voir ça en détail concernant le SI du cerveau.

[Note de Joseph : la notion de système immunitaire provient de la théorie des germes, de son corollaire la théorie virale et de l’idée que l’organisme devait se défendre contre de minuscules agresseurs étrangers tels que les bactéries et les virus. Comme certaines maladies attribuées à ces microscopiques éléments vivants ou pseudo vivants ne semblaient avoir lieu qu’une fois dans la vie d’un individu, la médecine a supposé que le corps s’en trouvait ensuite immunisé, ceci grâce à des composants cellulaires ou protéiques particuliers. Cependant, s’il s’avère — comme l’a pratiquement et scientifiquement démontré le virologue Stefan Lanka — que les virus et les bactéries ne sont pas la cause réelle de telles maladies (voir le dossier Vaccins et virus), mais de simples conséquences d’agressions diverses subies par l’organisme*, alors la notion de système immunitaire devient également caduque et devrait plutôt être remplacée plus judicieusement par celle de système d’autoréparation ou d’entretien du corps.
(* : Les bactéries se comportent en symbiotes vivant normalement en harmonie dans le corps humain et y permettent en particulier l’assimilation de nutriments dans les intestins. Cependant, lorsque leur environnement naturel est plus ou moins gravement perturbé dans ses conditions biochimiques (par exemple par manque d’oxygène), elles se mettent à produire d’autres substances, certaines pouvant être toxiques.
Ce que la virologie a appelé « virus » est naturellement produit par les cellules en manque de nutriment et/ou lorsqu’elles subissent diverses formes d’agression, y compris par des ondes électromagnétiques pulsées telles que le Wi-Fi, la 4G et la 5G.)]

2 – On devrait parler de système Neuro-Immun

Le SI est présent dans tout l’organisme, dans un état de vigilance non active. Lors d’un stimulus immunitaire (blessure, choc, infection, agression chimique, dysfonctionnement de cellules, vaccination…) ce système va réagir : on parle d’activation immunitaire. Cette activation se traduit notamment par la libération de cytokines, des molécules produites par les cellules du SI qui communiquent, amplifient ou inhibent la réponse immunitaire. Jusqu’ici, on est d’accord.

Mais il y a un hic.

Ce que personne ne nous dit, probablement par manque de connaissance sur le sujet, c’est que ces cytokines jouent également un rôle fondamental dans le développement du cerveau [7]. Elles sont nécessaires à chaque étape de sa maturation.

En clair, les mêmes molécules conditionnent le système immunitaire et le système nerveux [8].

Contrairement à la croyance officielle, le système immunitaire et le système nerveux (et donc le cerveau) ne sont pas séparés. Ils sont même carrément interconnectés. Les spécialistes parlent de système neuro-immun [9]. Activer le système immunitaire n’est pas du tout anodin, surtout à certains stades sensibles du développement. Cela peut avoir des répercussions bien plus importantes qu’on le croit.

Voyons ce qu’il en est pour le cerveau en développement.

Activations immunitaires cérébrales précoces

On sait depuis longtemps que le développement du cerveau peut être perturbé par une activation immunitaire précoce [10], et plus précisément par les cytokines générées en cas d’inflammation, qui semblent jouer un rôle clé dans l’apparition des troubles autistiques [11]. Ce mécanisme a fait l’objet de nombreuses études depuis près de vingt ans, à la fois chez la souris, le singe et l’humain [12].

Les cytokines, même produites à distance du cerveau [13], peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique (BHE) qui protège le cerveau (rappelons que la BHE du nourrisson est immature, plus poreuse que celle de l’adulte) et activer le système immunitaire cérébral : la microglie, les macrophages du système nerveux central. Or, ces cellules microgliales jouent un rôle fondamental dans la construction du cerveau [14] : la concentration en cytokines est critique pour un développement optimal. Une perturbation à ce niveau et c’est la microglie qui s’emballe, causant des troubles dans le développement du cerveau [15].

Plus l’activation immunitaire dure longtemps (voire de façon chronique), plus elle est forte, plus elle est répétée dans le temps… plus le risque d’autisme est grand [16].

Le timing de l’inflammation du cerveau, en fonction du stade de développement, joue un rôle fondamental [17].

Activation Immunitaire Maternelle (MIA)

Un modèle animal a été mis en place depuis 2006 pour étudier l’apparition des troubles du neurodéveloppement. L’idée est d’activer le système immunitaire de la femelle gestante par des injections de produits réactifs non-infectieux [18]. On peut citer les travaux essentiels de l’équipe du Pr Patterson de la prestigieuse Caltech aux USA, qui a mis en évidence ce mécanisme et qui a étudié les répercussions neurologiques de ces injections sur la progéniture [19]. Les résultats étaient si impressionnants que, dès 2006, le Pr Patterson tirait le signal d’alarme au sujet de la vaccination des femmes enceintes :

« Et que fait un vaccin ? Il active le système immunitaire. C’est le BUT de la vaccination. (…) Je pense que la vaccination universelle des femmes enceintes pourrait nous causer toute une série de problèmes » [20].

Leurs recherches, confirmées par d’autres équipes depuis, ont démontré un lien de causalité entre les cytokines pro-inflammatoires IL-6 et IL-17 et l’apparition de troubles autistiques chez la souris, mais aussi chez le singe [21], ainsi que de nombreux troubles associés à l’autisme (dysbiose intestinale, dysfonctionnement des mitochondries, inflammation cérébrale chronique, auto-immunité…) [22]. Chez l’homme, on retrouve des taux élevés de ces cytokines inflammatoires dans le liquide céphalo-rachidien de patients autistes, ainsi qu’une inflammation cérébrale chronique [23] (activation immunitaire permanente du cerveau).

Le « Multiple Hit »

Si une simple activation immunitaire, comme une grippe en cours de grossesse, suffisait à rendre un nourrisson autiste, il est évident que l’histoire de l’humanité aurait été bien différente… Des études récentes ont permis d’approfondir la compréhension du mécanisme en jeu : on observe que l’activation de la microglie, par les cytokines, se fait de façon progressive. La microglie peut en quelque sorte encaisser un certain nombre de stimuli immunitaires, jusqu’à un certain point [24]. Elle s’amorce progressivement avant de s’activer pleinement : on parle d’un modèle de « multiple hit » [25].

Une exposition à des toxiques environnementaux, une inflammation chronique ou une vaccination pendant la grossesse peuvent servir de « premier hit », capable d’amorcer la microglie, la plaçant dans un état de vigilance accrue : on parle d’amorçage. [26] Notons qu’il existe évidemment des susceptibilités génétiques, le fait que l’enfant soit un garçon étant la plus évidente – car les femelles seraient « moins inflammatoires » que les mâles [27].

Avec un deuxième voire troisième stimulus immunitaire, la microglie va s’activer pleinement. Une fois activée, elle va à son tour sécréter des cytokines pro-inflammatoires dont IL-17 et IL-6 [28] considérée comme nécessaire et suffisante pour causer l’autisme [29]. C’est un cercle vicieux : l’activation immunitaire devient chronique et délétère pour le système nerveux central (comme dans les maladies auto-immunes…) [30].

« … tous les facteurs qui modifient le nombre ou l’état d’activation de la microglie, soit in utero ou pendant la période post-natale précoce, peuvent affecter profondément le développement neuronal, entraînant ainsi des troubles neurodéveloppementaux dont l’autisme » [31].

Concrètement, un nourrisson mâle dont la maman aurait un trouble chronique, serait vaccinée et/ou en contact avec des polluants persistants, peut avoir une microglie amorcée in utero, et donc prête à s’activer au prochain stimulus immunitaire y compris après la naissance…

Activation Immunitaire Post-natale

Mais le plus intéressant, si je puis dire, c’est que les recherches récentes mettent en évidence que cet « amorçage », qui peut se faire in utero via « l’Activation Immunitaire Maternelle », peut également se produire après la naissance. Une étude de la Harvard Medical School [32] a testé toutes ces possibilités par des injections non-infectieuses pré et post-natales. Voici sa conclusion :

« Dans la plupart des cas, les effets les plus dramatiques ont été obtenus avec le « double hit » (activation immunitaire de la mère et activation immunitaire post-natale) »
et

« L’activation immunitaire post-natale semble être suffisante pour produire les trois caractéristiques principales de l’autisme ».

Déjà en 2018, l’équipe tentait de tirer le signal d’alarme [33], soulignant dans le résumé d’introduction : « L’activation du système immunitaire pendant le développement pré-natal et post-natal précoce peut contribuer au développement de l’autisme ».

Notez bien, car c’est d’une importance cruciale : toutes ces études ont été réalisées par injection de substances réactives en l’absence d’infection, autrement dit, la présence d’un virus ou d’une bactérie n’est pas nécessaire pour activer le système immunitaire. L’activation immunitaire est bien plus durable (plusieurs mois) en cas de toxiques persistants, comme un adjuvant vaccinal, dont le rôle est précisément d’activer le système immunitaire durablement.

Le rôle de la vaccination dans les troubles du neurodéveloppement

Les vaccinations ont lieu pendant les années cruciales du développement cérébral. La formation des neurones, des cellules gliales, des synapses ou des gaines de myéline commence pendant la grossesse et se poursuit pendant des années après la naissance. Toutes ces étapes peuvent être impactées par une surproduction de la cytokine IL-6 [34] (en particulier la formation des synapses, zones de contact fonctionnel entre les neurones).

Il est donc théoriquement possible qu’un vaccin puisse impacter le développement cérébral. Voyons en pratique.

Les vaccinations ont lieu pendant des phases cruciales du développement cérébral [35]
(calendrier vaccinal états-unien, proche du français)

L’histoire emblématique du vaccin DTCoq

Le lien entre vaccination et inflammation du cerveau (et donc perturbation de son développement) ne date pas d’hier… Le premier signal d’alarme sur le sujet remonte aux années 70, exactement au moment où les vaccins à l’aluminium ont remplacé leurs versions non-adjuvées [36].

Le fameux DTCoq (Diphtérie, Tétanos, Coqueluche contenant de l’aluminium) est devenu en quelques années le vaccin du scandale, accusé de provoquer des dommages cérébraux [37] et la mort subite de nourrissons [38].

Or, la formule du DTCoq a été modifiée au début des années 70, pour permettre une production à plus grande échelle : l’ajout de l’adjuvant aluminique a permis de produire beaucoup plus de vaccins à partir de la même quantité d’antigènes. Comme d’habitude, le choix des industriels est imposé de force au grand public. Mais devant le nombre de plaintes déposées, les grands laboratoires voient fondre leurs précieux bénéfices : la situation n’est pas tenable.

Les industriels prennent le problème en main :

– Ils envoient ces vaccins « impopulaires », mais très rentables, en Afrique (où ils font encore des ravages [39]).
– Ils modifient la formule du DTCoq (qu’ils recombinent dans les penta et hexavalents) pour dire que tout va beaucoup mieux maintenant, sans avoir à le démontrer…
– Car ils obtiennent l’immunité légale via l’obligation vaccinale [40], afin de ne plus être ennuyés par les réclamations intempestives du public : c’est la collectivité qui paiera les « très très rares » accidents vaccinaux désormais…
– Du coup, les systèmes de pharmacovigilance publics ne sont pas très motivés pour surveiller les signaux d’alarme, ils restent donc passifs, complexes et obsolètes, histoire de ne rien détecter de gênant [41].

Parallèlement à tout cela, on a vu la multiplication du nombre d’injections, mais aussi la dégradation de notre environnement, progressivement envahi par la chimie synthétique [42] et les métaux toxiques. On a surtout pu observer l’explosion exponentielle des cas d’autisme dans la population.

Environnement toxique et vaccins : un cocktail explosif

Il est certain que les systèmes immunitaires des femmes enceintes sont aujourd’hui sollicités en permanence pour gérer la pollution, un stress ou une maladie chronique. Une majorité d’enfants naissent probablement avec une microglie au moins en partie amorcée.

Dans ce contexte délétère, augmenter le nombre de stimulations immunitaires (le nombre de vaccinations obligatoires ou recommandées), ne peut que conduire à une explosion des troubles du neurodéveloppement.

Alors qu’il y a encore quelques années, le corps de la femme enceinte était considéré à juste titre comme intouchable, les autorités sanitaires recommandent désormais aux femmes enceintes de plus en plus de vaccins (certains contenant de l’aluminium, dont on sait qu’il peut traverser le placenta [43]).

Aucune étude portant sur la vaccination de la femme enceinte ne s’intéresse à l’impact de la vaccination sur le développement neurologique de l’enfant (on imagine bien pourquoi).

Ce n’est pourtant pas faute d’avoir vingt années de recherche disponibles sur un neurotoxique avéré…

Adjuvants aluminiques : une arme de destruction neurologique

On le sait bien aujourd’hui, les particules d’aluminium injectées dans le muscle sont phagocytées par les macrophages du système immunitaire et peuvent migrer dans tout l’organisme (y compris le cerveau) [44]. Ces particules peuvent nuire au développement neurologique de plein de façons différentes !

Neurotoxique et très persistant

L’aluminium, en plus d’être neurotoxique, est aussi très biopersistant, provoquant une stimulation immunitaire de longue durée… ce qui est un danger pour le développement du système nerveux central du nourrisson [45].

Pro-inflammatoire même à distance !

On sait qu’une vaccination adjuvée à l’aluminium peut provoquer la sécrétion de la cytokine IL-6 dans le cerveau de rats nouveau-nés [46]. Et on l’a vu, IL-6 est « nécessaire et suffisante » pour causer des troubles du neurodéveloppement [47].

Une étude de UC Davis [48] a observé qu’une simple injection d’adjuvant aluminique (seul ou dans un vaccin) chez le jeune rat causait une augmentation d’IL-6 dans le cerveau.

En clair, l’aluminium n’a même pas besoin d’entrer dans le cerveau : en déclenchant une inflammation dans le muscle, au site d’injection périphérique, il peut activer durablement la microglie cérébrale, via la sécrétion de cytokines (en particulier IL-6) [49].

Mais ce n’est pas tout…

Cette toxicité à court terme est renforcée par une toxicité retardée, due à la pénétration cérébrale des adjuvants aluminiques, qui peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique (BHE) en cas d’inflammation ou chez le nourrisson dont la BHE est immature. Certains produits contenus dans les vaccins pédiatriques, comme le polysorbate 80, permettent d’améliorer la porosité de la BHE… afin de faciliter l’accès au cerveau ? [50]

Le fait que la vaccination puisse provoquer une inflammation cérébrale, donc une augmentation du niveau de cytokines pro-inflammatoires, est aujourd’hui bien documenté, une revue sur ce sujet précis existe. [51]

Un dernier pour la route ?

L’autre facteur représentant un danger pour le développement neurologique est finalement la fréquence des injections : plus le système immunitaire est stimulé en intensité, en durée, mais aussi de façon répétée, plus la microglie a de chance de s’activer pleinement.

En clair, tout, absolument tout est fait pour activer au maximum la microglie des nourrissons et provoquer des troubles du neurodéveloppement : un environnement pollué, des activations immunitaires précoces et fréquentes, des croyances médicales obsolètes, des connaissances scientifiques totalement ignorées… voire censurées [52].

On voudrait causer ces troubles, on ne s’y prendrait pas autrement.

Vaccination de la femme enceinte

Pour finir, faisons un petit point sur la vaccination chez la femme enceinte. Je passe sur le « vaccin » anti-covid qui a déjà fait couler beaucoup d’encre [53].

Depuis avril 2022, la HAS recommande la vaccination des femmes enceintes contre la coqueluche à chaque grossesse (même si la femme a été vaccinée peu de temps avant la grossesse) afin de protéger les nouveau-nés et les nourrissons de moins de six mois [54]. Les vaccins recommandés sont généralement des tétravalents (Diphtérie Tétanos Coqueluche Polio) à l’aluminium.

Que sait-on de la sécurité de cette vaccination ? Sans grande surprise, pas grand-chose. Les études financées par les grands labos [55] sont bien évidemment rassurantes puisque tous les effets indésirables sont considérés comme non relatifs à la vaccination. Les bébés, eux, n’ont été observés que pendant un mois… et bien sûr, la question de leur développement neurologique n’a effleuré personne… Rappelons que l’âge moyen du diagnostic d’autisme est de 50 mois [56].

Mais alors, que sait-on de l’efficacité de ce procédé : vacciner la mère pour protéger l’enfant ? C’est là que ça se complique. Les labos nous disent qu’un transfert des anticorps anticoquelucheux maternels s’opère chez le nouveau-né. Peut-on réellement en conclure que l’enfant est mieux protégé contre la maladie ? Rien n’est moins sûr : de façon générale, la vaccination contre la coqueluche a été décriée dans la communauté scientifique ces dernières années, accusée d’être trop peu efficace [57]. Une étude de 2019 [58] conclut même que les enfants vaccinés seront plus sensibles à la maladie, tout au long de leur vie.

Mais le plus perturbant, c’est que les chercheurs (en lien avec l’industrie) semblent avoir décelé une potentielle interférence entre les anticorps de la mère et ceux de l’enfant vacciné, comme en témoigne cet échange entre la Pr Helen Petousis-Harris, vaccinologue membre du GAVSC de l’OMS, et Stanley Plotkin, surnommé le « parrain des vaccins », probablement l’une des plus grandes sommités dans le domaine.

Dans ce mail datant du 17 juillet 2019, Helen explique que, dans deux études de cohorte qu’ils viennent de réaliser, les enfants nés de mères vaccinées pendant la grossesse sont plus sensibles à la coqueluche, une fois vaccinés à six semaines.

On dirait bien un exemple de « facilitation de l’infection par les vaccins », comme on l’a vu pour le vaccin contre la dengue… ou le covid [59]. La vaccination des mères semble donc nuire à l’enfant, y compris en termes de protection contre la coqueluche : une forte concentration d’anticorps ne signifie pas que l’enfant est protégé. Peut-être même le contraire.

Mais ce qui est très étrange, c’est que le jour même, Mme Petousis-Harris envoyait pour publication cette étude de cohorte [60] dont elle parle… et qui ne mentionne absolument rien concernant ce « petit » problème de facilitation de l’infection…

Le grand public n’a de toute évidence pas besoin de savoir.

Conclusion

Je ne peux pas m’empêcher d’y penser… Si un vaccin peut causer une activation microgliale et que celle-ci devient hors de contrôle… cette inflammation cérébrale ne pourrait-elle pas conduire aux signes cliniques observés chez les enfants victimes du « syndrome du bébé secoué » sans qu’il y ait le moindre choc [61] ? Que penser alors de tous ces cas d’assistantes maternelles [62], bien évidemment formées au danger de secouer un bébé, et autres parents accusés d’avoir maltraité leurs enfants… alors qu’une vaccination pourrait être responsable de ces lésions cérébrales ? [63]

À la lecture de la revue du Dr Crépeaux et de son équipe (réalisée notamment grâce aux dons du public, je le souligne) et de la littérature dans son ensemble, une chose me paraît évidente : tous les ingrédients sont réunis pour nuire au bon développement neurologique d’un maximum d’enfants. Il me semble que la médecine est passée du côté obscur de la force, depuis très longtemps : en maintenant des croyances non fondées scientifiquement, au prétexte que la vaccination serait aussi incritiquable qu’un dogme religieux, on condamne une partie grandissante de l’humanité à vivre coupée d’elle-même, avec des cerveaux qui ne sont pas ceux qu’ils auraient dû avoir, avec des troubles chroniques qui ne permettent pas l’accès au bien-être physique et mental, pour la majorité des autistes… et leurs proches [64].

Nous sommes au milieu d’une guerre de l’information : chaque personne qui comprend les enjeux et a accès à ces données doit agir pour la diffusion de ce savoir, en particulier auprès des médecins. Nous avons absolument tous un rôle à jouer dans cette histoire.

– Les chercheurs qui, contre vents et marées, produisent la connaissance, sans savoir s’ils auront encore des financements l’année prochaine. N’hésitez pas à les soutenir : ce sont eux qui nous permettent de comprendre ce qui se passe réellement : https://www.helloasso.com/associations/association-e3m/formulaires/3
– Les médias alternatifs, les associations de patients et les citoyens qui lisent cette science et tentent de la transmettre au public le plus large possible.
– Les activistes qui déterrent des informations dissimulées au public
– Les soignants capables de remettre en question leurs croyances… et qui en paient le prix fort.
– Les parents qui luttent pour protéger leurs enfants de cette barbarie… ou pour les soigner (car oui, c’est possible).

C’est exactement ce que nous montrent les événements de ces deux dernières années. Nous avons tous un rôle à jouer dans cette histoire. C’est notre histoire. Et personne d’autre que nous n’a le droit de l’écrire à notre place. Alors n’hésitez pas à faire passer le message à tous les médecins, infirmiers, pédiatres, pharmaciens que vous croiserez :

« Ceux qui peuvent vous faire croire à des absurdités,
peuvent vous faire commettre des atrocités. »

Anonyme

Hypatie A
Octobre 2022




Quand la science devient pseudo-science

[Source : strategika.fr]

Urmie Ray est mathématicienne, diplômée de l’université de Cambridge. Elle a eu une carrière de 25 ans en tant que qu’universitaire, entre autres, à l’Institut des Hautes Études Scientifiques, à l’Institut Max Planck pour les mathématiques, au Centre de Recerca Matemàtica, à l’université de Californie à Santa Cruz. Elle a ensuite démissionné de son poste de professeur des universités en France pour se consacrer à l’étude de questions culturelles et historiques. Elle est l’auteur de plusieurs articles et son dernier livre s’intitule “On Science:  Concepts, Cultures, and Limits” (Routledge 2021).

[Voir aussi, avec Urmi Ray :
Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal
L’effondrement de l’hypothèse virale
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes]

Par Urmi Ray (Basé sur mon livre : « On Science :  Concepts, Cultures, and Limits » – Routledge 2021)

1.  Qu’est-ce que la science ?

Une grande confusion règne sur ce qu’est ou plutôt n’est pas la science.  Donc commençons par discuter de ce qu’est la science.

Comprendre la réalité dans laquelle on vit

Pour survivre, il est essentiel de comprendre la réalité physique dans laquelle nous vivons.  Donc dès ses débuts, partout dans le monde, notre espèce a tenté de s’en faire une idée.

Comprendre signifie pouvoir décrire, expliquer et prédire. Une description tend à répondre à la question “comment ?” et peut prendre la forme d’une formulation mathématique, mais c’est loin d’être nécessaire.   Une explication tend à répondre modestement à la question beaucoup plus difficile du “pourquoi ?”.  Ces trois aspects sont étroitement liés.  La qualité des prédictions dépend de la qualité des descriptions et des explications.  Et inversement, plus une description est de qualité, plus elle mènera à des explications et des prédictions de qualité.

La différence entre une approche scientifique et une approche religieuse réside essentiellement dans la nature des explications.  Il est probable que très rapidement nos ancêtres ou au bon vouloir d’un Dieu, ne permettait pas trop de prévoir, et donc de se prémunir contre les aléas du climat.  Parallèlement, la domestication croissante du feu va de pair avec une compréhension de plus en plus grande de ce phénomène.

Donc, il y a bien longtemps qu’une approche du monde qu’on perçoit à travers nos sens et notre esprit s’est distinguée d’autres approches.  Il fallait que la connaissance obtenue soit communicable à d’autres, pour qu’ils puissent eux aussi vérifier, notamment pour pouvoir prédire aussi systématiquement que possible. 

Je conçois que certains soient convaincus de la force de la prière, mais la connaissance spirituelle, même si elle est basée sur des expériences, celles-ci restent personnelles et non-communicables.

Donc l’approche qui s’est peu à peu développée en ce qu’on appelle depuis le 19e siècle la science est fondée sur deux outils : l’observation et le raisonnement.
Mais comme nos premières écoles de philosophie naturelle se sont rendues compte bien avant l’ère chrétienne, la question de la fiabilité est au coeur de cette approche.  À quel point notre interprétation correspond-elle à la réalité physique donnée ?

Observation reproductible

Une observation qui reste limitée peut ne pas être fiable.  Par exemple, ce n’est pas parce tous les cygnes qu’on observerait sont blancs, qu’on peut en conclure qu’ils sont tous blancs.  Il y a des cygnes noirs. Donc l’observation doit être reproductible à volonté, en particulier pour être vérifiable.

En conséquence, le domaine d’investigations scientifiques est limité aux caractéristiques descriptibles, c’est à dire qu’on puisse comparer.  Les concepts absolus tels que la chaleur ou la hauteur font certainement partie de notre expérience de la vie.  Mais ils n’ont pas leur place en science.  Car il n’existe aucun moyen de vérifier comment deux individus différents les perçoivent.   Ce qui peut être communiqué et convenu, c’est qu’un objet est plus chaud ou plus froid, plus grand ou plus petit qu’un autre. En d’autres termes, seuls les attributs qui peuvent être comparés à une référence externe peuvent faire l’objet d’un examen scientifique.   Donc les concepts absolus tels que Dieu sont hors limites car ils ne peuvent pas être décrits par la comparaison.

C’est aussi là que réside le problème avec la physique Newtonienne.  Elle est fondée sur une notion du temps et de l’espace qui est absolue.  D’ailleurs Newton en était conscient.  Mais c’est le physicien Ernst Mach qui a le premier vraiment compris la signification de cette lacune à la fin du 19ème siècle.  C’est notamment basé sur ses travaux qu’Albert Einstein en est venu à sa théorie de la relativité.

Ajoutons une remarque importante : il ne suffit pas de connaître les propriétés intrinsèques d’un phénomène.  Il faut aussi se faire une idée de ses interactions avec l’environnement.  D’où la nécessité de l’étudier à la fois isolément dans un laboratoire et dans dans son environnement naturel, dans le temps et dans l’espace. Certains effets et leur portée peuvent ne pas être immédiatement perceptibles.

Raisonnement

Par ailleurs, si nous restons liés à notre expérience immédiate limitée, il faudrait sans cesse collecter des faits et on ne pourrait prédire. Donc la science vise à obtenir des descriptions et des explications unifiées de phénomènes disparates. 

Le raisonnement est ce qui nous permet de ne pas rester liés à ce processus d’essais et d’erreurs constants.

Il doit lui aussi être communicable.  Donc il doit être basé sur des méthodes consensuelles qui ont varié au cours du temps ou même d’école à école.

Concepts

Trouver des explications unifiant divers phénomènes nous oblige à fonder nos théories sur des concepts – forces, atomes, gènes, etc.  Nous n’avons aucun moyen de déterminer s’il s’agit de caractéristiques de notre réalité ou s’il s’agit de constructions de l’esprit humain pour rendre compte d’expériences communes à nous tous. Ils sont indéfinissables scientifiquement, sauf en utilisant d’autres concepts.  Cependant, et c’est fondamental, la pertinence des concepts doit être confirmée par des effets qu’on peut percevoir et décrire.  Ils doivent être remplacés par des concepts plus appropriés si l’observation et le raisonnement l’exigent.

En résumé

La science est l’étude raisonnée basée sur l’observation reproductible et suffisamment reproduite de propriétés descriptibles par comparaison du monde perceptible et des effets perceptibles attribués aux concepts évolutifs et changeants ainsi déduits – une étude qui englobe les interactions avec l’environnement naturel.

Nous avons tous un esprit scientifique.  La différence entre une approche scientifique et une approche usuelle est une différence de degré plutôt que de nature. Elle apporte précision et systématisation là où elles faisaient défaut. Par exemple, on a tous une idée de la différence entre fruits et  légumes, basée sur de vagues raisons et de vagues comparaison, parfois culturelles. La définition scientifique d’un fruit est celle d’un organe qui contient des graines, qui les protège lors de leur développement et aide à leur dispersion. Par conséquent, les tomates et les concombres sont des fruits, contrairement à l’idée reçue selon laquelle ce sont des légumes.

En d’autres termes, la science précise les similitudes et les différences entre des objets comparables en poussant l’observation au-delà du superficiel.  Ainsi les ambiguïtés sont réduites.

Il est essentiel d’insister sur le fait que nos conclusions ne peuvent être des déductions fantaisistes et inexpliquées.  Elles ne peuvent être considérées comme scientifiques tant qu’elles ne sont pas étayées par des arguments raisonnés. L’obtention de résultats satisfaisants pourrait être une pure coïncidence. À l’inverse, un raisonnement qui ne repose pas sur des bases empiriques solides n’est pas une science.

Mathématiques

Voilà pourquoi les mathématiques ne sont pas une science.  La science a émergé de la faculté humaine de donner un sens à une réalité autrement chaotique en lui attribuant des schémas. Les mathématiques sont nées de l’étude des schémas qui sont quantifiables.
Pour maîtriser les notions interdépendantes de quantité et d’espace,  nos ancêtres ont élaboré les concepts des nombres entiers et des objets géométriques ont été élaborés en excluant la nature particulière des objets en question pour ne garder que leur quantité ou leur forme.  Ils ont dû se rendre compte que si notre seul intérêt est la quantité et non les autres qualités des objets concernés, alors il n’y a aucune différence entre deux doigts et deux longueurs égales, mais que ceux-ci diffèrent de cinq doigts. En d’autres termes, les nombres sont nés de notre reconnaissance de schémas concernant la quantité en rendant aussi efficace que possible notre outil de raisonnement le plus fondamental, à savoir la comparaison. 
Sans entrer dans des discussions plus détaillées, je dirai que les mathématiques sont l’étude logique des relations entre des concepts abstraits, basée sur la notion de nombres.

 2.  Des faiblesses intrinsèques à la science

Ces caractéristiques de la science rend notre connaissance scientifique très précaire.

Simplification et approximation

Même l’approche la plus holistique est une simplification. L’esprit humain est incapable d’englober la totalité d’une nature complexe insondable.  Toutes nos déductions, toutes nos observations, toutes nos mesures ne sont qu’une approximation de la réalité.

Ces problèmes sont exacerbés dans les théories mathématiques.  Une hypothèse doit d’abord être exprimée dans un langage banal. Le processus de traduction en symbolisme mathématique s’accompagne d’une grande perte d’informations.  Elle élimine d’emblée tout ce qui n’est pas quantifiable.   Donc plus on s’éloigne du monde inanimé,  moins une description mathématique est appropriée. Même parmi les caractéristiques quantitatives, on doit faire un choix. Les mathématiques ne peuvent traiter qu’un nombre très limité de paramètres, et seulement une version très simplifiée de leurs relations.  Donc un modèle mathématique ne reflète que très imparfaitement la réalité.
Le processus d’approximation va encore plus loin. Bien que les équations aient des solutions exactes en théorie, dans tous les cas, sauf les plus simples, nous ne pouvons les résoudre qu’approximativement.  C’est généralement le cas des équations différentielles, c’est-à-dire des équations indiquant l’évolution d’un système dans le temps et l’espace et sur lesquelles reposent donc les prédictions.  Toute une série d’approximations se produit à nouveau lors de la retraduction de notre théorie mathématique en langage courant, c’est-à-dire de son application dans la réalité concrète, notamment parce ce qu’elle est susceptible d’impliquer des nombres non exacts tels que √2 ou π. 

Par ailleurs, la partie mathématique peut, comme en physique quantique avoir plus d’une interprétation scientifique.

En conclusion, la parfaite exactitude inhérente au formalisme mathématique nous permet un plus grand contrôle sur certaines caractéristiques quantifiables, mais, précisément à cause de cette exactitude, elle est très éloignée de la réalité.

Pour citer Einstein, “Dans la mesure où les propositions des mathématiques se réfèrent à la réalité, elles sont incertaines ; et dans la mesure où elles sont certaines, elles ne se réfèrent pas à la réalité”.  

Imprévisibilité

Il n’est donc pas surprenant que l’imprévisibilité s’ensuit même dans la théorie déterministe la plus simple :

Considérons l’exemple suivant construit par le physicien Max Born. Une particule se déplace sans friction le long d’une ligne droite de longueur l entre deux murs.  Lorsqu’elle atteint l’extrémité de la ligne, elle rebondit. Supposons que sa position initiale est donnée par le point x0 sur la ligne et sa vitesse initiale est vet que l’imprécision de nos mesures initiales est de Δx0 et Δv0. Selon la première loi de Newton, à un instant t, il devrait se trouver au point x = x0 + tv0. Cependant, selon la même loi, notre prédiction de sa position à l’instant t s’écartera de cette valeur de Δx = Δx 0 + t Δv0. Ainsi notre erreur va continuer à augmenter avec le temps. Après un temps critique tc = l/ Δv0, cet écart sera supérieur à la longueur l de la ligne. En d’autres termes, pour tout instant t > tc, nous ne pourrons plus du tout prédire la position de la particule.  Elle pourrait se trouver n’importe où sur la ligne.
Nous pouvons perfectionner nos instruments de mesure et réduire l’imprécision initiale, mais nous ne pourrons jamais nous en débarrasser complètement. Tout ce que nous ferons, c’est étendre l’intervalle de temps dans lequel la prédiction est possible.

Cet exemple concerne un système fermé simple et idéal. Dans le réél, d’innombrables facteurs sont impliqués, aggravant l’imprévisibilité. En gros, à cause d’erreurs inévitables, notre capacité à savoir ce qui se passe au-delà d’un certain temps peut être limitée d’une manière qu’aucun progrès technique ne peut surmonter.
Dans nos calculs effectués par ordinateur, il peut arriver que de minuscules erreurs se propagent et s’accroient.  En effet, la manière codée dont un ordinateur aborde les calculs internes implique une erreur d’arrondi. L’erreur survient également lorsque le résultat en langage codé est retraduit sous la forme imprimée sur l’écran.

Observation à l’âge informatique

L’informatisation ajoute également de nouvelles problématiques à l’acte d’observation. On sait depuis bien avant l’ère chrétienne que l’observation, résultat d’une collaboration complexe entre nos sens et notre esprit, est loin d’être neutre et peut être trompeuse.

Depuis, les instruments d’observation ont introduit toute une série de nouvelles complications, en dépit des possibilités insoupçonnées qu’ils ont ouvertes. Outre l’introduction d’erreurs, l’étude des événements de notre espace-temps quadridimensionnel à partir de représentations symboliques unidimensionnelles ou bidimensionnelles soulève la question de la perte d’informations. Plus important encore, les ordinateurs sont constitués de processus algorithmiques représentés par des 0 et des 1, et sont donc sévèrement limités par des prémisses trop simplifiées. Ils ne peuvent pas aller au-delà de celles-ci, ils ne peuvent pas inférer.  On peut donc se demander s’ils ne peuvent détecter que ce qui correspond à nos idées préconçues.

En fait, le problème s’aggrave à mesure que le processus d’observation est de plus en plus automatisé, éliminant ainsi l’observateur humain : la machine observe et interprète. C’est encore pire lorsque l’observation est supprimée et que les conclusions sont basées sur des simulations et non sur des expériences réelles, comme c’est de plus en plus le cas. Ces problèmes soulèvent bien des question en ce qui concerne notre connaissance du monde microscopique.   Elle dépend entièrement des instruments.  Nous n’avons pour ainsi dire aucune représentation non filtrée pour comparer l’image qu’ils nous donnent.  En plus pour l’observer, le plus souvent non seulement les échantillons sont retirés de leur environnement, mais il faut le plus souvent les préparer, notamment par une technique de coloration.  Il y a donc adultération.

Généralisation                                                                                         

Tout cela remet en cause le processus de généralisation, c’est-à-dire de déduction de principes, à partir de données qui ne peuvent être que limitées. Le problème de généralisation est encore plus sérieux car l’observation peut être reproduite, mais ne sera jamais similaire.  Donc, dans quelle mesure les résultats doivent-ils être similaires pour être acceptés comme justification d’une conclusion donnée ? La question se pose d’autant plus que nous n’essayons pas simplement de déduire la couleur des cygnes à partir d’observations répétitives, mais de déduire des principes de base à partir de l’observation d’une grande variété de cas dissemblables.  Trop peu de données peuvent nous conduire à des modèles erronés, et donc à des prédictions erronées.

Plus le nombre de paramètres est élevé, plus la sensibilité des résultats aux conditions initiales est grande, moins on peut s’attendre à ce que les résultats de nos expériences restent proches. Qui plus est, les résultats peuvent dépendre de l’interprétation et du protocole appliqué. Obtenir des résultats cohérents pourrait donc s’avérer difficile. Donc combien de fois une expérience doit-elle être reproduite avant que ses résultats puissent être acceptés ?

Fondamentalement, la question de savoir quand la vérification expérimentale peut être considérée comme satisfaisante n’a pas de réponse claire. On ne peut pas nécessairement affirmer qu’elle doit dépendre du succès de ses applications, car leur inconvénient peut prendre un certain temps avant d’être remarqués. Même lorsqu’une hypothèse est élaborée dans le meilleur esprit scientifique, des failles sérieuses peuvent rester non identifiées pendant des décennies, précisémment car notre observation reste limitée, ne serait-ce que pour des raisons techniques.

Quand est-il alors raisonnable d’appliquer une hypothèse, c’est-à-dire de construire de nouvelles hypothèses reposant sur elle ou de l’utiliser technologiquement ?

Hypothèses

Il ne peut y avoir de science sans hypothèses.  On doit d’abord avoir établi une relation à l’univers avant que nous puissions même penser scientifiquement.  En d’autres termes, la métaphysique précède toujours la science.  Plus généralement,  la science reste fondée sur des hypothèses qu’on oublie car elles sont cachées et devenues trop familières.   Celles-ci peuvent fortement influencer les théories que nous élaborons.

Par exemple, les prédictions mathématiques impliquent l’intégration. Derrière ce concept se cache l’hypothèse de l’uniformité selon lequel les processus seraient restés les mêmes à travers le temps et l’espace. Cette hypothèse est à la base de toute généralisation. L’uniformité était présumée très limitée par le Bouddha. C’est Démocrite qui a introduit sa version la plus extrême comme principe scientifique de base. Galilée est resté prudent. Il a été réaffirmé d’abord par les physiciens au  XVIIe siècle, puis par les géologues, pour qui les taux des processus géologiques sont restés les mêmes au fil du temps.

Cependant, à cause de l’imprévisibilité, nous n’avons aucune idée dans quelle mesure l’uniformité tient.  Il vaut donc mieux rester prudent en ce qui concerne les phénomènes lointains.

D’ailleurs l’uniformité dans le temps a été remise en question par des découvertes géologiques depuis les années 1960 qui suggèrent que des cataclysmes uniques ont modifié de façon critique les conditions existantes dans l’histoire de notre planète.

Les Limites de la science

Pour toutes ces raisons, bien qu’étant la forme de connaissance la moins fantaisiste, nous ne pouvons pas savoir si la science peut nous conduire à des vérités. Notre compréhension scientifique est constamment approfondie.  Elle nous éloigne donc des contre-vérités.  En effet, la science ne peut pas sciemment nous dire des contre-vérités.  À tout moment, elle doit se conformer à toutes les données connues.  On améliore nos approximation certes.  Mais dans l’infinitude du monde, cela nous rapproche-t-il d’une quelconque vérité ? 

Le doute est donc caractéristique d’une approche scientifique. La science remet en question les idées reçues. L’importance du doute a été souligné par les penseurs scientifiques de toutes les époques et traditions. Les théories ne doivent pas être rejetées, mais leur acceptation ne doit pas être passive.

Procéder scientifiquement, c’est reconnaître que la science est une “philosophie de la nature”, même si elle se distingue des autres philosophies en “interrogeant la nature elle-même pour obtenir des réponses à ce qu’est la nature”. Procéder scientifiquement, c’est espérer que nos pensées scientifiques sont en harmonie avec la nature, car sinon nous serions incompatibles avec les conditions de vie données, mais c’est aussi reconnaître que la science est loin d’être objective. Elle présuppose toujours l’existence de l’homme et nous devons prendre conscience que nous ne sommes pas de simples observateurs mais aussi des acteurs sur la scène de la vie.

 3.  De la science au dogme

Rester sur la voie scientifique demande prudence. Il est facile de s’en écarter. 
Il ne faut cependant pas confondre des erreurs sincères avec une quelconque dogmatisation.  C’est par l’erreur qu’on avance d’autant plus qu’à chaque époque, dans chaque culture, la science est tributaire par les pensées et les techniques d’observation existante.  Ainsi, c’est interpréter la physique newtonienne de manière anachronique que de lui appliquer notre compréhension actuelle et de la considérer comme faussée.  Elle reste suffisamment satisfaisante pour certains phénomènes courants du moment que les vitesses impliquées sont bien inférieures à celle de la lumière.  

Cela dit, la nature de la science a été très bien estimée depuis des millénaires, par exemple par certaines écoles de pensées dans l’Inde ancienne.  Elle a aussi fait l’objet de discussions passionnées au tournant du 20e siècle lorsque les problématiques du positivisme étaient devenues claires.  Donc, la déformation de la science moderne en dogme est facilitée par ses faiblesses intrinsèques, mais pour la comprendre, il faut la placer dans le contexte économique.

Or au 19ème siècle, on a transformé le capitalisme marchand en capitalisme financier.  La  perspective de maximisation du profit qui s’est peu à peu mise en place exige une croissance matérielle incessante, et donc une production toujours plus efficace.

Par conséquent, la technologie doit s’appuyer sur des recherches avancées pour accroître l’efficacité, générant des modifications incessantes et croissantes de notre environnement.  Celui-ci devient de moins en moins adapté à la vie humaine.  Le fait qu’une chose semble temporairement réalisable ne garantit pas sa compatibilité avec le maintien des conditions nécessaires à la vie humaine à moyen et long terme, ni même à court terme : les problèmes de santé et d’environnement ont rapidement suivi et n’ont cessé d’augmenter.  Puis, un stade a été atteint où, pour maintenir le cap, la recherche a perdu de plus en plus sa nature scientifique et en est venue à trahir la science elle-même.  

En d’autres termes, la science s’est transformée en pseudo-science.  Il s’agit d’un ensemble de principes qui se réclament de la science, mais qui n’en présentent pas les caractéristiques, en particulier qui ne reposent pas sur un raisonnement fondé sur l’observation, reproduite et reproductible.  Il s’agit donc d’une croyance.  

Les recherches actuelles peuvent trop souvent être qualifiées de telles. L’ampleur des dérives est difficile à mesurer car une condition de base – la transparence – sans laquelle il ne peut y avoir de science, car les conclusions restent invérifiables, est aujourd’hui communément ignorée, sous couvert de concurrence ou de secret d’État.

Selon Richard Horton, rédacteur en chef du prestigieux Lancet, “une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, pourrait être tout simplement fausse. Affligée par des études portant sur des échantillons de petite taille, des effets minuscules, des analyses exploratoires invalides et des conflits d’intérêts flagrants, ainsi que par l’obsession de suivre des tendances à la mode d’importance douteuse, la science a pris un virage vers l’obscurité “.

 Des conclusions infondées

 Prenons deux exemples.

1) Sur la base d’hypothèses et d’une théorie purement mathématique, il avait été extrapolé à partir d’expériences menées avec des rayonnements électromagnétiques (REM) “dans les bandes visibles, ultraviolettes et des rayons X”, c’est-à-dire avec des “fréquences supérieures à la limite inférieure de l’infrarouge”, que tous les REM sont quantifiés, c’est-à-dire constitués de photons.  Ce n’est qu’en 2015, qu’on a expérimentalement vérifié cette affirmation et trouvé qu’elle était erronée pour les REM inférieurs à la limite inférieure de l’infrarouge, ce qui inclut tous les REM dûs à nos antennes –  une raison pour laquelle ces rayonnements sont préjudiciables à la santé humaine.

2)  La thèse virale est aussi une hypothèse.  Contrairement au cas de la quantisation du REM venant des antennes, elle n’a pas été prouvée fausse. [NDLR En fait, les travaux de Stefan Lanka — qui a notamment eu recours à des expériences de contrôle — tendent à nettement démontrer (depuis quelques années) la fausseté de la théorie virale. Voir le dossier Vaccins et virus.]  Mais aucune particule n’a jamais été observée d’abord dans l’air, puis entrant dans le corps, et devenant la source d’une maladie.  Le virus demeure donc de l’ordre du concept.  Est-ce une hypothèse utile ? Peut-être les unicornes ou les fantômes seraient des hypothèses utiles pour expliquer  certains phénomènes.  Mais une conclusion scientifique doit être fondée sur l’observation reproductible, et ce n’est certes pas le cas.  Et donc on peut développer le concept d’un anti-virus, tel un vaccin.  Mais on ne peut en aucun cas fabriquer matériellement un vaccin contre quelque chose dont l’existence matérielle n’est pas prouvée.  Et on ne peut élaborer des politiques sur des hypothèses qui demeurent invérifiées à ce jour.  Le débat sur la pertinence de telle ou telle hypothèse doit rester interne au monde scientifique, et c’est ainsi que nous évoluons dans notre compréhension.

Les tentations financières

La recherche est désormais pleinement ancrée dans le capitalisme de marché, qu’elle a d’abord rendu possible et continue de rendre possible. Les gains financiers sont devenus un motif principal dans une culture où de plus en plus de chercheurs créent eux-mêmes des entreprises privées pour exploiter financièrement leurs résultats.

Suite à des politiques délibérées visant à transférer le financement de la recherche des organismes publics aux organismes privés, de nombreux membres de la hiérarchie de la nouvelle Église du scientisme sont des bénéficiaires personnels des largesses de divers groupes d’intérêt. La corruption est désormais endémique et les conflits d’intérêts compromettent sérieusement les activités de recherche. Seuls les conflits directement liés à un travail donné doivent être divulgués, à savoir tout financement direct qui pourrait influencer ses conclusions. Cette obligation est facilement contournée : les faveurs peuvent prendre de nombreuses formes, de la nomination en tant que consultant à la participation à des conseils d’administration d’entreprises. Lorsque les généreux donateurs des universités, des laboratoires de recherche et des sociétés scientifiques incluent certains des conglomérats multinationaux les plus puissants, tout travail effectué dans leur enceinte peut-il être vraiment désintéressé ?

De la connaissance à la production

Cette corruption va de pair avec la transformation des objectifs de la science depuis le tournant du 20e siècle afin de se plier aux exigences d’un capitalisme financiers : de comprendre, l’objectif est devenu produire.  Le début du 20e siècle a vu l’émergence du chercheur-technologue, tout d’abord en chimie, puis en physique, et depuis en biologie.

Cet asservissement de la recherche à l’idéal économique est notamment entretenu par une culture de prix.  Celle-ci a été initiée par un industriel de premier plan du complexe militaro-industriel naissant, Alfred Nobel, précisément au moment où le contrôle de la recherche devenait indispensable. Elle contribue à mettre en avant les individus et les sujets qui se consacrent à cet idéal.  La forte subjectivité qui sous-tend les décisions est occultée puisque, contrairement à la science, le nouveau credo de la pseudo-science professe une objectivité dépourvue de valeurs.

Cela ne veut pas dire que des œuvres d’exception ne sont jamais reconnues à leur juste valeur.  Mais il est préférable qu’elles contribuent au maintien des objectifs économiques. Einstein n’a reçu le prix Nobel que pour ses travaux sur les effets photoélectriques.

Mais les prix ont contribué à l’ascendant qu’a pris la pseudo-science puisque c’est elle qui peut soutenir la production.

Par exemple, l’un des premiers prix Nobel (en chimie) a été attribué à Fritz Haber pour la synthèse de l’ammoniac.  Or la méthode de production des molécules artificielles ne reproduit pas le processus naturel et donc leur géométrie diffèrent de leurs équivalents naturels.  L’approche scientifique correcte aurait donc été d’étudier leur impact sur l’environnement et la santé humaine.

Marie Curie a eu le prix deux fois et donc il serait normal de croire selon le critère du prix que ses travaux sont plus importants que ceux d’Einstein.  Ils le sont certes du point du vue du profit.   Son objectif était circulaire : étudier les propriétés de la radioactivité pour accroître incessamment la production.  Toutes les tragédies liées à ces travaux étaient pour développer la radiothérapie comme traitement du cancer.  Or ici aussi nous avons un schéma circulaire : l’application de radiations pour soulager une maladie qui était  relativement rare comparée à d’autres maladies et dont elle a contribué à augmenter la prévalence.

De plus en plus, la recherche est devenue une affaire de machines colossales exigeant un financement colossal dans une poignée de sites colossaux.  Donc elle est basée sur des expériences ponctuelles qui ne sont pas reproductibles à volonté, ne serait-ce qu’en raison de l’infrastructure nécessaire.  Cette dépendance excessive à l’égard de la technologie nous fait oublier que les processus créés artificiellement dans les laboratoires peuvent très bien ne pas correspondre à leurs équivalents réels.

Par exemple, dans les années 1950, on a découvert dans des conditions créées en laboratoire que de la matière organique pouvait émerger de ce que l’on pourrait décrire grossièrement comme une soupe de méthane.   En raison de ce succès, on a oublié que cela n’implique pas que c’est ainsi que les choses se sont passées.  Et en effet, la première étude expérimentale visant à reconstituer cette atmosphère primitive sur la base de preuves empiriques réelles, réalisée en 2011, indique qu’au contraire, elle ne pouvait pas être aussi pauvre en oxygène qu’on le pensait.

Une inversion de la relation entre les mathématiques et la science

La prise de contrôle progressive de la science par la pseudo-science se reflète dans le renversement progressif de la relation entre la science et les mathématiques.

Avec l’importance croissante de la production industrielle, les mathématiques ont acquis une plus grande primauté au sein de la science car c’est par le mesurable que la science peut-être convertie en technologie.

La première grande étape a été la naissance de l’informatique dûes aux exigences de la technologie lorsque la physique et les mathématiques et la technologie ont été amalgamés en un seul domaine.  Cette synthèse s’est certes avérée très constructive, mais comme elle a été réalisée dans une perspective de profit, elle a également contribué à maintenir sa maximisation.  Dans ce processus, les mathématiques ont discrètement pris la place du conducteur.

Les applications mathématiques dépendent de notre objectif et ne sont pas limitées par la nécessité de se conformer à la réalité, contrairement à la science.  Ainsi, le fait de céder le leadership aux mathématiques a largement contribué à l’émergence de la pseudo-science. Ce renversement est aussi la consécration de la perspective matérialiste puisque les mathématiques ne peuvent pas prendre en compte le facteur de la vie. 

La seconde étape a été la création de la bio-ingénierie, un des secteurs dont la croissance est des plus rapides.  On en est venu à considérer la vie comme un immense ordinateur dont les programmes sous-jacents peuvent être transformés à volonté. Ainsi, la vision mécaniste de la nature a été adaptée à la nouvelle phase technologique dans laquelle nous sommes entrés. 

Les mathématiques via l’informatique mène maintenant son processus au stade final, où l’intelligence y est réduite à une quantité mesurable et la connaissance à des flux d’informations, c’est-à-dire à  l’intelligence artificielle qui au final doit nous conduire au transhumanisme – la fusion totale de la vie avec la machine au poste de pilote.

Il y a cependant une erreur de base avec une virtualité fabriquée par une machine qui nie notre réalité donnée. Les “réalités” n’étant pas des “fantômes”, l’écrivain Charles Dickens a prévenu qu’il y avait “un plus grand danger de les voir s’engouffrer” tôt ou tard.

4.  Science et avenir

Donc, le problème auquel nous sommes confrontés est la déformation de la science en une pseudo-science responsable des périls causés par l’homme.  En revanche, malgré toutes ses faiblesses, une approche fondée sur l’observation et la raison est certainement la mieux adaptée à l’étude de la réalité perceptible. Rejeter la science, c’est renoncer à la formidable possibilité de percer certains des mystères de la nature, même si ce n’est que superficiellement, même si nous finissons toujours par trouver que nos conclusions précédentes n’étaient pas tout à fait correctes.   Rejeter la science, c’est rejeter notre principal outil de survie.

Éducation

Il est donc d’abord essentiel de distinguer la science de sa déformation.  Pour cela, il faut développer une certaine appréciation non seulement de la technique de la science, mais aussi de sa nature.  La science n’est pas l’affaire des experts.  L’amateur doit réclamer son droit non seulement de comprendre, mais aussi de juger selon ses propres lumières. Tout le monde est capable de comprendre les idées qui se cachent derrière la partie technique.  Pour apprendre à le faire, le meilleur moyen est de lire les œuvres des esprits scientifiques pionniers. Qui mieux qu’eux pour expliquer le pourquoi et le comment des idées qu’ils ont contribué à élaborer.

Cependant, la seule véritable façon de dissiper la confusion entre science et pseudo-science est de veiller à ce que l’éducation dispensée aux générations futures nourrisse l’intuition scientifique qui nous est innée.  Assimiler l’esprit de la science revient à apprendre à penser par soi-même en se basant non pas sur des dogmes, mais sur une évaluation correcte de la gamme d’informations disponibles.  Il faut pour cela que  l’instruction de la technique soit mise dans le contexte d’une discussion sur la nature de la science.

Il existe plusieurs façons d’y parvenir et toutes ne conviennent pas à chaque élève.  C’est pourquoi le pluralisme est indispensable dans le type d’enseignement proposé, tant à l’école qu’à l’université.

Réduire la portée des recherches nuisibles

La question d’éthique

Jusqu’à présent, le débat s’est concentré sur les questions d’éthique.  Pourtant, les problèmes n’ont pas été résolus. Au contraire, ils continuent de s’aggraver. 

L’éthique influence assurément la science. Fonder la science sur des valeurs propices à un avenir plus serein peut sembler la meilleure voie à suivre. Mais est-ce vraiment le cas ? Quelles devraient être ces valeurs ?

Les débats éthique restent inefficaces.  D’autre part, restreindre la recherche dans un quelconque cadre éthique est préjudiciable à la science.  Fixer des limites à l’esprit humain érode le dynamisme créatif essentiel aux civilisations. La forme que prend la créativité est imprévisible, et il faut donc lui donner libre cours. 

Le débat doit être déplacé sur un plan moins controversé.

Les périls créés par l’homme sont le résultat d’une recherche clairement non scientifique.  Le débat devrait donc porter sur la nature scientifique d’une recherche. Il est vrai que l’on ne peut s’attendre à ce que la science soit définie de manière précise ou à ce qu’elle fasse l’objet d’un consensus suffisant.  Cependant, il est possible d’identifier clairement ce qui n’est pas scientifique.  Ce sont des recherches contredites par des études fondées sur des bases empiriques solides, des recherches fondées sur des observations non reproductibles à volonté, ou dont les conclusions découlent d’un raisonnement non corrélé aux données fournies.   Cela permettrait notamment de réduire considérablement les expériences controversées, voire d’y mettre fin.

Par exemple, le domaine de la médecine continue à être basé sur l’expérimentation animale bien que celle-ci soit sans cesse dénoncée pour des raisons éthiques depuis plus d’un siècle.  Aujourd’hui comme hier, la réponse est que des vies humaines sont sauvées en conséquence.  Or, en raison des dissemblances biologiques entre les autres espèces et nous, l’extrapolation aux humains est rarement justifiée et peut même s’avérer préjudiciable. En d’autres termes, ces expériences sont superflues et la science n’est certainement pas une question d’effectuer des expériences pour le plaisir de le faire.

Parallèlement, la transparence de toutes les recherches devrait être légalement imposée.  C’est loin d’être le cas aujourd’hui.

Recherches et argent

Cela dit, la raison d’être de la pseudo-science est la recherche du profit.  Le lien entre l’argent et la recherche doit donc être rompu.  Pour cela, il faut bien sûr empêcher toute personne ayant des intérêts particuliers d’exercer une influence fâcheuse sur la recherche.  L’anonymat empêcherait le donateur de choisir le bénéficiaire. Car l’objectif de la science a été transformé en un moyen pour faire du profit.  Mais cela va plus loin : l’activité scientifique elle-même a été transformée en une activité génératrice de richesse, grâce à l’élaboration de la notion de propriété intellectuelle et de brevets.  Par conséquent, la valeur d’un travail scientifique dépend désormais de la quantité d’argent qu’il génère. Or, ce n’est pas que la science soit au-dessus ou au-dessous de l’argent, elle n’a simplement aucun rapport avec lui. Ainsi, le choix d’un critère inapproprié pour la science a contribué à sa déformation.  Donc il serait utile de discuter de la suppression des lois sur les brevets et de la manière d’y parvenir.

Spécialisation à outrance

Une trop grande surspécialisation empêche non seulement l’étude correcte des questions les plus fondamentales et les plus urgentes, car elles chevauchent généralement plusieurs domaines, mais aussi l’identification de ces questions.

Pour remédier à ce problème, on pourrait transformer les universités en petites communautés savantes sans aucune barrière de domaines et de rendre les études de universitaires moins spécialisées. Certes le nombre d’années d’étude augmentera. Mais la rapidité de la formation actuelle résulte de l’état d’esprit des siècles derniers. Elle a perdu de sa pertinence avec une durée de vie plus grande et des technologies qui nous libèrent de diverses corvées en les mécanisant.

Quelle science pour l’avenir ?

En ce qui concerne la science elle-même, la question est de savoir quelle forme elle doit prendre.  L’objectif devrait être de réduire ses faiblesses.

Les images de Maurits Escher montrent à quel point nous sommes peu capables d’appréhender la complexité de la réalité.  Même dans le cas de deux motifs entrelacés, le cerveau humain ne peut en observer qu’un seul à la fois. En d’autres termes, toute lumière provenant d’une seule perspective n’éclaire que certains aspects.  Ces aspects peuvent même apparaître différents selon différentes perspectives. 

Or chaque forme que prend la science est fondée sur des hypothèses.   Par conséquent, chacune d’entre elles peut passer à côté d’aspects critiques.  La science doit donc être rétablie dans toute sa diversité. 

Commencer par une synthèse des différentes formes que la science a prise au cours de l’histoire pourrait s’avérer utile et aboutir à des modes de pensée radicalement nouveaux.   Il serait stupide de rejeter d’emblée le vaste réservoir de connaissances déjà développé dans les différentes cultures à différentes époques et de tâtonner dans l’obscurité.

La pertinence des approches anciennes dans le contexte moderne est soulignée par l’exemple du mathématicien Srinivas Ramanujan : les résultats qu’il a obtenus en suivant une tradition qui remonte aux âges védiques se sont avérés essentiels dans la physique moderne la plus sophistiquée.

Bien sûr les méthodes éprouvées ne doivent pas être abandonnées, mais complétées par d’autres, en tenant compte des nombreuses évolutions de notre perception de la réalité induites par la science elle-même. 

Bref, tout comme avec l’éducation, ce n’est que par le retour d’un véritable pluralisme que nous pouvons tenter de surmonter quelques unes des lacunes de la compréhension humaine. 

Applications scientifiques

Ce n’est qu’après avoir atteint une compréhension théorique étendue et approfondie que l’on peut commencer à penser aux applications technologiques.  Comme l’ont proposé Ralph et Mildred Buchsbaum il y a un demi-siècle, “la charge de la preuve … de [l’absence] de préjudice marqué pour l’homme” devrait être légalement “placée sur l’homme qui veut introduire un changement”. Aujourd’hui, la preuve d’un préjudice réel doit être apportée par les victimes. Mais il n’est pas réaliste de compter sur la science pour identifier la cause exacte d’un dommage.  En effet, la science est dans l’ensemble incapable de démêler l’écheveau de plus en plus complexe des causes et de désigner un coupable. Ou, lorsqu’elle y parvient, c’est un processus de longue haleine ; entre-temps, des dommages sont créés, parfois irréversibles.  Trop souvent, il subsiste un doute raisonnable. Cela met les populations à la merci de jugements juridiques qui reposent sur des détails techniques et sur l’opinion de ceux qui les rendent.

Une fois que le public a donné son assentiment à un type particulier d’applications, des expériences encore plus minutieuses doivent être menées pour s’assurer que les effets collatéraux n’auront pas d’impact négatif sur nous. En d’autres termes, nous devons nous donner du temps avant d’introduire des éléments nouveaux dans la nature ; seules des expériences soigneusement menées dans des environnements naturels et sur des périodes de temps suffisamment longues peuvent nous aider à faire la différence entre les applications dont le principal problème est l’utilisation excessive, et qui peuvent donc être utilisées dans certaines limites, et les applications qui posent d’autres problèmes. 

5. Conclusion 

Revenons à la question initiale :  qu’est-ce que la science si elle est dans un flux constant ?

C’est la tentative désordonnée, mais héroïque, de l’esprit humain de comprendre le fonctionnement de l’univers en s’obstinant face à des obstacles insurmontables, face à une compréhension insaisissable, malgré d’innombrables échecs et erreurs.  Ces erreurs à leur tour donnent lieu à de nouveaux questionnements auxquels il faut répondre. La connaissance scientifique est ce qui se rapproche le plus des certitudes, mais elle est incapable d’offrir des certitudes parce que les certitudes sont incompatibles avec notre condition humaine.

Malgré l’emprise de la pseudo-science, cette vraie science a continué de faire son chemin.  Au cours des deux derniers siècles, la science que nous avons développée a ébranlé la croyance en une réalité manifeste composée de substances matérielles interagissant selon des règles mécaniquement rigides.  D’une réalité de substances isolées, elle en est venue à considérer chaque chose comme faisant partie d’un tout.  Ce tout ne peut être réduit à la somme de ses parties.  Inversement, aucune partie ne peut être expliquée indépendamment de ce tout.  Et pourtant chaque partie individuelle a sa propre importance et reflète le tout de différentes manières.  Bref, notre compréhension scientifique prend de plus en plus en compte la complexité de notre réalité.

Il ne tient qu’à nous de rétablir la science à sa juste place dans un environnement favorable où les scientifiques seront enfin libres de se concentrer sur des sujets constructifs de leur choix.  Aujourd’hui, trop doivent gaspiller leurs talents et leurs efforts à contrer les mensonges élaborés et propagés au nom de la science.

Dans ce contexte, les activités industrielles aussi ne seront pas nécessairement nuisibles, mais bénéfiques à l’humanité.




Démantèlement de l’hypothèse virale

[Traduction : Jean Bitterlin]

[Source allemande : https://wissenschafftplus.de/uploads/article/Wissenschafftplus_Viren_entwirren.pdf
WISSENSCHAFFTPLUS – Das Magazin 6/2015]

Le « virus de la rougeole » comme exemple. Les raisons pour lesquelles on devrait douter au sujet des affirmations concernant les virus. Que sont les virus et que ne sont-ils pas ? Comment l’existence des virus est-elle expérimentalement prouvée ?

[Du même auteur ou concernant ses publications et travaux :
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Besoin urgent d’agir en ce qui concerne le SARS-CoV-2 et la vaccination obligatoire contre la rougeole
L’invention du SARS-CoV-2
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
L’interprétation erronée du virus — 2e partie
La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés

Autres articles sur la fausseté de la théorie virale :
Démontage de la théorie virale
Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal
L’enterrement de la théorie virale
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
L’effondrement de l’hypothèse virale
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
VIRUS TUEUR ??
Dr. Claus Köhnlein – Du SIDA au Covid-19 : une arnaque qui dure depuis plus de 40 ans
Repenser le SIDA
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio
Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Dr Kary Mullis : Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH
Dr Valentina Kiseleva – Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
La poliomyélite, une escroquerie médicale de plus ?
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire]

Par le Dr Stefan Lanka

Les scientifiques doivent douter. Ils doivent même douter de tout. Surtout de ce qui leur est cher, à savoir leurs propres découvertes et représentations. Cette règle de base du travail scientifique a pour but d’éviter les dérives et de mettre en évidence celles qui existent. De même, tout le monde a le droit de douter, si ce n’était pas le cas nous serions en dictature. De plus, la science n’est pas limitée à quelques institutions et spécialistes. Toute personne, disposant des connaissances nécessaires et des méthodes appropriées, peut et a le droit de pratiquer la science.

La science n’est science que si les affirmations sont vérifiables et compréhensibles et permettent des prédictions. La science a besoin d’un contrôle extérieur, car, comme nous le verrons, une partie des sciences médicales s’est depuis longtemps éloignée de la réalité sans même s’en rendre compte. Quiconque connaît la biologie, l’origine de la vie, la structure et le fonctionnement des tissus, du corps et du cerveau, mettra automatiquement en doute les affirmations concernant les virus.

Dans la réalité du corps et de ses mécanismes, il n’y a pas de place pour l’hypothèse d’une action malveillante. Tous les processus qui se déroulent, y compris ceux qui peuvent déboucher sur des maladies, des souffrances, des douleurs et la mort, sont à l’origine destinés à être utiles.

Une autre approche du phénomène viral est également possible et nécessaire : tout profane disposant de quelques connaissances de base et qui lit des publications scientifiques sur les virus pathogènes reconnaît qu’il n’y apparaît pas de virus, mais des composants et des caractéristiques typiques des cellules. C’est cette connaissance de base que nous voulons transmettre dans cet article.

Les origines de l’idée

L’idée actuelle du virus est basée sur des idées très anciennes selon lesquelles toutes les maladies sont causées par des poisons et que l’homme retrouverait la santé en créant des antidotes. Il est vrai que quelques maladies sont causées par des poisons. L’idée qui a suivi selon laquelle le corps retrouve la santé par la formation ou l’administration d’antidotes a été déduite du fait qu’en augmentant lentement les quantités de poison, par exemple de l’alcool, le corps ainsi entraîné est en mesure de survivre à de plus grandes quantités de poison. Ce qui est faux, il n’y a pas de formation d’antidotes, mais le corps produit des enzymes qui décomposent et neutralisent les poisons.

En 1858, Rudolf Virchow, le fondateur de la médecine moderne, a plagié le savoir, supprimé l’essence du savoir et érigé une vision erronée des causes des maladies en dogme efficace encore en vigueur aujourd’hui. Toutes les maladies sont censées naître dans la cellule(([1] Voir les explications sur la vie et l’impact de Virchow dans WissenschafftPlus n° 5/2015 et n° 6/2015.)). Avec sa pathologie cellulaire, Virchow réintroduisait dans la médecine la théorie antique des humeurs, réfutée à son époque, et prétendait que les maladies étaient causées par des poisons pathogènes, en latin « virus ».

Lors de la recherche des poisons des maladies, recherche qui est restée infructueuse jusqu’à aujourd’hui, on a supposé, en découvrant et en étudiant les bactéries, que ces dernières produisaient ces poisons. Cette supposition, appelée « théorie des germes », a connu, et ce jusqu’à aujourd’hui, un grand succès. À un tel point que la population n’a pas pris connaissance que ce que l’on appelle les poisons bactériens est en réalité des enzymes normales qui ne peuvent pas être produites chez l’homme et qui, si elles le devaient tout de même, ne seraient jamais produites en une quantité suffisante pour être dangereuses.

Ensuite on découvrit que les bactéries, lorsqu’elles sont lentement privées de leurs moyens de subsistance, forment de minuscules formes de survie, d’apparence inerte, appelées spores. On a supposé que les spores étaient toxiques et qu’elles étaient les poisons présumés des maladies. Cela a été réfuté, car les spores donnent très rapidement naissance à des bactéries lorsque les conditions de vie sont à nouveau réunies. Lorsqu’on a observé que des bactéries instables et hautement cultivées pouvaient mourir rapidement et se transformer en structures encore plus petites que les spores, on a d’abord cru que les bactéries avaient été tuées par les poisons pathogènes présumés, appelés virus, qui se seraient multipliés.

Parce qu’on croyait que ces structures — encore invisibles lors de leur découverte — tuaient les bactéries, on les a appelées phages, les « mangeurs de bactéries ». Ce n’est que plus tard que l’on a constaté que seules des bactéries très fortement cultivées, et devenues de ce fait presque inaptes à la vie, pouvaient être transformées en phages ou lorsqu’elles étaient très rapidement privées de leurs moyens d’existence, de sorte qu’elles n’avaient pas le temps de former des spores.

Avec l’introduction de la microscopie électronique ont été découvertes les structures en lesquelles les bactéries se transforment lorsqu’elles sont soudainement privées de leurs moyens de subsistance ou lorsque le métabolisme de bactéries hautement cultivées est soumis à rude épreuve par l’administration de « phages » aux bactéries. On a alors découvert qu’il existait des centaines d’espèces de « phages » d’apparences différentes. On pensait que les « virus » supposés des hommes et des animaux ressemblaient également à cela. La découverte des phages, les « virus » des bactéries, a renforcé l’idée erronée et la croyance que les « virus » existaient également chez les hommes et les animaux et qu’ils avaient les mêmes apparence et structure. Pour diverses raisons, ce n’est pas et ne peut pas être le cas.

Avec l’application des techniques d’analyse chimique en biologie, on a découvert qu’il existe des milliers d’espèces de phages et que les phages d’une même espèce ont toujours la même structure. Ils sont constitués d’une molécule spécifique, constituée d’acide nucléique, entourée d’une enveloppe de protéines de nombre et de composition déterminés. Ce n’est que plus tard que l’on a découvert que ce n’est que dans un laboratoire que les bactéries hautement cultivées se transforment elles-mêmes en phages par contact avec des phages, mais que les bactéries provenant de la nature ou celles qui viennent d’être prélevées dans leur environnement naturel ne font jamais cela. On a alors découvert que ces « virus des bactéries » servaient à offrir des molécules et des protéines importantes à d’autres bactéries et que les bactéries elles-mêmes étaient issues de telles structures.

Avant même qu’il ne devienne évident que les « virus des bactéries » ne peuvent pas tuer les bactéries naturelles, mais les aident à vivre et que les bactéries elles-mêmes sont issues de telles structures, ces « phages » ont servi de modèle aux virus supposés chez l’homme et l’animal. On supposait que les virus de l’homme et de l’animal ressemblaient aussi à cela, qu’ils tuaient vraisemblablement les cellules, déclenchant ainsi des maladies, produisant ainsi de nouvelles toxines pathogènes et transmettant ainsi la maladie. Ce réflexe est encore efficace de nos jours, que des maladies nouvelles ou apparemment nouvelles, si l’on ne connaît pas leurs causes ou si l’on n’en prend pas connaissance, sont causées par des virus. Ce réflexe a reçu une apparente confirmation avec la découverte des « virus des bactéries ».

Ici il est important de noter que les théories de la lutte et de la contagion n’ont été adoptées et défendues que par la majorité des spécialistes impliqués dans des pays ou des régions concernés qui souffraient de la guerre et de la misère. En temps de paix, d’autres idées dominaient(([2] Anticontagionisme entre 1821 et 1867 article d’Erwin H. Ackerknecht dans le Bulletin of the History of Medicine, Volume XXII, The Johns Hopkins Press, 1948.)). Il est particulièrement important de noter que la théorie de l’infection n’a pu se mondialiser — en partant de l’Allemagne — qu’avec le troisième Reich, lorsque les chercheurs juifs, qui s’opposaient majoritairement aux théories de l’infection, instrumentalisées politiquement, et les réfutaient, ont été écartés de leurs positions.(([3] l’Institut Robert Koch sous le régime national-socialiste. Livre d’Annette Hinz-Wessels, 192 pages, 2008, Kulturverlag Kadmos Berlin.))

Sur la détection des phages

L’existence des phages a été et est encore rapidement et simplement prouvée dans un premier temps par la confirmation de leur présence par un effet, la transformation des bactéries en phages, et par une image au microscope électronique. Les expériences de contrôle consistent en la non-apparition de phages lorsque les bactéries ne changent pas ou lorsqu’elles se décomposent de manière aléatoire par dégradation externe, sans former de phages.

Lors de la deuxième étape, le fluide contenant les phages est concentré et appliqué sur un autre fluide qui présente une concentration élevée en bas du tube et une concentration plus faible en haut. Ensuite, le tube contenant les phages est fortement centrifugé et toutes les particules qu’il contient se déplacent en fonction de leur taille et de leur masse vers l’endroit de leur propre densité. La densité est le quotient de la masse par le volume, exprimé en kg/litre ou g/ml. C’est pourquoi cette étape de concentration et de purification de particules de même densité est appelée centrifugation à gradient de densité.

À l’endroit où se trouvent de nombreuses particules de même densité apparaît une opacité appelée « bande ». Ceci est documenté et les particules ainsi concentrées et purifiées des autres composants sous forme de « bande » sont prélevées par une aiguille d’injection. La quantité de particules prélevées et concentrées est appelée isolat. La présence effective de phages dans l’isolat est confirmée par une photographie rapide et simple prise au microscope électronique, qui donne en même temps une première indication de la pureté de l’isolat si l’on n’y voit rien d’autre que des phages et aucune autre particule. Cette image permet également de déterminer l’aspect et le diamètre des phages. L’expérience de contrôle consiste à traiter et à centrifuger de la même manière des fluides de bactéries qui n’ont pas produit de phages, sans que ceux-ci n’apparaissent à la fin de l’expérience.

Après cette étape d’isolement réussi des phages, on procède à la caractérisation biochimique décisive des phages. Seule cette caractérisation biochimique de leur composition permet de reconnaître de quel type de phage il s’agit, car les différents phages ont souvent la même apparence. Pour ce faire, l’isolat, la bande obtenue par centrifugation densité-gradient et composée de phages, est divisé en deux parties. Une partie est utilisée pour déterminer la taille, le type et la composition de l’acide nucléique du phage et l’autre partie, dans un autre examen, est utilisée pour déterminer le nombre, la taille et la composition des protéines du phage. Ces analyses sont devenues des techniques standard simples depuis les années 70, que tout étudiant en biologie apprend depuis à maîtriser dès les premiers semestres de son cursus.

Ces études sont appelées la caractérisation biochimique du phage. Dans presque tous les cas, ces connaissances ont été et sont publiées en une seule fois, car un phage a une structure très simple et l’étude de la composition de ses quelques composants est facile. Ici les expériences de contrôle sont la tentative infructueuse de détecter quelque chose de manière biochimique avec des fluides de bactéries qui ne produisent pas de phages. De cette manière, l’existence d’environ deux mille espèces différentes de phages a été scientifiquement prouvée.

La centrifugation à gradient de densité est la méthode standard prescrite scientifiquement pour prouver l’existence des virus.

Bien que cette méthode soit présentée dans presque tous les manuels de microbiologie comme une méthode d’isolement des virus, elle n’est jamais utilisée dans les expériences visant à prouver l’existence de virus pathogènes.

Tube à centrifuger avec des petites billes à gradient avec en surface un échantillon comprenant des virus et des fragments de cellules Tube à centrifuger avec des bandes constituées de virus et de fragments de cellules à la fin de la centrifugation En prélevant la bande constituée de virus, le virus est isolé et purifié des composants cellulaires

Sur l’apparente détection de virus pathogènes

Contrairement aux « phages », correctement désignés comme des mini spores incomplètes et éléments constitutifs des bactéries, les supposés virus pathogènes chez l’homme et l’animal n’ont jusqu’à présent jamais pu être vus dans un homme, un animal ou leurs fluides corporels, ni être isolés de ceux-ci comme des phages et donc non plus caractérisés biochimiquement. Jusqu’à présent, aucun des chercheurs concernés n’a remarqué cela.

Sans se rendre compte que l’on n’avait pas vu et isolé les virus pathogènes présumés chez aucun être humain ou animal, car l’utilisation du microscope électronique et de la biochimie ne s’est normalisée que lentement après 1945, on a appliqué dès 1949 aux virus humains et animaux la même idée que pour les phages pour soi-disant les multiplier. John Franklin Enders, né en 1897, fils d’un banquier fortuné qui après ses études a travaillé deux ans dans des confréries, puis comme agent immobilier, a ensuite étudié quatre ans les langues avant de se reconvertir dans la virologie bactérienne qui le fascinait.

Il a simplement transféré ces idées et concepts qu’il avait appris pour la détection des phages aux virus présumés pathogènes chez l’homme. Avec ses interprétations erronées, non scientifiques et non étayées par des essais de contrôle, il a induit en erreur la médecine infectieuse « virale ». Il est important de savoir que, comme de nombreux infectiologues, Enders travaillait également pour l’armée, qui était et est toujours la victime de la peur de la contagion. C’est principalement l’armée qui a cru et répandu l’idée qu’il existait, en plus des armes chimiques, des armes biologiques sous forme de bactéries et de virus, ce qui n’est pas le cas.

En 1949, Enders a publié qu’il avait réussi à cultiver et à multiplier le virus présumé de la polio sur un terrain de cellules tissulaires dans un tube à essai. Le milieu d’experts américain y a cru d’emblée. Enders a simplement donné des fluides de personnes diagnostiquées avec la polio sur des cellules tissulaires qu’il avait prétendument stérilisées au préalable, et a prétendu que les cellules mouraient sous l’effet du virus, que celui-ci se multipliait ainsi et qu’on pouvait en tirer le vaccin. À cette époque, des épidémies de poliomyélite, définies comme une « paralysie flasque », se produisaient souvent en été et étaient interprétées comme le résultat de la présence du virus de la polio. La vaccination devait permettre d’éradiquer le virus présumé. Après l’introduction de la vaccination antipoliomyélitique, ces phénomènes ont été appelés, entre autres, sclérose en plaques, puisque la poliomyélite avait été prétendument « éradiquée » par la vaccination.

Enders et ses collègues ont stérilisé les cellules tissulaires afin d’exclure que des bactéries ne tuent les cellules. Ce à quoi il n’a pas pensé, c’est que la stérilisation et le traitement des cellules en vue d’une prétendue infection ultérieure tuaient les cellules. Il a immédiatement assimilé la mort de ces cellules tissulaires à la présence et à l’action du virus de la polio, sans qu’aucun virus n’ait été alors, ni encore aujourd’hui, isolé et caractérisé. Les expériences de contrôle nécessaires, qui auraient prouvé que la stérilisation et la préparation des cellules à l’infection tuent les cellules tissulaires dans l’éprouvette n’ont jamais été menées, ni alors ni de nos jours. Pour cette « performance », lui et ses collègues ont reçu le prix Nobel de physiologie/médecine en 1954.

En 1954, Enders a introduit la même technique pour la multiplication apparente du virus de la rougeole. Comme il a reçu la même année le prix Nobel pour le virus présumé de la polio, tous les chercheurs croient encore aujourd’hui que sa technique est scientifiquement valide. Toutes les idées actuelles sur la rougeole reposent sur cette technique. Les vaccins contre la rougeole ne sont donc pas constitués de virus, mais de particules mortes de cellules rénales de singe ou de cellules cancéreuses humaines utilisées à cet effet. Là encore, à ce jour, aucune expérience de contrôle n’a été menée qui aurait prouvé que ce sont les conditions de l’expérience qui entraîne la mort des cellules.

Ne serait-ce que pour la raison de l’absence d’expériences de contrôle, sa technique et toutes les affirmations et mesures qui en découlent concernant la rougeole ne peuvent être affirmées comme scientifiques. Plus encore : les déclarations et les expériences d’Enders et de ses successeurs ne permettent pas, en toute objectivité, de conclure autrement que, dans toutes les démarches qu’ils entreprennent, il est toujours clair que l’on constate et examine des composants et des propriétés de cellules d’éprouvette mourantes, qui sont interprétés à tort comme des composants et des propriétés du présumé virus de la rougeole.

L’exemple du virus de la rougeole

Les déclarations suivantes s’appliquent à tous les virus dits pathogènes chez l’homme et l’animal. Les six publications présentées par le plaignant (les six études présentées par le Dr Barden, représentant l’Institut Robert Koch — NdT) dans le cadre du procès sur le virus de la rougeole, au lieu d’une seule publication, décrivent de manière pédagogique et idéale les différentes étapes de la dérive vers la croyance en un virus de la rougeole. La première publication est celle d’Enders, publiée en 1954 sous le titre « Propagation d’agents cytopathogènes dans des cultures tissulaires provenant de patients atteints de rougeole » dans la revue spécialisée Proc Soc Exp Biol Med. 1954 Jun ; 86 (2) : 277-286. Cette publication est, comme toutes les autres publications du procès, disponible sur Internet.

Dans cette expérience, Enders et ses collègues réduisent drastiquement la solution nutritive et ajoutent aux cellules des antibiotiques tueurs de cellules juste avant d’ajouter des liquides soi-disant infectés. La mort des cellules qui s’ensuit est assimilée à la présence et, en même temps, à l’isolement du virus présumé de la rougeole. Aucune expérience de contrôle n’a jamais été menée pour exclure que le retrait de la solution nutritive et l’administration d’antibiotiques puissent être à l’origine de la mort des cellules. Pourtant ce n’est pas seulement évident du point de vue actuel. L’aveuglement d’Enders et de ses collègues peut s’expliquer par le fait qu’ils voulaient aider les gens, que l’hystérie virale s’intensifiait avec la guerre et la guerre froide, qu’Enders et ses collègues n’avaient aucune idée de la médecine et s’étaient retrouvés dans une course contre l’Union soviétique et d’autres pays pour la mise au point du vaccin contre la rougeole.

Une telle pression pour réussir peut également expliquer que lui et tous ses successeurs aient oublié leurs propres restrictions et avertissements de 1954, car ils avaient observé que les cellules meurent également dans une certaine mesure, même si elles sont traitées normalement (sans être « infectées » — NdT). Ils ont expliqué cela par l’action de virus et de facteurs inconnus. Ces faits et ces avertissements ont tout simplement été ignorés. Dans la deuxième publication du procès (la 2étude présentée par le plaignant — NdT), celle de 1959(([4] Bech V, Magnus Pv. Etudes sur le virus de la rougeole dans les cultures de tissus de singes. Acta Pathol Microbiol Scand. 1959 ; 42 (1) : 75-85.)) — voir à ce sujet et à propos de tous les autres mes observations du 2 février 2015 sur www.wissenschafftplus.de/blog/de — pour cette raison les auteurs constatent que la technique introduite par Enders n’est pas appropriée pour « isoler » le virus de la rougeole. Cette réfutation, elle aussi, non seulement n’est pas discutée par tous les spécialistes qui se sont succédé, ce qui est un devoir scientifique, mais elle est même ignorée.

Dans la troisième publication du procès(([5] Nakai M, Imagawa DT. Réplication du virus de la rougeole en microscopie électronique. J. Virol. Février 1969 ; 3 v (2) : 187–97.)), les auteurs photographient des composants typiques à l’intérieur de cellules et les interprètent comme étant le virus de la rougeole. Ils n’isolent pas de virus. Ils ne déterminent pas non plus, pour des raisons inexplicables d’un point de vue actuel, la composition chimique de ce qu’ils font passer pour un virus dans une autre expérience. En lisant la courte partie consacrée aux méthodes, il est clair qu’aucune centrifugation à gradient de densité, la technique standard pour isoler les virus, n’a été effectuée. Ils ont simplement centrifugé des cellules mortes au fond d’un tube à essai. Convaincus que des virus devaient être présents, l’accumulation de ces fragments reconnaissables — sans déterminer leur composition chimique — a été mal interprétée comme étant des virus. La manière dont les expériences ont été menées ne peut qu’aboutir à la conclusion que des composants cellulaires ont été interprétés à tort comme étant des virus. C’est exactement la même chose dans les quatrième(([6] Lund GA, Tyrell, DL, Bradley RD, Scraba DG. La longueur moléculaire de l’ARN du virus de la rougeole et l’organisation structurelle des nucléocapsides de la rougeole. J. Gen. Virol. Septembre 1984 ; 65 (Pt 9) : 1535–42.)) et sixième(([7] Daikoku E, Morita C, Kohno T, Sano K. Analyse de la Morphologie et de l’Infectivité des particules de virus de la rougeole. Bulletin de l’Osaka Medical College. 2007 ; 53 (2) : 107–14.)) publications du procès.

La cinquième(([8] Horikami SM, Moyer SA.Structure, Transcription, et Replication of Meas-
les Virus. Curr Top Microbiol Immunol. 1995; 191: 35–50.)) publication du procès est un travail de synthèse et décrit la recherche d’un consensus sur les molécules d’acide nucléique issues des cellules mortes qui sont censées constituer le matériel génétique du virus de la rougeole, également appelée génome du virus. Il en ressort clairement que des dizaines de groupes de travail travaillent chacun de leur côté sur de courts morceaux de molécules cellulaires spécifiques en suivant un modèle prédéfini et les ont assemblés mentalement et sur le papier en une pièce entière. Mais en réalité cet assemblage réalisé mentalement n’a jamais été vu dans son intégralité et n’a jamais été isolé à partir d’un virus, parce qu’un virus de la rougeole n’apparaît ni chez l’homme ni dans l’éprouvette.

À propos de cette publication, il est à noter que l’expert dans le cadre du procès sur la rougeole a déclaré que l’étalon-or, à savoir le matériel génétique entier du virus, y était présenté. De toute évidence, l’expert n’a pas lu cette publication. Les auteurs de cette publication constatent que dans ce domaine on ne sait pas grand-chose si ce n’est rien, que la composition et les fonctions exactes du patrimoine génétique du virus de la rougeole doivent encore faire l’objet d’études et qu’il faut donc recourir à des modèles d’autres virus pour parvenir à un consensus sur la structure et les fonctions du patrimoine génétique du virus de la rougeole.

Il est très facile pour tout le monde de reconnaître que dans aucune de ces publications, mais aussi dans toutes les autres publications sur le « virus de la rougeole » et les virus pathogènes, aucune expérience de contrôle n’a jamais été réalisée. Jamais la centrifugation à gradient de densité n’a été utilisée, mais seulement la centrifugation de fragments de cellules sur le fond d’un tube à essai. Ce processus, qui sert à recueillir tous les composants présents à partir d’un liquide, est appelé « pelletisation ». Ainsi, la seule conclusion que l’on peut tirer de ces publications et de toutes celles concernant les « virus pathogènes » c’est que des composants et les propriétés de cellules ont été mis en évidence et non un virus. Aucune autre interprétation n’est possible d’un point de vue logique et scientifique.

Une réfutation expérimentale et scientifique, au sens positif du terme, des affirmations concernant l’existence du virus de la rougeole, qui s’applique à son tour à tous les virus dits pathogènes, sera présentée dans le prochain numéro WissenschafftPlus.

Nous renvoyons ici à un article sur les virus dits géants(([9] Voir WissenschafftPlus n° 1/2014.)), des acides nucléiques enveloppés que l’on trouve en masse dans la mer et chez des organismes très simples. Ils sont, comme tous les phages des bactéries, non seulement inoffensifs, mais ont des fonctions bénéfiques. Ceux-ci sont également isolés par centrifugation à gradient de densité, ce qui prouve leur existence. C’est pourquoi nous avons choisi de présenter visuellement cette technique fondamentale pour la détection des virus dans cette contribution.

Il convient également de mentionner le travail de synthèse déterminant du professeur Lüdtke(([10] Histoire des débuts de la recherche sur les virus. Travail de synthèse du professeur Karlheinz Lüdtke. Reprint 125 du MAX-PLANCK-INSTITUT FÜR WISSENSCHAFTSGESCHICHTE, 89 pages, 1999.)) qui fait autorité en la matière. Il a démontré que dans les premiers temps de la virologie, la majorité des virologues arrivaient toujours à la conclusion que ce qu’ils avaient d’abord interprété comme un virus s’avérait être un composant des cellules utilisées et était la conséquence de l’expérience et non sa cause. Ce n’est que grâce à la découverte et à la description des phages et grâce au dogme selon lequel l’acide nucléique est le matériel génétique de toutes les cellules et des virus qu’un consensus s’est formé sur le fait que de tels « virus » devaient également exister chez l’homme et l’animal.

Le dogme selon lequel l’acide nucléique est une substance héréditaire a été révoqué en 1992 par la communauté scientifique et également en 2008(([11] Patrimoine génétique en dissolution. Die ZEIT du 16.6.2008. Voir à ce sujet les articles publiés dans WissenschafftPlus depuis 2003.)) pour une partie de l’opinion publique allemande. Le dogme de l’existence de virus pathogènes est par contre toujours en vigueur.

Le groupe australien de Perth(([12] http://www.theperthgroup.com)), composé d’Eleni Papadopulos-Eleopulos (décédée en mars 2022 — NdT), Val Turner et John Papadimitriou, a démontré de manière scientifiquement argumentée qu’il n’existe aucune preuve de l’existence du VIH. C’est Eleni Papadopulos-Eleopulos qui, depuis 1992, m’a encouragé et soutenu scientifiquement à accepter le fait, à apprendre le contexte et à diffuser l’information selon laquelle et pourquoi il n’existe pas de virus pathogène. Je lui adresse, à elle et à son équipe, mes plus vifs remerciements et tout mon respect.

Traduction Jean Bitterlin le 23 août 2022

Sources :




La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire

[Source : cv19]

Ce documentaire aborde en détail les différents mythes et procédures sur lesquels repose la théorie scientifique des germes pathogènes, prétendument à l’origine de phénomènes de contagion, aussi appelée théorie des germes ou théorie microbienne.

L’histoire des épidémies telle que la poliomyélite, la variole et la grippe espagnole est retracée et le jargon des virologues et leurs techniques comme la PCR, le séquençage, l’effet cytopathique, le microscope électronique, les cultures cellulaires, l’isolement, la purification ou encore le concept d’anticorps sont analysés pour mieux comprendre sur quoi repose la virologie moderne et la théorie des germes dans son ensemble.

[Voir aussi les nombreux articles,
notamment ceux de Stefan Lanka
(Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
L’interprétation erronée du virus — 2e partie
La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
etc.),
dans le dossier Vaccins et virus]






Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés

Voici un article fondamental qui montre bien que toute la virologie est une escroquerie. Prenez le temps de lire cet article, de le relire et de vous en imprégner, car il vous permettra d’argumenter et de convaincre tous ceux qui défendent l’hypothèse virale ou tous ceux qui sont encore des moutons abrutis par la propagande des merdias mainstream qui appartiennent aux laboratoires. Être un citoyen libre demande des efforts.

Jean Bitterlin

Les virologues qui prétendent que des virus entraînent la maladie sont des fraudeurs scientifiques et doivent être poursuivis devant des tribunaux

Par le Dr Stefan LANKA

Résumé

La science et la scientificité sont des outils importants qui aident à identifier et à résoudre les défis. La science a des règles très claires : Celui qui fait des affirmations doit les prouver de manière claire, compréhensible et vérifiable. Seules les affirmations qui peuvent être vérifiées peuvent être qualifiées de scientifiques, tout le reste relève du domaine de la foi. Les questions de foi ne doivent pas être présentées comme des faits scientifiquement prouvés pour en déduire ou justifier des mesures étatiques.

Les affirmations scientifiques doivent être réfutables, falsifiables, pour pouvoir être affirmées comme des faits scientifiques. Le premier devoir de tout scientifique, prescrit par écrit, est de vérifier strictement ses propres affirmations, d’essayer de les réfuter. Ce n’est que dans le cas où cette réfutation échoue et que cet échec a été clairement documenté par des essais de contrôle qu’une affirmation peut être qualifiée de scientifique.

Toutes les mesures Corona édictées par les gouvernements et les autorités subordonnées (les nombreuses agences ou autorités sanitaires nationales — NDT) sont en fin de compte régies par des lois, en Allemagne par la loi sur la protection contre les infections (IfSG qui signifie Infektionsschutzgesetz – NDT)), mais de toute évidence ne sont ainsi légitimées qu’en apparence et ne sont justement pas justifiées. Avec le § 1 de l’IfSG, par exemple, la disposition théorique « scientifique » soumet tous les acteurs en Allemagne aux règles de la science. La règle la plus importante de la science est la tentative documentée et infructueuse de réfuter l’affirmation qui est présentée comme étant vraie et scientifique. Toutes les règles scientifiques sont précédées par le respect des lois de la pensée et de la logique. Si celles-ci sont ignorées ou violées, l’affirmation scientifique est réfutée de la même manière que par une expérience de contrôle réussie.

Le sens et le choix des mots utilisés dans toutes les publications sur tous les virus pathogènes prouvent que les virologues ne se contentent pas de violer les lois de la pensée, de la logique et les règles contraignantes de la science, mais qu’ils ont eux-mêmes réfuté les affirmations sur l’existence des virus pathogènes. Si l’on enlève les lunettes hypnotisantes de la peur et qu’on lit objectivement et avec raison ce que les auteurs font et écrivent, alors toute personne intéressée qui maîtrise l’anglais et a acquis des connaissances sur les méthodes utilisées constate que ces virologues (à l’exception de ceux qui travaillent avec des phages et des virus géants de type phagique) interprètent de manière erronée des séquences génétiques normales comme des composants viraux et ont ainsi réfuté toute leur spécialité. Cela est particulièrement facile à constater dans le cas des affirmations d’existence du prétendu virus du SRAS-CoV-2.

Étant donné que ces virologues ont clairement enfreint les lois de la pensée, de la logique et les règles du travail scientifique par leurs déclarations et leurs actes, ils doivent être qualifiés de fraudeurs scientifiques dans le langage courant. Mais comme la fraude scientifique n’existe pas en droit pénal et qu’il n’y a pas encore de précédent en la matière, je propose, et je le ferai moi-même, de faire constater par la justice et par le droit pénal la fraude à l’embauche des virologues — faire semblant d’être scientifiques, mais agir et argumenter de manière anti-scientifique. Les autorités publiques compétentes sont invitées à poursuivre ces fraudeurs à l’embauche anti-scientifiques afin de les empêcher d’agir de manière anti-scientifique et par conséquent asociale et dangereuse pour la collectivité. À partir du moment où un premier tribunal constatera les faits décrits ci-dessous et condamnera le premier virologue pour fraude à l’embauche, la fin de la crise de Corona sera annoncée et scellée par la justice, et la crise globale de Corona se révélera être une chance pour tous.

[Voir aussi :
dossier Vaccins et virus]

Introduction

L’humanité est confrontée à un défi majeur : la dynamique propre et les conséquences de la peur et de l’antibiose par la biologie enseignée et la médecine appliquée, perturbent et détruisent l’environnement, les plantes, les animaux, les hommes et l’économie. La crise de Corona n’est que la pointe visible d’un iceberg en collision avec tous et chacun. L’une des causes de ce défi est le matérialisme, la tentative d’expliquer la vie par des modèles purement matériels. Notre matérialisme actuel a été inventé dans l’Antiquité « post-socratique » comme contre-réaction explicite à la génération de peur et à l’abus de pouvoir par les religions. Il s’agit d’une action compréhensible, humaine et motivée par des raisons humanitaires, mais dont les conséquences sont dramatiques. Ce matérialisme a donné naissance à la biologie savante du bien et du mal, à l’« opinion dominante » en médecine qui en découle et à l’antibiose qui en résulte (antibiotiques, radiothérapie, chimiothérapie, désinfection, restriction des droits fondamentaux, vaccination, confinement, quarantaine, distanciation sociale, etc. …). De plus en plus de personnes, l’environnement et l’économie sont mis à mal par cette idéologie. Sa théorie matérialiste du bien et du mal, qui n’a pas de fondement réel, mais se base sur des hypothèses réfutées, s’est développée à l’insu de tous pour devenir la plus puissante religion qui soit.

La théorie matérialiste de la vie affirme qu’il n’y a que des atomes, mais pas de conscience, pas de forces spirituelles et pas d’agent moteur qui les aurait créés et mis en mouvement. Pour pouvoir expliquer le cosmos et la vie de manière purement matérielle, notre « science » se voit obligée d’affirmer qu’il y a eu une énorme explosion au cours de laquelle tous les atomes se sont dispersés à partir de rien. Certains atomes se seraient alors touchés par hasard et auraient formé des molécules. Ces molécules, en se réunissant par hasard, auraient formé une cellule originelle à partir de laquelle, par la lutte et la sélection, toute vie ultérieure serait née. Tout cela se serait passé en des temps immémoriaux, inimaginables, et n’est donc pas vérifiable scientifiquement.

Laissons ici de côté la « physique théorique » et ses théories quantiques, qui fantasment sur ce mode de pensée en investissant des sommes de plus en plus importantes dans des choses de plus en plus petites. Je renvoie à une vision meilleure, réelle et accessible à l’expérimentation simple de la vie, à la substance même qui compose la vie. Il s’agit de la substance élémentaire dont est constituée la membrane, la membrane dite de tension superficielle de l’eau, que l’eau forme partout où elle est en contact avec d’autres substances ou, en cas de mouvement et de tourbillon, avec elle-même. Aristote a qualifié cette substance d’éther et le Dr Peter Augustin l’a redécouverte sous la forme de la substance originelle. Les phytophysiologistes japonais ont appelé cette substance l’eau PI. Ces connaissances et cette vision résultant de la connaissance de l’éther/substance originelle permettent également de faire revivre le principe présocratique, de le rendre pensable et imaginable : Comme dans les grandes choses, dans les petites. Penser en termes de théorie atomique rend difficile ou empêche ce type de représentation et de monde imaginaire et oblige, si l’on ne connaît pas d’autres possibilités de pensée ou si celles-ci sont mal vues, à faire des suppositions erronées. C’est sur une telle hypothèse erronée que repose tout l’imaginaire académique de la biologie et de la médecine.

En 1848, alors que les effets constructifs de la Révolution française avaient une chance de se développer en Allemagne, les tentatives de bouleversement ont échoué et ont entraîné un durcissement et une détérioration dramatiques de la vie politique et sociale. Alors qu’en 1848, l’homme décisif responsable du développement actuel de la biologie et de la médecine s’engageait encore pour des mesures humaines, logiques et correctes de « prophylaxie des épidémies », il s’est adapté au cours des dix années suivantes aux conditions politiques de plus en plus extrêmes et qui se durcissaient. C’est Rudolf Virchow qui, en 1858, sans aucun fondement scientifique, mais en se basant exclusivement sur la théorie atomique de Démocrite et d’Épicure, a postulé la théorie cellulaire de la vie et de toutes les maladies : la pathologie cellulaire.

Durant toute sa vie, Rudolf Virchow a supprimé les « faits pertinents » de l’embryologie et de la théorie des tissus afin de pouvoir présenter et populariser sa nouvelle théorie cellulaire comme étant quelque chose de réel. Cette connaissance de l’embryologie et de la théorie des tissus, la théorie des gamètes de la vie, est pourtant une condition indispensable pour pouvoir comprendre la vie, son développement et surtout les maladies, les guérisons, les crises de guérison et les obstacles à la guérison.

Par analogie avec la théorie atomique, Rudolf Virchow affirmait que toute vie provenait d’une cellule. La cellule serait la plus petite unité indivisible de la vie, mais elle serait en même temps à l’origine de toutes les maladies par la formation de prétendues toxines pathogènes, le virus en latin. C’est ainsi qu’ont été posées les bases sur lesquelles les théories de la génétique, de l’infection, de l’immunité et du cancer ont dû se développer afin de pouvoir expliquer les processus de la vie, de la maladie et de la guérison dans le cadre de cette théorie. Si l’on croit, parce qu’on l’enseigne, que tous les processus ne sont provoqués que par des interactions matérielles et que toute vie naîtrait d’une cellule, les partisans de ce point de vue sont contraints de supposer un plan de construction et de fonctionnement de la vie, c’est-à-dire une substance héréditaire, et d’affirmer son existence.

La même logique de contrainte s’applique aux poisons pathogènes allégués. Si la cellule produit prétendument des virus=poisons pathogènes comme cause de maladie, afin de les distribuer à l’intérieur et à l’extérieur du corps, il faut désigner un endroit dans un individu où cette toxine pathogène, le virus, est apparue pour la première fois. Lorsque ce mode de pensée est érigé en dogme, à l’encontre duquel rien d’autre ne peut être enseigné et que les autres points de vue sont diffamés comme non scientifiques ou comme conspiration contre l’État, il exclut d’emblée d’autres possibilités de pensée et de représentation de l’origine des maladies au sein d’un corps ou d’un groupe d’individus. Cette logique coercitive cherche toujours les causes uniquement dans les catégories des défauts matériels ou de la malignité matérielle. En faisant cela, on passe sous silence le fait que l’idée du virus comme poison de la maladie a été élégamment et scientifiquement réfutée et abandonnée en 1951 et qu’il a donc fallu inventer une autre idée depuis 1952 : l’idée que les virus sont un ensemble de gènes dangereux. Ici à nouveau on dissimule le fait qu’il n’existe à ce jour aucune preuve scientifique solide permettant d’accepter de tels agrégats de gènes, que l’on pourrait qualifier de virus. La bonne nouvelle est que la nouvelle virologie génétique, qui a pris son essor à partir de 1954, s’est réfutée elle-même par ses propres affirmations, de manière réellement scientifique, c’est-à-dire facilement compréhensible et vérifiable. Cette affirmation est à 100 % juste, prouvée, et je la défends en tant que virologue, en tant que scientifique, en tant que citoyen et en tant qu’être humain.

Le passage de la virologie des toxines à la virologie génétique actuelle

L’idée de poisons pathogènes est encore assez efficace, puisque l’on prétend encore que les toxines protéiques bactériennes sont dangereuses. Ou des bactéries, comme la prétendue dangereuse bactérie du tire-bouchon qui s’enfoncerait depuis le point d’entrée supposé jusqu’au cerveau en passant par les nerfs. Ce que les virologues, les médecins et les journalistes scientifiques passent sous silence, c’est que le fait que jusqu’en 1951 l’idée en vigueur, selon laquelle les virus étaient définis comme des toxines protéiques, a dû être abandonnée cette année-là. Afin de vérifier l’hypothèse et l’affirmation des virus à toxines et de pouvoir les revendiquer comme scientifiques, deux expériences de contrôle ont été réalisées :

  1. Des tissus sains ont été soumis à la décomposition et pas seulement des tissus supposés endommagés par des virus. On a pu constater que les protéines produites lors de la décomposition des tissus sains étaient les mêmes que celles produites lors de la décomposition des tissus « atteints de virus ». L’hypothèse virale était ainsi réfutée.
  2. L’hypothèse de la protéine-toxine-virus a en outre été réfutée par le fait qu’au microscope électronique, on n’a jamais pu trouver et photographier chez les personnes, les animaux et leurs fluides « malades du virus » autre chose que ce qui était également le cas chez les personnes saines. Ce qui est d’ailleurs resté vrai jusqu’à aujourd’hui.

La virologie clinique, c’est-à-dire médicale, se réfutait elle-même avec ces essais de contrôle réussis et se laissait aller à des mots de regret, ce que seuls les lecteurs attentifs des revues spécialisées ont remarqué. Les médias de masse ont occulté ce fait, car les hypnotiseurs du pouvoir célébraient les campagnes de vaccination en cours. Bien que les virus en tant que justification à la vaccination aient été perdus, les campagnes de vaccination n’ont pas été interrompues — notamment en raison du silence des autorités sanitaires et de la « science ». Après l’abandon de la virologie, la biologie et la médecine n’ont pas pu trouver d’autre explication, au sein de la théorie cellulaire purement matérielle, aux maladies définies comme virales et aux phénomènes d’apparition simultanée ou accrue de maladies. C’est ainsi que les participants ont été contraints d’inventer une nouvelle théorie sur ce que devraient donc être les virus à l’avenir. Ils se sont appuyés sur des structures existantes, appelées phages et qui sont formées de bactéries, lorsque celles-ci sont retirées de leur milieu et que l’échange avec d’autres bactéries et microbes, indispensable à leur survie, est empêché. Jeune étudiant, j’ai eu la chance d’isoler une structure provenant de la mer semblable à un phage, d’en étudier sa structure, sa composition et son interaction avec l’environnement. Cela m’a conduit directement dans le domaine de la virologie, car je pensais avoir découvert un virus inoffensif et une relation stable entre virus et hôte pour rechercher l’origine des virus. Trente ans plus tard, de nouvelles structures, désormais appelées « virus géants », ont été et sont constamment découvertes, dont entre-temps il est clairement établi qu’elles sont à l’origine des processus par lesquels la vie biologique commence ou devient visible pour nous. Les virologues français reconnaissent que ces structures constituent le quatrième règne de la vie, à côté des bactéries primitives, des bactéries et des eucaryotes.

Les structures appelées par erreur phages, c’est-à-dire mangeurs de bactéries et virus géants, peuvent également être décrites comme une sorte de spores que les bactéries et les êtres vivants simplement organisés forment lorsque leurs conditions de vie changent de telle sorte qu’ils ne peuvent plus se reproduire ou survivre de manière idéale. Ces structures utiles se composent toujours, selon l’espèce, d’un brin de la substance héréditaire appelé ADN, de longueur et d’assemblage exactement identiques. Ce type d’ADN est toujours entouré d’une enveloppe de cette substance dense qui est à l’origine de la vie biologique. C’est la raison pour laquelle les « phages » et les « virus géants » — appelons-les plutôt des bionotes — sont facilement isolables, c’est-à-dire qu’ils peuvent être enrichis et séparés de tous les autres composants de la vie. Sous cette forme isolée, ils peuvent être et sont régulièrement analysés biochimiquement. À cet égard chaque caractérisation biochimique révèle que l’acide nucléique d’un type de « phage » ou de « virus géant » a toujours exactement la même longueur et la même composition.

En fait, pendant des décennies, les phages ont été la seule source d’acide nucléique (ADN) pur dans les études biochimiques. Le processus d’absorption et de libération d’ADN dans et hors des bactéries, documenté par le microscope électronique, a été interprété comme une infection. On a affirmé, sans aucune preuve, que les phages envahissaient pratiquement les bactéries, leur faisaient violence, leur imposaient leur acide nucléique et que les bactéries en mouraient. En réalité, la situation est très différente. Seules les bactéries qui sont cultivées dans des conditions extrêmes, c’est-à-dire qui sont constamment multipliées sans avoir de contact avec d’autres bactéries ou microbes, se transforment en phages dans un acte de métamorphose. Cette transformation est interprétée à tort comme la mort des bactéries par les phages. En revanche, les bactéries fraîchement isolées de leur environnement ne se transforment jamais en phages et ne meurent pas non plus lorsque des phages leur sont appliqués, quelle que soit la quantité. C’est aussi la raison pour laquelle la thérapie par les phages, souvent citée comme substitut aux antibiotiques pour supprimer par exemple les douleurs et autres symptômes — comme par tout autre empoisonnement —, ne peut et ne pourra jamais fonctionner dans le sens et l’ampleur souhaités avec des « phages ».

Biologie des phages et des virus géants et la réfutation de la théorie cellulaire de la vie qui en résulte

Dans le cas de l’algue (Ectocarpus siliculosus), à partir de laquelle j’ai isolé ses « virus géants », cette situation se présente ainsi : Les formes mobiles de l’algue, les gamètes et les spores, recherchent les « virus géants » dans leur environnement à l’aide de leurs flagelles mobiles et absorbent ces « virus géants ». Ce faisant, les algues en croissance intègrent l’acide nucléique des « virus géants » dans leurs propres chromosomes. On a observé que les algues porteuses de « virus géants » se portent mieux que celles qui n’en ont pas. On n’a jamais observé que les algues avec des « virus géants » se portaient plus mal que celles qui n’en avaient pas. De nouveaux « virus géants » aux propriétés toujours plus étonnantes sont constamment découverts et de plus en plus de preuves sont établies pour démontrer que les bactéries et les micro-organismes, les amibes et les protozoaires sont issus de « virus géants » en lesquels ils se transforment à nouveau lorsque leurs conditions de vie ne sont plus réunies.

Les virus géants sont manifestement créés par et autour d’acides nucléiques qui déploient des activités catalytiques, c’est-à-dire que ceux-ci libèrent de l’énergie de manière autonome, synthétisent d’autres acides nucléiques, d’autres molécules et substances et génèrent ainsi constamment de nouvelles propriétés et capacités. Les formes d’acides nucléiques particulièrement réactives et variées de l’ARN, mot-clé « Le monde de l’ARN », qui peuvent se transformer et se retransformer facilement et en permanence en ADN, apparaissent également dans le processus d’auto-organisation de la vie, sans raison ni cause qui nous soient scientifiquement accessibles. Cela se matérialise manifestement hors de l’eau, la vie biologique visible pour nous. On trouve de plus en plus d’organismes cellulaires dont le génome est en majeure partie constitué d’acides nucléiques de « virus géants ». Avec la découverte de phages, qui n’apparaissent toujours que lors de la transformation de cultures bactériennes extrêmement consanguines (inceste), et de virus géants, qui se maintiennent, s’agrandissent et se métabolisent activement d’eux-mêmes, et la découverte de nouveaux organismes composés de virus géants, trois choses ont été prouvées jusqu’à présent :

  1. La théorie cellulaire selon laquelle la vie biologique n’existe que sous forme de cellules et ne se développe qu’à partir de cellules est réfutée.
  2. L’affirmation selon laquelle la vie biologique est apparue à la nuit des temps est réfutée. La vie se crée constamment et sous nos yeux, si nous considérons simplement la vie de manière objective et non limitée par des dogmes et des théories sans fondement. Il est prouvé que la vie biologique, telle que nous la connaissons actuellement, peut apparaître partout où il y a de l’eau et peut-être aussi des conditions identiques ou similaires à celles de notre planète mère, la Terre.
  3. L’interprétation négative selon laquelle l’absorption d’acides nucléiques de « phages » et de « virus géants » par d’autres organismes qui était interprétée comme une infection et comme nuisible a été réfutée. Mais cette observation a été l’occasion, à partir de 1952, de croire qu’il existait chez l’homme des virus génétiques qui, en transmettant leurs acides nucléiques « dangereux », pouvaient générer des maladies et être tenus pour responsables de la mort et de la destruction. En plus jusqu’à présent aucun virus n’a été vu ou isolé dans un être humain, un animal, une plante ou leurs fluides. Jusqu’à présent, il n’a même pas été possible d’isoler un acide nucléique qui correspondrait à la longueur et à la composition des brins du patrimoine génétique des virus prétendument responsables de maladies, bien que l’isolation, la représentation et l’analyse de la composition d’acides nucléiques de cette longueur soient depuis longtemps possibles grâce aux techniques standard les plus simples.

Un Prix Nobel et ses conséquences fatales

Sous forme isolée, les « phages » et les « virus géants » (bions) peuvent être photographiés rapidement et facilement en grand nombre au microscope électronique, ce qui permet à lui seul de documenter leur degré de pureté. Pour aucun des virus prétendument pathogènes, personne n’a réussi jusqu’à présent l’isolement et la photographie de structures isolées et caractérisées ! Les bions (alias phages et virus géants) sont régulièrement vus et photographiés au microscope électronique lors d’études scientifiques, en grand nombre, dans les organismes par lesquels ils sont produits ou qui les produisent (sic !). En revanche, la photographie au microscope électronique de structures revendiquées comme étant des virus pathogènes n’a pas été réussie et documentée à ce jour chez aucun homme, animal, plante ou dans des liquides en provenant, tels que le sang, le sperme, la salive, etc. pour aucun des virus considérés comme pathogènes ! Pourquoi cela n’est-il pas le cas ?

Les images au microscope électronique de prétendus virus ne montrent exclusivement que des structures qui sont toujours obtenues à partir de sources très différentes. Ces structures n’ont jamais été isolées, ni caractérisées biochimiquement, ni utilisées comme source pour les courts morceaux d’acides nucléiques à partir desquels les virologues construisent UNIQUEMENT PAR LA PENSÉE un long acide nucléique qui est présenté comme le prétendu brin de patrimoine génétique d’un virus.

Il est possible d’obtenir à chaque fois des acides nucléiques de longueur et de composition exactement identiques à partir de tous les types de « phages » et de « virus géants ». On n’a encore jamais réussi à isoler d’une structure ou d’un fluide un acide nucléique (ADN ou ARN) dont la longueur et la composition correspondraient à ce que les virologues font passer pour le brin de patrimoine génétique d’un virus pathogène.

La succession de ce qui s’est passé entre 1951 et le 10 décembre 1954 permet de comprendre pourquoi et pour quelle raison les virologues se sont enfermés dans une antiscience totalement déconnectée de la réalité et dangereuse. Après que la virologie médicale ait été achevée en 1951 par des essais de contrôle, les phages des bactéries sont devenus à partir de 1952 le modèle de l’idéologie persistante de ce à quoi doivent ressembler les « virus pathogènes » : Un acide nucléique d’une longueur et d’une composition déterminées, entouré d’une enveloppe composée d’un certain nombre de protéines déterminées.

Mais : Faute d’images au microscope électronique de « virus pathogènes » chez l’homme/l’animal/la plante, faute d’images au microscope électronique de « virus pathogènes » sous forme isolée, faute de caractérisation biochimique des composants des « virus pathogènes », faute d’avoir pu les isoler, les virologues ont été et sont encore aujourd’hui contraints d’assembler mentalement et graphiquement des composants individuels de tissus prétendument malades pour en faire des virus et de faire passer ces produits intellectuels pour des virus existants, pour eux-mêmes et pour le public !

Les virologues qui affirment l’existence de virus pathogènes se réfèrent essentiellement à une seule publication pour justifier leur action et la présenter comme scientifique. Pourtant, cette action est facilement reconnaissable comme étant insensée et anti-scientifique. Les auteurs qui ont publié ces réflexions le 1.6.1954 ont explicitement qualifié leurs observations de spéculations réfutées en elles-mêmes, qu’il faudrait encore vérifier à l’avenir. Cette vérification future n’a jusqu’à présent pas eu lieu, car le premier auteur de cette étude, le professeur John Franklin Enders, a reçu le prix Nobel de médecine le 10 décembre 1954. Il a reçu le prix Nobel pour une autre spéculation au sein de l’ancienne théorie « les virus sont de dangereuses toxines protéiques », réfutée en 1951. Le prix Nobel a eu un double effet : L’ancienne théorie réfutée des toxines et des virus a reçu une auréole pseudo-scientifique et la nouvelle virologie génétique a reçu le plus grand honneur d’apparence scientifique.

La nouvelle virologie génétique à partir de 1952 a deux fondements centraux : les virus pathogènes sont en principe structurés comme des phages et ils apparaîtraient lorsque des cellules meurent dans le tube à essai après l’ajout d’un échantillon prétendument infecté. Enders et ses collègues ont établi l’idée, dans leur unique publication du 1er juin 1954, que les cellules qui meurent dans le tube à essai après l’ajout de matériel prétendument infecté se transformeraient en virus. Cette mort est présentée à la fois comme l’isolement du virus — parce qu’il est supposé que quelque chose est apporté de l’extérieur dans le laboratoire —, comme la multiplication du virus supposé et comme l’utilisation de la masse cellulaire mourante comme vaccin. Ce faisant, Enders, ses collègues et tous les virologues ont négligé — parce qu’ils étaient aveuglés par le prix Nobel — le fait que la mort des cellules dans le laboratoire n’est pas provoquée par un virus, mais parce que les cellules sont tuées dans le laboratoire de manière involontaire et inaperçue, mais systématique. Par empoisonnement avec des antibiotiques toxiques pour les cellules, par une famine extrême par retrait de la solution nutritive et par l’ajout de protéines en décomposition, c’est-à-dire qui se décomposent et libèrent ainsi des produits métaboliques toxiques.

Les composants de ces cellules mourant en laboratoire sont aujourd’hui encore assemblés mentalement en un virus et présentés comme une réalité. La virologie des virus pathogènes est aussi simple que cela. Enders et les « virologues » n’ont jamais, jusqu’à aujourd’hui, effectué les essais de contrôle consistant à « infecter » les cellules en laboratoire avec du matériel stérile. Elles meurent dans l’expérience de contrôle exactement de la même manière qu’avec du matériel prétendument « viral ».

Réfutation brève, claire et facile à comprendre des affirmations de tous les virus pathogènes

L’erreur et l’aveuglement sont humains, compréhensibles et excusables. Ce qui n’est pas excusable, ce sont les affirmations permanentes des virologues selon lesquelles leurs déclarations et leurs actions sont scientifiques. C’est clairement faux, facilement démontrable et compréhensible par tout un chacun. C’est pourquoi les virologues qui affirment avoir des virus Corona ou d’autres virus pathogènes doivent être qualifiés de fraudeurs à l’emploi et poursuivis par les moyens de l’État de droit afin qu’ils reviennent sur leurs déclarations fausses, réfutées et dangereuses. Ainsi, la crise Corona et d’autres catastrophes « virales » aux conséquences mortelles telles que le « SIDA », « Ebola » et d’autres pandémies « virales » sans fondement peuvent et pourront non seulement être stoppées et évitées à l’avenir, mais aussi être transformées en une chance pour tous. (NdT : par « conséquences mortelles », Lanka entend les mauvais choix des autorités sanitaires)

La définition de ce qui peut être qualifié de déclaration scientifique et les obligations qui en découlent sont clairement définies. En résumé :

  1. Toute affirmation scientifique doit être vérifiable, compréhensible et réfutable.
  2. Une affirmation scientifique ne peut être qualifiée de scientifique que si elle n’a pas été réfutée par les lois de la pensée, de la logique et, le cas échéant, par des expériences de contrôle.
  3. Chaque scientifique est tenu de vérifier et de remettre en question lui-même ses affirmations.

Parce que les virologues n’ont jamais procédé eux-mêmes à cette vérification et qu’ils rechignent à le faire pour des raisons compréhensibles — qui voudrait se réfuter lui-même, réfuter son action, réfuter sa réputation ? — nous le faisons publiquement avec sept arguments. Chacun de ces arguments suffit à lui seul à réfuter les affirmations d’existence de tous les « virus pathogènes » et les activités de ce type de virologues (à l’exception des chercheurs qui s’occupent des « phages » et des « virus géants » existants). Dans les points suivants, le mot « virus » est utilisé à la place de la combinaison de mots « virus pathogène ».

  1. Le fait de l’alignement = Alignement

Les virologues n’ont jamais isolé un brin complet du patrimoine génétique d’un virus et ne l’ont jamais représenté directement dans toute sa longueur. Ils n’utilisent TOUJOURS que de très courts morceaux d’acides nucléiques, dont ils déterminent la succession à partir des quatre molécules qui composent les acides nucléiques et qu’ils appellent séquence. À partir d’une multitude de millions de séquences très courtes ainsi déterminées, les virologues assemblent mentalement, à l’aide de méthodes de calcul et de statistiques complexes, un long brin de patrimoine génétique fictif. Ils appellent ce processus « alignement ».

Le résultat de l’alignement complexe, le brin fictif et très long du patrimoine génétique, les virologues le font passer pour le cœur d’un virus et prétendent avoir ainsi prouvé l’existence d’un virus. Un tel brin complet n’apparaît cependant jamais dans la réalité et dans la littérature scientifique comme un tout, bien que les techniques standard les plus simples existent depuis longtemps pour déterminer facilement et directement la longueur et la composition des acides nucléiques. Par le fait de l’alignement ou de la mise en correspondance, au lieu de présenter directement un acide nucléique de longueur correspondante, les virologues se sont eux-mêmes réfutés.

  1. Le fait qu’il n’y ait pas d’expériences de contrôle sur l’alignement

Les virologues n’ont jamais effectué et documenté un alignement avec des acides nucléiques tout aussi courts issus d’essais de contrôle. Pour cela, ils DOIVENT isoler les acides nucléiques courts à partir d’exactement la même procédure de culture cellulaire, à la différence que l’« infection » présumée ne se produit pas par l’ajout d’échantillons prétendument « infectés », mais avec des matériaux stériles ou des échantillons stérilisés qui ont été « infectés lors du contrôle ». (NdT : Lanka met des guillemets puisqu’à l’analyse apparaîtront les mêmes séquences que dans la culture cellulaire soi-disant infectée)

Ces essais de contrôle logiques et obligatoires n’ont jamais été réalisés et documentés. Rien qu’avec cela, les virologues ont prouvé que leurs déclarations n’ont aucune valeur scientifique et ne doivent PAS être présentées comme des déclarations scientifiques.

  1. L’alignement se fait uniquement au moyen de constructions mentales

Pour pouvoir assembler mentalement/calculer les très courtes séquences des acides nucléiques utilisés en un long génome, les virologues ont besoin d’un modèle pour aligner les courtes séquences en un très long brin de patrimoine génétique prétendument viral. Sans une telle séquence prédéfinie et très longue, aucun virologue n’est en mesure de créer mentalement/par calcul un brin de patrimoine génétique viral. Les virologues argumentent que le brin de patrimoine génétique construit par la pensée ou par calcul provient d’un virus parce que l’alignement a été effectué au moyen d’un autre brin de patrimoine génétique viral prédéfini.

Cet argument des virologues est ainsi brièvement et clairement réfuté, car tous les modèles avec lesquels de nouveaux brins de patrimoine génétique ont été créés par la pensée/par calcul ont été eux-mêmes et exclusivement créés par la pensée/par calcul et ne proviennent pas d’un virus.

  1. Les virus n’ont jamais été vus chez un être humain, un animal, une plante ou dans leurs fluides

Les virologues affirment que des virus infectieux, donc intacts, se trouveraient en grand nombre dans le sang et la salive. C’est pourquoi, lors de la crise de Corona par exemple, toutes les personnes doivent porter un masque. Or, jusqu’à présent, aucun virus n’a été photographié dans la salive, le sang ou à d’autres endroits chez l’homme/l’animal/la plante ou dans des fluides, bien que les prises de vue au microscope électronique soient aujourd’hui une technique standard facile et pratiquée de manière routinière.

Ce fait clair et facilement vérifiable, à savoir qu’il n’existe pas de photos de virus chez l’homme/l’animal/la plante ou dans des fluides réfute à lui seul toutes les affirmations relatives aux virus. Ce qui n’a jamais été vu chez l’homme/l’animal/la plante ou dans leurs fluides ne peut pas être présenté comme un fait scientifiquement prouvé.

  1. La composition des structures que les virologues font passer pour des virus n’a jamais été caractérisée sur le plan biochimique

Les virologues utilisent deux techniques différentes pour produire des photos de prétendus virus. Pour la microscopie électronique à transparence (transmission), ils utilisent des cultures cellulaires qu’ils intègrent dans de la résine synthétique, grattent en fines couches et regardent par transparence. Les particules qu’ils montrent sur de telles images n’ont jamais été isolées et leur composition n’a jamais été déterminée biochimiquement. Il faudrait en effet trouver toutes les protéines et le long brin de patrimoine génétique attribué aux virus. Ni cela, ni l’isolation de telles particules encastrées et la caractérisation biochimique de leur composition n’apparaissent dans une seule publication de virologues. Cela réfute l’affirmation des virologues selon laquelle dans de telles images il s’agirait de virus.

L’autre méthode utilisée par les virologues pour photographier les virus au microscope électronique est la microscopie électronique à balayage, simple et rapide, appelée « negative staining ». Afin d’effectivement concentrer les structures existantes, telles que les « phages » et les « virus géants », et de les séparer de tous les autres composants, ce que l’on appelle alors « isolement », on utilise une technique standard à cet effet, la centrifugation à gradient de densité (dans une centrifugation, plus une particule est lourde et plus elle se retrouve au fond du tube — il est donc possible de séparer les différentes particules en fonction de leur poids — NDT). La présence, l’apparence et la pureté de ces structures isolées sont rendues visibles au microscope électronique en recouvrant ces particules d’une substance contenant du métal et en faisant apparaître les structures sous-jacentes sous forme d’ombres dans le faisceau d’électrons. L’autre partie des particules isolées, qui ont été rendues visibles par « negative staining », est caractérisée biochimiquement. Dans le cas de tous les phages et virus géants, on trouve toujours les acides nucléiques intacts, toujours identiques, toujours très longs et composés de la même manière, et le résultat de la caractérisation biochimique est documenté.

Dans le cas de tous les virus qui sont présentés comme des virus par cette technique, le « negative staining », voici ce qui s’est passé. Ces particules ne sont pas enrichies, purifiées et isolées par la centrifugation à gradient de densité prévue à cet effet, mais sédimentées au fond du tube de centrifugation par simple centrifugation, ce que l’on appelle la « pelletisation », et ensuite observées au microscope électronique. La composition de telles structures présentées comme des virus n’a jamais été déterminée biochimiquement jusqu’à présent. Avec cette affirmation facile à vérifier et à comprendre sur la base de toutes les publications de virologues dans lesquelles des structures sont présentées comme des virus en microscopie électronique de surveillance, les virologues ont également réfuté eux-mêmes, de manière simple et élégante — sans s’en rendre compte — cet argument de l’affirmation de l’existence des virus.

  1. Les images de microscopie électronique présentées comme des virus sont des artefacts typiques connus ou des structures propres à la cellule

Les virologues publient une multitude d’images au microscope électronique de structures qu’ils font passer pour des virus. Ce faisant, ils passent sous silence le fait que TOUTES ces images ne sont que des structures typiques de cultures cellulaires mourantes ou représentent des vésicules de protéines, de graisses et de savon fabriquées en laboratoire et qu’elles n’ont JAMAIS été photographiées chez l’homme/l’animal/la plante ou dans des fluides en provenant.

D’autres chercheurs que les virologues désignent les mêmes structures que les virologues font passer pour des virus soit comme des composants cellulaires typiques tels que les villosités (protubérances en forme d’amibes avec lesquelles les cellules s’accrochent au substrat et se déplacent), soit comme des exosomes ou des « particules ressemblant à des virus ». Il s’agit là d’une preuve supplémentaire et indépendante que les affirmations des virologues selon lesquelles on voit des virus au microscope électronique ont été scientifiquement réfutées.

  1. Les expérimentations animales des virologues réfutent les affirmations sur l’existence du virus

Les virologues effectuent des expériences sur les animaux afin de prouver que les substances avec lesquelles ils travaillent sont des virus et peuvent provoquer des maladies. Dans chacune des publications où de telles expériences ont été menées sur des animaux, il apparaît clairement que la manière dont les animaux sont traités produit exactement les symptômes que l’on prétend être l’effet du virus. Il ressort de chacune de ces publications qu’aucune expérience de contrôle n’a été réalisée dans laquelle les animaux auraient été traités de la même manière avec du matériel de base stérilisé.

Ces deux faits, qui ne sont pas cachés, contredisent les virologues qui prétendent avoir constaté la présence et l’effet des virus dans les expériences sur les animaux.

Remarque finale

Pour mettre fin à la crise de Corona et la transformer en une chance pour tous, il faut maintenant rendre publiques et efficaces ces réfutations claires, facilement compréhensibles et vérifiables de la virologie. Ces réfutations seront efficaces, par exemple, si les moyens juridiques appropriés sont utilisés contre les virologues devant la justice et si les résultats sont rendus publics. Nous vous informerons par le biais de notre liste de diffusion WissenschafftPlus (nom du site de Stefan Lanka — NDT) lorsque nous aurons des résultats prêts à être communiqués.

Je garantis en mon nom que toute personne souhaitant vérifier ces affirmations sur n’importe quel « virus pathogène » parviendra exactement aux mêmes conclusions si elle maîtrise l’anglais et s’est familiarisée avec les méthodes. Remarque préventive : tant que la crise Corona persistera, mes collègues et moi-même ne répondrons qu’aux questions concernant les prétendus virus Corona et rougeole. Pour les demandes concernant tous les autres « virus », je renvoie, pendant la période Corona, aux contributions publiées à ce sujet dans le magazine WissenschafftPlus depuis 2003.

S’il vous plaît gardez dans vos actions, et non seulement à l’esprit, que le jugement confirmé par la plus haute juridiction dans le procès sur le virus de la rougeole a privé l’ensemble de la virologie de son fondement. Il a été établi par la justice, et fait donc partie intégrante de la jurisprudence allemande, que la publication de la méthode centrale de la virologie du 1er juin 1954, dans laquelle a été publié comme preuve de l’existence de virus pathogènes le fait de tuer des cellules en laboratoire de manière involontaire et sans s’en rendre compte, ne constitue plus une preuve de l’existence d’un virus à partir de l’année 2016 !

La crise Corona a augmenté les chances que le seul verdict du procès du virus de la rougeole puisse provoquer un tournant par rapport à la pensée et à l’action du bien et du mal qui dominent aujourd’hui la biologie, la médecine, la société et l’État. Peut-être que l’application d’un, de plusieurs ou de l’ensemble des sept arguments présentés ci-dessus au SRAS-CoV-2 suffira à mettre fin à la dynamique propre, à mes yeux prévisible, de l’hystérie mondiale Corona et de l’affairisme qui l’alimente avec les procédures de test et les vaccins. Je renvoie, en ce qui concerne le processus du virus de la rougeole et en général, à la page Internet Corona_Fakten sur le portail Telegram. On y trouve un très bon résumé des processus sur la signification du procès du virus de la rougeole, ainsi que d’autres textes qui sont très bien.

Mon optimisme quant au fait que la crise de Corona se révélera être une chance pour tous se fonde sur l’article 1 de la loi sur la protection contre les infections, en abrégé IfSG. L’article 1 IfSG « Objectif de la loi » stipule dans la phrase (2) : « La collaboration et la coopération nécessaires des autorités fédérales, régionales et locales, des médecins, des vétérinaires, des hôpitaux, des institutions scientifiques et des autres parties prenantes doivent être organisées et soutenues conformément à l’état actuel de la science et de la technique médicale et épidémiologique. La responsabilité personnelle des responsables et des directeurs d’établissements communautaires, d’entreprises alimentaires, d’établissements de santé et des individus dans la prévention des maladies transmissibles doit être clarifiée et encouragée ».

Toutes les mesures et ordonnances Corona, entre-temps également les lois Corona, ont pour base exclusive et unique la loi sur la protection contre les infections (IfSG). Mais comme la « disposition théorique » du § 1 de l’IfSG « doit être conçue et soutenue conformément à l’état actuel de la science et de la technique médicale et épidémiologique » a été réfutée par les déclarations publiées des virologues eux-mêmes et prouvée comme anti-scientifique, toutes les mesures, ordonnances et lois Corona n’ont pas les bases juridiques nécessaires pour être appliquées.

Aucun des responsables et directeurs d’établissements collectifs, d’entreprises alimentaires, d’établissements de santé visés au § 1, phrase (2), ainsi que des individus, c’est-à-dire tout citoyen visé par les lois, ne peut exécuter et tolérer des mesures et des ordonnances Corona s’ils ont reconnu et peuvent prouver que les virologues n’ont pas de preuves scientifiques de l’existence de virus pathogènes, mais qu’ils se sont réfutés eux-mêmes, par leurs propres actions et publications.

Tant que l’obligation de scientificité du § 1 IfSG est maintenue, il est possible, en se référant au § 1 IfSG, de présenter avec succès devant les tribunaux les preuves de l’absence de fondement, de l’absence de droit, de la nocivité et de l’immoralité de toutes les mesures, ordonnances et lois Corona. La majorité des juges sont honnêtes et consciencieux, ils suivent le droit et la loi, sinon une dictature ouverte régnerait depuis longtemps dans ce pays, dictature qui cherche à se construire de manière de plus en plus visible au moyen d’arguments pseudo-scientifiques et réfutés issus de la virologie et de la médecine.

Dans vos actions, veuillez tenir compte des points suivants : La majorité de la population croit à l’existence, à l’action des virus pathogènes et à l’effet positif des vaccins. Exprimé de manière radicale : celui qui croit au cancer comme étant l’effet d’un principe du mal incompris, croit également aux métastases, croit aux « métastases volantes », alias les virus. La souffrance vécue directement et indirectement par presque chaque personne avec les conséquences négatives des diagnostics de cancer et de leurs traitements lourds est profonde et efficace. Dans votre travail d’information et dans vos actions, veuillez tenir compte du fait que cette souffrance directe et indirecte à elle seule a créé et renforcé chez les gens le sentiment et la certitude qu’il existe des maladies et des virus dangereux et mortels. Notez que de telles expériences, et d’autres encore, peuvent donner à penser que seul notre État et ses spécialistes sont en mesure de les gérer et d’avoir le droit de les gérer. Vous pouvez ainsi éviter que vos actions n’aient l’effet inverse. C’est particulièrement important lorsque vous traitez avec des médecins, dont nous avons tous besoin.

J’explique par exemple à toute personne qui me pose des questions qu’il existe un meilleur système de connaissance qui explique scientifiquement (dans le sens positif du terme) les processus qui mènent à la maladie et à la guérison et que des crises de guérison peuvent survenir et que des obstacles à la guérison peuvent agir. Mais pour pouvoir accepter cette nouvelle vision, il est souvent nécessaire de reconnaître que le système d’explication actuel, basé sur la théorie des cellules, est réfuté. La crise de Corona est à cet égard une chance unique et un appel clair à s’engager pour la vie et les trois idéaux humains universels de liberté, d’égalité et de fraternité, c’est-à-dire pour la tripartition sociale des communautés humaines. (Voir à ce sujet l’article de ce numéro de w+ 4/2020, « La tripartition sociale ».)

Cet article sera reproduit dans notre livre « Corona — Plus loin dans le Chaos ou Chance pour Tous ? » Voir la critique du livre à la page 46 de ce numéro de w+.

Cet article est disponible gratuitement sur notre site Internet www.wissenschafftplus.de


Les sources de cet article se trouvent dans :

« Mauvaise interprétation du Virus — partie I » dans le magazine WissenschafftPlus N° 1/2020 et « Mauvaise interprétation du Virus – partie II » dans le magazine WissenschafftPlus N° 2/2020

Cet article et l’article « Evolution de la médecine et de l’Humanité — quelle est la suite des événements ? » paru dans le magazine WissenschafftPlus n° 6/2015, sont disponibles librement sur internet www. wissenschafftplus.de dans la rubrique « Textes importants ».

Introduction à une nouvelle vision de la vie, parties I à III. À retrouver dans les numéros 1, 2 et 3/2019 de WissenschafftPlus.

Comprendre l’eau, reconnaître la vie. L’eau PI : bien plus que de l’H2O énergétisé. WissenschafftPlus n° 6/2018. Cet article peut être consulté librement sur notre site Internet www.wissenschafftplus.de dans la rubrique « Textes importants » (en Allemand « Wichtige Texte », à droite sous la photo – NDT)

Mise en forme et relecture Jean Bitterlin — 6 Août 2022




La « variole du singe » comme possible effet secondaire de « vaccins » anti-Covid ?

[Source : planetes360.fr]

Miles Guo lanceur d’alerte chinois :

« La variole du singe n’est qu’une excuse ! C’est le désastre des vaccins Covid, Il a été causé à 100 % par les vaccins Covid ! Les éruptions cutanées sont les conséquences des vaccins Covid ! »


[Source : cosmopolitan.fr]

Vaccin contre le Covid-19 : un nouvel effet secondaire dangereux pour la peau ?

Par ELISE POIRET 09/02/2022

Une étude menée par des scientifiques turcs atteste que sept personnes ont développé une pathologie rare de la peau après la vaccination contre le Covid-19.

Plus d’une personne sur dix fait état d’effets secondaires liés à la vaccination contre le Covid-19, selon l’Agence européenne des médicaments. Si beaucoup souffrent de maux de tête, de fièvre ou encore de douleurs à l’endroit de l’injection, certains auraient aussi développé des symptômes cutanés.

Vaccin contre le Covid-19 : une maladie rare de la peau chez certains patients

Une récente étude publiée dans l’International Journal of Dermatology a mis en lumière ce qui semblerait être un nouvel effet indésirable lié à la vaccination contre le Covid-19. En effet, selon les recherches menées par des scientifiques turcs, plusieurs patients vaccinés auraient développé une maladie rare de la peau, appelée pemphigoïde bulleuse.

Qu’est-ce que la pemphigoïde bulleuse ?

La pemphigoïde bulleuse est une maladie bulleuse de la peau, qui se caractérise par des bulles (ou cloques), en général de grande taille, se développant sur une peau rouge (cela ressemble de l’urticaire ou à de l’eczéma), informe la société française de dermatologie. Le nombre de bulles présentes sur la peau est variable d’un individu à l’autre. Parfois, il peut même ne pas y en avoir, ce qui rend le diagnostic plus compliqué. Les patients atteints de cette maladie souffrent aussi de démangeaisons.

La pemphigoïde bulleuse est une maladie auto-immune, ce qui signifie qu’elle est, comme toutes les pathologies auto-immunes, liée « à la fabrication anormale par l’organisme d’anticorps dirigés contre soi-même », explique la SFD. Ce phénomène touche essentiellement la peau et notamment le corps et les membres, plus rarement le visage. La maladie peut aussi toucher les muqueuses (buccales et génitales) mais cela concerne moins de 10% des cas. Elle n’est ni contagieuse, ni héréditaire.

Cette pathologie affecte majoritairement les personnes âgées de plus de 70 ans.

Quel lien entre la pemphigoïde bulleuse et le vaccin contre le covid-19 ?

Les recherches dirigées par les scientifiques turcs mettent en avant les cas de sept personnes ayant développé la maladie bulleuse, quatre à six semaines après avoir reçu leur première, deuxième ou troisième injection de vaccin contre le Covid-19. À noter qu’il s’agit de personnes âgées.

Parmi les sept patients, quatre d’entre eux ont développé l’affection pour la première fois. Tandis que les trois autres ont eu un épisode récurrent après leur vaccination. « Dans deux des quatre cas d’apparition de la maladie, la pemphigoïde bulleuse a été observée après la deuxième dose de CoronaVac à virus inactivé. Pour les deux autres, cela s’est produit après leur troisième dose, pour laquelle ils ont reçu une première dose du vaccin Pfizer-BioNTech », indiquent les chercheurs. Avant d’ajouter : « La période de latence de la nouvelle pemphigoïde bulleuse variait de 2 semaines à 1 mois après la vaccination, alors qu’elle était aussi courte qu’une semaine après la première dose chez un patient présentant une exacerbation post-vaccinale. » Selon l’étude, l’état de la peau des patients s’est amélioré grâce à un traitement.

Les scientifiques sont tout de même prudents. À ce jour, ils ne peuvent établir un lien définitif entre la maladie et les vaccins contre le Covid-19. Ils estiment que d’autres recherches sur le sujet doivent encore être menées.


Par Joseph Stroberg

D’après les expérimentations et démonstrations de chercheurs qui suivent réellement la démarche scientifique (mais pas la mauvaise cuisine des virologues et autres microbiologistes), comme Stefan Lanka, les virus ne sont pas la cause des maladies, mais sont produits naturellement par les cellules qui subissent une agression (par des toxines chimiques ou d’autres facteurs agressifs ou stressants) ou une déficience plus ou moins grave en nutriments. Voir :

La théorie des exosomes contre celle des virus
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Démontage de la théorie virale
VIRUS TUEUR ??
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva – Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie

Alors pourquoi les militaires s’acharnent-ils à modifier des virus (en fait « exosomes ») pour en faire des armes biologiques ?

Parce qu’ils se fient aux croyances de virologues et autres prétendus experts des germes, des virus ou des épidémies (qui pourtant n’adoptent jamais intégralement les méthodes rigoureuses de la science, mais se contentent de reproduire ce que Big Pharma leur a enseigné lors de leurs études universitaires).
Et peut-être parce qu’accessoirement les récipients contenant les exosomes modifiés pour espérer en faire des armes bactériologiques contiennent au moins une partie des toxines qui sont à l’origine de la production de ces derniers et que ces toxines continuent à produire des effets néfastes sur la santé si elles entrent en contact avec des organismes vivants.




Démontage de la théorie virale

[Source : drrobertyoung.com]

Par Robert O Young DSc, PhD, Praticien naturopathe

L’existence des virus de la polio, de la rougeole, du VIH, du CMV, de l’EBV, de l’hépatite C, de l’Ebola, de la grippe, du Zika et maintenant du coronavirus [SRAS-CoV-2] a-t-elle été démontrée et scientifiquement prouvée ?

Le premier isolement d’un virus a été réalisé en 1892 par le chasseur de bactéries russe Dimitri Iwanowski, qui a recueilli du liquide provenant de plants de tabac malades. Il a fait passer ce liquide à travers un filtre suffisamment fin pour retenir les bactéries. Pourtant, à la surprise d’Iwanowski, le filtrat exempt de bactéries rendait facilement malades les plantes saines. En 1898, un botaniste néerlandais, Martinus Willem Beijerinck, répétant l’expérience, a également reconnu l’existence d’une cause invisible et a nommé l’agent infectieux « virus de la mosaïque du tabac ». La même année que le rapport de Beijerinck, deux scientifiques allemands purifiaient un liquide contenant des virus filtrables qui provoquaient la fièvre aphteuse chez les bovins (les virus étaient à une époque appelés « virus filtrables », mais le terme « filtrable » a fini par s’appliquer uniquement aux virus et a été abandonné). Walter Reed a suivi en 1901 avec un filtrat responsable de la fièvre jaune, et bientôt des dizaines d’autres virus pathogènes ont été découverts.

En 1935, un autre Américain, Wendell M. Stanley, est revenu au point de départ et a créé des cristaux purs du virus de la mosaïque du tabac à partir d’une solution liquide filtrée. Il a affirmé que ces cristaux pouvaient facilement infecter les plantes, et a conclu qu’un virus n’était pas un organisme vivant, puisqu’il pouvait être cristallisé comme du sel tout en restant infectieux. Par la suite, les bactériologistes du monde entier ont commencé à filtrer les virus, et un nouveau domaine de la biologie est né : la virologie.

Historiquement, la science médicale a hésité sur la question de savoir si un virus est vivant. À l’origine, il était décrit comme non vivant, mais on dit actuellement qu’il s’agit d’une molécule extrêmement complexe ou d’un micro-organisme extrêmement simple, et on le qualifie généralement de parasite ayant un cycle de vie. (Le terme « tué » est appliqué à certains vaccins viraux, ce qui implique une conviction officielle que les virus vivent). Généralement composés de noyaux d’ADN ou d’ARN recouverts de protéines [ou d’une membrane lipidique], et n’ayant aucune capacité de reproduction intrinsèque, les virus dépendent de l’hôte pour leur réplication. Ils doivent utiliser les acides nucléiques des cellules vivantes qu’ils infectent pour reproduire leurs protéines (c’est-à-dire inciter l’hôte à les produire), qui sont ensuite assemblées en de nouveaux virus comme des voitures sur une chaîne de montage. Théoriquement, c’est leur seul moyen de survivre et d’infecter de nouvelles cellules ou de nouveaux hôtes.

La théorie du virus qui se réplique

On a ensuite découvert que, lorsque les bactéries commencent à mourir lentement, elles créent de minuscules formes de survie, apparemment sans vie, appelées spores. On a alors soupçonné que ces spores étaient toxiques et qu’il s’agissait de ce qu’on appelle des poisons pathogènes. Cela a ensuite été réfuté, car les spores se transforment rapidement en bactéries lorsque leurs ressources vitales sont restaurées. Lorsque les scientifiques ont observé en laboratoire que les bactéries faibles et très consanguines périssaient très rapidement en se transformant en structures beaucoup plus petites que les spores, on a d’abord cru que les bactéries étaient tuées par les prétendus poisons pathogènes, appelés virus, et que les virus se répliquaient ainsi.

La micrographie ci-dessus a été réalisée à l’aide de la microscopie à fond noir et montre les globules rouges et l’évolution des phages bactériens et des spores bactériennes (les taches blanches de la transformation biologique des globules rouges).

L’invention des virus bactériens

Comme on croyait que ces structures — encore invisibles à l’époque de leur découverte — tuaient les bactéries, on les a appelées phages/bactériophages, « mangeurs de bactéries ». Ce n’est que plus tard que l’on a découvert qu’il était possible de transformer en phages des bactéries hautement consanguines et donc presque non viables, ou des bactéries qui sont détruites si rapidement qu’elles n’ont pas le temps de former des spores.

L’introduction de la microscopie électronique a permis de découvrir les structures résultant de la transformation biologique ou du pléomorphisme des bactéries lorsque celles-ci mouraient soudainement ou lorsque le métabolisme des germes hautement consanguins était dépassé par des processus déclenchés par l’ajout de « phages ». On a également découvert qu’il existe des centaines de types de « phages » d’apparence différente. La découverte des phages, les « virus » bactériens, a renforcé l’hypothèse erronée et la croyance qu’il existait des virus humains et animaux qui se ressemblaient et avaient la même structure. Ce n’est pas et ne peut pas être le cas, pour plusieurs raisons différentes.

Après avoir introduit les techniques d’examen chimique en biologie, on a découvert qu’il existe des milliers de types de phages et que les phages d’un même type ont toujours la même structure. Ils sont constitués d’une molécule particulière, faite d’acide nucléique, qui est recouverte d’une enveloppe de protéines d’un nombre et d’une composition donnés. Ce n’est que plus tard que l’on a découvert que seules les bactéries qui avaient été fortement consanguines dans le tube à essai pouvaient se transformer en phages elles-mêmes, par contact avec des phages, mais que cela ne s’appliquait jamais aux bactéries naturelles ou aux bactéries qui venaient d’être isolées de leur environnement naturel. Au cours de ce processus, on a découvert que ces « virus bactériens » servent en fait à fournir à d’autres bactéries des molécules et des protéines importantes, et que les bactéries elles-mêmes ont émergé de ces structures.

