Quand le système monétaire MONDIAL tombera…

[Source : rusty james news]

… ce sera le 666 SystemE

[Ndlr : s’il a existé ou existe encore une conspiration de cet ordre, elle a visiblement pris du retard puisque la date de finalisation mentionnée en fin d’article — 1995 — est largement dépassée.]

Une femme d’affaires américaine a fait paraître en 1981 et en 1983 deux livres fort bien documentés sur le système monétaire 666 en cours d’élaboration. Elle écrivait :

Quand le système monétaire tombera… ce sera le 666 System… Bruxelles, le quartier général de l’économie européenne, est le lieu où se trouve le centre principal de branchement du réseau international SWIFT. Ce centre a l’ambition d’étendre ce transfert de fonds au niveau international, c’est-à-dire pour tous et dans tous les pays. Ce centre de contrôle monétaire occupe trois étages de l’immeuble de treize étages du quartier général de la CEE. C’est dans cet immeuble que Mr. Elderman est en train de diriger rapidement les efforts en vue d’attribuer à chaque personne sur la terre un numéro de 18 chiffres composé de trois séries de six chiffres. »

Cet article indique que les informaticiens travaillaient sur un plan qui visait à attribuer des numéros à chaque individu sur la terre. Ces derniers ont suggéré qu’un nombre chiffré pourrait être inscrit par tatouage au laser sur le front ou sur le dos de la main.

Selon eux, cette « marque internationale » pourrait en finir avec toutes les monnaies. Aucun individu ne pourrait acheter ou vendre sans avoir l’attribution d’une marque chiffrée…

Les capacités des ordinateurs du réseau SWIFT centralisés à Bruxelles sont telles que les initiés l’ont appelé « The Beast » (la Bête)… Ce gigantesque ordinateur à Bruxelles appelé la Bête existe depuis la fin des années 80.

Grâce aux cartes de crédit, il a été facile de mettre presque toutes les populations des nations industrielles et commerciales dans les mémoires des banques. Nous sommes liés à cette machine électronique par une ou plusieurs clés qui peuvent être notre numéro de sécurité sociale, notre permis de conduire, notre extrait de naissance, notre numéro de passeport. Chaque mouvement d’argent que nous avons fait et chaque penny que nous avons payé au service des impôts annuellement est enregistré.

La capacité de cette gigantesque machine de Bruxelles était préalablement établie pour 2 milliards de personnes en 1989. Chaque individu, membre d’une des nations industrielles est déjà dans cet ordinateur. Sont connus : chaque déplacement d’argent effectué, tous les changements d’adresses réalisés, les emplois suivis, les revenus et le taux d’imposition.

Dans ce programme, tout achat et toute vente doit se faire par ordinateur. Pas de devises, ni de monnaie ni de chèques. Les entreprises bancaires et commerciales se sont d’ailleurs toutes converties au niveau système de transfert électronique de fonds, entraînant dans leur sillage la grande masse des salariés et employés divers. L’idée initiale était d’établir cette gigantesque unification et planification monétaire par le moyen des cartes de crédit.

Dans les années 80 on pensait que chaque personne recevrait un numéro tatoué sur son poignet ou sur le front. Ce numéro fourni par Bruxelles serait imprimé par un rayon laser sans qu’on ne le sente. Le numéro sur le corps serait invisible à l’œil nu et serait aussi durable que les empreintes digitales. Tous les articles commerciaux sont pourvus d’une marque à l’ordinateur. L’apparition il y a quelques années du code-barres informatique s’est étendue rapidement sur la quasi totalité des biens de consommation. Ce fut la première conséquence concrète, perceptible, du plan d’asservissement monétaire en cours. Tout ceci s’est fait sans publicité, dans le grand silence. Nous y reviendrons.

La caisse ordinatrice du magasin qui enregistre le numéro des articles, enregistrerait également le nombre sur le corps de la personne, ferait automatiquement le total de ses achats et déduirait le montant de son compte spécial de droit de retrait. À l’époque, la marque sur la main ou sur le front devait s’effectuer selon la technique du laser. On devait imprimer par brûlure microscopique, indolore, inaltérable et très précise, le code informatique des données bancaires.

On trouve des explications aux États-Unis :

  • Dans les grands centres de loisirs où l’on pratique perfidement cette parole de Jésus : « Laissez venir à moi les petits-enfants »…

À l’entrée du parc Disneyland, les parents règlent afin que leurs enfants puissent aller à telle ou telle aire de jeux. Rendu sur le lieu désiré, l’enfant met sa main dans une machine. Elle lit que l’enfant a payé. Elle le laisse entrer dans l’aire de jeux.

  • Dans les grands centres de distribution…

Les clients n’ont plus à faire de longues queues devant les caisses. Plus besoin de passer leurs achats sur le tapis roulant. Pour emprunter un chariot, le client insère sa carte de crédit dans un logement spécial, qui s’y trouve incorporé. À l’intérieur se trouve un lecteur laser de code-barres robuste, à l’épreuve des chocs. Ainsi, chaque fois que le client introduit un article dans le chariot, sont prix est enregistré. Le paiement s’opère automatiquement par connexion du chariot à la caisse-sas de sortie, qui lit la carte bancaire et vérifie la validité de son code. Le client n’a plus qu’à signer la facture établie par le lecteur code-barres de son propre chariot.

Le premier supermarché sans caissières a été ouvert à Caen en 1994…

Voici ce qui est peaufiné : pour emprunter le chariot le consommateur devra apposer sa main dans un logement spécial incorporé – comme les enfants le font déjà à Disneyland. Le lecteur optique lira le code-barres de la main, gravé au laser.

Si le client potentiel est dûment marqué, si son compte en banque est suffisamment provisionné et s’il n’est pas classé parmi les exclus économiques pour raison religieuse ou politique, le chariot se libère et le client peut rentrer dans le magasin. Même système et passage à la caisse-sas enregistreuse afin que celle-ci puisse établir l’identité de la facture, ainsi que le numéro du compte. Il signe cette facture et c’est fini.

Seuls les esclaves de la Bête pourront manger et boire…

Mais les mondialistes ont été peu à peu obligés de se rendre à l’évidence : la carte de crédit par exemple n’était pas à la hauteur du plan monétaire d’asservissement universel ! Il fallait chercher autre chose.

Dans ce contexte déjà bien avancé, il suffisait d’un pas de plus pour réaliser parfaitement la domination économique et monétaire du Gouvernement Mondial antichristique.
De quelle façon les architectes de l’Ordre Mondial comptent-ils s’y prendre pour instaurer le Gouvernement Mondial et assurer le contrôle et la surveillance directe de toutes les populations au moyen de l’implantation du MICRO CHIP BIOLOGIQUE D’IDENTIFICATION INTERNATIONALE ?

Ces architectes sont les personnes à la tête de la Finance Internationale. Aussi vont-elles utiliser l’économie pour aboutir au chaos nécessaire afin de recréer un autre ordre, humaniste, amenant les nations à accepter de gré ou de force un Gouvernement Mondial par les Nations Unis.

Des journalistes américains de la revue Monetary and Economic de mars 1993 ont révélé un document intitulé : « Un Gouvernement Mondial par assentiment ou asservissement ».

L’auteur est un dénommé Norman and Frence, ancien spécialiste d’affaires au Colorado Office of Economic Development, auteur aussi d’un manuel de planification financière. C’est également un ancien responsable des prêts, officier chef des opérations dans une compagnie d’investissement, et un expert notable dans le domaine de la finance et des investissements.

Monsieur Frence rapporte que « les pressions pour un Gouvernement Mondial se poursuivent depuis des siècles, mais jamais encore avons-nous atteint le degré dans lequel nous nous trouvons aujourd’hui. » Des termes de l’ONU tels qu’autorité de loi, lois mondiales, sécurité collective, ordre mondial et nouvel ordre mondial, sont des noms de code qu’emploie l’Establishment International en référence à leur plan pour un Gouvernement Mondial unique.

Dès 1945, devant le sous-comité des relations étrangères du sénat américain, le partisan d’un gouvernement mondial initié, J. P. Warburg établissait :

« Nous aurons un Gouvernement Mondial que vous le vouliez ou non. La question est de savoir si le Gouvernement Mondial sera atteint par la raison ou par la force. »

Il y a ceux qui proposaient une approche étape par étape. Henry Morgan, ancien secrétaire trésorier du CFR parlait au nom de la plupart des initiés en disant :

« Nous pouvons difficilement nous attendre à ce que l’État-nation devienne superflu de lui-même. Le but que nous devons plutôt viser est l’acceptation dans l’esprit de tous les élus responsables, qu’ils ne sont que les concierges d’une machine internationale en banqueroute qui devrait lentement être transformée en une nouvelle machine. »

Ceci a été rapporté en mars 1993. En mars 1994, ces gens de la Haute Finance Internationale viennent d’achever de mettre en marche la machine économique qui va permettre au niveau de tous les pays, l’instauration d’un nouvel ordre économique.

Ils ont donné un avertissement à un an d’intervalle, jour pour jour, heure pour heure, aux deux puissances FINANCIÈRES qui pourraient les gêner : les États-Unis et le Japon. Par quel moyen ? Par un tremblement de terre.

Monsieur Frence continue :

« L’ingrédient qui est dans cette formule est de mettre en banqueroute financière la machine internationale ».

En d’autres termes, après avoir endetté les États-Unis au-delà du raisonnable, ils veulent créer de pure pièce une crise économique extraordinaire qui contraigne les États, pour se sortir du paiement des intérêts de leurs dettes intérieures souscrites aux banquiers qui dirigent la Finance Internationale, à exécuter des coupes sombres dans leurs programmes sociaux afin de toucher directement les populations. Ceci contraindra (c’est fait en 1994) les États-Unis à se tourner vers le Fonds Monétaire International de l’ONU et de la Banque Mondiale, qui imposeront CETTE condition : que les pays emprunteurs abandonnent leur souveraineté étape par étape afin de cacher ce scénario aux peuples et électeurs ! (Voici les uniques raisons de Masstricht, du Gatt, du libre-échange, des accords de Schengen,…). On oblige(ra) alors ces pays à dépendre de l’ONU pour leur survie et donc des directives que l’ONU leur dictera.

Ce qui est surprenant est que cette stratégie a été mise de l’avant par la première société secrète penchant vers la conquête du monde : les Illuminatis. En effet, ce programme extrait d’une revue financière, rejoint l’article 4 du code des Illuminatis :

« … afin que les masses n’aient pas le temps de penser et de se rendre compte, leur esprit doit être orienté vers l’industrie et le commerce. Ainsi toutes les nations seront avalées par l’appât du gain, et dans cette course ils ne verront pas leur ennemi commun ».

Nous avons là une explication de la flambée boursière des années 80 à février 1994.

C’est une stratégie politique tout à fait connue : absorber l’attention de quelqu’un sur un point précis tandis que l’on est en train de préparer autre chose. Comme nous sommes témoins de cette quête effrénée du profit dans l’industrie et du commerce, on ne se rend pas compte que les États sont dans un système financier en Banqueroute qui est sur le point de s’écrouler. L’ennemi commun est le système bancaire global central, donc le FMI qui détient tous les prêts, réalisant ainsi ce qui est prévu par les Illuminatis il y a quelques centaines d’années. L’article 6 du code des Illuminatis disait en effet :

« Nous, l’élite financière, allons bientôt entreprendre d’immenses monopoles, réservoirs de richesses colossales – actions, valeurs, fonds mutuels, rentes – sur lesquels des fortunes encore plus grandes – celles des masses – vont dépendre, à un tel point qu’ils tomberont jusqu’au fond avec les crédits des États le jour suivant l’écroulement politique ».

Donc, en arrivant à une crise économique majeure, qui ne touchera pas les institutions comme ce fut le cas dans les années trente, toutes les fortunes faites par les masses dans la spéculation, se retrouveront du jour au lendemain évaporées.

Dans ce mécanisme recherché par les architectes de l’ONU – les plus grands banquiers de la planète, – l’objectif à réaliser est que les nations et les populations à l’intérieur de ces nations, se retrouvent ruinées du jour au lendemain, en n’ayant plus aucune valeur financière. C’est de cette manière qu’il sera possible d’imposer un nouveau système. Pour accéder à ce nouveau système international, les gens devront accepter l’implantation d’un MICRO CHIP BIOLOGIQUE D’IDENTIFICATION INTERNATIONALE, sinon ils ne pourront ni acheter, ni vendre au niveau national comme au niveau international [c’est simple comme bonjour !].

Il faut bien comprendre que l’objectif n’est pas de ruiner les entreprises, mais de ruiner les États et les populations ! L’écroulement économique planifié a été utilisé maintes fois à une petite échelle pour prendre le contrôle d’un pays. Mais maintenant la grande finale [c’est la lutte finale de l’internationale !…] est en préparation. Ils connaissent, grâce à certains pays qui ont subi cette thérapie de chaos, quelles seront les réactions futures des populations occidentales et américaines. Aujourd’hui, aidés par la technologie actuelle et les ordinateurs, ils sont capables de fabriquer de toutes pièces le complot d’une grande crise économique, sans que les institutions financières, les grandes corporations comme les multinationales, s’effondrent.

On tentera de faire croire à leur effondrement afin de précipiter la débâcle boursière, mais ce sera faux.

Comme les économies des pays sont en train de s’effondrer lentement à cause des dettes fabriquées et des intérêts à rembourser [cf. Charles Gave, « Des lions menés par des ânes », chez Robert Laffont], les élus de ces pays se verront incapables de résoudre le problème. Le complot est mené de telle manière que les élus politiques déduiront – avant l’implosion – qu’ils seront perçus eux-mêmes comme étant les responsables de la faillite des États. Les élus perdant leur pouvoir par l’incapacité humaine de résoudre ce problème insoluble sans rejeter l’ensemble du système, seront condamnés à se tourner vers l’ONU [et le tour est joué !], à défaut d’être déposés par le peuple. L’ONU exigera leur assimilation aux directives élaborées par les Initiés du Gouvernement Mondial. Tout ceci sera FINI en mars 1995… Ces élus multiplie(ront) et augmente(ront) la fréquence de la crise par l’augmentation des coupures aux niveau social. S’en suivront des crises mondiales, des violences à l’échelle internationale.

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La solution finale. Numérisation complète. « La codification QR du monde »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Peter Koenig

Imaginez que l’humanité déciderait un jour – très bientôt – d’arrêter de porter des masques. À l’unisson : pas [de masques] dans la rue, pas dans les restaurants, pas dans les magasins, pas dans les événements sportifs – tout simplement nulle part. Contre tous les ordres d’une bonne partie des 193 gouvernements membres de l’ONU, ou du moins des gouvernements occidentaux. Et, en effet, contre l’ensemble du système des Nations Unies – contre les ordres de M. Antonio Guterres, lui-même. Oui, en effet. Beaucoup d’agences des Nations Unies, pas encore toutes, ont commencé à rendre obligatoire l’injection pour leur personnel… ou autres.

Comment se fait-il que tout le monde n’ait pas encore pensé que quelque chose ne va pas ? Qui va très mal. Se peut-il qu’il s’agisse simplement de la dissonance cognitive ? Vous savez qu’il y a quelque chose qui ne va pas du tout, mais le confort de votre maison ne vous permet pas de l’admettre ? C’était le cas dans le Troisième Reich, cela a mis en avant la tyrannie d’Hitler. Le reste appartient à l’histoire.

L’alternative à envisager serait que tous ceux qui ont décidé de ne pas se faire injecter s’en tiennent à leur décision et la rendent publique. Ils défient les ordres totalement illégaux et inconstitutionnels du gouvernement, le système de l’ONU qui reçoit leurs ordres de l’obscur culte invisible menaçant de mort ceux qui refusent d’obéir.

Il faut s’imaginer que personne n’écouterait ces ordres absurdes et anticonstitutionnels, pas même la police, ni l’armée – les deux institutions chargées d’appliquer la loi se rangeraient du côté du peuple – ce même peuple dont ils ont juré de défendre les droits.

En fait, cela s’est produit plus d’une fois dans le monde, là où la brutalité policière était particulièrement importante, un groupe de policiers de première ligne a soudainement enlevé leur casque et marché avec le peuple – en France, en Allemagne, en Autriche, en Italie, en Suisse et ailleurs. Dernièrement, une situation similaire s’est probablement manifestée dans l’État de Victoria, en Australie, où les habitants de Melbourne sont littéralement confinés depuis des mois.

Une policière a démissionné et s’est présentée sur le devant de la scène en donnant des entrevues et en révélant que la majorité de ses collègues pensent de la même façon, mais ils ont peur de perdre leur emploi et / ou d’être punis par le gouverneur tyrannique de Victoria. C’est un bon début. Regardez ce reportage.

Cela doit se produire à l’unisson. Dans la solidarité. Dans la plupart des pays européens, vous n’êtes pas le droit d’aller au restaurant ou à tout événement public à moins que vous ne puissiez présenter le votre preuve de vaccination anti-Covid (certificat vaxx) – un infâme code QR sur votre téléphone portable, qui sera lu par un autre téléphone portable, programmé pour lire votre QR-code.

Photo : Manifestation à Montréal, le 30 octobre 2021, par Micheline Ladouceur

Vous n’avez aucune idée de ce qui est ou de ce qui sera éventuellement mis sur ce code QR. L’objectif est d’obtenir tous vos renseignements personnels, votre dossier médial complet, votre casier judiciaire, en passant par vos comptes bancaires – tout sur vous en fait. Mais cela sans que vous soyez au courant. Vous ne pouvez pas lire ce qui se trouve sur le code QR. « Eux », « ils » le peuvent, car il est programmé de cette façon.

En fait, l’objectif est d’implanter ce code QR dans votre corps. C’est à peu près ce que Klaus Schwab a fièrement dit dans un bref entretien (environ 2 minutes de vidéo ci-dessous) avec la télévision suisse française en 2016. Il présente les choses comme suit :  : les humains deviendront des « transhumains ».

Vidéo : Vers la tyrannie numérique avec Peter Koenig



La vidéo a depuis été « vérifiée » (“fact-checked”) sur Internet. M. Microsoft, Bill Gates, a en fait parlé d’un système d’exploitation (Operating System) implanté dans le corps humain. Ainsi, nous, les humains, devons avoir un corps capable de répondre aux ondes électromagnétiques, en d’autres termes, notre corps doit être transformé en champs électromagnétiques (CEM). Cela se fait, par l’ARNm- « vaccin » (« vaxx)  qui est injecté dans les tissus de notre corps.

Avez-vous remarqué que Pfizer et Moderna, les deux sociétés pionnières  de l’ARNm – qui n’est absolument pas un vaccin, vous feriez mieux de le croire – sont-elles les seules compagnies à avoir obtenu l’autorisation en Occident ? Ils ont maintenant ajouté AstraZeneca et Johnson & Johnson – ces « vaccins » ne sont différents que dans la mesure où leur mécanisme de « mise à mort » est différent.

Ces « vaccins » produisent également des caillots sanguins et des protéines de pointe (protéine Spike). Les premiers peuvent entraîner des blocages respiratoires allant jusqu’aux embolies du poumon, du cerveau, voire du cœur. La protéine de pointe se propage à toutes vos cellules. Ils finissent par attaquer votre système de défense immunitaire, vous rendant beaucoup plus vulnérable à tout type de maladie, en particulier aux cancers. Pourquoi n’autorisent-ils pas le Spoutnik V russe ou l’un des vaccins chinois, tous deux basés sur des méthodes de vaccination traditionnelles ?

Les Russes et les Chinois ne travaillent pas pour le programme de réduction de la population.

Voyez cette histoire / vidéo d’horreur bien documentée par le Dr Madej : Dr. Carrie Madej: First U.S. Lab Examines “Vaccine” Vials, Horrific Findings Revealed (Dr Carrie Madej : Premier États-Unis Le laboratoire examine les flacons « vaccins », des résultats horribles révélés). Non, ce n’est pas pour effrayer qui que ce soit. C’est pour apporter la réalité dans le confort de votre maison et, espérons-le, vous jeter hors de votre confort dans un monde auquel vous et tout le monde devez participer à la résistance.

Savez-vous que les vaccins d’ARNm vous injectent du graphène, un fluide hautement toxique, qui crée dans tout votre corps un champ électromagnétique (CEM), réceptif aux ondes courtes ultra-courtes 5G et bientôt 6G qui pourront éventuellement manipuler votre cerveau et toutes vos informations, maintenant progressivement stockées sur votre QR-code personnalisé, vous transformant, humain, en – selon les mots de Klaus Schwab, un « transhumain » – qui n’est plus en possession de sa propre volonté ou de son compte bancaire ?

Votre argent, soit dit en passant, si vous ne l’avez pas déjà remarqué, ne sera bientôt plus de l’argent physique que vous pourrez toucher et remettre à un caissier ou à un fournisseur, mais il s’agira de toute l’argent électronique et numérique, sur lequel vous pouvez toujours avoir le contrôle, parce qu’ils vous le permettent. Mais une fois qu’ils auront décidé que vous devez abandonner le contrôle, il disparaîtra.

Avez-vous remarqué à quelle vitesse les distributeurs automatiques disparaissent ? Comment les caissiers dans les banques disparaissent? Ils ne seront bientôt plus nécessaires, car vous ne contrôlez plus l’argent liquide. Il y a des pays d’Europe du Nord qui en sont presque là : la numérisation complète. Dans certains pays, dont la Suède, certaines personnes ont déjà volontairement laissé implanter une nanopuce sous la peau de leur poignet. La puce fonctionne comme un compte bancaire intégré. Les jeunes adorent ça. C’est tellement cool. Vous balayez votre main, même plus de carte et le paiement est effectué. Sauf que ces personnes n’ont aucune idée de la façon dont cela se déroulera dans le futur.

Attention, cela ne s’applique qu’aux personnes qui survivent à la fausse vaccination – ou plutôt à la campagne d’inoculation. Parce que, savez-vous, que beaucoup plus de personnes sont mortes et meurent encore en recevant le vaccin-ARNm toxique que de la covid elle-même ? – Non, bien sûr que non. Le gouvernement et les grands médias ne vous en parleront pas. Les HARSAH reçoivent des milliards de dollars des gouvernements pour vous mentir.

Donc, tout ce qui précède ne s’applique qu’aux personnes qui survivent aux inoculations à long terme. Parce qu’il y a de fortes chances que vous ne surviviez pas. Du faux vaccin, pas du covid. Voir la vidéo en anglais : A Final Warning to Humanity from Former Pfizer Chief Scientist Michael Yeadon (Vidéo : Un dernier avertissement à l’humanité de l’ancien scientifique en chef de Pfizer Michael Yeadon).

Revenons au port du masque. C’était la première étape – dans la phase du verrouillage (Lockstep) – souvenez-vous du rapport Rockefeller 2010 – où les auteurs décrivent la « phase Lockstep« , ce qui signifie que les 193 pays membres de l’ONU les 193 pays membres de l’ONU font la même chose au même moment, le verrouillage (en « lockstep ») ? – Eh bien, nous avons déjà dépassé cette phase.

Cette phase Lockstep permet à chaque gouvernement du monde d’ordonner à son peuple de porter des masques, partout. La science (non corrompue) a prouvé depuis longtemps que le port du masque ne prévient ni le covid ni aucune maladie virale, mais cela cause d’énormes dommages en réduisant l’apport en oxygène de 20 à 50 %, selon le type de masque. Au lieu de cela, vous respirez votre propre CO2.

Mais ce n’est pas tout, les séquelles psychologiques causés par le port forcé d’un masque sont énormes. C’est une humiliation pure et simple; c’est une expérience pouvant mener à la dépression. Vous parlez aux gens, mais vous ne pouvez pas les reconnaître dans de nombreux cas, les voix sont étouffées, souvent difficiles à comprendre – et l’expression faciale qui en dit tant dans une conversation a disparu. Les dépressions ont explosé, tout comme les suicides. Mais les gouvernements et les grands média, bien rémunérés, ainsi que la « science corrompue » (bought science), ne parlent pas de ces effets désastreux.

À propos de la « science corrompue » : Beaucoup de gens ne peuvent tout simplement pas imaginer le monde corrompu que nous sommes devenus en l’espace de seulement deux décennies.

Mettons le début du compte à rebours au 11 septembre.

C’est à ce moment-là que les grands mensonges officiels ont commencé, et que la coercition des diseurs de vérité s’est installée. La plupart des scientifiques, de la police ou d’autres témoins de première main ont des familles, une carrière, un revenu stable. Ils ne veulent pas de « ennuis ». Et les ennuis peuvent aller du harcèlement à la perte d’emploi en passant par la mort. Ce n’est pas une blague. C’est ainsi que fonctionne le « système » aujourd’hui. Soit vous êtes dans la matrice et vivez une vie d’un certain confort, soit vous prenez la pilule rouge – et vous êtes seul.

Dernièrement,  le système a franchi une étape supplémentaire : l’internet, « la mine d’or » de toutes les informations, est soumis à une censure sévère.

Toutes les informations gênantes sont soit complètement supprimées, soit « vérifiées par les faits ». Si vous vérifiez qui est derrière les vérificateurs de faits (“fact-checked’), ce que la plupart des gens ne font pas, vous voyez qu’il s’agit de grands groupes d’intérêt, dans le cas du covid, principalement des produits pharmaceutiques, aidés par Bill Gates et compagnie. Il est donc de plus en plus difficile de trouver des informations crédibles.

Youtube vient de déclarer que toute information, aussi scientifiquement prouvée soit-elle, qui va à l’encontre du « récit officiel du changement climatique » sera supprimée. C’est si simple. Nous sommes ainsi contrôlés alors que la VÉRITÉ est dominé et manipulé par des intérêts privés.

Oui, le monde a besoin d’une Grande réinitialisation (Great Reset), mais non pas à la façon Klaus Schwab, pas non plus selon le FEM (Forum économique mondial) mais selon une conception issuet du peuple. C’est pourquoi la solidarité, et non la soumission, est si importante. Quand prendrons-nous conscience de cette réalité ?

Il y a néanmoins d’importantes exceptions. Aux États-Unis, au moins au Texas et en Floride et dans d’autres, États, principalement les États républicains, ne suivent pas le mot d’ordre de port du masque, ni toutes les conséquences qui l’accompagnent, comme les tests. Les gens sont libres de porter ou de ne pas porter le masque. La plupart ne le portent pas. Et le taux de contamination covid est en fait moins élevé que dans d’autres États, comme la Californie, où cette règle absurde est strictement appliquée. Peut-être que cette « moins grande incidence du covid », comme au Texas, va de pair, avec le nombre de personnes qui n’optent pas de se faire injecter. De plus, les rapports du gouvernement de l’État sont plus honnêtes que dans les États qui imposent le port du masque et injection.

C’est quelque chose à prendre en considération.

Pour augmenter la cadence de la peur – Bill Gates a déjà déclaré en 2018 qu’une maladie bien plus mortelle que le covid attend peut-être l’humanité, une épidémie de Marburg-R. Regardez ça.

C’est une fièvre hémorragique qui a été décrite pour la première fois en 1967, avec une brève épidémie qui a tué 376 personnes. Il est décrit comme étant à peu près aussi mortel qu’Ebola. Dans la vidéo ci-dessous se trouve un message de Kieran Morrisey – directeur de l’hôpital universitaire, Dublin, Irlande. Voir aussi ça de plus près.

Vrai ou faux ? Peu importe. Il est d’abord conçu pour inculquer la peur, et la peur, nous le savons maintenant, abaisse notre système de défense et nous rend vulnérables à obéir aux ordres – exactement ce que nous, en tant qu’humanité, devrions cesser de faire et de redevenir nous-mêmes : des êtres humains souverains.



L’étape suivante est la numérisation complète. La vaccination imaginaire qui est contrainte par quelque moyen que ce soit par l’administration Biden, qui est un excellent exemple pour de nombreux pays européens, et le QR-code progressent rapidement, sans même que les gens ne s’en rendent compte.

N’oubliez pas que l’Agenda ID2020 – également une invention de Bill Gates – bat son plein. Voyez ceci.

Il est maintenant testé en Afrique de l’Ouest, où des personnes se sont portées « volontaires » pour participer à un exercice dans lequel elles n’ont accès à leur argent que par le biais d’un « compte bancaire » implanté dans leur corps. Ce compte peut être et est contrôlé de l’extérieur. C’est une partie de ce qui nous attend en Occident lorsque la Grande réinitialisation se mettra en place. Voir aussi ceci (dernier tiers de la même vidéo que ci-dessus) Dr. Carrie Madej : Le premier laboratoire américain examine les fioles de « vaccins », des résultats horribles sont révélés (en anglais).

Dans une certaine mesure, ce système est également testé par certaines personnes en Suède qui ont volontairement implanté sous leur peau une puce. Peut-être plus encore, mais ils ne le savent pas.

C’est la future codification QR du monde.

Il faut donc être conscient de ce à quoi les codes QR sont réellement destinés, de ce qu’ils peuvent faire et feront à l’avenir, si nous ne les arrêtons pas. C’est toujours la même question. Nous devons être pleinement conscients de ce qui arrive – et nous devons nous libérer de la peur, nous devons devenir désobéissants et redevenir nous-mêmes. Nous devons revenir à ce que nous sommes depuis la naissance, des êtres humains souverains.

Nous n’avons pas de temps à perdre. Nous devons réagir rapidement.

Peter Koenig


Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il travaille depuis plus de 30 ans sur l’eau et l’environnement dans le monde entier. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur d’Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020)

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation

Lien vers l’article original :

The Final Solution. Full Digitization. “The QR Codification of the World”
By Peter Koenig, le 22 octobre 2021

Traduit par Maya pour Mondialisation

Image en vedette : Image du domaine public de la page COVID-Protest de Wiki.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2021




Principes de la vente agressive (santé, climat, politique) et comment s’en protéger

Par Lucien SA Oulahbib

1/ Santé

  • Rendre la « dose » suivante indispensable alors que le Pfizergate éclate et qu’elle s’avère inefficace, par exemple en Israël, à Singapour… comparée aux traitements précoces qui empêcheraient de fait les cas graves. Maints exemples de médecins, d’hôpitaux qui ont soigné avec et qui ont eu d’excellents résultats (aucun mort), mais qui ont été poursuivis, cassés, aujourd’hui brisés(([1] comme l’indique le dernier CSI, à 1 h 50))…
  • Au lieu de cela les hygiénistes affairistes vont agiter le drapeau rouge des chiffres de « rebond » (infimes) et des lettres en justifiant la fermeture de lits puisque l’injection protège de « la » maladie comme si celle-ci était le fléau majeur, ce qui est le comble de l’absurde, alors que certaines sources montrent que cette injection accroît les risques chez les jeunes et au sein de certaines pathologies comme les cancers.
  • Mais pour faire oublier ces dangers et incohérences, la Milice propagandiste de la Secte culpabilise les non-injectés en les montrant du doigt comme étant la cause de la persistance de la présence virale et de la nécessité de faire porter la muselière aux enfants afin de protéger les premiers alors que les injectés sont tout autant contaminants (sinon plus, selon certaines sources) et que les enfants même « positifs » ne transmettent pas ce virus du moins de manière dangereuse — à des personnes bien portantes et n’ayant pas de comorbidités (comme cela s’est passé sur le Charles de Gaulle où il n’y a eu aucun mort, ce qui plaide pour l’idée d’une immunité croisée comme l’indique également le CSI du 4/11/21 qui par ailleurs montre entre autres les dangers croissants des effets secondaires…).
  • Il suffit d’observer les pays massivement injectés et les autres pour observer que les premiers sont bien plus touchés que les seconds, d’autant que ces derniers (du moins ceux qui ont refusé d’être corrompus, achetés par Big Pharma et ses prothèses politiques) choisissent plutôt les traitements précoces et c’est cela qui est de plus en plus déterminant bien plus que la prépondérance de la jeunesse dans leur démographie.
  • Sans parler de l’impact des maladies dites « chroniques » qui touchent bien plus les populations occidentales qui ne font pas assez attention à leur alimentation et à leur culture physique… Un phénomène qui a été bien analysé par la « naturopathie » aujourd’hui violemment combattue par la médecine allopathique (du moins celle formatée par Big Pharma, les autres médecins encore « hippocratiens » étant eux balayés comme catégorie dépassée), jusqu’à exclure l’homéopathie et les huiles essentielles, mettant même à l’index la vitamine D. Bref, tout ce qui permettrait de renforcer naturellement notre système immunitaire est considéré désormais par la Secte comme un frein à son expansion, et aussi, plus métaphysiquement, comme étant une anomalie, le dernier terrain vague, cette nature « sauvage » qu’il s’agirait de dompter, d’effacer ou alors de nier puisque pour certains courants issus des Lumières, la « nature » n’existe pas, tout serait « conditionné ». Aujourd’hui les nouveaux adeptes parlent de « construit » à l’instar de l’industrie du bâtiment (la « postmodernité » est d’abord un concept architectural visant à effacer déjà la notion de « centre » genre Brasilia). Les avatars d’aujourd’hui, en transe sur ces questions, en sont au fond seulement les nouveaux poissons-pilotes (voir ici Ethique et épistémologie du nihilisme les meurtriers du Sens… et autres articles dans les revues dogma.lu et esprit critique).

2/ Climat

  • La confusion entre météo et climat bat son plein et permet peu à peu, comme l’indique Philippe Herlin, de transformer ledit « passe sanitaire » en « passe écologiste » forçant encore plus les populations à accepter sous contrainte cette fausse « transition ».
  • Ainsi alors qu’une tendance climatique doit s’appuyer sur trente ans d’observation (et non uniquement sur la modélisation, (voir le site des climato-réalistes), le moindre évènement météo (lié d’ailleurs souvent à des effets circonstanciés produits par exemple d’un bétonnage mal conçu, d’une disparition des talus, d’un manque d’égouttage, d’une « mégalopolisation » à outrance…) pousse à un catastrophisme visant à culpabiliser là aussi contre le moteur thermique qui a pourtant fait d’énormes transformations, contre le chauffage au bois, au fioul, et peu à peu contre tout chauffage non issu des dites « énergies renouvelables » ce qui fait qu’à terme un « quota » carbone sera intégré dans le « pass » à côté de la « dose », mais aussi un quota de « bonne citoyenneté » (ou « crédit social ») entamé si l’on dit des choses pas « politiquement correctes ». Mais une tolérance sera sans doute admise pour les étrangers qui ne « connaissent pas nos normes et codes » comme il a été déjà vu pour diverses affaires sociétales.

3/ Politique

  • La « nation » est devenue un frein à cette uniformisation et standardisation QR-codée, symbolisée aussi par ces implantations d’immenses centres commerciaux (ou « malls ») qui sont devenus ces TV géantes, séduisantes et séductrices dans lesquelles les « particules élémentaires » humaines que nous sommes devenus — en particulier pour la Secte (S.S.A) — s’activent elles-mêmes pour animer ce vaste faisceau cathodique mondialisé, pixels par milliards formant ainsi l’image — écran global visionné en temps réel par les robots statisticiens qui vont ainsi évaluer le taux marginal de tel ou tel produit au sein de chaque matrice individuelle.
  • Dans ce cadre il faut éliminer toute « particule » hostile qui empêcherait cette homogénéisation, car elle modifierait, entraverait la modélisation prédicatrice des coûts et profits calculés globalement, ce qui fait par exemple que telle fermeture d’usine liée à un surcoût apparaît « logique » tout en étant faux rationnellement, car cela implique des transferts de compétence, des extinctions de toutes les retombées connexes puisqu’une usine faisait « tourner » villes et villages à proximité…
  • Ce qui a eu pour conséquences la destruction des classes salariées populaires et moyennes, la constitution de nouvelles classes supérieures bénéficiaires en matière de gestion à distance, logistique, transports privés de marchandises, communication, médias, fictions, médicaments…
  • Où l’on voit se dessiner la césure entre les gagnants et les perdants de la globalisation et donc la césure politique entre patriotes/souverainistes d’un côté et globalistes/relativistes de l’autre puisque les premiers cherchent à contrer cette destruction et sortir de ses gravas pour restaurer (en effet), mais en mieux (Versailles versus le Louvre) tandis que les seconds veulent l’accélérer avec ce « pass global »…
  • Mais il faut savoir aussi balayer devant sa porte : ainsi lorsque la Chine est rentrée à l’OMC le ministre chinois du Commerce avait indiqué en 2005 qu’il avait été négocié dix à quinze ans de délais concernant le textile afin que les pays de l’UE puissent non seulement s’adapter, mais prévenir bien en amont l’arrivée des produits chinois. Rien n’a été fait par les politiques ou si peu. Hormis le luxe, mais qui sous-traite en Asie et en Afrique du Nord.
  • Ce qui impliquerait déjà la baisse des impôts de production, mais aussi la refondation du système de sécurité sociale en s’appuyant sur des cotisations proportionnelles et non progressives, du moins si celles-ci sont prises en charge à la fois par les organismes de sécurité sociale qui comprennent également les assurances et les mutuelles.
  • Au lieu par exemple de voir les budgets de l’hôpital et des retraites être assis uniquement sur les cotisations sociales, ils pourraient être aussi assis sur les cotisations assurantielles et mutualisées, ce qui permettrait de bénéficier de leur puissance financière mondialisée de telle sorte que ce ne serait pas seulement les assurés anglo-saxons et leurs retraités qui en bénéficieraient du fait des économies d’échelle ; et en plus cela coûterait moins cher dans le cadre dudit « salaire complet ».
  • Concernant maintenant la question de « l’être ensemble » (plutôt que le « vivre ensemble » trop vague), il s’avère que les récents débats autour de la laïcité confondent celle-ci avec la « neutralité » alors qu’il s’agissait surtout pour Jules Ferry de placer en premier lieu la nécessité d’une instruction morale et civique afin de mieux armer la liberté de conscience pour être un bon citoyen.
  • Aussi il est clair que si l’on accepte de vivre dans un pays ayant cette philosophie, tout signe ostensible indiquant que l’on n’est pas d’accord ne doit pas être au moins admis dans les services publics animés justement par cette philosophie… Quant à la « rue », il faut laisser libre la critique contre ces signes, politiques en réalité, et surtout protéger les personnes qui ne veulent pas porter de tels signes, mais qui sont obligées par leur « communauté ». C’est d’ailleurs là l’esprit de la loi contre les signes ostensibles à l’école, loi portée par un Bernard Stasi qui était loin du « fascisme » dont aujourd’hui il serait certainement affublé…
  • Enfin, deux enjeux semblent se mouvoir à l’horizon : s’il est possible de remettre sur les rails d’une néo-modernité affinée les trains de la laïcité, de l’économie politique, du développement territorial, des conflits sur le partage de la valeur ajoutée (avec plus de participation de cogestion de nouveaux syndicats), alors les tensions politiques devraient être circonscrites ; si ce n’est pas le cas, les solutions plus radicales seraient envisagées comme le fait de ne pas attendre par exemple que les étrangers irréguliers soient pris en charge par la solidarité internationale et non plus seulement nationale en tranchant exclusivement pour la seule solidarité nationale.
  • De même, alors que le droit du sol est ce ferment démographique permettant à une nation qui se veut forte et unie malgré les conflits permanents, il s’en trouve fragilisé dans son inconditionnalité s’il n’existe pas aussi une « politeia » qui le sous-tend, c’est–à-dire non pas seulement une « polis » qui gère au mieux la Cité, mais une politeia qui permet au sentiment d’appartenance de prévaloir.
  • Or nous sommes précisément à une « croisée des chemins » : soit la France et aussi les démocraties en général se ressaisissent en conservant les acquis et en affinant ces derniers grâce à une politique néo-moderne puissante, soit ce n’est pas le cas et alors les solutions (ou « médecines ») plus radicales seront agitées (comme s’amputer de populations hostiles).
  • Faisons en sorte que ces dernières solutions n’arrivent pas, mais dans ce cas, donnons-nous les moyens de faire en sorte que la conservation et l’affinement des acquis civilisationnels deviennent effectifs, sinon il ne servira à rien de crier sans cesse « au loup, au loup » surtout si celui-ci s’avère être précisément celui qui hurle le plus fort… Alors qu’il est au service (commandé ?) de la S.S.A.



Philippe de Villiers : « Le Grand Reset, c’est le contrôle total »

[Source : michelledastier.com]






La Belle et les truands (partie III)

Par Lucien Oulahbib

[Voir La belle et les truands
et La belle et les truands (Partie 2)]

Le déplacement à Drancy lui sembla bien instructif, alors que la voiture filait tant bien que mal entre les 30 et 50 à l’heure le long de murs gris laissés à l’abandon, avec de temps à temps une « griffe », mais plutôt des tags épars, suintant la crasse, mais aussi comme gardant en creux les souffrances humaines transportées dans cette patine sombre tant il lui semblait entendre encore (comme Proust le décrit si bien dans « À l’ombre des jeunes filles en fleurs ») leurs « murmures » enfouis en atomes de son implantés ainsi par les passants, en particulier lorsqu’il s’agissait de ces murs d’anciennes usines que tous ces travailleurs avaient croisés en 3/8 ; illusions perdues…

Aujourd’hui, leurs représentants ayant échoué à construire ne serait-ce qu’une contre-société tant les individus étaient de plus en plus « seuls » dans leur « existé » (disait Lévinas), tentaient encore de se rattraper aux branches du clientélisme le plus rance en fomentant l’idée par exemple qu’il était plus juste d’aider financièrement et de fournir un logement à une famille étrangère fraîchement débarquée qu’à un jeune couple de Français attendant depuis plusieurs années une même aide pour pouvoir s’installer et procréer. Certes, cette famille étrangère avait pu arracher une sorte de permis de séjour provisoire le temps d’étudier son dossier, mais tout le monde savait bien qu’il suffisait de placer ses enfants à l’école et d’en fabriquer un dans la foulée pour que cette famille ne soit plus expulsable. Or l’on mélangeait deux choses : le droit humanitaire qui doit relever d’instances communautaires mondiales (comme en bénéficient lesdits réfugiés palestiniens) et le droit national qui ne peut être réservé qu’aux citoyens et aux personnes ayant de réels permis de séjour.

L’appartement était douillet et silencieux, et alors qu’il mangeait sur le pouce, Z en profita pour se lover au coin du feu dans le fauteuil qu’il affectionnait pour feuilleter un ouvrage « collectif » (avec Éric Fassin en maître d’œuvre) que venait de lui conseiller un ami, et qui exprimait parfaitement cet esprit-là rencontré à Drancy imprégnant de plus en plus fortement les élites dites françaises, à savoir cette confusion des genres (entre problèmes internationaux — qui relèvent strictement de la solidarité internationale — et problèmes nationaux) présupposant dans ce cas à terme la suppression effective de la distinction juridique puis politique et donc électorale entre nationaux et non-nationaux.

Tandis qu’il prenait donc ce livre (intitulé « Cette France-là », 01 07 2008/30 06 2009 volume 2, diffusion la Librairie la Découverte, 2010), il apprit au même moment que le Groupe Sud Ouest avait décidé de ne plus faire état de sondages dans ses journaux, et que la gauche et l’extrême gauche avaient donné le feu vert au nom de la « lutte contre les violences d’extrême droite » à diverses milices Black bloc et autres Antifa afin de semer la terreur néo-léniniste façon année 30 lorsque les milices communistes staliniennes allemandes faisaient quasiment cause commune avec les milices nationales-socialistes pour aller casser sinon ensemble du moins parallèlement les meetings sociaux-démocrates considérés depuis 14 comme des sociaux-traîtres, voire comme pire que les nazis ; comme si aujourd’hui les patriotes nationalistes français étaient considérés bien plus dangereux que les djihadistes, ceux-ci étant au fond méprisés ou alors évalués de manière condescendante comme étant manipulés par le « sionisme » international provenant soit du « Mossad », soit du « néo-libéralisme ». C’était d’ailleurs la parfaite jonction entre les vieux courants drumontistes et maurrassistes — plutôt que maurrassiens — n’ayant d’un côté jamais rien compris à la chute de la Monarchie française, et de l’autre des histrions genre Vieille Taupe ramassis d’anarchistes se réclament à la fois de Proudhon et de Bakounine façon CNT espagnole bien implantée à nouveau parmi Sud et autres « Solidaires ». Tout ce beau monde formait ce remugle hérétique d’antijuifs congénitaux entremêlant des éléments illuministes christiques luttant contre les francs-maçons et le peuple « déicide » et tout un fatras « alter » post tiers-mondistes recyclé dans la « deep ecology » et supportant la matrice des ZAD et « intersectionnalistes » néo-léninistes (adeptes de l’écriture inclusive forçant à signifier masculin et féminin alors que la théorie queer du genre insistait à les effacer), chair à canon des affairistes, djihadistes et mélenchonistes en chambre (eux-mêmes idiots utiles des deux premiers).

À la page 4 de l’ouvrage, il est fait état d’une question écrite (dans un langage diplomatique et soumise au Premier Ministre de l’époque — fin 2009 — François Fillon) qui exprimait le souci suivant (suite à la crise de 2008 dite des « subprimes ») : » 

C’est ainsi que nous écrivions :

« (…) si la crise fait ressurgir le spectre d’un protectionnisme digne des années 1930, ceux qui s’en inquiètent aujourd’hui auraient tort d’oublier comment la xénophobie le suivait alors comme son ombre ; il serait donc illusoire de prétendre conjurer le premier en s’accommodant de la seconde. »

Dans un courrier reçu le 20 mars (2009) le Premier ministre nous répondait avec courtoisie : « vous affichez dans cet ouvrage l’intention de soumettre la politique de l’immigration conduite par le gouvernement à un examen argumenté. J’en prends acte et m’en remets à l’objectivité de votre travail. Je salue le caractère méthodique et l’ambition du premier volume paru. » Son courrier dépassait toutefois les exigences de la politesse, puisque François Fillon entreprenait de conjurer nos inquiétudes en s’y associant. « Quant aux craintes que votre lettre exprime, je peux vous assurer que j’en partage les principes et qu’aucun effort ne sera ménagé pour en écarter la menace : la République ne tolérera pas que la crise serve de prétexte au rejet, à la discrimination ou à la haine raciale. Le gouvernement que je dirige condamne avec une entière fermeté toute démarche visant à faire des immigrés, légaux ou illégaux, des boucs émissaires de difficultés économiques dont ils sont souvent les premières victimes. » (…) Un an plus tard, qu’en est-il ? Si les propos du Premier ministre se voulaient rassurants, l’action menée par son nouveau ministre de l’Immigration est au moins de nature à jeter le trouble. (…) Éric Besson n’hésite pas à aller plus loin que son prédécesseur (Brice Hortefeux) par exemple avec le « démantèlement de la jungle » de Calais ou l’expulsion d’étrangers vers des pays en guerre comme l’Afghanistan. (…) Ainsi parler de « mariages gris » ou de « supermarché de l’asile », c’est s’en prendre, en pratique, aux couples binationaux ainsi qu’aux réfugiés. (…) Avec la crise, le nationalisme et la xénophobie ne reviennent-ils pas en force, dans la société comme dans le monde politique, ainsi qu’on a pu le constater dans les dérapages qu’a encouragés le débat sur l’identité nationale et comme me montrerait l’acharnement de l’État français à l’encontre des étrangers ? (…) » 

(pages 4 et 5).

Tout y est dit pensa Z en fermant l’ouvrage. Et alors que son chat sautait sur ses genoux, il prit un grog, regardant les flammes éternelles dévorer la nouvelle bûche, et songea aux dégâts incommensurables exprimés par ce qu’il venait de lire. D’un côté, l’aveuglement tenace du pouvoir en place à l’époque qui n’a pas réussi à hisser le débat au niveau adéquat, à savoir cette confusion des genres entre un problème mondial, celui des flux migratoires liés pour une grande part à la faillite idéologique de la gauche, et la droite dite progressiste. À croire que la division internationale du travail et les fameux « avantages comparatifs » étaient la solution à tout, y compris aux corruptions locales (Wilson en 14 avait fait la même erreur avec l’Allemagne en forçant la France à ne pas faire en sorte que la première paye rubis sur l’ongle les dégâts de la guerre). Et de l’autre côté, la pression idéologique immense d’une gauche et d’une extrême gauche qui ne s’avouaient pas vaincue à faire de telles injonctions confusionnistes, alors que par ailleurs tous leurs modèles de « société socialiste » avaient échoué soit dans la misère, soit dans les massacres, soit dans la combinaison des deux, sans que pour autant il n’y ait eu de procès international pour juger ces millions d’assassinés aux divers Goulag staliniens et maoïstes, ces luttes internes qui ont vu des liquidations par dizaines de milliers comme en Algérie, à Cuba, au Venezuela, au Mozambique, actuellement en Afrique du Sud, voire des millions comme au Cambodge…

Sans que pour autant également ces gens ne se remettent en cause en tentant de se demander ce qui a pu échoué dans leur analyse, un peu comme Marx qui après avoir publié le premier tome du Capital, hésita à publier les deux autres tomes (sur la paupérisation généralisée et l’accélération de la baisse tendancielle du taux de profit liées à la mécanisation, ce qui était déjà faux comme Marx le pressentait), les confiant à son ami Engels qui les remit ensuite à Bebel et puis Kautsky (ennemi déclaré de Lénine, celui-ci n’ayant par ailleurs rien compris à l’attachement affectif à la notion de Nation). Or ces gens qui avaient écrit ce livre « Cette France-là » persistaient dans cette même engeance pédante des post-jacobins, celle de croire que si les Russes, les Chinois, les Vietnamiens, les Cubains, les Algériens avaient échoué c’est qu’ils avaient mal lu les textes, mais qu’eux, révolutionnaires « républicains » tendance remugle sauraient mieux réaliser. Sans oublier le fait que les centrales à charbon tournent au maximum en Chine et en Allemagne, mais que guère d’opposants viennent assombrir la quiétude de leurs ambassades feutrées nichées dans les quartiers cossus des grandes capitales occidentales.

Z toussa. Le chat maugréa et sauta vers le canapé à côté. À vrai dire, il réfléchit encore à cette lancinante tension à Drancy, celle de personnes se satisfaisant de cette espèce de no man’s land ambiant (tels ces vociférations quasi guerrières permanentes de femmes et ces « sale juif » relatés par Christine Kelly de C News) dans lequel le délitement se fait pratiquement par effet d’usure et superposition d’actions volontaires et involontaires. Ainsi cette vieille association d’habitants de Drancy aussi dépassée que les « patronages » pour occuper une génération biberonnée aux jeux vidéo et aux clips affriolants des raps à l’ambiance gangestérisée, sans oublier ces élus venus le toiser avec moult chiffres sur les retraites des étrangers et leur taux de chômage, ou même cette dame et son fichu fichu qui expliquait qu’elle paye ses impôts alors qu’il ne s’agit pas du tout de cela, mais d’abord de savoir si l’on partage un « être ensemble » et non seulement « un vivre ensemble ». Il ne s’agit pas seulement d’une cohabitation, mais aussi d’un « être » fait d’attributs divers. Ceci signifie que l’on a du bonheur à être là, définition même de la Cité selon Aristote et de la République pour Platon qui se traduit par Politeia et non pas Res publica (qui n’en est qu’un aspect) ou la distinction entre Le Politique (l’être singulier d’un Peuple ou Nation : ainsi la Nation cheyenne) et La Politique (les institutions permettant de gérer un régime nécessairement mixte dirait Aristote, car absorbant les conflits permanents et nécessaires entre l’Élite et le Peuple comme l’avait théorisé Machiavel).

Z soupira. Toutes ces choses n’étaient plus apprises à SciencePo. Bien au contraire. Au loin une sirène retentit. Il reconnut celle d’un camion de pompier et se rappela ce mot d’enfant qui dit tout de l’ambiance d’une époque : « tu vois Papa, quand c’est un camion de pompiers, la sirène veut dire “tiens bon, tiens bon”, mais quand c’est celle d’une ambulance elle veut dire “t’es foutu t’es foutu”. Il eut les larmes aux yeux : les camions de pompiers se faisaient plus fréquemment caillasser qu’admirer, sans oublier maintenant leur mise à l’index s’ils ne se faisaient pas injecter… Z se gratta la tête à cette idée. Il fallait bien pourtant dire quelque chose bientôt dessus tant cette hystérie sanitaire se doublait d’une frénésie à la fois affairiste et sécuritaire, une drôle d’atmosphère de plus en plus dilatée entre d’un côté le monde feutré des médias et des institutions qui vivaient dans une bulle semblable à celle des stations orbitales ou des nouveaux bordels échangistes dans lesquels amis et ennemis se croisaient et toisaient un moment, et de l’autre, le monde de la troisième étape des moments insurrectionnels lorsque la guérilla d’usure se superpose à la formation d’îlots fonctionnant sinon en enclaves du moins en isolats

Le temps était compté. Mais de plus en plus très mal conté. L’horloge sonna avec ce carillon de la cathédrale de Reims qu’il affectionnait. Quoique celui de Big Ben n’était pas mal non plus…

À suivre.

[Voir aussi L’immigration]




Obsession vaccinale et transhumanisme

[Source : AgoraVox]

Par Opposition Contrôlée

Le 12 août 2021, un article nommé « Opération Dent Bleue » a été publié sur Agoravox. L’auteur y décrit un dispositif expérimental et sa mise en œuvre, visant à valider une hypothèse : les personnes vaccinées émettent-elles un signal Bluetooth ? Ce n’est pas l’expérience ni ses résultats qui m’intéressent ici, mais les commentaires que l’article a suscités.

transhumain

Il va sans dire qu’une telle hypothèse a un degré suffisant d’hétérodoxie pour que « l’honnête homme » la juge absurde et se retranche dans l’indignation, la dérision, et la condescendance, devant ce véritable cas d’école de complotisme. Les commentaires de l’article, nombreux, ont majoritairement été d’aimables conversations ironiques. À vrai dire, on ne compte que trois tentatives de réfutation. Je laisserai de côté la dernière, évoquant une probable confusion des signaux captés avec des anti-vols électroniques, suggestion tout à fait pertinente au demeurant.

Voici les réfutations que je vais commenter, qui ont inspiré le présent article :

commentaire 1

Réfutations immédiatement saluées (sanctifiées ?) par un représentant du bon sens et de la raison :

commentaire 2

Pas sérieux tout ça, hein ? Puisque chacun devrait savoir qu’etc.. Mais le problème ici, ce n’est pas ce que certains croient savoir, mais bien plutôt ce qu’ils ignorent.

Car malheureusement pour nos braves défenseurs de la science et du sérieux, voilà plus de 10 ans que la prestigieuse revue « American Chemical Society » a publié un papier intitulé : « Le premier dispositif auto-alimenté avec transmission de données sans fil ».(([1] https://www.sciencedaily.com/releases/2011/06/110615103042.htm))

Zhong Lin Wang et ses collègues expliquent que les progrès de l’électronique ont ouvert la voie à la mise au point de minuscules dispositifs fonctionnant sans batterie grâce à d’infimes quantités d’électricité pouvant être récoltées à partir du pouls d’un vaisseau sanguin, d’une brise légère ou des mouvements d’une personne qui marche. « Il est tout à fait possible de faire fonctionner ces dispositifs en récupérant l’énergie de sources présentes dans l’environnement, telles qu’un léger courant d’air, des vibrations, des ondes sonores, l’énergie solaire, chimique et/ou thermique », expliquent les scientifiques.

Le dispositif se compose d’un nanogénérateur qui produit de l’électricité à partir d’une vibration ou d’un déclenchement mécanique, d’un condensateur pour stocké l’énergie et d’un système électronique comprenant un capteur et un émetteur radio similaire à ceux des casques de téléphone mobile Bluetooth. Leur dispositif a transmis des signaux sans fil qui pouvaient être détectés par une radio commerciale ordinaire à des distances de plus de 30 pieds. [10 m]

Les auteurs remercient la DARPA et le ministère américain de l’énergie pour le financement de leurs travaux.

D’ailleurs, ces nanogénérateurs sont déjà anciens, on trouve des publications remontant à 2008(([2] https://pubs.acs.org/doi/10.1021/nl8027813)) détaillant leur fonctionnement et leur fabrication. Et leur dimension ne dépassait pas quelques µm. Le trou d’une petite aiguille pour injection sous-cutanée(([3] https://en.wikipedia.org/wiki/Birmingham_gauge)) (G 26) est de 0.26 mm, soit 260µm. Il y a très largement la place… Et tout ça, c’était plus d’une décennie en arrière…

Depuis, les publications se sont multipliées, annonçant de nouveaux champs d’application, de meilleurs performances, de nouveaux procédés de fabrication, etc. Une recherche au mot clef « nanogenerator » retourne 400 000 résultats, en grande partie issus de revues scientifiques. Même chose pour les dispositifs de transmission sans-fil.

On peut se poser la question : certes, ces dispositifs sont nanoscopiques, mais peut-on pour autant les injecter directement dans l’organisme, par seringue épidermique ? Là encore, un petit effort de recherche permet de se faire une idée. Parmi les publications les plus récentes, on peut consulter l’étude d’une équipe de l’« University of California, Santa Cruz » (UCSC),(([4] https://ieeexplore.ieee.org/document/9466139)) publiée par le très prestigieux « Institute of Electrical and Electronics Engineers » (IEEE), bien connu des électroniciens. Les chercheurs y décrivent un nouveau procédé d’implémentation d’une interface cerveau-machine (Brain to computer interface, BCI), qui ne nécessite pas de chirurgie.

Ces interfaces sont destinées à lire l’activité neuronale complète du cerveau, c’est-à-dire de déterminer avec une très grande résolution l’emplacement des circulations électriques qui s’y produisent. Vous pourrez consulter, sur le site de la DARPA(([5] https://www.darpa.mil/program/our-research/darpa-and-the-brain-initiative)) (Defense Advanced Research Projects Agency soit « Agence pour les projets de recherche avancée de défense »), l’étendue des applications de tels systèmes. Il s’agit littéralement de lire les pensées directement dans le cerveau, mais aussi d’y écrire des informationsÉgalement, d’être capable de lire et écrire dans la mémoire de l’individu. Outre des applications « médicales », largement mises en avant par l’agence, tel que simuler la sensibilité d’un membre pour un amputé, ou redonner la mémoire à un amnésique, les applications militaires ou policières sont bien sûr légion : contrôle de drone par la pensée, avec transmission des images directement dans le cerveau de l’opérateur,(([6] https://www.technologyreview.com/2019/10/16/132269/us-military-super-soldiers-control-drones-brain-computer-interfaces/)) suppression des sentiments de peur, suppression de la douleur ressentie, etc, etc.

Nos chercheurs de l’UCSC ont mis au point un procédé à base de nano-dispositifs, de moins de 200 nm (pour comparaison, un virus de la grippe fait entre 80 et 120 nm), capable de circuler dans les vaisseaux sanguins pour aller se fixer dans le cerveau (tout comme les nano-particules de graphène, au passage), par simple injection.

Une limitation fondamentale des interfaces cerveau-machine (ICM) implantables est le câblage nécessaire au transfert d’énergie et à la transmission des signaux. Les technologies de microélectrodes existantes ne peuvent enregistrer que des sections localisées du cerveau et nécessitent l’implantation d’électrodes invasives par le biais de chirurgies crâniennes. Nous présentons ici un système sur une sonde nanoparticulaire, le Neuro-SWARM 3 (Neurophotonic Solution-dispersible Wireless Activity Reporter for Massively Multiplexed Measurements), permettant la détection à distance de signaux bioélectriques in vivo.

Les dispositifs fixés émettront alors un signal lisible de l’extérieur, permettant de reconstituer par calcul l’activité neuronale du sujet. L’originalité de cette méthode est d’employer les propriétés photoélectriques d’une substance, qui lorsqu’elle est excitée électriquement, émet une lumière en proche-infrarouge ( λ 1000-1700 nm) qui est « biologiquement transparente », c’est-à-dire qu’elle traverse les matières biologiques, y compris la boite crânienne. C’est ce signal qui est récupéré depuis une ou plusieurs caméras, littéralement comme une simple photo de l’activité cérébrale. L’interprétation est alors réalisée par un ordinateur, qui explorera les gigantesques progrès de l’analyse d’image pour reconstituer l’activité en trois dimensions. Celle-ci peut être alors comparée à une base de données, et dévoiler ce qui se passe dans la tête du sujet.

activité cérébrale

De nombreuses autres techniques, à base d’excitation électromagnétique, permettent d’atteindre un même résultat. Le lecteur sceptique pourra se demander « où on en est-on vraiment de ces technologies ? ». S’agit-il d’effet d’annonce, de science « anticipatoire » ? La réponse est non. La lecture des pensées et des sentiments est un domaine déjà largement exploré : dans un article de CBSnews(([7] https://www.cbsnews.com/news/functional-magnetic-resonance-imaging-computer-analysis-read-thoughts-60-minutes-2019-11-24/)) de 2019, on peut lire :

Les scientifiques utilisent l’IRM pour révéler la composition physique de nos pensées et de nos sentiments.

Il y a dix ans, 60 Minutes a rencontré une équipe de scientifiques de l’université Carnegie Mellon qui avait commencé à décoder les pensées simples à l’intérieur du cerveau. Aujourd’hui, ils sont passés à l’identification de pensées complexes, de la spiritualité au suicide.

Concernant la capacité à lire ce que voit un sujet directement dans son cerveau, la seule limitation majeure est de constituer une base de données des réponses neuronales aux images, comme nous l’apprend un article de l’université de Berkeley(([8] https://news.berkeley.edu/2011/09/22/brain-movies/)):

Grâce à l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) et à des modèles de calcul, des chercheurs de l’université de Berkeley ont réussi à décoder et à reconstituer les expériences visuelles dynamiques des gens, en l’occurrence les bandes-annonces de films hollywoodiens.

Pour l’instant, la technologie permet de ne reconstituer que les séquences de films que les gens ont déjà regardées. Toutefois, selon les chercheurs, cette avancée ouvre la voie à la reproduction des films que nous avons dans la tête et que personne d’autre ne voit, comme les rêves et les souvenirs.

A gauche, l’image vue par le spectateur, à droite, l’image reconstituée par lecture de son cerveau.

J’ai entendu un certain nombre de commentateurs, dans des médias « respectables », évoquer un lien entre la « crise covid » et sa « gestion » pour le moins déconcertante, et le but à terme du transhumanisme. Mais ceux-ci n’ont jamais développé le lien de cause à effet. N’étant pas moi-même intime des cercles dirigeants, et n’ayant pas de boule de cristal, je ne permettrais pas de tirer des conclusions définitives sur ce qui nous attend. Cet article n’a pour vocation que de donner une « piqûre de rappel » sur les avancées des neurosciences, des nano-technologies et des capacités de traitement du signal à destination des profanes.


[Voir aussi :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!]


Notes :




Télématin fait la promotion de la puce sous-cutanée comme moyen de paiement

[Source : fawkes-news.com]

« ça va arriver en France » dit le chroniqueur (22:10-24:40) qui semble très enthousiaste…

Apparemment une startup polonaise va déployer ce système prochainement chez nous. Dans le contexte actuel, avouez que c’est troublant comme timing. La suite est cousue de fil blanc.




Le Québec sur les traces du Rwanda : la propagande gouvernementale haineuse

[Source : Les 7 du quebec]

Par Serge Charbonneau

Il y a quelques années, l’un des sujets politico-médiatiques était « le discours haineux »[1].   Combien de fois n’avons-nous pas été mis en garde et même sermonnés concernant les fameux discours « haineux » ? [2]    Puis, peu à peu, on a utilisé cette notion du discours haineux pour limiter la liberté d’expression et même, par la bande, la liberté d’opinion.  Sous le prétexte de la lutte contre les « discours haineux » : les géants du Web concluent un accord avec les annonceurs ! [3] Les grandes plateformes Internet, dont Facebook, ont conclu un accord avec les annonceurs pour mieux lutter contre les contenus incitant à la haine !

Comment peut-on s’opposer au bien !

Les Facebook, YouTube, Google surveillent maintenant les discours haineux !  Puis ce fut les gouvernements qui emboitèrent le pas pour eux aussi assainir la société.  

« Le gouvernement du Canada prend des mesures pour protéger les Canadiens contre les discours et les crimes haineux ! »[4]

En fait, le gouvernement tout comme les grands de l’Internet se sont donné des outils de censure.   Et la censure prévaut de façon incroyable.

La liberté d’opinion est devenue illusoire.  Dès qu’une opinion interdite est émise (sécurité des vaccins, mesures sanitaires, points positifs pour l’administration Trump, fraude électorale américaine) c’est la censure partout tout le temps.  Quant au discours haineux, il a été « oublié ».  La haine est permise et même requise pour lutter contre cette résistance à la dictature sanitaire.

Le discours haineux est devenu monnaie courante et semble même être considéré comme étant nécessaire.

Prenons quelques exemples :

Un chroniqueur au service de la propagande de la secte de Davos compare les travailleurs de la santé qui refusent d’être injectés à des terroristes.

« J’ai un arrière-goût terrible en disant cela : les antivax ont gagné. Le même arrière-goût que je ressens quand des terroristes libèrent des otages… on encourage les bourreaux à recommencer. » [5]

Selon le chroniqueur Patrick Lagacé, ces gens formés en santé seraient des terroristes parce qu’ils refusent de se faire injecter ce produit expérimental que l’on présente comme étant « le vaccin de la liberté » !  Il dit : « Ces gens-là, les conspi-négationnistes… Ces gens-là n’ont qu’un pouvoir de nuisance. Et pour nuire, ils nuisent. »

Monsieur Lagacé attise la haine, tout comme les commentateurs de la Radio des Milles Collines au Rwanda attisaient la haine des Tutsies avant de lancer le massacre.   M. Lagacé n’est pas le seul à attiser la haine de ceux qui refusent l’injection expérimentale, ils sont légion sur tous nos grands médias.

Chez-nous au Québec outre Lagacé, nous avons les Martineau, Bombardier, Dumont, Lamarche, Dussault, Roy, Chouinard, Haché, bref tout le gratin des grands médias qui chaque jour vomissent sur les gens qui mettent en doute la sécurité et l’utilité de cette injection.  On traite ces derniers de tous les noms : Covidiots, coucous [6], sous-éduqués, bande de crétins, d’illuminés [7], d’édentés [8], de conspirationnistes, de complotistes, d’analphabètes fonctionnels et j’en passe et j’en oublie. Le discours haineux est partout. Il est soutenu et constant.

Chaque jour les médias font monter la haine envers les gens non vaccinés. Nous vivons définitivement une situation semblable à celle qu’ont vécu les Rwandais.

Il y a vingt-sept ans, la Radio-Télévision des Mille Collines (RTLM) encouragea le génocide au Rwanda. Sur ses ondes, le média a diffusé la haine, timidement d’abord, puis de façon totalement assumée : « Vous allez mettre le feu aux Tutsis et ils vont regretter d’être nés… Faites du bon travail ! », « Les fosses sont encore à moitié vides, vous devez les remplir ! » La RTLM a joué un rôle capital dans le génocide de 1994, où 800 000 Tutsi et Hutu modérés ont perdu la vie. [9]

« Réjouissons-nous, amis! Les inkotanyi [Tutsis] ont été exterminés! Réjouissons-nous, amis! Dieu ne peut jamais être injuste ! », entonne Habimana Kantano sur les ondes de la Radio télévision libre des Mille collines (RTLM), le 2 juillet 1994. »   Cet extrait est tiré de l’article de Manon Cornellier intitulé  « Un outil d’endoctrinement – Les médias assassins » [10].

Au Rwanda, la Radio mille collines, l’organe du gouvernement hutu, prônait quotidiennement l’éradication des Tutsis. [11]  RTLM, Radio Mille Collines était définitivement la radio de la haine [12].

Au Québec, va-t-on se rendre jusque là ?  Espérons que non.  Cependant, force est de constater que la haine contre les gens non vaccinés est en croissance constante dans notre société.  Il suffirait que les Lagacé, Martineau, Dussault, Roy, Dumont, Lamarche et Cie sonnent la charge pour « purifier » (sic) la société que probablement les endoctrinés emboiteraient le pas et iraient éliminer la menace que représente les non vaccinés pour eux.   Bien sûr, cette avenue semble exagérée, mais demandons-nous sérieusement si les Rwandais pouvaient s’imaginer que leurs voisins avec lesquels ils ont été sur les bancs d’école puissent un jour les pourchasser avec des machettes ?   Je pense que non. Le peuple juif pouvait-il s’imaginer que les nazis les exterminaient systématiquement ?  Lorsque ces pauvres gens  montaient dans les trains, qui donc montait en se disant qu’il se dirigeait vers la mort et non vers un camp de travail ?

On ne peut imaginer jusqu’où peut se rendre la folie.  Et force est de constater que, présentement, la folie est bien réelle.   Chaque jour nos « journalistes » (sic) émettent des propos haineux envers ceux qui remettent en question la doctrine covid.   

Avec le recul on constate que le Rwanda a servi de laboratoire humain.  Tout indique qu’on cherchait à savoir jusqu’où on pouvait pousser une population en utilisant, entre autres, les médias.   Le général Dallaire a bien vu cet endoctrinement de la population et cette montée de la haine.  Il a tenté de contrer cette folie qu’il voyait s’installer, mais l’ONU l’en a empêché.   Comment peut-on expliquer autrement que par une volonté de tester une manipulation de masse qu’on lui refusa les outils (armes et soldats) pour empêcher le massacre ?

La réalité crève de plus en plus les yeux. Il y a définitivement des puissants qui possèdent les moyens pour manipuler les masses.   Pensons à la folie Pokémon !  Une autre expérience mondiale pour connaître à quel point et avec quelle efficacité on pouvait contrôler les populations occidentalisées.

Le Pokémon Go chargé 150 millions de fois dans le monde en l’espace de quelques jours.   La folie est implantée avec une facilité incroyable ! [13]

Ludique, sympathique, un retour irrésistible à l’enfance. Un marketing courriel agressif et avec l’aide précieuse des médias [14], même les adultes les plus sérieux se laisse séduire.   Tous sont dans la rue, l’œil rivé sur leur écran de cellulaire ou leur tablette pour chasser le Pokémon.

L’agence France-Presse répand la nouvelle :

La folie Pokémon Go gagne la planète 

Des joueurs chassant des Pikachu et autres Bulbizarre dans un hôpital d’Amsterdam, des «battues» organisées à Sydney, des jeunes Américains se hasardant en terrains interdits : la folie Pokémon Go, ce jeu de réalité augmentée qui permet d’attraper ces créatures virtuelles, envahit le monde. [15]

Depuis des lustres on étudie et on développe des stratégies de manipulation de l’opinion publique et la manipulation mentale des masses.   En 2014 Facebook avouait avoir testé sa capacité de manipulation mentale des foules [16].

Combien d’ouvrages traitent du sujet !  Nous savons tous que la propagande ou la publicité cherchent à mobiliser le comportement des masses en utilisant des moyens généralement malhonnêtes. Militairement, la désinformation est considérée comme une arme de guerre.  La désinformation est utilisée, tout comme la propagande, pour manipuler l’opinion publique.  La désinformation est vicieuse et probablement l’une des manipulations les plus difficiles à déceler. Nos médias désinforment massivement et utilisent aussi l’inversion des valeurs.   Ceux qui à l’aide des faits exposent la réalité indéniable sont considérés comme étant les menteurs et les porteurs de désinformation alors que c’est tout l’inverse.   Les propagandistes crachent allègrement sur la réalité et ignorent totalement les faits véritables et vérifiables.

À l’aide de la propagande, on endoctrine les gens.   C’est ce qui a été fait pendant des mois au Rwanda.  Puis en utilisant des méthodes démagogiques, on cultive la haine et on la fait croître.  Il faut être conscient des méthodes qui ont cours et des conséquences qui peuvent en découler.

Soyons conscients de cette haine véhiculée par ces faux porteurs de « vérité » (sic) qui nous endoctrinent.

Il faut éveiller ceux qui se laissent entrainer vers la haine avant qu’il ne soit trop tard.

Merci de rester alerte et de réfléchir sérieusement à ce que nous vivons.

Réfléchir n’est pas un luxe.   C’est de plus en plus une nécessité.

Salutations,

Serge Charbonneau.  Québec


Liste des liens

[1] Qu’est-ce qui constitue un discours haineux ?

https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/le-15-18/segments/chronique/93062/justice-droit-incitation-haine-crime

[2] Le discours haineux, un phénomène tentaculaire

https://www.concordia.ca/ucactualites/central/nouvelles/2018/03/12/institut-interdisciplinaire-estival-discours-haineux.html

[3] Discours haineux : les géants du Web concluent un accord avec les annonceurs

https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/discours-haineux-les-geants-du-web-concluent-un-accord-avec-les-annonceurs-20200923

[4] Le gouvernement du Canada prend des mesures pour protéger les Canadiens contre les discours et les crimes haineux

https://www.canada.ca/fr/ministere-justice/nouvelles/2021/06/le-gouvernement-du-canada-prend-des-mesures-pour-proteger-les-canadiens-contre-les-discours-et-les-crimes-haineux.html

[5] Les antivax ont gagné  – Patrick Lagacé

https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2021-10-13/les-antivax-ont-gagne.php

[6]  La victoire des coucous  – Richard Martineau

https://www.journaldequebec.com/2021/10/14/la-victoire-des-coucous

[7]  Les illuminés  – Marie-Andrée Chouinard

https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/632673/-les-illumines

[8]  Les édentés  – Patrick Lagacé

https://www.lapresse.ca/actualites/2021-03-19/les-edentes.php#

[9] Au Rwanda, les funestes échos de Radio-Mille Collines

https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/04/08/au-rwanda-les-funestes-echos-de-la-radio-des-mille-collines_5447242_3212.html

[10] Un outil d’endoctrinement – Les médias assassins

https://www.ledevoir.com/societe/51434/un-outil-d-endoctrinement-les-medias-assassins

[11]  Rwanda : «Tuez-les tous», «éradication totale», «nettoyage»… les voix funestes du génocide

https://www.leparisien.fr/international/rwanda-tuez-les-tous-eradication-totale-nettoyage-les-voix-funestes-du-genocide-21-04-2019-8057496.php

[12] Mille Collines, la radio de la haine

https://www.la-croix.com/Culture/Theatre/Mille-Collines-la-radio-de-la-haine-_NG_-2012-12-13-887560

[13] La folie Pokemon Go contamine tout le monde

[14] La folie Pokémon Go arrive chez nous! 

https://www.lecourrierdusud.ca/la-folie-pokemon-go-arrive-chez-nous/

[15] La folie Pokémon Go gagne la planète

https://www.lesoleil.com/affaires/techno/la-folie-pokemon-go-gagne-la-planete-876b2b8f8ea6ff258425fc4f03d2a07c

[16]  Facebook a testé sa capacité de manipulation mentale des foules

https://www.numerama.com/magazine/29852-facebook-a-teste-sa-capacite-de-manipulation-mentale-des-foules.html




À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?

[Source : LHK]

Par LHK

À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène? À l’Internet des corps (IoB)

https://winteroakpress.files.wordpress.com/2020/10/klaus-schwab.jpg?w=772
Partisan du transhumanisme, il prévoit l’implantation de puces d’abord dans les vêtements puis dans le cerveau, pour établir une « communication directe entre notre cerveau et le monde digital »8. Il défend et promeut l’avènement de l’intelligence artificielle pour nos vies dans La quatrième révolution industrielle paru en 2017. (Wikipédia)
https://lilianeheldkhawam.com/2021/02/06/qui-est-klaus-schwab-le-maitre-de-la-montagne-magique/?fbclid=IwAR3WUD-fesufEvSfJodxAtqde4Jcm7nHyeeXpU3ijOQ0n7_yNHovjSxlSf0

Souvenez-vous de notre article sur l’oxyde de graphène où nous y avions effleuré la notion de l’Internet des corps. Nous y disions notamment que : « En général, les capteurs pour la surveillance de la santé humaine, qu’il s’agisse de capteurs invasifs ou non invasifs, peuvent être considérés comme un « sens augmenté », qui est une extension des sens humains. ». Nous parlions dans les faits d’un matériau qui pouvait ouvrir la voie au transhumanisme.

Eh bien, la présence de capteurs n’a pas d’autres objectifs que de connecter le corps humain à un serveur et donc à fusionner les deux entités pour en créer une 3ème qui est le transhumain. Cette dernière appellation est l’antichambre du posthumain qui est l’objectif final de ceux qui tiennent le stylo de la création monétaire contre crédits.

Je vous laisse mieux découvrir l’Internet des corps ou IoB avec une collaboratrice de la Rand Corporation et de documents pris sur le site du World Economic Forum.

C’est ce qui attendrait chacune et chacun d’entre nous, à moins d’un impondérable qui aurait échappé aux algorithmes de nos amis.

Bonne lecture.

LHK

Traduction du texte de la vidéo de Mary Lee

Au 20e siècle, la technologie sans fil intégrée au corps humain n’était rien de plus que de la science-fiction. Mais aujourd’hui, les appareils connectés au Wi-Fi tels que les moniteurs de fréquence cardiaque et les moniteurs de sommeil sont devenus des éléments courants de la vie américaine. Comment la technologie bionique a-t-elle évolué si rapidement de la science-fiction à la réalité ? Et que pourrait signifier cet Internet des corps pour nos vies à l’avenir ? Les chercheurs de RAND étudient ce phénomène et ce que les consommateurs et les décideurs doivent savoir alors que nous nous dirigeons vers un territoire inexploré.

Mary Lee, mathématicienne ; Chercheur, RAND Center for Global Risk and Security

Mary Lee est mathématicienne à la RAND Corporation et membre inaugurale du RAND Center for Global Risk and Security.
Ses intérêts de recherche comprennent la modélisation mathématique et la simulation de systèmes complexes dans les domaines de la défense/aérospatiale, de la cyberpolitique, des soins de santé et des maladies chroniques.…
Vidéo ICI https://www.rand.org/multimedia/video/2020/10/29/what-is-the-internet-of-bodies.html

L’Internet des corps [« Internet of Bodies » en anglais], ou IoB , est en fait un écosystème. Il s’agit d’un ensemble d’appareils connectés à Internet qui contiennent des logiciels et qui collectent des données personnelles sur votre santé ou peuvent altérer le fonctionnement du corps. Nous considérons l’Internet des corps comme cette collection de tous ces appareils, ainsi que toutes les données que les appareils collectent à votre sujet. Et dans le domaine de la santé, l’Internet des corps existe depuis un certain temps. Avec l’avènement d’Internet, il est tout à fait logique de connecter votre stimulateur cardiaque à Internet afin que votre médecin puisse être automatiquement averti si quelque chose d’anormal se produit, s’il y a une anomalie. Il est naturel à bien des égards de vouloir en savoir plus sur votre corps, comment il fonctionne, comment il se porte bien.

Narrateur

Les appareils IoB pourraient révolutionner les soins de santé. Des quantités sans précédent de données de santé personnelles pourraient éclairer des plans de traitement entièrement adaptés aux besoins d’un patient.

Marie Lee

Il existe maintenant des pilules qui ont un capteur électronique qui permet à un fournisseur de soins de santé de savoir si vous avez pris le médicament. D’autres choses, comme la médecine de précision, la médecine de précision est donc l’idée de créer des produits pharmaceutiques ou un traitement spécifiquement pour votre corps, pour votre traitement personnalisé. Et je pense que l’ IoB pourrait vraiment aider avec cela car de nos jours, de nombreux soins de santé sont basés davantage sur des réactions moyennes, alors qu’avec les données des appareils IoB , vous pourriez être en mesure de traiter de manière vraiment plus précise une certaine maladie.

Narrateur

Mais l’Internet des corps ne sera pas une panacée. En fait, le marché largement non réglementé présente des risques pour les données particulièrement sensibles que ces appareils collectent.

Marie Lee

Tout d’abord, il y a le risque cyber qu’un acteur puisse potentiellement pirater le système, quel qu’il soit. Il y a un risque pour la vie privée de toutes ces données qui sont collectées, et les réglementations concernant ces données sont vraiment obscures pour le moment. Et donc il n’y a pas beaucoup de clarté sur qui possède les données, ce qui leur arrive, à qui elles sont vendues, comment elles sont utilisées. Et il existe même des risques potentiels pour la sécurité nationale et la sécurité mondiale.

Narrateur

Quelques exemples de ces risques se sont déjà manifestés dans la vie réelle. Par exemple, en 2018, des informations très sensibles sur les activités militaires américaines et les emplacements des bases ont été révélées par inadvertance par les trackers de fitness des soldats. C’est donc un moment charnière. Que pouvons-nous faire pour nous assurer de profiter des avantages potentiels de l’Internet des corps sans risquer notre vie privée, notre sécurité et notre autonomie personnelle ?

Marie Lee

Les consommateurs doivent se méfier des appareils IoB, car à mesure qu’ils deviennent de plus en plus populaires, toutes ces données intimes sont collectées, sans doute des données plus intimes que nous n’avons jamais vraiment enregistrées auparavant. Il n’y a pas de clarté sur ce qui est fait avec ces données. Vous savez, avec un vieux stimulateur cardiaque mécanique, aucune donnée n’est collectée et stockée, et, vous savez, vous pouvez consulter l’historique des rythmes cardiaques de quelqu’un.

Parce que la politique a tendance à prendre du retard sur les technologies innovantes comme celle-ci, il appartient probablement aux consommateurs et aux patients des soins de santé d’être vraiment conscients des appareils qu’ils utilisent et de ce qui arrive à leurs données et de savoir quelles sont les réglementations en vigueur. leur état particulier, car il varie tellement d’un état à l’autre. Même si vous pensez que vous n’êtes pas intéressant ou que rien ne se passera avec vos données, il y a beaucoup d’inconnues auxquelles je pense que nous devons faire attention.

Le World Economic Forum, promoteur de l’Internet des corps

Selon le World Economic Forum: L’Internet des corps est là : relever les nouveaux défis de la gouvernance technologique.
Les récents progrès technologiques ont inauguré une nouvelle ère de « l’internet des corps » (IoB), avec un nombre sans précédent d’appareils et de capteurs connectés fixés ou même implantés et ingérés dans le corps humain.
L’IoB génère d’énormes quantités de données biométriques et comportementales humaines.
Cela alimente à son tour la transformation de la recherche et de l’industrie en santé, ainsi que d’autres aspects de la vie sociale, tels que l’adoption de l’IoB dans les environnements de travail, ou la fourniture de nouvelles options pour le divertissement – le tout avec des innovations remarquables basées sur les données. et prestations sociales.

Pourtant, l’IoB soulève également de nouveaux défis pour la gouvernance des données qui concernent non seulement la vie privée et l’autonomie des individus, mais aussi de nouveaux risques de discrimination et de préjugés dans l’emploi, l’éducation, la finance, l’accès à l’assurance maladie et d’autres domaines importants pour la répartition des ressources sociales.

Nous entrons dans l’ère de « l’Internet des corps » : collecter nos données physiques via une gamme de dispositifs pouvant être implantés, avalés ou portés.

Le résultat est une énorme quantité de données liées à la santé qui pourraient améliorer le bien-être humain dans le monde et s’avérer cruciales dans la lutte contre la pandémie de COVID-19.

Mais un certain nombre de risques et de défis doivent être abordés pour réaliser le potentiel de cette technologie, des problèmes de confidentialité aux obstacles pratiques.

Dans les services spéciaux du Centre clinique de santé publique de Shanghai, les infirmières utilisent des thermomètres intelligents pour vérifier la température des patients COVID-19. La température de chaque personne est enregistrée avec un capteur, réduisant le risque d’infection par contact, et les données sont envoyées à un tableau de bord d’observation. Un résultat anormal déclenche une alerte au personnel médical, qui peut alors intervenir rapidement. Les données recueillies permettent également aux médecins d’analyser les tendances au fil du temps.

Les thermomètres intelligents sont conçus par VivaLNK, une startup basée dans la Silicon-Valley, et sont un exemple puissant des nombreux produits et services numériques qui révolutionnent les soins de santé. Après l’Internet des Objets, qui a transformé notre façon de vivre, de voyager et de travailler en connectant des objets du quotidien à Internet, place à l’Internet des corps. Cela signifie collecter nos données physiques via des dispositifs pouvant être implantés, avalés ou simplement portés, générant d’énormes quantités d’informations liées à la santé.

Certaines de ces solutions, comme les trackers de fitness, sont une extension de l’Internet des objets. Mais parce que l’Internet des corps se concentre sur le corps humain et la santé, il soulève également son propre ensemble spécifique d’opportunités et de défis, des problèmes de confidentialité aux questions juridiques et éthiques.

Image : McKinsey & Compagnie

Connecter nos corps

Aussi futuriste que puisse paraître l’Internet des corps, de nombreuses personnes y sont déjà connectées via des appareils portables. Le segment des montres intelligentes à lui seul est devenu un marché de 13 milliards de dollars d’ici 2018 et devrait augmenter de 32 % à 18 milliards de dollars d’ici 2021. Les brosses à dents intelligentes et même les brosses à cheveux peuvent également permettre aux gens de suivre les habitudes de leurs soins personnels et de leur comportement.

Pour les professionnels de la santé, l’Internet des corps ouvre la porte à une nouvelle ère de surveillance et de traitement efficaces.

En 2017, la Federal Drug Administration des États-Unis a approuvé la première utilisation de pilules numériques aux États-Unis. Les pilules numériques contiennent de minuscules capteurs ingérables, ainsi que des médicaments. Une fois avalé, le capteur est activé dans l’estomac du patient et transmet les données à son smartphone ou à d’autres appareils.

En 2018, Kaiser Permanente, un fournisseur de soins de santé en Californie, a lancé un programme de réadaptation virtuelle pour les patients qui se remettent d’une crise cardiaque. Les patients ont partagé leurs données avec leurs prestataires de soins via une montre connectée, permettant un meilleur suivi et une relation plus étroite et plus continue entre le patient et le médecin. Grâce à cette innovation, le taux d’achèvement du programme de réadaptation est passé de moins de 50 % à 87 %, accompagné d’une baisse du taux de réadmission et du coût du programme.

Le déluge de données recueillies grâce à ces technologies fait progresser notre compréhension de la façon dont le comportement humain, le mode de vie et les conditions environnementales affectent notre santé. Il a également élargi la notion de soins de santé au-delà de l’hôpital ou de la chirurgie et dans la vie quotidienne. Cela pourrait s’avérer crucial dans la lutte contre la pandémie de coronavirus. Le suivi des symptômes pourrait nous aider à arrêter la propagation de l’infection et à détecter rapidement de nouveaux cas. Les chercheurs étudient si les données recueillies à partir de montres intelligentes et d’appareils similaires peuvent être utilisées comme alertes d’infection virale en suivant la fréquence cardiaque et la respiration de l’utilisateur.

Dans le même temps, cette technologie complexe et évolutive soulève de nouveaux défis réglementaires.

Qu’est-ce qui compte comme information de santé?

Dans la plupart des pays, il existe des réglementations strictes concernant les informations de santé personnelles telles que les dossiers médicaux et les échantillons de sang ou de tissus. Cependant, ces réglementations conventionnelles ne couvrent souvent pas le nouveau type de données de santé générées par l’Internet des corps, et les entités qui collectent et traitent ces données.

Aux États-Unis, le Health Insurance Portability and Accountability Act (HIPPA) de 1996, qui est la principale loi pour la réglementation des données de santé, s’applique uniquement aux prestataires de soins médicaux, aux assureurs-maladie et à leurs associations professionnelles. Sa définition de « renseignements personnels sur la santé » ne couvre que les données détenues par ces entités. Cette définition s’avère inadaptée à l’ère de l’Internet des corps. Les entreprises technologiques proposent désormais également des produits et services liés à la santé et collectent des données. Margaret Riley, professeur de droit de la santé à l’Université de Virginie, m’a fait remarquer dans une interview que HIPPA ne couvre pas les masses de données des appareils portables grand public, par exemple. Données

Comment le Forum économique mondial aborde-t-il les défis soulevés par l’Internet des corps ?

Recent technological advancements have ushered in a new era of the “internet of bodies” (IoB), with an unprecedented number of connected devices and sensors being affixed to or even implanted and ingested into the human body.

L’IoB génère d’énormes quantités de données biométriques et comportementales humaines. Cela alimente à son tour la transformation de la recherche et de l’industrie en santé, ainsi que d’autres aspects de la vie sociale, tels que l’adoption de l’IoB dans les environnements de travail, ou la fourniture de nouvelles options pour le divertissement – le tout avec des innovations remarquables basées sur les données. et prestations sociales.

Le Forum économique mondial a récemment publié un rapport spécial sur cette région en développement. Le rapport d’août 2020 explore comment l’IoB soulève de nouveaux défis pour la gouvernance des données qui concernent non seulement la vie privée et l’autonomie des individus, mais aussi de nouveaux risques de discrimination et de préjugés dans l’emploi, l’éducation, la finance, l’accès à l’assurance maladie et d’autres domaines importants pour la répartition des ressources sociales. .

Un autre problème est que la réglementation actuelle ne regarde que si les données sont sensibles en elles-mêmes, et non si elles peuvent être utilisées pour générer des informations sensibles. Par exemple, le résultat d’un test sanguin dans un hôpital sera généralement classé comme une donnée sensible, car il révèle des informations privées sur votre santé personnelle. Mais aujourd’hui, toutes sortes de données apparemment non sensibles peuvent également être utilisées pour tirer des conclusions sur votre santé, grâce à l’analyse de données. Glenn Cohen, professeur à la faculté de droit de Harvard, m’a dit dans une interview que même les données qui ne concernent pas du tout la santé, telles que les listes de courses, peuvent être utilisées pour de telles inférences. En conséquence, les réglementations conventionnelles peuvent ne pas couvrir les données sensibles et privées, simplement parce qu’elles ne semblaient pas sensibles avant d’être traitées.

Risques liés aux données

L’identification et la protection des données sensibles sont importantes, car elles peuvent affecter directement la façon dont nous sommes traités par les institutions et les autres personnes. Avec l’analyse des mégadonnées, d’innombrables actions et décisions quotidiennes peuvent finalement alimenter notre profil de santé, qui peut être créé et maintenu non seulement par les prestataires de soins de santé traditionnels, mais également par des entreprises technologiques ou d’autres entités. Sans lois et réglementations appropriées, il pourrait également être vendu. Dans le même temps, les données de l’Internet des corps peuvent être utilisées pour faire des prédictions et des déductions qui pourraient affecter l’accès d’une personne ou d’un groupe à des ressources telles que les soins de santé, l’assurance et l’emploi.

James Dempsey, directeur du Berkeley Center for Law and Technology, m’a dit dans une interview que cela pourrait conduire à un traitement injuste. Il a mis en garde contre la discrimination et les préjugés potentiels lorsque de telles données sont utilisées pour des décisions en matière d’assurance et d’emploi. Les personnes concernées peuvent même ne pas en être conscientes.

Une solution serait de mettre à jour la réglementation. Sandra Wachter et Brent Mittelstadt , deux universitaires de l’Oxford Internet Institute, suggèrent que la loi sur la protection des données devrait se concentrer davantage sur comment et pourquoi les données sont traitées, et pas seulement sur leur état brut. Ils plaident pour un soi-disant « droit aux déductions raisonnables », c’est-à-dire le droit que vos données soient utilisées uniquement pour des déductions raisonnables et socialement acceptables. Cela impliquerait d’établir des normes pour savoir si et quand déduire certaines informations des données d’une personne, y compris l’état de sa santé présente ou future, est socialement acceptable ou trop invasif.

Problèmes pratiques

Outre les préoccupations concernant la confidentialité et la sensibilité, il existe également un certain nombre de problèmes pratiques liés au volume considérable de données générées par l’Internet des corps. Le manque de normes en matière de sécurité et de traitement des données rend difficile la combinaison de données provenant de diverses sources et leur utilisation pour faire avancer la recherche. Différents pays et institutions tentent conjointement de surmonter ce problème. L’Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE) et sa Standards Association travaillent avec la Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis, les National Institutes of Health, ainsi que des universités et des entreprises parmi d’autres parties prenantes depuis 2016, pour aborder la sécurité et question d’interopérabilité de la santé connectée.

Alors que l’Internet des corps se répand dans tous les aspects de notre existence, nous sommes confrontés à une série de nouveaux défis. Mais nous avons également une chance sans précédent d’améliorer notre santé et notre bien-être et de sauver d’innombrables vies. Pendant la crise du COVID-19, saisir cette opportunité et trouver des solutions aux défis est une tâche plus urgente que jamais. Cela repose sur les agences gouvernementales et les organes législatifs travaillant avec le secteur privé et la société civile pour créer un cadre de gouvernance solide et pour inclure des déductions dans le domaine de la protection des données. L’élaboration de normes technologiques et réglementaires pour l’interopérabilité et la sécurité serait également cruciale pour libérer la puissance des nouvelles données disponibles. La clé est de collaborer au-delà des frontières et des secteurs pour réaliser pleinement les énormes avantages de cette technologie en évolution rapide.

https://www.weforum.org/agenda/2020/06/internet-of-bodies-covid19-recovery-governance-health-data/

wef-iob-briefing_paper_2020

Lire également

https://lilianeheldkhawam.com/2020/11/17/reset-recreer-lhumain-par-la-revolution-bio-technologique/


[Voir aussi :
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
et Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA]




Le Nouvel ordre mondial pour Les Nuls en sept étapes et en images

[Source : Sott.net]

Voici en images un condensé explicatif plus ou moins hypothétique du plan qui se déroule actuellement sous nos yeux pour celles et ceux qui se sont réveillés récemment et ont encore du mal à y voir clair. Le texte a été écrit Jean-Jacques Crèvecoeur et le graphisme créé par Le Grand Réveil.

[Ndlr : l’intérêt d’un tel exposé n’est pas de sombrer dans le pessimisme et le défaitisme, mais d’une part de se préparer au mieux (notamment psychologiquement) au cas où de telles éventualités interviendraient malgré tout, mais d’autre part d’envisager dès maintenant les meilleurs moyens d’empêcher que cela arrive.]

Théorie ou réalité il n’en reste pas moins que nous sommes bel et bien entre la phase 4 et la phase 5…

Le NOM pour les Nuls-2
Le NOM pour les Nuls-3
Le NOM pour les Nuls-4
Le NOM pour les Nuls-5
Le NOM pour les Nuls-6
Le NOM pour les Nuls-7
Le NOM pour les Nuls-8
Le NOM pour les Nuls-9

[Voir aussi :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
et Les 13 étapes machiavéliques ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]




Bill Gates explique que le vaccin covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN… MàJ

[Source : crashdebug.fr]

Vous trouverez dans ces articles plus d’informations sur le vaccin de Gates et de la DARPA,

https://youtu.be/2MGXePjIzXE [Vidéo censurée]

[Mise à jour : ]

[anglais]

Et dans cette autre vidéo,

[anglais]

Bill Gates explique tranquillement, sans aucun état d’âme, ça semble même le faire marrer, qu’il pourrait y avoir un effet de bord toutes les 10.000 vaccinations, ce qui ferait 700.000 personnes potentiellement impactées [anglais], et pour lui c’est une bagatelle. Ces gens sont des psychopates….

Plutôt que d’enseigner aux gens comment améliorer leur état de santé général ou renforcer leur immunité grâce à des aliments sains, des compléments de qualité et une activité physique, les pouvoirs en place disent au monde que la seule façon de survivre à la crise du Coronavirus est de hâter le développement d’un vaccin et de l’injecter ensuite à chaque être humain sur la planète.

Le gouvernement américain, ainsi que de grandes villes comme Chicago, vont déjà de l’avant avec des plans visant à utiliser les ressources gouvernementales et l’armée pour distribuer des centaines de millions de doses de vaccins aux Américains d’ici la fin de l’année.

Au premier plan de cette conversation se trouve Bill Gates, qui est devenu en quelque sorte le plus grand expert mondial en matière de pandémies et de vaccins. Par le biais de sa fondation, il soutient l’OMS et le développement de nouveaux vaccins, et soutient actuellement un certain nombre de sociétés pharmaceutiques dans leur course à l’invention du produit qui sauvera le monde du Covid-19.

En règle générale, le processus de développement, d’essai et de production de masse des vaccins prend des années, mais grâce à la nouvelle technologie expérimentale émergente, M. Gates espère pouvoir vacciner « 7 milliards de personnes en bonne santé » en un temps record.

Une nouvelle génération de vaccins est en train d’émerger à l’heure où nous parlons. Pour l’instant, il n’existe pas de vaccins à ADN et à ARN approuvés pour l’usage humain, mais comme le dit M. Gates dans le post suivant de son blog personnel, le moment est venu de les essayer sur tout le monde. Dans le commentaire suivant, il explique la différence entre les vaccins traditionnels et les vaccins à ADN/ARN, qui, une fois encore, n’ont jamais été approuvés pour un usage humain :

Enseigner à votre corps comment vaincre un agent pathogène sans jamais tomber malade. Les deux types les plus courants – et ceux que vous connaissez probablement le mieux – sont les vaccins inactivés et les vaccins vivants. Les vaccins inactivés contiennent des agents pathogènes qui ont été tués. Les vaccins vivants, en revanche, sont constitués d’agents pathogènes vivants qui ont été affaiblis (ou « atténués »). Ils sont très efficaces, mais plus sujets aux effets secondaires que leurs homologues inactivés.

Les vaccins inactivés et vivants sont ce que nous considérons comme des approches « traditionnelles ». Il existe un certain nombre de candidats vaccins COVID-19 des deux types, et pour une bonne raison : ils sont bien établis. Nous savons comment les tester et les fabriquer.

L’inconvénient est que leur fabrication prend du temps. Il y a une tonne de matière dans chaque dose d’un vaccin. La plupart de ce matériel est biologique, ce qui signifie que vous devez le cultiver. Cela prend du temps, malheureusement.

C’est pourquoi je suis particulièrement enthousiaste à l’égard de deux nouvelles approches adoptées par certains des candidats : Les vaccins à ARN et à ADN. Si l’une de ces nouvelles approches se révèle efficace, nous serons probablement en mesure de diffuser les vaccins dans le monde entier beaucoup plus rapidement (par souci de simplicité, je ne vais expliquer que les vaccins à ARN. Les vaccins à ADN sont similaires, mais avec un type de matériel génétique et un mode d’administration différents).

Notre fondation – à la fois par son propre financement et par l’intermédiaire de la CEPI – soutient le développement d’une plateforme de vaccins à ARN depuis près de dix ans. Nous avions prévu de l’utiliser pour fabriquer des vaccins contre des maladies qui touchent les pauvres comme la malaria, mais aujourd’hui, elle semble être l’une des options les plus prometteuses pour le COVID. Le premier candidat à entamer des essais sur l’homme était un vaccin à ARN créé par une société appelée Moderna.

Voici comment fonctionne un vaccin à ARN : plutôt que d’injecter l’antigène d’un agent pathogène dans votre corps, vous lui donnez le code génétique nécessaire pour produire cet antigène lui-même. Lorsque les antigènes apparaissent à l’extérieur de vos cellules, votre système immunitaire les attaque et apprend à vaincre les futurs intrus au cours du processus. En gros, vous transformez votre corps en sa propre unité de fabrication de vaccins.

Comme les vaccins à ARN laissent votre corps faire la plus grande partie du travail, ils n’ont pas besoin de beaucoup de matériel. Cela les rend beaucoup plus rapides à fabriquer. Mais il y a un hic : nous ne savons pas encore avec certitude si l’ARN est une plate-forme viable pour les vaccins. Étant donné que le COVID serait le premier vaccin à ARN à sortir, nous devons prouver à la fois que la plateforme elle-même fonctionne et qu’elle crée une immunité. C’est un peu comme si vous construisiez votre système informatique et votre premier logiciel en même temps ». ~ Bill Gates

Ainsi, le vaccin Covid-19 ne sera pas un vaccin traditionnel. Il ne sera pas testé de manière significative ou standard étant donné l’état d’urgence actuel. Il sera administré par les militaires, et tout le monde sur la planète devra le prendre.

Comme l’a fait remarquer le journaliste d’investigation Jon Rappoport :

« Deux nouvelles technologies sont dans la filière de test COVID au moment où nous parlons : Les vaccins à ADN et à ARN. Ils n’ont jamais été mis en circulation pour un usage public. La technologie de l’ADN est en fait une thérapie génique. Des gènes sont injectés dans le corps et modifient de façon permanente et inconnue la composition génétique du receveur. Les vaccins à ARN comporteraient le danger de déclencher des réactions auto-immunes, c’est-à-dire que l’organisme se mettrait en guerre contre lui-même.

Le vaccin qui est exploité par le gouvernement américain… sous l’égide de ses National Institutes of Health… par le biais de la société pharmaceutique Moderna… n’a JAMAIS été utilisé sur le marché avant.

IL N’EST PAS AUTORISÉ À ÊTRE UTILISÉ PAR LE PUBLIC.

LES VACCINS ARN ET LA TECHNOLOGIE QU’ILS UTILISENT SONT ENTIÈREMENT EXPÉRIMENTAUX.

ET C’EST LE TYPE DE VACCIN QUI EST MIS EN PLACE À LA HÂTE EN 90 JOURS.

Qu’est-ce qui pourrait bien mal tourner dans le monde ?

Une façon de le découvrir est de le lancer sur des millions de personnes, de prendre du recul et de voir ». ~Jon Rappoport

Vous êtes prêts à ce que votre famille et vos enfants servent de cobayes dans le cadre de la plus grande expérience de santé mondiale jamais menée ?

Alex Pietrowski est un artiste et un écrivain soucieux de préserver une bonne santé et la liberté fondamentale de jouir d’un mode de vie sain. Il est rédacteur pour WakingTimes.com. Alex est un étudiant passionné de yoga et de vie.

Cet article (Bill Gates explique que le vaccin Covid utilisera une technologie expérimentale et modifiera de façon permanente votre ADN), créé et publié à l’origine par Waking Times, est publié ici sous une licence Creative Commons avec mention d’Alex Pietrowski et de WakingTimes.com.

Source : Dcdirtylaundry.com

Informations complémentaires :


Source : https://www.santeglobale.world :

« Il est à noter, qu’à cette occasion, j’ai pu observer un délire, qui est le plus stupéfiant sur le plan médicamenteux, de toute ma carrière, pourtant longue, sur le danger extrême de l’utilisation de l’hydroxychloroquine et de la chloroquine. Ces médicaments sont prescrits depuis 80 ans, il est probable qu’au moins 1/3 de la population a eu l’occasion d’en manger. En France, la CNAM rapporte que 36 millions de comprimés de Plaquenil 200 mg ont été́ distribués en 2019. L’émotion formidable, sur les risques de la chloroquine et l’hydroxy-chloroquine, témoigne d’une absence complète de contrôle de l’information raisonnée, basée sur la bibliographie, et non pas sur les émotions des uns et des autres, voire la manipulation de l’opinion et je mesure mes termes. Par définition, le directeur de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), en est responsable. »

Professeur RAOULT : La chloroquine : émotion, délire, manipulation de l’opinion

Youtube : (sud radio) J.D Michel – « Les courbes épidémiques des pays confinés et des pays non confinés sont les mêmes ! »

Le confinement était la dernière chose à faire !!

DAVID ICKE SANS CENSURE !! LA FIN DU CONTRÔLE, LE TRIOMPHE DE L’AMOUR !

Troisième interview de David Icke par Brian Rose sur ©London Real (mai 2020) :



(en anglais)

David Icke montre avec clarté toute la folie de la « pandémie » créée par le technocrates pour nous asservir :

Tony Robbins interroge des médecins sur la pseuodo épidémie de coronavirus, décapant !

(audio, en anglais)




Festival des personnes remarquables

[Source : alternative-academy.net]

Bande-annonce :

SANTE & MÉDECINE

Dr TADEUSZ NAWROCKI – 26/10/21 à 19h30

Spécialiste du système HLA depuis 40 ans – pour lequel il s’est passionné dès la découverte par l’immunologiste et Prix Nobel, Jean Dausset – le Dr Nawrocki met en place, dans les années 1990, la recherche HLA complète comme outil de singularisation anthropologique et ethnique. Puis il crée, en 2015, un fichier informatique : l’Haplotype (HLA), et mène des travaux sur la molécule HLA-G et la tolérance immunitaire de la grossesse.

Il compte 30 publications scientifiques dans les domaines de la cytogénétique, la génétique moléculaire, l’anthropologie médicale, l’odontologie, la  stomatologie et la biophysique. Au cours de sa carrière, le Dr Tadeusz Nawrocki a obtenu différents diplômes inter universitaires : de cancérologie, de méthodologie des essais cliniques des médicaments, environnement et santé, environnement et cancer, de médecine prédictive. Il a obtenu également un diplôme de l’Institut Pavlov de Saint-Petersbourg, un diplôme d’homéopathie et il s’est également formé en pharmacologie botanique ainsi qu’un diplôme universitaire de formation et recherche en anthropologie médicale DUFRAM. http:// acmeditions.com

THEME DE LA RENCONTRE : Le système HLA, un outil de diagnostic fascinant :

« En anthropologie, le système HLA est un outil qui permet d’individualiser chacun dans son appartenance ethnique, migratoire, géographique. En immunogénétique, le système HLA permet de comprendre pourquoi certaines comorbidités, qui se transmettent entre ascendant à descendants, sont activés en pathologie par leur juxtaposition sur l’haplotype. Ceci avec des susceptibilités microbiennes, virales, aux métaux lourds, véritables accélérateurs de certaines procédures maladives qu’elle soit cancéreuse, auto-immune, neurodégénérative. »

Dr GÉRARD DIEUZAIDE : 23/10/21 à 14h30

Le Docteur Gérard Dieuzaide est chirurgien-dentiste, conférencier, diplômé universitaire de posturologie et d’implantologie. Il s’intéresse depuis de nombreuses années plus particulièrement au problème occlusal dentaire, mais aussi à l‘électrosensibilité aux ondes, notamment à travers l’effet d’antenne et l’écho vibratoire de certains matériaux situés sur nos dents.

Il est l’auteur des livres « Libérez-vous de ces matières parasites » aux éditions Trédaniel, « Les maladies des ondes comment s’en préserver, électrosensibilité, fibromyalgie, fatigue chronique », « Si ça venait des dents », et « Testing thérapie » aux éditions Dangles.

Le Dr DIEUZAIDE a participé au documentaire  « Les sacrifiés des ondes » du réalisateur Jean-Yves Bilien avec entre autres le Professeur Luc Montagnier et le Professeur Dominique Belpomme. site : https://www.dieuzaide-electrosensibilite.com/fr

THEME DE LA RENCONTRE : Ces matériaux qui font « antenne » …

Certains matériaux font « antenne » avec les ondes ambiantes. Tester permet ainsi de donner à chacun les moyens de reconnaître certaines agressions environnementales, auto-induites,  proprioceptives, électromagnétiques   ou émotionnelles, de toute nature, en sachant lire et observer les réactions de son corps afin de s’en protéger. Mais tester permet également aux thérapeutes, quels qu’ils soient , médecins,  dentistes,  naturopathes, nutritionnistes, psychologue, osteopathes, etc..de respecter la célèbre maxime « primum non nocere »( D’abord ne pas nuire )qui est malheureusement trop souvent oubliée par la médecine moderne… Savoir tester donne les clés d’une méthode thérapeutique inédite qui est spectaculaire non seulement du fait des résultats obtenus mais aussi du fait de la diversité des incroyables améliorations de santé qui s’en suivent.

Enfin il faut savoir que les tests utilisés sont issus d’une jeune discipline de la médecine officielle, science que l’on appelle la Posturologie.

Dr DOMINIQUE ERAUD : 31/10/21 à 17h30

Homéopathie, Acupuncture, Phytothérapie, Nutrition –

Fondatrice du colloque Écomédecine, d’Intelligence Verte, de la CNMSE : Coordination Nationale Médicale Santé Environnement – Membre fondateur du RES : Réseau Environnement Santé Présidente Paris : Solidarité Homéopathie.

THEME DE LA RENCONTRE : Le dosage d’anticorps : un outil pour individualiser l’acte vaccinal.

Le dosage d’anticorps : un outil pour individualiser l’acte vaccinal. Une expérience menée avec l’Hôpital Privé Nord Parisien (HPNP) Une réflexion sur une vaccination sur mesure.

MARION KAPLAN  : 24/10/21 à 18h

Marion Kaplan est naturopathe, bio nutritionniste, spécialisée en Nutrithérapie et en micronutrition. Tout au long de sa vie elle a étudié avec des experts précurseurs comme le Dr Catherine Kousmine, Robert Masson, le Dr Jean Seignalet, le Pr Henri Joyeux, Dr Thadèe Nawrocki,  Pr Vincent Castronovo… Elle  s’est également passionnée pour les médecines énergétiques, comme l’homéopathie, l’acupuncture, la bio énergie, les médecines quantiques, mais également les médecines de compréhension de l’humain comme la PNL, le développement personnel, la spiritualité.  C’est une éternelle étudiante. Toutes ces compréhensions ont abouti à plus d’une vingtaine d’ouvrages sur l’alimentation et à l’organisation de nombreux congrès « quantique planète » et à son « Ecole des Sages ».Livres : Paléobiotique (Thierry Souccar), Powerbiotique (Trédaniel), sans gluten ni laitages (Jouvence)…Site : https://95degres.com

THEME DE LA RENCONTRE : Vivre en pleine santé après 64 ans, c’est possible ! Nous avons gagné en longévité, mais le temps de vie en bonne santé ne dépasse toujours pas 64 ans. A partir de cet âge, les statistiques démontrent que les maladies explosent, qu’elles soient de civilisation, auto immunes, infectieuses, virales, métaboliques ou autres.Pourtant, grâce aux progrès de la Médecine Préventive, nous avons tous les moyens pour prévenir plutôt que guérir.Nous avons accès maintenant à l’étude de notre génome qui nous permet de prendre les précautions et les résolutions qui ne nous ferons jamais basculer dans les maladies auxquelles nous sommes génétiquement prédisposés.

Dr Alain DUBLANCHET : 28/10/21 à 19h30

Médecin, biologiste honoraire des hôpitaux, ancien chef du laboratoire de microbiologie du Centre hospitalier de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne) il a consacré son activité à la microbiologie médicale et à l’infectiologie. Il a publié de nombreux articles originaux concernant notamment l’étude des bactéries anaérobies et les résistances bactériennes aux antibiotiques.

Durant son activité hospitalière, ayant lui-même utilisé il y a plusieurs dizaines d’années des bactériophages pour traiter des infections ostéo-articulaires graves en impasse thérapeutique, il s’est attaché, à réintroduire la phagothérapie dans la communauté médicale et à correspondre avec les spécialistes français et étrangers. Il est l’auteur du chapitre « Phagothérapie » dans l’Encyclopédie Médico- Chirurgicale, et d’un ouvrage destiné au médecins généralistes et au grand public : « La phagothérapie : des virus pour combattre les infections. Renouveau d’un traitement au secours des antibiotiques ». Il a également écrit une biographie de Félix d’Hérelle, qui fut le découvreur du bactériophage en 1917 et le promoteur de la phagothérapie.  Livre : « La phagothérapie – Des virus pour combattre les infections » (Favre)  https://www.sesoignerengeorgie.com/docteurdublanchet.html

THEME DE LA RENCONTRE : De la découverte des bactériophages au développement de la phagothérapie !

Le développement continu des résistances bactériennes aux antibiotiques entraîne l’apparition d’infections de plus en plus souvent impossibles à maîtriser. Il en résulte des situations individuelles dramatiques qui met la médecine en échec. Il devient urgent de trouver une réponse. La phagothérapie, qui utilise des virus singuliers « mangeurs de bactéries » appelés bactériophages, est probablement la réponse la plus abouti à cette évolution inéluctable et préoccupante.

Dr DOMINIQUE BOURDIN : 27/10/21 à 16h  

Diplômé en Médecine du Sport et en Acupuncture, Dominique Bourdin bénéficie d’une solide expérience de médecin et de psychothérapeute (ayant exercé près de vingt ans la médecine générale et l’acupuncture, et la psychothérapie pendant plus de dix ans). Egalement formé en Sciences et en Théologie, sa quête est perpétuelle : comprendre l’être humain et le sens qu’il peut donner à sa vie.

Durant ces années d’expériences, les rencontres multiples et variées, la recherche, l’expérimentation lui ont permis de concevoir des techniques de soins performantes : la musicothérapie (ou holopsonie) qui stimule les ressources de la personne à travers l’ouïe, et la chromothérapie (ou luminothérapie de précision) qui agit sur toute la structure vibratoire du corps humain. https://www.holobiolistic.eu/new5/index.php

THEME DE LA RENCONTRE : La chromobiologie, une piste pour la médecine de demain ?

En développant une conception de l’être humain fondée sur la conscience, la lumière et les couleurs, la chromobiologie permet de comprendre les besoins et donc d’en prendre soin efficacement.

Elle propose aussi un outil thérapeutique pertinent dans une approche globale de la santé, non symptomatique, non analytique, centrée sur la personne et ses ressources plus que sur ses problèmes dans un accompagnement d’autoguérison et de prise de conscience.


Programme

Vendredi 22 Octobre 2021

14h Film « DE LA PSYCHOLOGIE A LA SPIRITUALITE » avec Thierry Janssen

18h Film « ENFANTS HYPERSENSIBLES, UN PRESENT POUR L’AVENIR »
        avec Jeanne Siaud-Facchin

20h Rencontre avec Jeanne Siaud-Facchin
 » Intelligence acérée & sensibilité exacerbée, une Alchimie pour demain ?
Échangeons ensemble !

Samedi 23 Octobre 2021

10h Projection de l’interview  » Aluminium, le corps Blessé … une invasion toxique » – Pr Christopher Exley

13h Projection du film : « Les sacrifiés des ondes « avec le Dr Gérard Dieuzaide

14h30 Rencontre avec le Dr Gérard Dieuzaide
« Le corps ne ment pas » Echangeons ensemble !

16h Projection du film : « LA ROUTE DE LA CONSCIENCE »

17h Interview de Philippe Guillemant : Comment adresser notre meilleur futur ?

18h Rencontre avec Philippe Guillemant 
Échangeons ensemble !

19h30 Rencontre avec Alexandre Rusanov
Le rôle des facteurs géologiques et géophysiques dans la pollution électromagnétique
Échangeons ensemble !

21h Projection du film : « LES GUERISSEURS, LA FOI, LA SCIENCE »

Dimanche 24 Octobre 2021

10h Projection du Film :  « LA TROUSSE D’URGENCE DE L’AROMATHÉRAPIE », avec le Dr Dominique Baudoux

14h Interview de Olivier Barbarroux : L’humain, fils de la terre, à la croisée des chemins

15h Rencontre avec Olivier Barbarroux
Échangeons ensemble !

16h30 Projection du Film : « CROQUE LA VIE »

18h Interview du Marion Kaplan  : Vivre en pleine santé après 64 ans, c’est possible !

19h Rencontre avec Marion Kaplan
Échangeons ensemble !

20h Interview du Dr Hervé Janecek : « Les ondes , la lumière,  les électrons en nutrition et en thérapie » ?

21h Rencontre avec le Dr Hervé Janecek
Échangeons ensemble !

22h00 Projection du Film : « GUERISON EXTRAORDINAIRE » avec Willy Barral

Lundi 25 Octobre 2021

10h Projection du Film :  » LE MOINE BLANC DE SHAOLIN » avec Andréas Beskow  

15h Projection du Film : « DERMO-OPTIQUE avec Antonin Poncik

18h30 Projection du Film : « CEUX QUI NE VEULENT PAS GUERIR » avec Jean-Philippe Brébion

19h30 Interview de JP Brébion : « Ne cherchons pas à vivre, cessons de survivre, la vie oeuvre en nous »

20h30 Rencontre avec Jean-Philippe Brébion
Échangeons ensemble !

Mardi 26 Octobre 2021

10h Projection du film : « LES GUERISSEURS DE L’IMPOSSIBLE »

14h Projection du film : « LA NOUVELLE BIOLOGIE CELLULAIRE » avec le Dr Bruce Lipton

16 h30 Interview du Dr Tadeusz Nawrocki : « Coronavirus & traitements » du Dr Tadeusz Nawrocki

19h30 Rencontre avec le Dr  Tadeusz Nawrocki
Le système HLA : Votre carte génétique tissulaire, un outil de diagnostic fascinant
Échangeons ensemble !

22h Projection du film : « LES ETAPES DE DEVELOPPEMENT DE L’ENFANT & DE L’ADOLESCENT »  avec Nathalie Brochard

Mercredi 27 Octobre 2021

10h Projection du film  : « MEDECINE, LE GRAND TOURNANT »

14h Projection du film : « GUERIR PAR L’AMOUR » avec le Dr Léonard Laskow

16h Rencontre avec le Dr Dominique Bourdin
L’utilisation de la lumière : A chaque couleur, sa fonction !

18 h30 Projection du film : « SEUL EST VAINCU CELUI QUI RENONCE » avec Babeth & Raphaël Colicci

20h Rencontre avec Raphaël Colicci : Le défi de la simplicité
Échangeons ensemble !

Jeudi 28 Octobre 2021

14h Projection du Film : « LES CHEMINS DE LA GUERISON »  avec le Dr Guy Londechamp

15h45 Interview du Dr Guy Londechamp : L’eau & La conscience

16h30 Rencontre avec le Dr Guy Londechamp Echangeons ensemble !

18h Projection du film « LA NATUROPATHIE VITALISTE » Ecole Dargère- Pierre-Valentin Marchesseau

19h30 Rencontre avec le Dr Alain Dublanchet
De la découverte des bactériophages au développement de la phagothérapie
Échangeons ensemble !

Vendredi 29 Octobre 2021

10h Projection du film « FUSION FROIDE » avec Jean-Paul Bibérian

14h  Projection du film : FREQUENCES ELECTROMAGNETIQUES DE L’ADN » avec le Pr Luc Montagnier

18h30 Interview du Dr Claude Touzet : Théorie neuronale de la cognition

20h Rencontre avec le Dr Claude Touzet
Échangeons ensemble !

Samedi 30 octobre 2021

10h Projection du film « AU DELÀ DU MIROIR » – Sylvie Ouellet

13h Projection du film « PHOTOBIOLOGIE – LUMINOTHERAPIE » – Dr Luc Benichou

14h15 Rencontre avec le Dr Luc Benichou
La lumière, l’eau et la cellule, 

15h30 Interview de Vahé Zartarian : L’humanité a-t-elle un avenir ?

16h30 Rencontre avec Vahé Zartarian 
Échangeons ensemble !

18h Projection du film : « MUSIQUE & THERAPIE » avec Marc Vella

19h Interview de Marc Vella : Le maître & la Grâce

20h Rencontre avec Marc Vella
Échangeons ensemble !

Dimanche 31 octobre 2021

10h Interview de Jean-Christophe Thiery : Et si nous parlions un peu de fraternité ?

11h Rencontre avec Jean-Christophe Thiery
Échangeons ensemble !

14h Interview de Patrice Van Eersel : Comment croire en l’avenir quand on a 30 ans

15h Rencontre avec Patrice Van Eersel
Échangeons ensemble !

16h Interview du Dr Dominique Eraud : « Le dosage d’anticorps : un outil pour individualiser l’acte vaccinal »

17h30 Rencontre avec le Dr Dominique Eraud
Échangeons ensemble !

19h30 Rencontre avec Philippe Desbrosses
Agriculture : nos semences en vérité. 
Échangeons ensemble !




Connaissez-vous le Dolder Club ?

[Source : economiedistributive.fr via Geopolintel]

Le « DOLDER Club »

par B. BLAVETTE

Le Dolder Grand est un hôtel cinq étoiles situé dans la forêt, sur les hauteurs entourant la ville de Zurich. Avec ses tours, ses tourelles, ses colombages, le bâtiment semble sorti d’un film d’aventures ou d’espionnage.

C’est en ce lieu, à la fois ultra luxueux et discret, qu’en 1970 une trentaine de hauts dirigeants de l’industrie pharmaceutique mondiale choisissent de se réunir pour la première fois. Depuis cette date, la rencontre se déroule une ou deux fois par an dans divers pays du monde et a adopté en toute modestie le terme de « Dolder Club » qui dans divers patois allemands et en alsacien désigne « la cime la plus haute, qui domine toutes les autres ».

C’est tout à fait par hasard que j’ai appris, il y a quelques semaines, l’existence du Dolder Club par l’intermédiaire d’un site faisant la promotion de la santé naturelle par les plantes.(([1] Il s’agit de « La lettre directe santé ». Attention, la fiabilité générale de ce site me semble par ailleurs incertaine du fait de ses attaques sans nuance à l’encontre de la médecine allopathique.)) Car, plus encore que le « Groupe de Bidelberg », cette réunion est ultra confidentielle. Le Dolder Club ne possède pas de site internet, nulle mention n’en est faite sur le site de la Fédération Internationale des Fabricants Pharmaceutiques (IFPMA pour Inter­national Federation of Pharmaceutical Manufacturers) qui en est pourtant l’organisatrice, nulle mention non plus dans les agendas des divers participants.

La dernière réunion du Dolder Club s’est tenue à Paris les 7-8-9 juillet 2018. Mais cette fois l’anonymat intégral avait été brisé par une dépêche de l’AFP, reprise par différents organes de presse (La Croix, Le Point, Le Monde…), qui relate succinctement la rencontre et précise que le groupe a été reçu le 9 juillet au soir par Emmanuel Macron bien que ne figurant pas sur l’agenda officiel du Président. Le site internet de l’Elysée ne comporte pas non plus de compte rendu de ces discussions. L’AFP a pu se procurer la liste des participants au Dolder Clu : sans surprise on rencontre Jaquin Duato, le dirigeant de Johnson and Johnson, N°1 mondial (USA), Kenneth Frazier, PDG de Merck and Co (USA), Lars Fruergaard Jorgensen du laboratoire Navo Nordisk (Danemark), Pascal Soriot PDG de AstraZeneca (GB/Suède), Christophe Weber le directeur français de Tadeka (Japon)… La réunion est présidée par une vieille connaissance, Serge Weinberg, Président du Conseil d’Administration de Sanofi. Ce personnage s’est particulièrement illustré par son intransigeance dans le cadre du scandale de la Dépakine, cet anti épileptique produit par Sanofi qui, administré aux femmes enceintes, engendre des enfants mentalement handicapés. Selon un rapport de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) du 22/6/2018, entre 16.600 et 30.400 enfants exposés à la Dépakine avant la naissance seraient atteints de troubles du comportement. Mais le pire c’est que tout porte à croire que Sanofi connaissait les effets délétères de la Dépakine depuis au moins le milieu des années 80 grâce à un rapport de l’Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS).(([2] Voir l’excellent article du magazine Capital du 22/10/2018.)) Pourtant l’affaire de la Dépakine ne s’arrête pas ici. Le lundi 9 juillet 2018 l’association France Nature Environnement publiait une étude montrant que l’usine Sanofi de Mourenx dans les Pyrénées Atlantiques (qui fabrique notamment la Dépakine) procédait régulièrement et depuis plusieurs dizaines d’années à des rejets toxiques dans l’atmosphère dépassant… 90.000 à 190.000 fois, suivant les cas, les normes admises. À la suite de ces révélations l’usine a été fermée pendant deux mois, le temps pour Sanofi de procéder à « quelques ajustements ». Puis la production a repris, « business as usual ». France Nature Environ­nement a déposé une plainte qui, comme d’habitude, n’est pas suspensive… Il est vrai que l’année précédente (le 7/10/2017) Christophe Castaner avait déclaré lors d’une visite du site de Sanofi à Sisteron « On ne doit pas critiquer des entreprises qui réussissent comme Sanofi » et Édouard Philippe avait renchéri (le 17/10/2017) devant l’Assemblée Natio­nale à propos de Sanofi : « Il ne faut pas dénigrer une entreprise française qui fonctionne bien ». Le cynisme, allié à la bêtise, de ces deux perroquets atteint ici des sommets. Il faut ajouter aussi que Serge Weinberg doit se penser intouchable, lui qui est un ami proche d’Emmanuel Macron, lui qui a largement contribué à son élection. En effet les deux hommes se sont rencontrés dans le cadre de la « Commission Attali pour la libération de la croissance » mise en place par Nicolas Sarkozy et ont rapidement sympathisé. Serge Weinberg était alors Président du Conseil d’Administration du groupe Accor et PDG du fond d’Investissement Weinberg Capital Partner et Emmanuel Macron, Inspecteur des Finances et Rapporteur général adjoint de la Commission. Par la suite Weinberg introduira Macron dans la Banque Rothschild et le soutiendra pendant toute la campagne électorale. Selon le député de la France Insoumise François Ruffin, lors de la réception donnée à l’Elysées à la suite de son élection, Macron fendra la foule de manière très remarquée pour donner l’accolade à son ami Serge…

Il n’est guère étonnant dans ces conditions qu’Emmanuel Macron « soigne les industriels du médicament » comme le déclare France-Info du 10/7/2018.(([3] Remarquons que suivant Le Canard Enchaîné du 7/6/2017 et Wikipédia, l’actuelle Ministre de la santé, Agnès Buzyn, a tissé tout au long de sa carrière dans des organismes publics des liens très étroits avec plusieurs grands laboratoires pharmaceutiques, ce qui a donné lieu à de multiples conflits d’intérêts. Agnés Buzyn a notamment effectué de nombreuses missions rémunérées pour Novartis, Bristol-Myers Squibb et, entre 1998 et 2011, le laboratoire Genzyme, filiale étasunienne de… Sanofi !)) En fait, selon RFI, la date de la réunion ne doit rien au hasard, elle permet aux membres du Dolder Club de participer au Conseil Stratégique des Industries de Santé (CSIS) qui s’est tenu le 10 juillet à l’Hôtel Matignon sous l’égide du Premier Ministre. Cette rencontre, qui se déroule tous les deux ans depuis 2004, est sensée établir un dialogue qui peut apparaître utile entre l’État et l’industrie pharmaceutique. Cependant, au fil des années, le CSIS s’est transformé en opération de lobbying permettant aux grands groupes pharmaceutiques de présenter, on pourrait même dire imposer, leurs revendications. Et ces revendications sont nombreuses.

À l’issue de la réunion, Édouard Philippe a annoncé deux mesures phares auxquelles l’industrie pharmaceutique est très attachée :

  • La réduction à 180 jours des autorisations de mise sur le marché des nouveaux produits, au lieu de 300 jours actuellement. Ceci en dépit des multiples scandales qui secouent actuellement le secteur pharmaceutique : Médiator, Lévo­thy­rox, Dépakine, implants mammaires….
  • Un nouveau système de régulation du prix des médicaments : une garantie minimale annuelle de 0,5% de croissance du chiffre d’affaire pendant les trois ans à venir, garantie pouvant aller jusqu’à 3% pour les médicaments dits “innovants”. Mais qui décidera qu’une molécule est réellement innovante ? Mais comment est-il possible qu’une entreprise privée puisse se voir offrir par la collectivité une garantie de croissance ?

Parmi les revendications que les laboratoires espèrent pouvoir faire aboutir dans un futur rapproché on citera notamment l’obligation de la vaccination contre la grippe pour les plus de 65 ans (tout comme les fournisseurs d’eau, l’industrie pharmaceutique adore les consommateurs captifs), le déremboursement, voire, dans certains cas, l’interdiction des médecines alternatives : homéopathie, utilisation des huiles essentielles…

Le marché mondial du médicament avoisine les 830 milliards d’euros annuels, ce qui donne à ses acteurs une formidable force de frappe.

On peut considérer qu’aujourd’hui l’industrie du médicament est hors de tout contrôle, qu’elle impose sa loi aux États ainsi qu’aux instances internationales comme l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) par une généralisation de la corruption et du conflit d’intérêts. Il s’agit là d’une atteinte supplémentaire à nos processus démocratiques.

Ajoutons qu’il m’a été impossible de connaître le lieu et la date de la prochaine réunion du Dolder Club en 2019.

Ainsi une fois de plus notre avenir collectif se décide dans des instances illégitimes, dans la plus parfaite clandestinité, dans l’indifférence générale…

Note de la rédaction :

Nous aurions aimé, par une photo, faire admirer à nos lecteurs cet hôtel absolument extraordinaire. Il aurait fallu pour cela payer à cet hôtel des droits d’auteur, ce dont nous pensons qu’il n’a pas besoin.

Mais sur internet, à l’adresse : The Dodler Grand,
vous pouvez admirer l’hôtel et son site par une foule de très belles photos… et même retenir une chambre pour vos vacances, (entre 600 et 900 € la nuit).





« Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ?

[Source : Sott.net]

Par David Skripac — Global Research

Cette année marque un tournant décisif dans l’histoire humaine. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont maintenant permis de modifier définitivement le génome humain — et de modifier à jamais la relation de l’humanité avec la Nature — au moyen d’une injection pharmaceutique expérimentale qui est faussement appelée « vaccin ».

À la lumière de cet événement déterminant, je crois que nous devons examiner attentivement les motifs et les actes qui sont en train de transformer l’humanité telle que nous la connaissons. Par ailleurs, nous devons examiner le traitement de plus en plus destructeur que nous réservons au monde naturel.

Afin d’étudier les multiples facteurs qui contribuent à accélérer la disparition de l’humanité et à compromettre notre rôle essentiel de protecteurs de la Terre et de ses milliards d’espèces végétales et animales, j’ai divisé cette étude en quatre parties principales, qui apparaîtront sous forme d’articles distincts.

Dans la première partie : Le microbiome et le virome, nous découvrirons que nous nageons littéralement dans une vaste mer d’informations génomiques qui ont joué un rôle essentiel pour que la vie commence et s’épanouisse sur cette Terre précieuse et qui essaie toujours d’aider toutes les espèces à survivre. La matrice des organismes qui composent le microbiome a construit un flux d’information viromique qui a permis l’adaptation et la biodiversité sur la planète. Et ce même flux d’information viromique est responsable de la construction de l’espèce humaine.

Dans la deuxième partie : Notre guerre contre la Nature, nous explorerons comment notre propre comportement imprudent détruit l’environnement, nous avançant ainsi vers la sixième extinction massive. J’entends par là que je couvrirai la véritable catastrophe environnementale, et non le canular financé par des milliardaires « réchauffement climatique/changement climatique » initié par le Club de Rome et promulgué par le Forum économique mondial (FEM).

Dans la troisième partie : Ce qui s’est passé en 2020, nous examinerons comment cette véritable dévastation environnementale a contribué à la « pandémie » qui a été déployée en 2020, qui a conduit à des injections expérimentales massives de substances inconnues dans des « sujets » humains en 2021, et qui n’a pas de fin prévisible. (J’ai mis « pandémie » entre guillemets en raison de son caractère frauduleux. En effet, il est décrit plus précisément et à juste titre comme une plandémie, une arnaque, une pseudo-pandémie ou tout autre terme indiquant une fausse pandémie.)

Dans la quatrième partie : Notre réponse, nous analyserons la réponse irresponsable et irrationnelle de la plupart des gens de la planète à cette soi-disant pandémie.


Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Le microbiome

Le microbiome (dérivé des mots grecs micro, qui signifie « petit », et biotikos, qui signifie « vivant ») est un écosystème massif composé de milliards de micro-organismes. Fait incroyable, quelque 40 000 espèces de bactéries, 300 000 espèces de parasites, 65 000 espèces de protozoaires et entre 3,5 millions et 5 millions d’espèces de champignons vivent dans l’environnement qui nous entoure et vivent dans ou sur le corps humain. Ce monde complexe de micro-organismes sécrète continuellement une mer de virus, qui servent de réseau de communication pour les bactéries, les parasites, les protozoaires et les champignons. Et, comme nous le découvrirons bientôt, ces virus ont toujours été là pour nous aider, pas pour nous nuire. En d’autres termes, ils sont porteurs de vie, et non mort.

Voici un indice de la complexité, de l’incroyable diversité et de la taille infinitésimale du microbiome : Le nombre de gènes dans le règne fongique est d’au moins 125 milliards ! Le génome humain, à titre de comparaison, se compose de seulement 20 000 gènes. Une mouche à fruits a 13 000 gènes, une puce en a 31 000. Ainsi, en termes de complexité génétique, le génome humain ne possède qu’un minuscule fragment d’information génétique par rapport au vaste monde de l’information génomique contenue dans le microbiome.

Un aspect fascinant du microbiome est son réseau de communication symbiotique, qui permet la transmission d’informations protéiques d’un micro-organisme à l’autre. Par exemple, le réseau mycélien (une matrice de filaments blancs fins) chez les champignons permet aux champignons de communiquer entre eux sur des distances qui peuvent s’étendre jusqu’à plusieurs kilomètres. Ces structures mycéliennes sont capables de transférer des ressources minérales et protéiques à plus d’un kilomètre. Comment ? Ils utilisent l’énergie lumineuse et les électrons qui circulent à travers les voies présentes dans le système du sol. De cette façon, le microbiome aide les plantes et d’autres formes de vie multicellulaires à prospérer. Il n’est pas exagéré d’appeler le réseau mycélien dans le royaume fongique le « cerveau » littéral de la planète. Soit dit en passant, tous les petits organismes intelligents qui composent le microbiome sont alimentés par l’énergie biophotonique du Soleil.

Commentaire : Voir notre Focus La science relative à l’intelligence végétale prend racine

Aussi difficile à comprendre, au moins 1,4 quadrillion de bactéries et 10 quadrillions de champignons vivent à l’intérieur du corps humain. Rien que dans le côlon humain on trouve 3,8 x 1013 cellules bactériennes. Chaque organe du corps, y compris le cerveau, a son propre microbiome. Le but des bactéries et des champignons dans notre corps est de nourrir et d’entretenir nos cellules, en nous gardant en bonne santé et en équilibre avec le microbiome plus vaste qui nous entoure.

Le virome

Le virome est l’immense monde dans lequel les messagers de Dame Nature existent. Il est composé de milliards et de milliards de virus produits par les bactéries, les parasites, les protozoaires et les champignons du microbiome susmentionné.

Le corps humain adulte moyen contient 1 x 1015 virus. En revanche, dans l’air qui enveloppe la Terre, il y a 1 x 1031virus ; dans le sol terrestre, il y a 2,5 x 1031 virus ; et dans les océans de la Terre, il y a 1,2 x 1030 virus. Pour donner une certaine perspective sur ces nombres impressionnants, 1 x 1031 est 10 millions de fois plus grand que le nombre d’étoiles connues dans l’Univers entier.

En termes simples, un virus est une information génomique, soit de l’ADN ou de l’ARN, enveloppée dans une enveloppe protéique. Les petits brins de protéines dépassant de la surface extérieure de l’enveloppe protéique d’un virus sont appelés protéines Spike. Les virus ne sont pas des organismes vivants. Ils ne produisent pas leur propre carburant. Ils n’ont pas de métabolisme pour produire de l’énergie. Et ils ne peuvent pas se reproduire.

Les virus voyagent à l’échelle mondiale, au-dessus de la couche limite atmosphérique, depuis des millions d’années, bien avant l’invention des machines de transport aérien. Leurs codes génétiques couvrent la Terre depuis des lustres, créant la biodiversité et permettant l’adaptation dans tout l’écosystème. Par adaptation, je veux dire que les virus cherchent toujours à adapter leurs codes génétiques dans le but de créer une santé résiliente dans toutes les formes de vie de la planète. Il est ridicule de suggérer que, pour voyager d’une région du globe à l’autre, un virus puisse sauter à bord d’un avion, comme la Division de la recherche sur la sécurité nationale de RAND voudrait nous le faire croire.

En outre, les virus — y compris les coronavirus — ne viennent pas par vagues pour disparaître ensuite sans laisser de trace, puis réapparaître miraculeusement plus tard au même endroit ou dans un autre. Au lieu de cela, les virus ne partent jamais, n’expirent jamais. Ils habitent tous les éléments de l’environnement qui nous entoure. En bref, ils sont omniprésents et toujours présents.

Notre relation avec des virus particuliers peut changer en raison de nos actions nocives envers la Nature. Chaque fois que les humains empoisonnent et polluent l’air, le sol et l’eau, ils créent un déséquilibre entre l’humanité et le virus — un déséquilibre qui peut nous amener à à être en déséquilibre avec un virus particulier.

Malheureusement, le régime de médecine allopathique, que les ploutocrates John D. Rockefeller et Andrew Carnegie ont imposé à la majeure partie du monde avec leur rapport Flexner de 1910, a encore une grande partie de la communauté scientifique qui croit que les bactéries, les champignons et les virus sont notre ennemi.

Le fondement du système de médecine allopathique de Rockefeller est la « théorie des germes » imparfaite de Louis Pasteur, qui affirme que des micro-organismes extérieurs tels que les bactéries et les virus attaquent, envahissent et infectent le corps, causant ainsi des maladies.

La plupart des pays occidentaux attribuent à Pasteur (1822-1895) un rôle fondamental dans l’établissement de ce que nous appelons la « médecine moderne » — un paradigme qui retrace l’origine de chaque maladie à un seul germe.

Sans la théorie de Pasteur, la plupart des médicaments modernes ne seraient jamais produits, promus ou prescrits — un fait qui explique pourquoi l’establishment médical d’aujourd’hui et son industrie pharmaceutique co-dépendante refusent de reconnaître leurs défauts ou d’admettre leur inefficacité.

En revanche, la « théorie du terrain », initiée par Claude Bernard (1813-1878) et plus tard construite par Antoine Béchamp (1816-1908), allègue que le terrain — c’est-à-dire l’environnement interne du corps — et non un germe externe détermine notre santé ou notre absence. Ce que Béchamp a appelé le « terrain » est très proche de ce que la médecine moderne a maintenant appelé le système immunitaire inné. Comme nous le verrons dans les paragraphes suivants, Béchamp était certainement sur la bonne voie pour découvrir comment le corps humain interagit vraiment avec l’environnement extérieur.

Commentaire : Pasteur ne s’est par contre pas promu tout seul… Il avait un sens aigu des relations publiques, et si l’on reprend le contexte de l’époque où fleurissait aussi la théorie de l’évolution de Darwin, l’on peut comprendre que des courants idéologiques avaient — et ont toujours — des intérêts bien précis à promouvoir Pasteur plutôt que Béchamp.

À eux deux, Pasteur et Darwin ont stérilisé toute véritable recherche spirituelle en la ramenant au seul terrain matérialiste et mécaniste. On peut aussi faire le parallèle entre ces matérialismes « scientifiques » et le capitalisme libéral dans lequel s’exerce la loi du marché, ramenée à la loi de la jungle où seul le plus fort peut survivre, une loi qui ne gère que les rapports matériels entre les différents organismes vivants. Sus aux faibles, sus aux vilains microbes qui nous attaquent, et tant pis si sans beaucoup d’entre eux, nous ne serions même pas là pour en parler.

Voir aussi nos Focus :

Contrairement à Pasteur, Béchamp avait une formation universitaire en sciences. Il croyait que la maladie était le résultat biologique des changements qui se produisent dans le corps lorsque ses processus métaboliques deviennent déséquilibrés. Lorsque le corps est dans un état de déséquilibre, a allégué Béchamp, les germes deviennent des symptômes qui, à leur tour, stimulent plus de symptômes, ce qui conduit finalement à la maladie.

Bien que Béchamp aille dans la bonne direction avec sa théorie du terrain, la tyrannie pharmaceutique dépendante des germes de Rockefeller a prévalu, en grande partie en raison d’importantes infusions d’argent, que Rockefeller et Carnegie ont volontiers fournies sous forme de subventions aux universités, aux hôpitaux et aux installations de recherche médicale. Leur grande taille « philanthropique », qui dépassait facilement 100 millions de dollars, leur a permis d’influencer la politique de l’ensemble de l’établissement médical américain et, éventuellement, de la plupart des pays occidentaux, les dirigeant vers un régime allopathique exclusivement chimique.

Je démontre dans cet article que, contrairement à ce que la médecine Rockefeller nous enseigne depuis plus de cent ans, les virus ne sont pas là pour attaquer nos cellules ou nous nuire de quelque manière que ce soit.. Au contraire, l’information moléculaire génétique sur l’ADN et l’ARN contenue dans les virus constitue en fait les éléments fondamentaux de la vie sur terre. Pour utiliser une analogie moderne, nous pouvons considérer le flux d’information d’un virus comme une mise à jour logicielle transportant une intelligence moléculaire importante qui peut être téléchargée, au besoin, sur n’importe quelle cellule d’un organisme multicellulaire vivant, y compris l’une des 70 milliards de cellules contenues dans le corps humain. Nos cellules régulent de nouvelles informations génomiques qui sont reçues et d’autres informations qui ne sont pas reçues. Les virus cherchent simplement à s’adapter aux cellules dans le but de créer une santé humaine résiliente.

Commentaire : Voir notre Focus Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2 et particulièrement la section sur les virus.

Un mot ici sur le système immunitaire.

Il existe deux types d’immunité : innée et adaptative

Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour.

Le système immunitaire inné fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes, comme l’APOBec3A/3G et le CAS9Ces enzymes sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus.

Le système immunitaire adaptatif monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.

Pour comprendre la rapidité avec laquelle le corps humain s’adapte lorsqu’il est exposé au virome, envisagez un nourrisson de sept jours. Il a 1 x 108 particules virales dans seulement un gramme de matières fécales. Même si cet enfant n’a pas la capacité de développer des anticorps à un stade aussi précoce de sa vie, il s’adapte néanmoins instantanément à ces particules virales, restant parfaitement en bonne santé. Au lieu de développer une fièvre, il reste en équilibre stable — l’homéostasie — avec le virome, tant microbien que génétiquement. Ce seul fait prouve que nous n’interagissons pas avec le virome par notre système immunitaire adaptatifmais que nous interagissons plutôt avec lui par l’intermédiaire de notre système immunitaire inné.

Quel est le principal point à retenir de ces faits ? Selon moi, c’est que la décision du corps d’adopter l’information génétique est un processus biologique très complexe et contrôlé. Il existe de nombreuses façons dont notre corps reste en équilibre avec l’immense mer d’informations génétiques que nous inspirons et avec lesquelles nous entrons en contact à chaque instant de notre vie.

Puisqu’un virus n’est pas un organisme vivant, notre système immunitaire inné ne peut pas tuer les virus — et il ne voudrait pas le faire. Au lieu de cela, comme mentionné ci-dessus, le système immunitaire inné entre simplement en équilibre génétique avec un nouveau virus. Il le fait en reproduisant ou en recevant des mises à jour de ce virus — et en répondant immédiatement à ce nouveau téléchargement viral. Une fois l’équilibre génétique atteint, généralement 4 à 5 jours après l’exposition initiale au virus, notre système immunitaire inné refuse de recevoir d’autres mises à jour.

De ces faits, nous pouvons conclure que les humains ne peuvent pas empêcher une « épidémie » de se produire, ni changer la trajectoire d’une épidémie. En d’autres termes, il est inutile — en fait, pire qu’inutile : c’est nocif — d’essayer de contrôler un virus par ailleurs utile en déployant un dispositif expérimental non approuvé d’édition génétique conçu pour produire une réponse immunitaire (aussi connue sous le nom de réponse adaptative du système immunitaire induite par l’injection). Ce modèle scientifique obsolète est biologiquement illogique et ne pourra jamais fonctionner. Nous savons maintenant qu’il interfère avec notre système immunitaire inné magnifiquement conçu, qui est parfaitement capable de gérer tout virus avec lequel nous pourrions développer un déséquilibre temporaire. (La façon exacte dont nous développons un déséquilibre avec un virus particulier, comme le virus du VIH ou tout coronavirus, sera expliquée plus loin dans l’article).

De plus, contrairement au récit officiel propagé par les fabricants de vaccins et les organismes de santé des gouvernements du monde entier, notre système immunitaire conserve en mémoire des virus avec lesquels notre corps a interagi et des gènes qui ont été insérés naturellement — après avoir reçu une nouvelle mise à jour virale — dans nos cellules. Dans le système immunitaire inné, par exemple, l’enzyme Cas9, qui est responsable du clivage de l’excès d’ADN lorsqu’une trop grande quantité d’un transfert viral est présentée à une cellule, est la banque de données de mémoire naturelle qui se souviendra du modèle d’ADN qu’elle a rencontré.

En outre, les dossiers permanents tenus par un système immunitaire inné sont transmis aux générations futures d’humains, qui n’auront donc jamais de réaction inflammatoire à un virus particulier. Même dans le système immunitaire adaptatif, les lymphocytes B (la source d’anticorps) et les lymphocytes T (stimuli des lymphocytes B) fournissent une immunité durable.

Une étude à plusieurs volets des NIH présentée par le Center for Infectious Disease Research and Policy (CIDRAP) en 2008 a prouvé de manière concluante que l’immunité aux anticorps peut durer toute une vie. Dans cette étude, un groupe de scientifiques, dirigé par le Dr. Eric Altschuler, a prélevé des échantillons de sang sur 32 survivants — âgés de 91 à 101 ans — de la pandémie de grippe espagnole de 1918. (En fait, le nom correct de cette pandémie est la grippe du Kansas — son lieu d’origine.) À leur grande surprise, les scientifiques ont découvert que, près d’un siècle plus tard, tous les participants à l’étude portaient encore les anticorps contre la même souche de grippe.

Commentaire : Et plus précisément en ce qui concerne cette grippe de 1918,

« La pandémie de grippe dite « espagnole » a débuté avec l’expérience brutale de l’Institut Rockefeller sur la vaccination des troupes américaines contre la méningite bactérienne. Cette expérience menée en 1918-1919 pourrait avoir tué cinquante à cent millions de personnes. Et si l’histoire qu’on nous a racontée sur cette pandémie n’était pas vraie ? Et si, au contraire, l’infection mortelle n’était ni la grippe ni d’origine espagnole ?
[…]
La pandémie n’était par grippale. On estime que 95 pour cent (ou plus) des décès ont été causés par une pneumonie bactérienne, et non par un virus de la grippe. La pandémie n’était pas d’origine espagnole. Les premiers cas de pneumonie bactérienne en 1918 remontent à des bases militaires, la première à Fort Riley, dans le Kansas. Du 21 janvier au 4 juin 1918, un vaccin expérimental contre la méningite bactérienne cultivé sur des chevaux par l’Institut Rockefeller pour le Medical Research de New York a été injecté aux soldats à Fort Riley.

Pendant le reste de l’année 1918, alors que ces soldats — vivant et voyageant souvent dans de mauvaises conditions sanitaires — étaient envoyés en Europe pour combattre, ils ont répandu la bactérie à chaque arrêt entre le Kansas et les tranchées de la ligne de front en France.
[…]
Pendant la Première Guerre mondiale, l’Institut Rockefeller a également envoyé son sérum expérimental contre les méningocoques en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie et dans d’autres pays, contribuant ainsi à la propagation de l’épidémie dans le monde entier. »

Sur la base des conclusions de cette étude vieille de 21 ans, nous pouvons rejeter la propagande qui nous est imposée par les médias mainstream et les organisations médicalesIl n’est pas vrai que l’immunité naturelle au virus Sras-CoV-2 peut s’estomper six mois à un an après l’exposition initiale. Et il n’est pas vrai qu’une injection expérimentale est le seul moyen d’atteindre l’immunité. De telles allégations non fondées ne sont que des ruses inventées pour faire avancer l’agenda avide de l’industrie pharmaceutique et des autres technocrates opérant en coulisses.

En résumé : Le pouvoir de l’immunité naturelle surpassera toujours toute présumée immunité contre un virus censé résulter d’une injection, qu’elle soit expérimentale ou approuvée par le gouvernement.

Du point de vue biologique, toute la vie sur Terre est construite à partir des séquences génétiques moléculaires d’ARN et d’ADN contenues dans les virus. Ces virus sont des systèmes d’administration génétique de nature complexe, ils demeurent essentiels à l’épanouissement et au maintien de la vie sur Terre. En fait, plus de 50 % des 20 000 gènes hérités par les humains d’aujourd’hui ont été insérés il y a des millions d’années dans le génome des mammifères par ces minuscules merveilles de la Nature. Au moins 8 % de ces gènes ont été insérés par des rétrovirus à ARN similaires au rétrovirus du VIH. (Un rétrovirus est un virus à ARN qui insère une copie d’ADN de son génome dans la cellule hôte afin de se répliquer.) Tout aussi intrigant est le fait qu’il y a des millions d’années, les mises à jour rétrovirales ont joué un rôle clé dans l’émergence des mammifères placentaires.

Fait intéressant à noter, une étude publiée en 2017 par le National Institute of Health (NIH) démontre que beaucoup d’entre nous sont porteurs du rétrovirus du VIH sans même le savoir. Dans cette étude, les chercheurs « ont exploré des données de séquence non humaines provenant du séquençage du génome entier » du sang de 8 240 adultes vivant aux États-Unis et en Europe — dont aucun n’a été établi comme étant atteint d’une maladie infectieuse. Ils ont constaté qu’un total de 42 % des participants ont obtenu un résultat positif pour la présence de 94 virus connus. Ces virus comprenaient le VIH, le virus de l’hépatite B, le virus de l’hépatite C et le virus de la grippe.

Nous avons été formés par la communauté médicale et les médias sous la coupe des entreprises pour croire que le VIH devrait prédominer chez les personnes vivant en Afrique subsaharienne. Après tout, nous dit-on, 95 % de tous les cas « séropositifs pour le VIH » proviennent de cette région du globe. Si tel était le cas, nous devrions nous attendre à voir dans d’autres régions très peu de VIH et une prévalence beaucoup plus élevée, par exemple, de l’hépatite C ou de la grippe. Au contraire : c’est juste l’inverse ! En fait, l’étude de 2017 a révélé une prévalence cinq fois plus élevée du VIH que d’hépatite C et de grippe chez ces 8 240 Américains et Européens asymptomatiques. Étonnamment, chacun était complètement en harmonie avec le virus du VIH, même si aucun d’entre eux n’avait jamais voyagé en Afrique. Nous devons conclure à partir de cette étude que non seulement le monde a tout simplement mal compris la prévalence du virus du VIH dans toutes les régions du monde, mais que notre peur de celui-ci — et du virome en général — est tout à fait injustifiée.

Étant donné que de nombreuses organisations puissantes, publiques et privées, bénéficient des énormes subventions et dons qui perpétuent le mouvement sans fin contre le SIDA, il n’est pas surprenant qu’aucune étude scientifique évaluée par les pairs n’ait été réalisée pour fournir des preuves concluantes qu’un virus appelé VIH provoque une maladie appelée SIDA. Si une telle étude devait être entreprise, elle prouverait que l’hypothèse du VIH au SIDA est sans fondement et, plus précisément, frauduleuse.

La question sur laquelle les scientifiques devraient se concentrer est la suivante : qu’est-ce qui se passe en Afrique subsaharienne qui crée une relation aussi anormale entre les personnes vivant dans cette région et le rétrovirus du VIH, ce qui fait que 95 % d’entre elles sont séropositives ?

Pour répondre à cette question, nous devons examiner le terrain où résident les virus et rester en équilibre avec le corps humain. (Par « terrain », j’entends une zone géographique avec son écosystème associé. Je ne fais pas référence ici à la théorie du terrain Bernard/Béchamp susmentionnée.) Lorsqu’un terrain est perturbé par quelque chose d’innaturel — par exemple, l’empoisonnement de l’environnement par un comportement humain irresponsable — les virus deviennent surexprimés et l’équilibre du corps avec le virome est perdu.

Compte tenu du terrain, nous constatons que le facteur numéro un commun à toutes les épidémies ou pandémies dites de maladies infectieuses est la destruction de l’écosystème. En d’autres termes, le terrain naturel a été modifié par un comportement humain irresponsable à un point tel que notre adaptation innée à toute l’information génétique qui nous entoure est sapée.

Commentaire : Il est toutefois à noter qu’un environnement peut aussi, comme l’Histoire nous l’apprend, être en partie ou totalement détruit par des changements cosmico-terrestres : ouragans, tornades, volcans, séismes, inondations, grêle, passage rapproché de comète, astéroïdes, et autres boules de feu météoriques, etc.

Ce n’est pas tant que les virus causent une maladie. C’est plutôt qu’ils présentent simplement au corps une nouvelle option d’adaptation génétique. Le système immunitaire inné de l’organisme détermine ensuite la quantité de ces nouvelles informations qu’il absorbera. Si les cellules ont un besoin urgent de réparation — peut-être en raison de mauvais choix alimentaires, d’un mode de vie sédentaire ou d’une toxicité dans l’environnement — le virus créera un événement inflammatoire au fur et à mesure que le corps traverse son processus de régénération. Cela s’accompagne généralement d’une fièvre, d’une perte d’appétit et d’un nombre élevé de globules blancs. Un tel événement inflammatoire est ce que nous appelons communément « la grippe ».

Ce que nous appelons de manière désobligeante une réaction inflammatoire — en laissant entendre qu’il est mauvais pour le corps — fait en réalité partie du processus de guérison du corps. L’inflammation est nécessaire pour créer une régénération dans le corps. Il agit au nom de l’organisme [corps], pas contre lui. Mais si le microbiome du corps est riche au lieu d’être déficient, il n’aura pas besoin d’une mise à jour et, par conséquent, aucune inflammation ne se produira.

Dans le cas de l’Afrique subsaharienne, l’écosystème est en train de mourir. L’effondrement des systèmes de sol riches en nutriments, la mauvaise hygiène de l’eau, le manque d’assainissement de base, une population souffrant de sous-alimentation chronique et l’élimination complète de l’agriculture biologique traditionnelle — dépassée par la révolution verte oxymoronique, imposée aux pays en développement par l’agriculture industrielle — ont provoqué un déséquilibre entre leur système immunitaire inné et l’environnement. Le syndrome connu sous le nom de « SIDA » est l’expression de ce déséquilibre. Le virus du VIH, découvert pour la première fois par le virologue français Luc Montagnier, a été faussement accusé d’être le principal responsable du SIDA — une forme de culpabilité par association. En fait, le virus du VIH est bénin et n’essaie pas de prendre en charge la mécanique d’une cellule.

La véritable racine du problème est que le système immunitaire inné du peuple subsaharien a été dégradé par un manque de nutrition à un point tel qu’il est en proie à une myriade de maladies, qui ont été regroupées collectivement sous le seul titre « SIDA ». Cependant, au lieu de s’adapter à la réalité de ce que provoque la terrible catastrophe écologique, les « scientifiques » blâment le virus du VIH comme un prétexte pour cacher des décennies de crimes environnementaux et économiques gouvernementaux et commerciaux.

D’après les informations recueillies jusqu’à présent, nous pouvons à juste titre conclure qu’il est impossible pour les virus ou les agents pathogènes de créer des pandémies et des épidémies de maladies infectieuses — car il n’existe pas de maladie infectieuse au sens traditionnel du terme — par exemple « SIDA », « Ebola » et d’autres pandémies « virales » non fondées. Oui, la propagande pharmaceutique pousse le paradigme des maladies infectieuses dans le monde entier depuis des siècles. Mais la croyance que de telles maladies existent n’est qu’une conséquence de la théorie des germes démystifiées de Pasteur. Ce que nous appelons communément une épidémie ou une pandémie est simplement le résultat de la dégradation du système immunitaireinnéd’une partie de la population de la planète. Les raisons de cette dégradation peuvent inclure l’empoisonnement chimique par des herbicides, des pesticides ou des aliments génétiquement modifiés, que nous examinerons plus en détail dans la partie suivante.

Comme nous pouvons le voir par la description ci-dessus du virome, il n’est pas exagéré de dire que le virome est le langage de toute vie sur Terre. Nous nageons littéralement dans une vaste mer d’informations génomiques qui demeure essentielle pour que la vie commence et s’épanouisse sur cette Terre précieuse et qui essaie toujours d’aider toutes les espèces à survivre. La matrice des organismes qui composent le microbiome a construit un flux d’information viromique qui a permis l’adaptation et la biodiversité sur la planète. Et c’est ce même flux d’information viromique qui a permis de façonner l’espèce humaine.

Ainsi, les humains ne sont pas séparés du virome et du microbiome, mais ils font plutôt partie intégrante du vaste écosystème complexe du virome et du microbiome. Pourtant, nous nous sommes de plus en plus placés en opposition directe avec le système vivant même dont nous faisons partie intégrante : la Nature.

Commentaire : Nous pouvons sérieusement, comme le fait l’article, nous interroger sur la fonction exact des microbes/virus dans l’écologie planétaire, et déterminer s’ils ne seraient pas en fait nécessaires à l’évolution de la vie sur Terre. Aucune de ces réponses ne peuvent être trouvées dans la biologie pasteurienne qui fait aujourd’hui religion.

Rappelons par ailleurs que dans l’approche matérialiste de Pasteur et de ses suiveurs (autoritaristes), notre système immunitaire serait « niais, étourdi et sans conscience » et il faudrait inoculer à l’organisme des agents extérieurs dont il « serait » dépourvu « à l’intérieur », tout en stérilisant l’environnement extérieur constitué de micro-organismes pathogènes à l’influence « néfaste ». On ne sait jamais, des fois que certains d’entre eux nous rendent plus intelligents ou plus réceptifs à certaines idées ou convictions situées à l’opposé du mantra délivré par les autorités bien mal pensantes, basé sur la toute-puissance médicale, pourtant bien insuffisante à éclairer les chercheurs de vérité.

Cette vision limitée de la Vie est exclusive, linéaire, compétitive, iatrogène, inopérante et fait l’objet d’un culte qui prétend que la maladie est extérieur à l’organisme, et qu’elle ne peut jamais, en rien, procéder d’un équilibre intérieur.

Cette vision est anti-vie.

À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’un baccalauréat en technologie en génie aérospatial. Au cours de ses deux périodes de service en tant que capitaine dans l’Aviation canadienne, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti. Utilisant un esprit curieux, un souci du détail et des compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré plus d’une centaine d’heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener cet article à bien.

Source de l’article publié initialement en anglais le 15 août 2021 : Global Research
Traduction : Mondialisation.ca
Corrections : Sott.net


Note du traducteur 1 : La première partie de cet article a été publiée sur Sott.net et concernait l’analyse du microbiome et du virome : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome.

Nous publions ici les deuxième, troisième et quatrième parties réunies.

Deuxième partie — Notre guerre contre la Nature

L’espèce connue sous le nom d’Homo sapiens est la seule sur cette planète qui cherche activement à s’éradiquer elle-même tout autant qu’à éradiquer son habitat. Tous les systèmes de soutien de la vie sur Terre — le sol, l’eau et l’air — sont en déclin, conséquence directe de notre activité économique actuelle, qui vise à extraire le plus possible de la Terre sacrée sans se soucier des conséquences qui en découlent.

En adoptant un paradigme économique aussi intolérable, nous ne respectons pas les limites écologiques ni les limites éthiques. Notre modèle économique axé sur la consommation, que nous avons conçu et dont nous sommes aujourd’hui esclaves, est à l’origine de carences perpétuelles : épuisement des ressources, perte de biodiversité et contamination par des substances toxiques, autant de facteurs qui causent des ravages perpétuels à l’ensemble de l’écosystème et à son environnement. Les méga-corporations continuent de propager l’idéologie de la croissance économique illimitée, qu’elles entendent tirer d’une planète aux ressources limitées et dont elles sont les seules à tirer un bénéfice financier. Leurs objectifs égocentriques se heurtent aux motivations généreuses des masses, qui privilégient le concept d’égalité des chances, y compris le droit égal de tous les humains à vivre dans un environnement sain. La quête incessante de profits par l’ensemble des milliardaires, au détriment du bien-être social de chacun, alimente la concurrence mondiale pour les ressources et provoque un holocauste écologique. En bref, nous assistons à une nouvelle forme de colonialisme imposée par la classe des prédateurs [qui sont aussi des parasites – NdT] à l’ensemble de l’humanité, alors que nous entrons dans ce que l’on appelle communément la sixième extinction de masse.

Considérez ce que nous faisons à notre eau douce. La surface de notre planète est composée à 80 % d’eau, dont 97 % d’eau salée. Les 3 % restants de nos réserves d’eau potable ont été traités avec une telle insouciance qu’elles sont très pollués et s’épuisent rapidement. Sur ces 3 % d’eau douce, au moins 29 % sont siphonnés par les industries de la viande et du lait, grandes consommatrices d’eau. Les Nations unies estiment qu’au cours de la prochaine décennie, 2 milliards de personnes souffriront d’une extrême pénurie d’eau et que, d’ici la fin du siècle, la moitié de la population mondiale connaîtra une forme ou une autre de pénurie d’eau.

Note du traducteur 2 : Ou peut-être plus exactement d’un rationnement de l’eau décidé dans les hautes sphères, peu importe la quantité disponible. Par ailleurs, les événements météorologiques de ces dernières années, et plus particulièrement de ces derniers mois, laisse à entendre que les Nations Unies pourraient avoir tort : certaines parties pourraient en effet être affectées par un manque d’eau (en Amérique du Nord de l’Ouest) mais d’autres (comme l’Asie et l’Europe) pourraient bien en avoir beaucoup trop. Les Nations Unies se feraient-elles l’écho d’un Agenda 2030, aujourd’hui bien identifié par nos lecteurs ?

Les industries minière et pétrolière ne sont pas non plus des amis de l’environnement. Aux États-Unis, les sociétés minières ont abattu plus de 500 montagnes dans les Appalaches, provoquant une immense pollution des sols et des eaux de surface. Dans d’autres régions du pays, le forage pour le pétrole et le gaz de schiste, appelé fracturation hydraulique mais plus connu sous le nom de « fracking », pompe depuis le sol des substances cancérigènes et des toxines qui sont rejetées dans l’air, l’eau et le sol de surface, ce qui aggrave encore le problème de la pollution. Bien qu’elle soit présentée comme une solution à la dépendance des États-Unis vis-à-vis du pétrole étranger, la fracturation est en fait le dernier acte de stupidité d’un pétro-État.

Livre Toxic Waters

Les industries de la viande et du lait susmentionnées ne font pas que monopoliser l’eau. L’agriculture animale — qui englobe les énormes fermes industrielles et les petites exploitations familiales — est également la principale cause des gaz à effet de serre, de la déforestation, de l’extinction des espèces et des « zones mortes » des océans. L’élevage industriel intensif des animaux et de leurs cultures fourragères est en grande partie responsable du taux le plus élevé d’extinction massive d’espèces depuis 65 millions d’années [ça se discute – NdT].

En outre, aucune autre industrie sur la planète n’a besoin d’autant de surface que l’agriculture animale : elle accapare 45 % de toutes les terres libres de glace de la planète. Selon la World Animal Foundation, 70 % de la forêt amazonienne est détruite dans le seul but de cultiver du soja ou du maïs OGM pour nourrir le bétail en Amérique du Sud et en Europe. Entre 1970 et 2019, un total de 718 927 kilomètres carrés de la partie brésilienne de la forêt amazonienne a été déboisé.

Note du traducteur 3 : À noter toutefois que la même World Animal Foundation (WAF) nous encourage au véganisme et nous demande de « sauver la planète ».

Quelques faits supplémentaires à prendre en considération :

  • La moitié de l’approvisionnement mondial en céréales est destinée aux animaux de boucherie, alors qu’un milliard de personnes souffrent de la faim.
  • Aux États-Unis, 54 % de l’eau douce est détournée par l’agriculture animale, alors que 99,8 % de la zone géographique de la Californie connaît une sécheresse critique.
  • À l’échelle mondiale, l’industrie de l’agriculture animale, qui tue au moins 72 milliards d’animaux terrestres chaque année (200 millions par jour), est à l’origine de 51 % de toutes les émissions de gaz à effet de serre, soit bien plus que les 13 % générés par tous les modes de transport réunis.

Note du traducteur 4 : C’est un fait, mais l’auteur ne fait pas mention de l’absurdité de nourrir des bovins et des ovins avec des céréales, ce qui n’est absolument pas leur régime naturelle. Ce n’est donc pas l’élevage animal en tant que tel qui devrait être soumis à la question, encore que l’aspect industriel et tout ce qui l’accompagne est à prendre en considération, mais bien la façon dont ils sont nourris qui est en soi contre-Nature. Par ailleurs, l’auteur omet aussi de faire mention des cultures agricoles destinés à alimenter les moteurs de voiture pour une consommation dite « verte » qui participe à la propagation des polluants dans l’air, voir plus bas à propos du glyphosate.

Le « fait » le plus surprenant concernant la dévastation causée par l’agriculture animale est que la quasi-totalité des prétendues organisations environnementales à but non lucratif sont silencieuses sur cette question.

La catastrophe environnementale est encore plus grave dans les océans du monde. L’industrie de la pêche commerciale détruit la vie océanique, y compris les fonds marins, à un rythme jamais vu dans l’Histoire. Aucune autre industrie ne tue plus d’animaux que ce commerce. Un rapport de Matthew Zampa pour Sentient Media observe qu’entre 37 et 120 milliards de poissons sont tués chaque année dans des fermes piscicoles commerciales créées par l’être humain et qu’au moins un autre trillion d’animaux aquatiques vivant dans des plans d’eau naturels sont tués pour chaque année pour les nourrir. Selon des recherches présentées sur le site Web d’Oceana, ce total stupéfiant ne comprend pas les 100 millions de requins et les 650 000 baleines, dauphins et phoques qui sont tués chaque année en tant que prises accessoires — les prises accessoires sont le nombre total d’animaux marins que les pêcheurs capturent involontairement dans leurs filets et tuent, soit en les rejetant en mer, soit en les ramenant au port.

Note du traducteur 5 : Les fermes piscicoles créées par l’être humain sont elles aussi contre-Nature et engendrent un nombre incalculable de maladies. Qui plus est, ces poissons sont nourris de farines, d’ingrédients douteux et de poissons qu’il faut bien prendre quelque par : et à part les étangs mentionnés par l’auteur, ils pourraient bien être prélevés dans ces mêmes bassins piscicoles…

En raison de cette extraction et de cette extermination, les populations mondiales de nombreuses espèces de vie aquatique sont en train de chuter à des niveaux proches de l’extinction. Une étude scientifique présentée dans le New York Times prévoit que si la pêche commerciale dans le monde se poursuit à son rythme actuel, les océans seront pratiquement vides en 2048.

Tout aussi inquiétant, les océans sont utilisés comme dépotoir pour les entreprises manufacturières et minières du monde entier. Il n’est donc pas surprenant que des chercheurs de la Scripps Institution of Oceanography de l’université de San Diego aient découvert que les populations de poissons [et de mammifères y compris terrestres, comme l’ours polaire – NdT] des océans sont contaminées par des métaux lourds comme le mercure, les polychlorobiphényles (PCB), les pesticides organochlorés (DDT et CHL), les polybromodiphényléthers (PBDE), les composés plastiques et l’hexachlorobenzène.

Les fabricants de produits chimiques synthétiques, de pesticides, d’insecticides, d’herbicides et d’engrais comptent parmi les pires ennemis de la Terre. La menace la plus récente pour notre environnement provient des cultures industrielles génétiquement modifiées, connues sous le nom d’organismes génétiquement modifiés (OGMs). Avec l’introduction de ces nouvelles cultures, nous avons accéléré notre capacité à manipuler la Nature à un rythme inimaginable à une époque antérieure. Malheureusement, en conséquence de notre ingérence, nous assistons à une explosion des maladies chroniques.

Note du traducteur 6 : Des facteurs naturels et cycliques peuvent aussi entrer en ligne de compte, bien que ce qui précède puisse en accélérer le processus.

Voir Oubliez le réchauffement climatique, nous sommes au bord de l’extinction !

Comment notre discussion susmentionnée sur les microbiomes, les viromes et l’immunité s’inscrit-elle dans ce tableau de désolation environnementale ?

Tout d’abord, depuis l’introduction de l’agriculture chimique et l’utilisation des OGMs à l’échelle mondiale en 1996, nous avons modifié notre environnement naturel à un point tel que nous décimons notre système immunitaire inné. (N’oubliez pas cette date : 1996.) En conséquence, les maladies auto-immunes et autres maladies chroniques qui, à une époque, ne touchaient qu’un infime pourcentage de la population générale, connaissent aujourd’hui une explosion de leur prévalence. Le timing de cette explosion ne nous échappe pas : ces maladies ont commencé à toucher les humains de manière importante à partir de 1996. Il n’est donc pas exagéré de conclure que l’utilisation prodigue des OGMs est liée au déclin marqué de la santé humaine au cours des deux dernières décennies et demie.

Je vais citer quelques exemples :

Dans le monde, une personne sur quatre souffre désormais d’allergies ; en Amérique du Nord, une personne sur trois est obèse ; aux États-Unis, une femme sur deux et un homme sur trois développeront un cancer au cours de leur vie.

En outre, le trouble du développement appelé « trouble du spectre autistique » est passé de 1 enfant sur 5 000 en 1975 à 1 sur 36 en 2016. Si la tendance actuelle se poursuit, on peut s’attendre à ce qu’un enfant sur trois soit atteint d’autisme d’ici 2035. Pendant la même période, nous avons assisté à une augmentation spectaculaire d’autres troubles du système immunitaire, tels que la maladie de Crohn, la maladie cœliaque, la maladie de Parkinson (chez les hommes), la maladie d’Alzheimer (chez les femmes), la démence et le diabète de type 1.

Note du traducteur 7 : Il faut aussi mentionner que la vaccination de masse avec un nombre délirant de vaccins inoculés dès les tout premiers jours de la vie concourt à considérablement affaiblir le système immunitaire inné et à désorganiser le système immunitaire adaptatif, lequel n’a techniquement aucune raison de s’activer, en général, tant que le premier est optimal. Le fait de développer des anticorps est déjà en soi le signe d’un système immunitaire inné affaibli.

Les cultures OGMs sont pulvérisées avec des herbicides, comme le Roundup de Bayer, qui contient l’ingrédient actif appelé glyphosate et qui est l’herbicide/antibiotique cancérigène le plus omniprésent de la planète. En 2014, plus de 747 millions de kg de glyphosate ont été utilisés dans le monde. Aujourd’hui, à peine sept ans plus tard, ce chiffre a plus que doublé, passant à 2 milliards de kg. Étant un composé soluble dans l’eau, le glyphosate contamine les eaux souterraines partout, de la Chine à l’Amérique du Nord. Comme si cela ne suffisait pas, le glyphosate contamine également l’air que nous respirons. Une étude de l’US Geological Survey réalisée en 2007 révèle que le Roundup (alias glyphosate) et son sous-produit toxique, l’acide aminométhylphosphonique (AMPA), ont été retrouvés dans plus de 75 % des échantillons d’air et de pluie testés dans le Mississippi en 2007.

Parallèlement, le plus long fleuve des États-Unis, le puissant Mississippi, et ses centaines d’affluents recueillent plus de 80 % du Roundup pulvérisé sur les cultures dans l’ensemble des États-Unis. Le fleuve Mississippi reçoit également des milliers d’autres polluants chimiques qui y sont déversés par les entreprises pétrochimiques. Il n’est pas surprenant que les personnes résidant le long des 140 derniers kilomètres du fleuve, qui traverse la Louisiane — plus précisément dans la région de Baton Rouge et de la Nouvelle-Orléans — aient l’un des taux de cancer les plus élevés au monde.

Note du traducteur 8 : Le glyphosate se retrouve dans l’atmosphère également en raison de l’usage de carburants dits « verts », qui sont issus de cultures OGMs traités au glyphosate et qui sortent des pots d’échappement de tous les véhicules, qui, pour « sauver la planète » contribuent à la polluer, elle, son environnement et toute la vie qui s’y développe.

Le brevet du Roundup, autrefois détenu par Monsanto (aujourd’hui Bayer), ayant expiré en 2000, la Chine est devenue le premier utilisateur et exportateur de glyphosate au monde. En 2017, la Chine a exporté dans le monde plus de 300 000 tonnes de glyphosate. Il s’avère que la province du Hubei, où siège la tristement célèbre Wuhan, est l’une des principales utilisatrices de glyphosate en Chine. Les effets toxiques combinés de la production porcine, de l’industrie lourde et de l’agriculture chimique dans la province de Hubei ont fait de cette région l’un des endroits les plus pollués de la planète. L’écosystème de Wuhan, autrefois diversifié et propre, a été complètement ravagé par les polluants d’origine humaine et l’utilisation massive de glyphosate dans l’agriculture industrielle.

Il existe un lien indiscutable entre le taux élevé de cancer actuel et l’utilisation massive de glyphosates. En une seule génération, le taux de cancer diagnostiqué chez les hommes a doublé. Parallèlement à cette augmentation, en 25 ans (environ une génération) entre 1990 et 2015, la toxicité de l’environnement a également doublé.

Les données statistiques compilées par Nancy L. Swanson et al. dans le Journal of Organic Systems fournissent des preuves accablantes d’une corrélation précise, de 1975 à 2010, entre l’utilisation du glyphosate et l’incidence de nombreux types de cancer, notamment le cancer de l’urine/de la vessie, le cancer du foie, le cancer de la thyroïde et la leucémie myéloïde. Les graphiques présentés dans l’étude de Swanson montrent que l’augmentation de la prévalence du cancer recoupe parfaitement l’augmentation de l’utilisation du glyphosate.

Un autre lien qui ne peut être ignoré est la baisse du nombre de spermatozoïdes masculins dans les pays occidentaux. Shanna Swan, épidémiologiste au Mount Sinai Medical Center de New York et éminente spécialiste de la santé génésique, prévoit que le nombre de spermatozoïdes de l’homme moyen sera nul d’ici 2045. Avec l’introduction des perturbateurs endocriniens, le nombre de spermatozoïdes masculins a chuté de 50 à 60 %, soit une moyenne de 1 à 2 % par an, entre 1973 et 2011. Il est vrai que les microplastiques perturbateurs endocriniens présents dans l’eau potable posent un problème, mais ce problème n’est rien en comparaison des effets néfastes de l’agriculture chimique et de l’utilisation du glyphosate, affirme le spécialiste de la médecine interne, de l’endocrinologie et du métabolisme, le Dr Zach Bush, sur son site web Global Health Education.

De plus, écrit le Dr. Bush,

« le glyphosate fonctionne comme un puissant agent chélateur, bloquant les nutriments dans les systèmes du sol, des plantes et de l’eau, de sorte que nous pouvons maintenant nous trouver dans un état biologique qui équivaut à une famine tout en étant confronté à l’excès calorique le plus extrême que l’humanité ait jamais produit. »

Note du traducteur 9 : Il est question ici de la population des États-Unis, en particulier. Cet « excès calorique » ne concerne évidemment pas les populations touchées par une famine à la fois nutritionnelle et calorique.

Les avertissements mondiaux d’autres scientifiques, médecins et environnementalistes abondent. Par exemple, le Dr Vandana Shiva, militante pour l’environnement et la souveraineté alimentaire et écoféministe basée à Delhi, en Inde, n’a cessé de mettre en garde, dans les livres et articles qu’elle écrit, et dans les discours et interviews qu’elle donne dans le monde entier, contre le fait que les OGMs ont ruiné la vie des sols et des plantes en inhibant leur capacité à stocker les micro-organismes et les minéraux, tels que le zinc, le fer et le magnésium, qui sont vitaux pour la réponse immunitaire des animaux et des humains. Dans son article d’opinion de 2012 intitulé « Mythes sur l’agriculture industrielle », le Dr Shiva cite une étude de 1995 selon laquelle l’agriculture industrielle (qui a commencé en 1965) est responsable de 75 % de l’érosion de la biodiversité de la Terre, de 75 % de la destruction de l’eau et de 40 % des gaz à effet de serre, alors qu’elle ne produit que 30 % de l’approvisionnement alimentaire des humains.

Note du traducteur 10 : Voir sur le sujet l’excellent ouvrage de Lierre KeithLe Mythe végétarien.

En 2013, Sott.net a publié un article qui présente l’ouvrage traduit cette année-là en français : Revue de livre – Le Mythe végétarien, nourriture, justice et pérennité.
Toujours en 2013, Sott.net a publié une interview exclusive avec l’auteur : Radio Interactive SOTT – Entretien avec Lierre Keith

En 2009, trois articles qui reprennent les Chapitres et 1 et 2 ont été traduits par Sott.net et également publiés :
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (1re partie)
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (2e partie)
Le Mythe végétarien – Nourriture, justice et pérennité (3e partie)

Depuis le milieu des années 1990, l’agriculture industrielle/chimique a décimé le microbiome du sol à l’échelle mondiale. Pensez-y : en 2014, une haute fonctionnaire des Nations unies, Maria-Helena Semendo, de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), a expliqué à l’assemblée qu’à moins de développer de nouvelles approches de l’agriculture, la quantité mondiale de terres arables et productives par personne ne représentera en 2050 qu’un quart du niveau de 1960. À considérer également : dans une étude menée par l’université de Lancaster en septembre 2020, les chercheurs ont constaté que 90 % des sols cultivés de manière conventionnelle dans le monde s’amincissaient, et que 16 % d’entre eux avaient une durée de vie inférieure à un siècle.

En bref, la réduction susmentionnée du nombre de spermatozoïdes masculins, associée à la dégradation des sols dans le monde entier, sont les deux facteurs clés qui conduisent l’humanité vers l’extinction.

Chaque fois que nous pulvérisons du Roundup ou l’un des autres herbicides encore plus toxiques qui sont maintenant largement utilisés — comme le 2,4-D (le 2,4-dichlorophénoxyacétique est un ingrédient principal de l’herbicide de guerre chimique largement connu sous le nom d’Agent Orange) ou le dicamba (un herbicide 200 fois plus toxique que le glyphosate du Roundup) — nous détruisons le microbiome du sol, celui des mauvaises herbes, des plantes et des animaux ainsi que notre propre microbiome. Et, pour enfoncer le clou, le Roundup se disperse non seulement dans le sol mais aussi dans l’air. Tout comme ses produits concurrents.

Malheureusement, les herbicides ne sont pas la seule substance toxique présente dans l’air que nous respirons. De nombreux autres polluants — mercure, arsenic, soufre et cyanure, pour n’en citer que quatre — circulent également dans l’atmosphère. Ces toxines, qui sont produites par les secteurs du transport et de l’énergie, sont capables de se lier aux particules de carbone. Les particules fines de carbone, appelées PM2,5 (c’est-à-dire les particules inférieures à 2,5 microgrammes par mètre cube, soit 100 fois plus fines qu’un cheveu humain), sont un sous-produit de la combustion de carburant et des réactions chimiques. cette combustion est particulièrement préoccupante pour la santé humaine lorsque les niveaux de PM2,5 dans l’air sont élevés, comme le démontrent ces deux études de 2017 de la NIH National Library of Medicine et du The New England Journal of Medicine.

Il s’avère que les toxines ne sont pas les seules à se lier aux PM2,5 ; les virus aussi. Avant la révolution industrielle, les virus se dispersaient de manière [à peu près – NdT] égale dans l’atmosphère. Cependant, maintenant que les particules de carbone sont omniprésentes dans l’air, les virus se concentrent anormalement autour de cette substance. Plus la concentration de PM2,5 est élevée, plus la concentration de matériel viral est importante.

Chaque année, de la dernière semaine de septembre à la fin juin, la nature entre dans son cycle de sommeil dans l’hémisphère nord. Pendant cette période, les concentrations d’émissions de particules de carbone et de CO2 et d’autres polluants qui seraient normalement absorbées par les arbres, les plantes, les océans et le sol ne peuvent pas l’être. Il en résulte de très fortes concentrations de polluants qui se déplacent en direction de l’est avec les courants éoliens — Dans le même temps, des amas de virus à protéines Spike se sont accrochés aux particules de carbone. Les concentrations accrues de PM2,5 dans les zones où le sol a été dégradé au point que son microbiome vivant et doté d’une respiration aérobie a perdu la capacité d’absorber le carbone tout au long de l’année, quelle qu’en soit la saison, aggravent le problème et démontrent les effets néfastes de l’agriculture chimique.

Grâce à l’imagerie satellitaire de la NASA, nous pouvons voir, à partir de la mi-octobre de chaque année, un énorme panache de carbone qui flotte depuis les centres d’industrie lourde de Chine et d’autres régions industrielles du monde et se disperse dans un flux d’est à travers l’hémisphère nord. Au mois de mai, cette brume toxique recouvre l’hémisphère nord. Vous pouvez consulter le site IQAir pour une analyse en temps réel des données sur la toxicité des PM2,5 dans le monde.

De manière étrange, ce que nous appelons « la grippe saisonnière » coïncide parfaitement avec la période où la Nature entre dans son cycle de sommeil dans l’hémisphère nord. Pendant les mois que nous appelons « saison de la grippe », notre corps est plus susceptible de subir un événement inflammatoire — fièvre, congestion, toux et perte d’appétit. Ce phénomène se produit lorsque notre corps s’adapte et s’équilibre avec les toxines industriellesprésentes dans l’environnement. Lorsque l’été arrive, fin juin, la Nature reprend son cycle de régénération : les panaches de PM2,5 se dissipent lentement pour finalement se diluer, ce qui réduit notre risque de maladie respiratoire. C’est la raison pour laquelle nous ne souffrons que rarement, voire jamais, de grippe pendant les mois d’été dans l’hémisphère nord. Par conséquent, en suivant les flux de particules de carbone, nous pouvons en fait cartographier et prévoir exactement où se trouveront les points chauds des infections respiratoires, des « pandémies » et de la grippe saisonnière.

Note du traducteur 11 : Les toxines présentes dans l’environnement ne sont pas uniquement de nature industrielle, sinon l’ère pré-industrielle n’aurait pas eu son lot de « pandémies ». Toutefois, l’environnement qui est le nôtre aujourd’hui accentue certainement et de manière drastique ce qui était au départ un phénomène naturel et cyclique. Les éjections dues au volcanisme — et aux grands incendies — et les injections dues aux météores et autres phénomènes cosmiques font aussi partie du cycle naturel de la Terre et de son atmosphère, et l’augmentation ces dernières années de ces deux activités cycliques, en particulier, ajoute à la problématique. Le fait même de faire fi de leur existence et de leur impact sur notre environnement et sur la vie en général permet de ne focaliser que sur l’aspect humain des causes en question. Nous ne sommes pas séparés de ce qui constitue le système terrestre-atmosphérique, pas plus que la planète Terre n’est séparée de son système Solaire, pas plus que ce dernier n’est séparé de la Voie lactée, etc. Tout est lié.

Voir Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney – Ce qui se profile à l’horizon

Troisième partie — Que s’est-il passé en 2020-21 ? La « pandémie »

Cette année marque un tournant décisif dans l’Histoire de l’humanité. Pour la première fois depuis le début de la civilisation humaine, notre espèce est en train d’être génétiquement modifiée. Les fabricants de vaccins ont rendu possible la modification permanente du génome humain — et la modification à jamais de la relation de l’humanité avec la Nature — par le biais d’une injection pharmaceutique expérimentale faussement appelée « vaccin ».

À la lumière de cet événement déterminant, je crois que nous devons jeter un regard sobre sur les motifs et les actes qui sont en train de bouleverser l’humanité telle que nous la connaissons. Simultanément, nous devons examiner le traitement de plus en plus destructeur que nous réservons au monde naturel.

Dans les mois qui ont précédé 2020, la Terre a connu une série d’incendies de forêt sans précédent, de l’Australie à l’Amazonie et de l’Indonésie à la Californie. Rien qu’en Californie, la saison des feux de forêt de 2019 a détruit plus de 100 000 hectares de terre, ainsi que 732 structures. Au total, les feux de friches en 2019 dans le monde ont envoyé 7,8 milliards de tonnes métriques de CO2 et de particules de carbone dans la stratosphère — le plus haut niveau de PM2,5 depuis 2002. Une fois dans la stratosphère, les particules de carbone ont pu parcourir des milliers de kilomètres depuis leur provenance d’origine. De nombreuses villes du monde entier, comme Canberra, Wuhan, New York et Milan, ont connu une qualité d’air extrêmement faible en raison de niveaux extrêmement élevés de PM2,5.

Il s’avère que l’une des substances les plus toxiques générées par la combustion de matières synthétiques telles que le plastique, le nylon, la laine et la soie — combustion provoquée par des feux de forêt ou par des réactions chimiques industrielles — est le cyanure. Plus précisément, le cyanure d’hydrogène gazeux. Le cyanure est un agent hautement toxique qui provoque une hypoxie vasculaire et même la mort s’il n’est pas traité correctement.

Ainsi, alors que dans la seconde moitié de 2019 et le début de 2020 nous entrions dans la « saison de la grippe », nous nous trouvions face à la tempête parfaite de toxicité alors en circulation sur le globe. Les niveaux anormalement élevés de PM2,5, associés à des niveaux élevés de sous-produits industriels tels que le soufre, le mercure, l’arsenic, le carbone, le glyphosate et le cyanure, ont créé des conditions idéales pour supprimer le système immunitaire inné, en particulier chez les personnes fragiles et âgées, qui sont dans de nombreux cas déjà aux prises avec de graves conditions médicales sous-jacentes.

Pour aggraver les choses, la plupart des patients atteints de ces pathologies sous-jacentes — hypertension, diabète, obésité, maladie coronarienne et maladie rénale — prennent des médicaments couramment prescrits, notamment des inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (IEC) pour contrôler la tension artérielle et des statines pour réduire le cholestérol. Or, nous savons aujourd’hui, grâce à une étude publiée pour la première fois le 31 mars 2020 dans l’American Journal of Physiology Heart and Circulatory Physiology (volume 318, numéro 5), que les IEC et les statines régulent à la hausse le récepteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) par lequel le coronavirus pénètre dans l’organisme.

L’ACE2 est une protéine qui se trouve à la surface de nombreux types de cellules du corps humain, notamment l’intestin, les reins, l’utérus, les testicules, le cerveau, le cœur et, plus important encore pour notre sujet, les poumons et les muqueuses nasales et orales.

L’enzyme ACE2 joue un rôle important en aidant l’organisme à réguler la pression artérielle et en contribuant à la cicatrisation des plaies et des inflammations. En outre, les acides aminés de l’ACE2 aident à capturer et à hacher une protéine nocive appelée angiotensine II, qui fait monter la pression artérielle et endommage les tissus. C’est pourquoi les médecins du monde occidental prescrivent généralement de l’ACE-I afin de stimuler l’expression de l’ACE2 et de réduire ainsi le risque d’hypertension artérielle. De plus, lorsque l’enzyme ACE2 est régulée, elle peut très facilement capturer — ou accrocher — n’importe laquelle des nombreuses protéines Spike émanant de la surface d’un coronavirus.

Puisque nous parlons des protéines Spike, j’aimerais faire quelques commentaires, sous forme de questions-réponses, sur la recherche sur le gain de fonction dans ce domaine.

La recherche sur le gain de fonction vise à modifier les caractéristiques fonctionnelles d’un virus dans le but d’accroître sa capacité à infecter une espèce et à augmenter potentiellement son impact en tant que pathogène aérien. En rendant un virus plus « mortel », on pense qu’il pourrait ensuite être utilisé contre un ennemi potentiel comme arme de guerre biologique. Nous savons qu’il existe des laboratoires de recherches sur le gain de fonction à Wuhan, en Chine, et dans les installations de l’armée américaine à Fort-Detrick, dans le Maryland — En 2018, au moins 15 autres pays, outre les États-Unis et la Chine, dont le Canada, le Royaume-Uni, la France, Israël, l’Allemagne et la Russie, avaient des programmes documentés d’armes biologiques et des laboratoires de recherche sur les armes biologiques.

  1. Est-il possible que les deux laboratoires de Wuhan et de Fort-Detrick, ou l’un d’entre eux, aient manipulé l’une des protéines Spike d’un coronavirus qui le rendrait encore plus apte à se connecter au récepteur ACE2, comme le suggère ce document de l’Institut de microbiologie humaine de New York ? Absolument.
  2. Le Dr Anthony Fauci a-t-il des liens financiers profonds avec le laboratoire de Wuhan de par sa position de directeur, depuis 1984, du National Institute of Allergy and Infectious diseases (NIAID) ? Absolument.
  3. Par extension, le gouvernement des États-Unis est-il indirectement ou directement impliqué dans le financement de l’Institut de virologie de Wuhan ? Absolument.
  4. Le Dr Fauci et le spécialiste du gain de fonction de l’université de Caroline du Nord, Ralph Baric, ont-ils reçu des millions de dollars de subventions de recherche de plusieurs agences fédérales — NIH, DARPA et NIAID — pour étudier le gain de fonction dans les coronavirus, comme l’indique clairement ce dossier du Dr David Martin ?

Néanmoins, nous ne devons pas perdre de vue le fait que toute cette attention portée au gain de fonction pourrait être en fait une opération psychologique habilement déguisée destinée à nous distraire du fait que nous ne disposons d’aucune preuve scientifique validée par des pairs qu’un coronavirus est à l’origine du syndrome respiratoire connu sous le nom de Covid-19.

En outre, l’attention soudaine et intense que les médias portent au Dr Fauci et au lien avec Wuhan pourrait être une tactique destinée à faire porter le chapeau à la Chine pour avoir créé la « crise », tout en occultant habilement le fait que de nombreux acteurs issus de nombreuses nations et organisations, comme le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé et la Fondation Bill & Melinda Gates, travaillent de concert avec la Chine pour « asservir » l’ensemble de l’humanité dans « un cauchemar technocratique dystopique ».

Ou bien, est-il possible que les véritables armes biologiques à gain de fonction soient les injections expérimentales non approuvées (appelées « vaccins anti-Covid-19 ») qui sont actuellement déployées dans le monde entier ? L’avenir nous le dira.

Pour en revenir aux événements de 2020, nous pouvons voir qu’en régulant à la hausse le récepteur ACE2 qui se trouve à la surface des poumons et de la muqueuse nasale, nous avons facilité la tâche d’un coronavirus [des protéines Spike, en fait – NdT], en conjonction avec les particules PM2,5 qui transportent du cyanure et d’autres possibles polluants, pour qu’il s’accroche et soit attiré dans la voie respiratoire. Une fois dans les voies respiratoires, les toxines finissent par passer dans la circulation sanguine et entrer dans les globules rouges de l’organisme. Lorsqu’une toxine pénètre dans un globule rouge, elle modifie la forme de la protéine hémoglobine qui transporte l’oxygène dans le globule rouge et rend ce dernier incapable de transporter l’oxygène. Ce processus prive littéralement l’organisme d’oxygène. Par conséquent, avec cette combinaison de variables, le décor était planté dans la seconde moitié de 2019 pour produire le système de diffusion parfait permettant l’empoisonnement au cyanure.

L’empoisonnement au cyanure provoque un état connu sous le nom d’hypoxie histotoxique. Cet état comprend les symptômes suivants

  • Changement de la couleur de la peau (allant du bleu au rouge) ;
  • Désorientation ;
  • Toux ;
  • Fréquence cardiaque élevée ;
  • Respiration rapide ;
  • Essoufflement (dû à la perte de la capacité des globules rouges à transporter l’oxygène) ;
  • Transpiration.

Par conséquent, à la fin de l’année 2019 et au début de l’année 2020, les professionnels de la santé de la province de Hubei, du nord de l’Italie, de la région métropolitaine de New York et d’ailleurs ont été confrontés à des patients présentant des symptômes d’empoisonnement au cyanure. Comme le souligne une étude du JAMAparue en avril 2020ces symptômes présentent toutes les caractéristiques d’une hypoxie histotoxique, mais aucun des symptômes d’une pneumonie ou d’une insuffisance respiratoire. En d’autres termes, ils n’avaient pas de fièvre (afébrile), pas d’accumulation de liquide dans les poumons et pas d’augmentation du nombre de globules blancs (que l’on s’attendrait à voir en cas d’infection).

Nous devons donc conclure que ces patients en détresse aiguë, dont beaucoup étaient âgés, devaient initialement souffrir d’hypoxie, etnonde pneumonie etpas non plusd’insuffisance respiratoire. La pneumonie et les micro-caillots de sang, qui ont fini par les tuer, sont survenus plusieurs jours ou semainesaprèsl’empoisonnement initial — et ce, uniquement parce que leur système immunitaire inné avait été tellement affaibli que leur organisme a succombé aux effets en cascade des infections secondaires.

Par ailleurs, toutes les personnes qui ont été touchées de manière aiguë par le Sras en 2002 et par le Mers en 2012 présentaient les mêmes symptômes d’hypoxie histotoxique, et non d’infection virale. En d’autres termes, leurs symptômes étaient identiques à ceux des cas aigus en 2020 de ce qui a été appelé à tort Covid-19.

Note du traducteur 14 : Le nom de Covid-19 peut tout aussi bien avoir été choisi à dessein, et non à tort : Cov ID 2019, ce qui pourrait indiquer une volonté programmée à l’avance d’utiliser ce nom et pas un autre ; le « lancement » en 2019 du programme de mise en place des identités numériques par le biais d’un coronavirus… peut-être.

En fin de compte, la plupart des patients hospitalisés en 2020 sont décédés des suites d’un événement toxicologique — qui a été baptisé à tort « Covid-19 » d’après ce qui a été appelé une nouvelle souche de coronavirus — et non de la maladie infectieuse ainsi nommée. Même au plus fort de la « pandémie », le prétendu Covid-19 ne représentait qu’un très faible pourcentage du total des décès en Italie et ailleurs.

Heureusement, le taux de mortalité global par infection signalé pour le syndrome Covid-19 n’est que légèrement supérieur à celui de la prétendue grippe saisonnière. Tout aussi heureusement (mais pas pour ses victimes), le syndrome n’a représenté un danger que pour un seul grand groupe de population : les personnes âgées atteintes d’au moins deux maladies chroniques majeures. La présence de comorbidités — maladies cardiaques, accidents vasculaires cérébraux et cancer du poumon — est à l’origine de la grande majorité de leurs décès. Mais pour les personnes de moins de 70 ans sans ces comorbidités, le risque de mourir dans un accident de voiture est plus élevé que le risque de mourir de ce que l’on appelle la maladie Covid-19. En effet, les maladies graves et les décès dus au Covid-19 ne sont survenus que chez des personnes plus jeunes souffrant de troubles de l’immunodéficience — obésité, diabète, maladies auto-immunes et immunodéficiences héréditaires.

Néanmoins, ces décès, bien que tragiques, ne justifient en aucun cas qu’un gouvernement viole les droits naturels des citoyens. Ces droits incluent la liberté de…

  • de se déplacer — y compris de quitter son domicile à toute heure du jour ou de la nuit ;
  • voyager — y compris entre états, provinces, pays et continents ;
  • s’associer — c’est-à-dire se réunir en personne avec ses amis et sa famille ;
  • se réunir — pour protester pacifiquement contre des édits injustes, des pratiques corrompues et la censure ;
  • prier — y compris se réunir avec d’autres croyants ;
  • exprimer son individualité — y compris choisir de porter ou non un masque ;
  • jouir d’une autonomie corporelle — notamment ne pas être contraint psychologiquement ou physiquement à recevoir des injections expérimentales de quelque nature que ce soit ;
  • rester en activité — au lieu d’être considéré par des politiciens tyranniques et des bureaucrates de la santé publique comme « non essentiel », une étiquette qui a forcé des millions de petites entreprises à fermer leurs portes, souvent de façon permanente.

Le Dr Bush résume comme suit les cas de maladies respiratoires aiguës sévères qu’il a observés en 2020 :

« Malheureusement, nous n’avons pas abordé la question comme un empoisonnement, mais comme une infection. Nous avons continué à croire que ces personnes qui mouraient, mouraient d’une infection. Je pense qu’elles étaient très clairement surchargées de PM2,5 liées au cyanure transporté dans l’environnement pulmonaire et finalement dans la circulation sanguine par le virus. Le virus est naturellement conçu pour pénétrer dans l’organisme par les poumons, les tissus vasculaires et les tissus neuronaux, comme nos sinus nasaux. Nous observons toutes ces pertes de goût et d’odeur chez les personnes exposées à ce virus parce qu’il passe par le récepteur ACE2 à la surface de tous ces tissus. Le récepteur ACE2 se lie au coronavirus [à la protéine Spike du virus – NdT] et attire le cyanure directement dans le globule [rouge] et empoisonne le corps humain avec des quantités élevées de pollution atmosphérique qui n’ont pas été respirées mais qui ont été littéralement acheminées de manière ingénieuse dans la circulation sanguine à l’aide d’un virus présent dans notre environnement depuis très longtemps. »

D’après sa description détaillée, nous pouvons clairement constater que les gens mouraient de toxicité environnementale, et non d’une infection virale. C’est précisément la raison pour laquelle il n’existe pas d’étude scientifique, évaluée par des pairs, apportant la preuve concluante qu’un virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie mortelle appelée Covid-19. De telles preuves n’existent pas, car le coronavirus, soi-disant, ne cherche pas à nuire à qui que ce soit, mais présente simplement une mise à jour virale à ceux qui en ont besoin.

Note du traducteur 15 : Cette mise à jour virale constitue l’essence mêmes des virus et en l’occurrence des coronavirus. Toutefois, avec le Sras-CoV-2, nous n’avons pas à faire à un coronavirus naturel, mais à une arme biologique développée en laboratoire.

Voir la partie sur les virus et leur vraie nature dans cet article : Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2

En résumé, deux scénarios différents se sont déroulés en 2020 :

Dans le premier scénario, nous avons vu des personnes présentant un événement inflammatoire marqué par de la fièvre, une congestion, une perte d’appétit, un nombre élevé de globules blancs et un malaise. Tous ces symptômes sont ceux auxquels on peut s’attendre lorsqu’un nouveau variant issu d’un coronavirus déclenche le système immunitaire inné — et éventuellement le système immunitaire adaptatif — lequel fait ce qu’il fait toujours pour nous ramener à l’équilibre après une nouvelle mise à jour génomique d’un virus. N’oubliez pas que les coronavirus nous donnent des informations génétiques qui régénèrent notre organisme ; ils œuvrent pour nous [et la vie en général – NdT] et ne nous infectent pas de maladies [sauf à ce que cet équilibre ne soit pas restauré et que les virus soient vus comme la cause des maladies – NdT].

Dans le second scénario, nous avons vu des personnes souffrant de comorbidités graves, parfois multiples, succomber finalement à un événement toxicologique, tel que décrit par le Dr Bush ci-dessus.

Certes, dans les deux scénarios, le coronavirus est présent, mais de façon bénigne. Comme je l’ai expliqué précédemment, un virus n’essaie pas de prendre le contrôle de la mécanique d’une cellule du corps. Il ne cause ni ne force rien. Il est simplement présent — un autre exemple de culpabilité par association, tout comme le faux lien entre le virus VIH et le Sida que j’ai décrit plus haut.

Note du traducteur 16 : « un virus n’essaie pas de prendre le contrôle de la mécanique d’une cellule du corps. Il ne cause ni ne force rien. » Un virus, non, mais un virus créé en laboratoire, sûrement.

À propos du VIH et du Sida, voici ce que Kary Mullis déclarait dans The San Diego Union-Tribune, le 15 Mai 1994 :

« Bien que plus de 75 000 articles ont été publiés sur le Sida, aucun n’a sérieusement étudié toutes les preuves pertinentes ni essayé de prouver que le VIH causait bien le sida. Quelques articles répondent à des objections spécifiques, mais ils commencent en supposant que le VIH est la cause du Sida, ce qui est justement la question problématique. S’il avait été possible d’écrire un tel article, il aurait déjà été écrit et ce serait la publication scientifique la plus citée du siècle. Puisque de tels articles n’existent pas, il est impossible de réfuter ou d’étayer les arguments qu’ils pourraient contenir. »

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[Voir aussi : Contestation du lien entre VIH et SIDA]
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Cependant, au lieu de faire la différence entre les deux scénarios, les responsables de la santé publique du monde entier, sous la direction de l’OMS totalement corrompue, les ont commodément regroupés dans une seule catégorie : Covid-19. Pour ce faire, ils ont utilisé le test RT-PCR, monstrueusement inapproprié et inexact, et son inventeur, Kary Mullis, a insisté (avant sa mort prématurée en août 2019) sur le fait qu’il n’était pas destiné à diagnostiquer une maladie mais simplement à vérifier la présence d’une charge virale.

Note du traducteur 17 : Kary Mullis a déclaré ce qui suit :

« C’est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malade. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »

Un des individus à qui profite les ventes de tests PCR est Christian Drosten, un virologue allemand, qui en 2003 a co-découvert le Sras ; on reste en famille. Il est devenu dès janvier 2020 le conseiller « Covid » d’Angella Merkel, il est le « Tony Fauci » allemand.

En dépit de ses résultats faciles à falsifier et donc souvent falsifiés, le test PCR est toujours utilisé dans le monde entier pour remplacer les analyses cliniques. Pourquoi ? La seule réponse logique est que le dépistage du coronavirus est une forme de contrôle destinée à créer une hystérie publique. Ne comprenant pas que la plupart des résultats positifs sont frauduleux, que les mots effrayants « cas positif » ne signifient pas la présence d’une infection, et que les personnes asymptomatiques ne peuvent ni avoir ni propager la maladie, le public a été trompé en croyant qu’un dangereux pathogène tue un grand pourcentage de la population.

En attisant la peur, les gouvernements du monde entier ont pu justifier des mesures de confinement et des obligations de porter un masque qui sont nuisibles et totalement inefficaces, ainsi que des mesures de distanciations sociales absurdes. Mais pourquoi provoquer intentionnellement la panique et pourquoi sévir comme des dictateurs ? Les politiciens et les responsables de la santé publique doivent soit obéir à des ordres menaçants, soit accepter des pots-de-vin irrésistibles, soit simplement suivre les instructions de leurs supérieurs, en croyant naïvement qu’ils font « ce qui est le mieux » dans l’intérêt de la sécurité publique. Dans la plupart des cas, ils doivent être incités, par la ruse ou par l’astuce [ou la corruption – NdT], à persuader les citoyens de prendre part à la plus grande expérience médicale de l’Histoire — une campagne mondiale de « vaccination » de masse conçue dans le but d’injecter à tout humain qui s’y conforme une thérapie génique expérimentale non testée, non approuvée, appelée ARNm anti-Covid-19 — dans quelques endroits, comme l’Italie, l’Arabie saoudite et le Tadjikistan, même les non conformistes sont contraints de se soumettre à l’aiguille Covid-19.

Les parallèles entre l’« épidémie de Sida » et la « pandémie de Covid-19 » sont trop frappants pour être ignorés. Dans les deux cas, l’acteur central est un virus bénin qui peut être facilement accusé d’être la cause première d’une maladie déclarée, en dépit de l’absence de toute preuve scientifique réelle examinée par des pairs pour étayer cette affirmation.

Note du traducteur 18 : Répétons-le encore une fois ; le Sras-CoV-2 a été créé en laboratoire et ce n’est pas le virus en soi qui est dangereux, mais bien la protéine Spike, la même que celle qui a reçu l’ordre en laboratoire via les injections anti-Covid-19 de pousser le corps humain à en produire en quantité industrielle. Quant à l’épidémie de Sida, ou plutôt son effrayant battage médiatique, elle a très probablement amorcé et fait remonter à la surface — par programmation — la peur ancrée dans l’inconscient d’une future épidémie, quelle qu’elle soit. À force de jouer avec les Lois de la Nature sans les comprendre, on peut s’attendre à moyen terme à un vrai drame, une vraie épidémie.

De même, dans les deux cas, le virus peut être utilisé comme façade pour masquer des décennies de dégradation environnementale engendrée par des entités gouvernementales et des entreprises, dont les responsables ne paient jamais sous forme d’amendes ou de peines de prison pour leurs crimes.

Enfin, dans les deux cas, l’histoire du virus procure d’immenses profits à l’industrie pharmaceutique mondiale, qui n’est jamais tenue financièrement responsable pour des dommages et des décès causés par ses vaccins ou ses médicaments — pour ces derniers, c’est le cas tant qu’on ne découvre pas qu’ils sont la véritable cause du décès (pensez à l’AZT).

Quatrième partie — Notre réponse

Plutôt que d’accepter la façon dont nous détruisons notre habitat, plutôt que d’apprendre les leçons que la Nature a tenté de nous enseigner au cours des 18 derniers mois, nous avons continué d’ignoré les ravages et nous avons refusé d’en tirer des leçons. En fait, au cours de la pseudo-pandémie de l’année dernière, l’humanité n’a fait qu’intensifier sa guerre contre la Nature.

Par exemple, depuis janvier de l’année dernière, 129 milliards de masques de protection (pour la plupart en polypropylène) et 65 milliards de gants en latex ont été jetés chaque mois, selon une étude publiée par la revue Environmental Science & Technology de ACS Publications.

Une partie importante de ces déchets finira par se retrouver dans les océans du monde, où ils prendront la forme de microplastiques polluants. Il y a aussi les milliards et les milliards de récipients alimentaires en plastique et en papier qui ont été utilisés — et jetés — en raison de l’augmentation des commandes de plats à emporter provoquée par la pandémie, une fois les restaurants fermés aux clients.

Et ce n’est là qu’une partie des dommages environnementaux causés par la plus grande des escroqueries. Les gouvernements du monde entier — notamment en Chine et en Italie — pulvérisent des biocides cancérigènes dans l’atmosphère. Cet ultime acte de folie, qui vise à contenir ou à détruire le virus redouté de manière injustifiée, soumet les piétons à des produits chimiques encore plus nocifs. Ces désinfectants finiront par se retrouver dans l’eau du robinet de millions de foyers. En bref, nous n’avons aucune idée des conséquences que les biocides peuvent avoir sur le microbiome et sur notre santé à long terme [voire à court terme considérant l’empilement des problématiques – NdT].

Pendant ce temps, des centaines, voire des milliers de professionnels de la santé et de scientifiques du monde entier ont osé respecter leur serment de ne pas nuire et de suivre leur conscience en disant la vérité sur les conséquences dévastatrices de l’adhésion aux directives liées à la fausse pandémie.

Ces hommes et ces femmes courageux — qui sont tous médecins ou titulaires d’un doctorat et portent donc le titre de « Dr » ou de « Pr » — sont notamment :

  • Robert Malone, inventeur de la technologie des vaccins à ARNm et à ADN ;
  • Lawrence Palevsky, pédiatre ;
  • Vladimir Zelenko, médecin généraliste ;
  • Judy Mikovits, avocate et ancienne scientifique du NIAID ;
  • Simone Gold, médecin et fondatrice de America’s Frontline Doctors ;
  • Stephen Malthouse, médecin de famille ;
  • Sucharit Bhakdi, microbiologiste ;
  • Byram Bridle, professeur associé d’immunologie virale ;
  • Paul Thomas, pédiatre ;
  • Richard Fleming, cardiologue ;
  • Patrick Philips, urgentiste et médecin de famille ;
  • Roger Hodkinson, pathologiste ;
  • et Mike Yeadon, ancien directeur scientifique de Pfizer… pour n’en citer que quelques-uns.

Chacun d’entre eux a exprimé de sérieuses inquiétudes quant aux effets secondaires potentiels de ces « vaccins » jamais testés, approuvés ou utilisés pour soigner les êtres humains. Et, pour s’être exprimé, chacun d’entre eux est menacé, censuré et pire encore.

Collectivement, leurs appréhensions vont de

  1. Comment les nanoparticules lipidiques (LNP) peuvent affecter le cerveau humain ;
  2. Comment l’utilisation du polyéthylène glycol (PEG) peut provoquer des réactions immunitaires anaphylactoïdes chez l’être humain;
  3. Comment les protéines Spike induites artificiellement qui se déplacent dans tout le corps humain peuvent produire des troubles de la coagulation du sang dans différentes parties du corps ;
  4. Comment ces protéines Spike en excès, qui constituent une toxine neurovasculaire pour le corps, peuvent être à l’origine de myocardites — inflammation du muscle cardiaque — chez les enfants et les jeunes adultes.

L’une des façons par lesquelles les praticiens de la médecine sont intimidés est le recours à la force des organismes qui les autorisent à exercer.
Par exemple, le Collège des médecins et chirurgiens de l’Ontario (CPSO) a publié une déclaration inquiétante fin avril 2020, menaçant de retirer l’autorisation d’exercer la médecine à tout médecin qui s’exprimerait publiquement — ou même poserait des questions — sur les effets secondaires nocifs des confinements et/ou des « vaccins » Covid-19 dont ils ont été témoins lorsqu’ils travaillaient en première ligne dans leurs hôpitaux et communautés locales. Aux États-Unis, la procédure de retrait de la licence d’un médecin est légèrement différente, mais le résultat final est le même.

Chaque État a son propre conseil médical qui peut suspendre temporairement une licence médicale sans audience si « le conseil estime que la conduite du titulaire de la licence a enfreint les normes de soins et a mis en danger la santé et la sécurité de plusieurs de ses patients ».

Note du traducteur 19 : La même chose s’est produite en France, et certainement aussi dans d’autres pays, notamment en Occident : Haro sur les médecins non alignés sur l’Agenda totalitaire des mondialistes implanté en France par son VRP Macron !
Rappelons aussi que les contrats signés entre les compagnies pharmaceutiques et les États stipulent que ces derniers doivent tout faire pour défendre le produit expérimental en question.

Voir PfizerLeak : Révélation sur les contrats Pfizer et leurs clauses « surprenantes »

Parmi les autres tentatives visant à empêcher les informations scientifiques vitales d’atteindre le public, citons le discrédit et la mise au silence des praticiens, médecins et scientifiques par les plateformes de médias sociaux grand public de Big Tech, comme YouTube de Google.

Cela ne devrait pas surprendre, puisque Google, qui a été créé par la CIA, entretient également des liens étroits avec des compagnies pharmaceutiques comme GlaxoSmithKline (GSK), enregistrée en Angleterre. Ces personnes sont également censurées de Facebook — une autre société privée créée par la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) et la CIA — ainsi que d’Instagram, Amazon Web Services (AWS), Linkedin et Twitter.

Pire encore, des médecins ont été soumis à une censure extrême pour avoir fourni des preuves qu’il existe effectivement des traitements viables, efficaces et peu coûteux pour traiter le Covid-19 — des traitements qui rendent inutile le recours à un « vaccin ».

Par exemple, tous les médecins mentionnés ci-dessus, ainsi que des centaines d’autres dans de nombreux pays, n’ont pas seulement fait l’éloge des antipaludéens chloroquine et hydroxychloroquine et d’autres remèdes comme l’Ivermectin, l’azithromycine, la doxycycline et le zinc, dans le traitement de leurs patients atteints de Covid-19, mais ils ont démontré à plusieurs reprises leur efficacité. Ils ont prouvé, par exemple, que la chloroquine et l’hydroxychloroquine, lorsqu’ils sont administrés à petites doses prescrites, exercent relativement peu ou pas d’effets indésirables. De nombreuses études menées en Corée du Sud, en Chine et en France en témoignent également.

Néanmoins, les agences gouvernementales de santé — la FDA, les NIH et les CDC aux États-Unis, la MHRA au Royaume-Uni et Santé Canada [tout comme l’HAS en France – NdT] — ainsi que l’OMS interdisent continuellement ces traitements peu coûteux, tentent de décourager les gens de les utiliser et, avec la complicité des médias grand public, font à leur sujet des déclarations manifestement fallacieuses.

Pour savoir pourquoi cette suppression de traitements efficaces a lieu, il suffit de consulter l’autorisation d’utilisation d’urgence de vaccins contre le Covid-19 de la FDA qui a été délivrée en octobre 2020. À la page six de ce document, à la section lll, « Critères et considérations pour la délivrance d’une autorisation d’utilisation d’urgence pour un vaccin contre le Covid-19, la dernière puce de la liste indique clairement que la FDA ne peut délivrer une telle autorisation que si elle a déterminé qu’« il n’existe pas d’alternative adéquate, approuvée et disponible au produit pour diagnostiquer, prévenir ou traiter la maladie ou la condition médicale. » Cette déclaration signifie que toute la prémisse de l’autorisation d’utilisation d’urgence est basée sur la présupposition qu’il existe aucune alternative disponible.

En réalité, il existe plusieurs produits hors brevet bon marché parmi lesquels choisir, comme nous l’avons cité plus haut — et comme la FDA le sait parfaitement. Cependant, si elle devait permettre à un produit bon marché et facilement disponible comme l’hydroxychloroquine de dominer le marché, l’industrie pharmaceutique — qui semble dicter sa politique à la FDA — risquerait de perdre des milliards de dollars provenant des ventes de « vaccins » anti-Covid-19.

La cupidité est-elle à l’origine de la suppression par Big Pharma des informations sur les produits alternatifs ? Très certainement. Et les relations étroites que Big Pharma entretient avec les responsables des agences gouvernementales et avec les médias — ces derniers étant largement tributaires de la publicité pharmaceutique pour leur existence — empêcheront-elles la majorité du public de prendre connaissance de l’existence de ces produits alternatifs ? Il semblerait que oui. En d’autres termes, l’autorisation d’utilisation d’urgence n’aurait pas été publiée si la vérité sur les produits alternatifs avait pu être largement partagée.

Mais puisque cette vérité a été dissimulée, les décès dus aux « vaccinx anti-Covid-19 » sont de plus en plus nombreux.

En août 2021, et selon les données recueillies par EudraVigilance, au moins 21 000 personnes dans les 27 pays de l’Union européenne sont mortes après avoir reçu une injection de ces dispositifs qui modifient les gènes. Aux États-Unis, et selon les données fournies au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), c’est plus de 13 000 personnes ont succombé à ces injections. Le chiffre des États-Unis est choquant : il signifie que ces injections expérimentales ont causé plus de décès en l’espace de 6 mois que la combinaison de 70 vaccins différents approuvés en circulation au cours des 30 dernières années. Comme si cela ne suffisait pas, une étude de Harvard a conclu que seulement 1 % des dommages et des décès dus à tous les vaccins aux États-Unis sont signalés au VAERS. Même si le taux de déclaration est de 10 %, ce dernier reste faible par rapport aux chiffres réels.

Et pourtant, les injections anti-Covid-19 qui modifient les gènes continuent de faire l’objet d’une promotion agressive de la part des propagandistes et de leurs théories non scientifiques et non prouvées, et ce malgré les preuves que la propagation asymptomatique n’est pas possible, que nous n’avons pas besoin de ces injections et qu’elles ne sont ni sans danger ni efficaces, que le Covid-19 est très loin d’être aussi dangereux pour la vie qu’on l’avait prédit et que les enfants n’ont pas besoin d’être protégés contre ce virus. De plus, malgré leur insistance, il n’existe aucune preuve que le Sras-CoV-2 cause le Covid-19.

Note du traducteur 20 : En effet, et comme nous l’avons précisé dans la Note du traducteur 12, ce n’est pas le virus du Sras-CoV-2 créé en laboratoire qui est dangereux, mais bien sa protéine Spike. Donc, prétendre que c’est le virus du Sras-CoV-2 qui déclenche la maladie appelée Covid-19, est à tout le moins faux, voire une mystification.

Les gouvernements du monde entier continuent de corrompre et de contraindre les citoyens à recevoir ces injections — en violation directe du Code de Nuremberg et sur la seule base d’un prétendu « intérêt de la santé publique ». Ceux d’entre nous qui ont fait des recherches et lu sur ce sujet depuis que tout a commencé savent qu’il n’a jamais été question de préserver la santé publique. Il a toujours été question des objectifs qui visent à mettre en œuvre un plan de biosécurité mondial et une grille de contrôle transhumaniste qui, si ces objectifs étaient amenés à se réaliser, signifieraient la fin de l’espèce humaine [telle que nous la connaissons – NdT].

Cette crise largement fabriquée a fourni la rampe de lancement parfaite pour que la convergence biodigitale prenne place. Pour ceux d’entre vous qui pensent que la notion qui consiste à combiner le corps humain avec des systèmes numériques est une hyperbole ou un fantasme, je me permets d’attirer votre attention sur le document « Exploring Biodigital Convergence » [Explorer la convergence biodigitale – NdT] publié le 11 février 2020 par Horizons politiques Canada. Ce document indique que le comité directeur de la politique canadienne a discuté du concept effrayant consistant à modifier l’évolution du corps humain par l’intégration de nanotechnologies biologiques et numériques. En effet, il s’avère que la large modification génétique de l’espèce humaine en cours d’élaboration par les injections expérimentales soi-disant anti-Covid-19 n’est que la première phase de cette convergence transhumaniste.

Note du traducteur 21 : Nous avons publié la traduction en français de ce document : La convergence bionumérique ou comment faire miroiter aux populations un avenir meilleur synonyme de prison, et en voici notre présentation :

« cette « présentation » a le mérite de nous informer de l’état de la « science » dans le domaine bionumérique en général et dans ses développements en particulier, dans tous les champs d’application qui y sont envisagés, ou presque… Il en dit long également sur l’état psychopathique des élites au pouvoir, affamées de contrôle absolu (mais illusoire) sur l’ensemble du vivant qui anime notre planète, dans une sorte de course contre la montre (désespérée) engagée contre la Nature, les forces cosmiques et leur énorme potentiel créatif — bien que ce processus puisse d’abord passer par une phase destructrice. À ce jeu, qui est le plus fort ? »

Comme si le document canadien n’était pas assez alarmant à lui tout seul, une menace encore plus grande pour l’humanité est en train de se déployer ailleurs. En mai 2021, le ministère britannique de la Défense a publié un document intitulé « Human Augmentation — The Dawn of a New Paradigm » [L’humain augmenté — L’aube d’un nouveau paradigme – NdT]. Ce document a été élaboré par le Centre de développement, de concept et de doctrine du Royaume-Uni, en partenariat avec le Bureau de planification de la défense de la Bundeswehr allemande [les forces armées allemandes – NdT]. Leur objectif est de

« comprendre les implications futures de l’humain augmenté, en préparant le terrain pour une recherche et un développement de défense plus précis. »

En intégrant les recherches de spécialistes de la défense allemands, suédois, finlandais et britanniques, le projet du Centre de développement, de concept et de doctrine tente de mieux appréhender comment les technologies émergentes, telles que le génie génétique, les interfaces cerveau-ordinateur et la bioinformatique, peuvent renforcer les capacités de sécurité et de défense. Bien qu’elle soit présentée comme un outil stratégique à usage militaire, l’augmentation de l’humain sera sans aucun doute, à l’instar du développement de tant de programmes militaires au cours de l’histoire, finalement déployée pour être utilisée dans le secteur civil.

Je dois le dire sans ambages : les projets transhumanistes au Canada, au Royaume-Uni et en Europe, et probablement subrepticement dans d’autres pays, combinés à la destruction délibérée de l’écosystème, sont les deux plus grandes menaces existentielles auxquelles l’humanité est aujourd’hui confrontée. Peut-être même comme jamais auparavant.

Dernières remarques

Nous sommes bombardés sans relâche par une croyance qui fait d’un ancien virus — y compris ses variants — le seul coupable d’une crise sanitaire mondiale. Pourtant, il n’existe pas la moindre preuve que le virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19. Cette vision myope nous empêche de comprendre la véritable nature utile des virus, comme nous l’avons détaillé ci-dessus. En effet, les virus sont nos amis [ils font partie du système de la vie sur Terre, sans eux nous ne serions même pas là pour en parler – NdT].

En outre, cette vision nous empêche de voir le véritable désastre écologique qui se déroule autour de nous et que les virus tentent de nous aider à découvrir et à surmonter.

Non seulement l’humanité marche vers sa propre extinction, mais elle s’éloigne aussi rapidement de la science et s’étouffe au contraire dans le dogme technocratique anti-science [et anti-vie – NdT] — un dogme qui s’est transformé en une religion rigide dont les adeptes vénèrent de nombreuses divinités, dont l’un se nomme « Vaccin » et l’autre « Technologie ».

Note du traducteur 22 : Qu’est-ce que la « science » ? Selon Nissim Amzallag, dans son ouvrage intitulé La Réforme du vrai, il déclare :

« La science ne distille pas forcément le vrai, cela nous le savons depuis le début du XXe siècle. Et pourtant, une aura d’objectivité continue de protéger la science de toute critique non seulement sur ses fondements, mais encore sur la manière dont elle s’impose pour façonner la société. »

Dans on ouvrage, l’auteur explore l’Histoire pour savoir si la science « fut réellement motivée par un désir sincère d’intelligence du réel ». Même si nos lecteurs ne l’ont pas lu, il suffit de contempler notre présent pour se rendre compte que ce n’est pas le cas, et c’est un euphémisme.

Comme je l’ai expliqué au début de cet article (première partie), nous vivons une époque sans précédent, où les humains peuvent être génétiquement modifiés à un point tel qu’ils seront méconnaissables et dans laquelle le monde naturel est ravagé de façon presque irrémédiable.

Pourtant, si ces menaces sont mortifères, il existe aussi des signes d’espoir. Il n’est pas trop tard pour envisager une autre voie possible — une voie qui ne nous condamne pas à l’échec, mais nous invite plutôt à accepter que l’humanité est faite, depuis le début, pour s’intégrer de manière intrinsèque à la Nature. Si nous tirons les leçons de nos erreurs, nous avons la possibilité de nous éloigner de l’abîme du transhumanisme et de l’extinction des espèces. Nous pouvons au contraire embrasser notre belle planète avec toute sa glorieuse biodiversité — une Terre grouillante d’une vie abondante qui offre un aperçu de l’Univers parfait créé par Dieu, l’Esprit, et qui est conférée à la Création spirituelle de la divinité.
Permettons à notre bonne Terre et à notre bonté innée de devenir manifestes au lieu d’être obscurcies et finalement annihilées.

La Terre et chaque homme, femme, enfant et créature qui l’habitent sont en fait des idées infinies, éternelles et divines créées par un Esprit infini, éternel et divin. Il est temps pour nous de reconnaître cette vérité — et de la manifester dans nos vies.

À propos de l’auteur

David Skripac est titulaire d’un baccalauréat en technologie en génie aérospatial. Au cours de ses deux périodes de service en tant que capitaine dans l’Aviation canadienne, il a beaucoup volé en ex-Yougoslavie, en Somalie, au Rwanda, en Éthiopie et à Djibouti. Utilisant un esprit curieux, un souci du détail et des compétences en résolution de problèmes perfectionnées au cours de ses années universitaires et tout au long de sa carrière, David a consacré plus d’une centaine d’heures à la recherche des dernières découvertes scientifiques dans les domaines de la virologie et de la microbiologie pour mener cet article à bien.

Source des différentes parties initialement publiées en anglais :

Partie 2 – le 20 août 2021 : GlobalResearch
Partie 3 – le 15 septembre 2021 : GlobalResearch
Partie 4 – le 7 septembre 2021 : GlobalResearch

Note : La 3e partie a été publiée après la 4e.
Traduction : Sott.net




« CIA, Vaccins, Médecine militaire expérimentale et Cristaux liquides » par Serge Monast

Par Serge Monast, journaliste d’enquête québécois mort en décembre 1996

[Ndlr : au-delà de la question de l’authenticité ou non des éléments rapportés par Serge Monast en 1994, ceux-ci, réels ou fantasmagoriques, trouvent un écho tout particulier par rapport à la « plandémie » Covid-19. À chacun d’estimer s’ils sont plausibles, probables ou seulement la traduction d’un délire paranoïaque ou complotiste.]

Extraits du rapport dactylographié
« CIA, Vaccins, Médecine militaire expérimentale et Cristaux liquides »




Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations

[Source : REINFOCOVID]

Il a circulé récemment sur les réseaux sociaux des allégations sur la présence non déclarée de nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19. Cet article tente de faire le point au sujet des nanoparticules d’oxyde de graphène afin de démêler le faux du vrai. VERSION PDF

Les nanoparticules de graphènes (oxyde de graphène, oxyde de graphène réduit et graphène quantum dots) : Propriétés, applications, toxicité et réglementations

À RETENIR

  • Les études de toxicités des nanoparticules d’oxyde de graphène ne permettent pas encore une application pratique dans le domaine des médicaments, des vaccins ou des dispositifs médicaux.
  • L’élimination rapide par le système immunitaire des nanoparticules d’oxyde de graphène rend difficilement possible la thèse d’une administration frauduleuse.

Il a circulé récemment sur les réseaux sociaux des allégations sur la présence non déclarée de nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO) dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19 (voir encadré). Certains sont même allés jusqu’à évoquer son utilisation (frauduleuse donc) pour une connexion des individus à la 5G et ont proposé des méthodes de détoxification au glutathion, N acétylcystéine (acides aminé précurseur du glutathion endogène), Zinc et autres [1]. Ricardo Delgado de La Quinta Columna [2] affirme avoir fait réaliser par des chercheurs espagnols des études observationnelles de doses de vaccin par microscopie optique et électronique, allant jusqu’à affirmer avoir dosé 747 ng de graphène. Certains sites vont jusqu’à affirmer que cette substance serait également présente dans les tests PCR, antigénique et les masques [3]. Mais il n’existe à ce jour aucune publication revue par des pairs.

Cet article tente de faire le point sur les propriétés physico chimiques, l’état de la recherche et les applications industrielles en cours, particulièrement dans les vaccins, la toxicité et la réglementation actuelle au sujet des nanoparticules d’oxyde de graphène afin de démêler le faux du vrai.

Composition du produit PFIZER (source : 
https://faqs.in.gov/hc/en-us/articles/360054190632-What-are-the-components-of-the-Pfizer-vaccine-shot-)

Ingredient actif

  • ARNm modifié codant pour la glycoproteine virale Spike du SARS-CoV-2

Lipides

  • (4-hydroxybutyl)azanediyl)bis(hexane-6,1-diyl)bis (ALC-3015)
  • (2- hexyldecanoate),2-[(polyethylene glycol)-2000]-N,N-ditetradecylacetamide (ALC-0159)
  • 1,2-distearoyl-snglycero-3-phosphocholine (DPSC)
  • cholesterol

Sels

  • potassium chloride
  • monobasic potassium phosphate
  • sodium chloride
  • basic sodium phosphate dihydrate

Autre

  • sucrose

1/ Propriétés chimiques et physiques de l’oxyde de grahène NP

Le GO est un isolant et un semi-conducteur électrique (cependant moins fort que le Graphène pur). Il s’agit d’une monocouche de carbone de structure hexagonale en nid d’abeille avec des groupes hydroxyde (OH) et carboxyliques COOH.

En raison de ses défauts dans la structure, des propriétés magnétiques locales ont été observées de différents types (ferromagnétique, paramagnétique, antiferromagnétique) du fait de ses propriétés semi-métalliques. Pour résumer, le magnétisme n’est pas une propriété inhérente du GO mais liée à la quantité de défauts de structures et son analyse physique est en cours.

Concernant le magnétisme des nanoparticules de ces composés, des recherches visent actuellement à régler deux problématiques pour activer leur magnétisme :

  1. la nécessité d’une consommation élevée d’énergie
  2. la contrainte d’un température ambiante (20°C) pour réussir à activer ce magnétisme

2/ Recherches et applications Industrielles

On distingue 3 structures : l’oxyde de graphène (GO), l’oxyde de graphène réduit (rGO) et le graphène quantum dots (GQD) qui sont des nanoparticules (donc de moins de 100 nm).

Les nanoparticules de GO sont actuellement étudiées et développées comme nano-supports pour une variété d’agents biologiquement actifs (biocatalyseurs, biocapteurs et médicaments).

De nombreuses applications utilisant des nanoparticules (NP) de GO sont envisagées :

  • Environnementale : formant des complexes avec des polluants organiques / métalliques, il peut être utilisé comme dépolluant, pour purifier l’eau (salée) en améliorant l’hydrophilie des membranes de purification et en facilitant la photo-oxydation des molécules polluantes de l’eau.
  • La production d’énergie par conversion de lipides en carburants par des lipases encapsulées.
  • Médecine : les quantum dots (nanocristaux semi-conducteurs) – de graphène et de nano-composites magnétiques (Fe3O4) offrent un ensemble unique de propriétés optiques et magnétiques pour les futures applications énergétiques et médicales. Ils peuvent également être utilisés en imagerie médicale comme agent de contraste. De plus, les propriétés magnétiques des nanoparticules Fe3O4 en font un excellent agent de contraste pour les applications IRM. Ils montrent également une excellente réponse à la luminescence lorsqu’ils sont exposés à la lumière UV, entraînant une émission de lumière visible.

Les GO peuvent être utilisés pour faciliter la pénétration et l’absorption d’anticorps, d’enzyme, des médicaments, des protéines. Cependant des limitations à l’usage et l’application des nanoparticules magnétiques telle que l’agrégation et la précipitation à l’intérieur des vaisseaux sanguins, peuvent entraîner de graves conséquences. Enfin il y a des applications potentielles en thérapies anticancéreuses par ciblage actif de cellules tumorales ou ciblage passif quand des NP chargées positivement s’accumulent au niveau des sites tumoraux en raison des fuites vasculaires et de la faiblesse du système immunitaire fonctionnel de la région. Toutes ces applications n’ont pas encore abouti à des applications commerciales concrètes.

3/ La nanotechnologie et les vaccins à base d’ARNm basés sur le SARS-CoV-2 

Les vaccins de Pfizer/BioNTech et Moderna utilisent un ARNm de synthèse protégé par une bicouche lipidique, elle-même constituée de nanoparticules lipidiques (McGill COVID19 Vaccine Tracker Team, 2021) afin de permettre l’entrée de l’ARNm dans la cellule. Il n’y a pas de GO déclaré par le fabricant.

Pourtant, les NP GO et Graphène ont retenu l’attention en raison de leurs propriétés antimicrobiennes et antivirales. Le graphène favorise l’absorption de médicaments et de macromolécules (acides nucléiques, protéines…). Gao et al., en 2020 [4] ont développé un nouveau vaccin contre le COVID-19 en utilisant la combinaison d’un nano adjuvant et d’oxyde de graphène. Cette étude, réalisée sur souris, montre que ce vaccin peut induire des anticorps anti-SARS-CoV-2 RBD à titre élevé neutralisant le SARS-CoV-2 chez la souris en 2 semaines. Les auteurs concluent sur l’efficacité du vaccin à induire une réponse immunitaire mais également sur la nécessité d’études complémentaires sur la dégradation du graphène in vivo afin de construire un vaccin répondant aux critères de sécurité et de biocompatibilité

Des équipes de recherches travaillant actuellement sur NP de GO-Polyethylène glycol- polyethyleneimine, dans le cadre du développement d’immunothérapies anticancéreuses, tentent de retarder leur phagocytose (absorption et destruction de molécules par certaines cellules immunitaires) afin de rendre possible leur utilisation dans de telles thérapies.

Un autre aspect limitant de son utilisation est la toxicité potentielle in vivo du graphène. Ce sujet de débat et le manque d’informations suffisantes pour autoriser légalement les applications humaines semblent sa commercialisation peu probable dans l’état actuel des connaissances. Ainsi, son instabilité et l’agrégation du graphène en solution sont un défi supplémentaire alors que la solution des médicaments et des vaccins a besoin de stabilité [5].

4/ Toxicité des nanoparticules (NP) d’oxyde de graphène (GO)

Le projet européen Graphene Flagship étudie la toxicité de ce matériau (environnemental, santé) du fait de l’utilisation prometteuse dans l’administration de médicaments, la bio-imagerie, l’ingénierie tissulaire, la biodétection [6]. Un rapport de 2016 de l’Agence suédoise KEMI fournit un état des lieux très complet en 2019 sur l’absorption et la biodistribution de NPs, étape cruciale avant la toxicité potentielle des NPs [7].

Leur toxicité est dépendante de la biodégradation qui dépend elle-même fortement du pourcentage d’oxygène, du type de groupes fonctionnels (comme des epoxy), des défauts, de la taille et du nombre de couches. Plusieurs mécanismes cellulaires de toxicité des nanomatériaux de GO ont été identifiés : le stress oxydatif (inflammation), dommages à l’ADN (impact de la réplication cellulaire), réponse inflammatoire ou encore la destruction cellulaire par différents mécanismes : apoptose, autophagie, nécrose.

Le GO serait dégradé par une enzyme (la myéloperoxydase) produite par des globules blancs (neutrophiles) arrivant sur un site d’infection.

Toxicité cutanée : Selon Wang et al, 2016 [8], la majorité des études existantes suggèrent que les graphène quantum dots (GQD) ont une toxicité in vivo et in vitro relativement faible et une excellente biocompatibilité, par rapport avec notamment l’oxyde de graphène (GO), les nanotubes de carbone et les semi-conducteurs conventionnels. Mais le profil de toxicité des GQD varie selon les tests et la production de GQD. Les GQD voient leur pénétration cutanée augmenter avec l’exposition aux UV ou si la barrière cutanée est détériorée. D’une manière générale l’absorption systémique dépend de nombreux facteurs comme la taille, la charge de surface, le revêtement des NP, l’agglomération des NP, la composition du milieu et son pH. D’une manière générale, par la voie cutanée, la voie de pénétration par les follicules pileux (cavité à la base du poil) serait considérable, surtout pour les petites NP inférieures à 20 nm.

En intramusculaire et en sous cutané chez la souris, les QD de carbone se diffusent rapidement depuis le point d’injection. Après 24h, il n’y a plus d’identification dans aucun organe, suggérant une élimination totale des nanoparticules de carbone. En injection sous-cutanée, ils se retrouvent dans les ganglions lymphatiques entraînant une importante réponse immunitaire rapide.

Administrées par voie intranasale, des NPs de polymères de carbone polyanhydre sont aussi rapidement dispersées. Certaines, hydrophobes, peuvent persister cependant dans le tissu pulmonaire. D’une manière générale, les NPs par voie intranasale, surtout quand elles sont très petites, traversent la muqueuse olfactive et sont véhiculées en quantité importante dans le bulbe olfactif et autres parties du cerveau.

Injectés directement dans le sang, les quantum dots (QD) se retrouvent principalement dans le foie, la rate et les reins, qui sont les organes de « détoxifications » et en faible quantité dans le cerveau (0.1%). D’une manière générale, injectées dans le sang, les NP, en fonction de leur taille et de leur charge, peuvent subir une adsorption ou une opsonisation (= liaison à un anticorps) par les protéines sériques. Cette opsonisation favorise sa clairance (la purification par cette voie dépend de la taille des particules : plus le diamètre est grand, plus la clairance est cependant ralentie). Les cellules endothéliales qui tapissent les vaisseaux sanguins, forment une barrière semi-sélective selon la taille des nanoparticules : au niveau de l’endothélium vasculaire, des pores de 5nm permettent le passage des QD, ce qui fait qu’ils atteignent rapidement l’espace extracellulaire extravasculaire alors que les plus grandes >5nm restent plus longtemps dans la circulation sanguine où elles subissent une phagocytose et sont donc évacuées.

En résumé, les NP de Graphène (Go, G, GQD) sont d’autant plus toxiques que leur taille est grande (micron). Les groupements époxy du GO peuvent entraîner un stress oxydatif (inflammation) pouvant conduire à la mort cellulaire. Elles sont cependant plus facilement dégradées par des enzymes comme les peroxydases.

Des études visant à réduire leur toxicité en les liant à des polymères biocompatibles sont actuellement en cours. A l’heure actuelle, la toxicité du graphène est encore insuffisamment définie et seuls les effets aigus (court terme) et subaigu (moyen terme) ont été déterminés.

Le schéma de distribution des NP confirme que les molécules sont phagocytées et donc rapidement neutralisées. Cette distribution et leur accumulation/dégradation dépendent de la taille, la forme et la charge de surface des particules mais également de l’organe cible, le flux sanguin, le nombre de cellules phagocytaires.

5/ Réglementation

L’UE ne précise pas de consignes particulières concernant les nanomatériaux utilisées dans les dispositifs médicaux, il y a peu de détails dans le règlement 2017/74/CE mais d’autres Réglementations Européennes telles que REACH 1907/2006/CE (qui concerne la mise sur le marché des produits chimiques) considèrent les propriétés et dangerosités propres aux nanomatériaux.

Il existe un guide du comité scientifique dédié aux risques émergents (SCENIHR) de 2015 qui précise certaines recommandations pour l’évaluation des risques sanitaires et environnementaux des nanomatériaux. Ces risques sont principalement liés aux NP libres dans les dispositifs médicaux et la durée d’exposition ainsi que la nécessité d’étudier la distribution et la persistance dans des organes spécifiques.

L’oxyde de graphène (GO) n’est pas officiellement classifié selon le règlement relatif à la classification, à l’étiquetage et à l’emballage, CLP 1272/2008/CE. Il existe cependant une Valeur Limite Professionnelle de 3.6 mg/m3 par inhalation.

Il est à noter également, que les nanomatériaux de la famille du graphène ne sont pas approuvés par la FDA aux États-Unis pour la consommation humaine. Selon la FDA, le graphène, l’oxyde de graphène et l’oxyde de graphène réduit provoquent des effets toxiques à la fois in vitro et in vivo et leurs utilisations ne sont donc pas autorisées.

RETOUR à LA RUMEUR ….

La présence de l’oxyde de graphène dans le vaccin est née d’une observation au microscope électronique à transmission demandée par R. Delgado Martin au Prof. Dr. Pablo Campra Madrid (Ecole supérieure d’ingénieurs Univ. Almeria, Espagne). Il ne s’agit donc pas d’un travail de recherche revu par des pairs mais d’une commande privée. Ce dernier a rendu un rapport non publié dans une revue à comité de lecture. Il a comparé le résultat à un article de Choucair publié en 2009 dans Nature Nanotechnology [9] montrant une observation de graphène. La lecture de ces deux publications souligne deux points qui s’opposent à la présence supposée d’oxyde de graphène dans les vaccins à ARNm :

  1. La publication de référence (Choucair et al., 2009) montre une analyse en microscopie électronique de graphène obtenu par pyrolyse et non d’oxyde de graphène. L’obtention de l’échantillon par pyrolyse confirme que cette référence ne montre pas un oxyde de graphène.
  2. Cette analyse proposée par Delgado est basée sur des observations par diverses techniques et il est surprenant qu’elles n’aient pas été confirmées par une analyse chimique qui validerait le résultat et la substance observée dans l’échantillon étudié.

C’est d’autant plus surprenant qu’un brevet, intitulé « Vaccin recombinant nano-coronavirus prenant de l’oxyde de graphène comme vecteur » a été déposé par Shanghai National Engineering Research Center for Nanotechnology Co Ltd depuis le 27 Septembre 2020 et n’a à ce jour pas été accepté [10].

CONCLUSION

Face à la crainte légitime qu’inspire actuellement le projet transhumaniste, il est compréhensible de s’interroger sur les intentions et applications possibles et souhaitables pour l’humanité.  Cependant il faut bien distinguer les utilisations existantes, possibles et potentielles.

L’oxyde de graphène peut jouer un rôle de vecteur ou de ciblage comme le montrent certains projets de recherche biomédicale en cours. Mais, à ce jour, peut-on répondre de la manière la plus objective possible, à la question : est –il possible qu’il y ait de l’oxyde de graphène dans les vaccins et pourquoi y en aurait-il ?

Au regard de la réglementation, les études de toxicités des NP de l’oxyde de graphène ne permettent pas encore une application pratique dans le domaine des médicaments, des vaccins ou des dispositifs médicaux. Si des progrès certains sont à noter dans le domaine de leurs propriétés de surfaces pour améliorer leur biosolubilité et leur biocompatibilité, il reste encore trop de données manquantes en toxicité in vivo, mais aussi en cancérogénèse, mutagénèse et génotoxicité ainsi que dans la compréhension de la phagocytose dans les monocytes (foie, rate, ganglions lymphatiques). Ces données issues de tests standardisés sont nécessaires aux fins d’autorisation réglementaire et cela exclut l’usage actuel dans le domaine des vaccins, même si cela est envisagé.

Dans le cas des « vaccins » actuels contre la COVID-19, administrés en injection intramusculaire, l’élimination rapide par phagocytose des nanoparticules d’oxyde de graphène rend difficilement possible la thèse d’une administration frauduleuse en vue d’une connexion furtive à la 5G qui plus est. Il paraît plus probable que si une telle connexion était à envisager entre un serveur et un individu, elle se fera d’abord par des objets connectés portés de manière volontaire ou contrainte (smartphones), puis par une micropuce sous-cutanée implantée, mais pas via une injection systémique de NP dispersées censées s’accumuler dans un organe (cerveau, cœur…), compte tenu de leur élimination rapide que ce soit par réactions d’oxydation pour le GO ou par phagocytose pour le graphène. Par la voie systémique, l’utilisation à venir dans un avenir proche ne peut qu’être ponctuelle comme en imagerie ou en thérapie anticancéreuse par exemple.

BIBLIOGRAPHIE

[1] https://rumble.com/vkipvb-comment-degrader-loxyde-de-graphene-version-franaise.html

[2] https://www.henrymakow.com/upload_docs/4_5976673186836646447.pdf

[3] https://chemicalviolence.com/2021-07-14-spanish-study-pfizer-vaccine-toxic-graphene-oxide.html

[4] Gao A., Liang H., Shen Q., Zhou C., Chen X.M., Tian J., …Cui D. Designing a novel nano-vaccine against SARS-CoV-2. Nano Biomedicine and Engineering. 2020;12(4):321–324.

[5] Ghaemi F, Amiri A, Bajuri MY,Yuhana NY,Ferrara M, Role of different types of nanomaterials against diagnosis, prevention and therapy of COVID-19. Sustainable Cities and Society, 25 May 2021, 72:103046

[6] https://graphene-flagship.eu/

[7] https://www.kemi.dtu.dk/nyheder/2019/07/opening_the_door_to_hybrid_2d_materials?id=363e4fee-645b-42ba-8aa1-ce8ca23528e6

[8] S. Wang, I. S. Cole, and Q. Li, “The toxicity of graphene quantum dots,” RSC Advances, vol. 6, no. 92, pp. 89867–89878, 2016.

[9] Mohammad Choucair, Pall Thordarson and John A. Stride, 10.1038/NNANO.2008.365 “Gram-scale production of graphene based on solvothermal synthesis and sonication, Feb 2009.

Uptake and biodistribution of nanoparticles – a review, Report 12/16, Swedish Chemicals Agency. Stockholm 2016

[10] Nano coronavirus recombinant vaccine taking graphene oxide as carrier (depuis 27/9/2020) par Shanghai National Engineering Research Center for Nanotechnology Co Ltd
https://patents.google.com/patent/CN112220919A/en




Le test de résilience au covidisme d’État

[Source : (plumenclume.org]

Par Sébastien Renault

L’avantage des dictateurs, c’est qu’ils incitent à une mise à jour régulière de la santé mentale des peuples qu’ils victimisent, contribuant par-là, malgré eux, à la réviviscence de la conscience de leurs victimes et à la réappropriation des principes moraux qui président toujours à la construction individuelle et sociale d’êtres rationnels et libres. Macron et consorts ne font pas exception, il faut les en remercier.

La société dans laquelle nous vivons depuis des décennies était mûre pour une prise de contrôle dictatoriale des esprits bien avant l’émergence de la grande supercherie covidique d’État. La lucidité et l’honnêteté intellectuelle nous forcent à le reconnaître.  

Les malfaiteurs en chef, nouveaux dictateurs patentés à la solde de l’idéologie mondialiste et auxquels nous avons nous-mêmes donné le pouvoir, sont devenus de plus en plus puissants, sans rencontrer la moindre opposition notable, en raison de notre propre lâcheté et complicité consommatrices vis-à-vis d’un système pourtant frauduleux et pourri jusqu’à la moelle. Le problème de fond ne découle donc pas seulement des criminels qui sont derrière la « Grande Réinitialisation », mais bien de notre propre concours, jusqu’à une date récente au moins.

Dans un premier temps, l’esprit sainement septique, face aux escrocs politico-médiatiques en charge du discours officiel dogmatique, s’est développé sur le terrain délétère et contagieux de la peur, et nous avons vu la tromperie reprendre de plus belle.

D’où la pertinence de l’analogie du terrain et du virus, qui s’appuie sur la différence de paradigmes fondamentaux pour l’étude des maladies infectieuses, paradigme de l’origine interne de la maladie d’un côté ; paradigme canonique de son origine extrinsèque par l’intermédiaire de micro-organismes de l’autre. À la vue de ce qui se passe depuis maintenant un an et demi, on peut faire valoir que si les populations, analogues du terrain, n’étaient pas des proies aussi faciles, alors les élites et l’empire GAFAM, analogues du virus, ne pourraient pas si aisément les infecter.

Le déphasage fondamental entre la perception et la réalité de ce qu’on appelle, depuis début 2020, la « pandémie Covid-19 », continue de rendre possible ce phénomène psychoculturel que nous avons baptisé, dès les premiers mois de focalisation sanitaire monomaniaque et de sécuritarisme auto-aliénateur, le COVID-isme.

Le covidisme rime avec travestissement éhonté de la science. Il rime également avec hygiénisme scientiste – qui n’est évidemment pas la science (la science n’étant pas fanatique, comme le sont au contraire l’hygiénisme et le scientisme). Il rime encore avec lâcheté collaboratrice, qui sait toujours se présenter sous des airs de supériorité vertueuse et éclairée. Il rime, de surcroît, avec redéfinition de la santé par l’absence fantasmagorique d’influence virale (par-dessus tout du coronavirus), culpabilisation des innocents, interventionnisme étatique, obligation vaccinale, effémination de la société, nouvel obscurantisme, éclipse de la raison, dogmatisation de l’absurde sanitaire, …

[Note de Joseph :
Là société est-elle vraiment rendue « efféminée » (comme le pensent notamment ceux qui l’ont comparée à une jeune fille) ou plutôt infantilisée ?
Pour déterminer laquelle des analogies est la plus fidèle à la réalité observée, il est nécessaire de rappeler au moins brièvement les caractéristiques masculine, féminine et de l’enfant, adolescent y compris.
Le comportement et le tempérament de l’être humain découlent en grande partie de la biologie et des traditions ancestrales depuis notamment les sociétés primitives de chasseurs-cueilleurs.
Le masculin se caractérise ainsi plutôt par l’usage de la force physique, la tendance à l’action impulsive (par réflexe plutôt que sous l’effet d’une longue réflexion), l’exploration du monde, le goût pour la lutte et la compétition, l’esprit de conquête ou de domination, l’agressivité, la brutalité, le courage physique, la détermination, la prédation, la bestialité, le goût pour le bricolage, l’agitation, etc.
Le féminin se caractérise plutôt par la douceur, la tendresse, la réceptivité, la sensibilité, l’attention, les aptitudes éducatives, la fragilité, la tendance à protéger, le goût pour la décoration, la possessivité, la patience, le dévouement, la frivolité, la coquetterie, le courage moral, etc.
Si, dans la ligne ou la logique de l’inversion des valeurs et des choses, les femmes, sous l’impulsion du féminisme, ont tendance à développer des caractéristiques masculines, et, par réaction, les hommes ont tendance à développer des caractéristiques féminines, les deux polarités ont globalement tendance à trouver un certain équilibre, même si celui-ci reste instable et peut être dans certains pays plus marqué vers le féminin.
L’enfant lui est plutôt caractérisé par l’insouciance, le goût pour les jeux, le besoin d’être rassuré, le besoin d’attention, l’irrationalité, la curiosité, l’égocentrisme, le développement émotionnel, l’immaturité, la recherche des limites, les caprices, le manque ou la recherche de confiance en soi, etc.
L’adolescent y ajoute la rébellion, l’affirmation de soi, la recherche d’émancipation, l’angoisse existentielle, les changements rapides d’humeur, le développement mental et du raisonnement, etc.
Maintenant, quelles sont les caractéristiques de nos sociétés, au moins dans le monde occidental ?
Elles sont plutôt caractérisées de nos jours par l’irresponsabilité, l’égoïsme, le matérialisme, la recherche d’émotions fortes, la tendance aux loisirs, le goût pour la facilité, l’absence d’efforts, l’individualisme tout en recherchant le contact des foules ou des autres par instinct grégaire, la tendance à s’en remettre aux gouvernements et aux pouvoirs locaux, le manque de volonté, l’alignement sur la pensée unique ou commune, l’absence de questionnements, la faiblesse morale, la légèreté, la superficialité, l’absence de profondeur, le conformisme, etc.
De telles caractéristiques se rapprochent davantage de celles que l’on trouve chez l’enfant ou éventuellement l’adolescent et ne sont pas vraiment liées aux différenciations entre le masculin et le féminin ou au contraire peuvent parfois puiser dans les deux polarités, plutôt d’ailleurs par le manque que par la présence des caractères. Ainsi en est-il notamment de l’absence de courage. La masse des individus, et donc la société en général, tend à manquer à la fois de courage physique (caractère plutôt masculin) et de courage moral (caractère plutôt féminin). Par ailleurs, entre les tendances infantiles et celles de l’adolescence, le grand conformisme civilisationnel et la tendance à suivre les consensus et la pensée unique sont plutôt à l’opposé des tendances rebelles d’un adolescent et auraient bien plus à voir avec l’enfance. La forte et croissante tendance ludique et frivole se trouve elle autant chez le jeune enfant que chez l’ado.]

Ces derniers mois, tous ceux qui se sont courageusement évertués à mettre en garde les populations à la fois contre les dangers d’injections en phase expérimentale (alors qu’il existe déjà, comme nous le savons tous, des médicaments efficaces pour traiter les patients atteints du SARS-CoV-2) et contre la duperie de leur efficacité à triompher du virus, ont été censurés et ridiculisés comme des complotistes et des propagateurs de désinformation.

Après la proscription de traitements comme l’hydroxychloroquine [1] et l’ivermectine [2] (qui auraient pu sauver des centaines de milliers de vies), l’abolition pratique du serment d’Hippocrate et celle du consentement éclairé, voici donc venue la canonisation du « vaccin » mondialiste sous autorisation conditionnelle de mise sur le marché… Autant de faits vastement documentés et criants de scandale qui serviront, en son temps, au jugement de l’histoire.      

En attendant, que nous disent les faits du phénomène Covid politico-sanitaire à l’heure d’aujourd’hui ? En cette fin d’été 2021, la contagiosité grandissante des personnes complètement « vaccinées » parle d’elle-même. Après les flots d’aboiements accusatoires par les divers porte-drapeaux de l’autoritarisme sanitaire inflexible à l’encontre des pestiférés non-vaccinés, retour à la réalité parfaitement prévisible : le phénomène de transmissibilité aggravée du virus, en ces dernières semaines d’été, est principalement vectorisé par les vaccinés contaminés.

En appliquant à cette situation factuelle une manière toute covidique de raisonner, il faudra donc dire que ce sont ces nouveaux vecteurs vaccinés qui représentent aujourd’hui la principale menace pour la santé publique. Ce que confirment par ailleurs les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), qui les ont récemment identifiés comme des « super-diffuseurs » de nouveaux « variants » du SARS-CoV-2 [3].

Le 30 juillet dernier, les CDC ont publié un rapport d’enquête faisant état des nouvelles émergences d’infection vraisemblablement conditionnées dans le cadre d’importants rassemblements publics (où l’on suppose que le phénomène dit de « super-diffusion » se produit. Le document commence par admettre ce qui suit [4] :

« […] Environ trois quarts (346 ; 74 %) des cas sont survenus chez des personnes entièrement vaccinées (celles qui avaient complété un traitement de 2 doses de vaccin ARN messager [Pfizer-BioNTech ou Moderna] ou bien n’avaient reçu qu’une seule dose du vaccin Janssen [Johnson & Johnson] ≥14 jours avant l’exposition). […] Dans l’ensemble, 274 (79 %) patients vaccinés présentant une infection émergente étaient symptomatiques. Parmi les cinq patients atteints de la maladie COVID-19 qui ont dû être hospitalisés, quatre étaient complètement vaccinés… »

Les efforts déployés par le lobbying vaccinal absolutiste en vue d’inoculer le plus grand nombre de personnes possibles lors d’une pandémie à peine définissable comme telle (à la lumière de l’estimation du taux d’incidence des cas de SARS-CoV-2 en France à l’heure d’aujourd’hui [5] et de la spécification française du seuil épidémique des syndromes grippaux [6]), finissent toujours par déboucher sur des mutations virales qu’aucun vaccin, pas même au sens propre du terme, ne peut efficacement juguler. Encore moins des « vaccins » dont l’efficacité et la sécurité à long terme n’ont pas encore été testées (puisqu’il faut des années de recul pour parvenir à des conclusions probantes), sinon sur les populations elles-mêmes…

La mise en échec par les faits de la religion covidico-vaccinale absolue

En jouant comme toujours sur la peur et les sentiments, le gouvernement et ses relayeurs médiatiques habituels ont continué à pousser coûte que coûte la stratégie du radicalisme vaccinal comme solution consacrée, dans leur narrativité mystificatrice, par son « efficacité ». Les incompétents au pouvoir, dans leur folie covidique avancée, ont ainsi persévéré dans l’incompétence et l’arrogance qui les caractérisent depuis le début de la crise, oubliant que l’OMS elle-même a souligné à plusieurs reprises que la « vaccination » ne supprime pas le virus. 

Les médias se sont gargarisés tout l’été du slogan flagellateur de « pandémie des personnes non-vaccinées ». Sous-entendu, dans leur narrativité mystificatrice et détractrice : les personnes qui n’ont pas reçu l’injection expérimentale mondialiste constituent la majorité des personnes hospitalisées et des décès dus à la propagation du « variant delta ». Un mensonge éhonté !

Il s’agit toujours des mêmes procédés d’intimidation par les détenteurs de la bonne conscience extrémiste scientiste et humanitaire. Pour eux, toutes les contrevérités se justifient, puisque l’intégrisme de leur proposition, « hors du vaccin, pas de salut », ne saurait souffrir le doute des gens suffisamment éclairés. Tous les moyens sont donc légitimes, y compris l’atteinte aux libertés fondamentales, la diffusion de fausses nouvelles et la promotion discriminatoire, même s’ils plaident par ailleurs en faveur de tout ce qui est « antidiscriminatoire » – bienséance politicienne oblige (ne relevez pas ici la contradiction, même si elle est évidente, car elle est, elle aussi, « justifiée »).

En réalité, le nombre de cas positifs chez les personnes ayant reçu une ou plusieurs doses de l’injection expérimentale augmente régulièrement depuis la mi-juillet, comme l’attestent notamment les données de santé publique d’outre-Manche, d’Israël et d’Islande.

Au 21 août dernier, 62 % des patients britanniques hospitalisés et âgés de plus de 50 ans avaient reçu deux doses de l’injection expérimentale AstraZeneca-Oxford, contre 13 % n’en ayant reçu qu’une seule. Au total, les personnes « partiellement » ou « complètement » inoculées représentaient donc 75 % des nouvelles hospitalisations outre-Manche.

Il en va de même pour les personnes malheureusement décédées. Dans le groupe des plus de 50 ans, la nette majorité des patients (70 %) avaient reçu soit une ou deux doses du composé à vecteur adénovirus d’AstraZeneca-Oxford.

On ne sait pas si les hôpitaux britanniques désignent encore comme « patient Covid » toute personne ayant été admise et dont le test PCR est déclaré « positif ». Si tel était encore le cas (comme ça l’est, notamment dans de nombreux établissements aux États-Unis), les personnes souffrant de pathologies ne présentant aucun symptôme du SARS-CoV-2 pourraient être indûment comptées dans la catégorie des « patients non vaccinés » (histoire de maintenir aussi longtemps que possible le statu quo narratif).

En Israël, où l’adoption de l’injection expérimentale a été très élevée en raison des restrictions draconiennes de liberté imposées aux personnes qui ne s’y soumettraient pas, les données montrent que les personnes ayant reçu au moins deux doses du cocktail mondialiste sont 6 à 7 fois plus susceptibles d’être infectées que les personnes bénéficiant d’une immunité naturelle [7].

Le fameux laboratoire israélien grandeur nature n’entend d’ailleurs pas en rester là, puisque plus d’un million de ses citoyens âgés de 50 ans et plus ont déjà reçu un troisième rappel de l’injection à ARN messager concoctée par Pfizer-BioNtech. Les nouveaux cas de contamination ne s’en multiplient pas moins à l’heure actuelle à une vitesse croissante.

Selon Uri Shalit, bio-informaticien au Technion (l’Institut israélien de technologie) :

« Il y a tellement d’infections émergentes qu’elles s’avèrent prédominantes, et la plupart des patients hospitalisés sont en fait vaccinés. » [8]

Dvir Aran, expert en données biomédicales également au Technion, avertit les autres nations tentées de s’inspirer du modèle israélien pourtant catastrophique :

« Ne pensez pas que les rappels soient la solution. »

Dans leur étude mise en ligne le 25 août 2021 [9], Sivan Gazit et coauteurs montrent, comme nous l’avons pointé plus haut, que la protection naturellement conférée par une infection antérieure est largement supérieure à ce que peut conférer l’injection de Pfizer-BioNTech.

Ces chercheurs ont également suivi de près l’évolution récente des infections dites « émergentes », et leurs études indiquent que les personnes « vaccinées » sont jusqu’à 13 fois plus susceptibles de contracter le variant covidien « delta » que les personnes « non-vaccinées » et déjà rétablies d’une infection par le SARS-CoV-2.

L’étude indique également que les personnes « vaccinées » présentent toujours un risque plus élevé d’hospitalisations liées au SARS-CoV-2 par rapport aux personnes « non-vaccinées » ayant déjà été contaminées par le virus. Plus précisément, les personnes « vaccinées » qui n’ont pas été infectées auparavant par le SARS-CoV-2 présentent désormais un risque près de 6 fois plus élevé de vectoriser l’infection dans sa nouvelle forme dite « delta » …

D’après ces données, il semble assez clair que les différentes injections « miracles » des grands cartels pharmaceutiques à la tête de la « guerre » génique expérimentale anti-Covid ne protègent pas les personnes de plus de 50 ans (sans entrer ici dans les détails des effets indésirables graves et non graves par tranches d’âge [10] potentiellement liés aux produits dits « vaccinaux » anti-Covid). De sorte que le déploiement des injections de rappel dans ces pays (pour une quatrième, puis une cinquième, puis une sixième dose, etc.) ne fait pas l’ombre d’un doute (car l’évidence de l’échec ici n’entrave nullement la détermination covidique officielle vis-à-vis de l’efficacité des « vaccins », porteurs contemporains du salut). Et il y a tout lieu de penser que les mêmes tendances apparaîtront prochainement dans d’autres pays, à commencer par la France (chose déjà en vigueur pour ce qui est de la troisième dose [11]).

Comme toujours depuis que le monde entier est en proie à un projet d’essai « vaccinal » unidimensionnel sous prétexte dela propagation du SARS-CoV-2, il est de mise de rappeler qu’un vaccin, au sens propre du terme, doit non seulement stimuler une réponse immunitaire chez le patient qui le reçoit, mais encore perturber la transmission de tel ou tel pathogène x ou y.

Ce n’est pas ce que fait l’ARN messager des injections dites « anti-Covid », dont l’information entre directement dans les cellules des personnes aujourd’hui inoculées en masse. Ce produit est un traitement synthétique (au sens où il consiste fondamentalement en la synthétisation de nanoparticules toxiques, appelées protéines de pointe), qui n’est pas conçu pour faire obstacle à la transmission du virus. Outre le mécanisme spécifique de l’ARN messager dans la production de protéines de pointe conformes au principe actif du SARS-CoV-2, la présence attestée d’oxyde de graphène, sur laquelle nous allons succinctement revenir ci-dessous, est fortement susceptible d’expliquer la montée actuelle de multiplication des nouveaux cas d’infection comprenant un grand nombre de personnes déjà plusieurs fois inoculées.  

À noter enfin qu’en Italie, l’extrémisme vaccinal n’est pas non plus en reste, avec la récente menace émise par l’ancien président de la Banque centrale européenne, l’actuel Premier ministre Mario Draghi, de rendre l’inoculation anti-Covid obligatoire pour tous [12]. Draghi attend de l’Agence européenne des médicaments (AEM) le feu vert de leur accord complet pour faire sauter la liberté au nom du covidisme qu’il professe. Le gouvernement italien, comme en France, a déjà rendu obligatoire la « vaccination » des travailleurs médicaux s’ils veulent être rémunérés.

Divergence de base virale : « en guerre » contre « quoi » ?  

Dans leur bienveillance affectée, les pouvoirs publics accordent aujourd’hui au peuple une liberté conditionnelle, qui n’est donc plus un droit naturel (au sens de droit fondamental et inaliénable), mais plutôt un privilège qui s’octroie ou non – cela dépend de la volonté des citoyens de se conformer à ce qui a été décidé pour eux par le « Conseil de défense et de sécurité nationale » (puisque nous serions « en guerre »), pour leur « plus grand bien » (c’est évident, il faudrait être tombé dans le piège du complotisme pour penser le contraire).

En guerre, mais contre qui exactement ? Ou plutôt, contre quoi ? Contre la liberté certes, cela est désormais explicitement entériné par les mesures en place, notamment un apartheid sanitaire. Mais en « guerre » déclarée, en premier lieu, sous prétexte de la mener à l’encontre d’un certain virus (chose en soi des plus absurdes), dont l’identité aurait néanmoins peut-être échappé aux va-t-en-guerre patentés de la nouvelle sanitocratie universelle.

Que voulons-nous dire ? Que Fauci et ses acolytes des CDC et de l’Institut Pasteur sont soupçonnés, non sans raison, de ne pas avoir disposé de la base virale entièrement développée du SARS-CoV-2 ; base à partir de laquelle il serait possible de calibrer un test de dépistage standard propre à la détection de ce virus particulier.

Un document [13] mis en ligne le 21 juillet dernier par l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (la FDA) semble en effet indiquer que les CDC et la FDA, faute d’échantillons physiques du SARS-CoV-2, ont échafaudé un protocole de test destiné à la détection massive du « coronavirus » sur la base de cellules humaines immunitaires et épithéliales combinées à des fragments de rhinovirus (d’où procèdent les formes annuelles de la rhinopharyngite).

Or, sans matériel génétique de référence pour calibrer et confirmer le PCR, le test n’a aucune base scientifique dans le domaine de la réalité physique proprement dite. Par conséquent, si la chose était corroborée, la crédibilité matricielle de l’analyse PCR basée sur ledit protocole serait des plus douteuses (avant même de parler des amplifications de cycles qui ont eu cours sans vergogne dans le monde entier depuis plus d’un an). Car nous aurions alors affaire à une méthode falsifiée à la racine même de ce qui est devenu le test standard de dépistage PCR.

L’avantage de cette falsification est bien sûr facile à comprendre, si l’objectif était de répertorier le plus grand nombre de personnes possibles comme patients ayant été testés « positifs », donc infectés par le SARS-CoV-2, quand bien même elles ne présenteraient rien d’autre que d’infimes quantités de fragments d’ARN issues d’autres souches des Coronaviridae – d’infections virales révolues des mois auparavant, mais encore détectables au sein de l’appareil respiratoire des patients testés tous azimuts depuis le début de la crise sanitaire Covid-19.

Si, comme le document semble l’indiquer, les chercheurs travaillant au sein de l’orbite « faucien » ne purent fournir « d’isolats quantifiés du 2019-nCoV à l’usage des CDC » lors de la mise au point de ce qui allait devenir le test standard universel de dépistage PCR (à noter que la défectuosité du protocole du test PCR est désormais admise par les CDC, qui l’interdiront en conséquence d’ici la fin de l’année, affaire à suivre), c’est qu’en lieu et place de tels échantillons de référence proprement isolés, le profil de base de la maladie virale « faucienne » ne présente rien d’autre qu’un composé multicellulaire de souches de virus grippaux et de rhumes banals.

Dans la logique interne de cette histoire somme toute curieuse, les tests de dépistage PCR ont donc été configurés de manière à détecter chez les patients testés les séquences génétiques obtenues initialement à partir de banques de données numériques artificielles (donc plus ou moins forgées à partir de cellules épithéliales alvéolaires et de fragments d’ARN inventoriés de quelques picornaviridés et autres virus grippaux saisonniers communs).

Aucun médecin ou chercheur n’ayant isolé le SARS-CoV-2 à partir d’un patient infecté et symptomatique, aucun instrument de laboratoire ne peut être proprement calibré contre les caractéristiques dictées par son statut référentiel physique. En conséquence, les tests s’appuient simplement sur les propriétés des bases de données diffusées par les CDC et l’OMS, en utilisant le terme « Covid » comme étiquette numérique de référence ubiquitaire.

Cela expliquerait par ailleurs pourquoi la grippe saisonnière a quasiment disparu en 2020… Tous ceux ou presque qui en sont réellement tombés malades se sont vus attribuer, par défaut, le diagnostic « Covid » …

Il est vain de faire la guerre à un virus, puisqu’un virus ne fait qu’exécuter un programme naturel de perpétuation de lui-même, sans intelligence réflexive libre ni la moindre volonté de détruire qui que ce soit. Oui, le virus de Fauci et consorts est bien là, fabrication mondialiste au service d’un plus grand projet mondialiste. Son identité réelle (variée et variante) demeure néanmoins évasive, quoiqu’inscrite, d’abord, dans un profil de bases virales connues. Tout semble avoir été pensé pour protéger les différents coupables à court et à long terme, et finalement les exonérer (comme on le fait déjà aujourd’hui en accordant l’immunité aux consortiums pharmaceutiques), alors qu’on pénalise collectivement les victimes de cette grande expérimentation covidique mortifère.

Oxyde de graphène : confirmation (dans le silence médiatique)

À la fin du mois d’août, les résultats d’un chercheur américain, le docteur Robert O. Young, ont été rendus publics sous la forme d’un article approfondi intitulé Scanning & Transmission Electron Microscopy Reveals Graphene Oxide in CoV-19 Vaccines (une traduction en a été relayée ici sur ce site).

Nous conseillons fortement la lecture de cet article, ainsi que l’examen attentif des diverses images provenant de la microscopie électronique en transmission, des tableaux, des schémas et des graphiques particulièrement intelligibles que fournit l’auteur.

Il ne s’agit nullement de « complotisme », mais bien de science et de recherche protocolaire détaillée, faisant certes dissensus par rapport au discours public ambiant (lequel se fait l’écho du chantage gouvernemental à la liberté pour engendrer un alignement anti-libéral collectif).

Ce n’est pas notre propos de récapituler ici le contenu de cet article. Mais nous en prenons acte pour mettre en exergue les résultats remarquables de cette enquête scientifique (contre l’omission prévisible de la part des médias globaux) et ajouter quelques réflexions complémentaires. Le principal résultat que confirme cette étude, et qu’il convient de souligner en premier lieu, est le suivant : le signal d’absorption des faisceaux nanoparticulaires identifiés dans les flacons d’injections « vaccinales » (de Pfizer, de Moderna, d’AstraZeneca et de Janssen), lorsqu’on l’analyse au moyen de la microscopie électronique en transmission, indique que ces produits contiennent des quantités importantes d’oxyde de graphène, un composé carbonique caractérisé par sa très haute conductivité électrique. Chose qui avait déjà été esquissée et observée il y a plusieurs semaines par des chercheurs espagnols, mais qui nécessitait un protocole et des outils technologiques particuliers pour être corroborée par différents chercheurs dans différentes régions du monde. C’est désormais le cas. On notera au demeurant que le problème, en tant que tel, de la toxicité des nanoparticules d’oxyde de graphène, a été traité auparavant et diffusé dans le domaine public à travers diverses publications scientifiques [14].

Autre élément notoire, le fait que l’oxyde de graphène tient lieu d’ingrédient « masqué » dans les produits géniques expérimentaux présentés au public comme « vaccins » (les brevets ne le divulguent pas, contrairement à tous les autres ingrédients). Pourquoi une telle dissimulation ?

Or, on constate que les troubles de coagulation (sous forme de micro-caillotages tout-à-fait symptomatiques), plus encore que les myocardites, les maladies à prions, les divers problèmes de reproduction et autres complications à foison, sont non seulement les plus fréquents, mais également les plus directement mis en corrélation avec les propriétés thrombogènes de l’oxyde de graphène. Il y aurait donc matière à vigilance ici, si du moins la déraison covidique ne s’était pas implantée si profondément au sein de nos sociétés décadentes et subjuguées par la peur.

Il est également indiqué ici de souligner que les électro-fréquences et les phénomènes magnéto-biologiques particuliers induits par l’intermédiaire de l’oxyde de graphène dans les injections anti-Covid ont de fortes chances de modifier de manière significative les propriétés conductrices des fluides et des tissus corporels (nous ne prétendons pas avoir observé et mesuré un tel phénomène, mais soumettons simplement ici nos réflexions, à titre d’hypothèse). Le contenu ionique intracellulaire et extracellulaire d’un système biologique détermine en premier lieu les propriétés conductrices de ses organes et fluides constitutifs. Ce qui a été observé, à l’intérieur comme à l’extérieur de structures bio-corporelles animales, c’est que la résistance diminue progressivement à mesure que la fréquence augmente. Bien sûr, si l’on considère le profil conducteur interne d’un système biologique donné, la résistivité va varier d’un organe à l’autre. La question est donc de déterminer dans quelle mesure la résistance et la capacitance de structures corporelles internes sont sujettes aux fluctuations des fréquences d’éléments complexes absorbés (tels que l’oxyde de graphène) et des radiations environnementales.

Une chose semble certaine, c’est qu’après inoculation, l’oxyde de graphène ainsi biologisé acquiert une excitation électronique et une résonance magnétique qui s’alignement précisément sur la troisième bande de fréquence du rayonnement des technologies 5G.

Rappelons par ailleurs que les cellules du corps humain sont spécifiquement conçues pour conduire des courants électriques. Le flux intra-somatique d’électricité est indispensable au système nerveux pour assurer l’émission de signaux à travers tout le corps, crucialement vers le cœur et le cerveau. La membrane cellulaire elle-même fonctionne comme un dispositif de séparation ionique permettant à la cellule de générer des courants électriques. La stimulation d’une cellule permet notamment aux charges positives d’en pénétrer la structure par le biais de ce qu’on appelle des canaux ioniques. Lorsque la cellule se charge positivement, elle génère d’autres courants électriques qui vont à leur tour produire des impulsions électriques, influx neveux indispensables à la mise en action de nos mouvements et gestes moteurs quotidiens, de nos pensées et autres comportements coutumiers au jour le jour.

En outre, les réactions d’oxydoréduction revêtent une grande importance au sein des systèmes électro-biologiques, tels que le corps humain. Le processus d’oxydation biologique repose fondamentalement sur le transfert (libération et capture) de protons et d’électrons d’une molécule (dite « oxydée », par perte d’électrons) à une autre (dite « réduite », par gain d’électrons). Les processus biologiques d’oxydoréduction présentent un certain nombre de caractéristiques bien définies. Ils font partie intégrante de la préservation du bon fonctionnement et de la santé d’un organisme. Nous n’y reviendrons pas ici, mais voulons simplement rappeler que l’altération de ces processus (telles que la respiration tissulaire, la phosphorylation oxydative, les réactions constituant le cycle de Krebs, etc.) est à l’origine de perturbations métaboliques et de maladies très graves pouvant entraîner la mort (les symptômes de maladies graves associées à l’altération des processus d’oxydoréduction peuvent inclure faiblesse musculaire, tremblements incontrôlés, manque de coordination, accidents vasculaires cérébraux, diverses paralysies, …).

De ces réflexions de base, retenons et appliquons les deux principaux objets d’analyse que nous avons ici brièvement abordés: 1) l ’incidence de la fonction de fréquence par rapport à la résistivité organique, et 2) l’induction d’un déséquilibre du mécanisme de transfert des électrons inhérent aux réactions d’oxydation et de réduction dans l’organisme; appliquons-les donc à la présence électriquement active d’oxyde de graphène chez les milliards de patients aujourd’hui inoculés à travers le monde « contre » le SARS-CoV-2. 1) Lorsqu’il est excité par truchements électromagnétiques ambiants, l’oxyde de graphène multiplie en conséquence ses propres fréquences. 2) En fonction de l’intensité du signal incident, il s’oxyde beaucoup plus vite et finit notamment par rompre l’équilibre entre les niveaux (naturellement bénéfiques) de glutathion et la toxicité dont il est lui-même l’élément déclencheur une fois intégré à l’organisme au moyen d’une des quatre injections mondialistes. C’est en cela qu’il peut entraîner toute une panoplie d’altérations métaboliques redoutables et de modifications très sérieuses du comportement du système immunitaire.   

Objectif perpétuation pathogénique indéfinie, régulation démographique, et neuromodulation des peuples… On peut certainement le craindre, en prenant acte de ces découvertes, quand bien même (et surtout !) puisqu’elles ne seront pas ébruitées par les maîtres du discours.

Récapitulation : comprendre le covidisme en fonction du tout globaliste

Nous vivons une époque sans précédent de mensonges, de négation de la vérité, de propagande et de violence systémique sans précédent. Cela est d’autant plus attesté et pernicieux que cette même époque aime par-dessus tout se parer des apparences de l’illumination intellectuelle, du progrès, de la compassion inclusive à toute épreuve (sauf quand il s’agit des brebis galeuses non-vaccinées), de la philanthropie (du moins, lorsqu’elle est rentable), de l’œcuménisme non dogmatique (dont le seul dogme n’est autre que l’absence de dogme, opinionisme oblige), de la liberté de choisir (par exemple d’en terminer avec une grossesse encombrante, mais certainement pas de mettre en doute et de rejeter les nouveaux « vaccins » mondialistes), etc.

L’hypocrisie est pour le moins flagrante, d’où la violence fondamentale, à la fois intériorisée et de plus en plus extériorisée, qui caractérise notre situation historique et culturelle en ce premier quart du XXIe siècle.

Mais il fallait, semble-t-il, redonner une épaisseur nouvelle à l’hypnose collective bêtifiante. Car les récents « travers » populistes (principalement le Brexit et l’élection de Trump en 2016) indiquaient qu’une prise de conscience des peuples allait dans le sens d’un mouvement de réluctance opiniâtre capable d’interférer avec les principes et les tactiques politiques des forces organisées du mondialisme.  

Entrent en scène la peur (outil de choix des despotes), la panique mimétique, la surenchère de dépistage et de chiffres falsifiés (fraude des tests PCR, statistiques de décès des plus douteuses), l’effondrement économique, les élections américaines piratées et dérobées au profit de Biden, l’isolement forcé des peuples limitant l’accès à l’air frais et à la lumière du soleil… Entrent donc dans notre champ visuel les conditions d’existence du monde covidique façonné en 2020.

La censure technocratique, la lutte contre le changement climatique (objectif « Pacte vert mondial », au nom de la « santé publique »), la numérisation de l’éducation et de l’interaction sociale, le « vaccin » universel (comprenant, dans sa confection, des produits génétiques dérivés de lignées cellulaires d’enfants avortés), la mise en place d’une monnaie numérique mondiale, comptent parmi les principaux piliers impérieux de la refonte escomptée par les partenaires mondiaux du Forum de Davos. Les retournements orwelliens de définition et autres détournements linguistiques (« neutralité climatique », « pandémie », « seuls ensemble », « nouvelle normalité », « le pass = liberté », « vaccins », « nouveaux variants ») sont aussi au programme de la fraude épistémique généralisée – au service du dressage et de la conquête des esprits – et de la grande reconfiguration du monde, selon le projet pan-numérique de la caste technocratique.

D’où l’énumération non exhaustive suivante du programme de « Grande Réinitialisation », plus violemment que jamais à l’ordre du jour, que nous proposons ici pour mieux situer le phénomène du covidisme d’État dans son rapport au grand Léviathan du tout globaliste (le lecteur sera libre de peaufiner et de compléter la liste) :

  • un gouvernement mondial ;
  • une monnaie numérique mondiale ;
  • une banque centrale mondiale ;
  • une armée mondiale ;
  • la fin de la souveraineté nationale ;
  • la fin des races (selon la logique interne du racisme suprême de l’antiracisme institutionnalisé) ;
  • la fin de toute propriété privée (maisons, voitures, petits commerces…) ;
  • la fin de la cellule familiale traditionnelle ;
  • la fin de la conjugalité et de la fécondité naturelles ;
  • la prise en charge éducationnelle des enfants par le gouvernement ;
  • ’éradication « compassionnelle » des personnes âgées (euthanasie universelle) ;
  • la dépopulation eugénique au profit du culte néopaïen de la planète (rappelons, par contraste, ce que disait un saint Jean de la Croix, qui scandaliserait les nouveaux fondamentalistes de la révérence écologique absolue : « Une seule pensée de l’homme vaut mieux que tout l’Univers, et Dieu seul en est digne ») ;
  • la mise en place d’une sanitocratie universelle ;
  • les vaccins obligatoires partout (canonisation universelle des principes de l’Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation, en anglais GAVI) ;
  • l’interdiction de la naturopathie et des médecines naturelles alternatives ;
  • perpétuation indéfinie des masques faciaux (suppression des visages) ;
  • l’allocation universelle ou revenu de base (l’austérité généralisée) ;
  • le sécuritarisme omniprésent ;
  • la surveillance de masse : basée sur la pan-connexion 5G (un réseau d’ondes millimétriques universalisé), les QR codes, et les micropuces ;
  • le système de crédit social (à la chinoise) ;
  • la fin des entreprises indépendantes ;
  • la fin des combustibles fossiles ;   
  • la restriction des voyages aériens non essentiels ;
  • la fin de l’irrigation, des fermes et des pâturages privées ;  
  • la concentration de la population dans les zones de peuplement ;
  • l’utilisation restreinte des terres ;

Réflexions conclusives

En 2021, la vertu maîtresse est de garantir la santé publique et le « bien-être » des peuples sous tutelle étatique, quand bien même les moyens d’y parvenir seraient irrationnels et liberticides.

Dans le prolongement de l’effémination de la société et de l’élévation désormais obligatoire de la figure homosexuelle bienpensante en Occident, la castration de l’homme covidique contemporain, par la peur et l’infantilisation, fait le jeu d’un remodelage complètement contre nature de l’humanité et des valeurs qui sous-tendent toujours l’édification et le développement de toute authentique civilisation. Aujourd’hui sous régime de liberté surveillée, l’homme covidique contemporain s’accommode très bien des prémisses émasculateurs de l’État-providence et de la destruction des valeurs, en premier lieu des valeurs masculines de courage, de résilience, de persévérance dans l’adversité, y compris face à la mort, inéluctable pour tous ici-bas.

Les mesures sanitaires prises par les autorités françaises n’ont eu aucune incidence jugulatrice sur l’épidémie, tout le monde le sait très bien (même ceux qui font semblant de ne pas le savoir). Plutôt que d’en prendre acte, ces mêmes autorités ont diffusé sans vergogne l’idée que la responsabilité de nouveaux développements et cas d’infection devait être imputée aux comportements déviationnistes des Français, particulièrement des « anti-vax complotistes » …

L’utilisation de la force et de la culpabilisation contre les citoyens pour se dédouaner de ses responsabilités colossales dans la gestion désastreuse de la crise sanitaire est une stratégie que le gouvernement français a systématiquement adoptée depuis un an et demi. Par son comportement répressif, accusateur et bien souvent bricoleur, il a fait le lit d’un vaste sinistre aussi bien économique que sanitaire et social. La dogmatisation de l’absurde sanitaire qu’il continue de professer et d’imposer au peuple est un scandale sans précédent.

La débâcle gestionnaire que nous avons vue à l’œuvre et malheureusement subie relève à la fois de ce scandale et de ce qui caractérise le plus distinctement cette ère hystérique du covidisme d’État : l’abdication de la rationalité.

Le type de rationalité qui perdure, par nécessité, nonobstant l’élaboration de politiques sécuritaires irrationnelles par nos instances étatiques entièrement soumises au covidisme, est celui qui soutient le projet aujourd’hui presque entièrement actualisé d’une hégémonie technocratique (vaccinale et numérique). Sans rationalité découlant d’abord de la technè, impossible de concevoir et de finalement mettre en œuvre le Nouvel Ordre civilisationnel de l’inoculation génique et de la surveillance universelle qui s’impose aujourd’hui.

C’est contre ce dévoiement totalitaire que continue de se lever aujourd’hui la France courageuse, la France qui fait aujourd’hui des émules dans le monde entier.  

Les représentants du pouvoir, de leur côté, restent enfermés dans leur déni péremptoire et autoritaire, coutumiers indécrottables de tactiques violant toute éthique médicale digne de ce nom. Ils se sont fourvoyés depuis le début, et l’entêtement persiste, comme si de rien n’était.

L’inversion accusatoire qui consiste à faire porter le fardeau de l’immoralité sur le dos des défenseurs des libertés fondamentales est la marque immanquable de cet orwellisme pharisaïque des détenteurs contemporains du pouvoir politico-médiatique. Dans leur suffisance « anti-complotiste » et donneuse de leçons de morale sanitaire, les accusateurs covidistes vont aujourd’hui jusqu’à faire passer les conditions d’existence en société pour un crime contre celle-ci. À commencer par le simple fait d’interagir avec autrui (sans faire de concession à l’irrationalité covidique de la peur d’autrui), parce que cela pourrait impliquer la possibilité de transmettre le virus à d’autres personnes… La logique de l’inversion morale, derrière cette manière démentielle de raisonner, pose pour prémisse que la transmission du virus, en soi, constitue un crime sans équivoque. Les restrictions en place sont dès lors moralement justifiables et justifiées. On trouve la même forme de raisonnement vicié depuis un an et demi au fondement des stratégies de contrainte préventive, d’infantilisation des peuples et d’utilisation de la force constitutionnelle et exécutive pour asseoir un monopole sanitaire illégitime.

Lorsque les exceptions qu’un État impose par rapport aux libertés et aux droits fondamentaux de ses citoyens peuvent être mises en avant et promulguées sans honte comme « libératrices », il est clair que l’inversion morale est allée beaucoup, beaucoup trop loin.

Dans ces conditions, se défendre du sécuritarisme tyrannique d’État, du covidisme hystérique et délateur, et des intimidations coercitives « légales » du pouvoir face à une menace aussi peu meurtrière que celle du coronavirus devient un devoir incontournable, une obligation morale interne surgissant de la conscience de tout homme encore rationnel et libre.

Pénaliser par « précaution », voilà une démarche qui ne pouvait tenir (on l’a vu dès l’an dernier). Le chantage à la liberté, intrinsèquement contradictoire, ne peut non plus tenir. Nous sommes une majorité à abominer la surveillance universelle, dont le « pass sanitaire » est le marchepied. Le glissement totalitaire est désormais consommé. Mais il s’agit d’un échec gouvernemental en tous points, et le grondement légitime des peuples se fait entendre des quatre points cardinaux.

Gardons espoir que la rentrée et les semaines à venir vont fournir la poussée supplémentaire à la levée de boucliers de tous les amis de la civilisation et de la loi naturelle.

Notes

[1] Et le procès condamnateur particulièrement avilissant à l’endroit du professeur Didier Raoult.

[2] Qui, entre autres effets bénéfiques, renforce de manière prouvée l’activité cellulaire antivirale naturelle en augmentant la production naturelle d’interféron. En d’autres termes, il ne s’agit pas seulement d’un médicament antiparasitaire à l’usage des vétérinaires (comme d’aucuns propagandistes du pouvoir l’ont répété à l’envi), mais bien d’un inhibiteur avéré (et sans effets secondaires) de l’activité du SARS-CoV-2.

[3] https://www.businessinsider.com/cdc-fully-vaccinated-people-can-spread-delta-variant-2021-7.

[4] Outbreak of SARS-CoV-2 Infections, Including COVID-19 Vaccine Breakthrough Infections, Associated with Large Public Gatherings — Barnstable County, Massachusetts, July 2021 | MMWR (cdc.gov).

Il convient de signaler ici un article de recherche de 2015 qui examine si les vaccins pourraient en fait favoriser l’évolution d’agents pathogènes plus virulents que le virus de base : 
Imperfect Vaccination Can Enhance the Transmission of Highly Virulent Pathogens (plos.org).  

[5] https://www.sentiweb.fr/document/5398 (« Situation observée pour la semaine 35 de l’année 2021, du 30/08 au 05/09/21 », voir p. 2/3).

[6] De 173 cas pour 100 000 habitants (ratio du seuil épidémique établi en 2016).

[7] Voir l’étude intitulée 
Comparing SARS-Cov-2 natural immunity to vaccine-induced immunity: reinfections versus breakthrough infections, par les docteurs Sivan Gazit et son équipe de recherche au 
Maccabi Research and Innovation Center (nous allons y revenir quelque peu ci-dessous). 

[8] https://www.science.org/news/2021/08/grim-warning-israel-vaccination-blunts-does-not-defeat-delta

[9] Voir en note [7].

[10] Thromboses (artérielles, veineuses, cérébrales), ischémies, myocardites, péricardites, cas d’hyperperméabilité capillaire, pneumopathies, fausses-couches spontanées, cas de syndrome de Guillain-Barré, …

Voir, par exemple en France, d’après les données répertoriées par l’ansm (et, plus spécifiquement, 
https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins), les enquêtes de pharmacovigilance pour l’injection de Pfizer-BioNTech
(le rapport nº 17 : période du 28 mai 2021 au 1er juillet 2021, ce qui date déjà quelque peu), notamment les pages 8 et 9, ainsi que les tableaux récapitulatifs des cas non graves et graves en pages 43 à 51 ; et pour l’injection Vaxzevria/AstraZeneca
(le rapport nº 14 : période du 04 juin au 08 juillet 2021).

[11] https://www.vie-publique.fr/en-bref/280887-covid-19-la-has-rend-son-avis-sur-une-3e-dose-de-vaccin

[12] https://francais.rt.com/international/90331-covid-19-mario-draghi-pret-imposer-vaccination-obligatoire-italie

[13] https://www.fda.gov/media/134922/download

[14] Voir le bulletin d’alerte du 21 juillet 2021 : 
https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html   

Une étude de 2016 sur les nanomatériaux dérivés du graphène et sur leur toxicité in vivo et in intro : 
Toxicity of graphene-family nanoparticles: a general review of the origins and mechanisms | Particle and Fibre Toxicology (biomedcentral.com).

Une autre étude, datant de 2014, sur les nanoparticules magnétiques (à l’œuvre dans les thérapies géniques) : Superparamagnetic nanoparticle delivery of DNA vaccine – PubMed (nih.gov).

Également cette étude de 2010 portant spécifiquement sur la toxicité provoquée par les nanoparticules lipidiques chargées positivement : The systemic toxicity of positively charged lipid nanoparticles and the role of Toll-like receptor 4 in immune activation – ScienceDirect.




De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses

[Source : donde vamos via Sott.net]

Dans cet article, on va revenir un peu plus en détail sur certains points abordés lors de l’émission avec Ariane Bilheran et Akina. Pour commencer, un retour sur le début des travaux scientifiques autour du contrôle de la société et des individus, initié par un courant 100% eugéniste très en vogue dans les années 20, et rassemblé dans et autour de l’Institut Tavistock.

On va voir quelle est l’idéologie derrière tous ces travaux de recherche dont le caractère scientifique reste à démontrer. Une idéologie toujours présente en filigrane dans le discours ultra libéral, et plus que jamais d’actualité.

Note de Sott : A priori, l’émission avec Ariane Bilheran et Akina à laquelle l’auteur fait référence ci-dessus est la suivante :

https://youtu.be/6lyiufYzBRI

Nous mettons aussi à disposition de nos lecteurs la même vidéo sur Odysee au cas où YouTube censure la première :



La sociologie comme outil de gestion de la société

Le contrôle des masses et de l’esprit des individus n’est pas nouveau : les religions par exemple s’en sont fait une spécialité depuis des siècles et déjà Platon allait sur ce terrain. Mais la formalisation de ce qui est devenu une véritable discipline « scientifique » remonte à l’entre-deux guerres avec les travaux de la Tavistock Clinic, en Grande-Bretagne.

1921 : La Tavistock Clinic

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Avant les nazis, le concept de contrôle mental a été élaboré par la Tavistock Clinic créée en 1921. A cette époque de nombreuses cliniques spécialisées traitaient les adultes et les enfants, et la Clinique Tavistock (sous le nom de Tavistock Square Clinic for the Treatment of Functionnal Nerve Disorders ) s’est spécialisée dans le traitement précoce des enfants.

L’objectif était donc de traiter –et non soigner, un mot absent des études et rapports de l’époque- l’humain (enfant comme adulte mais avec des départements séparés) via la médecine, la psychologie, la sociologie en même temps. Une approche novatrice qui s’inscrivait dans le courant de pensée eugéniste, sur lequel on va revenir dans cet article.

Les premiers vice-présidents honoraires de la clinique étaient des gens aussi réputés que Sigmund Freud, qui était alors en Angleterre, HG Wells, Carl Jung[1], Cyril Burt, Julian Huxley et quelques autres.

La clinique Tavistock qui disait faire de la « nouvelle psychologie » issue principalement des théories de Karl Jung et Freud a été créée en 1921 par le psychiatre Hugh Crichton-Miller, qui a dirigé par exemple la Société Royale de Médecine ou la Société Britannique de Psychologie dans les années 30, et par Cyril Burt qui a été en contact avec les eugénistes dès ses études à Oxford et a notamment travaillé sur le caractère « héréditaire » du QI[2].

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Derrière le délire de Burt, l’objectif était de trouver des indicateurs pour assurer l’ordre social, et pour lui le QI était un paramètre important pour développer l’eugénisme, c’est-à-dire une sorte de sélection des individus les plus adaptés voire rentables pour l’ordre économique.

La Tavistock Clinic a aussi repris les thèses et l’idéologie de l’école de Francfort, issue de la création officielle en 1923 de l’Institut pour la recherche sociale, et qui était orientée vers les idées marxistes et « socialistes » en termes de gestion de la société.

Comme il y avait beaucoup de Juifs et –forcément- de marxistes dans ses effectifs, l’école a été très mal vue des nazis qui ont interdit à ses professeurs d’enseigner dès 1933. Elle s’est donc installée à New York en 1935, en association avec la New School financée par la Fondation Rockefeller, puis en Californie en 1940.

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 » Lord Bertrand Russell de l’école de Francfort était un défenseur de l’ingénierie sociale de masse clandestine. Dans son livre de 1951, ‘L’impact de la science sur la société’, il a écrit: « psychologie du cul. . . . Son importance a été considérablement accrue par le développement des méthodes modernes de propagande. Parmi ceux-ci, le plus influent est ce que l’on appelle « l’éducation ». La religion joue un rôle, quoique de moins en moins important ; la presse, le cinéma et la radio jouent un rôle croissant. . . . On peut espérer qu’avec le temps, n’importe qui pourra persuader n’importe qui de quoi que ce soit s’il parvient à attraper le patient jeune et qu’il est doté par l’État d’argent et de matériel.

Russell a poursuivi : « Le sujet fera de grands progrès lorsqu’il sera abordé par des scientifiques sous une dictature scientifique… Les psychologues sociaux du futur auront un certain nombre de classes d’écoliers sur lesquelles ils essaieront différentes méthodes pour produire une conviction inébranlable que la neige est noire« .

Theodore Adorno, passé par Oxford et proche de Horkheimer, était un des piliers de l’école de Francfort. Il voulait travailler sur la sociologie de la musique pour « programmer une culture de masse comme une forme de contrôle social extensif qui pourrait dégrader ceux qui la consomment ». Il a aussi travaillé sur les nouvelles technologies d’enregistrement et leur impact sur les auditeurs.

Il a écrit en en Allemand un bouquin publié en 1947 modestement intitulé « Dialectique des Lumières », expliquant à quel point la civilisation avait évolué depuis les âges des ténèbres à travers la « rationalité » mais que cela l’a éloigné de sa nature et l’amène à l’inhumanité.

statue Freud Tavistock

La Tavistock Clinic a aussi développé le concept d’hygiène sociale et celui d’hygiène mentale. Selon le Tavistock la folie, le crime ou l’inefficacité au travail sont liés à des troubles parfois mineurs déjà visibles dans l’enfance. En 1908 les tribunaux pour enfants ont été créés, et l’amalgame entre enfants en danger et enfants dangereux s’est renforcé. Les autorités envoyaient de partout à la clinique les enfants perturbés.

A l’origine, le Tavistock a surtout travaillé sur les mineurs et le développement de l’enfant. A ce moment un certain nombre de chercheurs se lançaient dans l’étude du psychisme des enfants, notamment des enfants traumatisés ou « difficiles », dont beaucoup sont passés par le Tavistock.

Par exemple le psychiatre John Bowlby a étudié dans les années 60 l’attachement de l’enfant à la figure parentale qui s’occupe de lui, et a estimé que les enfants ont besoin de cet attachement et de se sentir en sécurité pour se construire. Il a créé une unité spéciale au Tavistock pour cela.

Tavistock Clinic

Mais il y avait aussi d’autres objectifs, comme ceux poursuivis par un des financiers de la clinique, le duc de Bedford, le fondateur du parti fasciste anglais[3]:

« En 1921, le duc de Bedfordmarquis de Tavistock légua un bâtiment à l’Institut dans le but d’étudier les effets du traumatisme sur les soldats britanniques ayant survécu à la première guerre mondiale. Son but était d’établir le « point de rupture » d’hommes en état de stress, sous la direction du Bureau de l’armée britannique pour la guerre psychologique, dirigé par Sir John Rawlings-Reese. 
L’Institut Tavistock a son quartier général à Londres. Son prophète, Sigmund Freud, s’est installé à Maresfield Gardens quand il a déménagé pour l’Angleterre. La princesse Bonaparte lui fit cadeau de la demeure. Le travail de pionnier de Tavistock en sciences du comportement selon les directives freudiennes du « contrôle » des humains en a fait le centre mondial de fondement d’idéologies
« .

1921, année de la mise en service de la Tavistock Clinic, est une année importante pour les eugénistes. C’est l’année de la deuxième conférence internationale sur l’eugénisme à New-York, la première ayant eu lieu à Londres en 1912[4] sous la présidence de Léonard Darwin, biologiste fils de Charles.

eugenics affiche

Ces conférences visaient à inviter des décideurs politiques, des scientifiques, des organisations sociales, pour discuter de la manière dont ils pouvaient améliorer l’hérédité humaine et donc le niveau des humains qui composent la société.

C’est aussi en 1921 que Freud a publié « Psychologie des masses et analyse du moi » qui popularise la psychanalyse, sur la psychologie des individus dans des foules et était notamment inspiré de livres précurseurs en la matière : « Psychologie des foules » de Gustave Le Bon, paru en 1895[5] et des ouvrages de Gabriel Tarde.

En 1928 un neveu de Freud, Edward Bernays, publie « Propaganda : Comment manipuler l’opinion en démocratie« , dont Hitler s’est beaucoup inspiré.

Au tournant de la deuxième guerre mondiale, la Tavistock a été liée beaucoup plus étroitement au ministère de la Guerre, à l’armée et aux renseignements, orientant davantage ses travaux dans le contexte de la guerre, ce qui impliquait aussi de travailler sur les organisations et la gestion des humains.

psychologie des foules

En 1938, « Le personnel de la Clinique exprima son intention d’enquêter sur « les classes patronales et les cadres, car il était tout aussi important qu’ils soient harmonieusement équilibrés. » Ils voulaient appliquer le « traitement scientifique de la psychonévrose » aux problèmes à grande échelle d’efficacité professionnelle et aux dirigeants », et la sélection des officiers était un moyen potentiel d’y parvenir, résume Alice Victoria White en 2016 dans sa thèse « From the Science of Selection to Psychologising Civvy Street: The Tavistock Group, 1939-1948″

Un volet moins connu des travaux du Tavistock est celui sur les micro-ondes et leur potentiel en termes de contrôle des populations et des individus. Dès les années 50 des tests ont été menés sur des singes pour voir quand le singe dominait devenait soumis, et identifier les fréquences du cerveau correspondant à cet état de soumission.

Ce sont en effet les anglais qui ont marqué les plus grandes avancées sur les micro-ondes à partir des années 40, et c’est d’ailleurs en Angleterre qu’elles ont été testées à grande échelle sur des populations rétives au thatchérisme[6].

Parmi les domaines de recherches du Tavistock, il y a aussi l’identité sexuelle. Le Tavistock a été précurseur pour propager la théorie du genre et la banalisation de la transsexualité auprès des adolescents, quitte à produire des études peu sérieuses.

L’influence de Kurt Lewin

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Depuis 1921, le psychologue allemand Kurt Lewin, qui passe aujourd’hui pour l’un des fondateurs de la psychologie sociale devenue la psychologie du travail il y a quelques années, avait commencé ses travaux sur le comportement humain et la manipulation des individus dans des groupes c’est-à-dire la « dynamique de groupe ».

Des travaux qui ont beaucoup influencé la Tavistock Clinic, qu’il a dirigée en 1932, quand a été créé l’Institute for the Scientific Treatment of Delinquency (l’insititut pour le traitement scientifique de la délinquance).

Lewin a notamment étudié les groupes dans le cadre de l’entreprise, par exemple autour de « la résolution des conflits sociaux » ou l’ « accompagnement au changement » tant apprécié dans les cours de « management », et a participé à l’initiation de l’Association pour la psychologie expérimentale devenue l’Association Allemande de Sociologie.

usine angleterre

Lewin avait compris l’impact de son environnement sur l’individu et l’importance d’agir sur l’environnement pour modifier la personnalité des individus, bien au-delà des simples comportements. Il cherchait aussi à utiliser le trauma pour manipuler les individus, les « reprogrammer » sur le mode Ordo ab chaos, cette devise à la fois sataniste et franc-maçonne qui dit que l’ordre viendra du chaos.

Lewin s’est dit qu’appliquer ces méthodes à l’échelle de la société pouvait donner des résultats prodigieux en termes d’ordre social. Il a mis cela en application pour contribuer à faire entrer en guerre les US.

Lewin, qui était très proche de l’OSS puis de la CIA, expliquait par exemple en 1947 qu’ « il est préférable de conduire le changement en se focalisant sur la diminution des forces restrictives, plutôt que de chercher à augmenter les forces propulsives. Il est alors possible de changer en réduisant l’attachement des individus à la norme, soit en modifiant la norme elle-même« . Le processus de changement est composé de 3 étapes (cf. Cours de marketing en ligne) :

  • La phase de décristallisation des normes (phase 1), correspond à l’abandon des comportements et des attitudes habituelles et à la création d’une motivation à changer. Cette décristallisation est rendue possible par la discussion en groupe, favorisant la remise en cause des normes du groupe.
  • La phase de déplacement (phase 2), donne lieu à un changement par la réduction des forces de résistance que représente l’attachement aux normes. Il s’agit d’une phase de transition où l’on expérimente les nouvelles pratiques.
  • La phase de cristallisation (phase 3). Cette phase repose sur l’intégration de nouvelles habitudes.
cerveau mind control

Une méthode qui a fait et fait hélas toujours ses preuves car elle consiste à briser les fondements des individus. L’affaire France Telecom, où des cabinets de conseils en manipulation et pressage de citron ont été grassement payés pour éjecter un maximum de fonctionnaires[7], de même que la pseudo gestion de crise covid qui a surtout pour but de nous amener à marche forcée dans le monde orwellien dont certains rêvent depuis plus d’un siècle, le montrent parfaitement.

En écrivant ce genre de chose, dont il savait que cela s’appliquerait à l’entreprise comme à la politique, Lewin trahissait le but des sciences sociales qui est d’identifier et permettre de résoudre les problèmes sociétaux, pas ceux du pouvoir capitalistique.

Etant Juif, Lewin a rapidement été interdit d’enseigner et a fui l’Allemagne nazie en 1933. Après un passage en Angleterre et à la Tavistock Clinic il est arrivé aux Etats-Unis en 1935, enseignant notamment la psychologie sociale et psychologie de l’enfant d’abord à Stanford puis à Cornell, dont on reparlera dans la partie sur MK-Ultra, et enfin à Harvard où a été créée la première chaire de psychologie sociale en 1917 en collaboration avec l’armée.

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A partir de de la fin des années 30 il s’est lancé dans l’étude du comportement des individus dans le milieu du travail et les mécanismes de défense face à l’ingérence de l’extérieur, et a fondé en 1945 avec le MIT (proche de l’armée US) le Research Center for Group Dynamics.

Lewin a beaucoup travaillé sur l’apaisement des relations de travail, pour améliorer la productivité et limiter les conflits. Comme chez les nazis la notion de bonheur a été intégrée à celle de travail. Et sur la notion de groupe, notamment dans l’industrie du charbon, pour dépasser les conflits sociaux.

Il a aussi travaillé sur les enfants aux Etats-Unis, notamment à l’Iowa Child Welfare Research Station (le pôle de recherche sur le bien-être de l’enfant) où il a mené des recherches entre 1935 et 1944.

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Après 1945, le Département Social de l’institut Tavistock a été créé pour poursuivre les travaux sociologiques, anthropologiques, psychologiques et psychiatriques entrepris pendant la guerre, et les appliquer à la vie sociale en temps de paix.

En 1946 quand la Tavistock Clinic a été intégrée au service national de la santé, elle a reçu un don de la Fondation Rockefeller pour mettre en place une organisation séparée et travailler sur des sujets « non acceptés dans le domaine de la santé mentale« [8]. Elle est alors devenue le Tavistock Institute of Human Relations, isntallé sur un terrain de l’université du Sussex. L’Institu Tavistock a obtenu le statut d’ONG auprès de l’ONU l’année suivante.

Des travaux sur les « systèmes socio-techniques », sur les dynamiques de groupe et l’organisation du travail ont été menés au cours des années 50 et 60 au Tavistock par différents chercheurs comme Eric Lansdown Trist, spécialiste de la psychologie sociale ou le psychologue australien Fred Emery.

A travers tous ces travaux, le Tavistock a institutionnalisé les idées de Lewin, devenues très populaires dans les années 70.

Les influences du Tavistock sur le programme MK-Ultra.

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Un des grands noms du Tavistock, injustement mis sous le tapis aujourd’hui, est un certain John Rawlings Rees, à la fois psychiatre et militaire, cofondateur et premier président de la World Federation for Mental Health créée avec la bénédiction des Nations Unies dès 1947.

Rees était déjà présent à la Tavistock Clinic à sa création en 1920, en avait été nommé directeur médical adjoint en 1926 puis directeur médical en 1933, et il était encore là pour l’inauguration de l’Institut Tavistock pour les Relations Humaines en 1947.

Avec lui, le « Tavi » est aussi devenu un centre de formation à la psychothérapie qui rayonnait dans une série de structures[9] dédiées de près ou de loin à la gestion de la société par la médecine psychiatrique, dont une bonne partie a été créée par Rees et ses amis. Ce microcosme, largement financé et promu sur le plan « scientifique », a ainsi diffusé une certaine vision de la psychiatrie.

Rees, engagé comme psychiatre consultant par l’armée anglaise à partir de 1939, a été un acteur majeur du développement du concept de guerre psychologique, initiée par les Français durant les guerres d’Indochine puis d’Algérie. Rees a alors développé la psychothérapie de groupe basée sur la psychanalyse, devenue une nouvelle méthode de travail. Pour l’armée Rees a aussi travaillé sur les moyens d’influencer le moral de l’ennemi, sur la gestion des hommes, sur l’autorité… Des travaux qui ont été repris pour travailler sur le conditionnement des salariés et la gestion des « ressources humaines » étudiés au Tavistock.

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Rees a compris que les humains étaient fortement conditionnés par leur culture, leurs valeurs, plus que par le lavage de cerveau tel qu’ils le pratiquaient sur les soldats. Il fallait donc agir sur la société dans son entièreté.

La « Méthode Rees »qui a été très appréciée dans les écoles de guerre mais pas seulement consiste en un contrôle fasciste de la société, adapté à la gestion de la société du futur. Rees prônait un contrôle des communautés locales par des « leadership groups » et la démocratie participative avec évidemment un contrôle strict de l’information.

On notera que Rees a fait partie de l’équipe qui s’est occupée de gérer Rudolf Hess, ce pilier du système Nazi et proche d’Hitler depuis les débuts du NSDAP, qui a pris l’avion pour l’Angleterre en 1941[10]. Rees l’a suivi jusqu’en 1945, quand Hess a été jugé, passant officiellement pour dérangé mentalement grâce à l’analyse de Rees et son équipe. Après la guerre il a évidemment été nommé dans l’équipe de psychiatres chargés d’examiner les quelques nazis renvoyés devant les juges à Nuremberg, soi-disant pour « étudier le nazisme ».

Les nombreux travaux de « JR » Rees pour l’armée et les renseignements militaires lui ont valu de nombreuses récompenses et conféré un statut de « medical statesman » (homme d’Etat médical).

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C’est donc avec les honneurs qu’il a quitté le Tavistock en 47, pour se consacrer à l’organisation du 1er congrès de la santé mentale à Londres en 1948 et à la création de la World Federation for Mental Health (WFMH) avec Montagu Norman (gouverneur de la Banque d’Angleterre de 1920 à 1944 et proche des industriels Allemands).

La première intervention à la conférence fondatrice (vice-présidée par Carl Jung) a été celle de Margaret Mead, anthropologue et occultiste qui a été présidente de la WFMH en 56-57. La WFMH a lancé le mouvement d’ « hygiène mentale » et a très vite travaillé avec l’OMS et l’UNESCO dont le 1er directeur était Julian Huxley.

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Plus inquiétant encore chez Rees était sa volonté d’estomper les limites entre le vrai et le faux, le bien et le mal, et même de faire disparaître ces concepts, s’inscrivant en cela parfaitement dans l’idéologie sataniste/luciférienne. Tout un courant de la psychiatrie suivait cette tendance dans les années 40-50.

En 1934 devant des militaires Rees a expliqué son plan :

« Si nous voulons infiltrer les activités professionnelles et sociales d’autrui, je pense que nous devons imiter les totalitarismes et organiser une sorte d’activité de cinquième colonne… Nous avons mené une attaque fructueuse contre un certain nombre de professions. Les deux plus faciles d’entre elles sont naturellement la profession d’enseignant et l’église, les deux plus difficiles sont le droit et la médecine… Ne parlons pas en termes d' »hygiène mentale » mais en termes de « santé mentale ». …Soyons donc tous très secrètement la cinquième colonne. La psychiatrie doit maintenant décider de ce que sera l’avenir immédiat de la race humaine. Personne d’autre ne le peut. C’est la responsabilité première de la psychiatrie ».

Au Tavistock, Rees a aussi travaillé avec un canadien dénommé Brock Chisholm, psychiatre qui fut à l’œuvre dans la création de l’OMS, dont il a été le premier directeur général de 1948 à 1953. Il s’était notamment fixé comme objectif de définir ce qu’était l’hygiène mentale à travers une masse de publications sur la psychiatrie, pour normaliser et cadrer ce domaine crucial pour la gestion de la société.

A la sortie d’une guerre traumatisante pour plus de la moitié de la population mondiale, le sujet était en effet d’actualité. Et la chimie faisait de grands progrès ces dernières années, d’abord en Allemagne puis aux Etats-Unis également.

C’est Chisholm qui aurait suggéré à son ami « JR » Rees de créer une « Organisation mondiale de la santé mentale » pour avoir une organisation soi-disant indépendante avec laquelle collaborer.

Chisholm aussi était un fan du « gouvernement mondial » et lui aussi était pour estomper les notions de bien et de mal ainsi que la foi religieuse car cela « produit des gens non civilisés, l’immoralité, la délinquance et le chaos social« . Et pour y parvenir, il n’y avait selon lui rien de mieux que l’éducation et la psychothérapie.

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Un des collègues de Rees qui a dirigé la World Federation for Mental Health, Franck Fremont-Smith, a créé en 1942 le « Cybernetics Group », lancé par une fondation vitrine de la CIA, la Josiah Macy Foundation où Fremont-Smith était directeur médical. Les financements du Cybernetics Group venaient d’un peu partout, notamment de la WFMH, et servaient à payer des travaux destinés à prévoir et contrôler le comportement humain[11].

Kurt Lewin était d’ailleurs présent à la conférence de lancement, au cours de laquelle un chercheur mexicain dénommé Arturo Rosenblueth a déclaré que le cerveau était juste une machine complexe avec des impulsions électriques et que le comportement humain pouvait être programmé au niveau individuel comme sociétal.

En 69 sur son lit de mort, ledit Rosenbleuth a expliqué que « La culture de la recherche scientifique dans les plus hautes institutions d’enseignement a […] un rôle central. Elle élève le niveau d’enseignement destiné à préparer des professionnels et des techniciens compétents. Elle fournit l’atmosphère intellectuelle nécessaire pour la formation d’enseignants distingués. Enfin, elle permet l’entrainement du reste de la recherche ». Le Cybernetic Group a cessé d’exister en 1953 suite à des bisbilles internes.

Autre psychiatre éminent du Tavistock qui a travaillé sur le programme MK-Ultra : William Sargant, proche du directeur du programme MK-Ultra, le chimiste Sidney Gottlieb. Nommé à la tête du département de psychologie de l’hôpital de Saint Thomas à Londres en 1948 après un séjour de quelques mois aux Etats-Unis, Sargant s’inscrivait totalement dans les vues de Lewin.

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En 1957 il a publié un livre intitulé « Battle for the mind – A psychology of coversion and brain-washing » (La bataille de l’esprit. Une psychologie de la conversion et du lavage de cerveau) dans lequel il parle de diverses expériences, notamment l’utilisation de drogues, de la lobotomie et des « traitements par chocs » électriques ou d’insuline. Il examine aussi les religions et l’endoctrinement, la torture et leurs possibilités en termes de lavage de cerveau.

Il explique que

« Beaucoup de croyances peuvent être implantées dans beaucoup de gens après que les fonctions cérébrales aient été suffisamment perturbées par une peur, une colère ou une excitation induite accidentellement ou délibérément. Un des résultats qu’entrainent ces perturbations, le plus commun est une faculté de jugement temporairement affaiblie et une suggestibilité renforcée ».

Il ajoute :

« Avant d’être capable de modifier le schéma comportemental des pensées et des actions dans le cerveau humain avec rapidité et efficacité, il est apparemment nécessaire dans la plupart des cas d’induire certaines formes de perturbations physiologiques du cerveau. Le sujet doit être effrayé, énervé, frustré ou dérangé émotionnellement d’une manière ou d’une autre, car de telles réactions sont à même de causer des altérations des fonctions du cerveau qui peuvent augmenter sa suggestibilité ou le rendre capable de dépasser ses conditions normales ».

Et la lobotomie ou les électrochocs semblent parfaitement adaptés pour cela. Au final, Sargant appelle à mener d’autres expérimentations.

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Sargant, ce fils d’une famille méthodiste et grand partouzeur en compagnie de médecins, magistrats et autres personnalités voulait faire entrer la psychiatrie dans une nouvelle ère, en utilisant plus particulièrement la lobotomie préfrontale, le coma hypoglycémique, et les chocs électriques. Il a mené ses expérimentations sur des cobayes pris dans les prisons et hôpitaux psychiatriques de l’armée (auxquels on mentait sur l’objectif réel des expériences) pour le MI5 et MI6, dans des bases militaires anglaises comme Maresfield ou Porton Down l’équivalent anglais de Fort Detrick[12].

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Des tests qui avaient parfois lieu sous la supervision de Sidney Gottlieb et Franck Olson, cet agent de la CIA passé par la fenêtre d’un immeuble alors qu’il avait été gavé de LSD par ses amis de la CIA, et les trois sont même devenus amis.

Sargant avait un rôle pivot dans le programme MK-Ultra, et assurait la liaison entre la fondation pour la recherche sur l’écologie humaine (Human Ecology Fund) et les centres de recherches militaires ou civils anglais impliqués dans le programme.

Sargant a aussi collaboré étroitement avec l’affreux Ewen Cameron, ce psychiatre canadien fils d’un pasteur Ecossais qui travaillait sur le psychic driving, la conduite psychique, et a mené des expériences (électrochocs, drogues, hypnose, privations sensorielles, lobotomies au niveau des parties du cerveau qui gèrent les émotions…) sur des dizaines de patients non volontaires dans des hôpitaux canadiens, dans le cadre de MK-Ultra.

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Cameron, qui était aussi financé par l’Human Ecology Fund et par la fondation Rockefeller, était très réputé. Il faisait le tour des colloques, toutes les publications « sérieuses » lui étaient ouvertes et il est même devenu président de l’American Psychiatric Association, l’asso de référence des psychiatres US, en 1952-1953 c’est-à-dire au moment du lancement officiel de MK-Uktra, puis de son homologue canadienne, et en 1962 il est devenu président de la World Psychiatric Association où est définie la doxa dans le domaine.

Cette collaboration entre Sargant et Cameron a été nouée très tôt, le premier reproduisant en Angleterre les expériences du second[13]. Ils avaient les mêmes vues, celles du Tavistock et des inventeurs de l’ingénierie sociale, sur la gestion de la société. Raciste, élitiste, eugéniste, Cameron a par exemple écrit : « La menace imminente d’une dégénération de la race, la perspective d’une batardisation nationale due au laxisme eugénique, la croissance de la délinquance et de l’immoralité – une approche radicale du traitement peut changer tout cela » au début de sa carrière de responsable d’un hôpital psychiatrique où on laissait littéralement au rebut de la société.

Sargant lui-même a fait un séjour en hôpital psychiatrique au début de sa carrière après une sorte de burn out consécutif à l’échec d’une de ses « thérapies ». Il ne reculait devant aucune technique, et a pu laisser des patients sans sommeil durant plusieurs mois d’affilée, ou à l’inverse les plonger dans un semi coma durant des semaines, a essayé d’en « traiter » d’autres avec le virus de la malaria, en plus des traditionnels délires drogues/médocs-électrochocs-hypnose…

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Apparemment, des mineurs de 16 voire 12 ans ont aussi été utilisés mais évidemment une partie des expériences est restée secrète.

Si les victimes sortaient de ces expériences dans un état pire qu’en arrivant, il attribuait cela à leur personnalité qui ne collait pas. Une actrice anglaise, Celia Imrie, a raconté son passage entre les mains de Sargant quand elle était adolescente. Ses parents l’avaient envoyée au St Thomas Hospital à 14 ans pour une crise d’anorexie.

« Les méthodes de Sargant étaient simples : un traitement par électrochocs et des comas induits par l’insuline conduisant à une narcose continue, ou une thérapie du sommeil profond, complétée par des ordres de « lavage de cerveau » diffusés aux patients sous leurs oreillers. Et dire que tout cela était gratuit avec le NHS [le système de santé anglais] ! », écrivait-elle en 2011.

« Je me souviens aussi de la célèbre salle de narcose, une salle où les patients étaient contraints pendant des jours à un sommeil induit par la drogue pendant que des cassettes leur diffusaient des instructions sous l’oreiller« .

Les gens y entraient drogués et en sortaient drogués, inconscients.

Elle y a été traitée à l’insuline pour la mettre en sommeil, avec un antipsychotique appelé le Largacil. Elle se rappelle d’une infirmière parlant de sa « dangereuse résistance » aux « médicaments », de Sargant disant que « chaque chien a son point de rupture, ça prend juste un peu plus de temps pour les excentriques« .

Les origines du contrôle social : l’eugénisme

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La Tavistock a été créée à l’université d’Oxford, avec le soutien du Royal Institute of International Affairs. Les milieux eugénistes y étaient très actifs.

Les anglais avaient construit les théories eugénistes depuis la fin du XIXe siècle. C’est par exemple à l’University College de Londres qu’ont été formalisés les délires qui ont amené les Nazis à concevoir leur « Solution Finale ».

Cet épicentre du mouvement eugéniste au tout début du XXe siècle, a financé des travaux de recherche sur l’eugénisme et l’hérédité dans son laboratoire de biométrie créé à l’initiative de Galton et dirigé par Karl Pearson, intégré ensuite dans le Francis Galton Laboratory for National Eugenics[14].

L’eugénisme, ou la peur du désordre social chez les classes favorisées

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Karl Pearson, formé en Allemagne à la sociologie, était le bras droit de Galton à l’University College, un parfait soldat de l’eugénisme. Pour lui, par exemple, « il n’y a aucun espoir de purification raciale dans un environnement qui n’implique pas la sélection des germes« .

L’idée dingue de créer « une race supérieure » n’est pas née dans le cerveau dérangé des Nazis mais dans celui d’un aristocrate et statisticien anglais, Sir Francis Galton, qui voulait mettre en place une « sélection » des meilleurs humains selon ses critères et créer une « nouvelle race supérieure ». Galton, pionnier de la biométrie, était aussi le cousin de Darwin dont les théories ont elles aussi largement alimenté le délire eugéniste.

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Par exemple, Darwin considérait que

« Tous ceux qui ne peuvent éviter à leurs enfants une horrible pauvreté devraient s’abstenir du mariage ; car la pauvreté n’est pas seulement un grand malheur, mais elle tend à s’accroître elle-même en conduisant à l’irresponsabilité dans le mariage. D’autre part, comme M. Galton l’a remarqué, si les prudents évitent le mariage alors que les irresponsables se marient, les membres inférieurs de la société tendent à supplanter les membres meilleurs » (dans « La Filiation de l’homme »). 

Il y a eu un long travail depuis les premiers écrits d’auteurs tels que William Rathbone Greg en 1868 ou Sir Fancis Galton en 1883 pour donner un aspect un peu sérieux à cette « discipline », à coup d’études et d’enquêtes qui lui ont progressivement donné une forme de légitimité[15].

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Galton, obsédé par la question de la transmission des qualités héréditaires et de la « dégénérescence » de la société, définit l’eugénique dont il voulait faire une « religion laïque », comme suit :

une « science de l’amélioration de la race, qui ne se borne nullement aux questions d’unions judicieuses, mais qui, particulièrement dans le cas de l’homme, s’occupe de toutes les influences susceptibles de donner aux races les mieux douées un plus grand nombre de chances de prévaloir sur les races les moins bonnes« .

Il voulait aussi combiner cela avec un système social de « méritocratie », que la France technocrate a parfaitement appliqué et dont nous payons fortement les conséquences. Il a aussi travaillé sur des jumeaux toujours pour identifier l’hérédité.

Galton voulait carrément créer un  « clergé scientifique » – qui n’est pas sans rappeler les individus qualifiés de « médecins » qui font la pluie et le beau temps à la télé comme dans tout le pays depuis 19 mois- pour imposer une démarche eugénique dans l’ensemble de la société. Le seul frein à tout cela était la morale de la société qui n’approuvait pas l’élimination brutale d’une partie des citoyens.

Ces théories ont beaucoup intéressé Nietzsche, ce grand philosophe qui entre deux coups de folie les a ramenées en Allemagne.

L’Eugenics Education Society a été crée en 1907 par Sybil Gotto, inspirée par les thèses de Galton.

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En 1911, un article économique intitulé « Les progrès de l’eugénisme » listait les nombreux domaines d’application de l’idéologie eugéniste, qualifiée de « science de la réforme sociale ». Car il fallait régler les problèmes de la société et permettre à cet « ordre social » auquel tient tant cette petite élite de perdurer indéfiniment.

En 1912 c’était le 1er congrès international d’eugénisme à Londres, avant les nazis. Puis en 1921 et 1932 à New York.

Et la création de l’International Federation of Eugenics Organizations par Charles Davenport, qui regroupait des organismes de différents pays, parmi lesquels l’Institut Kaiser Wilhelm d’anthropologie, hérédité humaine et d’eugénisme, le Cold Spring Harbour Carnegie Institution for Experimental Evolution, l’Eugenics Record Office.

Une grande partie de l’argent venait de la fondation Rockefeller, qui après la 1ère guerre a aussi financé la psychiatrie génétique en Allemagne, et la création du Kaiser Wilhelm Institute for Psychiatry à Munich (ex Institut Kraepelin[16]) dont on parlera dans le prochain article sur l’eugénisme version Allemande.

Dès 1913 le Mental Deficiency Act a séparé les handicapés mentaux de la société pour qu’ils n’aient pas d’enfants dans le cadre d’une idéologie eugéniste revendiquée au Parlement. Ce texte a été en vigueur durant une quarantaine d’années.

Concours de la famille eugénique dans le Kansas

Le fondateur du Tavistock, Cyril Blunt, avait travaillé pour la ville de Londres en tant qu’eugéniste / psychologue afin d’établir des tests de QI pour identifier les écoliers moins « intelligents » d’après ses critères basés sur un « ordre social » très hiérarchisé avec l’aristocratie anglaise et les riches tout en haut.

Un test a donc été imposé aux enfants de 11 ans en vue de les répartir dans des écoles de niveaux différents, en fonction du rôle social attendu des enfants.

Entre les deux guerres, l’eugénisme s’est répandu comme une traînée de poudre dans la société anglaise. Bien au-delà de la frange d’extrême-droite de l’aristocratie. Les eugénistes étaient présents dans l’éducation, dans la pédiatrie, dans les politiques familiales pour encourager les femmes de la classe moyenne à avoir plus d’enfants que les pauvres en les incitant par des aides financières tout en pénalisant les pauvres[17] en taxant fortement –comme c’est toujours le cas- les célibataires et couples sans enfants, dans la « médecine » ou assimilé, dans l’économie, matière conçue et standardisée par les anglais…

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En 1938, l’ « Euthanasia Society of America » a été créée pour défendre les vues eugénistes sur l’élimination des « indésirables » et réclamer la légalisation de ce procédé, d’abord évidemment pour des motifs médicaux (fin de vie, bébés mal-formés…).

Le psychiatre Juif Allemand Franz Kallmann a émigré aux USA en 1936. Il y a créé en 1948 l’American Society of Human Genetics qui a lancé plus tard le « Human Genome Project ». Kallmann a aussi été nommé à la tête de l’Institut Psychiatrique de l’État de New York, rattaché à l’université de Columbia qui était un des centres principaux des expériences MK Ultra.

Le directeur de l’Institut psychiatrique de New-York était le Dr Nolan D.C Lewis, élève de Freud et franc-maçon qui a travaillé avec la fondation Rockefeller pour promouvoir la « psychiatrie génétique » en 1934. Il a contribué avec Ewen Cameron et John Rawlings Rees à l’expertise psychiatrique de Rudolf Hess. Lewis utilisait aussi des drogues, notamment la mescaline, sur ses cobayes / patients.

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Les eugénistes étaient dangereux, car ils considéraient notamment, comme jupicrétin et ses amis, que les pauvres sont la cause de la totalité de leurs maux et même de ceux des classes supérieures. Greta Jones explique par exemple dans « Eugenics ans social policy between the wars » que « la mortalité infantile élevée et le taux de maladies parmi les enfants de la classe ouvrière était dû à la négligence et à l’ignorance –résultat d’une faiblesse  d’esprit héréditaire. Ainsi ce ne sont pas les salaires ouvriers qui sont insuffisants, mais le standard des soins maternels ». Il était même question d’ « inefficience maternelle ».

C’est tellement pratique, et on comprend pourquoi les milieux industriels et d’affaires étaient si intéressés par ce genre de théories. « En outre, une grande partie du retard de croissance, du rachitisme et d’autres les maladies de l’enfance parmi les segments de la classe ouvrière étaient dus, ont-ils suggéré, au fait que les types physiques pauvres gravitaient inévitablement dans la couche sociale inférieure« , ajoute Greta Jones. Rappelons qu’à l’époque les eugénistes étaient considérés comme des « scientifiques » puisqu’on n’avait pas encore mis leurs théories en application à fond comme l’ont fait les Nazis.

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En effet pour les eugénistes, le chômage, le crime et tous les maux de la société sont dus à la condition héréditaire des classes ouvrières ou carrément pauvres. Ils parlaient beaucoup de « groupe à problèmes sociaux » à cette époque, terme repris dans le rapport Wood de 1929 sur la déficience mentale et qui a renforcé la pression pour la stérilisation des handicapés mentaux.

Des articles étaient publiés jusque dans la si fameux British Medical Journal pour appeler à appliquer cette « solution » et à l’époque les braves citoyens de la classe moyenne craignaient vraiment une épidémie de pauvres complètement débiles qui menacerait toute la société.

En 1921, après le 2e congrès international eugéniste, l’American Eugenics Society (appelée aussi « Society for Biodemography and Social Biology ») a été créée pour pousser à la régulation raciale et la santé version eugénistes. Averell Harriman, grand patron de presse US très à droite pour ne pas dire carrément fasciste et fondateur du Time était à son conseil d’administration. Grâce à d’importants subsides de « philanthropes », la société s’est donnée à fond dans la propagande pour le contrôle des naissances.

Le terrain aux Etats-Unis était très propice pour les théories eugénistes, et des structures ont été créés dès la fin du XIXe, comme le laboratoire privé de Cold Spring Harbor pour la recherche en génétique et biologie, qui a abrité les travaux de Darwin notamment.

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Ce labo fondé en 1890 et dirigé par Charles Davenport[18], où l’on cherchait à identifier les traits génétiques parfaits dans les familles américaines et à populariser l’idéologie eugéniste, existe toujours. Il a abrité de 1910 à 1939 l’Eugenics Record Office (ERO) qui avait pour objectif d’étudier le comportement humain dans une perspective eugéniste.

Davenport a recruté pour diriger l’ERO un certain Harry H. Laughlin, spécialiste d’agriculture qui voulait sélectionner les humains comme les graines qui est devenu un des meneurs du mouvement eugéniste aux USA. Ce raciste et propagandiste forcené de l’eugénisme dont les travaux à l’ERO ont été financés par John D. Rockefeller dans les années 1910, a mené des enquêtes aussi nombreuses qu’hasardeuses dans ce sens.

Président de l’American Eugenics Society de 1927 à 1929, Laughlin était un militant de la stérilisation qui a défini les critères des personnes à stériliser appelées « socialement inaptes ». Ces critères ont servi à concevoir les lois de stérilisation ou permettant la stérilisation qui se sont propagées dans la moitié des États Américains entre 1907 (Indiana) et 1921.

Les cibles des stérilisations forcées et les procédures variaient selon les États, mais les « médecins » se couvraient toujours par une décision collégiale et en général les cibles étaient les natifs Américains, les malades mentaux, les délinquants, parfois les Noirs, les épileptiques, les aveugles, les sourds, même gens atteints de tuberculose ou syphilis, les « difformes » ou les « individus à charge » comme les orphelins, les sans-domicile etc.

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Hitler s’est directement inspiré des lois inspirées par Laughlin aux Etats-Unis pour sa loi de 1933 imposant la stérilisation massive des handicapés, et aussi pour son délire de gouvernement mondial. Laughlin a même été récompensé en 1936 par l’université d’Heidelberg pour la pertinence de ses travaux sur la « science du nettoyage racial ». Autre marotte de Laughlin : l’internationalisme et la création d’un gouvernement mondial eugéniste.

Les eugénistes se servaient de la « philanthropie » comme un moyen d’utiliser l’hygiène, l’éduction, l’environnement, pour la préservation de la race comme l’explique un texte du début du XXe siècle, « The Groundwork of Eugenics » de Karl Pearson.

L’eugénisme était aussi répandu en Suède où la loi sur la stérilisation de 1934 est passée comme une lettre à la poste, en France où une expérience a été menée près de Strasbourg à partir de 1924 avec de vraies familles[19], aux Etats-Unis à travers la Société Eugéniste et le développement du Planning Familial[20], en Allemagne Nazie bien-sûr où l’école de Francfort a repris les travaux en la matière…

De fait, Greta Jones souligne :

« Il y a des liens entre l’eugénisme et la philosophie du néo libéralisme et les héritiers de cette tradition peuvent trouver une compatibilité entre l’eugénisme et leurs vues sociales. C’était une déduction logique de leurs principes. Le néo-libéralisme a redéfini la citoyenneté non comme étant simplement un droit politique mais comme un idéal moral, social et même esthétique ».

La Fabian Society

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La société fabienne était officiellement de tendance socialiste et constituait le think-thank du parti travailliste, tout en intégrant totalement les vues eugénistes d’une société de castes. Elle a été créée en 1884 et avait pour ambition « la reconstruction de la société en accord avec les plus hautes perspectives morales » tout en critiquant les dérives du capitalisme ainsi que les mouvements de gauche. C’était le début du « socialisme », mené par des bourgeois dont l’objectif premier était de détourner les classes laborieuses de toute velléité révolutionnaire.

[Voir aussi : Guy Boulianne — « La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués »]

Sidney Webb qui l’a présidée à la fin du XIXe était un ponte du mouvement socialiste et membre de la Société Eugéniste anglaise dès sa création. En 1904 Webb est devenu président du comité technique de l’Education, en charge de gérer l’enseignement secondaire et supérieur.

Pour les membres de la Fabian Society, l’Etat devait intervenir plus fortement au niveau social pour « améliorer » la société à travers l’éducation, la santé, les aides sociales, les lois du travail, et le repérage des enfants qui deviendraient des adultes problématiques. Tout cela devait être utilisé comme autant d’instruments de régulation des tensions sociales.

Woolf analyse International government

Les « Fabiens » comme ils s’appelaient défendaient aussi un « gouvernement mondial ». Léonard Woolf (membre du parti travailliste, écrivain et mari de Virginia Woolf) qui avait rejoint la Fabian Society en 1913, a publié en 1916 un bouquin intitulé « International government » dans lequel il appelle à la mise en place d’un gouvernement mondial, un pouvoir supranational, cela bien évidemment au nom de la « paix », cet argument qui a servi à construire l’Europe du business et de la finance.

Les « écrivains » HG Wells ou George Bernard Shaw appartenaient à la Fabian Society, quant à Georges Orwell et Huxley ils gravitaient a minima dans son orbite. Le livre d’Huxley « Le Meilleur des mondes » comme 1984 d’Orwell ne sont pas de la science-fiction mais des programmes, des essais dans le cadre de leurs échanges sur le monde dont ils rêvaient.

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Huxley était un eugéniste revendiqué, il était pour le « contrôle des naissances » et même pour l’amélioration de l’humain par les moyens disponibles (donc le début du transhumanisme) mais il trouvait que ça ne suffisait pas pour assurer un réel contrôle social. C’était aussi un grand ami d’un des plus éminents psychiatres impliqués dans le programme MK-Ultra, Louis Jolyon West[21].

Wells quant à lui était évidemment raciste, voulait une société mondiale et prônait un « darwinisme social ». Il se félicitait de l’arrivée des médias de masse, en premier lieu la télé mais aussi les groupes de presse d’envergure mondiale, qui ouvraient de nouvelles perspectives en matière de stratégie politique. Il est devenu membre de la société eugéniste dès sa création en 1907 mais était plus pragmatique que Galton.

« Ses vues eugénistes paraissent cependant une transposition au niveau mondial des thèses des Webb, encore qu’il ait toujours insisté sur le fait qu’il parlait d’un état futur qui lui n’était pas encore réalisable aujourd’hui « , écrit Daniel Becquemont dans « Eugénisme et socialisme en Grande-Bretagne. 1890-1900 ».

Quand Galton a exposé à la Société de sociologie son idée de sélectionner les meilleurs de la société en les poussant à se reproduire, Wells lui a rétorqué que « C’est en recourant à la stérilisation d’éléments déficients de la société et non à la sélection des meilleurs qu’il sera possible d’améliorer la race humaine ».

Wells était le tuteur d’Huxley à Oxford, tout en étant responsable des renseignements anglais durant la Première Guerre mondiale, et a initié son élève au culte des Enfants du Soleil, un groupe de l’élite anglaise qui faisait des orgies « dionysiaques ». En 1937, Huxley a été diffuser sa vision du monde à Hollywood où il a travaillé sur des scénarios pour MGM, Warner Brothers er Walt Disney. Dans les années 50 depuis la Californie, il a aussi étudié les effets des drogues, notamment la mescaline, sur le psychisme.

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En Californie, Huxley a été un meneur de cette « contre-culture » développée par la CIA pour capter la jeunesse et la conditionner à coups de LSD et de groupes de rockers drogués. La bande de Charles Manson était d’ailleurs un parfait exemple de ces groupes de hippies borderline qui peuplaient la Californie à l’époque.

De 1960 à 1962 Huxley a contribué avec Timothy Leary et d’autres à une série d’expériences appelées « Harvard Psilocybin Project » sur les effets psychédéliques du LSD et de la mescaline notamment. C’est le Centre pour la recherche sur la personnalité d’Harvard qui hébergeait ces travaux, interrompus après le licenciement de Richard Alpert, qui co-dirigeait les travaux avec Leary.

Quant à Huxley qui était lui aussi membre de la Société Eugénique anglaise, son père « médecin » était déjà surnommé « le bulldog de Darwin » -et de ses théories de l’évolution et de la sélection naturelle. Son frère Julian, biologiste, est passé par l’Allemagne et les Etats-Unis au début des années 1910 avant de revenir en Angleterre pour enseigner notamment à Oxford, puis de travailler avec HG Wells sur le bouquin « La Science de la Vie ».

julian huxley

Il était favorable à la stérilisation des inférieurs, ce qui ne l’empêchait pas de passer pour un « humaniste ». Cet internationaliste a d’ailleurs été à la manœuvre dans la création de l’UNESCO dont il a été le premier directeur général, en 1946.

Parmi les membres de la Fabian Society, il faut aussi citer Annie Besant, disciple de Blavatski et militante de la théosophie, dont va reparler dans le prochain épisode, ou encore William Clarke qui a édité les textes de l’occultiste et fondateur de la république Italienne Giuseppe Mazzini.

Le mouvement dit « comportementaliste » a repris de la vigueur grâce à la Fabian Society qui a permis de mieux diffuser ce concept dans les milieux politiques et académiques puis dans la société. De nombreuses institutions ont une filiation avec l’idéologie de la Fabian Society, comme la London School of Economics qui diffuse la pensée néo libérale.


Pour terminer cette première prtie sur l’eugénisme, il faut quand-même dire que cette idéologie revient au pas de charge, à mesure qu’avancent les technologies de sélection des embryons. La micronie a même été beaucoup plus loin, en autorisant l’ « avortement » jusqu’au dernier jour de grossesse pour simples raisons « psycho-sociales ». Décidée par qui ? Sur quels critères ?

« En 1998, Jeremy Rifkin, qui postule que « les techniques du génie génétique [genetic engineering technologies] sont, par nature, des outils eugéniques », considère ainsi que « la cartographie du génome humain, les progrès croissants des tests de dépistage des maladies génétiques, les nouvelles techniques de reproduction et les nouvelles méthodes de manipulation du génome humain (…), toutes ces innovations jettent les fondations technologiques d’une civilisation eugénique mercantile », rappelle Pierre-André Taguieff.

[Voir aussi :
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme]

Notes

[1] Selon David Livingston dans « Tanshumanism : the history of a dangerous idea », l’oncle du grand-père de Carl Jung, Johann Sigmund Jung, était membre des illuminés de Bavière. Son grand-père était franc-maçon, et un autre de ses ancêtres était rosicrucien. Jung a collaboré avec la CIA.

[2] Ce qui a débouché sur des pseudos tests d’ « intelligence » et de « QI ».

[3] Bedford, Hastings Russell aussi appelé « marquis de Tavistock », a créé le parti fasciste anglais, le British Peopole’s Party, en 1939. Cela, avec l’appui actif d’un autre fasciste devenu nazi, John Beckett. Il était aussi proche pendant la guerre de Barry Domvile, fondateur de The Link, une organisation dédiée au rapprochement anglo – allemand. C’est Hastings que Rudolf Hess cherchait à rencontrer lors de son escapade en Ecosse en 1941. Hess a probablement été aidé par le MI6 pour partir d’Allemagne, ainsi que par Aleister Crowley, son ami Ian Flemming et le duc d’Hamilton qui était son contact en Franc-Maçonnerie.

[4] Les International Eugenics Congress ont été mis en place par l’Eugenics Education Society, ou « Institut Galton » (Galton est décédé en 1911). Churchill est venu à la conférence de 1912 à Londres avec le diplomate lord Balfour (qui a mis un bazar sans nom au Moyen-Orient). Le troisième et dernier congrès a eu lieu en 1932 à New-York.

[5] Le Bon était une sorte d’intellectuel très proche des milieux politique, qui avait notamment organisé des déjeuners sur le mode des dîners du Siècle où traînaient par exemple Aristide Briand ou Raymond Poincarré, ainsi que des artistes. Ses travaux sur le déterminisme apparemment assez hasardeux ont malgré tout lancé la « psychologie sociale » en France.

[6] Les ondes ont été utilisées par Thatcher contre le mouvement de protestation de femmes pour la paix à Greenham Common, une base militaire. Beaucoup de militantes ont eu des cancers. Elles ont aussi été utilisées dans les quartiers de mineurs pour els rendra apathiques et qu’ils cessent les grèves et toute contestation sociale. Des ondes ELF (ultra basse fréquence) étaient diffusées par les antennes télé et téléphone.

[7] A l’époque toute réticence face au discours de dégraissage permanent était considéré comme une « résistance au changement » et signait la mort du salarié dans l’entreprise car il n’avait pas assez de « capacités d’adaptation ».

[8] Cf. « Kurt Lewin at the Tavistock Institute » de Jean E. Neumann, 2005.

[9] Cf. « Fifty Years of the Tavistock Clinic (Psychology Revivals) » de H.V. Dicks

[10] On ne connait toujours pas exactement les raisons de ce voyage hasardeux. Ce fidèle d’Hitler était le numéro 3 du parti derrière Hitler et Goering, et avait rejoint le NSDAP dès 1920. Il a atterri dans un champ en Ecosse. Apparemment il avait pour objectif de rencontrer le duc d’Hamilton qui était venu aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936 et avait rencontré les principaux dignitaires nazis, pour préparer une proposition de paix.

[11] Cf. « Transhumanism: The History of a Dangerous Idea » de David Livingstone.

[12] Cf. Gordon Thomas « Les Armes secrètes de la CIA . Tortures, manipulations et armes chimiques ».

[13] Cf. Gordon Thomas « Les Armes secrètes de la CIA . Tortures, manipulations et armes chimiques ».

[14] Créé en 1907, le Francis Galton Laboratory for National Eugenics était alors le principal centre anglais de recherches sur les questions d’eugénisme.

[15] Par exemple en 1869 Galton publie « Hereditary Genius, an inquiry into its laws and consequences », une enquête sur 300 familles d’hommes réputés : « Galton constate ainsi que 31 % des hommes éminents avaient eux-mêmes un père éminent et que 38 % ont un fils éminent. La conclusion qu’il tire de cette étude statistique est qu’il existe une loi de distribution des capacités dans les familles, c’est-à-dire que plus la parenté est proche, plus la proportion de génies est élevée ». Il a persévéré dans ses travaux pour déterminer la part d’inné et d’acquis sans jamais y parvenir.

[16] La création de l’Institut Kraepelin a été soutenue par James Loeb (famille Kuhn-Loeb) le beau-frère de Paul Warburg, et Gutav Krupp von Bohlen und Hallbach, leader de la famille Krupp. Nommé d’après Emil Kraepelin (1856-1926) qui est considéré comme le fondateur de la psychiatrie moderne, de la psychopharmacologie et de la psychiatrie génétique.

[17] Cf. « Eugenics ans social policy between the wars » de Greta Jones, Ulster Polytechnics.

[18] Diplômé d’Harvard où il a enseigné avant d’arriver à l’Université de Chicago. Davenport a ensuite persuadé l’épouse Harriman et John Harvey Kellogg puis la Carnegie Institution de Washington (appartenant à l’industriel Andrew Carnegie) de financer un labo pour « l’Etude expérimentale de l’évolution » à Cold Spring Harbor. C’est aussi lui qui a dirigé l’Eugenics Record Project de sa création en 1910 jusqu’à sa retraite en 1934.Davenport était pour le contrôle des naissances pour améliorer l’hérédité de toute la société.

[19] Un industriel local, Léon Ungemach a créé un quartier pavillonnaire idéal dans lequel il a sélectionné des familles idéales comme on jouerait aux poupées, via des annonces pourtant très claires sur lesquelles on pouvait lire que « Les jardins Ungemach augmentent dans la société de demain le nombre des éléments précieux et contribuent à guider l’évolution humaine vers une ascension plus rapide ». Sur le bail, les résidents signaient aussi pour avoir au moins 3 enfants et pour partir quand le dernier aurait 21 ans, sous peine d’expulsion. Ce parc à bétail humain volontaire a été créé avec l’aide d’une caution « scientifique », Adolphe Pinard, un des pionniers de la puériculture (si si !) qu’il définit comme « la science qui a pour but la recherche des connaissances relatives à la reproduction, à la conservation et l’amélioration de l’espèce humaine ».

[20] Margaret Sanger a lancé le concept de contrôle des naissances dans les année 1910 selon le slogan « Plus d’enfants chez les plus capables, moins d’enfants chez les inaptes », avec notamment la contraception, l’avortement et la stérilisation, qu’elle destinait aux populations qu’il fallait réduire telles que les Noirs, les pauvres et les handicapés mentaux. En 1921 elle a créé l’American Birth Control League devenue ensuite le Planning Familial pour implémenter son idée d’améliorer la race humaine. Dans « The Pivot of Civilization », elle écrit : « Les déficiences mentales constituent une menace permanente pour la race humaine. (…) De plus, lorsque nous réalisons que chaque déficient mental [feeble-minded person] est une source potentielle d’une progéniture atteinte de tares [defect], nous optons pour une politique de stérilisation immédiate pour être sûr que la maternité soit absolument interdite aux déficients mentaux » (cf. Pierre-André Taguieff dans la revue Raisons politiques 2007/2 n° 26)

[21] West était un grand adepte des drogues et de l’hypnose pour manipuler l’humain.




Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme

[Source : Sott.net]

Par Ryan Matters — NewBraveWorld.org

Note du traducteur : Cet article nous semble essentiel, non pas parce que l’auteur développe des aspects du totalitarisme eugénique et transhumaniste en cours qui n’auraient pas déjà fait l’objet de publications antérieurs — voir à cet effet les différents liens que nous en donnons tout au long de la traduction — mais parce qu’il articule tous ces aspects d’une manière qui donne à voir l’image de l’agenda, qui est tout sauf humaniste sous couvert de l’être, selon une meilleure et plus large perspective. En bref, l’auteur connecte les points.

Bonne lecture.

Le déploiement mondial des [soi-disant – NdT] « vaccins » anti-Covid-19 à ARNm fait partie d’un programme bien plus vaste qui englobe l’eugénisme et le transhumanisme. Ce programme est financé et promu par un réseau d’institutions mondiales, de politiciens et de technocrates milliardaires.

En 1989, des chercheurs du Salk Institute en Californie ont publié une étude expliquant comment ils avaient mis au point un système de transfection par ARN qui pouvait « directement introduire l’ARN dans des tissus entiers et dans des embryons ». Cette étude est la première à avoir décrit le concept d’utilisation de l’ARN en tant que médicament et a permis de poser les fondements de décennies de recherches ultérieures dans ce domaine. La section « Discussion » de l’article indique que :

« La méthode ARN/lipofectine peut être utilisée pour introduire directement l’ARN dans des tissus entiers et des embryons (R.W.M., C. Holt et I.M.V., résultats non publiés), suggérant que la transfection de l’ARNm par les liposomes pourrait offrir une autre option dans la technologie croissante de l’administration de gènes eucaryotes, une option basée sur le concept de l’utilisation de l’ARN comme médicament. »

L’un des chercheurs du Salk Institute cités dans l’article est le Dr Robert W. Malone, un scientifique [biologiste moléculaire, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses – NdT] qui a récemment été censuré sur les médias sociaux [et dans les médias mainstream – NdT] pour avoir attiré l’attention sur les dangers possibles des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19. On pourrait considérer qu’il n’existe aucun expert plus qualifié pour nous mettre en garde contre les dangers des injections d’ARNm que l’homme qui a contribué à mettre au point cette technologie. Néanmoins, Big Tech a décidé qu’il diffusait des « fausses informations », parce que, selon toute vraisemblance, ils en sauraient plus que lui sur le sujet.

[Voir aussi :
Le Dr R. Malone, inventeur des vaccins à ARNm et ADN : « C’est vrai, je suis en train d’être effacé de l’histoire »]

Les recherches de Malone, qui ont abouti à une procédure permettant de « transfecter efficacement l’ARN dans les cellules humaines » à l’aide d’un « lipide cationique synthétique », ont été soutenues par des subventions de l’American Cancer Society et du National Institute of Health — qui détient aujourd’hui une participation dans le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19 à ARNm de Moderna, preuve s’il en est de son allégeance à cette technologie. Nous y reviendrons plus tard.

Bien que les contributions de Malone au développement de la technologie de l’ARNm sont bien connues et bien documentées, Wikipedia a décidé de supprimer toute mention le concernant dans leur page « Vaccin à ARN », et ce peu de temps après que le scientifique ait commencé à s’exprimer sur les dangers des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 fabriqués en dans la précipitation. La version du 14 juin 2021 de la page en question mentionnait trois fois le nom de Malone et citait ses travaux six fois. La version actuelle de cette page ne le mentionne plus du tout et ne cite ses travaux que trois fois.

Toutefois, cela n’est pas surprenant compte tenu du parti pris avéré de Wikipedia en faveur de l’industrie pharmaceutique. Se pencher sur l’institution qui a initié la recherche — le Salk Institute — s’avère toutefois bien plus intéressant. Le Salk Institute, nommé d’après Jonas Salk, le créateur du vaccin Salk contre la polio, a été construit en 1962 grâce au financement de la National Foundation for Infantile Paralysis, aujourd’hui connue sous le nom de March of the Dimes.

La March of the Dimes a été créée en 1937 avec pour mission d’éradiquer la polio, à l’époque même où le courant eugéniste occupait sur la scène sanitaire des États-Unis une place déjà importante, mais pas encore popularisée. La théorie de l’eugénisme repose sur l’idée que la procréation sélective peut conduire à une « amélioration » progressive de la race humaine et que certaines familles sont aptes à diriger la société en vertu de leurs gènes « supérieurs ».

À l’époque, les principales organisations eugénistes du pays comprenaient l’American Eugenics Society et l’American Society of Human Eugenics, financées par les familles Rockefeller, Carnegie et Harriman, ainsi que par l’Institut Rockefeller pour la Recherche médicale. Il convient de noter que les Rockefeller ont contribué de façon décisive à financer et à promouvoir l’eugénisme dans le monde entier. Le mouvement eugéniste encourageait l’accouplement sélectif, l’insémination artificielle, la stérilisation obligatoire et l’euthanasie comme constituant des moyens importants d’éliminer les êtres humains dits « inférieurs ».

Aux États-Unis, la première loi sur la stérilisation a été adoptée en 1907, dans l’État de l’Indiana, et en 1931, de nombreux autres États avaient suivi le mouvement en promulguant des lois similaires. Selon les données historiques de l’État de l’Indiana :

« En 1907, le gouverneur J. Frank Hanly a approuvé la première loi eugéniste de l’État rendant la stérilisation obligatoire pour certains individus placés sous la garde de l’État. »

Les personnes stérilisées en vertu de ces lois eugénistes étaient jugées « indésirables » en raison de déficiences mentales ou physiques telles que l’épilepsie, la cécité et les handicaps physiques, ainsi qu’en raison de « déficiences sociales » telles que la toxicomanie ou la criminalité. En vertu de ces lois et selon les estimations, environ 60 000 personnes ont ainsi été stérilisées, privées de leur droit d’avoir des enfants et cataloguées de manière irrévocable comme étant « faibles d’esprit ».

En fait, l’importance du mouvement eugéniste aux Etats-Unis était telle qu’elle a conduit le parti national-socialiste allemand à l’adopter, de sorte qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, plus de 350 000 personnes avait été stérilisées par le régime nazi. Après la Seconde Guerre mondiale, les notions d’eugénisme ont disparu de la conversation publique, mais le mouvement ne s’est jamais dissipé. Au contraire, il a été « rebaptisé » en utilisant des termes plus acceptables tels que « contrôle de la population » et « santé de la procréation », comme nous le verrons plus loin.

L’émergence de la March of the Dimes en tant qu’acteur majeur du mouvement eugéniste aux États-Unis remonte à l’association précoce de l’organisation avec l’Institut Rockefeller, qui lui a fourni nombre de ses membres et conseillers clés, notamment le professeur Anton Julius Carlson, membre de l’American Eugenics Society, recruté pour faire partie des comités médicaux et de recherche de la March of the Dimes, et le professeur Clair E. Turner, autre membre de l’American Eugenics Society, qui était l’assistant de Basil O’Connor, lui-même alors président.

Juste avant la création de l’Institut Salk, le ministère de la Santé a annoncé qu’il allait supprimer progressivement ses programmes de lutte contre la polio et concentrer ses ressources sur les « anomalies congénitales ». En 1959, la March of the Dimes a financé des cours de « génétique médicale » au Jackson Laboratory dans le Maine, un institut de génétique fondé en 1929 par Clarence Cook Little, qui, « à un moment ou à un autre », a été président de l’American Eugenics Society, de l’American Birth Control League et de l’American Euthanasia Society.

La mission revendiquée du Jackson Laboratory est de

« découvrir des solutions génomiques précises pour les maladies et de dynamiser la communauté biomédicale mondiale dans sa quête commune pour améliorer la santé humaine. »

Il convient de noter que le Jackson Laboratory a reçu un financement accru en 2020, en grande partie de l’Institut national de la santé, notamment une subvention de 10,6 millions de dollars afin de trouver des traitements pour lutter contre les maladies génétiques rares en utilisant les technologies d’édition de gènes. Et au début de la « pandémie » de coronavirus, ce même laboratoire s’est efforcé de développer des souris génétiquement modifiées pour les utiliser dans des études de vaccins et autres recherches liées au Sras-Cov-2.

À partir des années 1960, la March of the Dimes a financé plusieurs « Centres de prévention des malformations congénitales » situés dans des établissements médicaux disséminés à travers les États-Unis. Ces nouveaux centres proposaient des tests prénataux par amniocentèse pour déterminer si un bébé naîtrait avec des « malformations » et donnaient ensuite au couple la possibilité d’avorter l’enfant atteint de malformation(s).

La March of the Dimes a également fait des dons directs à Planned Parenthood [le planning familial – NdT], ce qui est en contradiction flagrante avec la mission qu’elle revendique, à savoir « lutter pour la santé de toutes les mamans et de tous les bébés ». Le Planned Parenthood est une organisation à but non lucratif qui fournit aux États-Unis et à l’étranger des « soins de santé en matière de reproduction ». De 2019 à 2020, l’organisation a pratiqué plus de 350 000 avortements et a été critiquée pour avoir « détourné les ressources prévues pour la santé des femmes au profit des avortements. » Sans surprise, un regard sur l’histoire de l’organisation révèle que les racines de Planned Parenthood reposent sur les idéaux eugénistes.

Le Planned Parenthood a été fondé par Margaret Sanger, qui, loin d’être une « activiste du contrôle des naissances », comme le courant dominant voudrait le faire croire, était une eugéniste raciste qui cherchait à débarrasser le monde de la race humaine jugée « inapte ». Dans son essai intitulé « Un plan pour la paix », elle décrit les principaux objectifs de sa proposition pour un « Congrès sur la population », à savoir

« une politique sévère et rigide de stérilisation et de ségrégation à l’égard de la catégorie de population dont la progéniture est souillée ou dont l’héritage est tel que des traits répréhensibles peuvent être transmis à la progéniture. »

Elle mentionne également la nécessité de « contrôler l’entrée et la sortie des crétins, des déficients mentaux, des épileptiques. »

Note du traducteur : Ce qui veut dire qu’il est nécessaire que le nombre des naissances d’individus « souillés » ne soit pas supérieur à celui des décès de ces mêmes individus. Notez l’expression particulièrement inhumaine « entrée et sortie ».

Comme nous l’avons mentionné plus haut, ces idéaux eugénistes ont inspiré les nazis qui ont repris nombre des idées de Sanger et les ont, pour ainsi dire, appliquées. Dans son livre The War Against the Weak, Edwin Black explique en détail comment la loi nazie de 1933 sur la stérilisation et les lois ultérieures sur l’euthanasie étaient basées sur des plans élaborés par Sanger et d’autres « militants » des États-Unis. En fait, les associés de Sanger connaissaient ces programmes d’euthanasie nazis et en faisaient l’éloge.

Pour en revenir au Salk Institute, il convient de noter que le récit dominant de l’épidémie de polio du XXe siècle, à savoir l’idée que la maladie est causée par un virus et que le vaccin miracle du Dr Salk a été le seul à mettre fin à l’épidémie, est douteux et probablement totalement faux.

Note du traducteur : En effet, et vous pouvez vous reporter à cet article particulièrement fouillé que nous avons publié il y a un an : Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?

La polio paralytique est apparue soudainement aux États-Unis au début des années 1900, avec des fluctuations continuelles et spectaculaires du nombre de cas — un schéma qui s’est poursuivi jusqu’à la fin des années 1950. L’introduction du vaccin Salk en 1954 a semblé coïncider avec le déclin presque instantané des cas, qui s’est poursuivi pendant plus de deux décennies.

Mais avant d’être appelées « polio » [poliomyélite – NdT], les affections impliquant une infirmité des membres étaient connues sous d’autres noms, notamment apoplexie, parésie et paralysie. De nombreux écrits historiques font référence à des paralysies résultant d’une exposition à des substances toxiques et beaucoup de ces récits ont été documentés par le Dr Ralph Scobey dans sa déclaration de 1952 au Comité d’enquête sur l’utilisation des produits chimiques dans les produits alimentaires, intitulée « Le poison en cause dans la poliomyélite et les obstacles à son investigation ».

L’article de Scobey fait référence à plusieurs enquêtes qui semblaient indiquer un lien entre les épidémies de polio au XXe siècle et la consommation de fruits frais, établissant ainsi un lien entre la polio et l’exposition aux pesticides toxiques. Un pesticide agricole largement utilisé à l’époque était le DDT, un organochloré hautement toxique dont on a beaucoup vanté les mérites, mais qui a finalement été interdit en 1972. En 1953, le Dr Morton Biskind a publié une étude dans l’American Journal of Digestive Diseases soulignant que :

« McCormick (78), Scobey (100-101), et Goddard (57), dans des études détaillées, ont tous souligné que des facteurs autres que les agents infectieux sont certainement impliqués dans l’étiologie de la polio, allant de défauts nutritionnels à une variété de poisons qui affectent le système nerveux. »

Le danger des pesticides toxiques, dont le DDT, et leurs effets désastreux sur l’environnement ont été illustrés par Rachel Carson dans son livre de 1962, Printemps silencieux.

Note du traducteur : Le Printemps silencieux est le concept repris par Stephanie Seneff pour présenter son livre sur les glyphosates, intitulé Toxic Legacy — How the Weedkiller Glyphosate Is Destroying Our Health and the Environment [« Héritage toxique — Comment le glyphosate désherbant détruit notre santé et l’environnement ou Le Printemps silencieux de notre temps, non traduit en français. Stephanie Seneff alerte de puis longtemps sur les effets hautement toxiques du Roundup, par exemple ;

Plus récemment, des chercheurs, Dan Olmstead, cofondateur de l’Ère de l’autisme, et Mark Blaxil, ont mené deux brillantes enquêtes sur les épidémies de polio du XXe siècle, aboutissant à une conclusion similaire à celle de Scobey et Biskind, à savoir que la maladie a été causée par l’utilisation généralisée de pesticides neurotoxiques tels que l’arsénite de soude et le DDT.

Bien que le vaccin de Salk ait été salué pour son efficacité, le vaccin lui-même a causé de nombreux cas de séquelles et de paralysies. Et bien qu’il semble exister une corrélation convaincante entre le moment où le vaccin a été administré et la réduction des cas de polio, comme tout bon scientifique le sait, la causalité n’est pas synonyme de corrélation, surtout si l’on tient compte du fait qu’au au cours de la même période, le DDT a été progressivement éliminé, du moins aux États-Unis.

Il est intéressant de noter que les recherches sur la polio du Dr Salk ont été financées par la mère de Cordelia Scaife May, une héritière de la fortune bancaire de la famille Mellon, qui a idéalisé Margaret Sanger et a ensuite rejoint le conseil d’administration de la Fondation internationale Planned Parenthood. Les opinions de May sur l’immigration étaient pour le moins radicales et, selon certains, elle était favorable à la stérilisation obligatoire comme moyen de limiter les taux de natalité dans les pays en développement. May a ensuite rejoint le conseil d’administration du Population Council, une organisation fondée par John D. Rockefeller III dont l’objectif principal consiste à réduire le nombre d’individus sur Terre. En 1995, le Population Council a collaboré avec l’OMS pour créer des vaccins destinés à réguler la fertilité.

Penser qu’aucune corrélation ne peut être faite entre l’épidémie de polio et l’« ère de la vaccination » dans laquelle nous nous trouvons serait une erreur. Au contraire, prétendre que la polio a été « éradiquée aux États-Unis » grâce à la seule vaccination est un mensonge qui a permis de gagner la faveur du public pour les vaccinations infantiles et a contribué à jeter les bases de la croyance généralisée en la sécurité et l’efficacité de tous les vaccins [ou supposés tels – NdT]. Des maladies telles que la polio et la variole — un autre mensonge qui dépasse le cadre de cet article — et la propagande pro-vaccins qui s’en est suivie, ont « conditionné » une grande partie de la population à accepter, sans poser de questions, une piqûre expérimentale basée sur une technologie encore bien mal comprise.

La déformation de la science

En 1997, huit ans après l’étude publiée du Salk Institute, la FDA a approuvé le tout premier essai d’ARN transfecté pour développer l’immunité chez les patients atteints de cancer. Le comité consultatif sur l’ADN recombinant de l’Institut national de la santé a quelques mois plus tard voté en faveur du maintien de l’approbation, ce qui a conduit aux toutes premières administrations de vaccins à base d’ARNm chez l’homme.

Bien que l’ARNm est présenté dans les médias comme la prochaine révolution dans le domaine de la santé, toute personne dotée de discernement peut s’alarmer à la lecture d’extraits tels que celui-ci, tiré d’un article sur l’histoire de l’ARNm, rédigé pour StatNews par Damian Garde, journaliste spécialisé dans les biotechnologies :

« Le concept : En apportant des modifications précises à l’ARNm synthétique et en l’injectant aux gens, n’importe quelle cellule du corps pourrait être transformée en usine à médicaments à la demande. »

Toutefois, parler de cellules transformées en « usines à médicaments à la demande » est exactement le genre de techno-rhétorique dénuée de sens destinée à impressionner et à séduire un public non averti. Les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm reposent sur le concept suivant : un morceau d’ARNm synthétique est envoyé dans vos cellules, où il est utilisé comme modèle pour produire la « protéine Spike » [la même a priori que celle du virus Sras-CoV-2 – NdT]. Une fois que cette protéine quitte la cellule, l’organisme produit des anticorps et « apprend » à combattre les futures infections par le virus Sras-Cov-2.

Les [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ARNm sont souvent présentés comme une alternative plus sûre aux [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ADN qui, selon les experts [notamment Pascolo en 2004 selon le lien – NdT],

« peuvent déclencher des modifications permanentes et dangereuses de l’information génétique des personnes traitées. »

Cependant, avons-nous la certitude que les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm ne modifient pas de façon permanente la composition génétique de nos cellules ? Une étude de 2001 intitulée « L’ARN comme vaccin contre les tumeurs : une revue de la littérature », affirme que (c’est l’auteur qui souligne) :

« Contrairement aux vaccins à base d’ADN, le risque d’incorporation de séquences d’ARN dans le génome de l’hôte est faible. »

L’utilisation du mot « faible » semble indiquer qu’il peut au moins exister un certain danger d’intégration du génome, ou plus probablement, que les chercheurs ne savent tout simplement pas.

Dans l’étude d’« opinion d’expert » de Pascolo de 2004 cité plus haut, il souligne le lien entre les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm et les thérapies géniques, lien qui est continuellement nié et rejeté par le courant dominant :

« Bien que situé dans le cytosol et non dans le noyau, l’ARNm mature appartient à la famille biochimique des acides nucléiques. L’ARNm, comme l’ADN, peut être considéré comme un gène et, par conséquent, son utilisation comme vaccin peut être considérée comme une « thérapie génique ». »

Il est intéressant de noter que c’est uniquement en raison d’une technicité du droit réglementaire que les thérapies géniques Covid-19 sont autorisées à être appelées « vaccins ». Ceci est expliqué dans un document intitulé « L’environnement réglementaire européen des vaccins à base d’ARN », qui stipule que :

« La définition d’un médicament de thérapie génique telle qu’elle figure à l’annexe 1 de la directive 2001/83/CE est la suivante :

On entend par médicament de thérapie génique un médicament biologique qui présente les caractéristiques suivantes :

(a) il contient une substance active qui contient ou consiste en un acide nucléique recombinant utilisé chez l’homme ou administré à celui-ci en vue de réguler, réparer, remplacer, ajouter ou supprimer une séquence génétique ;

(b) son effet thérapeutique, prophylactique ou diagnostique est directement lié à la séquence d’acide nucléique recombinant qu’il contient, ou au produit de l’expression génétique de cette séquence.

Les médicaments de thérapie génique ne comprennent pas les vaccins contre les maladies infectieuses. »

Comme on s’en doute, le simple fait d’appeler une thérapie génique un « vaccin contre une maladie infectieuse » annule sa classification en tant que thérapie génique, dont le processus d’approbation, du moins en Europe, implique de passer par le CAT qui est le « Comité des thérapies avancées » de l’EMA (Agence européenne des médicaments). De toute évidence, ce jeu de langage semble constituer une sorte de « faille », qui permet d’approuver plus facilement les thérapies géniques à base d’ARNm prévues pour un usage humain.

Note du traducteur : Ce jeu de langage n’est pas fortuit, loin s’en faut. Il constitue ce que James Lindsay a brillamment exposé dans son article majeur La psychopathie et les origines du totalitarisme, comme étant les pseudo-réalités académiques, la paralogie idéologique et la paramoralité idéologique.

Cette approbation constitue certainement un sujet controversé lorsqu’on l’aborde dans le contexte des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 actuels — dont la plupart n’ont pas été entièrement approuvés par la FDA, mais seulement autorisés dans le cadre d’une utilisation d’urgence, et étiquetés comme étant des produits « expérimentaux », un fait que beaucoup de gens ignorent. Cependant, au début de l’année, les fabricants de vaccins se sont déjà fixé pour objectif d’obtenir une approbation réglementaire complète, après seulement six mois d’essais. Le 7 mai, Pfizer a officiellement déposé sa demande auprès de la FDA, dans le but d’obtenir le tout premier vaccin covid-19 pleinement autorisé. Et le 23 août, cette autorisation lui a été accordée par la FDA. Mais avec des millions de vaccins déjà administrés sous autorisation de mise sur le marché conditionnelle, pourquoi tant de hâte ?

En outre, pour les six vaccins « pionniers dans le traitement d’une maladie » qui ont été approuvés par la FDA au cours des quinze dernières années, la durée médiane des essais flirtait avec un timide délai de deux ansL’approbation d’un vaccin après six mois de données est l’une des plus rapides jamais enregistrées. Bien que les essais cliniques de phase trois de Pfizer, Moderna et Janssen aient tous une durée de deux ans [et qu’ils sont donc en cours – NdT], la FDA a pris soin de ne jamais énoncer clairement sa position quant au suivi clinique minimum avant d’envisager l’approbation.

Pour évaluer la sécurité des vaccins, des essais plus longs, contrôlés par placebo, sont primordiaux. Il est donc extrêmement alarmant que les fabricants de vaccins, quelques semaines après avoir reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence, aient commencé à pervertir les essais en offrant aux personnes du groupe placebo la possibilité de se faire « vacciner »Moderna a annoncé que

« depuis le 13 avril, tous les participants au groupe placebo se sont vus proposer le vaccin Moderna anti-Covid-19 et 98 % d’entre eux ont reçu le vaccin ».

Ce qui signifie que leur groupe placebo n’existe plus et qu’ils n’ont donc aucun moyen de mesurer avec précision la sécurité à long terme. Il en va de même pour Pfizer.

Dans une étude du British Medical Journal, Peter Doshi cite la FDA qui, à plusieurs reprises, a déclaré que le maintien d’un groupe placebo serait essentiel pour évaluer à la fois la sécurité et l’efficacité des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, ce qui est évident pour quiconque comprend les conséquences du non-respect de la rigueur scientifique lors de l’essai d’une nouvelle thérapie médicale. En effet, sur plus de 200 médicaments approuvés par la FDA entre 2000 et 2010, un tiers d’entre eux se sont avérés présenter de sérieux problèmes de sécurité.

En réalité, les fabricants pourraient avoir de nombreuses raisons de vouloir obtenir l’approbation de la FDA pour leurs [soi-disant – NdT] vaccins, mais la première de ces raisons est probablement le « cachet d’approbation » qui accompagne l’homologation complète et la possibilité de l’utiliser pour convaincre ceux qui restent sceptiques quant à leur sécurité et à leur efficacité. De plus, l’approbation complète de la FDA ouvrirait la voie à des obligations vaccinales plus simples à mettre en œuvre, ce qui mettrait une pression énorme sur les personnes qui composent la « classe éveillée » et qui représentent une épine dans le pied des promoteurs de l’agenda de la Grande Réinitialisation/Grande Convergence.

Dans le processus d’évaluation et d’approbation de ces [soi-disant – NDT] vaccins expérimentaux conduit par la FDA, des incohérences encore plus inquiétantes peuvent être trouvées. Par exemple, la FDA a récemment mis en garde contre l’utilisation de tests d’anticorps pour évaluer l’immunité ou la protection contre le Covid-19, « en particulier » après qu’une personne ait reçu une injection bien que l’autorisation européenne de mise sur le marché ait été accordée à l’origine, en partie, en raison de ces mêmes réponses aux anticorpsLes implications de ce revirement sont que l’autorisation européenne de mise sur le marché conditionnelle accordée pour les [soi-disant – NdT] vaccins contre le covid-19 devrait également être annulée, mais quelle est la probabilité que cela se produise alors que des millions de personnes ont déjà été injectées ?

En outre, l’idée que les « anticorps » assurent une protection contre les infections dites virales témoigne d’une mauvaise compréhension du corps et du système immunitaire. Le fait que les anticorps ne jouent pas un grand rôle dans les infections virales est connu des scientifiques médicaux depuis les années 1950, sur la base de recherches montrant que les personnes atteintes d’une incapacité génétique à produire des anticorps, appelée « agammaglobulinémie », ont des réactions normales aux infections virales typiques et semblent même résister aux récidives.

Note du traducteur : Il est important de préciser que notre organisme dispose de deux systèmes immunitaires : l’inné et l’adaptatif. C’est l’adaptatif qui produit des anticorps — qui sont des défenses spécifiques et ciblées — et il n’est que la barrière secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus :

« Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour. [Il] fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes [qui] sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus. [Il] monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.
»

Source : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Quoiqu’il en soit, les deux systèmes immunitaires semblent plus ou moins — selon les individus et la force ou la faiblesse initiale du système immunitaire inné — affectés par les injections, surtout si elles sont répétées.

Voir aussi :

Bill Gates, Moderna et l’eugénisme 2.0

L’un des fabricants de [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 dont il est le plus fait mention dans les médias est Moderna, une société de biotechnologie cofondée par Robert Langer, chercheur et inventeur au MIT. En 2013, la startup de biotechnologie a reçu un financement de 25 millions de dollars de la part de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), un organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, et une organisation bien connue pour sa quête incessante de technologies dystopiques et transhumanistes, telles que les nanoparticules implantables et les interfaces bio-cérébrales — nous y reviendrons.

Il convient de noter que le gouvernement des États-Unis, par l’intermédiaire du National Institute of Health, s’avère avoir un intérêt financier dans le [soi-disant – NdT] vaccin Moderna grâce à un contrat signé par les deux parties, donnant au NIH la propriété conjointe des candidats vaccins à ARNm de Moderna. Selon Axios :

« Le NIH finance principalement des recherches extérieures, mais il invente aussi souvent des technologies scientifiques fondamentales qui sont ensuite cédées sous licence et incorporées dans des médicaments vendus avec des bénéfices colossaux. »

Ceci est plus qu’alarmant étant donné que le NIH est chargé de donner la priorité aux traitements prometteurs pour soigner le Covid-19 et d’améliorer l’efficacité des essais cliniques, ce qui, pour Moderna, est impossible étant donné que leur essai ne contient plus de groupe de témoin. L’intérêt direct du NIH à ce que Moderna prospère peut également expliquer de manière plausible pourquoi la start-up biotechnologique a reçu l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle de son [soi-disant – NdT] vaccin alors qu’elle n’a pas réussi, pendant plus de dix ans [et donc depuis qu’elle existe – NdT], à mettre un seul produit sur le marché.

Lors d’une interview pour Economic Club, le directeur du NIH, Francis Collins, a nié que les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 permettraient de gagner de l’argent, déclarant que « personne ne voit cela comme un moyen de gagner des milliards de dollars ». Cependant, les preuves montrent le contraire, puisque les ventes des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 de Moderna ont atteint 1,7 milliard de dollars au premier trimestre 2021, faisant de leur PDG, Stéphane Bancel, l’un des nombreux nouveaux milliardaires de l’industrie pharmaceutique.

« Operation Warp Speed » [à la vitesse de l’éclair – NdT], le nom donné à un partenariat entre plusieurs agences fédérales des États-Unis visant à accélérer le développement d’un [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, a également été marqué par des conflits d’intérêts. L’administration chargée de l’Operation Warp Speed a engagé plusieurs « consultants » ayant des liens avec Big Pharma, dont deux anciens cadres de Pfizer. Et en mai 2020, il a été rapporté que leur conseiller principal, le Dr Monsef Slaoui, lui-même ancien cadre de l’industrie pharmaceutique, détenait 10 millions de dollars d’actions GlaxoSmithKline, la même société qui a ensuite obtenu un contrat de 2 milliards de dollars pour fournir au gouvernement des États-Unis 100 millions de flacons pour contenir le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19. Le Dr Slaoui détenait également un nombre important d’actions de la société Moderna, à laquelle le gouvernement fédéral a accordé un financement de plus de 2,5 milliards de dollars.

Le cofondateur de Moderna, Robert Langer, qui dispose d’avoirs dont la valeur nette a également explosé pour atteindre des milliards, est l’un des chercheurs les plus cités au monde. Scientifique au MIT, Langer détient plus de 1 400 brevets et est spécialisé dans la biotechnologie, la nanotechnologie, l’ingénierie tissulaire et l’administration de médicaments. En outre, Langer occupe un poste administratif au Media Lab du MIT, le même institut qui a fait l’objet d’un scandale après la découverte d’un financement octroyé à ce même laboratoire par Jeffrey Epstein, un prédateur sexuel condamné. Il se trouve qu’Epstein entretenait également une fascination troublante pour le « transhumanisme », une version moderne de l’eugénisme — le transhumanisme est abordé plus loin dans cet article.

Le directeur du MIT Media Lab de l’époque, Joi Ito, a ensuite approuvé deux donations d’Epstein pour un montant de 1,75 million de dollars et a permis au pédophile prolifique de « diriger » vers le laboratoire des fonds provenant d’autres riches bienfaiteurs, y compris une donation de 2 millions de dollars de Bill Gates, lequel entretient également des liens troublants avec Epstein, ayant voyagé dans son jet privé et l’ayant rencontré à plusieurs reprises. Lorsque la nouvelle a éclaté et que Joi Ito a démissionné de son poste au laboratoire, Langer a été l’une des premières personnes à signer une lettre lui demandant de rester, et en tant qu’administrateur du bureau du directeur du laboratoire, il est difficile de croire qu’il n’était pas déjà au courant des dons d’Epstein.

Décrit comme le « dénominateur commun » au sein d’initiatives multiples axées sur le coronavirus, Robert Langer est sans conteste un acteur du mouvement transhumaniste qui ne manque pas de nous intéresser. En 2015, sa société, Microchips Biotech, s’est associée au géant pharmaceutique israélien, Teva Pharmaceutical, pour commercialiser son « dispositif implantable d’administration de médicaments » [dispositif qui assure la libération prolongée d’un médicament pendant la durée souhaitée, généralement sur des périodes de plusieurs mois ou années – NdT]. Il convient de noter que Teva Pharmaceutical a reçu des investissements importants de Warren Buffett, qui, en 2006, s’est engagé à faire progressivement don de sa fortune à la Fondation Bill & Melinda Gates, une organisation dont il était administrateur jusqu’à très récemment.

Langer a également des liens avec Charles Lieber, un scientifique de Harvard spécialisé dans les nanotechnologies qui a été arrêté en janvier pour avoir fait de fausses déclarations aux autorités fédérales concernant sa collaboration avec des scientifiques chinois de l’université de Technologie de Wuhan. En 2012, Langer et Lieber ont travaillé ensemble pour créer un « matériau qui fusionne l’électronique à l’échelle nanométrique avec les tissus biologiques ». Ce matériau a été décrit comme « un premier pas vers des prothèses qui communiquent directement avec le système nerveux ».

Une grande partie des recherches de Langer sont soutenues par Bill Gates, qui a commencé à financer la technologie ARNm en 2010 et a également investi des millions dans Moderna. En 2017, la Fondation Bill & Melinda Gates a parrainé un projet du laboratoire de Langer visant à créer un système d’administration de vaccins par microparticules qui pourrait générer un « nouveau type de particule porteuse de médicament », permettant d’administrer plusieurs doses d’un vaccin sur une période prolongée avec une seule injection. Puis, en 2019, Gates et Langer se sont à nouveau associés pour créer un tatouage à l’encre invisible qui « incorpore les dossiers de vaccination dans la peau d’un enfant ». De manière tout à fait préoccupante, l’objectif à terme du projet est d’injecter des capteurs qui pourront être utilisés pour suivre « d’autres aspects » de la santé.

Gates prétend avoir besoin de ces données pour « prévenir les maladies » et le dit en se référant à ses efforts pour éradiquer dans le monde la polio, la rougeole et d’autres maladies « infectieuses ». Cependant, les diverses initiatives « sanitaires » de Gates dans les pays en développement ne sont pas l’œuvre d’un philanthrope bienveillant, comme les médias voudraient nous le faire croire. Au contraire, tout porte à croire que l’engagement de Bill Gates dans le domaine de la santé publique représente la poursuite d’un programme eugénique de longue date, caché au grand jour. Les liens de Bill Gates avec le mouvement eugéniste commencent avec son père, qui a fait l’éloge des Rockefeller pour leur travail dans le domaine de la « santé publique » et les a même rencontrés en 2000 pour discuter de questions relatives aux maladies infectieuses, aux vaccins et à l’environnement. Au cours de cette rencontre, William Gates senior aurait déclaré :

« Prenant exemple et s’inspirant du travail déjà accompli par la Fondation Rockefeller, notre fondation a en fait lancé GAVI en promettant 750 millions de dollars à un instrument appelé Fonds mondial pour les vaccins destinés aux enfants, un instrument de GAVI. »

Il est intéressant de noter que, près de dix ans après cette réunion, Bill Gates junior a co-organisé une réunion avec David Rockefeller consacrée à la réduction de la population.

Ce qui est peut-être encore plus révélateur, c’est qu’en 2012, Bill et Melinda Gates ont organisé leur Sommet de Londres sur le planning familial, où ils ont annoncé leur engagement en faveur du contrôle de la population dans le tiers-monde, à l’occasion du 100e anniversaire du Premier congrès international sur l’eugénisme, qui s’est également tenu à Londres.

Bill Gates est bien connu pour son obsession des vaccins, une quête curieuse si l’on considère que les 9 000 000 de personnes qui meurent chaque année de la faim seraient mieux servies si elles disposaient d’eau potable, d’un approvisionnement en nourriture, d’équipements d’assainissement convenables et un environnement sain. En 2009, la Fondation Gates a financé des études d’observation en Inde pour un vaccin controversé contre le cancer du col de l’utérus, le « Gardasil », qui a été administré à des milliers de jeunes filles. En quelques mois, de nombreuses jeunes filles ont commencé à tomber malades et, au bout d’un an, cinq d’entre elles étaient décédées.Au cours d’une étude similaire portant sur une autre marque de vaccin contre les papillomavirus humains, de nombreuses jeunes filles ont été hospitalisées et deux autres sont décédées.The Economic Times of India a publié en 2014 un rapport sur ce sujet, avec la révélation choquante suivante :

« Dans de nombreux cas, le consentement à la réalisation de ces études a été obtenu auprès des directeurs de foyers, ce qui constitue une violation flagrante des normes. Dans de nombreux autres cas, l’empreinte du pouce de leurs parents pauvres et analphabètes était dûment apposée sur le formulaire de consentement. Les enfants n’avaient également aucune idée de la nature de la maladie en question pas plus que celle du vaccin. Dans un très grand nombre de cas, les autorités concernées n’ont pas pu fournir les formulaires de consentement requis pour les enfants vaccinés. »

Note du traducteur : Plus exactement, c’est le Sama — une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes — qui a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face au déluge de réactions négatives, le Conseil indien de la recherche médicale a suspendu le projet Path à l’origine de cette expérimentation.

« Path — anciennement connu comme le Program for Appropriate Technology in Health [Programme de technologie appropriée en santé – NdT] — est une ONG basée à Seattle, largement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates mais qui reçoit également d’importantes subventions du gouvernement des États-Unis. Entre 1995 et le jour de la rédaction de cet article (mai 2021), Path a reçu plus de 2,5 milliards de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates.
[…]
C’est alors que la commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter sur l’affaire et le 17 mai de la même année, Sama a produit un rapport accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais, et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.

[…] la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, en constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes — souvent des membres du personnel des foyers où vivaient les jeunes filles — et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations quant à la nécessité de cette vaccination, à ses bénéfices et inconvénients ou à ses potentiels effets secondaires. »

Source : Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice

Le rapport du Comité permanent de la santé du Parlement indien peut être consulté ici.

Voir aussi :

Également en Inde, Bill Gates a promu un vaccin oral contre la polio, après s’être efforcé d’y éradiquer la maladie. Cependant, comme nous l’avons vu précédemment dans cet article, des produits chimiques toxiques sont impliqués dans l’étiologie de la polio et la maladie ne peut donc pas être éradiquée par l’utilisation de vaccins. En fait, les chiffres de la santé mondiale indiquent que plus de cas de polio sont maintenant causés par les vaccins eux-mêmes que toute autre chose. En 2018, un groupe de courageux scientifiques indiens a publié une étude dans l’International Journal of Environmental Research and Public Health montrant une corrélation entre les distributions du vaccin oral contre la polio et l’augmentation des cas de « paralysie flasque aiguë » [aussi appelé logiquement « syndrome de pseudo-polio » – NdT], une condition décrite comme « cliniquement indiscernable » de la polio.

Ironie du sort, Bill Gates a investi 23 millions de dollars dans Monsanto, la société qui commercialise le Roundup, un pesticide contenant du glyphosate et connu pour ses effets néfastes sur la santé, avec notamment des troubles neurologiques et des paralysies [comme Alzheimer et Parkinson, la liste est trop longue pour citer tous les troubles dus au Roundup, mais on notera tout de même que la liste inclut des affections respiratoires – NdT].

Si beaucoup pensent que Gates donne son argent de manière désintéressée pour financer ces campagnes de vaccination, il convient de noter que ses investissements dans les vaccins lui ont rapporté des sommes considérables. En 2019, la Fondation Bill & Melinda Gates avait fait don d’un peu plus de 10 milliards de dollars à diverses initiatives liées aux vaccins, dont GAVI (l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination). Bill Gates l’a qualifié de « meilleur investissement qu’il ait jamais fait », estimant un rendement de 20-1, soit environ 200 milliards de dollars sur vingt ans. En effet, la valeur nette de la fortune de Bill Gates a plus que doublé au cours des dix dernières années.

Et n’oublions pas que plus de la moitié des décès dans les pays à revenu faible ou intermédiaire sont dus à des maladies non transmissibles, auxquelles la Fondation Bill et Melinda ne semble guère s’intéresser, puisqu’elle y consacre moins de 3 % de son budget.

En outre, les activités de Bill Gates dans le domaine de la santé publique sont entachées de conflits d’intérêts qui sembleraient remettre en question l’idée qu’il se soucie de la santé des populations. Nombre de ces conflits d’intérêts sont décrits par David Stuckler, scientifique à Harvard, dans une étude publiée dans PLOT Medecine et intitulée « Philanthropie en santé mondiale et relations institutionnelles : comment traiter les conflits d’intérêts ? », dans laquelle il affirme que :

« À titre d’exemple, nous avons constaté que la Fondation Bill & Melinda Gates détient des participations importantes dans la société Coca-Cola, et participe également à des subventions qui encouragent les communautés des pays en développement à devenir des filiales commerciales de Coca-Cola. Certains commentateurs ont noté que les boissons sucrées telles que celles produites par Coca-Cola sont en corrélation avec l’augmentation rapide de l’obésité et du diabète dans les pays en développement. »

Il ajoute :

« De nombreuses subventions de développement pharmaceutique de la Fondation peuvent bénéficier à des sociétés pharmaceutiques de premier plan telles que Merck et GlaxoSmithKline. […] Plusieurs subventions sont liées à des entreprises qui sont représentées au sein de son conseil d’administration en tant qu’investisseurs de la Fondation. »

Les médias font rarement état de ces conflits d’intérêts inquiétants, ce qui n’est pas surprenant puisque Gates finance tous les grands organes d’information.

Qualifier l’injection imprudente et généralisée des [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux anti-Covid-19 d’initiative imprégnée de pensée eugéniste n’aurait rien de saugrenu compte tenu du nombre de personnalités et d’institutions impliquées dans la course au [soi-disant – NdT] vaccin qui ont des liens avec le mouvement eugéniste. En fait, les concepteurs du [soi-disant – NdT] vaccin Oxford-AstraZeneca sont également liés à la aujourd’hui re-nommée British Eugenics Society, fondée par le père de l’eugénisme, Francis Galton. Ces liens sont détaillés par la journaliste d’investigation Whitney Webbdans son article intitulé « Les concepteurs du vaccin Oxford-AstraZeneca liés au mouvement eugéniste britannique ».

Lorsqu’il s’agit de protéger la santé publique, la témérité dont font preuve les politiciens, les scientifiques et les entreprises pharmaceutiques est impardonnable compte tenu de l’impact généralisé qu’auront ces [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux. Nous avons déjà commencé à voir les résultats du déploiement d’une technologie de thérapie génique dangereuse sur un public naïf et confiant, le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) montrant plus de décès liés aux [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 que tous les autres vaccins réunis au cours des 30 dernières années.

Note du traducteur : En effet,

La mortalité associée aux vaccins aux États-Unis de 1990 à 2021Rien de tout cela n’est surprenant, compte tenu de la hâte avec laquelle les essais cliniques ont été menés et des nombreux points d’interrogation relatifs à la fiabilité des données rapportées. Par exemple, les fabricants de ces [soi-disant -NdT] vaccins ont déclaré que leurs « produits » étaient « efficaces à 95 % », un chiffre qu’ils ont obtenu en utilisant une réduction du risque relatif plutôt qu’une réduction du risque absolu, lequel était d’environ 1 % dans la plupart des cas, un fait qui n’a jamais été souligné par les médias grand public.

En outre, les phases d’essai précédentes de ces produits n’ont pas été conçus pour évaluer leurs effets sur l’infection, la transmission, les hospitalisations ou les décès, ce qui laisse perplexe étant donné que ces paramètres sont justement ceux qui auraient dû être prioritaires si nous faisions vraiment face à une pandémie virale. Encore que ceci peut être un geste calculé de la part des fabricants de ces [soi-disant – NdT] vaccins, qui savaient qu’ils auraient plus de chances de truquer les résultats en utilisant le critère principal de « Covid-19 quelle que soit sa gravité ». Après tout, l’augmentation spectaculaire des injections antigrippales n’a pas été associée à une diminution de la mortalité.

Peter Doshi, un rédacteur du British Medical Journala remis en question de nombreux aspects de ces essais vaccinaux pour le moins controversés, notamment la possibilité que les analgésiques masquent les symptômes du Covid-19 dans les différents groupes d’essai, ainsi que la [soi-disant – NdT] objectivité des « Comités d’adjudication des effets primaires » chargés de compter les cas de Covid-19. Dans le cas de Pfizer, ce comité était composé d’employés de Pfizer.

Note du traducteur : Ces comités doivent appliquer, a priori, la procédure par laquelle les événements cliniques identifiés comme des critères d’évaluation potentiels sont soumis à un panel d’experts indépendants pour être évalués en aveugle.

Récemment, le Doctors for Covid Ethics, un groupe composé du Dr Michael Palmer, du Dr Sucharit Bhakdi et du Dr Stefan Hockertz, a publié une déclaration d’experts concernant le danger et l’efficacité du [soi-disant – NdT] vaccin Pfizer, déclaration qui a été transmise dans le cadre d’un procès contestant l’autorisation par l’Union européenne de l’utilisation du [soi-disant – NdT] vaccin pour les enfants de 12 ans et plus. Le document indique que l’efficacité déclarée du produit à ARNm de Pfizer était « selon toute vraisemblance complètement frauduleuse » et que

« Pfizer, l’Agence européenne des Médicaments et la FDA ont systématiquement négligé les preuves issues d’essais précliniques effectués sur des animaux qui mettaient clairement en évidence les graves dangers d’effets indésirables. »

Note du traducteur : En ce qui concerne les essais précliniques dont il est fait mention ci-dessus, voir les articles suivants :

« Alors que les animaux semblaient posséder des anticorps contre le virus, et auraient théoriquement dû être protégés, ils sont tombés gravement malades et la plupart sont morts lorsqu’ils ont été exposés au coronavirus naturel. »

Mais bien sûr, rien de tout cela n’est abordé dans les médias grand public. En lieu et place, on nous sert sans cesse les mêmes discours : « les vaccins sont sûrs et efficaces », « suivez la science », « écoutez les experts ». Et par « experts », ils entendent bien sûr les marionnettes pharmaceutiques sans âme comme le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses, qui vomit des mensonges sur les soi-disant infections virales depuis l’apparition du Sida en 1984. Le fait qu’un personnage comme Fauci occupe son poste depuis plus de trente ans en dit long sur le fonctionnement du système. Le regretté prix Nobel et inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR), Karry Mullis, a fustigé Fauci dans une interview :

« Il ne sait vraiment rien sur rien, et je le lui dirais en face. Rien. Cet homme pense que l’on peut prendre un échantillon de sang et le mettre dans un microscope électronique et que s’il y a un virus dedans, on le saura. Il ne comprend pas la microscopie électronique et il ne comprend pas la médecine. Il ne devrait pas être dans une position telle que celle qu’il occupe […] Passer à la télévision devant les gens qui paient son salaire et mentir directement à la caméra ne dérange absolument pas Tony Fauci. »

Un futur transhumaniste

En plus d’être une thérapie génique, une technologie associée à l’eugénisme et au transhumanisme, selon les scientifiques, la technologie ARNm

« permet le développement rapide de nouveaux vaccins dans un délai très court de quelques semaines plutôt que de quelques mois. »

Nous pourrions donc être confrontés à la perspective d’un avenir truffé de « vaccins » à la demande créés pour « protéger » le public contre de nouvelles menaces invisibles.

Note du traducteur : À ce sujet, voir aussi « Vaccins » à ARN et conquête commerciale planétaire — Le plan derrière le Covid-19

En effet, puisque les vaccinologues parlent d’ores et déjà de « variants », d’injections de rappels et de [soi-disant – NdT] vaccinations anti-Covid-19 périodiques, on peut dire que tout semble aller dans ce sens. Et bien sûr, grâce aux conglomérats de Big Tech liés au renseignement, toutes ces données seront enregistrées dans un « passeport vaccinal » relié à votre téléphone intelligent, qui constituera sans aucun doute la base d’un nouveau type de carte d’identité numérique liée à votre compte bancaire et, à terme, à votre crédit social.

En effet, en 2019, la société Microsoft de Bill Gates a déposé un brevet, opportunément nommé Brevet WO2020060606 [notez aussi le WO pour World Order – NdT)], portant sur un « système de crypto-monnaie utilisant des données d’activation corporelle », un autre indice quant aux véritables intentions de l’élite technocratique qui finance et promeut le programme transhumaniste. Le titre du brevet évoque à lui seul les images d’une société esclavagiste dans laquelle les humains sont équipés de biocapteurs et reçoivent des jetons numériques pour avoir accompli les tâches qui leur sont confiées par l’élite dirigeante.

Mais ce qui est peut-être encore plus alarmant, c’est l’empressement à obtenir l’autorisation d’utiliser les thérapies géniques chez les jeunes enfants. Pfizer est actuellement au milieu d’un essai clinique mondial, dans le cadre duquel le laboratoire pharmaceutique teste ses [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm chez des bébés de 6 mois à peine,en dépit du fait que le « Covid-19 », si l’on suppose que cette maladie existe, ne touche pratiquement pas les enfants. En fait, selon les chiffres du CDC, le taux de létalité chez les enfants est de 20 pour 1 000 000, soit 0,002 %, ce qui est probablement inférieur au risque de dommages permanents ou de décès lié au vaccin ROR. Il est également inférieur au taux de mortalité lié au [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, tel que calculé à partir des données du VAERS au moment de la rédaction de cet article(5 612 décès sur 165 000 000 de personnes entièrement vaccinées aux États-Unis = 0,003 %). En outre, des recherches ont établi un lien entre le [soi-disant – NdT] vaccin de Pfizer et la myocardite symptomatique, avec un taux d’incidence estimé à 1 sur 3 000 ou à 1 sur 6 000 chez leshommes jeunes.

L’empressement à intégrer ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm dans le calendrier de vaccination des enfants n’a rien à voir avec la santé ou la protection, mais constitue plutôt une étape vers un objectif bien plus sinistre, à savoir le contrôle du corps humain lui-même.

Comme nous l’avons déjà mentionné dans cet article, la DARPA, l’organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, a travaillé à la création de nanotechnologies capables de s’interfacer avec les cellules biologiques. En 2014, la DARPA a lancé son programme « In Vivo Nanoplatforms (IVN) », dans le but de développer des nanoplatformes implantables permettant de collecter des données biologiques et de fournir un « suivi physiologique continu ». Le programme a depuis contribué à créer des hydrogels injectables qui surveillent les réponses physiologiques et peuvent se synchroniser avec un smartphone.

En outre, la DARPA, ainsi que le NIH, financent largement Profusa, une société de biotechnologie soutenue par Google qui développe et commercialise cette même technologie d’hydrogel injectable, sauf qu’elle est maintenant présentée comme un moyen de détecter les futures « pandémies ». Les capteurs de Profusa seraient capables de

« détecter les infections de type grippal avant même que les symptômes ne se manifestent. »

Bien qu’incroyablement inquiétant, ce n’est qu’un pas vers le but ultime de la DARPA, qui est d’établir une domination sur l’esprit. Cet objectif se reflète dans les recherches de la DARPA visant à créer des « soldats mutants » à l’aide d’« armes génétiques » capables de

« saper l’esprit et le corps des gens en utilisant une série de techniques chimiques, neurologiques, génétiques et comportementales.

La DARPA étudie également les moyens de modifier génétiquement le cerveau afin de lire les pensées des gens et d’induire dans leur esprit des images et des sons. La recherche implique l’utilisation de « nanoparticules magnétiques », la même technologie qui, selon certains, pourrait être incluse dans les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, qu’ils soient actuels ou futurs.

Tout aussi affligeant est le « Wellcome Leap », une nouvelle initiative créée en partenariat avec deux anciens hommes de pointe et la DARPA par le Wellcome Trust, lui-même lié à l’eugénisme, le Wellcome Trust étant la fondation pour la recherche médicale la plus riche du monde. L’objectif officiel du programme est de [c’est le traducteur qui souligne]

« réaliser des percées en matière de santé humaine sur une période de cinq à dix ans et de démontrer des résultats apparemment impossibles à obtenir dans des délais apparemment impossibles. »

Actuellement, l’initiative comporte cinq projets principaux, dont le premier est « Préparation et réponse de l’ARN », qui — sachant qu’ils se réfèrent à la fabrication de produits à base d’ARN (thérapies géniques à base d’ARNm) — vise à (c’est l’auteur qui souligne)

« créer un réseau autonome d’installations permettant la fabrication qui fournira une capacité optimale répartie dans le monde entier pour répondre aux besoins d’une future pandémie. »

Notez la certitude apparente d’une future pandémie.

Toutefois, le projet Wellcome Leap le plus inquiétant est sans aucun doute « The First 1000 days » [Les 1 000 premiers jours – NdT], un programme qui vise à utiliser des nourrissons comme cobayes afin de surveiller le développement de leur cerveau et de créer des modèles d’intelligence artificielle pouvant être utilisés pour « prédire avec précision et améliorer les résultats des fonctions exécutives ». Le projet prévoit également l’utilisation de « capteurs mobiles, de vêtements et de systèmes domestiques connectés ». Dans un article détaillé sur le sujet, la journaliste d’investigation Whitney Webb écrit que :

« Fidèle aux liens eugénistes du Wellcome Trust (qui seront approfondis dans la deuxième partie), le projet « Les 1 000 premiers jours » de Wellcome Leap précise que

« l’intérêt réside dans les améliorations d’une fonction exécutive sous-développée vers une fonction exécutive normative ou d’une fonction exécutive normative vers une fonction exécutive bien développée dans l’ensemble de la population afin de produire l’impact le plus large. »

L’un des objectifs de ce projet n’est donc pas de traiter une maladie ou de s’attaquer à un « défi public de santé mondiale », mais plutôt d’expérimenter l’augmentation cognitive des enfants en utilisant des moyens développés par des algorithmes d’intelligence artificielle et une technologie invasive basée sur la surveillance. »Le délai de cinq à dix ans prévu par le Wellcome Leap coïncide avec le projet Neuralink du leader de l’élite en la matière, Elon Musk, qui ambitionne d’instaurer « l’avenir des interfaces cérébrales » afin d’« étendre nos capacités ». Lors d’une interview, Musk a déclaré :

« Je pense que nous sommes à huit ou dix ans d’une utilisation par des personnes qui n’ont pas de handicap. »

Musk, dont la richesse a augmenté de plus de 500 % pendant la [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19, a fondé Neuralink en 2016. La société a récemment levé 205 millions de dollars de fonds auprès de sept sociétés de capital-risque (dont Google Ventures) et de cinq dirigeants de la Silicon Valley. Cependant, Neuralink n’est pas la seule société de biotechnologie à s’être lancé dans cette technologie. Récemment, Synchron, une petite entreprise de biotechnologie et concurrente de Neuralink, a reçu le feu vert de la FDA pour commencer à tester ses implants de puces cérébrales chez l’homme.

Dans dix ans, nous serons en 2030, une année qui revient sans cesse comme celle où les technologies transhumanistes seront monnaie courante dans la société. Selon les prévisions du National Intelligence Council américain, « l’humain augmenté » — la fusion de l’homme et de la machine — sera un thème majeur en 2030. Leur rapport Global Trends 2030publié en 2012, indique que :

« Les prothèses réussies seront probablement directement intégrées au corps de l’utilisateur. Les interfaces cerveau-machine pourraient aussi bien fournir des capacités « surhumaines » améliorant la force et la vitesse, que des fonctions qui n’existaient pas auparavant. »

Il est intéressant de noter que le rapport prévoit également « un nouvel agent pathogène respiratoire facilement transmissible » qui pourrait avoir un impact très perturbateur. Le rapport poursuit en affirmant que

« contrairement à d’autres événements mondiaux perturbateurs, une telle épidémie entraînerait une pandémie mondiale qui causerait directement des souffrances et des décès partout dans le monde, probablement en moins de six mois. »

L’asservissement — Une décision librement consentie

Le déploiement des thérapies géniques à base d’ARNm et la poussée vers une société transhumaniste sont le prolongement du mouvement eugéniste, lui-même fondé sur le concept pseudo-scientifique selon lequel certains humains, en vertu de leur composition génétique, seraient plus « aptes » que d’autres à diriger la société.

Le « héros » de l’épidémie de polio, Jonas Salk, entretenait lui-même des liens avec l’eugénisme, tout comme l’institut nommé en son honneur, le Salk Institute. Leurs recherches sur l’ARNm, financées par le NIH, ont jeté les bases du développement et de la diffusion massive des thérapies géniques, appelées de manière controversée [et à dessein – NdT] « vaccins ». Le danger de cette technologie expérimentale est évident, étant donné qu’elle a déjà causé des milliers de dommages et de décès dans le monde entier.

Le rôle des organisations de renseignement, des technocrates milliardaires et des initiatives pharmaceutiques dans le financement, la recherche et la promotion de ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm, des interfaces « bio-cerveau », de l’édition de gènes et autres technologies imprégnées d’idéaux eugénistes donne l’image d’un programme mondial qui devrait atteindre sa vitesse de croisière d’ici 2030. L’actuelle [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19 a servi à accélérer ce programme en centralisant la richesse et le pouvoir, en faisant entrer la technologie transhumaniste dans le courant dominant et en normalisant les régimes autoritaires. Les essais de Pfizer sur les nourrissons et le projet alarmant « Les 1 000 premiers jours » du Wellcome Leap indiquent que la clé de cet agenda est le conditionnement et le contrôle des enfants dès leur plus jeune âge, ce qu’Aldous Huxley a décrit en détail dans son roman eugéniste prophétique et inquiétant, Le meilleur des mondes.

Ce programme, bien que soutenu par certains des individus et institutions les plus puissants du monde, présente une faiblesse évidente : son succès dépend de notre choix à y consentir. Il ne progressera que si nous le laissons faire. Par conséquent, il appartient à chacun d’entre nous, par une résistance non violente et compatissante, de semer les graines de l’éveil dans la conscience collective de l’humanité.

Source de l’article initialement publié en anglais le 25 août 2021 : New Brave World
Traduction : Sott.net




Nos bourreaux ne se cachent même plus !

[Source : zonefr.com]

Par Christine Deviers-Joncour

Je n’ai pas de mots assez forts pour dire ma colère et mon dégoût ! 

Toutes nos institutions sont prises en otages et vérolées ! Nous sommes cernés par ces menteurs corrompus que ce soit l’Assemblée nationale, le Sénat, le Conseil d’État, le Conseil Constitutionnel ! Jamais la France n’aura connu une telle situation.

Une mafia qui mène à son terme une destruction totale de notre pays et de son peuple ! Plus aucune liberté, plus de soins, plus de possibilité de sortir de chez nous, de travailler, de bouger si nous n’acceptons pas cette injection qui à terme nous tuera ! Toutes nos lois, nos protections sont démolies, effacées. Ceux qui se sont battus pour nous, doivent se retourner dans leurs tombes !

Peuple de France lève toi !!! Ils ont décidé de mener à son terme ce projet immonde d’anéantissement. Ils sont déterminés à nous anéantir, à nous supprimer et ils ne reculeront pas !

https://ripostelaique.com/le-massacre-continue-20-595-deces-dans-lue-et-toujours-ce-silence.html

Un peu d’histoire pour comprendre qui sont ces dingues meurtriers

Les sociétés secrètes telles que la franc-maçonnerie, le Prieuré de SionSkull and Bones, le Bohemian Club et bien d’autres, ont été infiltrées par des gens malveillants, dangereux et démoniaques, certaines de ces sociétés secrètes ont aussi été fondées dans le seul but d’amener le monde à un gouvernement mondial.

Si vous pensez que la franc-maçonnerie est « clean » et qu’elle n’a rien à voir avec cet agenda occulte, vous vous trompez. La franc-maçonnerie est responsable de cet agenda ésotérique. Les francs-maçons sont en grande majorité ignorants et incapables de penser par eux-mêmes, ils sont manipulés par un groupe occulte supérieur qui réside dans la franc-maçonnerie sans que les maçons des loges bleues n’en sachent quoi que se soit. Ils sont même convaincus qu’il n’existe pas de chef dans la franc-maçonnerie et que tous les complots sont des mythes.

Leur Nouvel Ordre Mondial n’est pas seulement une guerre physique, c’est une guerre psychique, c’est ce que David Icke appelle « un coup d’état sur l’âme humaine« , ces attentats terroristes sont réels…

Bien sur, ils existent dans le monde en trois dimensions (3D), mais ils existent aussi pour vous choquer spirituellement, pour arriver à l’état où vous pouvez regarder ces atrocités, guerres, génocides, problèmes mondiaux tout en mangeant à 8h du soir, avec votre famille devant la télévision.

Le Nouvel Ordre Mondial a pour but de lobotomiser la population mondiale, de l’exploiter, et de traiter n’importe quel individu comme un vulgaire animal, ce qui est déjà le cas.

Il s’agit de centraliser les populations dans les villes, d’où le but de détruire l’environnement, c’est aussi à propos de vous faire manger des OGMs, de se brosser les dents avec du dentifrice au fluor et de boire de l’eau contenant de la fluorine.

C’est simplement de l’esclavage moderne déguisé en démocratie. Et bien sur, pour arriver à un tel niveau, il faut des guerres, des crimes, de la violence, du chaos et du désordre.

Pourquoi est-ce que les informations en France, aux USA et partout dans le monde de l’Ouest sont si déprimantes, négatives, toujours axées sur les guerres ? C’est pour que vous soyez mentalement effrayé, c’est simplement pour contrôler votre esprit, parce que la vraie réalité n’existe pas dans ce monde que vous voyez en 3D ! La réalité existe dans votre esprit, et ils comptent sur vous pour ne pas utiliser votre esprit et votre potentiel d’intelligence. Ils attendent de vous que vous écoutiez tout ce qu’ils ont à vous dire via les merdias mainstream, et ils espèrent que vous allez gober tous ces mensonges, ce qui est le plus souvent le cas.

C’est aussi l’installation de milliers de caméras de surveillance partout dans vos villes. C’est aussi l’instauration de la loi martiale partout sur la planète pour soi-disant « se protéger contre le terrorisme« , ou n’importe quelle autre force utilisée et manipulée afin d’avoir des guerres, des menaces et des conflits sans fin !

C’est aussi pouvoir vous embaucher et vous renvoyer sans préavis, c’est aussi vous faire payer très cher pour obtenir un appartement ou un logement médiocre dans une banlieue médiocre. C’est instaurer des taxes sur tout et n’importe quoi, même sur l’eau, la nourriture, et même notre protection…

C’est surtout vous contrôler vous et votre âme.

Mais qui sont-ils et d’où viennent-ils ? Pyramide Illuminatis, franc maçonne !

Gouvernement dans le gouvernement qui n’a qu’un seul but, amener le monde à un gouvernement mondial.

Les Illuminati sont une « élite dans l’élite« .

C’est la plus ancienne et la plus secrète des organisations des « Maîtres du Monde« . La plupart de ces organisations ont un siège social et des membres dont on connaît l’identité. Mais les membres des Illuminati ne sont pas connus de manière certaine, même si certains noms circulent avec insistance. Il s’agit de grandes familles capitalistes ou issues de la noblesse, comme par exemple les Rothschild, les Harriman, les Russel, les Dupont, les Windsor, ou les Rockefeller, notamment l’incontournable David Rockefeller, également co-fondateur du Groupe de Bilderberg et du CFR (Council of Foreign Relations).

Les Illuminati existent sous leur forme actuelle depuis 1776, date de fondation de l’Ordre des Illuminati en Bavière par Adam Weishaupt, un ancien Jésuite. (J’ai eu l’occasion de corriger des textes anciens de Weishaupt,  il y a trois ans en tant que correctrice et croyez-moi je sais de quoi je parle !!)

À cette époque, leur projet était de changer radicalement le monde, en anéantissant le pouvoir des régimes monarchiques qui, à cette époque, entravaient la légalisation de l’usure, le progrès de la société et des idées. La Révolution Française et la fondation des États-Unis auraient été des résultats de leur stratégie.

Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée. Au fil du temps, les membres de ce groupe sont passés du statut de conspirateurs subversifs à celui de dominateurs implacables dont le but essentiel est de conserver leur pouvoir sur la population.

Leur création marquait le lancement d’un Plan conçu pour se dérouler sur plusieurs siècles, en utilisant le contrôle du système financier naissant pour parvenir à une domination totale sur le monde.

La réalisation du Plan s’est ensuite transmise comme un flambeau de génération en génération, au sein d’une élite héréditaire d’initiés qui ont su adapter le Plan aux évolutions technologiques, sociales, et économiques.

Contrairement aux autres organisations des Maitres du Monde, les Illuminati ne sont pas un simple « club de réflexion » ou « réseau d’influence« . Il s’agit d’une organisation dont la véritable nature est ésotérique ou « occulte ».

Les dirigeants politiques ou économiques se présentent au public comme des personnes éminemment rationnelles et matérialistes. Mais le public serait étonné d’apprendre que certaines de ces personnes participent à des cérémonies étranges, dans des sociétés secrètes où se perpétuent le culte des dieux égyptiens et babyloniens: Isis, Osiris, Baal, Moloch, ou Sémiramis.

Les Illuminati se considèrent en effet comme détenteurs d’une connaissance et d’une sagesse supérieure, héritées de la nuit des temps, et qui leur donne une légitimité pour gouverner l’humanité. Les Illuminati sont la forme moderne d’une société secrète très ancienne, la « Fraternité du Serpent » (ou « Confrérie du Serpent« ), dont l’origine remonte aux racines de la civilisation occidentale, à Sumer et Babylone il y a plus de 5000 ans.

La civilisation qui domine le monde aujourd’hui est en effet la prolongation de la civilisation Sumérienne, qui a inventé tout ce qui caractérise la civilisation occidentale : l’administration d’état, l’argent, le commerce, les taxes et les impôts, l’esclavage, les armées organisées, et une expansion fondée sur des guerres perpétuelles et l’asservissement des autres peuples. Ce fut aussi la première civilisation à détruire son environnement. Pratiquant une agriculture intensive après avoir inventé l’irrigation, les civilisations Sumérienne et Babylonienne ont transformé des prairies verdoyantes en un désert qui est aujourd’hui l’Irak.

Depuis Sumer et Babylone, la Fraternité du Serpent s’est perpétuée en prenant des formes et des noms multiples à travers les époques, exerçant son influence sur les religions et les pouvoirs politiques successifs, dans une longue filiation qui inclut les « écoles de mystère » égyptiennes et grecques, l’église chrétienne de Rome (utilisée comme « véhicule » par la « Fraternité » pour s’implanter en Europe), les Mérovingiens (d’où le personnage « Mérovingien » dans le film « Matrix »), les Templiers (et leurs nombreuses ramifications – Franc- Maçons, Rose-Croix, Prieuré de Sion, Ordre Militaire et Hospitalier de St Jean de Jérusalem, Ordre de Malte…), et enfin les « Illuminati » et les organisations qui y sont rattachées.

Le symbole des Illuminati est présent sur les billets de 1 dollar: une pyramide dont le sommet (l’Elite) est éclairé par l’oeil de la conscience et domine une base aveugle, faite de briques identiques (la population).

Changer notre monde commence ici. (Jacques Desrosiers)   

Le Nouvel Ordre Mondial (N.O.M ou N.W.O pour New World Order en anglais) est officiellement un terme qui est employé pour parler de la mondialisation, mais pas la mondialisation économique du style OMC, pas la mondialisation de la sécurité mondiale du genre ONU, ou la mondialisation de la force genre OTAN, mais bien une mondialisation politique, religieuse, avec des caractères économiques et culturels, c’est ça le Nouvel Ordre Mondial.

Mais c’est aussi un plan, que les sociétés secrètes tentent de mettre en application depuis des millénaires (depuis Babylone).

Le Nouvel Ordre Mondial est la mise en place d’une dictature internationale de type communiste déguisée sous le mot « humanisme« , où les peuples seront sommés d’obéir à la loi internationale de force sous peine d’être nettoyés.

Pour ce faire, ils ont : La « solution finale »

Une guerre d’élimination contre la population mondiale a donc commencé.

Les humains devenus inutiles ne sont pas éliminés dans des camps de concentration, mais en leur supprimant progressivement l’accès à l’espace vital, à la nourriture, à la santé, à l’éducation, à l’information, et à l’énergie.

L’envolée des prix alimentaires, la suppression ou la réduction de l’allocations-chômage, la baisse des retraites, le démantèlement des systèmes d’éducation et de santé publique, et la privatisation du marché de l’électricité, sont autant de mesures récentes qui vont dans ce sens. Ils appellent cela leur arme silencieuse : un type d’arme biologique. Elle attaque la vitalité, les options, et la mobilité des individus d’une société, en connaissant, comprenant, manipulant, et attaquant leurs sources d’énergie sociales et naturelles, ainsi que leur forces et faiblesses physiques, mentales, et émotionnelles.

Les pauvres, les précaires et les exclus sont condamnés à une mort lente et discrète, par la misère, la malnutrition, la maladie, ou le suicide.

Le 5 mai 2009, un groupe de milliardaires s’était réuni dans la maison de Sir Paul Nurse, un biochimiste britannique Prix Nobel et Président de l’Université privée Rockefeller, à Manhattan.

Ils étaient invités par Warren Buffet et Bill Gates.

Les échanges de vues portaient sur la façon d’optimiser les dons de bienfaisance au cours d’une période de bouleversements financiers. Ultimement, 

« ils sont arrivés à un consensus selon lequel ils cautionneraient une stratégie où la croissance de la population serait taxée de potentielle menace environnementale, sociale et industrielle désastreuse… ils doivent être indépendants des agences gouvernementales, lesquelles sont incapables de contrer le désastre imminent [qu’ils] voient tous« .

Quelle est la philosophie qui sous-tend leurs engagements ?

Bien que des reportages sur de telles réunions ne puissent être vérifiés, les sources du journaliste d’investigation Daniel Estulin, ainsi que celles de Jim Tucker, traqueur vétéran du Groupe Bilderberg, ont fait preuve d’une extrême justesse par le passé.

Le journal Times du Royaume-Uni rapportait que ces

« éminents milliardaires se sont rencontrés en secret pour envisager la façon dont leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale [et qu’ils] avaient parlé de joindre leurs forces pour surmonter les obstacles politiques et religieux au changement« . En outre, « on a alloué 15 minutes à chacun des milliardaires afin qu’ils présentent leur cause favorite. Pendant le dîner, ils ont discuté de la manière dont ils pourraient choisir une “cause ombrelle“ pouvant servir leurs intérêts. » Ils ont « convenu que la surpopulation était une priorité ».

Un des invités a déclaré qu’

« ils désiraient discuter de riche à riche sans craindre que ce qu’ils disent se retrouve dans les journaux, les dépeignant comme un gouvernement mondial de rechange« .

La population en excès est maintenant éliminée par des épidémies à répétition !!

Depuis quelques années ils ont décidé d’accélérer l’attaque. C’est là leur dernière carte : Covid19, élaboré et planifié depuis  déjà quelques années pour finir leur sale boulot !

Réduire cette population mondiale et contrôler la planète !

L’ordre mondial actuel ne peut plus se perpétrer de la sorte !!! Il est un problème crucial pour l’humanité, un problème qui doit être impérativement et au plus vite résolu. Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, à se battre pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés.

Il s’agit là de leur fameuse guerre contre les peuples annoncée par Warren Buffet : Le milliardaire américain Warren Buffet a déclaré il y a quelques années, non sans humour, qu’il existait

« bel et bien une guerre des classes mais c’est ma classe, la classe des riches qui fait la guerre et c’est nous qui gagnons ».

Ils l’ont ont méticuleusement préparée et mise en œuvre pour nous éliminer et pour soumettre les survivants, leurs futurs esclaves.

Aux Armes citoyens !

La guerre est l’acte par lequel le peuple résiste à l’injustice au prix de son sang ! 

(Henri Lacordaire)

[Note de Joseph : Cependant, s’il s’agit bien d’une guerre, elle est avant tout d’essence spirituelle et doit se maintenir sur ce plan, car la faire descendre sur le plan physique ne ferait que satisfaire ces élites autoproclamées en accélérant la mise en œuvre de leur plan.]

Christine Deviers-Joncour
Source : MédiaZone


[Voir aussi :
C. Deviers-Joncour : Aucune injustice ne peut durer pour l’éternité
La guerre du Bien contre le Mal
Les dessous nauséabonds de la République — L’indécente arrogance des riches et des puissants…]




William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui

[Source : Sott.net]

Par Cynthia Chung — The Saker Blog

« Mais je ne veux pas aller parmi les fous », fait remarquer Alice.
« Oh, tu n’y peux rien », dit le chat, « nous sommes tous fous ici. Je suis fou. Tu es folle. »
« Comment sais-tu que je suis folle ? », demande Alice.
« Tu dois l’être », répond le chat, « sinon tu ne serais pas venue ici. »

Lewis Carroll, Alice au Pays des Merveilles

Nous vivons dans un monde où le degré de désinformation et de mensonge pur et simple a atteint un niveau tel que peut-être pour la première fois, la majorité du monde occidental commence à s’interroger sur son propre niveau de santé mentale et sur celui de son entourage. La méfiance croissante et frénétique à l’égard de tout ce qui fait « autorité », mêlée à l’incrédulité désespérée que « tout le monde ne peut pas être dans le coup ! », pousse lentement de nombreuses personnes à s’enfermer dans une camisole de force de plus en plus serrée. « Tout remettre en question » est devenu la nouvelle devise, mais sommes-nous capables de répondre à ces questions ?

Gaslighting
Photo du film Gaslight, 1944
[Hantise pour la version sortie dans les salles françaises en 1947 – NdT]

Actuellement, la réponse est un non catégorique.

La mauvaise blague des comportementalistes sociaux, qui ont rendu tout le monde obsédé par le papier toilette au début de ce que l’on croyait être une période de crise, est un exemple du contrôle qu’ils exercent sur le bouton rouge intitulé « déclencher une panique massive de niveau 4 ».

Et peut-on blâmer le peuple ? Après tout, si on nous ment, comment pouvons-nous nous rassembler et pointer du doigt la racine de cette tyrannie, ne sommes-nous pas arrivés au point où elle est partout ?

Comme Goebbels l’a tristement déclaré,

« Si vous dites un mensonge suffisamment gros et que vous le répétez sans cesse, les gens finiront par le croire. Le mensonge ne peut être maintenu que tant que l’État peut protéger la population des conséquences politiques, économiques et/ou militaires de ce mensonge. Il devient donc d’une importance vitale pour l’État d’utiliser tous ses pouvoirs pour réprimer la dissidence, car la vérité est l’ennemi mortel du mensonge, et donc par extension, la vérité est le plus grand ennemi de l’État [sous le fascisme]. »

Et nous nous trouvons aujourd’hui au seuil du fascisme. Cependant, avant que le fascisme ne puisse dominer complètement, nous devons d’abord accepter de renoncer à nos droits civils en tant que collectivité. Autrement dit, le grand mensonge ne peut réussir que si la majorité ne le dénonce pas, car si la majorité le reconnaissait pour ce qu’il est, il n’aurait vraiment aucun pouvoir.

La bataille pour gagner le contrôle de votre esprit

« Les politiciens, les prêtres et les psychiatres sont souvent confrontés au même problème : comment trouver le moyen le plus rapide et le plus permanent de changer la croyance d’un homme… Le problème du médecin et de son patient souffrant de névrose, et celui du chef religieux qui entreprend de gagner et de retenir de nouveaux convertis, est maintenant devenu le problème de groupes entiers de nations, qui souhaitent non seulement confirmer certaines croyances politiques à l’intérieur de leurs frontières, mais aussi faire du prosélytisme à l’extérieur. »

William Sargant, La bataille de l’esprit

Dans le passé, on pensait couramment, et non sans fondement, que la tyrannie ne pouvait exister qu’à condition que le peuple soit maintenu dans l’analphabétisme et l’ignorance de son oppression. Pour reconnaître que l’on est « opprimé », encore faut-il d’abord avoir une idée de ce qu’est la « liberté », et si l’on a le « privilège » d’apprendre à lire, cette découverte est inévitable.

Si l’éducation des masses pouvait alphabétiser la majorité d’une population, on pensait que les idées supérieures, le genre d’« idées dangereuses » que Mustapha Menier par exemple exprime dans Le meilleur des mondes, permettraient aux masses de rapidement s’organiser et rendraient inévitable une révolution contre « ceux qui les contrôlent ». En d’autres termes, la connaissance est la liberté, et l’on ne peut pas asservir ceux qui apprennent à « penser ».

Note du traducteur : Dans l’ouvrage de Aldous Huxley, Mustapha Menier est un Alpha plus et l’un des dix administrateurs mondiaux, qui sont les individus les plus importants de la société ; il a en charge l’Europe occidentale, l’une des dix zones de l’État mondial.

Cependant, ce n’est pas exactement ce qui s’est produit, n’est-ce pas ?

La grande majorité d’entre nous est libre de lire ce que bon lui semble, en ce qui concerne les livres autrefois « interdits », tels que ceux répertoriés par l’Index Librorum Prohibitorum.(([1] L’Index Librorum Prohibitorum était une liste de livres interdits, jugés dangereux pour la foi et la morale des catholiques romains, dont beaucoup étaient de manière suspecte des ouvrages humanistes platoniciens. Parmi les œuvres interdites figurent celles de Dante, d’Érasme et tous les livres de Machiavel. Pour en savoir plus, consultez mon article sur ce sujet.)) Nous pouvons lire tous les textes qui sont interdits dans Le meilleur des mondes, notamment les œuvres de Shakespeare qui y sont désignées comme des formes de « connaissance » absolument dangereuses.

Nous sommes maintenant tout à fait libres de nous « éduquer » sur les « idées » mêmes qui étaient reconnues par les tyrans du passé comme « l’antidote » à une vie d’esclavage. Et pourtant, aujourd’hui, la majorité choisit de ne pas le faire…

Il est reconnu, bien que superficiellement, que celui qui contrôle le passé, contrôle le présent et donc le futur. Le livre de George Orwell, 1984, le martèle comme la caractéristique essentielle qui permet à l’appareil de Big Brother de maintenir un contrôle absolu sur la peur, la perception et la loyauté à la cause du Parti, et pourtant, malgré sa popularité, il subsiste un manque d’intérêt pour réellement s’informer sur le passé.

Qu’importe de toute façon, si le passé est contrôlé et réécrit pour s’adapter au présent ? Comme l’interrogateur de Big Brother, O’Brien, le déclare à Winston :

« Nous, le Parti, contrôlons tous les dossiers et nous contrôlons tous les souvenirs. Alors nous contrôlons le passé, n’est-ce pas ? [Et donc, nous sommes libres de le réécrire comme bon nous semble…]. »

Bien sûr, nous ne sommes pas dans la même situation que Winston… nous sommes bien mieux lotis. Nous pouvons étudier et apprendre sur le « passé » si nous le désirons, malheureusement, il s’agit d’un choix possible que bien des personnes n’apprécient pas à sa juste valeur.

En fait, beaucoup ne sont probablement pas pleinement conscients qu’il se déroule actuellement une bataille pour savoir qui va « contrôler le passé » d’une manière qui ressemble beaucoup à ce qui s’apparente à un « effacement de la mémoire ».


William Sargant était un psychiatre britannique et, pourrait-on dire, le père du « contrôle mental » en Occident. Il avait des liens avec les services secrets britanniques et l’Institut Tavistock, qui influencerait plus tard la CIA et l’armée des États-Unis via le programme MK Ultra. Sargant a également été conseiller pour les travaux d’Ewen Cameron sur les esprits d’individus « déconstruits » sous LSD, à l’université McGill, financés par la CIA.

Note du traducteur : Ewen Cameron était un psychiatre d’origine écossaise et directeur de l’Allan Memorial Institute de l’université McGill, à Montréal. Il fut aussi président de l’Association psychiatrique des États-Unis, de l’Association psychiatrique du Canada et de l’Association psychiatrique mondiale.

Sargant justifie une des raisons pour lesquelles il a étudié et utilisé des formes de « contrôle de l’esprit » sur ses patients, lesquels étaient pour la majorité des soldats britanniques rapatriés du champ de bataille pendant la Seconde Guerre mondiale avec diverses formes de « psychose », en arguant qu’il s’agissait du seul moyen de réhabiliter des formes extrêmes de syndrome de stress post-traumatique.

L’autre raison était que les Soviétiques étaient apparemment devenus des « experts » dans ce domaine et que, pour des raisons de sécurité nationale, les Britanniques devaient à leur tour devenir des experts… pour des raisons d’autodéfense, bien sûr.

Les travaux d’Ivan Pavlov, un physiologiste russe, ont permis d’obtenir des informations intéressantes sur quatre formes primaires de systèmes nerveux chez les chiens, lesquelles combinaient des tempéraments inhibiteurs et excitateurs : « fortement excitateur », « équilibré », « passif » et « calme imperturbable ». Pavlov a découvert qu’en fonction de la catégorie de tempérament du système nerveux du chien, cette dernière déterminait la forme de « conditionnement » la plus efficace pour « reprogrammer le comportement ». La pertinence du « conditionnement humain » n’a échappé à personne.

Les pays occidentaux craignaient que ces techniques ne soient pas seulement utilisées contre leurs soldats pour que l’ennemi obtienne facilement des « confessions », mais que ces soldats puissent être renvoyés dans leur pays d’origine, sous la forme d’assassins et d’espions zombifiés susceptibles d’être mentalement activés par un simple mot de code. En tout cas, ce sont ces scénarios qui ont été propagés dans les populations à travers les films et les romans à suspense. C’est vraiment horrible ! Que l’ennemi puisse apparemment pénétrer dans ce que l’on considérait comme le seul terrain sacré qui nous appartenait… notre « esprit » même !

Cependant, pour ceux qui étaient à la pointe de la recherche sur le contrôle mental, comme William Sargant, il était entendu que le contrôle mental ne fonctionnait pas exactement de cette manière.

D’une part, la question du « libre arbitre » était un obstacle.

Peu importe la durée ou le degré des électrochocs, de la « thérapie » à l’insuline, des cocktails de tranquillisants, des comas provoqués, de la privation de sommeil, de la famine, etc., il a été découvert que si le sujet avait une « forte conviction » et une « forte croyance » en quelque chose, celle-ci ne pouvait pas être simplement supprimée, elle ne pouvait pas être remplacée par quelque chose d’arbitraire. Il fallait plutôt que le sujet ait l’illusion que son « conditionnement » relevait en fait de son « choix ». Il s’agissait d’une tâche extrêmement difficile, et les conversions à long terme (mois ou années) étaient rares.

Cependant, Sargant y a vu une opportunité. Il était entendu que l’on ne pouvait pas créer un nouvel individu à partir de rien, mais qu’avec un conditionnement adéquat, censé conduire à un effondrement physique par le biais d’un stress anormal ( en fait, un redémarrage du système nerveux), on pouvait sensiblement augmenter la « suggestibilité » des sujets.

Sargant a écrit dans son livre Bataille de l’esprit :

« Les descriptions cliniques de Pavlov des « névroses expérimentales » qu’il pouvait induire chez les chiens se sont avérées, en fait, correspondre étroitement aux névroses provoquées par la guerre que nous étudiions à l’époque. »

En outre, Sargant a découvert qu’un souvenir faussement implanté pouvait contribuer à induire un stress anormal conduisant à un épuisement émotionnel et à une dépression physique à même de susciter cette « suggestibilité ». En d’autres termes, il n’était même pas nécessaire de vivre un « stress réel », et un « stress fictif » était tout aussi efficace.

Sargant poursuit en déclarant dans son livre :

« Il n’est pas surprenant qu’une personne ordinaire, en général, soit bien plus facilement endoctrinée qu’une personne atypique… Une personne est considérée comme « ordinaire » ou « normale » par la communauté simplement parce qu’elle accepte la plupart de ses normes sociales et de ses modèles de comportement ; ce qui signifie, en fait, qu’elle est sensible à la suggestion et qu’elle a été persuadée d’aller dans le sens de la majorité dans la plupart des occasions ordinaires ou extraordinaires. »

Sargant aborde ensuite le phénomène du Blitz londonien, une période de huit mois de bombardements intensifs sur la ville de Londres pendant la Seconde Guerre mondiale. Au cours de cette période, pour faire face et rester « sain d’esprit », les gens se sont rapidement habitués à l’idée que leurs voisins pouvaient être et étaient enterrés vivants dans les maisons bombardées autour d’eux. La pensée était la suivante : « Si je ne peux rien y faire, à quoi bon me tourmenter ? ». On a donc constaté que « ceux qui s’en sortaient le mieux » étaient ceux-là mêmes qui acceptaient ce nouveau « cadre de vie » sans chercher à le contester, et qui se concentraient simplement sur leur « survie ».

Sargant remarque que c’est justement cette « adaptabilité » à un contexte environnemental en mutation qui fait partie de l’instinct de « survie » et qui est très ancrée chez l’individu « sain » et « normal », lequel est capable d’apprendre à faire face et continue donc à être « fonctionnel » en dépit du perpétuel changement de son environnement.

C’est donc notre « instinct de survie » profondément ancré dans notre inconscient qui s’est révélé être la clé de la suggestibilité de notre esprit. Et les meilleurs « survivants » se prêtent donc en quelque sorte à un meilleur « lavage de cerveau ».

Sargant cite les travaux de Hecker, qui étudiait le phénomène de l’épidémie dansante qui s’est développée pendant la période de la peste noire. Hecker a observé qu’une suggestibilité accrue pouvait amener une personne à

« minimiser l’éloge de la vertu aussi bien que la criminalité du vice en embrassant avec la même force, raison et folie, bien et mal. »

Et qu’un tel état d’esprit était comparable aux premiers efforts de l’esprit du nourrisson

« cet instinct d’imitation, lorsqu’il existe à son plus haut degré, se conjugue aussi avec une perte de tout pouvoir sur la volonté, qui se produit dès que l’empreinte sur les sens est bien installée, laquelle entraîne un état semblable à celui des petits animaux lorsqu’ils sont fascinés par l’aspect d’un serpent. »

Je me demande si Sargant s’imaginait être le serpent…

Sargant admet finalement :

« Cela ne signifie pas que toutes les personnes peuvent être véritablement endoctrinées par de tels moyens. Certaines ne se soumettent que temporairement aux exigences qui leur sont imposées, et luttent à nouveau lorsque revient la force du corps et de l’esprit. D’autres y échappent en surmontant leur folie. Ou encore, la volonté de résister peut céder, mais pas l’intellect lui-même. »

Mais il se console, en réponse à cette résistance obstinée, en affirmant que

« Comme nous l’avons mentionné dans un contexte précédent, le bûcher, la potence, le peloton d’exécution, la prison ou l’asile d’aliénés, sont généralement là pour les défaillants. »

Comment résister à la déconstruction de votre esprit

« Celui que les dieux veulent détruire, ils le rendent d’abord fou. »

Henry Wadsworth Longfellow, Le masque de Pandore et autres poèmes, 1875

Pour ceux qui n’ont pas vu le thriller psychologique de 1944 Gaslight, réalisé par George Cukor, je vous recommande vivement de le faire, car il contient une leçon inestimable, qui s’applique tout particulièrement à ce que je soupçonne que beaucoup d’entre nous vivent aujourd’hui.

Note du traducteur : Le film est sorti dans les salles françaises en 1947 sous le titre Hantise. La performance d’Ingrid Bergman sera saluée par un Oscar de la meilleure actrice dans un rôle principal.

L’histoire commence avec Paula, 14 ans (jouée par Ingrid Bergman), qui est emmenée en Italie après que sa tante Alice Alquist, célèbre chanteuse d’opéra et protectrice de Paula, a été retrouvée assassinée dans sa maison à Londres. Paula est celle qui a trouvé le corps et, frappée d’horreur, elle ne sera plus jamais la même. Sa tante était la seule famille qui lui restait. La décision est prise de l’envoyer loin de Londres, en Italie, afin qu’elle poursuive ses études pour devenir une chanteuse d’opéra de renommée mondiale comme sa tante Alice.

Les années passent, Paula vit une vie très protégée mais elle est toujours en proie à une sombre mélancolie et ne semble jamais pouvoir ressentir une quelconque forme de bonheur. Pendant ses études de chant, elle rencontre un homme mystérieux (son accompagnateur au piano pendant ses cours) et en tombe profondément amoureuse. Cependant, elle ne sait presque rien de cet homme, Gregory.

Après une romance de deux semaines, Paula accepte de l’épouser et se laisse rapidement convaincre de retourner vivre dans la maison de sa tante à Londres, laissée à l’abandon pendant toutes ces années. Dès qu’elle y pénètre, le souvenir de la nuit du meurtre la hante à nouveau et elle est prise de panique et de peur. Gregory tente de la calmer et lui dit que la maison a besoin d’un peu d’air et de soleil. Paula tombe alors sur une lettre adressée à sa tante par un certain Sergis Bauer, lettre qui confirme qu’il était en contact avec Alice quelques jours avant son meurtre. À cette découverte, Gregory devient étrangement agité et s’empare de la lettre. Il tente rapidement de justifier sa colère en attribuant à la lettre la responsabilité de ce qui a bouleversé Paula. Gregory décide alors d’enfermer toutes les affaires de la tante de Paula dans le grenier, pour apparemment lui épargner toute angoisse supplémentaire.

C’est à ce moment-là que Gregory commence à changer radicalement de comportement. Toujours sous le prétexte du « bien de Paula », tout ce qui est considéré comme une source de « contrariété » pour elle doit lui être soustrait. Et ainsi, rapidement, la maison se transforme en une forme de prison. On dit à Paula qu’il vaut mieux qu’elle ne sorte pas de la maison sans être accompagnée, qu’elle ne reçoive pas de visite et que l’auto-isolement est le meilleur remède à ses « angoisses » qui s’aggravent. Au début, Paula n’est jamais soumise à une interdiction stricte, mais on lui dit plutôt qu’elle doit obéir à ces restrictions pour son propre bien.

Avant une promenade, il lui fait cadeau d’une magnifique broche qui appartenait à sa mère. Comme le fermoir doit être remplacé, il demande à Paula de la garder dans son sac à main, et dit ensuite, plutôt hors contexte : « N’oublie pas où tu l’as mise, Paula, je ne veux pas que tu la perdes. » Paula se dit en elle-même que l’avertissement est absurde, « Bien sûr que je n’oublierai pas ! ». Lorsqu’ils reviennent de leur promenade, Gregory demande la broche, Paula cherche dans son sac à main mais elle n’y est pas.

Le scénario se poursuit ainsi, Gregory multipliant les avertissements et les rappels, apparemment pour aider Paula à surmonter ses « oublis » et ses « angoisses ». Paula commence à douter de son propre jugement et de sa santé mentale, car ces événements deviennent de plus en plus fréquents. Elle n’a personne d’autre à qui parler que Gregory, qui est le seul témoin de ces incidents apparents. On en arrive à un point où Gregory attribue à Paula un comportement complètement absurde. Un soir, on découvre qu’un tableau a disparu d’un mur. Gregory parle à Paula comme si elle était une enfant de cinq ans et lui demande de le remettre en place. Paula insiste sur le fait qu’elle ne sait pas qui l’a enlevé. Après avoir insisté avec passion sur le fait que ce n’était pas elle, elle monte les escaliers comme si elle était dans un rêve et sort le tableau de derrière une statue. Gregory demande pourquoi elle a menti, mais Paula insiste sur le fait qu’elle n’a pensé à regarder là que parce que c’est à cet endroit qu’il a été retrouvé les deux dernières fois que cela s’est produit.

Depuis des semaines, Paula pense qu’elle voit des choses, les lampes à gaz de la maison s’éteignent sans raison [ce qui a donné au film son titre : Gaslight – NdT], elle entend aussi des bruits de pas au-dessus de sa chambre. Personne d’autre ne semble s’en apercevoir. Gregory raconte également à Paula qu’il a découvert que sa mère, décédée alors qu’elle était très jeune, était en fait devenue folle et était morte dans un asile.

Bien que Paula soit réduite à un état de stupeur permanent, elle décide un soir de faire front et de reprendre le contrôle de sa vie. Paula est invitée, par l’une des amies proches de sa tante Alice, Lady Dalroy, à assister à une soirée mondaine organisée pour un concert musical. Rappelons qu’avant sa rencontre avec Gregory, la vie de Paula gravitait autour de la musique. La musique était sa vie. Paula se pare de vêtements somptueux pour la soirée et, en sortant, dit à Gregory qu’elle se rend à cet événement. Gregory tente de la convaincre qu’elle est trop fragile pour assister à une réception aussi mondaine. Lorsque Paula insiste calmement sur le fait qu’elle ira et que cette femme qui l’a invitée est une amie chère à sa tante, Gregory lui répond qu’il refuse de l’accompagner (à l’époque, c’était un gros problème). Paula se range à cet avis et marche avec une solide dignité, sans se décourager, vers la calèche. Dans une scène très révélatrice, Gregory est laissé momentanément seul et, pris de panique, les yeux exorbités, il referme son étui à cigares et court après Paula. Il l’interpelle en riant : « Paula, tu n’as pas cru que j’étais sérieux ? Je ne savais pas que cette réception était si importante pour toi. Attends, je vais me préparer. » Alors qu’il se prépare devant le miroir, un sourire diabolique apparaît.

Paula et Gregory arrivent en retard chez Lady Dalroy, le pianiste est au milieu du 1er mouvement de la Sonate pour piano n°8 en do mineur de Beethoven. Ils sont rapidement escortés vers deux sièges vides. Paula est immédiatement captivée par la musique et Gregory se rend compte qu’il perd le contrôle. Après seulement quelques minutes, il regarde sa montre à gousset mais elle n’est pas dans sa poche. Il chuchote à l’oreille de Paula : « Ma montre a disparu ». Immédiatement, Paula a l’impression qu’elle va être malade. Gregory prend son sac à main et Paula le regarde avec horreur en sortir sa montre à gousset, insinuant que Paula l’avait mise là. Aussitôt, elle perd le contrôle et craque en public. Gregory l’emmène, tout en faisant remarquer à Lady Dalroy que c’est pour cette raison qu’il ne voulait pas que Paula vienne.

Lorsqu’ils arrivent chez eux, Paula a maintenant complètement succombé à l’idée qu’elle est effectivement frappée de folie. Gregory déclare qu’il serait préférable qu’ils partent quelque part pour une période indéterminée. Nous apprendrons plus tard que Gregory a l’intention de la faire interner dans un asile. Paula accepte de quitter Londres avec Gregory et remet entièrement son destin entre ses mains.

Dans le cas de Paula, les choses sont claires. Elle soupçonne que Gregory a quelque chose à voir avec sa « situation », mais il a très habilement créé un environnement dans lequel Paula elle-même doute que cette situation puisse relever d’une méchanceté insondable ou découler du fait qu’elle devient effectivement folle.

C’est plutôt parce qu’elle n’est pas folle qu’elle doute d’elle-même, car aucune raison ne semble pouvoir expliquer pourquoi Gregory consacrerait autant de temps et d’énergie à faire croire qu’elle est folle, du moins en apparence. Mais qu’en est-il si l’objectif consistant à lui faire croire à sa folie était simplement une question de contrôle ?

Dans cette lutte pour le pouvoir, Paula a presque réussi à prendre le dessus le soir où elle a décidé de sortir seule, même si Gregory a insisté pour lui conseiller de ne pas le faire et qu’ c’était pour son bien. Si elle avait tenu bon chez Lady Dalroy et avait simplement répondu : « Je n’ai aucune idée de la raison pour laquelle votre stupide montre s’est retrouvée dans mon sac à main et je m’en désintéresse complètement. Maintenant arrêtez d’interrompre ce concert, vous vous donnez en spectacle ! » Elle aurait pu rompre l’emprise de Gregory aussi simplement que cela. S’il avait dû se plaindre de la situation auprès d’autres personnes, celles-ci auraient pu aussi lui rétorquer : « Qui s’en soucie cher Monsieur, pourquoi êtes-vous à ce point obnubilé par votre stupide montre ? ».

Nous nous trouvons aujourd’hui dans une situation très similaire à celle de Paula. Et la voix de Gregory est incarnée par les discours médiatico-politiques mensongers et la programmation socio-comportementale apocalyptique contenue dans différents types de divertissement. Des choses auxquelles la plupart des gens se soumettent volontairement tous les jours, voire toutes les heures, ce qui les conditionnent socialement, comme une meute de chiens pavloviens salivants, à penser que la fin du monde est proche et qu’au premier coup de cloche de leur maître… ils se boufferont les uns les autres.

Paula est finalement sauvée par un homme du nom de Joseph Cotten (un détective), qui a remarqué et rapidement discerné que quelque chose n’allait pas. Gregory est finalement arrêté. Il est révélé que Gregory est en fait Sergis Bauer. Qu’il a tué Alice Alquist et qu’il est revenu sur les lieux du crime après toutes ces années à la recherche des fameux bijoux de la chanteuse d’opéra. Les bijoux étaient en fait sans valeur, car ils étaient trop célèbres pour être vendus, mais Gregory n’a jamais eu l’intention de les vendre, il était plutôt obsédé par le simple désir de les posséder.

En d’autres termes, celui qui pendant tout ce temps était complètement fou, c’était Gregory.

Une personne du type de Gregory est extrêmement dangereuse. Si rien n’avait entravé son chemin, il aurait eu raison de Paula. Cependant, le pouvoir qu’il détenait n’existait que parce que Paula le laissait la contrôler. La désintégration extrême de Paula dépendait donc entièrement de son propre choix de permettre à la voix de Gregory de l’atteindre. En d’autres termes, un Gregory n’est dangereux que si nous nous soumettons au cauchemar qu’il a construit pour nous.

« Quand j’utilise un mot », dit Humpty Dumpty d’un ton plutôt méprisant, « il signifie exactement ce que je choisis qu’il signifie — ni plus ni moins. »
« La question est », dit Alice, « de savoir si l’on peut faire en sorte que les mots signifient tant de choses différentes. »
« La question est », dit Humpty Dumpty, « de savoir qui est le maître — c’est tout. »

Lewis Carroll, De l’autre côté du miroir

Source de l’article initialement publié en anglais le 8 août 2021 : The Saker Blog
Traduction : Sott.net

Note




Le Pacte Secret

Par Christine Côte

Chers amis,

Je tombe juste là-dessus [21 Octobre 2020]. Il n’y a pas de hasard. Certains ne seront pas encore mûrs pour comprendre et accepter, cependant, parmi nous beaucoup le seront, car les consciences, grâce à l’information, s’élèvent et croissent.

Je vous en prie, ne dites pas « je n’aime pas la source », « je n’y crois pas », « ce sont des fake news » : lisez simplement et vous verrez. La vérité c’est la liberté, le mensonge, c’est la prison.

En lisant cela, l’on ne peut avoir aucun doute sur la sinistre réalité de ce plan en pleine réalisation. Je vous recommande de faire suivre cela à tous ceux et celles, parmi votre entourage, susceptibles de se réveiller.

C’est plus facile pour ceux qui savent depuis longtemps, mais rien n’empêche de prendre le train en marche…

Il est déjà presque impossible de nous libérer, cependant, si une grande quantité de gens se réveillaient, ce serait encore possible, car leur arme véritable, ce sont les victimes de la télé et des mass medias qu’ils incitent sciemment à la haine. Puisqu’il est marqué que le peuple ne doive jamais en avoir connaissance, la meilleure solution est de diffuser et de publier très largement. Montrez-le sur vos vidéos.

Bien à vous,

Christine


[Source : http://projectavalon.net/lang/fr/Le_pacte_secret_fr.html]

Le Pacte secret

C’est un texte à la résonance inhabituelle que nous vous proposons aujourd’hui [en 2011]. Il est apparu sur Internet il y a 9 ans, un certain 21 juin 2002, jour du solstice d’été, détail qui est loin d’être anodin quand on connaît la passion des Illuminati pour la symbolique et les rituels. Son auteur en est inconnu, mais une chose est sûre : en choisissant cette date, il avait bien l’intention de « leur » gâcher la fête. Nous vous en offrons ici la traduction française.

Ce qui y est décrit pourra paraître excessif à certains et presque dépassé à d’autres et pourtant, force est de constater que les points qui y sont évoqués font écho aux interviews des lanceurs d’alerte publiées sur Project Avalon et ailleurs [Comme Les Protocoles de Toronto du journaliste Serge Monast, mort en 1996]. On verra également que le « Menu » exposé semble chaque jour se concrétiser davantage… au rythme du conte de la grenouille d’Olivier Clerc qui ne savait pas qu’elle était déjà cuite.
Pour notre part, nous ne sommes certes pas encore « cuits », mais ça chauffe… et c’est la raison pour laquelle nous avons décidé consensuellement à Avalon de vous faire partager ce document.
Est-il authentique — soit l’œuvre d’un véritable « insider illuminati » qui se serait désolidarisé de ses maîtres — ou non ? À vrai dire, cela importe peu. Ce qui compte en échange c’est qu’il nous invite à ouvrir les yeux et à nous poser les questions qui s’imposent face aux immenses dérives dont nous sommes tous les jours spectateurs, voire davantage. C’est donc à point nommé que ce texte est arrivé jusqu’à nous.

À titre d’exemple, tout récemment (16/5/2011), le journaliste et historien américain Webster Tarpley (auteur entre autres choses de la « Biographie non autorisée de George W. Bush ») révélait le contenu des écrits de John P. Holdren, l’actuel conseiller scientifique de la Maison-Blanche, et la « recommandation » de l’élite en vue d’une population mondiale optimale d’un milliard d’habitants… des chiffres écrits noir sur blanc.


Le Pacte secret Anonyme, 21 juin 2002 Traduction française : Mai 2011

• L’illusion créée par notre pacte sera si énorme, si vaste, qu’elle échappera à leur perception.

Ceux qui la verront passeront pour fous.

• Nous créerons des fronts séparés pour les empêcher de voir les liens qui existent entre nous. Nous nous comporterons comme si nous n’étions pas connectés pour garder l’illusion bien vivante. Nous distillerons nos objectifs au goutte-à-goutte pour ne pas éveiller les soupçons. Ceci les empêchera également de distinguer les changements à mesure qu’ils se produisent.

• Nous nous placerons toujours au-dessus du champ relatif de leur expérience parce que nous connaissons les secrets de l’absolu.

• Nous travaillerons toujours ensemble et demeurerons liés par le sang et le secret. La mort viendra à celui qui parlera.

• Nous ferons en sorte que leur espérance de vie soit brève et leur intellect faible tout en prétendant faire le contraire.

• Nous utiliserons notre connaissance de la science et de la technologie de manière subtile afin qu’ils ne se rendent jamais compte de rien.

• Nous utiliserons les métaux, accélérateurs de vieillissement et des sédatifs dans leur nourriture et leur eau ainsi que dans l’air.

Ils seront entourés de poison de toutes parts.

• Les métaux occasionneront leur dégénérescence intellectuelle. Nous promettrons de trouver des traitements en nous mobilisant sur tous les fronts, mais nous les empoisonnerons toujours plus.

Lesdits poisons seront absorbés par la peau, par la bouche, et détruiront leur esprit et leur système de reproduction.

Pour toutes ces raisons, leurs enfants seront mort-nés, et nous occulterons cette information.
• Les poisons seront dissimulés dans tout ce qui les entoure, dans ce qu’ils boivent, ingèrent, respirent et dans les vêtements qu’ils portent.

• Nous devons nous montrer ingénieux à cet égard, car ils ont la capacité de voir loin.

Nous leur enseignerons que les poisons sont bons en diffusant des images amusantes et des tonalités musicales.
• Ceux qu’ils respectent nous aideront, car nous les enrôlerons pour faire progresser nos poisons.

Ils verront nos produits utilisés dans des films et s’y accoutumeront sans jamais connaître leurs effets véritables.
Dès la naissance, leurs enfants recevront des injections de poison dans le sang et nous les convaincrons que c’est pour leur bien.

• Nous commencerons quand les enfants sont tout petits, que leur esprit est jeune et nous les ciblerons avec ce que les enfants préfèrent, les sucreries.

• Lorsque leurs dents commenceront à se détériorer, nous les remplirons de métaux, ce qui détruira leur mental et anéantira leur avenir.

• Une fois leur capacité d’apprendre affectée, nous créerons des médicaments qui les rendront plus malades encore et causeront d’autres pathologies pour lesquelles nous inventerons d’autres remèdes.
• Nous les rendrons faibles et dociles par la force de notre pouvoir.

Ils deviendront dépressifs, attardés et obèses et, quand ils viendront solliciter notre aide, nous leur donnerons toujours plus de poison.
Nous les focaliserons sur l’argent et les biens matériels pour qu’ils ne puissent jamais se relier à leur Soi intérieur. Nous les distrairons par la fornication, les plaisirs et les jeux extérieurs pour que jamais ils ne deviennent un avec le Tout.

• Leurs esprits nous appartiendront et ils feront ce que nous leur dirons. S’ils s’y refusent, nous trouverons le moyen d’implanter des technologies susceptibles d’affecter leurs perceptions.

• Nous utiliserons la peur comme une arme.

• Nous établirons leurs gouvernements ainsi que les partis d’opposition. Les deux côtés nous appartiendront.

• Nous dissimulerons toujours nos objectifs, mais notre Plan sera mené à son terme.

Ils travailleront à notre place, mais nous en récolterons les fruits.
Nos familles ne se mélangeront pas aux leurs, notre sang doit toujours demeurer pur, car là est la formule.
Nous les ferons s’entretuer quand cela nous conviendra.
• Nous les maintiendrons éloignés de l’Unité par le dogme et la religion.

• Nous contrôlerons tous les aspects de leurs vies et leur dirons ce qu’ils doivent penser.
• Nous les guiderons gentiment et délicatement en leur laissant croire que cela vient d’eux.
• À travers nos factions, nous fomenterons l’animosité entre eux.
Quand une lumière brillera au milieu d’eux, nous la ferons s’éteindre par le ridicule ou par la mort, ce qui nous conviendra le mieux.

Nous les pousserons à déchirer le cœur de leurs conjoints et à tuer leurs propres enfants.

• Pour cela, notre alliée sera la haine et la colère notre amie. La haine les aveuglera totalement et ils ne se rendront jamais compte que leurs conflits font de nous leurs dirigeants. Ils seront bien trop occupés à s’entretuer.

• Ils baigneront dans leur propre sang et tueront leurs voisins jusqu’au moment que nous considérerons propice à notre assaut.

• Nous en tirerons le plus grand bénéfice, car ils ne nous verront pas, car ils ne peuvent pas nous voir.

• Leurs guerres et leurs morts nous permettront de prospérer toujours plus.

• Nous recommencerons, encore et encore jusqu’à l’accomplissement de notre but ultime.

Nous continuerons à les faire vivre dans la peur et la colère par la diffusion d’images et de sons. Nous utiliserons tous les outils dont nous disposons pour arriver à nos fins.

• Les outils nous seront fournis par leur travail.

Nous ferons en sorte qu’ils se détestent eux-mêmes et leurs voisins.

Nous leur cacherons toujours la vérité divine, le fait que NOUS SOMMES TOUS UN, ça, ils ne doivent jamais le savoir !

• Ils ne doivent jamais découvrir que la couleur de peau n’est qu’une illusion, ils doivent toujours penser qu’ils ne sont pas égaux.

• Pas à pas, insensiblement, nous ferons avancer notre objectif.

Nous prendrons leurs terres, leurs ressources et leurs biens, leur santé, pour exercer sur eux un contrôle total.
• Nous les abuserons en les incitant à accepter des lois qui les priveront du peu de liberté qui leur reste encore.

Nous établirons un système monétaire qui les emprisonnera à tout jamais et les endettera, eux ainsi que leurs enfants.

• Quand ils réussiront à unir leurs forces pour s’opposer à nous, nous les accuserons de crimes et présenterons au monde une histoire différente, car alors tous les médias nous appartiendront.

Nous utiliserons la presse et son sentiment en notre faveur pour contrôler le flux de l’information.

Quand ils se soulèveront contre nous, nous les écraserons comme des insectes, car ils sont encore moins que ça.
• Ils seront dans l’incapacité de faire quoi que ce soit, car ils n’auront pas d’armes.
Nous recruterons certains d’entre eux pour exécuter nos plans, nous leur promettrons la vie éternelle, mais de vie éternelle ils n’auront jamais, car ils ne sont pas des nôtres.
• Les recrues se feront appeler « initiés » et elles seront endoctrinées pour croire en de faux rituels, de faux rites de passage vers de plus hautes sphères. Des membres de ces groupes penseront qu’ils sont un avec nous, mais ne connaîtront jamais la vérité. Ils ne doivent jamais connaître cette vérité ou bien ils se retourneraient contre nous.

• Ils seront récompensés pour leur travail avec des biens terrestres et des titres honorifiques, mais jamais ils ne deviendront immortels ni ne nous rejoindront. Jamais ils ne recevront la Lumière ni ne voyageront vers les étoiles.

• Ils n’atteindront jamais les Sphères supérieures, car les crimes commis contre des membres de leur propre espèce les empêcheront de passer au royaume de l’Illumination. Ça, ils ne le sauront jamais.

• La vérité, bien que sous leurs yeux, leur sera cachée. Elle sera si proche d’eux qu’ils ne pourront pas se focaliser sur elle et que quand ils seront enfin en mesure de la voir, il sera trop tard.

• Oh oui, la grande illusion de la liberté sera si grande, que jamais ils ne sauront qu’ils sont nos esclaves.

• Une fois que tout sera en place, la réalité que nous aurons créée pour eux les possédera. Cette réalité sera leur prison. Ils vivront dans le déni et le refus de voir.

• Quand notre objectif sera atteint, commencera une Nouvelle Ère de Domination.

• Leurs esprits seront entravés par leurs croyances, ces croyances que nous avons établies depuis la nuit des temps.

• Mais, si jamais ils parviennent à découvrir qu’ils sont nos égaux, alors nous périrons. ILS NE DOIVENT JAMAIS SAVOIR CELA. Si jamais, ils découvrent qu’ensemble ils peuvent nous vaincre, ils agiront.

• Ils ne doivent jamais, jamais découvrir ce que nous avons fait, car autrement, nous n’aurons nulle part où nous cacher. Une fois le voile tombé, il leur sera facile de voir qui nous sommes. Nos actions auront révélé qui nous sommes, ils nous traqueront et personne ne nous viendra en aide.

• Ceci est le pacte secret par lequel nous vivrons pour le reste de nos vies présentes et futures, car cette réalité transcendera de nombreuses générations et espérances de vie.

• Le pacte est scellé dans le sang, notre sang. Nous sommes ceux qui sont venus du Ciel sur la Terre.

• L’existence de ce pacte ne doit JAMAIS, JAMAIS être révélée. Il ne devra JAMAIS, JAMAIS être rédigé ou commenté, car cela engendrerait une prise de conscience telle qu’elle attirerait sur nous la fureur du GRAND CRÉATEUR et nous serions renvoyés aux profondeurs dont nous venons pour y rester jusqu’à la fin des temps, pour l’éternité elle-même.

Auteur : Inconnu (Évidemment. il n’allait pas dire son nom, il n’aurait pas survécu 48 h).


Et pour que personne ne perde son temps en partant à la chasse aux fact checkers : voici l’original de la citation de Juncker.

https://www.spiegel.de/politik/die-bruesseler-republik-a-3d75c854-0002-0001-0000-000015317086

Quant « aux cimetières de soldats » les injections corona s’en chargeront bientôt.

Le cynisme de Jean-Claude Juncker, président de la Commission Européenne.
( Citation.) | Librinfo74

(9 mai 2021)

Voilà, près de 7 mois plus tard, tout le monde aura compris que c’est malheureusement vrai…

[Ndlr : source anglaise à trouver]

Ainsi la citation de Kissinger prend tout son sens. (J’ai eu rapport d’un destinataire de l’une de nos compagnes d’Armes, qui se serait précipité sur un fact checker. N’en tenez AUCUN compte. Ces gens-là agissent ainsi pour se « prouver » à eux-mêmes qu’ils ont raison de soutenir le gouvernement, ou bien que ce n’est « pas si terrible que ça ». Ces gens-là ont encore bien du chemin à faire, et leur réveil n’en sera que plus dur.

(…) Malheureusement en janvier 2020… tout le monde préférait écouter la télé.

(…) Les gens ne croient les choses que lorsqu’elles sont déjà arrivées, donc bien trop tard.

Bien à vous,

Christine




Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire

[Source : LeoHohmann.com]

Par John Gideon Hartnett

Plusieurs nouvelles technologies qui semblent distinctes et non liées vont bientôt converger, créant un piège numérique géant qui attirera facilement les masses non informées.

Le piège numérique est déjà tendu et les élites mondialistes utilisent la COVID pour accélérer le processus de convergence. La plupart des gens tomberont dans le piège, ce qui les réduira finalement à un code QR humain – repérable, traçable et dépendant à 100% des Big Tech et du grand gouvernement pour leur existence.

Je vais défaire chacun de ces fils apparemment séparés qui seront progressivement fusionnés en une seule grille de contrôle socio-financière globale.

L’élément du programme le plus imminent nécessaire pour relancer ce système est le lancement réussi des passeports sanitaires numériques.

La France, l’Italie, l’Irlande, l’Allemagne, la Grèce et de nombreux autres pays ont commencé à imposer ces passeports à leurs citoyens, dont beaucoup envahissent les rues pour protester

Les citoyens protestent contre les pass sanitaires dans plus de 150 villes à travers la France.

Le mouvement vers les passeports sanitaires numériques aux États-Unis se fait plus progressivement, mais il prend de l’ampleur.  

Dans un briefing le lundi 2 août, le coordinateur de la réponse au coronavirus de Biden, Jeffrey Zients, a annoncé « qu’il est temps d’imposer certaines exigences » en ce qui concerne les vaccins anti-COVID.

Lorsqu’on lui a demandé des éclaircissements sur les règles COVID qui pourraient être mises en œuvre, l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a déclaré que rien n’est exclu.

Souvenez-vous de cette phrase : Rien n’est exclu.

Cela pourrait impliquer de rassembler les non vaccinés et de les placer dans des camps d’isolement et de quarantaine.

Un consortium universitaire composé de six universités a déjà un contrat avec le département américain de la Sécurité intérieure pour fournir une formation aux parties prenantes du gouvernement, des forces de l’ordre, des soins de santé et du secteur privé sur la façon de mettre en quarantaine « de grandes parties » des communautés rurales.

Mais la volonté de numériser la vie des Américains commencera dans les villes et se déplacera vers l’extérieur.

Le maire de New York, Bill de Blasio, est devenu le premier homme politique à saisir l’occasion d’exiger des passeports vaccinaux.

Malgré ce que l’on essaie de vous dire, séparer les Américains par statut vaccinal est une première historique. Cela n’a jamais été tenté auparavant, pas à travers les épidémies de polio ou de variole des années 1920, 30 et 40, pas pendant la grippe espagnole. Jamais.

De Blasio a ordonné aux entreprises de refuser le service aux non vaccinés, qui représentent 30 % de la population de la ville. Il reste à voir comment de Blasio appliquera cet édit. Appelera-t-il la police pour qu’elle ferme les entreprises qui n’exigent pas de leurs clients qu’ils montrent leurs papiers ?

Le gouverneur de New York Andrew Cuomo vise également des mandats de passeport vaccinal dans tout l’État, mais sait qu’il doit être un peu plus diplomatique dans son approche.

« Les entreprises privées, je leur demande et leur suggère de passer à l’admission uniquement pour les vaccinés. Passez à l’admission uniquement pour les vaccinés », a déclaré Cuomo lors d’une conférence de presse le 2 août.

« Je crois qu’il est dans votre propre intérêt commercial », a-t-il dit, « de gérer un établissement réservé aux vaccinés…. Nous avons des applications, dites simplement « vous devez montrer que vous avez été vacciné lorsque vous franchissez la porte. » »

En d’autres termes, « Montrez vos papiers ».

Pensez à ce que Cuomo dit ici.

Il « demande » avec force aux propriétaires d’entreprise d’éliminer 30 pour cent de la population de l’État de leur champ de clients potentiels et de les traiter comme des non-personnes.

Ceci est du pur fascisme et rappelle la propagande nazie qui a contraint les Allemands à refuser de faire des affaires avec les Juifs.

Si les propriétaires d’entreprise de New York écoutaient Cuomo, ils rendraient impossible aux personnes non vaccinées de nourrir leurs enfants.

Apprenez vos droits médicaux en tant qu’employé, étudiant, etc., et comment « dire non à l’aiguille » sur HealthyAmerican.org de Peggy Hall 

Les passeports numériques exigent que les gens téléchargent un code QR numérisable sur leur téléphone portable qui permettra aux entreprises de savoir qu’elles ont été vaccinées avant d’être autorisées à entrer et à recevoir le service [acheter ou vendre].

Cela nous amène à la deuxième étape du piège numérique qui cuit dans le four technologique – un nouveau système d’identification numérique mondial capable de fonctionner conjointement avec les passeports sanitaires numériques et le nouveau complexe médico-vaccinal.

Le leader de ce courant technologique est l’Alliance ID2020, une collaboration de plus de 35 membres dont Accenture, Microsoft, la Fondation Rockefeller, MasterCard, IBM, la Chambre de commerce internationale, MIT SafePaths et GAVI Global Vaccines Alliance de Bill Gates.

En février 2021, ID2020 a lancé le Good Health Pass Collaborative pour encourager une convergence transparente de toutes les applications d’accréditation des vaccins anti-COVID-19 développées par de nombreuses organisations différentes.

« Les certificats vaccinaux en papier peuvent être facilement falsifiés », prévient l’Alliance ID2020 dans un communiqué. « Le but des informations d’identification de santé est de prouver en toute sécurité qu’une personne a reçu un vaccin ou un test PCR. La nouvelle alliance cible particulièrement les voyages pour garantir que les informations d’identification fonctionnent de manière transfrontalière, intersectorielle et sans friction. »

L’alliance a publié un livre blanc sur le sujet pour ceux qui recherchent plus de détails.

Une autre pièce du puzzle techno-fasciste en évolution est la nouvelle monnaie numérique.

Les banques centrales du monde travaillent sur une monnaie numérique programmable basée sur la technologie de la chaîne de blocs. Cela signifie qu’ils seront en mesure de suivre vos dépenses et de vous couper les vivres pour quelque raison que ce soit.

Le Fonds monétaire international a publié un article sur son site Web en juillet, saluant l’Inde comme un leader mondial dans la lutte pour éliminer les espèces. Et bien sûr, la COVID a été mentionnée comme accélérant l’abandon du papier-monnaie. Le FMI a noté :

« La COVID-19 a accéléré l’utilisation des paiements numériques sans contact pour les petites transactions alors que les gens essaient de se protéger du virus. Ces avancées s’appuient sur India Stack, un système complet d’identité numérique, de paiement et de gestion des données sur lequel nous écrivons dans un nouvel article (Carrière-Swallow, Haksar et Patnam 2021). »

Comme vous pouvez le voir dans la déclaration ci-dessus, l’objectif est une identité numérique complète, combinant ses données de santé et son statut vaccinal avec des données bancaires et d’autres données personnellement identifiables.

Klaus Schwab nous a prévenus à l’avance du piège que lui et ses copains élitistes nous tendaient.

« La quatrième révolution industrielle conduira à une fusion de nos identités physique, biologique et numérique », a déclaré Schwab au Chicago Council on Global Affairs en novembre 2020.

Même avant cela, dans son livre de 2018, Shaping the Future of The Fourth Industrial Revolution, Schwab a écrit :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle ne s’arrêteront pas de faire partie du monde physique qui nous entoure, elles feront partie de nous.

« En effet, certains d’entre nous ont déjà le sentiment que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes d’aujourd’hui, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront presque certainement implantables dans notre corps et notre cerveau.

Lorsqu’il a écrit ces idées grandioses en 2018, cela ressemblait à la tarte dans le ciel des rêveries d’un futuriste déconnecté et peu y ont prêté attention. Post COVID, c’est sous notre nez et prêt à être mis en œuvre.

La dernière étape du programme technologique pour contrôler l’humanité est que les géants de la Big Tech travaillent ensemble pour éliminer toutes les voix dissidentes d’Internet. Leur objectif ultime est de créer un système où tous les utilisateurs ont un passeport Internet, sous réserve d’un examen périodique de votre activité en ligne.

Les géants de la Big Tech ont déjà déclaré qu’ils partageaient activement des informations dans le but de réprimer les « suprémacistes blancs » dans le cadre du Global Internet Forum to Counter Terrorism, un organisme auparavant réservé pour cibler les talibans et al-Qaïda. 

PayPal a annoncé qu’il travaillerait avec l’Anti-Defamation League notoirement marxiste pour parcourir l’Internet, à la recherche de voix « extrémistes » et « anti-gouvernementales » afin de rendre inactif leurs boutons de don PayPal.

Dans le cadre de ce système de notation sociale à la chinoise, les coupables d’infractions en ligne sont publiquement humiliés et réduits au silence. Les collecteurs d’informations sont payés pour dénoncer leurs voisins et les membres de leur famille. Une fois que votre pointage de crédit social descend en dessous d’un certain niveau, vous devenez tellement discrédité qu’il devient de plus en plus difficile de trouver un emploi, de voyager en avion, en train, en bus ou en voiture, d’obtenir des prêts ou d’inscrire vos enfants dans les meilleures écoles.

Ceux qui fournissent des informations qui vont à l’encontre le narratif seront signalés, avertis, et finalement bloqués en tant que diffuseurs de « désinformation ».

Vous perdez votre liberté d’expression, mais ce n’est pas tout.

Dans la société d’aujourd’hui, être retiré d’Internet signifie que vous ne pourrez pas acheter ou vendre en ligne ou effectuer un travail nécessitant une connexion Internet.

Ainsi, les passeports sanitaires, actuellement en cours de déploiement dans le monde entier, vous empêcheront d’acheter en personne de la nourriture et des produits de première nécessité, tandis que le prochain passeport Internet vous empêchera de commander vos produits de première nécessité en ligne. Vous vous retrouverez essentiellement avec le marché noir, en supposant qu’il y en ait un pour ceux qui sont jugés « impurs » et « impropres » pour le monde moderne en raison de leurs opinions dissidentes.

Toutes ces technologies fusionneront à l’intersection du Big Data, des grandes banques, de la Big Tech et du grand gouvernement. Votre pointage de crédit social sera désormais lié non seulement à votre activité sur Internet, mais aussi à votre compte bancaire et à votre statut vaccinal. Bienvenue dans la Grande réinitialisation, alias Nouvel Ordre Mondial.

Ajoutez les avancées de l’IA et de la reconnaissance faciale et des millions de caméras de surveillance et vous parlez d’un État esclavagiste verrouillé qui fait ressembler 1984 de George Orwell à un club de vacances.

Mais ne vous plaignez pas. Tout cela est « pour notre sécurité ».

On ne peut pas faire confiance aux gens pour faire ce qu’il faut, croire aux faits réels, mener le genre de vie qui aboutit à une société paisible et heureuse. Tous doivent se conformer aux nouveaux maîtres.

Il est maintenant temps de combattre ce système. Mais pour le combattre, vous devez reconnaître son existence et garder une longueur d’avance sur la stratégie maléfique de la cabale.

À un moment donné, la trappe se refermera. Il sera trop tard pour se retirer. Vous vous conformez ou devenez une non-personne. Un ennemi de l’État.

Ces voies distinctes d’évolution technologique finiront par fusionner pour créer une société dans laquelle tout, et chaque personne, est suivi numériquement. Pas seulement le mouvement de leur corps physique, mais leurs actions, leurs comportements et même leurs pensées.

Les élites comptent sur nous pour accepter ce système à ses débuts, fragmentés. La plupart des gens pensent de manière compartimentée. Ils ne relient pas les points. Ils seront trompés.

Les élites ne vont pas vous dire d’emblée tout ce qui est impliqué dans la quatrième révolution industrielle. Ils vont juste vous dire les parties qui semblent bonnes – commodité, inclusion, sûreté, sécurité.

Regardez la vidéo effrayante de 42 secondes publiée par le gouvernement australien exhortant les gens à créer une identité numérique (en anglais).

Une fois cette trappe fermée, il sera très difficile de sortir de ses griffes. Ne téléchargez pas d’applications, payez en espèces chaque fois que c’est possible, et arrêtez de marcher en somnambule vers le Nouvel Ordre Mondial.

Lisez l’article complet sur LeoHohmann.com.

[HGJ :] Ce que j’ai fait pour réduire mon empreinte numérique, c’est que j’ai acheté un téléphone « stupide » et ai désactivé le paramètre de localisation qui fonctionne sur les téléphones mobiles. Il n’a pas de fonction GPS et ne peut donc pas me suivre. J’ai acheté le livre de cartes à l’ancienne et j’apprends à naviguer à l’ancienne. Le téléphone stupide ne peut pas prendre d’applications et ne peut donc jamais être utilisé pour la lecture de code QR.

Pour faire mes courses, je sors une liasse d’espèces au guichet automatique à l’extérieur d’un centre commercial et n’utilise que de l’argent liquide dans n’importe quel magasin, n’importe où. Recommençons tous à utiliser de l’argent liquide, partout.


[Voir aussi, en vrac :
Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »
Un passeport vert pour un État mondial numérisé
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Qui est l’Antéchrist ?
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier
Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?
Les micropuces de Bill Gates
L’après COVID-19: la médecine des ASSASSINS FINANCIERS par l’ÉTAT PROFOND, pour toutes les Nations ?
Pourquoi les mondialistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vaccination de 100 % ?
Le pass sanitaire et son QR Code associé permettront à terme de faire accepter aux gens la puce RFID
Note sur les manifestations sous le règne du NOM
L’opération Covid-19 met à nu le “Nombre de la Bête”
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Les 13 étapes machiavéliques !
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Les camps FEMA, les sans domicile fixe et la puce RFID
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Le passeport sanitaire est-il un prélude à l’apartheid ?
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Pourquoi le NOM nous fragilise ?
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
L’entreprise Citrix s’attend à ce que les travailleurs aient des « puces implantées » d’ici l’année 2035
Dr Joseph Mercola : Une biopuce injectable pour la détection du SARS-CoV-2 sera prochainement approuvée par la Food and Drug Administration
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le langage humain bientôt obsolète, prédit Elon Musk]




Le Calcul ou le Secret

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Alain Leduc, pour FranceSoir

TRIBUNE – « Seul un dieu peut encore nous sauver… » Nur noch ein Gott kann uns retten, cette phrase, le philosophe Martin Heidegger l’a prononcée lors de sa célèbre interview au journal allemand der Spiegel en 1966 (elle ne sera publiée que dix ans plus tard). Elle conclut son analyse pessimiste et résignée du destin de l’homme occidental(isé) au vingtième siècle, tout entier sous l’emprise de la technique et en particulier de ce que le philosophe appelle la cybernétique. À l’époque, l’informatique n’en était encore qu’à ses débuts et sans doute utiliserait-il aujourd’hui des termes plus familiers à nos oreilles tels que technologie numérique, monde virtuel ou encore I.A. (Intelligence Artificielle).

Si la pensée de Heidegger dans son ensemble ne suscite pas mon enthousiasme du fait notamment de son anthropologie « destinale » qui fait de l’être humain le sujet impuissant de forces historiques qui le dépassent, il faut tout de même rendre hommage à sa vision prophétique qui, loin de se borner à une conception purement instrumentale de la technique, entrevoit les terribles implications psychosociales de celle-ci sur le devenir même de l’homme, son créateur. La technique numérique, ce n’est pas seulement l’outil (hardware + software) qui rend une grande partie du travail humain superflu, qui oblige ceux qui l’utilisent à de permanentes mises à jour génératrices de stress, d’angoisse, de dépressions et qui permet insidieusement le traçage et le contrôle à distance des populations ; ce n’est pas une simple machine dont nous ne parviendrions pas encore à maîtriser toute la puissance. C’est bien plus que cela. L’informatique, en effet, ne se contente pas de rester à l’extérieur de nous-mêmes ou de modifier notre rapport au monde, comme l’ont fait avant elle la roue, l’écriture, l’imprimerie, la machine à vapeur ou le chemin de fer. Elle pénètre en nous. Elle infiltre jour après jour un peu plus notre esprit, nos modes de vie, notre relation aux autres, au monde et à nous-mêmes, nous incitant, sans que nous en ayons bien conscience, à nous comporter, à agir et à penser sur un mode binaire, algorithmique, calculateur, comme de petits robots. Et c’est pourquoi elle est, selon Heidegger, notre possible destin.

On pourrait bien sûr, à ce stade, opposer au pessimisme du philosophe tout ce que la technique informatique a rendu possible en matière de démocratisation des échanges, de diffusion des connaissances et de diversification des sources d’information. Ceux qui liront ces lignes sont bien placés pour le savoir. Mais ces apports incontestables, liés à un usage éclairé et maîtrisé de l’outil informatique, n’invalident malheureusement pas le phénomène massif d’aliénation des esprits et de formatage des comportements que l’on peut observer partout où cette technologie s’est implantée.

Pour comprendre l’origine de ce pouvoir sans précédent de fascination et d’imprégnation, il convient de revenir au fondement même de cette technique qui est de reconstituer le réel à partir du calcul. Cette définition permet à la fois de mesurer la vocation démiurgique de la technologie informatique, puisqu’il s’agit bel et bien de concurrencer la Création, mais aussi sa consubstantielle limitation. Le calcul suppose en effet une pensée froide, analytique, incapable d’insuffler la vie à sa re-création. Cette machine à calculer ne peut que copier, reproduire en le codant le matériau qu’on lui demande de traiter ; elle constitue en soi une approche appauvrie, simplifiée, stéréotypée du réel, ne serait-ce déjà que parce qu’elle fait fi du temps et de l’espace où se réalise pourtant notre humanité. Le monde qu’elle génère ne peut donc être qu’une surface, un reflet à deux dimensions, sauf si bien sûr elle parvient à persuader ses utilisateurs que ce n’est pas le cas, sauf si elle parvient à infiltrer suffisamment les esprits pour qu’ils finissent par lui reconnaître une sorte d’existence autonome, susceptible de cohabiter avec le monde réel, voire de rivaliser avec lui. Là se situe l’aspect diabolique de cette « méta-technique » et le grand danger qu’elle fait peser sur l’humanité.

Confrontée à cette menace, une société véritablement guidée par la sagesse et le souci de l’intérêt commun aurait pris d’infinies précautions. Elle aurait d’abord veillé à développer chez ses citoyens de solides capacités de réflexion critique en leur garantissant une éducation sainement enracinée dans l’expérience du réel, en les rendant sensibles à l’infinie beauté de la Création. Et elle aurait dans le même temps pris toutes les mesures techniques et législatives nécessaires pour empêcher que quiconque puisse utiliser cette puissance informatique à des fins de manipulation. Sur de pareilles bases, l’idolâtrie de la machine, les conduites addictives et l’empire de Big Brother auraient beaucoup de mal à prospérer. Mais la plupart des puissances politico-économiques des pays industrialisés n’ont pas fait ce choix, encourageant au contraire, via une ingénierie sociale de plus en plus performante, une confusion permanente entre le réel et le virtuel, laissant penser que ce qui se passe sur l’écran et dans les circuits intégrés possède plus d’efficience et donc plus d’intérêt que le détour fastidieux par le monde réel. Elles ont donc tout fait pour amplifier le pouvoir de fascination du virtuel dans lequel elles ont vu le moyen idéal de renforcer et d’étendre leur mainmise sur les peuples. Dans ce processus, il est à noter qu’à l’uniformisation des masses de plus en plus soumises à la gestion et au contrôle hypercentralisés de l’Intelligence Artificielle, répond celle des élites, désormais sans racines, sans attache territoriale, sans culture la plupart du temps, mais solidaires dans leur fantasme de domination absolue.

Dieu merci, cette infiltration, cette injonction subliminale à devenir des individus adaptés, stéréotypés et donc classables n’a pas fonctionné pleinement pour tout le monde. Beaucoup ont su résister, garder leur liberté intérieure, leur recherche de sens, leur élan vers la beauté, vers la nature, vers autrui, bref vers cette zone extérieure, non quantifiable et non numérisable, qui existe toujours déjà au delà de l’horizon que nous imposent nos PC et autres objets connectés. Beaucoup d’autres, hélas, se sont laissés séduire par le chant des sirènes, mettant progressivement leur pensée et leurs actes au diapason de cette nouvelle religion techno-centrée et de ses commandements, du genre : tu t’adapteras. Tu participeras activement au flux matriciel.(([1] Pour ceux qui savent déchiffrer les symboles, le « programme » du candidat Macron était de ce point de vue extrêmement explicite : soit vous êtes en marche, i. e. en fonctionnement (position « on »), soit vous êtes à l’arrêt (« off »).)) Tu préfèreras la compétition au partage et à la solidarité. Au lieu de perdre du temps à chercher le sens de ta vie, tu poursuivras des objectifs. Tu travailleras jour après jour à améliorer ton image. Même dans ta vie privée, tu t’efforceras de rester connecté, etc., etc. On pourrait synthétiser toutes les atteintes portées par la technologie numérique à notre humanité profonde sous le terme de dépossession. Dépossession instrumentale (perte du sens de nos métiers, dépendance croissante à toutes sortes d’applications chargées de nous simplifier la vie), et, bien plus grave, dépossession de notre autonomie de pensée : normes intégrées, « valeurs » intériorisées, réflexes conditionnés, velléités critiques autocensurées (le politiquement correct)… Tous, à différents degrés, nous avons été amenés à subir cette dépossession de nous-mêmes, phénomène pouvant aller dans certains cas jusqu’aux addictions les plus destructrices.

Quand la crise du covid a éclaté, le dispositif d’asservissement était donc déjà bien en place à l’extérieur comme à l’intérieur des esprits, avec son cortège d’effets néfastes pour notre humanité : individualisme, indifférence, fragilité psychologique, stress et angoisse de fond… Et il suffira d’une manœvre extrêmement habile et perverse pour donner à son déploiement un formidable coup d’accélérateur. Cette manœuvre est l’instrumentalisation de la peur collective face à l’épidémie. Elle a permis, au nom de l’impératif de protection des populations, à la fois de mettre celles-ci en ordre de marche, d’amplifier le processus de contrôle et de traçage global des individus et de faire, au passage, des États démocratiques des outils de répression au service des puissances transnationales. Jusqu’à présent, le discours de la pensée unique était plutôt de postuler un État impuissant face aux forces du marché et donc essentiellement appelé à garantir la paix sociale en faisant ce qu’il faut de concessions (toujours minimes) pour empêcher que les peuples deviennent trop remuants. Cette nouvelle vocation répressive, dont les Gilets Jaunes ont eu à subir l’extrême violence depuis l’arrivée au pouvoir de M. Macron, semble désormais devenue, au motif de protection sanitaire, un fait acquis et même légitime aux yeux de nombreux citoyens. Si la manœuvre covid a si bien réussi, c’est que la très grande majorité des gens « connectés » ont pris depuis longtemps l’habitude, conformément aux directives implicites de la technosphère, de gérer seuls leur carrière et leur destin individuels et d’abandonner les affaires du monde à la seule compétence supposée des spécialistes de l’économie et des personnes censées les représenter au niveau politique. Cette dépolitisation volontaire et massive des citoyens a laissé les mains libres aux vrais détenteurs du pouvoir.

Enfin, à toute cette liste des dépossessions engendrées par la technologie numérique et l’idéologie déshumanisante qui l’accompagne, il faut ajouter la dépossession thérapeutique. Sans remonter jusqu’à Molière, on peut dire qu’elle a été, elle aussi, encouragée depuis longtemps par une industrie pharmaceutique profondément gangrenée par les puissances de l’argent avant de se réaliser, lors de la crise, dans des proportions proprement ahurissantes. Il aura suffi d’un an de stratégie de la terreur pour que la population, ici comme ailleurs, se déclare prête à recevoir une pseudo-vaccination, sans avoir la moindre idée du produit qu’on lui injecte, tout cela dans l’espoir de retrouver « la vie d’avant ». Là encore, ce qui se manifeste est une sorte de fascination superstitieuse pour la technique, censée être la solution à tous nos maux, alors qu’à y regarder de plus près elle en est le plus souvent la cause.

La crise que nous traversons apparaît donc comme une étape décisive vers la réalisation de la prophétie heideggérienne. La technique et la technocratie mondiale qui en ont pris les commandes semblent sur le point de conduire l’homme vers un total oubli de lui-même, vers une nouvelle ère dite « transhumaniste » où nous n’aurions plus d’existence légitime, voire autorisée, que comme éléments constitutifs d’un système. C’est cette vision de cauchemar qu’on retrouve dans un grand nombre de romans de science-fiction mettant en scène des personnages singuliers, marginaux et en quête de sens confrontés à des univers totalitaires, hyper-technicisés et ultra-centralisés, comme s’il fallait toujours conjurer par l’écriture cette crainte récurrente d’un avenir sans au-delà et sans espoir. En sommes-nous déjà là ? Notre monde est-il condamné à devenir celui de Brave new World, de Fahrenheit 451 ou de Matrix ? Devons-nous, dès lors, comme le suggère, sans doute ironiquement, la phrase de Heidegger, placer notre dernier et unique espoir dans la venue d’un dieu providentiel ?

… Mais ce dieu est en nous

Pour répondre à cette question, je commencerai par une remise en perspective. Tout ce qui vient d’être dit du pouvoir déshumanisant de la machine informatique ne constitue pas une absolue nouveauté. La pulsion de domination, le matérialisme aliénant, le repli « petit-bourgeois » sur sa sphère de confort ou encore la servitude volontaire sont autant de tendances régressives présentes dans la psyché humaine depuis la nuit des temps. L’I.A., de ce point de vue, n’est sans doute que la possibilité d’une maximisation sans précédent de ces tendances, voire leur aboutissement : du fait que cette technologie ne se contente pas de rester à l’extérieur de nous-mêmes et qu’elle tend à reconfigurer notre « appareil psychique », elle peut apparaître comme une sorte de suprême mise à l’épreuve de notre humanité.

Mais, à moins d’être techniquement modifié dès l’enfance ou pire dès la conception,(([2] Terrifiante possibilité évoquée par Huxley dans Le meilleur des Mondes ou encore par Michael Ende dans son chef d’oeuvre, lui aussi au combien prophétique, Momo. Tout projet totalitaire perçoit spontanément l’enfant comme le danger n° 1.)) aucun être humain n’est réductible à un fonctionnement, à une place et un rôle déterminés dans un système, serait-il le plus vertueux du monde. Il y a en lui quelque chose qui excède les limites d’une organisation sociale, quelle qu’elle soit. Cette chose, c’est par exemple « l’étincelle divine » dont parle le vicaire savoyard, porte-parole de Rousseau dans Emile, pour évoquer la conscience (morale), cette voix qui résonne au plus profond de notre être à la manière d’un tribunal intérieur ; c’est aussi l’appel que nous ressentons, pour peu que nous nous libérions de nos entraves quotidiennes, devant la souffrance d’autrui, devant l’injustice ; c’est l’émotion qui s’empare de nous face à l’infini du ciel étoilé ou face à l’œuvre d’art ; c’est le désir, souvent enfoui certes, mais toujours prêt à remonter à la surface, de comprendre ce que nous sommes, de trouver un sens à notre vie ; c’est encore ce sentiment, qui nous saisit parfois, d’être mystérieusement rattachés à tout ce qui vit et même à tout ce qui est… Cette étincelle, ces appels, ces élans existent en chacun d’entre nous. Ils sont la partie complémentaire de notre existence contingente, liée au hasard de notre naissance et de notre cadre de vie. Ils sont la manifestation de ce que certains appellent l’âme et d’autres notre part de mystère ou le dieu qui est en nous. Personnellement, j’aime appeler cette chose le Secret. Les mots sont ici de toute façon de pâles simplifications et il ne faut pas en abuser. C’est à chacun de trouver sa propre réponse, sa propre voie vers le sens d’une vie qui n’appartient qu’à lui.

« Là où est le danger, croît aussi ce qui sauve(([3] Wo aber Gefahr ist, wächst / Das Rettende auch.))» écrit le poète Hölderlin dans son hymne Patmos. Il est bon de se souvenir de ces paroles d’espoir à l’heure où un suprême déracinement menace l’essence même de notre humanité. Le projet totalitaire en cours consiste précisément à couper l’homme de sa part « secrète » afin de le réduire à sa dimension exclusivement matérielle, à en faire une entité entièrement déterminée par des forces ou plutôt des rapports de forces qu’un savant calcul permettrait de maîtriser. Naturellement pour le bien de tous ! Ce projet n’est pas nouveau, lui non plus ; on le retrouve dans toute l’histoire de l’humanité, partout où ont germé des utopies ou des idéologies considérant l’homme comme un problème en soi, comme un être non rationnel, non scientifique, dangereusement imprévisible et nécessitant donc, à l’image de l’enfant qui résiste spontanément aux lois du monde des adultes, un bon encadrement d’experts (politiques, scientifiques) et un système d’éducation et d’information centré sur le culte de l’adaptation, afin qu’il reste sur le droit chemin. Nous avons tous appris à détester ce genre d’organisation humaine quand elle prend les traits du fascisme, du nazisme ou du communisme stalinien ou maoïste ; mais nous avons baissé la garde devant la pensée unique qui, depuis des décennies, avançait jour après jour sous le masque de la démocratie et de la science experte. Beaucoup se sont laissés imprégner de l’idée que le monde devenu global irait vers le chaos, si rien n’était fait pour lui imposer un ordre et une organisation froidement rationnels, où notre part subjective et émotive (considérée par les scientolâtres comme un pur enchaînement de réactions chimiques) serait savamment canalisée et contrôlée par le biais de l’Intelligence Artificielle. Cela afin qu’aucune déviance n’advienne.

Aujourd’hui, la profonde crise politique que nous traversons marque le point critique d’une évolution globale de nos sociétés vers un matérialisme absolu, vers une conception purement mécaniste de l’homme : un homme sans secret, entièrement déterminé par le milieu et par le siècle. Conséquence directe de cette rupture : la disparition irréversible du sacro-saint clivage gauche/droite. Ce n’est en effet pas un hasard si les forces traditionnelles de gauche (partis, syndicats, associations, une bonne partie du monde enseignant et des intellectuels) sont restées totalement inertes durant cette crise, devenant même de facto, par leur silence ou leur appel à la vaccination massive, des complices de la Grande Manipulation. Elles ont toutes en commun une vision de l’histoire et de la société qui refuse de penser l’individu dans sa singularité et ne lui accorde de valeur qu’en tant que représentant d’une classe, d’un milieu ou d’une catégorie socio-professionnelle. L’idée que l’individu armé de sa richesse intérieure, de son lien avec la nature et le cosmos, guidé par une foi sincère, habité de sa seule soif d’amour et d’authenticité, ou parfois même de son simple bon sens, puisse être le dernier rempart face à la terreur collective et à l’asservissement des peuples qu’elle sert à justifier, ne leur est même pas venue à l’esprit. Au point que beaucoup de leurs représentants regardent à présent les foules défiler dans les rues de France sans comprendre ce qui est en train de se passer.

Mais, patience. Pour nombre d’entre eux aussi sonnera l’heure du réveil.

Tel est l’enjeu.

Nous sommes à la croisée des chemins.

Irons-nous vers cette société du fonctionnement généralisé où chacun, en échange d’une petite part – illusoire et conditionnelle – de sécurité, de confort et de reconnaissance sociale, devra passer sa vie assujetti aux caprices d’une élite devenue démente à force de se prendre pour Dieu ? Ou choisirons-nous au contraire la voie d’une société d’individus libres, uniques et épanouis dans leur humanité parce que conscients de leur part secrète et divine ?

À l’heure où tout indique qu’un grand bouleversement de nos repères traditionnels est en cours, je suis sûr que c’est cette dernière voie que nous choisirons, car elle est portée par une onde généreuse et créatrice sur laquelle toutes les stratégies, toutes les pensées « calculantes », faute d’énergie vitale, finiront par se briser.

Auteur(s): Alain Leduc, pour FranceSoir


[Voir aussi :
Vers l’IA ou vers l’Humanité
Note sur l’illusion de l’« information »
Vie et mort des systèmes
Note sur la science, la magie et la religion
Les machines pour jouer à Dieu
La faillite de la science matérialiste ?
Prise de conscience et autisme
L’Homme programmé ou l’Homme libre ?
La vue, la vision et la vie
Ce que crée l’Homme et le sens de la mesure
Réflexion sur la vie, la matière et la conscience]





Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »

[Source : Bas Les Masques]

https://youtu.be/gWzGQruMXO0



Merci Macron et ton passe sanitaire !

[Source : agoravox.fr]

Par laurent64

Merci Macron, car grâce à toi, j’ai pu me faire un ami, un très bon ami, du genre de celui sur lequel on peut compter en toutes circonstances, un ami dont je suis assuré qu’il me sera fidèle à vie sans jamais me renier, acceptant mes imperfections et mes trébuchements inhérents à la condition d’homme libre que je suis, la liberté s’entendant au sens de celle de l’âme. Et cet ami, c’est moi-même.

Il m’a fallu bien des décennies pour me rencontrer et savoir quel homme je voulais être ou peut-être quel homme j’étais déjà, depuis toujours.

Bien des circonstances m’en avaient éloigné, des désirs, des vanités, des prétentions, comme tout un chacun et aussi par effet de jeunesse et d’immaturité, mais cet ami m’attendait patiemment au fil du temps.

J’étais déboussolé, désorienté. Bien des signaux funestes dans ce monde ne cessaient de s’accumuler et mon esprit formé à la rationalité s’indignait de la dissonance cognitive qu’il y avait de plus en plus entre les discours et la réalité.

Il fallut enfin ce virus tombé du ciel, ou bien échappé volontairement ou involontairement d’un labo de Wuhan, pour que la rencontre se fît. Car alors il était donné d’observer au grand jour le grand cirque, cette farce tragique jouée par une poignée de soi-disant « sachant » du monde politique et médical transformant de façon flagrante, observable par tout un chacun qui ne serait pas à la fois sourd et aveugle, l’analyse scientifique, normalement étayée par l’organisation de débats contradictoires et requérant des études soignées sur les thèses non consensuelles, en scientisme, c’est-à-dire une idéologie claironnée par tout un chœur de potentats médicaux contredits par une soi-disant minorité de confrères, ce qui n’est pas sans rappeler les médecins de Molière.

En tant qu’enseignant en sciences physiques et en mathématiques, j’avais bien vu depuis de longues années, que des méthodes d’enseignement toujours plus stupides, fondées sur des analyses de documents où il suffisait d’aller à la pêche à la ligne pour recracher une vision inscrite dans le cadre d’un programme national, empêchaient au développement d’un certain nombre d’esprits : esprit d’observation, esprit d’analyse, esprit critique, reléguant l’apprentissage à un savoir prémâché, résumé dans les manuels par une page : l’essentiel, ce qu’il faut retenir, comme si éduquer se résumait à gaver l’esprit de connaissances et non à lui apprendre à apprendre pour finalement pouvoir s’adapter à des situations de l’existence qui ne sont pas prévisibles, comme celle d’un nouveau virus débarquant sans crier gare.

Il n’est pas étonnant que des élèves aux esprits formatés soient devenus, après intégration dans des écoles de prestige, des technocrates totalement déconnectés du monde réel, gérant la vie de tout un chacun à coup de formules rentrant dans leur modèle idéologique, champions de la manipulation et de la désinformation. 2020 et 2021 resteront des années historiques, tout comme les années sombres qui ont précédé la Seconde Guerre mondiale et aveuglé tout un peuple en jouant sur la paranoïa et en désignant un bouc émissaire de tous les maux tout en promouvant une race supérieure, car pure.

Une fois de plus, merci Emmanuel, car tu auras contribué, comme sœur Emmanuelle, mais par la négative, à une prise de conscience de ce qui rendait la vie digne d’être vécue. Jusque-là, j’errais comme un zombie dans une société de consommation hyperproductiviste et hyperdestructrice de son environnement, mais surtout, qui divisait de plus en plus les hommes en ceux capables de faire marcher cette machine folle et les autres, les déclassés, les inutiles, les zéros de cordée, les z’en trop, les débiles, les complotistes, les « start losers », en un camouflet à notre troisième principe fondateur, la fraternité.

J’avais eu un pincement au cœur en voyant le mouvement des gilets jaunes et j’avoue avec honte, avoir suivi les évènements depuis mon fauteuil, sur BFM, un peu en mode boucle. Puis vinrent les difficultés d’endormissement comme si quelqu’un venait me secouer pour me dire : réveille-toi Laurent, la vie est belle, elle est dangereuse, mais elle est sacrée. Elle ne cesse pas avec la mort, crois-moi. Va, vis, deviens, me susurrait cette voix, comme un titre de film.

Rien ne se serait produit, si Emmanuel n’avait pas, dans un discours merveilleux prononcé début juillet 2020, fait basculer un commutateur dans mon cerveau. J’étais déjà convaincu de la non-nécessité de me faire vacciner avec un vaccin expérimental, aux arguments irréfutables que, d’une part, je ne menace pas la santé de mes congénères, car les dernières études montrent une relative équivalence de contagiosité entre vaccinés et non vaccinés, d’autre part, bien qu’ayant un certain nombre de décennies, je suis d’un groupe O à rhésus positif, pour la population duquel les cas de Covid sévères sont rares, et enfin, je n’ai aucune comorbidité et un système immunitaire éprouvé depuis déjà plus de quatre décennies, pendant lesquelles je n’ai pris, au grand dam de Big Pharma, aucun cachet particulier pour me soigner.

Le discours d’Emmanuel a déclenché une tempête de cytokines dans mon organisme (le terme plus juste serait peut-être adrénaline, puisque je me targue d’esprit scientifique, peu importe, le mot cytokine est mieux pour le côté blague) comme je pense, chez nombre de mes concitoyens, venus grossir des manifestations anti-passe sanitaire.

J’ai compris, dans la menace de donner une vie de merde à ces c… d’opposants à la politique autoritaire et totalement injustifiée du gouvernement en matière sanitaire, que j’allais devoir faire face à une épreuve sur une durée indéterminée. Mais j’avais déjà des armes en la matière. Ne m’étais je pas entaillé, coupé, un nombre incalculable de fois en jardinant à mains nues au milieu de ronces. Malgré des débuts d’infection, chaque fois, la nature me rendait mes doigts en format d’usine, les blessures ayant disparu, les infections régressé, dans une sorte de miracle qui est celui de la vie, enfin en ce qui me concerne.

Je me dis alors que de cette nouvelle épreuve de privation sociale, je ne pourrais qu’en sortir grandi, et cela, je le dis bien, même si la Covid devait m’emporter, car la vie en aurait décidé ainsi, selon un vieil adage : Tout ce qui ne tue pas renforce.

J’ai alors profité de ces vacances pour prendre les devants, un peu à la manière d’un assiégé qui ferait des réserves et s’habituerait à vivre de peu dans la perspective d’un siège pouvant être long. Et là, j’ai découvert la force de l’âme, celle d’un Gandhi, celle d’un Nelson Mandela resté dans la lumière de son âme, même dans l’obscurité d’une prison, finalement quelque chose de banal pour qui croit à une dimension sacrée de l’être humain et plus généralement de tout ce qui a été créé avec (par qui et pourquoi ? Somme toute, peu importe !).

Je me suis reclus seul, tel un ermite, dans un endroit inspirant par sa beauté et sa tranquillité, quelque part dans une région de France réputée pour sa pluviométrie. La plus grande révélation, c’est le silence, dit une sagesse orientale. Et effectivement, dès qu’on fait silence, le cerveau commence par s’agiter, les pensées s’enchaînent, repassent en boucle comme sur BFM, puis finissent par se dissoudre pour laisser filtrer une lumière bienveillante, celle de notre âme. Et soudain, je saisis, ce qui vaut pour moi dans la vie, la liberté, dans le risque, le danger, peu importe, mais la liberté à tout prix, non négociable, imprescriptible et sacrée, seulement limité par le devoir de ne pas attenter à la liberté de mon semblable, mais surtout non entachée par une forme de culpabilité sordide fondée sur une sur exagération du risque, telle que martelée par notre Président.

Oui, je revendique de me battre pour avoir le droit de prendre des risques personnels, comme faire de l’escalade, monter sur mon toit sans être attaché, faire du saut à cheval, du parapente, du « base jump » et d’être gracieusement pris en charge en cas d’accident par le monde médical, car tel est le serment d’Hippocrate, menacé de se convertir aujourd’hui en serment d’hypocrites.

La vie est dangereuse, oui. La vie tue oui, n’en déplaise à Laurent Alexandre et autres angoissés pensant que le transhumanisme va mettre fin à tout cela dans un horizon proche.

La santé n’est pas une vertu, disait André Comte Sponville, que je remercie pour la formule, sachant que les philosophes contemporains semblent soudain curieusement devenus muet dans ce débat sur la vaccination obligatoire pour une pandémie peu létale comparée à Ebola et consœurs pour lesquelles j’irais me faire piquer sans hésiter la moindre seconde, pourvu que ce ne soit pas des entreprises à la sinistre réputation qui produisent le vaccin, mais plutôt un labo d’état ne pouvant être impliqué dans de sordides intérêts financiers.

En revanche, si la santé n’est pas une vertu, la défense de la liberté en est une. On peut mourir pour défendre sa liberté, donc perdre sa santé, mais en aucun cas, on ne peut tolérer de perdre sa liberté pour défendre sa santé, car on vivrait alors dans un monde totalement robotisé, sécurisé certes, mais sans aucune dimension, car le bonheur ne réside pas dans le confort bourgeois et la sécurité artificielle assurée par des vigiles, des murs, des implants qui contrôlent en permanence son état de santé et en formulent des injonctions du style : vous avez un excès de ceci ou de cela, vous devez dans les heures qui suivent marcher une heure.

D’ailleurs, si la nature avait voulu un monde de totale sécurité, elle l’aurait fait depuis longtemps, c’est-à-dire de toute éternité et nous n’aurions pas tous ces maux qui nous affligent. Je crois en un sens sacré de ce monde, que l’on peut nommer Dieu si on le souhaite ou de tout autre nom comme Nirvana. Et ce sens, c’est d’y découvrir notre âme, qui est notre véritable amie. Alors pour finir, à ceux qui comme moi, vont endurer cette épreuve, dans des conditions peut-être moins confortables, je vous souhaite d’en sortir grandi, car si par un boycott général de tous les lieux où est requis un passe sanitaire, nous parvenons à faire plier ce gouvernement, la France pourra être fière d’avoir retrouvé une place pour laquelle elle s’enorgueillissait jusque-là, celle d’être un phare des nations en ce qui concerne le principe de Liberté.

Que vive la France quand elle défend ses principes sacrés : Liberté, Égalité, Fraternité, car c’est la dignité humaine qu’elle défend.




L’empire chinois (eurasien) encercle l’empire américain (île lointaine entre deux océans)

[Source : Les 7 du quebec]

Par Pepe Escobar

Encore une fois Pepe Escobar voit plus loin que ses confrères. Là ou d’autres anticipent les manoeuvres de l’impérialisme Yankee pour encercler l’empire du milieu de l’Eurasie (le centre du monde disaient les empereurs chinois),  Pepe voit très bien les manigances du nouvel empire chinois (Chine-Russie-Iran-« Allemagne »(?)) pour encercler le vieil empire américain décadent, isolé sur son ile d’Amérique du Nord entre deux océans tourmentés. Lisez cette analyse d’un ami de la Chine impériale et vous comprendrez mieux que les choses changent dans ce monde en perpétuelle crise économique – politique – sociale – commerciale – militaire – diplomatique et pourquoi pas « sanitaire ». Ne soyez pas surpris que la crise pandémique du COVID ne soit même pas évoquée par le scribe. L’empire chinois, qui prépare sa guerre de conquête depuis des années, a évacué cet exercice militaire – sanitaire – depuis des mois, alors que l’Empire du chaos s’y empêtre chaque jour d’avantage… C’est l’avantage que procure un État totalitaire expérimenté, déjà bien implanté, versus un État totalitaire à consolider… n’est-ce pas messieurs Biden, Macron, Johnson, Trudeau et les autres !?… 
Robert Bibeau. Éditeur. 


Requiem pour un empire : une préquelle

Par Pepe Escobar

L’inexorable pourriture impériale se poursuivra, une affaire vulgaire sans aucun pathétique dramatique et esthétique digne d’un Gotterdammerung.

31 juillet 2021 –  » Asia Times ‘ —- Agressé par une dissonance cognitive à tous les niveaux, l’ Empire du Chaos  se comporte désormais comme un détenu maniaco-dépressif, pourri jusqu’à l’âme – un destin plus rempli d’effroi que d’avoir à faire face à une révolte de les satrapies.

Seuls les zombies en état de mort cérébrale croient maintenant en sa mission universelle autoproclamée en tant que nouvelle Rome et nouvelle Jérusalem. Il n’y a pas de culture, d’économie ou de géographie unificatrices qui tissent le noyau à travers un «paysage politique aride, desséché, étouffant sous le soleil cuivré de la ratiocination apollinienne, dépourvu de passion, très masculin et vide d’empathie humaine».

Clueless Cold Warriors rêvent encore de l’époque où l’axe Allemagne-Japon menaçait de gouverner l’Eurasie et le Commonwealth mordait la poussière – offrant ainsi à Washington, craignant d’être contraint à l’île, l’occasion unique de profiter de la Seconde Guerre mondiale pour ériger lui-même en tant que Paradigme Mondial Suprême et sauveur du « monde libre ».

Et puis il y a eu les années 90 unilatérales, lorsque la Shining City on the Hill, une fois de plus autoproclamée, se prélassait dans des célébrations vulgaires de «fin de l’histoire» – tout comme des néoconservateurs toxiques, engendrés dans l’entre-deux-guerres via la cabale gnostique du trotskysme new-yorkais. , ont tracé leur prise de pouvoir.

Aujourd’hui, ce n’est plus l’Allemagne-Japon mais le spectre d’une entente Russie-Chine-Allemagne qui terrorise l’Hégémon comme le trio eurasien capable d’envoyer la domination mondiale américaine aux poubelles de l’Histoire.

Entrez dans la « stratégie » américaine. Et comme on pouvait s’y attendre, c’est un prodige d’étroitesse d’esprit, n’aspirant même pas au statut d’exercice – infructueux – d’ironie ou de désespoir, cédant comme il l’est à la fondation piétonne Carnegie, avec son QG à Think Tank Row entre Dupont et Thomas Circle le long du Massachusetts. Avenue à Washington

Faire en sorte que la politique étrangère des États-Unis fonctionne mieux pour la classe moyenne est une sorte de rapport bipartite guidant l’administration actuelle et désorientée de Crash Test Dummy. L’un des 11 écrivains impliqués n’est autre que le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan. L’idée qu’une stratégie impériale mondiale et – dans ce cas – une classe moyenne profondément appauvrie et enragée partagent les mêmes intérêts n’est même pas qualifiée de mauvaise blague.

Avec des « penseurs » comme ceux-ci, l’Hégémon n’a même pas besoin de « menaces » eurasiennes.

Vous voulez parler à M. Kinzhal ?

Pendant ce temps, dans un scénario digne de Desolation Row de Dylan réécrit par The Three Stooges, les proverbiales chihuahuas atlantistes délirent que le Pentagone a ordonné la partition de l’OTAN : l’Europe occidentale contiendra la Chine et l’Europe orientale contiendra la Russie.

Pourtant, ce qui se passe réellement dans ces couloirs de la puissance européenne qui comptent vraiment – ​​non, bébé, ce n’est pas Varsovie – c’est que non seulement Berlin et Paris refusent de s’opposer à Pékin, mais réfléchissent à comment se rapprocher de Moscou sans enrager l’Hégémon.

Voilà pour les micro-ondes, Divide and Rule Kissingerian. L’une des rares choses que le célèbre criminel de guerre a vraiment compris, c’est lorsqu’il a noté, après l’implosion de l’URSS, que sans l’Europe « les États-Unis deviendraient une île lointaine sur le littoral de l’Eurasie»: ils habiteraient « dans la solitude, un statut mineur ».

La vie est un frein lorsque le déjeuner gratuit (mondial) est terminé et en plus de cela, vous devez faire face non seulement à l’émergence d’un « concurrent de pairs » en Eurasie (copyright Zbig « Grand échiquier » Brzezinski) mais aussi à un partenariat stratégique global. Vous craignez que la Chine ne mange votre déjeuner – et votre dîner, et votre dernier verre – mais vous avez toujours besoin de Moscou comme ennemi désigné de choix, car c’est ce qui légitime l’OTAN.

Appelez les trois Stooges ! Envoyons les Européens patrouiller en mer de Chine méridionale ! Allons chercher ces nullités baltes et des Polonais pathétiques pour faire respecter le nouveau rideau de fer ! Et déployons la russophobe Britannia Rules the Waves sur les deux fronts !

Contrôler l’Europe – ou faire faillite. D’où le Brave New NATO World : le fardeau de l’homme blanc revisité – contre la Russie-Chine.

Jusqu’à présent, la Russie-Chine avait fait preuve d’une patience taoïste infinie face à ces clowns. Plus maintenant.

Les acteurs clés du Heartland ont clairement vu à travers le brouillard de la propagande impériale ; la route sera longue et sinueuse, mais l’horizon finira par dévoiler une alliance Allemagne-Russie-Chine-Iran rééquilibrant l’échiquier mondial.

C’est le cauchemar ultime de la Nuit impériale des morts-vivants – d’où ces humbles émissaires américains se précipitant frénétiquement autour de plusieurs latitudes essayant de maintenir les satrapies en ligne.

Pendant ce temps, de l’autre côté de l’étang, la Chine et la Russie construisent des sous-marins comme s’il n’y avait pas de lendemain équipés de missiles à la pointe de la technologie – et les Su-57 invitent les sages à une conversation étroite avec un hypersonique M. Kinzhal.

Sergueï Lavrov, tel un grand seigneur aristocratique , a pris la peine d’éclairer les clowns avec une distinction nette et érudite  entre l’état de droit et leur auto-défini « ordre international fondé sur des règles ».

C’est trop pour leur QI collectif. Ce qu’ils enregistreront peut-être, c’est que le traité russo-chinois de bon voisinage, d’amitié et de coopération, initialement signé le 16 juillet 2001, vient d’être prolongé de cinq ans par les présidents Poutine et Xi.

Alors que l’Empire du Chaos est progressivement et inexorablement expulsé du Heartland, la Russie et la Chine gèrent conjointement les affaires d’Asie centrale.

Lors de la conférence sur la connectivité en Asie centrale et du Sud à Tachkent , Lavrov a expliqué comment la Russie dirige « le Grand partenariat eurasien, un cadre unificateur et intégrateur entre les océans Atlantique et Pacifique qui est aussi libre pour la circulation des biens, des capitaux, du travail et des services. que possible et qui est ouvert à tous les pays du continent commun de l’Eurasie et aux syndicats d’intégration créés ici.

Ensuite, il y a la stratégie de sécurité nationale russe mise à jour , qui décrit clairement que la construction d’un partenariat avec les États-Unis et la réalisation d’une coopération gagnant-gagnant avec l’UE est une lutte difficile : « Les contradictions entre la Russie et l’Occident sont sérieuses et difficiles à résoudre. En revanche, la coopération stratégique avec la Chine et l’Inde sera élargie.

Un séisme géopolitique

Pourtant, la percée géopolitique déterminante au cours de la deuxième année des années folles pourrait bien être la Chine disant à l’Empire : « ça suffit ».

Tout a commencé il y a plus de deux mois à Anchorage, (la nouvelle phase du plan global du moins. NDÉ) lorsque le redoutable Yang Jiechi a préparé une soupe aux ailerons de requin  avec la délégation américaine impuissante. La pièce de résistance est arrivée cette semaine à Tianjin, où le vice-ministre des Affaires étrangères Xie Feng et son patron Wang Yi ont réduit la médiocre bureaucrate impériale Wendy Sherman au statut de boulette rassis.

Cette analyse fulgurante d’un groupe de réflexion chinois a passé en revue toutes les questions clés. Voici les faits saillants.

– Les Américains voulaient s’assurer que des « garde-fous et frontières » soient établis pour éviter une détérioration des relations américano-chinoises afin de « gérer » la relation de manière responsable. Cela n’a pas fonctionné, car leur approche était « terrible ».

– « Le vice-ministre chinois des Affaires étrangères Xie Feng a mis le doigt sur la tête lorsqu’il a déclaré que la triade américaine «concurrence, coopération et confrontation» est un « bandeau sur les yeux » pour contenir et réprimer la Chine. La confrontation et le confinement sont essentiels, la coopération est opportune et la compétition est un piège à discours. Les États-Unis exigent la coopération lorsqu’ils ont besoin de la Chine, mais dans les domaines où ils pensent avoir un avantage, ils découplent et coupent les approvisionnements, les blocages et les sanctions, et sont prêts à affronter et confronter la Chine afin de la contenir.

– Xie Feng « a également présenté deux listes à la partie américaine, une liste de 16 éléments demandant à la partie américaine de corriger ses mauvaises politiques et paroles et actes envers la Chine, et une liste de 10 cas prioritaires préoccupant la Chine (…) si ces -Les problèmes de la Chine causés par le penchant des États-Unis ne sont pas résolus, de quoi peut-on parler entre la Chine et les États-Unis?»

– Et puis, le sorbet pour accompagner le cheesecake : les trois lignes de fond de Wang Yi à Washington. En un mot:

  1. « Les États-Unis ne doivent pas contester, dénigrer ou même tenter de subvertir la voie et le système socialistes aux caractéristiques chinoises. La route et le système de la Chine sont le choix de l’histoire et le choix du peuple, et ils concernent le bien-être à long terme de 1,4 milliard de Chinois et le destin futur de la nation chinoise, qui est l’intérêt central auquel la Chine doit adhérer.
  2. « Les États-Unis ne doivent pas essayer d’entraver ou même d’interrompre le processus de développement de la Chine. Le peuple chinois a certainement le droit à une vie meilleure, et la Chine a aussi le droit à la modernisation, qui n’est pas le monopole des États-Unis et implique la conscience fondamentale de l’humanité et de la justice internationale. La Chine exhorte la partie américaine à lever rapidement toutes les sanctions unilatérales, les tarifs douaniers élevés, la juridiction à bras long et le blocus scientifique et technologique imposé à la Chine. »
  3. « Les États-Unis ne doivent pas empiéter sur la souveraineté nationale de la Chine, et encore moins saper l’intégrité territoriale de la Chine. Les enjeux liés au Xinjiang, au Tibet et à Hong Kong ne concernent jamais les droits de l’homme ou la démocratie, mais plutôt les principaux droits et torts de la lutte contre « l’indépendance du Xinjiang », « l’indépendance du Tibet » et « l’indépendance de Hong Kong ». Aucun pays ne permettra que sa sécurité souveraine soit compromise. Quant à la question de Taïwan, c’est une priorité absolue (…) Si « l’indépendance de Taïwan » ose provoquer, la Chine a le droit de prendre tous les moyens nécessaires pour l’arrêter.

L’Empire du Chaos enregistrera-t-il tout ce qui précède ? Bien sûr que non. Ainsi se poursuivra l’inexorable pourriture impériale, une affaire vulgaire sans aucun pathos dramatique et esthétique digne d’un Gotterdammerung, suscitant à peine un regard des dieux, « où ils sourient en secret, regardant les terres incultes / Fléau et famine, peste et tremblement de terre, abîmes rugissants et sables ardents, / Combats retentissants et villes en flammes, et navires coulant, et priant mains », comme Tennyson l’a immortalisé.

Pourtant, ce qui compte vraiment, dans notre royaume de realpolitik, c’est que Pékin ne s’en soucie même pas. Le point a été fait : « Les Chinois en ont depuis longtemps assez de l’arrogance américaine, et le temps où les États-Unis ont essayé d’intimider les Chinois est révolu.

Maintenant , c’est le début d’un nouveau monde géopolitique – et un prequel à un requiem impérial. De nombreuses suites suivront.


Pepe Escobar – Analyste géopolitique indépendant, écrivain et journaliste




Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

L’épidémie du nouveau coronavirus 2019 ou de la maladie à coronavirus (COVID-19) est revendiquée comme une menace pour le monde entier depuis début 2020. Les scientifiques travaillent jour et nuit pour comprendre l’origine du COVID-19. Peut-être avez-vous déjà entendu la nouvelle que le génome suspecté du SARS-CoV-2 a été publié[1] ? Comment exactement les scientifiques ont-ils identifié le génome complet du SARS-CoV-2 ?

Cet article explique, de manière purement technique, comment ils ont fait cela. Sans aucun doute, vous vous rendrez compte que cette méthode ne convient ni pour déterminer l’origine de l’acide nucléique d’un échantillon ni pour déterminer un génome exact. Divers algorithmes sont utilisés, dont les calculs tentent de proposer une construction fictive basée sur des spécifications, qui à son tour sert de modèle pour tous les processus ultérieurs. Cependant, chaque séquençage individuel conduit à des résultats différents du séquençage précédent ; ces écarts sont souvent vendus comme des mutations[2], et ce sont simplement des incohérences dans le calcul par les outils d’analyse du génome.

Du fait qu’une structure prétendument virale n’a jamais été isolée en culture pure et que la caractérisation biochimique a été réalisée directement à partir de celle-ci, tout séquençage est basé sur un mélange de matériel génétique dont l’origine ne peut être déterminée et sont toutes des constructions assistées par ordinateur à considérer comme de la pure spéculation.

[Voir aussi :
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
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Comme un petit mais non moins important détail, qui vous fait parfaitement comprendre que la manipulation technique de l’alignement/assemblage (comme expliqué dans l’article) est purement fictive et manipulatrice :

70% des virologues ne précisent pas quelle technique d’assemblage ils utilisent !

Et le fait tacite est que 100% des virologues ne divulguent pas quel pourcentage du génome «viral» calculé a été modifié jusqu’à ce qu’il ait été publié en tant que génome fini.

Avec les données du génome, qui par le chinois Fan Wu et. al[1] ont été publiés et mis à disposition en téléchargement, il ne s’agit en aucun cas de données brutes, mais plutôt de données préalablement étoffées ! 80% des séquences humaines ont disparu et surtout : Tout ce qui était publié ailleurs comme « viral » a été filtré ! Cela rend encore plus difficile la compréhension de la prétendue découverte d’un nouveau virus pathogène, puisque des expériences témoins sont également recherchées en vain dans les publications publiées.

Mais nous arrivons maintenant à l’analyse technique du génome.

Génome

Le génome est l’ensemble du matériel génétique, y compris tous les gènes d’un organisme. Le génome contient toutes les informations sur un organisme qui sont nécessaires à sa structure et à son maintien.

Les virus qui causent des maladies sont définis par le fait que leur séquence (génome) est unique et ne se produit pas dans des organismes sains.

Pour pouvoir détecter et déterminer la présence du matériel génétique d’un virus, ce virus doit être isolé et disponible à l’état pur conformément aux lois de la pensée et à la logique qui précède toute science comme règle fondamentale, afin que les propres séquences de gènes de la cellule ne soient pas interprétées à tort comme des composants d’un virus.

La séquence d’une substance génétique ne peut être déterminée que si elle se présente sous la forme d’un ADN.

Séquençage

Comment lire les informations présentes dans le génome ? C’est là qu’intervient le séquençage.

Le séquençage est utilisé pour déterminer la séquence de gènes individuels, de chromosomes entiers ou de génomes entiers d’un organisme.

Fig 1. A PacBio sequencing machine. PacBio is a third-generation sequencing technology which produces long reads. Image by KENNETH RODRIGUES from Pixabay (CC0)

Des dispositifs spéciaux appelés machines de séquençage sont utilisés pour extraire de courtes séquences aléatoires du génome qui nous intéresse. Les technologies de séquençage actuelles ne peuvent pas lire le génome entier à la fois. De petits morceaux d’une longueur moyenne comprise entre 50 et 300 bases (séquençage de nouvelle génération / lectures courtes) ou 10 000 à 20 000 bases (séquençage de troisième génération / lectures longues) sont lus, selon la technologie utilisée. Ces courtes pièces sont appelées lectures.

La présence et la longueur d’un matériel génétique sont déterminées en le divisant dans le sens de la longueur dans un champ électrique. Les pièces courtes voyagent plus rapidement, les pièces plus longues plus lentement. En même temps, afin de pouvoir déterminer la longueur du matériel génétique à examiner, des morceaux de matériel génétique de différentes longueurs avec une longueur connue sont ajoutés. Cette technique standard fiable pour détecter et déterminer la longueur du matériel génétique est connue sous le nom d’« électrophorèse sur gel ».

Si la concentration d’un certain matériel génétique est trop faible pour qu’il ne puisse pas être détecté avec la technique de “l’électrophorèse sur gel”, cela peut être fait à volonté en utilisant la technique de réplication illimitée de l’ADN, appelée amplification en chaîne par polymérase PCR. De cette manière, un ADN indétectable peut être rendu visible par électrophorèse sur gel. C’est une condition préalable pour rendre la substance génétique accessible à d’autres investigations, en particulier pour la détermination ultérieure et décisive de sa longueur et de sa séquence. Cette méthode est également connue sous le nom de PCR en abrégé.

Si vous recherchez des informations plus détaillées sur le fonctionnement exact du séquençage du génome viral à partir d’échantillons cliniques, consultez l’article suivant.

  1. A complete protocol for whole-genome sequencing of virus from clinical samples: Application to coronavirus OC43
  2. Specific Capture and Whole-Genome Sequencing of Viruses from Clinical Samples

Assemblage du génome

Une fois qu’il y a de petits morceaux du génome, nous devons les combiner en fonction de leurs informations de chevauchement et construire le génome complet. Ce processus est appelé assemblage et est comparable à la résolution d’un puzzle. Des outils logiciels spéciaux, appelés assembleurs, sont utilisés pour assembler ces lectures en fonction de leur chevauchement. Ceci est utilisé pour générer des chaînes continues, appelées contigs. Ces contigs peuvent être le génome entier lui-même ou juste une fraction de celui-ci (comme le montre la figure 2). Il est important de noter que la source du matériel utilisé est sans importance.

Les virologues chinois n’ont pas effectué d’expériences témoins pour écarter la possibilité que même avec un ARN humain/microbien provenant d’un lavage de poumon d’une personne saine, une personne atteinte d’une autre maladie pulmonaire, une personne qui a été testée négative au SRAS-CoV-2.., ou à partir de cet ARN provenant d’échantillons de réserve de l’époque où le virus SRAS-CoV-2 était encore inconnu, exactement la même addition du génome d’un virus à partir de courts fragments d’ARN soit possible !

Fig. 2 Séquençage et assemblage

Les assembleurs sont divisés en deux catégories,

Assembleurs de novo : assemblent sans utiliser de génomes de référence (par exemple : SPAdesSGAMEGAHITVelvetCanu et Flye).

Assembleurs guidés par des références : assemblent en assignant des séquences à des génomes de référence.

Deux grands types d’assembleurs

On trouve deux grands types d’assembleurs dans la littérature bioinformatique. Le premier type est la méthode des consensualités d’implantation par recouvrement (OLC). Dans la méthode OLC, tous les chevauchements entre les lectures sont d’abord déterminés. Ensuite, toutes les lectures et tous les chevauchements sont organisés sous la forme d’un graphique. Enfin, nous identifions la “séquence de consensus”. SGA est un outil populaire basé sur la méthode OLC.

Le deuxième type d’assembleur est la méthode du graphe de-Bruijn (DBG)[3]. Au lieu d’utiliser les lectures complètes telles quelles, la méthode DBG décompose les lectures en fragments encore plus courts appelés k-mers (de longueur k) et crée ensuite un graphe de-Bruijn en utilisant tous les k-mers. Enfin, les séquences génomiques sont déduites sur la base du graphe de-Bruijn. SPAdes est un assembleur populaire basé sur la méthode DBG.

Qu’est-ce qui peut mal tourner dans l’assemblage du génome ?

Les génomes contiennent des motifs d’acides nucléiques qui apparaissent de nombreuses fois dans le génome. Ces structures sont appelées répétitions. Ces répétitions peuvent compliquer le processus d’assemblage et entraîner des ambiguïtés.

Nous ne pouvons pas garantir que le séquenceur puisse produire des lectures couvrant l’ensemble du génome. Il se peut que le séquenceur omette certaines parties du génome et qu’aucune lecture ne couvre cette région. Cela affectera le processus d’assemblage et ces régions omises ne seront pas présentes dans l’assemblage final.

Les assembleurs de génomes doivent relever ces défis et essayer de minimiser les erreurs causées lors de l’assemblage.

Comment les assemblages sont-ils évalués ?

L’évaluation des assemblages est très importante car nous devons décider si l’assemblage résultant répond aux normes. L’un des outils d’évaluation des assemblages les plus connus et les plus utilisés est QUAST. Vous trouverez ci-dessous quelques-uns des critères utilisés pour évaluer les assemblages.

N50 : longueur minimale des contigs nécessaire pour couvrir 50% de la longueur totale de l’assemblage.

L50 : nombre de contigs plus longs que N50

NG50 : longueur minimale des contigs requise pour couvrir 50 % de la longueur du génome de référence.

LG50 : nombre de contigs plus longs que NG50

NA50 : longueur minimale des blocs alignés nécessaire pour couvrir 50 % de la longueur totale de l’ensemble.

LA50 : nombre de contigs plus longs que NA50

Pourcentage du génome (%) : pourcentage de bases qui correspondent au génome de référence.

Se salir les mains

Commençons par les expériences. Je vais utiliser l’assembleur SPAdes pour assembler des lectures obtenues à partir d’échantillons de patients séquencés. SPAdes utilise des lectures de séquençage de nouvelle génération. Vous pouvez également télécharger QUAST gratuitement. Vous pouvez obtenir le code et les programmes binaires sur les pages d’accueil correspondantes et exécuter ces outils.

Entrez les commandes suivantes et vérifiez que les outils fonctionnent correctement.

<your_path_to>/SPAdes-3.13.1/bin/spades.py -h
<your_path_to>/quast-5.0.2/quast.py -h
[Ndlr : ils s’agit ici de lignes de commande informatiques sous systèmes Linux ou Unix.
Les logiciels Spades et quast utilisés ont apparemment été créés en langage Python.]

Télécharger les données

Je suppose que vous savez comment télécharger les données du National Center for Biotechnology Information (NBCI). Sinon, vous pouvez vous référer à ce lien.

Les lectures pour nos expériences peuvent être téléchargées à partir de NCBI en utilisant le numéro d’accession NCBI SRX7636886. Vous pouvez télécharger l’exécution SRR10971381, qui contient des lectures provenant d’une exécution MiniSeq d’Illumina. Assurez-vous de télécharger les données au format FASTQ. Vous pouvez trouver le fichier téléchargé sous le nom de “sra_data.fastq.gz”. Vous pouvez extraire le fichier FASTQ avec gunzip.

Après l’extraction, vous pouvez exécuter la commande bash suivante pour compter le nombre de lectures dans notre jeu de données. Vous verrez qu’il y a 56 565 928 lectures.

grep ‚^@‘ sra_data.fastq | wc -l
[Ndlr : autre ligne de commande sous Linux ou Unix.]

Vous pouvez télécharger le génome complet SARS Cov-2[1] disponible publiquement sur le NCBI avec le numéro d’accession GenBank MN908947 (N’oubliez pas qu’il ne s’agit pas des véritables données brutes). Vous verrez un fichier au format FASTA. Ce sera notre génome de référence. Notez qu’il a été renommé “MN908947.fasta”.

Assembler

Assemblons les données provenant de l’échantillon COVID-19. Exécutez la commande suivante pour assembler les lectures avec SPAdes. Vous pouvez transmettre le fichier .gz compressé directement à SPAdes.

<your_path_to>/SPAdes-3.13.1/bin/spades.py –12 sra_data.fastq.gz -o Output -t 8

Nous avons utilisé l’assembleur général SPAdes comme démonstration pour cet article. Cependant, étant donné que le jeu de données de lecture est constitué de données RNA-Seq, il est préférable d’utiliser l’option “-rna” dans SPAdes.

Dans le dossier de sortie, vous verrez un fichier appelé “contigs.fasta” qui contient nos contigs assemblés.

Évaluation des résultats de l’assemblage

Exécutez QUAST pour les assemblages avec la commande suivante.

<your_path_to>/quast-5.0.2/quast.py Output/contigs.fasta-l SPAdes_assembly -r MN908947.fasta -o quastResult

Visualisation du résultat de l’évaluation

Lorsque QUAST a terminé, vous pouvez aller dans le dossier “quastResult” et voir les résultats de l’évaluation. Vous pouvez visualiser le rapport QUAST en ouvrant le fichier report.html dans votre navigateur web. Vous verrez un rapport similaire à celui de la figure 3. Vous pouvez cliquer sur “Rapport avancé” pour obtenir plus d’informations comme NG50 et LG50.

Fig. 3 : Rapport QUAST

Vous pouvez examiner les valeurs des différents critères de notation tels que la proportion de génome NG50, NA50, les mauvais assemblages et le nombre de contigs. Vous pouvez également visualiser l’alignement des contigs sur le génome de référence à l’aide du navigateur de contigs Icarus (cliquez sur “View in Icarus contig browser”), comme le montre la figure 4.

Fig. 4 : Rapport QUAST

Dans le navigateur de contigs d’Icarus, nous pouvons voir que le contig nommé “NODE_1” correspond très étroitement au génome de référence de COVID-19. Son contenu génomique est de 99,99 % (comme le montre la figure 3). En outre, la longueur totale alignée de 29 900 paires de bases est très proche de la longueur du génome de référence, qui est de 29 903 paires de bases.

Visualisation du graphique d’assemblage

Il existe un outil appelé Bandage qui vous permet de visualiser le graphique d’assemblage. Vous pouvez télécharger les exécutables précompilés depuis leur page d’accueil et exécuter l’outil. Vous pouvez charger le fichier graphique ” assembly_graph_with_scaffolds.gfa ” situé dans le dossier de sortie de SPAdes (allez dans Fichier → Charger le graphique → sélectionnez le fichier .gfa dans Sortie et ouvrez-le) dans Bandage et cliquez sur ” Draw graph ” pour visualiser comme indiqué dans la Figure 5. Notez que le long segment incurvé de couleur verte au milieu de la première rangée de segments de la figure 5 correspond à NODE_1 de notre assemblage SPAdes.

Fig. 5 : Partie du graphique d’assemblage SPAdes du jeu de données de lecture COVID-19 visualisée à l’aide de Bandage.

Exemple pratique de towardsdatascience

Comment ont-ils découvert le génome du SARS-CoV-2 ?

Maintenant que le génome de référence du SARS-CoV-2 est disponible, nous pouvons évaluer notre assemblage. Cependant, au départ, il n’existait pas de génome de référence exact pour le SARS-CoV-2, alors qu’ont fait les scientifiques pour le découvrir ? Comme expliqué dans cet article, l’analyse des génomes viraux relève de la métagénomique et il existe de nombreuses techniques pour y parvenir. Ils ont analysé la couverture des contigs (le nombre moyen de lectures couvrant chaque position de base dans un contig) et l’ont comparée à l’isolat de coronavirus (CoV) analogue au SRAS de la chauve-souris – bat SL-CoVZC45 (numéro d’accession GenBank MG772933)[3] [6]. Les résultats ont montré que le contig le plus long assemblé avait une couverture “élevée” (à partir de notre assemblage, vous pouvez voir que NODE_1 a également une couverture élevée) et était très étroitement lié à la chauve-souris SL-CoVZC45.

Les virologues chinois soulignent même explicitement que le brin de génome construit présente jusqu’à 90 % de similitude avec les brins de génome des coronavirus inoffensifs et revendiqués des chauves-souris, connus depuis des décennies.

Cette similitude de 90 % résulte du fait que c’est exactement un tel “génome” d’un “corona virus” de chauve-souris inoffensif qui a été utilisé comme modèle pour aligner les nombreuses séquences génétiques très courtes. Il convient toutefois de noter que ce génome de chauve-souris, comme tous les “génomes” de “virus” pathogènes, n’a été que calculé, c’est-à-dire assemblé mentalement à partir de séquences génétiques endogènes très courtes et/ou de fragments de gènes de nombreux microbes, qui n’ont en réalité jamais été trouvés en tant que brin héréditaire entier et n’apparaissent nulle part dans la littérature scientifique comme un “génome viral” complet.

L’étude du 24.01.2020 indique sous la rubrique Discussion :

“Notre étude ne répond pas aux postulats de Koch”.

Il est important de savoir ici que l’on ne connaît pas le pourcentage du génome “viral” calculé qui a été modifié avant d’être publié comme génome complet.

La publication de Fan Wu et al, dans Nature, Vol 579 du 3.2.2020, dans laquelle le génome (brin complet du génome) du SARS-CoV-2 a été présenté pour la première fois et avancé pour devenir le modèle de tous les alignements ultérieurs, a montré que la totalité de l’ARN obtenu à partir du lavage bronchique (BALF) d’un patient avait clairement été utilisée, sans aucun isolement ou enrichissement préalable des structures virales ou des acides nucléiques.

Dans cette publication, le professeur Zhang décrit comment il a calculé un génome de 29 903 nucléotides sur la base de courts segments de gènes d’une longueur de seulement 21 et 25 nucléotides (ce sont les paramètres par défaut des programmes d’alignement Megahit et Trinity utilisés) en utilisant une séquence donnée d’un génome (le virus inoffensif du coronavirus de chauve-souris) selon sept méthodes différentes et très élaborées, y compris des méthodes statistiques.

Cet ARN a ensuite été converti en ADNc et des molécules d’une longueur de seulement 150 nucléotides ont été séquencées afin de construire le génome complet d’une longueur d’environ 30 000 nucléotides par simple calcul.

Il suppose – sans le dire explicitement – que les courtes séquences à partir desquelles il additionne la proposition de séquence du génome du virus SARS-CoV-2 sont de nature virale car il exclut les séquences plus longues qui résultent de la superposition (= contigs) des courtes pièces 21 et 25 et qui présentent des similitudes avec les séquences humaines issues de l’addition ultérieure au génome viral.

En termes simples, cela signifie que :

Comme les séquences humaines qui nous sont “connues” ont été calculées/supprimées du mélange de matériel génétique, les séquences restantes, nées de la réflexion irrationnelle des virologues (qui a été récompensée en 1954 par l’attribution du prix Nobel à John Franklin Enders pour une spéculation)[7], sont supposées être précisément de nature virale.

Le pourcentage de l’ensemble du génome présentant des lacunes (de 1 % à la quasi-totalité ? ??) n’est pas indiqué.

Conséquence logique :

Ce qui a été créé artificiellement ici en toutes sortes d’étapes, toutes sous des “hypothèses” simplement crues, jamais vérifiées, n’a absolument RIEN à voir avec la réalité ! La méthode de séquençage ne peut ni dire de quelle source supposée provient le génome généré par de nombreuses étapes de calcul, ni affirmer qu’il est de nature purement virale. Il s’agit tout au plus d’un outil permettant de générer un nouveau brin de génome fictif construit à partir de nombreuses séquences génétiques très courtes, au moyen de divers algorithmes et de programmes dits de “gap-filling” (comblement des lacunes dans la construction du génome). Il est plus qu’effronté de prétendre que cette construction (du génome), qui a été faite à partir d’un échantillon via lavage bronchoalvéolaire d’un patient sans isoler une certaine structure, est virale juste parce que le patient a présenté des symptômes.

Les bioinformaticiens ne se soucient pas de la source de la séquence du gène.

Lorsque l’idée des brins génétiques des virus de la grippe a été conçue pour la première fois, des embryons de poulet ont été mécaniquement blessés et empoisonnés, et un modèle a été laborieusement créé à la main à partir des courtes séquences d’acide nucléique des tissus en décomposition. Aujourd’hui, cette tâche est effectuée par des programmes informatiques alimentés par les séquences que les virologues qualifient de “virales”. L’origine réelle de ces séquences est sans importance pour les bioinformaticiens qui créent les génomes des virus fictifs par “alignement”. Erwin Chargaff avait d’ailleurs prévenu de cette évolution dès 1976 dans son livre “Das Feuer des Herakli” [L’incendie d’Herakli].

Sources :

[1] F. Wu, S. Zhao, B. Yu et al. A new coronavirus associated with human respiratory disease in China. Nature (2020). https://doi.org/10.1038/s41586-020-2008-3

[2] Die behauptete SARS-CoV-2-Mutation aus England ist eine Mogelpackung

[3] Zhenyu Li et al. Comparison of the two major classes of assembly algorithms: overlap–layout–consensus and de-bruijn-graph, Briefings in Functional Genomics, Volume 11, Issue 1, January 2012, Pages 25–37. https://doi.org/10.1093/bfgp/elr035

[4] Jang-il Sohn and Jin-Wu Nam. The present and future of de novo whole-genome assembly. Briefings in Bioinformatics, Volume 19, Issue 1, January 2018, Pages 23–40. https://doi.org/10.1093/bib/bbw096

[5] S. Heerema and C. Dekker. Graphene nanodevices for DNA sequencing. Nature Nanotech 11, 127–136 (2016). https://doi.org/10.1038/nnano.2015.307

[6]Fan Wu: A new coronavirus associated with human respiratory disease in China

[7] Machtwerk – Einstieg in die Widerlegung der Virusbehauptung

Vous trouverez ci-dessous une liste de nos articles les plus importants [en allemand] :

https://telegra.ph/Corona-Fakten-Liste-der-wichtigsten-Artikel-09-08

Article original : https://www.samueleckert.net/durch-die-genom-analyse-werden-fiktive-viren-erschaffen/




Pourquoi les mondialistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vaccination de 100 % ?

[Source : Aube Digitale]

Par Brandon Smith

Je ne pense pas être la seule personne à l’avoir remarqué – Il y a eu un déluge soudain de propagande sur la vaccination anti-Covid et sur le passeport vaccinal – ou pass sanitaire, pass vert – au cours du mois dernier, plus que ce que nous avons vu depuis le début de l’année, je pense. Je parle des États-Unis en particulier, mais il est important de souligner qu’aux États-Unis, l’establishment réclame toujours désespérément un taux de vaccination beaucoup plus élevé. Dans des pays comme l’Europe, le Royaume-Uni et l’Australie, les taux de vaccination sont plus élevés et les gouvernements sont passés à la phase de passeport vaccinal de leur programme.

Certaines personnes peuvent être déconcertées par le fait que la plupart des pays s’engagent dans la voie des mandats et des restrictions concernant les médicaments. Comment est-il possible que presque tous les gouvernements de la planète soient d’accord sur le totalitarisme médical ? Eh bien, c’est assez facile à comprendre quand on sait que la majorité d’entre eux sont liés entre eux par des institutions mondialistes comme le Forum économique mondial, qui a qualifié à plusieurs reprises la pandémie d’ »occasion parfaite » pour faire passer ses projets de « grand reset ».

Le « Grand Reset » est une usurpation idéologique à long terme de ce qui reste de la liberté individuelle et des économies de marché, et son objectif est l’imposition d’une dictature socialiste/communiste mondiale. Les mondialistes enveloppent ces objectifs dans de jolis mots et des aspirations humanitaires, mais au fond, la « réinitialisation » vise à mettre fin à la liberté telle que nous la connaissons. Ce n’est pas une exagération, c’est la réalité ; c’est ce que ces gens désirent par-dessus tout. Mais comment atteindre un tel objectif ?

Eh bien, de manière intéressante, le FEM et la Fondation Bill Et Melinda Gates ont décrit exactement comment ils prévoyaient de le faire au cours d’une « simulation » qu’ils ont organisée en octobre 2019, appelée « Event 201 ». Au cours de cet événement, ils ont imaginé une pandémie massive de coronavirus, qui se propagerait soi-disant des animaux aux humains, ce qui faciliterait la nécessité de restrictions omniprésentes des libertés individuelles, des économies nationales ainsi que d’Internet et des médias sociaux. Je suis sûr que tout cela n’est qu’une coïncidence, mais le même scénario que les mondialistes du FEM ont joué pendant Event 201 s’est produit dans le monde réel seulement deux mois plus tard.

En tout cas, la pandémie elle-même a été une aubaine pour les mondialistes. Nous n’avons pas vu une telle prise de pouvoir des gouvernements et des entreprises depuis la montée des national-socialistes en Europe et la propagation du communisme en Russie et en Chine il y a presque un siècle. En fait, je dirais que ce à quoi l’humanité dans son ensemble est confrontée aujourd’hui est bien pire que ce que ces misérables empires ont pu produire.

Il n’y a aucun doute : les institutions mondialistes et leurs « partenaires » gouvernementaux sont les plus grands bénéficiaires de la crise du covid. Ils s’apprêtent à acquérir le pouvoir social et politique ultime si leur programme d’exploitation de la pandémie réussit.

Cela dit, il y a quelques obstacles dans leur plan, et c’est pourquoi je crois que nous assistons à une poussée de propagande agressive ces dernières semaines. Par exemple, comme je l’ai souligné avec de nombreuses preuves dans mon article « Biden’s Vaccine Strike Force Plan Stinks Of Desperation », il apparaît que le taux de vaccination, en particulier aux États-Unis, est loin d’être aussi élevé que les élites le souhaiteraient.

Alors que l’administration Biden et les CDC revendiquent un taux de vaccination global de 67 %, de nombreuses autres statistiques, dont les chiffres de la carte des États de la clinique Mayo, indiquent que seuls quatre États américains ont un taux de vaccination supérieur à 65 % (pour une dose ou plus), et que la majorité des États ont des taux de 50 % ou moins. Même les États bleus à forte population, comme la Californie et New York, ne dépassent pas la barre des 65 %, et franchement, ces chiffres ne vont nulle part car les vaccinations sont en chute libre.

Si quelqu’un ne s’est pas présenté à ce jour avec des temps d’attente nuls et des doses abondantes partout, alors il est peu probable qu’il soit un jour vacciné.

Des statistiques contradictoires me laissent penser que Biden et les CDC gonflent leurs chiffres de vaccination pour créer l’illusion qu’une plus grande majorité d’Américains soutient le vaccin. Et si c’est le cas, cela explique pourquoi Biden, Fauci et les médias grand public gavent le public d’un battage publicitaire pro-vaccins qui contredit systématiquement les données scientifiques réelles. Ils n’obtiennent pas la peur et la conformité du public qu’ils espéraient.

Mais pourquoi veulent-ils une vaccination à 100% ? Pourquoi veulent-ils à tout prix que chaque personne dans le monde reçoive le vaccin à ARNm ?

Après tout, le taux de mortalité moyen (IFR) du covid est de seulement 0,26 % des personnes infectées (c’est une statistique que les médias refusent systématiquement et délibérément de mentionner au public). Cela signifie que 99,7% du public ne court AUCUN risque de contracter le covid, qu’il soit vacciné ou non.

Les vaccins garantissent-ils de meilleures chances ? Eh bien, selon des statistiques récentes du Massachusetts, pas nécessairement, puisqu’elles font état de plus de 5100 infections et de 80 décès de patients entièrement vaccinés. Les médias ne cessent de nous dire que seuls les non-vaccinés meurent, mais c’est un mensonge, comme tant d’autres mensonges qu’ils colportent à propos du covid. Alors, quel est l’intérêt de recevoir un vaccin expérimental si le taux de mortalité du virus est si faible et si le vaccin ne vous protège pas nécessairement ?

Il n’y a aucun intérêt. La science et les statistiques ne le soutiennent pas. Les vaccins ne peuvent même pas être crédités de la baisse des infections et des décès cette année ; les chiffres ont chuté en janvier – seuls 5% de la population étaient vaccinés en février. La seule explication à cela est que la population a atteint l’immunité collective il y a plusieurs mois. Rappelez-vous quand les gouvernements disaient qu’ils avaient besoin d’une immunité de troupeau ou d’une vaccination de 70% pour mettre fin aux blocages et aux mandats ? Les poteaux de but ont été déplacés plusieurs fois et la « science » du gouvernement change tous les mois. Aujourd’hui, ils prétendent que l’immunité collective n’a pas d’importance et exigent une vaccination à 100 %.

Nous devons à nouveau poser la question : pourquoi le gouvernement pousse-t-il sans relâche à une saturation totale en vaccins ? Cela ne sauve pas de vies, et les mandats restent inchangés, alors pourquoi ?

Je ne peux qu’émettre des théories basées sur les preuves disponibles, mais je pense qu’il est clair pour la plupart d’entre nous que les vaccins n’ont PAS pour but la santé publique ni de sauver des vies. Ils ont manifestement un autre objectif…

Comme de nombreux experts en virologie et en vaccins l’ont signalé au cours de l’année écoulée, la technologie expérimentale de l’ARNm présente un risque élevé d’effets secondaires nocifs pour la santé. Même l’un des créateurs des vaccins à ARNm a laissé entendre qu’il était dangereux de déployer ces cocktails de manipulation génétique sans effectuer davantage de tests. Il convient de noter les préoccupations concernant les troubles à long terme tels que les troubles auto-immunes et l’infertilité.

Les médias grand public et les mondialistes soutiendront qu’il n’y a « aucune preuve » que les vaccins à ARNm provoqueront des effets secondaires mortels ou l’infertilité. Je répondrai qu’il n’y a AUCUNE PREUVE que ces vaccins sont sûrs. La plupart des vaccins sont testés sur une période de 10 à 15 ans avant d’être mis à la disposition du public. Les vaccins contre le covid ont été lâchés sur le public en quelques mois. Honnêtement, je n’ai pas l’intention de servir de cobaye pour un vaccin non testé.

Mais que faire si les élites savent exactement quels seront les effets secondaires ? Et si les vaccins étaient un élément central de leur « Grand Reset » ?
La question de l’infertilité, en particulier, suscite le plus de critiques de la part de l’establishment, et je voudrais souligner un récit particulièrement insidieux implanté dans les médias. Chaque fois que les gens remettent en question le risque de stérilité causé par les vaccins, les bureaucrates et les têtes parlantes des médias passent à l’attaque, puis disent : « Il n’y a aucune preuve que les vaccins causent la stérilité, mais le Covid-19 pourrait la causer… ». Il suffit de regarder ce récent discours du gouverneur de l’Arkansas où lui et son larbin médical ont presque été chassés du podium par un public en colère pour avoir colporté la même propagande :

https://www.youtube.com/embed/1jMLzMpL_sE

Et voilà le résultat. À mon avis, le décor est planté pour un événement d’infertilité de masse, et le covid sera accusé à la place des vaccins expérimentaux. C’est pourquoi l’establishment a besoin d’un taux de vaccination de 100% ; les personnes non vaccinées seraient la preuve de leur crime. Laissez-moi vous expliquer…

Ce qui me préoccupe, c’est que le programme de Grand Reset de Klaus Schwab est impossible à appliquer de manière permanente, à moins que la population humaine ne soit fortement réduite sur une courte période (une génération ou deux). Les mondialistes parlent constamment de contrôle et de réduction de la population. Des élites comme Bill Gates sont célèbres pour cela. Faut-il s’étonner qu’ils conçoivent un plan pour l’instaurer ?

Et si, comme de nombreux experts l’ont suggéré, les effets secondaires des vaccins créaient cette condition de diminution de la population ? Et si c’était le cas ? Nous ne le saurons pas avec certitude avant quelques années au moins, car les troubles auto-immunes et l’infertilité mettent du temps à se manifester dans une population. Le délai moyen pour diagnostiquer un trouble auto-immune est de 4,5 ans. Le diagnostic de l’infertilité peut prendre de six mois à un an.

Si des millions de personnes ne sont toujours pas vaccinées au cours des deux prochaines années, elles constitueront un groupe de contrôle important et indéniable. Un groupe témoin est un groupe de sujets qui agit comme un échantillon pur, non touché par une expérience sur un médicament ou un vaccin. Si le groupe vacciné tombe malade ou meurt de maladies spécifiques et que le groupe témoin ne présente pas ces mêmes maladies, c’est un bon signe que votre vaccin ou votre médicament est un poison.

La moitié des Américains et des pourcentages plus faibles dans d’autres pays constituent un groupe de contrôle pour les vaccins expérimentaux. Si quelque chose ne va pas avec les vaccins, nous en serons la preuve. Je soupçonne que c’est ce dont les élites ont vraiment peur.

Elles doivent nous forcer à nous faire vacciner également – nous tous, afin qu’il n’y ait pas de groupe de contrôle et donc pas de preuve de ce qu’elles ont fait. Ils pourraient simplement imputer les troubles de santé de masse au covid lui-même, ou à un autre faux coupable.

Si les vaccins sont un cheval de Troie qui provoque une maladie ou une stérilité généralisée, et que les mondialistes se font prendre parce qu’il existe un groupe de contrôle, alors cela signifiera pour eux une rébellion pure et simple ainsi que des cordes et des lampadaires. Leur « grand reset » s’effondrera.

Bien sûr, cela pourrait se produire de toute façon. Les passeports vaccinaux sont la ligne dans le sable pour la plupart des gens. Nous assistons même à d’importantes manifestations et émeutes dans des pays comme l’Italie, la France, le Royaume-Uni et l’Australie à cause de ce régime de passeport draconien. Mais c’est aux États-Unis que le plus gros combat aura lieu, à mon avis. Nous avons une population armée, des millions et des millions de vétérans et de civils entraînés au combat, une armée composée d’environ 70 % de conservateurs et d’indépendants et une compréhension historique de la guerre asymétrique. Comme nous l’avons vu dans des endroits comme l’Afghanistan, les chars, les avions à réaction, les missiles et les drones ne garantissent pas la victoire contre une force de guérilla.

Les passeports vaccinaux n’arriveront pas ici. Nous ne le permettrons tout simplement pas.

Les mondialistes ont mis en place une fin de partie – Cela pourrait être une fin de partie pour nous, mais cela pourrait aussi être une fin de partie pour eux. Ils ont un calendrier strict. Ils doivent obtenir des taux de vaccination proches de 100% dans les deux prochaines années ou plus tôt. Ils doivent mettre en place leurs passeports vaccinaux dans les deux prochaines années ou plus tôt. Et ils doivent instaurer des conditions de confinement permanent à court terme pour étouffer la dissidence croissante. Nous sommes maintenant dans une sorte de course dans laquelle les mondialistes doivent mettre en œuvre leur programme aussi vite que possible, tandis que nous devons résister et les retenir jusqu’à ce que la vérité devienne évidente pour les masses ; la vérité que les confinements, les mandats et les vaccins n’ont jamais eu pour but la sécurité, mais le contrôle – du contrôle social au contrôle de la population.

Traduction de Alt-Market.us par Aube Digitale




L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes

[Source : For life on Earth.weebly.com]

[Traduction : changera.blogspot.com]

Par Claire Edwards, 26 juillet 2021

Dans une nouvelle vidéo, La Quinta Columna révèle que de l’oxyde de graphène (GO) a été trouvé dans une solution saline et ils en déduisent que l’utilisation du GO est beaucoup, beaucoup plus répandue et a commencé bien plus tôt que les seuls vaccins « Covid ».(([1] Solution saline physiologique contenant du graphène : 
https://www.brighteon.com/36a8d0c6-0c43-4acc-b5ea-5d6cc642f97d)) On a constaté que les bébés sont magnétiques, et les personnes qui n’ont pas pris le vaccin « Covid » ou qui n’ont pas été testées par PCR ou qui n’ont pas porté de masques montrent également du magnétisme, donc cela doit venir d’ailleurs. Ils en déduisent que le GO est utilisé depuis quelques années dans tous les vaccins, y compris le tétanos, la méningite, les vaccins pour enfants, etc. La Quinta Columna affirme que le GO était aussi dans le vaccin contre la grippe de 2018 et que cela pourrait expliquer pourquoi des personnes présentent du magnétisme alors qu’elles n’ont pas eu le vaccin « Covid ». Cela pourrait également expliquer le nombre élevé de décès dus à la « grippe » après la campagne de vaccination contre la grippe de 2018. Cela explique aussi le fait que tant de personnes soient mortes à Wuhan. Le gouvernement chinois avait rendu le vaccin contre la grippe obligatoire pour la population juste avant d’allumer les dizaines de milliers d’antennes 5G flambant neuves à Wuhan.  De même, les personnes âgées décédées à Milan avaient également été vaccinées contre la grippe et il y avait un grand nombre d’antennes 5G à Milan (voir les cartes des installations d’antennes en Italie en mars/avril 2020, qui montrent que la région de Milan a enregistré le plus grand nombre de cas de « coronavirus »).  

Magda Havas a constaté que les cas de Covid-19 par million étaient supérieurs de 95% et les décès de Covid-19 par million étaient supérieurs de 126% dans les États américains dotés de la 5G. La Quinta Columna rappelle que la 4G LTE utilise également des ondes millimétriques et que la 5G n’est donc pas la seule à être impliquée. Bartomeu Payeras i Cifre a publié une étude sur la corrélation 5G-Covid en avril 2020. Il a souligné le fait que Saint-Marin a été le premier État européen doté de la technologie 5G et l’État qui a enregistré le plus grand nombre de cas de « coronavirus » pour 1.000 habitants, soit 4,07 fois plus de cas que l’Italie et 27 fois plus que la Croatie, qui ne disposait pas de la 5G à l’époque (voir la carte ci-dessous).

M. Payeras i Cifre a également observé que le « coronavirus » semblait peu enclin à franchir les frontières. Le nombre moyen d’infections pour les quatre États américains limitrophes du Mexique était de 0,242, soit plus de 2.000 % de plus que le Mexique. La moyenne pour l’ensemble des États-Unis était de 0,814, soit 7.000 % de plus qu’au Mexique (voir la carte ci-dessous). L' »effet frontière » entre le Mexique et les États-Unis

Données pour le 3 avril 2020 – infections pour 1.000 habitants

Californie Arizona Nouveau-Mexique Texas Mexique USA
0.28 0.31 0.20 0.18 0.012 0.814

Je me demande comment il se fait que toutes ces informations utiles émanent d’Espagne. Même Andreas Kalcker (basé en Espagne) est sur une vidéo discutant de GO en espagnol. Ricardo Delgado, de La Quinta Columna, souligne que nous devrions prendre note du fait que chaque période de vaccination a été liée à un saut technologique. Le graphique ci-dessous illustre comment chaque expansion de l’utilisation des rayonnements électromagnétiques (EMR) et chaque nouvelle génération de technologie sans fil a été accompagnée d’une nouvelle maladie. 

On pourrait ajouter que la grippe dite espagnole est apparue six mois après que l’armée américaine a commencé à utiliser des émetteurs radio très puissants à la fin de la Première Guerre mondiale, en 1917. La grippe asiatique s’est produite en 1957-1958 lorsqu’un puissant système de surveillance radar a été mis en service. La grippe de Hong Kong est apparue en 1968, lorsque 28 satellites militaires de surveillance de l’espace ont été mis en service. En 1997, lorsque les téléphones portables ont été utilisés en masse, on a constaté une augmentation de 31% du diabète aux États-Unis en un an. Au Royaume-Uni, entre 1994 et 2002, parallèlement à l’adoption soudaine de la technologie des téléphones portables, la population de moineaux domestiques a diminué de 75% et elle a été classée parmi les espèces en voie de disparition. Notons également qu’en octobre 2018, juste après que des centaines d’avions aient été équipés d’un tout nouveau WiFi embarqué venant directement du satellite, des cas massifs de « grippe » se sont déclarés à bord des vols et des ambulances ont dû être appelées et des vols détournés.

De même, alors que nous avons commencé à entendre parler de cas de « coronavirus » à bord de bateaux de croisière début 2020, nous avons appris simultanément que les paquebots venaient de déployer la 5G complète et la reconnaissance faciale à bord, tous les passagers étant irradiés avec des brassards et des pendentifs prêts pour la 5G. Ce sont deux médecins italiens, Montanari et Gatti, qui ont été les premiers à alerter sur les vaccins contenant mystérieusement des nanoparticules non déclarées dans un article publié début 2018. Ils ont notamment trouvé de l’acier inoxydable et du carbure de tungstène, hautement toxique, dans des vaccins. Pour leur peine, leurs domiciles ont été perquisitionnés par la police, qui leur a retiré toutes leurs données et ordinateurs. Dans une interview, les deux chercheurs ont expliqué qu’il est interdit que des nanoparticules se trouvent dans toute solution injectable car, contrairement aux autres nanoparticules auxquelles nous sommes exposés et que nous pouvons respirer et expulser en grande partie si nos poumons sont sains, les nanoparticules injectées restent piégées à jamais et peuvent circuler dans tout le corps, y compris dans le cerveau, provoquant des démences et des maladies comme le cancer et le diabète.
Si l’on ajoute à cela le fait que les téléphones portables ouvrent la barrière hémato-encéphalique pour laisser entrer les toxines, y compris les particules de l’air et les nanoparticules des vaccins, nous avons un mélange très dangereux de menaces.(([2] Le portail EMF de l’université d’Aix-la-Chapelle répertorie 34 études traitant de la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique. Disponible sur 
www.emf-portal.org/en/article/overview/mobile-communications-med-bio/g-84/t-84003#level-3)) Je dis depuis le début de tout cela, fin 2019, qu’il n’y a pas de « Covid ». « Covid » est une désignation générale pour une collection de symptômes discrets, qui sont tous les mêmes que l’exposition aux rayonnements électromagnétiques. Et, fait intéressant, nous apprenons que l’hôpital de Barcelone, en Espagne, a décidé de changer le nom du service où sont traitées les personnes réagissant à l’exposition aux rayonnements électromagnétiques, dites « électrohypersensibles » ou EHS, en un service « post-Covid ». Comme c’est approprié !

Mais ce que je ne savais pas en 2020, c’est que cette exposition est massivement renforcée par l’implantation de nanoparticules métalliques dans l’organisme. C’est reconnu dans la littérature scientifique, même par la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP ; pas internationale, pas une commission, et ne protégeant personne contre quoi que ce soit, sauf peut-être l’armée et les sociétés de télécommunications contre des poursuites pour des crimes contre l’humanité remontant à des décennies) qui déclare dans ses propres directives de « sécurité » sur l’exposition aux CEM que si vous avez du métal dans votre corps, il va agir avec les champs électromagnétiques (CEM) pour vous rendre malade(([3] Directives de l’ICNIRP pour limiter l’exposition aux champs électromagnétiques (100 kHz à 300 GHz). Health Phys. 118(5):483-524 ; 2020. Disponible à l’adresse
www.icnirp.org/cms/upload/publications/ICNIRPrfgdl2020.pdf)): 

« Les procédures médicales peuvent utiliser des CEM, et les implants métalliques peuvent modifier ou perturber les CEM dans le corps, qui à leur tour peuvent affecter le corps à la fois directement (via une interaction directe entre le champ et le tissu) et indirectement (via un objet conducteur intermédiaire). Par exemple, l’ablation par radiofréquence et l’hyperthermie sont toutes deux utilisées comme traitements médicaux, et les CEM de radiofréquence peuvent indirectement causer des dommages en interférant involontairement [je ne savais pas que les CEM possédaient une intention] avec des dispositifs médicaux implantables actifs (voir ISO 2012) ou en modifiant les CEM en raison de la présence d’implants conducteurs. » 

Les nanoparticules sont utilisées dans les traitements contre le cancer. Elles sont injectées dans la tumeur, puis un rayonnement électromagnétique est appliqué afin que chaque nanoparticule brûle les cellules cancéreuses adjacentes. C’est ce qu’on appelle la « thérapie par ablation thermique ».(([4] Ablation par radiofréquence (RFA) : Il s’agit probablement du type d’ablation thermique le plus couramment utilisé. La RFA utilise des ondes radio à haute énergie pour le traitement. Une fine sonde en forme d’aiguille est insérée dans la tumeur pendant une courte période, généralement de 10 à 30 minutes. La sonde est guidée en place à l’aide d’ultrasons, d’une IRM ou d’un scanner. L’extrémité de la sonde émet un courant à haute fréquence qui crée une chaleur très élevée et détruit les cellules dans une zone donnée. Les cellules mortes ne sont pas éliminées, mais deviennent des tissus cicatriciels et rétrécissent avec le temps. L’hyperthermie pour traiter le cancer.
www.cancer.org/treatment/treatments-and-side-effects/treatment-types/hyperthermia.html)) 

Que se passe-t-il donc lorsque vous remplissez tout le corps de nanoparticules d’oxyde de graphène et que vous exposez tout le monde aux rayonnements électromagnétiques inéluctables et omniprésents qui couvrent toute la planète, y compris depuis les satellites et les plates-formes de haute altitude (HAPS) telles que les planeurs et les drones dans la stratosphère ?(([5] « Des constellations massives de … satellites en orbite terrestre basse sont en cours de planification et de fabrication et … couvriront le globe d’une capacité à faible latence et à large bande passante » afin d’étendre la portée de l’Internet mondial aux zones rurales et reculées et de compléter les réseaux terrestres 5G. » Union internationale des télécommunications ; Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture. Commission du haut débit pour le développement durable. Groupe de travail sur les technologies dans l’espace et la haute atmosphère. Identifier le potentiel des nouvelles technologies de communication pour le développement durable. Septembre 2017. 
www.broadbandcommission.org/Documents/publications/WG-Technologies-in-Space-Report2017.pdf))

Ricardo Delgado, de La Quinta Columna, a la réponse : 

« Chaque personne qui a été inoculée avec cette nanotechnologie de l’oxyde de graphène a maintenant une mèche, de la dynamite, une bombe à retardement qui est prête à exploser par l’activation d’une micro-onde. » 

La réponse est que vous avez un génocide. C’est ce qu’a expliqué avec force détails graphiques un ingénieur français dans une vidéo de 2020 (supprimée depuis par Youtube), mais dont nous avons la transcription :

« Pour moi, ces nanoparticules font partie d’un système d’armes qui permettra la dépopulation sans résistance de masse. Si vous comparez cela à un système d’explosifs, la nanoparticule serait la barre de l’explosif plastique, c’est-à-dire la matière active qui va exploser. La deuxième chose qui serait nécessaire est un détonateur. Pour moi, c’est l’onde électromagnétique qui va faire vibrer la nanoparticule, et la troisième chose c’est le contrôle, je pense qu’on l’a trouvé maintenant, c’est l’idée de 2020 060606,(([6] Brevet Microsoft 060606 – Monnaie numérique à interface corporelle. 
www.disclose.tv/t/microsoft-patent-060606-body-interfaced-digital-currency/298))(([7] Pour une discussion détaillée du vaccin proposé, voir Rapport d’enquête des officiers de réserve de l’armée française sur la pandémie de Covid-19 et ses relations avec le SRAS-COV-2 et d’autres facteurs, chapitre 13 : Vaccin et puce électronique. 
French Army Reserve Officers’ Investigative Report on the Covid-19 Pandemic and its Relationship to SARS-COV-2 and Other Factors, chapter 13: Vaccine and electronic chip.)) c’est-à-dire la vaccination sous-cutanée que les maîtres du monde vont proposer pour qu’ils puissent savoir où nous sommes et puissent nous tracer avec la 5G. L’avantage de la 5G comme détonateur est qu’elle peut nous tracer. C’est une arme à énergie dirigée. Donc, on est tracé, ils savent où envoyer l’onde et ils savent qui ils vont chauffer. De quoi avez-vous besoin pour que ce système d’armement soit opérationnel ? Il faut être capable d’injecter les nanoparticules dans le corps. Le seul moyen qui semble cohérent au regard de l’histoire est de les mettre dans les vaccins. »

Ce que cela signifie, c’est que chaque adulte ou enfant qui a reçu les vaccins « Covid », et apparemment n’importe quel autre vaccin au cours des deux dernières années, est maintenant une antenne relais et risque de mourir à tout moment d’une exposition aux CEM, mais cela se manifestera par toute une série de maladies différentes.  N’oublions pas non plus que la géo-ingénierie qui se déroule au-dessus de nos têtes pendant tout ce temps est également pleine de nanoparticules, et inclut probablement aussi le GO.

Les canaris dans la mine de charbon à l’heure actuelle sont les pilotes qui ont été vaccinés. Les pilotes et le personnel navigant sont exposés professionnellement à des niveaux de radiation très élevés. Faut-il s’étonner, dès lors, que quatre pilotes de British Airways soient morts après avoir reçu les vaccins et cinq autres de Jet Blue Airlines ?  Un vol de Singapore Airlines a dû se dérouter vers l’aéroport de Moscou parce qu’une hôtesse de l’air a eu une attaque. D’autres rumeurs font état de décès de pilotes d’autres compagnies aériennes. 

Je pense que nous avons été la cible d’une énorme opération psychologique et que pratiquement tout le monde regarde dans la mauvaise direction.  Tout tourne autour des radiations électromagnétiques et c’est la clé.  Maintenant que tous ceux qui se sont fait piquer sont pleins d’oxyde de graphène, leur seul recours est de suivre les précautions que prennent les personnes dites électrohypersensibles (EHS) et de se débarrasser de leurs téléphones portables et de tous les appareils sans fil et de s’assurer qu’ils n’entrent jamais en contact avec une quelconque technologie sans fil. 

Et bien sûr, si les gouvernements ne désactivent pas immédiatement toutes les antennes partout dans le monde (et ils n’ont pas besoin de nous dire que c’est une notion ridicule alors qu’ils étaient tout à fait heureux de fermer l’économie mondiale entière pour le Covid inexistant), alors c’est une preuve prima facie d’intentions génocidaires, parce que la littérature scientifique est sans équivoque que les métaux dans le corps deviennent des antennes lorsqu’ils sont exposés aux EMR. Le pistolet fumant de la conspiration de Covid est les nanoparticules d’oxyde de graphène dans les vaccins. Maintenant que nous le savons, la priorité de chacun doit être d’éteindre toutes les technologies sans fil et toutes les antennes de la planète, ainsi que tous les satellites 5G. Ne pas le faire sera une condamnation à mort pour les vaccinés.


[Voir aussi :
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?]


RÉFÉRENCES




Le pass sanitaire et son QR Code associé permettront à terme de faire accepter aux gens la puce RFID

[Source : fawkes-news.com]

C’est devenu évident aujourd’hui: un jour les gens feront la queue pour aller se faire pucer comme du bétail.


[Voir aussi :
L’opération Covid-19 met à nu le “Nombre de la Bête”
Le Signe de la Bête
Garçon, la carte s’il vous plaît !
Implants RFID
Il y a des preuves que Bill Gates est impliqué dans les micropuces implantables même s’il nie lui-même avoir jamais été impliqué avec elles
L’entreprise Citrix s’attend à ce que les travailleurs aient des « puces implantées » d’ici l’année 2035.]




Note sur les manifestations sous le règne du NOM

Par Joseph Stroberg

Les manifestations collectives peuvent-elles servir à quelque chose sous le règne de la « Bête », du Nouvel Ordre Mondial de « Babylone » ?

Les agents de la Bête que sont les gouvernements et leurs armées et forces policières ont peaufiné sur plusieurs décennies un système répressif tel que seule une manifestation épique et courageuse réunissant au minimum plusieurs millions de Français (pour ce qui concerne la France, prise ici comme exemple) serait capable de l’ébranler aux entournures. Il y a bien longtemps que ces agents ne travaillent plus pour le peuple, si un jour et par hasard ils l’ont fait. Ils servent des intérêts « supérieurs » et souvent invisibles, voire occultes. Une bonne partie d’entre eux, de manière croissante, est choisie dans la population des psychopathes, des sociopathes et autres pervers narcissiques. Aucune clémence ni humanité n’est à espérer de la part de tels individus. Ils ne fonctionnent pas comme le commun des mortels, ce que ces derniers mettent souvent trop longtemps à réaliser.

Quelques centaines de milliers de manifestants « anti-pass » ou anti « quoi que ce soit d’autre », probablement perçus comme des « majorettes » par les agents de la Bête, pourront-ils empêcher la poursuite du plan de Nouvel Ordre Mondial babylonien ?

« Plan ? Quel plan ? Mais vous délirez, mon cher ! Une telle planification mondiale est impossible. »

Intellectuel sceptique lambda qui croit que la science a réponse à tout (ce qui se comprend depuis qu’elle est devenue la religion universelle de l’Humanité).

Quel plan ? Celui que bien des prophètes puis des « complotistes » ont révélé au cours des âges. La finalité en est l’asservissement de l’Humanité, du moins de sa partie qui n’aura pas été détruite auparavant. Il est apparemment en très bonne voie, réalisé à plus de 90 %. La vaccination anti-Covid en est une des toutes dernières étapes. Les « complotistes » avaient averti depuis le début de cette présente crise « plandémique » que le but de celle-ci était la vaccination de 7 milliards d’êtres humains, de gré ou de force, pour imposer une identification universelle. Celle-ci commence dans divers pays par l’établissement d’un passeport sanitaire(([1] voir :
Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins
Passeport vaccinal : un succédané de l’étoile jaune
Des passeports pour les vaccins ont été planifiés avant même le début de la pandémie
Le passeport vert européen et les QR codes d’ATOS
Un passeport vert pour un État mondial numérisé
Un passeport de liberté ou de détention…?
Le passeport sanitaire est-il un prélude à l’apartheid ?
Vaccin COVID : Le programme de vaccination israélien «Passeport vert» a créé un «apartheid médical», disent des citoyens désemparés
Dictature : la terrible loi française créant le Passeport Sanitaire !
L’association Internationale de Transport Aérien annonce le passeport numérique vaccination
« La minute de Ricardo »: Le nouveau vaccin, mode d’emploi ! Un passeport numérique pour l’enfer ?
2022: un passeport de vaccination. L’UE garde le silence sur les documents suspects)), une prétendue preuve de bonne santé sans laquelle il ne sera bientôt plus possible de vivre normalement. Elle se terminera assez probablement par un implant(([2] voir aussi par exemple :
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Armes électromagnétiques, interfaces cerveau-machine, contrôle mental et harcèlement électromagnétique : la réalité a-t-elle rejoint la science-fiction ?
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?)) de nature microscopique ou nanotechnologique, suffisamment petit (et dont diverses approches ont été brevetées) pour pouvoir être contenue dans un « vaccin ».

Si ceci est réel, pensez-vous que des manifestations ridicules (dans la perception des agents de la Bête) de quelques centaines de milliers de « majorettes » pourront y changer quelque chose ? Surtout lorsque ces amuseurs défilent en arborant le signe de leur soumission au Système de la Bête : le « masque » de l’antique comédie et de l’esclavage. Et même si par hasard un Macron tombait, il serait simplement remplacé par un autre agent, éventuellement encore pire. En passant, que signifie « Emmanuel » en hébreu ?

« Dieu est parmi nous »

Mais de quel « Dieu » s’agit-il ici ? Étant donné le contexte actuel, il est raisonnable d’estimer qu’il s’agisse de la même entité qui se trouve derrière la planification du NOM.

Récapitulons brièvement la situation (que bien sûr sur un plan strictement scientifique on gagne à ne voir que comme une théorie) :

  • il existe un plan plus que millénaire ;
  • ce plan est presque achevé ;
  • l’étape actuelle est le marquage de l’humanité comme du bétail, par le biais de la vaccination anti-Covid ;
  • quelques millions de « majorettes » dans le monde s’imaginent pouvoir simplement l’interrompre par quelques manifestations de mécontentement ici et là alors que dans le même temps, elles portent le signe de la soumission à la Bête ;
  • ce Système babylonien du Nouvel Ordre Mondial est basé sur la science (notamment la pharmacie) et la technologie (et particulièrement tout ce qui a été permis par l’informatique) ;
  • il est financé par des milliardaires (dont Bill Gates, son principal prophète) qui se sont arrangés pour contrôler les principaux médias, y compris ceux de l’Internet pour s’assurer que le discours qui en sort soit favorable à leur plan.

Comme évoqué dans l’article Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial le point crucial de la phase actuelle du plan élitiste est la vaccination propulsée par les entreprises pharmaceutiques, les médias dominants et les gouvernements de presque tous les pays du monde. Pour l’instant rien ne l’arrête. Si cette étape va jusqu’au bout, la prophétie apocalyptique du marquage de l’Humanité sera complétée. Une seule chose peut l’empêcher : le point faible. Celui-ci est la théorie virale qui est en fait fallacieuse (comme démontré dans l’article cité ci-dessus, du moins à ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre. Pour les autres, cet article ne sera qu’une insignifiante brise d’été qui passe sans être remarquée).

Si la théorie virale est reconnue comme frauduleuse et fallacieuse, alors bien évidemment le dogme vaccinal en prend aussi largement pour son grade et s’effondre à son tour. Et si la vaccination finit enfin par être massivement reconnue comme une vaste escroquerie et comme un crime contre l’Humanité, alors le plan du NOM s’arrête dans les heures suivantes. C’est à la fois imparable, très simple, mais aussi très difficile, car cela nécessite que même les personnes les plus impliquées dans le processus, et surtout elles (celles du monde médical et pharmaceutique) se réveillent véritablement et ne continuent pas à rêver qu’elles sont réveillées (pour certaines d’entre elles) ni à dormir au gaz (pour la grande majorité des autres).




Allocution de Macron : entre autosatisfaction et obligations, l’adieu à la raison

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

20h27. Fin de l’allocution de notre actuel huitième président de la Vème République Française.

Cette allocution aura donc duré un peu moins de 30 minutes. 30 minutes que certains de nos concitoyens ont dû trouver bien longues…

Car, ne nous mentons pas ; depuis quelques jours maintenant, elle était redoutée par bon nombre de Français. L’atmosphère se faisant de plus en plus lourde ces derniers temps ; que ce soit dans la vie au quotidien (professionnelle comme sociale) ou sur les réseaux sociaux. Climat d’instabilité manifeste exacerbé qui plus est par une campagne incessante et pesante sur les plateaux des diverses chaînes d’information. Ces plateaux de télévision où sans cesse, les non-vaccinés sont pointés du doigt pour leur manque de civisme, d’altruisme et de solidarité. Les mots employés dépassant souvent l’entendement, symbole d’une atmosphère nauséabonde et d’une tension palpable. Les exemples les plus frappants étant les interventions de M. Lechypre ou de Mme de Malherbe pour qui les non-vaccinés doivent être traqués ou considérés comme des brebis galeuses.

Voir aussi : Le non-vacciné, cette espèce à abattre

A cela s’ajoute, bien évidemment, car sans cet ajout il eut été difficile d’imposer de nouvelles mesures, une communication terriblement anxiogène par ces mêmes médias mainstream rappelant toutes les heures l’implantation continue sur notre territoire du terrible variant indien, renommé Delta, pour des soucis de progressisme bien évidents. La « fracture vaccinale », comme aime le dire un célèbre néphrologue devient de plus en plus visible. Fracture illustrée ces dernières heures par la conversation filmée entre notre Premier ministre et le président du parti Les Patriotes. Cette conversation laissant sous-entendre un été plus que compliqué pour la partie de la population française non vaccinée.

https://www.youtube.com/embed/yKVMKXGHFes

Sans bien sûr oublier la bombe de la semaine dernière lorsque le directeur de l’IHU Marseille, via son compte Twitter, s’est positionné en faveur de la vaccination « systématique »des soignants. C’est donc dans ce contexte particulier, une véritable poudrière sociale, que le président intervenait ce soir afin de donner ses nouvelles directives pour cet été déjà commencé.

Et si la population réticente au vaccin et au pass sanitaire redoutait donc cette allocution et les décisions qui allaient en découler, force est de constater que personne (y compris dans le camp des « pro ») ne s’attendait à des décisions aussi radicales.

Le président a commencé son allocution, qu’il tenait étonnamment au Grand Palais Ephémère, par des félicitations à tous comme il en a l’habitude, des soignants jusqu’à notre jeunesse, n’oubliant pas de rendre hommage aux victimes, tout en saluant notre civisme et également la pertinence des mesures prises par son gouvernement.

Oui car il estime, « après avoir beaucoup consulté », que si l’épidémie est maitrisée c’est avant tout grâce aux mesures prises par l’exécutif, pointant surtout le plan de vaccination massif qui est une réussite. A aucun moment Emmanuel Macron ne parle de l’arrivée du printemps puis de l’été qui entraînent une chute naturelle de l’épidémie dans notre climat tempéré… Premier écart avec la science.

Après s’être dit très fier du maintien de l’école et de l’instruction (il est à noter que l’on a fermé moins longtemps que certains pays comme les Etats-Unis ou l’Allemagne), il saluera également aussi le plan de réouverture. Ce plan de réouverture étant une réussite notamment grâce à son « quoiqu’il en coûte » qui aurait permis de préserver les emplois, les entreprises et le pouvoir d’achat. Tous ces bons résultats vont nous permettre de maintenir un 6% de croissance faisant de nous le pays le plus attractif d’Europe… Rendez-vous en fin d’année pour confirmation.

Arrive alors le début des annonces fâcheuses : Emmanuel Macron nous lâche que malheureusement la reprise épidémique due au variant delta est maintenant forte sur tout le territoire, y compris les Dom-Tom. Mais également dans le monde entier, et qu’il est impératif de reprendre des mesures pour lutter contre celui-ci ; il cite notamment les Jeux olympiques de Tokyo à huis clos pour se justifier.

Bien sûr, il appuie son propos en nous expliquant que ce Delta est trois fois plus contagieux, (ce chiffre est pour le moins farfelu : on a entendu 8, 12 et maintenant 3…), mais il ne dira mot concernant le taux d’hospitalisations et le taux de létalité de ce variant comparé aux précédents. Pour quelle raison ? Parce que ce variant est très peu létal selon les derniers résultats observés en  Grande-Bretagne, et, comme chacun sait qu’il a des compétences en épidémiologie, on ne peut imaginer qu’il ne soit pas au courant. De fait, cela rendrait la suite de la prise de ces décisions insensées. Deuxième écart avec la science.

Mais « heureusement », dit-il, nous avons l’arme vaccinale pour lutter contre ce virus et ses variants. Et d’ailleurs il est impensable qu’au pays de Pasteur et des Lumières, une telle proportion de la population y soit réticente. Cette affirmation paraît terriblement cocasse quand on sait qu’aucun de nos vaccins n’est actuellement sur le marché…

Se vacciner, affirme-t-il encore, réduit les formes graves de 95%, divise la contamination par 12 et réduit les mutations. Si la première affirmation est vrai, il ferait bien d’aller jeter un œil sur les dernières études qui parlent d’un taux d’efficacité aux alentours de 60% sur les contaminations, et même encore moins si on s’en réfère aux toutes dernières données. Quant aux mutations évitées, c’est tout simplement non prouvé pour l’instant. Troisième et quatrième écart avec la science.

Voir aussi : Le meilleur épidémiologiste du monde est français, et il s’appelle Macron !

Mais, c’est en utilisant ces arguments scientifiques teintés de doigt mouillé, qu’il va annoncer ses décisions :

– l’obligation vaccinale, « dans un premier temps » pour tous les soignants et assimilés, jusqu’aux aides à domicile. Ils auront jusqu’au 15 septembre pour le faire, ensuite viendront des contrôles, et des sanctions.

On rappellera que ces vaccins sont toujours en AMM (autorisation de mise sur le marché) conditionnelle et que prendre une telle décision est totalement contraire au principe de prudence. Que cherche-t-il à provoquer par cette décision ? Croit il vraiment que la totalité du personnel va s’exécuter ? Ne sait il pas que certains vont démissionner (c’est déjà le cas pour certains) pour le libéral ou une reconversion ? Ne se rend il pas compte qu’il risque de rendre l’Assistance Publique complètement démunie ?

On pourrait vraiment le penser… mais c’était sans compter sur la suite de son programme vaccinal. Ils ont certainement prévu cette possibilité et c’est sans doute la raison des décisions suivantes.

Pour le reste de la population, pas d’obligation. Mais déjà des couvres-feux seront remis en place en Martinique et à la Réunion et, pour les départements dont le taux d’incidence dépassera 200 (soit à nouveau des cas, et non des malades), les sanctions seront ciblées sur les non-vaccinés.

En prononçant ces mots, il rend officielle et légitime la fracture vaccinale dans notre pays. Il vient de donner blanc-seing à tous les intégristes du « zerocovid » et « no fale med ». Ils auront dorénavant l’aval du président quant à leurs actions de discrimination envers leurs compatriotes non vaccinés.

– La suite logique de son intervention (car une fois mis en condition on y trouve une certaine logique) est donc l’extension du passe sanitaire, et ce dès le 21 juillet dans les lieux de loisirs et culture à partir de 12 ans. Puis ce passe sera élargi début août à tous les cafés, restaurants, moyens de transport publics, ainsi qu’aux centres commerciaux. Il ajoute que seuls les vaccinés et les testés négatifs (sans préciser le type de test d’ailleurs) pourront y accéder. Plus de différenciation dehors/dedans, on oublie donc encore une fois la science qui nous a prouvé qu’il était rarissime de se contaminer en extérieur. Cinquième écart.

De plus, en disant que la preuve vaccinale est suffisante, il agit comme si ce vaccin cassait la contamination et la transmission, et on a bien vu que c’était loin d’être évident. Nous nageons dans l’absurde le plus total, où une personne vaccinée mais possiblement positive aura accès à un lieu public, quand une personne non vaccinée mais négative y sera interdite. Sixième écart.

On rappellera aussi que le passe était censé être utilisé pour les rassemblements de plus de 1000 personnes seulement. Certains avaient vite vu la mascarade de cette loi. Les rédacteurs de cette dernière avaient bien fait attention de ne mentionner aucun seuil pour pouvoir l’adapter.

Voir aussi : Loïc Hervé, sénateur : « le pass sanitaire, ce n’est pas possible, c’est une question de principe »

Enfin, il finit par nous annoncer qu’à partir de septembre, les tests deviendront payants. Ceci est une manière de faire qui n’a rien à envier à nos plus sombres moments d’histoire. En effet, comment une famille nombreuse au revenu minimum pourrait-elle se permettre de payer des tests PCR à chaque fois qu’elle veut aller au cinéma ou faire ses courses ? Par cette décision, il contraint de fait une grande partie des réticents à la vaccination, sans autre forme de procès.

Comme si cela ne suffisait pas : après avoir annoncé des projets de vaccination à l’échelle mondiale via le « Projet Act » pour les pays les plus pauvres qui auront un accès facilité aux doses de vaccins – pays qui pour la plupart, rappelons-le aussi, ne nous ont pas attendu pour soigner et prendre en charge leurs populations avec des traitements connus et reconnus mais dont il est interdit d’écrire le nom sous peine de censure, le président termine son allocution en annonçant la réforme des retraites qui sera mise en place dès la sortie de la pandémie. On notera avec malice que cette date imprécise lui donne une certaine latitude, puisqu’il pense qu’on en a au moins jusque 2022 avec ce virus. Avec en perspective, jusqu’à preuve du contraire, des élections présidentielles en mai 2022. Pense-t-il vraiment être en situation de mettre en place cette réforme ?

Se justifiant donc avec cette réforme et le maintien du plan de relance post covid, il nous annonce que nous serons contraints de travailler plus et plus longtemps. Car notre président est un homme de parole : ainsi, il continuera la baisse des impôts comme prévu. Il faudra donc financer ce plan de relance et la réforme des retraites par d’autres moyens : le travail ! 

Il conclut alors par son grand projet qu’il nomma « le pacte français » – mais sans jamais omettre d’y inclure l’Europe. Il aura pour but de faire de la France un pays conquérant à la pointe dans la recherche, l’innovation, l’industrialisation, l’agriculture à horizon 2030. On croirait presque à un discours souverainiste mais y inclure l’Europe et parler également de projet européen d’industrialisation montre bien que tout ceci est peu tangible et viable économiquement.

Les annonces dites sanitaires auront donc été prises en sandwich entre un numéro d’autocongratulation et un discours programmatique, pour ne pas dire de campagne. Était ce pour noyer le poisson en bombardant le citoyen d’informations importantes ?

Il n’empêche que nous basculons dans une autre ère ce 12 juillet 2021, 23 ans jour pour jour après que le pays a vécu sa plus belle soirée de communion nationale d’après-guerre. L’obligation vaccinale est appliquée dans peu de pays encore, les seuls étant l’Arabie Saoudite et le Tadjikistan. Sous couvert de protection de la population contre un variant qui à l’heure actuelle n’est pas spécialement alarmant, cette obligation vaccinale et ce passe étendu questionnent fortement.

Quel est le projet ? A-t-il conscience que si on découvre des maladies auto-immunes, le pays le rendra responsable ? Il est assez jeune pour devoir répondre de ses décisions de son vivant dans plusieurs décennies et ca n’a pas dû lui échapper.

Quel est l’intérêt de vacciner un enfant de 12 ans ? Combien de morts de 12 ans du covid ? À quel moment notre président et son conseil scientifique ont-ils oublié la définition de la balance bénéfice-risque ?

De plus, on commence à s’apercevoir de manière assez probante maintenant que de « l’échappement vaccinal » peut se produire, qu’un vacciné peut toujours être positif et que de fait le vaccin n’est pas l’arme ultime de santé publique.

Voir aussi : « Ne faisons pas un remède pire que le mal » : l’entretien essentiel, avec Christian Vélot

Que signifie cette dégringolade liberticide ? Nous sommes passés d’un confinement en mars-avril 2020 pour désengorger nos hôpitaux et nos réas, à l’obligation vaccinale en septembre 2021 pour un enfant de 12 ans pour aller manger un snack dans un centre commercial…

Les historiens et philosophes du XXIIème siècle auront là un sujet passionnant pour leurs thèses.

Auteur(s): FranceSoir




Santé. Métaux lourds : tous les Français contaminés, enfants y compris

[Source : breizh-info.com]

Selon Santé publique France, l’ensemble de la population serait concerné par la présence de métaux lourds dans l’organisme. Des métaux qui ont des effets néfastes sur la santé et qui n’épargnent pas les enfants.

Métaux lourds : les Français les plus exposés en Europe

La santé des Français est-elle menacée par les métaux lourds ? Une nouvelle étude ESTEBAN (Étude de santé sur l’environnement, la biosurveillance, l’activité physique et la nutrition) menée par Santé publique France a consisté à analyser la présence de 27 métaux lourds dans l’organisme de Français adultes mais aussi chez les enfants à travers un échantillon représentatif de la population générale, composé de 1 104 enfants et de 2 503 adultes âgées de 6 à 74 ans. Ce qui constitue une première.

Les résultats de ces travaux, publiés le 1er juillet dernier, se résument par le fait que, selon le document en question, « cette nouvelle photographie des imprégnations souligne que l’ensemble de la population est concerné » avec « plus de 97 % à 100 % de détection » chez les participants adultes et enfants. Des valeurs de référence d’exposition ont été établies pour le plomb, l’arsenic, le cadmium, le chrome, le cuivre, le nickel, le mercure urinaire et le mercure dans les cheveux.

Par ailleurs, il s’avère que les niveaux mesurés tant chez les adultes que chez les enfants français se sont avérés être « plus élevés que ceux retrouvés dans la plupart des pays étrangers » en Europe et en Amérique du Nord. À l’exception du nickel et du cuivre.

Par rapport à l’étude ENNS (Etude Nationale Nutrition Santé) réalisée en 2006-2007, les niveaux mesurés chez les adultes étaient similaires en mercure dans les cheveux et nickel urinaire tandis qu’ils étaient plus élevés en arsenic, cadmium et chrome. Seuls les niveaux mesurés pour le plomb avaient diminué.

Des effets néfastes sur la santé ?

De plus, il est à noter que des dépassements de valeurs‑guide sanitaires ont été observés au sein de la population d’après l’étude Esteban pour l’arsenic, le mercure, le plomb et plus particulièrement le cadmium avec un peu moins de la moitié de la population adulte française qui présentait une cadmiurie supérieure à la valeur recommandée par l’Anses.

Pour ce qui est des autres métaux, le document de Santé publique France préconise également de mettre en place des valeurs‑guide sanitaires puisque les métaux présentent des effets néfastes sur la santé tels que la cancérogénicité, des effets osseux, rénaux, cardiovasculaires, neurotoxiques… Une nécessité confortée par l’augmentation des niveaux d’imprégnation par l’arsenic, le cadmium et le chrome entre ENNS et ESTEBAN.

Aussi, les auteurs souhaitent la poursuite des mesures visant à diminuer les expositions de la population générale à ces substances, en agissant en particulier sur les sources d’exposition. Ils soulignent aussi que « ces résultats montrent la nécessité de poursuivre le programme national de la biosurveillance et de réa‑iser des études en population à intervalle régulier afin de continuer à suivre l’évolution des expositions de la population française aux métaux ».

Ces facteurs facilitant la concentration de métaux lourds

Quant à la provenance de ces métaux lourds, naturellement présents dans l’environnement, l’étude précise que l’alimentation reste l’une des principales sources d’exposition pour l’organisme. Plus particulièrement, la consommation poisson de produits de la mer contribuerait à augmenter les concentrations en arsenic, chrome, cadmium et mercure.

Ainsi, Santé publique France recommande notamment de diversifier les sources d’aliments et de consommer « deux fois par semaine du poisson dont un poisson gras en variant les espèces et les lieux de pêche ».

D’autre part, la consommation de céréales serait pour sa part à l’origine d’une augmentation de la concentration en cadmium. Le tabac ferait croître quant à lui les concentrations en cadmium et en cuivre. Un phénomène constaté également lors du tabagisme passif. Le rapport indique ainsi que, « chez les adultes, le tabac entraînerait une augmentation de plus de 50 % d’imprégnation chez les fumeurs ».

Enfin, les implants médicaux auraient aussi un impact sur la présence de chrome tandis que la concentration en mercure urinaire serait augmentée par les plombages chez certaines personnes.

Crédit photo : Pixabay (Pixabay License/gburrull) (photo d’illustration)
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