Dernier mensonge médiatique à dénoncer : les pseudo vaccins actuels qui protègeraient des formes graves de Covid-19

Par Gérard Delépine

IL FAUT DÉMENTIR LE DERNIER ARGUMENT PROVAX QUI SERAIT LA PRÉVENTION DES FORMES GRAVES

Vaccins anti-covid : comment continuer à les imposer malgré leur inefficacité avérée à prévenir la maladie et à éviter la transmission du virus et malgré leurs dangers maintenant reconnus même sur les TV et singulièrement pour les enfants innocents du covid ?

Informez encore et encore pour faire disparaître la peur de ce petit virus si peu méchant chez les moins de 65 ans (et curable chez tous, surtout traité précocement) et faire comprendre l’inutilité d’une injection.

Regardez les faits avérés pour lutter contre la politique sanitaire mensongère fondée sur la peur, la propagande et la censure.

En cette période, le président affirme « vouloir emmerder les non vaccinés » et impose encore le passe vaccinal jusqu’au 15 mars.

Espère-t-il qu’en le supprimant juste avant le vote présidentiel il obtiendra le vote des électeurs qu’il a si longtemps « emmerdés » comme les otages victimes du syndrome de Stockholm(([1] Le terme « syndrome de Stockholm » doit son nom à l’analyse d’une prise d’otage ayant eu lieu à Stockholm en 1973 par le psychiatre Nils Bejerot. Il s’agit d’un phénomène psychologique observé chez des otages ayant vécu durant une période prolongée avec leurs geôliers et qui ont développé une sorte d’empathie, de contagion émotionnelle vis-à-vis de ceux-ci.))?

La plupart des pays font disparaître dès maintenant toutes les mesures coercitives. L’analyse de l’intérêt sanitaire réel de la pseudo vaccination à la lumière de ses résultats avérés d’après les données de l’OMS, et en particulier sa prétendue efficacité de la pseudo vaccination prévenir les formes graves doit une nouvelle fois être réévaluée.

Les données publiées par l’OMS et celles des agences sanitaires du monde entier, comparant les pays entre eux montre que les affirmations mainstream sur les pseudo vaccins sont fausses !

Les pseudo vaccins sont incapables d’arrêter l’épidémie

Les pays les plus vaccinés ne contrôlent pas l’épidémie, qu’il s’agisse d’Israël champion de Pfizer où l’explosion récente des contaminations dément cruellement les propos du ministre de la Santé(([2] Salomé Vincendon ISRAËL : D’APRÈS LE MINISTRE DE LA SANTÉ, LES VACCINS « PROTÈGENT » DU VARIANT OMICRON BFM TV Le 01/12/2021
https://www.bfmtv.com/international/moyen-orient/israel/israel-d-apres-le-ministre-de-la-sante-les-vaccins-protegent-du-variant-omicron_AN-202112010164.html)) prétendant que les vaccins protégeraient d’Omicron,

Malgré son taux record d’injection Pfizer, Israël a dû faire face à des vagues successives de plus en plus fortes établissant à chaque vague de nouveaux records de contaminations journalières.

ou de la Grande-Bretagne :

En Grande-Bretagne, la pseudo vaccination massive n’a pas non plus protégé la population.

En France, malgré un taux de couverture vaccinal atteignant 90 % dans les groupes cibles, le nombre de contaminations quotidiennes a été établi le 26 janvier 2022 avec le record absolu (500 563) depuis le début de la crise malgré des restrictions de plus en plus fortes qui renient les principes fondamentaux de notre démocratie.

Et cette incapacité à contrôler l’épidémie s’est répétée dans tous les pays adeptes de la stratégie du tout vaccinal.

Le 22 décembre 2021, Tedros Adhanom Ghebreyesus directeur de l’OMS a reconnu que les doses de rappel ne suffiraient pas pour sortir de la pandémie.

« Aucun pays ne pourra se sortir de la pandémie à coups de dose de rappel »

Les pseudo vaccins ne protègent ni des formes graves ni de la mort

NON MR PRAUD, NON DR BLACHIER, LES INJECTIONS NE PROTÈGENT PAS DES FORMES GRAVES, regardez les courbes de l’OMS et les rapports des agences sanitaires étrangères.

En France, les agences continuent à prétendre que les injections diminuent le risque de formes graves. Et les médias français, y compris ceux qui s’éloignent progressivement de la doxa covidienne répètent encore en boucle que les pseudo-vaccins protègeraient des formes graves et qu’il faudrait vacciner les personnes à risque !

Cet échec à prévenir les formes graves et les morts est pourtant constaté dans tous les pays qui pratiquent la transparence de leurs données sanitaires.

En Israël, les injections Pfizer n’ont pas prévenu les formes graves et les morts et ont même permis en février 2022 l’établissement de records de mortalité quotidienne depuis le début de l’épidémie.

En septembre 2021 le ministre de la santé israélien, pour inciter à la troisième injection, avait reconnu sur une télévision israélienne que « la grande majorité des formes graves étaient observées chez les doubles vaccinés ».

Cinq mois plus tard, le 3/2/22, le Prof. Yaakov Jerris, directeur de l’hôpital Ichilov a déclaré(([3] A Israel National News 03.02.22 15:12)):

« 80 % des formes graves de covid sont observées chez les vaccinés complets (à trois doses) » ajoutant « les vaccins n’ont pas d’utilité pour diminuer la sévérité de la maladie »

En février 2022, le pays champion officiel des injections Pfizer s’est retrouvé avec les USA parmi les plus hautes mortalités quotidiennes mondiales par million d’habitants (8/Million).

En Grande-Bretagne, l’agence sanitaire officielle affirme que les vaccinés remplissent les réanimations. Le pourcentage de non-vaccinés en réanimation n’est pas supérieur à celui de la population générale prouvant ainsi que les injections ne protègent pas des formes graves.

En France, les agences et les médias prétendent que les injections diminuent le risque de formes graves, comme à l’époque de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl où elles prétendaient que le nuage radioactif s’était arrêté à la frontière.

Leur propagande est favorisée par la définition trompeuse(([4] Définition trompeuse des « vaccinés » pour prétendre que l’injection génique protégerait des formes graves | Mondialisation.ca)) des « vaccinés » qui n’acquièrent ce qualificatif que 15 jours après la deuxième injection(([5] Et bientôt la troisième…)) excluant ainsi toutes les complications et les morts post injections précoces, truquant l’estimation véritable de la proportion des « formes graves » hospitalisées selon leur statut vaccinal. Sans compter qu’un patient hospitalisé pour un lourd traitement chirurgical nécessitant des soins critiques est le plus souvent catalogué « covid », si son test est positif alors l’on sait qu’il existe plus de 50 % de faux positifs lors des dépistages chez les asymptomatiques.(([6] Luc Perino Plaisir de la mathématique et de la clinique élémentaires Le monde 28/11/2021
https://www.lemonde.fr/blog/expertiseclinique/tag/faux-positif/))

Cette absence de protection des formes graves est constatée dans tous les pays qui pratiquent la transparence de leurs données sanitaires et explique en partie que les pays très vaccinés souffrent presque tous d’une mortalité plus élevée que celle des pays adeptes des traitements précoces

D’après Lesgards et al, les 3 raisons pour lesquelles ces pseudo vaccins protègent peu ou pas du tout contre les formes graves (ni d’ailleurs contre les infections moins sévères) sont les suivantes :

  1. ils ne stimulent pas la production des IgA sécrétoires vs circulantes(([7] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/lettre-dinformation-lattention-des-senatrices-et-senateurs-lesgards
    http://www.apar.tv/alt-news/des-resultats-dautopsie-donnent-des-preuves-irrefutables-du-role-des-injections-a-base-darnm-dans-les-deces-post-vaccination/));
  2. dans les épidémies à coronavirus les anticorps sont volontiers facilitants ;
  3. l’oxydation et inflammation induites par spike sont responsables de morts chez des sujets ayant des comorbidités, atteints du COVID.

OPACITÉ FRANÇAISE

Il est invraisemblable qu’en France ni les données brutes selon le statut vaccinal réel ni les comptes rendus du comité scientifique covid (classés « secret défense » pour 50 ans) ne soient pas publiés alors que le Premier ministre se flatte de la transparence de la gestion de la crise Covid.

Aucune donnée chiffrée vérifiable ne montre que les vaccins diminueraient la gravité du covid. Toutes les données officielles publiées à l’étranger prouvent le contraire.

La prétendue efficacité des pseudo vaccins à protéger des formes graves ne constitue donc qu’une publicité mensongère à visée marchande, et les journalistes et médecins qui découvrent l’ampleur de la manipulation devraient ouvrir les yeux sur ce point fondamental et répéter en boucle que les nombreux traitements précoces disponibles sont efficaces y compris chez les patients âgés ou comorbides.





Comment début 2022 un pneumologue peut-il adhérer totalement à la doxa ? Être pour toutes les mesures sanitaires, pour la vaccination obligatoire, la dictature, etc.

Par Alain Tortosa

J’écris « un » parce que c’est un exemple vécu, mais il est évident que je pourrais écrire « la quasi intégralité des pneumologues ».

Ceci est d’autant plus perturbant que de l’autre côté de l’échiquier des médecins, tout aussi diplômés et respectables, ont fait le choix de dénoncer toutes ces mesures, aussi bien leur inefficacité que leur dangerosité.

Alors pour en revenir à mon exemple, comment un médecin (a priori) intelligent, extrêmement impliqué dans le devenir de ses patients et avec vingt ans de pratique, peut en arriver à ne pas douter et basculer dans un extrémisme qui touche au religieux ?

Ce n’est pas le cas de celui-ci, mais dorénavant des « médecins » de ville affichent qu’ils refusent de prendre en charge des malades non vaccinés ; c’est dire le degré de folie.

« Interdit aux lépreux ! »

Le consentement libre et éclairé qui est inscrit dans la loi, pierre angulaire de la médecine, n’est plus.

Je précise que toute la suite de mon texte relève de données officielles, d’études publiées dans des revues scientifiques ou par l’OMS et que d’aucuns peuvent qualifier de « complotistes » pour se disculper de leur devoir d’information et de recherche.

Mon pneumologue que je vais nommer Jean-Michel pour des raisons de facilité d’écriture considère que le gouvernement est bien « gentil » et plutôt laxiste en permettant aux non-vaccinés d’aller à l’hôpital.

En revanche, il n’a aucun état d’âme pour prendre en charge des fumeurs chroniques qui peuvent saturer les réanimations.

Médecin qui approuve les interdictions de fumer dans les lieux publics et peste contre le tabagisme passif qui peut nuire à autrui.

Jean-Michel impose donc le masque là aussi sans état d’âme et avec conviction…

Il faut qu’il soit mis et même « bien mis » par sa clientèle y compris des enfants…

Rien à redire suite à l’obligation faite aux enfants de le porter à l’école 10 heures par jour ou plus…

Nous sommes de toute évidence dans une gestion de crise, en temps de guerre, et il existe des priorités !

Je vous rappelle que Jean-Michel est pneumologue, qu’il traite des patients qui ont des problèmes respiratoires…

Vous avez essayé de porter un masque avec une pneumonie ? Moi oui, pendant quelques secondes !

La capacité de l’humain à débrancher son cerveau est quand même remarquable…

(Au point que les extraterrestres ont dû classer notre planète dans la catégorie à protéger, tant nous devons être uniques dans l’Univers)

Attendez :

  • Jean-Michel porte un masque « efficace »… Comme « le masque protège les autres, mais pas soi » (il va m’en falloir des cours de rattrapage)… il ne peut donc nous reprocher de faire courir un risque aux autres patients, Jean-Michel portant le sien.
  • Jean-Michel aère bien évidemment son cabinet entre chaque patient en prenant soin de ne pas être sur le chemin du courant d’air entre la table d’auscultation et la fenêtre… à moins qu’il ne se baisse quand il ouvre la fenêtre pour éviter les virus qui ont soif de liberté.
  • Jean-Michel utilise du gel hydroalcoolique « efficace » au point qu’il a installé une citerne de 10 000 litres à l’arrière du cabinet.
  • Jean-Michel est bien entendu triplement vacciné d’un vaccin « efficace » et attend sa quatrième dose « efficace ».

Et vous voudriez me faire croire qu’imposer un masque à ses patients améliorerait la sécurité de tout un chacun ?!

Je ne sais pas vous, mais à ce stade je ne vois plus que l’autopsie du cerveau de Jean-Michel pour comprendre…

Ah pardon, la seule erreur de Jean-Michel est d’ausculter ses patients, ce qui pour le coup est totalement irresponsable.

De nombreux praticiens sont passés à la consultation à distance, ce qui me semble beaucoup plus raisonnable et au moins autant efficace et humain…

Alors, hormis cette erreur, comment Jean-Michel a-t-il pu basculer dans ce monde délirant ?

Il est non seulement persuadé de vivre dans les tranchées de Verdun depuis deux ans, mais aussi persuadé que les mesures et les solutions actuelles ne sont pas à remettre en question.

Il ne doute pas, comme mon frère qui faisait son service militaire à Berlin dans les années quatre-vingt, qui était intimement convaincu de l’attaque imminente des Soviétiques.

Jean-Michel semble avoir des certitudes et il serait totalement vain de chercher à discuter avec lui.

Il ne verrait que folie et délire dans mes propos irresponsables.

Pourquoi un médecin totalement impliqué dans son métier ne dispose-t-il pas des informations publiques dont moi, simple quidam (ce que certains covidistes ne manquent pas de me reprocher), j’ai connaissance ?

Comment peut-il ne pas douter ?

Comment peut-il ne pas se faire sa propre opinion ?

Comment peut-il ne pas se questionner ?

Et comment en arrive-t-il à piétiner des années d’expérience et de déontologie ?

Vous et moi avons la réponse… c’est la peur et l’inconnu !

Depuis deux ans, des médecins qui côtoyaient des patients hautement contagieux avec pas ou peu de protections, ont désormais peur de mourir ou peur de tuer leurs patients…

Je ne suis plus tout jeune et je peux vous dire que hormis dans des hôpitaux pour des chirurgiens ou des infirmières de bloc (j’ai écrit chirurgien et infirmière afin de faire rager les woke), je n’ai jamais vu de personnels médicaux masqués ou habillés en cosmonaute…

Une amie complotiste hospitalisée m’a rapporté à ce propos que pour ses soins standards l’infirmière ne portait qu’un masque, mais que pour son test PCR, la même infirmière s’était habillée en cosmonaute… pour ensuite reprendre une tenue normale.

C’est dire à quel point nous devons rester humbles, de toute évidence, seuls les esprits supérieurs peuvent comprendre.

Alors…

Comment un pneumologue qui exerçait sans masque (sauf exception) peut-il en arriver à contrarier la respiration déjà laborieuse de ses patients en les forçant à porter un masque ou en induisant une peur telle que le masque devient préférable à l’odieux virus ?

Comment fait-il pour croire en l’efficacité de ce dispositif, alors même que les études antérieures à la crise avaient non seulement démontré la dangerosité du produit, mais aussi sa totale inefficacité en population générale ?

(cf 7milliards.fr).

Comment a-t-il pu adhérer à l’interdiction de soin ?

Comment a-t-il pu ne pas se révolter suite à l’interdiction d’usage de molécules de plus de 40 ans et sans effets secondaires graves connus, quand bien même elles fussent inefficaces ?

Comment a-t-il pu accepter la consigne de donner uniquement du paracétamol, molécule notoirement connue pour ses effets indésirables sur les défenses immunitaires ?

Comment a-t-il pu adhérer au « restez chez vous et allez aux urgences si votre situation se dégrade » ?

Comment a-t-il pu adhérer au confinement d’une population générale dans laquelle le virus circulait déjà ?

Ici encore toutes les études des temps anciens avaient démontré l’inefficacité et les effets pervers.

Comment a-t-il pu adhérer au mythe des patients asymptomatiques, positifs à un PCR foireux et déclarés « malades » et dangereux pour autrui ?

Comment a-t-il pu jeter aux oubliettes le réseau Sentinelles, qu’il utilisait tous les ans pour connaître l’évolution des épidémies en France ?

Comment a-t-il pu ignorer que le réseau n’a JAMAIS détecté une épidémie de Covid (seuil épidémique jamais atteint) ?

Comment a-t-il pu ignorer que les données Santé Publique France sont totalement bidons, que le nombre de patients hospitalisés, en soins critiques, ou décédés du Covid comprenait les patients malades du Covid, mais surtout les personnes positives à un test PCR ?

Le covidiste a du mal à vous croire quand vous lui dites qu’un accidenté de la route positif au Covid rentre dans les statistiques des hospitalisations Covid.

Et je ne parle pas du taux de personnes en réa qui est simplement un faux grossier… Il n’y a jamais eu de saturation des lits des soins critiques à l’échelle nationale.

Concernant les injections…

Comment pouvait-il croire que le « vaccin » pourrait être un espoir alors même qu’il ne ciblait QUE la protéine spike d’un virus ARN dont le métier est de muter sans arrêt ?

Comment peut-il croire qu’il présente un rapport bénéfice vs risque positif pour une population qui sur le plan statistique risque plus de mourir de foudroiement ?

Comment peut-il être convaincu d’un bénéfice vs risque positif alors que c’est une thérapie ARNm expérimentale ?

Comment peut-il ignorer les effets secondaires graves officiellement répertoriés alors même que les études prouvent que le taux de remonté est marginal ?

Comment peut-il approuver la vaccination des enfants, des femmes enceintes en l’absence totale d’études alors même que deux ans avant il hésitait à prescrire de l’aspirine à cette même population ?

Et comment, alors que l’on sait sans le moindre doute que le « vaccin » n’empêche ni de tomber malade ni les contaminations, peut-il être un ayatollah de la vaccination y compris pour une population jeune et en bonne santé ? (Il n’y a qu’à regarder la courbe des contaminations.)

Comment peut-il continuer à ne voir d’issue que dans le « vaccin » alors même que l’explosion du nombre de cas dans les pays hautement vaccinés prouve la totale inefficacité du produit pour contenir l’épidémie ?

Je vous rappelle que le « vaccin » devait éradiquer le virus, mais ça aussi, c’est oublié.

Comment ignore-t-il que son « vaccin » dont il ne reste plus officiellement que le « il protège des formes graves » ne présente aucun intérêt pour des populations qui ne font pas de formes graves ?

Comment ignore-t-il que l’immunité naturelle suite à une infection est plus solide que ces pseudos-vaccins ?

Comment ignore-t-il son inefficacité pour les personnes immunodéprimées en fin de vie, la seule population qui en aurait besoin et qui décède avec le virus ?

À noter qu’il n’existe aucune étude prouvant que la mortalité finale est diminuée dans les populations à risque…

Nous avons vacciné des milliards d’individus sans évaluer l’efficacité de la mesure !

Alors, comment expliquer ce côté dramatique ?…

A-t-il une surmortalité dans sa patientèle ?

C’est possible (ou pas), mais est-ce le virus qui est en cause ou l’interdiction de consulter en cancérologie, les retards de prise en charge, le confinement, le Rivotril, la peur induite jour après jour et les interdictions de soin ?

A-t-il été le témoin vivant des dégâts engendrés par ce virus (que n’a pas vu Sentinelles) ou a-t-il vécu le drame par procuration ?

Aurait-il été conscient de cette terrible « épidémie » si BFM ne lui en avait pas parlé ou a-t-il modifié sa pratique pour coller au fléau rapporté par la propagande ?

A-t-il subi ou induit une surmortalité si tel est le cas ?

Et s’il n’a pas eu à supporter une surmortalité est-ce dû à toutes ses actions « héroïques », à tous ses protocoles ou ceux-ci relèvent-ils de la patte de lapin ?

… Je serais curieux d’avoir les réponses.

Comment a-t-il piétiné sa déontologie ?

Comment a-t-il oublié sa loi, que le patient passait avant la collectivité et qu’il devait avoir un bénéfice personnel au soin préconisé ?

Comment en arrive-t-il à approuver l’apartheid et même l’interdiction d’accès aux soins pour les non-vaccinés ?

Comment un médecin que l’on pouvait qualifier (à tort ? Je ne crois pas.) de « bon » médecin a-t-il désormais exactement le même discours extrémiste que BFM TV ?

Sa formation ?

Je ne le crois pas… autant pour des médecins formés récemment j’entends qu’on leur apprend à ne pas penser, à ne faire qu’appliquer des protocoles… mais pas pour des médecins qui ont commencé leurs études il y a plusieurs dizaines d’années et qui ont un vécu.

Et ce n’est pas uniquement les médecins abonnés au Quotidien du Médecin, vitrine de l’industrie pharmaceutique qui sont victimes de cette amnésie délirante.

Des médecins abonnés à la revue Prescrire (qui elle aussi a disparu), revue vivant sans publicité, ont aussi basculé…

Quel début d’explication ?

En premier lieu, les médecins sont aussi des humains et ils ont aussi bouffé du BFM, du Monde ou du Libération toute la journée…

La peur rend fou, nous en avons la preuve quand des personnels soignants en arrivent à se protéger avec des sacs poubelles totalement inefficaces.

Ils sont alors guidés par l’irrationnel comme un médecin qui en arrive à refuser un patient non-vacciné.

Ce n’est plus de la science, c’est du moyen-âge, c’est de la lutte contre des esprits malins.

Est-ce le fait que l’OMS, les autorités de santé, les politiques, les revues médicales ont TOUTES tenu le même discours, ce qui aurait suffi à les faire basculer dans une foi dénuée de science ?

Ceci associé à une chasse aux sorcières pour faire taire toutes les voix dissidentes pouvant faire croire à un consensus…

Il n’existe plus de discours critiques, mais uniquement des « complotistes antisémites ».

Pour autant aussi bien moi que vous lisant ce texte ne sommes pas tombés dans ce délire…

(J’hypothèse qu’aucun Jean-Michel ou covidiste ne lira ce texte).

Concernant le « vaccin », tout le monde peut savoir qu’il a été approuvé sur les seules études publiées par le « gentil fabricant qui œuvre pour le bien de l’humanité ».

Tout le monde peut savoir que ces industriels ont été condamnés par le passé à des milliards de dollars d’amende pour publicité mensongère, tromperie ou corruption de médecins, de politiques, de journalistes…

Quiconque étudie les données de commercialisation verra que les patients vaccinés faisaient moins de formes graves que les non-vaccinés, mais qu’au final il y avait plus de morts dans la population vaccinée, ce qui ne peut s’expliquer que par les effets secondaires.

Et le fait que l’on injecte des millions de personnes avec un « vaccin » conçu pour une souche qui n’existe plus depuis des mois (années) n’interroge pas !

Je ne pense pas que Jean-Michel et les autres utilisaient le vaccin contre la grippe d’il y a 2 ans pour protéger leurs patients…

Mais tout ça, c’était avant, c’était le monde d’avant, la science d’avant, les valeurs d’avant… avant le FLEAU !

Et bien ni Jean-Michel ni les autres n’ont eu cette curiosité ou ne se sont posé ces questions, y compris les lecteurs assidus de Prescrire !

Pourquoi ?

Je ne vois que la peur et la sidération…

Une campagne médiatique mondiale a été organisée avec la complicité des Ferguson et leurs prédictions bidons auquel il ne croit pas lui-même (il ne respectait pas le confinement), l’OMS et toutes les autorités sanitaires.

Nous les « résistants » avons peut-être eu un peu peur au début, mais pas au point de basculer dans la panique, l’irrationnel ou la sidération…

Peut-être sommes-nous plus terre à terre, plus St Thomas.

Cela me fait penser à « La guerre des mondes », l’émission de Radio diffusée en 1938 qui annonçait une invasion extraterrestre et qui aurait entraîné la panique des auditeurs.

Personnellement je n’ai pas vu de cadavres dans la rue et je n’ai pas connu ni ouï dire qu’une personne jeune ou en bonne santé était décédée de cet odieux virus, et ce en deux ans de Covid.

Nous n’avons pas vécu une épidémie différente de la grippe.

Pour nous simples mortels, cette épidémie n’est que médiatique.

Il y a ceux qui ont cru le scénario et ceux comme nous qui ont douté…

Ça veut probablement dire que le schéma de la peur, de l’inconnu, de la perte de repères et la plongée dans une incertitude s’est déclenché chez eux avant que le scénario du doute et du besoin de compréhension ne se mette en branle…

Il a aussi bien sur les benêts, les moutons qui ne se posent jamais de questions et qui obéissent, point.

Les naïfs, les honnêtes gens qui ne pensent pas que le Mal puisse exister et qui croient que l’histoire ne se répète pas.

Les sceptiques qui croient plus en la bêtise humaine qu’à un plan machiavélique.

Il y a donc des médecins qui entrent dans ces catégories.

Mais concernant Jean-Michel, il y a probablement la conjonction de la peur et de la naïveté « si toutes les autorités disent la même chose, c’est que c’est vrai ».

Je persiste à penser que si la peur n’était pas de la partie cette bascule n’aurait pas eu lieu au point de balayer des années d’expérience, de bon sens et de déontologie.

Je radote, mais merde ! « Comment un pneumologue peut-il masquer ses patients ? »

Demeure aussi le fait que la remise en question est difficile pour l’humain.

Et d’autant plus difficile que l’erreur est à ce point gigantesque et dans la durée…

Après trois doses, avoir lavé le cerveau de ses patients pour les convaincre de s’injecter y compris les enfants, vendu du masque à outrance, du confinement, de l’absence de traitements efficaces et vendu jour après jour de la peur (très mauvaise pour les défenses immunitaires) et ce pendant deux ans…

Il n’est pas évident d’ouvrir les yeux sur cette réalité, sur sa réalité, son aveuglement, son absence de recul, sa « naïveté », mais aussi et surtout sa complicité active dans un crime contre l’humanité, l’économie des classes moyennes ou populaires et la démocratie.

La science dit que le masque, les confinements, les gestes barrières sont totalement inefficaces en population générale.

La science dit que ces injections expérimentales généralisées à l’ensemble de la population sont totalement inefficaces pour contrôler l’épidémie et diminuer la mortalité.

La science dit que ces injections sont dangereuses dans le présent et à l’avenir totalement incertain.

Mais ça, Jean-Michel ne peut le croire, il ne peut même pas se poser sérieusement la question, il ne peut pas se permettre de douter.

Merci

Alain Tortosa.

14 février 2022 https://7milliards.fr/tortosa20220214-medecin-2022-doxa.pdf




Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

[Voir aussi :
Premier jour du procès : Reiner Fuellmich s’adresse au Jury, et expose les faits. Mise à jour]

Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importanteCette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultimequi est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement inefficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

[Note de Joseph : en toute rigueur scientifique, ce n’est pas le virus lui-même qui est traité, sachant notamment qu’il n’a jamais été isolé (voir :
L’enterrement de la théorie virale
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey), mais les symptômes attribués à une maladie nommée Covid-19 et dont les causes sont manifestement autres qu’un virus naturel.]

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui.

Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en mains par l’autre partie par le biais de leur principale plate-forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous.
Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.
Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Organisation mondiale de la santéBill GatesBlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.
Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Kurz, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, -la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. […]


[Source : http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_620229c67d6b4.pdf]

Transcription complète

Grand Jury – Session 1

https://youtu.be/ELTFNkCdzjA

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




Les données officielles du gouvernement du Canada indiquent que les personnes entièrement vaccinées ne sont qu’à quelques semaines du syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA)

[Source : resistance-mondiale.com]

Les données du gouvernement du Canada sur le Covid-19 suggèrent que la plupart des personnes “entièrement vaccinées” développent un syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) complet induit par le vaccin Covid-19, après avoir confirmé que le système immunitaire des personnes entièrement vaccinées s’est déjà dégradé à une moyenne de moins 81 %.

[Voir aussi :
Les données officielles indiquent que les personnes triplement vaccinées développent le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) à un rythme alarmant

Au contraire du scientisme ambiant depuis plusieurs décennies, la rigueur scientifique tend à démontrer qu’il n’existe aucun lien causal entre VIH et SIDA, mais que ce syndrome qui couvre les symptômes de plusieurs maladies provient en fait d’intoxications (aggravées par la malnutrition). Voir :
Dr. Claus Köhnlein – Du SIDA au Covid-19 : une arnaque qui dure depuis plus de 40 ans
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA
La pseudo vaccination anti-Covid est elle-même source d’intoxications multiples, dont celle due à la protéine Spike.]

Les chiffres de la Covid-19 canadienne sont produits par le gouvernement du Canada (voir ici).

Leurs dernières données sont disponibles en format pdf téléchargeable ici.

La page 20 et suivantes des données sur les cas de Covid-19 depuis le tout début de la campagne de vaccination contre le Covid-19 au Canada le 14 décembre 20 jusqu’au 15 janvier 22 –

À première vue, il semblerait que le Canada connaisse actuellement une pandémie de personnes non vaccinées, les personnes entièrement vaccinées n’étant pas loin derrière. Mais cette apparence est une fraude.

En examinant un rapport publié précédemment avec des chiffres sur les cas entre le 14 décembre 2020 et le 4 décembre 2021, puis en effectuant une simple soustraction, nous sommes en mesure de déduire le nombre de cas de Covid-19 par statut vaccinal entre le 5 décembre 2021 et le 15 janvier 2022, et ils sont stupéfiants.

Voici le tableau du nombre de cas par statut vaccinal entre le 14 décembre 2020 et le 4 décembre 2021, grâce au don de la ‘WayBackMachine ‘ –

Le tableau suivant montre le nombre de cas par statut vaccinal entre le 5 décembre 2021 et le 15 janvier 2022, une fois que nous soustrayons simplement les chiffres du 4 décembre des chiffres du 15 janvier dans les deux tableaux ci-dessus –

Comme vous pouvez le voir clairement, malgré l’énorme discrimination contre les non vaccinés par le Premier ministre canadien Justin Trudeau, le Canada connaît une pandémie de personnes entièrement vaccinées, avec ce groupe démographique enregistrant un nombre choquant de 492 893 cas entre le 5 décembre et le 15 janvier 2022, contre seulement 61 971 cas parmi la population non vaccinée.

Au Canada, selon le rapport du 4 décembre, 22,2 millions de personnes sont au moins doublement vaccinées et 23,2 millions de personnes sont au moins partiellement vaccinées.

Selon les statistiques officielles, la population du Canada en 2020 était estimée à 38,01 millions –

Par conséquent, puisque 23,1 millions de personnes au Canada ont reçu au moins une seule dose d’un vaccin contre la Covid-19, cela laisse environ 14,81 millions de personnes au Canada qui ne sont pas vaccinées contre la Covid-19 .

Le gouvernement du Canada ne parvient pas à produire les taux de cas par 100 000 qui nous permettront de déterminer l’efficacité du vaccin dans le monde réel, mais heureusement, nous pouvons déterminer nous-mêmes quels sont ces taux de cas.

Pour calculer le taux de cas non vaccinés pour 100 000, il suffit de diviser la taille de la population non vaccinée par 100 000, puis de diviser le nombre de cas par la réponse à l’équation précédente.

Population = 14,81 millions / 100 000 = 148,1
Nombre de cas = 61 972 / 148,1 = 418,4

Ce qui signifie que le taux de cas non vaccinés est de 418,4 cas de Covid-19 pour 100 000 habitants.

Nous effectuons ensuite un calcul similaire pour les personnes entièrement vaccinées –

Population = 22,2 millions / 100 000 = 222
Nombre de cas = 492 893 / 222 = 2 220,23

Ce qui signifie que le taux de cas entièrement vaccinés est de 2 220,23 cas de Covid-19 pour 100 000 habitants.

Ensuite, nous pouvons utiliser la formule d’efficacité du vaccin de Pfizer pour déterminer l’efficacité du vaccin dans le monde réel.

Taux de cas non vaccinés – Taux de cas vaccinés / Taux de cas non vaccinés = Efficacité du vaccin
418,4 – 2 220,23 = -1 801,83/ 418,4 x 100 = moins -430,6 %

Par conséquent, l’efficacité réelle du vaccin Covid-19 au Canada est de MOINS-430,6 %. Cela signifie que les personnes entièrement vaccinées sont 5,3 fois plus susceptibles d’être infectées par le Covid-19 que la population non vaccinée. C’est ce que la vaccination a fait aux Canadiens.

Mais l’efficacité d’un vaccin n’est pas vraiment une mesure d’un vaccin, c’est une mesure de la performance du système immunitaire d’un vacciné par rapport à la performance du système immunitaire d’une personne non vaccinée.

Le vaccin Covid-19 est censé entraîner votre système immunitaire à reconnaître la protéine de pointe de la souche originale du virus Covid-19. Pour ce faire, il demande à vos cellules de produire la protéine de pointe, puis votre système immunitaire produit des anticorps et se souvient de les utiliser plus tard si vous rencontrez à nouveau la partie pointe du virus Covid-19.

Mais le vaccin ne traîne pas après la formation initiale, il laisse votre système immunitaire s’occuper du reste. Ainsi, lorsque les autorités déclarent que l’efficacité des vaccins s’affaiblit avec le temps, ce qu’elles veulent vraiment dire, c’est que la performance de votre système immunitaire s’affaiblit avec le temps.

Le problème que nous voyons ici est que le système immunitaire ne revient pas à son état d’origine et naturel. Si c’était le cas, les résultats de l’infection par Covid-19 seraient similaires aux résultats parmi la population non vaccinée.

Au lieu de cela, il continue de décliner à un rythme qui signifie que la population non vaccinée a un système immunitaire plus performant, ce qui signifie que les injections de Covid-19 déciment le système immunitaire des personnes entièrement vaccinées.

Mais pour déterminer les performances du système immunitaire, nous devons modifier légèrement le calcul utilisé pour déterminer l’efficacité du vaccin et diviser notre réponse par le plus grand des taux de cas vaccinés ou non vaccinés.

Taux de cas non vaccinés – Taux de cas vaccinés / le plus grand taux de cas non vaccinés / vaccinés = Performance du système immunitaire

418,4 – 2 220,23 = -1 801,83/ 2220,23 x 100 = moins-81,55 %

Cela signifie que les Canadiens entièrement vaccinés ont actuellement une réponse immunitaire inférieure de 81,55 % à celle des non-vaccinés contre le Covid-19.

Par conséquent, le Canadien moyen entièrement vacciné n’a plus que 18,45 % de son système immunitaire pour lutter contre certaines classes de virus et certains cancers, etc. La question est de savoir quand les 18,45 % restants de son système immunitaire seront épuisés ?

Si nous recommençons tout ce que nous avons fait ci-dessus avec les chiffres tirés du rapport Covid-19 du gouvernement du Canada contenant des données jusqu’au 4 décembre 2021 , et un autre rapport précédent contenant des données jusqu’au 13 novembre 2021 , nous pouvons déterminer le vrai- l’efficacité mondiale des vaccins et les performances du système immunitaire entre le 14 novembre et le 4 décembre 2021.

Cela nous permettra de voir le taux de déclin entre le 14 novembre et le 15 janvier 2022.

Voici les chiffres sur les cas par statut vaccinal entre le 14 décembre 2020 et le 13 novembre 2021 –

Il ne nous reste plus qu’à les soustraire des chiffres du 4 décembre pour calculer le nombre de cas par statut vaccinal entre le 14 novembre et le 4 décembre 21.

Le tableau suivant nous montre la réponse –

La majorité des cas étaient encore parmi les personnes entièrement vaccinées, mais comme vous pouvez le voir, les niveaux par rapport aux non vaccinés étaient loin des niveaux observés entre le 5 décembre et le 15 janvier 2022.

Sur la base des niveaux de vaccination à l’époque, ces chiffres équivalent à un taux de cas de 91,45 pour 100 000 parmi les non vaccinés et à un taux de cas de 101,06 parmi les personnes entièrement vaccinées.

Par conséquent, l’efficacité du vaccin dans le monde réel entre le 14 novembre et le 4 décembre 21 équivalait à moins-10,5 %, et la performance du système immunitaire à moins-9,5 %.

Cela signifie qu’entre le 4 décembre et le 15 janvier 2022, l’efficacité du vaccin a chuté de 420,5 % et les performances du système immunitaire ont chuté de 71,6 % par rapport aux chiffres enregistrés entre le 14 novembre et le 4 décembre 2021.

Nous n’osons pas vous dire ce que cela pourrait signifier pour le système immunitaire des personnes entièrement vaccinées au Canada d’ici la fin février 2022.

Ces chiffres vraiment étonnants montrent que nous sommes plus de 5 fois plus à l’abri du Covid-19 que les vaccinés dans une chambre, un restaurant, un bar, une discothèque, un train, un bateau ou un avion rempli de personnes non vaccinées que nous ne le sommes avec ” personnes complètement vaccinées ».

Il semble également que les non vaccinés atteignent l’immunité du sous-groupe contre Covid-19 alors que les vaccins entièrement vaccinés sont empêchés de l’atteindre par les vaccins.

Les chiffres canadiens ont détruit le dossier des passeports pour les vaccins partout dans le monde et prouvent à eux seuls le cas d’une interdiction immédiate de la thérapie génique et de la vaccination aux protéines de pointe.

Si les personnes entièrement vaccinées se débrouillent si mal contre Covid-19, c’est parce que les anticorps induits par le vaccin contre la protéine spike Alpha sont pratiquement inutiles contre Omicron. Ainsi, la détérioration progressive du système immunitaire causée par la production incessante de la protéine spike n’a presque rien pour se cacher, rien pour se protéger.

Le Royaume-Uni compte 72,1 % de la population double vaccinée, 55,6 % de la population triple vaccinée, 5,8 % de la population partiellement vaccinée et 22,1 % de la population non vaccinée ( ourworldindata ). Les Britanniques s’en tireront donc un peu moins bien que les Canadiens en ce moment, avec un pourcentage nettement plus élevé de victimes de la vaccination.

Les données officielles du gouvernement canadien sur le Covid-19 montrent que toute personne entièrement vaccinée sera atteinte du SIDA à médiation vaccinale dans un laps de temps très court, à moins que quelque chose ne change radicalement. La partie du système immunitaire qui reste actuellement capable de combattre l’Omicron se sera dissipée.

Cela entraînera un lourd fardeau pour les services de santé du Canada, ainsi que des souffrances et des décès massifs. Tout cela nous a été infligé par un système de santé corrompu. Ce doit être le plus grand but contre son camp de l’histoire médicale.

Source : https://dailyexpose.uk/2022/02/06/canada-gov-data-suggests-fully-vaccinated-developing-ade/




Dr Wodarg : extrême prudence en raison de la dissimulation de la composition du vaccin Covid 19 !

[Source : Kla.tv]



Arne Burkhardt et Walter Lang, pathologistes de Reutlingen, ont pu confirmer pour la première fois que la protéine Spike, produite dans le corps par le vaccin Covid-19, pourrait être responsable d’inflammations et de lésions des vaisseaux sanguins pouvant entraîner la mort.

Des militants américains ont montré, en analysant les dommages causés par les vaccins, à quel point les lots de vaccins ont des effets extrêmement variables, allant de l’absence quasi-totale d’effets secondaires à des milliers de complications très graves, souvent mortelles. Cela est dû à une composition différente des doses de vaccin, ce qui ne devrait pas exister et qui est passé sous silence par Big Pharma, la politique et les médias.

Regardez maintenant les conclusions novatrices et les recommandations urgentes que le Dr Wodarg, spécialiste allemand en immunologie, donne sur ces faits.


Bonjour chers « promeneurs » ! [à l’écran : nom que se donnent en Allemagne les manifestants depuis l’interdiction de manifester]

Je suis heureux de pouvoir m’adresser à vous. Ces derniers temps, j’ai beaucoup réfléchi et j’ai appris beaucoup de nouvelles choses. Après m’être occupé des virus pendant de nombreuses années, je n’ai en fait plus guère envie de m’occuper de ce sujet, car il n’y a en fait rien de nouveau en matière de virus. Il y a du nouveau dans la biotechnologie. La biotechnologie prend un essor prodigieux, car elle s’est mise au service de ceux qui veulent changer le monde, qui veulent étendre leurs intérêts, étendre leur pouvoir. Avant, ils le faisaient avec des guerres. Aujourd’hui, les guerres sont difficiles. Aujourd’hui, celui qui déclenche une guerre doit s’attendre à devenir lui-même une victime. Aujourd’hui, on utilise d’autres choses pour faire peur et la biotechnologie s’y prête très bien. Elle fait des choses qui sont très petites, on ne peut les voir qu’avec des appareils spéciaux. On peut y croire ou ne pas y croire. Les effets des interventions biotechnologiques arrivent parfois beaucoup plus tard.

Cette pandémie à laquelle on nous fait croire à l’aide du test PCR, est en totale contradiction avec ce que la plupart des gens vivent. Et ils font à nouveau l’expérience de la grippe cet hiver. Certains l’ont attrapée ; elle a touché un grand nombre de personnes, certaines en meurent. Mais ce qui est nouveau cette année, cet hiver, c’est qu’après un an d’applications génétiques et biotechnologiques imposées à des milliards de personnes, les prétendus vaccins, qui sont en fait des interventions génétiques, ont des conséquences. Au début, il était très difficile de savoir quelles étaient ces conséquences, ce n’était pas toujours le cas. Certaines personnes ont eu des effets secondaires très graves, d’autres n’ont rien ressenti du tout ou ont seulement ressenti quelque chose à l’endroit de l’injection. Il y a eu des séries où, dans une maison de retraite, beaucoup de ces personnes qui avaient reçu cette injection sont mortes peu après. Il y a ces nombreux sportifs, ces jeunes hommes musclés qui ont reçu une injection dans le muscle et qui ont ensuite eu une myocardite ou une insuffisance cardiaque. Donc il y a eu beaucoup de phénomènes différents que nous avons vus, mais ce n’était pas non plus chez tout le monde. Maintenant, on voit un peu plus clair dans cette obscurité : après que quelques scientifiques très, très intelligents ont analysé de plus près les données de la base de données des effets secondaires VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System] aux États-Unis. Ils ont en effet constaté que seuls quelques lots provoquaient ces effets secondaires graves. La plupart des lots ne provoquent presque pas d’effets secondaires, pas plus d’effets secondaires que d’autres vaccins connus également. Mais quelques lots sont très dangereux. Certains ont entraîné un risque trois mille fois plus élevé que les vaccins normaux, d’autres un risque mille fois plus élevé, deux mille fois plus élevé. Et des centaines, voire des milliers de personnes en sont mortes. Cela signifie qu’en fait, ce n’est pas possible, parce que les seringues qui sont vendues doivent contenir la même chose partout. Et cela n’existe pas ailleurs, qu’un prétendu vaccin contienne parfois quelque chose de dangereux et parfois non.

Nous assistons actuellement à l’apparition d’une toute nouvelle technologie censée nous immuniser, mais ce n’est pas le cas. Car ces injections dans le muscle ne nous empêchent pas de continuer à être infectés par des virus et de transmettre ces virus. Même de transmettre les Coronavirus, même le variant Omicron, qui est l’un des nombreux variants à venir, elle se transmet. Et nous nous contaminons avec eux. Mais ce n’est pas ce qui nous rend si malades, ce qui nous rend malades maintenant, ce qui rend beaucoup de gens malades, ce sont les effets secondaires de ces injections. Ce sont les thromboses dues aux protéines Spike. Ce sont aussi les inflammations, les déficiences immunitaires qui apparaissent. Tous ces effets sont dus en partie aux protéines formées dans le corps, ou au fait que le système immunitaire est réorienté dans le corps et que le système immunitaire n’est pas confronté à des parties de virus là où il le fait habituellement, c’est-à-dire dans la bouche et le pharynx, mais quelque part dans le corps. Et ça irrite le système immunitaire, ça le perturbe et ça conduit à des réactions erronées. En outre, comme on le sait maintenant, les protéines Spike peuvent pénétrer dans le noyau des cellules immunitaires et peuvent y provoquer de graves perturbations et entraîner une déficience immunitaire. Cela aussi est de plus en plus observé, mais curieusement, ce n’est pas le cas partout. Sinon, des millions de personnes mourraient et des millions de personnes tomberaient malades dès maintenant. Nous ne savons pas si des millions de personnes ne tomberont pas malades plus tard à cause des effets à long terme. Mais ce qu’on observe dans la banque de données, c’est que justement, pour certains lots, beaucoup tombent malades, mais ça veut dire que les entreprises pharmaceutiques ne mettent pas toujours la même chose dans les seringues.
Et ça ne doit pas se produire, nous avons en fait des autorités de contrôle qui garantissent que c’est une norme, que ce qui est écrit est bien ce qu’il y a dedans. Elles ne le font pas. Et ça s’explique à mon avis par le fait que nous avons maintenant, ce qu’on appelle la « procédure télescopique ». Nous sommes soi-disant en situation de pandémie, et dans cette situation beaucoup de choses sont autorisées, qui ne le seraient jamais autrement.

Il y a des phases où les vaccins sont testés : Phase un – deux – trois – et ensuite l’autorisation de mise sur le marché et ensuite une étude d’observation – phase quatre – encore après. En fait, nous sommes dans la phase quatre, où toutes les autres étapes devraient déjà avoir eu lieu. Mais nous savons que pour beaucoup de ces vaccins, il n’y a pas eu de véritables tests sur les animaux. Et beaucoup de choses n’ont pas été exclues. Des essais n’ont été réalisés que sur des personnes en bonne santé, bien que ces vaccins soient maintenant recommandés pour les malades et même pour les femmes enceintes ! Cela signifie que beaucoup de choses sont inconnues et que beaucoup de choses sont en train d’être testées.

Et c’est bien sûr une énorme opportunité. Il y a maintenant 128 fabricants de vaccins différents qui font des essais cliniques – certains même avec des virus qui se reproduisent eux-mêmes ; c’est-à-dire des vaccins qui se reproduisent eux-mêmes – jadis cela n’aurait jamais été autorisé. Et le patron de Bayer a lui-même déclaré lors du « Global Health Summit » à Berlin : « Il est étonnant de voir tout ce que les gens acceptent maintenant. Il y a deux ans, personne n’aurait accepté ce qu’on injecte aujourd’hui. Et l’industrie est ravie ; ils ont de nombreux brevets, ils peuvent maintenant tout essayer, et personne ne le remarque. Le comité d’éthique approuve tout…, après tout, c’est une pandémie. Et maintenant, beaucoup se réjouissent déjà des nouveaux vaccins, des vaccins qu’on prétend meilleurs. Ils essaient quelque chose qui n’existait pas auparavant. Et ils ne savent pas comment ils vont l’essayer. Il existe les études pour la détermination de la dose, le vaccin est injecté à forte dose à des gens et à dose plus faible à d’autres. Nous observons la même chose actuellement, par exemple Biontech l’a fait avec des millions de personnes aux États-Unis. Ils ont eu des seringues, des lots, qui ont eu 3 000 fois plus de létalité – 3 000 fois plus d’effets toxiques, d’autres ont eu 2 500 fois plus, puis ils en ont eu une avec 2 000 fois d’effets toxiques, puis avec 1 500, 1 000 et 500. Ils ont donc correctement titré, et cela pendant la phase quatre. D’habitude, on le fait avec peu de gens en phase deux. Et maintenant, on le fait comme ça, sans que personne ne le remarque.

Et vous, chers médecins, vous êtes d’accord avec cela ! Vous faites ces injections. Vous transformez vos patients en cobayes. Saviez-vous que ce sont des expériences qui sont faites ici ? Vous pouvez le lire, c’est publié dans les données VAERS. J’ai mis les sources sur mon site et je l’explique également. Ce qui se passe actuellement est un crime. Ce sont des essais sur l’homme – ; et les gens ne sont pas d’accord, ils sont contraints de le faire. C’est une chose très grave que de transformer en cobayes des personnes qui n’ont pas le choix. Cela s’est déjà produit en Allemagne et a conduit aux procès de Nuremberg. Et ces personnes qui ont fait cela ont été condamnées. Ce qui se passe actuellement ce n’est pas un hasard ; mais ce sont des expériences qu’on fait volontairement, et intentionnellement. Et on profite de la peur des gens et de la prétendue « situation d’urgence » et de la stupidité des politiciens qui laissent passer ça, et de la corruption des institutions qui sont censées nous protéger. Ils nous exposent à ces expériences. La biotechnologie donne des possibilités inimaginables. Maintenant pendant la pandémie, ils peuvent essayer tout ce qu’ils voulaient essayer depuis longtemps. Mais les politiques qui sont censés nous protéger ne le comprennent manifestement pas, ou alors ils sont corrompus.

Je peux bien imaginer que certains le comprennent très bien, ceux qui sont particulièrement bruyants et qui nous disent : c’est nécessaire, il faut le faire. Ceux qui ont aussi de très bonnes relations avec l’industrie. Je suis consterné par cette énergie criminelle que nous observons, et surtout que les médecins acceptent ça et y participent. Je me réjouis qu’il existe désormais une base de données dans laquelle on peut faire des recherches. Si on va sur Google, on la trouve sous le titre : « How bad is my batch » « A quel point mon lot est mauvais ». Là, on peut voir lesquelles de ces doses étaient très dangereuses, lesquelles sont moins dangereuses. Bien sûr, il est possible que les doses futures n’y figurent pas encore. Mais si vous devez ou voulez vous faire injecter ou si vous y êtes contraint et que vous voulez quand même le faire, demandez à votre médecin s’il sait de quel lot il s’agit, s’il s’agit d’un des lots dangereux ou d’un lot qui ne l’est pas, où il n’y a que du sel de cuisine, ou qui ne contient rien de nocif.

Demandez à votre médecin, ne vous faites pas injecter n’importe quoi. Chaque médecin devrait savoir quels lots lui sont livrés et devrait être sûr qu’on a vérifié ce qu’il y avait dedans, non ? Nous savons maintenant qu’il n’y a pas la même chose dans tous les lots. C’est interdit. Nous savons que cela se fait quand même. On nous force à prendre ces injections. Et c’est pourquoi, chers médecins, vous devez demander ces informations, demandez ce que vous avez reçu, ce qu’on vous a livré. Chers pharmaciens, demandez : « qu’est-ce que vous me livrez-là ? Comment puis-je être sûr de ce qu’il y a dedans ? » Et chers patients, dites NON. Dites non à l’injection si vous n’êtes pas sûr qu’il s’agisse d’un produit contenant ce qui est écrit. Et même dans ce cas, dites non. Car vous ne pouvez toujours pas être sûr – ce sont des criminels qui sont à l’œuvre. Et vous ne devez pas vous livrer à ces criminels. J’espère vraiment que notre justice se remettra en marche. Elle pourrait bien sûr se rendre immédiatement chez Biontech, confisquer les ordinateurs, aller immédiatement voir ce qui se passe réellement. Vérifier immédiatement, dans les livres, dans les ordinateurs, partout, pour voir ce qu’ils ont fait. Mais notre justice préfère aller voir les médecins qui essaient de protéger les patients de ces injections et elle fouille le cabinet de ceux-ci plutôt que d’aller voir ces criminels. Nous vivons dans un monde terrible.

Les gens qui sont responsables de tout cela, qui ont planifié cela depuis longtemps, ils abusent des biotechnologues et des virologues et des pharmacologues pour entretenir notre peur. Les gens qui meurent maintenant dans les hôpitaux, prétendument avec le Covid, la plupart d’entre eux meurent des effets secondaires des injections. Et quand on dit que ceux qui se trouvent dans les hôpitaux sont tous des non vaccinés ! Vous savez, les non vaccinés, ce sont aussi des gens qui ont reçu le vaccin, l’injection, au cours des 14 derniers jours et qui ne sont pas encore comptés parmi les vaccinés. Mais c’est justement pendant ces 14 premiers jours que se produisent les effets secondaires aigus et graves. Cela signifie que de nombreuses personnes sont rendues malades en recevant une injection et on les compte parmi les non vaccinés. Ce qui est bien sûr totalement faux et c’est délibérément un aveuglement épidémiologique.

C’est incroyable tout ce qu’on nous demande de faire. Et je trouve merveilleux que vous descendiez dans la rue. Je trouve ça merveilleux que vous vous défendiez et que vous ne vous laissiez pas transformer en victimes d’un projet criminel. Je vous remercie tellement de vous engager et je vous souhaite tout le bonheur possible, une bonne santé et beaucoup de plaisir les uns avec les autres quand vous vous promenez dans les rues lors des manifs pacifiques. Vous ne devez pas avoir peur les uns des autres, les personnes vaccinées qui ont survécu ne doivent pas non plus avoir peur. Et j’espère qu’il n’y aura pas de conséquences à long terme pour ceux qui n’ont pas eu d’effets secondaires. Restons unis, vaccinés et non vaccinés. Et chassons les criminels de la maison, afin que nous puissions à nouveau débattre et nous entendre démocratiquement, conformément à notre loi fondamentale, dans des conditions de vie normales, comme nous en avons l’habitude. Restez courageux. Restez engagés. Restez unis.
Et oui, à la prochaine fois. Au revoir, Wolfgang Wodarg.

de hm

Sources / Liens : Dr. Wodarg zu den verschwiegenen Covid-19-Impf-Zusammensetzungen
https://www.bitchute.com/video/JqINeUu312v3/




Pseudovaccination en Grande-Bretagne, bilan au 5 février 2022 : les injections géniques ne protègent ni des formes graves ni de la mortalité

Par le Dr G Delépine

[Photo : PAUL CHILDS/REUTERS]

La Grande-Bretagne a été la pionnière des injections, initialement par Astra Zeneca dès décembre 2020. Quel bilan peut-on tirer 14 mois plus tard ?

Du point de vue vente de « vaccins », c’est un franc succès : au 25 janvier 2022, un total de 137 372 778 doses de « vaccin » a été administré à environ 68 millions d’habitants. Mais du point de vue sanitaire, c’est un échec sévère, tant sur la progression de l’épidémie, que sur la mortalité attribuée au Covid.

Échec total de la vaccination sur l’épidémie

Les injections n’ont pas du tout arrêté l’épidémie. Les deux mois qui ont suivi la campagne éclair d’inoculation ont été au contraire suivis d’une franche poussée d’infection passant de 15 000 cas quotidiens le 7 décembre 2020 à près de 60 000 cas le 10 janvier 2021.

Avant les injections Astra Zeneca, le 7/12/2020, après dix mois d’épidémie, la Grande-Bretagne recensait 1,74 million de contaminés. Deux mois plus tard, ce chiffre avait plus que doublé (3,95 millions).

L’incapacité des injections Astra Zeneca à protéger de la maladie et des contaminations a été spectaculairement illustrée par l’épidémie survenue à bord du Queen Elizabeth alors que la totalité des marins à bord était « vaccinée ».

Elle a été confirmée sur l’ensemble du pays et, en février 2022 le nombre de Britanniques contaminés atteint 16,37 millions, douze fois plus qu’avant les injections, comme le montre cette courbe des contaminations quotidiennes publiée par l’Organisation Mondiale de la Santé.

Dans l’histoire de la médecine, aucun « vaccin » n’a connu un pareil échec. Mais il est vrai qu’il ne s’agit pas d’un vaccin selon la définition de Pasteur (composé d’antigènes provenant du virus tué ou inactivé), mais d’un médicament génique expérimental (comportant un ARN messager conduisant nos cellules à produire la protéine spike).

Devant ces faits indiscutables, comment les propagandistes de la pseudo vaccination peuvent-ils oser encore prétendre qu’être injecté protège les autres ? Il s’agit d’une publicité totalement mensongère.

Des injections incapables de diminuer, ni le risque de formes graves ni la mortalité

Constatant qu’il n’est plus crédible de dire que les pseudo vaccins protègent des contaminations, les propagandistes des laboratoires, les agences françaises et les médias prétendent qu’ils protégeraient des formes graves et diminueraient le risque d’être hospitalisé ou de mourir du Covid.

Mais les chiffres officiels de l’Office National des Statistiques anglais et israélien montrent que ce n’est pas vrai.

Fin décembre 2021, les hospitalisations en réanimation en Angleterre comptent un pourcentage de vaccinés égal à celui de la population générale.

Même phénomène en Écosse où la pseudo vaccination n’a pas diminué le nombre des hospitalisations, bien au contraire :

Les injections géniques ne diminuent donc pas le risque d’être hospitalisé ni celui d’être hospitalisé en réanimation.

Elles ne diminuent pas non plus le risque de mourir du Covid.

Du 1er février 2021 au 12 septembre 2021, en Angleterre, les non-vaccinés ne comptaient que pour 28 % des décès dus au covid, alors que les vaccinés regroupaient 72 % des décès.

Public Health Scotland confirme le même schéma d’échec vaccinal incapable de diminuer la mortalité Covid.

Du 14 août 2020 au 12 septembre 2020, avant toute injection, l’Écosse n’avait comptabilisé que sept décès liés au covid-19. Après avoir contraint une grande partie de la population à se faire vacciner, elle a enregistré 222 décès, au cours de la même période un an plus tard.

En Écosse, comme en Angleterre 80 % de ces décès surviennent chez les vaccinés.

Contrairement à ce que répète la propagande quotidienne que l’on subit en France, alimentée par des organismes dépendant de l’état qui cachent les données brutes, et les délibérations du conseil de défense, les données britanniques prouvent que la pseudo vaccination ne protège ni des formes graves ni de la mort attribuée au Covid19.

Qui sont les plus irresponsables ? Les vaccino prudents qui attendent de disposer des résultats définitifs des essais avant de prendre une décision ou ceux qui se flattent de les « emmerder » pour les forcer à accepter des injections expérimentales qui se sont révélées inefficaces sur la transmission de la maladie et ont généré beaucoup d’effets délétères ?




Résister c’est combattre la matrice

[Source : dedefensa.org]

Par Patrice-Hans Perrier

 « Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée ».

Mathieu 10:34 — Bible Louis Second

Contrairement à bien des idées reçues, Jésus n’a jamais été une victime propitiatoire, selon la définition qu’en donne l’ancienne loi hébraïque. Le Messie est un envoyé de Dieu chargé de nous apporter la lumière vespérale qui témoigne de la fin de l’Ancien Monde pour que l’homme nouveau puisse renaître. Ceux qui ont repris en main les destinées du Saint Empire Romain auront transformé Jésus en bouc émissaire afin qu’il puisse servir de figure tutélaire auprès des masses qu’il convenait de toujours asservir un peu plus.

Se qualifiant d’« Agneau de Dieu », Jésus signifiait qu’il était venu offrir sa vie en juste sacrifice pour la rémission de nos péchés, mais pas comme bouc émissaire. Personne ne doit porter la faute des autres. Le don de soi est l’insigne marque de la grandeur et de la royauté. En effet, celui qui est consacré en qualité de ROI devrait normalement porter en lui toutes les qualités insignes qui font du titulaire un véritable nautonier, c’est-à-dire un passeur de lumière et un arbitre suprême. Le Roi veille à l’équité, à la réconciliation des partis et au rayonnement du royaume compris comme une agrégation d’« hommes de bonne volonté ». Le règne du souverain est un véritable sacerdoce puisqu’il prend sur ses épaules les destinées de chacun de ses sujets et de l’ensemble de l’humaine communauté.

L’offrande suprême est un combat, non une défaite

Jésus a offert toute sa VIE, non seulement sa MORT, en juste sacrifice afin que l’humanité puisse entreprendre sa véritable quête de lumière, cette marche qui la mènera vers une destinée noble et lumineuse. Quand Jésus dit qu’il est le « FILS DE L’HOMME », il signifie qu’il s’est incorporé à travers l’argile de l’humanité afin d’en éprouver les faiblesses, mais aussi toutes les potentialités. Toute sa vie durant, ce grand prêtre s’il en est — en ligne directe avec le grand Melchisédech, roi de justice par excellence — est venu par sa propre offrande nous libérer du poids des illusions. Car, le péché est le fils des illusions et la fatalité représente sa terre de prédilection. Il n’y a RIEN de fataliste dans la vie du Christ. Bien au contraire !

Prêchant parmi les humbles, issus de toutes les couches de la société, Jésus, messie ou envoyé de Dieu, est venu témoigner de notre filiation avec le divin.

« Jésus, prenant la parole, lui dit : Que veux-tu que je te fasse ? Rabbouni, lui répondit l’aveugle, que je recouvre la vue. Et Jésus lui dit : Va, ta foi t’a sauvé. Aussitôt il recouvra la vue, et suivit Jésus dans le chemin »

Marc 10:52 – Bible Louis Second

Le don de soi, même lorsqu’il commande le sacrifice suprême, mène à la victoire solaire s’il procède au gré d’une juste alchimie. Puisque les alchimistes nous ont démontré que c’est par la dissolution des substances — représentant notre EGO — qu’il est possible de purifier la matière jusqu’au point de non-retour. C’est-à-dire lorsque les qualités vibratoires de l’énergie cosmique sont restituées à travers la dissolution et la recomposition — mutatis mutandis — d’un matériau qui ne demeure qu’une illusion d’optique en fin de compte. Par-delà les illusions matérialistes se cache la lumière, qui est PURE QUALITÉ VIBRATOIRE. C’est cela que la physique quantique nous aura démontré au XXe siècle.

Jésus ressuscité, c’est l’être quantique qui a quitté son « habit de peau » pour revenir réconforter ses disciples en leur annonçant qu’il a VAINCU LA MORT, une fois pour toutes. Voilà ce qu’accomplissent tous les véritables héritiers du Grand Melchisédech, roi de justice. C’est-à-dire celui qui honore et restitue les qualités vibratoires primordiales de la matière ignée, libérée de sa gangue. C’est ce que Jésus est venu faire parmi nous : nous libérer de la gangue des illusions mortifères qui nous empêchaient de « renaître à nous-mêmes » et, à l’égal des dieux, de pouvoir accomplir l’œuvre de notre vie, ici-bas.

La lutte actuelle est un combat contre des nécromanciens

Dans un contexte où une horde de mages noirs s’est emparée du LEXICON — c’est-à-dire du « narratif de l’humanité en marche » — qui préside aux destinées de la Polis, il y a péril en la demeure alors que les citoyens sont condamnés à devenir des esclaves. Le transhumanisme représentant les TABLES DE LA LOI de la contrefaçon, ou de la contre-œuvre, les mages à la manœuvre nous promettent de rendre notre « habit de peau » imputrescible en repoussant l’échéance du passage vers la dissolution de notre état actuel. Se drapant avec une cape d’invisibilité, ils se font passer pour des thaumaturges, des guérisseurs et des éclaireurs. Mais, nous savons que leurs potions magiques — injections à ARN messager et autres chimères génétiques — ont été fabriquées à partir de lignées cellulaires fœtales humaines, de cellules souches pour faire court, et peuvent aussi contenir des microorganismes qui viennent parasiter les cellules des cobayes du grand sacrifice mondial actuel.

Et, de fil en aiguille, lorsque le Souverain Pontife invite ses ouailles à se faire vacciner « par amour pour leur prochain », il utilise la formule magique de la victime propitiatoire comme symbole opératoire afin de neutraliser le libre arbitre et la volonté de puissance du peuple des croyants. Malheureusement, le peuple des croyants ne représente pas forcément la filiation des disciples de Jésus et la cité du Vatican n’est rien de plus qu’un état pontifical. Il faut cesser de « vendre vessie pour lanterne ».

Ayant signé un pacte avec les adeptes de la « contre-initiation », le pontife romain s’est empressé de lier les mains de ses ouailles avec les desseins du Conseil pour le capitalisme inclusif, un surgeon du Forum économique mondial de Davos. Aligné sur les objectifs de développement durable de l’ONU, ce pacte, qui a été parafé par le souverain pontife, scelle une association plus que discutable avec une poignée de conglomérats, incluant MasterCard, Allianz, Dupont, Rothschild, Merck, Johnson & Johnson, Visa, Bank of America et, même, les fondations Ford et Rockefeller qui n’ont jamais fait la promotion de valeurs chrétiennes dignes de ce nom.

Un gigantesque égrégore d’agneaux silencieux

Le Pape vient d’indiquer, sans ambiguïté, qu’il se conforme aux desiderata du Grand Reset de Klaus Schwab. Utilisant la formule magique de la victime propitiatoire afin de façonner un égrégore puissant à partir de l’énergie captive de ses fidèles, ce dangereux nautonier mène ses brebis silencieuses vers l’abattoir d’un Nouvel Ordre Mondial qui ne peut plus attendre.

Consentir à recevoir ces injections délétères, c’est accepter de se faire injecter des substances toxiques destinées à formater des cellules qui deviendront de véritables « usines à protéines spike ». Certaines études avancent, même, la possibilité d’une modification de l’ADN des cobayes humanoïdes, ce qui pourrait, en théorie, déposséder ces derniers de leur droit de propriété sur leur propre code génétique. En outre, certaines substances artificielles liées à ce formatage cellulaire pourraient permettre de suivre à la trace ce nouveau cheptel marqué du sceau de la Bête. Par-delà les effets secondaires indésirables ou la provenance douteuse de certaines composantes des dits « vaccins », c’est toute la problématique de la traçabilité numérique du cheptel humain qui pose problème.

Une religion mondialiste

Accepter de se faire marquer et de se conformer à tout un protocole de circulation en société, cela signifie renoncer à sa liberté en bonne et due forme. En outre, le fait de retirer aux « non conformes » leurs droits les plus élémentaires, tout en les confinant à perpétuité, institue un système de double citoyenneté, là où les pestiférés de cette prison panoptique occuperont la position du bouc émissaire afin de conforter la masse des « croyants » de cette nouvelle religion mondialiste. De fil en aiguille, la théologie transhumaniste et globaliste se calque sur les prémisses d’un catholicisme ultramontain qui s’est toujours appuyé sur la figure de la victime propitiatoire pour raffermir sa mainmise sur un troupeau de fidèles ayant été détourné des véritables bienfaits du christianisme.

Il s’agit, si mes lecteurs me suivent, d’utiliser le complexe de culpabilité des masses — pratiquants ou pas — pour les amener à consentir à l’irréparable : modifier la structure génétique de l’humanité ; accepter d’être traqué en permanence et de se conformer à l’identité numérique ; vivre au sein de SMART CITIES où les objets « intelligents » connectés permettront de prédire les moindres comportements des nouveaux esclaves ; avaler les dogmes de l’empreinte écologique pour ne plus être maître de sa vie ; perdre le droit de propriété et toute forme d’intimité sous prétexte d’un combat contre les iniquités ; dépendre de l’état en toutes choses et ne plus pouvoir compter sur la protection d’une famille, cellule humaine qui remonte à la nuit des temps.

La religion mondialiste nous promettra l’immortalité et la justice sociale à condition que l’on renonce à la propriété de notre propre personne. Enfin, la fameuse question du libre arbitre sera réglée puisque les pontifes de la nouvelle Rome prendront en main nos libertés en échange de notre tranquillité d’esprit. Une fois l’argent liquide retiré, la traçabilité du cheptel humain et l’interconnexion des objets « intelligents » acquises, l’identité numérique instituée et l’impossibilité de jouir de son propre corps devenue réalité, l’être humain ne sera plus. L’humanoïde aura pris sa place et c’est en calquant cet immense renoncement sur la foi chrétienne que les maîtres de la contre-initiation atteindront leur but. L’homme deviendra une masse informe, un GHOLEM manipulable à volonté.

La volonté de puissance ou le combat pour la liberté

Ceux qui ont consenti à se faire marquer du sceau de la bête l’ont fait afin de pouvoir conserver certaines prérogatives et d’avoir la satisfaction de voir une poignée de boucs émissaires se faire tondre sans autre forme de procès. Toutefois, on réalise bien qu’ils ont bradé leur liberté la plus élémentaire contre un plat de lentilles. Tôt ou tard, ils subiront le même sort que les moutons noirs actuels : les nautoniers de la contre-initiation les priveront, graduellement et par soustraction d’air, de leurs droits les plus élémentaires. Véritable coup d’État planétaire, cette gestion autoritaire de la prétendue pandémie jette par terre toutes formes de constitution en laissant libre-cours à la classe politique pour ce qui est de gouverner par décret.

Les gens bien informés ont compris que les lois d’exception adoptées dans le sillage des événements du 11 septembre 2001 auront permis à l’état profond de mettre en place un dispositif permettant d’abolir, de manière graduelle et indolore, tous les garde-fous qui permettaient à notre démocratie de façade de se maintenir. Tout vient de s’effondrer, avec la bénédiction du COVID et la soumission papale. Terrorisée et incapable d’ouvrir les yeux, la majorité de nos concitoyens accepte de se départir de tous ses droits, du moment qu’elle peut encore conserver quelques « privilèges » qu’elle sait bien éphémères. La descente aux enfers économiques et l’éventuel conflit militaire mondial qui s’annoncent accentuent la PEUR ambiante et ses effets hypnotiques sur les restes de conscience de l’humanité. Conscients qu’il faut se sacrifier afin de passer le gué vers un nouveau millénaire « plus inclusif et respectueux de l’environnement », les mutants de Panurge acceptent de jouer le jeu, du moment que des boucs émissaires sont égorgés en premier.

Être résistant c’est être un disciple du fils de l’homme

Être un disciple du « fils de l’homme » commande un énorme courage et une abnégation à toute épreuve par les temps qui courent. Il faut refuser la MARQUE DE LA BÊTE et mettre tout notre poids dans la balance afin d’entraver cette fuite en avant funeste et démoniaque. Les chrétiens, qu’ils soient catholiques ou membres d’autres dénominations, doivent impérativement tendre la main aux autres résistants ; du moment que ce mouvement collectif prenne en considération ce qu’il est convenu d’appeler la LOI NATURELLE et l’urgence d’un ressourcement spirituel collectif dans un contexte où le matérialisme ambiant représente un véritable cancer civilisationnel. Méditez, priez, aimez-vous et prenez soin de vos proches, faites en sorte de chasser cette PEUR qui représente un véritable virus. Chemin faisant, les brebis conformes pourraient vous envier cette erre d’aller et prendre la décision de laisser leur propre peur au vestiaire. Afin d’être en mesure de vous rejoindre dans cette grande marche collective vers notre libération véritable.


[Voir aussi :
La religion de l’Antéchrist
La clef de la libération
Le Diable a un pied dans la porte et le Vatican ne fait rien — où l’on retrouve encore Bill Gates
JE SUIS EN COLÈRE, par Michelle d’Astier de la Vigerie
Le secret de l’exil juif et le dévoilement du messie]




Les «millardaires du Covid», et ce que cela raconte sur nous et notre société

[Source : blick.ch]

Par Myret Zaki

En 2020, la pandémie a créé plus de 50 milliardaires, dont les inventeurs des vaccins. Contraste saisissant avec le passé: un vaccin était alors un bien commun et ses inventeurs ne faisaient pas fortune. Zoom sur l’hyperfinanciarisation de la santé et ses conséquences.

[Illustration :
Les vaccins contre le Covid : des coûts en bonne partie publics, mais des bénéfices intégralement privés.]

Le conflit entre vaccinés et non vaccinés occupe les discussions et divise le public. Mais une autre question, tout aussi majeure, doit nous intéresser. Celle qui concerne les milliards de bénéfices privés gagnés par des médecins et scientifiques grâce au Covid-19. Non pas des millions, mais des milliards. Est-ce que cela a toujours été ainsi? Qu’est-ce que cela raconte sur l’évolution de nos sociétés? C’est ce que nous allons voir dans les lignes qui suivent.

Des profits sans précédent, engrangés à la faveur d’une crise majeure. Ceci, grâce aux commandes de milliards de doses de vaccins achetées par les Etats. Mais aussi grâce à la financiarisation de ces pharmas, biotechs et équipementiers: la plupart de ces groupes privés sont cotés en bourse, ou y sont entrés en 2020. Les investisseurs achètent leurs titres pour profiter de l’explosion des profits sur les ventes de vaccins Covid, de flacons pour les transporter ou encore d’équipements médicaux et de traitements. C’est surtout via la hausse fulgurante de leurs actions en bourse que les fondateurs et investisseurs sont devenus les nouveaux milliardaires de la santé, avec le Covid. Cette question d’un enrichissement inouï dans un contexte de crise de santé publique interroge sur l’évolution de nos économies et les valeurs qu’elles véhiculent. Au début du siècle passé, comme on le verra plus loin, la santé relevait du domaine public et les vaccins ne permettaient pas à leurs inventeurs de s’enrichir. En cinquante ans, le développement de vaccins s’est déplacé vers le domaine privé, l’enrichissement lors des crises s’est décomplexé, et les fabricants ont bénéficié de milliards placés par des investisseurs privés. Mais ce qu’on dit moins, c’est qu’ils ont aussi bénéficié d’argent public. La situation est que des entrepreneurs privés réalisent des milliards de profits sur le marché du Covid, en partie grâce aux investisseurs privés, mais aussi grâce au financement public payé par les contribuables.

Le Covid a généré 50 nouveaux milliardaires en 2020

Rien qu’en 2020, le magazine «Forbes» a trouvé 50 nouveaux milliardaires qui le sont devenus grâce au Covid 19. A commencer par les fortunes bâties sur les vaccins Pfizer/BioNTech et Moderna. Le médecin allemand d’origine turque, Uğur Şahin, CEO et cofondateur de BioNTech, a vu sa fortune atteindre 4,2 milliards de dollars. En 2021, le chiffre d’affaires de BioNTech a été multiplié par 100, grâce à la vente des vaccins à travers le monde. Vient ensuite le Français Stéphane Bancel, l’homme d’affaires qui dirige Moderna, la biotech qui a mis au point l’autre vaccin principal. Il avait investi dans le groupe, ce qui a hissé sa fortune personnelle à 4,2 milliards de dollars lui aussi, grâce à l’explosion des ventes. Moderna a également fait deux autres milliardaires: Timothy Springer et Robert Langer, des investisseurs fondateurs, tous deux professeurs à Harvard et au MIT.

Elément intéressant: cette forte financiarisation des pharmas et biotechs, qui passe par les nombreuses entrées en bourse permettant d’enrichir les investisseurs et fondateurs, n’est pas l’apanage des seuls pays occidentaux. Bien au contraire, c’est même en Chine, pays étatiste s’il en est, que le plus de nouveaux milliardaires ont vu le jour. Une trentaine d’entre eux ont rejoint le club à dix chiffres, à la faveur du Covid, en cotant leurs groupes en bourse. A commencer par la Chinoise Yuan Liping, qui est devenue la femme la plus riche du Canada avec 4,1 milliards de dollars grâce à ses parts dans Shenzhen Kangtai Biological Products, fabricant chinois exclusif du vaccin développé par Astra Zeneca et l’Université d’Oxford. De même, Hu Kun, président de Contec Medical Systems, fabricant d’équipements médicaux (oxymètres de pouls, appareils pulmonaires), a vu sa fortune atteindre 3,9 milliards, quand la valeur de sa société a explosé à la bourse de Shenzhen à la suite de la vente de ses équipements, devenus indispensables dans le monde.

On compte aussi l’Italien Sergio Stevanato, devenu milliardaire (1,8 milliard) en fabricant les flacons en verre pour transporter des millions de vaccins dans le monde. Mais aussi des dizaines de milliardaires de biotechs, dont des canadiennes et américaines, qui ont mis au point des traitements à base d’anticorps et des médicaments pour le Covid.

Une manière de voir cela est de saluer cet incroyable dynamisme entrepreneurial qui s’est manifesté à travers le monde, alimenté par les investissements privés, et qui a permis de fournir rapidement les traitements et équipements indispensables à la lutte contre la pandémie.

Mais cela reviendrait à ne voir que la moitié de l’histoire. En effet, ces groupes pharmaceutiques ont bénéficié de fonds publics considérables pour développer les vaccins. BioNTech a reçu pas moins de 445 millions de dollars du gouvernement allemand, en plus de 100 millions d’euros de crédit financé par l’Union européenne. Le gouvernement américain a quant à lui aidé Moderna à hauteur de 1 milliard de dollars. Le vaccin d’AstraZeneca-Oxford a aussi reçu 1 milliard de dollars de financement américain. En tout, le gouvernement américain aurait déboursé 10,5 milliards de dollars de financements pour accélérer le développement de vaccins, pressé par la pandémie. Les Etats-Unis et l’UE se sont en outre engagés à l’avance à acheter des millions de doses à prix élevé, pour offrir un marché garanti aux vaccins, quel que soit le résultat des tests d’efficacité, prenant le risque entrepreneurial à la place de ces groupes, ce qui constitue une autre forme d’aide publique. Ce n’est pas tout: le tremplin de ces percées scientifiques sur l’ARN et la protéine spike, ce sont des décennies d’investissements publics dans la recherche et le développement, notamment par le United States National Institutes of Health, comme l’a démontré l’économiste et professeure britannique à University College London, Mariana Mazzucato.

Coûts publics, bénéfices privatisés

Sauf qu’ensuite, les profits ont été entièrement privatisés. Comme je l’ai souvent expliqué, ce processus s’inscrit dans un nouveau paradigme économique anti-libéral, révélé par la crise financière de 2008: le soutien public inconditionnel et sans retour pour des acteurs privés. On avait aussi vu cela lors de la crise de 2008, quand les banques ont été sauvées unilatéralement par les Etats après avoir engrangé des milliards de profits spéculatifs sur les subprime, qui n’ont jamais été ni restitués ni sanctionnés.

Certes, à travers l’épisode du Covid 19, les acteurs des pharmas et des biotechs ont amené de l’innovation et des solutions indispensables, mais encore une fois, elle repose sur des décennies de recherches publiques. Dès lors, on ne peut faire l’économie d’une discussion sérieuse concernant la répartition des coûts de ces vaccins pour la société, et des bénéfices 100% privatisés. Ni sur la financiarisation du secteur: des cours d’actions qui explosent à la verticale, et des investisseurs qui «dumpent» (vendent) le titre à l’instant où la société annonce des résultats préliminaires prometteurs des tests cliniques. Cela a méchamment tendance à reléguer la mission de livrer des vaccins aux populations du monde en bas des priorités.

Ainsi donc, nous avons en réalité des partenariats publics-privés pour développer les vaccins. Et en face, les groupes privés n’ont pas repayé les aides à l’Etat, n’ont pas partagé les bénéfices. Les titres de ces groupes sont devenus des objets de spéculation lucrative, éloignés de la mission sanitaire de leurs produits. Les Etats, après avoir contribué au développement, ont ensuite acheté ces produits avec l’argent des contribuables. On voit que les flux vont dans un seul sens. Dans l’urgence, les Etats ont échoué à défendre les conditions d’un système vraiment libéral: dans un tel système, le privé prendrait tous ses risques intégralement, sans soutien public. Et, seulement à cette condition, il mériterait d’encaisser tous ses profits intégralement, car le mérite lui en reviendrait en totalité. Mais en réalité, on a encouragé un système de subventions à sens unique, dans lequel les bénéfices des premières doses et suivantes sont gagnés par le privé, alors que la recherche publique du National Institutes of Health a été essentielle dans les percées sur la protéine spike et l’ARN Messager.

Pour Mariana Mazzucato, qui dirige à l’OMS une commission sur la «santé pour tous» («Health for all»), «pour que ces avancées technologiques se traduisent en une santé pour tous, les innovations qui sont créées collectivement doivent être régies par l’intérêt public et non par le profit privé, écrit-elle dans une tribune. Cela est particulièrement vrai quand il s’agit de développer, fabriquer et distribuer des vaccins dans le contexte d’une pandémie.» Face à une offre vaccinale focalisée sur les pays riches, qui ont commandé l’essentiel des vaccins à prix fort, privant largement les pays pauvres de doses basiques, l’économiste plaide contre «un modèle d’innovation biopharmaceutique surfinanciarisé». Elle appelle à l’accès aux vaccins pour tous, à la gratuité et à l’universalité des vaccins. Elle plaide pour l’open science, pour la transparence sur les résultats cliniques vis-à-vis du public et pour une reprise en main étatique de l’investissement dans la santé publique.

Les vaccins, un bien commun ?

Trouver à l’innovation médicale d’autres ressorts que l’hyperfinanciarisation, changer le «business model» pour faire des vaccins un bien commun de l’humanité comme par le passé, sur lequel l’enrichissement n’est pas un objectif, ne sera pas chose aisée, tant la financiarisation est avancée. Pour Pfizer par exemple, la maximisation de la valeur actionnariale reste le but premier, tandis qu’Astra Zeneca s’est au moins engagé à ne pas encaisser de profits «pendant la pandémie» (il restera tout de même difficile d’établir si le fabricant offrira son vaccin à prix coûtant, tant la transparence de ces groupes fait défaut sur le véritable coût de production net).