Avant que l’on puisse établir que les « virus bactériens » ne peuvent pas tuer les bactéries naturelles, mais qu’ils les aident au contraire à vivre et que les bactéries elles-mêmes émergent de ces structures, ces « phages » étaient déjà utilisés comme modèles pour les prétendus virus humains et animaux. On supposait que les virus humains et animaux ressemblaient aux « phages », qu’ils tuaient prétendument les cellules et provoquaient ainsi des maladies, tout en produisant de nouveaux poisons pathogènes et en transmettant ainsi les maladies. À ce jour, de nombreuses maladies nouvelles ou apparemment nouvelles ont été attribuées à des virus dont l’origine est inconnue ou non reconnue.

Ce réflexe a trouvé une confirmation apparente dans la découverte des « virus bactériens ».

Il est important de noter que les théories de la lutte et de l’infection n’étaient acceptées et louées par une majorité de spécialistes que si et quand les pays ou régions où ils vivaient souffraient également de la guerre et de l’adversité. En temps de paix, d’autres concepts dominaient le monde de la science [272].

Il est très important de noter que la théorie de l’infection — partant de l’Allemagne — n’a été mondialisée que par le troisième Reich, lorsque les chercheurs juifs, dont la plupart s’étaient opposé et avaient réfuté les théories de l’infection exploitées politiquement, ont été démis de leurs fonctions [273].

La détection des phages et la transformation biologique —L’existence des phages peut être prouvée rapidement.

Phage bactérien naissant d’une cellule du sang et/ou du corps. Un processus biologique connu sous le nom de pléomorphisme

Première étape : leur présence est confirmée par un effet, à savoir la transformation des bactéries en phages, et aussi par une micrographie électronique de ces phages. Les expériences de contrôle montrent que les phages n’apparaissent pas si les bactéries ne se transforment pas ou si les bactéries commencent aléatoirement à se décomposer en raison d’une annihilation soudaine extrinsèque, sans former de phages.

Les micrographies (micrographies n° 1 à n° 6) ci-dessus montrent la transformation cellulaire des globules rouges, par microscopie à contraste de phase, en bactéries à bâtonnets, en bactéries à paroi cellulaire déficiente, en levure de forme Y, puis en bactéries phages.

Deuxième étape : le liquide contenant les phages est concentré et appliqué sur un autre liquide, qui a une forte concentration au fond du tube à essai et une faible concentration en haut du tube à essai. Le tube à essai contenant les phages est alors puissamment centrifugé et toutes les particules se rassemblent en fonction de leur masse et de leur poids à l’endroit de leur propre densité. La densité est le rapport du poids (masse) par unité de volume, exprimé respectivement en kg/l ou g/mg. C’est pourquoi cette étape de concentration et de purification des particules ayant la même densité est appelée centrifugation à gradient de densité.

La couche où se rassemblent de nombreuses particules de même densité devient « trouble », on l’appelle une « bande ». Cette étape est documentée, puis les particules concentrées, purifiées et sédimentées dans une « bande » sont extraites à l’aide d’une aiguille de seringue. La quantité concentrée de particules extraite est appelée un isolat. Une micrographie électronique simple et rapide confirmera la présence de phages dans l’isolat, ce qui est en même temps une indication de la pureté de l’isolat, si la micrographie ne montre aucune autre particule que les phages. L’apparence et le diamètre des phages seront également établis à l’aide de cette micrographie.

L’expérience témoin réalisée pour cette étape consiste à traiter et à centrifuger le liquide des bactéries qui n’ont pas formé de phages, où aucun phage n’apparaît à la fin de la procédure.

Après l’étape d’isolement réussi des phages vient la caractérisation biochimique décisive des phages. La caractérisation biochimique de leur composition est essentielle pour identifier le type spécifique de phage, car différents types de phages semblent souvent similaires. L’isolat obtenu par centrifugation en gradient de densité est maintenant divisé en deux parties. Une partie est utilisée pour déterminer la taille, le type et la composition de l’acide nucléique ; dans une procédure distincte, l’autre partie est utilisée pour déterminer la quantité, la taille et la morphologie des protéines des phages. Depuis les années 1970, ces tests sont des techniques standard simples que tout étudiant en biologie apprend au cours de son premier semestre.

Ces tests représentent la caractérisation biochimique des phages. Dans presque tous les cas, ces résultats ont été et sont publiés dans une seule publication, car un phage a une structure très simple qui est très facile à analyser. Les expériences de contrôle pour ces tests utilisent du liquide provenant de bactéries qui ne forment pas de phages et ne peuvent donc présenter aucune preuve biochimique. L’existence d’environ deux mille types différents de phages a été scientifiquement démontrée de cette manière.

Les virus dits pathogènes

https://www.drrobertyoung.com/post/there-is-no-evidence-of-the-existence-for-any-virus-isolated-by-anyone-anywhere-in-the-world

Les « bactériophages », définis à juste titre comme des mini-spores et des éléments constitutifs incomplets des bactéries, ont été isolés scientifiquement, tandis que les virus dits pathogènes n’ont jamais été observés chez l’homme ou l’animal ou dans leurs fluides corporels et n’ont jamais été isolés et ensuite analysés biochimiquement. À ce jour, aucun des chercheurs impliqués dans la recherche en virologie [à part Stefan Lanka] ne semble avoir réalisé ce point très important.

L’utilisation de la microscopie électronique et la biochimie revenaient très lentement à la normale après 1945 et personne ne s’était rendu compte qu’aucun virus pathogène n’avait jamais été isolé chez l’homme ou l’animal. Ainsi, à partir de 1949, les chercheurs ont commencé à appliquer la même idée que celle utilisée pour les phages (bactériophages), afin de répliquer les « virus » humains et animaux. John Franklin Enders, né en 1897 dans la famille d’un riche financier, a été actif dans diverses fraternités après avoir terminé ses études, puis il a travaillé comme agent immobilier et a étudié les langues étrangères pendant quatre ans avant de se tourner vers la virologie bactérienne, qui le fascinait. Il a ensuite simplement transposé les idées et les concepts qu’il avait appris dans ce domaine de recherche aux virus supposés pathogènes chez l’homme.

Des expériences et des interprétations non scientifiques ont donné naissance à la virologie

Avec ses expériences non scientifiques et ses interprétations qu’il n’a jamais confirmées par des contrôles négatifs, Enders a mené toute la médecine infectieuse « virale » dans une impasse. Il est important de noter à ce stade qu’Enders, comme de nombreux spécialistes des maladies infectieuses, travaillait pour l’armée américaine, qui a toujours été et reste à ce jour une grande victime de la peur des contagions. C’est principalement l’armée américaine qui a répandu sa croyance erronée selon laquelle, outre les armes chimiques, il existait également des armes biologiques sous la forme de bactéries et de virus.

En 1949, Enders annonça qu’il avait réussi à cultiver et à faire croître le prétendu virus de la polio in vitro sur différents tissus. L’expertise américaine a tout cru immédiatement. Ce qu’Enders a fait, c’est ajouter des fluides provenant de patients atteints de poliomyélite à des cultures de tissus qu’il prétendait avoir fait stériliser, puis il a prétendu que les cellules mouraient à cause du virus, que le virus se répliquait de cette manière et qu’un vaccin pouvait être récolté à partir de la culture respective. À cette époque, les épidémies de polio (polio = paralysie flasque) étaient très fréquentes en été et on pensait qu’elles étaient causées par le virus de la polio.

Un vaccin devait permettre d’éradiquer le prétendu virus. Après l’introduction du vaccin contre la polio, les symptômes ont été rediagnostiqués, entre autres, comme étant la sclérose en plaques, la paralysie flasque aiguë, la méningite aseptique, etc., et plus tard, on a prétendu que la polio avait été éradiquée. Au cours de ses expériences, Enders et coll. ont stérilisé les cultures de tissus afin d’exclure la possibilité que des bactéries tuent les cellules. Ce qu’il n’a pas pris en considération, c’est que la stérilisation et le traitement de la culture cellulaire lors de la préparation à l’infection présumée étaient exactement ce qui détruisait et tuait les cellules. Au lieu de cela, il a interprété les effets cytopathiques comme l’existence et l’action d’un soi-disant virus de la polio, sans jamais avoir isolé un seul virus et décrit sa biochimie.

Les expériences de contrôle négatif nécessaires, qui auraient montré que la stérilisation et le traitement des cellules avant l’« infection » dans le tube à essai tuaient les cellules, n’ont jamais été réalisées. Cependant, pour cette « performance », Enders a reçu le prix Nobel en 1954.

[Voir aussi :
VIRUS TUEUR ??
►Dossier Vaccins et virus et particulièrement :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
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5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
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Graphène et 5G]
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L’invention du virus de la polio et « OUI » aussi du virus de la rougeole ! MAINTENANT, nous avons l’invention du coronavirus !

Le virus de la rougeole, un phage bactérien ou de simples débris cellulaires ?

1954 est également l’année où Enders a appliqué et introduit la même technique afin de répliquer prétendument le virus de la rougeole. Comme il avait reçu le prix Nobel pour le prétendu virus de la polio la même année, tous les chercheurs ont cru que sa technique était scientifiquement valable. Ainsi, jusqu’à présent, tout le concept de la polio et de la rougeole a été fondé sur cette technique non scientifique et sur cette fraude.

Ainsi, les vaccins contre la polio et la rougeole ne contiennent pas de virus, mais des particules de tissu rénal de singe mort ou de cellules cancéreuses humaines. À ce jour, aucune expérience de contrôle négatif n’a été réalisée sur les soi-disant virus de la polio et de la rougeole, ce qui aurait montré que ce sont les procédures de laboratoire qui ont entraîné les effets cytopathiques sur les cellules.

En outre, toutes les affirmations et expériences faites par Enders et coll. et les chercheurs ultérieurs conduisent à la seule conclusion objective, à savoir qu’ils observaient et analysaient en fait les particules ou fragments cellulaires et leur activité dans le tube à essai, les interprétant à tort comme des particules et des caractéristiques des prétendus virus de la polio et/ou de la rougeole.

Débris cellulaires PAS de soi-disant virus

TOUS les virus, qu’il s’agisse du VIH, de l’EBV, du CMV, de l’hépatite C, du virus du Nil occidental, de l’Ebola, de la rougeole, du Zika et maintenant du coronavirus, sont tous des virus fantômes — l’existence virale n’a JAMAIS été démontrée scientifiquement et jamais prouvée !

Un dessin 3D des soi-disant coronaviurs fantômes – https://www.drrobertyoung.com/post/there-is-no-evidence-of-the-existence-for-any-virus-isolated-by-anyone-anywhere-in-the-world

Les explications suivantes s’appliquent à tous les « virus pathogènes » (humains ou animaux). Les six articles fournis par le Dr Bardens au cours du « procès de la rougeole » comme preuve de l’existence du virus de la rougeole décrivaient de manière didactiquement idéale les différentes étapes de la chaîne d’interprétations erronées jusqu’à la croyance en l’existence d’un virus de la rougeole.

Le premier article a été publié en 1954 par Enders et coll. : « Propagation dans des cultures de tissus d’agents cytopathogènes provenant de patients atteints de rougeole » (Proc Soc Exp Biol Med. 1954 Jun ; 86 (2) : 277-286).

Cette publication peut être trouvée sur Internet, comme toutes les autres publications présentées lors du procès de la rougeole. Dans cette expérience, Enders et coll. ont considérablement réduit la quantité de solution nutritive et ont ajouté des antibiotiques destructeurs de cellules à la culture cellulaire avant d’introduire le liquide prétendument infecté. La mort subséquente des cellules a ensuite été interprétée à tort comme la présence et l’isolement du virus de la rougeole. Aucune expérience de contrôle n’a été réalisée pour exclure la possibilité que ce soit la privation de nutriments ainsi que les antibiotiques qui aient provoqué les effets cytopathiques.

L’aveuglement d’Enders et de ses collègues peut s’expliquer par le fait qu’il voulait vraiment aider les gens, alors que l’« hystérie virale » s’intensifiait après la guerre et pendant la guerre froide. Elle peut également s’expliquer par le fait qu’Enders et nombre de ses collègues n’avaient aucune idée de la médecine ou de la biochimie et qu’ils étaient en concurrence avec l’Union soviétique pour le développement du premier vaccin contre la rougeole. Une telle pression pour le succès peut également expliquer pourquoi Enders et ses collègues ont ignoré leurs propres réserves et mises en garde exprimées en 1954, lorsqu’ils avaient observé et noté que de nombreuses cellules mouraient également après avoir été traitées normalement (c’est-à-dire sans être « infectées »), ce qu’ils pensaient être causé par des virus inconnus et d’autres facteurs. Tous ces faits et mises en garde n’ont pas été pris en compte par la suite.

Le deuxième article présenté par le demandeur dans le « procès de la rougeole » a été publié en 1959 [274] et, pour les raisons présentées ci-dessus, les auteurs ont conclu que la technique introduite par Enders n’était pas appropriée pour l’isolement de TOUT virus. Non seulement cette réfutation n’est PAS discutée par TOUS les autres chercheurs, mais elle est complètement ignorée !

Le « dogme viral » des virus pathogènes est encore promu aujourd’hui !

Dans un troisième article [275], les auteurs ont photographié des particules cellulaires typiques à l’intérieur des cellules et les ont interprétées à tort comme étant le virus de la rougeole. Ils n’ont isolé aucun virus. Pour des raisons inexpliquées, ils n’ont pas réussi à déterminer et à décrire la structure biochimique de ce qu’ils présentaient comme un virus dans une expérience distincte. Dans la brève description des méthodes utilisées, on peut lire que les auteurs n’ont pas appliqué la technique standard d’isolement des virus, à savoir la centrifugation en gradient de densité. Ils ont simplement centrifugé des fragments de cellules mortes au fond d’un tube à essai et ensuite, sans décrire leur structure biochimique, ils ont interprété à tort les débris cellulaires comme des virus.

Débris cellulaires PAS de soi-disant virus

De la manière dont les expériences ont été réalisées, on ne peut que conclure que des particules cellulaires ont été interprétées à tort comme des virus. Nous retrouvons la même situation dans la quatrième [276] et la sixième [277] publication avancée par le demandeur comme preuve de l’existence d’un virus de la rougeole. La cinquième publication [278] est une revue décrivant le processus de consensus quant aux molécules d’acide nucléique provenant des cellules mortes qui représenteraient le soi-disant génome du virus de la polio ou de la rougeole. Le résultat est que des dizaines d’équipes de recherche travaillent avec de courts morceaux de molécules spécifiques aux cellules, après quoi — suivant un modèle donné — elles assemblent toutes les pièces sur papier. Cependant, ce puzzle composé de tant de pièces n’a jamais été scientifiquement prouvé comme un tout et n’a jamais été isolé d’un virus, car les virus de la polio, de la rougeole, du VIH ou de l’hépatite C, d’Ebola ou de Zika n’ont jamais été vus, ni chez l’homme ni dans un tube à essai. Se référant à cette publication, l’expert désigné par le tribunal a déclaré qu’elle décrivait l’étalon-or, c’est-à-dire le génome entier du virus. Il est évident que l’expert n’a pas lu cet article, dont les auteurs ont déclaré que la composition moléculaire et les fonctions exactes du génome du virus de la rougeole devront faire l’objet de recherches ultérieures, raison pour laquelle ils ont dû s’appuyer sur d’autres modèles de virus afin de parvenir à un consensus sur la structure et les fonctions de TOUT génome de virus. La chose la plus facile à remarquer pour quiconque est que dans toutes ces publications, ainsi que dans toutes les autres publications sur le « virus de la rougeole » et d’autres virus pathogènes, y compris le VIH, l’EBV, le CMV, Ebola et Zika, aucune expérience de contrôle n’a jamais été réalisée [NDLR : ceci avant les travaux assez récents de Stefan Lanka]. Aucun chercheur n’a utilisé la technique de centrifugation en gradient de densité. Au lieu de cela, ils se sont contentés de centrifuger les débris cellulaires au fond d’un tube à essai. Cette technique, utilisée pour recueillir toutes les particules d’un fluide, s’appelle la granulation. D’un point de vue logique et scientifique, on peut dire que dans toutes les publications sur les soi-disant « virus pathogènes », les chercheurs n’ont en fait démontré que des particules et des caractéristiques de cellules. Je voudrais également souligner que les virus dits géants [279], c’est-à-dire un acide nucléique enveloppé, peuvent être trouvés partout dans la mer et dans les organismes de base. Comme tous les phages bactériens, non seulement ils sont inoffensifs, mais ils ont des fonctions bénéfiques. On peut également les isoler en utilisant la centrifugation en gradient de densité, ce qui prouve leur existence (voir le graphique ci-dessus).

Micrographie d’une agrégation de globules rouges infectés par le Coronavirus fantôme. Ces cellules dites infectées ne sont rien d’autre que des globules rouges en cours de transformation biologique qui subissent des changements pléomorphiques dus à une acidité accrue et à un pH en baisse — <7,2. La transformation biologique des cellules du sang ou du corps est un processus naturel qui se déroule dans un environnement acide des fluides interstitiels des compartiments de l’interstitium et qui se déverse ensuite dans le plasma sanguin via une pression hydrostatique causée par l’accumulation de déchets acides alimentaires et métaboliques qui n’ont pas été correctement éliminés par le système lymphatique via les quatre voies d’élimination — urination, défécation, transpiration et/ou respiration…
https://www.drrobertyoung.com/post/dismantling-the-viral-theory.

Je recommande également la revue pertinente du professeur Lüdtke (1999) [280]. Il note qu’aux débuts de la virologie, la majorité des virologues ont toujours conclu que les structures qu’ils avaient prises pour des virus s’avéraient être des composants des cellules et qu’elles n’étaient donc que le résultat de l’expérience et non la cause des changements observés.

Après la découverte et la caractérisation des phages et après l’introduction du dogme selon lequel l’acide nucléique était le génome de toutes les cellules et de tous les virus, le consensus est né, selon lequel ces virus doivent exister aussi chez les humains et les animaux. En 1992, le dogme affirmant que l’acide nucléique est le génome de toutes les cellules a été rétracté dans la communauté scientifique. Cependant, le « dogme viral » des virus pathogènes est encore promu aujourd’hui, au détriment de milliards de personnes. — Pour quoi faire ?

Conclusion concernant les virus fantômes et les virus de la polio et de la rougeole

Micrographie électronique du soi-disant virus de la polio, dont il n’a jamais été démontré scientifiquement qu’il provoque les symptômes de la paralysie. L’illustration a été colorisée pour l’effet.

Ma conclusion est toujours la même : le terrain ou l’environnement interne est tout et le germe ou le soi-disant virus n’est RIEN ! Le germe ou le soi-disant virus ne peut être qu’un symptôme d’une dégradation cellulaire due à un déséquilibre de l’équilibre délicat du pH alcalin des fluides corporels et NON la cause de cette dégradation. C’est pourquoi, il y a des années, j’ai offert à n’importe quel scientifique dans le monde une prime de découverte de 5 millions de dollars américains s’il pouvait prouver l’existence du virus VIH en utilisant les postulats de Koch. Cela fait maintenant plus de 20 ans et j’attends toujours, même si actuellement je n’ai plus les fonds nécessaires pour payer le prix en raison d’un assassinat politique ! Il est regrettable qu’un ancien prix de 5 millions de dollars US offert il y a 20 ans n’ait pas été suffisant pour changer le dogme médical viral actuel qui verse actuellement des milliers de milliards de dollars à devinez qui [281] ?

Cliquez ici pour en savoir plus : http://medcraveonline.com/IJVV/IJVV-02-00032.php

Pour commander votre exemplaire de Second Thoughts About Viruses, Vaccines and the HIV/AIDS Hypothesis [Secondes réflexions sur les virus, les vaccins et l’hypothèse du VIH/SIDA], rendez-vous sur le site : https://www.amazon.com/…/ref=dbs_a_def_rwt_hsch_vapi_taft_p…

Conférence à Dubaï —La deuxième conférence annuelle sur les maladies bactériennes, virales et infectieuses

http://www.drrobertyoung.com/events.html

Conférence principale à la 3e conférence annuelle sur les maladies bactériennes, virales et infectieuses, juin.

Rejoignez Robert O Young PhD et Galina Migalko MD à Dubaï les 18 et 19 juin 2019 pour la conférence annuelle sur les maladies bactériennes, virales et infectieuses. Ils seront les principaux orateurs et animeront un atelier sur la nouvelle biologie.

Deux conférences principales à la 3e conférence annuelle sur les maladies bactériennes, virales et infectieuses, les 18 et 19 juin 2020.

Titre

La genèse de la maladie (syndrome) respiratoire aiguë sévère ou SRAS (Coronavirus — COVID — 2 et COVID — 19) se trouve dans les fluides interstitiels de l’Intestium

Résumé

La pneumopathie interstitielle (IFLD), ou pneumopathie parenchymateuse diffuse (DPLD), [3] est un groupe de maladies pulmonaires affectant l’interstitium (les fluides ou l’espace interstitiels autour des alvéoles (sacs d’air des poumons). [4] Elle concerne l’épithélium alvéolaire, l’endothélium capillaire pulmonaire, la membrane basale et les tissus périvasculaires et périlymphatiques. Elle se produit lorsque des acides métaboliques, alimentaires, respiratoires et environnementaux blessent les tissus pulmonaires, ce qui déclenche une réaction anormale de guérison. Normalement, l’organisme produit la quantité de tissu nécessaire pour réparer les dommages causés par les acides, mais dans le cas de la pneumopathie interstitielle, le processus de réparation se dérègle en raison du pH acide (la guérison idéale se produit à un pH de 7,365)[5]) des fluides interstitiels, qui affecte la guérison normale du tissu entourant les sacs d’air (alvéoles), qui devient alors cicatriciel et épaissi. Micrographie de la pneumonie interstitielle habituelle (PIE). L’UIP est le modèle le plus courant de pneumonie interstitielle (un type de pneumopathie interstitielle) et représente généralement une fibrose pulmonaire causée par une acidose décompensée des fluides interstitiels du plus grand organe du corps humain — l’Interstitium. Coloration H&E. Spécimen d’autopsie. Cela rend plus difficile le passage de l’oxygène dans la circulation sanguine. Le terme ILD est utilisé pour distinguer ces maladies des maladies obstructives des voies respiratoires, mais la cause de toutes les maladies pulmonaires est due à une acidose décompensée des fluides interstitiels (le pH est inférieur à 7,2) qui est systémique bien que touchant la zone la plus faible des poumons. Ces faiblesses peuvent être attribuées au mode de vie et aux choix alimentaires. Il existe des types spécifiques de pneumopathie interstitielle chez les enfants. L’acronyme chILD est utilisé pour ce groupe de maladies et est dérivé du nom anglais, Children’s Interstitial Lung Diseases — chILD.[6] Une pneumopathie interstitielle prolongée peut entraîner une fibrose pulmonaire, mais ce n’est pas toujours le cas. La fibrose pulmonaire est spécifiquement causée par l’augmentation des acides dans les fluides interstitiels du poumon en raison d’une manière inversée de vivre, de manger, de boire, de respirer, de penser, de sentir et de croire. La pneumopathie interstitielle est associée à des résultats typiques tant radiographiques (fibrose basale et pleurale avec alvéoles) que pathologiques (fibrose hétérogène dans le temps et dans l’espace, alvéoles histopathologiques et foyers fibroblastiques). Nos résultats utilisent des technologies avancées avec un Bio-Electro Scanning 3D non invasif et non radioactif des fluides interstitiels du plus grand organe du corps, l’Interstitium, pour déterminer une chimie complète, y compris le pH. Ce test a montré dans tous les cas de maladie pulmonaire du liquide interstitiel, y compris les maladies virales, et les tumeurs malignes avec une précision de 98 % pour l’acidose métabolique décompensée, du DFCI, des niveaux élevés d’acide lactique et des niveaux élevés de calcium. Étant donné que les fluides interstitiels traversent chaque organe, chaque glande et chaque tissu, nous disposons désormais d’une image complète de la fonctionnalité et de la chimie de chaque organe, chaque glande et chaque tissu, y compris tous les os et les muscles.

Titre

Qu’est-ce que des virus comme le VIH et Corona ont en commun avec les exosomes ?

Résumé

Il n’existe qu’une seule maladie, une seule affection et un seul traitement. Cette maladie est l’acidification excessive du sang et des liquides interstitiels due à un mode de vie, d’alimentation, de boisson, de respiration, de pensée, de sentiment et de croyance inversé. Six facteurs majeurs contribuent à la baisse du pH acide des fluides corporels. Lorsque le pH des fluides corporels est compensé par ces six facteurs et que les membranes cellulaires et le matériel génétique commencent à se dégrader, les cellules libèrent des exosomes comme moyen de défense pour activer et soutenir les lymphocytes afin qu’ils libèrent des espèces d’oxygène ou des antioxydants pour réduire les charges acides stockées dans les fluides interstitiels de l’Interstium. Le seul traitement consiste à soutenir le système immunitaire en augmentant les quantités d’oxygène (O — ) et d’hydrogène (H —) réduits afin de restaurer la conception alcaline des fluides corporels, d’ouvrir les canaux d’élimination afin d’éliminer les déchets acides toxiques alimentaires, métaboliques, respiratoires et environnementaux retenus dans les fluides interstitiels de l’Interstium et de restaurer ainsi la santé, l’énergie et la vitalité du corps.

Pour plus d’informations et pour vous inscrire, rendez-vous sur le site : https://bacterialdiseases.infectiousconferences.com/organiz…

Voici le résumé de la conférence du Dr Young :

The Dismantling of the Viral Theory (Le démantèlement de la théorie virale)

Robert O Young CPT, MSc, DSc, PhD, Praticien naturopathe.

Résumé

Il y a maintenant plus de 100 ans d’histoire et de recherches documentées sur le virus de la polio et sur le fait que son traitement par inoculation a réussi ou non à éradiquer la polio. Je suggère dans cet article et dans ma conférence qu’il y a des résultats significatifs basés sur des recherches historiques, passées et actuelles, y compris les miennes, que la théorie virale de la polio et peut-être d’autres maladies modernes, telles que le syndrome post-polio, la paralysie induite par le vaccin de la polio, la légionellose, les maladies du SNC, le cancer, le VIH/SIDA et maintenant Zika peuvent être causées par un empoisonnement chimique acide dû au DDT (dichloro-diphényl-trichloroéthane) et à d’autres pesticides DDT, à des vaccinations acides et à d’autres facteurs, notamment le mode de vie et l’alimentation, plutôt que par un virus infectieux isolé. Je présenterai dix graphiques historiques décrivant l’histoire de la polio, la production de DDT, de BHC, de plomb, d’arsenic, les vaccinations contre la polio et la théorie de l’auteur selon laquelle l’empoisonnement chimique, la vaccination, le mode de vie et les choix alimentaires sont des causes plus probables des symptômes de la polio, des maladies neurologiques, du cancer, du VIH/SIDA et maintenant de Zika.

https://www.linkedin.com/…/lecture-dubai-annual-conference…/ https://bacterialdiseases.infectiousconferences.com/organiz…

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  • [261] Workshop on Simian Virus-40 (SV-40): A Possible Human Polyomavirus. National Vaccine Information Center, January 27-28, 1997. http://www.909shot.com/polio197.htm (Includes a summary of evidence presented at the Eighth Annual Houston Conference on AIDS.)
  • [262] Martin B. Polio vaccines and the origin of AIDS: The career of a threatening idea. Townsend Letter for Doctors, January 1994:97–100.
  • [263] Curtis T. Did a polio vaccine experiment unleash AIDS in Africa? The Washington Post, April 5, 1992:C3+.
  • [264] Myers G, et al. The emergence of simian/human immunodeficiency viruses. AIDS Res Human Retro 1992:8:373–86.
  • [265] World Health Organization. T-lymphotropic retroviruses of nonhuman primates. WHO informal meeting. Weekly Epidemiology Records, 1985; 30:269–70.
  • [266] Ibid.
  • [267] Elswood BF, Stricker RB. Polio vaccines and the origin of AIDS. Medical
  • Hypothesis, 1994:42:347–54.
  • [268] Ohta Y, et al. No evidence for the contamination of live oral poliomyelitis vaccines with simian immunodeficiency virus. AIDS, 1989; 3:183–5.
  • [269] Huet T, et al. Genetic organization of a chimpanzee lentivirus related to HIV-1. Nature, 1990; 345:356–9.
  • [270] Desrosiers RC. HIV-1 origins: A finger on the missing link. Nature, 1990;345:288– 9.
  • [271] Sabin AB. Properties and behavior of orally administered attenuated poliovirus vaccine. Journal of the American Medical Association, 1957; 164:1216–23.
  • [272] Siehe Ausführungen zu Virchows Leben und Wirkung in WissenschafftPlus Nr. 5/2015 und Nr. 6/2015. 2 Anticontagionism between 1821 and 1867.
  • [273] Aufsatz von Erwin H. Ackerknecht in der Zeitschrift Bulletin of the History of Medicine, Volume XXII, The Johns Hopkins Press, 1948.
  • [274] Bech V, Magnus Pv. Studies on measles virus in monkey kidney tissue cultures. Acta Pathol Microbiol Scand. 1959; 42 (1): 75–85.
  • [275] Nakai M, Imagawa DT. Electron microscopy of measels virus replication. J. Virol. 1969 Feb; 3v (2): 187–97.
  • [276] Lund GA, Tyrell, DL, Bradley RD, Scraba DG. The molecular length of measles virus RNA and the structural organization of measles nucleocapsids. J. Gen. Virol. 1984 Sep;65 (Pt 9): 1535–42.
  • [277] Daikoku E, Morita C, Kohno T, Sano K. Analysis of Morphology and Infectivity of Measles Virus Particles. Bulletin of the Osaka Medical College. 2007; 53 (2): 107–14.
  • [278] Horikami SM, Moyer SA. Structure, Transcription, and Replication of Measles Virus. Curr Top Microbiol Immunol. 1995; 191: 35–50.
  • [279] Siehe WissenschafftPlus Nr. 1/2014.
  • [280] Zur Geschichte der frühen Virusforschung. Übersichtsarbeit von Prof. Karlheinz Lüdtke. Reprint 125 des MAX-PLANCK-INSTITUT FÜR WISSENSCHAFTSGESCHICHTE, 89 Seiten, 1999.
  • [281) The government of the United States of America holds patents on the following viruses: Ebola, Patent number #CA2741523A1, Swine Flu, Patent number 8124101, HIV, Patent number #5676977, the cure for cancer, Patent number #6630507.




VIRUS TUEUR ??

[Source : santeglobale.world]

Dans l’antre du mystérieux virus : Remise en question totale

Par Makia Freeman

https://m.alterinfo.net/Dans-l-antre-du-mysterieux-virus-Remise-en-question-totale_a156680.html [NDLR : le lien ne dirige pas vers un article particulier et semble défectueux.]

Qu’est-ce qu’un virus ? Descendez au fond de l’antre où se cache le mystérieux virus et remettez tout en question. La pandémie bidon de coronavirus est une mystification monumentale, bien au-delà de ce que vous pourriez imaginer.

Gare ! Voilà le virus tueur !

Enfin… peut-être pas. Derrière toute pandémie, il y a toujours une flopée d’hypothèses sous-tendant les rapports médicaux et les décisions politiques et juridiques ultérieures. Le public ne sait pas qu’il s’agit d’hypothèses, puisqu’on les fait passer systématiquement pour des faits. Ainsi, pour bien justifier tout ce qui se trame dans le monde en ce moment — « distanciation » sociale, surveillance, censure, confinement, quarantaine, loi martiale médicale, crashs économiques, nouvelles monnaies numériques, pouvoirs exorbitants des gouvernements, avec leurs prévisions de vaccins obligatoires et de micropuces — les fonctionnaires du ministère de la Propagande doivent vous convaincre que ces hypothèses sont des faits. C’est pourquoi nous allons nous attaquer au mystère afin de poser quelques questions fondamentales, non seulement sur le coronavirus, mais aussi sur ce qu’est la mystérieuse entité virus dont on nous parle. Qu’est-ce qu’un virus ? Un virus peut-il passer de l’animal à l’humain ou d’un homme à l’autre ? Saviez-vous que le CDC a admis que son précieux test PCR est par essence inutile, puisqu’il n’indique pas si le virus est la cause de la maladie ? De toute façon, a-t-on prouvé à 100 % que les virus rendent malades les humains ? Comment les théories en contredisant la théorie des germes et la théorie du terrain interviennent-elles ici ? Bon, bouclez votre ceinture, ouvrez votre esprit et préparez-vous à la balade dans l’antre du virus.

Qu’est-ce qu’un virus ?

La médecine grand public occidentale (allopathie) s’est développée grâce à l’influence des Rockefeller. Ils l’ont imaginée pour vendre leurs potions à base de pétrole, qui est devenu la base des médicaments actuels de Big Pharma. Les Rockefeller et les autres familles des banques centrales du Nouvel Ordre Mondial, ont pris le contrôle des facultés de médecine et de la formation médicale, et grâce au rapport Flexner, ils ont pris le pas sur les médecines concurrentes, comme l’homéopathie. Ils se sont assurés que l’allopathie se focalise uniquement sur les produits pharmaceutiques et ont bloqué les précieuses connaissances nutritionnelles des médecins. En premier lieu, comme ce même système médical grand public définit ce que sont les monstres du genre virus, vous comprendrez que tout ce binz suscite de raisonnables soupçons. C’est aussi cette même famille Rockefeller qui a financé l’ONU (et a fait don de terres pour son siège à New York), coopté l’enseignement et publié en 2010 un document analysant la manière dont devront se comporter les gouvernements face à un scénario de pandémie.

Si l’on se fie à science allopathique, les virus sont des entités constituées de fragments d’ADN ou d’ARN (matériel génétique) enveloppés d’une membrane protéique et/ou lipidique. Dans les faits, n’étant pas vivants, les virus ont besoin d’une cellule hôte pour se répliquer. Ils sont minuscules — bien plus petits que les bactéries. Le virus serait à la frontière du vivant et de l’inanimé.

On trouve pourtant une autre vision du virus. Le défunt promoteur du régime primitif à base de viande crue, Aajonus Vonderplanitz (décédé en 2013), a donné une interview fascinante lors du canular de la grippe porcine de 2009, au moment où tout le monde paniquait (un peu moins qu’avec le coronavirus, mais dans les mêmes tons que lors des épidémies battues en neige par la presse, d’Ebola et de Zika). Voici ce qu’il a dit :

  • les virus sont créés par l’organisme pour se nettoyer quand les bactéries ne peuvent pas décomposer tous les déchets ;
  • tous les virus étant des réactions cellulaires nécessaires, ils ont un rôle bénéfique ;
  • semblables à du solvant ou du savon, les virus sont créés par les cellules pour aider à dissoudre et éliminer les toxines (le solvant transforme les déchets en soluté, en solution liquide facile à éliminer) ;
  • les virus sont spécifiques à la cellule qui les crée ;
  • les virus ne peuvent pas voyager au sein des espèces ;
  • il n’y a pas de virus en dehors des organismes ; et
  • pour qu’un virus traverse les espèces, il faudrait qu’il soit fabriqué et injecté, c’est-à-dire extrait, gardé en laboratoire, altéré et modifié génétiquement, transformé en arme, puis mis dans des vaccins et des armes biologiques.

On peut trouver à tout moment des virus dormants et latents dans notre organisme sans qu’ils ne provoquent de maladie. La seule présence d’un virus n’indique rien sur sa santé. Il est fort possible que du fait de la toxicité de notre monde (malbouffe, OGM, eau chlorée et fluorée, ciel empoisonné, rayonnements électromagnétiques), l’organisme doive fabriquer des solvants pour aider à évacuer les poisons.

Et si l’organisme produisait des virus pour réagir à sa propre toxicité ? Et si la propagation et la réplication apparentes de virus résultaient du fait que le corps en crée beaucoup pour se nettoyer ?

Comprend-on mal le virus ?

Grâce à ses expériences, le scientifique français Antoine Bechamp découvrit de minuscules particules qu’il appela microzymas. Par la suite, d’autres chercheurs qui les découvrirent, les appelèrent protides, somatides ou exosomes. Étant pléiomorphes (elles prennent de nombreuses formes), ces minuscules particules peuvent traverser un cycle de vie qu’elles entament sous forme de « bourgeons » (commencent à germer) ou de rejetons, puis se développent en prenant la forme de virus ou de bactéries. Il est très important de comprendre que les micro-organismes sont pléomorphes.
Bechamp émit l’hypothèse que les germes étaient en réalité des sous-produits chimiques de tissus morts et des caractéristiques dégénératives de l’état déséquilibré du corps. Il déclara que ces entités vivantes appelées microzymas (minuscules enzymes) bâtissaient des bactéries pour réagir à des facteurs de l’hôte et de l’environnement.

« Affirmant avoir découvert que les “granulations moléculaires” [mouvement brownien, NdT] au sein des fluides biologiques étaient en réalité des unités élémentaires de la vie, il les appela microzymas — c’est-à-dire minuscules enzymes — et leur attribua le rôle de producteurs d’enzymes et de bâtisseuses de cellules, capables d’évoluer dans des conditions favorables sous forme de bactéries. Démentant que des bactéries puissent envahir un animal en bonne santé et le rendre malade, Béchamp affirma plutôt que l’état malsain de l’hôte et de l’environnement déstabilisent les microzymas natifs de l’hôte, et les amène à décomposer les tissus de l’hôte en produisant des bactéries pathogènes. »

Selon James Hildreth, docteur en médecine de l’université Johns Hopkins : « Le virus est un exosome à part entière, à tous les sens du terme. »

Dans son article Dismantling The Viral Theory, le Dr Robert O. Young écrit :

« TOUS les virus, VIH, virus d’Epstein-Barr, cytomégalovirus, virus de l’hépatite C, virus du Nil occidental, virus d’Ebola, virus de la rougeole, virus Zika et maintenant coronavirus, TOUS sont des virus fantômes — leur existence n’a JAMAIS été démontrée scientifiquement et n’a jamais été prouvée !… De ce fait, les vaccins contre la polio et la rougeole ne contiennent pas de virus, mais des particules de tissu rénal de singe mort ou de cellules humaines cancéreuses. Jusqu’ici, aucune expérience n’a non plus été réalisée pour vérifier l’existence soit du virus dit de la polio, soit celui dit de la rougeole, ce qui aurait montré que ce sont les procédures de laboratoire qui induisent les effets cytopathogènes sur les cellules… la seule conclusion objective… est qu’en observant et en analysant les particules ou fragments cellulaires et leur activité dans un tube à essai, ils les ont pris pour des particules et des caractéristiques des supposés virus de la poliomyélite et/ou de la rougeole. »

Voici ce qu’a aussi écrit Robert Young sur le « coronavirus » :

« Les micrographies suivantes, faites à l’aide de la microscopie en contraste de phase, montrent ce que j’observe. Dans la première on voit des globules rouges sains, riches en oxygène ; dans la deuxième micrographie, manquant d’oxygène, les globules rouges sont malades. On peut aussi voir la dégénérescence des membranes cellulaires, avec les pointes ou les bosses indiquant “l’effet corona”, un symptôme dû au mode de vie “acide” et à l’empoisonnement par les rayonnements. »

Globules rouges oxygénés. Crédit Robert Young
Effet corona : Globules rouges en manque d’oxygène. Crédit Robert Young

L’équipe de réparateurs piézoélectriques

Cette vidéo, qui met en évidence des aspects de la fausse pandémie de coronavirus, dit aussi que les virus sont des entités créées par l’organisme. Ils ne font aucun mal et sont conçus pour évacuer les déchets. L’auteur de la vidéo décrit les virus comme une « équipe de réparateurs piézoélectriques, » dotés d’un revêtement de polysaccharide sur la tête, capables de se mouvoir vers les cellules endommagées et de faciliter la glycolyse (conversion de sucre en énergie). En d’autres termes, les virus se rendent auprès des cellules qui doivent être réparées et leur apportent de l’énergie (sucre) et de l’électricité (un genre de recharge de batterie). Selon ce point de vue, faire porter le chapeau des maladies au virus, revient à accuser un secouriste innocent sur la scène du crime ; ce n’est pas parce que quelqu’un a vu un crime et est venu aider qu’il est l’auteur du crime. La situation est semblable à celle de la diabolisation du cholestérol dont j’ai parlé ailleurs ; il s’avère que le cholestérol est un nutriment essentiel et qu’il est là pour réparer les dommages corporels, et non pas parce qu’il les a provoqués. À propos, il y a environ 8 ans, des scientifiques de Berkeley ont transformé d’inoffensifs virus en générateurs piézoélectriques.

Test PCR vicieux. Il est possible d’avoir le virus — et après ? Ça n’a rien à voir avec la maladie

Est-il prouvé à 100 % que les virus fourguent des maladies à l’homme ?

Même si vous croyez mordicus à la théorie des germes, il y a de sérieux problèmes avec la méthode de test acceptée en général pour dépister les virus. Cette méthode s’appelle test PCR (amplification en chaîne par polymérase). Le test PCR amplifie une partie précise du brin d’ADN ciblé. Il est qualitatif et non quantitatif ; en d’autres termes, il peut dire si un virus est présent ou non, mais il ne peut pas dire en quel nombre, et il ne peut pas évaluer avec précision si la présence du virus suffit ou non à rendre malade. Comme je l’ai relevé dans mon article 6 Solid, Scientific Reasons to Assuage Your Coronavirus Panic [Six raisons scientifiques de poids pour calmer votre panique du coronavirus], le CDC (US Center for Disease Controladmet lui-même que le test Covid19 positif au coronavirus (avec la méthode PCR) ne veut pas dire que le virus est à l’origine de la maladie ou des symptômes dont vous pourriez souffrir ! Voici ce qu’a dit précisément le CDC :

« Le résultat positif [du test] indique l’infection active du 2019-nCoV, mais n’exclut pas l’infection bactérienne ou l’infection conjointe d’autres virus. Il est possible que l’agent détecté ne soit pas la cause certaine de la maladie. »

Chose étonnante, ce n’est pas du tout le cas. La théorie des germes n’est qu’une théorie. Pour ceux qui aimeraient avoir une explication plus technique de la nouvelle compréhension des virus, voyez le Dr Thomas Cowan, le Dr Andrew Kaufman et en particulier, le Dr Stefan Lanka. Kaufman a eu plusieurs interviews récentes avec Crrow777 et Richie de Boston, dans lesquelles il développe l’idée qu’il n’a jamais été prouvé que les virus sont cause de maladies. Cowan et Kaufman parlent des expériences faites après la grippe espagnole de 1918 (il s’est avéré que l’épidémie avait été provoquée par les champs électromagnétiques, l’électrification et/ou les vaccins). À l’époque, ils essayèrent de contaminer des gens en bonne santé avec des gens malades, mais les gens en bonne santé ne tombèrent jamais malades. Ils firent aussi éternuer des chevaux malades et leur firent expectorer du mucus, des liquides, des gouttelettes… dans un sac, mirent du fourrage dans ce sac, puis le donnèrent à manger à des chevaux en bonne santé. Ils ne purent jamais rendre malades les chevaux sains.

Le Dr Stefan Lanka est le roi du domaine viral. Ce biologiste et virologue allemand en est arrivé à comprendre qu’on nous ment à grande échelle sur la nature des virus. Il a offert une récompense de 100 000 euros à celui qui pourrait prouver scientifiquement que la rougeole est l’œuvre d’un virus. Cette affaire est allée jusqu’à la Cour suprême allemande où il a gagné. Paul Fassa rapporte :

« Au début, il semblait qu’il avait perdu. Mais le Dr Lanka a porté son affaire devant la haute cour, avec d’autres experts et le soutien de deux laboratoires indépendants. Il a fini par ne pas devoir payer. Il s’est avéré que la “preuve” fournie était une photo composite de diverses images de microscopie électronique. La photo composite mêlait divers composants de cellules endommagées. La photo composite n’a pas pu être dupliquée. La Cour suprême fédérale allemande a confirmé qu’il n’y avait pas assez de preuves montrant l’existence du virus de la rougeole. »

Dans l’article Biologist Proves Measles Isn’t A Virus, Wins Supreme Court Case Against Doctor [Prouvant devant la Cour suprême que la rougeole n’est pas un virus, le virologue gagne le procès qui l’opposait au médecin], voici ce qu’écrit Dave Mihalovic :

« Par décision ultime, les juges de la Cour suprême fédérale allemande ont confirmé que le virus de la rougeole n’existe pas. De plus, d’après la littérature scientifique, pas une seule étude scientifique dans le monde n’a pu prouver l’existence du virus. Cela soulève la question de ce qui a été vraiment injecté à des millions de gens au cours des dernières décennies. Pas un seul scientifique, immunologue, spécialiste des maladies infectieuses ou médecin, n’a jamais pu établir la base scientifique, non seulement de la vaccination contre la rougeole, mais aussi de la vaccination des nourrissons, des femmes enceintes, des personnes âgées et même de nombreux sous-groupes d’adultes. »

Le Dr Lanka a dit ce qu’il pensait des épidémies ou pandémies virales similaires, comme la grippe aviaire H5N1 (qui était battue en neige par la presse en 2005). En définitive, on trouve même d’autres virologues éminents, le professeur Peter Duesberg par exemple, qui affirment, preuves solides à l’appui, que le VIH n’est pas à l’origine du SIDA. Voici quelques autres citations du Dr Lanka (traduites de l’allemand) :

« Quels virus trouve-t-on, et puis à quoi servent-ils ?

On trouve des structures que l’on peut décrire comme des virus chez de nombreuses espèces de bactéries et formes de vie simples, similaires aux bactéries. Ce sont des éléments qui cohabitent avec différentes cellules d’un type commun qui sont restées indépendantes. C’est ce qu’on appelle une symbiose, une endosymbiose. Elle est apparue au cours du processus de combinaison de différents types de cellules et structures ; une endosymbiose qui a donné naissance au type de cellule actuel, au type de cellules dont sont faits les humains, les animaux et les plantes… Très important : Les virus sont des éléments constitutifs d’organismes très simples, par exemple d’algues du type confervacé, une espèce particulière de chlorella, une algue unicellulaire, et de très nombreuses bactéries. Comme on les trouve là, ces composants viraux sont dits bactériophages. Quoi qu’il en soit, dans les organismes complexes, en particulier chez les humains, les animaux ou les plantes, on n’a jamais vu de structures du genre que l’on pourrait appeler virus.

Contrairement aux bactéries dans nos cellules, aux mitochondries ou aux bactéries se trouvant dans chaque plante, aux chloroplastes qui ne peuvent pas quitter la cellule commune puisqu’ils dépendent de son métabolisme, les virus peuvent sortir de la cellule puisqu’ils n’ont aucune tâche vitale de survie à l’intérieur de la cellule.

Les virus sont donc des éléments constitutifs de la cellule qui ont remis entièrement leur métabolisme à la cellule commune et peuvent donc la quitter. En dehors de la cellule commune, ils aident d’autres cellules, en transférant des substances de construction et énergétiques. Aucune autre fonction n’a jamais été observée chez eux.

Ces vrais virus, dont l’existence a été scientifiquement démontrée, remplissent, dans les processus très complexes d’interactions entre différentes cellules, une fonction d’aide, de soutien et ne sont en aucun cas malfaisants.

De même, dans les cas des maladies, que ce soit dans l’organisme malade ou dans les liquides corporels, on n’a jamais vu ou isolé de structure pouvant être décrite comme des virus. Avancer qu’il existe un virus quelconque qui rend malade est une escroquerie évidente, un fatidique mensonge aux conséquences dramatiques. »

Lanka a aussi lâché cette bombe :

« Pourquoi donc l’existence de virus pathogènes est-elle toujours perpétuée ?

Pour justifier leur existence, les protagonistes et les praticiens de la faculté de médecine ont besoin de la peur paralysante, stupide et destructrice du virus fantôme cause de maladies.

En premier lieu, avec les vaccins, cela leur sert à faire du mal aux nombreuses populations, dans le but de se constituer une clientèle de malades chroniques et de gens souffreteux qui accepteront tout ce qu’on leur fait.

Deuxièmement, afin de ne pas avoir à admettre que leurs traitements des maladies chroniques ne marchent pas et ont massacré et tuent toujours plus de gens que toutes les guerres ont pu le rendre possible jusqu’ici. Tous les praticiens de la faculté de médecine en sont conscients, mais très peu osent en parler. Il n’est donc pas étonnant non plus que parmi les groupes professionnels, ce sont les praticiens de la faculté de médecine qui ont le plus grand taux de suicide, loin devant les autres groupes professionnels.

Troisièmement, les praticiens de la faculté de médecine ont besoin de la peur paralysante et stupide du virus diabolique pour dissimuler leur origine historique en tant qu’instrument d’oppression et de meurtre du Vatican s’étant développé à partir de l’armée romaine occidentale, à l’époque où il luttait pour s’élever dans le monde. »

Pour comprendre tout cela, il nous faut revoir la théorie des germes et la théorie du terrain.

Théorie des germes contre Théorie du terrain

Théorie des germes, vacciner le poisson dans l’eau sale – Théorie du terrain, nettoyer l’eau de l’aquarium

Selon l’article susmentionné, Inner Terrain vs. Outer Terrain : Which Do You Emphasize for Good Health ?, les deux théories concurrentes ont influencé la pensée dans de nombreux domaines (médecine, biologie et bien d’autres). Cela commença dans les années 1800 en France, à l’époque où Louis Pasteur défendait la théorie des germes (le monde est plein de germes pathogènes, de microbes, de bactéries… capables de vous infecter si vous avez la malchance d’être du genre malchanceux), tandis qu’Antoine Béchamp et Claude Bernard défendaient la théorie du terrain (les microbes se métamorphosent en fonction de la qualité du sang ou des tissus dans lesquels ils résident). Une citation attribuée à Claude Bernard dit que « le germe n’est rien, le terrain est tout. »

Pasteur l’emporta et la théorie des germes devint la doctrine dominante. Cela eut l’effet malheureux de rendre les gens effrayés par leur environnement et vulnérables à la propagande de Big Pharma (nous sommes là pour vous protéger ; prenez juste vos médicaments et faites-vous piquer, et tout ira bien). Cela poussa aussi les gens à prendre moins soin de leur hygiène de vie — mauvais choix alimentaires et style de vie —, ce qui implique la dégradation du terrain et l’affaiblissement du système immunitaire qui rendent plus sensibles à la maladie. Mais, et si on se mettait le doigt dans l’œil avec la théorie des germes ? Que se passe-t-il s’il est bien plus important de se soucier de ses propres forces, santé et hygiène de vie, que d’éventuels germes capables de tuer et flottant partout ? Et si cette crise de coronavirus rendait tout le monde maniaque, effrayé et obsédé par l’environnement, par les contacts humains élémentaires et naturels, et faisait oublier la force interne et le pouvoir du microbiome intestinal et du système immunitaire ?

Un virus peut-il passer de l’animal à l’homme ou d’un homme à un autre ?

Selon les scientifiques citées ci-dessus, la réponse est non. Le virus est formé spécifiquement par l’organisme dans le but de se guérir en nettoyant son terrain (en évacuant les déchets toxiques). Selon cette nouvelle façon de voir, les virus sont spécialement conçus pour une cellule, un groupe de cellules ou un organe, de sorte qu’ils ne vont pas se balader d’un organe à un autre, et encore moins d’un organisme humain à un autre.

Où trouve-t-on la photo du coronavirus ?

Dans un monde où tout — littéralement tout — est photographié et enregistré sur vidéo, pourquoi n’y a-t-il pas de vraies images du virus, du véritable coronavirus censé être à l’origine du souk ambiant ? Il ne doit pas être très difficile de se procurer un microscope électronique et de le photographier. Pourquoi a-t-on seulement des images de synthèse (générées par ordinateur) ? [Les plus fréquentes photos montrent des ouvrages de laine tricotés au crochet par la grand-mère de célèbres virologues, NdT]

Importance de l’iode et de l’oxygène dans la crise du coronavirus

Sur une autre note, étant donné la panique autour du Covid19, il est important de revoir tout de suite certains fondamentaux de la santé et en particulier l’iode et l’oxygène.

Minéral très important, l’iode est le seul halogène nécessaire à l’organisme. Or, en cas de manque, l’organisme se tourne vers d’autres halogènes, fluor, chlore et brome, qui sont tous toxiques. S’il y en a trop, la maladie se déclare. Il faut se méfier de l’eau de Javel servant à éliminer de supposés virus tueurs, car cela expose au chlore. En outre, la fréquence de 6 GHz (utilisée dans de nombreux téléphones sans fil, routeurs et autres appareils) affecte l’absorption de l’iode. Parmi les symptômes du manque d’iode, il y a la détresse respiratoire (un symptôme du Covid19). La carence en iode est aussi impliquée dans le cancer.

La 5G est indéniablement liée au coronavirus, mais nous ne comprenons toujours pas précisément comment. La 5G a été déployée pour la première fois à Wuhan, en Chine, à l’épicentre de l’épidémie. Pourtant, tout le monde ne tombe pas malade en présence de la 5G. L’une des causes possibles est la nouvelle bande de fréquences qu’il utilisera (60 GHz ou WiGig, nouveau nom du Wi-Fi 60 GHz). Tout comme la fréquence de 6 GHz affecte l’absorption de l’iode, la fréquence de 60 GHz affecte l’absorption de l’oxygène. En fait, la fréquence 60 GHz a une action sur la molécule d’oxygène. Elle a la capacité d’empêcher les molécules O2 de se lier facilement à l’hémoglobine, ce qui signifie moins d’absorption d’oxygène. Cela entraîne la sous-oxygénation ou l’hypoxie, précurseur de la maladie. De nouveau, comme dans le cas de l’iode, le symptôme de manque d’oxygène est la détresse respiratoire (symptôme du Covid19).

Dans cette affaire, le virus fournit l’excuse parfaite en servant de bouc émissaire aux produits chimiques toxiques et aux rayonnements électromagnétiques qui nous rendent malades…

Si les virus ne voyagent pas entre les organismes, que se passe-t-il quand quelqu’un « attrape » la grippe ?

C’est la question clé. Si les virus ne sont pas du tout ce qu’on raconte, comment expliquer ce qui ressemble à la contagion virale ou à l’infection virale ? N’est-ce pas réel ? Eh bien, il est certain que nombre de gens tombent malades après avoir côtoyé un malade, mais la vraie question est comment cela se fait-il. Une réponse possible serait que le terrain du receveur était dégradé au point de s’infecter, que ce soit parce qu’il s’inquiétait ou avait peur de tomber malade (la peur affaiblit le système immunitaire) ; il a pensé qu’il allait tomber malade (et cette pensée a eu la force de se concrétiser inconsciemment) ou il a développé une sorte d’élan émotionnel accordant sa fréquence sur celle de la personne malade. Dans la vie, nous avons tous des moments de vitalité et de déprime ; au cours des moments de déprime, nous devenons plus sensibles aux maladies. Le grand génie Nikola Tesla a déclaré : « Le jour où la science commencera à étudier les phénomènes non physiques, elle fera plus de progrès en une décennie qu’au cours de tous les siècles précédents de son existence. » Il a dit aussi que « si vous voulez découvrir les secrets de l’univers, pensez en termes d’énergie, de fréquence et de vibration. »

Parmi les possibilités de tomber malades, il y a l’exposition à des poisons, les raisons mentales, les raisons émotionnelles, la régénération ou la désintoxication et les chocs émotionnels. Le Dr Ryke Geerd Hamer (fondateur de la Nouvelle médecine germanique) a établi que « chaque maladie est provoquée par un choc qui prend l’individu complètement au dépourvu, » et c’est devenu sa première loi biologique.

Ainsi, attraper une maladie n’a rien à voir avec « des germes malfaisants qui nous infectent, » mais dépend plutôt de l’état mental et émotionnel, du système immunitaire, du microbiome et de la réceptivité.

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus et particulièrement :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions
Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Divers :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Les Racines de nos Maladies
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Graphène et 5G]

Conclusion : Cette crise doit être une opportunité pour voir les virus de manière différente

Il serait sage, au milieu de toute la peur du coronavirus, de se rappeler que la théorie des germes n’est qu’une théorie, et que chacun peut prendre en charge sa santé. Le système immunitaire peut être renforcé grâce aux choix alimentaires sains, à suffisamment de soleil (vitamine D3), d’exercice et de sommeil. On peut réduire ou éliminer l’exposition aux poisons que sont par exemple le fluorure, le chlore, l’aluminium, le mercure et les rayonnements électromagnétiques du sans-fil. On peut prendre des compléments alimentaires qui renforcent l’immunité, comme la vitamine C, les antioxydants, l’iode et l’oxygène, ainsi que des remèdes naturels, comme l’extrait de feuille d’olivier, les champignons médicinaux et l’huile d’origan.

[NdT : il est bien connu aussi que la prise régulière de chlorure de magnésium renforce considérablement l’organisme. C’est grâce à lui qu’a été éliminée l’épidémie de chikungunya dans les îles françaises de l’océan Indien. L’information selon laquelle il guérit même le terrifiant Ebola a aussi réussi à être propagée malgré la censure de la presse. En fait il renforce tellement l’organisme, qu’il ne laisse prise à aucune épouvantable maladie dite virale et même parasitaire.]

Il existe une maxime capitale disant que le savoir chasse la peur. Et si la vraie conspiration était l’exploitation de l’ignorance des masses de la vraie nature des virus ? Et s’il n’existait aucun virus tueur ? Et si le vrai virus était la peur, peur du virus, peur de l’inconnu et peur de mourir ? Il est difficile de dire que les contrôleurs du Nouvel ordre mondial sont des maîtres manipulateurs qui savent parfaitement exploiter la psychologie humaine. Le moment est venu pour chacun de foncer bille en tête et de remettre en question tout ce qu’il croyait savoir. Voici l’occasion de passer à un nouveau niveau de compréhension, de compréhension et de connaissance, afin que chacun puisse garder sa liberté.

Après tout, comment être libres en restant ignorant, puisque l’ignorance donnera toujours prise à l’exploitation.

The Freedom Articles, Makia Freeman

Deep Down the Virus Rabbit Hole — Question Everything




Côtoyer des personnes « vaxxo »… ou pas

[Source : lumiere-dans-la-matrice.org]

Par Pierre Lassalle

Nous souhaitons, au travers de cet article, réaliser une mise au point sur ce que nous connaissons et pensons, concernant les changements irréversibles qui se sont produits ces deux dernières années sur la planète entière.

(…) il est bon que vous sachiez que, de nos jours, et du point de vue de la Justice (cf. les décisions de la Cour Suprême des États-Unis)(([1] Vaccinés brevetés : Micheldogna.fr/de-la-confusion-a-la-logique)), que les « vaxxés » du monde entier (nous les appelons des « injectés », car les « faux-vaxxins » n’ont jamais eu pour but de protéger du Covid-19 !), sont considérés comme des « produits brevetés » appartenant aux Big Pharma qui les ont « injectés » (Moderna, Pfizer, etc.). En tant que tels, ces gens ne sont plus considérés comme des humains, et ils sont donc déchus de leurs droits d’êtres humains, disent-ils, et sont appelés dorénavant des « transhumains ». Ceci est, notamment, dû au fait que le produit expérimental qu’ils ont accepté de se faire inoculer a transformé, de manière irréversible, la totalité de l’ADN de leurs cellules, qui sont désormais « génétiquement modifiées », et ce jusqu’à la fin de leur vie (cela commence six heures après l’injection, comme des scientifiques suédois viennent de le prouver)(([2] ADN modifié et protéine spike : Resistance-mondiale.com/etude-les-injections-pourraient-modifier-ladn-humain-en-produisant-de-la-proteine-spike-sur-le-long-terme))(([3] ADN modifié : Anguillesousroche.com/sante/une-nouvelle-etude-retentissante-prouve-que-le-vaccin-arnm-de-pfizer-modifie-de-facon-permanente-ladn-humain)).

[NDLR : voir aussi L’Homme génétiquement modifié devient-il brevetable ?.
Dans le document de la Cour Suprême, la question posée est celle de la possibilité ou non de breveter une technique particulière de manipulation chimique de l’ADN. Ce n’est pas celle de breveter l’individu qui subirait l’application de cette technique. Le parallèle avec les semences OGM de Bayer-Monsanto ne pourrait pas non plus tenir, car le commerce des êtres humains n’a pas encore officiellement lieu, contrairement à celui de variétés végétales. Autrement dit, si une entreprise peut actuellement essayer de revendiquer la possession de plantes biologiques qui se voient polluées par du matériel génétique issu de plantes OGM, elle ne peut pas pour l’instant le faire pour ce qui serait d’êtres humains pollués par des vaccins. Nous n’en sommes pas là, même si une telle aberration n’est pas exclue pour un avenir relativement proche au train où vont les choses.]

Beaucoup de gens ayant refusé la vaxxination se comportent « bizarrement », comme s’ils regrettaient (presque !) de ne pas être vaxxinés, et laissant entendre à tous les nigauds qui le veulent bien, qu’il n’existe aucune différence entre eux et les « vaxxés » ! Maintenant, vous savez que c’est faux (voir plus haut : la Justice ne pense pas la même chose qu’eux !)

De plus, la Justice française a décidé de considérer les « vaxxés » qui en meurent comme des gens qui se sont suicidés, étant donné, disent-ils, que le produit injecté n’était même pas un vaccin, qu’il était expérimental(([4] Evaluation d’essais cliniques du vaccin contre le Covid : Par Christine-cotton.1ere-page.fr/audition-opecst-christine-cotton)) et de surcroît non obligatoire. (Demandez à votre assureur, il vous le confirmera : les assureurs ne veulent plus assurer les « vaxxés » !).

[Voir aussi :
Simplissime : les contrats d’assurance-vie et de prêts interdisent la vaccination anti-covid]

[Également], depuis que la vaxxination est devenue « populaire » (un peu d’humour noir ne fait pas de mal !), des scientifiques, médecins et chercheurs indépendants ont effectué des recherches sur les « vaxxés », afin de comprendre le fonctionnement des « faux vaxxins ».

Notamment, l’un d’entre eux a découvert le phénomène suivant : réalisant de nombreuses prises de sang, il a constaté que le sang des « vaxxés » était contaminé par une substance « étrange », un nano matériau, identifié comme étant du graphène, c’est-à-dire du carbone.

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Piqûre de rappel : les informations cachées relatives aux « vaccins » anti-Covid
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
Sur la nanotechnologie et l’hydrogel :
Nanoparticules et nanotechnologies
La nanotechnologie dans les vaccins
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
Sur le graphène :
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations]

Or, pour la petite histoire, il est bon de savoir que le carbone est la base du corps physique. Ainsi, injecter du carbone sous la forme du graphène (produit toxique pour l’être humain, notamment pour les voies respiratoires, et qui se trouve également dans les masques qui ne servent à rien !), amène l’être humain à se densifier davantage.

[NDLR : c’est sous forme d’oxyde que le graphène serait particulièrement toxique.]

La preuve ?

De nombreux chercheurs, ainsi que des infirmières et des tatoueurs, ont constaté que le sang des « vaxxés » s’épaississait de plus en plus, se coagulant et empêchant, notamment, les prises de sang ou les rendant très difficiles. Pour ces gens, ce fait démontre un « signe » de dégénérescence et de vieillesse prématurée !

[Voir aussi :
Témoignage d’un tatoueur sur le sang des vaccinés]

Pour en finir avec le carbone/graphène, sachez que sa composition atomique est : 6.6.6 !!! Eh oui, il comprend six électrons, six neutrons et six protons !

En résumé, le produit expérimental injecté transforme toutes les cellules, qui deviennent génétiquement modifiées de manière irréversible, et il densifie les gens, les faisant « descendre » lentement mais sûrement dans l’abîme ! Vive la Bête ! (Bon, encore de l’humour noir !).

Revenons à ce chercheur ayant effectué de nombreuses prises de sang, et qui a eu l’idée de comparer le sang des parents « vaxxés » à ceux de leurs enfants non vaxxés !

Résultat : Le sang des parents est contaminé, notamment par le graphène qui l’épaissit, mais celui des enfants également ! Il citait notamment le cas d’un enfant, dont le sang était « fichu », car contaminé au dernier degré, et qui devenait paralysé du bras droit et de la jambe droite, car il avait « absorbé » du graphène venant de ses parents ! Bravo les parents !

Eh oui, nous en arrivons au plus terrifiant de cette histoire : les gens « vaxxés », ces fameux « transhumains », projettent dans leur entourage une partie des « saletés » qui se trouvent dans le produit expérimental qu’on leur a injecté !(([5] Analyses sanguines : Changera3.blogspot.com/2022/03/trimission-du-graphene-entre-les-vaxxes par le Dr Philippe van Welbergen))

[NDLR : Pour établir scientifiquement hors de tout doute que cette apparente transmission de graphène (ou d’oxyde de graphène) aurait bien lieu, il faudrait s’assurer notamment que les enfants n’ont pas été injectés en douce par les parents ou des personnels de santé et qu’ils n’ont pas non plus été contaminés par des masques ou des écouvillons de tests PCR pouvant en contenir. Voir Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine.
Par ailleurs, le graphène est naturellement éliminé par le corps en quelques mois, ce qui fait que pour conserver ses effets nanotechnologiques potentiels, il est nécessaire d’en réinjecter régulièrement, au moins une fois tous les six mois, voire tous les trois mois pour mieux garantir le maintien de ses propriétés.
En absence de rappels d’injection, si les vaccins ne contenaient que du graphène ou de l’oxyde de graphène comme saletés, le retour à la santé serait toujours possible après moins d’un an.]

Et, d’après nos recherches, nous avons eu de multiples preuves de ces dangereuses projections des injectés. Nous connaissons environ cinquante personnes voire davantage, qui ont reçu des « saletés » provenant des injectés, simplement parce qu’ils n’ont pas été prudents et les ont côtoyés (parents, amis, compagnon/compagne, etc.).

Nous sommes certains pour l’avoir vérifié, que le fait de côtoyer des injectés durant quelques heures met votre vie en danger.

[NDLR : compte tenu de la remarque précédente sur la contamination possible par les masques et les écouvillons, on ne peut se montrer en toute rigueur aussi « certain » de l’existence d’une transmission de vaccinés à non-vaccinés.]

La projection la plus fréquente est un virus que ramassent les gens en contact avec un injecté. (Il suffit de quelques heures de proximité ou un bisou, voire se serrer la main). Or, ce virus « ramassé » n’est pas le Covid-19, mais un virus recombiné à l’intérieur des gens injectés par le produit qu’ils ont en eux. Et ce virus qu’ils projettent ensuite est beaucoup plus virulent que le Covid-19 ! Il vous laisse K.O. durant trois semaines environ avec des phases plus ou moins dangereuses selon votre état de santé. La cinquantaine de personnes que nous connaissons qui l’ont contracté étaient toutes des gens en pleine forme… Que se serait-il passé avec des gens faibles ou en mauvaise santé ?

[NDLR : il existe bien d’autres causes possibles à des états maladifs semblables à la grippe ou à la Covid-19, et notamment l’exposition à la 5G, alors que la théorie virale n’a jamais été validée scientifiquement et que la science véritable — pas le scientisme des virologues et autres microbiologistes — tend au contraire à démontrer la fausseté de cette théorie.
Voir :
Sur la thérie virale :
L’enterrement de la théorie virale
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
Sur la contagion :
Parlons contamination
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
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Sur les effets de la 5G et autres ondes pulsées :
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Rayonnements sans fil et ostéoporose
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Le Dr Klinghardt dénonce différentes attaques environnementales volontaires sur la santé et en particulier sur la glande pinéale
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
Questions relatives à la 5G
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Divers :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
Les Racines de nos Maladies]

De plus en plus de chercheurs indépendants sont persuadés que les injectés projettent différents éléments du produit qu’ils ont reçu et qui peuvent être plus ou moins dangereux pour ceux qui les reçoivent. Bien sûr, cela dépend de l’état de santé des receveurs !

Selon certains témoignages de personnes que nous connaissons, et qui ont simplement été en contact de l’air ambiant où des injectés projettent leur propre air « mal habité », nous répertorions également des symptômes comme : maux de tête, problèmes respiratoires, extrême fatigue, étourdissements, orgelets, odeurs corporelles nauséabondes, envie de vomir ou vomissements, congestions nasales ou rhinites, toux anormale, déshydratation, dérèglements des menstruations, problèmes pour se connecter au monde spirituel, etc.

Une autre chose tout à fait étonnante : les injectés ont été transformés en antenne GPS !

En effet, ils émettent une adresse (informatique) MAC lisible sur n’importe quel smartphone. Pour le vérifier, télécharger sur votre smartphone l’application « Bluetooth scanner », puis ouvrez-la et activez le GPS du smartphone (acceptez la géolocalisation), enfin tapez sur recherche (ou « search ») : il apparaît alors des adresses MAC constituées de 12 chiffres/lettres ne correspondant à aucun appareil alentour… mais si vous cliquez sur chaque adresse, vous obtenez une estimation de la distance à laquelle se trouve la personne injectée « marquée » ! Cela signifie que les injectés sont marqués comme du bétail et qu’ils sont devenus des antennes GPS ambulantes !(([6] GPS : Micheldogna.fr/lindispensable-analyse-pour-tous-les-vaxxes/)) (trouvé sur www.micheldogna.fr). Serait-ce la « marque de la Bête », annoncée dans l’Apocalypse de Jean ?

[Voir aussi :
Projet Bluetooth Expérience X
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés]

Rappelons-nous ce que Bill Gates avait dit l’an dernier (2021) : d’après lui, il suffisait qu’un tiers de la population mondiale soit « vaxxée » pour que tous les autres soient contaminés !

Or, ce ne sont pas des paroles en l’air, quand nous savons que le Professeur Didier Raoult, l’un des plus grands spécialistes européens des virus et vaccins, a révélé dans une entrevue que Bill Gates dirigeait la vaccination mondiale depuis une quinzaine d’années ! Et, d’autant plus, si nous savons que Bill Gates fait partie d’une secte dont le « commandement » N° 1 est : maintenir la population mondiale sous le seuil des 500 millions de personnes… par respect envers la Nature !

Ce soi-disant philanthrope, fervent partisan des transhumanistes, est convaincu que l’avenir de l’humanité passe par une dépopulation… qu’il dirige activement !

Et l’oligarchie dont il fait partie se positionne aussi pour la dépopulation, afin de soi-disant lutter contre le réchauffement climatique !(([7] L’ouvrage : Covidisme et Messianisme de Youssef Hindi))(([8] Dépopulation Bill Gates : Strategika.fr/2022/01/27/vaccination-sterilisation-urgence-climatique-oms-gates-rockefeller-great-reset-demographique))

[Voir aussi :
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
L’objectif de l’Agenda 2030 : contrôle, déshumanisation et dépopulation
Les décès excessifs indiquent un programme de dépopulation
Dr Bryan Ardis & Me Reiner Fuellmich — Dépopulation, stérilisation et génocide par injections anti-Covid-19
Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme
L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »
Un ex-agent russe parle du coronavirus et de dépopulation
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »]

Alors, nous laissons le lecteur franchir le petit pas restant, afin de saisir l’horrible complot mis en place par les scientifiques et médecins transhumanistes, avec l’aide des médias de masse et des politiciens, concernant la dangerosité des « faux vaxxins »…

La plupart des gens non vaxxinés ne se rendent pas du tout compte de ce qui vient de se passer dans le monde… et ils ont intérêt à se réveiller rapidement, car ce n’est pas fini !

Ainsi, et avant d’aller un peu plus loin, il nous faut retenir ceci :

  • Les gens « vaxxés » (avec deux doses et plus) ont toutes leurs cellules génétiquement modifiées.
  • Ce ne sont plus des êtres humains naturels ! C’est la raison pour laquelle la Justice américaine les considère comme des êtres « brevetés » et « transhumains », perdant ainsi tous leurs droits d’humains, puisqu’ils n’en sont plus !
  • Ces êtres, que nous appelons « injectés », disposent d’un sang contaminé, notamment par le graphène, un nano matériau(([9] Hydroxyde de graphène (nanolames) : Odysee.com/par Andreas Noack)). Leur sang s’épaissit, ce qui entraîne nombre de problèmes de santé, faisant d’eux des vieillards prématurés… si tant est que cela ne les tue pas rapidement.
  • Des scientifiques indépendants ont détecté et filmé des symbiotes dans les produits à ARNmessager. Oui, vous avez bien lu : des symbiotes, c’est-à-dire de tout petits « êtres » ayant l’aspect d’un poulpe avec de longs tentacules qui, bien évidemment, grandissent à l’intérieur du corps, et notamment le système nerveux.(([10] Symbiote « La Chose » : Rumble.com/oeufs-avec-tentacules-colores par le Dr Franc Zalewski))(([11] Symbiote « Hydra Vulgaris » : Micheldogna.fr/la-bestiole-de-cauchemar-trouvee-dans-les-vaxx-covid par le Dr Carrie Madej)) Le but de ces êtres monstrueux est de se connecter, une fois adulte, au cerveau de l’injecté pour le « téléguider » (en lien avec la 5G !)(([12] Contrôle de l’humain par l’ADNm et les ondes : Guyboulianne.com/2021/04/26/conference-du-dr-charles-morgan-a-lacademie-militaire-de-west-point-controler-a-distance-le-cerveau-humain-via-des-vaccins-arnm)). Les injectés, dans un premier temps, peuvent souffrir de toutes sortes de problèmes et dysfonctionnements au cerveau, voire dans un deuxième temps, en mourir !
  • Les injections de ces produits démoniaques se développent : un scientifique de chez Moderna a déclaré l’an dernier (2021) que leur soi-disant « vaxxin » était une « bombe à retardement ». D’autres chercheurs ont confirmé que ce produit expérimental se révélerait sur une longue durée (entre trois et cinq ans). Ainsi, nous ne verrons les dégâts totaux de ces horribles expériences que dans trois-quatre ans environ (2025).
  • Les injectés projettent un virus non identifié (nous l’appelons Covid-21 !), qui est plus virulent que le Covid-19, et donc dangereux, selon votre état de santé préalable.
  • De nombreux chercheurs indépendants soupçonnent que les injectés ne projettent pas que ce virus, et qu’à l’avenir d’autres « éléments » pourraient s’y ajouter.

Le mauvais virus qu’ils projettent se transmet par voie aérienne : le simple fait de respirer dans le même endroit qu’un injecté, durant plusieurs heures, vous met en danger !(([13] Vaccins auto-diffusants : Nexus.fr/actualite/vaccin/self-spreading-vaccines))

  • Des recherches sont en cours : les enfants non « vaxxés » attrapent facilement les « saletés » des « vaxxins » de leurs parents et se retrouvent avec un sang contaminé, ce qui met leur jeune vie en danger de mort !
  • Prendre quelqu’un dans ses bras, lui donner des bisous, ou pire de vrais baisers, ou vivre un acte sexuel… voire le simple fait de serrer la main d’un injecté… met votre vie en danger… et pourrait faire de vous, un jour, un injecté qui pourtant n’est pas « vaxxé » !

Des gens très naïfs et ignorants croient encore que les politiciens, les médecins, les scientifiques transhumanistes ou les médias de masse disent la vérité, ou certaines de temps en temps… En réalité, ce n’est JAMAIS le cas !

Ces gens rêvent que beaucoup de vaxxinés se sont fait piquer pour poursuivre leur métier exemplaire afin de continuer à servir les autres, ou pour le moins « protéger » leur famille… Belle chanson, et grosse illusion ! Certains médecins ont dénoncé leurs confrères qui se laissaient « vaxxer » pour continuer à gagner de grosses sommes d’argent : ils préfèrent l’argent à la vérité !

Certains rêveurs se disent aussi que c’est juste un mauvais moment à passer et que tout s’arrangera ensuite ! NON ! Rien ne va s’arranger tout seul ! Plus les gens se soumettent et plus les forces obscures se trouvant derrière ces méfaits se renforcent et enfoncent le clou !

Certains hurluberlus croient, ou essaient de se persuader, que les « vaxxins » ne vont pas couper les gens du monde spirituel : arrêtez de rêver ! Vous avez des yeux pour voir et une sensibilité pour vous en rendre compte ! Face à des injectés, il est évident qu’ils sont coupés du monde spirituel, puisqu’ils ne sont plus humains. Et il n’y aura pas de procédé « magique » qui va tout annuler d’un coup ! … N’en déplaise à de nombreux charlatans-naturopathes et autres hypnotiseurs de bas étage, qui s’inventent soudainement un nouveau métier de « faux sauveurs », avec des baguettes facticement magiques, qui ne visent qu’à s’attirer une nouvelle clientèle aux abois… troublée pas leur erreur, leurs symptômes et la peur de la mort !

Et, pour continuer cette idée de « perceptions », nous avons remarqué de manière notoire ces dernières années, à quel point les gens ont une sensibilité dangereusement défaillante ou très faible !

C’est dans la vingtaine que nous développons naturellement notre sensibilité. Il est certain, et cela a été prouvé notamment par le scientifique de l’INSERM, Michel Desmurget(([14] L’ouvrage : La Fabrique du Crétin Digital de Michel Desmurget)) que l’éducation et l’omniprésence des écrans tuent la sensibilité !

Ainsi est-il totalement anormal que les jeunes de la vingtaine ne ressentent pas (notamment) les effets nocifs de leur smartphone chéri ! Si ce n’est à cause d’une très, très mauvaise sensibilité…

Aussi bien le smartphone, que le compteur Linky, le wifi, ou la 5G qui débarque plein pot, émettent des ondes très nuisibles à l’être humain (et tout le vivant dans la Nature) ! Plus de dix mille études scientifiques dans le monde expliquent la dangerosité du smartphone ! Or, c’est notre sensibilité qui nous renseigne sur ces nuisances. Comment se fait-il que la majorité ne ressente rien ?

De nos jours, c’est le monde à l’envers : les gens qui disposent d’une sensibilité normale passent pour des malades ou des « demi-fous », parce qu’ils ont une hypersensibilité aux technologies destructrices d’aujourd’hui !

Notez que l’hypersensibilité aux ondes n’est pas récente, puisque les Russes appellent ce phénomène la « maladie des ondes » depuis un siècle ! (Sur ce sujet, et sur le diabète induit par la technologie moderne(([15] L’ouvrage L’Arc-en-Ciel Invisible d’Arthur Firstenberg))).

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées]

Ce sont justement ces gens-là qu’il est bon d’écouter : ils nous avertissent des dangers que la masse des gens conditionnés est incapable de ressentir à cause d’une sensibilité malheureusement trop défectueuse !

Certains grands naïfs considèrent que les « vaxxés » sont des victimes ! En aucun cas, puisque les « vaxxins » n’étaient pas obligatoires et qu’ils sont arrivés après la fin de la pandémie : il suffisait de se renseigner et de faire preuve de discernement. Mais, ces gens qui vont vous justifier par x ou y fausse raison : « Je ne pouvais pas faire autrement ! », sont toujours ceux qui refusent de penser par eux-mêmes et se comportent comme des gens soumis.

Nous pouvons TOUJOURS « faire autrement », c’est la raison pour laquelle nous avons une pensée, ainsi que le discernement et le jugement sain qui l’accompagnent ! Si ce n’est pas le cas, alors nous avons affaire à des gens qui se sont couchés, se sont soumis au mal, et ont un peu trop facilement renié leur humanité !

Comme le disait un philosophe français (dont j’ai malheureusement oublié le nom) : « Ils se sont agenouillés sous la menace d’une… grippe ! » Eh oui, à l’origine les coronavirus sont des cousins des virus grippaux !

Finalement, la létalité du Covid-19 est de 0,23 %, ce qui signifie que 99,77 % des gens qui l’ont attrapé s’en sont sortis ! C’est mieux que pour certaines grippes !

De formidables ignorants croient encore que nous sommes déjà à l’ère du Verseau ! Heureusement que l’ère du Verseau, ce n’est pas « ça » ! Ils devraient se renseigner un peu et ils découvriraient que des catastrophes doivent arriver (pandémies, famines, guerres, tremblements de terre, etc.) bien avant l’aube de l’ère du Verseau.

Pour l’instant, nous vivons les prémisses des « moments difficiles » qui doivent advenir avant l’établissement d’un Nouveau Monde, qui nous mènera vers l’ère du Verseau !

Ces gens si naïfs préfèrent être « fraternels » (savent-ils ce que ce mot signifie ?) avec les injectés qui ont renié leur humanité, plutôt qu’avec leurs frères et sœurs en esprit, qui veulent bâtir le futur…

Alors, nous leur demandons : voulez-vous véritablement bâtir un Nouveau Monde ?

Combien d’entre eux répondront « Oui ! » ? Sans doute très peu, car la réalité est que ces gens veulent demeurer bien au chaud de « papa-maman », ou de leurs « frères-sœurs », ou encore de leurs « zamis », même s’ils sont injectés, uniquement par affectif, par habitude, voire par sécurité financière, parce qu’ils refusent le changement qui nous est proposé dans le monde. Bâtir un Nouveau Monde impliquera d’énormes changements !

Réveillez-vous !

En effet, il ne reste plus vraiment le temps de tourner en rond et de faire semblant que « tout va bien » ! Bientôt, il sera trop tard pour vous aussi…

Nous vous signalons que cette période de séparation ou de division, que nous avions prédite depuis plusieurs années, a été annoncée par le Christ, notre Dieu Créateur…

« Lorsque le Fils de l’homme viendra dans l’éclat de sa gloire, avec tous ses Anges, alors il siégera sur le trône de sa gloire. Et tous les peuples seront rassemblés devant sa face, et il séparera les uns d’avec les autres, comme le berger sépare les brebis d’avec les boucs. Et il placera les brebis à sa droite et les boucs à sa gauche. »

 (Matthieu 25, 31,33).

Le Fils de l’Homme venant dans l’éclat de sa gloire fait référence à la période actuelle de Sa Parousie.

La division ou séparation était inéluctable, car beaucoup trop de gens refusaient de penser par eux-mêmes et vivaient dans un tel état de soumission au mal qu’ils empêchaient l’humanité de progresser et la laissaient s’étouffer dans les griffes des forces ténébreuses.

Ce comportement inhumain ne peut demeurer sans conséquences. Elles se préparaient dans l’invisible depuis longtemps : maintenant, nous les avons sous le nez !

Nous vivons des temps apocalyptiques…

Une autre fois, peut-être, nous révélerons les arrière-plans spirituels de ce qui se passe actuellement…

Pour une Humanité épousée de l’Esprit de Vérité !

Pierre Lassalle




Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS

[Source : numidia-liberum]

Par Hannibal GENSÉRIC

Je recommande aux lecteurs d’utiliser les détails historiques non controversés suivants comme un instrument (plutôt gentil et discret) qui pourrait réveiller ceux qui dorment encore.

Le mot « influenza » (« grippe ») est originaire d’Italie. Le premier enregistrement de cette maladie étrange et inexplicable s’est produit vers l’année 1580. Alors que le phénomène se reproduisait, des observateurs perspicaces ont reconnu qu’il avait tendance à « apparaître » simultanément à plusieurs endroits, parfois sur plusieurs continents. Afin d’expliquer ce fait cognitivement dissonant, les « scientifiques » italiens ont examiné les enregistrements des taches solaires et ont remarqué que les épidémies semblaient toujours coïncider avec des pics d’activité des taches solaires.

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Je vois que le vieux « M. Théorie du complot » est de retour.

Ils ont compris que lorsque la surface du soleil (ou CORONA) était la plus active, il y avait des éjections massives du soleil qui se manifestaient comme des manifestations spectaculaires des aurores boréales dans les climats nordiques et qu’il y avait également des effets magnétiques (ou « ondes magnétiques ») du soleil qui frappent la terre avec une intensité inhabituelle à ces moments là.

Ainsi le mot « INFLUENZA » est devenu le nom de cette maladie, « Influenza » étant l’abréviation de « Influenza delle stelle »… INFLUENCE DES ÉTOILES.

Ainsi, au début des années 1600, les scientifiques européens avaient découvert que la cause de la maladie désormais connue sous le nom de « influenza » était l’effet d’ondes magnétiques inhabituelles affectant le corps humain.

Ce récit sur la « flu » a été accepté tout au long des années 1700 et 1800. Il y a eu de multiples références aux maladies provoquées par la prolifération des communications télégraphiques et l’installation de réseaux électriques CA (Courant alternatif) dans les villes américaines. Certains des effets signalés étaient très graves pour les personnes atteintes : apathie, perte d’énergie, dépression, maux de tête et bien plus.

Le récit de causalité « électrique/magnétique » a continué comme modèle pour expliquer les symptômes de la « grippe » jusque vers 1920 et la catastrophe mondiale de 1918/19 qui était « la grippe espagnole ».

LA GRIPPE ESPAGNOLE

Encore une fois, cette maladie s’est propagée si rapidement que les scientifiques n’ont pas pu expliquer le taux de contagion par transfert de particules entre humains, mais c’est la DEUXIÈME VAGUE de la grippe espagnole qui a tué des dizaines de millions de personnes à travers le monde.

Le Chirurgien général américain a ordonné une série d’enquêtes sur la nature de cette contagion désastreuse. Une telle série d’expériences a été menée en utilisant 100 volontaires sains de l’US Navy en les mettant en contact étroit et contrôlé avec des patients souffrant de la maladie. Un certain nombre de tests ont été effectués à plusieurs reprises. Du sang a été extrait des malades et injecté aux volontaires. Les patients ont craché dans des plateaux et les personnes non infectées ont bu leurs expectorations. Les patients ont éternué et toussé tandis que les volontaires, nez à nez, ont inhalé les gouttelettes éjectées aussi profondément que possible.

Les médecins ont découvert, à la stupéfaction de beaucoup, qu’AUCUN DES BÉNÉVOLES N’A ÉTÉ MALADE.

Cette « grippe » NE POURRAIT PAS ÊTRE TRANSFÉRÉE D’UNE PERSONNE À UNE AUTRE.
CETTE GRIPPE N’ÉTAIT PAS CONTAGIEUSE.

De nombreux scientifiques et penseurs de l’époque, comme Rudolf Steiner, ont déclaré que la « contagion » apparente était le résultat d’une exposition simultanée aux nouvelles ONDES RADIO (fréquences électromagnétiques) qui étaient diffusées pour la première fois dans presque le monde entier.

Étant donné que 50 millions de personnes sont mortes, l’électricité COMME CAUSE POTENTIELLE DE DÉCÈS n’était pas une idée que nos dirigeants financiers/politiques pouvaient faire croire au grand public. Cette prise de conscience a été exclue du domaine public et le faux récit du « virus » a été inventé pour expliquer « la grippe ».

Si le public avait été autorisé à penser que les installations électriques et le rayonnement de celles-ci pouvaient les tuer, alors tout le XXe siècle n’aurait pas pu se produire. Tous les plans de développement, d’industrialisation et de bénéfices des entreprises dépendaient de l’électricité. L’establishment avait besoin d’une autre histoire.

Les dirigeants l’ont compris.

Le récit du « virus » reflète exactement le récit du « nouveau Champs ÉlectroMagnétiques (CEM) » comme cause de la grippe.

Un virus continue de muter. Nos corps s’adaptent à l’ancienne fréquence virus/CEM et nous sommes alors OK jusqu’à ce qu’une nouvelle mutation/nouvelle fréquence arrive.

Les gens doivent savoir que :

1) Comme l’affirme la Nouvelle Médecine Allemande (NMA) depuis les années 1980, aucun virus n’a jamais été isolé ou purifié à partir de tissus humains… bien qu’il soit facile de le faire avec des virus trouvés sur des algues, par exemple. NMA dit que le « modèle viral » de la maladie est un non-sens fictif. Après avoir lu deux des publications de la NMA sur ce sujet, il est impossible d’être en désaccord.

[Voir les articles liés à Stefan Lanka
dans le dossier Vaccins et virus.]

2) Les maladies « électriques » (comme la grippe) semblent affecter très gravement certaines personnes et d’autres à peine.

Pendant la grippe espagnole, il a été constaté que les pires symptômes se manifestaient chez les jeunes en bonne santé âgés de 20 à 35 ans environ. Ils ne mouraient souvent pas, mais ils souffraient le plus. J’ai remarqué ce même phénomène lors de la récente période de la grippe COVID. Les jeunes adultes ont eu le pire des symptômes. Ce sont eux qui ont perdu leur sens du goût et de l’odorat, par exemple, et ont été alités à cause d’une forte fièvre. À tel point que, au début des années 1920, un médecin écrit un article de journal se demandant publiquement si ses conseils aux patients de « se maintenir en bonne santé » pouvaient être de mauvais conseils étant donné que la santé vous rend plus vulnérable aux souffrances extrêmes de cette maladie.

3) Le fait que certains n’étaient pas vulnérables à la grippe (est-ce que quelqu’un a remarqué au cours de la soi-disant pandémie de cette année qu’une personne dans une famille pourrait être durement touchée par la maladie alors qu’un frère ou un parent dans la même maison ne l’a pas attrapée du tout ?)… Cela a permis aux puissants, utilisant Sigmund Freud comme porte-parole, de déclarer que, parce que seuls certains étaient touchés, alors toutes les allégations de « maladies électriques » ont des causes purement psychologiques. Ce sont des maladies de l’imagination, hypnotiquement auto-induites… elles n’ont aucun fondement dans la réalité physique.

…. Et nous sommes ici aujourd’hui, agissant collectivement comme si la proximité de notre voisin pouvait nous mettre en péril mortel.

Il n’y a pas de débat sur le bon sens de cette approche (même si une telle contagion était une réalité, cette stratégie pour faire face à la maladie est stupide). Il n’y a aucun débat autorisé concernant une éventuelle causalité des CEM à la récente pandémie.

… même si de nombreux experts, dont Barry Trower, ont clairement décrit les terribles dangers de la construction du nouveau système autour de nous au moment où nous parlons.

… même si nous savons que les fréquences et intensités diffusées par les nouveaux mâts sont contrôlées par ordinateur et que nous pouvons être zappés par les fréquences ou intensités choisies que nos dirigeants choisissent d’utiliser. Les compagnies de téléphone ont achevé leurs recherches sur les effets des signaux diffusés, mais elles refusent de partager les données qu’elles ont glanées des expériences.

La mention même des mâts de téléphonie mobile de nouvelle génération (4G – 5G) est interdite dans le domaine public. Jusqu’à ce que cette question vitale soit débattue librement et équitablement, nous devons nous réserver le droit de croire que l’on nous ment sur tout, que le véritable danger pour notre bonne santé, l’arme qui est utilisée pour nous conduire vers les directions désirées, vise des formations sélectionnées et des intensités de diffusion à partir des nouveaux émetteurs de téléphonie mobile qui ont récemment été érigés au-dessus d’un trottoir très près de votre maison.

Chaque nouvelle fréquence équivaut à un nouveau virus, qui sera étranger à notre corps et notre corps s’adaptera à une nouvelle fréquence de manière normale… et en tombant malade de la « grippe ».

Le connerie COVID-19 est une opération financière.

Nos dirigeants poursuivent un programme et ils ne s’arrêteront pas maintenant.

Quelque chose de terrible va arriver. La maladie récente a provoqué l’hypoxie légère de nombreuses victimes (l’hémoglobine de leur corps n’a pas pu absorber complètement l’oxygène qu’elles ont inhalé). La deuxième vague sera bien pire que la première. La première était une pratique (un « exercice en direct » comme l’appelait Pompeo). Maladie, guerre, effondrement financier, famine… tout est possible… mais quoi qu’il arrive, attendez-vous à ce que ce soit très mauvais.

… nous allons bientôt endurer les heures les plus sombres avant une nouvelle et merveilleuse aube. Nous avons avalé collectivement de nombreux tonneaux de mensonges sataniques toxiques.

Cependant, nous devons être de bon cœur, car bientôt nous connaîtrons la vérité et cette vérité libérera le monde entier.

* P.S. Le livre le plus important écrit ce siècle, jusqu’à présent, est sûrement « The Invisible Rainbow » d’Arthur Firstenberg dont la plupart des informations dans l’article ci-dessus ont été tirées [Voir ci-dessous].

Source THE STORY OF INFLUENZA. AN IMPORTANT TALE TO TELL YOUR FRIENDS


L’arc-en-ciel invisible — Une histoire de l’électricité et de la Vie par Arthur Firstenberg

Voici une lecture pour les récalcitrants qui croient encore que seuls les effets thermiques peuvent nuire à la santé. Il s’agit d’un livre écrit par Arthur Firstenberg qui nous plonge dans l’histoire de l’électricité et de la Vie depuis le 18e siècle. Ce livre nous dévoile que les scientifiques connaissent les effets biologiques depuis plus de deux siècles ! L’ingénieur Sosthène Berger a réalisé un résumé en français fort utile de ce livre de 508 pages, dont une bibliographie de 134 pages.

Titre d’origine en anglais : The Invisible Rainbow — A History of Electricity and Life)

Quiconque s’intéresse aux effets de l’électricité, y compris celle des phénomènes météorologiques, sur la biologie humaine se passionnera pour ce livre. Avec ses 135 pages de références, c’est probablement l’ouvrage grand public le plus complet, mais aussi le plus original publié à ce jour sur les effets des champs électromagnétiques (CEM).

Firstenberg est un scientifique et un journaliste à l’avant-garde d’un mouvement mondial pour déboulonner le tabou entourant ce sujet. De 1978 à 1982, ce diplômé en mathématiques de l’Université Cornell a fréquenté l’Irvine School of Medicine (Université de la Californie). C’est là qu’une surdose de rayons X a anéanti sa carrière médicale. Depuis 30 ans, il est chercheur, consultant et conférencier sur les effets des CEM sur la santé et l’environnement, ainsi que praticien de plusieurs arts de la guérison.

« L’histoire de l’invention et de l’utilisation de l’électricité a souvent été présentée, mais jamais du point de vue environnemental. La présomption de sécurité et la conviction que l’électricité n’a rien à voir avec la vie sont maintenant si profondément ancrées dans le psychisme humain que de nouvelles recherches et des témoignages de ceux qui sont blessés par les CEM ne suffisent pas à changer le cours que la société a mis en place, » explique la quatrième de couverture de son livre. Deux mondes de plus en plus isolés — l’un habité par la majorité, qui embrassent les nouvelles technologies sans fil sans remise en question, et l’autre habité par une minorité croissante qui lutte pour la survie dans un environnement pollué par électricité — ne parlent même plus la même langue. Dans The Invisible Rainbow, Arthur Firstenberg relie ces deux mondes. Dans une histoire rigoureusement scientifique, mais facile à lire, il fournit une réponse surprenante à la question suivante : comment l’électricité peut-elle être soudainement nuisible aujourd’hui quand elle était sûre pendant des siècles ? »

Son ouvrage est des plus instructifs.
On y apprend notamment :

  • que les biométéorologues savent que 30 % de la population est sensible aux changements dans l’électricité climatique et que cette sensibilité est documentée depuis 5 000 ans ;
  • que les aiguilles de l’acupuncteur conduiraient l’électricité atmosphérique pour stimuler les méridiens ;
  • que les effets secondaires de l’électrothérapie (confusion, étourdissements, maux de tête, nausée, faiblesse, fatigue, palpitations cardiaques, saignements de nez, etc.) sont attestés depuis le 18e siècle ;
  • qu’à force de s’exposer à répétition à l’électricité statique, Benjamin Franklin avait développé une douloureuse électrohypersensibilité ;
  • que le diagnostic de l’anxiété est apparu en 1866 alors que les fils de télégraphe faisaient le tour du globe, que les premières épidémies d’influenza sont survenues en 1889 après l’invention du courant alternatif qui transforma le statut du diabète, des cardiopathies et du cancer de maladie rare à courante ;
  • que chez certaines personnes les tremblements de terre causent les mêmes symptômes associés à l’électrification, rapportait le physicien britannique William Stukeley en 1749 ; 
  • que 12 % des gens peuvent entendre les faibles courants électriques, affirmait l’otologiste Auguste Morel en 1892 ;
  • que 80 % des patients électrosensibles du médecin Gad Sulman, directeur de l’unité de bioclimatologie du centre médical de l’Université Hadassah, à Jérusalem, prédisaient les changements de météo de 12 à 48 heures à l’avance, car les ions atmosphériques modifient la production cérébrale de sérotonine, neurotransmetteur responsable de l’humeur. « Nous causons une grave injustice aux patients électrosensibles en les traitant comme des patients psychiatriques », écrivait-il en 1980 dans son livre The Effects of Air Ionization, Electric Fields, Atmospherics and Other Electric Phenomena on Man and Animal (Charles C. Thomas, Springfield, III, 1980, 400 p.) ;
  • que la neurasthénie (faiblesse nerveuse), nommée en 1869 par le neurologue George Miller Beard qui collabora avec Edison dans sa découverte de l’électricité de haute fréquence, fut rebaptisée « névrose d’angoisse » par Sigmund Freud en 1895 ; or les Russes ont rejeté cette redéfinition : la neurasthénie, encore un des diagnostics les plus répandus en Asie, est due à une toxicité chimique et électromagnétique chronique. Elle a atteint des proportions épidémiques depuis l’électrification survenue dans les années 1880 et ce déséquilibre nerveux est un des premiers symptômes de la « maladie des micro-ondes » découverte par les Russes en 1930 ;
  • qu’un cellulaire, qui peut à la longue notamment provoquer des acouphènes, dépose 360 joules d’énergie dans un cerveau par heure d’exposition, comparativement à 150 joules pour la pile électrique avec laquelle Volta provoquait une sensation auditive en la rattachant à une oreille avec des électrodes ;
  • que les animaux et les plantes sont aussi sensibles que nous aux CEM et que de très faibles courants électriques altèrent leur croissance et leur fonctionnement.

Pour en savoir davantage, lire l’historique de l’électrohypersensibilité publiée par Firstenberg sur son site cellphonetaskforce.org. Il y raconte que dans les années 1950, plusieurs cliniques furent ouvertes dans les pays du pacte de Varsovie pour traiter les cas de maladie des micro-ondes qui happa des milliers de travailleurs exposés à des micro-ondes.

VOIR AUSSI :




Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki

Par Hügo Krüger — 24 novembre 2021

Traduction : Jean Bitterlin

L’histoire du VIH/SIDA

« La vérité est la fille du temps, non celle de l’autorité. »

Sir Francis Bacon

Je suis persuadé par les arguments selon lesquels le VIH ne cause pas le SIDA et que, comme le Président Thabo Mbeki, j’ai fait l’effort indescriptible d’examiner les preuves pour ensuite décider de changer d’avis.

Le scandale a débuté le 23 avril 1984

1984 était une année d’élections et le président américain Ronald Reagan n’avait pas dit un mot sur le SIDA. Pour empêcher le Parti Démocrate de faire du SIDA un sujet de campagne, Margaret Heckler, Secrétaire d’État de la Santé et des Services à la Personne, a organisé une conférence de presse où elle a déclaré que la cause du SIDA avait été trouvée. Le coupable était un rétrovirus découvert par le Dr Robert Gallo. Ronald Reagan fut réélu.

L’histoire qui était « trop grosse pour échouer » était remplie de lacunes et cela devint clair lorsqu’en 1992 une Enquête Fédérale américaine a révélé que le Dr Robert Gallo avait commis une fraude scientifique.

Après trois années d’enquête, le Bureau Fédéral de l’Intégrité de la Recherche a découvert ce jour que le Dr Robert Gallo, le codécouvreur de la cause du SIDA avait commis une faute scientifique. Les enquêteurs ont dit qu’il avait « faussement rapporté » un fait critique dans l’article scientifique de 1984 dans lequel il décrivait l’isolation du virus qui cause le SIDA.

Le nouveau rapport disait que le Dr Gallo avait intentionnellement induit des collègues en erreur afin d’en tirer profit et de diminuer le mérite qui revenait à ses concurrents français. Le rapport disait également que sa fausse déclaration avait « entravé le potentiel progrès de la recherche sur le SIDA » en détournant les scientifiques d’un travail potentiellement fécond avec les chercheurs français.

Le SIDA en Afrique du Sud

Aucune maladie n’a autant secoué la psyché sud-africaine que le Syndrome d’Immunodéficience Acquise (SIDA). Durant ma scolarité on disait que la pandémie se répandait dans tout le pays et cela emporta les médias, les ministères, les commerces et le système éducatif dans une frénésie — une situation qui est comparable à ce que nous vivons aujourd’hui avec le coronavirus. En Afrique du Sud des rubans rouges ont été placés sur chaque communication, les enfants ont dû apprendre les avantages des pratiques sexuelles sans risque et les églises avaient des prières d’ouverture et de fermeture (des offices — NdT) pour demander une bénédiction du Tout-Puissant pour ceux qui souffrent de la maladie mortelle. Dans son allocution sur « son plus grand regret lorsqu’il était en fonction » l’ancien président Nelson Mandela a passé ses années de retraite avec des influenceurs comme Bono, Oprah Winfrey et les Spice Girls pour sensibiliser sur les habitudes de vie dangereuses qui conduisent à l’infection au VIH et au développement du SIDA.

Et qui pourrait oublier le courageux Nkosi Johnson, l’orphelin du SIDA, qui s’est exprimé contre le Président Thabo Mbeki en 2000 lors de la conférence du SIDA à Durban et l’a supplié en public afin que d’autres enfants comme lui puissent avoir accès aux médicaments antirétroviraux. Puis il y a eu la ministre de la Santé Manto Tshabalala-Msimang, étiquetée par le Mail et le Guardian comme « Dr Betterave » après qu’elle ait suggéré que la betterave et l’ail pouvaient traiter la maladie à la conférence Internationale sur le SIDA de Toronto en 2006. Lors d’une interview avec John Robbie le présentateur de Radio 702, on lui a demandé si elle croyait vraiment que le VIH cause le SIDA ? Robbie lui a dit en colère et probablement sans réfléchir « de partir » — suscitant une compréhensible accusation de racisme, car c’était souvent le ton de langage que la femme noire subissait sous l’Apartheid.

Dans les médias on disait que Thabo Mbeki s’associait avec des hurluberlus négationnistes du SIDA et qu’il était obstiné et irresponsable pour avoir retardé le déploiement des médicaments antirétroviraux chez les plus pauvres d’entre les pauvres. Au Parlement, lorsque Ryan Coetze, porte-parole de l’Alliance Démocratique, lui a demandé « s’il pensait vraiment que le VIH ne cause pas le SIDA » il en a résulté une autre accusation de racisme. En opposition aux mesures du gouvernement, une nouvelle forme d’activisme est née, appelée « Militants du SIDA » qui comprenait notamment Zachie Achmat, Nathan Geffen et Mark Heywood de la Treatment Action Campaign (association sud-africaine contre le SIDA fondée par Zachie Achmat — NdT).

Le nombre de victimes causé par le négationnisme du Président Mbeki a été estimé être de l’ordre d’un quart de million de Sud-Africains, ce qui a conduit la Ligue de la Jeunesse du Parti Communiste à exiger qu’il soit jugé pour génocide. La négligence de Thabo Mbeki a contribué à sa défaite politique lors de la conférence Polokwane (réunion du Congrès National Africain ou ANC, parti de Nelson Mandela — NdT) et d’être destitué pendant son dernier mandat. Le Congrès National Africain (ANC) le remplaça par un président plus charismatique, Jacob Zuma dont le premier acte d’arrivée au pouvoir a été de prendre ses distances de « l’ère du déni » du pays. Jacob Zuma débuta un déploiement massif des antirétroviraux, et fait rare dans les dissensions des politiques sud-africaines, il a été temporairement loué par la leader du parti d’opposition Helen Zille. Zille se sentait très fortement concernée par le sujet du SIDA, si fortement que quelques années plus tard elle a préconisé la criminalisation de la transmission du VIH dans ce qu’un commentateur a désigné comme étant « une Gestapo du SIDA ».

Jusqu’à il y a deux ans, je ne pouvais pas comprendre la pandémie VIH/SIDA en Afrique du Sud et pour quelle raison Thabo Mbeki, qui était très intelligent, semblait si têtu sur la question. Comment se faisait-il que lui et son gouvernement étaient si sensibles aux critiques et recouraient souvent à des accusations infondées de racisme lorsqu’ils faisaient l’objet de pressions sur la question ? L’attitude m’a frappé comme étant absurde, mais c’était jusqu’à ce que je réalise que j’étais un de ceux qui assumaient simplement ce qu’il disait et qui n’écoutait pas ce qu’il disait.

Le mensonge VIH/SIDA remonte à la mauvaise interprétation de la tentative d’isolation initiale faite par le virologue français Luc Montagnier. Mon opinion se fonde sur les découvertes du Groupe de Perth en Australie, dont le travail est souvent cité dans le nouveau livre « Virus Mania » (coécrit par le journaliste allemand Torsten Engelbrecht — un livre à lire absolument — NdT). Le Groupe de Perth a convaincu le Président Thabo Mbeki que nous examinons la maladie VIH/SIDA à travers le mauvais paradigme et j’encourage ceux qui ne sont pas d’accord avec moi à au moins lire leur travail scientifique. Le Groupe de Perth a non seulement révélé que le VIH ne cause pas le SIDA, mais c’était le début du regain d’intérêt de la « Théorie écologique » de la maladie. L’idée que tout le fondement de la Théorie du Germe repose sur des bases fragiles et que les conditions environnementales jouent également un rôle important dans la progression de la maladie.

Mon voyage dans le SIDA

Durant la pandémie Covid-19, moi-même et de nombreux autres avons été atterrés lorsque des voix dissidentes provenant de scientifiques qui s’opposaient au confinement pour des raisons de santé publique ont été réduites au silence, et qu’on a découragé le recours à des médicaments hors homologation pour faire passer un vaccin à ARNm mis au point dans la précipitation sans disposer de données appropriées sur la sécurité à long terme. En niant la vérité, les autorités ont lancé une des campagnes de propagande médiatiques les plus sophistiquées de l’Histoire moderne de l’Humanité.

Comme l’ont montré récemment le physicien Denis Rancourt et ses collègues, les données ne suggèrent pas qu’il y a une dangereuse pandémie Covid-19 puisqu’il est évident que la mortalité toutes causes confondues aux États-Unis, en Europe et au Canada n’a que peu changé durant ces deux dernières années. En parcourant les données de mortalité, je suis surpris combien les médias et la population en général ne savent ni lire ni compter. Les humains ont tout simplement du mal à mettre les chiffres dans une perspective compréhensible surtout lorsqu’il y a une tentative délibérée des autorités de répandre la peur, d’induire en erreur et de monopoliser la vérité. Je ne peux que conclure qu’il n’y a qu’une pandémie de peur qui provient de la nature peu fiable du test PCR et de la non-spécificité des tests anticorps.

En faisant ma recherche et mes interviews sur le Covid-19, il devint évident que le Covid-19 n’était pas le premier des nombreux crimes commis par le Dr Fauci et que les techniques actuellement déployées pour manipuler le public à l’échelle mondiale ont été expérimentées durant la pandémie du SIDA.

L’AZT – Poison par prescription

Mon exploration dans la question VIH/SIDA est venue lorsque je suis tombé sur un article de l’épidémiologiste de Yale, le Dr Harvey Risch, qui rapportait le refus d’Anthony Fauci d’autoriser dans les années 1980 le médicament Bactrim aux homosexuels masculins. Le Bactrim, tout comme l’Ivermectine, était un médicament hors homologation qui aurait pu traiter la pneumonie à pneumocystis associée et que de nos jours les médecins utilisent couramment comme faisant partie du Protocole du SIDA HAART. Probablement pour apaiser ses amis de l’industrie pharmaceutique Anthony Fauci a décidé de bloquer le déploiement du médicament pendant près de deux ans et de promouvoir un médicament connu sous le nom d’AZT sans que des essais cliniques appropriés aient été faits. Tout comme pour le vaccin Covid-19, le groupe placébo a été délibérément cassé pour cacher les risques de fond et la criminalité n’a été révélée qu’après qu’un militant gay du nom de John Lauritsen ait enquêté sur le processus d’approbation de la FDA. Le Dr Risch a souligné que bien que le médicament AZT fonctionnait, il était très toxique aux doses initiales, mais comme j’en ai lu davantage sur la toxicité dans le livre de John (Lauritsen – NdT) « Le Poison par Prescription » tout le couvercle sur le VIH et le SIDA s’est soulevé. De plus, à la fin de l’an passé, Neville Hodgkinson, un ancien correspondant scientifique du Sunday Times a soulevé mes soupçons lorsqu’il a écrit que les supercheries Covid-19 avaient été expérimentées pendant la pandémie VIH/SIDA, ce qui m’a amené à poser la question simple :

« Que savait le Président Mbeki au sujet du VIH/SIDA ? »

Que disaient les dissidents et pourquoi avaient-ils tort ? Il s’avère que je suis maintenant d’avis que non seulement le Président Mbeki avait raison, mais qu’il avait raison de se poser des questions sur la toxicité des antirétroviraux et en particulier de l’AZT (plus tard appelé zidovudine). L’AZT — initialement conçu comme chimiothérapie anticancéreuse — cible la synthèse de l’ADN, la base de toute vie et après son utilisation généralisée, le taux de « décès SIDA » parmi les homosexuels masculins a été multiplié par 10. Récemment un ancien documentaire de la BBC intitulé « Les Enfants Cobayes » a refait surface, documentaire qui exposait comment on s’est servi d’enfants orphelins de New York dans les essais de l’AZT — la plupart d’entre eux en sont décédés.

Le médecin spécialiste du VIH/SIDA Joseph Sonnabend, né en Afrique du Sud, a qualifié l’AZT « d’incompatible avec la vie » — la définition même du poison. John Lauritsen a estimé que l’AZT a tué 330 000 homosexuels masculins aux États-Unis et à la Conférence de Vienne sur le SIDA il a prononcé un discours émouvant où il n’a pas hésité à utiliser le terme de « génocide gay » en l’honneur des jeunes hommes homosexuels qui ont pris le poison en pensant qu’il allait les guérir alors qu’en fait il les a emportés dans leurs tombes.

Pourtant c’était ce médicament que les militants de l’association Treatment Action Campaign (TAC – Campagne d’Action pour le Traitement, association sud-africaine contre le SIDA fondée par Zackie Achmat en 1998 – NdT – une façade de relations publiques pour Big Pharma) voulaient que le Président Thabo Mbeki importe en Afrique du Sud. Pendant la pandémie Covid-19, la TAC et Nathan Geffen en particulier ont écrit une série d’articles montés de toutes pièces sur l’association PANDA de Nick Hudson après qu’il ait remis en question les statistiques de vaccination du gouvernement de la Province du Cap Occidental. (PANDA est une association dont les membres sont des professionnels multidisciplinaires qui ont considéré que la réaction planétaire envers le Covid, et plus particulièrement les confinements, était exagérée – NdT). Les mêmes personnages qui avaient fait passer le profit avant les vies humaines durant la pandémie du SIDA refont la même chose avec la Covid-19.

En ce qui concerne l’Afrique du Sud, ce qui m’a encore davantage frappé c’étaient les paroles de Nkosi Johnson à la conférence de Durban sur le SIDA qui ont été publiées par les médias du Monde entier.

« Je déteste avoir le SIDA parce que je tombe très malade et je deviens très triste lorsque je pense à tous les autres enfants et nouveau-nés qui sont malades du SIDA. Je souhaite simplement que le gouvernement puisse commencer à donner l’AZT aux mères enceintes séropositives pour aider à empêcher la transmission du virus à leurs bébés ».

(Nkosi Johnson est né en 1989 et mort en 2001 ; il était né « avec le SIDA » et il est venu faire le discours ci-dessus à Durban en juillet 2000 — NdT)

L’histoire de Nkosi Johnson a-t-elle été utilisée par l’industrie pharmaceutique comme propagande émotionnelle pour vendre un médicament toxique, et quel était le médicament qu’il prenait avant de mourir ?

Le voyage de Mbeki — Débat sur le SIDA

Au cours de mon interview avec Anthony Brink, dissident du SIDA, il m’a raconté l’histoire comment Thabo Mbeki en vit à s’intéresser au débat, car, comme moi, cela a également commencé avec l’AZT. Brink était un avocat du barreau de Pietermaritzburg qui s’est intéressé à l’AZT après que la pression des médias ait commencé à pousser le gouvernement à prendre au sérieux la pandémie VIH/SIDA et à importer des (médicaments-NdT) antirétroviraux dans le pays. Sa femme l’a averti qu’il y avait sur Internet des discussions scientifiques au sujet de la toxicité des médicaments. Comme son intérêt sur le sujet grandissait, il a décidé d’écrire un livre de titre « Débats sur l’AZT » qui contenait toute la littérature médicale et scientifique sur la toxicité du médicament.

Brink m’a également mentionné qu’il connaissait un collègue avocat qui est décédé après avoir testé positif au VIH. Son partenaire juridique l’a informé qu’il prenait des antirétroviraux avant son décès. Brink a envoyé son manuscrit à la veuve et à sa grande horreur il a découvert que les symptômes étaient précisément ceux prédits par la littérature citée dans « Débats sur l’AZT ».

Brink a alerté la ministre de la Santé Nkosazana Dlamini-Zuma en envoyant à son bureau une copie de son livre, mais à ce moment-là Nelson Mandela était sur le point de quitter ses fonctions (de président de l’Afrique du Sud — NdT) et un de ses (à la ministre de la Santé – NdT) conseillers spéciaux, le Dr Ian Roberts, pensait qu’il valait mieux reporter le problème sur le prochain ministre de la Santé.

Immédiatement après avoir prêté serment, la première chose à l’ordre du jour du ministre de la Santé Manto Tshabalala-Msimang a été de passer en revue le livre d’Anthony Brink « Débat sur l’AZT ». Après avoir été informé des conclusions du livre, le Directeur Général à la Présidence de l’ANC, Smuts Ngonyama a appelé Brink et lui a demandé de rédiger la déclaration aux médias de l’ANC sur l’AZT. Mbeki a pris connaissance qu’il y avait un problème de toxicité avec les antirétroviraux et ceci l’a conduit à découvrir qu’il y avait autre chose que le virus du VIH dans le SIDA et que les médicaments eux-mêmes sont toxiques.

Comité consultatif

Débats sur le SIDA a déclenché une bombe en Afrique du Sud. Il a convaincu Mbeki d’écouter les arguments des dissidents du SIDA. Ils peuvent être trouvés sur le site Internet Virusmyth et dans le film documentaire « House of Numbers » (La Maison des Chiffres — visible, en anglais, sur le lien https://www.youtube.com/watch?v=qdJpBL6aBFQ — NdT). Les dissidents tout comme les scientifiques orthodoxes ont été invités à son Comité Consultatif sur le SIDA de mars 2000 qui s’est tenu à l’hôtel Sheraton à Prétoria. Parmi les participants à la première rencontre, il y avait des sceptiques du SIDA tels que le professeur Peter Duesberg, David Rasnick et le Professeur Sam Mhlongo de la Faculté de Médecine d’Afrique du Sud (MEDUNSA pour Medical University of South Africa — NdT). Les scientifiques orthodoxes, parmi lesquels le Professeur Glenda Gray, le Professeur Salim S. Abdool-Karim, le Dr Malegapuru W. Makgoba et le découvreur du VIH le Dr Luc Montagnier, étaient également présents. Plus significatif encore, ce sont ceux qui n’ont pu participer qu’à la deuxième réunion, le Professeur Eleni Papadopoulos — Eleopoulos et le Dr Valander Turner connus sous le nom du « Groupe de Perth » (groupe de scientifiques de Perth en Australie – NdT). Brink m’a dit que Mbeki et Kgalema Motlanthe auraient finalement été persuadés par leurs arguments.

Le Rapport Consultatif Présidentiel donne le meilleur résumé des arguments pour ou contre l’hypothèse VIH/SIDA et c’est une tragédie pour l’Afrique du Sud que nos médias n’aient jamais correctement débattu des conclusions du rapport, car cela aurait dévoilé tout le scandale. Le rapport a une valeur considérable pour l’histoire de la médecine et pour la pandémie en Afrique du Sud. La Société de Télédiffusion sud-africaine a également refusé de diffuser les vidéos de l’événement, mais heureusement une partie du matériel a refait surface et est disponible grâce à des sources anonymes sur Odysee.

Il n’y a que peu d’interviews où l’on a donné à Thabo Mbeki une occasion honnête pour exprimer son opinion sur le SIDA, mais parmi celles-ci il y a un bon film « La Recherche de Solutions » qui a été diffusé par Carte blanche et télédiffusée qu’en Afrique.

Le seul débat honnête sur la toxicité de l’AZT a été diffusé en 2005 sur ETV. Il a présenté le Dr David Rasnick et le Dr Sam Mhlongo du côté opposé (à l’hypothèse orthodoxe — NdT) et le Dr Malegapuru W. Makgoba et le Professeur Ian Sanne (du côté orthodoxe — NdT).

Le Dr Sam Mhlongo était le chef du Département de Médecine Familiale et de Soins de Santé Médicale à la Faculté de Médecine d’Afrique du Sud (MEDUNSA). Durant des décennies le Dr Mhlongo a été exilé pour son opposition au régime d’apartheid. Après son retour en Afrique du Sud il a continué à combattre un nouvel ennemi : l’impact dévastateur du « commerce avec la maladie » de l’industrie pharmaceutique en Afrique du Sud.

Il était membre du Comité Consultatif Présidentiel sur le SIDA, où il a exploré et adopté des alternatives viables pour faire face à cette épidémie, en particulier pour les communautés pauvres et marginalisées. Le Dr Mhlongo est malheureusement décédé en 2006 dans un accident de voiture, ses réflexions sur le SIDA et sur les médicaments sont bien conservées en ligne.

L’hypothèse VIH — SIDA

Dans le rapport consultatif de Mbeki, je vais souligner quelques déclarations qui montrent les raisons pour lesquelles moi aussi je rejette l’hypothèse VIH et pour quelles raisons il contient des leçons pour le Covid-19.

Une préoccupation particulière soulevée par certains membres du comité était qu’après 15 années de recherches, il n’y avait pas d’« étalon d’or » (en anglais gold standard — référence absolue — NdT) pour mesurer la précision et la fiabilité des données générées à partir des méthodes généralement utilisées pour diagnostiquer de l’infection VIH.

Le test PCR

Les arguments contre l’utilisation de la PCR (polymerase chain reaction ou réaction de polymérisation en chaîne — NdT) sont que ce test est caractérisé par une grande variabilité et un manque de reproductibilité. En outre, la très grande variabilité peut conduire à une interprétation erronée des résultats, compromettant ainsi l’exactitude et la validité de la PCR. Le Dr Bialy avait souligné que le test de charge virale avec la PCR pourrait ne pas être une mesure légitime du virus infectieux. Cela démontre un niveau élevé de fluctuation, et la charge virale peut être augmentée non spécifiquement par d’autres infections virales et bactériennes (les infections opportunistes peuvent également augmenter la charge virale). Les résultats de la recherche indiquent qu’il se peut que le test de charge virale ne soit pas toujours un indicateur de la progression clinique du VIH vers le SIDA.

Le Dr Kary Mullis (hélas décédé le 7 août 2019 — NdT), l’inventeur de la PCR a dit en maintes occasions que les soi-disant tests PCR ne peuvent pas détecter une infection ou la présence du virus. Même la notice dit que les « tests » PCR ne peuvent pas être utilisés pour diagnostiquer le SIDA ou détecter la présence de VIH.

Il en va de même des tests anticorps notamment des tests Elisa et Western Blot. Ils ne vous disent rien sur un virus unique ou une infection.

Le test Elisa

L’absence de normalisation des résultats ELISA, tant à l’intérieur du pays qu’entre les pays, était une source de préoccupations majeures pour certains membres du comité consultatif. Les résultats des tests ELISA pouvaient être interprétés différemment au sein d’un même laboratoire, entre les laboratoires d’un même pays et entre les pays. Cela peut signifier qu’une personne testée positive dans un laboratoire d’Afrique du Sud pouvait être testée négative dans un autre laboratoire du même pays. En outre le manque de standardisation entre le pays pouvait entraîner qu’une personne soit positive dans un pays et négative dans un autre.

Le test Western Blot

Le Dr Papadopoulos-Eleopoulos a présenté une diapositive montrant les résultats d’un test Western Blot avec un certain nombre d’échantillons provenant de patients atteints de lèpre, de tuberculose et de SIDA. Il est apparu que les résultats du Western Blot des différents échantillons étaient indiscernables les uns des autres, montrant que le test Western Blot était non spécifique et non fiable. Tous les échantillons ont testé positif, même ceux des patients atteints de lèpre et de tuberculose. Au cours de délibérations ultérieures, le Dr Mark Smith a souligné que Max avait déjà démontré en 1994 les résultats indéterminés des tests Western Blot. Ce qui précède souligne le fait que le test Western Blot ne peut pas être utilisé comme outil de diagnostic déterminé.

Alors que fait-on d’un virus pour lequel il n’y a pas de test fiable qui indique sa présence ? Comment se fait-il que le grand public ait été entraîné dans une frénésie sur la base de résultats faux positifs ?

Comme me l’a confirmé un médecin, aujourd’hui la pratique consiste à utiliser à la fois les tests sanguins Elisa et western Blot ainsi que le test PCR pour mesurer une « charge virale » arbitraire et qui n’a aucune signification.

Mais si aucun des trois tests n’a de sens ? Quel est leur but lorsque les facteurs suivants sont connus pour causer des résultats de test anticorps au VIH qui sont de faux positifs ?

  • Les anticorps antiglucides (52, 19, 13)
  • Les anticorps apparaissant naturellement (5,19)
  • L’immunisation passive : réception de gammaglobuline ou d’immunoglobuline (en tant que prophylaxie contre l’infection qui contient des anticorps) (18, 26, 60, 4, 22, 42, 43, 13)
  • La lèpre (2, 25)
  • La tuberculose (25)
  • La Mycobacterium avium (25)
  • Le Lupus érythémateux disséminé (15, 23)
  • L’insuffisance rénale (48, 23, 13)
  • Hémodialyse/insuffisance rénale (56, 16, 41, 10, 49)
  • La thérapie par interféron alpha chez les patients hémodialysés (54)
  • La grippe (36)
  • La vaccination antigrippale (30, 11, 3, 20, 13, 43)
  • L’Herpès simplex I (27)
  • L’Herpès simplex II (11)
  • L’infection des voies respiratoires supérieures (rhume ou grippe) (11)
  • L’infection virale récente ou exposition à des vaccins viraux (11)
  • La grossesse chez les femmes multipares (58, 53, 13, 43, 36)
  • Le paludisme (ou malaria- -NdT) (6,12)
  • Des niveaux élevés de complexes immuns circulants (6, 33)
  • L’hypergammaglobulinémie (niveaux élevés d’anticorps) (40, 33)
  • Les faux positifs sur d’autres tests, parmi lesquels le test RPR (réactif au plasma rapide) pour la syphilis (17, 48, 33, 10, 49).
  • La polyarthrite rhumatoïde (36)
  • La vaccination Hépatite B (28, 21, 40, 43)
  • La vaccination antitétanique (40)
  • La transplantation d’organes (1, 36)
  • La transplantation rénale (35, 9, 48, 13, 56)
  • Les anticorps antilymphocytaires (56, 31)
  • Les anticorps anti-collagènes (trouvés chez des hommes gays, des hémophiles, des Africains des deux sexes et les personnes atteintes de la lèpre) (31)
  • Le sérum positif pour le facteur rhumatoïde, les anticorps antinucléaires (tous deux trouvés dans la polyarthrite rhumatoïde et dans d’autres auto-anticorps) (14, 62, 53)
  • Les maladies auto-immunes (44, 29, 10, 40, 49, 43) : Lupus érythémateux aigu disséminé, sclérodermie, maladie du tissu conjonctif, dermatomyosite.
  • Les infections virales aiguës, les infections virales à ADN (59, 48, 43, 53, 40, 13)
  • Les tumeurs malignes (cancers) (40)
  • L’hépatite alcoolique/maladie alcoolique du foie (32, 48, 40, 10, 13, 49, 43, 53)
  • L’angiocholite sclérosante primitive (48, 53)
  • L’Hépatite (54)
  • Le sang « collant » (chez les Africains) (38, 34, 40)
  • Les anticorps à haute affinité pour le polystyrène (utilisé dans les kits de test) (62, 40, 3)
  • Les transfusions sanguines, les multiples transfusions sanguines (63, 36, 13, 49, 43, 41)
  • Le myélome multiple (10, 43, 53)
  • Les anticorps HLA (aux antigènes leucocytaires de classe I et II) (7, 46, 63, 48, 10, 13, 49, 43, 53)
  • Les anticorps anti muscles lisses (48)
  • Les anticorps cellulaires antipariétaux (48)
  • Les IgM anti- hépatite A (anticorps) (48)
  • Les IgM anti-Hbc (48)
  • L’administration avant 1985 de préparation d’immunoglobulines humaines regroupées (10)
  • L’hémophilie (10, 49)
  • Les troubles malins hématologiques/lymphome (43, 53, 9, 48, 13)
  • La cirrhose biliaire primitive (43, 53, 9, 48, 13)
  • Le syndrome de Stevens-Johnson 9 (48, 13)
  • La fièvre Q avec hépatite associée (61)
  • Les spécimens traités thermiquement (51, 57, 24, 49, 48)
  • Le sérum lipidémique (sang avec des taux élevés de graisse ou de lipides) (49)
  • Le sérum hémolysé (sang où l’hémoglobine est séparée des globules rouges) (49)
  • L’hyperbilirubinémie (10, 13)
  • Les globulines produites lors des gammopathies polyclonales (que l’on peut observer dans les groupes à risques du SIDA) (10, 13, 48)
  • Les personnes en bonne santé suite à des réactions croisées mal comprises (10)
  • Les ribonucléoprotéines humaines normales (48, 13)
  • Les autres rétrovirus (8, 55, 14, 48, 13)
  • Les anticorps anti-mitochondriaux (48, 13)
  • Les anticorps antinucléaires (48, 13, 53)
  • Les anticorps anti-microsomiques (34)
  • Les anticorps antigéniques leucocytaires des lymphocytes T (48, 13)
  • Les protéines sur papier filtre (13)
  • Le virus Epstein Barr (37)
  • La leishmaniose viscérale (45)
  • Le sexe anal réceptif (39, 64)

L’expérience de Luc Montagnier

On dit que le virus de l’immunodéficience humaine a été découvert par le virologue français Luc Montagnier au début des années 1980. En 1990 à une conférence sur le SIDA à San Francisco Montagnier a exprimé son propre scepticisme envers l’hypothèse VIH.

« Le VIH n’est ni nécessaire ni suffisant pour causer le SIDA »

Luc Montagnier

Bien que ne s’éloignant jamais complètement de l’hypothèse VIH/SIDA, Montagnier, dans la série documentaire House of Numbers, a doublé la mise de son scepticisme, en particulier en ce qui concerne l’Afrique.

« Le SIDA ne conduit pas inévitablement à la mort, surtout si vous supprimez les cofacteurs qui soutiennent la maladie. Il est très important de dire cela aux personnes qui sont infectées, je pense que nous devrions accorder la même importance aux cofacteurs que nous en accordons au VIH. Les facteurs psychologiques sont essentiels dans le soutien de la fonction immunitaire. Si vous supprimez ce soutien psychologique en disant à quelqu’un qu’il est condamné à mourir, rien que vos seules paroles l’auront condamné ».

Luc Montagnier.

En 2000 lors du Comité Consultatif sur le SIDA de Mbeki, on a demandé à Montagnier s’il avait réellement « purifié » le VIH. Il a simplement dit qu’il s’agissait d’une vieille technique et qu’elle n’était plus valable. Le Groupe de Perth s’est élevé contre l’interprétation initiale de Montagnier.

Que le SIDA et tous les phénomènes interprétés comme « VIH » sont induits par des changements dans l’oxydoréduction provoqués par la nature oxydative des substances et des expositions communes à tous les groupes à risque du SIDA et aux cellules utilisées dans la « culture » et « l’isolation » du « VIH ».

Les problèmes avec l’isolation du VIH authentique sont bien présentés dans la longue l’interview de Bret Leung du Groupe de Perth dans le film House of Numbers et également sur le site Internet du Groupe de Perth.

Anthony Fauci

Aggravant la fraude de Gallo, Anthony Fauci a recyclé la hautement toxique chimiothérapie AZT comme médicament anti-VIH, qui selon John Lauritsen aurait tué 330 000 homosexuels masculins.

Fauci a promis qu’un vaccin contre le VIH serait disponible « dans les deux ans à venir ». 37 ans plus tard, nous attendons toujours. Depuis lors le gouvernement des États-Unis a dépensé plus de 600 milliards de dollars pour le SIDA et n’a pas sauvé une seule vie.

L’histoire comment le dogme du SIDA a débuté a été racontée dans le film de Joan Shenton « Positiveley False » (Carrément Faux, également titre du livre de Joan Shenton — NdT).

Donc, si le virus VIH n’a pas été isolé, qu’en est-il alors du SIDA ?

Le SIDA

Donc, si le virus n’a pas été isolé, qu’en est-il du SIDA ?

« Les morts manquants »

Durant la présidence de Thabo Mbeki, le journaliste Rian Malan, qui travaillait sous contrat avec le Magazine Rolling Stone, s’est penché sur la question du VIH/SIDA et a entrepris de trouver les 250 000 morts et les 20 millions de victimes que l’on disait qui mourraient de la maladie sur tout le continent. À son grand étonnement, il a constaté que « L’Afrique ne mourrait pas du SIDA » et que des villes dont on prévoyait qu’elles allaient mourir de la pandémie voyaient en réalité leurs populations augmenter. Après avoir examiné les rapports des médecins légistes et avoir visité dans toute l’Afrique du Sud les cliniques dédiées au SIDA, Malan n’a tout simplement pas pu trouver l’excès des décès.

« Une note sur le site web du MRC (Medical Research Council — Comité de la recherche Médicale — NdT) expliquait que la modélisation est une science inexacte, et que “le nombre de personnes mourant du SIDA ne fait que commencer à augmenter”. En outre, a déclaré le MRC, il y a un nouveau modèle en cours d’élaboration, un qui produira “probablement” “des estimations environ 10 % inférieures” à celles qui sont actuellement avancées. L’exercice n’était pas strictement valide, mais j’ai persuadé mon copain scientifique Rodney Richards de faire exécuter les données révisées sur son propre simulateur et de voir ce qu’il en sortirait pour 1999. La réponse, très grossièrement, était un nombre de morts du SIDA d’environ 65 000 — très loin des 250 000 initialement avancés par l’UNAIDS.

Sans prétendre savoir quoi que ce soit sur le VIH/SIDA, Rian Malan a simplement expliqué que les millions de personnes qui étaient censées mourir de ces maladies étaient le produit de modèles informatiques.

C’est quoi le SIDA ?

À l’origine le SIDA était limité aux hommes homosexuels d’Amérique qui utilisaient des poppers comme drogue récréative dont les effets secondaires donnaient des symptômes de type de ceux du SIDA. La population homosexuelle était fortement ciblée par le dépistage et étant donné le taux élevé de faux positifs, ils testaient positif en grand nombre. Au fil du temps le CDC a regroupé des maladies qui n’avaient rien à voir les unes avec les autres. Tout comme pour la Covid-19, la définition du SIDA a commencé à s’élargir en ajoutant de nouveaux symptômes à la maladie. Peut-être la plus grande absurdité est que le SIDA en Afrique et le SIDA en Amérique n’ont en commun que le nom. En Afrique c’est avant tout une maladie de la pauvreté et en Amérique c’est surtout une maladie liée à la consommation de drogues.

La liste du CDC des 26 maladies et affections définissant le SIDA qui ont peu ou rien à voir les unes avec les autres

  • Les infections bactériennes, multiples ou récurrentes
  • La candidose bronchique, de la trachée ou des poumons.
  • La candidose de l’œsophage
  • Carcinome cervical invasif
  • Coccidioïmycose
  • Cryptococcose extrapulmonaire
  • Cryptosporidiose intestinale chronique
  • Maladie à cytomégalovirus
  • Herpès simplex
  • Histoplasmose
  • Encéphalopathie à VIH (démence)
  • Syndrome du vieillissement pathologique du VIH
  • Isosporose
  • Sarcome de Kaposi
  • Pneumonie lymphoïde interstitielle
  • Lymphome de Burkitt
  • Lymphome immun blastique
  • Lymphome primaire du cerveau
  • Mycobactérium avium ou M. kansasii
  • Mycobactérium tuberculosis
  • Pneumonie à pneumocystis carinii
  • Pneumonie récurrente
  • Leucoencéphalopathie multifocale progressive
  • Septicémie à salmonelle
  • Toxoplasmose du cerveau
  • Immunosuppression sévère liée au VIH

Voici les définitions du SIDA en Afrique des Nations Unies

  1. Perte de poids
  2. Fièvre
  3. Diarrhée et
  4. Toux persistante
  5. Tuberculose
  6. Ganglions lymphatiques gonflés

Ces deux maladies sont tellement distinctes qu’il n’est pas possible qu’elles proviennent du même virus. Si vous deviez être diagnostiqué du SIDA en Afrique du Sud et vous vous envolez pour l’Amérique, selon la définition officielle seriez-vous guéri ? Comme me l’a dit David Rasnick dans une interview “Le VIH n’a que 3 gènes structurels et pourtant il sait si vous êtes Blanc ou Noir, homosexuel ou hétérosexuel, riche ou pauvre, et sur quel continent vous vivez”.

Le rapport du comité consultatif de Mbeki a également exprimé des préoccupations sur la définition de la construction du SIDA.

Pour quelle raison le VIH/SIDA est-il transmis de manière hétérosexuelle en Afrique tandis que dans le monde occidental on dit qu’il est surtout transmis de manière homosexuelle”.

Les Africains ne peuvent certainement pas être tellement différents pour souffrir de manière différente du même virus ? Face à cette anomalie, l’establishment du SIDA a décidé de requalifier ces deux maladies en VIH-1 et VIH-2.

[Voir aussi :
Fauci et la grande arnaque du SIDA
L’escroquerie du SIDA (sidasante.com)
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

En résumé

  • Comme le montrent les travaux du Groupe de Perth, les preuves que le virus VIH a été purifié n’existent pas.
  • Comme le montrent les contradictions des méthodes de dépistage, aucun des tests VIH ne peut dire quoi que ce soit sur la présence du virus.
  • Comme le montre la découverte de Rian Malan, l’Afrique ne meurt pas d’une pandémie mortelle.
  • Comme le montre la définition du SIDA, les maladies du SIDA en Afrique sont largement liées à la malnutrition et à la pauvreté et aux États-Unis elles sont la conséquence du mode de vie et de la consommation de drogues.

Ce que j’attends que cet article génère c’est que nous commencions et ouvrions la discussion sur le VIH et le SIDA sur les points suivants.

  • La toxicité des antirétroviraux doit être ouvertement admise et les laboratoires pharmaceutiques et la FDA doivent être tenus pour responsables pour les innombrables décès qui sont de leur fait.
  • Les leçons de VIH/SIDA sont d’importance capitale si nous voulons en finir avec les crimes qui sont commis sous le nom de l’urgence sanitaire Covid-19 et si jamais nous voulons croire en la justice pour les centaines et milliers d’homosexuels et les millions d’Africains qui ont été soumis à cette expérimentation cruelle en leur donnant des médicaments sur la base d’un faux résultat positif.
  • Pour les Sud-Africains il est temps d’examiner objectivement les preuves détaillées qui sont dans le rapport du comité consultatif de Mbeki, puis que nous lui présentions tous des excuses.

Le Président Thabo Mbeki avait raison :

“Le VIH ne cause tout simplement pas le SIDA”

Références

Pour ceux qui sont intéressés par la question, des blogs, de bons vieux articles sur les arguments des dissidents peuvent être trouvés sur les sites web suivants :

  1. Virusmyth pour un recueil d’arguments sur les dissidents.
  2. Viroliegy pour une introduction sur la théorie du terrain.
  3. Treatment Information Group pour un recueil sur la toxicité des antirétroviraux.
  4. The Perth Group pour les opinions dissidentes auxquelles Mbeki a souscrit.
  5. Le site web de David Rasnick pour de bonnes références sur le SIDA. David a décidé de garder en ligne les réflexions de son ami le Dr Sam Mhlongo.

Livres sur le sujet :

  1. Virus Mania : Comment l’industrie médicale invente continuellement des épidémies, faisant des milliards de dollars de profits à nos dépens, 3e édition par Torsten Engelbrecht (auteur), Claus Köhnlein (auteur), Samantha Bailey (auteur) et Stefano Scoglio (auteur)
  2. Le poison par prescription — l’histoire de l’AZT par John Lauritsen.
  3. “Le SIDA : Le raté de la science contemporaine” par Neville Hodgkinson.
  4. “L’invention du virus de SIDA” par Peter Duesberg.
  5. “Débats sur l’AZT” par Anthony Brink.

Traduction Jean Bitterlin le 08 mars 2022.




Parlons contamination

[Source : RI]

par Edy Fernandez.

Votre croyance – par les influences de toutes sortes que vous subissez – en un « virus » défini comme étant un agent pathogène contagieux et dangereux crée chez vous des peurs, plus ou moins conscientes. Ces peurs créent des stress oxydatifs et des lésions invisibles de votre terrain, ce qui s’additionne aux effets des toxines déjà présentes en quantités plus ou moins importantes dans votre organisme.

Nous subissons en effet diverses pollutions et agressions de par notre environnement et tout ce que nous ingérons et inhalons, tant sur le plan physique que psychique, ce qui est générateur de quantité de toxines au niveau cellulaire.

« Le stress cellulaire dû à la charge toxique que nous subissons quotidiennement, qu’elle soit d’origine environnementale ou psychosomatique, exposition aux ondes électromagnétiques, pollutions chimiques, vaccins, alimentation malsaine, souffrance psychique et traumatismes divers, génère des vésicules extra cellulaires, des exosomes, qui contiennent des informations qui peuvent être alarmantes si on y est exposé, car elles avertissent les autres qu’ils doivent activer immédiatement leurs voies de détoxination, ces informations étant transférées au groupe afin qu’il puisse se créer une résistance au sein de la communauté.

Nous fonctionnons à ce niveau comme les plantes et les arbres, qui se transmettent des messages afin de résister à une agression.

Il s’avère malheureusement que l’exposition répétée à ces sources de pollution diminue graduellement la résistance du groupe, ce qui nous rend davantage sujets aux maladies ». (Informations extraites du film « Terrain », partie 2, qu’on peut visionner ici)

Ces différents stress et toxines sont alors générateurs de symptômes divers, qu’on appelle péjorativement maladie, mais qui ne sont en réalité qu’un processus naturel de nettoyage et de remise en état d’un terrain encrassé ou altéré. Un processus de guérison, certes non exempt de désagréments, dans lequel les bactéries interviennent systématiquement, leur rôle étant de nettoyer et réparer l’organisme et de rétablir la qualité du terrain.

Car le corps a besoin de se nettoyer périodiquement, et il est toujours préjudiciable d’entraver ce processus par la prise inappropriée de médicaments, ce qui est générateur de maladies chroniques.

Si une personne en bonne santé ne court guère de risques, il est cependant clair que ce processus de nettoyage peut s’avérer critique, voire fatal, en fonction d’une piètre qualité du terrain.

Comme le dit Jung :

« Nous ne sommes pas là pour guérir de nos maladies, mais nos maladies sont là pour nous guérir ».

Ou bien :

« La maladie est l’effort que fait la nature pour guérir l’homme ».

Vous le constatez, il n’est pas nécessaire qu’un virus existe réellement physiquement, sa seule représentation suffit à générer des symptômes en relation directe avec le potentiel morbide qu’on attribue au virus (foyers de Hamer).

Un virus est donc, avant tout, mental.

Pour le dire schématiquement, comme nous l’enseigne l’épigénétique (c’est à dire, globalement, l’influence de l’environnement sur la génétique), nos pensées, nos représentations mentales, nos croyances limitantes, créent nos maladies. Car les pensées, ainsi que les émotions, sont de puissantes énergies.

Je laisse volontairement ici de côté la question du sens des maladies et des messages qu’elles véhiculent à notre seule intention, sachant que tout est un et que le visible n’est que l’expression de l’invisible, toutes choses qui nous entraîneraient beaucoup trop loin.

« Les crises, les bouleversements et la maladie ne surgissent pas par hasard. Ils nous servent d’indicateurs pour rectifier une trajectoire, explorer de nouvelles orientations, expérimenter un autre chemin de vie. Si vous ne faites pas face à votre ombre, elle vous viendra sous la forme de votre destin ».

(Carl Gustav Jung)

Une fois vos symptômes déclarés, vous allez ensuite pouvoir « contaminer » votre entourage par un effet de mimétisme, c’est à dire par résonance vibratoire, par un échange de photons qui transportent une information (que nous le voulions ou non, nous sommes des êtres interconnectés et nous discutons en permanence avec tous les corps vivants que nous croisons ou rencontrons, par voie électromagnétique, par un échange de photons).
Quand l’organisme de votre proche voisin entre en résonance avec cette information, se met au diapason, il est alors susceptible de développer les mêmes symptômes, ou des symptômes similaires, s’il en a besoin ou si son terrain s’y prête.

La contagion peut être perçue comme :

« l’expression d’une toxicité qui se répand à travers le mycélium de l’interconnexion humaine afin d’inspirer, inciter ou soutenir un processus de détoxination chez d’autres personnes ».

(Dr Kelly Brogan)

On constate cela très facilement avec les maladies initiatiques de l’enfant, quand, par exemple, toute une fratrie ou toute une classe d’école déclare tout à coup les mêmes symptômes, par effet de mimétisme (rougeole, scarlatine, oreillons, varicelle…).

Ce qu’il est essentiel de comprendre est que ce n’est jamais une maladie (un « virus » contagieux) qui est transmise directement de personne à personne, mais UNE INFORMATION susceptible de provoquer des symptômes particuliers en fonction du terrain qui reçoit cette information.

Nous ne contaminons pas les autres en leur projetant des germes à la figure, nous ne sommes pas en lutte les uns avec les autres ou avec le vivant dans son ensemble, et l’autre n’est pas un potentiel danger, tout au moins dans le domaine de la santé. Tout ce que nous faisons est de transmettre des informations au groupe, de par nos permanentes et profondes interrelations. Nous dialoguons au niveau vibratoire et sur divers plans énergétiques. Et cela change tout, d’une part dans la conception de la maladie et, d’autre part, dans le rapport que nous avons à l’autre et à la nature.

Il est aisé de comprendre que tout ceci va totalement à l’encontre des intérêts mortifères du système et de Big Pharma, qui n’ont de cesse de nous diviser et de nous présenter la vie sous la forme d’une guerre incessante contre tout ce qui bouge et respire, et l’espace commun comme le lieu de tous les dangers.

La médecine du futur, qui est déjà là, sera une médecine informationnelle et holistique, qui utilisera pour soigner les formidables pouvoirs de l’eau (nous sommes constitués à 96 % de molécules d’eau), la lumière et les ondes sonores. Exit la chimie, et son cortège d’horreurs et de tromperies !


[Voir aussi :]

Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

TERRAIN expose le canular tyrannique de la pandémie mondiale, construite sur le modèle erroné de la maladie, connu sous le nom de “théorie des germes”. Ce documentaire en deux parties explore la théorie du terrain, un modèle de santé fonctionnant en symbiose avec la nature pour promouvoir le bien-être et la guérison, sans recourir à un paradigme médical corrompu et défaillant. TERRAIN motive et inspire les spectateurs à comprendre le pouvoir et la responsabilité du consentement. La première partie de TERRAIN remet en question la théorie des germes, un système de croyance obsolète et non scientifique basé sur des fraudes et des mauvaises interprétations. (Vidéo 55 min)


Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?

La question de l’existence de virus pathogènes reste importante, car la croyance en de tels virus mobilise des milliards de dollars de ressources et de fonds de recherche. Ces deux dernières années, nous avons également vu comment un prétendu virus peut être utilisé comme un outil politique pour mettre les populations au pas. Ce n’est pas la première fois que cela se produit : par exemple, la “découverte” du VIH dans les années 1980 a donné naissance à une industrie de plusieurs milliards de dollars et a également été utilisée à des fins politiques dans la plupart des régions du monde.


L’invention du SARS-CoV-2

Un mathématicien allemand travaillant avec le Dr Stefan Lanka vient de publier un rapport intitulé “Analyse structurelle des données de séquençage en virologie – Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2FR“. Il fournit encore plus de preuves que les virologues sont pris dans un monde de simulations informatiques – des simulations qui ne sont pas fiables même selon leurs propres termes, sans compter qu’elles sont déconnectées de la réalité. Cette analyse est une contribution importante qui expose un autre élément de l’anti-science utilisée pour soutenir cette fausse pandémie. En outre, il s’agit d’un démantèlement technique de la manière dont tous les “virus” sont inventés et ensuite “trouvés”, dans un jeu de tromperie permanent.


L’enterrement de la théorie virale

Pour déterminer la validité d’une théorie scientifique touchant une discipline particulière, il est bien davantage utile de connaître la démarche scientifique et le propre de la science que d’être un expert du domaine en question. Le propre de la science est le doute, la remise en question des connaissances acquises à la lumière de nouvelles données ou informations, par exemple suite à l’exploration de nouvelles voies ou à l’observation du réel sous un nouvel angle de vue ou selon une nouvelle perspective. Une théorie explicative de phénomènes observés ne peut être véritablement d’ordre scientifique que si elle est contestable par l’argumentation ou l’expérimentation dans le cadre de la démarche scientifique. Si a contrario elle se pose en vérité absolue ou définitive, alors elle ne relève pas de science, mais de superstition ou de croyances religieusement ou affectivement entretenues. À la lumière de nombreux faits et constats, nous allons tenter de montrer ici en quoi la théorie virale ne relève pas de science, mais de scientisme et de croyances erronées.

Lettre ouverte aux services de police de l’Ontario, relative à l’absence de preuves de l’existence du SRAS-CoV-2

Procédure de violation, de responsabilité et mise en demeure, avec des preuves vérifiées, et avec un groupe de pairs la présente à la « commission des services de police de Peterborough. Bref exposé des faits « COVID-19 », incluant des transgressions et des responsabilités :


L’interprétation erronée du virus — 2e partie

Début et fin de la crise corona, par le Dr Stefan Lanka. (…) Un des deux faits décisifs pour le SARS et la crise corona c’est qu’au moins 20 à 30 % de toutes les pneumonies sont atypiques. Les causes de la pneumonie atypique sont clairement connues et par conséquent on ne doit PAS affirmer qu’elles sont dues à un nouveau virus. Cette information est censurée par les infectiologues et virologues et est le fondement des peur et panique actuelles, parce que l’on crée l’impression chez ceux qui sont affectés, dans le public et chez les responsables politiques que la pneumonie atypique serait particulièrement dangereuse et souvent fatale (…)


La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».


Ebola : briser les mensonges et la supercherie

Nous sommes avertis, de temps en temps, qu’une nouvelle épidémie d’Ebola (ou de Marburg) pourrait se propager. C’est l’une de ces attractions à venir dans le théâtre qui montre un film de virus après l’autre. (…) La campagne massive pour faire croire que le virus Ebola peut attaquer à tout moment, après le moindre contact, est plutôt réussie. (…) Pour ne pas résoudre les problèmes du peuple, une histoire servant de couverture est nécessaire, une histoire qui disculpe la structure du pouvoir.

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La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2

Après les deux clous précédents enfoncés dans le cercueil de la théorie virale, dans cette troisième phase, le Dr Stefan Lanka montre qu’en appliquant la même technique que celle utilisée par les virologues, en utilisant les acides nucléiques qui ne proviennent pas de matériel supposé infectieux, mais de tissus humains, d’animaux et de plantes sains, vous pouvez construire le génome de n’importe quel « virus ». (Vidéo 8 min)


Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal

Après avoir étudié la biologie moléculaire au MIT, le Dr Kaufman a obtenu son diplôme de médecine à l’université de Caroline du Sud, puis s’est spécialisé en psychiatrie au centre médical de l’université de Duke. Des virus aux injections et aux médicaments, cette vidéo (> 1 h 20) aborde les hypothèses de base qui sous-tendent l’ensemble du récit sur le covid.


L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)


La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA

Et d’autres articles dans le dossier Vaccins et virus




Fauci et la grande arnaque du SIDA. Mise à jour

[Source : childrenshealthdefense.eu]

Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique

Extrait:

En tant que défenseur de la santé publique, d’une science solide et d’autorités régulatrices indépendantes, libres de toute corruption et de tout lien financier avec l’industrie pharmaceutique, j’ai combattu le Dr Fauci pendant de nombreuses années. Je le connais personnellement, et l’impression que j’ai de lui est très différente de celle qu’ont mes collègues démocrates, qui l’ont d’abord connu comme la star des conférences de presse COVID télévisées de la Maison Blanche ; poli, humble, sérieux, attachant et endurant la critique sans broncher. Le Dr Fauci a joué un rôle historique en tant qu’architecte principal de la «capture des agences» – la prise de contrôle des agences de santé publique américaines par l’industrie pharmaceutique.

Hélas, l’incapacité du Dr Fauci à atteindre les objectifs de santé publique pendant la pandémie de COVID n’est pas surprenante. Elle découle d’un schéma trop classique dans lequel la santé et la sécurité publiques sont sacrifiées sur l’autel des profits pharmaceutiques et de l’intérêt personnel. Il a toujours fait primer les profits de l’industrie pharmaceutique sur la santé publique. Les lecteurs de ces pages apprendront comment, en exaltant la médecine brevetée, le Dr Fauci a, toute sa longue carrière durant, régulièrement falsifié la science, trompé le peuple et les médecins, et menti sur les questions d’innocuité et d’efficacité. Cet ouvrage, qui détaille les malversations du Dr Fauci, inclut ses crimes contre les centaines d’orphelins et enfants placés, noirs et hispaniques, auxquels il a infligé des expériences médicales cruelles et mortelles. Il traite également de son rôle – avec Bill Gates – dans la transformation de centaines de milliers d’Africains en rats de laboratoire pour des essais cliniques à moindre coût de médicaments expérimentaux dangereux qui, une fois approuvés, restent financièrement hors de portée de la plupart des autochtones. Vous apprendrez comment le Dr Fauci et Gates ont transformé le continent Africain en un dépotoir de médicaments périmés, néfastes et inefficaces, dont beaucoup ont été abandonnés pour des raisons de sécurité aux États-Unis et en Europe.

Vous découvrirez comment l’étrange fascination du Dr Fauci pour les expériences dites de «gain de fonction», visant à créer des superbactéries pandémiques, ainsi que ses généreuses subventions en faveur de ces essais, rendent plausible l’éventualité ironique qu’il ait pu jouer un rôle dans le déclenchement de la pandémie mondiale – dont deux présidents américains lui ont confié la gestion. Vous découvrirez également la stratégie qu’il a appliquée pendant 20 ans pour promouvoir de fausses pandémies dans le but de promouvoir de nouveaux vaccins, de nouveaux médicaments et de faire plaisir aux entreprises pharmaceutiques. Vous découvrirez comment il a dissimulé une contamination généralisée du sang et des vaccins, ses vendettas destructrices contre les scientifiques remettant en question le paradigme pharmaceutique, son sabotage délibéré des remèdes brevetés contre les maladies infectieuses (du VIH à la COVID-19) afin de laisser la voie libre à des remèdes moins efficaces – mais plus rentables. Vous découvrirez le nombre sidérant de cadavres qui se sont accumulés dans son sillage, parce qu’il a de sang-froid accordé la priorité aux profits de Big Pharma au détriment de la santé publique. Toutes les stratégies qu’il a fait adopter contre la COVID (falsifier la science pour mettre sur le marché des médicaments dangereux et inefficaces, supprimer et saboter les traitements concurrents dont les marges bénéficiaires sont plus faibles – même si le prix à payer est de prolonger les pandémies et de perdre des milliers de vies) ont un dénominateur commun: la dévotion myope à Big Pharma. Ce livre vous montrera que Tony Fauci ne fait pas de la santé publique; c’est un homme d’affaires qui a utilisé sa fonction pour enrichir ses partenaires de l’industrie pharmaceutique et élargir sa sphère d’influence. Elle fait de lui le médecin le plus puissant – et le plus despotique – de l’histoire de l’humanité. Pour certains lecteurs, arriver à cette conclusion nécessitera de franchir de nouveaux ponts. Quant à ceux qui connaissent intuitivement le vrai visage d’Anthony Fauci, ils ont seulement besoin d’avoir sous les yeux les faits éclairés et organisés.

J’ai écrit ce livre pour que vous puissiez comprendre le rôle pernicieux du Dr Fauci, qui permet aux entreprises pharmaceutiques d’asservir notre gouvernement et de subvertir notre démocratie. Je l’ai aussi écrit pour relater le rôle clef joué par le Dr Fauci dans le coup d’État qui se joue actuellement contre la démocratie.

À lire sur The Defender :

L’éditeur de «The Real Anthony Fauci » met les critiques au défi de trouver des erreurs factuelles dans le livre et appelle à un débat ouvert

Tony Lyons est avocat et président et éditeur de Skyhorse Publishing, éditeur du nouveau best-seller de Robert F. Kennedy Jr. aux USA, intitulé « The Real Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique. » Vous trouverez ci-dessous la note de l’éditeur que Lyons a écrite et qui figure à la page xii de l’édition américaine.

« Les problèmes scientifiques et moraux complexes ne sont pas résolus par la censure des opinions dissidentes, la suppression du contenu de l’internet ou la diffamation des scientifiques et des auteurs qui présentent des informations contestant les pouvoirs en place. La censure conduit plutôt à une plus grande méfiance envers les institutions gouvernementales et les grandes entreprises. Il n’y a pas d’idéologie ou de politique à souligner l’évidence : les erreurs scientifiques et les erreurs de politique publique existent – et peuvent avoir des conséquences dévastatrices. Les erreurs peuvent résulter d’une analyse défectueuse, de la précipitation, de l’arrogance et parfois de la corruption. Quelle que soit la cause, les solutions proviennent d’une exploration ouverte, d’une introspection et d’un examen constant. Idéalement, la science et les politiques publiques ne sont jamais statiques. Ils sont un processus, une collaboration, un débat et un partenariat.

Si des puissants contestés par ce livre prétendent qu’il contient des informations erronées, notre réponse est simplement la suivante : Dites-nous où vous pensez que quelque chose est incorrect, présentez vos meilleurs arguments et offrez le meilleur soutien disponible pour ces arguments.

Nous encourageons et invitons le dialogue, la critique, l’engagement – et chaque suggestion sera entendue et prise en compte.

Disponible en pré-commande sur le site de l’éditeur ici.



Présentation du livre lors de la conférence de presse CHD Europe à Bruxelles le 23 janvier 2022. Avec Senta Depuydt, présidente de CHD Europe, Professeur Christian Perronne, ancien VP du Groupe consultatif européen d’experts en vaccination de l’OMS, et Marco Pietteur, directeur des éditions Marco Pietteur,


[Source : E&R]

Par Laurent Guyénot

Le tout nouveau livre de Robert F. Kennedy Jr., The Real Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, and the Global War on Democracy and Public Health [Le vrai Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma, et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique], n’est pas le livre d’un politicien qui cherche à attirer l’attention. C’est le livre d’un homme déterminé à mettre sa réputation, sa carrière et sa vie en jeu dans la lutte contre le bioterrorisme des gouvernements captifs de l’industrie pharmaceutique. Il appelle à l’insurrection de masse, et son dernier mot est : « On se retrouvera sur les barricades ! »

Le livre commence ainsi :

« J’ai écrit ce livre pour aider les Américains – et les citoyens du monde entier – à comprendre les fondements historiques du cataclysme affolant qui a commencé en 2020. Au cours de cette seule annus horribilis, la démocratie libérale s’est effectivement effondrée dans le monde entier. Les organismes gouvernementaux de santé publique, les patrons des réseaux sociaux et des médias d’information sur lesquels les populations idéalistes avaient cru voir les champions de la liberté, de la démocratie, des droits civils et des politiques publiques fondées sur des données fiables, ont fait collectivement volte-face pour s’attaquer directement à la liberté d’expression et aux libertés personnelles. Soudain, ces institutions qui nous inspiraient confiance ont agi de concert pour générer la peur, susciter l’obéissance, décourager la pensée critique et rassembler sept milliards de personnes dans une marche forcée vers une expérimentation de santé publique avec une nouvelle technologie mal testée et illégalement autorisée, une technologie si risquée que les fabricants ont refusé de la produire à moins que chaque gouvernement sur Terre ne les protège de toute responsabilité. […] Les objecteurs de conscience qui ont résisté à ces interventions médicales non sollicitées, expérimentales et à zéro responsabilité ont été déstabilisés, marginalisés et désignés comme boucs émissaires. Les vies et les moyens de subsistance des Américains ont été brisés par un éventail ahurissant de diktats draconiens imposés sans approbation législative et sans évaluation des risques. Sous le prétexte d’un état d’urgence, on a fermé nos entreprises, nos écoles et nos églises, on a fait des intrusions sans précédent dans la vie privée, et on a bouleversé nos relations sociales et familiales les plus précieuses. »

Kennedy n’est pas un nouveau venu dans cette effrayante dystopie. « Mes 40 ans de carrière en tant que défenseur de l’environnement et de la santé publique, écrit-il, m’ont donné une compréhension unique des mécanismes de corruption de la “capture réglementaire” (ou “captation de la réglementation”, le processus par lequel le régulateur devient redevable à l’industrie qu’il est censé réguler). » À partir du moment où il est entré dans le débat sur les vaccins en 2005, Kennedy s’est rendu compte que « le réseau profond d’enchevêtrements financiers entre Pharma et les agences de santé gouvernementales avait mis la capture réglementaire sous stéroïdes ». Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), par exemple, possèdent 57 brevets de vaccins et ont dépensé 4,9 milliards de dollars en 2019 pour acheter et distribuer des vaccins. La Food and Drug Administration (FDA) reçoit 45 % de son budget de l’industrie pharmaceutique. Les National Institutes of Health (NIH), avec leur budget de 42 milliards de dollars, possèdent des centaines de brevets de vaccins et profitent souvent de la vente de produits qu’ils sont censés réglementer. Les hauts fonctionnaires de ces agences reçoivent des émoluments annuels pouvant aller jusqu’à 150 000 dollars en redevances sur les produits qu’ils aident à développer puis à faire approuver.

Le Dr Anthony Fauci se tient au sommet de ce Léviathan. Depuis 1968, il a occupé divers postes au National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), un département clé du NIH dont il est devenu directeur en 1984. Avec un salaire annuel de 417 608 dollars, il est le mieux payé de tous les employés fédéraux, y compris le président des États-Unis. Au cours de son expérience de 50 ans en tant qu’administrateur d’une bureaucratie fédérale, il a conseillé six présidents, le Pentagone, des agences de renseignement, des gouvernements étrangers et l’OMS. Il entretient un réseau complexe d’enchevêtrements financiers qui a transformé le NIH en une filiale de Big Pharma. Puisant dans les poches profondes des fondations Clinton et Gates, il a utilisé son budget annuel de 6 milliards de dollars pour dominer et contrôler de nombreuses agences, dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Il peut faire et défaire des carrières, enrichir ou punir les centres de recherche universitaires, et dicter les résultats de la recherche scientifique à travers le monde, en donnant systématiquement la priorité aux bénéfices de l’industrie pharmaceutique sur la santé publique.

Le livre de Kennedy documente la stratégie systématique de Fauci de « promouvoir de fausses pandémies afin de promouvoir de nouveaux vaccins », ainsi que sa dissimulation des catastrophes sanitaires qu’il a provoquées, ses vendettas destructrices contre les savants qui défient le paradigme pharmaceutique, et son ​​sabotage délibéré des remèdes dont les brevets ont expiré.

Mais le livre de Kennedy n’est pas la biographie d’un homme : c’est un réquisitoire contre un système irrémédiablement corrompu et prédateur, créé aux États-Unis et exporté dans le monde entier. En fin de compte, cependant, le système est fabriqué et géré par des humains, et se concentrer sur son représentant le plus emblématique permet de mieux voir en transparence l’âme qui anime cet organisme, ou plutôt cette machine infernale.

Le livre de Kennedy place la crise actuelle dans une perspective historique. Mais il ne raconte pas l’histoire chronologiquement. Il débute par un très long premier chapitre sur la gestion de la pandémie du Covid-19, puis remonte, à partir du chapitre 3, aux années 1980 et à la recherche du vaccin contre le sida, qui a été le tremplin pour le coup d’État pharmaceutique qui se déroule sous nos yeux. Dans cette recension, je me concentrerai sur l’épisode du sida, car c’est la partie la moins familière d’une histoire couvrant cinquante ans, et elle aide à donner un sens à ce qu’il se passe aujourd’hui. C’est une histoire incroyable, que j’aurais eu du mal à croire il y a à peine trois ans, mais que notre asservissement actuel rend désormais très crédible.

Kennedy mérite notre gratitude pour l’énergie et le courage qu’il met à faire éclater cette histoire au grand jour, dans un exposé clair et bien documenté. Son livre, déjà un best-seller malgré le silence prévisible de la critique (Kennedy est déjà banni de presque tous les réseaux sociaux) est destiné à devenir un jalon dans la lutte pour la Vie et la Vérité, et dans la saga héroïque des Kennedy. Le présent article ne reflète qu’une fraction de ce que l’on peut apprendre de ses 480 pages remplies de données et de références.

Au commencement

Dans les premières lignes de son livre de 2014, Thimerosal : Let the Science Speak (qui a contribuer à faire connaître le lien de cause à effet entre les vaccins contre l’hépatite B et l’explosion de l’autisme aux États-Unis), Kennedy affirmait prudemment être « pro-vaccin » et « croire que les vaccins ont sauvé la vie de centaines de millions d’humains au cours du siècle dernier. » Il ne répète pas cela dans son nouveau livre. Au contraire, il se range du côté des critiques du dogme, citant une étude réalisée en 2000 par les scientifiques du CDC et de Johns Hopkins qui a conclu : « près de 90 % de la baisse de la mortalité par infection chez les enfants américains s’est produite avant 1940, lorsque peu d’antibiotiques ou de vaccins étaient disponibles. » Les principales causes de la baisse spectaculaire de 74 % de la mortalité due aux maladies infectieuses au cours de la première moitié du XXe siècle ont été l’amélioration de l’alimentation et l’assainissement des conditions de vie, à commencer par l’eau.

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Date d’introduction du vaccin (quand il existe) et baisse de la mortalité de six maladies
De gauche à droite et de haut en bas : rougeole, coqueluche, grippe, tuberculose, scarlatine, poliomyélite

Cette perspective révisionniste mais parfaitement objective explique pourquoi l’obsession de Fauci et Gates pour la vaccination a eu des impacts globaux négatifs sur la santé publique en Afrique et en Asie, en réduisant proportionnellement les flux d’aide pour l’alimentation, l’eau potable, les transports, l’hygiène et le développement économique. Gates et Fauci ont en fait détourné le programme de santé publique de l’OMS des projets qui ont fait leurs preuves pour lutter contre les maladies infectieuses.

Pour comprendre cet engouement pour les vaccins, Kennedy rappelle l’influence pionnière de la fondation Rockefeller. En 1911, après que la Cour suprême a statué que Standard Oil constituait un « monopole déraisonnable » et l’a divisé en trente-quatre sociétés, John D. Rockefeller a inauguré ce que Bill Gates appellera plus tard le « philanthro-capitalisme ». Il a accordé d’importantes subventions pour la synthèse et le brevetage de molécules chimiques. La fondation a fourni près de la moitié du budget initial de l’Organisation de la santé de la Société des Nations en 1922, et de son personnel. Elle a imprégné la Ligue de sa philosophie médicale technocratique, dont héritera l’OMS en 1948.

La fondation Rockefeller lança un « partenariat public-privé » appelé l’International Health Commission, qui commença par inoculer les populations des tropiques avec un vaccin contre la fièvre jaune. Au moment où John D. Rockefeller Jr. l’a dissoute en 1951, la Commission avait dépensé des milliards de dollars pour des campagnes contre les maladies tropicales dans près de 100 pays et colonies. Ces projets avaient un agenda caché, selon un rapport de 2017, U.S. Philanthrocapitalism and the Global Health Agenda : ils permirent à la famille Rockefeller d’ouvrir les marchés du monde émergeant pour le pétrole, l’exploitation minière, la banque et d’autres commerces rentables.

Dans les années 1970, le potentiel financier des produits pharmaceutiques eux-mêmes a explosé lorsque,

« une vague de nouvelles technologies, y compris les tests PCR et les microscopes électroniques super puissants, ouvrirent des fenêtres sur de nouveaux mondes grouillants contenant des millions d’espèces de virus auparavant inconnus des scientifiques. […] L’attrait de la gloire et de la fortune déclencha une révolution chaotique en virologie, tandis que de jeunes docteurs ambitieux s’efforçaient d’inculper les microbes nouvellement découverts comme étant la cause d’anciennes maladies. […] Sous cette nouvelle rubrique, chaque percée théorique, chaque découverte devenait potentiellement la base d’une nouvelle génération de médicaments. »

Au milieu des années 1970, le CDC cherchait à justifier son existence en traquant les clusters de rage. Entretenir la peur d’une pandémie était un moyen naturel pour les bureaucrates du NIAID et du CDC de justifier la pertinence de leurs agences. Le patron immédiat du Dr Fauci et son prédécesseur en tant que directeur du NIAID, Richard M. Krause, aida à lancer cette nouvelle stratégie en 1976. Cette année-là a été concoctée la fausse épidémie de grippe porcine. Le vaccin expérimental posait tant de problèmes que les Health and Human Services (HHS) l’ont retiré après avoir vacciné 49 millions d’Américains. Selon les articles de presse, l’incidence de la grippe était sept fois plus élevée chez les vaccinés que chez les non-vaccinés. De plus, le vaccin a causé quelque 500 cas de maladie nerveuse dégénérative du syndrome de Guillain-Barré, 32 décès, plus de 400 paralysies et jusqu’à 4 000 autres effets indésirables. Les victimes ont déposé 1 604 plaintes. En avril 1985, le gouvernement avait versé 83 233 714 dollars et dépensé des dizaines de millions de dollars pour traiter et résoudre ces plaintes.

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Le président Ford montre l’exemple le 14 octobre 1976

Un autre scandale éclata en 1983, lorsqu’une étude de l’UCLA financée par le NIH révéla que le vaccin DTP développé par Wyeth – maintenant Pfizer – tuait ou causait de graves lésions cérébrales, et parfois la mort, chez un enfant vacciné sur 300. Tout en protégeant les enfants contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche, le vaccin DTC ruinait leur système immunitaire, les rendant vulnérables à un large éventail d’autres infections mortelles.

Les poursuites qui en ont résulté ont provoqué l’effondrement des marchés de l’assurance pour les vaccins et ont menacé de mettre l’industrie en faillite. Wyeth se plaignait de perdre 20 dollars en dommages et intérêts pour chaque dollar gagné sur les ventes de vaccins, et incita le Congrès à adopter en 1986 la National Childhood Vaccine Injury Act, qui protégeait les fabricants de vaccins de toute responsabilité légale. Cette incitation à la cupidité sans restriction sera renforcée en 2005 par une nouvelle loi signée par George W. Bush, le Public Readiness and Emergency Preparedness Act.

Le sida et l’AZT

En 1984, lorsque Fauci devin directeur du NIAID, la crise du sida (Syndrome d’immunodéficience acquise) devenait incontrôlable. Ce fut la rampe de lancement pour l’ascension du Dr Fauci. Lors d’une conférence de presse en avril 1984, le scientifique du NIH Robert Gallo établit le lien entre le sida et le virus qui allait bientôt être nommé VIH (virus de l’immunodéficience humaine). Le Dr Fauci s’empressa de revendiquer la compétence de son agence, contre le National Cancer Institute (NCI), une autre antenne du NIH. Fauci devint le nouveau tsar du sida, et prit le contrôle de presque toute la recherche consacrée à ce nouveau fléau. Imitant la promesse incantatoire du NCI de bientôt guérir le cancer, le Dr Fauci promit au Congrès qu’il produirait rapidement des médicaments et des vaccins pour éradiquer le sida.

Dans le même temps, il répandait la terreur de la contagion, avertissant dans un article alarmiste de 1983 que « l’étendue du syndrome peut être énorme », car « les contacts anodins, comme au sein d’un foyer familial, peuvent propager la maladie » – malgré le fait que le sida était presque exclusif aux utilisateurs de drogues intraveineuses et aux homosexuels masculins amateurs de poppers (vasodilatateur à base de nitrite d’amyle procurant une relaxation de la musculature anale). Un an plus tard, Fauci fut contraint d’admettre que les responsables de la santé n’avaient jamais détecté de cas de sida propagé par « contact anodin ». Néanmoins, le Dr Fauci continua de générer la panique, ce qui augmentait automatiquement son prestige et son pouvoir. L’amplification de la terreur des maladies infectieuses était déjà une réponse institutionnelle instinctive enracinée au NIAID.

Ayant pris le contrôle de la recherche sur le sida, Fauci capta l’essentiel du flot des crédits voté par le Congrès pour le sida, proportionnel au lobbying d’une communauté gay nouvellement organisée. En 1990, le budget annuel de lutte contre le sida du NIAID atteignait 3 milliards de dollars. Au cours des décennies qui ont suivi, le gouvernement fédéral dépensa plus d’un demi-milliard de dollars dans la recherche d’un vaccin qui ne s’est jamais matérialisé. Le Dr Fauci a injecté l’argent des contribuables dans près de 100 candidats vaccins, sans autre résultat que des transferts massifs d’argent public à ses partenaires pharmaceutiques, et des rivières de larmes pour des millions de malheureux cobayes humains. Le manque de capacité interne de développement de médicaments du NIAID signifiait que Fauci devait confier la recherche à un réseau de soi-disant « investigateurs principaux » (IP), des médecins et chercheurs universitaires contrôlés par des sociétés pharmaceutiques et agissant en tant que liaisons, recruteurs et porte-parole.

« Les IP sont des agents de l’industrie pharmaceutique qui jouent un rôle clé dans la promotion du paradigme pharmaceutique et fonctionnent comme les grands prêtres de toutes ses orthodoxies, pour lesquelles ils font du prosélytisme avec un zèle missionnaire. Ils utilisent leurs sièges dans les conseils médicaux et les présidences de départements universitaires pour propager le dogme et éradiquer l’hérésie. […] Ce sont les experts médicaux accrédités et choyés qui pronostiquent sur les chaînes de télévision – désormais dépendantes des revenus publicitaires pharmaceutiques – pour diffuser le message de Big Pharma. »

En choisissant de sous-traiter aux IP le développement de médicaments, Fauci abdiquait le mandat qui avait été donné au NIAID de trouver la source des épidémies de maladies allergiques et auto-immunes qui avait explosé sous sa surveillance vers 1989. Les crédits du NIAID sont devenus une subvention géante à l’industrie pharmaceutique, qui ne s’intéressait évidemment qu’au traitement des symptômes de ces maladies, et non à la suppression de leurs causes. À la fin des années 80 et au début des années 90, les IP recevaient chaque année entre 4 et 5 milliards de dollars du budget du NIH. Mais les « pots-de-vin légalisés » des sociétés pharmaceutiques et les paiements de redevances sur les produits pharmaceutiques éclipsaient leur financement gouvernemental.

Malgré ses piètres résultats en matière de réduction des maladies au cours de la décennie précédente, Fauci persuada le président Bill Clinton, en mai 1997, de fixer un nouvel objectif national pour la science. Dans un discours prononcé à la Morgan State University, Clinton imita – peut-être non sans une ironie d’initié – la promesse faite par Kennedy en 1961 d’aller sur la Lune, et déclara : « Aujourd’hui, engageons-nous à développer un vaccin contre le sida au cours de la prochaine décennie. »

Un an plus tard, Bill Gates, qui venait de fonder son International Aids Vaccine Initiative (IAVI), conclut un accord avec Fauci. « Au cours des deux décennies qui suivirent, ce partenariat se métastaserait pour inclure des sociétés pharmaceutiques, des agences militaires et du renseignement et des agences de santé internationales, collaborant toutes pour promouvoir des vaccins militarisés et une nouvelle sorte d’impérialisme d’entreprise enracinée dans l’idéologie de la biosécurité. » L’histoire de l’implication de Gates dans le secteur des vaccins, de ses expériences meurtrières en Afrique et en Inde, et de son ascension en tant que principal sponsor officieux de l’OMS (ordonnant en 2011 : « Tous les 193 États membres, vous devez faire des vaccins un point central de vos systèmes de santé. »), est racontée dans les chapitres 9 et 10 du livre de Kennedy.

Lorsque le Dr Fauci devin directeur du NIAID, l’azidothymidine, connue sous le nom d’AZT, était le seul candidat à titre de remède contre le sida. L’AZT est un « terminateur de chaîne d’ADN », détruisant au hasard la synthèse d’ADN dans les cellules en reproduction. Il avait été développé en 1964 pour le cancer, mais abandonné car trop toxique même pour une thérapie courte. Il était jugé si mauvais qu’il n’avait même pas été breveté. Mais en 1985, Samuel Broder, directeur du National Cancer Institute (NCI), affirma avoir découvert que l’AZT tuait le VIH dans des éprouvettes. La société britannique Burroughs Wellcome l’a alors breveté comme remède contre le sida. « Reconnaissant une opportunité financière dans le désespoir des jeunes patients atteints du SIDA face à une mort certaine, la société pharmaceutique fixa le prix jusqu’à 10 000 dollars par an et par patient, faisant de l’AZT l’un des médicaments les plus chers de l’histoire pharmaceutique. Étant donné que Burroughs Wellcome pouvait fabriquer de l’AZT pour quelques centimes par dose, la société anticipait une fortune. »

Fauci donna à Burroughs Wellcome un contrôle monopolistique sur la riposte du gouvernement au VIH. Mais tout ne s’est pas bien passé. « L’horrible toxicité de l’AZT entrava les efforts des chercheurs pour concevoir des protocoles d’étude qui le feraient paraître sûr ou efficace. » Un autre problème est que les médecins de proximité obtenaient des résultats prometteurs avec des médicaments thérapeutiques bon marché et hors brevet. Le Dr Fauci refusa de tester ces médicaments qui n’avaient pas de sponsors pharmaceutiques. Lorsqu’il mit néanmoins à l’essai le AL721, un antiviral bien moins toxique que l’AZT, il s’efforça de faire échouer les études et, n’y parvenant pas, annula brusquement la phase 2.

Pendant ce temps, il accéléra les tests d’AZT, sautant la phase d’essais sur des animaux et permettant à Burroughs Wellcome de passer directement aux essais sur les humains. En mars 1987, l’équipe de Fauci déclara que les essais humains étaient un succès après seulement quatre mois, et Fauci s’en félicita devant la presse. Cependant, lorsqu’en juillet 1987, le rapport officiel de l’essai de phase 2 de Burroughs Wellcome fut publié, des scientifiques européens se plaignirent que les données brutes ne montraient aucun avantage dans la réduction des symptômes. La FDA mena sa propre enquête dix-huit mois plus tard, mais garda ses résultats secrets, jusqu’à ce que le journaliste d’investigation John Lauritsen en obtienne certains au moyen du Freedom of Information Act ; les documents montrent que les équipes de recherche Fauci/Burroughs Wellcome s’étaient livrées à une falsification généralisée des données. Plus de la moitié des patients sous AZT subissaient des effets indésirables si mortels qu’ils avaient besoin de plusieurs transfusions sanguines pour simplement rester en vie. Néanmoins, Fauci continuait son ascension par le mensonge, avec le silence complaisant des grands médias (tout cela est dans le livre de Lauritsen, Poison by Prescription : The AZT Story).

L’AZT n’était pas le seul sujet d’intérêt pour Fauci. En juin 2003, le NIH menait 10 906 essais cliniques sur de nouvelles préparations antivirales dans 90 pays. Certains de ces essais semblaient sortis des pires cauchemars de Dickens. L’Alliance for Human Research Protection (AHRP), une organisation de surveillance de l’industrie médicale, a révélé qu’entre 1985 et 2005, le NIAID avait enrôlé au moins 532 enfants de familles d’accueil à New York en tant que sujets d’essais cliniques testant des médicaments et des vaccins expérimentaux contre le sida. Nombre de ces enfants étaient en parfaite santé et n’étaient peut-être même pas infectés par le VIH. Pourtant, 80 d’entre eux moururent. En 2004, le journaliste Liam Scheff a relaté les expériences secrètes du Dr Fauci sur des enfants en famille d’accueil à l’Incarnation Children’s Center (ICC) à New York et dans certaines installations sœurs entre 1988 et 2002. Ces révélations, commente Kennedy, soulèvent de nombreuses questions :

« De quel désert moral les monstres qui ont conçu et toléré ces expériences sont-ils descendus sur notre pays idéaliste ? Comment en sont-ils arrivés dernièrement à exercer un tel pouvoir tyrannique sur nos citoyens ? Quelle sorte de nation sommes-nous si nous leur permettons de continuer ? Surtout, n’est-il pas logique que l’esprit malveillant, l’éthique élastique, le jugement épouvantable, l’arrogance et la sauvagerie qui ont sanctionné cette brutalité barbare sur des enfants à l’Incarnation Children’s Center, et la torture d’animaux pour le profit de l’industrie, puissent également concocter une justification morale pour supprimer les remèdes salvateurs et prolonger une épidémie mortelle ? Se peut-il que ces mêmes alchimistes noirs aient développé une stratégie consistant à donner la priorité à leur projet de vaccin de 48 milliards de dollars sur la santé publique et la vie humaine ? »

L’Afrique est une terre promise pour les groupes pharmaceutiques à la recherche de gouvernements coopératifs et de populations illettrées. Les coûts pour des essais y sont très bas, et la surveillance des médias est plutôt laxiste. Au début des années 1990, certains dictateurs africains ont déroulé le tapis rouge pour Big Pharma. Et le 29 janvier 2003, le président George W. Bush a annoncé lors de son discours sur l’état de l’Union son Plan d’urgence pour la lutte contre le sida (PEPFAR), demandant au Congrès « d’engager 15 milliards de dollars au cours des cinq prochaines années, dont près de 10 milliards de dollars d’argent frais, pour renverser la tendance contre le sida dans les pays les plus touchés d’Afrique et des Caraïbes. »

Le VIH cause-t-il le sida ?

Kennedy commence son chapitre 5, « The HIV Heresies », par cette note :

« J’ai hésité à inclure ce chapitre parce que toute remise en question de l’orthodoxie selon laquelle le VIH est la seule cause du sida reste une hérésie impardonnable, voire dangereuse, face au cartel médical régnant et à ses alliés médiatiques. Mais on ne peut pas écrire un livre complet sur Tony Fauci sans aborder la controverse scientifique interminable – et fascinante – sur ce qu’il qualifie de sa “plus grande réussite” et “l’œuvre de sa vie”. »

La controverse illustre comment les industries pharmaceutiques et les agences de santé, agissant de concert, forgent un consensus sur des théories incomplètes ou frauduleuses et répriment impitoyablement la dissidence même lorsqu’elle vient de savants mondialement reconnus. « Dès le départ, insiste Kennedy, je tiens à préciser que je ne prends aucune position sur la relation entre le VIH et le sida. » Cependant, il affirme :

« Au cours des trente-six ans depuis que le Dr Fauci et son collègue, le Dr Robert Gallo, ont affirmé pour la première fois que le VIH est la seule cause du sida, personne n’a été en mesure de citer une seule étude qui démontre leur hypothèse par des preuves scientifiques valides. […] Même aujourd’hui, l’incohérence, les lacunes dans les connaissances, et les contradictions continuent de jeter le doute sur le dogme officiel. »

La façon dont s’est imposé le dogme du VIH-sida illustre « les tactiques que le Dr Fauci a mises au point pour esquiver le débat, éblouir et embobiner la presse pour qu’elle évite toute enquête sur le credo, et dénigrer, intimider, punir, marginaliser et museler les critiques. » L’une des victimes de Fauci a été le Dr Peter Duesberg, qui en 1987 était encore reconnu comme le rétrovirologue le plus accompli au monde. Duesberg soutient que le VIH ne cause pas le sida, mais est essentiellement un « passager clandestin » commun aux populations à haut risque qui souffrent de suppression immunitaire en raison d’expositions environnementales. Le VIH, dit-il, est un virus passager inoffensif qui a presque certainement coexisté chez l’homme pendant des milliers de générations sans causer de maladie. Alors que le VIH peut être sexuellement transmissible, prétend Duesberg, le sida ne l’est pas.

Duesberg a publié ses opinions dans un article retentissant de 1987, puis dans un livre de 724 pages, L’Invention du virus du SIDA. Kennedy trouve les raisonnements de Duesberg « si clairs, si élégamment conçus et si convaincants qu’en les lisant, il semble impossible que l’ensemble de l’hypothèse orthodoxe ne s’effondre instantanément sous le poids étouffant d’une logique implacable. » Mais Fauci et Gallo n’ont jamais tenté de répondre à Duesberg. Blâmer le sida sur un virus était le pari qui avait permis au NIAID de s’approprier la responsabilité et les crédits pour la recherche sur le sida, auxquels auraient pu prétendre autrement le NCI, et Duesberg fut sévèrement puni pour avoir mis ce plan en danger.

« Le Dr Fauci a convoqué l’ensemble du haut clergé de son orthodoxie du VIH – ainsi que tous ses prêtres et même les enfants de chœur – pour déclencher une tempête de représailles féroces contre le virologue et ses partisans. […] L’establishment du sida, jusqu’à son plus humble médecin, a publiquement vilipendé Duesberg, le NIH lui a supprimé ses crédits, et le monde universitaire a ostracisé et exilé ce brillant professeur de Berkeley. La presse scientifique l’a pratiquement banni. Il est devenu radioactif. »

Étonnamment, cependant, le Dr Luc Montagnier, dont Gallo avait volé la découverte du VIH – comme il le reconnut en 1991 après des années de –, s’est rallié à la thèse de Duesberg, déclarant à la Conférence internationale sur le sida de San Francisco en juin 1990, que « le virus VIH est inoffensif et passif, un virus bénin. » Il a ajouté que, selon ses découvertes, le VIH ne devient dangereux qu’en présence d’un d’une bactérie de type mycoplasme. Montagnier, d’ailleurs, n’avait jamais prétendu que le VIH était le seul facteur du sida, et devint de plus en plus sceptique à l’égard de cette théorie. Sa remise en cause répétée du paradigme fétiche de l’establishment a marqué le début d’une campagne de dénigrement, dont son prix Nobel de médecine reçu en 2008 l’a néanmoins relativement protégé.

La « preuve » de Gallo que la cause du sida était un virus, par opposition à des expositions toxiques, avait fourni à Fauci la pierre angulaire de la carrière, lui permettant de prendre les commandes de la politique de lutte contre le sida, et de faire du NIAID le principal partenaire fédéral de l’industrie de la production de médicaments. Cela explique pourquoi Fauci n’a jamais financé aucune étude pour déterminer si le VIH causait réellement le sida et prit des mesures préventives vigoureuses contre toute étude de ce type.

Kennedy cite d’autres voix dissidentes sur l’épidémiologie du sida. Le Dr Shyh-Ching Lo, chercheur en chef chargé des programmes de lutte contre le sida pour l’Institut de pathologie des forces armées (Armed Forces Institute of Pathology), était choqué par l’affirmation d’Anthony Fauci selon laquelle les anticorps, qui normalement indiquent une réponse immunitaire robuste, devraient, avec le VIH, être le signal d’une mort imminente. Puisque les « tests VIH » ne détectent pas en réalité le virus insaisissable mais seulement les anticorps qui sont censés le combattre, n’a-t-on pas ici une inversion orwellienne, où la preuve de santé devient preuve de maladie ? Kennedy cite également le Dr David Rasnick, un biochimiste qui a travaillé pendant trente ans dans le domaine de la biotechnologie pharmaceutique :

« La confusion fondamentale de Fauci est qu’il a dit à tout le monde de diagnostiquer le sida sur la base de la présence d’anticorps anti-VIH. Avec toutes les autres maladies, la présence d’anticorps est le signal que le patient a vaincu la maladie. Avec le sida, Fauci et Gallo, et maintenant Gates, prétendent que c’est le signe que vous êtes sur le point de mourir. Réfléchissez : si l’objectif d’un vaccin contre le sida est de stimuler la production d’anticorps, alors le succès du vaccin signifierait que chaque personne vaccinée se retrouverait nécessairement avec un diagnostic de sida. C’est un sujet de comédie. Autant donner aux Pieds nickelés un budget annuel d’un milliard de dollars ! »

La nature du sida est elle-même sujette à questions, puisqu’il a été défini comme un « syndrome » englobant une galaxie d’une trentaine de maladies distinctes bien connues, qui surviennent toutes chez des individus qui n’ont pas d’infection VIH. « Entre les mains des IP opportunistes du Dr Fauci, le sida est devenu une maladie amorphe sujette à des définitions en constante évolution, englobant une multitude de maladies anciennes chez des hôtes dont le test de dépistage du VIH est positif. » Le lauréat du prix Nobel Kary Mullis, l’inventeur des tests PCR, a souligné que ces tests étaient capables de trouver des signaux VIH dans de larges segments de la population qui ne souffraient pas de symptômes du sida. D’un autre côté, le sida peut survenir chez les personnes dont le test de dépistage du VIH est négatif, comme Geoffrey Cowley l’a documenté dans un article de Newsweek de 1992, suivi de Steve Heimoff dans le Los Angeles Times. Les tests étaient d’ailleurs si relatifs et arbitraires que vous pouviez ne plus être infecté par le VIH en traversant simplement la frontière des USA vers le Canada, par exemple.

Ces incohérences n’étaient pas un problème pour Fauci et son armée de mercenaires pharmaceutiques. Bien au contraire : elles ont ouvert la manne africaine du sida. Des chercheurs financés par Fauci, utilisant des tests PCR et des modèles statistiques obscurs, ont déclaré que jusqu’à 30 millions d’Africains souffraient du SIDA, soit près de la moitié de la population adulte dans certains pays. Alors que dans les pays occidentaux, le sida continuait d’être une maladie de toxicomanes et de consommateurs de poppers adeptes de la sodomie (signalons que ces poppers étaient brevetés par Burroughs Wellcome qui en faisait la publicité dans la presse gay), mystérieusement, en Afrique, 59 % des cas de sida étaient des femmes et 85 % étaient des hétérosexuels. S’agissait-il vraiment de la même chose ? Et d’ailleurs, on nous annonçait une hécatombe qui ne s’est jamais manifestée, la population africaine continuant d’augmenter exponentiellement.

Parallèlement, en Occident, le caractère du sida a radicalement changé au début des années 90 avec la mise sur le marché de l’AZT. Lorsqu’ils ont commencé à administrer de l’AZT à des personnes qui n’étaient même pas malades mais simplement positives au test de dépistage du VIH, le sida s’est mis à ressembler de plus en plus à un empoisonnement à l’AZT. Et le taux de mortalité a grimpé en flèche. Selon les Duesbergiens, la grande majorité des « décès dus au sida » après 1987 étaient en fait dus à l’AZT. Il semblerait que le médicament prescrit par le Dr Fauci pour traiter les patients atteints du sida faisait en réalité ce que le virus ne pouvait pas faire : il causait le sida lui-même. En 1988, la durée de survie moyenne des patients sous AZT était de quatre mois. En 1997, reconnaissant l’effet mortel de l’AZT, les responsables de la santé ont réduit la dose de prescription ; la durée de vie moyenne des patients sous AZT est alors passée à vingt-quatre mois. Selon le Dr Claus Köhnlein, un oncologue allemand, « nous avons pratiquement tué toute une génération de patients atteints du sida sans même le remarquer car les symptômes de l’intoxication à l’AZT étaient presque impossibles à distinguer du SIDA ».

Conclusion

En juillet 2019, le Dr Fauci a fait une annonce surprise : il disposait enfin d’un vaccin fonctionnel contre le VIH. C’était potentiellement le « clou dans le cercueil » de l’épidémie. Il admit que son nouveau vaccin n’empêchait pas la transmission du sida, mais prédit que ceux qui recevraient le vaccin découvriraient que lorsqu’ils contracteraient le sida, les symptômes seraient considérablement réduits. Kennedy commente :

« Le Dr Fauci était si confiant dans la crédulité servile des médias qu’il supposa, à juste titre, qu’il n’aurait jamais besoin de répondre aux nombreuses questions soulevées par ce charabia fiévreux. Toute cette proposition étrange n’a reçu aucun commentaire critique dans la presse. La réussite de son stratagème consistant à mettre du rouge à lèvres sur son âne pour le vendre en tant que pur-sang l’a sans doute enhardi dans sa ruse, un an plus tard, à faire passer pour un vaccin contre le covid un produit qui n’empêche ni la maladie ni sa transmission. »

En 2019, la corde du sida a commencé à s’user. Qui se souciait encore du sida de toute façon ? La « pandémie de Covid-19 » s’est présentée comme l’occasion idéale pour une mise à jour (un reset) du racket pharmaceutique. Comme l’a dit un jour Winston Churchill : « Ne laissez jamais une bonne crise se perdre. » Grace à la complicité des médias occultant les antécédents scandaleux de sa mafia en blouse blanche, Fauci a réussi à se présenter, encore une fois, comme le sauveur.

« Est-il juste de blâmer le Dr Fauci pour une crise qui, bien sûr, a de nombreux auteurs ? » demande Kennedy. Oui, dans une certaine mesure.

« Sous la direction du Dr Fauci, les maladies allergiques, auto-immunes et chroniques que le Congrès a spécifiquement chargé le NIAID de prévenir, se sont multipliées pour affliger 54 % des enfants, contre 12,8 % lorsqu’il a pris le contrôle du NIAID en 1984. Le Dr Fauci n’a donné aucune explication quant aux raisons pour lesquelles les maladies allergiques comme l’asthme, l’eczéma, les allergies alimentaires, la rhinite allergique et l’anaphylaxie ont soudainement explosé à partir de 1989, cinq ans après son arrivée au pouvoir. Sur son site Web, le NIAID se vante que les maladies auto-immunes sont l’une des priorités de l’agence. Quelque 80 maladies auto-immunes, dont le diabète juvénile et la polyarthrite rhumatoïde, la maladie de Graves et la maladie de Crohn, qui étaient pratiquement inconnues avant 1984, sont soudainement devenues épidémiques sous sa surveillance. L’autisme, que de nombreux scientifiques considèrent désormais comme une maladie auto-immune, est passé de 2/10 000 à 4/10 000 Américains lorsque Tony Fauci a rejoint le NIAID, à un sur trente-quatre aujourd’hui. Les maladies neurologiques comme le TDA/H, les troubles de la parole et du sommeil, la narcolepsie, les tics faciaux et le syndrome de la Tourette sont devenues monnaie courante chez les enfants américains. Les coûts humains, sanitaires et économiques des maladies chroniques éclipsent les coûts de toutes les maladies infectieuses aux États-Unis. À la fin de cette décennie, l’obésité, le diabète et le prédiabète sont en passe d’affaiblir 85 % des citoyens américains. L’Amérique fait partie des dix pays les plus obèses de la planète. Les impacts sanitaires de ces épidémies, qui frappent principalement les jeunes, éclipsent même les impacts sanitaires les plus exagérés du Covid-19. »

Le Dr Fauci n’a rien fait pour honorer l’obligation fondamentale du NIAID de rechercher les causes des maladies allergiques et auto-immunes chroniques qui se sont multipliées sous son mandat. Au lieu de cela, Fauci a « transformé le NIAID en le principal incubateur de nouveaux produits pharmaceutiques, dont beaucoup, ironiquement, profitent de la pandémie de maladies chroniques en cascade ». Au lieu de rechercher les causes de la santé défaillante des Américains, le Dr Fauci consacre la majeure partie de son budget de 6 milliards de dollars à la recherche et au développement de nouveaux médicaments et vaccins qui sont en grande partie responsables de l’affaiblissement de leur immunité naturelle. « Ces derniers temps, il a joué un rôle central dans la sape de la santé publique et la subversion de la démocratie et de la gouvernance constitutionnelle dans le monde, et dans la transition de notre gouvernance civile vers le totalitarisme médical. »

Cela me fait penser au Dr Knock, personnage central du célèbre roman de Jules Romains, Knock ou le triomphe de la médecine, écrit en 1923. Le Dr Knock est un médecin louche d’origine douteuse qui professe que la « santé » est un concept obsolète et non scientifique, et que tout homme en bonne santé est un malade qui s’ignore. Pour convertir toute une ville en malades permanents, il fait appel à l’instituteur comme agent de propagande, et passe un marché avec le pharmacien, qui voit soudainement sa clientèle exploser (regardez ici et ici des moments inoubliables de l’adaptation cinématographique de Guy Lefranc avec Louis Jouvet). Fauci, c’est Knock à l’échelle mondiale.

Dans une certaine mesure, cependant, Fauci est lui-même le produit d’un choix civilisationnel qui, à long terme, ne pouvait conduire qu’à la technocratie médicale tyrannique qui essaie maintenant de nous asservir. Plutôt qu’un nouveau Dr Frankenstein, Fauci est notre propre monstre qui se retourne contre nous. Kennedy fait allusion à ce vaste aspect de la question, soulignant la nécessité d’un questionnement approfondi. La façon dont les Américains et les Occidentaux en général en sont venus à considérer les soins de santé a été façonnée par la philosophie de la fondation Rockefeller : a pill for an ill, soit « une pilule pour une maladie ». Dans le débat entre la « théorie des miasmes » – qui met l’accent sur la prévention des maladies en fortifiant le système immunitaire par la nutrition et en réduisant les expositions aux toxines et aux stress environnementaux – et la « théorie des germes » – qui attribue la maladie à des agents pathogènes microscopiques –, nous avons opté sans ambiguïté pour cette dernière. Nous avons souscrit à une approche de la maladie qui demande d’identifier le germe coupable et de trouver un poison pour le tuer. Nous avons confié la responsabilité de notre santé à des experts médicaux et à des courtiers d’assurance.

Comme le Dr Claus Köhnlein l’observe dans son livre Virus Mania (2007) cité par Kennedy : « l’idée que certains microbes – champignons, bactéries ou virus – sont des ennemis que nous devons combattre avec des bombes chimiques spéciales, s’est imprimée profondément dans la conscience collective. » C’est un paradigme guerrier, parfaitement adapté pour fabriquer le consentement sur la voie de la dictature. Comme Kennedy l’a écrit dans sa préface au livre du Dr Joseph Mercola, The Truth About Covid-19 (2021), « les démagogues doivent susciter la peur pour justifier leurs demandes d’obéissance aveugle. »

« Les technocrates du gouvernement, les oligarques milliardaires, Big Pharma, Big Data, Big Media, les barons de la haute finance et l’appareil de renseignement militaro-industriel, tous aiment les pandémies pour les mêmes raisons qu’ils aiment les guerres et les attaques terroristes. Les crises catastrophiques créent des opportunités pratiques pour augmenter à la fois le pouvoir et la richesse. »

Laurent Guyénot

PS : pour les francophones désireux d’approfondir le sujet, je recommande vivement le livre de Peter Duesberg, L’Invention du virus du sida.(([1] Amazon.fr – L’invention du virus du sida – Duesberg, Peter H. – Livres))

[Voir aussi :
L’escroquerie du SIDA (sidasante.com)
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Notes




Quelques études ayant tenté de prouver la contagion interhumaine

[Source : cv19.fr]

Les scientifiques et les médecins ont déjà réalisé d’innombrables expériences pour tenter de prouver la théorie des germes au cours des 120 dernières années, et toutes ont échoué. Voici quelques-unes des expériences qui ont été réalisées sur le rhume, la grippe et la rougeole.

En mars 1919Rosenau et Keegan ont mené 9 expériences distinctes sur un groupe de 49 hommes en bonne santé, afin de prouver la contagion. Dans les 9 expériences, 0/49 hommes sont tombés malades après avoir été exposés à des personnes malades ou aux fluides corporels de personnes malades. En novembre 1919, Rosenau et al. ont mené 8 expériences distinctes sur un groupe de 62 hommes pour tenter de prouver que le virus de la grippe est contagieux et provoque la maladie. Dans les 8 expériences, 0/62 hommes sont tombés malades. Une autre série de 8 expériences a été entreprise en décembre 1919 par McCoy et al. sur 50 hommes pour essayer de prouver la contagion. Une fois encore, les 8 expériences n’ont pas réussi à prouver que les personnes atteintes de la grippe ou leurs fluides corporels provoquaient la maladie. 0/50 hommes sont tombés malades.

En 1919Wahl et al. ont mené 3 expériences distinctes pour infecter 6 hommes sains avec la grippe en les exposant à des sécrétions des muqueuses et des tissus pulmonaires de personnes malades. 0/6 hommes ont contracté la grippe dans chacune des trois études.

En 1920Schmidt et al ont mené deux expériences comparatives, exposant des personnes en bonne santé aux fluides corporels de personnes malades. Sur 196 personnes exposées aux sécrétions des muqueuses de personnes malades, 21 (10,7 %) ont développé un rhume et trois ont développé une grippe (1,5 %). Dans le second groupe, sur les 84 personnes saines exposées aux sécrétions des muqueuses de personnes malades, cinq ont développé la grippe (5,9 %) et quatre des rhumes (4,7 %). Sur quarante-trois témoins qui avaient été inoculés avec des solutions salines physiologiques stériles, huit (18,6 %) ont développé des rhumes. Un pourcentage plus élevé de personnes ont été malades après avoir été exposées à la solution saline par rapport à celles qui ont été exposées au “virus”.

En 1921Williams et al. ont essayé d’infecter expérimentalement 45 hommes sains avec le rhume et la grippe, en les exposant à des sécrétions des muqueuses de personnes malades. 0/45 sont tombés malades.

En 1924Robertson & Groves ont exposé 100 personnes en bonne santé aux sécrétions corporelles de 16 personnes différentes souffrant de la grippe. Les auteurs ont conclu qu’aucune personne sur 100 n’était tombée malade à la suite de cette exposition aux sécrétions corporelles.

En 1930Dochez et al. ont tenté d’infecter expérimentalement un groupe d’hommes avec le rhume. Les auteurs ont déclaré quelque chose d’étonnant dans leurs résultats.

“Il est apparu très tôt que cet individu était peu fiable et, dès le début, il a été possible de le tenir dans l’ignorance de notre procédure. Il présentait des symptômes discrets après son injection-test de bouillon stérile et pas de résultats plus frappants avec le filtrat froid, jusqu’à ce qu’un assistant, le deuxième jour après l’injection, fasse par inadvertance référence à cet échec à contracter un rhume.

Ce soir-là et cette nuit-là, le sujet a fait état d’une symptomatologie sévère, comprenant des éternuements, une toux, un mal de gorge et une congestion nasale. Le lendemain matin, il a appris qu’il avait été mal informé sur la nature du filtrat et ses symptômes ont disparu dans l’heure qui a suivi. Il est important de noter qu’il y avait une absence totale de changements pathologiques objectifs.”

En 1940Burnet et Foley ont essayé d’infecter expérimentalement 15 étudiants universitaires avec la grippe. Les auteurs ont conclu que leur expérience était un échec.

Voici 4 autres expériences menées en 1918 pour prouver la contagion mais qui ont échoué.

Selon Bridges et al (2003),

“Notre analyse n’a trouvé aucune étude expérimentale humaine publiée dans la littérature anglophone décrivant clairement la transmission de la grippe de personne à personne. »

Aucune preuve de la transmission de la rougeole

Voici les études réalisées à ce jour pour tenter de prouver que la rougeole est contagieuse, toutes n’ayant pas apporté de preuves concluantes :

En 1799, le Dr Green a rapporté qu’il avait réussi à infecter trois enfants en les exposant au fluide de lésions de rougeole, mais il n’existe aucun document fiable à ce sujet(1).

En 1809, Willan a essayé d’infecter trois enfants en les exposant au fluide de lésions de rougeole provenant de personnes malades. Aucun des enfants n’est tombé malade(1).

En 1810, Waschel a prétendu avoir infecté expérimentalement un homme de 18 ans avec la rougeole, mais ces affirmations ont été contestées par d’autres personnes à l’époque. L’homme est tombé malade 22 jours après l’inoculation et il est dit que l’homme a en fait contracté la rougeole naturellement et non à cause de l’inoculation(1).

En 1822, le Dr Frigori a essayé de contaminer 6 enfants avec la rougeole. Bien que les enfants aient développé des symptômes légers et non spécifiques, ils n’ont pas développé la rougeole. Mécontent de ses résultats, Frigori a tenté de s’infecter lui-même, mais sans succès(1).

En 1822, le Dr Negri a essayé d’infecter deux enfants avec la rougeole, mais il a eu les mêmes résultats négatifs que le Dr Frigori.(1)

En 1822, Speranza a essayé d’infecter 4 enfants en utilisant des méthodes similaires, mais sans succès(1)

En 1834, Albers a essayé de contaminer quatre enfants avec la rougeole, mais aucun n’est tombé malade(1).

Entre 1845 et 1851, Mayr aurait réussi à infecter 6 enfants avec la rougeole, mais il semble s’agir d’une forme modifiée de la maladie (en d’autres termes, pas la rougeole)(1).

En 1890, Hugh Thompson a essayé d’infecter des enfants avec la rougeole à deux reprises, mais les deux tentatives ont échoué(1).

En 1905, Ludvig Hektoen rapporte qu’il a réussi à infecter deux personnes saines avec le sang de patients atteints de la rougeole(1). Il convient de noter que le sang était mélangé à d’autres substances, comme le liquide d’ascite, avant d’être injecté. Cette expérience est considérée comme la meilleure preuve qui prouve sans aucun doute que le virus de la rougeole provoque la maladie(2). Il existe peu de détails spécifiques sur les signes et les symptômes que ces patients ont réellement présentés, de sorte que l’on peut douter qu’ils aient réellement eu la rougeole(3).

En 1915, Charles Herman a frotté la muqueuse nasale de 40 nourrissons avec des cotons-tiges recouverts de sécrétions nasales de patients atteints de la rougeole. La majorité des nourrissons n’ont eu aucune réaction, 15 nourrissons ont eu une légère augmentation de la température corporelle et quelques-uns ont développé des taches rouges sur la peau. À l’âge de 1 an, 4 de ces nourrissons ont eu des contacts rapprochés avec des personnes infectées. Aucun des nourrissons n’est tombé malade, ce qui serait dû à leur “immunité”(4).

En 1919, Sellards a essayé d’inoculer 8 hommes en bonne santé (n’ayant pas été exposés à la rougeole auparavant). En 1919, Sellards a essayé d’inoculer 8 hommes en bonne santé (sans exposition préalable à la rougeole) avec le sang de malades de la rougeole, en utilisant les mêmes méthodes que Hektoen. Aucun des hommes n’est tombé malade(3,5). Quelques semaines plus tard, les volontaires ont été exposés à un cas de rougeole, mais aucun d’entre eux n’est tombé malade. Des sécrétions nasales ont alors été prélevées sur des patients atteints de la rougeole et injectées dans les voies nasales des participants sains. Aucun n’est tombé malade(3,5).

Sellards a également mené une autre expérience pour essayer de contaminer deux autres volontaires humains sains avec la rougeole en leur injectant par voie sous-cutanée et intramusculaire le sang de deux patients infectés. Aucun des deux hommes n’est tombé malade(3,5).

En 1919, Alfred Hess fait un commentaire sur les résultats de Sellard. Il déclare : “Il est remarquable que Sellards ait été incapable de produire cette maladie hautement infectieuse au moyen du sang ou des sécrétions nasales d’individus infectés, il n’y a pas longtemps, j’ai été confronté à une expérience similaire avec la varicelle, nous sommes donc confrontés à deux maladies, les deux plus infectieuses des maladies endémiques dans cette partie du monde, que nous sommes incapables de transmettre artificiellement d’homme à homme”(6).

En 1924, Harry Bauguess a écrit un article dans lequel il déclarait : “Une recherche minutieuse dans la littérature ne révèle aucun cas où le sang d’un patient atteint de rougeole a été injecté dans le flux sanguin d’une autre personne et a produit la rougeole(7)”.

1. Hektoen L. Experimental Measles. J Infect Dis. 1905;2(2):238–255. doi:10.1093/infdis/2.2.238

2. Degkwitz R. The Etiology of Measles. J Infect Dis. 1927;41(4):304–316. doi:10.1093/infdis/41.4.304

3. SELLARDS AW. A REVIEW OF THE INVESTIGATIONS CONCERNING THE ETIOLOGY OF MEASLES. Medicine (Baltimore). 1924;3(2):99–136. doi:10.1097/00005792–192403020–00001

4. Herman C. Immunization against measles. Arch Pediat. 1915;32(503). [mentionné ici]

5. Sellards A. Insusceptibility of man to inoculation with blood from measles patients. Bull Johns Hopkins Hosp. 1919;257. [mentionné ici]

6. Hess AF. NEED OF FURTHER RESEARCH ON THE TRANSMISSIBILITY OF MEASLES AND VARICELLA. J Am Med Assoc. 1919;73(16):1232. doi:10.1001/jama.1919.0261042006002

7. BAUGUESS H. MEASLES TRANSMITTED BY BLOOD TRANSFUSION. Am J Dis Child. 1924;27(3):256. doi:10.1001/archpedi.1924.019200900610

Voir aussi : Le « procès du virus de la rougeole» entre le Dr Stefan Lanka et le médecin Allemand David Bardens a attisé le débat sur la justification de la vaccination infantile et des vaccinations en général.


En 2018, une revue sur les différentes voies de transmission des “virus” respiratoires a été publiée par Kutter et al. Les chercheurs passent en revue de nombreux “virus” différents et tentent d’identifier les différents modes de transmission pour chacun d’entre eux, mais il devient très clair que les preuves sont soit extrêmement faibles, soit totalement inexistantes. Par exemple, ils affirment que :

• La plupart des études sur les voies de transmission interhumaines ne sont pas concluantes.

• L’importance relative des voies de transmission des virus respiratoires n’est pas connue.

De nombreuses épidémies ont fait l’objet d’une enquête rétrospective afin d’étudier les voies possibles de transmission des virus interhumains. Les résultats de ces études sont souvent peu concluants et, parallèlement, les données issues d’expériences comparatives sont rares. Par conséquent, les connaissances fondamentales sur les voies de transmission qui pourraient être utilisées pour améliorer les stratégies de prévention font toujours défaut.

Sources :
https://lordchewy.medium.com/exposing-the-contagion-myth-bf47cf0e3aee
https://nateserg808.wixsite.com/my-site/post/5-staple-items-for-autumn




Repenser le SIDA

Par Tom Di Ferdinando

Traduction : Jean Bitterlin

Bienvenue à Rethinking AIDS (Reconception du SIDA) !

Nous sommes dans un processus de transition de Rethinking AIDS en Unmasking Covid and AIDS (Réévaluation du SIDA en Démasquage du Covid et du SIDA) (avec une appellation provisoire de Rethinking AIDS/Unmasking Covid).

Pour quelle raison repenser Rethinking AIDS ?

Rethinking AIDS était un prolongement du groupe originel Group for the Scientific Reappraisal of the HIV/AIDS Hypothesis (Groupe pour une Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH/SIDA), une alliance de scientifiques de niveau mondial qui par la suite comptait parmi ses membres trois lauréats du Prix Nobel et près de trois mille autres signatures.

Ce qui a rassemblé tout le monde dans les années 1980 c’étaient les assertions extrêmement discutables faites au sujet du VIH et du SIDA par des gens comme des médecins et des responsables de Santé Publique tels Robert Gallo et Anthony Fauci.

Notre scepticisme a été catalysé aux environs de 1987 par un tout nouvel article publié par le Dr Peter Duesberg qui démontrait que ce qui était appelé rétrovirus comme le « VIH » n’était ni pathogène ni cancérogène, et donc ne pouvait causer le SIDA — un article que l’industrie naissante du SIDA a publiquement répudié, mais qu’elle craignait en privé.

Fonctionnant sur le principe que leur opposition jouait selon les mêmes règles alors en vigueur, la première étape du premier groupe a été de publier un signal d’alarme, une requête à la communauté scientifique pour une réévaluation scientifique de ce qui, selon leur opinion, n’était qu’une hypothèse erronée : à savoir, qu’un présumé rétrovirus « VIH » (le « virus de l’immunodéficience humaine ») était la cause d’un présumé syndrome « SIDA » (le « syndrome de l’immunodéficience acquise »).

Ils ont résumé leur inquiétude en tout juste quatre phrases :

Il est largement admis par le grand public qu’un rétrovirus appelé VIH provoque un groupe de maladies appelé SIDA. De nombreux scientifiques biochimistes remettent maintenant cette hypothèse en question. Nous proposons qu’une réévaluation minutieuse des preuves existantes pour et contre cette hypothèse soit menée par un groupe indépendant approprié. Nous proposons en outre que des études épidémiologiques critiques soient conçues et entreprises.

Ils ont cherché à publier ce petit paragraphe dans Nature, Science, the Lancet ou le New England Journal of Medicine, les quatre principaux périodiques scientifiques dans lesquels ils étaient nombreux à avoir vu leurs articles maintes fois publiés.

Mais cette fois-ci, silence ! Personne ne publierait l’appel. Il importait peu qu’il soit soutenu par un groupe de 32 signataires légitimes, qualifiés et hautement estimés.

Alors pour quelle raison n’ont-ils pu le faire publier ?

C’est simple. Parce que le Directeur en chef de la Santé Publique d’alors, le Dr Anthony Fauci, avait déjà à cette époque cette sorte de pouvoir de veto. En tant que représentant à part entière de l’industrie des vaccins travaillant pour ce que nous savons maintenant être un front à part entière de l’industrie des vaccins (NIAID, CDC et FDA), Fauci était, tout comme il l’est maintenant, un pare-feu puissant contre le véritable examen scientifique et la véritable dissidence, c’est-à-dire un vrai ennemi à la fois de la liberté scientifique et du Premier Amendement. Vous pensez que nous exagérons ? Robert F. Kennedy Jr nous a fait à tous la faveur de nous documenter cela dans un seul livre (« Le Vrai Anthony Fauci » – dernier livre publié par Robert F. Kennedy Jr – NdT).

Le fait est que nos premières suspicions étaient exactes — il n’y avait aucune preuve scientifique crédible pour soutenir l’affirmation que le « VIH » causait le « SIDA », et 35 ans plus tard, il n’y a toujours aucune preuve. Cela peut paraître choquant d’entendre cela, mais c’est la vérité.

Avance rapide d’environ 40 ans jusqu’au « Covid-19 », et que trouve-t-on ? Les mêmes tactiques alarmistes, les mêmes contradictions, les mêmes fausses prédictions, les mêmes tests bidons, la même approche de traitement mortel, tout cela, mais sur un plan plus mondial, plus coordonné et même plus socialement destructeur. Et le général qui mène la charge ? Anthony Fauci.

Une fonction essentielle du nouveau Rethinking AIDS/Unmasking Covid (Réévaluation du SIDA/Démasquage du Covid — NdT) est d’exposer à la vue de tous, cette relation profonde entre le « Covid-19 » et le « VIH/SIDA ». En tant que tout premiers « dissidents du SIDA », nous sommes les mieux équipés pour mener la tâche. Mais cette fois-ci c’est différent.

Dans les années 1980, nous nous sentions obligés, sur le plan scientifique, de donner à Fauci et à ses collègues le bénéfice du doute, c’est-à-dire de supposer que lui-même et les partisans de l’hypothèse VIH/SIDA avaient tout simplement commis une erreur scientifique majeure. Cependant, le fait qu’avec le « Covid-19 » ils aient fait exactement la même erreur, mais sur une échelle multipliée par mille, signifie que ni (l’hypothèse) « VIH/SIDA » ni (l’hypothèse) « Corona/covid » ne sont des erreurs ; elles sont hautement organisées et ce sont des pièces de théâtre complètement préméditées.

Le but de la science est la vérité. Le but de la commercialisation est la vente. Le SIDA et le Covid n’ont pas été découverts, ils ont été vendus, avant tout par la peur et par les mensonges par omission. Leur fonction était de garantir des contrats gouvernementaux lucratifs pour les projets de l’industrie du médicament et des « vaccins » de Fauci. Et ses efforts sont liés à d’encore plus grands projets du Forum Économique Mondial et de l’Organisation Mondiale de la Santé. Pour cette raison le « Covid » s’est porté davantage du domaine du marketing médical vers le domaine de l’ingénierie sociale. Mais on parlera de cela plus tard.

L’arme la plus populaire aujourd’hui, utilisée par les ennemis de la vérité pour réduire au silence ceux qui signalent les faits évidents et les contradictions sans fin, est l’affirmation qu’ils « se fient aux données scientifiques ». C’est la toute nouvelle arme pour monter les gens les uns contre les autres et pour détourner leur attention des vrais sociopathes qui les ont, au départ, fait se battre les uns contre les autres. Et c’est si facile de prouver que cette affirmation est fausse.

Une pierre angulaire de la science est de susciter la contestation, d’embrasser les points de vue opposés et de chercher à prouver la fausseté de son hypothèse. Se cachant derrière la bannière de la « science », les dirigeants de Big Tech par exemple se targuent ouvertement de la manière dont ils censurent et évincent des médias sociaux ceux qui disent des choses contraires aux diktats du CDC, de la FDA, d’Anthony Fauci et de Bill Gates. Mais ça, ce n’est pas de la science. Alors la prochaine fois que quelqu’un vous dit « nous nous fondons sur des données scientifiques » ou vous accuse en disant « Ce n’est pas ce que dit la science » ou « Vous ne croyez pas en la science », dites-leur qu’ils mentent, parce que vous ne pouvez pas embrasser la science et en même temps être un partisan de la censure.

Pour que ce sujet complexe reste simple, nous allons souligner les trois principaux éléphants dans le salon covidien : 1) Le « virus in silico » (les virus sont « fabriqués » à partir de bribes trouvées et qui sont réarrangées à l’aide de programmes informatiques qui « bouchent » les interstices manquants — NdT), 2) les effets potentiellement mortels des « confinements », et 3) la grande expérience de l’industrie des « vaccins » à ARNm à laquelle l’Humanité a accepté de se soumettre sans esprit critique. Si vous comprenez la signification et les conséquences de ces trois choses, vous aurez une solide connaissance du tableau d’ensemble hors duquel ces trois phénomènes ont émergé.

Pour terminer, et pour avoir un meilleur aperçu des changements des nouveaux objectifs, de la portée et de la fonction de RA/UCA, lisez l’introduction de la conférence de 2020 produite par un de nos membres, intitulée Covid : Le Nouveau SIDA. Et, à ce deuxième lien vous trouverez une analyse qui incite à la réflexion sur comment une arnaque de l’amplitude de celle du Covid a pu prendre une telle ampleur et pris racine en premier lieu dans le psychisme de gens prétendument libres — des gens qui se battront jusqu’à la mort pour protéger leurs libertés face à un fasciste déclaré, mais qui se prosterneront, se dégonfleront, se soumettront et abandonneront avec joie ces mêmes libertés face à un fasciste caché.

Alors que le travail de bon nombre des premiers dissidents du SIDA était catalysé par le remarquable travail scientifique et le leadership spirituel du Dr Peter Duesberg, la « partie Covid » actuelle est catalysée et poussée même plus loin, quoique d’une manière très différente, par le remarquable travail d’une autre signataire du groupe des premiers signataires, la Dr Eleni Papadopoulos-Eleopoulos. En tant que leader du Groupe de Perth, son travail — effectué simultanément, mais de manière indépendante du travail du Dr Duesberg — affirmait également que le « VIH » ne pouvait pas provoquer le SIDA. Non parce qu’il était inoffensif, mais parce que personne n’a jamais suivi les protocoles standards pour l’isolation et la purification pour prouver son existence même. Pas de « VIH » signifie pas de protéines « VIH » pas d’ARN ou d’anticorps, et par conséquent pas de test significatif.

Le Dr Stefan Lanka a même donné à ce problème encore plus de contexte en indiquant de façon critique les défauts rédhibitoires dans les fondements de la virologie même — le vrai talon d’Achille scientifique de toutes les affirmations au sujet du « SIDA infectieux » et du « Covid infectieux ». Mais on parlera également de cela plus tard.

Il y a un dernier éléphant dans le salon Covid qui mérite une mention spéciale. Il s’agit de l’impact dévastateur qu’ont eu depuis 1984 le Dr Fauci et l’Industrie pharmaceutique et des Vaccins sur la santé et le bien-être du public en général. Comme le souligne avec éloquence Kennedy, le travail de Fauci était de déterminer les causes et les mesures préventives à la fois pour les maladies chroniques et les maladies infectieuses. Non seulement ces maladies ont augmenté de manière spectaculaire sous la direction de Fauci — rien que la maladie chronique chez les enfants était de 6 % au début de son mandat, et en 2006 elle était à 54 % — il est parvenu à transformer les institutions fédérales de santé et de sûreté d’organismes de santé publique en « incubateurs » de l’industrie du vaccin et des médicaments.

Quand est-ce que tout cela finira et qui va l’arrêter ? La chose la plus remarquable au sujet de la Santé Publique c’est qu’il s’agit de la seule discipline — et Fauci le seul personnage public — qui peut se vanter de 50 années persistantes d’échec lamentable et de toujours prétendre au « succès » et à l’ordonnancement des financements (Le Dr Fauci a un budget annuel de 6 milliards de dollars qui sont bien entendu dirigés vers les instituts de recherche orthodoxes — NdT).

Nous préparons un nouveau site Internet, qui sera bientôt actif, qui se concentrera sur cette relation SIDA-Covid, ses implications sociales, économiques et médicales, ainsi que sur les fondements scientifiques de la virologie. Par-dessus tout, nous examinerons les attaques physiques et psychologiques sur la liberté qui ont permis à des sociopathes de l’industrie de Santé Publique de faire des ravages sur le reste du monde pendant tant de décennies. Nous vous présenterons la preuve que l’Establishment SIDA/Covid ne veut pas que vous voyiez, et nous vous permettrons de faire votre propre opinion.

C’est comme avoir affaire à toute brute destructrice. La cabale SIDA/Covid et la machinerie mondiale sont reliées non seulement pour prospérer sur notre ignorance, mais plus important encore sur notre docilité. Avec les préservatifs, les masques, la distanciation sociale et les injections expérimentales, les confinements, les fermetures de commerce, les passeports vaccinaux et les obligations à durée indéterminée — tous pour promouvoir le changement de nom de la « grippe » — nous avons permis à un État centralisé de prendre la responsabilité de notre santé et de nos systèmes immunitaires. Notre docilité, et le libre abandon de la responsabilité de nos corps, de notre santé et de nos libertés individuelles est le vrai virus qui détruit le tissu social de notre société de moins en moins libre.

Tom Di Ferdinando

Président de Réévaluation du SIDA/Démasquage du Covid

Traduction Jean Bitterlin le 15.02.2022




Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

[Source : cv19.fr]

TERRAIN expose le canular tyrannique de la pandémie mondiale, construite sur le modèle erroné de la maladie, connu sous le nom de “théorie des germes”. Ce documentaire en deux parties explore la théorie du terrain, un modèle de santé fonctionnant en symbiose avec la nature pour promouvoir le bien-être et la guérison, sans recourir à un paradigme médical corrompu et défaillant.

TERRAIN motive et inspire les spectateurs à comprendre le pouvoir et la responsabilité du consentement.

La première partie de TERRAIN remet en question la théorie des germes, un système de croyance obsolète et non scientifique basé sur des fraudes et des mauvaises interprétations.

Un film produit par Marcelina Cravat et Andrew Kaufman.
Avec le Dr Andrew Kaufman, le Dr Barre Lando, le Dr Stefan Lanka, le Dr Mark McDonald, le Dr Tom Cowan, le Dr Kelly Brogan, le Dr Samantha Bailey, Sayer Ji, Sally Fallon, Peggy Hall, Tony Roman, Alphonso Faggiolo et Veda Austin.



Terrain — 2e partie

https://odysee.com/@cv19:b/Terrain-Le-Film-Partie-1-la-grippe-des-cigognes:3

Sous-titres par https://cv19.fr

Bande annonce : https://odysee.com/@cv19:b/Terrain-Le-Film-Bande-Annonce:0

Pour soutenir et en savoir plus sur le projet : https://terrainthefilm.com/




Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?

[Source : cv19.fr]

Par le Dr. Mark Bailey

La question de l’existence de virus pathogènes reste importante, car la croyance en de tels virus mobilise des milliards de dollars de ressources et de fonds de recherche. Ces deux dernières années, nous avons également vu comment un prétendu virus peut être utilisé comme un outil politique pour mettre les populations au pas. Ce n’est pas la première fois que cela se produit : par exemple, la “découverte” du VIH dans les années 1980 a donné naissance à une industrie de plusieurs milliards de dollars et a également été utilisée à des fins politiques dans la plupart des régions du monde. (Les erreurs concernant l’existence de la particule du VIH et le fait qu’elle soit à l’origine du SIDA sont décrites dans Virus ManiaFR. Pour ceux qui souhaitent approfondir le sujet, je recommande le magnus opus de The Perth Group sur ce sujet).

“Les virus sont de petits parasites intracellulaires obligatoires qui, par définition, contiennent un génome d’ARN ou d’ADN entouré d’une enveloppe protéique protectrice, codée par le virus.”

Medical Microbiology, 4th edition, 1996

Le journaliste indépendant Jeremy Hammond, qui se présente comme exposant la “dangereuse propagande d’État” entourant le COVID-19 et les dangers des vaccins, a ainsi fait la curieuse déclaration suivante en 2021 :

“l’affirmation fausse selon laquelle le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé (c’est-à-dire que son existence n’a jamais été prouvée) nuit considérablement à la crédibilité du mouvement pour la liberté de la santé et repose sur une ignorance totale de la science (le virus est constamment isolé et son génome entier est séquencé par des scientifiques du monde entier)”.

Jeremy Hammond, 9 mars 2021

Je dirais que l’ignorance est du côté de Hammond, qui semble parvenir à sa conclusion en répétant essentiellement les affirmations des virologues et en rassurant le public sur la validité de leurs méthodologies. Ces dernières semaines, nous avons également vu le Dr Joseph Mercola présenter l’interview de Hammond et le blog de Steve Kirsch (qui fait également appel à l’autorité de la virologie) comme des “preuves” de l’existence du SARS-CoV-2. Kirsch déclare s’appuyer sur “les avis des experts en qui j’ai confiance”, ce qui signifie qu’il a remis l’argument entre les mains d’autres personnes plutôt que d’enquêter lui-même sur la question. Mais est-il sage pour ces combattants de la liberté sanitaire qui s’opposent aux “experts” de l’establishment COVID de ne pas également remettre en question les virologues de l’establishment ?

Le Dr Andy Kaufman a produit une réfutation point par point du soutien de Hammond à la méthodologie d’”isolement” de la virologie moderne ici, tandis que le Dr Tom Cowan a prévenu que nous ne faisions que commencer à démanteler les absurdités de la virologie ici. Le Dr Sam Bailey a publié de nombreuses vidéos sur la question de l’isolement des virus, dont la plupart ont été interdites sur YouTube mais peuvent encore être trouvées sur Odysee. En outre, dans un essai que j’ai cosigné avec le Dr John Bevan-Smith, nous décrivons le premier pilier de la fraude COVID-19FR comme l’utilisation abusive du terme “isolement” par la virologie. En résumé, comme les virologues n’ont pas été en mesure d’isoler physiquement le moindre virus au siècle dernier, ils ont simplement changé la définition du mot, de sorte que même les virologues admettent que le terme est désormais utilisé de manière vague. Une situation étrange lorsque la méthode scientifique exige une terminologie précise.



J’ai observé au cours des deux dernières années que de nombreux scientifiques, médecins et journalistes sont heureux de sauter par-dessus ce gouffre de l’”isolement” et de citer les “génomes de coronavirus” déposés dans des bases de données comme preuve que le virus doit exister. Par exemple, Steve Kirsch écrit dans son blog que :

“Je sais que Sabine Hazan a vérifié que la séquence du virus obtenue auprès de l’ATCC correspondait exactement à ce qu’elle a trouvé chez les personnes atteintes du virus.”

Steve Kirsch, 10 janvier 2022

Il cite l’article de Hazan “Detection of SARS-CoV-2 from patient fecal samples by whole genome sequencing” comme preuve de cette affirmation. Kirsch admet qu’il ne sait pas comment les génomes ont été créés, mais ses…

“amis scientifiques semblent satisfaits avec eux. À 2 000 $ la dose, je ne pense pas qu’ils commercialiseraient le produit s’il était contaminé et inutile. Ai-je tort ?”

Steve Kirsch, 10 janvier 2022

Malheureusement, il semble avoir été dupé par la façade high-tech du génie génomique de la virologie, où des “virus” sont créés à partir de diverses séquences génétiques détectées. En fait, il arrive que les séquences ne soient pas vraiment détectées du tout, comme l’expose le Dr Stefan Lanka dans ce qui pourrait être le coup de grâce de la virologieFR.



L’article de Hazan peut servir d’exemple de la méthodologie défectueuse utilisée pour créer ces “génomes de virus”. L’équipe de recherche a obtenu des échantillons de matières fécales de 14 participants et a procédé à l’examen des séquences génétiques qu’elle pouvait détecter dans ces échantillons. Le premier problème se pose dans la section “méthodes”, lorsque l’équipe déclare que “le contrôle positif du SARS-CoV-2 de l’ATCC (SARS-CoV-2 inactivé par la chaleur, VR-1986HK ; souche 2019-nCoV/USA-WA1/2020) a été inclus tout au long du traitement de l’échantillon”. Comment ont-ils su que l’échantillon contenait le virus inactivé ? Parce que l’ATCC (American Type Culture Collection) l’affirme sur son site Web en déclarant que “cette souche a été isolée à l’origine d’un cas humain dans l’État de Washington et a été déposée par les Centers for Disease Control and Prevention”. Et comment les CDC ont-ils su qu’ils avaient le virus ? Parce qu’ils ont affirmé l’avoir trouvé dans cet article.

“Coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère
d’un patient atteint d’une maladie à coronavirus, États-Unis”
Mais où était le virus ?

Dans le document des CDC, il est dit qu’ils ont recueilli “des spécimens cliniques d’un patient ayant contracté le COVID-19 lors d’un voyage en Chine et qui a été identifié à Washington, aux États-Unis”. Ils ont conclu que le patient avait le COVID-19 sur la base d’un résultat de PCR qui a détecté certaines séquences dites provenir du SARS-CoV-2. Mais à ce stade, ils n’avaient aucune preuve de l’existence d’un virus – tout ce qu’ils avaient, c’était quelques séquences génétiques détectées chez un patient atteint d’une infection virale présumée. Après avoir réalisé une expérience de culture tissulaire en tube à essai sur leur échantillon clinique et prétendu qu’il y avait des preuves de la présence d’un virus en raison d’effets cytopathiquesFR non spécifiques, ils ont commencé à construire leur “génome”. Ils déclarent que “nous avons utilisé 50 μL de lysat viral pour l’extraction de l’acide nucléique total pour les tests de confirmation et le séquençage.” Il s’agit d’un autre tour de passe-passe, car il n’a pas été démontré que le “lysat viral” provenait d’un virus, il s’agit simplement d’une soupe de cultures de cellules fragmentées et d’autres additifs.

L’affirmation selon laquelle ils ont “extrait l’acide nucléique des isolats” est tout aussi trompeuse. Ils ont laissé entendre qu’ils ont isolé un virus et qu’ils savent quelles séquences d’ARN proviennent de son contenu. Cependant, cela nécessiterait que les prétendues particules virales soient réellement isolées physiquement par purification, ce qu’ils n’ont pas fait. Et je dis “présumées” parce que même s’ils purifiaient les particules, il faudrait encore démontrer qu’elles répondent à la définition d’un virus – y compris le fait d’être un parasite et l’agent causal de la maladie – ce qui n’a pas été démontré par ces auteurs ni par aucun autreFR.

Dans tous les cas, comment ont-ils su quelles séquences génétiques appartenaient au “virus” en premier lieu ? Ils ont “conçu 37 paires de PCR emboîtées couvrant le génome sur la base de la séquence de référence du coronavirus (numéro d’accession GenBank NC045512)”. Et d’où vient cette “séquence de référence” ? Cela se rapporte à l’article de Fan Wu, et al décrivant l’homme de 41 ans qui a été admis à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec une pneumonie bilatérale et malgré l’absence de nouvelles caractéristiques cliniques, on a dit qu’il était atteint d’une maladie qui a ensuite été appelée “COVID-19”.

Voir : La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité

Le spécimen était constitué de lavages pulmonaires bruts, il contenait donc un mélange de cellules humaines et potentiellement toutes sortes d’autres micro-organismes et fragments génétiques. Ils ont simplement affirmé qu’il y avait un virus dans le mélange. À partir de cet échantillon mixte, ils ont généré à l’aveugle des dizaines de millions de séquences différentes, puis ont mis leur logiciel au travail pour voir comment ils pouvaient les assembler. Pour réaliser cet “ajustement”, le logiciel a recherché des “contigs”, c’est-à-dire des zones où différents fragments semblent avoir des séquences qui se chevauchent. Parmi les centaines de milliers de séquences hypothétiques générées de cette manière, ils ont constaté que la plus longue séquence “continue” que l’ordinateur a pu créer faisait environ 30 000 bases et ont conclu que cette création informatique devait être le génome du nouveau virus présumé.

Ils pensaient qu’il s’agissait du génome parce que leur séquence de 30 000 bases générée de manière hypothétique était similaire à 89,1 % à ” un isolat de coronavirus (CoV) de chauve-souris semblable au SRAS, le SL-CoVZC45 “. Le “génome” de l’”isolat” de CoV de chauve-souris a été généré en 2018 après que “19 paires d’amorces PCR dégénérées ont été conçues par alignement multiple des séquences SARS-CoV et SL-CoV de chauve-souris disponibles déposées dans GenBank, ciblant presque toute la longueur du génome.” En d’autres termes, ils connaissaient déjà la séquence à rechercher sur la base des séquences qui avaient été précédemment déposées dans la GenBank. Mais comment les producteurs de ces séquences déjà déposées savaient-ils qu’ils avaient trouvé des génomes viraux ? Bienvenue dans le raisonnement circulaire de la virologie moderne.

Pour expliquer la boucle dans laquelle les virologues semblent être pris au piège, cet article de 2019 publié dans Virology illustre bien le problème :

“Trois méthodes principales basées sur le HTS [séquençage à haut débit] sont actuellement utilisées pour le séquençage du génome entier viral : le séquençage métagénomique, le séquençage par enrichissement de cible et le séquençage par amplicon PCR, chacune présentant des avantages et des inconvénients (Houldcroft et al., 2017). Dans le séquençage métagénomique, l’ADN (et/ou l’ARN) total d’un échantillon comprenant l’hôte mais aussi des bactéries, des virus et des champignons est extrait et séquencé. C’est une approche simple et rentable, et c’est la seule approche qui ne nécessite pas de séquences de référence. Au contraire, les deux autres approches HTS, l’enrichissement des cibles et le séquençage des amplicons, dépendent toutes deux d’informations de référence pour concevoir les appâts ou les amorces.”

Maurier F, et al, “A complete protocol for whole-genome sequencing of virus from clinical samples,” Virology, May 2019.

On touche là à la racine du problème. Les génomes de référence “viraux” sont créés par séquençage métagénomique, mais celui-ci est effectué sur des spécimens bruts (tels que des lavages de poumons ou des cultures de tissus non purifiés) et l’on déclare ensuite que les séquences sélectionnées sont d’origine virale. Il y a donc déjà deux problèmes : premièrement, il n’y a pas eu d’étape (c’est-à-dire de purification) pour montrer que les séquences proviennent de l’intérieur de “virus” et deuxièmement, comme décrit ci-dessus, les “génomes” générés par ordinateur sont simplement des modèles hypothétiques assemblés à partir de petits fragments génétiques, et non quelque chose dont l’existence a été prouvée dans la nature comme une séquence entière de 30 000 bases. Cependant, ces modèles in silico deviennent alors effectivement le “virus” et une entité telle que le SARS-CoV-2 est créée. Une fois que la première séquence de ce type est déposée dans une base de données, le “virus” peut être “trouvé” par d’autres grâce aux mêmes techniques métagénomiques défectueuses. Ou, comme l’indique l’article de Virology, il peut être “trouvé” par enrichissement de la cible et séquençage de l’amplicon (généralement par PCR), mais cela nécessite de disposer d’une séquence de référence… c’est-à-dire d’un modèle inventé in silico par séquençage métagénomique où la provenance des fragments génétiques était inconnue.

Il n’y a aucune partie dans le processus ci-dessus qui établit soit :

1) la composition génétique de toute particule imagée ou imaginée ; ou
2) la nature biologique de ces particules, c’est-à-dire ce qu’elles font réellement.

C’est une belle nanoparticule,
mais de quoi est-elle faite et que fait-elle ?

Pouvons-nous maintenant revenir à l’article de Hazan pour constater qu’il s’agit d’un exercice inutile de virologie absurde. Ils déclarent qu’avec leur “contrôle positif du SARS-CoV-2 provenant de l’ATCC”, les “génomes des patients ont été comparés au génome de référence du SARS-CoV-2 Wuhan-Hu-1 (MN90847.3)”. Le numéro d’accès MN90847.3 fait référence au “génome” actualisé qui aurait été trouvé chez l’homme de 41 ans de Wuhan, comme indiqué ci-dessus dans l’article de Fan Wu et al. La boucle est bouclée : à aucun moment il n’a été démontré qu’il y avait un virus en suivant cette piste de “génomes”. L’équipe de Fan Wu n’a jamais trouvé de virus, elle a simplement affirmé que sa simulation informatique de séquence génétique était une “nouvelle souche de virus à ARN de la famille des Coronaviridae”, sans prouver que la séquence existait dans la nature ou provenait de l’intérieur d’un virus. Par conséquent, il n’y a pas eu de “détection du SARS-CoV-2 à partir d’échantillons de matières fécales de patients” comme le prétend le titre de l’article de Hazan, à moins que “SARS-CoV-2” ne signifie des séquences génétiques d’on-ne-sait-quoi provenant d’on-ne-sait-où. Peu importe où ou à quelle fréquence ces séquences sont détectées – il n’a jamais été prouvé qu’elles étaient de nature virale. Ainsi, lorsque Steve Kirsch affirme que Hazan “a vérifié que la séquence du virus obtenue de l’ATCC correspondait exactement à ce qu’elle a trouvé chez les personnes atteintes du virus”, il se trompe.

De quel “virus” parle-t-il ?

Auteur : Dr. Mark Bailey
Mark est un chercheur dans le domaine de la microbiologie, de l’industrie médicale et de la santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Source (en anglais) : https://drsambailey.com/covid-19/warning-signs-youve-been-tricked-by-virologists/




L’enterrement de la théorie virale

Par Joseph Stroberg

Pour déterminer la validité d’une théorie scientifique touchant une discipline particulière, il est bien davantage utile de connaître la démarche scientifique et le propre de la science que d’être un expert du domaine en question. Le propre de la science est le doute, la remise en question des connaissances acquises à la lumière de nouvelles données ou informations, par exemple suite à l’exploration de nouvelles voies ou à l’observation du réel sous un nouvel angle de vue ou selon une nouvelle perspective. Une théorie explicative de phénomènes observés ne peut être véritablement d’ordre scientifique que si elle est contestable par l’argumentation ou l’expérimentation dans le cadre de la démarche scientifique. Si a contrario elle se pose en vérité absolue ou définitive, alors elle ne relève pas de science, mais de superstition ou de croyances religieusement ou affectivement entretenues. À la lumière de nombreux faits et constats, nous allons tenter de montrer ici en quoi la théorie virale ne relève pas de science, mais de scientisme et de croyances erronées.

1)- La démarche scientifique

Il s’agit d’une méthode rigoureuse pour tenter d’expliquer la réalité objective, présentée schématiquement ici.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

1. L’analyse

Elle consiste à subdiviser l’étude en éléments plus simples aux propriétés et fonctions particulières.

La modélisation

La modélisation est une phase de l’analyse consistant à rechercher les interactions entre les éléments de l’objet d’étude, dont les relations de cause à effet qui peuvent exister entre eux ou vis-à-vis de systèmes extérieurs.

La démonstration d’un lien de causalité

De manière rigoureuse, pour établir l’existence d’une relation de cause à effet entre un phénomène ou élément A et un phénomène ou élément B, il est nécessaire et suffisant de vérifier les conditions exposées ci-après.

(Voir https://nouveau-monde.ca/leffondrement-de-lhypothese-virale/)

La démonstration scientifique s’appuie sur la logique. En logique pure, pour qu’un phénomène, un événement, un objet ou un être vivant soit la cause unique d’un autre phénomène, événement, objet ou être vivant, il doit respecter les conditions logiques suivantes :
Il est suffisant que la présence de la cause entraîne la présence de la conséquence prévue
ou inversement que l’absence de la conséquence implique l’absence de la cause.
Si la cause est effectivement unique, il n’y a bien sûr aucune autre cause systématiquement présente.

Il est par contre nécessaire que l’absence de la cause entraîne l’absence de la conséquence prévue, ou qu’inversement la présence du phénomène prévu implique la présence de la cause.

Exemple en climatologie :

Si les nuages étaient la cause unique de la pluie, il serait suffisant que la présence de nuages entraîne celle de la pluie et inversement l’absence de pluie impliquerait l’absence de nuages.

Or, on observe assez souvent la présence de nuages sans qu’il y ait de pluie du tout et dans certains cas, au lieu de pluie, on a plutôt de la neige ou de la grêle.

De plus, il serait nécessaire que l’absence de nuages entraîne l’absence de la pluie
ou inversement que la présence de la pluie implique celle des nuages.

Mais dans la pratique, on a pu pourtant observer de la pluie fine en certains lieux et circonstances sans nuages visibles, par phénomène de condensation localisée de vapeur d’eau.

Donc, tout cela montre logiquement que les nuages ne sont pas la cause unique de la pluie et que d’autres facteurs (ou éléments causaux) interviennent, comme la température et la pression de l’atmosphère.

Exemple en virologie :

Si un virus donné (comme le supposé SRAS-CoV-2 pourtant jamais physiquement isolé) était la cause unique de la maladie Covid-19 qu’on lui attribue, alors il serait suffisant que sa présence entraîne la maladie associée, et inversement l’absence de la maladie impliquerait l’absence du virus.

Or, on observe assez souvent que des personnes auraient prétendument le SRAS-CoV-2 dans leur organisme alors qu’elles ne sont pas malades et n’ont aucun symptôme, au point qu’on les appelle « malades asymptomatiques ».

De plus, il serait nécessaire que l’absence du virus entraîne l’absence de la maladie ou qu’inversement la présence de la maladie entraîne celle du virus.
Or, comme les symptômes de cette maladie couvrent d’autres maladies ou phénomènes (comme les symptômes de la grippe ou comme les effets sur la santé d’ondes électromagnétiques pulsées) et que l’on a pu les observer sans le moindre lien avec le SRAS-CoV-2, on peut dire que l’on a des personnes qui aujourd’hui seraient diagnostiquées Covid-19 sans pour autant que l’on y détecte de SRAS-CoV-2.

Donc tout cela montre qu’au mieux le SRAS-CoV-2 n’est pas la cause unique de la Covid-19, mais que d’autres facteurs doivent logiquement intervenir s’il a quelque chose à y voir (et si par hasard il existe vraiment, mais n’est pas un simple artefact virtuel produit d’une méthodologie qui n’a rien de scientifique).

Exemple en électricité :

Si le courant électrique est la cause unique de la lumière d’une lampe, il est suffisant que la présence du courant dans le filament de l’ampoule entraîne son éclairage et inversement, l’absence de courant implique l’absence de lumière.

Ceci est effectivement observé à partir du moment où le courant est d’intensité suffisante. (En toute rigueur, on pourrait toutefois ici invoquer une cause secondaire, à savoir l’existence d’une résistance électrique au passage du courant dans le filament. Et donc en toute rigueur le courant électrique est la cause principale, mais pas unique de l’éclairage de la lampe.)

De plus, il est nécessaire que l’absence de courant entraîne l’absence de lumière dans l’ampoule
ou inversement que la présence de lumière implique celle du courant.

On n’observe effectivement pas de lampes électriques allumées sans qu’elles soient parcourues par un courant électrique

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond aux faits objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut sembler cohérente et logique de prime abord, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel.

  • Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ».
  • Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ».

Exemple :

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des expériences, des mesures et des évaluations pour vérifier leur conformité à ce que prévoit la théorie. Une bonne théorie doit être prédictive.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproduits autant de fois que nécessaire afin de réduire la part d’erreurs et des biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption et qui peuvent amener à fausser les résultats).

Contre-expériences

Appelées aussi expériences de contrôle ou encore expériences témoins, elles consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter pourtant d’obtenir les mêmes effets.

Par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement.

2)- La théorie virale

Cette théorie suppose depuis 1954 que des virus de taille nettement plus petite que celle des bactéries et des cellules végétales, animales ou humaines sont susceptibles d’y pénétrer pour s’y multiplier en utilisant leur matériel génétique, puis d’en sortir pour aller infecter d’autres individus de même espèce, voire d’autres espèces, alors qu’ils ne sont pas eux-mêmes vivants. L’effet d’une telle invasion parasitaire serait alors l’apparition subséquente des maladies non bactériennes telles que la grippe, la variole et la polio. Le lien de causalité supposé est le suivant : la cause est le virus et l’effet automatique est alors une maladie virale spécifique aux symptômes caractéristiques. Le gros problème est que l’existence d’un tel lien causal n’a jamais été établie pour aucun des supposés virus, comme nous allons le voir, et que l’existence même de telles particules (non vivantes qui seraient externes aux organismes vivants végétaux, animaux et humains, mais guère capables de survivre hors d’eux plus de quelques heures) n’est pas non plus scientifiquement et rigoureusement démontrée.

Que font les virologues lorsqu’ils prétendent isoler un virus ?

« Les virologistes croient aux virus parce qu’ils ajoutent au tissu et aux cultures cellulaires du sang, de la salive ou d’autres fluides corporels supposés infectés — après avoir retiré les nutriments de la culture cellulaire respective et après avoir commencé à l’empoisonner avec des antibiotiques toxiques. Ils pensent que la culture cellulaire est alors tuée par les virus. »

Dr Stefan Lanka, qui ne revendique plus le titre de « virologue », dans https://nouveau-monde.ca/la-fausse-idee-appelee-virus-la-rougeole-a-titre-dexemple/

« Les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. À l’encontre de tout bon sens, de toute logique, de l’usage de la langue anglaise et de l’intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion [ou soupe chimico-génétique] contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico » [du mot « silicium », pour indiquer sa nature purement logicielle, puisque les microprocesseurs à la base du fonctionnement des ordinateurs sont faits de semi-conducteurs en silicium]. À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel. »

Dr Andrew Kaufman, dans https://nouveau-monde.ca/declaration-sur-lisolement-des-virus/

« La théorie des virus pathogènes remonte au XIXe siècle et les virologues ont passé la première moitié du XXe siècle à essayer d’extraire ces virus présumés directement d’hôtes vivants. Les échecs répétés les ont amenés à changer de cap dans les années 1950 afin de conserver une quelconque crédibilité. Les virologues devaient fournir quelque chose à montrer à leurs investisseurs potentiels, y compris à l’industrie pharmaceutique en plein essor qui s’impatientait de développer des vaccins et des traitements antimicrobiens.

En 1954, des scientifiques ont rapporté qu’ils avaient des preuves de la présence du virus de la rougeole en se basant sur l’observation qu’un échantillon provenant d’un patient atteint de la rougeole avait tué certaines cellules dans un tube à essai. Ces phénomènes sont connus sous le nom d’”effets cytopathiques”. Les auteurs ont admis que “bien qu’il n’y ait aucune raison de conclure que les facteurs in vivo [chez l’homme] sont les mêmes que ceux qui sous-tendent la formation de cellules géantes et les perturbations nucléaires in vitro [dans le tube à essai], l’apparition de ces phénomènes… pourrait être associée au virus de la rougeole.”

L’apparition du CPE (effet cytopathique) est à la base des allégations frauduleuses d’isolement et de pathogénicité de la virologie moderne : un échantillon (par exemple, un écouvillon nasal) est prélevé sur un patient et mélangé à des cellules dans un tube à essai, les cellules meurent et l’on déclare qu’un virus a été “isolé”. Ce que les virologues ne veulent pas que vous sachiez, c’est que les mêmes résultats peuvent être obtenus sans ajouter de prétendus échantillons de virus dans le tube à essai — en d’autres termes, c’est le processus lui-même, la privation de nourriture de la cellule et l’ajout de diverses substances toxiques telles que des antibiotiques et des antifongiques, qui provoquent la réaction et la mort des lignées cellulaires déjà anormales, sans qu’aucun virus ne soit nécessaire. (Des photographies d’infections “factices” sont parfois fournies, mais les détails de ces expériences se distinguent par leur absence).

Il y a, bien sûr, les images de ce qu’on prétend être le virus à l’origine de tous nos problèmes. Cependant, ces images 3D colorées ne sont rien d’autre que des images générées par ordinateur constituant une représentation artistique. »

Docteurs Mark Bailey et John Bevan-Smith dans https://nouveau-monde.ca/la-fraude-du-covid-19-et-la-guerre-contre-lhumanite/

Pour simplifier, les étapes du processus qui prétend isoler un virus et le caractériser sont les suivantes :

  1. récolte de matériel biologique infecté (sang, morve, peau, etc. selon le cas) ;
  2. prétendue « culture » des virus dans une préparation qui mélange le matériel infecté, des cellules prétendument propices à la culture virale, des antibiotiques et des antifongiques toxiques et des substances susceptibles de favoriser la multiplication virale ;
  3. après la mort des cellules de culture, centrifugation de la soupe résultante pour séparer les composants par densité et recueillir la couche supposée contenir les virus reproduits ;
  4. séquençage par logiciel informatique qui découpe d’abord en morceaux le matériel génétique recueilli avant de reconstituer virtuellement la supposée séquence génétique complète du supposé virus d’après un modèle de base supposé être celui du virus ou très proche de lui.

3)- Confrontation de la théorie virale à la rigueur scientifique

Avant même de chercher à déterminer la réalité ou non d’un lien causal entre virus et maladies qualifiées de virales, si au moins l’une des quatre étapes qui viennent d’être évoquées est démontrée sans fondement scientifique, alors c’est déjà suffisant pour faire s’effondrer la théorie puisqu’alors cela confirmerait qu’aucun virus ne peut être véritablement isolé en suivant une telle procédure. Et s’il ne peut pas être isolé, il devient impossible de démontrer ensuite qu’il provoque bien une maladie.

À notre connaissance, un seul scientifique s’est jusqu’à maintenant donné la peine d’effectuer des expériences de contrôle pour vérifier ou pour infirmer la validité du supposé processus d’isolement, de purification et de caractérisation d’un virus donné. Il s’agit de Stefan Lanka (Voir en particulier :
https://nouveau-monde.ca/stefan-lanka-conduit-les-experiences-temoins-refutant-la-virologie/
https://nouveau-monde.ca/la-verite-sur-la-rage-le-virus-de-la-mosaique-du-tabac-le-graphene-et-les-resultats-de-la-2e-phase-des-experiences-temoins/
https://nouveau-monde.ca/la-fin-de-la-virologie-la-3e-phase-des-experiences-temoins-du-sars-cov-2/)

Lors de la première phase, en plus des cellules humaines récoltées, on trouve au minimum le matériel génétique des cellules de cultures, mais aussi possiblement des cellules de chien, de chat ou de quoi que soit d’autre qui se trouve dans l’environnement de l’individu malade ou supposément infecté d’un virus.

Pour ce qui concerne la seconde phase, Lanka a effectué des expériences témoin qui démontrent que l’on parvient à faire mourir les cellules de culture sans ajouter aucun tissu biologique infecté, mais par le seul fait du processus lui-même. En d’autres termes, il a démontré ainsi que ce sont les conditions expérimentales seules qui produisent l’effet de mort cellulaire et de supposée multiplication virale qui en découle, ceci à cause des produits chimiques toxiques ajoutés et de l’insuffisance ou de l’inadéquation des nutriments reçus par les cellules de culture.

Lors de la troisième phase, en raison de la mixture présente dans l’étape 1, et compte tenu de l’absence à ce stade d’expériences de contrôle, il n’y a aucune assurance que le matériel génétique récolté après centrifugation et purification correspond uniquement à celui du malade ou de la personne soi-disant viralement infectée.

Et concernant la dernière phase, Lanka a démontré qu’il pouvait obtenir n’importe quelle séquence génétique virale, puisqu’au cours du processus, on commence par découper les brins d’ADN en petites séquences de nucléotides avant de les soumettre à un complexe processus de reconstitution logicielle lors duquel on élimine des éléments indésirables qui ne cadrent pas avec le modèle viral supposé et pour lequel on comble les trous en fonction de ce modèle, ceci à volonté. De plus et au final et le plus souvent, le puzzle ainsi reconstitué ne correspond même pas à 100 % du génome supposé. Pour donner une idée de la « valeur » scientifique d’une telle procédure qui n’est nullement expérimentale, mais purement informatique, ce procédé est similaire à celui qui consisterait à découper en petits morceaux les feuilles d’un millier de romans, à les mélanger au hasard, puis à s’efforcer de reconstituer un roman donné (par exemple Les trois mousquetaires) sans même être certain que ce roman faisait partie du lot des romans découpés en morceaux. Si les morceaux de feuilles sont suffisamment petits, après moult ajustements, rabotage de mots dans certains bouts de phrases, ou ajout de termes dans d’autres morceaux, on pourra presque sûrement à un moment donné s’approcher du roman voulu, disons avec le même pourcentage de précision que pour la séquençage génétique, à savoir quelque chose comme 99,7 %. Si le pourcentage descend trop bas, on parlera alors d’un roman « variant » : Omicron ou Delta, ou quoi que ce soit d’autre. Et si on est plus proche d’un des variants déjà trouvés que du roman original, on dira alors qu’on a affaire à un sous-variant. Quoi qu’il en soit, on ne reconstitue ainsi quasiment jamais le roman cherché et d’autre part, rien ne permet de s’assurer que ce roman viral était bien présent dans la mixture initiale.

Aucune des quatre étapes n’est scientifiquement rigoureuse, et lorsque Lanka a effectué les expériences témoins indispensables pour une telle rigueur, il a tout simplement démontré qu’il pouvait obtenir tout et n’importe quoi en matière de prétendus virus. Lui et quelques autres chercheurs ou médecins se sont penchés sur la littérature existante en matière d’isolement de virus et ont pu constater qu’aucun texte ne démontre scientifiquement et rigoureusement l’existence d’un virus avec un code génétique bien déterminé et qui aurait pu être simultanément observé par microscopie. La totalité du processus relève essentiellement de scientisme, voire de fraude involontaire ou intentionnelle, mais ne démontre scientifiquement rien et surtout pas l’existence de virus pathogènes non vivants, mais parasites qui se multiplieraient dans des cellules vivantes.

« La mort des tissus/cellules est également considérée comme l’isolation d’un virus parce qu’ils prétendent que quelque chose de l’extérieur, d’un autre organisme, a été apporté dans le laboratoire, bien qu’un virus n’ait jamais été isolé au sens du mot isolation, et n’ait jamais été photographié et caractérisé biochimiquement en tant que structure unique entière. Les micrographies électroniques des supposés virus montrent en réalité des particules cellulaires assez normales provenant de tissus et cellules en train de mourir, et la plupart des photos ne montrent qu’un modèle informatique (CGI — computer generated images — images générées par ordinateur ou images de synthèse — NdT). Parce que les parties impliquées CROIENT également que les tissus et cellules en train de mourir deviennent eux-mêmes des virus, leur mort est également considérée comme la propagation du virus. Les parties impliquées croient toujours ceci parce que le découvreur de cette méthode a reçu le Prix Nobel et ses articles sur les « virus » restent des articles de référence. »

Stefan Lanka dans https://nouveau-monde.ca/la-fausse-idee-appelee-virus-la-rougeole-a-titre-dexemple/

4)- Véritable cause des maladies et des apparentes contagions

La théorie virale s’avérant bidon, Lanka et quelques autres pionniers ont redécouvert les anciennes théories abandonnées à cause d’intérêts pharmaceutiques puissants et les ont améliorées à la lumière des dernières découvertes, notamment celle de l’existence scientifiquement démontrée elle des exosomes. Ces composants sont produits par les cellules organiques lorsqu’elles sont agressées d’une manière ou d’une autre par des toxines, par le froid, par des ondes électromagnétiques, par des champs électriques, par des émotions négatives ou par d’autres facteurs stressants. Ils ont la même apparence que celle attribuée à certains modèles de virus, parce que notamment le scientisme moderne de base matérialiste tend trop souvent à inverser causes et effets.

« Toutes les affirmations qui disent que les virus sont des agents pathogènes sont fausses et sont basées sur des erreurs d’interprétation facilement identifiables, compréhensibles et vérifiables. Les vraies causes des maladies et phénomènes qui sont imputées aux virus ont déjà été découvertes et recherchées : cette connaissance est désormais disponible. Tous les scientifiques qui pensent qu’ils travaillent en laboratoire sur des virus sont en fait en train de travailler sur des particules habituelles de tissus spécifiques en train de mourir ou sur des cellules qui ont été préparées d’une manière spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules sont en train de mourir parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et tissus infectés étaient en train de mourir parce qu’ils étaient affamés et empoisonnés suite aux expériences dans le laboratoire. »

Stefan Lanka dans https://nouveau-monde.ca/la-fausse-idee-appelee-virus-la-rougeole-a-titre-dexemple/

Par ailleurs, des expériences assez récentes tendent à démontrer que le corps humain, de nature électrique et magnétique, est également sensible à distance à la condition vitale des autres. Les phénomènes physiques de résonance et d’induction magnétique peuvent en partie expliquer l’influence contagieuse de la bonne ou au contraire de la mauvaise santé des uns sur les autres, en plus du fait que bien des prétendues « épidémies » ne résultent le plus souvent que de l’exposition à des facteurs communs à une région donnée, voire dans certains cas à la planète entière. Et dans pratiquement tous les cas d’épidémies historiques, on a pu trouver des explications alternatives à celle de bactéries ou de virus.

(Voir :
https://nouveau-monde.ca/la-contagion-quelques-elements-de-reponse-a-contrario-de-la-funeste-doxa-actuelle/

https://nouveau-monde.ca/le-mythe-de-la-contagion-virale-pourquoi-les-virus-incluant-les-%e2%80%89coronavirus%e2%80%89-ne-sont-pas-la-cause-des-maladies/
https://nouveau-monde.ca/epidemies-et-contagions/
https://nouveau-monde.ca/la-microbiophobie-ambiante-est-hors-de-controle-de-nouvelles-perspectives-sur-la-veritable-nature-des-virus/
https://nouveau-monde.ca/larc-en-ciel-invisible-une-histoire-de-lelectricite-et-de-la-vie)

Dans le cas particulier de la maladie Covid-19 qui regroupe de multiples symptômes (grippaux, cardio-vasculaires, etc.), il se trouve que ces symptômes ont été démontrés comme pouvant être causés par diverses ondes électromagnétiques, surtout sous forme artificielle pulsée et particulièrement dans la bande des micro-ondes. C’est comme par hasard le cas des ondes Wi-Fi, 3G, 4G, 4G+ et 5G. Et il apparaît que les lieux d’apparition de la Covid coïncident temporellement et géographiquement de manière plutôt précise avec celle de l’implantation de la 5G à laquelle le corps humain n’a pas encore eu le temps de s’adapter. Il apparaît également que des facteurs additionnels tels que la quantité de métaux, notamment lourds, dans le corps sont susceptibles d’aggraver les symptômes, car alors les cellules du corps éprouvent davantage de difficulté pour se purifier de l’agression subie. Le corps humain est de nature électrique et magnétique très sensible et l’existence des électrocardiogrammes et des électroencéphalogrammes en est une des preuves. Les ondes électromagnétiques pulsées évoquées ci-dessus sont fortement susceptibles de perturber les délicats équilibres et mécanismes biologiques qui reposent sur cette nature électrique et magnétique, comme le cycle énergétique de Krebs, les influx nerveux et les processus neuronaux. Chercher à ridiculiser la probable ou au moins possible causalité entre 5G et Covid ne relève pas de science, mais d’obscurantisme scientiste et de fermeture d’esprit ou au mieux de soumission à des intérêts financiers liés à l’industrie pharmaceutique et/ou à celle des télécommunications, secteurs particulièrement influents de nos jours.




La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

Par le Dr Stefan Lanka

Traduction : Jean Bitterlin

Source en anglais : https://davidicke.com/wp-content/uploads/2020/07/Paper-Virus-Lanka-002.pdf

[Voir aussi une autre traduction, plus récente :

]

Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».

[Voir aussi :
Dossier Vaccins et virus]

Le phénomène de simultanéité ou d’apparition subséquente de symptômes chez différentes personnes, qui a été jusqu’à présent interprété comme étant une contagion et était considéré comme causé par la transmission d’agents pathogènes, est dorénavant facile à comprendre grâce aux nouvelles découvertes. Ainsi nous avons maintenant une nouvelle vision de la vie (qui est en réalité une vision ancienne) et une nouvelle vision de l’intégration cosmologique des processus biologiques.

La perspective « nouvelle », ou plutôt redécouverte, ne pouvait provenir que de l’extérieur de la « science » officielle : une des raisons à cela c’est que les personnes travaillant dans les institutions scientifiques ne s’acquittent pas de leur première obligation — de douter en permanence et de revérifier une deuxième fois chaque théorie. Sans quoi ils auraient déjà découvert que la mauvaise interprétation est déjà en place depuis longtemps et était devenue un dogme uniquement par des activités extrêmement ascientifiques dans les années 1858, 1953 et 1954.

La transition vers une nouvelle explication de la santé, de la maladie et de la guérison ne réussira que parce que tous les thérapeutes et scientifiques peuvent sauver leur face grâce à elle. À partir de l’Histoire et de la nouvelle perspective sur la biologie et la vie, nous avons également des explications pour les émotions, l’ignorance et toutes sortes de comportements humains. Ceci est le deuxième message d’optimisme. Sortir d’une impasse et pardonner les erreurs du passé peut même avoir lieu d’une manière plus efficace, plus on comprend ce qui s’est passé et plus on apprend pour le futur.

Je sais que pour toutes les personnes directement concernées, tels que les médecins, les virologistes, les professionnels de la santé, et par-dessus tout les personnes affectées par le système, qui souffrent de mauvais diagnostics ou même qui ont perdu un proche à cause de cela, il peut être difficile d’accepter sur le plan intellectuel l’explication de la réalité que je vais vous proposer dans cet article. Afin que la théorie des germes pathogènes ne devienne pas d’une ampleur dangereuse, comme c’était le cas avec le SIDA, la Maladie de la Vache Folle, le SRAS, le MERS (Middle East Respiratory Syndrom — Syndrome respiratoire du Moyen-Orient — NdT) le Corona et d’autres cas variés de grippes animales, ou même ne mène à une rupture de l’ordre public, je demande poliment à toutes les personnes qui découvrent à l’instant les faits sur la « non-existence » des supposés virus de discuter du sujet d’une manière objective et non émotionnelle.

La situation actuelle

Toutes les affirmations qui disent que les virus sont des agents pathogènes sont fausses et sont basées sur des erreurs d’interprétation facilement identifiables, compréhensibles et vérifiables. Les vraies causes des maladies et phénomènes qui sont imputées aux virus ont déjà été découvertes et recherchées : cette connaissance est désormais disponible. Tous les scientifiques qui pensent qu’ils travaillent en laboratoire sur des virus sont en fait en train de travailler sur des particules habituelles de tissus spécifiques en train de mourir ou sur des cellules qui ont été préparées d’une manière spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules sont en train de mourir parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et tissus infectés étaient en train de mourir parce qu’ils étaient affamés et empoisonnés suite aux expériences dans le laboratoire.

Les virologistes croient aux virus parce qu’ils ajoutent au tissu et aux cultures cellulaires du sang, de la salive ou d’autres fluides corporels supposés infectés — après avoir retiré les nutriments de la culture cellulaire respective et après avoir commencé à l’empoisonner avec des antibiotiques toxiques. Ils pensent que la culture cellulaire est alors tuée par les virus. Néanmoins la mort du tissu et des cellules se produit exactement de la même manière que lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologistes n’ont apparemment pas remarqué ce fait. D’après la logique scientifique et les règles de la conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être réalisées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de ce qu’on appelle « la propagation du virus », afin de voir si ce n’était pas la méthode elle-même qui causait ou falsifiait le résultat, les scientifiques auraient dû effectuer des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatives, dans lesquelles ils auraient ajouté des substances stériles ou des substances provenant de personnes ou d’animaux en bonne santé à la culture cellulaire.

Ces expériences de contrôle n’ont, à ce jour, jamais été effectuées par la « science » officielle. Durant le procès du virus de la rougeole, j’ai demandé à un laboratoire indépendant d’effectuer cette expérience de contrôle et le résultat a été que les tissus et cellules meurent à cause des conditions du laboratoire, exactement de la même manière que lorsqu’ils arrivent au contact avec du matériel supposé « infecté ».

L’objectif visé des expériences de contrôle est d’exclure la possibilité que la méthode ou la technique appliquée puisse entraîner le résultat. Les expériences de contrôle sont en science le devoir le plus élevé et également la base exclusive de l’affirmation que la conclusion est scientifique. Durant le procès du virus de la rougeole, c’était l’expert légalement désigné qui a indiqué que les articles qui sont cruciaux pour la virologie entière ne contenaient pas d’expériences de contrôle. Ceci nous apprend que les scientifiques respectifs travaillent d’une manière extrêmement ascientifique, sans même le remarquer.

Cette approche totalement non scientifique a vu le jour en juin 1954, lorsqu’un article spéculatif non scientifique et réfutable a été publié, d’après lequel la mort d’un tissu dans un tube à essai était considérée comme preuve possible de la présence d’un virus. Six mois plus tard, le 10 décembre 1954, l’auteur principal de cette opinion s’est vu décerner le Prix Nobel de Médecine pour une autre théorie tout aussi spéculative. La spéculation de juin 1954 fut alors élevée en fait scientifique et devint un dogme qui à ce jour n’a jamais été contesté. Depuis juin 1954, la mort de tissu et de cellules dans un tube à essai a été considérée comme preuve de l’existence d’un virus.

La soi-disant preuve de l’existence des virus

La mort des tissus/cellules est également considérée comme l’isolation d’un virus parce qu’ils prétendent que quelque chose de l’extérieur, d’un autre organisme, a été apporté dans le laboratoire, bien qu’un virus n’ait jamais été isolé au sens du mot isolation, et n’ait jamais été photographié et caractérisé biochimiquement en tant que structure unique entière. Les micrographies électroniques des supposés virus montrent en réalité des particules cellulaires assez normales provenant de tissus et cellules en train de mourir, et la plupart des photos ne montrent qu’un modèle informatique (CGI — computer generated images — images générées par ordinateur ou images de synthèse — NdT). Parce que les parties impliquées CROIENT également que les tissus et cellules en train de mourir deviennent eux-mêmes des virus, leur mort est également considérée comme la propagation du virus. Les parties impliquées croient toujours ceci parce que le découvreur de cette méthode a reçu le Prix Nobel et ses articles sur les « virus » restent des articles de référence. Plus sur ce sujet ci-dessous.

Sans avoir purifié cette mixture consistant en des tissus et cellules en train de mourir, provenant de singes, de fœtus de bovins et d’antibiotiques toxiques, cette mixture est utilisée comme vaccin « vivant, parce qu’elle est supposée consister en de soi-disant virus « atténués ». La mort des tissus et cellules — du fait du manque de nutriments et de l’empoisonnement et non à cause d’une supposée infection — a continuellement été mal interprétée comme évidence de l’existence des virus, comme évidence de leur isolation et comme évidence de leur propagation.

De ce fait, la mixture toxique obtenue, pleine de protéines étrangères, d’acides nucléiques étrangers (ADN et ARN) d’antibiotiques cytotoxiques, de toutes sortes de microbes et de spores est étiquetée « vaccin vivant ». Par la vaccination elle (la mixture — NdT) est injectée dans les enfants, principalement dans les muscles, en quantité telle que si elle était injectée dans les veines cela aboutirait immédiatement à une mort certaine. Seules des personnes ignorantes qui font aveuglément confiance aux autorités de l’État qui « testent » et homologuent les vaccins peuvent considérer la vaccination comme une « petite piqûre inoffensive ». Les faits vérifiables démontrent le danger et la négligence de ces scientifiques et politiciens qui affirment que les vaccins sont sûrs, n’ont que peu ou pas d’effets et protégeraient d’une maladie. Aucune de ces affirmations n’est scientifique et vraie, bien au contraire : en se basant sur des analyses scientifiques précises, on constate que les vaccins sont inutiles et la littérature relative admet le manque de toute preuve en leur faveur. 2

Des molécules individuelles sont extraites de particules de tissus et cellules morts, elles sont mal interprétées comme étant des parties d’un virus et sont réunies de manière théorique en un modèle de virus. Un virus réel et complet n’apparaît nulle part dans toute la littérature « scientifique ». Le processus de découverte faisant consensus pour le « virus » de la rougeole, dans lequel les participants ont débattu afin de déterminer ce qui appartenait au virus et ce qui ne lui appartenait pas a duré des décennies.

Légende du diagramme (d’abord moitié gauche et ensuite la moitié droite du diagramme) :

  • Les expériences de contrôle sont manquantes et ainsi on n’a pas tenu compte du fait qu’il n’y avait qu’une preuve hypothétique et imaginaire (de l’existence — NdT) des virus et pas de preuve matérielle scientifique.
  • On supprime les nutriments. Les cellules sont supposées devenir « affamées » afin d’absorber les supposés virus.
  • (On ajoute des — NdT) Antibiotiques toxiques qui tuent les cellules. Les antibiotiques sont supposés exclure que la mort attendue des cellules est causée par une bactérie.
  • Ladite injection de sang ou de salive de personnes malades. « Expérience d’infection »
  • Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement. Fausse croyance : Les cellules meurent d’un virus.
  • Pas d’infection. « Expériences de contrôle ». À ce jour ni la médecine ni la « science » n’ont effectué des expériences de contrôle.
  • Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement. La réalité : Les cellules meurent de faim et d’empoisonnement

Avec l’apparemment nouveau Coronavirus 2019 chinois (rebaptisé entre-temps, 2019 — nCoV), ce processus de conclusions consensuelles ne dure que le temps de quelques clics de souris.

De la même manière avec quelques clics de souris, un programme peut créer n’importe quel virus en assemblant des molécules de petites parties d’acides nucléiques de tissu et cellules morts avec une composition biochimique déterminée, les arrangeant ainsi comme souhaité en un génotype plus long qui est ensuite déclaré être le génome complet du nouveau virus. En réalité, même cette manipulation, appelée « alignement », ne peut conduire à un matériel génétique « complet » d’un virus qui pourrait ensuite être appelé son génome.

Dans ce processus de construction théorique de « l’ADN viral », les séquences qui ne correspondent pas sont « gommées » et celles qui manquent sont ajoutées. Ainsi, est inventée une séquence ADN qui n’existe pas en réalité et qui n’a jamais été découverte et scientifiquement démontrée dans son ensemble. En un mot : À partir de petits fragments, d’une manière théorique et selon un modèle de virus ADN, un morceau plus grand est également fabriqué théoriquement, qui en réalité n’existe pas. Par exemple dans la construction « théorique » de l’ADN du virus de la rougeole avec ses petits fragments de particules cellulaires il manque plus de la moitié des séquences moléculaires qui représenteraient un virus complet. Celles-ci sont pour partie artificiellement créées par des méthodes biochimiques et les autres sont tout simplement inventées. 3

Les scientifiques chinois, qui affirment maintenant que les acides nucléiques à partir desquels le génome du nouveau Coronavirus 2019 a été construit d’une manière théorique4 proviennent de serpents venimeux, sont également les victimes de cette fausse idée planétaire actuelle, comme nous le sommes tous. Plus de « séquences ADN » sont inventées, plus ils « découvrent » de similarités avec n’importe quoi. Ces erreurs se produisent d’une manière méthodique. Une grande partie de notre travail universitaire travaille ainsi : Une théorie est inventée, on discute toujours à l’intérieur de cette théorie, ils l’appellent science et prétendent que cela représente la réalité. En réalité ça ne représente que la théorie postulée. 5

Légende du diagramme 2 ci-dessous (de gauche à droite)

Comment une séquence ADN virale est construite de manière hypothétique à partir de molécules cellulaires typiques et comment il a été prouvé durant le procès du virus de la rougeole que les « virus » ne sont que des modèles imaginaires artificiels.

  • Cellules en train de mourir. Composants typiques de cellules en train de mourir.
  • Isolation des particules spécifiques (les acides nucléiques. Un virus n’est jamais apparu ni n’a été vu dans un être humain.
  • Détermination de la composition. Les scientifiques croient que les particules cellulaires sont des morceaux d’un virus.
  • De petites particules sont ajoutées de manière théorique dans un modèle de virus. Les personnes impliquées croient que ce modèle imaginaire représente un « virus », bien que ce modèle n’a jamais été trouvé dans la vie réelle.

Les tests viraux

À cause de l’absence d’expériences de contrôle négatif, les scientifiques impliqués n’ont pas encore remarqué que tous les tests pour « virus » aboutiront à un certain nombre de « positifs », selon la sensibilité de l’étalonnage de l’équipement de dépistage. Les « templates » dont ils se servent dans les tests afin de trouver les supposés « virus » ne proviennent pas des « virus », mais plutôt du tissu, des cellules et du sérum fœtal (du sang sans les composants spécifiques) provenant d’animaux, surtout de singes et de veaux. Parce que ces animaux sont sur le plan biochimique très similaires à nous autres humains, il est clair que de telles particules, qui sont faussement interprétées comme étant des particules virales, peuvent être trouvées au moyen de « tests viraux » chez tous les humains. Certains « virus » et leurs « vaccins » — pas le « virus » de la rougeole — proviennent réellement de fœtus humains avortés. Il est spécialement très éclairant ici que tous les tests détectent des molécules qui existent dans chaque être humain et que les vaccins peuvent causer des réactions allergiques particulièrement dangereuses qui ont été appelées « maladies auto-immunes ».

Un des composants des vaccins qui est le plus contaminé et le plus impur est le sérum fœtal de bovin, sans lequel le tissu et les cellules dans le laboratoire ne peuvent pas du tout être cultivées ou ne croissent pas assez rapidement, et qui est, de la manière la plus horrible qui soit, extrait de fœtus sans anesthésie. Il contient toutes sortes de microbes connus ou inconnus, leurs spores et un très grand nombre de protéines inconnues. En plus de ces particules provenant de tissus de rein de singe, ce sont également les particules de ce sérum fœtal que les scientifiques extraient et analysent lorsqu’ils croient qu’ils réunissent un « virus », qui n’existe pas et dont on n’a jamais prouvé dans toute la littérature « scientifique » qu’il était un « virus » dans sa globalité.

Parce que les vaccins sont fabriqués exclusivement sur la base de ces substances, ceci explique pourquoi ce sont surtout les personnes vaccinées qui testent « positif » à tous ces « virus » imaginaires à partir desquels les vaccins sont fabriqués. Les tests ne réagissent qu’aux particules animales des supposés virus, aux protéines animales ou aux acides nucléiques qui sont souvent identiques ou très similaires aux protéines et acides nucléiques humains. Les tests viraux ne trouvent pas quelque chose de spécifique, certainement rien de « viral » et à cause de cela ils sont sans utilité. Néanmoins, les conséquences, comme nous l’avons vu avec Ebola, le VIH, l’Influenza, etc., c’est que les gens sont paralysés par la peur et souvent meurent à cause des traitements très dangereux auxquels ils se soumettent.

Il est à noter qu’aucun soi-disant « test viral » n’a un résultat « oui » ou « non », mais ils sont plutôt calibrés d’une manière telle qu’ils peuvent être interprétés comme « positif » seulement après qu’un niveau particulier de concentration ait été atteint. Ainsi, on peut arbitrairement tester « positif » juste quelques personnes, de nombreuses personnes, aucune personne ou toutes les personnes, et les animaux, selon le calibrage du kit de test. La dimension de toute cette illusion scientifique devient claire dès que nous comprenons que des symptômes par ailleurs tout à fait « normaux » ne sont diagnostiqués comme étant le SIDA, l’ESB (maladie de la vache folle — NdT), la grippe, la rougeole, etc. que s’il y a un test « positif » pour ces symptômes.

Des détails cruciaux

Jusqu’en 1952, les virologistes croyaient qu’un virus était une protéine ou une enzyme toxique, empoisonnant directement le corps, et qu’il (le virus — NdT) était d’une manière ou d’une autre multiplié par le corps lui-même et se propageait dans le corps tout comme entre des personnes et entre des animaux.

La médecine et la science ont abandonné cette idée en 1951, parce que le virus suspecté n’avait jamais été vu dans un microscope électronique et, par-dessus tout, aucune expérience de contrôle n’avait jamais été effectuée. Il était admis que même chez les animaux en bonne santé, les organes et tissus libéraient lors du processus de décomposition les mêmes produits de décomposition qui avaient auparavant été mal interprétés comme étant des « virus ». La virologie s’était contredite elle-même. 6

Néanmoins, lorsque la femme de Crick, dernier lauréat du Prix Nobel, dessina une double hélice et que ce dessin fut publié dans le célèbre magazine scientifique Nature comme un supposé modèle conçu scientifiquement, un battage médiatique nouveau et qui a eu beaucoup de succès commença, la soi-disant génétique moléculaire. À partir de ce moment, les causes des maladies étaient considérées comme étant dans les gènes. L’idée qu’on se faisait du virus changea et, le lendemain, un virus n’était plus une toxine, mais plutôt une séquence génétique dangereuse, un ADN dangereux, une souche virale dangereuse, etc. Cette nouvelle virologie génétique était fondée par de jeunes chimistes qui n’avaient aucune idée de la biologie et de la médecine, mais ils avaient des crédits de recherche illimités. Et ils ne savaient pas que la vieille virologie s’était déjà contredite elle-même.

Pendant plus de 2000 ans, nous avions ce dicton : pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. Depuis 1995, depuis que nous avons posé les questions sur les preuves et publié les réponses, nous pouvons ajouter : car ils ne peuvent admettre que ce qu’ils ont appris et expérimenté est faux et, plus que cela, c’est dangereux et même mortel. Parce que personne jusqu’à présent n’a compris l’ensemble du contexte et n’a eu le courage de dire la vérité, nous avons même plus d’hypothèses subsidiaires, telles que le « système immunitaire » ou « l’épigénèse », afin de maintenir ces théories fictives.

L’idée du virus est née de la logique imposée du dogme de la théorie cellulaire. Puis vint l’idée de la bactérie pathogène, des toxines bactériennes, puis des toxines virales, jusqu’à ce que cette idée ait finalement été abandonnée en 1952. À partir de 1953, l’idée de Virchow d’un poison maladie (en latin = virus) devint un virus génétique, qui à son tour donna naissance à l’idée de gènes cancéreux, puis nous avons eu « la guerre contre le cancer » fondée durant l’ère Nixon, et ensuite apparut l’idée de gènes pour tout. Néanmoins en 2000, la théorie génétique fut également réfutée, après que des données contradictoires du soi-disant génome humain furent publiées en même temps que les affirmations embarrassantes que le génome humain entier avait été cartographié, quand bien même plus de la moitié de celui-ci était complètement inventé. 7

Les gens ne sont pas au courant qu’il est très difficile pour les mondes universitaires respectifs d’admettre qu’ils étaient impliqués dans de si mauvaises idées.

Les soi-disant macrophages

Le modèle pour l’idée d’un virus génétique chez les humains, animaux et plantes, qui a commencé à se développer à partir de 1953, étaient les soi-disant mangeurs de bactéries, appelés macrophages, qui avaient attiré l’attention des scientifiques depuis 1915. À partir de 1938, lorsque les microscopes électroniques disponibles dans le commerce ont été utilisés dans la recherche, ces phages ont pu être photographiés, isolés en tant que particules entières et tous leurs composants pouvaient être déterminés biochimiquement et caractérisés. Pour les isoler, par exemple concentrer les particules et les séparer de tous les autres composants (= isolation), afin d’un seul jet les photographier immédiatement dans leur état isolé et les caractériser, ceci, néanmoins, ne s’est jamais produit avec les soi-disant virus humains, d’animaux ou de plantes parce qu’ils n’existent pas.

Les scientifiques qui cherchaient des bactéries et des phages et qui ont travaillé avec de réelles structures existantes ont fourni un modèle sur ce à quoi pouvait ressembler les virus humains d’animaux et de plantes. Néanmoins les « experts des phages » ont négligé, à cause de leur interprétation erronée des phages comme mangeurs de bactéries, le fait que le phénomène de la formation de ces particules est causé par l’extrême autofécondation des bactéries. Cet effet, par exemple la formation et la libération des phages (mangeurs de bactéries alias virus bactériens), n’existe pas avec des bactéries pures fraîchement extraites d’un organisme ou de l’environnement. Lorsque leurs nutriments sont lentement retirés ou si leurs conditions de vie deviennent impossibles, les bactéries normales, par exemple les bactéries qui ne sont pas cultivées dans un laboratoire, créent les formes de survie connues, les spores, qui peuvent survivre pendant longtemps ou même « éternellement ». À partir des spores, de nouvelles bactéries apparaissent dès que les conditions de vie s’améliorent.

Néanmoins, des bactéries ayant été isolées, lorsqu’elles ont été cultivées en laboratoire, perdent toutes leurs caractéristiques et aptitudes. Bon nombre d’entre elles ne périssent pas automatiquement au travers de cette autofécondation, mais plutôt se transforment soudainement et complètement en petites particules qui, dans la perspective de la théorie « du bon contre le méchant », ont été mal interprétées comme étant des mangeurs de bactéries. En réalité, les bactéries proviennent de ces « phages » particuliers et retournent également dans ces formes de vie lorsque les conditions de vie ne sont plus disponibles. Günther Enderlein (1872 – 1968) a exactement décrit ces processus : comment les bactéries apparaissent de structures invisibles, leur développement en des formes plus complexes et inversement. C’est pour cette raison que Enderlein n’était pas d’accord avec la théorie cellulaire, d’après laquelle la vie apparaît à partir de cellules et est organisée au niveau cellulaire. 8 Lorsque j’étais jeune étudiant, j’ai moi-même isolé une telle « structure » de phage d’une algue marine et croyais à ce moment-là avoir découvert le premier virus inoffensif, le premier « système hôte à virus ».

L’idée que les bactéries existent en tant qu’organismes viables simples, qui peuvent exister sans autre forme de vie est fausse. Sous une forme isolée, automatiquement après quelque temps elles meurent progressivement. Ceci n’est jamais venu à l’esprit des scientifiques, parce qu’après une « isolation » réussie, une partie d’entre elles (les bactéries — NdT) est congelée et peut être travaillée dans le laboratoire des décennies plus tard. L’idée de bactéries vivant en structures indépendantes qui peuvent survivre par elles-mêmes est un artéfact de laboratoire, une mauvaise interprétation.

Ainsi, l’affirmation que les bactéries sont immortelles est donc fausse. Les bactéries ne sont immortelles qu’en étant en symbiose avec un grand nombre d’autres bactéries, moisissures et probablement de nombreuses autres formes de vie inconnues qui sont difficiles à caractériser, telles que par exemple les amibes. Les amibes, bactéries et moisissures forment des spores dès que leur environnement de vie (propice à la vie — NdT) disparaît et réémergent une fois que les conditions de vie reviennent. Si on compare cela avec les êtres humains, nous avons les mêmes perspectives : Sans un environnement propice à la vie, duquel et avec lequel nous vivons, rien ne peut exister.

Néanmoins ces découvertes vont bien plus loin. Non seulement le concept des espèces tout entier se dissout, mais également l’idée et l’affirmation sur la supposée existence de la matière morte. Les observations et les conclusions sur une « matière active » vivante (comme l’appellent les physiciens) sont rejetées comme étant du vitalisme scientifique. Néanmoins il y a de nombreuses preuves que tous ces éléments, que « l’opinion dominante » en « science » ne considère pas comme vivants, proviennent et se développent en fait à partir de la membrane d’eau, par exemple la « Ursubstanz » la source primordiale de la vie. Ces éléments créent ensuite les acides nucléiques, et autour des acides nucléiques ils créent la vie biologique sous la forme d’amibes, de bactéries, de tardigrades et de formes de vie plus complexes. Nous avons deux confirmations distinctes de cette perspective. L’une d’entre elles peut être observée par chaque personne pour elle-même tout comme pour d’autres personnes, que la vie biologique dans la forme de notre corps est réellement la matérialisation des éléments d’une conscience existante. Nous pouvons les nommer et nous connaissons la manière exacte dans lesquels nos organes et le psychisme interagissent et s’influencent mutuellement à travers l’information (par exemple un seul mot qui peut soit infliger des dégâts ou résoudre un conflit), nous pouvons vérifier tous ces aspects parce qu’ils sont prédictibles. De ce fait, les trois critères de la recherche scientifique sont remplis. 11 Ces découvertes et la connaissance de la manière dont elles sont en relation les unes avec les autres nous libèrent de la peur tout comme elles nous libèrent de la mentalité « le bien contre le mal » qui induit la peur et les modèles comportementaux qui en dérivent. Ces découvertes scientifiques révélatrices clarifient également les processus de la maladie, de la guérison, de la « crise de guérison », de la guérison suspendue (alias le vieux concept de « contagion »). Virus, il est temps de partir.

Le cauchemar de la science matérialiste semble se réaliser : même la matière morte apparente est vivante, elle est vitale. Le vitalisme, d’après lequel il y a une force de vie dans chaque chose, a été contesté par les philosophes grecs Démocrite et Épicure et les partisans de leur doctrine. Leur argument principal était qu’ils voulaient châtier tout abus de la foi et en empêcher sa répétition. Leur intention était apparemment bonne, néanmoins ils ignoraient qu’en niant les concepts de conscience et d’esprit et en niant tous les niveaux de manifestation de ces forces, ils se sont transformés involontairement en destructeurs de vie et en ennemis du peuple.

Ces interprétations « le bien contre le mal » qui ont été découvertes et décrites par Silvio Gesell11 (en général) et par Ivan Illich14 (en médecine), sont en constante augmentation à cause de la soif de profits et de ses conséquences fatales. Les conséquences de la compulsion inhérente à notre système monétaire de toujours plus de croissance, de croissance permanente, qui génère des catastrophes cycliques et apporte des vainqueurs encore plus puissants et simultanément un appauvrissement et une souffrance en constante augmentation, est interprété par toutes les personnes impliquées comme preuve d’un principe du mal, parce que ces personnes ne connaissent pas les mécanismes inhérents de manière tenace et mathématiquement déterminés du système monétaire. Il apparaît que les personnes du côté des vainqueurs, qui sont éthiquement corrects, considèrent les profits générés de manière mathématiquement obligatoire comme la preuve de leur piété et de leur exceptionnalité. Ceci n’était pas seulement la base du Manichéisme (Mani était le fondateur babylonien de cette religion dont les partisans sont appelés manichéens), mais a toujours été la force d’entraînement des dangereux aspects et effets de l’industrialisation, comme Maw Weber et d’autres l’ont découvert.

La réanimation de la Virologie grâce au Lauréat du Prix Nobel John Franklin Enders.

Nous avons expliqué dans plusieurs articles de notre magazine « WissenschafftPlus » commençant en 2014, le cadre élargi de l’évolution pernicieuse de la biologie et de la médecine, le dogme indéfendable de ladite théorie cellulaire qui prétendait que le corps se développe à partir de cellules et non à partir de tissus. La théorie cellulaire de la vie, la « pathologie cellulaire », inventée par Rudolf Virchow en 1858, qui est à ce jour la base exclusive pour la biologie et la médecine, prétend que toute maladie (et également toute vie) provient d’une cellule unique, qui est d’une certaine manière prise en otage par un virus, commence à se détériorer et ensuite propage ce virus. Deux aspects cruciaux ont servi de condition préalable et de base pour l’acceptation mondiale actuelle de la pathologie cellulaire, à partir de laquelle la théorie infectieuse, les théories génétique, immunitaire et cancéreuse se sont développées.

  1. La théorie cellulaire a été mise en œuvre que parce que Rudolf Virchow a supprimé des découvertes cruciales au sujet des tissus. Les résultats et les observations en ce qui concerne la structure, la fonction et l’importance centrale des tissus dans la création et le développement de la vie, qui étaient déjà connus en 1858, réfutent sous tous ses aspects la théorie cellulaire et subséquemment les théories génétiques, immunitaires et cancéreuses qui en découlent. 16
  2. Les théories de l’infection n’ont été établies comme dogme mondial que par les politiques concrètes et l’eugénisme du Troisième Reich. Avant 1933, les scientifiques osaient contredire cette théorie ; après 1933, ces scientifiques critiques ont été réduits au silence. 17

Afin de travailler avec des « virus » et effectuer lesdites expériences infectieuses, avant que le concept de virologie ne soit abandonné en 1952, les « virologistes » étaient forcés de dissoudre et filtrer des tissus malades et putrescents. Le filtrat concentré, du moins le pensaient-ils, contenait un agent pathogène, une toxine, qui serait, pensaient-ils, constamment produite par les cellules infectées.Jusqu’en 1952, un « virus » était défini comme étant un poison pathogène sous la forme d’une protéine, qui, en tant qu’enzyme causait des dommages d’une manière inconnue, qui pouvait causer la maladie et être transmissible. Après 1953, l’année où le supposé ADN de la forme d’une hélice alpha a été publiquement annoncé, l’idée même d’un virus est devenue celle d’un génotype malveillant enveloppé dans des protéines. Ainsi, un changement de paradigme s’est produit entre 1952 et 1954 en ce qui concerne l’image d’un virus.

« Des expériences d’infection » sur des animaux ont été menées avec les fluides filtrés d’organismes putrescents ou à partir de fluides supposés contenir les protéines/enzymes qui étaient supposées représenter le virus. Les résultats avaient pour but de prouver qu’un virus était présent et causerait la maladie qui lui était attribuée. Néanmoins, ce qui n’est jamais publiquement mentionné c’est que les symptômes supposés causés par un virus chez l’humain ne pouvaient jamais être reproduits dans des expériences sur des animaux. Au lieu de cela il n’y avait toujours que des symptômes « similaires », qui étaient alors prétendus être identiques à la maladie chez l’humain. Cependant, rien de tout cela n’a jamais été prouvé scientifiquement.

À ce jour, il manque les expériences de contrôle à toutes les « expériences de l’infection », par exemple la preuve que les symptômes ne sont pas causés par le « traitement » du matériel génétique dans la soi-disant expérience de l’infection.

Afin d’exclure que ce ne sont pas les fluides du tissu malade qui causent les symptômes, il aurait fallu avoir fait une expérience identique, mais avec d’autres fluides ou avec des fluides stérilisés. Pourtant, ceci ne s’est jamais produit.

Des expériences animales extrêmement cruelles sont menées jusqu’à ce jour — par exemple dans le but de prouver la transmission de la rougeole — au cours desquelles des singes sont attachés et immobilisés dans une chambre à vide avec un tube dans leur nez, et ensuite torturés par des scientifiques qui introduisent les fluides supposés infectés par le tube dans la trachée et les poumons des singes. Exactement les mêmes dommages seraient causés avec une solution saline stérile, du sang stérilisé, du pus ou de la salive. Les symptômes induits, qui ne sont que « similaires » à la rougeole, sont alors prétendus être la rougeole.

Puisque les fluides supposément infectés sont pressés au travers d’un filtre qui supposément élimine les bactéries et qu’ils sont légèrement chauffés, les scientifiques prétendent que la souffrance et la mort des animaux de ces expériences ne peut pas être causée par des bactéries, mais plutôt par des « agents pathogènes » plus petits, les virus. Les scientifiques impliqués ignoraient le fait déjà connu à ce moment qu’il y a beaucoup plus de bactéries inconnues que celles que l’on connaît, que de nombreuses bactéries sont résistantes à la chaleur et qu’elles forment des spores qui ne peuvent pas être filtrés. Il est important de mentionner ici qu’il n’y a de toute façon pas non plus de preuve que les bactéries causent une maladie. Elles sont souvent présentes dans le processus de la maladie, tout comme les pompiers éteignant un feu. Les bactéries ne causent pas la maladie, mais participent plutôt aux processus utiles de réparation biologique. Tout comme pour les virus, la soi-disant preuve de l’apparent rôle négatif des bactéries est [représentée par] les horribles expériences animales qui sont complètement dénuées de sens puisque les expériences de contrôle sont manquantes.

Enders et la Polio

Jusqu’en 1949, les « virologistes » cultivaient leurs présumés « virus » (des protéines) en plaçant un morceau de matériel génétique putrescent, qui avait été prélevé d’un tissu supposé infecté par un virus, sur une tranche de tissu du même type. L’intensification visible du processus de putréfaction qui était transmis du tissu « malade » au tissu « sain » était mal interprétée comme prolifération et propagation du virus, du poison pathogène. À cause des expériences de contrôle effectuées pour la première fois avec des tissus sains, les virologistes ont découvert que ce qu’ils voyaient était des processus assez normaux de décomposition de tissu et non un virus qui ne serait présent que dans le tissu « malade ».

En 1949 Enders « a découvert » par chance — parce qu’il n’avait pas de tissu nerveux « sain » frais de disponible — que d’autres types de tissus commençaient également à se décomposer si un morceau de cerveau d’une personne qui venait de décéder de la polio était placé sur eux. Auparavant les virologistes avaient cru que tous les virus ne pouvaient que se propager dans le matériel génétique auxquels ils causaient des dommages. Pour la découverte présumée que les « virus » se propageaient également dans d’autres tissus, qu’ils n’endommagent pas chez les humains vivants, Enders et les autres universitaires impliqués se virent décerner le Prix Nobel de Médecine le 10 juin 1954.

À partir de là, le prétendu « virus de la polio » a été propagé en mélangeant du tissu de peau et du muscle provenant de fœtus humain avec de la substance cérébrale provenant de personnes qui étaient décédées de la « polio », induisant par là une décomposition totale. Le filtrat de cette mixture était considéré comme contenant un virus. Le célèbre Jonas Salk a adopté exactement cette idée sans nommer son inventeur. Salk utilisait le filtrat de tissu fœtal humain décomposé en tant que vaccin contre la polio, le New York Times a déclaré que le vaccin fonctionnait et serait sans danger et Salk a généré des millions de dollars avec le vaccin de la polio, sans rien partager avec l’inventeur de l’idée d’utiliser des fœtus humains en décomposition.

Pour ces raisons, Enders a travaillé dur pour développer une autre technique, pour laquelle il pouvait s’attribuer le mérite depuis le tout début. Il a choisi le deuxième domaine le plus lucratif des maladies de la théorie des germes, à savoir celle des symptômes appelés rougeole. Enders utilisa les mêmes idées et méthodes de la bactériologie (dans laquelle il avait été diplômé) et il croyait que les phages étaient les virus des bactéries.

De manière analogue à cette technique de démonstration de la manière dont les phages supposément détruisent les bactéries dans une boîte de Petri, il a développé une bande de tissu sur laquelle un fluide supposé infecté était déposé. De manière analogue à la disparition des bactéries, la disparition de la bande de tissu a été jugée être en même temps la présence du virus suspecté, la preuve de son existence, son isolation et sa propagation. Ce protocole précis est toujours appliqué de nos jours dans les cas de rougeole et, légèrement modifié, comme « preuve » de tous les virus pathogènes. 19 Cette mixture de cellules/tissu mourants ou morts est maintenant appelé un « vaccin vivant ». Si des particules individuelles provenant de tissu mort ou des molécules produites synthétiquement sont utilisées dans des vaccins, les experts l’appellent « vaccin tué » ou « vaccin inactivé ».

Enders a attribué les chiffres étonnamment élevés de décès et blessures que le vaccin de la polio Salk causait dans la population à la contamination du vaccin, c’est la raison pour laquelle il travaillait dans son laboratoire avec des tissus provenant de reins de singes et du sérum fœtal de chevaux et de veaux en gestation.

Il y a quatre différences frappantes et cruciales entre les preuves des (bactério) phages qui existent et les prétendues preuves des « virus » hypothétiques chez les humains et chez les animaux. Ces différences clarifient les fausses suppositions d’Enders, puisqu’il a complètement oublié ses doutes clairement exprimés auparavant une fois qu’il avait eu le Prix Nobel, et ainsi il a conduit tous ses collègues, et par voie de conséquence le Monde entier (voir la panique du Corona), sur la mauvaise voie… Le Monde entier, excepté un joli, mais têtu village souabe près du lac de Constance (où habite le Dr Lanka) :

  1. Les (bactério) phages ont effectivement été isolés au sens du mot « isolation » avec des méthodes standard (centrifugation en gradient de densité). Immédiatement après l’isolation ils ont été photographiés au microscope électronique, leur pureté est déterminée et leurs composants, leurs protéines et leur ADN ont été biochimiquement décrits d’une traite, dans un seul article.
  2. En ce qui concerne tous les « virus » d’humains, d’animaux ou de plantes, aucun virus n’a jamais été isolé, photographié sous une forme isolée et ses composants n’ont jamais été biochimiquement caractérisés d’une traite, à partir de « l’isolat ». En réalité il y avait au cours des années un processus de consensus, dans lequel les particules individuelles de cellules mortes étaient attribuées à un modèle de virus. Les phages servaient de modèle pour l’ensemble de ce processus d’interprétation, comme nous pouvons le voir clairement sur les premiers dessins d’un « virus ».
  3. Le tissu et les cellules utilisés pour la « preuve et la propagation » des « virus » sont préparés d’une manière très spéciale avant l’acte de la supposée « infection ». 80 % de leurs nutriments sont retirés, afin qu’ils deviennent » affamés’ et absorbent mieux les « virus ». Ils sont traités avec des antibiotiques afin d’exclure la possibilité que des bactéries, qui sont toujours et partout présentes, dans tous les tissus et dans tous les sérums, puissent causer la mort attendue des cellules. Il n’a été admis qu’en 1972 par des experts biochimistes que ces antibiotiques endommageaient et tuaient par eux-mêmes les cellules, un fait que les virologistes avaient ignoré auparavant. La « famine » et « l’empoisonnement » est ce qui tue les cellules, mais ceci était et est toujours mal interprété comme étant la présence, l’isolation, l’effet et la propagation d’hypothétiques virus.
  4. En ce qui concerne les virus, les expériences de contrôle, qui en science sont cruciales et requises, n’ont, à ce jour, pas été effectuées ; elles pourraient exclure la possibilité qu’au lieu d’un virus ce ne sont que des particules cellulaires typiques qui étaient mal interprétées comme étant un virus. En ce qui concerne l’isolation, la description biochimique et les microphotographies électroniques des phages, les expériences de contrôle ont cependant toutes été effectuées.

De ce fait les spéculations d’Enders datées du 1er juin 1954 20 sur la preuve possible d’un « agent » qui pourrait « peut-être » jouer un rôle dans la rougeole devint, après 1952, un fait apparemment « scientifique » et la base exclusive pour toute la nouvelle virologie génétique, tout cela à cause de son Prix Nobel de décembre 1954 pour le « vaccin contre la polio à base de fœtus humain ». Quelques mois après avoir reçu son prix Nobel, Enders oublia ou supprima les contradictions et les doutes qu’il avait lui-même mentionnés dans un article de 1954. Souffrant toujours à cause du plagiat commis par Jonas Salk, qui avait volé son idée pour le vaccin de la polio, Enders déclara que toutes les futures mises au point d’un vaccin contre la polio devront être basées sur sa technique (celle d’Enders).

Enders a tué lui-même ses cultures de tissus par le traitement avec des antibiotiques (sans expérience de contrôle négatif — et ceci, dans le contexte de la vaccination obligatoire, est un aspect crucial). Depuis qu’Enders a expérimenté avec des tissus d’un jeune garçon qui s’appelait David Edmonston, le premier modèle de « virus » de la rougeole (assemblé de manière hypothétique à partir de particules provenant de tissus morts) a été appelé « souche Edmonston ». Le vaccin de la rougeole, en tant que somme toxique de tous ces morceaux de tissu, est également censé contenir la « souche Edmonston ». Une partie de cette mixture contenant des tissus de singe mort et du sérum fœtal de bovin est constamment congelée puis régulièrement utilisée pour « inoculer » d’autres tissus/cellules mourant afin de créer des « virus de la rougeole » et des « vaccins vivants ».

L’importance de remporter le procès du virus de la rougeole

Les cruciaux opinions d’experts, protocoles et décisions du procès du virus de la rougeole (2012 – 2017) auxquels je vais me référer dans ce qui suit sont disponibles gratuitement sur Internet : www.wissenschafftplus.de/blog. D’autres opinions d’experts et réfutations concernant le virus de la rougeole, que la Cour n’a pas pris en compte, sont publiées dans les éditions des magazines WissenschafftPlus de 2014 à 2017.

Le contexte du procès virus de la rougeole, qui a commencé en 2011, était d’empêcher les vaccinations obligatoires programmées de la rougeole. Un ancien ministre fédéral de la Justice m’avait appelé et demandé des données scientifiques pour aider à arrêter l’introduction de la vaccination obligatoire. Un procureur principal de premier plan nous a donné l’idée d’offrir une récompense à qui apportera la preuve du « virus de la rougeole » et, dans le procès civil qui suit, d’établir sur le plan juridique qu’il n’y a pas de preuves scientifiques soutenant les affirmations que le virus de la rougeole existe et que les vaccins étaient sûrs et efficaces. Notre plan a été une réussite totale. Ceci se comprend facilement si l’on sait que l’article de John Franklin Enders et al., daté du 1er juin 1954 est devenu la seule et exclusive base de la production de vaccins à « virus vivants » de la nouvelle virologie génétique tout entière, après que la vieille virologie ne soit décédée de mort naturelle en 1951-1952.

Sachant que l’Institut Robert Koch (RKI), contrairement à ses obligations légales, n’avait pas publié un seul article sur l’existence présumée du virus de la rougeole, j’ai offert une récompense de 100 000 € pour un article scientifique du RKI contenant les preuves scientifiques de l’existence du virus de la rougeole. Un jeune docteur de Sarre me présenta six articles, mais aucun ne provenait du RKI ; les articles étaient : celui d’Enders daté du 1er juin 1954 et cinq autres basés exclusivement sur l’article d’Enders, l’un d’entre eux étant l’examen le plus exhaustif d’autres articles sur le virus de la rougeole. Dans cet « examen », ils décrivent le laborieux processus de construction du consensus qui a duré des décennies et comprenait des dilemmes tels que quelles parties des tissus morts devaient être attribués au modèle du virus de la rougeole et également comment le modèle du virus de la rougeole devait être constamment modifié.

Je répondis au jeune docteur (qui me demanda avec insistance de renoncer au (vraiment) coûteux « conflit juridique » et de lui payer immédiatement l’argent de la récompense) que dans aucune de ses six publications il n’y avait de structure virale identifiable, mais qu’il y avait plutôt des particules et structures cellulaires typiques facilement reconnaissables. Sur ce, il a déposé une plainte au tribunal local de Ravensburg, sans néanmoins présenter à la Cour les six publications. Le tribunal de Ravensburg se prononça contre moi, quand bien même les six publications n’ont jamais apparu dans les dossiers juridiques. En dehors de cela, le verdict du tribunal local de Ravensburg a eu lieu sous des circonstances plus qu’inhabituelles. 23

Lors de l’Appel devant la Haute Cour de Justice de Stuttgart le plaignant a admis devant le juge qu’il n’avait pas lu lui-même les six publications. Donc il prévoyait de me faire taire, et par là réduire au silence la réfutation centrale de la vaccination, par une « bataille juridique insipide ». Il était peut-être lui-même une victime de la fausse croyance aux virus, probablement parce qu’il faisait confiance à ses professeurs qui n’avaient aucune idée des développements erronés en médecine depuis 1858, et n’ont pas fait de recherches historiques au sujet de leurs fausses croyances, devenant ainsi simultanément coupables et victimes de leur croyance fatale dans la théorie des germes et leur confiance en la vaccination.

Il est possible que le plaignant n’ait pas lu les six publications qu’il m’a présentées, mais qu’il n’a pas présentées à la Cour. Au moins, il est clair qu’il ne les a pas regardées lui-même, parce que ce sont les seules publications du domaine entier qui comprend environ 30 000 articles techniques au sujet de « la rougeole » dans lesquelles la référence à l’existence acceptée du virus de la rougeole est faite. Néanmoins, toutes les tonnes d’autres articles, que personne n’est capable de lire jusqu’au bout, supposent « à priori » l’existence du virus de la rougeole et se réfèrent toujours à des citations de citations, qui ne sont finalement et exclusivement que basées sur de prétendues « preuves » fournies par Enders le 1er juin 1954.

Le tribunal local de Ravensburg a décidé en 2014 d’accepter la plainte du Dr Bardens et a conclu que l’argent de la récompense devait être payé même sans publication du RKI. En dehors de cela, le tribunal local de Ravensburg a décidé qu’il ne serait pas nécessaire que les preuves scientifiques de l’existence du virus de la rougeole soient publiées dans un seul article, mais que l’ensemble des 3 366 articles (la totalité de tous les articles cités dans les six publications soumises au tribunal) de 1954 à 2007 devait être accepté comme preuve.

L’expert nommé légalement, le professeur Podbielski de Rostock a donc soutenu (ou la Cour locale a ajusté sa décision d’ouverture à l’opinion de l’expert) : « Je dois formellement clarifier qu’en biologie on ne peut fournir de preuves dans le sens classique du terme comme on peut le faire en mathématiques ou en physique. En biologie, on ne peut que recueillir des indices, qui ensuite dans leur intégralité deviennent définitifs.

Fondé sur cette affirmation extrêmement scientifique découlant du manque d’arguments de Podbielski et sur son préjugé provenant des contradictions entre la réalité et les croyances auxquelles il s’était tellement attaché, quelque chose s’est produit que les scientifiques du comportement appellent « déplacement », Podbielski a inventé une excuse désespérée, à savoir que la biologie et la médecine basée sur celle-ci, tout comme les vaccinations sont en soi ascientifiques et sans preuves : Dans son opinion, seule une collection d’indices pouvait « un jour » et « d’une manière ou d’une autre » (pratiquement) devenir valide. Un aveu aussi explicite de la nature scientifique existante des biologie et médecine actuelles n’avait jamais été exprimé avec une telle clarté.

Ce qui à présent est le plus important est de faire un usage légal de toutes ces preuves de la nature scientifique de la théorie de l’infection et des politiques vaccinales qui impactent déjà nos droits constitutionnels. Nous devons faire de telle sorte qu’au 1er mars 2020, la vaccination obligatoire contre la rougeole, votée et mise en œuvre en Allemagne, tout simplement disparaisse.

Suite de cet article :

  1. Le devoir de la science d’effectuer des expériences de contrôle. Les déclarations sur le protocole données par le Professeur Podbielski lors du procès virus de la rougeole que toutes les déclarations cruciales au sujet de l’existence du virus de la rougeole et toutes les publications ultérieures, contrairement à son avis écrit d’expert, ne contiennent pas une seule expérience de contrôle.
  2. L’importance cruciale du jugement juridique de la Haute Cour de Justice de Stuttgart du 16/02/2016, Article 12 U 63/15 pour les politiques de virologie et de vaccination.
  3. Rapports et conseil sur ce qui a déjà été fait dans le but de revenir sur la loi de vaccination obligatoire de la rougeole

suivront dans la prochaine édition de WissenschafftPlus 2/2020

Liste des sources

  1. Le Prix Nobel est pour de nombreuses raisons la chose la plus embarrassante qui puisse arriver à un scientifique et à la société :

    1. Toute reconnaissance est basée sur « l’opinion dominante » respective de l’orthodoxie universitaire et ses déclarations d’exclusivité.
    2. Toutes ces reconnaissances se sont révélées être fausses après une courte période allant de plusieurs années à plusieurs décennies. De ce fait le Prix Nobel empêche l’avancement de la connaissance scientifique en transformant de simples affirmations en dogmes.
    3. Un petit nombre de personnes extrêmement élitistes ayant quitté le domaine de la réalité sont, au bout du compte, en charge de décider ce qui est de la science et ce qui ne l’est pas. Ces personnes prédéfinissent les façons et méthodes et suppriment toute connaissance qui contredit leurs points de vue. La pratique de « révision par les pair », qui est l’évaluation des articles scientifiques avant leur publication, empêche que tout élément de connaissance indésirable réfutant leurs idées et dogmes ne finisse par être publié. Pour plus d’information lire le rapport sur le Prix Nobel dans le magazine WissenschafftPlus N° 1/2017. Le rapport comprend la photo d’une sculpture montrant l’essence de ce problème et en dit plus long que tout discours.

  1. Les membres de l’association Libertas&Sanitas, dans leurs efforts d’arrêter la vaccination obligatoire, ont publié une documentation complète sur la connaissance disponible aux décideurs des autorités de santé. De cette manière il a été prouvé qu’il n’y avait en Allemagne pas de données disponibles qui mènent à la conclusion que les vaccins sont sûrs et que la vaccination ne fait courir qu’un risque minime. De plus : en Allemagne on ne recueille pas les données qui aident à vérifier si d’après les définitions de l’OMS il y a une propagation ou une épidémie de rougeole ou un arrêt à cette propagation grâce aux vaccins à ce sujet. Voir : www.libertas-sanitas.de. Je recommande également la remarquable vidéo “Raison&Logik dans la discussion sur le Priorix (Rougeole — Oreillons — Rubéole — Vaccin vivant) [2020]
  2. Ceux qui maîtrisent l’anglais réaliseront en lisant la publication suivante que la construction d’un génome viral complet est quelque chose de tout simplement purement théorique : “Séquence Génomique Complète d’un virus sauvage de la rougeole isolé durant l’épidémie du printemps 2013” que l’on peut trouver ici : https://edoc.rki.de/handle/176904/1876. L’Institut Robert Koch était impliqué dans cette recherche. Le Prof. Mankertz, co-auteur de la publication et à la tête de l’Institut National de Référence pour la Rougeole, les Oreillons et la Rubéole, a prétendu sur demande que les expériences de contrôle étaient effectuées pour cette étude dans le but d’exclure que les composants typiques des cellules étaient mal interprétés comme étant des particules virales. Néanmoins elle a refusé de publier la documentation concernant ces expériences de contrôle. Lors de l’appel (le procès en appel de Stuttgart — NdT) le Prof. Mankertz a répondu qu’elle n’avait pas les expériences de contrôle disponibles, mais qu’elle était sûre que ses collègues de Munich ont dû procéder et documenter de telles expériences. J’ai personnellement écrit à tous les auteurs et à leurs responsables de laboratoire pour leur demander les expériences de contrôle, qui sont une obligation depuis1998. Aucun n’a répondu. Les recteurs des instituts de recherche contactés n’ont pas non plus répondu à mes questions et donc la procédure d’appel n’a abouti à rien.
  3. Publication du 22.01.2020 : La recombinaison homologue au sein de la glycoprotéine de spicule du coronavirus nouvellement identifié peut stimuler la transmission croisée entre espèces de serpent à humain. Auteurs : Wei Ji, Wei Wang, Xiaofang Zhao, Junjie Zai, Xingguang Li. Visible sur le lien : https://doi.org/10.1002/jmv.25682
  4. Pour plus d’informations lire les pages 33 à 36 de l’article “Une nouvelle perspective sur la vie — Partie II.”, magazine WissenschafftPlus n° 2/2019. Dans cet article est expliqué comment presque toute forme de science académique et financée par l’État suivra automatiquement des tendances erronées. L’historien du droit et sociologue Eugen Rosenstock avait déjà montré cela en 1956, mentionnant spécifiquement la théorie de l’infection et la médecine du cancer qui étaient déjà réfutées alors.
  5. Karlheinz Lüdtke : Sur l’Histoire des débuts de la virologie. Comment s’est développée la compréhension de la nature des virus grâce aux progrès technologiques dans l’examen des agents infectieux filtrables. Réimpression N° 125 (1999) de l’‘Institut Max Planck de l’Histoire des Sciences), 89 pages.
  6. Sur la réfutation de toutes les idées antérieures sur le soi-disant matériel génétique en tant qu’édifice et fonction du plan de vie, vous pouvez vous référer à mes articles dans le magazine WissenschaftPlus. L’index pour toutes les éditions depuis 2003 est disponible sur Internet. L’article qui mérite particulièrement d’être lu est “Patrimoine Génétique et Résolution”, publié dans “DIE ZEIT” le 12 juin 2008 et qui est disponible gratuitement sur Internet. Cet article résume que le “génome” change constamment, et donc ne peut pas effectuer des choses que les scientifiques attribuent aux génomes et également que ses changements sont mal interprétés comme étant des gènes des maladies.
  7. Un bon aperçu du travail et du système de connaissances du Prof. Günther Enderlein peut être trouvé dans la thèse de doctorat écrite par le Dr. Elke Krämer, ‘Vie et Travail du Dr. Günther Enderlein (1872 — 1968)’. Publié en tant que livre en 2012 par Reichl Verlag à St Goar.
  8. Virus géants et l’Origine de la Vie). WissenschafftPlus N° 1/2014
  9. Comprendre l’Eau, Reconnaître la Vie. Eau-PI : Plus que de l’H2O énergisée. WissenschafftPlus n° 6/2018. Cette contribution peut être trouvée sur notre site web www.wissenschafftplus.de sous “Textes importants”.
  10. Voir l’introduction sur une nouvelle perspective de la vie dans les publications N°1, 2 et 3/2019 de WissenschafftPlus.
  11. Présentation complète du procès virus de la rougeole : Go Virus go, la Cour Fédérale de Justice laisse tomber la croyance aux virus. WissenschafftPlus N° 2/2017. Également libre d’accès sur Internet : wissenschafftplus.de
  12. Comme introduction aux constatations et propositions de solutions de Silvio Gesell afin d’échapper aux mécanismes autonomes du système monétaire vous pouvez lire le livre “Qui a peur de Silvio Gesell” écrit par Hermann Benjes (292 pages)
  13. Ivan Illich. La Némésis Médicale : La Critique de la Médicalisation de la Vie. 1976 et 1995
  14. Dans son livre “La Médecine peut-elle être guérie ? La corruption d’une profession”, l’auteur Seamus O’Mahony, un célèbre gastroentérologue irlandais, déforme les écrits d’Ivan Illich. Illich affirme que son diagnostic sur la perversion de la médecine a, comme “seule” cause les dynamiques internes résultant de la compulsion de faire du profit, l’industrie pharmaceutique étant un joueur de plus dans ce système. D’un autre côté O’Mahony rend responsable l’industrie pharmaceutique pour la corruption des professions médicales et conclut que la médecine ne peut pas être guérie. D’après lui, la médecine par elle-même ne serait pas capable de se débarrasser de cette perversion et seule une catastrophe humanitaire ou une guerre pourrait rendre possible une remise à plat. De cette manière il passe par-dessus la mauvaise conception qui a pris naissance en 1858 à cause de Virchow : L’incorrecte, et même à cette époque sans fondements, théorie de la pathologie cellulaire qui était le précurseur des théories de l’infection, du système immunitaire des gènes et du cancer développées plus tard, mais également fausses et dangereuses. A la page 262 de son livre, l’auteur reconnaît qu’il y avait une autre école de médecine qui comprenait la santé comme le résultat d’une vie en harmonie avec soi-même et avec son environnement, mais cette école n’avait aucune chance. Il se référait à la “psychosomatique” du Prof. Claus Bahne Bahnson et ses collègues internationaux. Ils n’ont pas fait beaucoup de progrès pourtant, empêtrés qu’ils étaient dans la fausse biochimie de la théorie cellulaire. Seul le Dr. Ryke Geerd Hamer a réussi à développer une théorie psychosomatique scientifique, complète et individualisée.
  15. Rudolf Virchow, une Stratégie du Pouvoir. Partie 1 et Partie 2. Siegfried Johan Mohr. WissenschafftPlus N° 5/2015 et N° 6/2015 sur la Développement de la Médecine et de l’Humanité, Stefan Lanka, WissenschafftPlus N° 6/2015.
  16. Annette Hinz-Wessels. L’Institut Robert Koch dans le National-Socialisme, Kulturverlag Kadmos, 192 pages, 2012. Le livre souligne que c’est seulement après que les scientifiques allemands opposés et réfutant la théorie de l’infection ont été tués, déportés ou emprisonnés, que la théorie de l’infection s’est transformée en une théorie de courant dominant acceptée dans le Monde entier.
  17. Voir la version anglaise de l’article Wikipédia au sujet de John Franklin Enders.
  18. Le Premier Virus de la Rougeole. Jeffrey P. Baker. Publié dans le magazine Pediatrics, Septembre 2011, 128 (3) 435-437 ; DOI : https://doi.org/10.1542/peds.2011-1430
  19. Propagation dans les Cultures de Tissus d’Agents Cytopathogènes de Patients ayant la Rougeole. John F. Enders et Thomas C. Peebles. Dans le magazine “Procédures de la Société pour la Biologie Expérimentale et la Médecine”, Vol. 86, n°2 du 1er juin 1954.
  20. Voir 12
  21. Protocole de l’essai du 12.03.2015 devant le Tribunal Local de Ravensburg, page 7 partie inférieure. Voir www.wissenschafftplus.de/blog/de
  22. Protocole de l’essai du 12.03.2015 devant le Tribunal Local de Ravensburg, page 7 partie haute. Voir www.wissenschafftplus.de/blog/de
  23. Peut être trouvé ici : https://lrbw.juris.de ou ici : www.wissenschafftplus.de/blog/de

Traduction Jean Bitterlin 29 juillet 2020




Nouvelle plandémie en vue ?

[Source : profession-gendarme.com]

ALERTE ❗ Marburg Arnaque Totale



[Voir aussi :
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal
L’effondrement de l’hypothèse virale
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
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87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
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La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagion
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie
Rudolph Steiner avait prévu en 1917 un vaccin qui priverait l’Homme de son âme]




Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal

[Source : cv19.fr]

Après avoir étudié la biologie moléculaire au MIT, le Dr Kaufman a obtenu son diplôme de médecine à l’université de Caroline du Sud, puis s’est spécialisé en psychiatrie au centre médical de l’université de Duke.

Des virus aux injections et aux médicaments, cette vidéo (> 1 h 20) aborde les hypothèses de base qui sous-tendent l’ensemble du récit sur le covid.



Vidéo originale (en anglais) : https://odysee.com/@AKINA:7/2021-12-16-SC6-Andrew-KAUFMAN-EN-HD4:8


[Voir aussi :

L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)

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Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
1968-2018 : la descente aux enfers !
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie


Sur la contagion

La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.


Sur la vaccination

Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Meurtre par injection

Dans « Meurtre par injection : histoire de la conspiration mondiale contre la santé », Eustace Mullins décrit, preuves à l’appui, la prise de contrôle par un groupe privé aux mains des Rockefeller de toute l’organisation de la santé aux États-Unis, depuis les facultés de médecine jusqu’aux organismes dits caritatifs, en passant par l’industrie pharmaceutique et les assurances médicales. Mais il y a pire dans ce qu’a découvert l’auteur : cette mainmise a été permise grâce à la complaisance, voire la complicité d’agents fédéraux censés œuvrer pour le bien commun et non pour les intérêts d’une petite élite financière aux visées messianiques et impérialistes.

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Citations médicales sur les vaccinations

Citations et sources bibliographiques concernant les vaccinations.

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Citations médicales sur les vaccinations

Citations et sources bibliographiques concernant les vaccinations.

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]




Covid-19 — L’art de raisonner juste sur des hypothèses fausses

[Source : https://micheldogna.fr]

[Illustration : des hypothèses fausses ne peuvent qu’entraîner des conclusions fausses.]

Par Michel Dogna

[Note de Joseph :

Syllogisme et sophisme

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond à la réalité, aux faits observables (et parfois mesurables) ou objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut être cohérente et logique ou sembler l’être de prime abord avec un regard superficiel, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel. Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ». Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ». La théorie virale relève de syllogisme, de sophisme et/ou d’illusion mentale ou intellectuelle, même si elle est presque mondialement considérée comme fondée et valable. (Voir aussi plus bas.)

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).]

Revenons début janvier 2020 à Wuhan : des gens tombent subitement morts en marchant dans la rue, d’autres meurent en quelques minutes d’une embolie pulmonaire, d’autres d’une crise cardiaque fatale… Panique !

Hypothèse officielle :

Un méchant coronavirus grippal nommé COV 19 échappé accidentellement du laboratoire P4 (haute sécurité expérimentale) de Wuhan — ceci agrémenté d’une histoire à dormir debout avec des pangolins et des chauves-souris…

Réalités associées :

  1. En décembre 2019 toute la population de Wuhan a reçu un vaccin obligatoire (déjà ARNmessager) contre la grippe, qui on le sait maintenant, a pour premier effet (confidentiellement classique) de faire chuter toutes les défenses immunitaires. Mais ce n’est pas tout, nous avons pu apprendre plus tard par la Dr Karen Kingston — ex-employée Pfizer, que ce vaccin avait été chargé d’oxyde de graphène nano – preuves à l’appui les factures du principal fabricant chinois qui attestent une très grosse vente aux grands labos à cette époque (revoir « Le grand secret de Pfizer » — news du 26 août 2021). On apprendra quelques mois plus tard par la Quinta Columna espagnole que tous les vaccins ARNm contiennent de l’oxyde de graphène qui génèrent des milliers de micro caillots sanguins. Ceux-ci ayant tendance à s’agglutiner occasionnent des thromboses subites, souvent fatales.
     
  2. 10 000 antennes relais 5G qui avaient été préalablement installées dans Wuhan ont été mises en service pile en même temps que l’alerte de l’hécatombe Corona Covid.
    Des études d’un laboratoire de recherche indépendant ont mis en évidence qu’une nouvelle fréquence porteuse 60 gigahertz de la 5G excite les atomes d’oxygène ambiant le rendant partiellement inutilisable par l’hémoglobine du sang — des pluies d’oiseaux et d’insectes morts en vol furent relatées à cette époque dans des journaux, ceci confirmant l’action asphyxiante du rayonnement 5G 60 gigahertz.
     
  3. On ne parle guère non plus de la protéine Spike des vaxx ARNm qui, à l’aide de l’hydrogel Darpa, s’invite à l’intérieur des cellules qu’elle rencontre, et embauche leur ARN pour la dupliquer à l’infini dans tout le corps — ceci endommageant gravement, voire mortellement, les réactions immunitaires face aux agressions des variants à venir. J’en reste là par souci de concision.

Arrêter de se tromper de cible

Nous avons là trois armes de destruction massive complémentaires et non répertoriées — puisqu’invisibles — qui ont permis de stigmatiser au départ le monde entier par des effets effrayants d’une soi-disant pandémie corona — car il fallait que personne ne comprenne l’origine top secret de la catastrophe. Oui il fallait un leurre, un faux drapeau pour détourner l’attention du public, et ce leurre a été le CoV 19 une simple grosse grippe que l’on a montée en mayonnaise, en interdisant tous les remèdes basiques efficaces.

Même la plupart des scientifiques s’y sont laissés prendre ! J’en suis aussi étonné que consterné, car je continue à voir encore maintenant au bout de deux ans, que parmi la plupart des « poids lourds » de la recherche et de la médecine, aucun, à part quelques rares « hors-pistes », ne relève la tête du guidon Covid/variants et ne prend en compte ce trio fatal « graphène/5G/spike ». Même chose dans la majorité des débats TV et vidéos !

On ne sort pas de ce mirage viral !!!

  • NOTA : savez-vous que tout vaxxé est sans le savoir porteur d’un identifiant détectable par un simple tél portable androïde ?

Quel est le rôle réel des 3, 4, 5e doses, dites « Boosters » ?

Nous avions vu que l’oxyde de graphène nano rend notre corps supraconducteur magnétique et électrique et en fait une excellente antenne. De son côté, la 5G sert de porteuse de télécommande pour programmer le corps (et éventuellement l’esprit) des vaxxés.
Mais nous avions vu aussi que le graphène rencontre des ennemis in situ, qui sont le L-Glutathion et possiblement les antidotes qui sont : la TM gemmo d’aiguille de pin et/ou le dioyde de chlore ClO²- – du Sanchlor. Donc, avec les semaines et les mois, les vaxxés s’appauvrissent en oxyde de graphène, ceci handicapant le contact radio de la 5G.

Considérez donc que les doses dites vaccinales anti-variants sont encore un joli mensonge — le seul but est de vous recharger en graphène pour entretenir le contact avec votre « maître » qu’est devenue la 5 G !

À titre de conclusion

  • Combien de temps va-t-on encore faire passer pour des vaccins, des soupes de Frankenstein qui ne sont faites que pour falsifier notre ARN puis notre ADN, ceci pour nous diminuer et non nous augmenter, nous blesser et non nous nous protéger, et faire des 10 % de survivants prévus « des robots » corvéables et jetables à souhait ?
     
  • Combien de temps va-t-on continuer à disserter à l’infini sur des chiffres et des statistiques contradictoires qui ne mènent qu’à des mesures de second ordre, autour d’un virus qui a vécu 70 jours comme tous les virus et qu’on n’a même jamais su isoler, ou de ses multiples variants aussi éphémères, vers un bourbier sans fin et sans solutions ?
     
  • Combien de millions de morts prématurées ou subites post vaccinales, combien de millions de grands-parents (les soi-disant inutiles), combien de millions de jeunes détruits physiquement et mentalement va-t-il falloir pour que le peuple sorte de sa torpeur disciplinée pour enfin, sans même avoir à se battre, DIRE ENSEMBLE NON A TOUT, ET ARRÊTER D’OBÉIR aux tyrans criminels ainsi qu’à leurs valets collabos profiteurs corrompus.
     
  • Rien ni personne ne peut faire quoique ce soit contre cela.
     
  • Nota : militaires, gendarmes et diverses forces de l’ordre n’attendent que cela pour se joindre au peuple et le soutenir.

[Voir aussi :

L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)


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►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

Sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

Sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Dossier 5G et ondes pulsées

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]

Meurtre par injection

Dans « Meurtre par injection : histoire de la conspiration mondiale contre la santé », Eustace Mullins décrit, preuves à l’appui, la prise de contrôle par un groupe privé aux mains des Rockefeller de toute l’organisation de la santé aux États-Unis, depuis les facultés de médecine jusqu’aux organismes dits caritatifs, en passant par l’industrie pharmaceutique et les assurances médicales. Mais il y a pire dans ce qu’a découvert l’auteur : cette mainmise a été permise grâce à la complaisance, voire la complicité d’agents fédéraux censés œuvrer pour le bien commun et non pour les intérêts d’une petite élite financière aux visées messianiques et impérialistes.

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La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité

[Source : cv19.fr (Recherches Covid-19)]

[Ndlr : de nombreux articles présentés par Nouveau Monde autour des approches alternatives à la théorie virale et à celle, plus générale, des germes proviennent du site Recherches Covid-19 qui effectue un remarquable travail de collecte d’informations dans ce domaine.]

Les docteurs Mark Bailey et John Bevan-Smith viennent de publier un article choc intitulé “La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité”.
Ils couvrent tout ce qui se cache derrière la fraude – y compris les acteurs, la PCR, la virologie, la modélisation et plus encore.


Contenus

Résumé

Première partie

L’agenda mondialiste
Le cheval de Troie
La double tromperie de la virologie
Les quatre piliers de la fraude COVID-19
Le premier pilier : L’isolement

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique
Le troisième pilier : La PCR
Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Troisième partie

En résumé
Conclusion
POST-SCRIPTUM
Crimes contre l’humanité
L’insulte finale
A propos des auteurs

Télécharger l’article au format .pdf


Résumé

Le COVID-19 est une fraude parce que son agent causal présumé, un prétendu nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2, n’a pas été prouvé comme existant dans la nature et n’a donc pas été établi comme la cause du COVID-19, la maladie et la pandémie inventées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Pour la même raison, il n’y a pas de variants du “virus”, qui n’existent que de manière hypothétique dans les ordinateurs, les banques de gènes en ligne et dans l’esprit de personnes innocentes qui ont été complètement bernées par leurs gouvernements.

La fraude du COVID-19, avec ses nombreuses allégations grotesques, ne constitue rien de moins qu’une guerre contre l’humanité menée par des organisations telles qu’Anser, Fors Marsh et Palantir qui mènent l’escroquerie par l’intermédiaire de Big Pharma, avec ses soutiens et ses complices, notamment le Forum économique mondial, la Fondation Bill et Melinda Gates, l’OMS, les conglomérats technologiques, les médias de masse, les gouvernements complices et les “pirates” du COVID tels que l’UNC Chapel Hill et l’Imperial College London, pour ne citer que quelques bénéficiaires de la fraude.

Le COVID-19 est une guerre contre l’humanité parce que les politiciens et leurs gouvernements continuent d’utiliser cette maladie imaginaire pour terroriser et emprisonner leurs citoyens, en les privant de leurs droits fondamentaux et de leurs libertés, et en violant leurs corps autrefois inviolables par des injections expérimentales et dangereuses contenant une séquence d’ARNm de protéine spike générée par ordinateur qui ordonne au corps de s’empoisonner. Ces injections infâmes, qui contiennent également des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées, affectent des millions de personnes et en tuent plusieurs milliers dans le monde entier, dont 218 Néo-Zélandais au 2 octobre 2021.[1]

Une fraude virologique est au cœur de ces crimes contre l’humanité : le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé physiquement ni démontré comme étant l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Dans cet article, les auteurs examinent le monde illusoire de la virologie pour expliquer comment un virus que personne n’a vu ni ne sait d’où il vient, dont personne ne sait ce qu’il fait ni où il va, traverse, selon les fraudeurs, les frontières et les barrières et vient vous chercher où que vous soyez. Comment se fait-il, demandent les auteurs, que cette folie fantasmagorique se soit transformée en un monde empreint de peur, dans lequel les gouvernements démocratiques ont abandonné les principes démocratiques pour s’engager dans le contrôle et la “suppression d’êtres humains”, ce qui pourrait simplement se transformer en une “variante” de la troisième guerre mondiale ?[2]


[Voir aussi :
L’effondrement de l’hypothèse virale
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey

Sur le graphène :
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
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Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
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Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
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Sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
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Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
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La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
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►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

Sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

Sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]


Première partie

L’agenda mondialiste

Ne vous méprenez pas, nous sommes actuellement assaillis par une fraude mondiale d’une telle ampleur et d’une telle malveillance qu’elle menace notre existence même telle que nous la connaissons sur cette planète.

L’escroquerie concerne un prétendu nouveau coronavirus, inventé et non découvert par la virologie, qui a permis à Bill Gates de prédire une pandémie unique en son genre, nécessitant des milliards de vaccins pour la combattre, ce qui lui permet d’augmenter considérablement les actifs du Bill and Melinda Gates Trust qui se trouve aux côtés de la Bill and Melinda Gates Foundation (BMGF).[3]

Un autre qui se préparait avec impatience au déploiement de ces ” vaccins ” de masse, qui ne sont pas des vaccins mais des armes biologiques, était Peter Daszak de EcoHealth Alliance. Comme il l’a déclaré en 2015, “nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité des MCM [Contre-mesures médicales], comme un vaccin pan-influenza ou pan-coronavirus. Les médias sont un facteur clé, et l’économie suit le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront s’ils voient des bénéfices à la fin du processus.”[4]

En septembre 2019, le Global Preparedness Monitoring Board, une création de l’OMS et de la Banque mondiale, a conseillé aux pays de se préparer à un potentiel “pathogène respiratoire mortel” en investissant dans “des vaccins et des thérapeutiques innovants, une augmentation de la capacité de fabrication, des antiviraux à large spectre et des interventions non pharmaceutiques appropriées”. [5] Ils ont également conseillé que “tous les pays doivent développer un système pour partager immédiatement les séquences génomiques de tout nouveau pathogène”.[6]

Le monde était préparé à une ” pandémie ” et le 4 décembre 2019, le Dr Anthony.
Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré que son agence ” menait et soutenait des recherches pour développer des technologies de plateforme vaccinale de pointe qui pourraient être utilisées pour développer des vaccins antigrippaux universels ainsi que pour améliorer la vitesse et l’agilité du processus de fabrication des vaccins antigrippaux “. Ces plates-formes technologiques comprennent l’ADN, l’ARN messager (ARNm), les particules de type viral, les vaccins à base de vecteurs et les nanoparticules auto-assemblées.[7] Tout était donc prêt pour libérer les technologies génétiques et les nanoparticules sur des populations sans méfiance, sous couvert d’une crise sanitaire à quelques semaines de distance. Il suffisait de remplacer la grippe, qui n’avait plus réussi à effrayer le monde depuis longtemps, par un “nouveau” coronavirus mortel imaginaire.

Les événements qui se sont déroulés au cours des 20 derniers mois auraient semblé inconcevables il y a encore deux ans, sauf dans l’esprit de personnes comme Gates et Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, qui avaient déjà imaginé de détruire la démocratie de l’intérieur par une réponse autodestructrice induite par la peur d’un tel virus. Comme Schwab l’a écrit dans La Grande Réinitialisation, semant les graines de son programme mondial : “Depuis qu’il a fait son entrée sur la scène mondiale, le COVID-19 a radicalement bouleversé la façon de gouverner les pays, de vivre avec les autres et de prendre part à l’économie mondiale. “[8] C’était une affirmation extraordinaire pour un coronavirus si “nouveau” que les séquences des protéines de pointe (spike) étaient déjà brevetées par leurs inventeurs et, dans le cas du brevet américain 7279327 B2, attribué à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, aux États-Unis, en 2007, et prétendument fourni à Moderna en novembre 2019, un mois avant que le COVID-19 ne fasse son entrée sur la scène mondiale à Wuhan.[9] C’est la chanson que Schwab aime chanter avec Thierry Malleret : ” La crise mondiale déclenchée par la pandémie de coronavirus n’a pas de parallèle dans l’histoire moderne. Nous ne pouvons pas être accusés d’hyperbole lorsque nous disons qu’elle plonge notre monde dans son ensemble et chacun d’entre nous individuellement dans les moments les plus difficiles que nous ayons connus depuis des générations. C’est un moment décisif pour nous – nous aurons à faire face à ses retombées pendant des années, et beaucoup de choses changeront à jamais”.[10] La choriste mondialiste, ancienne Premier ministre néo-zélandaise, Helen Clark, coprésidente du Groupe indépendant de l’OMS pour la préparation et la réponse à la pandémie, reprend le même refrain hyperbolique : “En moins d’un an et demi, le COVID-19 a infecté au moins 150 millions de personnes et en a tué plus de trois millions. Il s’agit de la pire crise sanitaire et socio-économique combinée de mémoire d’homme, et d’une catastrophe à tous les niveaux… Le COVID-19 est le Tchernobyl du XXIe siècle – non pas parce qu’une épidémie est comparable à un accident nucléaire, mais parce qu’il a montré si clairement la gravité de la menace qui pèse sur notre santé et notre bien-être. Elle a provoqué une crise si profonde et si étendue que les présidents, les premiers ministres et les responsables d’organismes internationaux et régionaux doivent maintenant accepter d’urgence leur responsabilité de transformer la manière dont le monde se prépare et réagit aux menaces sanitaires mondiales.”[11]

Ces affirmations absurdes et non fondées des mondialistes constituent une source de peur sur laquelle s’appuient les entreprises pharmaceutiques telles que Pfizer pour soutirer de vastes sommes d’argent aux États-nations qui vendent leur peuple pour une bouchée de pain. Cette pratique d’extorsion est à la base de l’accord de fabrication et de distribution qui a fait l’objet d’une fuite entre Pfizer et l’Albanie, en vertu duquel la première exigeait de la seconde qu’elle accepte que le “vaccin” Pfizer soit soumis à des “risques et incertitudes significatifs”, qu’il “puisse ne pas réussir pour” un large éventail de raisons, et que Pfizer n’ait “aucune responsabilité pour tout échec … dans le développement ou l’obtention de l’autorisation du produit conformément aux dates estimées décrites dans cet accord.[12]

Derrière les “leurres”, comme David Martin décrit les principaux acteurs pharmaceutiques – Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, Merck Ridgeback, Gilead Sciences – se trouvent les criminels parrainés par l’État, les “corsaires” : Anser, “le plus grand contractant de toute la campagne terroriste COVID”, qui gère l’opération Warp Speed ; Fors Marsh, l’agence qui a créé le label COVID-19 et qui est chargée de veiller à ce que le message COVID-19 soit le même dans le monde entier ; Palantir, de Peter Thiels, qui vous suit par téléphone où que vous soyez grâce à Gotham Data Tracking ; et Publicis Sapient, qui coordonne toutes les données COVID-19 et dit au monde entier combien il y a de cas COVID, bien qu’il n’y ait pas de cas COVID à compter.[13] Puis il y a les pirates, parmi lesquels on peut compter : Ralph Baric et son Chimera Laboratory à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, qui a reçu plus de 100 millions de dollars depuis 1999 pour transformer en armes les particules du coronavirus, dont 28 millions de dollars du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci pour transformer en armes la protéine spike ; Vanderbilt ; Emory ; Johns Hopkins University ; University of California System ; Massachusetts Institute of Technology ; New York University Langone ; German Centre for Infection Research ; Imperial College London ; Institute for Health Metrics and Evaluation ; et Erasmus.[14]

Le bouton “go” a été poussé sur cette fraude mondialiste lorsqu’un ouvrier de 41 ans s’est présenté à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec des symptômes indiscernables des autres maladies respiratoires courantes parmi les 11 millions de résidents qui subissent une pollution asphyxiante dans la capitale de la province chinoise du Hubei. Le génome d’un virus que personne n’avait vu, et encore moins isolé et purifié, a été publié début janvier 2020, rebaptisé SRAS-CoV-2 par le Comité international de taxonomie des virus le 11 février, le jour même où le chef d’orchestre de la fraude, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus (Tedros), a annoncé son compagnon conséquent : “nous avons maintenant un nom pour la maladie : COVID-19. Je vais l’épeler : C-O-V-I-D trait d’union 1 9 – COVID-19”.[15]

À la fin du mois de mars 2020, la démocratie était à genoux, le peuple en tant que peuple exclu de la vie publique, emprisonné dans ses foyers. Les camps d’exclusion étaient désormais nos maisons. Et puis l’impensable : les politiciens ont annoncé qu’ils allaient inoculer à leurs populations des injections génétiques codées hautement expérimentales, jamais utilisées auparavant sur des humains, et dont les essais cliniques, déjà tronqués et grotesques, devaient encore durer des années.[16] Nos représentants élus n’ont pas pris la peine de nous le dire. Ils ne nous ont pas dit non plus que ceux qui semblaient tolérer l’inoculation initiale pouvaient transporter dans leur corps des bombes à retardement de maladies neurodégénératives et auto-immunes potentielles ainsi que des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées.[17]

Le cheval de Troie

Tout tourne autour de ces deux concepts : absence et présence. De quoi est fait le SARS-CoV-2 : d’absence ou de présence ? Telle est la question que nous devons trancher. Car sans la présence instanciée du SARS-CoV-2, il n’y a pas de cas de COVID-19 à compter, et donc pas de motif ou de justification pour la réponse d’un gouvernement à une pandémie fantôme.

Cet assaut contre l’humanité s’appuie sur un cheval de Troie pour introduire la tromperie dans nos esprits et nos corps, rendant possible la réalisation de l’agenda mondialiste d’un réseau de contrôle de la population dans le but ultime apparent de contrôler les populations de toutes les manières possibles.[18]

Alors que les débats se poursuivent dans le monde entier sur les origines du COVID-19, le nombre de cas les plus récents, sa létalité et l’efficacité des prétendus vaccins, les participants à ces débats semblent tenir pour acquis qu’un virus existe réellement. La grande majorité du public et du corps médical ignore que le cheval de Troie est la virologie moderne et ses méthodes antiscientifiques qui affirment l’existence de virus tels que le SARS-CoV-2. La plupart seraient surpris d’apprendre que le “virus” n’a jamais été trouvé à l’intérieur d’un seul être humain et qu’il n’a jamais été démontré qu’il était la cause d’une quelconque maladie.

La double tromperie de la virologie

Le crime contre l’humanité COVID-19 exige l’absence de ce virus. Il n’existe donc aucune référence matérielle permettant de recouper le génome fictif, afin d’établir, par exemple, si les prétendues protéines du SARS-CoV-2 proviennent spécifiquement du prétendu virus.

Ce tour illusoire repose sur la double tromperie de la virologie : (a) la substitution de la signification du dictionnaire et du postulat scientifique du substantif “isolement” par son contraire ; et (b) la substitution de la fausse procuration consistant à induire des effets cytopathiques (CPE) en inoculant des lignées cellulaires typiquement anormales in vitro par la procuration postulée consistant à infecter un hôte sain ou non malade in vivo pour établir la causalité entre le pathogène supposé et la maladie. Cependant, même l’utilisation de lignées cellulaires “normales” ne permettrait pas d’établir la causalité selon les postulats de Koch ou tout autre postulat scientifique, puisqu’il s’agit simplement d’observations en éprouvette impliquant des virus présumés.

Cette double tromperie constitue une violation des postulats sur lesquels la communauté scientifique s’appuie depuis longtemps. Cette absence physique fait du SARS-CoV-2 une fraude sans faille, que les virologues financés par l’industrie applaudissent et que le complexe médico-pharmaceutique exploite et récompense. Cet art noir est si obscur et son langage si ardu que peu de gens dans le grand public s’arrêteraient pour le remettre en question. Même Stephen Bustin, expert en réaction en chaîne par polymérase (PCR) et créateur des protocoles MIQE conçus pour dompter le “Far West” de la RT-PCR, se laisse prendre à cette fraude virologique, comme il l’a révélé dans son interview avec Eric Coppolino :

Eric Coppolino (EFC) : Mais il y a deux définitions différentes de l’isolement qui circulent. L’une est que vous le séparez de tout le reste, et l’autre est que vous le mettez dans un bouillon et vous le trouvez.
Stephen Bustin (SB) : Oui. Eh bien, ce n’est pas vraiment mon domaine d’expertise. En ce qui me concerne, j’ai lu les articles et si c’est la façon standard d’isoler un pathogène, alors je n’ai aucun problème avec cela.
EFC : Eh bien, c’est la façon actuelle qui est utilisée, je dirais, que l’idée d’une véritable purification vous le séparez dans une centrifugeuse, et vous savez que vous avez un échantillon de seulement cela. Et c’est ce qui est séquencé et utilisé pour amorcer la PCR. Il ne semble pas que ce soit ce qui se passe…
SB : Eh bien, la façon dont la séquence a été établie, en prenant les échantillons du patient original, en cultivant quelque chose, puis en le séquençant, puis en désassemblant la séquence, et ce qui en est ressorti, c’est le virus du SRAS.[19] Qui ressemblait alors de très près à un virus du SRAS de chauve-souris. Et qui était évidemment différent. Donc, ça… Eh bien, vous savez, c’est une façon standard de faire les choses, donc je ne peux pas vraiment faire d’autres commentaires à ce sujet, sauf que pour moi, c’est parfaitement acceptable et c’est la façon de faire.[20]

Les quatre piliers de la fraude COVID-19

Si p, alors q ; maintenant q est vrai ; donc p est vrai. Par exemple : “Si les porcs ont des ailes, alors certains animaux ailés sont bons à manger ; maintenant certains animaux ailés sont bons à manger ; donc les porcs ont des ailes. Cette forme de déduction est appelée méthode scientifique. “[21] Bertrand Russell, 1946

La fraude mondiale COVID-19 repose sur quatre piliers, tous interdépendants.

Le premier pilier : L’isolement

La théorie des virus pathogènes remonte au XIXe siècle et les virologues ont passé la première moitié du XXe siècle à essayer d’extraire ces virus présumés directement d’hôtes vivants. Les échecs répétés les ont amenés à changer de cap dans les années 1950 afin de conserver une quelconque crédibilité. Les virologues devaient fournir quelque chose à montrer à leurs investisseurs potentiels, y compris à l’industrie pharmaceutique en plein essor qui s’impatientait de développer des vaccins et des traitements antimicrobiens.

En 1954, des scientifiques ont rapporté qu’ils avaient des preuves de la présence du virus de la rougeole en se basant sur l’observation qu’un échantillon provenant d’un patient atteint de la rougeole avait tué certaines cellules dans un tube à essai. Ces phénomènes sont connus sous le nom d’”effets cytopathiques”.[22] Les auteurs ont admis que “bien qu’il n’y ait aucune raison de conclure que les facteurs in vivo [chez l’homme] sont les mêmes que ceux qui sous-tendent la formation de cellules géantes et les perturbations nucléaires in vitro [dans le tube à essai], l’apparition de ces phénomènes … pourrait être associée au virus de la rougeole. “[23]

L’apparition du CPE (effet cytopathique) est à la base des allégations frauduleuses d’isolement et de pathogénicité de la virologie moderne : un échantillon (par exemple, un écouvillon nasal) est prélevé sur un patient et mélangé à des cellules dans un tube à essai, les cellules meurent et l’on déclare qu’un virus a été “isolé”. Ce que les virologues ne veulent pas que vous sachiez, c’est que les mêmes résultats peuvent être obtenus sans ajouter de prétendus échantillons de virus dans le tube à essai – en d’autres termes, c’est le processus lui-même, la privation de nourriture de la cellule et l’ajout de diverses substances toxiques telles que des antibiotiques et des antifongiques, qui provoquent la réaction et la mort des lignées cellulaires déjà anormales, sans qu’aucun virus ne soit nécessaire. (Des photographies d’infections “factices” sont parfois fournies, mais les détails de ces expériences se distinguent par leur absence).

Il y a, bien sûr, les images de ce qu’on prétend être le virus à l’origine de tous nos problèmes. Cependant, ces images 3D colorées ne sont rien d’autre que des images générées par ordinateur constituant une représentation artistique.[24] Elles ont été utilisées par les médias du monde entier pour alimenter l’imagination du public sur l’existence d’un minuscule microbe ressemblant à une mine marine qui pourrait le frapper et le couler à tout moment. Quant aux images de micrographie électronique mises en avant dans les publications scientifiques, elles montrent simplement des nanoparticules dans et autour de cellules de culture, comme décrit dans les expériences de laboratoire ci-dessus.

Schéma 1. ” Effets cytopathiques – aucun virus requis”[25]

Elles sont censées être les virus du SARS-CoV-2 sur la base de déclarations arbitraires. Par définition, un virus est une particule infectieuse qui peut provoquer une maladie chez un hôte vivant. Aucune de ces propriétés essentielles n’a été démontrée dans les expériences virologiques décrivant l’isolement et la pathogénicité prétendus.

Les virologues ont passé des décennies à tenter de le faire sans succès et, au lieu d’admettre qu’il pouvait y avoir un problème avec la théorie des virus, ils ont simplement changé le sens du mot. C’est un état de fait scandaleux. Le monde est actuellement pris en otage parce que les virologues n’isolent pas réellement les virus, ils se contentent de dire qu’ils le font, et ne semblent pas s’inquiéter du fait que l’assaut actuel contre l’humanité repose sur cette fraude scientifique évidente.

La première fraude, fondamentale, consiste à affirmer que le virus a été isolé et qu’il est l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Si cette affirmation (toujours non fondée) n’était pas acceptée, la fraude du COVID-19 imploserait, tout comme la “pandémie du siècle” de Gates. En d’autres termes, la fraude de l’isolement repose sur la violation du sens accepté pour tromper, alors que, par exemple, un “isolat” n’a pas plus été isolé que de simples pensées. Cela met en place un discours circulaire vicieux auquel il est impossible d’échapper : la prémisse de l’existence est établie par le mensonge, et par son insistance absolue, l’existence du virus est “confirmée” de manière concluante et répétée. La virologie se nourrit de cette insistance, car sans elle, il n’y a pas de virus, pas de virologie, pas de “tests” PCR “positifs”, et plus d’emplois pour les virologues qui inventent des virus que Big Pharma combat avec des “vaccins” miraculeux. C’est également la raison pour laquelle les idées qui vont à l’encontre de ce récit sont censurées par le gouvernement et par les grands médias, et pourquoi les agences de sécurité de ce pays terrorisent les personnes qu’elles prétendent protéger, en leur imposant la fraude virologique sur laquelle repose toute la mascarade. L’ensemble de l’appareil d’État est actuellement dédié à cette cause.

Fan Wu et al.[26]

Plutôt que de recourir à la méthode largement utilisée par les virologues pour affirmer l’isolement et la pathogénicité par l’induction de CPE (effet cytopathique), Fan Wu et al, les premiers inventeurs du génome du SARS-CoV-2, ont envoyé l’échantillon extrait du liquide pulmonaire du patient directement au séquençage pour deux plateformes d’assemblage de novo afin de rechercher de courts fragments génétiques ou “reads”.[27] Il est important de noter que les échantillons envoyés pour le séquençage n’étaient pas des virus physiquement isolés mais des échantillons bruts contenant des millions de fragments génétiques uniques provenant du patient lui-même, d’innombrables microbes, et même de l’air que le patient avait respiré sur le chemin de l’hôpital. Plus de 56,5 millions de “reads” ont été produites à partir de cette “soupe” génétique et assemblées pour créer 384 096 contigs (longues séquences génétiques) sur Megahit, et 1,32 million de contigs sur Trinity.[28] Peut-être avec une prédisposition à prouver leur canular infondé selon lequel il existe “la capacité continue de la propagation virale de l’animal à causer une maladie grave chez les humains”, Fan Wu et al. ont choisi la plus longue (30 474 nucléotides) qui, selon eux, avait une identité de nucléotides de 89,1 % avec le génome in silico du coronavirus de la chauve-souris (SL-CoVZC45) inventé en 2018.[29] Ainsi, un “génome” aussi proche génétiquement qu’un humain l’est d’un chat domestique abyssinien est devenu le modèle utilisé pour la conception d’amorces pour la méthode RT-PCR afin de soi-disant détecter un virus dont l’existence n’avait pas été démontrée.[30] Par la suite, il a été décidé que le génome avait besoin d’un couper-coller, peut-être pour le faire paraître encore plus proche des 29 802 nucléotides du modèle de chauve-souris SL-CoVZC45 et il a été réduit à 29 875 nucléotides dans la version suivante sur GenBank.[31] Mais les artistes n’en avaient pas fini avec leur création et un troisième et dernier modèle a été dessiné avec une séquence terminale complètement différente comportant 23 bases adénines consécutives, ce qui ressemblait davantage au modèle de chauve-souris qui comportait 26 bases adénines consécutives en queue.[32] On ne sait pas très bien comment les virologues ont pu savoir quel “génome” choisir alors que toutes les options étaient des constructions informatiques hypothétiques. Il devient donc rapidement évident que l’anti-science de la virologie et la perversion du mot “isolement” sont non seulement délirantes mais aussi très trompeuses et qu’elles ne peuvent servir de base à quoi que ce soit, et encore moins à la santé et au bien-être de populations entières.

Un an plus tard, le Dr Wu Zunyou, du CDC chinois, dans une interview avec Janis Mackey-Frayer, déclarait que l’isolement n’avait jamais eu lieu : “Ils n’ont pas isolé le virus”, a-t-il déclaré. “C’est la question [pourquoi aucune donnée n’a été partagée]. Je ne soupçonne pas que cela provienne de ce à quoi nous pensions au départ.”[33]

Cette fraude fondatrice a été récompensée par des subventions en 2020 d’un montant total de 900 000 dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates accordées aux deux institutions auxquelles 14 des 19 coauteurs de la fraude étaient affiliés : L’Université Fudan a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-006277 ” pour soutenir l’étude épidémiologique et identifier les risques élevés d’infection par le COVID-19, ce qui contribuera à la stratégie d’intervention de santé publique nationale et internationale et au développement de produits “, pour un montant total de 300 000 dollars ; et le China CDC a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-005832 ” pour soutenir la réponse d’urgence et l’évaluation, et préparer la Chine à la pandémie potentielle, ce qui contribuera non seulement à contrôler et à contenir la maladie, mais aussi à apporter l’expérience de la Chine à la santé mondiale “, pour un montant total de 600 000 dollars.[34]

Peng Zhou et al.

Des méthodes pseudo-scientifiques similaires et la même fausse revendication d’isolement se retrouvent dans l’article de Peng Zhou et al. reçu par Nature 13 jours après celui de Fan Wu et al. mais publié en ligne dans le même volume, 579, le même jour, le 3 février 2020.[35] Ces auteurs revendiquent également l’isolement réussi de ce qu’ils appellent “2019-nCoV BetaCoV/Wuhan/WIVO4/2019” (EPI_ISL_402124) mais sur la base des CPE (effets cytopathiques) qu’ils ont observés dans trois lignées cellulaires.[36] Cependant, il s’agit de substituts illégitimes de l’infection postulée d’un animal ou d’un hôte sain (non malade). Les trois lignées cellulaires utilisées étaient les suivantes : Les cellules Vero E6 (aneuploïdes) dérivées du rein d’un singe vert africain ; Huh7, une lignée cellulaire d’hépatocytes humains prélevée sur une tumeur du foie en 1982 et cultivée par la suite ; et les cellules HeLa humaines dérivées d’une femme humaine en 1951 souffrant d’un carcinome cervical et cultivées par la suite.[37] Aucune de ces lignées cellulaires ne répond au critère postulé d’un hôte sain avec lequel on peut tester la pathogénicité, mais elles sont privilégiées car elles produisent les effets recherchés, c’est-à-dire un effet cytopathique et l’apparition de vésicules extracellulaires. Aux lignées cellulaires ont été ajoutés, entre autres, des sels inorganiques, du sérum bovin fœtal pour nourrir les cellules, et un ensemble d’éléments cytotoxiques tels que l’amphotéricine B – un antifongique, la trypsine – qui hydrolyse les protéines, la pénicilline – un antibiotique, la streptomycine – un autre antibiotique, le glutaraldéhyde – un désinfectant et un fixateur, le tétroxyde d’osmium – un agent oxydant à toxicité aiguë, et la résine époxy – pour créer un substrat solide pour le découpage en tranches ultrafines.[38] Bizarrement, en se basant sur le fait qu’un ARN de provenance inconnue faisait partie de la culture dans laquelle de nombreuses cellules sont mortes à la suite d’une famine induite et d’un stress avec des ingrédients cytotoxiques, les auteurs ont affirmé qu’ils avaient réussi à isoler leur virus, 2019-nCoV BetaCov, et non que le cocktail d’ingrédients cytotoxiques avait décimé leurs lignées cellulaires anormales.

En bref, Peng Zhou et al. n’ont rempli aucun des postulats permettant d’identifier le virus ou de confirmer qu’il est à l’origine d’une quelconque maladie. Le prétendu virus n’avait même pas été physiquement isolé et purifié pour une caractérisation biochimique et restait donc entièrement théorique.

Cela n’a apparemment pas inquiété la Fondation Bill et Melinda Gates, la fondation qui fournit à l’Académie chinoise des sciences, à laquelle 24 des 27 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19, sous le numéro INV-006377, d’un montant total de 359 820 USD, dans le but suivant : “Soutenir le développement d’une plateforme d’essais pour la sélection de médicaments et de vaccins sous-unitaires contre le coronavirus, qui contribuera à l’innovation de produits pour le contrôle de la pandémie de COVID-19”.[39]

Na Zhu et al.

Publiés dans The New England Journal of Medicine le 20 février 2020, Na Zhu et ses collaborateurs décrivent leur étude des échantillons des voies respiratoires inférieures, y compris le liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA), prélevés chez quatre patients atteints de pneumonie de cause inconnue, qui s’étaient tous rendus au Huanan Seafood Market de Wuhan peu avant leur tableau clinique.[40]

Bien qu’ils affirment avoir isolé le virus, il est clair que les auteurs n’entendent pas le terme “isolement” dans le sens du dictionnaire et du principe, mais dans le sens antonymique de la virologie et dans celui de la substitution de cellules hôtes malades à des cellules non malades pour établir la causalité entre un prétendu virus et la maladie du patient.[41] Dans ce cas, le surnageant centrifugé à partir du LBA du patient “a été inoculé sur des cellules épithéliales humaines… réséquées à partir de patients subissant une chirurgie pour un cancer du poumon”, bien que prétendument exemptes d’agents pathogènes.[42] En tout état de cause, des cellules cancéreuses seraient présentes dans ces cellules et, comme elles ont l’habitude de le faire, ces cellules produiraient une abondance d’exosomes, qui seraient visibles par le biais de la microscopie électronique à transmission.[43] Contrairement à Fan Wu et al et Peng Zhou et al, Na Zhu et al ont bien produit des images de ce qu’ils ont décrit comme des “particules de 2019-nCoV” mais sans aucune vérification de leur composition biochimique à partir d’un spécimen purifié.[44] Il est tout simplement impossible d’établir, à partir des images proposées, que les particules sont des virus (c’est-à-dire infectieux et pathogènes) ou qu’elles contiennent le prétendu génome du SARS-CoV-2.

Pourtant, malgré cette double tromperie qui hante la virologie, les virologues s’accrochent à leurs convictions et à leur métier. Car comme le disent Na Zhu et al : “Bien que notre étude ne réponde pas aux postulats de Koch, nos analyses fournissent des preuves de l’implication du 2019-nCoV dans l’épidémie de Wuhan.”[45] La base de cette affirmation semble être que les auteurs ont placé des pointes en forme de flèche sur des vésicules extracellulaires de composition inconnue et les ont baptisées “2019-nCoV”.

L’implication et la composition inconnue étaient toutefois suffisantes pour la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a accordé à l’Institut national de contrôle et de prévention des maladies virales, auquel 13 des 18 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19 sous le numéro INV-019121 pour un montant de 71 700 dollars US “pour aider le CDC chinois à évaluer la qualité des réactifs de diagnostic sérologique du COVID-19 en Chine et fournir des preuves de l’utilisation scientifique des réactifs dans le diagnostic clinique et l’enquête épidémiologique”.[46]

Leon Caly et al.

Leon Caly et al. ont produit leur propre version sous le titre “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia” (isolement et partage rapide du nouveau coronavirus de 2019 (SRAS-CoV-2) chez le premier patient diagnostiqué avec COVID-19 en Australie) lorsqu’ils ont fait état d’un homme de 58 ans originaire de Wuhan qui s’est “senti mal” à son arrivée à Melbourne le 19 janvier 2020.[47]

Lorsqu’ils ont affirmé que les cellules Vero “présentaient des vésicules liées à la membrane cytoplasmique contenant des particules de coronavirus”, Caly et al. n’ont pas pu trouver de “virions” avec la prétendue protéine spike, ils ont donc ajouté de la trypsine au milieu de culture cellulaire, et avant qu’ils aient pu dire “Jack Robinson”, la trypsine, dont la fonction est de digérer les protéines, avait englouti la couche protéique externe d’un “virion” sphérique de 100 nm pour révéler “la frange caractéristique en forme de couronne des protéines spike”, ce qui, ajoutent-ils sans la moindre ironie, “a immédiatement amélioré la morphologie du virion”.[48] En d’autres termes, lorsque les exosomes ne ressemblaient pas au virus qu’ils souhaitaient, ils leur ont donné un petit coup de pouce trypsinisé. Les prétendus virions n’ayant pas été purifiés, leur composition biochimique n’a pas pu être établie : le “génome” proposé a en fait été constitué après avoir généré “environ 30 000 000 de “reads”” à partir du mélange de cultures de tissus.[49] Comme pour tous les autres articles de cette nature, aucune explication n’a été fournie quant à la manière dont ces particules seraient à l’origine de maladies ou si ces mêmes particules existent dans l’organisme humain. Là encore, on ne peut parler que de vésicules extracellulaires de signification inconnue, produites à partir de cellules rénales anormales de singe dans une éprouvette. Le problème supplémentaire de savoir si les images de micrographie électronique de tissus préparés in vitro ressemblent même à celles de cellules vivantes dépasse le cadre de cet essai.

Il n’est pas nécessaire d’en dire plus sur les folies de cet article et sur les absurdités virologiques qui le sous-tendent, si ce n’est pour ajouter que le ministère néo-zélandais de la santé (MOH) déclare qu’il s’agit d’un exemple “d’isolement et de culture du virus en laboratoire”.[50]

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique

Cette tragédie mondiale a été en grande partie rendue possible par le déclin de la science ” – l’étude systématique de la nature et du comportement de l’univers matériel et physique, basée sur l’observation, l’expérience et la mesure ” – vers le scientisme, “l’application non critique des méthodes scientifiques à des domaines d’étude inappropriés “.[51] Cela est devenu un système de croyance sécularisé dont l’autorité repose sur sa propre performativité et sur la présupposition d’une préexistence phénoménologique dans laquelle les suppositions et les hypothèses sont considérées comme concluantes et les abstractions sont traitées comme des répliques du réel.

Le deuxième pilier de la fraude COVID-19 est celui du séquençage génomique.

Les virologues prétendent avoir établi la structure génétique complète de virus tels que le ” SARS-CoV-2 ” et l’avoir téléchargée dans des banques de données, comme Fan Wu, Peng Zhou, Na Zhu, Leon Caly et leurs équipes l’ont fait au début de 2020, et comme beaucoup l’ont fait depuis. Là encore, ils affirment avoir un “isolat” du virus, mais cette déclaration est faite après avoir “construit” le génome à partir de leur mélange contenant des fragments génétiques de provenance inconnue. Dans le cas de Fan Wu et al, bien qu’il n’y ait pas de chauves-souris en vente dans le marché couvert de fruits de mer où le patient travaillait, et bien que les auteurs n’aient pas été en mesure de confirmer un hôte intermédiaire ou un réservoir pour leur virus, ils ont néanmoins choisi in silico (par ordinateur) un autre coronavirus de chauve-souris comme modèle pour créer WH-Human 1 (SARS.-CoV-2).[52] Tout cela, sans doute, fait partie intégrante du besoin de validation scientifique de la virologie, qui s’exprime dans sa quête depuis 20 ans de l’eldorado des chauves-souris où, selon elle, se trouvent tous les trésors du monde en matière de coronavirus.[53] En attendant, elle continue d’inventer des virus pour nourrir Big Pharma et se maintenir à flot.

Le processus utilisé par la virologie pour prétendre à “l’isolement” peut être résumé comme suit. À partir de la “soupe” biologique prélevée dans les poumons ou les écouvillons nasaux des patients, qui contient toutes sortes de matériel provenant du sujet humain, d’innombrables microbes commensaux et de contaminants potentiels, les plates-formes d’assemblage de novo recherchent de courts fragments génétiques. Après avoir trouvé des millions de fragments uniques dans le mélange, ces logiciels assemblent un “génome” (un long morceau) en fonction des paramètres définis dans le programme. En cours de route, il y a un peu de couper-coller et si des morceaux sont “manquants”, d’autres modèles prêts à l’emploi peuvent être ajoutés pour combler les lacunes. Cependant, les algorithmes, les modèles de probabilité et les sélections arbitraires créés par l’homme ne peuvent pas répondre par “oui” ou par “non” à la question de son existence physique dans la nature, notamment parce que tout “génome” de coronavirus utilisé comme modèle dans sa production sera également propositionnel, la méthodologie n’offrant aucun lien confirmable avec l’univers matériel ou physique, faisant du nouveau membre du genre Coronavirus un simple produit supplémentaire des processus sui-référentiels de la virologie.

Une analogie pour ces processus serait que vous trouviez un million de cartes sur le sol, chacune avec des phrases partielles. Vous commencez à les arranger pour en faire des phrases complètes, puis finalement une histoire. Si certaines parties ne correspondent pas, vous les jetez, et si des parties semblent manquer, vous empruntez un paragraphe d’une autre histoire. Mais comment savoir s’il s’agit d’une histoire existante et non d’une invention de votre part ? Et pourquoi n’y aurait-il pas dix petites histoires, ou pas d’histoire du tout ? En bref, vous ne pouvez pas prétendre connaître l’histoire si vous n’avez pas accès à l’histoire complète avant de commencer. Et c’est là que réside la tromperie de la virologie – les virologues ne travaillent pas avec un génome complet parce qu’ils ne travaillent pas avec un virus complet. Ils travaillent avec des morceaux aléatoires de matériel biologique et nous disent ensuite que cela constitue la preuve d’un virus. Cependant, ceux d’entre nous qui examinent attentivement leurs expériences peuvent voir qu’il y a un problème : il n’y a aucune preuve matérielle d’un quelconque virus.

En effet, ce que l’on ne dit pas au public, c’est qu’aucun virus appelé SARS-CoV-2 n’a jamais été réellement isolé et purifié en tant que structure unique. Ce qui se passe, c’est simplement le séquençage à l’aveugle d’échantillons bruts qui contiennent des fragments génétiques de provenance inconnue. Par conséquent, il n’existe aucune preuve, pas même la plus vague garantie, que le “génome” in silico qui en résulte existe dans la nature ou a quelque chose à voir avec un “virus”. De cette façon, cependant, l’invention du “virus” est présentée comme une découverte, son faux statut étant assuré rétroactivement par l’acte de dénotation par lequel sa dénomination prétend à son existence antérieure et à sa pathogénicité.

Qu’un génome hypothétique fictif inventé par une telle anti-science soit au cœur de cet assaut contre l’humanité est un scandale scientifique et éthique. C’est cette fausse science qui a mis le monde sens dessus dessous. C’est là le caractère insidieux du crime de la virologie, une version généralisée de la fausse revendication de l’isolement qui donne aux politiciens la “permission” de violer ceux qu’ils emploient, et d’étendre leur programme systématique de violation corporelle au secteur privé, les dernières victimes étant les travailleurs du commerce au détail et de l’hôtellerie.[54]

Pour le reste, le crime s’insinue dans notre conscience sous couvert de devoir et de bienfaisance, amenant nombre d’entre nous à accepter dans notre corps le contenu inconnu de flacons que le gouvernement n’a apparemment pas pris la peine de vérifier, produits par un fabricant ayant un palmarès spectaculaire de fraude médicale criminelle, contenu qui, en outre, introduit clandestinement dans notre corps des vecteurs génétiques aux effets mal déterminés, tout cela pour le plus grand bien de la protection de la société contre une maladie mortelle qui n’existe pas.[55]

La façon dont une démocratie contemporaine a pu se laisser prendre à une telle absurdité grotesque mais mortelle dépasse le cadre de cet essai. Il suffit de dire que c’est la raison pour laquelle le gouvernement néo-zélandais n’est pas “votre unique source de vérité”, mais un pourvoyeur criminel de mensonges monumentaux qu’il utilise pour couvrir ses lâches crimes contre l’humanité, ses actes de terreur et de démocide, ainsi que le carnage socio-économique généralisé et la dislocation qu’il continue d’infliger à la population de cette whenua [terre en Maori], reproduisant les circonstances antérieures à l’établissement des pires régimes totalitaires.

Le troisième pilier : La PCR

Le troisième pilier de la fraude COVID-19 concerne la mauvaise application de la PCR (modifiée en RT-PCR, reverse-transcriptase-PCR afin de détecter l’ARN monocaténaire, car la PCR ne peut qu’amplifier l’ADN avec précision). Cette application erronée porte sur l’amplification de séquences d’ARN prélevées sur des sujets humains qui appartiendraient au SARS-CoV-2 et à une maladie appelée COVID-19. Or, la PCR ne peut confirmer ni l’un ni l’autre de ces éléments ; sa capacité se limite uniquement à l’amplification des séquences nucléotidiques sélectionnées, et non à la détermination de leur provenance ou de leur signification. Cette fraude repose donc sur l’attribution d’une signification aux séquences amplifiées, qui est fournie par : (a) la référence au génome imaginaire in silico et non à une entité physique prouvée appelée SARS-CoV-2 ; et (b) une “maladie” qui, par un raisonnement circulaire absurde, a été définie par le résultat de la PCR lui-même. Le SARS-CoV-2 n’a jamais été localisé chez un sujet humain, isolé, purifié, puis photographié et caractérisé biochimiquement comme une structure unique. Il n’a pas été prouvé qu’il existe dans la nature ; en fait, des composants clés ont été brevetés en 2007, ce qui, par définition, signifierait qu’ils sont fabriqués par l’homme.[56] En ce qui concerne les courtes séquences nucléotidiques détectées par les kits PCR utilisés, elles existent mais proviennent d’ailleurs, et non d’un virus étiqueté ” SARS-CoV-2 ” (si la PCR est mal faite ou à des nombres de cycles élevés, comme c’est le cas habituellement, la séquence cible peut même ne pas exister dans l’échantillon et un résultat ” positif ” est simplement un artefact du processus). En outre, la PCR ne peut pas diagnostiquer le statut infectieux d’un humain de manière avérée et aucun lien cohérent n’a jamais été trouvé entre un état pathologique et les résultats de la PCR. En bref, la mauvaise application de la PCR signifie que le COVID-19 est une construction scientifiquement dénuée de sens qui ne représente rien de plus qu’une illusion référentielle.

Dès le départ, le but de cette application erronée était de fournir la base statistique d’une pandémie basée sur une maladie inventée par l’OMS au profit de l’élite et de certains membres de l’industrie pharmaceutique, et non pour l’humanité. Au 3 janvier 2020, avec seulement ” 44 cas-patients atteints de pneumonie d’étiologie inconnue “, il n’y avait aucune base pour amorcer le bouton de démarrage de la pandémie que l’OMS et l’industrie pharmaceutique recherchaient désespérément ; Moderna et BioNTech, le partenaire de Pfizer, avaient par exemple perdu près d’un milliard de dollars à eux deux en 2,5 années financières entre 2016 et 2019.[57]

Dr Kary Mullis, l’inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR) : “Cela ne vous dit pas que vous êtes malade.” (Photo : LA Times 13 août 2019)

Cependant, après la publication sur le site Internet de l’OMS, les 13 et 17 janvier 2020, de séquences de tests PCR non évaluées par des pairs, conçues par Christian Drosten et al. pour détecter le prétendu virus, des tests conçus, comme l’ont reconnu les auteurs, ” sans disposer de matériel viral “, le nombre de cas de COVID-19 a commencé à augmenter.[58]

Entre le 22 et le 24 janvier, l’OMS a convoqué une réunion d’urgence pour suivre la situation internationale, alors que seuls 17 décès et 581 cas avaient été signalés à ce stade.[59] Cette absence de cas posait un problème aux entreprises pharmaceutiques désireuses de mettre sur le marché leurs dispositifs hautement expérimentaux de codage génétique, déguisés en vaccins, sans avoir à passer par les processus d’approbation normaux, qu’elles doutaient de pouvoir satisfaire. [60] Une urgence de santé publique pourrait être le moyen de contourner les conditions d’autorisation rigoureuses des autorités réglementaires.[61] Les “tests” RT-PCR ont atteint leur objectif, produisant suffisamment de cas pour que Tedros déclare “une urgence de santé publique de portée internationale” (PHEIC), et pour alimenter la rhétorique : “L’heure est aux faits, pas à la peur. L’heure est à la science, pas aux rumeurs. L’heure est à la solidarité et non à la stigmatisation.”[62] En effet, en sept jours seulement, à partir du 24 janvier, le nombre de cas de COVID-19 a augmenté de 1 245,61 % dans le monde, passant de 581 à 7 818, dont 98 seulement en dehors de la Chine.[63] Le lendemain, le nombre total de cas était passé à 9 826.[64] La fraude internationale était là, au grand jour, avec la croissance astronomique d’un virus fantôme qui n’avait pas été isolé et dont on n’avait pas encore démontré qu’il était à l’origine d’une quelconque maladie. Tedros recommandait d’accélérer le “développement de vaccins, de thérapies et de diagnostics”, ce qui était encore plus important que “l’urgence de santé publique de portée internationale”.[65]

L’odeur de la fraude était partout. Drosten a omis de déclarer qu’il était membre du comité éditorial d’Eurosurveillance lorsque son article et celui de ses co-auteurs ont été publiés dans Eurosurveillance le 23 janvier, deux jours après avoir été soumis.[66] Il est également apparu que Drosten serait “probablement poursuivi en justice pour détention d’un titre de doctorat frauduleux”.[67] Un autre co-auteur, Chantal Reusken, a également omis de déclarer qu’elle faisait partie du comité éditorial d’Eurosurveillance, et un autre co-auteur de Drosten, Olfert Landt, PDG de TIB Molbiol, a omis de déclarer son conflit d’intérêts jusqu’au 29 juillet 2020, alors que sa société fabriquait un kit PCR basé sur les séquences de test publiées.[68] Pour Landt, la tromperie s’est avérée très payante, comme son entreprise l’indiquera plus tard : “TIB Molbiol … fournit des kits de test PCR COVID-19 depuis début janvier 2020. Au cours des 12 derniers mois, nous avons livré plus de 60 millions de tests.”[69]

Soudain, le monde a été plongé non pas dans une pandémie virale mais dans une pandémie de PCR générant la peur dans le monde entier. Mais la peur paie et paie bien. L’institution à laquelle les créateurs les plus éminents de cet article étaient associés, l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin, a reçu une subvention 2020 du BMGF sous le numéro INV-005971 “pour développer des outils de diagnostic et de virologie permettant une réponse rapide au nouveau coronavirus 2019” pour un montant total de 249 550 dollars.[70]

La pandémie de tests PCR a maintenant soutenu la pandémie fantôme de COVID-19 pendant presque deux ans. On prétend que la PCR peut détecter un virus et une infection, mais ce n’est qu’une tromperie de plus. La méthode PCR amplifie simplement des fragments génétiques, c’est tout. Comme nous l’avons établi, personne n’a de spécimen physiquement isolé ni même prouvé l’existence du virus. C’est pourquoi les séquences des tests PCR de Drosten ont été conçues sans virus, tout comme les séquences des tests des centres américains de contrôle et de protection des maladies (CDC).[71] En d’autres termes, la PCR a été calibrée pour détecter les séquences génétiques d’un “virus” dont l’existence dans la nature n’a pas été démontrée. Au lieu de cela, elle détecte des séquences de provenance inconnue que l’on trouve chez certains humains et, semble-t-il, chez certaines chèvres, une caille et un jaquier.[72] Comme l’a souligné Kary Mullis, l’inventeur de la PCR, lauréat du prix Nobel, la PCR “ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé va vous faire du mal ou quoi que ce soit de ce genre”.[73] En effet, bien qu’il se présente comme un “flux de travail diagnostique pour le 2019-nCoV”, l’article de Drosten décrit simplement la sensibilité analytique et la spécificité de leur protocole PCR pour amplifier les séquences nucléotidiques sélectionnées, il n’établit aucune spécificité diagnostique pour une quelconque condition clinique.[74] Ainsi, bien que les autorités sanitaires affirment que la PCR est adaptée au diagnostic du COVID-19, un tribunal autrichien a confirmé le contraire en mars 2021, son jugement faisant écho à celui de Mullis : “‘un test PCR n’est pas adapté au diagnostic et ne dit donc rien en soi sur la maladie ou l’infection d’une personne’”.[75] Le partenaire complémentaire dans le crime de la PCR est la définition de l’OMS d’un cas de “COVID-19”.[76] Essentiellement, un cas confirmé peut être et sera très probablement “une personne ayant un test d’amplification de l’acide nucléique (TAAN) positif”, c’est-à-dire un test PCR, que la personne soit malade ou non.[77] Cela a créé une situation absurde où un cas de “COVID-19” n’est rien d’autre que le résultat du test PCR d’un test qui n’en est pas un, car le test PCR n’a aucune capacité de diagnostic à cet égard, puisqu’il s’agit simplement d’un outil d’amplification. Les tests PCR “positifs” sont ensuite affichés par des organisations telles que l’Université et la Médecine John Hopkins qui présentent des statistiques dénuées de sens comme si elles étaient légitimes. En d’autres termes, aucun des 243 554 336 cas de COVID-19 affichés sur le tableau de bord du coronavirus de Johns Hopkins au 25 octobre 2021 n’existe en dehors du discours vicieusement circulaire qui repose uniquement sur la double prémisse non prouvée selon laquelle le SARS-CoV-2 a été isolé et est à l’origine du COVID-19.[78]

En conséquence, nous vivons aujourd’hui une tyrannie médicale, déconnectée du monde naturel et tellement absurde que la détection de quelques fragments génétiques chez une personne peut servir d’excuse pour enfermer une nation entière.

Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Les nombres astronomiques de cas produits par la méthode PCR sont devenus la base du nombre de reproduction (R0) qui a initialisé tous les modèles épidémiologiques du COVID-19. Pourtant, même en s’appuyant sur ces chiffres sans valeur, la modélisation des épidémies, connue depuis longtemps pour sa faillibilité prédictive, a quand même réussi à produire des prédictions spectaculairement grotesques.

Le plus grand pourvoyeur de cette absurdité spéculative est Neil Ferguson de l’Imperial College London (ICL), auteur principal du rapport 9 de l’ICL, publié sans examen par les pairs le 16 mars 2021, qui prédit que 550 000 personnes au Royaume-Uni et 2,2 millions de personnes aux États-Unis mourraient dans un délai d’environ trois mois sans intervention non pharmacologique (masque, confinement…)[79] Ses prédictions catastrophiques ont amené les gouvernements à changer de cheval à mi-chemin et ont provoqué, comme on pouvait s’y attendre, une panique généralisée parmi un public non averti, créant un environnement de peur et une volonté de se conformer aux politiques de “santé” publique dans de nombreux pays. Lorsqu’il a finalement publié les programmes du rapport 9 pour les soumettre à l’examen du public, Ferguson a constaté qu’ils étaient ridiculisés par les experts commerciaux et universitaires. Un expert commercial a estimé qu’il s’agissait d’un “désordre bogué qui ressemble plus à un bol de pâtes aux cheveux d’ange qu’à une pièce de programmation finement réglée”, tandis que des scientifiques de l’université d’Édimbourg ont signalé qu’il échouait “au test scientifique de base consistant à produire les mêmes résultats à partir du même ensemble initial de paramètres”.[80] Dix jours plus tard, Ferguson, qui estime que les modèles sont des “versions simplifiées de la réalité”, prédit, dans un autre article cosigné par l’ICL, que 40 millions de personnes pourraient mourir dans le monde à cause du COVID-19.[81]

La modélisation du chaos en Nouvelle-Zélande a été largement le domaine de trois groupes. Le premier à publier son rapport, daté du 27 février 2020, a été le groupe de modélisation commandé par le gouvernement, l’University of Otago Wellington COVID-19 Response Group (UOWCRG). Dans ce rapport, les modélisateurs “estiment que le nombre de décès probables se situe entre 12 600 et 33 600”, ce qui correspond à 0,67 % de la population néo-zélandaise et à plus de 52 millions de décès dans le monde.[82] N’ayant effectué aucun contrôle préalable sur les circonstances de l’origine du SARS-CoV-2, mais ayant recueilli diverses informations à son sujet de toutes parts, y compris ses données de reproduction (R0) provenant de quatre sources différentes et le nombre de cas d’infection en Australie, l’UOWCRG a prédit que le système hospitalier du pays serait submergé par “336 000 personnes” nécessitant une “hospitalisation”, et entre 67 000 et 79 000 patients nécessitant des unités de soins intensifs dans le pire des cas.[83]

Cependant, la fantasmagorie de mort massive sur laquelle l’état d’exception a été décidé ne repose pas sur les modélisateurs mandatés par le gouvernement, mais sur deux rapports de modélisation non mandatés et non évalués par des pairs, dont les huit auteurs, quatre pour chaque rapport, n’avaient aucune qualification en épidémiologie ni aucune expérience préalable de la modélisation d’une épidémie humaine. Leurs prédictions astronomiques n’étaient pas le fruit d’une rigueur scientifique mais d’une spéculation algorithmique fondée sur des chiffres de cas provenant du ministère de la santé pour l’un des rapports, et pour l’autre, sur des “comparaisons avec des données internationales sur les parcours des cas et des études de modélisation pour les épidémies au Royaume-Uni et aux États-Unis (Ferguson et al 2020)” afin de calibrer leur “nombre de reproduction avec contrôle (Rc)”.[84] Le premier de ces rapports provient de Wigram Capital Advisors, une petite société de conseil en macroéconomie spécialisée dans la Chine et l’Asie.[85] L’autre, Te Pūnaha Matatini (TPM), qui se décrit comme un “Centre d’excellence en recherche sur les systèmes complexes”, est rattaché à l’université d’Auckland.[86] Les modèles de Wigram ont été “exécutés autour du 22 mars” et prévoyaient 4 000 cas de COVID-19 pour le 3 avril et 10 000 pour le 9 avril.[87] C’est à la modélisation de Wigram que le gouvernement s’est référé le 23 mars quand il a affirmé : “Si la transmission dans la communauté décolle, le nombre de cas doublera tous les cinq jours.”[88] Si l’Australie avait connu le même nombre de cas le même jour, doublant tous les cinq jours, sa population de 25,5 millions d’habitants aurait été infectée à la mi-juin et, sur la même base, la population mondiale de 7,8 milliards d’habitants aurait été infectée à la fin de juillet 2020.[89]

L’auteur principal de TPM est intervenu de manière spectaculaire le dimanche 22 mars, en s’adressant aux médias avec l’affirmation alarmante que sa modélisation provisoire, réalisée sur la table de sa cuisine, suggérait que 60 000 personnes allaient mourir à moins qu’une “stratégie de suppression agressive” ne soit mise en œuvre “dès que possible”, ce qui, par miracle, permettrait de sauver 50 000 de ces vies.[90] Les modélisateurs n’avaient aucun précédent auquel se référer concernant les effets d’une telle stratégie, mais surtout, ils n’avaient aucune idée de l’existence même du virus. Comme l’a admis l’auteur principal, ces résultats ont été produits avec “beaucoup d’approximation” en se basant sur des données provenant de l’étranger, tandis que la modélisation elle-même traitait “la Nouvelle-Zélande comme une grande ville où tout le monde a la possibilité d’infecter quelqu’un d’autre”, une erreur fondamentale qui a contribué aux prévisions de mortalité grotesques du rapport.[91] Le lendemain matin, les 60 000 de TPM étaient passés à 1,67 % de la population, soit 83 500 personnes qui pourraient mourir sans aucune mesure d’intervention de “santé” publique, une histoire fantaisiste sans fondement dans la réalité mais qui a fait trembler les parlementaires et à laquelle les apprentis sorciers croient encore un an plus tard.[92] Extrapolé à la population mondiale, “le ministère de I’autopromotion de TPM” venait de prédire que 130 260 000 personnes allaient mourir dans le monde. Le petit groupe TPM a été richement récompensé par le gouvernement avec un prix de 6 millions de dollars pour l’avoir aidé à promouvoir un récit absurde et à susciter une peur sans fondement dans la population de la Nouvelle-Zélande.[93] Si TPM a remporté le prix de la prédiction la plus grotesque, l’ICL de Neil Ferguson a été le grand gagnant. Gates, qui apprécie une histoire effrayante qui confirme ses “prédictions”, qui ferme une grande partie du monde et qui décide que seuls les “vaccins” peuvent le rouvrir, a puisé dans ses réserves pour son frère d’armes de l’ICL, sortant de sa poche arrière un ensemble de subventions pour 2020 d’un montant total de 91 494 791 dollars.[94] Parmi ces subventions, citons INV-016635, d’un montant total de 1 080 771 USD, pour “évaluer l’efficacité potentielle d’un vaccin à base d’acide ribonucléique (ARN) contre le COVID-19”, INV-023013, d’un montant total de 140 041 USD, pour “modéliser l’impact potentiel des diagnostics rapides pour le COVID-19”, et INV-023210, d’un montant total de 1 487 605 USD, pour comprendre comment les impacts sociaux et autres impacts indirects du COVID-19 (distanciation sociale, quarantaine, etc.) et les perceptions du risque influencent les comportements sexuels à risque qui pourraient conduire au VIH.[95] Si l’année 2020 a été une année record pour l’ICL, M. Gates s’occupait depuis longtemps de l’ICL, la Fondation Bill et Melinda Gates lui ayant accordé des subventions depuis 2002 pour un montant total de 302 164 640 USD, soit environ 16 000 000 USD par an au cours des 19 dernières années.[96]

Alors que la confusion et le débat font rage sur ces modèles, sur les raisons pour lesquelles le “virus” se comporte si différemment selon les endroits, sur l’existence d’une surmortalité et sur l’efficacité des “vaccins”, tout cela n’est qu’une distraction. Si l’on examine l’article d’origine de Fan Wu et al. et tous ceux qui ont suivi, la vérité est que l’existence du “SARS-CoV-2” n’a pas été démontrée. Il n’y a pas de “COVID-19” en dehors d’un récit malveillant imposé à l’humanité.

Troisième partie

En résumé

La fraude du COVID-19 est l’œuvre d’élites internationales, de l’industrie pharmaceutique et de politiciens complices travaillant à un programme mondialiste, dont l’objectif semble être l’extinction des droits de l’homme et des libertés et le démantèlement de la démocratie dans le but de contrôler les populations et d’extorquer de vastes sommes d’argent aux pays sur la base qu’une maladie, le COVID-19, inventée par l’OMS, représente une menace sérieuse pour leurs populations.

Le fondement de cet agenda est la fraude selon laquelle un nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2 a été trouvé et isolé chez des sujets humains et qu’il a été démontré qu’il était la cause d’une maladie appelée COVID-19. Rien de tout cela ne s’est produit.

Le remède proposé pour ce supposé virus tueur est une protéine de pointe (spike) produite par une séquence génétique qui ne se trouve pas dans la nature mais dans un brevet américain de 2007. Les “vaccins” basés sur cette séquence ont tué plusieurs milliers de personnes dans le monde et en ont mutilé et blessé des millions d’autres.

La base statistique de cette pandémie fantôme a été déterminée par l’application erronée d’une méthode PCR qui n’a aucune spécificité diagnostique (clinique) établie. Elle n’a pas permis de diagnostiquer un seul cas d’une nouvelle maladie et n’a produit que des nombres de cas “COVID-19” sans signification.

En conséquence, le gouvernement néo-zélandais est complice de la fraude mondiale du COVID-19 et est donc accusé de crime inconsidéré, notamment de violation des droits de l’homme, de crimes contre l’humanité, de démocide, d’actes de terreur et de meurtre de masse.

Conclusion

Depuis l’entrée en vigueur, le 25 mars 2020, de l’Avis de préparation aux épidémies (COVID-19) 2020, nous vivons dans l’état d’urgence, que l’on peut décrire comme un espace liminal entre la loi et la vie, où la loi ne s’applique plus et où la force pure s’approprie l’anarchie pour se faire la loi.[97] Positionné dans une sorte de “no man’s land entre le droit public et le fait politique”, l’état d’urgence “n’est pas une dictature (qu’elle soit constitutionnelle ou inconstitutionnelle, commissariale ou souveraine) mais un espace dépourvu de droit, une zone d’anomie dans laquelle toutes les déterminations juridiques – et surtout la distinction même entre public et privé – sont désactivées.”[98] Nos maisons sont devenues des prisons, nos corps ne sont plus inviolables, la marque de l’aiguille détermine qui est inclus et qui est exclu, tout cela incarne l’état d’urgence et peut être considéré comme un signe avant-coureur de ce qui nous attend.

Pour conclure, nous espérons que cet essai pourra à la fois vous encourager et vous aider à vous préparer à ce qui nous attend. Car dans le climat actuel, dans ce contexte politique, les circonstances ne feront que continuer à se détériorer si nous ne nous soulevons pas en masse pour réclamer ce que nous avons appris qu’il est si facile de perdre mais volé par ce gouvernement en moins de deux ans, le tout sur la base d’une fraude imbécile qui a néanmoins terrorisé et divisé le peuple de Nouvelle-Zélande au point de le rendre dysfonctionnel, divisant les familles et les amis, les amants, les âmes sœurs, les collègues et les meilleurs amis.

Cet essai vise également à encourager la poursuite des recherches sur la légitimité des méthodologies employées par les virologues établis, ainsi que sur la mauvaise application de la PCR dans les diagnostics cliniques. Si ces méthodes anti-scientifiques continuent à être largement acceptées, nous risquons de voir encore plus de “pandémies” sans fondement, nécessitant encore plus de “vaccins”, se poursuivre indéfiniment dans le cadre de la “nouvelle normalité”. En fait, un fabricant a déjà fait part de son intention de “développer un vaccin combiné à ARNm “afin que les gens puissent recevoir une injection chaque automne pour une protection très efficace contre les virus respiratoires les plus problématiques”.[99]

Il n’y a rien de normal à ce que l’industrie pharmaceutique et les organisations mondialistes créent une demande de thérapies géniques inutiles par la peur et la création de pseudo-pandémies. Il n’y a rien de normal en ce qui concerne la censure sans précédent du débat scientifique et l’empêchement des praticiens médicaux de fournir un consentement éclairé à leurs communautés. Seuls les plus naïfs pourraient croire que, dans cet environnement artificiel, une cabale d’élites et une industrie ayant un bilan effroyable de préjudices et de décès font du monde un endroit plus sain pour ses habitants.

Les tyrannies naissent et disparaissent. Celle-ci, dans son ascension, est déjà en train de s’étouffer de son propre orgueil. Les façades scientifiques et idéologiques sur lesquelles cette escroquerie s’appuie entraîneront sa propre chute et, avec elle, une nouvelle ère dont nous hériterons tous. Les tyrans cachés, lorsqu’ils finissent par émerger, sont toujours nus, des vaisseaux vides remplis des idées des autres, faisant la guerre aux innocents pour se cacher de ce qui leur manque. Ils n’ont pas encore appris que le contrôle est une voie sans issue ou que ce qui fait s’élever l’esprit humain n’est rien d’autre que l’acceptation.

POST-SCRIPTUM

Dans le cadre du processus de reprise pacifique de ce qui appartient au peuple néo-zélandais, Heterodoxies Society Incorporated a déposé une procédure le 6 août 2021 devant la Haute Cour d’Auckland, CIV-2021-4041599. Malheureusement, depuis lors, sur la base d’un artifice juridique qui n’a aucune base statutaire apparente ou valeur juridique, l’affaire a été suspendue, c’est-à-dire confinée dans un équivalent de quarantaine juridique. Voici une partie de ce que la Cour a récemment refusé d’entendre.

Crimes contre l’humanité

“Il est question de bio-armement intentionnel de protéines de pointe à injecter aux gens pour les rendre dépendants d’un vaccin contre les ”pancoronavirus”. Cela n’a rien à voir avec un agent pathogène qui a été libéré… Il s’agit d’injecter aux gens une protéine S1 connue pour être nocive… La tragédie, c’est que nous sommes dans un monde où des centaines de millions de personnes se voient injecter une séquence informatique stimulant un agent pathogène… qui est vendue sous ce que l’office des brevets, la profession médicale et la FDA et ses propres normes cliniques ne considèrent pas comme un vaccin, mais en utilisant ce terme, nous soumettons maintenant des centaines de millions de personnes à ce que l’on savait être, en 2005, une arme biologique. ” Dr David Martin, 12 juillet 2021[100]

Le 20 septembre 2021, une conférence de presse s’est tenue à l’Institut de pathologie de Reutlingen, en Allemagne, afin de présenter, dans la première partie intitulée “Cause du décès après une vaccination Covid-19”, les conclusions des pathologistes Arne Burkhardt et Walter Lang qui avaient enquêté sur dix décès de personnes de plus de 50 ans décédées dans le contexte chronologique de l’administration de soi-disant vaccins COVID-19, dont le Comirnaty de Pfizer. Dans la deuxième partie, “Composants non déclarés des vaccins Covid-19”, les éléments non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits ont été présentés et discutés par divers participants, dont des médecins d’Allemagne et d’ailleurs.[101]

Le professeur Dr Burkhardt a enseigné pendant de nombreuses années aux universités de Hambourg, Berne et Tübingen, et a également été professeur invité/visiteur dans un certain nombre d’universités du monde entier. Il a dirigé l’Institut de pathologie de Reutlingen pendant 18 ans, après quoi il a exercé en tant que pathologiste. Il a publié plus de 150 articles dans des revues spécialisées. Le professeur Dr Walter Lang a travaillé comme pathologiste à la faculté de médecine de Hanovre de 1968 à 1985, puis a fondé un institut privé de pathologie à Hanovre où il a travaillé pendant 25 ans. De 1985 à 2020, il a effectué des examens de consultation pour la pathologie de la clinique pulmonaire de Herner. Ils étaient accompagnés dans cette présentation par le professeur Dr Werner Bergholz, ancien professeur d’électrotechnique spécialisé dans la gestion de la qualité et des risques à l’université Jacobs de Brême, qui avait travaillé pendant 17 ans dans la gestion de la production de puces chez Siemens avant cette nomination.[102]

Sur les dix personnes décédées qui ont subi un examen post mortem, Burkhardt et Lang, se fondant sur le matériel tissulaire obtenu auprès des médecins légistes qui avaient d’abord examiné les cas, ont estimé que cinq des décès étaient très probablement liés aux “vaccins” COVID-19, deux probablement, un n’était pas clair et ils ont considéré que deux n’avaient aucun lien de causalité.[103] “Dans trois cas, ils ont trouvé des maladies auto-immunes rares ; l’une d’entre elles était si rare qu’ils ne l’ont découverte qu’en regardant de près l’image numérisée. Il s’agissait de la maladie de Hashimoto, une hypothyroïdie déclenchée par une réaction auto-immune ; de la vascularite leucoclastique, une réaction inflammatoire dans les capillaires qui entraîne des saignements de la peau ; et du syndrome de Sjögren, une inflammation des glandes salivaires et lacrymales.”[104] On a observé un large éventail de maladies, certaines communes, d’autres rares. Les trouver dans un collectif de dix patients était “très extrême”, a déclaré Burkhardt.[105] Comme il le dit : “Nous sommes en présence d’un système immunitaire qui dépasse complètement les limites, qui s’attaque de lui-même à lui-même, et l’inflammation a lieu dans chaque organe, dans chaque vaisseau… et cela conduit à une forte réaction auto-immune et à des maladies. Ce sont des maladies, je dirais, qui sont de 1 pour 100 000 normalement.”[106]

Selon les pathologistes, les lymphocytes avaient afflué et causé une destruction cellulaire massive. Ils ont montré des images d’accumulations de lymphocytes dans une grande variété de tissus, du muscle cardiaque au rein, au foie, à la rate et à l’utérus”, et aussi “des images dans lesquelles le tissu a été massivement attaqué en conséquence, et toute une série de follicules lymphocytaires … au mauvais endroit, par exemple dans le tissu pulmonaire”.[107] Ils “ont également montré des détachements de cellules endothéliales – qui sont les cellules lisses qui forment la paroi des vaisseaux sanguins – des amas de globules rouges qui finissent par provoquer une thrombose, et des cellules géantes qui [s’étaient] formées autour des corps étrangers piégés”.[108] Burkhardt l’a décrit comme suit dans ce résumé paraphrasé de ses conclusions générales : “J’ai beaucoup réfléchi à ce que j’ai vu et je n’ai pu voir qu’une seule chose, à savoir des lymphocytes déchaînés (devenus fous furieux) dans tous les organes et tous les tissus. Nous assistons à une réaction immunitaire extrême, une attaque de soi-même contre soi-même (déclenchée par le vaccin). J’ai été témoin de l’hyperplasie (croissance excessive) et de l’activation des organes lymphatiques, des ganglions lymphatiques et de la rate, ainsi que de l’infiltration des lymphocytes dans les organes non lymphatiques. Le résultat (de cette tempête lymphocytaire) est la perte de la capacité et de la fonction immunitaires externes, combinée à une inflammation et une destruction des tissus causées par les lymphocytes, avec le risque d’une réaction auto-immune prolongée. Personne ne peut dire si et combien de temps il faudra à ces tissus pour se régénérer et retrouver leur état normal et sain.”[109]

Vous trouverez ci-dessous des diapositives représentatives préparées et présentées par le Dr Burkhardt lors de la conférence de presse :

Figure 2. Légende pour le cas 7 : C’est une image à plus haute résolution d’un follicule lymphatique dans le tissu alvéolaire pulmonaire. On voit également ces follicules lymphatiques autour des vaisseaux sanguins pulmonaires. Il s’agit d’une preuve évidente de dommages alvéolaires (dans les poumons). Ce qui se passe ici, c’est que l’appareil immunitaire d’une personne attaque ses propres tissus. Ainsi, les vaccins déclenchent des maladies auto-immunes qui peuvent ne pas se manifester avant plusieurs années. L’infiltration massive de lymphocytes dans les tissus cérébraux, cardiaques, pulmonaires et rénaux est un signal d’alarme pour les maladies auto-immunes et le cancer. Attendez-vous à voir les taux de cancer augmenter considérablement dans les années à venir.”
Figure 3. Légende pour le cas 2 : Cette diapositive montre des vaisseaux sanguins du tissu pulmonaire avec un amas d’érythrocytes (globules rouges).”
Figure 4. Légende : Le syncytium a englouti et tente de digérer une de ces structures non biologiques (identifiées par la flèche jaune) dans le tissu pulmonaire. Le syncytium va échouer dans sa tentative de digestion.”

Dans la deuxième partie, un large éventail d’images de corps étrangers trouvés dans les flacons des fabricants a été photographié et leurs mouvements enregistrés par vidéo. Selon les présentateurs, aucun de ces objets n’a jamais été trouvé dans les vaccins traditionnels et ne devrait se trouver dans le corps humain. Leurs formes vont de l’apparence d’une carte SIM à des filaments en forme de perles et à de grandes formes rocheuses. Ils semblent être des structures métalliques. Aucun des experts ne savait à quoi elles servaient. “Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience”, et pourtant “ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes”.[110]

Comme l’a dit Holger Fischer, avocat allemand et membre du panel, “nous n’avons pas à avoir la charge de la preuve. Si vous aviez une limonade présentant ce type de contamination, elle serait immédiatement retirée du marché.”[111] Maria Hubmer-Mogg, un médecin autrichien, a abondé dans le même sens. “Ces vaccins doivent être retirés immédiatement et leur utilisation d’urgence révoquée”.[112] Faisant référence au récit de la peur, elle a ajouté : “les gens veulent maintenant vacciner leurs enfants, même leurs tout-petits. C’est quelque chose d’inimaginable, c’est de la pure folie, et cette folie doit être arrêtée immédiatement.”[113]

Après plus de deux heures et demie, Fischer a clôturé la conférence de presse par la déclaration suivante : “Une chose est claire, quiconque persiste à poursuivre en connaissance de cause à partir d’aujourd’hui est légalement punissable ; ils ne peuvent pas dire qu’ils ne l’ont pas fait délibérément ou du moins en partie délibérément. Il s’agit d’un crime contre l’humanité que l’on appelle ” élimination d’êtres humains “, et les partis éliminent leur électorat ici … Beaucoup de gens ne savent pas à quel point ils sont malades. Beaucoup vont peut-être découvrir ce soir [qu’ils ont besoin] de se faire aider … Nous voulons sauver ce qui peut l’être chez ceux qui sont déjà vaccinés.”[114]

Vous trouverez ci-dessous une sélection d’images, présentées lors de la conférence, de nombreux objets non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits. Ces images devraient suffire à elles seules à mettre un terme immédiat au déploiement criminel du Comirnaty en Nouvelle-Zélande.

Figure 5. Légende : Le reste des diapositives montre des corps étrangers non biologiques trouvés dans les vaccins. Ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes. (Plusieurs des diapositives ont été fournies par d’autres médecins en Allemagne ou en Autriche). Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience.”
Figure 6. Légende : OVNIs trouvés dans les vaccins.”
Figure 7. Légende : (On dirait un téléphone portable pour moi !)”
Figure 8. Légende : Salamandre ?”
Figure 9. Légende : Un OVNI dans le sérum du vaccin.” Le Dr Burkhardt affirme en avoir vu des centaines dans des cellules, mais cette image est celle “d’une gouttelette de liquide vaccinal fortement agrandie par microscopie à champ sombre.”
Figure 10. Légende : Un autre filament perlé.”
Figure 11. Légende : Burkhardt remarque les rangées d’objets bleus sur la plus grande tache. Il se demande si ce ne sont pas des nanopuces en quelque sorte.” Ceci montre le corps étranger non biologique dans le liquide vaccinal.
Figure 12. Légende : “Burkhardt se demande si ceci est aussi une puce de graphène.” Est-ce qu’elle “transporte on ne sait quelle information vers l’appareil de fabrication des protéines dans les cellules.”

L’insulte finale

Alors que l’accord conclu par Pfizer avec le gouvernement néo-zélandais reste caché aux yeux du public, et que le contenu des flacons de Pfizer reste occulté par un gouvernement aveugle à sa propre perfidie, une fuite du contrat de fabrication et de fourniture de Pfizer avec l’Albanie ouvre une fenêtre sur le monde infâme dans lequel ce géant pharmaceutique exerce son pouvoir sur les Etats-nations et leur extorque de l’argent sur la base de la fraude COVID-19. Ce contrat, signé par trois fonctionnaires albanais, fait de leur gouvernement une partie au fait que “les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas actuellement connus.”[115] Pourtant, les énormes profits de Pfizer, qui s’élèvent à 12 dollars par flacon selon ce contrat, sont garantis même si une multitude de décès et de blessures surviennent, pour lesquels le gouvernement acheteur doit “indemniser, défendre et dégager de toute responsabilité Pfizer … contre tout procès, toute réclamation, toute action, toute demande, toute perte, tout dommage, toute responsabilité, tout règlement, toute pénalité, toute amende, tout coût et toute dépense … découlant du vaccin, s’y rapportant ou en résultant”.[116] S’agit-il du même type d’arrangement que celui auquel le ministre néo-zélandais des Finances a consenti lorsqu’il a accordé à Pfizer-BioNTech l’immunité de poursuites le 5 octobre 2020, un arrangement qui doit être notifié à la Chambre parce que l’indemnité dépasse 10 millions de dollars ?[117] Si c’est le cas, alors le gouvernement néo-zélandais est également lié par un contrat méprisable, qui sera caché au public pendant dix ans, pour l’achat d’un produit dont il sait et accepte qu’il est “sujet à des risques et des incertitudes significatifs… [et] peut ne pas être efficace”, mais qu’il n’a cessé de promouvoir comme “sûr et efficace”, qu’il a imposé à de larges pans de la population active et qu’il insiste pour que sa séquence de fabrication de poison et ses corps étrangers non déclarés soient introduits dans le corps de nos enfants.”[118]

À propos des auteurs

Dr Mark Bailey MB ChB (Bachelier en médecine et en chirurgie), PGDipMSM (Diplôme de troisième cycle en médecine musculo-squelettique), MHealSc (Maîtrise en sciences de la santé) (Otago)
Est un chercheur en microbiologie, industrie médicale et santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Dr John Bevan-Smith BA (Hons) First Class (Licence de lettres (4 ans) avec mention très bien), PhD (doctorat) (Auckland)
Est un chef d’entreprise, auteur et chercheur, qui a entrepris des recherches pour le Tribunal de Waitangi Te Rōpū Whakamana i te Tiriti o Waitangi/The Ministry of Justice Te Tāhū o te Ture.


Essai original (anglais) : https://drsambailey.com/2021/11/11/the-covid-19-fraud-war-on-humanity/
Présentation vidéo de la partie 1 de l’essai par le Dr. Samantha Bailey (anglais) : The COVID-19 Fraud & War On Humanity (Part 1)
Traduction française : https://cv19.fr

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Références

↑1 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Conférence de presse, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 1:27:20 : https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/ ; Au 25/9/21, un total de 2 448 262 événements indésirables et 26 041 décès avaient été signalés à l’Agence européenne des médicaments (Europe) ; au 15/9/21, un total de 1 204 555 événements indésirables et 1 662 décès avaient été signalés à Yellow Card (Royaume-Uni) ; au 1/10/21, un total de 2 826 646 événements indésirables et 16 310 décès avaient été signalés à VAERS (États-Unis). Le nombre total d’événements indésirables signalés dans ces trois régions s’élève à 6 479 563 et le nombre total de décès à 44 013. Compte tenu de la sous-déclaration connue de ces événements, il est prévu que les chiffres réels pourraient être au moins cinq fois plus élevés.
Voir : America’s Frontline Doctors et al. v Xavier Becerra, Secretary of the U.S. Department of Health and Human Services, et al., Civil Action No. 2:21-cv-00702-CLM, dépôt le 19 juillet 2021, 41 ; Citizens’ Adverse Events register.
↑2 Holger Fischer, in Burkhardt et al., “Cause of death after Covid-19 vaccination”, 2:19:13.
↑3 Bill Gates, “Responding to Covid-19 – A Once-in-a-Century Pandemic ?”, The New England Journal of Medicine (28 février 20) : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762#article_references ; interview de Bill Gates par Ellen DeGeneres, “Bill Gates on Finding a Vaccine for COVID-19, the Economy, and Returning to ‘Normal Life’”, YouTube (14 avril 20) : https://www.youtube.com/watch?v=5oEcxMfwJnw
↑4 “Developing MCMs for Coronaviruses”, dans Rapid Medical Countermeasure Response to Infectious Diseases : Enabling Sustainable Capabilities Through Ongoing Public- and Private-Sector Partnerships : Workshop Summary (Washington DC : National Academies Press, 12 février 2021) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK349040/
↑5 Global Preparedness Monitoring Board, “A World at Risk”, (Sept 2019), https://constitutionwatch.com.au/wpcontent/uploads/A-world-at-risk-WHO.pdf
↑6 Ibid.
↑7 Anthony S. Fauci, “The Role of the National Institutes of Health in Research Addressing Seasonal and Pandemic Influenza”, témoignage devant le House Committee on Energy and Commerce Subcommittee on Oversight and Investigations (4 déc. 2019) :
https://energycommerce.house.gov/sites/democrats.energycommerce.house.gov/files/documents/Testimony%20-%20Fauci%20%28NIH%29%2012.04.2019.pdf
↑8 Klaus Schwab et Thierry Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation (Forum Publishing, Genève, 2020), Couverture arrière
↑9 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No. : US 7,279,327 9 Oct 2007) ; Témoignage du Dr David Martin, “CDC Fraud”, audition de la commission d’enquête extraparlementaire German Corona (12 Jul 21) : https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/.
↑10 Schwab et Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation, 11.
↑11 Helen Clark et S.E. Ellen Johnson Sirleaf, coprésidentes du Groupe indépendant pour la préparation et la réponse aux pandémies, “COVID-19 : Make it the Last Pandemic”, OMS (mai 2021), 4.
↑12 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidentiel Protection Sociale, le Ministre d’Etat pour la Reconstruction et l’Institut de Santé Publique”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 7 (2.1 [b]-[d]) : http://ti-health.org/wp-content/uploads/2021/05/AlbaniaPfizer.pdf
↑13 Dr David Martin, Wise Traditions Conference 2021, “Follow the Patents, Then You Will Understand Covid”, (5 Nov 21) : https://rumble.com/vov60h-dr.-david-martin-follow-the-patents-then-you-will-understand-covid.html
↑14 Ibid, 25:11
↑15 “Remarques du Directeur général de l’OMS lors de la réunion d’information à l’intention des médias sur 2019-nCoV le 11 février 2020”, OMS (11 févr. 20), 2/4 : https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-remarks-at-the-mediabriefing-on-2019-ncov-on-11-february-2020 ; “Pourquoi le virus et la maladie ont-ils des noms différents ?”, OMS (11 févr. 20) : https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/technical-guidance/namingthe-coronavirus-disease-(covid-2019)-et-le-virus-qui-cause-it ; Fan Wu et al, “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank : MN908947.3, GenBank (18 mars 20, soumis le 5 janvier 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947
↑16 Paul D Thacker, “Covid-19 : un chercheur dénonce les problèmes d’intégrité des données dans l’essai vaccinal de Pfizer”, BMJ, 375/n2635 (2 Nov 21), 1-3 : https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2635
↑17 Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause de la mort après la vaccination Covid-19”, Conférence de presse Conférence, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 2:19:13.
↑18 James Corbett, “Bill Gates et la grille de contrôle de la population”, The Corbett Report, (18 mai 20) :
https://odysee.com/@corbettreport:0/gatespopulation:b
↑19 Remarque : Bustin s’est trompé dans ses souvenirs. Comme nous l’expliquons ci-dessous, cette étape non valide n’a pas été effectuée par les inventeurs du SARS-CoV-2.
↑20 Stephen A Bustin, “Why the need for qPCR publication guidelines?-The case for MIQE”, Methods, 50 (16 Dec 2009), 218 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19246619/ ; Interview de Stephen Bustin par Eric Coppolino, “Planet Waves FM Interview with Stephen Bustin conducted by Eric F Coppolino”, transcription par Joshua Halinen, New York 1er février 2021), 01:02:00 : https://cormandrostenreview.com/wp-content/uploads/2021/02/bustintranscript.pdf
↑21 Bertrand Russell, The Basic Writings of Bertrand Russell 1903-1959 (Londres : Routledge, 1992, publié pour la première fois 1961), 200
↑22 John F Enders et William C Peebles, “Propagation in Tissue Cultures of Cytopathogenic Agents from Patients with Measles”, Proceedings of the Society for Experimental Biology and Medicine (PSEBM), 86 (reçu le 16 mai 1954), 277-286.
↑23 Ibid., 287.
↑24 https://www.qwant.com/?client=brz-brave&q=SARS-CoV-2+images&t=images
↑25 La méconnaissance du virus – La rougeole comme exemple; Wissenschafftplus Magazin 01/2020; https://cv19.fr/2021/03/07/la-meconnaissance-du-virus-la-rougeole-comme-exemple/
↑26 Fan Wu, ISPOR Summit (2018): https://www.ispor.org/conferences-education/conferences/past-conferences/ispor-summit-2018/program/speakers/speaker/fan-wu-md-phd
↑27 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, Nature, Vol 579 (3 Feb 20, author correction 2 Apr 20), 266, Methods page: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3
↑28 Ibid. Megahit et Trinity sont les noms de deux plateformes d’assemblage de novo.
↑29 bid., 265-6, Methods page.
↑30 Joan Pontius et al, “Initial sequence and comparative analysis of the cat genome”, Genome Research, 17 (2007), 1680.
↑31 Fan Wu et al., “Wuhan seafood market pneumonia virus isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.2, GenBank (14 Jan 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.2/ ; Dan Hu et al., “Bat SARS-like coronavirus isolate bat-SL-CoVZC45, complete genome”, GenBank : MG772933.1, GenBank (29 sept. 2020) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MG772933.
↑32 Fan Wu et al., “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.3, GenBank (18 Mar 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.3.
↑33 Interview par Janis Mackey-Frayer du Dr Wu Zunyou, “Wuhan maintenant un an après”, NBC Nightly News Broadcast (Full) – 23 janvier 2021 | NBC Nightly News, NBC (23 Jan 21), 13:30-13:50 : https://www.youtube.com/watch?v=TjjA-8JXzYI
↑34 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑35 Peng Zhou et al., “A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin”, Nature, 579 (12 Mar 20), 270-273 plus 16 unnumbered supplementary papers: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2012-7.pdf
↑36 Ibid., 272.
↑37 Ibid, Résumé du rapport, deuxième page non numérotée.
↑38 Ibid, “Methods”, première page non numérotée.
↑39 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑40 Na Zhu et al., “A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019”, The New England Journal of Medicine, 382 (20 Feb 20, first published 24 Jan 20, updated 29 Jan 20), 728.
↑41 Ibid., 728, 730-31.
↑42 Ibid., 728.
↑43 Ibid., 731.
↑44 Ibid.*
↑45 Ibid., 733. Emphasis added.
↑46 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021).
↑47 Leon Caly et al., “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia”, MJA, 212/10 (1 Jun 20, received 25 Feb 20, accepted Mar 20, published 9 Mar 20), 459 : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.5694/mja2.50569.
↑48 Ibid., 461-62.
↑49 Ibid., Supplementary methods: https://onlinelibrary.wiley.com/action/downloadSupplement?doi=10.5694%2Fmja2.50569&file=mja250569-sup-0001-Supinfo.pdf
↑50 Letter of Rebecca Drew, Group Manager, Science and Insights, COVID-19 Health System Response, undated OIA letter Ref: H202008345, Ministry of Health. https://fyi.org.nz/request/14170-request-for-records-held-by-ministry-of-health-describing-the-isolation-of-a-sars-cov-2-virus-directly-taken-from-a-symptomatic-patient-of-covid-19
↑51 Jeremy Butterfield, Editorial Director, Collins Concise Dictionary Fifth Edition (Glasgow: HarperCollins, 2003), 1348.
↑52 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, 265, 268-9.
↑53 David Cyranoski, “SARS outbreak linked to Chinese bat cave”, Nature, 552 (7 Dec 17), 15-16.
↑54 Rahul Battharai, épidémie de Covid 19 Delta : Businesses welcome vaccine certificates for retail and hospitality ” NZ Herald (26 Oct 21) : https://www.nzherald.co.nz/business/covid-19-delta-outbreak-businesses-welcome-vaccine-certificates-for-retail-and-hospitality/WB2WIX4KHGR27ZZNS6JJXFIGKQ/
↑55 “Le ministère de la Justice annonce le règlement le plus important de son histoire en matière de fraude aux soins de santé”, ministère de la Justice des États-Unis (2 septembre 2009), 2 : https://www.justice.gov/opa/pr/justice-department-announces-largest-health-care-fraud-settlement-its-history.
↑56 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No.: US 7,279,327 9 OcT 2007).
↑57 ” Novel Coronavirus (2019-nCoV) Situation Report – 1 “, OMS (21 jan 20), 1 : https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/330760/nCoVsitrep21Jan2020-eng.pdf?sequence=3&isAllowed=y . Moderna, Inc, ” United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement ” (9 nov 2018), 12, 94 ; BioNTech SE, United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement “, (sans date, supposé 2019), 5, F-7 : https://investors.biontech.de/static-files/0eb8771c-1cda-4868-bb9f-bdb22dfd29e4 . Les pertes de Moderna se sont élevées à 230 314 000 dollars pour 2016, 255 916 000 dollars pour 2017 et 243 308 000 dollars pour les neuf mois à fin septembre 2018, et auraient besoin de plus d’investissements. Bien qu’ayant levé 1,1 milliard de dollars depuis 2008 dans le cadre de placements privés de leurs actions, BioNTech a tout de même enregistré une perte avant impôts de 85 950 000 € pour 2017 et de 48 262 000 € pour 2018.
↑58 Victor Corman, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Christian Drosten Charité Virology, Berlin, Germany; Olfert Landt, Tib-Molbiol, Berlin, Germany; Marion Koopmans, Erasmus MC, Rotterdam, The Netherlands; Maria Zambon, Public Health England, London. Additional advice by Malik Peiris, University of Hong Kong, “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor Corman, et al., “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor M Corman, Olfert Landt, Marco Kaiser, Richard Molenkamp, Adam Meijer, Daniel KW Chu, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Julia Schneider, Marie Luisa Schmidt, Daphne GJC Mulders, Bart L Haagmans, Bas van der Veer, Sharon van den Brink, Lisa Wijsman, Gabriel Goderski, Jean-Louis Romette, Joanna Ellis, Maria Zambon, Malik Peiris, Herman Goossens, Chantal Reusken, Marion PG Koopmans, Christian Drosten, “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23: https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045
↑59 Bloomfield Affidavit, (13 Jul 20), 8; “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21): https://en.wikipedia.org/wiki.COVID-19_pandemic_cases_in_January_2020
↑60 Moderna, Inc., “United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement” (9 Nov 2018), 12.
↑61 James Delingpole interview of Reiner Fuellmich, The Delingpod (23 May 21): http://www.odysee.com/@JamesDelingpoleChannel:0/feullmich:8
↑62 “WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20): https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-statement-on-ihr-emergency-committee-on-novel-coronavirus-(2019-ncov)
↑63 “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21); Andrew Joseph, “WHO declare coronavirus outbreak a global health emergency”, STAT (30 Jan 20).
↑64 Ibid.**
↑65 “WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20), 3.
↑66 Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 January 2020), 23.
↑67 William Engdahl, “Coronavirus Scandal Breaking in Merkel’s Germany”, (10 Dec 20): http://www.williamengdahl.com/englishNEO10Dec2020.php
↑68 Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, 29.
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↑74 Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23.
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↑90 Kate Newton, “The man modelling NZ’s Covid-19 spread from his kitchen table”, Radio NZ (27 Mar 20): https://www.rnz.co.nz/news/in- depth/412744/the-man-modelling-nz-s-covid-19-spread-from-his-kitchen- table; Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501 ; Nikki Macdonald, “Coronavirus: Controls could cut Kiwi deaths from 60,000 to 10,000”, Stuff (22 March 20): https://www.stuff.co.nz/national/health/coronavirus/120455106/corona virus-controls-could-cut-kiwi-deaths-from-60000-to-10000
↑91 Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20).
↑92 Alex James et al., “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4.
↑93 New Zealand Tax Payers Union, “Why Is Sean Hendy’s Modelling Group Getting $6m For Advice Treasury Is Paying $30k For Elsewhere?”, Community.Scoop (Oct 11 2021): https://community.scoop.co.nz/2021/10/why-is-sean-hendys-modelling-group-getting-6m-for-advice-treasury-is-paying-30k-for-elsewhere/
↑94 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑95 Ibid.****
↑96 Ibid..
↑97 Epidemic Preparedness (COVID-19) Notice 2020, New Zealand Gazette (25 March 2020).
↑98 Giorgio Agamben, trans. Kevin Attell, State of Exception (Chicago: The University of Chicago Press: 2005), 1, 50.
↑99 Phil Taylor, “Moderna plans triple vaccine targeting flu, COVID and RSV”, Pharmaphorum, (8 Jul 20): https://pharmaphorum.com/news/moderna-plans-triple-vaccine-targeting-flu-covid-and-rsv/
↑100 Evidence of Dr David Martin, “CDC Fraud”, Hearing of the German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee (12 Jul 21): https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/
↑101 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑102 Ibid.*****
↑103 Ibib., 15:50 to 26:20; “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination” (21 Sep 21)”, 1: Source: https://de.rt.com/inland/124390-lymphozyten-laufen-amok-pathologen-untersuchen-todesfaelle-nach-impfung/. Translated from German by http://www.DeepL.com/Translator.
↑104 Ibid.******
↑105 bid., 27:45 on.
↑106 Ibid., 53:00
↑107 “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination”, 1-2.
↑108 Ibid., 2.
↑109 Dr Calvin Luther Martin, “Close paraphrase of Dr Burkhardt’s overall conclusions” (accessed 13 Oct 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑110 Dr Burkhardt, “Slideshow presentation”, Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21); Ibid., 1:53:
↑111 2:19:13.
↑112 Ibid.*******
↑113 Ibid…
↑114 Ibid., 2:34:30.
↑115 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 19 (5.5).
↑116 Ibid., Attachment B – Delivery Schedule and Price, 22 (8.1).
↑117 Ben Strang, “Government grants vaccine suppliers indemnity against claims”, Stuff via Radio NZ (25 Jan 21): https://www.rnz.co.nz/news/alert-top/435107/government-grants-vaccine-suppliers-indemnity-against-claims
↑118 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 7 (2.1 [b]-[c]); “Dr Ashley Bloomfield and MedSafe’s Chris James talk about vaccine approvals”, Ministry of Health (4 Feb 21): https://www.youtube.com/watch?v=th4U_9Ddk4s



Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie

[Source : cv19.fr]

Par Antonin Pimousse

C’est établi, tout le monde le sait, il y a des milliers d’études, le SARS-CoV-2 est le virus responsable de la grille de symptômes appelée COVID-19. [Ndlr : selon le récit officiel.]

Il y a des doutes sur l’efficacité des masques, des confinements, des passes sanitaires, de la distanciation sociale, des vaccins, des modes de transmissions, de la période d’incubation, de l’infectiosité des asymptomatiques, de la pertinence des tests PCR, mais le fondement, le virus, est inattaquable [Ndlr : selon le récit officiel].

Il y a d’ailleurs trois études qui affirment démontrer que ce virus est contagieux et responsable d’une maladie, chez l’animal certes, éthique oblige, mais s’il fallait une preuve pour ceux qui douterait (qui douterait d’une évidence ?), c’est bien dans ces articles que nous la trouverons.

Souris

Le premier est une étude chinoise publiée le 07 mai 2020 dans la revue Nature, La pathogénicité du SARS-CoV-2 chez les souris transgéniques hACE2, elle affirme “confirmer la pathogénicité du SARS-CoV-2 chez les souris hACE2”.

Les souris hACE2 sont modifiées génétiquement pour qu’elles expriment l’ACE2 humain (hACE2), enzyme de conversion de l’angiotensine 2, présente dans pratiquement tous les organes chez l’homme et identifiée comme le récepteur fonctionnel du SRAS.

L’expérience est simple, il y a trois groupes de souris :

Le premier groupe est constitué des souris transgéniques (hACE2) à qui on inocule nasalement après anesthésie avec Avertin l’isolat du SARS-CoV-2 (un isolat en virologie n’est pas un isolat comme en bactériologie, l’isolat est ici une culture cellulaire sur cellules rénales de singes Vero contenant de la L-glutamine, du glucose, du pyruvate de sodium, du bicarbonate de sodium, du sérum bovin fœtal, de la pénicilline et de la streptomycine) ;

Le deuxième groupe est constitué de souris sauvages normales à qui on inocule l’isolat de la même manière ;

Le troisième groupe est constitué de souris transgéniques à qui on inocule nasalement une solution saline (tampon phosphate salin).

De légers poils hérissés et une perte de poids a été observé uniquement chez les souris hACE2 inoculée, atteignant 8% 5 jours après l’infection puis revenant rapidement à la normale, aucun autre signe clinique n’a été détecté.

Si des poils hérissés et une perte de poids ne correspond pas forcément aux symptômes observés chez l’homme, il s’agit de souris et on peut envisager qu’elles réagissent différemment.

Cette expérience présente néanmoins certaines lacunes qui peuvent faire douter de la pertinence des résultats obtenus.

Premièrement l’expérience témoin, les scientifiques déclarent utiliser un isolat, mais le terme n’est pas approprié puisque la solution s’apparente plus à une soupe de matériels génétiques provenant de trois espèces différentes et de produits toxiques, cette solution ne contient pas uniquement le virus. Il serait très simple de reproduire la même culture cellulaire sans y ajouter l’isolat de SARS-CoV-2 et de l’inoculer au groupe témoin, pourtant, seule une solution saline est utilisée.

Aurait-on obtenu les mêmes résultats si les souris du groupe témoin avaient été traitées de la même manière ?

Les scientifiques n’ont peut-être pas jugé utile de pratiquer cette expérience, car ils inoculaient également les souris sauvages de la même manière que les souris transgéniques, elles n’ont d’ailleurs pas présenté de symptômes (perte de poids et fourrure hérissée). Mais comme l’expérience témoin sur les souris transgéniques est questionnable, il n’est pas établi que les produits de la culture cellulaire seuls ne provoquent pas une réaction différente entre souris sauvages et souris hACE2.

Toute modification génétique entraîne des réactions imprévisibles, on sait par exemple que les souris transgéniques surexprimant l’ACE2 dans le cœur présentent une mort subite due à des arythmies cardiaques. L’explication possible de ce phénotype défavorable peut être liée à un rôle non défini de l’ACE2 au cours du développement. Il est probable que la surexpression chronique de l’ACE2 et/ou de l’Ang-(1-7) puisse induire des anomalies du développement chez les souris transgéniques.

Les résultats de cette étude utilisant des souris génétiquement modifiées sont donc difficilement interprétables, il est possible que les méthodes seules utilisée dans cette expérience, en dehors du virus fourni par une autre équipe de chercheurs, conduisent aux mêmes résultats.

Cette étude avait également fait scandale à sa première parution, car des manipulations au niveau des photographies histopathologiques avaient été détectées par Elisabeth Bik, une consultante en microbiome et intégrité scientifique.

Ce n’est pas super. Un article de @Nature sur la pathogénicité du SARS-CoV-2 avec un chevauchement possible des photos représentant les différents groupes traités.
https://twitter.com/MicrobiomDigest/status/1260030238987128833

La figure 3 pose aussi question,

“nous avons démontré la colocalisation de la protéine S du SARS-CoV-2 (Fig. 3f) et du récepteur humain ACE2 (Fig. 3g) dans les cellules épithéliales alvéolaires des souris hACE2 infectées par HB-01 en utilisant l’immunofluorescence, à 3 dpi (Fig. 3h). Ce phénomène n’a pas été observé chez les souris hACE2 traitées par tampon phosphate salin (PBS) (Fig. 3a-d) ou chez les souris de type sauvage infectées par HB-01 (données non présentées), ce qui indique que le SARS-CoV-2, comme le SARS-CoV, utilise l’ACE2 humain comme récepteur d’entrée.”

Il aurait été plus pertinent de comparer les résultats des souris sauvages inoculées avec ceux des souris transgéniques pour démontrer ce point, il est tout à fait possible que la protéine S soit détectée simplement par ce qu’elle a été inoculée, indépendamment du récepteur hACE2, et dans ce cas une image d’une souris sauvage inoculée chez qui on ne détecterait pas la protéine S donnerait plus de crédibilité à l’étude.

Cette étude apporte donc difficilement une preuve irréfutable du lien entre le matériel génétique utilisé et la perte de poids et la fourrure hérissée des souris transgéniques, mais d’autres études de ce type pourront peut-être répondre aux différents points soulevés.

Hamsters

Le deuxième article est une étude chinoise publiée le 3 décembre 2020, “Simulation des manifestations cliniques et pathologiques de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) dans un modèle de hamster doré syrien : Implications pour la pathogenèse et la transmissibilité de la maladie

Cette race de hamster a été choisie en raison de la similarité entre l’ACE2 humain et celui de l’animal.

L’expérience utilise des méthodes similaires à la première sur les souris, un groupe de 11 est inoculé intranasalement avec “l’isolat” du SARS-CoV-2, et un groupe de 3 avec une solution saline. Seuls les anesthésiants changent, ici de la kétamine et de la xylazine.

En noir le groupe inoculé avec la solution saline,
en rouge avec l’isolat du SARS-CoV-2 et l’évolution du poids.

“Les animaux exposés au SARS-CoV-2, mais pas ceux inoculés avec la solution saline (PBS), ont présenté une perte de poids corporel moyenne progressive allant jusqu’à environ 11 % de 1 à 6 jours, puis ont progressivement repris leur poids à 14 jours (figure 2A). Ils ont développé une léthargie, une fourrure ébouriffée, une posture de dos voûté et une respiration rapide depuis 2 dpi et ont commencé à se rétablir à 7 dpi. Aucun des animaux infectés par le SARS-CoV-2 et des animaux infectés par le virus fictif n’est mort.”

Cette étude présente donc les mêmes défauts que la première concernant l’expérience témoin, il y a aussi une différence importante de hamsters utilisés (11 contre 3) induisant une variation des paramètres de poids plus important entre la moyenne des deux groupes et une absence de groupe témoin pour les images histopathologiques des voies respiratoires (disponible pour la rate et l’intestin, ce qui représente peu d’intérêt).

Dans la deuxième partie de l’étude, des hamsters inoculés (n=3) avec l’isolat sont mis dans la même cage que des hamsters sains non inoculés (n=3) pour étudier l’infectiosité.

En noir les hamsters “contact”,
en rouge les hamsters inoculés et l’évolution du poids.

Le groupe inoculé présente une perte de poids corporel moyenne progressive allant jusqu’à environ 15 % de 1 à 6 jours, le groupe contact naïf ne montre pas de perte de poids moyenne plus importante que le groupe inoculé avec solution saline, en fait ils gagnent même beaucoup plus de poids après 14 jours.

Il est noté : “Il est intéressant de noter que les animaux index ont présenté une perte de poids significativement plus importante (P < 0,05) que les animaux contacts entre 2 et 8 dpi.”
“La perte de poids minime chez les animaux contacts naïfs pourrait être liée à un inoculum viral plus faible par rapport à la dose intranasale unique élevée de virus reçue par les animaux index stimulés.”

Les scientifiques ne mentionnent à aucun moment les signes cliniques des hamsters contacts naïfs, peut-être n’en ont ils pas observés.

Ils concluent que l’expérience à marché, car les deux groupes de hamsters ont été testés positifs par test PCR, mais rien ne montre que les hamsters contacts soient tombés malades. Il est possible qu’une partie du matériel génétique inoculé aux hamsters index se soit répandu aux hamsters contacts sans induire le moindre symptôme, et que les hamsters index aient présenté des symptômes à cause des méthodes et produits contenus dans l’isolat.

Il est également précisé que “Les modifications histopathologiques et l’expression de la protéine virale N dans les cornets nasaux, la trachée, les poumons et les tissus extrapulmonaires des animaux de contact étaient similaires à celles des animaux contaminés (figure supplémentaire 5).”

La figure supplémentaire 5 en question :

Aucune précision sur la partie des voies respiratoires représentée, et le gène S semble être présent à l’état de trace par rapport aux autres images.

Cette deuxième étude montre donc difficilement le lien entre SARS-CoV-2 et une maladie chez le hamster, l’expérience de transmissions entre hamsters inoculés et hamsters contacts tend même à démontrer une absence d’infectiosité entre contacts (chez le hamster).

Macaques

La troisième étude, publiée le 12 mai 2020 par une équipe aux États-Unis, “Maladie respiratoire chez les macaques rhésus inoculés avec le SARS-CoV-2” est le modèle parfait pour étudier la contagiosité du SARS-CoV-2 sur un modèle non-humain, car l’ACE2 du macaque rhésus est 100 % identique à l’ACE2 humaine au niveau de la région d’interface.

8 macaques (4 mâles et 4 femelles) sont inoculés avec une culture cellulaire de compositions similaires aux isolats de la première et deuxième étude via une combinaison d’administration intranasale (0,5 ml par narine), intratrachéale (4 ml), orale (1 ml) et oculaire (0,25 ml par œil), cette fois aucune anesthésie n’est effectuée.

“Nous avons inoculé à huit macaques rhésus adultes l’isolat nCoV-WA1-202014 du SARS-CoV-2. Le premier jour après l’inoculation (dpi), tous les macaques ont montré des changements dans leur schéma respiratoire et leur piloérection (hérissement des poils), comme le reflètent leurs scores cliniques (Fig. 1a). Les autres signes de maladie que nous avons observés comprenaient une diminution de l’appétit, une posture voûtée, une apparence pâle et une déshydratation (Tableau 1 des données étendues). La toux a été entendue occasionnellement dans la pièce où les macaques étaient logés, mais n’a pas pu être attribuée à des macaques individuels. Les signes de la maladie ont persisté pendant plus d’une semaine, tous les macaques étant complètement guéris entre 9 et 17 dpi (Fig. 1a, Données étendues Tableau 1). Nous avons observé une perte de poids chez tous les macaques (Fig. 1b) ; la température corporelle a atteint un pic à 1 dpi mais est revenue à des niveaux normaux par la suite (Fig. 1c). Sous anesthésie, les macaques n’ont pas montré une respiration accrue ; cependant, tous les macaques ont montré des schémas respiratoires irréguliers (Fig. 1d).”

Nous noterons d’abord qu’aucune expérience témoin n’est effectuée, “Un système en double aveugle n’a pas été utilisé dans cette étude car tous les macaques ont été soumis au même traitement.”, une logique questionnable, le traitement auquel les macaques sont soumis étant potentiellement traumatique (les macaques ne sont pas anesthésiés et sûrement contentionné pour l’inoculation) et la culture cellulaire utilisée contenant beaucoup d’autres substances que le virus SARS-CoV-2, elle pourrait potentiellement induire une réaction toxique ou allergique.

Les scientifiques pointent eux-mêmes que le schéma respiratoire des macaques revient à la normale après anesthésie (pour euthanasie), indiquant que la modification de la respiration, ainsi que les autres symptômes, pourraient également être liés au stress induit par les méthodes physiques utilisées pour l’inoculation.

Les macaques sont également testés par PCR :

“L’excrétion virale était la plus élevée dans le nez (figure 2a) ; le virus a pu être isolé dans des écouvillons prélevés à 1 et 3 dpi, mais pas par la suite. Les charges virales étaient élevées dans les écouvillons de gorge immédiatement après l’inoculation, mais elles étaient moins constantes que dans les écouvillons de nez par la suite ; chez un macaque, les écouvillons de gorge étaient positifs à 1 dpi et à 10 dpi, mais pas entre les deux (Fig. 2a).”

Ces données semblent indiquer que la culture cellulaire inoculée rend positif le test PCR s’il est effectué sur les tissus inoculés. En mettant du matériel génétique chez les macaques et en retrouvant ce matériel génétique chez eux, on prouve donc que du matériel génétique a été inoculé à des macaques. La “charge virale” ne semble pas non plus augmenter comme on pourrait le penser si le virus se répliquait dans les cellules, il semble être excrété comme une particule exogène non-assimilable par l’organisme (du macaque).

Les images histopathologiques et des poumons sont difficilement interprétables en l’absence de groupe témoin soumis au même traitement (mais sans virus). Une inhalation pulmonaire de la culture cellulaire pourrait également provoquer les “changements” observés.

Nous avons donc revu ici les trois articles scientifiques majeurs utilisés pour démontrer la pathogénicité du SARS-CoV-2 et son lien de causalité avec la maladie Covid-19.

S’ls présentent quelques défauts méthodologiques, cela ne prouve toujours pas que le SARS-CoV-2 n’est pas contagieux et responsable du COVID-19 chez l’homme.

Pourquoi ?

Par ce que nous n’avons pas d’autres modèles pour expliquer la maladie, la biologie et la vie.

[Note de Joseph : si, il existe un tout autre modèle. Voir notamment :

Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
La théorie des exosomes contre celle des virus

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Fauci et la grande arnaque du sida
L’outil statistique maîtrisé démontre que la Covid et les maladies hivernales telles que la grippe ne sont pas des phénomènes de contagion, mais sont fortement corrélées à la température
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale
Deux visions de la maladie et de la santé
Vie et mort des systèmes
Terre vivante ?
Réflexion sur la vie, la matière et la conscience

De plus le modèle viral apparaît frauduleux, puisqu’on ne trouve apparemment aucune étude qui respecte intégralement la démarche scientifique avec les expériences de contrôle ou contre-expériences que l’on devrait pourtant logiquement mener pour établir la réalité du lien de cause à effet entre le virus et la maladie qu’il est supposé provoquer. Notamment les virus devraient respecter les postulats de Koch et de Rivers (voir en particulier Déclaration sur l’isolement des virus).

Question subsidiaire concernant cette étude particulière : si le SRAS-CoV-2 est censé être la cause de la Covid via les récepteurs ACE2, et sachant que le singe n’est pas si éloigné que ça de l’Homme sur le plan génétique, pourquoi les présents symptômes pour les macaques seraient la démonstration que ces derniers ont eu la Covid alors qu’ils n’ont aucun rapport avec les symptômes humains ? La réponse logique est la suivante : en fait ils ne démontrent rien, parce que le matériel injecté n’est pas la cause de la Covid, mais d’un empoisonnement à cause des produits toxiques présents dans l’isolat. Et la Covid humaine est quant à elle le résultat d’autres types d’intoxication du corps, particulièrement ceux produits par des ondes électromagnétiques pulsées, comme la 4G, le Wi-Fi et la 5G.

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?]

Une maladie dite infectieuse doit être causée par un agent matériel unique, et l’élimination de cet élément d’origine inconnue (une chauve-souris, un pangolin, le voisin, qui ont eux même “attrapé ce virus” suite à sa formation par le biais de réactions chimiques aléatoires de la nature et de l’univers) ne peut être aboutie que par sa recherche et sa destruction. Le virus est une entité unique, aléatoire, sans but, que les cellules du corps répliquent jusqu’à leur éclatement, c’est ainsi.

Si l’alimentation, les carences, l’état psychique, le microbiome, les toxines et polluants ont un rôle sur la santé, c’est avant tout en jouant sur le système immunitaire qui permet de se battre contre les virus et bactéries pathogènes. L’homme a évolué depuis des milliers d’années en s’adaptant aux virus, à tel point que 8 % de son ADN en serait composé, il fait partie intégrante de notre code génétique.

Il est donc impossible que le SARS-CoV-2 ne soit pas contagieux, il est impossible que le SARS-CoV-2 ne soit pas responsable de la grille de symptômes appelée COVID-19, par ce qu’il est impossible que nous pensions autrement.
[Ndlr : selon le récit officiel.]

Antonin Pimousse




Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?

[Source : OnNeNousDitPasTout]



[Voir aussi, sur le graphène :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19

sur la 5G
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?]
5G : installation à marche forcée malgré les risques
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)
Un cimetière d’abeilles sous les antennes 5G à Toulouse
Localisation des antennes 5G en France

sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
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87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
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sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
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La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
La Criminelle Arnaque du COVID-19 : 98 % de tous les cas de myocardite chez les enfants sont dus aux injections d’ARNm Covid-19
Les triples vaccinés se rendent compte qu’ils se sont fait berner par le gouvernement
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins
La principale finalité de la vaccination n’est pas sanitaire

sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

sur la fraude des tests PCR :
Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid-19 »
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

sur le contrôle :
Covid-19 et contrôle des masses — Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Science-fiction ou réalité ? Contrôler le cerveau via des vaccins ARNm ?

sur le dépeuplement possible :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?]