Magouilles et corruption des élites : le trafic de drogue, partie intégrante de l’économie mondiale

[Source : dondevamos]

On ne peut pas parler des magouilles qui se déroulent au plus haut niveau sans aborder le trafic de drogue, qui rapporte tant, et est en réalité un secteur stratégique pour de nombreux États. On va le voir avec la French Connection notamment : le rôle des milieux politiques est essentiel dans la définition des règles du jeu, qu’elles soient officielles ou non.

L’affaire de la banque du Vatican nous amène fort logiquement à aborder le sujet du trafic de drogue, qui est une partie de l’activité économique mondiale aussi stratégique et encore plus rentable que le marché des armes.

« Monopolisation toujours plus poussée des moyens de production, concentration sans cesse accrue des pouvoirs aux mains de petits groupes, centralisation géographique de ces pouvoirs, renforcement des appareils d’Etat, partage du monde entre quelques grandes puissances, nous vivons ‘l’âge de l’impérialisme’. Le monde du crime a suivi la même évolution« , écrivait Alain Jaubert en 1981 dans « D comme Drogue ». De fait, le crime organisé s’est adapté aux règles du capitalisme US et de la globalisation, et a investi les mondes politique et économique.

Le trafic de drogue dans le jeu politique mondial

Au niveau mondial, il est évident que l’argent des cartels de la drogue alimente les circuits financiers, que ce soit en temps normal ou en temps de crise. Il est aussi évident que la finance mondiale s’est nourrie de ces capitaux, et cela depuis les guerres de l’opium du XIXe siècle en Chine[1]. Depuis ces guerres de l’opium, justement, des centres offshore et d’innombrables sociétés écrans permettent de faire circuler l’argent de l’économie souterraine vers l’économie « réelle » et vice-versa[2].

Les montages se sont complexifiés, mais en gros la pierre angulaire du système sont les paradis fiscaux et le secret autour des bénéficiaires réels des comptes bancaires et sociétés écrans : ils permettent de faire transiter de l’argent discrètement, de le faire apparaître ou disparaître, de rémunérer discrètement des intermédiaires illégaux à coups de millions. 

Paradis fiscaux cartoon

On se doute bien qu’une grande partie de l’argent « perdu »  dans les grands scandales financiers est passée par là. Et y est souvent restée, discrétion oblige. Voilà pourquoi les paradis fiscaux ne disparaîtront pas tant que nous n’aurons pas repris les choses en main, et pourquoi toutes les grandes banques y ont encore des filiales.

Revenons au trafic de drogue, qui a été mis en place à grande échelle dès le XIXe par l’empire britannique, dont les guerres de l’opium ont été un révélateur [3], et qui a été repris en main progressivement par les Etats-Unis au cours du XXe siècle. On va parler des drogues illégales, mais il faut rappeler que l’héroïne ou la cocaïne ont d’abord été fabriquées par l’industrie pharmaceutique et que les drogues légales peuvent entraîner des désastres sanitaires comme l’a montré la crise des opioïdes aux Etats-Unis qui a fait 100.000 morts rien que pendant le covid.

Grâce aux laboratoires pharmaceutiques, on sait transformer la morphine base en héroïne depuis les années 1870, et vers 1900 l’entreprise Bayer qui a déposé le nom « héroïne » le vendait comme sirop contre la toux ou comme substitut à la morphine. Quant à la cocaïne, c’est le laboratoire Merck qui l’a développée et transformée en produit commercialisable, popularisé par Freud dans sa pratique « médicale » [4] car ça donnait de la joie aux ménagères déprimées. Le commerce d’héroïne s’est donc développé à partir de là, d’autant que le produit était légal jusque dans les années 30.

La Prohibition de l’alcool, d’abord testée au Canada, puis aux Etats-Unis de 1919 à 1933, a permis au crime organisé de s’organiser, et de mettre en place des filières internationales du crime actives dans le trafic d’alcool, de drogue, d’armes à l’occasion, etc. [5].

C’est à cette époque qu’ont émergé les familles Bronfman, Kennedy, Rothstein, les mafieux Meyer Lansky, Lucky Luciano, Al Capone et compagnie. Milton Fridman, le père des Chicago Boys (qui ont largement contribué à l’organisation du coup d’Etat contre Allende au Chili et qui ont imposé le libéralisme ultra partout dans le monde), en plus d’être économiste à l’université de Chicago, a présidé la Gold Seal Liquor Company, qui appartenait à Al Capone, puis l’Illinois Wholesale Liquor Dealers. Jean Monnet était fils d’un fabricant de cognac, et a dirigé la Blair & Co où a travaillé Joe Kennedy, lui-même trafiquant puis marchand d’alcool, dans les années 20[6]. Le monde est petit.

Pierre-Arnaud Chouvy et Laurent Laniel écrivaient en 2004 dans l’article « De la géopolitique des drogues illicites » :

« il n’aura pas fallu plus d’un siècle pour que les États dominants s’entendent sur la conception et la mise en œuvre d’un régime de contrôle international des drogues instaurant les mécanismes de régulation – et de partage – de la production, du commerce et de la consommation de certaines drogues, dites « licites » (les « médicaments »), et en prohibant parallèlement d’autres, dites « illicites » (les « stupéfiants »).

De fait, ce régime a créé deux marchés transnationaux qui se répartissent l’ensemble des drogues répertoriées sur la planète. Ces marchés sont interconnectés à plusieurs niveaux mais chacun d’entre eux dispose de ses dynamiques propres. Celles-ci sont notamment déterminées par les acteurs historiques distincts qui se sont chargés du contrôle immédiat de chacun des marchés : pour les médicaments, l’industrie pharmaceutique et les médecins allopathes, qui constituent un oligopole sous tutelle de l’État; pour les stupéfiants, la police (la douane, etc.) et une série d’agents disparates, les « trafiquants », fréquemment issus de la pègre et éventuellement liés aux services de sécurité (« secrets ») des États« 

En France dans les années 30, comme on l’a vu dans une autre partie, les trafiquants de drogue du sud de la France se sont internationalisés, ouvrant des filières d’approvisionnement en matière première et de vente jusqu’aux Etats-Unis. Les Marseillais Carbone et Spirito, proches des milieux politiques et principalement du nabab politique local Simon Sabiani faisaient aussi dans le trafic d’armes pour les franquistes espagnols, dans la prostitution et dans les jeux.

Avant la guerre, les deux avaient rejoint le PPF de Doriot et se sont mis au service de Vichy et de l’occupant, et Carbone avait même rejoint la Gestapo à Marseille avant de mourir dans le déraillement d’un train en 1943 [7]. Quant à Sabiani et Spirito, ils se sont réfugiés en Espagne franquiste à la Libération, puis en Argentine pour le premier et aux Etats-Unis pour le second, grâce à ses liens de longue date avec la mafia US.

Spirito est ensuite revenu à Marseille ouvrir son restaurant au milieu des années 50, sans être vraiment inquiété alors que selon toute vraisemblance il a continué à organiser son trafic à l’échelle internationale.

Les Guérini, venus de Corse, s’installent à Marseille dans les années 20 et 30, d’abord dans le proxénétisme, et sous la protection d’un socialiste et syndicaliste[8] d’origine corse, Pierre Ferri-Pisani, qui avait été le secrétaire particulier de Simon Sabiani avant de se présenter contre lui aux élections et fricotait avec Irving Brown de la CIA pour la lutte « anticommuniste ». Après la guerre, ce sont eux qui ont pris la main sur le trafic marseillais.

Les Guérini avaient des relations fort utiles, en premier lieu avec le commissaire Robert Blémant qui était à Marseille au service de Vichy pendant la guerre et est devenu directeur de la DST (renseignements généraux) pour le Sud-Est de la France après la guerre[9]. C’est Blémant qui est venui se mettre au service des Guérini en leur garantissant l’impunité dans leurs affaires, ce qui leur a permis d’étendre rapidement leur influence sur la région de Marseille entre 1945 et 1950.

Ensemble, ils ont éjecté les ex collabos et proches du clan Carbone-Spirito du paysage politique et mafieux marseillais, jusqu’en 1947 quand Blémant a démissionné pour rejoindre complètement le clan des Guérini et conquérir les cercles de jeux parisiens avec Francisci et d’autres[10].

Pendant les années 50 et 60, ce sont les Guérini qui tiennent le trafic de drogue, notamment de l’héroïne qui part aux Etats-Unis. Ils étaient en contact régulier avec les milieux politiques, invitant le jeune Pasqua alors simple directeur chez Ricard à leur table, appelant régulièrement au téléphone le ministre (socialiste) de l’Intérieur Jules Moch, sans pitié avec les manifestations ouvrières mais très ouvert aux intérêts de la pègre. C’est la fille d’Antoine Guérini qui a raconté ce souvenir d’enfance des conversations entre son père et le ministre.

Un de leurs bras droits qui a pris son envol dans les années 50, Jo Renucci (qui a produit les premiers albums de Fernandel), était en lien avec le SDECE, auquel il semblait rendre divers services comme l’assassinat en 1955 à Tanger de l’administrateur des huiles Lesieur, Lemaigre-Dubreuil ou divers trafics d’armes. Renucci était un Collabo mais en 43 comme beaucoup d’autres il a senti le vent tourner et est passé du côté de la Résistance tout en menant ses trafics en lien avec le clan Carbone-Spirito.

Il a même pris sa carte du pati gaulliste en 1947 et deux ans plus tard il était cité avec son ami député gaulliste d’Arras, Antoine Chalvet, dans le braquage de 100 millions de Francs de bons du Trésor à Arras. Butin évaporé dont une partie, selon Renucci, a servi à financer le parti. Après la guerre, Renucci s’est rapporché de Lucky Luciano (libéré de prison aux Etats-Unis en 46 et rappatrié en Sicile pour les besoins de la colonisation de l’Italie) dans la contrebande qui était menée à une échelle industrielle àç travers la Méditerranée, et avec les Guérini à Marseille.

Jo Attia, qui a gravi les échelons entre la fin de la guerre et les années 50, a aussi rendu divers services au SDECE, notamment en Afrique, et plusieurs membres de sa bande ont été cités dans l’affaire de l’enlèvement de leader Marocain Ben Barka.

Attia, du point de vue des US, était le premier gros trafiquant français à être aussi pleinement un agent des renseignements. A la fin des années 40, la Méditerranée était déjà sillonnée par les circuits de contrebande contrôlés par la mafia et la CIA.

Les liens de la CIA avec les Corses, noués au moins à partir de 1942, ont perduré dans les années 50. Un camp d’entraînement anticommuniste a même été installé par les US pour préparer l’offensive contre le gouvernement communiste en Albanie, un peu comme les anglais ont utilisé Malte comme base arrière pour diverses opérations de subversion.

A la fin de la deuxième guerre, le trafic s’est structuré, avec des ponts créés entre la French Connection et les trafiquants d’Amérique latine, et l’organisation des familles italiennes de New York autour de Meyer Lanski, qui collaborait étroitement avec la CIA et de Lucky Luciano, que le spécialiste des trafics de drogue Giuseppe Muti qualifie de « précurseur du trafic de drogue moderne et le planificateur des deux organisations criminelles de Cosa Nostra : l’américaine et la sicilienne » en charge de l’organisation des affaires dans le sud de l’Italie [11].

C’est d’ailleurs le trafic de drogue qu’il a organisé après la guerre qui a financé le stay-behind à cette époque. Cette alliance nouée en 1949 quand Luciano et les différents clans de Corses se sont répartis le trafic d’héroïne international (les Français gérant la transformation et la distribution) a tenu jusqu’à la fin des années 50, quand Vito Genovese s’est déclaré le chef de toutes les familles, ce qui a relancé la guerre des clans. 

En 1945, les US ont expulsé en Italie une centaine de mafieux italiens impliqués dans le trafic de drogue, dont la plupart des chefs de clan comme Luciano, justement. 

Le bras droit de Luciano, Vito Genovese, qui deviendra le parrain du clan Genovese, était traducteur au QG de l’armée US à Naples en 1945, puis il a été envoyé à New-York pour gérer le trafic d’héroïne et la revente à Harlem, puis à Cuba où une grande réunion des parrains américano-siciliens a eu lieu en 46 [12]. Les clubs de jazz ont été les premiers spots de diffusion de l’héroïne, transformant une bonne partie des grands artistes de l’époque en junkies.

A partir de là, les mafieux du sud de la France réputés pour leurs laboratoires de transformation de l’héroïne, ceux d’Italie et des Etats-Unis ont collaboré dans le trafic international. Les laboratoires dans la région marseillaise puis en Corse se sont multipliés, tout comme les saisies d’héroïne aux Etats-Unis comme dans le sud de la France.

D’ailleurs, une sorte d’impunité a été mise en place en Corse au tournant des années 60 par le pouvoir politique, faisant de l’île un paradis pour trafiquants en touts genres où la corruption était la règle. Les services américains qui cherchaient à démanteler les réseaux dans le sud de la France n’hésitaient pas à pointer la corruption dans la police, la justice et la politique, qui créait un terreau fertile.

Les sources d’approvisionnement ont progressivement été multipliées pour répondre à une demande croissante à travers le monde. C’est d’ailleurs pour libérer les importations d’opium d’Indochine et de Turquie que les mafieux italiens de Luciano et français, notamment la bande des Guérini, ont été recrutés par la CIA pour casser les grèves des dockers –et les grévistes communistes avec – aux côtés du SAC gaulliste.

Les trafiquants Français émigrés en Amérique latine ont retrouvé les réseaux de collabos et anciens nazis déjà présents, et se sont ainsi vite rapprochés des dictateurs au pouvoir -protégés par Washington- pour faciliter leurs business. Le trafic passait souvent par des sociétés d’import-export tenues par les criminels ou leurs hommes de paille, ou même par les longs courriers d’Air France.

« En octobre 1960, les agents du BNDD arrêtèrent Mauricio Rosal, ambassadeur du Guatemala en Belgique, aux Pays-Bas et au Luxembourg, avec un chargement de 100 kg d’héroïne évalué à 3.5 millions de dollars dans ses valises embarquées sur un vol Paris – New-York. Proche de truands corses comme Etienne Tarditi qui le faisaient chanter avec des documents compromettants à propos de sa présumée pédophilie, il aurait passé plus de 200kg de drogue sur un an en usant de son statut diplomatique. Quelques mois plus tard, ce fut au tour de l’ambassadeur du Mexique en Bolivie puis de celui de l’Uruguay en Colombie d’être arrêtés par les agents américains, grâce à des renseignements fournis par des informateurs, pour les mêmes raisons »

Alexandre Marchand dans l’article « French Connections en Amérique latine« .

La société Pernod Ricard, dont Charles Pasqua a été l’un des dirigeants à l’international, a rémunéré plusieurs gros trafiquants français comme son ami Jean Venturi qui était représentant de la boîte pour le Canada, et a permis de transporter des cargaisons d’un côté à l’autre de l’Atlantique. A l’époque, c’était Charles Pasqua le directeur commercial, supérieur hiérarchique direct de Venturi.

Quand la French Connection a été traquée plus férocement à partir des années 60, beaucoup de trafiquants se sont implantés en Amérique latine, notamment En Argentine, où comme on l’a vu de nombreux fascistes et nazis étaient déjà bien installés et proches du pouvoir. Certains trafiquants comme Auguste Ricord ou André Condemine étaient carrément des anciens de la Gestapo. Et petit à petit, les cartels se sont mis en place, souvent en recrutant les experts français en la matière.

« L’ère Luciano achevée, s’ouvre celle des Marseillais et des Corses, depuis toujours en collaboration étroite avec les parrains italo-américains. Forts de leurs appuis politiques et d’un environnement local favorable qui inhibent les forces de l’ordre, les « Français » disposent d’une expérience solide dans lesréseaux méditerranéens qui apparaissent à cette époque comme la clef de voûte du trafic de drogue. Ainsi, ils se procurent la morphine en Turquie, la raffinent à Marseille et l’envoient aux États-Unis grâce à leurs contacts au Canada ou par la filière sicilienne bâtie lors du sommet de Palerme.

Coordonnée depuis la place logistique et diplomatique de Milan et basée sur les unités criminelles placées à Rio de Janeiro, à Caracas, à Montréal et à New York, cette dernière filière est si bien organisée, et donc invisible, que son existence même est mise en doute voire nié« 

 Giuseppe Muti dans l’article « Mafias et trafics de drogue : le cas exemplaire de Cosa Nostra sicilienne » paru en 2004 dans la revue Hérodote.

Dans les années 50-60, la vague de la « contre-culture » a popularisé la consommation du LSD et des drogues psychédéliques, ouvrant un nouveau marché dans le secteur des stupéfiants, un marché contrôlé de près par les réseaux israéliens et les services anglais et US. Avec le dossier MK-Ultra, il a été démontré que la CIA avait expérimenté l’usage du LSD avant de le diffuser à grande échelle dans la jeunesse en ciblant particulièrement les hippies qui se positionnaient contre la guerre au Vietnam et pour des avancées sociales, notamment. C’est d’ailleurs de ce mouvement hippie en déshérence qu’est né le New Age, à grands coups de sectes et groupuscules d’illuminés pilotés eux aussi très souvent par la CIA et consorts.

Après avoir examiné de près les cas Colombien, Mexicain, US, et français, il est clair que la lutte contre la drogue est une parfaite hypocrisie. D’une part, parce qu’on trouve des politiciens parmi les plus gros trafiquants, et parmi les plus gros consommateurs aussi. On trouve des politiques dans l’entourage des dealers –qui sont de plus en plus des patrons d’entreprise, gros et moins gros. Pourtant la répression contre les trafiquants en jogging et les petits consommateurs est toujours la seule préoccupation des autorités [13]. C’est un business qui permet de fixer le prix de la drogue et d’assurer des marges à toutes les échelles de la filière. 

D’autre part, parce que les résultats de cette « lutte contre la drogue » relèvent davantage du combat de classe que d’une action constructive.

« Aux États-Unis, les lois antidrogue votées depuis les années 1970 ont eu pour conséquence de faire gonfler la population carcérale d’origine afro-américaine, comptant aujourd’hui pour 40 % de la population carcérale américaine et 59 % de la population emprisonnée pour violation de la législation en matière de stupéfiants« 

André Marchand dans un article paru en 2016 dans la revue « L’homme et la société » [14].

On a vu les liens entre la mafia, les barbouzes et le milieu politique dans le cadre de la French Connection. Et en effet, le trafic de drogue n’est pas cloisonné, au contraire : les dealers collaborent avec des policiers, avec des politiques, avec d’autres mafieux. Le SAC était l’exemple parfait de ce microcosme, et Fauré raconte qu’il était membre du SAC, organisé par Pasqua, qui organisait aussi le trafic de cannabis grâce à Hassan II du Maroc, et qu’il soupçonne Pasqua d’avoir aussi contribué aux importations de cocaïne.

Implication des milieux politiques

Comme le résume Claudia Pacheco dans son livre « La multinationale américaine des drogues » :

« La jeunesse qui se drogue, le fait pensant qu’ainsi elle s’oppose à l’establishment, quelle grande erreur! Les seuls bénéficiaires directs de leur vice sont justement les individus qui détiennent le pouvoir économique (trafiquants, banquiers, politiciens) et qui sont les individus les plus mal intentionnés« .

A un certain niveau, le trafic de drogue ne peut pas être organisé sans la collaboration, ou au moins une grande bienveillance de la part des autorités. On observe que partout, les enquêtes s’arrêtent systématiquement avant d’arriver sur l’implication de politiques ou de responsables des forces de l’ordre, comme on dit. Par ailleurs, cet argent non déclaré est très pratique pour financer les opérations clandestines des armées et services de renseignements.

En janvier 1962, un présentateur télé très connu et membre de la jet-set de l’époque, Jacques Angelvin, a été arrêté alors qu’il allait embarquer au port de New-York avec une voiture bourrée d’héroïne pour une valeur estimée de 50 millions d’euros à la revente.

Il a fait quelques années de prison (à l’époque les peines étaient encore très légères) bien qu’il ait nié son implication dans un trafic. Il a refusé de donner le nom du commanditaire, mais les soupçons des enquêteurs se sont tournés vers un « industriel parisien » [15]. On n’était pas dans le petit trafic des quartiers populaires…

Cette affaire a marqué le début de la fin pour « la French », avec des pressions croissantes de Washington sur la France pour mettre fin au trafic international d’héroïne principalement, mais aussi de tout le reste, organisé par les Français. Il faut rappeler que la quasi-totalité de l’héroïne qui entrait alors aux Etats-Unis était fournie par les réseaux français.

C’est comme cela qu’en 1970 Pompidou a fait passer une loi qui augmentait de 5 à 20 ans la peine pour production de drogue, ce qui a refroidi de nombreux chimistes du sud de la France où on transformait l’opium qui arrivait alors principalement de Turquie.

C’est à ce moment qu’une antenne de la French Connexion s’est étendue dans toute l’Amérique latine, où venaient se réfugier les mafieux qui étaient de plus en plus dérangés en France. Les pays où ils se sont implantés étaient principalement :

  • Le Mexique où le truand qui fut auxiliaire de la Gestapo Antoine d’Agostino s’est installé dès la fin de la guerre et y a organisé le transport de drogue vers le Etats-Unis, et a été rejoint par d’autres mafieux quand l’étau commençait à trop se resserrer. Comme le duo Jean- Baptiste Croce et Paul Damien Mondoloni, qui étaient en contact avec Jean Venturi, le représentant de Ricard au Canada et frère du parrain Corse Dominique Venturi, proche de Gaston Defferre. 
  • Cuba où la dictature de Batista (proche des Etats-Unis) a permis aux Corses et aux Siciliens d’en faire un pays de transit au début des années 50. Jean-Baptiste Croce a été envoyé au Mexique et à Cuba vers 1950 par son chef Ansan Bistoni et est immédiatement devenu un proche du dictateur cubain Fulgencio Battista. Cuba est alors devenue une plaque tournante pour l’héroïne en provenance de Marseille et pour la cocaïne en partance d’Amérique latine. 
  • Le Paraguay où un dénommé Auguste-Joseph Ricord[16], truand et ex-Collabo qui faisait partie de la bande de Lafond, appelée la Gestapo de la rue Lauriston, s’est rapproché des autorités militaires de la dictature en place. Selon un article du Monde paru en 1972 lors de son extradition aux Etats-Unis, les autorités US considéraient que « de nombreux dirigeants du Paraguay sont mêlés de près au trafic de l’héroïne. Des noms sont cités à Washington : le général Andres Rodriguez, commandant des blindés, le général Vicente Quinonez, chef de l’aviation, dont les aérodromes auraient été au service des contrebandiers, le général Patricio Colman, ancien chef des forces anti-guérilla, décédé il y a peu de temps ». D’autres noms ont encore été cités dans la police notamment.

Ricord avait l’appui de la Cosa Nostra via Tommaso Buscetta, et a collaboré avec diverses barbouzes du SAC dont on a déjà parlé, comme le trafiquant Christian David, un proche des frères Guerini qui a travaillé pour lui jusqu’à son arrestation au Brésil en 1972 avec 500 kilos d’héroïne destinés aux USA. Il s’agissait donc d’un trafic international et à grande échelle.

C’est d’ailleurs Ricord qui a permis au dictateur local le général Alfredo Stroessner –dont le règne s’est étalé de 1954 à 1989 et qui tout comme Juan Peron a protégé de nombreux nazis tels que Mengele- d’ériger le trafic de drogue en commerce d’ordre national. Surtout à partir de 1966 quand il a commencé à exporter de grosses quantités de drogue, produite en Turquie et raffinée dans le sud de la France, aux Etats-Unis. La corruption dans le pays était endémique, à tel point que selon le New York Times en 1985 :

« Beaucoup des plus grosses fortunes du Paraguay viennent de la contrebande, une pratique si bien établie là-bas qu’on peut difficilement la qualifier d’illicite« .

Christian David, recruté et encarté en 1961 au SAC alors qu’il se trouvait en prison, est arrivé comme on l’a déjà vu au Paraguay. Il a élargi l’activité de Ricord vers le trafic d’armes, notamment pour le compte des services français, uruguayens et américains comme l’explique le journaliste Allemand Henrik Krüger dans son livre « The great heroin coup » consacré au trafic de drogue international, dans lequel il présente le parcours de Christian David et son rôle dans les trafics d’armes[17] et de drogue. Une histoire particulièrement censurée aux Etats-Unis, mais aussi en France.

David, comme Ricord était aussi connecté avec toutes les extrêmes-droites et services de renseignements des différentes dictatures latino-américaines de l’époque, elles-mêmes soutenues par Washington ou du moins par la CIA. Ils ont notamment aidé le spécialiste Brésilien de la torture, le commissaire Sergio Fleury à Sao Paulo, à « interroger » des opposants au régime.

On retrouvait aussi le faussaire d’extrême-droite Fernand Legros dans les trafics organisés par David et Ricord au Brésil[18].

David a même déclaré après son arrestation qu’Antoine Guerini l’avait sollicité en juin 1963 pour participer au meurtre de JFK et qu’il aurait refusé : « Guérini lui a dit qu’il avait été chargé d’arranger le meurtre d’un politicien Américain qui n’était ni député ni sénateur, mais le numéro un. Quand Guérini lui a demandé s’il était intéressé, il a répondu que c’était trop dangereux« , écrit Henrik Krüger dans « The Great Heroin Coup ». David a expliqué cela à un journaliste, et a aussi précisé que le contrat aurait été donné à Lucien Sarti, qui aurait recruté deux autres assassins pour le rejoindre.

En 2003, l’ex agent de la CIA Howard Hunt a dit à son fils peu avant de mourir que Sarti avait été recruté ainsi que d’autres Corses par William Harvey, officier de la CIA qui a coordonné quelques complots contre Castro. Son rôle était de s’assurer que l’objectif avait été atteint par Lee Harvey Oswald et de doubler son tir. Sarti, tué par la police en 1972 au Mexique après avoir été localisé par les US, était sur place probablement en uniforme de policier, et aurait tiré la balle fatale de l’arrière. Les deux autres Corses étaient en hauteur dans des immeubles.

Krüger explique que le trio de mafieux Corses serait parti de Marseille vers Mexico et passés aux Etats-Unis avec des passeports Italiens. Après l’opération ils seraient repartis vers Montréal où ils auraient été payés en héroïne.

Tout cela explique probablement pourquoi les US ont été pressés de mettre le réseau Ricord sur la touche, et pourquoi il n’a accompli que la moitié de sa peine avant de rentrer au Paraguay. C’est Kissinger qui a été l’artisan de la chute de Ricord et de sa bande à partir de 1970.

Après cela, le trafic vers les USA a été transféré du côté des Caraïbes selon Krüger, entre les mains d’un cubain, Alberto Sicilia-Falcon (le prédécesseur de Joaquim Guzman du cartel de Guadalajara), tombé à son tour en 1975. La part de la drogue française dans l’héroïne arrivant aux Etats-Unis a en tout cas fortement baissé, passant de 80% à la fin des années 60, à 15% en 1975. Et le bureau anti-drogue US en Europe a été transféré de Paris à Amsterdam.

Sicilia-Falcon a déclaré aux autorités Mexicaines, où il a été arrêté, qu’il était un agent de la CIA et avait reçu un entraînement à la guérilla à Fort Jackson en vue d’attaquer Cuba. Il aurait aussi opéré au Chili contre les opposants à Pinochet jusqu’en 1973 quand il est parti s’installer au Mexique, et aurait passé un accord avec la CIA pour avoir les mains libres dans le trafic d’héroïne contre l’approvisionnement des groupes terroristes d’Amérique latine avec des armes de la CIA [19].

Sicilia-Falcon était directement en lien avec le clan Giancana et son réseau comprenait des acteurs, des hommes d’affaires, et bien-sûr des politiques corrompus, qui contribuaient eux aussi à déstabiliser le pays (chose d’autant plus intéressante que le président Echeverria, plutôt progressiste et non hostile aux communistes, dérangeait fortement Kissinger et ses copains). Ce business permettait aux US d’imposer leur « protection » aux gouvernements des différents pays. D’ailleurs, les médias et les autorités US ont été très discrets au sujet de Sicilia-Falcone, qui a été arrêté en 1975 et s’est échappé l’année suivante avec plusieurs de ses lieutenants.

En fait, il collaborait avec la CIA mais son trafic, basé à Tijuana à la frontière avec les Etats-Unis, en s’étendant du cannabis à l’héroïne et à la cocaïne, est devenu un peu trop voyant pour d’autres agences US, comme la DEA chargée spécifiquement de la lutte contre le trafic de drogue.

En Amérique latine, la bande de David et Ricord était connue comme le « Grupo Francés », était en lien avec les truands du SAC et avec des camarades corses, eux-mêmes en contact avec des membres des renseignements français. Les Corses lui envoyaient régulièrement des types en cavale qui venaient renforcer son équipe.

Depuis le Paraguay, David a étendu le trafic avec de nouvelles branches en France, l’une via Jean Auger, baron du SAC et mafieux numéro 1 à Lyon, l’autre via Jo Attia, Ange Simonpieri (membre du SAC également) et le banquier Suisse André Hirsch. Et c’est au Brésil qu’il a été arrêté en 1972, en possession d’un passeport diplomatique uruguayen au nom d’Edouard Davrieux.

A cette occasion, Le Nouvel Observateur notait que Christian David était « bien placé pour connaître les liens qui existent entre le S.A.C., le « milieu », et certaines filières internationales de trafic de l’héroïne ou des armes. Et, aujourd’hui, beaucoup de gens à Paris, à Lyon, à Grenoble, à Bordeaux, à Nice, à Marseille – et pas seulement de minables petits truands qui arrondissent leurs fins de mois en faisant le coup de poing pour un député U.D.R. –, beaucoup de gens tremblent, donc à la pensée que le « beau Serge », pris au piège, pourrait révéler un peu trop de noms aux policiers américains du Bureau des Narcotiques qui ont demandé son extradition au gouvernement brésilien. « Il a tué un flic, dit-on, il n’a plus rien à perdre. »« 

Selon les US, pays de destination de la drogue gérée par Ricord, l’opium de Turquie arrivait à Marseille où il était transformé, puis partait vers Miami via l’Amérique Latine[20]. Ils estimaient que Ricord faisait alors entrer entre 50 et 75% des cargaisons d’héroïne qui arrivaient aux Etats-Unis. L’enquête a montré que l’organisation de Ricord avait mis en place des laboratoires du coté de Bahrein.

Les dictateurs se sentaient en tout cas très bien au Paraguay de Stroessner : Pinochet, par exemple, avait une vaste résidence au Paraguay. En 1980, c’est près de sa villa au Paraguay que le dictateur du Nicaragua, le général Anastasio Somoza Debayle, a été assassiné dans sa Mercedes. Des états mafieux comme le Paraguay –et d’autres- servent ainsi de plaque tournante pour les trafics internationaux, ce qui arrange tout le monde. Stroessner a fini par être éjecté en 1989, mais le rôle de plaque tournante du Paraguay, où résident de nombreux européens, est loin d’avoir cessé.

D’après un journaliste US, même l’armée de l’air paraguayenne a transporté des kilos d’héroïne aux Etats-Unis dans des avions militaires, et c’est l’armée qui était responsable de l’aéroport principal d’Asunción. Dans un pays où il existait déjà plus de 200 pistes privées totalement incontrôlées.

En 1971, à l’époque où les Américains ont vraiment tapé du poing sur la table concernant la French Connection, demandant instamment à Marcellin, le ministre de l’Intérieur, de s’attaquer aux labos de transformation qui florissaient dans la région de Marseille, Gaston Deferre, maire socialiste de Marseille, avait déclaré au sujet de l’impunité qui régnait en matière de lutte contre les trafiquants en général et les gros bonnets en particulier :

« Les laboratoires clandestins ne sont jamais à Marseille même mais dans de petites villes avoisinantes. Camouflés. Et protégés. Par des hommes politiques plus que par des policiers. Il y a des gens de la majorité [la droite] qui interviennent pour couvrir les trafiquants.  C’est une chose archiconnue dans les milieux parlementaires » [21].

La mafia Corse, qualifiée d’Union Corse par les US, regroupait les quatre principaux clans mafieux de la région (les Guérini, les Venturi –proches de Defferre, Orsini et Francisci, qui avaient tous des business officiels[22]), a très vite commencé à infiltrer ses membres dans la police, les douanes, l’armée, les renseignements, et les Corses sont devenus très influents dans la vie politique française. Francisci était un des lieutenants de Jo Renucci, qui était le contact en France de Lucky Luciano, l’allié de la CIA[23].

Une autre affaire survenue en 1971 a été retentissante : l’affaire Delouette, du nom d’un passeur d’héroïne arrêté aux Etats-Unis avec une voiture chargée. Le dénommé Robert Delouette s’est fait coincer à la frontière des Etats-Unis en avril 1971 alors qu’il récupérait la livraison d’un bateau en provenance du Hav

re, livraison qui consistait en 89 paquets de 500 g d’héroïne. Lors de son interrogatoire, Roger Delouette a déclaré travailler pour le SDECE sur ordre du colonel Fournier. Les US ont alors inculpé tout le monde. Le fournisseur était un cousin de Jean-Charles Marchiani, grand ami de Pasqua, le proxénète nommé Dominique Mariani qui a avoué avoir fourni 44 kilos de drogue à Delouette. Précisant au passage avoir reçu cette drogue d’un officier du SDECE.

Les autorités US se sont aperçues que le type travaillait bien pour le SDECE, pour lequel il avait accompli plusieurs missions depuis 1969[24], et qu’il était en contact direct avec Jean-Charles Marchiani, dont le nom figurait 23 fois dans l’agenda de Delouette et qu’il avait appelé juste après son arrestation pour lui demander de l’aide. C’est d’ailleurs Jean-Charles Marchiani qui a mis en contact Delouette et son cousin Mariani, peu après avoir été viré du SDECE pour son implication dans l’affaire des photos de Pompidou. On retrouve aussi le nom de Christian David dans la filière à l’origine de l’importation par Delouette[25].

Du côté des Venturi, on connaît Dominique et Jean (ex lieutenant de Jo Renucci), piliers du trafic transatlantique de l’héroïne via la Compagnie Générale Transatlantique, membres du SAC et également proches de Gaston Deferre. Au début des années 60, les autorités estimaient que 80% de l’héroïne qui entrait aux Etats-Unis venaient d’une quinzaine de laboratoires français, principalement installés dans le sud-est. 

Jean Venturi était l’importateur et distributeur des pastis Ricard au Canada et aux Etats-Unis, où Charles Pasqua qui était le directeur commercial était donc son supérieur. Venturi a été inculpé par les US en 1967 dans le cadre de la French Connection[27], mais il n’a jamais été arrêté et Pasqua a fait carrière à l’UDR, et l’origine de sa fortune, qui a quelque peu intrigué dans les années 60 quand il a commencé en politique dans les Hauts-de-Seine, est restée mystérieuse.

En 1971, un certain André Labay (né en 1922), hommes d’affaires dans l’import-export, a été arrêté à Paris dans un véhicule avec plus de 100 kilos d’héroïne destinés aux Etats-Unis, où il a ensuite été accusé d’avoir importé depuis la France plus de 732 kilos d’héroïne dans des voitures « farcies ». Quelques semaines plus tôt, un des truands de sa bande avait été arrêté à New York à bord d’un autre véhicule chargé d’héroïne.

Dès les années d’après-guerre quand il faisait son business autour de la Méditerranée, il a travaillé pour le SDECE, les renseignements, notamment quand il est passé en Algérie puis au Katanga dans le sud est de l’ex Congo belge (aujourd’hui RDC, où un tas de mercenaires se sont retrouvés dans les années 60 pour soutenir des leaders bien dociles envers l’occident), puis aux Antilles. Il était très ami avec Fernand Legros, ce fasciste trafiquant de faux tableaux, qui faisait aussi du trafic d’armes et dont l’un des clients était justement le dictateur Stroessner.

Labay avait aussi travaillé pour Pierre Lemarchand quelques années plus tôt, et à travers lui pour Jacques Foccart, en Afrique notamment. Officiellement Labay avait une grosse compagnie de BTP, faisait dans l’exportation de textiles, l’immobilier, puis est devenu très riche. Il a fréquenté le casino de Francisci à Beyrouth, et le milieu du show-biz à Paris.

Selon certaines théories ce sont les US qui ont prévenu les autorités françaises que Labay avait proposé de ramener 100 kilos d’héroïne aux USA. La version de Labay est encore différente : il a déclaré avoir rencontré le BNDD (le bureau des narcotiques US en Europe), pour leur annoncer qu’il allait amener 106 kilos aux USA.

Depuis quelques années, André Labay passait une partie de son temps dans les Caraïbes, où il a été « parachuté en Haïti en 1966 avec une couverture d’hommes d’affaires », explique Leslie Péan dans « L’ensauvagement macoute et ses conséquences ». A Haïti, Labay n‘est pas resté inactif.

Il a reçu pas mal de visites de ses anciens amis, comme le faussaire et trafiquant Fernand Legros, et s’est fait des relations sur place : il a fréquenté le tortionnaire local Luckner Cambronne, le banquier du dictateur « papa Doc » Duvalier et sa fille Marie-Denis, ainsi que le dénommé Clémard Joseph Charles de la Banque Commerciale d’Haïti.

Ladite banque a notamment permis à Duvalier d’acheter des armes[28], dont Cambronne, ministre de l’Intérieur et de la Défense et surtout le chef de la milice de Duvalier était friand. Depuis Haïti Labay était chef d’antenne pour le SDECE, et travaillait aussi pour la CIA. Il était aussi en lien avec les anciens coloniaux belges revenus du Congo, où le réseau pédocriminel était très présent.

On arrive là dans des trafics assez sombres, car Cambronne était le ministre de l’Intérieur et de la Défense et surtout le chef de la milice du dictateur « Papa Doc », François Duvalier (très proche de la France et membre assidu des Rose-Croix) , appelée « Tonton macoute ». Accessoirement, il était surnommé « le Vampire des Caraïbes ».

Il était en effet connu pour revendre via sa société HemoCaribbean[29] du sang, du plasma et des cadavres aux hôpitaux et universités Américains, ainsi qu’à des laboratoires comme Dow Chemicals. 5 à 6.000 litres étaient expédiés chaque mois, pour un bénéfice de 4 à 5 $ par litre. Parfois, les victimes étaient semble-t-il vivantes.

Avec André Labay, Cambronne avait de grands projets :

« Labay avait aussi participé aux premières phases d’un grand projet international : il s’agissait d’établir aux Antilles, en Amérique du Sud et en Afrique noire un réseau de laboratoires pour recueillir à bas prix le sang des pauvres et l’exporter vers les pays riches« 

Nouvel Observateur du 17 septembre 1973.

Quand il a été arrêté à Paris en octobre 1971, André Labay « s’apprêtait à fonder une ‘banque du sang noir’. Il s’agissait de recueillir du sang en Afrique à bas prix ou contre de modestes compensations, et de le revendre au plus haut prix aux hôpitaux américains« , explique Alain Jaubert dans « D comme Drogue ».

Duvalier père était, via André Labay, en lien étroit avec des mafieux New Yorkais notamment de membres du clan Gambino et Bonano, et avait apparemment lui-même contacté les principales familles. Son bras droit Cambronne avait aussi des parts dans la compagnie aérienne nationale, Air Haïti, une compagnie pétrolière, des compagnies de taxi…

« Pendant cinq ans, de 1966 à 1971, André Labay sera l’agent principal du Service de Documentation Extérieure et de Contre Espionnage (SDECE), la CIA française, opérant en Haïti. Ses accointances avec Luco Dominique, beau-frère de l’ex-président Estimé, et Lebert Jean-Pierre, secrétaire d’Etat du Commerce de l’Industrie dans cinq cabinets ministériels sous le gouvernement de François Duvalier de 1965 à 1971, consolident sa position dans le sérail duvaliériste, du moins pour les questions d’intendance« 

Leslie Pean

« C’est d’ailleurs grâce à ce dernier qu’il obtient l’utilisation de l’immeuble de l’Institut pour le Développement Agricole et Industriel (IDAI), sis à Port-au-Prince, à l’angle de la Rue des Miracles et de la Rue du Quai, pour en faire le laboratoire d’où partiront vers les Etats-Unis les kilos d’héroïne, savamment camouflés dans les expéditions de vêtements confectionnés par l’entreprise Fenwick Corporation S.A« .

Leslie Pean

Grâce à ce coup de main indispensable fourni au trafic d’héroïne français, Duvalier a touché sa part sur les ventes aux Etats-Unis.

Quelques mois après la mort de Duvalier père en 1971, Cambronne, qui s’apprêtait à ouvrir un deuxième centre de prélèvements, s’est réfugié à Miami où il est mort en 2006 en espérant que le fils de Duvalier, « Baby Doc », réfugié de son côté en France lors de la chute du régime en 1986, reprenne le pouvoir. Le sang des haïtiens était très recherché avant l’épidémie de SIDA, car en raison du grand nombre d’infections et de maladies présentes sur l’île, il comportait disait-on de bonnes défenses immunitaires.

Pour se fournir en sang et en cadavres, Cambronne n’hésitait pas à massacrer tous ceux qui lui passaient sous la main. On a parlé de rituels vaudou, mais il s’agissait plus probablement de rituels satanistes. En 1962, il y a eu un scandale disant que de la viande humaine avait été vendue dans des restaurants de Port-au-Prince, et que le fournisseur était Cambronne, dont la milice aurait fait environ 600.000 morts.

Selon L’Express du 28 février 1972 cité par Alain Jaubert dans « D comme Drogue », Labay travaillait pour la CIA à l’infiltration de trafiquants de drogue français : 

« la veille de son arrestation, M. Labay avait rendez -vous, à 10 heures, au bureau 604 du consulat général des États-Unis, rue La Boétie, avec l’adjoint du Directeur Régional du Bureau des Narcotiques, M. Jack Kiere, et un agent américain surnommé Guy. Pour leur demander de l’aider à convoyer sa marchandise jusqu’aux États-Unis, ayant déjà fait ce travail, assurait-il pour le compte de la C.I.A. dont il avait été un agent à Haïti !« .

Ce qui est certain, c’est que Labay a rendu de grands services à Duvalier père, pour différentes transactions internationales, notamment aux Etats-Unis et en Suisse, où il était en contact avec le « directeur financier » de la bande de Meyer Lansky, le Canadien John Pullman [30].

Quant au fils Duvalier, exilé en France depuis 1986, il est parti avec 900 millions de dollars volés aux haïtiens (une somme supérieure à la dette nationale d’alors), mais la France a toujours refusé de l’extrader. D’après certains observateurs, le pouvoir haïtien connaît de sales secrets concernant les dérives des politiciens français à Haïti, où l’AMORC (les Rose-Croix) cherchait à devenir religion d’Etat du temps de Duvalier père.

« Il existe en France une mafia qui contrôle entièrement le trafic de drogue, en même temps que d’autres affaires […] cette mafia jouit de protections aux échelons les plus élevés y compris parmi les membres du gouvernement« 

« le trafic de la drogue et autres rackets ne profitent pas seulement aux membres de la mafia. Des hommes politiques, des diplomates, des banquiers, des policiers et des membres des réseaux parallèles ont des intérêts dans toutes ces affaires illicites« .

Alain Jaubert dans « D comme Drogue » (1978)

Et bien évidemment, un certain nombre dans ces castes sait très bien ce qu’il se passe mais ne dit rien.

La corruption est la même dans les pays producteurs, et dans les pays de transit. Une personne qui a eu des responsabilités dans les renseignements intérieurs français m’a expliqué il y a une dizaine d’années que tous les ans a lieu une réunion à laquelle se rendent d’une part les représentants des pays producteurs de drogue, d’autre part des représentants des pays consommateurs, ces représentants étant des politiques, des militaires, des chefs des services de renseignemebnt. Objectif : répartir l’argent des bénéfices au prorata de ce qui a été consommé, évalué en fonction de la provenance des saisies apparemment. 

L’argent, versé par les pays producteurs, était déposé dans une grande banque internationale en Asie, banque par ailleurs impliquée dans le blanchiment d’argent de la drogue, et les politiciens des pays consommateurs pouvaient se répartir les millions. 

Le vaste procès de 344 mafieux de Cosa Nostra en 1986 en Italie a montré l’ampleur du trafic d’héroïne et de cocaïne qu’elle avait organisé au niveau international, avec des filières d’approvisionnent de la Thaïlande à la Turquie, ainsi qu’en Amérique latine, des filières de trafic d’armes qui partaient dans l’autre sens et bien-sûr des filières de blanchiment passant par les paradis fiscaux et par la banque Ambrisoano notamment.

L’organisation a été qualifiée de « contre-pouvoir » criminel, dissimulé dans la société et qui cherchait toujours à s’étendre géographiquement.

L’un des accusés dans ce procès, un Turc dénommé Karl Kofler a parlé des armes sorties de bases de l’OTAN, qui partaient sur les mêmes bateaux qui venaient de décharger en Europe leur cargaison de came. Ces armes, aussi anodines que des tanks, des hélicoptères, des avions même 3 cargos apparemment, servaient de monnaie d’échange contre la drogue [31]. Pas de chance, Kofler a été retrouvé mort dans sa cellule peu après avoir commencé à exposer le système, alors qu’il était à l’isolement et sous surveillance renforcée et il était clair que le pouvoir politique était intervenu pour étouffer le volet « armes » de l’histoire.

Un mafieux a aussi été pris à vendre des informations sensibles émanant de l’OTAN à des pays de l’est. L’Italie est alors apparue comme une plaque tournante à la fois du trafic d’héroïne et du trafic d’armes lourdes au niveau international. C’était d’ailleurs la grande époque du Gladio, où les liens entre OTAN, renseignements, franc-maçonnerie, mafia, Vatican et partis politiques de droite étaient comme on l’a vu particulièrement étroits.

Le spécialiste de la géopolitique des drogues Giuseppe Muti souligne que l’organisation était solidement protégée à un plus haut niveau, notamment via la loge P2, et « la duplicité de Cosa Nostra, à la fois garante des transactions grâce à sa maîtrise des routes et bras armé aux ordres d’un obscur centre de pouvoir supérieur« . Il s’agit du pouvoir politique et même militaire, puisque la protection des filières de Cosa Nostra par des responsables de l’OTAN, de la CIA et du SISMI, les renseignements italiens, ont été démontrés lors de l’enquête du juge Carlo Palermo au début des années 80.

La CIA a ainsi expliqué au juge Palermo qu’il ne pouvait pas arrêter l’un des principaux trafiquants, le syrien Henri Arsan, car il travaillait sous couverture pour la DEA (Drug Enforcement Administration) avec sa société de transports Stipam International Transports qui était hébergée dans un immeuble appartenant à la banque Ambrosiano. 

Mais cette « info » était en réalité une intox et Palermo a quand-même procédé en 1982 à un raid qui a mené à l’arrestation d’Arsan (mort en prison en 1983) ainsi que :

  • Glauco Partel, directeur d’un centre de recherches à Rome. Il collaborait avec la CIA, était un agent de la NSA américaine et a collaboré avec la P2 pour fournir des missiles Exocet à l’Argentine lors de la guerre des Malouines. Il a aussi a vendu trois bombes atomiques à des pays arabes. 
  • Le colonel Massimo Pugliese, ex responsable des renseignements militaires et membre de la P2. Il collaborait étroitement avec la CIA pour développer une arme laser puissante et était en lien avec l’administration Reagan.
  • Enzo Giovanelli, fournisseur d’armes et de munitions à la base US de La Maddalena en Sardaigne, proche de la P2. Il a vendu des avions militaires, des cargos et des simulateurs de vol à la Libye et d’autres pays arabes avec la bénédiction de l’OTAN.
  • Angelo De Feo, trafiquant d’armes qui a expliqué par la suite que les missiles envoyés en Libye étaient partis de la base militaire de Ciampiro et que le trafic était contrôlé par le SISIMI.
  • Renato Gambo qui possédait une usine d’armes.
  • Giuseppe Alberti, Edmondo Pagnoni, Mario Cappiello, associés d’Arsan.
  • Eugenio Sacchi, un autre fabriquant d’armes.

Il faut aussi noter une connexion étroite avec Ali Agça, qui a tenté d’assassiner Jean-Paul 2, car Agça travaillait à la Sitbam et a voyagé à plusieurs reprises avec Henri Arsan pour se rendre à des conférences à Milan. 

Comme on l’a vu, il n’y a pas de trafic de drogue international sans blanchisseuses, c’est-à-dire des banques prêtes ne pas regarder la provenance douteuse des fonds, et à fournir des circuits par les paradis fiscaux pour le rendre légal. Un des scandales les plus révélateurs de ce système (qui perdure) est celui de la Bank of Credit and Commerce International, la BCCI, qui a éclaté en 1988. La BCCI était utilisée par la CIA pour récupérer et dépenser l’argent issu du trafic de drogue international qu’elle a organisé avec les mafieux italiens notamment.

Présente dans 70 pays, la BCCI était à l’origine une banque pakistanaise, mais elle était l’une des 10 plus grosses du monde, implantée dans 78 pays. Elle était noyautée par les politiques : son directeur James R. Bath était un ami de Georges Bush père, l’un des avocats mis en cause, Clark M. Clifford, était un conseiller de tous les présidents démocrates depuis 1945, en particulier de Carter, et a été secrétaire d’Etat à la Défense.

C’est Clifford qui a permis à la BCCI d’acquérir la plus grosse banque de Washington, la First American Bank, et donc de faire du business sans entraves aux USA. Et Clifford en a été nommé directeur juste après l’absorption. 

Pour les Etats-Unis, l’hégémonie passait par le contrôle du pétrole et aussi par le contrôle de la production de drogue.

« L’habitude américaine d’entraîner, d’armer et de financer ses alliés trafiquants de drogue pour les aider à sécuriser les ressources pétrolières à l’étranger a été un facteur majeur dans l’augmentation considérable du trafic de drogue illicite dans le monde depuis la guerre mondiale ».

Peter Dale Scott dans « Drugs, oil and war ».

De la guerre contre la drogue à l’explosion du trafic

Les US pouvaient se faire les chantres de la lutte anti-drogue, mais cela n’effaçait en rien leur montée en puissance dans le trafic mondial, avec l’aide précieuse de la CIA, sur le plan logistique notamment. Ce serait en 1947 que les US auraient commencé le trafic à une échelle industrielle [32] avec les guerres dans le sud-est asiatique, damant ainsi le pion aux Anglais et peu à peu aux Français. En effet, dans les années 50-60 Birmanie puis au Laos, Washington s’est appuyé sur des clans producteurs de drogue pour renverser les pouvoirs en place[33].

On a aussi vu qu’en 1944-45, les US ont utilisé la mafia italienne, notamment Meyer Lansky pour préparer le terrain en Italie et dans le sud de la France avant le débarquement.

Au lieu d’une guerre contre la drogue lancée en 1970 par Nixon l’objectif était surtout de couper le circuit français d’approvisionnement vers les Etats-Unis, passé de 80% de l’héroïne entrant dans le pays à 15% entre la fin des années 60 et 1975. Commencées dans les années 60, les pressions des Etats-Unis pour que l’Etat français réduise fortement le trafic ont aussi servi d’arme diplomatique.

Dans les faits, les quantités ont explosé via les circuits provenant du Sud-Est asiatique (le triangle d’or, dont le trafic est encore aujourd’hui aux mains des triades chinoises) et du Mexique qui fournissaient un produit d’aussi bonne qualité que les labos marseillais. En 1977, un rapport parlementaire sur la surconsommation de drogue mentionnait que l’addiction à l’héroïne avait doublé en quatre ans.

Santo Trafficante, un trafiquant cubain qui a travaillé pour la CIA [34] notamment pour certaines éliminations, et qui collaborait étroitement avec Meyer Lansky dont il représentait les intérêts à Cuba et à Miami, a été envoyé en Asie du Sud-Est au moment où le réseau d’autre trafiquant français, Ricord, et le trafic marseillais étaient mis à plat par les US, afin d’étudier les possibilités d’ouvrir une filière à grande échelle avec les chinois.

Dès 1946, la CIA a créé en Chine la compagnie aérienne Civil Air Transport pour mener ses opérations sous couverture dans le sud-est de l’Asie, la couverture étant l’assistance « humanitaire » des alliés du « monde libre », devenue Air Amercia. Dans un sens, il y avait des armes et dans l’autre, de la drogue produite dans les pays ravagés par la guerre.

Air Amercia faisait partie d’un complexe de plusieurs compagnies aériennes, avec Global International Airways créée en 1978 par le trafiquant d’armes Farhad Azima qui a aussi participé aux liaisons avec l’Afghanistan, le Pakistan, la Croatie, l’Egypte, pendant l’Iran Contra et pendant la guerre du Golfe (ce qui lui a valu des honneurs aux Etats-Unis)[35], ou Southern Air Transport qui transportait aussi des armes et de la cocaïne dans l’affaire des Contras, en Colombie au Nicaragua ou au Moyen-Orient.

Un article de George Lardner Jr paru le 20 janvier 1987 dans le Washington Post relatait :

« Selon des sources informées, un témoin a déclaré l’été dernier au Federal Bureau of Investigation avoir vu un avion cargo portant les marques de Southern Air être utilisé pour un transfert d’armes contre de la drogue sur un aérodrome de Barranquilla, en Colombie, en 1983 […] L’informateur a déclaré aux enquêteurs que des caisses d’armes à feu avaient été déchargées de l’avion cargo et que des paquets de cocaïne étaient stockés à bord« , une opération supervisée par le leader du cartel de Medellin à l’époque, partenaire d’Escobar et grand soutien financier d’un politicien local qui deviendra président de la Colombie, Alvaro Uribe.

En juillet 1970, une réunion des capos de la mafia US a eu lieu à Palerme, où ils ont décidé d’investir dans le trafic depuis l’Asie du sud-est et d’en faire leur principale source d’héroïne. La guerre du Vietnam a permis de prendre le contrôle de la région.  Déjà en 1971, 15% des soldats US au Vietnam étaient accros à l’héroïne.

Cette réunion d’Apalachin a ensuite coûté cher aux boss de la mafia, car à ce moment il était devenu impossible de nier l’existence de la mafia et il a fallu agir.

En 1971, celui qui est devenu quelques semaines plus tard l’ambassadeur du Laos à Paris, le prince Chao Sopsaisana, a été arrêté à Paris avec 60 kilos d’héroïne sur lui, et d’autres diplomates ont été arrêtés en tentant de faire entrer des valises d’héroïne aux Etats-Unis [36]. Il était sur le point de devenir le représentant du laos à Paris. 

Au Vietnam, les Corses négociaient directement depuis les années 60 avec des proches du président Ngo Dinh Diem pour la fourniture d’opium, puis les militaires US qui ont repris le trafic se sont appuyés sur le président du nord Vietnam et sur des groupes paramilitaires « amis » pour la logistique. En Thaïlande, le chef d’une milice de 45.0000 hommes dirigée par Phao Sriyanonda protégeait les producteurs d’opium dans le nord du pays et le transport de la marchandise. Même de hauts fonctionnaires chinois du Parti Communiste étaient impliqués dans le trafic de drogue vers les Etats-Unis.

A partir du début des années 70, les labos se sont multipliés en Asie, et en 1973 la bascule était complète. La Turquie a aussi beaucoup cultivé d’opium, dont le trafic était aux mains de clans mafieux puissants alliés au mouvement d’extrême-droite les Loups Gris, qui étaient l’antenne du Gladio en Turquie et dont Ali Agça était proche, ont commis des dizaines de massacres et des centaines de meurtres d’opposants politiques, de chrétiens, d’Arméniens, notamment dans les années 80 et 90, en Turquie surtout mais aussi à l’étranger.

Depuis la fin des années 70, les laboratoires de transformation de l’héroïne se sont multipliés en Turquie, dans le cadre du trafic organisé par les Italiens en collaboration avec la CIA. La drogue était ensuite expédiée en Europe via les Balkans, ainsi qu’aux Etats-Unis [37]. 

Le Gladio Turc a été mis sur la place publique en 1997 dans un rapport du gouvernement qui mentionnait des « escadrons de la mort » clandestins basés dans le sud du pays, et qui faisaient aussi dans le trafic d’héroïne. La Première ministre turque Tansu Ciller a alors été accusée par des juges allemands de protéger des trafiquants de drogue de 1993 à 1996 [38]. Une bonne partie du gouvernement était en connivence avec les mafieux et les Loups-Gris, qui avaient aussi l’avantage de taper sur les groupes kurdes indépendantistes.

Cette guerre contre la drogue était surtout destinée à amuser la galerie. Depuis ses débuts en politique dans les années 40, Nixon était proche des mafieux de Miami, et ils ont été de plus en plus nombreux dans son entourage au fil des années[39]. Par exemple, le gouvernement de Coller a contribué à mettre en place un coup d’Etat –raté- contre le président d’Azerbaïdjan, dans l’intention de sécuriser les routes du transport d’héroïne depuis l’Afghanistan.

Sous Nixon puis Reagan et Bush 1er, la CIA a utilisé l’assassinat ciblé ou de masse pour éliminer toute opposition à travers le monde. En Amérique latine, les dictateurs généralement dans la ligne des délires nazis comme Pinochet, Peron, Stroessner par exemple, mangeaient tous dans la main de Washington et trempaient dans divers trafics.

En échange, la CIA mais aussi les militaires français notamment, entraînaient les « Escadrons de la Mort », ces brigades de tueurs à la solde des dictatures latinos qui traquaient été éliminaient les opposants sur tout le continent et même à l’étranger grâce à l’internationale fasciste dont on a déjà parlé. Ils entraînaient aussi l’armée et la police, bien évidemment, et les meilleurs avaient droit à une session spéciale aux Etats-Unis, par exemple à l’International Police Academy à Georgetown où s’entraînait la CIA.

La DEA (Drug Enforcement Administration) a été créée en 1973, et a pris en main les opérations en Amérique latine où elle était présente à peu près partout. De 2,2 millions de dollars en 1973, sont budget est passé à plus de 12 millions de dollars l’année suivante. Devant les caméras, les politiciens des dictatures du coin apparaissaient pour annoncer leur collaboration à la grande lutte contre la drogue menée par les US. Et pendant que les dollars d’ « aide » US pleuvaient sur les dictatures, le nombre de toxicos aux Etats-Unis explosait, avant de toucher également l’Europe à commencer par l’Allemagne de l’ouest où de nombreux soldats US étaient stationnés.

En 1974, Jaime Rosenthal, passé par le Massachussets Institute of Technology, a ouvert la Banco Continental. Il est devenu vice-président du Honduras de 1986 à 1989 puis député, avant que les US ne l’accusent d’être un narcotrafiquant et ne réclament son extradition aux Etats-Unis.

Sa famille d’origine Roumaine, était devenue l’une des plus riches et puissantes du pays, plusieurs de ses membres occupant des fonctions politiques. Son fils Yankel, propriétaire d’un club de foot et deux fois candidat à la présidentielle, venait d’être arrêté à Miami pour des accusations de blanchiment d’argent de la drogue via le conglomérat familial Grupo Continental.

Le plus gros trafiquant de la région, Juan Ramón Matta Ballesteros, était un proche de Rosenthal, et organisait des soirées Vip où venait le gratin du Honduras, militaires et diplomates étrangers compris.

Officiellement, c’était un entrepreneur en vue –propriétaire d’une compagnie d’avions – et un philanthrope qui aurait même proposé de payer la dette du pays, mais en réalité il collaborait avec la CIA pour la fameuse « lutte contre le communisme » en Amérique centrale, (il a par exemple a fourni un appui dans le cadre de l’Iran Contra avec sa compagnie aérienne) et pour le trafic de drogue.

Il a aussi été l’artisan du rapprochement des cartels mexicains et colombiens, d’autant plus facilement qu’il avait un partenariat avec le cartel de Guadalajara, qui était le plus puissant au Mexique dans les années 80, et avec le cartel de Medellin en Colombie. Ce rapprochement a entraîné une explosion des arrivages de cocaïne aux Etats-Unis. Il a quand-même été arrêté en 1988 après avoir participé à l’enlèvement et au meurtre d’un agent de la DEA au Mexique, et a été extradé aux Etats-Unis où il est toujours incarcéré.

Depuis le début des années 80, Matta Ballesteros collaborait avec la CIA : les avions de sa société SETCO transportaient la cocaïne vers les cartels du nord du Mexique, qui l’introduisaient aux Etats-Unis et revenaient dans l’autre sens chargés d’armes, livrées dans un dépôt géré par Oliver North et Richard Second pour la CIA au Honduras.

La CIA était impliquée au plus haut niveau dans le trafic au Mexique, comme d’ailleurs en Colombie et dans d’autres pays de la région. Au Mexique, elle avait contribué à la création de la DFS, la Dirección Federal de Seguridad, officiellement dans le cadre de la guerre froide, censée lutter contre les trafiquants. Mais dans les faits, la DFS a davantage assuré un rôle d’intermédiaire entre les politiques et les cartels, et a protégé certains cartels comme celui de Guadalajara qui était le plus puissant au début des années 80.

A ce moment le patron de la DFS était Miguel Nazar Haro, qui collaborait de longue date avec la CIA pour la répression des mouvements de gauche. La DFS a été dissoute en 1985 après l’assassinat de l’agent de la DEA Enrique Camarena. Quant Nazar, il a été accusé d’avoir travaillé avec certains cartels et d’avoir espionné illégalement diverses personnalités politiques, comme le président de gauche Andrés Manuel López Obrador, qui a été élu en 2018.

Selon Peter Dale Scott, la CIA avait ainsi recruté des agents dans les services de renseignements et les armées du Guatemala, du Honduras, du Panama également, des pays gangrenés par le narcotrafic

Au Mexique, la CIA avait notamment noué des liens avec le chef du cartel de Sinaloa au nord du Mexique, Miguel Ángel Félix Gallardo, qui entrainait des guérillas d’extrême-droite dans son grand ranch, comme l’ont fait plus tard les chefs de cartels colombiens. En 1990, la vente de la cocaïne aux Etats-Unis générait 50 milliards de dollars par an.

Même quand le Plan Merida a été lancé au milieu des années 2000 pour « lutter contre le trafic », force était de constater que cette lutte était très sélective, et certains estiment qu’en réalité l’Etat s’est impliqué dans le trafic. Juan Camilo Macias, chercheur en sciences politiques, écrit dans l’article « Plan Colombie et plan Mérida, chronique d’un échec« , que :

« Selon un documentaire de la Radio Publique Américaine (NPR) basé sur différents témoignages d’agents de la DEA et des documents de la Procuraduría General de la Nación du Mexique, l’enjeu de cette lutte contre les cartels est de raffermir le pouvoir du Cartel de Sinaloa et d’affaiblir le Cartel de Juárez. Il y a d’autres indices qui suggèrent cette complicité entre le gouvernement et le Cartel de Sinaloa.

En effet, il y a des structures criminelles comme le groupe de Beltrán Leyva ou les Zetas qui ont reçu des coups et des attaques contre leur structure criminelle. Certains fonctionnaires collaborent avec les cartels. C’est le cas de Genaro García Luna, dont une investigation de la journaliste Anabel Hernández montre la collaboration avec les cartels lorsqu’il était chef de la police fédérale. Elle soutient que Genaro Garcia Luna facilitait le trafic de drogues dans les aéroports. Ces liens de Genaro Garcia Luna avec les trafiquants de drogues sont aussi documentés à Washington et confirmés par divers témoignages« .

Luna qui a été chef de la Division antidrogues chargée de lutter contre les cartels de 2009 à 2013 puis chef de l’Agence d’Enquêtes Criminelles rattaché au parquet national, a été destitué en 2015 êt arrêté fin 2019 au Texas pour avoir reçu des pots-de-vin du cartel de Sinaloa et il est donc détenu aux states.

Dans la foulée, ses deux lieutenants Ramón Pequeño García (mêlé aussi aux magouilles autour de l’affaire Florence Cassez) et Luis Cárdenas Palomino ont aussi été accusés d’importation de drogue pour le cartel de Sinaloa (dirigé par El Chapo” Guzmán) aux Etats-Unis, et pour avoir balancé un informateur aux narcos.

Palomino avait aussi d’importantes responsabilités dans la police fédérale et a démissionné en 2012 quand il a été accusé de toucher de l’argent des narcos et que la justice s’est intéressée à son cas.

Pequeño García est soupçonné d’être mêlé à différents actes criminels, comme l’explosion d’une voiture attribuée officiellement àd es jeunes qu’il a fait toreturer pour qu’ils s’accusent de l’attentat. Il a dirigé la Division antidrogues puis la division des renseignements, et a démissionné le lendemain de l’évasion spectaculaire de Guzmán en 2015. Il faut dire qu’il était chargé de superviser les caméras de contrôle des prisons.

Les trois, qui ont agi sans entrave pendant des années, avaient aussi organisé l’arrestation de dizaines d’innocents et mis en place un système de blanchiment de l’argent via au moins une trentaine d’entreprises de prestations diverses.

Autre comparse pris dans les filets: le commandant de la police fédérale en charge de la communication avec les homologues des Etats-Unis, Ivan Reyes Arzate, auquel un tribunal de Brooklyn a mis 10 ans de prison pour trafic de drogue en février 2022. Il travaillait pour le cartel de Sinaloa, qu’il renseignait et pour lequel il arrangeait des affaires.

L’affaire de l’Iran Contras, aujourd’hui parfaitement documentée, montre que le trafic de drogue, couvert accessoirement par un réseau de pédocriminalité (l’affaire Franklin), a permis aux US de financer une série de coups d’Etat et d’opérations de barbouzeries. Parmi les nombreux éléments de ce dossier tentaculaire, on peut mentionner le rôle joué par le politicien et président de PepsiCo au Nicaragua, Adolfo Calero, qui dirigeait le site d’embouteillage, était aussi leader des contras d’extrême-droite et le plus gros trafiquant de drogue du pays, qui travaillait la main dans la main avec les services US.

« L’héroïne était devenue un business à 400 milliards de dollars par an, avec 200 millions d’utilisateurs à travers le monde. La part de la CIA dans ce business a été utilisée pour financer les moudjahidin en Afghanistan, les forces de guérilla en Angola, les Contras au Nicaragua, les régimes fantoches en Amérique du Sud et les escadrons de la mort au Salvador« .

Paul E. Williams.

La principale blanchisseuse de l’argent issu du trafic de l’héroïne était la « banque internationale de crédit et de commerce », la fameuse BCCI[40], qui était la 7e plus grosse banque du monde au début des années 80, présente dans 78 pays ce qui était encore rare à la l’époque.

La BCCI a donné lieu en 1988 à l’un des plus gros scandales financiers de cette époque, pour fraudes, blanchiment d’argent de la drogue, dont celui, par exemple, du cartel de Medellin, du général Noriega ou de la famille Gambino.

Grâce à la BCCI et à ses filiales comme la First American Bank (qui existe toujours), l’argent sale pouvait entrer dans n’importe quel pays, être blanchi en passant par des paradis fiscaux, et ressortir n’importe où. Son directeur, James R. Bath, était un ancien pilote de l’armée de l’air US proche de Georges Bush 1er, qu’il a connu quand ils étaient encore militaires. Bath a également investi dans les business de Bush dans le pétrole, et a pu impunément créer des sociétés offshore pour qui lui permettaient de déplacer des avions et de grosses quantités d’argent en toute tranquillité. 

La BCCI a ainsi permis des transactions dans différents sens dans le cadre de la magouille Iran-Contra (la vente la par la CIA de drogue pour financer des armes pour du dictateur nicrarguayen Noriega qui a renversé un gouvernement démocratique). A ce moment, il ne s’agissait pas d’un petit établissement puisqu’elle gérait 20 milliards d’actifs au milieu des années 80. Pourquoi avoir pris de tels risques ? Il se trouve que la BCCI était détenue à 50% par des saoudiens [41], très proches des Etats-Unis comme on le sait, et que ses dirigeants avaient leurs entrées auprès de Jimmy Carter et de son administration. 

La guerre contre la drogue a été le prétexte, et encore dans les années 2000, pour injecter de l’argent dans la militarisation des Etats et mener la lutte contre les opposants. C’est-à-dire que cette guerre ne ciblait pas ses amis mais ses ennemis : peuples autochtones en lutte pour leur survie, syndicalistes, leaders politiques communistes.

Cette guerre s’appuyait aussi bien-sûr sur l’opération Condor, financée et organisée par la CIA à partir de 1968 dans toute l’Amérique latine pour entraîner les forces de répression et détruire les oppositions où qu’elles se trouvent sur le continent. Selon des témoins, des agents de la DEA assistaient aux tortures lors des interrogatoires.

L’Afghanistan, envahi par les US en 2001, a été un bel exemple de développement du trafic : alors que les talibans qu’ils avaient mis au pouvoir avaient décidé en 2000 de mettre totalement à l’arrêt la production d’opium, celle-ci a grimpé en flèche immédiatement. En Europe, le prix du gramme d’héroïne est passé en quelques mois de 80 à 40 puis 20 euros dans le nord de la France, avec évidemment une multiplication des cas de dépendance surtout chez les jeunes.

Le point de transit numéro un ? Le Kosovo micro-état où le chômage est autour de 70% depuis des lustres mais où se trouve justement le camp Bondsteel, plus grosse base US en Europe construite à l’occasion de la guerre en yougoslavie en 1999 et premier employeur de la région. Et dans un périmètre de 30 km autour de la base, il y avait encore en 2008 trois gros laboratoires de transformation de l’héorïne sans que les autorités mafieuses (voir ici et ) mais proches de l’OTAN du Kosovo ne bougent. Pas plus d’ailleurs qu’elles ne l’ont fait pour le trafic d’organes.

Cette époque fut celle de la montée en grade de la mafia Albanaise (au Kosovo il y a 90% d’albanais), présente dans le monde entier mais surtout en Europe. Et le Kosovo, qui s’est autodéclaré indépendant en 2008, est toujours une plaque tournante du trafic d’héroïne vers l’Europe de l’ouest.

Dans les années 80 le scénario était le même : la production d’opium dans le pays qui était sous la coupe des moudjahidins, eux-mêmes soutenus par les US et la France[42] contre l’URSS, est passée progressivement de 4.000 tonnes en 1971 à 12.000 en 1978 quand la vente a explosé aux Etats-Unis où l’opium Afghan représentait 60% de la consommation, grâce aux réseaux mafieux italiens.

L’argent qui servait à financer la guerre passait par des banques proches de la CIA, comme la Continental Illinois dont on a déjà parlé, puis par l’IOR (la banque officielle du Vatican)[43]. La production a ensuite baissé, autour de 4.500 tonnes à la fin des années 90, pour arriver au volume plancher de 81 tonnes en 2001.

L’invasion US en octobre 2001 a marqué un nouveau tournant, et dès 2002 l’ONU estimait déjà la production nationale, repartie de plus belle, à 3.400 tonnes. L’argent était blanchi via des banques dont certaines avaient une envergure internationale et dont une bonne partie étaient basées aux Etats-Unis, comme Citibank, Chase Manhattan ou American Express International.

Une fois en Italie, l’argent était dispatché dans une série de banques « blanchisseuses » liées à la loge P2 notamment (comme on l’a vu dans la partie précédente) et transitait dans les filiales de quelques paradis fiscaux histoire que les autorités perdent la trace de sa provenance douteuse. Ou alors les banques, comme Ambrosiano qui en était spécialiste, faisaient des « prêts » bidons à des sociétés fictives pour blanchir l’argent.

Et aujourd’hui ?

Dans les années 80, les US ont commencé à faire monter les islamistes en Afghanistan, notamment les talibans qui donneront Al-Qaïda, pour taper sur les Russes. Via les services pakistanais, les US ont financé et armé les moudjahidins (les « combattants de la foi » islamistes) qu’ils ont également entraînés dans des camps qu’ils ont mis en place au Pakistan, contre Moscou qui soutenait le régime socialiste en place à partir de 1978[44].

Entre 1982 et 1992, certaines estimations évaluent à 40.000 le nombre de mercenaires islamistes, appelés djihadistes, recrutés avec l’appui des réseaux des Frères Musulmans, pour la guerre en Afghanistan[45]. Et l’appui n’était pas que logistique ;  en 1985, par exemple, les « rebelles » Afghans ont reçu 250 millions de dollars de la part de la CIA en plus des armes telles que des missiles sol-air Stinger de fabrication US (de courte portée).

Quand Les Russes ont quitté le pays en 1989, les US ont récolté les fruits de leur subversion par l’islamisme et les Talibans ont pris le pouvoir rapidement. C’est ainsi qu’au début des années 80, la moitié de la drogue qui entrait aux Etats-Unis venait de la zone Pakistan-Afghanistan, et entre 1989 et 1990 la quantité d’opium produite chaque année est passée de 250 à plus de 2.000 tonnes et aujourd’hui 90% de l’opium mondial vient d’Afghanistan.

Une boîte d’import-export appelée Sea Crest, par exemple, a blanchi de l’argent qui a servi à équiper et entraîner les moudjahidins en Afghanistan dans les années 80, qui s’opposaient aux Russes. Plusieurs responsables de Sea Crest étaient des agents de la CIA, impliqués dans l’affaire de la « Baie des cochons ».

L’un des principaux trafiquants d’opium du pays, l’islamiste Gulbuddin Hekmatyar, qui officiellement fait de la politique, était proche des talibans et avait le soutien des US depuis les années 80 alors qu’il gérait des laboratoires de transformation de l’héroïne dans le sud du Pakistan tout en finançant les moudjahidines.

Gulbuddin Hekmatyar, qui gérait aussi des circuits de distribution de l’héroïne, est aujourd’hui membre avec l’ex président Hamid Karzai d’une espèce de gouvernement afghan en exil depuis le coup d’Etat des talibans en septembre 2021. En décembre 2005 on a retrouvé chez le gouverneur de la province du Helmand, qui détient le record national de production depuis plus de 20 ans, 9 tonnes d’opium. Il a été viré mais son frère est resté vice-gouverneur.

Et le demi-frère de Karzai, qui vient de la province du Helmand et a été président de l’Afghanistan de 2001 à 2014, Ahmed Wali Karzai était un des plus gros producteurs d’opium du pays -jusqu’à son assassinat en 2011. Et depuis 2001 au moins il rencardait et aidait la CIA contre rémunération. Le New York times a annoncé en 2009 que la CIA l’avait payé pour monter un groupe paramilitaire afin d’attaquer les rebelles talibans.

Bref, grâce aux Etats-Unis, l’Afghanistan est devenu en quelques années un narco-Etat qui fournit 90% de l’héroïne mondiale.

Reagan a poursuivi cette politique, du côté de l’Afghanistan comme en Amérique Latine, notamment en Colombie et au Mexique. Ce qui est passé par de nombreux assassinats politiques, le soutien à des groupes paramilitaires d’extrême droite qui protégeaient le trafic et à des candidats véreux.

Un candidat à la présidentielle de 1990 en Colombie, le sénateur Luis Carlos Galan qui était le favori et avait l’inconvénient d’être très engagé contre le cartel de Medellin, a été assassiné avec une mitraillette Uzi, fabriquée en Israël. Il s’était positionné ouvertement contre le cartel de Medellin, qui était encore très puissant et sous le contrôle de Pablo Escobar, et voulait extrader les narcos aux Etats-Unis. Suite à ce meurtre, la Colombie a admis l’extradition de ses narcos quand les US les réclamaient.

Le principal assassin de Galan a été arrêté en 1991 à New York. On a dit que le commanditaire était Escobar, mais l’ancien ministre de la Justice Alberto Santofimio avait selon les juges incité Escobar à agir.

Et en 2016 l’ancien général Miguel Alfredo Maza Márquez a pris 30 ans de prison pour son implication dans le meurtre et ses liens étroits avec les paramilitaires qui ont réalisé l’assassinat pour le compte d’Escobar, et dont il a aidé la fuite. C’est aussi lui qui a sous-dimensionné l »escorte de sécurité autour de Galan, un mois avant l’assassinat.

Quand il dirigeait le DAS (Departamento Administrativo de Seguridad , service de renseignement) de 1985 à 1991, il rémunérait ce groupe lié au cartel de Medellin, dirigé par Henry Pérez, pour réaliser les tâches salissantes. Parmi les témoins à charge: des narcos et des paramilitaires, dont l’ami d’Escobar en prison aux Etats-Unis, Diego Fernando Murillo, alias « Don Berna ».

Maza, qui balance ses petits copains à la solde du cartel depuis qu’il a été condamné en espérant réduire sa peine, doit aussi répondre d’actes de protection du groupe paramilitaire meurtrier, l’Union Patriotica.

Quelques mois avant l’assassinat de Galan, un camp d’entraînement paramilitaire a été découvert, dans lequel officiaient des militaires Israéliens et anglais. Le Lieutenant-colonel Yair Klein[46]et ses hommes, parmi lesquels Michael Harari officiellement rattaché à l’ambassade d’Israël à Mexico mais qui était envoyé par la CIA pour négocier directement avec les narcos[47], ont ainsi entraîné les membres des milices privées des narcotrafiquants, qui se battaient aussi contre les FARC (tendance de gauche) et défendaient à l’occasion des politiciens amis en s’en prenant à leurs adversaires.

L’entrainement consistait principalement à mener des assassinats et des attentats, et les armes utilisées étaient toutes israéliennes, fournies par Klein. En 1989, une série d’attentats a été commise à Medellin principalement, mais aussi à Bogota, avec des armes israéliennes (En 1989 également, un dénommé Hector Cuellar, ex directeur d’American Express France, citoyen US, a été inculpé pour du blanchiment d’argent dans le cadre d’un trafic de drogue avec la Colombie). 

Après leur passage en Colombie, les Israéliens sont allés au Honduras puis au Costa-Rica.

Comme le monde est petit certains des types de l’équipe qui a assassiné Galan sont passés par ce camp, qui était actif depuis quelques mois. Parmi les personnages cités dans l’organisation de l’assassinat, il y avait Alvaro Uribe, alors entrepreneur de Medellin, voisin d’hacienda du clan Ochoa à Medellin, et futur président de la République de 2002 à 2010. 

Uribe, qui figurait sur la liste des trafiquants de drogue dressée par les Etats-Unis, en 82e place et a été cité dans plusieurs affaires de trafic en lien avec les narocs et les paramilitaires d’extrême-droite, alors qu’il était encore président de la Colombie au milieu des années 2000.

C’est pourtant principalement sous ses mandats (2002- 2010) qu’a eu lieu le fameux « plan Colombie », signé en 2000 avec les Etats-Unis pour éradiquer la drogue en s’en prenant soi-disant aux narcos et aux groupes armés, mais en réalité quasiment uniquement aux FARC et aux groupes armés « de gauche ».

Or, le trafic était aux mains des narcos protégés par les paramilitaires de droite, qui géraient la production et la distribution, les FARC n’ayant la main que sur certaines zones de production. Le plan Colombie a aussi permis d’armer la Colombie, et de massacrer et déplacer des populations indiennes ainsi que des paysans pour faire place nette aux multinationales ou aux narcos.

En 2021, Yair Klein qui devrait être extradé en Colombie, a fait des révélations fracassantes: il a déclaré qu’Uribe et d’autres grands propriétaires terriens (proches des narcos en général et souvent impliqués en politique) l’avaient payé pour l’entraînement de groupes paramilitaires (notamment les AUC qui ont des dizaines de milliers de morts à leur actif), et qu’Uribe a aussi assisté à des entraînements. On se doute qu’il a d’autres infos sous le coude, et qu’il les garde au cas où l’extradition se concrétiserait.

Le trafic a cependant été freiné en Colombie et s’est déplacé principalement vers le Mexique où le « plan Mérida », assez proche du plan Colombie, a été lancé autour de 2006-2008. Mais on a aussi retrouvé les narcos colombiens en Argentine, au Pérou, en Uruguay, au Guatemala: les cartels se sont internationalisés.

Au début des années 90, les US ont augmenté leur présence militaire en Colombie, qui était le producteur n°1 de coca dans le monde et le restera une bonne vingtaine d’années. Le pays était un terrain de conflits armés entre des guérillas de gauche, comme les FARC, qui s’en prenaient surtout aux intérêts US (pétrolières, usines Coca Cola, grandes exploitations agricoles…) ou des grands propriétaires terriens et étaient attaquées par des groupes paramilitaires d’extrême droite proche des narcos, des propriétaires terriens, des US et des milieux politiques qui avaient, eux, l’impunité totale malgré des massacres de la population, des meurtres de syndicalistes et de militants de gauche.

En 1999, Washington a entrepris d’amplifier la « lutte anti drogue » en Colombie. Ils ont lancé le « plan Colombie » qui visait à injecter des milliards de $ dans l’armement et l’entrainement de l’armée, de la police, des unités anti drogue et des paramilitaires. Ce plan qui a duré une quinzaine d’années a surtout permis d’augmenter l’ingérence US sur le pays.

Le tout au nom de la lutte contre la drogue, qui s’est traduite par une quasi guerre civile contre les guérillas de gauche car les seuls « narcoterroristes » dont il a jamais été question étaient les FARC, et dont les premières victimes ont été les paysans, obligés à cultiver la coca par les narcos ou les FARC et réprimés dans le cadre des opérations anti drogue.

Les militaires agents privés contractuels (les mercenaires des sociétés militaires, privées) US qui opéraient en Colombie avaient en outre une impunité totale pour les actes commis sur le territoire.

plan colombie terrorisme

Les massacres de paysans, de populations indigènes, de syndicalistes et d’opposants politiques se sont multipliés, commis 9 fois sur 10 par les groupes paramilitaires entraînés par les US et les israéliens et protégés par le gouvernement. Un véritable terrorisme implémenté par l’Etat, avec l’armée et avec les paramilitaires.

En Colombie, la production était majoritairement organisée et « protégée » par les groupes paramilitaires, un peu par les FARC. Le trafic lui était aux mains des narcos et des paramilitaires qui protégeaient les narcos.

Mais la guerre contre la drogue n’a visé que les guérillas de gauche jusqu’à très récemment. Le président Colombien de 2002 à 2010 était Alvaro Uribe qui a été assigné à résidence en 2020 dans sa propriété de 1300 hectares pour avoir fait pression sur des témoins qui l’accusaient d’avoir rencontré des paramilitaires en prison pour leur demander de faire de faux témoignages [48], mais a pu ressortir libre en octobre.

Il faut dire que le président de 2018 à août 2022 Ivan Duque était son poulain. Au sujet de la famille Uribe, le journal Suisse Le Temps résumait la situation cet été :

« Le père d’Alvaro Uribe, assassiné par des guérilleros des FARC en 1983, était proche du clan Ochoa, une des familles fondatrices du cartel de drogue de Medellin. Jaime, un de ses frères, a vécu un moment avec Dolly Cifuentes, une narcotrafiquante liée au cartel mexicain de Sinaloa. Le cadet de la famille, Santiago Uribe, est soupçonné d’avoir créé le groupe paramilitaire dit « des douze apôtres » tandis que le cousin Mario Uribe, ex-président du Congrès, est incarcéré pour ses liens avec le paramilitarisme« .

Sur le plan des résultats, la production de drogue n’avait baissé que de 10% en 10 ans, loin de l’objectif affiché de 50%. Le pays s’est trouvé ravagé par les conflits armés, la corruption a explosé.

Après ce désastre, l’opinion publique colombienne a fait pression et le conflit armé s’est réglé avec des amnisties générales pour les paramilitaires, quelques jugements et condamnations ridicules pour les leaders, et un mouchoir sur le traumatisme des victimes, cela au nom d’un « processus de paix » qui arrangeait bien les corrompus. Les FARC ont obetenu ensuite, après de longues négociations, la même chose.

Le trafic s’est donc progressivement installé au Mexique, avec un schéma similaire de corruption du monde politique et des forces de l’ordre par les narcos. Dans les années 2010 le Mexique a connu des records de massacres et meurtres politiques commis par les narcos, qui se sont militarisés. Plus besoin de groupes paramilitaires : ce sont les narcos les paramilitaires.

Et on s’aperçoit que bien souvent, les plus gros narcos sont aussi des entrepreneurs prospères et même des élus locaux.

En France, il y a aussi l’affaire de l’OCRTIS, l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants, dont certains flics sont apparemment très coopératifs avec les trafiquants. Dans un de ses livres, Gérérad Fauré raconte qu’ils lui « facilitaient l’entrée en France avec de grosses quantités de drogue, en prévenant les douaniers qu’il ne fallait pas faire obstruction à leur enquête en m’arrêtant sur la route. Ma voiture, sous surveillance, était suivie depuis la Hollande jusqu’à Paris. Sa cargaison ? Des dizaines de milliers d’ecstas« , écrit-il. C’est amusant, parce c’est exactement le mode opératoire qui a valu il y a 2 ou 3 ans au chef de l’OCRTIS[49] de faire un séjour en prison.

Apparemment, ces pratiques sont toujours en cours : durant l’été 2017, François Thierry, chef de l’OCRTIS, a été mis en examen pour avoir facilité l’importation de plusieurs tonnes de cannabis cette fois, par son « indic » le grossiste Sofiane Hambli. Quelques semaines plus tôt, il passait à la télé dans un reportage au sujet d’une grosse saisie. Le chef d’accusation était plus exactement « complicité de détention, transport et acquisition de stupéfiants et complicité d’exportation de stupéfiants en bande organisée », c’est-à-dire d’avoir participé activement au trafic, en l’occurrence de cannabis.

Cette affaire est sortie parce qu’en 2015, des douaniers sont tombés sur un camion avec 7 tonnes de shit garé en plein Paris, en bas de chez Hambli. Ce camion était accompagné depuis le Maroc par des flics de l’OCRTIS[50]. Et ce n’est pas la seule livraison suspecte, au total il a été question de 15 tonnes.

C’est cet argument des « livraisons surveillées » qu’a donné François Thierry dès le départ. On a appris en septembre 2022 qu’il est renvoyé aux assises mais uniquement pour « faux en écriture publique »… Mais les juges s’interrogent aussi sur « d’incontestables manquements » du parquet de Paris même si tous les magistrats mis en cause ont bénéficié d’un non-lieu.

Plus récemment, c’est le n°2 de la police judiciaire de Bordeaux qui a été mis en examen pour avoir favorisé l’importation d’une cargaison de coke, là encore officiellement pour faire du chiffre. En juin 2022, France Bleu expliquait :

« Le numéro 2 de la police judiciaire de Bordeaux et ancien numéro 3 de l’Office des stups, Stéphane Lapeyre, a été renvoyé en correctionnelle, selon Libération, pour « complicité de trafic de stupéfiants ». Son ex-subordonné le capitaine Jocelyn Berret, devra aussi comparaître, ainsi que sept autres prévenus, trafiquants présumés et informateurs« .

C’est leur mule qui, mise sur écoute par d’autres policiers, avait dit que « la sécurisation du passage en douanes » étit assurée à Orly.

De fait, les saisies de cocaïne ne cessent d’augmenter en France et 2021 a été une année record avec 18 tonnes saisies par les douanes, le double du volume saisi en 2020. Les saisies d’héroîne ont augmenté de 30% sur un an, celles de cannabis de 24%, l’ectazy de 28%.L’office des stupéfiants aurait lui saisi 13 tonnes de cocaïne en 2021. Parmi les aisies de 2021, beaucoup ont été menées dans les ports, principalement Le Havre et aussi plusieurs à Marseille.

Et Darmanin de se féliciter de l’augemnetation sans précédent des saisies, qui n’est que le reflet de l’ugmentation sans précédent du trafic international.

Fauré explique dans un de ses livres que lorsqu’il était emprisonné à Amsterdam dans les années 80, un policier de l’OCRTIS est venu le voir pour le recruter, non pas en tant qu’indic, mais que fournisseur d’ecstasy :

« Son but officieux était de se procurer des ecstas à bon marché qu’il pourrait revendre deux fois plus cher en France, histoire de payer ses factures et celles de ses collègues« , écrit-il, « Je passais ma marchandise en France dans une voiture protégée par la police et ignorée par les douanes à la demande de ces derniers. Les flics leurs faisaient croire qu’à son arrivée à Paris, la voiture serait arrêtée, fouillée et saisie »

Un jour, les flics français lui auraient présenté des flics de la DEA, le service anti-drogue US, qui voulait aussi lui acheter des ecstasys, par lots de 50.000 unités, et contre protection encore une fois. La drogue était revendue à des trafiquants que ces mêmes flics faisaient ensuite plonger.

L’OCRTIS est devenu l’OFAST (office anti-stupéfiants) en 2020 car selon sa responsable, « il existait un défaut de gouvernance dans la lutte contre les stupéfiants » sous forme d’une « agence » donc un service public au rabais dont les agents n’ont pas de statut défini.

Aujourd’hui il n’est plus question de French Connection, mais le trafic de drogue à grande échelle s’est amplifié. Et rien ne permet de penser que les autorités n’ont plus rien à voir là-dedans, ni en France ni ailleurs. On voit l’argent arriver dans différents secteurs de l’économie, comme l’immobilier : aux Etats-Unis en 2018, les autorités estimaient que 30% des achats immobiliers de grande valeur en liquide dans les métropoles étaient réalisés par des personnes déjà soupçonnées de blanchiment.

Et avec les monnaies virtuelles, le blanchiment à grande échelle est encore plus facile: on sait que les cartels mexicains, par exemple, sont passés au Bitcoin depuis des années.

Ceci dit, la méthode classique restei en vigueur, et la banque britannique HSBC avait même créé un service spécial dans sa banque de Mexico dans les années 2000 pour que les narcos puissent y déposer l’argent liquide par caisses entières. HSBC qui a été épinglée en 2012 pour avoir blanchi après la crise des subprime de 2008 plus de 800 millions de $ des cartels, et s’en est tirée avec un minuscule sanction de 1,9 milliard de $, sans pourquites pénales contre les responsables.

Et surtout pas son patron de 2003 à 2010 Stephen Green (encore un ancien de McKinsey), anobli par la reine d’Angleterre en 2010 et devenu ministre anglais du commerce sous Cameron (2011-2013) alors que els accusations de blanchiment contre HSBC étaient devenues publiques.

La guerre en Afghanistan déclenchée en 2001 au prétexte des attentats du 11 septembre 2001 a permis aux US de faire remonter la production d’opium et de contrôler le lieu de production de 90% de l’opium mondial. On a vu les prix du gramme passer de 80 € à 30, voire 20 € entre 2000 et 2002 en Europe de l’ouest, avec des centaines de jeunes devenus addicts dont beaucoup sont encore aujourd’hui sous méthadone. Et on retrouve leurs amis les Talibans, maîtres du trafic d’opium dans le pays, à financer le terrorisme en Afghanistan et ailleurs dans le monde comme le rappelait en 2021 le rapport de l’Organe international de contrôle des stupéfiants

Aujourd’hui, la drogue numéro 1 est la cocaïne. Des centaines de kilos sont interceptés par les douanes européennes. En 2008, le fils d’un des chimistes qui a été formé par le maître de la transformation d’héroïne, Jo Cesari, a été attrapé avec Dominique Lortal, considéré comme un meneur de la « nouvelle french connection », pour le trafic de 500 kilos de cocaïne destinés à la Côte d’Azur. Leur contenaur avait été repréré au port de Rotterdam. L’intéressé, Claude Calmet, avait déjà été condamné pour les mêmes faits dans les années 80.

A l’occasion du procès, l’article du Parisien brossait un portrait de la French Connexion des années 2000 :

« Au casting : Dominique Lortal, 52 ans, cerveau du réseau, domicilié dans un très chic appartement de la rue du Ranelagh à Paris XVIe, mais également propriétaire de villas à Sofia en Bulgarie ou à Las Vegas aux Etats-Unis. A ses côtés, Guy Teboul, 66 ans, logisticien chargé de créer et de gérer l’entreprise fictive installée sur le port d’Anvers, qui devait récolter la marchandise, Claude Tur, 49 ans, un associé au casier judiciaire chargé et installé en Espagne, mais aussi deux ressortissants italiens, Giovanni Civile et Umberto Naviglia, proches de la Camorra napolitaine, ou encore un certain André Lajoux, 67 ans aujourd’hui, impliqué dans la French Connection dans les années 1970« . 

Les trafiquants ont maintenant des équipes internationales, comme le montre le réseau de trafiquants de coke démantelé à Dubaï, en Espagne, en France et en Belgique, accusé d’avoir importé 2 tonnes entre janvier et avril 2021. Il ya une cinquantaine de suspects dont 6 gros bonnets, et ce réseau contrôlerait un tiers des importations et du trafic de coke en Europe. La drogue venait d’AMérique Latine jusqu’aux ports de Rotterdam et Anvers.

La même semaine un réseau avec des ramifications en Belgique, aux Pays-Bas, en Serbie et au Luxembourg a été arrêté avec 115 kilos.

Malgré une explosion du trafic maritime, les effectifs des douanes françaises sont passés de plus de 22.000 en 1994 à moins de 18.000 aujourd’hui. Pour donner une idée de l’augmentation du trafic, le port du Havre (1er port de France où passent la moitié des conteneurs qui entrent dans le pays) recevait 1 million de conteneurs par an en 2000 et plus de 3 millions en 2021, quand les agents chargés du contrôle sont passés de 500 à 350.

Forcément, les trafiquants y font passer absolument ce qu’ils veulent, puisque seulement 6 conteneurs sur 5.000 y sont contrôlés. Et de toute manière, comme l’explique France Info, « Selon plusieurs douaniers interrogés, les saisies de cannabis se font aussi, presque exclusivement, grâce au travail des services de renseignement« .

En effet, les chaînes logistiques à flux tendu supporteraient mal des contrôles trop intensifs, et en gros, pour qu’un conteneur soit ouvert il faut vraiment ne pas avoir de bol. Et on ne parle pas de Marseille ou d’un port comme Goia Tauro en Sicile.

Des navires de compagnies maritimes qui ont pignon sur rue, comme MSC qui est n°1 du transport de conteneurs, font régulièrement l’objet de saisies importantes surtout depuis 2019, année où MSC a pris 100% du terminal à conteneurs de Gioia Tauro en Calabre, connu pour être sous contrôle de la ‘Ndrangheta (la mafia calabraise devenue la plus puissante en Italie et dans le monde): 200 kilos de coke à Aden au Yémen puis 20 tonnes de cocaïne sur le MSC Gayane à Philadelphie en 2019 (valeur estimée: 1,3 milliard de $, le navire appartenait à JP Morgan) avc la complicité de 8 marins, 200 kilos ede coke encore saisis en Australie en 2021, encore 450 kilos saisis au port de Gènes en février 2022, pour ne citer que de grosses prises. Cela a amené l’armateur à suspendre puis restreindre ses activités en Amérique latine.

drug_trafficking_is_affecting_everyone__shahid_atiqullah

Le port de Gioia Tauro dont MSC est le seul client, est connu en Italie pour être au centre du trafic de cocaïne en Europe, comme l’a montré une commission sénatoriale en 2018. 36 personnes ont été arrêtées début octobre en Italie (dont 14 dockers) pour avoir importé à Gioia Tauro de la drogue en provenance d’Amérique latine. Cette fois, c’était la Camorra.

Quant à la direction des finances chargée de traquer la fraude fiscale, ses effectifs sont passés de 122.000 en 2010 à 97.000 en 2021 ce qui fait immanquablement baisser le nombre de contrôles fiscaux.

Au niveau européen, les perspectives sont même très mauvaises, et l’Organe international de contrôle des stupéfiants écrivait en 2021:

« Dans l’Union européenne, les principales activités criminelles organisées sont la cybercriminalité et le trafic de drogues. La criminalité organisée s’y caractérise avant tout par la corruption, l’infiltration et l’exploitation de structures commerciales légales pour la commission de tous types d’activités criminelles, et par l’existence d’un système financier clandestin grâce auquel les criminels déplacent et investissent leurs profits.

L’expansion et l’évolution de la grande criminalité organisée dans l’Union européenne et les conséquences que la pandémie de COVID-19 pourrait avoir à long terme, qui sont susceptibles de créer des conditions idéales pour que la criminalité prospère, sont sources de préoccupation. Les réseaux criminels cherchent à exploiter la crise sans précédent à laquelle fait face l’Union du fait de la pandémie en ciblant à la fois les citoyens, les entreprises et les institutions publiques. Les groupes criminels organisés sont professionnels et s’adaptent très vite, comme ils l’ont montré pendant la pandémie, et 70 % d’entre eux sont actifs dans plus de trois pays« .

Pendant ce temps, les mesures de lutte contre le blanchiment et les paradis fiscaux se succèdent, preuve de leur inutilité.

Les chemins du trafic de drogue peuvent changer, mais il y a quand-même des points fixes de passage, à proximité desquels on trouve souvent d’importantes bases militaires américaines : Sicile, Açores, Kosovo avec le fameux camp Bondsteel, Turquie, Caraïbes.

Les saisies augmentent, autant pour les drogues de synthèse qui se généralisent que pour la cocaïne ou l’héroïne, donc le trafic aussi puisque les saisies représentent environ 5% du volume total.

Et avec l’augmentation du trafic il y a forcément une augmentation des bénéfices, qui doivent être blanchis pour être réinjectés dans le système officiel.


Bien qu’illégal pour les citoyens, le trafic de drogue n’est pas un phénomène à la marge: il fait partie intégrante de l’économie mondiale et même du jeu géopolitique. Non seulement il rapporte des milliards, qu’on peut distribuer à tous les échelons du pouvoir, mais en plus ils permettent de déstabiliser des pays et l’argent qu’il amène dans le système financier est une bouée de sauvetage pour les banques. c’est pour cela que le blanchiment des millions des cartels ne pose en réalité aucun problème, en tout cas moins que le dealer en jogging qui n’est que le prolétaire du système.

LE PLAN DE LA SAGA:

I. Le sabotage de la dénazification.

II. Recyclage des Nazis et Collabos dans les nouvelles structures: 

  1. Les services sercets
  2. La banque et l’industrie
  3. La politique et les syndicats
  4. Le monde universitaire
  5. Les médias et la culture
  6. La justice

III. La création de l’Europe, un monstre sans tête au service du fascisme financier

  1. Le cas Jean Monnet, sbire du capital anglais et US
  2. Avant l’Europe, ou la mise en place du piège européen
  3. Les peuples immobilisés dans les sables mouvants européens

IV. Une Europe fasciste déguisée en démocratie :

  1. Stratégie de la tension

    1. Angleterre, Suisse, Italie
    2. France
    3. Belgique
    4. Espagne et Portugal
    5. Allemagne
    6. Les suites du Gladio

  2. Le pillage économique des nations

    1. Domination de l’Europe par les lobbys US
    2. Prise de pouvoir de la finance
    3. La corruption, mal endémique ou élément-clé du système ?
    4. Le trafic de drogue, partie intégrante de l’économie mondiale


[1] Sur ce processus, je recommande le très bon documentaire « La toile d’Araignée : Le second Empire Britannique » : 

https://www.youtube.com/embed/hizj_6EH34M?autoplay=0&controls=1&widget_referrer=https%3A%2F%2Fwww.canalblog.com%2Fcf%2Fmy%2F%3Fnav%3Dblog.upload.video%26%26bid%3D362748&enablejsapi=1&widgetid=1&

[2] Cf. « Le pouvoir de la drogue dans la politique mondiale » de Yann Moncomble ou « D comme Drogue » par exemple.

[3] Il y a énormément à dire sur les guerres de l’opium au XIX e siècle, menées par l’Angleterre contre la Chine pour y faire entrer de force et au nom du « libre échange » des quantités d’opium, alors que le produit était interdit depuis 1729. Les importations ont été tellement importantes que plus de 20 % de la population adulte masculine était dépendante au tournant du XXe siècle. Ces guerres ont aussi entraîné la mise en place de l’empire bancaire et financier anglais, avec des paradis fiscaux disséminés un peu partout pour mener différents trafics légaux ou non (drogue, armes…), le tout sous pilotage du gouvernement anglais. La famille royale a bien-sûr touché sa part.

[4] Paul Gootenberg écrivait en 2004 dans la revue Hérodote que : « Merck, qui transforma une rareté médicale et expérimentale en un produit commercialisable, fournissait le quart de la production mondiale de cocaïne et en fit sa ligne de production la plus profitable une décennie durant. Décisive pour Merck fut la période 1884-1886, lorsque l’anesthésie et les applications médicales qui en découlent stimulèrent la demande et multiplièrent les prix et la production par 5 et 20 respectivement, provoquant une « crise » de l’approvisionnement international en coca. Merck soutint alors les fournisseurs péruviens de « cocaïne brute » (du sulfate de cocaïne pure à 80%-90%), substance facilement transportable, sous forme de tourteaux produits sur les plantations, qui se conservait mieux et revenait moins cher à exporter que les feuilles de coca. Les tourteaux étaient ensuite transformés en cocaïne à usage médical en Allemagne distribuée par le réseau mondial de Merck ».

[5] Je renvoie à ce sujet vers le livre « Dope Inc » coécrit par les Editors of the Executive Intelligence Review.

[6] Cf. « Dope Inc. ».

[7] A son enterrement, il y avait tout le gratin de l’Occupation. Comme le raconte Alain Jaubert dans « D comme Drogue », « La cérémonie religieuse réunit tout l’état-major allemand, les membres du PPF, l’ambassadeur Otto Abetz, Simon Sabiani, Mistinguett, et aussi Tino Rossi qui chante l’Ave Maria de Gounod ».

[8] Ferri-Pisani a soutenu après la guerre la scission de la CGT, avec la création de FO, largement soutenue par les américains. Il a d’ailleurs rencontré régulièrement Irving Brown qui cherchait à casser la CGT à Marseille (notamment pour éviter le blocage des marchandises US au niveau du port) et a eu besoin de Ferri-Pisani et de ses gros bras, dont Guérini et sa bande, pour briser les grèves et manifestations. En 1948 il devient président de la Fédération nationale de la marine marchande de FO.

[9] Cf. « Les Parrains corses: Leur histoire, leurs réseaux, leurs protections » de Jacques Follorou et Vincent Nouzille. Les auteurs expliquent que pendant la guerre, Blémant travaillait aussi discrètement pour la Résistance.

[10] Blémant a ensuite eu des vélléités d’hégémonie dans le clan, s’est rapproché de Gaëtan Zampa puis a été liquidé à la demande d’Antoine Guérini en 1965, ce qui a ouvert une vendetta qui a notamment débouché sur l’assasinat d’Antoine Guérini en 1967. A son enterrement, il y avait des mafieux de toute l’Europe, selon la presse locale.

[11] A la fin des années 30 la CIA (alors OSS) a fait sortir de prison un certain nombre de gangsters dont Meyer Lanski, et son vieux pote Lucky Luciano, pour mettre en place le trafic de drogue à l’échelle internationale en collaboration avec les services US. C’est le colonel Paul E. Helliwell qui a géré l’opération au départ, avec la bénédication de Donovan, Angleton et Dulles. Avant eux, le trafic de drogue était très marginal aux Etats-Unis, les mafieux préféraient ne pas y toucher par principe.

On doit aussi rappeler que l’OSS a envoyé Lucky Luciano en Sicile pour que la mafia appuie le débarquement et préparer le terrain de l’Italie d’après-guerre : beaucoup de parrains sont alors entrés en politique comme élus locaux en Sicile principalement.

[12] Cf. « Operation Gladio. The unholy alliance between the Vatican, the CIA and the mafia » de Paul L. Williams. Etaient présents à cette réunion étaient présents Luciano, Frank Costello, Joe Profaci, Tommy Lucchese, les frères Fischetti héritiers d’Al Capone, ou encore Santo Trafficante notamment. Un concert de Sinatra a été organisé dans l’hôtel, avec une dédicace à Luciano pour introduction.

[13] Cf. « Le prince de la coke : dealer du Tout-Paris, la suite. » et « Dealer du Tout-Paris : le fournisseur des stars parle ».

[14] « L’Etat, la drogue et le ‘complot’ en France : de la French Connection à l’îlot Chalon, des années 1960 aux années 1980 ». Mais cet article cherche en fait à réfuter l’implication de politiciens d’ordre national dans le trafic de drogue.

[15] Cf. « D comme Drogue » d’Alain Jaubert.

[16] Ricord a fui la France à la Libération, a éliminé ses anciens complices et s’est installé à Buenos Aires où il est arrivé en 1947 avec de faux papiers. Il a vite obtenu la nationalité argentine, et a mis en place plusieurs réseaux de prostitution actifs sur le continent entier en corrompant des responsables de la police, avant d’étendre ses activités au Paraguay où grâce à la corruption généralisée dans le pays il a vite pu graisser les pattes des plus hautes autorités pour implanter et développer le trafic de drogue à la fin des années 60. C’est là qu’il a été arrêté en 1972, et extradé aux Etats-Unis après une longue bataille juridique avec les autorités du Paraguay, qui ont été forcées de lâcher Ricord suite aux pressions de Washington. Son séjour en prison au Paraguay a été des plus agréables. Pour les US, Ricord était « le plus grand trafiquant de drogue jamais traduit devant la justice américaine ». Il a été condamné à 20 ans de prison en 1973, mais n’en a fait que 10 et est rentré au Paraguay dès 1983.

[17] Il a notamment armé le mouvement révolutionnaire Tuapamaros en Uruguay dans les années 60.

[18] Legros, qui rappelons était un « ami personnel » d’Henri Kissinger, avait fui vers le Brésil via le Portugal en 1967 après qu’un mandat d’arrêt international ait été lancé contre lui par la justice Américaine, pour un trafic de tableaux. Selon Henrik Krüger, Legros n’a pas été arrêté à Genève en 1976 pour trafic d’art comme le dit la version officielle française. En réalité, ce seraient des agents du SAC qui l’auraient carrément kidnappé au Brésil en 1974, ramené en France et emprisonné. Kissinger aurait fait pression, au nom de la citoyenneté Américaine de Legros, mais il a été jugé quand-même et a pris quelques mois de prison.

[19] Cf. « The great heroïn coup : Drugs, Intelligence & International Fascism » de Henrik Krüger.

[20] Cf « JFK: The French Connection » de Peter Kross.

[21] Cf. « D comme Drogue » d’Alain Jaubert. Ce sont les autorités US qui l’ont accusé publiquement en 1971 d’être directement impliqué dans le trafic de cocaïne, en voulant secouer le cocotier. Ce que les autorités françaises ont toujours nié.

[22] Marcel Francisci, patron du clan, membre probable du SAC et fervent gaulliste, avait par exemple de Casinos en Grande-Bretagne, en France et au Liban. Pratique pour justifier d’importantes sommes en cash et éventuellement les blanchir. Marcel Francisci, propriétaire de cercles de jeux, n’avait pas trop à s’inquiéter et s’est mis rapidement à la politique, devenant conseiller général de l’UDR en Corse et maire du village de Ciamannacce en Corse du Sud.

[23] Cf. « The Great Heroin Coup: Drugs, Intelligence & International Fascism » de Heinrik Krüger.

[24] En réalité Delouette a travaillé pour les renseignements français en 1946 pour la première fois à l’âge de 23 ans, rapporte Henrik Krüger. Le colonel Barberot du DECE a quant à lui déclaré à la radio quelque temps après l’arrestation de Delouette que l’opération avait probablement été montée par le SDECE dans le but de se débarrasser de lui car il avait trop de casseroles.

[25] Selon les autorités françaises, Delouette a menti, mais les US qui lui ont fait passer deux fois avec succès le détecteur de mensonges, pensent le contraire.

[27] Jean Venturi était le frère de Dominique Venturi, pilier du milieu corse de Marseille et de la french connection. D’après le livre « D comme Drogue » d’Alain Jaubert, paru en 1978, « Jean Venturi assure l’acheminement de la drogue vers le Canada et le rapatriement des capitaux vers la Suisse ou la France. I! est au même moment représentant au Canada du Pastis Ricard. Le directeur commercial chargé des exportations chez Ricard est Charles Pasqua, un des fondateurs du SAC., grand recruteur de truands et de barbouzes. Au moment où Pasqua a Venturi sous ses ordres, il ne peut absolument pas ignorer les activités de son représentant, puisqu’elles ont fait l’objet d’une fiche du FBI publiée aux Etats-Unis, qu’il y a à Marseille un copieux dossier de police consacré aux frères Venturi et que le nom de Venturi ne peut à l’époque, en aucune façon, être ignoré du moindre directeur commercial de la région marseillaise »

[28] Duvalier obtenait des armes grâce à un circuit compliqué organisé par les mafieux de New York afin de contourner l’embargo dont était officiellement frappé Haïti ;

[29] HemoCaribean était dirigée officiellement par un agent de change New Yorkais, Joseph B Gorinstein, qui était lié à la mafia, « comme d’ailleurs plusieurs autres firmes dans lesquelles Luckner Cambronne possédait des intérêts » rappelle Alain Jaubert dans « D comme Drogue ». Ces connections laissent songeur quand on connaît la propension des amateurs de certains à se faire dialyser le sang régulièrement pour le nettoyer. Gorinstein avait un contrat de 10 ans avec le gouvernement haïtien, selon le New York Times du 28 janvier 1972.

[30] Pullman était né en Europe de l’est avant d’émigrer aux Etats-Unis. Il connaissait Lansky depuis les années 30. Il s’est installé en Suisse dans les années 50 où il gérait la fortune de nombreux nababs du monde du jeu et des casinos, et a créé la Bank of World Commerce au Bahamas en 1961.

[31] Cf. « Operation Gladio. The unholy alliance between the Vatican, the CIA and the mafia » de Paul E. Williams.

[32] Cf. « Drugging America » de Rodeny Stich.

[33] Cf. Peter Dale SCOTT, « Drugs, oil and war. The United States in Afghanistan, Colombia and Indochina », Rowman & Littlefield, 2003.

[34] Santo Trafficante Jr, né en 1914 en Floride, était aussi un proche de la famille Bonnano. Pour la CIA, il a notamment tenté d’assassiner Fidel Castro et d’autres leaders cubains et participé à l’organisation de l’opération de la Baie des Cochons destinée à faire un coup d’Etat à Cuba, stoppée in extremis par Kennedy. Beaucoup le soupçonnent aussi d’être impliqué dans l’assassinat de JFK.

[35] Farhad Azima, irano-américain qui finançait surtout les démocrates mais aussi les républicains, a été protégé par les autorités US pendant des années en raison des services rendus mais en 2017 une enquête lancée par la justice US sur des pots-de-vin qu’il aurait versés à un responsable saoudien dans le cadre de la vente d’un hôtel en Géorgie a été un peu plus loin que d’habitude.

[36] Cf. « The Great Heroin Coup : Drugs, Intelligence & International Fascism » d’Henrik Krüger.

[37] Cf. « Operation Gladio. The unholy alliance between the Vatican, the CIA and the mafia » de Paul E. Williams.

[38] Ces liens ont été mis à jour à la suite d’un accident de voiture en 1996, dans laquelle se trouvaient un haut gradé de la police, un gros trafiquant de drogue et un leader des Loups Gris.

[39] Cf. « The Great Heroin Coup : Drugs, Intelligence & International Fascism » d’Henrik Krüger.

[40] La BCCI a été créée en 1972 par un pakistanais, Agha Hassan Abedi, et avait son siège à Londres, ce qui lui a permis d’avoir une accréditation de la Banque d’Angleterre pour faire des affaires au Royaume-Unis. Elle avait aussi une filiale au Luxembourg.

[41] Cf. Yann Moncomble « Le pouvoir des drogues dans la politique mondiale ».

[42] En 1982 Mitterrand a engagé la DGSE dans la guerre d’Afghanistan aux cotés des US.

[43] Cf. « Operation Gladio. The unholy alliance between the Vatican, the CIA and the mafia » de Paul E. Williams.

[44] Le pouvoir pro Russe a tenu jusqu’en avril 1992, après 15 ans de guerre incessante soutenue d’un côté par l’URSS de l’autre par Washington. L’URSS s’est retirée du pays qui est tombé dans l’obscurantisme islamiste.  Des 13 millions d’habitants du pays en 1978, il en restait un peu plus de 7 millions. Les guerres entre clans et groupes islamistes ont continué tout au long des années 90, avec l’émergence des Talibans en 1994 dans la région de Kandahar grâce au financement et au soutien actif du Pakistan qui agissait avec l’aval des US.

[45] Cf. « 56 – Tome 1 L’Etat français complice de groupes criminels » de Jean-Loup Izambert.

[46] Yair Klein avait quitté son unité anti-terroriste de l’armée israélienne en 1983, et était arrivé en 1985 en Colombie, où il a ouvert sa boîte privée de « sécurité » appelée Hod Hahanit.

[47] Harari est ensuite allé travailler au Panama, où il est devenu, selon Henrik Krüger, l’homme le plus puissant après le général Noriega dont il était le conseiller spécial en matière de sécurité, en charge notamment de l’entraînement des groupes « anti terroristes ». Il y trafiquait surtout les armes, en provenance d’Israël.

[48] Mais jusqu’à présent, Uribe a échappé à de nombreuses procédures pour corruption, collusion avec les anrcos ou avec les paramilitaires. Il était réputé intouchable et était surnommé le « président Teflon ». Cependant, un certain nombre de hauts fonctionnaires qui ont servi sous sa présidence ont été condamnés, notamment dans les renseignements.

[49] D’ailleurs, depuis septembre 2019, l’OCRTIS a changé de nom et s’appelle l’Ofast, pour office anti-stups.

[50] Cf. Le Monde du 25/08/2017 : « A l’origine de cette affaire, un camion parti du Maroc le 7 octobre 2015, chargé d’au moins quatorze tonnes de cannabis, remonte l’Espagne et fait étape à Vénissieux, près de Lyon. Il est suivi tout au long du parcours par l’office central, dans le cadre d’une procédure dite de « livraison surveillée », censée conduire les policiers aux commanditaires de la drogue ».




Marc-Gabriel Draghi : « La révolte des peuples devra être massive, spontanée et solidaire pour réussir »

[Source : lemediaen442.fr]

Marc-Gabriel Draghi est spécialiste de l’histoire du droit. En fin observateur, il a suivi en 2020 la mise en place de la dictature sanitaire et son caractère disproportionné édicté par les gouvernements contrôlés par l’oligarchie financière. A la lecture de son dernier ouvrage « Le Grand Reset en marche ! 2020 : an 1 du Nouvel Ordre Mondial », on pourrait se dire que notre mise en esclavage est presque consommée. Et pourtant, le Nouvel Ordre Mondial est bel et bien fragilisé dans sa mise en place finale, car les peuples n’ont plus le choix, s’ils veulent continuer d’exister. Great Resist contre Great Reset !


“Il s’agit d’un projet de domestication pure et simple des individus à l’échelle planétaire, afin d’obtenir un abaissement total de la condition humaine, au profit du marché”

Le Média en 4-4-2 : Bonjour, Marc-Gabriel, et merci d’avoir accepté notre invitation à un entretien autour de votre dernier ouvrage « Le Grand Reset en marche ! 2020 : an 1 du Nouvel Ordre Mondial ». Celui-ci est une synthèse d’articles que vous avez écrits en 2020 et il nous permet de « comprendre comment notre monde a basculé définitivement dans ce que Emmanuel Macron a appelé « Le monde d’après… ». Et dès votre introduction, vous annoncez très clairement la couleur : « L’année 2020 nous a prouvé qu’il n’y avait pas de complot. Il y a un programme, un plan minutieux énoncé clairement et officiellement par l’oligarchie financière transnationale depuis des décennies. » Pouvez-vous nous résumer ce programme qui est bel et bien en marche ?

Marc-Gabriel Draghi : Le programme politique derrière le slogan de Grande Réinitialisation est en définitive l’instauration du Nouvel ordre mondial. Pour être plus clair, il s’agit d’un projet de domestication pure et simple des individus à l’échelle planétaire, afin d’obtenir un abaissement total de la condition humaine, au profit du marché. D’un point de vue historique, il s’agit de la victoire finale du monde de l’argent contre les institutions protectrices des individus, la famille et la Nation, qui doivent être désormais totalement liquidées. Le Great Reset est l’application concrète de la volonté de l’hyper classe mondialisée (dont le Forum économique mondial et Klaus Schwab sont les symboles). L’establishment, par ce nouveau paradigme, vise à accélérer les tentatives d’asservissement des populations à leur profit, tout en leur faisant croire que la construction de ce Monde d’Après (Build Back Better) est réalisée pour leur propre bien (sécurité, liberté, santé, survie de la planète, etc.).

La Grande Réinitialisation se structure autour de différentes phases de sidération des peuples (contrôle par la peur). De la pandémie à la guerre, en passant par le climat, les pénuries, etc., l’establishment maîtrise l’Agenda (horizon 2030) et, après avoir créé les problèmes, impose ensuite les solutions (vaccins, pass sanitaire-carbone, rationnement, crédit social, monnaie numérique de banque centrale, etc.). On l’a constaté à l’occasion du narratif covidien, ce programme politique est exécuté par la quasi-totalité des « décideurs » mondiaux (plus spécifiquement en Occident).

Ainsi, presque officiellement, par le quoi qu’il en coûte, les taux négatifs, puis l’hyperinflation, les véritables dirigeants sont désormais les firmes obscures du capitalisme financier (BlackRock pour ne citer qu’elle) qui, par la dette et la concentration totale du capital, dictent les actions à entreprendre aux gouvernements mondiaux et autres grands acteurs (firmes transnationales, ONG, institutions internationales). Le Grand Reset est la proclamation de la victoire du grand capital nomade et apatride sur les populations.

 

Le Média en 4-4-2 : Concernant BlackRock, une des firmes qui dirigent donc ce monde, vous écriviez en janvier 2020 que vous ne voyiez pas le « navire Macron » couler suite au scandale BlackRock en pleine crise des retraites et du mouvement des Gilets Jaunes. Nous sommes nombreux à percevoir Macron comme « un obligé des grandes puissances financières » qui sont encore derrière lui et qui le soutiennent toujours. Comment celles-ci ont-elles réussi à le sauver et à le reconduire pour cinq ans malgré les nombreux scandales et révélations ?

Marc-Gabriel Draghi : Les puissances financières qui soutiennent Macron ont simplement détourné l’attention du grand public par l’intermédiaire des médias de masse (TV, grande presse) en soulevant des sujets peu importants, mais crispants, servant à faire diversion et à diviser (LGBTisme, wokisme, faits divers, etc.). De plus, la pandémie, qui est parvenue à « hypnotiser » une large partie de la population, a également permis à Macron de sauver sa tête. Sans cette crise sanitaire organisée, qui nous a tous préoccupés à des degrés divers sur les atteintes aux libertés publiques les plus élémentaires (confinements, couvre-feu, fermetures de certaines activités, vaccinations, passes, etc.), il n’est pas certain que l’illusion Macron aurait perduré dans un contexte social tendu (réactivation des Gilets Jaunes).

Le Great Reset, proclamé en mars 2020, a vraisemblablement sauvé Macron, en sidérant aussi les franges de la population les plus contestataires. Emmanuel Macron, qui se présente lui-même comme le « hedge » (couverture) de David de Rothschild, fédère autour de lui les grandes puissances d’influence qui comptent dans la gestion des « affaires » en France (lobby bancaire, américain, israélien…). Les BlackRock, Vanguard, etc., actionnaires majoritaires de la plupart des grands groupes français (CAC40, médias, construction, agroalimentaire, etc.) ont la capacité d’imposer une narration médiatique moins défavorable à Emmanuel Macron. Car sans parler des interrogations sur l’organisation des scrutins de cette année 2022, Macron au printemps dernier, a été élu par défaut, face à une opposition politique inconsistante et à côté de la plaque sur la plupart des grands sujets. Les Zemmour, Le Pen, Mélenchon se sont tous couchés et rangés derrière la posture belliciste et otanesque de Macron, sans parler de leurs programmes économiques et politiques qui ne posent jamais les vraies questions de souveraineté et se résument à des demi-mesures.

Néanmoins, même avec ce « narratif » médiatique très favorable, l’ancien associé-gérant de chez Rothschild et Young Global leader de 2016 est sorti fragilisé des élections (notamment les législatives). Son maintien à la tête de l’Élysée n’est rendu possible que par l’obéissance grandissante des populations et leur acceptation du récit médiatique qui leur est proposé (sanitaire, guerrier, énergétique, climatique, etc.)

« L’effondrement financier va intervenir en cette fin d’année 2022 ou au cours de l’année 2023 »

Le Média en 4-4-2 : Cette obéissance des populations permet également à l’oligarchie de poursuivre son programme notamment au niveau économique. En mars 2020, vous écriviez que « avant un grand effondrement sous contrôle, les nations du monde vont connaître des épisodes d’inflation, puis d’hyperinflation ». Où en sont-ils selon vous dans leur programme ? Quand vont-ils ordonner et provoquer l’effondrement général de l’économie mondiale ?

Marc-Gabriel Draghi : On peut présupposer que l’effondrement financier (grand krach c’est-à-dire l’éclatement des différentes bulles : immobilier, marchés actions, produits dérivés, cryptomonnaies, Tech et surtout obligataire) va intervenir en cette fin d’année 2022 ou au cours de l’année 2023. Cela serait assez logique, puisque tout est en place au niveau du narratif (crise énergétique/économie de guerre selon Macron). Aujourd’hui on parle d’inflation (10 à 20 % officiellement), mais demain nous pourrions voir des taux approchant et même dépassant les 50 %. Certains pays connaissent déjà cette situation. Le cataclysme financier devrait donc intervenir entre 2022-2024 comme l’avait d’ailleurs théorisé Piero San Giorgio dans son best-seller « Survivre à l’effondrement à l’économique ».

“Nous allons clairement avoir le choix dans les mois qui viennent, soit l’esclavage total du Nouveau monde numérique à la devanture verte, soit la plus grande révolte de l’histoire humaine (Great Resist) face à la conspiration criminelle la plus vaste de l’histoire”

Le Média en 4-4-2 : Quels conseils pouvez-vous nous donner pour nous préparer à cet effondrement financier, que ce soit au niveau économique, logistique ou humain ? Mais d’ailleurs, est-ce irréversible ? On imagine que oui, vu l’échéance que vous nous annoncez…

Marc-Gabriel Draghi : Oui l’effondrement est désormais irréversible. Il a même déjà commencé il y a plusieurs années. On le constate notamment avec la destruction des services publics et le colossal transfert de richesse au profit de l’establishment transnational. Il sera officialisé sous peu. Pour s’y préparer d’un point de vue financier, je recommande une débancarisation par la transformation de son épargne en monnaie fiat, en stocks de métaux précieux (argent, or). Plus spécifiquement l’argent métal (actif sous-évalué et populiste par excellence), car c’est par lui que se fera la destruction de la Bête (système financier alchimique). Pour l’or, ce dernier va jouer un rôle important dans le reset monétaire international, donc ceux qui en détiendront un peu seront certainement favorisés.

Au niveau de la sécurité individuelle, il est, à mon sens, préférable de fuir les futures smart cities (grandes métropoles) en cas de troubles graves. Il est plus facile de s’organiser dans les villes petites et moyennes et à la campagne. Le contrôle social et politique sera aussi moins important. Cependant si l’on est à la campagne, il faut disposer de biens à forte valeur d’usage (filtres à eau, batterie nomade avec petit panneaux photovoltaïques, outils, armes, serre, potager, chauffage au bois, stocks de nourriture, etc.). Et enfin il faut avoir un groupe élargi d’amis/famille et impérativement s’entendre avec ses voisins. On ne résistera pas seul avec son revolver magnum et un bunker. S’organiser, échanger en réseau comme le fait notamment le Collectif Réinfo Covid depuis deux ans. Ce sont des conseils de bon sens, mais qui peuvent constituer les premières protections contre l’effondrement.

[Voir aussi ce que propose Alexandre Juving-Brunet en France
(Quelques vidéos en ordre chronologique) :
Résilience et Résistance pour la France
Arrêtez de subir ! Agissez pour reprendre votre liberté maintenant !
Devenez la Force qui se dressera quand le vent de l’Histoire va souffler
Le FRANC LIBRE : deux mois plus tard. Point de situation et perspectives
Le Franc Libre : présentation de la série fiduciaire
Lancement de la BFL — Banque de France Libre
Quelle souveraineté sans liberté ?
Les Francs Libres sont prêts]

La question politique du Monde d’Après se fera autour de la reconstruction après destruction (Build Back Better). C’est à la fois un défi et une chance pour notre génération. Nous allons clairement avoir le choix dans les mois qui viennent, soit l’esclavage total du Nouveau Monde numérique à la devanture verte (CBDC [cryptomonnaie], crédit social, pass carbone, etc.), soit la plus grande révolte de l’histoire humaine (Great Resist) face à la conspiration criminelle la plus vaste de l’histoire. C’est à nous de choisir. Et qu’on se le dise, la France et surtout son peuple auront un rôle politique important à jouer. Ce n’est pas pour rien que l’élite nomade et apatride cherche à tout prix à ancrer Macron au plus haut sommet de l’État. Il est le grand liquidateur et il ne reculera devant rien pour appliquer la Grande Réinitialisation de ses maîtres.

Le Média en 4-4-2 : Avec ces « liquidateurs » qu’il a placés dans de nombreux pays, « le capitalisme financier anglo-saxon veut notre mort, car il sait que dans nos esprits latins nous détenons la clé, celle qui peut détruire le projet de mise en esclavage et de domination mondiale de nos Shylock (usuriers) modernes ». L’effondrement est irréversible, mais ce n’est pas pour autant qu’ils vont atteindre leurs objectifs… Quelle est cette clé que nous possédons et que nous devons absolument utiliser ?

Marc-Gabriel Draghi : L’argent métal qui est notre vraie monnaie historique (synonyme de liberté), mais aussi notre histoire qui nous permet de nous définir comme Nation. Ce sont pour moi les deux armes à utiliser contre la Bête de l’Événement.

« Les populations sacrifient elles-mêmes leur dernière liberté financière sur l’autel de la facilité et du confort »

Le Média en 4-4-2 : Concernant l’argent liquide, vous écriviez en octobre 2020 que ce « dernier bastion de liberté financière va nous être retiré par l’establishment. Et c’est par l’illusion de la cryptomonnaie que nous allons voir disparaître le dernier vestige de l’arme monétaire ». Deux ans plus tard, où en sont-ils dans leur processus de disparition de l’argent liquide ?

Marc-Gabriel Draghi : La disparition de l’argent liquide en France, et plus globalement en Occident, se fait de manière naturelle. Depuis 2020 et un rapport officiel de la Banque de France sur l’usage des espèces : le nombre de DAB [distributeur automatique de billets] a baissé de 3,2 % et 4 % en 2019 et 2020. Il y a une altération constante de l’accès aux espèces pour la population : 52 451 DAB en décembre 2018 à 48 710 en décembre 2020.

De plus, par leurs politiques et règles adressées aux usagers, les banques limitent de plus en plus les dépôts et les retraits de cash avec des montants de plus en plus bas. Mais c’est surtout l’usage des espèces chez les consommateurs qui est en chute libre. Dans nos pays latins, c’est le secteur privé qui va être et est chargé de faire disparaître les espèces (grandes multinationales, banques commerciales). Le krach financier qui vient va également avoir pour conséquence possible des Bank Run. Des gens vont vouloir malgré l’inflation, disposer d’espèces en cas de pénuries diverses. On le voit aujourd’hui avec l’essence, la peur du manque conduira des masses à retirer leur argent des comptes bancaires dans la plus large mesure possible. 

Les sociétés feront ensuite des ristournes pour un achat effectué de manière dématérialisée. De même pour ce qu’il restera des petits commerçants qui pourraient voir ces services de paiement numérique faciliter les paiements des petites sommes (c’est déjà le cas), en plus de bénéficier d’une garantie de sécurité (plus de vols ou fraudes). En réalité depuis une décennie au moins, par l’usage intempestif de la carte bancaire (aller chercher du pain-boire un café), les populations sacrifient elles-mêmes leur dernière liberté financière sur l’autel de la facilité et du confort.

« Les mois et années qui viennent, seront, quoi qu’il arrive, faits de sueur et de sang, donc autant que cela soit à notre bénéfice et/ou celui de nos enfants »

Le Média en 4-4-2 : Vous nous expliquez que « nos politiques ont compris qu’ils allaient devoir se montrer encore plus subtils et malins pour continuer à tromper la partie amorphe et contenir la colère du peuple éveillé ». Ils vont donc détourner l’attention vers « de faux débats qui favorisent les luttes horizontales (guerres raciales, confessionnelles, etc.) » pour ne pas que le peuple se penche sur la « question de la dette, qui n’est jamais remise en question » et qui est selon vous « le point crucial ». Comment expliquer à notre entourage que cette dette est un instrument pour nous contrôler et nous faire culpabiliser ? Peut-on d’ailleurs la remettre en cause ?

Marc-Gabriel Draghi : La question de la Dette (qui est le cœur de notre système financier actuel et l’arme de nos élites nomades) est à la fois complexe et simple. La seule façon de l’appréhender est de faire un effort intellectuel pour la compréhension des vrais rapports de force. La perception des conséquences sur le long terme de la Dette est presque un travail de l’âme, un rapport au temps, il s’agit de comprendre comment on peut vendre une chose qui n’appartient qu’à Dieu, et qui est gratuit en réalité (le temps). On ne peut pas obliger quelqu’un à s’éveiller sur ces questions, si ça ne vient pas de sa propre volonté personnelle. Je conseille cependant le travail de l’ex-trader Anice Lajnef qui arrive parfaitement à vulgariser et expliquer les conséquences de la Dette sur nos sociétés politiques. La Dette peut du jour au lendemain être remise en cause. La question fondamentale que l’on doit se poser collectivement est : qui doit payer prioritairement la facture de l’effondrement ? Les peuples ou les élites corrompues ? Le Capital ou le Travail ? Les modalités (liquidation, annulation) sont secondaires. Mais oui, la Dette, donc la question monétaire, peuvent être posées à tout moment par la masse (peu vraisemblable) ou un petit groupe de personnes motivées et au service de l’intérêt général, ou un homme seul bien guidé.

Détruire la Dette perpétuelle et éternelle sera un mal pour un bien. De toute façon les mois et années qui viennent, seront, quoi qu’il arrive, faits de sueur et de sang donc autant que cela soit à notre bénéfice et/ou celui de nos enfants. Si l’on se défait de la Dette, on retire l’arme la plus puissante à nos ennemis de l’hyper classe. C’est la question d’aujourd’hui et de demain. La culpabilité et la charge des intérêts doivent changer de tête…

Le Média en 4-4-2 : Ce petit groupe de personnes motivées pourrait d’ailleurs être inspiré d’aller « prendre d’assaut la Banque centrale européenne de Francfort ». Pouvez-vous expliquer pourquoi à celles et ceux qui n’ont pas encore lu votre ouvrage ? Ce serait aussi l’occasion d’expliquer le rapport entre cette Banque centrale et la repentance éternelle…

Marc-Gabriel Draghi : La Banque centrale européenne est à la fois le vrai lieu institutionnel des décisions monétaires/économiques, mais aussi un symbole. Si des Gilets Jaunes ou une manifestation internationale de grande ampleur ciblait ce lieu de pouvoir, l’hyper classe et son narratif (l’Europe protège et elle est aimée des Européens) seraient attaqués en plein cœur. Le principal responsable de l’effondrement économique de l’Europe est bien la BCE par l’intermédiaire de l’euro. Et cette institution est surtout un lieu symbolique que je compare à la prison de la Bastille de 1789, pour le pouvoir nomade et apatride qui dirige les Européens. Si les peuples veulent changer le narratif, il est impératif de dépasser le cadre des protestations nationales. De plus comme je l’explique dans le livre, les dirigeants de la BCE et de l’euro système dans leurs discours relaient les mantras de l’oligarchie en imposant une Dette perpétuelle, qui est elle-même légitimée par une repentance éternelle (mais envers qui ?). Pour les détails et la réponse à cette question, je préfère garder le suspens et laisser les futurs lecteurs découvrir ce qu’il en est… La plupart auront déjà deviné de qui je parle…

Le Média en 4-4-2 : « La société du futur qui va nous être proposée repose sur des principes assez simples : travail, salariat, discipline, consommation, surveillance et censure généralisée. » Tout ceci est bien entendu présenté dans un joli emballage : c’est pour notre bien et pour la planète, si bien que nous ne sommes qu’une petite part de la population à y voir un énorme danger. Comment se fait-il d’ailleurs que l’énorme arnaque ne saute pas aux yeux d’un plus grand nombre ? Ou pourquoi, nous qui sommes qualifiés de « complotistes », avons-nous compris l’entourloupe ?

Marc-Gabriel Draghi : La plupart des éveillés le sont en raison de multiples facteurs. Il est difficile de définir quel élément a permis à un individu de ne plus avaler la propagande et le lavage de cerveau médiatique (événement tragique, éducation, sentiment de déclassement, bon sens, capacité d’analyse, instinct, etc.). La propagande est paradoxalement à la fois grossière et sophistiquée. Elle permet aussi de diviser et complexifier les problématiques et situations, ce qui pour la plupart d’entre nous entraîne un sentiment de surcharge cérébrale qui a pour conséquence de choisir le confort du narratif officiel. La peur, comme l’a évoqué Yuval Noah Harrai, est aussi un des facteurs essentiels de manipulation des masses. Le déclin de la spiritualité (la vraie, pas le marqueur identitaire de certains groupes religieux en voie de développement) dans nos sociétés modernes explique aussi le poids de la peur de la mort chez la plupart des individus. Pandémie, guerre, destruction de la planète et misère sont des sujets de « récits » efficaces pour imposer et accroître le contrôle des populations. Apprendre à ne plus avoir peur n’est pas un exercice facile et anodin. C’est souvent la foi en un Dieu ou en la Providence qui permet de s’extraire de nos petites conditions matérielles. Étrangement, dans nos sociétés alchimiques (magiques), c’est la matière qui nous empêche de lever la tête et de garder notre esprit clair.

« Tout (libertés, niveau de vie, etc.) sera sacrifié, justifié et légitimé sur le thème du climat »

Le Média en 4-4-2 : Après avoir agité depuis deux ans la peur du Covid, celle de la guerre, des pénuries, et on en oublie, les voici jouer la carte du réchauffement climatique. Le sujet est bien entendu travaillé depuis bien longtemps et les populations semblent être prêtes à avaler le narratif et à accepter de nouvelles restrictions et pertes de liberté… Comment voyez-vous cette partie « climatique » du programme de Klaus Schwab et ses amis ?

Marc-Gabriel Draghi : Le climat et les politiques zéro carbone sont les thèmes centraux du Grand Récit Davosien des futures années. Tout (libertés, niveau de vie, etc.) sera sacrifié, justifié et légitimé sur ce thème. Ce narratif est pourtant ancien, il a été développé depuis les années 70, à la suite des premières crises énergétiques (1973-1979) comme je l’ai expliqué dans mon premier ouvrage. Après le cataclysme financier, tout notre système politico-financier pourrait être structuré autour de l’Agenda Vert. On a déjà les prémices actuelles avec les ESG, les NAC, crédits carbone portés par la City et Wall Street ou encore les débats autour du futur Green Pass (pass carbone). L’oligarchie et leurs valets, les Mark Carney, Al Gore, John Kerry, etc., vont légitimer l’effondrement financier qui vient par la surconsommation et la mort prochaine de la planète. Alors qu’en vérité, la Terre ne va pas mourir, c’est le système capitaliste nomade et apatride qui sème le chaos, la destruction, le gaspillage et la pollution. Et évidemment ce système de concentration des richesses au profit des 0,1 % ne va évidemment pas être remis en cause. Il va au contraire se renforcer. L’objectif final est d’écraser les peuples avec ce motif vert culpabilisant et génocidaire (0 carbone = mort), au profit de l’hyper classe tout en sauvegardant ce système destructeur fondé sur l’hubris et la corruption.

Le Média en 4-4-2 : Un des objectifs de l’oligarchie est donc de liquider ce qu’il nous reste de liberté, et de propriété ! Sous couvert d’une « fausse annulation des dettes contre droit de propriété », l’oligarchie va donc nous retirer progressivement notre droit de posséder une terre ou un bien immobilier. Selon vous, quand cette spoliation mondiale de la propriété va-t-elle réellement commencer ? Et comment vont-ils s’y prendre ?

Marc-Gabriel Draghi : La spoliation mondiale a déjà commencé à l’occasion du covid avec l’énorme concentration du capital (notamment via les gestionnaires d’actifs comme BlackRock et The Vanguard Group). Cependant dans le narratif davosien, c’est bien la Grande Dépression 2.0 et la Guerre latente qui servira de motif à la Grande Spoliation. Nous sommes déjà entrés dans le récit de l’économie de guerre. L’hyper classe, grâce à l’hyperinflation, aux pénuries, aux rationnements, nous proposera comme solution les CBDC (monnaie numérique de banque centrale), le revenu universel et la fin de la petite propriété privée. Mais je le répète tout cela est un programme politique. Tout ne se passera pas comme l’agenda le souhaite. Il y aura des adaptations et même des reculs sur certains points. Le contrôle de l’information va également être un facteur clé pour la réussite du Great Reset. L’espoir d’une résistance des peuples n’est pas mort. Loin de là. Chaque jour des gens se rendent compte des manipulations de l’hyper classe. Le Great Reset peut très bien échouer partiellement et/ou totalement.

« La guerre des prochains mois sera sur le contrôle total de l’information, comme l’a prophétisé Schwab dans son dernier ouvrage. Attendons-nous à des vagues de censure sans précédent ».

Le Média en 4-4-2 : Dans les pays occidentaux, l’oligarchie contrôle la colère des peuples avec « du pain et des jeux ». En effet, beaucoup de nos concitoyens ont compris tout ou une partie du programme, mais ne veulent pas réagir, car finalement, ils ne sont pas si mal que ça dans leur vie actuelle. Avec la crise financière à venir, la classe moyenne va glisser dans la pauvreté et va donc se réveiller : comment nos élites ont-elles préparé cette révolte ?

Marc-Gabriel Draghi : Les élites ont déjà tout prévu. En contrôlant la narration, ils vont imposer des rationnements pour soi-disant éviter les pénuries, mais surtout les révoltes. Et ce rationnement (prise de contrôle) nécessitera la mise en place d’un système de crédit social couplé à une identité numérique et l’instauration progressive des monnaies numériques de banque centrale. C’est déjà le cas au Sri Lanka. Le gouvernement, influencé par le Forum Économique mondial, utilise déjà les QR Code testés grâce au covid pour organiser le rationnement du carburant. La révolte des peuples devra donc être massive, spontanée et solidaire pour réussir.

Mais surtout c’est le contrôle du narratif, du récit et donc de l’information qui va être important dans les mois qui viennent. Le discours alternatif et résistant du genre Réinfo Covid ne doit plus exister. Ils essaieront de censurer toujours plus de contenu en le motivant sur le contexte de guerre (agents russes, terrorisme, appel à la haine). C’est pourquoi il est important d’aider massivement et de relayer nos médias indépendants et alternatifs comme vous, Le Média en 4-4-2. La guerre des prochains mois va vous concerner prioritairement, elle sera sur le contrôle total de l’information, comme l’a prophétisé Schwab dans son dernier ouvrage. Attendons-nous à des vagues de censure sans précédent. 

« Le Great Resist face au Great Reset commence et le plus dur est devant nous »

Le Média en 4-4-2 : Merci, Marc-Gabriel, pour le temps que vous nous avez consacré ! On espère que notre entretien donnera envie à nos lecteurs d’en savoir plus en se plongeant dans vos travaux. Nous vous laissons le mot de la fin.

Marc-Gabriel Draghi : Je vous remercie pour cet entretien et je vous encourage dans votre travail de résistance. Le Great Resist face au Great Reset commence et le plus dur est devant nous… Cependant nous n’avons pas d’autres choix que celui de lutter contre l’instauration du Nouvel Ordre Mondial. Il en va de la survie de nos nations, familles, et même pour certains d’entre nous de nos vies… Merci.

Retrouvez Marc-Gabriel Draghi sur son compte Twitter, ainsi que ses articles sur le site Géopolitique Profonde.

Pour se procurer l’ouvrage : « Le Grand Reset en marche ! 2020 : an 1 du Nouvel Ordre Mondial »




Du Saint-Empire romain germanique au Saint-Empire germano-atlantiste ou le IVème Reich (I)

[Source : Réseau International]

Par Bertrand Hédouin

Nous vous proposons une série de quatre articles ou épisodes sur ce thème absolument essentiel pour mieux comprendre ce que nous, les Euro-Américains, nous vivons aujourd’hui et savoir comment se protéger le mieux possible du poison qu’inoculent en permanence à l’humanité, dorénavant de manière très intense et à très grande échelle, certains individus et organisations caractérisés par une maladie psychiatrique dangereuse : le suprématisme anthropologique lui-même entretenu par le mythe de l’élection divine.

Les premiers épisodes sont indiqués ci-après. D’autres articles suivront encore portant sur ce thème relativement large.

  1. La narrative de Frau Ursula von der Leyen et le IVe Reich
  2. Petite histoire des Reich
  3. Comme le Beaujolais nouveau, le IVe Reich est arrivé !
  4. En Ukraine se construit le IVe Reich[1]

Oui, cela peut faire un peu mal de devoir des fois se regarder réellement dans la glace, mais ce n’est que comme cela que l’on pourra peut-être trouver des issues à certaines situations aujourd’hui très inconfortables, voire très dangereuses, pour nous et pour le monde plus généralement (en admettant que nous en ayons encore le temps).

« Ursula, par pitié, tais-toi ! … » (image © Boulevard Voltaire)

1er épisode

La narrative de Frau Ursula von der Leyen et le IVème Reich

Sur Telegram, compte de Sergueï Lavrov (en russe)[2], je trouve en ce 14 septembre ce petit mot intéressant :

« Ouverture de la session du Parlement européen : discours officiel d’Ursula von der Leyen ».[3]

« La Russie n’a pas seulement déclenché une guerre contre l’Ukraine. Il s’agit, de plus, d’une guerre contre notre énergie, d’une guerre contre notre économiecontre nos valeurs, une guerre à l’encontre de notre avenir. Il s’agit d’une guerre de l’autocratie contre la démocratie. Aujourd’hui, ici même, je suis certaine que grâce à notre courage et à la solidarité que nous devons montrer, Poutine va essuyer un échec et l’Ukraine et l’Europe vont remporter la victoire ».

Chacun de ses propos est ici intéressant, notamment sa phrase lorsqu’elle parle de la guerre contre NOTRE Énergie.

Elle en a simplement trop dit, la petite dame. L’Ukraine et l’Europe mènent une guerre pour NOS ressources énergétiques. Ensuite, que nous menions une guerre contre leurs valeurs et contre la démocratie, je n’ai rien à redire là-dessus, la bêtise est stupéfiante.

Ainsi, lors d’un événement officiel, une personnalité officielle a ouvertement déclaré qu’elle menait une guerre contre la Russie.

Cette personne est néanmoins restée très discrète quant à l’initiateur du conflit.

Bon, nous conclurons de son discours que l’Union européenne, les États-Unis et l’OTAN nous font la guerre et que nous menons une opération spéciale en Ukraine. » Sergueïl Lavrov. 14/09/2022. 19 h 32

Sergueï n’en peut plus, comprenez-le !

Le discours de von der Leyen repris par Lavrov entérine tout simplement l’existence du IVe Reich, le Saint-Empire germano-atlantiste qu’avait officiellement déjà annoncé devant le Bundestag Olaf Scholz lors de son investiture en tant que Chancelier allemand le 27 février 2022.

Nous assistons au copié-collé de la Seconde Guerre mondiale avec d’autres techniques et technologies pour la mener, mais le mégaprojet qui dirige ces guerres reste le même : création du gouvernement mondial par quelques clans de barbares qui veulent gérer le monde et qui agissent à travers des pouvoirs fascistes qu’ils aident à mettre en place. La rengaine, en somme.

Le petit plus dans ce discours est bien de faire comprendre que l’Allemagne et l’Union européenne représentent ce IVe Reich (sauf peut-être actuellement la Hongrie). L’Allemagne dirige l’Union européenne qui est elle-même supervisée par les États-Unis qui maîtrisent l’Allemagne.

Tout a été pour cela organisé à l’avance. Il suffit de constater qu’aux plus hauts postes de pouvoir dans les pays européens se trouvent des hommes et des femmes issus non pas du milieu politique mais du milieu financier. Le sens donné à la vie en Euro-Amérique est aujourd’hui parfaitement restreint à la richesse financière et matérielle qui ne se retrouvera que dans les poches de certains. La jeunesse d’ailleurs le dit : « Nous ne voyons absolument rien dans l’avenir ».

Nous rappellerons ici que l’Union européenne a été pour beaucoup l’œuvre d’anciens nazis allemands recrutés par les services de la CIA américaine après la Seconde Guerre mondiale. La Commission européenne, née le 16 janvier 1958, a eu pour premier président un ancien haut responsable nazi, Walter Hallstein.

Bravo Walter, félicitations pour le poste, bien joué !

Nous remarquons à ce propos que cette caractéristique somme toute importante n’est absolument pas rappelée, ni révélée dans les documents officiels occidentaux, saut très rarement sur des sites d’information pas totalement formatés et sclérosés ou sur des sites dits de réinformation.[4]

Dans le même terrier, nous rencontrons également, par exemple, le premier secrétaire du Club Bilderberg depuis 1954, le prince Bernhard des Pays-Bas (Bernhard de Lippe-Biesterfeld) qui avait débuté sa carrière au service des SS nazis. Comme ça, pour occuper son temps.

Surtout ne pas se regarder dans la glace, car le funeste mégaprojet euro-américain se poursuit ! Certains nous forcent à l’oubli de l’histoire par sa réécriture, activité essentielle pour « lobotowoker » les populations et continuer le mégaprojet de mainmise et d’esclavagisme de la planète au profit de quelques bandes inhumaines, au premier rang desquelles nous retrouvons la plupart de nos chers néo-libéraux, nos fascistes ainsi que nos élus kabbalistes notamment talmudiques et calvinistes. Voilà pour le poisson tout frais sur l’étalage.

Ah ben ça alors ! Frau von der Leyen est la femme d’un businessman allemand de la Big Pharma qui produit aux États-Unis pour le compte de Pfizer des substances géniques pour injection expérimentale à ARN messager vendues sous l’appellation de vaccins. Ursula se plaît à embrasser le PDG de Pfizer, le médecin vétérinaire Alfred Bourla, et à lui acheter des millions de doses de ces substances qu’elle veut faire injecter à des millions d’Européens.

Dans la perception qu’a Bourla du monde, tout cela paraît certainement cohérent. Des millions de petits chiots, par magie, se font piquer à plusieurs reprises en masse, et même avec entrain !. Il faut savoir que l’Union européenne n’a aucun droit d’imposer ces injections expérimentales aux nations composant l’Union européenne, sauf si la nation se soumet aux fourberies de la Frau.

Le dernier discours d’Ursula a choqué certaines personnes de l’Assemblée parlementaire de l’Union européenne, mais apparemment pas pour les mêmes raisons. Le fascisme est consubstantiel à l’Euro-Amérique. Encore une fois, cette maladie est proprement euro-américaine.[5]

Les similitudes de la Commission européenne sous la présidence d’Ursula von der Leyen avec la Commission européenne sous la présidence de Walter Hallstein sautent aux yeux. En remarque, il suffit d’oser regarder la page Wikipédia en français portant sur Ursula von der Leyen pour s’assurer des qualités du personnage.

Notre splendide vierte (quatrième) Reich, bastion de la démocratie ! ?
(En 2022, les couleurs ont changé. Dorénavant le drapeau est bleu et jaune. C’est beaucoup plus printanier.)

En 2022, la boucle semble être totalement bouclée. Le IVe Reich est censé laisser ensuite place au gouvernement mondial qui sera tenu par nos quelques malades dont nous venons de parler. Ce gouvernement est apparemment attendu et prévu pour 2030, vous savez, à l’occasion du nouvel Agenda pour l’humanité, après que Bergoglio le pape ait imposé au monde une éducation type.[6]

Cela dit, les Russes ne démordent pas de rester souverains et ont également eu le temps de s’habituer au caractère entropique et meurtrier de la civilisation euro-américaine depuis au moins un siècle et demi et pourraient de nouveau être amenés à sauver le monde. En tous les cas, ils y sont décidés et il va être extrêmement difficile de les arrêter.

Pour finir, en France, et plus encore en Euro-Amérique, nous devons enfin réellement nous regarder dans une glace, en particulier pour prendre conscience de ce que nous faisons au niveau international, au niveau de la planète. Je peux également m’adresser ici aux personnes les plus gentilles, les plus sages, les plus cordiales, les plus instruites, les plus amicales, les plus heureuses de notre civilisation, sachant que le travail de fond opéré sur nos consciences depuis au moins un siècle et demi, notamment à partir des médias, nous a fortement imprégnés. Nous n’en sommes pas toujours très conscients. Il nous suffira de regarder nos médias « de grands chemins » (pour reprendre l’expression pensée par Slobodan Despot) et à écouter les conversations autour de soi.

En vérité, nous agissons en complète contradiction avec les grands rêves hystériques que l’on aura inoculés chez nos chers « lobotowokés » (urgence climatique, CO2, autocratie contre démocratie, etc.). Comme si le fait de, ne serait-ce que, prononcer ces mots nous libérait la conscience et nous déresponsabilisait de ce que nous tramons à l’échelle de la planète depuis les XV-XVIe siècles. Combattons contre le réchauffement climatique ! Cela peut donner un sens à la vie à une société totalement rivée sur le genre imaginaire des êtres et le smartphone.

Ces « rêves » nous éloignent de la réalité. Notre société s’enfonce dans la schizophrénie la plus complète. Cela avait déjà été le cas dans le cadre des deux premières guerres mondiales. Puis cela a été remis sur la scène lors du premier choc des consciences imposé en Occident avec les crises toutes préparées des années 1970, mais le public n’avait pas à ce moment les moyens de pouvoir analyser la situation jusque dans les coulisses.

Tout est monté, tout est calculé par certains monstres. Il semble qu’en 2022, choisir de tenter de prendre conscience de ce que nous, les Euro-Américains, nous sommes et faisons réellement sur la planète est dorénavant vital, physiquement comme spirituellement.

Je finirai ce premier épisode de notre série en citant Tzvetan Todorov (1935-2017), fameux critique littéraire, sémiologue, historien des idées et essayiste français d’origine bulgare. Ces propos sont repris de La Peur des barbares.[7]

« Une autre manière d’avancer de la barbarie vers la civilisation consiste à se détacher de soi pour devenir capable de se voir comme du dehors, comme à travers les yeux d’un autre, donc d’exercer un jugement critique non seulement à l’égard des autres mais aussi de soi-même. Dans les échanges sociaux, en renonçant à toujours privilégier son point de vue, on se rapproche des autres. Là non plus, il ne s’agit pas de préférer le dénigrement de soi à la fierté d’être ce qu’on est : ce serait oublier que ni barbarie ni civilisation ne qualifient durablement les êtres, mais seulement leurs états et leurs actions, dont certains sont source d’orgueil, d’autres de remords. On gagne en revanche à être capable, quand c’est nécessaire, de tourner un regard scrutateur sur soi, sur sa communauté, sur le peuple dont on fait partie, afin d’être prêt à découvrir que ʺnousʺ sommes capables d’actes de barbarie. »

Oui, mais je n’y suis pour rien, moi ! C’est le RÉ-GLE-MENT !

Reprenons-nous, ensemble !

Ne tardons plus !

Au prochain épisode.

Bertrand Hédouin – Responsable du projet Acte Eurasia





Intelligence Artificielle : Un regard séculaire sur l’antéchrist numérique

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Brandon Smith − Le 12 aout 2022 − Source Alt-Market

Pourquoi les globalistes ont-ils une obsession profondément enracinée pour l’intelligence artificielle (IA) ? Qu’y a-t-il dans la quête fervente d’un cerveau autonome numérisé qui les plonge dans des crises d’extase ? S’agit-il uniquement de ce que l’IA peut faire pour eux et leur programme, ou y a-t-il également un élément « occulte » plus sombre dans le concept qui est si attrayant ?

Le Forum Économique Mondial, une organisation dédiée au programme globaliste de la « grande réinitialisation », à la quatrième révolution industrielle et à l’« économie partagée », consacre une grande partie de sa réunion annuelle à Davos, en Suisse, à des discussions sur l’IA et l’expansion de son influence sur la vie quotidienne.

Les Nations unies organisent des sessions politiques approfondies sur l’IA et consacrent une énergie considérable à l’établissement de « règles éthiques » pour le développement et l’utilisation de l’intelligence artificielle. Au cœur des efforts de l’ONU se trouve l’affirmation que seule l’ONU est qualifiée pour dicter et contrôler les technologies de l’IA, pour le bien de toute l’humanité, bien sûr. Selon les livres blancs de l’ONU, la gouvernance de l’IA devrait être pleinement effective d’ici 2030 (toutes les institutions globalistes ont fixé l’année 2030 comme date cible pour tous leurs projets).

Une autre organisation moins connue mais importante est le World Government Summit qui se tient chaque année à Dubaï. De nombreux dirigeants et représentants nationaux ainsi que des PDG d’entreprises et des célébrités participent à ces sommets. Les principaux sujets abordés lors du WGS sont généralement la propagande sur le changement climatique, la centralisation de l’économie globale, le transhumanisme et l’IA.

La plupart des discussions publiques sur l’IA tournent autour de récits positifs ; nous sommes censés être convaincus des nombreux et grands progrès que la technologie de l’IA apportera. Parmi ces « avantages » figurent les modifications transhumanistes de la santé, les implants informatiques dans le corps ou le cerveau, et même les nanorobots qui pourraient un jour être suffisamment avancés pour modifier nos cellules mêmes. En d’autres termes, pour bénéficier de l’IA, nous devons devenir moins humains et plus machines.

D’autres avantages supposés nécessitent une vaste gamme de nouveaux systèmes (dont certains sont en cours de construction) qui permettraient aux algorithmes de surveiller toutes les facettes de nos vies. Les globalistes font souvent référence à ces systèmes comme à « l’internet des objets » — Chaque appareil que vous possédez, la voiture que vous conduisez, chaque ordinateur, chaque téléphone portable, chaque caméra de surveillance, chaque feu rouge, tout serait centralisé dans un seul réseau d’IA au sein d’une ville, et chaque ville serait connectée en une grande toile d’araignée à une base de données nationale d’IA.

L’internet des objets est régulièrement mentionné en lien avec la gouvernance du changement climatique et les restrictions de carbone. L’objectif est clair comme de l’eau de roche : les gouvernements et les élites du monde des affaires veulent pouvoir surveiller chaque watt d’énergie que vous utilisez chaque jour. Ce type d’informations sur l’ensemble du spectre permet de dicter plus facilement nos décisions et notre accès aux biens et services. Ils auraient un contrôle total sur toute personne vivant dans ces « villes intelligentes ». Votre vie entière, chaque seconde, serait observée et scrutée.

Mais comment cela pourrait-il être possible ? Des millions et des millions de personnes vivant au jour le jour, cela fait BEAUCOUP de données à passer au crible pour trouver ceux qui ne suivent pas les règles. C’est l’une des raisons pour lesquelles les globalistes salivent devant les technologies de l’IA : c’est le seul outil disponible pour collecter et délimiter des données de masse en temps réel.

On s’efforce déjà d’utiliser des systèmes d’IA pour prédire les crimes avant qu’ils ne se produisent (pré-crime). Ces expériences sont plutôt exagérées car elles ne prédisent pas réellement des crimes spécifiques ou n’identifient pas des criminels spécifiques. Elles utilisent plutôt une analyse statistique pour prédire les zones d’une ville où certains crimes sont le plus susceptibles de se produire. Il n’est pas nécessaire d’avoir recours à l’IA pour cela, n’importe quel policier ayant travaillé assez longtemps dans une ville peut vous dire quand et où certains crimes sont le plus susceptibles de se produire.

De façon hilarante, les algorithmes d’IA ont récemment été accusés de « partialité raciale » en ce qui concerne les zones qu’ils sélectionnent pour la prédiction de la criminalité, car ces zones se trouvent souvent dans des quartiers à prédominance noire et les criminels les plus prédits sont souvent de jeunes hommes noirs. Ainsi, les ordinateurs ont été accusés de profilage racial tout comme de nombreux policiers sont accusés de profilage racial.

Une autre contradiction classique de la gauche politique : Ils adorent l’idée de restrictions du changement climatique, le transhumanisme, et même la surveillance par l’IA quand cela les arrange, mais un ordinateur ne se soucie pas de vos sentiments et il ne se soucie pas des tabous sociaux. Seuls les chiffres l’intéressent.

Et c’est là que nous entrons dans les plus grands dangers inhérents à l’IA. Imaginez un monde microgéré par un algorithme froid et mort qui ne vous voit que comme une seule des deux choses suivantes : Une ressource ou une menace.

La prédiction de la pré-criminalité est un non-sens ; les algorithmes surveillent les habitudes et les schémas et les êtres humains ont tendance à briser brusquement les schémas. Les gens sont affectés par les événements de crise de différentes manières qu’il est impossible de prévoir. Il y a beaucoup trop de variables et il n’y aura jamais de système capable de prédire l’avenir, mais cela ne va pas empêcher les globalistes d’essayer de forcer le trait.

La gouvernance de l’IA est inévitable selon les institutions globalistes – Elles prétendent qu’un jour, l’intelligence artificielle sera utilisée pour gouverner des sociétés entières et infliger des punitions sur la base de modèles scientifiquement efficaces. Ils agissent comme si c’était la voie naturelle de l’humanité et que nous ne pouvions pas l’éviter, mais en réalité, il s’agit d’une prophétie auto-réalisatrice. Ce n’est pas nécessairement censé se produire, mais c’est conçu pour se produire.

Les partisans de l’IA affirment que les algorithmes ne peuvent pas agir avec les mêmes préjugés que les humains, et qu’ils seraient donc les meilleurs juges possibles du comportement humain. Chaque décision, de la production à la distribution, en passant par les soins de santé, la scolarité et l’ordre public, serait gérée par l’IA afin de parvenir à une « équité » ultime.

Comme indiqué plus haut, ils se sont déjà heurtés à l’obstacle des probabilités statistiques et au fait que, même si l’on laisse l’IA prendre de manière autonome des décisions dénuées d’émotions, des millions de personnes considéreront toujours ces décisions comme biaisées. Et, d’une certaine manière, ils auraient raison.

La décision la plus logique n’est pas toujours la plus morale. En outre, une IA est programmée par son créateur et peut être conçue pour prendre des décisions en tenant compte des préjugés de ce dernier. Qui programme l’IA ? Qui peut dicter son codage ? Des élitistes globaux ?

Et c’est ici que nous arrivons à l’élément plus « spirituel » de la question de l’IA par rapport aux globalistes.

Il y a quelques années, j’ai écrit un article intitulé « Luciférisme : un regard laïque sur un système de croyance globaliste destructeur« . Mon objectif dans cet article était d’exposer les nombreuses preuves que les globalistes sont en fait une sorte de culte de psychopathes organisés (des personnes sans empathie qui prennent plaisir à détruire dans un but de gain personnel). J’ai conclu que les globalistes ont effectivement une religion, et que leur système de croyance fondamental est, selon les preuves, le luciférisme.

Oui, je suis sûr qu’il y aura des opposants qui se moqueront de cette notion, mais les faits sont indéniables. Il y a un élément occulte distinct dans le globalisme, et le luciférisme apparaît constamment comme la philosophie de base. Je pense avoir expliqué cela de manière assez efficace dans l’article et je ne vais pas répéter toutes les preuves ici ; les gens sont invités à le lire s’ils le souhaitent.

J’ai écrit d’un point de vue laïc parce que le luciférisme est une idéologie intrinsèquement destructrice, même lorsqu’on la considère en dehors du prisme de la croyance chrétienne. Au-delà de cela, il y a des éléments psychologiques qui doivent être abordés et que le christianisme ignore souvent. La philosophie luciférienne est faite sur mesure pour les personnes narcissiques et sociopathes. La racine du culte concerne des êtres humains « spéciaux » qui ne sont pas entravés par les limites de la conscience, de la morale ou de l’éthique. Le manque d’empathie est considéré comme un avantage pour le progrès et le but ultime du luciférisme est la divinité – une personne devenant comme un dieu, que ce soit en étant adulée par les autres, par le pouvoir d’influence ou par des méthodes technologiques permettant de prolonger la vie et les capacités.

Mais qu’est-ce que cela a à voir avec l’IA ?

Je crois que les globalistes considèrent l’IA avec une telle vénération parce qu’ils pensent qu’il s’agit d’une nouvelle forme de vie, ou d’une forme ultime de vie – une vie qu’ils créent (comme les dieux créent la vie). Et, si vous y pensez symboliquement, cette nouvelle « vie » est en fait faite à l’image de ses créateurs : Elle n’a aucune empathie, aucun remords, aucune culpabilité, aucun amour. Par manque d’un meilleur mot, elle est sans âme, tout comme les psychopathes globalistes sont sans âme.

Si nous devons considérer l’IA en termes religieux pour un moment, l’IA est une sorte d’antithèse à la figure du Christ. Le Christ représente une forme omnisciente d’amour ultime et de sacrifice ultime de soi, selon la doctrine chrétienne. Je ne pense pas qu’il existe un mot pour désigner ce que l’IA représente en définitive. Le seul terme qui semble convenir est « Antéchrist » : L’œil qui voit tout. Le règne d’une super-intelligence dépourvue d’humanité.

Pour être clair, je ne crois PAS aux concepts de fin du monde décrits par ceux qui adhèrent aux interprétations les plus populaires de l’Apocalypse. Je pense que le monde change. Je pense que les empires s’élèvent et tombent et que cela peut souvent être considéré comme la « fin du monde » alors qu’il s’agit simplement de la fin d’une époque. Ceci étant dit, je crois de tout cœur à l’existence du mal ; le mal étant défini comme des actions délibérément trompeuses ou destructrices pour un bénéfice purement personnel ou organisationnel, comme le meurtre ou l’asservissement. Le mal existe bel et bien et est un élément observable de la vie humaine.

Il existe également des traits de l’humanité qui mènent au bien, qui nous empêchent de nous autodétruire lorsque nous les écoutons. La conscience, la raison, la sagesse et souvent la foi peuvent constituer un bouclier contre les mauvaises actions pour la majorité d’entre nous. Si nous n’avions pas ces piliers dans notre psyché, nous nous serions anéantis depuis longtemps. Mais il y a ceux qui n’ont pas de conscience, qui n’ont pas d’empathie et qui méprisent ces traits comme étant « limitatifs ».

L’IA est conçue par ce genre de personnes. Et peut-être qu’elles ne provoqueront pas la « fin du monde » dans les termes que nous comprenons communément (ou en termes bibliques), mais au fil du temps, elles pourraient supprimer tout ce qui rend l’humanité digne du monde. D’une certaine manière, il s’agirait d’une apocalypse. Ce serait un cauchemar vivant dirigé par des personnes psychopathes utilisant une intelligence artificielle sociopathe, encourageant et permettant activement aux masses d’abandonner leurs corps humains pour devenir des monstruosités numériques et des chimères technologiques.

En cas de succès, ce serait vraiment la souillure ultime de la nature, ou de la conception de Dieu si c’est ce en quoi vous croyez. La quête de la divinité ne vaut pas la peine pour la plupart d’entre nous, mais pour les globalistes, c’est le rêve d’une époque, et ils feront TOUT pour y parvenir.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Malcolm Roberts, sénateur australien, à propos de la pandémie Covid-19 : « Tout a été planifié. »

[Source : Ma France]



[Voir aussi :
L’enquête australienne Covid 2.0 pour un plus gros aperçu de l’enquête réalisée par une équipe d’Australiens autour du sénateur Malcolm Roberts
et Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales pour un large aperçu des enquêtes de l’équipe internationale d’avocats autour de Reiner Fuellmich, avec des heures de vidéo et quelques transcriptions écrites.]


Historique partiel d’événements probablement liés à la planification de la pandémie

Par Christophe M.

  • Le 31 janvier 2000, lors de la réunion annuelle du Forum économique mondiale (WEF), a été lancée l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination, GAVI (Global Alliance for Vaccines and Immunization ). Cette organisation «  aide à vacciner près de la moitié des enfants du monde contre les maladies infectieuses mortelles et invalidantes ».
    https://www.gavi.org/fr
  • En 2004, création du Club Valdaï qui  est un forum international  promouvant les intérêts  de la Russie dans le monde. « More than 1,000 representatives of the international scholarly community from 85 countries have taken part in the Club’s activities. They include (…)  think tanks, including Harvard, Columbia,(…) Johns Hopkins University. 
    https://valdaiclub.com/about/valdai/
  • En mai 2016, l’organisation ID2020 est inaugurée,  sous l’égide de l’ONU.  Elle a pour objectif de promouvoir la digital identity right,  pour les plus pauvres du monde,  « 1.1 billion people ». Dans cette rubrique du site, il est précisé que l’identitification numérique est déjà une pratique courante  « From e-passports to digital wallets, online banking to social media accounts,…», mais peu fiable «  Most of the current tools are archaic, insecure, lack appropriate privacy protections and commoditize our data ». Sous l’impulsion de ID2020, ce problème va être résolu. « ID2020 is leading the charge.», sans doute par l’exploitation d’une technologie plus efficace.
    https://id2020.org/digital-identity#approach,
  • Le 15 mai 2018, s’est déroulé un autre exercice de simulation, sous la forme d’un jeu de rôle, organisé par le John Hopkins Center For Health Security.  Participent à cet exercice, baptisé du nom du  virus « Cladex »,  des personnalités américaines, ayant occupés des postes de haut rang, et qui jouent chacun le rôle d’un dirigeant du gouvernement américain. Le scénario commence par l’irruption d’une épidémie à deux endroits  « serious respiratory disease in Germany and Venezuela » pour se propager ensuite à travers le monde entier.  Cette épidémie s’avère être d’origine criminelle,  car revendiquée par un groupe extrémiste  « a fringe group » déterminé à réduire la population humaine  « bent on reducing the human population ». L’exercice de simulation a permis d’illustrer comment les autorités politiques du monde entier « the United States and the world » peuvent coordonner leurs actions et gérer une situation de crise sanitaire de grande ampleur. 
    https://www.centerforhealthsecurity.org/news/center-news/2018/2018-05-15_clade-x-policy-recommendations.html
    https://www.centerforhealthsecurity.org/
  • En 2019, il est noté sur Wikipédia qu’ « …ID2020 a lancé un nouveau programme d’identité numérique en collaboration avec le gouvernement du Bangladesh et l’alliance vaccinale Gavi ».  Il existerait donc une relation entre l’identité numérique et la vaccination. 
    https://fr.wikipedia.org/wiki/ID2020
  • Le 19 juin 2019,  s’est déroulé un exercice en ligne, dénommé Cyber Polygone,  portant sur la cybersécurité, et impliquant des sociétés russes et occidentales, provenant de 24 pays. «  The fight against cybercrime cannot be waged alone. The sooner the public and private sectors learn to cooperate, the faster we can build a safe and secure cyberspace. » 
    https://2019.cyberpolygon.com/
  • En septembre 2019, selon Le Monde, la Fondation Gates a lancé des enquêtes d’opinions au Malawi, au Kenya et Bangladesh, pour savoir si les populations étaient « prêtes » à se faire implanter des carnets   de vaccinations, sous la forme de  « ….minuscules boites quantiques »,  « les cartes de vaccination en papier [ étant ] erronées ou incomplètes ».  Ce carnet vaccinal serait implanté par « un patch de microaiguilles »  qui, une fois dissout sous la peau, laisserait un ensemble de points réagissant à un spectre lumineux proche de l’infrarouge. Un « android modifié »  pointé dessus, signalerait  si le patient a été vacciné. « La limite du concept est que la technique ne sera utile pour identifier les enfants non-vaccinés que si elle devient l’outil exclusif ».
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2019/12/19/le-kenya-et-le-malawi-zones-test-pour-un-carnet-de-vaccination-injecte-sous-la-peau_6023461_3212.html
  • Le 18 octobre 2019,  Center For Health Security  organise en collaboration avec la Fondation Gates et le WEF un troisième exercice de simulation d’épidémie. Depuis plusieurs années, près de 200 épidémies apparaissent chaque année, mettant en péril le système économique globalisé. Une unième épidémie « Event 201 » pourrait être fatale.  Aussi des acteurs privées et publics se sont-ils réunis  pour face à ce danger. Le scénario commence par la transmission d’un coronavirus de la chauve souris au porc,  au Brésil …« a novel zoonotic coronavirus transmitted from bats to pigs ».
    https://www.centerforhealthsecurity.org/event201
    https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/scenario.html
    https://www.gatesfoundation.org/  
  • Diffusé le 3 juin 2020, le clip suivant  met en scène, de façon à la fois elliptique et métaphorique, un évènement grandiose survenant à l’échelle mondiale Le chaos ( sociale, climatique, pandémique…)  qui menace l’humanité s’accroit.  Et tout d’un coup, par un simple clic – touche reset –  sur l’ordinateur   » on rembobine la pellicule « ,  on revient en arrière pour éviter la catastrophe.  Symboliquement, le numérique apparait alors comme le recours ultime, sauvant le monde entier du déluge. Sous quelle forme précisément cet événement, le Great Reset, pourrait-il  avoir lieu ? 
    https://youtu.be/8rAiTDQ-NVY
  • 9 juillet 2020, deuxième session de l’exercice de cybersécurité, dont le thème central est une  « pandémie numérique ».  Interventions initiales « Welcome Remarks » du Premier ministre russe, Mikhail Mishustin, et du fondateur du WEF, Klaus Schwab. 29 pays prennent part à cet évènement. 
    https://2020.cyberpolygon.com/agenda/
  • (24 février 2022, début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.)



Marie-Estelle Dupont fait le lien entre les propos du président Macron et l’idéologie de Klaus Schwab

[Source : lemediaen442.fr]

Fallait oser le dire sur un grand média… La psychologue Marie-Estelle Dupont l’a fait et vient de faire gagner du temps de réflexion aux auditeurs qui tournent en rond sans rien comprendre aux tenants et aboutissants du merdier que l’on nous prépare. Notre psychologue vient de faire le travail que les journalistes ne font pas.

Comme le souligne Le Courrier des Stratèges, « Macron a ouvert le Conseil des ministres avec des paroles limpides sur “la grande bascule” ou “le grand bouleversement” que nous sommes en train de vivre. » Ces idées sont pourtant déjà exposées, mot pour mot, dans le Great Reset de Klaus Schwab, en juillet 2020.


« Vous ne posséderez rien et vous serez heureux », c’est la fameuse prédiction de Klaus Schwab lancée au Forum économique mondial en 2016 pour 2030. Le prétexte de la lutte contre l’épidémie de covid ayant déjà permis à Macron et Cie de détruire 700 milliards de notre économie, c’est aujourd’hui le conflit ukrainien qui offre la possibilité à la ploutocratie de parachever notre dépouillement au prétexte de la défense de l’Ukraine contre la méchante Russie. Au moment même où le président français annonce la fin de l’abondance et demande au peuple de se sacrifier… il donne un milliard d’euros à l’Ukraine de Zelensky.

Pour voir l’émission : L’Heure des Pros 2 du 25/08/2022 

Il va de soi que Klaus Schwab, issu d’une famille de collaborateurs nazis et devenu élève de Kissinger, n’inspire pas confiance. « La gouvernance mondiale est au cœur de toutes les autres questions », dira-t-il  dans son ouvrage Covid-19 : The Great Reset. Et c’est ce que Joe Biden annonce aux PDG de la Business Roundtable, un lobby des dirigeants des grandes entreprises américaines dont font partie General Motors, Apple, Amazon, JP Morgan, Bank of America, Boeing, FedEx, Exxon Mobil, Johnson & Johnson… « C’est maintenant que les choses changent. Il va y avoir un nouvel ordre mondial et nous devons le diriger. Et nous devons unir le reste du monde libre pour le faire », a déclaré le président américain.

Mais tout ne se passe pas comme prévu, puisque les sanctions contre la Russie n’ont pas fonctionné et que les peuples européens ne rendent pas Vladimir Poutine responsable de l’incompétence de leurs gouvernements. Les années covid ont rendu les populations très méfiantes envers les comploteurs, jusque dans les médias mainstream — ce qui va compliquer l’agenda du Forum économique mondial. Les Gilets Jaunes avaient pressenti la fin de l’abondance promise par le président Macron. Le bras fer n’est pas terminé. Et rappelons à nos lecteurs que le chef du Kremlin, Vladimir Poutine, a déjà sonné la fin de la récréation lors de son discours du 16 août 2022 : « Je répète que l’ère de l’ordre mondial unipolaire est vouée à l’échec ».




Le climat, le covid et l’Ukraine : les piliers de la drôle de guerre de Macron

Le climat, le covid(([1] L’ONU a recruté plus de 100 000 « agents numériques de première intervention » pour promouvoir le récit de la théorie du COVID. — Resistance (resistance-mondiale.com) )) et l’Ukraine : les piliers de la drôle de guerre de E. Macron

Le climat de la Terre a varié depuis que la planète existe, avec des périodes naturelles froides et chaudes.

Par Nicole et Gérard Delépine

1200 scientifiques et universitaires de renom signent la Déclaration mondiale sur le climat et affirment « qu’il n’y a pas d’urgence climatique » – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)

Le Pr Ivar Giaver(([2] lauréat du prix Nobel de physique (1973) )) Norway dirige un groupe de 1 200 scientifiques et universitaires de renom qui a signé la Déclaration mondiale sur le climat (WCD).(([3] WCD-version-06272215121.pdf (clintel.org) ))

Rédigée et discutée par Climate Intelligence, une organisation créée en 2019 par le professeur de géophysique Guus Berkhout et le journaliste scientifique Marcel Crok.

Le principal message mentionné dans ce document est le suivant : « il n’y a pas d’urgence climatique ».

[Voir aussi :
Contre toute logique scientifique, pourquoi le CO2 est-il devenu l’ennemi public numéro 1 ?,
Nous notons depuis une vingtaine d’années une augmentation des phénomènes climatiques. Info ou intox ?
et les articles du dossier Climat.]

Pseudo science du climat basée sur « des croyances personnelles et des agendas politiques » et non sur des faits scientifiques.

Déclaration du 27 juin 2022 : les signataires ont lancé un avertissement aux dirigeants du monde.

L’un des auteurs de la déclaration, le physicien de l’atmosphère Richard Lindzen, a même qualifié les prédictions actuelles sur le réchauffement climatique « d’absurdes » sur le site britannique The Daily Sceptic.

La science du climat « devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques. »

Coût exorbitant de mesures sans fondement scientifique

« Les politiciens doivent en revanche penser aux coûts générés par l’application de leurs mesures politiques.

La semaine dernière par exemple, le président américain Joe Biden a signé une loi adoptée par le Congrès nommée Inflation Reduction Act. Elle implique notamment de soutenir le développement des énergies vertes en vue de réduire les émissions de CO2 de 40 % d’ici 2030. Ce projet de loi va coûter 368 milliards de dollars aux contribuables ».

« En 2009, Biden lui-même a annoncé une garantie de prêt de 535 millions de dollars pour l’entreprise de panneaux solaires Solyndra, ainsi qu’un financement de 700 millions de dollars en capital-risque. Les équipements produits devraient alimenter plus d’un demi-million de foyers en électricité. Malheureusement, l’entreprise a déposé le bilan deux ans plus tard. »

La compréhension du changement climatique imposée par les médias au service des milliardaires qui en profitent est erronée.

Le climat de la Terre varie, avec des périodes froides et chaudes, depuis que la planète existe

« Il n’est “pas surprenant que nous connaissions une période de réchauffement”. »

Selon les signataires, le réchauffement climatique n’intensifie pas les sécheresses, les catastrophes naturelles.

Il n’existe aucune preuve statistique « que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et les catastrophes naturelles de ce type, ou les rende plus fréquents… Il n’y a pas d’urgence climatique. »

« Le dioxyde de carbone n’est pas un polluant ».

Au contraire, c’est un gaz bénéfique pour la nature et l’agriculture. Le dioxyde de carbone est un élément « essentiel à toute vie sur terre », il nourrit les plantes.

Le CO2 n’est pas un polluant », dit-il. « Il est essentiel à toute vie sur Terre. La photosynthèse est une bénédiction. Plus de CO2 est bénéfique pour la nature, verdissant la Terre ; le CO2 supplémentaire dans l’air a favorisé la croissance de la biomasse végétale mondiale. C’est aussi bon pour l’agriculture, augmentant le rendement net des cultures dans le monde entier. »

En conséquence les mesures politiques visant à diminuer le taux de CO2 sont injustifiées et toxiques pour la planète défigurée par les éoliennes encore prévues près de Fécamp, pour tous les Français auxquels on interdira de se chauffer cet hiver, sous prétexte de réduction de la consommation vertueuse et de guerre absurde contre la Russie et évidemment pour la finance des gueux du monde occidental enfermés dans le joug de Davos.

LA DICTATURE DU RÉCHAUFFEMENT DOIT FAIRE PEUR AU PEUPLE ET LE RENDRE OBÉISSANT COMME LES MESURES ANTICOVID

Alors pourquoi tout ce cinéma et surtout l’absence de débat contradictoire et la diffamation et dénonciation calomnieuse des scientifiques qui ont le malheur de penser autrement et pire encore, de le dire ?

LES OPINIONS FIDÈLES AUX ORDRES DU MAÎTRE DES HORLOGES REMPLACENT LES FAITS AVÉRÉS

Comme en médecine — et vous l’avez vu ou découvert depuis deux ans — la véritable science basée sur des faits et analyses a été remplacée par les « opinions » conformes à la politique décidée par le forum économique et social, devenu véritable gouvernement mondial via l’OMS.

« Discussion basée sur des croyances, et non sur une science autocritique solide. »

L’ampleur de l’opposition à la science climatique « établie » moderne est remarquable, étant donné à quel point il est difficile dans le milieu universitaire d’obtenir des subventions pour toute recherche sur le climat qui s’écarte de l’orthodoxie politique. (Une liste complète des signataires est disponible ici.)

Un autre auteur principal de la déclaration, le professeur Richard Lindzen, a qualifié le récit climatique actuel d’’absurde », mais a reconnu que des milliards de dollars et la propagande incessante des universitaires et de l’agenda dépendant des subventions — les journalistes motivés disent actuellement que ce n’est pas absurde.

Une colère particulière dans la WCD est réservée aux modèles climatiques. Croire au résultat d’un modèle climatique, c’est croire ce que les modélisateurs y ont mis. Les modèles climatiques sont désormais au cœur des discussions sur le climat d’aujourd’hui et les scientifiques y voient un problème. « Nous devons nous libérer de la croyance naïve en des modèles climatiques immatures », déclare la WCD. « À l’avenir, la recherche sur le climat devra accorder beaucoup plus d’importance à la science empirique. »

Depuis la sortie du « petit âge glaciaire » vers 1850, le monde s’est réchauffé nettement moins que prévu par le GIEC sur la base des influences humaines modélisées.

« Le fossé entre le monde réel et le monde modélisé nous indique que nous sommes loin de comprendre le changement climatique », note la WCD.(([4] 1 200 scientifiques et professionnels déclarent : « Il n’y a pas d’urgence climatique » — Resistance (resistance-mondiale.com)
Source : https://dailysceptic.org/2022/08/18/1200-scientists-and-professionals-declare-there-is-no-climate-emergency/))

En Italie, le découvreur de l’antimatière nucléaire, le professeur émérite Antonino Zichichi, a conduit 48 professeurs de sciences locaux à déclarer que « la responsabilité humaine dans le changement climatique est “exagérée de manière injustifiée” et que les prévisions catastrophiques ne sont pas réalistes. »

Selon eux, « les variations naturelles expliquent une part substantielle du réchauffement climatique observé depuis 1850. »

« Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes et ne sont pas plausibles à distance en tant qu’outils de politique mondiale. Ils amplifient l’effet des gaz à effet de serre, comme le dioxyde de carbone, mais ignorent tout effet bénéfique. »

« Il n’y a aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et autres catastrophes naturelles, ou les rend plus fréquents. Il n’y a pas d’urgence climatique », poursuit la Déclaration. « Nous nous opposons fermement à la politique nocive et irréaliste de zéro CO2 proposée pour 2050. L’objectif de la politique mondiale devrait être “la prospérité pour tous” en fournissant une énergie fiable et abordable à tout moment. Dans une société prospère, les hommes et les femmes sont bien éduqués, les taux de natalité sont faibles et les gens se soucient de leur environnement ».

Le fantasme « établi » entourant la science du changement climatique s’effondre rapidement. L’année dernière, Steven Koonin, sous-secrétaire aux sciences de l’administration Obama, a publié un livre intitulé Unsettled dans lequel il notait que « la science est insuffisante pour faire des projections utiles sur la façon dont le climat va changer au cours des prochaines décennies, et encore moins quelles seront nos actions. »

PRENEZ LE TEMPS DE LIRE « APOCALYPSE NEVER »

En 2020, Michael Shellenberger a écrit un livre intitulé Apocalypse Never dans lequel il a dit qu’il croyait que la conversation sur le changement climatique et l’environnement avait au cours des dernières années« échappé à tout contrôle ». Une grande partie de ce qu’on dit aux gens sur l’environnement, y compris le climat, est fausse, a-t-il écrit.

Alors sortons du mythe du changement climatique lié à l’Homme (pour qui nous prenons-nous ?) cessons d’alimenter la peur qui tue par désespoir, suicides, comportements délirants, plus que les inondations, même si elles sont graves. Et cessons de bétonner, ce sera toujours un plus dans la lutte contre ces inondations par exemple.

N’acceptons plus de sacrifice pour soi-disant « vaincre le réchauffement climatique, le covid ou défendre l’Ukraine » dans une guerre qui n’est pas la nôtre.

Ne croyons plus les mensonges permanents qu’ils nous assènent. Nos vies, celles de nos enfants tout particulièrement aujourd’hui et demain sont plus importantes que leurs fausses simulations trompeuses d’un futur de propagande terrorisante.





Contre toute logique scientifique, pourquoi le CO2 est-il devenu l’ennemi public numéro 1 ?

[Source : lesalonbeige.fr]

Cet article fait suite, dans l’ordre, à :
Le GIEC pour les nuls
Le réchauffement climatique anthropique fait consensus à 97 %. Vraiment ?
Y a-t-il un complot pour faire taire les opposants au GIEC ?
Le climat mondial se réchauffe-t-il ?
et CO2, accusé levez-vous !


Par Jacques Laurentie,
Ingénieur, auteur (Un autre son de cloche, et Face aux miracles – à paraitre –, édition Téqui)

Voilà une question pertinente !

Pourtant, comme nous l’avons vu au chapitre 5 de cette conférence, le dioxyde de carbone n’a quasiment aucune influence négative sur le climat. Cet état de fait est lié au principe de saturation en absorption (le CO2 absorbe déjà presque 100 % des émissions thermiques terrestre, c’est une disposition naturelle de ce gaz), ainsi qu’à sa plage d’action dans l’infrarouge (soit +/— 10 % de la plage totale de l’émission de chaleur terrestre, contre 60 % pour l’eau). Cela relevant de principes physiques immuables, le GIEC se positionne sur d’autres arguments, dont principalement l’effet déclencheur du CO2 (effet domino, cf. chapitre 5), qui pour le moment ne semble pas vouloir s’initier…

En dépit de ces éléments factuels, depuis la fin du XXe siècle nous faisons face à une véritable hystérie face à ce gaz pourtant nécessaire à la vie ! Tout est indexé sur le carbone, certains de nos impôts, certains de nos achats, et demain, la tentation d’un « Passe carbone », comme nous avons eu un « Passe sanitaire », est plus que jamais d’actualité.

Mais que s’est-il donc passé pour que les pays occidentaux passent ainsi d’une vérité scientifique (le CO2 ne peut pas être responsable d’une variation de température à la hausse), à un dogme ? Pourquoi une telle focalisation sur le carbone, à tel point que l’on parle maintenant « d’énergie décarbonée », pour évoquer les productions non fossiles ?

C’est une partie qui se joue en trois temps.

Pour y répondre, nous devons faire un saut dans le passé…

Dans les années 1970, certes il y a des hippies et des utopies écologistes, mais le réchauffement du climat n’est pas un sujet à la mode. Pire, comme expliqué précédemment (chapitre 5), les quelques études confidentielles alors menées démontrent la probable arrivée d’une nouvelle ère glaciaire. Cependant, mis à part quelques journaux, personne ne donne vraiment crédit à ces allégations, et les universités américaines (et du reste du monde), ne sont pas financées pour travailler sur ce sujet. De plus, les écologistes d’alors, sont perçus comme de doux rêveurs, pas dangereux, et dont le prosélytisme est mesuré. Ces gens sont minoritaires, anarchistes et pas, ou peu, organisés.

Ce n’est qu’à la fin de cette décennie, en 1979, lors d’une conférence sur le climat, qu’un rapport(([1] https://www.lemonde.fr/planete/article/2009/12/28/des-1979-le-rapport-charney-annoncait-le-rechauffement-climatique_1285427_3244.html)), celui de G Charnay fait état d’un possible réchauffement en fonction de la concentration de CO2, reprenant sur le principe certains travaux antérieurs à des siècles comme le XVIIIe, où les théories relevaient souvent plus de l’intuition que de la mesure effective. Cette étude est à l’époque totalement isolée et sans grand intérêt. Elle ne sera déterrée que quelques années plus tard, pour servir « la cause » selon l’expression consacrée par des membres du GIEC tel que révélé lors du Climat-gate (cf. Chapitre 1). Cependant ce premier lien « officiel », entre climat et CO2, qui aurait dû rester dans les oubliettes de l’Histoire, va servir d’arme politique dans les années 1980 pour résoudre un conflit interne opposant le gouvernement anglais et des syndicats.

En 1984, a lieu en Angleterre, la grève la plus dure et la plus longue de l’histoire moderne de ce pays(([2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Gr%C3%A8ve_des_mineurs_britanniques_de_1984-1985#:~:text=La%20gr%C3%A8ve%20fut%20l’une,pertes%20financi%C3%A8res%20etant%20trop%20importantes)). Cette grève durera un an, jusqu’en mars 1985 (https://www.lesechos.fr/2018/07/1984-1985-la-dame-de-fer-contre-les-hommes-du-charbon-1120320), et mobilisera le très puissant syndicat des mineurs de charbon (National Union of Mineworkers). Très puissant, car à cette époque, près de 90 % de l’électricité du Royaume-Uni dépend du charbon. La grève met le pays dans un état de tension inégalé, aussi bien pour les entreprises que les particuliers qui ont besoin d’électricité. Et les négociations sont difficiles, car le gouvernement n’a que très peu de marge de manœuvre, le syndicat tenant le pays à la gorge. En ces années le Premier ministre est Margaret Thatcher, qui lors de sa campagne politique avait évoqué la nécessité de diminuer le pouvoir nuisible des syndicats, et ces derniers ne se privent pas de lui faire payer ses positions. Une fois aux affaires, le gouvernement Thatcher fait le constat amer de son impuissance face à ce type de menace. Certains éditorialistes couvrant les événements disent alors que le syndicat des mineurs « pose un revolver sur la tempe du gouvernement »… Un bras de fer s’engage, il est féroce, les manifestations se solderont par 9 morts et plusieurs dizaines de milliers de blessés ! Le gouvernement se dit en guerre contre les syndicats, et va jusqu’à supprimer les aides sociales aux familles des grévistes. Mais, au bout du compte, le gouvernement doit céder !

À la fin de la grève, Mme Thatcher va tout mettre en œuvre pour abattre le syndicat des mineurs. Et cela passe nécessairement par le fait de diminuer la dépendance de son pays au charbon.

Le gouvernement anglais souhaite alors se tourner vers le nucléaire. En 1984, il n’existe aucune centrale sur le sol anglais. En fait seule une est en construction à titre de test, à Dungeness, et qui sera exploitée par EDF en avril 1985. Mais, en ce milieu des années 80, le nucléaire n’a pas bonne presse. Les mouvements écologistes s’organisent en partis politiques et le nucléaire est l’ennemi à abattre (souvenez-vous de l’autocollant jaune avec un soleil rouge en son centre et le slogan « Nucléaire bon merci » édité à la fin des années 1970, et qui existe toujours !). Dès lors, faire accepter à l’opinion publique la construction de centrales nucléaires s’avère être un challenge politique de taille !

Qu’à cela ne tienne, des communicants planchent sur le moyen de faire basculer l’opinion des Anglais. L’idée est de trouver un danger plus important que celui du nucléaire tel que ressenti dans l’imaginaire collectif de la population. L’axe est rapidement identifié, la production d’électricité via le charbon rejette massivement du CO2, alors que les centrales nucléaires n’en rejettent pas (en fait très très peu). Et selon certains scientifiques, dont naturellement Charnay, le CO2 pourrait mettre la Terre en péril en modifiant la température et donc le climat. D’un côté un risque d’irradiations mortelles, mais localisées. De l’autre un risque de mort de toute l’humanité. C’est cette piste qui va être exploitée. Ne reste plus alors qu’à convaincre du danger supposé du CO2…

Problème, pour le grand public ce gaz ne revêt pas un caractère dangereux, bien au contraire, il est source de vie pour les plantes ! A chaque problème sa solution : l’Angleterre va alors généreusement financer des centres de recherches universitaires et des laboratoires, pour qu’ils mettent en avant les effets nocifs du CO2. Puis, dans le même temps, elle va faire tout un travail de lobby auprès de l’ONU pour que soit créée une commission spéciale dédiée à ce type d’études. Non pas pour étudier le climat au sens large du terme, mais bien pour étudier les impacts des productions humaines sur le climat, avec un fort prisme sur le CO2. Cela sera l’origine de la création du GIEC peu de temps après la fin de la grève des mineurs de charbons anglais…

Pour illustrer cette manœuvre politique, je vous renvoie à l’explication donnée par Nigel Lawson, alors secrétaire à l’Énergie dans le gouvernement Thatcher, ainsi reportée sur la page Wikipédia évoquant le GIEC :

« […] sa motivation [il parle de Mme Thatcher] était de contrer les syndicats britanniques des mineurs de charbon tout en soutenant le nucléaire en tant que source d’énergie propre pour remplacer le charbon.(([3] https://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_d%27experts_intergouvernemental_sur_l%27evolution_du_climat))»

Et au discours que Mme Thatcher va tenir en 1988 (l’année de création du GIEC) à la Royal Society où elle dit :

« L’ingénierie et les progrès scientifiques nous ont donné le transport terrestre et aérien, la capacité et la nécessité d’exploiter les combustibles fossiles qui étaient restés inutilisés pendant des millions d’années. L’un des résultats est une augmentation constante du dioxyde de carbone. »(([4] https://www.margaretthatcher.org/document/107346))

Or, comme évoqué, à cette époque, le CO2 n’est pas encore la cause des maux de l’Humanité, ce n’est en tout cas aucunement un centre d’intérêt des nations, et on n’en trouve trace dans aucun discours politique (ou de façon marginale). Et là, curieusement, ou pas, Mme Tacher porte le fer contre le CO2 à six reprises durant ce discours. En faire cas ainsi dans le cadre d’une intervention politique n’est pas sans arrière-pensée.

Le GIEC se doit donc trouver une relation entre CO2 et climat. Telle est sa mission souhaitée par le puissant Empire britannique, soutenu à l’époque, pour des raisons économiques et politiques, par les USA (R. Reagan) qui voulaient maîtriser les mouvements écologistes naissants en leur opposant un organisme officiel sous l’égide de l’ONU lui-même sous forte influence des USA(([5] https://www.novethic.fr/actualite/environnement/climat/isr-rse/a-l-origine-quand-margareth-thatcher-et-ronald-regan-ont-cree-le-giec-148067.html)). Les deux super puissances d’alors vont imposer leur agenda à l’ONU.

L’Angleterre dispose aujourd’hui de 18 centrales, et 2 sont en construction. Quant au syndicat des mineurs, il est réduit à portion congrue et inoffensif.

Voilà donc, de 1984 à 1988, le premier étage de la fusée.

Nonobstant cette volonté politique de produire des éléments à charge du CO2, à cette époque, ce n’est pas encore l’hystérie climato-catastrophique et collapsologue qui règne. Nous sommes pour le moment dans une manœuvre restreinte à quelques hauts fonctionnaires et élus, et à quelques cercles d’initiés, visant à permettre à un gouvernement de reprendre la main sur la destinée énergétique d’un pays.
À la fin de l’année 1989 va arriver un événement qui va bouleverser l’Histoire du monde. Dans la nuit du jeudi 9 au vendredi 10 novembre 1989, le mur de Berlin « tombe ». Au-delà du mur lui-même, qui est un symbole, c’est toute l’idéologie communiste qui montre son échec à répondre au bonheur des peuples, et qui, tout comme le mur, s’effondre. Les partisans communistes de nombreux pays, très majoritairement européens, se retrouvent orphelins.

Vont alors s’opérer en quelques années, dans le début des années 90, des transferts entre l’ex-parti communiste et les partis écologistes. En effet, les communistes trouvent des points de convergences avec les écologistes, notamment leur opposition commune au système dit capitaliste. Les écologistes vont ainsi voir en quelques années leurs rangs s’étoffer, et leurs méthodes s’affiner…

À la fin des années 80 début 90, les partis écologistes des différents pays ne sont pas pris au sérieux, sont désorganisés, passent pour des illuminés, et font quelques pour-cent aux diverses élections. En France, en 1988, avant la chute du mur, les écologistes n’ont aucun député, et font 0,35 % aux élections législatives(([6] https://www.france-politique.fr/elections-legislatives-1988.htm)). Ils sont inexistants. Puis, les ex-communistes, bien rodés, vont s’occuper de gérer tout cela. Résultat, à l’élection législative de 1993, miracle, les deux partis écologistes font un score cumulé(([7] https://www.france-politique.fr/elections-legislatives-1993.htm)) de presque 8 % !

À partir de ce moment, les idées écologistes vont se répandre dans l’opinion publique, soutenues par une presse qui a souvent soutenu le parti communiste. De tout cela naîtra l’expression visant à décrire les écologistes comme des pastèques : « vert à l’extérieur, rouge à l’intérieur ». Et au-delà de l’expression devenue populaire, il y a une réalité. Les partis écologistes modernes, ceux que nous connaissons aujourd’hui, qu’ils soient français ou allemands, sont les héritiers directs des partis marxistes et bolcheviks d’hier. Les idées sont les mêmes, seule la façade a été repeinte ! En l’occurrence les intérêts purement écologistes y sont souvent secondaires (cf. le Wokisme actuel porté essentiellement par ce type de parti politique).

Ces deux mouvements réunis en un, se retrouvent sur de nombreux terrains, les deux veulent abattre la société actuelle, pour la remplacer par autre chose. L’anticapitalisme est un point de convergence naturel, et les communistes identifient la lutte contre le CO2 comme un excellent moyen de nuire au système de consommation. Car, en effet, à peu près tout notre monde occidental génère du CO2 dans presque toutes ses activités. Si vous interdisez la production de CO2, alors, des usines jusqu’à l’utilisation de votre machine à laver en passant par le smartphone sur lequel vous lisez peut-être ces quelques lignes, tout s’arrête ! La lutte contre le CO2 devient une cause majeure, celle qui peut faire tomber le reste et provoquer le « grand soir ». Et tout sera mis en œuvre pour justifier cette lutte.

En 2018, ce qui reste du PCF (Parti Communiste français) de titrer sur son site(([8] https://www.pcf.fr/ecologique_au_coeur_du_combat_communiste)):

« L’écologie au cœur du combat communiste. Face à un capitalisme qui exploite, avec la même vigueur, les hommes et la nature, nous opposons l’écommunisme pour protéger l’humanité du chaos et préserver la planète. »

L’écommunisme une idée, un programme, qui résume tout…

C’est là, le second étage de la fusée. La puissance décuplée des mouvements écologistes noyautés par l’idéologie et les méthodes, efficaces, communistes. La volonté qu’ont tous les révolutionnaires de faire table rase, pour reconstruire un « monde meilleur ».

Jusque-là les entreprises, surtout les multinationales, sont restées soit spectatrices du mouvement, soit ont cherché à le ralentir, principalement les sociétés en rapport avec l’énergie et les transports. En effet, à la fin des années 1990, début 2000, une pression environnementale se fait sentir, mélangeant aussi bien des dispositions visant à gérer la pollution, que des règles destinées à limiter le réchauffement climatique, « via la décarbonation », annoncé maintenant depuis une dizaine d’années (création du GIEC en 1988 et premier rapport en 1990). Or, par expérience, le monde marchand sait parfaitement que ce type de dispositions politiques débouchera inévitablement sur des taxes et des contraintes réglementaires. Et c’est ce qui va se passer.

La Taxe carbone (pour la France, mais bien entendu chaque pays a son équivalent), fiscalement dénommée « contribution climat énergie » (en novlangue on ne parle plus ni de taxes ni d’impôts, mais de contributions), et qui doit être investie dans des projets à visée climatique, rapporte à la France 35 Md d’Euros en 2019. Et seuls 20 % de cette somme(([9] https://www.lesechos.fr/economie-france/budget-fiscalite/ou-vont-les-recettes-de-la-taxe-carbone-1132699
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2018/12/07/comprendre-la-taxe-carbone-en-huit-questions_5394292_4355770.html)) sont effectivement affectés à des projets en rapport avec le climat. Les associations s’en émeuvent régulièrement, et la Cour des comptes de constater chaque année ce détournement de fonds. La lutte contre le climat rapporte des sommes très confortables aux États, et elles ne sont pas contestées, car qui oserait de nos jours s’opposer à un prélèvement visant à « sauver l’humanité », même si en définitive ces sommes servent à tout autre chose.

Mais revenons au début des années 2000. Donc, à cette période, les entreprises sont encore sur la réserve, la plupart sont conscientes que le mouvement écolo-communiste qui se dessine vise principalement à changer de modèle de société, donc potentiellement à les faire disparaître ou plus prosaïquement à — pourquoi pas ? — les nationaliser. Mais, l’Histoire fait que ce début de XXIe siècle correspond aussi à une saturation conjoncturelle économique. Certes l’économie numérique performe, mais, pour le reste, les marchés ne connaissent plus de formidables performances comme celles des années d’après-guerre.

Ainsi, pour la Communauté Européenne, le taux de croissance du PIB est de : 5 % de 1960 à 1970, puis de 3,5 % de 1970 à 1980, puis de 3,2 % de 1980 à 1990 et de seulement 2,8 % de 1990 à 2000(([10] http://ses.ens-lyon.fr/articles/donnees-taux-de-croissance-du-pib)) (chiffres de l’École normale supérieure de Lyon filière économique). Nous sommes donc passés en quarante ans à une croissance divisée par deux ! La faute à différents vecteurs, dont le taux d’équipement des foyers impliquant un faible renouvellement des produits manufacturés. En effet, dans les années 1990, presque tous les foyers occidentaux disposent d’une ou deux voitures, d’une télévision, de mobilier, d’un réfrigérateur, d’une machine à laver, etc. Et ces mêmes foyers n’ont pas de motif rationnel pour en changer. Il faut alors des raisons ponctuelles, comme une coupe du monde de football pour doper l’achat de téléviseur, ou une prime d’État pour pousser les ventes de voitures.

L’automobile en est un exemple très parlant. Faisons un focus pour mieux comprendre le jeu des entreprises dans l’incrimination du CO2 comme cause de tous les maux et de la fin du monde, tel qu’expliqué (rêvé) par les écologistes-communistes et leur concept « d’écommunisme » :
Le journal économique Les Échos a étudié dans un article du 4 février 2020 l’évolution du parc automobile français (titré : Les vrais chiffres du parc automobile français), et il en ressort que le parc a connu une flambée au début des années 2000. Qu’est-ce qui peut expliquer ce phénomène ?

Comme vu précédemment, au début des événements, le monde économique est sur la réserve face aux notions de réchauffement climatique, et l’attaque en règle du CO2 qui s’annonce. Puis dans un second temps, il va décider, non pas de s’opposer au mouvement, mais, très intelligemment, bien au contraire de l’accompagner. Dès lors, c’est à qui sera le plus vertueux, le plus eco-friendly, quitte à mentir ou à en rajouter. Grâce au marketing les citrouilles deviennent carrosses !

Ce phénomène amorcé dans les années 2000 sera appelé le « greenwashing », évoquant ainsi le fait que les entreprises, jadis polluantes (selon une certaine vision), deviennent des champions de l’écologie et de la protection du climat. Et ce pour deux raisons. D’une part sous la pression des politiques qui eux-mêmes font face à une opinion populaire, et d’autre part, car elles ont compris qu’il y avait là un excellent moyen de relancer la consommation et donc d’augmenter chiffre d’affaires et profits. Le CO2 allait devenir un excellent levier économique…

Le capitalisme a traversé tous les âges grâce à son incroyable capacité d’adaptation, c’est ce qui définit un système intelligent.

Dans les années 80, les constructeurs automobiles mettent en avant les performances de leurs voitures. C’était l’époque des GTi ! Lors du lancement de la Renault 21 Turbo en 1987, les journalistes sont invités sur un circuit automobile, et dans le dossier de presse se trouve un chronomètre gracieusement offert. Cette voiture est rapide, très rapide, et c’est pour cela qu’il faut l’acheter. Dans le courant des années 1990, la communication est plus axée sur la sécurité et le confort, sont mis en avant les équipements comme l’airbag, l’ABS, la climatisation, ou encore les aides électroniques. Puis, à compter de 2005 environ, le marketing change, les voitures deviennent « propres », « écolos ». Volkswagen annonce des taux de CO2 très bas, incroyablement bas, c’est un argument marketing (on saura plus tard qu’ils ont triché). Dans ses brochures publicitaires, Mercedes définir sa nouvelle classe C comme « Pur et sensuel ». Qu’est-ce qu’une voiture « pure » ? On ne sait pas, mais ce mot raisonne en nous comme quelque chose de bien, de propre, qui ne pollue pas.

Les consommateurs que nous sommes ne doivent plus avoir envie d’acheter une voiture pour ses performances, non, ils se doivent d’acheter une voiture pour être un bon citoyen eco-vertueux. Et pour cela, il nous est fait injonction de se débarrasser de notre « vieille » voiture. Le système mis en place par le monde mercantile fonctionne, et de nombreux foyers changent de voitures, principalement entre 2000 et 2010, d’où le pic constaté dans l’enquête… Et l’État accompagne ce mouvement en mettant « la main à la poche ».

Les subventions massives, des éoliennes, des panneaux photovoltaïques, des véhicules électriques (pourtant tout aussi polluantes que leurs congénères thermiques(([11] Cf. reportage Arte intitulé : « La face cachée des énergies vertes » publié en 2021.)) ), et autres systèmes « verts », sont une des stratégies poussées par le monde économique pour trouver des relais de croissance à moindre coût. Business is business ! La presse qui fait, et défait, les opinions, veut du « green », pas de problème, elle va en avoir. Et dans le même temps, l’argent va couler à flots (nos impôts et taxes)…

En un mot comme en cent, le monde entrepreneurial va monter dans le bateau, et à son tour, faire le nécessaire pour charger le CO2, car là est son intérêt. Dès lors, les consommateurs doivent remplacer leurs équipements par une version qui produit moins de CO2. Le marché se réouvre !

Il est bien entendu que les marchés ainsi relancés rapportent bien plus que ne coûtent les taxes, c’est là l’équilibre subtil et existentiel de l’économie de marché depuis l’antiquité ! De la main droite l’État perçoit des taxes carbone, et de la main gauche, il subventionne abondamment l’achat de nouveaux produits ou de systèmes énergétiques, éolien et solaires, dont les rendements techniques sont déplorables, mais encouragés par le législateur. Là encore, comme les politiciens, nombre d’entreprises s’adaptent pour gagner le plus d’argent possible, peu importe si c’est un non-sens et si la nation paiera à moyen terme ces erreurs stratégiques.

Les grands groupes d’énergies (Total, Shell, BP, Dana Petroleum, EDF, Chevron, etc.) donnent de l’argent, beaucoup d’argent, aux universités, aux laboratoires, organisent des conférences, financent des études. Comme les États ils ne croient pas à un monde décarboné, car cela n’est pas possible, mais ils favorisent leurs marchés respectifs afin de vendre leurs solutions qui sont, naturellement, toutes validées, moyennant quelques tours de passe-passe, comme eco-friendly. Au pied du mur et sous la pression d’entreprises du secteur énergétique (dont l’éolien), en 2022, l’Union Européenne ira jusqu’à classer le gaz parmi les énergies « vertes », alors même que quelques mois au paravent, ce même gaz était vilipendé, car fossile et producteur massif de CO2. En effet, l’intermittence des turbines éoliennes implique sur plus de 70% du temps un recours à un autre moyen de production électrique, sans gaz, pas d’éoliennes, l’équation est cruelle.

Une très importante part des émissions de CO2, peut-être la première, est due au monde informatique et plus précisément aux fermes de serveurs(([12] Le magazine Futura science : « Data centers et cloud computing émettent trop de CO2 selon Greenpeace ».)), à travers les dizaines de milliers de Datacenter répartis un peu partout sur la planète. Le premier détenteur de Datacenter est la société Alphabet, qui est la holding qui détient Google corporation. En 2020, Google a annoncé(([13] https://www.challenges.fr/green-economie/google-verdit-ses-data-centers-et-vise-le-zero-en-carbone-en-2030_728228)) viser la « neutralité carbone » pour 2030. Google entend y arriver en utilisant de l’énergie dite verte, même si cela ne correspond à rien (une éolienne ou du photovoltaïque sont également émetteurs de CO2 et dépendent de matériaux fossiles), en compensant par l’achat de dettes carbone, et la création de puits à carbone. Dans les faits, il n’y a aucune diminution de la production de CO2 de prévue…

Mais au fond, qui s’en préoccupe ? L’annonce fait son effet, les jeunes qui défilent pour le climat peuvent donc continuer d’utiliser en masse les services Google, échanger sur les réseaux sociaux, acheter des vêtements à l’autre bout du monde, et en définitive, émettre un paquet de CO2, ce gaz qu’ils maudissent, du haut de leurs 12 ou 15 ans, alors même qu’ils n’ont pas commencé leur vie de consommateurs actifs ! Lors d’une conférence scientifique donnée le 6 mai 2019(([14] Disponible sur Youtube)), le scientifique Laurent Alexandre a qualifié cette annonce de Google de « plaisanterie ». Du greenwashing qui fait vendre, de l’anti-CO2 qui permet d’augmenter les affaires…

Autre anecdote concernant le monde entrepreneurial : vous avez pu noter que le célèbre logo de la chaîne de restauration rapide Mc Donald’s, qui était rouge et jaune depuis son origine, connu ainsi dans le monde entier, est devenu vert et jaune à la fin de l’année 2009. Presque toutes les entreprises du monde, dans les années 2000 à 2010, ont introduit à un moment ou un autre du vert dans leur logo ou leur communication. Le but étant de ne pas ralentir les ventes et surtout, pour nombre de marchés, de relancer les ventes. Le monde politique et médiatique veut des entreprises vertueuses qui mettent un genou à terre face au terrible CO2 ? Très bien, si cela permet de vendre plus, les entreprises verdiront leur logo et mettront un genou à terre. L’argent n’a pas d’odeur…

Voilà donc le troisième étage de la fusée, le monde économique qui participe à la charge en règle contre le CO2, à des fins mercantiles.

Ajoutez à tout cela que depuis environ 50 ans, les politiques de divers pays ont, comme le rappelle Laurent Alexandre (conférence donnée le 21 mai 2019 sur la transition énergétique visible dans son intégralité sur YouTube), des connaissances insuffisantes en sciences pour comprendre ce qui se passe réellement, et, ne font plus qu’arbitrer les pressions. C’est à qui criera le plus fort ou fera le plus peur. Les politiques gouvernementales réagissent à chaud, en prenant en compte le dernier avis diffusé et surtout le discours le plus catastrophique, n’étant pas en mesure de le relativiser. Et au jeu de la pression, les partis écologistes sont très forts, jouant sur la corde sensible de la protection de la nature et des animaux, le tout baigné d’une idéologie New Age où il faut sauver Gaïa la Terre mère. Ce discours qui met en joue le capitalisme et les réussites sociales, plaît à une majorité de médias et raisonne facilement au sein de la population. Dès lors, le politique suit le sens du vent, sans rien comprendre aux rapports du GIEC qu’ils ne considèrent pas forcément plus que ça, mais qui lui sert de socle moral. Et là encore, le CO2 est un coupable facile, il est donc de bon ton de fonder toute politique sur son éradication, ce qui serait à n’en pas douter très problématique(([15] Au cours du XXe siècle, la concentration de CO2 n’a baissé que 2 fois. Après 1929 où suite au krach boursier nombre d’activité de production se sont arrêtés, et en 1945, où la chute industrielle de l’Allemagne et du Japon a provoqué cette diminution. Autrement dit, si nous devions suivre les recommandations du GIEC (Groupe 3), et diminuer d’au moins 30% les émissions de CO2 d’ici 2050, cela passerait soit par une guerre mondiale, soit par un krach boursier mondial, à priori, il n’existe pas d’autres voies…))!

Comme déjà évoqué au chapitre précédent, le premier des GES (Gaz à effet de Serre) est l’eau (H20), mais, reconnaissez que si les États avaient taxé massivement l’eau, il aurait été difficile d’obtenir une adhésion populaire, et les partis politiques auraient craint pour leurs élections. Sans même parler d’interdire l’eau ! De plus, l’eau ne touche pas l’ensemble de la chaîne économique mondiale ce qui rend ce gaz moins « coupable ». Les autres GES, comme l’Ozone, ou le Méthane, sont moins produits par les traitements humains (mais bien plus important dans l’effet de serre que le CO2). Bref ! il ne restait plus que le CO2 sur la liste des suspects (souvenez-vous que l’objet initial du GIEC n’est pas d’étudier le climat, mais bien d’étudier l’influence humaine sur le climat, nuance qui a son importance). Et comme le dit le dicton populaire « quand on cherche, on trouve ». Les chercheurs financés presque sans limites, et soigneusement sélectionnés (le GIEC ne référence qu’une centaine de laboratoires parmi les milliers à travailler sur ces sujets, écartant les résultats jugés « non conformes ») ont trouvé ce qu’on leur demandait de trouver.

Au début des années 2000 il circulait une plaisanterie dans les milieux de la recherche universitaire, consistant à dire que pour obtenir un financement il suffisait de mettre le mot « CO2 » dans l’intitulé de l’objet de la thèse ou du sujet de recherche, même si cela parlait d’art ou de trombone. Un mot de passe magique !

Le tout a été porté par un biais idéologique qui a déformé en quelques décennies la pensée écologique des années 60 et 70. A ce sujet, il est intéressant de noter un livre, qui a fait grand bruit, édité en décembre 2020, aux éditions de l’artilleur : « Confessions d’un repenti de Greenpeace », écrit par Patrick Moore. Vous ne savez pas qui est Moore ? Eh bien tout simplement le fondateur de Greenpeace… Rien d’autre que la plus grande association mondiale écologiste. Dans cet ouvrage, Moore dénonce la dérive politique de Greenpeace et d’une façon plus large des ONG écologiques, y compris le GIEC. Le fondateur de Greenpeace d’expliquer que les mouvements qui prétendent défendre l’écologie, le climat, la biodiversité, se sont, dans leur très grande majorité, éloignés de la science, pour imposer des idéologies, et faire de la nature une religion. Ces principes ont permis l’émergence d’un courant de pensée extrémiste, qui a fait le lit de ce que nous connaissons aujourd’hui à travers la chasse au CO2 et donc à toutes les activités humaines. Le CO2, qui n’avait rien demandé et grâce à qui nous existons, est coupable, et à travers lui, toute l’Humanité…

Voilà, succinctement résumé pourquoi et comment nous sommes arrivés à une telle hystérie, comme le disent le scientifique Laurent Alexandre et le philosophe Michel Onfray. Il n’y a aucun complot au sens traditionnel du terme, mais des convergences d’intérêts, une idéologie post-révolutionnaire, et une lâcheté d’une partie du monde politique et scientifique. Si la population avait un niveau en science suffisant, les discours alarmistes concernant le climat n’auraient pas percé dans l’opinion, mais, tel n’est pas le cas, c’est même tout le contraire, le niveau de connaissance de nombreux pays ne cesse de baisser année après année. Si bas qu’une jeune fille dont le niveau scolaire est celui du collège vient donner son opinion sur le sujet, et qu’une partie de la classe politique mondiale s’agenouille. En résumé, nous faisons face à une déchéance intellectuelle de nos sociétés, plus qu’à un risque climatique avéré.

La semaine prochaine, nous verrons s’il y a vraiment chaque année plus de catastrophes naturelles dues au réchauffement climatique…





Qu’est-ce que le « Conseil pour le capitalisme inclusif » ? C’est le Nouvel Ordre Mondial

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Brandon Smith − Le 14 juillet 2022 − Source Alt-Market

L’idée qu’il existe un programme de gouvernement mondial parmi les élites financières et politiques du monde a longtemps été qualifiée de « théorie du complot » au sein des médias grand public et de l’establishment. Et malheureusement, même lorsque vous parvenez à convaincre les gens de regarder et d’accepter les preuves que les institutions bancaires et certains politiciens travaillent ensemble à leurs propres fins, beaucoup de gens ne veulent TOUJOURS pas envisager l’idée que l’objectif ultime de ces seigneurs du pouvoir est un empire mondial unique. Ils ne peuvent tout simplement pas se faire à l’idée d’une telle chose.

Les gens diront que l’establishment n’est guidé que par la cupidité et que leurs associations sont fragiles et basées uniquement sur l’intérêt individuel. Ils diront que les événements de crise et les changements dans les tendances sociales et politiques sont aléatoires, et non le produit d’une ingénierie délibérée. Ils diront que les élitistes ne seront jamais capables de travailler ensemble parce qu’ils sont trop narcissiques, etc.

Tous ces arguments sont un mécanisme d’adaptation permettant au public de faire face à des preuves qu’il ne peut réfuter autrement. Lorsque les faits deviendront concrets et que les pouvoirs en place admettront ouvertement leurs manigances, certaines personnes reviendront à un déni confus. Ils ne veulent pas croire que le mal organisé à une telle échelle puisse réellement exister. Si c’était le cas, alors tout ce qu’ils pensaient savoir sur le monde pourrait être faux.

Pendant de nombreuses années, le programme de gouvernance mondiale n’a fait l’objet que de chuchotements au sein des cercles élitistes, mais de temps à autre, l’un d’entre eux en parlait à voix haute en public. Peut-être par arrogance ou peut-être parce qu’ils estimaient que le moment était venu de faire accepter cette possibilité à la population. Chaque fois qu’ils l’ont mentionné, ils l’ont appelé le « Nouvel Ordre Mondial ». Les dirigeants mondiaux, de George HW Bush à Barack Obama, en passant par Joe Biden, Gordon Brown, Tony Blair et bien d’autres, ont tous prononcé des discours sur le « nouvel ordre mondial ». L’argent et les élites politiques comme George Soros et Henry Kissinger ont mentionné le NWO sans cesse au fil des ans.

L’une des citations les plus révélatrices de l’agenda provient du secrétaire d’État adjoint de l’administration Clinton, Strobe Talbot, qui a déclaré en 1992 dans le magazine Time que :

Au siècle prochain, les nations telles que nous les connaissons seront obsolètes ; tous les États reconnaîtront une autorité unique et mondiale… La souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout.

Il ajoute dans le même article une citation moins connue :

… Le monde libre a formé des institutions financières multilatérales qui dépendent de la volonté des États membres de renoncer à un certain degré de souveraineté. Le Fonds monétaire international peut pratiquement dicter les politiques fiscales, y compris le montant des impôts qu’un gouvernement doit prélever sur ses citoyens. L’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce réglemente le montant des droits de douane qu’une nation peut prélever sur les importations. Ces organisations peuvent être considérées comme les protoministères du commerce, de la finance et du développement pour un monde uni.

Pour comprendre le fonctionnement de l’agenda, je vous propose une citation du globaliste et membre du Council on Foreign Relations, Richard Gardner, dans un article paru dans le magazine Foreign Affairs en 1974, intitulé « Le chemin difficile vers l’ordre mondial » :

En bref, la « maison de l’ordre mondial » devra être construite de bas en haut plutôt que de haut en bas. Cela ressemblera à une grande « confusion bouillonnante et bourdonnante », pour reprendre la célèbre description de la réalité faite par William James, mais en contournant la souveraineté nationale, en l’érodant morceau par morceau, on obtiendra bien plus que par l’attaque frontale à l’ancienne.

Le « NWO » a depuis changé de nom plusieurs fois, le public étant de plus en plus averti de la conspiration. On l’a appelé l’ordre mondial multilatéral, la quatrième révolution industrielle, la « grande réinitialisation », etc. Les noms changent mais la signification est toujours la même.

Au cours des deux dernières années, face à des événements de crise mondiale de grande ampleur, le « nouvel ordre » dont parlaient les globalistes de l’establishment est arrivé, sans presque aucune fanfare ni mention dans les médias grand public. Les prémices d’un gouvernement mondial existent déjà, et il s’appelle le « Conseil pour un capitalisme inclusif« .

Ces derniers temps, de nombreux analystes, dont je fais partie, se sont concentrés sur le Forum économique mondial et son rôle dans l’agenda du gouvernement mondial. Principalement parce que le chef du WEF, Klaus Schwab, est une telle grande gueule et qu’il ne peut s’empêcher de parler des futurs plans de centralisation.

Comme je l’ai noté dans des articles précédents, les élites du WEF ont été beaucoup trop excitées par la pandémie de Covid, pensant qu’elles avaient la crise parfaite pour mettre en œuvre de nombreuses politiques globalistes sous la forme d’une grande réinitialisation. Il s’est avéré que la Covid-19 était loin d’être aussi mortel qu’ils l’avaient initialement prédit lors de l’événement 201, et que le public n’était pas aussi soumis et docile qu’ils l’avaient espéré. Le WEF a vendu la mèche trop tôt.

Ainsi, nous continuons, crise après crise, comme des dominos qui tombent, jusqu’à ce que nous arrivions à l’événement qui, selon eux, poussera les masses à accepter la gouvernance globale. Et alors que le WEF est régulièrement fréquenté par des globalistes de haut niveau, il s’agit plutôt d’un groupe de réflexion de haut niveau, le Conseil pour un capitalisme inclusif semble s’intéresser à la mise en œuvre plutôt qu’à la théorie.

Le fondateur du groupe est Lynn Forester de Rothschild, membre de la tristement célèbre dynastie Rothschild qui, depuis des générations, s’emploie financièrement à influencer les gouvernements. Le pape François et le Vatican se sont publiquement alignés sur le conseil en 2020, et l’un des principaux récits du CIC est que toutes les religions doivent s’unir aux dirigeants du capital pour construire une société et une économie qui soit « juste pour tous ».

Cette déclaration de mission est plutôt familière, car elle fait écho aux objectifs du WEF et à son concept d’« économie partagée«  : Un système dans lequel vous ne posséderez rien, n’aurez aucune vie privée, emprunterez tout, serez complètement dépendant du gouvernement pour votre survie et vous « aimerez ça ».

En d’autres termes, le but du « capitalisme inclusif » est de tromper les masses pour qu’elles acceptent une version relookée du communisme. La promesse sera que vous n’aurez plus à vous soucier de votre avenir économique, mais le prix à payer sera votre liberté.

Le CIC est dirigé par un groupe de leaders mondiaux qu’ils appellent « les gardiens » (non, je ne plaisante pas, c’est réel).

Parmi les membres du CIC figurent : Mastercard, Allianz, Dupont, les Nations unies, la Teachers Insurance and Annuity Association of America (TIAA), CalPERS, BP, Bank of America, Johnson & Johnson, Visa, la Fondation Rockefeller, la Fondation Ford, Mark Carney, le trésorier de l’État de Californie et de nombreuses autres entreprises dans le monde. La liste est longue, mais ce qu’elle représente, c’est une sorte de gouvernement dirigé par les entreprises, avec un congrès de représentants d’entreprises mêlés à des dirigeants politiques souples.

L’une des principales missions du CIC a été de modifier nos modèles économiques afin de « promouvoir l’équité et l’inclusion ». De façon hilarante, les partisans du CIC affirment que « trop de richesses ont été accumulées entre les mains de trop peu de personnes » et que cela prouve que le capitalisme existant ne fonctionne pas, alors qu’ils sont ceux-là mêmes qui ont truqué le système pour centraliser ces richesses entre leurs mains. Ce ne sont pas des « capitalistes », c’est une aristocratie. Pensez-vous vraiment que ces gens vont construire un tout nouveau système qui ne continue pas à leur profiter ?

Si vous vous êtes déjà demandé pourquoi le Pape a poussé l’idéologie Woke, l’alarmisme climatique et la rhétorique de la religion unique mondiale en conflit avec la doctrine chrétienne traditionnelle, voici pourquoi – Il suit les dictats du CIC.

Une autre mission du CIC est d’imposer des contrôles et des taxes sur le carbone au nom du « changement climatique » dans le but d’atteindre des émissions « nettes zéro« . Comme nous le savons tous, le zéro carbone net sera impossible sans un bouleversement complet de notre économie et de notre industrie, avec la mort de milliards de personnes dans le processus. C’est un scénario irréalisable, c’est pourquoi il est parfait pour les globalistes. Les humains sont les ennemis de la Terre, affirment-ils, et nous devons donc laisser les élites contrôler chacun de nos actes pour nous assurer que nous ne détruisons pas la planète et nous-mêmes, et le processus ne s’arrêtera jamais car il y aura toujours des émissions de carbone à gérer.

Les membres du CIC, dont le directeur de la Bank of America, suggèrent ouvertement qu’ils n’ont pas vraiment besoin de la coopération des gouvernements pour atteindre leurs objectifs. Ils affirment que les entreprises peuvent mettre en œuvre la plupart des mesures d’ingénierie sociale sans aide politique. En d’autres termes, c’est la définition même du « gouvernement de l’ombre » – une cabale massive d’entreprises qui travaillent en tandem pour mettre en œuvre des changements sociaux sans aucune surveillance. Comme indiqué, nous avons déjà vu cela avec la propagation de l’idéologie Woke par des centaines, voire des milliers de sociétés travaillant comme une ruche.

Le CIC est-il la forme finale du gouvernement mondial ? Non, probablement pas. Mais il en est le début ; un gouvernement par les entreprises et les élites financières pour les entreprises et les élites financières. Il contourne toute représentation politique, tout contrôle et équilibre et toute participation des électeurs. Ce sont les conglomérats et leurs partenaires qui prennent les décisions pour notre société de manière unilatérale et centralisée. Et, puisque les grandes entreprises agissent comme si elles étaient séparées du gouvernement plutôt que partenaires du gouvernement, elles peuvent prétendre qu’elles sont autorisées à faire ce qui leur plaît.

Cependant, les entreprises et les globalistes montrant de plus en plus leur vrai visage et agissant comme s’ils devaient être aux commandes, le public doit leur demander des comptes comme s’ils faisaient partie du gouvernement. Et s’il s’avère qu’ils sont autoritaires et corrompus, ils doivent être renversés comme toute autre dictature politique.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales

[Source : Jeanne traduction]

📍1:55 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge – Portugal
Résumé de la session précédente

📍5:28 ▪︎ Reiner Fuellmich, avocat – Allemagne & Etats-Unis

📍39:53 ▪︎ Dipali Ojha, avocate – Inde

📍45:35 ▪︎ Dexter Ryneveldt, avocat – Afrique du Sud

📍1:20:07 ▪︎ Virginie de Araujo-Recchia, avocate – France

📍2:08:15 ▪︎ Michael Swinwood, avocat – Canada

📍2:35:04 ▪︎ Ana Garner, avocate – Etats-Unis

📍3:03:32 ▪︎ Leslie Manookian, ex banquière d’investissement, présidente et fondatrice du Health Freedom Defense Fund – Etats-Unis




Vidéos précédentes en ordre chronologique décroissant

Jour 7

📍00:13 ▪︎ Viviane Fischer, avocate – Allemagne
Introduction

📍00:47 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
Résumé de la session précédente

📍06:49 ▪︎ Matthias Desmet, jusqu’à récemment maître de conférences en psychothérapie psychanalytique au département de psychanalyse et de consultation clinique de l’université de Gand, auteur de « La Psychologie du Totalitarisme » – Belgique
Les mécanismes de la « formation de masse », processus typique des régimes totalitaires. Pourquoi les gens adhèrent et pourquoi leur est-il presque impossible d’en sortir ?

📍1:22:15 ▪︎ Mark Crispin Miller, professeur de médias, de culture et de communication à l’université de New York, spécialiste de la propagande – Etats-Unis
Le rôle de la propagande dans les systèmes totalitaires, comment elle est utilisée et comment elle fonctionne.




Jour 6

📍01:28 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 5e session

📍07:13 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de mise en esclavage de l’humanité à travers les modifications génétiques et le « développement durable »

📍42:40 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:11:33 ▪︎ Matthew Ehret, journaliste, conférencier et fondateur de la Canadian Patriot Review.
Poursuite de l’exposé de Patrick Wood

📍1:43:40 ▪︎ Questions à Matthew Ehret

📍1:55:39 ▪︎ Ilana Rachel David, citoyenne israélienne
Israël, la population juive encore une fois victime d’expérimentations médicales et de répression.

📍2:18:06 ▪︎ Questions à Ilana Rachel David

📍2:28:18 ▪︎ Avital Livny, citoyenne israélienne, réalisatrice du documentaire The Testimonies Project
Face à l’inaction des israéliens, Avital décide de réaliser elle-même un documentaire afin d’informer son peuple et les peuples du monde de la réalité de ce qu’il se passe en Israël, la même chose que chez nous.

📍2:54:49 ▪︎ Questions à Avital Livny

📍3:12:55 ▪︎ Vera Sharav, juive allemande survivante des camps nazis, fondatrice de l’organisation sans but lucratif « Alliance for Human Research Protection », opposée fermement à l’industrie pharmaceutique responsable en grande partie de ce qu’ils s’est passé dans les années 30-40 et de ce qu’il se passe aujourd’hui.
Le parallèle établi entre la seconde guerre mondiale et ce qu’il se passe dans le monde occidental et la grippe espagnole.

📍3:43:04 ▪︎ Questions à Vera Sharav

📍4:07:08 ▪︎ Conclusion




Jour 5

📍00:13 ▪︎ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal
résumé de la 4e session

📍03:23 ▪︎ Reiner Füllmich,docteur en droit, avocat, Allemagne
Introduction

📍05:52 ▪︎ Patrick Wood, auteur spécialisé dans les questions de développement durable et d’économie verte, rédacteur en chef et directeur du site d’information Technocracy.news, USA
Le « développement durable », projet radical de réorganisation scientifique du système socio-économique

📍40:50 ▪︎ Interview en caméra cachée de Chris Cole, haut responsable de la FDA, sur le projet du gouvernement étasunien (Biden) d’instaurer les injections anti-covid de façon permanente.

📍45:30 ▪︎ Questions à Patrick Wood

📍1:16:45 ▪︎ Vidéo : florilège de déclarations sur l’Internet des corps (IoB) tenues par des acteurs de la « 4e révolution industrielle »

📍1:25:20 ▪︎ Leslie Manookian, ancien cadre dirigeant d’institutions financières, auteure et productrice de documentaires, directrice du Health Freedom Defense Fund (association qui lutte contre l’injustice en matière de santé), formée à l’homéopathie, USA
La « pandémie de Covid », paravent pour la démolition contrôlée de notre système politique et économique

📍1:54:20 ▪︎ Questions à Leslie Manookian

📍2:35:56 ▪︎ 3 Videos de victimes des 💉
🎞 Video #1: à Nashville, Tennessee (USA), une infirmière a contracté une paralysie de Bell
🎞 Video #2: une femme est atteinte de convulsions
🎞 Video #3: à Johannesburg (South Africa), une femme a développé de l’amphisème ainsi que des problèmes articulaires.
(
 Explications du phénomène ici : https://bit.ly/3INJTyU)

📍2:42:13 ▪︎ Björn Pirrwitz, juriste & expert financier, Allemagne, Roumanie
Démolition du système financier : nature du système, origine et principales étapes du processus, conséquences de la crise de 2008 et aperçu du nouveau système

📍3:12:34 ▪︎ Questions à Björn Pirrwitz

📍3:31:50 ▪︎ Christian Kreiss, professeur d’économie et ancien banquier d’affaires, Allemagne, Costa Rica
Seule une démarche spirituelle nous permettra de sortir de la nouvelle crise du capitalisme qui se cache derrière le Covid.
… (interruption de l’exposé du prof. Kreiss à cause d’un problème de connexion internet)

📍3:54:00 ▪︎ Leslie Manookian

📍3:59:39 ▪︎ Patrick Wood

📍4:03:49 ▪︎ Ana Garner, avocate, USA

📍4:07:41 ▪︎ Reprise de l’exposé du prof. Kreiss

📍4:16:49 🎞 Video #4: Yuval Harari parle du « piratage du comportement des êtres humains »

📍4:19:10 ▪︎ Commentaires de Leslie Manookian, An Garner et Dexter L-J. Ryneveldt

📍4:21:42 ▪︎ Conclusion




Jour 4

📍00:13 ▪️ Introduction

📍01:00 : Video #1 : Bill Gate$

📍03:29 : Video #2 : Terrance Munsamy, 40 ans, Durban, Afrique du Sud, victime de l’ 💉 modRNA,

📍06:55 ▪️ Rui da Fonseca e Castro, juge, Portugal : Résumé de la 3e session

📍11:47 ▪️ 1. Les injections anti-covid ▪️

📍11:53 ▪️ Alexandra Henrion-Caude, docteure en génétique, ancienne directrice de recherches, France
Aperçu général des problèmes

📍28:24 ▪️ Questions au dr Henrion-Caude

📍47:10 ▪️ Vanessa Schmidt-Krüger, docteure en biologie, spécialisée en biologie moléculaire et cellulaire ainsi que dans les maladies cardio-vasculaires, Allemagne
Intérêt des vaccins contre les coronavirus ?

📍47:50 : 1e partie : un taux de léthalité nettement inférieur au taux officiel

📍50:12 : 2e partie : nous possédons déjà une forte immunité croisée contre tous les coronavirus !

📍1:00:47 : 3e Partie : les 💉 sont inefficaces et inutiles !

📍1:08:38 ▪️ Deanna McLeod, directrice de Kaleidoscope Strategic Inc., formation en immunologie et psychologie, Canada
Conception, mise en oeuvre et résultat des essais cliniques Pfizer

📍1:39:17 ▪️ Prof. em. Sucharit Bhakdi, docteur en médecine, microbiologiste, immunologiste et épidemiologiste, Allemagne

📍2:00:51 ▪️ Dr. Mike Yeadon, biologiste, immunologiste, toxicologue, biochimiste, ancien directeur scientifique du département maladies respiratoires chez Pfizer et ancien vice président de Pfizer, UK / USA
Quelle pouvait être l’intention pour vouloir fabriquer un « vaccin » 1) à partir de la pire des parties possibles du virus SARS-COV-2 et 2) dans un délai totalement insuffisant pour en garantir la standardisation et la sécurité ?

📍2:32:15 ▪️ Prof. Dr. Antionietta Gatti, physicienne et bio-ingenieure, nano-pathologiste, Italie
Composition chimique inattendue des injections expérimentales anti-covid

📍2:56:07 ▪️ Prof. em. Arne Burkhardt, docteur en médecine, anatomopathologiste, Allemagne
Autopsie des personnes décédées et étude histologique des complications en lien avec les injections anti-covid

📍3:33:11 ▪️ Prof. em. Dr. Ing. Werner Bergholz, professeur en ingénierie électrique et en gestion de la qualité et du risque, Allemagne
Injections covid-19 et conformité aux règles de contrôle qualité

📍3:51:40 ▪️ Questions

📍4:06:45 ▪️ Virginie de Araujo Recchia, avocate, France: Conclusion

📍4:13:39 ▪️ 2. La guerre psychologique ▪️

📍4:14:20 ▪️ Meredith Miller, coach & auteure spécialisée dans les traumatismes, USA
Principes du syndrôme de Stockholm et de la dissonance cognitive

📍4:37:44 ▪️ Ariane Bilheran, philosophe, psychologue clinicienne, docteure en psychopathologie, France
Une dérive totalitaire qui repose sur le délire paranoïaque

📍5:13:48 ▪️ Questions

📍5:49:00 ▪️ Conclusion




Jour 3

📍 Introduction – début à 7:37

📍 Astrid Stuckelberger – 7:37 à 44:05
Les conflits d’intérêt autour du test PCR entre Drosten, la Charité de Berlin, GAVI, l’OMS.

📍 Ulrike Kämerrer – 44:05 à 1:31:44
Le fonctionnement et le rôle exacts du test PCR.

📍 Sonia Pekova – 1:31:44 à 2:13:29
Les différents génomes du virus, l’interdiction d’utiliser ses propres tests covid en République Tchèque et le trafic des résultats.

📍 Bryan Ardis – 2:13:29 à 3:19:45
Le Remdesivir, ou comment les hôpitaux ont littéralement tué des gens avec un « traitement » supposé les sauver.

📍 John O’Looney – 3:19:47 à 3:44:13
Directeur de pompe funèbre, il observe qu’il n’y a pas eu de surmortalité avant le début des campagnes d’injection ; alors qu’après la campagne elle a augmenté de 300% au Royaume-Uni. Il témoigne également de son séjour à l’hôpital où ils ont essayé de le tuer.

📍 Shankara Chetty – 3:44:47 à la fin
L’expérience d’un médecin généraliste Sud Africain, l’omerta sur les réels traitements.




Jour 2

📍Alex Thomson : 00:12 à 46:47
👉 L’emprise de l’Empire britannique et de l’influence de la City de Londres sur le monde à partir du 19e siècle. Les élites britanniques souhaitaient façonner le monde à leur image à travers la colonisation et le contrôle de l’espace mental.

📍Matthew Ehret : 46:48 à 1:57:54
👉 L’empreinte omniprésente de l’Empire britannique et de la City de Londres dans les affaires géopolitiques mondiales du 19eme siècle à l’époque contemporaine – l’exemple du Canada.

📍Brian Gerrish & Debbie Evans : 1:57:54 à 3:03:08
👉 Après une carrière dans la Royal Navy britannique, Brian gerrish se penche sur la corruption qui gangrène les villes britanniques. Ses recherches l’amènent à constater que la corruption est à tous les niveaux et dans toutes les institutions de la société. La crise du Covis 19 n’est qu’une continuité, nous dit il, d’un plan mafieux établit déjà en 1940 pour sournoisement changer le comportement des populations, afin de faciliter le consentement dans la perte des libertés, par des méthodes de manipulations psychologiques sophistiquées. Avec à l’appui plusieurs documents, il vient nous exposer l’étendu de cette manipulation de masse et ses conséquences catastrophiques pour le futur si elles ne sont pas exposées, combattues et stoppées
👉 Dans son intervention Debbie Evans, chercheur médical et ancienne conseillère au ministère de la santé britannique, développe plus en détail les conflits d’intérêt entre les laboratoires criminels et les différentes universités les plus prestigieuses britanniques. Elle démontre comment toutes les plus hautes institutions médicales sont totalement corrompues et préoccupées avant tout à faire des profits immenses au détriment de la santé des populations, avec pour finalité une volonté de dépopulation mondiale significative.

📍Whitney Webb & James Bush : 3:03:09 à 4:29:01
👉 Whitney Webb, journaliste d’investigation, évoque le rôle de la Chine dans le nouvel ordre mondial. Elle évoque également les simulations de pandémie comme Dark Winter.
👉 James Bush, retraité de la Navy et ayant participé à l’opération Dark Winter vient décrire les différentes simulations de pandémie qui ont lieu depuis plusieurs décennies : Dark Winter, Crimson Contagion, Operation Lockstep et l’Event 201. Nous retrouvons encore les mêmes acteurs, avec les mêmes idées.

📍Sylvia Behrendt et Astrid Stuckelberger : 4:29:01 à 5:46:22
👉 Ayant toutes deux travaillé à l’OMS, elles nous expliquent son rôle dans la crise du covid-19, ainsi que sa tentative de coup d’Etat mondial, via une constitution unique imposée grâce à un état d’urgence sanitaire.

crime contre lhumanitégrand juryhistoire et géopolitiquereiner fuellmichtribunal




Jour 1

Procédure du Grand Jury par le Tribunal D’opinion Publique des Peuples
Renforcer la conscience publique par le droit naturel
L’injustice faite à un seul est une injustice faite à tous

Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons par la présente une enquête criminelle sur le modèle de la procédure du Grand Jury des États-Unis.
Cette enquête du Grand Jury sert de modèle de procédure légale pour présenter à un jury (composé des citoyens du monde) toutes les preuves disponibles des Crimes contre l’Humanité du COVID-19 à ce jour contre les « leaders, organisateurs, instigateurs et complices » qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.
Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans le cadre d’un plan commun visant à commettre des crimes contre l’humanité, et tous les actes criminels de ce type condamnés par les différentes communautés de jurés dans le monde.

Cette enquête est menée par le peuple, par le peuple et pour le peuple et sera désignée sous le nom de « Tribunal d’opinion publique des peuples ».
N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel.
Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal, et le bien du mal.

L’allégation est que les gouvernements du monde sont passés sous l’influence de structures de pouvoir corrompues et criminelles.
Ils se sont concertés pour mettre en scène une pandémie qu’ils planifiaient depuis des années. À cette fin, ils ont délibérément créé une panique de masse par le biais de fausses déclarations de faits et d’une opération psychologique socialement élaborée dont les messages ont été transmis par les médias d’entreprise.

Le but de cette panique de masse était de persuader la population d’accepter les soi-disant « vaccinations » qui, entre-temps, se sont avérées ni efficaces, ni sûres, mais extrêmement dangereuses, voire mortelles.

Les dommages économiques, sociaux et sanitaires que ces crimes contre l’humanité ont causés à la population mondiale se mesurent en quadrillions de dollars.

Les avocats énumérés ci-dessous, avec l’aide d’un certain nombre de scientifiques et d’experts très respectés du monde entier et sous les auspices d’un juge du Portugal,
mèneront cette enquête de grand jury et fourniront ainsi au jury (les citoyens du monde) une image complète de ces crimes contre l’humanité.

L’objectif de l’enquête du « Tribunal populaire de l’opinion publique » est double : D’une part, il s’agit de servir de modèle de procédure et d’obtenir des inculpations contre certaines des figures de proue pénalement et civilement responsables de ces Crimes contre l’Humanité.
Et d’autre part, il s’agit – en montrant une image complète de ce à quoi nous sommes confrontés, y compris le contexte géopolitique et historique – de créer une prise de conscience sur l’effondrement réel du système actuel, détourné, et de ses institutions, et, par conséquent la nécessité pour les peuples eux-mêmes de reprendre leur souveraineté, et la nécessité d’arrêter d’abord les mesures de cette pandémie en refusant de s’y conformer, et la nécessité de lancer leur propre nouveau système de soins de santé, d’éducation, d’économie et de justice, afin de rétablir la démocratie et l’État de droit sur la base de nos constitutions.



Transcription complète

Grand Jury – Session 1

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich — Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha — Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont   malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




Optogénétique – la voie planifiée vers un contrôle sans faille de nos cerveaux ?

[Source : Kla.tv]



Des efforts sont déployés dans le monde entier pour installer dans le cerveau humain des interfaces sans fil, c’est-à-dire des outils de communication, entre le cerveau et l’ordinateur. L’optogénétique est l’une des méthodes les plus ambitieuses à cet égard. Aujourd’hui, plus de 1 000 laboratoires dans le monde, dont certains appartenant à des organisations gouvernementales, travaillent sur différentes méthodes optogénétiques.

Qu’est-ce que l’optogénétique ?

L’optogénétique est une combinaison de méthodes génétiques et optiques permettant de provoquer des événements dans des cellules cibles, des tissus ou des êtres vivants complexes à l’aide d’une lumière LED.
L’optogénétique est déjà utilisée aujourd’hui dans le monde entier à des fins très diverses, par exemple pour des applications biomédicales et le traitement de maladies neuronales.
L’un des avantages de l’optogénétique est qu’elle ne nécessite potentiellement aucune intervention chirurgicale, mais seulement une injection de thérapie génique. Certaines protéines sensibles à la lumière sont emballées dans un virus et injectées à l’endroit prévu du cerveau, où il infecte différentes cellules. Grâce à ces protéines photosensibles, il est alors possible d’exciter ou d’immobiliser de manière ciblée certains réseaux neuronaux par la lumière LED.

En d’autres termes, la lumière LED permet d’effacer et d’écraser des souvenirs ainsi que de contrôler et d’influencer rapidement et avec précision les cellules cérébrales et musculaires – et donc les sentiments, les pensées, les mouvements du corps et les comportements.
L’optogénétique ne nécessite donc que de la lumière LED qui irradie les neurones du cerveau.
L’irradiation se fait par exemple à travers la voûte du cerveau ou par des nano-LED implantées dans le corps.

Parallèlement à la recherche optogénétique, un forum LED a lieu chaque année, où se rencontrent des personnalités du secteur international de l’éclairage. Les thèmes abordés lors de ce forum sont par exemple l’utilisation de micro-LED, qui sont importantes pour améliorer l’émission de lumière pour l’optogénétique. Ou encore l’Internet des objets et l’objectif d’intégrer un capteur dans chaque lampe à LED afin d’assurer la transmission numérique des données via la lumière LED. Il est intéressant de noter que parmi les intervenants du forum LED, on trouve des personnes très proches aussi bien du Forum Economique mondial (FEM) que du Club de Rome. Par exemple, en 2019, Andreas Huber, l’actuel directeur général du Club de Rome Allemagne, y a présenté un exposé.

Le Club de Rome est considéré comme le plus grand groupe de réflexion de l’élite pour un nouvel ordre mondial, qui voit la solution aux problèmes mondiaux dans une réduction drastique de la population. C’est également ce club qui a soutenu la création du FEM de Klaus Schwab. Le FEM, quant à lui, fait avancer un nouvel ordre mondial avec le projet de « Great Reset ».

Le FEM considère donc l’optogénétique comme l’une des technologies les plus importantes. Ainsi, il est écrit sur leur page d’accueil, je cite :

« Notre cerveau est composé de milliards de cellules appelées neurones, et ces neurones communiquent entre eux via des circuits neuronaux. L’optogénétique nous permet pour la première fois de manipuler les messages que ces neurones s’envoient les uns aux autres. Cette technique pourrait éventuellement être utilisée pour manipuler les souvenirs, les émotions et les pensées… »

Étant donné que de hauts responsables politiques de la Commission européenne, comme Ursula von der Leyen, entretiennent des liens d’amitié étroits avec le FEM, il n’est pas surprenant que la Commission européenne s’enthousiasme également pour l’optogénétique :

« Même si nous n’en sommes pas conscients, les cellules nerveuses sont essentielles à notre capacité de comprendre notre environnement et d’interagir avec lui. Grâce à l’optogénétique, ces cellules peuvent désormais être contrôlées par la lumière avec une grande précision. »

C’est également la Commission européenne qui a introduit en 2009 l’interdiction controversée des ampoules à incandescence et qui a ainsi rendu possible une utilisation sans faille des diodes électroluminescentes LED.

Chers spectateurs, il est extrêmement préoccupant que des cercles de personnes comme le Club de Rome ou le FEM s’enthousiasment pour des technologies comme l’optogénétique. Des cercles de personnes voient comme solution aux problèmes mondiaux la réduction de la population ou le « Great Reset ». Un « Great Reset » dont l’objectif, selon le FEM, est qu’en 2030, nous ne possédions plus rien et soyons malgré tout heureux.

Peut-être heureux grâce à la manipulation optogénétique appliquée ?

de maf.

Sources / Liens :

Optogenetik:

Optogenetik ohne operativen Eingriff:

LED mit Sensor

LED- Forum und nahe stehende Personen zum WEF:

Andreas Huber:

Club of Rome, WEF:

Europäische Kommission:

Ticket:
SE-449




Verser du poison et planter des graines de dépendance. La grande agriculture détruit l’agriculture biologique

[Source : lesmoutonsenrages.fr]

Par Colin Todhunter pour Global- Research

Vous souvenez-vous de l’image emblématique d’Union Carbide des années 1950 ou du début des années 1960 ? Celui avec la main géante venue du ciel, déversant des pesticides sur le sol indien.       

Le texte de présentation sous l’image comprend les éléments suivants :

« La science aide à construire une nouvelle Inde – L’Inde a élaboré de nouveaux plans audacieux pour développer son économie et apporter la promesse d’un avenir radieux à ses plus de 400 millions d’habitants. Mais l’Inde a besoin des connaissances techniques du monde occidental. Par exemple, en travaillant avec des ingénieurs et des techniciens indiens, Union Carbide a récemment mis à disposition sa ressource scientifique rapide pour aider à construire une usine de produits chimiques et plastiques près de Bombay. Partout dans le monde libre, Union Carbide s’est activement engagée dans la construction d’usines pour la fabrication de produits chimiques, de plastiques, de carbone, de gaz et de métaux.

Dans le coin inférieur se trouvent le logo Union Carbide et la déclaration « A HAND IN THINGS TO COME ».

Cette image de la « main de Dieu » est devenue tristement célèbre. La « main dans les choses à venir » d’Union Carbide inclut la fuite de gaz dans son usine de pesticides à Bhopal en 1984. Elle a fait environ 560 000 blessés (problèmes respiratoires, irritation des yeux, etc.), 4 000 handicapés graves et 20 000 morts.

Quant à l’agriculture intensive en produits chimiques qu’elle a encouragée, nous pouvons maintenant voir les impacts : sols dégradés, eau polluée, maladies, endettement des agriculteurs et suicides (en buvant des pesticides !), cultures/variétés riches en nutriments étant mises de côté, une gamme plus étroite des cultures, aucune augmentation de la production alimentaire par habitant (du  moins en Inde ), la marchandisation des connaissances et des semences par les entreprises, l’érosion de l’apprentissage environnemental des agriculteurs, l’affaiblissement des systèmes de connaissances traditionnels et la dépendance des agriculteurs à l’égard des entreprises.

Qu’il s’agisse du type de dévastation écologique que l’activiste-agriculteur  Bhaskar Save  a décrit aux décideurs politiques dans sa lettre ouverte de 2006 ou du bouleversement social documenté par  Vandana Shiva  dans le livre La violence de la révolution verte, les conséquences ont été considérables.

Et pourtant, qu’il s’agisse de nouvelles techniques de génie génétique ou de plus de pesticides, les conglomérats agrotechnologiques s’efforcent sans relâche d’enraciner davantage leur modèle d’agriculture en détruisant les pratiques agricoles traditionnelles dans le but de placer davantage d’agriculteurs sur les semences des entreprises et les tapis roulants chimiques.

Ces sociétés ont fait pression pour que la Commission européenne supprime tout étiquetage et contrôle de sécurité pour les nouvelles techniques génomiques. La Cour de justice européenne a statué en 2018 que les organismes obtenus avec de nouvelles techniques de modification génétique doivent être réglementés en vertu des lois existantes de l’UE sur les OGM. Cependant, il y a eu un lobbying intense de la part de l’industrie de la biotechnologie agricole pour affaiblir la législation,  aidée financièrement par la Fondation Gates .

Depuis 2018, les plus grandes entreprises agroalimentaires et biotechnologiques ont dépensé près de 37 millions d’euros pour faire pression sur l’Union européenne. Ils ont eu 182 réunions avec les commissaires européens, leurs cabinets et directeurs généraux. Plus d’une réunion par semaine.

Au cours des dernières semaines, le PDG de Syngenta (une filiale de ChemChina), Erik Fyrwald, est venu au premier plan pour faire pression cyniquement pour ces techniques.

Mais avant de parler de Fyrwald, tournons-nous vers une autre figure clé de l’agro-industrie qui a fait l’actualité. L’ancien président-directeur général de Monsanto, Hugh Grant, a récemment comparu devant le tribunal pour être interrogé par des avocats au nom d’un patient atteint d’un cancer dans l’affaire Allan Shelton contre Monsanto.

Shelton souffre d’un lymphome non hodgkinien et fait partie des plus de 100 000 personnes aux États-Unis qui prétendent dans des poursuites judiciaires que l’exposition au désherbant Roundup de Monsanto et à ses autres marques contenant le glyphosate chimique a causé leur cancer.

Ses avocats ont fait valoir que Grant était un participant actif et un décideur dans l’activité Roundup de la société et qu’il devrait être amené à témoigner lors du procès.

Pourquoi pas? Après tout, il a fait une tuerie financière en colportant du poison.

Bayer a acquis Monsanto en 2018 et Grant a reçu un   gain après-vente estimé à 77 millions de dollars . Bloomberg a rapporté en 2017 que Monsanto avait augmenté le salaire de Grant à 19,5 millions de dollars.

En 2009, les produits liés au Roundup, qui comprennent des semences génétiquement modifiées développées pour résister aux applications à base de glyphosate, représentaient environ  la moitié de la marge brute de Monsanto .

Roundup faisait partie intégrante du modèle commercial de Monsanto et des énormes revenus et gains finaux de Grant.

Considérez la citation suivante d’un  article  paru sur le site Web de Bloomberg en 2014 :

« Le président et chef de la direction, Hugh Grant, se concentre sur la vente de plus de semences génétiquement modifiées en Amérique latine pour stimuler la croissance des bénéfices en dehors du marché américain principal. Les ventes de graines de soja et de licences génétiques ont augmenté de 16 %, et les revenus de l’unité qui fabrique le désherbant à base de glyphosate, vendu sous le nom de Roundup, ont augmenté de 24 %.

Dans le même article, Chris Shaw, un analyste basé à New York chez Monness Crespi Hardt & Co, aurait déclaré que « le glyphosate l’a vraiment écrasé » – ce qui signifie que les ventes de glyphosate ont été un coup de pouce majeur.

Tout va bien pour Grant et Monsanto. Mais cela a eu des effets dévastateurs sur la santé humaine. ‘Le coût humain des agrotoxines. Comment le glyphosate tue l’Argentine », qui est apparu sur le site Web de Lifegate en novembre 2015, constitue une condamnation accablante de la volonté de « croissance des bénéfices » de Monsanto. De plus, la même année, quelque 30 000 médecins de ce pays  ont exigé l’interdiction  du glyphosate.

L’essentiel pour Grant était la maximisation des ventes et des bénéfices et la défense inébranlable du glyphosate, peu importe à quel point il est cancérigène pour l’homme et, plus précisément, à quel point  Monsanto en savait .

Noam Chomsky  souligne l’impératif commercial :

« … le PDG d’une société a en fait l’obligation légale de maximiser ses profits et sa part de marché. Au-delà de cette obligation légale, si le PDG ne le fait pas et, disons, décide de faire quelque chose qui, disons, profitera à la population et n’augmentera pas les bénéfices, il ne sera pas PDG très longtemps – ils ‘ Je serai remplacé par quelqu’un qui le fera.

Le PDG de Syngenta est taillé dans le même tissu que Grant. Alors que les crimes de Monsanto sont bien documentés, les transgressions de Syngenta sont moins médiatisées.

En 2006 , l’écrivain et militant Dr Brian John a déclaré :

« GM Free Cymru a découvert que Syngenta, dans sa promotion des cultures et des aliments GM, a été impliquée dans un réseau de mensonges, de tromperies et de comportements d’entreprise obstructifs qui auraient fait honneur à son concurrent Monsanto. »

Il y a quelques semaines, Fyrwald a  appelé  à l’abandon de l’agriculture biologique. Compte tenu de la crise alimentaire provoquée par la guerre en Ukraine, il a affirmé que les pays riches devaient augmenter leur production agricole – mais l’agriculture biologique a entraîné une baisse des rendements. Fyrwald a également appelé à ce que l’édition de gènes soit au cœur de l’agenda alimentaire afin d’augmenter la production alimentaire.

Il a déclaré:

« La conséquence indirecte est que les gens meurent de faim en Afrique parce que nous mangeons de plus en plus de produits bio. »

En réponse, Kilian Baumann, agriculteur bio bernois et président de l’Association suisse des petits agriculteurs, a qualifié les arguments de Fyrwald de « grotesques ». Il a affirmé que Fyrwald « se battait pour les ventes ».

Écrivant sur le  site Web de GMWatch , Jonathan Matthews dit que l’invasion russe de l’Ukraine semble avoir enhardi l’alarmisme de Fyrwald.

Matthews déclare :

« Les commentaires de Fyrwald reflètent la détermination de l’industrie à saper la stratégie de l’Union européenne de la ferme à la fourchette, qui vise d’ici 2030 non seulement à réduire l’utilisation de pesticides de 50 % et l’utilisation d’engrais de 20 %, mais à plus que tripler le pourcentage de terres agricoles de l’UE sous gestion biologique ( de 8,1 % à 25 %), dans le cadre de la  transition  vers un « système alimentaire plus durable » dans le cadre du Green Deal de l’UE. »

Il ajoute:

« Syngenta considère ces objectifs comme une menace quasi existentielle. Cela a conduit à une attaque soigneusement orchestrée contre la stratégie de l’UE.

Les détails de cette offensive de relations publiques ont été exposés dans un rapport du groupe de surveillance du lobby basé à Bruxelles Corporate Europe Observatory (CEO) :  Un lobby bruyant pour un printemps silencieux : les tactiques de lobbying toxiques de l’industrie des pesticides contre la ferme à la fourchette .

Mathews cite des recherches qui montrent que les cultures GM n’ont aucun avantage en termes de rendement. Il fait également référence à un rapport récemment publié   qui rassemble des recherches montrant clairement que les cultures GM ont entraîné des augmentations substantielles – et non des diminutions – de l’utilisation des pesticides. Les cultures génétiquement modifiées plus récentes et très médiatisées semblent prêtes à faire de même.

Syngenta fait partie des entreprises critiquées par un  rapport  de l’ONU pour « déni systématique des préjudices » et « tactiques de marketing contraires à l’éthique ». Matthews note que la vente de pesticides hautement dangereux est en fait au cœur du modèle commercial de Syngenta.

Selon Matthews, même avec les perturbations logistiques des cultures de maïs et de blé causées par la guerre en Ukraine, il y a encore suffisamment de céréales disponibles sur le marché mondial pour répondre aux besoins existants. Il dit que la crise actuelle des prix (et non la crise alimentaire) est le produit de la peur et de  la spéculation .

Mathieu conclut :

« Si Erik Fyrwald est vraiment si préoccupé par la faim, pourquoi ne s’attaque-t-il pas au  gâchis des  biocarburants, plutôt que de s’attaquer à l’agriculture biologique ? La réponse évidente est que les agriculteurs subventionnés pour cultiver des biocarburants sont de gros consommateurs de produits agrochimiques et, dans le cas américain, de semences OGM – contrairement aux agriculteurs biologiques, qui n’achètent ni l’un ni l’autre.

Fyrwald a un impératif financier pour faire pression pour des stratégies et des technologies particulières. Il est loin d’être un observateur objectif. Et il est loin d’être honnête dans son évaluation – utilisant la peur d’une crise alimentaire pour faire avancer son programme.

Pendant ce temps, les attaques soutenues contre l’agriculture biologique sont devenues un pilier de l’industrie, malgré  de nombreux rapports  et projets de haut niveau indiquant qu’elle pourrait nourrir le monde, atténuer le changement climatique, améliorer la situation des agriculteurs, conduire à de meilleurs sols, créer des emplois et fournir des produits plus sains et plus sains. diètes diverses.

Il y a une crise alimentaire, mais pas celle à laquelle Fyrwald fait allusion –   des  aliments dénutris et  des régimes alimentaires malsains  qui sont au centre d’une crise majeure de santé publique, une perte de  biodiversité  qui menace la sécurité alimentaire,  des  sols  dégradés , des  sources d’eau  polluées  et  épuisées et des petits exploitants les agriculteurs , si vitaux pour la production alimentaire mondiale (en particulier dans les pays du Sud),  évincés de leurs terres  et de l’agriculture.

L’agro-industrie transnationale a fait pression pour, dirigé et profité des politiques qui ont causé une grande partie de ce qui précède. Et ce que nous voyons maintenant, ce sont ces entreprises et leurs lobbyistes épousant une (fausse) préoccupation (une tactique de lobbying cynique) pour le sort des pauvres et des affamés tout en essayant d’acheter la démocratie européenne à hauteur de 37 millions d’euros. Bon marché au prix compte tenu de la manne financière que ses nouvelles technologies et graines de génie génétique brevetées pourraient récolter.

Diverses publications scientifiques montrent que ces nouvelles techniques permettent aux développeurs d’effectuer des modifications génétiques importantes, qui peuvent être très différentes de celles qui se produisent dans la nature. Ces nouveaux  OGM présentent des risques similaires ou supérieurs à ceux des OGM plus anciens .

En tentant d’esquiver la réglementation et d’éviter les évaluations d’impact économique, social, environnemental et sanitaire, il est clair que se situent les priorités de l’industrie.

Malheureusement, Fyrwald, Bill Gates, Hugh Grant et leurs semblables ne veulent pas et sont trop souvent incapables de voir le monde au-delà de leurs mentalités réductionnistes qui considèrent simplement les ventes de semences/produits chimiques, le rendement et les bénéfices des entreprises comme l’étalon de la réussite.

Ce qu’il faut, c’est une approche qui soutient les connaissances autochtones, la sécurité alimentaire locale, une meilleure nutrition par acre, des nappes phréatiques propres et stables et une bonne structure du sol. Une approche qui place la souveraineté alimentaire, la propriété locale, les communautés rurales et les économies rurales au centre de la politique et qui nourrit la biodiversité, améliore la santé humaine et travaille avec la nature plutôt que de la détruire.

L’alarmisme de Fyrwald est normal – le monde mourra de faim sans les produits chimiques et les semences (GM) des entreprises, surtout si les produits biologiques s’installent. Ce type de choses a été le tarif standard de l’industrie et de ses lobbyistes et a acheté des scientifiques de carrière pendant de nombreuses années.

Cela va à l’encontre de la réalité, notamment de la façon dont certaines préoccupations de l’agro-industrie ont fait partie d’une stratégie géopolitique américaine qui sape la sécurité alimentaire dans des régions du monde entier. Ces préoccupations ont prospéré grâce à la  création de dépendances et ont profité des conflits . De plus, il y a le succès des approches agroécologiques de l’agriculture qui n’ont pas besoin de ce que Fyrwald colporte.

Au lieu de cela, l’industrie continue de se présenter comme le sauveur de l’humanité – une main de Dieu alimentée par un nouveau monde techno-utopique courageux de science d’entreprise, versant du poison et semant les graines de la dépendance des entreprises avec le zèle missionnaire du sauveurisme occidental.


Lisez le livre électronique de Colin Todhunter intitulé

Nourriture, dépossession et dépendance. Résister au Nouvel Ordre Mondial

Nous assistons actuellement à une accélération de la consolidation des entreprises sur l’ensemble de la chaîne agroalimentaire mondiale. Les conglomérats de haute technologie/big data, dont Amazon, Microsoft, Facebook et Google,  ont rejoint les géants traditionnels de l’agro-industrie , tels que Corteva, Bayer, Cargill et Syngenta, dans une quête pour imposer leur modèle d’alimentation et d’agriculture au monde.

La Fondation Bill et Melinda Gates est également impliquée (documentée dans ‘ Gates to a Global Empire ‘ par Navdanya International), que ce soit en  achetant d’immenses étendues de terres agricoles , en promouvant une ‘ révolution verte ‘ tant annoncée  (mais ratée) pour l’Afrique , en poussant  technologies alimentaires biosynthétiques  et  de génie génétique  ou plus généralement  facilitant les objectifs des méga-entreprises agroalimentaires .

Cliquez ici pour lire .

La source originale de cet article est Global Research

Copyright © Colin Todhunter , Recherche mondiale, 2022




Interview de Mgr Viganò par l’équipe de Reiner Fuellmich

Voici l’interview récente faite par l’équipe de Reiner Fuellmich de l’archevêque Viganò. Ce dernier est le seul membre éminent de l’Église catholique (les autres églises ont également collaboré à fond à l’escroquerie Covid-19) à avoir eu la lucidité et le courage pour s’opposer au narratif de l’OMS, des laboratoires pharmaceutiques et des médias mainstream corrompus.

Jean Bitterlin

Interview partie I du 27 mai 2022

Comité Corona : Votre Excellence, de nombreuses personnes vous connaissent et vous apprécient beaucoup pour avoir été un homme sincère dans un environnement souvent malhonnête, même pendant votre service au Vatican. Vous avez servi comme diplomate de haut niveau, en particulier comme nonce du Vatican aux États-Unis, représentant le pape auprès des Églises locales aux États-Unis.

C’est pour nous un grand honneur et une grande joie de pouvoir vous parler aujourd’hui. Mais avant d’entrer dans le vif du sujet et de vous demander votre avis sur la situation politique mondiale, notamment en ce qui concerne la crise dite de Corona, veuillez nous parler un peu de votre histoire personnelle, afin que les spectateurs qui ne vous connaissent pas encore sachent qui vous êtes.

Mgr Viganò : Tout d’abord, je voudrais vous adresser mes salutations les plus cordiales, Monsieur l’Avocat Reiner Füllmich, ainsi qu’à tous vos collaborateurs et collègues, et vous rendre hommage pour avoir développé l’idée de la Commission Corona. Vos recherches sur la gestion de l’urgence Covid-19 et des essais de masse contribuent largement à rassembler des preuves afin de traduire les responsables en justice et de les punir. C’est une contribution importante en vue de la création d’une alliance antimondialiste, car les auteurs de la farce de la pandémie sont les mêmes personnes qui veulent aujourd’hui pousser le monde vers une guerre totale et une crise énergétique permanente.

En ce qui concerne ma « carrière », il n’y a pas grand-chose à dire : je suis un archevêque catholique qui a occupé différents postes à responsabilité au Vatican, aussi bien à la Secrétairerie d’État du Saint-Siège qu’au gouvernorat de l’État de la Cité du Vatican et en tant que nonce apostolique au Nigeria et enfin, par la volonté de Benoît XVI, aux États-Unis. Ma notoriété — totalement involontaire — résulte de ma position sur le scandale sexuel de l’ancien cardinal américain Theodore McCarrick et d’autres affaires, non moins graves, impliquant des membres haut placés de la hiérarchie. En tant que successeur des apôtres, je ne pouvais pas rester silencieux face aux tentatives de dissimulation de ces faits honteux par la soi-disant mafia de la lavande, qui bénéficie du soutien et de la protection de Bergoglio.

Comité Corona : vous avez un CV impressionnant — mais si l’on cherche votre nom dans les anciens médias (mainstream), on trouve des articles diffamatoires qui vous accusent, entre autres, de diffuser de la propagande du Kremlin et de faire des déclarations confuses. En y regardant de plus près, il nous semble que ce n’est pas du tout le cas, bien au contraire, vous restez plutôt fidèle à votre réputation d’homme sincère même dans un environnement peu sincère, même si cela vous porte préjudice personnellement. Où voyez-vous la « césure » ou la « rupture » dans votre parcours, où cette vertu a été transformée en tare par les anciens médias ? Quelle ligne rouge avez-vous franchie ; sur quel sujet votre franchise est-elle devenue un danger pour le récit public ?

Mgr Vigano : Les fausses accusations sont l’un des moyens utilisés par ceux qui veulent éliminer un adversaire qu’ils craignent et ne peuvent pas combattre loyalement. En l’occurrence, je suis considéré comme inconfortable tant par les représentants de l’Église profonde que par la cabale bergoglienne, dont je dénonce les scandales et les dissimulations depuis l’affaire McCarrick. Et je suis tout aussi inconfortable pour l’État profond, qui a pu compter sur la complicité du Saint-Siège ainsi que de la quasi-totalité de l’épiscopat mondial dans les événements de ces dernières années. La voix dissonante d’un évêque, en particulier lorsqu’il formule des plaintes fondées sur des faits irréfutables, risque de remettre en question le récit officiel, tant en ce qui concerne le prétendu renouveau de l’Église sous ce « pontificat » que la farce de la pandémie et la « vaccination » de masse. Même dans la récente crise entre la Russie et l’Ukraine, l’élite mondialiste, l’OTAN, l’État profond américain, l’Union européenne, le Forum économique mondial, toute la machinerie médiatique et le Vatican sont du même côté. L’intervention de Poutine en Ukraine est considérée comme une menace pour le Nouvel Ordre Mondial, qui doit être neutralisée, même au prix d’un conflit mondial.

Si je dois donc identifier un « point de rupture » sur le front ecclésial, il a définitivement coïncidé avec ma dénonciation du réseau de complicités et des scandales de clercs et de prélats corrompus que Bergoglio a délibérément et obstinément tenté d’étouffer. Sur le front civil, la ligne rouge me semble avoir été franchie avec mon Appel pour l’Église et le monde d’il y a deux ans [en mai 2020], dans lequel je dénonçais la menace que représentait le coup d’État silencieux mené à l’aide de l’état d’urgence sanitaire. L’urgence énergétique et l’urgence alimentaire font toujours partie, avec l’urgence guerrière, des « scénarios » inquiétants que le Forum économique mondial et les Nations unies ont décrits de manière très détaillée longtemps à l’avance. Lorsqu’un jour, pas si lointain, un tribunal jugera ces criminels et leurs complices dans les institutions de presque toutes les nations occidentales, ces documents constitueront la preuve de la préparation du plus grand coup d’État de tous les temps. Et la même chose se produira en ce qui concerne les affaires ecclésiastiques, montrant que la déviation doctrinale et morale qui a commencé avec le Concile Vatican II a créé les conditions nécessaires à la corruption doctrinale et morale du clergé et à la délégitimation simultanée de l’autorité des pasteurs. N’oublions pas que les processus révolutionnaires se sont toujours appuyés sur les vices et les faiblesses de leurs représentants, aussi bien pour détruire l’État que pour affaiblir l’Église.

Comité Corona : Votre Excellence, la crise Corona et Measures entre dans sa troisième année ; entre-temps, la conduite de la guerre à l’Est et surtout l’incitation massive à la guerre par la politique et les médias sont venues s’y ajouter. Comment jugez-vous cette évolution ?

Mgr Vigano : Clarifions un point fondamental : La crise ukrainienne a été sciemment provoquée par l’État profond afin de contraindre le monde à mettre en œuvre les réformes du Great Reset, notamment ce que l’on appelle la « transition technologique » et le « tournant vert ». C’est la deuxième étape du coup d’État technocratique mondialiste après la farce de la pandémie.

La psychopandémie était la première étape d’une véritable attaque visant à prendre le contrôle des gouvernements. En réalité, ils ne cherchent aujourd’hui qu’à contourner le pouvoir politique, qui n’était jusqu’à présent qu’un simple exécutant d’ordres. Sous prétexte de pandémie, ils ont mis en place des systèmes de contrôle détaillé de la population, y compris des systèmes de traçabilité des citoyens individuels inoculés avec le sérum génétique expérimental.

Pas plus tard que ces derniers jours, le PDG de Pfizer Albert Burla a déclaré au Forum de Davos : « Imaginez une puce biologique contenue dans une pilule qui, lorsqu’elle est avalée, passe dans l’estomac et envoie un signal. […] Imaginez les applications, la possibilité de rendre les gens dociles. […] Ce qui se passe dans ce domaine est fascinant » (ici). Et Albert Bourla dit « ce qui se passe » parce qu’il parle de technologies existantes et non de projets imaginaires. L’existence du graphène et des nanocircuits auto-assemblés est désormais admise même par ceux qui, il y a un an encore, traitaient de « conspirationnistes » ceux qui tiraient la sonnette d’alarme. Les populations des pays qui ont adhéré à l’Agenda 2030 sont désormais pour la plupart « vaccinées », ou plutôt génétiquement modifiées, et leur système immunitaire est désormais affaibli de manière irréversible. Et peut-être — comme le dénoncent maintenant certains juristes — découvrira-t-on qu’on leur a injecté, en même temps que le sérum génétique, des puces capables de contrôler même les réactions des gens, d’influencer leur comportement et de les rendre dociles en cas de troubles, ou violents s’il est nécessaire d’avoir un prétexte pour des interventions militaires. Nous sommes bien au-delà d’un coup d’État global : il s’agit de la plus grande, de la plus retentissante, de la plus inédite attaque contre la personne humaine : contre la liberté de l’homme, sa conscience et sa volonté.

On imagine bien le risque qu’il y a à confier à l’OMS le contrôle souverain des systèmes de santé de différents pays en cas de pandémie, alors que ceux qui doivent décider des campagnes de vaccination et des traitements, des mesures d’endiguement et de confinement, sont tous financés par les grands groupes pharmaceutiques et par la Fondation Bill & Melinda Gates, qui théorise sur la pandémie éternelle et le vaccin de rappel éternel. Même la résolution qui devait être votée à l’OMS — et qui a été empêchée, du moins pour le moment — allait dans le sens d’un contrôle total par la synarchie mondialiste. Il ne faut donc pas s’étonner si l’OMS, dans une tentative lamentable de dissimuler les effets secondaires du sérum génétique expérimental, tire maintenant la sonnette d’alarme au sujet de la prétendue variole du singe, dont la symptomatologie ressemble étrangement à certains des effets secondaires du « vaccin » à ARNm (ici). Tant l’OMS que l’Agence européenne des médicaments (financée à 75 % par BigPharma) ont montré qu’elles se trouvent dans un conflit d’intérêts évident et qu’elles sont totalement dépendantes de l’industrie pharmaceutique.

En ce qui concerne la crise russo-ukrainienne, ce qui aurait dû être une opération de paix visant à mettre fin à la persécution ethnique de la minorité russophone d’Ukraine par des extrémistes néonazis s’est délibérément et coupablement transformé en guerre. Les appels répétés du président Poutine à la communauté internationale pour qu’elle respecte le protocole de Minsk sont tombés dans l’oreille d’un sourd.

Pourquoi ? Pour la simple raison qu’il s’agissait d’une excellente opportunité.

Tout d’abord, c’était l’occasion de créer artificiellement une crise énergétique mondiale afin de forcer la transition vers des sources d’énergie alternatives, avec tout le business que cela implique. Sans crise, comment imposer l’augmentation des prix du gaz et de l’essence comme instrument pour contraindre les entreprises et les individus à la fameuse « transition écologique » que personne n’a jamais choisie et qui a été imposée par des bureaucrates, eux-mêmes asservis par les élites ?

Deuxièmement, pour détruire de manière contrôlée et impitoyable toutes les entreprises considérées comme inutiles ou nuisibles à l’économie globale des multinationales. Des millions d’entreprises artisanales, de petites entreprises qui font l’originalité des nations d’Europe et de l’Italie en particulier, ont été contraintes à la fermeture parce que, après les catastrophes provoquées par les bouclages et les règles de la psychopandémie, on a provoqué une hausse des prix du gaz et du pétrole, avec des spéculations criminelles du « marché » et sans que la Fédération de Russie n’obtienne un centime de plus. Tout cela a été provoqué par l’Union européenne, sur ordre de l’OTAN, à l’aide de sanctions qui se répercutent sur ceux qui les ont imposées. L’effondrement de l’économie traditionnelle n’est pas la conséquence malheureuse d’un conflit inattendu, mais l’action criminelle délibérée d’une mafia mondiale, en comparaison de laquelle la mafia traditionnelle apparaît comme un partenariat avantageux. L’avantage de cette opération subversive profite aux multinationales, qui peuvent racheter des entreprises et des biens immobiliers à des prix défiant toute concurrence, ainsi qu’aux sociétés financières, qui bénéficient de crédits accordés à des millions de nouveaux pauvres. Là encore, les objectifs idéologiques — et diaboliques — de l’élite se servent de la complicité de potentats économiques dont l’objectif est tout simplement de faire du profit. Avec la guerre, l’industrie de l’armement et la non moins florissante industrie des technologies de l’information et des mercenaires ont désormais la possibilité de conclure des affaires lucratives qui leur permettent de récompenser généreusement les politiciens qui ont voté pour la livraison d’armes et de soutien à l’Ukraine.

Troisièmement, la guerre en Ukraine devait notamment servir à étouffer le scandale Hunter Biden qui, avec la société Metabiota, a financé des laboratoires biologiques dans lesquels sont fabriquées des armes bactériologiques de destruction massive. Le siège de l’aciérie d’Azovstal était justement justifié par la nécessité de cacher aussi bien les membres des troupes étrangères de l’OTAN avec les néonazis d’Azov et de Pravij Sektor que les laboratoires biologiques interdits par les conventions internationales et dans lesquels des expériences devaient être menées sur la population locale.

Quatrièmement, parce que le récit de la pandémie peudo, malgré la complicité des médias mainstream, n’a pas pu empêcher la vérité d’éclater au grand jour et de se répandre progressivement dans des cercles de plus en plus larges de l’opinion publique : la crise ukrainienne devait être une opération bien organisée visant à détourner l’attention des masses afin d’empêcher que les nouvelles de plus en plus incontrôlables sur les effets mortels du sérum expérimental et les conséquences catastrophiques des mesures prises par les nations pendant la pandémie d’urgence ne soient connues. La falsification des données est désormais évidente ; la dissimulation délibérée des résultats de la première phase de l’expérience est admise par les entreprises pharmaceutiques elles-mêmes ; l’inutilité des masques et du confinement est prouvée par plusieurs études ; les dommages causés à l’équilibre psychophysique de la population et en particulier aux enfants et aux personnes âgées sont incalculables, tout comme les dommages causés aux étudiants par l’enseignement à distance. Retenir les gens devant la télévision ou dans les médias sociaux avec de la propagande antirusse pour les empêcher de comprendre ce qui leur a été fait est le moins que puissent faire ces criminels fous, des criminels qui sont autant responsables de la pandémie que de la crise russo-ukrainienne.

Si nous examinons le scénario de ce drame planifié par l’élite mondialiste, nous constatons qu’en plus du scénario de la pandémie, il existe d’autres scènes planifiées qui ne sont pas moins inquiétantes et que nous pouvions déjà prévoir depuis l’année dernière dans les médias : la crise énergétique, qui n’est pas la conséquence regrettable d’une crise imprévisible en Ukraine, mais plutôt un moyen d’imposer d’une part l’« économie verte », justifiée par une urgence climatique inexistante, et d’autre part de détruire les économies nationales, en poussant les entreprises à la faillite au profit des multinationales, en créant du chômage et donc une main-d’œuvre sous-payée, en obligeant les nations à s’endetter parce qu’on les a dépossédées de leur souveraineté fiscale, ou en tout cas à s’endetter durablement à cause des prélèvements obligatoires.

L’urgence alimentaire est aussi dans le scénario de Klaus Schwab : elle a commencé pour certains produits aux États-Unis et en Europe, et plus généralement pour les céréales et les produits céréaliers dans de nombreux pays d’Afrique et d’Asie. Nous découvrons ensuite que Bill Gates est le plus grand propriétaire terrien des États-Unis lorsqu’il y a une pénurie de céréales et de produits agricoles ; et que Gates est le patron d’une start-up qui produit du « lait humain artificiel » lorsqu’il y a une pénurie de lait en poudre pour les bébés aux États-Unis. Et n’oublions pas que les multinationales de l’agroalimentaire parviennent à imposer l’utilisation de leurs semences stériles — qu’il faut racheter chaque année — et à interdire l’utilisation des semences traditionnelles, ce qui permettrait aux pays pauvres de ne pas être dépendants d’elles.

Celui qui a conçu la série de crises actuelles, dont les racines ont été posées au début des années 1990 avec la privatisation des entreprises publiques, a également veillé à ce que les personnes formées à cet effet par le Forum économique mondial siègent dans les gouvernements, les institutions et les agences internationales, à la tête des banques centrales et des grands actifs stratégiques, dans les médias et dans les principales religions du monde. Regardez les Premiers ministres des principaux pays européens, du Canada, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande : ils ont tous été recrutés au sein du groupe des « Young Global Leaders for Tomorrow », et le fait qu’ils siègent aux plus hauts niveaux de direction de ces nations, de l’ONU et de la Banque mondiale devrait être plus que suffisant pour les traduire en justice pour subversion et trahison. Ceux qui ont juré d’appliquer les lois dans l’intérêt de leurs propres nations commettent un parjure au moment où ils doivent répondre de leurs propres actions non pas devant les citoyens de leurs nations, mais devant des technocrates sans visage que personne n’a élus.

Il est facile de rejeter tout cela comme une « théorie du complot », mais un tel rejet n’est plus tenable, pas plus que l’accusation de « complicité » à l’encontre de quiconque exprime sa perplexité face à la crise russo-ukrainienne et à sa gestion au niveau international.

Ceux qui ne veulent pas comprendre l’intrigue, parce qu’ils ont peur de ce qu’ils pourraient découvrir, s’obstinent à nier qu’il y ait un scénario et un metteur en scène, qu’il y ait des acteurs et des figurants, des décors et des costumes. Mais peut-on vraiment croire que les personnes les plus riches et les plus puissantes du monde ont accepté de lancer une telle attaque contre l’humanité pour réaliser leur rêve mondialiste délirant, en déployant une quantité énorme d’énergie et de ressources, sans avoir tout planifié au préalable dans les moindres détails et en laissant tout au hasard ? Si les personnes qui veulent acheter une maison ou créer une entreprise planifient tout avec soin, pourquoi s’agirait-il d’une « théorie du complot » lorsqu’elles réalisent que l’élite doit recourir au mensonge et à la tromperie pour obtenir des résultats inconcevables et criminels ?

Si vous me permettez une analogie, je dirais que notre attitude face aux faits actuels est comparable à quelqu’un qui doit assembler un puzzle composé de milliers de pièces sans avoir l’image finale devant lui. Ceux qui ont assemblé le « puzzle » mondialiste l’ont fait dans l’intention de rendre méconnaissable l’image finale de ce qu’ils veulent obtenir. Mais celui qui voit l’image complète, ou même une partie importante, commence à voir comment les pièces s’assemblent. Et celui qui a vu l’image finale sait aussi comment interpréter le silence et la connivence des fonctionnaires du gouvernement et même des partis d’opposition, comment expliquer la complicité des médecins et des ambulanciers dans les crimes commis dans les hôpitaux contre toutes les connaissances scientifiques, et la complicité des évêques et des prêtres qui sont allés jusqu’à refuser les sacrements aux personnes non vaccinées. Dès que de grandes pièces du puzzle seront visibles — et c’est ce qui se passe actuellement —, il sera beaucoup plus facile de mettre les autres pièces à leur place. Et alors, Klaus Schwab, George Soros, Bill Gates, les autres conspirateurs et ceux qui dirigent dans l’ombre cette conspiration mondiale criminelle seront en fuite pour ne pas être lynchés.

[Voir aussi :
Selon Mgr Viganò, la gouvernance mondiale de la Santé représente l’un des éléments fondamentaux du Nouvel Ordre Mondial
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]




François, est-il le pape du Great Reset ?

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Laurent Aventin

Sur l’ordre du Vatican, l’archevêque de Marseille, le cardinal Aveline, a ordonné la suspension des ordinations cette année dans le diocèse de Fréjus-Toulon, celui de Mgr Rey. François vient juste de « sortir » Mgr Aupetit du diocèse de Paris, un défenseur des valeurs chrétiennes et de la vie (questions de bioéthique). Mgr Rey est sur la sellette parce qu’il a de nombreuses vocations dans les communautés dites traditionnelles. Qui sera le prochain en France ? Mgr Aillet qui a des doutes sur le bien-fondé de la vaccination contre Covid ? Bergoglio serait-il celui qui est entré dans la bergerie pour décimer le troupeau ?

[NDLR : si l’on considère que Bergoglio étant Jésuite ne peut être pape, alors il n’est qu’un antipape.]

Quel lien y a-t-il entre François et un Benoit XVI, un Jean Paul II ou un autre pape du XXe siècle ? Seulement un vêtement blanc ? Bergoglio démolit sans nul doute l’Église pierre après pierre et dans ce qui pourrait s’apparenter à un mutisme, particulièrement au sein de l’Église. Le Catéchisme de l’Église Catholique indique dans son article 882 que « le Pape, évêque de Rome et successeur de S. Pierre est principe perpétuel et visible et fondement de l’unité qui lie entre eux soit les évêques, soit la multitude des fidèles. En effet, le Pontife romain a sur l’Église, en vertu de sa charge de vicaire du Christ et de Pasteur de toute l’Église, un pouvoir plénier, suprême et universel qu’il peut toujours librement exercer ». Autrement dit, il détient tous les pouvoirs. Le Pape a de grandes responsabilités, l’Église enseigne qu’il est conduit par l’Esprit Saint et il aura des comptes à rendre, du moins à Dieu si ce n’est aux hommes.

Comment François empêche la création de prêtres au dernier moment

L’Église, sécularisée, est en train de mourir peu à peu faute de vocations. En France, en 2014, il y avait 5800 prêtres actifs, ils étaient encore 3000 prêtres actifs en 2020 et Louis Benoit Greffe indiquait en 2017 que les « tradis » deviendront incontournables pour sauver l’Église ». Un constat évident, car les vocations se développent essentiellement — pour ne pas dire presque uniquement — au sein des communautés catholiques traditionnelles. François s’est clairement et explicitement opposé à la pratique de ces communautés sur le rite traditionnel — pourtant « redoré » par son prédécesseur Benoit XVI — en décrétant le motus proprio Traditionis custodes. Aujourd’hui, il bloque la création de prêtres et participe à la déchristianisation de la France. On s’attendrait plutôt à ce que cette action soit celle d’un antipape, pas celle du pape. C’est un coup bas, car cette information oblige l’évêché de Toulon à surseoir à ses ordinations de prêtres et de diacres qui devait avoir lieu le 29 juin 2022. La justification selon l’archevêque de Marseille : « plusieurs points posent question dans la formation et le discernement des candidats du séminaire de la Castille ». Par là il faut entendre un prétexte dont le flou artistique n’échappe à personne, digne de l’administration française dont l’Église institutionnelle de France s’est dangereusement rapprochée pour ne sembler plus faire qu’un avec elle. Le schisme de l’Église Universelle n’est plus très loin et Bergoglio y travaille avec acharnement.

Sa méthode consiste à changer les responsables de grandes institutions catholiques pour y placer des progressistes — comme à l’académie pour la Vie en 2017 ou encore à l’Institut Jean Paul 2 qu’il a ainsi purgé de sa substantifique moelle. Bien sûr, le Vatican se défend de toutes les critiques. L’ordre de Malte a également subi le contrôle interposé de François comme s’il s’agissait d’une organisation décadente. Il y en a d’autres encore…

Pourquoi empêcher les vocations sacerdotales en France et laisser faire une Église allemande qui préconise le mariage des prêtres ? Mais parce que François déconstruit l’Église, y compris les dogmes qui ont 2000 ans (l’enfer est évoqué notamment dans le livre de l’Apocalypse) : « L’enfer n’existe pas, ce qui existe c’est la disparition des âmes pécheresses » avait-il déclaré à la Republica en 2017.

Le pape, 1er défenseur des injections Covid, et ses liens avec les acteurs du Great Reset

Edouard Husson avait évoqué le rapprochement du Vatican avec les forces du Great Reset : « l’Église semble devenir aujourd’hui un fervent supporteur des pouvoirs en place et du nouvel ordre mondial ».

« Le Pape François a rencontré deux fois secrètement le PDG de Pfizer, Albert Bourla, en 2021, avant de rendre la vaccination obligatoire au Vatican : telle est l’information explosive recueillie auprès de sources internes par le National Catholic Register, un média américain d’information catholique. On appréciera à sa juste mesure le fait que le pape qui a pris le nom de Saint François d’Assise, apôtre de la pauvreté, pousse jusqu’à fréquenter le PDG d’une entreprise qui a gagné des milliards durant la pandémie. Et même, qu’il se soit fait lobbyiste de l’industrie vaccinale en expliquant que la vaccination contre le COVID était en acte d’amour ». Les liens du Vatican avec la fondation Gates et l’association de cet autre milliardaire mondialiste, Soros, ont aussi été rapportés.

François, toujours prompt à défendre la vaccination contre Covid sans autre argument qu’une charité sans vérité, est coresponsable de la vaccination de millions de catholiques incluant les enfants. Ces vaccins, à ARNm ou à adénovirus, détruisent le système immunitaire, perturbent le système endocrinien et affectent le système neurologique et circulatoire. Les 17 000 scientifiques qui l’affirment ne semblent pas faire bouger ce pape arrimé au Great Reset.

Le pape prépare-t-il une religion mondiale… sans le Christ ?

Beaucoup de catholiques se demandent si le pape prépare la religion mondiale syncrétique et antichrétienne portée par le Great Reset et les Nations unies. L’adhésion du pape aux objectifs durables pour le développement (ODD) — ni Jean Paul II ni Benoit XVI n’avait adhéré aux Objectifs mondiaux du développement, précurseurs des ODD, mais les dénonçaient comme un mode de gouvernance mondiale — est une adhésion à l’agenda 2030. Ce dernier impose un programme mondial — les ODD — et donc une gouvernance mondiale pilotée par les Nations Unies. Cette instance privée est contrôlée et financée par les mêmes riches philanthropes du Forum Économique Mondial (Forum de Davos). Le transfert de souveraineté des États au système des Nations Unies s’est déroulé devant nos yeux de manière accélérée ces 2 dernières années avec la crise du Covid. L’OMS est en passe de devenir un organe de contrôle mondial, une société-écran donnant tous les pouvoirs à ceux qui la financent.

Le 8 juillet 2021, le Vatican a annoncé que le pape François a nommé le cardinal Jean-Claude Hollerich, S.J. comme rapporteur général du prochain synode des évêques de 2023 sur la synodalité. L’archevêque de Luxembourg est connu pour soutenir l’idée d’ordonner des hommes mariés comme prêtres et pour être ouvert à l’idée de « femmes prêtres ».

 Le pape devrait permettre le mariage des prêtres, l’ordination des femmes, et accueillir l’homosexualité en conformité avec les directives des Objectifs durables de développement (ODD) qui promeuvent l’homosexualité dans tous les pays membres à travers leur programme sur le genre.

Bergolgio va tout permettre pour se faire aimer et ensuite pour se faire adorer par ses adeptes dans une nouvelle religion syncrétique et naturaliste. Il a déjà commencé à le faire dans une grande indifférence de la communauté catholique, prisonnière du principe d’un respect justifié, mais exagéré du Pape. Nous avons déjà consacré un article à l’instauration par le Pape d’une nouvelle religion hérétique mondiale dont voici un extrait :

Dans un texte intitulé « document sur la fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune », signée à l’initiative de ce projet (« Maison d’Abraham » à Abu Dhabi) en 2019 par le pape et L’Imam d’Al-Azhar Ahmad Al-Tayyeb, le pape nous indique qu’« Au nom de Dieu et de tout cela, Al-Azhar al-Sharif — avec les musulmans d’Orient et d’Occident — conjointement avec l’Église catholique — avec les catholiques d’Orient et d’Occident — déclarent adopter la culture du dialogue comme chemin ; la collaboration commune comme conduite ; la connaissance réciproque comme méthode et critère ». Mais dans quel but ? La définition d’une néo-religion commune ? Ce vieux rêve des Nations Unies, qui s’y prépare depuis des décennies, car les divisions religieuses et culturelles ralentissent l’instauration d’un gouvernement mondial dont elles sont à la fois le moteur et la vitrine, n’aboutit pas. Il est intéressant de constater que le document signé par François pour la paix mondiale et la coexistence commune renvoie à une statue nouvellement inaugurée devant le siège des Nations Unies à New York, représentant la bête de l’Apocalypse et intitulée sans vergogne « gardien de la paix et de la sécurité internationale ».

L’Organisation des religions unies (ORU) a pour but de faire collaborer les religions aux grandes institutions internationales. Elle existe depuis de nombreuses années et ce programme pour une religion unique mondiale n’a qu’un seul objectif : faire tomber les barrières religieuses pour unifier le monde nouveau et instaurer une gouvernance mondiale au détriment du respect des souverainetés et des peuples. Les Nations Unies sont tenues par les sociétés secrètes qui les financent, mais aussi les contrôlent depuis leur création après la Seconde Guerre mondiale. Cette domination s’instaure tout en simulant des valeurs positives et de tolérance ».

François, un pape franc-maçon ?

Invité le 27 novembre 2017 par le journaliste Roberto Garcia dans une émission télévisée argentine sur la chaîne 26, l’ancien secrétaire des renseignements argentins du Vatican, Juan Bautista Yofre a dévoilé l’appartenance maçonnique de Jorge Mario Bergoglio ainsi que la sienne. Yofre a précisé que cette information avait déjà été révélée par le journal La Nacion. Cette information reste invérifiable, mais la déclaration télévisée est bien réelle, elle commence à partir de la 28e minute de la vidéo.

À la sortie de Fratelli Tutti, encyclique de François sur la fraternité, les francs-maçons de Rome (et d’ailleurs aussi) ont salué cette encyclique pleine de références maçonniques et déclarent que « c’est leur grande mission et leur rêve ». Il faut le lire pour le croire, mais les références maçonniques ne manquent pas dans cette encyclique par ailleurs pauvre en références bibliques.

Quoiqu’il en soit le schisme dans l’Église n’est plus très loin et la question délicate qui va se poser aux catholiques est de savoir s’ils doivent suivre le Christ ou le Pape. En posant la question différemment — faut-il suivre le Christ ou « l’antipape ? » — la réponse devrait alors être plus aisée.

Benoit XVI : Une espérance prophétique

En 1982, Joseph Ratzinger (Benoit XVI) avait prophétisé la nouvelle religion mondiale qui arrive :

« Durant le siècle prochain, il y aura une institution, qui ne sera plus catholique, mais qui gardera l’apparence du catholicisme sans la foi. L’institution héritera de tous les biens de l’Église, les chapelles, les églises, les cathédrales, les œuvres d’art, tout, elle sera riche et puissante, mais aura perdu la foi. À côté de cela, il y aura un petit reste fidèle au catéchisme, ce seront les vrais catholiques, non pas pour une raison de rite, mais de foi, et cela sera insupportable pour l’institution ».

D’autres propos similaires, datés de 1969, étaient aussi prophétiques.

Le petit reste — il s’agit donc d’une minorité — doit donc se préparer à résister, car les portes de l’enfer ne prévaudront pas sur l’Église (Mat 16, 18).




La véritable raison de la volonté de l’UE d’imposer un embargo sur le pétrole russe

[Source : exoconscience.com]

Cette semaine, l’Union européenne devrait annoncer une interdiction totale des importations de pétrole russe. La Hongrie, dans son premier véritable acte de défi, menace d’y opposer son veto ; l’Allemagne, après quelques tergiversations, a finalement décidé qu’elle pouvait survivre à une telle interdiction.

En supposant que les objections de la Hongrie soient finalement surmontées, cela ressemble, à première vue, à un nouveau « but contre son camp » en matière d’énergie de la part des personnes obsédées par le football. Les États-Unis ont déjà émis cette interdiction.

L’industrie européenne étant fortement tributaire du pétrole et du gaz russes, la sagesse populaire veut que la Commission européenne soit tout simplement irascible et incompétente.

Sont-ils irritables ? Oui. Incompétente ? C’est possible ? Mais seulement si vous pensez en termes conventionnels à faire ce qu’il faut pour leur peuple. Ce qui est clair pour tout observateur sérieux de la politique européenne, c’est qu’ils ne s’intéressent pas à ce que leurs peuples ont à dire ou à vouloir.

Leur programme ne tolère aucune opposition, même s’il leur faut détruire leur propre économie pour mettre un rival à genoux.

Cela dit, je doute sincèrement qu’il y ait un « embargo des acheteurs » sur le gaz naturel, car il n’existe pas de substitut viable à celui-ci.

La Hongrie utilise la nécessité d’un consentement unanime au sein du Conseil européen pour bloquer toute « interdiction du gaz » dans tout nouveau paquet de sanctions économiques. Au moins trois autres pays sont heureux que la Hongrie soit prête à subir les foudres de Bruxelles.

Mais interdire le pétrole russe, d’un autre côté, c’est différent.

Il est donc intéressant que la Hongrie fasse cela, étant donné qu’elle n’importe pas de pétrole de Russie. {Ed. c’est faux, la Hongrie importe 65% de son pétrole par l’oléoduc Druzhba} Ce veto avait été prédit par moi le matin après que les Hongrois aient massivement rejeté la coalition anti-Viktor Orban de George Soros et lui aient infligé une défaite ignominieuse.

La Hongrie, en revanche, est indépendante de Bruxelles sur le plan énergétique car elle a passé un contrat direct avec Gazprom pour le gaz naturel via le train de Turkstream qui va en Serbie et en Hongrie. Cela devrait vous permettre de comprendre pourquoi l’UE tente de sanctionner la Serbie et de couper les flux de ce gazoduc là où il traverse le territoire de l’UE en Bulgarie.

Avec une Hongrie indépendante sur le plan fiscal, monétaire (elle ne participe pas à l’euro) et énergétique, il n’y a guère d’arguments pour qu’elle reste dans l’UE si Bruxelles la traite comme un membre de seconde zone. Orban et son gouvernement ont refusé catégoriquement de s’impliquer dans le conflit entre la Russie et l’Ukraine, malgré les fortes pressions exercées par l’OTAN.

C’est presque comme si Orban et les Hongrois mettaient maintenant l’UE au défi d’avancer les procédures de l’article 7 pour les expulser. Le problème est que, s’ils le font, l’UE commencera à se fracturer.

Il est donc plus probable que la Hongrie utilise son droit de veto pour obtenir de l’UE qu’elle revienne sur les violations de l’ »État de droit » qui justifient l’exclusion de la Hongrie du budget de l’UE. Le marchandage ici devrait être évident.

Car Bruxelles et ses soutiens en coulisse veulent absolument cette interdiction du pétrole russe, tout comme les États-Unis et le Royaume-Uni. Cela fait partie de leur stratégie à long terme visant à saigner la Russie, après avoir transformé l’Ukraine en Afghanistan 2.0.

Et c’est dans les différences entre l’industrie pétrolière et l’industrie du gaz naturel qu’ils pensent pouvoir atteindre cet objectif.

Des tuyaux et des populi

Dans les industries du pétrole et du gaz, la mise sous pression d’un puits est, pour l’essentiel, un processus à sens unique. On creuse un puits et on en extrait le pétrole et/ou le gaz. Il produit jusqu’à ce que le puits soit épuisé. Vous remplacez la diminution naturelle de la production du puits en forant un nouveau puits.

Mais même s’il y a un gros choc de demande à la baisse, ce qui est rarement le cas dans l’industrie pétrolière en général, ces puits continuent à produire. Le marché est temporairement surchargé de pétrole, le prix chute et les anciens puits ne sont pas remplacés jusqu’à ce que l’équilibre entre l’offre et la demande soit rétabli.

Les courbes des contrats à terme sur le pétrole sont construites par les négociants pour anticiper ces effets sur les prix. Et pour une volatilité normale de la demande de pétrole, ces courbes devraient être raisonnablement prévisibles.

Malheureusement, nous vivons à une époque où les personnes les plus puissantes du monde (du moins dans leur esprit) tentent ouvertement de détruire le marché du pétrole pour leurs propres objectifs et leur propre agenda. Ils travaillent activement à rendre les prix du pétrole et du gaz volatils au point de détruire les investissements dans l’industrie.

Ils ne le cachent pas. Le pétrole est le fléau de la planète !

J’appelle ces gens la foule de Davos (pour une description de ces personnes, voir mon podcast, épisodes 7576 et 77 pour les informations de base). Ce sont les oligarques non élus, les banquiers, le pouvoir héréditaire et les nouveaux Made Men (au sens de la mafia) qui se réunissent chaque année à Davos, en Suisse, pour décider de l’avenir de l’humanité.

Et c’est leur programme, utilisant le changement climatique et les menaces internationales telles que la guerre biologique et le terrorisme comme justifications d’une expansion massive de l’État de surveillance et de leur contrôle sur toutes choses, mais surtout sur l’argent.

L’énorme stock de ressources naturelles de la Russie et son gouvernement souverainiste s’y opposent totalement. Si vous croyez le contraire, vous avez été gazé par la propagande de Davos. Je vous invite à ranger vos enfantillages, certains trous de lapin ne sont que des trous, pas des garennes.

Revenons à l’industrie pétrolière. Le recouvrement d’un puits de gaz ou de pétrole est dangereux car il n’y a aucune garantie qu’il puisse être rouvert. Les puits peuvent être endommagés et le pétrole/gaz qu’ils contiennent perdu sans qu’il soit nécessaire d’en forer un nouveau.

Dans le cas du gaz, il suffit de brûler l’excédent si le stockage est complet, plutôt que de boucher le puits et d’attendre que la demande revienne. Avec le pétrole, par contre, vous ne pouvez pas vraiment faire cela. Vous devez stocker le produit quelque part. De toute évidence, la capacité de stockage de pétrole de la Russie est déjà pleine, voire débordante.

L’industrie pétrolière en général n’est pas conçue pour le stockage massif à long terme en raison des chocs entre l’offre et la demande, car elle n’en a littéralement pas besoin. Ce qui se développe, c’est la capacité à déplacer le pétrole pour le consommer, et non à le stocker dans de grands réservoirs en espérant que quelqu’un l’achètera.

L’industrie dispose de toute la capacité de réserve dont elle a besoin pour coordonner l’offre et la demande dans des tolérances assez étroites. Ce n’est pas une tolérance de livraison « juste à temps », mais elle n’est pas capable d’absorber un choc de demande de 20%.

Et c’est là que l’Occident pense avoir un levier important à utiliser contre la Russie en ce moment. Au dire de tous, l’Europe est l’un des principaux clients de la Russie en matière de pétrole, le port de Rotterdam ayant reçu et raffiné jusqu’à 1,4 million de barils par jour avant la guerre.

Croyez-le ou non, le Washington Post a publié un article décent expliquant où vont les exportations de la Russie. Sur les quelque 7,2 millions de barils par jour que la Russie exporte dans le monde, 4,8 millions sont destinés à des pays, pour la plupart européens, qui déclarent ne plus vouloir acheter de pétrole russe.

Le manque de capacité de stockage ne devrait pas être un problème majeur si la Russie exportait la plupart de son pétrole vers l’Europe par bateau, ce qu’elle fait. D’après un récent rapport de Transport & Environment, une ONG dont l’objectif est de convaincre l’Europe de se passer de l’énergie russe, l’oléoduc Druzhba ne fournit qu’environ 10% du pétrole russe au marché européen.

Cela représente la bagatelle de 250 000 barils par jour. L’embargo américain est plus dangereux pour l’économie russe, car en 2021, les États-Unis, qui devaient remplacer les barils sanctionnés du Venezuela par l’ancien président Trump, ont importé une moyenne de 600 000 barils par jour.

Ces importations ont commencé à se tarir en 2022, bien avant que la Russie n’envahisse l’Ukraine. Il s’agit donc d’une autre donnée montrant que cette guerre entre l’Occident et la Russie a été planifiée bien avant la date de son déclenchement effectif, fin février.

Le fait est que l’argument qui circule dans la presse aujourd’hui est que la Russie n’a pas la capacité de stockage nécessaire pour faire face à un embargo européen et qu’elle devra donc réduire sa production. Les estimations des réductions de production de la Russie tournent autour de 1,8 million de barils par jour, alors que l’Occident espère 3 millions.

À l’instar de ce que Trump a fait en 2018 contre l’Iran, la campagne de sanctions choc a gelé de nombreuses sociétés de négoce de pétrole, qui ne savaient pas ce que l’avenir leur réservait et refusaient de faire des affaires avec la Russie de peur de se mettre à dos les sanctions.

De Shell à Glencore en passant par Trafigura, les appels d’offres pétroliers russes sont devenus persona non grata et cela a créé un désordre total dans leurs livres de négociation et dans l’ensemble du secteur du négoce des matières premières, comme l’a décrit la note de Zoltan Pozsar du Credit Suisse du mois dernier.

En raison de cette dislocation financière dans ce qui devrait être une industrie stable, ennuyeuse et sans cervelle – le commerce de la matière première la plus importante au monde avec la plus grande infrastructure pour la servir – le chaos a suivi.

L’Occident collectif, suivant le plan de match de Davos, espère encore plus.

La conclusion de Pozsar est que toutes ces entreprises auront besoin d’un renflouement à un moment donné (avec une possible nationalisation comme prix à payer) ou seront autorisées à faire faillite pour servir le plan de révision radicale de l’économie mondiale de l’énergie, loin du pétrole de Davos.

Dans le même temps, ils porteraient un coup dur aux perspectives économiques de la Russie. Vu sous cet angle, il s’agit d’une sorte de double maléfice.

Mais si le fait de soutenir le pétrole acheminé par oléoduc n’est pas un si grand coup pour la production russe, qu’est-ce que l’UE essaie d’accomplir ici ?

En perturbant les routes que le pétrole emprunte normalement dans le monde, il y a maintenant une pénurie structurelle de pétroliers pour transporter le pétrole demandé. En effet, une grande partie de ces barils, soit plus de 2 millions par jour, doivent désormais effectuer des voyages beaucoup plus longs.

Au lieu de faire le trajet café-gâteau de Saint-Pétersbourg à Rotterdam, ces mêmes navires doivent maintenant, au minimum, se rendre dans des installations de stockage aux Bahamas et dans les Caraïbes, voire jusqu’en Chine ou en Inde, leur destination finale.

Lisez le billet de Pozsar ou l’article de ZeroHedge dont le lien figure ci-dessus pour vous faire une idée de l’ampleur de la perturbation.

On espère que ce choc de l’offre sur le marché des pétroliers et les effets en aval des coûts supplémentaires des voyages créeront une réaction en cascade au sein de l’industrie pétrolière russe, ce qui entraînera les baisses de production prévues.

Cela aura pour effet d’entamer sa balance commerciale positive qui « alimente la machine de guerre de Poutine ». Cela donnera également l’occasion aux concurrents de la Russie de venir leur voler des parts de marché.

Grâce à ce mécanisme et aux efforts de l’Occident pour modifier l’utilisation de l’énergie en Europe, l’effet à long terme est de détruire la capacité de la Russie à poursuivre la guerre en la privant des capitaux nécessaires.

Davos rime avec Thanos

Les États-Unis sont heureux de pousser l’Europe à ce point et de nombreux commentateurs sont heureux de terminer la conversation là : Choisissez votre épithète, mais l’idée est que l’ »Empire du Mensonge » ou la « Zone A », ou qui que ce soit d’autre, sent que son hégémonie est menacée et qu’il pousse tout le monde, en particulier l’Europe, à adopter sa stratégie préférée.

Mais je pense que cette histoire est plus une version « Made for TV » qu’une représentation exacte de la réalité.

Elle ne tient pas compte de la structure d’objectifs plus large des personnes à l’origine de ce désordre. Plutôt que d’être captifs d’une Amérique hyper-belligérante, les nations de l’UE sont des partenaires tout à fait volontaires dans cette affaire.

La stratégie de grande réinitialisation de Davos repose sur les mêmes erreurs que celles commises par Thomas Malthus au début du 19e siècle concernant la rareté des ressources. Leur modèle économique ne croit pas que les gens réagissent en temps réel aux incitations, pour ou contre, qui modèrent leur comportement. Au contraire, ils considèrent les humains comme un virus qui se déchaîne sur le monde et qui doit être contrôlé.

L’ensemble de la Grande Réinitialisation peut se résumer au même argument que le méchant des films Marvel, Thanos, qui a dit qu’il fallait tuer la moitié de la vie dans l’univers pour rendre les choses « durables ».

Et le centre de pouvoir de ce type de pensée ne se trouve pas aux États-Unis et dans l’Empire américain. Nous sommes les hyper-capitalistes qui cultivent le virus dans notre boîte de Pétri d’individualisme.

Non, cette pensée vient carrément des critiques européennes du capitalisme. Pour être réducteur, il s’agit simplement d’un marxisme réchauffé et recouvert d’une nouvelle couche de peinture rhétorique – durabilité, capitalisme des parties prenantes, environnement, social et gouvernance (ESG), objectif partagé, etc.

La preuve que l’UE est tout aussi satisfaite de la guerre en Ukraine que les forces néoconservatrices des États-Unis et du Royaume-Uni est évidente dans leur refus de mettre fin à la guerre par la diplomatie.

Mais ce sont les Européens qui souffriront le plus de cette stratégie.

Les mauvais scénarios engendrent de mauvaises politiques

Si les dirigeants de l’UE, possédés par Davos, agissaient au nom des Européens moyens, ils utiliseraient les coûts évidents de la coupure de l’Europe de l’énergie russe pour dire aux États-Unis et au Royaume-Uni d’aller se gratter.

Au lieu de cela, tout ce que nous entendons de leur part, c’est comment l’Allemagne peut se sevrer complètement de l’énergie russe en un an.

Peu importe que cela ne soit pas bon pour l’industrie allemande ou le peuple allemand à long terme. L’énergie russe est de loin la solution la moins chère pour eux, ce qui rend leur main-d’œuvre la plus compétitive possible.

Au lieu de cela, après avoir contribué à fabriquer la crise en Ukraine, ils soutiennent maintenant l’idée que c’est un impératif moral pour les Allemands de souffrir sans nourriture, sans chauffage et sans autres nécessités de base d’une supposée société avancée du premier monde pour vaincre les méchants Russes.

Dans les années qui ont précédé ce conflit, ils auraient travaillé à la mise en œuvre des accords de Minsk. Ils auraient levé les sanctions économiques à l’encontre de la Russie, auraient conclu un accord politique sur la Crimée et le Donbas, et auraient laissé les États-Unis et le Royaume-Uni s’agiter dans le vent.

L’ancienne chancelière allemande Angela Merkel et le président français Emmanuel Macron ont fait le contraire. Ils ont mis de la poudre aux yeux de Poutine tout en faisant tourner le chrono jusqu’à ce que Macron soit réélu et que Merkel puisse quitter la scène, laissant une faible coalition approuvée à Davos sur laquelle rejeter la responsabilité de l’effondrement.

L’approfondissement des échanges commerciaux entre la Russie et l’UE aurait fini par faire disparaître l’animosité et l’insistance des États-Unis à armer l’Ukraine serait devenue un albatros politique, tandis que l’Europe aurait vu une renaissance potentielle, au lieu d’un trou noir économique.

La France et l’Allemagne n’auraient pas trahi leurs propres tentatives de diplomatie.

Ceci, je crois, est beaucoup plus proche de la véritable histoire du conflit, qui sert un objectif beaucoup plus large, clairement énoncé par les architectes de notre misère, que le cadre simpliste consistant à blâmer les États-Unis pour tout.

L’idée que l’Europe craint une invasion russe de la Pologne ou même de l’Allemagne, qui nécessite l’expansion de l’OTAN jusqu’à sa frontière dans le Donbas, est grotesque. L’armée russe n’est pas construite sur ce modèle et ses performances en Ukraine ne prouvent pas qu’elle est capable d’une telle opération.

Ce qui se passe actuellement est un scénario écrit il y a longtemps. La guerre de l’Occident contre la Russie a été planifiée depuis longtemps.

Les Russes le comprennent mieux que beaucoup ne sont prêts à l’accepter. Leurs dirigeants, Poutine et le ministre des affaires étrangères Sergei Lavrov, l’ont exprimé très clairement à chaque étape de la guerre à ce jour.

Ils ne se font aucune illusion sur la direction que l’Occident et Davos veulent donner à ce conflit, c’est pourquoi ils ont sérieusement menacé de frapper les véritables « centres de décision » qui donnent leurs ordres aux forces armées ukrainiennes.

Ces avertissements ne s’adressent pas à nos politiciens, mais à nous. C’est là que les choses se passent.

Ils ont demandé une séparation pacifique entre l’Est et l’Ouest, mais cela ne fait pas partie de l’ordre du jour. Comme les narcissiques classiques qui ont le besoin brûlant de tout contrôler, la Russie et le reste de l’Asie ne seront pas autorisés à s’éloigner de Davos et de leurs quislings eurocrates, parce qu’ils sont les sauveurs vertueux de l’humanité.

Et nous ne sommes, au mieux, qu’une « aide » et, au pire, un inconvénient.

Le grand plan de Davos, qui consiste à détruire l’ancien ordre mondial pour le reconstruire en mieux, où ils possèdent tout et où vous ne posséderez rien et où vous devrez aimer cela ou non, est le scénario.

Ils sont maintenant engagés dans ce plan. Il importe peu de savoir si cela fonctionnera ou non. C’est ce que nous devons réaliser dans toutes nos analyses. Les Russes et leurs amis d’Asie et du Sud ont-ils les moyens et les outils pour s’en sortir ? C’est possible.

Mais la question la plus importante est de savoir si ce conflit s’intensifie ou non au point que la victoire ne soit plus un concept pertinent. Lorsqu’un bloc aussi puissant que l’Union européenne est prêt à commettre des actes de vandalisme domestique de cette ampleur – et à blâmer la victime de son agression débridée – cela signifie que nous avons largement dépassé le stade du règlement rationnel.

Source : https://www.zerohedge.com/geopolitical/real-reason-behind-eus-drive-embargo-russian-oil

Traduction : https://exoconscience.com




Monseigneur Viganò commente la guerre en Ukraine et l’Apocalypse mondialiste

[Source : Nicolas Bonnal]

Monseigneur Viganò commente cette guerre et leur Apocalypse mondialiste : il voit le règne de l’Antéchrist arriver. Texte très long (vingt-six pages). Quelques extraits ici : « Celles qui étaient autrefois des nations prospères et indépendantes, diverses dans leurs spécificités ethniques, linguistiques, culturelles et religieuses respectives, se sont aujourd’hui transformées en une masse informe de personnes sans idéal, sans espoir, sans foi, sans même la force de réagir contre les abus et les crimes de ceux qui les gouvernent… Une masse de personnes sans identité individuelle, marquées de codes QR comme des animaux dans une ferme intensive, comme des produits d’un immense centre commercial… Cette crise a révélé l’horreur de la tyrannie mondialiste, son cynisme impitoyable, sa capacité à détruire et anéantir tout ce qu’elle touche. » Pour Mgr Vigano la Russie est tombée dans le piège tendu par le Deep State US. Classe moyenne britannique ruinée par les sanctions, Biden humilié par les pétromonarchies.

[Voir aussi :
Mgr Viganò soutient les camionneurs canadiens : « Il faut prendre position, se battre pour la liberté ! »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun]

Extraits :

Si les médias du monde ont jusqu’à présent pu mentir sans vergogne sur une question strictement scientifique, répandre des mensonges et occulter la réalité, il faut se demander pourquoi, dans la situation actuelle, ils devraient soudainement redécouvrir cette honnêteté intellectuelle et le respect du code de éthique largement niée avec Covid.

Mais si cette fraude colossale a été soutenue et diffusée par les médias, il faut reconnaître que les institutions sanitaires nationales et internationales, les gouvernements, les magistrats, les forces de l’ordre et la hiérarchie catholique elle-même partagent tous la responsabilité de la catastrophe – chacun dans sa propre sphère en soutenir activement ou ne pas s’opposer au récit – une catastrophe qui a affecté des milliards de personnes dans leur santé, leurs biens, l’exercice de leurs droits individuels et même leur vie même. Même dans ce cas, il est difficile d’imaginer que ceux qui se sont rendus coupables de tels crimes en faveur d’une pandémie intentionnelle et malicieusement amplifiée puissent soudainement avoir un sursaut de dignité et manifester de la sollicitude pour leurs citoyens et leur patrie lorsqu’une guerre menace leur sécurité et leur économie.

(…)

Même si nous voulons limiter notre enquête à l’aspect économique, nous comprenons que les agences de presse, la politique et les institutions publiques elles-mêmes dépendent d’un petit nombre de groupes financiers appartenant à une oligarchie qui, de manière significative, est unie non seulement par l’argent et le pouvoir, mais par l’appartenance idéologique qui guide son action et son ingérence dans la politique des nations et du monde entier. Cette oligarchie montre ses tentacules à l’ONU, à l’OTAN, au Forum économique mondial , à l’Union européenne et dans des institutions « philanthropiques » telles que l’Open Society de George Soros et la Fondation Bill & Melinda Gates.

Toutes ces entités sont privées et ne répondent qu’à elles-mêmes, et en même temps elles ont le pouvoir d’influencer les gouvernements nationaux, y compris par l’intermédiaire de leurs propres représentants qui sont faits pour être élus ou nommés à des postes clés. Ils l’avouent eux-mêmes, lorsqu’ils sont reçus avec tous les honneurs par les chefs d’État et les dirigeants mondiaux, à commencer par le Premier ministre italien Mario Draghi, respectés et craints par ces dirigeants comme les véritables maîtres du destin du monde. Ainsi, ceux qui détiennent le pouvoir au nom du « peuple » se retrouvent à piétiner la volonté du peuple et à restreindre ses droits, pour obéir comme des courtisans à des maîtres que personne n’a élus mais qui dictent pourtant leur programme politique et économique au nations.

Nous arrivons ensuite à la crise ukrainienne, qui nous est présentée comme une conséquence de l’arrogance expansionniste de Vladimir Poutine envers une nation indépendante et démocratique sur laquelle il tente de revendiquer des droits absurdes. On dit que le « belliciste Poutine » massacre la population sans défense, qui s’est courageusement levée pour défendre le sol de sa patrie, les frontières sacrées de sa nation et les libertés bafouées des citoyens. L’Union européenne et les Etats-Unis, « défenseurs de la démocratie », seraient donc incapables de ne pas intervenir par le biais de l’OTAN pour restaurer l’autonomie de l’Ukraine, chasser « l’envahisseur » et garantir la paix. Face à « l’arrogance du tyran », on dit que les peuples du monde devraient former un front commun, imposer des sanctions à la Fédération de Russie et envoyer des soldats, des armes et une aide économique au « pauvre » président Zelensky, « héros national » et « défenseur » de son peuple. Preuve de la « violence » de Poutine, les médias ont diffusé des images d’attentats à la bombe, de perquisitions militaires et de destructions, attribuant la responsabilité à la Russie. Et plus encore : précisément pour garantir une « paix durable », l’Union européenne et l’OTAN ouvrent grand leurs bras pour accueillir l’Ukraine comme membre. Et pour empêcher la « propagande soviétique », l’Europe interdit désormais l’accès à Russia Today et Sputnik, afin de garantir que l’information soit « libre et indépendante ».

Président Volodymyr Oleksandrovych Zelensky

Comme l’ont souligné de nombreux partis, la candidature et l’élection du président ukrainien Zelensky correspondent à ce récent cliché , inauguré ces dernières années, d’un acteur comique ou d’une personnalité du spectacle prêté à la politique. Ne croyez pas que l’absence d’un cursus honorum adapté soit un obstacle à l’ascension au sommet des institutions ; au contraire : plus une personne est apparemment étrangère au monde des partis politiques, plus il est à supposer que son succès est déterminé par ceux qui détiennent le pouvoir. Les performances de Zelensky en drag queen sont parfaitement cohérentes avec l’idéologie LGBTQ qui est considérée par ses sponsors européens comme une exigence indispensable de l’agenda de « réforme » que chaque pays devrait adopter, avec l’égalité des sexes, l’avortement et l’économie verte. Pas étonnant que Zelensky, membre du WEF (ici), ait pu bénéficier du soutien de Schwab et de ses alliés pour arriver au pouvoir et s’assurer que le Great Reset serait également mené en Ukraine.

La série télévisée en 57 épisodes que Zelensky a produite et jouée montre que les médias ont planifié sa candidature à la présidence de l’Ukraine et sa campagne électorale. Dans l’émission de fiction Le Serviteur du Peuple, il interprète le rôle d’un professeur de lycée devenu président de la République contre toute attente et luttant contre la corruption de la politique. Ce n’est pas un hasard si la série, absolument médiocre, a tout de même remporté le WorldFest Remi Award (USA, 2016), figuré parmi les quatre premiers finalistes dans la catégorie des films comiques aux Seoul International Drama Awards (Corée du Sud) et a été primée le prix Intermedia Globe Silver dans la catégorie des séries télévisées de divertissement au World Media Film Festival à Hambourg.

L’émoi médiatique obtenu par Zelensky avec la série télévisée lui a valu plus de 10 millions de followers sur Instagram et a créé les prémisses de la création du parti politique homonyme Serviteur du peuple, dont Ivan Bakanov, directeur général et actionnaire (avec Zelensky lui-même et l’oligarque Kolomoisky) de Kvartal 95 Studio, et propriétaire du réseau de télévision TV 1+1, en est également membre. L’image de Zelensky est un produit artificiel, une fiction médiatique, une opération de manipulation du consensus qui a réussi à créer le personnage politique dans l’imaginaire collectif ukrainien qui, en réalité, et non dans la fiction, a conquis le pouvoir.

Un appel à la Troisième Rome

Pour la Russie aussi, ce conflit est un piège. En effet, cela réaliserait le rêve de l’État profond américain d’évincer définitivement la Russie du contexte européen dans ses relations commerciales et culturelles, en la poussant dans les bras de la Chine, peut-être avec l’espoir que la dictature de Pékin puisse persuader les Russes d’accepter le système de crédit social et d’autres aspects de la Grande Réinitialisation que la Russie a jusqu’à présent pu éviter, du moins en partie.

C’est un piège, non pas parce que la Russie a tort de vouloir « dénazifier » l’Ukraine de ses groupes extrémistes et garantir la protection des Ukrainiens russophones, mais parce que ce sont précisément ces raisons – théoriquement défendables – qui ont été créées spécifiquement pour la provoquer et l’inciter à envahir l’Ukraine, de manière à provoquer la réaction de l’OTAN préparée depuis un certain temps par l’État profond et l’élite mondialiste. Le casus belli a été délibérément planifié par les véritables auteurs du conflit, sachant qu’il obtiendrait exactement ceréponse de Poutine. Et c’est à Poutine, qu’il ait ou non raison, de ne pas tomber dans le piège et de renverser la situation en offrant à l’Ukraine les conditions d’une paix honorable sans poursuivre le conflit. En effet, plus Poutine croit avoir raison, plus il doit démontrer la grandeur de sa nation et son amour pour son peuple en ne cédant pas aux provocations.

[Voir aussi :
Le plan stratégique des États-Unis contre la fédération de Russie a été élaboré il y a trois ans par le think tank américain Rand Corporation]

(…)

Il est très préoccupant que les destinées des peuples du monde soient entre les mains d’une élite qui n’est responsable devant personne de ses décisions, qui ne reconnaît aucune autorité au-dessus d’elle-même et qui, pour poursuivre ses propres intérêts, n’hésite pas à mettre en péril la sécurité, l’économie et la vie même de milliards de personnes, avec la complicité des politiciens à leur service et des grands médias. La falsification des faits, les falsifications grotesques de la réalité et la partisanerie avec laquelle les informations sont diffusées côtoient la censure des voix dissidentes et conduisent à des formes de persécution ethnique contre les citoyens russes, qui sont discriminés précisément dans les pays qui se disent démocratique et respectueux des droits fondamentaux.

J’espère sincèrement que mon appel à l’établissement d’une Alliance anti-mondialiste qui unisse les peuples du monde en opposition contre la tyrannie du Nouvel Ordre Mondial sera accepté par ceux qui ont à cœur le bien commun, la paix entre les nations, la concorde entre tous les peuples, la liberté de tous les citoyens et l’avenir des nouvelles générations. Et avant cela, puissent mes propos – ainsi que ceux de nombreuses personnes intellectuellement honnêtes – contribuer à mettre en lumière la complicité et la corruption de ceux qui utilisent le mensonge et la fraude pour justifier leurs crimes, même en ces moments de grande appréhension de la guerre en Ukraine.

« Que les forts nous écoutent, pour ne pas devenir faibles dans l’injustice. Que les puissants nous écoutent, s’ils veulent que leur pouvoir ne soit pas la destruction mais le soutien des peuples et la protection de la tranquillité dans l’ordre et le travail » (Pie XII, Message radio aux chefs d’État et aux peuples du monde en danger imminent de guerre , 24 août 1939).

Que le Saint Carême conduise tous les chrétiens à demander pardon à la Divine Majesté pour les péchés de ceux qui foulent aux pieds Sa Sainte Loi. Que la pénitence et le jeûne poussent le Seigneur Dieu à la miséricorde, tandis que nous répétons les paroles du prophète Joël : Parce, Domine : parce populo tuo ; et ne des hæreditatem tuam in opprobrium, ut dominentur eis nationes. Pardonne à ton peuple, Seigneur, et n’expose pas ton héritage à l’opprobre, à la dérision des nations (Jl 2:17).

+ Carlo Maria Viganò, archevêque,
Ancien nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique

https://www.marcotosatti.com/2022/03/07/declaration-of-msgr-carlo-maria-vigano-on-the-russia-ukraine-crisis/h

https://www.zerohedge.com/geopolitical/saudis-uae-refuse-speak-biden-over-ukraine-situationhttps://strategika.fr/2022/03/08/la-guerre-en-ukraine-la-cinquieme-colonne-en-russie-et-le-clan-rothschild-iurie-rosca/

http://lachute.over-blog.com/2022/03/ukrainia-gazeta-ii.html

https://strategika51.org/2022/03/09/les-maitres-du-jeu/

https://lesakerfrancophone.fr/lordre-issu-du-chaos-comment-le-conflit-ukrainien-est-concu-pour-profiter-aux-globalistes

https://lesakerfrancophone.fr/juste-une-question

https://www.rt.com/news/551533-uk-living-standards-russia-sanctions/

https://sputniknews.com/20220309/saudi-arabia-uae-reportedly-snub-us-decline-calls-with-biden-as-oil-prices-surge–1093709104.html




François, pape des pauvres et de l’écologie ? Ou pape de l’élite globale ?

[Source : mondialisation.ca]

[Illustration : Flickr.com]

Par Matthieu Smyth

Le pape François. Le pape de la rupture. Le pape écolo, anticapitaliste, ami des pauvres et des migrants. Le pape bienveillant avec les gays et les divorcés, mais hostile aux traditionnalistes. Le réformateur de la curie romaine corrompue, l’éradicateur des abus sexuels ecclésiastiques… Ou plutôt le pape des paradoxes ? En effet, c’est avec Bayer-Monsanto et BP que François envisage de sauver l’environnement, avec Bank of America et les grands noms de Big Pharma comme Merck ou Johnson & Johnson qu’il désire refonder un capitalisme éthique. Serait-il alors surtout le pape d’une nouvelle logique de marketing ? En effet, c’est justement au nom de la défense de l’environnement, de l’inclusivité ou encore de la justice sociale que les acteurs corporate (c’est-à-dire du secteur privé) de la gouvernance globale sont décidés à faire accepter partout leur agenda — lequel n’est autre que de s’octroyer à eux-mêmes les pleins pouvoirs sur la planète.

Bergoglio, à cet égard, est un cas d’école. Il a choisi de faire du Vatican un porte-parole de cette gouvernance globale dans le sillage du Forum Économique Mondial de Davos (FEM). De fait, les décideurs de cette gouvernance, parce qu’ils n’entendent plus exploiter à leur profit la quête de bonheur consumériste des masses, mais comptent plutôt s’appuyer sur la coercition, ont désormais adopté une stratégie marketing qui cherche à déguiser leur soif de puissance en affichant une volonté de rupture d’avec le capitalisme néolibéral, individualiste et énergivore. L’élite globale accumule tous les biens qui lui manquent encore, confisque les libertés publiques et concentre les pouvoirs dans ses seules mains, mais elle habille ce golpe dans un narratif soucieux d’écologie, axé vers le bien commun, hostile aux libertés individuelles et critique vis-à-vis du libre marché. Le message que François adresse au monde est un des plus beaux exemples de cette nouvelle « com ».

Le pape du confinement, du contact tracking, des expériences médicales forcées et de la ségrégation

À la fin de l’hiver 2020, le pape François est apparu comme un héraut des restrictions prétendument sanitaires. Lorsque, au grand désarroi de beaucoup de catholiques, les gouvernements ont commencé d’interdire les réunions religieuses, il s’est empressé d’appuyer ces mesures de toute son autorité. Pour la première fois dans l’histoire, un pape, de concert avec les puissances séculières, interdisait aux catholiques d’aller à la messe ni à aucune autre cérémonie. Les quelques prélats qui s’opposaient aux mesures de « confinement » se sont vus réprimander ou ignorer — c’étaient d’ailleurs des conservateurs dont les propos étaient faciles à discréditer aux yeux du public. Quant à Mgr Viganò, qui dénonce publiquement cette collusion de la papauté et de la gouvernance globale corporate, il ne trouve plus d’écho dans les médias.

À l’opposé du mot d’ordre de son prédécesseur polonais, le pape a donc sans vergogne joint sa voix à celles de tous ceux qui, à l’instar du ministre de la santé britannique Hanson ou du français Véran, reprenaient l’antienne composée par les « experts » en santé publique : « Ayez peur ! » ; une antienne dont le verset aurait pu être :

« Tant que le vaccin n’est pas là, la méthode inédite de XI Jinping pour briser la courbe des infections est notre seul salut ».

Dans le très consensuel et très institutionnel New York Times, François est monté au créneau face à l’incompréhension populaire pour défendre l’approche chinoise : « Comme si les mesures que les gouvernements devaient imposer pour le bien de leur peuple constituaient une sorte d’attaque politique contre l’autonomie et la liberté personnelle ». Les populations sont incarcérées à domicile, les familles sont séparées, les rites collectifs bannis, les anciens agonisent isolés, les petites entreprises sont ruinées, des milliers de jeunes sont poussés au suicide, mais pour le bien commun. Les rares gouvernements qui, de par le monde, refusaient de céder à la panique et ne se pliaient pas aux mots d’ordre du PCC et de l’OMS, se virent rappelés à l’ordre par Bergoglio : car ils « ignorent les preuves douloureuses de la liste des victimes qui s’allonge, avec des conséquences pénibles inévitables ».

Depuis, il est devenu un avocat vigoureux de la campagne mondiale d’injections géniques expérimentales à but vaccinal. Pas un mot sur les traitements précoces essayés avec succès dans les pays pauvres. Pas un mot sur la létalité extrêmement faible du SARS-CoV-2. Pas un mot sur le caractère expérimental des injections concoctées par Pfizer, Moderna, AstraZeneca ou Johnson & Johnson. Et pas un mot sur leur dangerosité potentielle. Bergoglio ne s’écarte pas d’un iota du discours officiel répété inlassablement depuis des mois dans les médias : le monde est confronté à une terrible menace ; il faut rester chez soi ou sinon se « distancier socialement », subir le contact tracking et porter un masque ; seule une vaccination universelle peut nous en préserver.

Dans son livre interview Oltre la tempesta, François joint sa voix à celles des médias officiels et des politiciens afin d’enjoindre le public de « croire en la science ». Le Successeur de Pierre met sa foi et son espérance dans les déclarations triomphales de Pfizer ou Moderna, comme naguère on l’eu fait dans les articles du Credo : « Il nous faut trouver l’espoir et la foi dans la science aujourd’hui encore : grâce au vaccin, nous retrouvons lentement le chemin de la lumière ». On ne peut pas imaginer un seul instant que le choix des mots « foi et espoir » soit le fruit d’une inconséquence. Ces termes ne peuvent se référer dans la bouche d’un pape qu’aux deux premières des trois vertus chrétiennes dites théologales.

François appuie donc de toute son autorité la stratégie politique globale mise en œuvre à l’unisson par les gouvernements du G20 (grosso modo), et visant à imposer une expérimentation génique à tous les humains, que ce soit à travers le marketing, le chantage ou la coercition pure et simple. Dans une vidéo, il n’hésite pas à qualifier l’injection de « devoir moral », ni à la désigner comme un « acte d’amour »  (la troisième vertu théologale justement). Le sort des enfants soumis à cette expérience ne le préoccupe pas non plus. Outre ses appels répétés à la « vaccination » universelle, il a imposé la « vaccination » obligatoire au Vatican.

Encore plus surprenant : la Congrégation pour la doctrine de la foi — l’antique Inquisition — a souhaité lever les réticences que des croyants auraient pu éprouver à l’idée de se faire injecter un agent élaboré à partir de cellules prélevées sur des fœtus avortés. Rome, et dans la foulée toutes les conférences épiscopales du monde, n’ont pas reculé, pour se conformer à l’orthodoxie vaccinale officielle prônée par Anthony Fauci, Tedros Adhanom Ghebreyesus ou Bill Gates, à violer le tabou bimillénaire de l’orthodoxie catholique face à l’avortement. Sous prétexte d’urgence sanitaire. Là encore, François n’a eu à faire face qu’à l’opposition d’une poignée d’évêques.

En toute logique, François est partisan du passeport sanitaire ; passeport qu’il a du reste instauré au Vatican et dans certains séminaires. Dans le sillage du Vatican, quelques diocèses zélés, notamment au Canada, ont commencé à demander des preuves de « vaccination » pour pouvoir aller à la messe. Le chantage, le viol de la vie privée, la surveillance universelle numérique et la ségrégation sociale que le passeport sanitaire suppose laissent indifférent le pontife argentin.

Le pape du partenariat global

On pourrait voir dans tout cela du simple suivisme. Après tout, le pape reprend le discours et la politique de la quasi-totalité des gouvernements occidentaux. Mais il n’en est rien : le Vatican de François Bergoglio se veut un des partenaires actifs du grand bouleversement socioéconomique initié par la gouvernance globale, et prôné notamment par le Forum de Davos (WEF). Cette gouvernance globale est sensée réunir les principaux acteurs du privé et du public dans un « partenariat » justement. Avec ce partenariat qui est en fait une inféodation des pouvoirs publics, l’élite des technocrates peut tranquillement décider de l’avenir de la planète loin des aléas des processus démocratiques : c’est le Global Private-Public Partnership (GPPP).

Dans ce partenariat, les stakeholder capitalists — soit le complexe financiaro-informatique (pour simplifier : BlackRock, Vanguard et Big Tech) et les banques centrales (la BRI, la Fed, la BCE etc.) — constituent les partenaires « majoritaires ». Ils sont « partie-prenante » du bien public de manière décisive. Ce sont eux les véritables décideurs. Les partenaires « minoritaires » sont les gouvernants et leurs appareils d’état (à l’exception de la puissance publique de la Chine laquelle est plus haut dans la chaine alimentaire). Les états ne sont que des exécutants, un peu comme le « middle-management » de l’oligopole mondial technocratique. Dans l’entre deux, on trouve une pléiade d’autres stakeholders : banques internationales d’investissement, multinationales du Hi Tech et du Big Data, Big Pharma… Mais aussi des institutions internationales comme le FMI, la Banque Mondiale ou l’OMS, sans oublier les fondations privées telles le Wellcome Trust, le Rockefeller Institute ou la Fondation Bill & Melinda Gates. 

Et puis il faut encore ajouter les partenaires représentatifs globaux. Ces organes de discussions internationales s’efforcent de formuler les grandes stratégies politiques initiées par les « Senior Partners », puis de coordonner l’action des acteurs de leur mise en place. Le principal à l’heure actuelle est sans conteste le Forum Économique Mondial (WEF) dont le chairman exécutif Klaus Schwab a su faire de Davos, au fil du temps, le « hub » incontournable de ce partenariat. À la différence des très discrets clubs de discussion et Think Tank plus anciens comme le Council for Foreign Relations, la Rand Corporation, le Chatham House, le Bilderberg Group, le Group of Thirty ou la Commission Trilatérale, le WEF assume à grand renfort de publicité la mission qui lui a été accordée de coordonner les partenaires d’une gouvernance mondiale désormais assumée sans vergogne. Klaus Schwab ne s’est pas non plus caché d’avoir instalé des relais à des échelons inférieurs mais stratégiques avec ses Young Global Leaders (tel Emmanuel Macron), voire plus bas encore grâce aux Global Shapers.

La gouvernance globale n’a plus à se cacher d’essayer de tirer les ficelles de la planète désormais qu’elle les tire sans entrave. C’est donc le WEF qui se charge de faire son public relation. Il lui revient de vendre les concepts désignant la stratégie initiée par les policy makers de la gouvernance : le Great Reset et la IVe Révolution Industrielle. Sur les décombres de la crise du COVID et grâce à la « fenêtre d’opportunité » qu’elle offre, les stakeholder capitalists pourront « réinitialiser le monde », animé par une nouvelle forme de capitalisme qui transcende tant le keynésianisme que le néolibéralisme.

Ce futur radieux dont rêvent les stakeholders pour « ceux qui ne sont rien », comme le dit le président à Macron, est plaisamment décrit par le WEF comme un monde « où vous ne posséderez plus rien, n’aurez plus de vie privée, mais où vous serez heureux ». Il sera généreusement octroyé aux plébéiens par un consortium de grands financiers contrôlant les multinationales. Celles-ci exploiteront seules un marché planétaire, désormais captif après l’extinction programmée des petites entreprises indépendantes. Cette concentration absolue des biens et des pouvoirs dans les mains d’un oligopole technocratique sera mise en œuvre en particulier grâce à une numérisation centralisée de tous les objets manufacturés (IoT : « Internet of Things ») et de toutes nos activités (IoB : « Internet of Bodies »). Ce qui suppose la suppression de la vie privée au profit d’une surveillance numérique totale à travers des algorithmes pilotés par l’AI. Dès lors, l’activité humaine sera placée sous un contrôle non moins total, en premier lieu à travers le contrôle de toutes nos transactions. Dans cette vie idéale, les humains seront enfermés pour lutter contre le changement climatique et la biodiversité dans des villes « smart » mais « soutenables », mangeront une nourriture synthétique non carnée mais « écoresponsable » (car produite par les géants si bienveillants de l’agroalimentaires), accueilleront des modifications pour les « augmenter »…

Ce coup d’état planétaire, dont le but pourrait aussi se résumer simplement à la monétisation et l’accaparement de tous les biens naturels, doit s’effectuer — on l’aura compris — « pour notre bien ». Autrement dit, en instaurant un capitalisme prétendument « vert », décarboné et éthique, en donnant sa chance à tous, ou encore en offrant à chacun une santé optimale, les titanesques multinationales financières et industrielles, dont l’avidité infinie a jusqu’ici méthodiquement saccagé la planète et ruiné notre santé, vont chercher à s’approprier — pour mieux les préserver bien sûr — les derniers « actifs » (pour employer leur jargon) qui leur échappent encore, tels que nos corps, nos libertés ou les « communs »…

Or, le Vatican aimerait bien tenir son rang, sous la férule des géants de la finance, parmi les partenaires représentatifs globaux du GPPP, au côté du WEF ou du Chatham House. Mais avec une discrète dimension « religieuse » et soucieuse d’éthique que vient orner la patine d’une tradition vénérable. C’est un prestige assez « bankable » aux yeux de tous ces technocrates à la pointe de la modernité. Un peu comme la « méditation de pleine conscience » commercialisée par Jon Kabta Zinn et bénie depuis par l’élite managériale de Davos. François offre à la gouvernance globale une caution morale à la fois télégénique et antique qu’elle ne dédaigne pas, tout comme elle ne dédaigne pas d’instrumentaliser celle, d’origine plus moderne, des célébrités du showbiz. François ne rivalise pas avec des hôtes de Davos tels que Leonardo Di Caprio ou Bono, mais il jouit d’une certaine forme de popularité mondiale en particulier en dehors de son Église. Certes celle-ci est en déclin accéléré jusque dans ses bastions latino-américains et africains où les évangéliques la bousculent, mais le pape reste le seul et unique leader religieux d’envergure vraiment mondiale. Aucune autre religion ne peut se targuer d’un leadership aussi global que celui exercé par le pape. Grâce à la papauté, la gouvernance globale peut faire entendre au monde entier ses consignes depuis le haut du trône de Pierre. Gageons que Klaus Schwab, qui se voit comme le pasteur de la paroisse des élites, apprécie ce détail.

Le pape du Great Reset

En plus d’être une caution morale, François — mais avec plus de discrétion — joue un rôle comparable à celui de la malheureuse Greta Thunberg avec laquelle le Forum de Davos s’exhibe si volontiers. Tout comme elle, le pape critique le système économique actuel et appel de ses vœux un monde plus écologique. Ce sont justement les éléments principaux du narratif dont les décideurs planétaires, comme le CEO de BlackRock Larry Fink, ont choisi de s’emparer pour vendre la grande transformation qu’ils souhaitent mettre en œuvre.

À cet égard, le Vatican entretient d’étroites relations avec la finance internationale : l’APSA (Amministrazione del Patrimonio della Sede Apostolica, autrement dit la gestion du colossal portefeuille boursier et foncier du Vatican) n’avait-il pas depuis 2006 comme conseiller spécial Peter Sutherland ? Ardent partisan de « l’open border », il présidera aussi la Commission Internationale Catholique pour les Migrations depuis 2015 jusqu’à sa mort. Par ailleurs, ce « père de la globalisation » est l’ancien président du GATT, co-fondateur de l’OMC, chairman de BP et de Goldman-Sachs, et bien entendu membre du Foundation Board du WEF, entre autres choses… De même, en 2021, le pape François a nommé un Agenda Contributor du WEF, le très malthusien économiste Jeffrey Sachs, à l’Académie Pontificale des Sciences Sociales (il est par ailleurs un ami de Peter Daszak président d’Ecohealth-Alliance, l’institut qui finançait la recherche sur les « gains de fonction » chez les coronavirus, et lequel Daszak a été nommé par Sachs à la tête du comité du Lancet sur les origines de la pandémie, car, oui, c’est vraiment un petit monde).

Sans surprise, François s’implique personnellement avec le WEF : à quatre reprises, François a adressé un message à son sommet annuel ; parallèlement une table ronde présidée par le Vatican se tient chaque année au même sommet de Davos. Surtout il apparaît comme le fidèle porte-parole des thématiques promues par le WEF. Le pape s’est chargé de devenir un des communicants du « PR » de la grande transition économico-politique que Klaus Schwab a packagé sous l’appellation de « Great Reset ».

L’encyclique Fratelli tutti  d’octobre 2020 est révélatrice à cet égard : « Abstraction faite des manière différentes avec lesquels les divers pays ont répondu à la crise, leur incapacité à travailler ensemble est devenue vraiment évidente » écrit-il. « Quiconque s’imagine que la seule leçon qu’il faille en tirer est le nécessité d’améliorer ce que nous faisions déjà, ou de de rendre plus adéquates les systèmes et les régulations existantes, est dans le déni. […] La fragilité des systèmes qui dominent le monde face à la pandémie ont démontré que tout ne peux pas être résolu par la liberté du marché. […] Il est impératif d’adopter une politique économique proactive orientée vers la “promotion d’une économie qui favorise la diversité productive et créativité entrepreneuriale (business creativity)” (encycl. Laudato Si’), et rende possible la création des emplois et non leur destruction ».

Pour François, l’élément essentiel de cette mutation est bel et bien la gouvernance globale des partenaires privés et publics dont il est partisan. Dans son message de 2021 au FMI et à la Banque Mondiale, il déclare ainsi que la campagne d’expérimentation génique à but vaccinal actuel offre un cadre privilégié à ce partenariat libre de toute contrainte démocratique : « Ici, je réitère mon appel aux leaders gouvernementaux, aux entreprises et organisations internationales de faire l’effort d’œuvrer ensemble pour fournir des vaccins pour tous, en particulier aux plus vulnérables et à ceux qui sont le plus dans le besoin. […] Il demeure le besoin urgent d’un plan global qui puisse créer de nouvelles institutions et régénérer celles qui existent, spécialement celles de la gouvernance globale, et ainsi contribuer à bâtir un nouveau network de relations internationales pour promouvoir le développement humain intégral de tous les peuples ». 

C’est un leitmotiv pour François. Déjà Jean XXIII (encyclique Pacem in terris), le Concile Vatican II (constitution Gaudium et spes), et surtout Benoît XVI (encyclique Caritas in veritate) avaient identifié « un besoin urgent d’une véritable autorité politique mondiale » (§ 67). Mais, comme il le fait dans son encyclique Laudato Si’ de 2015, ou encore dans son message à l’ONU de la même année « pour une écologie intégrale », François, lui, ne cesse de réclamer une gouvernance globale plus forte notamment face au changement climatique. Cet appel adressé aux décideurs pour qu’ils se mobilisent contre le changement climatique, s’inscrit dans une critique de l’économie de marché, du consumérisme et de la compétition commerciale inhérente qui reflète l’agenda des élites globalistes : le consommateur et la compétition n’ont pas de place dans un marché captif aux mains d’un oligopole ; de même les dangers, notamment climatiques ou infectieux, qui pèsent sur la planète ont sonné le glas de l’état-nation westphalien tout comme de ce qui pouvait subsister ici ou là de démocratie. Place à la gouvernance mondiale technocratique.

 François ne cesse donc d’appeler de ses vœux un « nouvel ordre mondial » dont la « pandémie » serait la matrice. Le vrai « drame », aujourd’hui, « serait de gâcher la chance que nous donne la crise du COVID-19 ». On aura reconnu le story telling désormais célèbre du chairman du WEF Klaus Schwab, « La pandémie représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour repenser, réinventer et réinitialiser notre monde ». Pour François, « Le chemin du salut [je souligne] pour l’humanité passe par la création d’un nouveau modèle de développement », et donc par les politiques que justement la gouvernance globale prône, tel que le revenu universel minimum (notamment face au COVID), ou encore bien entendu la transition  « verte » et décarbonée.

Le pape de Bayer-Monsanto et Johnson & Johnson : un tournant historique

La papauté avait déjà connu dans le passé de sévères crises. Elle a pu devenir tour à tour le jouet de pontifes avides de pouvoir dont l’ambition était toute terrestre, ou au contraire le jouet de princes désireux de s’appuyer sur son prestige. Rome a cherché des soutiens ou des accommodements extérieurs parfois embarrassants. Pie VIII condamna en 1830 les insurgés catholiques polonais pour complaire au Tsar. Léon XIII excommunia les insurgés irlandais catholiques pour s’attirer les faveurs de l’Empire britannique. Le Vatican négocia longuement avec Lénine, passa un accord avec Mussolini et signa un concordat avec Hitler… Mais ici nous sommes face à un tournant historique. Jamais Rome n’avait été tentée d’embrasser les idéaux de ces régimes avec lesquels elle cherchait un compromis. Jamais la papauté n’avait eu pour ambition de devenir un de leur relais.

Aujourd’hui, pourtant, l’institution qui revendique une juridiction universelle sur les chrétiens s’affirme en même temps comme la partenaire d’une gouvernance mondiale technocratique placée sous l’égide des grandes multinationales. Elle se veut la partenaire « spirituelle » de l’élite technocratique et corporate qui aspire à dominer totalement la planète. Cette adhésion à l’agenda de ce néocapitalisme global a été formalisée par le lancement à Rome du Conseil pour un Capitalisme Inclusif. Il rassemble auprès du pape, dans une confrérie de « Guardians », des CEO œuvrant pour un capitalisme « éthique », « vert » et « équitable »… avec notamment ceux de Johnson & Johnson, Merck, Bank of America, BP ou Bayer-Monsanto — Bayer-Monsanto dont l’expertise en éthique et en écologie est mondialement reconnue. « Un nouveau partenariat historique entre des leaders des plus grands groupes mondiaux financiers et commerciaux et le Vatican […]. Il témoigne de l’urgence de rassembler les impératifs moraux tant que commerciaux pour réformer le capitalisme en une force puissante pour le bien de l’humanité. Sous l’égide morale de Sa Sainteté le pape François […] ». 

Placé sous la responsabilité de Lynn Forester de Rothschild, Managing Partner d’Inclusive Capital Partners, ce Conseil « suivra les avertissements du pape François » et « répondra aux demandes de la société qui réclame un modèle de croissance plus équitable et soutenable ». Sans surprise, le site web (à la page « commitments ») de nos capitalistes inclusifs est calqué sur les pages de celui des dix-sept Global Goals onusiens et davosiens pour 2030. Le WEF, on l’a compris, déploie une rhétorique qui peut sembler « de gauche » : il insiste sur les responsabilités écologiques des grands acteurs économiques actuels en particulier vis-à-vis du climat, sur leur volonté inclusive de ne négliger aucune minorité, sur leur souci de donner à tous sa chance, sur leur désir d’accueillir les réfugiés… De même, François se présente comme le pape « vert », gay friendly, ami des migrants, adversaire du changement climatique. Tout autant d’éléments décisifs du marketing que la gouvernance globale attache au nouveau paradigme économique qu’elle entend promouvoir.

Nous retrouvons d’ailleurs un discours semblable — avec tous ses tics de langage — à celui de Davos dans les documents du Dicastère pour la Promotion du Développement Humain Intégral institué le 17 août 2016 par la fusion de diverses autres commissions. Elle « exprime les soucis du Saint-Siège à propos des problèmes de justice et de paix, notamment ceux liés aux migrations, à la santé, au œuvres charitables et à la protection de la création » ; et ce en particulier « pour toute la famille humaine confrontée à la pandémie du COVID-19 ». Bien entendu, c’est à tous ceux qui sont partie prenante — les stakeholders — du destin de la planète et donc du développement humain qu’il revient de trouver les solutions adéquates.

Le pape de la IVe Révolution Industrielle et du transhumanisme

« Développée » par le père Philip Larrey, « en collaboration avec le Dicastère pour la Promotion du Développement Humain Intégral, avec le Saint-Siège ainsi qu’avec un consortium de leaders et de “luminaires”, Humanity 2-0 cherche à unir l’humanité autour de la cause commune de créer un monde meilleur pour nos enfants ». Humanity 2.0 « est un vecteur pour faciliter des entreprises collaboratives entre le secteur public, le privé et celui “basé sur la foi” — des secteurs traditionnellement cloisonnés ». On notera la présence de CEO tels que ceux de CISCO, Virgin ou Publicis dont le partenariat corporate vient bénir les ambitions du dit « vecteur ». Cependant, quasiment aucune référence chrétienne sur ce site, dominé par le visage d’Athéna, si ce n’est une citation de Thomas d’Aquin.

Son chairman, le père Larrey, est prêtre et doyen de la faculté de philosophie de l’Université du Latran mais aussi un apôtre de la Quatrième Révolution Industrielle chère à Klaus Schwab (actoninstitute.it). Il est aussi l’auteur du livre Artificial Humanity où il étale sa foi dans l’Intelligence Artificielle future — comme une entité réellement intelligente ! — et formule le souhait qu’elle reste humaine. 

François, en affichant sa foi dans ce qu’il pense être la technologie de demain, reprend presque mot pour mot ce discours sur l’IA, et appelle les chrétiens à « prier pour une IA “humaine” » : « La robotique peut nous rendre possible un monde meilleur si elle demeure liée au bien commun. […] Prions pour que le progrès de la robotique et de l’intelligence artificielle puisse toujours servir l’humanité. […] Nous pourrions dire : qu’elle “soit humaine” ». Non, «l’IA, la robotique et les autres innovations technologiques doivent être utilisées de telle sorte qu’elles contribuent au service de l’humanité et à la protection de notre maison commune», déclare-t-il Forum de Davos de 2018. On reconnait là un des thèmes chères au courant transhumaniste tel que l’expose Yuval Noah Harari un de ses portes paroles médiatiques. L’IA serait potentiellement dangereuse, mais pour que le bon peuple soit protégé de ces périls, il faut que l’élite technocratique la dirige…

L’idéologie transhumaniste, en particulier la croyance en la grande convergence bionumérique qu’il faut faire advenir, est un des points clefs de la IVe Révolution Industrielle prônée par Davos. L’humain et la machine doivent fusionner autour du data, avec l’aide de l’édition génomique et d’implants informatiques, en vue de créé « l’humain augmenté ». La barrière entre le biologique aléatoire et la technologie informatique programmable doit sauter. L’idée de vie tout comme celle de liberté sont obsolètes : la vie et en particulier l’âme humaine ne sont que des algorithmes particulièrement complexes de réactions chimiques et électromagnétique. Quiconque détiendra le data de ces algorithmes sera en mesure de « hacker » l’humain, comme le prétend Yuval Noah Harari devant ses maîtres de Davos en 2018. L’espérance en la possibilité de réaliser une vie éternelle ici-bas, soit en déjouant le vieillissement cellulaire, soit par un transfert de données cérébrales dans quelque disque dur surpuissant, commence à mobiliser de gros investissements. Même avec beaucoup d’imagination, on ne voit pas très bien comment concilier cette vision avec l’enseignement des prédécesseurs de François.

Cela n’a pas empêché le Père Larrey, dans le cadre des Global Leaders de présider des conférences à Rome, de concert avec Carlos Moreira et David Ferguson, tous deux penseurs du transhumanisme, co-auteurs du Transhumancode et liés comme il se doit au WEF de Davos avec leur Think Tank oiste — dont une en juillet 2019 rien de moins que sur cette même thématique du Transhuman Code. Nos bons apôtres de l’utopie technocratique à venir ont d’ailleurs recommencé en octobre 2021 sur le thème de la « Technology that Empowers Humanity »…

« Si nous voulons que tout reste comme tel… »

L’historien ne peut que s’interroger : comment une telle mutation est-elle possible ? Les divers scandales d’abus sexuels auxquels Bergoglio est personnellement mêlé fournissent un début d’explication. Le pape a couvert pendant longtemps d’éminents prélats (McCarrickZanchettaMaradiaga et d’autres encore) pourtant visés par de très graves accusations d’abus sexuels et de corruptions financières. Il a fallu que les crimes soient étalés de manière publique pour qu’il devînt impossible pour lui de ne plus les démettre de leur fonction. Le pape s’est montré tel qu’il est : un homme d’appareil prêt à toutes les extrémités pour protéger ses collaborateurs. Mais parallèlement, c’est ce même pape qui cherchait à donner satisfaction à l’opinion publique en adoptant une politique générale très agressive envers les prêtes accusés d’abus sexuels du même ordre. Un homme d’appareil tenu par l’esprit de corps, doublé d’un communicant comme se doit de l’être tout bon stakeholder moderne, toujours prêt à défléchir les accusations avec du story-telling bien huilé.

C’est donc sans motif que les conservateurs s’inquiètent de l’exposition de statuettes de la Pachamama dans une église non loin du Vatican comme d’une manifestation de syncrétisme voire de néopaganisme écologiste. Pas plus que ne doivent être prises pour argent comptant les déclarations publiques bruyantes « pour la planète », « pour le climat » ou « pour l’environnement » des stakeholder financiers ou industriels de Davos. Ces déclarations révèlent seulement l’appétit de l’élite globale de faire main-basse sur ce qu’il reste de biens naturels lui échappant encore. Non, pas plus que ses partenaires, François ne vénère la Terre-Mère : il « fait de la com’ ».

Oui, à l’évidence, le monde change et Rome change aussi. Le sommet de la hiérarchie catholique ne souhaite pas se retrouver dans une position contre-culturelle : elle préfère suivre l’idéologie dominante, jusqu’à son transhumanisme. À cela je propose une première explication très simple : la papauté est désormais extrêmement faible et François ne s’y résout pas. Quel que soit le prix. De par le monde, les églises sont vides ou en train de se vider comme en Amérique latine. Ne s’accrochent que des groupes socialement ultra minoritaires, disséminés, et tous marqués à des degrés divers par un net conservatisme, voire par le traditionalisme. Le Vatican est devenu une institution d’un autre âge, inadaptée à la taille et à l’influence des communautés qu’il supervise. Le pape n’a plus les moyens de s’adresser à tous les humains comme s’il était une autorité spirituelle et morale écoutée par des centaines de millions de condisciples dans le monde. Son seul atout face au monde sécularisé, c’est ce qu’il représente encore en théorie et non en réalité : une certaine aura associée à sa soutane blanche, la Place et la Basilique Saint-Pierre, le palais du Vatican, la Sixtine, les Gardes suisses (s’ils sont vaccinés !) et les universités pontificales. 

Or François a bâti sa vie sur une conformité aux cadres hiérarchiques auxquels il s’identifie. Il a mené toute sa carrière sous le signe de son adhésion conformiste au gré des flots à tous les discours dominants qui se sont succédés : depuis celui de Peròn jusqu’à celui de Schwab. Or, le catholicisme, trop affaibli, n’est désormais plus en mesure de lui fournir un schéma de pensée socialement hégémoniques, tandis que son instinct le plus profond de bureaucrate lui interdit de se soustraire à la pensée grégaire du moment. François n’aurait donc pas pu opter de se consacrer à la petite minorité catholique qui écoute encore le pape sans provoquer aux yeux du grand public la disparition de la Rome pontificale dans une forme d’anonymat et d’oubli. Un choix impossible pour un homme d’appareil. Non, son désir est de rester fidèle à l’institution romaine telle qu’il la voit : celle-ci doit rester un acteur planétaire — comme avant en un sens. Pour cela, la Rome de François a fait le choix d’essayer de devenir un stakeholder de la gouvernance globale en allouant à ses titanesques corporate partenaires ce qui reste de prestige séculaire à la papauté. Pour cela, elle a décidé de collaborer activement à l’instauration d’un système totalitaire global fondé sur la surveillance numérique et les expérimentations géniques. « Se vogliamo che tutto rimanga come è, bisogna che tutto cambi ! ».

Matthieu Smyth

Matthieu Smyth est Professeur à l’Université de Strasbourg (France) (Sciences religieuses)

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Matthieu Smyth, Mondialisation.ca, 2022

[Voir aussi :
Bill Gates a-t-il demandé à Bergoglio de fermer l’Église catholique ?
À la vitesse de la lumière Bergoglio entraîne l’Église catholique dans sa chute
La nouvelle prière Bergoglienne
Le Pape François a rencontré secrètement le PDG de Pfizer avant de rendre la vaccination obligatoire au Vatican
Le Diable a un pied dans la porte et le Vatican ne fait rien — où l’on retrouve encore Bill Gates
Vatican et troisième « vaccin » selon le Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »]




« Vaccins : un plan mondial » écrit en mars 2019

[Source : Nexus]

Senta Depuydt, journaliste indépendante belge et présidente de l’association Children’s Health Defense, est spécialisée dans la question des politiques vaccinales mondiales. En mars 2019, elle publiait dans le magazine Nexus n°121 une vaste enquête sur l’idéologie politique, institutionnelle et industrielle de la vaccination dans ce qui semblait émerger en tant que marché global mondial. [Nexus le propose] en accès libre, ainsi qu’un second article d’elle paru dans le même numéro, avec en bonus un entretien vidéo avec elle tourné en février 2022.

Le travail de Senta Depuydt a récemment été découvert par beaucoup et reconnu comme étant « prophétique » puisqu’il décrivait avec précision, un an avant le début de la crise Covid, toutes les mesures liberticides et l’idéologie vaccinale qui allaient être imposées aux populations.

La prophétie n’est pas l’objectif du journalisme, mais lorsqu’il se confond avec, alors on peut parler d’une enquête bien menée !

◆ Un article qui fait le buzz 3 ans après sa parution

Notre article de mars 2019 a rencontré un vif succès et a généré un buzz début janvier 2022 sur les réseaux sociaux : Twitter, Telegram, Facebook… Tout cela à partir d’un seul tweet. Les mots de cet article, avec le recul de la crise Covid, ont résonné fort dans l’esprit de beaucoup de Français :

Je viens de lire un article de Nexus qui date de mars 2019 et où tout ce qui arrive est décrit jusque dans le moindre détail.
Le prochain qui me dit qu’il n’y pas de plan, je lui fais bouffer le magazine feuillet par feuillet.

— Rhume 19 (@Rhume19) January 8, 2022

VACCINS UN PLAN MONDIAL

nexus n° 121 | mars-avril 2019

Vaccination tout au long de la vie, vaccination dans les pharmacies, les écoles, sur le lieu de travail ou au supermarché : une politi-que de vaccination constante à l’échelle planétaire se déploie à grande vitesse.

par Senta Depuydt

À PROPOS DE L’AUTEURE

Senta Depuydt est diplômée en communication et journalisme de l’université de Louvain et a travaillé plusieurs années dans des multinationales, tout en explorant des domaines parallèles. Confrontée à l’autisme, elle a mis en place de nouvelles approches médicales et éducatives, afin d’aider son fils à retrouver un développement optimal. Elle a ensuite approfondi et partagé abondamment ces informations dans des conférences et des articles, notamment lors du congrès Sortir de l’autisme, abordant aussi des sujets con-troversés comme l’impact des facteurs environnementaux ou de la vaccination.

Sans que cela ne provoque le moindre débat dans les médias ni au sein des assemblées, un programme de vaccination organise la mise en place d’un contrôle permanent des populations et des individus de tous âges. Cette stratégie élaborée dans le cadre de l’Agenda global pour la sécurité sanitaire, ou GHSA, est-elle en train de précipiter notre société à toute vitesse dans « le Meilleur des mondes » ?

Étrange passivité

C’est l’Argentine qui donne le coup d’envoi de cette politique de contrôle totalitaire par le biais de la vaccination. Le Congrès y a approuvé au mois de décembre une loi qui requiert de présenter le carnet de vaccination unique attestant d’une vaccination à jour lors de chaque formalité administrative : carte d’identité, passeport, permis de conduire, certificat pour une demande de mariage, etc.1 Alors que le pays s’est déchaîné sur les questions touchant à l’intégrité du corps, comme les lois concernant l’avortement ou pour le mariage pour tous, et s’est passionné pour des affaires d’abus de mineurs, c’est à l’unanimité et sans le moindre débat que cette loi imposant une ingérence permanente dans le corps de chaque individu a été votée. Bien évidemment, cette contrainte conditionne aussi l’accès à l’éducation, aux services de santé et à l’emploi.

Dans un magazine en ligne, un chroniqueur indépendant s’étouffe : « L’Argentine est devenue la première nation au monde constituée de rats de laboratoire2 », écrit-il, en référence aux multiples essais cliniques dangereux, voire mortels, qui y ont été menés sans consentement, notamment avec le vaccin Synflorix3. Les médias argentins se sont pourtant abstenus de toute critique, ne relayant que les propos officiels.

Renforcer le leadership

Selon le Dr Carla Vizzotti, présidente de la Société de vaccinologie et d’épidémiologie,

« il s’agit d’une grande nouvelle pour la santé publique. Un projet qui est devenu loi en moins d’un an, une loi fédérale, appuyée par tous les partis du Congrès. Elle instaure la vaccination tout au long de la vie pour tous les vaccins qui seront inscrits au programme national. Et elle définit aussi la vaccination comme un bien d’intérêt social qui établit la prévalence de la santé publique sur les intérêts particuliers. »

De l’Allemagne à la Russie, la Corée du Nord ou la Chine, cette rhétorique de la prévalence du bien commun sur les intérêts de l’individu est la porte ouverte à tous les abus.

Rappelons que c’est à Mar del Plata que se tenait le sommet du G20 en 2018. Lors de la réunion des ministres de la Santé, la vaccination y était largement à l’honneur, notamment avec le sujet de la résistance aux antibiotiques (contre laquelle la seule solution semble être la vaccination), mais aussi et surtout avec la thématique majeure de « la préparation aux menaces sanitaires et à de nouvelles pandémies ».

Dans la déclaration commune du 4 octobre 20184, sous présidence argentine, les pays du G20 appellent à renforcer l’importance des agences de santé nationales et le rôle central de l’OMS, afin de s’assurer que l’ONU dispose d’un système propre pour faire face à une future crise sanitaire mondiale. Ils se prononcent également en faveur d’un large financement de cette préparation à la pandémie, notamment par le soutien à la World Bank’s Pandemic Emergency Financing Facility, fruit récent d’un partenariat encore plus rapproché entre l’OMS et la Banque mondiale5.

Un carnet européen de vaccination

La volonté de créer cet ordre mondial de la santé est donc manifeste et le premier point de son agenda est et reste la vaccination. Si l’Argentine prend les devants avec cette mesure radicale, l’Europe semble lui emboîter le pas. Le 30 novembre, le Conseil de l’Union européenne (organe le plus influent parmi les institutions européennes) émet une recommandation pour « une collaboration renforcée dans la lutte contre les maladies à prévention vaccinale6 », dans laquelle il préconise entre autres mesures de renforcer la vaccination et son financement, d’organiser d’ici à 2020 un calendrier vaccinal européen conforme aux recommandations de l’OMS et de surveiller sa mise en œuvre par l’instauration d’un carnet européen numérique de vaccination, voire un « passeport ». Tout comme en Argentine, on y prévoit une vaccination « tout au long de la vie », avec des contrôles de routine et des occasions de rappels à la vaccination à tout âge, notamment lors de l’accès à la (pré)scolarité, aux soins de santé, au lieu de travail ou aux établissements de soins. Pour ce faire, l’Union met la priorité sur le développement de plateformes de santé numériques et de solutions big data.

Endoctrinement

C’est l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) en France, qui est chargé de piloter ce projet «Joint Action on Vaccination » (« Action commune en faveur de la vaccination ») et d’organiser une banque de données avec le statut vaccinal de chaque citoyen en temps réel, permettant de croiser et d’échanger les données entre différents systèmes de santé, ou d’envoyer des SMS ou des mails pour notifier les rappels de vaccins aux individus concernés.

La recommandation prévoit aussi d’inculquer les principes de la vaccination dans les écoles, notamment les écoles européennes, ainsi que dans tous les types d’enseignement. Par ailleurs, on prévoit d’éliminer les contestations sous prétexte d’une stratégie européenne pour lutter contre les fake news et la désinformation en ligne7. Enfin, démarche inquiétante, l’Union prévoit de financer la recherche en sciences sociales et comportementales pour déterminer les facteurs menant à la réticence à la vaccination dans différentes catégories de population et parmi les travailleurs de la santé (article 15 de la recommandation du Conseil de l’UE)8.

Des motifs de résistance

Il s’agit bien là d’une politique extrêmement contraignante et qui s’appliquera dans toute l’Europe, même s’il pourrait être difficile d’instaurer une obligation légale dans certains pays. Dans la plupart des démocraties d’Europe de l’Ouest, le principe du libre consentement éclairé et l’interdiction de l’expérimentation médicale forcée ont imprégné les esprits avec le procès et ensuite le code de Nuremberg, au sortir de la guerre et des atrocités nazies. D’ailleurs, Angela Merkel, interrogée en octobre 2017 alors que l’extension des obligations vaccinales en France était à l’ordre du jour, déclarait dans un podcast vidéo :

« En tant que citoyennes et citoyens responsables et indépendants, comme cela nous paraît tout à fait naturel en Allemagne, tout le monde devrait pouvoir peser sa propre décision. »

Quelques mois plus tôt, en mai 2017, le Parlement suédois avait lui aussi rejeté une loi instaurant des obligations vaccinales9, au motif que, d’une part, le programme vaccinal en place semblait remplir ses objectifs et que, d’autre part, les associations avaient rappelé à juste titre l’existence de dommages vaccinaux et le fait qu’une telle obligation était contraire aux libertés garanties par la Constitution.

Forcing

Quoi qu’il en soit, là où le respect du libre consentement semble bétonné par différentes lois, il sera toujours possible d’imposer une forme d’obligation dans la pratique. Les contraintes sont nombreuses : refus d’accès aux lieux et services publics, aux établissements d’enseignement ou centres commerciaux, ou aux moyens de transport, ce qui reviendrait presque à une forme d’assignation à résidence.

Les incitations à la vaccination pourraient se décliner à travers des bonus et des compensations ou, au contraire, une augmentation des tarifs d’assurance et de soins de santé, voire la diminution des allocations pour les non-vaccinés, comme c’est déjà le cas en Australie, où le gouvernement mène une politique draconienne.

En effet, à la suite de la campagne « No jab, no play », organisée par News Corp – le groupe de presse de Rupert Murdoch, dont le fils James a longtemps siégé au conseil d’administration du laboratoire GSK –, le gouvernement australien a adopté en janvier 2016 la loi coercitive « No jab, no play ; No jab, no pay » (« Pas de piqûre, pas de jeu ; Pas de piqûre, pas d’argent ») et a notamment supprimé une partie des allocations familiales aux parents dont les enfants ne sont pas vaccinés10.

Politique autoritaire

L’Australie semble inspirer l’Europe et cette ligne autoritaire et « criminalisante » a d’ailleurs été esquissée par Martin Seychell, le directeur général adjoint de la direction générale Santé et Sécurité alimentaire de la Commission européenne, lorsqu’il a affirmé que « la non-vaccination menace la vie d’autrui » dans une position qui exclut tout droit à la non-vaccination. S’adressant aux associations et partenaires de la société civile lors d’une réunion au Parlement organisée par Active Citizens in Europe advocate for vaccination (« Citoyens actifs en Europe pour la vaccination »), une ONG financée par MSD (Merck Sharp & Dohme, fabricant du vaccin Gardasil), il a insisté sur l’importance de renforcer le leadership et d’augmenter la surveillance. Parmi ses objectifs prioritaires : la vaccination de la population adulte et le rattrapage des « rappels ». C’est bien entendu le vaccin de la grippe qui sera au cœur de cette campagne, un produit qui a l’avantage commercial indéniable de devoir être refait chaque année.

Lors de cette réunion, un autre intervenant, le Dr David Salisbury, a poursuivi dans la même veine en vantant les bienfaits d’une vaccination « comme à l’armée ». Chaque citoyen sera convoqué par mail ou SMS via un message lui proposant une heure de rendez-vous dans un centre de vaccination où l’on vaccine à la chaîne, sans qu’une visite préalable soit nécessaire. Gain de temps, données inscrites sans délai dans le carnet de santé numérique, la vaccination devient une obligation citoyenne et passe de l’acte médical à l’acte administratif. Ce qui n’a rien de rassurant11.

Prudence de longue date

Le principe de l’obligation vaccinale a toujours été contesté partout, que ce soit en France, en Grande-Bretagne ou aux États-Unis, y compris à l’époque de la variole. C’est sur la seule base du caractère d’« état d’urgence » et de « danger imminent » que les premières obligations vaccinales ont été admises. Il est intéressant de noter que dans le verdict initial américain Jacobson vs Massachusetts rendu par la Cour suprême des États-Unis en 1905, et qui autorise pour la première fois une obligation vaccinale contre la variole en vertu de ce motif d’exception, on peut lire des mises en garde très sérieuses. Face à « la possibilité d’un usage arbitraire et oppresseur d’un pouvoir policier », ou au « fait d’aller bien au-delà de ce qui était indispensable pour assurer la santé publique », la Cour appelle clairement à rester « vigilant afin d’examiner et de contrecarrer les prétentions déraisonnables du pouvoir étatique12 ».

Passe-droit incompréhensible

Un siècle plus tard, les obligations sont désormais motivées par de simples impératifs commerciaux, sans qu’il y ait la moindre urgence de santé publique. Il faut se rappeler qu’en France, il y a à peine deux ans, l’État avait été condamné pour excès de pouvoir, car en l’absence d’un triple vaccin DTP sur le marché correspondant aux vaccins prescrits par la loi, il imposait dans les faits l’utilisation d’un vaccin hexavalent13. En l’absence d’épidémies de polio ou de diphtérie (le tétanos n’étant jamais contagieux), le maintien de telles obligations ne se justifiait plus14 et la France aurait pu les supprimer, s’alignant ainsi sur le principe du libre choix comme c’est le cas dans de nombreuses démocraties européennes. Malheureusement, l’État a choisi d’étendre et d’adapter les obligations à l’offre du marché. Avec une législation solide en faveur des droits des patients, des experts partagés sur la sûreté, l’utilité et l’efficacité des vaccins et des taux de vaccination en hausse, personne n’imaginait que cette mesure puisse être votée. Pourtant, un passe-droit a été créé avec la redoutable « stratégie de la menace », développée et menée à l’échelle internationale par le GHSA (Agenda global pour la sécurité sanitaire) à travers la campagne d’une menace du retour de la rougeole.

[Voir cependant :
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
et
L’enterrement de la théorie virale]

État d’urgence permanent

C’est en novembre 2014, lors d’une première réunion à la Maison Blanche, que le GHSA a véritablement lancé cette stratégie globale de la menace. Y participaient non seulement les principaux responsables de la santé du monde entier, mais aussi le département de la Défense américain et Interpol. Alors que l’objectif du GHSA est d’assurer la sécurité sanitaire en cas d’alerte majeure pour la santé, par exemple en cas d’accident nucléaire ou de bioterrorisme (imaginons la réintroduction de la variole lors d’une guerre), une première dérive s’opère d’emblée dans la désignation de la rougeole comme menace sanitaire. Élément essentiel déjà évoqué, l’argument sécuritaire est en réalité le seul qui permette de contourner toutes les législations en faveur du libre consentement éclairé. Mais la désignation de la rougeole, maladie généralement bénigne, comme menace sanitaire n’est pas innocente. Elle intervient quelques mois à peine après que l’expert des CDC (Centers for Disease Control and Prevention – Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) William Thompson a avoué avoir falsifié la principale étude qui servait de référence pour rejeter le lien entre l’autisme et le vaccin rougeole, oreillons, rubéole15. Loin de représenter un véritable danger, la menace de la rougeole intervient comme une contre-attaque face aux accusations de fraude scientifique, tandis que la vaccination en masse et surtout les obligations se profilent comme le moyen le plus efficace de garantir un marché qui pourrait accuser des pertes.

Les principaux objectifs annoncés à l’issue de cette réunion furent de développer une surveillance accrue, de renforcer les leaderships et de modifier les législations nationales en faveur de la vaccination généralisée. Pour la rougeole, il s’agit de viser une couverture de 95 % sur toute la planète afin d’atteindre « l’immunité de groupe16 ». L’Italie fut désignée comme précurseur de la mise en place du programme. Deux ans plus tard, quelques jours avant l’élection de Trump, Barack Obama et Bill Gates signèrent en hâte un important financement visant à accélérer la mise en place du programme à l’échelle mondiale et lancèrent ainsi la grande campagne de la menace du retour de la rougeole.

Stratégie de la menace

Comme la rougeole ne décime pas des populations et que les taux de vaccination ont augmenté dans la majorité des pays, le cœur de la stratégie se concentre sur la menace virtuelle et le danger permanent.

Ce sera soit le danger de la « possible diminution de la vaccination » et du grand retour des maladies « à cause de la désinformation sur les réseaux sociaux », soit le danger inconnu, comme « la fameuse grippe que l’on ne connaît pas, mais qui arrivera tôt ou tard17 ». La grippe est l’un des thèmes favoris de Bill Gates et des producteurs de vaccins, mais en 2018 s’ajoute dans la liste des dangers prioritaires la « maladie X18 », une maladie qui n’existe pas encore, mais qui permet de financer en priorité « les programmes de préparation à la catastrophe », comme prévu avec la Banque mondiale.

[Note de Joseph : cette maladie X a été nommée Covid-19, mais son virus n’a jamais été effectivement isolé, de même que pour les autres prétendues maladies virales, et ses symptômes regroupent ceux d’affections déjà connues, notamment les grippaux. Voir notamment :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais (leur nombre dépasse maintenant les 120)
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur]

Tout récemment, l’OMS a même qualifié les réticences à la vaccination comme étant l’une des dix principales menaces sur la santé19. Si les médias et les nombreux lobbies scientifiques sont déjà sous contrôle des institutions et de l’industrie, le rôle de l’information sur les réseaux sociaux et dans les médias alternatifs sera sans doute un élément décisif dans cette bataille pour un libre choix.

Autre dérive qui s’inscrit dans la même logique de menace sanitaire : « Les maladies à prévention vaccinale sont considérées comme des fléaux majeurs ! » selon les textes de l’Union européenne20. En d’autres termes, peu importe la maladie et son degré de dangerosité ou de contagion. Il suffit qu’un vaccin soit développé pour que cela puisse justifier le fait de le promouvoir, et même de le rendre obligatoire. Au-delà d’une interrogation légitime sur ce qui s’apparente à une forme de racket, il est aussi nécessaire d’envisager cette politique de vaccination sous d’autres aspects.

Contrôle des citoyens

Par la mise en œuvre des carnets de santé électroniques, prévus par l’Union européenne, il y a un glissement manifeste qui s’opère de la surveillance des maladies, où il s’agit de détecter les foyers infectieux et d’y apporter une réponse sanitaire, à une surveillance accrue des citoyens. À partir de là, différentes dérives sont susceptibles de se produire. D’une part, les données récoltées pourraient être utilisées (« valorisées », c’est-à-dire commercialisées) ou exploitées d’une manière ou d’une autre (par les assurances notamment), sans le moindre consentement.

Le suivi des recommandations officielles pourrait-il conditionner l’accès à d’autres prestations ou leur remboursement ? Ne risquerait-on pas d’aboutir à une sorte de carnet de santé à points ?

D’autre part, Interpol (organisation internationale de police criminelle) participe au GHSA et gère un fichier centralisé qui permet de poursuivre les individus à travers différents États. On peut s’interroger sur son rôle éventuel dans le maintien des politiques vaccinales, si un individu Eugenics Building au Kansas Free Fair était qualifié de dangereux ou de déviant pour avoir refusé un vaccin. Sachant que l’OMS a déclaré que les « réticences à la vaccination sont une des principales menaces à la santé globale » et que l’Union européenne finance par ailleurs des programmes pour étudier le comportement et le profil psychologique des individus réticents à la vaccination, il y a de quoi s’inquiéter.

Mot tabou : eugénisme

Il ne s’agit pas ici de porter des accusations ni de spéculer sur les intentions des politiques actuelles, mais de fournir des éléments permettant de comprendre les enjeux de la vaccination dans un cadre élargi, afin de mettre en place une série de garde-fous. Ce sujet n’est jamais abordé de manière sérieuse, alors que l’on ne cesse d’évoquer les dangers des mouvements extrémistes tout en menant des politiques de plus en plus autoritaires. Trois questions se posent :

  • Y a-t-il eu des individus aux opi-nions nazies ou eugénistes parmi ceux qui ont conçu et financé le développement de vaccins ?
  • Y a-t-il des vaccins contraceptifs ou stérilisants ?
  • L’eugénisme a-t-il fait partie de programmes politiques ?

La réponse à ces trois questions est clairement oui.

Éliminer les faibles

Il est intéressant de se pencher sur l’exemple de la Fondation Rockefeller, qui joue un rôle crucial dans les politiques vaccinales depuis plus d’un siècle. L’institut de recherche de la fondation a été créé en 1901 sous la direction de William Welch, un scientifique dont une des priorités était la mise au point du premier vaccin contre la polio. Welch, comme nombre de ses collaborateurs, était un eugéniste notoire et siégeait au conseil d’administration de l’Eugenics Record Office21, un organisme qui avait entrepris de ficher des millions d’Américains afin d’identifier les lignées les plus faibles de la population et de les éliminer par différentes méthodes, incluant la stérilisation et l’euthanasie22. D’après les documents retracés dans l’ouvrage d’Edwin Black War Against the Weak : Eugenics and America’s Campaign to Create a Master Race (Guerre contre les faibles : l’eugénisme et la campagne américaine visant à créer une race de maîtres) (Expanded Edition, Dialog Press, 2012), les racines idéologiques et même les méthodes d’extermination nazies, y compris les chambres à gaz, furent empruntées aux eugénistes californiens. La Fondation Rockefeller aurait versé près de 100 millions de dollars à l’Eugenics Record Office, mais elle joua aussi un rôle capital dans le développement des instituts eugénistes en Allemagne, notamment le Keiser Wilhelm Institute. Elle y soutenait déjà les travaux de l’épouvantable Dr Mengele avant la guerre, ainsi que ceux de Rudin23. Rockefeller était le principal actionnaire de la Standard Oil avec la compagnie Allemande IG Farben24. La Standard Oil poursuivit son partenariat avec IG pendant la guerre et facilita le déploiement militaire allemand. IG Farben est la compagnie qui fit construire des camps de travail à Auschwitz et participa aux expérimentations humaines dans les camps de concentration, dont certaines portaient d’ailleurs sur le développement de vaccins en infectant des prisonniers avec le typhus et d’autres maladies25. C’est aussi IG Farben qui fabriquait le gaz zyklon B utilisé pour les chambres à gaz.

Contrôle démographique

Malheureusement, la guerre n’a pas mis fin aux politiques eugénistes et la Fondation Rockefeller a continué de les soutenir via les programmes menés sur le plan national et international. Aux États-Unis, les programmes de stérilisation ont eu lieu jusque dans les années 1950 ou même 1970 (en Caroline du Nord)26 et ce n’est que récemment que des programmes d’indemnisation des victimes ont été approuvés27. De nombreux présidents américains ont partagé ces mêmes conceptions et objectifs politiques. En 1913, dans une lettre à Charles Davenport, un des leaders du mouvement eugéniste, Theodore Roosevelt estime « que la société ne peut pas permettre aux dégénérés de se reproduire28 ». Entre la Deuxième Guerre mondiale et la fin des années 1980, plusieurs générations de la famille Bush sont aussi étroitement impliquées dans les politiques eugénistes en lien avec la Fondation Rockefeller29. En 1974, Kissinger adresse un rapport secret au Conseil national de sécurité américain dans lequel il définit les grandes lignes d’un agenda de contrôle mondial de la population, dont la mise en œuvre est notamment prévue par des programmes internationaux comme l’USAID30.

C’est principalement sous l’impulsion du Britannique Julian Huxley, ancien directeur général de l’Unesco et fervent défenseur de l’eugénisme avec son frère Aldous, auteur du Meilleur des mondes, que le contrôle de la population a été intégré de manière systématique dans un agenda mondial31.

Bien que farouchement opposé au nazisme (car il contestait la sélection à partir de la race), Huxley était toutefois profondément influencé par les théories évolutionnistes et prônait une philosophie sociale enracinée dans la biologie… En résumé, éliminer les plus faibles, pour favoriser les plus forts. Julian Huxley s’est appliqué à inscrire le contrôle des populations dans les programmes de l’UNESCO, de la FAO et de l’OMS, instituant le Conseil de la population et veillant à associer de manière systématique les politiques de contrôle démographique aux aides apportées aux pays en voie de développement (dont la principale demeure la vaccination).

Deux en un !

Le projet de développer des vaccins stérilisants a été lancé par l’OMS en 197232 en collaboration avec le FNUP (Fonds des Nations unies pour la population), le PNUD (Programme des Nations unies pour le développement), la Banque mondiale et leurs partenaires privilégiés (Rockefeller, Planned Parenthood, UNAIDS, etc.) dans le cadre du « Expanded Program of Research, Development, and Research Training in Human Reproduction33 » (« Programme élargi de recherche, de développement et de formation sur la reproduction humaine »). Il impliquait 650 chercheurs dans plus de 60 pays et différentes méthodes parmi lesquelles l’avortement, la stérilisation et les vaccins contraceptifs.

En 199334, un premier vaccin efficace est mis au point en combinant la toxine du tétanos avec une hormone de grossesse (hCG). Ce vaccin a donc des propriétés abortives chez les femmes enceintes et inhibe la grossesse chez les femmes non fécondées pour une période allant de six mois à un an. Essentiellement destinés aux pays en voie de développement, ces vaccins étaient censés être proposés comme contraceptif à des femmes qui en font la demande « en toute connaissance de cause », mais qu’en est-il dans la pratique ?

Libre consentement bafoué

Aujourd’hui, de nouveaux produits sont apparus et le terme de vaccin contraceptif ou anti-grossesse est abandonné au profit des noms plus neutres de produits ou de leurs composants35. Par exemple, le DMPA, ou Depo-Provera, contraceptif injectable qui est largement promu par la fondation Bill et Melinda Gates dans le cadre du plan de planning familial FP2020, une campagne amorcée avec le gouvernement britannique et qui cible particulièrement les pauvres, notamment en Inde (Mission Parivar Vikas). Ce produit a pourtant reçu une mention « black box36 » aux États-Unis, car il est associé à une augmentation des cancers du sein, de l’ostéoporose et d’un retour à la fertilité difficile après arrêt du traitement. Selon la porte-parole de l’ONG Centre for Health and Social Justice dans un article paru dans la presse indienne en 201737, le libre consentement éclairé affiché de cette campagne est une farce. On attire des femmes illettrées en leur donnant cent roupies sans leur parler des risques, alors qu’il existe sans doute d’autres moyens contraceptifs plus sûrs et plus appropriés à leur besoin.

En Inde, la plupart des médecins ont encore une approche très malthusienne de la santé et la société est toujours imprégnée du système de castes et de divisions ethniques. Aussi, quand le gouvernement a introduit les campagnes de contraceptifs injectables, de nombreuses associations s’y sont opposées, afin de se prémunir contre d’éventuelles dérives eugénistes. Par ailleurs, comme le précisent ces associations, promouvoir de telles options, sans même prendre en considération la santé globale et le bien-être de la femme, résulte tout simplement d’une forme de contrôle et de privation de liberté des femmes.

En ayant cela à l’esprit, s’interroger sur les campagnes de vaccination menées par les puissants de la planète et les organisations internationales qu’ils dirigent tient d’un devoir de précaution légitime. Les faits qui se sont déroulés il y a quelques années au Kenya en sont bien la preuve.

Tétanos à l’hormone de grossesse

En novembre 2014, l’Église catholique du Kenya a sonné l’alarme après avoir constaté une importante augmentation de fausses couches et de problèmes de fertilité. Des médecins kényans avaient fait analyser dans quatre laboratoires du pays des échantillons du vaccin antitétanique distribué par l’OMS. Près de la moitié des lots semblaient contenir des hormones de grossesse. L’association des médecins catholiques a accusé l’OMS de procéder à un programme de dépopulation. Le fait que le calendrier vaccinal proposé ait différé du calendrier habituel recommandé pour le tétanos indique qu’il s’agit là soit d’une grave négligence, soit d’un acte intentionnel38.

Si l’OMS a bien rédigé une réponse indignée devant des accusations aussi lourdes, elle s’est contentée de discréditer la fiabilité des laboratoires ayant procédé aux analyses.

Contraceptif télécommandé

Les récentes plaintes pour faits de sexisme et de discrimination raciale systématique au siège même de l’OMS viennent ternir un peu plus les images d’humanité et de bienfaisance véhiculées dans les campagnes de communication de l’organisation.

Pas de quoi renforcer la confiance dans l’OMS, ni en Bill Gates, qui en est le principal financier et pour qui le contrôle de la population sous toutes ses formes semble être une obsession majeure, comme en témoigne une conférence Tedx 201039, alimentant depuis longtemps les doutes quant à ses véritables intentions. S’il n’affiche pas d’opinion raciste ou ouvertement eugéniste, il faut noter que ses parents étaient parmi les dirigeants de « Planned Parenthood », organisation qu’il gère encore actuellement et dont l’activité principale consiste à pratiquer l’avortement. Or, à l’origine, cette association plaidait ouvertement pour une stérilisation forcée des « moins désirables », minorités pauvres (en particulier Afro-Américains), handicapés physiques et mentaux ou même épileptiques40.

La fondation Gates finance en tout cas de nombreuses recherches sur la contraception, notamment un contraceptif télécommandé via une microcapsule qui libère des hormones durant près de seize ans, mais qui peut être désactivée par un signal envoyé par un médecin… Plutôt stressant lorsque l’on apprend que la FDA a émis une mise en garde préalable sur le fait que ce type de dispositif est susceptible d’être piraté41 !

Il est aussi effrayant de voir à quel point toutes ces « avancées » impliquent un assujettissement accru au corps médical.

Stérilité et vaccin anti-HPV

Élaborés avec l’aide du gouvernement américain 42, les vaccins contre le papillomavirus Gardasil et Cervarix ont été accusés de provoquer des troubles du fonctionnement ovarien43, des problèmes de ménopause précoce et des cas de cancer du col. L’utilisation de polysorbate 8044 et de borate45 pourrait en être la cause. Ces deux produits ont une action toxique sur le système reproductif et peuvent provoquer une dégénérescence des organes sexuels, la diminution du sperme et de l’ovulation ainsi que des malformations fœtales. Une étude récente de Gayle DeLong a noté que, dans une population de 8 millions de femmes entre 25 et 29 ans, celles vaccinées avec l’anti-HPV avaient presque deux fois moins de grossesses46. Pour l’instant, il n’y a, comme souvent, pas assez de données permettant de confirmer ou de réfuter un lien de causalité entre l’infertilité et le vaccin.

Drones, satellites et colliers à puce

Big Data et les nouvelles technologies sont en tout cas au rendez-vous de l’agenda vaccinal, et les organisations internationales investissent dans ces outils pour assurer leur mission. Dans une interview de novembre 201747, Seth Berkley, le directeur de l’Alliance globale pour la vaccination et l’immunisation, précise ses ambitions :

« Des millions d’enfants n’ont pas de papiers d’identité, encore moins de carnet de santé, mais l’un des objectifs du programme de développement durable des Nations unies est que chaque être humain soit enregistré sous une identité légale d’ici à 2030. Cela peut se faire en déployant un ensemble de technologies numériques et c’est un objectif qui se combine parfaitement avec la vaccination.

Par exemple, à l’aide du Big Data, l’on peut anticiper la localisation et le déploiement de futures épidémies et y répondre par une campagne de vaccination. On peut aussi utiliser les techniques de localisation géospatiales et les caméras de surveillance par drone pour repérer des ethnies qui n’ont pas encore été vaccinées, comme cela se fait au Nigeria. »

L’utilisation régulière de drones pour le transport de vaccins commence aussi à se répandre, notamment au Rwanda ou dans l’archipel de Vanuatu48. Enfin, il explique qu’au Rajasthan en Inde, GAVI, l’Alliance du vaccin travaille avec une compagnie nommée Khushi Babies qui a développé un carnet de vaccination sous forme de collier à puce électronique. Ce collier peut être scanné et mis à jour avec un téléphone portable par les équipes de vaccination, afin d’avoir une information fiable. Toujours selon Berkley, tout cela devrait permettre de devenir plus ambitieux et de viser une couverture vaccinale de 100 % des vaccins recommandés pour tous les enfants par l’OMS.

Face à un tel déploiement de moyens, il convient de s’interroger. Bien entendu, il ne s’agit pas de mettre en cause le développement de la recherche ou de la technologie. Des thérapies génétiques pourraient un jour renverser un pronostic mortel, et un médicament délivré en urgence par drone sauver une vie. Mais les meilleures intentions peuvent aussi avoir les pires conséquences. Plus que jamais, il convient de rester vigilant. Ces questions doivent impérativement être évaluées sur un plan éthique, car elles peuvent entraîner une forme d’assujettissement de la personne et un risque de privation de liberté peu acceptables.

[Note de Joseph : les thérapies géniques ont largement démontré leur nocivité et leur incapacité à réellement améliorer la santé humaine, notamment par les récents pseudo vaccins anti-Covid.
Voir :
La thérapie génique ou le modèle machine de la biologie, la négation du mystère, le réductionnisme biologique et le scientifique qui a tenté de nous mettre en garde
Sauvons les enfants des injections géniques
Pseudovaccination en Grande-Bretagne, bilan au 5 février 2022 : les injections géniques ne protègent ni des formes graves ni de la mortalité
Injection génique chez les enfants : aberration inutile et dangereuse. MàJ
Les pseudovaccins anticovid (injections géniques) ne protègent ni les vaccinés ni leurs contacts
Note sur les fake news relatives aux chiffres concernant les effets secondaires des thérapies géniques chez les enfants de 0 à 17 ans
Dernier mensonge médiatique à dénoncer : les pseudo vaccins actuels qui protègeraient des formes graves de Covid-19]

Vaccins et injections transhumantes

Pour voir encore plus loin la portée des enjeux d’une politique de vaccination obligatoire et massive, il faut s’intéresser au développement de nouvelles technologies dans le domaine des vaccins et des injections. L’immunoprophylaxie par transfert génétique pourrait se présenter comme l’avenir du vaccin, mais aussi inaugurer la voie du transhumanisme. Il s’agit d’appliquer le principe des OGM à l’être humain. Ici, l’on n’injecte plus un antigène (par exemple le virus atténué de la rougeole) pour susciter une réponse sous forme d’anticorps, mais un nouveau matériel génétique synthétique véhiculé par un vecteur (un virus qui circule rapidement), encodant des protéines résistantes à diverses maladies. Cette nouvelle approche, que l’on nomme aussi plus discrètement immunoprophylaxie vectorielle49, court-circuite le fonctionnement traditionnel du système immunitaire et modifie le profil génétique de l’individu vacciné. Les recherches actuelles visent à l’utiliser pour des vaccins contre la malaria, la dengue, l’hépatite C, le VIH et… la grippe.

On imagine facilement que ces nouveaux produits pourraient venir à point nommé remplacer les vaccins classiques trop critiqués en raison de la toxicité de leurs adjuvants. Mais d’autres risques se profilent… celui de la mutagenèse (ou la modification non prévue du patrimoine génétique propre). De même, que penser de la tolérance et des effets à long terme d’une technologie dont on ignore tout ? Enfin, cela met à disposition de ceux qui contrôlent la production et la diffusion des vaccins un moyen de modification constant de la génétique de différents groupes d’êtres humains.

Il est temps de comprendre que les enjeux des politiques vaccinales vont bien au-delà du risque d’éventuelles complications de la grippe ou de la rougeole. Une politique d’obligations et de surveillance à l’échelle mondiale, associée à une concentration de pouvoirs anormale, menée sans transparence ni contrôle indépendant, avec des mesures de censure et, in fine, la possibilité d’expérimenter des programmes eugénistes et transhumanistes est une situation hautement alarmante. Un débat ouvert sur la démographie, la contraception ou les modifications génétiques doit pouvoir avoir lieu, mais le plus urgent est de sauvegarder nos libertés et nos droits fondamentaux.

Senta Depuydt

Références

Note : seuls quelques liens sont fonctionnels…

  1. https://www.lanacion.com.ar/2202208-para-renovar-dni-pasaporte-registro-habra-presentar
  2. https://loveartnotpeople.org/2018/12/20/mi-resena-de-como-la-verdadera-vio-lacion-no-fue-la-de-juan-darthes-sino-la-del- estado-entongado-con-dios-sabe-quien-forzandonos-a-darnos-todas-las-vacunas-contra-nuestra-voluntad/
  3. https://redbioetica.com.ar/glaxosmithkline-sigue-pagando-multas/
  4. http://www.g20.utoronto.ca/2018/2018-10-04-health.html
  5. https://www.worldbank.org/en/news/press- release/2018/09/10/global-prepa-redness-monitoring-board- convenes-for-the-first-time-in-geneva ; https:// www.who.int/ news-room/detail/24-05-2018-who-and-world-bank-group-join-forces-to-strengthen-global-health-security
  6. https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/14152_2018_en.pdf
  7. Commission Communication on Tackling Online Disinformation: a European Approach, COM(2018) 236. Communication de la commission intitulée « Lutter contre la désinformation en ligne : une approche européenne », COM(2018) 236 final.
  8. https://ec.europa.eu/health/sites/health/files/vaccination/docs/14152_2018_en.pdf
  9. http://freedomeurope.net/en/riksdagen-rostade-nej-till-lagar-om-obligatorisk-vaccinering/
  10. https://www.ageofautism.com/2018/07/are-the-murdochs-dictating-vaccina-tion-policy-in-australia-in-the-best-interests-of-glaxosmithkline.html
  11. Propos entendus lors de la réunion « Active Citizens for vaccination in Eu-rope » du 7 novembre 2018 au Parlement européen et article
    https://www.euractiv.fr/section/sante-modes-%20de-vie/news/no-freedom-of-choice-in-vaccination-top-eu-health-official-insists/
  12. https://supreme.justia.com/cases/federal/us/197/11/ et https://childrenshealthdefense.org/news/vaccine-mandates-results-dont-safeguard-chil-drens-rights-or-health-how-did-we-get-here/
  13. http://www.avocat-bergel.com/wp-content/uploads/2017/06/VACCINS-let-tre-à-la-Ministre-exécution-2.pdf
  14. Depuydt Senta, « Autisme, vaccin et politique, tout sur un sale business », NEXUS n° 109 (mars-avril 2017).
  15. Depuydt Senta, « Rougeole, faut-il craindre de nouvelles épidémies ? », NEXUS n° 117 (juillet-août 2018) ;
    Depuydt Senta, « Autisme, vaccin et politi-que, tout sur un sale business », NEXUS n° 109 (mars-avril 2017) ;
    Aveux enre-gistrés dans le documentaire Vaxxed :
    www.vaxxedthemovie.com/fr ;
    Déclara-tion officielle de William Thompson suite au documentaire :
    https://www.rescuepost.com/files/william-thompson-statement-27-august-2014-3.pdf
  16. Ce dogme est pourtant contredit par la réalité épidémiologique : le vaccin n’offre qu’une protection temporaire, ne fonctionne pas dans 10 % des cas et n’agit que sur certaines souches, ce qui explique que la rougeole affecte aussi les personnes vaccinées. Malheureusement, même si des experts réputés tels que le professeur Didier Raoult ou l’épidémiologiste Bernard Guennebaud n’hési-tent pas à la qualifier de « fantascience », cette notion fait passer la vaccination de masse pour un acte éthique et scientifique (cf. Depuydt Senta, « Rougeole, faut-il craindre de nouvelles épidémies ? », NEXUS n° 117, juillet-août 2018). Interview par Prévention Santé du professeur Didier Raoult : « Vaccins, Science et Vérité » :
    https:// www.youtube.com/watch?v=gssKVHpKBwk&t=773s
  17. https://www.who.int/emergencies/ten-threats-to-global-health-in-2019
  18. https://www.who.int/blueprint/priority-diseases/en/ ;
    https://www.sciencesetavenir.fr/sante/l-oms-estime-que-la-maladie-x-pourrait-etre-la-prochaine-menace-mondiale_121999
  19. https://www.newsweek.com/world-health-organization-who-un- global-health-air-pollution-anti-vaxxers-1292493
  20. https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/ ;
    http://data.consilium.europa.eu/doc/document/ST-8679-2018-INIT/en/pdf
  21. https://www.dnalc.org/view/10950-Eugenics-Record-Office-board-of-scien-tific-directors-and-functions.html
  22. https://vactruth.com/2010/08/18/rockefeller-vaccine-secret-revealed/ ;
    http://ahrp.org/eugenics-the- california-connection-to-nazi-policies/ et
    https://www.sfgate.com/opinion/article/Eugenics-and-the-Nazis-the-California-2549771.php
  23. Black E., « The horrifying American roots of Nazi Eugenics », History News Network, Columbian College of Arts and Science, G. Washington University, sept. 2003 :
    http://historynewsnetwork.org/article/1796
  24. https://www.legrandsoir.info/rockefeller-un-symbole-de-l-emprise-des-lob-bies-sur-les-politiques-de-sante-publique.html ;
    http://theamericanchronicle.blogspot.com/2012/02/treason-of-standard-oil-exxon-during.html ; http://www.gabyweber.com/dwnld/artikel/eichmann/ingles/se-cret_pact_standard_oil.pdf
  25. Weindling P. « Consent, Care and Commemoration: the Nuremberg Medical Trial and Its Legacies for Victims of Human Experiment », p. 29-33, dans Si-lence, Scapegoats, Self-Refelection: the Shadow of Nazi Medical Crimes on Medicine and Bioethics, Roekcle V, V&R. Unipress, 2014 ;
    http://www.operationpaperclip.info/kurt-blome.php
  26. https://files.nc.gov/ncdoa/JSV/JS-brochure.pdf
  27. https://leginfo.legislature.ca.gov/faces/billTextClient.xhtml
  28. https://www.dnalc.org/view/11219-T-Roosevelt-letter-to-C-Davenport-about-degenerates-reproducing-.html
  29. Tarplay W. et Chaitkin A., « The Bush family Ties to Eugenics and Race Hygiene », Press for Conversion !, issue 54, 2004 et « Race Hygiene: Three Bush Family Alliances » (chapitre 3), in George Bush: The Unauthorized Bio-graphy, 1991 :
    http://coat.ncf.ca/our_magazine/ links/54/54_26-34.pdf
  30. https://www.hli.org/resources/exposing-the-global-population-control/ ; https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/Pcaab500.pdf
  31. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4366572 ;
    https://www.agoravox.fr/culture-loisirs/extraits-d-ouvrages/article/la-face-cachee-d-al-dous-huxley-183372
  32. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1874951
  33. https://royalsocietypublishing.org/doi/10.1098/rspb.1976.0103
  34. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8439385
  35. Gupta Satish Kumar, Shrestha Abhinav & Minhas Vidisha (2014), « Milesto-nes in contraceptive vaccines development and hurdles in their application », Human Vaccines & Immunotherapeutics, 10:4, 911-925, DOI: 10.4161/ hv.27202.
  36. https://www.accessdata.fda.gov/drugsatfda_docs/label/2010/ 020246s036lbl.pdf
  37. https://fit.thequint.com/her-health/risks-in-contraception-and-pregnancies-in-india-2
  38. Oller J. W., Shaw C. A., Tomljenovic L., Karanja S. K., Ngare W., Clement F. M. and Pillette J. R. (2017), « HCG Found in WHO Tetanus Vaccine in Ke-nya Raises Concern in the Developing World », Open Access Library Journal, 4: e3937 :
    https://doi.org/10.4236/oalib.1103937 ;
    https://africa24.info/2018/03/21/un-ancien-premier-ministre-programme-cible-de-sterilisation-de-masse/
  39. https://www.ted.com/talks/bill_gates/transcript?language=fr
  40. https://www.americamagazine.org/politics-society/2017/11/27/margaret-san-ger-was-eugenicist-why-are-we-still-celebrating-her
  41. https://www.theverge.com/2014/7/7/5876837/the-gates-foundation-is-deve-loping-a-remote-control-contraceptive
  42. https://www.ageofautism.com/2016/07/gardasil-a-license-to-kill-what-has-changed-since-this-report-in-2010.html
  43. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26125978
  44. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8473002
  45. http://www.sordalab.com/RESSOURCES/documents/FR/141644.pdf
  46. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29889622
  47. S. Berkley, « Immunization needs a technology boost », Nature 273, 16 no-vembre 2017, vol. 551.
  48. https://www.vaccinestoday.eu/stories/adult-vaccination-can-technology-help-improve-access-and-uptake/
  49. https://tdtmvjournal.biomedcentral.com/articles/10.1186/ s40794-017-0046-0

◆ Un retour trois ans plus tard, en 2022

Senta Depuydt revient dans un entretien au micro de Nexus sur les raisons de ce succès, les enjeux et les contours de l’idéologie vaccinale mondiale, les grandes institutions impliquées dans l’agenda vaccinal, le lien avec la crise Covid et les solutions qui s’offrent aux citoyens.

Interview intitulée « Covid-19 & Vaccination mondiale, retour sur la “prophétie Nexus” avec Senta Depuydt »(([1] https://odysee.com/@MagazineNexus:b/LaProphetieNexus:5 ))




Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

[Voir aussi :
Premier jour du procès : Reiner Fuellmich s’adresse au Jury, et expose les faits. Mise à jour]

Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importanteCette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultimequi est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement inefficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

[Note de Joseph : en toute rigueur scientifique, ce n’est pas le virus lui-même qui est traité, sachant notamment qu’il n’a jamais été isolé (voir :
L’enterrement de la théorie virale
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey), mais les symptômes attribués à une maladie nommée Covid-19 et dont les causes sont manifestement autres qu’un virus naturel.]

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui.

Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en mains par l’autre partie par le biais de leur principale plate-forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous.
Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.
Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Organisation mondiale de la santéBill GatesBlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.
Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Kurz, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, -la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. […]


[Source : http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_620229c67d6b4.pdf]

Transcription complète

Grand Jury – Session 1

https://youtu.be/ELTFNkCdzjA

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




Covid-19 : pourquoi la Suède n’a pas confiné ?

[Source : LLP]

Par Mariam Carette

Vous croyez que la Suède est un exemple en matière de gestion de la crise sanitaire ? Alors comment s’expliquer que malgré une quasi absence de restrictions, la population se soit fait massivement vacciner contre le Covid-19 ? Cela paraît paradoxal ! Bienvenue en Suède !

La Suède ne compte que 10,4 millions d’habitants, son PIB se situe au 24e rang mondial. Ce pays est à la pointe de la technologie dans divers domaines. La Suède est une monarchie constitutionnelle avec un parlement qui mène une politique ultra-libérale capitaliste, avec une note de communisme très particulière où le gouvernement a un rôle de tuteur légal sur ses citoyens. L‘ « étatisme » est une sorte de religion nationale.

Comme nous sommes curieux, que nous aimons savoir et nous poser des questions, nous avons étudié la situation de plus près. Nous vous proposons une petite visite du pays en 10 points, qui nous permettra de mieux voir comment la Suède gère son peuple.


1- Le Personnummer

Le Personnummer est le sésame qui ouvre toutes les portes en Suède : administrations publiques, banques, associations, opérateurs téléphoniques, fournisseurs de gaz et d’électricité, salles de sports etc. Tous ne jurent que par le Personnummer !

C’est à la fin du 17e siècle que ce numéro d’identité national voit le jour. D’abord pour un simple recensement de la population et la collecte des impôts. En 1749, la Suède créait le premier institut de statistiques officiel au monde : Tabellverket connu aujourd’hui sous le nom de Statistiska Centralburân. Le Personnummer tel qu’il est actuellement, a été instauré en 1967. Il est composé de 10 chiffres, calculés d’après l’algorithme de Luhn. Un système infaillible !

2- L’Energiebox

La Suède a commencé à équiper les foyers suédois de compteurs électriques communicants appelés Energybox en 2009. Avant-gardistes les Suédois !

Soi-disant pour que le citoyen fasse des économies. Bizarre cette attention soudaine portée à nos dépenses d’électricité ? Ils ne veulent donc plus de notre argent ? Nous connaissons la même histoire avec le Linky en France.

Tout s’explique quand nous comprenons que la Energybox est soutenue par la technologie HAARP (High-Frequency Active Auroral Research Project). Un programme de surveillance totale de contrôle des consciences et de réduction des populations.

Nous vous invitons à lire « Les Anges ne jouent pas de cette HAARP »

3- La disparition du cash

L’argent liquide a été quasi supprimé du pays depuis 2018. Les banques n’ont plus de distributeurs de billets, les commerçants refusent le cash, même pour un simple café ! De ce fait, plus de marché parallèle, le gouvernement a la main sur chaque Krona (couronne suédoise, Krona ? Krona et Corona, quelle parfaite homophonie ! Y aurait-il une similitude ?), il faut savoir que la Suède ne fait pas partie de la zone euro.

Les banques ont le contrôle sur l’ensemble de la masse financière du pays.

Depuis 2012 le paiement électronique Swish a été adopté par les Suédois à la quasi-totalité. Elle vise à supprimer le cash à 100 % d’ici 2030. 2030 ! Ça nous fait penser à un certain « Agenda 2020-2030 » de Klaus Schwab, président du WEF.

4- La puce RFID

En Suède, la puce sous-cutanée séduit des milliers de personnes. Cet implant remplace clés, cartes bancaire, cartes de visite, billets de train, de cinéma… « C’est génial ! Ça simplifie la vie ! ».

En décembre 2021, la Suède a présenté son projet d’implanter la puce qui servirait de Greenpass, c’est-à-dire de Pass Vaccinal. Et tout cela est strictement volontaire ! Nous ne pouvons nous empêcher de penser à Jacques Attali qui disait en 1981 : « La sélection des idiots se fera ainsi toute seule, ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. » Extrait du livre « L’avenir de la vie », entretien avec Michel Salomon.

5- Hene, le 3e genre

En 2010, le Forum Économique Mondial (WEF, dont le fondateur et président est Klaus Schwab) avait désigné la Suède comme le pays le plus sexuellement égalitaire au monde.

Mais pour de nombreux Suédois l’égalité des sexes ne suffit pas, il faut devenir sexuellement neutre. La Suède reconnaît 170 prénoms unisexes. On habille l’enfant de façon neutre et on lui donne des jouets neutres. Dans de nombreuses écoles maternelles toutes références au sexe des écoliers ont été supprimées. Les enfants ont droit à de la « littérature » LGBT.

Récemment, une institutrice s’est fait licencier car elle refusait, à la demande des parents, d’appeler une petite fille de 7 ans Hene au lieu de fille.

Hene fut mentionné pour la première fois dans les années 60, puis en 1994 il fut intégré en tant que pronom personnel. Au fil du temps il est devenu le 3e genre sexuel officiel. Nous avons donc les enfants filles, les garçons et les henes, sans compter que le petit garçon a l’option de devenir une fille et idem pour la fille.

Le ministère de l’éducation nationale suédois fait tout pour promouvoir une perspective sexuellement égalitaire et éviter ainsi les visions traditionnelles du genre et des rôles parentaux.

Pour comprendre un peu mieux les valeurs et le rôle de la tradition, nous vous invitons à lire « La crise du monde moderne » de René Guénon.

6- LGBT en puissance

La Suède est le pays le plus sympathisant du mouvement LGBT (Lesbian Gay Bisexual Transgender). Il s’agit même d’une norme sociale.

Petit récapitulatif historique :

  • 1930-1940 : les premières luttes contre la discrimination de l’homosexualité. Des réseaux d’entre- aide se développent.
  • 1944 : légalisation de l’homosexualité. Le consentement équivaut celui des hétéros.
  • 1972 : légalisation des transgenres
  • 1995 : légalisation du Pacs pour les homosexuels
  • 2003 : droit d’adoption pour les homosexuels
  • 2005 : droit à la Fiv pour les lesbiennes
  • 2009 : légalisation du mariage pour tous.

La Suède est le pays où le mouvement LGBT a le plus de droits et de légitimité dans le monde entier.

Qui dit LGBT, dit Gaypride.

En 2021 la Suède a accueilli à Malmö la Worldpride. L’événement dure une semaine entière et s’étend dans tout le pays. La Europride a déjà eu lieu 3 fois en Suède. Nous tenons à préciser que « pride » en anglais signifie la fierté. Voici la fierté du Monde.

7- Transplantation d’utérus

En 2014 à Goeteborg, deuxième ville de la Suède, sont nés 8 bébés à la suite d’une greffe d’utérus chez leur mère, une technique en plein développement. Technique que la communauté LGBT souhaiterait vivement reprendre pour des fins personnelles. On dirait de la science fiction, tout comme dans ce film des années 90 avec Arnold Schwarzenegger, « Junior », où un homme tombe enceinte. Le « Madprofessor » Christopher Inglefield, chirurgien et fondateur de la London Transgender Clinic, estime que c’est tout à fait envisageable. Et devinez ? C’est en Suède que la technique a été innovée. Ce fut un flop.

Permettez-nous de nous poser des questions sur l’éthique d’une science sans conscience, qui voudrait implanter l’utérus d’une femme dans le ventre d’un homme ?! Et il accoucherait par où ? Par l’anus ?!

8- L’alcoolisme

En 1850 déjà, le roi Fredrik recense une consommation de 45 litres d’alcool par an par personne. On peut dire que les Suédois sont très exubérants en matière de boisson ! Le manque de luminosité et de chaleur n’aident pas. Raison pour laquelle les pouvoirs publics ont dû réguler l’accès à l’alcool dans le pays. Depuis 1870, l’État a pris le monopole sur la vente et les recettes. En 1955 les boutiques « Systembolaget » ont vu le jour. Ce sont des magasins d’État qui vendent les vins et spiritueux, les alcools jusqu’à 3,5° sont en vente libre. La vente d’alcool est interdite aux moins de 20 ans. Le tourisme d’alcool est très répandu, les Suédois vont se fournir dans les pays limitrophes comme le Danemark et même l’Allemagne où l’alcool y est bon marché.

Nous constatons qu’en matière d’alcool, les Suédois sont bien moins obéissants !

9- Taux de vaccination des vaccins dits classiques

En 2018, notre chère ex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, nous vendait la Suède comme un exemple mondial en terme de couverture vaccinale, lorsque notre gouvernement français avait instauré l’obligation vaccinale à 11 vaccins pour nos bouts de choux. Elle nous disait dans l’émission « Les Maternelles » : « Les Suédois eux, n’ont pas d’obligation vaccinale, et pourtant ils sont vaccinés à 99 %! » La Suède est ainsi souvent prise comme exemple : malgré l’absence totale d’obligation vaccinale, les enfants de moins de 2 ans ont été injectés du vaccin DTPolio à 99 %, il en est de même pour les autres vaccins dits recommandés chez nous avant 2018. Tandis qu’en France il a fallu mettre des obligations vaccinales scolaires et professionnelles, les Suédois eux, ne font pas de distinction entre recommandations et obligations gouvernementales.

10- Taux de vaccination du vaccin Covid-19

Malgré l’absence de confinement et de port du masque obligatoire, le taux de vaccination est extrêmement élevé. Sans oublier que ce vaccin est en phase expérimentale, il n’a donc pas pu se voir délivrer d’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM).

La Suède a commencé sa campagne de vaccination Covid-19 en mars 2020. Au 9 janvier 2022 nous constatons, en consultant les données officielles du site Johns Hopkins, que 72, 24 % des Suédois présentent un schéma vaccinal complet (2 doses) que 7.430.541 personnes sont doublement vaccinées et que 17.887.449 doses ont été attribuées au total.

Nous avons une population de : 10.402.070 individus

Les 2 dosés sont au nombre de : 7.430.541 individus

Ce qui nous fait une différence : 2.971.529 individus restant en Suède qui n’ont pas eu 2 doses.

Donc : 7.430.541 personnes ont eu 2 doses, ce qui nous fait un total de : 14.861.082 doses. Au total 17.887.449 doses ont été administrées.

Ce qui nous fait une différence de : 3.026.367 doses qui ont forcément été administrées aux 2.971.529 personnes restantes. Nous constatons même une « overdose » de 54.838 entre le nombre de doses restantes et le nombre d’individus restants, différence qui s’explique certainement du fait que la Suède a commencé en janvier avec la 3e dose pour les personnes les plus fragiles. Si l’on inclut les personnes primo-vaccinées on atteint un taux qui tend vers du 100 %.

La quantité de personnes injectées est faramineuse !

Notre correspondant sur place nous disait que les gens dans son pays étaient vaccinés à 100 %, que seule une poignée de personnes ne l’était pas et que ces derniers subissaient une discrimination totale de leurs concitoyens. Ça paraît irréel ! Et pourtant les chiffres le confirment !

Pour conclure, il nous semble assez clair que le gouvernement suédois a une énorme emprise sur son peuple et qu’il opère cette manipulation depuis des décennies. Ses moyens de contrôle mentaux sont très sophistiqués.

Le Youtubeur et ex-banquier« Un être Humain » nous rapporte dans l’émission du 4 décembre 2020 sur la chaîne de Hayssam Hoballah, qu’il a fait l’expérience de partir vivre en Suède dans le courant de l’année 2020. Il pensait fuir la dictature sanitaire de l’Hexagone, mais au final il n’a tenu que 2 mois en Suède, alors que le pays vivait librement, tout était ouvert, les gens sortaient où et quand ils voulaient, pendant que nous en France, nous devions signer des auto-attestations pour sortir de notre maison-prison ! Alors pourquoi n’a-t-il pas apprécié toute cette liberté ? En fait il nous dit : « Là-bas, les gens sont prêts ».

Ils sont prêts. C’est du préconditionné, du précuit. Plus qu’à les mettre dans la marmite !

L’état suédois contrôle tellement bien ses sujets qu’ils sont déjà prêts à se faire injecter et pucer. C’est le travail de subversion et d’endoctrinement de la pensée « Attalienne », la pensée unique franc-maçonnique du Nouvel Ordre Mondial (NOM).

La devise suédoise est :

« Nous vous laissons libres, c’est à vous de prendre vos responsabilités. »,
« Vous ne pouvez pas sortir du cadre, vous ne pouvez pas vous en échapper. »

La Suède vend du vent à ses citoyens, de l’illusion, de la magie ! Elle leur fait croire qu’ils sont libres et qu’ils choisissent. Mais en catimini, elle leur suggère et leur soumet sa volonté à elle. C’est avec beaucoup de subtilité et de séduction qu’elle formate ses disciples, ses enfants de la patrie.

Tous les rejetons de Papa-Maman-Suède sont formés dans le même moule. Vous ne verrez évidemment aucune manifestation dans les rues, s’élever contre leur tuteur légal, cela est impensable. On ne critique pas Papa-Maman, c’est très mal vu. Et malheur à celui qui ne veut pas se soumettre à la pensée unique suédoise, c’est l’exclusion directe et à tous les niveaux, que ce soit familial, social ou professionnel. Et non seulement on vous bannit mais on vous finit ! On vous achève mentalement et financièrement. Mise à part cela, le Suédois est libre, libre de choisir la liberté à la suédoise. C’est comme si l’on vous disait que vous pouvez choisir tous les habits que vous voulez, mais que dans tout le magasin il n’y a que la même veste et que même si vous avez besoin de chaussettes, vous ne pouvez qu’acheter une veste, vous avez besoin d’un pantalon, là encore, vous devez achetez une veste. C’est plus égalitaire vous comprenez !

La Suède ne fait jamais rien par la force mais elle suggère implicitement.

D’ailleurs, la Suède prétend vouloir influencer l’Europe, évidemment pas par la force, mais par la séduction. La séduction ! Ce mot nous fait penser à Babylone, la grande prostituée qui a séduit une grande partie de l’humanité… et qui est en train de tomber…




De la crise financière et monétaire à la terreur Étatique de la pandémie COVID

[Source : les7duquebec.net]

Tout commence par la crise financière et monétaire

Connaissez-vous les récits de vos grands-parents au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, lorsque des mesures monétaires très douloureuses ont été mises en œuvre dans le contexte de l’inflation galopante, des dettes de guerre et des personnes qui avaient tout perdu ? Je voudrais évoquer très brièvement ce qui s’est passé à l’époque, puis faire le lien avec notre époque actuelle.

Tout d’abord, la réforme monétaire [1] a eu lieu en 1948, lorsque le Reichsmark est devenu le Deutsche Mark. Toutefois, le nouvel État en a profité pour se débarrasser d’une grande partie de ses dettes en ne donnant que 6,50 marks pour 100 reichsmarks. Cela s’appliquait à tout ce qui se trouvait sur les comptes bancaires, aux emprunts d’État, aux obligations, aux crédits d’épargne-logement et également aux crédits d’assurance-vie et d’assurance retraite. Les dettes, c’est-à-dire les crédits, et les paiements courants (loyers, primes, etc.) ont en revanche été convertis 1:1 et ont donc été maintenus dans leur intégralité. Dans le cadre de la réforme monétaire de 1948, les actifs financiers ont donc été massivement dévalorisés.

Comme la réforme monétaire avait particulièrement touché les épargnants et épargné les propriétaires de biens immobiliers, la compensation des charges [2] a été mise en œuvre en août 1952 pour les citoyens possédant des biens matériels, notamment des biens immobiliers. Une compensation des charges de 50% a été versée à l’État sur tous les biens. Cette énorme charge financière a ensuite été payée à l’État sur 30 ans par tranches d’un quart d’année. En 1982, la loi sur la compensation des charges a pris fin avec les derniers versements.

Le système financier, avec ses intérêts composés, ne cesse de tomber dans un piège qu’il s’est lui-même tendu. Au fil des années, le capital se concentre (s’accumule) entre les mains d’un groupe extrêmement riche et  restreint de capitalistes (plus de 2000 multimilliardaires). Les autres personnes doivent rémunérer cette fortune des super-riches par le biais de leur force de travail salarié (la plus-value), mais cela devient de plus en plus difficile, car le capital à rémunérer ne cesse d’augmenter alors que la part des salaires tend à diminuer dans la richesse collective. C’est pourquoi ce système a besoin d’une remise à zéro de temps en temps.

Autrefois, les guerres étaient très appréciées à cet effet (remettre la comptabilité sociale à jour en faisant payer les travailleurs). Sous le mode de production capitaliste on acceptait des morts et des souffrances pour préserver et développer la richesse sociale collective que les riches accumulaient pour leur bénéfice personnel. Pourquoi en serait-il autrement aujourd’hui ?

Jusqu’à présent, il n’y a pas eu de troisième guerre mondiale (compte tenu des immenses arsenaux nucléaires, cela serait dangereux pour les «élites» et les milliardaires eux-mêmes), mais le problème du système financier en faillite subsiste…comment le résoudre?

Depuis les années 1980, la dérégulation des marchés financiers et l’apparition de marchés de produits dérivés très spéculatifs sont venues aggraver la situation, faisant perdre encore plus de terrain à la formation de capital réel (capital mobilier et immobilier ou capital constant et variable).

C’est ainsi qu’est survenue la crise financière de 2008. Les banques et les investisseurs ont été « sauvés » par les États. Mais à un prix très élevé. Outre l’endettement extrême de l’État (dont les contribuables devront finalement s’acquitter), de larges couches de la population, en particulier en Allemagne, ont été quasiment partiellement dépossédées de leurs biens par des taux d’intérêt négatifs et des hausses extrêmes des prix des biens patrimoniaux dues à l’afflux d’argent des banques centrales. Les prix élevés de l’immobilier ne signifient pas qu’ils ont pris de la valeur. Les monnaies (notamment l’euro et le dollar américain) ont simplement perdu de leur valeur en raison de l’abondance d’argent. Cela doit tôt ou tard conduire à un crash. Le plus tard sera le pire.

En 2019, nous y sommes presque arrivés. En septembre, les marchés financiers ont failli connaître une nouvelle crise qui aurait éclipsé la crise financière de 2008. Le marché dit « repo » (il s’agit de la partie du marché monétaire par laquelle les banques et les hedge funds se prêtent de l’argent entre eux), qui représente un volume mondial d’environ 15 000 milliards d’euros !!!, a dû être sauvé par la banque centrale américaine, la Fed, à hauteur de centaines de milliards de dollars américains. Après le sauvetage des banques en 2008 et l’endettement extrême des États qui s’en est suivi, une nouvelle crise aurait conduit au chaos par le biais d’effets dominos mondiaux. Le public ne s’en est toutefois pas rendu compte. [3]

Le terrorisme Étatique sanitaire comme tactique pour imposer le «Grand reset»,  pour le bénéfice des riches

De mon point de vue, cela a déclenché la « pandémie » dont les «élites» parlent depuis longtemps, afin de remettre le système financier et économique mondial sur pieds et de protéger et d’accroître encore la fortune des super-riches…ce que l’élite aime appeler le «Great Reset» c’est-à-dire, faire payer les travailleurs pour les dettes des riches.

L’OMS a été mise au pas depuis longtemps à grand renfort d’argent, notamment en provenance de Chine et d’investisseurs privés [4], et les États membres sont tenus, par le biais du Traité sur le règlement sanitaire international (RSI) contraignant en droit international, de suivre les instructions de l’OMS, notamment en cas de pandémie. Ce traité a été amendé en 2005 en vue de la mondialisation croissante et de la propagation internationale de maladies infectieuses telles que le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et est entré en vigueur le 15 juin 2007 [5].

En avril 2009 (donc peu après le début de la crise financière), la définition d’une pandémie a été nettement édulcorée par l’OMS [6]. Alors qu’il fallait auparavant un « très grand nombre » de morts dans le monde pour qu’une pandémie se déclare, il ne suffit depuis lors que de résultats de tests positifs. Ainsi, la pandémie de grippe porcine a pu être déclarée dès le 11 juin 2009. Heureusement, cette pandémie a pu être démasquée comme étant totalement exagérée. A l’époque, le test PCR avait déjà joué un rôle peu glorieux. Le 31 octobre 2020, l’OMS a encore modifié la définition de l’immunité de groupe, qui ne pourra plus être atteinte à l’avenir par l’immunité naturelle, mais uniquement par la vaccination [7].

Par ailleurs, avez-vous remarqué que le CDC américain n’autorise plus le test PCR pour la détection de la maladie de Corona à partir du début de l’année? Celui-ci ne peut pas faire la différence de manière fiable entre les virus Influenza et Corona [8]. Peut-être une des raisons pour lesquelles l’influenza semble avoir disparu ? Ceci n’est qu’une parenthèse.

En 2010, la fondation Rockefeller avait déjà décrit dans son rapport «Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international» [9] le scénario du « lockstep », c’est-à-dire du «pas de géant», en cas de pandémie de grippe. Il s’agissait de réfléchir aux possibilités et aux défis politiques et sociaux qui résulteraient de cette pandémie anxiogène. Il en est ressorti qu’une synchronisation mondiale associée à des mesures répressives serait prometteuse pour l’installation d’États totalitaires de surveillance et de contrôle à la suite de la pandémie.

D’autres éléments de notre vie actuelle ont également été préparés avant Corona, comme par exemple un certificat de vaccination numérique dans l’UE depuis 2018 [10] [11]. Le Global Vaccination Summit qui s’est tenu à Bruxelles le 12.09.2019 sous l’égide de la Commission européenne et de l’OMS est également très instructif à ce sujet [12].

Le 19.10.2019 a ensuite eu lieu à New York l’«Event 201» (traduit : événement de janvier [20]) sous l’égide du Johns Hopkins Center for Health Security (créé par la fondation Rockefeller) et avec le soutien de la fondation Bill et Melinda Gates et du Forum économique mondial (World Economic Forum – WEF) [13]. L’exercice portait sur le cas fictif d’une pandémie mondiale déclenchée par un nouveau coronavirus appelé nCov-19. Outre le lockdown et les restrictions de voyage, il a été question de la communication en cas de pandémie et de la gestion des fake news.

Dans la « pandémie » qui a ensuite effectivement eu lieu à partir de janvier 20, l’université Johns-Hopkins fournit dans le monde entier, via le Corona Dash-Board, les chiffres qui justifient l’abolition des droits fondamentaux dans le monde entier, la fondation Bill et Melinda Gates fournit les vaccins via ses investissements (entre autres, depuis l’automne 2019, elle investit dans BioNTech) [14] et le Forum économique mondial, avec son fondateur Klaus Schwab et son livre « Covid-19 – The Great Reset » [15], fournit le cadre idéologique.

Toutefois, deux modifications législatives du Bundestag allemand à l’automne 2019, donc également avant la soi-disant pandémie de Corona (SARS-CoV-2), sont décisives: Modification de l’article 21 de la loi sur la réglementation du droit d’indemnisation sociale (loi sur la compensation des charges) du 12.12.2019 avec application à partir du 01.01.2024.

Dans cette modification, l’objectif de «l’assistance aux victimes de guerre» pour lequel la loi sur la compensation des charges a été créée est remplacé par le terme «indemnisation sociale» et il est fait référence au livre quatorzième du code social, qui a également été modifié. Modification du Code social quatorzième livre (SGB XIV) du 07.11.2019 avec application à partir du 01.01.2024.

« Le nouveau livre 14 du Code social (SGB XIV) règle l’indemnisation des besoins liés aux dommages subis par … les personnes qui ont subi un préjudice de santé suite à une vaccination préventive ou à d’autres mesures de prophylaxie spécifique selon la loi sur la protection contre les infections».

Résumons donc brièvement la situation : L’État pourra, à partir du 01.01.2024, procéder à une compensation des charges (un joli mot pour expropriation) dans les actifs de l’ensemble de la population pour l’indemnisation des victimes de la vaccination.

Les contrats divulgués avec les fabricants de vaccins expliquent que ceux-ci n’assument aucune responsabilité [16]. Cela incombe aux candidats à la vaccination qui, en acceptant « la vaccination proposée », assument eux-mêmes le risque de participer à cette expérience médicale. Pourquoi pensez-vous que les vaccins Covid, qui n’ont que des autorisations conditionnelles, sont les seuls vaccins où il faut signer un document de consentement? [17]. En fin de compte, on participe à une étude médicale pour laquelle le fabricant n’assume aucune responsabilité. La victime d’une vaccination ne peut que se tourner vers l’État et espérer une indemnisation.

Une obligation générale de vaccination est importante pour l’État, car c’est la seule façon de justifier une répartition des charges sur tous les citoyens. Sinon, tous ceux qui ne se sont pas fait vacciner pourraient à juste titre se demander pourquoi ils devraient être responsables des dommages subis par les autres, qui ont volontairement pris le risque de la vaccination expérimentale. De plus, il s’agit bien sûr aussi de ne plus avoir de groupe de contrôle non vacciné, ce qui est en fait obligatoire pour une étude médicale, mais qui pourrait soulever des questions sur la responsabilité personnelle de certains protagonistes.

Pour obtenir une autorisation régulière sans obligations spécifiques, les fabricants de vaccins doivent obtenir d’autres résultats d’études et remplir d’autres obligations spécifiques dans un certain délai [18]. En attendant, les autorisations conditionnelles sont prolongées sur une base annuelle, ce qui a été fait récemment par l’EMA dans le cas de BioNTech/Pfizer, Moderna et AstraZeneca.

La vaccination et le pass-saitaire comme moyen de surveillance

D’ici fin 2023 (en supposant un cycle de 6 mois), chaque sujet/citoyen aura reçu 7 injections de ces vaccins expérimentaux basés sur le génie génétique. Cela correspond d’ailleurs aux quantités incroyables de doses de vaccins commandées par l’UE. Dès le lancement de la campagne de vaccination, 2,3 milliards de doses de vaccins ont été commandées, pour seulement 450 millions d’habitants environ [19], soit 5 vaccins par habitant de tout âge. Entre-temps, encore plus de doses ont été commandées, notamment en mai 1,8 milliard de doses supplémentaires de BioNTech [20]. Ceux qui pensent que les rappels actuels sont suffisants, croient aussi au malade asymptomatique et au test PCR.

Si l’on tient compte des graves effets secondaires des vaccins jusqu’à présent, y compris les décès, qui dépassent toutes les échelles des vaccins actuels (voir graphique sur la base de la banque de données américaine VAERS), il faut s’attendre à un nombre extrêmement élevé de victimes et de dommages liés aux vaccins dans les années à venir.

Le 23 septembre 2021, une demande a déjà été déposée au Parlement européen pour la création d’un fonds pour les victimes de la vaccination. Dans cette demande, les chiffres de l’Agence européenne des médicaments (EMA) concernant les effets secondaires, qui étaient déjà près d’un million à cette date, sont révélateurs [21]. Entre-temps, ces chiffres sont encore nettement plus élevés et le nombre de cas non déclarés devrait être très important [22].

Il faut donc s’attendre à un nombre énorme de victimes et de décès dus à la vaccination d’ici 2024, ce qui rend très probable l’appel à un partage des charges.

Il se pourrait toutefois que les indemnisations ne soient qu’un prétexte et que l’on perçoive nettement plus d’argent par le biais d’une compensation des charges que ce qui serait en fait nécessaire.

Réforme monétaire et remise à zéro (Great reset) du système économique en faillite

L’État a également besoin de la fortune de ses citoyens pour une nouvelle monnaie, l’euro numérique, sur lequel la BCE travaille officiellement depuis cette année [23]. Les États européens (comme d’autres États occidentaux, notamment les États-Unis) sont fortement endettés et majoritairement en faillite. En revanche, le patrimoine appartient aux citoyens. Pour que l’euro numérique ait une valeur, la BCE et les États de la zone euro doivent être désendettés. Dans ce contexte, il n’est pas étonnant que la présidente de la Commission européenne, Ursula von-der-Leyen, exige désormais une vaccination obligatoire à l’échelle européenne [24]. Cela pourrait donc être utilisé dans toute l’Europe comme prétexte à des expropriations.

En outre, la Chine va déjà introduire en 2022 une nouvelle monnaie numérique adossée à des actifs, qui est déjà en phase de test et devrait être lancée dans tout le pays pour les Jeux olympiques d’hiver de 2022 [25]. Cependant, la Chine possède désormais beaucoup plus d’actifs que les pays industrialisés occidentaux, ce qui rendra la monnaie très forte et mettra les autres sous pression. Selon la volonté des dirigeants chinois, l’e-yuan doit remplacer le dollar comme monnaie de référence.

Les citoyens de l’UE et d’autres pays occidentaux seront bientôt prêts eux aussi pour une réforme monétaire. L’inflation actuellement alimentée artificiellement (générée entre autres par des retards de livraison et des pénuries de microprocesseurs) va encore s’accélérer [26] et faire en sorte que les citoyens qui s’appauvrissent peu à peu réclament des compensations, des «aides» de l’État.

La nouvelle monnaie sera probablement une monnaie purement numérique, sans argent liquide, basée sur la technologie blockchain ou similaire. Elle devrait alors être reliée, sous forme de portefeuille, à une identité numérique au sens de l’ID2020 [27], dont les carnets numériques de vaccination feront également partie ou constitueront la base. En tant que monnaie de banque centrale, elle ne sera, comme on peut s’y attendre, plus liée à un compte bancaire. Chaque citoyen aura son propre compte de banque centrale auprès de la BCE. Les publications de Norbert Häring à ce sujet sont d’ailleurs très instructives [28].

Jusqu’à présent, il n’est pas encore question de réforme monétaire avec le projet d’euro numérique de la BCE. En outre, il est toujours souligné que l’on ne veut pas abolir l’argent liquide avec l’euro numérique, mais ne disait-on pas aussi jusqu’à récemment qu’il n’y aurait jamais de vaccination obligatoire en Allemagne ?

Puce d’identité numérique comme système de contrôle de masse

Grâce à la carte d’identité numérique, les droits fondamentaux peuvent en outre être liés à la réalisation de prescriptions étatiques, comme en Chine avec son système de scoring social. Aujourd’hui, il faut se faire vacciner pour avoir accès à la vie publique. Qu’en sera-t-il demain ? D’autres expériences médicales pour Big Pharma, des mesures médicales contre la surpopulation, le blocage du porte-monnaie numérique pour les produits et services qui consomment trop de CO2, comme la viande ou les voyages ? Le citoyen devient ainsi totalement vulnérable au chantage. Pas d’argent et pas de droits fondamentaux en cas de «mauvais comportement». Et qui manifestera encore si on lui coupe ensuite les vivres en guise de punition?

Cela laisse présager le pire pour notre liberté et notre prospérité. Selon le tableau dressé par le Forum économique mondial pour l’année 2030 : «Vous ne posséderez rien, mais vous serez heureux» [29].

Encore quelques mots pour conclure à l’attention des citoyens, des élus, des journalistes ou des juges qui pensent que cela ne les concerne pas, parce qu’ils peuvent peut-être, grâce à leurs relations avec des médecins ou à leur position actuelle, obtenir le carnet de vaccination tant convoité, même sans piqûre. C’est encore possible, car on veut faire entrer le plus de gens possible dans le système du passeport Covid sans grande résistance. Mais il existe déjà des brevets pour des vaccins biométriques infalsifiables, comme le Microneedle Tattoo du célèbre Massachusetts Institute of Technology (MIT), qui a été présenté le 18 décembre 2019 [30] [31]. L’étau se resserre de plus en plus pour tout le monde. Est-ce ce que vous voulez pour vos enfants et vos familles ? Tous ceux qui participent se rendent complices.

Les droits fondamentaux inaliénables et le code de Nuremberg [32] ont été créés en tant que leçon suite au troisième Reich, selon lequel aucun être humain ne peut être contraint de participer à une expérience médicale contre sa volonté :

« …le consentement volontaire du sujet de recherche (est) absolument nécessaire. Cela signifie que la personne concernée doit être capable, au sens juridique du terme, de donner son consentement ; qu’elle doit être en mesure d’exercer son jugement sans être influencée par la violence, la fraude, la ruse, la pression, la simulation ou toute autre forme de persuasion ou de contrainte ; qu’elle doit connaître et comprendre suffisamment le domaine concerné dans ses détails pour être en mesure de prendre une décision raisonnable et éclairée ». Il est évident que cette obligation a déjà été violée de manière flagrante par la pression (2G et autres). Qu’est-ce qui va suivre ?

Traduit de l’Allemand

https://uncutnews.ch/impfpflicht-zur-rettung-des-finanzsystems/


Sources

VERSION ORIGINALE ALLEMANDE

Source : https://uncutnews.ch/impfpflicht-zur-rettung-des-finanzsystems/




Un Plan Pour Le Monde

[Source : Planète Homéopathie (planete-homeopathie.org)]

Par le Dr. Édouard Broussalian

À tous ceux qui sont tombés pour la manifestation de la Vérité, préférant suivre leur conscience plutôt que leur intérêt. Magna est veritas et praevalebit !

À toi, portier du consulat, qui fait attendre debout, dehors, au soleil, durant une heure une femme enceinte de 9 mois au prétexte qu’elle refuse de masquer son enfant de 5 ans pour entrer. Tu ne vois pas de rapport avec le nazisme et tu t’offusques qu’on ose te le dire.

À toi ma boulangère, qui du haut de ton Bac me donne des leçons sur la manière de porter un masque.

À toi mégère anonyme qui te saisis de ton téléphone pour dénoncer le vilain client qui foule le même sol que toi dans un magasin, mais qui refuse de porter un masque. Tu n’hésites pas à appeler les flics, demain ce sera pour « emmener » ces asociaux dans des camps de « regroupement ». Leur destination finale t’importera peu, tu auras la satisfaction du devoir accompli comme tous ceux qui avant toi ont réalisé les mêmes gestes.

À tous les médiocres qui de tout temps ont formé le lit du despotisme grâce à leur servilité aveugle, et qui réalisent à leur insu les paroles du Messie :

« Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive »

Mt 10 :34

[Voir : L’épée, le bon grain et l’ivraie]

Un plan pour le monde

Par le Dr. Édouard Broussalian, 18 Novembre 2021

« Sous la roue qui sans fin poursuit sa ronde deux sortes de gens vivent sans tourments : ceux qui savent les secrets du monde, et ceux qui les ignorent totalement ».

Omar Kayyam.

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion pendant près de 40 ans. … Il nous aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été soumis aux lumières de la publicité pendant ces années. Mais, le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est sûrement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. »

David Rockefeller.[1]

« Lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme »

Dr. Nicole Delépine.

Rien ne me prédisposait à jouer les Cassandre quand voici déjà plus d’un an je prédisais la situation dans laquelle nous sommes aujourd’hui plongés. Peut-être un lien immatériel peut-il réunir mes racines du Bosphore avec la fille de Priam, roi de Troie ? Défenseur de l’homéopathie depuis 40 ans face à la rhétorique pourrie du système et de ses séides, porteur épigénétique des effets du premier génocide[2] du XXème siècle et de 800 ans de dhimmitude[3], on se trouve mieux outillé intellectuellement pour envisager la notion terrifiante d’un gouvernement apparemment élu par le Peuple mais qui travaille désormais contre le Peuple.[4] Quand j’ai déclaré publiquement en Septembre 2020[5] que cette pandémie factice n’était qu’un hold-up mondial destiné à mettre en place une dictature, et que seule l’insurrection populaire sera notre salut, je n’ai pas été mieux cru que Cassandre lorsqu’elle annonçait que le cheval de Troie était une ruse qui allait aboutir à la ruine de la cité. Peu de gens ont compris dès le début :

  1. Que cette « pandémie » était grandement exagérée[6] puisqu’on s’est rapidement trouvés au point où il fallait se faire tester pour voir si l’on était malade —quant à lui, le rapport[7] de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation révèle que le Covid n’a représenté que 2% des hospitalisation en 2020 :
    1. Seul le tripotage dès 2009 de la notion même de pandémie a permis d’en arriver où nous sommes. [8]
    2. Pour les cliniciens sur le terrain nous avons tous identifié une forme de coryza pouvant évoluer relativement rapidement vers une toux avec une dyspnée importante puis une détresse respiratoire.
    3. Confiants en l’expérience de succès magistraux ininterrompus enregistrés en deux siècles, nous savions que l’homéopathie se montrerait comme de coutume extrêmement efficace pour traiter n’importe quelle épidémie.[9] Ce n’est sans doute pas pour rien si la guerre totale a été déclarée contre l’homéopathie peu avant la survenue de toute cette affaire sous forme d’une attaque orchestrée mondialement peu avant la survenue des premiers cas COVID-19. Après l’attaque délirante des 124 parfaits inconnus[10] relayés dans tous les médias, sans que jamais on ne nous ait accordé le moindre droit de réponse, ce fut la fameuse étude australienne du NHMRC qui fit le tour du monde pour servir d’alibi gouvernemental en France et ailleurs pour justifier des mesures contre l’homéopathie, alors qu’une enquête sénatoriale[11] australienne a révélé la falsification[12] de l’étude. Aucun démenti n’a jamais été publié dans la presse mais la coordination de l’attaque témoignait bien de l’organisation pyramidale des médias compliants. La démarche est en tout point semblable à ce qui s’est passé avec l’étude bidonnée[13] publiée dans le Lancet et qui démolissait l’hydroxychloroquine.[14] L’étude a servi de prétexte à nos gouvernants pour retirer un produit devenu dangereux alors qu’il était prescrit à plus de 1 milliards de personnes durant 70 ans. Et comme de coutume, la rétractation de l’étude n’a jamais engendré celle des mesures prises en l’utilisant comme prétexte. Encore plus lamentable : l’institut Pasteur rétracte l’étude bidonnée qui a servi à justifier le passe sanitaire… mais le passe demeure.[15]
    4. Le totalitarisme s’empare de la science pour confirmer ce qui lui convient, l’idée est de créer une surréalité à laquelle les « croyants » vont adhérer — c’est le cas de la création de l’Islam par les Califes[16] et de la narration autour d’un prophète imaginaire, ou le bolchévisme avec la promotion de ses demi-dieux et du narratif autour du projet grandiose. Finalement tout cela correspond exactement à ce qu’a fait Auguste quand il a pris le pouvoir en s’assurant du contrôle religieux et des augures —d’où son nom. Au sujet des prédictions, quelqu’un a-t-il des nouvelles des 500.000 morts de 2020 et des 400.000 du premier trimestre 2021 que nous avait annoncé l’infâme Macron ? Pourtant tout ce que nous subissons, c’est au nom de ces morts imaginaires, de cette fausse pandémie et de ce pseudo-Covid-19.
  2. Que sans tests PCR il n’y avait point de pandémie[17] et que le test était parfaitement vérolé de manière à détecter un maximum de « cas ». Mais c’était tout ce qu’il fallait pour aller dans le sens de la nouvelle définition de « pandémie », juste des « cas », pas forcément des vrais malades et encore moins de mortalité. Un document[18] qui vient d’être publié par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis admet ouvertement que le fameux test PCR pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a été mis au point non pas à partir d’échantillons réels du virus chinois, mais plutôt à partir de ce qui semble être du matériel génétique d’un virus du rhume. Dans le document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR.[19]
    1. De manière parfaitement incroyable, l’article de Corman-Drosten[20] a été soumis à Eurosurveillance le 21 janvier 2020 et accepté pour publication le 22 janvier 2020. Le 23 janvier 2020, l’article était en ligne.
    2. Plus incroyable encore, le protocole de test Drosten, alors qu’il avait déjà envoyé son texte à l’OMS à Genève le 17 janvier 2020, a été officiellement recommandé par l’OMS comme test mondial pour déterminer la présence du coronavirus de Wuhan, avant même que l’article ne soit publié.
    3. Que dire du scandale des cycles d’amplification ? L’OMS et Drosten ont recommandé un Ct de 45 cycles. Il n’est pas étonnant que, alors que le nombre de tests augmente au début de la saison grippale hivernale, les « positifs » PCR en Allemagne et ailleurs explosent. Comme le soulignent les auteurs critiques, si les autorités sanitaires devaient spécifier 35 cycles maximum, selon l’article de Jaafar à l’IHU à 35 cycles, il ne resterait plus que 3% de vrais positifs ! Ils notent, « un résultat analytique avec une valeur Ct de 45 est scientifiquement absolument dénué de sens (une valeur Ct raisonnable ne doit pas dépasser 30).
    4. Le 27 novembre 2020, un groupe[21] très respecté de plus de 20 virologues, microbiologistes et scientifiques du monde entier a publié un appel à Eurosurveillance pour retirer l’article du 23 janvier 2020 du « Dr » Christian Drosten, l’inventeur du dit « test » PCR. Leur analyse minutieuse de la pièce originale est accablante. Le leur est un véritable « examen par les pairs ». Ils accusent Drosten d’incompétence scientifique « fatale » et de failles dans la promotion de leur test.
    5. Il est même possible que ce test fourré au fond du nez serve rapidement à ficher toute la population avec l’ADN des frottis. Une firme britannique entend gagner ainsi beaucoup d’argent.[22]
  3. Que seule la complicité servile des mé(r)dias —hormis en France l’exception notable de France Soir[23] et quelques rares autres— soutenue par une censure féroce dans tous les réseaux sociaux[24] a permis d’installer la doxa officielle[25] dans les cerveaux d’une population hypnotisée[26], abasourdie. Toute forme de pensée critique, quelle qu’elle soit, est immédiatement suspectée d’être complotiste,[27] la plupart des professionnels compétents sont muselés par la peur du dénigrement ![28] Le grand test que fut la grippe H1N1 a appris aux mondialistes que le contrôle absolu des médias conditionnait la réussite du projet. C’est aujourd’hui chose faite. Devant des médias complices de la conspiration, débitant ad nauseam la doxa du système, la censure systématique —notamment sur les réseaux sociaux— et la ridiculisation de toute voix discordante à l’aide d’étiquettes telles que « complotisme » ou « anti-vax ». La censure organisée sur tous les réseaux sociaux et dans la pressetituée[29],[30] nous a prouvé très tôt l’existence d’un projet, d’une volonté, d’une coordination du crime, avec les fameux « fact-checkers » —simples informaticiens ou joueurs de jeux vidéo autoproclamés défenseurs de la « science »[31]— formant les bataillons de la répression afin de maintenir à tout prix la vision et les ordres de l’OMS. Voyons ce narratif :
    1. Une épidémie terrifiante (par exemple les images d’horreur, à la sauce Timisoara[32] des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui sont en fait celles de chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale)
      1. L’épidémie de COVID-19 n’est pas un drame sanitaire mais un crime de masse.
      2. Pour les moins de 60 ans, l’année 2020 est la moins mortelle de toute l’histoire de France.[33]
    2. Pas de traitement (précoce) efficace existant, interdiction faite aux médecins de prescrire, prescription de médicaments qui tuent (Valium, Rivotril) :
      1. « Démontrer que le virus n’a pas de thérapie a été une lutte de tous les instants au risque d’étaler au grand jour les incompétences crasses des uns et des autres. » Ecrit le Dr. Michel de Lorgeril, qui ajoute « et tout scientifique qui osera dire le contraire sera lynché et traité de complotiste. »
      2. Les médecins généralistes qui doivent naturellement encaisser frontalement le choc de toute épidémie se sont vus dessaisis des cas et interdire de prescrire l’hydroxychloroquine / azithro qui fonctionne remarquablement bien[34], de sorte que de nombreux cas ont pu évoluer vers des formes graves et encombrer les hôpitaux. Partout dans le monde, des gouvernements criminels comme celui de la France ont interdit la prescription qui aurait sauvé de nombreuses vies, interdiction basée sur un article bidonné à souhait paru dans une revue « prestigieuse », et qui illustre bien jusqu’où est tombée la médecine classique. De nombreux protocoles avec l’Ivermectine[35] ont aussi largement prouvé leur efficacité.
      3. Le réseau sentinelle a été pareillement limogé car ses vrais chiffres contredisaient la propagande étatique.[36]
      4. Selon toutes les apparences, les autorités sanitaires et politiques françaises ont tout fait pour que les malades de la COVID-19 meurent en masse en suivant cinq stratégies simultanées :
  • Refuser l’accès aux hôpitaux à la majorité des malades, c’est-à-dire les personnes âgées ;
  • Refuser l’accès aux services de réanimation aux personnes âgées hospitalisées ;
  • Conseiller des traitements inutiles ;
  • Interdire les traitements efficaces ;
  • Tuer au lieu de soigner.

L’intention criminelle préméditée est prouvée par les documents officiels autorisant l’administration de poisons mortels aux patients tout en interdisant la prescription des thérapies les plus prometteuses. En France, les plus de 70 ans ont été refoulés des services de réanimation alors que plus de la moitié des lits étaient vides.[37] « Le confinement des mois de novembre-décembre n’a pas modifié la consommation des médicaments conseillés dans les cas de COVID-19. Si les confinements ne modifient pas les prescriptions hospitalières dans le cas général, on en vient à penser qu’il y a eu un défaut de prescriptions précisément envers les patients souffrant de la COVID-19 pendant la « première vague ». Considérant le nombre très important de cas répertoriés, une telle diminution est incongrue. Comment expliquer qu’en pleine épidémie on puisse atteindre un record historique de sous-prescriptions des médicaments indiqués pour soigner ladite épidémie ? »
Un décret du gouvernement en date du 28 mars 2020[38] a autorisé exceptionnellement l’usage du Rivotril dans les cas de COVID-19, sachant que seulement une à deux injections sont suffisantes pour tuer un malade. Il n’est donc pas étonnant de constater, à l’inverse des médicaments qui soignent, une sur-prescription massive des médicaments qui tuent. Les prescriptions de Valium injectable ont augmenté de 53 % à 63 % en avril-mai par rapport à la moyenne de 2017-2019. Quant au Rivotril injectable, sa consommation a explosé, multipliée par 3,9 en avril pendant le pic épidémique, et depuis reste 2,3 fois supérieure à la moyenne de 2017-2019.

  1. Les mesures de contrainte fondamentales tant qu’on n’a pas d’immunité collective vaccinale (la notion d’immunité naturelle étant désormais bannie de l’OMS[39],[40]
    1. Les mesures appliquées en guise de « prévention » chez les personnes âgées les ont sans doute fait mourir de chagrin, isolées dans une chambre.
    2. Lors des audiences du Congrès, le représentant James Jordan (R-OH) a demandé au Dr Fauci d’expliquer pourquoi la prévalence de la maladie dans le Michigan fermé est pire que dans le Wisconsin voisin qui est depuis longtemps entièrement ouvert. Fauci a prétendu qu’il n’avait pas entendu la question, qu’il n’avait pas vu le tableau et qu’il n’avait pas compris. Finalement, il est resté assis, silencieux, après avoir prononcé quelques banalités sur les différences de mise en application. Les « confineurs » sont maintenant confrontés à l’énorme problème du Texas. Cet état est totalement ouvert, sans aucune restriction. Les cas et les décès ont chuté de façon spectaculaire au cours de la même période. Fauci n’a pas de réponse. Ou alors, comparez la Californie fermée avec la Floride ouverte : taux de mortalité similaires. Nous disposons d’une gamme complète d’expériences aux États-Unis qui permettent de comparer l’ouverture et la fermeture et les résultats des maladies. Il n’y a pas de relation.
  2. Seule la vaccination nous sauverait, débloquerait la situation[41] et ferait cesser la maltraitance des Peuples.

« Et si vous croyez que l’engrenage s’arrêtera à un laissez-passer pour les plages, jetez un coup d’œil en arrière : quelle est la ligne rouge impensable qui n’a pas été finalement franchie par les gouvernements ces treize derniers mois ? Quel est le droit inaliénable de la personne qui n’a pas été violé ? Dès le moment où l’État s’arroge l’accès à votre corps, quel que soit le motif, il en devient propriétaire. Il en dispose. » Slobodan Despot.

    1. Pour un homéopathe habitué à critiquer la médecine officielle, il est évident dès le début que tout serait fait pour trafiquer la fameuse notion de bénéfices [pour les labos] / risques [pour les victimes] —surtout que les « études » n’incorporaient pratiquement pas de gens âgés alors que ce sont justement eux qu’on se proposait de protéger en priorité.
    2. La démarche habituelle consiste à maximiser la gravité de la maladie (par exemple, instructions données aux pompes funèbres[42] de déclarer en morts Covid toute personne ayant eu de la toux et de la fièvre et n’importe quel symptôme vague) tandis qu’on dissimule les effets secondaires.[43],[44],[45] Or ici c’est une explosion d’effets secondaires qu’on ne parvient plus à dissimuler. Dans chacun de ces pays qui ont vacciné massivement à partir de décembre ou début janvier, on a observé un pic de mortalité jamais atteint auparavant.[46] Omerta, silence des médias ne suffisant plus c’est maintenant le caviardage des bases de données qui est entrepris à grande échelle.[47] La député Mathilde Panot signe un discours remarquable qui dénonce la situation,[48] cela détonne dans le marais collaborationniste ambiant. Pour ceux qui n’ont pas encore compris, la seule immunité est celle des laboratoires qui ont réussi à imposer des contrats aux clauses léonines[49] à tous les états, contrats signés pour ce qui concerne l’Europe par une seule personne, Stella Kyriakides qui a touché plusieurs millions en pots de vins.[50]
    3. L’injection —que l’on ne peut pas appeler vaccin, même si Merriam-Webster a eu le culot de modifier la définition du terme pour devenir corona-compliant je suppose— se confirme mois après mois être un produit hautement toxique. Le viol génétique conduit nos cellules (la plupart du temps celles de l’endothélium vasculaire) à produire de la protéine Spike S1. Or la Spike est elle-même responsable de la maladie qui est essentiellement endo-vasculaire, sa présence à la surface des cellules conduit à des processus de coagulation.[51],[52],[53],[54] Au microscope se produit en peu de temps une coagulation quand le sang entre en contact avec le produit, il est raisonnable de supposer que le graphène arrache des molécules de fer aux globules rouges, ce qui entraîne une activation de l’injection et explique peut-être les effets magnétiques observés. [55]
      En outre ces produits contiennent probablement des substances qui ne sont pas supposées être présentes, comme l’oxyde de graphène.[56] De nombreuses personnes ont constaté que la région injectée puis d’autres zones du corps deviennent magnétiques.[57] Certaines sources mentionnent même la présence de parasites ou d’œufs de parasites.[58] L’empoisonnement volontaire —et forcé— représente certainement l’un des objectifs de la crise actuelle et rendra difficile à nos gouvernants de plaider non-coupable quand ils passeront en cour martiale. Le principe éthique classique des « essais cliniques » consiste à stopper les recherches expérimentales thérapeutiques dès lors que l’essai atteint la vie d’autrui et sa santé. Certaines études ont arrêté l’essai thérapeutique autorisé par la FDA déjà après un seul décès comme c’est le cas pour un laboratoire pharmaceutique français[59], alors que d’autres experts estiment à un maximum 20 à 50 décès sont amplement nécessaires pour établir une « dangerosité » du produit utilisé et stopper l’expérience.Avec plus de 13 000 rapports aux CDC concernant des décès dus aux vaccins COVID-19, les vaccins COVID-19 ont maintenant le taux de mortalité le plus élevé de tous les vaccins de l’histoire. En effet, la moyenne des décès dus aux vaccins signalés chaque année aux CDC, avant le COVID-19, était d’un peu plus de 100 par an. En d’autres termes, les vaccins COVID-19 ont environ 100 fois plus de rapports de décès par an que la moyenne des rapports pour tous les autres vaccins combinés. Dans le passé, des vaccins individuels ont été retirés du marché pour seulement 12 à 50 décès signalés. Les décès liés au vaccin COVID-19 sont catastrophiques et, pire encore, les décès signalés ne reflètent qu’une petite fraction des décès réels liés au vaccin dans la communauté.[60]
    4. Il suffit pourtant d’examiner l’histoire récente des maladies transmissibles – avec de nouveaux agents infectieux (HIV-sida, Ebola, Zika, Chikungunya, Dengue, Borrélioses…) – pour ajouter plusieurs bémols à la douce mélodie voulant faire croire que la technologie des vaccins va apporter des solutions miraculeuses à la crise du COVID-19.
    5. L’histoire nous rappelle que :
    6. 1- Toutes les épidémies finissent par s’éteindre spontanément
    7. 2- Jamais un vaccin n’a permis d’éteindre une épidémie.
    8. 3- La vaccination durant une épidémie entraîne toujours une surenchère de mortalité par effet Buchwald.[61]
    9. Et quand on nous sert l’exemple de l’éradication de la variole ce n’est que la référence à un mythe. Le rapport final[62] admet que la « vaccination de masse a échoué » et que c’est la surveillance et endiguement qui a porté ses fruits » Encore ici, « les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » Nous lisons aussi « A Java, malgré des taux de vaccination dépassant 90%, la transmission se poursuivait dans des zones densément peuplées… jusqu’à ce que des structures efficaces de dépistage des cas et de surveillance soient entièrement mis en place. »
    10. Nous subissons le totalitarisme des concepts mentaux : Il est décidé dans les sphères dirigeantes que les obstacles à la vaccination doivent être éliminés, car le vaccin est « notre porte de sortie de la crise ». Nous développerons dans le second chapitre comment la médecine industrielle porte en elle le despotisme, en ne traitant plus que des masses amorphes non individualisées. Cela a commencé avec la préparation de la vaccine sur les orphelins pour maintenir la souche, Pasteur a continué sur la même lancée, en fraudant massivement ses résultats —les héritiers du Dr. Roux, illustre collaborateur de Pasteur, ont publié la correspondance entre Brouardel et Pasteur, nous faisant ainsi découvrir comment on a masqué la mort d’un enfant inoculé par de l’extrait de moelle desséchée d’animal rabique en la faisant passer pour une crise d’urémie, permettant ainsi de sauver la science française.[63] En ce qui concerne l’éthique, en 1884, Louis Pasteur lui-même écrit à l’empereur du Brésil pour lui demander l’autorisation de contaminer des condamnés à mort avec le choléra afin d’essayer sur eux des traitements.[64]
    11. Au nom maintenant d’une théorie délirante comme la heird immunity l’immunité du troupeau —enfin de groupe— le massacre va maintenant porter aussi sur les enfants[65], surtout que nous sommes sur le chemin de l’élimination du consentement parental.[66] et les femmes enceintes —une méta-analyse a recensé 192 études et trouvé un taux de létalité chez les femmes enceintes atteintes de Covid-19 de 0,02%, décès toutes causes.[67]
    12. Et nous devrions croire sur parole des laboratoires véreux[68] qu’une injection génique expérimentale, produirait —sans le moindre recul connu— le résultat que jamais la vaccination n’a atteinte depuis que la pratique existe ?
    13. Pour ma part j’ai vraiment éclaté de rire quand on nous a annoncé une efficacité de 95% avec des études qui ne sont même pas en double aveugle. En cette fin de 2021, les preuves ne cessent de s’accumuler concernant la supercherie de ces « zétudes ».[69],[70],[71],[72] Dès le début il était facile aussi de penser que la mutation incessante du Coronavirus servirait d’excuse facile aux inoculateurs pour justifier leurs lamentables échecs. Quant à la blague que constitue les autorisations de mise sur le marché, l’ANSM, gendarme Français du médicament, se désintéresse totalement du fait qu’à ce jour (29/10/21) la dispensation des quatre vaccins anti-Covid puisse être réalisée de manière parfaitement illégale sur son sol : En effet, celle-ci se trouvait incapable de documenter que les Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles (AMMc) régissant l’écoulement de ces produits n’existent encore…[73]
    14. Un groupe de 57 scientifiques, médecins et experts politiques de premier plan a publié un rapport appelant à remettre en question la sécurité et l’efficacité des « vaccins » COVID-19 actuels, et réclame maintenant la fin immédiate de tous les programmes de vaccination. Parmi eux se trouve la généticienne Alexandra Henrion-Caude —qui mérite d’être élue femme de l’année.[74]
    15. Nous étudierons en détails dans le chapitre suivant « Et vous Peuples infortunés » les ravages de la vaccination forcée. 
    16. Le tout étant servi aux Peuples grâce à un appareil de propagande relayé par les innombrables collabos et autres idiots utiles[75],[76],[77] qui relègue au niveau de la maternelle les Goebbels et maîtres à penser de la manipulation des masses, mettant en jeu des mécanismes comme la réduction de dissonance cognitive ou le syndrome de Stockholm :
      1. Souvenons-nous comment Orson Wells[78] —l’ancêtre de nos manipulateurs actuels— avait réussi à faire croire à un débarquement des martiens seulement en se servant d’une chaîne de radio. Imaginez la puissance de feu de tous les médias confondus…

« L’affirmation pure et simple, dégagée de tout raisonnement et de toute preuve, est un des plus sûrs moyens de faire pénétrer une idée dans l’esprit des foules. Plus l’affirmation est concise, plus elle est dépourvue de toute apparence de preuves et de démonstration, plus elle a d’autorité. » Gustave Le Bon.

    1. La première des erreurs les plus communes[79] sur la façon dont fonctionne la propagande officielle consiste à penser que son but est de tromper le public en lui faisant croire des choses fausses (le masque nous protège, le vaccin nous protège, les mesures sanitaires nous protègent, etc)… Toutefois, même si les propagandistes sont bien contents quand quelqu’un croit à leurs mensonges, la tromperie n’est pas leur but premier.
    2. Le premier des buts de la propagande officielle est de générer une « narrative » qui peut être mécaniquement répétée par les classes supérieures et ceux qui les soutiennent et s’y identifient. Cette narrative officielle n’a pas à être cohérente ou crédible, ni à résister à l’examen critique. Sa plausibilité n’est pas l’important. L’important est de dessiner une ligne Maginot, une frontière idéologique défensive, entre le « Bien » tel que défini par les classes supérieures et les vérités qui contredisent la narrative officielle.
    3. Dans des sociétés ouvertement despotiques, les enjeux de ce type de choix (se conformer ou désobéir) sont souvent la vie ou la mort. Dans nos sociétés occidentales (pour ceux d’entre nous qui ne sommes pas des guérilleros militants), les conséquences du non-conformisme sont généralement plus subtiles, mais les pressions restent intenses. Se conformer à la « réalité » consensuelle produite par ces narratives est le prix de l’admission dans le saint des saints où les emplois, l’argent, le prestige professionnel et les autres récompenses du capitalisme se trouvent. Se conformer aux narratives n’implique pas d’y croire. Cela demande juste une allégeance et une obéissance inconditionnelle. Ce que l’on croit en réalité n’a aucune importance, du moment que l’on répète, comme un perroquet, la narrative officielle du moment.
    4. Pour résumer, la propagande officielle n’est pas destinée à duper le public (pas plus que les phrases d’un rôle d’acteur ne sont destinées à tromper l’acteur). Elle est destinée à être absorbée et répétée, quelle que soit son invraisemblance. De fait, elle est souvent plus efficace quand ceux qui sont forcés de la répéter comme des robots savent qu’elle est complètement stupide, parce que l’humiliation d’avoir à le faire cimente leur allégeance à la classe supérieure.[80]
  1. Que les mesures imposées liberticides, incohérentes, illogiques et arbitraires (port du masque, distanciation, assignation à domicile, fermeture de tous les magasins) étaient non seulement hors de proportion avec le fléau supposé mais contraires au bon sens, sans la moindre justification scientifique, ou ayant déjà fait preuve de leur inefficacité.[81], [82], [83], [84], [85], [86], [87]
    1. Combien de vies ont été sauvées grâce à la fermeture des rayons slips, chaussettes et tee-shirts ? Combien de transmissions n’ont pas eu lieu grâce à l’arrosage frénétique des mains avec des produits chimiques déversés par milliards de tonnes dans la nature, et remplis de perturbateurs endocriniens ?[88] Plus de 150 milliards de masques sont produits chaque mois, sans le moindre recyclage.[89] Il est à craindre qu’un nouveau continent de plastique ne flotte à la surface de ce qui reste de nos océans.
    2. Concernant les masques, personne ne s’est soucié de citer la grande étude chinoise[90] publiée dans Nature, aux chiffres astronomiques de 10 millions de patients (la dictature a parfois du bon) qui a clairement montré que les sujets asymptomatiques ne sont pas contagieux.
    3. Le port du masque est un marqueur de la soumission populaire aux mesures débiles gouvernementales —on imagine la jouissance perverse des Macron et consorts à l’idée d’avoir réussi à faire respirer tout le monde dans ses propres crachats… Au même titre que le voile islamique dans les pays soumis à l’oppression de la charia, le despotisme d’état se charge par la violence de vous rappeler à l’ordre établi.[91]
    4. L’assignation à résidence— justifiée par des modélisations douteuses, notamment celle du très influent Pr. Ferguson. Sans doute dans le besoin malgré les généreux financements de la Fondation Gates, ce dernier a utilisé un programme digne de Sim City, lui permettant de prévoir 500.000 morts en Grande Bretagne, puis finalement 20.000.[92] La plus grande panique de l’histoire et la paralysie inédite de l’économie reposent sur des spéculations délirantes. Le code concernait un modèle de grippe conçu en 2005 pour Taïwan.[93] Plutôt que de mettre le code à la disposition des autres acteurs du domaine pour qu’ils puissent l’examiner à ce moment-là et contribuer à influencer les mesures prises par les gouvernements, Ferguson a choisi de s’adresser à Microsoft. Pourquoi ? Pour réécrire le code et l’améliorer. Ainsi, personne n’a pu voir le vilain code original utilisé pour créer un mauvais modèle que les gouvernements ont utilisé pour enfermer tout le monde. Depuis quand Microsoft est-il devenu l’expert en modélisation des épidémies ? De toutes les mesures qu’il aurait pu prendre, il s’est adressé à Microsoft, et non à d’autres experts en la matière pour modéliser correctement la pandémie. C’est troublant. Pourquoi ? Serait-ce dû à une certaine loyauté ou influence liée à Microsoft ? Peut-être au fondateur de Microsoft, Bill Gates ? La Fondation Gates a financé l’Imperial College à différents moments. Observez l’écart des dates entre lesquelles le financement a été multiplié par … 29 ! (29x).
      En 2010, 2 millions de dollars ont été versés à l’Imperial College :
      https://media.evolveconsciousness.org/2020/05/imperial-collage-gates1.jpg
      En mars 2020, ce sont 79 millions de dollars qui ont été versés à l’Imperial College: ! https://media.evolveconsciousness.org/2020/05/imperial-collage-gates2.jpg

Partout où l’on se tourne, on retrouve l’empreinte de la main de Gates au travers de sa Fondation Bill et Melinda Gates.[94]

  1. Que tout serait fait pour pousser à la vaccination obligatoire —et même sous contrainte— de la population mondiale, si tant est qu’on appelle « vaccins » des injections géniques expérimentales effectuées en violation du droit international.[95]
  2. Que les voyages mais aussi tous nos gestes quotidiens seraient soumis à l’obligation vaccinale qui sera appelée à devenir perpétuelle,
  3. Que la restriction des libertés annonçait la mise en place d’une dictature à la chinoise[96], basée sur un techno-contrôle permanent d’abord au moyen de passeports sanitaires, puis à terme à base de puces RFID, reconnaissance faciale et autres 5G, le sujet du système devenant « connecté » au même titre que sa voiture ou son frigo.[97]

Le loup mondialiste est sorti du bois.

Cette guerre contre les Peuples ne nous laisse d’alternative que de vaincre ou mourir. Non, il n’y aura plus jamais ni repos ni retour en arrière tant que n’auront pas été châtiés les instigateurs et les complices de ce « coup » mondial avec son narratif délirant et burlesque d’une pandémie qui n’existe pas, imposé à l’unisson[98] par les gouvernants et relayé en boucle par les médias. John Ioannidis, probablement le plus grand épidémiologiste actuel, affirme dans une étude publiée par l’OMS[99], mais passée complètement à la trappe depuis octobre 2020 que

« The inferred infection fatality rates tended to be much lower than estimates made earlier in the pandemic. »

Notre savant aime les euphémismes : il y a en effet un facteur 14 entre les premiers chiffres — qui ont servis de référence pour déclarer la pandémie et imposer toutes les mesures folles— donnés par les autorités sanitaires chinoises et la valeur constatée par le Dr Ioannidis. Grâce au Covid, la corruption généralisée apparaît au grand jour et beaucoup de nos confrères qui vivaient dans le confort douillet du consensus découvrent en exerçant leur sens critique l’horreur de la guerre permanente de désinformation, le mensonge dans lequel notre profession baigne, la répression en cas de transgression de la doxa officielle, et la manipulation dont ils sont l’objet pour les inciter à croire qu’en étant au « top » des nouveautés, ils font de la bonne médecine.[100] Cette même guerre qui nous était livrée depuis des générations d’homéopathes est désormais devenue mondiale.

La science représente un puissant outil dans la recherche de la vérité, mais quand elle est dévoyée par l’argent, surgit la fallacieuse notion de « preuve scientifique », un oxymore destiné à vendre aussi bien une traversée en Titanic ou un vaccin.

Il est probable que jamais l’humanité n’a encore dans son histoire encouru une telle menace, non pas à cause d’un virus mortel, mais d’un simple rhume qui sert de prétexte à l’instauration d’une tyrannie oligarchique. Si l’on m’explique que vous avez bouté le feu à votre maison parce qu’il y avait un moustique dans le salon, c’est la preuve que soit vous êtes complètement fou, soit que le moustique ne fait que servir d’excuse au pyromane. De même les mesures apparemment démentes prises comme un seul homme par (presque) tous les gouvernements face à une menace nulle ne deviennent logiques que si l’on change de paradigme et qu’on réalise que les gouvernements n’œuvrent plus dans l’intérêt des peuples et des nations, mais selon l’agenda d’une structure supérieure qui les contrôle tous :

:.

Les tendances et les déclarations financières mondiales indiquent une refonte sismique de la gouvernance et des systèmes financiers qui se joue sous la surface de la pandémie de Covid-19 et qui va bien au-delà du domaine de la santé.

Le renforcement du contrôle centralisé peut créer un gouffre infranchissable entre une petite poignée de gagnants et une majorité de perdants. ….

Les preuves suggèrent que les vaccins coronavirus, véritables chevaux de Troie, pourraient remettre en cause l’intégrité corporelle et le consentement éclairé de manière totalement nouvelle, en transportant des technologies invasives dans le cerveau et le corps des gens.

Des technologies telles que les interfaces cerveau-machine, les dispositifs de suivi de l’identité numérique et les puces compatibles avec les crypto-monnaies contribueraient à l’objectif de la banque centrale de remplacer les monnaies par des systèmes de transaction et d’identification numériques et de créer une grille de contrôle mondiale qui relie la population mondiale au nuage de renseignements militaires-pharmaceutiques des technocrates mondiaux. En outre, l’utilisation des vaccins comme vecteur des technologies de surveillance annule toute responsabilité juridique.[101]

Tant pis — ou tant mieux ?— si je heurte ceux encore douillettement endormis dans le confort de la Doxa du système et qui se font une joie de partir à l’abattoir en chantant. Je n’ai jamais eu l’habitude de mâcher mes mots —pas plus que le Dr. Zelenko[102] ou Dr. Sucharit Bhakdi[103] ou encore le Dr. Michael Yeadon[104] dont je partage ici complètement les analyses : au-delà d’un simple crime crapuleux destiné à l’enrichissement sans limite de l’industrie, c’est probablement un génocide planétaire qui se prépare dans la joie et l’insouciance, avec le consentement —je devrais dire la soumission— d’une grande partie de la population.

Qu’on ne se méprenne pas : le sens du mot « génocide » est chevillé dans mes cellules, le néologisme a été forgé par Lemkin en prenant pour modèle le génocide arménien. Son professeur de droit lui ayant expliqué que les gouvernements pouvaient faire ce qu’ils voulaient des peuples administrés, comme on le fait d’un élevage de poulets, Lemkin s’est écrié « mais les gens ne sont pas des poulets ! » J’envie la France quand elle pleure un Oradour. Nous en avons connu des milliers dans le cours d’une extermination systématique, sans distinction d’âge ou de sexe.

C’est donc bien en pleine acceptation du terme que je déclare qu’à mesure que nous découvrons les effets et le contenu des « vaccins » imposés de vive force contre toute science ou raison par les gouvernements, nous avons la preuve d’une tentative de génocide. J’ignore quelle proportion de l’humanité survivra à ces poisons. Des plaintes devant la Cour Pénale Internationale[105],[106] ont été déposées, en Inde L’avocate Dipali Ojha,[107] principale avocate de l’Association du barreau indien, a intenté des poursuites pénales contre le Dr Swaminathan « pour chaque décès » causé par ses actes, mais on se doute vu la corruption et le crime organisé que les chances d’aboutir sont minimes.

Au vu de la perversité —ce terme reviendra souvent dans mes commentaires— que nous constatons partout où l’on se retourne, seul Tocqueville me semble avoir clairement décrit pareille situation :

« Les Espagnols, à l’aide de monstruosités sans exemples, en se couvrant d’une honte ineffaçable, n’ont pu parvenir à exterminer la race indienne, ni même à l’empêcher de partager leurs droits ; les Américains des États-Unis ont atteint ce double résultat avec une merveilleuse facilité, tranquillement, légalement, philanthropiquement, sans répandre de sang, sans violer un seul des grands principes de la morale aux yeux du monde. On ne saurait détruire les hommes en respectant mieux les lois de l’humanité.[108] »

J’accuse !

J’accuse les mondialistes — cette ultra-minorité constituée de quelques grandes familles (Rothschild, Rockefeller, Carnegie, DuPont, Bush, Morgan, etc. et leurs coryphées comme Bezos, Soros, et Gates)[109] :

  • D’être majoritairement de dangereux psychopathes[110] avides uniquement de jouissance perverse ou des pires transgressions pour se sentir exister.[111]
  • D’avoir peu à peu accaparé la création de la monnaie dans le monde entier[112] depuis au moins la chute du Premier Empire.[113]
  • De contrôler ainsi les destinées des nations depuis au moins la fin du XIXème siècle, organisant pour leur profit les guerres ou révolutions qu’ils jugent utiles[114] : Guerre des Boers, Première Guerre Mondiale, Révolution Russe et instauration du Communisme,[115] etc.
  • De fomenter un complot mondial depuis des générations, en vue d’instaurer une gouvernance mondiale[116] sous forme d’un collectivisme oligarchique[117] dont la Chine représente le modèle —dès le 30 Mars 2020 Gordon Brown appelait à un gouvernement mondial « intérimaire », Attali au gouvernement mondial installé à Jérusalem[118],
  • De poursuivre depuis des générations une guerre mondiale secrète contre les Peuples[119] et de vampiriser les nations en forçant les états à une dette fictive en échange de la création de monnaie ex-nihilo.
  • D’avoir fabriqué de toutes pièces la pandémie Covid.[120],[121],[122],[123],[124],[125]
  • D’avoir breveté —à travers une multitude de sociétés dont le CDC, Pfizer, Moderna, Merck, Johnson & Johnson— le génome sous tous ses aspects du SARS-Cov-2 depuis au moins 20 ans pour réaliser leurs objectifs,[126],[127]
  • D’annoncer la pandémie depuis des années avec beaucoup de perversion[128] via quelques porte-paroles dont Bill Gates[129] qui semble être le grand prêtre du système.[130],[131] Soudainement autoproclamé spécialiste de tous les problèmes planétaires et virologue, celui que l’histoire regardera sans doute comme l’un des plus grands criminels de tous les temps nous annonçait, dès le mois de Février 2020, qu’il n’y aurait pas de retour à la normale sans que la planète entière ne soit vaccinée.[132],[133]
  • De recourir sans scrupule à l’ingénierie sociale[134],[135] —notion purement communiste— au crime contre l’humanité et probablement au génocide mondial pour façonner « l’homme nouveau » — dont la tentation a toujours été la marque des régimes totalitaires —, issu de leur ancien délire eugéniste et transhumaniste.[136],[137],[138]
  • De ruiner l’économie mondiale afin d’imposer une future monnaie numérique[139] et un contrôle total technocratique[140] de la population [restante…] réduite en esclavage.[141] Tout sera fait pour nous présenter comme seule solution le gouvernement mondial pour « sauver les banques. »
  • D’organiser une destruction —une sape— des fondements de la société[142], notamment de par l’Open Society de Soros,[143] et une corruption systémique dont on ne peut se faire de représentation tant elle est omniprésente et disséminée.[144],[145] Il a suffi ainsi de faire déclarer la pandémie par le bon Tedros[146],[147] —l’homme de paille de Gates— pour que tout se mettre en branle comme une cascade de dominos, toutes les nations signataires du Règlement sanitaire international de l’OMS étant légalement tenues de suivre ce que le directeur général décide de faire en cas d’urgence.[148] L’affaire a été préparée d’avance selon un agenda qui force l’admiration : en faisant passer un rhume pour la peste noire, les corrompus savaient qu’ils pouvaient ensuite compter sur la lâcheté généralisée, la fuite de toute responsabilité pour entraîner le reste du monde avec eux.
  • D’avoir noyauté et infiltré à peu près tous les gouvernements, et toutes les instances internationales et nationales, officielles (comme l’OMS, la Banque Mondiale, le GAVI, etc.) ou officieuses (franc-maçonnerie dévoyée en parti politique comme le Grand Orient en France) [149],[150] et de posséder à peu près toutes les firmes industrielles, bancaires et technologiques.[151]
  • De ne même plus prendre la peine de dissimuler leurs objectifs mais de diffuser leur doctrine à travers des organisations comme le World Economic Forum[152] —son patron et maître à penser, Klaus Schwab étant aussi un Rothschild[153], la Fabian Society ou autres revues comme The Economist. La stratégie habituelle consistant à utiliser la fenêtre d’Overton pour habituer peu à peu la pensée du public à ce qui aurait été inimaginable auparavant.

J’accuse les trois secteurs criminels de plus en plus imbriqués —Big Finance, Big Tech et Big Pharma— de récolter les fruits de la « pandémie » Covid-19, tout en bénéficiant de relations étroites avec l’appareil de renseignement militaire[154],[155] . Ceci a permis de créer le plus grand transfert de richesses de l’histoire de l’humanité et une montée en puissance énorme de la technocratie mondiale, une forme de contrôle centralisé, dirigé par des experts, sur la production et la consommation des ressources, que le Wall Street Journal a qualifié de « règle antidémocratique par des élites qui pensent mieux savoir. »[156]

J’accuse les laboratoires pharmaceutiques —notamment Pfizer, Moderna, Merck, Johnson & Johnson, Astra Zeneca— de constituer depuis le début du XXème siècle les pires organisations criminelles que le monde ait connues :

  • D’avoir déposé des milliers de brevets concernant le Coronavirus depuis 2000, d’avoir préparé et planifié la crise actuelle de concert avec la troïka Gates, Fauci, Tedros. Le génome du SARS-Cov2 a été ainsi breveté depuis de longues années, avec toutes les variantes connues de la protéine Spike (malgré leurs moyens illimités, ces messieurs ont quand même réussi à faire la bourde de déposer le brevet du futur vaccin quelques heures avant le dépôt du brevet du Coronavirus).[157]
  • D’avoir provoqué la fermeture de tous les hôpitaux homéopathiques[158] aux USA dès les années 1910 et imposé la médecine chimique sous la forme que nous connaissons, détruisant la santé de l’humanité depuis des générations.
  • D’être obsédés par la destruction de l’homéopathie, le seul édifice médical logique et scientifique capable de leur faire de l’ombre et de guérir les gens
  • De mener depuis cent ans une guerre incessante contre l’homéopathie afin de la discréditer[159] et détenir le monopole d’une médecine non-scientifique basée sur l’administration arbitraire de drogues pétrochimiques au gré de statistiques toujours falsifiées.

J’accuse la troïka Gates — à travers de sa fondation « philanthropique » Bill et Melinda et autres affidés comme l’Open society de Soros et la Clinton fundationFauci[160] — avec sa mainmise sur les CDC, ce dernier se retrouve aujourd’hui accusé d’avoir pris des mesures contraires à l’éthique et aux connaissances,[161] Tedros —avec sa haute main sur l’OMS, d’être les exécutants d’une affaire patiemment préparée —un hold-up mondial— depuis au moins deux décennies, aboutissant à une ahurissante toile d’araignées impliquant à peu près tous les secteurs[162] — avec l’aide inestimable du Parti Communiste Chinois[163] dont notamment :

  • Tripotage de la définition de la pandémie dès 2009[164]
  • Assujettissement des gouvernements aux décisions de l’OMS en cas de pandémie
  • Infiltration de toutes les instances internationales comme l’ONU, la Banque Mondiale, etc.
  • Recyclage de l’argent sale grâce à une galaxie d’ONG et autres fondations —gravitant autour de l’ONU par exemple— n’ayant de comptes à rendre à personne.[165]
  • Contrôle total des médias (ANP, AFP, REUTERS, eux même affiliés à European journalism center et Project syndicate, lesquels appartiennent comme le reste du monde à des compagnies comme Black RockVanguardStreet State ou Berkshire Hataway) et des réseaux sociaux via leur complices. Citons en France par exemple les dix milliardaires qui contrôlent toute la presse.[166]

J’accuse nos gouvernants de complicité totale avec les mondialistes et de conspirer contre la paix en créant une fracture irréconciliable de la population au moyen de mesures discriminatoires qui violent toutes les constitutions démocratiques[167] —le citoyen qui cotise pourtant à ses assurances sociales se voit refuser l’entrée à l’hôpital (chose jamais vue de mémoire d’homme), les délations pleuvent contre les mauvais porteurs de masque qui ont l’outrecuidance d’entrer dans un magasin, on refuse d’évacuer des non-vaccinés[168], les brutalités policières innommables s’abattent sur les gens au prétexte de non-port de masque[169], etc.

J’accuse l’ensemble de la classe politique —à de rares exceptions près— de connivence avec les gouvernements en place. Leur silence assourdissant alors que tous les principes démocratiques sont violés quotidiennement démontre leur culpabilité, et signe le pourrissement déjà ancien de nos sociétés où la démocratie est réduite à un simple théâtre avec de l’opposition contrôlée.

J’accuse de collaboration et de trahison tous les minables appartenant à des rouages divers de la société et qui ont tout fait pour imposer le nouvel ordre établi : Ordre des Médecins, Juges autres magistrats, Policiers, Syndicats, etc.

  • Une mention particulière ici au sujet de la lâcheté de l’immense majorité des médecins qui ont servilement accepté les consignes gouvernementales tout en sachant pertinemment leur absurdité. Ils ont ainsi trahi la confiance de leurs patients, tout en se couvrant d’une honte qui sera difficile à effacer.

Tous ces gens, du haut en bas de l’échelle, devront répondre avec leurs maîtres mondialistes des accusations de :

  • Complot mondial et escroquerie en bande organisée
  • Crime contre l’humanité (refus de soins à la population, meurtre des personnes âgées, injection forcée de substances expérimentales en violation du droit international,[170] de la liberté du refus de soin, et de toute éthique[171])
  • Crime contre l’économie (destruction volontaire de pans entiers de l’économie, assujettissement des victimes aux « aides » fournies et chantage au vote —c’est la même relation entre un mari alcoolique violent et son épouse—, pénuries organisées, inflation massive notamment des denrées céréalières[172])
  • Crime contre la société :
    • Ingénierie sociale,
    • Discrimination,[173] qui constitue le premier pas vers l’exclusion puis l’extermination, car il est facile de prévoir que tout sera fait pour faire porter le chapeau aux non-vaccinés —la situation sera bientôt catastrophique selon soit les effets délétères des vaccins soit carrément de par l’émergence de nouveaux variants naturels ou pas. L’Autriche, partie natale d’un artiste peintre tristement célèbre, vient de décider de confiner les non-vaccinés ![174]« La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisés en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise. » Mathieu Slama
    • Agnotologie (production méthodique de la bêtise, de l’ign
    • orance, du doute et de la désinformation), l’affiche ci-contre illustre bien le propos[175]
    • Destruction systématique de tous les repères —ainsi que l’avait annoncé Soljenitsyne dans son fameux discours de Harvard[176],
    • « Cancel culture » et autres aberrations comme la théorie du genre.

L’issue de la crise passera par une révolution sociétale de fond en comble avec la révision du rôle de l’industrie, notamment dans la médecine, et la remise en cause de la notion d’enrichissement personnel illimité introduit par Voltaire.[177] Rousseau quant à lui avait bien réalisé que :

Jamais dans une monarchie l’opulence d’un particulier ne peut le mettre au-dessus de la volonté du prince. En revanche dans une république elle peut le mettre aisément au-dessus des lois.

Seule l’insurrection populaire permettra de mettre les mondialistes et leurs complices hors d’état de nuire. Ces hyènes agissant dans l’ombre depuis toujours ne sont que des tigres en papier, futurs gibiers de potence et les peuples forcés à l’inoculation de poisons se trouvent désormais en situation de légitime défense. Que la sainte colère des peuples abusés se lève !

« Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. » Ep 6.12

A titre de réflexion songeons que les Français ont décapité un roi innocent et qui ne voulait que le bonheur de son peuple. Que ferons-nous d’un Macron, séide des mondialistes, qui empoisonne délibérément les Français ?

Les derniers mots de Louis XVI sur l’échafaud « Et vous peuple infortuné » résonnent à nos oreilles comme une douloureuse prophétie. Ce sera le titre de notre prochain chapitre.

Il faut détruire le mondialisme ![178]


Notes

  1. David Rockefeller lors de la réunion des Bilderberger, à Baden en Allemagne, en juin 1991. Rockefeller a consacré sa vie au gouvernement mondial unique, c’est-à-dire au Nouvel Ordre Mondial (NWO). Il a fondé la Commission trilatérale et fait partie intégrante du Council on Foreign Relations. 
  2. Pour ceux qui désirent en savoir plus sur le génocide arménien, le site « Imprescriptible » est une référence. 
  3. Pour savoir ce qu’est le sort et la condition du dimmi en terre d’Islam. 
  4. Voir la Déclaration des Droits de l’homme de 1793-ch 35 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ». 
  5. Voir le documentaire Hold-Up de Pierre Barnerias et Philippe Cossé. Mon intervention complète en HD, ici
  6. Voir l’article de notre excellente Nicole Delepine : La peur basée sur une épidémie de rhume. Les colossales erreurs des simulations de N. Ferguson et de l’Institut Pasteur nous l’ont démontré, et il n’y a donc aucune raison objective de craindre l’avenir.Même si le Covid se comportait comme la grippe avec des récidives et un nouveau variant chaque année, il n’y aurait aucune raison d’en avoir peur. Les vaccins font chaque jour preuve de leur insuffisante efficacité, mais les traitements précoces sont efficaces en préventif et en curatif ainsi que l’a prouvé l’Inde.N’ayez plus peur. 
  7. Voir l’article sur le Courrier des Stratèges, et le pdf du rapport ici
  8. De 2003 à 2009, une pandémie a été définie par l’apparition de « plusieurs épidémies simultanées à travers le monde avec un grand nombre de décès et de maladies » ; un changement a été opéré entre le 1er et le 9 mai 2009, faisant disparaître le critère de gravité. Le contenu des pages Internet de l’OMS a été modifié, sans changer la date affichée.Pour sa part, l’OMS affirme que la définition de base de la pandémie n’a jamais changé. Citée par M. Tom Jefferson lors de son audition par la commission des questions sociales, de la santé et de la famille de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe le 29 mars 2010, Mme Nathalie Boudou, porte-parole de l’OMS, a justifié le changement de définition sur le site de l’OMS par la correction d’une « erreur », en affirmant que la définition correcte d’une pandémie devait faire référence à l’apparition de foyers dans au moins deux régions du monde, mais n’avait rien à voir avec la gravité de la maladie ou le nombre de décès. Voir le pdf
  9. La plupart des cas ont réagi favorablement pour amener à une guérison en quelques jours après la prise d’Ammonium Carbonicum, médicament dominant de l’épidémie, déterminé dès avril 2020. Nous comptabilisons avec nos étudiants plus de cent cas traités avec succès, dans n’importe quel stade de l’affection. 
  10. Voir le Figaro
  11. Voir le résultat de la commission sénatoriale. 
  12. Voir la falsification de l’étude, jamais publiée dans les médias standards et bien entendu aucune mesures prises à l’encontre de l’homéopathie n’ont été remises en cause… 
  13. À l’origine de cette étude bidon financée indirectement pas les sociétés-écrans de Bill Gates et un hôpital londonien, il y avait la société Quartz Clinical et sa directrice du marketing et des ventes, une certaine Ariane Anderson. Directrice marketing et des ventes d’une société qui produit une étude mondiale sur les dangers d’un médicament qui a été consommé par des milliards d’individus (il a en été vendu jusqu’à 1 milliard de cachets par an dans le monde), c’est quand même un sacré poste à responsabilité ! La société à l’origine de « l’article » du Lancet, la société de Big Data qui a fourni les « données » d’observation de l’étude… n’existe pas !C’est une société totalement bidon. Elle aurait été créée en 2007 par Sapan Desai, un des auteurs de l’article, et n’a jamais connu la moindre activité, n’a jamais payé d’impôts, aurait été dissoute ou suspendue à plusieurs reprises. Voir l’article de RR.On se dit que cette dame doit être bardée de diplômes et qu’elle doit avoir une expérience professionnelle à faire pâlir le docteur Raoult et les plus grands experts chinois qui ont osé vanter les effets thérapeutiques de ce médicament. On trouvera plein de photos de la dame à divers degrés d’habillement sur Internet. Cependant les « meilleures » ont déjà été retirées du Web… Voir ici
  14. Une étude italienne récemment publiée portant sur 3451 patients hospitalisés a révélé 30% de mortalité en moins, meilleure que celle rapportée pour le remdesivir très coûteux dans les hôpitaux, vanté par Fauci. Une étude italienne antérieure et plus petite a révélé une réduction de 66% des décès chez les patients hospitalisés. Une étude belge portant sur 8 075 patients hospitalisés a révélé une réduction de 65%. De même, une étude récente d’Arabie saoudite a révélé 43% d’hospitalisations en moins et 45% d’admissions en USI en moins. Pour les patients à haut risque des maisons de retraite en Espagne, le HCQ a réduit de moitié le risque d’un mauvais résultat.Une grande étude du système hospitalier Henry Ford a révélé un taux de mortalité pour 2 541 patients de 13,5% pour HCQ seul, 20,1% pour HCQ plus azithromycine et 26,4% pour aucun des deux. 
  15. Une honte de plus pour l’institut Pasteur, qui reste fidèle cependant au modèle de fausse science de son fondateur. L’étude truquée, prépubliée en juin, a été supprimée, d’un coup de baguette magique ! Tout simplement ! Plus besoin de revue par les pairs ! (L’investisseur sans costume l’a cependant soigneusement conservée  pour ceux que ne rebute pas un texte scientifique en anglais.) 
  16. Voir à cet égard le remarquable travail de vulgarisation et de synthèse accompli par Odon Lafontaine au travers du Grand Secret de l’Islam
  17. Voici le résumé par Fuellmich lui-même « Le fait est que les tests PCR comme méthode de mesure des infections ne sont pas seulement une absurdité scientifique, mais a apparemment été programmé intentionnellement de manière à créer le plus grand nombre possible de faux positifs, et donc à semer la panique dans le monde. Cela est prouvé par un article de rétractation rédigé par 22 scientifiques internationaux très respectés, qui demande à l’éditeur de la revue de rétracter immédiatement ces absurdités. Il a été consulté environ 18 millions de fois jusqu’à présent ».« En outre, l’affirmation de Drosten, selon laquelle il existe des infections asymptomatiques, est également fausse. Parce qu’il n’y a rien de tel, comme l’a récemment prouvé une grande étude de Wuhan, concernant 10 millions de personnes ».« Une personne qui ne présente aucun symptôme est en bonne santé —n’en déplaise au bon Docteur Knock. Cela signifie qu’aucun de nous ne doit avoir peur des personnes qui ne présentent aucun symptôme et les forcer à porter des masques, ni avoir peur qu’un résultat positif signifie forcément qu’il est infecté. Les images d’horreur des hôpitaux avec des lits dans les couloirs, qui réapparaissent maintenant, existent en fait chaque année pendant la vague de grippe tout à fait normale. Elles ne sont utilisées maintenant qu’à dessein, afin d’alimenter davantage la panique. Il n’y a toujours pas de surmortalité en Allemagne. Plus de gens meurent en hiver : c’est tragique, mais c’est malheureusement ‘normal’ ».« Alors, de quoi s’agit-il vraiment s’il n’y a pas de problème de santé qui diffère de la vague de la grippe habituelle ? À cet égard, nous avons pu nous forger une opinion sur la base des auditions qui ont eu lieu, ainsi que des informations complémentaires ». 
  18. Voir ici le pdf officiel de la FDA. On peut lire que « Étant donné qu’aucun isolat quantifié du virus 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et où cette étude a été réalisée, les tests conçus pour la détection de l’ARN du 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN complet transcrit in vitro (gène N ; accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/µL) introduit dans un diluant composé d’une suspension de cellules humaines A549 et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique. »Une autre révélation du document est l’admission par la FDA que les résultats des tests sont « regroupés » pour produire des chiffres inexacts. La FDA fabrique littéralement des données dans le cadre du récit de la pandémie, et tout cela est révélé dans le document.Voir aussi l’excellent article de FDA.News : “FDA document admits “covid” PCR test was developed without isolated covid samples for test calibration, effectively admitting it’s testing something else” 
  19. Nicole Delépine signe un nouvel excellent article sur la PCR ici. Elle déclare : « En conclusion, la confirmation que les tests PCR ne sont pas fiables et ne devraient en aucun cas être utilisés par les gouvernements comme preuve de la « pandémie » vient de la FDA elle-même. Il est grand temps que nos dirigeants reviennent aux moyens classiques d’évaluer les épidémies : le comptage des malades et celui des morts de la maladie. » 
  20. Voir l’article ici
  21. Voir l’article de France Soir (l’un des seuls journaux ayant gardé l’éthique du journalisme). Voir sur KLA.TV le dossier Drosten, proprement accablant, puisque ce malfaiteur a même usurpé son titre de médecin, ainsi que l’a révélé Fuellmich. 
  22. Voir dans Times: « Testing firm can profit from sale of Covid swabs”. Il est ainsi possible que l’un des objectifs du test antigéniques soit le fichage généralisé de la population. Les mondialistes ont des dizaines de coups d’avance sur nous. 
  23. France Soir, RT, et Sud Radio, méritent toute notre admiration. Ce sont probablement les seuls médias qui respectent la vocation du journalisme et la charte de Munich qui demande entre autres de recueillir, analyser, vérifier, les informations de toutes origines afin de fournir une information loyale au lecteur. 
  24. En Belgique par exemple, La Libre offrait à ses lecteurs son petit manuel de diagnostic et conduite à tenir devant les vilains complotistes. Tandis que sur Facebook il était impossible de mentionner ne serait-ce que l’adresse www.adrreports.eu, site officiel européen de statistique des décès/var/folders/mr/_9dvc9_x6xgfbhgg6j3hcwk80000gn/T/com.apple.Notes/HardLinkURLTemp/AF2BDCA7-B473-4738-B82D-00C9604CD739/La Libre.png ../../../Desktop/Capture%20d’écran%202021-05-31%20à%2008.23.17.png 
  25. Voir la « Stratégie du choc » de Naomi Klein. Ne pas manquer cette vidéo
  26. « Voix ou pas voix, le peuple peut toujours être amené à se plier aux exigences des dirigeants. C’est facile. Il suffit de leur dire qu’ils sont attaqués et de dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme et pour le risque qu’ils font courir au pays. Cela fonctionne de la même manière dans n’importe quel pays. » Hermann Goering. 
  27. Le 14 octobre dernier, une rencontre avec Barbara Stiegler a été organisée par la librairie Mollat de Bordeaux à l’occasion de la sortie de son livre « Nietzsche et la vie : une nouvelle histoire de la philosophie » paru aux éditions Gallimard. La philosophe a pu présenter son ouvrage, et a livré une analyse très intéressante sur la manière dont le mot « complotisme » est instrumentalisé pour museler les oppositions. 
  28. Les exemples surabondent. Je me contente de citer ici l’article de l’express qui dénigre Mme Wonner, photographiée sous l’angle le moins avantageux possible. C’est un modèle du genre. 
  29. Nous devons ce bon mot à Christian Greiling, le remarquable auteur entre autres du blog les Chroniques du grand jeu
  30. Le Monde se vante d’avoir publié en son temps le manifeste des 343 mais refuse de publier toute tribune de discussion sur la vaccination. Les exemples peuvent se multiplier à l’infini. 
  31. Citons rapidement ici les cuistres comme La tronche en biais, les cercles zététiques. M. Buisseret, mieux que quiconque incarne ce phénomène : aucune formation scientifique, ayant à son actif la réalisation d’un film pitoyable, il est persuadé de devenir l’arbitre des élégances en science. Quelle déchéance ! 
  32. Voir par exemple cet article, pour ceux qui n’ont pas eu la chance de connaître en « live » ces événements en Roumanie. 
  33. « COVID-19 – du mythe aux statistiques », auteur anonyme, 9 février 2021, lien direct, lien archivé. Observons combien de morts en plus nous aurions eu à déplorer de 2015 à 2019 si pendant ces années nous avions souffert de la mortalité de 2020 hors-COVID-19. Le tableau suivant tient compte des décès déclarés « COVID-19 » à l’hôpital et en EHPAD, mais pas à domicile [47–50, 54, 56] :
    annéesurmortalité2015-490362016-331592017-339472018-256932019-1762Les grippes saisonnières ? Disparues ! Des dizaines de milliers de personnes ne seraient pas mortes si de 2015 à 2019 nous avions refusé l’accès des hôpitaux aux personnes âgées, dissuadé les malades de consulter, diminuer significativement la consommation de médicaments et paralysé l’économie pendant des mois. C’est à se demander si les autorités sanitaires n’étaient pas complètement folles de ne pas mettre à la poubelle plus tôt toute l’organisation publique de la santé. Grâce à la COVID-19, la France a connu en 2020 un âge d’or médical parfaitement inconnu avant le 17 mars 2020. Faut-il considérer que la COVID-19, les confinements, les couvre-feu, les abandons de soins, les lits d’hôpitaux supprimés, les médecins maltraités, les populations martyrisées, les enfants traumatisés, les commerçants ruinés et les libertés individuelles annulées on réussi à vaincre le cancer, la grippe, le diabète, l’hypertension, la sclérose en plaques, bref, toutes les maladies à l’exception de la COVID-19 ? Voir l’article complet ici. 
  34. Une étude italienne récemment publiée portant sur 3451 patients hospitalisés a révélé 30% de mortalité en moins, meilleure que celle rapportée pour le remdesivir très coûteux dans les hôpitaux, vanté par Fauci. Une étude italienne antérieure et plus petite a révélé une réduction de 66% des décès chez les patients hospitalisés. Une étude belge portant sur 8 075 patients hospitalisés a révélé une réduction de 65%. De même, une étude récente d’Arabie saoudite a révélé 43% d’hospitalisations en moins et 45% d’admissions en USI en moins. Pour les patients à haut risque des maisons de retraite en Espagne, le HCQ a réduit de moitié le risque d’un mauvais résultat.Une grande étude du système hospitalier Henry Ford a révélé un taux de mortalité pour 2 541 patients de 13,5% pour HCQ seul, 20,1% pour HCQ plus azithromycine et 26,4% pour aucun des deux. 
  35. Voir l’article complet sur le site de l’AIMSIB. En Inde 97% de guérison rapide avec le variant Delta. Chez nous, la permanence Riviera-Chablais, qui traitait les patients Covid avec de l’ivermectine depuis janvier 2021 et jusqu’à la semaine dernière, les bons résultats du traitement vantés sur Facebook ont valu aux responsables de la Providence une convocation face au Comité Médical de l’HRC, composé de tous les médecins chef(fe)s de service, du directeur médical, et du doyen. Résultat : malgré un bilan de 350 à 400 patients guéris jusqu’ici, l’ivermectine est désormais interdite. 
  36. Par exemple les données Sentinelles (711 généralistes et 70 pédiatres libéraux) montrent un taux d’incidence de 24/100.000 en semaine 10 !Le taux d’incidence du SARS-CoV-2 de la 10ème semaine de 2021 est de 24 cas/100.000, et non de 700 (Alpes maritimes) ou 900 (Dunkerque) comme l’affirme le gouvernement pour terroriser tout le monde !La tendance est plutôt stable depuis mi-novembre dans toutes les tranches d’âge, selon ce rapport, ce que l’on appelle des données consolidées depuis 4 mois maintenant.Ce chiffre correspond à 16.177 nouveaux cas pour toute la semaine 10, ce qui représente 2311 par jour dans toute la France et non les 40.000 cas annoncés ! 
  37. Voir l’article remarquable sur le site Anthropologiques. 
  38. Philippe Édouard (Premier ministre), « Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire », Journal Officiel de la République Française, lois et décrets, no. 77, texte 11, 33-34 (29 mars 2020), lien sur le site de Légifrance
  39. Jusqu’en novembre 2020, l’OMS admettait que l’immunité peut être procurée par l’infection ou par la vaccination, le 13 novembre 2020, l’OMS affirme que l’immunité collective d’une population ne peut être atteinte que par la vaccination et non par l’infection naturelle ! Ceci est réaffirmé le 31 décembre 2020 pour la Covid-19, tout en reconnaissant qu’on ne connaît pas le seuil de couverture vaccinale à obtenir pour atteindre cette immunité collective !A noter que seule la définition du 31 décembre 2020 est encore accessible, les précédentes sont visibles sur la capture d’écran ci-dessous)../../../Downloads/capture-decran-2021-10-02-a-103329.pngDans une récente publication, l’institut John Hopkins n’évoque que l’immunité vaccinale dans une discussion au sujet de l’hypothétique immunité de groupe à attendre contre la Covid (2).Même le Wall Street Journal, incroyablement pro-vaccins, a récemment publié un article sur ce sujet. Habituellement, le WSJ laisse ses articles sur la page des opinions pendant environ une semaine. Mais en moins de 24 heures, le WSJ a enterré cet article sur l’immunité naturelle. L’article du WSJ traite de l’immunité des muqueuses par rapport à l’immunité interne. L’auteur (un neurologue) affirme que si les vaccins stimulent l’immunité interne, ils ne font rien pour l’immunité des muqueuses. 
  40. L’immunité naturelle est au bas mot 13 fois supérieure à celle supposée du vaccin. « Une nouvelle étude israélienne suggère que l’infection naturelle offre une bien meilleure protection contre la variante delta que les vaccins, et ce après qu’on ait dit aux Américains que les vaccins offraient une meilleure protection que les infections naturelles. Le Dr Anthony Fauci et le reste des conseillers COVID du président Biden ont une fois de plus prouvé qu’ils avaient tort concernant la « science » des vaccins COVID. L’étude a été décrite par Bloomberg comme « la plus grande analyse réelle comparant l’immunité naturelle – acquise lors d’une infection antérieure – à la protection fournie par l’un des vaccins les plus puissants actuellement utilisés. » 
  41. Voir la propagande vomitive qui a été servie sans cesse à tous les peuples par les médias aux ordres. Par exemple en France : « Vers un retour à la normale à l’hiver 2021 ? C’est ce qu’affirme le fabricant de vaccins BioNTech » ; « Covid-19 : à quand, grâce au vaccin, un retour à la vie normale ? » ; « Pour une majorité de la population, le retour à la vie normale passe par la vaccination, dit une étude » ; « Covid-19 – Vers un retour à la normale à l’automne 2021 ‘si on arrive à vacciner 80-90% des Français’, selon le Pr Fontanet » ; « Covid-19 : un an après le confinement, quand espérer un retour à la ‘normale’ ? » ; « « Sans vaccin, pas de retour à la normale dans le sport », prévient Roxana Maracineanu » 
  42. Voir le terrible témoignage de ce directeur de pompes funèbres. 
  43. Ne manquez pas l’étude bidon commanditée par Veran pour confirmer son propre discours. L’étude porte sur 7,2 millions de Français de plus de 75 ans alors que le pays n’en compte que 6,200000. Les vrais journalistes d’investigation de France soir y sont allés de leur côté, ils trouvent une explications au million mystérieux; 1,1M de vaccines auraient été comptés et appariés deux fois. Toutes les hospitalisations Covid n’ont pas été prises en compte. Un total de 26000 hospitalisés depuis le 11 février jusqu’au 20 juillet pour cause de Covid selon l’étude, or au cours de cette même période selon Geodes nous en obtenons huit fois plus pour les catégories concernées : 80% des hospitalisations Covid ont disparu… 
  44. Ainsi Moderna a dissimulé 300.000 effets secondaires graves. Cette fuite provient d’un employé de la société de sous-traitance qui gère les déclarations. 
  45. Lorsqu’une personne décède dans les 60 ou 28 jours suivant un test positif au covid-19 – même si le résultat du test était faux – elle est automatiquement traitée comme un décès dû au covid-19 pour faire grimper les chiffres. Mais lorsque des jeunes gens en bonne santé meurent quelques heures après avoir été vaccinés, ces décès sont considérés comme de simples coïncidences. 
  46. Je renvoie le lecteur au site Sens et Symboles de l’excellent Dr. Olivier Soulier. Je le cite : « Dans chacun de ces pays qui ont vacciné massivement à partir de décembre ou début janvier, on a observé un pic de mortalité jamais atteint auparavant. Au départ, j’avais cru à une simple coïncidence. Mais depuis, cette observation s’est confirmée à peu près partout dans le monde ! On a même vu plusieurs États, comme le Cambodge, qui n’avaient quasiment pas un seul mort de la Covid… jusqu’à ce qu’ils commencent le programme de vaccination de leur population :Le déploiement de la vaccination au Cambodge en février-mars a été suivi d’un pic de mortalité, alors que le pays avait été épargné par la Covid. Le même phénomène a eu lieu à Gibraltar, petit territoire britannique qui a vacciné encore plus massivement qu’Israël : alors qu’il n’y avait eu que 10 décès Covid au total en 2020, Gibraltar a déploré 44 morts Covid en deux semaines, en pleine campagne vaccinale.(À propos de Gibraltar, cela fait plus d’un mois et demi que 100 % de la population est vaccinée avec deux doses, ce dont rêve Emmanuel Macron… et pourtant, il y a là-bas 23 cas en ce moment, soit l’équivalent de 45 000 cas par jour en France !).Au total, il ne fait aucun doute que le vaccin commence par aggraver la situation avant d’avoir [éventuellement—NDLR] un effet positif sur les formes graves. Dans une analyse bénéfice-risque du vaccin, il faut absolument prendre cela en compte !Les calculs d’efficacité du vaccin qu’on vous donne dans les médias sont totalement faussés, parce qu’on ne regarde le risque de contamination qu’après 2 doses ! Or, cela écarte du calcul tous ceux qui ont été contaminés entre la 1ère et la 2ème dose à cause du vaccin ! C’est une raison de plus pour laquelle les « 95 % de protection » qu’on vous rabâche sont purement fictifs, l’efficacité du vaccin est certainement beaucoup plus faible ! 
  47. Les données VAERS publiées aujourd’hui par les CDC font état d’un total de 545 338 signalements d’effets indésirables, tous groupes d’âge confondus, après la vaccination par COVID, dont 12 366 décès et 70 105 lésions graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021. Voir ici
  48. Voir la vidéo de la députée. Mathilde Panot massacre la macronie avec élégance, et sans qu’on puisse vraiment lui opposer d’arguments tant la situation est folle. 
  49. Pfizer et BioNTech auraient donc obtenu un contrat commercial faramineusement avantageux pour eux. Le prétexte de la pandémie COVID 19 leur auraient permis d’être dégagé de toute responsabilité et de ne pas indemniser les victimes d’effets indésirables lors de cette phase 3 d’essai clinique en population générale. Les Etats supporteront le coût des indemnisations à moins de réussir à prouver que le laboratoire a commis une faute intentionnelle ou que les produits étaient défectueux. Sur ce dernier point cela sera proche de l’impossible tant les éléments de défense que pourraient évoquer le laboratoire pharmaceutique seront nombreux : rupture de la chaine du froid, erreur lors de la dilution, utilisation de 3 doses alors que le protocole n’en prévoit que 2, mélange entre les vaccins anti covid sur le marché, délai entre les deux doses non respecté… 
  50. La commissaire européenne a touché des millions en pots de vin pour signer les contrats Pfizer. Cela a été étouffé le plus vite possible et seul RT garde un page sur le sujet. Tout ceci est vraiment épouvantable. 
  51. Voir ici la remarquable étude du Stalk Institue. Scientists have known for a while that SARS-CoV-2’s distinctive “spike” proteins help the virus infect its host by latching on to healthy cells. Now, a major new study shows that the virus spike proteins (which behave very differently than those safely encoded by vaccines) also play a key role in the disease itself. The paper, published on April 30, 2021, in Circulation Research, also shows conclusively that COVID-19 is a vascular disease, demonstrating exactly how the SARS-CoV-2 virus damages and attacks the vascular system on a cellular level. The findings help explain COVID-19’s wide variety of seemingly unconnected complications, and could open the door for new research into more effective therapies. “A lot of people think of it as a respiratory disease, but it’s really a vascular disease,” says Assistant Research Professor Uri Manor, who is co-senior author of the study. 
  52. La Spike se retrouve à la surface des cellules endothéliales, ce qui explique sans doute que les effets massifs juste après les injections sont sans doute liés à une effraction vasculaire. De sorte que de très nombreux patients ont des d-dimères positifs : des milliards de capillaires sont affectés et cela génère des caillots. Les tissus cérébraux, spinaux, ou le muscle cardiaque sont directement attaqués. Au niveau pulmonaire on aura bientôt de nombreux cas d’hypertension pulmonaire avec au final défaillance du cœur droit. Voir ici le témoignage d’un médecin français. 
  53. On regardera avec profit le Dr. Hoffe détailler les effets du vaccin que les laboratoires et les gouvernants vont s’échiner à dissimuler. 
  54. Dans cette vidéo, le professeur Sucharit Bhakdi, M.D., et plusieurs de ses collègues ont averti l’Agence européenne dès le début 2021 du danger potentiel de caillots sanguins et de thrombose veineuse cérébrale chez des millions de personnes recevant des injections expérimentales géniques.Dans cet épisode de Perspectives, le professeur Bhakdi explique la science derrière le problème, pourquoi il ne se limite pas aux produits déjà suspendus et pourquoi, à long terme, nous pourrions créer des systèmes immunitaires dangereusement hyperactifs chez des milliards de sujets involontaires). 
  55. Voir le Dr. Fleming sur Rumble. «  » Ajoutez le vaccin Pfizer et les globules rouges perdent leur capacité de transport d’oxygène et les globules rouges commencent à coaguler…. C’est exactement ce que nous constatons dans les rapports du VAERS. C’est exactement ce que nous constatons avec les dommages neurologiques, cardiaques et les caillots sanguins qui se forment dans le corps. C’est la preuve que ces vaccins causent ce type de dommages au microscope, simplement en étant ajoutés au sang d’un être humain… Je pense qu’il est temps que la FDA et le CDC fassent leur travail au lieu de faire semblant. » 
  56. Voir les articles désormais nombreux à la suite de la Quinta Columna qui a découvert le pot aux roses. Voir Graphene-based “neuromodulation” technology is REAL: Press release from INBRAIN Neuroelectronics describes brain controlling biocircuits using AI-powered graphene. Ceux que le sujet du graphene intéresse découvriront que la question n’est pas nouvelle :https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/03602559.2018.1542714?journalCode=lpte21https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0379677914001441https://aip.scitation.org/doi/abs/10.1063/5.0009186https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0008622312000644https://pubs.rsc.org/en/content/articlelanding/2015/ra/c4ra12591f/unauth#!divAbstracthttps://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0272884216301584https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0169433215008193https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167577X11007531https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0167577X13007933 
  57. Voir cette vidéo de la Quinta Columna par exemple. 
  58. Voir ici le papier du Dr. Zalewski qui ne semble pas être un fumiste. Certains flacons de vaccins ne contiendraient qu’une solution saline, d’autres seraient « chargés ». 
  59. Voir le sort de l’action Cellectis par exemple. 
  60. Voir ici l’intervention du Dr. Peter McCullough. 
  61. Voir sur AIMSIB, la vaccination des sujets contacts, et l’effet Buchwald. Voir aussi l’article suivant : « en matière sanitaire les solutions à l’emporte-pièce brutales, généralisées et intuitives sont rarement génératrices des succès espérés. Nos formidables élites vont-elles se souvenir des erreurs passées ou replongeront-elles dans les mêmes ornières ? » 
  62. Pour rappel ici : ce n’est pas la vaccination qui a permis d’éradiquer la variole mais bien le confinement. Voir le rapport de l’OMS dont je cite maintenant des extraits. La létalité de la terrible maladie ne se compare en rien avec celle du Covid-19 :../../../Desktop/Létalité%20de%20la%20variole,%20rapport%20final%20OMS%20p19.pngLe rapport admet que la « vaccination de masse a échoué » et que c’est la surveillance et endiguement qui a porté ses fruits :../../../Desktop/p32%20nécessité%20de%20l'endiguement.pngComme ici :../../../Desktop/p%2042%20soudan.pngEncore ici, « les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. » ../../../Desktop/p32%20changement%20de%20stratégie.pngNous lisons aussi « A Java, malgré des taux de vaccination dépassant 90%, la transmission se poursuivait dans des zones densément peuplées… jusqu’à ce que des structures efficaces de dépistage des cas et de surveillance soient entièrement mis en place. » 
  63. Voir l’excellent ouvrage du Dr. Eric Ancelet, « Pour en finir avec Pasteur : Un siècle de mystification scientifique. » 
  64. L. Pasteur, Lettre adressée à Pedro II, empereur du Brésil, 22 sept. 1884, Archives Nationales, AB/XIX/3332. 
  65. Le risque de mourir du Covid pour un enfant est proche de zéro. La corruption généralisée vient de donner le feu vert à Pfizer pour injecter les enfants de 5 à 11 ans. On frémit quant à la suite. Nous nageons en plein cauchemar. 
  66. Le parallèle devient de plus en plus frappant avec le recrutement des Jeunesses hitlériennes, ce qui à soi seul nous montre la progression de la dictature. Voici deux gamins montrant fièrement leur point d’injection, heureux de pouvoir protéger les autres !  
  67. Voir l’étude du BMJ ici. Voir aussi l’excellent article de l’AIMSIB sur la vaccination des femmes enceintes. La plupart des essais ont également exclu les volontaires enceintes et allaitantes, ainsi que celles souffrant d’affections chroniques et graves telles que la tuberculose, l’hépatite C, l’auto-immunité, les coagulopathies, le cancer et l’immunosuppression Il n’y a évidemment aucun intérêt à vacciner, mon avis personnel est que cette vaccination doit aussi générer de nombreuses fausses-couches. Notez que les autorités fédérales ont décrété que les femmes enceintes font partie des personnes vulnérable, comme toujours avec du cherry-picking des études. Nous ne sommes plus à une honte près. 
  68. Voir ici la liste des amendes infligées depuis l’an 2000 à ces organisations criminelles. 
  69. La firme pharmaceutique Pfizer a probablement lancé la production de son vaccin anti Covid-19 à ARNm bien avant d’avoir obtenu de la communauté européenne l’aménagement CE2020/1043 s’agissant de la levée de la protection de ses habitants vis à vis des OGM et avant même d’avoir lancé sa phase III d’essais cliniques, persuadée de pouvoir obtenir son autorisation de mise sur le marché partout dans le monde en faisant intervenir l’ancien Directeur Général de la FDA américaine, Scott Gottlieb, qu’elle a recruté depuis peu.La technologie vaccinale employée est embryonnaire sur le plan des connaissances scientifiques et contient de nombreuses incertitudes en termes d’effets secondaires au-delà de 6 mois, tous non étudiés. La mutation naturelle des coronavirus est importante et de nombreux co-variants du SARS-CoV-2 initial circulent déjà sur l’ensemble du globe rendant chimérique l’idée d’un vaccin unique, efficace sur toutes ses formes actuelles ou futures.La responsabilité financière des effets post-vaccinaux graves de ces vaccins a été transférée sans difficulté aux Etats acheteurs, ce qui doit faire craindre une absence totale de prudence comme de transparence de la part de l’ensemble des fabricants qui essayeront de placer leurs produits au plus vite dans cette course au rendement financier, le respect des règles déontologiques de ces firmes étant rappelé comme nul depuis de longue date.De nombreuses voix émanant de la société civile s’élèvent déjà pour inciter à une vaccination ou obligatoire, ou ségrégationniste, reléguant les non-vaccinés Covid au rang de citoyens de seconde zone, sans aucune conscience de la manipulation financière qu’ils installent, aux dépens évidents de la santé humaine et de la paix civile.Les études cliniques parues dans le New England devraient attirer l’attention du lecteur sur un détail très inhabituel : Pfizer aussi bien que Moderna parlent de « observer blind ». Habituellement, on mentionne « double blind », et une recherche sur Google vous convaincra que ce terme est pour ainsi dire absent de la littérature. Voilà qui est étrange.PfizerModernaIci je dois évoquer la réponse embrouillée du Dr. Siegrist à ma question, en tentant de me convaincre qu’il s’agit d’un double —mais dans ce cas pourquoi ne pas l’écrire comme telle ?— tout en me disant qu’on avait levé le secret pour les testeurs. Nous sommes donc priés de croire au double aveugle alors qu’il y a eu « unblinding » ? Pour le Dr. Michel de Lorgeril que je respecte comme l’un de nos plus grands spécialistes en matière de statistiques et d’études cliniques, la réponse est claire : ce n’est pas une étude en double aveugle et dès lors les effets placebo sont majeurs, les deux études, Pfizer et Moderna, profondément biaisées.Peter Doshi, dans un article remarquable et incontournable, évoque ce qui ressemble bien à un joli bidonnage de l’étude de Pfizer, grâce aux données supplémentaires fournies par la firme à la FDA. Bricolage de groupes, exclusions arbitraires, tout fleure bon la fraude.Doshi écrit par exemple :« Toute l’attention s’est concentrée sur les résultats d’efficacité spectaculaires: Pfizer a signalé 170 cas de covid-19 confirmés par PCR, répartis de 8 à 162 entre les groupes vaccin et placebo. Mais ces chiffres étaient éclipsés par une catégorie de maladie appelée «covid-19 suspectée» – ceux avec un covid-19 symptomatique qui n’ont pas été confirmés par PCR. Selon le rapport de la FDA sur le vaccin de Pfizer , il y a eu «3410 cas au total de covid-19 suspectés, mais non confirmés, dans la population globale de l’étude, 1594 dans le groupe vacciné contre 1816 dans le groupe placebo. »« Avec 20 fois plus de cas suspects que de cas confirmés, cette catégorie de maladie ne peut être ignorée simplement parce qu’il n’y avait pas de résultat positif au test PCR. »« Même après élimination des cas survenus dans les 7 jours suivant la vaccination (409 sous vaccin Pfizer vs 287 sous placebo), qui devraient inclure la majorité des symptômes dus à la réactogénicité du vaccin à court terme, l’efficacité du vaccin reste faible: 29% »Que dire de la déclaration de partage de données de Moderna qui indique que les données « peuvent être disponibles sur demande une fois l’essai terminé ». Cela se traduit entre le milieu et la fin de 2022, car un suivi est prévu sur 2 ans ! Les choses ne seront pas différentes pour le vaccin Oxford / AstraZeneca, qui a promis des données au niveau des patients « lorsque l’essai sera terminé ». Et l’entrée ClinicalTrials.gov pour le vaccin russe Spoutnik V indique qu’il n’est pas prévu de partager les données individuelles des participants.Bien d’autres points pourront être soulevés, parmi lesquels le traitement à part des patients HIV. Pour quelle raison ? S’il s’agit de l’immunodépression, je gage que bien d’autres cas existent parmi 40.000 personnes. En outre quelle surprise de ne constater aucun décès parmi tous ces gens exposés au virus… 
  70. Voir l’article de l’AIMSIB qui démonte cette pantalonnade. Cette étude ne montre donc absolument Aucun bénéfice pour empêcher la mort par Covid-19 et encore moins un effet sur la mortalité globale de la part du vaccin Pfizer-BioNTech. Au contraire, le risque d’hospitalisation pour effets secondaires grave est plus que doublé.Dans ces conditions et avec cette étude publiée voici à peine plus d’1 mois, comment peuvent-ils encore affirmer que ces vaccins empêchent de mourir de la maladie, qu’ils sont sûrs et efficaces et surtout qu’il n’y a pas d’effets secondaires graves ou de morts provoqués par ces vaccins ? L’étude de Pfizer dit exactement le contraire.Un produit pareil en temps normal n’aurait JAMAIS été approuvé et/ou aurait été retiré immédiatement avec de telles données à 6 mois. Le bénéfice de ces injections est tout simplement négatif !En langage comptable cela se nomme un DÉFICIT ou une PERTE dont l’ampleur ou l’accumulation peut conduire à un redressement ou à une liquidation…De surcroît, n’oublions pas que ces données sont basées sur la souche initiale de Wuhan plus mortelle que le variant Delta. La balance bénéfice risque est donc encore plus négative aujourd’hui
  71. Une fraude de grande ampleur déjà surnommée le PfizerGate, impliquant la société pharmaceutique Pfizer, son sous-traitant, la société Ventavia Research Group chargée des essais cliniques, et la Food and Drug Aministration (FDA), a été révélée hier par le British Medical Journal
  72. Le Dr. Peter Doshi, l’un des rares scientifiques à se battre pour la vérité déclare au Sénat américain : « Les essais cliniques n’ont pas prouvé que les vaccins géniques sauvent des vies. »Les études, réalisées par la société pharmaceutique elle-même, ont montré des incohérences et des dissimulations de données. Celles-ci laissent apparaître d’une part qu’elles ont été intentionnellement falsifiées pour pouvoir affirmer des résultats probants, d’autre part qu’en réalité, l’efficacité des injections géniques n’a jamais dépassé le seuil des 20 à 30%.Elles n’auraient donc jamais dû être approuvées pour leur mise sur le marché.Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses (article de Jean-Dominique Michel) : cliquer ici.Does the FDA think these data justify the first full approval of a Covid-19 vaccine? (article en anglais de P. Doshi dans le BMJ) : cliquer ici.Pfizer contre Pfizer : la dernière étude est frauduleuse, article sur Covidhub : cliquer ici
  73. Article AIMSIB
  74. Voir ici
  75. Comique, mais pas drôle, citons la mort d’un arrêt cardiaque juste après son injection, du grand acteur indien Vivekh engagé pour faire la promotion de l’inoculation. Il faut admettre aussi que le port du masque en solitaire dans sa voiture nous a révélé un nouvel étalon or de la connerie comme dirait Audiard
  76. La propagande totalitaire devrait tout de même essayer de se renouveler de temps en temps. Comparaison n’est par raison, mais les similitudes sont frappantes. Bon, évidemment notre médecin cantonal on ne l’imagine pas attaquer l’armée de César à lui tout seul et je ne suis pas certain de lire dans ses yeux l’éclat d’une intelligence surhumaine. Mais la même pose que les autres pour nous déclarer —aux antipodes de la science supposée— sa croyance dans la haute efficacité d’un vaccin aux statistiques bidonnées, c’est cocasse et navrant.
  77. Il est intéressant de noter l’évolution des concepts de la propagande sanitaire :je me vaccine pour être sauvé (marketing sanitaire), puisje me vaccine pour pouvoir voyager (marketing pour la liberté), puisje me vaccine pour ne pas tuer mes grand parents ouje me vaccine par solidarité (marketing de la culpabilisation)et maintenant la menace et l’intimidation. Si vous ne vous faites pas vacciner on va vous pourrir la vie.On va aussi faire croire aux vaccinés que tout est de la faute des non vaccinés (voir Veran). Tout est fait pour diviser le peuple en deux alors que toute la situation est due exclusivement à nos gouvernants. 
  78. Voir sur RTL le canular radiophonique qui faisait paniquer l’Amérique. 
  79. Lire absolument l’article complet en anglais sur Counterpunch qui pose dès 2017 la question : pourquoi la propagande officielle ridicule marche quand même ? 
  80. Voir le livre de Bruno Bettleheim, Le Coeur conscient, dans lequel une psychologue allemande décrit comment elle s’était rangée aux côtés des nazis pendant la Deuxième Guerre mondiale. L’obligation de saluer le drapeau nazi chaque matin sans y croire était rapidement devenu trop humiliante pour elle, de sorte qu’elle avait fini par lâcher prise et par le saluer avec le plus grand enthousiasme. Ainsi, pour échapper à la honte de s’abaisser à saluer des idées qu’elle méprisait, elle était devenue une nazie loyale. 
  81. Depuis la peste de Marseille en 1720, on sait parfaitement que le confinement des gens sains est parfaitement contre-indiqué. Par ailleurs, seul le confinement des personnes malades a permis d’éradiquer la variole, non pas la vaccination comme aiment encore à le dire de nombreux « spécialistes ». 
  82. Jingyi Xiao et autres (2020) « Mesures non pharmaceutiques en cas de pandémie de grippe dans des contextes autres que ceux des soins de santé – Mesures de protection personnelle et environnementale » : « Bien que des études mécanistes confirment l’effet potentiel de l’hygiène des mains ou des masques faciaux, les résultats de 14 essais contrôlés randomisés de ces mesures n’ont pas permis de conclure à un effet substantiel sur la transmission de la grippe confirmée en laboratoire. De même, nous avons trouvé des preuves limitées de l’efficacité d’une meilleure hygiène et d’un meilleur nettoyage de l’environnement ». 
  83. Denis G. Rancourt (2020) : « Les masques ne marchent pas : un examen de la science en rapport avec la politique sociale autour de la COVID-19 ». 
  84. Wittoria Offeddu et autres (2017) « Efficacité des masques et des respirateurs contre les infections respiratoires chez les travailleurs de la santé : Un examen systématique et méta-analyse « : « La preuve d’un effet protecteur des masques ou des respirateurs contre une infection respiratoire vérifiée (IRM) n’était pas statistiquement significative ». 
  85. Faisal Bin-Reza et autres (2011) « L’utilisation de masques et de respirateurs pour prévenir la transmission de la grippe : une revue systématique des preuves scientifiques – Grippe et autres virus respiratoires » : « Une revue systématique a été entreprise pour aider à éclairer les directives sur la grippe pandémique au Royaume-Uni. La revue initiale a été réalisée en novembre 2009 et mise à jour en juin 2010 et janvier 2011. Les critères d’inclusion comprenaient des essais contrôlés randomisés et des études quasi expérimentales et observationnelles sur des humains et publiées en anglais avec un résultat de grippe confirmée en laboratoire ou cliniquement diagnostiquée et d’autres études sur les infections respiratoires virales. Il y avait 17 études éligibles. Six des huit essais contrôlés randomisés n’ont trouvé aucune différence significative entre les groupes témoin et d’intervention (masques avec ou sans hygiène des mains ; respirateurs N95 / P2) (…) Aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation d’un masque / respirateur et la protection contre l’infection grippale (…) ». 
  86. B. J. Cowling et autres (2010) « Masques faciaux pour prévenir la transmission du virus de la grippe : une étude systématique » : « Aucune des études examinées n’a démontré un bénéfice du port d’un masque, que ce soit dans le cadre du travail de santé ou dans la communauté membres des ménages (H). Voir les tableaux récapitulatifs 1 et 2 ». 
  87. Joshua L. Jacobs et autres (2009) « Utilisation de masques chirurgicaux pour réduire l’incidence du rhume chez les professionnels de la santé (HCW) au Japon : Un essai contrôlé randomisé » : « Les travailleurs de la santé masqués N95 étaient significativement plus susceptibles d’avoir des maux de tête. Il n’a pas été démontré que l’utilisation de masques faciaux chez les HCW présentait des avantages en termes de symptômes du rhume ou de prise de froid » 
  88. Les gels hydroalcooliques contiennent des perturbateurs endocriniens. Voir ici
  89. Voir le MIT mais aussi de nombreux articles dans Children Health Defense
  90. Voir Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China. 
  91. Voir Le messie et son prophète, vol II, p70 par E. M. Gallez. « Pour les femmes, les conséquences sont en tout cas funestes ; en bien des lieux où la Charia {saritah) ou loi islamique est imposée, il devient dangereux d’avoir été violée, ou d’être enceinte sans être mariée, ou même simplement d’être non mariée. 
  92. Voir notamment – Aurélie Haroche. Quand les politiques confondent modélisations mathématiques et astrologie. JIM (Journal International de Médecine). 25 Avril 2020.- Jean-François Toussaint, Andy Marc. Sortir d’un confinement aveugle. La Recherche. 22 Avril 2020.- Tom Jefferson and Carl Heneghan. Modelling the models. CEBM (Centre for Evidence-Based Medicine). 3 Avril 2020. 
  93. Voir l’article complet en anglais
  94. Gates a patiemment infiltré la presse mondiale depuis des années. « Mais elle introduit un conflit d’intérêts flagrant, dans la mesure où les institutions mêmes sur lesquelles nous comptons pour demander des comptes à l’un des hommes les plus riches et les plus puissants de l’histoire de la planète sont discrètement financées par lui. Ce conflit d’intérêts est celui que les médias institutionnels ont largement tenté d’ignorer, tandis que le philanthrope prétendument altruiste qu’est Gates continue de s’enrichir, en riant aux éclats. »Voir la liste non exhaustive des médias arrosés par Gates ici, ainsi qu’un très intéressant développement sur le philathro-capitalisme. 
  95. Le vacciné participe sans son consentement à une gigantesque expérimentation médicale. Nous sommes donc pleinement en contradiction avec la loi. N’est-il pas fascinant que dans un bel unisson toute la classe politique confondue et toutes les rédactions de presse foulent au pied la Convention d’Oviedo que la Suisse a ratifié en 2008 et la France en 2012, dans le but d’encenser un produit qui n’a même pas encore reçu d’autorisation de mise sur le marché ? Pourquoi avoir pendu des nazis à Nuremberg pour en arriver là ? La situation s’est encore aggravée depuis que j’écris ces lignes car nous n’en sommes plus au consentement non éclairé mais à la coercition vaccinale, ce qui permettra d’ôter toute circonstance atténuante quand ces bureaucrates comparaîtront devant la cour martiale internationale. 
  96. Seul Bruno Riondel a dressé une analyse saisissante et percutante de la situation dans son intervention « D’octobre 17 au grand reset ». 
  97. Pour vous donner une idée du flicage déjà en place, regardez ce que votre IPhone enregistre à votre insu comme données sur vous. : 
  98. Sauf si l’on exclut la Suède, et quelques autres pays comme la Tanzanie —dont le président John Magufuli, n’a pas voulu reconnaître la pandémie, a demandé aux médias de ne pas parler de l’infection, mais qui est décédé dans des conditions étranges non sans avoir montré en Mai 2020 la fraude des tests PCR positifs de manière aussi drôle que concluante avec des échantillons de Durian et autres fruits ou animaux (chèvres et caille) ! 
  99. https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf. Lire aussi dans IL FOGLIO du 4 Mai 2020 au sujet de Ioannidis : « Ioannidis est bien connu pour avoir écrit peut-être l’article scientifique le plus lu de l’histoire de la biomédecine, qui s’intitule Pourquoi la plupart des résultats produits par la recherche sont faux. La thèse était que la plupart des études menées dans le domaine biomédical ne sont pas reproductibles. Non seulement ou pas tant en raison du fait que de nombreuses expériences sont mal conçues – Ionannidis le reconnaît et stigmatise la négligence et l’angoisse de publier des données – mais parce que la variabilité causale inhérente aux phénomènes étudiés rend certains résultats faux. Il s’agit d’un concept quelque peu sophistiqué pour une communauté scientifique cherchant à appliquer des modèles mécanistes aux phénomènes darwiniens » Ah ! qu’en termes galants ces choses-là sont mises (Le Misanthrope, I, 2, 314). 
  100. Le Dr. Richard Horton, éditeur en chef de la prestigieuse revue « The Lancet » déclare: « Les accusations contre la science sont simples : une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, est tout simplement fausse … la science a pris un virage vers l’obscurité. »Le Dr. Marcia Angell enfonce le clou : « Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée … Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, que j’ai atteinte lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédactrice en chef du New England Journal of Medicine ».Qu’en est-il d’une « vérité scientifique » réduite à la statistique dans un champ aussi complexe que la « Médecine » ? 
  101. Ce remarquable article de l’équipe Kennedy nous donne une idée précise du panier de crabes en action. Plus de 50 millions d’Américains ont perdu leur emploi à l’automne 20 tandis que la fortune des milliardaires a augmenté de mille milliards de dollars soit 40 milliards par semaine en moyenne. 
  102. Voir son intervention devant la haute autorité Rabbinique d’Israël, ainsi que sa récente interview de cet homme admirable qui n’a de compte à rendre qu’à Dieu. Il a probablement soigné à lui seul plus de cas de Covid que n’importe quel autre et dénonce le mise en route d’un génocide planétaire. 
  103. Voir l’interview du Dr . Bhakdi. 
  104. Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer dont il fut scientifique en chef pour les allergies et les voies respiratoires, a passé 32 ans dans l’industrie à diriger la recherche sur les nouveaux médicaments et a pris sa retraite du géant pharmaceutique avec «le poste de recherche le plus élevé» en son domaine. Il dénonce la propagande des gouvernements au sujet du COVID-19, y compris le «mensonge» de variants dangereux, l’aspect totalitaire des «passeports vaccinaux» et la forte possibilité que nous ayons affaire à une «conspiration» qui pourrait conduire à quelque chose de bien pire que les guerres et les massacres du 20e siècle. 
  105. Le CSAPE (Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens) a déposé en date du 28 juin dernier devant la CPI une plainte pénale avec demande d’ouverture d’enquête pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, servitude et génocide, sous le numéro OTP-CR-271/21visant le président Emmanuel Macron, le gouvernement et les haut-fonctionnaires impliqués dans la gestion criminelle de l’épidémie de Covid. 
  106. La plainte déposée début Mars 2021 devant le TPI a été reçue. L’organisation People of Truth a déposé une plainte contre le gouvernement israélien, qui mène des expériences illégales sur des citoyens israéliens au travers de la vaccination Pfizer. L’avocate Ruth Makhachovsky a déclaré à Israel News : « L’expérience que Pfizer mène dans l’Etat d’Israël a été menée en violation du Code de Nuremberg, qui appartient au droit pénal international et est sous la juridiction du tribunal de La Haye. Nous attendons maintenant une décision. » Lien vers les observations du Conseil européen. 
  107. Voir ici l’article de Nicole Delépine, « Un jour viendra où les négationnistes des traitements précoces devront rendre des comptes. En Inde, une représentante de l’OMS est mise en accusation. » 
  108. Alexis de Tocqueville (1835), De la démocratie en Amérique I (deuxième partie), chapitre X. 
  109. Les intrications sont probablement plus complexes encore que les liens féodaux du Moyen-Age, j’ai voulu simplifier ici en ne citant que les plus grands noms.La famille Wallenberg par exemple détient des parts de Astra-Zeneca par intermédiaire de sa très puissante société d’investissements Investor AB. Mais il y a aussi des miracles … il faut suivre le parcours exceptionnel d’un des membres de la famille, Raoul Wallemberg qui sauva la vie de plusieurs milliers de juifs pendant la guerre.Pour le lien entre l’agriculture et big-pharma, on peut simplement remonter à Elf-Aquitaine (qui sera absorbé par le groupe Total) et à la création de Sanofi … le lien est direct. Il est tout aussi direct avec le monde du luxe : famille Bettencourt (avec André Bettencourt en leader cagoulard et collaborateur) et la famille Arnault (avec là aussi le père et le beau-fils, Xavier Niel, qui s’occupe d’agriculture depuis peu de temps).Nous sommes ici très près des fabricants d’armes Lagardère et Dassault.On se souviendra alors de l’affaire Elf et de ce personnage extrêmement trouble qui a rôdé dans les souterrains du pouvoir à partir des années 30 : Etienne Léandri … collaborateur, agent de la mafia sicilienne en France, donc lié à la CIA, « parrain protecteur » de Charles Pasqua et grand stratège de la « France Afrique » …Quand on est sur les traces de Léandri, on remonte assez vite à Georges Alberini, collaborateur lui aussi et parrain du patronat français. Conseiller de l’ombre de Georges Pompidou … duquel sera proche Jacques Chirac.Pompidou, agent Rothschild (dont Vincent Bolloré, qui rachètera la banque Worms, protectrice d’Albertini après-guerre, est l’un des membres par sa grand-mère), qui organisera la réforme financière qui donnera naissance à la dette d’état.Dans cette réforme financière, seront sans doute associés Michel Cicurel (frère de Ilana Cicurel, cousine de Tristan Mendès-France qui ont tant critiqué le film Hold Up à sa sortie) et un certain Jean-René Bernard, banquier condamné, dont la fille est Présidente, nommée par Emmanuel Macron, de la CNIL et le beau-fils, le président très controversé de la 7ème banque française (qui détient la cagnotte Leetchi), sommé très récemment de démissionner sous la pression, mais remplacé par un certain Julien Carmona, copain de promotion d’Edouard Philippe. Julien Carmona dont le père n’était autre que l’un des derniers confidents de …. Etienne Léandri …Dont l’un des proches était Achille Peretti, beau-père de … Nicolas Sarkozy, bien entendu, dont le nom est apparu, rapidement, dans l’affaire de drogue « Air Cocaïne » … mais ceci est une autre histoire, même si le trafic de drogue est complètement lié à big-pharma et aux découvertes des chercheurs allemands de chez Bayer. La morphine sera diffusée en masse pendant la première guerre mondiale, au moment où on constatera l’efficacité des nitrates chimiques sur la pousse de l’herbe rendue plus haute et plus verte dans les champs de bataille de Verdun… 
  110. Macron ou Trudeau constituent à cet égard des exemples typiques de psychopathie avec leurs belles gueules. Ils sont si pervers que même les employer à jardiner ne serait pas sans danger… Voyez l’analyse remarquable de Macron par un grand professeur de psychiatrie italien. 
  111. Le divorce du couple Melinda et Bill repose non seulement sur son infidélité débridée mais probablement aussi dans la relation de Bill avec le sinistre Epstein « suicidé » dans sa cellule.Dans la biographie de 1997 Overdrive : Bill Gates et la course pour contrôler le cyberespace, le biographe James Wallace a déclaré que le style de vie extravagant de Bill Gates était connu de la plupart des gens, mais que la presse grand public avait décidé de ne pas y faire allusion. Le “mythe” Gates ne pouvait pas être touché. Le fondateur de Microsoft, en effet, aurait payé à l’époque des danseurs pour nager nus avec ses invités dans sa piscine couverte. Rien de nouveau, pour ceux qui le connaissaient vraiment : à Harvard, le magnat était « habitué à fréquenter la Combat Zone à Boston, avec ses shows pornos, ses prostituées et ses clubs avec des strip-teaseuses ». Un style de vie de rock star qu’il a ensuite maintenu, précise Wallace, même dans les premières années avec Melinda.En 2013 Epstein et Gates visitent Strasbourg pour avoir une vue complète de l’organisation de la santé en Europe. A cette époque ce dernier n’est que le PDG de Microsoft. Il en profite pour aller en Norvège afin de tenter de corrompre le jury prix Nobel pour se faire décerner le prix Nobel de la paix. Epstein était son pass car il a piégé de nombreuses têtes couronnées — il fournissait par exemple le Prince Andrew en filles. 
  112. Voir La Guerre des Monnaies classique devenu le livre de chevet des membres du Comité Central du Parti Communiste et des banquiers chinois. Le best-seller chinois de Hongbing Song, déroule l’histoire de la grande cabale monétaire qui a façonné le monde depuis plus de deux cents ans, de la constitution de la dynastie des Rothschild la fin du 18ème siècle jusqu’à la crise de 2008. 
  113. Le premier à se faire berner par les financiers Rothschild fut le roi d’Angleterre. Nathan est aussi à cet égard le pionnier de l’utilisation de la panique et de la fausse nouvelle : ayant appris la nouvelle de la défaite française de Waterloo 24 heures avant tout le monde, il s’installe à la Bourse, appuyé sur « son pilier » favori et commence à vendre. Tout le monde se dit que Rothschild « sait quelque chose », chacun se met à liquider ses positions. A la fin de la journée, Nathan rachète l’ensemble de la Bourse pour 5% de sa valeur. Bonaparte à peine élu Premier Consul crée la Banque dite de France, une institution privée, au même titre par exemple que la Fed américaine. Ce sont ces banquiers suisses dépendant aussi des Rothschild qui feront et déferont le Premier Empire dès que l’Empereur ne servira plus assez leurs intérêts. 
  114. L’ouvrage indispensable est Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, de Quigley. L’auteur développe et explique à partir d’abondantes pièces d’archives que les élites anglo-saxonnes ont élaborées, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, un véritable plan de bataille afin de permettre à l’Empire britannique associé aux États-Unis d’asseoir une hégémonie complète sur le monde. Cette volonté de puissance et de domination a été l’œuvre d’une poignée d’hommes liés intimement à la haute finance de la City et de Wall Street. Tout un groupe, issu de la haute aristocratie et bourgeoisie britannique en liaison avec une élite américaine, émerge. Fort d’un travail de bénédictin, Carroll Quigley recense les noms et expose les ambitions de cette « super classe « ou « famille technocratique » avant l’heure définie par des liens sociaux et familiaux étroits.Si vous n’avez jamais entendu parler du Groupe Milner (que se muera plus tard en d’autres associations comme Bilderberg), et si les noms de Sazonov, ou Izvolsky, vous sont étrangers alors vous devez lire aussi Docherty et McGregor, qui ont montré —à la suite de Quigley— les ressorts secrets de la Première Guerre mondiale dans Les origines secrètes de la première guerre mondiale. Leurs travaux sont largement confortés par McMeekin dans son fameux Russian Origins of the First World War
  115. Je renvoie le lecteur aux principaux ouvrages de Bruno Riondel touchant au communisme. Son classique L’effroyable vérité montre les horreurs de la mise en place du système et de l’ingénierie sociale, et démontre que le communisme n’est pas mort et qu’il présente des liens profonds avec le capitalisme. Une excellente conférence, censurée par YouTube se trouve ici
  116. Conclusions du Conseil européen sur la COVID-19, l’énergie, le commerce et les relations extérieures, 21 octobre 2021 :“accroître encore les taux de vaccination”“vaincre la méfiance en luttant contre la désinformation sur les réseaux sociaux”“coordination pour faciliter la libre circulation” (ce qui signifie passe sanitaire en langage diplomatique)“mesures législatives relatives à l’union de la sant锓accès aux médicaments dans tous les Etats membres”“accès aux vaccins pour tous”“rôle fort et central de l’OMS dans la future gouvernance mondiale de la sant锓traité international sur les pandémies”Dans son excellent article du Courrier des stratèges, Éric Verhaeghe de conclure : « Cette énumération permet de vérifier à quel point les gouvernements européens sont ligués autour d’un “mainstream” commun en matière de pandémie, avec des éléments de langage qui reviennent sans cesse à tous les étages de la fusée multilatérale.On retiendra du conseil européen qu’il vise aussi à préparer la réunion du G20 où la question de la pandémie sera évoquée. Nous baignons ici dans les eaux du multilatéralisme le plus pur. On découvre que les dirigeants européens parlent de préparer la “future gouvernance mondiale de la santé” avec l’OMS. On n’avait pas clairement entendu parler de ce projet entre nous, et on le découvre un peu sans qu’il n’ait été discuté par personne. Au fond, c’est en lisant les conclusions des Conseils européens qu’on comprend ce qui se trame en sous-main dans les arcanes du monde multilatéral. L’idée dominante est de transformer l’Organisation Mondiale de la Santé en structure de gouvernance mondiale pour les pandémies. C’est donc l’OMS qui déciderait de tout : des vaccins, des traitements, des mesures d’urgence.Pareil transfert de souveraineté n’est évidemment ni expliqué aux peuples de l’Union, ni discuté avec eux. La décision est prise et il n’y a plus qu’à l’appliquer. La pandémie aura donc aussi servi à déposséder les peuples de leurs droits et à favoriser l’avènement d’une caste multilatérale toute-puissante. » 
  117. Voir Théorie et pratique du collectivisme oligarchique de J.B.E. Goldstein. Quels que soient l’origine sulfureuse de l’ouvrage, supposément daté de 1948, ou ses liens avec le fameux 1984 d’Orwell (Eric Arthur Blair de son vrai nom), le texte nous éclaire sur la pensée mondialiste et ses ressorts : le rôle du secret, des alcôves de la République et des sociétés secrètes, sur cette aristocratie cachée qui a coupé la tête du roi pour recréer sa propre aristocratie obscure et avilie, et qui lutte contre le catholicisme pour recréer sa propre religion syncrétique et anti-catholique. On trouvera dans un site qui met Karl Polanyi à l’honneur —l’auteur de la Grande Transformation— un article intéressant sur le supposé Goldstein. 
  118. Nous reviendrons plus loin sur le sinistre personnage de Jacques Attali, grand-prêtre des mondialistes depuis toujours, et qui est aussi celui qui a fait la fabrication et la promotion de Macron. Citons ici son article de 2009 « Avancer par peur » : Une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé. Admirons au passage le sublime oxymore de l’altruisme intéressé, et Jérusalem comme future capitale du nouvel ordre mondial. 
  119. Je fais allusion ici à l’ouvrage de Claire Séverac: La guerre secrète contre les peuples, un essai parfaitement documenté sur des faits sciemment négligés voire rejetés par nos médias tous dans la main de cette caste omnipotente. Le lecteur ne trouvera que des faits avérés, difficilement contestables et patiemment compilés par Claire Séverac qui, sans doute, paya de sa vie son honnêteté et son intégrité. Ce livre est une somme et même un ouvrage de référence sur ce sujet sensible. Et les derniers développements de cette course folle et mortifère vers ce « nouvel ordre mondial «, comme ils l’appellent pour ne pas dire « dictature globale «, ne font que confirmer ses dires. C’est un réquisitoire en règle. Tout y passe depuis le programme « HAARP « qui consiste à bombarder l’ionosphère d’ondes à très hautes fréquences pour déclencher artificiellement tempêtes, tremblements de terre, voire tsunamis, jusqu’aux OGM en passant par les nanotechnologies, la bio-ingénierie, le transhumanisme, sans oublier toutes les arnaques comme le prétexte climatique ou sanitaire avec les campagnes de vaccination de Bill Gates dans le Tiers-Monde cause de stérilité des femmes ou de maladies bien plus graves. 
  120. Voir l’article du Courrier des stratègesPremière certitude : l’épidémie de covid-19 a commencé à Wuhan bien avant décembre 2019. Des photos américaines prises par satellite ont repéré deux fois plus de voitures que d’ordinaire sur les parkings des principaux hôpitaux de Wuhan dès le mois d’août 2019.Deuxième certitude : le gouvernement chinois, avec les réflexes typiques d’un régime communiste, a dissimulé le plus longtemps possible l’existence de l’épidémie et n’en a parlé au monde que contraint et forcé, en janvier 2020 quand elle n’était plus possible à dissimuler.Troisième certitude : Le Dr. Anthony Fauci a tout fait pour empêcher Donald Trump de remonter la piste d’un accident de laboratoire au P4 de Wuhan car il avait, directement ou indirectement, autorisé des financements à destination du laboratoire de Wuhan.  Les révélations se sont multipliées à cet égard ces dernières semaines. En bref, les recherches dites de “gain de fonction”, consistant à transformer le génome de virus pour le rendre plus dangereux pour l’homme a été interdite aux Etats-Unis entre 2013 et 2017. Des chercheurs américains ont pu néanmoins continuer à faire de telles recherches au laboratoire de Wuhan avec, entre autres ressources, de l’argent du Pentagone transféré par une ONG appelée EcoHealth Alliance.  Le 20 juillet 2021, Anthony Fauci avait encore nié  l’existence de ce type de recherches mais un réseau de chercheurs appelé DRASTIC (Decentralized Radical Autonomous Search Team Investigating COVID-19) ne cesse d’amener des preuves du contraire.Quatrième certitude: la thèse de la transmission naturelle du virus à l’homme a de moins en moins de partisans. La thèse d’un accident de laboratoire devient majoritaire, d’autant plus que tout le monde s’accorde à dire que les Chinois ont mené avec un niveau de sécurité 2, à Wuhan, des recherches qui demandaient un niveau de sécurité 4.Cinquième certitude: l’Armée chinoise se serait bien passée de la publicité faite au laboratoire de Wuhan puisqu’elle y menait, en lien avec la recherche civile, une recherche sur les armes biologiques du futur. 
  121. L’article très raisonné et persuasif, du journaliste Nicholas Wade a marqué la prise de conscience de la manipulation virale. Bien que l’auteur ait passé plus de quatre décennies comme grand reporter scientifique au New York Times et dans d’autres grands médias, son travail a été discrètement publié le 2 mai sur le site de blogs Medium, sans aucun soutien ni imprimatur prestigieux, puis republié le 5 mai par le site à faible trafic du Bulletin of Atomic Scientists. On pourra aussi lire L’origine du Covid: retournement orwellien et pétard mouillé
  122. Des virologues affirment que des “empreintes” génétiques prouvent que le COVID-19 est d’origine humaine et qu’il n’a pas d’ancêtre naturel crédible. Bref résumé : l’étude suggère que des scientifiques chinois ont créé le virus alors qu’ils travaillaient sur un projet de gain de fonction dans un laboratoire de Wuhan.La recherche sur le gain de fonction, qui a été temporairement interdite aux États-Unis, consiste à modifier des virus naturels pour les rendre plus infectieux afin d’étudier leurs effets potentiels sur l’homme.Selon l’article, les scientifiques chinois ont pris la « colonne vertébrale » d’un coronavirus naturel trouvé chez les chauves-souris des grottes chinoises et y ont ajouté une nouvelle « pointe », le transformant en COVID-19, un virus mortel et hautement transmissible.Les chercheurs, qui ont conclu que le COVID-19 « n’a pas d’ancêtre naturel crédible », pensent également que les scientifiques ont procédé à une rétro-ingénierie des versions du virus pour brouiller les pistes.« Nous pensons que des virus de rétro-ingénierie ont été créés », a déclaré Dalgleish au DailyMail.com. Ils ont modifié le virus, puis ont essayé de faire croire qu’il était dans une séquence il y a des années ».L’étude fait également état de « destruction, dissimulation ou contamination délibérée de données » dans les laboratoires chinois et note que « les scientifiques qui souhaitaient partager leurs découvertes n’ont pas pu le faire ou ont disparu ».Jusqu’à récemment, la plupart des experts ont fermement nié que les origines du virus étaient autre chose qu’une infection naturelle passant des animaux aux humains.En début de semaine, le Dr Anthony Fauci a défendu le financement américain de l’Institut de virologie de Wuhan, affirmant que la subvention de 600 000 dollars n’avait pas été approuvée pour la recherche sur le Gain de Fonction. 
  123. Voir Covid-19 : l’origine du virus – L’analyse du Pr Tritto confirme celle du Pr Montagnier. Un livre polémique vient de sortir en Italie sur les origines de ce virus qui a bouleversé le monde au cours des six derniers mois. Le professeur Luc Montagnier, décrié dans les médias en avril dernier, voit son affirmation selon laquelle le virus était le résultat d’une manipulation humaine s’étant échappé (accidentellement) du laboratoire de Wuhan, aujourd’hui reprise dans ce livre.  Nous retraçons les évènements et les extraits d’une interview de l’auteur du livre, le Pr Tritto, dans le média italien Libero.Le 17 avril 2020, sur Cnews, le professeur Luc Montagnier, Prix Nobel de médecine en 2008 pour sa participation à la découverte du virus responsable du sida, confirmait sa déclaration que le SARS-CoV-2 est une fabrication humaine. « Nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il y a eu une manipulation sur ce virus. Une partie, je ne dis pas le total. Il y a un modèle qui est le virus classique, mais auquel on a ajouté par-dessus des séquences du VIH » « Ce n’est pas naturel, c’est un travail de professionnel, de biologiste moléculaire, d’horloger des séquences. Dans quel but ? Une de mes hypothèses est qu’ils ont voulu faire un vaccin contre le sida »Le Pr. Montagnier fait sa démonstration le 30 Juillet 2020 dans un article paru sous contrôle de pairs, et qui ne sera jamais cité dans les autres revues —autocensure et omerta— ni les merdias. En résumé : « L’analogie suivante permet d’illustrer cette conclusion : imaginons un puzzle principal « coronavirus » de 30 000 pièces et après plusieurs autres puzzles de 9000 pièces chacun que nous appellerons VIH 1, VIH 2 et SIV (rétrovirus proche du VIH-2 dont la cible est le singe). La preuve mathématique démontrée, peut être illustrée de la manière suivante : dans le puzzle de 30 000 pièces, à un endroit précis se trouvent trois pièces contiguës (côte à côte) issues chacune de l’un des trois autres puzzles. La probabilité que ce résultat soit naturel est nulle. » 
  124. Un ancien communiste chinois, Wei Jingsheng affirme que le SARS-Cov2 a été inoculé volontairement lors des Jeux Militaires Internationaux qui ont eu lieu à Wuhan en octobre 2019. Dans le documentaire de Sky News intitulé « What Really Happened in Wuhan », l’ancien communiste chinois a déclaré que le gouvernement de Pékin aurait profité des Jeux mondiaux militaires pour répandre le virus.Cet événement a réuni 9.000 athlètes en provenance de différents pays du monde en octobre 2019, soit deux mois avant la déclaration officielle de l’existence du virus. Par ailleurs, cette rencontre sportive s’est tenue dans la ville de Wuhan, le premier foyer de l’épidémie.A l’époque, toujours selon M Jingsheng, les participants à l’évènement, notamment les athlètes allemands, français et américains, ont été atteints d’une maladie mystérieuse. Ils présentaient les symptômes du Covid-19 mais n’ont jamais fait l’objet d’un test. Voir aussi l’article de Mail Online
  125. Voir l’incontournable article de Eric Verhaeghe. « Dans ce troisième volet de l’enquête, nous allons voir comment l’Occident, Etats-Unis et France en tête, portent une lourde responsabilité dans l’émergence du COVID-19. Cela ne dédouane en rien la Chine communiste de sa responsabilité première et principale dans les origines et la diffusion de la pandémie. Cependant, c’est bien la recherche occidentale qui a permis à la chercheuse Shi Zhengli, de Wuhan, de devenir le Frankenstein de cette histoire, à qui sa créature monstrueuse a échappé. » 
  126. Ces machinations furent dénoncées en France par le Pr. Fourtillan qui s’est retrouvé emprisonné arbitrairement, hospitalisé de force en hôpital psychiatrique —les vieilles recettes soviétiques fonctionnent toujours. Voir sur Qactus. Le Pr. Montagnier a aussi été l’un des premiers à monter l’origine artificielle du virus avant d’être enseveli sous des torrents de calomnies de la part des merdias officiels, ses vidéos effacées de tous les supports comme Facebook. 
  127. Voir https://denisbider.blogspot.com/2021/07/dr-david-martin-with-reiner-fuellmich.htmlLes découvertes fondamentales réalisées par le Dr. David Martin au sein de son entreprise M-CAM. L’interview par Robert Füllmich montre que plus de 4000 brevets ont été déposés sur le Coronavirus et le SARS. Martin a comparé les enregistrements de brevets disponibles au printemps 2020 avec la séquence de gènes isolée en tant que nouveau virus défini comme tel par le Comité international sur la taxonomie des virus de l’OMS. Son équipe a ainsi trouvé plus de 120 éléments de preuve brevetées qui suggèrent qu’il ne s’agit en rien d’un nouveau coronavirus mais au contraire d’innombrables modifications très subtiles des séquences de coronavirus. Il n’y a donc pas en tant que tel de nouveau coronavirus identifié.../../../Downloads/david%20martin.png Le premier vaccin jamais breveté contre le coronavirus a été déposé par Pfizer et comprenait spécifiquement la protéine Spike « S » – cette même protéine qui aurait été inventée à la hâte. La première demande a été soumise le 28 janvier 2000.L’idée que l’on soit mystérieusement tombés sur le moyen de trouver si rapidement des vaccins n’est pas seulement ridicule, elle est carrément inconcevable. Le 28 janvier 2000, Timothy Miller, Sharon Klepfer, Albert Paul Reed et Elaine Jones ont déposé ce qui a finalement été publié sous le nom de brevet américain 6372224, à savoir le vaccin à protéine Spike contre le coronavirus canin.Le SARS n’est en rien l’évolution naturelle d’une modification zoogène du coronavirus. En 1999, Anthony Fauci a financé des recherches à l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill. À partir d’une demande de brevet déposée le 19 avril 2002, le NIAID a construit un coronavirus infectieux à réplication défectueuse ciblant l’épithélium pulmonaire humain. En d’autres termes, nous avons créé le SARS et nous l’avons breveté avant même qu’il n’y ait une prétendue épidémie en Asie, qui a suivi plusieurs mois après. Ce brevet américain 7279327 expose clairement dans un séquençage génétique très spécifique que nous connaissions le récepteur ACE, le domaine de liaison ACE-2, la protéine Spike S1 et d’autres éléments du Covid-19. Il a été conçu et transformé de manière synthétique en laboratoire à l’aide des technologies de séquençage des gènes, en prenant un code informatique pour le transformer en un agent pathogène ou en un intermédiaire d’agent pathogène. Au début, cette technologie a été financée exclusivement comme un moyen d’exploiter le coronavirus comme vecteur pour distribuer le vaccin contre le VIH.À l’automne 2001, M-CAM a commencé à surveiller un nombre énorme d’agents pathogènes bactériens et viraux qui étaient brevetés par le NIH, le NIAID, l’USAMRIID et d’autres agences internationales. Ils étaient préoccupés par le fait que le coronavirus était considéré non seulement comme un agent manipulable potentiel pouvant être utilisé comme vecteur de vaccin, mais aussi comme un candidat à l’arme biologique.La prétendue épidémie de SARS qui a eu lieu en Chine en 2002-2003 a donné lieu à un dépôt de brevet problématique en avril 2003 par le CDC américain. Celui-ci a déposé une demande de brevet sur la séquence génétique complète de ce qui est devenu le coronavirus du SARS, ce qui constitue une violation de la section 101 de l’article 35 USC — on ne peut pas breveter une substance naturelle. Il s’agissait du brevet 7220852, avec des brevets dérivés, notamment les brevets 46592703p et 7776521. Ces brevets couvraient également les moyens de détection du coronavirus par RT-PCR.Cela pose problème car celui qui possède à la fois le brevet sur le gène lui-même et sur sa détection possède du même coup l’avantage de pouvoir contrôler à 100% la provenance non seulement du virus lui-même mais aussi sa détection. Vous avez un contrôle total de l’aspect scientifique et de la communication.Ce brevet demandé par le CDC a été prétendument justifié par son équipe de relations publiques dans le but de permettre à tout le monde de faire des recherches sur le coronavirus. C’est un mensonge car l’office des brevets a rejeté à deux reprises le brevet sur la séquence du gène comme étant non brevetable – l’office des brevets a trouvé une identité de 99,9% avec le coronavirus déjà existant dans le domaine public. Malgré le rejet de l’examinateur de brevets, et après avoir dû payer une amende en appel en 2006 et 2007, le CDC a passé outre le rejet de l’office des brevets et a finalement obtenu en 2007 le brevet sur le coronavirus du SARS.Toutes les déclarations du CDC selon lesquelles il s’agissait de l’intérêt public sont démenties par le pot-de-vin qu’il a lui-même versé à l’office des brevets. Le CDC a payé une taxe supplémentaire pour que leur demande reste privée. Les fact checkers ont déclaré à plusieurs reprises que le nouveau coronavirus SARS-CoV-2 est distinct du brevet des CDC. La séquence génétique déposée par les CDC en 2003, 2005 et 2006 présente une identité dans 89 à 99 % de la séquence qui recouvre le SARS-CoV-2. La désignation principale du coronavirus du SARS et le sous-clade SARS-CoV-2 doivent se chevaucher d’un point de vue taxonomique.Le 28 avril 2003, Sequoia Pharmaceuticals, situé dans le Maryland, a déposé le brevet américain 7151163 sur les agents antiviraux pour le traitement et le contrôle des infections par coronavirus. C’était 3 jours après que le CDC ait déposé le brevet sur le coronavirus du SARS. Sequoia Pharmaceuticals et, en fin de compte, Ablynx Pharmaceuticals, ont été intégrés dans les fonds propres de Pfizer, Crucell et Johnson & Johnson. Comment peut-on avoir un brevet sur un traitement pour une chose qui a été inventée 3 jours plus tôt ?Le brevet de Sequoia sur le traitement du coronavirus a été délivré et publié avant que le brevet du CDC sur le coronavirus ne soit autorisé. La seule façon pour Sequoia de connaître les informations contenues dans le brevet du CDC était par un moyen interne, car le CDC avait payé pour garder le secret. C’est la définition même de la conspiration criminelle, du racket et de la collusion. Ce n’est pas une théorie, c’est une preuve. C’est une affaire RICO.Le schéma RICO établi en avril 2003 pour le premier coronavirus s’est déroulé selon le même calendrier pour le SARS-CoV-2. Moderna a obtenu la séquence de la protéine spike par téléphone auprès du centre de recherche sur les vaccins du NIAID avant la définition de la nouvelle sous-classe. Comment traite-t-on une chose avant de la connaître ?Le 5 juin 2008, soit à peu près au moment où la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency (« Agence pour les projets de recherche avancée de défense) s’est intéressée activement au coronavirus en tant qu’arme biologique, Ablynx, qui fait maintenant partie de Sanofi, a déposé une série de brevets visant ce que l’on nous a dit être de nouvelles caractéristiques du SARS-CoV-2. Ils visaient le site de clivage polybasique du SARS-CoV, la nouvelle protéine de pointe et le domaine de liaison du récepteur ACE-2. Ces éléments sont prétendument nouveaux pour le SARS-CoV-2, et tous ont été brevetés le 5 juin 2008. Les brevets ont été délivrés entre le 24 novembre 2015 (brevet américain 9193780 ; celui-ci a été délivré après le moratoire sur la recherche sur le gain de fonction, après l’épidémie de MERS au Moyen-Orient), suivi en 2016, 2017, 2019 par une série de brevets couvrant non seulement les brins d’ARN mais aussi les sous-composants des brins de gènes, tous délivrés à Ablynx et Sanofi.Crucell, Rubius Therapeutics, Children’s Medical Corporation, et de nombreux autres, dont la Ludwig Maximilian’s Universität de Munich, Protein Science Corporation, le Dana Farber Cancer Institute, l’Université de l’Iowa, l’Université de Hong Kong, le Chinese National Human Genome Center de Shanghai, tous identifiés dans des dépôts de brevets allant de 2008 à 2017, chaque attribut étant prétendument publié de manière unique par la seule publication de référence «The Novel Bat Coronavirus», l’article qui a été systématiquement utilisé pour identifier le nouveau virus.Si vous regardez réellement ce qu’ils déclarent être nouveau, vous trouvez 73 brevets délivrés entre 2008 et 2019 qui ont les éléments qui étaient prétendument nouveaux dans le SARS-CoV-2. Plus précisément, le site de clivage polybasique, le domaine de liaison du récepteur ACE-2 et la protéine spike.Il n’y a pas eu d’épidémie de SARS parce que nous avions modifié tous les éléments de ce virus. En 2016, un article de Ralph Baric a été financé pendant le moratoire sur le gain de fonction, disant que le coronavirus du SARS était prêt pour l’émergence humaine. À ce moment-là, non seulement il était prêt pour l’émergence humaine, mais il avait été breveté 73 fois pour une exploitation commerciale !Les gens de Moderna savaient qu’ils allaient être placés en première ligne du développement d’un vaccin en mars 2019. À ce moment-là, pour des raisons qui ne sont pas transparentes, ils ont modifié une série de dépôts de brevets rejetés pour faire spécifiquement référence à une libération délibérée ou accidentelle de coronavirus. Ils ont modifié 4 demandes de brevet rejetées pour commencer le processus de développement d’un vaccin contre le coronavirus. Ensuite, ils ont commencé à s’attaquer à un problème de taille, à savoir qu’ils s’appuyaient sur une technologie qu’ils ne possédaient pas. Deux entreprises canadiennes, Arbutus et Acuitas, détiennent en fait le brevet sur l’enveloppe de nanoparticules lipidiques nécessaire à l’injection du fragment d’ARNm. Ces brevets ont été délivrés au Canada, aux États-Unis et dans le monde entier. Moderna ne possédait pas les droits et a commencé à négocier avec Arbutus et Acuitas pour obtenir une résolution de la technologie LNP disponible pour l’intégrer dans un vaccin. En novembre, la société a conclu un accord de coopération en matière de recherche et développement avec l’UNC Chapel Hill en vue d’obtenir la protéine Spike à placer à l’intérieur du LNP, de sorte qu’elle disposait d’un candidat-vaccin avant même qu’un agent pathogène ne soit prétendument en circulation.Leur procédure régulière est similaire à celle d’autres sociétés pharmaceutiques, où les demandes sont renouvelées et modifiées en permanence pour bénéficier des premières dates de priorité disponibles. De 2016 à 2019, à chacune des réunions du conseil consultatif du NIAID, Anthony Fauci se lamentait de ne pas avoir réussi à trouver un moyen de faire accepter le vaccin universel contre la grippe, qui était sa cible favorite pour amener la population à s’engager dans ce processus…En mars 2019, dans les dépôts de brevets modifiés de Moderna, nous voyons apparaître une pensée illluminante : «Et s’il y avait une libération accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire ?» La phrase est exactement récitée dans le livre A World at Risk, qui est le scénario mis en place par l’OMS en septembre 2019 – des mois avant qu’il y ait un pathogène présumé – qui dit : «Nous avons besoin d’une expérience mondiale coordonnée de la libération d’un pathogène respiratoire, qui, d’ici septembre 2020, doit mettre en place une capacité universelle de gestion des relations publiques, de contrôle des foules et d’acceptation d’un mandat universel de vaccination.» Le langage d’une libération intentionnelle d’un pathogène respiratoire a été écrit dans le scénario qui «doit être achevé d’ici septembre 2020» dans la déclaration unifiée du Global Preparedness Monitoring Board. Un certain nombre de personnes s’en sont attribuées le mérite, puis ont fait marche arrière.Toute affirmation selon laquelle cet agent pathogène est en quoi que ce soit unique ou nouveau s’effondre sur les séquences génétiques réelles qui sont publiées dans le dossier de brevet. Plus grave encore, Peter Daszak lui-même déclare que nous devons créer un battage médiatique pour que le public accepte la contre-mesure médicale que constitue un vaccin contre le pan-coronavirus. Ce qui est le plus ridicule, c’est que l’OMS a déclaré que le coronavirus n’avait plus d’intérêt – que nous avions éradiqué le coronavirus en tant que préoccupation. Alors pourquoi, après l’avoir éradiqué en 2007 et 2008, avons-nous commencé à dépenser des milliards de dollars dans le monde pour un vaccin contre une maladie qui avait été éradiquée par déclaration en 2008 ?Cette arme biologique était considérée comme très malléable. En 2005, c’était incontestablement une arme de choix. L’illusion dans laquelle nous continuons à voir des personnes bien intentionnées se faire piéger consiste à discuter de la question de savoir si nous disposons d’un vaccin contre un virus. Ce n’est pas le cas. Nous injectons une séquence ARNm de protéine de pointe qui est le résultat d’une simulation informatique, non dérivée de la nature, d’une séquence qui est connue et brevetée depuis des années.La nature ridicule de l’histoire selon laquelle il s’agirait d’un traitement prophylactique ou préventif va à l’encontre de toutes les preuves. Les preuves montrent clairement qu’aucune société pharmaceutique n’a fait d’efforts pour combattre le virus. Il s’agit d’injecter aux gens la protéine Spike S1, connue pour être nocive
  128. Un mot ici sur le concept de predictive programming qui consiste à faire passer les idées du développement mondialiste dans le monde courant. Il s’agit d’utiliser les émissions de télévision, les films, les bandes dessinées, les magazines, l’Internet bien sûr, les chansons, les animateurs, le ténors du genre Attali, etc. pour mettre dans la tête des masses l’idée d’un sujet spécifique. Puis, des années plus tard, le sujet devient réalité. C’est une méthode de lavage de cerveau, de sorte que lorsque les temps sont mûrs, il n’y a plus aucune difficulté à accepter l’idée comme normale. Bertrand Russell, HG Wells, et la famille Huxley sont de parfaits exemples —je passe ici tout ce qui concerne les Black Lives Matter ou même les Antifas — voir The Quad, S02.Les simulations diverses issues des grandes fondations jouent le même rôle. La « Rockefeller Foundation » nous prévient ainsi du maintien sous ferme contrôle de la population même après que l’épidémie soit terminée : “Even after the pandemic faded, this more authoritarian control and oversight of citizens and their activities stuck and even intensified. In order to protect themselves from the spread of increasingly global problems — from pandemics and transnational terrorism to environmental crises and rising poverty — leaders around the world took a firmer grip on power (p.19)”Les Protocoles des sages de Sion : quel qu’en soit l’auteur, les Protocoles ne font jamais qu’envisager la prise de pouvoir souterraine par une caste déterminée, tout en reprenant des idées qui étaient dans l’air du temps à la fin du 19ème siècle. Après tout, la démocratie ne serait-elle pas un masque et un moyen transitoire permettant d’instaurer une forme de despotisme d’origine orientale. C’était là, en tout cas, chose que pressentait le marquis de Custine, dans ses Lettres de Russie, dès la première moitié du 19ème siècle. La pertinence du texte écrit voici au moins cent ans laisse pantois : tout ce qui nous arrive aujourd’hui semble y être décrit. Je laisse au lecteur le soin de creuser cette piste qui sort de ma compétence.Dans La machine à explorer le temps (1895) HG Wells décrit le monde du futur où les habitants de la planète sont séparés en deux groupes, les Morlocks vivant sous terre et les Eloïs profitant du paradis qu’est devenu la Terre.Dans Le Meilleur des mondes (1932) Aldous Huxley a gratifié le monde d’une fiction visionnaire qui se rapproche de la réalité. L’esprit du livre a inspiré des générations entières de romanciers et de philosophes. Sexe, drogue, sécurité, loisirs, manipulation : Aldous Huxley avait tout compris. Serge Carfantan écrit un résumé de la pensée d’Aldous en 2007 —intitulé « Leçon 163 : Sagesse et révolte » :« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. […]Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste.Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée.Surtout pas de philosophie. Là encore il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des informations et des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif.On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique.Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser.On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains.Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté : de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. »Les films : Songbird qui évoque à peu près tout depuis la pandémie, au port obligatoire des masques et la passe sanitaire ; L’armée des 12 singes avec la dissémination volontaire d’un virus mortel ; The Crossing, on y parle d’un virus pandémique qui a été libéré dans le monde deux ans dans le futur et qui s’est répandu dans le présent. Bien sûr, on cite les vaccins toxiques et la mise en quarantaine également. Cette série est sortie en 2018, bien avant cette pandémie. 
  129. Voir ici, l’article de l’Obs glorifie Gates qui a prévu la pandémie alors qu’elle était planifiée depuis le début des années 2000. 
  130. Dès le mois d’Octobre 2019, la simulation Event 201 tenue à l’Université Johns Hopkins en présence du gratin mondialiste, étudiait l’impact d’une pandémie au coronavirus. Quand on possède tout, il n’est même plus besoin de se cacher pour comploter. Gates a par la suite osé prétendre qu’il n’était pas présent à la réunion. La lecture des recommandations ne manque pas de sel quand on connaît le niveau de corruption et d’interpénétration des toutes les instances citées. « Industry, national governments, and international organizations should work together » et « Governments and the private sector should assign a greater priority to developing methods to combat mis- and disinformation” pour ne citer que ces deux-là. 
  131. Voir le reportage ahurissant sur ce triste sire, qui a triplé sa fortune depuis qu’il est devenu « philanthrope. » Le bon Gates annonçait il y a 6 ans la survenue d’une épidémie mondiale avec un virus proche de la grippe. 
  132. Vous pouvez l’écouter ici dans une version plus « soft » que la vidéo d’origine où il s’exprime de manière très excitée avec de grands gestes simiesques. 
  133. Discours de Bill Gates, « Innover vers zéro » à la conférence annuelle TED2010 à Long Beach en Californie, le 18 février 2010. Ce dernier déclare vers la minute 4, Gates déclare : « Voyons d’abord la population. Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de gens. Il se dirige vers environ 9 milliards. Or, si nous faisons un excellent travail sur de nouveaux vaccins, soins de santé, services de santé génitrice (reproductive), nous abaissons cela de 10 ou 15 pour cent. »../../../Desktop/Capture%20d’écran%202021-10-26%20à%2011.34.53.png 
  134. Aujourd’hui, nous remarquons que la crise sanitaire mobilise dans un accord presque parfait pouvoir politique, médias, administration, partis politiques, syndicats, institutions scolaires, institutions culturelles, religions… tous suivant comme un seul homme le pouvoir, sans esprit critique. Mais le plus important c’est la formidable manipulation des esprits dont nous sommes victimes. Les ingénieurs sociaux du communisme instrumentalisaient les crises et les fléaux, dramatisaient sciemment pour maintenir les individus dans l’anxiété permanente et obtenir une soumission accrue. L’instrumentalisation des pénuries, le soupçon permanent de complot qui était dénoncé, la dramatisation de l’épidémie… étaient des pratiques courantes pour tenir les masses par la peur, les rendant totalement dépendantes de l’Etat nourricier. 
  135. Voir l’interview de Marion Maréchal Le Pen : «Chaque Européen se verra attribuer une identité numérique qui contiendra toutes nos informations sociales, fiscales, bancaires et sanitaires pour mieux nous contrôler » 
  136. Citons ici l’essai de Sir Julian Huxley qui a inventé le terme de transhumanisme et fondé l’UNESCO : « La qualité des personnes et non la seule quantité est ce que nous devons viser : par conséquent, une politique concertée est nécessaire pour empêcher le flot croissant de population de submerger tous nos espoirs d’un monde meilleur ». 
  137. Le terme « transhumanisme » remonte aux années 1950, mais sa popularisation date des années 1990, lorsque les chercheurs commencent à cerner les promesses de la convergence NBIC : les nanotechnologies (N), la biologie (B), l’informatique (I) et les sciences cognitives (intelligence artificielle et sciences du cerveau -C) progressent et convergent de façon explosive. Le désir d’immortalité est au cœur de cette nouvelle religion qui prend la suite du scientisme et du positivisme. Seule la vision allopathique industrielle d’un homme composé d’organes permet d’asseoir ce nouveau délire, permettant déjà tous les trafics de fœtus via des constellations d’ONG.L’inventeur et propagandiste du transhumanisme est Sir Julian Huxley (1887-1975), biologiste de haut niveau, premier directeur de l’Unesco et cofondateur du WWF. Le mot « eugénisme » étant devenu sulfureux après les horreurs nazies, Julian Huxley inventa donc, en 1957, un néologisme synonyme d’eugénisme de gauche, le « transhumanisme ». Son frère Aldous Huxley (1894-1963) écrira « Le meilleur des mondes » décrivant la société eugéniste idéale en 1931. C’est l’un des nombreux exemples de predictive programming qui permet d’annoncer la direction que doit prendre le monde sous l’égide mondialiste. 
  138. Songeons que le Prince Philip demandait à se réincarner en virus particulièrement meurtrier. La surpopulation est l’un des thèmes récurrents des mondialistes. 
  139. Nous insérons ci-contre l’illustration de la page de couverture de « The Economist » de Mai 21 annonçant la future monnaie numérique qui nous sera servie après l’effondrement économique —il est probable que dès la rentrée les fonds de pension en faillite amèneront les gouvernants à annoncer la suite du programme. Ce qui est lassant avec les mondialistes, c’est leur côté « tradi » comme le dit si bien Pierre Hillard (voir une excellente conférence ici). Ils utilisent toujours les mêmes symboles : à gauche le temple, à droite l’œil qui sort des nuées au sommet de la pyramide (tout comme sur le billet de 1 dollar), la lettre G qui est celle des compagnons au second grade maçonnique. Comme rien n’est dû au hasard chez ces gens, il faut aussi remarquer la puce rectangulaire placée au milieu de la lettre G. Cela pourrait être une référence à peine voilée au contrôle des populations grâce à des implants, en coupe sagittale en effet le mésencéphale ressemble à la lettre G. Pour terminer, ce n’est même plus en Dieu que nous avons confiance mais dans la technologie.Nous nous souviendrons que les millionnaires veulent faire de l’argent, les milliardaires veulent faire l’histoire. Mais les multi-milliardaires vont plus loin dans leur délire de démiurges : ils veulent que l’humanité s’adapte à leurs besoins et à leurs souhaits. Quant aux personnes qui contrôlent des milliards et des milliards, eh bien, elles se soucient de nos souhaits autant que nous nous soucions des fourmis en balayant le jardin. 
  140. En tant qu’idéologie, la technocratie exalte la connaissance et l’expertise en tant que principales sources de pouvoir et d’autorité légitimes et pour affirmer qu’il existe « une meilleure façon de faire » que seuls les « experts » (par exemple, les ingénieurs, les scientifiques et les médecins) peuvent déterminer. 
  141. Voir la fameux brevet 060606 —troublante référence à l’Apocalypse de Jean— de Microsoft en vue de créer une monnaie numérique intégrée corporellement, sans doute testée au Rwanda. Un article intéressant ici
  142. Voir à cet égard le discours prophétique de Soljenitsyne à Harvard sur la perte du courage en Occident et la folie de détruire les murs porteurs de nos sociétés. Historiquement le meurtre de Louis XVI marque la première atteinte à l’image du père, qui incarne symboliquement la loi. Le mouvement s’est poursuivi jusqu’à nos jours où toutes les qualités viriles sont systématiquement niées au profit par exemple de notions délirantes comme la théorie du genre. 
  143. Comme le rappelle Eric Verhaeghe, immigration et libertés ne font qu’un seul et même sujet : « sont les deux faces d’un seul et même projet de dilution de l’Occident dans un grand tout mondialisé, servile et formaté pour les besoins d’un nouveau capitalisme de connivence ». « Le spéculateur américano-hongrois Soros, élève de Karl Popper, a créé une fondation qui prétend renverser, ou aider au renversement, des sociétés “traditionnelles”, c’est-à-dire des bons vieux Etats-nations occidentaux. Pour diluer leur identité, Soros n’a pas hésité à financer abondamment les ONG qui organisent la crise migratoire. Son projet est clair et assumé : il s’agit de diluer les vieilles résistances nationales en Europe, et de promouvoir un “activisme inclusif” grâce auquel nos sociétés ne feraient plus aucune distinction entre les individus, soit sur des critères culturels, ou ethniques, ou de genre. Dans cette vision de la société ouverte, l’obligation vaccinale, le passe sanitaire, le crédit social, la peur de la maladie, jouent des rôles essentiels. »Jeune Juif « adopté » par un SS, échappant ainsi au massacre généralisé, il est indéniable avec un tel bagage que Soros ne s’en est pas sorti indemne psychologiquement… 
  144. Notre amie, le Dr. Astrid Stuckelberger a réalisé un tour d’horizon de la corruption concernant l’OMS dans l’article ici. Elle souligne à juste titre le statut exceptionnel du GAVI, comparable à la BRI (Banque des Ressources Internationales, qui a servi à la City de New York à faire passer de nombreux brevets à l’Allemagne nazie jusque fin 1944). Ces deux institutions fonctionnent comme un état dans l’état : intouchables et inattaquables. 
  145. Gates a même envahi l’un des derniers bastions de résistance scientifique dans la médecine officielle en prenant le contrôle de Cochrane
  146. Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus. L’OMS —qui s’est illustrée pour sa gestion lamentable de l’épidémie si son but était l’intérêt des malades— n’est pas une organisation internationale œuvrant pour le bien de l’humanité, mais plutôt un organe accaparé par quelques groupes d’intérêt, où domine Bill Gates. Personne n’en parle mais la corruption systémique de l’OMS est telle que 200 millions de dollars sont dépensés chaque année en frais de voyage, ce qui représente plus que les crédits alloués à la lutte contre le sida. Tedros, constitue l’exemple type de ces hommes « moyens » comme on a décrit la plupart des nazis jugés à Nuremberg. Élu en 2017 à la tête de cette organisation désormais mafieuse, il a été membre du CA du Global Fund de 2009 à 2011, et président du conseil de la GAVI vaccine Alliance en 2008-2009 avant d’être élu à la direction de l’OMS. Signe que ces crapules n’ont plus la moindre limite : il avait nommé à son arrivée à l’OMS… Robert Mugabe comme ambassadeur de bonne volonté ! Le Guardian nous explique en 2015 que : A partir de janvier 1983, une campagne de terreur a été menée contre le peuple Ndebele au Matabeleland, dans l’ouest du Zimbabwe. Les soi-disant massacres de Gukurahundi appartiennent à la période la plus sombre de l’histoire post-indépendance du pays, lorsque plus de 20 000 civils ont été tués par la redoutable cinquième brigade de Robert Mugabe.Le bon Tedros, accusé de crime contre l’humanité, est le premier non-médecin à diriger l’OMS. Tedros est membre du « Front de libération du peuple tigré » (TPLF), une organisation terroriste, fondée en tant que parti révolutionnaire communiste, ceci explique sans doute l’extase qu’il manifeste pour le Parti communiste chinois au pouvoir. Au programme : traque des dissidents, camouflage d’épidémie de choléra, famine organisée, torture sur prisonniers politiques, vente de terrains éthiopiens à des firmes internationales prix bradés, répression brutale de manifestations (500 morts), j’en passe et des meilleures. Encensé par les médias complices, ce gibier de potence doit son élection à la Fondation Bill et Melinda Gates qui a su utiliser le processus labyrinthique de nomination dans l’Organisation. 
  147. Pour compléter le tour d’horizon au sujet de cette pourriture de Tedros, je recommande au lecteur la visite du blog de l’inestimable Liliane Held-Khawam
  148. Seule la Russie a inscrit l’an passé dans sa constitution que les lois nationales passent avant les lois internationales. Un véritable pied de nez aux institutions supra-nationales mondiales. Il semble que la liberté se trouve désormais de l’autre côté de l’ancien « Mur ». 
  149. Il est difficile de se représenter l’interpénétration de toutes ces instances. Il existe des liens étroits entre des organisations et des entreprises comme la Fondation Rockefeller, Microsoft, le lobby pharmaceutique et le groupe de la Banque mondiale, sans parler des prestataires de services secondaires. 
  150. La quasi-totalité de Big Pharma apparient à deux sociétés : Vanguard et BlackRock. Vanguard et BlackRock sont les deux principaux propriétaires de Time Warner, Comcast, Disney et News Corp, quatre des six sociétés de médias qui contrôlent plus de 90 % du paysage médiatique américain.BlackRock et Vanguard forment un monopole secret qui possède à peu près tout ce que vous pouvez penser. Au total, ils détiennent des participations dans 1 600 entreprises américaines, dont les revenus combinés s’élevaient à 9,1 milliards de milliards de dollars en 2015. Si l’on ajoute le troisième plus grand propriétaire mondial, State Street, leur propriété combinée englobe près de 90 % de toutes les entreprises du S&P 500.Vanguard est le principal actionnaire de BlackRock. Vanguard lui-même, d’autre part, possède une structure unique qui rend sa propriété plus difficile à discerner, mais beaucoup des familles les plus anciennes et les plus riches du monde peuvent être sourcées aux fonds Vanguard. 
  151. L’un des premiers objectifs des mondialistes fut d’abattre l’Ancien Régime. La ‘Révolution française’ a fait plus de morts en un mois au nom de l’athéisme que l’Inquisition au nom de Dieu pendant tout le Moyen-Âge et dans toute l’Europe. Ce fait a été démontré par un historien sérieux (et protestant), Pierre Chaunu. On en retrouve l’analyse dans le quatrième numéro hors-série de L’Homme Nouveau consacré à quelques mythes de l’histoire antichrétienne, dont l’Inquisition. Un ensemble d’extraits de cette analyse est ici.C’est Voltaire et le cher Jean-Jacques qui ont pour la première fois introduit la notion d’enrichissement illimité alors que le roi, tenu par la religion, n’aurait jamais osé rêver un tel scénario qui rendit possible l’émergence de la bourgeoisie puis des industriels. Voir absolument La Laïcité, mère porteuse de l’islam, par Odon Lafontaine, l’ouvrage de référence sur ces sujets. 
  152. Je suggère au lecteur d’entreprendre la lecture barbante mais éclairante du torchon fameux de Klaus Schwab intitulé Le Grand Reset. Pour gagner du temps, cet article pourra vous intéresser. Beaucoup des mondialistes sont d’obédience gnostique, en tant que tels ils adorent semer la confusion, notamment en tentant d’inverser les causes et les conséquences. On voit ici Schwab admettre en p222 que la pandémie est la moins mortelle que l’humanité n’ait jamais connue, ce qui ne l’empêche pas d’utiliser cette opportunité pour vouloir façonner le monde selon ses vues. 
  153. Voici l’arbre généalogique de Schwab, juste histoire de nous donner une vague idée de l’interpénétration de tous les acteurs de la crise actuelle. 
  154. Voir Glaser, A. (2020, July 8). Thousands of contracts highlight quiet ties between Big Tech and U.S. military. NBC News. https://www.nbcnews.com/tech/tech-news/thousands-contracts-highlight-quiet-ties-between-big-tech-u-s-n1233171Voir Usdin, S. (2020, March 19). DARPA’s gambles might have created the best hopes for stopping COVID-19. BioCentury. https://www.biocentury.com/article/304691/darpa-jump-started-technologies-behind-some-of-the-leading-covid-19-vaccine-and-antibody-hopes
  155. Ces organisations criminelles ont déjà été condamnées à de nombreuses reprises à payer des sommes énormes, qui ne sont qu’une goutte d’eau dans leur budget : 3,75 milliards pour GlaxoSmithKline ; 3,3 milliards pour Pfizer, etc. Voir la liste officielle de la FDAViolation Tracker Agency Summary Page, qui totalise 19, 5 milliards d’amendes au total. 
  156. Wood, P. M. (2018). Technocracy: The Hard Road to World Order. Mesa, AZ: Coherent Publishing, LLC.Fitts, C. A. (2019). Will ESG Turn the Red Button Green? The Solari Report.Fitts, C. A. (2020a). The State of Our Currencies: The End of Currencies. The Solari Report.Fitts, C. A. (2020b, May 27). The injection fraud – It’s not a vaccine. The Solari Report.Schinder, R. J. (2020, January 26). The Davos crowd embraces big global government. The Wall Street Journal.Schumacher, K. (2020, March 14). Technocracy and sustainable development. Redoubt News.White, J. (2020, April 27). Technocracy after COVID-19. Boston Review
  157. Voir les révélations de Martin Füllmich et du Dr. David Martin dans cette vidéo historique. David E. Martin est le fondateur et le président de M-CAM Inc, le leader international du financement de l’innovation, du commerce et des actifs incorporels. Il est le créateur du premier indice quantitatif d’actions publiques basé sur l’innovation et est l’associé directeur des Purple Bridge Funds. Il est le créateur du premier indice quantitatif d’actions publiques au monde – le CNBC IQ100 alimenté par M-CAM. Activement engagé dans le développement économique éthique mondial, le travail du Dr Martin comprend l’ingénierie financière et l’investissement, les conférences publiques, l’écriture et la fourniture de services de conseil financier à la majorité des pays du monde. Le Dr Martin est l’architecte et le fondateur du Global Innovation Commons et l’auteur du cadre juridique international des programmes Heritable Knowledge Trust et Heritable Innovation Trust. Il est à l’origine de programmes mondiaux visant à apporter la transparence des entreprises et des marchés boursiers aux industries extractives multinationales et a joué un rôle déterminant dans le rapatriement de la valeur dans les pays qui ont été victimes d’abus financiers et d’entreprises. 
  158. Voir dans « Grippes et Pneumonies » le chapitre consacré à la destruction de l’homéopathie sous l’égide de Rockefeller —injectant pour la manœuvre plus de 225 milliards de dollars actuels. Le second statut de l’AMA était « l’éradication de l’homéopathie du sol américain ». Voir enfin le travail documenté de Thierry Lestrade « Comment l’AMA a éradiqué ». 
  159. Selon M. Kory, l’OMS ne fait que participer aux tactiques d’un « manuel de désinformation » usé par le temps. Ce terme a été inventé par l’Union of Concerned Scientists il y a 50 ans afin de décrire les stratégies que les entreprises ont développées au fil des décennies pour « attaquer la science lorsqu’elle va à l’encontre de leurs intérêts financiers ».Il se compose de cinq parties :L’imposture – Mener des recherches contrefaites et tenter de les faire passer pour des recherches légitimes.
    Le blitz – Harceler les scientifiques qui s’expriment sur des résultats qui dérangent l’industrie.
    La diversion – Fabriquer de l’incertitude sur la science là où il n’y en a pas ou peu.
    L’écran – Acheter de la crédibilité par le biais d’alliances avec le monde universitaire ou des sociétés professionnelles.
    La solution – Manipuler les fonctionnaires ou les processus gouvernementaux pour influencer les politiques de manière inappropriée.Dans l’intégralité de l’appel Zoom, censuré depuis par YouTube mais disponible sur Bitchute, Pierre Kory décrit comment les cinq phases ont été déployées contre les résultats scientifiques de l’ivermectine. Un exemple concret serait celui de la corruption des principales revues médicales, dont les rédacteurs en chef refusent que les études sur l’ivermectine soient soumises à un examen par les pairs. 
  160. Les emails de Fauci sur une certaine période ont pu être rendus publics, révélant un véritable scandale, à savoir que l’intéressé y admet que :Le coronavirus a été crééL’HQ traite la maladie avec succèsLes sujets asymptomatiques ne transmettent pas la maladieLes masques ne servent à rienLes confinements sont inutilesFacebook a participé à la promotion d’une propagande autoritaire du Covid.Le comptage des décès était largement trafiquéEt qu’il a délibérément menti au Congrès sous sermentCes informations éclaboussent aussi le Pr. Delfraissy (encore un collabo comme tant d’autres) exprimant ses affres pour résister à la pression d’autoriser l’hydroxychloroquine. « J’ai une énorme pression politique pour libérer l’accès à l’hydroxychloroquine pour tout le monde, mais je résiste », écrit-il au bon docteur Fauci. Une semaine plus tard, le Conseil scientifique rendra un avis critique sur le protocole Raoult, ayant donc visiblement résisté à ces « pressions ». Voir article du Parisien.Que s’est-il passé avec quelque chose d’aussi énorme ? Rien.Télécharger les emails. Voir le New York Post, voir Fauci is a liar
  161. J’ai de la peine à prononcer le nom de Fauci sans avoir la nausée. Dans « Les erreurs du Monsieur Covid américain impactent le monde occidental, Suisse comprise » Jamais encore des idées comme le confinement d’une population en bonne santé, l’imposition généralisée du port du masque contre un virus ou la « vaccination » de catégories de la population courant plus de risques avec la vaccination qu’avec la maladie n’avaient été envisagées, tant elles sont contraires à l’éthique et aux connaissances scientifiques. Un défilé continu de médecins de plateaux télévisés pétris de conflits d’intérêts est venu brouiller cette évidence, sans que les défenseurs des bonnes pratiques aient voix au chapitre. Ne manquez pas cette tribune écrite par les deux plus grands experts au monde, les Pr Kulldorff et Bhattacharya. 
  162. Voir le premier document magistral des analystes allemands (leur interview ici) qui ont scanné avec l’aide de l’intelligence artificielle plusieurs millions de documents. Cela a permis de mettre à jour le modus operandi des pilotes de la manœuvre dite « anticovid », de démontrer qu’il s’agit d’un réseau tissé très étroit et chargé d’une mission précise : obliger par tous les moyens la population mondiale à se soumettre au dictat d’intérêts privés sous prétexte de “santé publique.L’analyse se divise ainsi :- Les 20 à 30 figures-clefs qui poursuivent tranquillement leur œuvre à l’ombre des figures notoires telles Gates ou Schwab ;- Les flux financiers internationaux et leur montant (colossal) ;- Les ONG (dont le rôle notamment dans le financement est fondamental), les universités et entreprises-clef par lesquelles transitent les fonds.Ces flux ont été chiffrés par Schneeten et Röper. L’attention des analystes a été attirée – pour ne donner qu’un exemple – par un petit pavillon insignifiant de banlieue aux États-Unis, utilisé comme “boîte postale” par plusieurs ONG disposant de dizaines de millions de dollars.- Le mode opératoire de prise de contrôle des gouvernements et institutions occidentaux.Voici par exemple les ramification de le fondation Bill et Melinda Gates, dont le véritable gestionnaire est probablement le sioniste et démocrate Warren Buffet, a plusieurs intérêts :1- c’est un outil d’optimisation fiscale qui permet à ses responsables d’échapper aux impôts et de décupler leur fortune ;2- la mécanique de ses « donations » reposent sur l’investissement dans les marchés financiers et les grosses sociétés (Total, Exxon, Shell, Monsanto, McDonald’s, The Coca-Cola Company) ;3- les « dons » sont alloués à un faisceau d’organisations allant toutes dans le sens du mondialisme et de la grande industrie pharmaceutique…Probablement recruté dans les années 70 à Harvard (Gates est le premier Zuckerberg), Bill Gates est à la fois un agent de croissance et un agent d’influence du Nouvel ordre mondial oligarchique, un épouvantail mis en avant pour prendre les coups, un rouage d’un réseau allant de Wall Street à Israël en passant par Bill Clinton et Jeffrey Epstein. Voir l’article da E&R ici.../../../Downloads/Corona%20links%20analyse/Netzwerkanalyse-Corona-Komplex_Page_049.jpg 
  163. ../../../Downloads/Xi-Jinping.jpgPour parler d’autre chose que du virus, il me semble opportun de dire un mot de la crise financière qui se profile, avec le brûlot Evergrande qui risque d’ébranler le marché immobilier chinois et le reste du monde par contagion —mot qui me paraît ici très approprié. Le Parti Communiste Chinois (PCC) ne semble guère décidé à agir dans la crise financière qui se profile, avec un éclatement de la bulle immobilière. Loin de vouloir éviter la crise, les autorités chinoises semblent plutôt décidées à la laisser éclater pour justifier une reprise en main de l’économie du pays. De là à penser que cette stratégie vise aussi à affaiblir l’Occident en le contaminant avec une crise financière, il n’y a qu’un pas. Une fois de plus, le Great Reset et sa théorie du Big Government modifient les analyses habituelles et pourraient mettre les épargnants du monde entier en situation difficile.Et l’excellent Verhaeghe de conclure : « Progressivement, on comprend que Xi Jinping, qui n’est pas un tendre, ni un libéral façon Deng Xiaoping, s’apprête à laisser éclater une crise financière qui devrait ruiner les exubérances “capitalistes” de l’économie chinoise, mais pourrait aussi contaminer le monde. Cette option déjà déployée dans l’affaire du COVID 19, où les communications internes à la Chine étaient suspendues quand les habitants de Wuhan pouvaient facilement circuler dans le reste du monde, ressemble beaucoup à une tentative de déstabilisation de l’économie mondiale. On ne peut ici s’empêcher de penser que la crise immobilière qui se fait jour n’est, pour le PCC, qu’une pièce dans le puzzle d’un Great Reset géostratégique permettant à la fois de liquider la libéralisation de l’économie intérieure et de saper la prospérité de l’Occident. Nous maintenons donc notre pronostic d’une instrumentalisation de la crise qui pourrait déboucher sur un désordre mondial. » 
  164. C’est en manipulant la définition de « pandémie » que toute l’affaire a été préparée de longue date par l’appareil mondialiste dont Gates est l’un des coryphées. Dès 2013 on pouvait comprendre que ce petit jeu était destiné à servir les intérêts de laboratoires afin de créer autant de pandémies que nécessaires à la promulgation de vaccins en nombre illimité. En 2009, l’OMS avait en fait supprimé la notion de mortalité (nécessité d’un grand nombre de morts) pour pouvoir enclencher l’alerte pandémique maximale, qui conditionne en fait le début de la production de vaccins. Cette modification des critères avait donc permis aux fabricants de vaccins de s’enrichir de façon scandaleuse avec la vente de vaccins expérimentaux contre une grippe H1N1 qui faisait pourtant très peu de morts et qui était même plus bénigne que la traditionnelle grippe saisonnière.Le Dr. Lydia Archilède écrivait dès 2013 : « le système va devenir moins précis, donc PLUS FLOU avec passage de 7 critères à 4, ce flou allant évidemment profiter aux fabricants de vaccins et d’antiviraux, bien davantage qu’à la sécurité réelle des citoyens. Au prétexte d’être basé sur « le risque », il sera en réalité plutôt basé sur « la possibilité d’un risque hypothétique » avec maintien quasi permanent des citoyens les plus crédules dans « la peur de la pandémie à venir » ! Finalement, la phase de transition se confondra tôt ou tard avec la phase d’« interpandémie » et nous serons donc maintenus dans une sorte d’état d’alerte permanent pour le plus grand bonheur de Big Pharma et de ses investissements ! »Et notre consœur de conclure que « le modus operandi opaque inchangé au niveau du fonctionnement de l’OMS. Celle-ci garde son influence dictatoriale puisque les Etats qui pourront soi-disant évaluer eux-mêmes le risque au niveau national, « devront tenir compte des estimations faites par l’OMS ». Et par ailleurs, la décision finale quant aux pandémies reste aux mains d’une seule personne, le directeur de l’OMS, qui continuera de se faire conseiller par le même genre de petit « comité d’experts», qui fut pourtant à la base de tout le fiasco et de tout le gaspillage inimaginables du H1N1 ! » 
  165. Le lecteur pourra au sujet de ce cloaque regarder avec intérêt quelques épisodes du « Fall of the cabal » de Janet Ossebaard et Cyntha Koeter. Même si les premiers épisodes nous semblent largement discutables —je n’adhère en rien à la narration— ceux de l’ère moderne sont assez bien documentés. Je recommande de commencer par le Numéro 6
  166. Bouygues, Xavier Niel, Dassault, Bernard Arnault, Bolloré, Pierre Bergé, Patrick Drahi, François Pinault, Matthieu Pigasse et Lagardère, voilà les dix milliardaires qui possèdent les médias français. Tous les quotidiens nationaux (Le Monde, Libération et Le Figaro), toutes les chaînes d’info (LCI, I-Télé, BFM-TV), l’essentiel des hebdomadaires de référence (Le NouvelObs, L’Express, Le Point) et des chaînes de TV privées (Canal+, TF1) appartiennent à de grands milliardaires. Une telle concentration a rendue aisée la tache de Gates pour faire marcher tout le monde à l’unisson. Voir ici
  167. Voir la remarquable contribution sur Rumble : « Coronavirus. Violation des droits fondamentaux des peuples du monde par des mesures anti-humaines : enfermement, mode masque, enseignement à distance. » 
  168. Nous en sommes déjà à refuser d’évacuer une île des caraïbes la partie de la population non-vaccinée ! 
  169. Mon disque dur se remplit d’images horrifiantes montrant avec quelle cruauté les flics se jettent sur les gens, les martyrisent, pour des prétextes délirants comme le non port du masque en plein air par exemple. La France, l’Allemagne, l’Australie sont les pays où ces exactions sont devenues monnaie courante. Voyez déjà l’article suivant
  170. Le propre du fascisme : faire passer un prétendu intérêt collectif avant l’intérêt individuel : lorsque le consentement et l’intérêt individuel ne sont plus des priorités inaliénables, on se rapproche des théories eugénistes florissantes dès la fin du XIXe siècle et portées à la dimension industrielle par le nazisme.Otto Dietrich explique en 1934 : « « La pensée individualiste repose sur le postulat que l’homme est un individu. Ce postulat est faux. L’homme n’apparaît dans le monde que comme membre d’une communauté. Dans tous ses actes, l’homme est un être collectif et ne peut être pensé que comme tel. Les seules données réelles du monde sont les races, les peuples, les nations et non les individus. Le national-socialisme considère le Volk comme la seule réalité organique. »Et Capitant, ministre de De Gaulle de commenter ce délire : « La doctrine nazie inverse toutes les valeurs. Non seulement l’individu est désormais privé d’existence et donc de droits, comme le note Capitant, mais encore, il perd toute autonomie dans la mesure où cette exaltation de la communauté débouche sur l’obéissance prétendument volontaire à un Chef. Le règne du nazisme, c’est celui de l’hétéronomie et de la servitude volontaire ».Lire l’article du Dr. Delépine 
  171. Voir l’article remarquable de Philippe Ségur, Professeur de droit public à l’Université de Perpignan Via Domitia. 
  172. En un an, les prix agricoles à la production ont littéralement explosé, avec une hausse de 13,6% qui annonce le retour à l’hyper-inflation. Cette hausse concerne tout particulièrement les céréales qui dépassent les 35% d’augmentation sur l’année. Durablement, le monde industrialisé est donc exposé à une crise agricole qui pourrait enrichir les spéculateurs, et fortement précariser les consommateurs. Il est donc temps de stocker gentiment les produits agricoles à base de céréales, voire de cultiver celles-ci soi-même.L’explosion des prix agricoles à la production en un an est parfaitement illustrée par le graphique ci-dessus. Pour les céréales, pour un indice 120 début 2021 (indice 100 début 2019), les prix ont désormais grimpé en octobre à un indice proche de 150. En deux ans, les prix ont donc augmenté de 50%. Rappelons que l’indice 120 n’a été atteint qu’une seule fois à l’automne 2018.Autrement dit, le prix des céréales à la production bat actuellement des records historiques, très au-delà des scénarios connus ces dernières années. On y verra le signe d’une crise profonde. Source : Le Courrier des stratèges. 
  173. Pas d’évacuation d’une île où sévit une éruption volcanique dans les Caraïbes si vous n’êtes pas vacciné. Le gauchiste Chomsky déclare déjà qu’il faut enfermer les dangereux non-vaccinés. Et le misérable Berset, n’hésite pas à déclarer que tout sera de la faute des non-vaccinés : 
  174. Voir le remarquable article de Mathieu Slama: « Le non-vacciné est le bouc émissaire de la crise sanitaire ». 
  175. Étant taxé d’anti-vax, anti-masque et anti-PCR dans un courrier officiel de l’assistante du médecin cantonal à mon attention, je mesure chaque jour le naufrage de notre société. L’un des exemples ultimes étant —selon moi— l’adoption de noms comme « Avenue du Mondial » un peu partout dans les villes de France. Un beau recoupement d’agnotologie et du vieux principe panem circenses
  176. Voir par exemple ici quelques commentaires pertinents sur le discours à Harvard. 
  177. Voir Laïcié mère porteuse de l’Islam, par Odon Lafontaine. Article ici
  178. A son époque Caton l’Ancien concluait tous ses brillants discours par Delenda est Carthago ! Il faut détruire Carthage. « Il faut détruire le mondialisme » doit devenir notre devise, notre seul but si nous voulons que nos enfants vivent dans un monde libre. 



Comment le G20 instaure progressivement un nouvel ordre politique mondial

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le G20 et ses conclusions sont passés à peu près inaperçus. Il faut dire que le grand public n’a pas encore compris en quoi le Great Reset avait donné une importance particulière, et nouvelle, à cette instance qui se contentait d’ordinaire de grandes incantations. Progressivement, une gouvernance mondiale se met en place, qui s’arroge un droit de regard sur l’ensemble des politiques publiques. Pour illustrer cette ambition « holistique » du multilatéralisme et de la caste mondialisée qui le nourrit, nous reprenons ici tous les points abordés par le G20 de Rome la semaine dernière : tout simplement vertigineux !

Le G20 qui s’est tenu à Rome (et qui regroupe, comme son nom l’indique, le 20 économies du monde les plus puissantes) a été particulièrement actif. Il débouche sur une série de décisions qui méritent d’être relevées et bien méditées pour comprendre la suite des décisions politiques dans le monde. Ce G20 a en effet intégré toutes les prescriptions du Great Reset de Klaus Schwab. Nous en donnons ici une énumération précise. 

On notera d’ailleurs que la déclaration commence par une citation des “efforts communs pour mieux nous relever de la crise du COVID 19”, litanie désormais rituelle de tout sommet multilatéral. On se souvient ici que la base du Great Reset est l’instrumentalisation de l’épidémie pour favoriser les progrès du multilatéralisme contre les Etats nations, et tout particulièrement son utilisation pour accélérer des mesures supposées lutter contre le réchauffement climatique. 

Au paragraphe 2, la déclaration enfonce le clou avec cette phrase emblématique : “Soulignant le rôle crucial du multilatéralisme dans la recherche de solutions efficaces et partagées, nous sommes d’accord pour renforcer notre réponse commune à la pandémie, et pour paver la route vers une relance globale, avec une attention particulière aux besoins des plus vulnérables (…). Nous sommes d’accord sur une vision partagée du combat contre le réchauffement climatique (…).” L’essentiel du Great Reset est résumé. 

Le G20 et la mondialisation de l’économie

Forcément, la déclaration du G20 commence par la phrase rituelle : “En 2021, l’activité économique mondiale a repris à un rythme soutenu, grâce à la production de vaccins et au soutien politique suivi.” Mais ce mantra religieux ne cache pas plusieurs inquiétudes sur la reprise économique “solide”.

  • le G20 s’inquiète des retards dans la croissance, notamment dans certains pays
  • il s’inquiète aussi de l’inflation et rappelle que les banques centrales devront agir pour en limiter les effets
  • il s’inquiète aussi des ruptures dans les chaînes d’approvisionnement

Questions de santé et de gouvernance sanitaire mondiale

Le chapitre sur la santé réaffirme l’ambition d’arriver à vacciner 70% de la population mondiale à la mi-2022. Dans cet objectif, la déclaration finale enchaîne les propositions, qui constituent un véritable bingo pour Pfizer, Moderna et Astra Zeneca.

Le G20 annonce son intention :

  • de multiplier (aux frais des Etats) les sites de production de vaccins
  • de supprimer tous les freins aux importations de vaccins
  • de mobiliser les bailleurs de fonds internationaux pour aider à l’achat de vaccins.

Les actionnaires seront contents. 

Mais d’autres pistes sont creusées :

  • le renforcement d’une gouvernance sanitaire mondiale, que nous avons déjà évoquée dans nos colonnes,
  • l’amélioration du financement de l’OMS et le développement de ses actions sanitaires directes dans le monde
  • la mise en place d’un programme One Health qui consisterait à confier à un organisme mondial le combat contre les microbes, notamment en raccourcissant le cycle de production des vaccins (de 1 an à 3 mois),

Nous retrouvons ici l’influence des théories d’un Bill Gates. 

Développement durable

Ce chapitre, qui inclut l’industrialisation de l’Afrique, semble assez peu préoccuper le G20, qui y consacre quelques lignes, dont l’essentiel consiste à rappeler les engagements pris par l’Agenda d’Addis-Abeba. 

Soutien aux pays vulnérables

Le G20 approuve la création d’un droit de tirage spécial du FMI, décidé le 23 août 2021, à hauteur de 650 milliards $. Il se déclare favorable à un abondement de cette enveloppe pour faciliter le développement des “pays vulnérables”. 

Le G20 soutient par ailleurs une politique de développement de ces pays. 

Architecture financière internationale

Sur ce point, le G20 se montre plutôt frileux, en se contentant d’annoncer son intérêt pour la réallocation des quota du FMI. Mais… la question de la finance est en réalité disséminée tout au long de la déclaration, et l’on reviendra plus loin sur le sujet des crypto-monnaies. 

Sécurité alimentaire

Le sommet du G20 rappelle les engagements pris à Matera et tous les objectifs énumérés dans ce domaine, notamment la lutte contre le gaspillage. 

Environnement

Le G20 réaffirme son ambition d’atteindre les objectifs déjà fixés en matière d’environnement : décennie de la restauration de l’écosystème lancée par l’ONU, réduction volontaire de 50% de la dégradation des sols d’ici à 2040, protection de 30% des océans et des sols d’ici à 2030.

Le G20 insiste par ailleurs sur les réalisations du sommet présidé par l’Arabie Saoudite dans le domaine de la protection maritime. 

Villes et économie circulaire

Le G20 rappelle son engagement en faveur de l’Agenda Habitat III New Urban et sa volonté de rendre les villes plus écologiques. 

Energie et climat

Bien entendu, le G20 annonce son intention de favoriser le succès de la COP 26 de Glasgow. “Nous maintenons l’objectif de l’Accord de Paris de limiter l’augmentation mondiale mondiale de températion bien au-dessous de 2°C et de poursuivre les efforts pour la limiter à 1,5°C sous les niveaux pré-industriels”. 

Pour atteindre cet objectif, le G20 n’hésite pas à marcher sur les plate-bandes de la COP 26 en énonçant par exemple :

Nous produirons des plans nationaux de relance et de sortie de crise qui prévoient, selon les contextes nationaux, un partage ambitieux des ressources financières pour limiter et adapter le changement climatique.

Le G20 décline sur ce point l’ensemble de ces engagements, sans oublier un financement de 100 milliards $ par an pour les pays vulnérables. Il rappelle également la question des émissions de gaz à effets de serre, notamment du fait des méthane et rappelle le lien étroit avec la question énergétique. 

Politiques de transition et finance durable

Le G20 salue l’introduction d’un Pilier dédié à la protection de la planète dans le plan d’action du G20.

Finance durable

Le G20 valide les propositions du Sustainable Finance Working Group (SFWG) et sa batterie d’actions disséminées dans une comitologie complexe. 

Taxation internationale

Le G20 valide le principe d’une Solution à deux piliers pour relever le défi fiscal face à la digitalisation de l’économie. Ce point est au demeurant relativement mineur dans l’ensemble de l’accord, mais il occupe beaucoup la presse subventionnée. 

Égalité des sexes et capacitation des femmes

Le G20 répète son engagement dans ce domaine et salue le lancement de la première conférence du G20 sur la capacitation (empowerment) des femmes. 

Emploi et protection sociale

Le G20 remarque que la pandémie à exacerber les inégalités sur le marché du travail, et affirme : “nous adopterons des approches politiques centrées sur l’humain pour promouvoir le dialogue social et assurer une plus grande justice sociale”. Les soignants suspendus sans traitement faute d’être vaccinés apprécieront la plaisanterie…

Éducation

Dans le domaine éducatif, le G20 réaffirme les efforts nécessaires pour “rendre les systèmes éducatifs inclusifs, agiles et résilients”, pour améliorer la coordination entre les politiques éducatives, sociales et du travail. Mais il ajoute ce point : “Nous reconnaissons le rôle critique de l’éducation dans le développement durable, gérance environnementale incluse”. 

Éducation et développement durable…

Migration et déplacement forcé

Le G20 s’engage à l’inclusion complète des migrants, y compris des travailleurs immigrés et des réfugiés. 

Transport et voyage

Le G20, discrètement, rappelle l’utilité de la vaccination obligatoire pour les personnels des compagnies aériennes, et appelle de ses voeux à une harmonisation des conditions d’entrée dans les différents pays. 

Régulation financière

Le G20 réitère sa confiance dans la régulation financière internationale, non seulement dans le secteur bancaire, mais aussi la finance non intermédiée par les banques. On notera en particulier cette phrase : “Nous encourageons le Comité des Paiements et des Infrastructures de Marché, l’Innovation Hub de la Banque des Règlements Internationaux, le FMI et la Banque Mondiale à continuer à approfondir l’analyse du rôle potentiel des monnaies digitales de banque centrale dans le développement des transactions transfrontalières et leurs implications plus larges pour le système monétaire international”. 

Commerce et investissement

Le G20 empile ici les déclarations d’intention sur un système de commerce international “ouvert, juste, équitable, soutenable, non-discriminatoire et inclusif, fondé sur des règles multilatérales”. Il ajoute : “Nous soulignons l’importance d’une concurrence loyale”. 

Investissement dans les infrastructures

Le G20 rappelle l’importance de l’amélioration des infrastructures, sujet traité par le Great Reset de Klaus Schwab. 

Productivité

Ce chapitre fourre-tout, très court, rappelle l’importance de “booster” la productivité et reconnaît l’utilité d’une bonne gouvernance d’entreprise. 

Économie digitale, enseignement et recherche

Le G20 s’intéresse ici surtout au développement de l’intelligence artificielle, en rappelant l’importance des échanges de données entre les nations. “Nous réaffirmons le rôle des data pour le développement”. 

Inclusion financière

Le G20 s’engage à développer des moyens pour améliorer l’accès à la compréhension sur Internet. 

Gap des données

Le G20 promeut la publication de données publiques, et le passage à l’administration digitale. 

Tourisme

Le G20 préconise un redémarrage rapide du tourisme. 

Culture

Le G20 rappelle ses différents objectifs en matière de protection et de développement de la culture. 

Anti-corruption

Le G20 rappelle sa tolérance zéro en matière de corruption publique ou privée, et adopte le plan d’action anti-corruption pour 2022-2024. 

Les prémisses d’un gouvernement mondial

On le voit à cette énumération : le G20 sert d’abord à “coordonner” les politiques nationales dans tous les domaines. Si le G20 ne nie pas l’existence de particularités nationales, il rappelle dans chaque domaine de l’action publique les grands objectifs à atteindre ou les orientations à suivre pour rester dans le concert des nations. 

C’est donc l’embryon d’une gouvernance mondiale qui prend forme ici, avec des plans d’action en cascades, plus ou moins contraignants, qui substituent à la volonté des peuples une sorte de mainstream sans alternative possible. 




Le futur confinement du changement climatique

[Source : theepochtimes.com]

[Photo : John Kerry, l’envoyé spécial du président des États-Unis pour le climat, prend la parole lors d’une conférence de presse à Séoul, en Corée du Sud, le 18 avril 2021. (Ambassade des États-Unis à Séoul via Getty Images)]

Par BILL TUFTS

On nous annonce déjà que le changement climatique risque d’amener une nouvelle crise sanitaire majeure. Comme l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a été si impitoyable sur la question du Covid-19, on pourrait envisager que, peut-être, on lui confiera la gestion de la question du climat.

La brigade d’élites mondialistes, soutenue pas le Forum économique mondial de Davos, les Nations unies et autres organisations du « wokisme » voient une belle occasion de créer la même hystérie et la même panique autour du changement climatique qu’autour du Covid-19.

L’une des sources d’inspiration de nombreux militants du climat est une importante baisse des émissions de dioxyde de carbone (CO2) qui a eu lieu lorsque le confinement du Covid-19 a été mis en place. Les alarmistes du changement climatique considèrent les émissions de CO2 comme un événement apocalyptique qui est en passe de détruire le monde au cours de la prochaine décennie. Ainsi, ils se sentent justifiés de prendre toutes les mesures possibles pour contrôler ce changement.

Cependant, la raison de la baisse des émissions à la suite du confinement du Covid-19 provient de l’énorme dévastation causée par l’arrêt de l’économie. Au Canada, la chute du PIB a été de 18 % seulement au cours des deux premiers mois du confinement au début de 2020.

Le Forum économique mondial a indiqué que le confinement avait entraîné une baisse des émissions mondiales estimée à 8 % en concluant que c’était un bon pas vers la réalisation des objectifs de l’accord de Paris sur le climat : « Nous devons réaliser une telle baisse chaque année au cours des 15 prochaines années pour atteindre l’objectif de 1,5 °C fixé par l’accord de Paris. »

Une partie de la dévastation économique créée par le confinement se manifestait en une importante réduction du déplacement par automobile et les transports publics. Comme les gens travaillaient à la maison et ne se rendaient pas au lieu habituel de leur travail, ils utilisaient beaucoup moins ces moyens de transport, ce qui a permis de réduire considérablement les émissions. Dans de grandes villes comme, par exemple, Calgary, les taux d’inoccupation des immeubles de bureaux dans les centres-villes étaient à des niveaux jamais vus depuis la Grande Dépression des années 1930.

Aujourd’hui, les alarmistes du changement climatique se dirigent vers une nouvelle conférence dans le cadre de l’accord de Paris – la COP26 qui se tiendra à Glasgow, en Écosse, à partir du 31 octobre. Elle réunira 30 000 personnes venues du monde entier – elles consommeront une quantité monstrueuse de carbone et émettront d’énormes quantités de CO2 pour s’y rendre. Les élites des gouvernements, de la finance et des sociétés mondialistes seront présentes pour expliquer que les personnes ne participant à leur conférence devront réduire considérablement leur utilisation de combustibles fossiles et leur consommation d’énergie. Ils diront au monde qu’il a besoin de réductions annuelles d’émissions, l’équivalent de ce que nous avons vu pendant le confinement du Covid-19.

Toutefois, il est intéressant de noter que les mesures prévues par l’accord de Paris ciblent surtout les pays occidentaux, tandis que la Chine – le principal pollueur mondial – pourra continuer d’accroître ses émissions et stimuler son développement en augmentant la production d’énergies fossiles bon marché jusqu’au moins 2030. Il est aussi intéressant de constater que les 30 000 personnes présentes à Glasgow seront exemptées des exigences prévues par le passeport vaccinal.

Certaines organisations climatiques nous proposent des stratégies et des tactiques qu’elles comparent à celles des temps de guerre. Comme dans une guerre, toutes les actions drastiques nécessaires pour gagner seront envisagées. Un bon nombre de ces recommandations ont déjà été formulées par le Forum économique mondial au cours des dernières années. Elles incluent, par exemple, l’arrêt de la consommation de viande, en affirmant que les flatulences des vaches détruisent le monde. Et les mesures qu’ils ont prises ont déjà fait grimper les prix des produits carnés dans certains pays.

Pour combattre le Covid-19, des lois accordant aux autorités des pouvoirs spéciaux similaires à ceux octroyés sous menace de guerre ont été mises en place dans de nombreux pays. Les croisés du changement climatique nous disent que nous avons besoin de mesures fortes et similaires à celles du Covid-19 pour mener une nouvelle guerre. Au Canada, l’ancienne Loi sur les mesures de guerre a déjà changé de nom pour devenir la Loi sur les mesures d’urgence et elle pourrait maintenant être renommée en la Loi sur les mesures relatives au changement climatique. Une telle loi permettra aux bureaucrates et aux grandes sociétés de mettre en place des mesures et des contrôles similaires à ceux que nous avons vus par rapport au Covid-19.

Michelle Stirling, directrice de la Friends of Science Society, a fait des recherches sur certains projets de guerre contre le changement climatique qui comprennent des mesures telles que la limitation des rassemblements et des voyages. Nous avons déjà vu des cas de prêtres envoyés en prison pour avoir tenu des services religieux et la fermeture de nombreux lieux de travail, ce qui obligeait les employés à travailler à domicile. Le télétravail fait partie des projets : les employés restent chez eux et n’ont pas besoin d’utiliser les moyens de transport pour se rendre au bureau. Bien sûr, il y aura des couvre-feux pour les voitures limitant les heures d’utilisation ou le nombre de kilomètres que vous pourrez parcourir chaque mois. Pour ceux qui ne font pas partie de la classe privilégiée, les voyages aériens internationaux seront également limités. À cause de la pandémie du Covid, les voyages aériens internationaux ont chuté de 60 % en 2020. C’est une tendance que les guerriers du changement climatique voudraient bien maintenir.

Une version du passeport vaccinal pourrait être un nouvel outil dans la lutte contre le changement climatique. Utilisé dans ce but, il permettrait de suivre constamment la consommation d’énergie des citoyens du monde. Autre nouveauté : les pays développés envisagent de créer des monnaies numériques mondiales qui permettront de suivre les transactions des gens et de les mesurer en fonction de leur empreinte carbone. MasterCard a déjà contribué au développement d’une carte de crédit spéciale, appelée DO Black. Elle permet de gérer vos dépenses en tenant compte de leur impact sur les émissions de carbone. Lorsque votre limite personnelle est atteinte, le crédit se ferme pour toute autre transaction.

Lorsque la COP26 arrivera à sa fin, il sera intéressant de voir combien d’actions seront prises et recommandées par les élites lors de cette conférence. Bien entendu, en tant que généraux dans la guerre contre le changement climatique, elles seront exemptées de toute mesure imposée à la population. En tenant compte de ce qui se passe actuellement en Chine avec le crédit social – un système de surveillance totale des citoyens qui leur attribue des notes continuellement mises à jour selon leur « conduite » – les nouvelles règles proposées à la COP26 pourraient ressembler à un système de crédit social lié au changement climatique. Un rapport de la Deutsche Bank a déjà suggéré qu’une « éco-dictature » devrait être nécessaire pour mettre en application les mesures à prendre – probablement sous le contrôle strict des élites, des Nations unies et des politiciens « woke ».

Entretemps, les élites ont créé l’hystérie de masse et on nous dit que tout cela va se terminer dans une boule de feu apocalyptique de changement climatique…

[À propos de l’auteur]

Bill Tufts est un commentateur politique canadien. Il est le fondateur de Fair Pensions For All, un groupe de plaidoyer qui se concentre sur les questions de retraite et de rémunération dans le secteur public, et il est l’auteur du livre Pension Ponzi.




Le coup d’État trop pressé du système financier numérique

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Ceci est la suite et fin de la conférence donnée dans le cadre des auditions de l’avocat Reiner Fuellmich en vue du procès des responsables de la crise covidienne. Cette publication est une exclusivité Antipresse/Le Courrier des Stratèges. Nous remercions François Stecher pour son remarquable effort.

[NDLR Pour voir la première partie avec la vidéo complète sous-titrée en Français :
Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset]

Vers la monnaie programmable

Et à quoi ce système doit-il ressembler, nous le savons déjà. Il s’agit de la disparition complète de l’argent liquide, des banques dans leur forme actuelle, et de l’introduction de monnaie numérique de banque centrale. L’objectif final prévoit que chacun d’entre nous ne détienne plus qu’un unique compte en banque, par lequel s’effectueront toutes les transactions. Ce compte ne sera plus tenu par une banque commerciale, mais par la banque centrale. La raison profonde de ce plan est la suivante: la monnaie numérique de banque centrale est programmable (18:44). Comme une banque centrale peut créer de la monnaie sans limites, on peut ainsi, par le fait, introduire des taux négatifs sans détruire le système. Mais cela n’est pas, loin s’en faut, la seule propriété que possède la monnaie numérique de banque centrale. Elle permettrait à l’État de surveiller toutes les transactions (19:12), de nous appliquer des taux d’imposition différenciés, et de nous infliger individuellement des sanctions pécuniaires. L’État pourrait lier certaines sommes à une date de péremption, nous contraindre à dépenser certaines sommes dans une période déterminée (19:33). Il pourrait également donner cet argent pour un but fixé, et nous imposer d’utiliser certains montants uniquement pour l’achat de certains biens, ou de dépenser seulement dans certaines régions. Mais avant tout, il lui serait possible, d’un simple clic, de nous couper de tous les flux de transactions, et ainsi de nous débrancher financièrement (20:04). La monnaie numérique de banque centrale serait le mécanisme de contrôle social le plus efficace qu’on ait jamais eu dans l’histoire de l’humanité, et par là, ni plus ni moins que l’achèvement d’une dictature universelle obtenue par le moyen de l’argent (20:25).

La tactique du renversement

Tout cela est cependant soumis à une énorme hypothèque: la résistance à laquelle il faut s’attendre de la part de la population. Il faut très sûrement compter avec le fait qu’une grande partie des gens n’accepterait pas cette forme de paiement, et que l’introduction de la monnaie numérique de banque centrale provoquerait de graves troubles sociaux. Et c’est précisément cette difficulté qui a très clairement conduit le complexe financier digital à imaginer de renverser la problématique de l’introduction de cette monnaie (21:07). Plutôt que d’introduire cette monnaie numérique de banque centrale progressivement, et risquer ainsi de provoquer une grosse résistance, procéder à l’inverse, c’est-à-dire faire sombrer la société dans le chaos, afin de faire apparaître la monnaie numérique de banque centrale comme la solution pour régler tous les problèmes, à savoir sous la forme du revenu universel de base (21:35).

Celui qui pense maintenant qu’il s’agit encore d’une théorie du complot tombée de nulle part, je lui recommande de se remémorer très précisément tout ce que nous avons vécu au cours des dix-huit derniers mois. Sous le prétexte de combattre une maladie, on a provoqué des dommages dévastateurs et irréversibles, qu’ils soient sanitaires, économiques ou financiers, dont nous n’avons encore perçu les effets qu’à la marge (22:09). En même temps, on travaille chaque jour à aggraver ces dommages. En parallèle, on s’emploie à creuser de manière systématique les divisions au sein de la société, en enfonçant toujours plus de division entre les gens. Tout cela nous conduit, conformément au but, dans une seule direction: celle des troubles sociaux, jusqu’à la guerre civile, dans le monde entier. Et tout cela, c’est exactement ce qui est voulu, selon toutes les informations dont je dispose (22:46).

Ce que nous vivons actuellement, c’est que l’on essaye, par la mise en œuvre de tous les moyens imaginables, de provoquer le chaos social le plus énorme, d’attendre que le chaos ait atteint son intensité maximale, et, alors à l’aide d’une panacée nommée «revenu universel de base», de passer d’une situation de chaos maximal à celle d’un contrôle total (23:12). Il y a du reste encore une deuxième raison pour laquelle le revenu universel, du point de vue des puissants, doit arriver. Nous sommes en plein dans la quatrième révolution universelle, et nous allons vivre, dans la période qui s’étend devant nous, la perte de millions et de millions d’emplois, par le recours à l’intelligence artificielle. En d’autres termes, des millions de consommateurs vont faire défaut, la demande de biens de consommation va se réduire de plus en plus fortement. Comme le modèle économique actuel repose sur la consommation, il faut, pour le maintenir en vie, bloquer la descente sur cette pente fatale. Et cela ne peut fonctionner que si l’on distribue de l’argent aux chômeurs-consommateurs même s’ils sont sans emploi (24:09).

Une apocalypse préparée et agendée

Nous voyons donc que ce que nous avons vécu ces dix-huit derniers mois, et ce que nous vivons actuellement, suit manifestement un plan; et ce plan peut s’énoncer ainsi: démontage du système actuel au bénéfice de l’élite, instigation d’un chaos économique et social maximal, et établissement d’un nouveau système au bénéfice de l’élite, sous le prétexte de vouloir apporter une assistance humanitaire (24:42). Ce plan, on peut d’ailleurs le trouver dans les deux ouvrages, La Quatrième révolution industrielle et Le Grand Reset de Klaus Schwab, dont le World Economic Forum joue un rôle clef dans l’élaboration et la mise en œuvre de cet agenda. Le WEF a réussi à devenir au cours des 50 dernières années l’une des plus importantes plateformes du complexe financier digital, en mettant en relation, d’abord des dirigeants d’entreprises, ensuite des politiciens, puis des représentants des médias, plus tard encore de la haute aristocratie et du monde du spectacle, et en les soumettant en outre à partir des années 90 à une formation dédiée (25:33).

Nous savons aujourd’hui qu’à partir de 1992 les «Global Leaders of Tomorrow», et depuis 2005 les «Young Global Leaders» ont été soumis à une formation systématique et toujours plus approfondie, et que ce sont précisément ces personnes-là qui se trouvent placées aujourd’hui aux leviers de commande du pouvoir. Qu’il s’agisse de Bill Gates, Jeff Bezos ou Jack Ma, du secteur du numérique, qu’il s’agisse du patron de BlackRock Larry Fink, de la patronne du FMI Kristalina Georgiewa, ou de l’ex-directeur de la Bank of England Mark Carney, pour la finance, ou encore d’Emmanuel Macron, de Sebastian Kurz ou bien d’Angela Merkel pour la politique: tous, ils ont été formés par le WEF ou bien siègent dans ses instances dirigeantes (26:38).

Et ce ne sont pas seulement les 1.300 membres de cette petite élite dirigeante étroitement connectée qui tirent les ficelles à travers le monde. Depuis 1992, ce sont encore 10’000 «Global Shapers» de moins de 30 ans qui ont également été réunis et mis en relation par le WEF, et s’emploient désormais à influer sur la marche du monde dans le sens qui lui convient (27:08). À qui veut savoir à quoi cette marche du monde devrait ressembler, il faut recommander la lecture des œuvres du fondateur du WEF, Klaus Schwab. Et celui qui, parvenu à ce point, ne serait toujours pas convaincu que ce que nous avons vécu et vivons encore suit un plan devrait jeter un œil à la date de publication du «Great Reset» de Schwab: le livre est paru le 9 juillet 2020, soit à peine quatre mois après le confinement mondial, et donne déjà les instructions précises expliquant comment utiliser le COVID-19 afin de, selon les propres mots de Schwab, «détruire le monde de manière créative et construire un nouveau monde», où il laisse transparaître une vision de l’homme qui renvoie aux temps les plus sombres du national-socialisme (28:02).

Je sais, tout cela est terrifiant, comme une apocalypse préparée de manière minutieuse. Et de fait l’agenda qui est poursuivi ici n’est pas seulement planifié, visiblement, mais c’est à peine s’il peut, de surcroît, être dépassé en malignité et en sournoiserie. Qui aurait jamais imaginé que l’on fasse s’effondrer l’économie mondiale sous le prétexte de protéger les gens des effets d’une maladie, que l’on retire aux gens la liberté de voyager, de se rassembler, de parler et d’exprimer librement leurs opinions, et que l’on condamne encore plus de 100 millions d’entre eux à la famine, tout cela soi-disant pour la protection de leur propre santé. Et qui aurait pensé qu’un eugéniste déclaré du nom de Klaus Schwab pourrait se retrouver en situation, non seulement de répandre à travers le monde son infernale vision de la fusion entre l’homme et l’intelligence artificielle, mais encore de trouver 10’000 aides pour la faire avancer (29:18). Tout cela, ce sont des événements bouleversants au plus haut point, avec lesquels nous devons vivre actuellement, dont nous devons souffrir, et dont les détails devraient glacer le sang de tout être humain pensant et sentant normalement.

La déraison conduit à l’échec

Mais – et j’en viens maintenant au message le plus important que je veux délivrer ce soir – tout cela a un autre aspect, un tout autre aspect, un aspect qui doit nous donner une énorme impulsion et des forces à profusion pour les tâches qui nous attendent. Les plans de l’élite, et la vision de Klaus Schwab, sont en effet voués à l’échec, et cela pour plusieurs raisons (30:11). La raison principale réside dans le fait que le narratif d’un virus mortel, qui menacerait l’humanité dans son existence même, ne pourra pas tenir dans la durée. Nous voyons déjà comment l’échafaudage de mensonges s’effondre sous nos yeux, et comment, pour le justifier, on a recours à des argumentations toujours plus absurdes et à des diffamations toujours plus furieuses (30:39).

Arrivée à ce point, il est important de comprendre que la véhémence que les médias mettent en branle n’est pas un signe de force mais bien de faiblesse. Celui qui, avec une insistance toujours plus forte, répand des mensonges toujours plus grotesques tel que celui de «la pandémie des non-vaccinés», celui qui déclare que les personnes en bonne santé représentent le facteur de risque numéro 1 au sein de la société, celui qui à cause d’une poignée de malades ou de testés positifs met un pays tout entier à l’arrêt, celui-là n’agit ainsi que parce qu’il est à bout d’arguments et que, dans son désespoir, il frappe à l’aveugle autour de lui (31:21).

Abraham Lincoln a déclaré: «on peut mentir tout le temps à une partie des gens; on peut mentir à tout le monde une partie du temps; mais on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde». C’est exactement cela qui se vérifie en notre temps. Et cela a pour nous, naturellement, une immense signification. Car cela ouvre, de manière ironique, ce que Klaus Schwab appelle «a window of opportunity», une fenêtre d’opportunité – à ceci près qu’elle s’ouvre avec une dynamique exactement inverse (32:07). En effet, grâce à la désintégration du narratif, la crédibilité de ceux qui nous ont amenés à cette situation est chaque jour plus profondément sapée, nous ouvrant à tous une fenêtre temporelle pour une campagne d’éclaircissements puissante et de grande envergure. Les conditions objectives pour éclairer les gens sur les véritables faits derrière la soi-disant pandémie, sur les relations de pouvoir réelles dans le monde et sur les vraies menaces auxquelles nous sommes confrontés n’ont jamais été meilleures qu’aujourd’hui (32:51). Et elles s’améliorent de jour en jour, parce que le camp d’en face doit s’empêtrer chaque jour davantage dans des mensonges toujours moins crédibles.

Et même si le complexe financier digital devait parvenir à introduire la nouvelle monnaie, cela ne serait pas encore la fin du monde. En effet, la monnaie numérique de banque centrale ne peut fonctionner qu’adossée à un système de contraintes complet. Il faudra introduire sans cesse de nouveaux contrôles des prix, augmenter constamment le revenu universel de base, et générer avec vigueur une inflation permanente, ce qui conduira en retour à un appauvrissement continu de la population et à un conflit permanent avec l’État et les autorités (33:49).

Ce que nous devons savoir est la chose suivante: nous nous trouvons en toute certitude au seuil d’une période de turbulences et de dangers. Mais nous avons en main un atout historique : il tient au fait que ceux d’en face n’agissent pas conformément aux lois de la raison, mais poussés par des mobiles comme la cupidité et la soif de pouvoir, et ne peuvent, pour cette raison, rien faire d’autre que de se mettre toujours plus inextricablement en difficulté (34:21). De cela, précisément, nous devons profiter, et garder ceci présent à l’esprit : le camp d’en face peut bien disposer de plus d’argent, de plus de biens, et en plus de toutes les armes du monde; son pouvoir ne réside ni dans son argent, ni dans ses biens, ni même dans ses armes, mais repose sur un seul et unique facteur: l’ignorance de la majorité des gens, ou pour le dire autrement, le fait que la majorité ne voit pas clair dans le jeu que la minorité joue avec elle (35:01).

Quelle que soit l’atrocité de ce que le complexe financier digital a commis au cours des dix-huit derniers mois et continue à commettre avec ses suppôts, il s’est enfermé dans une situation dont il ne pourra pas s’extirper, et dans laquelle il doit, dans son désespoir, franchir de plus en plus de lignes rouges (35:25). Pour nous tous, cela signifie que nous devrions dans cette situation exceptionnelle, tout simplement: conserver notre calme, démasquer résolument les mensonges, et montrer ainsi aux gens, pièce par pièce, pourquoi et par qui ils se font berner. Si nous faisons cela, et qu’en le faisant nous nous souvenons de la force de nos arguments, alors nous pourrons, non seulement résoudre les problèmes actuels, mais peut-être réussir quelque chose de beaucoup plus grand, à savoir : utiliser l’une des crises les plus profondes qu’ait affrontées l’humanité pour redresser la barre de l’histoire du monde, et ouvrir ainsi d’un coup la porte sur une ère nouvelle. Je vous remercie.





Bill Gates, Elon Musk, Rockefeller… Les soi-disant « vaccins » à ARNm, l’eugénisme, la dépopulation et la montée en puissance du transhumanisme

[Source : Sott.net]

Par Ryan Matters — NewBraveWorld.org

Note du traducteur : Cet article nous semble essentiel, non pas parce que l’auteur développe des aspects du totalitarisme eugénique et transhumaniste en cours qui n’auraient pas déjà fait l’objet de publications antérieurs — voir à cet effet les différents liens que nous en donnons tout au long de la traduction — mais parce qu’il articule tous ces aspects d’une manière qui donne à voir l’image de l’agenda, qui est tout sauf humaniste sous couvert de l’être, selon une meilleure et plus large perspective. En bref, l’auteur connecte les points.

Bonne lecture.

Le déploiement mondial des [soi-disant – NdT] « vaccins » anti-Covid-19 à ARNm fait partie d’un programme bien plus vaste qui englobe l’eugénisme et le transhumanisme. Ce programme est financé et promu par un réseau d’institutions mondiales, de politiciens et de technocrates milliardaires.

En 1989, des chercheurs du Salk Institute en Californie ont publié une étude expliquant comment ils avaient mis au point un système de transfection par ARN qui pouvait « directement introduire l’ARN dans des tissus entiers et dans des embryons ». Cette étude est la première à avoir décrit le concept d’utilisation de l’ARN en tant que médicament et a permis de poser les fondements de décennies de recherches ultérieures dans ce domaine. La section « Discussion » de l’article indique que :

« La méthode ARN/lipofectine peut être utilisée pour introduire directement l’ARN dans des tissus entiers et des embryons (R.W.M., C. Holt et I.M.V., résultats non publiés), suggérant que la transfection de l’ARNm par les liposomes pourrait offrir une autre option dans la technologie croissante de l’administration de gènes eucaryotes, une option basée sur le concept de l’utilisation de l’ARN comme médicament. »

L’un des chercheurs du Salk Institute cités dans l’article est le Dr Robert W. Malone, un scientifique [biologiste moléculaire, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses – NdT] qui a récemment été censuré sur les médias sociaux [et dans les médias mainstream – NdT] pour avoir attiré l’attention sur les dangers possibles des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19. On pourrait considérer qu’il n’existe aucun expert plus qualifié pour nous mettre en garde contre les dangers des injections d’ARNm que l’homme qui a contribué à mettre au point cette technologie. Néanmoins, Big Tech a décidé qu’il diffusait des « fausses informations », parce que, selon toute vraisemblance, ils en sauraient plus que lui sur le sujet.

[Voir aussi :
Le Dr R. Malone, inventeur des vaccins à ARNm et ADN : « C’est vrai, je suis en train d’être effacé de l’histoire »]

Les recherches de Malone, qui ont abouti à une procédure permettant de « transfecter efficacement l’ARN dans les cellules humaines » à l’aide d’un « lipide cationique synthétique », ont été soutenues par des subventions de l’American Cancer Society et du National Institute of Health — qui détient aujourd’hui une participation dans le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19 à ARNm de Moderna, preuve s’il en est de son allégeance à cette technologie. Nous y reviendrons plus tard.

Bien que les contributions de Malone au développement de la technologie de l’ARNm sont bien connues et bien documentées, Wikipedia a décidé de supprimer toute mention le concernant dans leur page « Vaccin à ARN », et ce peu de temps après que le scientifique ait commencé à s’exprimer sur les dangers des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 fabriqués en dans la précipitation. La version du 14 juin 2021 de la page en question mentionnait trois fois le nom de Malone et citait ses travaux six fois. La version actuelle de cette page ne le mentionne plus du tout et ne cite ses travaux que trois fois.

Toutefois, cela n’est pas surprenant compte tenu du parti pris avéré de Wikipedia en faveur de l’industrie pharmaceutique. Se pencher sur l’institution qui a initié la recherche — le Salk Institute — s’avère toutefois bien plus intéressant. Le Salk Institute, nommé d’après Jonas Salk, le créateur du vaccin Salk contre la polio, a été construit en 1962 grâce au financement de la National Foundation for Infantile Paralysis, aujourd’hui connue sous le nom de March of the Dimes.

La March of the Dimes a été créée en 1937 avec pour mission d’éradiquer la polio, à l’époque même où le courant eugéniste occupait sur la scène sanitaire des États-Unis une place déjà importante, mais pas encore popularisée. La théorie de l’eugénisme repose sur l’idée que la procréation sélective peut conduire à une « amélioration » progressive de la race humaine et que certaines familles sont aptes à diriger la société en vertu de leurs gènes « supérieurs ».

À l’époque, les principales organisations eugénistes du pays comprenaient l’American Eugenics Society et l’American Society of Human Eugenics, financées par les familles Rockefeller, Carnegie et Harriman, ainsi que par l’Institut Rockefeller pour la Recherche médicale. Il convient de noter que les Rockefeller ont contribué de façon décisive à financer et à promouvoir l’eugénisme dans le monde entier. Le mouvement eugéniste encourageait l’accouplement sélectif, l’insémination artificielle, la stérilisation obligatoire et l’euthanasie comme constituant des moyens importants d’éliminer les êtres humains dits « inférieurs ».

Aux États-Unis, la première loi sur la stérilisation a été adoptée en 1907, dans l’État de l’Indiana, et en 1931, de nombreux autres États avaient suivi le mouvement en promulguant des lois similaires. Selon les données historiques de l’État de l’Indiana :

« En 1907, le gouverneur J. Frank Hanly a approuvé la première loi eugéniste de l’État rendant la stérilisation obligatoire pour certains individus placés sous la garde de l’État. »

Les personnes stérilisées en vertu de ces lois eugénistes étaient jugées « indésirables » en raison de déficiences mentales ou physiques telles que l’épilepsie, la cécité et les handicaps physiques, ainsi qu’en raison de « déficiences sociales » telles que la toxicomanie ou la criminalité. En vertu de ces lois et selon les estimations, environ 60 000 personnes ont ainsi été stérilisées, privées de leur droit d’avoir des enfants et cataloguées de manière irrévocable comme étant « faibles d’esprit ».

En fait, l’importance du mouvement eugéniste aux Etats-Unis était telle qu’elle a conduit le parti national-socialiste allemand à l’adopter, de sorte qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale, plus de 350 000 personnes avait été stérilisées par le régime nazi. Après la Seconde Guerre mondiale, les notions d’eugénisme ont disparu de la conversation publique, mais le mouvement ne s’est jamais dissipé. Au contraire, il a été « rebaptisé » en utilisant des termes plus acceptables tels que « contrôle de la population » et « santé de la procréation », comme nous le verrons plus loin.

L’émergence de la March of the Dimes en tant qu’acteur majeur du mouvement eugéniste aux États-Unis remonte à l’association précoce de l’organisation avec l’Institut Rockefeller, qui lui a fourni nombre de ses membres et conseillers clés, notamment le professeur Anton Julius Carlson, membre de l’American Eugenics Society, recruté pour faire partie des comités médicaux et de recherche de la March of the Dimes, et le professeur Clair E. Turner, autre membre de l’American Eugenics Society, qui était l’assistant de Basil O’Connor, lui-même alors président.

Juste avant la création de l’Institut Salk, le ministère de la Santé a annoncé qu’il allait supprimer progressivement ses programmes de lutte contre la polio et concentrer ses ressources sur les « anomalies congénitales ». En 1959, la March of the Dimes a financé des cours de « génétique médicale » au Jackson Laboratory dans le Maine, un institut de génétique fondé en 1929 par Clarence Cook Little, qui, « à un moment ou à un autre », a été président de l’American Eugenics Society, de l’American Birth Control League et de l’American Euthanasia Society.

La mission revendiquée du Jackson Laboratory est de

« découvrir des solutions génomiques précises pour les maladies et de dynamiser la communauté biomédicale mondiale dans sa quête commune pour améliorer la santé humaine. »

Il convient de noter que le Jackson Laboratory a reçu un financement accru en 2020, en grande partie de l’Institut national de la santé, notamment une subvention de 10,6 millions de dollars afin de trouver des traitements pour lutter contre les maladies génétiques rares en utilisant les technologies d’édition de gènes. Et au début de la « pandémie » de coronavirus, ce même laboratoire s’est efforcé de développer des souris génétiquement modifiées pour les utiliser dans des études de vaccins et autres recherches liées au Sras-Cov-2.

À partir des années 1960, la March of the Dimes a financé plusieurs « Centres de prévention des malformations congénitales » situés dans des établissements médicaux disséminés à travers les États-Unis. Ces nouveaux centres proposaient des tests prénataux par amniocentèse pour déterminer si un bébé naîtrait avec des « malformations » et donnaient ensuite au couple la possibilité d’avorter l’enfant atteint de malformation(s).

La March of the Dimes a également fait des dons directs à Planned Parenthood [le planning familial – NdT], ce qui est en contradiction flagrante avec la mission qu’elle revendique, à savoir « lutter pour la santé de toutes les mamans et de tous les bébés ». Le Planned Parenthood est une organisation à but non lucratif qui fournit aux États-Unis et à l’étranger des « soins de santé en matière de reproduction ». De 2019 à 2020, l’organisation a pratiqué plus de 350 000 avortements et a été critiquée pour avoir « détourné les ressources prévues pour la santé des femmes au profit des avortements. » Sans surprise, un regard sur l’histoire de l’organisation révèle que les racines de Planned Parenthood reposent sur les idéaux eugénistes.

Le Planned Parenthood a été fondé par Margaret Sanger, qui, loin d’être une « activiste du contrôle des naissances », comme le courant dominant voudrait le faire croire, était une eugéniste raciste qui cherchait à débarrasser le monde de la race humaine jugée « inapte ». Dans son essai intitulé « Un plan pour la paix », elle décrit les principaux objectifs de sa proposition pour un « Congrès sur la population », à savoir

« une politique sévère et rigide de stérilisation et de ségrégation à l’égard de la catégorie de population dont la progéniture est souillée ou dont l’héritage est tel que des traits répréhensibles peuvent être transmis à la progéniture. »

Elle mentionne également la nécessité de « contrôler l’entrée et la sortie des crétins, des déficients mentaux, des épileptiques. »

Note du traducteur : Ce qui veut dire qu’il est nécessaire que le nombre des naissances d’individus « souillés » ne soit pas supérieur à celui des décès de ces mêmes individus. Notez l’expression particulièrement inhumaine « entrée et sortie ».

Comme nous l’avons mentionné plus haut, ces idéaux eugénistes ont inspiré les nazis qui ont repris nombre des idées de Sanger et les ont, pour ainsi dire, appliquées. Dans son livre The War Against the Weak, Edwin Black explique en détail comment la loi nazie de 1933 sur la stérilisation et les lois ultérieures sur l’euthanasie étaient basées sur des plans élaborés par Sanger et d’autres « militants » des États-Unis. En fait, les associés de Sanger connaissaient ces programmes d’euthanasie nazis et en faisaient l’éloge.

Pour en revenir au Salk Institute, il convient de noter que le récit dominant de l’épidémie de polio du XXe siècle, à savoir l’idée que la maladie est causée par un virus et que le vaccin miracle du Dr Salk a été le seul à mettre fin à l’épidémie, est douteux et probablement totalement faux.

Note du traducteur : En effet, et vous pouvez vous reporter à cet article particulièrement fouillé que nous avons publié il y a un an : Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ?

La polio paralytique est apparue soudainement aux États-Unis au début des années 1900, avec des fluctuations continuelles et spectaculaires du nombre de cas — un schéma qui s’est poursuivi jusqu’à la fin des années 1950. L’introduction du vaccin Salk en 1954 a semblé coïncider avec le déclin presque instantané des cas, qui s’est poursuivi pendant plus de deux décennies.

Mais avant d’être appelées « polio » [poliomyélite – NdT], les affections impliquant une infirmité des membres étaient connues sous d’autres noms, notamment apoplexie, parésie et paralysie. De nombreux écrits historiques font référence à des paralysies résultant d’une exposition à des substances toxiques et beaucoup de ces récits ont été documentés par le Dr Ralph Scobey dans sa déclaration de 1952 au Comité d’enquête sur l’utilisation des produits chimiques dans les produits alimentaires, intitulée « Le poison en cause dans la poliomyélite et les obstacles à son investigation ».

L’article de Scobey fait référence à plusieurs enquêtes qui semblaient indiquer un lien entre les épidémies de polio au XXe siècle et la consommation de fruits frais, établissant ainsi un lien entre la polio et l’exposition aux pesticides toxiques. Un pesticide agricole largement utilisé à l’époque était le DDT, un organochloré hautement toxique dont on a beaucoup vanté les mérites, mais qui a finalement été interdit en 1972. En 1953, le Dr Morton Biskind a publié une étude dans l’American Journal of Digestive Diseases soulignant que :

« McCormick (78), Scobey (100-101), et Goddard (57), dans des études détaillées, ont tous souligné que des facteurs autres que les agents infectieux sont certainement impliqués dans l’étiologie de la polio, allant de défauts nutritionnels à une variété de poisons qui affectent le système nerveux. »

Le danger des pesticides toxiques, dont le DDT, et leurs effets désastreux sur l’environnement ont été illustrés par Rachel Carson dans son livre de 1962, Printemps silencieux.

Note du traducteur : Le Printemps silencieux est le concept repris par Stephanie Seneff pour présenter son livre sur les glyphosates, intitulé Toxic Legacy — How the Weedkiller Glyphosate Is Destroying Our Health and the Environment [« Héritage toxique — Comment le glyphosate désherbant détruit notre santé et l’environnement ou Le Printemps silencieux de notre temps, non traduit en français. Stephanie Seneff alerte de puis longtemps sur les effets hautement toxiques du Roundup, par exemple ;

Plus récemment, des chercheurs, Dan Olmstead, cofondateur de l’Ère de l’autisme, et Mark Blaxil, ont mené deux brillantes enquêtes sur les épidémies de polio du XXe siècle, aboutissant à une conclusion similaire à celle de Scobey et Biskind, à savoir que la maladie a été causée par l’utilisation généralisée de pesticides neurotoxiques tels que l’arsénite de soude et le DDT.

Bien que le vaccin de Salk ait été salué pour son efficacité, le vaccin lui-même a causé de nombreux cas de séquelles et de paralysies. Et bien qu’il semble exister une corrélation convaincante entre le moment où le vaccin a été administré et la réduction des cas de polio, comme tout bon scientifique le sait, la causalité n’est pas synonyme de corrélation, surtout si l’on tient compte du fait qu’au au cours de la même période, le DDT a été progressivement éliminé, du moins aux États-Unis.

Il est intéressant de noter que les recherches sur la polio du Dr Salk ont été financées par la mère de Cordelia Scaife May, une héritière de la fortune bancaire de la famille Mellon, qui a idéalisé Margaret Sanger et a ensuite rejoint le conseil d’administration de la Fondation internationale Planned Parenthood. Les opinions de May sur l’immigration étaient pour le moins radicales et, selon certains, elle était favorable à la stérilisation obligatoire comme moyen de limiter les taux de natalité dans les pays en développement. May a ensuite rejoint le conseil d’administration du Population Council, une organisation fondée par John D. Rockefeller III dont l’objectif principal consiste à réduire le nombre d’individus sur Terre. En 1995, le Population Council a collaboré avec l’OMS pour créer des vaccins destinés à réguler la fertilité.

Penser qu’aucune corrélation ne peut être faite entre l’épidémie de polio et l’« ère de la vaccination » dans laquelle nous nous trouvons serait une erreur. Au contraire, prétendre que la polio a été « éradiquée aux États-Unis » grâce à la seule vaccination est un mensonge qui a permis de gagner la faveur du public pour les vaccinations infantiles et a contribué à jeter les bases de la croyance généralisée en la sécurité et l’efficacité de tous les vaccins [ou supposés tels – NdT]. Des maladies telles que la polio et la variole — un autre mensonge qui dépasse le cadre de cet article — et la propagande pro-vaccins qui s’en est suivie, ont « conditionné » une grande partie de la population à accepter, sans poser de questions, une piqûre expérimentale basée sur une technologie encore bien mal comprise.

La déformation de la science

En 1997, huit ans après l’étude publiée du Salk Institute, la FDA a approuvé le tout premier essai d’ARN transfecté pour développer l’immunité chez les patients atteints de cancer. Le comité consultatif sur l’ADN recombinant de l’Institut national de la santé a quelques mois plus tard voté en faveur du maintien de l’approbation, ce qui a conduit aux toutes premières administrations de vaccins à base d’ARNm chez l’homme.

Bien que l’ARNm est présenté dans les médias comme la prochaine révolution dans le domaine de la santé, toute personne dotée de discernement peut s’alarmer à la lecture d’extraits tels que celui-ci, tiré d’un article sur l’histoire de l’ARNm, rédigé pour StatNews par Damian Garde, journaliste spécialisé dans les biotechnologies :

« Le concept : En apportant des modifications précises à l’ARNm synthétique et en l’injectant aux gens, n’importe quelle cellule du corps pourrait être transformée en usine à médicaments à la demande. »

Toutefois, parler de cellules transformées en « usines à médicaments à la demande » est exactement le genre de techno-rhétorique dénuée de sens destinée à impressionner et à séduire un public non averti. Les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm reposent sur le concept suivant : un morceau d’ARNm synthétique est envoyé dans vos cellules, où il est utilisé comme modèle pour produire la « protéine Spike » [la même a priori que celle du virus Sras-CoV-2 – NdT]. Une fois que cette protéine quitte la cellule, l’organisme produit des anticorps et « apprend » à combattre les futures infections par le virus Sras-Cov-2.

Les [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ARNm sont souvent présentés comme une alternative plus sûre aux [soi-disant – NdT] vaccins à base d’ADN qui, selon les experts [notamment Pascolo en 2004 selon le lien – NdT],

« peuvent déclencher des modifications permanentes et dangereuses de l’information génétique des personnes traitées. »

Cependant, avons-nous la certitude que les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm ne modifient pas de façon permanente la composition génétique de nos cellules ? Une étude de 2001 intitulée « L’ARN comme vaccin contre les tumeurs : une revue de la littérature », affirme que (c’est l’auteur qui souligne) :

« Contrairement aux vaccins à base d’ADN, le risque d’incorporation de séquences d’ARN dans le génome de l’hôte est faible. »

L’utilisation du mot « faible » semble indiquer qu’il peut au moins exister un certain danger d’intégration du génome, ou plus probablement, que les chercheurs ne savent tout simplement pas.

Dans l’étude d’« opinion d’expert » de Pascolo de 2004 cité plus haut, il souligne le lien entre les [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm et les thérapies géniques, lien qui est continuellement nié et rejeté par le courant dominant :

« Bien que situé dans le cytosol et non dans le noyau, l’ARNm mature appartient à la famille biochimique des acides nucléiques. L’ARNm, comme l’ADN, peut être considéré comme un gène et, par conséquent, son utilisation comme vaccin peut être considérée comme une « thérapie génique ». »

Il est intéressant de noter que c’est uniquement en raison d’une technicité du droit réglementaire que les thérapies géniques Covid-19 sont autorisées à être appelées « vaccins ». Ceci est expliqué dans un document intitulé « L’environnement réglementaire européen des vaccins à base d’ARN », qui stipule que :

« La définition d’un médicament de thérapie génique telle qu’elle figure à l’annexe 1 de la directive 2001/83/CE est la suivante :

On entend par médicament de thérapie génique un médicament biologique qui présente les caractéristiques suivantes :

(a) il contient une substance active qui contient ou consiste en un acide nucléique recombinant utilisé chez l’homme ou administré à celui-ci en vue de réguler, réparer, remplacer, ajouter ou supprimer une séquence génétique ;

(b) son effet thérapeutique, prophylactique ou diagnostique est directement lié à la séquence d’acide nucléique recombinant qu’il contient, ou au produit de l’expression génétique de cette séquence.

Les médicaments de thérapie génique ne comprennent pas les vaccins contre les maladies infectieuses. »

Comme on s’en doute, le simple fait d’appeler une thérapie génique un « vaccin contre une maladie infectieuse » annule sa classification en tant que thérapie génique, dont le processus d’approbation, du moins en Europe, implique de passer par le CAT qui est le « Comité des thérapies avancées » de l’EMA (Agence européenne des médicaments). De toute évidence, ce jeu de langage semble constituer une sorte de « faille », qui permet d’approuver plus facilement les thérapies géniques à base d’ARNm prévues pour un usage humain.

Note du traducteur : Ce jeu de langage n’est pas fortuit, loin s’en faut. Il constitue ce que James Lindsay a brillamment exposé dans son article majeur La psychopathie et les origines du totalitarisme, comme étant les pseudo-réalités académiques, la paralogie idéologique et la paramoralité idéologique.

Cette approbation constitue certainement un sujet controversé lorsqu’on l’aborde dans le contexte des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 actuels — dont la plupart n’ont pas été entièrement approuvés par la FDA, mais seulement autorisés dans le cadre d’une utilisation d’urgence, et étiquetés comme étant des produits « expérimentaux », un fait que beaucoup de gens ignorent. Cependant, au début de l’année, les fabricants de vaccins se sont déjà fixé pour objectif d’obtenir une approbation réglementaire complète, après seulement six mois d’essais. Le 7 mai, Pfizer a officiellement déposé sa demande auprès de la FDA, dans le but d’obtenir le tout premier vaccin covid-19 pleinement autorisé. Et le 23 août, cette autorisation lui a été accordée par la FDA. Mais avec des millions de vaccins déjà administrés sous autorisation de mise sur le marché conditionnelle, pourquoi tant de hâte ?

En outre, pour les six vaccins « pionniers dans le traitement d’une maladie » qui ont été approuvés par la FDA au cours des quinze dernières années, la durée médiane des essais flirtait avec un timide délai de deux ansL’approbation d’un vaccin après six mois de données est l’une des plus rapides jamais enregistrées. Bien que les essais cliniques de phase trois de Pfizer, Moderna et Janssen aient tous une durée de deux ans [et qu’ils sont donc en cours – NdT], la FDA a pris soin de ne jamais énoncer clairement sa position quant au suivi clinique minimum avant d’envisager l’approbation.

Pour évaluer la sécurité des vaccins, des essais plus longs, contrôlés par placebo, sont primordiaux. Il est donc extrêmement alarmant que les fabricants de vaccins, quelques semaines après avoir reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence, aient commencé à pervertir les essais en offrant aux personnes du groupe placebo la possibilité de se faire « vacciner »Moderna a annoncé que

« depuis le 13 avril, tous les participants au groupe placebo se sont vus proposer le vaccin Moderna anti-Covid-19 et 98 % d’entre eux ont reçu le vaccin ».

Ce qui signifie que leur groupe placebo n’existe plus et qu’ils n’ont donc aucun moyen de mesurer avec précision la sécurité à long terme. Il en va de même pour Pfizer.

Dans une étude du British Medical Journal, Peter Doshi cite la FDA qui, à plusieurs reprises, a déclaré que le maintien d’un groupe placebo serait essentiel pour évaluer à la fois la sécurité et l’efficacité des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, ce qui est évident pour quiconque comprend les conséquences du non-respect de la rigueur scientifique lors de l’essai d’une nouvelle thérapie médicale. En effet, sur plus de 200 médicaments approuvés par la FDA entre 2000 et 2010, un tiers d’entre eux se sont avérés présenter de sérieux problèmes de sécurité.

En réalité, les fabricants pourraient avoir de nombreuses raisons de vouloir obtenir l’approbation de la FDA pour leurs [soi-disant – NdT] vaccins, mais la première de ces raisons est probablement le « cachet d’approbation » qui accompagne l’homologation complète et la possibilité de l’utiliser pour convaincre ceux qui restent sceptiques quant à leur sécurité et à leur efficacité. De plus, l’approbation complète de la FDA ouvrirait la voie à des obligations vaccinales plus simples à mettre en œuvre, ce qui mettrait une pression énorme sur les personnes qui composent la « classe éveillée » et qui représentent une épine dans le pied des promoteurs de l’agenda de la Grande Réinitialisation/Grande Convergence.

Dans le processus d’évaluation et d’approbation de ces [soi-disant – NDT] vaccins expérimentaux conduit par la FDA, des incohérences encore plus inquiétantes peuvent être trouvées. Par exemple, la FDA a récemment mis en garde contre l’utilisation de tests d’anticorps pour évaluer l’immunité ou la protection contre le Covid-19, « en particulier » après qu’une personne ait reçu une injection bien que l’autorisation européenne de mise sur le marché ait été accordée à l’origine, en partie, en raison de ces mêmes réponses aux anticorpsLes implications de ce revirement sont que l’autorisation européenne de mise sur le marché conditionnelle accordée pour les [soi-disant – NdT] vaccins contre le covid-19 devrait également être annulée, mais quelle est la probabilité que cela se produise alors que des millions de personnes ont déjà été injectées ?

En outre, l’idée que les « anticorps » assurent une protection contre les infections dites virales témoigne d’une mauvaise compréhension du corps et du système immunitaire. Le fait que les anticorps ne jouent pas un grand rôle dans les infections virales est connu des scientifiques médicaux depuis les années 1950, sur la base de recherches montrant que les personnes atteintes d’une incapacité génétique à produire des anticorps, appelée « agammaglobulinémie », ont des réactions normales aux infections virales typiques et semblent même résister aux récidives.

Note du traducteur : Il est important de préciser que notre organisme dispose de deux systèmes immunitaires : l’inné et l’adaptatif. C’est l’adaptatif qui produit des anticorps — qui sont des défenses spécifiques et ciblées — et il n’est que la barrière secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus :

« Le système immunitaire inné est le moyen initial et principal par lequel notre corps interagit avec un virus. Le système inné aide le corps à trouver un équilibre génétique à chaque nouvelle mise à jour virale qui lui est présentée. Le corps n’a pas besoin de répliquer ou de reproduire les nouvelles informations virales après plus de 4 ou 5 jours de mises à jour. [Il] fonctionne sur des limites saines dans le corps humain, telles que les barrières physiques entre l’intestin et la circulation sanguine, ou sur les vaisseaux sanguins qui régulent étroitement le mouvement des ions, des molécules et des cellules entre la circulation sanguine et le cerveau (appelée barrière hémato-encéphalique), ou au niveau génétique de nos cellules (comme les protéines mutagènes dans nos cellules). En outre, le système immunitaire inné fonctionne à travers une variété d’enzymes [qui] sont maintenant considérées comme centrales à l’immunité innée.

Le système immunitaire adaptatif est le moyen secondaire par lequel notre corps interagit avec les virus. [Il] monte une réponse très spécifique à un virus en utilisant les globules blancs du corps, connus sous le nom de lymphocytes (cellules B et lymphocytes T). Les lymphocytes B sont responsables de la libération d’anticorps dans la circulation sanguine. Les anticorps sont la deuxième méthode d’interaction de l’organisme — et non la première — avec un virus après qu’il ait reçu une nouvelle mise à jour virale ou après qu’il ait développé un déséquilibre avec un virus particulier. Les anticorps sont des défenses spécifiques et ciblées. Ils apparaissent généralement sur les lieux 3 à 6 semaines après l’exposition initiale du corps à un virus. En termes simples, les anticorps agissent comme une équipe de nettoyage, aidant le corps à nettoyer les virus et les bactéries qui ne sont plus nécessaires. Pendant ce temps, les lymphocytes T sont responsables de la stimulation des lymphocytes B à fabriquer des anticorps.
»

Source : « Notre espèce est génétiquement modifiée » — L’humanité est-elle en marche vers l’extinction ? Première partie : Analyse du microbiome et du virome

Quoiqu’il en soit, les deux systèmes immunitaires semblent plus ou moins — selon les individus et la force ou la faiblesse initiale du système immunitaire inné — affectés par les injections, surtout si elles sont répétées.

Voir aussi :

Bill Gates, Moderna et l’eugénisme 2.0

L’un des fabricants de [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 dont il est le plus fait mention dans les médias est Moderna, une société de biotechnologie cofondée par Robert Langer, chercheur et inventeur au MIT. En 2013, la startup de biotechnologie a reçu un financement de 25 millions de dollars de la part de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), un organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, et une organisation bien connue pour sa quête incessante de technologies dystopiques et transhumanistes, telles que les nanoparticules implantables et les interfaces bio-cérébrales — nous y reviendrons.

Il convient de noter que le gouvernement des États-Unis, par l’intermédiaire du National Institute of Health, s’avère avoir un intérêt financier dans le [soi-disant – NdT] vaccin Moderna grâce à un contrat signé par les deux parties, donnant au NIH la propriété conjointe des candidats vaccins à ARNm de Moderna. Selon Axios :

« Le NIH finance principalement des recherches extérieures, mais il invente aussi souvent des technologies scientifiques fondamentales qui sont ensuite cédées sous licence et incorporées dans des médicaments vendus avec des bénéfices colossaux. »

Ceci est plus qu’alarmant étant donné que le NIH est chargé de donner la priorité aux traitements prometteurs pour soigner le Covid-19 et d’améliorer l’efficacité des essais cliniques, ce qui, pour Moderna, est impossible étant donné que leur essai ne contient plus de groupe de témoin. L’intérêt direct du NIH à ce que Moderna prospère peut également expliquer de manière plausible pourquoi la start-up biotechnologique a reçu l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle de son [soi-disant – NdT] vaccin alors qu’elle n’a pas réussi, pendant plus de dix ans [et donc depuis qu’elle existe – NdT], à mettre un seul produit sur le marché.

Lors d’une interview pour Economic Club, le directeur du NIH, Francis Collins, a nié que les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 permettraient de gagner de l’argent, déclarant que « personne ne voit cela comme un moyen de gagner des milliards de dollars ». Cependant, les preuves montrent le contraire, puisque les ventes des [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 de Moderna ont atteint 1,7 milliard de dollars au premier trimestre 2021, faisant de leur PDG, Stéphane Bancel, l’un des nombreux nouveaux milliardaires de l’industrie pharmaceutique.

« Operation Warp Speed » [à la vitesse de l’éclair – NdT], le nom donné à un partenariat entre plusieurs agences fédérales des États-Unis visant à accélérer le développement d’un [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, a également été marqué par des conflits d’intérêts. L’administration chargée de l’Operation Warp Speed a engagé plusieurs « consultants » ayant des liens avec Big Pharma, dont deux anciens cadres de Pfizer. Et en mai 2020, il a été rapporté que leur conseiller principal, le Dr Monsef Slaoui, lui-même ancien cadre de l’industrie pharmaceutique, détenait 10 millions de dollars d’actions GlaxoSmithKline, la même société qui a ensuite obtenu un contrat de 2 milliards de dollars pour fournir au gouvernement des États-Unis 100 millions de flacons pour contenir le [soi-disant – NdT] vaccin anti-Covid-19. Le Dr Slaoui détenait également un nombre important d’actions de la société Moderna, à laquelle le gouvernement fédéral a accordé un financement de plus de 2,5 milliards de dollars.

Le cofondateur de Moderna, Robert Langer, qui dispose d’avoirs dont la valeur nette a également explosé pour atteindre des milliards, est l’un des chercheurs les plus cités au monde. Scientifique au MIT, Langer détient plus de 1 400 brevets et est spécialisé dans la biotechnologie, la nanotechnologie, l’ingénierie tissulaire et l’administration de médicaments. En outre, Langer occupe un poste administratif au Media Lab du MIT, le même institut qui a fait l’objet d’un scandale après la découverte d’un financement octroyé à ce même laboratoire par Jeffrey Epstein, un prédateur sexuel condamné. Il se trouve qu’Epstein entretenait également une fascination troublante pour le « transhumanisme », une version moderne de l’eugénisme — le transhumanisme est abordé plus loin dans cet article.

Le directeur du MIT Media Lab de l’époque, Joi Ito, a ensuite approuvé deux donations d’Epstein pour un montant de 1,75 million de dollars et a permis au pédophile prolifique de « diriger » vers le laboratoire des fonds provenant d’autres riches bienfaiteurs, y compris une donation de 2 millions de dollars de Bill Gates, lequel entretient également des liens troublants avec Epstein, ayant voyagé dans son jet privé et l’ayant rencontré à plusieurs reprises. Lorsque la nouvelle a éclaté et que Joi Ito a démissionné de son poste au laboratoire, Langer a été l’une des premières personnes à signer une lettre lui demandant de rester, et en tant qu’administrateur du bureau du directeur du laboratoire, il est difficile de croire qu’il n’était pas déjà au courant des dons d’Epstein.

Décrit comme le « dénominateur commun » au sein d’initiatives multiples axées sur le coronavirus, Robert Langer est sans conteste un acteur du mouvement transhumaniste qui ne manque pas de nous intéresser. En 2015, sa société, Microchips Biotech, s’est associée au géant pharmaceutique israélien, Teva Pharmaceutical, pour commercialiser son « dispositif implantable d’administration de médicaments » [dispositif qui assure la libération prolongée d’un médicament pendant la durée souhaitée, généralement sur des périodes de plusieurs mois ou années – NdT]. Il convient de noter que Teva Pharmaceutical a reçu des investissements importants de Warren Buffett, qui, en 2006, s’est engagé à faire progressivement don de sa fortune à la Fondation Bill & Melinda Gates, une organisation dont il était administrateur jusqu’à très récemment.

Langer a également des liens avec Charles Lieber, un scientifique de Harvard spécialisé dans les nanotechnologies qui a été arrêté en janvier pour avoir fait de fausses déclarations aux autorités fédérales concernant sa collaboration avec des scientifiques chinois de l’université de Technologie de Wuhan. En 2012, Langer et Lieber ont travaillé ensemble pour créer un « matériau qui fusionne l’électronique à l’échelle nanométrique avec les tissus biologiques ». Ce matériau a été décrit comme « un premier pas vers des prothèses qui communiquent directement avec le système nerveux ».

Une grande partie des recherches de Langer sont soutenues par Bill Gates, qui a commencé à financer la technologie ARNm en 2010 et a également investi des millions dans Moderna. En 2017, la Fondation Bill & Melinda Gates a parrainé un projet du laboratoire de Langer visant à créer un système d’administration de vaccins par microparticules qui pourrait générer un « nouveau type de particule porteuse de médicament », permettant d’administrer plusieurs doses d’un vaccin sur une période prolongée avec une seule injection. Puis, en 2019, Gates et Langer se sont à nouveau associés pour créer un tatouage à l’encre invisible qui « incorpore les dossiers de vaccination dans la peau d’un enfant ». De manière tout à fait préoccupante, l’objectif à terme du projet est d’injecter des capteurs qui pourront être utilisés pour suivre « d’autres aspects » de la santé.

Gates prétend avoir besoin de ces données pour « prévenir les maladies » et le dit en se référant à ses efforts pour éradiquer dans le monde la polio, la rougeole et d’autres maladies « infectieuses ». Cependant, les diverses initiatives « sanitaires » de Gates dans les pays en développement ne sont pas l’œuvre d’un philanthrope bienveillant, comme les médias voudraient nous le faire croire. Au contraire, tout porte à croire que l’engagement de Bill Gates dans le domaine de la santé publique représente la poursuite d’un programme eugénique de longue date, caché au grand jour. Les liens de Bill Gates avec le mouvement eugéniste commencent avec son père, qui a fait l’éloge des Rockefeller pour leur travail dans le domaine de la « santé publique » et les a même rencontrés en 2000 pour discuter de questions relatives aux maladies infectieuses, aux vaccins et à l’environnement. Au cours de cette rencontre, William Gates senior aurait déclaré :

« Prenant exemple et s’inspirant du travail déjà accompli par la Fondation Rockefeller, notre fondation a en fait lancé GAVI en promettant 750 millions de dollars à un instrument appelé Fonds mondial pour les vaccins destinés aux enfants, un instrument de GAVI. »

Il est intéressant de noter que, près de dix ans après cette réunion, Bill Gates junior a co-organisé une réunion avec David Rockefeller consacrée à la réduction de la population.

Ce qui est peut-être encore plus révélateur, c’est qu’en 2012, Bill et Melinda Gates ont organisé leur Sommet de Londres sur le planning familial, où ils ont annoncé leur engagement en faveur du contrôle de la population dans le tiers-monde, à l’occasion du 100e anniversaire du Premier congrès international sur l’eugénisme, qui s’est également tenu à Londres.

Bill Gates est bien connu pour son obsession des vaccins, une quête curieuse si l’on considère que les 9 000 000 de personnes qui meurent chaque année de la faim seraient mieux servies si elles disposaient d’eau potable, d’un approvisionnement en nourriture, d’équipements d’assainissement convenables et un environnement sain. En 2009, la Fondation Gates a financé des études d’observation en Inde pour un vaccin controversé contre le cancer du col de l’utérus, le « Gardasil », qui a été administré à des milliers de jeunes filles. En quelques mois, de nombreuses jeunes filles ont commencé à tomber malades et, au bout d’un an, cinq d’entre elles étaient décédées.Au cours d’une étude similaire portant sur une autre marque de vaccin contre les papillomavirus humains, de nombreuses jeunes filles ont été hospitalisées et deux autres sont décédées.The Economic Times of India a publié en 2014 un rapport sur ce sujet, avec la révélation choquante suivante :

« Dans de nombreux cas, le consentement à la réalisation de ces études a été obtenu auprès des directeurs de foyers, ce qui constitue une violation flagrante des normes. Dans de nombreux autres cas, l’empreinte du pouce de leurs parents pauvres et analphabètes était dûment apposée sur le formulaire de consentement. Les enfants n’avaient également aucune idée de la nature de la maladie en question pas plus que celle du vaccin. Dans un très grand nombre de cas, les autorités concernées n’ont pas pu fournir les formulaires de consentement requis pour les enfants vaccinés. »

Note du traducteur : Plus exactement, c’est le Sama — une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes — qui a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face au déluge de réactions négatives, le Conseil indien de la recherche médicale a suspendu le projet Path à l’origine de cette expérimentation.

« Path — anciennement connu comme le Program for Appropriate Technology in Health [Programme de technologie appropriée en santé – NdT] — est une ONG basée à Seattle, largement financée par la Fondation Bill & Melinda Gates mais qui reçoit également d’importantes subventions du gouvernement des États-Unis. Entre 1995 et le jour de la rédaction de cet article (mai 2021), Path a reçu plus de 2,5 milliards de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates.
[…]
C’est alors que la commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter sur l’affaire et le 17 mai de la même année, Sama a produit un rapport accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais, et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.

[…] la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, en constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes — souvent des membres du personnel des foyers où vivaient les jeunes filles — et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations quant à la nécessité de cette vaccination, à ses bénéfices et inconvénients ou à ses potentiels effets secondaires. »

Source : Comment Bill Gates et Big Pharma ont utilisé des enfants comme « cobayes »… sans être inquiétés par la justice

Le rapport du Comité permanent de la santé du Parlement indien peut être consulté ici.

Voir aussi :

Également en Inde, Bill Gates a promu un vaccin oral contre la polio, après s’être efforcé d’y éradiquer la maladie. Cependant, comme nous l’avons vu précédemment dans cet article, des produits chimiques toxiques sont impliqués dans l’étiologie de la polio et la maladie ne peut donc pas être éradiquée par l’utilisation de vaccins. En fait, les chiffres de la santé mondiale indiquent que plus de cas de polio sont maintenant causés par les vaccins eux-mêmes que toute autre chose. En 2018, un groupe de courageux scientifiques indiens a publié une étude dans l’International Journal of Environmental Research and Public Health montrant une corrélation entre les distributions du vaccin oral contre la polio et l’augmentation des cas de « paralysie flasque aiguë » [aussi appelé logiquement « syndrome de pseudo-polio » – NdT], une condition décrite comme « cliniquement indiscernable » de la polio.

Ironie du sort, Bill Gates a investi 23 millions de dollars dans Monsanto, la société qui commercialise le Roundup, un pesticide contenant du glyphosate et connu pour ses effets néfastes sur la santé, avec notamment des troubles neurologiques et des paralysies [comme Alzheimer et Parkinson, la liste est trop longue pour citer tous les troubles dus au Roundup, mais on notera tout de même que la liste inclut des affections respiratoires – NdT].

Si beaucoup pensent que Gates donne son argent de manière désintéressée pour financer ces campagnes de vaccination, il convient de noter que ses investissements dans les vaccins lui ont rapporté des sommes considérables. En 2019, la Fondation Bill & Melinda Gates avait fait don d’un peu plus de 10 milliards de dollars à diverses initiatives liées aux vaccins, dont GAVI (l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination). Bill Gates l’a qualifié de « meilleur investissement qu’il ait jamais fait », estimant un rendement de 20-1, soit environ 200 milliards de dollars sur vingt ans. En effet, la valeur nette de la fortune de Bill Gates a plus que doublé au cours des dix dernières années.

Et n’oublions pas que plus de la moitié des décès dans les pays à revenu faible ou intermédiaire sont dus à des maladies non transmissibles, auxquelles la Fondation Bill et Melinda ne semble guère s’intéresser, puisqu’elle y consacre moins de 3 % de son budget.

En outre, les activités de Bill Gates dans le domaine de la santé publique sont entachées de conflits d’intérêts qui sembleraient remettre en question l’idée qu’il se soucie de la santé des populations. Nombre de ces conflits d’intérêts sont décrits par David Stuckler, scientifique à Harvard, dans une étude publiée dans PLOT Medecine et intitulée « Philanthropie en santé mondiale et relations institutionnelles : comment traiter les conflits d’intérêts ? », dans laquelle il affirme que :

« À titre d’exemple, nous avons constaté que la Fondation Bill & Melinda Gates détient des participations importantes dans la société Coca-Cola, et participe également à des subventions qui encouragent les communautés des pays en développement à devenir des filiales commerciales de Coca-Cola. Certains commentateurs ont noté que les boissons sucrées telles que celles produites par Coca-Cola sont en corrélation avec l’augmentation rapide de l’obésité et du diabète dans les pays en développement. »

Il ajoute :

« De nombreuses subventions de développement pharmaceutique de la Fondation peuvent bénéficier à des sociétés pharmaceutiques de premier plan telles que Merck et GlaxoSmithKline. […] Plusieurs subventions sont liées à des entreprises qui sont représentées au sein de son conseil d’administration en tant qu’investisseurs de la Fondation. »

Les médias font rarement état de ces conflits d’intérêts inquiétants, ce qui n’est pas surprenant puisque Gates finance tous les grands organes d’information.

Qualifier l’injection imprudente et généralisée des [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux anti-Covid-19 d’initiative imprégnée de pensée eugéniste n’aurait rien de saugrenu compte tenu du nombre de personnalités et d’institutions impliquées dans la course au [soi-disant – NdT] vaccin qui ont des liens avec le mouvement eugéniste. En fait, les concepteurs du [soi-disant – NdT] vaccin Oxford-AstraZeneca sont également liés à la aujourd’hui re-nommée British Eugenics Society, fondée par le père de l’eugénisme, Francis Galton. Ces liens sont détaillés par la journaliste d’investigation Whitney Webbdans son article intitulé « Les concepteurs du vaccin Oxford-AstraZeneca liés au mouvement eugéniste britannique ».

Lorsqu’il s’agit de protéger la santé publique, la témérité dont font preuve les politiciens, les scientifiques et les entreprises pharmaceutiques est impardonnable compte tenu de l’impact généralisé qu’auront ces [soi-disant – NdT] vaccins expérimentaux. Nous avons déjà commencé à voir les résultats du déploiement d’une technologie de thérapie génique dangereuse sur un public naïf et confiant, le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) montrant plus de décès liés aux [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19 que tous les autres vaccins réunis au cours des 30 dernières années.

Note du traducteur : En effet,

La mortalité associée aux vaccins aux États-Unis de 1990 à 2021Rien de tout cela n’est surprenant, compte tenu de la hâte avec laquelle les essais cliniques ont été menés et des nombreux points d’interrogation relatifs à la fiabilité des données rapportées. Par exemple, les fabricants de ces [soi-disant -NdT] vaccins ont déclaré que leurs « produits » étaient « efficaces à 95 % », un chiffre qu’ils ont obtenu en utilisant une réduction du risque relatif plutôt qu’une réduction du risque absolu, lequel était d’environ 1 % dans la plupart des cas, un fait qui n’a jamais été souligné par les médias grand public.

En outre, les phases d’essai précédentes de ces produits n’ont pas été conçus pour évaluer leurs effets sur l’infection, la transmission, les hospitalisations ou les décès, ce qui laisse perplexe étant donné que ces paramètres sont justement ceux qui auraient dû être prioritaires si nous faisions vraiment face à une pandémie virale. Encore que ceci peut être un geste calculé de la part des fabricants de ces [soi-disant – NdT] vaccins, qui savaient qu’ils auraient plus de chances de truquer les résultats en utilisant le critère principal de « Covid-19 quelle que soit sa gravité ». Après tout, l’augmentation spectaculaire des injections antigrippales n’a pas été associée à une diminution de la mortalité.

Peter Doshi, un rédacteur du British Medical Journala remis en question de nombreux aspects de ces essais vaccinaux pour le moins controversés, notamment la possibilité que les analgésiques masquent les symptômes du Covid-19 dans les différents groupes d’essai, ainsi que la [soi-disant – NdT] objectivité des « Comités d’adjudication des effets primaires » chargés de compter les cas de Covid-19. Dans le cas de Pfizer, ce comité était composé d’employés de Pfizer.

Note du traducteur : Ces comités doivent appliquer, a priori, la procédure par laquelle les événements cliniques identifiés comme des critères d’évaluation potentiels sont soumis à un panel d’experts indépendants pour être évalués en aveugle.

Récemment, le Doctors for Covid Ethics, un groupe composé du Dr Michael Palmer, du Dr Sucharit Bhakdi et du Dr Stefan Hockertz, a publié une déclaration d’experts concernant le danger et l’efficacité du [soi-disant – NdT] vaccin Pfizer, déclaration qui a été transmise dans le cadre d’un procès contestant l’autorisation par l’Union européenne de l’utilisation du [soi-disant – NdT] vaccin pour les enfants de 12 ans et plus. Le document indique que l’efficacité déclarée du produit à ARNm de Pfizer était « selon toute vraisemblance complètement frauduleuse » et que

« Pfizer, l’Agence européenne des Médicaments et la FDA ont systématiquement négligé les preuves issues d’essais précliniques effectués sur des animaux qui mettaient clairement en évidence les graves dangers d’effets indésirables. »

Note du traducteur : En ce qui concerne les essais précliniques dont il est fait mention ci-dessus, voir les articles suivants :

« Alors que les animaux semblaient posséder des anticorps contre le virus, et auraient théoriquement dû être protégés, ils sont tombés gravement malades et la plupart sont morts lorsqu’ils ont été exposés au coronavirus naturel. »

Mais bien sûr, rien de tout cela n’est abordé dans les médias grand public. En lieu et place, on nous sert sans cesse les mêmes discours : « les vaccins sont sûrs et efficaces », « suivez la science », « écoutez les experts ». Et par « experts », ils entendent bien sûr les marionnettes pharmaceutiques sans âme comme le Dr Anthony Fauci, directeur de l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses, qui vomit des mensonges sur les soi-disant infections virales depuis l’apparition du Sida en 1984. Le fait qu’un personnage comme Fauci occupe son poste depuis plus de trente ans en dit long sur le fonctionnement du système. Le regretté prix Nobel et inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR), Karry Mullis, a fustigé Fauci dans une interview :

« Il ne sait vraiment rien sur rien, et je le lui dirais en face. Rien. Cet homme pense que l’on peut prendre un échantillon de sang et le mettre dans un microscope électronique et que s’il y a un virus dedans, on le saura. Il ne comprend pas la microscopie électronique et il ne comprend pas la médecine. Il ne devrait pas être dans une position telle que celle qu’il occupe […] Passer à la télévision devant les gens qui paient son salaire et mentir directement à la caméra ne dérange absolument pas Tony Fauci. »

Un futur transhumaniste

En plus d’être une thérapie génique, une technologie associée à l’eugénisme et au transhumanisme, selon les scientifiques, la technologie ARNm

« permet le développement rapide de nouveaux vaccins dans un délai très court de quelques semaines plutôt que de quelques mois. »

Nous pourrions donc être confrontés à la perspective d’un avenir truffé de « vaccins » à la demande créés pour « protéger » le public contre de nouvelles menaces invisibles.

Note du traducteur : À ce sujet, voir aussi « Vaccins » à ARN et conquête commerciale planétaire — Le plan derrière le Covid-19

En effet, puisque les vaccinologues parlent d’ores et déjà de « variants », d’injections de rappels et de [soi-disant – NdT] vaccinations anti-Covid-19 périodiques, on peut dire que tout semble aller dans ce sens. Et bien sûr, grâce aux conglomérats de Big Tech liés au renseignement, toutes ces données seront enregistrées dans un « passeport vaccinal » relié à votre téléphone intelligent, qui constituera sans aucun doute la base d’un nouveau type de carte d’identité numérique liée à votre compte bancaire et, à terme, à votre crédit social.

En effet, en 2019, la société Microsoft de Bill Gates a déposé un brevet, opportunément nommé Brevet WO2020060606 [notez aussi le WO pour World Order – NdT)], portant sur un « système de crypto-monnaie utilisant des données d’activation corporelle », un autre indice quant aux véritables intentions de l’élite technocratique qui finance et promeut le programme transhumaniste. Le titre du brevet évoque à lui seul les images d’une société esclavagiste dans laquelle les humains sont équipés de biocapteurs et reçoivent des jetons numériques pour avoir accompli les tâches qui leur sont confiées par l’élite dirigeante.

Mais ce qui est peut-être encore plus alarmant, c’est l’empressement à obtenir l’autorisation d’utiliser les thérapies géniques chez les jeunes enfants. Pfizer est actuellement au milieu d’un essai clinique mondial, dans le cadre duquel le laboratoire pharmaceutique teste ses [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm chez des bébés de 6 mois à peine,en dépit du fait que le « Covid-19 », si l’on suppose que cette maladie existe, ne touche pratiquement pas les enfants. En fait, selon les chiffres du CDC, le taux de létalité chez les enfants est de 20 pour 1 000 000, soit 0,002 %, ce qui est probablement inférieur au risque de dommages permanents ou de décès lié au vaccin ROR. Il est également inférieur au taux de mortalité lié au [soi-disant – NdT] vaccin contre le Covid-19, tel que calculé à partir des données du VAERS au moment de la rédaction de cet article(5 612 décès sur 165 000 000 de personnes entièrement vaccinées aux États-Unis = 0,003 %). En outre, des recherches ont établi un lien entre le [soi-disant – NdT] vaccin de Pfizer et la myocardite symptomatique, avec un taux d’incidence estimé à 1 sur 3 000 ou à 1 sur 6 000 chez leshommes jeunes.

L’empressement à intégrer ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm dans le calendrier de vaccination des enfants n’a rien à voir avec la santé ou la protection, mais constitue plutôt une étape vers un objectif bien plus sinistre, à savoir le contrôle du corps humain lui-même.

Comme nous l’avons déjà mentionné dans cet article, la DARPA, l’organe de recherche du ministère de la Défense des États-Unis, a travaillé à la création de nanotechnologies capables de s’interfacer avec les cellules biologiques. En 2014, la DARPA a lancé son programme « In Vivo Nanoplatforms (IVN) », dans le but de développer des nanoplatformes implantables permettant de collecter des données biologiques et de fournir un « suivi physiologique continu ». Le programme a depuis contribué à créer des hydrogels injectables qui surveillent les réponses physiologiques et peuvent se synchroniser avec un smartphone.

En outre, la DARPA, ainsi que le NIH, financent largement Profusa, une société de biotechnologie soutenue par Google qui développe et commercialise cette même technologie d’hydrogel injectable, sauf qu’elle est maintenant présentée comme un moyen de détecter les futures « pandémies ». Les capteurs de Profusa seraient capables de

« détecter les infections de type grippal avant même que les symptômes ne se manifestent. »

Bien qu’incroyablement inquiétant, ce n’est qu’un pas vers le but ultime de la DARPA, qui est d’établir une domination sur l’esprit. Cet objectif se reflète dans les recherches de la DARPA visant à créer des « soldats mutants » à l’aide d’« armes génétiques » capables de

« saper l’esprit et le corps des gens en utilisant une série de techniques chimiques, neurologiques, génétiques et comportementales.

La DARPA étudie également les moyens de modifier génétiquement le cerveau afin de lire les pensées des gens et d’induire dans leur esprit des images et des sons. La recherche implique l’utilisation de « nanoparticules magnétiques », la même technologie qui, selon certains, pourrait être incluse dans les [soi-disant – NdT] vaccins anti-Covid-19, qu’ils soient actuels ou futurs.

Tout aussi affligeant est le « Wellcome Leap », une nouvelle initiative créée en partenariat avec deux anciens hommes de pointe et la DARPA par le Wellcome Trust, lui-même lié à l’eugénisme, le Wellcome Trust étant la fondation pour la recherche médicale la plus riche du monde. L’objectif officiel du programme est de [c’est le traducteur qui souligne]

« réaliser des percées en matière de santé humaine sur une période de cinq à dix ans et de démontrer des résultats apparemment impossibles à obtenir dans des délais apparemment impossibles. »

Actuellement, l’initiative comporte cinq projets principaux, dont le premier est « Préparation et réponse de l’ARN », qui — sachant qu’ils se réfèrent à la fabrication de produits à base d’ARN (thérapies géniques à base d’ARNm) — vise à (c’est l’auteur qui souligne)

« créer un réseau autonome d’installations permettant la fabrication qui fournira une capacité optimale répartie dans le monde entier pour répondre aux besoins d’une future pandémie. »

Notez la certitude apparente d’une future pandémie.

Toutefois, le projet Wellcome Leap le plus inquiétant est sans aucun doute « The First 1000 days » [Les 1 000 premiers jours – NdT], un programme qui vise à utiliser des nourrissons comme cobayes afin de surveiller le développement de leur cerveau et de créer des modèles d’intelligence artificielle pouvant être utilisés pour « prédire avec précision et améliorer les résultats des fonctions exécutives ». Le projet prévoit également l’utilisation de « capteurs mobiles, de vêtements et de systèmes domestiques connectés ». Dans un article détaillé sur le sujet, la journaliste d’investigation Whitney Webb écrit que :

« Fidèle aux liens eugénistes du Wellcome Trust (qui seront approfondis dans la deuxième partie), le projet « Les 1 000 premiers jours » de Wellcome Leap précise que

« l’intérêt réside dans les améliorations d’une fonction exécutive sous-développée vers une fonction exécutive normative ou d’une fonction exécutive normative vers une fonction exécutive bien développée dans l’ensemble de la population afin de produire l’impact le plus large. »

L’un des objectifs de ce projet n’est donc pas de traiter une maladie ou de s’attaquer à un « défi public de santé mondiale », mais plutôt d’expérimenter l’augmentation cognitive des enfants en utilisant des moyens développés par des algorithmes d’intelligence artificielle et une technologie invasive basée sur la surveillance. »Le délai de cinq à dix ans prévu par le Wellcome Leap coïncide avec le projet Neuralink du leader de l’élite en la matière, Elon Musk, qui ambitionne d’instaurer « l’avenir des interfaces cérébrales » afin d’« étendre nos capacités ». Lors d’une interview, Musk a déclaré :

« Je pense que nous sommes à huit ou dix ans d’une utilisation par des personnes qui n’ont pas de handicap. »

Musk, dont la richesse a augmenté de plus de 500 % pendant la [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19, a fondé Neuralink en 2016. La société a récemment levé 205 millions de dollars de fonds auprès de sept sociétés de capital-risque (dont Google Ventures) et de cinq dirigeants de la Silicon Valley. Cependant, Neuralink n’est pas la seule société de biotechnologie à s’être lancé dans cette technologie. Récemment, Synchron, une petite entreprise de biotechnologie et concurrente de Neuralink, a reçu le feu vert de la FDA pour commencer à tester ses implants de puces cérébrales chez l’homme.

Dans dix ans, nous serons en 2030, une année qui revient sans cesse comme celle où les technologies transhumanistes seront monnaie courante dans la société. Selon les prévisions du National Intelligence Council américain, « l’humain augmenté » — la fusion de l’homme et de la machine — sera un thème majeur en 2030. Leur rapport Global Trends 2030publié en 2012, indique que :

« Les prothèses réussies seront probablement directement intégrées au corps de l’utilisateur. Les interfaces cerveau-machine pourraient aussi bien fournir des capacités « surhumaines » améliorant la force et la vitesse, que des fonctions qui n’existaient pas auparavant. »

Il est intéressant de noter que le rapport prévoit également « un nouvel agent pathogène respiratoire facilement transmissible » qui pourrait avoir un impact très perturbateur. Le rapport poursuit en affirmant que

« contrairement à d’autres événements mondiaux perturbateurs, une telle épidémie entraînerait une pandémie mondiale qui causerait directement des souffrances et des décès partout dans le monde, probablement en moins de six mois. »

L’asservissement — Une décision librement consentie

Le déploiement des thérapies géniques à base d’ARNm et la poussée vers une société transhumaniste sont le prolongement du mouvement eugéniste, lui-même fondé sur le concept pseudo-scientifique selon lequel certains humains, en vertu de leur composition génétique, seraient plus « aptes » que d’autres à diriger la société.

Le « héros » de l’épidémie de polio, Jonas Salk, entretenait lui-même des liens avec l’eugénisme, tout comme l’institut nommé en son honneur, le Salk Institute. Leurs recherches sur l’ARNm, financées par le NIH, ont jeté les bases du développement et de la diffusion massive des thérapies géniques, appelées de manière controversée [et à dessein – NdT] « vaccins ». Le danger de cette technologie expérimentale est évident, étant donné qu’elle a déjà causé des milliers de dommages et de décès dans le monde entier.

Le rôle des organisations de renseignement, des technocrates milliardaires et des initiatives pharmaceutiques dans le financement, la recherche et la promotion de ces [soi-disant – NdT] vaccins à ARNm, des interfaces « bio-cerveau », de l’édition de gènes et autres technologies imprégnées d’idéaux eugénistes donne l’image d’un programme mondial qui devrait atteindre sa vitesse de croisière d’ici 2030. L’actuelle [soi-disant – NdT] « pandémie » de Covid-19 a servi à accélérer ce programme en centralisant la richesse et le pouvoir, en faisant entrer la technologie transhumaniste dans le courant dominant et en normalisant les régimes autoritaires. Les essais de Pfizer sur les nourrissons et le projet alarmant « Les 1 000 premiers jours » du Wellcome Leap indiquent que la clé de cet agenda est le conditionnement et le contrôle des enfants dès leur plus jeune âge, ce qu’Aldous Huxley a décrit en détail dans son roman eugéniste prophétique et inquiétant, Le meilleur des mondes.

Ce programme, bien que soutenu par certains des individus et institutions les plus puissants du monde, présente une faiblesse évidente : son succès dépend de notre choix à y consentir. Il ne progressera que si nous le laissons faire. Par conséquent, il appartient à chacun d’entre nous, par une résistance non violente et compatissante, de semer les graines de l’éveil dans la conscience collective de l’humanité.

Source de l’article initialement publié en anglais le 25 août 2021 : New Brave World
Traduction : Sott.net




Bill Gates et le hold-up vaccinal

[Source : mercola.com]

Dans la vidéo ci-dessus, Russell Brand discute du livre de Judy K. Brown, « Perversion of Justice : The Jeffrey Epstein Story » [Perversion de la justice : L’histoire de Jeffrey Epstein], qui détaille la conspiration du silence entourant le plus grand pédophile présumé et magnat du trafic sexuel de notre époque, Jeffrey Epstein.

Le refus des médias de creuser l’histoire d’Epstein, dit Brand, suggère que les médias font partie d’un establishment corrompu qui protège les riches et les puissants, quoi qu’il arrive. Une personne riche et puissante qui bénéficie de la protection des médias traditionnels est Bill Gates.

Gates et Epstein

Brand cite un article du Daily Beast1, selon lequel Gates a eu des dizaines de réunions avec Epstein rien qu’entre 2011 et 2014, généralement au domicile d’Epstein à Manhattan. Lorsque la nouvelle de la relation de Gates avec Epstein a émergé en 2019, Melinda Gates aurait contacté un avocat spécialisé dans le divorce.

Selon The Daily Beast, Gates « a encouragé Epstein à réhabiliter son image dans les médias. » Si cela est vrai, cela suggère que Gates pourrait en effet avoir été plus proche d’Epstein qu’il ne l’a laissé entendre. Une source anonyme qui prétend avoir été présente à plusieurs des réunions a déclaré que les deux étaient « très proches ».

Le Daily Beast affirme également que « des personnes au courant de l’affaire ont déclaré que Gates trouvait la liberté dans le repaire d’Epstein, où il rencontrait un groupe tournant de noms importants et discutait de problèmes mondiaux entre des séries de blagues et de ragots — une atmosphère de ‘club d’hommes’ qui irritait Melinda ».

Lors d’un entretien avec Anderson Cooper, présentateur de CNN, Gates a expliqué que sa relation avec le célèbre trafiquant sexuel de mineurs n’était rien d’autre qu’une tentative naïve d’obtenir des fonds pour ses efforts en matière de santé publique.

Si l’on considère que l’intérêt d’Epstein pour la santé publique semble avoir été une obsession pour l’idée de créer sa propre race de super humains en faisant accoucher ses bébés par des esclaves sexuelles2, cette excuse semble au mieux fragile. Epstein a également fait des dons à la Worldwide Transhumanist Association3.

Gates essaie maintenant de sortir de l’ombre d’Epstein, qualifiant leurs rencontres d’« erreur ». Cependant, Brand a peut-être raison lorsqu’il affirme que l’histoire de la relation entre Gates et Epstein met réellement en évidence l’importance de conserver notre autonomie et de ne pas suivre aveuglément les personnes qui prétendent être supérieures à nous.
Gates est aussi imparfait que n’importe qui d’autre, et peut-être même plus, car la richesse et le pouvoir engendrent la corruption et permettent aux gens de poursuivre des intérêts qui ne seraient pas ou ne pourraient pas être poursuivis à moins d’avoir l’argent et l’influence nécessaires pour garantir le secret.

Gates finance des organismes de santé publique britanniques et américains

Si nous avons appris quelque chose au cours de l’année et demie écoulée, c’est que la corruption est endémique dans nos agences de santé publique et nos organisations médicales. Comme le rapporte Armstrong Economics, la Fondation Bill & Melinda Gates finance — et exerce donc une influence considérable sur — les organismes de santé publique aux États-Unis et au Royaume-Uni :4

« La [Food and Drug Administration américaine] a donné son plein accord aux vaccins de Gates parce qu’elle a subi d’énormes pressions politiques pour le faire. Même CNBC a rapporté que « les responsables fédéraux de la santé avaient subi une pression croissante de la part de la communauté scientifique et des groupes de défense pour approuver pleinement le vaccin de Pfizer et BioNTech… ».

Pendant ce temps, à Londres, une enquête a révélé que la Fondation Bill et Melinda Gates est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des médicaments et des produits de santé, tout comme elle l’est de la FDA aux États-Unis.

La SEC n’a absolument RIEN fait au sujet des informations privilégiées puisque Gates est également un actionnaire MAJEUR de Pfizer / BioNTech mRNA. Des organisations médicales fiables s’opposent à ces vaccins malgré l’approbation de deux organismes de réglementation qui reçoivent de l’argent de Gates, ce qui ne fait qu’introduire des conflits d’intérêts et une corruption potentielle…

La FDA n’a JAMAIS approuvé un type de médicament complètement nouveau en moins d’un an, ce qui soulève de sérieuses questions sur la corruption. Le délai moyen pour obtenir une approbation de la FDA est de 12 ans ! »

L’enquête londonienne à laquelle ils font référence a été publiée dans The Daily Expose le 20 août 2021.5 La MHRA, la version britannique de la FDA américaine, reçoit en fait la majeure partie de son financement de la Fondation Gates, selon l’enquête.

Le 4 juin 2021, la MHRA a étendu son autorisation d’utilisation d’urgence de la piqûre de Pfizer aux enfants âgés de 12 à 15 ans, malgré les risques connus d’inflammation cardiaque. Le Daily Expose écrit :6

« À l’époque, la directrice générale de la MHRA, le Dr June Raine, a déclaré que la MHRA avait « examiné attentivement les données des essais cliniques chez les enfants âgés de 12 à 15 ans et a conclu que le vaccin Pfizer est sûr et efficace dans ce groupe d’âge et que les avantages l’emportent sur tout risque. »

Nous nous demandons si le Dr June Raine et la MHRA ont même lu les résultats de cette étude extrêmement courte et réduite.7 S’ils l’avaient fait, ils auraient vu que 86% des enfants participant à l’étude ont souffert d’un effet indésirable allant de léger à extrêmement grave.8

Seuls 1 127 enfants ont pris part à l’essai, mais seuls 1 097 enfants ont terminé l’essai, 30 d’entre eux n’ayant pas participé après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer. Les résultats ne précisent pas pourquoi ces 30 enfants n’ont pas terminé l’essai… Peut-on vraiment faire confiance à la MHRA pour rester impartiale alors que son principal bailleur de fonds est la Fondation Bill et Melinda Gates, qui détient également des parts dans Pfizer et BioNTech ? Nous ne le pensons pas. »

Gates est lourdement investi dans les entreprises pharmaceutiques

La Fondation Gates possède également des « parts importantes » dans Pfizer et BioNTech, qui ont développé conjointement une injection de COVID qui, le 23 août 2021, a été pleinement approuvée9 par la FDA pour être utilisée chez les personnes âgées de 16 ans et plus.

La Fondation Gates a commencé à orienter ses investissements vers les produits pharmaceutiques en 2002. Cette année-là, Gates a investi 205 millions de dollars dans neuf grandes entreprises pharmaceutiques, dont Pfizer et Johnson & Johnson. « La décision de prendre des participations dans des entreprises individuelles semble être un changement de stratégie et, pour la première fois, aligne les intérêts de l’organisation caritative sur ceux des entreprises pharmaceutiques », rapportait le Guardian à l’époque10.

Selon The Motley Fool11, Gates a initialement investi dans Pfizer « avec l’intention déclarée d’élargir l’accès au contraceptif injectable tout-en-un de la société pharmaceutique ». Lorsque la pandémie de COVID-19 a éclaté, Gates a prédit très tôt que Pfizer serait le premier à obtenir l’autorisation d’utilisation d’urgence.

La Fondation Gates ne s’est pas emparée des actions de BioNTech avant septembre 2019, soit trois mois seulement avant l’apparition de la pandémie de COVID, lorsqu’elle a acheté pour 55 millions de dollars d’actions.

Les prévisions financées par la Fondation Gates ont conduit à la condamnation à mort des maisons de retraite

La Fondation Gates a également versé des centaines de millions de dollars à l’Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME), qui était responsable de la modélisation imprécise qui a conduit plusieurs gouverneurs à « condamner à mort les maisons de retraite ». La Strategic Culture Foundation écrit :12

« Ça chauffe enfin pour le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, à cause de ses politiques de réponse au coronavirus bâclées et criminellement négligentes, pourtant personne ne semble se demander pourquoi Cuomo et certains gouverneurs ont pris les décisions fatidiques qui ont conduit à la surmortalité…

En mars et début avril, les politiciens ont été informés par les « experts » en modélisation de l’IHME, financé par Gates, que leurs hôpitaux étaient sur le point d’être complètement envahis par des patients atteints de coronavirus.

Les modélisateurs de l’IHME ont affirmé que cet afflux massif amènerait les hôpitaux à manquer d’équipements de survie en quelques jours, et non en quelques semaines ou mois. Le temps était compté, et il était temps de prendre des décisions rapides, ont affirmé les modélisateurs. Lors de deux conférences de presse distinctes, le 1er et le 2 avril, M. Cuomo a clairement indiqué que ses décisions politiques étaient fondées sur le modèle de l’IHME ».

Dans l’une de ces conférences de presse, Cuomo a remercié la Fondation Gates « pour le service national qu’elle a rendu ». Le département de la santé de Pennsylvanie a également utilisé les modèles de l’IHME pour orienter sa réponse. Même des bureaucrates fédéraux comme le Dr Anthony Fauci et le Dr Deborah Birx, qui ont tous deux des liens personnels avec Gates, se sont appuyés sur les prévisions de l’IHME pour justifier les fermetures d’établissements, les fermetures d’entreprises et les couvre-feux.

En fin de compte, les modèles de l’IHME n’ont pas fonctionné. Ils n’étaient même pas proches [de la réalité]. « Par exemple, l’IHME a utilisé un taux de mortalité de plus de 3 % alors que le chiffre réel provenant de COVID-19 n’est que d’environ 0,1 % », écrit la Strategic Culture Foundation, qui ajoute13 :

« La responsabilité incombe effectivement aux dirigeants élus qui ont pris les décisions fatidiques d’envoyer les patients malades du COVID dans des maisons de retraite, de verrouiller leurs États et de masquer leurs citoyens à perpétuité, mais ce n’est que la moitié de l’histoire.

Les mauvaises données qu’ils ont utilisées proviennent presque exclusivement du réseau Gates, qui s’est livré à un trafic de pseudo-science et a fait preuve d’une incompétence totale et de prévisions imprudentes depuis le début de l’année dernière. »

Il n’est pas surprenant que Gates soit resté muet sur les échecs flagrants de l’IHME. Comme le note la Strategic Culture Foundation14, il s’est « parfaitement lavé les mains de la manie COVID et est passé à l’exigence que le monde occidental se sacrifie au nom de la dernière « crise » qu’est le changement climatique. »

COVID-19 – Une rampe de lancement pour la grande réinitialisation

Bien sûr, les plans « verts » de Gates vont également accroître sa propre richesse, tout comme la pandémie de COVID l’a fait. En effet, la soi-disant « crise du changement climatique » n’est rien d’autre qu’un autre outil pour mettre en œuvre la Grande Réinitialisation, qui modifiera à jamais le visage de la société et du commerce, en transférant pratiquement toutes les richesses et la propriété à quelques technocrates au sommet, laissant les gens ordinaires sans richesse ni liberté.

Compte tenu de la position de Gates au sein de l’élite technocratique, il n’est pas surprenant que ses empreintes digitales se retrouvent sur toutes les pièces nécessaires de cette partie d’échecs mondiale. Comme vous vous en souvenez peut-être, la Fondation Gates a coparrainé la simulation de préparation à la pandémie d’un « nouveau coronavirus », connue sous le nom d’événement 201, en octobre 2019, avec le Forum économique mondial et le Johns Hopkins Center for Health Security.

L’événement a sinistrement prédit ce qui allait se passer à peine 10 semaines plus tard, lorsque le COVID-19 est apparu. La Fondation Gates et le Forum économique mondial sont également associés15 aux Nations unies qui, tout en gardant un profil relativement bas, semblent être au cœur du programme de prise de contrôle mondialiste.

« Au-delà de la préparation et de la réponse à la pandémie, la justification de la mise en œuvre de l’agenda de la Grande Réinitialisation dans sa totalité sera le changement climatique. »

Le Forum économique mondial, bien qu’il s’agisse d’une organisation privée, fonctionne comme la branche économique et sociale de l’ONU et constitue une force motrice essentielle de la technocratie moderne et du programme de la Grande Réinitialisation. Son fondateur et président, Klaus Schwab, a déclaré publiquement la nécessité d’une « réinitialisation » mondiale pour rétablir l’ordre en juin 202016.

La règle technocratique, qui est ce que la Grande Réinitialisation apportera, s’articule autour de l’utilisation de la technologie — en particulier l’intelligence artificielle, la surveillance numérique et la collecte de Big Data (ce à quoi sert la 5G) — et la numérisation de l’industrie, de la banque et du gouvernement, qui permet à son tour l’automatisation de l’ingénierie sociale et de la règle sociale (bien que cette partie ne soit jamais expressément énoncée).

Au-delà de la préparation et de la réponse à la pandémie, la justification de la mise en œuvre du programme de la Grande Réinitialisation dans sa totalité sera le changement climatique. La Grande Réinitialisation, parfois appelée le plan « reconstruire en mieux », appelle spécifiquement toutes les nations à mettre en œuvre des réglementations « vertes » et des « objectifs de développement durable  »17,18 dans le cadre de l’effort de redressement post-COVID.

Mais l’objectif final est loin de ce que la personne typique envisage lorsqu’elle entend ces plans. L’objectif final est de nous transformer en serfs sans droit à la vie privée, à la propriété privée ou à quoi que ce soit d’autre. En bref, la pandémie est utilisée pour détruire les économies locales dans le monde entier, ce qui permettra ensuite au Forum économique mondial d’intervenir et de « sauver » les pays criblés de dettes. Le prix de ce sauvetage est votre liberté.

La grande réinitialisation

La Grande Réinitialisation n’est pas une théorie de la conspiration, mais un programme rendu public qui va de l’avant, que nous le voulions ou non.

De nombreux dirigeants mondiaux en ont parlé à titre officiel, et en juin 2020, Zia Khan, vice-président senior de l’innovation à la Fondation Rockefeller, a rédigé l’article19 « Rebuilding Toward the Great Reset : Crisis, COVID-19, and the Sustainable Development Goals » [Reconstruire en vue de la Grande Réinitialisation : Crise, COVID-19, et les objectifs de développement durable], qui passe en revue la « crise sociale » nécessitant l’acceptation par le monde d’un Nouvel Ordre Mondial.

L’article a été co-écrit avec John McArthur, membre senior du Brookings Institute, qui est l’un des nombreux groupes de réflexion technocratiques. En gardant à l’esprit ce que je viens de dire sur ce qu’est réellement la Grande Réinitialisation, et les justifications utilisées pour mettre en œuvre le vol des richesses et de la liberté, lisez comment ils présentent ces changements comme étant dans votre meilleur intérêt :

« Le bouleversement peut apporter une nouvelle compréhension et de nouvelles opportunités. Les normes désuètes ou injustes peuvent succomber au besoin pressant de la société pour de meilleures approches. Par exemple, la nécessité d’une intervention gouvernementale massive et urgente a attiré une attention nouvelle sur les filets de sécurité sociale et sur la possibilité d’améliorer considérablement les politiques.

Les conséquences tragiques de la discrimination raciale ont catapulté la prise de conscience des problèmes systémiques et déclenché des perspectives de réformes sociales indispensables. Les améliorations rapides de l’environnement liées à la fermeture de l’économie ont ravivé la conscience des interconnexions profondes entre les écosystèmes, les économies et les sociétés …

Plutôt que de laisser passivement les normes évoluer par inertie ou par hasard, nous pouvons tous mener des actions pour la Réponse et, bientôt, la Récupération d’une manière qui améliore les chances d’une Réinitialisation vers de meilleurs résultats à long terme.

Heureusement, nous avons déjà un point de départ solide pour ce que devraient être les résultats économiques, sociaux et environnementaux du monde. Il y a cinq ans, en 2015, les 193 États membres de l’ONU se sont mis d’accord sur les Objectifs de développement durable (ODD) comme un ensemble commun de priorités à atteindre dans tous les pays d’ici 2030. »

Je crois que la seule façon de l’arrêter est de réagir collectivement aux différents morceaux et parties du plan qui sont déployés. Ils veulent vous faire croire qu’aucune des choses introduites n’a de rapport avec les autres, mais en fait, ce sont toutes des pièces du même puzzle.

Ce serait une erreur tragique de faire confiance à Gates ou à l’un des autres acteurs qui nous sont présentés comme les sauveurs du jour. Ce sont tous des loups déguisés en moutons. La grande réinitialisation est à notre porte, et votre liberté, ainsi que celle des générations futures, dépend de votre combat pour la conserver20.

Notre meilleure chance est de nous impliquer dans la gouvernance locale, qu’il s’agisse de la commission scolaire de votre enfant ou du gouvernement local, et de nous engager dans une désobéissance civile pacifique.

Gates peut être présenté comme un génie omniscient dont la mission est de nous garder en bonne santé et en sécurité, mais ses activités sont incompatibles et ne correspondent pas à son personnage soigneusement fabriqué. À maintes reprises, Gates a exercé son influence dans des affaires où des mensonges ont été proférés et où la santé publique et les droits de l’homme ont été décimés pour le profit.

 Sources et références




Némésis — Ou l’inéluctable triomphe des lois naturelles

Par Zénon − juillet 2021

« La Bête de l’Évènement est là, et elle arrive. »

E.M. (Entretien au Financial Times, 16 avril 2020)

Voici maintenant plus de dix-huit mois que le coronacircus, élu égrégore de l’année dernière par les consommateurs, a préparé l’avènement d’une nouvelle religion scientiste, avec son clergé, ses rituels, ses prophètes et ses hérétiques. Dix-huit mois au cours desquels une immense partie des peuples occidentaux sont littéralement passés de l’hypnose à l’état de possession. Je ne sais pas si vous aurez ressenti la même chose que moi en marchant dans vos rues : les personnes que l’on peut croiser ont de moins en moins l’air de s’appartenir.

Il faut dire que la mafia globaliste s’est bien démenée pour obtenir ce degré de soumission chez des populations prétendument si attachées à leur liberté. Plus que jamais déterminée dans son projet de transformation de l’Humanité en une espèce hybride bio-numérique, l’autoproclamée « élite » technocratique s’est fendue d’un machiavélique scénario pour atteindre au contrôle des corps à travers celui des esprits. Tout y est passé : terreur médiatique, claustration contrainte et isolement des individus, menaces, amendes, décisions arbitraires et injonctions contradictoires permanentes… Ceci ne relève ni d’une incompétence ni d’un sadisme ordinaire, mais constitue la base d’une ingénierie sociale visant à nous faire accepter la violation de notre intégrité physique.

Qui aurait accepté de son plein-gré de participer à ce programme « vaccinal », ou l’aurait même trouvé pertinent sans leurs mensonges incessants ? Qui aurait considéré comme normal le passe « sanitaire » si nous avions massivement refusé le premier confinement ?

Beaucoup de réfractaires ou même d’inoculés le pressentent confusément, mais peu vont jusqu’à se le représenter ainsi : les injections massives actuellement pratiquées ne sont qu’une première étape. Un cheval de Troie nécessaire à l’aboutissement d’un plan plus vaste. La dépopulation en est une des composantes mais non la finalité. Comme je le détaillais dans un texte de juillet 2016, l’objectif à plus long terme de tous les programmes en cours (terrestres et spatiaux) est de créer un continuum électromagnétique depuis la haute-atmosphère jusqu’à nos cellules. D’exercer un contrôle numérique total des survivants, et de déporter la mémoire des autres dans un « nuage » virtuel.

Ce projet transhumaniste est antinaturel par essence. Son dessein affirmé consiste à permettre à une poignée d’illuminés triés sur le volet d’accéder à une immortalité supposément apportée par la fusion du cerveau humain avec la machine. Il s’agit ici d’une négation du plus élémentaire des principes spirituels, antérieur même aux religions : celui de considérer la mort comme une part intégrante de la vie.

Cela devient, même à l’observateur le moins averti, de plus en plus évident : nous avons affaire à une caste dirigeante prête à toutes les transgressions possibles pour atteindre son but. À ce titre, l’actuelle campagne d’injections transgéniques constitue non seulement un crime d’une ampleur inégalée dans l’Histoire, mais également, par la modification de notre ADN, une atteinte à ce que les croyants nommeraient « l’Arbre de Vie », ou en d’autres termes, à la souche originelle depuis laquelle nous nous sommes développés.

Il serait erroné de croire que nos « illuminés » méconnaissent les lois qu’ils violent. Ils le font en parfaite connaissance de cause. Si leur agenda se déroule pour le moment comme prévu, ce n’est qu’en raison du consentement, explicite ou non, des populations à ce programme exposé sous de nombreuses formes, littéraires ou cinématographiques, vouées à faire inconsciemment admettre au public la réalité future qu’ils auront choisie. Cette notion de libre-arbitre est centrale, car elle conditionne et conditionnera chaque jour davantage notre sort à venir. Mais j’aurai l’occasion d’y revenir.

Ce plan, élaboré de longue date, se fonde sur le postulat que l’Esprit humain puisse être contrôlé, voire littéralement reprogrammé au moyen du numérique. Ceci constitue le talon d’Achille d’une conception de la Vie et de l’Homme uniquement quantitative et utilitariste. L’erreur de fond dont il s’agit réside en cette extraordinaire confusion entre l’intellect et la conscience, dont le siège ne saurait être attaché à aucun organe, et dont l’origine n’est pas de ce Monde… La conséquence en est que le futur Golem, cette créature hybride dont les globalistes projettent l’avènement, ne sera tout simplement pas viable.

Cette entité est en réalité déjà mort-née, car dépourvue de connexion à la source, à l’intelligence universelle ou quel que soit le nom qu’on lui donne. Celle-ci nous unit plus profondément que le langage ou la culture, et fait de nous ce que nous sommes au-delà de la personnalité à laquelle nous nous identifions. Rompre ce lien ne saurait donner lieu à la création de l’homme-machine parfaitement docile tant espéré, mais plutôt à l’équivalent d’un poulet sans tête errant quelques instants au hasard de ses influx nerveux avant de s’effondrer. Souvenez-vous du conte de Mary Shelley, et des déboires du docteur Frankenstein dont la créature finit par lui échapper. C’est une assez bonne image du seul résultat que ces apprentis-sorciers pourront obtenir.

Cela ne signifie pas pour autant, loin s’en faut, la victoire des peuples du Monde dans ce combat multidimensionnel. Dans leur rage de ne pouvoir parvenir à leurs fins, les transhumanistes vont déployer tout leur arsenal pour tenter de détruire ce qui est. Le processus est déjà bien entamé, avec la présence d’innombrables poisons dans l’air, l’eau et la nourriture, par le déploiement de technologies mortifères comme la 5G ou encore l’usage d’armes psychotroniques. Nous verrons bien d’autres ignominies commises à l’encontre du vivant, perdrons sans doute beaucoup de nos proches et assisterons de toute façon à la chute de l’« ancien Monde ».

Chaque chose, chaque phénomène ou évènement se trouve cependant compensé dans l’Univers. Et la loi de causalité s’opère, sinon sur le plan matériel, d’ores et déjà dans l’Esprit. En tentant de nous entraîner dans leur folie autodestructrice, les tenants du « Grand Reset » sont tombés dans leur propre piège : celui de se révéler pour ce qu’ils sont à bon nombre d’âmes jusque-là restées insouciantes. Certes bien trop peu pour inverser la tendance. Cette manifestation vitale n’en est qu’à ses balbutiements. Beaucoup succomberont aux chants des sirènes. Mais ils ne feront au fil du temps qu’ajouter au retour de bâton cosmique auquel s’exposent les transgresseurs des lois éternelles.

Et nos maîtres-chanteurs sont ainsi pris dans une course contre-la-montre dont ils n’auront pas le souffle de tenir la durée. Le fait d’avoir recouru à l’adhésion sous contrainte d’une bonne part de la population est déjà un aveu d’échec. Un accord obtenu sous chantage a moins de valeur vis-à-vis de l’astral qu’un pacte faustien signé en bonne et due forme. S’ils accélèrent le processus au mépris de tous les signaux d’alerte, c’est car ils savent que la vérité éclatera et que leur temps est compté.

Ainsi donc sonne le glas d’une emprise multiséculaire sur l’esprit des populations. Le scientisme forcené de ces derniers siècles rencontre dorénavant notre souvenir des lois naturelles, et notre irrépressible instinct de survie. Ce qui n’est encore, pour beaucoup, qu’un léger frémissement de conscience amorce un bouleversement dont nul ne peut à l’heure actuelle sonder la profondeur : l’avènement aussi tardif que douloureux d’une véritable souveraineté individuelle. La remise en question des discours officiels n’en est qu’un signe avant-coureur. Une force inconcevable est en train de renaître du fond des âges pour nous rappeler quels sont notre essence et nos origines.

Cette souveraineté intérieure induit de retrouver le plein usage du libre-arbitre dont je parlais. De demeurer assez alignés pour ne laisser que notre conscience guider nos choix et nos actes. La liberté ne s’achète pas. Elle peut certes parfois coûter cher, mais ceux qui la connaissent peuvent témoigner qu’elle n’a pas de prix. Et n’est-ce pas la condition dans laquelle et pour laquelle nous nous sommes incarnés ?

Chacun de nous se déterminera selon des parts de lui-même et des héritages peut-être encore ignorés. Nul n’échappera quoiqu’il en soit à la grande Révélation, dont nous n’assistons pour le moment qu’aux prémices. Violences et chaos iront crescendo à mesure que l’agenda génocidaire mondial sera dévoilé. Les gens s’en prendront les uns aux autres au sein des nations, des clans, des familles… Il n’existe aucun vocabulaire pour décrire ce au-devant de quoi nous allons. Mais ceci ne doit pourtant pas nous faire dévier d’un iota de ce que nous avions choisi d’éprouver bien avant de venir au Monde. Beaucoup d’entre vous connaissent déjà ce lâcher-prise, et nous serons tous, l’un après l’autre, appelés à nous défaire de l’illusion du contrôle sur quelque aspect que ce soit de l’existence physique. Il s’agira de renaître à nous-mêmes, enfin adultes. Reconnectés aux mondes spirituels dont le confort et les habitudes nous aurons si longuement aliénés.

Beaucoup recherchent cette révélation toute leur vie. Peu réussissent à dompter leur intellect au point d’y parvenir. Mais nous possédons tous la faculté innée de pénétrer les mondes supérieurs. De connaître l’éternité depuis le plan matériel. Il suffit d’habiter pleinement chaque instant pour découvrir que l’infini réside en chaque interstice entre deux pensées. Et pour y ressentir la force d’un Amour si profond, d’une intelligence telle que nous sommes envahis du sentiment de notre petitesse devant l’Univers. Les larmes de joie qui nous viennent alors arrosent la Terre de ce que nous avons de plus pur et de plus magnifique. Je vous l’annonce dès aujourd’hui : du tréfonds de la nuit la plus noire où nous nous apprêtons à entrer brillera plus intensément que jamais notre lumière intérieure. Les circonstances apparentes ne doivent pas nous leurrer. Nous sommes déjà sur le chemin de la Grâce.

Zénon


[Voir aussi :
Note sur le mental et l’astral
Note sur les émotions et les pensées
Réflexion sur la vie, la matière et la conscience
Note sur les problèmes et les opportunités
Sortir de la crise
L’enjeu majeur de notre époque
Un choix déterminant
L’épée, le bon grain et l’ivraie
La clef de la libération
L’avenir se crée maintenant
Note sur l’avenir
L’Effet Jupiter et la purification de l’Humanité
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le Dr Louis Fouché alerte sur l’agenda transhumaniste de la tyrannie sanitaire
Végano-écologisme et transhumanisme : l’union sacrée dans la haine de l’homme et donc dans la haine de Dieu
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Michel Maffesoli : « Le transhumanisme est l’aboutissement de la paranoïa moderne » [Interview]
Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
Du confinement à la Grande réinitialisation
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
La fin de la mondialisation
Après le Nouvel Ordre Mondial
Note sur les mouvements humains et la sagesse du Tao
Vie et mort des systèmes
NOM : qui tire les ficelles ?
La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos
Souveraineté
Effets nocifs des ondes pulsées (Wi-Fi, cellulaires, compteurs intelligents…)
La faillite de la science matérialiste ?
La pandémie des ondes ?
Dossier 5G et ondes pulsées
La religion de l’Antéchrist
La Loi de Karma]




Le trans-numérique contre le pétrole

[Source : plumenclume.org]

Par ISRAEL ADAM SHAMIR

Commençons par une bonne nouvelle. Un mois d’août resplendissant, le dernier mois d’été, a béni le Nord ! Le soleil brille, les lacs sont encore assez chauds pour la baignade, les champignons sont prêts à être cueillis, les framboises sauvages sont pourpres et sucrées, les fauves rousseurs de Bambi gambadent dans la forêt qui s’étend jusqu’à notre maison d’été ; Dieu est dans son paradis – tout va pour le mieux ! À moins que….? Malgré les efforts incessants pour nous faire basculer dans la panique et le désespoir, on ne jette pas si facilement ce monde robuste dans la tourmente, et il y a même des signes d’amélioration (même si des nuages orageux planent toujours à l’horizon).

Les gens quittent les grandes villes pour s’installer dans des villes plus petites, inversant ainsi une longue tendance. Les capitales surpeuplées ont commencé à se débarrasser de leurs habitants excédentaires. Stockholm a commencé à libérer sa population ; Moscou fait de même. Les Russes innovateurs réfléchissent à des plans pour reconstruire leur capitale dans la lointaine Sibérie, laissant Moscou en plan. Les salaires des ouvriers agricoles et dans le bâtiment augmentent, car les travailleurs invités ne sont pas faciles à trouver. Alors que le flux de migrants et de réfugiés se tarit, oui, les salaires des travailleurs ont commencé à augmenter.

Les voyages internationaux sont devenus si compliqués que seuls les très riches ou les très obstinés s’aventurent encore à l’étranger, de sorte qu’il y a davantage de tourisme intérieur – une activité qui était presque éteinte. Pourquoi un Suédois, un Britannique ou un Russe sain d’esprit passerait-il des vacances dans son propre pays, alors qu’il est moins cher et plus exotique d’aller en Espagne, en Turquie ou en Grèce ? Maintenant, avec ces entraves sans fin, ils préfèrent dépenser leur temps et leur argent dans leur propre pays. Un Suédois découvrira les forêts de montagne de Bergslagen ou la ville médiévale de Gotland ; un Russe pourra visiter les monastères de Vologda, oubliés il y a des siècles dans la nature sauvage du Nord, ou parcourir les magnifiques montagnes de l’Altaï ; un Britannique, au lieu des îles Canaries, pourra désormais se rendre dans les rudes Cornouailles ou visiter la majestueuse cathédrale de Salisbury. Nous n’avions jamais été très sensibles à la mondialisation, et notre désir a été exaucé : la mondialisation, c’est fini. Il s’agit sans aucun doute d’un résultat positif d’une évolution très négative.

Cependant, le durcissement des régimes se poursuit partout dans le monde. Certaines libertés élémentaires dont personne ne doutait, si élémentaires que nous ne savions même pas qu’elles étaient des libertés, comme aller au bistrot, allumer une cigarette, conduire sur quelques kilomètres, discuter avec les copains, flirter avec les filles, dépenser son argent de poche, dire ce que l’on pense, tout cela a été balayé comme l’ivraie sur l’aire de battage. Le droit de se réunir, de manifester, de décider de son propre sort, et même le droit de disposer de son propre corps sont désormais considérés comme insalubres et crapuleux. Les autorités prétendent toujours le faire dans notre intérêt, parce qu’elles savent ce qui est le mieux pour nous.

Il y a quelques années, elles se sont attaquées aux fabricants de tabac ; les juges les ont déclarés coupables de chaque cas de cancer et leur ont imposé des milliards d’amendes. Les gens ont applaudi ; personne n’aime les grandes entreprises. Ce n’est que plus tard qu’elles ont commencé à rendre la vie impossible aux personnes qui avaient cette innocente habitude. Maintenant, ils s’en prennent aux compagnies pétrolières. Elles sont grandes et sales ; personne ne les aime. Mais très bientôt, nos factures de chauffage, nos frais de transport et de nourriture vont monter en flèche. Et nous découvrirons alors que se chauffer en hiver n’est pas un droit naturel, mais un grand luxe.

Aujourd’hui, le prix du pétrole a de nouveau baissé, poursuivant la tendance à la baisse. Pourtant, le prix à la pompe ne baisse jamais, et nous ne pouvons donc pas profiter de ce résultat de la guerre du pétrole. Mais quelqu’un en profite : les géants du numérique. Le pétrole mammouth a été vaincu dans le discours par des géants numériques élégants. Il y a vingt ans, lorsque les États-Unis se sont lancés dans les guerres du Moyen-Orient, il était de bon ton de qualifier chacune d’entre elles de « guerre du pétrole », à moins d’être prêt à faire face à une accusation d’antisémitisme (à Dieu ne plaise !). C’est en vain que nous faisions remarquer que Big Oil n’avait pas besoin du pétrole irakien et ne pouvait pas en tirer profit. Nous avons fait remarquer que l’Afghanistan n’avait pas de pétrole, mais l’invasion était toujours présentée comme une guerre pour le pétrole. Les compagnies pétrolières étaient impuissantes à contrer l’accusation sans pointer du doigt Israël, et elles n’ont pas bronché, elles ont gardé un silence de pierre.

Maintenant, nous avons une offensive sérieuse contre les compagnies pétrolières. Les démocrates ont rédigé un projet de loi visant à taxer Exxon, Chevron et une poignée d’autres grandes compagnies pétrolières et gazières, en affirmant que les plus grands pollueurs du climat devraient payer pour les inondations, les incendies de forêt et autres catastrophes que les scientifiques ont liées à l’usage de « combustibles fossiles ». La taxe devrait rapporter 500 milliards de dollars pour la prochaine décennie. Avant de vous réjouir de la chute des grands pétroliers bellicistes, n’oubliez pas qu’ils transféreront chaque centime de cette taxe sur vous, leurs clients. Et qui fait pression pour cette taxe ? Nos chers philanthropes, dit le New York Times :

« Ces compagnies pétrolières et leurs dirigeants sont de loin les parties les plus responsables de la crise climatique », a déclaré Lee Wasserman, directeur du Rockefeller Family Fund, un groupe philanthropique qui a contribué à l’élaboration de la législation proposée. Les compagnies pétrolières ont accusé le Rockefeller Family Fund de financer une conspiration climatique en finançant des recherches qui ont été utilisées dans des litiges contre l’industrie des combustibles fossiles. 

L’histoire remonte à 2016, lorsque la famille Rockefeller a été accusée d’encourager et de financer les enquêtes et les campagnes contre les compagnies pétrolières. Nous poursuivons dans la version non payante, et donc tout public: 

Les deux organisations journalistiques qui ont enquêté sur l’Exxon Mobil ont été financées par des philanthropies Rockefeller, bien que les organisations disent que leurs donateurs n’ont aucun regard sur ce qu’ils écrivent.

Elle est bien bonne, celle-là! Les donateurs seraient donc aussi susceptibles de soutenir The Unz Review que les publications qu’ils soutiennent effectivement, hum!

Les Rockefeller ont également soutenu des groupes comme Greenpeace et 350.org qui ont enquêté et critiqué l’entreprise. Une conférence sur le pétrole et le climat s’est tenue dans les bureaux partagés par deux fonds de la famille Rockefeller avec l’intention « d’établir dans l’esprit du public qu’Exxon est une institution corrompue qui a poussé l’humanité (et toute la création) vers le chaos climatique et de graves dommages ». Alan Jeffers, un porte-parole d’Exxon Mobil, a déclaré dans une interview : « À chaque fois que nous avons vu l’entreprise faire l’objet d’attaques, il y avait un lien de retour vers le Fonds des frères Rockefeller ou le Fonds de la famille Rockefeller. »

Pour nous, il est particulièrement pertinent que le plus ancien scénario connu de la pandémie de Covid et de la réponse privilégiée à celle-ci (Lockstep 2010 – et voici un « déboulonnage de cette accusation » plutôt ridicule) ait été créé par cette même famille Rockefeller, ce vieil ennemi de l’humanité. Leur emprise unique sur les États-Unis avait été ostensiblement brisée en 1911 par une décision de la Cour suprême, mais comme l’hydre mythique, elle s’est fait repousser de nouvelles têtes et elle est revenue à ses vieux jeux de contrôle. Le Covid et l’Agenda vert semblent être inséparables comme des frères siamois, tous deux nés et militarisés par la grâce de ces « philanthropes » internationaux.

Il n’y a pas si longtemps, ils nous exhortaient à nous débarrasser de nos fidèles réfrigérateurs parce qu’ils provoquaient des « trous dans la couche d’ozone » ! Personnellement, je m’en tape, du Green Deal et de son austérité obligatoire.

Sous la bataille bruyante contre les compagnies pétrolières, l’économie réelle est tranquillement étranglée par l’économie numérique. Vous pouvez choisir de regarder encore plus profondément dans le terrier du lapin d’Alice au pays des merveilles,  et d’entrevoir ce qui se cache en dessous. Vous y découvrirez le programme transhumaniste, une idée singulière qui consiste à créer des surhommes androïdes et à se débarrasser des humains ordinaires. La négation de Dieu est à la base de cette idée. Nietzsche l’a popularisée au début du XXe siècle, après avoir lancé sa célèbre boutade « Dieu est mort ». C’est Julian Huxley, le frère d’Aldous Huxley, qui lui a donné le nom de transhumanisme.

L’idée a connu un essor dans les périphéries de la pensée soviétique en raison de son environnement totalement impie. La version pop se trouve dans les livres de science-fiction écrits par les frères Strugatsky. Ils affirment que la transhumanité est la prochaine étape logique de l’évolution, aboutissant inévitablement à des créatures immortelles, connectées à des ordinateurs et incroyablement intelligentes. Les transhumains hériteront de la terre, tandis que les humains ordinaires pourront vivre leur vie naturelle avant de s’éteindre. C’est ici qu’intervient l’idée du revenu de base universel, version moderne du pain et du cirque romains – il s’agit de l’argent que fourniront  les transhumains supérieurs pour permettre aux humains ordinaires de poursuivre leur vie inutile jusqu’à leur disparition naturelle.

Cette étrange idée post-soviétique (ou plutôt anti-soviétique) a été importée dans la Silicon Valley par les informaticiens russo-juifs qui ont formé le noyau de Google. De là, elle s’est répandue parmi le personnel de la haute technologie jusqu’à attirer l’attention des super-riches, qui ont toujours voulu être spéciaux et pas seulement riches. Yuval Noah Harari, écrivain israélien à succès, est devenu l’un des prophètes du transhumanisme, niant l’existence même d’une âme humaine et du libre arbitre. [en anglais :]

Le transhumanisme est la base idéologique de la Wokerie (ou Wokisme ou Wokitude), une façon particulière de parler et de penser qui souligne le statut spécial et supérieur de chacun. Selon Scott Alexander, la wokitude est une religion à mystères inventée par des universitaires pour se sentir supérieurs à vous. Les gens ordinaires n’aiment pas ça, mais on leur fait comprendre que les wokes ont plus d’argent et de pouvoir, et que c’est une raison suffisante pour faire comme eux. C’est une foi, mais ce n’est pas une foi pour tout le monde comme l’était le christianisme. C’est une foi pour la classe dirigeante. La version arienne du christianisme constituait une foi semblable pour les dirigeants de l’Espagne wisigothique jusqu’à ce que les Maures viennent gâcher la fête. La foi judaïque est un autre exemple de religion pour l’élite, faisant de la vie des masses un véritable enfer. Vous ne pouvez pas comprendre les temps que nous traversons si vous n’êtes pas au courant de cette foi cachée de nos supérieurs.

Les transgenres sont exaltés et promus par les médias appartenant à l’élite pour préparer l’humanité à l’avènement du transhumain. Idem pour les vaccins covididiques qui sont promus et poussés avec une vigueur sans précédent. Cela n’est pas fait dans le but de tuer l’humanité, comme le soupçonnent les anti-vaxx, ni dans le but de nous sauver tous du redoutable covid, comme le croient les vaxxeurs. C’est un pas dans la direction de la transhumanité. L’économie numérique, le revenu de base universel, la transsexualité et les vaccins ARNm obligatoires constituent une stratégie d’évolution rapide dont les visionnaires d’aujourd’hui espèrent qu’elle préparera les masses à accepter une super-race transhumaine.

Mais ce sont des choses qui visent loin et profond. Il y a beaucoup d’escroqueries à réussir avant que leur rêve puisse se matérialiser. Revenons au niveau observable, à la lutte actuelle pour l’énergie. La pandémie de Covid a diminué la demande de pétrole en 2020 et 2021, ce qui a permis à l’agenda vert de se développer. Ce n’est pas suffisant ; l’avenir des Verts a besoin d’une autre attaque contre le pétrole, et le variant Delta de Covid fournira l’occasion. La chute actuelle des prix du pétrole a été interprétée comme l’anticipation de reconfinements imminents, tout d’abord en Israël, pays fortement vacciné. Aux États-Unis, malgré une forte vaccination urbaine, on compte 250 000 nouveaux cas par jour, et on entend des demandes stridentes de limitation de l’activité commerciale.

La Chine est un acteur puissant face à Big Oil ; elle dispose de peu de pétrole en propre ; elle est obligée de l’acheter à l’étranger et a donc tout intérêt à faire baisser les prix du pétrole. C’est pourquoi, bien que la Chine compte un nombre dérisoire de personnes souffrant de covidie (125 nouveaux cas ! mille fois moins qu’aux États-Unis), elle limite toujours fortement les voyages. La version chinoise de Google, Baidu, indique que le trafic à Pékin a baissé de 30 % par rapport à la semaine dernière. Bien sûr, nous pourrions expliquer ces mesures draconiennes en invoquant le respect de la Chine pour la vie humaine, mais leur participation à la guerre mondiale du pétrole l’explique peut-être mieux. Les Chinois continuent tranquillement à faire tourner leur économie au charbon, ce qui montre à quel point leurs partenaires verts dans la guerre du pétrole ne craignent pas le changement climatique. Idem pour les États-Unis : Un projet d’accord visant à mettre fin à l’exploitation du charbon n’a pas été repris dans le communiqué de la réunion du G7 de juin en Grande-Bretagne, apparemment parce que l’administration Biden craignait une réaction négative dans le pays.

De toute façon, le client, c’est-à-dire vous, finira par payer plus cher ; en tout cas, c’est l’idée. En Europe, les prix du gaz naturel ont grimpé de 1000 %, rapporte Bloomberg ; le gaz n’est plus bon marché, mais il reste nécessaire pour réchauffer les Européens au cours de l’hiver à venir. Voilà ce qui se passe: le prix est élevé parce que les bureaucrates de l’UE ont basé leurs calculs sur les prix au comptant, qui sont généralement moins chers que les prix des contrats à long terme, et qu’ils avaient prévu d’entuber les fournisseurs de gaz naturel russes, mais ces derniers jours, la tendance s’est inversée en raison du déficit de gaz et de l’augmentation de la demande.

Les Russes étaient censés être les premières victimes de l’agenda vert, du Covid et de la tarification du gaz naturel au comptant, mais apparemment, le grand judoka Poutine-san est une fois de plus sorti vainqueur. Le prix du gaz au comptant était censé appauvrir la Russie, mais il lui a apporté la richesse. L’attaque contre les compagnies pétrolières américaines et britanniques par les pourvoyeurs du Green Deal a, contre toute attente, fait le jeu des compagnies pétrolières russes. La Russie devra payer une taxe climatique, mais cette dépense sera répercutée sur leurs clients internationaux. Le Green Deal a déjà fait de la Russie le deuxième exportateur de pétrole vers les États-Unis, après le Canada.

Le gaz naturel russe arrivera très bientôt, peut-être avant la fin du mois d’août, en Allemagne par le North Stream II, le nouveau gazoduc achevé la semaine dernière. C’est exactement à temps pour contrer la hausse des prix, alors qu’un déficit gazier se fait sentir dans toute l’Europe. Le président Biden a accepté, dans un accord semi-secret avec la chancelière Merkel, de lever les objections américaines au gazoduc européen. L’une des raisons invoquées est une pénurie mondiale de gaz naturel, la Chine et l’Asie du Sud-Est en achetant de plus en plus. Cela aussi est lié au Green Deal, car ses concepteurs considèrent que le gaz naturel est le moins polluant et le moins dommageable des combustibles naturels.

Cette évolution a permis à Poutine de couper l’herbe sous le pied aux autorités ukrainiennes qui avaient tenté de jouer les premiers violons dans l’orchestre anti-russe. Jusqu’à présent, le gaz naturel russe était acheminé vers l’Europe par d’anciens gazoducs de construction soviétique traversant l’Ukraine et entraînant de lourdes taxes de transit au profit de Kiev. Désormais, avec l’achèvement de North Stream II, la majeure partie du gaz ira directement en Allemagne. Le gaz européen deviendra considérablement moins cher ; les Ukrainiens avaient l’habitude de voler une grande partie du gaz destiné à l’Europe occidentale, oscroquaient les deux parties pour les frais de transit. Cela signifie que l’Ukraine aura moins de bénéfices pour jouer ses petits jeux anti-russes. Il n’est pas impossible que le peuple ukrainien comprenne que son avenir réside dans l’amitié avec la Russie, car l’inimitié ne lui a rapporté aucun bénéfice. Selon un récent sondage, près de la moitié des Ukrainiens vivant à l’est et au sud de ce pays fragmenté ressentent une grande affinité avec les Russes et approuvent la vision de M. Poutine selon laquelle les Ukrainiens et les Russes ne forment qu’un seul peuple. Les prix du pétrole et les gazoducs font des merveilles dans l’esprit des gens !

Dans mon récent article, le professeur Roman Zubarev parle de ces changements en termes de « pic pétrolier », le concept d’un déclin inévitable des combustibles naturels extraits. Il y a une dizaine d’années, le pic pétrolier faisait fureur dans les médias, mais depuis, il n’est pratiquement plus mentionné. Cependant, une analyse récente de Fred Pierce, analyste de YaleEnvironment 360, arrive à la même conclusion et va même plus loin : Le pic pétrolier est déjà derrière nous. Apparemment, cela s’est produit en 2019. En mai dernier, des militants en colère contre les politiques climatiques d’ExxonMobil ont remporté trois sièges au sein de son conseil d’administration ; les actionnaires de Chevron ont voté pour obliger l’entreprise à commencer à réduire ses émissions ; et un juge néerlandais a décidé que Shell devait réduire ses émissions de 45 % d’ici 2030. Le pétrole est en voie de disparition, tout comme les voyages et les nombreux autres plaisirs que nous goûtions jadis. Seul l’avenir nous dira si le pétrole a disparu parce que nous n’en avons plus ou parce qu’il a été déclaré démodé, mais dans tous les cas, les élites inspirées par le numérique et le transhumanisme ont décidé de le mettre à la retraite.

Nous pensons que la principale victime de tout cela sera le consommateur américain. Le maladroit Donald Trump se souciait de ce grand pays et de ses habitants, mais n’a pas pu faire grand-chose ; les élites qui s’abreuvent maintenant aux sources du pouvoir ne pourraient pas se soucier moins des Américains ordinaires. Elles ont une vision plus élevée de la transformation de l’humanité et du remodelage de son cours. C’est vous qui paierez pour cela, que cela vous plaise ou non, mais ça, ils s’en moquent.

Les États-Unis de Biden ont moins d’appétit pour les aventures militaires ; l’idéologie du woke est fortement anti-testostérone. C’est une raison suffisante pour le retrait de l’Afghanistan et de l’Irak. On ne peut pas s’attendre à ce que les wokes veuillent aller se battre dans des pays du tiers-monde, loin des plaisirs urbains de New York et de la Californie. Et si leur idéologie élitiste, ou trans-foi, est abominable, mais les conséquences internationales pourraient être positives pour le monde.

En résumé

Nous vivons une lutte titanesque entre un futur numérique contre notre passé pétrolier. Cela explique une grande partie du drame covidique. Dans cette lutte, la Chine, sans pétrole, s’oppose à Big Oil, même au prix de lourdes restrictions et de blocages pour sa population. La Russie s’abstient de participer à l’attaque du « Green Deal » contre les producteurs de pétrole américains, tout en profitant de la hausse de la demande de gaz russe. La Russie dispose de son propre vaccin, elle est donc plutôt à l’abri des pressions orchestrées par les pandémies. L’Afghanistan et l’Irak ne sont plus d’actualité pour les élites de Biden ; elles ont des combats plus urgents à mener chez elles, avant tout contre les nationalistes américains. C’est pourquoi l’empire se retire. En fin de compte, les transhumanistes impies seront vaincus, comme l’ont été tous leurs prédécesseurs, à moins qu’ils n’atteignent d’abord leur « Singularité » (leur nom pour l’avènement de l’Antéchrist). Mais ne nous inquiétons pas trop de l’avenir, car il est dit (Mt, 6:34) : « ne vous inquiétez donc pas du lendemain, car le lendemain aura soin de lui-même. À chaque jour suffit sa peine ».

https://www.unz.com/ishamir/trans-digital-vs-oil/

Écrit en collaboration avec Paul Bennett.

Joindre l’auteur: israelshamir@gmail.com

Traduction: MP.




Un « bond » vers la destruction de l’humanité

[Source : reseauinternational.net]

Par Whitney Webb.

La fondation de recherche médicale la plus riche du monde, le Wellcome Trust, s’est associée à deux anciens directeurs de la DARPA, qui ont développé des projets « skunkworks » de la Silicon Valley, pour ouvrir la voie à une ère de surveillance cauchemardesque, concernant également des bébés de trois mois à peine. Leur programme ne peut progresser que si nous le permettons.

Un organisme britannique à but non lucratif, lié à la corruption mondiale pendant la crise du COVID-19, ayant des liens historiques et actuels avec le mouvement eugéniste britannique, a lancé l’année dernière un équivalent de la DARPA axé sur la santé mondiale. Cette initiative est passée largement inaperçue dans les médias grand public et indépendants.

Le Wellcome Trust, qui a sans doute été le second après Bill Gates dans sa capacité à influencer les événements pendant la crise du COVID-19 et la campagne de vaccination, a lancé son propre équivalent mondial de l’agence de recherche secrète du Pentagone l’année dernière, officiellement pour lutter contre les « défis sanitaires les plus pressants de notre époque ». Bien qu’elle ait été conçue pour la première fois en 2018, cette initiative particulière du Wellcome Trust a été filialisée en mai dernier avec un financement initial de 300 millions de dollars. Elle a rapidement attiré deux anciens cadres de la DARPA, qui avaient auparavant servi dans les hautes sphères de la Silicon Valley, pour gérer et planifier son portefeuille de projets.

Cette DARPA de la santé mondiale, connu sous le nom de Wellcome Leap, vise à trouver des « solutions scientifiques et technologiques révolutionnaires » d’ici à 2030, en mettant l’accent sur les « défis complexes de la santé mondiale ». Le Wellcome Trust est ouvert sur la manière dont Wellcome Leap appliquera les approches de la Silicon Valley et des sociétés de capital-risque au secteur de la santé et des sciences de la vie. Sans surprise, leurs trois programmes actuels sont prêts à développer des technologies médicales incroyablement invasives axées sur la technologie, et dans certains cas ouvertement transhumanistes, notamment un programme exclusivement axé sur l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA), de capteurs mobiles et de technologies portables de cartographie cérébrale pour les enfants de trois ans et moins.

Cette enquête d’Unlimited Hangout explore non seulement les quatre programmes actuels de Wellcome Leap, mais aussi les personnes qui se cachent derrière. L’image qui en résulte est celle d’un projet incroyablement sinistre qui représente non seulement une grande menace pour la société actuelle mais aussi pour l’avenir de l’humanité elle-même. Une prochaine enquête d’Unlimited Hangout examinera l’histoire du Wellcome Trust ainsi que son rôle dans les événements récents et actuels.

Le leadership de Leap : Fusionner l’homme et la machine pour l’armée et la Silicon Valley

Discours-programme de Regina Dugan au F8 2017 de Facebook. source : YouTube

Les ambitions de Wellcome Leap sont clairement exprimées par la femme choisie pour le diriger, l’ancienne directrice de la DARPA du Pentagone, Regina Dugan. Dugan a commencé sa carrière à la DARPA en 1996 ; elle a dirigé un groupe de travail sur le contre-terrorisme en 1999 avant de quitter la DARPA environ un an plus tard. Après avoir quitté la DARPA, elle a cofondé sa propre société de capital-risque, Dugan Ventures, puis est devenue conseillère spéciale du vice-chef d’État-Major de l’armée américaine de 2001 à 2003, ce qui a coïncidé avec les invasions de l’Afghanistan et de l’Irak. En 2005, elle a créé une entreprise technologique axée sur la défense, appelée RedXDefense, qui passe des contrats avec l’armée et plus particulièrement avec la DARPA.

En 2009, sous l’administration Obama, Dugan a été nommée directrice de la DARPA par le secrétaire à la Défense Robert Gates. On a beaucoup parlé d’elle en tant que première femme directrice de l’agence, mais on se souvient surtout d’elle pour son approche de l’innovation, dite des « forces spéciales ». Pendant son mandat, elle a créé le Transformational Convergence Technology Office de la DARPA, aujourd’hui disparu, qui se concentrait sur les réseaux sociaux, la biologie synthétique et l’intelligence artificielle. Bon nombre des thèmes précédemment encadrés par ce bureau sont désormais supervisés par le Biological Technologies Office de la DARPA, qui a été créé en 2014 et se concentre sur tout, « des microbes programmables à la symbiose homme-machine ». Le Biological Technologies Office, comme Wellcome Leap, poursuit un mélange de programmes biotechnologiques « axés sur la santé » et de projets transhumanistes.

Juste avant de quitter son poste à la DARPA, Dugan a donné le feu vert aux premiers investissements de l’agence dans la technologie des vaccins à ARNm, qui ont conduit aux investissements de la DARPA dans Pfizer et Moderna peu après. Le scientifique de la DARPA qui a fait pression sur Dugan pour qu’il soutienne le programme, Dan Wattendorf, travaille aujourd’hui comme directeur des solutions technologiques innovantes à la Fondation Bill et Melinda Gates.

Si les efforts de Dugan au sein de la DARPA restent dans les mémoires de ceux qui travaillent dans le domaine de la sécurité nationale, mais aussi dans celui de la Silicon Valley, Dugan a fait l’objet d’une enquête pour conflit d’intérêts lorsqu’elle était directrice de la DARPA, sa société RedXDefense ayant acquis des millions de dollars de contrats du Département de la Défense pendant son mandat. Bien qu’elle se soit récusée de tout rôle officiel au sein de l’entreprise pendant qu’elle dirigeait la DARPA, elle a continué à détenir une participation financière importante dans l’entreprise, et une enquête militaire a révélé par la suite qu’elle avait violé les règles d’éthique dans une large mesure.

Au lieu d’être tenue responsable de quelque manière que ce soit, Dugan est devenue un cadre supérieur de Google, où elle a été chargée de gérer le groupe Advanced Technology and Products Group (ATAP) de Google, qui était issu de Motorola Mobility après l’acquisition de cette société par Google en 2012. L’ATAP de Google était modelé sur la DARPA et employait d’autres anciens fonctionnaires de la DARPA en plus de Dugan.

Chez Google, Dugan a supervisé plusieurs projets, dont ce qui constitue aujourd’hui la base de l’activité de « réalité augmentée » de Google, connue à l’époque sous le nom de Projet Tango, ainsi que des vêtements « intelligents » dans lesquels des capteurs multitouch étaient tissés dans des textiles. Un autre projet dirigé par Dugan prévoyait l’utilisation d’un « tatouage numérique » pour déverrouiller les smartphones. Le projet le plus controversé est peut-être celui qui a donné naissance à une « pilule d’authentification numérique ». Selon Dugan, lorsque la pilule est avalée, « votre corps entier devient votre dispositif d’authentification ». Pour Dugan, la pilule et nombre de ses autres activités chez Google visent à remédier à « l’inadéquation mécanique entre les humains et l’électronique » en produisant une technologie qui fusionne le corps humain et les machines à des degrés divers. Alors qu’elle occupait cette fonction chez Google, Dugan a présidé un panel lors de la Clinton Global Initiative de 2013 intitulé « Game-Changers in Technology » et a assisté à la réunion Bilderberg de 2015, où l’IA était l’un des principaux sujets de discussion.

En 2016, Dugan a quitté Google pour Facebook où elle a été choisie pour être la première responsable de la propre agence de recherche de Facebook équivalente à la DARPA, alors connue sous le nom de Building 8. Les liens entre la DARPA et les origines de Facebook ont été abordés dans un récent rapport d’Unlimited Hangout. Sous la direction de Dugan, Building 8 a investi massivement dans la technologie d’interface cerveau-machine, qui a depuis donné naissance aux bracelets « neuronaux portables » de la société, qui seraient capables d’anticiper les mouvements de la main et des doigts à partir des seuls signaux du cerveau. Facebook a présenté des prototypes de ce projet plus tôt cette année.

Dugan a quitté Facebook dix-huit mois seulement après avoir rejoint Building 8, annonçant son intention de « se concentrer sur la construction et la direction d’une nouvelle entreprise », ce qui était apparemment une référence à Wellcome Leap. Dugan a déclaré par la suite que c’était comme si elle s’était préparée à son rôle au sein de Wellcome Leap depuis son entrée dans la vie active, le présentant comme l’apogée de sa carrière. Lorsqu’on lui a demandé, lors d’une interview réalisée plus tôt dans l’année, quels étaient les clients de Wellcome Leap, Dugan a répondu longuement, mais essentiellement que le projet était au service des industries biotechnologiques et pharmaceutiques, d’organisations internationales telles que l’ONU et de partenariats public-privé.

Outre son rôle à Wellcome, Dugan est également membre du groupe de travail parrainé par le Council on Foreign Relations sur la politique américaine en matière de technologie et d’innovation, qui a été formé en 2019. Parmi les autres membres figurent Reid Hoffman de LinkedIn, James Manyika, président mondial de l’Institut McKinsey, Eric Schmidt, ancien dirigeant de Google, et Eric Lander, conseiller scientifique principal controversé du président Biden.

L’autre dirigeant de Wellcome Leap, le directeur de l’exploitation Ken Gabriel, a un parcours étroitement lié à celui de Dugan. Gabriel, comme Dugan, est un ancien responsable de programme à la DARPA, où il a dirigé la recherche sur les systèmes microélectromécaniques (MEMS) de 1992 à 1996. Il a occupé le poste de directeur adjoint de la DARPA de 1995 à 1996 et est devenu directeur de l’Electronics Technology Office de 1996 à 1997, où il aurait été responsable d’environ la moitié de tous les investissements fédéraux en matière de technologie électronique. Au sein de la DARPA, Gabriel a travaillé en étroite collaboration avec le FBI et la CIA.

Ken Gabriel – Directeur de l’exploitation de Wellcome Leap. source : Wellcome Leap

Ken Gabriel a quitté la DARPA pour l’Université Carnegie Mellon, où il était responsable de l’Office for Security Technologies au lendemain du 11 septembre 2001. Ce bureau a été créé après le 11 septembre 2001 spécifiquement pour aider à répondre aux besoins du gouvernement fédéral en matière de sécurité nationale, selon l’annonce du programme par Carnegie Mellon. À peu près à la même époque, Ken Gabriel a été considéré comme « l’architecte de l’industrie des MEMS » en raison de ses travaux antérieurs à la DARPA et de la fondation, en 2002, de la société de semi-conducteurs Akustica, spécialisée dans les MEMS. Il a été président et directeur de la technologie d’Akustica jusqu’en 2009, date à laquelle il est retourné travailler à la DARPA, où il a occupé le poste de directeur adjoint de l’agence, sous la direction directe de Regina Dugan.

En 2012, Gabriel a suivi Dugan au sein de l’Advanced Technology and Products Group de Google, qu’il a été chargé de créer. Selon lui, les cofondateurs de Google, Larry Page et Sergey Brin, l’ont chargé de créer « un modèle de la DARPA issu du secteur privé » à partir de Motorola Mobility. Regina Dugan en a été chargée, et Gabriel a de nouveau été son adjoint. En 2013, Dugan et Gabriel ont coécrit un article pour la Harvard Business Review sur la façon dont l’approche de l’innovation des « forces spéciales » de la DARPA pourrait révolutionner les secteurs public et privé si elle était plus largement appliquée. Gabriel a quitté Google en 2014, bien avant Dugan, pour devenir président-directeur général de Charles Stark Draper Laboratories, plus connu sous le nom de Draper Labs, qui développe des « solutions technologiques innovantes » pour la communauté de la sécurité nationale, en mettant l’accent sur les systèmes biomédicaux, l’énergie et la technologie spatiale. Gabriel a occupé ce poste jusqu’à ce qu’il démissionne brusquement en 2020 pour codiriger Wellcome Leap avec Dugan.

Outre son rôle au Wellcome, Gabriel est également un « pionnier de la technologie » du Forum économique mondial et siège au conseil d’administration de Galvani Bioelectronics, une coentreprise de GlaxoSmithKline, qui est intimement liée au Wellcome Trust, et de Verily, une filiale de Google. Galvani se concentre sur le développement de « médicaments bioélectroniques » qui impliquent une « modulation des signaux neuronaux par des implants », dans une volonté manifeste de l’industrie pharmaceutique et de la Silicon Valley de normaliser les « médicaments » transhumanistes. Le président de longue date du conseil d’administration de Galvani, dont Gabriel fait partie, était Moncef Slaoui, qui a dirigé le programme américain de développement et de distribution du vaccin COVID-19, l’Opération Warp Speed. Slaoui a été démis de ses fonctions chez Galvani en mars dernier à la suite d’accusations bien étayées de harcèlement sexuel.

Jeremy Farrar, responsable de la narration de la pandémie

Alors que Dugan et Gabriel dirigent ostensiblement l’équipe, Wellcome Leap est le fruit du travail de Jeremy Farrar et Mike Ferguson, qui en sont les directeurs. Farrar est le directeur du Wellcome Trust lui-même, et Ferguson est le vice-président du conseil d’administration du Trust. Farrar est directeur du Wellcome Trust depuis 2013 et participe activement à la prise de décisions critiques au plus haut niveau mondial depuis le début de la crise du COVID. Il contribue également à l’agenda du Forum économique mondial et a coprésidé la réunion du FEM en Afrique en 2019.

Le Wellcome Trust de Farrar est également un partenaire stratégique du FEM et a cofondé la plateforme d’action COVID avec le FEM. Plus récemment, Farrar a été à l’origine de la création de l’initiative COVID-Zéro de Wellcome, qui est également liée au FEM. Farrar a présenté cette initiative comme « une opportunité pour les entreprises de faire progresser la science qui, à terme, réduira les perturbations commerciales ». Jusqu’à présent, elle a convaincu des titans de la finance, dont Mastercard et Citadel, d’investir des millions dans la recherche et le développement au sein d’organisations favorisées par le Wellcome Trust.

Jeremy Farrar, directeur du Wellcome Trust, en compagnie de Sam Nunn, coprésident de la NTI, qui a dirigé l’exercice Dark Winter en 2001. source : NTI.com

Certains des projets de recherche médicale controversés du Wellcome Trust en Afrique, ainsi que ses liens avec le mouvement eugéniste britannique, ont été examinés dans un article publié en décembre sur Unlimited Hangout. Ce rapport explore également les liens intimes de Wellcome avec le vaccin COVID-19 d’Oxford-AstraZeneca, dont l’utilisation a été restreinte ou interdite dans plusieurs pays. Comme nous l’avons mentionné dans l’introduction, le Wellcome Trust lui-même fait l’objet d’une enquête d’Unlimited Hangout à venir (partie 2).

Jeremy Farrar, qui est né à Singapour en 1961, avait auparavant été directeur de l’unité de recherche clinique de l’Université d’Oxford à Ho Chi Minh-Ville, à partir de 1998. Pendant cette période, il a rédigé de nombreux articles de recherche épidémiologique. Il a affirmé dans un article du Financial Times de 2014 que sa décision de s’installer au Vietnam était due à son dédain pour les salles de conférence remplies d’hommes blancs. L’Asie du Sud-Est était manifestement un environnement beaucoup moins réglementé pour quelqu’un du secteur de la recherche médicale souhaitant se livrer à des recherches révolutionnaires. Bien que basé au Vietnam, Farrar a été envoyé par Oxford en divers endroits du globe pour étudier les épidémies en temps réel. En 2009, alors que la grippe porcine faisait des ravages au Mexique, il a sauté dans un avion pour plonger au cœur de l’action, ce qu’il a également fait pour les épidémies mondiales suivantes : EbolaMERS et grippe aviaire.

Au cours de l’année écoulée, de nombreuses questions ont été soulevées concernant le pouvoir exact de Farrar sur la politique de santé publique mondiale. Récemment, le principal conseiller médical du président américain, Anthony Fauci, a été contraint de publier ses courriels et sa correspondance de mars et avril 2020 à la demande du Washington Post. Les courriels publiés révèlent ce qui semble être une conspiration de haut niveau de la part de certaines des plus hautes autorités médicales des États-Unis pour affirmer faussement que le COVID-19 ne pouvait être que d’origine zoonotique, malgré des indications contraires. Les courriels ont été fortement expurgés, comme c’est généralement le cas, afin de protéger les informations des personnes impliquées, mais les expurgations « (b)(6) » protègent également une grande partie de la contribution de Jeremy Farrar à ces discussions. Chris Martenson, chercheur en économie, étudiant post-doctoral en neurotoxicologie et fondateur de Peak Prosperity, a émis quelques commentaires perspicaces sur la question, demandant notamment pourquoi une telle protection a été offerte à Farrar étant donné qu’il est le directeur d’un « trust caritatif ». Martenson a poursuivi en se demandant pourquoi le Wellcome Trust était impliqué dans ces discussions de haut niveau.

Un courriel de Fauci, daté du 25 février 2020 et envoyé par Amélie Rioux de l’OMS, indiquait que le rôle officiel de Jeremy Farrar à cette époque était « d’agir en tant que point focal du conseil sur l’épidémie de COVID-19, de représenter et de conseiller le conseil sur la science de l’épidémie et le financement de la réponse ». Farrar avait auparavant présidé le Conseil consultatif scientifique de l’OMS. Les courriels montrent également la préparation, en l’espace de dix jours, de l’article sur les « origines » du SRAS-CoV-2, intitulé « L’origine proximale du SRAS-CoV-2 » et accepté pour publication par Nature Medicine le 17 mars 2020. L’article affirmait que le virus du SRAS-CoV-2 ne pouvait provenir que d’origines naturelles, par opposition à la recherche par gain de fonction, une affirmation autrefois tenue pour parole d’évangile dans le courant dominant, mais qui a fait l’objet d’un examen considérable ces dernières semaines.

La présentation de l’histoire de l’origine d’un virus d’importance mondiale est une tâche à laquelle Farrar a déjà été confronté. En 2004-2005, il a été rapporté que Farrar et son collègue vietnamien Tran Tinh Hien, vice-directeur de l’hôpital des maladies tropicales, ont été les premiers à identifier la réapparition de la grippe aviaire (H5N1) chez l’homme. Farrar a raconté l’histoire de l’origine de la maladie à de nombreuses reprises, déclarant : « C’était une petite fille. Elle l’a attrapé d’un canard de compagnie qui était mort et qu’elle avait déterré et ré-enterré. Elle a survécu ». Selon Farrar, cette expérience l’a incité à fonder un réseau mondial en collaboration avec l’Organisation mondiale de la Santé pour « améliorer les réponses locales aux épidémies ».

Un article publié par le Journal of Experimental Medicine de la Rockefeller University Press en 2009 est dramatiquement intitulé « Jeremy Farrar : Quand la catastrophe frappe ». Farrar, en se référant à l’histoire de l’origine du H5N1 a déclaré : « Les gens de l’OMS – et ce n’est pas une critique – ont décidé qu’il était peu probable que l’enfant ait le SRAS ou la grippe aviaire. Ils sont partis, mais le professeur Hien est resté pour parler avec l’enfant et sa mère. La fillette a admis qu’elle avait été très triste les jours précédents à cause de la mort de son canard de compagnie. La fillette et son frère s’étaient disputés pour enterrer le canard et, à cause de cette dispute, elle était revenue sur ses pas, avait déterré le canard et l’avait ré-enterré – probablement pour que son frère ne sache pas où il était enterré. Avec cette histoire, le professeur Hien m’a téléphoné à la maison et m’a dit qu’il était inquiet pour l’enfant. Il a fait des prélèvements sur le nez et la gorge de l’enfant et les a ramenés à l’hôpital. Cette nuit-là, le laboratoire a effectué des tests sur les échantillons, et ils étaient positifs pour la grippe A ».

Maintenant qu’il a été révélé que Farrar a joué un rôle déterminant dans l’équipe qui a élaboré l’histoire officielle concernant les origines du SRAS-CoV-2, ses précédentes affirmations sur l’origine des épidémies passées devraient être examinées de près.

En tant que directeur d’une « association caritative », Jeremy Farrar n’a pratiquement aucun compte à rendre quant à son implication dans l’élaboration de récits controversés liés à la crise du COVID. Il continue d’être à l’avant-garde de la réponse mondiale au COVID, en partie en lançant le Wellcome Leap Fund pour des « projets non conventionnels, financés à grande échelle », une tentative manifeste de créer une version mondiale et « charitable » de la DARPA. En effet, Farrar, en concevant Wellcome Leap, s’est positionné de manière à jouer un rôle aussi important, sinon plus, dans la construction des fondations de l’ère post-COVID que dans la construction des fondations de la crise du COVID elle-même. Ceci est important, car Regina Dugan, PDG de Wellcome Leap, a qualifié le COVID-19 de « moment Spoutnik » de cette génération, qui marquera le début d’une nouvelle ère « d’innovation sanitaire », tout comme le lancement de Spoutnik a marqué le début d’une « ère spatiale » technologique mondiale. Wellcome Leap a bien l’intention de prendre la tête du peloton.

Les « dirigeants » de l’industrie du séquençage génétique

Contrairement aux autres, qui ont des liens évidents avec la DARPA, la Silicon Valley et Wellcome, le président du conseil d’administration de Wellcome Leap, Jay Flatley, a un parcours différent. Flatley a longtemps dirigé Illumina, un géant californien du matériel et des logiciels de séquençage génétique qui domine actuellement le domaine de la génomique. Bien qu’il se soit retiré du conseil d’administration d’Illumina en 2016, il a continué à occuper le poste de président exécutif de son conseil d’administration. Flatley a été le premier à être choisi pour un poste de direction au sein de Wellcome Leap, et c’est à lui que l’on doit d’avoir suggéré Regina Dugan comme directrice générale de l’organisation, selon une interview récente donnée par Dugan.

Campus Illumina. source : Glassdoor

Comme le souligne un profil d’Illumina dans le magazine économique Fast Company, Illumina « opère dans les coulisses, en vendant du matériel et des services à des entreprises et à des institutions de recherche », parmi lesquelles 23andMe. La PDG de 23andMe, Anne Wojcicki, la sœur de la PDG de YouTube, Susan Wojcicki, et l’épouse du cofondateur de Google, Sergey Brin, a déclaré à Fast Company : « C’est fou. Illumina est comme le maître de tout cet univers et personne ne le sait ». Le rapport note que 23andMe, comme la plupart des entreprises qui proposent le séquençage et l’analyse de l’ADN aux consommateurs, utilise des machines produites par Illumina.

En 2016, Illumina a lancé un plan quinquennal « agressif » pour « sortir la génomique des laboratoires de recherche et l’amener dans les cabinets médicaux ». Compte tenu de l’état actuel des choses, en particulier de la poussée mondiale vers des vaccins et des thérapies axés sur les gènes, ce plan, qui se termine cette année, n’aurait pas pu mieux tomber. L’actuel PDG d’Illumina, Francis DeSouza, a précédemment occupé des postes clés chez Microsoft et Symantec. Toujours en 2016, les équipes dirigeantes d’Illumina prévoient un avenir dans lequel les humains sont soumis à des tests génétiques de la naissance à la tombe, à des fins sanitaires et commerciales.

Jay Flatley, président exécutif d’Illumina, s’exprimant lors du Forum économique mondial de Davos 2018. source : FEM

Alors que la plupart des entreprises ont connu des difficultés financières pendant la pandémie de coronavirus, certaines ont vu leurs bénéfices augmenter massivement. Illumina a vu le cours de son action doubler depuis le début de la crise du COVID. Le bénéfice de plus d’un milliard de dollars réalisé par la société au cours de la dernière année fiscale a évidemment été favorisé par l’approbation rapide des machines NovaSEQ 6000, qui peuvent tester un grand nombre d’échantillons COVID plus rapidement que d’autres appareils. Une machine individuelle coûte près d’un million de dollars, et on les trouve donc principalement dans des installations d’élite, des laboratoires privés et des universités de premier plan.

En plus de son rôle de leader de longue date chez Illumina, Jay Flatley est également un « membre numérique » du Forum économique mondial ainsi que le principal administrateur indépendant de Zymergen, une entreprise « pionnière en matière de technologie » du FEM qui « repense la biologie et réimagine le monde ». Flatley, qui a également participé à plusieurs réunions de Davos, s’est adressé au FEM sur la « promesse de la médecine de précision [c’est-à-dire spécifique aux gènes] ». Lors d’une autre réunion du FEM, Flatley, aux côtés du ministre britannique de la Santé, Matt Hancock, a défendu l’idée de faire du séquençage génomique des bébés à la naissance la norme, affirmant que cela avait « le potentiel de faire passer le système de santé de la réaction à la prévention ». Certains participants à la table ronde ont demandé que le séquençage génomique des nourrissons devienne obligatoire.

Outre Flatley en tant qu’individu, Illumina en tant qu’entreprise est un partenaire du FEM et joue un rôle clé dans sa plateforme concernant l’avenir des soins de santé. Un cadre supérieur d’Illumina fait également partie du Global Future Council on Biotechnology du FEM.

Un nouvel espoir

Wellcome Leap compte actuellement quatre programmes : Multi-Stage PsychDelta Tissue1KD, et HOPEHOPE est le premier programme annoncé par Wellcome Leap et signifie Human Organs, Physiology and Engineering. Selon la description complète du programme, HOPE vise à « tirer parti de la puissance de la bio-ingénierie pour faire progresser les cellules souches, les organoïdes et les systèmes d’organes entiers et les connexions qui récapitulent la physiologie humaine in vitro et restaurent les fonctions vitales in vivo ».

source : Wellcome Leap, wellcomeleap.org/hope

Le programme HOPE comporte deux objectifs principaux. Tout d’abord, il vise à « la bio-ingénierie d’une plateforme multi-organes qui recrée les réponses immunologiques humaines avec une fidélité suffisante pour doubler la valeur prédictive d’un essai préclinique en ce qui concerne l’efficacité, la toxicité et l’immunogénicité des interventions thérapeutiques ». En d’autres termes, cette plateforme de bio-ingénierie imitant les organes humains serait utilisée pour tester les effets des produits pharmaceutiques, notamment les vaccins, ce qui pourrait créer une situation dans laquelle les essais sur les animaux seraient remplacés par des essais sur des organes génétiquement modifiés et cultivés. Bien qu’une telle avancée serait certainement utile dans le sens où elle réduirait l’expérimentation animale souvent contraire à l’éthique, faire confiance à un système aussi novateur pour permettre aux traitements médicaux de passer directement à la phase de test sur l’homme nécessiterait également de faire confiance aux institutions qui développent ce système et à ses financeurs.

Dans l’état actuel des choses, le Wellcome Trust a trop de liens avec des acteurs corrompus de l’industrie pharmaceutique, puisqu’il était à l’origine la branche « philanthropique » du géant britannique de la pharmacie GlaxoSmithKline, pour que l’on puisse faire confiance à ce qu’il produit sans confirmation indépendante, étant donné les antécédents de certains de ses partenaires en matière de falsification des données des essais cliniques sur les animaux et les humains pour les vaccins et autres produits.

Le deuxième objectif de HOPE est d’ouvrir l’utilisation d’organes hybrides machine-homme pour la transplantation sur des êtres humains. Cet objectif se concentre sur le rétablissement des « fonctions organiques à l’aide d’organes cultivés ou de systèmes hybrides biologiques/synthétiques », avec pour objectif ultérieur la bio-ingénierie d’un organe humain entièrement transplantable après plusieurs années.

Plus loin dans la description du programme, cependant, l’intérêt de fusionner le synthétique et le biologique devient plus clair lorsqu’il est indiqué : « Le moment est venu de favoriser les synergies entre les organoïdes, les technologies de bio-ingénierie et d’immuno-ingénierie, et de faire progresser l’état de l’art de la biologie humaine in vitro … en construisant des systèmes contrôlables, accessibles et évolutifs ». Le document de description du programme note également l’intérêt de Wellcome pour les approches de génie génétique en vue de « l’amélioration des propriétés souhaitées et de l’insertion de marqueurs traçables » et l’ambition de Wellcome de reproduire les éléments constitutifs du système immunitaire humain et des systèmes d’organes humains par des moyens technologiques.

Des nourrissons transhumanistes ?

Le deuxième programme de Wellcome Leap s’intitule « Les 1 000 premiers jours : Promouvoir des réseaux cérébraux sains », que l’organisation abrège en 1KD. Il s’agit sans doute du programme le plus troublant, car il cherche à utiliser de jeunes enfants, plus précisément des nourrissons de trois mois aux tout-petits de trois ans, comme sujets de test. Le programme est supervisé par Holly Baines, qui était auparavant responsable du développement de la stratégie pour le Wellcome Trust avant de rejoindre Wellcome Leap en tant que responsable du programme 1KD.

source : Wellcome Leap, wellcomeleap.org/1kd

Le programme 1KD vise à mettre au point « des moyens objectifs et évolutifs d’évaluer la santé cognitive d’un enfant » en surveillant le développement et le fonctionnement du cerveau des nourrissons et des jeunes enfants, ce qui permettra aux praticiens de « classer les enfants en fonction des risques » et de « prévoir les réponses aux interventions » dans les cerveaux en développement.

Le document de description du programme note que, jusqu’à présent, « notre principale fenêtre sur le cerveau en développement a été les techniques de neuro-imagerie et les modèles animaux, qui peuvent aider à identifier les biomarqueurs quantitatifs de la santé du réseau [neuronal] et à caractériser les différences de réseau sous-jacentes aux comportements ». Il est ensuite précisé que les progrès de la technologie « ouvrent des possibilités supplémentaires chez les jeunes nourrissons ».

La description du programme poursuit en indiquant que les réseaux neuronaux artificiels, une forme d’IA, « ont démontré la viabilité de la modélisation du processus d’élagage des réseaux et de l’acquisition de comportements complexes de la même manière qu’un cerveau en développement », tandis que les améliorations de l’apprentissage automatique, un autre sous-ensemble de l’IA, peuvent désormais être utilisées pour extraire des « signaux significatifs » du cerveau des nourrissons et des jeunes enfants. Ces algorithmes peuvent ensuite être utilisés pour développer des « interventions » pour les jeunes enfants considérés par d’autres algorithmes comme risquant d’avoir des fonctions cérébrales sous-développées.

Le document poursuit en soulignant la promesse de « capteurs mobiles à faible coût, de vêtements et de systèmes domestiques », qui offrent « une nouvelle possibilité d’évaluer l’influence et la dépendance du développement du cerveau par rapport aux interactions physiques et sociales naturelles ». En d’autres termes, ce programme cherche à utiliser des « enregistrements visuels et audio continus à la maison » ainsi que des dispositifs portables sur les enfants pour collecter des millions et des millions de points de données. Wellcome Leap décrit ces dispositifs portables comme « des badges électroniques relativement discrets et évolutifs qui recueillent des données visuelles, auditives et de mouvement ainsi que des caractéristiques interactives (telles que la prise de tours, le rythme et les temps de réaction) ». Ailleurs dans le document, il est demandé de développer « des capteurs portables qui évaluent les mesures physiologiques prédictives de la santé du cerveau (par exemple, l’activité électrodermale, la fréquence respiratoire et la fréquence cardiaque) et une technologie EEG ou de suivi oculaire portable sans fil » pour les nourrissons et les enfants de trois ans et moins.

Comme d’autres programmes de Wellcome Leap, cette technologie est développée dans l’intention de la généraliser dans la science médicale au cours des cinq à dix prochaines années, ce qui signifie que ce système – bien qu’il soit conçu comme un moyen de surveiller le fonctionnement du cerveau des enfants afin d’améliorer les résultats cognitifs – est une recette pour la surveillance totale des bébés et des très jeunes enfants ainsi qu’un moyen de modifier leur fonctionnement cérébral selon les algorithmes et les programmeurs de Leap.

Le programme 1DK a deux objectifs principaux. Le premier est de « développer un modèle entièrement intégré et des outils de mesure quantitative du développement du réseau au cours des 1 000 premiers jours [de la vie], suffisants pour prédire la formation de la FE [fonction exécutive] avant le premier anniversaire de l’enfant ». Selon la description, un tel modèle « devrait prévoir les contributions de la nutrition, du microbiome et du génome » à la formation du cerveau, ainsi que les effets des « interactions sensori-motrices et sociales [ou leur absence] sur les processus d’élagage du réseau » et les résultats de la FE. Le deuxième objectif indique clairement que l’adoption généralisée de ces technologies de surveillance neurologique chez les jeunes enfants et les nourrissons est la finalité du projet 1DK. Il indique que le programme prévoit de « créer des méthodes évolutives pour optimiser la promotion, la prévention, le dépistage et les interventions thérapeutiques afin d’améliorer la FE d’au moins 20% chez 80% des enfants avant l’âge de 3 ans ».

Fidèle aux liens eugénistes du Wellcome Trust (qui seront approfondis dans la deuxième partie), le projet 1DK de Wellcome Leap note que « les améliorations de la FE sous-développée vers la FE normative ou de la FE normative vers la FE bien développée dans l’ensemble de la population sont intéressantes pour avoir l’impact le plus large ». L’un des objectifs du projet 1DK n’est donc pas de traiter une maladie ou de s’attaquer à un « défi public de santé mondiale », mais plutôt d’expérimenter l’augmentation cognitive des enfants en utilisant des moyens développés par des algorithmes d’IA et une technologie invasive basée sur la surveillance.

Un autre aspect troublant du programme est son projet de « développer un assemblage de cerveaux en 3D in vitro qui reproduit la formation temporelle » d’un cerveau en développement qui s’apparente aux modèles développés en surveillant le développement du cerveau des nourrissons et des enfants. Plus loin, la description du programme parle d’un modèle « in silico » du cerveau d’un enfant, ce qui présente un intérêt évident pour les transhumanistes qui voient dans un tel développement un signe avant-coureur de la « singularité ». En outre, il semble que ce modèle in silico et donc synthétique du cerveau soit prévu pour être utilisé comme « modèle » sur lequel les cerveaux des nourrissons et des enfants sont modelés par les « interventions thérapeutiques » mentionnées ailleurs dans la description du programme.

Il devrait être clair à quel point il est sinistre qu’une organisation qui rassemble les pires pulsions de « savant fou » du monde des ONG et de la recherche militaire envisage ouvertement de mener de telles expériences sur les cerveaux de bébés et de jeunes enfants, les considérant comme des ensembles de données et leurs cerveaux comme quelque chose à « élaguer » par « l’intelligence » de la machine. Permettre à un tel programme de progresser sans entrave et sans réaction du public reviendrait à permettre à un programme dangereux ciblant les membres les plus jeunes et les plus vulnérables de la société de progresser potentiellement jusqu’à un point où il serait difficile de l’arrêter.

Une « machine à remonter le temps » pour les tissus

Le troisième et deuxième programme le plus récent à rejoindre la gamme Wellcome Leap s’appelle Delta Tissue, abrégé par l’organisation en ΔT. Delta Tissue vise à créer une plateforme qui surveille les changements dans la fonction et les interactions entre les tissus humains en temps réel, ostensiblement pour « expliquer l’état d’une maladie chez chaque personne et mieux prédire comment cette maladie évoluerait ». Qualifiant cette plateforme de « machine à remonter le temps des tissus », Wellcome Leap considère que Delta Tissue est capable de prédire l’apparition d’une maladie avant qu’elle ne se déclare, tout en permettant des interventions médicales « ciblées sur l’individu ».

source : Wellcome Leap, wellcomeleap.org/delta-tissue

Bien avant l’ère COVID, la médecine de précision ou médecine « ciblée ou adaptée à l’individu » a été une expression codée pour les traitements basés sur les données génétiques des patients et/ou pour les traitements qui modifient la fonction des acides nucléiques eux-mêmes (par exemple, l’ADN et l’ARN). Par exemple, le gouvernement américain définit la « médecine de précision » comme « une approche émergente pour le traitement et la prévention des maladies qui prend en compte la variabilité individuelle des gènes, de l’environnement et du mode de vie de chaque personne ». De même, un article publié en 2018 dans Technology note qu’en oncologie, « la médecine de précision et personnalisée […] favorise le développement de traitements spécialisés pour chaque sous-type spécifique de cancer, sur la base de la mesure et de la manipulation des données génétiques et omiques clés des patients (transcriptomique, métabolomique, protéomique, etc.) ».

Avant le COVID-19 et le déploiement des vaccins, la technologie des vaccins à ARNm utilisée par les sociétés Moderna et Pfizer, financées par la DARPA, était présentée comme un traitement de médecine de précision et était largement qualifiée de « thérapies géniques » dans les médias. Elles ont également été présentées comme une méthode révolutionnaire de traitement du cancer. Il n’est donc pas surprenant que le programme Delta Tissue de Wellcome Leap utilise une justification similaire pour développer un programme visant à offrir des thérapies géniques sur mesure aux personnes avant l’apparition d’une maladie.

Cette plateforme Delta Tissue s’efforce de combiner « les dernières technologies de profilage des cellules et des tissus avec les progrès récents de l’apprentissage automatique », c’est-à-dire l’IA. Étant donné les liens entre Wellcome Leap et l’armée américaine, il convient de noter que le Pentagone et Google, les deux anciens employeurs de Regina Dugan, PDG de Wellcome Leap, et de Ken Gabriel, directeur de l’exploitation, travaillent ensemble depuis septembre dernier sur l’utilisation de l’IA pour prédire les maladies chez l’homme, en se concentrant d’abord sur le cancer avant de s’étendre au COVID-19 et à toutes les maladies intermédiaires. Le programme Delta Tissue semble avoir des ambitions similaires, puisque sa description indique clairement que le programme vise à terme à utiliser sa plateforme pour une multitude de cancers et de maladies infectieuses.

L’objectif ultime de ce programme Wellcome Leap est « d’éradiquer les maladies obstinément difficiles qui causent tant de souffrances dans le monde ». Il prévoit toutefois d’y parvenir par le biais d’algorithmes basés sur l’IA, dont la capacité de prédiction n’est jamais exacte à 100%, et de traitements par édition de gènes, qui sont presque tous nouveaux et n’ont pas été bien testés. Ce dernier point est important étant donné que l’une des principales méthodes d’édition de gènes chez l’homme, CRISPR, s’est avérée dans de nombreuses études causer des dommages considérables à l’ADN, dommages qui sont en grande partie irréparables (voir iciici et ici). Il semble plausible qu’une personne placée sur un tel chemin de traitement médical hi-tech continuera à avoir besoin d’une série interminable de traitements d’édition de gènes et peut-être d’autres traitements hi-tech invasifs pour atténuer et gérer les effets de l’épissage maladroit des gènes.

Une surveillance totale pour traiter la « dépression »

Le programme le plus récent de Wellcome Leap, lancé cette semaine, s’appelle « Multi-Channel Psych : Révéler les mécanismes de l’anhédonie » et vise officiellement à créer des traitements « complexes et biologiques » de la dépression.

source : Wellcome Leap, wellcomeleap.org/mcpsych

Les personnes à l’origine de Wellcome Leap définissent le problème qu’elles veulent résoudre avec ce programme comme suit :

« Nous savons que les connexions synaptiques sont la monnaie de la communication neuronale et que le renforcement ou l’affaiblissement de ces connexions peut faciliter l’apprentissage de nouvelles stratégies comportementales et de nouvelles façons de voir le monde. Grâce à des études menées sur des modèles animaux et des humains, nous avons découvert que les états émotionnels sont encodés dans des schémas complexes d’activité des réseaux neuronaux et que la modification directe de ces schémas par stimulation cérébrale peut modifier l’humeur. Nous savons également que la perturbation de ces réseaux délicatement équilibrés peut entraîner des maladies neuropsychiatriques ».

Ils ajoutent que les « traitements biologiques » de la dépression « ne sont pas adaptés à la biologie des êtres humains auxquels ils sont destinés » et que, par conséquent, les traitements de la dépression doivent être adaptés « à la biologie spécifique » de chaque patient. Ils indiquent clairement que ce qu’il faut faire pour apporter de telles modifications personnelles au traitement, c’est d’obtenir « un accès facile au substrat biologique de la dépression, c’est-à-dire le cerveau ».

La description du programme Wellcome Leap indique que cet effort sera spécifiquement axé sur l’anhédonie, qu’elle définit comme « une déficience du système de récompense basé sur l’effort » et comme un « symptôme clé de la dépression et d’autres maladies neuropsychiatriques ». Notamment, dans les petits caractères du document, Wellcome Leap déclare :

« Bien qu’il existe de nombreuses définitions de l’anhédonie, nous sommes moins intéressés par l’étude de la réduction du plaisir de consommation, de l’expérience générale du plaisir ou de l’incapacité à éprouver du plaisir. Au contraire, conformément à la description ci-dessus, nous donnerons la priorité à l’étude de l’anhédonie dans la mesure où elle est liée à des déficiences du système de récompense basé sur l’effort – par exemple, une motivation réduite pour accomplir des tâches et une capacité réduite à fournir un effort pour atteindre un objectif ».

En d’autres termes, Wellcome Leap ne s’intéresse qu’au traitement des aspects de la dépression qui interfèrent avec la capacité d’une personne à travailler, et non à l’amélioration de la qualité ou de la jouissance de la vie d’une personne.

Leap note, en présentant ses objectifs, qu’il cherche à développer des modèles de réponse des patients aux traitements qui incluent « des options nouvelles ou existantes de modification du comportement, de psychothérapie, de médication et de neurostimulation » tout en saisissant « le génome, le phénome [la somme des traits phénotypiques d’un individu], la connectivité du réseau [neuronal], le métabolome [la somme des traits métaboliques d’un individu], le microbiome, les niveaux de plasticité du traitement de la récompense » d’un individu, entre autres. L’objectif ultime est de prédire la relation entre le génome d’un individu et le fonctionnement du « traitement de la récompense » dans le cerveau. Il implique que les données utilisées pour créer ce modèle devraient impliquer l’utilisation de dispositifs à porter sur soi (wearables), en précisant que les chercheurs « devraient chercher à exploiter les mesures à haute fréquence portées par les patients ou prises à domicile, en plus de celles obtenues en clinique, à l’hôpital ou en laboratoire ».

L’un des principaux domaines de recherche inclus dans le programme vise à « développer de nouveaux outils de mesure évolutifs pour une quantification fiable et à haute densité de l’humeur (à la fois rapportée subjectivement et quantifiée objectivement via des données biométriques telles que la voix, l’expression faciale, etc.), du sommeil, du mouvement, du fonctionnement du système de récompense, des niveaux d’effort/motivation/énergie, de l’interaction sociale, de l’apport calorique et de la production de l’axe HPA dans des situations réelles ». L’axe HPA (hypothalamo-hypophyso-surrénalien) est mentionné tout au long du document, ce qui est important car il s’agit d’un système de rétroaction à la fois négatif et positif qui régule les mécanismes de réaction au stress, l’immunité et la fertilité dans le corps humain. Ce dernier point est particulièrement important étant donné les liens du Wellcome Trust avec le mouvement eugéniste britannique. Il convient également de noter que certains dispositifs portables disponibles dans le commerce, tels que le Halo d’Amazon, quantifient déjà l’humeur, le sommeil et le mouvement.

Les auteurs du programme vont encore plus loin que ce qui précède en termes de ce qu’ils souhaitent surveiller en temps réel, en déclarant : « Nous encourageons spécifiquement le développement de technologies non invasives pour interroger directement l’état du cerveau humain ». Les exemples incluent « un équivalent de ponction lombaire non invasive », « des sondes comportementales ou de biomarqueurs de la plasticité neuronale » et « des capacités de surveillance neuronale en une seule session qui définissent un état cérébral prédictif du traitement ».

En d’autres termes, ce programme Wellcome Leap et ses auteurs cherchent à développer une technologie « non invasive » et, probablement, portable, capable de surveiller l’humeur, les expressions faciales, les interactions sociales, l’effort et la motivation d’un individu, et peut-être même ses pensées, afin « d’interroger directement l’état du cerveau humain ». Penser qu’un tel dispositif resterait uniquement dans le domaine de la recherche est naïf, surtout si l’on considère que les sommités du FEM ont ouvertement parlé, lors des réunions de Davos, de la manière dont les gouvernements prévoient d’utiliser largement cette technologie sur leurs populations comme moyen de cibler de manière préventive les dissidents potentiels et d’inaugurer une ère de « dictatures numériques ».

L’accent mis sur le traitement des seuls aspects de la dépression qui interfèrent avec le travail d’une personne suggère en outre que cette technologie, une fois développée, serait utilisée pour garantir un comportement de « travailleur parfait » dans les industries où les travailleurs humains sont rapidement remplacés par l’IA et les machines, ce qui signifie que les dirigeants peuvent être plus sélectifs quant aux personnes qui continuent à être employées et celles qui ne le sont pas. Comme d’autres programmes Wellcome Leap, s’ils sont menés à bien, les fruits du programme Multi-Channel Psych seront probablement utilisés pour garantir une population d’automates dociles dont les mouvements et les pensées sont fortement surveillés et contrôlés.

Le dernier bond pour un vieux programme

Wellcome Leap n’est pas une petite entreprise, et ses directeurs disposent des fonds, de l’influence et des relations nécessaires pour faire de leurs rêves une réalité. Parmi les dirigeants de l’organisation, on trouve la principale force à l’origine de la poussée de la Silicon Valley en faveur de la commercialisation des technologies transhumanistes (Regina Dugan), « l’architecte » de l’industrie des MEMS (Ken Gabriel) et le « dirigeant » de l’industrie florissante du séquençage génétique (Jay Flatley). Elle bénéficie également du financement de la plus grande fondation de recherche médicale au monde, le Wellcome Trust, qui est aussi l’une des principales forces qui façonnent la recherche en génétique et en biotechnologie ainsi que la politique de santé au niveau mondial.

Une enquête menée par le Sunday Times en 1994 sur le Wellcome Trust a révélé que « grâce aux subventions et aux parrainages [du Wellcome Trust], les agences gouvernementales, les universités, les hôpitaux et les scientifiques sont influencés dans le monde entier. Le trust distribue plus d’argent aux institutions que même le Medical Research Council du gouvernement britannique ».

Il note ensuite :

« Dans les bureaux du premier étage du bâtiment, des décisions sont prises qui affectent des vies et la santé à des échelles comparables à celles de guerres mineures. Dans la salle de conférence, située au-dessus de la rue, et dans la salle de réunion, au sous-sol, sont rendues des décisions en matière de biotechnologie et de génétique qui contribueront à façonner la race humaine ».

L’influence du Trust a peu changé depuis la publication de cet article. Au contraire, son influence sur les voies de recherche et les décisions qui « façonneront la race humaine » n’a fait que croître. Ses anciens responsables de la DARPA, qui ont passé leur carrière à faire progresser la technologie transhumaniste dans les secteurs public et privé, ont des objectifs qui se recoupent avec ceux de Wellcome Leap. Les projets commerciaux de Dugan et Gabriel dans la Silicon Valley révèlent que Leap est dirigé par ceux qui cherchent depuis longtemps à faire progresser la même technologie pour le profit et la surveillance. Cela affaiblit considérablement la prétention de Wellcome Leap à poursuivre ces technologies dans le seul but d’améliorer la « santé mondiale ».

Discours-programme de Regina Dugan lors de la conférence Facebook F8 2017. source : YouTube

En effet, comme l’a montré le présent rapport, la plupart de ces technologies ouvriraient une ère profondément inquiétante de surveillance massive des activités externes et internes des êtres humains, y compris des jeunes enfants et des nourrissons, tout en créant une nouvelle ère de la médecine fondée en grande partie sur les thérapies d’édition de gènes, dont les risques sont considérables et constamment minimisés par leurs promoteurs.

Lorsque l’on comprend le lien intime qui existe depuis longtemps entre l’eugénisme et le transhumanisme, le Wellcome Leap et ses ambitions prennent tout leur sens. Dans un article récent écrit par John Klyczek pour Unlimited Hangout, il est noté que le premier directeur général de l’UNESCO et ancien président de la UK Eugenics Society était Julian Huxley, qui a inventé le terme « transhumanisme » dans son livre de 1957 « New Bottles for New Wine ». Comme l’écrit Klyczek, Huxley soutenait que « les objectifs eugéniques de l’ingénierie biologique de l’évolution humaine devraient être affinés par des technologies transhumanistes, qui combinent les méthodes eugéniques de l’ingénierie génétique avec la neurotechnologie qui fusionne les humains et les machines en un nouvel organisme ».

Plus tôt, en 1946, Huxley avait noté dans sa vision pour l’UNESCO qu’il était essentiel que « le problème eugénique soit examiné avec le plus grand soin et que l’esprit du public soit informé des questions en jeu afin que beaucoup de choses aujourd’hui impensables puissent au moins devenir pensables », une déclaration étonnante à faire si peu de temps après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Grâce en grande partie au Wellcome Trust et à son influence sur la politique et la recherche médicale au cours de plusieurs décennies, le rêve de Huxley de réhabiliter une science imprégnée d’eugénisme dans l’ère post-Seconde Guerre mondiale pourrait bientôt devenir réalité. Il n’est pas surprenant que le Wellcome Trust héberge les archives de l’Eugenics Society, autrefois dirigée par Huxley, et qu’il entretienne toujours des liens étroits avec l’organisation qui lui a succédé, le Galton Institute.

La question primordiale est la suivante : allons-nous nous laisser manipuler pour permettre au transhumanisme et à l’eugénisme d’être ouvertement poursuivis et normalisés, notamment par le biais d’initiatives comme celles de Wellcome Leap, qui cherchent à utiliser des bébés et des jeunes enfants comme cobayes pour faire avancer leur vision cauchemardesque de l’humanité ? Si des slogans publicitaires bien ficelés et des campagnes médiatiques dépeignant des visions d’utopie telles que « un monde sans maladie » suffisent à nous convaincre d’abandonner notre avenir et celui de nos enfants à des agents militaires, des dirigeants d’entreprise et des eugénistes, alors il ne reste plus grand-chose de notre humanité à abandonner.

Note de l’auteur : Johnny Vedmore a contribué à ce rapport.


source : https://unlimitedhangout.com

traduit par Réseau International




Hold-Up (Mise à jour : lien vers le film en deux parties, après la censure par YouTube + vidéo de Pierre Barnérias)

[Source : FranceSoir]

Hold-Up, film en sortie nationale 11 novembre. Pourquoi j’ai produit ce film par Christophe Cossé?

Auteur(s): Christophe Cossé pour FranceSoir

TRIBUNE : Le film Hold-Up produit par Pierre Barnérias et Christophe Cossé, sort ce mercredi 11 novembre.  Christophe Cossé est producteur de documentaires et de films avec une formation en anthropologie sociale et psychologie clinique.  

Pourquoi j’ai produit ce film ?

Ce qui me vient en premier à l’esprit, c’est cette phrase de Kierkegaard :

« Il s’agit de comprendre ma destination, de voir ce que Dieu veut proprement que je fasse. Il s’agit de trouver une vérité qui soit vérité pour moi, de trouver l’idée pour laquelle je veux vivre et mourir».

Avec cette singulière crise politique qui remet en cause bien des principes de notre humanité, et que maquille la préoccupation sanitaire, nous sommes parvenus à l’heure des choix. Dès lors, avec nos connaissances et notre conscience, à quoi sommes-nous prêts à renoncer ? Devons-nous céder à la peur, au besoin de sécurité, ou préférer embrasser la vie et la liberté ? Ma démarche, notre démarche commune tant avec mes coproducteurs qu’avec toutes celles et ceux venus témoigner, c’est avant tout d’avertir sinon d’alerter, d’interpeller, d’informer le plus grand nombre.

L’épidémie et son traitement ont tout d’une intrigue dramatique. Cet évènement épidémique révèle en définitive une crise profonde, révélatrice de l’état actuel de notre société, de ses institutions et de sa culture. On y découvre non seulement le pouvoir de la presse, désormais inféodée au pouvoir par le jeu des actionnaires qui la détiennent, mais aussi la puissance des réseaux sociaux qui véhiculent tant le relais de cette dernière, qu’un contre-pouvoir raillé par la censure, mais ô combien salvateur pour la connaissance et la liberté d’expression ou d’information.

L’issue de cette épidémie, somme toute habituelle et saisonnière, présente donc en quelque sorte les deux genres aristotéliciens: la tragédie de l’humanisme ou l’épopée d’un renouveau. Gageons qu’elle débouche sur le renouveau. D’autres y voient une dimension biblique.

C’est donc une question de choix, d’élan instinctif, d’appel ce qui m’a poussé dans ce film. Et aussi parce que le scénario qui se déroule sous nos yeux mérite un témoignage. Sans prétention aucune, je me réfère à Alexis de Tocqueville : « ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux.»

C’est la base du film, nous évertuer à comprendre : les mensonges, la manipulation, l’ingénierie sociale, la corruption. Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up. Nous aurions pu l’intituler « Coup d’Etat ».

Nous sommes en fin de cycle, tout va très vite, et se radicalise. Il n’y a plus d’espace d’échange, de réflexion, de pensée. Pour Pierre et moi, comme pour Nicolas, il n’était pas envisageable de ne rien faire. Et nous prévoyons même de continuer à filmer et à suivre l’actualité, car nous pressentons un changement fondamental dans notre humanité. Notre actualité sociale et politique nous y ramène. Le président Macron a décidé de confiner derechef sa population pour six semaines.

Nouvelle étape du scénario.

La lecture des derniers relevés hebdomadaires de l’OMS et du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, permet clairement de constater que tous les pays ayant pratiqué le confinement ont eu les pires résultats dans le degré de résilience de leur population au COVID-19.

Le taux de mortalité est établi à 0,15%. Plus de 98% des individus ayant contracté le virus guérissent. Le nombre de morts associés abusivement au Covid reste encore deux fois inférieur à celui des erreurs médicales ou du tabac.

Outre que le fait de confiner toute une population saine et non malade a été et demeure une première dans l’histoire de l’humanité, toutes les études qui ont été produites depuis le premier confinement rejoignent les conclusions des précédentes, à savoir l’inefficacité de cette mesure. Serait-elle politique ?

L’OMS vient, il y a quelques semaines à peine, de convenir de son inefficacité et de son inutilité. On se souvient pourtant de cette étude de Neil Ferguson, de l’Imperial College, qui prévoyait plus de 500 000 morts en Grande-Bretagne, et 10 millions de victimes en Afrique, dont s’inspiraient l’OMS et les dirigeants occidentaux dans leur décision de confiner alors que l’épidémie était déclarée.

Ce même épidémiologiste, qui, dix ans auparavant, lors de l’épidémie de la grippe A (H1N1), avait également envisagé un désastre sanitaire de plus de 60 millions de victimes dans le monde. A l’époque, le rapport du Sénat (2010) avait clairement dénoncé l’irrationalité de ces analyses, la dérive de la politique sanitaire et avait surtout mis en lumière les conflits d’intérêts qui semblaient régir cette dernière.

Malgré cela, notre gouvernement, après s’être défendu à maintes reprises de l’envisager, l’a confirmé, ce nouvel emprisonnement. Il avance même de surcroît vouloir y associer quelques autres mesures coercitives, tout en dénonçant l’irresponsabilité, sinon l’incurie, de ceux qui s’y opposent.

Ce nouveau confinement  a été officiellement décrété en conséquence de l’importance du nombre de cas de contaminations et du nombre de malades admis en réanimation. Le seuil de 60% des lits occupés a ou aurait été franchi.

Or, il serait bon de remettre en perspective les données sanitaires des cinq années précédentes pour constater que nos services hospitaliers sont toujours saturés à cette période de l’année, tant pour d’autres coronavirus, que pour la grippe ou des problèmes respiratoires. Il est éloquent de rappeler que notre Ministre de la Santé a lui-même participé à la faillite de notre système de santé, en soutenant la politique de réduction des lits en milieu hospitalier, ce qui provoque depuis quelques années déjà, l’engorgement des services de réanimation.

Il serait également bienséant de préciser, dans un souci de transparence et d’honnêteté, que le nombre de patients en réanimation tient aussi compte du nombre de patients en soins intensifs dans le privé. Toutefois, dans le calcul de Monsieur Véran et de son Comité scientifique, on compte les malades du privé, mais pas le nombre de lits; simple tour de passe-passe pour permettre d’augmenter le taux d’occupation en réanimation et de justifier la peur, la panique ou la terreur. Etrange pour des médecins.

Que dire du bilan médical des malades admis en ce début du mois de novembre en réanimation ou en soins intensifs, si ce n’est un profil type d’individus de plus de 65 ans affectés par la comorbidité, victimes de saturation de leur système immunitaire ?

Que dire du nombre réel de victimes du Covid alors que l’on recense comme tels les décès dus aux maladies cardio-vasculaires, aux cancers, aux diabètes ?

Que dire du nombre réel des cas de contaminations, avec un moyen de dépistage peu fiable et trompeur et dont la sensibilité vient d’être augmentée aux dépens de sa déjà faible efficacité ?

Que dire du gouvernement, qui, après avoir constaté il y a six mois la saturation de nos services publics hospitaliers, n’a pas investi pour de nouveaux lits en réanimation ?

Serait-il utile d’expliquer enfin pourquoi aucune autopsie n’a été diligentée ?

Que dire de la médecine libérale, sans moyens d’agir sur la prophylaxie de la maladie, privée d’hydroxychloroquine, d’azithromycine, de macrolides ou de C3G ? En les coupant de leurs moyens, le gouvernement favorise l’orientation des soins vers l’hôpital.

De tout cela il n’est point question. Le gouvernement semble suivre sa propre feuille de route, sur cette deuxième vague et son confinement finalement induit, annoncés depuis le mois d’avril. Alors s’ils savaient, pourquoi ne pas avoir agi ? Une fois de plus ?

Ce choix d’un deuxième confinement n’est pas qu’un révélateur de l’échec de notre politique sanitaire. C’est la confirmation d’une grave et profonde crise institutionnelle et démocratique. L’état d’urgence sanitaire est anticonstitutionnel et illégal. Les élections municipales se sont déroulées hors du cadre constitutionnel. Le Conseil constitutionnel est en sommeil, prié par le gouvernement de se confiner également, les deux chambres sont au ralenti, les textes sont examinés par 10% des députés, l’exécutif détient les pleins pouvoirs, et nos libertés sont à nouveau restreintes comme jamais dans un cadre de paix.

L’état d’urgence sanitaire ne respecte nullement les applications de l’article 16 et de l’article 53 de la Constitution, le rendant anticonstitutionnel et illégal.

Au niveau des institutions, ce qui a aussi changé, dès le début de la crise, c’est que le gouvernement s’est doté d’un Conseil scientifique dont les membres sont majoritairement proches des laboratoires pharmaceutiques. Il existe pourtant des organismes réputés et sans doute plus indépendants comme l’INSERM, le CNRS, les académies de médecine, de pharmacie, ou de vétérinaires… ?

Avec ce nouveau confinement, le gouvernement restreint une nouvelle fois nos libertés. Une nouvelle fois, elles sont bafouées et notamment, la liberté d’aller et venir, la liberté d’entreprendre et la liberté de réunion. Mais d’autres plus individuelles.

La liberté d’aller et venir existe en pratique depuis la fin du servage en France. Elle apparaît dans les textes en 1315, sous Louis X. Le décret royal précisait :

“ Toute créature humaine doit généralement être franche par droit naturel. Le Roi condamne avec énergie le joug et la servitude, qui est tant haineuse et fait qu’en leur vivant, les hommes sont réputés comme morts et, à la fin de leur douloureuse et chétive vie, ils ne peuvent disposer ni ordonner des biens que Dieu leurs a prêtés en ce siècle.”

La liberté d’entreprendre est plus récente. Elle date de la Révolution française. Le décret d’Allarde de 1791 autorise tout citoyen à exercer le métier ou le négoce qu’il veut, pourvu qu’il paie ses impôts. Cela permettait d’échapper à la logique des corporations et de rang social où vous étiez plus ou moins lié par ce que faisaient vos parents avant vous. Il ne semble pas que cette liberté d’entreprendre ait connu jusqu’ici de restriction ou d’interdiction.

Puis la liberté de réunion, comme la liberté d’expression, sont des libertés fondatrices de la IIIème République. Elles marquent le droit d’exprimer son désaccord avec le pouvoir en place. Elles ont permis la création des syndicats par exemple. 

Les médecins sont désormais censurés lorsque leur parole publique ne fait pas écho à la politique dominante, et même sur les réseaux sociaux, la police de la pensée s’installe.

Toutes ces libertés ont été acquises de haute lutte dans les larmes et le sang, souvent par des personnes très jeunes qui ont généreusement donné leur vie pour leurs idéaux afin que d’autres puissent en bénéficier. Et pourtant, nous demeurons contraints dans nos libertés, sans réagir, affichant par là-même notre degré de consentement.

« Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes » écrivait Machiavel dans Le Prince.

Enfin, une liberté très singulière et fondamentale dans le droit naturel humain a été violée, celle de la tendresse, du toucher, de l’attention. Sous la menace de la force en plus d’un décret, il a été interdit aux proches de visiter leurs parents. On a laissé mourir nos anciens, ils ont été cloisonnés, enfermés dans leurs EHPAD, interdits de sortie, de visite, de tendresse, de soins. Un premier pas vers l’euthanasie.

Mais le pire à mes yeux est de ne pas avoir la liberté de mourir. Le deuxième pas vers l’euthanasie a été franchi ; sa légalisation a été effective par le décret du 28 mars, autorisant les médecins à utiliser le Rivotril pour « accompagner » les patients. Ce décret a été abrogé par un nouveau le 10 juillet. Le pays des droits de l’Homme ?

Le mépris du genre humain.

Sous le prétexte de cette épidémie dont seuls les messagers de l’idéologie sanitaire autoritaire martèlent son danger, il convient de nous surveiller, de nous diriger, de nous contraindre à une société de surveillance et de soumission. De là découlent ces délicieuses valeurs nouvelles que sont la délation, la dénonciation, le repli sur soi. Les valeurs humanistes sont menacées d’implosion, on ne parle plus d’éthique, de morale ou de respect, mais d’obéissance, de protocole, de menaces et de peurs. Un véritable cheval de Troie pour notre humanité que ce coronavirus.

Ainsi, se profile la vaccination massive, et son corollaire, le fichage de chaque individu. En France, en Europe, mais dans le monde entier, au prétexte d’un virus pas plus offensif qu’un autre COVID saisonnier. Quelle incroyable et phénoménale entreprise de manipulation globale, au service d’une sombre idéologie, qui avant d’accomplir son dessein, distille la peur, la menace et la confusion afin que chacun perde ses repères pour mieux embrasser le pouvoir et l’autorité dans une servitude volontaire et rassurante. Je cite à nouveau Alexis de Tocqueville,

« ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux. »

Cet état d’urgence sanitaire est aussi une catastrophe économique et sociale qui peut déboucher sur une crise économique puis politique majeure.

Au moins 400 000 PME ont dû fermer, soit environ 4 millions de personnes au chômage, sur les 10 ou 12 millions d’indépendants, combien vont pouvoir reprendre une activité ? Combien d’entre nous vont gonfler le nombre déjà exorbitant des personnes vivant en deçà du seuil de pauvreté, qui a été réévalué à 10 millions de personnes en France ? Combien de milliers de personnes vont rejoindre les 5 millions de Français qui ont déjà recours à l’aide alimentaire ? Combien de nos compatriotes vont être délogés, rejoignant la triste cohorte des 900 000 SDF ?

La loi du travail, les acquis sociaux ont déjà été revisités, corrigés, étirés. Avec la crise « sanitaire », tout employé ou salarié, au lieu de réclamer une augmentation ou une amélioration de ses conditions de travail ou de ses droits, va désormais réclamer du travail ou se plier à l’effort national, quelles qu’en soient les conditions. En majorité, il est assigné à résidence en télétravail, dans des conditions pour la plupart, d’inconfort.  Dix points de PIB à rattraper…

Ces événements actuels révèlent que l’on a glissé peu à peu vers une technocratie sanitaire, relayée par une presse qui paraît encore plus docile et inféodée au pouvoir. Ce pouvoir est lui-même de plus en plus gangréné par les conflits d’intérêts, et en particulier par le pouvoir des grands laboratoires, réputés pour leur corruption.

Les scientifiques se font journalistes, sinon politiques, tout comme les journalistes se posent comme experts dans une émulation complice de coercition et de domination. Plus alarmant, les politiques deviennent quant à eux les communicants, souvent malgré eux, des puissances financières qui les soutiennent.

Nos sociétés s’orientent-elles vers ce « biopouvoir » imaginé par Foucault ?

Le philosophe voyait le pouvoir sur les hommes évoluer vers un autoritarisme de la santé. Il observait qu’après le pouvoir sur les âmes, par les ministres de l’Eglise illustré par le troupeau de brebis égarées, c’est sur l’humain que le pouvoir monarchique s’est exercé, avec le pouvoir de donner la mort. Après l’effondrement de la monarchie, il y eut toutes ces dérives autoritaires du 20ème siècle. Légitimées par le dogme visant à transformer l’humanité ou l’humain vers un monde meilleur, elles se sont illustrées dans la prise en charge de la vie, non plus des âmes, mais des hommes.

Avec le biopouvoir, le dogme, c’est la santé ; il s’agit de prendre en charge d’un côté le corps pour le discipliner, et de l’autre la population pour la contrôler. L’élément commun au corps et à la population, c’est la norme. La norme statistique. C’est elle qui fait en sorte que ce biopouvoir s’exerce, de manière rationnelle, à la fois sur un ensemble statistique, c’est-à-dire une collectivité, et sur un individu.

Et ce biopouvoir contrôle tous les mécanismes de la vie de l’individu dans la société : politiques, judiciaires, policiers, économiques, philosophiques.

La question mérite d’être posée. En effet, non seulement des hommes d’affaires, des politiques et des médecins veulent imposer un type de traitement unique, la vaccination, sans passer par les règles démocratiques habituelles grâce à l’état d’urgence, mais de plus, chaque citoyen va devoir s’y soustraire au risque d’une mise au ban social. L’individu risque de perdre non seulement sa liberté, mais surtout sa souveraineté.

Au-delà de cette sombre hypothèse, reprenons toute la terminologie, la sémantique pour ne pas dire la novlangue actuelle, en commençant par celui que nous entendons le plus : le confinement. Étymologiquement, on retrouve dans le confinement, le terme « finis » qui en latin signifie frontière, barrière, limite. Le confinement, outre sa définition médicale brandie par la gouvernance, signifie réclusion, internement.

Enfin, employé au participe, le confiné est dit d’un espace qui manque d’oxygène, d’espace ou de nourriture.

Il est aussi fait mention d’une « distanciation sociale » pour éviter la propagation du virus. Or il ne s’agit que de distanciation physique, mais on nous impose la notion de « social », car en effet, la barrière, la limite, la frontière imposée par ce confinement devient un mur entre nous. Tout contrevenant est sévèrement critiqué, dénoncé et voué aux sanctions administratives. La tendresse est déconseillée, sinon réprimée.

Le port d’un masque est devenu obligatoire bien qu’il ait au préalable été déclaré inutile, et cet artifice est une autre barrière, un autre symbole d’enfermement.

On évoque le traçage des individus, la recherche ou la poursuite des cas contacts, le passeport numérique de santé, les camps de quarantaine…

Dans le discours ambiant, non seulement les termes sont vidés de leur sens premier, mais il ne s’agit pas de se fier à la vérité, comme le disait si subtilement Sibeth Ndiaye, mais « d’orienter la réalité pour faire accepter notre projet politique aux Français; cela ne relève pas du mensonge, mais de la désinformation positive ». Evidemment !

Michel Onfray le rappelait dans son ouvrage « Théorie de la dictature », en rapprochant notre monde actuel de celui de 1984 :

« On peut citer aussi l’inversion systématique du sens des mots, par exemple, la guerre c’est la paixla haine c’est l’amour… qui reformate complètement les cerveaux ».

Car, conformément au concept de solipsisme, c’est dans le cerveau de chacun que le monde existe, “et que le réel est une construction mentale”.

Si la pensée est donc bien formatée, on ne voit plus que ce à quoi on croit.

Déjà dans « Surveiller et punir », en 1975, Michel Foucault expliquait comment la propagation de la peste avait permis aux Etats d’imposer au XVIIe siècle des mesures coercitives à travers leur pouvoir de normalisation :

« Espace découpé, immobile, figé. Chacun est arrimé à sa place. Et s’il bouge, il y va de sa vie, contagion ou punition […] Le rapport de chacun à sa maladie et à sa mort passe par les instances du pouvoir, l’enregistrement qu’elles en font, les décisions qu’elles prennent […] Derrière les dispositifs disciplinaires, se lit la hantise des contagions, de la peste, des révoltes, des crimes, du vagabondage, des désertions, des gens qui apparaissent et disparaissent, vivent et meurent dans le désordre. »

Et ce qui se passe sous nos yeux, c’est également un exemple parfait des expériences de Milgram. Chacun a tendance, pour se rassurer, à se dépersonnaliser pour embrasser la cause de l’autorité. Qui forcément détient la vérité, qui forcément peut rassurer, qui forcément peut conforter et protéger.

Il est plus rassurant de croire à une illusion qui rassure qu’à une vérité qui dérange. C’est entre autres une question de champs d’information. Pour celui ou celle qui n’a pas l’accès à un champ d’information différent de celui sur lequel il s’est construit, ou celui sur lequel on l’a construit, il y a distorsion, coupure, rejet. C’est en cela qu’il est difficile de faire comprendre à nos concitoyens les véritables contours de ce script.

C’était la triste situation de nombreux pays au XXème siècle, dont on espérait pourtant ne pas reproduire les erreurs à notre époque :

Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut pas se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et, avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez”, disait Hannah Arendt.

Par des techniques de manipulation bien connues de la PNL (programmation neuro-linguistique) comme la double contrainte, l’injonction paradoxale, l’ingénierie sociale, le saupoudrage, le discours ambiant associe manipulation, désinformation, et hypnose conversationnelle. Le piège fonctionne.

La double injonction selon laquelle tout va bien mais en fait cela ne va pas est le pire qui soit pour tomber dans le piège de la peur et l’endoctrinement. C’était le premier stade de l’épidémie, on va quand même au théâtre ou au bureau de vote. A présent c’est l’inverse. Il ne se passe rien, mais on crie alerte. Le parfait système coercitif.

On assiste aussi au système peur/ soulagement, bien connu sous le thème « good cop / bad cop ». Provoquer une crainte, une peur, par une mise en scène avec des dangers existants ou virtuels. Puis « en même temps », le locuteur ou son complice change de ton avec une ouverture possible. Ce n’est pas la peur qui provoque la soumission mais le soulagement. Et le soulagement, c’est la perspective du dépistage, du vaccin. Et en attendant on reste bien chez soi. Confiné. Emprisonné chez soi, en soi. Docile ?

Car nul n’est obligé de s’y soumettre ! C’est l’heure des choix. Pour exister, un manipulateur a besoin d’un manipulé, tout comme un maître d’un esclave. Est esclave celui qui y consent. Allons nous consentir, allez vous consentir à vous soumettre ?

« La vie vaut ce que nous sommes capables de risquer pour elle ». Il n’y a de liberté que par l’acte même de libération : celui qui ne veut pas risquer sa vie risque fort la servitude. Cependant, une fois maître, l’individu devient passif, inactif. C’est son esclave qui travaille, qui s’accomplit. Ainsi le maître devient dépendant du travail de son esclave, il devient l’esclave de son esclave, car c’est en travaillant qu’on atteint la liberté.

Tous les pouvoirs, et de plus en plus ceux de la pensée, sont désormais attribués à la médecine et aux mains de celles et ceux qui la gouvernent, l’orientent. Faut il rappeler que c’est Rockefeller qui a racheté toutes les écoles de médecine aux Etats Unis dans les années 1920, afin d’y dispenser une médecine exclusivement allopathique afin d’écouler les produits chimiques provenant du pétrole, ce qui va constituer la base de la pétrochimie et de l’industrie pharmacologique.

Il ne s’agit pas d’une médecine basée sur l’alimentation, pourtant premier principe d’Hippocrate, ou sur l’herboristerie, la phytothérapie, l’homéopathie, ou sur l’hypnose, la méditation ou la psychologie, la médecine chinoise ou ayurvédique, médecines traditionnelles à l’efficacité démontrée, mais il s’agit bien d’une médecine exclusivement allopathique. Une nouvelle religion qui n’en tolère pas d’autres.

Désormais la santé n’est plus un bien, c’est devenu une valeur. Force est de constater que c’est aussi devenu un diktat.

L’humanité doit accepter d’être soignée malgré elle, selon des codes ou des normes qui lui sont imposés. Une humanité confinée, contrainte, aux droits violés, mais protégée ! Pour appliquer un soi-disant principe de précaution, en réponse à une menace fantôme dont la virtualité ne s’inspire que de prévisions statistiques, que de calculs établis selon des modèles aux principes tronqués ou faussés, des projections qui ont été mises à mal par la réalité sanitaire. Cela n’a pas de sens. Un profond changement est en cours.

Et pour mieux comprendre cette fin de cycle globale, qui appelle à ce bouleversement profond, quelle qu’en soit l’impulsion, faisons un retour en arrière.

2019 était l’année de tous les dangers : risques bancaires  avec de nombreux établissements en déroute, risques sur l’euro, économies au ralenti, manifestations sociales multiples fragilisant les pouvoirs en place. Et surtout, la fin annoncée du dollar, et l’avènement des cryptomonnaies.

La situation bancaire était critique, en particulier en Europe et aux États-Unis. Les milieux financiers craignaient pour la survie de la Deutsche Bank et la Commerzbank en Allemagne, de l’Intesa San Paolo en Italie, ou de la Société Générale en France. Toute faillite aurait déclenché en effet un « Bank run » partout en Europe que seule une fermeture coordonnée de toutes les banques de la zone et l’instauration d’un contrôle des capitaux aux frontières pourraient éviter.

Quand une banque importante fermera, on peut imaginer que toutes les banques de la zone euro fermeront. Que l’on se rassure, pour ces organismes qui constituent le fondement de notre « état », tout a déjà été mis en place légalement par la Directive BRRD européenne et Loi Sapin 2 pour pouvoir « chyprioter » nos comptes sous prétexte de nous protéger…. d’une catastrophe bancaire et économique.

À la situation bancaire critique s’ajoutait le risque de l’éclatement de la zone euro. Depuis les élections italiennes en mars 2019, la probabilité d’une sortie de l’euro de l’Italie s’était considérablement accentuée. En parade, il était prévu de faire tourner la machine à billets, ce qui aurait fait perdre toute valeur à l’euro, et la dépréciation des actifs. Aujourd’hui, certes, on risque d’en arriver au même point… avant le grand saut ?

A ce risque s’ajoutait également celui du système monétaire instauré depuis les accords de Bretton Woods, en 1944, visant à définir les grandes lignes du système économique et financier mondial, menacé par la nouvelle monnaie chinoise.

Un éclatement du système monétaire sous la pression d’une nouvelle monnaie chinoise. La Chine a créé une nouvelle monnaie basée et convertible en or. Or l’avantage des US de posséder la monnaie mondiale est que cela lui a permis de financer ses déficits. Le modèle économique américain repose en effet sur un abus chronique de dette qui est achetée par les pays qui cherchent à recycler leurs dollars. La Chine a lancé une alternative monétaire au dollar,  et de ce fait n’a plus besoin d’acheter des obligations américaines. Bras de fer pour le leadership !

La guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis était aussi particulièrement lancée, à coup de taxes, de protectionnisme et d’intimidations diplomatiques.

Enfin, le risque de crise sociale inquiétante pour les pouvoirs, tant en France que dans le monde, représentée par des mouvements populaires spontanés (Gilets jaunes…) comme par des manifestations de corporations ou de métiers, tous debout contre des réformes jugées inadaptées, injustes ou forcées au nom du marché et de ses lois.

Ainsi, ce choc anthropologique dont parlent à l’unisson les hommes politiques du monde entier que représente le Covid est une véritable aubaine.

Ce virus de pangolin serait-il à ce point opportuniste ?

Afin d’entrevoir ce que nous réserve l’avenir proche, faut-il s’inspirer des travaux du Forum Economique de Davos qui prône, comme le FMI, « The Great Reset », faut-il se tourner vers les principes collectivistes et transhumanistes de Bacon ou de Moore martelés par Attali et Minc ? S’inspirer de la Chine capitaliste autoritaire ?

Nous sommes à l’heure des choix.

Avec ce film, c’est un engagement pour la vie, le respect du vivant, mes enfants, parents, amis. Hymne à la vie, à l’amour, à l’âme humaine.

Voir aussi le debriefing de Christophe Cossé

https://www.youtube.com/embed/-ZSJ27H1YoU

Auteur(s): Christophe Cossé pour FranceSoir


Les Sources du film

HOLD UP + (sources)

00 : 02 : 28

L’Homme sera bientôt un être modifié par la technologie

Vidéo de Laurent Alexandre : Conférence “La techno-médecine” à L’USI – 2013

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

00 : 08 : 30

Les prophéties de Neil Ferguson pour confiner

https://www.liberation.fr/checknews/2020/06/03/les-previsions-de-ferguson-qui-ont-conduit-de-nombreux-pays-a-se-confiner-etaient-elles-fantaisistes_1790061/

Les recommandations de l’OMS quant à l’utilisation des masques

Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 : orientations provisoires, OMS.

Janvier 2020 : Microsoft Word – Advice on the use of masks 2020-01-29_fr_14FEB2020_marissa.docx (who.int)

Avril 2020 : WHO-2019-nCoV-IPC_Masks-2020.3-fre.pdf

Juin 2020 : WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf

00 : 12 : 27

L’inexactitude des chiffres diffusés – Hypoxie heureuse :

Article Science et Avenir, Les “happy hypoxics”, ces patients du Covid-19 qui ne se rendent pas compte qu’ils manquent d’oxygène (07/05/20)

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/les-happy-hypoxics-ces-patients-du-covid-19-qui-ne-se-rendent-pas-compte-qu-ils-manquent-d-oxygene_144159

00 : 13 : 13

Évolution du nombre de morts entre Mars et Septembre en 2018, 2019 et 2020.

Courbe INSEE :

Évolution du nombre de décès depuis le 1ᵉʳ septembre 2020 − Nombre de décès quotidiens | Insee

00 : 13 : 33

Nombre total de morts de la Covid-19 dans le monde

Covid-19 Dashboard by the Center for Systems Science and Engineering (CSSE)

COVID-19 Map – Johns Hopkins Coronavirus Resource Center (jhu.edu)

00 : 13 : 46

Nombre total de tests effectués dans différents pays entre mars et octobre 2020

Graphique Total Covid-19 tests: Total COVID-19 tests (ourworldindata.org)

00 : 13 : 58

Explication des cycles de dépistage

https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Covid-19-les-tests-PCR-contestes-1713289

https://www.industrie-techno.com/article/baisser-le-seuil-de-detection-des-tests-rt-pcr-du-covid-19-pour-mieux-depister-les-individus-contagieux.61734

00 : 15 : 57

Les faux positifs

Article de Paris Match : Covid-19 : les tests PCR contestés (24/11/20)

Covid-19 : les tests PCR contestés (parismatch.com)

00 : 16 : 35

Le gouvernement tente de justifier le confinement

Article du Parisien : Coronavirus : quand Olivier Véran dessine un schéma pour expliquer la stratégie de la France face à l’épidémie (10/03/20)

Coronavirus : quand Olivier Véran dessine un schéma pour expliquer la stratégie de la France face à l’épidémie – Le Parisien

00 : 16 : 54

Une plainte a été déposée à l’ordre des médecins contre Didier Raoult

Vidéo BFM – (10/09/20) https://www.dailymotion.com/video/x7vy2q8

Proposition de Randy Hillier de créer des camps d’internements pour les malades du Covid

Article The Epoch Times : Covid-19 : des camps d’internement au Canada au printemps 2021 ? (06/11/20, Mis à jour le 07/11/20)

[Vidéo] Covid-19 : des camps d’internement au Canada au printemps 2021 ? | Epoch Times (theepochtimes.com)

Proposition de Randy Hillier de créer des camps d’internements pour les malades du Covid

Les camps au Canada => Site de Randy Hillier:

https://www.randyhilliermpp.com/20201007_question

Dépistage massif à Wuhan

L’article du test sur les asymptomatiques à Wuhan ; https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w

00 : 20 : 29

Les mesures sanitaires contraignantes dans les écoles

Une du Canard Enchainé n°5207, “Un masque, une frousse et des crayons !” du 26 août 2020

Acheter un numéro du Canard enchainé à l’unité (lecanardenchaine.fr)

00 : 30 : 19

Allocution du Président de la République, 16 mars 2020

Site de l’Elysée : Adresse aux Français, 16 mars 2020 | Élysée (elysee.fr)

00 : 35 : 43

L’épidémie va durer

Emission BFM TV – Bourdin en direct – Jean-François Delfraissy face à Jean-Jacques Bourdin du 09 octobre 2020

Jean-François Delfraissy face à Jean-Jacques Bourdin en direct – 09/10 (bfmtv.com)

00 : 36 : 44

Comparatifs des morts par épidémie

Graphique “Comparatifs des morts dans le monde chaque année”

https://www.worldometers.info/fr/population-mondiale/

00 : 37 : 04

Les résultats de l’étude des sénateurs sur la gestion de la crise sanitaire H1N1

Rapport du Sénat du 26 juillet 2017

r16-6851.pdf (senat.fr)

00 : 37 : 44

Allocution d’Olivier Véran

Point de situation coronavirus – (28/02/20)

Point de situation coronavirus – 28 février 2020 – Vidéo Dailymotion

00 : 37 : 50

Interview de Sibeth Ndiaye

Le Grand Entretien, France Inter (04/03/2020)

Sibeth Ndiaye : “Au stade 3 de l’épidémie de coronavirus, on ne va pas arrêter la vie de la France” – YouTube

00 : 38 : 08

Allocution de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (18/03/20)

Point de situation coronavirus | mercredi 18 mars 2020 – Vidéo Dailymotion

00 : 38 : 15

Allocution de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (03/04/20)

Point de situation du vendredi 3 avril – Vidéo Dailymotion

00 : 38 : 22

Déclaration d’Olivier Véran à l’Assemblée Nationale

Questions au gouvernement (07/04/20)

Olivier Véran: “Il n’y a aucune décision de recommandation du port du masque à l’heure actuelle” pour la population (bfmtv.com)

00 : 38 : 31

Déclaration de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (22/04/20)

Jérôme Salomon, point de situation coronavirus du mercredi 22 avril – YouTube

00 : 38 : 36

Déclaration de Edouard Philippe à l’Assemblée Nationale

Compte rendu intégral de la séance du 28 avril sur la stratégie nationale du plan de déconfinement (28/04/20)

Assemblée nationale ~ Séance du mardi 28 avril 2020 (assemblee-nationale.fr)

00 : 38 : 38

Allocution du Président de la République, (14/07/20)

Site de l’Elysée : 14 juillet : l’interview du Président Emmanuel Macron | Élysée (elysee.fr)

00 : 41 : 17

Audition d’Olivier Véran au Sénat

Covid-19 : l’audition d’Olivier Véran, ministre de la Santé, devant la commission d’enquête du Sénat – YouTube

00 : 42 : 00

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le figaro, Coronavirus : 7560 personnes sont mortes en France du virus depuis le 1er mars (04/04/20)

EN DIRECT – Coronavirus : 7560 personnes sont mortes en France du virus depuis le 1er mars (lefigaro.fr)

00 : 42 : 05

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Figaro, Coronavirus : 574 décès de plus en 24 heures, près de 15.000 morts en France (13/04/20)

EN DIRECT – Coronavirus : 574 décès de plus en 24 heures, près de 15.000 morts en France (lefigaro.fr)

00 : 42 : 09

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Coronavirus : presque 10 000 morts aux Etats-Unis (01/04/20)

Direct – Coronavirus : presque 10 000 morts aux Etats-Unis – Libération (liberation.fr)

00 : 42 : 13

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Les Echos, Coronavirus : la France a connu un pic de mortalité en mars

(03/04/20)

Coronavirus : la France a connu un pic de mortalité en mars | Les Echos

00 : 42 : 17

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Plus de 23 000 morts en France, selon le dernier bilan de lundi

(25/04/20)

Plus de 23 000 morts en France, selon le dernier bilan de lundi – Libération (liberation.fr)

00 : 42 : 22

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Coronavirus : l’épidémie a fait plus de 50 000 morts aux Etats-Unis

(20/04/20)

Direct – Coronavirus : l’épidémie a fait plus de 50 000 morts aux Etats-Unis – Libération

(liberation.fr)

00 : 42 : 27

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Monde, Coronavirus dans le monde : plus de 100 000 morts recensés en Europe (18/04/20)

Coronavirus dans le monde : plus de 100 000 morts recensés en Europe

00 : 42 : 32

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Parisien, Coronavirus en France : 395 nouveaux décès, près de 20000 morts au total (19/04/20)

Coronavirus en France : 395 nouveaux décès, près de 20000 morts au total – Le Parisien

00 : 43 : 22

Les journalistes sont perdus sur les nombre de morts

Article de Libération, Coronavirus : au moins 800 000 morts dans le monde – Le Parisien (22/08/20)

Coronavirus : au moins 800 000 morts dans le monde – Le Parisien

00 : 43 : 26

Où sont les morts de la grippe ?

Article de Libération, La grippe a-t-elle fait 70 morts cet hiver comme l’a dit France 2, ou plusieurs milliers ? (12/03/20)

La grippe a-t-elle fait 70 morts cet hiver comme l’a dit France 2, ou plusieurs milliers? – Libération (liberation.fr)

00 : 44 : 11

La Covid fait flamber le prix des consultations

Site de l’Assurance maladie, 27 novembre 2020

Les médecins au cœur du circuit de « contact tracing » des patients Covid-19 | ameli.fr | Médecin

00 : 46 : 05

Le Pr Perronne alerte sur les chiffres apocalyptiques

Livre du Professeur Christian Perronne – Y’a t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? – Edition Albin Michel, 2020

00 : 47 : 56

Le masque de papier

Les guignols de l’info, Canal+, sketch “Le masque de papier”, (10/09/ 2009)

00 : 49 : 16

Site d’analyse de tous les articles sur tous les traitements

Site c19study.com

00 : 52 : 02

La chloroquine est réservée aux spécialistes

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire – Légifrance (legifrance.gouv.fr)

00 : 52 : 33

L’utilisation de la chloroquine est réservée pour les cas graves

Une du Canard enchaîné, N° 5187, Un nouveau slogan : “Pestez chez vous!” – (08/04/20)

00 : 54 : 59

Le fonctionnement de l’hydroxy chloroquine

Audition d’Agnès Buzyn à l’Assemblée Nationale

[INTEGRAL] Coronavirus : Agnès Buzyn devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale – YouTube

00 : 55 : 56

La sonnerie de clairon du gouvernement sur la dangerosité de l’hydroxy chloroquine

Covid-19: le point de situation du 28 mars

REPLAY – Covid-19: le point de situation du 28 mars – YouTube

00 : 56 : 06

La balance bénéfices/risques de la chloroquine

Emission BFM TV – Bourdin en direct – Karine Lacombe face à Jean-Jacques Bourdin en direct du 28 mai 2020

Karine Lacombe face à Jean-Jacques Bourdin en direct – 28/05 (bfmtv.com)

00 : 58 : 53

Karine Lacombe a été payée par des laboratoires

Base de données euros for docs

Vision par Professionnel bénéficiaire | Euros For Docs

01 : 14 : 32

Le remdesivir est réservé aux soins palliatifs

Covid-19: le point de situation du 28 mars

REPLAY – Covid-19: le point de situation du 28 mars – YouTube

01 : 21 : 24

La CIA avait prévue une future pandémie mondiale

Livre d’Alexandre Adler – Le rapport de la CIA, comment sera le monde en 2020 ? – Edition Robert Laffont – 2005

01 : 22 : 27

La fondation Rockefeller, spécialiste des scénarios apocalyptique

Scenarios for the Future of Technology and International Development

Rockefeller Foundation.pdf (nommeraadio.ee)

01 : 25 : 37

Attali affirme qu’Emmanuel Macron pourra être président un jour

Emmanuel Macron “présidentiable” pour Jacques Attali, BFM TV, (27/08/2014)

Emmanuel Macron “présidentiable” pour Jacques Attali – YouTube

01 : 25 : 55

Attali tire les leçons de la crise de H1N1

L’express – Conversation avec Jacques Attali

Changer, par précaution | Conversation avec Jacques Attali – Lexpress

01 : 30 : 16

Gilead rafle la mise sur le remdesivir

Journal Les Echos, Face à la pénurie, la Commission européenne commande plus de 500.000 doses de remdesivir à Gilead (07/10/20)

Face à la pénurie, la Commission européenne commande plus de 500.000 doses de remdesivir à Gilead | Les Echos

01 : 30 : 45

Gilead se voit valorisé après une fusion

Article de Stratégie Bourse du 09/06/20

AstraZeneca envisage de fusionner avec Gilead (strategie-bourse.com)

01 : 30 : 54

Le business plan des laboratoires

Les guignols de l’info, Canal+, sketch “Léger prix des vaccins pour la grippe aviaire”, 11 octobre 2005

Léger prix des vaccins pour la grippe aviaire – Les Guignols – CANAL+ – YouTube

01 : 33 : 12

L’étude Discovery annulée

Article Le Monde, Coronavirus : l’essai clinique Discovery englué faute de coopération européenne, (07/05/20)

Coronavirus : l’essai clinique Discovery englué faute de coopération européenne (lemonde.fr)

01 : 33 : 14

L’étude Discovery annulée

Article L’Humanité : Essais cliniques L’étude Discovery, ou le fiasco de la coopération européenne (04/05/20)

Essais cliniques L’étude Discovery, ou le fiasco de la coopération européenne | L’Humanité (humanite.fr)

01 : 33 : 20

Barrage à l’hydroxychloroquine

Gautret et al. (2020) Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID‐19: results of an open‐label non‐randomized clinical trial. International Journal of Antimicrobial Agents – In Press 17 March 2020 – DOI : 10.1016/j.ijantimicag.2020.105949

Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID-19 – IHU (mediterranee-infection.com)

01 : 34 : 11

Une plainte a été déposée à l’ordre des médecins contre Didier Raoult

Vidéo BFM – (10/09/20)

01 : 36 : 02

Gilead vend pour 220 millions d’euros de doses à l’Union Européenne

Article de Marianne : Remdésivir inefficace : comment la Commission européenne s’est laissée séduire par Gilead, (05/12/20)

Remdésivir inefficace : comment la Commission européenne s’est laissée séduire par Gilead (marianne.net)

01 : 36 : 06

Le remdésivir jugé inefficace et dangereux

Article de Industrie Pharma, Covid-19 : L’utilisation du remdesivir de Gilead remise en cause par l’OMS (20/11/20)

Covid-19 : L’utilisation du remdesivir de Gilead remise en cause par l’OMS (industriepharma.fr)

01 : 36 : 20

Gilead voit son chiffre d’affaire trimestriel augmenter de 17%

Article de The New England Journal of Medicine, Persistence and Evolution of SARS-CoV-2 in an Immunocompromised Host (03/12/20)

Persistence and Evolution of SARS-CoV-2 in an Immunocompromised Host | NEJM

01 : 37 : 21

Martin Blachier, homme d’affaire et épidémiologiste

Site Accueil | Monsite (ph-expertise.com)

01 : 39 : 52

Fauci, chercheur sur les transmission des virus inter-espèces

NIH Director’s Blog, President’s Visit to NIH Highlights Research on Ebola, (02/12/14)

President’s Visit to NIH Highlights Research on Ebola – NIH Director’s Blog

01 : 40 : 18

Les travaux de Fachi jugés dangereux

Newsweek : Dr. Fauci Backed Controversial Wuhan Lab with U.S. Dollars for Risky Coronavirus Research, (28/04/20)

Dr. Fauci Backed Controversial Wuhan Lab with U.S. Dollars for Risky Coronavirus Research (newsweek.com)

01 : 41 : 29

Un virus échappé d’un laboratoire américain

Article de Military.com, CDC Inspection Findings Reveal More about Fort Detrick Research Suspension (24/11/19)

CDC Inspection Findings Reveal More about Fort Detrick Research Suspension | Military.com

01 : 41 : 39

Un laboratoire fermé après qu’un virus se soit échappé

Article de Mediapart,Investigation COVID19 : la remarquable (et peut-être…) fortuite coïncidence! (05/05/20)

Investigation COVID19 : la remarquable (et peut-être…) fortuite coïncidence! | Le Club de Mediapart

01 : 45 : 21

Le nombre de morts par l’AFP

Article de Courrier Picard, Covid-19: plus de 26.000 nouveaux cas en 24H, 2.761 personnes en réanimation, (26/10/20)

Covid-19: plus de 26.000 nouveaux cas en 24H, 2.761 personnes en réanimation (courrier-picard.fr)

01 : 45 : 46

Fabrice Fries élu à la tête de l’AFP

Article de Libération, Fabrice Fries élu PDG de l’AFP à l’arraché, (12/04/18)

Fabrice Fries élu PDG de l’AFP à l’arraché – Libération (liberation.fr)

01 : 45 : 57

Montant total de la dotation de Le Monde en 2019 et 2020

Fondation Bill et Melinda Gates

Le Monde – Bill & Melinda Gates Foundation

01 : 46 : 14

L’Etat débloque une grosse enveloppe pour les médias

Article Les Echos, Coronavirus : le gouvernement a débloqué 2 milliards pour les médias, (05/07/20)

Coronavirus : le gouvernement a débloqué 2 milliards pour les médias | Les Echos

01 : 47 : 23

Qui dirige les médias ?

Schéma “Médias, Qui possède quoi ?”

Médias français, qui possède quoi ? (Le Monde diplomatique, décembre 2020) (monde-diplomatique.fr)

01 : 49 : 12

L’origine probable du virus

Document du CNRS : Le séquençage du nouveau coronavirus révèle une subtile différence avec le SRAS (11/02/2020)

Le séquençage du nouveau coronavirus révèle une subtile différence avec le SRAS | CNRS

01 : 49 : 16

L’origine probable du virus

Science Direct, The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade, (Avril 2020)

The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade – ScienceDirect

01 : 49 : 49

Le virus est d’origine naturelle selon Zheng Li Shi

Nature, A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin (17/09/20) A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin | Nature

01 : 50 : 38

Le virus aurait été fabriqué en laboratoire

Article MaxiSciences.com, Une virologue chinoise dit avoir des “preuves” que le Covid-19 a été fabriqué en laboratoire (18/09/20)

Coronavirus : la virologue chinoise Li-Meng Yan dit avoir des “preuves” que le Covid-19 a été fabriqué dans un laboratoire à Wuhan (maxisciences.com)

Le virus aurait été fabriqué en laboratoire

Science, Enhancing host cell infection by SARS-CoV-2, (13/11/20)

Enhancing host cell infection by SARS-CoV-2 | Science (sciencemag.org)

01 : 54 : 39

Disparition de tubes contenant le virus du SRAS

Article Le Monde, La mystérieuse disparition de 2349 tubes contenant du virus SRAS, (15/04/14)

La mystérieuse disparition de 2 349 tubes contenant du virus SRAS (lemonde.fr)

01 : 54 : 44

Virus transporté clandestinement

Article Le Parisien, Virus mortel transporté clandestinement : la chercheuse de Pasteur se défile, (23/03/17)

Virus mortel transporté clandestinement : la chercheuse de Pasteur se défile – Le Parisien

01 : 54 : 49

Intrusion dans un laboratoire P4

Article 20 Minutes, Lyon : un SDF s’introduit dans le laboratoire haute sécurité P4, (22/03/16)

Lyon : Un SDF s’introduit dans le laboratoire haute sécurité P4 (20minutes.fr)

01 : 54 : 58

La piste du labo reste l’origine la plus probable

Article du Daily Mail : China lab leak is the ‘most credible’ source of the coronavirus outbreak, says top US government official, amid bombshell claims Wuhan scientist has turned whistleblower (02/01/21)

Lab leak is the ‘most credible’ source of the coronavirus outbreak, says top US government official | Daily Mail Online

01 : 55 : 02

Une de Libération du 13 novembre 2020

Article de libération : Hold-Up, le virus du complot (13/11/20)

“Hold-up” : Le virus du complot. 13 novembre 2020 – Liberation

01 : 55 : 12

Une étude indienne suggère que le virus pourrait venir d’un labo

bioRxiv, Discovery of unique insertions in Covid-19 : structural and functionnal implications, Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag | bioRxiv

01 : 55 : 43

La théorie de la création du virus en laboratoire réfutée par des scientifiques

Article Le Monde, Non, le Covid-19 n’est pas une “combinaison du SRAS et du sida”. (09/03/20)

Non, le Covid-19 n’est pas une « combinaison du SRAS et du sida » (lemonde.fr)

01 : 55 : 53

La théorie de la création du virus en laboratoire réfutée par des scientifiques

Article Le Parisien, Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable (17/04/20)

Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable – Le Parisien

01 : 57 : 03

Une nouvelle méthode pour modifier l’ARN

Science et Avenir, Après l’ADN par CRISPR-Cas9, on sait modifier l’ARN grâce à CRISPR-Cas13, (25/10/17)

Après l’ADN par CRISPR-Cas9, on sait modifier l’ARN grâce à CRISPR-Cas13 – Sciences et Avenir

01 : 57 : 14

Les nanotechnologies vont permettre de “bricoler le vivant”

Conférence de Laurent Alexandre, La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI,

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

02 : 05 : 16

Le Forum économique de Davos

World Economic forum

How US foreign policy will shape the ‘Great Reset’ | World Economic Forum (weforum.org)

02 : 06 : 26

Attali soutient que l’on se dirige vers un gouvernement mondial

Arrêt sur Images – 2010

“Il faudra un gouvernement mondial. Après, ou à la place de la guerre ?” [Avent2020] – Par La rédaction | Arrêt sur images (arretsurimages.net)

02 : 06 : 39

Le Brevet nanoparticules et cryptomonnaie

Brevet Microsoft (22/05/20)

Un message pour la Journée Internationale de la Diversité Biologique, le 22 mai 2020 – Navdanya international

02 : 08 : 22

La vérité sur la 5G

Publicité Free (2020)

Free Mobile – 5G : La Vérité – YouTube

02 : 11 : 18

Scenarios for the Future of Technology and International Development

Rockefeller Foundation.pdf (nommeraadio.ee)

02 : 11 : 29

Les maladies graves découlant du Covid 19 seraient causées par des cellules colonisatrices

ncbi, Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness (01/10/2008)

Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness (nih.gov)

02 : 17 : 37

Laurent Alexandre – Global Postiv Forum

Global Positive Forum – Laurent Alexandre – French – YouTube

02 : 19 : 05

Présentation du PDG de Twitter

Site de Berggruen

You searched for – Berggruen Institute

02 : 19 : 27

Envol du cours boursier de Square

Cours boursier de Square

Square, Inc. Class A Common Stock (SQ) Stock Quotes | Nasdaq

02 : 20 : 03

Les personnalités appartenant à l’Institut Berggruen

Site du Bergguren Institute

The Transformations of the Human – Our Work – Berggruen Institute

02 : 21 : 16

Les dieux et les inutiles

Conférence de Laurent Alexandre aux élèves de Polytechnique (12/02/19)

Table ronde de l’X sur le Transhumanisme – YouTube

02 : 27 :00

Recherche des déterminants génétiques de l’intelligence

Conférence de Laurent Alexandre : Conférence “La techno-médecine” à L’USI – 2013

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

02 : 28 : 21

Ce dont j’ai le plus peur, c’est la peur”

André Comte-Sponville sur RTL (8/09/20)

Coronavirus : “Je n’ai pas peur de la Covid-19”, assure le philosophe André Comte-Sponville – YouTube

02 : 36 : 22

Le pire bilan en France en un jour ?

Article La dépêche – Coronavirus : 523 morts en 24 heures, pire bilan en France depuis avril, et un nombre de cas qui explose en Occitanie (27/10/20)

Coronavirus : 523 morts en 24 heures, pire bilan en France depuis avril, et un nombre de cas qui explose en Occitanie – ladepeche.fr

02 : 36 : 36

Rectificatif de l’information du 27/10/20

Article France Info – RECTIFICATIF. Covid-19 : 288 personnes sont mortes de l’épidémie en 24 heures dans les hôpitaux en France et 235 en quatre jours dans les établissements médico-sociaux (27/10/20)

RECTIFICATIF. Covid-19 : 288 personnes sont mortes de l’épidémie en 24 heures dans les hôpitaux en France et 235 en quatre jours dans les établissements médico-sociaux (francetvinfo.fr)

02 : 36 : 42

Spot de sensibilisation aux gestes barrières

Spot de sensibilisation du gouvernement

Le spot “choc” du gouvernement pour le respect des gestes barrières – Vidéo Dailymotion

02 : 38 : 24

L’exploit de Florian Gomet

Article L’Equipe – Aventure : 3 500 km et 80 jours à courir sans chaussures, Florian Gomet raconte (27/09/20)

Aventure : 3 500 km et 80 jours à courir sans chaussures, Florian Gomet raconte – L’Équipe (lequipe.fr)

02 : 45 : 42

Des vaccins prêts en 12 à 18 mois

Emission BFM TV – Good moring Business – Thierry Breton (Commissaire européen) : Brexit, vers un “no deal” ? – (21/12/20)

Thierry Breton (Commissaire européen) : Brexit, vers un “no deal” ? – 21/12 (bfmtv.com)

02 : 46 : 19

Les vaccins vont être testés sur toute la population européenne

Commission Européenne – Roadmap of vaccination (03/2019)

2019-2022_roadmap_en.pdf (europa.eu)

02 : 46 : 45

Investissement massif dans une entreprise de fabrication de bouteilles de vaccins

Les Echos – Schott, le passeur du vaccin anti-Covid (04/12/20)

Schott, le passeur du vaccin anti-Covid | Les Echos

02 : 47 : 11

Aucun traitement n’est utile contre le virus ?

Site de l’ANSM

L’ANSM mobilisée dans la mise à disposition des vaccins COVID-19 – ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (sante.fr)

02 : 47 : 33

Interdiction du Remdesivir

L’OMS ne recommande pas l’administration de remdesivir aux patients COVID-19

(20/11/20)

L’OMS ne recommande pas l’administration de remdesivir aux patients COVID-19 (who.int)




La vérité contre la peur

[Source anglaise : LifeSite (lifesitenews.com)]

[Ndlr : Les notes et références ne font pas partie de lettre originale, mais sont ajoutées par Nouveau Monde.]

La vérité contre la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation

Par Mgr Carlo Maria Viganò

Cette lettre reflète dans une large mesure l’intervention que je vais donner aux participants du prochain sommet «La vérité contre la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation», du 30 avril au 1er mai 2021, organisé par Patrick Coffin. Cet événement vital met en vedette plus de 20 des meilleurs médecins, chercheurs et avocats du monde, et offrira une approche scientifique et sensée de la pseudo-pandémie. Tout le monde a droit au consentement éclairé.

Mgr Carlo Maria Viganò

25 mars 2021 (LifeSiteNews) — Ce que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne l’image d’une réalité inquiétante et d’une conspiration criminelle encore plus inquiétante ourdie par des esprits égarés. Cette réalité n’est cependant pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grippe saisonnière grave comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les prétendus vaccins reconnus inutiles et nocifs comme rien moins que miraculeux.

La réputation des entreprises pharmaceutiques

Nous savons que les géants de l’industrie pharmaceutique — AstraZeneca(([1] https://www.industriepharma.fr/amende-aux-etats-unis-pour-astrazeneca,35697)), Pfizer(([2] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/445723/pfizer-entente,
https://www.lapresse.ca/affaires/economie/200909/02/01-898108-pfizer-va-payer-une-amende-record-de-23-milliards.php)), Moderna, Johnson & Johnson(([3] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/johnson-johnson-ecope-dune-amende-de-8-milliards-de-dollars-aux-etats-unis-1138460)) — non seulement n’ont pas suivi les protocoles ordinaires de test des médicaments, mais ont de plus un long historique de condamnations pour avoir précédemment causé de graves dommages à la population, en distribuant des vaccins dont il s’est avéré qu’ils provoquaient des maladies invalidantes.

Conflits d’intérêt

Nous connaissons les conflits d’intérêts(([4] http://agora.qc.ca/Documents/Conflit_dinterets–Medecine_et_conflits_dinterets_par_Josette_Lanteigne,
https://www.quechoisir.org/dossier-conflits-d-interets-en-medecine-t2687/,
https://formindep.fr/les-conflits-dinterets-en-medecine-quel-avenir-pour-la-sante-france-etats-unis-japon/
https://nouveau-monde.ca/de-mediator-a-astrazeneca-mensonges-et-corruptions-au-sein-de-la-gouvernance-francaise-et-europeenne/)) macroscopiques qui existent entre les entreprises pharmaceutiques et les organismes chargés de leur contrôle : dans de nombreux cas, les employés de ces entreprises sont passés par les entités qui doivent approuver et autoriser l’utilisation des médicaments, et il est difficile d’imaginer qu’ils aient la liberté de faire une évaluation juste et prudente tout en continuant souvent à avoir des liens professionnels avec Big Pharma. En effet, nous venons de voir récemment avec le cas d’AstraZeneca en Europe que la nocivité évidente du soi-disant vaccin — qui a conduit certaines Nations à suspendre sa distribution(([5] https://www.rfi.fr/fr/europe/20210311-covid-19-plusieurs-pays-europ%C3%A9ens-suspendent-l-utilisation-du-vaccin-astrazeneca)) — n’est pas considérée comme une raison suffisante par l’EMA (Agence européenne des médicaments) pour en interdire l’adoption(([6] https://www.journaldemontreal.com/2021/03/18/le-vaccin-astrazeneca-est-sur-et-efficace)). Les récentes découvertes sur les effets secondaires(([7] https://www.fawkes-news.com/2020/12/la-fda-enumere-les-effets-secondaires.html)) graves ont été conçues pour exclure la majorité des cas et surtout pour ignorer délibérément la relation de cause à effet entre l’inoculation du vaccin et ses effets secondaires à court ou à long terme.

Déresponsabilisation contre les effets secondaires

Nous savons qu’au mépris de tout principe juridique et de la protection de la population les entreprises pharmaceutiques ont exigé d’être dégagées de toute responsabilité pour les dommages que pourraient subir les patients(([8] https://blogs.mediapart.fr/le-cri-des-peuples/blog/270820/vaccin-covid-19-les-laboratoires-ne-seront-pas-responsables-des-effets-secondaires (bien qu’officiellement ce ne soit pas le cas :
https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/vaccins-et-covid-en-cas-d-effets-indesirables-contre-qui-les-patients-pourront-ils-se-retourner-7074158
https://www.lci.fr/sante/vaccins-contre-le-covid-19-les-laboratoires-seront-ils-vraiment-decharges-de-toute-responsabilite-en-cas-d-effets-secondaires-2165265.html
https://www.leparisien.fr/societe/vaccins-une-clause-de-non-responsabilite-pour-les-labos-cinq-minutes-pour-comprendre-la-polemique-10-12-2020-8413532.php, mais :
https://www.humanite.fr/vaccins-decryptage-des-contrats-signes-entre-les-laboratoires-et-lunion-europeenne-700194) )), à qui l’on demande de signer une décharge en même temps que leur consentement éclairé(([9] Cela dépend probablement des pays. Au Québec, le futur vacciné ne reçoit apparemment qu’un feuillet « Pour aider au consentement éclairé – Opération vaccination Covid-19 »
https://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/fichiers/2020/20-279-23WF.pdf)). Ainsi, en plus des profits scandaleux tirés de la vente des vaccins, les multinationales pharmaceutiques garantissent leur propre impunité pour une opération criminelle, menée avec la complicité des institutions internationales et des gouvernements.

Le secret sur les clauses contractuelles

Nous savons que les termes contractuels des accords passés par les nations et par l’Union européenne avec ces entreprises pharmaceutiques sont inaccessibles et secrets : même les parlementaires et les représentants politiques ne sont pas autorisés à voir les clauses qu’ils ont dû approuver dans une boîte scellée.(([10] Cependant, certains documents ont pu partiellement fuiter :
https://www.humanite.fr/vaccins-decryptage-des-contrats-signes-entre-les-laboratoires-et-lunion-europeenne-700194)) Et nous savons que ces mêmes entreprises pharmaceutiques, non seulement n’assument aucune responsabilité quant aux effets secondaires, mais déclarent même ne pas garantir leur efficacité à immuniser contre le virus. (([11] Un vaccin procurant à coup sûr l’immunité aurait 100 % d’efficacité. Or, celui qui revendique le maximum d’efficacité ne serait efficace qu’à 95 %.
https://reinfocovid.fr/science/les-vaccins-efficaces-a-95-de-pfizer-et-moderna-nous-avons-besoin-de-plus-de-details-et-de-donnees/))

L’origine chinoise du virus

(([12] En toute rigueur, l’hypothèse n’est pas définitivement prouvée, même si plusieurs indices y concourent.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/sars-cov-2-lhypothese-quil-proviendrait-dun-laboratoire-gagne-du-terrain))
Nous savons que le virus SRAS-CoV-2 a, selon toute probabilité, été produit en laboratoire, avec la complicité de la dictature chinoise. La Chine étant l’un des principaux financiers de l’OMS après la Fondation Bill & Melinda Gates, elle a pu empêcher toute enquête sur l’origine du virus ou les premiers stades de sa propagation.(([13] https://siksik.org/qui-finance-loms/))

Complicité du personnel de santé

Nous savons que chaque nation, à de très rares exceptions près, a immédiatement adopté les protocoles sanitaires les plus absurdes émanant de l’OMS, à commencer par la décision malheureuse de ne pas traiter les malades dès l’apparition des premiers symptômes et de les soumettre à une ventilation profonde une fois que le syndrome grippal a dégénéré en pneumonie bilatérale aiguë. Et cela s’est produit avec l’exécrable complicité du personnel sanitaire — des médecins au personnel hospitalier — provoquant des milliers de décès non pas à cause de la COVID, comme nous le disent les grands médias, mais à cause d’un traitement incorrect.(([14] https://nouveau-monde.ca/flavia-grosan-pneumologue-roumaine-cest-le-protocole-covid-applique-dans-les-hopitaux-qui-tue-les-malades/))

Délégitimation et boycott des traitements disponibles

(([15] Et même souvent leur interdiction pure et simple.
https://www.gatsbyonline.com/ataraxie/ce-que-cache-l-interdiction-de-vente-de-lhydroxychloroquine-420416/))
Nous connaissons également la campagne furieuse contre l’efficacité des traitements déjà existants(([16]
https://nouveau-monde.ca/laissons-les-medecins-prescrire-la-resistance-des-medecins-liberaux-sorganise/)), depuis l’utilisation de plasma hyperimmun(([17] ou convalescent.)) jusqu’à l’utilisation de médicaments que de nombreux médecins, bien que violant les normes sanitaires imposées pendant ces mois, ont jugé de leur devoir d’administrer à leurs patients, avec succès.(([18] https://reinfocovid.fr/science/ivermectine/
[19] https://cv19.fr/2020/12/18/le-traitement-du-covid-existe-azithromycine-ivermectine-hydroxychloroquine-et-les-vaccins/)) Et il n’est pas difficile de comprendre que le faible coût des traitements, le fait que beaucoup d’entre eux ne sont pas soumis à des brevets, et surtout leur efficacité immédiate dans le traitement représentent pour les entreprises pharmaceutiques et leurs complices une raison plus que suffisante pour s’y opposer et les discréditer, jusqu’à en interdire l’usage.

Un projet planifié depuis des années

(([20] https://nouveau-monde.ca/preuves-que-la-pandemie-a-ete-planifiee/
https://www.mondialisation.ca/la-vaccination-mondiale-le-veritable-objectif-de-loperation-covid-19/5653966))
Nous savons que pour mener à bien cette opération criminelle — puisqu’il faut parler de crime contre Dieu et contre l’humanité, et non d’un simple destin malheureux — il a fallu des années de planification, menées de manière systématique, afin d’affaiblir les plans nationaux de lutte contre les pandémies, de réduire drastiquement le nombre de lits dans les hôpitaux et les unités de soins intensifs(([21] https://nouveau-monde.ca/covid-et-saturation-des-hopitaux-les-plans-de-restructurations-de-lhopital-public-sur-le-banc-des-accuses/
https://www.belgiqueenbonnesante.be/fr/donnees-phares-dans-les-soins-de-sante/hopitaux-generaux/organisation-du-paysage-hospitalier/categorisation-des-activites-hospitalieres/l-evolution-du-nombre-de-lits-agrees-d-hospitalisation)), de créer une masse d’employés aveugles, sourds et muets, qui ne sont plus médecins et qui placent leur propre sécurité sur le lieu de travail avant leur devoir de soigner les malades. Le serment d’Hippocrate a été violé au nom du profit des entreprises pharmaceutiques et de la poursuite d’un projet d’ingénierie sociale.

Implication du système de santé

Nous savons que pour obtenir la complicité des médecins et des scientifiques, on a eu recours non seulement au système de corruption et de conflits d’intérêts qui existe depuis des décennies, mais aussi à la distribution de prix et de primes en espèces.(([22] https://nouveau-monde.ca/de-mediator-a-astrazeneca-mensonges-et-corruptions-au-sein-de-la-gouvernance-francaise-et-europeenne/
https://nouveau-monde.ca/quand-la-pensee-unique-la-quete-de-notoriete-une-betise-sans-limite-la-corruption-ou-pourquoi-pas-des-menaces-menent-a-limmonde/
https://nouveau-monde.ca/pourquoi-les-scientifiques-ne-font-pas-de-science-pourquoi-lobscurantisme-est-il-la-regle/)) Pour donner un exemple, en Italie, un médecin spécialiste reçoit 60 euros par heure pour administrer des vaccins dans les centres de vaccination ; les médecins généralistes reçoivent des primes pour chaque patient qu’ils ont vacciné ; un lit en soins intensifs est payé environ 3000 euros par jour par le service national de santé. Il est évident que ni les médecins généralistes, ni le personnel hospitalier, ni les agences régionales de santé n’ont intérêt à se priver d’énormes revenus, après que la santé publique ait été démolie au cours de la dernière décennie au nom de la réduction du gaspillage imposée par l’Union européenne. Pour donner une idée, l’Italie a reçu 72 invitations de Bruxelles à fermer tous les petits hôpitaux qui, aujourd’hui, sous le prétexte de la pandémie, ont été rouverts et financés avec des fonds que l’UE alloue à titre de prêt avec des contraintes et des conditionnalités qui, en d’autres moments, auraient été jugées inacceptables. Pourtant, ces hôpitaux ont bien fonctionné, permettant d’offrir un service étendu aux citoyens, et ils ont pu éviter la propagation des maladies.

Le rôle fondamental des médias

Nous savons que des nations ont accordé des financements aux médias, en guise de contribution à l’information sur le COVID. En Italie, le gouvernement de Giuseppe Conte a alloué des sommes importantes pour que le système d’information national donne une version alignée de la pandémie, et il a censuré toute voix dissidente. La diffusion des données sur les infections et les décès a été grossièrement manipulée, suggérant que toute personne ayant un résultat positif au test doit être considérée comme malade(([24] https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2020/04/06/coronavirus-reveillez-vous-on-se-fout-de-vous-il-y-a-des-directives-pour-surestimer-considerablement-le-nombre-de-deces-dans-tous-les-pays/
https://bam.news/tribune/lettre-ouverte-a-yves-coppieters/
https://www.francesoir.fr/societe-sante/transcription-de-la-conference-de-presse-scotus-des-medecins-de-premiere-ligne-de)), même si les asymptomatiques ne sont pas contagieux — de l’aveu même de l’OMS et des organismes analogues aux États-Unis, au Canada, en Australie, etc..(([25] https://nouveau-monde.ca/les-depistages-massifs-par-pcr-ne-servent-a-rien-stop-depistage/)) Et à côté de ces financements gouvernementaux, dans de nombreux cas, les conflits d’intérêt avec les entreprises pharmaceutiques ont pu également interférer dans les choix des diffuseurs et des journaux, d’une part parce que Big Pharma représente l’un des principaux acheteurs d’espaces publicitaires, et d’autre part parce qu’elle est présente dans le conseil d’administration des sociétés d’information. Il est difficile de croire que le rédacteur en chef d’un journal, même s’il est persuadé que la pandémie est une fraude, oserait aller à l’encontre du PDG ou priver le journal des bénéfices publicitaires de Pfizer ou Johnson & Johnson.(([26] https://nouveau-monde.ca/pourquoi-la-fondation-bill-melinda-gates-a-subventionne-le-journal-le-monde-a-hauteur-de-4-millions-de-dollars/
https://nouveau-monde.ca/covid-et-domination-planetaire-comment-bill-gates-et-ses-amis-milliardaires-se-sont-assures-le-soutien-des-medias/
https://observatoiredumensonge.com/2020/12/16/medias-francais-que-devient-lobjectivite/))

Responsabilité des médias sociaux

Nous savons qu’en plus de la complicité des médias, la machine infernale des médias sociaux, de Facebook à Twitter, de Google à YouTube, a mobilisé une opération de censure éhontée et scandaleuse, au point d’effacer les profils d’éminents scientifiques et de journalistes reconnus, pour la seule raison qu’ils n’obéissaient pas aux diktats de la narration du COVID. Même dans ce cas, il n’est pas surprenant de découvrir les relations économiques et de parenté existant entre ces multinationales colossales, qui sont devenues au fil du temps les propriétaires de l’information et les arbitres de qui a le droit à la liberté d’expression et qui ne l’a pas.(([27] Ces médias sont allés jusqu’à censurer complètement l’ancien Président des États-Unis, Donald Trump, parce qu’il ne s’alignait pas avec leur discours !))

Qui en bénéficie ?

Nous savons également qui sont les principaux bénéficiaires de la pandémie, en termes économiques : les usuriers des banques, qui ont le pouvoir de maintenir à flot les entreprises idéologiquement alignées, et en même temps de faire échouer les petites entreprises si elles constituent un obstacle gênant à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. Ces petites entreprises, répandues surtout sur le Vieux Continent et en particulier en Italie, constituent le tissu social et l’identité économique de nombreuses nations. Leur large diffusion dérange les multinationales de la grande distribution, d’Amazon à JustEat, qui, pendant la période de blocage, ont augmenté leurs profits de manière scandaleuse, au détriment des activités commerciales normales, car ce livre que nous avions l’habitude d’acheter à la librairie du coin doit maintenant être commandé en ligne, tout comme le déjeuner, le toner de l’imprimante et le détergent pour lave-vaisselle. Cette « nouvelle économie » s’est imposée avec arrogance en quelques semaines seulement l’année dernière, grâce à la fermeture simultanée des magasins et à l’obligation de rester à la maison qui ont été imposées aux citoyens.(([28] https://nouveau-monde.ca/la-covid-19-sourit-aux-milliardaires/))

L’éducation

Nous savons que la nécessité d’endoctriner les jeunes générations ne pouvait pas exclure de ce plan l’enseignement scolaire et universitaire, qui est aujourd’hui dispensé via « l’enseignement à distance » avec des conséquences psychologiques très graves pour les enfants et les jeunes. Cette opération jette aujourd’hui les bases pour qu’un jour l’enseignement offert via internet puisse être unifié, décidant quels professeurs sont autorisés à donner des cours et ce qu’ils doivent dire, et je ne serai pas surpris si bientôt cette forme d’enseignement aligné comprend un nombre de plus en plus restreint de professeurs : un seul professeur d’histoire pour tous les élèves d’une nation, avec un programme étroitement défini et contrôlé. Il ne s’agit pas d’une réalité lointaine, lorsque chaque élève sera obligé de se connecter en ligne et ne pourra plus faire appel à un professeur de sa propre école, mis à la retraite ou retiré de l’enseignement parce qu’il ne se conforme pas aux ordres du pouvoir. Nous ne pouvons pas non plus être surpris si les nouveaux enseignants sont des hologrammes qui élaborent des algorithmes, ou des intelligences artificielles inquiétantes qui endoctrinent des millions de jeunes dans la théorie du genre, la doctrine LGBT, et toutes les aberrations morales que nous avons anticipées ces dernières années.(([29] La technologie informatique actuelle rend ceci tout à fait possible :
https://www.etonnante-epoque.fr/deep-fake/))

Les promoteurs de la pandémie

Nous savons qui sont les théoriciens de la pandémie utilisée comme instrumentum regni (([30] un royaume d’outils)), de Bill Gates(([31] https://fr.sott.net/article/36020-Bill-Gates-dicte-aussi-et-en-toute-discretion-la-politique-alimentaire-mondiale-et-plus-encore)) à George Soros(([32] https://cogiito.com/a-la-une/les-mondialistes-utilisent-covid-19-pour-inaugurer-lagenda-2030-des-nations-unies-brave-new-world-avec-dix-ans-davance-sur-le-calendrier/)), dans un réseau de complicité d’intérêts si vaste et organisé(([33] https://nouveau-monde.ca/lagenda-2030-vert-de-lonu-est-derriere-la-grande-reinitialisation-du-forum-economique-mondial-suivez-la-piste-de-largent/)) que toute mesure d’opposition est pratiquement impossible. Avec eux, nous trouvons le répertoire le plus inquiétant d’organisations dites philanthropiques et de lobbies de pouvoir, comme le Forum économique mondial avec Klaus Schwab(([34] https://nouveau-monde.ca/le-%e2%80%89great-reset%e2%80%89-nest-pas-du-complotisme/)), l’OMS(([35] https://nouveau-monde.ca/loms-veut-immuniser-le-public-contre-la-desinformation-tous-les-moyens-de-controle-et-de-persuasion-sont-mis-en-oeuvre/)) et toutes ses branches nationales, la Commission trilatérale(([36] https://aphadolie.com/2019/06/13/commission-trilaterale-a-infiltre-les-gouvernements/)), le groupe Bildeberg(([37] https://blogs.mediapart.fr/candice-vacle/blog/160819/le-pouvoir-secret-du-groupe-bilderberg-0)), le Conseil pour le capitalisme inclusif dirigé par Lady Lynn Forester de Rothschild(([38] https://www.c2montreal.com/fr/speaker/lady-lynn-forester-de-rothschild/#/)) sous la direction spirituelle de Bergoglio(([39] Le pape François.)) et, plus généralement, la phalange de multinationales, de banques et de groupes de pouvoir qui font partie du sommet des conspirateurs. Ne soyez pas surpris si, en parfaite cohérence avec leurs plans, les sectes et les mouvements satanistes mondiaux se mobilisent également, à commencer par l’Église de Satan qui exalte l’avortement comme rituel propitiatoire pour la fin de la pandémie, exactement comme Big Pharma exige des pseudo-vaccins produits avec des fœtus avortés.

[…]

Si quelque chose ne fonctionne pas, on peut l’utiliser pour autre chose

Il faut reconnaître que l’illogisme apparent de ce que nous voyons se produire — le boycott des traitements préventifs, les thérapies erronées, les vaccins inefficaces, les confinements sans utilité(([40] https://nouveau-monde.ca/loms-confirme-que-le-test-covid-19-pcr-est-invalide-les-estimations-des-cas-positifs-sont-sans-fondement-le-confinement-na-aucune-base-scientifique/
https://nouveau-monde.ca/lechec-du-confinement-et-des-vaccins-reconnu-par-ceux-qui-les-ont-conseilles-le-pr-delfraissy-et-coll/
https://nouveau-monde.ca/les-confinements-sont-catastrophiques-partout-dans-le-monde/)), l’utilisation de masques absolument inutiles(([41] https://nouveau-monde.ca/masques-tests-vaccins-prevention-actions-et-recours/
https://lesakerfrancophone.fr/mise-a-jour-des-donnees-scientifiques-recentes-concernant-la-politique-covid-19
https://nouveau-monde.ca/le-masque-un-lent-assassinat-collectif-monte-sur-des-mensonges-une-museliere-anti-sociale-pour-esclaves-consentants/)) — prend tout son sens dès lors que l’on comprend que l’objectif déclaré — vaincre la prétendue pandémie — est un mensonge, et que le véritable objectif est la planification d’une crise économique, sociale et religieuse en utilisant comme outil une pseudo-pandémie habilement provoquée. Ce n’est qu’ainsi que l’on peut comprendre la simultanéité et l’univocité des dispositions adoptées par les différentes nations, la narration alignée des médias et le comportement des dirigeants politiques. Il y a un seul scénario sous une seule direction(([42] https://nouveau-monde.ca/les-acteurs-mondiaux-peuvent-utiliser-le-coronavirus-pour-remodeler-le-monde-sans-guerre-president-de-bielorussie/
https://valeriebugault.fr/de-letat-profond-au-gouvernement-mondial-avec-pierre-bergerault-tvl)), qui utilise la collaboration et la complicité des politiciens et des gouvernants, des médecins et des scientifiques, des évêques et des prêtres, des journalistes et des intellectuels, des acteurs et des influenceurs, des multinationales et des banquiers, des fonctionnaires et des spéculateurs. Les profits et les gains y contribuent, car ils achètent et assurent la loyauté des subordonnés, mais cette guerre — ne l’oublions jamais ! — est une guerre idéologique et religieuse.(([43] https://nouveau-monde.ca/covid-19-le-port-du-masque-le-lavage-des-mains-la-separation-sociale-et-le-verrouillage-sont-des-rituels-occultes-seculaires/))

Deux mondes opposés

Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la Grande Réinitialisation(([44] https://nouveau-monde.ca/du-confinement-a-la-grande-reinitialisation/)), c’est-à-dire le passage du monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist, d’une société vertueuse qui punit les méchants à la société impie et méchante qui punit les bons. Cette idée détestable d’« égalité » qui nous a été inculquée par les libres penseurs a été utilisée pour mettre sur un pied d’égalité le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid, sous le prétexte de reconnaître la liberté d’expression. Aujourd’hui, elle sert à promouvoir le mal, l’injustice et le mauvais, et même à les rendre obligatoires, afin de délégitimer et d’interdire le bien, la justice et la beauté. […] Nous devons donc comprendre que, si nous n’assistons pas passivement aux changements en cours et si nous ne nous laissons pas imposer l’idéologie mondialiste dans toutes ses formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des criminels, hostes publici(([45] ennemis publics.)) […]

Nul n’est prophète en son pays

Bien sûr, ce que nous voyons se produire aujourd’hui sous nos yeux aurait pu être compris et prédit depuis des années, si seulement nous avions prêté attention à ce que les théoriciens du Great Reset déclaraient en toute impunité. En réalité, ceux qui ont dénoncé ce plan, qui est actuellement en cours, ont été traités de théoriciens du complot, ridiculisés ou passés pour des fous, ostracisés par l’information grand public et criminalisés, chassés des chaires universitaires et de la communauté scientifique. Aujourd’hui, nous comprenons la clairvoyance des alarmes qui ont été lancées et la puissance du mécanisme d’organisation mis en place par nos adversaires. Au nom de la liberté, nous nous sommes habitués à nous voir privés du droit de parler et de penser, et l’effort de pathologisation de la dissidence(([46] https://nouveau-monde.ca/la-pathologisation-de-la-dissidence/)) afin de légitimer les camps de détention(([47] https://guyboulianne.com/2020/11/05/un-camp-secret-covid-19-capable-dheberger-pres-de-100-personnes-infectees-par-le-coronavirus-est-pret-a-lemploi-au-manitoba/
https://guyboulianne.com/2020/11/20/un-camp-covid-19-est-il-bati-sur-le-terrain-de-lhopital-hotel-dieu-de-saint-jerome-dans-la-region-des-laurentides-dossier-dinvestigation/
https://guyboulianne.com/2021/01/26/lallemagne-instaure-des-camps-de-detention-obligatoire-pour-les-individus-qui-enfreignent-a-plusieurs-reprises-les-mesures-de-quarantaine/)) et de limiter les mouvements sur la base du passeport sanitaire est déjà en cours.

[…]

L’Homme n’est pas un robot

Il y a cependant un élément que les conspirateurs n’ont pas pris en compte : la faiblesse humaine d’une part, et la puissance de Dieu d’autre part. La faiblesse humaine fera que certains des complices de cette conspiration ne seront pas totalement obéissants aux ordres qui leur ont été donnés, ou bien ils penseront qu’ils peuvent tirer un avantage personnel de la pseudo-pandémie en dénonçant la tricherie et la corruption. Certains penseront d’abord à leur propre intérêt, d’autres imposeront l’obligation du vaccin à n’importe qui, mais ils auront quelques scrupules lorsqu’il s’agira de vacciner leur propre enfant ou leur parent âgé. Certains craindront que la farce pandémique ne les implique d’une manière ou d’une autre dans le scandale, et ils commenceront à avouer et à parler, d’autres seront utilisés puis brutalement écartés, ce qui éveillera en eux le désir de vengeance et les conduira à révéler les dessous du plan. Petit à petit, ce colosse aux pieds d’argile s’effondrera, inexorablement, sur ses propres mensonges et ses propres crimes.

[…]

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

25 mars 2021


Notes et références




Le « Lockstep » de Draghi

[Source en italien : Draghi’s Lockstep (maurizioblondet.it)]

Un article éclairant de Thomas Fazi, publié par son ami Gianluigi Paragone, fait état du très récent rapport politique post-COVID préparé par le G30 – un groupe de réflexion fondé à l’initiative de la Fondation Rockefeller en 1978, « présidé par Draghi avec Raghuram Rajan, ancien gouverneur de la banque centrale indienne ».

Par Maurizio Blondet

« Il indique clairement que les gouvernements ne devraient pas gaspiller de l’argent pour soutenir les entreprises qui sont malheureusement condamnées à la faillite, définies dans le rapport comme des « entreprises zombies » – pensez, par exemple, en ce qui concerne l’Italie, aux centaines de milliers de magasins et d’établissements publics mis à genoux par la pandémie et ses mesures pour le contenir et seulement partiellement soutenus par les « rafraîchissements » insuffisants du gouvernement – , mais ils devraient plutôt soutenir la « destruction créatrice » du marché libre, laissant ces entreprises à leur sort et favorisant le déplacement des travailleurs vers des entreprises vertueuses [NdNM : traduire par « les entreprise multinationales telles qu’Amazon ».] qui continueront d’être rentables et qui se développeront après la crise.

[…]

Le document du G30 met également l’accent sur le marché du travail, en écrivant que « les gouvernements devraient encourager les ajustements sur le marché du travail… qui exigeront que certains travailleurs doivent changer d’entreprise ou de secteur, avec des voies appropriées de recyclage et d’aide économique. »

Pour Fazi, « le message est clair : les gouvernements ne devraient pas essayer d’empêcher l’expulsion de la main-d’œuvre des entreprises vouées à la faillite, comme en Italie et dans plusieurs autres pays, une tentative a été faite jusqu’à présent, en partie, avec le blocage des licenciements (expirant en mars) et l’utilisation intensive du fonds de licenciement. Ils devraient plutôt soutenir et faciliter ce processus afin de permettre au marché de prévoir une allocation « efficace » des ressources (y compris les humains). »

Je ne sais pas si Fazi, qui accuse Draghi d’« idéologie libérale précoce » – a compris que la Fondation Rockefeller est celle qui a, en octobre 2019, avec la Fondation Gates et à la « John Hopkins Bloomberg School of Public Health » (une chaire privée « universitaire » payée par le milliardaire Bloomberg) organisé à New York « Event 201 », la simulation bien connue d’une pandémie de coronavirus qui aurait causé 65 millions de décès et conduit les États à assumer la suspension de la liberté de circulation et du commerce, et [imposé] la vaccination universelle répétée et permanente, etc.

Je rappelle que l’intérêt de la Fondation Rockefeller pour l’exploitation des opportunités offertes par une pandémie remonte à 2010 : puis, en mai, il a publié Scenarios for the Future of Technology and International Development. (http://www.nommeraadio.ee/meedia/pdf/RRS/Rockefeller%20Foundation.pdf)

Comment renforcer la mondialisation même après une pandémie mondiale ?

Dans cette prédiction, la Fondation Rockefeller a simulé le scénario appelé « Lockstep » sur la façon dont une pandémie mondiale engendrerait un État policier mondial commencé par la Chine, mais qui après la fin de la pandémie « non seulement resterait en place , mais s’intensifierait ». Prendre l’exemple du contrôle total de la Chine sur la population a été implicitement (et même pas si implicitement) également recommandé en Occident.

En bref, la Fondation Rockefeller (et donc ses émanations telles que le G30 coprésidé par Draghi) est l’une des centrales électriques stratégiques qui ont conçu le Grand Reset du Forum économique mondial : en profitant de la « rare occasion » offerte par l’épidémie pour « reconstruire mieux » – reconstruire mieux, c’est le slogan répété par tous les puissants ces derniers mois – l’économie mondiale, corrigeant ses pierres d’achoppement vers un capitalisme véritablement libre (comme le petit immobilier privé, à abolir), en éliminant les émissions nocives causées par une population désormais superflue qui prétend voyager, partir en vacances, gagner un salaire dans des emplois, qui peut être remplacé par l’avantage des robots, et qui doit disparaître. Avec le tourisme de masse, les restaurants, les hôtels, les agences de voyages, les compagnies aériennes surdimensionnées [qui devront aussi disparaître]…

Alors peut-être que Draghi était un humain « libéral depuis le début ». C’est lui qui mettra en œuvre le Grand Reset pour l’Italie. Les compagnies zombies dont il a parlé sont clairement de petits magasins et toutes les activités d’accueil, défilés de mode et aux salons, dont l’idéologie transhumaniste du Forum Économique Mondial a décrété l’élimination parce qu’elles sont « polluantes » (effet de serre, producteurs de CO2).

Dans le projet idéologique-transhumaniste de la Grande Réinitialisation, le DAD [?] et le travail intelligent de masse élimineront les déplacements et la nécessité de réunions en personne, et amèneront la fermeture (c’est déjà le cas) des bars et pizzerias. Il s’en suivra – annoncé ouvertement : 

  • l’élimination des élevages de bovins, de porcs et de volailles très polluants;
  • la rééducation des bouches inutiles à l’apport protéique des insectes;
  • le maintien de la population superflue avec un revenu universel de base, en monnaie numérique, qui sera donné contre la vente au gouvernement de tous les bâtiments;

le gouvernement proposera d’éliminer toutes les dettes de toutes les personnes (hypothèques, prêts, cartes de crédit, etc.), grâce au financement du FMI dans le cadre de ce qui deviendra connu sous le nom de programme mondial de réinitialisation de la dette. « En 2030, nous n’aurons rien, pas d’intimité, et nous serons heureux ».

C’est ce qu’ils appellent « une dose de socialisme dans la quatrième révolution industrielle ».

« Après l’âge de 65 ans, l’homme coûte plus cher à la société qu’il ne produit. Aujourd’hui, la vieillesse est un marché, mais elle n’est pas solvable. En tant que socialiste, je suis contre la prolongation de la durée de vie utile. L’euthanasie sera l’un des outils essentiels des sociétés futures. La logique socialiste, c’est la liberté, et la liberté fondamentale, c’est le suicide. »

Jaques Attali

Draghi le fera, il n’y a aucun doute là-dessus. Il y a quelques jours, j’avais mis un point d’interrogation à la fin de la phrase :

« Un homme d’une singulière duplicité, sans scrupules, toujours en accord avec l’idéologie actuelle des milliardaires, va-t-il mettre en œuvre le Grand Reset du Forum économique mondial, qui est l’orthodoxie du moment ? »

Maintenant, le point d’interrogation doit être supprimé. La certitude ultime m’a été donnée par Paolo Mieli, mélodieux, lors d’un talk-show, quand il espérait que Draghi ne garderait aucun ministre du gouvernement précédent », sauf Roberto Speranza qui était si doué pour gérer la pandémie « : un maître du discours nous a dit que la dictature et l’imposture thérapeutique doivent continuer, avec des verrouillages ultérieurs de plus en plus impitoyables, comme décrit dans la feuille de route publiée du Canada.

Alors pourquoi ai-je dit que c’était bien que la Ligue ait accepté de soutenir Draghi ? Tout d’abord, parce que la Grande Réinitialisation faite par les grillini-piddini, incapables aussi bien que méchants, serait pire pour la cruauté envers la population, et puis parce que la Ligue a pris Draghi au mot sur sa conversion « keynésienne », et peut au moins montrer sa duplicité. Cela peut aussi lui faire manquer de soutien. En bref, cela peut au moins l’affecter un minimum.

Ce sera peu. Bien sûr, mais débarrassons-nous de toute illusion. Angela Merkel en Allemagne, Macron en France, Boris Johnson au Royaume-Uni, voire Netanyahou en Israël, mettent en œuvre le Grand Reset, tout comme nous, selon le même programme de « vaccinations totales » et la même destruction prévue d’activités économiques « inutiles », « polluantes », non résilientes et non vertes. La Commission, avec Van der Leyen, doit absolument vacciner l’ensemble de la population (pour une « maladie » qui peut être traitée avec des médicaments connus et bon marché), parce qu’ils servent évidemment un autre but. Et il n’y aura pas de libération tant que le peuple n’aura pas réalisé la dictature inhumaine qui l’opprime, ce qui est peu probable. Dans ce contexte, le choix de Meloni de rester à l’écart est également excellent : en tant qu’électeur, j’ai deux fours (pour ce que ça vaut, car je ne pense pas que nous continuerons à voter – ou nous voterons avec la méthode révélée par Time pour faire gagner Biden).

(Je me souviens avoir prié pour que « le filet qu’ils ont tendu » les capture : la libération viendra d’en haut)




Les comploteurs démasqués : Macron cheval de Troie du Nouvel Ordre Mondial et de la finance

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

Le 1er décembre 2020, nous avons publié cet article : Le Choc en Retour II ou Macron en Place sur son siège… éjectable.

Le 26 janvier 2021, Macron a participé au Forum Économique Mondial virtuel de Davos 2021 en faisant une intervention en compagnie de Klaus Schwab.

Forum Économique Mondial de Davos

Le Forum Économique Mondial (weforum.org)

Klaus Schwab

Klaus Schwab est le fondateur et le président du Forum de Davos (Forum Économique Mondial) depuis 1971. C’est sans aucun doute un des plus fervents promoteurs du Nouvel Ordre Mondial, il y a consacré toute sa carrière !
Le livre de Klaus Schwab écrit avec un collaborateur (Thierry Malleret) et publié en 2020.

COVID-19: The Great Reset | Malleret, Thierry & Schwab, Klaus

Analyse de cet ouvrage par des journalistes dissidents de The Guardian :
• en anglais : https://off-guardian.org;
• traduction en français : Le « Great Reset » n’est pas du complotisme.

Intervention commune de Klaus Schwab et de Macron

Transcription

INTERVENTION DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DANS LE CADRE DE L’AGENDA DE DAVOS ORGANISÉ PAR LE WORLD ECONOMIC FORUM

26 JANVIER 2021 — SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOI

Le Président de la République

Bonjour, Professeur SCHWAB, je suis très heureux aussi de vous retrouver par ce biais, et merci en effet d’avoir organisé ces échanges qui, je crois, s’imposent encore plus dans la période.

Je voudrais faire le lien entre le monde d’aujourd’hui et le monde d’après. D’abord parce que dans tous nos pays, les sociétés se transforment avec l’expérience qu’on est en train de vivre. Et je crois qu’on a quelques leçons à retenir de ce qu’on vit tous ensemble depuis un peu plus d’un an, et qui va encore durer, on le sait, pendant des mois, certains nous disent, des années. Avec en tout cas une présence plus ou moins forte de ce virus.

Je crois que la première chose que ça nous a enseigné, c’est qu’on ne peut pas penser l’économie sans l’humain. Alors, ça paraît être une banalité de dire ça, mais enfin, nous avons fait, dans tous nos pays, quelque chose qui était considéré comme impensable, c’est-à-dire qu’on a arrêté toutes les activités économiques pour protéger des vies. Première leçon. Et on s’est rappelé que l’économie dont vous parlez, c’était une science morale et donc que la vie des hommes primait sur les échanges et les chiffres.

La deuxième chose, c’est que cette période nous rappelle notre vulnérabilité, à titre personnel, si je puis dire (j’en ai fait les frais en l’attrapant), mais comme organisation, entreprise, société, pays. Et la vulnérabilité, ça veut dire qu’on ne peut pas penser nos organisations de notre économie sans l’intégrer. Et c’était au fond une idée qui nous paraissait – certains avaient plus conscience que d’autres sur ce sujet – mais qui nous paraissait parfois lointaine quand on parlait de l’écologie et du climat. Mais c’est la même notion. C’est de dire : ce qui se passe autour de nous a un impact sur notre quotidien et peut, en quelque sorte, briser les chaînes, changer nos vies.

Une fois que j’ai dit ça, ça veut dire qu’on ne peut rien reconstruire, à mes yeux, dans le monde d’après- Covid, qui ne tire les leçons de ces deux éléments fondamentaux. L’économie est redevenue une science morale, et rien n’est au-dessus de la valeur humaine ; et nos sociétés sont vulnérables parce que la nature nous le rappelle et elles sont vulnérables face à des événements pandémiques, climatiques et autres.

Et donc, l’économie de demain, forte de ces enseignements, mais de ce qu’on savait aussi avant, parce qu’il y a aussi, on parle beaucoup des variants dans cette période, il y a aussi des invariants, eh bien, l’économie de demain, c’est à mes yeux, une économie qui va devoir penser à la fois l’innovation, la vulnérabilité et l’humanité, et donc qui va devoir construire une autre compétitivité compatible et même aidant à la résolution des problèmes climatiques : réduction du CO2, adaptation de nos sociétés parce qu’on en a déjà les conséquences, agenda biodiversité. Ça veut dire une économie qui devra être plus résiliente aux chocs et donc intégrer dans ses modes de protection des individus, dans ses organisations des éléments de résistance, soit dans ses chaînes de production, soit dans ses organisations logistiques très fines des éléments de résilience -on pourra y revenir si vous le souhaitez- et une économie qui prenne en compte ce principe d’humanité, qu’il s’agit d’ailleurs du sanitaire ou des inégalités sociales. Et on avait ce problème, on en avait parlé ensemble il y a un an. Et je crois qu’on ne sortira pas de la Covid-19 avec une économie, je dirais, qu’on sortira plutôt de la Covid-19 avec une économie qui aura encore plus en son cœur la problématique de la lutte contre les inégalités. Voilà les quelques convictions rapidement brossées.

Pr Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, je crois, l’année passée, vous avez dit dans une réunion de l’OID que le capitalisme est devenu fou, et dans le contexte que vous dites d’une économie morale, quelle est votre conception du rôle de l’entreprise, de la philosophie de l’entreprise ? Je pose la question parce que j’ai publié aujourd’hui un livre qui s’appelle « Stakeholder capitalism », which means un capitalisme des parties prenantes. Quelle est votre philosophie ?

Le Président de la République

Je me retrouve dans la formule du stakeholder capitalism, mais au fond, ce qui est vrai, c’est quand on regarde l’évolution des dernières décennies, nous avons un capitalisme qui, d’abord, capitalisme et économie de marché ont des vraies réussites dans cette dernière décennie, parce qu’il ne faut pas caricaturer les choses. Elle a permis l’ouverture des économies. Le commerce mondial, le capitalisme ont permis de sortir de la pauvreté des centaines de millions de personnes. Donc ça, ça a eu un intérêt. Ça a permis de procéder à beaucoup d’innovations, ça a permis de répondre à des demandes du citoyen consommateur de nos économies de manière extraordinaire, avec de l’accès aux biens et à des services comme rarement dans l’humanité, nous y avons eu accès. Donc ça, c’est le formidable succès des dernières décennies. Il y a une façon à tout cela. C’est que tout cela est allé avec, un, évidemment, de la création d’inégalités dans nos sociétés ; c’est-à-dire que l’ouverture et la théorie des avantages comparatifs a permis de sortir de la pauvreté à l’autre bout du monde des gens et d’autres concitoyens pour accéder à la production, mais à la sortie de la production et donc de l’activité, de l’utilité sociale, d’un rôle réel et d’un accès aux salaires, beaucoup de nos concitoyens qui ont eu à souffrir des crises de délocalisation que toutes les économies développées ont eu à vivre. Et c’était un choc à la fois économique et social pour des centaines de millions dans le monde, dans mon pays des centaines de milliers, voire des millions de personnes qui ont eu ce sentiment de perte d’utilité, qui ont perdu leurs emplois avec une vraie crise économique et morale. Et en quelque sorte ce problème, il a été externalisé par le capitalisme des dernières décennies.

Le deuxième sujet, c’est la déconnexion entre la création de valeur et les profits. Il y a une financiarisation de ce capitalisme. La financiarisation, c’est une très bonne chose quand elle permet d’aller plus vite, quand elle permet de procéder à la bonne allocation de l’épargne vers les besoins de financement. C’est une mauvaise chose quand elle sur-alloue en quelque sorte de la rémunération, alors qu’il y a peu de prise de risque et donc qu’elle permet des enrichissements qui ne sont pas liés ni à un travail ni à un phénomène d’innovation. Et c’est ce qui s’est passé. Donc, il y a eu une espèce d’emballement qui a accru ce premier phénomène d’inégalité. On a revu dans toutes nos sociétés une inégalité croissante en leur sein.

Troisième phénomène, avec l’accélération des réseaux sociaux, elle a mondialisé l’imaginaire en créant aussi une insoutenabilité, si je puis dire, des systèmes de comparaison, je dirais ce terme, de plus en plus difficiles.

Quatrième problème, elle a totalement externalisé le problème climatique pendant des décennies, c’est- à-dire qu’on a créé une logistique mondiale, des échanges mondiaux. On a dit au fond, il y a deux rois dans ce système : le consommateur et l’actionnaire, et le système a très bien produit pour le consommateur et l’actionnaire, mais il a ajusté sur le travailleur et sur le reste de la planète. Et en quelque sorte, on a créé des externalités négatives, comme on dit pudiquement, en termes climatiques.

Ces quatre phénomènes ont alimenté la crise des inégalités sociales, la crise de la démocratie et la crise climatique. Et donc, le modèle capitaliste marié à l’économie de marché ouverte, il ne peut plus fonctionner dans cet environnement. Pourquoi ? Parce qu’il a été le fruit historiquement d’un compromis qui étaient des sociétés démocratiques, l’individu libre, des libertés individuelles, le progrès des classes moyennes qui ont créé la soutenabilité dans chacune de nos sociétés. Et il est en quelque sorte complètement percuté, cet équilibre, ce consensus qu’il y avait, par ces 4 accélérations. Et donc, moi, je crois très profondément dans votre Stakeholder Capitalism, entre autres, c’est-à-dire dans l’idée de dire qu’on doit remettre au cœur du modèle la réponse à ces problématiques.

On a au fond, durant les dernières années, essayé d’y répondre par une réponse des États. L’État seul ne peut pas le faire parce que sinon on a un problème, c’est que l’État est le seul à corriger des externalités négatives. Et donc, il s’endette de plus en plus pour payer tout seul la réponse aux problèmes climatiques, pour payer tout seul la réponse aux inégalités. Et vous avez en quelque sorte un modèle où la dette publique devient trop importante et/ou c’est le contribuable qui vient payer pour toutes ces crises. Le contribuable est en quelque sorte le sédentaire de ce modèle et celui qui ne peut pas non plus en tirer tous les bénéfices. C’est pourquoi ma conviction, c’est que le modèle capitaliste, parce que je crois malgré tout que nous construirons l’avenir de l’humanité en gardant quelques fondamentaux : la propriété privée, la coopération, les libertés individuelles et collectives qui ont fait nos sociétés. Et donc, que tout ça doit simplement conduire à repenser nos organisations pour réintégrer au cœur de l’entreprise. Eh bien, la prise en compte des inégalités sociales dans nos pays, des inégalités entre les différents espaces géographiques, des conséquences climatiques que nous vivons, entre autres.

Et au fond, ce qu’on a ces dernières années appelé la responsabilité économique, environnementale, sociale de nos entreprises, l’approche par l’impact de nos entreprises, ce sont des innovations qu’il nous faut maintenant pousser beaucoup plus loin et nous devons réformer nos entreprises en leur sein pour qu’en leur cœur, pour que, en quelque sorte, l’ensemble des parties prenantes, donc stakeholders, les employés, les dirigeants, les actionnaires intègrent dans leurs comportements, mais aussi dans ce qu’on mesure, eh bien, l’impact de leurs actions en termes économiques, sociales, environnementales et démocratiques.

Pr. Klaus SCHWAB

Vous avez mentionné qu’en mesure, je suis très heureux, monsieur le président, de vous dire qu’aujourd’hui même, on a annoncé l’engagement de la société ici virtuellement, de reporter régulièrement selon des critères très exacts sur le progrès qu’ils font dans leur responsabilité sociale, écologique et aussi en ce qui concerne la goutte [inaudible]. J’aimerais bien reprendre l’écologie. Je crois avec aussi l’engagement maintenant du Gouvernement de la nouvelle administration américaine pour les objectifs du traité de Paris. Ma question, on a certainement fait beaucoup de progrès, mais je vous demande : est-ce que vous êtes satisfait avec ces progrès ? Ou est-ce que vous souhaiterez une sorte de nouveau consensus qui va au-delà de ce qu’on a discuté et décidé auparavant ?

Le Président de la République

Je pense plusieurs choses sur ce sujet. D’abord, on a une question de mise en œuvre, on a discuté et on s’est mis d’accord sur beaucoup de choses : un agenda climatique, l’agenda de Paris. Et aujourd’hui, nous ne sommes pas au rendez-vous tous ensemble, exactement de nos actes. Et donc, je pense que la priorité des priorités, c’est de manière coordonnée, de tout faire pour tenir nos engagements. Je dis de manière coordonnée parce qu’en quelque sorte, le passager clandestin peut détruire tout le système. Tout cela ne marche que si on avance ensemble au même rythme pour ne pas créer des biais de compétitivité. Et c’est en cela que les dernières années ont été capitales au moment où les États-Unis d’Amérique avaient décidé de quitter l’accord de Paris, à l’été 2017, il y avait un grand risque. Et moi, je regarde quand même les années qui viennent de s’écouler comme des années de résistance formidable où le château de cartes ne s’est pas effondré parce qu’on a tous ensemble tenu, on a créé cette initiative du One Planet Summit le 12 décembre 2017 avec ces coalitions. Tous ensemble on a tenu, Européens, avec beaucoup de pays émergents, développés, avec la Chine il faut bien le dire aussi qui a coopéré très fortement et avec le secteur privé et les États fédérés américains. Et là on a une administration américaine dont le premier geste est de revenir dans les accords de Paris.

Donc, moi, mon premier objectif, c’est qu’on tienne ces accords de Paris ; rehaussement de nos objectifs 2030, nous l’avons fait en européen en décembre dernier avec la réduction d’émissions comme on l’a dit, -55%, ce qui est un objectif très important. Deuxième point, neutralité carbone 2050. Ce sont les deux points de passage absolument décisifs pour, dans les prochaines années, structurer nos comportements. Derrière, il faut qu’au niveau régional et national, on décline ces stratégies et c’est là le plus dur, c’est-à-dire avoir un prix carbone suffisamment élevé, des mécanismes qui incitent nos entreprises et nos investisseurs à aller plus vite dans la direction, des mécanismes d’accompagnement et de sanction pour que les entreprises et les ménages puissent aller plus vite et plus fort, qu’on renouvelle plus rapidement notre parc automobile, qu’on change plus vite la rénovation de nos bâtiments, etc. etc. Donc ça, c’est le premier pilier, il est essentiel.

Le deuxième pilier, il est d’embarquer véritablement tout le secteur financier et toutes les entreprises et ça rejoint la discussion qu’on avait juste avant. On a des coalitions très importantes à cet égard, et moi je crois beaucoup à l’initiative qu’on a mise en place avec le One Planet Summit, des sovereign wealth funds, asset managers et private equity. Et on l’a réuni le 12 décembre dernier en mode virtuel. Et maintenant, on a réussi à généraliser, en effet, une même nomenclature. Tout le monde s’est engagé avec la task force for Climate-related financial disclosure, TCFD, qui est une vraie avancée à cet égard. On a une même méthodologie et on avance. Donc les investisseurs se sont engagés sur une méthodologie de mesure qui correspond exactement à ce que vous venez de dire et qui, maintenant, est en train de se décliner sur les entreprises. Et par exemple, on a obtenu en décembre dernier, le 12 décembre dernier, que les 40 entreprises du CAC 40 français intègrent cette méthodologie. Ce qui veut dire qu’elles vont devoir reporter à leurs actionnaires, aux marchés, le fait qu’elles sont justement elles- mêmes conformes à ses engagements et qu’elles font des efforts.

Troisième pilier de notre action, c’est qu’on fasse la même chose sur la biodiversité. Moi je crois beaucoup qu’on ne tiendra l’engagement climatique que si on arrive à engager nos entreprises, nos investisseurs, nos pays sur un agenda biodiversité. C’est tout le sens d’ailleurs de ce qu’on a fait avec One Health, qui est de rassembler notre sujet santé humaine, biodiversité, lutte contre le réchauffement climatique et contre la désertification. Mais je crois véritablement qu’on n’est encore qu’au début sur le climat, sur la biodiversité. Et c’est très important parce que c’est des changements de production dans notre agriculture, c’est des changements de notre mode de consommation, de notre mode de vie. Et donc là, nous avons à bâtir cette année les règles communes. Et donc quand vous dites qu’est-ce que l’on doit réussir à négocier de plus ? Eh bien moi, je pense qu’à la COP de Kunming, on doit réussir à négocier l’équivalent de l’accord de Paris pour la biodiversité. Nous avons réuni, il y a quelques jours à Paris et en mode virtuel, un One Planet Summit biodiversité, c’était le premier du genre. On a pris plusieurs initiatives très fortes : la Grande Muraille verte, justement, pour dans 11 pays du Sahel et de la Corne de l’Afrique, réussir à lutter contre la désertification ; beaucoup d’initiatives en matière de biodiversité. Et on a lancé une initiative, là aussi, de disclosure en matière financière pour intégrer la biodiversité dans ces critères, avec un rendez-vous qui se tiendra cet été. Et donc, ça, c’est le point clé. Voilà les trois piliers.

Pr. Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, si on prend tous ces changements, est-ce que ça signifie aussi un nouveau mode de mondialisation ? Est-ce c’est aussi, comme on dit, un « new normal » pour la mondialisation ?

Le Président de la République

Alors complètement. Je vais vous dire, tout ce qu’on est en train de se dire converge pour moi vers trois éléments. Le premier, on doit bâtir un nouveau consensus. Le 11 novembre dernier, lors du Forum de Paris pour la paix, on a essayé de réunir des chefs d’Etat et de gouvernement, des ONG, des organisations internationales, des intellectuels pour essayer de réfléchir à ce qu’on a appelé très immodestement le consensus de Paris. C’est le consensus de partout, qu’importe, mais de se dire plusieurs décennies après le consensus de Washington, il nous faut bâtir un nouveau consensus dont les règles ne sont pas la réduction de l’État, la baisse du secteur public et la création de valeur uniquement pour justement l’actionnaire. Et donc on doit bâtir, et c’est exactement la discussion qu’on a depuis tout à l’heure ensemble, un nouveau consensus qui intègre tout cela et qu’il remet au cœur du modèle. Deuxième point, il faut trouver un nouveau mode de coopération entre les États, c’est-à-dire retrouver un multilatéralisme efficace. C’est ce à quoi je crois depuis des années. Il était bloqué, en effet, par une administration américaine qui n’y croyait pas. Je nourris beaucoup d’espoirs en ce début d’année avec un partenaire américain, je l’espère, qui va se réengager, et donc nous devons construire un multilatéralisme efficace qui permettra de répondre et de mettre en œuvre ce nouveau consensus. Et puis, troisième chose, on a besoin de bâtir ces nouvelles coalitions, celles-là même qu’on a essayé de construire dans le cadre des One Planet Summit. C’est-à-dire qu’au fond, pour répondre à ces défis, le « new normal » dont vous parlez est une interaction et je salue à cet égard le caractère très innovant de votre forum, depuis des décennies, vous avez pensé ça, c’est-à-dire la coopération, mais au concret entre les États, les ONG, les entreprises, les investisseurs. C’est-à-dire que ce « new normal » dont on parle, la mise en scène du consensus, ce n’est pas qu’un multilatéralisme intergouvernemental, ce sont des coalitions d’acteurs hétérogènes qui se donnent les mêmes objectifs pour avoir des résultats.

Pr. Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, ça me donne justement une raison de vous demander : je sais votre intérêt pour toutes les nouvelles technologies, pour ce qu’on appelle la quatrième révolution industrielle, mais dans toute sa conception, disons, le numérique joue un très grand rôle.

Comment voyez-vous l’impact de la puissance de l’écosystème numérique sur tout ce que vous avez dit ?

Le Président de la République

Je pense qu’il y en a plusieurs. Le premier, c’est que nous sommes en effet en train de multiplier les révolutions, quand on parle de numérique. Il y a plusieurs révolutions en une. Nous sommes au début de plusieurs révolutions technologiques qui nous font complètement changer de dimension. On a la révolution de l’intelligence artificielle, qui va totalement changer la productivité et même aller au-delà du pensable dans énormément de verticaux, de l’industrie à la santé en passant à l’espace. À côté de la révolution de l’intelligence artificielle, il y en a une deuxième qui, pour moi, est totalement fondamentale, qui est celle du quantique, qui va là aussi, par la puissance de calcul et la capacité d’innovation, profondément changer notre industrie, en changeant l’industrie des capteurs et donc ce qu’on peut faire dans l’aéronautique, ce qu’on peut faire dans le civil, changer totalement la réalité du cyber, par exemple ; et notre puissance de calcul, ce qui veut dire aussi la capacité qu’on a à résoudre des problèmes. Je prends l’épidémie que nous sommes en train de vivre, l’intelligence artificielle et le quantique sont des instruments de gestion, de transformation de gestion de l’épidémie. C’est-à-dire que vous pourrez régler des problèmes qui aujourd’hui prennent des semaines, en un jour. Vous pourrez régler des problèmes de diagnostic, peut-être en quelques secondes, grâce au croisement de l’imagerie médicale et de l’intelligence artificielle. Et donc dans la grande famille de ce qu’on appelle le numérique, on a en fait une convergence entre des innovations, celles du numérique, qui est au fond, quand on appelle ça génériquement, des réseaux sociaux et d’une hyper connectivité avec celle de l’intelligence artificielle et des technologies quantiques.

Le mariage de tout ça fait que nous allons rentrer dans une ère d’accélération de l’innovation, de rupture très profonde d’innovation et donc de capacités à commoditiser certaines industries et créer de la valeur très vite. Par rapport à ce que j’ai dit, qu’est-ce que cela a comme impact ? Un, on va continuer

àinnover et à accélérer. C’est sûr. Deux, il y aura des impacts en termes d’ajustement sociaux et il nous faut les penser dès maintenant. C’est-à-dire que le sujet des inégalités sociales va être encore plus prégnant dans un monde comme celui que je viens d’évoquer parce que nous aurons des impacts, des ajustements qui seront réels et qui sont à penser dès maintenant. Trois, tout cela a des impacts en termes démocratiques qui sont massifs. Et donc si vous voulez, pour moi, ces innovations vont être des accélérateurs de nos problèmes sur le plan social et démocratique. L’expérience américaine des dernières semaines l’a montré sur le plan démocratique, si besoin était. Quatre, la bonne nouvelle c’est que je pense que sur la résilience de nos systèmes et la réponse à la crise climatique, on a sans doute sous-estimé l’apport de l’innovation et je pense aussi que toutes ces technologies vont nous permettre, beaucoup plus vite, de répondre aux défis climatiques.

Et donc si je regarde, que je prends deux pas de recul par rapport à tout ce qu’on est en train de se dire, je pense que nos économies vont devoir de plus en plus investir dans ces innovations et il faut y aller à fond. Je pense que si on s’y prend bien et qu’on coopère entre nous, ces innovations vont nous permettre de créer de la valeur, de répondre aux défis économiques. Elles vont nous permettre, je l’espère, je le crois possible, de répondre plus vite aux défis climatiques. Et c’est aussi pour ça que moi je crois à ce que j’appelle l’économie du mieux, la réponse climatique par l’innovation plutôt que par l’arrêt des activités. Mais elles vont nous poser des problèmes sur lesquels nous n’avons pas assez réfléchi en termes démocratiques, en termes de libertés publiques et d’augmentation des inégalités sociales dans nos différentes nations.

Pr Klaus SCHWAB

Monsieur le Président, c’était vraiment une vision intégrale de notre avenir. Mais notre avenir ne va arriver automatiquement, il faut le construire. Et je suis heureux, on a vu, à travers votre présentation, qu’il y a des gens et des leaders qui ont une perspective très claire comment devrait cet avenir – qu’est- ce que devrait être cet avenir qu’on veut construire pour le bien de tout le monde. Alors un grand merci, Monsieur le Président, et je suis désolé que la technologie, pendant un moment, avec la ligne entre Paris et Genève, nous a réservé certaines surprises. Mais je crois que c’était un grand événement en regardant l’avenir. Merci bien Monsieur le Président de la République.

Le Président de la République

Merci Professeur, merci cher Klaus et je remercie tout le monde. En effet, nous sommes parfois plongés dans le quotidien mais je pense que c’est aussi important – et merci de m’en avoir donné l’occasion – d’essayer de regarder ensemble le cap et d’échanger sur ces sujets. Et votre conclusion le dit très bien, je la partage et je m’arrêterai là dessus, n’oublions jamais que notre objectif est toujours en société de construire la vie bonne, avec les vertus qui vont avec et la volonté de respecter l’autre. Et je pense que c’est au service de cet objectif qu’on doit mettre chacune de nos actions. Donc merci beaucoup, tous mes vœux et j’espère à très bientôt physiquement.

Pr Klaus SCHWAB

A bientôt, au revoir Monsieur le Président.

Le Président de la République

Merci beaucoup, merci Klaus, merci Professeur.

26 JANVIER 2021 — SEUL LE PRONONCÉ FAIT FOI

Commentaire

À l’évidence, les deux sont entièrement sur la même longueur d’onde. Ils partagent les mêmes idées. Ils prônent les mêmes solutions. Culs et chemises, ils sont ! D’après eux, le virus covidien les a fait réfléchir. Le système capitaliste est injuste. Il faut le modifier, le transformer, l’améliorer… L’écologie devient subitement une de leur priorité, alors que ce sont leurs petits copains qui pendant des décennies, en prônant le libéralisme économique, ont le plus contribué à saloper notre planète. La préservation de la santé de l’homme devient tout aussi subitement la priorité absolue. Elle justifie les confinements et la dépression économique. Ce qu’ils oublient de dire est que cette dépression, ils l’ont voulue. Ce sont eux qui l’ont créée, pour une raison très simple : tout le système financier a failli s’effondrer en automne 2019 ; les banques ne voulaient plus se prêter entre elles. (Voir : Le bon virus au bon moment). Mais ce n’est pas tout, au passage ils en ont profité pour faire quelques profits, et saigner les pigeons (voir : Lettre ouverte à Maître Di Vizio, aux Professeurs Raoult et Perronne et au Docteur Fouché).

En cas de crise majeure, tout était planifié depuis de nombreuses années, comme le prouve la mise en place dès le printemps 2020 des éléments contenus sur le site du Forum Économique Mondial.

Ce qui est très significatif dans cette histoire, c’est le silence médiatique : aucun écho un tant soit peu élaboré de ces manigances et de ces bacchanales : ni à la télévision, ni à la radio, ni dans la presse… À votre avis pourquoi ?

Intervention du Ministre allemand de la Santé

[Source :  Maurizio Blondet]

Le ministre allemand de la Santé admet au forum en ligne de Davos qu’il n’arrêtera pas de propager la terreur du Coronavirus tant que l’ADN de la population entière ne sera pas modifié avec l’ARNm et le Great Reset ne sera pas terminé.

Vidéo en allemand [Nécessité de vérifier la traduction ci-dessus]

Voir aussi :


Tranquillement le ministre de la santé québécois : “On a hâte de commencer à vacciner pour éliminer nos personnes vulnérables”