Et pour finir, un retour dans le passé s’impose, entre les années 1920 et les années 1950, lors desquelles les inventions des plus importants vaccins de notre ère ont eu lieu, contre des maladies extrêmement mortelles. Jetons un coup d’œil dans le rétroviseur, histoire de voir d’où l’on vient, et à quel point le curseur s’est déplacé de la notion de bien public, d’une déconnexion entre science et «big money», vers celle de labos privés valorisés au bénéfice par action et devenus des usines à milliardaires. Prenons les vaccins que nous avons reçus dans notre enfance, tout comme nos enfants: diphtérie, tuberculose, tétanos ou polio. Des maladies qui étaient les premières causes de mortalité infantile.

Les inventeurs de vaccins n’étaient ni investisseurs, ni entrepreneurs, ni startupers, ni hommes d’affaires. Ils ont travaillé pour l’Institut Pasteur, fondation à but non lucratif, ou pour des universités. Ils ont certes accumulé titres, récompenses et médailles pour leurs inventions, ainsi que des Prix Nobel. Ils ont des bustes à leur image et des rues à leur nom. Mais ils n’ont jamais possédé le vaccin, qui n’était pas un produit coté en bourse sur lequel on pouvait parier, et ils n’ont pas fait fortune car ils agissaient dans un cadre public. Gaston Ramon, dont la contribution à la science a été majeure avec les vaccins contre la diphtérie et le tétanos, écrivait en 1936: «Depuis dix années, je n’ai pris ni vacances, ni repos, ni distraction d’aucune sorte…» Il est «entré en science comme en religion», dit de lui l’institut Pasteur.

Quant à l’inventeur du vaccin contre la poliomyélite dans les années 1950, c’est un Américain dont le laboratoire était basé à l’Université de Pittsburgh. Financé par une fondation pour la polio, il a mis au point le vaccin. Il a commencé par le tester sur lui-même et sur sa famille. Pas mal, comme alignement avec les intérêts du public. L’université a annoncé la découverte. Il a renoncé à le faire breveter, de manière à ce qu’il soit accessible aux millions de personnes qui en avaient besoin. Selon les estimations, il aurait renoncé à un bénéfice d’environ 7 milliards de dollars. Un de ses concurrents, Albert Sabin, qui avait développé un vaccin concurrent contre la polio, a fait de même en donnant son invention à l’humanité. Ou quand la science rime avec la classe. Ces personnes ont été couvertes d’honneurs, mais pas de profits illimités, et ont toujours partagé le crédit avec d’autres qui les ont précédés. Pas de doute, l’état d’esprit a bien changé.




Vatican et troisième « vaccin » selon le Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

Par Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

PCB :
Un appel au personnel du Vatican afin qu’il refuse le troisième vaccin

vidéo :https://vkpatriarhat.org/fr/?p=14962
https://pardonnez-moi.wistia.com/medias/2qvhof4ujl
https://bcp-video.org/fr/personnel-du-vatican/
https://ugetube.com/watch/TOivwrJEdMayV1O
https://rumble.com/vsalep-personnel-du-vatican.html
https://cos.tv/videos/play/33366288601486336
https://www.bitchute.com/video/vjIJMFpOjWbx/



Cher personnel du Vatican — cardinaux, évêques, prêtres, ou à toute personne que cela puisse concerner,

Vous avez déjà reçu deux vaccins sous la forte pression du Pape illégitime. Ce faisant, vous avez créé un précédent préjudiciable pour la vaccination obligatoire dans le monde entier. Vous avez causé une grande offense, car votre geste donne l’impression que le vaccin à ARN messager est inoffensif et bon pour la santé, ce qui est un mensonge colossal ! Même si vous n’avez pris qu’un placebo, votre culpabilité pour cette offense trompeuse et causée à beaucoup de personnes, persiste. Sur l’ensemble du personnel du Vatican, seuls trois gardes suisses ont quitté le Vatican de façon honnête. C’est dommage qu’il n’y ait pas de cardinal, d’évêque ou de prêtre qui préfère également quitter le Vatican, plutôt que de prendre part à ce précédent criminel de la vaccination.

Vous avez déjà reçu un ultimatum exigeant cette troisième vaccination avant le 1er février ; sinon vous risquez d’être expulsés du Vatican. Qu’allez-vous faire ? Y a-t-il au moins trois évêques ou prêtres courageux qui quitteront le Vatican à temps ? Tous les experts honnêtes mettent en garde contre cette vaccination. N’avez-vous pas entendu parler du Sommet des médecins qui s’est tenu à Rome, en septembre ? Ses participants ont mis en garde contre le dangereux vaccin à ARN messager. Ils sont soutenus par plus de 12 700 médecins et spécialistes. Nous fournissons au moins quelques déclarations d’experts incorruptibles afin de vous aider à prendre la bonne décision, sur base d’informations vraies.

Le Dr Luc Montagnier : « Ce vaccin constitue le plus grand risque de génocide de toute l’histoire de l’humanité. »

Commentaire : Le professeur Montagnier est lauréat du prix Nobel dans le domaine de la virologie. Aujourd’hui, il met clairement en garde contre le risque de génocide vaccinal. Bergoglio, de son côté, claironne dans le monde entier : « Aujourd’hui, nous devons nous faire vacciner. »

Le Dr Wolfgang Wodarg : « La personne vaccinée devient un organisme génétiquement modifié. Ce qui se passe maintenant frise le génocide. Nous devons les traduire en justice pour crimes contre l’humanité. »

Commentaire : Le professeur Wodarg a longtemps été président du Comité sanitaire du Conseil de l’Europe. Il vous met en garde contre le fait de devenir un organisme génétiquement modifié par le biais de la vaccination ! Il tire la sonnette d’alarme parce que ce crime contre l’humanité constitue une menace de génocide.

Le professeur Alexander Alexeevich Redko : « La vaccination n’est possible que contre des infections stables telles que la rougeole, la rage… On reçoit le vaccin et, ensuite, on est immunisé pour le reste de sa vie. Si le virus mute, il ne peut y avoir de vaccin non nocif contre celui-ci ! »

Commentaire : Le professeur russe A. Redko souligne le non-sens des vaccins Covid en raison de la mutation rapide du virus.

Le Dr Vernon Coleman : « Nous avons une horrible avalanche de preuves montrant que ces maudits vaccins tuent et mutilent des gens… C’est un génocide mondial. Combien de temps les gens vont-ils rester silencieux ? Combien de personnes doivent (encore) mourir ? »

Commentaire : Dès le début, le Dr Coleman a averti que l’affaire du covid, avec son vaccin expérimental à ARN messager, est une fraude organisée.

Le Dr Lawrence Palevsky : « Il a été démontré que la protéine spike provoque une inflammation du cerveau et des dommages neurologiques, des crises cardiaques, des maladies pulmonaires, des maladies du foie et des reins. L’ARN messager permet au corps de produire des protéines spike de façon continue. »

Commentaire : le Dr Palevsky avertit le public que le vaccin à ARNm incite le corps à produire des protéines de pointe de manière continue. La protéine de pointe provoque une inflammation du cerveau et des dommages neurologiques, des crises cardiaques, des maladies pulmonaires, des maladies du foie, des maladies rénales et d’autres maladies.

Pamela Acker, chercheuse dans le secteur des vaccins : « Lorsque vous recevez ce vaccin, vous injectez dans votre corps des morceaux de cet individu qui a été assassiné. Ainsi, vous finissez par perdre votre ADN réel et par avoir l’ADN de ces cellules fœtales avortées qui s’incorpore à vos propres cellules. Dans de nombreux cas, les bébés… parce que cela est fait exprès et à des fins de recherche, donc ils accoucheront effectivement ces bébés par césarienne. Donc, ils enlèvent ces tissus pendant que le bébé est vivant, et cela implique des quantités extrêmes de douleur, ce qui rend le tout encore plus sadique. Les Aztèques, lorsqu’ils consacraient leurs temples, arrachaient littéralement le cœur battant des victimes qu’ils tuaient au sommet des temples, puis jetaient leurs corps sur le côté. C’est à peu près exactement la même chose que font ces chercheurs. »

Commentaire : Bergoglio, ainsi que la Congrégation pour la doctrine de la foi du Vatican et de nombreuses conférences épiscopales, déclarent que ces vaccins sont éthiques. Ils trouvent des excuses en disant qu’il ne s’agit que de quelques lignées cellulaires remontant à environ un demi-siècle. Cependant, une scientifique américaine prouve, sur base de son expérience de première main sur le terrain, que ces crimes de meurtre sadique d’enfants à naître se produisent aujourd’hui !

Le professeur et Dr Jean-Bernard Fourtillan : « Ils ont ainsi déclenché une fausse pandémie, pour nous faire accepter et réclamer un vaccin, soi-disant « salvateur », qui est en fait un poison mortel, destiné à nous contrôler, à nous asservir et, finalement, à nous exterminer, en réduisant la population mondiale selon le plan annoncé par Bill Gates. »

Commentaire : En une évaluation complète, cet expert français montre ce que le vaccin est destiné faire, à savoir mutiler, asservir et finalement exterminer l’humanité. Bergoglio, cependant, prétend absurdement qu’il s’agit d’un acte d’amour.

Le professeur et Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste : « Le grand danger de ce vaccin est que vous injectez le gène du virus dans votre corps. Il va circuler dans le corps et entrer dans des cellules que vous ne connaissez pas. Et je vous préviens, si vous faites cela, vous courez à votre perte. Pour clarifier les choses, je ne me ferai jamais vacciner. »

Commentaire : Ce professeur de microbiologie et chercheur insiste sur les dangers du vaccin à ARN messager et, par son exemple, incite à ne pas se faire vacciner. Son contraire est le pseudo-pape Bergoglio, qui a soumis tout le Vatican à une vaccination criminelle. Il les terrorise à présent pour qu’ils prennent la troisième dose de vaccin.

Carlo Maria Viganò : « On ne peut en aucun cas accepter l’administration de sérums génétiques expérimentaux, au cours de la fabrication desquels des enfants ont été tués au troisième mois de grossesse : leur sang retomberait sur ceux qui les produisent, comme sur ceux qui les imposent, ainsi que sur ceux qui les reçoivent. »

Vous avez entendu une évaluation effectuée par des spécialistes et, enfin, l’attitude morale envers ce dangereux vaccin, qui est associé au meurtre d’enfants à naître. Un chercheur américain témoigne qu’il ne s’agit pas d’une lignée cellulaire du passé, mais que les crimes associés au vaccin se produisent aujourd’hui dans les laboratoires !

Cher personnel du Vatican, cardinaux, évêques, prêtres, ou toute personne que cela puisse concerner ! Par l’autorité de Dieu, nous vous exhortons à vous repentir, c’est-à-dire à rejeter la troisième dose de vaccin. Si vous gâchez cette chance de vous sauver, les paroles de Jésus sur le figuier stérile s’appliqueront à vous. Il sera coupé et chassé de la vigne du Christ.

En même temps, les paroles suivantes s’appliquent aux pharisiens religieux et aux sadducéens libéraux actuels : « Couvée de vipères ! Qui vous a averti de fuir la colère à venir ? Portez donc des fruits dignes de la repentance !… Et même maintenant, la hache est portée à la racine des arbres. C’est pourquoi tout arbre qui ne porte pas de bons fruits sera coupé, et jeté dans le feu éternel. Christ, en tant que juge, nettoiera complètement son aire de battage… Il brûlera la paille à l’aide d’un feu inextinguible ». (cf. Mt 3, 7-12) Il vous dira aussi : « Je ne vous connais pas, d’où que vous veniez. Retirez-vous de Moi, vous tous les ouvriers de l’iniquité de Bergoglio !… Vous serez chassés… Il y aura des pleurs et des grincements de dents ». (cf. Lc 13, 27f) Ces mots de mise en garde contre la vaccination à ARNm vous sont adressés aujourd’hui. Réveillez-vous du sommeil de la mort spirituelle !

La vaccination à ARN messager est un anti-baptême satanique, par lequel une personne tombe sous le pouvoir de l’esprit de mensonge et de mort. Bien que vous le sachiez, avez-vous toujours peur de franchir une étape radicale et de dire clairement NON au troisième vaccin ? Si vous recevez cette troisième dose de vaccin de sang-froid, comment supporterez-vous le jugement de Dieu ? Cette lettre témoignera également contre vous, puisque vous aurez cyniquement rejeté la vérité. Vous avez rejoint la rébellion contre Dieu et le génocide de l’humanité en toute connaissance de cause. Repentez-vous tant qu’il en est encore temps ! Ne prenez pas la troisième dose de vaccin, et quittez le Vatican au plus vite ! Ce faisant, vous donnerez satisfaction concernant l’indignation que vous avez causée en prenant les deux premières doses de vaccin. Il s’agit d’une étape concrète afin que vous soyez sauvés.

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr + Timothée OSBMr

Évêques secrétaires

Le 31 décembre 2021


PCB :
Réponse à la troisième vaccination terroriste au Vatican

vidéo : https://vkpatriarhat.org/fr/?p=14969
https://pardonnez-moi.wistia.com/medias/6yaw0klhkm
https://bcp-video.org/fr/terroriste-au-vatican/
https://rumble.com/vsas5r-troisime-vaccination.html
https://cos.tv/videos/play/33368190643901440
https://www.bitchute.com/video/APLrtKMSfCIK/
https://ugetube.com/watch/BqbSug7MsiLGbzW



Chers Pères du ministère épiscopal,

Le Vatican a annoncé que quiconque parmi le personnel refuserait de recevoir le troisième vaccin avant le 1er février, serait licencié immédiatement, sans préavis.

Rendez-vous compte que vous êtes sous la domination de l’occupant, l’archi-hérétique et criminel Bergoglio. Il vous forcera à exécuter ses crimes contre le Christ et contre l’humanité dans votre diocèse, et dans votre nation. Vous devrez accomplir son projet de vaccination génocidaire. Vous savez certainement que le vaccin à ARN messager perturbe le génome humain, entre autres choses. Il est associé au graphène, à la production de protéines spike et au sang de bébés à naître assassinés de façon sadique. En fait, ce n’est même pas un vaccin, c’est un anti-baptême satanique. En outre, il existe un vain espoir selon lequel tout sera terminé après la troisième vaccination ; il est déjà question d’une quatrième vaccination. Cela ouvre la voie à un système de vaccination permanent, dont le but consiste à transformer les humains en robots biologiques et en organismes génétiquement modifiés. Le résultat final est la réduction de l’humanité, et ensuite ? Le lac de feu.

Vous allez devoir affronter l’enfer éternel si vous ne vous séparez pas de l’anti-évangile vaccinal du Vatican. Vous ne pouvez plus rester passifs ! Dans cette situation, la passivité constitue un crime ! Vous devez vous opposer activement à cette machinerie mortelle. Si vous ne le faites pas, vous serez jugés par Dieu et par les hommes pour avoir trahi le Christ, et pour crimes contre l’humanité.

Le Vatican bergoglien a mis en route la machinerie de la vaccination obligatoire. Ce faisant, il a créé un précédent pernicieux, ainsi qu’une fausse justification morale pour les gouvernements maléfiques. Si vous, les évêques, restez silencieux à ce stade, vous serez les premiers responsables du génocide de votre propre nation. Le gouvernement fera appel au Vatican apostat, et perdra la dernière parcelle de conscience. Mais vous représentez le Vatican au sein de votre nation. Votre passivité est suffisante que pour que la nation soit détruite. Aujourd’hui, vous êtes obligés de sortir de ce crime organisé par le Vatican bergoglien et de lui dire un NON très clair ! C’est là le véritable chemin synodal, et la repentance salvatrice. Si vous n’en sortez pas, votre unité avec la diabolisation programmée sous le Vatican bergoglien aura un impact plus profond que celui des politiciens ou du courant dominant trompeur. À cause de votre trahison, chers évêques, Dieu ne pourra pas intervenir pour sauver votre nation. Mais si vous sortez de ce système malfaisant, la bulle sournoise du Vatican éclatera et Dieu, par votre acte de foi, interviendra pour sauver à la fois l’Église et votre nation.

Chers évêques, une très grande responsabilité vous incombe, à laquelle vous ne pouvez échapper. Vous serez soit des héros, soit des criminels. De plus, cela détermine le salut de votre propre âme : soit vous obtiendrez la couronne de la gloire éternelle, soit vous serez éternellement damnés en enfer avec tout le système sataniste du covid.

Que le serviteur du Christ, Сarlo Maria Viganò, soit pour vous un exemple de bravoure et de fidélité ! Décidez-vous pour Dieu et pour le salut de votre nation, même au prix de devenir une Église des catacombes ou de subir un martyre, sanglant ou non !

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

Le 29 décembre 2021

Abonnez-vous aux newsletters du PCB : forms.sendpulse.com/ef46bd8937/




Le Professeur Patrick Meyer démontre que la vaccination anti-Covid fait exploser la mortalité des 14-44 ans

[Source : medias-presse.info]

[Transmis par Christine Côte]

Par Xavier Celtillos

Les chiffres sont là, tétus et implaccables : le Professeur Patrick Meyer de l’université de Liège démontre que la vaccination anti-Covid fait exploser la mortalité. Il a croisé pour ce faire les données sur les 18 pays européens.

La toxicité des vaccins utilisés ne fait à ce jour plus aucun doute : c’est un empoisonnement globale de la population qui est en cours avec des conséquences gravissimes dont l’observation n’en n’est qu’à ses débuts.

La poursuite de la vaccination devrait donc qualifiée d’homocide volontaire.

Preprint: https://www.researchgate.net/publication/357515205_THE_IMPACT_OF_COVID-19_VACCINES_ON_ALL-CAUSE_MORTALITY_IN_EU_IN_2021_A_MACHINE_LEARNING_PERSPECTIVE

Data : http://www.bioinfo.uliege.be/meyer/covid.html

[Voir aussi :
Covid et spike syndrome : à ne pas confondre !]




Covid et spike syndrome : à ne pas confondre !

Par Jamila Buret

Un précédent article avait pour titre : « En faisant produire la protéine spike par les cellules, vacciner revient à inoculer la maladie ».

Le présent article a pour but de préciser la « maladie » qui est inoculée.

« Malgré un taux de vaccination élevé, la Corée du Sud enregistre la pire épidémie de Covid depuis le début de la pandémie. »

« On remarque une forte proportion de personnes vaccinées parmi les malades du Covid hospitalisés ou en soins intensifs. »

« Les risques de contamination sont plus élevés chez les vaccinés que chez les non-vaccinés ».

Ces constats d’une recrudescence de l’épidémie reviennent de plus en plus, surtout dans les pays à forte couverture vaccinale.

Première réaction logique : les vaccins anti Covid ne protègent pas de l’infection au virus SARS-CoV-2 ni des formes graves. Et cette inefficacité augmente avec le nombre de doses injectées ainsi qu’avec chaque nouveau variant ! Alors, à quoi servent ces vaccins ?

Deuxième réaction : celle des spécialistes qui cherchent des explications.

La première explication possible est la facilitation de l’infection par les anticorps ou ADE (antibody dependent enhancement), que l’on appelle aussi « maladie aggravée par la vaccination » (vaccine-associated enhanced disease), qui s’applique à tous les coronavirus. Au lieu de protéger de la maladie en cas de contact avec le virus, le vaccin facilite l’infection !

Une autre possibilité concerne les problèmes d’immunodéficience : plus de 140 études publiées à ce jour montrent que la protéine Spike provoque une perturbation et un dérèglement majeurs du système immunitaire de l’hôte humain.

Une troisième explication consisterait à remettre en cause le diagnostic de Covid (maladie due à l’infection par le coronavirus SARS-CoV-2) chez une partie des personnes vaccinées. On aurait tendance à mettre l’étiquette « Covid » sur des symptômes qui ne sont pas dus à une infection par le SARS-CoV-2, mais à un effet indésirable du vaccin, lié à la toxicité de la protéine spike.

Cet article est un essai de démonstration de cette dernière hypothèse.

Rappelons que le diagnostic du Covid est basé essentiellement sur le test PCR.

1 Diagnostic du Covid

En Fac de médecine, les étudiants apprennent que chaque maladie est caractérisée par son tableau clinique : l’ensemble des symptômes de cette maladie. Et les médecins ont toujours diagnostiqué la maladie lors d’une consultation, par l’examen des symptômes présentés par le patient ; ils ne font éventuellement appel à des tests, analyses, IRM, etc., que pour confirmer et/ou préciser le diagnostic.

Dans le cas du Covid, on s’est focalisé sur les seuls tests PCR pour diagnostiquer la maladie et l’on a assimilé « cas positif » à malade, même en l’absence de symptômes ; alors qu’un vrai malade présente des signes cliniques (fièvre, toux, migraine…).

Cette pseudo-pandémie a introduit plusieurs concepts nouveaux en médecine, comme le « cas positif » ou simplement « cas », et grâce à la propagande des médias mainstream, l’immense majorité du public confond désormais « cas » et malade. Ce qui est une aberration ! Répétons-le encore une fois : un malade, pour n’importe quelle maladie, présente des symptômes de cette maladie !

Autres nouveaux concepts : « cas asymptomatique », « cas contact », « cluster ».

Le choix de caractériser l’épidémie par le nombre de cas a permis d’en amplifier la gravité, alors que, traditionnellement, les épidémiologistes se sont toujours référés à la mortalité.

Tests PCR

« Le test PCR est un processus. Il ne vous dit pas que vous êtes malade ».

DrKaryMullis, lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, décédé en août 2019.

La RT-PCR est une technique d’amplification de matériel génétique nécessaire dans des recherches en laboratoire. Son inventeur, à plusieurs reprises, a insisté pour dire qu’elle ne pouvait en aucun cas être utilisée pour le diagnostic de maladies virales.

De plus, les tests PCR utilisés pour détecter les « cas positifs » ont été imposés à la population dans des conditions techniques discutables : absence de standardisation, nombre de cycles d’amplification trop élevé (40 à 50), responsable d’un très grand nombre de faux positifs, manque de spécificité.

Ainsi, plus on réalisait de tests, plus on augmentait le nombre de cas positifs, au point que l’on a pu parler « d’épidémie de cas ». Et c’est sur ce nombre de cas, anormalement élevé, et sans aucune signification quant à l’ampleur de l’épidémie (puisqu’un cas n’est pas un malade), que se sont basées toutes les prédictions menaçantes de « nième vague », d’hécatombe annoncée, justifiant des mesures restrictives et liberticides de plus en plus sévères.

Et cela continue avec le variant omicron, qui, bien que très contagieux est très peu létal.

Cependant, en juillet 2021, une véritable bombe (passée inaperçue) a éclaté : le CDC américain ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid » !

Et à partir du 1er janvier 2022, il doit retirersa demande à la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis,d’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) du panel de diagnostic RT-PCR, introduit en février 2020.

Le CDC reconnaît que le test PCR n’est pas spécifique : » les résultats positifs du test PCR n’excluent pas une infection bactérienne ou une co-infection par d’autres virus ». Ce test ne peut donc pas identifier le SARS-CoV-2 et ses variants ; pas plus qu’il ne peut faire la différence entre ce virus et ceux de la grippe ou du rhume.

Mais cette décision du CDC n’a pas été diffusée dans les médias et les cas positifs détectés par PCR continuent à être systématiquement classés dans la catégorie « cas confirmés du variant Covid-19 Omicron », même si l’on est en pleine période de grippe et de rhume.

Ainsi, la pseudo-pandémie de Covid a été basée sur des tests défectueux et non valides. Plusieurs milliards de personnes, dans plus de 190 pays, ont été testées, et les 260 millions de « cas positifs », détectés et présentés comme des cas confirmés de Covid, n’ont plus aucun sens au vu de la déclaration du CDC.

Sans parler du coût prohibitif de tous ces tests.

2 Toxicité de la protéine spike

Depuis le début de la pandémie, de nombreux chercheurs se sont intéressés à la protéine spike de surface du virus SARS-CoV-2 et ils ont découvert que cette protéine est un facteur de virulence essentiel du virus. Or, c’est justement cette protéine qui a été choisie comme antigène dans les vaccins à ARNm ou à ADN.

Ainsi, le vaccin anti-Covid est une injection de milliers de milliards de paquets ARNm qui transforment le corps du vacciné en une « usine de production » de protéines spike. Et cela concerne des millions de personnes vaccinées. Il est donc essentiel de comprendre les effets biologiques de cette protéine, à court, moyen et long termes.

Les résultats de centaines d’études montrent que ses nombreuses potentialités toxiques sont autonomes de la présence du virus SARS-CoV-2 et peuvent reproduire des manifestations cliniques de la maladie Covid (processus inflammatoires, thromboses, dysfonctionnements pulmonaires, neurologiques, cardiovasculaires, hépatiques, intestinaux, rénaux, ORL, cutanés, conjonctivaux).

Et de nouveaux effets pathogènes de la protéine spike continuent d’être découverts : déclenchements d’auto-anticorps ACE2 (maladies microvasculaires systémiques) ; problèmes de réparation de l’ADN ; affinité pour des protéines anti cancéreuses ; problèmes d’immunodéficience.

ttps://www.francesoir.fr/societe-science-tech/sars-cov2-alertes-sur-les-potentialites-toxiques-de-la-proteine-spike

https://www.francesoir.fr/societe-sante/la-proteine-de-pointe-du-nouveau-coronavirus-joue-un-role-cle

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/arn-vaccinaux-de-pfizer-producteurs-de-proteines-spikes

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/pourquoi-la-proteine-spike-est-toxique-dans-le-Covid-19-et-aussi-dans-les-vaccins

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/nous-ne-sommes-pas-anti-vax-nous-sommes-anti-spike

En résumé, le problème des vaccins anti-Covid à ARNm ou à ADN est que la protéine spike qu’ils font fabriquer par les cellules a la même toxicité que la protéine spike du SARS-CoV-2.

De plus, avec la deuxième, la troisième, la nième injection, c’est à chaque fois un nouveau boost de protéine spike qui est produit, alors même que les anticorps et l’organisme sont en train de travailler à son élimination. Cela revient à jeter de l’huile sur le feu ! Et c’est totalement inutile contre les nouveaux variants, car c’est justement la protéine spike qui subit les mutations à chaque fois.

3 Effets indésirables des vaccins

La similitude entre les symptômes du Covid et les effets indésirables des vaccins a été relevée par de nombreux médecins qui se sont arrêtés à ce constat.

Mais on peut aller plus loin et, au vu de la toxicité de la protéine spike seule, au vu de la non-spécificité et du manque de fiabilité des tests PCR, on peut déduire qu’une partie des personnes vaccinées, apparemment malades du Covid, ne sont pas infectées par le virus SARS-CoV-2.

Elles présentent en fait les symptômes de ce que l’on pourrait appeler le « ’spike syndrome » qui est un effet indésirable des vaccins dû aux effets pathogènes de la protéine spike.

En d’autres termes, en l’absence d’infection par le virus ou par un de ses variants, une personne vaccinée peut présenter un tableau clinique de la maladie Covid, assorti d’un test positif, alors qu’il s’agit d’un effet indésirable du vaccin, ce que l’on pourrait appeler un « Covid vaccinal » ou « spike syndrome ».

Dans ce cas, il ne s’agit pas d’un manque d’efficacité du vaccin par rapport à l’infection, mais d’une maladie induite par le vaccin et que l’on confond avec le Covid.

La recrudescence de l’épidémie dans les pays à forte couverture vaccinale n’est donc vraie qu’en partie. En réalité, il s’agit aussi d’effets indésirables des vaccins apparaissant comme une maladie Covid.

Est-il possible de différencier les deux maladies ? Certainement pas avec les tests PCR qui ne sont pas spécifiques et doivent probablement aussi détecter la protéine spike seule. Cependant, le CDC a proposé aux laboratoires l’adoption d’une méthode multiplexée afin de différencier le SARS-CoV-2 du virus de la grippe.

Conclusion

Le choix de la protéine spike comme antigène dans les vaccins anti-Covid a été le pire choix possible, au point que l’on peut se demander si c’est une simple coincidence…

D’abord, comme nous l’avons vu, en raison des nombreux effets pathogènes de cette protéine.

Ensuite, à cause de la réponse immunitaire du corps : seuls des anticorps anti-spike sont fabriqués après vaccination, alors que c’est justement sur la protéine spike que les mutations des différents variants se sont faites. D’où l’inefficacité des vaccins pour ces variants. Alors que dans une infection naturelle, le corps réagit contre plusieurs protéines du virus et produit les anticorps correspondants.

Quant à la recrudescence annoncée de la pandémie, des réserves sérieuses doivent être faites, à cause de la non-fiabilité des tests PCR, mais aussi à cause du spike syndrome que l’on confond avec l’infection au virus.

L’étiquette « Covid » est finalement bien commode pour masquer et maquiller une maladie vaccinale en infection virale ; pour « blanchir » certains effets indésirables des vaccins anti Covid !

Un exemple récent vient conforter cette hypothèse ; il s’agit d’une information diffusée le 31/12/2021 :

« 2/3 des 25 membres de la station polaire belge sont testés positifs au Covid, après 17 semaines de confinement, bien que complètement vaccinés, testés au test PCR avant leur arrivée, et vivant à des milliers de kilomètres du monde civilisé ».

En fait, chaque fois qu’une personne vaccinée est déclarée malade du Covid, après un test PCR positif et avec ou sans symptômes, il faudrait remettre en cause ce diagnostic : est-elle vraiment infectée par le virus ou bien est-ce plutôt un effet indésirable du vaccin, le « ’spike syndrome » ?

De plus, avec la multiplication des doses injectées, on relance à chaque fois le processus de production de protéine spike, augmentant du même coup les risques d’effets secondaires. Actuellement, les personnes vaccinées triple dose sont les plus atteintes (par le nouveau variant omicron ??).

Va-t-on, à chaque nouvelle dose injectée, inventer un nouveau variant plus « méchant » que les précédents pour expliquer la recrudescence des effets indésirables ??

Quant à la propagation de protéines spike par les vaccinés, des études doivent encore être réalisées pour préciser cet aspect de la vaccination.


À propos de l’auteure

Jamila Buret est scientifique, docteure en physique, professeure universitaire à la retraite.




Covid-19 — L’art de raisonner juste sur des hypothèses fausses

[Source : https://micheldogna.fr]

[Illustration : des hypothèses fausses ne peuvent qu’entraîner des conclusions fausses.]

Par Michel Dogna

[Note de Joseph :

Syllogisme et sophisme

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond à la réalité, aux faits observables (et parfois mesurables) ou objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut être cohérente et logique ou sembler l’être de prime abord avec un regard superficiel, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel. Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ». Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ». La théorie virale relève de syllogisme, de sophisme et/ou d’illusion mentale ou intellectuelle, même si elle est presque mondialement considérée comme fondée et valable. (Voir aussi plus bas.)

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).]

Revenons début janvier 2020 à Wuhan : des gens tombent subitement morts en marchant dans la rue, d’autres meurent en quelques minutes d’une embolie pulmonaire, d’autres d’une crise cardiaque fatale… Panique !

Hypothèse officielle :

Un méchant coronavirus grippal nommé COV 19 échappé accidentellement du laboratoire P4 (haute sécurité expérimentale) de Wuhan — ceci agrémenté d’une histoire à dormir debout avec des pangolins et des chauves-souris…

Réalités associées :

  1. En décembre 2019 toute la population de Wuhan a reçu un vaccin obligatoire (déjà ARNmessager) contre la grippe, qui on le sait maintenant, a pour premier effet (confidentiellement classique) de faire chuter toutes les défenses immunitaires. Mais ce n’est pas tout, nous avons pu apprendre plus tard par la Dr Karen Kingston — ex-employée Pfizer, que ce vaccin avait été chargé d’oxyde de graphène nano – preuves à l’appui les factures du principal fabricant chinois qui attestent une très grosse vente aux grands labos à cette époque (revoir « Le grand secret de Pfizer » — news du 26 août 2021). On apprendra quelques mois plus tard par la Quinta Columna espagnole que tous les vaccins ARNm contiennent de l’oxyde de graphène qui génèrent des milliers de micro caillots sanguins. Ceux-ci ayant tendance à s’agglutiner occasionnent des thromboses subites, souvent fatales.
     
  2. 10 000 antennes relais 5G qui avaient été préalablement installées dans Wuhan ont été mises en service pile en même temps que l’alerte de l’hécatombe Corona Covid.
    Des études d’un laboratoire de recherche indépendant ont mis en évidence qu’une nouvelle fréquence porteuse 60 gigahertz de la 5G excite les atomes d’oxygène ambiant le rendant partiellement inutilisable par l’hémoglobine du sang — des pluies d’oiseaux et d’insectes morts en vol furent relatées à cette époque dans des journaux, ceci confirmant l’action asphyxiante du rayonnement 5G 60 gigahertz.
     
  3. On ne parle guère non plus de la protéine Spike des vaxx ARNm qui, à l’aide de l’hydrogel Darpa, s’invite à l’intérieur des cellules qu’elle rencontre, et embauche leur ARN pour la dupliquer à l’infini dans tout le corps — ceci endommageant gravement, voire mortellement, les réactions immunitaires face aux agressions des variants à venir. J’en reste là par souci de concision.

Arrêter de se tromper de cible

Nous avons là trois armes de destruction massive complémentaires et non répertoriées — puisqu’invisibles — qui ont permis de stigmatiser au départ le monde entier par des effets effrayants d’une soi-disant pandémie corona — car il fallait que personne ne comprenne l’origine top secret de la catastrophe. Oui il fallait un leurre, un faux drapeau pour détourner l’attention du public, et ce leurre a été le CoV 19 une simple grosse grippe que l’on a montée en mayonnaise, en interdisant tous les remèdes basiques efficaces.

Même la plupart des scientifiques s’y sont laissés prendre ! J’en suis aussi étonné que consterné, car je continue à voir encore maintenant au bout de deux ans, que parmi la plupart des « poids lourds » de la recherche et de la médecine, aucun, à part quelques rares « hors-pistes », ne relève la tête du guidon Covid/variants et ne prend en compte ce trio fatal « graphène/5G/spike ». Même chose dans la majorité des débats TV et vidéos !

On ne sort pas de ce mirage viral !!!

  • NOTA : savez-vous que tout vaxxé est sans le savoir porteur d’un identifiant détectable par un simple tél portable androïde ?

Quel est le rôle réel des 3, 4, 5e doses, dites « Boosters » ?

Nous avions vu que l’oxyde de graphène nano rend notre corps supraconducteur magnétique et électrique et en fait une excellente antenne. De son côté, la 5G sert de porteuse de télécommande pour programmer le corps (et éventuellement l’esprit) des vaxxés.
Mais nous avions vu aussi que le graphène rencontre des ennemis in situ, qui sont le L-Glutathion et possiblement les antidotes qui sont : la TM gemmo d’aiguille de pin et/ou le dioyde de chlore ClO²- – du Sanchlor. Donc, avec les semaines et les mois, les vaxxés s’appauvrissent en oxyde de graphène, ceci handicapant le contact radio de la 5G.

Considérez donc que les doses dites vaccinales anti-variants sont encore un joli mensonge — le seul but est de vous recharger en graphène pour entretenir le contact avec votre « maître » qu’est devenue la 5 G !

À titre de conclusion

  • Combien de temps va-t-on encore faire passer pour des vaccins, des soupes de Frankenstein qui ne sont faites que pour falsifier notre ARN puis notre ADN, ceci pour nous diminuer et non nous augmenter, nous blesser et non nous nous protéger, et faire des 10 % de survivants prévus « des robots » corvéables et jetables à souhait ?
     
  • Combien de temps va-t-on continuer à disserter à l’infini sur des chiffres et des statistiques contradictoires qui ne mènent qu’à des mesures de second ordre, autour d’un virus qui a vécu 70 jours comme tous les virus et qu’on n’a même jamais su isoler, ou de ses multiples variants aussi éphémères, vers un bourbier sans fin et sans solutions ?
     
  • Combien de millions de morts prématurées ou subites post vaccinales, combien de millions de grands-parents (les soi-disant inutiles), combien de millions de jeunes détruits physiquement et mentalement va-t-il falloir pour que le peuple sorte de sa torpeur disciplinée pour enfin, sans même avoir à se battre, DIRE ENSEMBLE NON A TOUT, ET ARRÊTER D’OBÉIR aux tyrans criminels ainsi qu’à leurs valets collabos profiteurs corrompus.
     
  • Rien ni personne ne peut faire quoique ce soit contre cela.
     
  • Nota : militaires, gendarmes et diverses forces de l’ordre n’attendent que cela pour se joindre au peuple et le soutenir.

[Voir aussi :

L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)


Articles liés à la thérie virale, la vaccination et la santé en général :

Quelques bons gros mensonges scientifiques
Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910
1968-2018 : la descente aux enfers !
Si seulement les humains étaient aussi bons que les animaux. Le monde aurait alors de l’espoir
Coup de froid
Prendre sa santé en main
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Articles récents :
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie

Sur le graphène :
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

Sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

Sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

Sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
Dossier 5G et ondes pulsées

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]

Meurtre par injection

Dans « Meurtre par injection : histoire de la conspiration mondiale contre la santé », Eustace Mullins décrit, preuves à l’appui, la prise de contrôle par un groupe privé aux mains des Rockefeller de toute l’organisation de la santé aux États-Unis, depuis les facultés de médecine jusqu’aux organismes dits caritatifs, en passant par l’industrie pharmaceutique et les assurances médicales. Mais il y a pire dans ce qu’a découvert l’auteur : cette mainmise a été permise grâce à la complaisance, voire la complicité d’agents fédéraux censés œuvrer pour le bien commun et non pour les intérêts d’une petite élite financière aux visées messianiques et impérialistes.

Lire la suite]




JE SUIS EN COLÈRE, par Michelle d’Astier de la Vigerie

[Source : michelledastier.com]

Par Michelle d’Astier de la Vigerie

À monsieur le fallacieux Président de la France

J’apprends avec stupeur, par votre bouche, que je ne suis pas une citoyenne française. Ah bon ? On a pourtant toutes les traces de ma lignée française depuis des siècles (ça remonte à l’époque de Jeanne d’Arc, mon ancêtre s’étant illustré à la guerre par son courage et ayant reçu le titre de chevalier lors du combat des Trente). Bien plus récemment un de mes oncles était conseiller de J. Chirac et député européen. Il y a eu bien d’autres serviteurs de l’État dans cette lignée illustre.

– Là, je parle de ma lignée de Silguy, qui a donné beaucoup de ses enfants pour la France …

Et la vôtre, E. Macron ?

En sus, vous injuriez 5 millions de Français en employant un langage de charretier, avec la grossièreté d’un gamin élevé dans le ruisseau ou celui d’un malfrat de banlieue !

Vous qui vous arrogez le titre de chef des armées sans avoir même fait votre service militaire, pourtant encore obligatoire quand vous auriez dû être incorporé… À peine élu par magouille, vous avez osé parler avec mépris au général de Villiers, mille fois supérieur à vous, à tous niveaux, et surtout au niveau de l’intégrité morale et de l’honneur. Vous auriez pu pourtant, des années auparavant, être condamné comme déserteur. C’eût été juste, puisque vous l’êtes toujours: traître et déserteur de vos responsabilités vis-à-vis de la France et des Français.

L’irresponsable, on a compris depuis longtemps qui l’était vraiment*.

* Lire mon commentaire du 8/1/21


– Je parle aussi en tant que Michelle d’Astier de la Vigerie, nom que je porte depuis 57 ans.  J’ai fait partie de cabinets ministériels, de Conseils régionaux, j’ai travaillé pour A. Chalandon, j’étais une gaulliste de la première heure durant l’élection du Général comme Président de la France (j’ai 80 ans) mais la famille d’Astier à laquelle je suis alliée a fait hautement partie de la Résistance, avec trois Compagnons de la Libération et bien d’autres héros qui ont lutté pour la libération du pays, dont mon ex-mari, ma belle sœur, leurs cousins et cousines… et j’ai passé une bonne partie de ma vie au milieu de ces Résistants. C’est communicatif, l’héroïsme, quand on a les bonnes dispositions de cœur et l’héritage d’hommes valeureux.

Mais me voici désormais même plus digne de la citoyenneté française, selon vos propos. Est-ce cela, le nouveau négationnisme du macronisme, et celui de la lie politique qui l’entoure ?

Vous n’avez même plus peur du ridicule…


Comme j’ai des tripes pour MON PAYS que j’aime, pour MA France, je milite jusqu’à épuisement depuis le début de la « plandémie » – presque deux ans – car j’ai immédiatement détecté vos MENSONGES ET MANIPULATIONS, surtout avec vos contradictions successives, la trahison de vos promesses, et surtout votre soumission coupable à ce qui était dicté, mois par mois, et même avec un long temps d’avance*, par un groupuscule de décideurs mondiaux – décideurs en se faisant des fortunes sur le dos des populations -. Un groupuscule d’où émergent quelques noms, bien sûr: Bigpharma, Pfizer, Moderna, Schwab, Attali, Soros, Bill Gates, GAFAM… le micromacron n’étant au final qu’un outil formaté par ces requins qui vous dévoreront quand vous ne leur servirez plus à rien.

* (j’ai pu voir plusieurs des documents distribués aux responsables des pays occidentaux, et je sais que vous aviez des rencontres secrètes à Bruxelles, notamment avec A. Merkel, à 2 h ou 3 h du matin, pour y recevoir votre feuille de route)

Je ne parle même pas de vos pieds nickelés successifs, E. Philippe, Castex, Véran, Buzyn, Attal, et quelques autres sinistres, sans compter tous les parlementaires corrompus – à moins qu’ils soient idiots – qui se font les chantres de votre objectif : DÉTRUIRE LA FRANCE ET LES FRANÇAIS sous prétexte – Pouah ! – de vouloir leur bien.

Mais non, ils ne sont pas idiots, ces députés, puisqu’ils ont voté pour eux-mêmes la non obligation d’un pass sanitaire. Tout le monde sait que les coronavirus s’arrêtent net quand ils voient la carte de visite des députés ! Nul doute qu’ils vont aussi voter pour eux-mêmes l’abstention de devoir présenter un pass vaccinal pour aller festoyer ensemble dans les chics restaurants de leur choix ou se pavaner dans leurs meetings électoraux.

J’oubliais, il paraît que les virus sont allergiques aux meetings électoraux. Selon la rumeur, ils préfèrent les petits restos tranquilles, surtout les comptoirs de bistrots où les braves Français aimaient venir se détendre après une dure journée de boulot. Évidemment, je vous parle d’un monde qui doit être situé, pour vous, sur la planète Mars…

Au fait, accepteriez-vous que l’on vous fasse des tests, dans un laboratoire indépendant assermenté, pour voir si vos « vaxxins » expérimentaux, ceux qu’on vous a soi-disant injectés, étaient bien composés d’oxyde de graphène, de protéine Spike, de nano particules, d’ARN messager, de RMC5…, ou étaient simplement une injection de vitamines ? Et vos ministres ? Et les membres de votre « Conseil scientifique » ? Du Conseil d’État ? Du Conseil Constitutionnel ? Et tous les parlementaires se prétendant vaxxinés ?

CHICHE, Mr le fallacieux président de la France et des Français ! Allez, chiche ! Parce que vos « fuites » de QR code, quelle mascarade ! Et votre chère et tendre Brigitte – Jean-Michel pour les intimes -, s’y prêterait-elle par amour pour la vérité, elle qui sait toujours paraître si sincère ?

CHICHE, Emmanuel, chiche !

Selon vos propres critères, vous êtes un ennemi de la France vous qui voulez éliminer le maximum de Français grâce à une injection qui va provoquer une hécatombe grandissante, selon les spécialistes qui savent ce dont ils parlent et que vous faites taire part tous les moyens ; vous qui faites stériliser par le vax les jeunes femmes, les ados, et même les gamins  pour qu’ils ne se reproduisent pas ; vous qui divisez familles, villages, communautés, via une propagande perverse ; vous qui jetez à la vindicte publique sa portion la plus lucide, courageuse et patriote… C’est vous qui devez être déchu de la citoyenneté française.

Même chose pour vos sbires. Tous vous devriez être traduits devant un tribunal militaire pour haute trahison, crime contre l’humanité et intelligence avec l’ennemi, dont vos copains Attali et Schwab, parmi bien d’autres. Et puisque vous avez trahi et fait trahir par nos Institutions, soigneusement et méthodiquement corrompues, quantités de conventions internationales, après avoir tordu et piétiné notre Constitution, un Tribunal style Nuremberg serait bien adapté, puisque vous avez programmé le GÉNOCIDE de MON pays :  les effets à terme du vaxx ont été annoncés par des sommités scientifiques, sans compter l’ex vice-président, et l’ex directeur de Pfizer, tous deux, et pour cause, démissionnaires. Et ces effets que vous tentez encore et encore de camoufler – malgré des preuves internationales criantes – se font déjà sentir dramatiquement partout.

VOUS ÊTES UN ASSASSIN, FROID, CALCULATEUR, PRÊT À ANÉANTIR LA FRANCE ET LES FRANÇAIS, CONTRE DE PITOYABLES SIÈGES D’HONNEUR ET CONTRE DES PARACHUTES DORÉS.


LA FRANCE, C’EST MON PAYS. PAS LE VÔTRE ! CAR C’EST BIEN VOUS QUI EN ÊTES INDIGNE. C’EST VOUS, LE TOUT PREMIER, QUI DEVEZ ÊTRE DÉCHU DE LA CITOYENNETÉ FRANÇAISE, ET NON PAS MOI, NI  AUCUN DES RÉSISTANTS COURAGEUX QUE VOUS VOULEZ FAIRE ÉCHARPER PAR CEUX QUE VOUS AVEZ FORCÉS, PAR LA RUSE, LE MENSONGE OU LA MENACE, À SE FAIRE EMPOISONNER.

Je milite, pour avertir mes amis les Français, avec mes moyens. J’ai repris à 79 ans mon travail de journaliste. Les nouvelles arrivent du monde entier, comme un tourbillon, évidemment des informations soigneusement zappées par nos médias subventionnés (donc payés par nous !) et corrompus par la pieuvre Vingard et ses succursales pharmaceutiques et chimiques, pour débiter le mensonge, les fake news (distillés par votre staff de bénis-oui-oui pourris) et la désinformation systématique… Vous crachez le mot de « complotistes » pour désigner les RÉSISTANTS. Vous n’étiez pas né quand j’étais entourée de RÉSISTANTS, les vieux de la veille, ceux qui donnaient leur vie par amour pour leur pays, et qui eux, ne détruisaient pas la vie de leurs compatriotes par avidité du pouvoir et de l’argent.

Vous croyez pouvoir vous servir de mots stigmatisants, en les rendant méprisants. Mais quand quelqu’un voit un complot là où il n’y en a pas, le mot juste est : « paranoïaque », pas « complotiste ». Ce dernier est quasiment toujours un observateur lucide, un chercheur de vérité, un vrai journaliste… et un vrai Français sachant parler le français. Ce que vous n’êtes pas…

Donc j’écris, je relaye les infos venant de gens qui connaissent et aiment la vérité, qui la trouvent, et qui mettent parfois leur liberté et leur vie en danger pour la diffuser et sauver le plus possible de ceux qui les écouteront et qui discerneront qui dit la VÉRITÉ !

Cela, c’est juste mon travail de citoyenne française, française depuis une cinquantaine de générations…

Venez me faire chercher par vos sbires, E.Macron, pour me faire déchoir de la citoyenneté française, puisque je refuse vos manipulations et vos mensonges et que j’ai le tort (à vos yeux) d’aimer mon pays et d’avoir une sainte colère contre vos menées pour le détruire et détruire ses enfants, son génie, son Histoire, sa Culture, sa langue, son esprit, sa brillance reconnue mondialement.

Moi, je suis fière d’être française. Vous pourriez me déchoir de la nationalité que j’ai reçue – par droit millénaire – à ma naissance, je me sentirai encore mille fois plus française.

À moins que vous ne vouliez me faire vacciner de force alors que JE SAIS, vu mes pathologies, que j’en mourrais très vite car je sais ce que contient vraiment l’injection. Mais j’oubliais, même pas besoin de l’injection pour m’éliminer : vous haïssez tant les « vieux » que vous les faites assassiner au Rivotril sur ordonnance de votre ministre « de la mortalité programmée », en interdisant qu’on les soigne, comme vous avez fait interdire, avant même que la « plandémie » soit déclarée, un précieux médicament peu cher et délivré sans ordonnance en pharmacie depuis des décennies, mais qui avait pour grave défaut de pouvoir guérir les malades avant qu’ils soient expédiés – trop tard – en réanimation après l’ »ordre » gouvernemental de rester chez soi avec du paracétamol. Car il fallait remplir par tous moyens les hôpitaux, pour entretenir la panique, tout en supprimant – poursuivant ainsi le planning de vos prédécesseurs -, des milliers de lits, et ensuite, par coercition, des centaines de milliers de soignants, et ce pour parachever votre objectif de mettre les Français sous terreur pour qu’ils obéissent comme des moutons, sans même se poser de question – comme planifié dans toutes les nations du monde, et ce en même temps – .

Ah, la Terreur ! Le plus vieux truc du monde pour instaurer une dictature. Il suffisait juste de fabriquer le virus adéquat et de le répandre par tous les moyens possibles. C’était préparé de longue date, cela, comme l’avouait déjà votre copain Attali il y a quarante ans. Et là, je ne parle que de la France. 70 ans aux USA, avec les précieux conseils du docteur Mengele ?

À ce stade, je pourrais déjà vous dire que vous avez manqué votre but ! Et vos comparses avec. Vous avez sous-estimé l’intelligence des populations, la lucidité de beaucoup, la persévérance sans faille des RÉSISTANTS, car quand on touche à leur pays, ils sortent les griffes, même s’ils doivent y laisser leur vie ! C’est leur force et ça les rend indomptables et invincibles. Quand on  en élimine un, il s’en lève mille…

Vous êtes allé trop vite, vous et vos comparses. Car je sais des choses que vous ignorez, faute que vous ayez un esprit réveillé par l’Esprit de VÉRITÉ. Je ne vais pas tout vous expliquer, car vous avez ‘l’intelligence obscurcie », comme disait l’apôtre Paul face aux mécréants et autres adorateurs de faux dieux, type Baphomet ou la déesse Gaïa… Sans oublier bien sûr Mammon, alias Satan, le prince de ce monde, grand distributeur d’un fric qui n’appartient pourtant qu’à Dieu :

C’est à moi qu’appartient tout l’argent et tout l’or. Voilà ce que déclare le Seigneur des armées célestes.

Aggée 2:8

Quand Il le voudra, Dieu vous enlèvera TOUT, ABSOLUMENT TOUT !——-

Je le sais, car j’ai une toute autre mission en parallèle, une mission qui me conduit à savoir écouter et entendre mon Dieu. Dieu ne fait rien sans avoir averti ses serviteurs, les prophètes. C’est écrit.

J’ai une révélation pour vous, monsieur l’ignorant : mon Dieu est PROPRIÉTAIRE DE LA FRANCE.

C’est moi qui ai fait la terre, les hommes et les animaux qui sont sur la terre, par ma grande puissance et par mon bras étendu, et je donne la terre à qui cela me plaît.

Jérémie 27:5

Arrêtez, et sachez que je suis Dieu : Je domine sur les nations, je domine sur la terre.

Psaumes 46:11

Car à l’Eternel appartient le règne : Il domine sur les nations.

Psaumes 22:29

Je sais qu’il vous est arrivé de vous poser des questions : des amis à moi ont été envoyés en esprit pour vous interpeler.  Mais votre orgueil était bien trop colossal pour entendre.

Ma Mission parallèle est de lever une armée d’intercesseurs, ce que je fais depuis deux ans. Oh oui, Dieu semble mettre du temps à répondre à nos prières, bien que nous ayons reçu de Sa part beaucoup de promesses. Mais voilà, Dieu a en vue une stratégie bien supérieure à celle de nous ramener à notre « vie d’avant ». Il veut que la France crie à Lui, revienne à SA loi, ce qui annulera immédiatement toutes vos lois immondes, porteuses des malédictions qui déferlent maintenant sur le pays, et c’est bien pour cela qu’Il vous laisse vous enfoncer dans la méchanceté, dans la cruauté, dans la manipulation et dans le mensonge et promulguer des restrictions et obligations de plus en plus écœurantes, destructrices et aberrantes.

Car Il veut que les yeux s’ouvrent !

Et vous, durant ce temps, qui jouissez de votre pouvoir en vous croyant invulnérable ! C’est visible, et pour moi, tristement risible et dérisoire. J’en ai connu tant, des comme vous, vides tout autant qu’avides, médiocres parmi les médiocres, qui se sentent gonfler comme Jupiter (la planète gazeuse) dès qu’on leur donne une once de pouvoir. Cela se voit dans toutes les strates de la société. Mais en haut de l’échelle, le gaz devient explosif…

Vous ne le savez pas, mais vous êtes un instrument de Dieu POUR QUE LA FRANCE PLIE LE GENOU DEVANT SON ROI. Dans votre dictature génocidaire, de plus en plus de Français, par millions, commencent à crier à Dieu, À SE RÉVEILLER, et cela comprend bien sûr des chrétiens attiédis que Dieu vomissait de Sa bouche, tout comme Il vous vomit, mais beaucoup vont entendre, enfin, la voix du Roi des rois, Jésus-Christ, Roi de France. Car, depuis Clovis, la France appartient à Jésus-Christ, alliance qui a été renouvelée par Charles VII puis par Louis XVI. CETTE ALLIANCE EST IRRÉVOCABLE.

[Voir aussi :
Le secret de l’exil juif et le dévoilement du messie
Rav dynovisz : la délivrance finale viendra de France
La dictature sanitaire aura une fin
L’épouse du Machiah sera une Française
Quelles actions résistantes mener en 2022 ?
France, relève-toi !
Sortir de la crise
La France revivra-t-elle ?
La clef de la libération
France — Une croix pour faire tomber le régime]

Tous ceux qui ne sont pas serviteurs du Dieu très Haut pour NOTRE BIEN dans les sièges de Pouvoir qu’ils occupent en France, ainsi que cela nous est rappelé en Roms 13, sont donc des USURPATEURS.

Dieu est lent à la colère, mais quand sa colère se déverse, les montages et les océans tremblent. C’est cette colère qui monte en moi, et je la ressens comme venant d’En Haut.

J’ai l’honneur, monsieur le fallacieux Pdt, l’usurpateur, de vous annoncer que, selon les Écritures, votre chute est désormais toute proche et quand on tombe de haut, la chute est dure. D’autant que tous vos faux amis d’hier se feront une joie de vous piétiner en espérant se refaire une virginité politique. Idem pour tous les magistrats ou les médecins qui ont saccagé leur éthique pour garder leurs privilèges… Ô combien ils s’empresseront de vous enfoncer en changeant brusquement de camp ! Ils croiront peut-être ainsi se racheter !

Ils auront tort, car Dieu ne laisse rien passer, sauf profonde repentance. Il voit tout. Il y a l’éternité, il y a la terre, et Dieu n’attend pas forcément l’éternité pour exercer sa vengeance.

Voici, le juste reçoit sur la terre une rétribution; Combien plus le méchant et le pécheur !

Proverbes 11:31

Eh bien, j’ai beau être chrétienne, moi, personnellement, et avec quelques milliers d’amis, je me réjouirai ! Je ne verserai aucune larme. Je sauterai de joie.

… [Je dirai] : Eh quoi! le tyran n’est plus ! L’oppression a cessé ! 5 
L’Eternel a brisé le bâton des méchants, La verge des dominateurs. 6 
Celui qui dans sa fureur frappait les peuples, Par des coups sans relâche, Celui qui dans sa colère subjuguait les nations, Est poursuivi sans ménagement. 7 
Toute la terre jouit du repos et de la paix; On éclate en chants d’allégresse,

Es 14:4

ALLÉLUIA !




Pour rejoindre le paradis, en Allemagne il faut un schéma vaccinal complet

Par Nicole Delépine

Longue vie aux non-vaxx !

Comme dit Pascal Praud chaque soir maintenant sur CNews : « ils sont tous devenus fous ! ils sont cinglés, etc.. »

On est heureux de sa prise de conscience (un peu tardive, mais mieux que rien) parallèle à celle de son invité médical préféré, Martin Blachier. Tous deux nous saoulaient, en temps de croyance au scénario Covid, avec des « il faut sauver des vies ». Maintenant ils ont compris qu’il faut sauver des doses bientôt périmées et des bourses bien pleines de Big Pharma et affidés, et tiennent des discours plus logiques.

Mais attention prévenez-les, la Bourse baisse pour les marchands de vaccin (vilain Omicron)…

Mais là, avec le schéma vaccinal complet, plus un test éventuellement, pour obtenir l’euthanasie, le summum du ridicule, de la folie, de l’intoxication sur le danger de ce petit virus si sensible aux antipaludéens et aux macrolides, dépasse ce qu’on aurait pu imaginer.

Si vous ne croyez pas (je vous comprendrais) lisez quelques extraits hilarants de ce papier venu d’Allemagne dans un sujet pourtant habituellement délicat(([1] Publié le 3 Jan, 2022 Gènéthique magazine))

En Allemagne, l’association Verein Sterbehilfe pratiquant l’euthanasie est catégorique : elle ne recevra pas de clients non vaccinés contre le Covid.(([2] Depuis 2020, le suicide assisté est effectivement légal en Allemagne. Son interdit a été déclaré inconstitutionnel par le Tribunal constitutionnel fédéral. Il s’agirait de protéger le « droit à disposer librement de soi face à sa mort ». L’assistance au suicide est également légale. En mai 2021, deux propositions de loi allant en ce sens ont été déposées au Parlement. Elles ouvriraient l’euthanasie largement, sans se limiter aux personnes en fin de vie.))

Ainsi, pour être euthanasié, il faut présenter un schéma vaccinal complet. La raison (?) invoquée : le « contact humain » nécessaire lors de l’acte d’euthanasie entre les prestataires et le client. Un test devra être effectué avant la « rencontre rapprochée dans un espace confiné ». Donc, ils savent que le pseudovax ne protège pas de la contamination. À leur place, j’aurais plutôt peur de choper la protéine spike provenant des vaxxinés, mais ils ne doivent pas avoir lu les bons auteurs.

Évidemment des twittos ayant découvert le pass à l’allemande (Castex et Macron vont être jaloux) n’ont pas manqué de rivaliser d’imagination : « Pass vaccinal pour l’au-delà », « quand le ridicule ne tue plus », « vous pourriez avoir un peu de chance et éviter de payer pour l’euthanasie si vous mourez du vaccin lui-même ».

Exercez-vous, on doit trouver mieux et on reprendra vos propositions dans un autre article. Vu les temps qui courent, il ne faut pas bouder son plaisir et rire un peu, c’est bon pour l’immunité.

« Avec ses recommandations, Verein Sterbehilfe ne craint pas le paradoxe : mourir de façon choisie, en ayant pris soin de ne pas mourir d’autre chose. Disposer de son corps pour être euthanasié, mais se laisser imposer la vaccination. »

Décidément les psychiatres et tous professionnels du domaine ont du pain sur la planche pour des décennies.




Lettre ouverte aux députés et sénateurs à propos du projet de loi sur le pass vaccinal

Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs,

Cette présente lettre ouverte constitue notre cinquième lettre ouverte, après celles :

Certains d’entre vous ont pris des positions fermes contre l’obligation vaccinale ainsi que contre le pass sanitaire, et nous tenons à vous en remercier de tout cœur. Vous avez su discerner le projet de société liberticide et totalitaire qui se met en place sous prétexte de crise sanitaire.

D’autres n’ont simplement pas pris en compte les faits que nous avons rapportés et qui sont vérifiables par tout un chacun à condition de faire l’effort d’examiner les sources d’information – la plupart du temps censurées par nos grands médias –, notamment la littérature scientifique, les données officielles de pharmacovigilance et les nombreuses voix de lanceurs d’alerte courageux qui appellent à l’arrêt immédiat de la campagne de vaccination et dénoncent le climat délétère qui s’installe par la propagande d’État, la désinformation massive, la censure sur les réseaux sociaux, la suppression de la liberté d’expression, du débat scientifique contradictoire, et la promotion de la pensée unique.

D’autres encore continuent de balayer d’un revers de main rapide les arguments scientifiques développés et les craintes d’un totalitarisme sanitaire que nous avons exprimées, sans jamais interagir de manière sérieuse et scientifique aux faits que nous présentons, mais en se cramponnant à leur idéologie. Cette attitude dénote un mépris pour le peuple et une confiscation de la représentativité populaire que les parlementaires sont censés assurer.

Nous tenons, une fois de plus, à vous alerter sur le projet de loi mortifère et scandaleux de pass vaccinal sur lequel vous serez appelés à voter aujourd’hui, ce lundi 3 janvier 2022, et qui n’était en fin de compte que le véritable objectif du gouvernement.

En effet, mettant à profit les fêtes de fin d’année, le gouvernement a décidé d’adopter un projet de loi transformant le pass sanitaire en passe vaccinal dans les prochains jours.

De même qu’il avait fait adopter le pass sanitaire dans la torpeur de l’été, il réédite la même manœuvre en essayant de faire adopter un projet liberticide au moment même où les Français étaient occupés à fêter Noël puis le jour de l’An.

Ce projet de passe vaccinal retire à la parole publique ce qui lui restait de crédibilité, crédibilité qui était déjà anéantie par le flot incroyable de mensonges et de contre-vérités, tous plus graves les uns que les autres, que le gouvernement n’a cessé de proférer, en toute impunité.

Comme des millions de concitoyens, nous estimons que l’adoption de ce pass vaccinal serait une forfaiture en termes de libertés publiques. La pétition lancée par Rodolphe Bacquet contre le pass vaccinal juste après l’annonce du projet a été déjà signée par 1 174 779 citoyens au 3 janvier 2022 à 10h05, ce qui montre une mobilisation massive de l’opinion publique contre ce dispositif. Permettez-nous de vous rappeler quelques faits importants dont certains sont mis en avant dans le texte de cette pétition :

1Le pass vaccinal est l’aboutissement d’un an de mensonges successifs.

Depuis un an, le gouvernement fait “passer la pilule” à coup de promesses non tenues, et même de mensonges. 

  • Emmanuel Macron, il y a un an, annonçait ainsi que la vaccination ne deviendrait pas obligatoire :
  • L’on nous avait ensuite promis que le pass sanitaire serait provisoire :
  • Puis qu’il n’y aurait pas de pass vaccinal :



Et maintenant, voici ce qui s’est passé (depuis un an, avec une inflexion accélérée depuis six mois seulement) :

27 décembre 2020 : Emmanuel Macron réaffirme sur Twitter que le vaccin ne serait pas obligatoire ;

25 février 2021 : en marge d’un Conseil européen, le Chef de l’État garantissait qu’il «ne conditionnerait pas l’accès à certains lieux à la vaccination»,

31 mai 2021 : mise en place du pass sanitaire uniquement pour les «grands rassemblements» de plus de 1000 personnes ;

5 août 2021 : extension à de nombreux lieux publics du pass sanitaire jusqu’au 15 novembre 2021, date limite de son application, nous assurait Olivier Véran ;

15 octobre 2021 : fin de la gratuité des tests de dépistage ;

10 novembre 2021 : prolongation du pass sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022 ;

25 novembre 2021 : réduction du délai de validité des tests de dépistage de 72 heures à 24 heures ;

17 décembre 2021 : annonce de la mise en place du pass vaccinal.

Ces manipulations accumulées permettent au gouvernement d’aller toujours plus loin pour violer notre consentement !

Tous ces mensonges répétés à l’envie par l’exécutif destinés à faire accepter progressivement, par palier, des mesures dont l’objectif inavoué était de parvenir à instaurer un pass vaccinal généralisé sont l’expression et la preuve d’une manipulation de masse à visage découvert.

Nos dirigeants sont ainsi passés maîtres dans une technique appelée “le pied dans la porte”. Elle consiste à faire une demande peu coûteuse qui sera vraisemblablement acceptée, suivie d’une demande plus coûteuse. La deuxième demande a plus de chance d’être acceptée si elle a été précédée de l’acceptation de la première, qui crée une sorte de palier et un phénomène d’engagement.

Voilà comment : l’on a commencé par nous demander des choses “simples” comme porter un masque et faire une première dose de vaccin. La porte était ouverte vers une deuxième dose, puis une 3ème dose, avant une 4ème déjà annoncée par les experts pour le printemps.

2Le pass vaccinal exerce un chantage pour violer notre consentement, en complète violation de l’éthique médicale la plus élémentaire et des traités et conventions internationaux.

Maintenant que tous les verrous législatifs ont été levés, que l’opinion a été formatée pour accepter un narratif mensonger soutenu par la peur, le ministre de la santé, M. Olivier Véran, déclare, avoue sans la moindre honte et dans la plus complète impunité, que le « pass vaccinal est une forme déguisée d’obligation vaccinale ».

Ainsi, l’exécutif a fait désormais tomber le masque et a reconnu à de nombreuses reprises que le pass sanitaire n’était ni plus, ni moins qu’une extorsion de consentement pour contraindre à la vaccination. Il entend même aujourd’hui aller plus loin dans la violation de notre Constitution et souhaite imposer un pass vaccinal, qui n’a plus rien de sanitaire puisqu’un test négatif est plus efficace que le vaccin pour prévenir les contaminations.

Ces comportements vont à l’encontre de tous les textes internationaux sur le respect de la dignité humaine, le consentement éclairé et l’expérimentation médicale sur les êtres humains.

De tels propos montrent combien M. Véran sait tirer profit de sa position de ministre pour extorquer un consentement par la contrainte et la ruse. De tels propos et de tels actes, dans une véritable démocratie où la justice et les institutions fonctionneraient normalement et de manière impartiale auraient suscité une vague d’indignation appelant à sa démission et auraient déjà mené leurs auteurs devant les tribunaux, servant de pièces à conviction. Mais pourquoi n’en est-il rien ?

La France a ratifié le 13 décembre 2011 la convention d’Oviedo qui contient les principes du code de Nuremberg et qui est opposable à la France depuis le 1er avril 2012. Le décret n° 2012-855 correspondant a été publié le 5 juillet 2012.

Que dit cette convention ?

Ce traité part de l’idée que l’intérêt de l’être humain doit prévaloir sur l’intérêt de la science ou de la société.

Il énonce une série de principes et d’interdictions concernant la génétique, la recherche médicale, le consentement de la personne concernée, le droit au respect de la vie privée et le droit à l’information, la transplantation d’organes, l’organisation du débat public sur ces questions, etc.

Chapitre I

Chapitre II

Chapitre III

Chapitre V

Chapitre VIII

La France est liée par la signature de cette convention et ne peut pas faire ce qu’elle veut.

Le gouvernement le sait et fait tout pour nous extorquer notre consentement sans passer par l’obligation effective avec un produit expérimental non caractérisé correctement.

Le pass sanitaire ou vaccinal est un moyen de chantage, d’intimidation et d’extorsion du consentement. Cet outil porte une atteinte gravissime à nos droits fondamentaux humains inaliénables qui ne peuvent pas être subordonnés à des injections répétées imposées par le gouvernement.

Ces droits sont la liberté d’aller et venir, le droit à la vie privée, le droit au travail, le droit à l’éducation.

La discrimination et la haine érigées en mode de gouvernance par le Président Macron sont des atteintes graves à nos droits fondamentaux et relèvent du Code pénal.

3. Le pass vaccinal n’a aucun fondement scientifique et s’oppose à toute rationalité : la vaccination de masse, bien au contraire, conduira inéluctablement à un drame sanitaire.

La littérature scientifique révèle clairement que la vaccination n’est certainement pas la panacée qui nous est vantée à coups de slogans publicitaires simplistes qui s’apparentent aux envolées commerciales des marchands de tapis. Rappelons-ici quelques faits scientifiques indiscutables tels que les présente le Professeur Gunter Kampf de la faculté de médecine de Greifswald en Allemagne, qui dément dans un article récent du Lancet, chiffres à l’appui, cette affirmation selon laquelle l’on assisterait à une pandémie de non-vaccinés :

  • Les vaccinés ont un poids dans la transmission du virus non négligeable et qui ne cesse d’augmenter.
  • Les charges virales sont identiques chez les vaccinés et les non–vaccinés.
  • En Allemagne, 54 % des cas de Covid-19 frappent des personnes vaccinées.
  • Les vaccinés peuvent développer des formes graves de la Covid-19 et en mourir.
  • Les vaccinés peuvent transmettre la Covid-19 même à des individus vaccinés.

Face à ces faits vérifiables, en réalité, des centaines de professionnels de la santé dûment compétents sont parvenus à la conclusion opposée à celle du discours ambiant officiel martelé à longueur de journée, qualifiant l’utilisation de ces injections expérimentales Covid-19 d’« inutiles, inefficaces et de dangereuses » ; alors que plus de 59 000 scientifiques et praticiens médicaux ont affirmé qu’en raison du danger relativement faible de la Covid-19 pour la grande majorité de la population, « ceux qui courent un risque minimal » devraient être autorisés « à vivre leur vie normalement [et] à développer une immunité [collective] contre le virus » en dehors de tout vaccin ; et que plusieurs milliers d’autres ont qualifié d’ « irresponsable » le fait d’exposer la population à un vaccin insuffisamment testé pour contrer un virus aussi faible. En effet, dans « la grande majorité des cas (~ 99,8 % dans le monde), le SRAS-CoV-2 n’est pas mortel. Il s’agit généralement d’une maladie dont la gravité va du léger au modérément grave. Par conséquent, l’écrasante majorité des personnes ne sont pas à risque face à la Covid-19 et n’ont pas besoin d’être vaccinées » (source). La Covid-19 a un âge moyen de décès qui est plus élevé que celui de la population générale, ce qui démontre sa nature bénigne, et le taux de survie global est de 99,74 %.  Les taux de survie rapportés pour les personnes de moins de dix-huit ans sont de 99,998 %, pour celles de dix-huit à cinquante ans, de 99,95 %, de cinquante à soixante-cinq ans, de 99,4 %, et pour celles de plus de soixante-cinq ans, de 94 %, ce qui équivaut à des personnes de moins de 70 ans ayant une meilleure chance de mourir de la grippe que de la Covid-19 qui présente une menace globale comparable aux pandémies de grippe moyennes de 1936 et 1957. Il est nécessaire ici de préciser que même ces chiffres  constituent des statistiques de décès  considérablement gonflées, causées par des méthodes de comptage très défectueuses utilisées et promues par des agences de santé du gouvernement fédéral aux intérêts conflictuels. Des centaines de professionnels de la santé affirment qu’ « environ 99 % des gens sont déjà protégés contre la Covid-19 par des réponses anticorps de type mémoire » et que « la plupart des gens seront désormais immunisés en raison de leur exposition au SRAS-CoV-2 », de sorte que cette population ne « bénéficiera pas du tout de la vaccination ».

Au sujet du variant Omicron qui a servi à justifier le pass vaccinal, David Pujadas, sur LCI, a martelé le 31 décembre 2021 :

« Non, l’Apocalypse Omicron n’a pas lieu »,

et toute la panique générée par les médias tourne court, une fois les données scientifiques examinées calmement et consciencieusement.

La séquence de 1 mn 13 s extraite de la vidéo ci-dessus et dans laquelle le présentateur de télévision déconstruit le narratif apocalyptique peut également être visionnée ci-dessous :



Le Pr Jean-Michel Claverie, pour sa part, n’hésite pas à dénoncer le narratif covidien officiel comme une escroquerie profitant à quelques firmes pharmaceutiques, mais dénué de tout fondement scientifique.

https://www.youtube.com/embed/qELr4EplWGA

C’est également ce que clame l’épidémiologiste Laurent Toubiana de l’INSERM qui fait valoir que la Covid-19 est « l’un des plus gros mensonges de tous les temps », et est une « épidémie très banale » tant les chiffres réels sont anecdotiques :

  • 33-40 malades/100000 habitants/semaine,
  • très peu d’hospitalisés.

Il ne faut pas compter les « cas » dépistés, mais les personnes qui tombent vraiment malade.

https://www.youtube.com/embed/C3zJrBJkXmY

La généticienne Alexandra Henrion Caude, anciennement directrice de recherche à l’INSERM et spécialiste de l’ARN, nous explique, dans un langage simple et clair, pourquoi il ne faut pas prendre une troisième dose, puis une quatrième dose, etc. alors que le vaccin ne fonctionne pas. Il suffit d’avoir un peu de bon sens pour comprendre ce qui est expliqué dans la vidéo ci-dessous :



Ces faits réunis ont conduit le Dr Harvey Risch, épidémiologiste de l’Université de Yale, entre autres scientifiques compétents et de renommée mondiale, à qualifier la présente pandémie de « pandémie de peur » artificiellement créée.

Le vaccinologue belge Geert Vanden Bossche explique dans un entretien ses réticences sur la vaccination de masse pendant la pandémie. Dans une autre vidéo en anglais, de durée 15 mn 15 s, le vaccinologue adresse un appel solennel à l’OMS en suppliant l’organisation d’abandonner la vaccination de masse, notamment des enfants, avertissant du désastre sans précédent qu’elle provoquerait (et dont nous voyons déjà les tragiques prémices).

4. Le pass vaccinal exposerait nos concitoyens à des effets délétères ou mortels de thérapies géniques expérimentales, ce qui relève d’un acte criminel aggravé par son caractère intentionnel et prémédité.

Plus grave, le pass vaccinal contraindrait beaucoup de nos concitoyens à une vaccination génique expérimentale, qui a déjà tué l’équivalent d’une petite ville de plus de 35 000 habitants dans l’Union européenne d’après les statistiques officielles de l’organisme européen Eudravigilence, sans parler des effets graves non rémissibles qui se chiffrent en centaines de milliers (https://www.adrreports.eu/en/covid19_message.html). Ce « massacre » est inédit dans l’histoire de la vaccination. Notre prix Nobel de Médecine, le Professeur Luc Montagnier, et d’autres virologistes, épidémiologistes, spécialistes de biologie moléculaire de renommée internationale, dont l’un des inventeurs du vaccin à ARNm, le Dr Robert Malone, nous alertent régulièrement sur des effets délétères que nous ne faisons qu’entrevoir (maladies neuro-dégénératives, AVC, thromboses, myocardites…)  Comme le Pr Luc Montagnier, nous appelons à l’arrêt immédiat de cette folie vaccinale sous la contrainte.

Nous présentons ci-dessous les statistiques extraites de la base de données Eudravigilance pour les effets secondaires graves ou mortels des vaccins Moderna / Pfizer / Janssen / Astrazeneca dans l’Union européenne, qui est la partie émergée de l’iceberg vaccinal vers lequel fonce le Titanic occidental avec à son bord des passagers crédules, conditionnés par une propagandastaffel bien huilée ou bercés d’illusions scientistes : le Titanic ne peut pas couler ! Nous avons également tabulé ces statistiques dans ce fichier Excel.

Le nombre de doses administrées et de personnes vaccinées peut se trouver sur :

https://vaccinetracker.ecdc.europa.eu/public/extensions/COVID-19/vaccine-tracker.html#uptake-tab

Pfizer – Biontech (Tozinameran) Fatal
26/06/21
Sans rémission
26/06/21
Fatal
25/12/21
Sans rémission
25/12/21
Troubles du système sanguin et lymphatique 88 229 14976
Troubles cardiaques 1078 2338 2338 14061
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 9 30 43 157
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 5 2512 11 8996
Troubles endocriniens 2 104 5 697
Troubles oculaires 18 2352 36 8025
Troubles gastro-intestinaux 377 9922 745 29753
Troubles généraux et conditions du site d’injection 2412 32856 4537 95992
Troubles hépatobiliaires 31 114 83 399
Troubles du système immunitaire 36 577 85 2452
Infections et infestations 804 4115 1688 13865
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 116 771 290 2318
Enquêtes 292 2587 481 8524
Troubles du métabolisme et de la nutrition 152 917 266 2689
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 99 18641 200 53423
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 24 103 130 482
Troubles du système nerveux 843 23001 1719 71591
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 15 56 65 307
Problèmes liés aux produits 0 13 3 36
Troubles psychiatriques 113 2191 191 8055
Troubles rénaux et urinaires 126 418 252 1541
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 2 1263 5 27477
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 928 5431 1774 18800
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 70 6461 134 21407
Circonstances sociales 12 232 21 1125
Procédures chirurgicales et médicales 20 61 136 405
Troubles vasculaires 305 3212 705 10111
Total 7977 120278 16172 417664
Nombre de doses 177694000 177694000 525596153 525596153
% / nombre de dose 0,0044892 0,0676883 0,0030769 0,0794648
Moderna (spikevax)        
Troubles du système sanguin et lymphatique 31 958 109 3604
Troubles cardiaques 474 883 1028 4464
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 4 18 9 64
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 0 866 6 2836
Troubles endocriniens 1 42 6 202
Troubles oculaires 8 834 35 2590
Troubles gastro-intestinaux 148 2539 368 8988
Troubles généraux et conditions du site d’injection 1849 10969 3313 36579
Troubles hépatobiliaires 14 83 47 222
Troubles du système immunitaire 5 202 18 828
Infections et infestations 245 1305 937 4630
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 82 512 185 1418
Enquêtes 93 704 295 2817
Troubles du métabolisme et de la nutrition 87 385 239 1231
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 80 4791 202 16752
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 17 51 77 229
Troubles du système nerveux 438 6474 944 22464
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 2 48 6 138
Problèmes liés aux produits 0 1 4 9
Troubles psychiatriques 70 750 166 2593
Troubles rénaux et urinaires 60 223 192 729
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 2 241 8 4701
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 416 1736 1056 6373
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 30 2120 88 8035
Circonstances sociales 13 275 40 913
Procédures chirurgicales et médicales 41 90 164 467
Troubles vasculaires 146 1028 372 3252
Total 4356 38128 9914 137128
Nombre de doses 22057000 22057000 140715073 140715073
% / nombre de doses 0,0197488 0,1728612 0,0070454 0,0974508
Astrazeneca        
Troubles du système sanguin et lymphatique 150 3719 257 4946
Troubles cardiaques 431 2580 768 4599
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 3 37 6 75
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 0 3780 6 5678
Troubles endocriniens 3 116 4 278
Troubles oculaires 14 4784 30 6703
Troubles gastro-intestinaux 169 18037 385 22473
Troubles généraux et conditions du site d’injection 952 56700 1664 72315
Troubles hépatobiliaires 29 163 64 289
Troubles du système immunitaire 13 564 33 936
Infections et infestations 236 4819 492 7486
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 86 1840 186 2790
Enquêtes 85 3531 185 5221
Troubles du métabolisme et de la nutrition 51 2824 106 3436
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 47 37151 136 47802
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 8 95 32 216
Troubles du système nerveux 573 46270 1075 60663
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 4 35 17 78
Problèmes liés aux produits 0 47 1 70
Troubles psychiatriques 29 3986 64 5568
Troubles rénaux et urinaires 34 786 68 1153
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 0 2912 3 7987
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 414 8264 931 11609
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 23 10994 57 15114
Circonstances sociales 5 210 6 513
Procédures chirurgicales et médicales 16 196 28 328
Troubles vasculaires 258 4817 487 7484
Total 3633 219257 7091 295810
Nombre de doses 43198000 43198000 138153102 138153102
% / nombre de doses 0,0084101 0,5075628 0,0051327 0,2141175
Janssen        
Troubles du système sanguin et lymphatique 17 145 44 421
Troubles cardiaques 62 167 181 623
Troubles congénitaux, familiaux et génétiques 0 8 1 20
Troubles de l’oreille et du labyrinthe 0 90 2 629
Troubles endocriniens 1 2 1 49
Troubles oculaires 3 195 8 686
Troubles gastro-intestinaux 24 829 85 2284
Troubles généraux et conditions du site d’injection 144 3847 586 9538
Troubles hépatobiliaires 4 15 13 46
Troubles du système immunitaire 0 23 10 130
Infections et infestations 14 166 171 791
Blessures, empoisonnement et complications procédurales 8 120 22 289
Enquêtes 119 1938
Troubles du métabolisme et de la nutrition 11 70 52 224
Troubles musculo-squelettiques et des tissus conjonctifs 17 2263 49 5539
Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes) 0 10 8 31
Troubles du système nerveux 73 2574 228 6977
Grossesse, puerpéralité et conditions périnatales 1 2 1 11
Problèmes liés aux produits 0 2 0 1
Troubles psychiatriques 5 124 20 524
Troubles rénaux et urinaires 8 50 28 164
Troubles de l’appareil reproducteur et du sein 0 57 6 1367
Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux 44 538 275 1554
Troubles de la peau et du tissu sous-cutané 2 344 10 1271
Circonstances sociales 3 34 4 186
Procédures chirurgicales et médicales 26 170 65 354
Troubles vasculaires 63 605 160 1317
Total 530 12450 2149 36964
Nombre de doses 3124000 3124000 48531244 48531244
% / nombre de doses 0,0169654 0,3985275 0,0044281 0,0761654
Total 16496 390113 35326 887566
Nombre de personnes complètement vaccinées dans l’UE     307391000 307391000
Nombre total de doses administrées 246073000 246073000 852995572 852995572
Ratio effets secondaires ou mortels / nombre de personnes complètement vaccinées     0,0001149 0,0028874
Ratio effets secondaires ou mortels / nombre total doses 6,7037E-05 1,5854E-3 4,1414E-05 0,00104053
Source: https://qap.ecdc.europa.eu/public/extensions/COVID-19/vaccine-tracker.html#distribution-tab
Eudravigilance: https://www.adrreports.eu/en/search_subst.html#
Nombre de morts (toutes classes d’âge confondues) / nombre cas déclarés en France 0,019547325 0,012904174
Nombre morts 0-59 ans / nombre cas déclarés en France 0,001954733 0,001290417
Sources :
https://fr.statista.com/statistiques/1104103/victimes-coronavirus-age-france/
https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/dashboards/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6

Pourtant, une première brèche avait été ouverte dès le printemps dernier, elle continue à s’élargir, mais les officiers supérieurs, sans doute grisés par les appâts de quelque princesse vénéneuse de la pharmacie, n’osent pas entendre son grondement lugubre :

1) Sur 308 millions de vaccinés, il y a eu 35 000 morts et 900 000 affections graves sans rémission. Ceci est du jamais vu pour une campagne de vaccination. Le Pr Luc Montagnier parle, avec raison, de « folie vaccinatoire ».  Le Pr Christian Perronne, ancien vice-président du groupe « European advisory group of experts on immunisation », qui conseille la politique vaccinale européenne de l’Organisation mondiale de la santé, a la même analyse.

2) Le taux de mortalité de la Covid pour la classe d’âge 0-60 ans, qui représente environ 10 % des cas mortels en France, et de l’ordre de 1 mort pour 1000 malades déclarés, est trois fois inférieur à la probabilité de développer un effet secondaire grave non rémissible (toutes classes d’âge confondues) suite à l’administration des vaccins géniques mentionnés plus hauts. Où est le bénéfice ?

Il est encore possible d’affiner cette analyse de la nocivité des vaccins en examinant précisément la répartition des événements indésirables et létaux sur les différents lots. En réalité, tous les lots des vaccins anti-Covid19 ne se valent pas ! Il s’agit en fait d’une gigantesque loterie.

Le site http://howbad.info regroupe des tableaux sur les différents effets des vaccins Covid répartis par lots. Il s’agit d’une mise en forme des données officielles présentes sur le site gouvernement des Etats-Unis VAERS.

Les données au 23 décembre 2021 ont été compilées dans le tableau Excel ci-joint. Il ressort de ces données qu’un faible pourcentage de lots (5 % pour les Etats-Unis, 30 % en dehors des Etats-Unis) sont associés à 90 % des effets indésirables et à un nombre de décès jusqu’à 200 fois supérieur à celui associé au pourcentage des lots moins nocifs.

Toujours dans le registre des effets délétères des vaccins anti-Covid, il convient de noter qu’il y a eu une multiplication par 5 des morts subites d’origine cardiaque chez les joueurs de la FIFA en 2021.

Il ne s’agit pas de 24 athlètes, ni de 30, ni de 75 – non, depuis décembre 2021, ce sont 183 athlètes et entraîneurs professionnels qui se sont soudainement effondrés ! 108 d’entre eux sont morts ! Selon la littérature, le phénomène d’effondrement d’un athlète pour des raisons non liées à une blessure est rare. Alors, quelle est donc la cause de cette soudaine épidémie ?

Stephen Connolly et le Dr Yaffa Shir-Raz présentent leur analyse :

Dans plus de 80 des cas, comme les stars du football Sergio Aguero et Christian Eriksen, les athlètes se sont effondrés pendant le jeu, la course ou l’entraînement, ou immédiatement après. Dans la plupart des cas, il a été rapporté que la cause de l’effondrement est liée au cœur, notamment une myocardite, une péricardite, une crise cardiaque ou un arrêt cardiaque. La deuxième cause signalée est la coagulation.

Nous soulignons que la liste dont nous disposons est encore plus longue, mais par souci de prudence, des dizaines de cas ont été retirés de celle-ci, dont nous ne disposions pas de tous les détails, de sorte que seuls les cas rapportés en détail ont été inclus. En outre, nous avons supprimé les cas dans lesquels des facteurs de risque antérieurs étaient mentionnés, tels qu’une maladie cardiaque ou un diabète.

Pour obtenir une meilleure image des données par rapport aux années précédentes, nous n’avons examiné que les données relatives aux décès d’athlètes enregistrés auprès de la FIFA et avons comparé les données concernant le nombre de MCS (morts cardiaques subites)/DSI (morts subites inexpliquées) chez ces athlètes au cours des années précédentes au nombre de cas en 2021.

Pour savoir combien de décès se sont effectivement produits au cours des deux dernières décennies parmi les joueurs de la FIFA (2001-2020), nous avons utilisé Wikipedia – « Liste des footballeurs d’association décédés en jouant ». Pour savoir combien de cas se sont produits en 2021, nous avons utilisé la liste collectée par nos soins dans « Real-Time News » (qui inclut les cas notés dans Wikipedia pour 2021).

Le Dr Josh Guetzkow, maître de conférences au département de sociologie et d’anthropologie et à l’Institut de criminologie de l’Université hébraïque, a analysé les données. « Un article publié dans le British Medical Journal montre que le risque de MCS est de un sur 50 000 (avec une fourchette de un sur 30 000 à un sur 80 000) », explique-t-il. « Selon les données de la FIFA, en 2000, il y avait 242 000 athlètes enregistrés dans l’association, et en 2006, 265 000 athlètes enregistrés. En supposant que la FIFA n’a pas changé de manière significative en vingt ans, l’on peut s’attendre à environ 5 décès par an ».

Selon Wikipédia, sous la rubrique « Liste des footballeurs d’association décédés en jouant », entre 2001 et 2020, il y a eu en moyenne 4,2 décès par an attribués à des MCS ou à des DSI, la grande majorité étant des MCS. En revanche, en 2021, selon notre liste, il y a eu 21 cas de MCS/DSI parmi les joueurs de la FIFA. En d’autres termes, au lieu de 4 décès par an dus aux MCS/DSI (selon les données de Wikipédia), ou de 5 cas par an (calculés selon le BMJ) pendant la période 2001-2020, 21 joueurs sont décédés jusqu’à présent cette année.

C’est-à-dire environ 5 fois plus que la moyenne annuelle !

Ce chiffre s’avère statistiquement significatif. En fait, il n’y a pas eu d’autre année depuis 2001 où la différence entre le nombre de cas observés de MCS/DSI et le nombre attendu soit statistiquement significative. En 2021, elle est hautement significative sur le plan statistique et ne peut se produire par hasard qu’environ 2 fois sur 1 000.

Stephen Connolly et Dr Yaffa Shir-Raz, « 5-fold increase in sudden cardiac deaths of FIFA players in 2021« .

Face à tous ces chiffres accablants et effrayants que vous pourrez aisément vérifier, Mesdames et Messieurs les élus, notre ministre de la santé Olivier Véran ose affirmer, de manière effrontée, dans une fourberie qui le caractérise désormais, que les « rapports de l’ANSM qui sont publics et transparents ne déplorent à ce stade pas de cas avérés de décès imputables à la vaccination ».

Il semble assez évident que seule l’administration de ces substances à la protéine spicule aux personnes âgées ou « à risque » aurait encore un sens. Mais encore faut-il bien évaluer le bénéfice-risque de la potion. Notez que les sociétés pharmaceutiques Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson ont été condamnées à plusieurs reprises pour malversations :

  • depuis l’année 2000, Pfizer a été inculpé 74 fois d’infractions pénales et civiles et a payé plus de 4 milliards de dollars d’amendes, les principales infractions ayant été la commercialisation non approuvée de produits, la corruption, les fausses déclarations, les violations de sécurité ;
  • la société Johnson & Johnson a dû payer une amende de 8 milliards de dollars suite à la mise sur le marché de produits pharmaceutiques dangereux qui ont occasionné des milliers de morts et de séquelles ;
  • les mêmes sociétés pharmaceutiques sont sous le coup d’une amende de 25 milliards de dollars pour la commercialisation d’opioïdes qui ont occasionné 48 000 morts par an (commercialisation rendue possible par des malversations auprès de services de vérification et de personnels peu scrupuleux du corps médical),

et que dernièrement le scandale « PfizerGate » a encore ébranlé le narratif covidien officiel, sans que les médias en tirent les conclusions qui s’imposent. Le problème de fraude sur les données des essais cliniques du vaccin Pfizer avait été soulevé par le journal scientifique réputé The British Medical Journal (BJM) qui a été l’objet d’un « fact-checking » orienté de Facebook, ce qui montre à quel point les géants des réseaux sociaux et les GAFAM se livrent à une guerre de désinformation contre la science et les scientifiques intègres.

Le Dr Robert A. Malone, le Pr Luc Montagnier, le Dr Alexandra Henrion Caude, le Dr Geert Vanden Bossche, entre autres, ont alerté sur les effets à long-terme (cancers, destruction des défenses immunitaires, maladies neuro-dégénératives, etc.) des vaccins anti-Covid-19 qui se manifesteront au fil des mois prochains et au fil des « boosters ». La surmortalité anormale constatée pour les 15-44 ans pendant l’année 2021 est rapportée sur le site https://www.euromomo.eu/ et peut donc être suivie.

Concernant les femmes enceintes, en octobre 2021, le New England Journal of Medicine a finalement admis que l’étude originelle – publiée le 14 octobre 2021 par Shimabukuro et. al – ayant servi de caution à la campagne de vaccination Covid-19 du CDC et de la FDA, ciblant les femmes enceintes, était corrompue. L’étude correctrice est intitulée “Spontaneous Abortions and Policies on COVID-19 mRNA Vaccine Use During Pregnancy”.

Le Dr Joseph Mercola, sur son site aux Etats-Unis, récemment, a expliqué comment les auteurs de l’étude originelle avait intégralement truqué leurs conclusions.

L’étude portait sur 827 femmes enceintes et l’objectif en était d’évaluer le taux de fausses couches pour toutes les femmes vaccinées contre la Covid-19 durant les 20 premières semaines de la grossesse. C’est alors que deux médecins de Nouvelle-Zélande – les Dr Aleisha Brock et Simon Thornley – reprirent les données de cette étude, afin de mettre en exergue qu’il s’agissait en fait d’une catastrophe intégrale avec une incidence cumulative d’avortements spontanés de l’ordre de 82 % (104/127) à 91 % (104/114).

« Une nouvelle analyse de ces données indique une incidence cumulative d’avortements spontanés de l’ordre de 82 % (104/127) à 91 % (104/114) – à savoir de 7 à 8 fois plus que ce présentent les résultats originaux des auteurs de l’étude.»

En fait, selon ces deux médecins néo-zélandais : 

«une évaluation des 827 femmes dans le dénominateur de ce calcul révèle qu’entre 700 et 713 femmes enceintes furent exposées au vaccin après que le cadre temporel, pour l’analyse, a été dépassé – à savoir les 20 premières semaines de grossesse.»

Ainsi, Shimabukuro et. al avaient inclus, dans leurs analyses de ce groupe de 827 femmes, des femmes enceintes alors qu’elles n’avaient pas été vaccinées durant les 20 premières semaines (mais plus tard) et que, donc, elles ne pouvaient pas être à risque de fausse couche post-vaccinale suite à une injection reçue durant le premier trimestre. 

Parmi les 104 bébés perdus durant les 20 premières semaines, 96 moururent avant la fin des 13 premières semaines de grossesse, ce qui signifie que la vaccination Covid-19, durant cette première partie de la grossesse, signe, quasiment, l’arrêt de mort du fœtus. 

Entre autres effets collatéraux primaires, il faut, également, signaler 9,4 % de bébés prématurés.

Quant à la vaccination des enfants, là encore les mesures prises sont complètement absurdes. En effet, des médecins et scientifiques allemands ont rapporté récemment que pas un seul enfant en bonne santé âgé de 5 à 18 ans n’est mort de la Covid en Allemagne au cours des 15 premiers mois de l’épidémie. Même en incluant les enfants et les adolescents présentant des pathologies préexistantes, seuls six enfants de cette tranche d’âge sont morts, ont constaté les chercheurs. Les maladies graves étaient également extrêmement rares. Selon les chercheurs, la probabilité qu’un enfant en bonne santé âgé de 5 à 11 ans ait besoin de soins intensifs pour une infection par la Covid était d’environ 1 sur 50 000. Pour les enfants plus âgés et plus jeunes, les probabilités étaient un peu plus élevées, soit environ 1 sur 8 000. Environ 1,5 million d’enfants ou d’adolescents allemands ont été infectés par le Sars-Cov-2 entre mars 2020 et mai 2021, ont constaté les chercheurs.

Résultats : Le taux global d’hospitalisation associé à l’infection par le SARS-CoV-2 était de 35,9 pour 10 000 enfants, le taux d’admission en soins intensifs était de 1,7 pour 10 000 et le taux de létalité de 0,09 pour 10 000. On a constaté que les enfants sans comorbidités étaient nettement moins susceptibles de souffrir d’une évolution grave ou fatale de la maladie. Le risque le plus faible a été observé chez les enfants âgés de 5 à 11 ans sans comorbidité. Dans ce groupe, le taux d’admission en soins intensifs était de 0,2 pour 10 000 et la létalité n’a pas pu être calculée en raison de l’absence de cas. Le taux global du PIMS-TS était de 1 pour 4 000 infections par le SRAS-CoV-2, la majorité étant des enfants sans comorbidités.

Sorg, A. L. et al., « Risk of Hospitalization, severe disease, and mortality due to COVID-19 and PIMS-TS in children with
SARS-CoV-2 infection in Germany
« . Prépublication medRxiv, 30 novembre 2021.

Les chercheurs ont fait part de leurs conclusions dans un article de 17 pages publié sur le serveur de prépublication medrxiv récemment (cet article est également téléchargeable ici).

5. Le pass vaccinal signe l’enterrement définitif et irrémédiable de l’État de droit et l’entrée dans un totalitarisme sanitaire, une société orwellienne.

Cinq observations des plus pertinentes sur le projet de loi sur le pass vaccinal déposé par le gouvernement devant l’Assemblée Nationale ont été faites par le collectif de juristes DéjàVu :

  1. Le pouvoir exceptionnel réclamé par le gouvernement n’aurait plus pour objectif de “lutter contre la propagation de l’épidémie de Covid-19”, mais de “lutter contre l’épidémie de Covid-19”. Pourquoi cet élargissement fait-il l’objet de la première disposition de ce projet de loi ? La nuance est subtile, mais interroge sur le but poursuivi et sur sa circonscription dans le temps, qui reste pourtant, en droit, la condition d’un régime d’exception.
     
  2. La large possibilité de prendre un transport longue distance sans pass sanitaire en cas d’urgence serait supprimée et remplacée par un très restreint “motif impérieux d’ordre familial ou de santé » lorsque le voyageur ne dispose pas de certificat d’injection, sous réserve d’avoir en plus un test négatif (sauf en cas d’urgence, en plus de l’impériosité du motif, ainsi que de son caractère familial ou sanitaire). Ce glissement sémantique trahit-il un glissement de régime ?
     
  3. L’interdiction de contrôler une identité par les personnes chargées de vérifier le pass (par exemple, un serveur dans un restaurant) est à nouveau remise en question par le gouvernement en ces termes : “Il [pourrait] être exigé, en cas de doute sur ces documents, la présentation d’un document officiel d’identité.
     
  4. Comme si le régime déjà en vigueur n’était pas déjà assez répressif, une peine d’amende de 1 500 € maximum serait distribuée aux personnes utilisant le pass d’un tiers ainsi qu’aux exploitants qui ne contrôleraient pas le pass à l’entrée de leur établissement.
     
  5. À l’article 2 du projet de loi, vous constaterez que le gouvernement tente encore d’aggraver les mesures d’isolement et de quarantaine et donne aux préfets la possibilité de “recevoir les données strictement nécessaires à l’exercice de leurs missions de suivi et de contrôle du placement en quarantaine ou à l’isolement”.

Et ce collectif de conclure :

Après avoir prétendu il y a un an que “la vaccination contre le coronavirus ne sera pas obligatoire” (source), le Président de la République, le Premier Ministre et le ministre de la santé démontrent leur capacité à gouverner par fausses promesses successives pour instaurer un régime répressif durable basé sur des motifs sanitaires.

En simple, comme l’a résumé le Ministre de la santé, ce projet de loi est pire qu’une obligation vaccinale sous peine d’amende : “Le pass vaccinal est une façon d’arriver à l’obligation vaccinale, mais moi, je pense que c’est plus efficace que de mettre une amende” (source).

C’est le député européen Les Républicains François-Xavier Ballamy qui, avec raison, exprime ses préoccupations de voir l’État de droit se déliter devant nos yeux :

Mais tout cela est en fait très logique ; car ce que révèle ce nouveau revirement, c’est que le passe vaccinal comme le passe sanitaire depuis le début ne sont pas des mesures sanitaires. Ce que nous disions dès juillet est aujourd’hui rendu incontestable par le fait que le gouvernement refuse désormais de prendre en compte un test négatif pour établir ce passe. Si l’objectif était de limiter la circulation du virus dans des lieux précis, un test négatif est pourtant bien plus efficace pour cela qu’une preuve de vaccination, puisque ni deux ni trois doses – ni même quatre ou cinq demain… – n’empêchent d’être contaminé et contagieux. Il est donc totalement irrationnel que le premier ministre ose accuser les Français non vaccinés de «non-assistance à personne en danger », comme si eux seuls diffusaient le virus… De fait, en réduisant le passe sanitaire au vaccin, le gouvernement ne réduit en rien le risque de contamination là où il est exigé ; il ne fait que contraindre les Français à une vaccination que la loi n’a pourtant jamais rendue obligatoire. Sur ce point, une mention spéciale doit d’ailleurs être réservée au Conseil d’État, qui a sombré dans l’indignité en se reniant lui-même avec une servilité littéralement pitoyable. En juillet, il avait admis le principe du passe sanitaire à la condition expresse qu’un test négatif permettrait son obtention – sans quoi, écrivait-il, il ne s’agirait plus d’une mesure de protection, mais d’une incitation vaccinale dissimulée. Ne pas délivrer ce passe à des personnes prouvant pourtant qu’elles sont indemnes du Covid constituerait, écrivaient les magistrats, «une atteinte disproportionnée à la liberté d’aller et venir, au droit au respect de la vie privée et familiale ». Quelques mois plus tard, les mêmes magistrats viennent d’approuver la mesure précise qu’ils interdisaient, et de bénir ainsi l’enterrement de ces principes fondamentaux…

Ce qui disparaît, c’est une règle essentielle pour l’État de droit, résumée ainsi par notre Constitution : «Nul ne peut être contraint de faire ce que la loi n’ordonne pas. » Avec le passe vaccinal, le gouvernement tombe dans une contradiction désastreuse pour les libertés publiques, l’égalité en droit et l’amitié civique. Il s’agit en effet de dire que la vaccination n’est pas obligatoire, mais que ceux qui ne s’y plient pas sont quand même coupables, et qu’il devient par conséquent légitime d’accuser, de blâmer, de brimer, de punir, de priver même de droits absolument fondamentaux des concitoyens qui ne se sont pourtant soustraits à aucune obligation légale. Le gouvernement pense-t-il pouvoir arrêter l’épidémie par la vaccination généralisée, en dépit des préconisations de l’OMS, des expériences acquises ailleurs dans le monde, et de la survenue de cette cinquième vague dans un pays déjà massivement vacciné ? S’il le pensait, il assumerait de rendre cette vaccination obligatoire par la loi. S’il ne le fait pas, c’est qu’il se contente de désigner des boucs émissaires pour justifier une crise hospitalière dont il est, en réalité, l’un des premiers responsables, avec ses prédécesseurs. La situation ne serait pas si dramatique pour les soignants héroïques qui affrontent cette épidémie si ce gouvernement n’avait pas fermé des lits et laissé l’hôpital perdre encore de nombreux personnels formés, au milieu même de la crise.

En attendant, la transformation du passe sanitaire en passe vaccinal trahit la folie de la logique dans laquelle nous entrons, qui se vérifie à ses conséquences déjà manifestes sur notre droit : alors que le scrupule du droit à la vie privée justifiait jusque-là d’interdire aux policiers municipaux tout contrôle d’identité, le serveur d’un bistro demandera maintenant votre passeport pour vous servir une limonade… Le Parlement peut bien se plier, les autorités judiciaires se renier, l’opinion elle-même s’endormir, il faut maintenir ce principe, jusqu’à ce qu’ait lieu une prise de conscience désormais vitale. En démocratie, la souveraineté du peuple s’exprime par la loi qui oblige, non par la contrainte déguisée. Elle garantit que la liberté est la règle, non l’exception ; et elle reconnaît que les droits fondamentaux ne sont pas une concession de l’État attribuée pour bonne conduite. Vaccinés ou non, nous avons aujourd’hui tous le devoir de rappeler quelques évidences en danger.

François-Xavier Bellamy, «Le passe vaccinal ou la poursuite du délitement de l’État de droit». Le Figaro, 28 décembre 2021.

Jusqu’où ira le gouvernement ? Étant donné la virulence des mesures « sanitaires » qui sont imposées à une cadence effrénée suivant une logique liberticide préméditée et habilement conçue, et la turpitude de l’exécutif qui excelle dans les revirements, vérités en demi-teinte et mensonges les plus ahurissants et scandaleux, la question mérite d’être posée de la manière la plus grave.

https://www.youtube.com/embed/pVodZHnnvTQ

Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs, pouvez-vous, voulez-vous en toute conscience être complices de tels mensonges, de tels agissements frauduleux, de telles manipulations sournoises, d’une telle trahison de la démocratie, de telles violations de l’État de droit, d’un tel anéantissement de la dignité humaine ?

Même le Conseil constitutionnel, qui est la plus haute juridiction de notre démocratie et le dernier rempart contre l’arbitraire du pouvoir et qui est censé protéger les Français des abus de pouvoir de l’exécutif ou des parlementaires, des dispositions législatives qui vont à l’encontre de notre Constitution, ne respecte pas ses propres statuts, s’empêtre dans ses contradictions dans sa volonté manifeste d’entériner l’extension du pass sanitaire, trahit sa haute fonction de gardien de la Constitution et devient le chien de garde d’un pouvoir dévoyé dont les dérives éclatent en plein jour. C’est pourquoi nous réclamons la démission des membres du Conseil constitutionnel et vous demandons de vous associer à cette démarche.

Nous vous demandons de vous opposer par tous les moyens à l’adoption législative du pass vaccinal, qui est d’autant plus injustifié que la virulence de la Covid-19 semble s’atténuer, le virus Omicron se révélant beaucoup moins dangereux que ses prédécesseurs.

Le professeur Mattias Desmet, psychologue et statisticien belge, explique le comportement absurde et irrationnel que nous observons actuellement dans le monde entier en ce qui concerne la pandémie de Covid et ses contre-mesures. Il appelle ce phénomène « psychose de formation des masses ». Il s’agit une sorte d’hypnose des foules qui aboutit à faire tomber littéralement une grande partie de la population dans un état de psychose. La psychose de formation des masses explique comment les Allemands ont accepté les atrocités commises par le parti nazi dans les années 1930, et elle explique pourquoi tant de personnes dans le monde entier soutiennent aujourd’hui l’apartheid médical et la destruction des personnes non vaccinées. C’est tellement irrationnel et inhumain que beaucoup se sont demandés comment nous en sommes arrivés là. Il s’avère que la psychologie du totalitarisme a été étudiée depuis des décennies et que tout ceci peut être expliqué comme un phénomène psychiatrique qui apparaît lorsque certaines conditions existent dans une société. Ne pensez pas que cette crainte du fascisme soit révolue. Lorsqu’un Président de la République cherche à stigmatiser une partie de la population (les non-vaccinés), leur menant la vie dure, en ne leur permettant pas de vivre et allant jusqu’à les déposséder de leurs libertés et droits fondamentaux garantis par la Constitution et la Déclaration des droits de l’homme, il faut clairement sonner l’alerte. Toutes ces décisions seront suivies de décisions beaucoup plus graves, violentes, sanguinaires, si la spirale du mécanisme totalitaire n’est pas interrompue dès maintenant.

La normalienne Ariane Bilheran (docteur en psychopathologie, spécialiste de la psychologie du pouvoir, pouvoir déviant et abusif) a bien analysé l’idéologie sanitaire nazie et a largement cité un article universitaire qui effectue une reconstitution historique des faits qui ont conduit les Nazis à l’apogée de leur délire paranoïaque collectif, à savoir l’extermination de masse : l’idéologie nazie était, exactement comme aujourd’hui, de type sanitaire. Cette idéologie a orchestré le délire collectif et partant, a organisé le totalitarisme dans ses pulsions liberticides et mortifères.

Et le Professeur Gunter Kampf de la faculté de médecine de Greifswald en Allemagne, dans un article du Lancet, que nous mentionnions plus haut, lance également le même avertissement :

Historiquement, les États-Unis et l’Allemagne ont tous deux engendré dans l’histoire récente des expériences négatives, en stigmatisant une partie de la population pour leur couleur de peau ou leur religion.

Pr Gunter Kampf.

Stigmatiser les non-vaccinés comme le fait et y encourage le gouvernement n’est pas justifié et est le prélude certain à un fascisme rampant. Nous ne sommes déjà plus en démocratie.

Face à l’entêtement des autorités dans le monde entier, des plaintes pénales ont été déposées :

  • Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et Hannah Rose, avocate spécialisée dans les droits de l’homme ont déposé une plainte pénale historique adressée à la Cour pénale internationale contre des personnalités de premier plan dans le domaine de la santé publique, les accusant de génocide.
  • Une plainte pénale contre MM. les ministres Jean Castex, Olivier Véran et Michel Blanquer a été déposée par Me Virginie de Araujo Recchia devant la Cour de Justice de la République, accusés des chefs suivants :
    • abus fraduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse (article 223-15-2 du Code pénal),
    • extorsion et tentative d’extorsion (articles 312-1 et 312-9 du Code pénal),
    • empoisonnement et tentative d’empoisonnement (article 221-5 du Code pénal),
    • tromperie aggravée et tentative de tromperie aggravée commise en bande organisée (articles L441-1 et L454-1 du Code de la consommation et articles 132-71 du Code pénal),
    • escroquerie et tentative d’escroquerie commise en bande organisée (articles 313-1 et 132-71 du Code pénal),
    • génocide (article 211-1 du Code pénal).
  • Une plainte pénale a été déposée aux États-Unis contre Alex Azar (secrétaire à la Santé et aux Services sociaux des États-Unis), le Dr Anthony Fauci (conseiller médical en chef du président des États-Unis), le Dr Peter Daszark (président de l’ONG basée à New York, EcoHealth Alliance), la FDA (Food and Drug Administration, l’administration américaine des denrées alimentaires et des médicaments), les CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies), le NIAID (National Institute of Allergy and Infectious Diseases, ou Institut national des allergies et des maladies infectieuses), Moderna et Pfizer sur la base des huit chefs d’accusation suivants :
    • 18 U.S.C § 2331 §§ 802- Actes de terrorisme perpétré sur le territoire intérieur et ayant entraîné la mort de citoyens américains.
    • 18 U.S.C § 2339 – Complots en vue de commettre des actes de terrorisme.
    • 15 U.S.C §1-3 – Complots en vue de commettre une activité commerciale criminelle.
    • 18 U.S.C § 175 – Financement et création d’une arme biologique.
    • 15 U.S.C. §8 – Manipulation du marché et répartition.
    • 18 U.S.C § 1001 – Mensonges auprès du Congrès.
    • 15 U.S.C. §19 – Directions imbriquées.
    • 18 U.S.C § 2384 – Atteinte à la sureté de L’État.

Au vu de tous les éléments graves qui viennent d’être exposés et de la menace réelle et imminente de totalitarisme qui guette notre démocratie battue en brèche, considérant que plus de 2 300 professionnels de la santé et universitaires en France ont récemment élevé leur voix contre les mesures sanitaires Covid-19 du gouvernement et la nouvelle religion covidienne qui a pris le contrôle de la nation, et considérant, enfin, que plus de 5 000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence criminelle et revendiquent le respect du Serment d’Hippocrate, nous vous demandons instamment de lancer au plus vite la procédure de motion de censure du gouvernement.

Si par malheur le projet devait être adopté par les deux assemblées, et la censure rejetée, nous vous demandons de vous rassembler avec au moins 59 autres parlementaires pour déférer ce projet de loi au Conseil constitutionnel afin qu’il en prononce l’inconstitutionnalité.

Si ce texte devait malgré tout être voté et promulgué, et si nous constations que vous aviez participé à son adoption, nous serions obligés de conclure que le parlement français n’est qu’une chambre d’enregistrement de décisions prises dans les cénacles internationaux promouvant la « Grande Réinitialisation » si chère au Forum de Davos, associant « Big Pharma » et « Big Media » qui censure toute information contraire à la doxa d’une société orwellienne en gestation ; et nous vous assurons que vos noms ne seront pas oubliés de l’Histoire. Avec d’autres juristes compétents, nous mènerons un combat sans merci et sans relâche pour que la vérité éclate et que les responsables d’un crime contre l’humanité sans précédent soient jugés par une justice impartiale.

En espérant que vous comprendrez à quel point ce projet de loi marquerait l’avènement d’une société totalitaire qui n’est pas celle que nous voulons et qu’aucun être humain de bon sens ne désirerait pour lui-même, les siens et sa progéniture, nous vous prions, Mesdames et Messieurs les députés et sénateurs, d’agréer l’expression de nos sentiments distingués.

Aussi la loi n’a point de vie, la justice n’a point de force ; car le méchant triomphe du juste, et l’on rend des jugements iniques.

Habacuc 1:4.

Vigilance Pandémie, le 3 janvier 2022.




La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité

[Source : cv19.fr (Recherches Covid-19)]

[Ndlr : de nombreux articles présentés par Nouveau Monde autour des approches alternatives à la théorie virale et à celle, plus générale, des germes proviennent du site Recherches Covid-19 qui effectue un remarquable travail de collecte d’informations dans ce domaine.]

Les docteurs Mark Bailey et John Bevan-Smith viennent de publier un article choc intitulé “La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité”.
Ils couvrent tout ce qui se cache derrière la fraude – y compris les acteurs, la PCR, la virologie, la modélisation et plus encore.


Contenus

Résumé

Première partie

L’agenda mondialiste
Le cheval de Troie
La double tromperie de la virologie
Les quatre piliers de la fraude COVID-19
Le premier pilier : L’isolement

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique
Le troisième pilier : La PCR
Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Troisième partie

En résumé
Conclusion
POST-SCRIPTUM
Crimes contre l’humanité
L’insulte finale
A propos des auteurs

Télécharger l’article au format .pdf


Résumé

Le COVID-19 est une fraude parce que son agent causal présumé, un prétendu nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2, n’a pas été prouvé comme existant dans la nature et n’a donc pas été établi comme la cause du COVID-19, la maladie et la pandémie inventées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Pour la même raison, il n’y a pas de variants du “virus”, qui n’existent que de manière hypothétique dans les ordinateurs, les banques de gènes en ligne et dans l’esprit de personnes innocentes qui ont été complètement bernées par leurs gouvernements.

La fraude du COVID-19, avec ses nombreuses allégations grotesques, ne constitue rien de moins qu’une guerre contre l’humanité menée par des organisations telles qu’Anser, Fors Marsh et Palantir qui mènent l’escroquerie par l’intermédiaire de Big Pharma, avec ses soutiens et ses complices, notamment le Forum économique mondial, la Fondation Bill et Melinda Gates, l’OMS, les conglomérats technologiques, les médias de masse, les gouvernements complices et les “pirates” du COVID tels que l’UNC Chapel Hill et l’Imperial College London, pour ne citer que quelques bénéficiaires de la fraude.

Le COVID-19 est une guerre contre l’humanité parce que les politiciens et leurs gouvernements continuent d’utiliser cette maladie imaginaire pour terroriser et emprisonner leurs citoyens, en les privant de leurs droits fondamentaux et de leurs libertés, et en violant leurs corps autrefois inviolables par des injections expérimentales et dangereuses contenant une séquence d’ARNm de protéine spike générée par ordinateur qui ordonne au corps de s’empoisonner. Ces injections infâmes, qui contiennent également des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées, affectent des millions de personnes et en tuent plusieurs milliers dans le monde entier, dont 218 Néo-Zélandais au 2 octobre 2021.[1]

Une fraude virologique est au cœur de ces crimes contre l’humanité : le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé physiquement ni démontré comme étant l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Dans cet article, les auteurs examinent le monde illusoire de la virologie pour expliquer comment un virus que personne n’a vu ni ne sait d’où il vient, dont personne ne sait ce qu’il fait ni où il va, traverse, selon les fraudeurs, les frontières et les barrières et vient vous chercher où que vous soyez. Comment se fait-il, demandent les auteurs, que cette folie fantasmagorique se soit transformée en un monde empreint de peur, dans lequel les gouvernements démocratiques ont abandonné les principes démocratiques pour s’engager dans le contrôle et la “suppression d’êtres humains”, ce qui pourrait simplement se transformer en une “variante” de la troisième guerre mondiale ?[2]


[Voir aussi :
L’effondrement de l’hypothèse virale
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey

Sur le graphène :
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

Sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

Sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

Sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]


Première partie

L’agenda mondialiste

Ne vous méprenez pas, nous sommes actuellement assaillis par une fraude mondiale d’une telle ampleur et d’une telle malveillance qu’elle menace notre existence même telle que nous la connaissons sur cette planète.

L’escroquerie concerne un prétendu nouveau coronavirus, inventé et non découvert par la virologie, qui a permis à Bill Gates de prédire une pandémie unique en son genre, nécessitant des milliards de vaccins pour la combattre, ce qui lui permet d’augmenter considérablement les actifs du Bill and Melinda Gates Trust qui se trouve aux côtés de la Bill and Melinda Gates Foundation (BMGF).[3]

Un autre qui se préparait avec impatience au déploiement de ces ” vaccins ” de masse, qui ne sont pas des vaccins mais des armes biologiques, était Peter Daszak de EcoHealth Alliance. Comme il l’a déclaré en 2015, “nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité des MCM [Contre-mesures médicales], comme un vaccin pan-influenza ou pan-coronavirus. Les médias sont un facteur clé, et l’économie suit le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront s’ils voient des bénéfices à la fin du processus.”[4]

En septembre 2019, le Global Preparedness Monitoring Board, une création de l’OMS et de la Banque mondiale, a conseillé aux pays de se préparer à un potentiel “pathogène respiratoire mortel” en investissant dans “des vaccins et des thérapeutiques innovants, une augmentation de la capacité de fabrication, des antiviraux à large spectre et des interventions non pharmaceutiques appropriées”. [5] Ils ont également conseillé que “tous les pays doivent développer un système pour partager immédiatement les séquences génomiques de tout nouveau pathogène”.[6]

Le monde était préparé à une ” pandémie ” et le 4 décembre 2019, le Dr Anthony.
Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré que son agence ” menait et soutenait des recherches pour développer des technologies de plateforme vaccinale de pointe qui pourraient être utilisées pour développer des vaccins antigrippaux universels ainsi que pour améliorer la vitesse et l’agilité du processus de fabrication des vaccins antigrippaux “. Ces plates-formes technologiques comprennent l’ADN, l’ARN messager (ARNm), les particules de type viral, les vaccins à base de vecteurs et les nanoparticules auto-assemblées.[7] Tout était donc prêt pour libérer les technologies génétiques et les nanoparticules sur des populations sans méfiance, sous couvert d’une crise sanitaire à quelques semaines de distance. Il suffisait de remplacer la grippe, qui n’avait plus réussi à effrayer le monde depuis longtemps, par un “nouveau” coronavirus mortel imaginaire.

Les événements qui se sont déroulés au cours des 20 derniers mois auraient semblé inconcevables il y a encore deux ans, sauf dans l’esprit de personnes comme Gates et Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, qui avaient déjà imaginé de détruire la démocratie de l’intérieur par une réponse autodestructrice induite par la peur d’un tel virus. Comme Schwab l’a écrit dans La Grande Réinitialisation, semant les graines de son programme mondial : “Depuis qu’il a fait son entrée sur la scène mondiale, le COVID-19 a radicalement bouleversé la façon de gouverner les pays, de vivre avec les autres et de prendre part à l’économie mondiale. “[8] C’était une affirmation extraordinaire pour un coronavirus si “nouveau” que les séquences des protéines de pointe (spike) étaient déjà brevetées par leurs inventeurs et, dans le cas du brevet américain 7279327 B2, attribué à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, aux États-Unis, en 2007, et prétendument fourni à Moderna en novembre 2019, un mois avant que le COVID-19 ne fasse son entrée sur la scène mondiale à Wuhan.[9] C’est la chanson que Schwab aime chanter avec Thierry Malleret : ” La crise mondiale déclenchée par la pandémie de coronavirus n’a pas de parallèle dans l’histoire moderne. Nous ne pouvons pas être accusés d’hyperbole lorsque nous disons qu’elle plonge notre monde dans son ensemble et chacun d’entre nous individuellement dans les moments les plus difficiles que nous ayons connus depuis des générations. C’est un moment décisif pour nous – nous aurons à faire face à ses retombées pendant des années, et beaucoup de choses changeront à jamais”.[10] La choriste mondialiste, ancienne Premier ministre néo-zélandaise, Helen Clark, coprésidente du Groupe indépendant de l’OMS pour la préparation et la réponse à la pandémie, reprend le même refrain hyperbolique : “En moins d’un an et demi, le COVID-19 a infecté au moins 150 millions de personnes et en a tué plus de trois millions. Il s’agit de la pire crise sanitaire et socio-économique combinée de mémoire d’homme, et d’une catastrophe à tous les niveaux… Le COVID-19 est le Tchernobyl du XXIe siècle – non pas parce qu’une épidémie est comparable à un accident nucléaire, mais parce qu’il a montré si clairement la gravité de la menace qui pèse sur notre santé et notre bien-être. Elle a provoqué une crise si profonde et si étendue que les présidents, les premiers ministres et les responsables d’organismes internationaux et régionaux doivent maintenant accepter d’urgence leur responsabilité de transformer la manière dont le monde se prépare et réagit aux menaces sanitaires mondiales.”[11]

Ces affirmations absurdes et non fondées des mondialistes constituent une source de peur sur laquelle s’appuient les entreprises pharmaceutiques telles que Pfizer pour soutirer de vastes sommes d’argent aux États-nations qui vendent leur peuple pour une bouchée de pain. Cette pratique d’extorsion est à la base de l’accord de fabrication et de distribution qui a fait l’objet d’une fuite entre Pfizer et l’Albanie, en vertu duquel la première exigeait de la seconde qu’elle accepte que le “vaccin” Pfizer soit soumis à des “risques et incertitudes significatifs”, qu’il “puisse ne pas réussir pour” un large éventail de raisons, et que Pfizer n’ait “aucune responsabilité pour tout échec … dans le développement ou l’obtention de l’autorisation du produit conformément aux dates estimées décrites dans cet accord.[12]

Derrière les “leurres”, comme David Martin décrit les principaux acteurs pharmaceutiques – Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, Merck Ridgeback, Gilead Sciences – se trouvent les criminels parrainés par l’État, les “corsaires” : Anser, “le plus grand contractant de toute la campagne terroriste COVID”, qui gère l’opération Warp Speed ; Fors Marsh, l’agence qui a créé le label COVID-19 et qui est chargée de veiller à ce que le message COVID-19 soit le même dans le monde entier ; Palantir, de Peter Thiels, qui vous suit par téléphone où que vous soyez grâce à Gotham Data Tracking ; et Publicis Sapient, qui coordonne toutes les données COVID-19 et dit au monde entier combien il y a de cas COVID, bien qu’il n’y ait pas de cas COVID à compter.[13] Puis il y a les pirates, parmi lesquels on peut compter : Ralph Baric et son Chimera Laboratory à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, qui a reçu plus de 100 millions de dollars depuis 1999 pour transformer en armes les particules du coronavirus, dont 28 millions de dollars du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci pour transformer en armes la protéine spike ; Vanderbilt ; Emory ; Johns Hopkins University ; University of California System ; Massachusetts Institute of Technology ; New York University Langone ; German Centre for Infection Research ; Imperial College London ; Institute for Health Metrics and Evaluation ; et Erasmus.[14]

Le bouton “go” a été poussé sur cette fraude mondialiste lorsqu’un ouvrier de 41 ans s’est présenté à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec des symptômes indiscernables des autres maladies respiratoires courantes parmi les 11 millions de résidents qui subissent une pollution asphyxiante dans la capitale de la province chinoise du Hubei. Le génome d’un virus que personne n’avait vu, et encore moins isolé et purifié, a été publié début janvier 2020, rebaptisé SRAS-CoV-2 par le Comité international de taxonomie des virus le 11 février, le jour même où le chef d’orchestre de la fraude, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus (Tedros), a annoncé son compagnon conséquent : “nous avons maintenant un nom pour la maladie : COVID-19. Je vais l’épeler : C-O-V-I-D trait d’union 1 9 – COVID-19”.[15]

À la fin du mois de mars 2020, la démocratie était à genoux, le peuple en tant que peuple exclu de la vie publique, emprisonné dans ses foyers. Les camps d’exclusion étaient désormais nos maisons. Et puis l’impensable : les politiciens ont annoncé qu’ils allaient inoculer à leurs populations des injections génétiques codées hautement expérimentales, jamais utilisées auparavant sur des humains, et dont les essais cliniques, déjà tronqués et grotesques, devaient encore durer des années.[16] Nos représentants élus n’ont pas pris la peine de nous le dire. Ils ne nous ont pas dit non plus que ceux qui semblaient tolérer l’inoculation initiale pouvaient transporter dans leur corps des bombes à retardement de maladies neurodégénératives et auto-immunes potentielles ainsi que des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées.[17]

Le cheval de Troie

Tout tourne autour de ces deux concepts : absence et présence. De quoi est fait le SARS-CoV-2 : d’absence ou de présence ? Telle est la question que nous devons trancher. Car sans la présence instanciée du SARS-CoV-2, il n’y a pas de cas de COVID-19 à compter, et donc pas de motif ou de justification pour la réponse d’un gouvernement à une pandémie fantôme.

Cet assaut contre l’humanité s’appuie sur un cheval de Troie pour introduire la tromperie dans nos esprits et nos corps, rendant possible la réalisation de l’agenda mondialiste d’un réseau de contrôle de la population dans le but ultime apparent de contrôler les populations de toutes les manières possibles.[18]

Alors que les débats se poursuivent dans le monde entier sur les origines du COVID-19, le nombre de cas les plus récents, sa létalité et l’efficacité des prétendus vaccins, les participants à ces débats semblent tenir pour acquis qu’un virus existe réellement. La grande majorité du public et du corps médical ignore que le cheval de Troie est la virologie moderne et ses méthodes antiscientifiques qui affirment l’existence de virus tels que le SARS-CoV-2. La plupart seraient surpris d’apprendre que le “virus” n’a jamais été trouvé à l’intérieur d’un seul être humain et qu’il n’a jamais été démontré qu’il était la cause d’une quelconque maladie.

La double tromperie de la virologie

Le crime contre l’humanité COVID-19 exige l’absence de ce virus. Il n’existe donc aucune référence matérielle permettant de recouper le génome fictif, afin d’établir, par exemple, si les prétendues protéines du SARS-CoV-2 proviennent spécifiquement du prétendu virus.

Ce tour illusoire repose sur la double tromperie de la virologie : (a) la substitution de la signification du dictionnaire et du postulat scientifique du substantif “isolement” par son contraire ; et (b) la substitution de la fausse procuration consistant à induire des effets cytopathiques (CPE) en inoculant des lignées cellulaires typiquement anormales in vitro par la procuration postulée consistant à infecter un hôte sain ou non malade in vivo pour établir la causalité entre le pathogène supposé et la maladie. Cependant, même l’utilisation de lignées cellulaires “normales” ne permettrait pas d’établir la causalité selon les postulats de Koch ou tout autre postulat scientifique, puisqu’il s’agit simplement d’observations en éprouvette impliquant des virus présumés.

Cette double tromperie constitue une violation des postulats sur lesquels la communauté scientifique s’appuie depuis longtemps. Cette absence physique fait du SARS-CoV-2 une fraude sans faille, que les virologues financés par l’industrie applaudissent et que le complexe médico-pharmaceutique exploite et récompense. Cet art noir est si obscur et son langage si ardu que peu de gens dans le grand public s’arrêteraient pour le remettre en question. Même Stephen Bustin, expert en réaction en chaîne par polymérase (PCR) et créateur des protocoles MIQE conçus pour dompter le “Far West” de la RT-PCR, se laisse prendre à cette fraude virologique, comme il l’a révélé dans son interview avec Eric Coppolino :

Eric Coppolino (EFC) : Mais il y a deux définitions différentes de l’isolement qui circulent. L’une est que vous le séparez de tout le reste, et l’autre est que vous le mettez dans un bouillon et vous le trouvez.
Stephen Bustin (SB) : Oui. Eh bien, ce n’est pas vraiment mon domaine d’expertise. En ce qui me concerne, j’ai lu les articles et si c’est la façon standard d’isoler un pathogène, alors je n’ai aucun problème avec cela.
EFC : Eh bien, c’est la façon actuelle qui est utilisée, je dirais, que l’idée d’une véritable purification vous le séparez dans une centrifugeuse, et vous savez que vous avez un échantillon de seulement cela. Et c’est ce qui est séquencé et utilisé pour amorcer la PCR. Il ne semble pas que ce soit ce qui se passe…
SB : Eh bien, la façon dont la séquence a été établie, en prenant les échantillons du patient original, en cultivant quelque chose, puis en le séquençant, puis en désassemblant la séquence, et ce qui en est ressorti, c’est le virus du SRAS.[19] Qui ressemblait alors de très près à un virus du SRAS de chauve-souris. Et qui était évidemment différent. Donc, ça… Eh bien, vous savez, c’est une façon standard de faire les choses, donc je ne peux pas vraiment faire d’autres commentaires à ce sujet, sauf que pour moi, c’est parfaitement acceptable et c’est la façon de faire.[20]

Les quatre piliers de la fraude COVID-19

Si p, alors q ; maintenant q est vrai ; donc p est vrai. Par exemple : “Si les porcs ont des ailes, alors certains animaux ailés sont bons à manger ; maintenant certains animaux ailés sont bons à manger ; donc les porcs ont des ailes. Cette forme de déduction est appelée méthode scientifique. “[21] Bertrand Russell, 1946

La fraude mondiale COVID-19 repose sur quatre piliers, tous interdépendants.

Le premier pilier : L’isolement

La théorie des virus pathogènes remonte au XIXe siècle et les virologues ont passé la première moitié du XXe siècle à essayer d’extraire ces virus présumés directement d’hôtes vivants. Les échecs répétés les ont amenés à changer de cap dans les années 1950 afin de conserver une quelconque crédibilité. Les virologues devaient fournir quelque chose à montrer à leurs investisseurs potentiels, y compris à l’industrie pharmaceutique en plein essor qui s’impatientait de développer des vaccins et des traitements antimicrobiens.

En 1954, des scientifiques ont rapporté qu’ils avaient des preuves de la présence du virus de la rougeole en se basant sur l’observation qu’un échantillon provenant d’un patient atteint de la rougeole avait tué certaines cellules dans un tube à essai. Ces phénomènes sont connus sous le nom d’”effets cytopathiques”.[22] Les auteurs ont admis que “bien qu’il n’y ait aucune raison de conclure que les facteurs in vivo [chez l’homme] sont les mêmes que ceux qui sous-tendent la formation de cellules géantes et les perturbations nucléaires in vitro [dans le tube à essai], l’apparition de ces phénomènes … pourrait être associée au virus de la rougeole. “[23]

L’apparition du CPE (effet cytopathique) est à la base des allégations frauduleuses d’isolement et de pathogénicité de la virologie moderne : un échantillon (par exemple, un écouvillon nasal) est prélevé sur un patient et mélangé à des cellules dans un tube à essai, les cellules meurent et l’on déclare qu’un virus a été “isolé”. Ce que les virologues ne veulent pas que vous sachiez, c’est que les mêmes résultats peuvent être obtenus sans ajouter de prétendus échantillons de virus dans le tube à essai – en d’autres termes, c’est le processus lui-même, la privation de nourriture de la cellule et l’ajout de diverses substances toxiques telles que des antibiotiques et des antifongiques, qui provoquent la réaction et la mort des lignées cellulaires déjà anormales, sans qu’aucun virus ne soit nécessaire. (Des photographies d’infections “factices” sont parfois fournies, mais les détails de ces expériences se distinguent par leur absence).

Il y a, bien sûr, les images de ce qu’on prétend être le virus à l’origine de tous nos problèmes. Cependant, ces images 3D colorées ne sont rien d’autre que des images générées par ordinateur constituant une représentation artistique.[24] Elles ont été utilisées par les médias du monde entier pour alimenter l’imagination du public sur l’existence d’un minuscule microbe ressemblant à une mine marine qui pourrait le frapper et le couler à tout moment. Quant aux images de micrographie électronique mises en avant dans les publications scientifiques, elles montrent simplement des nanoparticules dans et autour de cellules de culture, comme décrit dans les expériences de laboratoire ci-dessus.

Schéma 1. ” Effets cytopathiques – aucun virus requis”[25]

Elles sont censées être les virus du SARS-CoV-2 sur la base de déclarations arbitraires. Par définition, un virus est une particule infectieuse qui peut provoquer une maladie chez un hôte vivant. Aucune de ces propriétés essentielles n’a été démontrée dans les expériences virologiques décrivant l’isolement et la pathogénicité prétendus.

Les virologues ont passé des décennies à tenter de le faire sans succès et, au lieu d’admettre qu’il pouvait y avoir un problème avec la théorie des virus, ils ont simplement changé le sens du mot. C’est un état de fait scandaleux. Le monde est actuellement pris en otage parce que les virologues n’isolent pas réellement les virus, ils se contentent de dire qu’ils le font, et ne semblent pas s’inquiéter du fait que l’assaut actuel contre l’humanité repose sur cette fraude scientifique évidente.

La première fraude, fondamentale, consiste à affirmer que le virus a été isolé et qu’il est l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Si cette affirmation (toujours non fondée) n’était pas acceptée, la fraude du COVID-19 imploserait, tout comme la “pandémie du siècle” de Gates. En d’autres termes, la fraude de l’isolement repose sur la violation du sens accepté pour tromper, alors que, par exemple, un “isolat” n’a pas plus été isolé que de simples pensées. Cela met en place un discours circulaire vicieux auquel il est impossible d’échapper : la prémisse de l’existence est établie par le mensonge, et par son insistance absolue, l’existence du virus est “confirmée” de manière concluante et répétée. La virologie se nourrit de cette insistance, car sans elle, il n’y a pas de virus, pas de virologie, pas de “tests” PCR “positifs”, et plus d’emplois pour les virologues qui inventent des virus que Big Pharma combat avec des “vaccins” miraculeux. C’est également la raison pour laquelle les idées qui vont à l’encontre de ce récit sont censurées par le gouvernement et par les grands médias, et pourquoi les agences de sécurité de ce pays terrorisent les personnes qu’elles prétendent protéger, en leur imposant la fraude virologique sur laquelle repose toute la mascarade. L’ensemble de l’appareil d’État est actuellement dédié à cette cause.

Fan Wu et al.[26]

Plutôt que de recourir à la méthode largement utilisée par les virologues pour affirmer l’isolement et la pathogénicité par l’induction de CPE (effet cytopathique), Fan Wu et al, les premiers inventeurs du génome du SARS-CoV-2, ont envoyé l’échantillon extrait du liquide pulmonaire du patient directement au séquençage pour deux plateformes d’assemblage de novo afin de rechercher de courts fragments génétiques ou “reads”.[27] Il est important de noter que les échantillons envoyés pour le séquençage n’étaient pas des virus physiquement isolés mais des échantillons bruts contenant des millions de fragments génétiques uniques provenant du patient lui-même, d’innombrables microbes, et même de l’air que le patient avait respiré sur le chemin de l’hôpital. Plus de 56,5 millions de “reads” ont été produites à partir de cette “soupe” génétique et assemblées pour créer 384 096 contigs (longues séquences génétiques) sur Megahit, et 1,32 million de contigs sur Trinity.[28] Peut-être avec une prédisposition à prouver leur canular infondé selon lequel il existe “la capacité continue de la propagation virale de l’animal à causer une maladie grave chez les humains”, Fan Wu et al. ont choisi la plus longue (30 474 nucléotides) qui, selon eux, avait une identité de nucléotides de 89,1 % avec le génome in silico du coronavirus de la chauve-souris (SL-CoVZC45) inventé en 2018.[29] Ainsi, un “génome” aussi proche génétiquement qu’un humain l’est d’un chat domestique abyssinien est devenu le modèle utilisé pour la conception d’amorces pour la méthode RT-PCR afin de soi-disant détecter un virus dont l’existence n’avait pas été démontrée.[30] Par la suite, il a été décidé que le génome avait besoin d’un couper-coller, peut-être pour le faire paraître encore plus proche des 29 802 nucléotides du modèle de chauve-souris SL-CoVZC45 et il a été réduit à 29 875 nucléotides dans la version suivante sur GenBank.[31] Mais les artistes n’en avaient pas fini avec leur création et un troisième et dernier modèle a été dessiné avec une séquence terminale complètement différente comportant 23 bases adénines consécutives, ce qui ressemblait davantage au modèle de chauve-souris qui comportait 26 bases adénines consécutives en queue.[32] On ne sait pas très bien comment les virologues ont pu savoir quel “génome” choisir alors que toutes les options étaient des constructions informatiques hypothétiques. Il devient donc rapidement évident que l’anti-science de la virologie et la perversion du mot “isolement” sont non seulement délirantes mais aussi très trompeuses et qu’elles ne peuvent servir de base à quoi que ce soit, et encore moins à la santé et au bien-être de populations entières.

Un an plus tard, le Dr Wu Zunyou, du CDC chinois, dans une interview avec Janis Mackey-Frayer, déclarait que l’isolement n’avait jamais eu lieu : “Ils n’ont pas isolé le virus”, a-t-il déclaré. “C’est la question [pourquoi aucune donnée n’a été partagée]. Je ne soupçonne pas que cela provienne de ce à quoi nous pensions au départ.”[33]

Cette fraude fondatrice a été récompensée par des subventions en 2020 d’un montant total de 900 000 dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates accordées aux deux institutions auxquelles 14 des 19 coauteurs de la fraude étaient affiliés : L’Université Fudan a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-006277 ” pour soutenir l’étude épidémiologique et identifier les risques élevés d’infection par le COVID-19, ce qui contribuera à la stratégie d’intervention de santé publique nationale et internationale et au développement de produits “, pour un montant total de 300 000 dollars ; et le China CDC a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-005832 ” pour soutenir la réponse d’urgence et l’évaluation, et préparer la Chine à la pandémie potentielle, ce qui contribuera non seulement à contrôler et à contenir la maladie, mais aussi à apporter l’expérience de la Chine à la santé mondiale “, pour un montant total de 600 000 dollars.[34]

Peng Zhou et al.

Des méthodes pseudo-scientifiques similaires et la même fausse revendication d’isolement se retrouvent dans l’article de Peng Zhou et al. reçu par Nature 13 jours après celui de Fan Wu et al. mais publié en ligne dans le même volume, 579, le même jour, le 3 février 2020.[35] Ces auteurs revendiquent également l’isolement réussi de ce qu’ils appellent “2019-nCoV BetaCoV/Wuhan/WIVO4/2019” (EPI_ISL_402124) mais sur la base des CPE (effets cytopathiques) qu’ils ont observés dans trois lignées cellulaires.[36] Cependant, il s’agit de substituts illégitimes de l’infection postulée d’un animal ou d’un hôte sain (non malade). Les trois lignées cellulaires utilisées étaient les suivantes : Les cellules Vero E6 (aneuploïdes) dérivées du rein d’un singe vert africain ; Huh7, une lignée cellulaire d’hépatocytes humains prélevée sur une tumeur du foie en 1982 et cultivée par la suite ; et les cellules HeLa humaines dérivées d’une femme humaine en 1951 souffrant d’un carcinome cervical et cultivées par la suite.[37] Aucune de ces lignées cellulaires ne répond au critère postulé d’un hôte sain avec lequel on peut tester la pathogénicité, mais elles sont privilégiées car elles produisent les effets recherchés, c’est-à-dire un effet cytopathique et l’apparition de vésicules extracellulaires. Aux lignées cellulaires ont été ajoutés, entre autres, des sels inorganiques, du sérum bovin fœtal pour nourrir les cellules, et un ensemble d’éléments cytotoxiques tels que l’amphotéricine B – un antifongique, la trypsine – qui hydrolyse les protéines, la pénicilline – un antibiotique, la streptomycine – un autre antibiotique, le glutaraldéhyde – un désinfectant et un fixateur, le tétroxyde d’osmium – un agent oxydant à toxicité aiguë, et la résine époxy – pour créer un substrat solide pour le découpage en tranches ultrafines.[38] Bizarrement, en se basant sur le fait qu’un ARN de provenance inconnue faisait partie de la culture dans laquelle de nombreuses cellules sont mortes à la suite d’une famine induite et d’un stress avec des ingrédients cytotoxiques, les auteurs ont affirmé qu’ils avaient réussi à isoler leur virus, 2019-nCoV BetaCov, et non que le cocktail d’ingrédients cytotoxiques avait décimé leurs lignées cellulaires anormales.

En bref, Peng Zhou et al. n’ont rempli aucun des postulats permettant d’identifier le virus ou de confirmer qu’il est à l’origine d’une quelconque maladie. Le prétendu virus n’avait même pas été physiquement isolé et purifié pour une caractérisation biochimique et restait donc entièrement théorique.

Cela n’a apparemment pas inquiété la Fondation Bill et Melinda Gates, la fondation qui fournit à l’Académie chinoise des sciences, à laquelle 24 des 27 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19, sous le numéro INV-006377, d’un montant total de 359 820 USD, dans le but suivant : “Soutenir le développement d’une plateforme d’essais pour la sélection de médicaments et de vaccins sous-unitaires contre le coronavirus, qui contribuera à l’innovation de produits pour le contrôle de la pandémie de COVID-19”.[39]

Na Zhu et al.

Publiés dans The New England Journal of Medicine le 20 février 2020, Na Zhu et ses collaborateurs décrivent leur étude des échantillons des voies respiratoires inférieures, y compris le liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA), prélevés chez quatre patients atteints de pneumonie de cause inconnue, qui s’étaient tous rendus au Huanan Seafood Market de Wuhan peu avant leur tableau clinique.[40]

Bien qu’ils affirment avoir isolé le virus, il est clair que les auteurs n’entendent pas le terme “isolement” dans le sens du dictionnaire et du principe, mais dans le sens antonymique de la virologie et dans celui de la substitution de cellules hôtes malades à des cellules non malades pour établir la causalité entre un prétendu virus et la maladie du patient.[41] Dans ce cas, le surnageant centrifugé à partir du LBA du patient “a été inoculé sur des cellules épithéliales humaines… réséquées à partir de patients subissant une chirurgie pour un cancer du poumon”, bien que prétendument exemptes d’agents pathogènes.[42] En tout état de cause, des cellules cancéreuses seraient présentes dans ces cellules et, comme elles ont l’habitude de le faire, ces cellules produiraient une abondance d’exosomes, qui seraient visibles par le biais de la microscopie électronique à transmission.[43] Contrairement à Fan Wu et al et Peng Zhou et al, Na Zhu et al ont bien produit des images de ce qu’ils ont décrit comme des “particules de 2019-nCoV” mais sans aucune vérification de leur composition biochimique à partir d’un spécimen purifié.[44] Il est tout simplement impossible d’établir, à partir des images proposées, que les particules sont des virus (c’est-à-dire infectieux et pathogènes) ou qu’elles contiennent le prétendu génome du SARS-CoV-2.

Pourtant, malgré cette double tromperie qui hante la virologie, les virologues s’accrochent à leurs convictions et à leur métier. Car comme le disent Na Zhu et al : “Bien que notre étude ne réponde pas aux postulats de Koch, nos analyses fournissent des preuves de l’implication du 2019-nCoV dans l’épidémie de Wuhan.”[45] La base de cette affirmation semble être que les auteurs ont placé des pointes en forme de flèche sur des vésicules extracellulaires de composition inconnue et les ont baptisées “2019-nCoV”.

L’implication et la composition inconnue étaient toutefois suffisantes pour la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a accordé à l’Institut national de contrôle et de prévention des maladies virales, auquel 13 des 18 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19 sous le numéro INV-019121 pour un montant de 71 700 dollars US “pour aider le CDC chinois à évaluer la qualité des réactifs de diagnostic sérologique du COVID-19 en Chine et fournir des preuves de l’utilisation scientifique des réactifs dans le diagnostic clinique et l’enquête épidémiologique”.[46]

Leon Caly et al.

Leon Caly et al. ont produit leur propre version sous le titre “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia” (isolement et partage rapide du nouveau coronavirus de 2019 (SRAS-CoV-2) chez le premier patient diagnostiqué avec COVID-19 en Australie) lorsqu’ils ont fait état d’un homme de 58 ans originaire de Wuhan qui s’est “senti mal” à son arrivée à Melbourne le 19 janvier 2020.[47]

Lorsqu’ils ont affirmé que les cellules Vero “présentaient des vésicules liées à la membrane cytoplasmique contenant des particules de coronavirus”, Caly et al. n’ont pas pu trouver de “virions” avec la prétendue protéine spike, ils ont donc ajouté de la trypsine au milieu de culture cellulaire, et avant qu’ils aient pu dire “Jack Robinson”, la trypsine, dont la fonction est de digérer les protéines, avait englouti la couche protéique externe d’un “virion” sphérique de 100 nm pour révéler “la frange caractéristique en forme de couronne des protéines spike”, ce qui, ajoutent-ils sans la moindre ironie, “a immédiatement amélioré la morphologie du virion”.[48] En d’autres termes, lorsque les exosomes ne ressemblaient pas au virus qu’ils souhaitaient, ils leur ont donné un petit coup de pouce trypsinisé. Les prétendus virions n’ayant pas été purifiés, leur composition biochimique n’a pas pu être établie : le “génome” proposé a en fait été constitué après avoir généré “environ 30 000 000 de “reads”” à partir du mélange de cultures de tissus.[49] Comme pour tous les autres articles de cette nature, aucune explication n’a été fournie quant à la manière dont ces particules seraient à l’origine de maladies ou si ces mêmes particules existent dans l’organisme humain. Là encore, on ne peut parler que de vésicules extracellulaires de signification inconnue, produites à partir de cellules rénales anormales de singe dans une éprouvette. Le problème supplémentaire de savoir si les images de micrographie électronique de tissus préparés in vitro ressemblent même à celles de cellules vivantes dépasse le cadre de cet essai.

Il n’est pas nécessaire d’en dire plus sur les folies de cet article et sur les absurdités virologiques qui le sous-tendent, si ce n’est pour ajouter que le ministère néo-zélandais de la santé (MOH) déclare qu’il s’agit d’un exemple “d’isolement et de culture du virus en laboratoire”.[50]

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique

Cette tragédie mondiale a été en grande partie rendue possible par le déclin de la science ” – l’étude systématique de la nature et du comportement de l’univers matériel et physique, basée sur l’observation, l’expérience et la mesure ” – vers le scientisme, “l’application non critique des méthodes scientifiques à des domaines d’étude inappropriés “.[51] Cela est devenu un système de croyance sécularisé dont l’autorité repose sur sa propre performativité et sur la présupposition d’une préexistence phénoménologique dans laquelle les suppositions et les hypothèses sont considérées comme concluantes et les abstractions sont traitées comme des répliques du réel.

Le deuxième pilier de la fraude COVID-19 est celui du séquençage génomique.

Les virologues prétendent avoir établi la structure génétique complète de virus tels que le ” SARS-CoV-2 ” et l’avoir téléchargée dans des banques de données, comme Fan Wu, Peng Zhou, Na Zhu, Leon Caly et leurs équipes l’ont fait au début de 2020, et comme beaucoup l’ont fait depuis. Là encore, ils affirment avoir un “isolat” du virus, mais cette déclaration est faite après avoir “construit” le génome à partir de leur mélange contenant des fragments génétiques de provenance inconnue. Dans le cas de Fan Wu et al, bien qu’il n’y ait pas de chauves-souris en vente dans le marché couvert de fruits de mer où le patient travaillait, et bien que les auteurs n’aient pas été en mesure de confirmer un hôte intermédiaire ou un réservoir pour leur virus, ils ont néanmoins choisi in silico (par ordinateur) un autre coronavirus de chauve-souris comme modèle pour créer WH-Human 1 (SARS.-CoV-2).[52] Tout cela, sans doute, fait partie intégrante du besoin de validation scientifique de la virologie, qui s’exprime dans sa quête depuis 20 ans de l’eldorado des chauves-souris où, selon elle, se trouvent tous les trésors du monde en matière de coronavirus.[53] En attendant, elle continue d’inventer des virus pour nourrir Big Pharma et se maintenir à flot.

Le processus utilisé par la virologie pour prétendre à “l’isolement” peut être résumé comme suit. À partir de la “soupe” biologique prélevée dans les poumons ou les écouvillons nasaux des patients, qui contient toutes sortes de matériel provenant du sujet humain, d’innombrables microbes commensaux et de contaminants potentiels, les plates-formes d’assemblage de novo recherchent de courts fragments génétiques. Après avoir trouvé des millions de fragments uniques dans le mélange, ces logiciels assemblent un “génome” (un long morceau) en fonction des paramètres définis dans le programme. En cours de route, il y a un peu de couper-coller et si des morceaux sont “manquants”, d’autres modèles prêts à l’emploi peuvent être ajoutés pour combler les lacunes. Cependant, les algorithmes, les modèles de probabilité et les sélections arbitraires créés par l’homme ne peuvent pas répondre par “oui” ou par “non” à la question de son existence physique dans la nature, notamment parce que tout “génome” de coronavirus utilisé comme modèle dans sa production sera également propositionnel, la méthodologie n’offrant aucun lien confirmable avec l’univers matériel ou physique, faisant du nouveau membre du genre Coronavirus un simple produit supplémentaire des processus sui-référentiels de la virologie.

Une analogie pour ces processus serait que vous trouviez un million de cartes sur le sol, chacune avec des phrases partielles. Vous commencez à les arranger pour en faire des phrases complètes, puis finalement une histoire. Si certaines parties ne correspondent pas, vous les jetez, et si des parties semblent manquer, vous empruntez un paragraphe d’une autre histoire. Mais comment savoir s’il s’agit d’une histoire existante et non d’une invention de votre part ? Et pourquoi n’y aurait-il pas dix petites histoires, ou pas d’histoire du tout ? En bref, vous ne pouvez pas prétendre connaître l’histoire si vous n’avez pas accès à l’histoire complète avant de commencer. Et c’est là que réside la tromperie de la virologie – les virologues ne travaillent pas avec un génome complet parce qu’ils ne travaillent pas avec un virus complet. Ils travaillent avec des morceaux aléatoires de matériel biologique et nous disent ensuite que cela constitue la preuve d’un virus. Cependant, ceux d’entre nous qui examinent attentivement leurs expériences peuvent voir qu’il y a un problème : il n’y a aucune preuve matérielle d’un quelconque virus.

En effet, ce que l’on ne dit pas au public, c’est qu’aucun virus appelé SARS-CoV-2 n’a jamais été réellement isolé et purifié en tant que structure unique. Ce qui se passe, c’est simplement le séquençage à l’aveugle d’échantillons bruts qui contiennent des fragments génétiques de provenance inconnue. Par conséquent, il n’existe aucune preuve, pas même la plus vague garantie, que le “génome” in silico qui en résulte existe dans la nature ou a quelque chose à voir avec un “virus”. De cette façon, cependant, l’invention du “virus” est présentée comme une découverte, son faux statut étant assuré rétroactivement par l’acte de dénotation par lequel sa dénomination prétend à son existence antérieure et à sa pathogénicité.

Qu’un génome hypothétique fictif inventé par une telle anti-science soit au cœur de cet assaut contre l’humanité est un scandale scientifique et éthique. C’est cette fausse science qui a mis le monde sens dessus dessous. C’est là le caractère insidieux du crime de la virologie, une version généralisée de la fausse revendication de l’isolement qui donne aux politiciens la “permission” de violer ceux qu’ils emploient, et d’étendre leur programme systématique de violation corporelle au secteur privé, les dernières victimes étant les travailleurs du commerce au détail et de l’hôtellerie.[54]

Pour le reste, le crime s’insinue dans notre conscience sous couvert de devoir et de bienfaisance, amenant nombre d’entre nous à accepter dans notre corps le contenu inconnu de flacons que le gouvernement n’a apparemment pas pris la peine de vérifier, produits par un fabricant ayant un palmarès spectaculaire de fraude médicale criminelle, contenu qui, en outre, introduit clandestinement dans notre corps des vecteurs génétiques aux effets mal déterminés, tout cela pour le plus grand bien de la protection de la société contre une maladie mortelle qui n’existe pas.[55]

La façon dont une démocratie contemporaine a pu se laisser prendre à une telle absurdité grotesque mais mortelle dépasse le cadre de cet essai. Il suffit de dire que c’est la raison pour laquelle le gouvernement néo-zélandais n’est pas “votre unique source de vérité”, mais un pourvoyeur criminel de mensonges monumentaux qu’il utilise pour couvrir ses lâches crimes contre l’humanité, ses actes de terreur et de démocide, ainsi que le carnage socio-économique généralisé et la dislocation qu’il continue d’infliger à la population de cette whenua [terre en Maori], reproduisant les circonstances antérieures à l’établissement des pires régimes totalitaires.

Le troisième pilier : La PCR

Le troisième pilier de la fraude COVID-19 concerne la mauvaise application de la PCR (modifiée en RT-PCR, reverse-transcriptase-PCR afin de détecter l’ARN monocaténaire, car la PCR ne peut qu’amplifier l’ADN avec précision). Cette application erronée porte sur l’amplification de séquences d’ARN prélevées sur des sujets humains qui appartiendraient au SARS-CoV-2 et à une maladie appelée COVID-19. Or, la PCR ne peut confirmer ni l’un ni l’autre de ces éléments ; sa capacité se limite uniquement à l’amplification des séquences nucléotidiques sélectionnées, et non à la détermination de leur provenance ou de leur signification. Cette fraude repose donc sur l’attribution d’une signification aux séquences amplifiées, qui est fournie par : (a) la référence au génome imaginaire in silico et non à une entité physique prouvée appelée SARS-CoV-2 ; et (b) une “maladie” qui, par un raisonnement circulaire absurde, a été définie par le résultat de la PCR lui-même. Le SARS-CoV-2 n’a jamais été localisé chez un sujet humain, isolé, purifié, puis photographié et caractérisé biochimiquement comme une structure unique. Il n’a pas été prouvé qu’il existe dans la nature ; en fait, des composants clés ont été brevetés en 2007, ce qui, par définition, signifierait qu’ils sont fabriqués par l’homme.[56] En ce qui concerne les courtes séquences nucléotidiques détectées par les kits PCR utilisés, elles existent mais proviennent d’ailleurs, et non d’un virus étiqueté ” SARS-CoV-2 ” (si la PCR est mal faite ou à des nombres de cycles élevés, comme c’est le cas habituellement, la séquence cible peut même ne pas exister dans l’échantillon et un résultat ” positif ” est simplement un artefact du processus). En outre, la PCR ne peut pas diagnostiquer le statut infectieux d’un humain de manière avérée et aucun lien cohérent n’a jamais été trouvé entre un état pathologique et les résultats de la PCR. En bref, la mauvaise application de la PCR signifie que le COVID-19 est une construction scientifiquement dénuée de sens qui ne représente rien de plus qu’une illusion référentielle.

Dès le départ, le but de cette application erronée était de fournir la base statistique d’une pandémie basée sur une maladie inventée par l’OMS au profit de l’élite et de certains membres de l’industrie pharmaceutique, et non pour l’humanité. Au 3 janvier 2020, avec seulement ” 44 cas-patients atteints de pneumonie d’étiologie inconnue “, il n’y avait aucune base pour amorcer le bouton de démarrage de la pandémie que l’OMS et l’industrie pharmaceutique recherchaient désespérément ; Moderna et BioNTech, le partenaire de Pfizer, avaient par exemple perdu près d’un milliard de dollars à eux deux en 2,5 années financières entre 2016 et 2019.[57]

Dr Kary Mullis, l’inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR) : “Cela ne vous dit pas que vous êtes malade.” (Photo : LA Times 13 août 2019)

Cependant, après la publication sur le site Internet de l’OMS, les 13 et 17 janvier 2020, de séquences de tests PCR non évaluées par des pairs, conçues par Christian Drosten et al. pour détecter le prétendu virus, des tests conçus, comme l’ont reconnu les auteurs, ” sans disposer de matériel viral “, le nombre de cas de COVID-19 a commencé à augmenter.[58]

Entre le 22 et le 24 janvier, l’OMS a convoqué une réunion d’urgence pour suivre la situation internationale, alors que seuls 17 décès et 581 cas avaient été signalés à ce stade.[59] Cette absence de cas posait un problème aux entreprises pharmaceutiques désireuses de mettre sur le marché leurs dispositifs hautement expérimentaux de codage génétique, déguisés en vaccins, sans avoir à passer par les processus d’approbation normaux, qu’elles doutaient de pouvoir satisfaire. [60] Une urgence de santé publique pourrait être le moyen de contourner les conditions d’autorisation rigoureuses des autorités réglementaires.[61] Les “tests” RT-PCR ont atteint leur objectif, produisant suffisamment de cas pour que Tedros déclare “une urgence de santé publique de portée internationale” (PHEIC), et pour alimenter la rhétorique : “L’heure est aux faits, pas à la peur. L’heure est à la science, pas aux rumeurs. L’heure est à la solidarité et non à la stigmatisation.”[62] En effet, en sept jours seulement, à partir du 24 janvier, le nombre de cas de COVID-19 a augmenté de 1 245,61 % dans le monde, passant de 581 à 7 818, dont 98 seulement en dehors de la Chine.[63] Le lendemain, le nombre total de cas était passé à 9 826.[64] La fraude internationale était là, au grand jour, avec la croissance astronomique d’un virus fantôme qui n’avait pas été isolé et dont on n’avait pas encore démontré qu’il était à l’origine d’une quelconque maladie. Tedros recommandait d’accélérer le “développement de vaccins, de thérapies et de diagnostics”, ce qui était encore plus important que “l’urgence de santé publique de portée internationale”.[65]

L’odeur de la fraude était partout. Drosten a omis de déclarer qu’il était membre du comité éditorial d’Eurosurveillance lorsque son article et celui de ses co-auteurs ont été publiés dans Eurosurveillance le 23 janvier, deux jours après avoir été soumis.[66] Il est également apparu que Drosten serait “probablement poursuivi en justice pour détention d’un titre de doctorat frauduleux”.[67] Un autre co-auteur, Chantal Reusken, a également omis de déclarer qu’elle faisait partie du comité éditorial d’Eurosurveillance, et un autre co-auteur de Drosten, Olfert Landt, PDG de TIB Molbiol, a omis de déclarer son conflit d’intérêts jusqu’au 29 juillet 2020, alors que sa société fabriquait un kit PCR basé sur les séquences de test publiées.[68] Pour Landt, la tromperie s’est avérée très payante, comme son entreprise l’indiquera plus tard : “TIB Molbiol … fournit des kits de test PCR COVID-19 depuis début janvier 2020. Au cours des 12 derniers mois, nous avons livré plus de 60 millions de tests.”[69]

Soudain, le monde a été plongé non pas dans une pandémie virale mais dans une pandémie de PCR générant la peur dans le monde entier. Mais la peur paie et paie bien. L’institution à laquelle les créateurs les plus éminents de cet article étaient associés, l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin, a reçu une subvention 2020 du BMGF sous le numéro INV-005971 “pour développer des outils de diagnostic et de virologie permettant une réponse rapide au nouveau coronavirus 2019” pour un montant total de 249 550 dollars.[70]

La pandémie de tests PCR a maintenant soutenu la pandémie fantôme de COVID-19 pendant presque deux ans. On prétend que la PCR peut détecter un virus et une infection, mais ce n’est qu’une tromperie de plus. La méthode PCR amplifie simplement des fragments génétiques, c’est tout. Comme nous l’avons établi, personne n’a de spécimen physiquement isolé ni même prouvé l’existence du virus. C’est pourquoi les séquences des tests PCR de Drosten ont été conçues sans virus, tout comme les séquences des tests des centres américains de contrôle et de protection des maladies (CDC).[71] En d’autres termes, la PCR a été calibrée pour détecter les séquences génétiques d’un “virus” dont l’existence dans la nature n’a pas été démontrée. Au lieu de cela, elle détecte des séquences de provenance inconnue que l’on trouve chez certains humains et, semble-t-il, chez certaines chèvres, une caille et un jaquier.[72] Comme l’a souligné Kary Mullis, l’inventeur de la PCR, lauréat du prix Nobel, la PCR “ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé va vous faire du mal ou quoi que ce soit de ce genre”.[73] En effet, bien qu’il se présente comme un “flux de travail diagnostique pour le 2019-nCoV”, l’article de Drosten décrit simplement la sensibilité analytique et la spécificité de leur protocole PCR pour amplifier les séquences nucléotidiques sélectionnées, il n’établit aucune spécificité diagnostique pour une quelconque condition clinique.[74] Ainsi, bien que les autorités sanitaires affirment que la PCR est adaptée au diagnostic du COVID-19, un tribunal autrichien a confirmé le contraire en mars 2021, son jugement faisant écho à celui de Mullis : “‘un test PCR n’est pas adapté au diagnostic et ne dit donc rien en soi sur la maladie ou l’infection d’une personne’”.[75] Le partenaire complémentaire dans le crime de la PCR est la définition de l’OMS d’un cas de “COVID-19”.[76] Essentiellement, un cas confirmé peut être et sera très probablement “une personne ayant un test d’amplification de l’acide nucléique (TAAN) positif”, c’est-à-dire un test PCR, que la personne soit malade ou non.[77] Cela a créé une situation absurde où un cas de “COVID-19” n’est rien d’autre que le résultat du test PCR d’un test qui n’en est pas un, car le test PCR n’a aucune capacité de diagnostic à cet égard, puisqu’il s’agit simplement d’un outil d’amplification. Les tests PCR “positifs” sont ensuite affichés par des organisations telles que l’Université et la Médecine John Hopkins qui présentent des statistiques dénuées de sens comme si elles étaient légitimes. En d’autres termes, aucun des 243 554 336 cas de COVID-19 affichés sur le tableau de bord du coronavirus de Johns Hopkins au 25 octobre 2021 n’existe en dehors du discours vicieusement circulaire qui repose uniquement sur la double prémisse non prouvée selon laquelle le SARS-CoV-2 a été isolé et est à l’origine du COVID-19.[78]

En conséquence, nous vivons aujourd’hui une tyrannie médicale, déconnectée du monde naturel et tellement absurde que la détection de quelques fragments génétiques chez une personne peut servir d’excuse pour enfermer une nation entière.

Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Les nombres astronomiques de cas produits par la méthode PCR sont devenus la base du nombre de reproduction (R0) qui a initialisé tous les modèles épidémiologiques du COVID-19. Pourtant, même en s’appuyant sur ces chiffres sans valeur, la modélisation des épidémies, connue depuis longtemps pour sa faillibilité prédictive, a quand même réussi à produire des prédictions spectaculairement grotesques.

Le plus grand pourvoyeur de cette absurdité spéculative est Neil Ferguson de l’Imperial College London (ICL), auteur principal du rapport 9 de l’ICL, publié sans examen par les pairs le 16 mars 2021, qui prédit que 550 000 personnes au Royaume-Uni et 2,2 millions de personnes aux États-Unis mourraient dans un délai d’environ trois mois sans intervention non pharmacologique (masque, confinement…)[79] Ses prédictions catastrophiques ont amené les gouvernements à changer de cheval à mi-chemin et ont provoqué, comme on pouvait s’y attendre, une panique généralisée parmi un public non averti, créant un environnement de peur et une volonté de se conformer aux politiques de “santé” publique dans de nombreux pays. Lorsqu’il a finalement publié les programmes du rapport 9 pour les soumettre à l’examen du public, Ferguson a constaté qu’ils étaient ridiculisés par les experts commerciaux et universitaires. Un expert commercial a estimé qu’il s’agissait d’un “désordre bogué qui ressemble plus à un bol de pâtes aux cheveux d’ange qu’à une pièce de programmation finement réglée”, tandis que des scientifiques de l’université d’Édimbourg ont signalé qu’il échouait “au test scientifique de base consistant à produire les mêmes résultats à partir du même ensemble initial de paramètres”.[80] Dix jours plus tard, Ferguson, qui estime que les modèles sont des “versions simplifiées de la réalité”, prédit, dans un autre article cosigné par l’ICL, que 40 millions de personnes pourraient mourir dans le monde à cause du COVID-19.[81]

La modélisation du chaos en Nouvelle-Zélande a été largement le domaine de trois groupes. Le premier à publier son rapport, daté du 27 février 2020, a été le groupe de modélisation commandé par le gouvernement, l’University of Otago Wellington COVID-19 Response Group (UOWCRG). Dans ce rapport, les modélisateurs “estiment que le nombre de décès probables se situe entre 12 600 et 33 600”, ce qui correspond à 0,67 % de la population néo-zélandaise et à plus de 52 millions de décès dans le monde.[82] N’ayant effectué aucun contrôle préalable sur les circonstances de l’origine du SARS-CoV-2, mais ayant recueilli diverses informations à son sujet de toutes parts, y compris ses données de reproduction (R0) provenant de quatre sources différentes et le nombre de cas d’infection en Australie, l’UOWCRG a prédit que le système hospitalier du pays serait submergé par “336 000 personnes” nécessitant une “hospitalisation”, et entre 67 000 et 79 000 patients nécessitant des unités de soins intensifs dans le pire des cas.[83]

Cependant, la fantasmagorie de mort massive sur laquelle l’état d’exception a été décidé ne repose pas sur les modélisateurs mandatés par le gouvernement, mais sur deux rapports de modélisation non mandatés et non évalués par des pairs, dont les huit auteurs, quatre pour chaque rapport, n’avaient aucune qualification en épidémiologie ni aucune expérience préalable de la modélisation d’une épidémie humaine. Leurs prédictions astronomiques n’étaient pas le fruit d’une rigueur scientifique mais d’une spéculation algorithmique fondée sur des chiffres de cas provenant du ministère de la santé pour l’un des rapports, et pour l’autre, sur des “comparaisons avec des données internationales sur les parcours des cas et des études de modélisation pour les épidémies au Royaume-Uni et aux États-Unis (Ferguson et al 2020)” afin de calibrer leur “nombre de reproduction avec contrôle (Rc)”.[84] Le premier de ces rapports provient de Wigram Capital Advisors, une petite société de conseil en macroéconomie spécialisée dans la Chine et l’Asie.[85] L’autre, Te Pūnaha Matatini (TPM), qui se décrit comme un “Centre d’excellence en recherche sur les systèmes complexes”, est rattaché à l’université d’Auckland.[86] Les modèles de Wigram ont été “exécutés autour du 22 mars” et prévoyaient 4 000 cas de COVID-19 pour le 3 avril et 10 000 pour le 9 avril.[87] C’est à la modélisation de Wigram que le gouvernement s’est référé le 23 mars quand il a affirmé : “Si la transmission dans la communauté décolle, le nombre de cas doublera tous les cinq jours.”[88] Si l’Australie avait connu le même nombre de cas le même jour, doublant tous les cinq jours, sa population de 25,5 millions d’habitants aurait été infectée à la mi-juin et, sur la même base, la population mondiale de 7,8 milliards d’habitants aurait été infectée à la fin de juillet 2020.[89]

L’auteur principal de TPM est intervenu de manière spectaculaire le dimanche 22 mars, en s’adressant aux médias avec l’affirmation alarmante que sa modélisation provisoire, réalisée sur la table de sa cuisine, suggérait que 60 000 personnes allaient mourir à moins qu’une “stratégie de suppression agressive” ne soit mise en œuvre “dès que possible”, ce qui, par miracle, permettrait de sauver 50 000 de ces vies.[90] Les modélisateurs n’avaient aucun précédent auquel se référer concernant les effets d’une telle stratégie, mais surtout, ils n’avaient aucune idée de l’existence même du virus. Comme l’a admis l’auteur principal, ces résultats ont été produits avec “beaucoup d’approximation” en se basant sur des données provenant de l’étranger, tandis que la modélisation elle-même traitait “la Nouvelle-Zélande comme une grande ville où tout le monde a la possibilité d’infecter quelqu’un d’autre”, une erreur fondamentale qui a contribué aux prévisions de mortalité grotesques du rapport.[91] Le lendemain matin, les 60 000 de TPM étaient passés à 1,67 % de la population, soit 83 500 personnes qui pourraient mourir sans aucune mesure d’intervention de “santé” publique, une histoire fantaisiste sans fondement dans la réalité mais qui a fait trembler les parlementaires et à laquelle les apprentis sorciers croient encore un an plus tard.[92] Extrapolé à la population mondiale, “le ministère de I’autopromotion de TPM” venait de prédire que 130 260 000 personnes allaient mourir dans le monde. Le petit groupe TPM a été richement récompensé par le gouvernement avec un prix de 6 millions de dollars pour l’avoir aidé à promouvoir un récit absurde et à susciter une peur sans fondement dans la population de la Nouvelle-Zélande.[93] Si TPM a remporté le prix de la prédiction la plus grotesque, l’ICL de Neil Ferguson a été le grand gagnant. Gates, qui apprécie une histoire effrayante qui confirme ses “prédictions”, qui ferme une grande partie du monde et qui décide que seuls les “vaccins” peuvent le rouvrir, a puisé dans ses réserves pour son frère d’armes de l’ICL, sortant de sa poche arrière un ensemble de subventions pour 2020 d’un montant total de 91 494 791 dollars.[94] Parmi ces subventions, citons INV-016635, d’un montant total de 1 080 771 USD, pour “évaluer l’efficacité potentielle d’un vaccin à base d’acide ribonucléique (ARN) contre le COVID-19”, INV-023013, d’un montant total de 140 041 USD, pour “modéliser l’impact potentiel des diagnostics rapides pour le COVID-19”, et INV-023210, d’un montant total de 1 487 605 USD, pour comprendre comment les impacts sociaux et autres impacts indirects du COVID-19 (distanciation sociale, quarantaine, etc.) et les perceptions du risque influencent les comportements sexuels à risque qui pourraient conduire au VIH.[95] Si l’année 2020 a été une année record pour l’ICL, M. Gates s’occupait depuis longtemps de l’ICL, la Fondation Bill et Melinda Gates lui ayant accordé des subventions depuis 2002 pour un montant total de 302 164 640 USD, soit environ 16 000 000 USD par an au cours des 19 dernières années.[96]

Alors que la confusion et le débat font rage sur ces modèles, sur les raisons pour lesquelles le “virus” se comporte si différemment selon les endroits, sur l’existence d’une surmortalité et sur l’efficacité des “vaccins”, tout cela n’est qu’une distraction. Si l’on examine l’article d’origine de Fan Wu et al. et tous ceux qui ont suivi, la vérité est que l’existence du “SARS-CoV-2” n’a pas été démontrée. Il n’y a pas de “COVID-19” en dehors d’un récit malveillant imposé à l’humanité.

Troisième partie

En résumé

La fraude du COVID-19 est l’œuvre d’élites internationales, de l’industrie pharmaceutique et de politiciens complices travaillant à un programme mondialiste, dont l’objectif semble être l’extinction des droits de l’homme et des libertés et le démantèlement de la démocratie dans le but de contrôler les populations et d’extorquer de vastes sommes d’argent aux pays sur la base qu’une maladie, le COVID-19, inventée par l’OMS, représente une menace sérieuse pour leurs populations.

Le fondement de cet agenda est la fraude selon laquelle un nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2 a été trouvé et isolé chez des sujets humains et qu’il a été démontré qu’il était la cause d’une maladie appelée COVID-19. Rien de tout cela ne s’est produit.

Le remède proposé pour ce supposé virus tueur est une protéine de pointe (spike) produite par une séquence génétique qui ne se trouve pas dans la nature mais dans un brevet américain de 2007. Les “vaccins” basés sur cette séquence ont tué plusieurs milliers de personnes dans le monde et en ont mutilé et blessé des millions d’autres.

La base statistique de cette pandémie fantôme a été déterminée par l’application erronée d’une méthode PCR qui n’a aucune spécificité diagnostique (clinique) établie. Elle n’a pas permis de diagnostiquer un seul cas d’une nouvelle maladie et n’a produit que des nombres de cas “COVID-19” sans signification.

En conséquence, le gouvernement néo-zélandais est complice de la fraude mondiale du COVID-19 et est donc accusé de crime inconsidéré, notamment de violation des droits de l’homme, de crimes contre l’humanité, de démocide, d’actes de terreur et de meurtre de masse.

Conclusion

Depuis l’entrée en vigueur, le 25 mars 2020, de l’Avis de préparation aux épidémies (COVID-19) 2020, nous vivons dans l’état d’urgence, que l’on peut décrire comme un espace liminal entre la loi et la vie, où la loi ne s’applique plus et où la force pure s’approprie l’anarchie pour se faire la loi.[97] Positionné dans une sorte de “no man’s land entre le droit public et le fait politique”, l’état d’urgence “n’est pas une dictature (qu’elle soit constitutionnelle ou inconstitutionnelle, commissariale ou souveraine) mais un espace dépourvu de droit, une zone d’anomie dans laquelle toutes les déterminations juridiques – et surtout la distinction même entre public et privé – sont désactivées.”[98] Nos maisons sont devenues des prisons, nos corps ne sont plus inviolables, la marque de l’aiguille détermine qui est inclus et qui est exclu, tout cela incarne l’état d’urgence et peut être considéré comme un signe avant-coureur de ce qui nous attend.

Pour conclure, nous espérons que cet essai pourra à la fois vous encourager et vous aider à vous préparer à ce qui nous attend. Car dans le climat actuel, dans ce contexte politique, les circonstances ne feront que continuer à se détériorer si nous ne nous soulevons pas en masse pour réclamer ce que nous avons appris qu’il est si facile de perdre mais volé par ce gouvernement en moins de deux ans, le tout sur la base d’une fraude imbécile qui a néanmoins terrorisé et divisé le peuple de Nouvelle-Zélande au point de le rendre dysfonctionnel, divisant les familles et les amis, les amants, les âmes sœurs, les collègues et les meilleurs amis.

Cet essai vise également à encourager la poursuite des recherches sur la légitimité des méthodologies employées par les virologues établis, ainsi que sur la mauvaise application de la PCR dans les diagnostics cliniques. Si ces méthodes anti-scientifiques continuent à être largement acceptées, nous risquons de voir encore plus de “pandémies” sans fondement, nécessitant encore plus de “vaccins”, se poursuivre indéfiniment dans le cadre de la “nouvelle normalité”. En fait, un fabricant a déjà fait part de son intention de “développer un vaccin combiné à ARNm “afin que les gens puissent recevoir une injection chaque automne pour une protection très efficace contre les virus respiratoires les plus problématiques”.[99]

Il n’y a rien de normal à ce que l’industrie pharmaceutique et les organisations mondialistes créent une demande de thérapies géniques inutiles par la peur et la création de pseudo-pandémies. Il n’y a rien de normal en ce qui concerne la censure sans précédent du débat scientifique et l’empêchement des praticiens médicaux de fournir un consentement éclairé à leurs communautés. Seuls les plus naïfs pourraient croire que, dans cet environnement artificiel, une cabale d’élites et une industrie ayant un bilan effroyable de préjudices et de décès font du monde un endroit plus sain pour ses habitants.

Les tyrannies naissent et disparaissent. Celle-ci, dans son ascension, est déjà en train de s’étouffer de son propre orgueil. Les façades scientifiques et idéologiques sur lesquelles cette escroquerie s’appuie entraîneront sa propre chute et, avec elle, une nouvelle ère dont nous hériterons tous. Les tyrans cachés, lorsqu’ils finissent par émerger, sont toujours nus, des vaisseaux vides remplis des idées des autres, faisant la guerre aux innocents pour se cacher de ce qui leur manque. Ils n’ont pas encore appris que le contrôle est une voie sans issue ou que ce qui fait s’élever l’esprit humain n’est rien d’autre que l’acceptation.

POST-SCRIPTUM

Dans le cadre du processus de reprise pacifique de ce qui appartient au peuple néo-zélandais, Heterodoxies Society Incorporated a déposé une procédure le 6 août 2021 devant la Haute Cour d’Auckland, CIV-2021-4041599. Malheureusement, depuis lors, sur la base d’un artifice juridique qui n’a aucune base statutaire apparente ou valeur juridique, l’affaire a été suspendue, c’est-à-dire confinée dans un équivalent de quarantaine juridique. Voici une partie de ce que la Cour a récemment refusé d’entendre.

Crimes contre l’humanité

“Il est question de bio-armement intentionnel de protéines de pointe à injecter aux gens pour les rendre dépendants d’un vaccin contre les ”pancoronavirus”. Cela n’a rien à voir avec un agent pathogène qui a été libéré… Il s’agit d’injecter aux gens une protéine S1 connue pour être nocive… La tragédie, c’est que nous sommes dans un monde où des centaines de millions de personnes se voient injecter une séquence informatique stimulant un agent pathogène… qui est vendue sous ce que l’office des brevets, la profession médicale et la FDA et ses propres normes cliniques ne considèrent pas comme un vaccin, mais en utilisant ce terme, nous soumettons maintenant des centaines de millions de personnes à ce que l’on savait être, en 2005, une arme biologique. ” Dr David Martin, 12 juillet 2021[100]

Le 20 septembre 2021, une conférence de presse s’est tenue à l’Institut de pathologie de Reutlingen, en Allemagne, afin de présenter, dans la première partie intitulée “Cause du décès après une vaccination Covid-19”, les conclusions des pathologistes Arne Burkhardt et Walter Lang qui avaient enquêté sur dix décès de personnes de plus de 50 ans décédées dans le contexte chronologique de l’administration de soi-disant vaccins COVID-19, dont le Comirnaty de Pfizer. Dans la deuxième partie, “Composants non déclarés des vaccins Covid-19”, les éléments non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits ont été présentés et discutés par divers participants, dont des médecins d’Allemagne et d’ailleurs.[101]

Le professeur Dr Burkhardt a enseigné pendant de nombreuses années aux universités de Hambourg, Berne et Tübingen, et a également été professeur invité/visiteur dans un certain nombre d’universités du monde entier. Il a dirigé l’Institut de pathologie de Reutlingen pendant 18 ans, après quoi il a exercé en tant que pathologiste. Il a publié plus de 150 articles dans des revues spécialisées. Le professeur Dr Walter Lang a travaillé comme pathologiste à la faculté de médecine de Hanovre de 1968 à 1985, puis a fondé un institut privé de pathologie à Hanovre où il a travaillé pendant 25 ans. De 1985 à 2020, il a effectué des examens de consultation pour la pathologie de la clinique pulmonaire de Herner. Ils étaient accompagnés dans cette présentation par le professeur Dr Werner Bergholz, ancien professeur d’électrotechnique spécialisé dans la gestion de la qualité et des risques à l’université Jacobs de Brême, qui avait travaillé pendant 17 ans dans la gestion de la production de puces chez Siemens avant cette nomination.[102]

Sur les dix personnes décédées qui ont subi un examen post mortem, Burkhardt et Lang, se fondant sur le matériel tissulaire obtenu auprès des médecins légistes qui avaient d’abord examiné les cas, ont estimé que cinq des décès étaient très probablement liés aux “vaccins” COVID-19, deux probablement, un n’était pas clair et ils ont considéré que deux n’avaient aucun lien de causalité.[103] “Dans trois cas, ils ont trouvé des maladies auto-immunes rares ; l’une d’entre elles était si rare qu’ils ne l’ont découverte qu’en regardant de près l’image numérisée. Il s’agissait de la maladie de Hashimoto, une hypothyroïdie déclenchée par une réaction auto-immune ; de la vascularite leucoclastique, une réaction inflammatoire dans les capillaires qui entraîne des saignements de la peau ; et du syndrome de Sjögren, une inflammation des glandes salivaires et lacrymales.”[104] On a observé un large éventail de maladies, certaines communes, d’autres rares. Les trouver dans un collectif de dix patients était “très extrême”, a déclaré Burkhardt.[105] Comme il le dit : “Nous sommes en présence d’un système immunitaire qui dépasse complètement les limites, qui s’attaque de lui-même à lui-même, et l’inflammation a lieu dans chaque organe, dans chaque vaisseau… et cela conduit à une forte réaction auto-immune et à des maladies. Ce sont des maladies, je dirais, qui sont de 1 pour 100 000 normalement.”[106]

Selon les pathologistes, les lymphocytes avaient afflué et causé une destruction cellulaire massive. Ils ont montré des images d’accumulations de lymphocytes dans une grande variété de tissus, du muscle cardiaque au rein, au foie, à la rate et à l’utérus”, et aussi “des images dans lesquelles le tissu a été massivement attaqué en conséquence, et toute une série de follicules lymphocytaires … au mauvais endroit, par exemple dans le tissu pulmonaire”.[107] Ils “ont également montré des détachements de cellules endothéliales – qui sont les cellules lisses qui forment la paroi des vaisseaux sanguins – des amas de globules rouges qui finissent par provoquer une thrombose, et des cellules géantes qui [s’étaient] formées autour des corps étrangers piégés”.[108] Burkhardt l’a décrit comme suit dans ce résumé paraphrasé de ses conclusions générales : “J’ai beaucoup réfléchi à ce que j’ai vu et je n’ai pu voir qu’une seule chose, à savoir des lymphocytes déchaînés (devenus fous furieux) dans tous les organes et tous les tissus. Nous assistons à une réaction immunitaire extrême, une attaque de soi-même contre soi-même (déclenchée par le vaccin). J’ai été témoin de l’hyperplasie (croissance excessive) et de l’activation des organes lymphatiques, des ganglions lymphatiques et de la rate, ainsi que de l’infiltration des lymphocytes dans les organes non lymphatiques. Le résultat (de cette tempête lymphocytaire) est la perte de la capacité et de la fonction immunitaires externes, combinée à une inflammation et une destruction des tissus causées par les lymphocytes, avec le risque d’une réaction auto-immune prolongée. Personne ne peut dire si et combien de temps il faudra à ces tissus pour se régénérer et retrouver leur état normal et sain.”[109]

Vous trouverez ci-dessous des diapositives représentatives préparées et présentées par le Dr Burkhardt lors de la conférence de presse :

Figure 2. Légende pour le cas 7 : C’est une image à plus haute résolution d’un follicule lymphatique dans le tissu alvéolaire pulmonaire. On voit également ces follicules lymphatiques autour des vaisseaux sanguins pulmonaires. Il s’agit d’une preuve évidente de dommages alvéolaires (dans les poumons). Ce qui se passe ici, c’est que l’appareil immunitaire d’une personne attaque ses propres tissus. Ainsi, les vaccins déclenchent des maladies auto-immunes qui peuvent ne pas se manifester avant plusieurs années. L’infiltration massive de lymphocytes dans les tissus cérébraux, cardiaques, pulmonaires et rénaux est un signal d’alarme pour les maladies auto-immunes et le cancer. Attendez-vous à voir les taux de cancer augmenter considérablement dans les années à venir.”
Figure 3. Légende pour le cas 2 : Cette diapositive montre des vaisseaux sanguins du tissu pulmonaire avec un amas d’érythrocytes (globules rouges).”
Figure 4. Légende : Le syncytium a englouti et tente de digérer une de ces structures non biologiques (identifiées par la flèche jaune) dans le tissu pulmonaire. Le syncytium va échouer dans sa tentative de digestion.”

Dans la deuxième partie, un large éventail d’images de corps étrangers trouvés dans les flacons des fabricants a été photographié et leurs mouvements enregistrés par vidéo. Selon les présentateurs, aucun de ces objets n’a jamais été trouvé dans les vaccins traditionnels et ne devrait se trouver dans le corps humain. Leurs formes vont de l’apparence d’une carte SIM à des filaments en forme de perles et à de grandes formes rocheuses. Ils semblent être des structures métalliques. Aucun des experts ne savait à quoi elles servaient. “Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience”, et pourtant “ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes”.[110]

Comme l’a dit Holger Fischer, avocat allemand et membre du panel, “nous n’avons pas à avoir la charge de la preuve. Si vous aviez une limonade présentant ce type de contamination, elle serait immédiatement retirée du marché.”[111] Maria Hubmer-Mogg, un médecin autrichien, a abondé dans le même sens. “Ces vaccins doivent être retirés immédiatement et leur utilisation d’urgence révoquée”.[112] Faisant référence au récit de la peur, elle a ajouté : “les gens veulent maintenant vacciner leurs enfants, même leurs tout-petits. C’est quelque chose d’inimaginable, c’est de la pure folie, et cette folie doit être arrêtée immédiatement.”[113]

Après plus de deux heures et demie, Fischer a clôturé la conférence de presse par la déclaration suivante : “Une chose est claire, quiconque persiste à poursuivre en connaissance de cause à partir d’aujourd’hui est légalement punissable ; ils ne peuvent pas dire qu’ils ne l’ont pas fait délibérément ou du moins en partie délibérément. Il s’agit d’un crime contre l’humanité que l’on appelle ” élimination d’êtres humains “, et les partis éliminent leur électorat ici … Beaucoup de gens ne savent pas à quel point ils sont malades. Beaucoup vont peut-être découvrir ce soir [qu’ils ont besoin] de se faire aider … Nous voulons sauver ce qui peut l’être chez ceux qui sont déjà vaccinés.”[114]

Vous trouverez ci-dessous une sélection d’images, présentées lors de la conférence, de nombreux objets non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits. Ces images devraient suffire à elles seules à mettre un terme immédiat au déploiement criminel du Comirnaty en Nouvelle-Zélande.

Figure 5. Légende : Le reste des diapositives montre des corps étrangers non biologiques trouvés dans les vaccins. Ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes. (Plusieurs des diapositives ont été fournies par d’autres médecins en Allemagne ou en Autriche). Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience.”
Figure 6. Légende : OVNIs trouvés dans les vaccins.”
Figure 7. Légende : (On dirait un téléphone portable pour moi !)”
Figure 8. Légende : Salamandre ?”
Figure 9. Légende : Un OVNI dans le sérum du vaccin.” Le Dr Burkhardt affirme en avoir vu des centaines dans des cellules, mais cette image est celle “d’une gouttelette de liquide vaccinal fortement agrandie par microscopie à champ sombre.”
Figure 10. Légende : Un autre filament perlé.”
Figure 11. Légende : Burkhardt remarque les rangées d’objets bleus sur la plus grande tache. Il se demande si ce ne sont pas des nanopuces en quelque sorte.” Ceci montre le corps étranger non biologique dans le liquide vaccinal.
Figure 12. Légende : “Burkhardt se demande si ceci est aussi une puce de graphène.” Est-ce qu’elle “transporte on ne sait quelle information vers l’appareil de fabrication des protéines dans les cellules.”

L’insulte finale

Alors que l’accord conclu par Pfizer avec le gouvernement néo-zélandais reste caché aux yeux du public, et que le contenu des flacons de Pfizer reste occulté par un gouvernement aveugle à sa propre perfidie, une fuite du contrat de fabrication et de fourniture de Pfizer avec l’Albanie ouvre une fenêtre sur le monde infâme dans lequel ce géant pharmaceutique exerce son pouvoir sur les Etats-nations et leur extorque de l’argent sur la base de la fraude COVID-19. Ce contrat, signé par trois fonctionnaires albanais, fait de leur gouvernement une partie au fait que “les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas actuellement connus.”[115] Pourtant, les énormes profits de Pfizer, qui s’élèvent à 12 dollars par flacon selon ce contrat, sont garantis même si une multitude de décès et de blessures surviennent, pour lesquels le gouvernement acheteur doit “indemniser, défendre et dégager de toute responsabilité Pfizer … contre tout procès, toute réclamation, toute action, toute demande, toute perte, tout dommage, toute responsabilité, tout règlement, toute pénalité, toute amende, tout coût et toute dépense … découlant du vaccin, s’y rapportant ou en résultant”.[116] S’agit-il du même type d’arrangement que celui auquel le ministre néo-zélandais des Finances a consenti lorsqu’il a accordé à Pfizer-BioNTech l’immunité de poursuites le 5 octobre 2020, un arrangement qui doit être notifié à la Chambre parce que l’indemnité dépasse 10 millions de dollars ?[117] Si c’est le cas, alors le gouvernement néo-zélandais est également lié par un contrat méprisable, qui sera caché au public pendant dix ans, pour l’achat d’un produit dont il sait et accepte qu’il est “sujet à des risques et des incertitudes significatifs… [et] peut ne pas être efficace”, mais qu’il n’a cessé de promouvoir comme “sûr et efficace”, qu’il a imposé à de larges pans de la population active et qu’il insiste pour que sa séquence de fabrication de poison et ses corps étrangers non déclarés soient introduits dans le corps de nos enfants.”[118]

À propos des auteurs

Dr Mark Bailey MB ChB (Bachelier en médecine et en chirurgie), PGDipMSM (Diplôme de troisième cycle en médecine musculo-squelettique), MHealSc (Maîtrise en sciences de la santé) (Otago)
Est un chercheur en microbiologie, industrie médicale et santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Dr John Bevan-Smith BA (Hons) First Class (Licence de lettres (4 ans) avec mention très bien), PhD (doctorat) (Auckland)
Est un chef d’entreprise, auteur et chercheur, qui a entrepris des recherches pour le Tribunal de Waitangi Te Rōpū Whakamana i te Tiriti o Waitangi/The Ministry of Justice Te Tāhū o te Ture.


Essai original (anglais) : https://drsambailey.com/2021/11/11/the-covid-19-fraud-war-on-humanity/
Présentation vidéo de la partie 1 de l’essai par le Dr. Samantha Bailey (anglais) : The COVID-19 Fraud & War On Humanity (Part 1)
Traduction française : https://cv19.fr

Télécharger au format .pdf

Références

↑1 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Conférence de presse, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 1:27:20 : https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/ ; Au 25/9/21, un total de 2 448 262 événements indésirables et 26 041 décès avaient été signalés à l’Agence européenne des médicaments (Europe) ; au 15/9/21, un total de 1 204 555 événements indésirables et 1 662 décès avaient été signalés à Yellow Card (Royaume-Uni) ; au 1/10/21, un total de 2 826 646 événements indésirables et 16 310 décès avaient été signalés à VAERS (États-Unis). Le nombre total d’événements indésirables signalés dans ces trois régions s’élève à 6 479 563 et le nombre total de décès à 44 013. Compte tenu de la sous-déclaration connue de ces événements, il est prévu que les chiffres réels pourraient être au moins cinq fois plus élevés.
Voir : America’s Frontline Doctors et al. v Xavier Becerra, Secretary of the U.S. Department of Health and Human Services, et al., Civil Action No. 2:21-cv-00702-CLM, dépôt le 19 juillet 2021, 41 ; Citizens’ Adverse Events register.
↑2 Holger Fischer, in Burkhardt et al., “Cause of death after Covid-19 vaccination”, 2:19:13.
↑3 Bill Gates, “Responding to Covid-19 – A Once-in-a-Century Pandemic ?”, The New England Journal of Medicine (28 février 20) : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762#article_references ; interview de Bill Gates par Ellen DeGeneres, “Bill Gates on Finding a Vaccine for COVID-19, the Economy, and Returning to ‘Normal Life’”, YouTube (14 avril 20) : https://www.youtube.com/watch?v=5oEcxMfwJnw
↑4 “Developing MCMs for Coronaviruses”, dans Rapid Medical Countermeasure Response to Infectious Diseases : Enabling Sustainable Capabilities Through Ongoing Public- and Private-Sector Partnerships : Workshop Summary (Washington DC : National Academies Press, 12 février 2021) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK349040/
↑5 Global Preparedness Monitoring Board, “A World at Risk”, (Sept 2019), https://constitutionwatch.com.au/wpcontent/uploads/A-world-at-risk-WHO.pdf
↑6 Ibid.
↑7 Anthony S. Fauci, “The Role of the National Institutes of Health in Research Addressing Seasonal and Pandemic Influenza”, témoignage devant le House Committee on Energy and Commerce Subcommittee on Oversight and Investigations (4 déc. 2019) :
https://energycommerce.house.gov/sites/democrats.energycommerce.house.gov/files/documents/Testimony%20-%20Fauci%20%28NIH%29%2012.04.2019.pdf
↑8 Klaus Schwab et Thierry Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation (Forum Publishing, Genève, 2020), Couverture arrière
↑9 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No. : US 7,279,327 9 Oct 2007) ; Témoignage du Dr David Martin, “CDC Fraud”, audition de la commission d’enquête extraparlementaire German Corona (12 Jul 21) : https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/.
↑10 Schwab et Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation, 11.
↑11 Helen Clark et S.E. Ellen Johnson Sirleaf, coprésidentes du Groupe indépendant pour la préparation et la réponse aux pandémies, “COVID-19 : Make it the Last Pandemic”, OMS (mai 2021), 4.
↑12 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidentiel Protection Sociale, le Ministre d’Etat pour la Reconstruction et l’Institut de Santé Publique”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 7 (2.1 [b]-[d]) : http://ti-health.org/wp-content/uploads/2021/05/AlbaniaPfizer.pdf
↑13 Dr David Martin, Wise Traditions Conference 2021, “Follow the Patents, Then You Will Understand Covid”, (5 Nov 21) : https://rumble.com/vov60h-dr.-david-martin-follow-the-patents-then-you-will-understand-covid.html
↑14 Ibid, 25:11
↑15 “Remarques du Directeur général de l’OMS lors de la réunion d’information à l’intention des médias sur 2019-nCoV le 11 février 2020”, OMS (11 févr. 20), 2/4 : https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-remarks-at-the-mediabriefing-on-2019-ncov-on-11-february-2020 ; “Pourquoi le virus et la maladie ont-ils des noms différents ?”, OMS (11 févr. 20) : https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/technical-guidance/namingthe-coronavirus-disease-(covid-2019)-et-le-virus-qui-cause-it ; Fan Wu et al, “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank : MN908947.3, GenBank (18 mars 20, soumis le 5 janvier 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947
↑16 Paul D Thacker, “Covid-19 : un chercheur dénonce les problèmes d’intégrité des données dans l’essai vaccinal de Pfizer”, BMJ, 375/n2635 (2 Nov 21), 1-3 : https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2635
↑17 Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause de la mort après la vaccination Covid-19”, Conférence de presse Conférence, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 2:19:13.
↑18 James Corbett, “Bill Gates et la grille de contrôle de la population”, The Corbett Report, (18 mai 20) :
https://odysee.com/@corbettreport:0/gatespopulation:b
↑19 Remarque : Bustin s’est trompé dans ses souvenirs. Comme nous l’expliquons ci-dessous, cette étape non valide n’a pas été effectuée par les inventeurs du SARS-CoV-2.
↑20 Stephen A Bustin, “Why the need for qPCR publication guidelines?-The case for MIQE”, Methods, 50 (16 Dec 2009), 218 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19246619/ ; Interview de Stephen Bustin par Eric Coppolino, “Planet Waves FM Interview with Stephen Bustin conducted by Eric F Coppolino”, transcription par Joshua Halinen, New York 1er février 2021), 01:02:00 : https://cormandrostenreview.com/wp-content/uploads/2021/02/bustintranscript.pdf
↑21 Bertrand Russell, The Basic Writings of Bertrand Russell 1903-1959 (Londres : Routledge, 1992, publié pour la première fois 1961), 200
↑22 John F Enders et William C Peebles, “Propagation in Tissue Cultures of Cytopathogenic Agents from Patients with Measles”, Proceedings of the Society for Experimental Biology and Medicine (PSEBM), 86 (reçu le 16 mai 1954), 277-286.
↑23 Ibid., 287.
↑24 https://www.qwant.com/?client=brz-brave&q=SARS-CoV-2+images&t=images
↑25 La méconnaissance du virus – La rougeole comme exemple; Wissenschafftplus Magazin 01/2020; https://cv19.fr/2021/03/07/la-meconnaissance-du-virus-la-rougeole-comme-exemple/
↑26 Fan Wu, ISPOR Summit (2018): https://www.ispor.org/conferences-education/conferences/past-conferences/ispor-summit-2018/program/speakers/speaker/fan-wu-md-phd
↑27 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, Nature, Vol 579 (3 Feb 20, author correction 2 Apr 20), 266, Methods page: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3
↑28 Ibid. Megahit et Trinity sont les noms de deux plateformes d’assemblage de novo.
↑29 bid., 265-6, Methods page.
↑30 Joan Pontius et al, “Initial sequence and comparative analysis of the cat genome”, Genome Research, 17 (2007), 1680.
↑31 Fan Wu et al., “Wuhan seafood market pneumonia virus isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.2, GenBank (14 Jan 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.2/ ; Dan Hu et al., “Bat SARS-like coronavirus isolate bat-SL-CoVZC45, complete genome”, GenBank : MG772933.1, GenBank (29 sept. 2020) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MG772933.
↑32 Fan Wu et al., “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.3, GenBank (18 Mar 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.3.
↑33 Interview par Janis Mackey-Frayer du Dr Wu Zunyou, “Wuhan maintenant un an après”, NBC Nightly News Broadcast (Full) – 23 janvier 2021 | NBC Nightly News, NBC (23 Jan 21), 13:30-13:50 : https://www.youtube.com/watch?v=TjjA-8JXzYI
↑34 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑35 Peng Zhou et al., “A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin”, Nature, 579 (12 Mar 20), 270-273 plus 16 unnumbered supplementary papers: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2012-7.pdf
↑36 Ibid., 272.
↑37 Ibid, Résumé du rapport, deuxième page non numérotée.
↑38 Ibid, “Methods”, première page non numérotée.
↑39 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑40 Na Zhu et al., “A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019”, The New England Journal of Medicine, 382 (20 Feb 20, first published 24 Jan 20, updated 29 Jan 20), 728.
↑41 Ibid., 728, 730-31.
↑42 Ibid., 728.
↑43 Ibid., 731.
↑44 Ibid.*
↑45 Ibid., 733. Emphasis added.
↑46 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021).
↑47 Leon Caly et al., “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia”, MJA, 212/10 (1 Jun 20, received 25 Feb 20, accepted Mar 20, published 9 Mar 20), 459 : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.5694/mja2.50569.
↑48 Ibid., 461-62.
↑49 Ibid., Supplementary methods: https://onlinelibrary.wiley.com/action/downloadSupplement?doi=10.5694%2Fmja2.50569&file=mja250569-sup-0001-Supinfo.pdf
↑50 Letter of Rebecca Drew, Group Manager, Science and Insights, COVID-19 Health System Response, undated OIA letter Ref: H202008345, Ministry of Health. https://fyi.org.nz/request/14170-request-for-records-held-by-ministry-of-health-describing-the-isolation-of-a-sars-cov-2-virus-directly-taken-from-a-symptomatic-patient-of-covid-19
↑51 Jeremy Butterfield, Editorial Director, Collins Concise Dictionary Fifth Edition (Glasgow: HarperCollins, 2003), 1348.
↑52 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, 265, 268-9.
↑53 David Cyranoski, “SARS outbreak linked to Chinese bat cave”, Nature, 552 (7 Dec 17), 15-16.
↑54 Rahul Battharai, épidémie de Covid 19 Delta : Businesses welcome vaccine certificates for retail and hospitality ” NZ Herald (26 Oct 21) : https://www.nzherald.co.nz/business/covid-19-delta-outbreak-businesses-welcome-vaccine-certificates-for-retail-and-hospitality/WB2WIX4KHGR27ZZNS6JJXFIGKQ/
↑55 “Le ministère de la Justice annonce le règlement le plus important de son histoire en matière de fraude aux soins de santé”, ministère de la Justice des États-Unis (2 septembre 2009), 2 : https://www.justice.gov/opa/pr/justice-department-announces-largest-health-care-fraud-settlement-its-history.
↑56 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No.: US 7,279,327 9 OcT 2007).
↑57 ” Novel Coronavirus (2019-nCoV) Situation Report – 1 “, OMS (21 jan 20), 1 : https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/330760/nCoVsitrep21Jan2020-eng.pdf?sequence=3&isAllowed=y . Moderna, Inc, ” United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement ” (9 nov 2018), 12, 94 ; BioNTech SE, United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement “, (sans date, supposé 2019), 5, F-7 : https://investors.biontech.de/static-files/0eb8771c-1cda-4868-bb9f-bdb22dfd29e4 . Les pertes de Moderna se sont élevées à 230 314 000 dollars pour 2016, 255 916 000 dollars pour 2017 et 243 308 000 dollars pour les neuf mois à fin septembre 2018, et auraient besoin de plus d’investissements. Bien qu’ayant levé 1,1 milliard de dollars depuis 2008 dans le cadre de placements privés de leurs actions, BioNTech a tout de même enregistré une perte avant impôts de 85 950 000 € pour 2017 et de 48 262 000 € pour 2018.
↑58 Victor Corman, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Christian Drosten Charité Virology, Berlin, Germany; Olfert Landt, Tib-Molbiol, Berlin, Germany; Marion Koopmans, Erasmus MC, Rotterdam, The Netherlands; Maria Zambon, Public Health England, London. Additional advice by Malik Peiris, University of Hong Kong, “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor Corman, et al., “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor M Corman, Olfert Landt, Marco Kaiser, Richard Molenkamp, Adam Meijer, Daniel KW Chu, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Julia Schneider, Marie Luisa Schmidt, Daphne GJC Mulders, Bart L Haagmans, Bas van der Veer, Sharon van den Brink, Lisa Wijsman, Gabriel Goderski, Jean-Louis Romette, Joanna Ellis, Maria Zambon, Malik Peiris, Herman Goossens, Chantal Reusken, Marion PG Koopmans, Christian Drosten, “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23: https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045
↑59 Bloomfield Affidavit, (13 Jul 20), 8; “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21): https://en.wikipedia.org/wiki.COVID-19_pandemic_cases_in_January_2020
↑60 Moderna, Inc., “United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement” (9 Nov 2018), 12.
↑61 James Delingpole interview of Reiner Fuellmich, The Delingpod (23 May 21): http://www.odysee.com/@JamesDelingpoleChannel:0/feullmich:8
↑62 “WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20): https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-statement-on-ihr-emergency-committee-on-novel-coronavirus-(2019-ncov)
↑63 “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21); Andrew Joseph, “WHO declare coronavirus outbreak a global health emergency”, STAT (30 Jan 20).
↑64 Ibid.**
↑65 “WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20), 3.
↑66 Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 January 2020), 23.
↑67 William Engdahl, “Coronavirus Scandal Breaking in Merkel’s Germany”, (10 Dec 20): http://www.williamengdahl.com/englishNEO10Dec2020.php
↑68 Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, 29.
↑69 “RT-PCR test kits and VirSNiP Mutation Assays for strain surveillance”, TIB Molbiol (accessed 6 May 20): https://www.tib-molbiol.de/covid-19
↑70 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021).
↑71 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel: For Emergency Use Only Instructions for Use Catalog # 2019-nCoVEUA-01 1000 reactions”, 40: https://www.fda.gov/media/134922/download
↑72 Jesús García Blanca, “The scam has been confirmed: PCR does not detect SARS-CoV-2”, D-Salud-Discovery, 242 (8 Nov 20): https://www.dsalud.com/reportajes/fraudes-y-falsedades-en-el-ambito-medico/ ; English trans.: http://philosophers-stone.info/wp-content/uploads/2020/11/The-scam-has-been-confirmed-Dsalud-
November-2020.pdf ; Jerry Fisayo-Bambi, “Tanzania: goat, paw paw, jackfruit test positive for coronavirus”, Morning Call (6 May 20): https://www.africanews.com/2020/05/06/tanzania-how-can-goat-papaya-pawpaw-test-positive-to-corona-morning-call/
↑73 David James, “PCR Inventor: “It doesn’t tell you that you are sick”, OffGuardian (5 Oct 20): https://off-guardian.org/2020/10/05/pcr-inventor-it-doesnt-tell-you-that-you-are-sick/
↑74 Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23.
↑75 “Austrian Court Rules PCR Test Not Suitable For COVID-19 Diagnosis And That Lockdowns Has No Legal Basis”, GreatGameIndia (8 Apr 21): https://greatgameindia.com/austria-court-pcr-test/
↑76 “WHO COVID-19 Case definitions: Updated in Public health surveillance for COVID-19 | COVID-19: Surveillance, case investigation and epidemiological protocol” (16 Dec 20): https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-Surveillance_Case_Definition-2020.2
↑77 Ibid.***
↑78 Johns Hopkins University & Medicine Coronavirus Resource Center (accessed 25 Oct 21): https://coronavirus.jhu.edu/map.html
↑79 Neil M Ferguson et al., “Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID- 19 mortality and healthcare demand”, Imperial College London (16 Mar 20), 6, 7, 13: DOI: https://doi.org/10.25561/77482
↑80 Hannah Boland and Ellie Zolfagharifard, “Coding that led to lockdown was ‘totally unreliable’ and a ‘buggy mess’, say experts”, The Telegraph (16 May 20): https://www.telegraph.co.uk/technology/2020/05/16/coding-led- lockdown-totally-unreliable-buggy-mess-say-experts/ ; Ram Sagar, “The most devastating software mistake of all time. Why is the Imperial model under criticism?”, AIM (24 May 20): https://analyticsindiamag.com/the-most-devastating-software-mistake- of-all-time-why-is-the-imperial-model-under-criticism/
↑81 Neil M Ferguson et al., “Report 12: The Global Impact of COVID-19 and Strategies for Mitigation and Suppression “, Imperial College London (26 Mar 20), 1: https://doi.org/10.25561/77735
↑82 Lucy Barnard, Nick Wilson, Amanda Kvalsvig, Michael Baker, “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand: Revised Preliminary Report for the NZ Ministry of Health”, University of Otago Wellington (27 February 2020), 1, 5, 11, 12: https://www.health.govt.nz/publication/covid-19-modelling-reports; Bloomfield, Affidavit (13 Jul 20), 101.4.
↑83 Barnard et al., “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand”, 1, 2, 5; Denis Glover, “The Magpies”, in Enter Without Knocking (Christchurch: The Pegasus Press, 1971, first published 1964), 34; “Ventilators and ICU bed capacity”, Ministry of Health (11 May 20); Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501
↑84 Alex James, Shaun C Hendy, Michael J Plank, Nicholas Steyn, “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4: https://www.tepunahamatatini.ac.nz/2020/03/26/suppression-and- mitigation-strategies-for-control-of-covid-19-in-new-zealand/
↑85 “Wigram Capital Advisors Limited”, Dun & Bradstreet: https://www.dnb.com/business-directory/company-profiles.wigram_capital_advisors_limited.218e802dadfa3ba161e5a098660e33ed.html
↑86 “Our Story”, Te Pūnaha Matatini: https://www.tepunahamatatini.ac.nz/about-us/
↑87 Jaijus Pallippadan-Johny, John McDermott, Rodney Jones and Michael Duddin, “Monitoring and Forecasting the COVID-19 Pandemic in New Zealand Including the Successful Impact of the Lockdown”, Public Health Expert (22 May 20): https://blogs.otago.ac.nz/pubhealthexpert/tag/pandemic/
↑88 “Post-Cabinet press conference”, Beehive (23 Mar 20), 1-3; “Prime Minister: COVID-19 Alert Level increased”, Beehive (23 Mar 20); “Post-Cabinet Press Conference 23 March 2020 on COVID19”, YouTube (23 Mar 20), 10:55.
↑89 Ashley Bloomfield, “COVID-19 media update, 24 March”, Ministry of Health (24 Mar 20), 5:08: https://www.health.govt.nz/news-media/news-items/covid-19-media-update-24-march#vid
↑90 Kate Newton, “The man modelling NZ’s Covid-19 spread from his kitchen table”, Radio NZ (27 Mar 20): https://www.rnz.co.nz/news/in- depth/412744/the-man-modelling-nz-s-covid-19-spread-from-his-kitchen- table; Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501 ; Nikki Macdonald, “Coronavirus: Controls could cut Kiwi deaths from 60,000 to 10,000”, Stuff (22 March 20): https://www.stuff.co.nz/national/health/coronavirus/120455106/corona virus-controls-could-cut-kiwi-deaths-from-60000-to-10000
↑91 Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20).
↑92 Alex James et al., “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4.
↑93 New Zealand Tax Payers Union, “Why Is Sean Hendy’s Modelling Group Getting $6m For Advice Treasury Is Paying $30k For Elsewhere?”, Community.Scoop (Oct 11 2021): https://community.scoop.co.nz/2021/10/why-is-sean-hendys-modelling-group-getting-6m-for-advice-treasury-is-paying-30k-for-elsewhere/
↑94 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑95 Ibid.****
↑96 Ibid..
↑97 Epidemic Preparedness (COVID-19) Notice 2020, New Zealand Gazette (25 March 2020).
↑98 Giorgio Agamben, trans. Kevin Attell, State of Exception (Chicago: The University of Chicago Press: 2005), 1, 50.
↑99 Phil Taylor, “Moderna plans triple vaccine targeting flu, COVID and RSV”, Pharmaphorum, (8 Jul 20): https://pharmaphorum.com/news/moderna-plans-triple-vaccine-targeting-flu-covid-and-rsv/
↑100 Evidence of Dr David Martin, “CDC Fraud”, Hearing of the German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee (12 Jul 21): https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/
↑101 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑102 Ibid.*****
↑103 Ibib., 15:50 to 26:20; “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination” (21 Sep 21)”, 1: Source: https://de.rt.com/inland/124390-lymphozyten-laufen-amok-pathologen-untersuchen-todesfaelle-nach-impfung/. Translated from German by http://www.DeepL.com/Translator.
↑104 Ibid.******
↑105 bid., 27:45 on.
↑106 Ibid., 53:00
↑107 “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination”, 1-2.
↑108 Ibid., 2.
↑109 Dr Calvin Luther Martin, “Close paraphrase of Dr Burkhardt’s overall conclusions” (accessed 13 Oct 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑110 Dr Burkhardt, “Slideshow presentation”, Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21); Ibid., 1:53:
↑111 2:19:13.
↑112 Ibid.*******
↑113 Ibid…
↑114 Ibid., 2:34:30.
↑115 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 19 (5.5).
↑116 Ibid., Attachment B – Delivery Schedule and Price, 22 (8.1).
↑117 Ben Strang, “Government grants vaccine suppliers indemnity against claims”, Stuff via Radio NZ (25 Jan 21): https://www.rnz.co.nz/news/alert-top/435107/government-grants-vaccine-suppliers-indemnity-against-claims
↑118 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 7 (2.1 [b]-[c]); “Dr Ashley Bloomfield and MedSafe’s Chris James talk about vaccine approvals”, Ministry of Health (4 Feb 21): https://www.youtube.com/watch?v=th4U_9Ddk4s



Le PaSS néonazi dans sa monstruosité tranquille

Par Lucien Samir Oulahbib

Le V qui fait office de prothèse sociopathe au soi-disant « Ministre de la Santé » veut par ses insultes à répétition (qu’il s’adresse en fait à lui-même) amoindrir les gens raisonnables considérés ainsi comme des parias parce qu’ils sont non injectés. Mais ce faisant, il veut masquer évidemment le fait que la plupart des « cas » actuellement mesurés sont, justement, des injectés (!), en Allemagne (70 %) comme en France (à 90 %, souligne Martine Wonner à partir de 25′ et elle indique aussi que la majorité des malades en réa sont des injectés). Ceci est après tout logique, puisque cette expérimentation — ayant détourné la technique ARNm à mauvais escient (et toujours sous AMM conditionnelle) injecte la partie la plus virulente du vaccin, la Spike S, en vue au départ de susciter artificiellement (par injonction paradoxale, d’un certain côté) la création d’anticorps. Mais ceux-ci s’estompent lorsque la vraie rencontre virale n’a en fin de compte pas eu lieu ; ce qui n’empêche pas que pour certains les effets secondaires soient non quelconques et parfois mortels (jusqu’à affaiblir voire dé-cons-truire durablement le système immunitaire naturel).

Mais ces dégâts collatéraux sont d’autant plus soigneusement cachés (ici statistiquement) — comme le font les assassins lorsqu’ils font disparaître leurs victimes — que le camouflage de cette obligation injectable évite alors l’obligation d’indemniser (comme l’indique Maître David Guyon). Par le trompe-l’œil de l’impératif moral (ce serait un « devoir » selon les vœux de l’autre V faisant office de prothèse présidentielle) la Secte affairiste-hygiéniste au pouvoir passe cette obligation sous silence, ce qui est d’une perversité rare.

Le V, lui, n’en a cure, enfermé délicieusement dans sa bulle sectaire (tout en montrant du doigt encore une fois « l’autre » — avant extermination ? Nous en sommes qu’à deux ans de coup d’État hygiéniste après tout…). Peu importe si le nouveau variant n’est guère létal (et qu’il n’y a pas eu de surmortalité en 2020, mais un taux d’occupation infime des hôpitaux), puisqu’il s’agit, pour les V en service commandé (entre Noël et le Nouvel An), de vendre en réalité l’idée du PaSS. Comme le remarque bien Maître Pierre Gentillet, celui-ci est appelé à durer pour se transformer peu à peu en PaSS sociopolitique — via les biais rationalisés comme ceux du climat, du racisme, des LGTBQ++ — qui vous infirme dans vos droits si vous avez péché à l’encontre de cette nouvelle trilogie sacrale, celle du néonazisme au pouvoir arrivé à stance.

La qualification de « PaSS néonazi » peut certes être trouvée « exagérée » ; mais pourtant il semble bien que celle de « totalitarisme », quoique pertinente, reste trop abstraite, parce qu’elle n’indique pas l’amplitude concrète de son emprise visant à la manipulation non seulement mentale, mais aussi biologique, au niveau non seulement génétique, mais génital et hormonal.

Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si la génération issue de 68, qui a été la première à expérimenter massivement des substances chimiques (opiacés, LSD, amphétamines…, excitants divers) et qui milite pour tout ce qui peut se substituer à la procréation naturelle, soit actuellement à la manœuvre pour le compte des Maîtres néonazis qu’ils détestaient naguère (et toujours encore, par injonction paradoxale là encore : « j’aime tant te détester », comme dans Portier de Nuit). Ces derniers les tiennent aujourd’hui financièrement et libidinalement en laisse (biochimique) dans la nouvelle conformité, avec les morales néo-léninistes destroy du désir et du plaisir qui servent de canevas symbolique pour fabriquer charnellement leur nouveau peuple global aseptisé dans tous les sens du terme.




Covid-19 : des voix dissimulées de spécialistes (Rétrospective 2021)

[Source : www.kla.tv/21171]

Des voix dissimulées de spécialistes ̶ en exclusivité sur Kla.TV (Rétrospective 2021)

L’année dernière, en 2021, les médias d’État financés par contribution obligatoire se sont encore plus enfoncés dans le marasme. Ils passent catégoriquement sous silence les avis spécialisés les plus importants de médecins, microbiologistes, chercheurs, scientifiques, avocats et témoins oculaires de haut niveau. Un discours ouvert n’est plus possible depuis longtemps. Le grand public n’est plus informé que de manière unilatérale par les principaux médias et est acculé par la peur, l’incitation à la division et les géants de l’industrie pharmaceutique avides de profits. En 2021, kla.tv a répondu au grand besoin de l’humanité en donnant la parole à des experts de tous les domaines importants de la science, de l’éducation et de la médecine. Pour vous, en exclusivité aujourd’hui, une rétrospective des principales voix professionnelles qui peuvent enfin transmettre leur savoir révélateur au monde entier sur Kla.TV …

Le Dr Sucharit Bhakdi est spécialiste en microbiologie et en épidémiologie infectieuse et ancien professeur à l’université Gutenberg de Mayence. Il y a dirigé pendant 22 ans l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène. Il a été l’une des premières voix spécialisées à remettre en question les mesures Covid19 et les restrictions massives des droits fondamentaux qu’elles impliquent, et a écrit une lettre ouverte à la chancelière allemande Angela Merkel à ce sujet. Avant même le début des vaccinations, il a été l’un des premiers à mettre en garde contre les dommages massifs causés par les vaccins, tels que les accidents vasculaires cérébraux, les hémorragies cérébrales et les décès dus à la vaccination. Lorsque ceux-ci se sont produits en grand nombre et dans toute leur tragédie, il a expliqué de manière compréhensible pour tous et sans relâche les tenants et les aboutissants afin de préserver la population mal orientée de dommages encore plus graves. Selon le Dr Bhakdi, les vaccins basés sur les gènes sont totalement différents des vaccins ordinaires et mille fois plus dangereux. Pour le Dr Bhakdi, la campagne de vaccination est le plus grand crime possible.

Me Reiner Fuellmich, avocat, résume ainsi les conclusions de la commission d’enquête extraparlementaire Covid19, dans laquelle plus de 150 experts ont déjà pris la parole :

  • Avec Covid19, il n’a jamais été question de santé.
  • Le virus n’est pas plus dangereux qu’une grippe, avec un taux de mortalité de 0,14 à 0,15 %.
  • Les prétendus vaccins sont en réalité des expériences de thérapie génique. Elles sont extrêmement dangereuses.
  • Selon une estimation conservative, il y aurait au moins 500 000 morts après le début de la vaccination.
  • Nos gouvernements n’agissent pas dans le meilleur intérêt de leur peuple, mais sont largement sous le contrôle des hommes de main des entreprises multinationales et des ONG.
  • Bill Gates parle depuis de nombreuses années de la nécessité de réduire de manière draconienne la population mondiale.
  • Klaus Schwab demande en outre un gouvernement mondial sous l’égide de l’ONU. Celui-ci doit être atteint par un chaos mondial sous forme de pandémies, de guerres et de catastrophes naturelles, afin que la population mondiale croie que seul un gouvernement mondial pourra encore l’aider.
    Me Fuellmich, avec l’aide de collègues internationaux, engage également des actions juridiques sous forme de recours collectifs contre les mesures Covid19 ».

Le Dr Wolfgang Wodarg est pneumologue, professeur contractuel en école supérieure, a dirigé pendant de nombreuses années un service de santé publique en tant que médecin officiel, a été pendant de nombreuses années député du SPD au Bundestag et président de la commission de la santé au Bundestag allemand, etc.
Il avait déjà mis en garde contre l’alarmisme alimenté par l’industrie pharmaceutique lors de la grippe porcine. Le Dr Wodarg a montré, preuves à l’appui, que le professeur Drosten s’est trompé dans son alarmisme de l’époque sur la grippe porcine. Il a vivement conseillé d’éviter les vaccins qui provoquent de graves effets secondaires. Selon lui, il n’y a pas lieu de s’alarmer outre mesure. Le Dr Wodarg a montré que l’OMS avait modifié la définition de la pandémie, de sorte que toute grippe peut aujourd’hui être déclarée pandémique. Ainsi, l’exigence d’un nombre élevé de décès ou de maladies graves a été supprimée de la définition.
Au sujet du vaccin ARNm-Covid, le Dr Wodarg déclare :

« Ce vaccin modifie génétiquement la personne qui est vaccinée. […] Des milliards de personnes doivent maintenant être vaccinées. C’est totalement irresponsable. Je ne peux que recommander aux gens : Ne vous faites pas […] vacciner avec un vaccin produit avec une telle négligence en si peu de temps ».

[Voir aussi :
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
Coronavirus : Une maladie respiratoire comme chaque hiver ? (du Dr. Wolfgang Wodarg)]

Le Dr Werner Bergholz, ancien professeur à l’Université Jakobs de Brême a travaillé pendant de nombreuses années dans le management de la qualité. En été 2021, il tire un bilan provisoire de la vaccination Covid : de 2000 à 2020, pour environ 40 millions de vaccinations, on a enregistré environ 20 décès par an. En 2021, jusqu’au mois de juillet inclus, il y a déjà eu 1 230 décès. Il ne s’agit donc pas d’une légère augmentation, mais d’une hausse dramatique. Selon la base de données de l’EMA, plus de 14 000 personnes sont déjà décédées en Europe. Cela signifie au moins dix fois plus de personnes gravement atteintes. Concernant la valeur d’incidence constamment utilisée, le professeur Bergholz déclare : « Cette incidence est une bêtise sur le plan physique, statistique et métrologique. »

[Voir aussi :
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
Les soupçons de crime vaccinal anti-Covid se confirment]

En septembre 2021, lors de la conférence de pathologie de Reutlingen, le professeur Arne Burkhardt, expert en la matière, s’est penché avec des scientifiques, des médecins et des juristes sur les effets secondaires des vaccins Covid-19 pouvant entraîner la mort et sur des composants non déclarés des vaccins. Il a attiré l’attention sur des corps étrangers métalliques qui ont été identifiés dans les vaccins Covid-19 de différents fabricants. Il a également indiqué qu’au Japon, des particules métalliques avaient été trouvées dans le vaccin Moderna.

[Voir aussi :
Pr Arne Burkhardt : « Sur 10 autopsies, 5 décès sont très probablement liés à la vaccination »
Des médecins allemands confirment à nouveau la corrélation entre vaccin et surmortalité]

Lors du même congrès de pathologie de Reutlingen, Madame Dr Uta Langer a montré des clichés pris au microscope en champ sombre sur des restes de vaccins de la société BioNtech Pfizer. On y voyait des substances non organiques dont la taille variait entre 40 micromètres et 0,5 millimètres. Elle n’a pas pu déterminer avec certitude ce qu’étaient ces corps étrangers, mais il pourrait s’agir de micropuces. Des structures similaires ont pu être mises en évidence avec le vaccin Johnson & Johnson. Sur des prises de vue du sang de personnes vaccinées, Uta Langer a mis en évidence des amas de globules rouges en forme de rouleaux. En plus de cet effet, des corps étrangers semblables à des filaments et n’étant pas d’origine organique ont pu être identifiés dans les clichés.

Le Dr Bolland et d’autres médecins ont observé que des tumeurs cancéreuses se sont développées de manière explosive après une vaccination anti-Covid. Il parle spontanément de turbo-cancer et pose la question suivante : Est-il possible que cela soit lié à la vaccination ? Est-il possible que la question de la dégradation du système immunitaire par la vaccination, discutée dans les milieux spécialisés, joue un rôle dans ce cas ?

Le Dr Carrie Madej, spécialiste en médecine interne et ostéopathe, a dirigé pendant 19 ans deux cliniques dans l’État de Géorgie, aux États-Unis. Selon elle, les gens doivent savoir que le vaccin anti-Covid n’est pas un vaccin sûr. Cette campagne de vaccination serait une grande expérience publique sur l’humanité. Elle rappelle que ce type de vaccin utilise une technologie qui peut modifier génétiquement les organismes. Il n’existe pas d’études probantes pour ce vaccin. Toutes les expériences menées sur des animaux au cours des 20 dernières années avec des sérums vaccinaux à ARN-messager ou à ADN- modifié ont échoué. Lorsque les animaux vaccinés entraient en contact avec des agents pathogènes du rhume ou de la grippe, ils avaient plus de pneumonies, de problèmes de foie et il y avait plus de décès. Elle fait remarquer qu’en cas de décès ou d’effets secondaires après une vaccination, les fabricants n’assument aucune responsabilité ou indemnisation. Elle demande un moratoire sur ces nouveaux vaccins qui ont le potentiel de modifier durablement le génome humain.

[Voir aussi :
Quelle humanité pour demain ? Dr. Carrie Madej]

Le Dr Heiko Schöning est médecin et analyste à Hambourg, cofondateur de l’organisation « Ärzte für Aufklärung », de la « commission d’enquête extraparlementaire Covid » (ACU), vice-président de la « World Doctors Alliance » et cofondateur de la « World Freedom Alliance ». Grâce à ses recherches, il a pu démontrer que la pandémie de Covid répète une stratégie criminelle. Ces stratégies ont toujours été précédées de tests qui ont abouti à de nouvelles structures de pouvoir. C’est exactement selon le même schéma que les criminels d’aujourd’hui ont déjà commis un crime similaire avec des bactéries mortelles de l’anthrax en 2001. Des détails criminels et un sens aigu de la déduction l’ont amené à la conclusion suivante : ce sont toujours les mêmes instituts et clans qui sont impliqués dans ce jeu détestable. Lors de conférences de presse et d’interviews, il démontre que les chiffres du Covid publiés sur les infections et les décès sont falsifiés et gonflés par des astuces rhétoriques et mathématico-statistiques. Le Dr Schöning démontre que beaucoup de choses autour des mesures de la pandémie relèvent d‘un crime mafieux visant à remodeler le monde selon des règles totalitaires. Dans son livre « Game over », il a exposé par écrit ses connaissances, montré les structures et désigné les auteurs. Selon lui, nous sommes confrontés à une mafia internationale à laquelle appartiennent également des chefs d’État et des hommes politiques. Il encourage les gens à s’unir pour dénoncer ces crimes organisés à l’échelle mondiale et ainsi y mettre fin.

[Voir aussi :
Le crime organisé : COVID-19 et ANTHRAX-01 — Interview avec Heiko Schöning]

Le Dr Andreas Heisler est médecin généraliste à Ebikon Lucerne et a été médecin de garde pendant de nombreuses années. Depuis le début de la pandémie de Covid, il s’engage pour un discours ouvert entre les médecins, les scientifiques et les politiques. Avec des collègues médecins, il a fondé l’association Aletheia, « Médecine et science pour la proportionnalité ». Plus de 600 médecins sont déjà membres d’Aletheia, qui compte plus de 2 500 membres issus du secteur de la santé. Contrairement à la surpopulation des hôpitaux prévue par les médias au printemps 2020 en raison du Covid-19, le Dr Heisler a observé que l’hôpital cantonal de Lucerne, aménagé comme un hôpital de guerre, restait vide. Il l’a signalé dans une lettre adressée au ministère de la Santé à Berne, mais n’a reçu aucune réaction.
Le Dr Heisler considère la campagne de vaccination comme une expérimentation humaine et à propos de ses collègues médecins vaccinateurs, il dit : « Ce que vous faites va à l’encontre du code de Nuremberg qui stipule que nous ne pouvons participer à des expérimentations sur l’homme ! » D’autant plus si les gens ne sont pas mis au courant. Par ailleurs, le Dr Heisler fait état de graves effets secondaires liés à la vaccination.

Le scientifique et homme politique indo-américain Shiva Ayyadurai détient quatre diplômes d’ingénieur du prestigieux Massachusetts Institute of Technology. En tant que biologiste des systèmes, il qualifie cette crise de « la plus grande escroquerie anxiogène de tous les temps ». Il explique cette affirmation en comparant le nombre de décès dus au Covid-19 avec le nombre de décès aux États-Unis dus à d’autres causes, telles les maladies cardiovasculaires ou le cancer par exemple. Ceux-ci sont bien plus élevés – mais aucune panique n’est provoquée et aucune mesure n’est introduite.
M. Ayyadurai est convaincu que seule une approche holistique et des soins particuliers du système immunitaire peuvent être la réponse aux épidémies. De plus en plus de gens vivent sainement et comprennent que les médicaments sont toxiques. L’industrie pharmaceutique se concentre uniquement sur la production de vaccins et ouvre un nouveau champ d’activité avec la maladie du Covid. Sa conclusion est la suivante : dans cette crise du Covid, de nombreux médecins et scientifiques ne disent plus la vérité par peur de perdre leur emploi et par souci pour leur famille et, au contraire, courbent l’échine.

Le Dr Michael Yeadon a obtenu un doctorat avec mention en biochimie et toxicologie dans le domaine de la pharmacologie respiratoire. Il a ensuite passé sa vie à faire de la recherche dans l’industrie pharmaceutique, en se concentrant sur l’inflammation, l’immunologie et l’allergie en rapport avec les maladies respiratoires, ce qui fait de lui un expert dans ce domaine. Dès le début de la crise du Covid, il a été extrêmement préoccupé par les fausses informations diffusées par les politiques et les médias et par les mesures anti-Covid complètement inadaptées et exagérées. Le Dr Yeadon est horrifié par l’utilisation et l’interprétation totalement erronées des tests PCR et demande l’arrêt immédiat de ces tests. Au vu des dommages horribles et des décès causés par la vaccination, l’initié Yeadon qualifie les vaccins Covid de crime contre l’humanité et met expressément en garde contre leur utilisation. Il qualifie de meurtre le fait de vacciner des enfants, compte tenu des dommages à long terme et des taux de mortalité élevés.

[Voir aussi :
Dr YEADON : Nous allons nous interposer entre ces criminels et nos enfants
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves. MàJ : vidéo]

Le Dr Christian Zürcher est spécialiste de la douleur et médecin généraliste qui possède son propre cabinet en Suisse. Il rapporte que de nombreux patients ont présenté les troubles les plus divers après avoir été vaccinés par le vaccin anti- Covid : maux de tête, fatigue, modifications de la peau, lassitude, mais aussi changements de caractère. Des patients lui ont rapporté que des proches étaient en parfaite santé avant la vaccination et qu’ils sont ensuite tombés gravement malades, ont subi des attaques cérébrales ou sont décédés. Lors de l’interview, le Dr Zürcher a montré, à l’aide d’une étude de l’Université d’Oxford, que les « vaccinés » avaient une charge 251 fois plus élevée de virus COVID-19 dans leurs narines par rapport aux « non vaccinés ». Cette étude a été publiée dans la prestigieuse revue médicale « The Lancet ».

Le Dr Claus Köhnlein est médecin et auteur du célèbre livre « Virus-Wahn – Wie die Medizin-Industrie ständig Seuchen erfindet und auf Kosten der Allgemeinheit Milliarden-Profite macht » (La folie des virus – Comment l’industrie médicale invente constamment des épidémies et fait des milliards de profits sur le dos de la collectivité). Il a souligné d’emblée que le Covid-19 était une pandémie test. Comme pour la grippe porcine, une nouvelle épidémie est pour ainsi dire initiée afin de mettre des médicaments sur le marché et de faire en sorte que des vaccins apparaissent à l’horizon. « Il suffirait de bannir le test du marché pour que la vie reprenne son cours normal. L’activité de la maladie serait alors comme elle l’a toujours été ». Le Dr Köhnlein a encore connu personnellement Kary Mullis, l’inventeur du test PCR. Mullis disait lui-même que cette méthode PCR ne permettait pas de diagnostiquer une maladie. Mais c’est exactement ce qui est fait aujourd’hui avec ce test. Et c’est sur cette base que se déroulent toutes nos mesures aberrantes.
Le Dr Köhnlein a expliqué la surmortalité momentanée en avril 2020 par le mauvais traitement initial des patients. C’est justement cette augmentation de la surmortalité en avril qui a répandu cette peur démesurée, avec des images soutenues par la presse comme les fosses communes à New York.

[Voir aussi :
Épidémies et contagions
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies]

Le Dr Rashid A. Buttar a suivi une formation en chirurgie générale et en médecine d’urgence. Il est toxicologue certifié pour les métaux et médecin préventif. Il est aujourd’hui directeur médical de la médecine avancée avec des cliniques en Californie et en Caroline du Nord. Le Dr Rashid Buttar révèle les activités criminelles de Bill Gates et d’Anthony Fauci. Il révèle également les mises en scène des urgences, les faux diagnostics délibérés, les certificats de décès et les taux d’occupation des hôpitaux falsifiés sur lesquels se basent les chiffres de la pandémie. Il montre également que la pandémie a été mise en place sur le long terme. Il démontre que les aspects fondamentaux du fonctionnement du système humain, tous les aspects de la viralité et des maladies infectieuses, ainsi que les postulats de Koch sont tout simplement ignorés.
Le Dr Buttar souligne que le test PCR n’est pas adapté à des fins de diagnostic. Le Dr Buttar est convaincu que des dizaines de milliers de médecins et de scientifiques savent parfaitement qu’il s’agit d’une fraude. Mais ils ne diraient rien parce qu’ils ont peur d’être dénoncés, d’être socialement exclus et de perdre leur licence.

[Voir aussi :
Ce que cache le test PCR ?]

Marcel Barz, informaticien économique et ex-officier de l’armée nationale allemande, a examiné de plus près les chiffres de l’année 2020 publiés par les autorités publiques, comme l’Institut Robert Koch, et par les médias publics. Ses analyses statistiques ont révélé que 2020 était une année tout à fait banale en termes de mortalité. Dans aucun groupe d’âge, la mortalité n’a été particulièrement élevée par rapport aux années 2012 à 2020. Sur la base du nombre de décès en Allemagne, il n’a donc pas pu prouver l’existence d’une pandémie. Il a ensuite examiné l’occupation des unités de soins intensifs en 2020. En résumé, il a constaté qu’en Allemagne le nombre de lits de soins intensifs occupés était resté largement inchangé en l’espace de 15 mois. Seul le nombre de lits libres a été réduit de plus de 6 000 pendant la pandémie. De ce fait, le pourcentage d’occupation des lits de soins intensifs a faussement augmenté. Il en conclut que nous sommes ici trompés et abusés.

[Voir aussi :
« Je n’en peux plus »]

John O’Looney, entrepreneur de pompes funèbres au Royaume-Uni, a indiqué qu’il n’y avait pas d’augmentation du taux de mortalité avant la vaccination. Il a vu des personnes décédées qui ont été délibérément marquées comme mortes du COVID. Parmi eux, il y avait des patients atteints de cancer en phase terminale, des personnes ayant subi une crise cardiaque ou même des personnes accidentées. Mais il n’y a pas eu d’augmentation du nombre de décès, et c’était le cas dans tout le secteur. Dans aucune des entreprises de pompes funèbres avec lesquelles il a parlé et dans aucune des morgues où il est entré, on ne voyait rien correspondant aux chiffres de la pandémie. Mais avec la vaccination, le taux de mortalité a augmenté de manière exceptionnelle. O’Looney a déclaré :

« Je n’ai jamais rien vu de tel en 15 ans. Nous avons affaire à un programme de dépopulation ».

[Voir aussi :
Covid-19 : témoignage d’un directeur de pompes funèbres]

Le Dr Peter McCullough est cardiologue au Texas. Il est en première ligne dans le débat sur la sécurité des vaccins contre le Covid. Il s’oppose à la vaccination des enfants parce que des études indiquent qu’un enfant est plus susceptible d’être hospitalisé avec une inflammation du cœur comme effet secondaire qu’avec le Covid-19. Concernant le port du masque, il affirme qu’aucune étude n’a pu démontrer que les masques protègent les enfants.
Selon le Dr McCullough, une étude a démontré qu’une vaccination répétée a pour effet de charger l’organisme en protéine spike. Des études montrent que la protéine spike s’accumule notamment dans le cœur, la moelle osseuse et le système immunitaire. Ainsi, les vaccinations répétées peuvent entraîner des maladies chroniques en raison de l’accumulation de protéine spike dans l’organisme. La FDA (agence américaine des médicaments) a déjà mis en garde contre diverses maladies neurologiques consécutives à la vaccination, entre autres le syndrome de Guillain-Barré.

[Voir aussi :
Analyse des assertions scientifiques d’Emmanuel Macron par le Pr Peter McCullough
Selon le Dr. McCullough, les vaccins COVID représenteraient la seconde étape d’une attaque bio-terroriste]

Le Dr Toku Takahashi, ancien professeur et directeur de clinique au Japon, a rapporté dans une interview avec Kla.TV :

« En 2018, il y a donc 3 ans, seules trois personnes au total sont décédées au Japon des suites du vaccin contre la grippe. Mais plus de 1 300 personnes, sans compter les cas non déclarés, sont déjà décédées (jusqu’à mi-2021 environ) des suites de la vaccination Covid 19. C’est une énorme différence. »

Lui aussi cite les vaccins à ARNm comme étant la cause de décès dus à la vaccination, car ils produisent la protéine spike qui est toxique dans le corps des personnes vaccinées et qui peut provoquer des inflammations dans les vaisseaux, pouvant éventuellement entraîner diverses embolies comme des thromboses ou des infarctus pulmonaires. Le Dr Takahashi rapporte qu’en raison du manque de couverture médiatique, une grande partie de la population japonaise ne sait pas que les vaccins Covid n’ont pas été entièrement testés et qu’il ne s’agit pas d’un vaccin traditionnel, tel un vaccin antigrippal ordinaire.

Mesdames et Messieurs, il est scandaleux que les médias publics que nous finançons par contribution obligatoire en tant que peuple, censurent ces voix d’experts dans le monde entier et ne leur donnent pas la parole. Malgré les attaques et les calomnies massives des médias publics et les attaques d’associations professionnelles de hackers, Kla.TV s’est continuellement et pleinement engagé quotidiennement pour vous en 2021.
Diffusez nos émissions dans toutes les langues disponibles et faites connaître Kla.TV. Nous concluons avec les paroles courageuses d’Ole Skambrax, un rédacteur de l’ARD qui a appelé le scandale par son nom et a été licencié peu après par la chaîne SWR de l’ARD :

« Je ne peux plus me taire. Je ne peux plus accepter sans rien dire ce qui se passe depuis maintenant un an et demi chez mon employeur, le service public de radiodiffusion. Les statuts et les traités d’État pour les médias stipulent « pondération », « cohésion sociale » et « diversité » dans les reportages. C’est exactement le contraire qui est pratiqué. Il n’existe pas de véritable discours et d’échange dans lequel toutes les parties de la société se retrouvent. »



de ls/ts/ch/hm

Sources / Liens :




Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin

[Source : La cause du peuple]

La plupart des gens n’arrivent pas à comprendre ce dans quoi nous sommes réellement engagés. Dans un état d’esprit présentant les caractéristiques croisées d’un état hypnotique et psycho-traumatique (allant jusqu’au fameux « syndrome de Stockholm »), ils s’illusionnent majoritairement sur le fait que nous sommes dans une simple parenthèse de limitation de nos droits fondamentaux due à une terrible pandémie. Cette limitation et les mesures de contrainte, brutales, qui nous sont imposées servant à nous protéger le temps que passe cette menace et que nous puissions revenir « au monde d’avant. ».
Or, nous sommes d’ores et déjà profondément engagés dans une dérive totalitaire, accompagnée d’un véritable génocide, bien pire que ce que  la plupart d’entre nous le pensent.

Ce qui suit a été écrit par le docteur Robert Malone, MD, MS, l’inventeur du vaccin ARNm, concernant la psychose de masse entourant les «vaccins» COVID-19 et l’incapacité ou le refus du public de voir la mort et la destruction causées par ces vaccins.

H. Genséric

Dr Malone :

Comme beaucoup d’entre vous le savent, j’ai passé du temps à faire des recherches et à parler de la théorie de la psychose de masse. La plupart de ce que j’ai appris est venu du Dr Mattias Desmet, qui s’est rendu compte que cette forme d’hypnose de masse, de la folie des foules, peut expliquer l’étrange phénomène d’environ 20-30% de la population du monde occidental devenant fasciné par les Nobles Mensonges et le récit dominant concernant la sécurité et l’efficacité des vaccins génétiques, et propagés et appliqués à la fois par les politiciens, les bureaucrates scientifiques, les sociétés pharmaceutiques et les médias traditionnels.

Ce que l’on observe avec l’hypnose de masse, c’est qu’une grande partie de la population est totalement incapable de traiter de nouvelles données et faits scientifiques démontrant qu’elle a été induite en erreur sur l’efficacité et les effets néfastes de l’utilisation obligatoire du masque, des enfermements et des vaccins génétiques qui obligent le corps à fabriquer de grandes quantités de protéine Spike de coronavirus biologiquement active.

Ceux qui sont hypnotisés par ce processus sont incapables de reconnaître les mensonges et les fausses déclarations dont ils sont bombardés quotidiennement et ils attaquent activement quiconque a la témérité de partager avec eux des informations qui contredisent la propagande qu’ils ont appris à adopter. Et pour ceux dont les familles et les réseaux sociaux ont été déchirés par ce processus, et qui constatent que des parents et amis proches les ont ignorés parce qu’ils remettent en question la « vérité » officiellement approuvée et suivent en fait la littérature scientifique, cela peut être une source de angoisse profonde, de chagrin et de douleur psychologique.

C’est avec ces âmes à l’esprit que j’ai inclus une discussion sur la théorie de la formation de masse du Dr Mattias Desmet lors d’une récente conférence que j’ai donnée à Tampa, en Floride, devant un auditoire d’environ 2000 personnes. Alors que je regardais le public et que je parlais, je pouvais voir du soulagement sur de nombreux visages, et même des larmes couler des yeux d’hommes stoïques.

[Voir aussi :
Conférence – les mensonges du COVID
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Covid-19 : dérive totalitaire et psychopathologie collective
Crise Covid : comment sortir de l’hypnose négative ? – Du problème aux solutions
LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse
Alexandre Boisson, ex-policier du GSPR : Covid-19, manipulation des foules & résilience alimentaire
Comment la peur court-circuite le raisonnement
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mécanismes des régimes totalitaires
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Comment on manipule pour avoir le consentement
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes
Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés
Le cerveau électronique
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population]

À mon insu, quelqu’un a enregistré le discours et a ajouté la piste vocale à une série d’images apaisantes de paysages naturels, produisant une vidéo qui est devenue virale dans le monde entier. Un lien vers la vidéo, ainsi que quelques notes pour clarifier et compléter l’exposé sont annexés ci-dessous. Beaucoup m’ont dit qu’ils trouvaient cela très guérissant. J’espère que ça pourra t’aider aussi :

Un bref aperçu de Mass Formation, qui a été développé par le Dr Mattias Desmet. Il est psychologue et statisticien. Il est à l’Université de Gand en Belgique. Je pense que le Dr Mattias est au courant de ce qui se passe et il appelle ce phénomène : PSYCHOSE DE FORMATION DE MASSE

Ainsi, quand il parle de formation de « masse », vous pouvez considérer cela comme l’équivalent de la formation de « foule ». On peut penser à cela comme : PSYCHOSE DE LA FOULE

Les conditions pour mettre en place une psychose de formation de masse incluent le manque de connexion sociale et de création de sens ainsi que de grandes quantités d’anxiété latente et d’agressivité passive. Lorsque les gens sont inondés d’un récit qui présente un « objet d’anxiété » plausible et une stratégie pour y faire face, alors de nombreux individus se regroupent pour lutter contre l’objet avec une détermination collective. Cela permet aux gens de cesser de se concentrer sur leurs propres problèmes, évitant ainsi une angoisse mentale personnelle. Au lieu de cela, ils concentrent toute leur pensée et leur énergie sur ce nouvel objet.

Au fur et à mesure que la formation de masse progresse, le groupe devient de plus en plus lié et connecté. Leur champ d’attention se rétrécit et ils deviennent incapables d’envisager des points de vue alternatifs. Les dirigeants du mouvement sont vénérés, car on les considère incapables de faire des erreurs.

Sans relâche, une société sous le charme de la formation de masse soutiendra une structure de gouvernance totalitaire capable d’atrocités autrement impensables afin de maintenir la conformité . Une note : la formation de masse est différente de la pensée de groupe. Il existe des moyens simples de corriger la pensée de groupe en faisant simplement appel à des voix dissidentes et en vous assurant de leur donner des plates-formes. Ce n’est pas si facile avec la formation de masse. Même lorsque le récit s’effondre, des fissures dans la stratégie ne résolvent clairement pas le problème, la foule hypnotisée ne peut pas se libérer du récit. C’est ce qui semble se produire actuellement dans le monde avec COVID-19 [et en France avec Zemmour]. La solution pour ceux qui contrôlent le récit est de produire des mensonges de plus en plus gros pour étayer la solution. Ceux qui sont contrôlés par la formation de masse ne sont plus capables d’utiliser la raison pour se libérer du récit de groupe.

Bien sûr, l’exemple évident de formation de masse est l’Allemagne dans les années 30 et 40. Comment le peuple allemand, très instruit, très libéral au sens classique du terme ; les gens à l’avant-garde de la pensée l’occidentale… comment ont-ils pu devenir si fous et faire ce qu’ils ont fait?  

Comment cela pourrait-il arriver à un peuple civilisé ?

Le leader d’un mouvement de formation de masse utilisera sa plate-forme pour continuer à fournir au groupe de nouvelles informations sur lesquelles ses fans vont se concentrer [comme Moïse Yehouda Z]. Les dirigeants, à travers les principaux médias et les canaux à leur disposition, alimentent en permanence la « bête » avec plus de messages qui focalisent et hypnotisent davantage leurs adhérents.

Des études suggèrent que la formation de masse suit une distribution générale :

  • 30% sont soumis à un lavage de cerveau, et sont hypnotisés et endoctrinés par le récit de groupe
  • 40 % au milieu sont perméables au récit et peuvent suivre si aucune alternative valable n’est perçue
  • 30% luttent contre le récit.

Ceux qui se rebellent et se battent contre le récit, deviennent l’ennemi de ceux dont le cerveau a été lavé et deviennent la cible principale de ces derniers pour des agressions [à l’image des singes[1]].

L’un des meilleurs moyens de contrer la formation de masse est que ceux qui s’opposent au récit continuent de s’y opposer, ce qui sert à briser l’hypnose de certains membres du groupe ayant subi un lavage de cerveau et à persuader le milieu perméable de choisir la raison plutôt que l’inconscience.

Le Dr Desmet suggère que pour quelque chose d’aussi gros que COVID-19, le seul moyen de briser la psychose de formation de masse est de donner à la foule quelque chose de plus grand sur lequel se concentrer. Il pense que le totalitarisme est peut-être ce plus gros problème. Bien sûr, après COVID-19, le totalitarisme mondial peut être le plus gros problème de notre temps.

Source :  https://www.thetruthseeker.co.uk/?p=247495


Transcription courte de la vidéo (https://crowdbunker.com/v/aIJpNp94uV) du Dr Mattias Desmet

Si vous avez ces 4 éléments :  

  • le manque de liens sociaux, [Ndlr : ce qui est favorisé par les « Réseaux Sociaux » qui ne remplacent pas les contacts réels.]
  • le manque de sens dans la vie [Ndlr : les religions et la spiritualité apportent un sens à la vie, mais l’individu qui s’en est éloigné devient vide, déconnecté de son âme. Voir aussi Le secret de l’exil juif et le dévoilement du messie],
  • une « anxiété flottante »
  • et un mécontentement psychologique [de type] « anxiété flottante »,

alors la société est à haut risque en ce qui concerne la naissance d’un phénomène de masse [auquel il faut ajouter un média de diffusion de masse pour parvenir à ses fins].

[Ndlr : L’anxiété flottante désigne un trouble mental dans lequel l’attaque d’anxiété ou de panique est générée sans une situation ou un objet spécifique qui le déclenche (c’est-à-dire une anxiété sans cause discernable. L’individu n’arrive pas à trouver d’où peut venir son anxiété). Le trouble d’anxiété généralisée, ou DAG, est le terme médical utilisé pour désigner l’anxiété flottante.]

Et ces 4 conditions étaient présentes peu avant la crise du corona. Il y avait comme une épidémie de burnouts. Il y avait entre 40% à 70% des gens qui considéraient leur travail comme n’ayant aucun sens comme cela est décrit dans le livre « Bullshit Jobs » de David Graeber. Et aussi lorsqu’on regarde la consommation des produits psychotropes. C’était énorme et cela montre à quel point le mécontentement était présent dans notre société.
Par exemple en Belgique qui représente environ 11 millions de personnes, il est consommé jusqu’à 300 millions de doses d’anti-dépresseurs par année. C’est énorme.

On voit que ces 4 conditions étaient réunies, le manque de sens, de liens sociaux, anxiété et mécontentement « librement suspendus dans l’air ».

Vous devez savoir que l’anxiété « flottante » est le phénomène psychologique le plus douloureux qu’une personne puisse expérimenter. Cela mène à des attaques de panique et à des expériences psychologiques de toutes sortes très douloureuses.

Et donc, ce que les gens veulent dans ce cas-là, est de connecter cette anxiété à quelque chose. Ils cherchent une explication à leur anxiété. Si cette anxiété « flottante » est hautement présente au sein de la population, et si les médias fournissent un narratif qui pointe vers un objet d’anxiété, et, en même temps, fournissent une stratégie qui permette de gérer cet objet d’anxiété, alors toute l’anxiété se connecte à cet objet et les gens acceptent de suivre la stratégie pour gérer cet objet peu importe le coût, les conséquences. C’est ce qui se produit au début d’une formation de masse.

Ensuite, lors de la 2e étape, les gens démarrent une bataille collective et héroïque contre cet objet d’anxiété. De cette manière, un nouveau type de lien social et un nouveau sens de la vie émergent.
Soudainement, la vie est dirigée vers cette bataille contre l’objet d’anxiété et, de ce fait, il y a établissement d’une nouvelle connexion avec d’autres gens. Et le basculement soudain d’un état négatif, d’un manque radical de connexion sociale, vers l’opposé, vers une connexion sociale massive qui est expérimenté au sein d’une foule, ce « switch » soudain mène vers une sorte d’intoxication mentale et c’est ce qui fait que la formation de masse ou la formation de foule est l’exact équivalent de l’hypnose [« switch » qui fait oublier le manque de sens, l’anomie & l’angoisse, et qui donne en même temps une réponse concrète au mécontentement, est le caractère presque magique du switch].

Donc, toutes les personnes qui ont étudié ce phénomène de formation de masse, comme Gustave Lebon, McDougal, Canetti, ont remarqué que la formation de masse n’était pas similaire à l’hypnose mais était son exact équivalent. La formation de masse est un genre d’hypnose.

Donc, ce qu’il se passe à ce moment où les gens expérimentent cette intoxication mentale est que le fait que le narratif soit incorrect, même de manière flagrante, n’a plus d’importance. Ce qui compte est qu’il mène vers cette intoxication mentale.
Et c’est pourquoi ils continuent à suivre le narratif malgré le fait qu’ils pourraient se rendre compte de son absurdité en y réfléchissant brièvement. C’est le mécanisme central de la formation de masse et c’est ce qui le rend si difficile à contrer.

Parce que, pour les gens, ça n’a pas d’importance que le narratif soit erroné. Et ce que nous essayons de faire constamment est de montrer que le narratif est absurde mais, pour les gens, ce n’est pas ce qui compte. Ce qui compte est qu’ils ne veulent pas revenir à cet état précédent douloureux d’anxiété « flottante ».

Ce dont nous devons nous rendre compte, si nous voulons changer la donne, est que la première chose que nous devons faire est de reconnaître cette anxiété douloureuse, de réfléchir à ce qui nous a mené à cet état de  manque de sens de la vie, de manque de liens sociaux, d’anxiété et de massif mécontentement « flottant » [Ndlr : sans cause discernable ou reconnue par l’individu qui la subit], et d’essayer de dire aux gens que nous n’avons pas besoin d’une crise corona pour établir de nouveaux liens sociaux entre-nous. Nous devons trouver d’autres manières qui puissent nous permettre de gérer tous ces problèmes psychologiques qui existaient avant la crise et essayer de trouver d’autres solutions.

Nous n’avons pas besoin de ce type de phénomène massif pour résoudre le problème. La formation de masse est, en fait, une solution symptomatique à un problème psychologique réel.
Et, selon moi, cette crise est avant tout une large crise sociétale et psychologique, bien plus qu’une crise biologique par exemple, ou sanitaire.

Et donc, à partir de cet état d’intoxication mentale, vous pouvez expliquer tous les autres phénomènes liés au totalitarisme. L’intoxication mentale mène à un rétrécissement du champ de l’attention, elle fait en sorte que les gens ne font que ce qui est indiqué par le narratif.

Par exemple, les gens voient les victimes du coronavirus mais semblent incapables de voir, à un niveau corrélatif, les dommages collatéraux sociaux et leurs victimes. Ils sont également incapables, au niveau émotionnel, de ressentir de l’empathie pour les victimes sociales indirectes de la crise sanitaire et y compris davantage touchées directement par le virus d’ailleurs [ces victimes son invisibilisées car hors cadre du narratif].

Ce n’est pas par égoïsme, c’est un des effets de ce phénomène psychologique. Et, en fait, la formation de masse n’entraine pas du tout d’égoïsme, bien au contraire. La formation de masse focalise tellement fort l’attention sur un point unique que vous pouvez prendre tout aux gens, leur bien-être physique, matériel et psychologique, ils ne le remarqueront même pas. Et c’est l’une des conséquences majeures de la formation de masse.

Et c’est exactement la même chose qu’avec l’hypnose classique. Lorsque, durant l’hypnose, l’attention de quelqu’un est focalisée sur un point particulier, vous pouvez lui couper dans la chair à vif sans que la personne ne le remarque. C’est ce qui se passe lorsque l’hypnose est utilisée comme type d’anesthésie durant une opération chirurgicale. Une simple procédure d’hypnose est suffisante pour rendre les gens complètement insensibles à la douleur.

Cela démontre que la focalisation de l’attention est tellement forte, que ce soit en formation de masse ou en hypnose, que les personnes sont complètement insensibles à toutes les pertes qu’ils subissent en conséquence.

Une autre conséquence qui est typique des états totalitaires est que les gens deviennent radicalement intolérants à toute voix dissonante. Si quelqu’un raconte une autre histoire ou bien si quelqu’un dit que cette histoire officielle est fausse, alors cette personne menace de réveiller les gens et ils se mettront en colère parce qu’ils seront confrontés avec l’anxiété et le mécontentement psychologique initiaux et donc ils vont diriger toute leur agressivité contre toute voix dissonante. Et, en même temps, ils sont radicalement tolérants par rapport à leurs leaders, les gens qui représentent la voix du narratif mainstream.

Ils [les leaders] peuvent tricher, mentir, manipuler, et faire tout ce qu’ils veulent, ils seront toujours pardonnés par la foule, parce que la foule semble penser qu’ils le font pour leur bien. Cela fait également partie des mécanismes de la formation de masse.

[Je me suis arrêté à 13:40 environ]

NOTES de H. Genséric

[1] Théorème du singe

Le conditionnement mental est le processus menant le cerveau à adopter certains modèles de pensée, tendances ou état mental. Le conditionnement mental peut être d’origines diverses : les mass-média, la société, les pairs, la famille, la religion ou le système éducatif. Le conditionnement mental peut être illustré par le fameux «Théorème du singe » qui se rapporte à une expérience faite à l’Université de San Diego (USA).

Plus d’infos »

VOIR AUSSI :




L’interview du Dr Martin par Reiner Fuellmich

[Source de la vidéo : Stéphane GAYET]

L’interview en anglais :

https://player.vimeo.com/video/573967306?h=15da25521f
Dr-David-Martin-and-Reiner-Fuellmich from Stéphane GAYET on Vimeo.

Transcription en Français

[Auteur de la transcription inconnu]

La Covid-19 n’est pas un accident de laboratoire. C’est une arme biologique américaine. Le vaccin aussi ! C’est une question d’argent à gagner.

Tout ce que dit Dr Martin peut être utilisé dans une cour de justice et il a mis 20 ans à rechercher son sujet, à voir du côté des enregistrements des brevets et les documents FOIA (l’administration américaine est tenue de fournir des informations). Les mails de Antony Fauci récemment fournis y sont inclus. Il n’y a pas de spéculations. Il ne se penche pas non plus sur les motifs ultérieurs au-delà de ce qu’il a vu sur les documents officiels et vérifiés. Ce qu’il peut prouver sans conteste c’est que le Covid19 est une entourloupe motivée par le gain et ils ont mis 20 ans à la préparer.

Le SARS-CoV-2 n’est pas nouveau. C’est le même vieux SARS-COV-1 une arme biologique qui cible l’épithélium du poumon humain et Fauci en a chargé la production à l’université de Caroline du Nord. Le brevet date du 19 avril 2002. Des mois avant la soi-disant épidémie en Asie. C’est ce qu’il dit.

Dr Martin a la preuve que le Covid19 est une supercherie motivée par un gain financier et qui a mis vingt ans à préparer. Dr Martin voit que le SARS coronavirus a été breveté par le CDC, le 23 avril 2003. Pfizer possède les droits et Johnson et Johnson. Moderna téléphone au NIAID et obtient la séquence de la protéine à protubérance. Le but c’est d’obtenir un protocole de vaccin pour les adultes. Ils remplacent notre immunité naturelle avec l’ARNm. C’est de la biologie de synthèse

Peter Daszak en 2015 : « On aura besoin d’augmenter le désir d’un tel vaccin. Il faut que les médias nous aident et l’économie suivra. Il faut un battage puissant pour ce vaccin. Les investisseurs marcheront s’il y a du profit à faire. ». Daszak a corroboré la thèse de Wuhan. L’accident de labo est un leurre.

Voilà un pathogène fabriqué, une arme de destruction biologique injectée à un petit nombre pour vendre le vaccin. (L’injection a pu avoir lieu à Fort Detrict, à Paris ou à Winnipeg. Voir l’incarcération du Pr Fourtillan pour avoir révélé que l’Institut Pasteur à Paris avait aussi fabriqué le virus. Fureur du gouvernement français à l’endroit du professeur français. Et si le virus venait de Paris ?)

Ceci a démarré le 6 janvier 2004. Merck a commencé à écrire le script de cette histoire. La conférence s’intitulait SARS et bioterrorisme. La nouvelle normalité c’est eux. L’OMS, Fauci, Dr Elias de la Fondation Gates ont discuté.

Pour le variant Delta, on cherche des fragments. Il y a peu de nouveauté là-dedans et cela tient à la façon dont on séquence le génome. C’est un procédé de composition. On n’a pas de point de référence pour décider si la chose qu’on regarde est distincte du vieux Covid. C’est une altération, de la structure de lecture. Rien de nouveau, en fait.

Dr Martin est le directeur de l’organisation qui surveille les brèches et les violations des traités relatifs à la guerre biologique. Elle publie des noms et elle investigue ceux qui financent ces violations. Dr Martin : « On a vu tout de suite que ce n’était pas une question de santé publique, mais une campagne de marketing avec ses objectifs. Ils l’avouent eux-mêmes.

Quand j’ai une personne qui dit qu’il faut se servir des médias pour faire mousser les mesures médicales qui s’imposent, c’est-à-dire une injection d’une protéine recombinante chimérique et synthétique qu’on a développée avec un exercice de simulation par ordinateur, et que cette personne dit que les investisseurs suivront s’il y a du profit au bout, on a compris tout de suite.

Il y a 4000 brevets qui concernent le SARS. Avec son équipe, le Dr Martin a analysé toutes les manipulations. Et qui finance quoi ? Ils ont pris la séquence génétique indiquée par le ICTV. C’est le comité international sur la taxonomie des virus de l’OMS. Et ils ont comparé cette séquence avec celles des brevets enregistrés au début de 2020. Il y a 120 preuves sur les brevets qui prouvent que c’est toujours le même coronavirus.

Il n’y a pas de coronavirus nouveau. Il y a de subtiles modifications de séquence qui ont été additionnées. On a trouvé des brevets datant de 1999. Mais rien de neuf.

Le premier vaccin patenté de coronavirus a été développé par Pfizer. C’était la protéine à protubérance (spike). La première application date du 28 janvier 2000. Timothy Miller, Sharon Klepfer, Albert Paul Reed et Elaine Jones ont entré ce jour-là les détails du brevet US 6372224 avec la protéine à protubérance… pour le coronavirus canin. Jusqu’à 1999 ils enregistraient des vaccins pour les animaux. Ralph Baric a travaillé sur les lapins. Les éleveurs avaient des problèmes puis ce fut le cas de Pfizer avec les chiens.

Ce qui pose problème c’est que Fauci à NIAID a trouvé que la malléabilité du corona pouvait être employée pour un vaccin du SIDA.

Le SARS est une arme de destruction biologique et c’est fait de main d’homme. Pas une zoonose. Le 19 avril 2002, Fauci a donné instruction à l’université de Caroline du Nord de produire un coronavirus infectieux unique pour attaquer l’épithélium du poumon humain. C’est le brevet US7279327. Le brevet explique clairement que le récepteur ACE, le domaine d’adhérence ACE-2, la protéine à protubérance S1 et d’autres éléments étaient non seulement fabriqués, mais pouvaient être modifiés synthétiquement en laboratoire, en utilisant des techniques de séquençage génétique, en s’emparant du code généré sur ordinateur et en le tournant vers un pathogène ou son intermédiaire. Et cette technologie était subventionnée au tout début sur le fait qu’on peut se servir de cet outil pour faire du coronavirus un vecteur de distribution du vaccin contre le sida.

Maintenant cela se complique. Mon organisation a pour mission de surveiller les violations des traités sur la guerre biologique. Rappelez-vous, en septembre 2001, l’alarme de l’anthrax. Le Congrès nous avait chargés de voir d’où vient cet anthrax, mais aussi le médicament Ciprofloxacine de Bayer. Il sert à soigner l’anthrax. Donc vers la fin de 2001, on investigue les pathogènes viraux et bactériens qu’ils continuent de breveter via NIH, NIAID et USAMERIID, le programme militaire des forces armées à propos des maladies infectieuses.

Notre idée était que le coronavirus fut perçu non pas tant comme vecteur pour un vaccin, car il était manipulable, mais comme candidat pour la guerre biologique. Nous avons publié un article à ce sujet avant l’arrivée de l’épidémie SARS en 2001. Vingt ans après je répète la même chose !

Donc le début du SARS en Chine date de 2002. En avril 2003, le CDC s’est ému. Il a publié la séquence génétique de ce SARS. Or c’est une violation de 35 US code section 101. Vous ne pouvez pas breveter une substance naturelle. Ce brevet 7220852 est une violation. Et il a eu des dérivés. Parmi ces dérivés, le brevet 46692703p. Et le brevet 776521. Ces brevets couvraient non seulement la séquence génétique du Coronavirus SARS, mais encore la façon de le détecter par RT PCR.

La raison pour laquelle cela cause problème c’est que si vous détenez le brevet pour le gène en même temps que sa détection, vous avez un sacré avantage. Vous contrôlez 100 % de la provenance du virus et 100 % de sa détection. Et ce brevet du CDC proclamait que tout le monde avait accès à la recherche sur le coronavirus. Un mensonge effronté. Du reste le bureau des brevets l’a rejeté deux fois parce qu’étant non patentable et dans le domaine public.

En d’autres mots, avant l’application du CDC, le bureau des brevets a trouvé que le brevet était 99,9 % identique à celle du coronavirus du domaine public. Le CDC a dû payer une amende en 2006 et 2007. Finalement elle a été acceptée en 2007. Donc le CDC qui affirmait que c’était dans l’intérêt public mentait. Ils ont tout simplement soudoyé le bureau des brevets. Et en plus ils ont encore payé pour garder le brevet confidentiel. Si vous voulez aider la recherche comme ils le prétendent, vous ne payez pas en plus pour la garder confidentielle. Tout ceci est dans les archives du bureau des brevets. L’accès est libre pour le public. J’ai pu obtenir des copies.

C’est important parce que les gens qui vérifient les données écrivent que le SARS Coronavirus, SARS-CoV-2 est différent du brevet du CDC. Il y a problème dans la génétique et le brevet. Quand vous regardez la séquence génétique du brevet enregistrée par le CDC, en 2003, 2005 et 2006, il y a entre 89 et 99 % de similarité avec la “nouvelle dénomination du SARS-CoV-2. Le SARS est toujours SARS.

Donc dire que le CDC n’a rien à voir avec ce brevet ou ce pathogène est incroyable. C’est le même SARS. Le 25 avril 2003, le CDC enregistre le brevet du SARS Coronavirus. Puis trois jours plus tard Sequoia Pharmaceuticals, une compagnie du Maryland prend un brevet pour traitement antiviral du Coronavirus.

Comment y a-t-il déjà un traitement pour une chose qu’on vient d’inventer il y a trois jours ? Le brevet de Sequoia, le 28 avril 2003 No 7151163 a un autre problème : elle a été publiée avant l’autorisation du brevet du CDC. Donc il y a dissimulation. Ce n’est pas possible de breveter une chose qui n’est pas encore autorisée parce que le CDC a payé pour que le brevet reste secret. C’est une conspiration criminelle, du racket et de la collusion. C’est mieux qu’une théorie, c’est un fait, une preuve. C’est le cas Rico. Le SARS-CoV-2 arrive sur le tapis. Moderna obtient la séquence avec la protéine de protubérance en téléphonant au NIAID, avant que le SARS tout neuf apparaisse. Comment traiter une chose avant qu’elle se matérialise ?

Écoutez la suite. Ça se corse encore : Le 5 juin 2008, est une date importante parce que c’est à peu près la date où le DARPA — Defense Advance Research Program — s’est intéressé au coronavirus virus comme arme biologique. Ce jour-là, AB links, une filiale de Sanofi, enregistre une série de brevets. Ils ciblaient le nouveau virus SARS-CoV-2.

Ils ciblaient le site de fission polybasique du SARS, la nouvelle protéine de protubérance et le domaine de fusion du récepteur ACE 2 qui est présenté comme nouveau au SARS-CoV-2. C’est patenté le 5 juin 2008. Cette série est accordée le 24 novembre 2015 et le brevet US 9193780. Celle-là vient après le moratorium sur le gain de fonction. C’est après l’épidémie de MERS au moyen orient. En 2016, 2017, 2019 une série de brevets qui couvrent non seulement les brins d’ARN, mais encore les sous-ensembles des brins de gènes. Cela se retrouve chez AB links et Sanofi.

Et puis nous avons Crucell, Rubius Therapeutics, Children Medical Corporation, Ludwig Maximilian Universität à Munich, Protein Science Corporation, Dana Farber Cancer Institute, University of Iowa, University of Hong Kong, Chinese National Human Genome Center à Shanghai, toutes identifiant dans les brevets de 2008 à 2017 chaque attribut qui était le monopole de la publication unique de référence. Le nouveau coronavirus de chauve-souris qui révèle une insertion naturelle à S1-S2, le site de fission de la protéine à protubérance et peut-être l’origine du recombinant 3 du virus SARS-CoV-2, le papier qu’on a utilise pour identifier le nouveau Coronavirus.

Mais si vous prenez ce qui a été rapporté comme nouveau, on trouve 73 brevets entre 2008 et 2019 qui possèdent les éléments identifiés comme nouveaux dans le SARS-CoV-2, et en particulier ce qui concerne le site de fission polybasique, le domaine de fusion du récepteur ACE 2 et la protéine de protubérance. Donc les nouveaux composants de Sars, cliniquement uniques et contagieux. Il n’y avait pas d’épidémie de Sars parce que tout était sous contrôle. En 2016 le papier qui a reçu des subsides pendant le moratorium du Gain de Fonction disait que le coronavirus était prêt à émerger chez les humains. Et 73 brevets étaient prêts à l’exploiter. C’est Ralph Baric qui a écrit ce papier.

Il n’y a pas d’accident de labo, on déploie le Covid pour lancer le vaccin contre le coronavirus. Ralph Baric a fait de l’argent là-dessus.

Si vous croyez que l’histoire est finie, détrompez-vous ! Quelqu’un savait quelque chose en 2015 et 2016. Peter Daszak a écrit un mémorandum en 2015. National academics of Press publications, 12 février 2016:

Nous devons augmenter la connaissance du public pour une réponse médicale. Ce sera le vaccin contre le coronavirus. Les médias vont nous aider et l’économie suivra. Il faut faire du battage et les investisseurs emboîteront le pas s’ils voient du profit dans la course.

Peter Daszak est le directeur de Eco Health Alliance. Il a corroboré les Chinois sur l’absence de traces de l’accident de labo. Pas d’accident du tout. C’est une arme biologique de protéine à protubérance. Les gens sont contaminés et on les accoutume au vaccin. Ne croyez plus à l’accident de labo. C’est de la foutaise.

Dr Martin continue. Il y a 73 brevets sur le nouveau coronavirus avant 2019. le brevet US7279327 sur la nature recombinante de ce coronavirus qui s’attaque aux poumons, fut transféré mystérieusement de l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill au National Institute of Health NIH en 2018.

Il y a une anicroche ici : sous le Bayh-Dole Act, le gouvernement américain bénéficie d’une provision spéciale ; s’il paie pour une recherche, ils doivent en bénéficier selon leurs termes. Alors je voudrais bien qu’on m’explique pourquoi en 2017 et 2018, le NIH doit prendre possession d’un brevet alors que cet institut y a droit. Le brevet de l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill. Pourquoi fallait-il enregistrer un certificat de correction pour que cela soit possible, parce qu’il y avait une erreur typographique dans la référence aux subsides de l’État ?

Ils ont du avoir besoin d’être clairs là-dessus et que l’erreur typographique était correcte. C’est ce brevet qui développe le droit d’exploiter l’invention et de faire un vaccin pour l’institut de recherche sur les vaccins. L’université de Caroline du Nord, Chapel Hill, partage ce brevet en novembre 2019 et Moderna participe avec l’université et NIAID pour commencer le séquençage de la protéine avec protubérance, un mois avant le début de l’épidémie.

Tout a commencé en janvier 2004 avec le laboratoire Merck. Ils ont donné une conférence, SARS et le bioterrorisme. Le bioterrorisme et les maladies infectieuses émergentes, les modulateurs anti microbes et l’immunité. Ils ont introduit l’idée des nouvelles normes. C’est le langage de l’OMS, le comité de préparation aux épidémies. C’est là qu’on trouve Gates, Dr Elias et Fauci et le bureau sanitaire en Chine. Ils ont discuté de la façon dont il fallait accoutumer les gens à une épidémie de grippe globale.

Moderna savait qu’ils allaient être placés en tête du peloton pour le vaccin en mars 2019. À cette époque, Moderna a amendé une série de brevets rejetés pour y inscrire une introduction délibérée du virus. Ils ont fait appel à deux firmes canadiennes : Arbutus Pharmaceuticals et Acultus Pharmaceuticals. Acultus possède le brevet de l’enveloppe lipide nano qui est nécessaire pour véhiculer le fragment de l’ARN. Ce brevet a été enregistré au Canada et aux USA et il y a des équivalents dans le monde entier.

Moderna a négocié avec Arbutus et Acultus pour intégrer cette technologie au vaccin futur. En novembre 2019 Moderna s’est entendu avec l’université de Caroline du Nord pour mettre la protéine à protubérance dans le lipide nanoparticule et ils avaient un vaccin futur avant le pathogène en circulation.

Depuis 2016 jusqu’à 2019, Fauci au NIAID se lamentait sur le fait que le public n’acceptait pas le concept du vaccin universel contre la grippe. Il travaillait son dada, le vaccin. Tout ce petit monde se préoccupe de la possibilité du pathogène respiratoire dans l’atmosphère, que ce soit intentionnel ou par accident.

L’OMS en septembre 2019 publie « le monde du risque ». Ceci détaille la coordination indispensable des nations, un système de relations publiques, un contrôle de la population, et l’acceptation d’un vaccin obligatoire. Septembre 2019.




Témoignage d’un tatoueur sur le sang des vaccinés

[Source : Cogiito]

Par P.A. Jandrok

Témoignage de Manu, tatoueur, sur le groupe facebook de témoignage de vaccinés.

« 25 ANS DE MÉTIER. DONC JE NE SUIS PAS UN DÉBUTANT, MAIS UN FORMATEUR AGRÉÉ. »

(Merci Pierre pour l’info)

« Depuis quelques mois, nous nous rendons compte que les gens vaccinés réagissent bizarrement lors des séances de tatouage : la peau des vaccinés ne perle plus du tout (léger saignement normal lors d’une effraction cutanée). Nous notons aussi que les rougeurs et les gonflements sont presque inexistants. Certes ce n’est spécialement dérangeant pour notre métier, mais c’est très alarmant. Il y a bien une modification au niveau du sang, la peau ne se défend plus.

Avant l’été, c’était quelques cas, mais depuis le gros rush des vaccinations, c’est vraiment tout le monde. C’est simple : en 20/30 min nous pouvons vous dire si vous avez été vaxx ou non juste en regardant comment la peau se comporte.

À l’heure d’aujourd’hui, beaucoup de confrères se rendent compte aussi qu’il y a un gros problème. Ceci va-t-il passer ? je ne sais pas, mais plus de 5/6 mois après les 2 doses, les patients ont la peau qui ne réagit toujours pas normalement.

J’AI INTERPELLÉ DU MONDE DANS LE MILIEU MÉDICAL, ET ON ME CONFIRME BIEN QUE ÇA JOUE SUR LE SANG.

Certaines infirmières remontent aussi que le sang bouche souvent les cathés lors de la prise de sang, tellement c’est épais. Ces soucis ne sont même plus remontés sur le sites de problèmes, car c’est tout les jours…

Je recherche des personnes qui travaillent en hématologie pour échanger et comprendre ce qui se passe. »

Voilà je tenais à vous partager ce témoignage.

[Ndlr : si l’information est confirmée par ailleurs, ce serait conforme à l’un des effets rapportés de la protéine Spike que les pseudo vaccins amènent le corps à produire, à savoir la formation de rouleaux de cellules sanguines et de thrombose, effet que l’on retrouve aussi d’ailleurs dans le cas de l’exposition aux ondes pulsées (Wi-Fi, 3G, 4G, 5G…) ce qui signifierait que ce serait pire pour les personnes utilisant un smartphone, des appareils Wi-Fi ou trop proches d’antennes relais.
Voir aussi :
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
et
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G]




Le gouvernement britannique admet que les vaccins ont endommagé le système immunitaire naturel des personnes ayant reçu une double dose

[Source : francemediasnumerique.com]

Le gouvernement britannique a révélé qu’une fois que vous avez reçu le double vaccin, vous ne pourrez plus jamais acquérir une immunité naturelle complète contre les variantes du Covid – ou tout autre virus. Alors regardons la « vraie » pandémie commencer maintenant ! Dans son « rapport de surveillance du vaccin COVID-19 » de la semaine 42, l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni admet à la page 23 que

« les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination. »

Elle poursuit en expliquant que cette baisse d’anticorps est pratiquement permanente. Qu’est-ce que cela signifie ?
Nous savons que les vaccins n’empêchent pas l’infection ou la transmission du virus (en fait, le rapport montre ailleurs que les adultes vaccinés sont maintenant infectés à des taux beaucoup plus ÉLEVÉS que les non-vaccinés). Ce que disent les Britanniques, c’est qu’ils ont découvert que le vaccin interfère avec la capacité innée de l’organisme, après une infection, à produire des anticorps contre la protéine de pointe, mais aussi contre d’autres parties du virus. Plus précisément, les personnes vaccinées ne semblent pas produire d’anticorps contre la protéine de la nucléocapside, l’enveloppe du virus, qui est un élément crucial de la réponse chez les personnes non vaccinées. À long terme, les personnes qui prennent le vaccin seront beaucoup plus vulnérables à toute mutation de la protéine de pointe qui pourrait survenir, même si elles ont déjà été infectées et guéries une ou plusieurs fois. Les personnes non vaccinées, quant à elles, obtiendront une immunité durable, voire permanente, contre toutes les souches du prétendu virus après avoir été infectées naturellement, même une seule fois. Lisez vous-même… Page 24.

Vaccine-surveillance-report-week-42

[Note de Joseph : ces déductions proviennent d’une lecture du phénomène sous l’angle de la théorie virale. La théorie alternative du terrain et des exosomes déduit plus simplement et plus logiquement des observations que le vaccin étant en fait un ensemble de poisons (dont la protéine Spike OGM, artificiellement modifiée) pour les cellules du corps, celui-ci est handicapé en cas de nouvelles agressions par d’autres agents pour lui toxiques (y compris par les ondes électromagnétiques pulsées telles que la 4G, le Wi-Fi et la 5G) par rapport à l’organisme plus sain des non-vaccinés. Et ce handicap du corps vacciné est d’autant plus durable que les poisons sont difficiles à chasser du corps, ce qui est le cas avec ces pseudo vaccins puisque ce dernier devient alors lui-même générateur d’un des poisons, la protéine Spike.

Voir aussi Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
et les liens proposés dans l’article Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges – Bill Gates est aux commandes »]




Ne sacrifiez pas vos enfants, ils sont l’avenir de l’Humanité

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Par Nicole Delépine

Nous ne pouvons dans un texte court relater tous les effets délétères de cette injection expérimentale et nous vous joignons ici le résumé qu’en fait le Dr Malone, inventeur infortuné de cette technique qu’il eut voulu utile à l’Homme et qui est en passe de détruire une part de l’Humanité.

Et voici la déclaration de l’inventeur de la technologie de thérapie génique que j’imagine dans l’état d’Einstein après les méfaits de sa création de fait de  la bombe atomique.

Texte intégral de la déclaration du Dr Malone(([1] « Avant que votre enfant ne soit injecté », déclaration du Dr Robert Malone sur les vaccins géniques Covid pour enfants – Anthropo-logiques))

[Vidéo : « Voulez-vous vraiment que votre enfant fasse partie de l’expérience la plus radicale de l’histoire de l’humanité? » Le plaidoyer du Dr Robert W. Malone, inventeur du vaccin ARNm (décembre 2021)]

« Je m’appelle Robert Malone, et je m’adresse à vous en tant que parent, grand-parent, médecin et scientifique. Je n’ai pas l’habitude de lire un discours préparé, mais ce sujet est si important que je voulais m’assurer que chaque mot et chaque fait scientifique étaient exacts.

Je m’appuie sur cette déclaration, ma carrière étant consacrée à la recherche et au développement de vaccins. Je suis vacciné contre le Covid et je suis généralement pro-vaccination. J’ai consacré toute ma carrière au développement de moyens sûrs et efficaces pour prévenir et traiter les maladies infectieuses.

Ensuite, je publierai le texte de cette déclaration afin que vous puissiez la partager avec vos amis et votre famille.

Avant que vous ne fassiez l’injection à votre enfant – une décision qui est irréversible – je voulais vous faire connaître les faits scientifiques concernant ce vaccin génétique, qui est basé sur la technologie du vaccin ARNm que j’ai créée.

Il y a trois points que les parents doivent comprendre :

La première est qu’un gène viral sera injecté dans les cellules de vos enfants. Ce gène oblige l’organisme de votre enfant à fabriquer des protéines Spike toxiques. Ces protéines provoquent souvent des dommages permanents dans les organes vitaux des enfants, notamment :

  •     ○ leur cerveau et leur système nerveux ;
  •     ○ leur cœur et leurs vaisseaux sanguins, y compris les caillots sanguins ;
  •     ○ leur système reproductif ;
  •     ○ ce vaccin peut en outre déclencher des modifications fondamentales dans leur système immunitaire.

Le point le plus alarmant à ce sujet est qu’une fois ces dommages survenus, ils sont irréparables.

  •     ○ Vous ne pouvez pas réparer les lésions dans leur cerveau.
  •     ○ Vous ne pouvez pas réparer les cicatrices du tissu cardiaque.
  •     ○ Vous ne pouvez pas réparer un système immunitaire génétiquement réinitialisé.
  •     ○ ce vaccin peut causer des dommages à la reproduction qui pourraient affecter les générations futures de votre famille.

La deuxième chose que vous devez savoir est le fait que cette nouvelle technologie n’a pas été testée de manière adéquate.

  •     ○ Nous avons besoin d’au moins 5 ans de tests/recherche avant de pouvoir vraiment comprendre les risques.
  •     ○ Les inconvénients et les risques des nouveaux médicaments ne sont souvent révélés que plusieurs années plus tard.

Demandez-vous si vous voulez que votre propre enfant fasse partie de l’expérience médicale la plus radicale de l’histoire de l’humanité.

Un dernier point : la raison qu’on vous donne pour faire vacciner votre enfant est un mensonge.

  •     ○ Vos enfants ne représentent aucun danger pour leurs parents ou grands-parents
  •     ○ C’est en fait le contraire. L’immunité qu’ils développent naturellement après avoir été infectés par le Covid est essentielle pour sauver votre famille, sinon le monde, de cette maladie…

En résumé, il n’y a aucun avantage pour vos enfants ou votre famille à les « vacciner » contre les faibles risques du virus, compte tenu des risques sanitaires connus du « vaccin » avec lesquels, en tant que parent, vous et vos enfants devrez peut-être vivre pour le reste de leur vie.

L’analyse des risques et des avantages est loin d’être aussi précise.

En tant que parent et grand-parent, je vous recommande de résister et de vous battre pour protéger vos enfants ».

En conclusion

1°) Très peu d’enfants sont malades  du Covid (moins de 5% des malades recensés), ils ne font que des formes légères (trois fois moins de risque de mourir que de la grippe saisonnière). ils ne peuvent pas espérer de bénéfice personnel de la vaccination.

2°) Les enfants ne constituent pas un vecteur de transmission. Les pseudo vaccins actuels ne protègent pas de la maladie et n’empêchent pas de la transmettre. On ne peut donc pas espérer que les vacciner puisse protéger les autres.

3°) les pseudo vaccins actuels, issus d’une technique jusqu’ici jamais utilisée en pathologie infectieuse humaine, sont totalement expérimentaux : les résultats des essais ne seront connus qu’en 2023. On ne connaît donc pas la totalité de leurs risques.

À court terme, ils exposent à des complications sévères, dont des myocardites. Aucun bénéfice, complications nombreuses et parfois mortelles la balance avantage risque est totalement défavorable chez l’enfant.

Cette injection diabolique l’est tellement que même un médecin de plateau comme Martin Blachier s’y oppose !

Le boom du jour : Ecoles = retour à la normale le 3 janvier 2022 – We Sign It

« Au vu des données scientifiques disponibles

– sur la circulation virale dans les différentes classes d’âge (taux de positivité supérieur chez les plus de 40 ans par rapport au moins de 12 ans),

– sur l’absence de risque de formes graves de la maladie covid19 chez les enfants de moins de 12 ans non à risque,

– de la vaccination des enseignants qui le souhaitent avec 3 doses de vaccins ARN qui protège à plus de 98%,

– de l’impact des mesures sanitaires en cours sur l’apprentissage et la qualité de développement de nos enfants (25% des hospitalisations des enfants sont en pédopsychiatrie, 22% de baisse de QI des enfants pendant la crise;

nous demandons à ce que les conditions de vie scolaire soient ramenées à la normale à partir du 3 janvier sans aucune condition vaccinale en dehors des 5% d’enfants à risque.

C’est à dire

– la fin du port du masque en classe et lors des activités extérieures,

– l’absence de toute pression vaccinale sur les enfants sans comorbidités majeures ainsi que

– la fin des évictions scolaires pour les enfants positifs au covid.

Cette pétition est lancée par Marie-Estelle Dupont psychologue clinicienne à Paris et le Dr Martin Blachier, médecin de santé publique. »

Mobilisation créée par Martin Blachier 15/12/2021 Contacter

Un gros progrès, même si on  pourrait discuter l’injection des enfants avec comorbidité etc.. mais chaque jour suffit sa peine.

Et même l’OMS : l’OMS exhorte l’Europe à ne pas vacciner les #enfants ! Si la vaccination des plus jeunes continue de faire débat à travers le continent, l’OMS a fermement tranché sur le sujet. Source : #AFP

Nicole Delépine





« Voulez-vous vraiment que votre enfant fasse partie de l’expérience la plus radicale de l’histoire de l’humanité? » Le plaidoyer du Dr Robert W. Malone, inventeur du vaccin ARNm (décembre 2021)

[Source : @ivermectine-covid.ch]






Table ronde russe sur le crime Covid-19 planifié

[Source : https://www.bitchute.com/alcyonpleiades-fr/]






Injection mortelle

[Source : Injection mortelle. L’effrayant récit d’un médecin urgentiste sur une maladie inhabituelle provoquée par le vaccin | Le Saker Francophone]

Injection mortelle. L’effrayant récit d’un médecin urgentiste sur une maladie inhabituelle provoquée par le vaccin

Par Mike Whitney − Le 20 novembre 2021 − Source Unz Review

« Les Américains ont peur de mourir…. Les gens quittent leur travail, non pas parce qu’ils veulent perdre leur emploi, mais parce qu’ils ne veulent pas mourir du vaccin ! … Ils disent : ‘Écoutez, je ne veux pas mourir. C’est la raison pour laquelle je ne prends pas le vaccin’. C’est aussi clair que cela. »

Dr Peter McCullough

Un rapport du Telegraph britannique explique comment le vaccin Covid-19 a entraîné une forte augmentation de la surmortalité. Voici un extrait de l’article :

Près de 10 000 personnes de plus que d’habitude sont mortes au cours des quatre derniers mois pour des raisons autres que le vaccin Covid. Les experts ont demandé une enquête gouvernementale urgente pour savoir si ces décès étaient évitables…

Les derniers chiffres de l’Office for National Statistics montrent que l’Angleterre et le Pays de Galles ont enregistré 20 823 décès de plus que la moyenne des cinq dernières années au cours des 18 dernières semaines. Seuls 11 531 décès concernaient le Covid. »

(« L’alarme sonne car les morgues sont remplies de morts excédentaires non dues au Covid » UK Telegraph)

La mortalité augmente parce que plus de gens meurent. Et plus de gens meurent parce que plus de gens ont été vaccinés. Il y a un lien entre la hausse de la mortalité et le vaccin Covid-19. Naturellement, les médias veulent rejeter la responsabilité de ces décès sur les « retards de prise en charge » et « l’absence de soins préventifs ». Mais il ne s’agit que d’une diversion. La première cause de décès est l’injection d’un agent pathogène toxique dans le sang d’environ 70 % de la population. C’est ce qui provoque la coagulation, les saignements, les embolies pulmonaires, les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et les décès prématurés. C’est le vaccin. En voici d’autres :

Les chiffres hebdomadaires pour la semaine se terminant le 5 novembre montrent qu’il y a eu 1 659 décès de plus que ce que l’on attendrait normalement à cette période de l’année. Parmi ceux-ci, 700 n’ont pas été causés par le Covid.

L’excédent devrait s’accroître au fur et à mesure que d’autres décès seront enregistrés dans les semaines à venir.

Les données de l’Agence britannique de sécurité sanitaire montrent que, depuis l’été, il y a eu des milliers de décès de plus que la moyenne quinquennale en matière d’insuffisance cardiaque, de maladies cardiaques, de troubles circulatoires et de diabète.

Le nombre de décès chez des particuliers est également supérieur de 40,9 % à la moyenne sur cinq ans, avec 964 décès excédentaires enregistrés au cours de la semaine la plus récente, qui s’achève le 5 novembre. 

(« L’alarme sonne car les morgues sont remplies de morts excédentaires non dues au Covid », UK Telegraph)

L’augmentation soudaine de la mortalité n’est pas un simple point clignotant sur un radar. C’est un drapeau rouge indiquant une rupture significative dans la tendance des cinq dernières années. Quelque chose a terriblement mal tourné. La vaccination de masse était censée réduire le nombre de cas, d’hospitalisations et de décès. Au lieu de cela, les décès continuent d’augmenter.

Pourquoi ?

La réponse à cette question se trouve dans les données elles-mêmes. Comme l’admet l’auteur, il y a eu une forte augmentation des cas d’insuffisance cardiaque, de maladies cardiaques, de troubles circulatoires et d’accidents vasculaires cérébraux. (Ce sont précisément les affections auxquelles on pourrait s’attendre si l’on venait d’injecter à des millions de personnes un produit biologique générateur de caillots qui déclenche une violente réponse immunitaire attaquant la paroi interne des vaisseaux sanguins et infligeant de graves dommages à l’infrastructure critique du corps. Donc, oui, la mortalité toutes causes confondues est en hausse, et il est certain qu’elle va encore augmenter à mesure que de plus en plus de personnes sont vaccinées et succombent progressivement aux effets (souvent) différés d’une concoction hybride qui est la pierre angulaire d’un plan maléfique visant à réduire considérablement la population mondiale. Consultez ce tableau suivi d’un bref commentaire du Dr Claire Craig, pathologiste :

« Depuis l’été, il y a eu deux fois plus de décès par covid, mais sept fois plus de décès en trop que l’année dernière. » (Twitter)

Dr Clare Craig @ClareCraigPath

Et voici un autre article de Craig :

« Si vous commencez à la semaine 22 et que vous additionnez tous les décès depuis pour chaque année, alors quelque chose de très anormal se produit cette année chez les garçons de 15 à 19 ans. »

Donc, non seulement plus de personnes meurent, mais la tendance s’est déplacée vers le bas de la pyramide, car des personnes de plus en plus jeunes sont attirées dans le vortex des vaccins. En d’autres termes, le nombre de jeunes gens qui meurent d’un arrêt cardiaque ou d’une myocardite provoqués par le vaccin continue d’augmenter sans qu’on puisse en voir la fin.

Il n’est pas surprenant que la mortalité, toutes causes confondues, soit plus élevée chez les vaccinés que chez les non-vaccinés, ce qui, là encore, permet de remonter plus facilement à la source du problème, à savoir un « vaccin mortel » cytotoxique qui supprime le système immunitaire inné, endommage les organes vitaux et raccourcit de plusieurs années la vie de personnes normales et en bonne santé.

Vous avez peut-être vu l’une des nombreuses vidéos de jeunes athlètes en pleine forme qui meurent soudainement sur le terrain de jeu ou sont hospitalisés d’urgence peu après avoir reçu une injection. Sinon, voici un lien vers deux d’entre elles. (Athlètes s’effondrant après une vaccination : voir ici et ici)

Selon Israeli Real-Time News, il y a eu une « augmentation de 500% des décès de joueurs en 2021… Depuis décembre, 183 athlètes professionnels et entraîneurs se sont soudainement effondrés ! 108 d’entre eux sont morts ! »

« Augmentation de 500% des décès » d’athlètes ? !? Que devons-nous penser de tout cela ?

Pour commencer, le vaccin Covid-19 n’est pas un médicament. Il est le composant essentiel du plan élitiste d’extermination à l’échelle industrielle. Il est conçu pour infliger des blessures physiques graves aux personnes qui le prennent. Il est choquant que les gens soient si profondément dans le déni qu’ils ne peuvent pas voir ce qui se passe sous leurs yeux. (S’il vous plaît, regardez les clips vidéo des athlètes. Ce sont les personnes les plus en forme de la planète et, pourtant, elles sont terrassées par la mystérieuse substance contenue dans le vaccin). Voici comment le médecin sud-africain Shankara Chetty résume la situation dans une vidéo récente publiée sur Bitchute :

L’agent pathogène qui cause tous les décès dus à la maladie est la protéine spike. Et la protéine spike est ce que le vaccin est censé produire dans votre corps. …La protéine spike est l’un des poisons les plus artificiels que l’homme ait jamais fabriqués. Et, le but de cette toxine, est de tuer des milliards de personnes sans que personne ne s’en aperçoive. C’est donc un poison qui a un but précis. 

(« Le médecin sud-africain Dr. Shankara Chetty parle du « Grand Plan », Bitchute)

Tout est dit en quelques mots. Et Chetty n’est pas le seul à établir un lien entre le vaccin et le programme des élites mondialistes qui prévoient d’utiliser la couverture d’une pandémie pour mettre en œuvre leur plan de « gestion de la population »L’ancien vice-président de Pfizer, Mike Yeadon, a exprimé un point de vue similaire il y a quelques jours sur son site Internet. Il a déclaré :

« Nous sommes au milieu du plus grand programme de dépeuplement que le monde ait jamais vu, où la majeure partie de l’humanité agit comme des idiots utiles à ce programme et à sa propre disparition. »

En effet, et nous avons pourtant essayé de fournir autant d’informations que possible sur l’agent biologique qui est utilisé pour poursuivre ce programme maléfique, la protéine spike. Dans nos premiers rapports, nous avons transmis les recherches du Dr Patrick Whelan, qui a compris le danger de la protéine spike avant tout le monde. Voici un bref résumé de son analyse tirée d’une lettre qu’il a soumise à la FDA le 8 décembre 2020 :

Je suis préoccupé par la possibilité que les nouveaux vaccins visant à créer une immunité contre la protéine spike du SRAS-CoV-2 aient le potentiel de causer des lésions microvasculaires au cerveau, au cœur, au foie et aux reins d’une manière qui ne semble pas actuellement être évaluée dans les essais de sécurité de ces médicaments potentiels.

… Meinhardt et al…. montrent que la protéine spike dans les cellules endothéliales du cerveau est associée à la formation de microthrombi (caillots)… En d’autres termes, les protéines virales semblent causer des dommages aux tissus sans que le virus ne se réplique activement… Le vaccin Pfizer/BioNTech (BNT162b2) est composé d’un ARNm qui produit une protéine spike complète ancrée dans la membrane. Les études sur les souris suggèrent qu’une forme non tronquée de la protéine S1 comme celle-ci peut provoquer une microvasculopathie dans les tissus qui expriment beaucoup le récepteur ACE2.

…il semble que la protéine virale spike… soit également l’un des principaux agents responsables des dommages causés aux organes distants qui peuvent inclure le cerveau, le cœur, les poumons et les reins. Avant que l’un de ces vaccins ne soit approuvé pour une utilisation généralisée chez l’homme, il est important d’évaluer chez les sujets vaccinés les effets de la vaccination sur le cœur… Aussi important qu’il soit d’arrêter rapidement la propagation du virus en immunisant la population, il serait bien pire que des centaines de millions de personnes subissent des dommages durables, voire permanents, à la microvasculature de leur cerveau ou de leur cœur, parce qu’on n’a pas su apprécier à court terme un effet involontaire des vaccins à base de protéine de pointe pleine longueur sur ces autres organes. »

(« La FDA ignore les avertissements sur la protéine Spike qui s’avère mortelle« , Truth in the Age of Covid)

Dès le début, les régulateurs gouvernementaux et leurs alliés de l’establishment de la santé publique ont ignoré (ou censuré) les avertissements de médecins et de chercheurs compétents. Ils ont également ignoré le Dr Byram Bridle, immunologiste et vaccinologue de carrière, qui a été le premier de sa profession à identifier la protéine spike comme « un agent causal spécifique de la maladie », autrement dit « un agent pathogène ». Voici ce que dit Bridle :

Nous savons depuis longtemps que la protéine spike est pathogène… C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps si elle est en circulation. Maintenant, nous avons des preuves claires et nettes que… le vaccin lui-même, plus la protéine, passe dans la circulation sanguine.

Une fois que cela se produit, la protéine spkike peut se combiner avec les récepteurs des plaquettes sanguines et avec les cellules qui tapissent nos vaisseaux sanguins. C’est pourquoi, paradoxalement, elle peut provoquer à la fois la coagulation du sang et des saignements. Et bien sûr, le cœur est impliqué, en tant que partie du système cardiovasculaire… C’est pourquoi nous voyons des problèmes cardiaques. La protéine peut également traverser la barrière hémato-encéphalique et causer des dommages neurologiques….

En bref,… nous avons fait une grosse erreur. Nous ne l’avions pas réalisé jusqu’à présent. Nous ne nous sommes pas rendu compte qu’en vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine »…

(« un spécialiste des vaccins : « Nous avons fait une grosse erreur » « , Conservative Woman)

Ici encore, nous avons un immunologiste très respecté, avec plus de trois décennies d’expérience à son actif, qui a offert ses recherches éclairées et fondées sur des preuves sur un sujet qui aurait dû être d’un grand intérêt pour les régulateurs qui prenaient des décisions sur la sécurité à long terme du médicament expérimental qu’ils imposaient à des millions de personnes à travers le pays. Mais il n’y a pas eu d’intérêt du tout. Malgré le fait que la science soutenait ses conclusions, Bridle a été vicieusement attaqué, censuré, traîné dans la boue et forcé de quitter son lieu de travail.

Pourquoi ?

Parce qu’il tirait les mêmes conclusions que le Dr Patrick Whelan. Il n’y a pas vraiment de différence de fond entre les deux, si ce n’est que les commentaires de Bridle ont attiré davantage l’attention des médias, ce qui a fait de lui une plus grande menace pour la stratégie de « vaccination universelle ». C’est là son véritable crime : il a découvert la vérité et mis ses conclusions à la disposition du public, l’avertissant ainsi des dangers de la « piqûre mortelle ». Pour cela, il a été écrasé.

Depuis, Bridle a fait d’autres déclarations qui devraient inquiéter toute personne dont le cancer est en rémission. Voici ce qu’il a dit lors d’une récente interview :

Ce que j’ai vu beaucoup trop souvent, ce sont des personnes dont le cancer était en rémission ou bien contrôlé, et dont le cancer est devenu complètement incontrôlable après avoir reçu ce vaccin. Et nous savons que le vaccin provoque une baisse du nombre de lymphocytes T, et ces lymphocytes T font partie de notre système immunitaire et font partie des armes essentielles dont dispose notre système immunitaire pour combattre les cellules cancéreuses ; il y a donc là un mécanisme potentiel. Tout ce que je peux dire, c’est que trop de personnes m’ont contacté avec ces rapports pour que je me sente à l’aise. Je dirais que c’est ma préoccupation majeure en matière de sécurité, et c’est aussi celle qui sera la moins signalée dans la base de données des effets indésirables, parce que si quelqu’un a eu un cancer avant le vaccin, il n’y a aucune chance que les responsables de la santé publique établissent un lien avec le vaccin.

(« Le Dr Byram Bridle parle », Bitchute, à 55’’)

Donc, le vaccin attaque le système immunitaire ?

Oui, c’est le cas, et l’auteur Alex Berenson en a apporté la preuve tout récemment dans un article qu’il a publié sur Substack. En voici un extrait :

… le gouvernement britannique…. a admis aujourd’hui, dans son dernier rapport de surveillance des vaccins, que :

« Les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination. » (Page 23)

Qu’est-ce que cela signifie ?…

Ce que disent les Britanniques, c’est qu’ils découvrent maintenant que le vaccin interfère avec la capacité innée de votre corps, après l’infection, à produire des anticorps contre non seulement la protéine de pointe mais aussi d’autres parties du virus…

Cela signifie que les personnes vaccinées seront beaucoup plus vulnérables aux mutations de la protéine spike MÊME APRÈS AVOIR ÉTÉ INFECTÉES ET GUÉRIES UNE FOIS…

… c’est probablement une preuve supplémentaire que les vaccins peuvent interférer avec le développement d’une immunité robuste à long terme après l’infection. »

(« URGENT : Les vaccins Covid vous empêcheront d’acquérir une immunité complète MÊME SI VOUS ÊTES INFECTÉ ET GUÉRI », Alex Berenson, Substack)

Les observations de Berenson concordent avec les recherches compilées plus tôt dans l’année par des scientifiques des Pays-Bas et d’Allemagne qui :

….avertissent que le vaccin … (COVID-19) induit une reprogrammation complexe des réponses immunitaires innées qui devrait être prise en compte dans le développement et l’utilisation de vaccins à base d’ARNm… l’équipe de recherche du Radboud University Medical Center et de l’Erasmus MC aux Pays-Bas… a montré que le vaccin modifiait la production de cytokines inflammatoires par les cellules immunitaires innées après une stimulation par des stimuli spécifiques (SRAS-CoV-2) et non spécifiques.

Après la vaccination, les cellules immunitaires innées réagissaient moins aux récepteurs TLR4 (toll-like receptor 4), TLR7 et TLR8 – tous des ligands qui jouent un rôle important dans la réponse immunitaire à l’infection virale…. un domaine encore inexploré est de savoir si la vaccination BNT162b2 a des effets à long terme sur les réponses immunitaires innées …

« Cela pourrait être très pertinent dans la maladie COVID-19, dans laquelle une inflammation hors de contrôle joue un rôle important dans la pathogenèse et la gravité de la maladie », écrit l’équipe. « De multiples études ont montré que les réponses immunitaires innées à long terme peuvent être soit augmentées (immunité entraînée), soit régulées à la baisse (tolérance immunitaire innée) après certains vaccins ou infections. »

(« La recherche suggère que le vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech reprogramme les réponses immunitaires innées« , new-medical-net)

Les conclusions de Berenson s’alignent également sur des recherches de pointe montrant que la protéine spike « entrave considérablement l’immunité adaptative » en empêchant l’ADN de réparer les cellules endommagées. L’article suggère que la protéine spike a en fait « un impact sur le noyau de la cellule, où nous stockons notre ADN, notre matériel génétique de base ». Voici un extrait de l’analyse de l’article par Berenson :

… nos cellules ont des mécanismes pour réparer leur propre ADN.

Mais – du moins dans les expériences menées par ces deux scientifiques – la protéine spike semble interférer avec nos propres protéines de réparation de l’ADN : « D’un point de vue mécanique, nous avons découvert que la protéine spike se localise dans le noyau et inhibe la réparation des lésions de l’ADN en empêchant le recrutement des protéines clés de réparation de l’ADN, BRCA1 et 53BP1, sur le site des lésions. »

Pour être clair, les scientifiques n’ont PAS prouvé que la protéine spike causait ces problèmes chez l’homme, ni même chez l’animal… Néanmoins, à une époque où les pays avancés qui ont des taux élevés de vaccination par ARNm (et ADN/AAV) voient des hôpitaux exceptionnellement pleins et des taux de mortalité supérieurs à la normale, ils constituent une cause supplémentaire d’inquiétude. Comme l’expliquent les auteurs :

« Nos résultats révèlent un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine spike pourrait entraver l’immunité adaptative et soulignent les effets secondaires potentiels des vaccins à base de spike entier. »

(« URGENT : Article inquiétant sur l’impact de la protéine spike sur l’ADN et sa réparation« , Alex Berenson, Substack)

Conclusion : Si le vaccin inhibe effectivement la réponse immunitaire innée de l’organisme, les gens seront beaucoup plus malades à cause des infections saisonnières qui se propagent régulièrement dans la population. Leur chemin vers la guérison sera également beaucoup plus difficile.

Mais plutôt que d’insister sur l’aspect immunitaire, passons aux recherches du Dr Charles Hoffe, qui a été le premier médecin à fournir des preuves tangibles que les vaccins provoquent la formation de caillots sanguins en déclenchant une réponse immunitaire dans laquelle l’organisme attaque la fine couche de cellules qui tapisse les parois des vaisseaux sanguins. Hoffe a constaté que 62 % de ses patients vaccinés présentaient des caillots sanguins lors du test D-dimère. Naturellement, il a été alarmé par ce qu’il a découvert, d’autant plus que le vaccin « provoquait de graves troubles neurologiques, voire la mortLorsqu’il a fait part de ses inquiétudes au BC College of Physicians, celui-ci a immédiatement imposé un bâillon et l’a réprimandé dans le but de l’intimider et de le réduire au silence ».

Hoffe a été interviewé à plusieurs reprises et fournit toujours un compte rendu détaillé et passionnant de ses découvertes. Lors d’une récente interview, il a prédit que certains vaccinés souffrant de problèmes de coagulation mourraient probablement d’ici trois ans. Voici ce qu’il a dit :

… une fois que vous bloquez un nombre important de vaisseaux sanguins vers vos poumons, votre cœur doit pomper à une pression beaucoup plus grande pour faire passer le sang dans vos poumons. Cela provoque une condition appelée hypertension artérielle pulmonaire, qui est une pression sanguine élevée dans vos poumons parce que de nombreux vaisseaux sanguins dans vos poumons sont bloqués. Ce qui est terrifiant, c’est que les personnes souffrant d’hypertension artérielle pulmonaire meurent généralement d’une insuffisance cardiaque au bout de trois ans… Et non seulement les perspectives à long terme sont très sombres, mais à chaque injection successive, les dommages s’ajoutent, s’ajoutent et s’ajoutent. Ce sera cumulatif parce que les capillaires seront de plus en plus endommagés. » 

(« Choc : un docteur avertit qu’une majorité de vaccines pourraient subir de permanents dommages cardiaques, certain pouvant mourir d’ici trois ans », Infowars ; Minute 6:10)

Une fois encore, il n’y a aucune divergence entre les analyses de Whelan, Bridle et Hoffe. Et si l’objet de leur attention peut varier légèrement, leurs conclusions sont les mêmes. Ces injections expérimentales présentent des risques sérieux pour quiconque se laisse inoculer.

Regardez maintenant à quel point l’analyse de Hoffe est similaire à celle du Dr Rochagne Kilian, qui était médecin aux urgences de l’hôpital GBHS jusqu’à ce qu’elle démissionne en signe de protestation. Cette vidéo est particulièrement importante car elle décrit les symptômes « bizarres » et les affections extrêmement rares qui se manifestent maintenant dans les salles d’urgence du monde entier à la suite de la vaccination massive de millions de personnes avec le « vaccin mortel ». (J’ai transcrit la vidéo moi-même, il peut donc y avoir des erreurs).

Dr Rochagné Kilian – Avertissement sur les vaccins Covid-19 et les taux de D-Dimère

Ce que j’ai vu dans mon service d’urgence, surtout au cours des 8 à 9 derniers mois, est lié aux taux de D-Dimères. Nous utilisons des D-Dimères spécifiquement liés aux embolies pulmonaires ainsi qu’aux thromboses veineuses profondes. Les D-Dimères détectent toute thrombose (caillots) dans le corps, mais ils ne donnent pas de diagnostic. Ils vous donnent une base pour aller plus loin et faire une échographie et un scanner pour confirmer ou infirmer la présence d’une embolie pulmonaire ou d’une thrombose veineuse profonde.

La première partie de l’année 2020 a probablement été la période la plus calme jamais enregistrée dans le service des urgences, mais lorsque nous sommes entrés dans l’année 2021 et que le déploiement de la vaccination a commencé, nous avons fini par constater une augmentation du nombre d’accidents vasculaires cérébraux, d’accidents ischémiques transitoires et de présentations similaires. (Il y avait) visiblement un nombre beaucoup plus important de ces personnes qui arrivaient. J’ai fini par faire des tests D-dimères sur ces personnes et jamais auparavant, dans mon expérience clinique, je n’avais vu des D-dimères et un nombre de personnes avec des D-dimères positifs supérieur à 2 000, supérieur à 3 000 et supérieur à 5 000. Mon expérience clinique me disait qu’il fallait rechercher un gros caillot dans les jambes ou les poumons. Et j’ai fini par faire un scanner sur ces personnes. La plupart d’entre eux, et je dirais même presque tous, ont eu des scans négatifs, ce qui m’a fait penser que s’il n’y avait pas de caillot important dans leurs poumons, mais que son D-dimère était tellement plus élevé que ce que je voyais habituellement, il se pouvait qu’il ne soit pas concentré dans un seul caillot. Mais qu’il s’agit de multiples micro-caillots répartis dans tout le corps, et qu’il est si facile de passer à côté parce que le scanner ne va pas le détecter.

Les personnes qui sont venues aux urgences étaient toutes des personnes qui avaient reçu leur deuxième injection entre une semaine et quatre mois avant. Certains facteurs peuvent influencer le test des D-dimères et vous donner l’impression que le taux est plus élevé que ce qui est attendu dans l’organisme. Cela dit, les patients sur lesquels j’ai effectué des tests de D-Dimères n’avaient pas un niveau positif de 500 ou 400. C’était plus de 3500, plus de 5000 ng/ml. Ce sont donc des résultats significativement positifs sans aucune preuve de la présence d’une embolie pulmonaire. Si je voyais des taux élevés de D-dimères sans diagnostic précis, je devais poser plus de questions.

Une étude a dit de ne jamais ignorer des taux de D-dimères extrêmement élevés. Ils sont spécifiques d’une maladie grave, notamment une thrombose veineuse, une septicémie et/ou un cancer. Même si un taux de D-dimères très élevé est un résultat apparemment solitaire, il faut maintenir la suspicion clinique d’une maladie sous-jacente grave.

Deux conditions se sont distinguées, la première étant la coagulation intravasculaire disséminée, également connue sous le nom de CIVD. La seconde est le syndrome des antiphospholipides. Ces deux pathologies sont liées à une anomalie dans l’initiation ou la rétroaction de la voie de la coagulation, ainsi qu’à la thrombose ou au cycle de la thrombose où les caillots sont décomposés. La CIVD est une situation grave, parfois mortelle, dans laquelle les protéines du sang impliquées dans la coagulation deviennent hyperactives. C’est une cascade qu’il est difficile d’arrêter une fois qu’elle a atteint un certain niveau. Certaines conditions déclenchent la CIVD : une septicémie importante, des virus sous-jacents, un traumatisme, une chirurgie majeure, une grossesse et un accouchement. Et des causes moins courantes : réaction à un médicament toxique, réaction à une transfusion sanguine et transplantation d’organes. Il y avait donc un lien entre les produits intravasculaires et une possible CIVD.

La plupart des cas de CIVD sont diagnostiqués rapidement et soudainement, ce qui correspond à une phase aiguë. Mais il y a des cas où elle se développe progressivement, sur une plus longue période de temps. C’est ce que l’on appelle une forme chronique de CIVD et je dirais même une forme subaiguë de CIVD qui est très facile à manquer. La CIVD chronique peut entraîner une coagulation et une hémorragie simultanées. Les saignements se manifestent par la présence de sang dans les urines, des maux de tête et d’autres symptômes associés aux hémorragies cérébrales, des ecchymoses, une inflammation des rougeurs, des petits points sur les membres, des saignements au niveau des plaies et des saignements des muqueuses, c’est-à-dire des saignements des gencives et du nez. J’ai certainement constaté une augmentation des saignements de nez et des saignements aux sites de blessures antérieures. ulcères, ainsi que des éruptions cutanées inexplicables. Les symptômes et les signes de coagulation du sang étaient des symptômes comme des douleurs thoraciques, des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des AIT et des maux de tête liés ou non à des saignements. Ainsi que des symptômes liés à l’insuffisance rénale, en raison de la coagulation des petits vaisseaux sanguins qui vont aux reins. Le syndrome des antiphosphlipides est un type d’affection très similaire. Mais la base du syndrome des antiphosphlipides est un trouble auto-immune, ce qui signifie que le système immunitaire de l’organisme fabrique des protéines – appelées anticorps – qui attaquent par erreur son propre corps ou ses propres tissus. Cela donne à la peau l’effet en cascade du trouble de la coagulation, mais il est lié à un déclencheur auto-immune. En fait, il se présente exactement de la même manière : hypertension artérielle, dont je voyais beaucoup de cas ; premier diagnostic d’hypertension artérielle, crises cardiaques, accidents vasculaires cérébraux, accidents cérébrovasculaires transitoires, problèmes de valves cardiaques, maux de tête ou migraines répétés, perte de vision, problèmes d’équilibre et de mobilité, difficultés à se concentrer ou à penser clairement.

L’auditeur avisé doit commencer à se faire une idée de ce qu’on nous a dit sur le Covid-19, et il existe des articles de recherche reliant le Covid-19 à une maladie vasculaire sous-jacente. L’un d’entre eux est une étude intitulée « Covid 19 ; exposer la progression clinique de l’arme biologique virtuellement parfaite ».

Le SRAS-Cov-2, se présentant comme le syndrome Covid-19, n’a pas une base respiratoire, mais une base vasculaire sous-jacente. qui a certaines phases d’incubation, la phase pulmonaire, la phase pro inflammatoire, (qui une fois de plus entre dans un processus d’inflammation cytotoxique) puis se déplace dans une phase protothrombotique. La Covid-19 est une maladie thrombotique. implications pour la prévention, la thérapie antithrombotique et le suivi……

Cette image nous montre certains facteurs de risque, des anomalies homéostatiques, ainsi que des résultats cliniques. Il indique une augmentation du taux de D-dimères. Il mentionne également la thromboembolie veineuse, l’infarctus du myocarde et la coagulation intravasculaire disséminée qui est liée à des mécanismes postulés de coagulopathie ainsi qu’à la parthénogenèse de la thrombose dans Covid-19…

J’ai commencé à me poser la question suivante : si nous sommes capables de détecter certaines connexions entre les anomalies vasculaires et le Covid-19, et que nous avons basé le traitement proposé sur la protéine spike, ce qui inclut les injections de Pfizer et Moderna, ne devrions-nous pas rechercher des effets secondaires ou des complications similaires de cette même injection ?

Si nous imposons certains traitements, nous devons faire preuve de diligence raisonnable pour nous assurer des effets secondaires et des complications, surtout à une époque où il n’y a pas eu d’études à long terme. Et c’est ce qui m’a amené à me concentrer sur les D-dimères.

(« Le Dr Rochagné Kilian lance l’alerte sur les vaccins Covid et les D-Dimères », Bitchute)

La déclaration de Kilian doit être lue et relue. C’est la description la plus détaillée que nous ayons des machinations mystérieuses et profondément sinistres d’une arme biologique fabriquée en laboratoire qui, en fait, retourne les systèmes vasculaire et immunitaire contre la personne qui a été vaccinée. La coagulation intravasculaire disséminée et le syndrome des antiphosphlipides sont des noms qui sont totalement inconnus des Américains, et pourtant, ces conditions étranges sont maintenant responsables d’un nombre croissant de patients qui souffrent de saignements, de coagulation, de maux de tête, d’éruptions cutanées, d’hématomes, d’hypertension et d’inflammation. Et, dans les cas les plus extrêmes, des douleurs thoraciques, des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des problèmes de valvules cardiaques et des hémorragies cérébrales. On ne peut que deviner comment les médias vont tenter de dissimuler ces affections extraordinairement rares et potentiellement mortelles ?

Quand Kilian demande :

« Si nous sommes capables de détecter certains liens entre les anomalies vasculaires et Covid-19… ne devrions-nous pas rechercher des effets secondaires ou des complications similaires de cette même injection ? »

Bingo ! Si la protéine spike produite par les vaccins inflige les mêmes dommages internes que le Covid-19, les médecins ne devraient-ils pas s’attendre à voir les mêmes symptômes ?

Oui, ils devraient. Et si les symptômes sont les mêmes, alors il y a de fortes chances que les dommages induits par les vaccins soient diagnostiqués à tort comme étant du Covid-19.

Pensez-y une minute. Ce serait le scénario parfait pour les gestionnaires de la pandémie et leurs bailleurs de fonds milliardaires qui aimeraient voir le carnage imminent imputé au virus en déclin plutôt qu’à leur propre vaccin mortel.

Et c’est là tout le génie maléfique de la stratégie mondialiste : effacer les empreintes digitales du pistolet encore fumant avant même que les enquêteurs n’arrivent sur la scène du crime.

[Le « Variant Delta » traduit en fait les « Effets secondaires du vaccin »]

La quantité de planification qui a dû être mise en œuvre dans cette escroquerie est tout simplement stupéfiante.

Mike Whitney

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone




Jeune et sportive, sa vie s’effondre après sa première injection

Par Dimitri JACQUES

Après un vaccin Pfizer, une jeune femme de 21 ans se retrouve en Covid long avec une fatigue et des symptômes cardiaques invalidants. Malmenée par des médecins qui refusent de la croire, elle se retrouve plusieurs mois sans soins adaptés. Des témoignages similaires affluent sur les réseaux sociaux. Mais surtout, un examen attentif de la littérature scientifique peut expliquer les mécanismes de ce genre de phénomène.

Sportive et en bonne santé, Bessie travaille comme manager dans un magasin de sport situé dans une galerie commerciale, soumise au pass sanitaire pendant quelques semaines, avant que cette mesure soit rétractée. Hésitante et n’étant pas disposée à se faire tester tous les trois jours, elle choisit à contrecœur de se faire vacciner pour conserver son travail.

Elle reçoit un vaccin Pfizer, le 23 juillet dans un vaccinodrôme de Grenoble. Trois jours plus tard surviennent des diarrhées et un essoufflement. Les jours suivants verront apparaître une litanie de symptômes tout à fait inhabituels pour Bessie : palpitations, douleurs thoraciques, spasmes, fasciculations. Une fatigue s’installe, de plus en plus tenace. Le sommeil cesse d’être réparateur.

Au bout de trois jours de symptômes cardiaques devenus très inquiétants, direction les urgences. Prise de sang, électrocardiogramme. Rien. L’infirmière lui confie qu’elle voit de plus en plus de cas comme le sien. Bessie n’est donc pas un cas isolé. Ce n’est pas l’avis du médecin, qui notera sur la feuille de sortie : attaque de panique. Bessie ressort avec un anxiolytique et du Doliprane.

« Ce qui est très difficile à vivre, c’est de n’être pas prise au sérieux par des médecins, des gens qui sont censés me soigner. Ils remettent en question la réalité de mes douleurs et me considèrent comme une menteuse. Si j’ai de la température, c’est que mon thermomètre fonctionne mal. Si mon taux d’oxygène baisse, c’est que l’oxymètre fonctionne mal. »

Ce n’est pas mieux du côté du cardiologue, un praticien libéral réputé, dont Bessie et sa mère jugent néanmoins le comportement inacceptable. Au premier rendez-vous, il prescrit du magnésium et lui fait comprendre qu’elle avait seulement besoin d’être rassurée. Il refuse tout lien avec le vaccin. Le second rendez-vous se passe très mal. La maman s’est lourdement documentée entre temps, ce que beaucoup de médecins n’apprécient pas. Pourtant, des universitaires recommandent que l’expertise et les connaissances des patients soient intégrées aux bases de données sur la pandémie.(([1] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0277953620306456))

Lors de son test à l’effort, Bessie se trouve à la limite malaise. Le cardiologue la prend pour une simulatrice et lui demande d’arrêter de faire semblant de mal respirer ! Malgré les poussées de fièvre à ce moment-là, il diagnostique une tachycardie liée au stress et l’invite à reprendre son travail. Des sous-entendus qui font bondir sa maman : « Je connais bien ma fille, elle est dynamique, j’ai compris que c’était sérieux. »

C’est dans la tête !

Certains scientifiques ont osé récemment une étude qui prétend que les symptômes du Covid long sont essentiellement psychologiques.(([2] https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-covid-long-surtout-dans-la-tete-une-etude-fait-polemique-20211112)) Un refrain bien connu des personnes souffrant d’autres maladies, comme la borréliose de Lyme qui peut elle aussi provoquer un syndrome de fatigue chronique, des douleurs généralisées et des symptômes cardiorespiratoires. Les examens classiques, inadaptés, ne montrent rien la plupart du temps et le patient est orienté vers la psychiatrie. En France, le 17 février 2021, l’Assemblée nationale a pourtant adopté une résolution reconnaissant les symptômes prolongés de la Covid-19.

La totalité des symptômes exprimés par Bessie sont pourtant reconnus dans la littérature scientifique comme appartenant à ceux du Covid long, comme le rappelle cet article du BJM.(([3] https://www.bmj.com/content/374/bmj.n1648.abstract)) Sa famille a effectué un signalement de pharmacovigilance sur le site internet de l’ANSM. L’agence va alors les contacter par téléphone, en expliquant que la tachycardie et les douleurs thoraciques sont listées dans les effets secondaires du vaccin Pfeizer et ne méritent pas véritablement d’être recueillies à nouveau. Pour la maman, « nos interlocuteurs cherchaient à minimiser, malgré la longueur et la persistance des symptômes. »

Son Covid réactivé à cause du vaccin ?

En mars 2020, Bessie a contracté le Covid, avec des symptômes assez forts qui ont duré trois semaines, mais n’ont laissé aucune séquelle sur le plan clinique. Elle est sportive, habituellement en bonne santé, avec de rares infections saisonnières bénignes. Le vaccin a-t-il réactivé l’infection, plongeant la jeune femme dans un Covid long ? Ou bien s’agit-il d’autre chose ?

En médecine de terrain, une insuffisance mitochondriale est généralement suspectée en présence d’une fatigue persistante et de douleurs généralisées. Elle est fortement impliquée dans l’encéphalomyélite myalgique et le syndrome de fatigue chronique (EM/SFC). Elle peut tout aussi bien expliquer les formes traînantes du Covid.(([4] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2095882X20300839)) Il est établi que le virus Sars-Cov-2 interagit avec les mitochondries et peut en détourner les fonctions. Ce qui lui permet, entre autres, d’échapper au système immunitaire et de faciliter sa réplication.(([5] https://journals.physiology.org/doi/full/10.1152/ajpcell.00224.2020))

Plus surprenant, l’apparition chez Bessie de phénomènes allergiques, avec une sensibilité aux aliments histamino-libérateurs. Elle se retrouve à devoir improviser, sans aucune aide médicale, un régime d’exclusion assez pénible, mais qui la soulage. Par ailleurs, son taux d’oxygène baisse sensiblement après un effort, mais également après les repas. Bien qu’encore difficilement expliquée, cette hypersensibilité immunitaire suite à un Covid est déjà mentionnée dans la littérature scientifique. Un syndrome d’activation mastocytaire (MCAS) est observé dans certains syndromes post-covid. Les manifestations principales sont cardio-vasculaires, gastro-intestinales, neurologiques et respiratoires.

Parmi les hypothèses avancées, le fait que les mastocytes (cellules de l’immunité en première ligne des réactions allergiques) expriment des récepteurs ACE2 qui les rendent sensibles au virus Sars-Cov-2. Les auteurs de l’étude demandent ouvertement davantage de recherche sur les liens entre syndrome post-covid, EM/SFC et MCAS.(([6] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2666602221000239)) Par ailleurs, le système immunitaire peut produire des IgE (les anticorps des allergies immédiates) contre des dérivés de la protéine spike.(([7] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/cea.14023)) Rappelons que c’est ce qui est injecté dans le vaccin.

Une atteinte cardiaque réelle ?

Bessie et sa maman veulent des réponses. Ce n’est pas la presse médicale conventionnelle qui va leur apprendre grand-chose. Une simple recherche fait ressortir une avalanche de publications toutes plus rassurantes les unes que les autres, insistant sur la rareté des atteintes cardiaques post-vaccinales chez les adolescents et jeunes adultes. Elles se rendent alors sur internet à la recherche de compagnons d’infortune. Et elles en trouvent. Les témoignages, vidéo ou écrits, se multiplient sur les réseaux sociaux. Souvent, les mêmes symptômes reviennent. De quoi faire réfléchir. Pourtant, Facebook supprime régulièrement les groupes qui recueillent ces témoignages. Qu’y a-t-il à cacher ?

Un cardiologue du Cardioparc de Moirant s’est montré beaucoup plus à l’écoute de Bessie. Il dit avoir vu plusieurs cas similaires et n’exclue que pas que le vaccin soit en cause. Il est réticent à ce qu’elle reçoive une seconde injection. Son médecin traitant, après plusieurs consultations pour des arrêts maladie d’une semaine renouvelés chaque fois, finira par admettre lui aussi la probabilité d’un lien avec le vaccin. Le diagnostic de péricardite a été écarté après une échographie cardiaque et un scanner thoracique. Une recherche insuffisante selon certains praticiens. Car les symptômes de péricardite sont bien présents : fièvre, douleurs musculaires et articulations, sueurs, douleurs thoraciques, palpitations et accélération du rythme cardiaque, difficulté respiratoire, vertiges, fatigue. Des myocardites et des péricardites ont été observées dans les syndromes post-covid. Les péricardites sont connues depuis longtemps pour être les séquelles possibles d’une infection virale. Y compris avec les herpèsvirus (CMV, EBV), que la plupart d’entre nous hébergeons naturellement, mais qui peuvent se retourner contre nous après un dérèglement immunitaire. Cela figure dans les manuels de médecine.

L’affaire Maxime Beltra

Ce rapprochement entre allergies, troubles cardiaques et vaccination n’est pas sans rappeler le cas de Maxime Beltra, une des premières victimes médiatisées en France. Le rapport d’autopsie conclut à un décès « compatible avec un choc anaphylactique secondaire à une allergie alimentaire », mais signale aussi « au niveau cardiaque, la présence d’un infiltrat lymphocytaire interstitiel sans nécrose pouvant témoigner de lésions de myocardite. » La confrontation entre opposants à la vaccination(([8] https://www.youtube.com/watch?v=JBiG2x3TI9k&t=1252s)) et fact-checkers est tout à fait stérile puisque l’un n’empêche pas l’autre. Les personnes qui présentent une allergie de type 1 majeure sont réputées suivre à la lettre leur régime d’éviction, lisent scrupuleusement les listes d’ingrédients et s’abstiennent au moindre doute. Il paraît hautement improbable que l’un d’eux s’aventure à un écart avec un aliment qu’il sait potentiellement mortel. En revanche, les myocardites et péricardites étant rares chez les jeunes, le lien de causalité juste après une vaccination est hautement probable. Une infection au Sars-Cov-2, mais également une vaccination contre ce même virus, en agissant sur la barrière intestinale, semblent pouvoir soudainement abaisser le seuil de tolérance immunitaire à certains aliments. Aucune certitude dans cette affaire, mais de nombreux doutes qui, pour n’importe quel autre médicament, aurait conduit à la suspension de l’AMM par principe de précaution.

Il est admis qu’une inflammation des tissus cardiaques trop intense ou durable peut ensuite causer une insuffisance cardiaque définitive. Les mitochondries dysfonctionnelles ne sont pas capables de répondre à l’accroissement de la demande énergétique qu’entraîne une inflammation. Le cœur est l’organe qui compte le plus de mitochondries et qui est le plus dépendant de leur bon fonctionnement. À ce jour, 155 publications scientifiques font lien entre le Covid sous toutes ses formes et les mitochondries.

La protéine spike, aussi bien celle du vaccin que celle du virus, semble pouvoir provoquer des lésions vasculaires en régulant à la baisse les récepteurs ACE2, ce qui perturbe ensuite le fonctionnement des mitochondries. Chez la souris, des dommages mitochondriaux ont déjà été observés avec la protéine spike seule, sans la présence du virus.(([9] https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCRESAHA.121.318902)) Des médecins nous assurent observer fréquemment une élévation significative des taux sanguins de D-dimères après une vaccination anticovid. Il s’agit de marqueurs d’une activation de la coagulation, qui peut entraîner des thromboses. Un phénomène qui ne se limite pas à la sphère cardiovasculaire et peut toucher tous les tissus. C’est une des explications possibles de l’arrêt ou des perturbations des règles qui surviennent en post-vaccinal.

Dès le mois de juin, l’agence américaine du médicament (FDA) avait reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez les jeunes de 16 à 24 ans. Les atteintes cardiovasculaires chez les jeunes sportifs en bonne santé se multiplient. Selon une agence de presse allemande,(([10] https://www.lelibrepenseur.org/longue-liste-dathletes-soudainement-decedes-ou-gravement-malades/)) 75 athlètes dans le monde ont été victimes de mort subite dans les 5 derniers mois, un chiffre sans commune mesure avec ce qui était observé dans le milieu sportif avant la campagne de vaccination anticovid. La FDA a jusqu’ici refusé d’homologuer le vaccin de Moderna pour les jeunes, pointant le risque de maladie cardiaque. Mais elle vient de donner son feu vert pour le vaccin de Pfizer, qui présente pourtant les mêmes risques.(([11] https://www.westernjournal.com/fda-wont-approve-modernas-vaccine-teens-year-cites-risk-deadly-heart-condition/)) La différence serait-elle plutôt à chercher au niveau des conflits d’intérêts ? L’ancien patron de la FDA siège à présent au conseil d’administration de Pfizer.(([12] https://planetes360.fr/lodeur-de-corruption-qui-entoure-le-feu-vert-de-la-fda-pour-les-vaccins-destines-aux-enfants/)) Curieuse civilisation qui ferme les yeux sur ce genre de pratique.

« Le plus éprouvant, ce sont les douleurs au niveau du thorax, elles arrivent sans prévenir de façon extrêmement intense et je n’ai aucune solution pour les soulager. »

Bessie vient de passer une batterie d’examens au CHU de Grenoble pour être enfin reconnue « Covid Long ». Un parcours du combattant, épuisant pour des malades déjà très fatigués, qui commence par une batterie de tests psychologiques. Elle regrette qu’aucun praticien n’ai pu écouter attentivement la totalité de ses symptômes. En attente de résultats d’examens, le diagnostic final reste à poser. En attendant, elle s’est tournée vers des médecines alternatives. L’homéopathe et le naturopathe ont légèrement soulagé certains symptômes, un magnétiseur a un peu diminué le brouillard cérébral. L’ostéopathe, qui admet lui aussi avoir reçu plusieurs cas similaires, a immédiatement reconnu un Covid long. Il lui a trouvé des ganglions, signe qu’une réponse immunitaire est toujours en cours.

Une autre conséquence est la précarité sociale et financière. La jeune femme est en arrêt maladie depuis trois mois, mais n’a rien touché les deux premiers mois, son employeur n’ayant pas transmis les documents à la CPAM. Elle perdu son appartement et est revenue vivre chez ses parents. Elle s’était fait vacciner pour ne pas perdre son emploi. Elle a perdu son emploi et sa santé. C’est cher payé pour se protéger d’une maladie dont les formes graves ne concernent pas les jeunes en bonne santé.

Références :




Un Plan Pour Le Monde

[Source : Planète Homéopathie (planete-homeopathie.org)]

Par le Dr. Édouard Broussalian

À tous ceux qui sont tombés pour la manifestation de la Vérité, préférant suivre leur conscience plutôt que leur intérêt. Magna est veritas et praevalebit !

À toi, portier du consulat, qui fait attendre debout, dehors, au soleil, durant une heure une femme enceinte de 9 mois au prétexte qu’elle refuse de masquer son enfant de 5 ans pour entrer. Tu ne vois pas de rapport avec le nazisme et tu t’offusques qu’on ose te le dire.

À toi ma boulangère, qui du haut de ton Bac me donne des leçons sur la manière de porter un masque.

À toi mégère anonyme qui te saisis de ton téléphone pour dénoncer le vilain client qui foule le même sol que toi dans un magasin, mais qui refuse de porter un masque. Tu n’hésites pas à appeler les flics, demain ce sera pour « emmener » ces asociaux dans des camps de « regroupement ». Leur destination finale t’importera peu, tu auras la satisfaction du devoir accompli comme tous ceux qui avant toi ont réalisé les mêmes gestes.

À tous les médiocres qui de tout temps ont formé le lit du despotisme grâce à leur servilité aveugle, et qui réalisent à leur insu les paroles du Messie :

« Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive »

Mt 10 :34

[Voir : L’épée, le bon grain et l’ivraie]

Un plan pour le monde

Par le Dr. Édouard Broussalian, 18 Novembre 2021

« Sous la roue qui sans fin poursuit sa ronde deux sortes de gens vivent sans tourments : ceux qui savent les secrets du monde, et ceux qui les ignorent totalement ».

Omar Kayyam.

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion pendant près de 40 ans. … Il nous aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été soumis aux lumières de la publicité pendant ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est sûrement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. »

David Rockefeller.[1]

« Lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme »

Dr. Nicole Delépine.

Rien ne me prédisposait à jouer les Cassandre quand voici déjà plus d’un an je prédisais la situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui plongés. Peut-être un lien immatériel peut-il réunir mes racines du Bosphore avec la fille de Priam, roi de Troie ? Défenseur de l’homéopathie depuis 40 ans face à la rhétorique pourrie du système et de ses séides, porteur épigénétique des effets du premier génocide[2] du XXème siècle et de 800 ans de dhimmitude[3], on se trouve mieux outillé intellectuellement pour envisager la notion terrifiante d’un gouvernement apparemment élu par le Peuple mais qui travaille désormais contre le Peuple.[4] Quand j’ai déclaré publiquement en Septembre 2020[5] que cette pandémie factice n’était qu’un hold-up mondial destiné à mettre en place une dictature, et que seule l’insurrection populaire sera notre salut, je n’ai pas été mieux cru que Cassandre lorsqu’elle annonçait que le cheval de Troie était une ruse qui allait aboutir à la ruine de la cité. Peu de gens ont compris dès le début :

  1. Que cette « pandémie » était grandement exagérée[6] puisqu’on s’est rapidement trouvés au point où il fallait se faire tester pour voir si l’on était malade —quant à lui, le rapport[7] de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation révèle que le Covid n’a représenté que 2% des hospitalisation en 2020 :
    1. Seul le tripotage dès 2009 de la notion même de pandémie a permis d’en arriver où nous sommes. [8]
    2. Pour les cliniciens sur le terrain nous avons tous identifié une forme de coryza pouvant évoluer relativement rapidement vers une toux avec une dyspnée importante puis une détresse respiratoire.
    3. Confiants en l’expérience de succès magistraux ininterrompus enregistrés en deux siècles, nous savions que l’homéopathie se montrerait comme de coutume extrêmement efficace pour traiter n’importe quelle épidémie.[9] Ce n’est sans doute pas pour rien si la guerre totale a été déclarée contre l’homéopathie peu avant la survenue de toute cette affaire sous forme d’une attaque orchestrée mondialement peu avant la survenue des premiers cas COVID-19. Après l’attaque délirante des 124 parfaits inconnus[10] relayés dans tous les médias, sans que jamais on ne nous ait accordé le moindre droit de réponse, ce fut la fameuse étude australienne du NHMRC qui fit le tour du monde pour servir d’alibi gouvernemental en France et ailleurs pour justifier des mesures contre l’homéopathie, alors qu’une enquête sénatoriale[11] australienne a révélé la falsification[12] de l’étude. Aucun démenti n’a jamais été publié dans la presse mais la coordination de l’attaque témoignait bien de l’organisation pyramidale des médias compliants. La démarche est en tout point semblable à ce qui s’est passé avec l’étude bidonnée[13] publiée dans le Lancet et qui démolissait l’hydroxychloroquine.[14] L’étude a servi de prétexte à nos gouvernants pour retirer un produit devenu dangereux alors qu’il était prescrit à plus de 1 milliards de personnes durant 70 ans. Et comme de coutume, la rétractation de l’étude n’a jamais engendré celle des mesures prises en l’utilisant comme prétexte. Encore plus lamentable : l’institut Pasteur rétracte l’étude bidonnée qui a servi à justifier le passe sanitaire… mais le passe demeure.[15]
    4. Le totalitarisme s’empare de la science pour confirmer ce qui lui convient, l’idée est de créer une surréalité à laquelle les « croyants » vont adhérer — c’est le cas de la création de l’Islam par les Califes[16] et de la narration autour d’un prophète imaginaire, ou le bolchévisme avec la promotion de ses demi-dieux et du narratif autour du projet grandiose. Finalement tout cela correspond exactement à ce qu’a fait Auguste quand il a pris le pouvoir en s’assurant du contrôle religieux et des augures —d’où son nom. Au sujet des prédictions, quelqu’un a-t-il des nouvelles des 500.000 morts de 2020 et des 400.000 du premier trimestre 2021 que nous avait annoncé l’infâme Macron ? Pourtant tout ce que nous subissons, c’est au nom de ces morts imaginaires, de cette fausse pandémie et de ce pseudo-Covid-19.
  2. Que sans tests PCR il n’y avait point de pandémie[17] et que le test était parfaitement vérolé de manière à détecter un maximum de « cas ». Mais c’était tout ce qu’il fallait pour aller dans le sens de la nouvelle définition de « pandémie », juste des « cas », pas forcément des vrais malades et encore moins de mortalité. Un document[18] qui vient d’être publié par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis admet ouvertement que le fameux test PCR pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a été mis au point non pas à partir d’échantillons réels du virus chinois, mais plutôt à partir de ce qui semble être du matériel génétique d’un virus du rhume. Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR.[19]
    1. De manière parfaitement incroyable, l’article de Corman-Drosten[20] a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne.
    2. Plus incroyable encore, le protocole de test Drosten, alors qu’il avait déjà envoyé son texte à l’OMS à Genève le 17 janvier 2020, a été officiellement recommandé par l’OMS comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus de Wuhan, avant même que l’article ne soit publié.
    3. Que dire du scandale des cycles d’amplification ? L’OMS et Drosten ont recommandé un Ct de 45 cycles. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les « positifs » PCR en Allemagne et ailleurs explosent. Comme le soulignent les auteurs critiques, si les autorités sanitaires devaient spécifier 35 cycles maximum, selon l’article de Jaafar à l’IHU à 35 cycles, il ne resterait plus que 3% de vrais positifs ! Ils notent, « un résultat analytique avec une valeur Ct de 45 est scientifiquement absolument dénué de sens (une valeur Ct raisonnable ne doit pas dépasser 30).
    4. Le 27 novembre 2020, un groupe[21] très respecté de plus de 20 virologues, microbiologistes et scientifiques du monde entier a publié un appel à Eurosurveillance pour retirer l’article du 23 janvier 2020 du « Dr » Christian Drosten, l’inventeur du dit « test » PCR. Leur analyse minutieuse de la pièce originale est accablante. Le leur est un véritable « examen par les pairs ». Ils accusent Drosten d’incompétence scientifique « fatale » et de failles dans la promotion de leur test.
    5. Il est même possible que ce test fourré au fond du nez serve rapidement à ficher toute la population avec l’ADN des frottis. Une firme britannique entend gagner ainsi beaucoup d’argent.[22]
  3. Que seule la complicité servile des mé(r)dias —hormis en France l’exception notable de France Soir[23] et quelques rares autres— soutenue par une censure féroce dans tous les réseaux sociaux[24] a permis d’installer la doxa officielle[25] dans les cerveaux d’une population hypnotisée[26], abasourdie. Toute forme de pensée critique, quelle qu’elle soit, est immédiatement suspectée d’être complotiste,[27] la plupart des professionnels compétents sont muselés par la peur du dénigrement ![28] Le grand test que fut la grippe H1N1 a appris aux mondialistes que le contrôle absolu des médias conditionnait la réussite du projet. C’est aujourd’hui chose faite. Devant des médias complices de la conspiration, débitant ad nauseam la doxa du système, la censure systématique —notamment sur les réseaux sociaux— et la ridiculisation de toute voix discordante à l’aide d’étiquettes telles que « complotisme » ou « anti-vax ». La censure organisée sur tous les réseaux sociaux et dans la pressetituée[29],[30] nous a prouvé très tôt l’existence d’un projet, d’une volonté, d’une coordination du crime, avec les fameux « fact-checkers » —simples informaticiens ou joueurs de jeux vidéo autoproclamés défenseurs de la « science »[31]— formant les bataillons de la répression afin de maintenir à tout prix la vision et les ordres de l’OMS. Voyons ce narratif :
    1. Une épidémie terrifiante (par exemple les images d’horreur, à la sauce Timisoara[32] des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui sont en fait celles de chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale)
      1. L’épidémie de COVID-19 n’est pas un drame sanitaire mais un crime de masse.
      2. Pour les moins de 60 ans, l’année 2020 est la moins mortelle de toute l’histoire de France.[33]
    2. Pas de traitement (précoce) efficace existant, interdiction faite aux médecins de prescrire, prescription de médicaments qui tuent (Valium, Rivotril) :
      1. « Démontrer que le virus n’a pas de thérapie a été une lutte de tous les instants au risque d’étaler au grand jour les incompétences crasses des uns et des autres. » Ecrit le Dr. Michel de Lorgeril, qui ajoute « et tout scientifique qui osera dire le contraire sera lynché et traité de complotiste. »
      2. Les médecins généralistes qui doivent naturellement encaisser frontalement le choc de toute épidémie se sont vus dessaisis des cas et interdire de prescrire l’hydroxychloroquine / azithro qui fonctionne remarquablement bien[34], de sorte que de nombreux cas ont pu évoluer vers des formes graves et encombrer les hôpitaux. Partout dans le monde, des gouvernements criminels comme celui de la France ont interdit la prescription qui aurait sauvé de nombreuses vies, interdiction basée sur un article bidonné à souhait paru dans une revue « prestigieuse », et qui illustre bien jusqu’où est tombée la médecine classique. De nombreux protocoles avec l’Ivermectine[35] ont aussi largement prouvé leur efficacité.
      3. Le réseau sentinelle a été pareillement limogé car ses vrais chiffres contredisaient la propagande étatique.[36]
      4. Selon toutes les apparences, les autorités sanitaires et politiques françaises ont tout fait pour que les malades de la COVID-19 meurent en masse en suivant cinq stratégies simultanées :
  • Refuser l’accès aux hôpitaux à la majorité des malades, c’est-à-dire les personnes âgées ;
  • Refuser l’accès aux services de réanimation aux personnes âgées hospitalisées ;
  • Conseiller des traitements inutiles ;
  • Interdire les traitements efficaces ;
  • Tuer au lieu de soigner.

L’intention criminelle préméditée est prouvée par les documents officiels autorisant l’administration de poisons mortels aux patients tout en interdisant la prescription des thérapies les plus prometteuses. En France, les plus de 70 ans ont été refoulés des services de réanimation alors que plus de la moitié des lits étaient vides.[37] « Le confinement des mois de novembre-décembre n’a pas modifié la consommation des médicaments conseillés dans les cas de COVID-19. Si les confinements ne modifient pas les prescriptions hospitalières dans le cas général, on en vient à penser qu’il y a eu un défaut de prescriptions précisément envers les patients souffrant de la COVID-19 pendant la « première vague ». Considérant le nombre très important de cas répertoriés, une telle diminution est incongrue. Comment expliquer qu’en pleine épidémie on puisse atteindre un record historique de sous-prescriptions des médicaments indiqués pour soigner ladite épidémie ? »
Un décret du gouvernement en date du 28 mars 2020[38] a autorisé exceptionnellement l’usage du Rivotril dans les cas de COVID-19, sachant que seulement une à deux injections sont suffisantes pour tuer un malade. Il n’est donc pas étonnant de constater, à l’inverse des médicaments qui soignent, une sur-prescription massive des médicaments qui tuent. Les prescriptions de Valium injectable ont augmenté de 53 % à 63 % en avril-mai par rapport à la moyenne de 2017-2019. Quant au Rivotril injectable, sa consommation a explosé, multipliée par 3,9 en avril pendant le pic épidémique, et depuis reste 2,3 fois supérieure à la moyenne de 2017-2019.

  1. Les mesures de contrainte fondamentales tant qu’on n’a pas d’immunité collective vaccinale (la notion d’immunité naturelle étant désormais bannie de l’OMS[39],[40]
    1. Les mesures appliquées en guise de « prévention » chez les personnes âgées les ont sans doute fait mourir de chagrin, isolées dans une chambre.
    2. Lors des audiences du Congrès, le représentant James Jordan (R-OH) a demandé au Dr Fauci d’expliquer pourquoi la prévalence de la maladie dans le Michigan fermé est pire que dans le Wisconsin voisin qui est depuis longtemps entièrement ouvert. Fauci a prétendu qu’il n’avait pas entendu la question, qu’il n’avait pas vu le tableau et qu’il n’avait pas compris. Finalement, il est resté assis, silencieux, après avoir prononcé quelques banalités sur les différences de mise en application. Les « confineurs » sont maintenant confrontés à l’énorme problème du Texas. Cet état est totalement ouvert, sans aucune restriction. Les cas et les décès ont chuté de façon spectaculaire au cours de la même période. Fauci n’a pas de réponse. Ou alors, comparez la Californie fermée avec la Floride ouverte : taux de mortalité similaires. Nous disposons d’une gamme complète d’expériences aux États-Unis qui permettent de comparer l’ouverture et la fermeture et les résultats des maladies. Il n’y a pas de relation.
  2. Seule la vaccination nous sauverait, débloquerait la situation[41] et ferait cesser la maltraitance des Peuples.

« Et si vous croyez que l’engrenage s’arrêtera à un laissez-passer pour les plages, jetez un coup d’œil en arrière : quelle est la ligne rouge impensable qui n’a pas été finalement franchie par les gouvernements ces treize derniers mois ? Quel est le droit inaliénable de la personne qui n’a pas été violé ? Dès le moment où l’État s’arroge l’accès à votre corps, quel que soit le motif, il en devient propriétaire. Il en dispose. » Slobodan Despot.

    1. Pour un homéopathe habitué à critiquer la médecine officielle, il est évident dès le début que tout serait fait pour trafiquer la fameuse notion de bénéfices [pour les labos] / risques [pour les victimes] —surtout que les « études » n’incorporaient pratiquement pas de gens âgés alors que ce sont justement eux qu’on se proposait de protéger en priorité.
    2. La démarche habituelle consiste à maximiser la gravité de la maladie (par exemple, instructions données aux pompes funèbres[42] de déclarer en morts Covid toute personne ayant eu de la toux et de la fièvre et n’importe quel symptôme vague) tandis qu’on dissimule les effets secondaires.[43],[44],[45] Or ici c’est une explosion d’effets secondaires qu’on ne parvient plus à dissimuler. Dans chacun de ces pays qui ont vacciné massivement à partir de décembre ou début janvier, on a observé un pic de mortalité jamais atteint auparavant.[46] Omerta, silence des médias ne suffisant plus c’est maintenant le caviardage des bases de données qui est entrepris à grande échelle.[47] La député Mathilde Panot signe un discours remarquable qui dénonce la situation,[48] cela détonne dans le marais collaborationniste ambiant. Pour ceux qui n’ont pas encore compris, la seule immunité est celle des laboratoires qui ont réussi à imposer des contrats aux clauses léonines[49] à tous les états, contrats signés pour ce qui concerne l’Europe par une seule personne, Stella Kyriakides qui a touché plusieurs millions en pots de vins.[50]
    3. L’injection —que l’on ne peut pas appeler vaccin, même si Merriam-Webster a eu le culot de modifier la définition du terme pour devenir corona-compliant je suppose— se confirme mois après mois être un produit hautement toxique. Le viol génétique conduit nos cellules (la plupart du temps celles de l’endothélium vasculaire) à produire de la protéine Spike S1. Or la Spike est elle-même responsable de la maladie qui est essentiellement endo-vasculaire, sa présence à la surface des cellules conduit à des processus de coagulation.[51],[52],[53],[54] Au microscope se produit en peu de temps une coagulation quand le sang entre en contact avec le produit, il est raisonnable de supposer que le graphène arrache des molécules de fer aux globules rouges, ce qui entraîne une activation de l’injection et explique peut-être les effets magnétiques observés. [55]
      En outre ces produits contiennent probablement des substances qui ne sont pas supposées être présentes, comme l’oxyde de graphène.[56] De nombreuses personnes ont constaté que la région injectée puis d’autres zones du corps deviennent magnétiques.[57] Certaines sources mentionnent même la présence de parasites ou d’œufs de parasites.[58] L’empoisonnement volontaire —et forcé— représente certainement l’un des objectifs de la crise actuelle et rendra difficile à nos gouvernants de plaider non-coupable quand ils passeront en cour martiale. Le principe éthique classique des « essais cliniques » consiste à stopper les recherches expérimentales thérapeutiques dès lors que l’essai atteint la vie d’autrui et sa santé. Certaines études ont arrêté l’essai thérapeutique autorisé par la FDA déjà après un seul décès comme c’est le cas pour un laboratoire pharmaceutique français[59], alors que d’autres experts estiment à un maximum 20 à 50 décès sont amplement nécessaires pour établir une « dangerosité » du produit utilisé et stopper l’expérience.Avec plus de 13 000 rapports aux CDC concernant des décès dus aux vaccins COVID-19, les vaccins COVID-19 ont maintenant le taux de mortalité le plus élevé de tous les vaccins de l’histoire. En effet, la moyenne des décès dus aux vaccins signalés chaque année aux CDC, avant le COVID-19, était d’un peu plus de 100 par an. En d’autres termes, les vaccins COVID-19 ont environ 100 fois plus de rapports de décès par an que la moyenne des rapports pour tous les autres vaccins combinés. Dans le passé, des vaccins individuels ont été retirés du marché pour seulement 12 à 50 décès signalés. Les décès liés au vaccin COVID-19 sont catastrophiques et, pire encore, les décès signalés ne reflètent qu’une petite fraction des décès réels liés au vaccin dans la communauté.[60]
    4. Il suffit pourtant d’examiner l’histoire récente des maladies transmissibles – avec de nouveaux agents infectieux (HIV-sida, Ebola, Zika, Chikungunya, Dengue, Borrélioses…) – pour ajouter plusieurs bémols à la douce mélodie voulant faire croire que la technologie des vaccins va apporter des solutions miraculeuses à la crise du COVID-19.
    5. L’histoire nous rappelle que :
    6. 1- Toutes les épidémies finissent par s’éteindre spontanément
    7. 2- Jamais un vaccin n’a permis d’éteindre une épidémie.
    8. 3- La vaccination durant une épidémie entraîne toujours une surenchère de mortalité par effet Buchwald.[61]
    9. Et quand on nous sert l’exemple de l’éradication de la variole ce n’est que la référence à un mythe. Le rapport final[62] admet que la « vaccination de masse a échoué » et que c’est la surveillance et endiguement qui a porté ses fruits » Encore ici, « les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » Nous lisons aussi « A Java, malgré des taux de vaccination dépassant 90%, la transmission se poursuivait dans des zones densément peuplées… jusqu’à ce que des structures efficaces de dépistage des cas et de surveillance soient entièrement mis en place. »
    10. Nous subissons le totalitarisme des concepts mentaux : Il est décidé dans les sphères dirigeantes que les obstacles à la vaccination doivent être éliminés, car le vaccin est « notre porte de sortie de la crise ». Nous développerons dans le second chapitre comment la médecine industrielle porte en elle le despotisme, en ne traitant plus que des masses amorphes non individualisées. Cela a commencé avec la préparation de la vaccine sur les orphelins pour maintenir la souche, Pasteur a continué sur la même lancée, en fraudant massivement ses résultats —les héritiers du Dr. Roux, illustre collaborateur de Pasteur, ont publié la correspondance entre Brouardel et Pasteur, nous faisant ainsi découvrir comment on a masqué la mort d’un enfant inoculé par de l’extrait de moelle desséchée d’animal rabique en la faisant passer pour une crise d’urémie, permettant ainsi de sauver la science française.[63] En ce qui concerne l’éthique, en 1884, Louis Pasteur lui-même écrit à l’empereur du Brésil pour lui demander l’autorisation de contaminer des condamnés à mort avec le choléra afin d’essayer sur eux des traitements.[64]
    11. Au nom maintenant d’une théorie délirante comme la heird immunity l’immunité du troupeau —enfin de groupe— le massacre va maintenant porter aussi sur les enfants[65], surtout que nous sommes sur le chemin de l’élimination du consentement parental.[66] et les femmes enceintes —une méta-analyse a recensé 192 études et trouvé un taux de létalité chez les femmes enceintes atteintes de Covid-19 de 0,02%, décès toutes causes.[67]
    12. Et nous devrions croire sur parole des laboratoires véreux[68] qu’une injection génique expérimentale, produirait —sans le moindre recul connu— le résultat que jamais la vaccination n’a atteinte depuis que la pratique existe ?
    13. Pour ma part j’ai vraiment éclaté de rire quand on nous a annoncé une efficacité de 95% avec des études qui ne sont même pas en double aveugle. En cette fin de 2021, les preuves ne cessent de s’accumuler concernant la supercherie de ces « zétudes ».[69],[70],[71],[72] Dès le début il était facile aussi de penser que la mutation incessante du Coronavirus servirait d’excuse facile aux inoculateurs pour justifier leurs lamentables échecs. Quant à la blague que constitue les autorisations de mise sur le marché, l’ANSM, gendarme Français du médicament, se désintéresse totalement du fait qu’à ce jour (29/10/21) la dispensation des quatre vaccins anti-Covid puisse être réalisée de manière parfaitement illégale sur son sol : En effet, celle-ci se trouvait incapable de documenter que les Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles (AMMc) régissant l’écoulement de ces produits n’existent encore…[73]
    14. Un groupe de 57 scientifiques, médecins et experts politiques de premier plan a publié un rapport appelant à remettre en question la sécurité et l’efficacité des « vaccins » COVID-19 actuels, et réclame maintenant la fin immédiate de tous les programmes de vaccination. Parmi eux se trouve la généticienne Alexandra Henrion-Caude —qui mérite d’être élue femme de l’année.[74]
    15. Nous étudierons en détails dans le chapitre suivant « Et vous Peuples infortunés » les ravages de la vaccination forcée. 
    16. Le tout étant servi aux Peuples grâce à un appareil de propagande relayé par les innombrables collabos et autres idiots utiles[75],[76],[77] qui relègue au niveau de la maternelle les Goebbels et maîtres à penser de la manipulation des masses, mettant en jeu des mécanismes comme la réduction de dissonance cognitive ou le syndrome de Stockholm :
      1. Souvenons-nous comment Orson Wells[78] —l’ancêtre de nos manipulateurs actuels— avait réussi à faire croire à un débarquement des martiens seulement en se servant d’une chaîne de radio. Imaginez la puissance de feu de tous les médias confondus…

« L’affirmation pure et simple, dégagée de tout raisonnement et de toute preuve, est un des plus sûrs moyens de faire pénétrer une idée dans l’esprit des foules. Plus l’affirmation est concise, plus elle est dépourvue de toute apparence de preuves et de démonstration, plus elle a d’autorité. » Gustave Le Bon.

    1. La première des erreurs les plus communes[79] sur la façon dont fonctionne la propagande officielle consiste à penser que son but est de tromper le public en lui faisant croire des choses fausses (le masque nous protège, le vaccin nous protège, les mesures sanitaires nous protègent, etc)… Toutefois, même si les propagandistes sont bien contents quand quelqu’un croit à leurs mensonges, la tromperie n’est pas leur but premier.
    2. Le premier des buts de la propagande officielle est de générer une « narrative » qui peut être mécaniquement répétée par les classes supérieures et ceux qui les soutiennent et s’y identifient. Cette narrative officielle n’a pas à être cohérente ou crédible, ni à résister à l’examen critique. Sa plausibilité n’est pas l’important. L’important est de dessiner une ligne Maginot, une frontière idéologique défensive, entre le « Bien » tel que défini par les classes supérieures et les vérités qui contredisent la narrative officielle.
    3. Dans des sociétés ouvertement despotiques, les enjeux de ce type de choix (se conformer ou désobéir) sont souvent la vie ou la mort. Dans nos sociétés occidentales (pour ceux d’entre nous qui ne sommes pas des guérilleros militants), les conséquences du non-conformisme sont généralement plus subtiles, mais les pressions restent intenses. Se conformer à la « réalité » consensuelle produite par ces narratives est le prix de l’admission dans le saint des saints où les emplois, l’argent, le prestige professionnel et les autres récompenses du capitalisme se trouvent. Se conformer aux narratives n’implique pas d’y croire. Cela demande juste une allégeance et une obéissance inconditionnelle. Ce que l’on croit en réalité n’a aucune importance, du moment que l’on répète, comme un perroquet, la narrative officielle du moment.
    4. Pour résumer, la propagande officielle n’est pas destinée à duper le public (pas plus que les phrases d’un rôle d’acteur ne sont destinées à tromper l’acteur). Elle est destinée à être absorbée et répétée, quelle que soit son invraisemblance. De fait, elle est souvent plus efficace quand ceux qui sont forcés de la répéter comme des robots savent qu’elle est complètement stupide, parce que l’humiliation d’avoir à le faire cimente leur allégeance à la classe supérieure.[80]
  1. Que les mesures imposées liberticides, incohérentes, illogiques et arbitraires (port du masque, distanciation, assignation à domicile, fermeture de tous les magasins) étaient non seulement hors de proportion avec le fléau supposé mais contraires au bon sens, sans la moindre justification scientifique, ou ayant déjà fait preuve de leur inefficacité.[81], [82], [83], [84], [85], [86], [87]
    1. Combien de vies ont été sauvées grâce à la fermeture des rayons slips, chaussettes et tee-shirts ? Combien de transmissions n’ont pas eu lieu grâce à l’arrosage frénétique des mains avec des produits chimiques déversés par milliards de tonnes dans la nature, et remplis de perturbateurs endocriniens ?[88] Plus de 150 milliards de masques sont produits chaque mois, sans le moindre recyclage.[89] Il est à craindre qu’un nouveau continent de plastique ne flotte à la surface de ce qui reste de nos océans.
    2. Concernant les masques, personne ne s’est soucié de citer la grande étude chinoise[90] publiée dans Nature, aux chiffres astronomiques de 10 millions de patients (la dictature a parfois du bon) qui a clairement montré que les sujets asymptomatiques ne sont pas contagieux.
    3. Le port du masque est un marqueur de la soumission populaire aux mesures débiles gouvernementales —on imagine la jouissance perverse des Macron et consorts à l’idée d’avoir réussi à faire respirer tout le monde dans ses propres crachats… Au même titre que le voile islamique dans les pays soumis à l’oppression de la charia, le despotisme d’état se charge par la violence de vous rappeler à l’ordre établi.[91]
    4. L’assignation à résidence— justifiée par des modélisations douteuses, notamment celle du très influent Pr. Ferguson. Sans doute dans le besoin malgré les généreux financements de la Fondation Gates, ce dernier a utilisé un programme digne de Sim City, lui permettant de prévoir 500.000 morts en Grande Bretagne, puis finalement 20.000.[92] La plus grande panique de l’histoire et la paralysie inédite de l’économie reposent sur des spéculations délirantes. Le code concernait un modèle de grippe conçu en 2005 pour Taïwan.[93] Plutôt que de mettre le code à la disposition des autres acteurs du domaine pour qu’ils puissent l’examiner à ce moment-là et contribuer à influencer les mesures prises par les gouvernements, Ferguson a choisi de s’adresser à Microsoft. Pourquoi ? Pour réécrire le code et l’améliorer. Ainsi, personne n’a pu voir le vilain code original utilisé pour créer un mauvais modèle que les gouvernements ont utilisé pour enfermer tout le monde. Depuis quand Microsoft est-il devenu l’expert en modélisation des épidémies ? De toutes les mesures qu’il aurait pu prendre, il s’est adressé à Microsoft, et non à d’autres experts en la matière pour modéliser correctement la pandémie. C’est troublant. Pourquoi ? Serait-ce dû à une certaine loyauté ou influence liée à Microsoft ? Peut-être au fondateur de Microsoft, Bill Gates ? La Fondation Gates a financé l’Imperial College à différents moments. Observez l’écart des dates entre lesquelles le financement a été multiplié par … 29 ! (29x).
      En 2010, 2 millions de dollars ont été versés à l’Imperial College :
      https://media.evolveconsciousness.org/2020/05/imperial-collage-gates1.jpg
      En mars 2020, ce sont 79 millions de dollars qui ont été versés à l’Imperial College: ! https://media.evolveconsciousness.org/2020/05/imperial-collage-gates2.jpg

Partout où l’on se tourne, on retrouve l’empreinte de la main de Gates au travers de sa Fondation Bill et Melinda Gates.[94]

  1. Que tout serait fait pour pousser à la vaccination obligatoire —et même sous contrainte— de la population mondiale, si tant est qu’on appelle « vaccins » des injections géniques expérimentales effectuées en violation du droit international.[95]
  2. Que les voyages mais aussi tous nos gestes quotidiens seraient soumis à l’obligation vaccinale qui sera appelée à devenir perpétuelle,
  3. Que la restriction des libertés annonçait la mise en place d’une dictature à la chinoise[96], basée sur un techno-contrôle permanent d’abord au moyen de passeports sanitaires, puis à terme à base de puces RFID, reconnaissance faciale et autres 5G, le sujet du système devenant « connecté » au même titre que sa voiture ou son frigo.[97]

Le loup mondialiste est sorti du bois.

Cette guerre contre les Peuples ne nous laisse d’alternative que de vaincre ou mourir. Non, il n’y aura plus jamais ni repos ni retour en arrière tant que n’auront pas été châtiés les instigateurs et les complices de ce « coup » mondial avec son narratif délirant et burlesque d’une pandémie qui n’existe pas, imposé à l’unisson[98] par les gouvernants et relayé en boucle par les médias. John Ioannidis, probablement le plus grand épidémiologiste actuel, affirme dans une étude publiée par l’OMS[99], mais passée complètement à la trappe depuis octobre 2020 que

« The inferred infection fatality rates tended to be much lower than estimates made earlier in the pandemic. »

Notre savant aime les euphémismes : il y a en effet un facteur 14 entre les premiers chiffres — qui ont servis de référence pour déclarer la pandémie et imposer toutes les mesures folles— donnés par les autorités sanitaires chinoises et la valeur constatée par le Dr Ioannidis. Grâce au Covid, la corruption généralisée apparaît au grand jour et beaucoup de nos confrères qui vivaient dans le confort douillet du consensus découvrent en exerçant leur sens critique l’horreur de la guerre permanente de désinformation, le mensonge dans lequel notre profession baigne, la répression en cas de transgression de la doxa officielle, et la manipulation dont ils sont l’objet pour les inciter à croire qu’en étant au « top » des nouveautés, ils font de la bonne médecine.[100] Cette même guerre qui nous était livrée depuis des générations d’homéopathes est désormais devenue mondiale.

La science représente un puissant outil dans la recherche de la vérité, mais quand elle est dévoyée par l’argent, surgit la fallacieuse notion de « preuve scientifique », un oxymore destiné à vendre aussi bien une traversée en Titanic ou un vaccin.

Il est probable que jamais l’humanité n’a encore dans son histoire encouru une telle menace, non pas à cause d’un virus mortel, mais d’un simple rhume qui sert de prétexte à l’instauration d’une tyrannie oligarchique. Si l’on m’explique que vous avez bouté le feu à votre maison parce qu’il y avait un moustique dans le salon, c’est la preuve que soit vous êtes complètement fou, soit que le moustique ne fait que servir d’excuse au pyromane. De même les mesures apparemment démentes prises comme un seul homme par (presque) tous les gouvernements face à une menace nulle ne deviennent logiques que si l’on change de paradigme et qu’on réalise que les gouvernements n’œuvrent plus dans l’intérêt des peuples et des nations, mais selon l’agenda d’une structure supérieure qui les contrôle tous :

:.

Les tendances et les déclarations financières mondiales indiquent une refonte sismique de la gouvernance et des systèmes financiers qui se joue sous la surface de la pandémie de Covid-19 et qui va bien au-delà du domaine de la santé.

Le renforcement du contrôle centralisé peut créer un gouffre infranchissable entre une petite poignée de gagnants et une majorité de perdants. ….

Les preuves suggèrent que les vaccins coronavirus, véritables chevaux de Troie, pourraient remettre en cause l’intégrité corporelle et le consentement éclairé de manière totalement nouvelle, en transportant des technologies invasives dans le cerveau et le corps des gens.

Des technologies telles que les interfaces cerveau-machine, les dispositifs de suivi de l’identité numérique et les puces compatibles avec les crypto-monnaies contribueraient à l’objectif de la banque centrale de remplacer les monnaies par des systèmes de transaction et d’identification numériques et de créer une grille de contrôle mondiale qui relie la population mondiale au nuage de renseignements militaires-pharmaceutiques des technocrates mondiaux. En outre, l’utilisation des vaccins comme vecteur des technologies de surveillance annule toute responsabilité juridique.[101]

Tant pis — ou tant mieux ?— si je heurte ceux encore douillettement endormis dans le confort de la Doxa du système et qui se font une joie de partir à l’abattoir en chantant. Je n’ai jamais eu l’habitude de mâcher mes mots —pas plus que le Dr. Zelenko[102] ou Dr. Sucharit Bhakdi[103] ou encore le Dr. Michael Yeadon[104] dont je partage ici complètement les analyses : au-delà d’un simple crime crapuleux destiné à l’enrichissement sans limite de l’industrie, c’est probablement un génocide planétaire qui se prépare dans la joie et l’insouciance, avec le consentement —je devrais dire la soumission— d’une grande partie de la population.

Qu’on ne se méprenne pas : le sens du mot « génocide » est chevillé dans mes cellules, le néologisme a été forgé par Lemkin en prenant pour modèle le génocide arménien. Son professeur de droit lui ayant expliqué que les gouvernements pouvaient faire ce qu’ils voulaient des peuples administrés, comme on le fait d’un élevage de poulets, Lemkin s’est écrié « mais les gens ne sont pas des poulets ! » J’envie la France quand elle pleure un Oradour. Nous en avons connu des milliers dans le cours d’une extermination systématique, sans distinction d’âge ou de sexe.

C’est donc bien en pleine acceptation du terme que je déclare qu’à mesure que nous découvrons les effets et le contenu des « vaccins » imposés de vive force contre toute science ou raison par les gouvernements, nous avons la preuve d’une tentative de génocide. J’ignore quelle proportion de l’humanité survivra à ces poisons. Des plaintes devant la Cour Pénale Internationale[105],[106] ont été déposées, en Inde L’avocate Dipali Ojha,[107] principale avocate de l’Association du barreau indien, a intenté des poursuites pénales contre le Dr Swaminathan « pour chaque décès » causé par ses actes, mais on se doute vu la corruption et le crime organisé que les chances d’aboutir sont minimes.

Au vu de la perversité —ce terme reviendra souvent dans mes commentaires— que nous constatons partout où l’on se retourne, seul Tocqueville me semble avoir clairement décrit pareille situation :

« Les Espagnols, à l’aide de monstruosités sans exemples, en se couvrant d’une honte ineffaçable, n’ont pu parvenir à exterminer la race indienne, ni même à l’empêcher de partager leurs droits ; les Américains des États-Unis ont atteint ce double résultat avec une merveilleuse facilité, tranquillement, légalement, philanthropiquement, sans répandre de sang, sans violer un seul des grands principes de la morale aux yeux du monde. On ne saurait détruire les hommes en respectant mieux les lois de l’humanité.[108] »

J’accuse !

J’accuse les mondialistes — cette ultra-minorité constituée de quelques grandes familles (Rothschild, Rockefeller, Carnegie, DuPont, Bush, Morgan, etc. et leurs coryphées comme Bezos, Soros, et Gates)[109] :

  • D’être majoritairement de dangereux psychopathes[110] avides uniquement de jouissance perverse ou des pires transgressions pour se sentir exister.[111]
  • D’avoir peu à peu accaparé la création de la monnaie dans le monde entier[112] depuis au moins la chute du Premier Empire.[113]
  • De contrôler ainsi les destinées des nations depuis au moins la fin du XIXème siècle, organisant pour leur profit les guerres ou révolutions qu’ils jugent utiles[114] : Guerre des Boers, Première Guerre Mondiale, Révolution Russe et instauration du Communisme,[115] etc.
  • De fomenter un complot mondial depuis des générations, en vue d’instaurer une gouvernance mondiale[116] sous forme d’un collectivisme oligarchique[117] dont la Chine représente le modèle —dès le 30 Mars 2020 Gordon Brown appelait à un gouvernement mondial « intérimaire », Attali au gouvernement mondial installé à Jérusalem[118],
  • De poursuivre depuis des générations une guerre mondiale secrète contre les Peuples[119] et de vampiriser les nations en forçant les états à une dette fictive en échange de la création de monnaie ex-nihilo.
  • D’avoir fabriqué de toutes pièces la pandémie Covid.[120],[121],[122],[123],[124],[125]
  • D’avoir breveté —à travers une multitude de sociétés dont le CDC, Pfizer, Moderna, Merck, Johnson & Johnson— le génome sous tous ses aspects du SARS-Cov-2 depuis au moins 20 ans pour réaliser leurs objectifs,[126],[127]
  • D’annoncer la pandémie depuis des années avec beaucoup de perversion[128] via quelques porte-paroles dont Bill Gates[129] qui semble être le grand prêtre du système.[130],[131] Soudainement autoproclamé spécialiste de tous les problèmes planétaires et virologue, celui que l’histoire regardera sans doute comme l’un des plus grands criminels de tous les temps nous annonçait, dès le mois de Février 2020, qu’il n’y aurait pas de retour à la normale sans que la planète entière ne soit vaccinée.[132],[133]
  • De recourir sans scrupule à l’ingénierie sociale[134],[135] —notion purement communiste— au crime contre l’humanité et probablement au génocide mondial pour façonner « l’homme nouveau » — dont la tentation a toujours été la marque des régimes totalitaires —, issu de leur ancien délire eugéniste et transhumaniste.[136],[137],[138]
  • De ruiner l’économie mondiale afin d’imposer une future monnaie numérique[139] et un contrôle total technocratique[140] de la population [restante…] réduite en esclavage.[141] Tout sera fait pour nous présenter comme seule solution le gouvernement mondial pour « sauver les banques. »
  • D’organiser une destruction —une sape— des fondements de la société[142], notamment de par l’Open Society de Soros,[143] et une corruption systémique dont on ne peut se faire de représentation tant elle est omniprésente et disséminée.[144],[145] Il a suffi ainsi de faire déclarer la pandémie par le bon Tedros[146],[147] —l’homme de paille de Gates— pour que tout se mettre en branle comme une cascade de dominos, toutes les nations signataires du Règlement sanitaire international de l’OMS étant légalement tenues de suivre ce que le directeur général décide de faire en cas d’urgence.[148] L’affaire a été préparée d’avance selon un agenda qui force l’admiration : en faisant passer un rhume pour la peste noire, les corrompus savaient qu’ils pouvaient ensuite compter sur la lâcheté généralisée, la fuite de toute responsabilité pour entraîner le reste du monde avec eux.
  • D’avoir noyauté et infiltré à peu près tous les gouvernements, et toutes les instances internationales et nationales, officielles (comme l’OMS, la Banque Mondiale, le GAVI, etc.) ou officieuses (franc-maçonnerie dévoyée en parti politique comme le Grand Orient en France) [149],[150] et de posséder à peu près toutes les firmes industrielles, bancaires et technologiques.[151]
  • De ne même plus prendre la peine de dissimuler leurs objectifs mais de diffuser leur doctrine à travers des organisations comme le World Economic Forum[152] —son patron et maître à penser, Klaus Schwab étant aussi un Rothschild[153], la Fabian Society ou autres revues comme The Economist. La stratégie habituelle consistant à utiliser la fenêtre d’Overton pour habituer peu à peu la pensée du public à ce qui aurait été inimaginable auparavant.

J’accuse les trois secteurs criminels de plus en plus imbriqués —Big Finance, Big Tech et Big Pharma— de récolter les fruits de la « pandémie » Covid-19, tout en bénéficiant de relations étroites avec l’appareil de renseignement militaire[154],[155] . Ceci a permis de créer le plus grand transfert de richesses de l’histoire de l’humanité et une montée en puissance énorme de la technocratie mondiale, une forme de contrôle centralisé, dirigé par des experts, sur la production et la consommation des ressources, que le Wall Street Journal a qualifié de « règle antidémocratique par des élites qui pensent mieux savoir. »[156]

J’accuse les laboratoires pharmaceutiques —notamment Pfizer, Moderna, Merck, Johnson & Johnson, Astra Zeneca— de constituer depuis le début du XXème siècle les pires organisations criminelles que le monde ait connues :

  • D’avoir déposé des milliers de brevets concernant le Coronavirus depuis 2000, d’avoir préparé et planifié la crise actuelle de concert avec la troïka Gates, Fauci, Tedros. Le génome du SARS-Cov2 a été ainsi breveté depuis de longues années, avec toutes les variantes connues de la protéine Spike (malgré leurs moyens illimités, ces messieurs ont quand même réussi à faire la bourde de déposer le brevet du futur vaccin quelques heures avant le dépôt du brevet du Coronavirus).[157]
  • D’avoir provoqué la fermeture de tous les hôpitaux homéopathiques[158] aux USA dès les années 1910 et imposé la médecine chimique sous la forme que nous connaissons, détruisant la santé de l’humanité depuis des générations.
  • D’être obsédés par la destruction de l’homéopathie, le seul édifice médical logique et scientifique capable de leur faire de l’ombre et de guérir les gens
  • De mener depuis cent ans une guerre incessante contre l’homéopathie afin de la discréditer[159] et détenir le monopole d’une médecine non-scientifique basée sur l’administration arbitraire de drogues pétrochimiques au gré de statistiques toujours falsifiées.

J’accuse la troïka Gates — à travers de sa fondation « philanthropique » Bill et Melinda et autres affidés comme l’Open society de Soros et la Clinton fundationFauci[160] — avec sa mainmise sur les CDC, ce dernier se retrouve aujourd’hui accusé d’avoir pris des mesures contraires à l’éthique et aux connaissances,[161] Tedros —avec sa haute main sur l’OMS, d’être les exécutants d’une affaire patiemment préparée —un hold-up mondial— depuis au moins deux décennies, aboutissant à une ahurissante toile d’araignées impliquant à peu près tous les secteurs[162] — avec l’aide inestimable du Parti Communiste Chinois[163] dont notamment :

  • Tripotage de la définition de la pandémie dès 2009[164]
  • Assujettissement des gouvernements aux décisions de l’OMS en cas de pandémie
  • Infiltration de toutes les instances internationales comme l’ONU, la Banque Mondiale, etc.
  • Recyclage de l’argent sale grâce à une galaxie d’ONG et autres fondations —gravitant autour de l’ONU par exemple— n’ayant de comptes à rendre à personne.[165]
  • Contrôle total des médias (ANP, AFP, REUTERS, eux même affiliés à European journalism center et Project syndicate, lesquels appartiennent comme le reste du monde à des compagnies comme Black RockVanguardStreet State ou Berkshire Hataway) et des réseaux sociaux via leur complices. Citons en France par exemple les dix milliardaires qui contrôlent toute la presse.[166]

J’accuse nos gouvernants de complicité totale avec les mondialistes et de conspirer contre la paix en créant une fracture irréconciliable de la population au moyen de mesures discriminatoires qui violent toutes les constitutions démocratiques[167] —le citoyen qui cotise pourtant à ses assurances sociales se voit refuser l’entrée à l’hôpital (chose jamais vue de mémoire d’homme), les délations pleuvent contre les mauvais porteurs de masque qui ont l’outrecuidance d’entrer dans un magasin, on refuse d’évacuer des non-vaccinés[168], les brutalités policières innommables s’abattent sur les gens au prétexte de non-port de masque[169], etc.

J’accuse l’ensemble de la classe politique —à de rares exceptions près— de connivence avec les gouvernements en place. Leur silence assourdissant alors que tous les principes démocratiques sont violés quotidiennement démontre leur culpabilité, et signe le pourrissement déjà ancien de nos sociétés où la démocratie est réduite à un simple théâtre avec de l’opposition contrôlée.

J’accuse de collaboration et de trahison tous les minables appartenant à des rouages divers de la société et qui ont tout fait pour imposer le nouvel ordre établi : Ordre des Médecins, Juges autres magistrats, Policiers, Syndicats, etc.

  • Une mention particulière ici au sujet de la lâcheté de l’immense majorité des médecins qui ont servilement accepté les consignes gouvernementales tout en sachant pertinemment leur absurdité. Ils ont ainsi trahi la confiance de leurs patients, tout en se couvrant d’une honte qui sera difficile à effacer.

Tous ces gens, du haut en bas de l’échelle, devront répondre avec leurs maîtres mondialistes des accusations de :

  • Complot mondial et escroquerie en bande organisée
  • Crime contre l’humanité (refus de soins à la population, meurtre des personnes âgées, injection forcée de substances expérimentales en violation du droit international,[170] de la liberté du refus de soin, et de toute éthique[171])
  • Crime contre l’économie (destruction volontaire de pans entiers de l’économie, assujettissement des victimes aux « aides » fournies et chantage au vote —c’est la même relation entre un mari alcoolique violent et son épouse—, pénuries organisées, inflation massive notamment des denrées céréalières[172])
  • Crime contre la société :
    • Ingénierie sociale,
    • Discrimination,[173] qui constitue le premier pas vers l’exclusion puis l’extermination, car il est facile de prévoir que tout sera fait pour faire porter le chapeau aux non-vaccinés —la situation sera bientôt catastrophique selon soit les effets délétères des vaccins soit carrément de par l’émergence de nouveaux variants naturels ou pas. L’Autriche, partie natale d’un artiste peintre tristement célèbre, vient de décider de confiner les non-vaccinés ![174]« La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisés en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise. » Mathieu Slama
    • Agnotologie (production méthodique de la bêtise, de l’ign
    • orance, du doute et de la désinformation), l’affiche ci-contre illustre bien le propos[175]
    • Destruction systématique de tous les repères —ainsi que l’avait annoncé Soljenitsyne dans son fameux discours de Harvard[176],
    • « Cancel culture » et autres aberrations comme la théorie du genre.

L’issue de la crise passera par une révolution sociétale de fond en comble avec la révision du rôle de l’industrie, notamment dans la médecine, et la remise en cause de la notion d’enrichissement personnel illimité introduit par Voltaire.[177] Rousseau quant à lui avait bien réalisé que :

Jamais dans une monarchie l’opulence d’un particulier ne peut le mettre au-dessus de la volonté du prince. En revanche dans une république elle peut le mettre aisément au-dessus des lois.

Seule l’insurrection populaire permettra de mettre les mondialistes et leurs complices hors d’état de nuire. Ces hyènes agissant dans l’ombre depuis toujours ne sont que des tigres en papier, futurs gibiers de potence et les peuples forcés à l’inoculation de poisons se trouvent désormais en situation de légitime défense. Que la sainte colère des peuples abusés se lève !

« Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. » Ep 6.12

A titre de réflexion songeons que les Français ont décapité un roi innocent et qui ne voulait que le bonheur de son peuple. Que ferons-nous d’un Macron, séide des mondialistes, qui empoisonne délibérément les Français ?

Les derniers mots de Louis XVI sur l’échafaud « Et vous peuple infortuné » résonnent à nos oreilles comme une douloureuse prophétie. Ce sera le titre de notre prochain chapitre.

Il faut détruire le mondialisme ![178]


Notes

  1. David Rockefeller lors de la réunion des Bilderberger, à Baden en Allemagne, en juin 1991. Rockefeller a consacré sa vie au gouvernement mondial unique, c’est-à-dire au Nouvel Ordre Mondial (NWO). Il a fondé la Commission trilatérale et fait partie intégrante du Council on Foreign Relations. 
  2. Pour ceux qui désirent en savoir plus sur le génocide arménien, le site « Imprescriptible » est une référence. 
  3. Pour savoir ce qu’est le sort et la condition du dimmi en terre d’Islam. 
  4. Voir la Déclaration des Droits de l’homme de 1793-ch 35 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ». 
  5. Voir le documentaire Hold-Up de Pierre Barnerias et Philippe Cossé. Mon intervention complète en HD, ici
  6. Voir l’article de notre excellente Nicole Delepine : La peur basée sur une épidémie de rhume. Les colossales erreurs des simulations de N. Ferguson et de l’Institut Pasteur nous l’ont démontré, et il n’y a donc aucune raison objective de craindre l’avenir.Même si le Covid se comportait comme la grippe avec des récidives et un nouveau variant chaque année, il n’y aurait aucune raison d’en avoir peur. Les vaccins font chaque jour preuve de leur insuffisante efficacité, mais les traitements précoces sont efficaces en préventif et en curatif ainsi que l’a prouvé l’Inde.N’ayez plus peur. 
  7. Voir l’article sur le Courrier des Stratèges, et le pdf du rapport ici
  8. De 2003 à 2009, une pandémie a été définie par l’apparition de « plusieurs épidémies simultanées à travers le monde avec un grand nombre de décès et de maladies » ; un changement a été opéré entre le 1er et le 9 mai 2009, faisant disparaître le critère de gravité. Le contenu des pages Internet de l’OMS a été modifié, sans changer la date affichée.Pour sa part, l’OMS affirme que la définition de base de la pandémie n’a jamais changé. Citée par M. Tom Jefferson lors de son audition par la commission des questions sociales, de la santé et de la famille de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe le 29 mars 2010, Mme Nathalie Boudou, porte-parole de l’OMS, a justifié le changement de définition sur le site de l’OMS par la correction d’une « erreur », en affirmant que la définition correcte d’une pandémie devait faire référence à l’apparition de foyers dans au moins deux régions du monde, mais n’avait rien à voir avec la gravité de la maladie ou le nombre de décès. Voir le pdf
  9. La plupart des cas ont réagi favorablement pour amener à une guérison en quelques jours après la prise d’Ammonium Carbonicum, médicament dominant de l’épidémie, déterminé dès avril 2020. Nous comptabilisons avec nos étudiants plus de cent cas traités avec succès, dans n’importe quel stade de l’affection. 
  10. Voir le Figaro
  11. Voir le résultat de la commission sénatoriale. 
  12. Voir la falsification de l’étude, jamais publiée dans les médias standards et bien entendu aucune mesures prises à l’encontre de l’homéopathie n’ont été remises en cause… 
  13. À l’origine de cette étude bidon financée indirectement pas les sociétés-écrans de Bill Gates et un hôpital londonien, il y avait la société Quartz Clinical et sa directrice du marketing et des ventes, une certaine Ariane Anderson. Directrice marketing et des ventes d’une société qui produit une étude mondiale sur les dangers d’un médicament qui a été consommé par des milliards d’individus (il a en été vendu jusqu’à 1 milliard de cachets par an dans le monde), c’est quand même un sacré poste à responsabilité ! La société à l’origine de « l’article » du Lancet, la société de Big Data qui a fourni les « données » d’observation de l’étude… n’existe pas !C’est une société totalement bidon. Elle aurait été créée en 2007 par Sapan Desai, un des auteurs de l’article, et n’a jamais connu la moindre activité, n’a jamais payé d’impôts, aurait été dissoute ou suspendue à plusieurs reprises. Voir l’article de RR.On se dit que cette dame doit être bardée de diplômes et qu’elle doit avoir une expérience professionnelle à faire pâlir le docteur Raoult et les plus grands experts chinois qui ont osé vanter les effets thérapeutiques de ce médicament. On trouvera plein de photos de la dame à divers degrés d’habillement sur Internet. Cependant les « meilleures » ont déjà été retirées du Web… Voir ici
  14. Une étude italienne récemment publiée portant sur 3451 patients hospitalisés a révélé 30% de mortalité en moins, meilleure que celle rapportée pour le remdesivir très coûteux dans les hôpitaux, vanté par Fauci. Une étude italienne antérieure et plus petite a révélé une réduction de 66% des décès chez les patients hospitalisés. Une étude belge portant sur 8 075 patients hospitalisés a révélé une réduction de 65%. De même, une étude récente d’Arabie saoudite a révélé 43% d’hospitalisations en moins et 45% d’admissions en USI en moins. Pour les patients à haut risque des maisons de retraite en Espagne, le HCQ a réduit de moitié le risque d’un mauvais résultat.Une grande étude du système hospitalier Henry Ford a révélé un taux de mortalité pour 2 541 patients de 13,5% pour HCQ seul, 20,1% pour HCQ plus azithromycine et 26,4% pour aucun des deux. 
  15. Une honte de plus pour l’institut Pasteur, qui reste fidèle cependant au modèle de fausse science de son fondateur. L’étude truquée, prépubliée en juin, a été supprimée, d’un coup de baguette magique ! Tout simplement ! Plus besoin de revue par les pairs ! (L’investisseur sans costume l’a cependant soigneusement conservée  pour ceux que ne rebute pas un texte scientifique en anglais.) 
  16. Voir à cet égard le remarquable travail de vulgarisation et de synthèse accompli par Odon Lafontaine au travers du Grand Secret de l’Islam
  17. Voici le résumé par Fuellmich lui-même « Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent ».« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes ».« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé —n’en déplaise au bon Docteur Knock. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement ‘normal’ ».« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires ». 
  18. Voir ici le pdf officiel de la FDA. On peut lire que « Étant donné qu’aucun isolat quantifié du virus 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et où cette étude a été réalisée, les tests conçus pour la détection de l’ARN du 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro (gène N ; accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/µL) introduit dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique. »Une autre révélation du document est l’admission par la FDA que les résultats des tests sont « regroupés » pour produire des chiffres inexacts. La FDA fabrique littéralement des données dans le cadre du récit de la pandémie, et tout cela est révélé dans le document.Voir aussi l’excellent article de FDA.News : “FDA document admits “covid” PCR test was developed without isolated covid samples for test calibration, effectively admitting it’s testing something else” 
  19. Nicole Delépine signe un nouvel excellent article sur la PCR ici. Elle déclare : « En conclusion, la confirmation que les tests PCR ne sont pas fiables et ne devraient en aucun cas être utilisés par les gouvernements comme preuve de la « pandémie » vient de la FDA elle-même. Il est grand temps que nos dirigeants reviennent aux moyens classiques d’évaluer les épidémies : le comptage des malades et celui des morts de la maladie. » 
  20. Voir l’article ici
  21. Voir l’article de France Soir (l’un des seuls journaux ayant gardé l’éthique du journalisme). Voir sur KLA.TV le dossier Drosten, proprement accablant, puisque ce malfaiteur a même usurpé son titre de médecin, ainsi que l’a révélé Fuellmich. 
  22. Voir dans Times: « Testing firm can profit from sale of Covid swabs”. Il est ainsi possible que l’un des objectifs du test antigéniques soit le fichage généralisé de la population. Les mondialistes ont des dizaines de coups d’avance sur nous. 
  23. France Soir, RT, et Sud Radio, méritent toute notre admiration. Ce sont probablement les seuls médias qui respectent la vocation du journalisme et la charte de Munich qui demande entre autres de recueillir, analyser, vérifier, les informations de toutes origines afin de fournir une information loyale au lecteur. 
  24. En Belgique par exemple, La Libre offrait à ses lecteurs son petit manuel de diagnostic et conduite à tenir devant les vilains complotistes. Tandis que sur Facebook il était impossible de mentionner ne serait-ce que l’adresse www.adrreports.eu, site officiel européen de statistique des décès/var/folders/mr/_9dvc9_x6xgfbhgg6j3hcwk80000gn/T/com.apple.Notes/HardLinkURLTemp/AF2BDCA7-B473-4738-B82D-00C9604CD739/La Libre.png ../../../Desktop/Capture%20d’écran%202021-05-31%20à%2008.23.17.png 
  25. Voir la « Stratégie du choc » de Naomi Klein. Ne pas manquer cette vidéo
  26. « Voix ou pas voix, le peuple peut toujours être amené à se plier aux exigences des dirigeants. C’est facile. Il suffit de leur dire qu’ils sont attaqués et de dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme et pour le risque qu’ils font courir au pays. Cela fonctionne de la même manière dans n’importe quel pays. » Hermann Goering. 
  27. Le 14 octobre dernier, une rencontre avec Barbara Stiegler a été organisée par la librairie Mollat de Bordeaux à l’occasion de la sortie de son livre « Nietzsche et la vie : une nouvelle histoire de la philosophie » paru aux éditions Gallimard. La philosophe a pu présenter son ouvrage, et a livré une analyse très intéressante sur la manière dont le mot « complotisme » est instrumentalisé pour museler les oppositions. 
  28. Les exemples surabondent. Je me contente de citer ici l’article de l’express qui dénigre Mme Wonner, photographiée sous l’angle le moins avantageux possible. C’est un modèle du genre. 
  29. Nous devons ce bon mot à Christian Greiling, le remarquable auteur entre autres du blog les Chroniques du grand jeu
  30. Le Monde se vante d’avoir publié en son temps le manifeste des 343 mais refuse de publier toute tribune de discussion sur la vaccination. Les exemples peuvent se multiplier à l’infini. 
  31. Citons rapidement ici les cuistres comme La tronche en biais, les cercles zététiques. M. Buisseret, mieux que quiconque incarne ce phénomène : aucune formation scientifique, ayant à son actif la réalisation d’un film pitoyable, il est persuadé de devenir l’arbitre des élégances en science. Quelle déchéance ! 
  32. Voir par exemple cet article, pour ceux qui n’ont pas eu la chance de connaître en « live » ces événements en Roumanie. 
  33. « COVID-19 – du mythe aux statistiques », auteur anonyme, 9 février 2021, lien direct, lien archivé. Observons combien de morts en plus nous aurions eu à déplorer de 2015 à 2019 si pendant ces années nous avions souffert de la mortalité de 2020 hors-COVID-19. Le tableau suivant tient compte des décès déclarés « COVID-19 » à l’hôpital et en EHPAD, mais pas à domicile [47–50, 54, 56] :
    annéesurmortalité2015-490362016-331592017-339472018-256932019-1762Les grippes saisonnières ? Disparues ! Des dizaines de milliers de personnes ne seraient pas mortes si de 2015 à 2019 nous avions refusé l’accès des hôpitaux aux personnes âgées, dissuadé les malades de consulter, diminuer significativement la consommation de médicaments et paralysé l’économie pendant des mois. C’est à se demander si les autorités sanitaires n’étaient pas complètement folles de ne pas mettre à la poubelle plus tôt toute l’organisation publique de la santé. Grâce à la COVID-19, la France a connu en 2020 un âge d’or médical parfaitement inconnu avant le 17 mars 2020. Faut-il considérer que la COVID-19, les confinements, les couvre-feu, les abandons de soins, les lits d’hôpitaux supprimés, les médecins maltraités, les populations martyrisées, les enfants traumatisés, les commerçants ruinés et les libertés individuelles annulées on réussi à vaincre le cancer, la grippe, le diabète, l’hypertension, la sclérose en plaques, bref, toutes les maladies à l’exception de la COVID-19 ? Voir l’article complet ici. 
  34. Une étude italienne récemment publiée portant sur 3451 patients hospitalisés a révélé 30% de mortalité en moins, meilleure que celle rapportée pour le remdesivir très coûteux dans les hôpitaux, vanté par Fauci. Une étude italienne antérieure et plus petite a révélé une réduction de 66% des décès chez les patients hospitalisés. Une étude belge portant sur 8 075 patients hospitalisés a révélé une réduction de 65%. De même, une étude récente d’Arabie saoudite a révélé 43% d’hospitalisations en moins et 45% d’admissions en USI en moins. Pour les patients à haut risque des maisons de retraite en Espagne, le HCQ a réduit de moitié le risque d’un mauvais résultat.Une grande étude du système hospitalier Henry Ford a révélé un taux de mortalité pour 2 541 patients de 13,5% pour HCQ seul, 20,1% pour HCQ plus azithromycine et 26,4% pour aucun des deux. 
  35. Voir l’article complet sur le site de l’AIMSIB. En Inde 97% de guérison rapide avec le variant Delta. Chez nous, la permanence Riviera-Chablais, qui traitait les patients Covid avec de l’ivermectine depuis janvier 2021 et jusqu’à la semaine dernière, les bons résultats du traitement vantés sur Facebook ont valu aux responsables de la Providence une convocation face au Comité Médical de l’HRC, composé de tous les médecins chef(fe)s de service, du directeur médical, et du doyen. Résultat : malgré un bilan de 350 à 400 patients guéris jusqu’ici, l’ivermectine est désormais interdite. 
  36. Par exemple les données Sentinelles (711 généralistes et 70 pédiatres libéraux) montrent un taux d’incidence de 24/100.000 en semaine 10 !Le taux d’incidence du SARS-CoV-2 de la 10ème semaine de 2021 est de 24 cas/100.000, et non de 700 (Alpes maritimes) ou 900 (Dunkerque) comme l’affirme le gouvernement pour terroriser tout le monde !La tendance est plutôt stable depuis mi-novembre dans toutes les tranches d’âge, selon ce rapport, ce que l’on appelle des données consolidées depuis 4 mois maintenant.Ce chiffre correspond à 16.177 nouveaux cas pour toute la semaine 10, ce qui représente 2311 par jour dans toute la France et non les 40.000 cas annoncés ! 
  37. Voir l’article remarquable sur le site Anthropologiques. 
  38. Philippe Édouard (Premier ministre), « Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire », Journal Officiel de la République Française, lois et décrets, no. 77, texte 11, 33-34 (29 mars 2020), lien sur le site de Légifrance
  39. Jusqu’en novembre 2020, l’OMS admettait que l’immunité peut être procurée par l’infection ou par la vaccination, le 13 novembre 2020, l’OMS affirme que l’immunité collective d’une population ne peut être atteinte que par la vaccination et non par l’infection naturelle ! Ceci est réaffirmé le 31 décembre 2020 pour la Covid-19, tout en reconnaissant qu’on ne connaît pas le seuil de couverture vaccinale à obtenir pour atteindre cette immunité collective !A noter que seule la définition du 31 décembre 2020 est encore accessible, les précédentes sont visibles sur la capture d’écran ci-dessous)../../../Downloads/capture-decran-2021-10-02-a-103329.pngDans une récente publication, l’institut John Hopkins n’évoque que l’immunité vaccinale dans une discussion au sujet de l’hypothétique immunité de groupe à attendre contre la Covid (2).Même le Wall Street Journal, incroyablement pro-vaccins, a récemment publié un article sur ce sujet. Habituellement, le WSJ laisse ses articles sur la page des opinions pendant environ une semaine. Mais en moins de 24 heures, le WSJ a enterré cet article sur l’immunité naturelle. L’article du WSJ traite de l’immunité des muqueuses par rapport à l’immunité interne. L’auteur (un neurologue) affirme que si les vaccins stimulent l’immunité interne, ils ne font rien pour l’immunité des muqueuses. 
  40. L’immunité naturelle est au bas mot 13 fois supérieure à celle supposée du vaccin. « Une nouvelle étude israélienne suggère que l’infection naturelle offre une bien meilleure protection contre la variante delta que les vaccins, et ce après qu’on ait dit aux Américains que les vaccins offraient une meilleure protection que les infections naturelles. Le Dr Anthony Fauci et le reste des conseillers COVID du président Biden ont une fois de plus prouvé qu’ils avaient tort concernant la « science » des vaccins COVID. L’étude a été décrite par Bloomberg comme « la plus grande analyse réelle comparant l’immunité naturelle – acquise lors d’une infection antérieure – à la protection fournie par l’un des vaccins les plus puissants actuellement utilisés. » 
  41. Voir la propagande vomitive qui a été servie sans cesse à tous les peuples par les médias aux ordres. Par exemple en France : « Vers un retour à la normale à l’hiver 2021 ? C’est ce qu’affirme le fabricant de vaccins BioNTech » ; « Covid-19 : à quand, grâce au vaccin, un retour à la vie normale ? » ; « Pour une majorité de la population, le retour à la vie normale passe par la vaccination, dit une étude » ; « Covid-19 – Vers un retour à la normale à l’automne 2021 ‘si on arrive à vacciner 80-90% des Français’, selon le Pr Fontanet » ; « Covid-19 : un an après le confinement, quand espérer un retour à la ‘normale’ ? » ; « « Sans vaccin, pas de retour à la normale dans le sport », prévient Roxana Maracineanu » 
  42. Voir le terrible témoignage de ce directeur de pompes funèbres. 
  43. Ne manquez pas l’étude bidon commanditée par Veran pour confirmer son propre discours. L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200000. Les vrais journalistes d’investigation de France soir y sont allés de leur côté, ils trouvent une explications au million mystérieux; 1,1M de vaccines auraient été comptés et appariés deux fois. Toutes les hospitalisations Covid n’ont pas été prises en compte. Un total de 26000 hospitalisés depuis le 11 février jusqu’au 20 juillet pour cause de Covid selon l’étude, or au cours de cette même période selon Geodes nous en obtenons huit fois plus pour les catégories concernées : 80% des hospitalisations Covid ont disparu… 
  44. Ainsi Moderna a dissimulé 300.000 effets secondaires graves. Cette fuite provient d’un employé de la société de sous-traitance qui gère les déclarations. 
  45. Lorsqu’une personne décède dans les 60 ou 28 jours suivant un test positif au covid-19 – même si le résultat du test était faux – elle est automatiquement traitée comme un décès dû au covid-19 pour faire grimper les chiffres. Mais lorsque des jeunes gens en bonne santé meurent quelques heures après avoir été vaccinés, ces décès sont considérés comme de simples coïncidences. 
  46. Je renvoie le lecteur au site Sens et Symboles de l’excellent Dr. Olivier Soulier. Je le cite : « Dans chacun de ces pays qui ont vacciné massivement à partir de décembre ou début janvier, on a observé un pic de mortalité jamais atteint auparavant. Au départ, j’avais cru à une simple coïncidence. Mais depuis, cette observation s’est confirmée à peu près partout dans le monde ! On a même vu plusieurs États, comme le Cambodge, qui n’avaient quasiment pas un seul mort de la Covid… jusqu’à ce qu’ils commencent le programme de vaccination de leur population :Le déploiement de la vaccination au Cambodge en février-mars a été suivi d’un pic de mortalité, alors que le pays avait été épargné par la Covid. Le même phénomène a eu lieu à Gibraltar, petit territoire britannique qui a vacciné encore plus massivement qu’Israël : alors qu’il n’y avait eu que 10 décès Covid au total en 2020, Gibraltar a déploré 44 morts Covid en deux semaines, en pleine campagne vaccinale.(À propos de Gibraltar, cela fait plus d’un mois et demi que 100 % de la population est vaccinée avec deux doses, ce dont rêve Emmanuel Macron… et pourtant, il y a là-bas 23 cas en ce moment, soit l’équivalent de 45 000 cas par jour en France !).Au total, il ne fait aucun doute que le vaccin commence par aggraver la situation avant d’avoir [éventuellement—NDLR] un effet positif sur les formes graves. Dans une analyse bénéfice-risque du vaccin, il faut absolument prendre cela en compte !Les calculs d’efficacité du vaccin qu’on vous donne dans les médias sont totalement faussés, parce qu’on ne regarde le risque de contamination qu’après 2 doses ! Or, cela écarte du calcul tous ceux qui ont été contaminés entre la 1ère et la 2ème dose à cause du vaccin ! C’est une raison de plus pour laquelle les « 95 % de protection » qu’on vous rabâche sont purement fictifs, l’efficacité du vaccin est certainement beaucoup plus faible ! 
  47. Les données VAERS publiées aujourd’hui par les CDC font état d’un total de 545 338 signalements d’effets indésirables, tous groupes d’âge confondus, après la vaccination par COVID, dont 12 366 décès et 70 105 lésions graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021. Voir ici
  48. Voir la vidéo de la députée. Mathilde Panot massacre la macronie avec élégance, et sans qu’on puisse vraiment lui opposer d’arguments tant la situation est folle. 
  49. Pfizer et BioNTech auraient donc obtenu un contrat commercial faramineusement avantageux pour eux. Le prétexte de la pandémie COVID 19 leur auraient permis d’être dégagé de toute responsabilité et de ne pas indemniser les victimes d’effets indésirables lors de cette phase 3 d’essai clinique en population générale. Les Etats supporteront le coût des indemnisations à moins de réussir à prouver que le laboratoire a commis une faute intentionnelle ou que les produits étaient défectueux. Sur ce dernier point cela sera proche de l’impossible tant les éléments de défense que pourraient évoquer le laboratoire pharmaceutique seront nombreux : rupture de la chaine du froid, erreur lors de la dilution, utilisation de 3 doses alors que le protocole n’en prévoit que 2, mélange entre les vaccins anti covid sur le marché, délai entre les deux doses non respecté… 
  50. La commissaire européenne a touché des millions en pots de vin pour signer les contrats Pfizer. Cela a été étouffé le plus vite possible et seul RT garde un page sur le sujet. Tout ceci est vraiment épouvantable. 
  51. Voir ici la remarquable étude du Stalk Institue. Scientists have known for a while that SARS-CoV-2’s distinctive “spike” proteins help the virus infect its host by latching on to healthy cells. Now, a major new study shows that the virus spike proteins (which behave very differently than those safely encoded by vaccines) also play a key role in the disease itself. The paper, published on April 30, 2021, in Circulation Research, also shows conclusively that COVID-19 is a vascular disease, demonstrating exactly how the SARS-CoV-2 virus damages and attacks the vascular system on a cellular level. The findings help explain COVID-19’s wide variety of seemingly unconnected complications, and could open the door for new research into more effective therapies. “A lot of people think of it as a respiratory disease, but it’s really a vascular disease,” says Assistant Research Professor Uri Manor, who is co-senior author of the study. 
  52. La Spike se retrouve à la surface des cellules endothéliales, ce qui explique sans doute que les effets massifs juste après les injections sont sans doute liés à une effraction vasculaire. De sorte que de très nombreux patients ont des d-dimères positifs : des milliards de capillaires sont affectés et cela génère des caillots. Les tissus cérébraux, spinaux, ou le muscle cardiaque sont directement attaqués. Au niveau pulmonaire on aura bientôt de nombreux cas d’hypertension pulmonaire avec au final défaillance du cœur droit. Voir ici le témoignage d’un médecin français. 
  53. On regardera avec profit le Dr. Hoffe détailler les effets du vaccin que les laboratoires et les gouvernants vont s’échiner à dissimuler. 
  54. Dans cette vidéo, le professeur Sucharit Bhakdi, M.D., et plusieurs de ses collègues ont averti l’Agence européenne dès le début 2021 du danger potentiel de caillots sanguins et de thrombose veineuse cérébrale chez des millions de personnes recevant des injections expérimentales géniques.Dans cet épisode de Perspectives, le professeur Bhakdi explique la science derrière le problème, pourquoi il ne se limite pas aux produits déjà suspendus et pourquoi, à long terme, nous pourrions créer des systèmes immunitaires dangereusement hyperactifs chez des milliards de sujets involontaires). 
  55. Voir le Dr. Fleming sur Rumble. «  » Ajoutez le vaccin Pfizer et les globules rouges perdent leur capacité de transport d’oxygène et les globules rouges commencent à coaguler…. C’est exactement ce que nous constatons dans les rapports du VAERS. C’est exactement ce que nous constatons avec les dommages neurologiques, cardiaques et les caillots sanguins qui se forment dans le corps. C’est la preuve que ces vaccins causent ce type de dommages au microscope, simplement en étant ajoutés au sang d’un être humain… Je pense qu’il est temps que la FDA et le CDC fassent leur travail au lieu de faire semblant. » 
  56. Voir les articles désormais nombreux à la suite de la Quinta Columna qui a découvert le pot aux roses. Voir Graphene-based “neuromodulation” technology is REAL: Press release from INBRAIN Neuroelectronics describes brain controlling biocircuits using AI-powered graphene. Ceux que le sujet du graphene intéresse découvriront que la question n’est pas nouvelle :https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/03602559.2018.1542714?journalCode=lpte21https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0379677914001441https://aip.scitation.org/doi/abs/10.1063/5.0009186https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0008622312000644https://pubs.rsc.org/en/content/articlelanding/2015/ra/c4ra12591f/unauth#!divAbstracthttps://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0272884216301584https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0169433215008193https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167577X11007531https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167577X13007933 
  57. Voir cette vidéo de la Quinta Columna par exemple. 
  58. Voir ici le papier du Dr. Zalewski qui ne semble pas être un fumiste. Certains flacons de vaccins ne contiendraient qu’une solution saline, d’autres seraient « chargés ». 
  59. Voir le sort de l’action Cellectis par exemple. 
  60. Voir ici l’intervention du Dr. Peter McCullough. 
  61. Voir sur AIMSIB, la vaccination des sujets contacts, et l’effet Buchwald. Voir aussi l’article suivant : « en matière sanitaire les solutions à l’emporte-pièce brutales, généralisées et intuitives sont rarement génératrices des succès espérés. Nos formidables élites vont-elles se souvenir des erreurs passées ou replongeront-elles dans les mêmes ornières ? » 
  62. Pour rappel ici : ce n’est pas la vaccination qui a permis d’éradiquer la variole mais bien le confinement. Voir le rapport de l’OMS dont je cite maintenant des extraits. La létalité de la terrible maladie ne se compare en rien avec celle du Covid-19 :../../../Desktop/Létalité%20de%20la%20variole,%20rapport%20final%20OMS%20p19.pngLe rapport admet que la « vaccination de masse a échoué » et que c’est la surveillance et endiguement qui a porté ses fruits :../../../Desktop/p32%20nécessité%20de%20l'endiguement.pngComme ici :../../../Desktop/p%2042%20soudan.pngEncore ici, « les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » ../../../Desktop/p32%20changement%20de%20stratégie.pngNous lisons aussi « A Java, malgré des taux de vaccination dépassant 90%, la transmission se poursuivait dans des zones densément peuplées… jusqu’à ce que des structures efficaces de dépistage des cas et de surveillance soient entièrement mis en place. » 
  63. Voir l’excellent ouvrage du Dr. Eric Ancelet, « Pour en finir avec Pasteur : Un siècle de mystification scientifique. » 
  64. L. Pasteur, Lettre adressée à Pedro II, empereur du Brésil, 22 sept. 1884, Archives Nationales, AB/XIX/3332. 
  65. Le risque de mourir du Covid pour un enfant est proche de zéro. La corruption généralisée vient de donner le feu vert à Pfizer pour injecter les enfants de 5 à 11 ans. On frémit quant à la suite. Nous nageons en plein cauchemar. 
  66. Le parallèle devient de plus en plus frappant avec le recrutement des Jeunesses hitlériennes, ce qui à soi seul nous montre la progression de la dictature. Voici deux gamins montrant fièrement leur point d’injection, heureux de pouvoir protéger les autres !  
  67. Voir l’étude du BMJ ici. Voir aussi l’excellent article de l’AIMSIB sur la vaccination des femmes enceintes. La plupart des essais ont également exclu les volontaires enceintes et allaitantes, ainsi que celles souffrant d’affections chroniques et graves telles que la tuberculose, l’hépatite C, l’auto-immunité, les coagulopathies, le cancer et l’immunosuppression Il n’y a évidemment aucun intérêt à vacciner, mon avis personnel est que cette vaccination doit aussi générer de nombreuses fausses-couches. Notez que les autorités fédérales ont décrété que les femmes enceintes font partie des personnes vulnérable, comme toujours avec du cherry-picking des études. Nous ne sommes plus à une honte près. 
  68. Voir ici la liste des amendes infligées depuis l’an 2000 à ces organisations criminelles. 
  69. La firme pharmaceutique Pfizer a probablement lancé la production de son vaccin anti Covid-19 à ARNm bien avant d’avoir obtenu de la communauté européenne l’aménagement CE2020/1043 s’agissant de la levée de la protection de ses habitants vis à vis des OGM et avant même d’avoir lancé sa phase III d’essais cliniques, persuadée de pouvoir obtenir son autorisation de mise sur le marché partout dans le monde en faisant intervenir l’ancien Directeur Général de la FDA américaine, Scott Gottlieb, qu’elle a recruté depuis peu.La technologie vaccinale employée est embryonnaire sur le plan des connaissances scientifiques et contient de nombreuses incertitudes en termes d’effets secondaires au-delà de 6 mois, tous non étudiés. La mutation naturelle des coronavirus est importante et de nombreux co-variants du SARS-CoV-2 initial circulent déjà sur l’ensemble du globe rendant chimérique l’idée d’un vaccin unique, efficace sur toutes ses formes actuelles ou futures.La responsabilité financière des effets post-vaccinaux graves de ces vaccins a été transférée sans difficulté aux Etats acheteurs, ce qui doit faire craindre une absence totale de prudence comme de transparence de la part de l’ensemble des fabricants qui essayeront de placer leurs produits au plus vite dans cette course au rendement financier, le respect des règles déontologiques de ces firmes étant rappelé comme nul depuis de longue date.De nombreuses voix émanant de la société civile s’élèvent déjà pour inciter à une vaccination ou obligatoire, ou ségrégationniste, reléguant les non-vaccinés Covid au rang de citoyens de seconde zone, sans aucune conscience de la manipulation financière qu’ils installent, aux dépens évidents de la santé humaine et de la paix civile.Les études cliniques parues dans le New England devraient attirer l’attention du lecteur sur un détail très inhabituel : Pfizer aussi bien que Moderna parlent de « observer blind ». Habituellement, on mentionne « double blind », et une recherche sur Google vous convaincra que ce terme est pour ainsi dire absent de la littérature. Voilà qui est étrange.PfizerModernaIci je dois évoquer la réponse embrouillée du Dr. Siegrist à ma question, en tentant de me convaincre qu’il s’agit d’un double —mais dans ce cas pourquoi ne pas l’écrire comme telle ?— tout en me disant qu’on avait levé le secret pour les testeurs. Nous sommes donc priés de croire au double aveugle alors qu’il y a eu « unblinding » ? Pour le Dr. Michel de Lorgeril que je respecte comme l’un de nos plus grands spécialistes en matière de statistiques et d’études cliniques, la réponse est claire : ce n’est pas une étude en double aveugle et dès lors les effets placebo sont majeurs, les deux études, Pfizer et Moderna, profondément biaisées.Peter Doshi, dans un article remarquable et incontournable, évoque ce qui ressemble bien à un joli bidonnage de l’étude de Pfizer, grâce aux données supplémentaires fournies par la firme à la FDA. Bricolage de groupes, exclusions arbitraires, tout fleure bon la fraude.Doshi écrit par exemple :« Toute l’attention s’est concentrée sur les résultats d’efficacité spectaculaires: Pfizer a signalé 170 cas de covid-19 confirmés par PCR, répartis de 8 à 162 entre les groupes vaccin et placebo. Mais ces chiffres étaient éclipsés par une catégorie de maladie appelée «covid-19 suspectée» – ceux avec un covid-19 symptomatique qui n’ont pas été confirmés par PCR. Selon le rapport de la FDA sur le vaccin de Pfizer , il y a eu «3410 cas au total de covid-19 suspectés, mais non confirmés, dans la population globale de l’étude, 1594 dans le groupe vacciné contre 1816 dans le groupe placebo. »« Avec 20 fois plus de cas suspects que de cas confirmés, cette catégorie de maladie ne peut être ignorée simplement parce qu’il n’y avait pas de résultat positif au test PCR. »« Même après élimination des cas survenus dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sous vaccin Pfizer vs 287 sous placebo), qui devraient inclure la majorité des symptômes dus à la réactogénicité du vaccin à court terme, l’efficacité du vaccin reste faible: 29% »Que dire de la déclaration de partage de données de Moderna qui indique que les données « peuvent être disponibles sur demande une fois l’essai terminé ». Cela se traduit entre le milieu et la fin de 2022, car un suivi est prévu sur 2 ans ! Les choses ne seront pas différentes pour le vaccin Oxford / AstraZeneca, qui a promis des données au niveau des patients « lorsque l’essai sera terminé ». Et l’entrée ClinicalTrials.gov pour le vaccin russe Spoutnik V indique qu’il n’est pas prévu de partager les données individuelles des participants.Bien d’autres points pourront être soulevés, parmi lesquels le traitement à part des patients HIV. Pour quelle raison ? S’il s’agit de l’immunodépression, je gage que bien d’autres cas existent parmi 40.000 personnes. En outre quelle surprise de ne constater aucun décès parmi tous ces gens exposés au virus… 
  70. Voir l’article de l’AIMSIB qui démonte cette pantalonnade. Cette étude ne montre donc absolument Aucun bénéfice pour empêcher la mort par Covid-19 et encore moins un effet sur la mortalité globale de la part du vaccin Pfizer-BioNTech. Au contraire, le risque d’hospitalisation pour effets secondaires grave est plus que doublé.Dans ces conditions et avec cette étude publiée voici à peine plus d’1 mois, comment peuvent-ils encore affirmer que ces vaccins empêchent de mourir de la maladie, qu’ils sont sûrs et efficaces et surtout qu’il n’y a pas d’effets secondaires graves ou de morts provoqués par ces vaccins ? L’étude de Pfizer dit exactement le contraire.Un produit pareil en temps normal n’aurait JAMAIS été approuvé et/ou aurait été retiré immédiatement avec de telles données à 6 mois. Le bénéfice de ces injections est tout simplement négatif !En langage comptable cela se nomme un DÉFICIT ou une PERTE dont l’ampleur ou l’accumulation peut conduire à un redressement ou à une liquidation…De surcroît, n’oublions pas que ces données sont basées sur la souche initiale de Wuhan plus mortelle que le variant Delta. La balance bénéfice risque est donc encore plus négative aujourd’hui
  71. Une fraude de grande ampleur déjà surnommée le PfizerGate, impliquant la société pharmaceutique Pfizer, son sous-traitant, la société Ventavia Research Group chargée des essais cliniques, et la Food and Drug Aministration (FDA), a été révélée hier par le British Medical Journal
  72. Le Dr. Peter Doshi, l’un des rares scientifiques à se battre pour la vérité déclare au Sénat américain : « Les essais cliniques n’ont pas prouvé que les vaccins géniques sauvent des vies. »Les études, réalisées par la société pharmaceutique elle-même, ont montré des incohérences et des dissimulations de données. Celles-ci laissent apparaître d’une part qu’elles ont été intentionnellement falsifiées pour pouvoir affirmer des résultats probants, d’autre part qu’en réalité, l’efficacité des injections géniques n’a jamais dépassé le seuil des 20 à 30%.Elles n’auraient donc jamais dû être approuvées pour leur mise sur le marché.Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses (article de Jean-Dominique Michel) : cliquer ici.Does the FDA think these data justify the first full approval of a Covid-19 vaccine? (article en anglais de P. Doshi dans le BMJ) : cliquer ici.Pfizer contre Pfizer : la dernière étude est frauduleuse, article sur Covidhub : cliquer ici
  73. Article AIMSIB
  74. Voir ici
  75. Comique, mais pas drôle, citons la mort d’un arrêt cardiaque juste après son injection, du grand acteur indien Vivekh engagé pour faire la promotion de l’inoculation. Il faut admettre aussi que le port du masque en solitaire dans sa voiture nous a révélé un nouvel étalon or de la connerie comme dirait Audiard
  76. La propagande totalitaire devrait tout de même essayer de se renouveler de temps en temps. Comparaison n’est par raison, mais les similitudes sont frappantes. Bon, évidemment notre médecin cantonal on ne l’imagine pas attaquer l’armée de César à lui tout seul et je ne suis pas certain de lire dans ses yeux l’éclat d’une intelligence surhumaine. Mais la même pose que les autres pour nous déclarer —aux antipodes de la science supposée— sa croyance dans la haute efficacité d’un vaccin aux statistiques bidonnées, c’est cocasse et navrant.
  77. Il est intéressant de noter l’évolution des concepts de la propagande sanitaire :je me vaccine pour être sauvé (marketing sanitaire), puisje me vaccine pour pouvoir voyager (marketing pour la liberté), puisje me vaccine pour ne pas tuer mes grand parents ouje me vaccine par solidarité (marketing de la culpabilisation)et maintenant la menace et l’intimidation. Si vous ne vous faites pas vacciner on va vous pourrir la vie.On va aussi faire croire aux vaccinés que tout est de la faute des non vaccinés (voir Veran). Tout est fait pour diviser le peuple en deux alors que toute la situation est due exclusivement à nos gouvernants. 
  78. Voir sur RTL le canular radiophonique qui faisait paniquer l’Amérique. 
  79. Lire absolument l’article complet en anglais sur Counterpunch qui pose dès 2017 la question : pourquoi la propagande officielle ridicule marche quand même ? 
  80. Voir le livre de Bruno Bettleheim, Le Coeur conscient, dans lequel une psychologue allemande décrit comment elle s’était rangée aux côtés des nazis pendant la Deuxième Guerre mondiale. L’obligation de saluer le drapeau nazi chaque matin sans y croire était rapidement devenu trop humiliante pour elle, de sorte qu’elle avait fini par lâcher prise et par le saluer avec le plus grand enthousiasme. Ainsi, pour échapper à la honte de s’abaisser à saluer des idées qu’elle méprisait, elle était devenue une nazie loyale. 
  81. Depuis la peste de Marseille en 1720, on sait parfaitement que le confinement des gens sains est parfaitement contre-indiqué. Par ailleurs, seul le confinement des personnes malades a permis d’éradiquer la variole, non pas la vaccination comme aiment encore à le dire de nombreux « spécialistes ». 
  82. Jingyi Xiao et autres (2020) « Mesures non pharmaceutiques en cas de pandémie de grippe dans des contextes autres que ceux des soins de santé – Mesures de protection personnelle et environnementale » : « Bien que des études mécanistes confirment l’effet potentiel de l’hygiène des mains ou des masques faciaux, les résultats de 14 essais contrôlés randomisés de ces mesures n’ont pas permis de conclure à un effet substantiel sur la transmission de la grippe confirmée en laboratoire. De même, nous avons trouvé des preuves limitées de l’efficacité d’une meilleure hygiène et d’un meilleur nettoyage de l’environnement ». 
  83. Denis G. Rancourt (2020) : « Les masques ne marchent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale autour de la COVID-19 ». 
  84. Wittoria Offeddu et autres (2017) « Efficacité des masques et des respirateurs contre les infections respiratoires chez les travailleurs de la santé : Un examen systématique et méta-analyse « : « La preuve d’un effet protecteur des masques ou des respirateurs contre une infection respiratoire vérifiée (IRM) n’était pas statistiquement significative ». 
  85. Faisal Bin-Reza et autres (2011) « L’utilisation de masques et de respirateurs pour prévenir la transmission de la grippe : une revue systématique des preuves scientifiques – Grippe et autres virus respiratoires » : « Une revue systématique a été entreprise pour aider à éclairer les directives sur la grippe pandémique au Royaume-Uni. La revue initiale a été réalisée en novembre 2009 et mise à jour en juin 2010 et janvier 2011. Les critères d’inclusion comprenaient des essais contrôlés randomisés et des études quasi expérimentales et observationnelles sur des humains et publiées en anglais avec un résultat de grippe confirmée en laboratoire ou cliniquement diagnostiquée et d’autres études sur les infections respiratoires virales. Il y avait 17 études éligibles. Six des huit essais contrôlés randomisés n’ont trouvé aucune différence significative entre les groupes témoin et d’intervention (masques avec ou sans hygiène des mains ; respirateurs N95 / P2) (…) Aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation d’un masque / respirateur et la protection contre l’infection grippale (…) ». 
  86. B. J. Cowling et autres (2010) « Masques faciaux pour prévenir la transmission du virus de la grippe : une étude systématique » : « Aucune des études examinées n’a démontré un bénéfice du port d’un masque, que ce soit dans le cadre du travail de santé ou dans la communauté membres des ménages (H). Voir les tableaux récapitulatifs 1 et 2 ». 
  87. Joshua L. Jacobs et autres (2009) « Utilisation de masques chirurgicaux pour réduire l’incidence du rhume chez les professionnels de la santé (HCW) au Japon : Un essai contrôlé randomisé » : « Les travailleurs de la santé masqués N95 étaient significativement plus susceptibles d’avoir des maux de tête. Il n’a pas été démontré que l’utilisation de masques faciaux chez les HCW présentait des avantages en termes de symptômes du rhume ou de prise de froid » 
  88. Les gels hydroalcooliques contiennent des perturbateurs endocriniens. Voir ici
  89. Voir le MIT mais aussi de nombreux articles dans Children Health Defense
  90. Voir Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China. 
  91. Voir Le messie et son prophète, vol II, p70 par E. M. Gallez. « Pour les femmes, les conséquences sont en tout cas funestes ; en bien des lieux où la Charia {saritah) ou loi islamique est imposée, il devient dangereux d’avoir été violée, ou d’être enceinte sans être mariée, ou même simplement d’être non mariée. 
  92. Voir notamment – Aurélie Haroche. Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie. JIM (Journal International de Médecine). 25 Avril 2020.- Jean-François Toussaint, Andy Marc. Sortir d’un confinement aveugle. La Recherche. 22 Avril 2020.- Tom Jefferson and Carl Heneghan. Modelling the models. CEBM (Centre for Evidence-Based Medicine). 3 Avril 2020. 
  93. Voir l’article complet en anglais
  94. Gates a patiemment infiltré la presse mondiale depuis des années. « Mais elle introduit un conflit d’intérêts flagrant, dans la mesure où les institutions mêmes sur lesquelles nous comptons pour demander des comptes à l’un des hommes les plus riches et les plus puissants de l’histoire de la planète sont discrètement financées par lui. Ce conflit d’intérêts est celui que les médias institutionnels ont largement tenté d’ignorer, tandis que le philanthrope prétendument altruiste qu’est Gates continue de s’enrichir, en riant aux éclats. »Voir la liste non exhaustive des médias arrosés par Gates ici, ainsi qu’un très intéressant développement sur le philathro-capitalisme. 
  95. Le vacciné participe sans son consentement à une gigantesque expérimentation médicale. Nous sommes donc pleinement en contradiction avec la loi. N’est-il pas fascinant que dans un bel unisson toute la classe politique confondue et toutes les rédactions de presse foulent au pied la Convention d’Oviedo que la Suisse a ratifié en 2008 et la France en 2012, dans le but d’encenser un produit qui n’a même pas encore reçu d’autorisation de mise sur le marché ? Pourquoi avoir pendu des nazis à Nuremberg pour en arriver là ? La situation s’est encore aggravée depuis que j’écris ces lignes car nous n’en sommes plus au consentement non éclairé mais à la coercition vaccinale, ce qui permettra d’ôter toute circonstance atténuante quand ces bureaucrates comparaîtront devant la cour martiale internationale. 
  96. Seul Bruno Riondel a dressé une analyse saisissante et percutante de la situation dans son intervention « D’octobre 17 au grand reset ». 
  97. Pour vous donner une idée du flicage déjà en place, regardez ce que votre IPhone enregistre à votre insu comme données sur vous. : 
  98. Sauf si l’on exclut la Suède, et quelques autres pays comme la Tanzanie —dont le président John Magufuli, n’a pas voulu reconnaître la pandémie, a demandé aux médias de ne pas parler de l’infection, mais qui est décédé dans des conditions étranges non sans avoir montré en Mai 2020 la fraude des tests PCR positifs de manière aussi drôle que concluante avec des échantillons de Durian et autres fruits ou animaux (chèvres et caille) ! 
  99. https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf. Lire aussi dans IL FOGLIO du 4 Mai 2020 au sujet de Ioannidis : « Ioannidis est bien connu pour avoir écrit peut-être l’article scientifique le plus lu de l’histoire de la biomédecine, qui s’intitule Pourquoi la plupart des résultats produits par la recherche sont faux. La thèse était que la plupart des études menées dans le domaine biomédical ne sont pas reproductibles. Non seulement ou pas tant en raison du fait que de nombreuses expériences sont mal conçues – Ionannidis le reconnaît et stigmatise la négligence et l’angoisse de publier des données – mais parce que la variabilité causale inhérente aux phénomènes étudiés rend certains résultats faux. Il s’agit d’un concept quelque peu sophistiqué pour une communauté scientifique cherchant à appliquer des modèles mécanistes aux phénomènes darwiniens » Ah ! qu’en termes galants ces choses-là sont mises (Le Misanthrope, I, 2, 314). 
  100. Le Dr. Richard Horton, éditeur en chef de la prestigieuse revue « The Lancet » déclare: « Les accusations contre la science sont simples : une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, est tout simplement fausse … la science a pris un virage vers l’obscurité. »Le Dr. Marcia Angell enfonce le clou : « Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée … Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, que j’ai atteinte lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédactrice en chef du New England Journal of Medicine ».Qu’en est-il d’une « vérité scientifique » réduite à la statistique dans un champ aussi complexe que la « Médecine » ? 
  101. Ce remarquable article de l’équipe Kennedy nous donne une idée précise du panier de crabes en action. Plus de 50 millions d’Américains ont perdu leur emploi à l’automne 20 tandis que la fortune des milliardaires a augmenté de mille milliards de dollars soit 40 milliards par semaine en moyenne. 
  102. Voir son intervention devant la haute autorité Rabbinique d’Israël, ainsi que sa récente interview de cet homme admirable qui n’a de compte à rendre qu’à Dieu. Il a probablement soigné à lui seul plus de cas de Covid que n’importe quel autre et dénonce le mise en route d’un génocide planétaire. 
  103. Voir l’interview du Dr . Bhakdi. 
  104. Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer dont il fut scientifique en chef pour les allergies et les voies respiratoires, a passé 32 ans dans l’industrie à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec «le poste de recherche le plus élevé» en son domaine. Il dénonce la propagande des gouvernements au sujet du COVID-19, y compris le «mensonge» de variants dangereux, l’aspect totalitaire des «passeports vaccinaux» et la forte possibilité que nous ayons affaire à une «conspiration» qui pourrait conduire à quelque chose de bien pire que les guerres et les massacres du 20e siècle. 
  105. Le CSAPE (Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens) a déposé en date du 28 juin dernier devant la CPI une plainte pénale avec demande d’ouverture d’enquête pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, servitude et génocide, sous le numéro OTP-CR-271/21visant le président Emmanuel Macron, le gouvernement et les haut-fonctionnaires impliqués dans la gestion criminelle de l’épidémie de Covid. 
  106. La plainte déposée début Mars 2021 devant le TPI a été reçue. L’organisation People of Truth a déposé une plainte contre le gouvernement israélien, qui mène des expériences illégales sur des citoyens israéliens au travers de la vaccination Pfizer. L’avocate Ruth Makhachovsky a déclaré à Israel News : « L’expérience que Pfizer mène dans l’Etat d’Israël a été menée en violation du Code de Nuremberg, qui appartient au droit pénal international et est sous la juridiction du tribunal de La Haye. Nous attendons maintenant une décision. » Lien vers les observations du Conseil européen. 
  107. Voir ici l’article de Nicole Delépine, « Un jour viendra où les négationnistes des traitements précoces devront rendre des comptes. En Inde, une représentante de l’OMS est mise en accusation. » 
  108. Alexis de Tocqueville (1835), De la démocratie en Amérique I (deuxième partie), chapitre X. 
  109. Les intrications sont probablement plus complexes encore que les liens féodaux du Moyen-Age, j’ai voulu simplifier ici en ne citant que les plus grands noms.La famille Wallenberg par exemple détient des parts de Astra-Zeneca par intermédiaire de sa très puissante société d’investissements Investor AB. Mais il y a aussi des miracles … il faut suivre le parcours exceptionnel d’un des membres de la famille, Raoul Wallemberg qui sauva la vie de plusieurs milliers de juifs pendant la guerre.Pour le lien entre l’agriculture et big-pharma, on peut simplement remonter à Elf-Aquitaine (qui sera absorbé par le groupe Total) et à la création de Sanofi … le lien est direct. Il est tout aussi direct avec le monde du luxe : famille Bettencourt (avec André Bettencourt en leader cagoulard et collaborateur) et la famille Arnault (avec là aussi le père et le beau-fils, Xavier Niel, qui s’occupe d’agriculture depuis peu de temps).Nous sommes ici très près des fabricants d’armes Lagardère et Dassault.On se souviendra alors de l’affaire Elf et de ce personnage extrêmement trouble qui a rôdé dans les souterrains du pouvoir à partir des années 30 : Etienne Léandri … collaborateur, agent de la mafia sicilienne en France, donc lié à la CIA, « parrain protecteur » de Charles Pasqua et grand stratège de la « France Afrique » …Quand on est sur les traces de Léandri, on remonte assez vite à Georges Alberini, collaborateur lui aussi et parrain du patronat français. Conseiller de l’ombre de Georges Pompidou … duquel sera proche Jacques Chirac.Pompidou, agent Rothschild (dont Vincent Bolloré, qui rachètera la banque Worms, protectrice d’Albertini après-guerre, est l’un des membres par sa grand-mère), qui organisera la réforme financière qui donnera naissance à la dette d’état.Dans cette réforme financière, seront sans doute associés Michel Cicurel (frère de Ilana Cicurel, cousine de Tristan Mendès-France qui ont tant critiqué le film Hold Up à sa sortie) et un certain Jean-René Bernard, banquier condamné, dont la fille est Présidente, nommée par Emmanuel Macron, de la CNIL et le beau-fils, le président très controversé de la 7ème banque française (qui détient la cagnotte Leetchi), sommé très récemment de démissionner sous la pression, mais remplacé par un certain Julien Carmona, copain de promotion d’Edouard Philippe. Julien Carmona dont le père n’était autre que l’un des derniers confidents de …. Etienne Léandri …Dont l’un des proches était Achille Peretti, beau-père de … Nicolas Sarkozy, bien entendu, dont le nom est apparu, rapidement, dans l’affaire de drogue « Air Cocaïne » … mais ceci est une autre histoire, même si le trafic de drogue est complètement lié à big-pharma et aux découvertes des chercheurs allemands de chez Bayer. La morphine sera diffusée en masse pendant la première guerre mondiale, au moment où on constatera l’efficacité des nitrates chimiques sur la pousse de l’herbe rendue plus haute et plus verte dans les champs de bataille de Verdun… 
  110. Macron ou Trudeau constituent à cet égard des exemples typiques de psychopathie avec leurs belles gueules. Ils sont si pervers que même les employer à jardiner ne serait pas sans danger… Voyez l’analyse remarquable de Macron par un grand professeur de psychiatrie italien. 
  111. Le divorce du couple Melinda et Bill repose non seulement sur son infidélité débridée mais probablement aussi dans la relation de Bill avec le sinistre Epstein « suicidé » dans sa cellule.Dans la biographie de 1997 Overdrive : Bill Gates et la course pour contrôler le cyberespace, le biographe James Wallace a déclaré que le style de vie extravagant de Bill Gates était connu de la plupart des gens, mais que la presse grand public avait décidé de ne pas y faire allusion. Le “mythe” Gates ne pouvait pas être touché. Le fondateur de Microsoft, en effet, aurait payé à l’époque des danseurs pour nager nus avec ses invités dans sa piscine couverte. Rien de nouveau, pour ceux qui le connaissaient vraiment : à Harvard, le magnat était « habitué à fréquenter la Combat Zone à Boston, avec ses shows pornos, ses prostituées et ses clubs avec des strip-teaseuses ». Un style de vie de rock star qu’il a ensuite maintenu, précise Wallace, même dans les premières années avec Melinda.En 2013 Epstein et Gates visitent Strasbourg pour avoir une vue complète de l’organisation de la santé en Europe. A cette époque ce dernier n’est que le PDG de Microsoft. Il en profite pour aller en Norvège afin de tenter de corrompre le jury prix Nobel pour se faire décerner le prix Nobel de la paix. Epstein était son pass car il a piégé de nombreuses têtes couronnées — il fournissait par exemple le Prince Andrew en filles. 
  112. Voir La Guerre des Monnaies classique devenu le livre de chevet des membres du Comité Central du Parti Communiste et des banquiers chinois. Le best-seller chinois de Hongbing Song, déroule l’histoire de la grande cabale monétaire qui a façonné le monde depuis plus de deux cents ans, de la constitution de la dynastie des Rothschild la fin du 18ème siècle jusqu’à la crise de 2008. 
  113. Le premier à se faire berner par les financiers Rothschild fut le roi d’Angleterre. Nathan est aussi à cet égard le pionnier de l’utilisation de la panique et de la fausse nouvelle : ayant appris la nouvelle de la défaite française de Waterloo 24 heures avant tout le monde, il s’installe à la Bourse, appuyé sur « son pilier » favori et commence à vendre. Tout le monde se dit que Rothschild « sait quelque chose », chacun se met à liquider ses positions. A la fin de la journée, Nathan rachète l’ensemble de la Bourse pour 5% de sa valeur. Bonaparte à peine élu Premier Consul crée la Banque dite de France, une institution privée, au même titre par exemple que la Fed américaine. Ce sont ces banquiers suisses dépendant aussi des Rothschild qui feront et déferont le Premier Empire dès que l’Empereur ne servira plus assez leurs intérêts. 
  114. L’ouvrage indispensable est Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, de Quigley. L’auteur développe et explique à partir d’abondantes pièces d’archives que les élites anglo-saxonnes ont élaborées, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, un véritable plan de bataille afin de permettre à l’Empire britannique associé aux États-Unis d’asseoir une hégémonie complète sur le monde. Cette volonté de puissance et de domination a été l’œuvre d’une poignée d’hommes liés intimement à la haute finance de la City et de Wall Street. Tout un groupe, issu de la haute aristocratie et bourgeoisie britannique en liaison avec une élite américaine, émerge. Fort d’un travail de bénédictin, Carroll Quigley recense les noms et expose les ambitions de cette « super classe « ou « famille technocratique » avant l’heure définie par des liens sociaux et familiaux étroits.Si vous n’avez jamais entendu parler du Groupe Milner (que se muera plus tard en d’autres associations comme Bilderberg), et si les noms de Sazonov, ou Izvolsky, vous sont étrangers alors vous devez lire aussi Docherty et McGregor, qui ont montré —à la suite de Quigley— les ressorts secrets de la Première Guerre mondiale dans Les origines secrètes de la première guerre mondiale. Leurs travaux sont largement confortés par McMeekin dans son fameux Russian Origins of the First World War
  115. Je renvoie le lecteur aux principaux ouvrages de Bruno Riondel touchant au communisme. Son classique L’effroyable vérité montre les horreurs de la mise en place du système et de l’ingénierie sociale, et démontre que le communisme n’est pas mort et qu’il présente des liens profonds avec le capitalisme. Une excellente conférence, censurée par YouTube se trouve ici
  116. Conclusions du Conseil européen sur la COVID-19, l’énergie, le commerce et les relations extérieures, 21 octobre 2021 :“accroître encore les taux de vaccination”“vaincre la méfiance en luttant contre la désinformation sur les réseaux sociaux”“coordination pour faciliter la libre circulation” (ce qui signifie passe sanitaire en langage diplomatique)“mesures législatives relatives à l’union de la sant锓accès aux médicaments dans tous les Etats membres”“accès aux vaccins pour tous”“rôle fort et central de l’OMS dans la future gouvernance mondiale de la sant锓traité international sur les pandémies”Dans son excellent article du Courrier des stratèges, Éric Verhaeghe de conclure : « Cette énumération permet de vérifier à quel point les gouvernements européens sont ligués autour d’un “mainstream” commun en matière de pandémie, avec des éléments de langage qui reviennent sans cesse à tous les étages de la fusée multilatérale.On retiendra du conseil européen qu’il vise aussi à préparer la réunion du G20 où la question de la pandémie sera évoquée. Nous baignons ici dans les eaux du multilatéralisme le plus pur. On découvre que les dirigeants européens parlent de préparer la “future gouvernance mondiale de la santé” avec l’OMS. On n’avait pas clairement entendu parler de ce projet entre nous, et on le découvre un peu sans qu’il n’ait été discuté par personne. Au fond, c’est en lisant les conclusions des Conseils européens qu’on comprend ce qui se trame en sous-main dans les arcanes du monde multilatéral. L’idée dominante est de transformer l’Organisation Mondiale de la Santé en structure de gouvernance mondiale pour les pandémies. C’est donc l’OMS qui déciderait de tout : des vaccins, des traitements, des mesures d’urgence.Pareil transfert de souveraineté n’est évidemment ni expliqué aux peuples de l’Union, ni discuté avec eux. La décision est prise et il n’y a plus qu’à l’appliquer. La pandémie aura donc aussi servi à déposséder les peuples de leurs droits et à favoriser l’avènement d’une caste multilatérale toute-puissante. » 
  117. Voir Théorie et pratique du collectivisme oligarchique de J.B.E. Goldstein. Quels que soient l’origine sulfureuse de l’ouvrage, supposément daté de 1948, ou ses liens avec le fameux 1984 d’Orwell (Eric Arthur Blair de son vrai nom), le texte nous éclaire sur la pensée mondialiste et ses ressorts : le rôle du secret, des alcôves de la République et des sociétés secrètes, sur cette aristocratie cachée qui a coupé la tête du roi pour recréer sa propre aristocratie obscure et avilie, et qui lutte contre le catholicisme pour recréer sa propre religion syncrétique et anti-catholique. On trouvera dans un site qui met Karl Polanyi à l’honneur —l’auteur de la Grande Transformation— un article intéressant sur le supposé Goldstein. 
  118. Nous reviendrons plus loin sur le sinistre personnage de Jacques Attali, grand-prêtre des mondialistes depuis toujours, et qui est aussi celui qui a fait la fabrication et la promotion de Macron. Citons ici son article de 2009 « Avancer par peur » : Une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé. Admirons au passage le sublime oxymore de l’altruisme intéressé, et Jérusalem comme future capitale du nouvel ordre mondial. 
  119. Je fais allusion ici à l’ouvrage de Claire Séverac: La guerre secrète contre les peuples, un essai parfaitement documenté sur des faits sciemment négligés voire rejetés par nos médias tous dans la main de cette caste omnipotente. Le lecteur ne trouvera que des faits avérés, difficilement contestables et patiemment compilés par Claire Séverac qui, sans doute, paya de sa vie son honnêteté et son intégrité. Ce livre est une somme et même un ouvrage de référence sur ce sujet sensible. Et les derniers développements de cette course folle et mortifère vers ce « nouvel ordre mondial «, comme ils l’appellent pour ne pas dire « dictature globale «, ne font que confirmer ses dires. C’est un réquisitoire en règle. Tout y passe depuis le programme « HAARP « qui consiste à bombarder l’ionosphère d’ondes à très hautes fréquences pour déclencher artificiellement tempêtes, tremblements de terre, voire tsunamis, jusqu’aux OGM en passant par les nanotechnologies, la bio-ingénierie, le transhumanisme, sans oublier toutes les arnaques comme le prétexte climatique ou sanitaire avec les campagnes de vaccination de Bill Gates dans le Tiers-Monde cause de stérilité des femmes ou de maladies bien plus graves. 
  120. Voir l’article du Courrier des stratègesPremière certitude : l’épidémie de covid-19 a commencé à Wuhan bien avant décembre 2019. Des photos américaines prises par satellite ont repéré deux fois plus de voitures que d’ordinaire sur les parkings des principaux hôpitaux de Wuhan dès le mois d’août 2019.Deuxième certitude : le gouvernement chinois, avec les réflexes typiques d’un régime communiste, a dissimulé le plus longtemps possible l’existence de l’épidémie et n’en a parlé au monde que contraint et forcé, en janvier 2020 quand elle n’était plus possible à dissimuler.Troisième certitude : Le Dr. Anthony Fauci a tout fait pour empêcher Donald Trump de remonter la piste d’un accident de laboratoire au P4 de Wuhan car il avait, directement ou indirectement, autorisé des financements à destination du laboratoire de Wuhan.  Les révélations se sont multipliées à cet égard ces dernières semaines. En bref, les recherches dites de “gain de fonction”, consistant à transformer le génome de virus pour le rendre plus dangereux pour l’homme a été interdite aux Etats-Unis entre 2013 et 2017. Des chercheurs américains ont pu néanmoins continuer à faire de telles recherches au laboratoire de Wuhan avec, entre autres ressources, de l’argent du Pentagone transféré par une ONG appelée EcoHealth Alliance.  Le 20 juillet 2021, Anthony Fauci avait encore nié  l’existence de ce type de recherches mais un réseau de chercheurs appelé DRASTIC (Decentralized Radical Autonomous Search Team Investigating COVID-19) ne cesse d’amener des preuves du contraire.Quatrième certitude: la thèse de la transmission naturelle du virus à l’homme a de moins en moins de partisans. La thèse d’un accident de laboratoire devient majoritaire, d’autant plus que tout le monde s’accorde à dire que les Chinois ont mené avec un niveau de sécurité 2, à Wuhan, des recherches qui demandaient un niveau de sécurité 4.Cinquième certitude: l’Armée chinoise se serait bien passée de la publicité faite au laboratoire de Wuhan puisqu’elle y menait, en lien avec la recherche civile, une recherche sur les armes biologiques du futur. 
  121. L’article très raisonné et persuasif, du journaliste Nicholas Wade a marqué la prise de conscience de la manipulation virale. Bien que l’auteur ait passé plus de quatre décennies comme grand reporter scientifique au New York Times et dans d’autres grands médias, son travail a été discrètement publié le 2 mai sur le site de blogs Medium, sans aucun soutien ni imprimatur prestigieux, puis republié le 5 mai par le site à faible trafic du Bulletin of Atomic Scientists. On pourra aussi lire L’origine du Covid: retournement orwellien et pétard mouillé
  122. Des virologues affirment que des “empreintes” génétiques prouvent que le COVID-19 est d’origine humaine et qu’il n’a pas d’ancêtre naturel crédible. Bref résumé : l’étude suggère que des scientifiques chinois ont créé le virus alors qu’ils travaillaient sur un projet de gain de fonction dans un laboratoire de Wuhan.La recherche sur le gain de fonction, qui a été temporairement interdite aux États-Unis, consiste à modifier des virus naturels pour les rendre plus infectieux afin d’étudier leurs effets potentiels sur l’homme.Selon l’article, les scientifiques chinois ont pris la « colonne vertébrale » d’un coronavirus naturel trouvé chez les chauves-souris des grottes chinoises et y ont ajouté une nouvelle « pointe », le transformant en COVID-19, un virus mortel et hautement transmissible.Les chercheurs, qui ont conclu que le COVID-19 « n’a pas d’ancêtre naturel crédible », pensent également que les scientifiques ont procédé à une rétro-ingénierie des versions du virus pour brouiller les pistes.« Nous pensons que des virus de rétro-ingénierie ont été créés », a déclaré Dalgleish au DailyMail.com. Ils ont modifié le virus, puis ont essayé de faire croire qu’il était dans une séquence il y a des années ».L’étude fait également état de « destruction, dissimulation ou contamination délibérée de données » dans les laboratoires chinois et note que « les scientifiques qui souhaitaient partager leurs découvertes n’ont pas pu le faire ou ont disparu ».Jusqu’à récemment, la plupart des experts ont fermement nié que les origines du virus étaient autre chose qu’une infection naturelle passant des animaux aux humains.En début de semaine, le Dr Anthony Fauci a défendu le financement américain de l’Institut de virologie de Wuhan, affirmant que la subvention de 600 000 dollars n’avait pas été approuvée pour la recherche sur le Gain de Fonction. 
  123. Voir Covid-19 : l’origine du virus – L’analyse du Pr Tritto confirme celle du Pr Montagnier. Un livre polémique vient de sortir en Italie sur les origines de ce virus qui a bouleversé le monde au cours des six derniers mois. Le professeur Luc Montagnier, décrié dans les médias en avril dernier, voit son affirmation selon laquelle le virus était le résultat d’une manipulation humaine s’étant échappé (accidentellement) du laboratoire de Wuhan, aujourd’hui reprise dans ce livre.  Nous retraçons les évènements et les extraits d’une interview de l’auteur du livre, le Pr Tritto, dans le média italien Libero.Le 17 avril 2020, sur Cnews, le professeur Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine en 2008 pour sa participation à la découverte du virus responsable du sida, confirmait sa déclaration que le SARS-CoV-2 est une fabrication humaine. « Nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il y a eu une manipulation sur ce virus. Une partie, je ne dis pas le total. Il y a un modèle qui est le virus classique, mais auquel on a ajouté par-dessus des séquences du VIH » « Ce n’est pas naturel, c’est un travail de professionnel, de biologiste moléculaire, d’horloger des séquences. Dans quel but ? Une de mes hypothèses est qu’ils ont voulu faire un vaccin contre le sida »Le Pr. Montagnier fait sa démonstration le 30 Juillet 2020 dans un article paru sous contrôle de pairs, et qui ne sera jamais cité dans les autres revues —autocensure et omerta— ni les merdias. En résumé : « L’analogie suivante permet d’illustrer cette conclusion : imaginons un puzzle principal « coronavirus » de 30 000 pièces et après plusieurs autres puzzles de 9000 pièces chacun que nous appellerons VIH 1, VIH 2 et SIV (rétrovirus proche du VIH-2 dont la cible est le singe). La preuve mathématique démontrée, peut être illustrée de la manière suivante : dans le puzzle de 30 000 pièces, à un endroit précis se trouvent trois pièces contiguës (côte à côte) issues chacune de l’un des trois autres puzzles. La probabilité que ce résultat soit naturel est nulle. » 
  124. Un ancien communiste chinois, Wei Jingsheng affirme que le SARS-Cov2 a été inoculé volontairement lors des Jeux Militaires Internationaux qui ont eu lieu à Wuhan en octobre 2019. Dans le documentaire de Sky News intitulé « What Really Happened in Wuhan », l’ancien communiste chinois a déclaré que le gouvernement de Pékin aurait profité des Jeux mondiaux militaires pour répandre le virus.Cet événement a réuni 9.000 athlètes en provenance de différents pays du monde en octobre 2019, soit deux mois avant la déclaration officielle de l’existence du virus. Par ailleurs, cette rencontre sportive s’est tenue dans la ville de Wuhan, le premier foyer de l’épidémie.A l’époque, toujours selon M Jingsheng, les participants à l’évènement, notamment les athlètes allemands, français et américains, ont été atteints d’une maladie mystérieuse. Ils présentaient les symptômes du Covid-19 mais n’ont jamais fait l’objet d’un test. Voir aussi l’article de Mail Online
  125. Voir l’incontournable article de Eric Verhaeghe. « Dans ce troisième volet de l’enquête, nous allons voir comment l’Occident, Etats-Unis et France en tête, portent une lourde responsabilité dans l’émergence du COVID-19. Cela ne dédouane en rien la Chine communiste de sa responsabilité première et principale dans les origines et la diffusion de la pandémie. Cependant, c’est bien la recherche occidentale qui a permis à la chercheuse Shi Zhengli, de Wuhan, de devenir le Frankenstein de cette histoire, à qui sa créature monstrueuse a échappé. » 
  126. Ces machinations furent dénoncées en France par le Pr. Fourtillan qui s’est retrouvé emprisonné arbitrairement, hospitalisé de force en hôpital psychiatrique —les vieilles recettes soviétiques fonctionnent toujours. Voir sur Qactus. Le Pr. Montagnier a aussi été l’un des premiers à monter l’origine artificielle du virus avant d’être enseveli sous des torrents de calomnies de la part des merdias officiels, ses vidéos effacées de tous les supports comme Facebook. 
  127. Voir https://denisbider.blogspot.com/2021/07/dr-david-martin-with-reiner-fuellmich.htmlLes découvertes fondamentales réalisées par le Dr. David Martin au sein de son entreprise M-CAM. L’interview par Robert Füllmich montre que plus de 4000 brevets ont été déposés sur le Coronavirus et le SARS. Martin a comparé les enregistrements de brevets disponibles au printemps 2020 avec la séquence de gènes isolée en tant que nouveau virus défini comme tel par le Comité international sur la taxonomie des virus de l’OMS. Son équipe a ainsi trouvé plus de 120 éléments de preuve brevetées qui suggèrent qu’il ne s’agit en rien d’un nouveau coronavirus mais au contraire d’innombrables modifications très subtiles des séquences de coronavirus. Il n’y a donc pas en tant que tel de nouveau coronavirus identifié.../../../Downloads/david%20martin.png Le premier vaccin jamais breveté contre le coronavirus a été déposé par Pfizer et comprenait spécifiquement la protéine Spike « S » – cette même protéine qui aurait été inventée à la hâte. La première demande a été soumise le 28 janvier 2000.L’idée que l’on soit mystérieusement tombés sur le moyen de trouver si rapidement des vaccins n’est pas seulement ridicule, elle est carrément inconcevable. Le 28 janvier 2000, Timothy Miller, Sharon Klepfer, Albert Paul Reed et Elaine Jones ont déposé ce qui a finalement été publié sous le nom de brevet américain 6372224, à savoir le vaccin à protéine Spike contre le coronavirus canin.Le SARS n’est en rien l’évolution naturelle d’une modification zoogène du coronavirus. En 1999, Anthony Fauci a financé des recherches à l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill. À partir d’une demande de brevet déposée le 19 avril 2002, le NIAID a construit un coronavirus infectieux à réplication défectueuse ciblant l’épithélium pulmonaire humain. En d’autres termes, nous avons créé le SARS et nous l’avons breveté avant même qu’il n’y ait une prétendue épidémie en Asie, qui a suivi plusieurs mois après. Ce brevet américain 7279327 expose clairement dans un séquençage génétique très spécifique que nous connaissions le récepteur ACE, le domaine de liaison ACE-2, la protéine Spike S1 et d’autres éléments du Covid-19. Il a été conçu et transformé de manière synthétique en laboratoire à l’aide des technologies de séquençage des gènes, en prenant un code informatique pour le transformer en un agent pathogène ou en un intermédiaire d’agent pathogène. Au début, cette technologie a été financée exclusivement comme un moyen d’exploiter le coronavirus comme vecteur pour distribuer le vaccin contre le VIH.À l’automne 2001, M-CAM a commencé à surveiller un nombre énorme d’agents pathogènes bactériens et viraux qui étaient brevetés par le NIH, le NIAID, l’USAMRIID et d’autres agences internationales. Ils étaient préoccupés par le fait que le coronavirus était considéré non seulement comme un agent manipulable potentiel pouvant être utilisé comme vecteur de vaccin, mais aussi comme un candidat à l’arme biologique.La prétendue épidémie de SARS qui a eu lieu en Chine en 2002-2003 a donné lieu à un dépôt de brevet problématique en avril 2003 par le CDC américain. Celui-ci a déposé une demande de brevet sur la séquence génétique complète de ce qui est devenu le coronavirus du SARS, ce qui constitue une violation de la section 101 de l’article 35 USC — on ne peut pas breveter une substance naturelle. Il s’agissait du brevet 7220852, avec des brevets dérivés, notamment les brevets 46592703p et 7776521. Ces brevets couvraient également les moyens de détection du coronavirus par RT-PCR.Cela pose problème car celui qui possède à la fois le brevet sur le gène lui-même et sur sa détection possède du même coup l’avantage de pouvoir contrôler à 100% la provenance non seulement du virus lui-même mais aussi sa détection. Vous avez un contrôle total de l’aspect scientifique et de la communication.Ce brevet demandé par le CDC a été prétendument justifié par son équipe de relations publiques dans le but de permettre à tout le monde de faire des recherches sur le coronavirus. C’est un mensonge car l’office des brevets a rejeté à deux reprises le brevet sur la séquence du gène comme étant non brevetable – l’office des brevets a trouvé une identité de 99,9% avec le coronavirus déjà existant dans le domaine public. Malgré le rejet de l’examinateur de brevets, et après avoir dû payer une amende en appel en 2006 et 2007, le CDC a passé outre le rejet de l’office des brevets et a finalement obtenu en 2007 le brevet sur le coronavirus du SARS.Toutes les déclarations du CDC selon lesquelles il s’agissait de l’intérêt public sont démenties par le pot-de-vin qu’il a lui-même versé à l’office des brevets. Le CDC a payé une taxe supplémentaire pour que leur demande reste privée. Les fact checkers ont déclaré à plusieurs reprises que le nouveau coronavirus SARS-CoV-2 est distinct du brevet des CDC. La séquence génétique déposée par les CDC en 2003, 2005 et 2006 présente une identité dans 89 à 99 % de la séquence qui recouvre le SARS-CoV-2. La désignation principale du coronavirus du SARS et le sous-clade SARS-CoV-2 doivent se chevaucher d’un point de vue taxonomique.Le 28 avril 2003, Sequoia Pharmaceuticals, situé dans le Maryland, a déposé le brevet américain 7151163 sur les agents antiviraux pour le traitement et le contrôle des infections par coronavirus. C’était 3 jours après que le CDC ait déposé le brevet sur le coronavirus du SARS. Sequoia Pharmaceuticals et, en fin de compte, Ablynx Pharmaceuticals, ont été intégrés dans les fonds propres de Pfizer, Crucell et Johnson & Johnson. Comment peut-on avoir un brevet sur un traitement pour une chose qui a été inventée 3 jours plus tôt ?Le brevet de Sequoia sur le traitement du coronavirus a été délivré et publié avant que le brevet du CDC sur le coronavirus ne soit autorisé. La seule façon pour Sequoia de connaître les informations contenues dans le brevet du CDC était par un moyen interne, car le CDC avait payé pour garder le secret. C’est la définition même de la conspiration criminelle, du racket et de la collusion. Ce n’est pas une théorie, c’est une preuve. C’est une affaire RICO.Le schéma RICO établi en avril 2003 pour le premier coronavirus s’est déroulé selon le même calendrier pour le SARS-CoV-2. Moderna a obtenu la séquence de la protéine spike par téléphone auprès du centre de recherche sur les vaccins du NIAID avant la définition de la nouvelle sous-classe. Comment traite-t-on une chose avant de la connaître ?Le 5 juin 2008, soit à peu près au moment où la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency (« Agence pour les projets de recherche avancée de défense) s’est intéressée activement au coronavirus en tant qu’arme biologique, Ablynx, qui fait maintenant partie de Sanofi, a déposé une série de brevets visant ce que l’on nous a dit être de nouvelles caractéristiques du SARS-CoV-2. Ils visaient le site de clivage polybasique du SARS-CoV, la nouvelle protéine de pointe et le domaine de liaison du récepteur ACE-2. Ces éléments sont prétendument nouveaux pour le SARS-CoV-2, et tous ont été brevetés le 5 juin 2008. Les brevets ont été délivrés entre le 24 novembre 2015 (brevet américain 9193780 ; celui-ci a été délivré après le moratoire sur la recherche sur le gain de fonction, après l’épidémie de MERS au Moyen-Orient), suivi en 2016, 2017, 2019 par une série de brevets couvrant non seulement les brins d’ARN mais aussi les sous-composants des brins de gènes, tous délivrés à Ablynx et Sanofi.Crucell, Rubius Therapeutics, Children’s Medical Corporation, et de nombreux autres, dont la Ludwig Maximilian’s Universität de Munich, Protein Science Corporation, le Dana Farber Cancer Institute, l’Université de l’Iowa, l’Université de Hong Kong, le Chinese National Human Genome Center de Shanghai, tous identifiés dans des dépôts de brevets allant de 2008 à 2017, chaque attribut étant prétendument publié de manière unique par la seule publication de référence «The Novel Bat Coronavirus», l’article qui a été systématiquement utilisé pour identifier le nouveau virus.Si vous regardez réellement ce qu’ils déclarent être nouveau, vous trouvez 73 brevets délivrés entre 2008 et 2019 qui ont les éléments qui étaient prétendument nouveaux dans le SARS-CoV-2. Plus précisément, le site de clivage polybasique, le domaine de liaison du récepteur ACE-2 et la protéine spike.Il n’y a pas eu d’épidémie de SARS parce que nous avions modifié tous les éléments de ce virus. En 2016, un article de Ralph Baric a été financé pendant le moratoire sur le gain de fonction, disant que le coronavirus du SARS était prêt pour l’émergence humaine. À ce moment-là, non seulement il était prêt pour l’émergence humaine, mais il avait été breveté 73 fois pour une exploitation commerciale !Les gens de Moderna savaient qu’ils allaient être placés en première ligne du développement d’un vaccin en mars 2019. À ce moment-là, pour des raisons qui ne sont pas transparentes, ils ont modifié une série de dépôts de brevets rejetés pour faire spécifiquement référence à une libération délibérée ou accidentelle de coronavirus. Ils ont modifié 4 demandes de brevet rejetées pour commencer le processus de développement d’un vaccin contre le coronavirus. Ensuite, ils ont commencé à s’attaquer à un problème de taille, à savoir qu’ils s’appuyaient sur une technologie qu’ils ne possédaient pas. Deux entreprises canadiennes, Arbutus et Acuitas, détiennent en fait le brevet sur l’enveloppe de nanoparticules lipidiques nécessaire à l’injection du fragment d’ARNm. Ces brevets ont été délivrés au Canada, aux États-Unis et dans le monde entier. Moderna ne possédait pas les droits et a commencé à négocier avec Arbutus et Acuitas pour obtenir une résolution de la technologie LNP disponible pour l’intégrer dans un vaccin. En novembre, la société a conclu un accord de coopération en matière de recherche et développement avec l’UNC Chapel Hill en vue d’obtenir la protéine Spike à placer à l’intérieur du LNP, de sorte qu’elle disposait d’un candidat-vaccin avant même qu’un agent pathogène ne soit prétendument en circulation.Leur procédure régulière est similaire à celle d’autres sociétés pharmaceutiques, où les demandes sont renouvelées et modifiées en permanence pour bénéficier des premières dates de priorité disponibles. De 2016 à 2019, à chacune des réunions du conseil consultatif du NIAID, Anthony Fauci se lamentait de ne pas avoir réussi à trouver un moyen de faire accepter le vaccin universel contre la grippe, qui était sa cible favorite pour amener la population à s’engager dans ce processus…En mars 2019, dans les dépôts de brevets modifiés de Moderna, nous voyons apparaître une pensée illluminante : «Et s’il y avait une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire ?» La phrase est exactement récitée dans le livre A World at Risk, qui est le scénario mis en place par l’OMS en septembre 2019 – des mois avant qu’il y ait un pathogène présumé – qui dit : «Nous avons besoin d’une expérience mondiale coordonnée de la libération d’un pathogène respiratoire, qui, d’ici septembre 2020, doit mettre en place une capacité universelle de gestion des relations publiques, de contrôle des foules et d’acceptation d’un mandat universel de vaccination.» Le langage d’une libération intentionnelle d’un pathogène respiratoire a été écrit dans le scénario qui «doit être achevé d’ici septembre 2020» dans la déclaration unifiée du Global Preparedness Monitoring Board. Un certain nombre de personnes s’en sont attribuées le mérite, puis ont fait marche arrière.Toute affirmation selon laquelle cet agent pathogène est en quoi que ce soit unique ou nouveau s’effondre sur les séquences génétiques réelles qui sont publiées dans le dossier de brevet. Plus grave encore, Peter Daszak lui-même déclare que nous devons créer un battage médiatique pour que le public accepte la contre-mesure médicale que constitue un vaccin contre le pan-coronavirus. Ce qui est le plus ridicule, c’est que l’OMS a déclaré que le coronavirus n’avait plus d’intérêt – que nous avions éradiqué le coronavirus en tant que préoccupation. Alors pourquoi, après l’avoir éradiqué en 2007 et 2008, avons-nous commencé à dépenser des milliards de dollars dans le monde pour un vaccin contre une maladie qui avait été éradiquée par déclaration en 2008 ?Cette arme biologique était considérée comme très malléable. En 2005, c’était incontestablement une arme de choix. L’illusion dans laquelle nous continuons à voir des personnes bien intentionnées se faire piéger consiste à discuter de la question de savoir si nous disposons d’un vaccin contre un virus. Ce n’est pas le cas. Nous injectons une séquence ARNm de protéine de pointe qui est le résultat d’une simulation informatique, non dérivée de la nature, d’une séquence qui est connue et brevetée depuis des années.La nature ridicule de l’histoire selon laquelle il s’agirait d’un traitement prophylactique ou préventif va à l’encontre de toutes les preuves. Les preuves montrent clairement qu’aucune société pharmaceutique n’a fait d’efforts pour combattre le virus. Il s’agit d’injecter aux gens la protéine Spike S1, connue pour être nocive
  128. Un mot ici sur le concept de predictive programming qui consiste à faire passer les idées du développement mondialiste dans le monde courant. Il s’agit d’utiliser les émissions de télévision, les films, les bandes dessinées, les magazines, l’Internet bien sûr, les chansons, les animateurs, le ténors du genre Attali, etc. pour mettre dans la tête des masses l’idée d’un sujet spécifique. Puis, des années plus tard, le sujet devient réalité. C’est une méthode de lavage de cerveau, de sorte que lorsque les temps sont mûrs, il n’y a plus aucune difficulté à accepter l’idée comme normale. Bertrand Russell, HG Wells, et la famille Huxley sont de parfaits exemples —je passe ici tout ce qui concerne les Black Lives Matter ou même les Antifas — voir The Quad, S02.Les simulations diverses issues des grandes fondations jouent le même rôle. La « Rockefeller Foundation » nous prévient ainsi du maintien sous ferme contrôle de la population même après que l’épidémie soit terminée : “Even after the pandemic faded, this more authoritarian control and oversight of citizens and their activities stuck and even intensified. In order to protect themselves from the spread of increasingly global problems — from pandemics and transnational terrorism to environmental crises and rising poverty — leaders around the world took a firmer grip on power (p.19)”Les Protocoles des sages de Sion : quel qu’en soit l’auteur, les Protocoles ne font jamais qu’envisager la prise de pouvoir souterraine par une caste déterminée, tout en reprenant des idées qui étaient dans l’air du temps à la fin du 19ème siècle. Après tout, la démocratie ne serait-elle pas un masque et un moyen transitoire permettant d’instaurer une forme de despotisme d’origine orientale. C’était là, en tout cas, chose que pressentait le marquis de Custine, dans ses Lettres de Russie, dès la première moitié du 19ème siècle. La pertinence du texte écrit voici au moins cent ans laisse pantois : tout ce qui nous arrive aujourd’hui semble y être décrit. Je laisse au lecteur le soin de creuser cette piste qui sort de ma compétence.Dans La machine à explorer le temps (1895) HG Wells décrit le monde du futur où les habitants de la planète sont séparés en deux groupes, les Morlocks vivant sous terre et les Eloïs profitant du paradis qu’est devenu la Terre.Dans Le Meilleur des mondes (1932) Aldous Huxley a gratifié le monde d’une fiction visionnaire qui se rapproche de la réalité. L’esprit du livre a inspiré des générations entières de romanciers et de philosophes. Sexe, drogue, sécurité, loisirs, manipulation : Aldous Huxley avait tout compris. Serge Carfantan écrit un résumé de la pensée d’Aldous en 2007 —intitulé « Leçon 163 : Sagesse et révolte » :« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. […]Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste.Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée.Surtout pas de philosophie. Là encore il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des informations et des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif.On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique.Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser.On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains.Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté : de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. »Les films : Songbird qui évoque à peu près tout depuis la pandémie, au port obligatoire des masques et la passe sanitaire ; L’armée des 12 singes avec la dissémination volontaire d’un virus mortel ; The Crossing, on y parle d’un virus pandémique qui a été libéré dans le monde deux ans dans le futur et qui s’est répandu dans le présent. Bien sûr, on cite les vaccins toxiques et la mise en quarantaine également. Cette série est sortie en 2018, bien avant cette pandémie. 
  129. Voir ici, l’article de l’Obs glorifie Gates qui a prévu la pandémie alors qu’elle était planifiée depuis le début des années 2000. 
  130. Dès le mois d’Octobre 2019, la simulation Event 201 tenue à l’Université Johns Hopkins en présence du gratin mondialiste, étudiait l’impact d’une pandémie au coronavirus. Quand on possède tout, il n’est même plus besoin de se cacher pour comploter. Gates a par la suite osé prétendre qu’il n’était pas présent à la réunion. La lecture des recommandations ne manque pas de sel quand on connaît le niveau de corruption et d’interpénétration des toutes les instances citées. « Industry, national governments, and international organizations should work together » et « Governments and the private sector should assign a greater priority to developing methods to combat mis- and disinformation” pour ne citer que ces deux-là. 
  131. Voir le reportage ahurissant sur ce triste sire, qui a triplé sa fortune depuis qu’il est devenu « philanthrope. » Le bon Gates annonçait il y a 6 ans la survenue d’une épidémie mondiale avec un virus proche de la grippe. 
  132. Vous pouvez l’écouter ici dans une version plus « soft » que la vidéo d’origine où il s’exprime de manière très excitée avec de grands gestes simiesques. 
  133. Discours de Bill Gates, « Innover vers zéro » à la conférence annuelle TED2010 à Long Beach en Californie, le 18 février 2010. Ce dernier déclare vers la minute 4, Gates déclare : « Voyons d’abord la population. Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de gens. Il se dirige vers environ 9 milliards. Or, si nous faisons un excellent travail sur de nouveaux vaccins, soins de santé, services de santé génitrice (reproductive), nous abaissons cela de 10 ou 15 pour cent. »../../../Desktop/Capture%20d’écran%202021-10-26%20à%2011.34.53.png 
  134. Aujourd’hui, nous remarquons que la crise sanitaire mobilise dans un accord presque parfait pouvoir politique, médias, administration, partis politiques, syndicats, institutions scolaires, institutions culturelles, religions… tous suivant comme un seul homme le pouvoir, sans esprit critique. Mais le plus important c’est la formidable manipulation des esprits dont nous sommes victimes. Les ingénieurs sociaux du communisme instrumentalisaient les crises et les fléaux, dramatisaient sciemment pour maintenir les individus dans l’anxiété permanente et obtenir une soumission accrue. L’instrumentalisation des pénuries, le soupçon permanent de complot qui était dénoncé, la dramatisation de l’épidémie… étaient des pratiques courantes pour tenir les masses par la peur, les rendant totalement dépendantes de l’Etat nourricier. 
  135. Voir l’interview de Marion Maréchal Le Pen : «Chaque Européen se verra attribuer une identité numérique qui contiendra toutes nos informations sociales, fiscales, bancaires et sanitaires pour mieux nous contrôler » 
  136. Citons ici l’essai de Sir Julian Huxley qui a inventé le terme de transhumanisme et fondé l’UNESCO : « La qualité des personnes et non la seule quantité est ce que nous devons viser : par conséquent, une politique concertée est nécessaire pour empêcher le flot croissant de population de submerger tous nos espoirs d’un monde meilleur ». 
  137. Le terme « transhumanisme » remonte aux années 1950, mais sa popularisation date des années 1990, lorsque les chercheurs commencent à cerner les promesses de la convergence NBIC : les nanotechnologies (N), la biologie (B), l’informatique (I) et les sciences cognitives (intelligence artificielle et sciences du cerveau -C) progressent et convergent de façon explosive. Le désir d’immortalité est au cœur de cette nouvelle religion qui prend la suite du scientisme et du positivisme. Seule la vision allopathique industrielle d’un homme composé d’organes permet d’asseoir ce nouveau délire, permettant déjà tous les trafics de fœtus via des constellations d’ONG.L’inventeur et propagandiste du transhumanisme est Sir Julian Huxley (1887-1975), biologiste de haut niveau, premier directeur de l’Unesco et cofondateur du WWF. Le mot « eugénisme » étant devenu sulfureux après les horreurs nazies, Julian Huxley inventa donc, en 1957, un néologisme synonyme d’eugénisme de gauche, le « transhumanisme ». Son frère Aldous Huxley (1894-1963) écrira « Le meilleur des mondes » décrivant la société eugéniste idéale en 1931. C’est l’un des nombreux exemples de predictive programming qui permet d’annoncer la direction que doit prendre le monde sous l’égide mondialiste. 
  138. Songeons que le Prince Philip demandait à se réincarner en virus particulièrement meurtrier. La surpopulation est l’un des thèmes récurrents des mondialistes. 
  139. Nous insérons ci-contre l’illustration de la page de couverture de « The Economist » de Mai 21 annonçant la future monnaie numérique qui nous sera servie après l’effondrement économique —il est probable que dès la rentrée les fonds de pension en faillite amèneront les gouvernants à annoncer la suite du programme. Ce qui est lassant avec les mondialistes, c’est leur côté « tradi » comme le dit si bien Pierre Hillard (voir une excellente conférence ici). Ils utilisent toujours les mêmes symboles : à gauche le temple, à droite l’œil qui sort des nuées au sommet de la pyramide (tout comme sur le billet de 1 dollar), la lettre G qui est celle des compagnons au second grade maçonnique. Comme rien n’est dû au hasard chez ces gens, il faut aussi remarquer la puce rectangulaire placée au milieu de la lettre G. Cela pourrait être une référence à peine voilée au contrôle des populations grâce à des implants, en coupe sagittale en effet le mésencéphale ressemble à la lettre G. Pour terminer, ce n’est même plus en Dieu que nous avons confiance mais dans la technologie.Nous nous souviendrons que les millionnaires veulent faire de l’argent, les milliardaires veulent faire l’histoire. Mais les multi-milliardaires vont plus loin dans leur délire de démiurges : ils veulent que l’humanité s’adapte à leurs besoins et à leurs souhaits. Quant aux personnes qui contrôlent des milliards et des milliards, eh bien, elles se soucient de nos souhaits autant que nous nous soucions des fourmis en balayant le jardin. 
  140. En tant qu’idéologie, la technocratie exalte la connaissance et l’expertise en tant que principales sources de pouvoir et d’autorité légitimes et pour affirmer qu’il existe « une meilleure façon de faire » que seuls les « experts » (par exemple, les ingénieurs, les scientifiques et les médecins) peuvent déterminer. 
  141. Voir la fameux brevet 060606 —troublante référence à l’Apocalypse de Jean— de Microsoft en vue de créer une monnaie numérique intégrée corporellement, sans doute testée au Rwanda. Un article intéressant ici
  142. Voir à cet égard le discours prophétique de Soljenitsyne à Harvard sur la perte du courage en Occident et la folie de détruire les murs porteurs de nos sociétés. Historiquement le meurtre de Louis XVI marque la première atteinte à l’image du père, qui incarne symboliquement la loi. Le mouvement s’est poursuivi jusqu’à nos jours où toutes les qualités viriles sont systématiquement niées au profit par exemple de notions délirantes comme la théorie du genre. 
  143. Comme le rappelle Eric Verhaeghe, immigration et libertés ne font qu’un seul et même sujet : « sont les deux faces d’un seul et même projet de dilution de l’Occident dans un grand tout mondialisé, servile et formaté pour les besoins d’un nouveau capitalisme de connivence ». « Le spéculateur américano-hongrois Soros, élève de Karl Popper, a créé une fondation qui prétend renverser, ou aider au renversement, des sociétés “traditionnelles”, c’est-à-dire des bons vieux Etats-nations occidentaux. Pour diluer leur identité, Soros n’a pas hésité à financer abondamment les ONG qui organisent la crise migratoire. Son projet est clair et assumé : il s’agit de diluer les vieilles résistances nationales en Europe, et de promouvoir un “activisme inclusif” grâce auquel nos sociétés ne feraient plus aucune distinction entre les individus, soit sur des critères culturels, ou ethniques, ou de genre. Dans cette vision de la société ouverte, l’obligation vaccinale, le passe sanitaire, le crédit social, la peur de la maladie, jouent des rôles essentiels. »Jeune Juif « adopté » par un SS, échappant ainsi au massacre généralisé, il est indéniable avec un tel bagage que Soros ne s’en est pas sorti indemne psychologiquement… 
  144. Notre amie, le Dr. Astrid Stuckelberger a réalisé un tour d’horizon de la corruption concernant l’OMS dans l’article ici. Elle souligne à juste titre le statut exceptionnel du GAVI, comparable à la BRI (Banque des Ressources Internationales, qui a servi à la City de New York à faire passer de nombreux brevets à l’Allemagne nazie jusque fin 1944). Ces deux institutions fonctionnent comme un état dans l’état : intouchables et inattaquables. 
  145. Gates a même envahi l’un des derniers bastions de résistance scientifique dans la médecine officielle en prenant le contrôle de Cochrane
  146. Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus. L’OMS —qui s’est illustrée pour sa gestion lamentable de l’épidémie si son but était l’intérêt des malades— n’est pas une organisation internationale œuvrant pour le bien de l’humanité, mais plutôt un organe accaparé par quelques groupes d’intérêt, où domine Bill Gates. Personne n’en parle mais la corruption systémique de l’OMS est telle que 200 millions de dollars sont dépensés chaque année en frais de voyage, ce qui représente plus que les crédits alloués à la lutte contre le sida. Tedros, constitue l’exemple type de ces hommes « moyens » comme on a décrit la plupart des nazis jugés à Nuremberg. Élu en 2017 à la tête de cette organisation désormais mafieuse, il a été membre du CA du Global Fund de 2009 à 2011, et président du conseil de la GAVI vaccine Alliance en 2008-2009 avant d’être élu à la direction de l’OMS. Signe que ces crapules n’ont plus la moindre limite : il avait nommé à son arrivée à l’OMS… Robert Mugabe comme ambassadeur de bonne volonté ! Le Guardian nous explique en 2015 que : A partir de janvier 1983, une campagne de terreur a été menée contre le peuple Ndebele au Matabeleland, dans l’ouest du Zimbabwe. Les soi-disant massacres de Gukurahundi appartiennent à la période la plus sombre de l’histoire post-indépendance du pays, lorsque plus de 20 000 civils ont été tués par la redoutable cinquième brigade de Robert Mugabe.Le bon Tedros, accusé de crime contre l’humanité, est le premier non-médecin à diriger l’OMS. Tedros est membre du « Front de libération du peuple tigré » (TPLF), une organisation terroriste, fondée en tant que parti révolutionnaire communiste, ceci explique sans doute l’extase qu’il manifeste pour le Parti communiste chinois au pouvoir. Au programme : traque des dissidents, camouflage d’épidémie de choléra, famine organisée, torture sur prisonniers politiques, vente de terrains éthiopiens à des firmes internationales prix bradés, répression brutale de manifestations (500 morts), j’en passe et des meilleures. Encensé par les médias complices, ce gibier de potence doit son élection à la Fondation Bill et Melinda Gates qui a su utiliser le processus labyrinthique de nomination dans l’Organisation. 
  147. Pour compléter le tour d’horizon au sujet de cette pourriture de Tedros, je recommande au lecteur la visite du blog de l’inestimable Liliane Held-Khawam
  148. Seule la Russie a inscrit l’an passé dans sa constitution que les lois nationales passent avant les lois internationales. Un véritable pied de nez aux institutions supra-nationales mondiales. Il semble que la liberté se trouve désormais de l’autre côté de l’ancien « Mur ». 
  149. Il est difficile de se représenter l’interpénétration de toutes ces instances. Il existe des liens étroits entre des organisations et des entreprises comme la Fondation Rockefeller, Microsoft, le lobby pharmaceutique et le groupe de la Banque mondiale, sans parler des prestataires de services secondaires. 
  150. La quasi-totalité de Big Pharma apparient à deux sociétés : Vanguard et BlackRock. Vanguard et BlackRock sont les deux principaux propriétaires de Time Warner, Comcast, Disney et News Corp, quatre des six sociétés de médias qui contrôlent plus de 90 % du paysage médiatique américain.BlackRock et Vanguard forment un monopole secret qui possède à peu près tout ce que vous pouvez penser. Au total, ils détiennent des participations dans 1 600 entreprises américaines, dont les revenus combinés s’élevaient à 9,1 milliards de milliards de dollars en 2015. Si l’on ajoute le troisième plus grand propriétaire mondial, State Street, leur propriété combinée englobe près de 90 % de toutes les entreprises du S&P 500.Vanguard est le principal actionnaire de BlackRock. Vanguard lui-même, d’autre part, possède une structure unique qui rend sa propriété plus difficile à discerner, mais beaucoup des familles les plus anciennes et les plus riches du monde peuvent être sourcées aux fonds Vanguard. 
  151. L’un des premiers objectifs des mondialistes fut d’abattre l’Ancien Régime. La ‘Révolution française’ a fait plus de morts en un mois au nom de l’athéisme que l’Inquisition au nom de Dieu pendant tout le Moyen-Âge et dans toute l’Europe. Ce fait a été démontré par un historien sérieux (et protestant), Pierre Chaunu. On en retrouve l’analyse dans le quatrième numéro hors-série de L’Homme Nouveau consacré à quelques mythes de l’histoire antichrétienne, dont l’Inquisition. Un ensemble d’extraits de cette analyse est ici.C’est Voltaire et le cher Jean-Jacques qui ont pour la première fois introduit la notion d’enrichissement illimité alors que le roi, tenu par la religion, n’aurait jamais osé rêver un tel scénario qui rendit possible l’émergence de la bourgeoisie puis des industriels. Voir absolument La Laïcité, mère porteuse de l’islam, par Odon Lafontaine, l’ouvrage de référence sur ces sujets. 
  152. Je suggère au lecteur d’entreprendre la lecture barbante mais éclairante du torchon fameux de Klaus Schwab intitulé Le Grand Reset. Pour gagner du temps, cet article pourra vous intéresser. Beaucoup des mondialistes sont d’obédience gnostique, en tant que tels ils adorent semer la confusion, notamment en tentant d’inverser les causes et les conséquences. On voit ici Schwab admettre en p222 que la pandémie est la moins mortelle que l’humanité n’ait jamais connue, ce qui ne l’empêche pas d’utiliser cette opportunité pour vouloir façonner le monde selon ses vues. 
  153. Voici l’arbre généalogique de Schwab, juste histoire de nous donner une vague idée de l’interpénétration de tous les acteurs de la crise actuelle. 
  154. Voir Glaser, A. (2020, July 8). Thousands of contracts highlight quiet ties between Big Tech and U.S. military. NBC News. https://www.nbcnews.com/tech/tech-news/thousands-contracts-highlight-quiet-ties-between-big-tech-u-s-n1233171Voir Usdin, S. (2020, March 19). DARPA’s gambles might have created the best hopes for stopping COVID-19. BioCentury. https://www.biocentury.com/article/304691/darpa-jump-started-technologies-behind-some-of-the-leading-covid-19-vaccine-and-antibody-hopes
  155. Ces organisations criminelles ont déjà été condamnées à de nombreuses reprises à payer des sommes énormes, qui ne sont qu’une goutte d’eau dans leur budget : 3,75 milliards pour GlaxoSmithKline ; 3,3 milliards pour Pfizer, etc. Voir la liste officielle de la FDAViolation Tracker Agency Summary Page, qui totalise 19, 5 milliards d’amendes au total. 
  156. Wood, P. M. (2018). Technocracy: The Hard Road to World Order. Mesa, AZ: Coherent Publishing, LLC.Fitts, C. A. (2019). Will ESG Turn the Red Button Green? The Solari Report.Fitts, C. A. (2020a). The State of Our Currencies: The End of Currencies. The Solari Report.Fitts, C. A. (2020b, May 27). The injection fraud – It’s not a vaccine. The Solari Report.Schinder, R. J. (2020, January 26). The Davos crowd embraces big global government. The Wall Street Journal.Schumacher, K. (2020, March 14). Technocracy and sustainable development. Redoubt News.White, J. (2020, April 27). Technocracy after COVID-19. Boston Review
  157. Voir les révélations de Martin Füllmich et du Dr. David Martin dans cette vidéo historique. David E. Martin est le fondateur et le président de M-CAM Inc, le leader international du financement de l’innovation, du commerce et des actifs incorporels. Il est le créateur du premier indice quantitatif d’actions publiques basé sur l’innovation et est l’associé directeur des Purple Bridge Funds. Il est le créateur du premier indice quantitatif d’actions publiques au monde – le CNBC IQ100 alimenté par M-CAM. Activement engagé dans le développement économique éthique mondial, le travail du Dr Martin comprend l’ingénierie financière et l’investissement, les conférences publiques, l’écriture et la fourniture de services de conseil financier à la majorité des pays du monde. Le Dr Martin est l’architecte et le fondateur du Global Innovation Commons et l’auteur du cadre juridique international des programmes Heritable Knowledge Trust et Heritable Innovation Trust. Il est à l’origine de programmes mondiaux visant à apporter la transparence des entreprises et des marchés boursiers aux industries extractives multinationales et a joué un rôle déterminant dans le rapatriement de la valeur dans les pays qui ont été victimes d’abus financiers et d’entreprises. 
  158. Voir dans « Grippes et Pneumonies » le chapitre consacré à la destruction de l’homéopathie sous l’égide de Rockefeller —injectant pour la manœuvre plus de 225 milliards de dollars actuels. Le second statut de l’AMA était « l’éradication de l’homéopathie du sol américain ». Voir enfin le travail documenté de Thierry Lestrade « Comment l’AMA a éradiqué ». 
  159. Selon M. Kory, l’OMS ne fait que participer aux tactiques d’un « manuel de désinformation » usé par le temps. Ce terme a été inventé par l’Union of Concerned Scientists il y a 50 ans afin de décrire les stratégies que les entreprises ont développées au fil des décennies pour « attaquer la science lorsqu’elle va à l’encontre de leurs intérêts financiers ».Il se compose de cinq parties :L’imposture – Mener des recherches contrefaites et tenter de les faire passer pour des recherches légitimes.
    Le blitz – Harceler les scientifiques qui s’expriment sur des résultats qui dérangent l’industrie.
    La diversion – Fabriquer de l’incertitude sur la science là où il n’y en a pas ou peu.
    L’écran – Acheter de la crédibilité par le biais d’alliances avec le monde universitaire ou des sociétés professionnelles.
    La solution – Manipuler les fonctionnaires ou les processus gouvernementaux pour influencer les politiques de manière inappropriée.Dans l’intégralité de l’appel Zoom, censuré depuis par YouTube mais disponible sur Bitchute, Pierre Kory décrit comment les cinq phases ont été déployées contre les résultats scientifiques de l’ivermectine. Un exemple concret serait celui de la corruption des principales revues médicales, dont les rédacteurs en chef refusent que les études sur l’ivermectine soient soumises à un examen par les pairs. 
  160. Les emails de Fauci sur une certaine période ont pu être rendus publics, révélant un véritable scandale, à savoir que l’intéressé y admet que :Le coronavirus a été crééL’HQ traite la maladie avec succèsLes sujets asymptomatiques ne transmettent pas la maladieLes masques ne servent à rienLes confinements sont inutilesFacebook a participé à la promotion d’une propagande autoritaire du Covid.Le comptage des décès était largement trafiquéEt qu’il a délibérément menti au Congrès sous sermentCes informations éclaboussent aussi le Pr. Delfraissy (encore un collabo comme tant d’autres) exprimant ses affres pour résister à la pression d’autoriser l’hydroxychloroquine. « J’ai une énorme pression politique pour libérer l’accès à l’hydroxychloroquine pour tout le monde, mais je résiste », écrit-il au bon docteur Fauci. Une semaine plus tard, le Conseil scientifique rendra un avis critique sur le protocole Raoult, ayant donc visiblement résisté à ces « pressions ». Voir article du Parisien.Que s’est-il passé avec quelque chose d’aussi énorme ? Rien.Télécharger les emails. Voir le New York Post, voir Fauci is a liar
  161. J’ai de la peine à prononcer le nom de Fauci sans avoir la nausée. Dans « Les erreurs du Monsieur Covid américain impactent le monde occidental, Suisse comprise » Jamais encore des idées comme le confinement d’une population en bonne santé, l’imposition généralisée du port du masque contre un virus ou la « vaccination » de catégories de la population courant plus de risques avec la vaccination qu’avec la maladie n’avaient été envisagées, tant elles sont contraires à l’éthique et aux connaissances scientifiques. Un défilé continu de médecins de plateaux télévisés pétris de conflits d’intérêts est venu brouiller cette évidence, sans que les défenseurs des bonnes pratiques aient voix au chapitre. Ne manquez pas cette tribune écrite par les deux plus grands experts au monde, les Pr Kulldorff et Bhattacharya. 
  162. Voir le premier document magistral des analystes allemands (leur interview ici) qui ont scanné avec l’aide de l’intelligence artificielle plusieurs millions de documents. Cela a permis de mettre à jour le modus operandi des pilotes de la manœuvre dite « anticovid », de démontrer qu’il s’agit d’un réseau tissé très étroit et chargé d’une mission précise : obliger par tous les moyens la population mondiale à se soumettre au dictat d’intérêts privés sous prétexte de “santé publique.L’analyse se divise ainsi :- Les 20 à 30 figures-clefs qui poursuivent tranquillement leur œuvre à l’ombre des figures notoires telles Gates ou Schwab ;- Les flux financiers internationaux et leur montant (colossal) ;- Les ONG (dont le rôle notamment dans le financement est fondamental), les universités et entreprises-clef par lesquelles transitent les fonds.Ces flux ont été chiffrés par Schneeten et Röper. L’attention des analystes a été attirée – pour ne donner qu’un exemple – par un petit pavillon insignifiant de banlieue aux États-Unis, utilisé comme “boîte postale” par plusieurs ONG disposant de dizaines de millions de dollars.- Le mode opératoire de prise de contrôle des gouvernements et institutions occidentaux.Voici par exemple les ramification de le fondation Bill et Melinda Gates, dont le véritable gestionnaire est probablement le sioniste et démocrate Warren Buffet, a plusieurs intérêts :1- c’est un outil d’optimisation fiscale qui permet à ses responsables d’échapper aux impôts et de décupler leur fortune ;2- la mécanique de ses « donations » reposent sur l’investissement dans les marchés financiers et les grosses sociétés (Total, Exxon, Shell, Monsanto, McDonald’s, The Coca-Cola Company) ;3- les « dons » sont alloués à un faisceau d’organisations allant toutes dans le sens du mondialisme et de la grande industrie pharmaceutique…Probablement recruté dans les années 70 à Harvard (Gates est le premier Zuckerberg), Bill Gates est à la fois un agent de croissance et un agent d’influence du Nouvel ordre mondial oligarchique, un épouvantail mis en avant pour prendre les coups, un rouage d’un réseau allant de Wall Street à Israël en passant par Bill Clinton et Jeffrey Epstein. Voir l’article da E&R ici.../../../Downloads/Corona%20links%20analyse/Netzwerkanalyse-Corona-Komplex_Page_049.jpg 
  163. ../../../Downloads/Xi-Jinping.jpgPour parler d’autre chose que du virus, il me semble opportun de dire un mot de la crise financière qui se profile, avec le brûlot Evergrande qui risque d’ébranler le marché immobilier chinois et le reste du monde par contagion —mot qui me paraît ici très approprié. Le Parti Communiste Chinois (PCC) ne semble guère décidé à agir dans la crise financière qui se profile, avec un éclatement de la bulle immobilière. Loin de vouloir éviter la crise, les autorités chinoises semblent plutôt décidées à la laisser éclater pour justifier une reprise en main de l’économie du pays. De là à penser que cette stratégie vise aussi à affaiblir l’Occident en le contaminant avec une crise financière, il n’y a qu’un pas. Une fois de plus, le Great Reset et sa théorie du Big Government modifient les analyses habituelles et pourraient mettre les épargnants du monde entier en situation difficile.Et l’excellent Verhaeghe de conclure : « Progressivement, on comprend que Xi Jinping, qui n’est pas un tendre, ni un libéral façon Deng Xiaoping, s’apprête à laisser éclater une crise financière qui devrait ruiner les exubérances “capitalistes” de l’économie chinoise, mais pourrait aussi contaminer le monde. Cette option déjà déployée dans l’affaire du COVID 19, où les communications internes à la Chine étaient suspendues quand les habitants de Wuhan pouvaient facilement circuler dans le reste du monde, ressemble beaucoup à une tentative de déstabilisation de l’économie mondiale. On ne peut ici s’empêcher de penser que la crise immobilière qui se fait jour n’est, pour le PCC, qu’une pièce dans le puzzle d’un Great Reset géostratégique permettant à la fois de liquider la libéralisation de l’économie intérieure et de saper la prospérité de l’Occident. Nous maintenons donc notre pronostic d’une instrumentalisation de la crise qui pourrait déboucher sur un désordre mondial. » 
  164. C’est en manipulant la définition de « pandémie » que toute l’affaire a été préparée de longue date par l’appareil mondialiste dont Gates est l’un des coryphées. Dès 2013 on pouvait comprendre que ce petit jeu était destiné à servir les intérêts de laboratoires afin de créer autant de pandémies que nécessaires à la promulgation de vaccins en nombre illimité. En 2009, l’OMS avait en fait supprimé la notion de mortalité (nécessité d’un grand nombre de morts) pour pouvoir enclencher l’alerte pandémique maximale, qui conditionne en fait le début de la production de vaccins. Cette modification des critères avait donc permis aux fabricants de vaccins de s’enrichir de façon scandaleuse avec la vente de vaccins expérimentaux contre une grippe H1N1 qui faisait pourtant très peu de morts et qui était même plus bénigne que la traditionnelle grippe saisonnière.Le Dr. Lydia Archilède écrivait dès 2013 : « le système va devenir moins précis, donc PLUS FLOU avec passage de 7 critères à 4, ce flou allant évidemment profiter aux fabricants de vaccins et d’antiviraux, bien davantage qu’à la sécurité réelle des citoyens. Au prétexte d’être basé sur « le risque », il sera en réalité plutôt basé sur « la possibilité d’un risque hypothétique » avec maintien quasi permanent des citoyens les plus crédules dans « la peur de la pandémie à venir » ! Finalement, la phase de transition se confondra tôt ou tard avec la phase d’« interpandémie » et nous serons donc maintenus dans une sorte d’état d’alerte permanent pour le plus grand bonheur de Big Pharma et de ses investissements ! »Et notre consœur de conclure que « le modus operandi opaque inchangé au niveau du fonctionnement de l’OMS. Celle-ci garde son influence dictatoriale puisque les Etats qui pourront soi-disant évaluer eux-mêmes le risque au niveau national, « devront tenir compte des estimations faites par l’OMS ». Et par ailleurs, la décision finale quant aux pandémies reste aux mains d’une seule personne, le directeur de l’OMS, qui continuera de se faire conseiller par le même genre de petit « comité d’experts», qui fut pourtant à la base de tout le fiasco et de tout le gaspillage inimaginables du H1N1 ! » 
  165. Le lecteur pourra au sujet de ce cloaque regarder avec intérêt quelques épisodes du « Fall of the cabal » de Janet Ossebaard et Cyntha Koeter. Même si les premiers épisodes nous semblent largement discutables —je n’adhère en rien à la narration— ceux de l’ère moderne sont assez bien documentés. Je recommande de commencer par le Numéro 6
  166. Bouygues, Xavier Niel, Dassault, Bernard Arnault, Bolloré, Pierre Bergé, Patrick Drahi, François Pinault, Matthieu Pigasse et Lagardère, voilà les dix milliardaires qui possèdent les médias français. Tous les quotidiens nationaux (Le Monde, Libération et Le Figaro), toutes les chaînes d’info (LCI, I-Télé, BFM-TV), l’essentiel des hebdomadaires de référence (Le NouvelObs, L’Express, Le Point) et des chaînes de TV privées (Canal+, TF1) appartiennent à de grands milliardaires. Une telle concentration a rendue aisée la tache de Gates pour faire marcher tout le monde à l’unisson. Voir ici
  167. Voir la remarquable contribution sur Rumble : « Coronavirus. Violation des droits fondamentaux des peuples du monde par des mesures anti-humaines : enfermement, mode masque, enseignement à distance. » 
  168. Nous en sommes déjà à refuser d’évacuer une île des caraïbes la partie de la population non-vaccinée ! 
  169. Mon disque dur se remplit d’images horrifiantes montrant avec quelle cruauté les flics se jettent sur les gens, les martyrisent, pour des prétextes délirants comme le non port du masque en plein air par exemple. La France, l’Allemagne, l’Australie sont les pays où ces exactions sont devenues monnaie courante. Voyez déjà l’article suivant
  170. Le propre du fascisme : faire passer un prétendu intérêt collectif avant l’intérêt individuel : lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme.Otto Dietrich explique en 1934 : « « La pensée individualiste repose sur le postulat que l’homme est un individu. Ce postulat est faux. L’homme n’apparaît dans le monde que comme membre d’une communauté. Dans tous ses actes, l’homme est un être collectif et ne peut être pensé que comme tel. Les seules données réelles du monde sont les races, les peuples, les nations et non les individus. Le national-socialisme considère le Volk comme la seule réalité organique. »Et Capitant, ministre de De Gaulle de commenter ce délire : « La doctrine nazie inverse toutes les valeurs. Non seulement l’individu est désormais privé d’existence et donc de droits, comme le note Capitant, mais encore, il perd toute autonomie dans la mesure où cette exaltation de la communauté débouche sur l’obéissance prétendument volontaire à un Chef. Le règne du nazisme, c’est celui de l’hétéronomie et de la servitude volontaire ».Lire l’article du Dr. Delépine 
  171. Voir l’article remarquable de Philippe Ségur, Professeur de droit public à l’Université de Perpignan Via Domitia. 
  172. En un an, les prix agricoles à la production ont littéralement explosé, avec une hausse de 13,6% qui annonce le retour à l’hyper-inflation. Cette hausse concerne tout particulièrement les céréales qui dépassent les 35% d’augmentation sur l’année. Durablement, le monde industrialisé est donc exposé à une crise agricole qui pourrait enrichir les spéculateurs, et fortement précariser les consommateurs. Il est donc temps de stocker gentiment les produits agricoles à base de céréales, voire de cultiver celles-ci soi-même.L’explosion des prix agricoles à la production en un an est parfaitement illustrée par le graphique ci-dessus. Pour les céréales, pour un indice 120 début 2021 (indice 100 début 2019), les prix ont désormais grimpé en octobre à un indice proche de 150. En deux ans, les prix ont donc augmenté de 50%. Rappelons que l’indice 120 n’a été atteint qu’une seule fois à l’automne 2018.Autrement dit, le prix des céréales à la production bat actuellement des records historiques, très au-delà des scénarios connus ces dernières années. On y verra le signe d’une crise profonde. Source : Le Courrier des stratèges. 
  173. Pas d’évacuation d’une île où sévit une éruption volcanique dans les Caraïbes si vous n’êtes pas vacciné. Le gauchiste Chomsky déclare déjà qu’il faut enfermer les dangereux non-vaccinés. Et le misérable Berset, n’hésite pas à déclarer que tout sera de la faute des non-vaccinés : 
  174. Voir le remarquable article de Mathieu Slama: « Le non-vacciné est le bouc émissaire de la crise sanitaire ». 
  175. Étant taxé d’anti-vax, anti-masque et anti-PCR dans un courrier officiel de l’assistante du médecin cantonal à mon attention, je mesure chaque jour le naufrage de notre société. L’un des exemples ultimes étant —selon moi— l’adoption de noms comme « Avenue du Mondial » un peu partout dans les villes de France. Un beau recoupement d’agnotologie et du vieux principe panem circenses
  176. Voir par exemple ici quelques commentaires pertinents sur le discours à Harvard. 
  177. Voir Laïcié mère porteuse de l’Islam, par Odon Lafontaine. Article ici
  178. A son époque Caton l’Ancien concluait tous ses brillants discours par Delenda est Carthago ! Il faut détruire Carthage. « Il faut détruire le mondialisme » doit devenir notre devise, notre seul but si nous voulons que nos enfants vivent dans un monde libre. 



Selon l’Association des médecins sud-africains, le variant Omicron cause une «maladie bénigne»

[Source : RT France]

Muscles endoloris, fatigue et légère toux : le variant Omicron détecté en Afrique du Sud n’est à ce stade qu’une «maladie bénigne», selon l’Association des médecins sud-africains, qui s’interroge sur le «battage médiatique» qui a suivi sa découverte.

Alors que de sévères mesures restrictives commencent à être mises en place dans certains pays – comme en France – à la suite de la découverte du variant Omicron en Afrique du Sud, Angelique Coetzee, présidente de l’Association médicale sud-africaine, a tenu à relativiser sa dangerosité à ce stade.

« Il s’agit d’une maladie bénigne dont les symptômes sont des muscles endoloris et de la fatigue pendant un jour ou deux, durant lesquels on ne sent pas bien. Jusqu’à présent, nous avons constaté que les personnes infectées ne souffrent pas de perte de goût ou d’odorat. Elles peuvent avoir une légère toux. Il n’y a pas de symptômes proéminents. Parmi les personnes infectées, certaines sont actuellement traitées à domicile », a ainsi déclaré Angelique Coetzee, interrogée par Sputnik News.

La responsable a également fait savoir que les hôpitaux sud-africains n’ont pas été surchargés par les patients atteints par le variant Omicron, soulignant par ailleurs qu’il était nécessaire d’attendre de voir l’évolution des patients pour déterminer son réel niveau de menace : «Oui, la maladie est transmissible, mais pour l’instant, en tant que médecins, nous ne savons pas pourquoi il y a un tel battage médiatique, car nous sommes toujours en train d’étudier la question. Nous ne le saurons qu’après deux ou trois semaines, car certains patients ont été admis et ce sont des jeunes âgés de 40 ans ou moins.»

Ce que craint en revanche Angélique Coetzee, c’est que le variant ne frappe plus durement des personnes âgées non-vaccinées, et/ou des personnes souffrant de diabète ou de maladies cardiaques. Malgré tout, Angelique Coetzee a dans la foulée critiqué la décision de certains pays d’interdire les vols en provenance d’Afrique du Sud, la jugeant donc prématurée, car il n’y a pas assez d’informations sur le degré de dangerosité du variant. Après l’annonce de la découverte de cette nouvelle souche de Covid-19, les Etats-Unis, l’Union européenne, le Canada, Israël, l’Australie ont restreint les voyages en provenance de plusieurs pays d’Afrique australe pour raisons sanitaires.

L’Organisation mondiale de la santé a qualifié le 26 novembre la nouvelle souche sud-africaine de préoccupante, car elle serait porteuse d’un nombre élevé de mutations qui la rendraient plus transmissible et plus dangereuse. Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies a noté le même jour qu’il existait «une incertitude considérable» concernant la «contagiosité», «l’efficacité des vaccins» ou encore «le risque de réinfection» du nouveau variant du coronavirus «Omicron».

[Note de Joseph Stroberg : tout ce cirque Covid provient essentiellement d’une vision très probablement erronée de la maladie depuis Pasteur qui a voulu à tout prix, y compris en recourant à la fraude, démontrer que les maladies étaient causées par des germes, ceci pour mieux vendre ensuite ses vaccins. Cependant cette vision des choses est de plus en plus contestée par des médecins et des chercheurs qui on su sortir de la religion pasteurienne. Voir notamment :
L’outil statistique maîtrisé démontre que la Covid et les maladies hivernales telles que la grippe ne sont pas des phénomènes de contagion, mais sont fortement corrélées à la température
Fauci et la grande arnaque du sida
L’escroquerie du SIDA (sidasante.com)
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
et les commentaires suivants repris depuis d’autres articles du site :

La propagande virale commence dès la formation universitaire largement chapeautée par Big Pharma depuis que Rockefeller s’est acharné en début de siècle dernier à éliminer toute école de pensée et toute médecine qui n’allait pas dans le sens de sa médecine chimique dérivée du pétrole. Et notamment la preuve d’un isolement véritable de virus sur un plan réellement scientifique, ainsi que la preuve expérimentale indubitable de contagions virales ou bactériennes avec expériences de contrôle ou contre-expériences n’ont jamais été fournies.
Il est maintenant largement avéré que la théorie des germes et son corollaire viral relèvent de fraude scientifique et de comportement religieux depuis au moins l’époque de Pasteur. Le présent site propose un large éventail d’articles et de sources qui tendent à démontrer tout ceci.
Le propre de la véritable science est la remise en question permanente des théories et des hypothèses à la lumière des nouvelles observations ou données et de faits mis à jour qui avaient jusqu’à une époque récente été maintenus cachés ou étouffés.
La théorie alternative du terrain et des exosome se révèle bien plus efficace et cohérente, sans « rustines », pour expliquer les maladies prétendument contagieuses, bactériennes ou virales. Et si elle était davantage prise en compte, elle ferait s’effondrer toute cette mascarade plandémique Covid et les mesures sanitaires nocives.

L’Event 201 prévoyait la mort de 65 millions d’individus dans leur simulation préalable à la pandémie. Cela n’a pas fonctionné comme prévu, car les virus ne sont probablement pas du tout ce que la plupart des virologues et autres experts ont cru toute leur vie sur la base de leur formation universitaire. Si un virus à ARN est en fait créé par la cellule pour expulser sous forme de déchet un brin d’ARN qui a fini son travail, alors modifier génétiquement un tel virus revient à modifier un déchet pour le réintroduire dans l’organisme, un peu comme si nous modifions chimiquement notre urine avant de la reboire. Au mieux, ça n’aurait pas bon goût et pourrait être plus ou moins nocif pour notre santé. Au pire, ça deviendrait un poison non naturel même si on y ajoutait une saveur de fraise. L’élément particulièrement dommageable dans leur tentative de réinjection du déchet (qu’eux pensaient être un méchant virus capable de se répliquer à l’intérieur d’une cellule) est la protéine spike que la chaîne d’ARN encapsulée parvient apparemment à commander au corps de produire, au moins chez certaines personnes et qui tend en particulier à se relier aux récepteurs ACE2 et à provoquer ainsi de sales dommages aux tissus cellulaires. Lorsque les virologues croient isoler un virus, ils commencent en fait par chercher à en produire en quantité suffisante en les cultivant à partir d’un tissu biologique supposé infecté dans une soupe contenant des cellules de singe vero (ou quelque chose d’équivalent) et divers produits chimiques dont des antibiotiques pour tuer les bactéries. Ils observent alors la production par les cellules de ces supposés virus fils qui selon eux proviendrait de la multiplication du virus infectant initial. Pourtant, avant cette tentative de multiplication virale dans l’espoir de pouvoir observer ensuite en quantité suffisante celui qui est ciblé, ils n’en trouvaient généralement pas suffisamment d’exemplaires sur le matériel infecté, alors qu’un malade de maladie virale est supposé en être envahi.

Ensuite, les virologues prennent cette soupe résultante et la passent à la centrifugeuse dans le but de séparer les couches de déchets génétiques selon leur densité et donc selon leur taille supposée. Ils isolent celle correspondant supposément au virus infectant qui selon eux doit avoir une composition génétique spécifique, une chaîne de nucléotides particulière. Parmi les millions de déchets viraux, ils auront en général d’assez fortes chances d’en trouver de très proches du matériel génétique ciblé.

Enfin, ils effectuent le « séquençage » génétique du matériel biologique récupéré dans la couche isolée et qui contient un grand nombre de bouts d’ARN et d’ADN. Ceci est la reconstitution logicielle d’un puzzle pour tenter de reconstituer la chaîne génétique intégrale du virus recherché. Ce faisant, ils doivent se baser sur le modèle génétique (également supposé) de ce dernier. Mais dans la pratique, il manque toujours des zones non remplies et d’autres qui ne cadrent pas sont éliminées. Le virus n’est quasiment jamais reconstitué ainsi à 100 %.

(Voir notamment : Déclaration sur l’isolement des virus)

Pour finir, le virologue Stefan Lanka a gagné un procès en cours suprême d’Allemagne pour démontrer la non-existence du virus de la rougeole. Pour ce faire, il a réalisé une contre-expérience à celle supposée démontrer la présence de virus dans la préparation partant d’un tissu supposément infecté par la rougeole. Il a fait la même chose dans une préparation parallèle, mais avec un tissu sain supposément non infecté. Eh bien celui-ci a produit les mêmes virus (déchets) que l’autre, car les conditions de mort cellulaires sont les mêmes dans les deux préparations : empoisonnement chimique et absence de nutriment. Les « virus » se sont multipliés pareillement dans les deux alors que dans l’une il n’y avait pas de virus de rougeole présents.

(Voir notamment Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
et Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
avec les liens inclus)

Pour résumer : le virus trafiqué génétiquement a été mis au point pour tuer massivement, mais comme les virus ne sont pas ce que les virologues croient, ça n’a pas donné les résultats escomptés.

Qu’à cela ne tienne, les vaccins prennent le relais.
Les poisons sont cette fois directement injectés dans le corps.

En sciences pures telles que la Physique, les chercheurs qui ne sont pas soumis à des lobbies, à des pressions de leur hiérarchie, à ces idéologies ni à des conflits d’intérêts (s’il en existe encore) tendent à considérer qu’une bonne théorie est non seulement cohérente et applicable aux situations connues de son cadre d’études, mais qu’elle doit aussi être prédictive et donc notamment capable de prévoir des situations inconnues et de les expliquer efficacement. Et donc, si une théorie existante se révèle incapable d’expliquer si possible simplement une nouvelle situation, c’est qu’elle doit au minimum être révisée et subir de nouveau la démarche scientifique. Dans des cas flagrants d’incapacité descriptive ou prédictive, elle devrait même être carrément abandonnée.

Sous le regard d’un physicien, la théorie virale se révèle être à l’image d’une chambre à air percée de nombreux trous : ses incapacités à expliquer simplement certains phénomènes qui pourtant entrent dans le cadre de ses objets d’étude. Au lieu de cela, elle s’est empressée de coller des rustines, dans l’espoir de maintenir le pneu en état de marche.

Les scientifiques purs ont également souvent tendance à considérer que la meilleure théorie explicative d’un phénomène ou d’un ensemble de phénomènes est celle qui y parvient le plus simplement, en appliquant notamment le principe du Rasoir d’Ockham selon lequel il vaut mieux éliminer rapidement les explications les plus improbables ou les plus tirées par les cheveux. En appliquant ceci aux phénomènes apparemment épidémiques qui dans la pratique peuvent être fulgurants et toucher en un bref laps de temps un très grand nombre d’individus, il y a ainsi une explication plus simple que celle de « virus non vivants » censés pirater le matériel génétique de cellules vivantes pour s’y multiplier et ainsi amener la mort de ces dernières puis la maladie et/ou la mort de l’hôte. De plus, la théorie virale n’explique pas comment il peut y avoir des malades d’une maladie prétendument virale sans qu’on lui trouve les virus associés. Elle n’explique pas non plus pourquoi certaines personnes portent un grand nombre de certains virus sans pour autant avoir la maladie qu’ils sont censés donner. En d’autres termes, les virus ne respectent pas du tout les postulats de Koch et de Rivers qui sont pourtant les conditions indispensables à la démonstration scientifique objective d’une maladie contagieuse d’origine virale. Mais au lieu de chercher une meilleure théorie, les virologues et autres experts du domaine ont préféré abandonner ces postulats dérangeants sous un fallacieux prétexte et ajouter une nouvelle rustine, le concept de « malades asymptomatiques », sachant que celui-ci revenait logiquement à affirmer que des personnes en bonne santé étaient en fait des malades qui s’ignoraient !

L’explication la plus simple est la suivante : les malades ont été exposés à la même source d’intoxication et celle-ci peut être éventuellement multifactorielle. Ou dans d’autres cas, ces apparentes contagions proviennent d’une situation de malnutrition endémique commune à l’ensemble d’une population ou d’un groupe d’individus. Et bien sûr, il existe des situations qui combinent à la fois des déficiences alimentaires plus ou moins graves ou dramatiques et des sources d’empoisonnement.

Parmi les sources d’intoxication, on peut notamment trouver :
• les additifs alimentaires ;
• les toxines produites par des bactéries sous certaines conditions non souhaitables ;
• les toxines produites par des moisissures ;
• les toxines ou les venins produits par certains animaux (notamment des insectes tels que les punaises de lit) ;
• les adjuvants vaccinaux ;
• les produits ménagers ;
• les cosmétiques artificiels ;
• les polluants atmosphériques ;
• les matières plastiques ;
• les médicaments produits par l’industrie pharmaceutique ;
• les thérapies géniques ;
mais aussi :
• la peur, la haine, la colère et d’autres émotions négatives ;
• le stress ;
• les pensées négatives qui tendent à rendre dépressif ou déprimé ;
• les ondes électromagnétiques, spécialement lorsqu’elles sont pulsées (Bluetooth, Wi-Fi, 2G, 3G, 4G, 4G+, 5G…), à cause en particulier des phénomènes physiques tels que l’induction magnétique et la résonance qui peuvent amener des effets voisins de ceux des rayonnements ionisants (notamment des altérations du matériel génétique et des cancers). Il existe des milliers d’études, notamment indépendantes, qui tendent à démontrer l’impact de telles ondes sur la santé (humaine, animale et/ou végétale).

(On peut également ajouter le froid comme facteur d’affaiblissement du corps, au même titre que la malnutrition).

Les observations de différents chercheurs en médecine tendent à montrer que la protéine Spike artificielle contenue dans plusieurs sortes de « vaccins » anticovid représente en fait une toxine pour les cellules humaines. De plus celle-ci est amenée à être produites par les cellules du corps elles-mêmes, au risque de provoquer des maladies auto-immunes.

Pour en revenir aux virus, le fait que parfois (mais pas du tout systématiquement) on en trouve en grand nombre dans l’organisme d’un malade de la maladie associée ne signifie pas du tout nécessairement qu’ils soient la cause de cette dernière, pas davantage que les mouches sont la cause des bouses de vache ou des ordures alors qu’on en retrouve en été presque systématiquement à ces endroits. Corrélation ne signifie pas nécessairement causalité. Et il arrive que l’on prenne les effets pour les causes.

Parlant de la Covid-19 (qui objectivement n’est qu’un ensemble de symptômes supposés représenter une maladie virale), il a justement été observé une forte corrélation entre les lieux d’implantation de la technologie 5G et ceux d’explosion apparente de l’épidémie, spécialement Wuhan, la Corée du Sud et Saint-Marin au départ. Pour s’assurer que la 5G soit effectivement l’une des principales causes de cette « maladie », il faudra systématiquement comparer les lieux et dates d’implantation dans les différents pays qui l’utilisent et les lieux et dates des foyers « épidémiques » ou de « contagion » apparente.

Il existe une forte similitude de symptômes entre les effets de certaines ondes électromagnétiques et la Covid-19, y compris dans sa forme appelée « longue » qui correspond typiquement aux symptômes d’exposition aux micro-ondes.

Il existe également des similitudes de symptômes entre les effets attribués à la protéine Spike et ceux de la Covid-19.

Le corps humain n’avait jamais été exposé aux rayonnements 5G jusqu’à une période récente, et lorsque l’on connaît les effets biologiques possibles d’ondes électromagnétiques, il est compréhensible que l’apparition de cette nouvelle technologie se soit accompagnée dans les semaines ou les mois suivants d’une nouvelle forme de « maladie », baptisée Covid-19 et attribuée à tort à un virus qui par ailleurs n’a jamais été réellement isolé au sens pur et physique du terme et surtout jamais expérimentalement démontré comme pouvant être la cause d’une telle maladie.

Le corps humain est un organisme merveilleux et sophistiqué qui est capable de s’adapter à de nombreux défis environnementaux, mais les organismes plus faibles peuvent mourir et d’autres devenir malades, le temps que le mécanisme d’adaptation fasse son œuvre et se purifie des effets délétères de l’agression subie.

Lorsque l’on analyse les courbes épidémiques depuis maintenant plus d’un an et demi, on relève tout au plus deux pics « épidémiques » qui correspondent en réalité très probablement à l’impact initial de la mise en route de la technologie 5G, puis à l’effet des mesures sanitaires stressantes qui ont eu un impact négatif par différents facteurs (notamment émotionnels, mais aussi physiques comme le port d’un masque qui augmente le taux de CO2 dans le sang tout en réduisant celui d’oxygène), sans compter les aînés pratiquement euthanasiés dans certains pays comme la France et le Québec. Les autres prétendues vagues n’existent que dans l’imagination des propagandistes médiatiques et gouvernementaux.

Pour conclure cette longue note, le présent site contient un grand nombre d’articles à l’appui des idées présentées et toute personne curieuse pourra se faire sa propre opinion concernant les causes réelles de la maladie Covid et de l’explosion de morts suite aux vaccinations qui sont présentées ici comme sources multiples de toxines.]

Les prétendus « variants » ne représentent que des variations des exosomes produits par le corps selon les conditions d’intoxication de ce dernier par divers poisons (dont les ondes électromagnétiques pulsées telles que la 5G) et selon les différents individus et groupes ethniques affectés. Les chercheurs ne trouveront probablement jamais 2 variants ou virus absolument identiques, sachant que leur séquençage ne parvient pas à reconstituer 100 % du modèle viral utilisé comme référence.]




PSEUDOVAX anti-SARS CoV-2 et vieillissement précoce : la dose fait le poison

Par nicole Delépine

On l’a longtemps murmuré devant des nouveau-nés précoces et rapidement vieillis, devant des flambées de cancer témoignant de défaut de réparation naturelle, devant des sujets vaxx transformés en « vieux » y compris des célébrités, mais on ne disposait pas d’étude scientifique confirmant ces constatations et les validant par la découverte de son mécanisme cellulaire.

L’article Revealed : Vaccine Induced Cellular Ageing — 21st Century Wire du 28 nov 2021 BY NEWS WIRE nous ouvre des horizons inquiétants auxquels il faut pour le moins réfléchir. L’injection génique, au-delà de son inefficacité et des effets secondaires reconnus de plus en plus nombreux, serait-elle à l’origine d’un vieillissement précoce et de troubles associés à l’âge ?

Le Dr Mike Williams étudie le Vieillissement cellulaire induit par le vaccin.

L’auteur a précédemment discuté du risque accru d’infection par le SARS-CoV-2 après la vaccination Covid et introduit des concepts de tolérance immunitaire et d’entraînement immunitaire.

Dans cet article, il précise le sujet de la sénescence cellulaire, en particulier en ce qui concerne la vaccination Covid.

De la sénescence cellulaire

« La sénescence cellulaire est un processus qui résulte d’une variété de stress et conduit à un état d’arrêt irréversible de la croissance. Les cellules sénescentes s’accumulent au cours du vieillissement et ont été impliquées dans la promotion d’une variété de maladies liées à l’âge.

La sénescence cellulaire peut jouer un rôle important dans la suppression des tumeurs, la cicatrisation des plaies et la protection contre la fibrose tissulaire.

Cependant, il existe également des preuves accumulées que les cellules sénescentes peuvent avoir des effets nocifs in vivo et peuvent contribuer au remodelage des tissus, au vieillissement de l’organisme et à de nombreuses maladies liées à l’âge. »

Le processus de sénescence est synonyme de vieillissement cellulaire et on peut supposer que l’induction de la sénescence cellulaire favorisera un vieillissement accéléré.

Comme le soulignent Gonzalez-Meljem et al. dans « Paracrine roles of cellular senescence in promoting tumorigenesis(([1] Gonzalez-Meljem JM, Apps JR, Fraser HC, Martinez-Barbera JP. Paracrine roles of cellular senescence in promoting tumourigenesis. Br J Cancer. 2018 May;118(10):1283-1288. doi: 10.1038/s41416-018-0066-1. Epub 2018 Apr 19. PMID : 29670296 ; PMCID : PMC5959857))» : c’est une épée à double tranchant :

« Bien que la sénescence ait été considérée comme un mécanisme de protection contre la tumorigenèse, les activités des cellules sénescentes sont de plus en plus associées à des maladies liées à l’âge, y compris le cancer. Une caractéristique importante des cellules sénescentes est la sécrétion d’une vaste gamme de cytokines pro-inflammatoires, de chimiokines et de facteurs de croissance collectivement connus sous le nom de phénotype sécrétoire associé à la sénescence (SASP). Des recherches récentes ont montré que la signalisation paracrine SASP peut médier plusieurs effets pro-tumorigènes, tels que l’amélioration des phénotypes malins et la promotion de l’initiation tumorale ».

Dans « Management of multicellular senescence and oxidative stress »,(([2] Haines DD, Juhasz B, Tosaki A. Management of multicellular senescence and oxidative stress. J Cell Mol Med. 2013 Aug;17(8):936-57. doi: 10.1111/jcmm.12074. Epub 2013 Jun 22. PMID : 23789967 ; PMCID : PMC3780549.)) Haines et ses coauteurs rappellent :

la première étape de la sénescence cellulaire est l’arrêt du cycle cellulaire induit par les dommages, également appelé sénescence réplicative (RS).

En règle générale, cet arrêt de croissance est déclenché par des réponses aux dommages à l’ADN induites par le stress et peut également être induit à la suite des effets de l’érosion des télomères — un phénomène qui produit des métabolites liés au stress.

Ainsi certains facteurs de stress peuvent causer des dommages à l’ADN qui induisent des réponses dans la cellule qui peuvent conduire à l’arrêt du cycle cellulaire.

Dans le SRAS-CoV-2la Spike Protein Induit la sénescence paracrine et l’adhésion leucocytaire dans les cellules endothéliales(([3] Meyer K, Patra T, Vijayamahantesh, Ray R. SARS-CoV-2 Spike Protein Induces Paracrine Senescence and Leukocyte Adhesion in Endothelial Cells. J Virol. 2021 Aug 10;95(17):e0079421. doi : 10.1128/JVI.00794-21. Epub 2021 Aug 10. PMID : 34160250 ; PMCID : PMC8354225.)) Meyer et ses collègues explorent une relation entre la sénescence cellulaire et les cellules infectées par le virus Sars Cov2.

Leurs conclusions sont préoccupantes.

Les cellules épithéliales humaines infectées par le virus ou transfectées par des pointes (protéine spike) ont présenté une augmentation de la sénescence, avec une libération de molécules inflammatoires liées au phénotype sécrétoire associé à la sénescence (SASP).
Le point clé est à la fois les cellules infectées par le virus Sars Cov2 et les cellules transfectées par les protéines de pointe induisent la sénescence cellulaire.

Que va provoquer la campagne mondiale visant à injecter jusqu’à trois doses ou plus pour tous les âges, même les très jeunes ? Ne serait-il pas temps d’imposer un moratoire avant de poursuivre cette expérimentation sur des milliards d’individus ?

Ces pseudo vaccins seront administrés à plusieurs reprises chaque année. Tous, à chaque injection dose, produisent de l’ordre de milliards de protéines de pointe.

Les études animales ont démontré une distribution efficace des porteurs de vaccins de l’ARNm pour produire ces protéines de pointe, en quantités variables dans tout le corps,

Grave préoccupation.

Yang et Mei(([4] Jiang H, Mei YF. SARS-CoV-2 Spike Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro. Viruses. 2021 Oct 13;13(10):2056. doi: 10.3390/v13102056. PMID : 34696485 ; PMCID : PMC8538446.)) ont démontré une autre partie du puzzle :

« Pour déterminer comment la protéine de pointe inhibe à la fois les voies de réparation NHEJ et HR, nous avons analysé le recrutement de BRCA1 et 53BP1, qui sont les protéines de point de contrôle clés pour la réparation HR et NHEJ, respectivement. Nous avons constaté que la protéine de pointe inhibait nettement la formation de foyers BRCA1 et 53BP »

Ces données montrent que la protéine de pointe pleine longueur du SRAS-CoV-2 inhibe la réparation des dommages à l’ADN en entravant le recrutement de la protéine de réparation de l’ADN.

« Il s’agissait d’une étude de laboratoire utilisant des modèles cellulaires qui ont démontré que la protéine de pointe pleine longueur était exprimée dans le noyau de la cellule. Il est important de noter que la protéine de pointe ne doit pas être trouvée dans le compartiment VIP de la cellule — le noyau.

Une fois sur site, la protéine de pointe a empêché d’autres protéines, par exemple BRCA1, d’être recrutées pour la réparation NHEJ — empêchant la réparation de l’ADN endommagé ».

L’organisme a des mécanismes de secours, mais nous savons via l’oncologie que les dommages causés aux protéines clés telles que BRCA1 entraînent une augmentation significative du risque de cancer et une durée de vie raccourcie.

Les dommages à l’ADN laissés non réparés ou non réparés correctement peuvent également conduire à la sénescence cellulaire.

Risques pour le fœtus

La mitose est une division cellulaire où la cellule se divise en deux moitiés identiques. Ce type de division est très important dans le développement du fœtus car il constitue la base de l’embryogenèse.

Gerasymchuk 2021 s’inquiète :

« Avec des nanoparticules jusqu’à 500 nm étant absorbées par le placenta ; et les nanoparticules lipidiques du vaccin Covid19 étant de l’ordre de 60-100 nm, qu’en est-il du risque pour le fœtus en développement ces particules traversent le placenta et accède au fœtus en développement ? »

CES ARTICLES ÉVOQUENT LES CONSÉQUENCES POSSIBLES DE DOMMAGES SUR L’ADN

« preuves naissantes de dommages à l’ADN induits par les protéines de pointe et de sénescence cellulaire, avec toutes leurs séquelles et conséquences connexes : réparation cellulaire dysfonctionnelle, cancer et vieillissement prématuré — mort »

« La dose fait le poison » est un principe de base en toxicologie

Cela ne devrait pas être différent avec les injections géniques anticovid.

En dehors de tous les autres effets graves déjà démontrés à la suite de la « vaccination » impliquant fortement la protéine de pointe, les injections répétées des êtres humains avec des produits inhibant potentiellement la réparation de l’ADN et provoquant une sénescence cellulaire, avec les risques de cancer assistés et la diminution de la durée de vie, méritent réflexion et justifient un moratoire.

Dans le cas du fœtus en développement, ce risque aurait dû susciter des recherches fondamentales avant la mise sur le marché des vaccins.

La sénescence cellulaire explique-t-elle l’augmentation de la mortalité toutes causes confondues observée depuis la généralisation des injections anti-covid ?

Le taux de mortalité globale (toutes causes confondues) est plus robuste que les données Covid en raison du manque de fiabilité (définitions imprécises et discutables) de celles-ci. La mortalité globale (toutes causes confondues) est beaucoup moins corruptible. L’expression en taux standardisé selon l’âge, supprime beaucoup de facteurs de confusion.

L’analyse de la mortalité toutes causes confondues révèle un taux de mortalité chez les vaccinés deux fois supérieur à celui des non-vaccinés.

Source : ONS — Décès par statut vaccinal, Angleterre — 2 janvier au 24 septembre 2021.

Cette augmentation de la mortalité globale chez les vaccinés constatée par l’Office National des Statistiques (ONS) britannique, très inquiétante, pourrait être en partie expliquée par les études scientifiques précédemment citées.

Consectetuer est venenum — la dose fait le poison.





La virologie est-elle une religion ?

Par Jean Bitterlin

La Virologie (que l’on écrit avec une majuscule depuis qu’elle a pris le pouvoir sur le Monde) se veut science et pourtant elle présente de très importantes caractéristiques qui font penser qu’elle est avant tout une religion.

Voyons donc tout d’abord les définitions de la religion puisées dans le dictionnaire Larousse :

  1. Ensemble déterminé de croyances et de dogmes définissant le rapport de l’homme avec le sacré.
  2. Ensemble de pratiques et de rites spécifiques propres à chacune de ces croyances.
  3. Adhésion à une doctrine religieuse.

Ajoutons pour le plaisir la citation de José Cabanis :

« Tout y est vrai, pourvu qu’on y croie ».

Le dogme

Dans les grandes religions (et leurs variantes, voir ci-dessous) le sacré a été défini par l’homme : il s’agit de dieu, entité toute puissante que personne n’a vue (en dehors de quelques illuminés) et qui ne se manifeste qu’indirectement par des signes que clergé surtout, mais aussi fidèles, sont capables d’interpréter. Le dogme est donc l’existence de Dieu.

En Virologie, c’est le virus qui est l’entité toute puissante que personne n’a vue (même avec les microscopes les plus puissants du monde) et qui ne se manifeste qu’indirectement par des signes que seuls les virologues peuvent interpréter : la présence d’anticorps décrétés par eux comme étant spécifiques aux virus. Le dogme est donc l’existence des virus.

La dévotion des fidèles

Religions et Virologie ont toutes deux essentiellement recours à la terreur pour s’assurer de la dévotion des fidèles. Promesse de l’enfer éternel pour les premières, promesses d’épidémies ou de pandémies pour la seconde. Il vaut mieux suivre les préceptes du clergé, préceptes garants de vie éternelle dans l’au-delà ; si l’on suit ceux des virologues, la promesse est celle d’une vie sur Terre quasi éternelle. Carotte et bâton sont bien dans les deux cas le moyen utilisé pour obtenir la dévotion des fidèles.

Les religions expliquent de nombreux phénomènes par l’intervention divine. Si les récoltes sont bonnes, c’est que Dieu a apprécié les actions de grâce à son égard ; par contre sécheresse, inondation ou autres calamités témoignent de sa grande colère. Le clergé explique alors aux fidèles que Dieu avait de multiples raisons de ne pas être satisfait de leurs comportements ; ce que les fidèles reconnaissent volontiers quand ils sont dans le pétrin.

Le clergé virologue quant à lui invoque l’action des virus pour expliquer l’origine de nombreuses maladies. Le comportement des fidèles, là non plus, ne correspond que très rarement aux attentes du clergé ; d’où les épidémies. Malgré les moyens colossaux mis en œuvre dans les médias pour nous rappeler régulièrement notre grande vulnérabilité face aux virus, les couvertures vaccinales sont insuffisantes et les gestes barrières ont tendance à être absents.

Le clergé et les prophètes

Religions et Virologie ont toutes deux un clergé dont la hiérarchie est pratiquement identique. Au sommet de l’Église catholique (par exemple) il y a un pape qui donne le la aux évêques puis viennent les prêtres et les missionnaires. Dans la virologie il y a également un pape, le Dr Anthony Fauci (appelé également tsar de la Virologie), qui donne le la à des évêques (les responsables de santé publique), il y a des prêtres officiants (les médecins) et les missionnaires qui interviennent sur les plateaux à la télévision. La Virologie, comme l’église mormonne, a couvert les pays du Monde entier de missionnaires ; en France les plus célèbres sont Martin Blachier, Michel Cymes ou encore feu Jean-Daniel Flaysakier.

De temps en temps les hauts dignitaires (des religions ou de la virologie) se réunissent pour faire le point afin de s’assurer de la pureté de la foi et de la dévotion des fidèles.

Les religions ont de nombreux prophètes qu’elles vénèrent et dont elles aiment à citer les paroles (dites saintes paroles). La Virologie n’a que Jenner et Pasteur à présenter comme prophètes, mais ils sont d’autant plus vénérés. Neil Fergusson de l’Imperial College de Londres est également présenté comme prophète, mais il faut bien reconnaître qu’il n’a pas rencontré de réel succès dans ses prophéties jusqu’à présent.

Répartition dans le Monde

Si les religions se partagent en plusieurs chapelles qui ont chacune une certaine préférence géographique, la Virologie a un très net avantage, car elle est unifiée et présente dans le Monde entier. Il faut dire qu’étant très récente au regard des premières elle n’a pas encore eu le temps de connaître de schisme.

L’apparition des variants

La religion monothéiste est apparue vers –1200 puis sont apparues diverses variantes, la religion chrétienne en l’an 0 de notre ère, puis la religion musulmane vers 600. Il y a également eu des religions variantes de la variante chrétienne avec les religions orthodoxe, protestante, et bien d’autres variantes encore (Témoins de Jéhovah, mormons et autres sectes).

La Virologie est un bloc soudé, mais ce sont les virus eux-mêmes qui présentent des variants. On appelle cela des mutations ou de nouvelles souches. En mutant, certains virus deviennent plus pathogènes (ça veut dire plus méchants) et plus contagieux. D’après les virologues le virus de la grippe prend chaque année un malin plaisir à muter rien que pour les embêter alors qu’ils avaient, disent-ils, préparé un vaccin avec ce qu’ils pensaient être la bonne souche.

Il faut aussi ajouter que le SARS-CoV-2 a battu tous les records de variants ; il y a même eu des variants de variants, avec le variant Delta tenant le haut du pavé. Rien qu’au 4 février 2021, le ministre britannique de la Vaccination annonçait qu’il y en avait plus de 4 000 ! Il doit y en avoir plusieurs dizaines de milliers aujourd’hui.

On ne sait pas trop non plus ce que le virus de la grippe a fait en 2020 ; il est pourtant malin comme un singe (ça se trouve qu’il provient d’un singe et s’est dit « hop, je fais un saut d’espèce » pour aller voir à quoi ressemblent les cellules humaines). Mais les virologues lui prédisent malgré tout un bel avenir pour 2022, 2023, et les suivantes puisqu’une grande partie de la population humaine étant désormais vaccinée contre le SARS-CoV-2 la voie est à nouveau dégagée pour le virus de la grippe.

Les guerres

Dans l’Histoire les conflits entre les adeptes des différentes religions ont été nombreux et particulièrement féroces.

Il en va de même pour les virus, et là encore c’est le plus fort qui l’emporte. C’est ainsi que le virus SARS-CoV-2, qui est apparu fin 2019 on ne sait trop comment en Chine, était tellement plus fort que celui de la grippe que ce dernier, lors de l’hiver 2019/2020 a tout juste eu droit à quelques petits vieux (et encore on n’en est pas sûr). Sa force provient sans doute de son enveloppe dont les virologues affirment qu’elle est hérissée d’épines (les fameuses protéines spike) si joliment dessinées par les artistes, alors que les virus de la grippe n’en possèdent apparemment pas. Malgré ses handicaps le virus de la grippe arrive à provoquer quasiment les mêmes symptômes que le terrible SARS-CoV-2 (fatigue, fièvre, toux, perte de goût et d’odorat) et comme lui s’attaque prioritairement aux personnes très âgées avec des comorbidités.

Les fêtes

Si la vie des religions est rythmée par des fêtes qui ont lieu chaque année à date plus ou moins fixe, les fêtes des virologues dépendent de phénomènes tels que les famines, les guerres et leurs conséquences (peste noire au 14e siècle, grippe espagnole entre 1918 et 1921), mais aussi de décisions prises par les grands prêtres de la Virologie (SIDA, H1N1, SARS-CoV-1, SARS-CoV-2, etc.).

La célébration de la grippe dite saisonnière se distingue des autres fêtes virales, car elle est annuelle, et ce probablement depuis des siècles (hormis 2020 comme nous venons de le voir ci-dessus). Elle fluctue légèrement dans le temps en fonction de l’ensoleillement et des températures, ne semble pas dépendre des phases lunaires et bat généralement son plein du cœur à la fin de l’hiver. Les virologues occidentaux n’aimant pas trop les Chinois ont d’ailleurs longtemps parlé de « grippe asiatique » à son sujet puisque cette « saloperie » ne pouvait provenir que de Chine, les Chinois ayant l’habitude de manger toutes sortes de bestioles ; on peut d’ailleurs raisonnablement penser que pas plus que la « grippe espagnole » n’avait pour origine l’Espagne, « la grippe asiatique » n’avait pour origine la Chine.

Le doute

Le doute n’est pas permis en religion : qui doute de l’existence de Dieu s’exclut de la communauté des croyants. Si un membre du clergé exprime publiquement ses doutes sur certaines orientations décidées par la Congrégation pour la doctrine de la foi (pour l’Église catholique par exemple) il est démis de sa fonction et de ses avantages et n’a plus qu’à créer une nouvelle église, ce qui est très difficile, ou suivre une formation quelconque (dans la restauration de nombreux postes sont à pourvoir) ou, au pire, s’inscrire au RSA (Revenu de Solidarité Active).

La Virologie demande également de son clergé qu’il fasse preuve de foi et de fidélité absolues. La Congrégation (appelée également Big Pharma) finançant directement ou indirectement toutes les recherches, les expériences sont donc automatiquement menées dans le cadre de la foi afin de donner les résultats escomptés. Ceux (les résultats) qui s’opposent au dogme ne peuvent qu’être entachés de grossières erreurs et finissent à la poubelle ; ce qui n’arrive pas souvent.

Le clergé de la virologie peut également compter sur la foi et la fidélité de ses nombreux domestiques qui sont très bien rétribués par la Congrégation ou par l’argent des contribuables. Dans ces conditions il est hors de question d’exprimer publiquement ses doutes sur certaines expériences ou de critiquer certains résultats, à moins de vouloir renoncer à un salaire plus que confortable et de se retrouver à la rue ; ou d’être à la retraite. L’exemple qui dissuade le clergé ou les domestiques de faire des bêtises est celui du célèbre professeur Peter Duesberg de l’Université de Berkeley qui avait, au début des années 1990, osé affirmer que le « virus » appelé VIH n’était en rien responsable du SIDA ; en réaction la Congrégation lui a tout supprimé : financement pour son laboratoire de recherche, étudiants du 3e cycle, conférences et publications dans des revues prestigieuses. De toute façon la Congrégation, qui possède également les médias mainstream fait savoir aux éventuels dissidents qu’ils ne pourront que « crier dans le désert ».

Conclusion

La science s’oppose aux religions dans le sens que « le premier devoir de tout scientifique est de vérifier rigoureusement ses propres assertions et d’essayer de les réfuter » comme le dit le biologiste Stefan Lanka. Ce dernier avait offert 100 000 euros à qui prouverait l’existence du virus de la rougeole ; le malheureux représentant de l’Institut Robert Koch (l’équivalent allemand de l’Institut Pasteur) qui l’a poursuivi en justice n’a pu que présenter 6 soi-disant études scientifiques dont l’une présentait des erreurs grossières et les 5 autres ne faisaient que répéter ce que disait la première ; et le professeur Stefan Lanka attend donc toujours un postulant aux 100 000 euros.

Les religions ne peuvent suivre, par essence même, ce principe fondamental de vérification et de réfutation.

Mais la Virologie, tout comme les religions, ne suit pas non plus ce premier devoir ; poliomyélite et le SIDA illustrent cela parfaitement. Dans les deux cas, pour les virologues, seul un virus était responsable de la maladie et il était hors de question de vérifier s’il n’y avait pas d’autres causes. Pourtant :

L’isolation d’un virus, c’est-à-dire la séparation d’un virus de tout autre matériel génétique, serait la preuve scientifique de l’existence des virus. La Virologie n’a jamais réussi cela ; virus de la rougeole, VIH ou le tout récent SARS-CoV-2 n’ont jamais été isolés et il est donc malhonnête de prétendre à leur existence.

De plus la Virologie écarte tout simplement tous les faits avérés qui s’opposent au dogme de l’existence des virus. Qui sait, par exemple, que toutes les expériences faites lors de « l’épidémie de grippe espagnole » pour tenter d’inoculer le virus de la grippe à des bien-portants ont lamentablement échoué ?

La Virologie se situe donc clairement dans le domaine religieux : ELLE EST UNE RELIGION !

Jean Bitterlin 27 octobre 2021




Comment expliquer l’explosion des cas et des morts dans les 2 mois qui suivent les vaccinations ?

La surveillance de l’évolution immédiatement post vaccinale telle qu’elle apparaît d’après les données de l’OMS et de OurWorldinData montre une explosion de cas et de morts durant les deux mois qui suivent les campagnes de vaccination, sans aucune explication scientifique confirmée jusqu’à présent.

Le but de ce travail est d’exposer cette évolution paradoxale pour stimuler les recherches et évoquer les hypothèses qui permettraient peut-être de la comprendre.

Faits avérés tirés des courbes de l’OMS

Israël

Dans ce pays champion de l’injection Pfizer celle-ci a été suivie d’une explosion des cas et de morts pendant deux mois.

La campagne de « vaccination » a également été suivie d’une explosion de la mortalité attribuée au Covid.


La Grande-Bretagne

Est le champion européen de l’Astra Zeneca. La vaccination, commencée en décembre 2020, a été suivie d’une forte exacerbation du nombre de cas quotidiens puis de la mortalité qui a doublé en trois mois.


Îles Fidji

Les injections ont commencé début mai. L’épidémie a explosé en juin et la mortalité a suivi.

Et la mortalité a explosé


En Slovaquie la vaccination a commencé le 4 janvier 2021.

Elle a été rapidement été suivie d’une hécatombe post vaccinale


Avant la vaccination les Seychelles avaient été épargnées par le Covid. Mais la campagne de vaccination a été suivie par une forte poussée de contaminations, puis de morts.


Au Népal


Mais aussi en Thaïlande


Au Cambodge, la vaccination a pris de l’ampleur en mars 2021 et en novembre plus de 80 % de la population avait subi au moins une injection. Mais le résultat est décevant : la vaccination a été suivie par une explosion des cas.


Avant la vaccination la Mongolie avait été épargnée par le Covid.

Malheureusement la vaccination a été suivie par une explosion de cas et de morts.


Les non-vaccinés sont ceux qui n’ont reçu aucune injection !

Cette hécatombe post vaccinale des deux premiers mois impose de prendre en compte dans l’historique des vaccinés cette période entre la première injection et les deux semaines qui suivent la dernière injection.

La comparaison des mortalités des vaccinés et des non vaccinés, en considérant les vaccinés incomplets comme des non-vaccinés, augmente fortement la mortalité de ces derniers et diminue d’autant celle des vaccinés.

Elle représente une tricherie trop fréquemment utilisée par nos gouvernants et les médias complices. Les non-vaccinés sont ceux qui n’ont reçu aucune injection !

Dans les pays où la vaccination a été plus lente, cet effet d’explosion des cas et d’hécatombe post vaccinale est peu perceptible, mais des accélérations brutales du rythme des vaccinations peuvent aussi être marquées par une augmentation de la mortalité.

L’effet Macron

Ainsi en France les menaces proférées par Macron contre les non-vaccinés ont été suivies par une augmentation brutale du nombre d’injections quotidiennes suivi par une augmentation des cas constatés puis de la mortalité quotidienne

Commentaires

Dans 80 % des pays champions de la pseudo vaccination Covid, celle-ci a été suivie par une hausse importante des cas (tests PCR positifs) et des morts pendant en moyenne deux mois.

Ce phénomène paradoxal n’a pas été observé avec les vaccins classiques, même lorsqu’ils sont peu efficaces comme celui de la grippe. En l’absence d’études scientifiques publiées à notre connaissance sur le sujet, on ne peut qu’émettre des hypothèses quant aux raisons de cette hausse des contaminations et l’hécatombe post vaccinale précoce.

Le rôle connu des anticorps facilitants

Pour la surmortalité immédiate, on peut évoquer un phénomène d’anticorps facilitants (ADE)(([1] Antibody dependant enhancement)) bien étudié après la catastrophe de la vaccination contre la Dengue (Denvaxia) aux Philippines. Il consiste à ce que les anticorps, créés à l’occasion d’une précédente infection ou par un vaccin insuffisamment efficace, au lieu de combattre la maladie, l’aggravent en facilitant l’entrée du virus dans les cellules. Cette apparition d’anticorps facilitants est responsable de l’échec et l’abandon des candidats vaccins après les essais animaliers(([2] En particulier contre péritonite infectieuse du chat.)) contre les précédents coronavirus (SRAS(([3] Dans le contexte des essais vaccinaux contre le SRAS (SARS-CoV-2), une VAED a été observée dans 9 études animales, dont une in vivo chez des singes verts expérimentalement infectés par deux fois.)) et MERS(([4] Chez le lapin infecté par deux fois, ainsi que des phénomènes d’ADE in vitro.)) ).

Ces observations sont à l’origine des inquiétudes des immunologistes vis-à-vis de la sécurité des pseudovaccins contre la Covid-19. Ce risque avait d’ailleurs été décrit par de nombreux auteurs dès 2020(([5] Nouara Yahi Infection-enhancing anti-SARS-CoV-2 antibodies recognize both the original Wuhan/D614G strain and Delta variants. A potential risk for mass vaccination?))(([6] Iwasaki A. Yang Y. The potential danger of suboptimal antibody responses in COVID-19. Nat Rev Immunol. 2020; 20:339-341(([7] Li D. et al. In vitro and in vivo functions of SARS-CoV-2 infection-enhancing and neutralizing antibodies. Cell. 2021; 184:4203-4219))(([8] Lee WS et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol. 2020; 5(10): 1185-91))(([9] Nikolai Eroshenko, Taylor Gill, Marianna K. Keaveney, Implications of antibody-dependent enhancement of infection for SARS-CoV-2 countermeasures 5 June 2020
https://doi.org/10.1038/s41587-020-0577-1)) et rappelé par l’Académie de médecine en janvier 2021(([10] Communiqué de l’Académie de Médecine Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?)):

« la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection doit être prise en considération.

Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants.

Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Les mesures de surveillance de ce phénomène d’ADE se heurtent à la difficulté de caractériser l’aggravation de la maladie par la vaccination (VAED)(([11] VAED vaccine antibody-dependant enhancement)) de manière objective et le manque de marqueurs spécifiques.

La prévention de la VAED repose, non seulement sur un suivi attentif, mais également sur des mesures visant à s’assurer que les taux d’anticorps neutralisants obtenus restent suffisamment élevés chez toutes les personnes vaccinées, en particulier les sujets âgés, ce qui n’est pas suffisamment réalisé actuellement en France.

Si, comme cela est probable, l’infection à SARS-CoV-2 devient endémique, cette précaution sera essentielle à respecter, si on veut éviter de voir apparaître des bouffées épidémiques de formes sévères chez des personnes vaccinées, insuffisamment protégées par leur immunité humorale et cellulaire.

Les maladies liées à la protéine spike produites largement par les « vaccinés »

Aucune hypothèse publiée à ce jour n’explique l’explosion précoce des cas après vaccination et on peut s’interroger sur la signification des test positifs dans cette situation. Il est peu probable qu’il ne s’agisse que de faux positifs, car ils ont été suivis de signes cliniques et d’une élévation de la mortalité.

La possibilité d’une maladie causée par la protéine spike et transmise par autour d’eux par les vaccinés est donc possible et mérite d’être recherchée.





Le gouvernement fait des concessions aux Antillais vaccino prudents : il leur promet un « vaccin » sans ARN messager !

Par Gérard Delépine

Devant l’exaspération des Antillais contre l’obligation vaccinale, qui s’exprime parfois violemment, depuis plusieurs jours à la Guadeloupe, en Martinique et bientôt en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie, le gouvernement a d’abord envoyé la gendarmerie avec des chars, puis le GIGN. Belles provocations. Inutiles et dangereuses pour l’unité de la Nation, car elles rappellent à une partie de la population qui se croyait en pays démocratique l’époque où le maître faisait obéir les esclaves au fouet.

Le pouvoir a dû méditer la constatation de Charles Maurice, prince de Talleyrand-Périgord « On peut tout faire avec des baïonnettes sauf s’asseoir dessus » et fait maintenant semblant de négocier et propose aux soignants « un autre vaccin ». Ah oui, d’où sort-il ? Et pourquoi tous les métropolitains n’y auraient-ils pas droit ? Trop de stocks de Pfizer à écouler ?

Mais il n’existe actuellement aucun vrai « vaccin » au sens pasteurien sur le marché français.

Pasteur a défini la vaccination comme l’injection d’antigènes provenant d’un pathogène tué ou inactivé afin de susciter la création d’une réponse immunologique par la fabrication d’anticorps et la stimulation des cellules immunocompétentes de la personne injectée.

Aucune des injections antiCovid actuellement autorisées en France ne contient d’antigène ; ce ne sont donc pas des « vaccins » mais des médicaments, de plus totalement expérimentaux et issus d’une technologie expérimentale en infectiologie.

Si les labos, les gouvernements et les médias les qualifient de « vaccins », c’est uniquement pour camoufler la nature réelle de ces médicaments géniques et les faire bénéficier de la popularité et des lois qui protègent les vrais vaccins.

Tous ces pseudo vaccins sont expérimentaux, car leurs essais ne sont même pas terminés.

Les complications de ces pseudo vaccins sont trop nombreuses

Le gouvernement compte-t-il remplacer le Pfizer ou le Moderna par l’AstraZeneca ou le Jansen. De toute façon par des mécanismes différents ils interfèrent également sur l’ARN messager et font produire de la protéine spike. Les Antillais seront-ils dupes ?

Pour l’Astra Zeneca, l’Agence Européenne du Médicament EMA, pourtant très proche des fabricants, a identifié un surrisque de cas de coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) et de thrombose veineuse cérébrale (TVC) chez les personnes de moins de 55 ans.

Pour ces raisons, il est interdit dans de nombreux pays et réservé en métropole aux plus de 55 ans (donc aux infirmières qui prennent statutairement leur retraite à cet âge).

Les vaccins anti-Covid AstraZeneca et Janssen ont un point commun : il s’agit de vaccins à vecteurs viraux qui utilisent des adénovirus.

Le vaccin Janssen du laboratoire Johnson & Johnson. Le 13 avril 2021, les autorités sanitaires américaines ont annoncé « mettre en pause » temporairement l’utilisation du vaccin Janssen par mesure de précaution. Comme pour l’AstraZeneca, plusieurs cas de thromboses ont été observés chez des patients ayant reçu le vaccin Janssen. La recommandation de la Haute Autorité de santé d’administrer une dose supplémentaire de vaccin à ARN messager a été suivi d’une chute brutale de ses injections, et ses livraisons sont stoppées en France depuis début juillet 2021 après utilisation d’environ 50 % des doses achetées. Le Danemark a été le premier pays d’Europe à exclure ce vaccin dès le lundi 3 mai après que l’autorité sanitaire ait déclaré :

« les avantages de l’utilisation du vaccin contre le Covid-19 de Johnson & Johnson ne l’emportent pas sur le risque de possibles effets indésirables chez les personnes qui le reçoivent. »

En France Janssen est destiné aux plus de 55 ans ce qui exclut les infirmières parties normalement en retraite à cet âge.

Le vaccin Moderna

En Suède et en Finlande, le vaccin a été interdit pour les moins de 30 ans tandis qu’au Danemark et en Norvège il a été formellement déconseillé pour les moins de 18 ans après qu’une étude scandinave associant ces 4 pays a établi que :

« les hommes injectés avec le Spikevax de Moderna âgés de moins de 30 avaient un risque accru de développer une inflation du myocarde ».(([1] Déclaration de Mika Salminen, directeur de l’Institut finlandais pour la santé.))

O. Veran a prétendu devant les députés qu’il n’y aurait aucun mort démontré dû à la pseudo vaccination Covid en France. Les sites gouvernementaux sont-ils complotistes ? Consulter les sites est très instructif. Eudravigilance en compte plus de 30 000, le VAERS en recense plus de 18 000 et celui de l’Agence Sanitaire du Médicament française en signale plus de mille.

Après avoir menti sur les masques, sur la prétendue toxicité de la chloroquine, sur l’efficacité réelle des vaccins, il tente de nous refaire le coup du nuage de Tchernobyl qui aurait épargné la métropole ou du chlordécone qui n’était pas toxique !

Ce gouvernement croit-il que les Antillais sont à ce point ignares qu’ils ignoreraient les graves complications recensées publiées dans les revues internationales et reconnues par de très nombreuses agences sanitaires ?

Ni les effets secondaires subis par les soignants métropolitains au début des vaccinations en France ?

Complications si fréquentes que la Haute Autorité de Santé avait conseillé de ne plus vacciner en même temps le personnel d’un service, pour ne pas risquer d’être obligé de le fermer par manque de soignants.

Ni la surcharge des Centres régionaux de pharmacovigilance comme celui de Limoges chargés de recueillir tous les signalements d’effets indésirables des médicaments submergés par les signalements post-vaccination Covid-19 depuis janvier dernier. Plus précisément, 4 000 en quatre mois et demi (sur 283 000 personnes ayant reçu une ou deux doses de vaccin en Limousin) : un record pour cette structure qui recueille les déclarations des effets indésirables des médicaments et fait remonter ses observations à l’Agence nationale de sécurité du médicament, l’ANSM. Le Haut Conseil pour la Santé Publique considère que l’obligation vaccinale des professionnels de santé doit être justifiée par les quatre conditions suivantes : prévention d’une maladie grave, risque élevé d’exposition pour le professionnel de santé ; risque élevé de transmission soignant-soigné, existence d’un vaccin efficace et bien toléré.

Une obligation infondée selon les critères du Haut Conseil de la Santé Publique

À propos du vaccin antigrippal, il s’est déclaré pour une incitation forte et contre une obligation considérant que la maladie est habituellement sans gravité chez les personnes jeunes et en bonne santé, qui représentent la majorité des soignants, que la prévention de la grippe repose sur les mesures d’hygiène (lavage et désinfection des mains, port du masque), que l’efficacité de la vaccination est modérée, ne dépassant pas 70 %, et diminue fortement lorsque les souches circulantes ne sont pas contenues dans le vaccin et qu’enfin les études disponibles en faveur des vaccins sont entachées de biais et n’apportent pas une preuve claire de leurs avantages.

Si on applique les mêmes critères au Covid dont les pseudo vaccins expérimentaux sont moins efficaces que ceux de la grippe (40 %),(([2] d’après le ministre de la Santé d’Israël, lors d’une interview télévisuelle)) moins durables et la tolérance très inférieure, l’obligation des soignants est infondée.

L’épidémie est terminée en Guadeloupe

L’obligation d’injecter un médicament génique expérimental pour stopper l’épidémie est d’autant plus à contretemps que l’épidémie n’a pas attendu la vaccination pour se terminer ainsi que le montre les courbes de l’OMS.

Cette évolution favorable sans vaccin confirme le cycle naturel des poussées bien décrites par le professeur Ben Israël ; une ascension de 4 à 6 semaines puis une chute brutale. Et comme l’immunité naturelle obtenue après guérison est plus forte et plus durable qu’après les pseudo vaccins la situation actuelle de la Guadeloupe est meilleure qu’après vaccination.

Et s’il devait survenir un nouveau variant, la vaccination serait incapable de la prévenir comme le sont, chaque hiver, les vaccins antigrippaux de l’année précédente.

Il suffirait alors de suivre l’exemple de l’Inde et d’utiliser les traitements préventifs et/ou précoces pour éliminer la menace. Des médicaments utilisés sur près d’un milliard d’Indiens et qui n’ont pas été suivis de complications !

Pourquoi le gouvernement s’acharne-t-il contre les Antillais ?

Parce que loin de la métropole, les méfaits de ce gouvernement se voient moins d’autant que les médias minimisent ses responsabilités !!!

Après la Guadeloupe et la Martinique qui sont totalement bloquées par leur grève générale illimitée, un préavis de grève générale a été déposé aussi en Nouvelle-Calédonie. preuve que ça va très mal et que ce gouvernement utilise les outres mers comme laboratoire pour leurs injections et leurs répressions, avant la métropole.

Une pensée et un soutien sans faille à tous nos amis guadeloupéens qui subissent les premiers la dictature “sanitaro politique” de ce gouvernement, les médias corrompus nous diront bien sûr que l’ordre doit revenir à cause des pillages ou autres, mais ils vous mentent, car, c’est bien ce gouvernement qui pille l’économie, abandonne les hôpitaux et maintenant menace la vie des Français des DOM-TOM dans une violence jamais connue pour eux depuis la fin de l’esclavage.

Honneur à vous, amis français de Guadeloupe, de Martinique et d’outre-mer, les métropolitains vous regardent, car si vous tombez, c’est le reste du pays qui risque de tomber sous cette dictature.




PCB : Vaccination à ARN messager : une situation insoluble. Où est notre aide ?

Par Élie, Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin



vidéo :
https://vkpatriarhat.org/fr/?p=14720 
https://signore-abbi-pieta.wistia.com/medias/xu8s4cvokw
https://rumble.com/vo1r0b-vaccination-o-est-notre-aide.html
cos.tv/videos/play/31540594990945280
ugetube.com/watch/mcVrrG2Y5S3m9mK
bitchute.com/video/X15n0T5EngFP/

À qui faites-vous confiance ? Faites-vous confiance aux experts en virologie, ou à ceux qui mentent sans arrêt sur toutes les chaînes de télévision ?

Les médias de masse instillent la peur chez les gens, produisent de l’hystérie et leur font un lavage de cerveau professionnel. Dans quel but ? Faire croire au plus grand nombre au mensonge selon lequel la seule issue et le dernier espoir est la vaccination contre le Covid. Ils disent que si vous obtenez ce vaccin, pour lequel ni le fabricant, ni le gouvernement, ni le médecin ne veulent être tenus responsables, tout redeviendra normal. Cependant, mes vrais experts disent exactement le contraire. Les faits prouvent déjà que ceux qui meurent du Covid aujourd’hui étaient totalement vaccinés ! Alors, ils sont morts du vaccin plutôt que du Covid ! Le directeur des pompes funèbres britannique John O’Looney a dénoncé cela, confirmant que ceux qui sont décédés récemment ont été vaccinés. Le mythe du vaccin miracle s’est avéré être un gros fake. De plus, les vaccinés deviennent la plus grande menace pour eux-mêmes et leur environnement. Pourquoi ? Cela s’explique non seulement par le Dr Zelenko, mais aussi par d’autres. Le Dr Zelenko déclare : 

« Lorsqu’une personne reçoit une injection de ces « vaccins », le corps devient une usine de production de protéines spike. »

Exemple : Une jeune femme enceinte et son mari ont rendu visite aux parents vaccinés du mari. Immédiatement après, la jeune femme a souffert de crampes sévères, a complètement perdu ses forces, est désormais alitée et ne peut plus bouger.

Autre exemple : un jeune couple avec des enfants en bas âge a rendu visite à sa tante. La tante et son mari avaient déjà reçu le vaccin à ARNm. Au cours de la visite, les os et tout le corps du jeune homme ont commencé à lui faire mal; il a subi une température élevée et a complètement perdu ses forces.

Une femme atteinte d’un cancer avait forcément besoin d’une radiothérapie. Elle était sous forte pression pour qu’elle se fasse d’abord vacciner ou subisse une série de tests dangereux et peu fiables. Si elle ne remplit pas ces conditions, elle se voit refuser un traitement vital.

Des infirmières témoignent que les patients actuellement hospitalisés pour un Covid-19 sévère ont tous été entièrement vaccinés contre le Covid. Ainsi, le mythe du vaccin miracle s’est évanoui. Néanmoins, les médias continuent leur démagogie vaccinale afin de créer une atmosphère frauduleuse pour des mesures gouvernementales absurdes. Ils retiennent intentionnellement des informations vraies.

Le professeur Bhakdi d’Allemagne, chercheur et virologue, met en garde d’urgence contre la vaccination :

« Si vous avez eu la première injection et que vous vous en êtes tiré, Dieu merci, remerciez le Seigneur, mais ne prenez pas la deuxième injection. Parce que lorsque vous prenez cette seconde injection, vous allez aller au-devant de gros ennuis.

Dans les ganglions lymphatiques, vous aurez les lymphocytes tueurs et d’autres cellules X. Si une cellule X fabrique ces protéines spike, ce lymphocyte va attaquer son frère ou sa sœur. C’est déjà terrible en soi si les lymphocytes tueurs commencent à essayer de vous tuer.

Je veux que vous décidiez de ne pas prendre la deuxième injection. Non seulement la seconde injection, mais toute injection par la suite mettra votre vie en danger. La pandémie n’existe pas en tant que nouvelle maladie mortellement dangereuse. »

Le Covid-19 est une fraude mondiale, et la vaccination mondiale contre le Covid  est une fraude encore plus grande !

Le terrorisme médiatique a d’abord donné une image d’une prétendue calamité avec des boîtes de congélation surpeuplées de cadavres, et maintenant, pour changer, ils ont proposé l’idée que ceux qui refusent les vaccins sont à blâmer pour une soi-disante pandémie et menaceraient tout le monde, y compris les vaccinés. C’est complètement absurde ! Les médias menteurs sont maintenant à blâmer pour le lynchage d’innocents qui rejettent un vaccin absurde et très dangereux qui n’est pas un vaccin et est plutôt une arme biologique. Le Dr Zelenko le confirme : 

« Il s’agit d’une arme biologique fabriquée artificiellement. »

Et il poursuit : 

« Il n’y a aucune justification à l’utilisation de cette injection mortelle empoisonnée ! … Votre ministère de la Santé vous ment. Le 20 décembre 2020 : Il y a un énorme pic dans la courbe des décès en Israël. Savez-vous ce qui s’est passé en Israël, le 20 décembre ? La vaccination nationale a commencé ! »

Le docteur Zelenko dit la vérité, et est donc pratiquement menacé de mort quotidiennement, admet-il. Lui et son équipe ont traité avec succès plus de 6 000 patients contre le Covid. Il est compétent pour commenter le vaccin de façon professionnelle. Les vrais experts comme lui sont persécutés, réduits au silence et moralement détruits pour l’amour de la vérité. Aujourd’hui, on peut citer les noms de spécialistes qui ont mis en garde d’urgence contre le vaccin expérimental et qui, bien que non malades, sont décédés subitement.

Qui fait la promotion du vaccin et pourquoi ? Il est promu, par exemple, par Bill Gates qui a déclaré : 

« Si nous faisons un excellent travail sur les vaccins, nous pourrions réduire la population de 10 à 15 % ».

Un autre analphabète qui promeut la vaccination, et ne recule devant rien, est le pseudo-pape François Bergoglio qui dit : « Il faut le faire ! ». Et il ajoute hypocritement : « C’est un acte d’amour ! » – En fait, c’est un crime contre l’humanité ! Il a lui-même introduit les passeports Covid obligatoires au Vatican en tant que premier État au monde. Tous les employés du Vatican doivent être vaccinés. Le pseudo-pape boycotte notoirement les avertissements des véritables experts, et ne cesse de répéter comme un mantra un mensonge flagrant sur la nécessité absolue de se faire vacciner. Il commet ainsi un crime non seulement contre Dieu et l’Église, mais aussi contre toute l’humanité. La démagogie trompeuse de Bergoglio est suivie par certains des prélats qui ont échangé la vérité contre le mensonge, et Dieu contre le diable. Il faut se méfier de ces loups déguisés en brebis ; vous les reconnaîtrez à leurs fruits.

Contrairement à l’archi-menteur papal Bergoglio, le Dr Montagnier, virologue français et lauréat du prix Nobel pour la découverte du VIH, appelle à l’arrêt immédiat de la vaccination de masse. Il dit : 

« Ce vaccin est le plus grand risque de génocide pour l’humanité dans toute l’histoire de l’humanité. » 

Le pseudo pape, cependant, soutient de façon absurde que ce génocide programmé est un acte d’amour.

Le drame est que les gens accablés par les mensonges médiatiques sont incapables de prendre au sérieux ces vrais experts. Ils risquent d’être paralysés ou de mourir après la vaccination. Aujourd’hui, il convient de demander aux gens : Pourquoi suivez-vous ceux dont le but est votre mutilation ou votre mort et la propagation massive de la maladie ? Pourquoi les écoutez-vous ? Ce qui se passe aujourd’hui est-il même possible ? Il est facile de prouver aujourd’hui que plus de personnes meurent du vaccin que du Covid. Dans le même temps, on sait que la mortalité due au Covid n’a pas dépassé la mortalité due à la grippe saisonnière ordinaire. De plus, des statistiques peu fiables ont été gonflées en comptant les décès de personnes décédées avec le Covid, mais pas du Covid. Le Covid était la cause de la mort même dans des accidents de voiture.

La virologue tchèque Sona Pekova a commenté la question de savoir s’il est possible de produire un vaccin efficace contre le Covid. Elle a expliqué qu’il n’est pas possible de produire un vaccin efficace en raison d’une mutation rapide du virus. Pourquoi ? Parce que le vaccin n’est pas capable de devancer la mutation. Le spécialiste russe, le professeur Redko, a déclaré que des vaccins efficaces n’avaient toujours été utilisés que contre les infections stables telles que la polio, la rougeole etc., et jamais contre un virus qui mute.

La vaccination déclenche une guerre mondiale, qui dans le domaine psychologique conduit à la division des familles et de la nation.

Exemple : dans une famille, un homme dans la soixantaine a été vacciné. Sa femme, en revanche, est contre la vaccination. Sa belle-fille croyait au vaccin et a également été vaccinée. Son mari a obtenu de vraies informations auprès d’experts et s’est donc radicalement opposé à la vaccination. Dans une maison, les parents âgés sont divisés les uns contre les autres et les jeunes époux aussi. Une division aussi profonde de la société n’a jamais été réalisée dans toute l’histoire de l’humanité. L’agression et la haine sont uniquement de la part des vaccinés.

De vrais experts révèlent la nature de la menace du vaccin expérimental :

1) Il modifie le génome humain, faisant ainsi de l’homme un organisme génétiquement modifié, conduisant à l’autodestruction de la race humaine.
2) Le vaccin contient des nanoparticules qui pénètrent dans le cerveau, et il appartient donc au processus de puçage de l’humanité, notamment en association avec la 5G. Une personne pucée cesse d’être un humain, c’est-à-dire un être libre. Elle devient un robot biologique.
3) La vaccination est un moyen de réduire la population, c’est-à-dire de provoquer l’autodestruction de l’humanité.
4) La vaccination est également un élément de diabolisation, car la base biologique du vaccin à ARNm consiste en des tissus arrachés à un enfant vivant à naître, avant qu’il ne soit tué.

Il convient également de noter que la vaccination actuelle est une expérience menée sur l’être humain, qui est interdite par le code de Nuremberg en tant que crime contre l’humanité.

Des dizaines d’experts incorruptibles en virologie mettent en garde contre les conséquences spécifiques que nous constatons déjà aujourd’hui. Le Dr Ryan Cole, États-Unis : 

« Le vaccin à ARNm est une toxine. Il provoque la maladie. La même maladie pulmonaire, la même maladie vasculaire, la même maladie cardiaque, la même maladie cérébrale… ».

D’autres experts soulignent que le vaccin endommage le système nerveux central. Le pronostic sur lequel le Dr Cahill d’Irlande tire la sonnette d’alarme est le suivant : « D’ici deux ans, 90 % des personnes vaccinées seront mortes. Ceci est une affaire sérieuse! Il faudrait vraiment commencer à avoir peur de ça, plutôt que des histoires de croque-mitaines dans les médias, qui, au contraire, nous poussent vers l’abattoir de la vaccination.

Le plus grand crime consiste à introduire la vaccination obligatoire des enfants, comme ils essaient déjà de le faire dans certains pays. Les experts affirment que 99,998% des enfants se remettent du Covid sans aucun traitement. Mais après le vaccin, les enfants meurent ou ont de graves problèmes. Le Dr Bhakdi, microbiologiste et virologue, prévient : 

« Si vous donnez cette injection à votre enfant, vous commettez un crime ! Je considère ces vaccins géniques comme des expériences menées sur les êtres humains, des expériences qui sont interdites ! ».

Aujourd’hui, nous sommes au sommet de la révolution technologique. L’informatique est un avantage, mais c’est aussi un grand danger pour l’humanité. Le contrôle total des personnes s’établit. L’esprit humain est aveuglé, ivre de l’orgueil du succès. Tout progrès scientifique, placé entre les mains de méchants, se retourne contre l’individu et l’humanité.

Nous arrivons ici aux questions de base que les gens évitent. La question du mal, la question des guerres… Toutes les guerres, tous les crimes proviennent de la source commune du mal qui est en chaque personne. Nous l’avons hérité de nos premiers parents. Ni la logique ni la technologie ne nous libéreront, nous les humains, de cette source spirituelle du mal : le péché héréditaire. Les gens sont les esclaves du mensonge et du mal, ce que beaucoup ne veulent pas admettre dans leur aveuglement spirituel. Nous en voyons les fruits visibles dans la psychose du coronavirus. La puissance du mal s’est déchaînée en mettant progressivement de côté les lois justes qui avaient toujours empêché l’invasion du mal. Le mal est privilégié par des anti-lois, et est appelé droit de l’homme. Nous sommes témoins de la promotion de l’idéologie du genre qui a le culot de dire des bêtises sur le fait qu’un homme n’est pas un homme et qu’une femme n’est pas une femme. Par conséquent, le vol d’enfants par le système de la justice pour mineurs est également accepté. Ces crimes sont enveloppés de phrases concernant les droits des enfants et des femmes. C’est une parodie de la vérité, de la justice et de la réalité. Mais les gens subissent un lavage de cerveau pour qu’ils acceptent progressivement ces mensonges absurdes. Les médecins prêtent le serment d’Hippocrate, ils ont donc le devoir de soigner la maladie. Aujourd’hui, cependant, si quelqu’un tombe malade et refuse de se faire vacciner ou de subir des tests absurdes, on le laisse mourir, par exemple, d’une appendicite. En les mettant sous forte pression, ce système criminel transforme les médecins en croque-morts. Environ 125.000 personnes sont décédées en Allemagne en trois mois, en raison de l’accent mis sur les mesures dites Covid, et donc de la négligence des soins médicaux.

Avec l’asile de fous du Covid, nous nous sommes retrouvés dans une situation où chacun d’entre nous doit sérieusement penser à la mort. Et la deuxième question que tout le monde doit se poser est ce qui se passera après la mort. Après la mort, il y a le jugement de Dieu, et ensuite l’éternité. Heureuse pour certains, malheureuse pour d’autres. Ce n’est pas cent ou mille ans, mais une éternité. L’homme lui-même fait le choix final dans la vie concernant son destin éternel. La seule voie de salut pour chaque être humain est la vraie repentance, sans laquelle personne ne sera sauvé, pas même un évêque ou un pape.

Et qu’est-ce que la vraie repentance ? Se repentir, c’est se confesser à soi-même son péché – dire : je me suis trompé, j’ai cru à un mensonge – et le confesser aussi à Dieu. En même temps, je dois accepter le salut offert, c’est-à-dire le sacrifice par procuration du Fils de Dieu pour les péchés que j’ai commis dans ma vie. Tout le monde, sans exception, ne peut être sauvé que par la repentance, par laquelle il obtient le pardon des péchés (Lc 24, 47). La repentance est associée non seulement à la confession des péchés, mais aussi à la foi au Sauveur, Jésus-Christ. Les Écritures soulignent : 

« Il n’y a de salut en personne d’autre »

 (Actes 4:12).

Comment parvenir au salut ? Les Écritures disent : « Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. » (Rom 10:10). Quel est le nom du Seigneur ? Son nom est Jésus, Isus en grec, Yehoshua en hébreu. Par conséquent, trouvez au moins trois minutes chaque jour, par exemple avant de dormir, réalisez votre culpabilité devant Dieu, et répétez avec foi : « Jésus, Jésus, Jésus, aie pitié de moi, pauvre pécheur » – faites-le cinq fois avec vos yeux spirituels concentrés sur les cinq plaies du Christ. C’est la contrition parfaite. Vous n’aurez besoin de rien de plus à l’heure de votre mort. Par conséquent, faites quotidiennement un acte de contrition parfaite. Dieu vous promet dans sa Parole : « Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé ». Vous serez sauvé !

L’invocation du nom de Jésus est un moyen de salut par rapport à la mort éternelle en enfer. Seule une personne spirituellement aveugle ou orgueilleuse rejette son propre salut ou, en d’autres termes, commet son suicide spirituel.

Tous ceux qui ont reçu le vaccin à ARN messager doivent admettre que même s’ils ont été mis sous pression, ils sont toujours à blâmer parce qu’ils s’y sont soumis. Ils doivent se confesser à eux-mêmes et à Dieu, et demander pardon à Dieu aujourd’hui même, car Jésus a dit : « La mort viendra comme un voleur ; vous n’en connaissez ni le jour, ni l’heure ». Chaque personne vaccinée, en particulier, doit être préparée à affronter la mort, le jugement de Dieu et l’éternité. Invoquez quotidiennement le nom de Dieu, car en ce nom réside votre salut !

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin