Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables

[Source : INFOS & PARTAGE]



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Trudeau veut utiliser l’identification numérique par reconnaissance faciale pour les voyages dès l’année prochaine

[Source : etresouverain.com]

Le gouvernement Trudeau a collaboré avec les principales compagnies aériennes canadiennes pour introduire officiellement l’identification numérique, la reconnaissance faciale et les documents de voyage biométriques dans le transport aérien d’ici 2023.

Selon un article de la Gazette du Canada, le point de vente du gouvernement, « Conformément au Plan de réglementation prospectif 2021-2023 de SP, la nécessité de mettre à jour le [Règlement sur la sécurité des voyages aériens] afin d’offrir plus d’options aux voyageurs et à l’industrie pour répondre aux exigences de vérification de l’identité avant l’embarquement à bord des avions par l’innovation a également été prise en compte lors des exercices de consultation des intervenants. »

 « Cela comprend les documents d’identification numérisés, les documents d’identité numériques et les documents de voyage biométriques. Bien que quatre transporteurs aériens aient confirmé leur intention de mettre en œuvre des solutions innovantes de gestion de l’identité à court ou moyen terme, aucun changement immédiat spécifique n’a été identifié pour le SATR. »

Le gouvernement clarifie ce qu’il entend par documents d’identité numériques et documents de voyage biométriques vers le bas de l’article :

« Aux fins de la présente proposition, les documents numérisés, numériques et biométriques désignent respectivement les copies numériques de documents d’identification physiques qui sont scannées ou mises à jour, les documents d’identification numériques délivrés par une autorité gouvernementale et les documents d’identification électroniques qui utilisent des identifiants biométriques (tels que la reconnaissance faciale). »

La proposition a été présentée sous le couvert de la protection du Canada contre les terroristes en améliorant le Programme de protection des passagers (PPP).

Selon le gouvernement, les Canadiens pourraient se voir attribuer un numéro de voyage du Canada (NTC) lié à toutes leurs informations personnelles, qui est recoupé avec les listes de la Loi sur la sécurité des transports aériens (SATA) afin de déterminer si une personne présente un risque pour la sécurité nationale.

Ils ajoutent que l’établissement d’un CTN « évitera les retards ».

Pour confirmer qu’un voyageur est bien celui qui est attaché à son ID numérique CTN, le gouvernement propose d’utiliser la collecte de données biométriques, y compris la reconnaissance faciale, comme exigence possible de présélection.

Le gouvernement propose également de centraliser davantage les données sur les voyages aériens en envoyant toutes les données recueillies par les compagnies aériennes directement au gouvernement du Canada, par l’intermédiaire de l’Agence des services frontaliers du Canada, pour examen.

« Le système de contrôle centralisé transfère la responsabilité du contrôle des passagers par rapport à la liste SATA des transporteurs aériens au GC, à savoir le ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile, avec l’aide de TC et de l’ASFC. »

« Pour que le ministre puisse s’acquitter de cette responsabilité, le système SATA exige des transporteurs aériens qu’ils fournissent au ministre (en pratique à l’ASFC, le destinataire centralisé de tous les manifestes électroniques de passagers) les données prescrites (nom, date de naissance, sexe et, s’il est fourni, le CTN) sur chaque personne qui se trouve ou est censée se trouver à bord d’un aéronef pour tout vol saisi dans le cadre du SATR, si cette information est sous le contrôle du transporteur aérien, dans un délai et selon des modalités prescrits. »

Le Parlement européen dénonce les violations flagrantes des droits de l’homme commises par Trudeau : Vous êtes une honte ! Un dictateur !

L’introduction d’une identité numérique permanente pour les voyages intervient après que le gouvernement Trudeau a adhéré au programme d’identité numérique du Forum économique mondial, appelé « Known Traveller Digital Identity » (KTDI), qui prévoit un système de crédit social pour les voyages.

« Le groupe pilote, convoqué par le Forum économique mondial, est composé du gouvernement du Canada et des Pays-Bas, d’Air Canada, de KLM Royal Dutch Airlines, de l’aéroport international Montréal-Trudeau, de l’aéroport international Pearson de Toronto et de l’aéroport Schiphol d’Amsterdam », écrit le WEF sur son site web. »

L’initiative KTDI est présentée comme un moyen de « promouvoir des voyages sécurisés et transparents pour les passagers, en prévision de l’évolution des comportements et des attentes des voyageurs, de la nécessité impérieuse de renforcer la sécurité transfrontalière et de la forte augmentation du nombre de passagers prévue au cours de la prochaine décennie ».

Le site web affirme qu’il est basé sur une « identité numérique décentralisée » qui permettra aux gouvernements de confirmer la preuve de la citoyenneté et d’autres aspects de l’identité. Chaque fois qu’un gouvernement vérifie l’identité numérique d’une personne, celle-ci est ajoutée à son dossier, ce qui peut affecter son statut.

« Ces attestations sont l’épine dorsale de la confiance et la base de la réputation et, en fin de compte, la façon dont les décisions de sécurité sont prises par chaque organisation participante. Plus un voyageur recueille d’attestations, plus il peut devenir connu », peut-on lire.

« Il est important de noter que pour être autorisé à voyager, le voyageur doit partager toutes les informations requises par l’entité concernée (telle qu’une agence frontalière). »

Par Keean Bexte, TheCounterSignal.com




Selon Pierre Hillard, « La Russie va être le fléau de Dieu dans cette histoire »

[Source : Radio Lorraine Enragée]

Pierre Hillard, Docteur en sciences politiques et spécialiste de la question du mondialisme, revient sur l’actualité : Covid19, guerre Ukraine et autres manifestations du grand chambardement qui nous guette.



[Voir aussi :
Après le covid, une cyberattaque mondiale ? — Pierre Hillard
Comprendre l’Adversaire – Pierre Hillard
Great Reset : la Bête est-elle là ?]




Nouveau cri d’alarme de la députée italienne Sarah Cunial contre l’obligation vaccinale

Par Nicole Delépine

[Illustrations et tableaux ajoutés par N et G Delépine]

« Vous ne pouvez plus dire que se faire vacciner est un acte d’amour, car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol. »

(([1] Crise-covid. Vous ne pouvez plus dire… DÉPUTÉE SARAH CUNIAL 12 septembre 2021))

Nouveau cri de détresse sur le mode sarcastique de la célèbre députée italienne du Mouvement 5 étoiles, Sara Cunial(([2] exclue de son parti (actuellement au sein de la coalition gouvernementale menée par le banquier Draghi, pour avoir tenu des propos hors des clous à propos de la gestion de la crise sanitaire))(([3] Sara Cunial : « Cher président Draghi, merci de nous avoir mis en ruine en seulement 12 mois » (maurizioblondet.it) via Maurizio Blondet 6 mai 2022))

Elle interpelle ses collègues lors d’un débat à la Chambre sur le « Green Pass ». Seule contre tous, comme à chaque fois… Puis elle s’adresse directement au Pape. À quand un tel discours en France au Parlement ?

« Vous ne pouvez plus dire qu’il s’agit d’une urgence, car cela fait maintenant presque deux ans que cette gestion hystérique a commencé.

Vous ne pouvez plus dire que l’on ne sait rien du COVID, car il existe maintenant une littérature très solide, qui remonte même à avant la soi-disant pandémie.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de remèdes, car les remèdes sont connus depuis le printemps 2020, et maintenant l’EMA (Agence européenne de médicaments) a même commencé à approuver les premiers médicaments.

Vous ne pouvez plus dire que le plasma convalescent n’est pas une solution pour les cas qui ne nécessitent pas d’hospitalisation, car ceux qui l’ont démontré l’ont payé très cher [le principal promoteur de cette thérapie, le Prof. De Donno, chef de service à Mantoue, a très mal vécu le rejet dont elle a été l’objet, et il vient de se suicider (cf. blog du Dr Gulisano).

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin est la seule alternative, car il ne s’agit pas d’un vaccin, mais d’une thérapie génique expérimentale, et il est illégal de forcer indirectement les Italiens à être des cobayes dans cette expérience.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins ne sont pas expérimentaux, car même les tests du premier vaccin autorisé ne sont pas encore terminés.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont sûrs, car vous ne savez même pas ce qu’ils contiennent. Au contraire, les nouvelles du monde entier sont claires : des millions de lots ont été confisqués dans de nombreux pays en raison de la présence de substances étrangères, dont certaines très dangereuses, qui n’ont pas été reconnues et ne sont pas indiquées sur l’étiquette.

Vous ne pouvez plus dire qu’il est impossible d’obtenir une immunité collective sans le vaccin, car il a été prouvé qu’une grande partie de la population est déjà immunisée sans ce sérum, raison pour laquelle vous ne voulez pas que soient diffusés les tests sérologiques correspondants.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont efficaces, car on a fait les comptes, et la diminution du risque est à peine supérieure à zéro.

Vous ne pouvez plus dire qu’il n’y a pas de risque dans la vaccination, car les chiffres des réactions indésirables des bases de données en Grande-Bretagne, aux États-Unis et en Europe parlent d’eux-mêmes. Lisez-les !

Vous ne pouvez plus dire que votre stratégie est le vaccin volontaire, car vous contraignez lentement tout le monde à le faire indirectement, par le chantage social, la traque et le mobbing. Vous utilisez la pandémie comme excuse pour les réformes sociales, économiques et du travail « sang et larmes » que votre Recovery exige comme rançon.

Vous ne pouvez plus dire que toutes les mesures mises en place ne sont que pour l’urgence, car l’OMS a publié un document — financé par Bill Gates et Rockefeller — sur l’utilisation permanente du passeport vaccinal.

Vous ne pouvez plus dire « l’Europe nous le demande », car dans le règlement 2021/953 de l’UE, à l’article 36, il est écrit : « il est nécessaire d’éviter toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui choisissent de ne pas être vaccinées ».

Une phrase qui, dans le SEUL CAS de la TRADUCTION ITALIENNE, a été habilement dissimulée par les petites mains des Palais [du gouvernement] pilotés par les voleurs de vérité qui aiment saboter les textes normatifs de référence.

Le but du Pass Covid européen — qui n’est vert qu’en Italie (évidemment en accord avec les visions nucléaires du ministre Cingolani) — est de « faciliter l’exercice du DROIT DE LIBRE CIRCULATION par les détenteurs ». NOTEZ « LIBRE », et non « SOUS CHANTAGE ».

L’article 3, paragraphe 6, du règlement stipule : « La possession des certificats visés au paragraphe 1 ne constitue pas une condition préalable à l’exercice de la liberté de circulation ».

Vous ne pouvez plus dire que vous respectez la priorité des sources normatives, car en acceptant le compromis au rabais pour les [tests] salivaires, dont la mise en œuvre est réglementée par la fameuse Circulaire du Ministère de la Santé, vous établissez qu’avec un pizzino(([4] du mot sicilien pizzinu signifiant « petit bout de papier ». Utilisé pour désigner de petits bouts de papier échangés de la main à la main par la mafia sicilienne pour les communications sensibles. Mais aussi les papiers que les députés et les sénateurs échangent au Parlement)) de Speranza [ministre de la Santé] vous décidez de la vie ou de la mort sociale, professionnelle et économique des citoyens italiens et de ce pays.

Je vous rappelle que les tests salivaires rapides ont la même efficacité et donc le même taux d’erreur que les tests nasaux chinois de torture.

Vous ne pouvez plus raconter la fable de l’immunisation que les vendeurs de vaccins savent si bien raconter, même ici. Combien de collègues testés, ou pire, de collègues vaccinés, ici, peuvent prétendre être immunisés et donc jurer qu’ils ne sont pas infectés ou contaminés ? Puis-je me sentir en sécurité si j’entre en contact avec la collègue Lorenzin [Beatrice Lorenzin, députée PD, ex-ministre de la Santé] pluri vaccinée ou bien suis-je dans la même situation que les patients de l’hôpital S. Eugenio, fermé pour cause d’épidémie Covid avec des personnels de santé tous vaccinés ?

Vous ne pouvez plus dire que les vaccinés ne contaminent pas, maintenant les nouvelles de vaccinés infectés et contagieux sont de notoriété publique.

Vous ne pouvez plus dire que vous travaillez pour le peuple, car les membres du CTS [comité techno-scientifique] ainsi que les experts de la télévision, sont TOUS — et je dis bien TOUS — payés par les compagnies pharmaceutiques.

Vous ne pouvez plus dire que vous avez un système de pharmacovigilance rigoureux parce que nous avons compris à partir de l’incohérence des données entre l’AIFA [Agence Italienne du médicament.] et l’ISS [Istituto Superiore di Sanità] que vous ne pouvez plus tenir le devant de la scène et que vous êtes donc obligés de saboter les différents systèmes informatiques de santé nationaux et régionaux.

Vous ne pouvez plus dire que c’est pour notre bien, car les Italiens n’ont jamais été aussi mal.

Vous ne pouvez plus dire que la situation est mondiale, car de plus en plus de pays annulent leurs mesures d’urgence.

Vous ne pouvez plus dire que nous sommes dans une démocratie, parce qu’avec vos paroles et vos actions, chaque droit et chaque liberté disparaît, et depuis trop longtemps maintenant, ceux qui exercent leurs libertés constitutionnelles et naturelles sont blâmés et humiliés.

Vous ne pouvez plus parler de l’utilité des masques, après vos belles photos sans masque lors de divers événements officiels et sociaux.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins sont bons, car les rapports des autorités sanitaires mondiales que vous censurez nous disent que les cas d’effets indésirables augmentent chez les vaccinés, touchent tout le monde, surtout les jeunes :

par exemple en Israël (où le taux de population vaccinée est parmi les plus élevés au monde) le rapport officiel des effets indésirables des vaccins Pfizer avril 2021, fait état d’une augmentation de la mortalité de 22 %.

Et je vous épargne le dernier parce que c’est un carnage. Dans la tranche d’âge 20-29 ans, l’augmentation de la mortalité est dramatique !

Nous parlons de +32 %, ce qui nous indique que le vaccin est beaucoup plus mortel pour les jeunes que pour les personnes âgées !(([5] EFFETS DELETERES DES INJECTIONS ANTICOVID : STOP ! /LE POINT AU 8 02 22 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([6] Le point sur les complications des pseudovaccins anticovid au 4 mars 2022 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([7] https://childrenshealthdefense.org/defender/pilots-injured-covid-vaccines-speak/))

Il existe une étroite corrélation entre le nombre de personnes vaccinées chaque jour et le nombre de décès par jour dans chaque groupe d’âge. Le risque de décès après la deuxième vaccination est plus élevé qu’après la première. On observe une augmentation considérable — jusqu’à 26 % — de tous les problèmes cardiaques chez les personnes de moins de 40 ans (myocardite et péricardite). Et encore : forte prévalence des pertes menstruelles, atteintes neurologiques, squelettiques, cutanées… les cas de coagulopathie sont à l’ordre du jour, tout comme les infarctus du myocarde, les accidents vasculaires cérébraux, les fausses couches, l’interruption de la circulation sanguine dans les membres inférieurs et supérieurs, les embolies pulmonaires.

Vous ne pouvez plus dire que les vaccins préviennent les maladies, car le chiffre officiel du ministère israélien de la Santé du 13/08/2021 dit que 81 % des cas graves à l’hôpital sont vaccinés avec 2 ou 3 doses !

Vous ne pouvez plus dire que le vaccin améliore les vies, car, en Grande-Bretagne, les décès des vaccinés sont plus de deux fois supérieurs à ceux des non-vaccinés !

Un document officiel intéressant de British Health, publié le 3 septembre 2021, indique que les cas de variant Delta mis à jour au 29 août 2021 indiquent 1798 décès, dont 536 n’étaient PAS vaccinés (30 % du total) et 1233 étaient vaccinés (69 % du total). DONC LE TAUX DE MORTALITÉ DES VACCINÉS EST PLUS DU DOUBLE DE CELUI DES NON-VACCINÉS !

Vous ne pouvez plus dire que ceux qui critiquent la campagne de vaccination ont peur, car les données officielles rapportées ici concernent des pays qui ont fait une démonstration de vaccination dans le monde entier.

Vous ne pouvez plus dire que 1/3 des Italiens est soudainement devenu no-vax, ou penser que ceux qui sont critiques craignent le vaccin parce que la peur ne provient pas des citoyens, la peur a été la clé de ceux qui ont géré et continuent de gérer une urgence très discutable et occupent indignement des postes au niveau du gouvernement.(([8] https://nouveau-monde.ca/chroniquesdu-totalitarisme-psychopathologie-du-totalitarisme/))

Vous ne pouvez plus prétendre être intellectuellement honnêtes. Je ne m’adresse pas tant à la majorité, dont le parti dissident, en retirant des amendements et en votant contre des amendements visant à généraliser les tests salivaires et sérologiques rapides, a révélé les véritables positions, mais aussi à l’opposition. « Le certificat vert marque un premier pas vers la suppression définitive des obstacles à la libre circulation qui ont fait tant de mal à notre économie. Cet instrument doit être mis en œuvre le plus rapidement possible, afin qu’il soit effectif dès avant le début de la saison estivale. »

C’est la déclaration officielle faite le 19 mars par la dirigeante de Fratelli d’Italia, Georgia Meloni, qui a défendu la décision d’instaurer un laissez-passer vert, car « l’adoption homogène de cette mesure dans toute l’Union européenne conduirait finalement à la suppression de toutes les restrictions ».

INDIQUEZ CLAIREMENT POUR QUI VOUS TRAVAILLEZ. LES ITALIENS SONT FATIGUÉS DE CE MÉPRIS.

Vous ne pouvez plus dire que le Green pass améliorera nos vies parce qu’il est le moyen d’instaurer définitivement une dictature politique basée sur la peur et les éternelles urgences sanitaires justifiées par de fausses bases scientifiques, qui s’amuse à diviser la société en camps opposés, de bons et de mauvais, qui s’affrontent au lieu de combattre l’ennemi commun.

Vous ne pouvez plus dire que l’Italie est la meilleure parce qu’elle n’est que le laboratoire historique des expériences d’ingénierie sociale, et avec la France, elle est condamnée à devoir répondre aux folies des élites : d’un côté Draghi de matrice et de foi Goldman Sachs et de l’autre Macron, de marque Rothschild. Tout cela est dirigé par Soros et Gates qui, en jouant sur l’acquisition d’usines de tampons [tests], de terres agricoles et d’hôtels de luxe, sont les testimonial des fameux philanthropes de Davos amis d’Epstein

Vous ne pouvez plus envoyer le chef de cet État pour dire que nous devons renoncer à nos libertés et à la revendication de nos droits parce que l’État, c’est nous, les Italiens, et que nous sommes prêts à mourir pour les défendre !

Vous ne pouvez plus dire que se vacciner est un acte d’amour, car un acte d’amour sans consentement et sous chantage s’appelle un viol. »


Vous avez reconnu le ton clair et net de cette députée qui depuis 2020 fait le maximum pour tenter de faire échapper les Italiens à la folie covid et aux mensonges permanents de la clique mondialiste au service de Big Pharma et de Davos et cie.

Rappelons quelques-unes de ses contributions.

Nous l’avions déjà connue depuis 2020 :

En aout 2021 :

En septembre 2021 : Sara Cunial : parlement italien le 9 septembre — Ciel Voilé (cielvoile.fr) et une superbe intervention

En décembre 2021 un appel gagné au tribunal lui permet de retourner au parlement italien :



Début janvier 2022 :

Elle dénonce les mensonges sur les incidents niés lors de la campagne de vaccination sur les enfants. Elle parle des myocardites particulièrement fréquentes. Elle insiste sur cette campagne de vaccination honteuse, mensongère. Elle demande de « garder vos mains avides » loin de nos enfants.

2022 une nouvelle fois la courageuse députée italienne fort isolée dans son hémicycle, non vaccinée, chassée temporairement de ce fait, va défendre les enfants italiens pour tenter de leur éviter la vaccination obligatoire :

Elle est aussi intervenue lors des explications de vote sur le projet de loi transformant en loi le décret-loi du 24 mars 2022, n. 24, « contenant des dispositions urgentes pour surmonter les mesures de lutte contre la propagation de l’épidémie de COVID-19 », à la suite de la cessation de l’état d’urgence.

Et elle avait fait ce magnifique discours grinçant :

« Merci, Monsieur le Président, et merci à tous mes collègues. Au cours de ces mois, j’ai eu le temps de réfléchir et aujourd’hui, je peux vous dire merci. Merci de vraiment penser au bien de notre pays et de ses citoyens, de donner la priorité à leur santé et de mettre à la disposition de tous des traitements efficaces et sûrs, des remèdes éprouvés, des protocoles innovants et, surtout, personnalisés.

Merci de rendre la recherche libre et indépendante, pour la minutie et la transparence dans la diffusion des données. Merci pour tout ce que vous avez fait dans le seul intérêt du peuple italien ou peut-être d’une partie. Les résultats sont vraiment incroyables et le bien-être, aujourd’hui, grâce à vous, est endémique. Merci au nom de tous les enfants et jeunes italiens de les avoir défendus contre la dépression, l’anxiété, les difficultés d’apprentissage, les réactions indésirables, les suicides ; les premiers qui ont pu profiter de votre vision admirable, les premiers à être encouragés à un mode de vie sain, à respirer profondément, à se nourrir de vraie nourriture, à raconter, à connaître le monde les yeux grands ouverts et l’esprit critique.

Ils ont enfin appris à quel point le sourire d’un enfant peut être dangereusement puissant pour cette société. Merci d’avoir fait de l’école un endroit accueillant et sûr, pour l’argent investi dans les installations, dans la beauté, dans les enseignants.

Merci au nom des agents de santé et de tous les travailleurs qui, ces dernières années, ont vu leur soutien et leurs subventions augmenter : pas un emploi n’a été touché, pas un emploi et pas un travailleur ont été victimes de chantage. Droite ?

Il est très important de savoir que notre Constitution, dans son premier et principal article, n’a pas été affectée le moins du monde en cette période difficile. Ceux qui montrent qu’ils résistent, en effet, doivent être taxés, condamnés à une amende, toujours, je le recommande. Merci de les suspendre et de les supprimer, donc au moins maintenant nous savons vers qui nous tourner.

Merci d’avoir dressé les forces armées contre les citoyens, humilié et poursuivi ceux qui prient même sur la place ou osent boire avec un masque. Merci aussi de nous taxer parce que nous ne sommes pas morts, comme certains l’espéraient peut-être.

L’Italie est une République fondée sur le travail. L’Italie répudie la guerre, toutes les guerres. L’Italie garantit le droit d’étudier. Il ne fait pas de discrimination, Italie.

Merci à ce Parlement d’avoir concrétisé tout ce qui est écrit dans notre Charte constitutionnelle.

Je vous remercie d’avoir lu et répondu à mes 160 questions que, depuis février 2020, j’ai déposées, en vous fournissant tous les éléments pour arrêter les tragédies de plus en plus nombreuses liées à l’administration de poisons : dommages immunologiques, cardiologiques et neurologiques irréversibles ; 40 morts subites seulement pendant les vacances de Pâques. Mais pourquoi lire les questions, si vous savez déjà tout ?

Merci de nous avoir habitués aux bulletins des morts, il est donc plus facile de passer d’une guerre à l’autre.

Vous nous avez fait comprendre que nos agents de santé peuvent être remplacés par des Ukrainiens, mais pas par des Palestiniens, des Africains ou des Sud-Américains. Grâce à ces deux années, aujourd’hui tout est extrêmement clair. Vous nous avez enfin fait comprendre que l’expression “être né en Italie” n’est pas une source de fierté, mais une déclaration de soumission à l’économie de guerre qui a toujours commandé nos institutions : gouvernement, majorités, fausses oppositions, anciennes et nouvelles incluses.

Merci parce qu’en nous enlevant nos services essentiels, notre travail, notre capacité à survivre, vous nous enseignez la dignité de vivre de manière de plus en plus indépendante et autosuffisante. Merci parce que beaucoup d’entre nous ont changé d’emploi, avant que le chantage du travail ne nous change. Il n’est plus temps de déléguer à qui que ce soit, nous n’avons plus besoin de vous. Sous-estimez les Italiens, si vous pensez que vous pouvez nous arrêter et plier avec vos peines, vos amendes et votre violence. Merci d’utiliser l’argent des Italiens pour acheter aux filiales de l’État ce qui est vraiment nécessaire à notre subsistance : la santé, la culture et le bien-être, les armes offensives bénies, l’identité numérique, la 5G, les incinérateurs, les vaccins, bref, toutes les nécessités de base. Et merci, en particulier, aux deux derniers gouvernements, Conte et Draghi, qui ont augmenté les dépenses militaires de 25 à 38 milliards par an, en les soustrayant de la santé et de l’école.

Nous vous remercions parce que, depuis la gestion de l’urgence COVID, nous nous sommes réveillés avec un tiers des entreprises fermées, la crise et la pauvreté endémique, le pouvoir d’achat réduit de moitié, vendu au meilleur oligarque en service, peut-être américain, aussi longtemps ami d’amis. Enfin, nous pouvons remplacer notre made in Italy, notre biodiversité agroalimentaire par des produits contrefaits dans les laboratoires des multinationales de la chimie. Merci. C’est aussi grâce à l’Afrique qui n’avait pas hâte de résoudre le problème séculaire de la mortalité due au COVID, qui ne permet pas à sa population d’atteindre le seuil de survie, toujours garanti par l’extractivisme de l’ENI.

Merci parce que, en passant de la guerre par procuration à faire des Italiens des mandataires de la guerre, de la haine et de la dénonciation, vous nous avez fait comprendre clairement de quel côté nous ne voulons pas être, et cela ici — ici ! – *aucun d’entre vous ne nous représente*.

Au fait, pour nous avoir empêchés d’être complices du mouvement institutionnel dense, merci. Mais surtout merci parce que, en nous marginalisant et en nous isolant, vous nous avez donné l’occasion de construire tant d’arches de salut avec le seul courage de la dignité.

De la satisfaction des besoins induits, nous sommes passés à la création de notre bonheur, de nombreux lieux de vie et de joie dans lesquels grandir dans le respect et la conscience, en célébrant notre mémoire et notre talent.

Merci, parce que vous avez transformé nos peurs les plus profondes en force et en énergie. À l’extérieur des bâtiments, au milieu des gens qui résistent, vous êtes beaucoup mieux ; vous pouvez respirer la volonté, l’esprit d’initiative et célébrer la vie, malgré tout ce que vous décidez ici.

Nous sommes en bonne santé, nous sommes vivants, nous sommes entiers, cohérents et, par conséquent, pas chantables et cela vous fait peur. Au fait, je me suis apporté un kit de survie : je vous conseille de rester très loin de moi, car j’ai de l’eau bénite, de l’ail et des piquets ici avec moi ».




Le gouvernement du Canada s’est associé au Forum économique mondial pour imposer un système de type crédit social pour voyager

[Source : guyboulianne.com]

Par Guy Boulianne

Vous vous demandez pourquoi votre gouvernement vous empêche de voyager à l’intérieur ou à l’extérieur du Canada si vous n’êtes pas pleinement vacciné ? C’est qu’il vous trahit au plus haut niveau et qu’il vous enc*le tout aussi profondément. Entre un Justin Trudeau qui vient d’être nommé par António Guterres pour promouvoir le « développement durable » dans le monde par l’ONU et une Chrystia Freeland qui siège au conseil d’administration du Forum économique mondial (FEM) où elle côtoie sur une base régulière son fondateur Klaus Schwab, les Canadiens sont les pauvres victimes d’un complot de haute trahison en vertu du Code criminel canadien (L.R.C. (1985), ch. C-46(2)b). Oui, les gouvernements complotent contre vous. Cela ne veut pas dire que le secret soit nécessaire pour eux puisque, selon le dictionnaire Larousse, comploter équivaut à « avoir un comportement qui prête à penser qu’on prépare une action dirigée contre quelqu’un, quelque chose ; manigancer ». Les comploteurs n’ont plus besoin de se cacher comme autrefois car ils sont désormais rendus à l’étape de l’exécution de leurs plans machiavéliques pour vous asservir tous. On vous empêche de voyager car vous êtes des prisonniers à l’intérieur de votre propre pays jusqu’à ce que leur système de contrôle social numérique « à la chinoise » soit dûment implanté sur le sol canadien.

Sachez que les politiciens véreux n’en ont rien à foutre de vous. Ils n’en ont rien à foutre de la Constitution de votre pays. Ils n’en ont rien à foutre de votre vie ou de votre mort. Tout ce qu’ils veulent est de servir la Bête de l’événement et ainsi acquérir une miette de pouvoir. Mais ils s’apercevront que cette miette de pouvoir se délaiera rapidement et qu’il ne leur restera que le vide d’une coque sans âme.

En effet, le gouvernement du Canada, Air Canada et deux grands aéroports canadiens se sont associés au Forum économique mondial (FEM) sur un projet d’identification numérique qui pourrait nécessiter un système de type crédit social pour voyager. Ce projet est connu sous le nom “Known Traveler Digital Identity” (Identité numérique du voyageur connu). « Le groupe pilote, convoqué par le Forum économique mondial, est composé du gouvernement du Canada et des Pays-Bas, d’Air Canada, de KLM Royal Dutch Airlines, de l’aéroport international Montréal-Trudeau, de l’aéroport international Pearson de Toronto et de l’aéroport d’Amsterdam Schiphol », écrit le FEM. Le KTDI est considéré comme un moyen de « promouvoir des voyages de passagers sûrs et fluides en prévision de l’évolution des comportements et des attentes des voyageurs, du besoin critique de renforcer la sécurité transfrontalière et de l’augmentation du nombre de passagers attendue au cours de la prochaine décennie ». Le site Web affirme qu’il est basé sur une « identité numérique décentralisée » qui permettra aux gouvernements de confirmer la preuve de citoyenneté et d’autres aspects de l’identité. Chaque fois qu’un gouvernement vérifie l’identité numérique (digital ID) d’une personne, elle est ajoutée à son dossier, ce qui peut affecter son statut.

Known Traveler Digital Identity (KTDI) est une vision de « surveillance par conception » pour le suivi et le contrôle des voyageurs plus dystopique que tout ce que nous avons vu auparavant. KTDI utiliserait un registre distribué basé sur une chaîne de blocs pour relier, via une application sur l’appareil mobile d’un voyageur, toutes les données suivantes :

  • Biométrie (initialement des images faciales, éventuellement aussi des empreintes digitales, etc.) ;
  • Pièces d’identité émises par le gouvernement (numéro de passeport, etc.) ;
  • Historique des voyages, y compris les journaux des passages frontaliers, des séjours à l’hôtel et éventuellement des locations de voitures et/ou d’autres événements ;
  • Journaux d’achat et éventuellement informations sur les comptes bancaires et/ou autres enregistrements financiers et de transaction ;
  • « Évaluation des risques » prédictifs et scores de profilage générés à chaque point « d’intervention » avant et pendant chaque voyage ou transaction.

Chaque séjour à l’hôtel, achat ou autre transaction deviendrait comme un passage frontalier estampillé de manière permanente dans votre passeport dans le cadre d’un « laissez-passer de voyage » numérique soumis à une inspection sur demande par les autorités aux points d’« intervention » ultérieurs. Toutes ces données sont destinées à être utilisées pour discriminer les voyageurs dont les profils pré-criminels liés à l’identité sont classés comme « à haut risque » ou « à faible risque » :

L’accès à un historique de voyage et à des journaux de transactions plus complets est un objectif de longue date des agences gouvernementales de surveillance et de contrôle des voyages. Conformément aux normes établies par l’OACI, un espace est réservé sur la puce RFID de chaque passeport électronique pour les données d’historique de voyage. Mais cela était destiné, pour autant que nous puissions en juger, uniquement aux données de passage des frontières ou d’entrée / sortie, et non aux journaux de séjours à l’hôtel ou à d’autres transactions. À notre connaissance, peu de pays ont enregistré des données d’historique de voyage sur des puces RFID de passeport, probablement en raison de l’espace limité réservé dans la structure des données et des complications liées à la modification ou à l’ajout en toute sécurité des données sur la puce une fois qu’elle est écrite pour la première fois et signé numériquement par le gouvernement émetteur.

Lors d’une présentation à la conférence Hotel Electronic Distribution Network Association (HEDNA), des représentants d’Accenture (le maître d’œuvre du FEM pour le projet KTDI) et Marriott se sont vantés de la façon dont, sur la base des données KTDI, un individu pouvait être choisi parmi une foule pour « liste noire » utilisant la reconnaissance faciale automatisée, « sans arrêter ni reconnaître la caméra ». Il peut donc être utilisé pour une surveillance de masse subreptice et non consensuelle.

Les partenaires du projet KTDI incluent des agences gouvernementales (DHS, OACI, INTERPOL, etc.) et les industries aériennes et informatiques des compagnies aériennes (IATA, Amadeus, etc.). Mais ce n’est pas tout. Parmi les autres partenaires du projet KTDI figurent Google (Google a acquis un fournisseur de système de réservation informatisé en 2010, mais on ne sait pas à quel titre Google participe au projet KTDI), les chaînes hôtelières Marriott and Hilton (basées aux États-Unis) et Accor (basées en France), et la société de traitement des paiements et des cartes de crédit Visa.https://www.youtube.com/embed/hyFLmnb2xHM?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent

La dystopie totalitaire du Forum économique mondial devient réalité

En janvier 2018, un projet pilote de surveillance des voyageurs aériens, commandé par le Forum économique mondial, a été approuvé à Davos.

A l’époque, l’économiste Norbert Häring présentait le projet Known Traveler Digital Identity (KTDI) comme une « dystopie totalitaire ». Un rapport de suivi montre que les multinationales associent avec succès les gouvernements et l’UE à leurs plans. Le Covid-19 accélère considérablement la mise en œuvre et Bill Gates nous fait savoir par inadvertance comment.

À l’instar du rapport de 2018 intitulé “The Known Traveller: Unlocking the potential of digital identity for secure and seamless travel” (Le voyageur connu : Libérer le potentiel de l’identité numérique pour un voyage sécurisé et fluide), ce livre blanc plus technique de KTDI intitulé “Known Traveler Digital Identity Specifications Guidance” (Guide des spécifications d’identité numérique des voyageurs connus) a été publié sans fanfare sur Internet, en mars 2020. Ces rapports, préparés par le cabinet de conseil Accenture, sont destinés à être lus uniquement par des personnes du secteur de la surveillance et de la sécurité numériques. Pour des raisons compréhensibles, ces personnes préfèrent parler d’identité numérique plutôt que de contrôle ou de surveillance numérique.

Voici comment le schéma KTDI est censé fonctionner : nous téléchargeons des informations nous concernant dans une base de données — ou autorisons d’autres à le faire. Tout d’abord, cela devrait être une preuve d’identité des autorités, mais aussi nos antécédents de voyage, les données bancaires, les chambres d’hôtel, les réservations de voitures de location, les documents des universités, des bureaux gouvernementaux et bien plus encore. Si nous voulons franchir une frontière, nous donnons préalablement aux autorités accès à cette base de données, afin qu’elles puissent voir à l’avance que nous sommes inoffensifs. Grâce à la reconnaissance faciale et à notre smartphone (idéalement) biométriquement lié, ils peuvent nous reconnaître au passage de la frontière. Si nous avons été suffisamment diligents dans la fourniture de données, nous serons autorisés à contourner les files d’attente des autres voyageurs, bénéficiant d’un traitement préférentiel et de contrôles minimaux. Toutefois, comme il est indiqué dans le premier rapport KTDI, en cas de doute sur les intentions d’un voyageur, l’agent des frontières peut, sur la base des informations fournies à l’avance, poser à la personne concernée des questions plus approfondies, par exemple « pour mieux comprendre ses activités récentes ».

On peut facilement imaginer à quel point cette diffusion des données sera « volontaire » une fois le système mis en place. Ce sera du genre : vous pouvez librement choisir si vous voulez entrer dans le pays et remettre la clé de vos données, ou si vous préférez rester à l’extérieur. Un essai est déjà en cours par les autorités frontalières du Canada et des Pays-Bas, avec les compagnies aériennes KLM et Air Canada dans les aéroports d’Amsterdam, de Toronto et de Montréal.

Les entreprises participantes, telles que Visa et Google, ne développent pas un tel système pour les autorités policières à leurs propres frais uniquement par sens du devoir cosmopolite. Le rapport KTDI 2018, ainsi que le livre blanc actuel, indiquent tous deux que l’autosurveillance à la frontière sert à créer une masse critique de participants à la norme de partage de données interopérable à l’échelle mondiale qui doit être introduite.

Les autorités frontalières sont simplement le catalyseur idéal d’un système mondial de surveillance de masse assistée par les citoyens et de partage de données, impliquant progressivement tous les gouvernements du monde. Une fois que les États-Unis et quelques autres grands pays auront pris part à ce programme, les citoyens d’un pays dont le gouvernement refuse de participer auront de grandes difficultés à voyager à l’étranger.

Une fois que tous les gouvernements auront adhéré à cette norme pour l’échange volontaire forcé de données avec les citoyens, il est prévu que nous serons également autorisés à transmettre nos données dans les interactions quotidiennes avec les entreprises et les autorités. Dans les deux rapports, la santé, l’éducation, la banque, l’aide humanitaire et les élections sont les domaines mentionnés.https://www.youtube.com/embed/cnUAQKKnEAU?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent

Un système global et totalitaire

Le livre blanc de KTDI précise la grande ambition du projet dans ses conclusions :

« Ce document décrit l’ambition de KTDI de fournir les bases d’un écosystème d’identité décentralisé accepté à l’échelle mondiale. Un développement plus poussé et une adoption plus large dépendent de la maximisation de l’interopérabilité des échanges de données et de la confiance fédérée. Le succès reposera sur la coopération entre les gouvernements mondiaux, les régulateurs, l’industrie aéronautique, les fournisseurs de technologie et d’autres acteurs pour établir des normes et des spécifications mondiales pour la conformité de toutes les parties prenantes. »

Les conditions d’application de cette norme mondiale de surveillance sont excellentes. Le projet Known Traveler utilise des normes techniques pour les informations d’identification vérifiables et les identifiants décentralisés tels qu’ils sont actuellement développés par le World Wide Web Consortium (W3C). Le W3C est l’organisme de normalisation le plus important pour l’Internet et est dominé par les entreprises américaines d’Internet et de télécommunications.

Les membres du W3C recoupent fortement ceux de la Decentralized Identity Foundation, que des multinationales telles que Microsoft et de nombreuses petites entreprises du secteur de la sécurité numérique ont fondée pour faire progresser les normes mondiales de contrôle d’identité. Les entreprises qui composent ce groupe ont souvent des liens très étroits avec la communauté du renseignement. US Homeland Security a été impliqué dans le projet Know Traveler depuis le début. Lors des forums d’identité numérique pertinents, des représentants d’entreprises des industries de l’identité et de la sécurité numériques se mêlent aux représentants de toutes les agences de sécurité et de renseignement concernées.

Volontariat forcé

L’astuce est la fiction du volontariat, le consentement explicite, s’il est extorqué, à l’utilisation des données, que vous devez donner chaque fois que vous souhaitez recevoir un service gouvernemental dans ce système ou si vous souhaitez simplement payer quoi que ce soit par voie numérique. Ceci est similaire à ce qui vous arrive si vous vous déplacez sur le World Wide Web aujourd’hui. Vous devez constamment accepter volontairement de surveiller les demandes des opérateurs du site Web ou simplement choisir de rester à l’écart.

Le système mondial envisagé a un aspect particulièrement pernicieux, qui tourne en dérision l’autonomie et le contrôle souvent annoncés de ceux qui sont supposés posséder leurs données :

« Les attributs d’identité sont attestés et fournis par les autorités émettrices (c’est-à-dire le numéro de passeport, les coordonnées bancaires). Une autorité émettrice peut également révoquer un VC (identifiant virtuel) qu’elle avait précédemment émis en mettant à jour l’accumulateur cryptographique basé sur la blockchain en conséquence. »

Imaginez à quoi cela ressemblera lorsque ce système sera mis en place comme prévu dans le monde entier, dans tous les pays, aussi répressifs soient-ils. Supposons que l’abolition de l’argent liquide – qui est menée en parallèle par plus ou moins le même groupe d’entreprises et d’agences – soit menée à bien. Pour tout ce que vous voulez faire ou payer, vous dépendez de la présence d’une coche aux bons endroits dans la base de données sur vous. Si vous tombez en disgrâce auprès de votre propre gouvernement, il pourrait supprimer la coche de vos informations d’identité et vous visser, même si vous n’êtes pas dans le pays. Votre banque peut faire de même.

Si cela vous arrive, vous pouvez essayer de continuer pendant un certain temps. Mais finalement, vous devrez peut-être faire ce que le héros de la science-fiction “Soleil à crédit” de Michel Grimaud (1975) a dû faire. Lorsque sa carte électronique, dont tout le monde avait besoin pour se déplacer et se nourrir, a été confisquée par l’un des guichets automatiques, il s’est volontairement présenté aux portes de la prison et est resté volontairement en prison jusqu’à sa libération, car sinon il serait mort de faim.

Si le gouvernement américain ou les algorithmes contrôlés par ses agences ont quelqu’un dans le monde en vue, ils peuvent faire la même chose. Soit ils demandent au gouvernement ou aux banques respectifs d’invalider tous les documents numériques de la personne cible, soit les sociétés Internet américaines qui contrôlent le système peuvent le faire, soit les agences privées américaines de notation de crédit réduisent la cote de crédit.

Une grande partie de cela est déjà possible aujourd’hui et se fait, mais pas souvent à des particuliers. Mais le système ne sera complet et parfait que s’il existe une norme technique mondialement acceptée qui permet d’accéder à toutes ces données et documents de n’importe où. Ce n’est qu’alors que Washington (ou plutôt Fort Meade et Langley) pourront contrôler à partir de leurs ordinateurs personnels tout le monde dans tous les coins participants du monde. Dans le même temps, les gouvernements nationaux autoritaires pourront contrôler tout le monde dans leur propre sphère d’influence, qu’ils soient chez eux ou à l’étranger.

C’est l’agenda derrière le travail intense que l’USAID, Gates et le Forum économique mondial font, avec l’aide d’une ONU dépendante, pour créer des identités numériques pour chaque personne sur le globe. Ils travaillent à travers ID4Africa, ID2020 et une douzaine d’autres initiatives et consortiums similaires avec ID dans leurs noms.

Rapport minoritaire rechargé

Tout le monde peut alors être guidé par un anneau nasal normalement imperceptible. Cependant, cela pourrait être brutalement tiré, même si vous n’avez rien fait du tout, simplement parce qu’un algorithme conclut que vous êtes un type qui, statistiquement, pourrait bientôt causer des problèmes, comme dans le film “Minority Report”. L’ambition d’y arriver est documentée dans le premier rapport KTDI du Forum économique mondial avec une citation en surbrillance du directeur de Google, Rob Torres :

« Les entreprises technologiques ont fait des progrès majeurs dans l’exploration de données, l’apprentissage automatique et l’intelligence artificielle permettant une analyse prédictive améliorée. En combinaison avec les informations fournies par les passagers, ces technologies peuvent être utilisées par les gouvernements pour… analyser des modèles complexes de mégadonnées dans le but de prévoir les risques de sécurité aux frontières. »

La citation indique clairement que l’identité numérique ne consiste pas simplement à donner à chacun un moyen facile de prouver qui vous êtes au moyen d’un certificat de naissance numérique ou d’une carte d’identité numérique, comme ils essaient de nous le faire croire. Si vous n’êtes pas encore convaincu, voici une autre citation, extraite du “EU blockchain observatory report on digital identity and blockchain” (Rapport de l’observatoire de la blockchain de l’UE sur l’identité numérique et la blockchain) :

« Lorsque nous parlons d’identité numérique, nous devons la comprendre comme la somme de tous les attributs qui existent à notre sujet dans le monde numérique, une collection de points de données en croissance et en évolution constantes. »

Ainsi, l’identité numérique signifie tout ce qui peut être stocké numériquement et qu’il y a à savoir sur nous, nos actions et nos préférences. Il s’agit d’introduire tout ce que l’on sait sur une personne dans une base de données qui peut être exploitée par toutes les entreprises et tous les gouvernements participants et manipulée par eux à tout moment. De sorte que les entreprises peuvent nous diriger en tant que bétail de consommation dans le bon corral et nous tondre chacun de nous individuellement et de manière optimale, et nous avoir comme des bêtes de somme peu exigeantes et obéissantes. Il s’agit pour les gouvernements et les entreprises d’être en mesure de détecter très tôt toute personne qui pourrait vouloir sortir du système ou casser le système.

Remarquablement, le Forum économique mondial affirme qu’il n’a pas encore proposé de concept pour la gouvernance de cette infrastructure de contrôle totalitaire mondiale, c’est-à-dire qui devrait être aux commandes de ce système. Le Livre blanc dit :

« Les travaux sur la définition et le développement d’un cadre de gouvernance approprié pour le concept KTDI se poursuivent et seront abordés dans un prochain rapport. »

En d’autres termes, les gouvernements sont censés s’engager dans ce concept sans que l’on sache qui tirera les ficelles. En réalité, bien sûr, c’est assez clair. C’est Washington et les grandes entreprises américaines, directement ou par l’intermédiaire d’organismes internationaux tels que le Forum économique mondial, le W3C, le GAFI et bien d’autres, qu’ils dominent.

Les gouvernements et l’ONU se sont alignés

Néanmoins, les gouvernements et une ONU dépendante de l’argent des entreprises semblent très désireux de participer à ce système de surveillance mondial développé par les multinationales et la US Homeland Security. Il est commercialisé par les entreprises participantes de l’industrie de la sécurité et de l’identité sous le nom euphémique d’identité auto-souveraine (SSI).

A Bruxelles, ce terme, SSI, s’impose. Le Comité économique et social européen, un organe de l’UE au sein duquel les associations d’employeurs, les syndicats et d’autres groupes d’intérêt sont censés représenter la « société civile organisée », a élaboré un cadre européen d’identité souveraine (eSSIF). C’est presque un contre un la dystopie décrite dans les rapports du Forum économique mondial.

Les gouvernements de 21 pays, dont l’Allemagne, ont formé un “partenariat européen de la blockchain” trois mois seulement après la réunion du Forum économique mondial de 2018 au cours de laquelle le concept de voyageur connu a été présenté. Ce partenariat semble viser à faire progresser le concept de surveillance du Forum économique mondial dans son incarnation européenne eSSIF. L’un des objectifs de travail de ce partenariat, comme indiqué dans la présentation du Comité économique et social en lien ci-dessus, est de savoir comment préserver les valeurs démocratiques européennes dans la mise en œuvre des SSI. Bonne chance avec ça !

Il existe plusieurs autres groupes et partenariats au niveau européen pour la mise en œuvre du SSID et il existe divers groupes associés aux Nations Unies au niveau mondial. Il devrait déjà être clair que KTDI et SSI ne sont pas des idéaux irréalistes de Washington et des entreprises technologiques, mais un plan réaliste qui est déjà mis en œuvre à l’échelle mondiale.

Le Covid-19 accélère beaucoup les choses

Les réactions des gouvernements à la Covid-19 en Corée du Sud et en particulier à Wuhan, en Chine, et des programmes similaires qui devraient bientôt être mis en œuvre en Occident, accélèrent le glissement mondial vers un contrôle algorithmique total de la population. À Wuhan, si vous ne pouvez pas afficher un bouton vert sur votre smartphone de surveillance qui signale que vous n’êtes probablement pas infecté, vous êtes interdit d’accès à la plupart ou à toutes les formes de transport en commun et vous n’êtes pas autorisé à entrer dans les restaurants ou à vous enregistrer dans les hôtels. En Corée du Sud, les enregistrements des caméras de surveillance, les données des cartes de crédit et les données GPS sont évalués pour identifier et suivre les porteurs potentiels de virus.

Dans une entrevue vidéo du 24 mars 2020, le deuxième homme le plus riche et probablement le plus puissant du monde est interviewé par le modérateur de TED Chris Anderson à propos de la stratégie corona américaine. Dans sa pose de pouvoir décontractée habituelle, Bill Gates parle comme s’il était président des États-Unis ou chef de l’ONU. L’interview devient particulièrement intéressante lorsque Gates en vient à l’immunité présumée des personnes qui se sont déjà remises d’une infection. Gates relie cela à la question de savoir comment et quand les restrictions de voyage peuvent être assouplies :

« Finalement, nous devrons avoir un certificat indiquant qui est une personne récupérée, qui est une personne vaccinée, parce que vous ne voulez pas que des gens se déplacent dans le monde où vous avez certains pays, qui ne le contrôleront pas, malheureusement. Vous ne voulez pas bloquer complètement la capacité de ces personnes à aller et revenir et à se déplacer. »

Et puis vient la phrase doublement intéressante :

« Il y aura donc éventuellement ce type de preuve d’immunité numérique, qui facilitera la réouverture mondiale. »

Cette dernière phrase est doublement intéressante à cause du mot « numérique » et parce que la phrase n’est contenue que dans une version légèrement plus longue de la vidéo que quelqu’un a téléchargée pour la préserver. Dans la vidéo officielle de TED, cette phrase a été coupée (à la minute 34:27). Selon les commentaires sous la vidéo plus longue, cela s’est produit dans l’après-midi du 31 mars. C’est étonnant, car la seconde moitié de la phrase sur la réouverture des frontières est en fait une très bonne conclusion sur ce sujet, avant que l’intervieweur ne pose la question suivante. On ne le couperait pas pour des raisons journalistiques. La couper par souci de brièveté n’aurait pas beaucoup de sens, car elle ne dure que deux ou trois secondes et la coupure est perceptible.

C’était vraisemblablement le mot « numérique » qui devait être supprimé. Car cela invite à des questions qui mènent finalement à tout ce qui constitue le programme Known Traveler. Dans ce qui reste de la vidéo officielle, Gates ne parle que d’un certificat. Cela invite à comprendre ce dont il parle : seuls ceux qui ont un certificat d’immunité délivré par une autorité sanitaire peuvent réserver un vol, et seuls ceux qui peuvent le produire peuvent monter à bord d’un avion et passer l’immigration. Ce serait assez facile à mettre en œuvre et relativement sans problème.

Avoir le certificat en version numérique semble plus pratique, car ce serait plus rapide et plus facile. Mais si une preuve d’immunité numérique pour les voyages internationaux doit être (machine-)utilisable à l’échelle mondiale, elle a besoin d’une norme mondiale pour le certificat, d’un emplacement de stockage pour les certificats considéré comme sûr et généralement accessible, d’une norme d’échange de données qui fonctionne partout, et une norme mondiale pour certifier l’authenticité d’une preuve numérique. Le Known Traveler Program, piloté par la US Homeland Security et le Forum économique mondial, veut développer et mettre en œuvre tout cela. Bill Gates est l’un des membres les plus influents du Forum économique mondial, sinon le plus influent.

Google et Apple viennent à la rescousse

Le 10 avril 2020, Google et Apple ont annoncé qu’ils coopéreraient afin de permettre aux applications de suivi des contacts d’être interopérables sur les systèmes d’exploitation Adroid et iOS à partir du mois de mai suivant et de programmer la capacité de suivi dans leurs propres systèmes d’exploitation peu après. La recherche des contacts nécessite que les autorités sanitaires puissent alimenter le système, dont le numéro de téléphone est connecté à une personne testée positivement. Celui-ci peut facilement être complété en cochant la case convalescence ou vaccination. Et voila, le programme Known Traveler est prêt dans une première application.

Et comme il se doit, le volontariat, la souveraineté sur ses propres données (Self-Sovereign Identity) est totalement préservée. Chacun peut décider par lui-même s’il veut voyager et utiliser l’application de suivi ou s’il préfère rester à la maison.

Étant donné que Google et Apple travaillent de toute façon en étroite collaboration et en toute confiance avec les autorités de sécurité et les services secrets, il ne sera pas difficile d’ajouter d’autres domaines d’application. Tout d’abord, les autorités de sécurité peuvent cocher la case « ne peut pas voyager » ou « à surveiller » si nécessaire. Encore plus intéressant, la fonction de suivi des contacts peut être utilisée pour établir un réseau de contacts de personnes à surveiller et pour ajouter ces contacts à la liste. Au-delà de cela, le système pourrait être affiné davantage selon les besoins dans le sens de ce qui est décrit dans les rapports Known Traveler qu’Accenture a produits pour le FEM.

Grâce à la Covid-19, le Brave New World prend forme bien plus rapidement qu’on ne l’aurait cru. Et grâce à la Covid-19, beaucoup ou même la plupart des gens trouveraient actuellement un tel pouvoir totalitaire souhaitable. La Covid-19 est un cadeau du ciel pour les plans du Forum économique mondial.https://www.youtube.com/embed/y_GFx1uXdhk?version=3&rel=1&showsearch=0&showinfo=1&iv_load_policy=1&fs=1&hl=fr&autohide=2&wmode=transparent


TÉLÉCHARGEMENT DES RAPPORTS DU KNOWN TRAVELER DIGITAL IDENTITY :
SOURCES ET RÉFÉRENCES :



Le plus gros mensonge de l’histoire: La base de données est erronée. Il n’y a jamais eu de pandémie. Les mandats Covid, y compris le vaccin, sont invalides.

[Source : mondialisation.ca]

Les « cas confirmés Covid-19 » par PCR n’ont aucun sens. Le projet de test d’antigènes et à domicile de plusieurs milliards de dollars est faux

Par Prof Michel Chossudovsky

Cet article a été publié initialement le 28 mars 2022.

Introduction

Déstabiliser la structure sociale, politique et économique de 190 pays souverains ne peut constituer une « solution » pour lutter contre le virus. Mais c’était la « solution » imposée qui fut mise en œuvre en plusieurs étapes dès le début de la crise corona en janvier 2020. C’est la destruction de la vie des populations à l’échelle mondiale. C’est la déstabilisation de la société civile.

La fausse science a soutenu ce programme dévastateur. Les mensonges ont été soutenus par une campagne de désinformation massive dans les médias. Des « alertes Covid » 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, incessantes et répétitives au cours des deux dernières années.

Le confinement historique du 11 mars 2020 a déclenché un chaos économique et social dans le monde entier. C’était un acte de « guerre économique » : une guerre contre l’humanité. 

Ce programme diabolique a sapé la souveraineté des États-nations. 

Il a contribué à une vague de faillites. Il a appauvri des populations entières à l’échelle mondiale.

Cela a conduit à une spirale de la dette globale libellée en dollars. 

Les puissantes structures du capitalisme mondial, le grand capital (Big money) et son appareil militaire et de renseignement en sont la force motrice.

En utilisant des technologies numériques et de communication avancées, le verrouillage et la «fermeture» de l’économie mondiale sont sans précédent dans l’histoire de l’humanité.

Le rôle central du test de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse (RT-PCR)

Dès le début, les médias et les gouvernements ont négligé et ignoré les défauts et les faussetés concernant le test RT-PCR comme moyen de détecter la propagation du virus et d’identifier le SRAS-CoV-2.

« Le PCR est un processus. Il ne vous dit pas que vous êtes malade ».

Dr. Kary Mullis , lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019.

« Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements, appuyés par des conseils scientifiques de sécurité et par les médias dominants, pour justifier des mesures excessivescomme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, (…) sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels. »

Dr Pascal Sacrémédecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste renommé en santé publique.

La base de données des « cas confirmés Covid-19 » est invalide.

La désinformation médiatique a prévalu pendant plus de deux ans malgré le fait que l’OMS et le CDC (avec les sous-entendus habituels) aient confirmé ce que l’on savait depuis le tout début en janvier 2020, à savoir que le test RT-PCR utilisé pour justifier tous les mandats Covid-19 sans exception incluant le confinement, la distanciation sociale, le masque, le confinement de la main-d’œuvre, la fermeture de l’activité économique, etc. étaient erronés et invalides. 

L’OMS a publié son Mea Culpa il y a plus d’un an, le 20 janvier 2021. Quelques mois plus tard, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC)   (21 juillet 2021) appelaient au retrait du test PCR comme méthode valide afin de  détecter et identifier le SRAS-CoV-2. 

Depuis le 31 décembre 2021, le test PCR n’est plus considéré comme valide par le CDC aux États-Unis. Pour plus de détails, voir :  Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés Covid-19 »

Le CDC a maintenant fermement reconnu que le test PCR ne différencie pas de manière efficace entre la maladie Covid-19 et la grippe saisonnière. Un PCR positif n’implique pas un « cas confirmé Covid-19 ». Il pourrait s’agir de la grippe ou d’un rhume corona. Le CDC a appelé à son retrait à compter du 31 décembre 2021.

Cliquez ici ou sur l’écran pour voir la vidéo



Fake Data : 465 millions de soi-disant « cas confirmés Covid-19 »

Si le test PCR est invalide (confirmé par de nombreuses études ainsi que par l’OMS, les CDC),  les 465 millions dits « Confirmed Covid-19 Cases »  (voir schéma ci-dessous, 18 MARS 2022) collectés et compilés dans le monde depuis le début de la crise Covid-19 n’ont aucun sens. Cliquez ici pour obtenir les derniers chiffres.

Le traité sur la pandémie et le code de vérification QR 

Début mars 2022, un organe intergouvernemental de négociation (INB) a été créé avec le mandat de  créer un « traité sur la pandémie », c’est-à- dire  une entité mondiale de gouvernance de la santé sous les auspices de l’OMS, qui l’emporterait sur l’autorité des États membres de l’OMS :

« L’INB a tenu sa première réunion pour rédiger et négocier un instrument international sur la prévention, la préparation et la réponse à la pandémie sous l’autorité de l’OMS »

Mercola

Le traité sur la pandémie   est lié au  projet de code de vérification QR de l’OMS ,  qui vise à créer une banque de données numérique mondiale de 7,9 milliards de personnes. Les deux initiatives seraient menées simultanément par l’OMS en liaison avec ID2020  et la Gavi Alliance , toutes deux financées par la Fondation Gates.

Peter Koenig décrit le QR Code comme « une identification entièrement électronique – reliant tout à tout de chaque individu (dossiers de santé, bancaires, personnels et privés, etc.). »

Selon  David Scripac   « Un système mondial d’identification numérique est en cours de création. [L’objectif] du FEM – et de toutes les banques centrales  [est] de mettre en place un système mondial dans lequel les données personnelles de chacun seront intégrées au réseau de monnaie numérique de banque centrale – Central Bank Digital Currency (CBDC). 

Le code de vérification QR ouvre potentiellement la voie à la mise en place d’ un « État policier mondial » contrôlé par l’établissement financier. Cela fait partie de ce que feu David Rockefeller a appelé « la marche vers le gouvernement mondial ».

La légitimité du traité sur la pandémie et du code de vérification QR sous les auspices de l’OMS repose sur la présomption que la prétendue « pandémie de la Covid-19 est réelle » et que le « vaccin à ARNm constitue une SOLUTION à la prétendue pandémie Covid-19 ».

Les deux initiatives sont fondées sur la fraude pure et simple et la corruption: 

1. Le nombre de « cas confirmés cumulatifs de la Covid-19 » résultant du test RT-PCR ne justifiait aucunement la décision de l’OMS de lancer officiellement une pandémie à l’échelle planétaire en date du 11 mars 2020 Les chiffres étaient ridiculement bas. Il n’y avait aucune preuve que le SRAS-CoV-2 se propageait à l’échelle nationale ou internationale.

2. Les consignes de confinement transmises en mars 2020 à plus de 190 États membres de l’ONU sont totalement invalides.

3. La méthodologie utilisant le test PCR pour détecter et identifier le SRAS-CoV2 et ses variants présumées a été reconnue par l’OMS et le CDC comme étant totalement dysfonctionnelle, comme indiqué ci-dessus.

4. Toutes les données relatives aux cas confirmés cumulatifs de la Covid-19 compilées par les gouvernements nationaux et tabulées par l’OMS depuis janvier 2020 sont invalides et dénuées de sens.

5. Le vaccin Covid-19 lancé en novembre 2020 a entraîné une vague mondiale de mortalité et de morbidité à la hausse.

Dans cet article, je distinguerai plusieurs phases dans l’évolution de cette crise.

Phase I : un nombre ridiculement bas de « cas confirmés Covid-19 » utilisé pour justifier le lancement de la pandémie de la Covid-19

Depuis le tout début, les estimations de «cas positifs confirmés» font partie d’un «jeu de chiffres».

La première étape de cette crise fut le lancement d’une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) par l’OMS le 30 janvier . Bien qu’officiellement elle n’ait pas été désignée comme une « pandémie », cette décision a néanmoins contribué à mener la campagne de peur. Le nombre de «cas confirmés» basés sur des estimations erronées (PCR) utilisés pour justifier cette décision de grande envergure était ridiculement bas.

La population mondiale hors Chine est de l’ordre de 6,4 milliards. Au 30 janvier 2020 hors de Chine, il y avait :

83 cas dans 18 pays, et seulement 7 d’entre eux n’avaient aucun antécédent de voyage en Chine. (voir OMS , 30 janvier 2020).

Il n’y avait aucune « base scientifique » pour justifier le lancement d’une urgence mondiale de santé publique de portée internationale.

Capture d’écran du tableau OMS, 29 janvier 2020 ,

Le jour suivant, le 31 janvier 2020 :   le président Trump suspend les voyages aériens avec la Chine , ce qui a contribué à enclencher la crise du transport aérien et du commerce des marchandises. Les cinq soi-disant «cas confirmés» aux États-Unis  étaient suffisants pour «justifier» la décision du président Trump du 31 janvier 2020.

20 février 2020 :  Lors d’une conférence de presse le jeudi 20 février après-midi (heure CET) lors d’un  briefing à Genève, le directeur général de l’OMSLe Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus , a déclaré qu’il était:

« préoccupé par le fait que la possibilité de contenir l’épidémie de coronavirus se « fermait »…

« Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais qu’elle se rétrécit. »

Ces déclarations étaient basées sur 1076 cas en dehors de la Chine pour une population de 6,4 milliards.

Ces déclarations ont d’emblée contribué à intensifier la campagne de peur, malgré le fait que le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était extrêmement faible.

Les 20 et 21 février 2020 marquent le début du krach financier de 2020 qui fut enclenché par la déclaration du Dr Tedros. 

11 mars 2020 : Le 11 mars 2020 : Le verrouillage. 44 729 « cas confirmés » pour justifier la fermeture de 190 économies nationales.

Une pandémie est généralement définie comme:

« Une épidémie d’une maladie survenant sur une vaste zone géographique (telle que plusieurs pays ou continents) et affectant généralement une proportion importante de la population »

(Webster-Merriam , emphase ajoutée)

En supposant que le test PCR est valide (ce qui n’est pas le cas), le nombre de cas confirmés cumulés le 11 mars était ridiculement bas. 44 279 cas PCR positifs dans le monde en dehors de la Chine.

C’EST UNE FRAUDE. IL N’Y AVAIT PAS DE PANDÉMIE LE 11 MARS 2020

Le directeur général de l’OMS avait déjà annoncé la dite pandémie lors de sa conférence de presse du 21 février .

« le monde devrait faire plus pour se préparer à une éventuelle pandémie de coronavirus ». L’OMS avait appelé les pays à être « dans une phase de préparation ».

L’OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale à un moment où le  nombre de cas confirmés hors de Chine (6,4 milliards d’habitants) était de l’ordre de   44279 et 1440 décès  (chiffres enregistrés par l’OMS pour le 11 mars, (au 12 mars) (voir tableau). Ce sont les chiffres utilisés pour justifier le confinement et la fermeture de 190 économies nationales.

(Le nombre de décès hors de Chine mentionné dans la conférence de presse de Tedros était de 4291).

Aux États-Unis, recensés le 11 mars 2020, il y a eu selon John Hopkins : 1 335 « cas » et 29 décès  (« présomptifs » plus PCR confirmés).

Selon l’OMS,  le 9 mars, il y avait 3457 cas aux États-Unis.

Aux États-Unis, le 9 mars 2020, il y avait  3 457 «cas confirmés»  sur une population de 329,5 millions de personnes

Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS .

Au Canada le 9 mars 2020, il y avait 125 « cas confirmés » sur une population de 38,5 millions de personnes

Capture d’écran du graphique de l’OMS Graphique interactif de l’OMS .

Ce sont les chiffres utilisés pour justifier la « fermeture » des États-Unis et du Canada en mars 2020.

C’EST UNE FRAUDE. UN GROS MENSONGE.  

Immédiatement après l’annonce de l’OMS du 11 mars 2020, la campagne de peur s’accélère

Pourtant, c’est sur la base de ces 44 729 cas que des politiques de confinement d’une ampleur sans précédent furent imposées à 190 pays souverains par le biais d’une procédure décisionnelle complexe qui inévitablement exigeait la fraude, les menaces et la corruption de la classe politique.

Le confinement du 11 mars a été suivi du jeudi noir, un deuxième krash financier majeur, qui a immédiatement suivi l’annonce de la pandémie.

Phase II. Mars-décembre 2020 : Campagne de peur. Le test PCR passe à la vitesse supérieure.

De mars 2020 jusqu’au lancement du vaccin ARNm COVID-19 en novembre 2020, le test PCR passe à la vitesse supérieure.

Depuis le 11 mars 2020, suite au confinement, les gouvernements nationaux furent invités à mettre en œuvre le test PCR-RT à grande échelle, dans le but d’augmenter le nombre de cas covid positifs dans le monde.

Test, Test, Test : Les chiffres ont commencé à grimper en vue de générer de plus en plus de fausses statistiques.

Regardez le tableau ci-dessous. On observe un très petit nombre de cas positifs au début mars 2020. Et puis, les cas positifs de la Covid montent en flèche en avril, mai et juin 2020.

Phase III. Début novembre 2020. Début du programme mondial de vaccination contre la Covid

Soutenu par la désinformation médiatique, le vaccin à ARNm fut présenté comme une solution pour endiguer la pandémie. Amplement documenté, ce vaccin a déclenché dès son apparition en décembre 2020 une tendance à la hausse de la mortalité et de la morbidité.

Vidéo : Dans de nombreux pays, il y a eu un changement significatif de la mortalité suite à l’introduction du vaccin à ARNm

https://www.youtube.com/embed/xSrc_s2Gqfw

Source : HeathData.org

#Oui, c’est un « Vaccin tueur »

Les preuves sont accablantes. Les derniers chiffres officiels  indiquent environ :

65 629 décès liés à l’injection Covid-19 et 10 439 642 blessures signalés au 24 février 2022. pour l’UE, les États-Unis et le Royaume-Uni réunis.

Mais seule une petite fraction des victimes ou des familles des personnes décédées passera par le processus fastidieux de déclaration des décès et des effets adverses liés au vaccin aux autorités sanitaires nationales.

Désinformation des médias : Le virus est un « tueur à gages », « Le vaccin sauve des vies » !

Le SARS-CoV2 détecté par le test PCR est de manière implacable dépeint comme  un « virus tueur ».

Il y a beaucoup d’inconnues cruciales à propos de ce virus, y compris la façon dont il tue exactement, s’il évoluera vers quelque chose de plus – ou de moins – mortel… « .

« Il  y a de nombreuses inconnues cruciales à propos de ce virus, y compris comment exactement il tue, s’il évoluera vers quelque chose de plus — ou moins — mortel  … »

Nature

Un rapport sensationnaliste de la BBC sous le titre :  « Pourquoi le virus est-il une telle menace » soutient (en citant et en déformant des « avis scientifiques ») que le virus a une « tactique évolutive tueur de délit de fuite » [hit and run] pour propager l’infection Covid-19 loin et large. Rapport opportun publié deux semaines avant le lancement du vaccin à ARNm :

« Maître de la tromperie. Aux premiers stades d’une infection, le virus est capable de tromper l’organisme . …

Il [le virus] se comporte comme un tueur « avec délit de fuite » 

La quantité de virus dans notre corps commence à culminer la veille de la maladie. …

Mais il faut au moins une semaine avant que la Covid ne progresse au point où les gens ont besoin d’un traitement hospitalier. « C’est une tactique évolutive vraiment géniale – vous ne vous couchez pas, vous sortez et passez un bon moment », déclare le professeur Lehner.

Ainsi, le virus est comme un conducteur dangereux qui fuit la scène – le virus est passé à la prochaine victime bien avant que nous ne guérissions ou ne mourions.

En termes clairs, « le virus se moque » de votre mort, dit le professeur Lehner, « c’est un virus de type hit and run »(un tueur en délit de fuite).Il fait des choses particulières et inattendues au corps ( BBC, James Gallagher, 22 octobre 2020, emphase ajoutée) (Voir l’article en français : Pourquoi le coronavirus est-il si mortel ?)Propos absurdes! La BBC personnifie le virus tueur, dans le but de semer la panique. Non seulement ces rapports sensationnalistes sont basés sur les résultats des tests PCR invalides, mais ils contredisent également la définition officielle de l’OMS concernant la Covid -19

« Les symptômes les plus courants de la COVID-19 sont la fièvre, la toux sèche et la fatigue. … Ces symptômes sont généralement légers et commencent progressivement. Certaines personnes sont infectées mais ne présentent que des symptômes très légers . La plupart des gens (environ 80 %) se rétablissent de la maladie sans avoir besoin de soins hospitaliers. Environ 1 personne sur 5 qui contracte la COVID-19 tombe gravement malade et développe des difficultés respiratoires. »

D’ailleurs, rarement évoqué par les médias ou par les politiciens : Le CDC (qui est une agence du gouvernement américain) confirme que la Covid-19 est similaire à la grippe:

« La grippe (grippe) et la COVID-19 sont toutes deux des maladies respiratoires contagieuses, mais elles sont causées par des virus différents . La COVID-19 est causé par une infection par un nouveau coronavirus (appelé SRAS-CoV-2) et la grippe est causée par une infection par des virus de la grippe .

Étant donné que certains des symptômes de la grippe et de la COVID-19 sont similaires, il peut être difficile de faire la différence entre eux en se basant uniquement sur les symptômes, et des tests peuvent être nécessaires pour aider à confirmer un diagnostic . La grippe et la COVID-19 partagent de nombreuses caractéristiques, mais il existe des différences essentielles entre les deux. »

Si le public avait été informé et rassuré que la Covid est « similaire à la grippe », la campagne de peur serait tombée à plat. Et le programme de vaccination aurait été carrément rejeté.

Il convient de noter que le vaccin à ARNm présenté à l’opinion publique comme une solution pour freiner le virus tueur s’est appuyé sur le test PCR comme moyen valable d’évaluer la propagation de la maladie. Aux États-Unis, le vaccin à ARNm a été lancé le 14 décembre 2020. Six semaines plus tard, l’OMS abroge la validité du test PCR. À son tour, le 21 juillet 2021, le CDC déclare le PCR invalide comme moyen de détecter le virus.

Phase IV : 26 novembre 2021, « Black Friday ». Le variant Omicron

Souvenez-vous de la crise d’Omicron, toujours en cours. Effrayant. Un nouveau variant Covid aurait été découverte en Afrique du Sud et qui s’est propagée dans le monde entier. Comment a-t-il été détecté ? Le test PCR ?

Tout a commencé le Black Friday, le lendemain du Thanksgiving (Action de Grâce aux Etats Unis), le 26 novembre 2021.

Cela a déclenché une nouvelle campagne de peur ainsi qu’une instabilité sur les marchés boursiers, les actions des producteurs de vaccins Big Pharma augment en flèche.  Cela a incité les gens à se faire vacciner.

L’annonce d’omicron était une fraude soigneusement préparée. Deux jours plus tard, l’OMS a poliment abrogé la déclaration de son propre groupe de travail consultatif :

«  Il n’y a actuellement aucune information suggérant que les symptômes associés à Omicron soient différents de ceux des autres variants . »  

À son tour,  le Dr Angelique Coetzee , présidente de l’Association médicale sud-africaine (SAMA) a décrit le variant omicron comme « extrêmement bénigne, pour nous [ce sont] des cas bénins.  … J’ai parlé à d’autres collègues à moi et ils donnent la même image. ( Voir l’interview vidéo sur CNBC )

Ces rectifications n’ont en rien entravé la campagne de peur 24 heures sur 7 jours alimentée par la désinformation médiatique. En fait, cela a créé la panique.

Pendant ce temps, une campagne massive de tests à domicile a été lancée.

Phase V : Des milliards de tests à domicile et antigéniques distribués à l’échelle mondiale

Tests massifs à domicile : la peur est « bonne pour les affaires » [Fear is Good for Business]

Littéralement, des milliards de kits de test d’antigènes et à domicile ont été distribués à l’échelle mondiale. Aux États-Unis, plus d’un milliard de kits de test ont été mis à la disposition d’une population de 340 millions d’Américains.

Au Canada, 291 millions de trousses de test ont été distribuées. La population du Canada est de l’ordre de 38,5 millions d’habitants.

Dans de nombreux pays, le variant « mortel » Omicron est devenue le prétexte pour mettre en place de nouveaux verrouillages partiels, l’accélération du mandat vaccinal, des restrictions de voyage ainsi que des mandats de confinement et de séjour à domicile pendant la période des vacances de Noël et du Nouvel An.

Vous trouverez ci-dessous les chiffres des soi-disant « cas confirmés Covid-19 » dans le monde au début novembre 2021. (01/11/21)

Augmenter le nombre de FAUX « cas confirmés Covid-19 »

Coïncidant avec la crise d’Omicron, l’augmentation de l’importation et de la distribution de littéralement des milliards de kits de test à domicile et d’antigènes a contribué à  faire augmenter le nombre de FAUX « cas confirmés Covid-19 ».

En moins de 5 mois (du 1er novembre 2021 au 18 mars 2022), les cas confirmés cumulés ont presque doublé.

L’achat par Joe Biden de plus d’un milliard de kits de test à domicile et d’antigènes  

Aux États-Unis , la Maison Blanche a annoncé en janvier qu’elle achetait aux frais des contribuables :

 » Un milliard de tests à offrir gratuitement aux Américains avec la commande en ligne d’un demi-milliard de tests commence le 19 janvier ». 

Cet achat s’ajoutait aux livraisons antérieures de plusieurs centaines de millions de kits à domicile.

À partir de fin novembre, les kits de test à domicile ont contribué à augmenter les soi-disant « cas confirmés » aux États-Unis. (Voir graphique ci-dessous)

Ces chiffres sont fake car l’OMS et le CDC ont classé le test PCR comme étant invalide.

Et les tests à domicile sont classés comme moins fiables que le test PCR qui est considéré comme la référence absolue (gold standard).

Achat par Justin Trudeau de 291 millions de kits de test à domicile et d’antigènes

Au Canada, le premier ministre Justin Trudeau a commandé une première livraison de  94 millions de kits de test rapide à domicile (kits d’auto-test et de test d’antigène) en novembre 2021, qui furent livrés et distribués dans les provinces.

140 millions de tests supplémentaires furent commandés par le gouvernement fédéral au début de janvier 2022 pour un coût de 1,7 milliard de dollars (canadiens) aux frais des contribuables.

Le Canada a une population de 38,5 millions d’habitants et nous avons maintenant 291 millions de kits de test rapide d’antigène (voir tableau ci-dessous). Autrement dit environ 7 tests par personne. 

Ce processus a contribué au cours des derniers mois à semer la peur et le chaos au sein des familles canadiennes tout en augmentant le nombre de soi-disant « cas confirmés Covid-19 »

Le coût estimé pour les contribuables canadiens est de l’ordre de 3,5 milliards de dollars canadiens.

Voir Santé Canada (tableau ci-dessous)

Test PCR Gold Standard. (Référence absolue)

Ironiquement, les tests à domicile sont comparés au test PCR (invalide) qui est maintenant considéré comme étant le soi-disant gold standardSelon le NYT ( mis à jour le 10 novembre 2021 ), les kits de test rapide d’antigène et à domicile sont moins efficaces que le test PCR :

Les tests antigéniques rapides sont moins fiables pour détecter la Covid-19 chez les personnes à faible charge virale que les tests PCR « gold standard » que vous obtiendrez d’un fournisseur de soins de santé. Une étude a révélé qu’un test antigénique rapide à domicile avait 64% de chances de détecter correctement le virus chez les personnes présentant des symptômes qui avaient été testées positives lors d’un test PCR. (Le test n’a détecté qu’environ 36% de ceux qui avaient le virus mais qui n’avaient pas de symptômes.)

Ce que le NYT ne mentionne  pas, c’est que le CDC avait demandé l’arrêt du test PCR « Gold Standard » en date du 23 juillet 2021 avant son retrait officiel le 31 décembre 2021. (voir analyse ci-dessus)

La directive du CDC admet tacitement que le test PCR ne différencie pas efficacement le « SARS-CoV-2 et les virus de la grippeNous le savons depuis le début. Bien qu’il leur ait fallu près de deux ans pour reconnaître que le test PCR est invalide, le test PCR est considéré comme la référence absolue (gold standard) par rapport aux kits de test d’antigène et à domicile.

  • 31 décembre 2021 : Le CDC déclare le test PCR invalide
  • Test PCR invalide confirmé comme Gold Standard (référence absolue)
  • Des milliards et des milliards d’antigènes et de tests à domicile font grimper les chiffres
  • 12 mars 2022 452 201 564 cas cumulés 

Les résultats des tests à domicile et antigéniques n’ont aucun sens. Ils ne confirment en aucun cas une augmentation des soi-disant « cas confirmés COVID-19 ».

L’augmentation des chiffres est largement attribuable à la vente et à la distribution mondiales de milliards de tests à domicile et d’antigènes. Cela a à son tour contribué à une nouvelle vague de peur et d’instabilité sociale.

Cette augmentation artificielle des soi-disant «cas confirmés COVID-19» s’est produite à un moment où un grand pourcentage de la population mondiale a été vacciné.

« La peur est bonne pour les affaires » : beaucoup d’argent derrière les kits d’auto-test Covid-19

Ce qui est en jeu, c’est une opération de plusieurs milliards de dollars afin de vendre et distribuer des kits d’auto-test Covid-19 dans le monde entier sur une période de plusieurs années..En décembre 2021, Bloomberg rapportait que.« le marché des autotests atteindra » 5,96 milliards de dollars en 2020 et devrait atteindre 8,11 milliards de dollars d’ici 2027 « ..Ces chiffres concernent uniquement le marché américain, qui représente environ 4% de la population mondiale. Il est maintenant avéré que les kits à domicile sont vendus dans un grand nombre de pays. C’est un programme au niveau mondial axé sur les profits de plusieurs milliards de dollars. .Qui détient les droits de propriété intellectuelle ?  .La Fondation Gates a joué un rôle clé dans le lancement du «test COVID-19 auto-administré» qui fut approuvé par la FDA fin mars 2021..« La FDA a pris cette décision sur la base des résultats d’une étude menée par United Health Group. La Fondation Gates a fourni un soutien technique pour la conception de cette étude » ( Fondation Gates)

En août 2021, la Fondation Gates et la Fondation Open Society de Soros ont  investi dans

« l’acquisition de Mologic, une société britannique spécialisée dans le développement de technologies de tests rapides, notamment pour la Covid-19 et diverses maladies tropicales ».

Mologic est décrit comme « un leader des tests rapides [qui] présente une opportunité unique ».

Cette initiative consistait à « renommer » Mologic en « une entreprise sociale à but non lucratif ». qui fonctionnerait sous les auspices du  Global Access Health de la Fondation Gates.

L’objectif déclaré de GAH est d’agir comme « une entreprise sociale qui élargit l’accès à une technologie médicale de pointe abordable, telle que des tests de diagnostic et des processus de fabrication ».

Michel Chossudovsky

L’article a été publié initialement en anglais le 19 mars 2022.

Traduction et révision par l’auteur.


À propos de l’auteur

Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPA), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (19791983)

Il est l’auteur de douze livres dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003) – La mondialisation de la pauvreté,  America’s « War on Terrorism » (2005) – Guerre et Mondialisation, The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).

Il collabore à l’Encyclopédie Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à crgeditor@yahoo.com

Voir en anglais : Michel Chossudovsky, Notice biographique

Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research

Articles en français de Michel Chossudovsky sur Mondialisation.ca
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2022




Vaccin et identifiant numérique

[Source : @Roms17]



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Un politicien danois exige un « procès de Nuremberg » pour les criminels du Covid-19

[Source : kla.tv]

Mads Palsvig, homme politique danois, est persuadé que, littéralement : « … nous avons besoin d’un Nuremberg. Même maintenant, où, pour se soustraire à la justice, ils lèvent les restrictions et prétendent que les vaccins ont été utiles. »

[Transcription :]

Chers amis de Kla.TV,

Récemment, j’ai lu cet article :
Un politicien danois exige un « procès de Nuremberg » pour les responsables de la pandémie du Covid-19
Mads Palsvig est un ancien banquier danois et un homme politique du jeune parti JFK21. Il a envoyé une « déclaration du nouvel an » suggérant un nouveau « processus de Nuremberg » pour la recherche de la vérité et la réconciliation. La déclaration a été envoyée à 1 600 journalistes, à tous les membres du parlement danois, au personnel du ministère américain de la Santé CDC et à d’autres décideurs de la police danoise ainsi qu’à des diplomates et politiciens étrangers.

Palsvig ne veut pas de la peine de mort pour ces criminels. Mais il dit en substance : « …nous avons besoin d’un Nuremberg. Même maintenant, où, pour se soustraire à la justice, ils lèvent les restrictions et prétendent que les vaccins ont été utiles. »
Mads Palsvig avertit qu’il ne faut pas se réjouir trop vite de la levée des mesures en considérant cela comme une victoire. Il craint bien plus que les opposants aux libertés se groupent à nouveau pour lancer une nouvelle attaque contre le peuple. Il invoque avec insistance le maintien de la pression par des actions quotidiennes. C’est la seule façon de mettre à genoux le système mondial de banksters qui financent des États entiers. Les efforts de divulgation doivent être coordonnés à l’échelle mondiale.

Palsvig va encore plus loin. Il demande l’inculpation, le procès et la condamnation de toutes les personnes impliquées dans l’imposition de ces mesures, de toutes les personnes qui continuent à promouvoir activement les expériences de vaccination, les tests et les masques obligatoires, les restrictions des libertés individuelles et qui font pression sur les personnes non vaccinées. Donc, tous ceux qui ont participé à ces crimes contre la dignité humaine doivent être tenus pour responsables. Il s’agit des politiciens, mais les responsables administratifs, les autorités sanitaires, les établissements d’enseignement, la justice, les journalistes et les responsables des médias sont également concernés. Et tous ceux qui exigent des certificats de vaccination. Ou ceux qui harcèlent ou discriminent les concitoyens non vaccinés, non testés ou sans masque.

Palsvig met au défi toutes les personnes concernées de se rendre disponibles à titre de témoins principaux contre les puissances qui se cachent derrière cette conspiration mondiale. Il propose d’accorder l’impunité ou l’amnistie aux personnes qui ont été contraintes d’agir parce que du matériel compromettant leur existence avait été utilisé contre elles.

Pour le politicien d’opposition danois, il ne fait aucun doute que de nombreuses personnes impliquées dans les crimes du Covid ont elles-mêmes été victimes d’extorsions de toutes sortes. Ces personnes doivent désigner à une commission les personnes qui se cachent derrière ces événements et rapporter ce qui a été discuté et décidé à huis clos lors des réunions Bilderberg, du Forum économique mondial, de l’Agenda 21, du Rockefeller Lockstep, de l’ID2020 et d’autres réunions conspiratrices de groupes non élus.

Conclusion de Mads Palsvig : seul un procès de Nuremberg, qui dévoile les commanditaires et les interdépendances internationales de cette affaire criminelle à grande échelle et qui demande des comptes à tous les responsables dans le monde, conduirait à un monde plus juste.

Les émissions Kla.TV suivantes sont également recommandées à ce sujet :
• Mesures Covid : Plainte pénale pour génocide déposée à La Haye Escroquerie Covid : 80 raisons de « se faire rembourser ! » (Discours aux nations – par le fondateur de Kla-TV Ivo Sasek)
• Commission Covid : Annonce d’une procédure judiciaire mondiale
La phrase finale de Mads Palsvig est encourageante :

« Je sens au fond de mon cœur que nous allons gagner cette guerre. C’est la dernière bataille pour l’humanité et cette fois-ci, les forces du bien l’emporteront. »

de hm.

Sources :

Mads Palsvig fordert Nürnberger Prozess für Corona-Verbrecher
https://unser-mitteleuropa.com/daenemark-mads-palsvig-von-jfk21-fordert-nuernberger-prozess-fuer-corona-verbrecher/

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#Coronavirus-fr – Coronavirus – www.kla.tv/Coronavirus-fr
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Les Nouvelles de la VÉRITÉ BRUTALE #11

[Source : Amélie Paul]




[Voir aussi :
Le Grand Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial « d’identité numérique »
Dans un rapport datant de juillet 2020, le FEM ait exhorté « les parties prenantes de tous les secteurs, industries et géographies » à unir leurs forces et à travailler ensemble « pour libérer pleinement le potentiel de l’IoB ».




La raison du retournement de Trudeau fait surface — L’Association des banquiers canadiens a été approuvée par le Forum économique mondial pour diriger la création d’une identité numérique

[Source : theconservativetreehouse.com]

Par Sundance

23 février 2022

La lumière du soleil est le meilleur désinfectant. Une vidéo promotionnelle de l’Association des banquiers canadiens (ABC) aide à bien relier tous les points sur la raison pour laquelle le gouvernement canadien a annulé si rapidement ses saisies d’actifs bancaires au cours des dernières 24 heures {pour plus de détails}. Et oui, comme nous le soupçonnions, c’est presque certainement le contact du Forum économique mondial avec la ministre canadienne des Finances, Chrystia Freeland, qui a déclenché le changement de position.

[Voir aussi :
Justin Trudeau est un « politicien bien formé » contrôlé par Klaus Schwab pour le compte de « Big Money ».]

Lorsque le premier ministre canadien Justin Trudeau et la ministre des Finances Chrystia Freeland ont annoncé qu’ils utiliseraient la déclaration de la loi sur les mesures d’urgence pour cibler les systèmes de soutien financier, les banques et les comptes des personnes qui protestaient contre les obligations de la vaccination anti-COVID, ils n’ont pas seulement sapé l’intégrité du système bancaire canadien – mais ils ont aussi, par inadvertance,  mis des bâtons dans les roues des plans du Forum économique mondial et de l’utilisation collaborative de l’Association des banquiers canadiens pour créer une identité numérique.

Dans le contexte de l’action du gouvernement canadien, REGARDEZ CETTE VIDÉO :

https://youtu.be/jRXR86wVSNw
Canadian Bankers Association Promotes Digital IDs And Refers To WEF #TheRayzorsEdge

Si le gouvernement canadien peut bloquer arbitrairement l’accès des citoyens à leur institution bancaire sans aucune procédure régulière, qu’est-ce que cela dit du système que l’Association des banquiers canadiens (ABC) mettait en place dans le cadre de son réseau d’identification numérique ?

Si l’identité numérique de l’ABC était en place, les mêmes personnes ciblées par l’utilisation de la loi sur les mesures d’urgence par Trudeau verraient leur identité entière bloquée par les mêmes mesures gouvernementales. La prise de conscience du problème, reflétée par une grave atteinte à la confiance dans le système bancaire, est un problème dramatique pour ceux qui travaillent à créer et à promouvoir l’identification numérique.

Ce n’est pas une coïncidence si le mécanisme de ciblage financier déployé par Trudeau/Freeland, le système bancaire canadien, est le même système utilisé pour créer l’identité numérique. À la suite du ciblage des comptes bancaires par le gouvernement, la ministre des Finances Freeland vient de créer un point de référence pour ceux qui s’opposeraient à l’autorisation de la création d’une identité numérique complète.

La raison pour laquelle le Forum économique mondial et l’Association des banquiers canadiens ont immédiatement contacté Trudeau et Freeland et leur ont dit de renoncer à leur plan est parfaitement claire. C’est presque certainement pourquoi Freeland est apparue si réprimandée, choquée et incapable de prendre pied hier {pour plus de détails}, et pourquoi le gouvernement canadien a simultanément informé le Parlement qu’il débloquait les comptes bancaires.

Justin Trudeau et Chrystia Freeland ont essentiellement brisé le code financier de l’omerta, en montrant à quel point il est facile pour le gouvernement de saisir vos comptes bancaires, vos cartes de crédit, vos comptes de retraite, vos assurances, vos hypothèques, votre accès aux prêts et de vous couper les vivres (sans procédure régulière).

La conséquence involontaire était un point de référence immédiat et clair si le gouvernement effectuait la même action avec une identité numérique en place.

Cependant, cette confiance minée et la foi dans le système bancaire ne peuvent être restaurées rapidement. Le dentifrice ne peut pas être remis dans le tube. Le cheval a quitté l’écurie.

Le gouvernement canadien doit rapidement limiter les dégâts. Cela explique pourquoi Justin Trudeau a abandonné la déclaration de la loi sur les mesures d’urgence.

Tout s’explique maintenant. Tout.

En effet, les chefs de gouvernement qui reçoivent leurs instructions des multinationales en charge du Forum économique mondial, c’est-à-dire la quasi-totalité d’entre eux, sont tellement ancrés dans leur besoin d’utiliser la COVID-19 comme levier pour le programme « Build Back Better (reconstruire en mieux) » qu’ils ne peuvent tout simplement pas y renoncer.

Sans la COVID-19, ils ne peuvent pas maintenir la campagne de vaccination. Sans la campagne de vaccination, ils ne peuvent pas maintenir le processus de passeport vaccinal en place. Sans le processus d’enregistrement du passeport vaccinal pour suivre et surveiller le comportement humain, les autorités gouvernementales ne peuvent pas remplir la mission d’un système complet d’identité numérique et de suivi du crédit social. En effet, tout ce qu’elles recherchent est subordonné au maintien de la prémisse de la COVID-19.

Ce n’est pas par hasard que le Forum économique mondial se trouve à l’épicentre de ce projet.

Comme nous l’avons déjà noté, les architectes de la société Build Back Better (FEM) guident les différents gouvernements sur les moyens de créer des systèmes d’enregistrement et de conformité efficaces, c’est-à-dire des moyens qui permettent aux citoyens de prouver qu’ils sont vaccinés et conformes. Alors que ces discussions ont lieu, il est prudent de faire une pause et de réfléchir très attentivement, avec sagesse.

Nous savons tous, au moment où nous lisons ces lignes, que sous couvert d’améliorer notre sécurité, le gouvernement fédéral américain est en discussion avec la communauté médicale, les sociétés multinationales et les employeurs de citoyens pour créer un processus plus efficace pour que vous puissiez enregistrer votre conformité aux vaccins.

Nous connaissons leur conversation sous la terminologie de Passeport COVID. L’objectif actuel est de créer un système nous permettant de montrer et de prouver notre statut de travailleur autorisé, qui, comme vous le savez, est basé sur votre obéissance à un vaccin obligatoire.

Des tests bêta sont menés dans diverses nations, chacune ayant des perspectives et des limitations constitutionnelles différentes, fondées sur des règles et des lois archaïques qui régissent la liberté.

En ce qui concerne les perspectives occidentales ou, faute d’un meilleur terme, « démocratiques« , l’Australie, la Nouvelle-Zélande, la France et l’Europe ouvrent la voie avec leur système technologique de points de contrôle de la vaccination et de statut vaccinal national/étatique lié à votre identification d’enregistrement.

La ville de New York a rejoint le processus des points de contrôle de la vaccination, car elle exige désormais le vaccin pour entrer dans toutes les entreprises privées. Los Angeles a rapidement suivi.

Les points de contrôle électroniques australiens sont essentiellement des passerelles où des codes QR sont scannés à partir des téléphones portables des citoyens vaccinés. Oui, camarades, il y a une application pour cela.

Actuellement, les scans du statut vaccinal sont enregistrés par d’heureux agents de conformité, les hôtes d’accueil à l’entrée de l’entreprise ou du lieu. En effet, l’hôte d’accueil de Walmart dispose d’un nouveau gadget pour scanner votre téléphone avant de vous laisser la garde d’un caddie.

Dans les restaurants, l’hôte ou l’hôtesse dispose d’un scanner de conformité similaire pour vous enregistrer avant de vous asseoir ou de confirmer votre réservation.

C’est simple et amusant. Vous affichez votre code QR sur votre téléphone portable (alias transpondeur portable et dispositif d’enregistrement), en utilisant l’application d’enregistrement, et votre téléphone est scanné et donne une réponse verte pour confirmer votre statut vaccinal correct et l’autorisation d’entrée.

Le gouvernement australien, tant au niveau fédéral qu’au niveau des États, travaille en étroite collaboration avec des entreprises de haute technologie (assoiffées du contrat national) pour évaluer le meilleur processus universel pouvant être déployé à l’échelle nationale.

Comme l’ont indiqué les six premières américaines, les systèmes matériels (scanners) et logiciels (enregistrement) sont tous testés pour trouver les unités portables les plus complètes et les plus pratiques. Entre-temps, aux États-Unis, des villes comme Los Angeles et New York attendent la conclusion du test bêta avant de déployer leur propre version du même processus.

En Europe, les processus de suivi et d’enregistrement des vaccins connus sous le nom de « passeport vert » de l’UE sont également testés.

Le « passeport vert » est un système technologique similaire qui permet à un citoyen vacciné et enregistré d’accéder à tous les lieux et sites précédemment confinés pendant la période d’atténuation de la COVID-19. Ce qui aurait été qualifié de « vaste théorie du complot de droite » il y a 24 mois, est aujourd’hui un processus de passeport COVID bien avancé.

Comme pour tout ce qui se passe dans notre ère technologique rapide, il n’est pas nécessaire de plisser les yeux pour voir l’horizon et accepter que ce processus finira par être automatisé, et qu’il y aura un gadget ou une passerelle de numérisation qui vous donnera automatiquement accès sans qu’une personne doive se tenir là et scanner individuellement le code QR sur chaque téléphone portable.

Comme pour toutes les choses de notre ère technologique rapide, vous n’avez pas à plisser les yeux pour voir l’horizon et accepter que ce processus finira par s’automatiser, et qu’il y aura un gadget ou une passerelle de numérisation vous accordant automatiquement l’accès sans qu’une personne ait besoin de se tenir là et scannez chaque code QR de téléphone portable individuellement.

Le processus automatisé est tout simplement logique. Vous savez très bien que votre téléphone portable transmet déjà une balise électronique permettant à votre chauffeur Uber ou Lyft d’accéder à votre emplacement en appuyant sur un bouton de l’écran tactile, une autre application pratique sur votre téléphone. Alors, pourquoi les passerelles n’accepteraient-elles pas simplement cette même transmission reconnaissable comme l’enregistrement de votre arrivée au café en conformité avec les lois de vaccination ?

La version automatisée est bien plus facile et bien plus cool que de devoir mettre la main dans sa poche ou son sac à main pour faire apparaître ce code QR sur l’écran. Souriez tous, le partenariat entre les grandes firmes technologiques et le gouvernement omniprésent est toujours là pour rendre votre transit plus fluide et plus transparent. Vous ne remarquerez même pas le récepteur électronique installé à l’entrée. Donnez-lui quelques semaines et vous ne vous souviendrez plus de la raison pour laquelle vous vous moquiez d’Alex Jones (NDT : journaliste « conspirationniste » américain), pas plus que vous ne vous souvenez de la raison pour laquelle vous enlevez vos chaussures à l’aéroport.

Cependant, au fur et à mesure de la création de ce processus, il convient de considérer que vous êtes en train de passer discrètement du statut de personne individuelle à celui de produit. Certains commencent à s’inquiéter dans le cadre du test bêta :

[…] « vous devez devenir un objet avec des attributs qui se trouvent dans une base de données. Au lieu de se promener anonymement et de faire toutes sortes de transactions à l’insu du gouvernement, les Australiens se retrouvent à passer par des « portes ». …

Tous les systèmes basés sur les produits ont ces portes pour contrôler le flux des stocks et éliminer les erreurs. C’est ainsi que les ordinateurs voient les choses. Plus il y a de portes, plus c’est clair.

Vous mettez à jour le gouvernement comme un colis est mis à jour par Australia Post sur son chemin vers un client. Si une erreur est détectée, des alertes automatiques sont émises et vous êtes arrêté dans votre démarche. En Nouvelle-Galles du Sud, cela se traduit par un grand « X » rouge sur l’application myGov pour les passeports vaccinaux (si vous avez réussi à relier votre compte Medicare sans faire exploser votre téléphone).

Les systèmes de contrôle des portes ont été adaptés du commerce de détail et transformés en solutions de foule à base humaine pour microgérer des millions de vies avec la même efficacité impitoyable que les codes-barres qui suivent les stocks. Il n’y a aucune nuance ou humanité dans cette ère numérique sans âme. Les codes-barres sont binaires. Bon – mauvais. Citoyen ou dissident.

Même si vous avez tous les attributs gouvernementaux requis pour passer les portes – deux vaccins, six rappels et un abonnement à vie à Microsoft – quelque chose peut mal tourner. Si vos données échouent au scanner, vous passerez au purgatoire numérique et deviendrez un message d’erreur. » (Lire la suite)

Cela pourrait poser problème si votre statut n’est pas enregistré correctement, ou si le système identifie une forme de non-conformité au mode de vie alternatif qui vous empêchera d’entrer. Mais bon, c’est à ça que servent les tests bêta, à résoudre tous ces bugs techniques et autres. Ne vous inquiétez pas…. passez votre chemin….

Mais encore une fois… 

« Pour ceux qui font partie de la classe privilégiée autorisée à faire du shopping, prenez note des panneaux Covid qui encouragent les transactions sans argent liquide sous le couvert de la « santé ». Les messages autour des cartes étant « plus sûres » vont se multiplier jusqu’à ce que le Trésor tente de supprimer entièrement l’argent liquide, presque certainement avec l’approbation du public. »

Attendez, maintenant nous plissons les yeux sur cette image familière à l’horizon parce que nous savons que ceux qui contrôlent les choses parlent d’une société sans argent liquide depuis un certain temps.

Nous savons également que les données sont considérées comme une marchandise majeure en soi. Pourquoi pensez-vous que tous les systèmes que vous rencontrez à l’ère moderne exigent votre numéro de téléphone, même si vous ne vous inscrivez à rien. Cela signifie que vous, nous, sommes tous liés à ce système d’enregistrement moderne qui définit notre statut. Nous savons également que les opérateurs du système achètent et vendent notre statut enregistré au sein de divers systèmes de vente au détail et de technologie.

Oui, cette ombre opaque devient un peu plus claire maintenant.

Vous essayez peut-être d’acheter de la nourriture pour chien et on vous refuse l’entrée à Pet Smart parce que vous n’avez pas renouvelé l’immatriculation de votre voiture. Ou peut-être que l’on vous bloque l’entrée parce que vous avez oublié de changer l’huile du véhicule que vous conduisez en leasing, et que Toyota a passé un accord bizarre avec un consortium de détaillants. Vous vous rendez chez le vidangeur qui apparaît comme par hasard dans l’application de conformité citoyenne – il n’est qu’à deux pâtés de maisons – ils effacent l’alerte après avoir effectué la vidange, et vous êtes à nouveau conforme aux règles de la passerelle.

Vous avez manqué votre piqûre de rappel ? Nous sommes désolés, citoyen, votre compte bancaire est gelé jusqu’à ce que votre conformité soit rétablie… Veuillez vous rendre au bureau de vaccination le plus proche, tel qu’il s’affiche sur l’écran de votre téléphone portable, afin de pouvoir accéder à tous les autres points de contrôle. …. tapez pour continuer !

Vous avez voté pour le mauvais candidat ? Participé, ou fait un don à une manifestation de camionneurs ?

Oui, où cela allait nous mener semblait clairement évident, et le Premier ministre canadien Justin Trudeau vient de réveiller les masses :




De la crise financière et monétaire à la terreur Étatique de la pandémie COVID

[Source : les7duquebec.net]

Tout commence par la crise financière et monétaire

Connaissez-vous les récits de vos grands-parents au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, lorsque des mesures monétaires très douloureuses ont été mises en œuvre dans le contexte de l’inflation galopante, des dettes de guerre et des personnes qui avaient tout perdu ? Je voudrais évoquer très brièvement ce qui s’est passé à l’époque, puis faire le lien avec notre époque actuelle.

Tout d’abord, la réforme monétaire [1] a eu lieu en 1948, lorsque le Reichsmark est devenu le Deutsche Mark. Toutefois, le nouvel État en a profité pour se débarrasser d’une grande partie de ses dettes en ne donnant que 6,50 marks pour 100 reichsmarks. Cela s’appliquait à tout ce qui se trouvait sur les comptes bancaires, aux emprunts d’État, aux obligations, aux crédits d’épargne-logement et également aux crédits d’assurance-vie et d’assurance retraite. Les dettes, c’est-à-dire les crédits, et les paiements courants (loyers, primes, etc.) ont en revanche été convertis 1:1 et ont donc été maintenus dans leur intégralité. Dans le cadre de la réforme monétaire de 1948, les actifs financiers ont donc été massivement dévalorisés.

Comme la réforme monétaire avait particulièrement touché les épargnants et épargné les propriétaires de biens immobiliers, la compensation des charges [2] a été mise en œuvre en août 1952 pour les citoyens possédant des biens matériels, notamment des biens immobiliers. Une compensation des charges de 50% a été versée à l’État sur tous les biens. Cette énorme charge financière a ensuite été payée à l’État sur 30 ans par tranches d’un quart d’année. En 1982, la loi sur la compensation des charges a pris fin avec les derniers versements.

Le système financier, avec ses intérêts composés, ne cesse de tomber dans un piège qu’il s’est lui-même tendu. Au fil des années, le capital se concentre (s’accumule) entre les mains d’un groupe extrêmement riche et  restreint de capitalistes (plus de 2000 multimilliardaires). Les autres personnes doivent rémunérer cette fortune des super-riches par le biais de leur force de travail salarié (la plus-value), mais cela devient de plus en plus difficile, car le capital à rémunérer ne cesse d’augmenter alors que la part des salaires tend à diminuer dans la richesse collective. C’est pourquoi ce système a besoin d’une remise à zéro de temps en temps.

Autrefois, les guerres étaient très appréciées à cet effet (remettre la comptabilité sociale à jour en faisant payer les travailleurs). Sous le mode de production capitaliste on acceptait des morts et des souffrances pour préserver et développer la richesse sociale collective que les riches accumulaient pour leur bénéfice personnel. Pourquoi en serait-il autrement aujourd’hui ?

Jusqu’à présent, il n’y a pas eu de troisième guerre mondiale (compte tenu des immenses arsenaux nucléaires, cela serait dangereux pour les «élites» et les milliardaires eux-mêmes), mais le problème du système financier en faillite subsiste…comment le résoudre?

Depuis les années 1980, la dérégulation des marchés financiers et l’apparition de marchés de produits dérivés très spéculatifs sont venues aggraver la situation, faisant perdre encore plus de terrain à la formation de capital réel (capital mobilier et immobilier ou capital constant et variable).

C’est ainsi qu’est survenue la crise financière de 2008. Les banques et les investisseurs ont été « sauvés » par les États. Mais à un prix très élevé. Outre l’endettement extrême de l’État (dont les contribuables devront finalement s’acquitter), de larges couches de la population, en particulier en Allemagne, ont été quasiment partiellement dépossédées de leurs biens par des taux d’intérêt négatifs et des hausses extrêmes des prix des biens patrimoniaux dues à l’afflux d’argent des banques centrales. Les prix élevés de l’immobilier ne signifient pas qu’ils ont pris de la valeur. Les monnaies (notamment l’euro et le dollar américain) ont simplement perdu de leur valeur en raison de l’abondance d’argent. Cela doit tôt ou tard conduire à un crash. Le plus tard sera le pire.

En 2019, nous y sommes presque arrivés. En septembre, les marchés financiers ont failli connaître une nouvelle crise qui aurait éclipsé la crise financière de 2008. Le marché dit « repo » (il s’agit de la partie du marché monétaire par laquelle les banques et les hedge funds se prêtent de l’argent entre eux), qui représente un volume mondial d’environ 15 000 milliards d’euros !!!, a dû être sauvé par la banque centrale américaine, la Fed, à hauteur de centaines de milliards de dollars américains. Après le sauvetage des banques en 2008 et l’endettement extrême des États qui s’en est suivi, une nouvelle crise aurait conduit au chaos par le biais d’effets dominos mondiaux. Le public ne s’en est toutefois pas rendu compte. [3]

Le terrorisme Étatique sanitaire comme tactique pour imposer le «Grand reset»,  pour le bénéfice des riches

De mon point de vue, cela a déclenché la « pandémie » dont les «élites» parlent depuis longtemps, afin de remettre le système financier et économique mondial sur pieds et de protéger et d’accroître encore la fortune des super-riches…ce que l’élite aime appeler le «Great Reset» c’est-à-dire, faire payer les travailleurs pour les dettes des riches.

L’OMS a été mise au pas depuis longtemps à grand renfort d’argent, notamment en provenance de Chine et d’investisseurs privés [4], et les États membres sont tenus, par le biais du Traité sur le règlement sanitaire international (RSI) contraignant en droit international, de suivre les instructions de l’OMS, notamment en cas de pandémie. Ce traité a été amendé en 2005 en vue de la mondialisation croissante et de la propagation internationale de maladies infectieuses telles que le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et est entré en vigueur le 15 juin 2007 [5].

En avril 2009 (donc peu après le début de la crise financière), la définition d’une pandémie a été nettement édulcorée par l’OMS [6]. Alors qu’il fallait auparavant un « très grand nombre » de morts dans le monde pour qu’une pandémie se déclare, il ne suffit depuis lors que de résultats de tests positifs. Ainsi, la pandémie de grippe porcine a pu être déclarée dès le 11 juin 2009. Heureusement, cette pandémie a pu être démasquée comme étant totalement exagérée. A l’époque, le test PCR avait déjà joué un rôle peu glorieux. Le 31 octobre 2020, l’OMS a encore modifié la définition de l’immunité de groupe, qui ne pourra plus être atteinte à l’avenir par l’immunité naturelle, mais uniquement par la vaccination [7].

Par ailleurs, avez-vous remarqué que le CDC américain n’autorise plus le test PCR pour la détection de la maladie de Corona à partir du début de l’année? Celui-ci ne peut pas faire la différence de manière fiable entre les virus Influenza et Corona [8]. Peut-être une des raisons pour lesquelles l’influenza semble avoir disparu ? Ceci n’est qu’une parenthèse.

En 2010, la fondation Rockefeller avait déjà décrit dans son rapport «Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international» [9] le scénario du « lockstep », c’est-à-dire du «pas de géant», en cas de pandémie de grippe. Il s’agissait de réfléchir aux possibilités et aux défis politiques et sociaux qui résulteraient de cette pandémie anxiogène. Il en est ressorti qu’une synchronisation mondiale associée à des mesures répressives serait prometteuse pour l’installation d’États totalitaires de surveillance et de contrôle à la suite de la pandémie.

D’autres éléments de notre vie actuelle ont également été préparés avant Corona, comme par exemple un certificat de vaccination numérique dans l’UE depuis 2018 [10] [11]. Le Global Vaccination Summit qui s’est tenu à Bruxelles le 12.09.2019 sous l’égide de la Commission européenne et de l’OMS est également très instructif à ce sujet [12].

Le 19.10.2019 a ensuite eu lieu à New York l’«Event 201» (traduit : événement de janvier [20]) sous l’égide du Johns Hopkins Center for Health Security (créé par la fondation Rockefeller) et avec le soutien de la fondation Bill et Melinda Gates et du Forum économique mondial (World Economic Forum – WEF) [13]. L’exercice portait sur le cas fictif d’une pandémie mondiale déclenchée par un nouveau coronavirus appelé nCov-19. Outre le lockdown et les restrictions de voyage, il a été question de la communication en cas de pandémie et de la gestion des fake news.

Dans la « pandémie » qui a ensuite effectivement eu lieu à partir de janvier 20, l’université Johns-Hopkins fournit dans le monde entier, via le Corona Dash-Board, les chiffres qui justifient l’abolition des droits fondamentaux dans le monde entier, la fondation Bill et Melinda Gates fournit les vaccins via ses investissements (entre autres, depuis l’automne 2019, elle investit dans BioNTech) [14] et le Forum économique mondial, avec son fondateur Klaus Schwab et son livre « Covid-19 – The Great Reset » [15], fournit le cadre idéologique.

Toutefois, deux modifications législatives du Bundestag allemand à l’automne 2019, donc également avant la soi-disant pandémie de Corona (SARS-CoV-2), sont décisives: Modification de l’article 21 de la loi sur la réglementation du droit d’indemnisation sociale (loi sur la compensation des charges) du 12.12.2019 avec application à partir du 01.01.2024.

Dans cette modification, l’objectif de «l’assistance aux victimes de guerre» pour lequel la loi sur la compensation des charges a été créée est remplacé par le terme «indemnisation sociale» et il est fait référence au livre quatorzième du code social, qui a également été modifié. Modification du Code social quatorzième livre (SGB XIV) du 07.11.2019 avec application à partir du 01.01.2024.

« Le nouveau livre 14 du Code social (SGB XIV) règle l’indemnisation des besoins liés aux dommages subis par … les personnes qui ont subi un préjudice de santé suite à une vaccination préventive ou à d’autres mesures de prophylaxie spécifique selon la loi sur la protection contre les infections».

Résumons donc brièvement la situation : L’État pourra, à partir du 01.01.2024, procéder à une compensation des charges (un joli mot pour expropriation) dans les actifs de l’ensemble de la population pour l’indemnisation des victimes de la vaccination.

Les contrats divulgués avec les fabricants de vaccins expliquent que ceux-ci n’assument aucune responsabilité [16]. Cela incombe aux candidats à la vaccination qui, en acceptant « la vaccination proposée », assument eux-mêmes le risque de participer à cette expérience médicale. Pourquoi pensez-vous que les vaccins Covid, qui n’ont que des autorisations conditionnelles, sont les seuls vaccins où il faut signer un document de consentement? [17]. En fin de compte, on participe à une étude médicale pour laquelle le fabricant n’assume aucune responsabilité. La victime d’une vaccination ne peut que se tourner vers l’État et espérer une indemnisation.

Une obligation générale de vaccination est importante pour l’État, car c’est la seule façon de justifier une répartition des charges sur tous les citoyens. Sinon, tous ceux qui ne se sont pas fait vacciner pourraient à juste titre se demander pourquoi ils devraient être responsables des dommages subis par les autres, qui ont volontairement pris le risque de la vaccination expérimentale. De plus, il s’agit bien sûr aussi de ne plus avoir de groupe de contrôle non vacciné, ce qui est en fait obligatoire pour une étude médicale, mais qui pourrait soulever des questions sur la responsabilité personnelle de certains protagonistes.

Pour obtenir une autorisation régulière sans obligations spécifiques, les fabricants de vaccins doivent obtenir d’autres résultats d’études et remplir d’autres obligations spécifiques dans un certain délai [18]. En attendant, les autorisations conditionnelles sont prolongées sur une base annuelle, ce qui a été fait récemment par l’EMA dans le cas de BioNTech/Pfizer, Moderna et AstraZeneca.

La vaccination et le pass-saitaire comme moyen de surveillance

D’ici fin 2023 (en supposant un cycle de 6 mois), chaque sujet/citoyen aura reçu 7 injections de ces vaccins expérimentaux basés sur le génie génétique. Cela correspond d’ailleurs aux quantités incroyables de doses de vaccins commandées par l’UE. Dès le lancement de la campagne de vaccination, 2,3 milliards de doses de vaccins ont été commandées, pour seulement 450 millions d’habitants environ [19], soit 5 vaccins par habitant de tout âge. Entre-temps, encore plus de doses ont été commandées, notamment en mai 1,8 milliard de doses supplémentaires de BioNTech [20]. Ceux qui pensent que les rappels actuels sont suffisants, croient aussi au malade asymptomatique et au test PCR.

Si l’on tient compte des graves effets secondaires des vaccins jusqu’à présent, y compris les décès, qui dépassent toutes les échelles des vaccins actuels (voir graphique sur la base de la banque de données américaine VAERS), il faut s’attendre à un nombre extrêmement élevé de victimes et de dommages liés aux vaccins dans les années à venir.

Le 23 septembre 2021, une demande a déjà été déposée au Parlement européen pour la création d’un fonds pour les victimes de la vaccination. Dans cette demande, les chiffres de l’Agence européenne des médicaments (EMA) concernant les effets secondaires, qui étaient déjà près d’un million à cette date, sont révélateurs [21]. Entre-temps, ces chiffres sont encore nettement plus élevés et le nombre de cas non déclarés devrait être très important [22].

Il faut donc s’attendre à un nombre énorme de victimes et de décès dus à la vaccination d’ici 2024, ce qui rend très probable l’appel à un partage des charges.

Il se pourrait toutefois que les indemnisations ne soient qu’un prétexte et que l’on perçoive nettement plus d’argent par le biais d’une compensation des charges que ce qui serait en fait nécessaire.

Réforme monétaire et remise à zéro (Great reset) du système économique en faillite

L’État a également besoin de la fortune de ses citoyens pour une nouvelle monnaie, l’euro numérique, sur lequel la BCE travaille officiellement depuis cette année [23]. Les États européens (comme d’autres États occidentaux, notamment les États-Unis) sont fortement endettés et majoritairement en faillite. En revanche, le patrimoine appartient aux citoyens. Pour que l’euro numérique ait une valeur, la BCE et les États de la zone euro doivent être désendettés. Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que la présidente de la Commission européenne, Ursula von-der-Leyen, exige désormais une vaccination obligatoire à l’échelle européenne [24]. Cela pourrait donc être utilisé dans toute l’Europe comme prétexte à des expropriations.

En outre, la Chine va déjà introduire en 2022 une nouvelle monnaie numérique adossée à des actifs, qui est déjà en phase de test et devrait être lancée dans tout le pays pour les Jeux olympiques d’hiver de 2022 [25]. Cependant, la Chine possède désormais beaucoup plus d’actifs que les pays industrialisés occidentaux, ce qui rendra la monnaie très forte et mettra les autres sous pression. Selon la volonté des dirigeants chinois, l’e-yuan doit remplacer le dollar comme monnaie de référence.

Les citoyens de l’UE et d’autres pays occidentaux seront bientôt prêts eux aussi pour une réforme monétaire. L’inflation actuellement alimentée artificiellement (générée entre autres par des retards de livraison et des pénuries de microprocesseurs) va encore s’accélérer [26] et faire en sorte que les citoyens qui s’appauvrissent peu à peu réclament des compensations, des «aides» de l’État.

La nouvelle monnaie sera probablement une monnaie purement numérique, sans argent liquide, basée sur la technologie blockchain ou similaire. Elle devrait alors être reliée, sous forme de portefeuille, à une identité numérique au sens de l’ID2020 [27], dont les carnets numériques de vaccination feront également partie ou constitueront la base. En tant que monnaie de banque centrale, elle ne sera, comme on peut s’y attendre, plus liée à un compte bancaire. Chaque citoyen aura son propre compte de banque centrale auprès de la BCE. Les publications de Norbert Häring à ce sujet sont d’ailleurs très instructives [28].

Jusqu’à présent, il n’est pas encore question de réforme monétaire avec le projet d’euro numérique de la BCE. En outre, il est toujours souligné que l’on ne veut pas abolir l’argent liquide avec l’euro numérique, mais ne disait-on pas aussi jusqu’à récemment qu’il n’y aurait jamais de vaccination obligatoire en Allemagne ?

Puce d’identité numérique comme système de contrôle de masse

Grâce à la carte d’identité numérique, les droits fondamentaux peuvent en outre être liés à la réalisation de prescriptions étatiques, comme en Chine avec son système de scoring social. Aujourd’hui, il faut se faire vacciner pour avoir accès à la vie publique. Qu’en sera-t-il demain ? D’autres expériences médicales pour Big Pharma, des mesures médicales contre la surpopulation, le blocage du porte-monnaie numérique pour les produits et services qui consomment trop de CO2, comme la viande ou les voyages ? Le citoyen devient ainsi totalement vulnérable au chantage. Pas d’argent et pas de droits fondamentaux en cas de «mauvais comportement». Et qui manifestera encore si on lui coupe ensuite les vivres en guise de punition?

Cela laisse présager le pire pour notre liberté et notre prospérité. Selon le tableau dressé par le Forum économique mondial pour l’année 2030 : «Vous ne posséderez rien, mais vous serez heureux» [29].

Encore quelques mots pour conclure à l’attention des citoyens, des élus, des journalistes ou des juges qui pensent que cela ne les concerne pas, parce qu’ils peuvent peut-être, grâce à leurs relations avec des médecins ou à leur position actuelle, obtenir le carnet de vaccination tant convoité, même sans piqûre. C’est encore possible, car on veut faire entrer le plus de gens possible dans le système du passeport Covid sans grande résistance. Mais il existe déjà des brevets pour des vaccins biométriques infalsifiables, comme le Microneedle Tattoo du célèbre Massachusetts Institute of Technology (MIT), qui a été présenté le 18 décembre 2019 [30] [31]. L’étau se resserre de plus en plus pour tout le monde. Est-ce ce que vous voulez pour vos enfants et vos familles ? Tous ceux qui participent se rendent complices.

Les droits fondamentaux inaliénables et le code de Nuremberg [32] ont été créés en tant que leçon suite au troisième Reich, selon lequel aucun être humain ne peut être contraint de participer à une expérience médicale contre sa volonté :

« …le consentement volontaire du sujet de recherche (est) absolument nécessaire. Cela signifie que la personne concernée doit être capable, au sens juridique du terme, de donner son consentement ; qu’elle doit être en mesure d’exercer son jugement sans être influencée par la violence, la fraude, la ruse, la pression, la simulation ou toute autre forme de persuasion ou de contrainte ; qu’elle doit connaître et comprendre suffisamment le domaine concerné dans ses détails pour être en mesure de prendre une décision raisonnable et éclairée ». Il est évident que cette obligation a déjà été violée de manière flagrante par la pression (2G et autres). Qu’est-ce qui va suivre ?

Traduit de l’Allemand

https://uncutnews.ch/impfpflicht-zur-rettung-des-finanzsystems/


Sources

VERSION ORIGINALE ALLEMANDE

Source : https://uncutnews.ch/impfpflicht-zur-rettung-des-finanzsystems/




Qui est Bill Gates ?

[Source : @JeanneTraduction via lezarceleurs]

Bill Gates ou la domestication du monde – The Corbett Report

PARTIE 1 : Qui est Bill Gates ? de 00:00 à 23:28
PARTIE 2 : Le plan de Bill Gates pour vacciner le monde de 23:28 à 50:45
PARTIE 3 : Bill Gates et la grille de contrôle de la population de 50:45 à 1:27:02
PARTIE 4 : Rencontrez Bill Gates de 1:27:02 à la fin



[Voir aussi :
Gates blâme la « liberté » occidentale
Le projet maléfique de Gates s’appuie sur la corruption. 319 millions déversés dans les médias
Bill Gates : Les gouvernements doivent punir les utilisateurs en ligne qui s’opposent aux masques et aux vaccins
Les données : l’« or noir » du XXIe siècle
3 mois avant le COVID, l’Union mangeait la soupe du vaccin servie par Bill Gates et Big Pharma
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Robert F Kennedy Jr. expose le plan de dictature des vaccins de Bill Gates – cite le «complexe du Messie» tordu de Gates
Au tour du meurtrier Bill Gates !
Le Diable a un pied dans la porte et le Vatican ne fait rien — où l’on retrouve encore Bill Gates
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L’obsession de Bill Gates pour les vaccins
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5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Marcel s’occupe de Bill Gates et de l’OMS
La FDA met fin au programme d’essais Covid-19 soutenu par Bill Gates
Corbett Report : Bill Gates et la grille de contrôle de la population
Dépeuplement, ID2020 et preuve d’immunité numérique – La doctrine agressive de la Fondation Gates pour une vaccination massive]




Philippe de Villiers : Ce que je ne savais pas… et vous non plus, sur « Le jour d’après »

[Source : profession-gendarme.com]

Avez vous 01 heure de votre temps à consacrer à l’écoute de cette vidéo ? Si oui vaus saurez tout sur la PLANDEMIE…

Conférence enregistrée à notre université d’été 2021 qui avait pour thème: Naissance d’une nouvelle religion, l’écolo-hygiénisme. https://renaissancecatholique.fr/

Source : Youtube

Si vous n’avez pas regardé jusqu’au bout nous pouvons en conclure que vous faites partie du “Troupeau” hypnotisé par les “Médias Mainstream” qui eux réfléchissent à votre place…




Les élites et leur pandémie perpétuelle

[Source : HocineLeDZ]






La surveillance numérique – le vrai motif derrière la pression pour vacciner les enfants

[Source : ns2017]

Par Michael Nevradakis, Ph.D.

COVID-19 a peut-être pris une grande partie de la planète par surprise à la fin de 2019 et au début de 2020, mais une grande partie des bases de la technologie aujourd’hui largement utilisée comme “réponse” à la pandémie a été conceptualisée et développée des années auparavant.

Aux États-Unis et dans le monde entier, des efforts ont été déployés récemment pour mettre en œuvre divers régimes de “passeport vaccinal”, dont beaucoup s’appuient sur des technologies numériques telles que des applications mobiles permettant d’enregistrer – du moins jusqu’à présent – le carnet de vaccination COVID-19 d’une personne.

Ces “outils” sont présentés par les responsables publics et d’importantes sections des médias au cours des dernières semaines et des derniers mois comme une sorte d’inévitabilité, une progression technologique aussi naturelle que la respiration.

Ils sont également présentés comme une réponse “nouvelle” à une crise sans précédent.

Ces applications technologiques sont présentées comme un moyen de maintenir les commerces ouverts et d’assurer la “tranquillité d’esprit” des citoyens qui hésitent à pénétrer dans les espaces publics.

Mais dans quelle mesure cette “nouvelle” technologie est-elle nouvelle ? Et l’utilisation de la technologie se limitera-t-elle aux vaccinations COVID, ou à des fins de “santé” ?

Les “alliances” internationales qui soutiennent la fusion entre “Big Tech” et “Big Health”

C’est au début de la décennie précédente, en janvier 2010, que Bill Gates, par l’intermédiaire de la Fondation Bill & Melinda Gates, a proclamé : “Nous devons faire de cette décennie celle des vaccins”, ajoutant que “l’innovation permettra de sauver plus d’enfants que jamais”.

En lançant cette “Décennie des vaccins”, la Fondation Gates a promis un financement de 10 milliards de dollars. Mais Gates n’était pas le seul acteur derrière cette initiative.

Par exemple, le programme de la “Décennie des vaccins” a utilisé un modèle provenant de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health pour projeter l’impact potentiel des vaccins sur les décès d’enfants au cours de la décennie à venir.

Et l’annonce de l’initiative “Décennie des vaccins” a été faite lors de la réunion annuelle du Forum économique mondial (FEM) de cette année-là.

Ces mêmes acteurs – la Fondation Bill et Melinda Gates, la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health et le WEF – ont organisé le désormais célèbre exercice de simulation de pandémie Event 201, en octobre 2019, juste avant que le COVID n’entre dans nos vies.

En outre, en 2010, un “Plan d’action mondial pour les vaccins” a été annoncé dans le cadre de cette initiative. Il s’agissait d’une collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’UNICEF et l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), le Dr Anthony Fauci faisant partie du conseil de direction.

Comme l’a déclaré la Fondation Gates à l’époque :

“Le Plan d’action mondial pour les vaccins permettra une meilleure coordination entre tous les groupes de parties prenantes – gouvernements nationaux, organisations multilatérales, société civile, secteur privé et organisations philanthropiques – et identifiera les lacunes critiques en matière de politiques, de ressources et autres qu’il faut combler pour réaliser le potentiel des vaccins à sauver des vies.”

Le comité de pilotage du “Plan d’action mondial pour les vaccins” comprenait un membre de GAVI Alliance. Notamment, l’annonce initiale de la “Décennie des vaccins” a été faite en présence de Julian Lob-Levyt, alors PDG de GAVI Alliance.

Qu’est-ce que, ou qui, est GAVI Alliance ? Également connue sous le nom d’”Alliance pour les vaccins”, elle se donne pour mission de “sauver des vies et de protéger la santé des populations” et déclare “contribuer à la vaccination de près de la moitié des enfants du monde contre des maladies infectieuses mortelles et débilitantes”.

GAVI poursuit en décrivant son partenariat principal avec diverses organisations internationales, dont les noms sont désormais familiers : l’OMS, l’UNICEF, la Fondation Bill et Melinda Gates et la Banque mondiale. (Loin d’aider les pauvres du monde, la Banque mondiale a été décrite par un ancien initié, John Perkins, comme une organisation qui utilise des “tueurs à gages économiques” pour assujettir des pays financièrement paralysés).

En 2018, GAVI, par le biais de son initiative INFUSE (innovation pour la mise à jour, l’échelle et l’équité dans la vaccination), a mis en avant les ” éléments de réflexion ” suivants :

“Imaginez un avenir dans lequel tous les enfants ont accès à des vaccins salvateurs, quel que soit l’endroit où ils vivent – un avenir dans lequel les parents et les agents de santé veillent à ce qu’ils soient vaccinés à temps, un avenir dans lequel ils disposent de leur propre dossier médical stocké numériquement, qui ne peut être ni perdu ni volé, un avenir dans lequel, indépendamment du sexe, du statut économique ou social, ce dossier permet à chaque enfant (et à ses parents) d’avoir accès à un compte bancaire, d’aller à l’école, d’accéder à des services et, en fin de compte, de construire une vie prospère.

“Ce futur est possible aujourd’hui. Grâce aux dernières avancées des technologies numériques qui permettent des moyens plus efficaces d’enregistrer, d’identifier les naissances et de délivrer des preuves d’identité et d’authentification pour l’accès aux services – nous sommes sur le point de construire un avenir plus sain et plus prospère pour les enfants les plus vulnérables du monde.”

Selon GAVI, cet objectif serait atteint par le biais de l’initiative INFUSE, notamment en “faisant appel à des innovations qui tirent parti des nouvelles technologies pour moderniser le processus d’identification et d’enregistrement des enfants qui ont le plus besoin de vaccins vitaux”.

Comme décrit par le journaliste d’investigation Leo Hohmann :

Ne vous laissez pas tromper par la partie concernant la “construction d’un avenir plus sain et plus prospère”. Ce n’est que de la poudre aux yeux. Il ne s’agit que de collecte de données et cela n’a rien à voir avec la santé.

“Le véritable objectif derrière la poussée historique et sans précédent pour vacciner les très jeunes, même contre des maladies comme le COVID qui ne représentent pas une menace pour eux, est d’intégrer la génération actuelle d’enfants dans le système d’identité numérique mondial en plein essor.”

GAVI elle-même a confirmé la déclaration ci-dessus, puisqu’elle a décrit les utilisations potentielles de ces ” nouvelles technologies ” comme allant au-delà de la délivrance d’une ” carte de santé numérique pour enfant ” pour englober ” l’accès à d’autres services “, y compris les ” services financiers ” au sens large.

Les limitations de ” l’accès ” à ces ” autres services ” sont déjà apparentes dans les juridictions où les passeports COVID restreignent l’accès aux entreprises, aux banques et à d’autres espaces privés pour les personnes non vaccinées.

GAVI Alliance collabore également étroitement avec l’Alliance ID2020, fondée en 2016, qui prétend plaider en faveur ” d’approches éthiques et protectrices de la vie privée en matière d’identification numérique “, ajoutant que ” bien faire l’identification numérique signifie protéger les libertés civiles “.

Sans surprise, aucune clarification n’est fournie concernant la perte potentielle de libertés civiles pour les personnes qui choisissent, pour quelque raison que ce soit, de ne pas se faire vacciner et qui sont donc exclues de larges pans de la société dans les zones où les passeports COVID ont été mis en œuvre et appliqués.

Une telle rhétorique de la part d’ID2020 rappelle les déclarations publiques de l’Union européenne (UE) alors qu’elle se préparait à lancer son “Passeport vert” au début de l’année :

Les fonctionnaires de l’UE, comme la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen – qui a récemment appelé à une “discussion” sur les vaccinations obligatoires dans l’UE – se sont donné beaucoup de mal pour souligner la manière dont la vie privée des individus serait protégée.

D’une manière que certains pourraient considérer comme un manque de ton, ils ont également souligné que ce laissez-passer numérique permettrait aux gens de “se déplacer en toute sécurité” pour “le travail ou le tourisme”, comme si cette libre circulation était un nouveau concept que seul un laissez-passer numérique pourrait rendre possible.

Une fois encore, les restrictions imposées aux personnes non vaccinées, y compris celles concernant le “travail ou le tourisme”, étaient totalement absentes du discours public entourant cette nouvelle mesure.

Soulignant les possibilités que pourrait apporter la collaboration entre GAVI et ID2020, l’appel à l’innovation d’INFUSE déclare

Toutes ces propositions et initiatives semblent, à leur tour, s’aligner étroitement sur les Objectifs de développement durable des Nations unies, et en particulier sur l’Objectif 16.9, qui appelle à la fourniture d’une identité légale numérique pour tous, y compris les nouveau-nés, d’ici 2030.

À cette fin, l’ONU a créé en 2018 le groupe de travail sur le programme d’identité légale des Nations unies. En mai 2021, cette task force, aux côtés du Programme des Nations unies pour le développement et de divers acteurs du secteur privé, a organisé les sessions de tables rondes “Future of Technology and Institutional Governance in Identity Management”.

Le rapport final de ces sessions indique notamment que les parties prenantes souhaitent l’expansion des partenariats public-privé pour la poursuite du développement et de la mise en œuvre des régimes d’identité numérique dans le monde entier, y compris dans le Sud global.

L’une des parties prenantes présentes, l’organisation à but non lucratif Secure Identity Alliance, se félicite de son soutien à “la fourniture d’une identité légale et fiable pour tous et au développement de services numériques inclusifs nécessaires à une croissance économique et une prospérité durables à l’échelle mondiale”.

Dans un document publié en juillet par la Secure Identity Alliance, il est question de “faire des certificats de santé une réalité réalisable”.

L’un des cinq principes mis en avant par le document pour ces passeports médicaux est qu’ils soient “à l’épreuve du temps”, en offrant une “fonctionnalité polyvalente” afin de “garantir une valeur continue au-delà de la crise actuelle”.

La Secure Identity Alliance compte parmi ses observateurs des autorités gouvernementales de pays tels que l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Estonie, la Slovénie, les Émirats arabes unis, le Nigeria et la Guinée.

En outre, l’un de ses membres fondateurs et membres actuels du conseil d’administration est le groupe Thales, une entreprise privée active dans l’aérospatiale, la défense et la sécurité – en bref, un entrepreneur de la défense.

Sur son site web, le groupe Thales fait fièrement la promotion de sa “carte de santé intelligente” et de sa technologie de portefeuille d’identification numérique. Au milieu d’un langage utopique affirmant que “nous sommes prêts pour le changement” et que “nous donnons le contrôle aux citoyens”, le portefeuille d’identification numérique promet au public la possibilité “d’accéder aux droits et services auxquels nous avons droit.”

En effet, les documents qui seraient disponibles via ce portefeuille d’identification numérique vont au-delà des “titres de santé” et incluent les cartes d’identité nationales, les permis de conduire et tout autre document officiel.

De nombreux pays dans le monde, y compris les États-Unis, se trouvent actuellement à différents stades de la mise en œuvre de ce type de “portefeuille numérique”.

Les “passeports santé” franchissent une étape (ou plus) : les régimes de porte-monnaie numériques prennent forme

Le 30 novembre, la Chambre des représentants des États-Unis a adopté le projet de loi H.R. 550, intitulé Immunization Infrastructure Modernization Act of 2021.

Si elle est adoptée par le Congrès, cette loi prévoit un financement de 400 millions de dollars pour développer les systèmes de suivi des vaccins au niveau des États et des collectivités locales, permettant aux responsables de la santé des États de surveiller le statut vaccinal des citoyens américains et de fournir ces informations au gouvernement fédéral.

Des passeports vaccinaux et des listes d’interdiction de vol pour les personnes non vaccinées – un concept pour lequel Fauci a exprimé son soutien – pourraient être créés en vertu de la loi.

Le projet de loi, parrainé par la représentante Annie Kuster (NH-02), a été adopté par la Chambre des représentants des États-Unis avec 294 voix, dont toutes les démocrates et 80 républicains. Il est maintenant devant le Sénat, où il est examiné par la commission de la santé, de l’éducation, du travail et des pensions.

Depuis son adoption par la Chambre des représentants, le projet de loi a suscité une attention considérable – d’autres développements récents en matière d’identification numérique aux États-Unis semblent toutefois être restés relativement discrets.

En septembre, par exemple, Apple a annoncé un partenariat avec huit États – l’Arizona, le Connecticut, la Géorgie, l’Iowa, le Kentucky, le Maryland, l’Oklahoma et l’Utah – pour rendre les permis de conduire de ces États disponibles sous forme numérique via la plateforme Apple Wallet.

Parallèlement, plusieurs États, dont New York (via son “Excelsior Pass”) et le Connecticut, ont introduit leur propre certificat de vaccination numérique COVID.

À l’instar de la promotion des passeports vaccinaux par l’UE, ces initiatives au niveau des États américains sont présentées comme un moyen de rouvrir l’économie en toute “sécurité” et d’encourager les voyages et les déplacements.

En effet, l’État de New York est allé jusqu’à mettre à disposition un “plan” de sa plateforme de passeports vaccinaux, “comme guide pour aider d’autres États, territoires et entités dans l’expansion de systèmes compatibles de titres de vaccination COVID-19 afin de faire progresser les efforts de développement économique à l’échelle nationale”.

En ce qui concerne l’UE, l’une des priorités du bloc dans le cadre de son plan quinquennal 2019-2024 est de créer une “identité numérique pour tous les Européens.” À savoir que chaque citoyen et résident de l’UE aurait accès à un “portefeuille numérique personnel” dans le cadre de cette initiative.

Ce “portefeuille numérique personnel” pourrait inclure des documents tels que des cartes d’identité nationales, des certificats de naissance, des certificats médicaux et des permis de conduire.

L’UE a ensuite présenté ses projets pour la “décennie numérique européenne”, dans le cadre de laquelle, selon la “boussole numérique” de l’UE, 100 % des principaux services publics seront disponibles sous forme numérique, avec un objectif de 80 % d’adoption des documents d’identification numériques.

Plusieurs États membres de l’UE se sont déjà lancés dans l’aventure.

L’Allemagne, qui dispose de cartes d’identité nationales électroniques (via des puces biométriques) depuis 2010, a introduit des versions numériques de ces cartes d’identité à l’automne dernier, via l’AusweisApp2. La même application rend les permis de conduire allemands disponibles sous forme numérique.

L’Allemagne et l’Espagne ont également signé récemment un accord pour lancer un programme transfrontalier d’identification numérique, qui impliquerait une reconnaissance mutuelle des documents numériques officiels de l’autre partie.

La France a également annoncé récemment son intention d’intégrer sa carte d’identification nationale aux smartphones.

La Grèce a reçu les éloges de la presse mondiale lorsqu’elle a introduit des outils numériques particulièrement draconiens lors de ses deux lockdowns COVID, tels qu’une plateforme SMS gouvernementale à laquelle les résidents devaient envoyer un message texte afin de pouvoir circuler en public pour un ensemble limité de “raisons”.

Plus récemment, la Grèce a annoncé la création prochaine d’un portefeuille numérique qui contiendra des documents tels que la carte d’identité nationale, le permis de conduire et les documents médicaux.

L’Estonie, considérée comme un leader mondial dans l’introduction de l’e-gouvernance numérique et qui dispose de cartes d’identité numériques depuis 2002, prépare son propre système de portefeuille numérique tout en exprimant son soutien à la “boussole numérique” de l’UE.

En dehors de l’Europe, plusieurs autres pays ont également étendu leurs régimes d’identification numérique de diverses manières.

En Australie, par exemple, des États comme la Nouvelle-Galles du Sud, l’Australie-Méridionale et le Queensland ont introduit ou testé des permis de conduire numériques.

C’est en Inde, cependant, que ces documents numériques semblent avoir suscité le plus de controverse jusqu’à présent.

La mission numérique Ayushman Bharat a été annoncée en 2020 et lancée en tant que programme pilote dans six régions de l’Inde en 2021. Il s’agit d’une application qui fournit un identifiant de santé numérique unique à chaque citoyen et qui est liée à son dossier médical personnel.

Sa création intervient sur les traces du développement d’Aadhaar, le système de carte d’identité numérique nationale de l’Inde.

Aadhaar a suscité la controverse en raison des projets du gouvernement de le relier à la base de données nationale des électeurs, tandis qu’il a également été la cible de pirates informatiques.

Des questions se posent alors que de nouvelles plateformes numériques sont déployées à des “fins officielles”.

Le déploiement de plateformes numériques soulève des questions quant à la sécurité des données des individus sur ces plateformes numériques, malgré les assurances contraires des gouvernements concernant la protection de la vie privée.

En outre, on ne sait toujours pas combien de temps les “passeports COVID”, qu’ils soient sous forme numérique ou papier, resteront en vigueur, ni si les gouvernements envisagent de rendre ce régime permanent.

Un article récent paru dans The Atlantic, intitulé “Why Aren’t We Even Talking About Easing COVID Restrictions” (Pourquoi ne parlons-nous pas de l’assouplissement des restrictions COVID ?), s’interroge sur la raison pour laquelle les passeports vaccinaux obligatoires aux États-Unis n’ont pas de date d’expiration.

En effet, si l’on en croit la proclamation de la Secure Identity Alliance concernant la nécessité de “préparer l’avenir” de ces documents numériques, il se pourrait que les gouvernements n’aient pas l’intention de supprimer les passeports vaccinaux.

Même si ces utilisations spécifiques des “passeports” numériques finissent par disparaître, l’éventail des utilisations potentielles des portefeuilles numériques est stupéfiant, y compris, par exemple, via le suivi des “quotas de carbone personnels”, comme l’a précédemment rapporté The Defender.

[Voir aussi :
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique
Projet Bluetooth Expérience X
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène?
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The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?

+ Une vidéo en anglais, hébreux et français
(Comment repérer les vaccinés codés Bluetooth avec un téléphone Android ?) :



(Source vidéo : hyativ)]

Source :




Bientôt le « portefeuille d’identité numérique », un cauchemar totalitaire

[Source : reporterre.net]

Par Celia Izoard

Envie de partager votre vie entière avec un groupe privé, partenaire du gouvernement ? C’est l’idée du « portefeuille d’identité numérique », sur les rails en Europe. Selon notre chroniqueuse, avec ce contrôle étouffant, la liberté disparaît.

Celia Izoard, journaliste, coauteure de La Liberté dans le coma : Essai sur l’identification électronique et les motifs de s’y opposer (Groupe Marcuse, La Lenteur, réed. 2019). Elle a retraduit et préfacé 1984de George Orwell (Agone, 2021). Elle est aussi chroniqueuse pour Reporterre.


Lucie, jeune étudiante, sort de son lit. Au petit-déjeuner, sur son smartphone, un message du gouvernement lui signale qu’elle doit faire son rappel de vaccination. Arrivée à la fac où elle va passer un partiel, elle positionne le smartphone face à son visage pour activer la reconnaissance biométrique, ce qui génère un QR code que l’examinatrice souriante flashe pour l’identifier. Un peu plus tard, consultation chez le médecin : du même geste fluide, Lucie scanne son visage et lui tend un QR code qu’il reconnaît avec son écran avant d’ouvrir son dossier médical. Puis, dans le taxi qui la ramène chez elle, elle commande un passeport, là aussi en s’identifiant par reconnaissance faciale, puis loue une voiture en Australie en prévision d’un voyage. Le soir venu, à la porte d’un bar où elle rejoint ses amis, elle tend aimablement son smartphone au vigile qui flashe un QR code prouvant qu’elle a l’âge d’entrer.

Vous venez de voir une publicité du groupe Thalès pour son Digital Identity Wallet : un « portefeuille d’identité numérique », c’est-à-dire une sorte de passe sanitaire étendu à toutes les démarches de la vie quotidienne, assorti d’un dispositif de reconnaissance biométrique pour empêcher la fraude. On pourrait y voir une version du film Bienvenue à Gattaca [1] auquel il ne manquerait que le profilage génétique ; un cauchemar totalitaire dans lequel toute relation de confiance et de solidarité est rendue impossible par des procédures de validation contrôlées par une administration écrasante. Eh bien, pas du tout.

Le Digital Identity Wallet est « le meilleur ami de Lucie », nous dit Thalès, car c’est un outil de liberté qui protège sa vie privée. Il « offre aux citoyens un contrôle total sur leurs données personnelles, avec la liberté de décider quelles informations ils partagent, quand et avec qui ils souhaitent les partager ». Par exemple, à l’entrée du bar, Lucie a pu générer un QR code qui ne révèle que son âge, et aucune autre information personnelle. En d’autres termes, elle partage sa vie entière avec le groupe Thalès et ses partenaires (dont le gouvernement), mais elle ne lâchera rien au vigile.

QR code : toujours sous l’œil de l’État

Ce produit qui nous concerne tous très intimement a valu à Thalès le prix 2019 de « l’entreprise de l’année » par le cabinet Frost & Sullivan, qui relève avec appréciation l’une de ses originalités : « En cas de suspension d’un droit de l’individu pour quelque raison que ce soit, le gouvernement peut l’invalider en temps réel sur la plateforme » [2]. On peut donc désactiver à distance les moyens de paiement, la couverture santé ou le permis de conduire d’un citoyen. Une fonctionnalité dans l’air du temps : la même mesure était préconisée par les sénateurs de la commission prospective en juin 2021 dans la description de leur futur dispositif de crise sanitaire où, « dans un cas extrême, les données médicales d’un individu positif pourraient être croisées avec ses données de géolocalisation, et en cas de violation de sa quarantaine, conduire à une information des forces de l’ordre, ou, par exemple, à une désactivation de ses moyens de paiement. » [3]

Le portefeuille d’identité numérique sur les rails en Europe

On pense à d’autres cas extrêmes : par exemple pour neutraliser les militants susceptibles de se déplacer le jour d’une action pour le climat ou d’un appel à la grève. C’est d’autant plus facilement imaginable qu’en mai 2021, Thalès a fusionné avec l’entreprise Atos pour créer Athea, le champion européen du traitement de données massives et de l’intelligence artificielle pour les secteurs de la défense, du renseignement et de la sécurité intérieure.

Par pure coïncidence, il se trouve qu’en juin 2021, la Commission européenne a acté par la voix de Thierry Breton, commissaire au Marché intérieur, la création d’un Digital Identity Wallet pour tous les Européens. D’ici septembre 2022, les États membres devront en avoir établi les procédures techniques pour lancer des expériences pilotes. Non seulement cette création porte le même nom que le produit de Thalès, mais elle repose, tout aussi étrangement, sur le même argumentaire : « Le portefeuille d’identité numérique permettra aux citoyens de choisir quelles informations d’identité ils partagent avec des tiers, et d’en garder le contrôle [4]. »

Pour l’illustrer, la Commission a choisi un exemple : « Myra fait la queue devant une boîte de nuit et le vigile lui demande ses papiers. Au lieu de présenter sa carte d’identité, elle utilise son portefeuille d’identité numérique européen. Comme Myra peut choisir d’utiliser son portefeuille uniquement pour confirmer son âge, elle n’a pas eu besoin de partager d’autres informations personnelles avec le vigile. » Tiens ! Ça ne vous rappelle pas la soirée de l’autre fois, au bar, avec Lucie ?

Le fait que Thierry Breton ait quitté son poste de PDG du groupe Atos en 2019 pour devenir commissaire européen n’a probablement aucun rapport avec cette troublante coïncidence. On ne voit pas pourquoi il aurait avantagé ni Atos ni Thalès, principal groupe industriel français de sécurité. Et rien de tout ceci ne rappelle la récente enquête de Mediapart dans laquelle on apprend qu’une taupe de Thalès aurait infiltré l’ONU avec la complicité du gouvernement français pour orienter et décrocher les marchés d’équipement électronique des missions de l’organisation internationale.

Mais ce n’est peut-être pas le plus important. L’important est que nous soyons en train d’oublier ce que signifie la liberté. Une armée d’analystes et de communicants au service des grandes entreprises et des administrations s’y emploie chaque jour, en nous persuadant que la liberté est un sujet très technique qui concerne les modalités de stockage de nos données personnelles, et que dans ce domaine, Thalès est plus sûr que Facebook.

Scanner son visage pour aller au bar

Tout comme le « sentiment de la nature » perdure alors que la biodiversité s’effondre, le « sentiment de liberté » demeure, on peut l’éprouver entre deux portiques, mais cela n’enlève rien au fait que la liberté elle-même soit en train de disparaître. Après quelques mois, Lucie ne prête probablement plus attention au fait d’avoir dû scanner son visage pour aller au bar, elle pense à la soirée avec les amis. Elle ne voit pas les nouvelles bornes d’identification, pas plus que nous ne voyons les antennes relais quand nous traversons le paysage. Nous oublions que le monde pourrait être très différent, et qu’il l’a été. Il y a trente ans, presque personne n’avait de téléphone portable. « J’ai vécu à une époque, écrit George Bernanos en 1944 [5où n’importe quel honnête homme pouvait faire le tour du monde avec une simple carte de visite dans son portefeuille. »

Comment lutter contre ce verrouillage de nos vies ?
Combattre autant que possible l’informatisation des activités humaines. 
Flickr / CC BY-SA 2.0 / Cory Doctorow

Dans un an ou deux, quand dégainer un passe sera devenu un geste instinctif, on y adjoindra sans doute un portefeuille d’identité numérique biométrique pour parfaire le contrôle.

Comment lutter contre ce verrouillage de nos vies ? D’abord, combattre autant que possible l’informatisation des activités humaines, qui débouche nécessairement sur l’identification électronique. Créer des espaces alternatifs qui s’y soustraient (pour s’entraîner à la liberté). Quant à moi, le passe sanitaire m’a convaincue de ne plus avoir de smartphone. C’est une manière à la fois dérisoire et utile de ralentir la machine. Thalès, pour défendre son Digital Identity Wallet, argue que « 90 % des utilisateurs ont leur smartphone à portée de la main à tout moment ». Ce chiffre ne correspond pas au taux d’équipement en France, qui est de 84 %. En tous cas, il deviendrait beaucoup plus compliqué pour l’État et les entreprises d’imposer la biométrie, les QR code et tout ce qui s’ensuit si un bon quart de la population ne disposait pas de cet objet.




Députés et Sénateurs, vous ne servez plus à rien : « ils » décident pour vous — les preuves en trois exemples

Par les Gilets Jaunes de la Victoire

Modification du génome humain

Rapports de l’OMS : Des recommandations mondiales sur la modification du génome humain – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Implantation d’une puce dans le corps pour contrôle de la population

Mark of the Beast is here: Subcutaneous quantum dot “vaccine passports” from Bill Gates are ready to be injected into human subjects – NaturalNews.com [anglais]

Cryptomonnaie ou monnaie digitale, la marque de la bête est déjà brevetée – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Il y a des preuves que Bill Gates est impliqué dans les micropuces implantables même s’il nie lui-même avoir jamais été impliqué avec elles – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Implantation mondiale de la 5G

PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial

La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 2)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 3)


Voilà le résultat de votre complicité ou de votre incompréhension totale de ce qui se passe de nos jours : les instances supranationales profitent de la crise sanitaire pour imposer leur volonté à l’ensemble de la planète pour faire émerger le Nouvel Ordre Mondial.

Bientôt pour vous, le chômage, mais plus grave encore, le Peuple saura reconnaître en chacun de vous un des principaux responsables de la mort de la Démocratie et de la République ; nous ne pouvons pas vous garantir un avenir serein.

[Voir aussi :
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]


N’hésitez pas à transmettre à vos représentants :

sénateurs :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs
députés :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes
membres des cabinets Ministériels :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=cabmin
4 Agences de presse :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=medias&type_media=Agence%20de%20presse




Maître Brusa a fait confirmer par constat d’huissier la présence de code alphanumérique chez les vaccinés. MàJ

[Source : L’Informateur. (qactus.fr)]



[Mise à jour : vidéo plus complète en deux parties]

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Gabriel Attal n’exclut pas de reconfiner les Français non-vaccinés

[Source : lemediaen442.fr]

Invité sur le plateau de l’émission de France 2 On est en direct le 13 novembre 2021, Gabriel Attal, n’exclut pas la possibilité d’un reconfinement pour les non-vaccinés. Face aux questions de Laurent Ruquier et Léa Salamé sur un possible confinement à l’autrichienne, qui ne concernerait que les personnes non-vaccinées, la réponse du porte-parole du gouvernement laisse planer une possible ségrégation un peu plus ciblée :

« On espère pouvoir éviter ça [NDLR: le reconfinement], on va tout faire pour ! […] L’un des enseignements que je tire en tant que porte-parole du gouvernement après dix-huit mois de crise, c’est qu’il ne faut jamais rien exclure par principe, car cette épidémie continue de surprendre le monde entier.  [L’exemple de l’Autriche] ça ressemble un peu à ce que l’on a fait avec le pass sanitaire. Il faut voir concrètement comment ça va s’organiser. »

Pourquoi se mettre à dos toute la population française quand on peut s’acharner sur les 20 % de récalcitrants ? En effet le gouvernement n’est pas aussi con qu’il en a l’air, bien au contraire. L’idée reste de contraindre — par la violence de la semi-liberté — les Français qui ne souhaitent toujours pas se faire injecter le produit Pfizer. Et confiner toute la population, c’est suicidaire, surtout avant la présidentielle. Rappelons à nos lecteurs que la vaccination n’est que la face cachée de l’identité numérique mondiale. Même si Albert Bourla se fait des couilles en or massif, c’est Bill Gates avec le projet ID2020 qui doit se finaliser. Et pour manipuler toutes les populations, il faut contraindre les récalcitrants qui emmerdent ces messieurs. Mais il ne faut pas non plus exaspérer les vaccinés, tout en gardant une certaine pression tout de même. Dans un monde qui ressemble de plus en plus à un cirque, rien d’étonnant à voir de la contorsion et des clowns en guise de politiques prêts à vendre leur propre mère pour se faire un p’tit billet.

Marcel D. pour Le Média en 4-4-2.




« Régime coercitif » – Le vrai visage du Nouvel Ordre Mondial

[Source : Kla.TV]






La solution finale. Numérisation complète. « La codification QR du monde »

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Peter Koenig

Imaginez que l’humanité déciderait un jour – très bientôt – d’arrêter de porter des masques. À l’unisson : pas [de masques] dans la rue, pas dans les restaurants, pas dans les magasins, pas dans les événements sportifs – tout simplement nulle part. Contre tous les ordres d’une bonne partie des 193 gouvernements membres de l’ONU, ou du moins des gouvernements occidentaux. Et, en effet, contre l’ensemble du système des Nations Unies – contre les ordres de M. Antonio Guterres, lui-même. Oui, en effet. Beaucoup d’agences des Nations Unies, pas encore toutes, ont commencé à rendre obligatoire l’injection pour leur personnel… ou autres.

Comment se fait-il que tout le monde n’ait pas encore pensé que quelque chose ne va pas ? Qui va très mal. Se peut-il qu’il s’agisse simplement de la dissonance cognitive ? Vous savez qu’il y a quelque chose qui ne va pas du tout, mais le confort de votre maison ne vous permet pas de l’admettre ? C’était le cas dans le Troisième Reich, cela a mis en avant la tyrannie d’Hitler. Le reste appartient à l’histoire.

L’alternative à envisager serait que tous ceux qui ont décidé de ne pas se faire injecter s’en tiennent à leur décision et la rendent publique. Ils défient les ordres totalement illégaux et inconstitutionnels du gouvernement, le système de l’ONU qui reçoit leurs ordres de l’obscur culte invisible menaçant de mort ceux qui refusent d’obéir.

Il faut s’imaginer que personne n’écouterait ces ordres absurdes et anticonstitutionnels, pas même la police, ni l’armée – les deux institutions chargées d’appliquer la loi se rangeraient du côté du peuple – ce même peuple dont ils ont juré de défendre les droits.

En fait, cela s’est produit plus d’une fois dans le monde, là où la brutalité policière était particulièrement importante, un groupe de policiers de première ligne a soudainement enlevé leur casque et marché avec le peuple – en France, en Allemagne, en Autriche, en Italie, en Suisse et ailleurs. Dernièrement, une situation similaire s’est probablement manifestée dans l’État de Victoria, en Australie, où les habitants de Melbourne sont littéralement confinés depuis des mois.

Une policière a démissionné et s’est présentée sur le devant de la scène en donnant des entrevues et en révélant que la majorité de ses collègues pensent de la même façon, mais ils ont peur de perdre leur emploi et / ou d’être punis par le gouverneur tyrannique de Victoria. C’est un bon début. Regardez ce reportage.

Cela doit se produire à l’unisson. Dans la solidarité. Dans la plupart des pays européens, vous n’êtes pas le droit d’aller au restaurant ou à tout événement public à moins que vous ne puissiez présenter le votre preuve de vaccination anti-Covid (certificat vaxx) – un infâme code QR sur votre téléphone portable, qui sera lu par un autre téléphone portable, programmé pour lire votre QR-code.

Photo : Manifestation à Montréal, le 30 octobre 2021, par Micheline Ladouceur

Vous n’avez aucune idée de ce qui est ou de ce qui sera éventuellement mis sur ce code QR. L’objectif est d’obtenir tous vos renseignements personnels, votre dossier médial complet, votre casier judiciaire, en passant par vos comptes bancaires – tout sur vous en fait. Mais cela sans que vous soyez au courant. Vous ne pouvez pas lire ce qui se trouve sur le code QR. « Eux », « ils » le peuvent, car il est programmé de cette façon.

En fait, l’objectif est d’implanter ce code QR dans votre corps. C’est à peu près ce que Klaus Schwab a fièrement dit dans un bref entretien (environ 2 minutes de vidéo ci-dessous) avec la télévision suisse française en 2016. Il présente les choses comme suit :  : les humains deviendront des « transhumains ».

Vidéo : Vers la tyrannie numérique avec Peter Koenig



La vidéo a depuis été « vérifiée » (“fact-checked”) sur Internet. M. Microsoft, Bill Gates, a en fait parlé d’un système d’exploitation (Operating System) implanté dans le corps humain. Ainsi, nous, les humains, devons avoir un corps capable de répondre aux ondes électromagnétiques, en d’autres termes, notre corps doit être transformé en champs électromagnétiques (CEM). Cela se fait, par l’ARNm- « vaccin » (« vaxx)  qui est injecté dans les tissus de notre corps.

Avez-vous remarqué que Pfizer et Moderna, les deux sociétés pionnières  de l’ARNm – qui n’est absolument pas un vaccin, vous feriez mieux de le croire – sont-elles les seules compagnies à avoir obtenu l’autorisation en Occident ? Ils ont maintenant ajouté AstraZeneca et Johnson & Johnson – ces « vaccins » ne sont différents que dans la mesure où leur mécanisme de « mise à mort » est différent.

Ces « vaccins » produisent également des caillots sanguins et des protéines de pointe (protéine Spike). Les premiers peuvent entraîner des blocages respiratoires allant jusqu’aux embolies du poumon, du cerveau, voire du cœur. La protéine de pointe se propage à toutes vos cellules. Ils finissent par attaquer votre système de défense immunitaire, vous rendant beaucoup plus vulnérable à tout type de maladie, en particulier aux cancers. Pourquoi n’autorisent-ils pas le Spoutnik V russe ou l’un des vaccins chinois, tous deux basés sur des méthodes de vaccination traditionnelles ?

Les Russes et les Chinois ne travaillent pas pour le programme de réduction de la population.

Voyez cette histoire / vidéo d’horreur bien documentée par le Dr Madej : Dr. Carrie Madej: First U.S. Lab Examines “Vaccine” Vials, Horrific Findings Revealed (Dr Carrie Madej : Premier États-Unis Le laboratoire examine les flacons « vaccins », des résultats horribles révélés). Non, ce n’est pas pour effrayer qui que ce soit. C’est pour apporter la réalité dans le confort de votre maison et, espérons-le, vous jeter hors de votre confort dans un monde auquel vous et tout le monde devez participer à la résistance.

Savez-vous que les vaccins d’ARNm vous injectent du graphène, un fluide hautement toxique, qui crée dans tout votre corps un champ électromagnétique (CEM), réceptif aux ondes courtes ultra-courtes 5G et bientôt 6G qui pourront éventuellement manipuler votre cerveau et toutes vos informations, maintenant progressivement stockées sur votre QR-code personnalisé, vous transformant, humain, en – selon les mots de Klaus Schwab, un « transhumain » – qui n’est plus en possession de sa propre volonté ou de son compte bancaire ?

Votre argent, soit dit en passant, si vous ne l’avez pas déjà remarqué, ne sera bientôt plus de l’argent physique que vous pourrez toucher et remettre à un caissier ou à un fournisseur, mais il s’agira de toute l’argent électronique et numérique, sur lequel vous pouvez toujours avoir le contrôle, parce qu’ils vous le permettent. Mais une fois qu’ils auront décidé que vous devez abandonner le contrôle, il disparaîtra.

Avez-vous remarqué à quelle vitesse les distributeurs automatiques disparaissent ? Comment les caissiers dans les banques disparaissent? Ils ne seront bientôt plus nécessaires, car vous ne contrôlez plus l’argent liquide. Il y a des pays d’Europe du Nord qui en sont presque là : la numérisation complète. Dans certains pays, dont la Suède, certaines personnes ont déjà volontairement laissé implanter une nanopuce sous la peau de leur poignet. La puce fonctionne comme un compte bancaire intégré. Les jeunes adorent ça. C’est tellement cool. Vous balayez votre main, même plus de carte et le paiement est effectué. Sauf que ces personnes n’ont aucune idée de la façon dont cela se déroulera dans le futur.

Attention, cela ne s’applique qu’aux personnes qui survivent à la fausse vaccination – ou plutôt à la campagne d’inoculation. Parce que, savez-vous, que beaucoup plus de personnes sont mortes et meurent encore en recevant le vaccin-ARNm toxique que de la covid elle-même ? – Non, bien sûr que non. Le gouvernement et les grands médias ne vous en parleront pas. Les HARSAH reçoivent des milliards de dollars des gouvernements pour vous mentir.

Donc, tout ce qui précède ne s’applique qu’aux personnes qui survivent aux inoculations à long terme. Parce qu’il y a de fortes chances que vous ne surviviez pas. Du faux vaccin, pas du covid. Voir la vidéo en anglais : A Final Warning to Humanity from Former Pfizer Chief Scientist Michael Yeadon (Vidéo : Un dernier avertissement à l’humanité de l’ancien scientifique en chef de Pfizer Michael Yeadon).

Revenons au port du masque. C’était la première étape – dans la phase du verrouillage (Lockstep) – souvenez-vous du rapport Rockefeller 2010 – où les auteurs décrivent la « phase Lockstep« , ce qui signifie que les 193 pays membres de l’ONU les 193 pays membres de l’ONU font la même chose au même moment, le verrouillage (en « lockstep ») ? – Eh bien, nous avons déjà dépassé cette phase.

Cette phase Lockstep permet à chaque gouvernement du monde d’ordonner à son peuple de porter des masques, partout. La science (non corrompue) a prouvé depuis longtemps que le port du masque ne prévient ni le covid ni aucune maladie virale, mais cela cause d’énormes dommages en réduisant l’apport en oxygène de 20 à 50 %, selon le type de masque. Au lieu de cela, vous respirez votre propre CO2.

Mais ce n’est pas tout, les séquelles psychologiques causés par le port forcé d’un masque sont énormes. C’est une humiliation pure et simple; c’est une expérience pouvant mener à la dépression. Vous parlez aux gens, mais vous ne pouvez pas les reconnaître dans de nombreux cas, les voix sont étouffées, souvent difficiles à comprendre – et l’expression faciale qui en dit tant dans une conversation a disparu. Les dépressions ont explosé, tout comme les suicides. Mais les gouvernements et les grands média, bien rémunérés, ainsi que la « science corrompue » (bought science), ne parlent pas de ces effets désastreux.

À propos de la « science corrompue » : Beaucoup de gens ne peuvent tout simplement pas imaginer le monde corrompu que nous sommes devenus en l’espace de seulement deux décennies.

Mettons le début du compte à rebours au 11 septembre.

C’est à ce moment-là que les grands mensonges officiels ont commencé, et que la coercition des diseurs de vérité s’est installée. La plupart des scientifiques, de la police ou d’autres témoins de première main ont des familles, une carrière, un revenu stable. Ils ne veulent pas de « ennuis ». Et les ennuis peuvent aller du harcèlement à la perte d’emploi en passant par la mort. Ce n’est pas une blague. C’est ainsi que fonctionne le « système » aujourd’hui. Soit vous êtes dans la matrice et vivez une vie d’un certain confort, soit vous prenez la pilule rouge – et vous êtes seul.

Dernièrement,  le système a franchi une étape supplémentaire : l’internet, « la mine d’or » de toutes les informations, est soumis à une censure sévère.

Toutes les informations gênantes sont soit complètement supprimées, soit « vérifiées par les faits ». Si vous vérifiez qui est derrière les vérificateurs de faits (“fact-checked’), ce que la plupart des gens ne font pas, vous voyez qu’il s’agit de grands groupes d’intérêt, dans le cas du covid, principalement des produits pharmaceutiques, aidés par Bill Gates et compagnie. Il est donc de plus en plus difficile de trouver des informations crédibles.

Youtube vient de déclarer que toute information, aussi scientifiquement prouvée soit-elle, qui va à l’encontre du « récit officiel du changement climatique » sera supprimée. C’est si simple. Nous sommes ainsi contrôlés alors que la VÉRITÉ est dominé et manipulé par des intérêts privés.

Oui, le monde a besoin d’une Grande réinitialisation (Great Reset), mais non pas à la façon Klaus Schwab, pas non plus selon le FEM (Forum économique mondial) mais selon une conception issuet du peuple. C’est pourquoi la solidarité, et non la soumission, est si importante. Quand prendrons-nous conscience de cette réalité ?

Il y a néanmoins d’importantes exceptions. Aux États-Unis, au moins au Texas et en Floride et dans d’autres, États, principalement les États républicains, ne suivent pas le mot d’ordre de port du masque, ni toutes les conséquences qui l’accompagnent, comme les tests. Les gens sont libres de porter ou de ne pas porter le masque. La plupart ne le portent pas. Et le taux de contamination covid est en fait moins élevé que dans d’autres États, comme la Californie, où cette règle absurde est strictement appliquée. Peut-être que cette « moins grande incidence du covid », comme au Texas, va de pair, avec le nombre de personnes qui n’optent pas de se faire injecter. De plus, les rapports du gouvernement de l’État sont plus honnêtes que dans les États qui imposent le port du masque et injection.

C’est quelque chose à prendre en considération.

Pour augmenter la cadence de la peur – Bill Gates a déjà déclaré en 2018 qu’une maladie bien plus mortelle que le covid attend peut-être l’humanité, une épidémie de Marburg-R. Regardez ça.

C’est une fièvre hémorragique qui a été décrite pour la première fois en 1967, avec une brève épidémie qui a tué 376 personnes. Il est décrit comme étant à peu près aussi mortel qu’Ebola. Dans la vidéo ci-dessous se trouve un message de Kieran Morrisey – directeur de l’hôpital universitaire, Dublin, Irlande. Voir aussi ça de plus près.

Vrai ou faux ? Peu importe. Il est d’abord conçu pour inculquer la peur, et la peur, nous le savons maintenant, abaisse notre système de défense et nous rend vulnérables à obéir aux ordres – exactement ce que nous, en tant qu’humanité, devrions cesser de faire et de redevenir nous-mêmes : des êtres humains souverains.



L’étape suivante est la numérisation complète. La vaccination imaginaire qui est contrainte par quelque moyen que ce soit par l’administration Biden, qui est un excellent exemple pour de nombreux pays européens, et le QR-code progressent rapidement, sans même que les gens ne s’en rendent compte.

N’oubliez pas que l’Agenda ID2020 – également une invention de Bill Gates – bat son plein. Voyez ceci.

Il est maintenant testé en Afrique de l’Ouest, où des personnes se sont portées « volontaires » pour participer à un exercice dans lequel elles n’ont accès à leur argent que par le biais d’un « compte bancaire » implanté dans leur corps. Ce compte peut être et est contrôlé de l’extérieur. C’est une partie de ce qui nous attend en Occident lorsque la Grande réinitialisation se mettra en place. Voir aussi ceci (dernier tiers de la même vidéo que ci-dessus) Dr. Carrie Madej : Le premier laboratoire américain examine les fioles de « vaccins », des résultats horribles sont révélés (en anglais).

Dans une certaine mesure, ce système est également testé par certaines personnes en Suède qui ont volontairement implanté sous leur peau une puce. Peut-être plus encore, mais ils ne le savent pas.

C’est la future codification QR du monde.

Il faut donc être conscient de ce à quoi les codes QR sont réellement destinés, de ce qu’ils peuvent faire et feront à l’avenir, si nous ne les arrêtons pas. C’est toujours la même question. Nous devons être pleinement conscients de ce qui arrive – et nous devons nous libérer de la peur, nous devons devenir désobéissants et redevenir nous-mêmes. Nous devons revenir à ce que nous sommes depuis la naissance, des êtres humains souverains.

Nous n’avons pas de temps à perdre. Nous devons réagir rapidement.

Peter Koenig


Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il travaille depuis plus de 30 ans sur l’eau et l’environnement dans le monde entier. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur d’Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020)

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation

Lien vers l’article original :

The Final Solution. Full Digitization. “The QR Codification of the World”
By Peter Koenig, le 22 octobre 2021

Traduit par Maya pour Mondialisation

Image en vedette : Image du domaine public de la page COVID-Protest de Wiki.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2021




Les Québécois en route vers une identité numérique par reconnaissance biométrique

[Source : Le Soleil – Québec]

Par OLIVIER BOSSÉ

Avec un nouveau ministère en bonne et due forme de la Cybersécurité et du Numérique, le gouvernement Legault veut doter les Québécois d’une identité numérique d’ici juin. À terme, on parlera même d’une identification biométrique de l’individu par empreinte digitale, reconnaissance faciale ou imagerie de l’iris de l’œil, par exemple.

Mais la mission première que se donne le futur ministre de la Cybersécurité et du Numérique, Éric Caire, quand son projet de loi 6 déposé jeudi matin à l’Assemblée nationale deviendra une véritable loi, sera de réunir sous un même toit, virtuel, toutes les ressources en cybersécurité réparties à travers les ministères, organismes publics, sociétés d’État et réseaux publics du Québec.

«Avec l’accélération de la transformation numérique, les cybermenaces ont suivi dans les mêmes proportions. Donc, aujourd’hui, nous sommes plus attaqués que jamais. Nous sommes sous le coup de cybermenaces comme jamais», a prévenu M. Caire, en conférence de presse.

Selon lui, la création d’un tel ministère à part entière constitue une première en Amérique du Nord, assurément, et peut-être même dans le monde.

Le futur ministère mènera, en parallèle, un resserrement de protection des données numériques utilisées et détenues par les divers ministères, organismes gouvernementaux et réseaux publics, mais aussi leur élaboration et leur partage entre les différents bras de l’appareil étatique.

« Malgré des investissements de 4 milliards $, malgré un PQI [programme québécois des infrastructures] de 7 milliards $, malgré le fait qu’il y ait 18 000 ressources qui travaillent en technologies de l’information au gouvernement du Québec et qu’on embauche 4000 consultants, force est d’admettre que le niveau de transformation numérique, auquel on est rendu, est loin d’être satisfaisant. »

Éric Caire

«Trop souvent, nos concitoyens sont transformés en commis de l’État», déplore-t-il. Il donne un exemple simple. «L’école va demander les derniers bulletins. Donc, le ministère de l’Éducation demande aux parents de lui fournir un document qui est fourni par le ministère de l’Éducation. Que le ministère de l’Éducation se parle, s’il vous plaît! Laissez les parents tranquilles!»

Le ministre évoque juin 2022 pour la mise en place de l’identification et l’authentification numérique des personnes.

M. Caire parle aussi d’un éventuel portefeuille numérique, dont il recevra le «dossier d’affaires» en novembre. Permis de conduire et carte d’assurance maladie numériques, mais aussi carte de débit, carte de crédit, preuve d’assurance et une panoplie de documents non gouvernementaux qui viendront s’ajouter. Le tout inclus dans votre téléphone cellulaire, glissé dans votre poche.

Éventuellement, ce portefeuille numérique pourra authentifier son propriétaire grâce à des données biométriques, comme la reconnaissance faciale ou l’empreinte digitale, ce que font déjà plusieurs téléphones, à échelle individuelle.

«On met en place les infrastructures pour être capables de le faire, mais après ça, vous comprendrez qu’il y a une question d’acceptabilité sociale. Et aussi il faut assurer une transition. Il y a des gens qui vont vouloir continuer de travailler avec leur carte d’assurance maladie, avec leur permis de conduire papier. Il faut intégrer ça. Donc, il y a une période de transition», a expliqué le ministre Caire.

Jusqu’ici, M. Caire est ministre délégué à la Transformation numérique gouvernementale et ministre responsable de l’Accès à l’information et de la Protection des renseignements personnels. Il deviendra ministre en titre.

Quelque 1970 employés seront rassemblés au sein de cette nouvelle entité, qui deviendra le 22e ministère à part entière de l’État québécois. À titre comparatif, en mars 2020, le ministère des Finances du Québec employait de 544 personnes, le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, 1340, le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, 1751, le ministère de la Justice, 2400, et le ministère de la Sécurité publique, 5306.




Philippe de Villiers : « Le Grand Reset, c’est le contrôle total »

[Source : michelledastier.com]






Le premier ministre de l’Ontario annonce la fin du passeport vaccinal en janvier 2022 ? Voici pourquoi !

[Source : ontario.ca via Conscience du peuple]

ID numérique en Ontario [Extraits]

Découvrez l’identité numérique, une nouvelle façon de vous identifier qui rendra l’accès aux services en ligne et en personne plus simple, plus sécuritaire et plus sécurisé.

Nous présenterons l’ID numérique de l’Ontario à la fin de 2021.

Qu’est-ce que c’est l’ID numérique?

L’ID (identification) numérique est une version électronique d’une pièce d’identité gouvernementale fiable assurant une meilleure sécurité et une meilleure protection de la vie privée que les cartes d’identité ou les documents physiques.

Elle peut être sauvegardée en toute sécurité dans la future application Portefeuille de l’Ontario conçue pour les téléphones intelligents et autres appareils numériques (comme les tablettes et les ordinateurs) et permettra aux particuliers et aux entreprises de prouver leur identité en ligne et en personne.

L’identification numérique est le fondement qui facilitera l’accès aux services en ligne et fera de l’Ontario l’un des territoires les plus avancés au monde en matière de numérisation, dont la valeur pour les Ontariens, les entreprises et le gouvernement est estimée à 20 milliards de dollars footnote 1[1] .

Comment pouvez-vous utiliser l’ID numérique?

Services financiers

Services bancaires

  • Ouvrir un compte bancaire ou un compte d’investissement
  • Demander un prêt personnel ou hypothécaire
  • Demander un compte d’entreprise ou un prêt commercial

Assurances

  • Demander des services liés aux assurances
  • Soumettre une demande de règlement auprès d’un assureur

Autres

  • Acheter ou vendre des biens immobiliers
  • Acheter, louer ou vendre un véhicule

Soins de santé

Traditionnels

  • Fixer un rendez-vous médical
  • Consulter un médecin ou un autre professionnel de la santé en personne
  • Obtenir une ordonnance
  • Accéder aux carnets de vaccination et les utiliser

Numériques

  • Accéder aux dossiers médicaux en ligne
  • Participer à un rendez-vous médical en ligne

Services publics pour particuliers

  • Obtenir, renouveler ou remplacer un permis de conduire
  • Demander, renouveler ou remplacer une carte de santé
  • Renouveler ou remplacer un autocollant de plaque d’immatriculation
  • Obtenir ou renouveler une carte pour activités récréatives de plein air
  • Obtenir un permis de chasse ou de pêche
  • Faire une demande de RAFEO
  • Demander des prestations ou des crédits d’impôt provinciaux
  • Demander une pension alimentaire pour enfant ou pour conjoint ou le partage des biens
  • Déposer une demande auprès de la Commission de la location immobilière

Accueillir un nouveau client ou une nouvelle entreprise

  • Vérifier les références et l’historique d’une autre entreprise
  • Vérifier d’autres entreprises qui offrent des produits et services en ligne
  • Vérifier l’identité d’un client sans mot de passe ou sans sa présence physique

Gestion d’une entreprise

Opérations

  • Louer des propriétés ou des véhicules pour une entreprise
  • Vérifier les antécédents des employés
  • Demander la preuve de l’âge des clients
  • Obtenir des licences ou des documents d’importation ou d’exportation
  • Vérifier les références et l’historique d’une autre entreprise

Propriété

  • Prouver la propriété d’une autre entreprise

Numérique

  • Souscrire des contrats numériques
  • Demander et envoyer des signatures numériques
  • Recevoir des paiements en ligne

Services publics pour les entreprises

Licences

  • Obtenir l’enregistrement d’une entreprise, des permis ou des licences
  • Obtenir des licences ou des documents d’importation ou d’exportation

Prestations

  • Demander des subventions ou des avantages gouvernementaux
  • Obtenir un financement pour le commerce international

Rapports

  • Produire une déclaration de revenus ou d’autres rapports légaux ou réglementaires



Le Nouvel ordre mondial pour Les Nuls en sept étapes et en images

[Source : Sott.net]

Voici en images un condensé explicatif plus ou moins hypothétique du plan qui se déroule actuellement sous nos yeux pour celles et ceux qui se sont réveillés récemment et ont encore du mal à y voir clair. Le texte a été écrit Jean-Jacques Crèvecoeur et le graphisme créé par Le Grand Réveil.

[Ndlr : l’intérêt d’un tel exposé n’est pas de sombrer dans le pessimisme et le défaitisme, mais d’une part de se préparer au mieux (notamment psychologiquement) au cas où de telles éventualités interviendraient malgré tout, mais d’autre part d’envisager dès maintenant les meilleurs moyens d’empêcher que cela arrive.]

Théorie ou réalité il n’en reste pas moins que nous sommes bel et bien entre la phase 4 et la phase 5…

Le NOM pour les Nuls-2
Le NOM pour les Nuls-3
Le NOM pour les Nuls-4
Le NOM pour les Nuls-5
Le NOM pour les Nuls-6
Le NOM pour les Nuls-7
Le NOM pour les Nuls-8
Le NOM pour les Nuls-9

[Voir aussi :
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
et Les 13 étapes machiavéliques ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]




Passe sanitaire : pourquoi la bourgeoisie managériale trahit si facilement la démocratie libérale

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le passe sanitaire, initialement présenté comme extrêmement limité dans son usage, franchit un nouveau cap aujourd’hui : le gouvernement propose son maintien jusqu’à l’été prochain… Nos lecteurs n’en sont pas surpris, puisque nous annonçons son installation permanente depuis cet été. Mais la question qui se pose est de savoir pourquoi la caste mondialisée ne rencontre aucune opposition dans les couches supérieures de la société face à ce reniement caractérisé de la démocratie libérale. De notre point de vue, l’ère macronienne correspond (mais c’est une tendance mondiale) à l’émergence d’une bourgeoisie managériale formatée pour obéir et structurellement favorable à un système d’apartheid social.

Sur les raisons pour lesquelles le passe “sanitaire” est maintenu jusqu’à l’été 2022, nous nous sommes déjà largement exprimés. Le projet n’a rien de sanitaire, il s’intègre simplement au projet d’identité numérique déployé par la Commission Européenne (le fameux “wallet”). Il s’agit d’organiser un système d’identification et de contact tracking sur un modèle chinois, tel que le Great Reset de Klaus Schwab l’a proposé. 

Tout ceci s’appuie sur des investissements industriels, portés notamment par Thalès, qui cherchent aujourd’hui leur rentabilité sur le marché mondial de l’identité numérique. Donc, face à cette collusion d’intérêts industriels, nous savons que le passe sanitaire n’est pas prêt de disparaître. 

Passe sanitaire et crédit social à la chinoise

Pour le reste, le principe du passe sanitaire correspond à une tendance longue du capitalisme de connivence, fondé sur les relations incestueuses entre la bureaucratie et le management des grandes entreprises transnationales. Face aux menaces létales que le rejet du multilatéralisme (incarné par le Brexit) et du libre-échange (incarné par Trump) représente, ce capitalisme de connivence est bien décidé à utiliser toutes les possibilités technologiques nouvelles pour asseoir sa domination. 

Pour ce faire, il est prêt à se transformer en un capitalisme de surveillance où son pouvoir se fondera sur le crédit social à la chinoise. Les bons citoyens auront des droits que les mauvais citoyens perdront. Nous recommandons ici la lecture du rapport du Sénat, au printemps, sur le sujet, pour comprendre et mesurer l’influence du modèle chinois sur la caste au pouvoir en France. 

L’écrasante culpabilité de la bourgeoisie managériale dans cette rupture

On le comprend peu à peu, nous sommes en train de changer d’ère, de civilisation, mais aussi de régime et de gouvernance. Progressivement, la démocratie libérale cède la place à un système autoritaire que nous avons appelé le régional socialisme dans notre livre sur le Great Reset. 

Ce régional socialisme s’appuie sur deux piliers. Il est régional au sens des régions continentales, avec son obsession de bâtir des ensembles multilatéraux comme l’Union Européenne. Il est socialiste au sens où il subsume le droit individuel sous une couche de “protection collective” : risquez donc votre vie en vous vaccinant pour le bien du groupe ! Et il professe le “big government”, à rebours de la tendance insufflée en son temps par Ronald Reagan. 

Cette nouvelle vision du monde, en rupture avec la démocratie libérale, est essentiellement le fait de ceux qui ont inventé la théorie de la “Start Up Nation”. Ils se rassemblent dans ce que nous pourrions appeler la bourgeoisie managériale, représentante française de la caste mondialisée. Ces gens-là sont des cadres plus ou moins supérieurs, des dirigeants d’entreprise qu’ils n’ont pas créées ou d’administration, parfois des enseignants, qui ont un patrimoine moyen et une aversion générale au risque. 

La bourgeoisie managériale porte toutes les croyances insufflées par “l’altruisme efficace” aux Etats-Unis : culture de l’excuse, culpabilité de l’homme blanc, remplacement du christianisme par la religion de la nature, effacement de l’humanisme au profit du transhumanisme. Au salut de l’âme, elle préfère le sauvetage de la planète, à la béatitude, elle préfère le bien-être. 

Bourgeoisie managériale et manie du contrôle

L’une des caractéristiques de cette caste qui déteste le risque et l’incertitude, c’est l’obsession du contrôle, rebaptisé “protection”. Il faut se protéger de tout : du virus, de la maladie, de la mort, de l’agression, de l’agressivité, de toute forme de menace. On écoutera ici avec attention Sandrine Rousseau, l’égérie d’EELV, pour dévoiler les points saillants de cette caste, qui hait profondément l’ordre spontané des sociétés (parce que masculines, machistes, brutales, injustes, etc.) et souhaite la rebâtir en contrôlant tous ses étages. 

Cette caste-là, qui a pris le pouvoir au fil des années qui nous séparent de Mai 68, mais qui doit beaucoup aux années Mitterrand pour son élaboration intellectuelle, est le réceptacle naturel du capitalisme de surveillance. Comment fait-on pour se protéger, en effet ? Eh bien, on contrôle. Tout : les risques, les menaces, les vies privées, les maladies, et même les eaux calmes car il faut toujours se méfier de l’eau qui dort. 

Dans cette propension au contrôle, on trouvera l’explication majeure de la facilité avec laquelle la bourgeoisie macronienne plaide pour un pass sanitaire qui discrimine. Ces gens-là sont rassurés, se sentent protégés, lorsqu’ils présentent leur identité vaccinale à l’entrée d’un bar ou d’un restaurant : ils ont besoin d’une vie contrôlée, d’une société sous contrôle. 

Bourgeoisie managériale et apartheid

On nous objectera que l’expression “bourgeoisie managériale” est bien floue. Elle pourrait même être fourre-tout. Et nous partageons assez ce constat : il faudrait être plus précis. 

C’est la caractéristique d’une caste : on y appartient pour des raisons “floues”, ce qui diffère beaucoup d’une classe sociale qui se définit objectivement. Pour forger une caste, il faut passer du temps à dire qui en fait partie, qui n’en fait pas partie. D’où cette obsession propre à la bourgeoisie managériale de s’individualiser par des signes, et d’exclure, de cliver pour bien marquer des frontières dans un paysage incertain. Le passe sanitaire en fait partie : il y a ceux qui l’ont, et qui vont au restaurant, ou à la bibliothèque, et ceux qui ne l’ont pas, qui n’ont plus accès aux mêmes lieux que les “élus”. 

Parce qu’au fond la bourgeoisie managériale ne sait pas trop qui elle est, elle se forge une identité par des exclusions, des “je suis qui je suis en désignant qui je ne suis pas” (on se souvient de la phrase de Griveaux sur la France qui fume des clopes et roule en diesel) et elle exige de tous les postulants le respect de rites initiatiques qu’elle a choisis. Il ne faut pas être baptisé pour en faire partie (le baptême étant universel), il faut être vacciné. 

Bref, c’est une France à deux vitesses dont la bourgeoisie managériale a besoin. 

France de la certitude et France du doute

Au fond, la bourgeoisie managériale veut une France pleine de certitudes confortables. Il faudrait que l’on soit sûr de plein de choses : de notre prospérité, même relative, même décroissante, il ne faut pas qu’elle soit incertaine. Il faut qu’on soit sûr que les maladies n’arriveront plus, que l’on ne croisera pas de gens malades, que l’on n’attrapera pas de cancer en buvant trop, en mangeant trop de viande, trop de saucisson, trop de matière grasse, en fumant, en ne faisant pas assez de sport. Il faut que les experts nous disent quoi faire et comment vivre pour que tout se passe bien. 

C’est le triomphe du conformisme, de la bonne conscience, et du bien-être. 

Face à cette France de la certitude, prend forme peu à peu, la France du doute. Elle a derrière elle le privilège de l’âge, puisqu’elle fut cimentée par ce vieux Descartes qui faisait tabula rasa. Cette France-là aime son risque. Elle ne sait pas ce qui va lui arriver, mais ça lui va bien. Le risque qu’elle ne veut pas courir, c’est que l’Etat la tienne par la paletot en sachant tout d’elle. Elle ne veut pas non plus prendre le risque de recevoir un vaccin sans savoir au juste ce qu’il contient. 

Deux salles, deux ambiances au fond. 

Choisissez la vôtre. 




« Je n’en peux plus »

[Source en allemand : multipolar-magazin.de]

Dans une lettre ouverte, un collaborateur d’ARD critique un an et demi de reportages sur la Covid-19. Ole Skambraks travaille depuis 12 ans comme collaborateur éditorial et rédacteur en chef de la radio publique.


Par OLE SKAMBRAKS

Je ne peux plus me taire. Je ne peux plus accepter sans mot dire ce qui se passe depuis maintenant un an et demi chez mon employeur, la radiodiffusion de service public. Les statuts et les traités d’État sur les médias consacrent des éléments tels que « l’équilibre », la « cohésion sociale » et la « diversité » dans la couverture médiatique. C’est tout le contraire qui se pratique. Il n’y a pas de véritable discours et d’échange dans lequel toutes les composantes de la société se retrouvent.

Dès le début, j’ai estimé que la radiodiffusion de service public devait remplir précisément cet espace : promouvoir le dialogue entre les partisans de l’action et les critiques, entre les personnes qui ont peur du virus et les personnes qui ont peur de perdre leurs droits fondamentaux, entre les partisans de la vaccination et les sceptiques de la vaccination. Mais depuis un an et demi, l’espace de discussion s’est considérablement rétréci.

Les scientifiques et les experts respectés avant la Covid-19, qui ont reçu un espace dans le discours public, sont soudainement des cinglés, des porteurs de chapeaux d’aluminium ou des covidiots. L’exemple cité est celui de Wolfgang Wodarg. Il est médecin spécialiste, épidémiologiste et politicien de longue date en santé. Jusqu’à la crise Covid, il a également siégé au conseil d’administration de Transparency International. En 2010, en tant que président de la commission de la santé publique du Conseil de l’Europe, il a mis au jour l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la pandémie de grippe porcine. À l’époque, il pouvait exprimer personnellement son opinion à la radio publique, et ce n’est plus possible depuis la Covid-19. Il a été remplacé par ce que l’on appelle des vérificateurs de faits [ou « fact checkers » en anglais] qui le discréditent.

Un consensus paralysant

Au lieu d’un échange de vues ouvert, un « consensus scientifique » a été proclamé, qu’il convient de défendre. Ceux qui en doutent et réclament une perspective multidimensionnelle sur la pandémie récoltent l’indignation et l’hésitation.

Ce schéma fonctionne aussi au sein des rédactions. Depuis un an et demi, je ne travaille plus dans les actualités quotidiennes, ce dont je suis très heureux. Dans ma position actuelle, je ne participe pas aux décisions sur les questions qui seront traitées ni sur la manière dont elles le seront. Je décris ici ma perception des conférences de rédaction et d’une analyse de la couverture médiatique. Pendant longtemps, je n’ai pas osé sortir du rôle d’observateur, le prétendu consensus semblait trop absolu et à l’unisson.

Depuis quelques mois, je m’aventure sur la glace [au risque de glisser] et j’apporte ici et là une remarque critique lors de conférences. Il est souvent suivi d’un silence affecté, parfois d’un « merci pour l’indication » et parfois d’une leçon sur les raisons pour lesquelles ce n’est pas vrai. Cela n’a jamais donné lieu à des reportages.

Le résultat d’un an et demi de Covid-19 est une division de la société sans équivalent [dans l’Histoire]. La radiodiffusion de service public y a largement contribué. Elle assume de moins en moins sa responsabilité de construire des ponts entre les camps et de promouvoir les échanges.

On avance souvent l’argument selon lequel les critiques constituent une petite minorité qui n’a pas besoin d’être concertée, à qui il ne faut pas accorder trop de place pour des raisons de proportion. Cela devrait être réfuté au plus tard depuis le référendum en Suisse sur les mesures sanitaires. Bien qu’il n’y ait pas non plus d’échanges de vues libres dans les médias, le vote n’y a été que de 60 pour le gouvernement contre 40.(([1] L’exception était la couverture du référendum, pendant laquelle la télévision suisse était tenue de donner aux deux parties la même place de diffusion (vidéo ici) )) Peut-on parler d’une petite minorité à 40 % des suffrages exprimés ? Il convient de mentionner que le gouvernement suisse avait lié l’aide Covid au vote, ce qui a pu influencer la décision de certains de cocher le « oui » [en faveur du gouvernement].

Les développements de cette crise se déroulent à tant de niveaux, avec des répercussions sur toutes les composantes de la société, qu’en ce moment même, il faut non pas moins d’espace de débat, mais plus de liberté de débat.

Ceci n’est pas révélateur de tout ce qui est discuté à la radio publique, mais de ce qui n’est pas évoqué. Les raisons en sont multiples et nécessitent une analyse interne honnête. Les publications du chercheur en médias et ancien conseiller de la radio MDR Uwe Krüger peuvent y contribuer, comme par exemple son livre « Grand public — Pourquoi nous ne faisons plus confiance aux médias ».

Quoi qu’il en soit, il faut beaucoup de courage pour nager à contre-courant lors de conférences où des sujets sont débattus et discutés. Souvent, c’est celui qui est le plus éloquent qui peut présenter ses arguments, qui les imposent, et en cas de doute, c’est bien sûr la direction de la rédaction qui décide. Très tôt, l’équation a été que la critique des mesures sanitaires appartient au spectre de droite. Quel rédacteur en chef ose encore formuler une pensée contraire ?

Questions en suspens

Ainsi, la liste des incohérences et des questions en suspens qui n’ont pas reçu de rapports substantiels est très large :

  • Pourquoi en savons-nous si peu dans la recherche de « gain de fonction » sur la façon de rendre les virus plus dangereux pour l’homme ?
  • Pourquoi la nouvelle loi sur la protection contre les infections stipule-t-elle que le droit fondamental à l’intégrité physique et l’inviolabilité du logement peuvent désormais être restreints, indépendamment d’une situation épidémique ?
  • Pourquoi les personnes qui avaient déjà eu la Covid-19 doivent-elles se faire vacciner alors qu’elles sont au moins aussi bien protégées que les personnes vaccinées ?
  • Pourquoi ne parle-t-on pas de l’événement 201 et des exercices pandémiques mondiaux avant la propagation du SRAS-CoV-2 ou seulement en liaison avec des mythes conspirationnistes ?(([2] Les autres exercices d’urgence pandémique étaient « Clade X » (2018), « Atlantic Storm » (2005), « Global Mercury » (2003) et « Dark Winter » (2001). Ces exercices ont toujours porté sur la gestion de l’information.))
  • Pourquoi le document interne du ministère fédéral de l’Intérieur, connu des médias, n’a-t-il pas été publié dans son intégralité — et a-t-il été discuté par l’opinion publique ? — alors qu’il demandait que les autorités aient un « effet de choc » pour mettre en évidence les effets de la pandémie Covid sur la société humaine ?
  • Pourquoi l’étude du Professeur Ioannidis sur le taux de survie (99,41 % chez les moins de 70 ans) n’arrive-t-elle pas à faire les gros titres, alors que les projections fatalement fausses de l’Imperial College l’ont déjà fait (Neil Fergusson a prédit un demi-million de morts de la Covid-19 au Royaume-Uni au printemps 2020 et plus de 2 millions aux États-Unis) ?
  • Pourquoi un rapport d’expertise a-t-il été établi pour le ministère fédéral de la Santé que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients de Covid-19 n’était que de 2 % en 2020 ?
  • Pourquoi Brême a-t-elle de loin l’incidence la plus élevée (113 le 4/10/2021) et de loin le taux de vaccination le plus élevé en Allemagne (79 %) ?
  • Pourquoi des paiements de 4 millions d’euros ont-ils été versés sur un compte familial de la commissaire européenne chargée de la santé, Stella Kyriakides, responsable de la conclusion des premiers contrats européens de vaccins avec les groupes pharmaceutiques ?(([3] Panorama a fait état des paiements, mais le rôle des Kyriakides dans les contrats de vaccin anti-Covid n’a pas été clairement indiqué. Pour le reste, le sujet n’a pas eu beaucoup d’importance dans les médias.))
  • Pourquoi les personnes ayant de graves effets vaccinaux ne sont-elles pas dépeintes dans la même mesure qu’en 2020 les personnes atteintes de Covid-19 l’étaient ?(([4] Par exemple, la radio publique n’a guère parlé du musicien britannique Eric Clapton, qui a développé de vives réactions après la vaccination et qui les regrette aujourd’hui.))
  • Pourquoi personne ne s’inquiète-t-il de l’impropre comptage des « cas » de contamination ?(([5] Selon l’ICR, il y a un « cas » si un vacciné présente à la fois un test positif et des symptômes — pour les personnes non vaccinées, un test positif suffit. De cette manière, les personnes non vaccinées sont statistiquement plus importantes.))
  • Pourquoi les Pays-Bas signalent-ils beaucoup plus d’effets indésirables des vaccins Covid-19 que les autres pays ?
  • Pourquoi la description de l’efficacité des vaccins Covid-19 du côté de l’Institut Paul Ehrlich a-t-elle changé trois fois au cours des dernières semaines ? « Les vaccins Covid-19 protègent contre les infections par le virus SRAS-CoV-2. » (15 août 2021) « Les vaccins Covid-19 protègent contre toute infection grave par le virus SRAS-CoV-2 » (7. « Les vaccins Covid-19 sont indiqués pour l’immunisation active pour la prévention de la maladie de Covid-19 causée par le virus SRAS-CoV-2 » (27 septembre 2021)(([6] sous la rubrique « Liste des vaccins autorisés » ; éditions de sites web précédents de PEI accessibles via les archives Internet Wayback Machine (ici, ici, et ici).))

Je voudrais aborder quelques points en détail.

« Gain de fonction » et « Fuite de laboratoire »

En ce qui concerne la recherche sur le gain de fonction — c’est la recherche pour rendre les virus plus dangereux, ce qui a été pratiqué à l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine, et financé par les États-Unis — je n’ai rien entendu ni lu de substantiel à ce jour. Cette recherche a lieu dans ce que l’on appelle les laboratoires P4, où l’on travaille depuis des décennies à la manière dont les virus présents dans le règne animal peuvent être modifiés pour devenir dangereux pour l’homme. Jusqu’à présent, ARD et ZDF ont fait un grand pas en avant sur cette question, alors qu’il faut clairement discuter de cette question. Une première question à débattre pourrait être, par exemple, la suivante : voulons-nous, en tant que société, une telle recherche ?

La théorie de la fuite du laboratoire — c’est-à-dire l’hypothèse que le SRAS-CoV-2 est issu d’un laboratoire — a fait l’objet de nombreux rapports. Il convient de mentionner que cette question a été immédiatement qualifiée de mythe conspirationniste l’année dernière. Les médias alternatifs qui ont suivi cette piste ont été bannis des réseaux sociaux tels que YouTube et Twitter et les informations ont été supprimées. Les scientifiques qui ont exprimé cette thèse ont été massivement attaqués. Aujourd’hui, la théorie de la « fuite du laboratoire » est au moins aussi plausible que la transmission par une chauve-souris. Le journaliste d’investigation américain Paul Thacker a publié dans le British Medical Journal les résultats de ses recherches minutieuses. À ce sujet, le Dr Ingrid Mühlhauser, professeur de sciences de la santé à l’Université de Hambourg, écrit :

« Pas à pas, il montre [Thacker] comment les opérateurs d’un groupe de laboratoires américain développent de manière ciblée une théorie du complot pour masquer leur accident de laboratoire à Wuhan comme un complot. Le mythe est soutenu par des magazines prestigieux comme le Lancet. Les journalistes scientifiques et les prestataires de services de vérification des faits prennent en charge les informations sans réfléchir. Les scientifiques impliqués se taisent de peur de perdre du prestige et du soutien pour leur recherche. Facebook bloque pendant près d’un an les messages qui remettent en question l’origine naturelle du SRAS-CoV-2. Si la thèse de l’accident de laboratoire était confirmée, ZDF et d’autres médias auraient défendu les mythes conspirationnistes. »

Ivermectine et alternatives à la vaccination

Depuis des mois, on voit également qu’il existe des traitements efficaces et peu coûteux contre la Covid-19 qui [pourtant et officiellement] ne doivent pas être utilisés. Les données à ce sujet sont claires. Mais les campagnes pseudo-scientifiques de désinformation contre ces moyens sont révélatrices de l’état de notre médecine. L’hydroxychloroquine est connue depuis des décennies et a été utilisée des millions de fois contre le paludisme et les maladies rhumatismales. L’année dernière, elle a été soudainement déclaré dangereuse. La déclaration du président Donald Trump selon laquelle l’hydroxychloroquine est un « changement de jeu » a fait le reste pour la discréditer. La raison politique ne permettait plus une confrontation scientifique sur l’HCQ [l’hydroxychloroquine].

Tous les médias ont largement parlé de la situation catastrophique en Inde due à la prolifération du Delta au printemps (à l’époque, on parlait encore de la variante indienne du virus). En revanche, le fait que l’Inde ait maîtrisé la situation assez rapidement et que le médicament ivermectine ait joué un rôle déterminant à cet égard dans de grands États comme l’Uttar Pradesh ne valait plus la peine d’être rapporté.(([7] L’OMS a même fait l’éloge de l’État indien de l’Uttar Pradesh pour sa politique covidienne, mais sans mentionner l’ivermectine. Le taux de vaccination dans l’Uttar Pradesh est inférieur à 10 %.))

L’ivermectine est également autorisée provisoirement en République tchèque et en Slovaquie pour le traitement des patients atteints de Covid-19. C’est tout de même ce que rapporte le MDR, mais avec une connotation négative.

Dans la liste des médicaments possibles de la Bayerische Rundfunk, l’ivermectine n’est même pas mentionnée, et à l’hydroxychloroquine sont citées seulement des études négatives et non positives.

La molécule clofoctol a également démontré un bon effet contre le SRAS-CoV-2 lors des tests effectués en laboratoire au cours de l’été 2020. Jusqu’en 2005, l’antibiotique était commercialisé en France et en Italie sous les noms d’Octofene et Gramplus. À plusieurs reprises, les autorités françaises ont empêché l’Institut Pasteur de Lille de réaliser une étude portant sur des patients atteints de Covid-19. Après plusieurs tentatives, ils ont recruté le premier patient début septembre.

Pourquoi les autorités sanitaires s’opposent-elles avec véhémence aux traitements qui auraient été disponibles dès le début de la pandémie ? Pour ce faire, j’aurais souhaité des recherches d’investigation de l’ARD ! Il convient de mentionner que les nouveaux vaccins anti-Covid n’ont pu obtenir une autorisation d’urgence que parce qu’il n’existait pas de traitement officiellement reconnu pour le SRAS-CoV-2.

Il ne s’agit pas de vanter n’importe quel remède miracle contre la Covid-19. Je voudrais mettre en évidence des faits qui n’ont pas reçu l’attention nécessaire. Dès le début, le discours public a fait état de l’opinion selon laquelle seule une vaccination peut y remédier. L’OMS est même allée temporairement jusqu’à modifier la définition de « l’immunité collective » dans le sens où celle-ci ne peut être obtenue que par la vaccination et non plus par une infection antérieure comme c’était le cas jusqu’à présent.

Et si la voie empruntée était une impasse ?

Questions sur l’efficacité vaccinale

Les données des pays où les taux de vaccination sont particulièrement élevés montrent que les infections par le SRAS-CoV-2 ne sont pas rares, même chez les personnes entièrement vaccinées, mais qu’elles sont monnaie courante. Le Dr Kobi Haviv, directeur de l’hôpital Herzog à Jérusalem, dit que 85 à 90 % des personnes gravement malades sont doublement vaccinées dans ses soins intensifs.(([8] Voir aussi la réunion de la FDA du 17 septembre 2021, à 5:47:25))

Le magazine Science écrit en référence à tout Israël : « Le 15 août, 514 Israéliens ont été hospitalisés avec des maladies graves ou critiques de Covid-19… Parmi ces 514 personnes, 59 % étaient entièrement vaccinées. Parmi les personnes vaccinées, 87 % avaient 60 ans ou plus. » Science cite un conseiller du gouvernement israélien qui dit : « L’une des grandes histoires d’Israël est : « Les vaccins fonctionnent, mais pas assez bien ».

En outre, il est désormais évident que les personnes vaccinées ont en elles (et le répandent) autant de matériel viral de la variante Delta que les personnes non vaccinées.

Qu’en est-il de ces données en Allemagne ? — Un verrouillage spécifiquement pour les personnes non ou insuffisamment vaccinées ou : la règle 2G. La société est de facto divisée en deux classes. Les personnes vaccinées retrouvent leurs libertés (parce qu’elles ne représentent [soi-disant] aucun risque pour les autres), les personnes non vaccinées (car présentant un risque potentiel pour les autres) doivent se soumettre à des tests qu’elles sont censées payer elles-mêmes et ne reçoivent plus de paiement de salaire en cas de quarantaine. De même, les interdictions d’emploi et les licenciements dus au statut vaccinal ne sont plus exclus et les caisses de maladie pourraient imposer à l’avenir des tarifs moins favorables aux non-vaccinés. Pourquoi cette pression sur les non-vaccinés ? D’un point de vue scientifique, ce n’est pas justifiable et très dommageable sur le plan social.

Les anticorps générés par la vaccination diminuent considérablement au bout de quelques mois. Le regard porté sur Israël montre qu’après la deuxième vaccination, il y a maintenant la troisième dose pour l’ensemble de la population et que la quatrième est déjà annoncée. Ceux qui ne rafraîchissent pas la vaccination au bout de six mois ne sont plus considérés comme immunisés et perdent leur « passeport vert » (la carte de vaccination numérique introduite par Israël). Aux États-Unis, Joe Biden parle maintenant de boosters anti-Covid à injecter tous les 5 mois. Marion Pepper, immunologue à l’Université de Washington, remet toutefois en question cette stratégie. Elle a déclaré au New York Times que « la stimulation répétée des défenses de l’organisme peut aussi conduire à un phénomène appelé « l’épuisement immunitaire » ».

On discute peu du fait que l’infection naturelle peut créer une immunité nettement plus robuste. Des anticorps ultrapuissants ou une « super-immunité » ont été trouvés chez des personnes infectées par le SRAS-CoV-2 l’année dernière. Ces anticorps réagissent à plus de 20 mutations virales différentes et sont conservés plus longtemps que les anticorps générés par le vaccin.

Après tout, le ministre de la Santé, Jens Spahn, vient d’annoncer qu’une détection d’anticorps serait également autorisée. Toutefois, pour être officiellement considéré comme immunisé, une vaccination doit toujours suivre. Qui comprend cette logique ? Une interview de CNN avec le Dr Anthony Fauci, président de l’Institut national de santé (l’équivalent américain de l’ICR), illustre l’absurdité. Jusqu’à présent, les personnes ayant une immunité naturelle ne sont pas prises en considération par la politique !

Je connais un médecin qui essaie désespérément d’obtenir une réponse de la part des autorités sanitaires et de l’ICR à ce sujet : un de ses patients a un titre d’anticorps IgG de 400 UI/ml, bien plus que beaucoup de vaccins. Son infection Covid remonte à plus de six mois, donc il n’est plus considéré comme immunisé. La réponse qu’il a reçue était : « Vaccinez-le ! », ce que le médecin refuse de faire [du fait de l’immunité naturelle acquise].

Absence de compréhension journalistique de base

Le moyen de sortir de la pandémie, prôné par la politique et les médias, s’avère être un abonnement de vaccination permanente. Les scientifiques qui demandent une approche différente sur la Covid n’obtiennent toujours pas une place adéquate dans les médias publics, comme l’a montré une fois de plus la couverture médiatique parfois diffamatoire de l’action #allesaufdentisch. Au lieu de discuter avec les participants du contenu des vidéos, des experts ont été recherchés pour discréditer la campagne. Ce faisant, les justiciables font exactement l’erreur qu’ils accusent #allesaufdentisch.

Le journaliste du Spiegel Anton Rainer a déclaré dans l’interview du CES à propos de l’action vidéo qu’il ne s’agissait pas d’interviews au sens classique du terme : « En principe, on voit deux personnes se donnant raison l’une à l’autre. » J’ai eu mal au ventre après avoir écouté la couverture de ma chaîne et j’ai été totalement irrité par l’absence de compréhension journalistique fondamentale de laisser l’autre partie prendre la parole.(([9] Les rapports les plus justes viennent du BR, où, là aussi, on a débattu, mais pas seulement avec une partie. Le MDR offre sur son portail de médias une analyse complète et différenciée.)) J’ai fait part de mes préoccupations par courrier électronique aux parties concernées et à la direction de la rédaction.

Une mention classique dans les conférences est qu’un sujet est « déjà traité ». Par exemple, lorsque j’ai évoqué la très probable sous-couverture des complications vaccinales. Oui, c’est vrai, le sujet a été abordé avec l’expert de la maison qui a conclu — c’est peu surprenant — qu’il n’y avait pas de sous-couverture. « L’autre côté » est mentionné ici et là, mais très rarement sous la forme de parler réellement aux personnes qui adoptent des points de vue critiques.

Les critiques sous pression

Les critiques les plus claires doivent s’attendre à des perquisitions, poursuites, fermeture de compte, transfert ou licenciement, jusqu’à l’internement en psychiatrie. Même s’il s’agit d’opinions dont on ne partage pas les positions, cela ne doit pas exister dans un État de droit.

Aux États-Unis, on discute déjà de la question de savoir si la critique scientifique doit être considérée comme un « hate crime » (crime de haine). La Fondation Rockefeller a décerné 13,5 millions de dollars pour la censure de la désinformation dans le domaine de la santé.

Jörg Schönenborn, directeur de la télévision WDR, a déclaré : « Les faits sont des faits qui sont établis ». Si tel était le cas, comment est-il possible que des scientifiques se disputent sans cesse à huis clos et soient même profondément divisés sur certaines questions assez fondamentales ? Tant que nous ne nous en rendrons pas compte, toute hypothèse d’objectivité présumée conduira à une impasse. Nous ne pouvons que nous rapprocher de la réalité — et cela ne peut se faire que dans un discours ouvert d’opinions et de connaissances scientifiques.

Ce qui se passe en ce moment n’est pas une lutte sincère contre les « fausses nouvelles ». On a plutôt l’impression que toute information, toute preuve ou discussion contraire au récit officiel est interdite.

Un exemple récent est la vidéo objective et scientifiquement transparente de l’informaticien Marcel Barz. Lors d’une analyse de données brutes, Barz constate avec étonnement que ni les chiffres relatifs à la surmortalité, ni à l’occupation des lits, ni à l’infection ne correspondent à ce que nous avons lu ou entendu des médias et de la politique depuis un an et demi. Il montre également comment ces données peuvent constituer une pandémie et explique pourquoi c’est malhonnête pour lui. La vidéo a été supprimée par YouTube après 145 000 visonnements au bout de trois jours (et n’a été de nouveau rendue accessible qu’après l’opposition de Barz et beaucoup de protestation). La raison invoquée est la « désinformation médicale ». Ici aussi, la question est la suivante : qui a pris une telle décision, et sur quelle base ?

Les fact checkers du contrefacteur discréditent Marcel Barz comme un faux. Le jugement de Correctiv est un peu plus clément (Barz y a répondu publiquement et en détail). L’expertise réalisée pour le ministère fédéral de la Santé, qui montre que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients atteints de Covid-19 en 2020 n’était que de 2 %, lui donne raison. Barz a contacté la presse avec son analyse, mais n’a pas reçu d’attention. Dans un discours qui fonctionne, nos médias l’inviteraient au débat.

Des millions de fois, le contenu sur les sujets Covid a été supprimé, comme le montre la journaliste Laurie Clarke dans le British Medical Journal, Facebook et Cie sont des entreprises privées et peuvent donc décider de ce qui sera publié sur leurs plateformes. Mais peuvent-ils contrôler le discours ?

La radiodiffusion de service public pourrait apporter un équilibre important en assurant un échange de vues ouvert. Malheureusement, mauvaise indication !

Passeports d’application numériques et surveillance

Les fondations Gates et Rockefeller ont conçu et financé les directives de l’OMS pour les passeports d’application numériques. Ceux-ci sont maintenant introduits dans le monde entier. Ce n’est qu’avec eux que la vie publique doit être possible, qu’il s’agisse de prendre le tramway, de prendre un café ou de recevoir un traitement médical. L’exemple français montre que cette carte d’identité numérique doit être maintenue même après la fin de la pandémie. La députée Emanuelle Ménard a demandé l’ajout suivant dans le texte de loi : le passeport de vaccination numérique « prendra fin si la propagation du virus ne présente plus un risque suffisant pour justifier son application ». Son amendement a été rejeté. Le pas vers le contrôle mondial de la population, voire vers l’État de surveillance, par le biais de projets tels que ID2020, est donc très petit.

L’Australie teste maintenant une demande de reconnaissance faciale pour s’assurer que les gens restent en quarantaine à la maison. Israël utilise des bracelets électroniques. Dans une ville italienne, des drones sont testés pour mesurer la température des visiteurs de la plage, et en France, la loi est en cours de modification pour permettre la surveillance par drones à grande échelle.

Tous ces sujets nécessitent des échanges intenses et critiques au sein de la société. Mais il n’a pas lieu suffisamment dans la couverture médiatique de nos radiodiffuseurs et n’a pas fait l’objet d’une campagne électorale.

Point de vue rétréci

La manière dont le point de vue du discours est rétréci est révélatrice des « gardiens de la porte de l’information ». Jan Böhmermann fournit un exemple récent en demandant que le virologue Hendrik Streeck et le professeur Alexander S. Kekulé ne soient plus en place parce qu’ils ne sont pas compétents.

Outre le fait que les deux médecins ont une Vita [?] extrêmement respectable, Böhmermann a ainsi réajusté ses œillères. Ne faut-il même plus entendre les gens qui présentent leur critique du cours du gouvernement avec des gants de velours ?

La limitation du discours est désormais telle que la Bayerische Rundfunk n’a pas diffusé à plusieurs reprises, lors de la retransmission des débats parlementaires du parlement régional, les discours de députés critiques à l’égard des mesures.

Telle est la nouvelle conception de la démocratie de la radiodiffusion de service public ? Les plateformes médiatiques alternatives prospèrent d’abord parce que les personnes établies ne remplissent plus leurs fonctions de correctif démocratique.

Quelque chose a mal tourné

Pendant longtemps, j’ai pu dire avec fierté et joie que je travaillais à la radio publique. De nombreux formats, recherches et contenus exceptionnels viennent d’ARD, de ZDF et de la radio allemande. Les normes de qualité sont extrêmement élevées et des milliers de collaborateurs font un excellent travail, même sous une pression accrue sur les coûts et des objectifs d’économie. Mais quelque chose a mal tourné avec la Covid-19. Soudain, je perçois une vue de tunnel et des œillères et un prétendu consensus qui n’est plus remis en question.(([10] Je ne veux pas parler d’une véritable « opinion unique » des justiciables publics. Il y a toujours eu des contributions critiques et des changements de cap dans les rapports. Mais c’est toujours une question de contexte, de temps d’antenne et d’étendue de la façon dont un sujet est traité. Mes observations ont également été faites par d’autres collègues.))

La chaîne autrichienne Servus TV montre qu’il en va autrement. Dans l’émission « Corona-Quartet » / « Talk im Hanger 7 », les partisans et les critiques prennent également la parole. Pourquoi cela ne serait-il pas possible à la télévision allemande ?(([11] Des formats frais comme « Sur le canapé » du ZDF donnent de l’espoir, même si je ne pense pas qu’il y aura bientôt une Karina Reiß ou un Wolfgang Wodarg.)) « Il ne faut pas donner une place à tous les cinglés », c’est la réponse rapide. Il faut éviter le faux équilibre, le fait que les opinions sérieuses et peu sérieuses soient entendues doit être évité. — Un argument d’homicide involontaire qui n’est pas scientifique. Le principe fondamental de la science est le doute, la remise en question, la vérification. Si ça n’a plus lieu, la science deviendra une religion. [Ndlr : c’est déjà le cas en médecine, en climatologie et dans d’autres domaines politisés.]

Oui, il y a en fait un faux équilibre. C’est la tache aveugle qui est revenue dans nos esprits, qui ne permet plus une véritable confrontation. On se jette des faits apparents, mais on ne peut plus s’écouter. Le mépris remplace la compréhension, la lutte contre l’autre opinion remplace la tolérance. Les valeurs fondamentales de notre société sont balancées par-dessus bord. Ici, on dit que les gens qui ne veulent pas se faire vacciner sont fous, qu’ils disent : « Honte aux brebis endormies ».

Pendant que nous nous disputons, nous ne réalisons pas que le monde qui nous entoure change à une vitesse fulgurante. Presque tous les domaines de notre vie sont en pleine transformation. La manière dont cela se passe est déterminante pour notre capacité de coopération, de compassion et de conscience de nous-mêmes et de nos paroles et de nos actes. Pour notre santé mentale, nous ferions bien d’ouvrir l’espace de débat, avec attention, respect et compréhension des différentes perspectives.(([12] L’initiative « Dialogue culture » ouvre des approches valables qui peuvent également intéresser les formats de médias.))

En écrivant ces lignes, j’ai l’impression d’être un hérétique, quelqu’un qui commet une trahison et qui doit s’attendre à une punition. Ce n’est peut-être pas le cas. Je ne risquerai peut-être pas mon travail et la liberté d’expression et le pluralisme ne sont pas menacés. Je le souhaite vivement et je me réjouis d’un échange constructif avec mes collègues.

Ole Skambraks

ole.skambraks@protonmail.com

À propos de l’auteur :

Ole Skambraks, né en 1979, a étudié les sciences politiques et le français à l’Université Queen Mary, à Londres et à la gestion des médias à l’ESCP Business School, Paris. Il était présentateur, reporter et auteur à Radio France Internationale, rédacteur en ligne et community manager chez cafebabel.com, directeur de l’émission du matin chez MDR Spoutnik et rédacteur chez WDR Funkhaus Europa / Cosmo. Actuellement, il travaille en tant que rédacteur en chef dans la gestion/conception de son de programmes chez SWR2.

Informations complémentaires de l’auteur

P.S. Pour les vérificateurs factuels et les personnes intéressées par une perspective multiple, voici les contre-positions aux points abordés dans le texte :

Étude ARD-ZDF

https://www.rnd.de/medien/kritik-an-corona-berichterstattung-von-ard-und-zdf-sender-wehren-sich-gegen-medienstudie-C3B4FEKAMNBFBNTKGO5EETMR3E.html

Pr John Ioannidis

https://www.faz.net/aktuell/wissen/forscher-john-ioannidis-verharmlost-corona-und-provoziert-17290403.html

Imperial College Modelling

https://blogs.bmj.com/bmj/2020/10/07/Covid-19-modelling-the-pandemic/

Gain of function reserch

https://www.gavi.org/vaccineswork/next-pandemic/nipah-virus

Hydroxychloroquine/ivermectine

https://www.br.de/nachrichten/wissen/corona-malaria-mittel-hydroxychloroquin-bei-Covid-19-unwirksam,RtghbZ4

https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-therapeutics-2021.2

https://www.forbes.com/sites/siladityaray/2021/05/11/indian-state-will-offer-ivermectin-to-entire-adult-population—even-as-who-warns-against-its-use-as-Covid-19-treatment/

Immunité des personnes vaccinées

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.08.23.457229v1

Immunité des convalescents

https://science.orf.at/stories/3208411/?utm_source=pocket-newtab-global-de-DE

https://www.businessinsider.com/fauci-why-covid-vaccines-work-better-than-natural-infection-alone-2021-5

Percées / pandémie

https://www.spektrum.de/news/corona-impfung-wie-viele-geimpfte-liegen-im-krankenhaus/1921090#Echobox=1631206725

https://www.mdr.de/wissen/covid-corona-impfdurchbrueche-sind-selten-100.html

https://www.businessinsider.de/wissenschaft/gesundheit/neue-daten-risiko-an-Covid-19-zu-sterben-fuer-ungeimpfte-elfmal-hoeher-a/

Pseudo-experts / Négationnistes / PRINCIPE PLURV

https://www.ndr.de/nachrichten/info/82-Coronavirus-Update-Die-Lage-ist-ernst,podcastcoronavirus300.html#Argument

Notes :




Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme

[Source : Sott.net]

Par Ryan Matters — NewBraveWorld.org

Note du traducteur : Cet article nous semble essentiel, non pas parce que l’auteur développe des aspects du totalitarisme eugénique et transhumaniste en cours qui n’auraient pas déjà fait l’objet de publications antérieurs — voir à cet effet les différents liens que nous en donnons tout au long de la traduction — mais parce qu’il articule tous ces aspects d’une manière qui donne à voir l’image de l’agenda, qui est tout sauf humaniste sous couvert de l’être, selon une meilleure et plus large perspective. En bref, l’auteur connecte les points.

Bonne lecture.

Le déploiement mondial des [soi-disant – NdT] « vaccins » anti-Covid-19 à ARNm fait partie d’un programme bien plus vaste qui englobe l’eugénisme et le transhumanisme. Ce programme est financé et promu par un réseau d’institutions mondiales, de politiciens et de technocrates milliardaires.

En 1989, des chercheurs du Salk Institute en Californie ont publié une étude expliquant comment ils avaient mis au point un système de transfection par ARN qui pouvait « directement introduire l’ARN dans des tissus entiers et dans des embryons ». Cette étude est la première à avoir décrit le concept d’utilisation de l’ARN en tant que médicament et a permis de poser les fondements de décennies de recherches ultérieures dans ce domaine. La section « Discussion » de l’article indique que :

« La méthode ARN/lipofectine peut être utilisée pour introduire directement l’ARN dans des tissus entiers et des embryons (R.W.M., C. Holt et I.M.V., résultats non publiés), suggérant que la transfection de l’ARNm par les liposomes pourrait offrir une autre option dans la technologie croissante de l’administration de gènes eucaryotes, une option basée sur le concept de l’utilisation de l’ARN comme médicament. »

L’un des chercheurs du Salk Institute cités dans l’article est le Dr Robert W. Malone, un scientifique [biologiste moléculaire, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses – NdT] qui a récemment été censuré sur les médias sociaux [et dans les médias mainstream – NdT] pour avoir attiré l’attention sur les dangers possibles des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19. On pourrait considérer qu’il n’existe aucun expert plus qualifié pour nous mettre en garde contre les dangers des injections d’ARNm que l’homme qui a contribué à mettre au point cette technologie. Néanmoins, Big Tech a décidé qu’il diffusait des « fausses informations », parce que, selon toute vraisemblance, ils en sauraient plus que lui sur le sujet.

[Voir aussi :
Le Dr R. Malone, inventeur des vaccins à ARNm et ADN : « C’est vrai, je suis en train d’être effacé de l’histoire »]

Les recherches de Malone, qui ont abouti à une procédure permettant de « transfecter efficacement l’ARN dans les cellules humaines » à l’aide d’un « lipide cationique synthétique », ont été soutenues par des subventions de l’American Cancer Society et du National Institute of Health — qui détient aujourd’hui une participation dans le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19 à ARNm de Moderna, preuve s’il en est de son allégeance à cette technologie. Nous y reviendrons plus tard.

Bien que les contributions de Malone au développement de la technologie de l’ARNm sont bien connues et bien documentées, Wikipedia a décidé de supprimer toute mention le concernant dans leur page « Vaccin à ARN », et ce peu de temps après que le scientifique ait commencé à s’exprimer sur les dangers des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 fabriqués en dans la précipitation. La version du 14 juin 2021 de la page en question mentionnait trois fois le nom de Malone et citait ses travaux six fois. La version actuelle de cette page ne le mentionne plus du tout et ne cite ses travaux que trois fois.

Toutefois, cela n’est pas surprenant compte tenu du parti pris avéré de Wikipedia en faveur de l’industrie pharmaceutique. Se pencher sur l’institution qui a initié la recherche — le Salk Institute — s’avère toutefois bien plus intéressant. Le Salk Institute, nommé d’après Jonas Salk, le créateur du vaccin Salk contre la polio, a été construit en 1962 grâce au financement de la National Foundation for Infantile Paralysis, aujourd’hui connue sous le nom de March of the Dimes.

La March of the Dimes a été créée en 1937 avec pour mission d’éradiquer la polio, à l’époque même où le courant eugéniste occupait sur la scène sanitaire des États-Unis une place déjà importante, mais pas encore popularisée. La théorie de l’eugénisme repose sur l’idée que la procréation sélective peut conduire à une « amélioration » progressive de la race humaine et que certaines familles sont aptes à diriger la société en vertu de leurs gènes « supérieurs ».

À l’époque, les principales organisations eugénistes du pays comprenaient l’American Eugenics Society et l’American Society of Human Eugenics, financées par les familles Rockefeller, Carnegie et Harriman, ainsi que par l’Institut Rockefeller pour la Recherche médicale. Il convient de noter que les Rockefeller ont contribué de façon décisive à financer et à promouvoir l’eugénisme dans le monde entier. Le mouvement eugéniste encourageait l’accouplement sélectif, l’insémination artificielle, la stérilisation obligatoire et l’euthanasie comme constituant des moyens importants d’éliminer les êtres humains dits « inférieurs ».

Aux États-Unis, la première loi sur la stérilisation a été adoptée en 1907, dans l’État de l’Indiana, et en 1931, de nombreux autres États avaient suivi le mouvement en promulguant des lois similaires. Selon les données historiques de l’État de l’Indiana :

« En 1907, le gouverneur J. Frank Hanly a approuvé la première loi eugéniste de l’État rendant la stérilisation obligatoire pour certains individus placés sous la garde de l’État. »

Les personnes stérilisées en vertu de ces lois eugénistes étaient jugées « indésirables » en raison de déficiences mentales ou physiques telles que l’épilepsie, la cécité et les handicaps physiques, ainsi qu’en raison de « déficiences sociales » telles que la toxicomanie ou la criminalité. En vertu de ces lois et selon les estimations, environ 60 000 personnes ont ainsi été stérilisées, privées de leur droit d’avoir des enfants et cataloguées de manière irrévocable comme étant « faibles d’esprit ».

En fait, l’importance du mouvement eugéniste aux Etats-Unis était telle qu’elle a conduit le parti national-socialiste allemand à l’adopter, de sorte qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, plus de 350 000 personnes avait été stérilisées par le régime nazi. Après la Seconde Guerre mondiale, les notions d’eugénisme ont disparu de la conversation publique, mais le mouvement ne s’est jamais dissipé. Au contraire, il a été « rebaptisé » en utilisant des termes plus acceptables tels que « contrôle de la population » et « santé de la procréation », comme nous le verrons plus loin.

L’émergence de la March of the Dimes en tant qu’acteur majeur du mouvement eugéniste aux États-Unis remonte à l’association précoce de l’organisation avec l’Institut Rockefeller, qui lui a fourni nombre de ses membres et conseillers clés, notamment le professeur Anton Julius Carlson, membre de l’American Eugenics Society, recruté pour faire partie des comités médicaux et de recherche de la March of the Dimes, et le professeur Clair E. Turner, autre membre de l’American Eugenics Society, qui était l’assistant de Basil O’Connor, lui-même alors président.

Juste avant la création de l’Institut Salk, le ministère de la Santé a annoncé qu’il allait supprimer progressivement ses programmes de lutte contre la polio et concentrer ses ressources sur les « anomalies congénitales ». En 1959, la March of the Dimes a financé des cours de « génétique médicale » au Jackson Laboratory dans le Maine, un institut de génétique fondé en 1929 par Clarence Cook Little, qui, « à un moment ou à un autre », a été président de l’American Eugenics Society, de l’American Birth Control League et de l’American Euthanasia Society.

La mission revendiquée du Jackson Laboratory est de

« découvrir des solutions génomiques précises pour les maladies et de dynamiser la communauté biomédicale mondiale dans sa quête commune pour améliorer la santé humaine. »

Il convient de noter que le Jackson Laboratory a reçu un financement accru en 2020, en grande partie de l’Institut national de la santé, notamment une subvention de 10,6 millions de dollars afin de trouver des traitements pour lutter contre les maladies génétiques rares en utilisant les technologies d’édition de gènes. Et au début de la « pandémie » de coronavirus, ce même laboratoire s’est efforcé de développer des souris génétiquement modifiées pour les utiliser dans des études de vaccins et autres recherches liées au Sras-Cov-2.

À partir des années 1960, la March of the Dimes a financé plusieurs « Centres de prévention des malformations congénitales » situés dans des établissements médicaux disséminés à travers les États-Unis. Ces nouveaux centres proposaient des tests prénataux par amniocentèse pour déterminer si un bébé naîtrait avec des « malformations » et donnaient ensuite au couple la possibilité d’avorter l’enfant atteint de malformation(s).

La March of the Dimes a également fait des dons directs à Planned Parenthood [le planning familial – NdT], ce qui est en contradiction flagrante avec la mission qu’elle revendique, à savoir « lutter pour la santé de toutes les mamans et de tous les bébés ». Le Planned Parenthood est une organisation à but non lucratif qui fournit aux États-Unis et à l’étranger des « soins de santé en matière de reproduction ». De 2019 à 2020, l’organisation a pratiqué plus de 350 000 avortements et a été critiquée pour avoir « détourné les ressources prévues pour la santé des femmes au profit des avortements. » Sans surprise, un regard sur l’histoire de l’organisation révèle que les racines de Planned Parenthood reposent sur les idéaux eugénistes.

Le Planned Parenthood a été fondé par Margaret Sanger, qui, loin d’être une « activiste du contrôle des naissances », comme le courant dominant voudrait le faire croire, était une eugéniste raciste qui cherchait à débarrasser le monde de la race humaine jugée « inapte ». Dans son essai intitulé « Un plan pour la paix », elle décrit les principaux objectifs de sa proposition pour un « Congrès sur la population », à savoir

« une politique sévère et rigide de stérilisation et de ségrégation à l’égard de la catégorie de population dont la progéniture est souillée ou dont l’héritage est tel que des traits répréhensibles peuvent être transmis à la progéniture. »

Elle mentionne également la nécessité de « contrôler l’entrée et la sortie des crétins, des déficients mentaux, des épileptiques. »

Note du traducteur : Ce qui veut dire qu’il est nécessaire que le nombre des naissances d’individus « souillés » ne soit pas supérieur à celui des décès de ces mêmes individus. Notez l’expression particulièrement inhumaine « entrée et sortie ».

Comme nous l’avons mentionné plus haut, ces idéaux eugénistes ont inspiré les nazis qui ont repris nombre des idées de Sanger et les ont, pour ainsi dire, appliquées. Dans son livre The War Against the Weak, Edwin Black explique en détail comment la loi nazie de 1933 sur la stérilisation et les lois ultérieures sur l’euthanasie étaient basées sur des plans élaborés par Sanger et d’autres « militants » des États-Unis. En fait, les associés de Sanger connaissaient ces programmes d’euthanasie nazis et en faisaient l’éloge.

Pour en revenir au Salk Institute, il convient de noter que le récit dominant de l’épidémie de polio du XXe siècle, à savoir l’idée que la maladie est causée par un virus et que le vaccin miracle du Dr Salk a été le seul à mettre fin à l’épidémie, est douteux et probablement totalement faux.

Note du traducteur : En effet, et vous pouvez vous reporter à cet article particulièrement fouillé que nous avons publié il y a un an : Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?

La polio paralytique est apparue soudainement aux États-Unis au début des années 1900, avec des fluctuations continuelles et spectaculaires du nombre de cas — un schéma qui s’est poursuivi jusqu’à la fin des années 1950. L’introduction du vaccin Salk en 1954 a semblé coïncider avec le déclin presque instantané des cas, qui s’est poursuivi pendant plus de deux décennies.

Mais avant d’être appelées « polio » [poliomyélite – NdT], les affections impliquant une infirmité des membres étaient connues sous d’autres noms, notamment apoplexie, parésie et paralysie. De nombreux écrits historiques font référence à des paralysies résultant d’une exposition à des substances toxiques et beaucoup de ces récits ont été documentés par le Dr Ralph Scobey dans sa déclaration de 1952 au Comité d’enquête sur l’utilisation des produits chimiques dans les produits alimentaires, intitulée « Le poison en cause dans la poliomyélite et les obstacles à son investigation ».

L’article de Scobey fait référence à plusieurs enquêtes qui semblaient indiquer un lien entre les épidémies de polio au XXe siècle et la consommation de fruits frais, établissant ainsi un lien entre la polio et l’exposition aux pesticides toxiques. Un pesticide agricole largement utilisé à l’époque était le DDT, un organochloré hautement toxique dont on a beaucoup vanté les mérites, mais qui a finalement été interdit en 1972. En 1953, le Dr Morton Biskind a publié une étude dans l’American Journal of Digestive Diseases soulignant que :

« McCormick (78), Scobey (100-101), et Goddard (57), dans des études détaillées, ont tous souligné que des facteurs autres que les agents infectieux sont certainement impliqués dans l’étiologie de la polio, allant de défauts nutritionnels à une variété de poisons qui affectent le système nerveux. »

Le danger des pesticides toxiques, dont le DDT, et leurs effets désastreux sur l’environnement ont été illustrés par Rachel Carson dans son livre de 1962, Printemps silencieux.

Note du traducteur : Le Printemps silencieux est le concept repris par Stephanie Seneff pour présenter son livre sur les glyphosates, intitulé Toxic Legacy — How the Weedkiller Glyphosate Is Destroying Our Health and the Environment [« Héritage toxique — Comment le glyphosate désherbant détruit notre santé et l’environnement ou Le Printemps silencieux de notre temps, non traduit en français. Stephanie Seneff alerte de puis longtemps sur les effets hautement toxiques du Roundup, par exemple ;

Plus récemment, des chercheurs, Dan Olmstead, cofondateur de l’Ère de l’autisme, et Mark Blaxil, ont mené deux brillantes enquêtes sur les épidémies de polio du XXe siècle, aboutissant à une conclusion similaire à celle de Scobey et Biskind, à savoir que la maladie a été causée par l’utilisation généralisée de pesticides neurotoxiques tels que l’arsénite de soude et le DDT.

Bien que le vaccin de Salk ait été salué pour son efficacité, le vaccin lui-même a causé de nombreux cas de séquelles et de paralysies. Et bien qu’il semble exister une corrélation convaincante entre le moment où le vaccin a été administré et la réduction des cas de polio, comme tout bon scientifique le sait, la causalité n’est pas synonyme de corrélation, surtout si l’on tient compte du fait qu’au au cours de la même période, le DDT a été progressivement éliminé, du moins aux États-Unis.

Il est intéressant de noter que les recherches sur la polio du Dr Salk ont été financées par la mère de Cordelia Scaife May, une héritière de la fortune bancaire de la famille Mellon, qui a idéalisé Margaret Sanger et a ensuite rejoint le conseil d’administration de la Fondation internationale Planned Parenthood. Les opinions de May sur l’immigration étaient pour le moins radicales et, selon certains, elle était favorable à la stérilisation obligatoire comme moyen de limiter les taux de natalité dans les pays en développement. May a ensuite rejoint le conseil d’administration du Population Council, une organisation fondée par John D. Rockefeller III dont l’objectif principal consiste à réduire le nombre d’individus sur Terre. En 1995, le Population Council a collaboré avec l’OMS pour créer des vaccins destinés à réguler la fertilité.

Penser qu’aucune corrélation ne peut être faite entre l’épidémie de polio et l’« ère de la vaccination » dans laquelle nous nous trouvons serait une erreur. Au contraire, prétendre que la polio a été « éradiquée aux États-Unis » grâce à la seule vaccination est un mensonge qui a permis de gagner la faveur du public pour les vaccinations infantiles et a contribué à jeter les bases de la croyance généralisée en la sécurité et l’efficacité de tous les vaccins [ou supposés tels – NdT]. Des maladies telles que la polio et la variole — un autre mensonge qui dépasse le cadre de cet article — et la propagande pro-vaccins qui s’en est suivie, ont « conditionné » une grande partie de la population à accepter, sans poser de questions, une piqûre expérimentale basée sur une technologie encore bien mal comprise.

La déformation de la science

En 1997, huit ans après l’étude publiée du Salk Institute, la FDA a approuvé le tout premier essai d’ARN transfecté pour développer l’immunité chez les patients atteints de cancer. Le comité consultatif sur l’ADN recombinant de l’Institut national de la santé a quelques mois plus tard voté en faveur du maintien de l’approbation, ce qui a conduit aux toutes premières administrations de vaccins à base d’ARNm chez l’homme.

Bien que l’ARNm est présenté dans les médias comme la prochaine révolution dans le domaine de la santé, toute personne dotée de discernement peut s’alarmer à la lecture d’extraits tels que celui-ci, tiré d’un article sur l’histoire de l’ARNm, rédigé pour StatNews par Damian Garde, journaliste spécialisé dans les biotechnologies :

« Le concept : En apportant des modifications précises à l’ARNm synthétique et en l’injectant aux gens, n’importe quelle cellule du corps pourrait être transformée en usine à médicaments à la demande. »

Toutefois, parler de cellules transformées en « usines à médicaments à la demande » est exactement le genre de techno-rhétorique dénuée de sens destinée à impressionner et à séduire un public non averti. Les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm reposent sur le concept suivant : un morceau d’ARNm synthétique est envoyé dans vos cellules, où il est utilisé comme modèle pour produire la « protéine Spike » [la même a priori que celle du virus Sras-CoV-2 – NdT]. Une fois que cette protéine quitte la cellule, l’organisme produit des anticorps et « apprend » à combattre les futures infections par le virus Sras-Cov-2.

Les [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ARNm sont souvent présentés comme une alternative plus sûre aux [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ADN qui, selon les experts [notamment Pascolo en 2004 selon le lien – NdT],

« peuvent déclencher des modifications permanentes et dangereuses de l’information génétique des personnes traitées. »

Cependant, avons-nous la certitude que les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm ne modifient pas de façon permanente la composition génétique de nos cellules ? Une étude de 2001 intitulée « L’ARN comme vaccin contre les tumeurs : une revue de la littérature », affirme que (c’est l’auteur qui souligne) :

« Contrairement aux vaccins à base d’ADN, le risque d’incorporation de séquences d’ARN dans le génome de l’hôte est faible. »

L’utilisation du mot « faible » semble indiquer qu’il peut au moins exister un certain danger d’intégration du génome, ou plus probablement, que les chercheurs ne savent tout simplement pas.

Dans l’étude d’« opinion d’expert » de Pascolo de 2004 cité plus haut, il souligne le lien entre les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm et les thérapies géniques, lien qui est continuellement nié et rejeté par le courant dominant :

« Bien que situé dans le cytosol et non dans le noyau, l’ARNm mature appartient à la famille biochimique des acides nucléiques. L’ARNm, comme l’ADN, peut être considéré comme un gène et, par conséquent, son utilisation comme vaccin peut être considérée comme une « thérapie génique ». »

Il est intéressant de noter que c’est uniquement en raison d’une technicité du droit réglementaire que les thérapies géniques Covid-19 sont autorisées à être appelées « vaccins ». Ceci est expliqué dans un document intitulé « L’environnement réglementaire européen des vaccins à base d’ARN », qui stipule que :

« La définition d’un médicament de thérapie génique telle qu’elle figure à l’annexe 1 de la directive 2001/83/CE est la suivante :

On entend par médicament de thérapie génique un médicament biologique qui présente les caractéristiques suivantes :

(a) il contient une substance active qui contient ou consiste en un acide nucléique recombinant utilisé chez l’homme ou administré à celui-ci en vue de réguler, réparer, remplacer, ajouter ou supprimer une séquence génétique ;

(b) son effet thérapeutique, prophylactique ou diagnostique est directement lié à la séquence d’acide nucléique recombinant qu’il contient, ou au produit de l’expression génétique de cette séquence.

Les médicaments de thérapie génique ne comprennent pas les vaccins contre les maladies infectieuses. »

Comme on s’en doute, le simple fait d’appeler une thérapie génique un « vaccin contre une maladie infectieuse » annule sa classification en tant que thérapie génique, dont le processus d’approbation, du moins en Europe, implique de passer par le CAT qui est le « Comité des thérapies avancées » de l’EMA (Agence européenne des médicaments). De toute évidence, ce jeu de langage semble constituer une sorte de « faille », qui permet d’approuver plus facilement les thérapies géniques à base d’ARNm prévues pour un usage humain.

Note du traducteur : Ce jeu de langage n’est pas fortuit, loin s’en faut. Il constitue ce que James Lindsay a brillamment exposé dans son article majeur La psychopathie et les origines du totalitarisme, comme étant les pseudo-réalités académiques, la paralogie idéologique et la paramoralité idéologique.

Cette approbation constitue certainement un sujet controversé lorsqu’on l’aborde dans le contexte des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 actuels — dont la plupart n’ont pas été entièrement approuvés par la FDA, mais seulement autorisés dans le cadre d’une utilisation d’urgence, et étiquetés comme étant des produits « expérimentaux », un fait que beaucoup de gens ignorent. Cependant, au début de l’année, les fabricants de vaccins se sont déjà fixé pour objectif d’obtenir une approbation réglementaire complète, après seulement six mois d’essais. Le 7 mai, Pfizer a officiellement déposé sa demande auprès de la FDA, dans le but d’obtenir le tout premier vaccin covid-19 pleinement autorisé. Et le 23 août, cette autorisation lui a été accordée par la FDA. Mais avec des millions de vaccins déjà administrés sous autorisation de mise sur le marché conditionnelle, pourquoi tant de hâte ?

En outre, pour les six vaccins « pionniers dans le traitement d’une maladie » qui ont été approuvés par la FDA au cours des quinze dernières années, la durée médiane des essais flirtait avec un timide délai de deux ansL’approbation d’un vaccin après six mois de données est l’une des plus rapides jamais enregistrées. Bien que les essais cliniques de phase trois de Pfizer, Moderna et Janssen aient tous une durée de deux ans [et qu’ils sont donc en cours – NdT], la FDA a pris soin de ne jamais énoncer clairement sa position quant au suivi clinique minimum avant d’envisager l’approbation.

Pour évaluer la sécurité des vaccins, des essais plus longs, contrôlés par placebo, sont primordiaux. Il est donc extrêmement alarmant que les fabricants de vaccins, quelques semaines après avoir reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence, aient commencé à pervertir les essais en offrant aux personnes du groupe placebo la possibilité de se faire « vacciner »Moderna a annoncé que

« depuis le 13 avril, tous les participants au groupe placebo se sont vus proposer le vaccin Moderna anti-Covid-19 et 98 % d’entre eux ont reçu le vaccin ».

Ce qui signifie que leur groupe placebo n’existe plus et qu’ils n’ont donc aucun moyen de mesurer avec précision la sécurité à long terme. Il en va de même pour Pfizer.

Dans une étude du British Medical Journal, Peter Doshi cite la FDA qui, à plusieurs reprises, a déclaré que le maintien d’un groupe placebo serait essentiel pour évaluer à la fois la sécurité et l’efficacité des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, ce qui est évident pour quiconque comprend les conséquences du non-respect de la rigueur scientifique lors de l’essai d’une nouvelle thérapie médicale. En effet, sur plus de 200 médicaments approuvés par la FDA entre 2000 et 2010, un tiers d’entre eux se sont avérés présenter de sérieux problèmes de sécurité.

En réalité, les fabricants pourraient avoir de nombreuses raisons de vouloir obtenir l’approbation de la FDA pour leurs [soi-disant – NdT] vaccins, mais la première de ces raisons est probablement le « cachet d’approbation » qui accompagne l’homologation complète et la possibilité de l’utiliser pour convaincre ceux qui restent sceptiques quant à leur sécurité et à leur efficacité. De plus, l’approbation complète de la FDA ouvrirait la voie à des obligations vaccinales plus simples à mettre en œuvre, ce qui mettrait une pression énorme sur les personnes qui composent la « classe éveillée » et qui représentent une épine dans le pied des promoteurs de l’agenda de la Grande Réinitialisation/Grande Convergence.

Dans le processus d’évaluation et d’approbation de ces [soi-disant – NDT] vaccins expérimentaux conduit par la FDA, des incohérences encore plus inquiétantes peuvent être trouvées. Par exemple, la FDA a récemment mis en garde contre l’utilisation de tests d’anticorps pour évaluer l’immunité ou la protection contre le Covid-19, « en particulier » après qu’une personne ait reçu une injection bien que l’autorisation européenne de mise sur le marché ait été accordée à l’origine, en partie, en raison de ces mêmes réponses aux anticorpsLes implications de ce revirement sont que l’autorisation européenne de mise sur le marché conditionnelle accordée pour les [soi-disant – NdT] vaccins contre le covid-19 devrait également être annulée, mais quelle est la probabilité que cela se produise alors que des millions de personnes ont déjà été injectées ?

En outre, l’idée que les « anticorps » assurent une protection contre les infections dites virales témoigne d’une mauvaise compréhension du corps et du système immunitaire. Le fait que les anticorps ne jouent pas un grand rôle dans les infections virales est connu des scientifiques médicaux depuis les années 1950, sur la base de recherches montrant que les personnes atteintes d’une incapacité génétique à produire des anticorps, appelée « agammaglobulinémie », ont des réactions normales aux infections virales typiques et semblent même résister aux récidives.

Note du traducteur : Il est important de préciser que notre organisme dispose de deux systèmes immunitaires : l’inné et l’adaptatif. C’est l’adaptatif qui produit des anticorps — qui sont des défenses spécifiques et ciblées — et il n’est que la barrière secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus :

« Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour. [Il] fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes [qui] sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus. [Il] monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.
»

Source : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Quoiqu’il en soit, les deux systèmes immunitaires semblent plus ou moins — selon les individus et la force ou la faiblesse initiale du système immunitaire inné — affectés par les injections, surtout si elles sont répétées.

Voir aussi :

Bill Gates, Moderna et l’eugénisme 2.0

L’un des fabricants de [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 dont il est le plus fait mention dans les médias est Moderna, une société de biotechnologie cofondée par Robert Langer, chercheur et inventeur au MIT. En 2013, la startup de biotechnologie a reçu un financement de 25 millions de dollars de la part de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), un organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, et une organisation bien connue pour sa quête incessante de technologies dystopiques et transhumanistes, telles que les nanoparticules implantables et les interfaces bio-cérébrales — nous y reviendrons.

Il convient de noter que le gouvernement des États-Unis, par l’intermédiaire du National Institute of Health, s’avère avoir un intérêt financier dans le [soi-disant – NdT] vaccin Moderna grâce à un contrat signé par les deux parties, donnant au NIH la propriété conjointe des candidats vaccins à ARNm de Moderna. Selon Axios :

« Le NIH finance principalement des recherches extérieures, mais il invente aussi souvent des technologies scientifiques fondamentales qui sont ensuite cédées sous licence et incorporées dans des médicaments vendus avec des bénéfices colossaux. »

Ceci est plus qu’alarmant étant donné que le NIH est chargé de donner la priorité aux traitements prometteurs pour soigner le Covid-19 et d’améliorer l’efficacité des essais cliniques, ce qui, pour Moderna, est impossible étant donné que leur essai ne contient plus de groupe de témoin. L’intérêt direct du NIH à ce que Moderna prospère peut également expliquer de manière plausible pourquoi la start-up biotechnologique a reçu l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle de son [soi-disant – NdT] vaccin alors qu’elle n’a pas réussi, pendant plus de dix ans [et donc depuis qu’elle existe – NdT], à mettre un seul produit sur le marché.

Lors d’une interview pour Economic Club, le directeur du NIH, Francis Collins, a nié que les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 permettraient de gagner de l’argent, déclarant que « personne ne voit cela comme un moyen de gagner des milliards de dollars ». Cependant, les preuves montrent le contraire, puisque les ventes des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 de Moderna ont atteint 1,7 milliard de dollars au premier trimestre 2021, faisant de leur PDG, Stéphane Bancel, l’un des nombreux nouveaux milliardaires de l’industrie pharmaceutique.

« Operation Warp Speed » [à la vitesse de l’éclair – NdT], le nom donné à un partenariat entre plusieurs agences fédérales des États-Unis visant à accélérer le développement d’un [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, a également été marqué par des conflits d’intérêts. L’administration chargée de l’Operation Warp Speed a engagé plusieurs « consultants » ayant des liens avec Big Pharma, dont deux anciens cadres de Pfizer. Et en mai 2020, il a été rapporté que leur conseiller principal, le Dr Monsef Slaoui, lui-même ancien cadre de l’industrie pharmaceutique, détenait 10 millions de dollars d’actions GlaxoSmithKline, la même société qui a ensuite obtenu un contrat de 2 milliards de dollars pour fournir au gouvernement des États-Unis 100 millions de flacons pour contenir le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19. Le Dr Slaoui détenait également un nombre important d’actions de la société Moderna, à laquelle le gouvernement fédéral a accordé un financement de plus de 2,5 milliards de dollars.

Le cofondateur de Moderna, Robert Langer, qui dispose d’avoirs dont la valeur nette a également explosé pour atteindre des milliards, est l’un des chercheurs les plus cités au monde. Scientifique au MIT, Langer détient plus de 1 400 brevets et est spécialisé dans la biotechnologie, la nanotechnologie, l’ingénierie tissulaire et l’administration de médicaments. En outre, Langer occupe un poste administratif au Media Lab du MIT, le même institut qui a fait l’objet d’un scandale après la découverte d’un financement octroyé à ce même laboratoire par Jeffrey Epstein, un prédateur sexuel condamné. Il se trouve qu’Epstein entretenait également une fascination troublante pour le « transhumanisme », une version moderne de l’eugénisme — le transhumanisme est abordé plus loin dans cet article.

Le directeur du MIT Media Lab de l’époque, Joi Ito, a ensuite approuvé deux donations d’Epstein pour un montant de 1,75 million de dollars et a permis au pédophile prolifique de « diriger » vers le laboratoire des fonds provenant d’autres riches bienfaiteurs, y compris une donation de 2 millions de dollars de Bill Gates, lequel entretient également des liens troublants avec Epstein, ayant voyagé dans son jet privé et l’ayant rencontré à plusieurs reprises. Lorsque la nouvelle a éclaté et que Joi Ito a démissionné de son poste au laboratoire, Langer a été l’une des premières personnes à signer une lettre lui demandant de rester, et en tant qu’administrateur du bureau du directeur du laboratoire, il est difficile de croire qu’il n’était pas déjà au courant des dons d’Epstein.

Décrit comme le « dénominateur commun » au sein d’initiatives multiples axées sur le coronavirus, Robert Langer est sans conteste un acteur du mouvement transhumaniste qui ne manque pas de nous intéresser. En 2015, sa société, Microchips Biotech, s’est associée au géant pharmaceutique israélien, Teva Pharmaceutical, pour commercialiser son « dispositif implantable d’administration de médicaments » [dispositif qui assure la libération prolongée d’un médicament pendant la durée souhaitée, généralement sur des périodes de plusieurs mois ou années – NdT]. Il convient de noter que Teva Pharmaceutical a reçu des investissements importants de Warren Buffett, qui, en 2006, s’est engagé à faire progressivement don de sa fortune à la Fondation Bill & Melinda Gates, une organisation dont il était administrateur jusqu’à très récemment.

Langer a également des liens avec Charles Lieber, un scientifique de Harvard spécialisé dans les nanotechnologies qui a été arrêté en janvier pour avoir fait de fausses déclarations aux autorités fédérales concernant sa collaboration avec des scientifiques chinois de l’université de Technologie de Wuhan. En 2012, Langer et Lieber ont travaillé ensemble pour créer un « matériau qui fusionne l’électronique à l’échelle nanométrique avec les tissus biologiques ». Ce matériau a été décrit comme « un premier pas vers des prothèses qui communiquent directement avec le système nerveux ».

Une grande partie des recherches de Langer sont soutenues par Bill Gates, qui a commencé à financer la technologie ARNm en 2010 et a également investi des millions dans Moderna. En 2017, la Fondation Bill & Melinda Gates a parrainé un projet du laboratoire de Langer visant à créer un système d’administration de vaccins par microparticules qui pourrait générer un « nouveau type de particule porteuse de médicament », permettant d’administrer plusieurs doses d’un vaccin sur une période prolongée avec une seule injection. Puis, en 2019, Gates et Langer se sont à nouveau associés pour créer un tatouage à l’encre invisible qui « incorpore les dossiers de vaccination dans la peau d’un enfant ». De manière tout à fait préoccupante, l’objectif à terme du projet est d’injecter des capteurs qui pourront être utilisés pour suivre « d’autres aspects » de la santé.

Gates prétend avoir besoin de ces données pour « prévenir les maladies » et le dit en se référant à ses efforts pour éradiquer dans le monde la polio, la rougeole et d’autres maladies « infectieuses ». Cependant, les diverses initiatives « sanitaires » de Gates dans les pays en développement ne sont pas l’œuvre d’un philanthrope bienveillant, comme les médias voudraient nous le faire croire. Au contraire, tout porte à croire que l’engagement de Bill Gates dans le domaine de la santé publique représente la poursuite d’un programme eugénique de longue date, caché au grand jour. Les liens de Bill Gates avec le mouvement eugéniste commencent avec son père, qui a fait l’éloge des Rockefeller pour leur travail dans le domaine de la « santé publique » et les a même rencontrés en 2000 pour discuter de questions relatives aux maladies infectieuses, aux vaccins et à l’environnement. Au cours de cette rencontre, William Gates senior aurait déclaré :

« Prenant exemple et s’inspirant du travail déjà accompli par la Fondation Rockefeller, notre fondation a en fait lancé GAVI en promettant 750 millions de dollars à un instrument appelé Fonds mondial pour les vaccins destinés aux enfants, un instrument de GAVI. »

Il est intéressant de noter que, près de dix ans après cette réunion, Bill Gates junior a co-organisé une réunion avec David Rockefeller consacrée à la réduction de la population.

Ce qui est peut-être encore plus révélateur, c’est qu’en 2012, Bill et Melinda Gates ont organisé leur Sommet de Londres sur le planning familial, où ils ont annoncé leur engagement en faveur du contrôle de la population dans le tiers-monde, à l’occasion du 100e anniversaire du Premier congrès international sur l’eugénisme, qui s’est également tenu à Londres.

Bill Gates est bien connu pour son obsession des vaccins, une quête curieuse si l’on considère que les 9 000 000 de personnes qui meurent chaque année de la faim seraient mieux servies si elles disposaient d’eau potable, d’un approvisionnement en nourriture, d’équipements d’assainissement convenables et un environnement sain. En 2009, la Fondation Gates a financé des études d’observation en Inde pour un vaccin controversé contre le cancer du col de l’utérus, le « Gardasil », qui a été administré à des milliers de jeunes filles. En quelques mois, de nombreuses jeunes filles ont commencé à tomber malades et, au bout d’un an, cinq d’entre elles étaient décédées.Au cours d’une étude similaire portant sur une autre marque de vaccin contre les papillomavirus humains, de nombreuses jeunes filles ont été hospitalisées et deux autres sont décédées.The Economic Times of India a publié en 2014 un rapport sur ce sujet, avec la révélation choquante suivante :

« Dans de nombreux cas, le consentement à la réalisation de ces études a été obtenu auprès des directeurs de foyers, ce qui constitue une violation flagrante des normes. Dans de nombreux autres cas, l’empreinte du pouce de leurs parents pauvres et analphabètes était dûment apposée sur le formulaire de consentement. Les enfants n’avaient également aucune idée de la nature de la maladie en question pas plus que celle du vaccin. Dans un très grand nombre de cas, les autorités concernées n’ont pas pu fournir les formulaires de consentement requis pour les enfants vaccinés. »

Note du traducteur : Plus exactement, c’est le Sama — une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes — qui a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face au déluge de réactions négatives, le Conseil indien de la recherche médicale a suspendu le projet Path à l’origine de cette expérimentation.

« Path — anciennement connu comme le Program for Appropriate Technology in Health [Programme de technologie appropriée en santé – NdT] — est une ONG basée à Seattle, largement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates mais qui reçoit également d’importantes subventions du gouvernement des États-Unis. Entre 1995 et le jour de la rédaction de cet article (mai 2021), Path a reçu plus de 2,5 milliards de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates.
[…]
C’est alors que la commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter sur l’affaire et le 17 mai de la même année, Sama a produit un rapport accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais, et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.

[…] la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, en constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes — souvent des membres du personnel des foyers où vivaient les jeunes filles — et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations quant à la nécessité de cette vaccination, à ses bénéfices et inconvénients ou à ses potentiels effets secondaires. »

Source : Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice

Le rapport du Comité permanent de la santé du Parlement indien peut être consulté ici.

Voir aussi :

Également en Inde, Bill Gates a promu un vaccin oral contre la polio, après s’être efforcé d’y éradiquer la maladie. Cependant, comme nous l’avons vu précédemment dans cet article, des produits chimiques toxiques sont impliqués dans l’étiologie de la polio et la maladie ne peut donc pas être éradiquée par l’utilisation de vaccins. En fait, les chiffres de la santé mondiale indiquent que plus de cas de polio sont maintenant causés par les vaccins eux-mêmes que toute autre chose. En 2018, un groupe de courageux scientifiques indiens a publié une étude dans l’International Journal of Environmental Research and Public Health montrant une corrélation entre les distributions du vaccin oral contre la polio et l’augmentation des cas de « paralysie flasque aiguë » [aussi appelé logiquement « syndrome de pseudo-polio » – NdT], une condition décrite comme « cliniquement indiscernable » de la polio.

Ironie du sort, Bill Gates a investi 23 millions de dollars dans Monsanto, la société qui commercialise le Roundup, un pesticide contenant du glyphosate et connu pour ses effets néfastes sur la santé, avec notamment des troubles neurologiques et des paralysies [comme Alzheimer et Parkinson, la liste est trop longue pour citer tous les troubles dus au Roundup, mais on notera tout de même que la liste inclut des affections respiratoires – NdT].

Si beaucoup pensent que Gates donne son argent de manière désintéressée pour financer ces campagnes de vaccination, il convient de noter que ses investissements dans les vaccins lui ont rapporté des sommes considérables. En 2019, la Fondation Bill & Melinda Gates avait fait don d’un peu plus de 10 milliards de dollars à diverses initiatives liées aux vaccins, dont GAVI (l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination). Bill Gates l’a qualifié de « meilleur investissement qu’il ait jamais fait », estimant un rendement de 20-1, soit environ 200 milliards de dollars sur vingt ans. En effet, la valeur nette de la fortune de Bill Gates a plus que doublé au cours des dix dernières années.

Et n’oublions pas que plus de la moitié des décès dans les pays à revenu faible ou intermédiaire sont dus à des maladies non transmissibles, auxquelles la Fondation Bill et Melinda ne semble guère s’intéresser, puisqu’elle y consacre moins de 3 % de son budget.

En outre, les activités de Bill Gates dans le domaine de la santé publique sont entachées de conflits d’intérêts qui sembleraient remettre en question l’idée qu’il se soucie de la santé des populations. Nombre de ces conflits d’intérêts sont décrits par David Stuckler, scientifique à Harvard, dans une étude publiée dans PLOT Medecine et intitulée « Philanthropie en santé mondiale et relations institutionnelles : comment traiter les conflits d’intérêts ? », dans laquelle il affirme que :

« À titre d’exemple, nous avons constaté que la Fondation Bill & Melinda Gates détient des participations importantes dans la société Coca-Cola, et participe également à des subventions qui encouragent les communautés des pays en développement à devenir des filiales commerciales de Coca-Cola. Certains commentateurs ont noté que les boissons sucrées telles que celles produites par Coca-Cola sont en corrélation avec l’augmentation rapide de l’obésité et du diabète dans les pays en développement. »

Il ajoute :

« De nombreuses subventions de développement pharmaceutique de la Fondation peuvent bénéficier à des sociétés pharmaceutiques de premier plan telles que Merck et GlaxoSmithKline. […] Plusieurs subventions sont liées à des entreprises qui sont représentées au sein de son conseil d’administration en tant qu’investisseurs de la Fondation. »

Les médias font rarement état de ces conflits d’intérêts inquiétants, ce qui n’est pas surprenant puisque Gates finance tous les grands organes d’information.

Qualifier l’injection imprudente et généralisée des [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux anti-Covid-19 d’initiative imprégnée de pensée eugéniste n’aurait rien de saugrenu compte tenu du nombre de personnalités et d’institutions impliquées dans la course au [soi-disant – NdT] vaccin qui ont des liens avec le mouvement eugéniste. En fait, les concepteurs du [soi-disant – NdT] vaccin Oxford-AstraZeneca sont également liés à la aujourd’hui re-nommée British Eugenics Society, fondée par le père de l’eugénisme, Francis Galton. Ces liens sont détaillés par la journaliste d’investigation Whitney Webbdans son article intitulé « Les concepteurs du vaccin Oxford-AstraZeneca liés au mouvement eugéniste britannique ».

Lorsqu’il s’agit de protéger la santé publique, la témérité dont font preuve les politiciens, les scientifiques et les entreprises pharmaceutiques est impardonnable compte tenu de l’impact généralisé qu’auront ces [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux. Nous avons déjà commencé à voir les résultats du déploiement d’une technologie de thérapie génique dangereuse sur un public naïf et confiant, le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) montrant plus de décès liés aux [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 que tous les autres vaccins réunis au cours des 30 dernières années.

Note du traducteur : En effet,

La mortalité associée aux vaccins aux États-Unis de 1990 à 2021Rien de tout cela n’est surprenant, compte tenu de la hâte avec laquelle les essais cliniques ont été menés et des nombreux points d’interrogation relatifs à la fiabilité des données rapportées. Par exemple, les fabricants de ces [soi-disant -NdT] vaccins ont déclaré que leurs « produits » étaient « efficaces à 95 % », un chiffre qu’ils ont obtenu en utilisant une réduction du risque relatif plutôt qu’une réduction du risque absolu, lequel était d’environ 1 % dans la plupart des cas, un fait qui n’a jamais été souligné par les médias grand public.

En outre, les phases d’essai précédentes de ces produits n’ont pas été conçus pour évaluer leurs effets sur l’infection, la transmission, les hospitalisations ou les décès, ce qui laisse perplexe étant donné que ces paramètres sont justement ceux qui auraient dû être prioritaires si nous faisions vraiment face à une pandémie virale. Encore que ceci peut être un geste calculé de la part des fabricants de ces [soi-disant – NdT] vaccins, qui savaient qu’ils auraient plus de chances de truquer les résultats en utilisant le critère principal de « Covid-19 quelle que soit sa gravité ». Après tout, l’augmentation spectaculaire des injections antigrippales n’a pas été associée à une diminution de la mortalité.

Peter Doshi, un rédacteur du British Medical Journala remis en question de nombreux aspects de ces essais vaccinaux pour le moins controversés, notamment la possibilité que les analgésiques masquent les symptômes du Covid-19 dans les différents groupes d’essai, ainsi que la [soi-disant – NdT] objectivité des « Comités d’adjudication des effets primaires » chargés de compter les cas de Covid-19. Dans le cas de Pfizer, ce comité était composé d’employés de Pfizer.

Note du traducteur : Ces comités doivent appliquer, a priori, la procédure par laquelle les événements cliniques identifiés comme des critères d’évaluation potentiels sont soumis à un panel d’experts indépendants pour être évalués en aveugle.

Récemment, le Doctors for Covid Ethics, un groupe composé du Dr Michael Palmer, du Dr Sucharit Bhakdi et du Dr Stefan Hockertz, a publié une déclaration d’experts concernant le danger et l’efficacité du [soi-disant – NdT] vaccin Pfizer, déclaration qui a été transmise dans le cadre d’un procès contestant l’autorisation par l’Union européenne de l’utilisation du [soi-disant – NdT] vaccin pour les enfants de 12 ans et plus. Le document indique que l’efficacité déclarée du produit à ARNm de Pfizer était « selon toute vraisemblance complètement frauduleuse » et que

« Pfizer, l’Agence européenne des Médicaments et la FDA ont systématiquement négligé les preuves issues d’essais précliniques effectués sur des animaux qui mettaient clairement en évidence les graves dangers d’effets indésirables. »

Note du traducteur : En ce qui concerne les essais précliniques dont il est fait mention ci-dessus, voir les articles suivants :

« Alors que les animaux semblaient posséder des anticorps contre le virus, et auraient théoriquement dû être protégés, ils sont tombés gravement malades et la plupart sont morts lorsqu’ils ont été exposés au coronavirus naturel. »

Mais bien sûr, rien de tout cela n’est abordé dans les médias grand public. En lieu et place, on nous sert sans cesse les mêmes discours : « les vaccins sont sûrs et efficaces », « suivez la science », « écoutez les experts ». Et par « experts », ils entendent bien sûr les marionnettes pharmaceutiques sans âme comme le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses, qui vomit des mensonges sur les soi-disant infections virales depuis l’apparition du Sida en 1984. Le fait qu’un personnage comme Fauci occupe son poste depuis plus de trente ans en dit long sur le fonctionnement du système. Le regretté prix Nobel et inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR), Karry Mullis, a fustigé Fauci dans une interview :

« Il ne sait vraiment rien sur rien, et je le lui dirais en face. Rien. Cet homme pense que l’on peut prendre un échantillon de sang et le mettre dans un microscope électronique et que s’il y a un virus dedans, on le saura. Il ne comprend pas la microscopie électronique et il ne comprend pas la médecine. Il ne devrait pas être dans une position telle que celle qu’il occupe […] Passer à la télévision devant les gens qui paient son salaire et mentir directement à la caméra ne dérange absolument pas Tony Fauci. »

Un futur transhumaniste

En plus d’être une thérapie génique, une technologie associée à l’eugénisme et au transhumanisme, selon les scientifiques, la technologie ARNm

« permet le développement rapide de nouveaux vaccins dans un délai très court de quelques semaines plutôt que de quelques mois. »

Nous pourrions donc être confrontés à la perspective d’un avenir truffé de « vaccins » à la demande créés pour « protéger » le public contre de nouvelles menaces invisibles.

Note du traducteur : À ce sujet, voir aussi « Vaccins » à ARN et conquête commerciale planétaire — Le plan derrière le Covid-19

En effet, puisque les vaccinologues parlent d’ores et déjà de « variants », d’injections de rappels et de [soi-disant – NdT] vaccinations anti-Covid-19 périodiques, on peut dire que tout semble aller dans ce sens. Et bien sûr, grâce aux conglomérats de Big Tech liés au renseignement, toutes ces données seront enregistrées dans un « passeport vaccinal » relié à votre téléphone intelligent, qui constituera sans aucun doute la base d’un nouveau type de carte d’identité numérique liée à votre compte bancaire et, à terme, à votre crédit social.

En effet, en 2019, la société Microsoft de Bill Gates a déposé un brevet, opportunément nommé Brevet WO2020060606 [notez aussi le WO pour World Order – NdT)], portant sur un « système de crypto-monnaie utilisant des données d’activation corporelle », un autre indice quant aux véritables intentions de l’élite technocratique qui finance et promeut le programme transhumaniste. Le titre du brevet évoque à lui seul les images d’une société esclavagiste dans laquelle les humains sont équipés de biocapteurs et reçoivent des jetons numériques pour avoir accompli les tâches qui leur sont confiées par l’élite dirigeante.

Mais ce qui est peut-être encore plus alarmant, c’est l’empressement à obtenir l’autorisation d’utiliser les thérapies géniques chez les jeunes enfants. Pfizer est actuellement au milieu d’un essai clinique mondial, dans le cadre duquel le laboratoire pharmaceutique teste ses [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm chez des bébés de 6 mois à peine,en dépit du fait que le « Covid-19 », si l’on suppose que cette maladie existe, ne touche pratiquement pas les enfants. En fait, selon les chiffres du CDC, le taux de létalité chez les enfants est de 20 pour 1 000 000, soit 0,002 %, ce qui est probablement inférieur au risque de dommages permanents ou de décès lié au vaccin ROR. Il est également inférieur au taux de mortalité lié au [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, tel que calculé à partir des données du VAERS au moment de la rédaction de cet article(5 612 décès sur 165 000 000 de personnes entièrement vaccinées aux États-Unis = 0,003 %). En outre, des recherches ont établi un lien entre le [soi-disant – NdT] vaccin de Pfizer et la myocardite symptomatique, avec un taux d’incidence estimé à 1 sur 3 000 ou à 1 sur 6 000 chez leshommes jeunes.

L’empressement à intégrer ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm dans le calendrier de vaccination des enfants n’a rien à voir avec la santé ou la protection, mais constitue plutôt une étape vers un objectif bien plus sinistre, à savoir le contrôle du corps humain lui-même.

Comme nous l’avons déjà mentionné dans cet article, la DARPA, l’organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, a travaillé à la création de nanotechnologies capables de s’interfacer avec les cellules biologiques. En 2014, la DARPA a lancé son programme « In Vivo Nanoplatforms (IVN) », dans le but de développer des nanoplatformes implantables permettant de collecter des données biologiques et de fournir un « suivi physiologique continu ». Le programme a depuis contribué à créer des hydrogels injectables qui surveillent les réponses physiologiques et peuvent se synchroniser avec un smartphone.

En outre, la DARPA, ainsi que le NIH, financent largement Profusa, une société de biotechnologie soutenue par Google qui développe et commercialise cette même technologie d’hydrogel injectable, sauf qu’elle est maintenant présentée comme un moyen de détecter les futures « pandémies ». Les capteurs de Profusa seraient capables de

« détecter les infections de type grippal avant même que les symptômes ne se manifestent. »

Bien qu’incroyablement inquiétant, ce n’est qu’un pas vers le but ultime de la DARPA, qui est d’établir une domination sur l’esprit. Cet objectif se reflète dans les recherches de la DARPA visant à créer des « soldats mutants » à l’aide d’« armes génétiques » capables de

« saper l’esprit et le corps des gens en utilisant une série de techniques chimiques, neurologiques, génétiques et comportementales.

La DARPA étudie également les moyens de modifier génétiquement le cerveau afin de lire les pensées des gens et d’induire dans leur esprit des images et des sons. La recherche implique l’utilisation de « nanoparticules magnétiques », la même technologie qui, selon certains, pourrait être incluse dans les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, qu’ils soient actuels ou futurs.

Tout aussi affligeant est le « Wellcome Leap », une nouvelle initiative créée en partenariat avec deux anciens hommes de pointe et la DARPA par le Wellcome Trust, lui-même lié à l’eugénisme, le Wellcome Trust étant la fondation pour la recherche médicale la plus riche du monde. L’objectif officiel du programme est de [c’est le traducteur qui souligne]

« réaliser des percées en matière de santé humaine sur une période de cinq à dix ans et de démontrer des résultats apparemment impossibles à obtenir dans des délais apparemment impossibles. »

Actuellement, l’initiative comporte cinq projets principaux, dont le premier est « Préparation et réponse de l’ARN », qui — sachant qu’ils se réfèrent à la fabrication de produits à base d’ARN (thérapies géniques à base d’ARNm) — vise à (c’est l’auteur qui souligne)

« créer un réseau autonome d’installations permettant la fabrication qui fournira une capacité optimale répartie dans le monde entier pour répondre aux besoins d’une future pandémie. »

Notez la certitude apparente d’une future pandémie.

Toutefois, le projet Wellcome Leap le plus inquiétant est sans aucun doute « The First 1000 days » [Les 1 000 premiers jours – NdT], un programme qui vise à utiliser des nourrissons comme cobayes afin de surveiller le développement de leur cerveau et de créer des modèles d’intelligence artificielle pouvant être utilisés pour « prédire avec précision et améliorer les résultats des fonctions exécutives ». Le projet prévoit également l’utilisation de « capteurs mobiles, de vêtements et de systèmes domestiques connectés ». Dans un article détaillé sur le sujet, la journaliste d’investigation Whitney Webb écrit que :

« Fidèle aux liens eugénistes du Wellcome Trust (qui seront approfondis dans la deuxième partie), le projet « Les 1 000 premiers jours » de Wellcome Leap précise que

« l’intérêt réside dans les améliorations d’une fonction exécutive sous-développée vers une fonction exécutive normative ou d’une fonction exécutive normative vers une fonction exécutive bien développée dans l’ensemble de la population afin de produire l’impact le plus large. »

L’un des objectifs de ce projet n’est donc pas de traiter une maladie ou de s’attaquer à un « défi public de santé mondiale », mais plutôt d’expérimenter l’augmentation cognitive des enfants en utilisant des moyens développés par des algorithmes d’intelligence artificielle et une technologie invasive basée sur la surveillance. »Le délai de cinq à dix ans prévu par le Wellcome Leap coïncide avec le projet Neuralink du leader de l’élite en la matière, Elon Musk, qui ambitionne d’instaurer « l’avenir des interfaces cérébrales » afin d’« étendre nos capacités ». Lors d’une interview, Musk a déclaré :

« Je pense que nous sommes à huit ou dix ans d’une utilisation par des personnes qui n’ont pas de handicap. »

Musk, dont la richesse a augmenté de plus de 500 % pendant la [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19, a fondé Neuralink en 2016. La société a récemment levé 205 millions de dollars de fonds auprès de sept sociétés de capital-risque (dont Google Ventures) et de cinq dirigeants de la Silicon Valley. Cependant, Neuralink n’est pas la seule société de biotechnologie à s’être lancé dans cette technologie. Récemment, Synchron, une petite entreprise de biotechnologie et concurrente de Neuralink, a reçu le feu vert de la FDA pour commencer à tester ses implants de puces cérébrales chez l’homme.

Dans dix ans, nous serons en 2030, une année qui revient sans cesse comme celle où les technologies transhumanistes seront monnaie courante dans la société. Selon les prévisions du National Intelligence Council américain, « l’humain augmenté » — la fusion de l’homme et de la machine — sera un thème majeur en 2030. Leur rapport Global Trends 2030publié en 2012, indique que :

« Les prothèses réussies seront probablement directement intégrées au corps de l’utilisateur. Les interfaces cerveau-machine pourraient aussi bien fournir des capacités « surhumaines » améliorant la force et la vitesse, que des fonctions qui n’existaient pas auparavant. »

Il est intéressant de noter que le rapport prévoit également « un nouvel agent pathogène respiratoire facilement transmissible » qui pourrait avoir un impact très perturbateur. Le rapport poursuit en affirmant que

« contrairement à d’autres événements mondiaux perturbateurs, une telle épidémie entraînerait une pandémie mondiale qui causerait directement des souffrances et des décès partout dans le monde, probablement en moins de six mois. »

L’asservissement — Une décision librement consentie

Le déploiement des thérapies géniques à base d’ARNm et la poussée vers une société transhumaniste sont le prolongement du mouvement eugéniste, lui-même fondé sur le concept pseudo-scientifique selon lequel certains humains, en vertu de leur composition génétique, seraient plus « aptes » que d’autres à diriger la société.

Le « héros » de l’épidémie de polio, Jonas Salk, entretenait lui-même des liens avec l’eugénisme, tout comme l’institut nommé en son honneur, le Salk Institute. Leurs recherches sur l’ARNm, financées par le NIH, ont jeté les bases du développement et de la diffusion massive des thérapies géniques, appelées de manière controversée [et à dessein – NdT] « vaccins ». Le danger de cette technologie expérimentale est évident, étant donné qu’elle a déjà causé des milliers de dommages et de décès dans le monde entier.

Le rôle des organisations de renseignement, des technocrates milliardaires et des initiatives pharmaceutiques dans le financement, la recherche et la promotion de ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm, des interfaces « bio-cerveau », de l’édition de gènes et autres technologies imprégnées d’idéaux eugénistes donne l’image d’un programme mondial qui devrait atteindre sa vitesse de croisière d’ici 2030. L’actuelle [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19 a servi à accélérer ce programme en centralisant la richesse et le pouvoir, en faisant entrer la technologie transhumaniste dans le courant dominant et en normalisant les régimes autoritaires. Les essais de Pfizer sur les nourrissons et le projet alarmant « Les 1 000 premiers jours » du Wellcome Leap indiquent que la clé de cet agenda est le conditionnement et le contrôle des enfants dès leur plus jeune âge, ce qu’Aldous Huxley a décrit en détail dans son roman eugéniste prophétique et inquiétant, Le meilleur des mondes.

Ce programme, bien que soutenu par certains des individus et institutions les plus puissants du monde, présente une faiblesse évidente : son succès dépend de notre choix à y consentir. Il ne progressera que si nous le laissons faire. Par conséquent, il appartient à chacun d’entre nous, par une résistance non violente et compatissante, de semer les graines de l’éveil dans la conscience collective de l’humanité.

Source de l’article initialement publié en anglais le 25 août 2021 : New Brave World
Traduction : Sott.net




Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire

[Source : LeoHohmann.com]

Par John Gideon Hartnett

Plusieurs nouvelles technologies qui semblent distinctes et non liées vont bientôt converger, créant un piège numérique géant qui attirera facilement les masses non informées.

Le piège numérique est déjà tendu et les élites mondialistes utilisent la COVID pour accélérer le processus de convergence. La plupart des gens tomberont dans le piège, ce qui les réduira finalement à un code QR humain – repérable, traçable et dépendant à 100% des Big Tech et du grand gouvernement pour leur existence.

Je vais défaire chacun de ces fils apparemment séparés qui seront progressivement fusionnés en une seule grille de contrôle socio-financière globale.

L’élément du programme le plus imminent nécessaire pour relancer ce système est le lancement réussi des passeports sanitaires numériques.

La France, l’Italie, l’Irlande, l’Allemagne, la Grèce et de nombreux autres pays ont commencé à imposer ces passeports à leurs citoyens, dont beaucoup envahissent les rues pour protester

Les citoyens protestent contre les pass sanitaires dans plus de 150 villes à travers la France.

Le mouvement vers les passeports sanitaires numériques aux États-Unis se fait plus progressivement, mais il prend de l’ampleur.  

Dans un briefing le lundi 2 août, le coordinateur de la réponse au coronavirus de Biden, Jeffrey Zients, a annoncé « qu’il est temps d’imposer certaines exigences » en ce qui concerne les vaccins anti-COVID.

Lorsqu’on lui a demandé des éclaircissements sur les règles COVID qui pourraient être mises en œuvre, l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a déclaré que rien n’est exclu.

Souvenez-vous de cette phrase : Rien n’est exclu.

Cela pourrait impliquer de rassembler les non vaccinés et de les placer dans des camps d’isolement et de quarantaine.

Un consortium universitaire composé de six universités a déjà un contrat avec le département américain de la Sécurité intérieure pour fournir une formation aux parties prenantes du gouvernement, des forces de l’ordre, des soins de santé et du secteur privé sur la façon de mettre en quarantaine « de grandes parties » des communautés rurales.

Mais la volonté de numériser la vie des Américains commencera dans les villes et se déplacera vers l’extérieur.

Le maire de New York, Bill de Blasio, est devenu le premier homme politique à saisir l’occasion d’exiger des passeports vaccinaux.

Malgré ce que l’on essaie de vous dire, séparer les Américains par statut vaccinal est une première historique. Cela n’a jamais été tenté auparavant, pas à travers les épidémies de polio ou de variole des années 1920, 30 et 40, pas pendant la grippe espagnole. Jamais.

De Blasio a ordonné aux entreprises de refuser le service aux non vaccinés, qui représentent 30 % de la population de la ville. Il reste à voir comment de Blasio appliquera cet édit. Appelera-t-il la police pour qu’elle ferme les entreprises qui n’exigent pas de leurs clients qu’ils montrent leurs papiers ?

Le gouverneur de New York Andrew Cuomo vise également des mandats de passeport vaccinal dans tout l’État, mais sait qu’il doit être un peu plus diplomatique dans son approche.

« Les entreprises privées, je leur demande et leur suggère de passer à l’admission uniquement pour les vaccinés. Passez à l’admission uniquement pour les vaccinés », a déclaré Cuomo lors d’une conférence de presse le 2 août.

« Je crois qu’il est dans votre propre intérêt commercial », a-t-il dit, « de gérer un établissement réservé aux vaccinés…. Nous avons des applications, dites simplement « vous devez montrer que vous avez été vacciné lorsque vous franchissez la porte. » »

En d’autres termes, « Montrez vos papiers ».

Pensez à ce que Cuomo dit ici.

Il « demande » avec force aux propriétaires d’entreprise d’éliminer 30 pour cent de la population de l’État de leur champ de clients potentiels et de les traiter comme des non-personnes.

Ceci est du pur fascisme et rappelle la propagande nazie qui a contraint les Allemands à refuser de faire des affaires avec les Juifs.

Si les propriétaires d’entreprise de New York écoutaient Cuomo, ils rendraient impossible aux personnes non vaccinées de nourrir leurs enfants.

Apprenez vos droits médicaux en tant qu’employé, étudiant, etc., et comment « dire non à l’aiguille » sur HealthyAmerican.org de Peggy Hall 

Les passeports numériques exigent que les gens téléchargent un code QR numérisable sur leur téléphone portable qui permettra aux entreprises de savoir qu’elles ont été vaccinées avant d’être autorisées à entrer et à recevoir le service [acheter ou vendre].

Cela nous amène à la deuxième étape du piège numérique qui cuit dans le four technologique – un nouveau système d’identification numérique mondial capable de fonctionner conjointement avec les passeports sanitaires numériques et le nouveau complexe médico-vaccinal.

Le leader de ce courant technologique est l’Alliance ID2020, une collaboration de plus de 35 membres dont Accenture, Microsoft, la Fondation Rockefeller, MasterCard, IBM, la Chambre de commerce internationale, MIT SafePaths et GAVI Global Vaccines Alliance de Bill Gates.

En février 2021, ID2020 a lancé le Good Health Pass Collaborative pour encourager une convergence transparente de toutes les applications d’accréditation des vaccins anti-COVID-19 développées par de nombreuses organisations différentes.

« Les certificats vaccinaux en papier peuvent être facilement falsifiés », prévient l’Alliance ID2020 dans un communiqué. « Le but des informations d’identification de santé est de prouver en toute sécurité qu’une personne a reçu un vaccin ou un test PCR. La nouvelle alliance cible particulièrement les voyages pour garantir que les informations d’identification fonctionnent de manière transfrontalière, intersectorielle et sans friction. »

L’alliance a publié un livre blanc sur le sujet pour ceux qui recherchent plus de détails.

Une autre pièce du puzzle techno-fasciste en évolution est la nouvelle monnaie numérique.

Les banques centrales du monde travaillent sur une monnaie numérique programmable basée sur la technologie de la chaîne de blocs. Cela signifie qu’ils seront en mesure de suivre vos dépenses et de vous couper les vivres pour quelque raison que ce soit.

Le Fonds monétaire international a publié un article sur son site Web en juillet, saluant l’Inde comme un leader mondial dans la lutte pour éliminer les espèces. Et bien sûr, la COVID a été mentionnée comme accélérant l’abandon du papier-monnaie. Le FMI a noté :

« La COVID-19 a accéléré l’utilisation des paiements numériques sans contact pour les petites transactions alors que les gens essaient de se protéger du virus. Ces avancées s’appuient sur India Stack, un système complet d’identité numérique, de paiement et de gestion des données sur lequel nous écrivons dans un nouvel article (Carrière-Swallow, Haksar et Patnam 2021). »

Comme vous pouvez le voir dans la déclaration ci-dessus, l’objectif est une identité numérique complète, combinant ses données de santé et son statut vaccinal avec des données bancaires et d’autres données personnellement identifiables.

Klaus Schwab nous a prévenus à l’avance du piège que lui et ses copains élitistes nous tendaient.

« La quatrième révolution industrielle conduira à une fusion de nos identités physique, biologique et numérique », a déclaré Schwab au Chicago Council on Global Affairs en novembre 2020.

Même avant cela, dans son livre de 2018, Shaping the Future of The Fourth Industrial Revolution, Schwab a écrit :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle ne s’arrêteront pas de faire partie du monde physique qui nous entoure, elles feront partie de nous.

« En effet, certains d’entre nous ont déjà le sentiment que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes d’aujourd’hui, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront presque certainement implantables dans notre corps et notre cerveau.

Lorsqu’il a écrit ces idées grandioses en 2018, cela ressemblait à la tarte dans le ciel des rêveries d’un futuriste déconnecté et peu y ont prêté attention. Post COVID, c’est sous notre nez et prêt à être mis en œuvre.

La dernière étape du programme technologique pour contrôler l’humanité est que les géants de la Big Tech travaillent ensemble pour éliminer toutes les voix dissidentes d’Internet. Leur objectif ultime est de créer un système où tous les utilisateurs ont un passeport Internet, sous réserve d’un examen périodique de votre activité en ligne.

Les géants de la Big Tech ont déjà déclaré qu’ils partageaient activement des informations dans le but de réprimer les « suprémacistes blancs » dans le cadre du Global Internet Forum to Counter Terrorism, un organisme auparavant réservé pour cibler les talibans et al-Qaïda. 

PayPal a annoncé qu’il travaillerait avec l’Anti-Defamation League notoirement marxiste pour parcourir l’Internet, à la recherche de voix « extrémistes » et « anti-gouvernementales » afin de rendre inactif leurs boutons de don PayPal.

Dans le cadre de ce système de notation sociale à la chinoise, les coupables d’infractions en ligne sont publiquement humiliés et réduits au silence. Les collecteurs d’informations sont payés pour dénoncer leurs voisins et les membres de leur famille. Une fois que votre pointage de crédit social descend en dessous d’un certain niveau, vous devenez tellement discrédité qu’il devient de plus en plus difficile de trouver un emploi, de voyager en avion, en train, en bus ou en voiture, d’obtenir des prêts ou d’inscrire vos enfants dans les meilleures écoles.

Ceux qui fournissent des informations qui vont à l’encontre le narratif seront signalés, avertis, et finalement bloqués en tant que diffuseurs de « désinformation ».

Vous perdez votre liberté d’expression, mais ce n’est pas tout.

Dans la société d’aujourd’hui, être retiré d’Internet signifie que vous ne pourrez pas acheter ou vendre en ligne ou effectuer un travail nécessitant une connexion Internet.

Ainsi, les passeports sanitaires, actuellement en cours de déploiement dans le monde entier, vous empêcheront d’acheter en personne de la nourriture et des produits de première nécessité, tandis que le prochain passeport Internet vous empêchera de commander vos produits de première nécessité en ligne. Vous vous retrouverez essentiellement avec le marché noir, en supposant qu’il y en ait un pour ceux qui sont jugés « impurs » et « impropres » pour le monde moderne en raison de leurs opinions dissidentes.

Toutes ces technologies fusionneront à l’intersection du Big Data, des grandes banques, de la Big Tech et du grand gouvernement. Votre pointage de crédit social sera désormais lié non seulement à votre activité sur Internet, mais aussi à votre compte bancaire et à votre statut vaccinal. Bienvenue dans la Grande réinitialisation, alias Nouvel Ordre Mondial.

Ajoutez les avancées de l’IA et de la reconnaissance faciale et des millions de caméras de surveillance et vous parlez d’un État esclavagiste verrouillé qui fait ressembler 1984 de George Orwell à un club de vacances.

Mais ne vous plaignez pas. Tout cela est « pour notre sécurité ».

On ne peut pas faire confiance aux gens pour faire ce qu’il faut, croire aux faits réels, mener le genre de vie qui aboutit à une société paisible et heureuse. Tous doivent se conformer aux nouveaux maîtres.

Il est maintenant temps de combattre ce système. Mais pour le combattre, vous devez reconnaître son existence et garder une longueur d’avance sur la stratégie maléfique de la cabale.

À un moment donné, la trappe se refermera. Il sera trop tard pour se retirer. Vous vous conformez ou devenez une non-personne. Un ennemi de l’État.

Ces voies distinctes d’évolution technologique finiront par fusionner pour créer une société dans laquelle tout, et chaque personne, est suivi numériquement. Pas seulement le mouvement de leur corps physique, mais leurs actions, leurs comportements et même leurs pensées.

Les élites comptent sur nous pour accepter ce système à ses débuts, fragmentés. La plupart des gens pensent de manière compartimentée. Ils ne relient pas les points. Ils seront trompés.

Les élites ne vont pas vous dire d’emblée tout ce qui est impliqué dans la quatrième révolution industrielle. Ils vont juste vous dire les parties qui semblent bonnes – commodité, inclusion, sûreté, sécurité.

Regardez la vidéo effrayante de 42 secondes publiée par le gouvernement australien exhortant les gens à créer une identité numérique (en anglais).

Une fois cette trappe fermée, il sera très difficile de sortir de ses griffes. Ne téléchargez pas d’applications, payez en espèces chaque fois que c’est possible, et arrêtez de marcher en somnambule vers le Nouvel Ordre Mondial.

Lisez l’article complet sur LeoHohmann.com.

[HGJ :] Ce que j’ai fait pour réduire mon empreinte numérique, c’est que j’ai acheté un téléphone « stupide » et ai désactivé le paramètre de localisation qui fonctionne sur les téléphones mobiles. Il n’a pas de fonction GPS et ne peut donc pas me suivre. J’ai acheté le livre de cartes à l’ancienne et j’apprends à naviguer à l’ancienne. Le téléphone stupide ne peut pas prendre d’applications et ne peut donc jamais être utilisé pour la lecture de code QR.

Pour faire mes courses, je sors une liasse d’espèces au guichet automatique à l’extérieur d’un centre commercial et n’utilise que de l’argent liquide dans n’importe quel magasin, n’importe où. Recommençons tous à utiliser de l’argent liquide, partout.


[Voir aussi, en vrac :
Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »
Un passeport vert pour un État mondial numérisé
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Qui est l’Antéchrist ?
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier
Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?
Les micropuces de Bill Gates
L’après COVID-19: la médecine des ASSASSINS FINANCIERS par l’ÉTAT PROFOND, pour toutes les Nations ?
Pourquoi les mondialistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vaccination de 100 % ?
Le pass sanitaire et son QR Code associé permettront à terme de faire accepter aux gens la puce RFID
Note sur les manifestations sous le règne du NOM
L’opération Covid-19 met à nu le “Nombre de la Bête”
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Les 13 étapes machiavéliques !
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Les camps FEMA, les sans domicile fixe et la puce RFID
Nous nous dirigeons à présent vers la tyrannie totale en Occident
Le passeport sanitaire est-il un prélude à l’apartheid ?
Accepter ou refuser l’implant
Bitcoin et autres monnaies cryptées : instruments de libération ou de contrôle ?
Pourquoi le NOM nous fragilise ?
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
L’entreprise Citrix s’attend à ce que les travailleurs aient des « puces implantées » d’ici l’année 2035
Dr Joseph Mercola : Une biopuce injectable pour la détection du SARS-CoV-2 sera prochainement approuvée par la Food and Drug Administration
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le langage humain bientôt obsolète, prédit Elon Musk]




Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »

[Source : Bas Les Masques]

https://youtu.be/gWzGQruMXO0



Modèle de plainte si des responsables scolaires/universitaires insistent pour vous forcer à vacciner votre enfant

[Voir aussi sur docteur.nicoledelepine.fr]

Par Nicole Delépine

Nom………….

Prénom ……………………

Date et lieu de naissance………………………

Profession……………………………..

Adresse…………………………..

                                                                       Monsieur le Procureur de la                                                                             République près le Tribunal                                                                              Judiciaire de………………..

Le………………………………..

Recommandée avec A.R.

OBJET : Plainte pour :

-Complicité de tentative d’empoisonnement (art. 121-7 et 221-5 C.P.)

-Abus d’autorité (art. 432-7 C.P.)

Monsieur le Procureur,

J’ai l’honneur de vous exposer les faits suivants.

(exposé de la situation que l’on subit. Ex. « le …aout 2021, le Proviseur du Lycée…. a indiqué à mon fils mineur…………………… qu’il ne pourrait pas revenir en septembre s’il n’était pas muni du Pass sanitaire, c’est à dire, s’il n’avait pas reçu les 2 doses au moins d’un des produits promotionnés par les autorités, et appelés faussement « vaccins »)

Je considère que cette attitude est hautement répréhensible pénalement pour les raisons suivantes :

I- LES FAITS :

Courant 2008, un rapport de l’UNESCO de 256 pages (disponible sur UNESDOC) évoque la particularité troublante de certains vaccins, contenant des nano-puces et des cristaux liquides pouvant influer sur le comportement humain, sans souci d’éthique politique.  Si l’on s’en réfère aux déclarations même des « décideurs » et de leurs « conseillers », l’objectif de l’opération pourrait bien être d’inoculer aux populations un vaccin très spécial. Ainsi la peur créée par la « pandémie »  aurait pour objectif de rabattre les populations vers un « vaccin » contre lequel l’UNESCO met en garde et dont on sait qu’il comportera en réalité des nano-puces, vecteurs d’identification biométriques, et des cristaux liquides.

Lors de la conférence TED 2010, Bill Gates indique espérer réduire la population mondiale « avec de bons résultats sur les nouveaux vaccins »

Courant 2017, après que Bill Gates ait versé des subventions importantes à l’O.M.S., (organisme créé par la famille Rockefeller) la faisant ainsi devenir progressivement, une organisation privée, Tedros Adhanom Ghebreyesus est nommé à sa tête.

Ce personnage fut membre du bureau politique du Tigray People Liberation Front (TPLF), une organisation inscrite dans la liste des organisations terroristes du U.S. Homeland Security. Il fut Ministre de la Santé en Ethiopie de 2005 à 2012, et est membre du Conseil d’administration de l’alliance pour la vaccination (GAVI) qui œuvre au profit de l’industrie pharmaceutique pour imposer la multi-vaccination avec des puces RFID à la terre entière.

On comprend aujourd’hui, pourquoi l’O.M.S. préconisait de ne pas utiliser d’anti-inflammatoire contre le Covid 19, et n’a cessé d’affirmer qu’il n’existait pas de traitement, mais « qu’un vaccin est à l’étude… »

Le 23 février 2017, Monsieur Bernard CAZENEUVE, premier ministre, prononce le discours à la cérémonie d’accréditation du laboratoire de haute sécurité biologique P4 à WUHAN, (République Populaire Chinoise), en présence,

notamment, du mari (Président de l’Inserm) de Madame Agnès BUZIN, elle même à l’époque, présidente de la Haute Autorité de Santé (H.A.S.)

Le 21 septembre 2018, la société Microsoft Technology  Licensing (fondée par Bill Gates) dépose aux USA un brevet intitulé CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA. Ce brevet ne sera publié que courant mars 2020 (WO2020/060606A1).

Il concerne des nanoparticules qui auraient la faculté, lorsqu’elles sont introduites  dans le corps humain par des injections, d’être  identifiées et localisées par n’importe quel ordinateur.

Courant 2018, la Banque mondiale WITS (World integrated Trade Solution) publie sur son site, des millions de commandes émanant de nombreux pays, pour lesquelles on lit « : COVID-19 Diagnostic-Test instruments and apparatus »

Dès que cette information a filtrée, la mention « Covid-19 » a été effacée, et devant l’indignation sur les réseaux sociaux, la WITS a déclaré que cette appellation était une coïncidence…

A l’automne 2019, a lieu aux U.S.A., sous la présidence du milliardaire, fondateur de la société Microsoft Technology  Licensing, et finançant une grande partie du budget de l’O.M.S., une simulation d’une pandémie qui serait due à un coronavirus, sur la base d’un roman écrit en 1981 : « The eyes of darkness ». Cette simulation portait le nom de « Event201 ».

Lors de la conférence ID2020 Sommet 2019, Bill Gates fait la promotion du vaccin contenant le « marqueur » à nano-puce électronique, destiné à « marquer » et à contrôler 7 milliards d’humains. (mais il ne fait pas vacciner ses enfants).

Les premiers cas de Covid 19 seraient apparus au marché de Wuhan, à 180m. du laboratoire inauguré par M. CAZENEUVE.

1ères anomalies et contradictions

On commence à en parler en France en fin décembre 2019, et en même temps, l’hydroxychloroquine est brusquement classée dans les substances interdites, par un arrêté ministériel signé en janvier  2020 par Mme BUZYN, dont le mari (encore lui) fut nommé en Octobre 2019, « Conseiller d’Etat en service extraordinaire », et quitta ses fonctions au moment du 1er déconfinement. (« La Dépêche.fr » 22 mai 2020).  N.B. : Pendant le confinement, presque tous les recours déposés au Conseil d’Etat par ceux qui critiquaient les textes liberticides, ou réclamaient simplement que l’on fasse connaître les thérapeutiques existantes, ont été rejetés…

Début mars, les scientifiques nous expliquaient sur les media, que le masque ne servait à rien et que l’idée d’un confinement aurait plus d’inconvénients que d’avantages.

En réalité, le recul, et les déclarations occultées de nombreux scientifiques, nous permettent d’affirmer  :

  • que ce jour là ils avaient raison,
  • mais qu’une pensée unique s’est, juste après,  brusquement introduite dans tous les milieux officiels et dans les media, ce qui fait que le discours officiel va brusquement changer.

15 jours plus tard, l’on va confiner,  et, curieusement, alors que des traitements de cette nouvelle grippe  étaient utilisés avec succès, personne n’en parle :

  1. a) l’hydroxychloroquine, préconisée par le Pr. RAOULT, et curieusement interdite dès janvier 2020, alors que ce produit était connu et largement utilisé depuis 70 ans. Courant avril 2021, l’on apprend que le Sénégal qui, dès le début, a suivi le protocole du Pr. RAOULT a recensé 61 morts par million d’habitants, soit 23 fois moins que la France.
  1. b) La Vitamine C en perfusion et à forte dose (100 % d’efficacité et sans effets indésirables sérieux dans les services des Pr. MARIK et VARON aux U.S.A.),

Par courrier du 11 mars 2020, le Dr. LABREZE, médecin dans les Bouches du Rhône, en informe M. le Ministre de la Santé, et ajoute, concernant les USA :

« Le Pr MARIK a traité deux groupes de 47 patients atteints d’une pathologie infectieuse grave (voire critique),  pris en charge dans son service de réanimation.
Il y a eu 19 décès dans le groupe pris en charge avec les méthodes aujourd’hui utilisées dans tous les centres hospitaliers, y compris dans les CHU français .
Dans le groupe  traité avec des injections de vitamine C, d’hydrocortisone et de  thiamine (Vit B1), aucun patient n’est décédé des conséquences de son infection !

Nous parlons ici de 19 décès versus zéro décès !!

Compte tenu du fait que la rigueur professionnelle et scientifique des auteurs de cette  publication ne peut être raisonnablement mise en doute, ne pas agir immédiatement, sur la base de cette information, alors que plus de quatre mille patients sont actuellement en services de réanimation,  représenterait, à mon sens, une négligence grave et, très clairement, une mise en danger de la vie de ces patients, ou de ceux dont l’état de santé actuel pourrait se dégrader très rapidement, faute d’avoir pu bénéficier des traitements que j’ai portés et porte à nouveau à votre connaissance… »

« Dans les circonstances actuelles, faisant craindre le développement d’une épidémie liée au coronavirus et la mort d’un nombre important de nos concitoyens, quel que soit d’ailleurs leur état de santé antérieur et l’existence ou non de comorbidités, il me semble important et urgent de porter à votre connaissance l’existence de ressources thérapeutiques validées mais encore insuffisamment connues de la communauté médicale, notamment dans notre pays….

Je pense qu’une large diffusion de ces informations apparaît aujourd’hui comme une action prioritaire de santé publique, puisqu’elle va donner aux équipes médicales hospitalières particulièrement démunies face aux formes sévères de COVID-19, une ressource thérapeutique particulièrement efficace qui leur permettra indiscutablement de sauver des vies… ».

Fin mars, le Pr MARIK, de la Eastern Virginia Medical School, écrit :

« …Nous avons traité 4 patients avec un syndrome de détresse respiratoire aigüe lié au COVID et tous se sont améliorés dans les 6 à 12h ayant suivi l’instauration du traitement.

L’intubation a été évitée pour l’un d’entre eux et les 3 autres sont maintenant sevrés.

Le Dr VARON, Président du conseil d’administration de l’United General Hospital et médecin chef et responsable du département des soins intensifs, a, à ce jour, traité 14 patients atteints du COVID avec notre protocole. Il a rapporté également une amélioration rapide dans les 12 heures qui ont suivi l’administration du traitement.

Six de ces patients ont été extubés dans les 4 jours, et tous les autres sont aujourd’hui sevrés….

La vitamine C a été intégrée dans l’algorithme de traitement du COVID de l’Université du Wisconsin. 

Nous croyons que l’utilisation de notre protocole va sauver des vies. Et, ce qui est important également, c’est qu’elle va permettre d’éviter l’intubation pour un grand nombre de patients, écourtera le recours à une ventilation assistée lorsqu’elle aura été mise en œuvre, libérant ainsi ces équipements essentiels qui pourront ainsi être utilisés pour d’autres patients. La vitamine C est bon marché, facilement disponible et totalement dépourvue d’effets secondaires… »

Le Pr. VARON indique, le 13 avril 2020 :

« Notre succès avec la combinaison thérapeutique est incroyable. Aujourd’hui nous avons traité plus de 25 patients à l’United Memorial Medical Center de Houston, et pas un seul n’a dû être intubé. Tous étaient atteints d’une forme sévère de pneumopathie due au Covid 19, et furent rapidement guéris par l’acide ascorbique, la Thiamine, des stéroïdes, et de l’Heparin. Nous avons aussi ajouté l’hydroxychloroquine et l’azythromicine à ces patients… »

N.B. Le Pr. J. VARON fait partie des scientifiques nationalement connus aux U.S.A.

Il enseigne au Texas, et au Mexique.

Il totalise plus de 400 publications scientifiques et a publié une dizaine d’ouvrages.

Le Ministre de la Santé a reçu toutes ces informations.

Devant l’absence de réaction du Ministre de la Santé, un groupe de médecins saisit 2 fois le Conseil d’Etat, en vain.

  1. c) Artemisia annua utilisée avec succès également en Afrique et à Madagascar);

En mars 2021, Madagascar qui totalise environ 27.000.000 d’habitants, annonçait moins de 400 décès du Covid depuis le début de l’épidémie…

  1. d) Dans le courant de l’année 2020, l’on apprenait également que l’Ivermectine, médicament utilisé depuis des décennies, était très efficace concernant cette pathologie. Curieusement, ce médicament avait été, lui aussi, interdit : tout médecin le prescrivant serait poursuivi devant le Conseil de l’Ordre.

Parallèlement,  dans Paris-Match, du  9 au 15 av. 2020, le Pr. BRECHOT, ancien Directeur de l’institut Pasteur, Président du Global Virus Network, déclarait « …Aucun vaccin fiable n’a été mis au point contre un coronavirus… »

Ainsi, il devenait de plus en plus clair que l’objectif était :

  • De faire croire que la maladie risquait de décimer tout le monde, en manipulant les chiffres,
  • De faire croire qu’il n’existait aucun traitement
  • De faire croire que seul le vaccin serait salvateur.

La Manipulation des chiffres :

Le Secrétaire général des Nations Unies monsieur Antonio GUTERRES déclarait publiquement :

«… Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adoptés des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des organisations non gouvernementales, des défenseurs du droit humain, des journalistes, des avocats, des militants, des  professionnels de la santé, ont fait l’objet d’arrestations, de poursuites, et des mesures d’intimidations et de surveillances pour avoir critiqué les mesures ou le manque de mesures…, les restrictions servent d’excuse pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques, l’accès à   l’information vitale a été entravé, tandis que la désinformation mortelle a été amplifiée, y compris par certains dirigeants…»

S’il est incontestable qu’il existe un virus (sars-cov 2), toutefois il a été volontairement surévalué dans sa dangerosité « pour établir la peur » et les restrictions sur les droits fondamentaux pour la population, tel que le révèle le courrier du comité scientifique dirigé par monsieur Jean-François DELFRAISSY publié dans « The Lancet » :

Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract § 3.

«… Hence, it is time to abandon fear based approaches based on seemingly haphazard stop-start generalized confinement as the main response to the pandemic»  Lancet Public Health 2021 Published Online February 18, 2021

https://doi.org/10.1016/S24682667(21)00036-0

Il est remarqué que, partout dans le monde, le taux de mortalité lié au covid-19 a été purement fabriqué artificiellement en y incluant toutes les pathologies à son compte ; ainsi en France, à de multiples reprises, le président de la commission des affaires sociales, commission permanente de l’Assemblée nationale, a demandé au ministre de la santé :

« …je ne reviens pas sur la question polémique du masque et la question de Leprus, que pouvez-vous me dire sur la surmortalité invisible qui est occulté par le covid-19, je pense au cancer, aux maladies cardiovasculaires et autres, et on a des certificats de décès que j’ai pu constater dans la mairie où j’appartiens, à savoir des personnes très âgées qui sont décédées marquées covid-19, or ces patients n’ont jamais eu le covid-19, c’est le médecin qui a marqué covid-19, on ne sait pas pourquoi, mais il y a une surmortalité qui existe dans les certificats médicaux, j’ai posé la question à monsieur Salomon « Jérôme Salomon, le ‘Monsieur coronavirus’ du gouvernement», mais il m’a dit qu’il regarderait ça ? ».

Il est clairement établi la fabrication de faux certificat de décès avec la complicité de certaines personnes au nom du covid-19 ; par ailleurs, la grippe n’existe plus en France, le taux de mortalité étant de 0 ; ainsi toutes les personnes décédées de cancer, de problème pulmonaire, de vieillesse ou d’autres pathologies, sont déclarées covid-19.

Il n’y a pas lieu de s’étendre sur l’interprétation des« sur-hospitalisations » invisibles liées au covid-19, la France employant le même schéma de mensonges, en modifiant la norme régissant la réanimation : « lits pour accueillir des patients avec des défaillances multi-organiques, nécessitant une assistance respiratoire» ré-exprimée depuis le covid-19″.

Ainsi, a été gonflé artificiellement le nombre de personnes hospitalisées en réanimation pour covid-19. Prenons cet exemple : une personne atteinte de septicémie se retrouve en surveillance continue, est-elle pour autant en réanimation atteinte du covid-19 justifiant une surcharge hospitalière covid-19 ? En France : oui!

L’Institut    National    de    la    Statistique    et    des    Études    Économiques    montre    une    faible   surmortalité   en   2020   en   dehors   des   périodes   de   confinement.

Selon les données de l’Insee, statistiques de l’Etat Civil, le nombre  de décès moyen par jour en France était de :

  • 1.863 en Février 2018
  • 1.994 en février 2019
  • 1.772 en février 2020

Les autorités de Santé Publique avaient parfaitement connaissance de ces chiffres démontrant que la gravité de l’épidémie n’existait que sur les grands médias qui se contentaient de véhiculer ce que leur disaient les porte-paroles des autorités.

II- LES INFRACTIONS PENALES :

1°) Complicité de tentative d’empoisonnement : (art. 221-5  C. Pénal)

Dès le début de la vaccination, de nombreuses voix  se sont élevées, provenant de scientifiques du monde entier (Docteur Alexandra Henrion-Caude, Docteur Sheri Tenpeny, Professeur RAOULT, docteur Eric MENAT, Dr. AGRET etc…) indiquant :

  • Que les contrats signés entre la commission européenne et les laboratoires Pfeizer, Moderna, Astra Zenecha contenaient d’étranges dispositions par lesquelles :
  • Les parties reconnaissent ne rien savoir sur l’efficacité des produits,
  • Les parties reconnaissent ignorer les effets indésirables à long terme,
  • En cas d’effets indésirables, les laboratoires bénéficient d’une exonération de responsabilité.

Les scientifiques précités ainsi que de nombreux autres médecins ont voulu attirer l’attention des pouvoirs publics et des médias sur le fait que les produits qualifiés de vaccins ne correspondaient pas du tout à la définition classique du vaccin.

En effet, un vaccin est un produit contenant un virus inactivé ou atténué ayant pour but de créer des anticorps.

Les produits actuels ne répondent pas du tout à cette définition, et sont en réalité des médicaments de thérapie génique, lesquels médicaments seront injectés à des gens bien portants.

Les scientifiques précités s’élèvent contre le fait que tous les produits qualifiés de vaccins anticovid n’ont qu’une autorisation conditionnelle de mise sur le marché puisqu’ils  sont tous en phase 3 d’essai clinique. Cette phase 3 ne se terminera qu’en 2022 ou 2023.

Les scientifiques précités ont tenté d’alerter les pouvoir publics et les médias sur le fait que les essais effectués sur des animaux avaient mis en évidence le fait que les éléments OGM injectés allaient déclencher une protection éventuelle contre le covid19,  mais allaient parallèlement neutraliser tous les anticorps naturels de l’être vivant  qui n’aura ainsi plus la moindre défense immunitaire contre tous les autres virus.

Ils indiquent  que lorsqu’un sujet « vacciné » entrera en contact avec n’importe lequel autre virus grippal, ou virus de la rougeole ou de la coqueluche, etc…, même s’il a reçu des vaccins classiques antérieurement, ses défenses immunitaires étant totalement neutralisées, la guérison ne sera pas possible et le nombre de décès risque d’être impressionnant dès l’entrée de l’hiver 2021.

Déjà, le site de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM), indiquait qu’au 21 mai 2021, il y avait déjà 37.000 cas d’effets indésirables dont 9.000 graves et environ 700 décès.

La base de données Européenne d’effets indésirables indique début juin 2021 1.354.336 effets indésirables dont plus de 600.000 graves et 13.867 décès !

         NB : Les organismes de pharmacovigilance de nombreux pays, dont la France, indiquent n’avoir connaissance que de 10 % des effets  indésirables…

         Les chiffres réels sont donc certainement à multiplier par 10….

Les scientifiques précités ainsi que de nombreux autres indiquent que, outre les cas de thromboses survenus immédiatement après l’injection ou dans les 15 jours qui suivent, les produits vont entraîner la stérilité de nombreux êtres et déclencher de nombreuses fausses couches chez les femmes enceintes.

Or, les campagnes gouvernementales, avec le soutien des grands médias,  tentent de convaincre tous les français de se faire injecter ces produits qui sont un véritable poison. Les français sont tellement manipulés et induits en erreur qu’ils n’ont même pas remarqué que les premières vaccinations en Europe qui ont eu lieu en Grande Bretagne ont été suivies presque immédiatement par l’apparition du variant anglais.

Ainsi, de nombreux médecins redoutent qu’à l’automne, les effets indésirables graves soient faussement attribués  à un variant, et  que la France ne revive une 4ème vague pour laquelle tant les autorités que les médias se garderont bien de s’interroger sur la nocivité de ce produit et le lien de causalité, même si les personnes hospitalisées seront quasiment toutes des personnes ayant reçu des injections.

J’estime que cette opération visant soi-disant à nous protéger d’un virus qui n’a occasionné que 0,035 % de décès parmi les personnes contaminées, soit un des taux les plus faibles  parmi toutes les épidémies contemporaines, n’est qu’en fait une vaste tentative d’empoisonnement.

Je m’interroge sur les véritables motivations de cette opération et estime qu’en ayant interdit toutes les thérapeutiques, en ayant gonflé artificiellement les chiffres des soi-disant morts du virus, et en tentant de nous convaincre de nous faire injecter un produit qui à long terme peut être mortel, les français se trouvent face à une véritable tentative collective d’empoisonnement.

Monsieur Dupont Moretti, Ministre de la Justice, déclarait lui-même récemment « On ne va pas obliger les détenus à se  vacciner, car les détenus ne sont quand même pas des cobayes ».

Fin Mai 2021, le Dr. Geert Van Den Bossche, pourtant l’un des créateurs de vaccins les plus réputés dans le monde, a adressé une lettre ouverte à des milliers de professionnels de santé, indiquant qu’il fallait d’urgence arrêter ce programme de vaccinations.

Il y  lieu de préciser que Geert Van den Bossche a été :

  • biologiste au sein du laboratoire GSK,
  • directeur des programmes de recherche des adjuvants chez Novartis,
  • directeur de projets de vaccins contre la grippe au sein de la fondation Bill et Melinda Gates,
  • agent principal de santé mondiale et découverte de vaccins chez Gavi
  • etc…

Toutes ces informations sont connues des autorités de santé depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois, ainsi que des responsables des administrations qui ont été inondées de courriers.

C’est donc en connaissance de cause, que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et dont la dangerosité apparait de plus en plus.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car de nombreux français avaient fermement l’intention de recevoir l’un des produits, mais viennent d’y renoncer, devant la multitude d’informations alarmantes dont ils ont eu connaissance.

Ces informations ont été transmises au          Recteur d’Académie,

                                                                       Président de l’Université

                                                                       Proviseur du Lycée

                                                                       Directeur du Collège…..

Ainsi, en connaissance de cause, cette personne tente de

-contraindre mon fils mineur à se faire injecter un produit hautement toxique, n’ayant de vaccin que le nom.

-me contraindre à me faire injecter un produit hautement toxique, n’ayant de vaccin que le nom.

J’estime qu’il y a de la part de cette personne, une volonté de « ne pas savoir » ,et de participer à une tentative d’empoisonnement collectif, d’autant plus que l’efficacité protectrice de ces produits est de plus en plus douteuse :

En Israel, l’un des pays les plus vaccinés au monde, j’ai appris que plus de 50% des personnes hospitalisées avec le diagnostic « Covid » étaient correctement vaccinées, et qu’il existe une surmortalité de 20% chez les jeunes par rapport à l’année précédente.

2°) Abus d’autorité (art. 432-7 C.P.) :

Le fonctionnaire qui

m’a empêché

a empêché mon fils

d’entrer dans l’établissement scolaire, en sachant que cette décision empêche tout élève ou étudiant de continuer un cursus d’études normal, constatant que la consigne qui lui a été donnée par sa hiérarchie, est contraire aux conventions internationales que la France a ratifiées, et notamment la Convention d’Oviedo, constatant que depuis le procès de Nuremberg, le procès de Klaus BARBIE, ou le procès de Maurice Papon, s’est dessinée une Jurisprudence indiquant que le fonctionnaire destinataire d’une consigne illégitime, a le devoir de désobéir, se devait d’ignorer cette consigne, et de permettre l’accès à l’établissement d’une personne n’ayant pas reçu le produit qualifié de « vaccin ».

Faute d’ignorer ce principe, les accusés du procès de Nuremberg ayant tous « obéi aux ordres » n’auraient jamais pu être condamnés.

Ainsi Monsieur le    Recteur d’Académie,         

                              Président de l’Université

                              Proviseur du Lycée

                              Directeur du Collège…..

s’est rendu coupable d’un abus d’autorité, dans la mesure où il a refusé l’exercice d’un droit accordé par la loi, à savoir le droit pour tout citoyen, de fréquenter un établissement d’enseignement, au motif que ce citoyen n’a pas reçu les injections prévues par le plan vaccinal, ce qui rend cette décisions hautement discriminatoire.

EN CONSEQUENCE,

J’ai l’honneur, par la présente de déposer plainte entre vos mains contre :

Monsieur le Recteur d’Académie,

                    Président de l’Université

                    Proviseur du Lycée

                    Directeur du Collège…..

pour :         -Complicité de tentative d’empoisonnement, faits prévus par les                 art. 121-7 et 221-5 C.P.

                  -Abus d’autorité, faits prévis par l’art. 432-7 C.P.

Je vous prie de croire, Monsieur le Procureur, à l’assurance de ma Considération.




Le dépeuplement et le vaccin à ARNm

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Peter Koenig

Le New York Times prévoit une réduction massive de la population

Étonnamment, le New York Times – 22 mai 2021 – prévoit une réduction massive de la population au cours des prochaines décennies.

« Les cris de bébés sont de la partie.
Plus de maisons abandonnées.
Vers le milieu de ce siècle, alors que les décès commenceront à dépasser les naissances, des changements difficiles à comprendre viendront. »

Capture d’écran de l’article du NYT

Et –

« Partout dans le monde, les pays sont confrontés à la stagnation démographique et à un effondrement de la fécondité, un renversement vertigineux inégalé dans l’histoire enregistrée qui rendra les fêtes de premier anniversaire plus rares que les funérailles, et les maisons vides une plaie oculaire commune. »

Et il continue,

« Les maisons de maternité ferment déjà en Italie. Des villes fantômes apparaissent dans le nord-est de la Chine. Les universités de Corée du Sud ne trouvent pas assez d’étudiants, et en Allemagne, des centaines de milliers de propriétés ont été rasées, et la terre a été transformée en parcs. »

Est-ce que tout cela est vrai ? Cela reste à vérifier. Un oubli ?

À aucun moment, l’article ne mentionne la nature eugéniste de la réduction délibérée de la population, en relation avec la pandémie de covidés, la campagne de vaccination forcée et, par de nombreux témoignages, toxique, avec un non-vaccin, mais plutôt une nouvelle « thérapie génique » de type ARNm totalement non testée que les CDC américains ont autorisée à appliquer comme « mesure d’urgence » dans ces circonstances désastreuses d’une pandémie, qui manque en fait toutes les caractéristiques d’une pandémie, mais doit être pompée pour la faire apparaître comme une pandémie – avec littéralement presque tous les décès provenant de toutes les causes – même les accidents de voiture – peuvent être – et « doit » être classé comme décès par covidé.

Aux États-Unis, les hôpitaux sont payés 13 000 dollars pour chaque patient diagnostiqué par covidé et 39 000 dollars pour chaque « patient covidé » mis sur un ventilateur. Plus tôt cette année, les médecins de New York sont arrivés à la conclusion que plus de 80 % des patients souffrant de ventilateur ne survivent pas au ventilateur. Voyez ceci.

Mais, quoi qu’il en soit – l’ « assouplissement » actuel des restrictions sur les covidés que connaissent les États-Unis et de nombreux pays européens, fait ressortir le bonheur, les sourires, la pensée festive et le sentiment joyeux de la population – dans l’espoir ferme que la pandémie est terminée. Ce n’est peut-être qu’une ruse et un prélude à bien pire à venir. J’espère que ce soupçon est faux.

Bien qu’il n’y ait pas de preuve concrète, on a l’impression qu’avec l’arrivée tardive de l’automne dans l’hémisphère nord, nous allons être frappés par une « nouvelle » variante fabriquée en laboratoire – beaucoup plus forte, qui nécessite des mesures gouvernementales de plus en plus oppressives et dictatoriales, davantage de vaccinations forcées avec une thérapie génique qui pourrait affecter le système neurologique de l’humanité. (Pour plus de détails, voir Confirmation que le vaccin Pfizer cause des maladies neurodégénératives)

Le NYT s’efforce d’expliquer pourquoi la population mondiale entre en recul et en déclin pur et simple, sans jamais mentionner la Covid et le programme mortel infâme.

« Bien que certains pays continuent de voir leur population augmenter, en particulier en Afrique, les taux de fécondité diminuent presque partout ailleurs. Les démographes prédisent maintenant que d’ici la seconde moitié du siècle ou peut-être plus tôt, la population mondiale entrera dans un déclin soutenu pour la première fois. »

Pourquoi le taux de fécondité diminuerait-il soudainement dans les pays « développés » ? Parce que les gens se rendent compte que pour sauver la planète, le monde a besoin de moins, beaucoup moins de « mangeurs » et de consommateurs ? – Ou plutôt a-t-il quelque chose à voir avec les faux « vaccins » Covid-19 largement contraints ? – voir Dr. La vidéo de Mercola ci-dessous.

N’est-ce pas précisément ce que le clan Gates-Rockefellers-Kissinger et al a à l’esprit ?

Est-ce la raison pour laquelle les injections de type ARNm – l’approbation d’urgence des CDC en tant que « thérapie génique » – comprennent des composants antifertilité et stérilisation ?

Et – pouvez-vous l’imaginer – les CDC ont récemment recommandé d’administrer cette « injection de génique non éprouvée et non testée aux femmes enceintes, alors que jamais auparavant et en aucun cas les femmes enceintes ne devraient recevoir de médicament « expérimental » non testé.

En fait, le taux d’avortement des femmes enceintes recevant l’inoculation de type ARNm peut atteindre 30 % – probablement considérablement plus élevé si l’on tient compte des cas non déclarés. Écoutez le Dr. Joseph Mercola.[en anglais]

Il y a la notion générale que le covid n’est pas une question de santé ou d’immunité, mais plutôt de dépeupler le monde ; un programme eugéniste, si vous préférez. Mike Whitney exprime une vision claire dans quelle direction va cette campagne inutile de vaccination contre la Covid-19. Cela n’a rien à voir avec la protection de la santé de la population. Au contraire. Il s’agit de dépeuplement. Ces deux citations disent tout.

« Il n’y a absolument pas besoin de vaccins pour éteindre la pandémie… Vous ne vaccinez pas les personnes qui ne sont pas à risque de contracter une maladie. Vous ne prévoyez pas non plus de vacciner des millions de personnes en forme et en bonne santé avec un vaccin [expérimental] qui n’a pas été largement testé sur des sujets humains. »

Le Dr. Mike Yeadon PhD, ancien vice-président et scientifique en chef de Pfizer pour les allergies et les maladies respiratoires. 

« Ce que nous savons sur le coronavirus grâce à 30 ans d’expérience, c’est qu’un vaccin contre le coronavirus a une particularité unique, c’est-à-dire que toute tentative de fabrication du vaccin a abouti à la création d’une classe d’anticorps qui rendent réellement les personnes vaccinées plus malades lorsqu’elles souffrent finalement d’une exposition au virus en question. » 

Robert F. Kennedy Jr.

Le NYT cite Frank Swiaczny, un démographe allemand qui était chef des tendances et de l’analyse démographiques pour les Nations Unies jusqu’à l’année dernière :

« Un changement de paradigme est nécessaire. Les pays doivent apprendre à vivre avec [un déclin démographique] et à s’y adapter. »

Pour renforcer ce changement de paradigme – et le faire apparaître – et vous convaincre, le lecteur, qu’il s’agit d’un phénomène normal et imparable, le NYT vous prédit, ou plutôt vous effraie, en spéculant / anticipant,

« Les ramifications et les réponses ont déjà commencé à apparaître, en particulier en Asie de l’Est et en Europe. De la Hongrie à la Chine, de la Suède au Japon, les gouvernements luttent pour équilibrer les demandes d’une cohorte vieillissante en plein essor avec les besoins des jeunes dont les décisions les plus intimes en matière de procréation sont façonnées par des facteurs à la fois positifs (plus de possibilités d’emploi pour les femmes) et négatifs (inégalité persistante entre les sexes et coût élevé de la vie). »

Nous savons qu’il s’agit d’un faux prétexte, et c’est un argument totalement fabriqué pour vous faire regarder dans l’autre direction, alors que dans deux à trois ans, vous pourrez voir mourir massivement de personnes bien en deçà de l’espérance de vie statistique moyenne.

Nous le savons tous, l’inégalité entre les sexes persiste dans l’Ouest depuis au moins 2000 ans. Et, bien que le coût de la vie n’ait cessé d’augmenter au cours des 50 premières années après la Seconde Guerre mondiale dans les pays industrialisés, il a plutôt stagné au cours des deux dernières décennies. Au contraire, dans certains cas – États-Unis, Europe – une tendance plutôt déflationniste est apparue. Un signe clair pour cela, ce sont les taux d’intérêt négatifs dans de nombreux pays industrialisés. Donc, le NYT essaie de vous faire croire ce qui est faux – tout cela pour justifier sa « prédiction » d’une réduction massive de la population ; pour vous habituer au diabolique plan Covid – et peut-être pour semer juste un peu de peur.

Comme les « vaccins » de l’ARNm sont expérimentaux, il n’y a pas d’antécédents sur la capacité du corps de se débarrasser des effets secondaires désastreux, comme la coagulation sanguine, conduisant à la thrombose, à une éventuelle paralysie et à la mort.

Selon les prévisions scientifiques, les injections d’ARNm affectent le génome humain et il est fort probable que le corps ne se désintoxique jamais de ce qui affecte l’ADN.

Si cette hypothèse est correcte, cela signifie, en bref, que vous ne serez plus jamais la même personne et que votre santé peut être affectée négativement pour le reste de votre vie. Il s’agit, sans aucun doute, d’un crime de génocide de masse contre l’humanité.  Cela coïncide avec les vues du Dr Joseph Mercola – voir ci-dessus, ainsi qu’avec celles du Dr. Sucharit Bhakdi sur la coagulation sanguine et ses conséquences désastreuses pour la santé, c’est-à-dire qu’elle peut entraîner des attaques cérébrales, des paralysies et la mort.

Dans le même ordre d’idées Vaccine Impact du 23 mai 2021 fait référence à cinq médecins réputés, qui discutent de la transmission du virus entre les personnes ayant reçu le vaccin à ARNm et celles qui n’ont pas été vaccinées. Ces scientifiques sont tous d’accord pour dire que si l’on ne réalise pas que ces vaccins sont conçus comme des armes biologiques dans le but de réduire la population mondiale, on ne comprendra jamais complètement ce que ces vaccins et Big Pharma sont capables de faire et comment prendre des mesures pour se protéger.

Le NYT nous prépare doucement à ce crime, qualifiant ce prochain « dépeuplement » de phénomène naturel, en raison d’un changement démographique – auquel on peut s’attendre en raison de notre « style de vie abondant » occidental, et du changement climatique causé par l’homme (mea-culpa, mea-culpa), entraînant une réduction des récoltes – famine – dans le monde en développement ou dans les pays du Sud global.

« Il s’agit d’une guerre mondiale intentionnelle contre le sang humain », selon le Dr. Sherri Tenpenny et la lauréate du prix Nobel, le Dr. Luc Montagnier, ainsi que le Dr. Mike Yeadon, ancien vice-président et chef de Pfizer Science – et d’autres.

« Les injections tueront et n’arrêteront jamais de tuer. »

Le Dr. Montagnier, parmi les meilleurs virologues du monde, prévoit une espérance de vie considérablement réduite pour beaucoup de ceux qui ont pris l’ »injection mortelle ».

Voir les dernières données officielles sur les décès et blessures [séquelles] par vaccin pour l’UE (de la fin décembre 2020 au 22 mai 2021)

Il y a des raisons et des causes à la fois médicales et économiques pour une population mondiale considérable sur lesquelles le NYT nous alerte.

Pourquoi feraient-ils cela ?

Pour nous préparer à l’un des crimes les plus horribles de l’histoire moderne de l’humanité. : Inventer (c’est-à-dire d’origine humaine) un coronavirus  invincible.

Après une décision du Forum économique mondial (FEM), en janvier 2020, l’OMS a appelé le virus en janvier 2020 d’abord le SRAS-CoV-2 – du nom du virus du SRAS qui a frappé la Chine à partir de 2002-2003, puis, quelques semaines plus tard, l’OMS a rebaptisé cette « bête » invisible – instrument de fabrication de la peur – Covid-19.

Le choc soudain d’être exposé à une épidémie mondiale et à une pandémie (selon les nouveaux critères soudains de l’OMS) a créé une pandémie de peur en vertu de laquelle les gens sont vulnérables et acceptent tout – pratiquement dans l’espoir que le danger mortel disparaisse.

C’est ainsi qu’en vertu d’une décision du FEM, l’OMS a déclaré cette maladie, en fait mineure, le 11 mars 2020 comme une pandémie, alors qu’il n’y avait que dans le monde entier, selon les statistiques de l’OMS, que 44 279 cas positifs et 1 440 décès en dehors de la Chine. La peur a augmenté et la « doctrine du choc » a fonctionné. Les 193 pays membres de l’ONU ont accepté le verrouillage total de la mi-mars 2020 – et ce sans justification médicale. 

« The Shock Doctrine » (2007), de Naomi Klein, décrivant comment le capitalisme du désastre profite des situations de choc, naturelles ou provoquées par le mandat, pour mettre en œuvre de nouvelles règles et réglementations, qui autrement n’auraient pas été facilement acceptées.

Un autre exemple est le Patriot Act américain qui était en préparation depuis des années, bien avant le 11 septembre ; il n’attendait qu’une catastrophe – c’est-à-dire le 11 septembre – pour être adopté à la hâte et accepté par le Congrès américain. Il a supprimé environ 80 % des libertés des personnes et a converti les lois du pays en une loi martiale permanente – et il est toujours applicable aujourd’hui, même avec quelques ajouts pratiques pour l’élite financière régnante.

Imaginez ! Les 193 pays membres de l’ONU à la fois – une impossibilité épidémiologique. Pourtant, les gens du monde entier ont accepté la nouvelle règle – qui a finalement détruit l’économie mondiale, l’a décimée au point où les petites et moyennes entreprises ont été littéralement anéanties, mettant les chômeurs dans la rue, se débrouillant pour survivre, augmentant les taux de pauvreté dans le monde de manière exponentielle.

Le chômage et la famine ont explosé.

La conséquence, en particulier dans les pays du Sud global, le désespoir, la souffrance d’être sans abri, sans nourriture – conduisant souvent au suicide et, sinon à la mort par famine. Cependant, ces quelques milliardaires au sommet, qui prétendent bientôt gouverner l’Ordre mondial unique, ont augmenté leur fortune combinée en quelques mois seulement de quelque 200 milliards de dollars.

Le Programme alimentaire mondial – le PAM a estimé que la population totale souffrant d’une famine aiguë était de plus d’un quart de milliard (265 millions) d’ici la fin de 2020, environ la moitié d’entre eux sont liés aux covidés – et augmentent régulièrement. « Ces nouveaux chiffres montrent l’ampleur de la catastrophe à laquelle nous sommes confrontés », déclare le PAM. Beaucoup d’entre eux ne survivront pas, mais les chiffres précis ne sont pas connus. Au fil du temps, ils deviendront catastrophiques, entraînant des centaines de milliers de décès. C’est le résultat de la criminalité élevée de la supra-cabale diabolique qui a inventé l’Agenda ID2020, l’Agenda 2030 de l’ONU, la Grande Réinitialisation [The Great Reset] – une souffrance mondiale criminelle, en particulier pour les personnes déjà pauvres et vulnérables.

Selon le Dr. Sucharit Bhakdi, microbiologiste allemand, et comme le rapporte The New American le 16 avril 2021 dans un article intitulé « Covid shots to Decimate the World Population ».

Le Dr Bhakdi avertit que l’hystérie du COVID est basée sur des mensonges et que les « vaccins » COVID, en particulier le type ARNm, sont prêts à provoquer une catastrophe mondiale et une possible décimation de la population humaine.

Le Dr Bhakdi explique tout d’abord que le test PCR a été utilisé de manière abusive pour susciter la peur d’une manière non scientifique..

Ensuite, il explique ce que les vaccins à ARNm vont faire au corps humain.

Il s’attend notamment à une coagulation sanguine mortelle massive [déjà survenant] ainsi qu’à des réponses du système immunitaire qui détruiront le corps humain.

Enfin, Bhakdi, qui a nous mis en garde contre une « catastrophe » imminente lors d’une interview de Fox News, vidéo qui est devenue virale. Il en appelle à des poursuites pénales contre les responsables et à l’arrêt immédiat de cette expérience mondiale. Voir ce qui suit.

Cela fournit un certain contexte pour l’article du NYT – contexte que, bien sûr, le New York Times ne mentionne pas. Il semble que le souci du Times soit avant tout d’avertir et de préparer les gens à ce qui pourrait arriver, mais aussi de répandre la peur, de rendre les gens plus vulnérables, plus faibles, de briser encore plus le système d’autodéfense humain. Le type de langage utilisé dans l’article du NYT laisse un lecteur innocent sans défense, dans la crainte de « céder à ce qui pourrait arriver ». C’est précisément ce qu’ils veulent

Une perspective positive

Cependant, il y a de l’espoir. L’article du NYT ne mentionne pas l’ »Espoir ». La meilleure façon pour l’humanité de répondre à la menace planétaire Covid est de résister collectivement par tous les moyens à la vaccination et de s’opposer activement à la numérisation de vos données personnelles ainsi que de votre argent.

Vous résisterez ainsi à l’emprise de l’intelligence artificielle et à l’asservissement par une super élite financière.

Nous avons clairement en nous le pouvoir de vaincre cette tyrannie diabolique qui plane sur nous – presque partout dans le monde sans exception. Il s’agit de croire en nous-mêmes, en la force de la pensée collective positive et aimante – et en la puissance de la solidarité.

Nous avons clairement le pouvoir en nous de surmonter cette tyrannie diabolique qui plane sur nous – presque partout dans le monde sans faute. Il s’agit de croire en nous-mêmes, collectivement, en la force de la pensée positive et de l’amour  – et en la puissance de la solidarité.

Peter Koenig


Article original en anglais :

Depopulation and the mRNA Vaccinele 15 juin 2021. Publié pour la première fois le 28 mai 2021.

Traduction par Maya pour Mondialisation.ca

Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il travaille depuis plus de 30 ans sur l’eau et l’environnement dans le monde entier. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur d’Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l’environnement et la cupidité des entreprises ; et coauteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sternues: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1 novembre 2020)

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2021




Au tour du meurtrier Bill Gates !

[Source : NéoSanté Editions (neosante.eu)]

Vous suivez « l’Affaire Fauci » sur les réseaux sociaux ?  Je présume que oui et si ce n’est pas le cas, je vous conseille de le faire car c’est un feuilleton palpitant dont voici une petite vidéo récapitulative. En résumé, la déclassification de ses e-mails professionnels révèle que l’immunologue américain, personnage central de la « crise sanitaire », a copieusement menti  aux autorités de son pays et  a délibérément dissimulé un tas de choses à ses compatriotes, notamment son rôle dans le financement du laboratoire P 4 de Wuhan et de ses périlleuses recherches sur les coronavirus. Nonobstant son implication dans ce scandale, sa correspondance dévoile qu’Anthony Fauci n’a jamais cru à l’utilité antivirale du masque, savait depuis le début que les asymptomatiques ne représentaient aucun danger, était au courant que l’hydroxychloroquine pouvait être repositionnée en traitement prometteur et n’ignorait pas que l’infection procurait une immunité naturelle durable. Dans un échange avec Mark Zuckerberg, patron de Facebook, on apprend que le vaccin était déjà en voie de fabrication dès février 2020 et que son développement était évalué à 6 semaines ! Vu que les 3.000 courriels rendus publics n’ont pas encore été tous dépouillés, on peut s’attendre à d’autres surprises car même les médias mainstream  sont en train de déballer le linge sale, du moins chez l’Oncle Sam car en Europe, ces révélations fracassantes font très peu de remous. Dossier à suivre via les canaux alternatifs comme France Soir ou Sud Radio.
 
L’autre covidingue
 
Quand sa tête roulera sur le billot, le monde entier pourra se réjouir car de par sa fonction de « Monsieur Covid » étasunien, le Dr Fauci aura été une pièce maîtresse dans la construction du narratif plandémiste. Comme en atteste un message émanant de Jean-François Delfraissy, son homologue français, c’est l’Amérique qui donnait le ton et  qui dictait le « consensus  scientifique» sur lequel se sont appuyés les artisans de la terreur hystérique et les partisans du verrouillage économique. Lorsque le domino Tony tombera à Washington, nos experts en mesures liberticides auront aussi du souci à se faire. Mais n’oublions pas un autre personnage-clé du Corona Circus, un autre covidingue amerloque sans qui le délire sanitaire  totalitaire n’aurait jamais pris une dimension planétaire. Je veux évidemment parler du multimilliardaire Bill Gates, opportunément rebaptisé « Kill » Gates par certains médias anglophones indépendants. Personnellement, je ne vois pas cet éternel adolescent bigleux comme un affreux conspirateur eugéniste ayant cyniquement  planifié un génocide vaccinal. Dans sa fameuse conférence Fedex de 2010,  il parle bien de réduire la population  mondiale de 15% grâce aux vaccins mais il voulait dire par là que la réduction de la mortalité infantile allait conduire à une baisse spontanée de la fécondité. Pour autant, le richissime homme d’affaires ne mérite absolument pas l’absolution et le traitement de faveur que les médias – bénéficiant parfois de ses largesses, comme le journal Le Monde – lui réservent invariablement. Lui, un philanthrope désintéressé ? C’est au contraire un assoiffé d’argent et de pouvoir qui a trouvé dans la distribution de dons le moyen de faire fructifier sa fortune et d’amplifier sa capacité d’influence. Dans la revue Néosanté  de juin 2019, nous avons modestement œuvré à rectifier le récit journalistique à l’occasion  de la sortie du livre de Lionel Astruc « L’art de la fausse générosité », consacré aux entourloupes fiscales et aux manigances financières de la galaxie Gates. Lui, un bienfaiteur de l’humanité ? Peu de gens le savent, mais ce mégalomane transhumaniste ne poursuit pas seulement le rêve de vacciner la terre entière et d’en tracer numériquement tous les habitants. Aux States, il a acheté des millions d’hectares agricoles pour y appliquer un agrobusiness-model dopé aux pesticides et aux OGM, ses deux autres domaines d’investissement privilégiés. Tonton Bill n’est pas seulement le boss de la pharmafia, c’est aussi le parrain omnipotent de l’agrochimie  transgénique.  Ce bourreau de la nature déguisé en sauveur du genre humain est également dévoré par l’ambition pathologique de préserver le globe du réchauffement climatique. Comment ?  En finançant des programmes de géo-ingénierie consistant à masquer le soleil  par l’envoi de  millions de tonnes de poussières dans la stratosphère, ainsi que vous pouvez le vérifier en cliquant ici .  Il y a deux mois, la Suède a bloqué  une expérience visant à tester  dans son ciel la faisabilité de ce projet démentiel . Mais ne croyez pas qu’il soit abandonné et que son  faux mécène va renoncer à sa guerre des ténèbres contre l’astre solaire. Ce type est complètement givré  et en attendant la livraison de son méga-yacht à hydrogène (600 millions d’euros, une bagatelle), il va certainement continuer à dériver vers la folie pure et la technoscience dénuée de toute conscience.
 
Kill Gates est bien un sérial killer
 
La saga corona aura au moins permis de mettre sa démence en évidence et à faire surgir l’urgence d’arrêter ses folles entreprises prométhéennes.  Mais comment faire quand  les instances de santé sont sous sa coupe financière , la presse sous son contrôle insidieux et l’oligarchie politique sous son charme pécuniaire   ? Je ne vois qu’une solution : exploiter à fond le dossier des vaccins en exposant le désastre de la vaccination anticovid et  les crimes vaccinaux  que l’ex-mari de Melinda  a sponsorisés dans le passé. Car des casseroles macabres, il y en a aux fesses de cet obsédé sexuel harceleur impénitent de ses employées  et ami du pédophile Jeffrey Epstein. Dans le Tiers-Monde, l’informaticien se prenant pour le médecin du monde a plus d’une fois trucidé l’éthique médicale et financé des expérimentations mortelles sur des peuplades trompées et manipulées. Les journaux occidentaux n’en ont jamais parlé mais le casier médico-judiciaire  du milliardaire est lourdement chargé en Afrique et en Asie. Il a contribué à tuer de nombreuses victimes innocentes lors d’essais cliniques sauvages !  Il y a 15 jours,  un site indien a publié une enquête accablante  sur l’ONG américaine PATH, une des associations pseudo-caritatives que Gates stipendie pour fournir  des cobayes à l’industrie pharmaceutique. Voici une douzaine d’années, cet organisme a procédé à la vaccination expérimentale de jeunes adolescentes indiennes  contre le papillomavirus humain. Plus d’une centaine d’entre elles ont subi de graves secondaires et au moins 7 sont décédées à la suite de cet essai effectué sans leur consentement éclairé.  L’affaire a fait grand bruit en Inde à l’époque, il y a même eu une commission d’enquête parlementaire,  mais le scandale a fini par être étouffé et Bill Gates n’a jamais été inquiété.  C’est toute cette histoire que raconte l’investigation de Bernard Marx  pour Greatgameindia, à laquelle la presse occidentale n’a  – à ma connaissance – pas fait le moindre écho.  Ce silence radio m’a paru insupportable et j’ai demandé à Catherine,  collaboratrice ponctuelle et traductrice bénévole pour Néosanté, de  traduire l’article in extenso. Je vous l’offre en lecture ci-dessous, en espérant que ce petit caillou concoure  à lapider la réputation humaniste d’un cinglé sans scrupules  appelé Bill Gates. Si  ce criminel frapadingue tombe dans la foulée de Fauci, la religion vaccinaliste  aura perdu  son  plus illustre prélat et le cauchemar covidiste approchera de sa fin. On tient bon, ami(e)s complotistes !
 

Yves Rasir

Comment l’ONG PATH, financée par Bill Gates, a tué des jeunes filles tribales en Inde lors d’essais cliniques non autorisés

par Bernard Marx

publié le 25/05/2021 sur https://greatgameindia.com/bill-gates-path-tribal-girls-india/amp/

Voici l’histoire inédite de l’ONG PATH, financée par Bill Gates, qui a tué des jeunes filles tribales en Inde dans le cadre d’essais cliniques non autorisés de vaccins et s’en est tirée à bon compte.
 
Nous avons beaucoup entendu parler de l’Inde aux informations récemment. Bien plus que d’habitude. Si l’on en croit les médias populaires, une sorte d’apocalypse s’y déroule. Mais comme c’est souvent le cas, ces reportages sont dépourvus de tout contexte ou perspective[1]. Alors qu’aujourd’hui les médias du monde entier n’en finissent pas de scruter l’Inde – dans leur empressement à soutenir un récit terrorisant sur le Covid-19 – il y a douze ans ces mêmes médias brillaient par leur absence et leur silence tandis qu’une histoire bien réelle s’y déroulait.

Les essais cliniques non autorisés de vaccins

En 2009, une ONG financée par la Fondation Bill et Melinda Gates a réalisé des essais cliniques[2] non autorisés de vaccins sur certains des enfants les plus pauvres et les plus vulnérables du monde. Elle l’a fait sans fournir d’informations sur les risques encourus[3], sans le consentement éclairé des enfants ou de leurs parents et sans même déclarer qu’elle menait un essai clinique.
Après la vaccination, nombre de jeunes participantes sont tombées malades et sept d’entre elles sont mortes. Telles ont été les conclusions[4] d’une commission parlementaire chargée d’enquêter[5] sur cette misérable affaire. La commission a accusé l’ONG de « maltraitance d’enfants » et a produit un grand nombre de preuves[6] à l’appui de ses dires. Toute cette affaire a à peine effleuré le radar des médias occidentaux.
PATH (anciennement Program for Appropriate Technology in Health) est une ONG basée à Seattle, largement financée[7] par la fondation Gates et qui reçoit également des subventions importantes[8] du gouvernement américain. Entre 1995 et le moment où nous écrivons ces lignes (mai 2021), PATH a reçu plus de 2,5 milliards de dollars[9] de la fondation.
En 2009, PATH a mené un projet[10] de vaccination contre le papillomavirus humain (VPH). L’objectif était, selon les termes de PATH, « de générer et de diffuser des preuves favorisant l’introduction éclairée des vaccins contre le VPH dans le secteur public ». Ce projet a été mis en œuvre dans quatre pays : l’Inde, l’Ouganda, le Pérou et le Vietnam. Une autre organisation financée par Gates, GAVI, avait initialement été pressentie pour gérer le projet, mais la responsabilité a finalement été déléguée à PATH. Le projet a été directement financé par la fondation Gates.
De manière significative, chacun des pays sélectionnés pour le projet avait une population ethnique différente et disposait d’un programme national de vaccination financé par l’État. L’utilisation de différentes ethnies dans l’essai devait permettre de comparer les effets du vaccin dans une diversité de groupes de population (l’ethnicité étant un facteur déterminant dans la sécurité et l’efficacité de certains médicaments).
Les programmes de vaccination des pays concernés constituaient un marché potentiellement lucratif pour les entreprises dont les médicaments devaient être étudiés : si les médicaments s’avéraient efficaces et étaient inclus dans les programmes de vaccination nationaux financés par l’État, cela représenterait une manne annuelle de bénéfices pour les entreprises concernées.
Deux types de vaccins contre le VPH ont été utilisés dans l’essai : le Gardasil de Merck et le Cervarix de GlaxoSmithKline (GSK). Dans cet article, nous allons examiner l’essai du Gardasil par PATH en Inde.
Il est intéressant de noter ici la relation entre la fondation Gates et l’une des entreprises dont les médicaments étaient testés. En 2002, la fondation avait, de manière controversée, acheté[11] pour 205 millions de dollars d’actions dans le secteur pharmaceutique, incluant des actions de Merck & Co. Cette opération avait suscité des interrogations en raison du conflit d’intérêts évident entre le rôle de la fondation en tant qu’organisation caritative médicale et son rôle de propriétaire d’entreprises dans le même secteur.
Le Wall Street Journal a rapporté[12] en août 2009 que la fondation Gates avait vendu ses parts dans Merck entre le 31 mars et le 30 juin de cette année-là, à peu près au moment où commençaient les essais sur le terrain du vaccin contre le VPH en Inde. Ainsi, pendant toute la durée de ce projet (déjà opérationnel en octobre 2006[13]), et jusqu’aux essais finaux sur le terrain, la fondation a joué un double rôle : celui d’une organisation caritative responsable en termes de soins et celui d’un propriétaire d’entreprise responsable en termes de profits.
Ces conflits d’intérêts sont la marque de fabrique de la fondation Gates depuis 2002. Lors de ses apparitions régulières à la télévision en 2020[14] pour promouvoir la vaccination contre le Covid-19 – avec un soutien particulièrement enthousiaste[15] à l’effort de Pfizer-BioNTech – l’objectivité de Bill Gates n’a jamais été mise en doute. Pourtant, sa fondation est copropriétaire[16] de plusieurs fabricants de vaccins, dont Pfizer, BioNTech et CureVac.

Le vaccin contre le papillomavirus humain (VPH)

Le vaccin contre le VPH vise à prévenir le cancer du col de l’utérus. Le Gardasil avait été lancé avec succès par Merck aux États-Unis en 2006, mais ses ventes étaient menacées après qu’une série d’articles parus dans des revues médicales américaines eurent jugé que ses risques l’emportaient sur ses avantages.
Une analyse[17] des rapports transmis au Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) sur les effets indésirables du Gardasil, a été particulièrement préjudiciable. Cette analyse a été publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) le 19 août 2009.
Parmi les 12 424 effets indésirables signalés, 772 ont été considérés comme graves, dont 32 décès. Les autres effets secondaires graves comprenaient des troubles auto-immuns, des événements thromboemboliques veineux (caillots sanguins) et le syndrome de Guillain-Barré.
Dans la même édition du JAMA, le Dr Charlotte Haug, alors rédactrice en chef du Journal of the Norwegian Medical Association, écrivait[18] : « La question de savoir si un risque vaut la peine d’être pris dépend non seulement du risque absolu, mais aussi du rapport entre le risque potentiel et le bénéfice potentiel. Si les bénéfices potentiels sont substantiels, la plupart des individus seront prêts à accepter les risques. Mais pour une femme, le bénéfice net du vaccin contre le VPH est incertain. Même si elle est infectée de façon persistante par le VPH, une femme ne développera probablement pas de cancer si elle se soumet régulièrement à un dépistage. Rationnellement elle devrait donc être prête à n’accepter qu’un faible risque lié au vaccin. » Le Dr Haug faisait également remarquer que « lorsqu’on évalue les risques et les bénéfices, il convient également de se demander qui prend les risques et qui en retire les bénéfices » – une allusion claire à Merck, le fabricant du Gardasil.

La controverse sur le Gardasil

Les tentatives de Merck pour promouvoir le Gardasil étaient controversées. Le Dr Angela Raffle[19], l’une des plus grandes spécialistes britanniques du dépistage du cancer du col de l’utérus, a décrit la stratégie de marketing de Merck comme « un bélier chargeant sur le ministère de la Santé et un pilonnage à la périphérie ».
Le Dr Raffle craignait que l’incitation à la vaccination de masse ne nuise au programme de dépistage efficace qui fonctionne au Royaume-Uni depuis les années 1960 : « Je crains que la panique instaurée pour des considérations commerciales afin d’introduire rapidement le vaccin contre le VPH ne nous fasse reculer et n’aggrave notre programme de lutte contre le cancer du col de l’utérus. »
Diane Harper[20], professeur à la faculté de médecine de Dartmouth dans le New Hampshire, qui a dirigé deux essais du vaccin, a affirmé catégoriquement[21] que le Gardasil ne pouvait pas protéger contre toutes les souches de VPH.
Lorsque Merck a lancé une énorme campagne de relations publiques en 2007 pour persuader les gouvernements européens d’utiliser le produit pour vacciner toutes les jeunes filles du continent contre le cancer du col de l’utérus, Dr Harper a déclaré : « Les programmes de vaccination de masse (constitueraient) une expérience de santé publique à grande échelle… Nous ignorons beaucoup de choses. Nous ne savons pas si le vaccin sera efficace dans la durée. Pour être honnête, nous n’avons pas actuellement de données sur son efficacité chez les jeunes filles. Nous vaccinons contre un virus qui attaque les femmes tout au long de leur vie et continue à provoquer des cancers. Si nous vaccinons les filles à 10 ou 11 ans, nous ne saurons pas avant 20 à 25 ans si cela fonctionne ou non. Le pari est énorme ».
Ainsi, à l’époque où PATH menait ses essais en Inde, en Ouganda, au Pérou et au Vietnam, le Gardasil était un vaccin controversé : sa sécurité, son efficacité et les tentatives de Merck pour le promouvoir étaient mises en question, non par les anti-vaccins et les théoriciens du complot, mais par l’establishment médical international et les médias dominants respectés.

Les filles de Khammam

En 2009, le district de Khammam faisait partie de l’état d’Andhra Pradesh, à l’est de l’Inde (depuis les changements de frontières effectués en 2014, le district de Khammam appartient à l’état du Telangana). La région, essentiellement rurale, est considérée[22] comme l’une des parties les plus pauvres et les moins développées de l’Inde.
Khammam abrite plusieurs groupes ethniques tribaux, représentant environ 21,5% de sa population (quelque 600 000 personnes) selon certaines estimations. Comme souvent chez les populations indigènes[23] ailleurs dans le monde, les groupes tribaux de Khammam souffrent d’un manque d’accès à l’éducation. Par conséquent, leur niveau d’alphabétisation est considérablement inférieur à celui de l’ensemble de la région.  Quelque 14 000 filles[24] ont reçu une injection de Gardasil dans le district de Khammam en 2009. Les filles recrutées pour le projet de PATH avaient entre 10 et 14 ans et étaient toutes issues de milieux à faibles revenus, principalement tribaux. Beaucoup d’entre elles ne vivaient pas avec leur famille mais dans des ashrams pathshalas (foyers gérés par le gouvernement), situés à proximité des écoles qu’elles fréquentaient.
Le professeur Linsey McGoey, de l’université d’Essex, a déclaré[25] par la suite qu’elle pensait que les filles des ashrams pathshalas avaient été ciblées pour le projet car c’était un moyen de « contourner la nécessité de demander le consentement parental pour les injections ».
Si l’Inde a été très présente dans l’actualité ces derniers temps, la couverture de ce pays et de ses affaires est généralement discrète. Bien que l’Inde abrite près d’un cinquième de la population mondiale, les reportages sur ce pays sont rares. Peu d’entre nous sont conscients, par exemple, de son histoire abyssale en matière de santé et de sécurité[26] ou de sa longue tradition de corruption[27] au sein du gouvernement.
Des chercheurs de profit sans scrupules profitent de ces défaillances depuis des décennies. Les médias occidentaux ne rendent compte des conséquences de ces actions que lorsque leur ampleur est trop importante pour être ignorée.
En 1984, nous avons appris[28] que quelque 7 000 personnes avaient été tuées et plus d’un demi-million blessées après avoir été exposées[29] à un gaz mortel, l’isocyanate de méthyle, suite à une fuite de gaz[30] dans l’usine de pesticides Union Carbide à Bhopal. Mais au cours des années qui ont précédé la catastrophe, nous n’avons rien su de la culture de normes déficientes et de mépris des réglementations[31] qui était en fin de compte responsable de ce désastre.

Le rapport accablant de l’ONG Sama

Il est donc ‘’normal’’ que le projet de PATH visant à administrer et à étudier les effets du vaccin contre le VPH soit passé inaperçu en Occident. De même qu’en Inde : les médias indiens ne sont pas plus réputés pour leurs reportages sur les groupes tribaux que les médias occidentaux pour leurs reportages sur les Indiens.
Malgré les inquiétudes[32] exprimées en octobre 2009 par Sama[33], une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes, le sujet n’a pas été relayé dans l’actualité indienne.
Ainsi, ce projet n’aurait pas pu être plus ignoré des radars s’il s’était déroulé sur la lune, et il l’est resté pendant plusieurs mois jusqu’à ce que, début 2010, des informations commencent à filtrer à Khammam, indiquant que quelque chose avait terriblement mal tourné : plusieurs des filles qui avaient participé aux essais étaient tombées malades et quatre d’entre elles étaient mortes.
En mars 2010, des membres de Sama se sont rendus à Khammam pour en savoir plus sur les bruits qui couraient. Ils ont appris[34] que jusqu’à 120 filles avaient subi des effets indésirables, notamment des crises d’épilepsie, de graves maux d’estomac, des maux de tête et des sautes d’humeur. Les représentants de Sama sont restés à Khammam pour enquêter davantage sur la situation.
L’implication de Sama a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face à un barrage de publicité négative, le Conseil indien de la recherche médicale (IMCR) a suspendu[35] le projet PATH. C’est alors que le Commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter[36] sur cette affaire.
Le 17 mai, Sama a produit un rapport[37] accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.
Le rapport indique que « de nombreuses jeunes filles vaccinées continuent de souffrir de maux d’estomac, de maux de tête, de vertiges et d’épuisement. Des rapports font état de l’apparition précoce des menstruations, de saignements abondants et de crampes menstruelles sévères, de sautes d’humeur extrêmes, d’irritabilité et de mal-être suite à la vaccination. Aucun suivi ou contrôle systématique n’a été effectué par les fournisseurs de vaccins. »
Sama a également contesté l’affirmation du gouvernement de l’état d’Andhra Pradesh selon laquelle le décès de quatre des filles ayant participé aux essais n’avait rien à voir avec la vaccination.

La Commission parlementaire

Les rouages de la bureaucratie tournent lentement. C’est seulement trois ans plus tard, le 30 août 2013, que le rapport[38] de la Commission permanente de la santé du Parlement indien a finalement été publié. Si beaucoup s’attendaient à ce que l’affaire soit balayée sous le tapis, il n’en fut rien: la lecture de ce rapport est révoltante.
Le rapport condamne à la fois PATH et le Conseil indien de la recherche médicale, concluant[39] que « la sécurité et les droits des enfants ont été fortement compromis et violés ». La commission a constaté[40] que PATH, bien qu’opérant en Inde depuis 1999, n’avait aucune autorisation légale pour le faire. Elle a noté que, bien que l’organisation ait finalement reçu un certificat du Registre des sociétés de l’Inde en septembre 2009, ce certificat lui-même était en infraction avec la loi.
Le rapport indique[41] que « PATH…. a violé toutes les lois et réglementations établies pour les essais cliniques… son seul objectif a été de promouvoir les intérêts commerciaux des fabricants de vaccins contre le VPH. Il s’agit d’un grave abus de confiance… car le projet engageait la vie et la sécurité de fillettes et d’adolescentes qui, pour la plupart, n’étaient pas conscientes des implications de la vaccination. Il s’agit également d’une grave violation de l’éthique médicale. Cet acte de PATH est une violation flagrante des droits humains de ces fillettes et adolescentes. Il s’agit également d’un cas avéré de maltraitance d’enfants ».
La commission a accusé[42] PATH de lui avoir menti et d’avoir tenté de l’induire en erreur au cours de son enquête et a recommandé[43] au gouvernement indien de signaler les violations des droits de l’homme commises par PATH à l’OMS, à l’UNICEF et au gouvernement américain.
Le rapport déclare[44] que la totalité du plan mis en œuvre par PATH était une tentative cynique d’assurer des profits continus à Merck et GSK :
« Le choix des pays et des groupes de population, la nature monopolistique – à ce moment-là – du produit promu, le potentiel et les opportunités de marché illimités dans les programmes de vaccination universelle des pays concernés, sont autant d’indices d’un plan bien orchestré pour exploiter commercialement une situation.
Si PATH avait réussi… cela aurait généré un profit exceptionnel pour les fabricants par le biais d’une vente automatique, année après année, sans la moindre dépense de promotion ou de marketing. Il est bien connu qu’une fois introduite dans un programme d’immunisation, il devient politiquement impossible d’arrêter une quelconque vaccination. »

« Pour atteindre cet objectif sans effort, sans passer par la voie ardue et strictement réglementée des essais cliniques, PATH a eu recours à un subterfuge en appelant les essais cliniques « Études observationnelles » ou « Projet de démonstration » et autres expressions de ce genre. Ainsi, l’intérêt, la sécurité et le bien-être des personnes ont été mis en péril absolu par le biais d’une nomenclature autodéterminée et autosuffisante, instrumentalisée par PATH, ce qui est non seulement hautement déplorable mais constitue une violation sérieuse de la loi du pays. »

Des jeunes indiennes utilisées comme cobayes

Ces accusations ont été reprises[45] par des voix éminentes de la communauté médicale indienne. « Il est choquant de voir comment une organisation américaine a utilisé des méthodes furtives pour s’établir en Inde », a déclaré Chandra M. Gulhati, rédacteur en chef de l’influent Monthly Index of Medical Specialities, « (ce) n’était pas de la philanthropie ».
Samiran Nundy, rédacteur émérite du National Medical Journal of India et critique de longue date[46] des pratiques corrompues dans le domaine de la santé n’a pas mâché ses mots : « C’est un cas évident où les Indiens ont été utilisés comme cobayes ».
Le rapport de la commission permanente était également très critique à l’égard de la relation entre PATH et les membres de plusieurs agences de santé indiennes, mettant en évidence de multiples conflits d’intérêts[47].
Sur la question du consentement éclairé[48], la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes (souvent les gardiens des foyers où vivaient les filles) et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations sur la nécessité alléguée de la vaccination, ses avantages et ses inconvénients ou ses effets secondaires potentiels.
Aucune assurance[49] n’était prévue pour aucun des enfants en cas de dommages et « PATH ne prévoyait pas de soins médicaux urgents et spécialisés en cas d’événements indésirables graves ». De plus, PATH a gravement enfreint[50] les réglementations sanitaires indiennes en effectuant un essai clinique de médicament sur des enfants avant d’avoir effectué un essai de ce même médicament sur des adultes.
Concernant les jeunes filles décédées, la commission a critiqué[51] PATH, les autorités médicales indiennes et le gouvernement de l’état d’Andhra Pradesh pour avoir sommairement écarté le lien entre leur décès et la vaccination sans mener d’enquêtes approfondies. En 2016[52], quelque 1 200 jeunes filles ayant participé aux deux essais de vaccins contre le VPH en Inde faisaient état d’effets secondaires graves à long terme, soit plus de 5% de la cohorte totale de 23 500 personnes. À cette date, le nombre total de décès était passé à sept.

Un silence de mort

Cette effroyable violation de l’éthique médicale et des droits de l’homme est passée presque totalement sous silence en dehors de l’Inde. La Commission permanente de la santé du Parlement indien a littéralement accusé[53] une ONG américaine de maltraitance d’enfants, en fournissant de nombreuses preuves[54] à l’appui de ses allégations, mais les médias occidentaux n’en ont quasiment pas fait mention.
Les revues de vulgarisation scientifique Nature[55] et Science[56] ont chacune publié un bref article sur le désastre, mais aucune des deux n’est entrée dans le détail des violations légales et éthiques de PATH. Si l’article de Science est au moins légèrement critique, celui de Nature privilégie la réfutation des accusations par le directeur de PATH, Vivien Tsu.
La façon dont les médias du monde entier sont financés[57] par la fondation Gates, et dont cela affecte les reportages[58] sur la fondation elle-même et les organisations qu’elle parraine, mériterait un article à part entière[59]. Mentionnons tout de même qu’à ce jour la BBC a reçu[60] un total de 51,7 millions de dollars et le Guardian[61] 12,8 millions de dollars.

In memoriam, par Seth Berkley, PDG de GAVI

Le Guardian, qui prétend donner une voix aux plus vulnérables dans le monde, est resté curieusement silencieux sur les jeunes filles de Khammam. Du moins à l’exception d’un article[62] publié en octobre 2013, environ six semaines après la publication du rapport de la commission permanente. L’article n’a pas été écrit par l’une des filles ou l’un de leurs parents, ni par l’une des femmes de Sama qui avaient plaidé en leur faveur, ni même par l’un des parlementaires indiens chargés d’enquêter sur l’affaire. Non. Il a été écrit par un Américain du nom de Seth Berkley. PDG de GAVI, un autre mastodonte de la santé financé par la fondation Gates.
Berkley a profité de sa tribune dans le Guardian pour affirmer que les jeunes filles décédées après avoir été vaccinées à Khammam s’étaient suicidées. Évoquant les 14 000 sujets ayant participé aux essais, il a déclaré : « Il aurait été inhabituel qu’aucun d’entre eux ne se suicide par la suite. » Pour la compassion on repassera. Et dans son déni de cette iniquité, pas une seule fois Berkley n’a abordé les multiples violations de la loi et de l’éthique, ni le rôle de PATH et de son employeur, la fondation Gates. The Guardian a commencé à recevoir[63] des fonds de la fondation en août 2010. Avant cet accord, en 2007, le journal avait publié deux articles qui critiquaient les tactiques de lobbying[64] utilisées par Merck pour promouvoir le Gardasil, et mettaient en doute son efficacité[65] dans les programmes de vaccination de masse. Suite à l’accord conclu avec Gates, le Guardian s’est cantonné dans une couverture positive[66] de ce médicament (et de la vaccination contre le VPH en général).

Le gouvernement indien cède à l’influence de Bill Gates

Le gouvernement indien était réticent à prendre les mesures recommandées par le commission. Après tout, des organisations comme PATH mettaient d’énormes sommes d’argent[67] à la disposition de l’État, des institutions et des particuliers. Finalement, aucun rapport officiel sur les violations des droits de l’homme ne fut adressé par les autorités indiennes à l’OMS, à l’Unicef ou au gouvernement américain, ainsi que l’avait recommandé[68] la commission.
Cependant, en 2017, le gouvernement annonça[69] qu’il n’accepterait plus les subventions de la fondation Gates pour son Unité de soutien technique à la vaccination, une organisation qui fournit des ‘’conseils en matière de stratégie vaccinale’’ pour le compte d’environ 27 millions de nourrissons. Néanmoins, le gouvernement indien continue d’accepter les subventions de la fondation dans d’autres domaines.
Merck et son vaccin Gardasil contre le VPH ont remarquablement prospéré depuis les sombres événements relatés dans cet article. Le scandale de Khammam n’a jamais vraiment affecté l’entreprise du fait qu’il n’a quasiment pas été ébruité en dehors de l’Inde. Rien qu’en 2018, les ventes de Gardasil se sont élevées à plus de 3 milliards de dollars[70], grâce à son inclusion dans les calendriers vaccinaux du monde entier et à son lancement cette même année en Chine.
PATH ne s’est jamais aussi bien portée. Tout comme pour Merck, l’absence de reportages sur ce qui s’est passé à Khammam a permis à l’organisation de ne pas être affectée. Depuis 2010, elle continue de recevoir[71] d’énormes financements de la fondation Gates et, dans une moindre mesure, du gouvernement américain. Au cours de cette période, la fondation a fourni à PATH plus de 1,2 milliard de dollars[72].
La Fondation Bill et Melinda Gates a continué à étendre sa toile d’influence. Décrivant les pratiques de l’organisation à l’époque des événements relatés ici, Jacob Levich a déclaré dans Aspects of India’s Economy[73] : « En substance, la fondation achetait des stocks de médicaments qui n’avaient pas réussi à créer une demande suffisante en Occident, en élargissait la promotion à un prix réduit et concluait des accords d’achat à long terme avec les gouvernements du Tiers monde. »
Depuis, la fondation Gates a migré vers des pâturages encore plus lucratifs. La pandémie de Covid-19 l’a véritablement propulsée sur le devant de la scène. Bill Gates lui-même a vu son profil public et son influence politique croître[74] à un point encore inimaginable même en 2019.
Malgré son manque de qualifications scientifiques ou de mandat électoral, il insiste régulièrement sur la nécessité d’une vaccination de masse à l’échelle planétaire avec des produits fabriqués par les entreprises qu’il possède[75], en utilisant les plateformes[76] que lui offrent les médias qu’il finance[77].
Et les filles de Khammam dans tout ça ? Ces pauvres enfants et leur détresse étaient à peine connues en dehors de l’Inde en 2010. Dire qu’on les a oubliées sous-entendrait pour commencer que l’on ait eu connaissance de leur situation et que l’on s’en soit soucié.

Source : https://notesfromthenewnormal.com/?p=339 (11/05/2021)
 
À LIRE AUSSI :
Une étude publiée par The Lancet montre que le vaccin Dipthérie-Tétanos-Coqueluche de Bill Gates a tué dix fois plus de petites filles africaines que la maladie elle-même.
06/01/2021 : https://greatgameindia.com/bill-gates-dtp-vaccine-africa/
Study 01/02/2017 : « The Introduction of Diphtheria-Tetanus-Pertussis and Oral Polio Vaccine Among Young Infants in an Urban African Community: A Natural Experiment »
https://www.thelancet.com/journals/ebiom/article/PIIS2352-3964(17)30046-4/fulltext


[1] https://greatgameindia.com/vaccination-second-covid-19-wave-india/
[2] https://digitalcommons.law.ggu.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1205&context=annlsurvey
[3] https://www.globaljustice.org.uk/sites/default/files/gated_development_final_version.pdf
[4] https://www.thehindu.com/news/national/its-a-path-of-violations-all-the-way-to-vaccine-trials-house-panel/article5083151.ece
[5] https://economictimes.indiatimes.com/articleshow/41280050.cms
[6] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/n2/mode/1up
[7] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?q=path
[8] https://www.path.org/about/finances/
[9] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?q=path
[10] https://digitalcommons.law.ggu.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1205&context=annlsurvey
[11] https://archive.is/XP9QA#selection-2083.395-2083.417
[12] https://archivÒe.is/UMSos
[13] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/4/mode/2up
[14] https://www.youtube.com/watch?v=VVapO-ynD7k
[15] https://nypost.com/2020/09/15/bill-gates-says-pfizer-has-best-shot-at-early-covid-19-vaccine/
[16] https://www.fool.com/investing/2020/09/24/4-coronavirus-vaccine-stocks-the-bill-melinda-gate/
[17] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/184421
[18] https://jamanetwork.com/journals/jama/article-abstract/184404
[19] https://research-information.bris.ac.uk/en/persons/angela-e-raffle
[20] https://medicine.umich.edu/dept/family-medicine/diane-m-harper-md-mph-ms
[21] https://www.theguardian.com/society/2007/mar/26/cancercare.health2
[22] https://web.archive.org/web/20120405033402/http://www.nird.org.in/brgf/doc/brgf_BackgroundNote.pdf
[23] https://www.un.org/development/desa/indigenouspeoples/mandated-areas1/education.html
[24] https://samawomenshealth.wordpress.com/2010/05/17/trial-and-error-ethical-violations-of-hpv-vaccination-trials-in-india/
[25] https://grain.org/en/article/6511-why-the-bill-gates-global-health-empire-promises-more-empire-and-less-public-health
[26] https://amrc.org.hk/content/india-health-and-safety-work
[27] https://thediplomat.com/2010/12/a-story-of-indian-corruption/
[28] https://www.theatlantic.com/science/archive/2018/07/the-worlds-worst-industrial-disaster-is-still-unfolding/560726/
[29] https://ehjournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/1476-069X-4-6
[30] https://www.nytimes.com/1985/01/28/world/the-bhopal-disaster-how-it-happened.html
[31] https://www.cambridge.org/core/books/international-crime-and-justice/bhopal-gas-disaster-and-corporate-criminal-negligence/94BB44AB0F79C34C15E075A135374C40
[32] https://samawomenshealth.wordpress.com/2009/12/14/concerns-around-hpv-vaccine-a-memorandum-to-the-health-minister/
[33] https://samawomenshealth.wordpress.com/
[34] https://economictimes.indiatimes.com/articleshow/41280050.cms
[35] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/9/mode/1up
[36] https://ia801803.us.archive.org/34/items/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/Alleged%20Irregularities%20in%20the%20Conduct%20of%20Studies%20using%20HPV.pdf
[37] https://samawomenshealth.wordpress.com/2010/05/17/trial-and-error-ethical-violations-of-hpv-vaccination-trials-in-india/
[38] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/n2/mode/1up
[39] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/13/mode/1up
[40] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/16/mode/2up
[41] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/18/mode/1up
[42] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/16/mode/2up
[43] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/19/mode/1up
[44] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/20/mode/1up
[45] https://www.sciencemag.org/news/2013/09/indian-parliament-comes-down-hard-cervical-cancer-trial
[46] https://www.bmj.com/content/360/bmj.k105
[47] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/9/mode/1up
[48] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/11/mode/1up
[49] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/13/mode/1up
[50] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/6/mode/1up
[51] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/6/mode/1up
[52] https://www.globaljustice.org.uk/sites/default/files/gated_development_final_version.pdf
[53] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/18/mode/1up
[54] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/mode/1up
[55] https://www.nature.com/articles/nature.2013.13700
[56] https://www.sciencemag.org/news/2013/09/indian-parliament-comes-down-hard-cervical-cancer-trial
[57] https://www.cjr.org/criticism/gates-foundation-journalism-funding.php
[58] https://www.seattletimes.com/seattle-news/does-gates-funding-of-media-taint-objectivity/
[59] https://robertfortner.posthaven.com/why-you-might-think-like-bill-gates-about-global-health
[60] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?page=2&q=bbc
[61] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?q=guardian
[62] https://www.theguardian.com/global-development/2013/oct/08/anti-hpv-vaccine-campaigners-cervical-cancer
[63] https://www.theguardian.com/gnm-press-office/guardian-launches-global-development-site
[64] https://www.theguardian.com/society/2007/mar/26/cancercare.health1
[65] https://www.theguardian.com/society/2007/mar/26/cancercare.health2
[66] https://www.theguardian.com/society/hpv-vaccine
[67] https://economictimes.indiatimes.com/industry/healthcare/biotech/healthcare/controversial-vaccine-studies-why-is-bill-melinda-gates-foundation-under-fire-from-critics-in-india/articleshow/41280050.cms
[68] https://archive.org/details/indian-parliament-report-on-hpv-trial-studies-conduct/page/19/mode/1up
[69] https://digitalcommons.law.ggu.edu/cgi/viewcontent.cgi?article=1205&context=annlsurvey
[70] https://www.forbes.com/sites/greatspeculations/2019/10/04/mercks-3-billion-drug-jumped-to-4x-growth-over-previous-year/?sh=6cc2a74c6294
[71] https://www.path.org/about/finances/
[72] https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants?q=path
[73] https://archive.ph/RyOaj#selection-1315.2-1315.220
[74] https://www.corbettreport.com/how-bill-gates-monopolized-global-health/
[75] https://www.fool.com/investing/2020/09/24/4-coronavirus-vaccine-stocks-the-bill-melinda-gate/
[76] https://www.vox.com/2015/6/10/8760199/gates-foundation-criticism
[77] https://medium.com/mediapowermonitor/gates-foundation-the-rich-disruptor-be774b83493e


[Voir aussi :
Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice
Covid et domination planétaire – Comment Bill Gates et ses amis milliardaires se sont assurés le soutien des médias
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Robert Kennedy junior s’entretient avec Vandana Shiva
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore]




Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice

[Source : Sott.net]

Par Bernard Marx — OffGuardian

En 2010, une ONG financée par la Fondation Bill & Melinda Gates a enfreint de multiples directives éthiques et juridiques en testant un nouveau vaccin sur des enfants sans le consentement [éclairé – NdT] des parents, et les médias occidentaux ne s’en sont jamais fait l’écho.

Jeunes filles de la tribu Koya, dans le district de Khammam de l’État indien de Telangana

L’Inde fait couler beaucoup d’encre ces derniers temps… Bien plus que d’habitude. Si l’on en croit les médias populaires, il se produit là-bas une sorte d’apocalypse. Mais comme c’est souvent le cas, ces reportages sont dépourvus de tout contexte ou perspective.

Dans leur empressement à soutenir l’actuel récit de terreur sur le Covid-19, les médias du monde entier n’ont de cesse aujourd’hui de parler de l’Inde, alors qu’il y a douze ans, lorsqu’une véritable tragédie y avait cours, ils étaient tous aux abonnés absents.

Un peu de contexte

En 2009, une ONG financée par la Fondation Bill & Melinda Gates a procédé sur certains des enfants les plus pauvres et les plus vulnérables au monde à des essais cliniques non autorisés d’un vaccin. Cette ONG a agi sans fournir d’informations sur les risques encourus, sans le consentement éclairé des enfants ou de leurs parents et sans même mentionner qu’elle menait un essai clinique.

Après la vaccination, de nombreux enfants participants sont tombés malades et sept d’entre eux sont morts. Telles ont été les conclusions d’une commission parlementaire chargée d’enquêter sur cette misérable affaire. La commission a accusé l’ONG de « maltraitance d’enfants » et a produit un grand nombre de preuves à l’appui de ses dires. Toute cette affaire est passée quasiment inaperçue dans les médias occidentaux.

Path — anciennement connu comme le Program for Appropriate Technology in Health [Programme de technologie appropriée en santé – NdT] — est une ONG basée à Seattle, largement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates mais qui reçoit également d’importantes subventions du gouvernement des États-Unis. Entre 1995 et le jour de la rédaction de cet article (mai 2021), Path a reçu plus de 2,5 milliards de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates.

En 2009, Path a mené un projet visant à administrer le vaccin contre les infections à papillomavirus humains. L’objectif du projet était, selon les propres termes de Path,

« de générer et de répandre des données probantes [« des preuves d’impact » (Sic !) – NdT] en vue de favoriser auprès du public l’introduction des vaccins anti-papillomavirus. »

Il a été mené dans quatre pays : l’Inde, l’Ouganda, le Pérou et le Vietnam. La GAVI, une autre organisation financée par la Fondation Gates, avait initialement été envisagée pour gérer le projet directement financé par la Fondation Bill & Melinda Gates, mais la responsabilité en a finalement échu à Path.

De manière significative, chacun des pays sélectionnés pour le projet avait une population ethnique différente et disposait d’un programme national de vaccination financé par l’État. L’utilisation de différents groupes ethniques dans l’essai a permis de comparer les effets du vaccin dans divers groupes de population — l’ethnicité représentant un critère quant à l’innocuité et à l’efficacité de certains médicaments.

Les programmes de vaccination des pays concernés constituaient un marché potentiellement lucratif pour les entreprises dont les médicaments devaient faire l’objet d’études : si les médicaments s’avéraient efficaces et étaient inclus dans les programmes de vaccination nationaux financés par les États, les considérables bénéfices annuels réalisés par ces mêmes entreprises seraient une véritable aubaine.

Dans le cadre de cette expérimentation, deux types de vaccins contre le papillomavirus humain ont été utilisés : Gardasil de Merck et Cervarix de GlaxoSmithKline (GSK). Dans cet article, nous allons examiner l’essai du Gardasil mené sur les populations en Inde par Path.

Il convient de noter ici la relation entre la Fondation Bill & Melinda Gates et l’une des entreprises pharmaceutiques dont les produits étaient testés. En 2002, ladite fondation avait acheté pour 205 millions de dollars d’actions dans le secteur pharmaceutique, y compris des actions de Merck & Co. Cette opération avait suscité des interrogations en raison du conflit d’intérêts évident entre le rôle de ladite fondation en tant qu’organisation caritative médicale et son rôle en tant que détenteur de parts de marché dans des entreprises du même secteur.

Note du traducteur : Ces 205 millions d’investissement incluaient aussi des actions chez Pfizer Inc. et Johnson & Johnson.

Rapide aperçu du haut de la pyramide en partant de Merck

Le premier actionnaire de Merck est The Vanguard Group, Inc., une société étatsunienne de fonds d’investissement, qui détient par ailleurs aussi des parts dans des grandes sociétés comme Michelin, Amazon, American Express, Pernod Ricard, Monsanto, ExxonMobil, Alphabet, Dow Chemical ou encore Foxconn (liste non exhaustive). La société est également le premier actionnaire de Microsoft, Facebook, Google, Apple — en gros, les Big Techs — et de Goldman Sachs. Avec des sociétés comme The Vanguard Group, on atteint le haut du panier… Mentionnons que la société se trouve aussi être le premier actionnaire de son plus proche « concurrent » Blackrock, Inc., n°1 mondial de la gestion d’actifs avec 8 676 milliards de dollars d’actifs à la fin de 2020, le positionnant devant The Vanguard Group avec ses 6 200 milliards de dollars d’actifs sous gestion au début de 2020. Ces deux sociétés détiennent des parts dans une grande partie de l’ensemble des sociétés cotées en bourse, dans le monde.

Le Wall Street Journal a rapporté, en août 2009, que la Fondation Bill & Melinda Gates avait vendu ses parts [pour 8 millions de dollars – NdT] Merck entre le 31 mars et le 30 juin de cette année-là, soit à peu près au moment où les essais sur le terrain du vaccin contre le papillomavirus humain commençaient en Inde. Ainsi, pendant toute la durée de ce projet — qui était déjà opérationnel en octobre 2006 — et jusqu’aux essais finaux sur le terrain, la Fondation Bill & Melinda Gates a joué un double rôle : celui d’une organisation caritative investie dans des soins de santé humanitaires et celui d’un actionnaire de l’entreprise pharmaceutique qui réalisait des bénéfices.

De tels conflits d’intérêts sont depuis 2002 la marque de fabrique de la Fondation Bill & Melinda Gates. Lorsque Gates a fait l’année dernière des apparitions régulières à la télévision pour promouvoir la vaccination anti Covid-19, en apportant un soutien particulièrement enthousiaste à l’effort de Pfizer-BioNTechson objectivité n’a jamais été mise en doute. Pourtant, sa fondation est copropriétaire de plusieurs fabricants de vaccins, dont Pfizer, BioNTech et CureVac.

Le vaccin contre les infections à papillomavirus humains

Le vaccin contre les infections à papillomavirus humains (VPH) vise à prévenir le cancer du col de l’utérus. Le Gardasil avait été lancé avec succès par Merck en 2006 aux États-Unis, mais ses ventes ont souffert après qu’une série d’articles publiés dans des revues médicales étatsuniennes eurent jugé que ses risques étaient supérieurs à ses bénéfices. L’analyse des rapports sur les effets indésirables du Gardasil transmis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) des CDC leur a été particulièrement préjudiciable.

Cette analyse a été publiée dans le Journal of the American Medical Association le 19 août 2009. Parmi les 12 424 effets indésirables signalés, 772 ont été considérés comme graves, dont 32 décès. Les autres effets secondaires graves signalés comprenaient des troubles auto-immuns, des événements thromboemboliques veineux — caillots sanguins — et le syndrome de Guillain-Barré.

Dans la même édition du Journal of the American Medical Association, le Docteur Charlotte Haug, alors rédactrice en chef du Journal of the Norwegian Medical Associationa écrit :

« Le fait qu’un risque vaille la peine d’être pris dépend non seulement du risque absolu, mais aussi du rapport entre le risque potentiel et le bénéfice potentiel. Si les bénéfices potentiels sont substantiels, la plupart des individus seraient prêts à accepter les risques. Mais le bénéfice net du vaccin contre le VPH pour une femme est incertain. Même si elle est infectée de façon persistante par le VPH, une femme ne développera probablement pas de cancer si elle se soumet régulièrement à un dépistage. Donc, elle devrait logiquement être prête à n’accepter qu’un faible risque lié au vaccin. »

Le Docteur Haug, dans une allusion claire faite envers Merck, le fabricant du Gardasil, a également fait remarquer que

« lorsque l’on évalue les preuves des risques et des bénéfices, il convient également de se demander qui prend le risque et qui bénéficie des avantages. »

Les tentatives de Merck pour promouvoir le Gardasil ont été controversées. Le Docteur Angela Raffle, l’une des plus grandes spécialistes britanniques du dépistage du cancer du col de l’utérus, a décrit la stratégie marketing de Merck en l’assimilant à

« un coup de bélier porté sur le ministère de la Santé et un pilonnage en règle de ses institutions affiliées. »

Le Docteur Raffle craint que la pression en faveur d’une vaccination de masse ne nuise au programme de dépistage efficace qui fonctionne au Royaume-Uni depuis les années 1960 :

« Je crains que la précipitation motivée par des considérations commerciales pour nous faire paniquer et introduire rapidement le vaccin contre le VPH ne nous fasse reculer et n’aggrave notre programme de lutte contre le cancer du col de l’utérus. »

Le professeur Diane Harper

Le professeur Diane Harper, qui travaillait alors à la faculté de médecine de Dartmouth, dans le New Hampshire, avait dirigé deux essais du vaccin et était catégorique sur le fait que le Gardasil ne pouvait pas protéger contre toutes les souches de papillomavirus humains.

Lorsque Merck a lancé une énorme campagne de relations publiques en 2007 pour persuader les gouvernements européens d’utiliser le produit pour vacciner toutes les jeunes filles du continent contre le cancer du col de l’utérus, elle a déclaré :

« Les programmes de vaccination de masse [constitueraient] une gigantesque expérience de santé publique… Nous ignorons beaucoup de choses. Nous ne savons pas si le vaccin demeurera efficace. Pour être honnête, nous n’avons pas, pour le moment, de données sur l’efficacité chez ces jeunes filles. Nous vaccinons contre un virus qui attaque les femmes tout au long de leur vie et qui continue à provoquer des cancers. Si nous vaccinons les filles à 10 ou 11 ans, nous ne saurons pas avant 20 à 25 ans si cela sera efficace ou pas. C’est un gros défi à relever. »

Ainsi, à l’époque où Path menait ses essais en Inde, en Ouganda, au Pérou et au Vietnam, le Gardasil était un vaccin controversé : son innocuité, son efficacité et les tentatives de Merck pour le promouvoir étaient remises en question, non pas par les « anti-vaxx » et les « complotistes », mais par l’establishment médical international et les principaux médias respectés.

Les jeunes filles de Khammam

Le district de Khammam faisait, en 2009, partie de l’État indien oriental de l’Andhra Pradesh — les changements frontaliers effectués en 2014 font qu’aujourd’hui le district de Khammam appartient à l’État du Telangana. La région est essentiellement rurale et considérée comme l’une des parties les plus pauvres et les moins développées de l’Inde.

Khammam abrite plusieurs groupes ethniques tribaux, certaines estimations situant sa population tribale à environ 21,5 pour cent — environ 600 000 personnes. Comme c’est le cas pour les populations indigènes du monde entier, les groupes tribaux de Khammam souffrent d’un manque d’accès à l’éducation. Par conséquent, leur niveau d’alphabétisation est considérablement inférieur à celui de la région dans son ensemble.

En 2009, pas moins de 14 000 filles ont reçu une injection de Gardasil dans le district de Khammam. Les filles recrutées pour le projet de Path avaient entre 10 et 14 ans et étaient toutes issues de milieux à faibles revenus, principalement tribaux. Beaucoup d’entre elles ne vivaient pas avec leur famille, mais dans des ashram pathshalas — des foyers gérés par le gouvernement — situés à proximité des écoles qu’elles fréquentaient.

Le professeur Linsey McGoey, de l’université d’Essex, a déclaré par la suite être convaincue que les filles des ashrams pathshalas avaient été ciblées pour le projet car il s’agissait d’un moyen de :

« contourner la contrainte d’avoir à demander le consentement parental avant de procéder aux injections. »

Bien que l’Inde ait fait l’objet d’un grand nombre de reportages récemment, la couverture médiatique dont bénéficie ce pays et ses actualités reste généralement discrète. Et bien que l’Inde abrite près d’un cinquième de la population mondiale, les reportages qui lui sont consacrés sont rares.

Peu d’entre nous sont conscients, par exemple, de son épouvantable histoire en matière de santé et de sécurité ou de la corruption endémique de son gouvernement..

Depuis des décennies, des profiteurs sans scrupules ont su exploiter ces lacunes. Les médias occidentaux ne rendent compte des conséquences de ces actions que lorsque leur ampleur est trop grande pour être ignorée.

Nous avons appris que près de 7 000 personnes ont été tuées et plus d’un demi-million ont été blessées après avoir été exposées au gaz mortel d’isocyanate de méthyle, à la suite d’une fuite de gaz dans l’usine de pesticides d’Union Carbide à Bhopal. Mais nous n’avons rien appris, au cours des années qui ont précédé la catastrophe, de la culture basée sur des normes médiocres et le mépris de la réglementation, qui a été finalement responsable de la catastrophe.

Dans ces conditions, il est assez logique que le projet de Path visant à administrer et à étudier les effets du vaccin contre les infections à papillomavirus humains soit passé inaperçu en Occident. Le même constatation peut être faite en Inde : les médias indiens ne font pas plus de reportages sur leurs groupes tribaux que les médias occidentaux n’en font sur les Indiens. En dépit des préoccupations quant au projet formulées en octobre 2009 par Sama — une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes — l’actualité indienne ne s’en est pas pour autant fait l’écho.

Membres du groupe de défense des droits Sama

Ce projet n’aurait donc pas pu être plus opaque s’il avait eu lieu sur la Lune, et il l’est resté pendant plusieurs mois jusqu’à ce que, début 2010, des informations commencent à circuler à Khammam selon lesquelles quelque chose avait affreusement mal tourné : plusieurs des filles incluses dans les essais étaient tombées malades et quatre d’entre elles étaient décédées.

En mars 2010, des membres de Sama se sont rendus à Khammam pour obtenir plus de renseignements sur les témoignages qui commençaient à émerger. Ils ont appris que jusqu’à 120 jeunes filles avaient subi des effets indésirables, notamment des crises d’épilepsie, de graves maux d’estomac, des maux de tête et des sautes d’humeur. Les représentants de Sama sont restés à Khammam pour approfondir leur enquête.

La mobilisation de Sama a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face au déluge de réactions négatives, le Conseil indien de la recherche médicale a suspendu le projet Path.

C’est alors que la commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter sur l’affaire.

Le 17 mai, Sama a produit un rapport accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais, et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.

Le rapport indique que :

« De nombreuses jeunes filles vaccinées continuent de souffrir de maux d’estomac, de maux de tête, de vertiges et d’épuisement. À la suite de la vaccination, des signalements ont fait état de l’apparition précoce des règles, de saignements abondants et de crampes menstruelles sévères, de sautes d’humeur extrêmes, d’irritabilité et de malaise. Aucun suivi ou contrôle systématique n’a été effectué par les fournisseurs de vaccins. »

Sama a également contesté l’affirmation du gouvernement de l’État d’Andhra Pradesh selon laquelle le décès de quatre des filles qui avaient participé aux essais n’avait rien à voir avec la vaccination.

La Commission parlementaire

Les rouages de la bureaucratie sont lents à mettre en branle. C’est plus de trois ans plus tard, le 30 août 2013, que le rapport du Comité permanent de la santé du Parlement indien a finalement été publié. Alors que beaucoup s’attendaient à ce qu’il cherche à dissimuler la réalité, il n’en est rien : la lecture en est choquante.

Le Sansad Bhavan, siège du Parlement de l’Inde, New Delhi

Le rapport critique à la fois Path et le Conseil indien de la recherche médicale, concluant que

« la sécurité et les droits des enfants ont été fortement compromis et violés. »

La commission a constaté que Path, bien qu’opérant en Inde depuis 1999, n’avait aucune autorisation légale pour agir ainsi. Elle a noté que, bien que l’organisation ait finalement reçu en septembre 2009 un certificat du Registre des sociétés de l’Inde, ce certificat lui-même avait été produit en violation de la loi.

Le rapport indique aussi que :

« Path […] a violé toutes les lois et réglementations applicables aux essais cliniques […] son seul objectif était de promouvoir les intérêts commerciaux des fabricants de vaccins contre les infections à papillomavirus humains […] il s’agit d’un grave abus de confiance […] car le projet impliquait la vie et la sécurité de fillettes et d’adolescentes qui, pour la plupart, n’étaient pas conscientes des implications de la vaccination. Il s’agit également d’une grave violation de l’éthique médicale. Ces agissements constituent de la part de Path une violation flagrante des droits fondamentaux de ces fillettes et adolescentes. Il s’agit également d’un cas avéré de maltraitance infantile. »

La commission a accusé Path de lui avoir menti et d’avoir au cours de son enquête tenté de l’induire en erreur, et a recommandé au gouvernement indien de signaler à l’OMS, à l’UNICEF et au gouvernement étatsunien les violations des droits fondamentaux commises par Path.

Le rapport stipule en outre que l’ensemble du projet de Path consistait en une tentative cynique d’assurer des profits continus pour Merck et GSK :

« Le choix des pays et des groupes de population, la nature monopolistique du produit mis en avant, à ce moment-là, le potentiel et les opportunités de marché illimités dans les programmes de vaccination universelle des pays respectifs sont autant d’indices d’un plan bien planifié pour exploiter une situation à des fins commerciales. Si [le plan de] Path avait été couronné de succès […] cela aurait généré un profit exceptionnel pour les fabricants par le biais de la vente automatique, année après année, sans aucune dépense en termes de campagne publicitaire ou de marketing. Il est notoire qu’une fois un vaccin introduit dans le programme vaccinal, il devient politiquement impossible de revenir en arrière. »

Et d’ajouter :

« Pour atteindre cet objectif sans effort, sans passer par la voie ardue et strictement réglementée des essais cliniques, Path a eu recours à un élément de subterfuge en appelant les essais cliniques « études d’observation » ou « projet de démonstration », et diverses autres expressions du même ordre. Ainsi, en utilisant une nomenclature établie par ses soins et servant ses propres intérêts, Path a complètement mis en péril le bénéfice, la sécurité et le bien-être des sujets, ce qui non seulement est absolument déplorable, mais constitue également une grave violation de la loi du pays. »

Samiran Nundy, rédacteur émérite du National Medical Journal of India

Des voix éminentes de la communauté médicale indienne se sont fait l’écho de ces accusations. Chandra M. Gulhati, rédacteur en chef de l’influent Monthly Index of Medical Specialities a déclaré :

« Il est choquant de voir comment une organisation étatsunienne a utilisé des méthodes subreptices pour s’établir en Inde. Il ne s’agissait pas de philanthropie. »

Samiran Nundy, rédacteur émérite du National Medical Journal of India et critique de longue date des pratiques corrompues dans le domaine de la santé, n’a pas mâché ses mots :

« Il s’agit d’un cas évident où les Indiens ont été utilisés comme cobayes. »

Le rapport de la commission permanente s’est également montré très critique à l’égard des relations entre Path et les membres de plusieurs agences sanitaires indiennes, mettant en évidence de multiples conflits d’intérêts.

Sur la question du consentement éclairé, la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, en constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes — souvent des membres du personnel des foyers où vivaient les jeunes filles — et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations quant à la nécessité de cette vaccination, à ses bénéfices et inconvénients ou à ses potentiels effets secondaires.

Aucune assurance n’avait été prévue pour aucun des enfants en cas de préjudice [post-vaccinal – NdT] et,

« Path n’avait pas plus anticipé le recours urgent à des experts médicaux en cas d’événements indésirables graves. »

En outre, en effectuant un essai clinique d’un médicament sur des enfants avant d’avoir effectué un essai du médicament sur des adultes, Path a gravement enfreint la réglementation indienne en matière de santé.

Concernant les jeunes filles décédées, le comité a critiqué Path, les autorités médicales indiennes et le gouvernement de l’État d’Andhra Pradesh pour avoir, sans mener d’enquêtes approfondies, sommairement écarté le lien entre leur décès et la vaccination. En 2016, quelque 1 200 des jeunes filles ayant participé en Inde aux deux essais de vaccins contre les infections à papillomavirus humains faisaient état d’effets secondaires graves à long terme, soit plus de 5 pour cent de la cohorte totale de 23 500 personnes. À ce moment-là, le nombre total de décès était passé à sept.

Un silence de mort

Hormis en Inde, cette effroyable violation de l’éthique médicale et des droits humains fondamentaux est passée presque totalement sous silence. La commission permanente de la santé du Parlement indien a littéralement accusé une ONG étatsunienne de maltraitance d’enfants, en fournissant de nombreuses preuves à l’appui de ses accusations, mais les médias occidentaux n’en ont pratiquement pas parlé.

Un conflit d’intérêt financier a-t-il compromis The Guardian ?

Les populaires magazines scientifiques que sont Nature et Science ont chacun publié un bref article sur la débâcle, mais aucune n’est entré dans les détails quant aux violations légales et éthiques de Path. Si l’article de Science est au moins légèrement critique, celui de Nature accorde plus de place à la réfutation des accusations formulées par le directeur de Path, Vivien Tsu.

La façon dont les médias du monde entier sont financés par la Fondation Bill & Melinda Gates et comment ces financements influencent leurs reportages sur la même Fondation et sur les organisations qu’elle parraine, requiert un article qui y soit exclusivement consacré. Mais mentionnons toutefois ici que la la Fondation Bill & Melinda Gates a financé la BBC pour un total de 51,7 millions de dollars — à mai 2021 — et The Guardianpour un total de 12,8 millions de dollars.

The Guardian, malgré toutes ses prétentions à donner une voix aux plus vulnérables dans le monde, est resté curieusement silencieux au sujet des jeunes filles de Khammam. Du moins, à l’exception d’un article, publié en octobre 2013, environ six semaines après la publication du rapport de la commission permanente.

L’article n’a pas été écrit par l’une des filles ou l’un de leurs parents, ni par l’une des femmes de Sama qui avait plaidé en faveur des filles, ni même par l’un des parlementaires indiens chargés d’enquêter sur l’affaire.

Non. Il a été écrit par un Étatsunien appelé Seth Berkley. Berkley est le Pdg de GAVI, un autre mastodonte de la santé financé par la Fondation Bill & Melinda Gates.

Seth F. Berkley, Pdg de GAVI

Berkley a profité de sa tribune dans The Guardian pour affirmer que les jeunes filles décédées après avoir été vaccinées à Khammam s’étaient suicidées. Parlant des 14 000 sujets ayant participé aux essais, il a déclaré :

« Il aurait été inhabituel qu’aucun d’entre eux ne se suicide par la suite. »

La compassion est loin d’être le seul élément absent de son article. En adressant une fin de non recevoir à cette infamie, Berkley n’a pas une seule fois abordé les multiples violations de la loi et de l’éthique qui s’étaient produites, ni le rôle de Path et celui de ses employeurs, la Fondation Gates.

The Guardiana commencé à recevoir des fonds de la Fondation Bill & Melinda Gates en août 2010. Avant cet accord, en 2007, le journal avait publié deux articles distincts qui critiquaient les tactiques de lobbying utilisées par Merck pour promouvoir le Gardasil et qui mettaient en doute l’efficacité de son utilisation dans les programmes de vaccination à grande échelle.

Depuis l’accord conclu avec Gates, The Guardian a toujours publié des articles positifs sur ce médicament — et sur la vaccination contre les infections à papillomavirus humains en général.

Que s’est-il passé ensuite ?

Le gouvernement indien était réticent à prendre l’une des mesures recommandées par le comité. Après tout, des organisations comme Path ont permis à l’État, aux institutions et aux particuliers de disposer d’énormes sommes d’argent.

Siège social de la Fondation Bill & Melinda Gates

C’est ainsi qu’aucun rapport officiel sur les violations des droits humains fondamentaux n’a jamais été présenté par le gouvernement indien à l’OMS, à l’Unicef ou au gouvernement étatsunien, comme l’avait recommandé le comité permanent.

Toutefois, en 2017, le comité a annoncé qu’il n’accepterait plus les subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates pour son Unité de soutien technique à la vaccination, une organisation qui fournit des « conseils en matière de stratégie vaccinale » et qui concerne environ 27 millions de nourrissons. Néanmoins, le gouvernement indien continue d’accepter les subventions de la même Fondation dans d’autres domaines.

Merck, et son vaccin le Gardasil, ont enregistré de très bons résultats depuis les sombres événements relatés dans cet article. Le scandale de Khammam a tellement peu été relayé en dehors de l’Inde que la firme n’en a jamais vraiment été affectée. Rien qu’en 2018, les ventes de Gardasil se sont élevées à plus de 3 milliards de dollars, grâce à son intégration dans les calendriers vaccinaux du monde entier, ainsi qu’à son lancement cette année-là en Chine.

Path ne s’est jamais aussi bien porté. Tout comme pour Merck, et grâce au silence médiatique qui a entouré les événements de Khammam, l’organisation n’a pas souffert. Depuis 2010, elle a continué de recevoir d’énormes financements de la Fondation Bill & Melinda Gates et, dans une moindre mesure, du gouvernement étatsunien. Au cours de cette période, Path a reçu de la Fondation Bill & Melinda Gates un financement de plus de 1,2 milliard de dollars.

La Fondation Bill et Melinda Gates n’a eu de cesse d’accroître son réseau d’influence. Jacob Levich décrit comme suit les pratiques de l’organisation à l’époque des événements relatés ici :

« En substance, la Fondation Bill et Melinda Gates achèterait des stocks de médicaments qui n’ont pas réussi à créer une demande suffisante en Occident, les écoulerait à un prix réduit dans les pays dits en voie de développement et conclurait des accords d’achat sur le long terme avec les gouvernements des pays dits du tiers-monde. »

La Fondation s’est depuis lors tournée vers des pâturages encore plus lucratifs. La pandémie de Covid-19 a véritablement propulsé la Fondation Bill et Melinda Gates sur le devant de la scène. Gates lui-même a vu son profil public et son influence politique croître à un point qui aurait été inimaginable même en 2019.

En dépit de son absence de qualifications scientifiques ou de mandat électoral, il insiste régulièrement sur la nécessité d’une vaccination mondiale généralisée avec des produits fabriqués par les entreprises qu’il possède, en utilisant les plates-formes qui lui sont offertes par les médias qu’il finance.

Et les filles de Khammam ?

En 2010, ces pauvres enfants et leur situation critique n’étaient même pas connus au-delà des frontières de l’Inde. Dire qu’elles ont été oubliées reviendrait à sous-entendre que personne ne les connaissait ou ne se souciait d’elles.


À propos de l’auteur :

Bernard Marx est le pseudonyme utilisé par un écrivain et enseignant basé en Irlande. Ses domaines d’intérêt sont l’histoire, la politique et la musique populaire. Vous pouvez lire la suite de son travail sur Notes from the New Normal.


Note du traducteur : 
Voir aussi sur le sujet : Dépeuplement, ID2020 et preuve d’immunité numérique – La doctrine agressive de la Fondation Gates pour une vaccination massive

Source de l’article initialement publié en anglais le 18 mai 2021 : OffGuardian
Traduction : Sott.net


[Voir aussi :
Covid et domination planétaire – Comment Bill Gates et ses amis milliardaires se sont assurés le soutien des médias
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Robert Kennedy junior s’entretient avec Vandana Shiva
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore]