Flambée de cancers sous pseudovax : conseils aux naïfs tentés par un nième booster

Par Dr Nicole Delépine

Si répéter est la base de l’enseignement, il est bien une technique que possèdent les gouvernants du Nouvel Ordre Mondial (et donc les nôtres), celui de ressasser encore et encore une propagande contraire aux faits avérés pour conduire les administrés à obéir et à se faire injecter ce poison inefficace et dangereux alors qu’elle est démentie par des milliers d’articles internationaux.

Il convient de répéter aux menteurs compulsifs (et grassement payés ?) des plateaux télé :

Non, le masque ne protège pas de ce virus contrairement aux dires et supplications de la ministre.1

Non, le pseudovax n’est pas un vaccin, malgré les changements de définition du Petit Robert et cette injection encore expérimentale en AMM provisoire ne protège ni des contaminations ni des formes graves sinon il n’y aurait pas plus de décès2 liés, reconnus par les agences de santé internationales, chez les vax que chez les non-vax. Les appels internationaux à stopper le désastre sont nombreux.3

REFUSEZ LE BOOSTER À CEUX QUE VOUS AIMEZ

Si vous aimez vos proches injectés (par confiance mal placée aux médias menteurs, ou par nécessité vitale pour vivre), protégez-les du booster proposé, car les effets s’accumulent avec les doses successives, et surtout le contenu de ces nouveaux pseudovax paraît de plus en plus riche en substances toxiques. Les premières doses contenaient beaucoup de placebos, mais les suivantes sont de plus en plus riches en ARNm et en graphène, dont une multiplication des complications que chacun peut constater dans son entourage s’il ne se voile pas la face.

Comme clinicienne, je veux attirer votre attention sur les flambées de cancer qui désolent les cancérologues pourtant taiseux.

En octobre dernier 2022, une étude suédoise a révélé que la protéine de pointe associée à la maladie COVID-19 et ses vaccins expérimentaux pénètre dans le noyau des cellules et interfère de manière significative avec les fonctions de réparation des dommages à l’ADN, compromettant l’immunité adaptative d’une personne et encourageant peut-être la formation de cellules cancéreuses.

En mars 2021, le Dr Ryan Cole a signalé une « hausse » massive de diverses maladies auto-immunes et cancers chez les patients vaccinés contre la COVID.

« Depuis le 1er janvier 2021, en laboratoire, je constate une multiplication par 20 des cancers de l’endomètre par rapport à ce que je vois sur une base annuelle ». En ce qui concerne l’immunité adaptative globale, Cole décrit : « Après le vaccin, ce que nous voyons est une baisse de vos cellules T tueuses » qui « gardent tous les autres virus sous contrôle », laissant le patient vulnérable à une variété de maladies.

En janvier 2022 trois militaires décorés de haut rang, médecins et responsables de la santé publique aux USA, ont déclaré sous serment qu’à la suite de l’adoption du vaccin COVID dans l’armée américaine ils avaient constaté une augmentation des cancers de 296 %.4

Un post d’alexandra pour sensibiliser les humains au risque de cancer après injection anticovid5

« Je remarque que l’humain comprend mieux sur l’animal que sur lui-même. Alors je vous raconte l’histoire de Kimani, le petit gorille, né dans un zoo à Calgary. Il est né le 9 mars 2016 d’une mère Kioja, âgée de 15 ans (primipare) et d’un père illustre Kakinga, connu comme le “gentle giant” (le gentil géant), mort à 37 ans d’une déchirure dans l’aorte. Bénéficiant du nec plus ultra du traitement de l’humanité, le jeune Kimani âgé de 6 ans a été injecté début avril 2022 avec les premières doses anti-COVID19 disponibles au zoo. En moins de 2 mois, l’état de santé de Kimani s’est profondément dégradé. Il est dans un état critique, et seuls les soins palliatifs sont désormais envisagés. Il a été diagnostiqué d’un cancer du foie… Cancer pédiatrique du foie ». 6

Ces cancers foudroyants que médecins et vétérinaires n’essaient même pas de traiter, nous les appelons entre cancérologues les TURBO CANCERS. Merci d’en parler autour de vous, car il nous faut trouver un moyen pour les prendre en charge, mais aussi pour en limiter l’incidence, ce qui revient probablement à la sagesse de la déclaration du médecin en chef Dr @LeibowitzRaya : NE PLUS SE FAIRE INJECTER

Les témoignages se multiplient par mail, téléphone, rencontre. Tel un voisin bien portant de 83 ans injecté qui meurt en deux mois d’un cancer du pancréas, cancer au premier rang des récits pris au hasard, peut-être parce que ce cancer est particulièrement difficile à traiter et rapidement mortel.

Un des autres cancers les plus rapportés dans nos contacts récents est le lymphome chez de jeunes adultes…

Et tous ces articles qui fusent et disparaissent rapidement via la censure7.

« En tant qu’oncologue, je vois des personnes atteintes d’un cancer stable [qui a] progressé rapidement après avoir été forcées de recevoir un rappel ». Et suit une lettre du Dr Angus Dalgleish, professeur d’oncologie à l’Université St George de Londres, au Dr Kamran Abbasi, rédacteur en chef du BMJ.

Il écrit à l’appui de l’appel d’un collègue au Dr Abbasi pour que le BMJ fasse du consentement éclairé valide pour la vaccination Covid un sujet prioritaire.

« Cher Kamran Abbasi,

Covid n’a plus besoin d’un programme de vaccination étant donné que l’âge moyen de décès de Covid au Royaume-Uni est de 82 ans et de toutes les autres causes est de 81 ans et en baisse.

Le lien avec les caillots, la myocardite, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux est maintenant bien accepté, tout comme le lien avec la myélite et la neuropathie. (Nous avons prédit ces effets secondaires dans notre article de juin 2020 Sorensenet al. 2020, l’analyse de l’explosion ayant révélé 79 % d’homologies avec les épitopes humains, en particulier PF4 et la myéline.)

Cependant, il y a maintenant une autre raison d’arrêter tous les programmes de vaccination. En tant qu’oncologue praticien, je vois des personnes atteintes d’une maladie stable progresser rapidement après avoir été forcées de prendre un rappel, généralement pour pouvoir voyager.

Même au sein de mes contacts personnels, je vois une maladie à base de cellules B après les rappels. Ils décrivent être nettement malades quelques jours à quelques semaines après le rappel — une leucémie en développement, deux collègues de travail lymphome non hodgkinien et un vieil ami qui a eu l’impression d’avoir eu le Covid long depuis qu’il a reçu son rappel et qui, après avoir eu une douleur osseuse intense, a été diagnostiqué comme ayant de multiples métastases d’une maladie rare des cellules B.

J’ai suffisamment d’expérience pour savoir que ce ne sont pas les anecdotes fortuites que beaucoup suggèrent, d’autant plus que le même schéma est observé en Allemagne, en Australie et aux États-Unis.

Les rapports d’immunosuppression innée après ARNm pendant plusieurs semaines conviendraient, car tous ces patients à ce jour ont un mélanome ou des cancers à base de cellules B, qui sont très sensibles au contrôle immunitaire — et c’est avant les rapports de suppression du gène suppresseur par ARNm dans les expériences de laboratoire.

Cela doit être diffusé et débattu immédiatement ».

Angus Dalgleish Professeur d’oncologie à St George’s, Université de Londres.

Quant aux mécanismes ils sont débattus par les chercheurs8, mais l’urgence pour chacun d’entre nous est de résister à l’injection poison dont les effets toxiques ne sont plus à démontrer.

https://twitter.com/JosefSa39957439
La relation possible avec les cancers du sang et les vaccins COVID-19 et les mécanismes scientifiques avérés qui peuvent l’expliquer… Mieux que quiconque, les scientifiques qui travaillent sur l’immunologie/pathologie peuvent l’expliquer et montrer comment la hausse des cancers depuis 2021 est désormais de 9-sigma…
Le cancer est à une hausse de 9 sigma. Les chiffres sont plus que clairs à ce sujet.
Le cancer est un navire difficile à tourner, lent à se déplacer 1-sigma. C’est un virage difficile pour le cancer, ce qui signifie que quelque chose est devant nous. Et le CDC a suffisamment paniqué à ce sujet pour risquer une fraude pour le dissimuler.


L’argument selon lequel l’épidémie de cancer serait due au retard dans les dépistages ne tient pas, car l’arrêt des dépistages et le retard aux traitements aboutissent à des formes plus évoluées de cancers et peut en augmenter la mortalité, mais est incapable d’en augmenter significativement l’incidence. De plus si c’était le cas il s’agirait des cancers classiques. Or ici ce sont de nouveaux types de cancer, à des âges inhabituels avec des comportements particuliers tels leur vitesse majeure de développement et leur résistance à tous les traitements habituels.

« Les dépistages différés n’ont pas produit cela. Nous voyons des cancers rares/bizarres et des augmentations hors saison. Les dépistages différés ne déclenchent pas une augmentation des cancers en une seule semaine. Il s’agit d’une intervention spécifique, intense et inédite » selon THE Random Dude ☀ @EthicalSkeptic sur twitter9

Et si vous n’y croyez toujours pas, pensez à ce voisin dont le cancer a flambé et lisez l’article suivant 10

Par exemple on comprend pourquoi les injections suivant la première sont plus toxiques :

« Lorsqu’il y a une stimulation du système immunitaire, la microglie ramifiée passe au stade de la microglie amorcée. Les pseudopodes sont rétractés et cela devient une cellule plus arrondie. À l’intérieur de la microglie amorcée, il y a une intense régulation à la hausse de la production de cytokines, de chimiokines et d’excitotoxines — mais elles ne sont pas libérées de la cellule, il peut donc y avoir une réaction immunitaire mineure, mais sinon il n’y a pas beaucoup de signes de réaction. C’est ce qui se passerait avec la première injection de cet injectable qu’ils appellent un “vaccin” », a déclaré le Dr Blaylock.

Il est important de noter que les chimiokines attirent les macrophages, ou globules blancs, vers le cerveau. Un macrophage dans le cerveau ressemble exactement à la microglie et peut également subir un amorçage.

« Avec la deuxième stimulation immunitaire, [qui serait la deuxième injection et] qui peut être des mois plus tard, cette microglie amorcée devient complètement activée. Et lorsque cela se produit, il libère tous ces composants toxiques… vous obtenez une microglie activée de manière chronique, [un] état suractivé et il y a une réaction inflammatoire 3 fois plus élevée que celle que vous obtiendriez normalement avec l’activation microgliale. »

Il insiste sur les dangers sur les fœtus et les risques prévisibles à long terme. « Chez le bébé, il y a le même processus qui se produit chez les adultes, l’amorçage et l’activation et une activation microgliale à long terme — par exemple, lors de l’examen de l’autisme adulte, après 40 ans, la microglie était toujours activée. Le Dr Blaylock a averti :

« Je pense que nous allons tout voir [comme conséquence des injections de Covid]. Nous allons assister à une augmentation considérable des troubles du spectre autistique. L’autre trouble dont on ne parle jamais est la schizophrénie. Ce que nous voyons, c’est que si nous stimulons le système immunitaire au cours du troisième trimestre, l’incidence de la schizophrénie augmente d’environ 6 fois. Mais ça n’arrive qu’à l’adolescence donc ça va être long avant qu’on le voie.

“Mais je pense que tout — les malformations augmentent déjà de 300 à 400 %, les fausses couches — nous allons voir des choses que nous n’avons jamais vues auparavant. C’est la tragédie de tout cela.

Que les organisations pédiatriques approuvent les injections de Covid est monstrueux. »

Le Dr Ryan Cole a remarqué qu’il y avait une augmentation considérable des cancers agressifs après le déploiement de l’injection de Covid. Il a également remarqué que les personnes qui avaient des cancers bien contrôlés développaient des cancers incontrôlables et mouraient très rapidement.

De longues publications abordent maintenant ce sujet. L’important en urgence est de stopper ces injections et de les éviter à vos proches en attendant une suppression mondiale.





Nouvelle vague de Covid — Et comment légitimer la suspension des personnels non vaccinés

Par Alain Tortosa

Que se passe-t-il dans les hautes sphères de la dictature ?

Depuis deux ou trois jours, les médias aux ordres ont sorti de la naphtaline les adorateurs de masques, confinements et autres gestes barrières.

Nous (certains) aurions pu croire (par erreur ?) que la plandémie Covid était derrière nous.

Tout le monde est de sortie, aussi bien des membres du gouvernement que ces « gentils médecins compétents et intègres » qui passaient plus de temps sur les plateaux qu’à soigner des malades. En même temps, au regard de leurs affirmations diverses et variées, il est évident que les malades étaient (sont) plus en sécurité que s’ils étaient à leur chevet.

Le discours est à ce point caricatural que je me suis demandé si ces « spécialistes » étaient à nouveau invités ou si les chaînes de désinformation avaient ressorti de vieux enregistrements.

Le discours demeure d’une grande banalité :

« le nombre de cas augmente, il y a en plus l’arrivée de la grippe, le fameux R0 (sorti d’un chapeau) est supérieur à un, etc. ».

Et ce sans compter la rougeole du perroquet ou le cancer de la souris qui circulent dangereusement.

Étant dans un jour faste, je suis allé jeter un œil au site santé-publique France qui nous délivre sa vérité. Pas de quoi fouetter un chat (hmm, j’imagine que cette expression est devenue illégale). Un grand classique : un peu plus de tests, donc un peu plus de positifs comme d’habitude, mais plutôt moins que la prétendue vague d’octobre.

On va tous mourir d’autant plus que l’on « dispose d’un vaccin efficace qui protège des formes graves », bref toutes les raisons de paniquer et de prendre des mesures liberticides si on les écoute.

La grande question est :

Pourquoi maintenant ?

Parmi les hypothèses les moins probables, nous avons :

  • Une tentative pour relancer le marché des injections qui s’est totalement effondré. Veran, détecteur de mensonges, a déclaré que seuls 20 % des injectés étaient à jour de leur poison. Des millions de doses partent à la poubelle et aux USA le prix de la dose de drogue est passé de 20 dollars à une centaine et elle pourrait passer à 400 si le marché ne rebondit pas.
  • Une tentative pour tester si le peuple est assez con pour replonger dans la peur. Il faut dire que les Chinois aident bien avec leurs millions de confinés. Les médias parlent de la Chine non pas pour critiquer la dictature, mais nous montrer la chance que nous avons. Si l’on compare les politiques Covid, la France avec son masque obligatoire et son obligation vaccinale est un paradis et il faudrait vraiment être de mauvaise foi pour s’en plaindre. L’objet serait de savoir s’ils doivent définitivement refermer la page Covid qui ne fait plus assez peur pour permettre d’accélérer la dictature.
  • La proche fin du conflit russo-américain. Ici aussi la partie d’échecs serait terminée. L’OTAN a pu constater la supériorité de la Russie aussi bien en termes de quantité d’armes que de performance. Il n’y a que LCI pour répéter 24 heures sur 24 que l’Ukraine va gagner, que Poutine est foutu et que l’armée russe est aux abois. Disons qu’il ne faut pas qu’ils se trompent d’invité. La vérité serait plus proche d’une destruction totale de l’Ukraine en 24 heures avec des armes uniquement conventionnelles si les Russes le décidaient. Le retour du Covid signerait donc la fin du pantin Zelenski et le début de négociations.
  • La dictature climatique ne serait pas encore totalement au point. Il existe bien des spécimens qui vendent leur maison au bord de mer pour aller habiter plus au nord dans des terres au climat plus continental, et ce « à cause du réchauffement climatique ». Ne riez pas c’est vrai ! Imaginez la psyché et la panique de ces personnes qui pensent moins souffrir de la canicule en s’éloignant de la mer ??!! Ceci pour dire que cela a bien pris chez certains, mais globalement, le Français qui va baisser son chauffage et faire cuire à plus basse température (comme le conseille Veran) le fera parce qu’il n’a pas les moyens de faire face à l’explosion du prix de l’énergie et à une inflation galopante provoquée artificiellement. Les journalistes arriveront peut-être à trouver un ou deux naïfs qui baissent leur chauffage pour sauver la planète et détruire Poutine, mais ils seront plutôt rares. Les Français n’étant pas encore suffisamment chauds pour accepter un passe carbone, le retour du Covid permettrait de les faire patienter avant la grande réinitialisation.

La raison la plus probable ?

Je ne suis pas dans le secret des dieux, pardon dans le secret de Lucifer, mais les soignants non vaccinés sont l’hypothèse la plus probable.

La France est désormais le seul pays d’Europe (et même du monde ?) dans lequel les personnels non vaccinés n’ont pas été réintégrés.

Quand bien même ils ne seraient qu’une dizaine… En effet, plus le temps passe et plus les politiques, journalistes ou médecins de plateaux diminuent le nombre afin de nous prouver que leur retour n’aiderait pas les services qui manquent cruellement de personnels.

Je vous rappelle qu’il n’y a pas une journée sans que des professionnels de santé ne lancent un cri d’alarme en nous indiquant que la situation est aussi inédite que dramatique.

Si nous ajoutons à cela que le fait que le vaccin n’empêche nullement la transmission, information qui est devenue un secret de polichinelle, alors la non-réintégration devient problématique.

Il n’y a qu’un journaliste mentalement déficient pour affirmer chez Pascal Praud :

« Avec mon masque et mes 5 doses efficaces, je ne voudrais pas être soigné par un non-vacciné qui pourrait me contaminer1. »

Vous touchez du doigt le génie de ces gens-là qui vantent jour après jour une injection à ce point efficace que leur vie est menacée par les non-injectés… Je chipote, ce type d’affirmations est quotidien dans les médias sans que cela ne soit de nature à questionnement ou critique.

La plus comique est toujours :

« oui, mais cela protège des formes graves. »

Le gars dont le bras commence à ressembler à une passoire à force de se faire injecter, qui est certain de ne pas faire de forme grave a peur de se retrouver à l’hôpital du fait d’un inconscient non injecté.

Il n’a pas compris la différence au Monopoly entre la case « prison » et la case « simple visite ».

« Si tu vas à l’hôpital et que tu es positif au Covid, cela ne peut qu’être dû au fait que tu es allé voir un non-vacciné, une simple visite, étant donné que tu ne peux PAS faire de forme grave ! »

C’est vrai qu’il existe aussi le mythe des vaccinés qui saturent les hôpitaux, mais ils osent moins la faire maintenant du fait que les vaccinés meurent plus du Covid que l’inverse.

Aussi bien les conscients que les pourritures savent que cette politique de refus de réintégration
ne repose sur aucun critère sanitaire.

Les personnels non vaccinés, soignants, pompiers, etc., sont le symbole
de la désobéissance et de la résistance.

Les gouvernements (et le Malin) n’ont pas peur de contagions liées à un virus,
ils ont peur de la contagion du refus de la dictature.

Les millions (chiffre camouflé au maximum) de Français qui ont résisté au passe vaccinal et à l’injection forcée seront les mêmes à refuser les injonctions dictatoriales pour prétendument sauver la planète.

Le résistant, en l’occurrence le résistant soignant ou pompier doit être cassé, détruit… Il doit servir d’exemple au même titre qu’on laissait pourrir les pendus dans la rue pour bien rappeler aux autres ce qu’il advient quand on quitte la route.

Même si notre Président a eu grand plaisir à dire et répéter qu’il voulait emmerder les Français libres, il demeure relativement difficile d’affirmer publiquement :

« Je ne les réintègre pas, afin de les faire crever, pas pour des raisons sanitaires. »

Comment maintenir cette punition d’autant plus que l’on devient l’exception mondiale ?

La solution est simple (remarquez ma capacité à remplir trois pages pour écrire ce que j’ai mis dans le titre) :

« Il serait irresponsable de réintégrer des soignants non vaccinés alors même
que nous assistons à une montée préoccupante du nombre de Covid. »

(De personnes asymptomatiques testées avec un PCR positif.)

Plus cette « vague » sera forte, et plus le gouvernement pourra s’afficher « fier » d’avoir résisté à la pression et « fier » de laisser crever des soignants pourtant si indispensables dans le pays du tiers monde qu’est devenu la France.

Merci.

Alain Tortosa2.

30 novembre 2022.
https://7milliards.fr/tortosa20221130-covid-soignants-danger.pdf





Électrohypersensibilité : un handicap souvent mépris pour un désordre psychiatrique

[Source : maisonsaine.ca]

Par André Fauteux

En bref

  • L’EHS est reconnue comme un handicap et une maladie professionnelle.
  • Un diagnostic médical officiel de l’EHS conduirait-il à davantage ou à moins de traitements psychiatriques ?
  • Le diagnostic psychiatrique résulte d’un manque de reconnaissance médicale.
  • La Suède n’est pas un paradis pour les électrohypersensibles.
  • Absence d’accommodements malgré la reconnaissance du handicap.
  • Contexte historique (de Tesla à Schliephake et Bevington).
  • Lignes directrices EUROPAEM 2016 pour prévenir, diagnostiquer et traiter les bioeffets des CEM.
  • L’avis de l’OMS sur l’EHS n’a pas été mis à jour depuis 2005.
  • Anxiété et dépression : cause ou conséquence de l’exposition aux CEM ?
  • Biomarqueurs de Belpomme et conclusion des Académies nationales des sciences américaines sur les symptômes des diplomates.
Jean Gagnon mesurant les harmoniques entre le câble neutre (de retour) et la mise à la terre.

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées]

C’est l’automne 2010 et le Québécois Jean Gagnon vient d’être interné contre son gré pendant neuf jours à l’hôpital de Montmagny. « Parlez-moi de vos ondes », demande un juge qui doit décider si Gagnon sera maintenu en observation 21 jours de plus, comme l’a demandé un psychiatre qui a conclu qu’il avait « des délires psychotiques concernant des ondes maléfiques ».

Gagnon s’était présenté volontairement au service des urgences de l’hôpital pour savoir pourquoi il souffrait de douleurs aiguës à la tête et aux jambes. « J’avais l’impression que ma tête était dans un étau. Cela a commencé lorsque je faisais cuire des tomates sur les quatre ronds de ma cuisinière », a expliqué le mécanicien à la retraite dans une interview. 

Lorsque ses symptômes ont commencé, il ne savait rien des champs électromagnétiques (CEM) produits par les technologies électriques filaires et sans fil. C’est après avoir découvert et parlé de leurs effets possibles sur la santé qu’il a été traité comme un malade mental.

« Ils m’ont donné de l’Haldol, de l’Ativan et du Seroquel lorsque je suis entré dans le service psychiatrique, se souvient-il. Heureusement, c’est la seule fois où j’ai accepté de cette médication. Je n’aurais jamais pu prononcer un discours cohérent au tribunal pour assurer ma défense. Après 15 minutes d’audience, le juge a conclu que je n’avais pas de discours délirant et a ordonné ma libération sur-le-champ. J’avais vraiment peur de retourner à l’hôpital. À partir de ce moment-là, j’ai concentré toute mon énergie à comprendre la situation. Aujourd’hui, 12 ans plus tard, j’ai compris que la plus grande source de ce poison est le réseau électrique. »

Gagnon remercie notamment un scientifique de Santé Canada qui lui a recommandé de lire un rapport de la Commission canadienne des droits de la personne intitulé Le point du vue médical sur les sensibilités environnementales, rédigé par Margaret E. Sears, Ph.D., en mai 2007.

Deux médecins spécialistes de l’environnement ont confirmé plus tard que ses années d’exposition aux gaz d’échappement et aux solvants l’avaient rendu d’abord hypersensible aux produits chimiques, puis aux CEM. Son asthme professionnel déclenché par des sensibilités chimiques l’avait amené à cesser de travailler comme mécanicien et à devenir directeur du service après-vente d’une concession d’équipements électriques.

Gagnon a fini par découvrir que sa maison, sa propriété et son quartier sont fortement pollués par les CEM. « Grâce à tous ceux qui s’impliquent dans ce dossier depuis des décennies, mes connaissances ont beaucoup évolué, me permettant de mettre en évidence des sources de CEM insoupçonnées par la majorité des gens. Ces sources sont malheureusement contestées publiquement et juridiquement par les pollueurs qui les génèrent, qu’il s’agisse des fournisseurs d’électricité « sale », notamment les hautes fréquences transitoires et les harmoniques, les courants telluriques parasites et le scintillement des appareils fluorescents et autres appareils numériques, ou des fournisseurs de télécommunications sans fil. Tous refusent d’admettre et de corriger la situation. » (Voici des vidéos qui en témoignent.)

Reconnu comme un handicap et une maladie professionnelle

Et ce, malgré le fait que de plus en plus de personnes se rendent compte que leur bien-être dépend de leur exposition (ou absence d’exposition) aux CEM provenant des technologies avec et sans fil. La plupart se font dire que tout cela est dans leur tête par les professionnels de la santé et leurs connaissances. Et plusieurs ont été internés comme Gagnon par des médecins ignorant l’électrohypersensibilité (EHS) qui a été reconnue mondialement comme un handicap. En 2000, le Conseil nordique des ministres de pays comme la Norvège et la Suède a reconnu l’intolérance électromagnétique comme une maladie professionnelle. Tout en la classant dans la catégorie « Affections dont l’étiologie est attribuée à des facteurs environnementaux – mécanismes non encore compris », il a confirmé que ses « symptômes disparaissent dans des environnements non électriques ».

Jean Gagnon le confirme : « Il ne fait aucun doute qu’après avoir remplacé mon téléphone numérique (DECT) sans fil par un téléphone à fil ainsi que la lampe fluorescente compacte de ma lampe de bureau par des ampoules ordinaires, ma santé s’est améliorée. J’ai également réduit mon exposition aux téléphones portables et au Wi-Fi et j’évite les rayonnements des fours à micro-ondes. Avec quelques autres petites attentions à l’égard de l’électricité sale, ces changements bénéfiques ont réduit la fréquence et l’intensité de mes symptômes », qui comprennent également des acouphènes et des problèmes de concentration, a-t-il écrit dans un témoignage de 2013 devant le groupe d’experts de la Société royale du Canada chargé d’examiner le code de sécurité 6 de Santé Canada (recommandant des limites pour l’exposition humaine aux CEM de radiofréquence). 

En décembre 2005, un avis de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur l’hypersensibilité électromagnétique (HSEM) a conclu qu’il ne s’agissait pas d’un diagnostic médical officiel. Certains affirment que la reconnaissance du handicap est suffisante pour fournir des aménagements appropriés et éviter que les victimes soient internées en psychiatrie, tandis que d’autres disent que la classer comme une maladie médicale est préférable pour éviter de telles erreurs médicales. Ce débat fait particulièrement rage en Suède.

Un diagnostic médical officiel conduirait-il à davantage de traitements psychiatriques ?

Le neuroscientifique suédois Olle Johannson, qui, à la fin des années 1970, a inventé le terme « dermatite des écrans » pour expliquer les lésions cutanées dont souffrent les travailleurs électrosensibles assis quotidiennement devant des écrans d’ordinateur, a expliqué sa position dans un article de 2006 intitulé Electrohypersensitivity : State-of-the-Art of a Functional Impairment : « En Suède, les déficiences sont considérées du point de vue de l’environnement. Aucun être humain n’est en soi handicapé, ce sont plutôt des lacunes dans l’environnement qui causent la déficience (comme l’absence de rampes pour une personne en fauteuil roulant ou des pièces électrosanitisées pour une personne électrohypersensible). Cette vision de la déficience liée à l’environnement signifie en outre que, même si l’on ne dispose pas d’une explication scientifique complète de la déficience électrohypersensible, et contrairement aux désaccords au sein de la société scientifique, la personne électrohypersensible doit toujours être rencontrée de manière respectueuse et avec tout le soutien nécessaire dans le but d’éliminer la déficience. Cela implique que la personne électrohypersensible doit avoir la possibilité de vivre et de travailler dans un environnement électrosanitaire. Ce point de vue peut être pleinement motivé par rapport aux lois et règlements nationaux et internationaux actuels sur le handicap, y compris les 22 règles standard de l’ONU et le plan d’action suédois pour les personnes handicapées… »

Récemment, Johansson m’a envoyé un commentaire d’un vicaire suédois, Johann Bonander, qui a travaillé avec des associations de personnes handicapées en tant que chef de projet aux services sociaux de la Ville de Stockholm, de 1999 à 2006. M. Bonander partage l’avis de M. Johansson selon lequel le sort des personnes atteintes de l’HSEM pourrait être bien pire si cette maladie était un diagnostic médical officiel. Il a écrit : « Selon l’OMS et la conférence de Prague de 2004 (Atelier international sur l’hypersensibilité aux champs électromagnétiques), le résultat sera probablement que le diagnostic médical et la perspective de la maladie que l’on visait se retrouveront dans le catalogue des diagnostics psychiatriques, c’est-à-dire que l’on dira que la personne électrohypersensible imagine ses symptômes. Olle Johansson, alors à l’Institut Karolinska de Stockholm, en Suède, a assisté à cette conférence. Il m’a raconté qu’au cours de cette conférence, certains médecins présents ont exigé que les personnes atteintes d’électrohypersensibilité soient désignées comme des patients et que plusieurs de ces médecins voulaient également désigner l’électrohypersensibilité comme un trouble psychologique/psychiatrique. Selon Olle Johansson, seules deux personnes ont protesté contre cette décision : le Dr Bruce Hocking d’Australie, et lui-même. »

Le diagnostic psychiatrique résulte d’un manque de reconnaissance médicale

Mais l’ancienne journaliste suédoise Mona Nilsson, qui préside la Fondation suédoise pour la radioprotection, accuse l’approche de Bonander et Johansson d’avoir laissé tomber la communauté EHS. « Olle Johansson dessinait une image erronée de l’EHS en Suède et de la déficience fonctionnelle lorsqu’il écrivait (dans le document Electrohypersensitivity: a functional impairment due to an inaccessible environment, publié en 2015) : « Le point de vue suédois offre aux personnes atteintes de cette déficience une protection juridique maximale. » Les seuls à bénéficier de cet argument sont les industriels qui s’opposent systématiquement à toute reconnaissance des effets sanitaires de l’exposition aux CEM, qu’il s’agisse de cancer, d’EHS ou d’autres maladies. Les personnes souffrant d’HSEM, qui devraient être appelées « maladies dues aux CEM », ne reçoivent actuellement que peu ou pas d’aide de la part des autorités suédoises pour se protéger de la cause de leur maladie, tant qu’elles n’ont pas reçu de diagnostic d’un médecin indiquant que leurs symptômes/maladies sont causés par les rayonnements micro-ondes, les champs magnétiques ou électriques. Une personne qui tombe malade à cause d’une exposition aux CEM et qui cherche de l’aide auprès d’un médecin obtient généralement un diagnostic de maladie mentale. Une personne qui tombe malade à cause d’une antenne relais située près de son domicile ne peut espérer aucune aide de la part des autorités. Elles affirment qu’on ne peut pas tomber malade à cause des radiations des antennes relais. Elles disent que la communauté médicale ne reconnaît pas cette maladie et qu’il n’existe aucune preuve scientifique permettant d’établir un lien entre une maladie quelconque et l’exposition aux CEM.

En Suède, les personnes souffrant de HSEM se voient refuser des droits fondamentaux parce qu’elles ne disposent pas d’un diagnostic médical attestant que leur mauvaise santé est causée par les CEM. Il n’y a pas de contradiction entre le diagnostic médical et la déficience fonctionnelle – au contraire, la plupart des déficiences fonctionnelles sont fondées sur un diagnostic médical, tout comme l’EHS. »

Olle Johansson a décliné notre invitation à faire des commentaires. 

La Suède n’est pas un paradis pour les électrohypersensibles

Dans une lettre que Nilsson a envoyée à ses lecteurs le 31 juillet 2021, elle a encore critiqué l’approche de Johansson :  « Olle Johansson n’a cessé pendant de nombreuses années de s’opposer à un diagnostic médical pour les symptômes et les problèmes de santé causés par les CEM. Au lieu de cela, il a affirmé que le diagnostic de « déficience fonctionnelle » est un diagnostic miracle qui résoudra tous les problèmes pour tout le monde, en particulier pour les personnes qui sont gravement malades à cause de l’exposition aux CEM toujours plus nombreux dans notre environnement. À de nombreuses reprises, il a décrit la Suède comme un paradis pour les personnes souffrant d’électrohypersensibilité (EHS), où la déficience fonctionnelle est censée être pleinement reconnue comme un diagnostic pour l’EHS. Johansson met même en garde contre le danger de la reconnaissance médicale en écrivant : « Dans le cas où les dangers des rayonnements électromagnétiques et les effets sur la santé sont remis à l’establishment médical et à Big Pharma, cela peut s’avérer être une arme de plus à utiliser contre les malades, plutôt que de soutenir leurs demandes légitimes. » C’est un pur non-sens au regard de la réalité », estime Nilsson.

Elle est plutôt d’accord avec les médecins suédois Lena Hedendahl et Lennart Hardell qui ont écrit avec leur collègue Michael Carlberg : « Il est important de travailler à l’obtention de critères de diagnostic objectifs pour la HSEM et de la faire reconnaître et accepter officiellement comme une hypersensibilité, une maladie causée par l’exposition aux CEM. Il est donc nécessaire de donner une classification internationale des maladies à la HSEM. Si et quand l’EHS sera acceptée comme un diagnostic par la société et le corps médical, des mesures pourront être prises spécialement en considération pour ce groupe de personnes atteintes d’EHS en ce qui concerne les soins de santé, le logement, l’école et le travail. »

Absence d’accommodements malgré la reconnaissance du handicap

La rédactrice médicale américaine Susan Foster, experte de longue date des bioeffets des CEM, est d’accord avec Mona Nilsson : « En Suède, la déficience fonctionnelle ne permet pas d’accorder des avantages financiers aux personnes handicapées. Ces personnes restent donc dans des conditions médicales et de logement déplorables, avec peu d’options. Aux États-Unis, nous n’avons pas encore officiellement pris en charge les personnes souffrant d’EHS/EMS, même si l’U.S. Access Board – l’agence fédérale indépendante qui donne des instructions aux autres agences fédérales sur la manière d’accueillir les personnes handicapées – classe cette constellation de symptômes neurologiques et immunologiques comme des sensibilités électromagnétiques, ou EMS, depuis 20 ans. Nous savons qu’entre 0,5 et 30 % de notre population se situe quelque part dans le spectre de l’EMS/EHS. L’incapacité d’un pays à répondre aux besoins des personnes souffrant d’un handicap qui se trouve être gênant pour l’industrie des télécommunications définit les priorités de ce pays. Cela inclut les États-Unis. Les personnes souffrant de ce handicap sont une vérité qui dérange. »

Contexte historique 

Affectant les gens à des degrés divers, l’EHS a notamment été expérimentée au début des années 1900 par l’inventeur du courant alternatif, Nikola Tesla, qui souffrait d’une « sensibilité aiguë de tous les organes des sens ». L’EHS a été décrite médicalement pour la première fois sous un autre nom en 1932 par le médecin allemand Erwin Schliephake, qui utilisait la thérapie par ondes courtes dans sa pratique médicale. « Il a publié dans un hebdomadaire médical allemand des données scientifiques sur ses patients qui présentaient des symptômes inhabituels autour des tours de radio. Il a appelé cette affection « maladie des micro-ondes » ou « maladie des ondes radio », explique l’ingénieur californien Jeromy Johnson, consultant en solutions CEM qui se remet d’une EHS. Les symptômes qu’il a observés étaient les suivants : maux de tête au point d’être intolérables; fatigue importante pendant la journée; sommeil agité la nuit; forte susceptibilité aux infections. »

Michael Bevington, enseignant britannique, n’avait jamais entendu parler de l’HSEM avant de développer « des vertiges, des nausées, des maux de tête, des palpitations cardiaques, des douleurs dans tout le corps, etc. » après l’installation d’un système Wi-Fi sur son lieu de travail. Depuis fin 2008, il est président du conseil d’administration de l’association caritative britannique Electrosensitivity UK, qui aide les personnes atteintes d’EHS et informe le public sur les risques sanitaires de l’exposition aux CEM. Dans un article publié en 2019 dans le Journal of Environment and Health Science, Bevington écrit que la prévalence de l’EHS « se situe entre environ 5,0 et 30 % de la population générale pour les cas légers, entre 1,5 et 5,0 % pour les cas modérés et < 1,5 % pour les cas graves ».

Lignes directrices EUROPAEM 2016 pour prévenir, diagnostiquer et traiter les bioeffets des CEM

En effet, dans le monde sans fil d’aujourd’hui, des millions de personnes se plaignent de l’HSEM, mais peu de médecins savent qu’en 2106, l’Académie européenne de médecine environnementale a publié les Lignes directrices pour la prévention, le diagnostic et le traitement des problèmes de santé et des maladies liés aux CEM. Ses 15 auteurs ont déclaré : « Nous recommandons de traiter cliniquement l’EHS comme faisant partie du groupe des maladies chroniques multisystèmes, tout en reconnaissant que la cause sous-jacente reste l’environnement… La principale méthode de traitement devrait principalement se concentrer sur la prévention ou la réduction de l’exposition aux CEM, c’est-à-dire la réduction ou l’élimination de toutes les sources d’exposition élevée aux CEM à la maison et sur le lieu de travail (ainsi que) dans les écoles, les hôpitaux, les transports publics et les bibliothèques afin de permettre aux personnes souffrant d’HSEM de les utiliser sans entrave (mesure d’accessibilité). Si une exposition nuisible aux CEM est suffisamment réduite, l’organisme a une chance de se rétablir et les symptômes de l’HSEM seront réduits, voire disparaîtront. De nombreux exemples ont montré que de telles mesures peuvent s’avérer efficaces. Pour accroître l’efficacité du traitement, il convient également de s’attaquer au large éventail d’autres facteurs environnementaux qui contribuent à la charge corporelle totale. Tout ce qui favorise l’homéostasie augmentera la résilience d’une personne contre la maladie et donc contre les effets néfastes de l’exposition aux CEM. »

Ils citent notamment la revue de la littérature de Martin Pall parue en 2015 dans le Journal of Chemical Neuroanatomy et intitulée Microwave frequency electromagnetic fields (EMFs) produce widespread neuropsychiatric effects including depression. Professeur émérite de biochimie à l’Université d’État de Washington, Pall écrit : « La littérature soviétique et occidentale montre qu’une grande partie de l’impact des expositions aux micro-ondes non thermiques chez les animaux de laboratoire se produit dans le cerveau et le système nerveux périphérique, de sorte que l’histologie et la fonction du système nerveux présentent des changements divers et substantiels. Ceux-ci peuvent être générés par des rôles d’activation du canal calcique voltage-gated (VGCC), produisant une libération excessive de neurotransmetteurs/neuroendocrines ainsi qu’un stress oxydatif/nitrosatif et d’autres réponses. Des études sur le polymorphisme génétique ont montré que l’activité excessive du VGCC joue un rôle dans la production de changements neuropsychiatriques chez l’homme. »

L’avis de l’OMS sur l’EHS n’a pas été mis à jour depuis 2005

Plusieurs experts indépendants des effets biologiques de l’exposition chronique aux CEM souhaitent que l’OMS mette à jour son document d’information de 2005 et reconnaisse ce qu’elle appelle l’hypersensibilité électromagnétique (HSEM) comme une maladie médicale sur la base des données scientifiques les plus récentes. L’OMS a écrit dans cet avis vieux de 17 ans : « La majorité des études indiquent que les personnes souffrant d’HSEM ne peuvent pas détecter l’exposition aux CEM de manière plus précise que les personnes ne souffrant pas d’HSEM, indique le document d’information. Des études en double aveugle bien contrôlées et menées ont montré que les symptômes n’étaient pas corrélés à l’exposition aux CEM. »

L’OMS poursuit : « Il a été suggéré que les symptômes ressentis par certaines personnes souffrant d’HSEM pouvaient provenir de facteurs environnementaux sans rapport avec les CEM. Il peut s’agir, par exemple, du scintillement des lampes fluorescentes, de l’éblouissement et d’autres problèmes visuels avec les écrans plats, et d’une mauvaise conception ergonomique des postes de travail informatiques. Parmi les autres facteurs qui peuvent jouer un rôle, citons la mauvaise qualité de l’air intérieur ou le stress sur le lieu de travail ou dans l’environnement de vie. Certains éléments indiquent également que ces symptômes pourraient être dus à des troubles psychiatriques préexistants ainsi qu’à des réactions de stress dues à l’inquiétude concernant les effets des CEM sur la santé, plutôt qu’à l’exposition aux CEM elle-même. »

Anxiété et dépression : cause ou conséquence de l’exposition aux CEM ?

Cependant, un avis du gouvernement français sur l’EHS publié en 2018 était plus nuancé : « les troubles psychiatriques ne sont pas plus fréquents chez ces personnes que dans la population générale. En conclusion, le niveau de preuve est suffisant pour dire que – dans l’EHS, comme dans de nombreux autres troubles – il existe une composante psychologique importante. Celle-ci se caractérise par l’anxiété et/ou la dépression, qui sont plus fréquentes et plus intenses que dans les populations témoins, sans qu’il soit possible de dire actuellement si ces états sont la cause ou la conséquence de l’EHS. » 

Résultats de Belpomme et des Académies nationales des sciences

Plus récemment, en 2021, l’oncologue français Dominique Belpomme a pris la tête d’un groupe de 32 experts internationaux demandant à l’OMS de reconnaître l’EHS comme un trouble neuropathologique distinct et de l’inclure dans sa classification internationale des maladies sur la base de biomarqueurs moléculaires et de l’imagerie médicale. En 2017, le Dr Gunnar Heuser a publié ses résultats d’examens d’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) chez des personnes se déclarant EHS. Des anomalies cérébrales ont été constatées chez les 10 sujets qui ont subi le scanner. « Aussi utile que ce résultat puisse être pour prouver l’existence de l’électrosensibilité, a expliqué Susan Foster, l’IRM fonctionnelle est un test qui peut accélérer les symptômes et les sensibilités EHS/EMS chez les patients, il faut donc faire preuve d’une extrême prudence si l’on envisage d’utiliser l’IRMf à des fins de diagnostic. » Des scans similaires ont contribué à convaincre les auteurs d’un rapport publié en 2020 par les Académies nationales des sciences américaines que les symptômes ressentis par les diplomates américains à Cuba étaient « très probablement causés » par des armes à micro-ondes dirigées.

En 2004, les docteurs Gunnar Heuser et Susan Foster ont mené une étude pilote de scanner cérébral SPECT sur six pompiers qui avaient été exposés à une tour cellulaire 2G devant leur poste pendant cinq ans. Des lésions cérébrales ont été constatées chez les six hommes. Quelque 23 des 25 pompiers qui se relayaient dans la caserne ont présenté des symptômes neurologiques indésirables après l’activation de la tour.

Gagnon espère que la précaution prévaudra

Jean Gagnon espère que les autorités sanitaires étudieront de plus près les dernières avancées scientifiques, comme les résumés de recherche publiés par Henry Lai, professeur émérite de bio-ingénierie à l’Université de Washington

« Personnellement, conclut Jean Gagnon, je maintiens qu’il faut informer, éduquer, refuser et dénoncer ces poisons, et éviter autant que possible de s’exposer. Il ne faut pas hésiter à demander de l’aide et à partager ses expériences. Il ne s’agit pas d’une maladie mentale, mais plutôt d’une maladie environnementale si tant est que ce soit une maladie. Pour moi, c’est avant tout une intolérance à un produit toxique. La seule solution est de s’en éloigner ou de se battre pour arrêter l’exposition et faire reconnaître le handicap ET la maladie EHS. »

Pour en savoir plus, lisez l’article de Michael Bevington intitulé Proof of EHS beyond all reasonable doubt, commentaire publié dans Rev Environ Health 2021; https://doi.org/10.1515/rev




Le grand mensonge : pénurie d’énergie mondiale et crises multiples — toutes fabriquées — destinées à la destruction de la civilisation occidentale

[Source : GlobalResearch]

Par Peter Koenig

Crise de l’énergie? Crise alimentaire ? Effondrement industriel ? Perturbations des chaînes d’approvisionnement ? Communication fracturée ? Cyber-attaques? Black-out ? Hyper-inflation ? Changement climatique? Guerres, conflits civils et autres plandémies, aboutissant à la misère humaine…

Oui.

Tout est fabriqué.

Tout cela fait partie du plan visant à détruire la civilisation telle que nous la connaissons, à la remplacer par les robots et les humanoïdes de la 4e révolution industrielle – agissant sur des commandes électroniques générées par l’IA et survivant grâce aux monnaies numériques programmables des banques centrales (CBDC).

Si nous restons assis à l’écart, à regarder, au lieu de faire quelque chose pour arrêter cette folie, ce crime aux proportions bibliques, cela se produira en effet. L’humanité et ce qui reste de la Terre Mère seront prêts pour l’abîme.

Les pénuries créent de l’inflation, et si l’inflation ne se produit pas naturellement, elle est fabriquée. La propagande médiatique parlant à plein temps d’inflation donne aux conglomérats industriels et de services un laissez-passer gratuit pour augmenter les prix. Personne ne se demande si c’est justifié. Les médias disent qu’il y a de l’inflation, donc les augmentations de prix sont bien de mise.

De nombreuses crises ne se produisent même pas dans la réalité, la plupart d’entre elles juste dans les médias, par une propagande sans fin 24h/24 et 7j/7. Et par des apparitions induites par l’intelligence artificielle (IA).

Et bientôt, les monnaies numériques de la banque centrale (CBDC) remplaceront nos monnaies en espèces. Les CBDC seront éventuellement programmables. Elles peuvent être activées et désactivées, et programmées pour être utilisées pour certains achats – biens ou services, que vous les vouliez et en ayez besoin ou non. Votre comportement et votre obéissance seront cruciaux. Voyez cette vidéo-éveil de 7 minutes, un excellent résumé de ce que les gouvernements à travers les CBDC pourront faire avec nous [en anglais] :

En ce moment, nous sommes préparés pour l’abîme.

Beaucoup de choses étranges se produisent en même temps. Pour la confusion. Mais aussi, pour la rapidité de mise en œuvre de l’infâme Agenda 2030 – la Grande Réinitialisation – et, bien sûr, la 4e Révolution Industrielle, censée faire des survivants humains des transhumains .

Ce n’est pas nouveau.

Des chercheurs et des analystes réputés l’ont déjà dit, nous ont avertis, nous l’humanité, de l’annihilation imminente. Il doit être répété jusqu’à ce qu’une prise de conscience soit réalisée dans la société.

Hélas, jusqu’à présent sans grande utilité. Ne pas abandonner est le mantra dominant.

Nous restons assis sur nos canapés à regarder les informations grand public – l’éternelle machine à mensonges. Nous sommes royalement distraits par la guerre en Ukraine. Les médias nous disent même jour après jour que Poutine est le méchant. Que plus d’armes doivent être fournies par les pays de l’OTAN à l’Ukraine, et qu’un soutien budgétaire plus important doit être accordé au président Zelenski. Poutine est responsable de toutes les catastrophes qui s’abattent sur nous.

L’Ukraine de Zelenski a déjà reçu l’équivalent de près de 100 milliards de dollars américains en armes et en « soutien budgétaire », principalement des États-Unis et de l’UE. Mais Zelenski n’est pas content. Il crie pour en avoir plus. Alors que Poutine est responsable de la misère sans fin.

Pensez-y.

Il ne peut y avoir de vision équilibrée. À moins que vous ne preniez votre propre vie en main et que vous commenciez votre propre réflexion et additionniez les points. Éteignez les médias grand public, la télévision, la radio, les journaux et recherchez des informations alternatives.

Le défi, c’est que nous ne voulons pas d’un point de vue équilibré. Parce que si nous le faisions, nous devrions penser par nous-mêmes. Nous pourrions nous réveiller avec une réalité inconfortable.

Nous ne voulons pas quitter le royaume de notre confort soyeux et douillet.

Se concentrer sur la guerre est une distraction de ce qui se prépare derrière des portes de fer.


Les gisements de gaz allemands et italiens sont pleins à 94 %, voire plus. C’est le cas partout en Europe. Certainement pas de crise énergétique. Et si pour une raison quelconque il devait y avoir une pénurie d’énergie, le président Poutine a souligné à plusieurs reprises que la Russie honorerait ses engagements contractuels avec l’Europe et le monde. Et il le ferait certainement – ​​si l’OTAN le lui permettait.

Pour que cela n’arrive pas, Washington a provoqué la destruction de Nord Stream 1 et 2.

La Russie a affirmé que les pipelines pourraient être réparés, mais Washington / l’OTAN ne le permettront pas. Madame von der Leyen, présidente (non élue) de la Commission européenne (CE) et son copain, le chancelier allemand Olaf Scholz – tous deux obéissants universitaires de l’Académie des jeunes leaders mondiaux (YGL) de Klaus Schwab (Forum Économique Mondial) – sont déterminés à ne pas réparer le gaz pipelines et de laisser l’Europe couler à l’eau.

Les réservoirs européens de stockage de gaz GNL (Gaz Naturel Liquéfié) sont remplis à ras bord, au-dessus de la moyenne des dix dernières années. Il n’y a plus de place pour plus d’hydrocarbures dans les gisements disponibles.

Des centaines, voire des milliers de pétroliers entièrement chargés de combustibles fossiles flottent sur les océans. Ils ne peuvent pas décharger leurs marchandises car, soit ils n’y sont pas autorisés, principalement par les autorités portuaires européennes et nord-américaines, qui obéissent aux ordres du Dark Cult, soit ils ne peuvent pas décharger, car il n’y a pas d’espace pour le stockage, soit ils – les compagnies de gaz et d’essence – ne veulent pas se décharger, à cause des prix négatifs du gaz. Voir cette carte des pétroliers en haute mer, incapables de décharger :

Les contrats à terme sur le gaz naturel sur plusieurs marchés européens ont été négatifs. La première fois dans l’histoire. Bien sûr, ce sont des prix spot. Ils peuvent fluctuer d’heure en heure, mais le simple fait qu’ils soient tombés dans la zone négative indique que les pénuries d’énergie sont manipulées.

« Le prix des contrats à terme européens de référence sur le gaz naturel a chuté de 20 % depuis jeudi dernier, et de plus de 70 % depuis qu’il a atteint un niveau record fin août 2022. Lundi [24 octobre], les prix au comptant du gaz néerlandais pour une livraison dans l’heure — qui reflètent les conditions du marché européen en temps réel – tombées en dessous de 0 €, selon les données de l’Intercontinental Exchange. »

Reportages de CNN

Voir ceci.

Les États-Unis, via le « complexe industriel numérique, financier et militaire », le culte mondialiste actuellement en place, dont le WEF occupe un siège de directeur éminent, dictent aux gouvernements, en particulier européens, qu’ils doivent rejeter les expéditions d’énergie. Cela fait baisser les prix, car la marchandise flotte en haute mer, prête à être livrée – mais ne peut pas. Cela crée une offre excédentaire. Et certainement pas d’inflation.

Ce scénario montre comment Washington cherche à « désindustrialiser » l’Europe et à affaiblir son armée, déclare le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov (RT 30 octobre 2022).

Une fausse crise énergétique doit être fabriquée. Car d’elle découlent les autres crises et calamités qui détruiront l’humanité telle que nous la connaissons. C’est une tromperie qui est un pas de géant vers la tyrannie absolue. Voir ceci.

Tout dépend de l’énergie – la production d’engrais et de nourriture, les communications, l’approvisionnement en eau, la fabrication de métaux, les chaînes d’approvisionnement et bien plus encore.

L’Europe pourrait glisser de plus en plus vite vers un oubli auto-généré. L’Europe n’a pas de matières premières à proprement parler, et la plupart des sources d’énergie de la grande Europe proviennent de la Russie, à qui il est « interdit » de livrer des combustibles fossiles à l’Europe.

Aujourd’hui, le monde dépend encore des combustibles fossiles à 84% de toutes les sources d’énergie. Peu importe que jusqu’à présent, 26 Conférences des Parties sur le climat (COP) des Nations Unies aient proclamé de réduire l’utilisation des combustibles fossiles. Ce ne sont que des paroles en l’air. Le monde industrialisé aisé achète toujours des VUS et des voitures à moteur de plus de 3 litres (1 sur 3 en Europe et en Amérique du Nord) – et les dirigeants d’entreprise voyagent dans leurs jets privés.

La COP27 aura lieu [NDT a eu lieu, en date de publication de cette traduction] du  6 au 18 novembre 2022 à Charm el-Cheikh, en Égypte. Le monde retient son souffle pour savoir quels nouveaux « engagements » les dirigeants politiques vont prendre.

Une crise énergétique injustifiée et orchestrée, fermant l’appareil industriel de l’Europe, est synonyme de faillites, de pertes d’emplois, de pauvreté, de famine et de misère totale. Une fois l’Europe éteinte, la relancer peut être presque impossible, ou au mieux, un processus long et douloureux.

Dernières nouvelles – les Pays-Bas lèvent leurs sanctions contre la Russie, afin de recevoir des livraisons de gaz pour atténuer les désastres économiques et humains potentiels de l’hiver prochain. Les Pays-Bas pourraient déclencher un réveil politique dans d’autres pays qui feraient de même :

Crises alimentaires

Simultanément, Monsanto, Bayer, Syngenta (ChemChina) imposent leurs aliments génétiquement modifiés (OGM = organismes génétiquement modifiés) aux gouvernements des pays en développement, dont les conditions contractuelles ne sont pas ouvertes au public. Ceci, accompagné par les conglomérats mondiaux du commerce des céréales comme Cargill, Louis Dreyfus et d’autres, mènera à la manipulation des aliments et à la tyrannie alimentaire qui en découle.

The result is targeted famine, misery and famine-induced diseases and death; a convenient instrument of population reduction. The key Gates-Rockefeller input to the Great Reset. See this for more details.

Le résultat est une famine ciblée, la misère, les maladies et les décès induits par la famine, un instrument pratique de réduction de la population. La contribution clé de Gates-Rockefeller à la grande réinitialisation. Voir ceci pour plus de détails.

Tyrannie sanitaire

Sans oublier les plandémies – Bill Gates en prédit de nombreuses très graves . Il ne le dit pas, mais si elles arrivent, elles sont fabriquées en laboratoire [Note de Joseph : ou bien plus facilement par les campagnes médiatiques et par des fréquences particulières diffusées par la 5G (voir les dossier 5G et ondes pulsées et Vaccins et virus)] et seront bien sûr suivies de campagnes vaxx forcées. Les plandémies et les vaxx mortels intimideront et décimeront davantage la population.

Les pandémies récurrentes contribueront à conférer à l’OMS le pouvoir de décider de la santé des populations mondiales, au-delà des constitutions des pays souverains. L’OMS, avec ses 194 pays membres, n’est pas une véritable agence des Nations Unies, mais étant financée par au moins 70 % de bailleurs de fonds privés (principalement des fonds fiduciaires pharmaceutiques), est au mieux une organisation de partenariat public-privé. [Note de Joseph : ce qui représente le socle du fascisme. Voir Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !]

En tant que tel, il [l’OMS] suit le mandat des donateurs privés, jouant un double rôle, par le biais de mandats mondiaux de vaxx qui transfèrent des milliards de dollars dans des « trésoreries à but lucratif » pharmaceutiques – et s’assurent qu’il n’y a jamais de pénurie de plandémies.

À l’heure actuelle, l’OMS est en train de débattre – principalement à huis clos – du Pacte mondial pour la santé et du soi-disant Traité sur la pandémie. Si ce traité est adopté d’une manière ou d’une autre, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, aura un pouvoir sans précédent sur toutes les questions de santé à travers le monde.

[Voir ALERTE ROUGE: Le nouveau traité pandémique de l’OMS en phase finale, annulerait la Constitution américaine et déchaînerait la dictature médicale, prévient le Dr Francis Boyle – Cogiito]

À dessein, les médias en parlent peu. Ne réveillez pas un lion endormi. Au cas où le traité passerait, les gens seraient à nouveau « stupéfaits », choqués et malheureusement abasourdis.

Si elle n’est pas arrêtée par les pays membres, et si la gestion désastreuse de Covid est une indication, l’OMS est déterminée à devenir le maître de la tyrannie sanitaire, et en tant que tel, le maître de la vie et de la mort.


Changement climatique

Parallèlement, crise après crise, vient la catastrophe climatique, ce que l’on appelle le « changement climatique » induit par l’homme.

Oui, le changement climatique est induit par l’homme, mais pas à cause de la soif extrême de notre civilisation pour les combustibles fossiles et les émissions de CO2, mais à cause d’une géo-ingénierie météorologique très sophistiquée [Voir chemtrails]. L’été extrêmement chaud et sec record de tous les temps du Nord global, les ouragans extrêmement violents et les inondations qui en résultent, y compris les pluies de mousson prolongées et désastreuses au Pakistan – peuvent être suivis d’un hiver froid du Nord potentiellement mortel.

Pour respecter le récit de la pénurie d’énergie, les températures intérieures cet hiver doivent être maintenues à environ 19 degrés Celsius – sinon… Les transgresseurs sont avertis de sanctions sévères par de nombreux gouvernements européens.

Qui contrôle le temps contrôle les gens – a déclaré le président Lyndon Johnson déjà en 1962. Un document récemment publié par le Pentagone vise 2025 pour un contrôle total du temps, dans le monde entier.

Voir ceci  et ceci et cela.

Phénomènes météorologiques violents – il existe de nombreuses preuves que nous vivons dans une géo-ingénierie militarisée, dont les effets peuvent être aussi meurtriers qu’une guerre nucléaire.


Bien que tout cela se lise et sonne comme une série de scénarios apocalyptiques, il y a une lueur d’espoir dans ce sombre nuage. L’homme est par nature inventif. En prenant conscience de ce qui se passe – à vitesse grand V depuis le début de 2020 – les hommes peuvent arrêter la destruction. Les hommes ont toujours été ingénieux, lorsqu’ils sont contraints à l’extrême pour survivre. C’est le moment.


[À propos de l’auteur]

Peter Koenig  est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur de  Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed  et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020).

Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non résident de l’Institut Chongyang de l’Université Renmin de Pékin.

L’image en vedette provient de Dreamstime

La source originale de cet article est Global Research
Copyright © Peter Koenig, Global Research, 2022




Le « vaccin tueur » Covid. Des gens meurent dans le monde entier. C’est une opération criminelle

[Source : Mondialisation.ca]

Par Prof Michel Chossudovsky

Nous sommes accusés de « diffuser de la désinformation » concernant le vaccin Covid-19.

Les « traqueurs » médiatiques Reuters et AP vont s’employer à dénigrer les témoignages des parents qui ont perdu leurs enfants.

« Une fois que le mensonge devient la vérité, il n’y a plus de retour en arrière possible. La folie prévaut. Le monde est complètement bouleversé. »

Ne nous faisons pas d’illusions, l’injection Covid n’est pas seulement « expérimental », c’est un « vaccin tueur » de Big Pharma qui modifie le génome humain. Les preuves de la mortalité et de la morbidité résultant de l’inoculation du vaccin, qu’elles soient immédiates (données officielles) ou futures (par exemple, des caillots sanguins microscopiques non détectés) sont accablantes.

Les données officielles (mortalité et morbidité) ainsi que de nombreuses études scientifiques confirment la nature du vaccin à ARNm Covid-19 qui est imposé à l’humanité entière.

Des rapports évalués par des experts confirment les causes des décès et des « événements indésirables » (blessures) liés au vaccin, notamment les caillots sanguins, les thromboses, les myocardites et les arrêts cardiaques.

L’objectif déclaré est d’imposer la vaccination mondiale de 8 milliards de personnes dans plus de 190 pays, suivie de l’imposition d’un « passeport vaccinal » numérisé. Inutile de dire qu’il s’agit d’une opération de plusieurs milliards de dollars au profit de Big Pharma. C’est un crime contre l’humanité.

Le projet mondial de vaccin intitulé COVAX est coordonné au niveau mondial par l’OMS, GAVI, CEPI, la Fondation Bill et Melinda Gates en lien avec le Forum économique mondial (WEF), le Wellcome Trust, DARPA et Big Pharma [les grandes sociétés pharmaceutiques] qui est de plus en plus dominé par le partenariat Pfizer-GSK qui avait été établi à peine quatre mois avant le début de la crise du Covid-19, début janvier 2020.

Le « vaccin » Covid-19 a favorisé, dès le début en janvier 2021, un accroissement de la mortalité à l’échelle mondiale.

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Ce n’est pas un homicide involontaire. C’est un meurtre

Oui, c’est un vaccin meurtrier [tueur]. Ce message doit être fort et clair.

Cela se passe partout dans le monde : des enfants et des adolescents meurent.

Crimes contre l’humanité, crimes contre nos enfants.

Moins de deux mois après le lancement du « vaccin » à ARNm de Pfizer, une grande marche funèbre a été organisée pour les enfants décédés à la suite de l’administration du vaccin à Genève en Suisse (29 janvier 2021)



Myocardite, arrêt cardiaque : « Les jeunes meurent ». Mort subite à grande échelle

La Fondation pour la recherche sur la sécurité des vaccins a récemment publié « Until Proven Otherwise » (jusqu’à preuve du contraire), un court documentaire vidéo sur les conclusions concordantes de deux éminents cardiologues.


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Nos enfants sont les victimes

Partagez les vidéos suivantes qui montrent ce que les parents ont déjà vécu en perdant leurs enfants.



Sofia Benharira, 16 ans, meurt suite à la vaccination Pfizer :



Mères enceintes vaccinées contre la Covid. Fausses couches. « Précieux bébés qui ne sont plus en vie »



Nos athlètes meurent

La vidéo ci-dessous présente des reportages sur les « 1 000 athlètes qui s’effondrent, meurent, ont des problèmes cardiaques ou des caillots sanguins – mars 2021 à juin 2022 ».


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La criminalité de Pfizer ne fait aucun doute

Mais saviez-vous que Pfizer a déjà un casier judiciaire auprès du ministère de la Justice des États-Unis pour « marketing frauduleux ».

Et personne n’est au courant du casier judiciaire de Pfizer parce que les médias n’en parlent pas.



Peut-on faire confiance à un conglomérat de vaccins de Big Pharma qui, en 2009, a plaidé coupable à des accusations criminelles portées par le ministère américain de la justice (DoJ), notamment de « marketing frauduleux » et de « violation criminelle de la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques » ?

En 2009, Pfizer a été mis en « probation » par le ministère américain de la Justice :

« Dans le cadre du règlement, Pfizer a également accepté de conclure un accord étendu sur l’intégrité de l’entreprise avec le Bureau de l’Inspecteur général du Département de la santé et des services sociaux. Cet accord prévoit la mise en place de procédures et d’examens pour éviter et détecter rapidement des comportements similaires à ceux qui ont donné lieu à cette affaire. »

Intégrité de l’entreprise ??? Où sont les procédures et les examens ?

Cette « conduite similaire » de Pfizer se répète en 2020-2022 à une échelle bien plus grande que celle de 2009.

Ce qui se déroule est le « marketing frauduleux » mondial d’un « vaccin tueur« , qui constitue un crime contre l’humanité.

Une bombe. Le Mea Culpa de Pfizer

Pfizer révèle dans un rapport secret (déclassifié dans le cadre de la liberté d’information) que son vaccin à ARNm est un « vaccin tueur ». Les preuves proviennent de la « bouche du cheval »

« En février 2021, Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 rapports de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’événements indésirables signalés, dont 23 cas d’avortements spontanés sur 270 grossesses et plus de 2 000 rapports de troubles cardiaques.

Gardez à l’esprit qu’il s’agit des propres données de Pfizer.

Dans une ironie tordue, les données révélées dans ce « rapport d’initié » réfutent le récit officiel sur les vaccins mis en avant par les gouvernements et l’OMS. Il confirme également l’analyse de nombreux médecins et scientifiques qui ont révélé les conséquences dévastatrices du « vaccin » de l’ARNm.

Ce qui est contenu dans le rapport « confidentiel » de Pfizer sont des preuves détaillées sur les impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « bouche du cheval » peuvent maintenant être utilisées pour confronter ainsi que formuler des procédures juridiques contre Big Pharma, les gouvernements, l’OMS et les médias.

Pfizer était pleinement conscient que le vaccin à ARNm qu’elle commercialise dans le monde entier entraînerait une vague de mortalité et de morbidité. Cela équivaut à un crime contre l’humanité de la part de Big Pharma.

Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur.

C’est aussi un Mea Culpa et une trahison de la part de gouvernements nationaux corrompus du monde entier qui sont menacés et corrompus par Big Pharma.

Aucun nombre de tentatives a été faite par les gouvernements pour appeler au retrait du vaccin tueur.

On dit aux gens que le vaccin est destiné à sauver des vies. » 

Michel Chossudovsky

Cliquez ici pour lire le rapport « confidentiel » de Pfizer.

Les autorités sanitaires nationales affirment que le « vaccin » contre le Covid-19 sauvera des vies. C’est un mensonge

« Si vous permettez que cela aille de l’avant [vaccin], je vous garantis qu’il y aura des décès évitables d’enfants en parfaite santé et des maladies graves dix fois plus. Et sans avantage possible. Savoir ce que je sais après 40 ans de formation et de pratique en toxicologie, biochimie et pharmacologie, participer à cet abus extraordinaire d’enfants innocents sous nos soins ne peut être classé d’autre sens que le meurtre » Dr. Michael Yeadon, éminent scientifique, ancien vice-président de Pfizer

« Cette campagne de vaccination sera le plus grand scandale de l’histoire de la santé, … de plus, elle sera connue comme le plus grand crime jamais commis contre l’humanité. » 

La députée Christine Anderson, membre du Parlement européen, juillet 2022

Ce qui est présenté ci-dessus n’est que la « pointe de l’iceberg » de ce qui se passe dans le monde entier

  • NE VOUS FAITES PAS VACCINER.
  • SOYEZ SOLIDAIRES AVEC LES PERSONNES QUI ONT ÉTÉ VACCINÉES.
  • INFORMER LES GENS À TRAVERS LE PAYS SUR LES RISQUES DE L’INJECTION POUR LA SANTÉ.
  • ADOPTEZ  UNE POSITION FERME CONTRE LE PASSEPORT VACCINAL.

La légitimité des politiciens et de leurs sponsors Big Money doit être remise en question.

Nous devons agir d’une seule et même voix au niveau national et international.

Notre première tâche est de bloquer la campagne de peur

Le programme de « vaccination » contre la COVID-19 devrait être immédiatement arrêté dans le monde entier.

Veuillez partager cet article. Les moteurs de recherche ne le reprendront pas.

Pour une analyse plus détaillée et plus complète. Voir le livre récemment publié de Michel Chossudovsky sur la crise mondiale  Covid. Cliquez ici : Téléchargement GRATUIT [Version originale en anglais]


Dans cette interview de septembre, Michel Chossudovsky décrit les développements récents concernant le vaccin à ARNm Covid-19.

Vidéo : Prof. Michel Chossudovsky et Caroline Mailloux



Le vaccin est-il sans danger ?

Si vous n’êtes toujours pas convaincu des dangers du Vaxx de Big Pharma, jetez un coup d’œil à la vidéo de recherche suivante qui, selon le Dr. Gary G Kohl est :

« une vidéo incontournable, totalement fausse, basée sur la science, et alphabétisée en vaccinologie pour tous ceux qui envisagent d’obtenir un rappel (ou même une première injection) ».

Vidéo, cliquez sur le coin inférieur droit pour agrandir l’écran



Source : JRickey Productions Studio

 Michel Chossudovsky

Article original en anglais :

The Covid “Killer Vaccine”. People Are Dying All Over the World. It’s A Criminal Undertaking
Prof Michel Chossudovsky, 26 novembre 2022
Traduit par Maya pour Mondialisation.ca

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2022




Trudeau ment sous serment et prétend qu’il n’a pas traité les personnes non vaccinées de « racistes et misogynes »

[Source : anguillesousroche.com]

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau a menti sous serment en affirmant qu’il n’a pas traité les personnes non vaccinées de tous les noms, alors que des séquences vidéo prouvent le contraire.

Vendredi, Trudeau a fait son apparition publique tant attendue devant la Commission d’urgence de l’ordre public, après six semaines de témoignages théâtraux.

Interrogé, il a défendu le recours aux pouvoirs d’urgence pour mettre fin au « convoi de la liberté » qui avait bloqué la capitale du Canada au début de l’année en raison du mandat inconstitutionnel de vaccination.

Pendant l’enquête, Trudeau a menti à visage découvert sous serment en affirmant qu’il n’avait pas traité les personnes non vaccinées de racistes et de misogynes.

« Je n’ai pas traité les personnes non vaccinées de [mauvais] noms. J’ai souligné. Il y a une différence entre les personnes qui hésitent à se faire vacciner pour toutes sortes de raisons et les personnes qui diffusent délibérément des informations erronées qui mettent en danger la vie et la santé de leurs concitoyens. Et mon objectif à chaque étape du processus, et la responsabilité première d’un Premier ministre, est de garder les Canadiens en sécurité et en vie », a déclaré M. Trudeau.

Regardez la vidéo ci-dessous :

Mais la déclaration de Trudeau dans l’émission La Semaine des 4 Julie sur Noovo TV, le 16 septembre 2021, prouve le contraire.

« Oui, nous allons sortir de cette pandémie par la vaccination. Nous connaissons tous des gens qui sont un peu hésitants. Nous allons continuer à essayer de les convaincre, mais il y a aussi des gens qui sont farouchement contre la vaccination. Ce sont des extrémistes qui ne croient pas à la science, ce sont souvent des misogynes, souvent aussi des racistes. C’est un petit groupe qui se muscle, et nous devons faire un choix au niveau des dirigeants, au niveau du pays. Devons-nous tolérer ces gens ? Ou est-ce que nous disons, hé, la plupart des Québécois — 80 % — sont vaccinés. Nous voulons revenir à des choses que nous aimons faire. »

Regardez la vidéo ci-dessous :

[Note de Joseph : j’ai eu l’occasion de voir cet extrait à l’époque, au moins en reprise sur une autre chaîne canadienne (LCN ou TVA, probablement). Par ailleurs, Trudeau est connu pour avoir eu une formation en arts dramatiques et avoir été quelque temps professeur de théâtre.]




Les « villes intelligentes » du Forum Économique Mondial sont des « camps de concentration ouverts »

[Source : News Punch via 1scandal.com]

Par Sean Adl-Tabatabai

Les « villes intelligentes » en cours de construction dans le monde entier sont en fait des « camps de concentration ouverts » conçus par l’élite technocratique mondiale pour contrôler et asservir l’humanité, selon un dénonciateur de la Silicon Valley.

Aman Jabbi est un ingénieur qui a travaillé dans la Silicon Valley pendant 25 ans et est co-inventeur de deux applications de caméra pour téléphone portable. Il a émigré aux États-Unis en 1988 parce qu’il admirait la culture américaine de liberté et d’indépendance.

Rapports de Technocracy.news : Jabbi vit maintenant à Big Fork, dans le Montana, et est devenu, à mon avis, l’un des dénonciateurs et lanceurs d’alerte les plus importants concernant le système de la bête à venir.

Son message doit être entendu par tous les Américains et je recommande fortement à mes lecteurs de trouver une heure pendant le week-end de Thanksgiving pour l’entendre dans la vidéo que j’ai publiée ci-dessous. Si vous êtes d’accord avec moi que son message est essentiel, merci de partager cet article et la vidéo avec vos amis et votre famille.


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Avant de pouvoir sortir de la matrice, vous devez savoir que vous vivez dans une matrice, et cela implique de reconnaître que les tentacules de la matrice prennent le contrôle de votre vie.

La plupart d’entre nous passent beaucoup trop de temps à nous concentrer sur les mauvaises choses. Nous parlons sans fin de ce qui se passe à Washington alors que nous avons invité le système de la Bête jusque dans nos maisons, et que nous nous le faisons même injecter dans notre propre corps. Nous nous plaçons sur la voie de la destruction par peur, par manque d’information (ignorance) et par manque de discernement.

Même si vous vivez dans un État rouge [républicains] comme la Floride, la Géorgie, le Tennessee ou le Texas, vous ne serez pas isolé ou protégé du système de la Bête car ses griffes sont déjà plantées dans l’infrastructure des 50 États.

Nous avons des gens, des gens bien intentionnés, dans le mouvement conservateur, qui gagnent leur vie en nous mettant en garde contre les socialistes, les communistes ou les islamistes.

Voici la dure vérité : même si nous éliminions demain tous les socialistes, les communistes et les islamistes d’Amérique, nous serions toujours dans le pétrin parce que les mondialistes ont déjà les lois et l’infrastructure technologique en place pour convertir notre République en un État esclave technocratique .

Certains des éléments les plus avancés de cette infrastructure, comme le souligne Jabbi, se trouvent dans des États comme la Floride, la Géorgie et d’autres États rouges.

C’est le dessous sombre de la tyrannie dont personne ne veut parler. Pas un seul politicien n’en parle régulièrement. Le sénateur Rand Paul du Kentucky est peut-être celui qui comprend le mieux ce système, mais je me demande s’il comprend lui-même toute l’étendue du problème.

La façon de vaincre ce système est si simple et pourtant si difficile. Une chose que je peux vous promettre, c’est que nous ne voterons jamais pour nous en sortir, car les mêmes personnes qui mettent en place l’infrastructure des villes intelligentes dans le monde contrôlent les systèmes de vote à l’échelle internationale.

Comme nous sommes très nombreux par rapport à eux, nous devons utiliser la force du nombre.

Tout ce que nous avons à faire est de dire non. Rejeter les outils de notre asservissement qui sont offerts sur un plateau d’argent brillant qui a l’air si attrayant.

Nous devons reconnaître que ce sont ces mêmes outils et produits qui rendent notre vie trépidante du XXIe siècle si pratique, si efficace et si divertissante. Et donc, nous les achetons sur commande, nous les mettons à jour sur commande, nous transmettons nos données biométriques sur commande, jusqu’au jour où nous réveillerons et réaliserons que nous nous sommes installés et que nous nous sommes amusés dans un goulag numérique auquel il n’y a pas d’échappatoire .

C’est ainsi que les mondialistes ont l’intention de briser le dos des Américains libres. Ils le font par le biais de nos finances, du système de santé et des systèmes de divertissement. Des cartes d’identité numériques déguisées en « passeports de santé » ou « cartes de santé intelligentes » seront nécessaires pour travailler, pour accéder à Internet et aux prochains comptes bancaires numériques ou portefeuilles numériques. La convergence de tous ces systèmes garantira, selon les termes de l’Agenda 2030 des Nations Unies, que « personne ne sera laissé pour compte ».

Au moment où la plupart des gens se réveilleront et verront qu’ils sont tombés dans un piège, il sera trop tard. Ils auront toutes vos données, ils sauront tout sur vous, vos forces, vos faiblesses, vos vulnérabilités.

Comme le dit Jabbi :

« Vous pouvez nier la réalité mais vous ne pouvez pas nier les conséquences. »

Le choix est simple. Choisissez-vous de vivre en esclave dans un camp de concentration numérique, ou en être humain libre en pleine possession de votre autonomie corporelle et de votre libre arbitre ?

Sans plus tarder, je vous invite à écouter Aman Jabbi. Si vous n’avez pas le temps d’écouter la vidéo complète, vous apprendrez quand même beaucoup de choses au cours des 20 à 25 premières minutes. En fait, je recommanderais de ne regarder que la moitié de cette vidéo et de prendre des notes, de la traiter, puis de regarder la seconde moitié.

Jabbi donne ce que je crois être la description la plus complète du système de la Bête que j’aie jamais vue.

Vous pouvez donc voir que la plupart des dommages sont causés au niveau local à l’aide de fonds fédéraux.

Les grandes villes sont cuites. Elles se convertissent toutes à la technologie SMART et toute personne vivant encore dans l’une d’entre elles devrait faire des plans pour partir immédiatement.

Si vous ne me croyez pas, tapez « Smart city networks » [« Réseaux de villes intelligentes »] dans votre moteur de recherche préféré et parcourez ce qui s’affiche.

Mais ce n’est pas seulement les grandes villes. Je ne suis pas sûr que beaucoup de villes moyennes ou même de petite taille pourront résister à leur intégration dans cette infrastructure techno-totalitaire. Ce qui est encore sous notre contrôle, ce sont nos maisons et, en fin de compte, notre propres âme, et c’est ce que nous devons protéger des esprits démoniaques de contrôle qui se sont déchaînés sur le monde.

Ce que Jabbi décrit, c’est une technologie extrêmement invasive mise en place dans les villes intelligentes – des lecteurs de plaques d’immatriculation aux feux de signalisation intelligents et aux poteaux intelligents en passant par les voitures intelligentes, les quartiers intelligents, les maisons intelligentes et les appareils intelligents – tous connectés à la 5G et communiquant sans fil les uns avec les autres.

Si vous faites attention, vous voyez des centaines de ces lampadaires à LED bordant les rues et les autoroutes et, dans de nombreux cas, ils sont équipés de caméras de surveillance et de haut-parleurs pour l’écoute [NDLE Plutôt de microphones dans ce cas]. Jabbi parle également de la mise en place des stations de recharge de drones et de la manière dont les drones pourraient être militarisés contre les citoyens.

Toute cette infrastructure militarisée est installée avec de l’argent fédéral, des centaines de millions de dollars cachés dans le projet de loi sur les infrastructures de Joe Biden ainsi que dans son projet de loi sur la réduction de l’inflation, qui ont tous deux été adoptés par le Congrès avec l’aide des républicains.

Les chefs de ville et de comté sont des imbéciles en ce qui concerne les subventions fédérales. En général, ils ne se demandent même pas ce qu’ils achètent avec l’argent d’autrui. Pour eux, c’est juste de l’argent gratuit pour « investir » dans l’infrastructure locale.

Et, comme l’explique Jabbi, tout est fait au nom de la sûreté et de la sécurité.

Nos rues nous espionnent

Beaucoup de ces lumières LED intelligentes sont équipées de ce qu’on appelle  la technologie PUKE Ray, qui peut être militarisée et utilisée pour neutraliser les humains. Il s’agit d’une technologie militaire appliquée dans nos villes pour une utilisation potentielle contre des civils, avec l’aimable autorisation du Département américain de la sécurité intérieure.

Toutes les principales intersections d’une ville intelligente sont équipées de caméras de surveillance numériques. Faites attention aux autoroutes inter-États, qui sont désormais également équipées de cette technologie. Ces caméras seront capables d’enregistrer en temps réel les plaques d’immatriculation de chaque voiture qui passe.

Les caméras et les appareils d’écoute se multiplient partout, dans les grandes, moyennes et même petites villes.

Nos téléphones portables nous espionnent

Votre téléphone portable vous écoute également. Et bon nombre de téléphones les plus récents sont capables de suivre les mouvements de vos yeux sur l’écran.

« Ils écoutent, ils regardent, ils analysent, ils donnent, puis cela répète le processus », a déclaré Jabbi. « C’est un camp de concentration ouvert pour la surveillance. »

Et toute cette technologie n’est pas pour notre sûreté et notre sécurité, comme annoncé. Il s’agit de saisir des données et de les utiliser pour « changer votre comportement », ce qui signifie que les données seront utilisées pour appliquer le système de notation de crédit social à venir à tous les Américains et aux personnes libres partout.

Nos appareils nous espionnent

Si vous possédez l’un des nouveaux modèles de réfrigérateurs qui suivent numériquement l’inventaire de votre réfrigérateur, toutes ces données sont enregistrées pour être utilisées contre vous. Vous mangez trop de viande et de produits laitiers ? Votre pointage de crédit social vient d’être abaissé d’un cran parce que les mondialistes n’aiment pas que nous mangions de la viande. Ce n’est pas « durable », dans leur vision du monde.

Nos voitures nous espionnent

D’ici 2025, Jabbi a déclaré que chaque nouvelle voiture aura un minimum de 16 caméras, toutes connectées numériquement et fournissant des informations via Internet.

Vous conduisez trop en dehors de votre port d’attache, ce qui augmente inutilement votre empreinte carbone ? C’est un gaspillage d’essence et votre score de crédit social vient de baisser d’un cran.

Nos banques nous espionnent

Il a déjà été confirmé, plus tôt cette année, que les principales banques et sociétés de cartes de crédit procèdent au suivi de vos achats d’armes et de munitions, et toutes les plus grandes banques expérimentent une application « volontaire » de suivi du carbone qui vous informe de votre empreinte carbone. Ce n’est qu’un échauffement pour le lancement de la nouvelle monnaie numérique, lorsque le suivi de votre production de carbone ne relèvera plus du mode « volontaire ».

Nos thermostats numériques nous espionnent

Rappelez-vous comment cela a fonctionné au Colorado cet été, lorsque les personnes inscrites à un programme « volontaire » de surveillance de la température ont perdu tout contrôle sur leurs thermostats domestiques.

L’objectif est de cartographier numériquement toutes les choses, vivantes et non vivantes. Même chaque arbre et buisson dans la nature aura une identification numérique. Parce qu’une fois que vous les avez catalogués et cartographiés, vous pouvez désormais les suivre et les contrôler.

[Voir aussi :
Le B20 invite le G20 à adopter des passeports vaccinaux internationaux et une identité numérique
Le gouvernement du Canada s’est associé au Forum économique mondial pour imposer un système de type crédit social pour voyager
Bientôt le « portefeuille d’identité numérique », un cauchemar totalitaire
Nanotechnologie et « vaccins »
Les monnaies numériques des banques centrales arrivent — Quelles en seront les conséquences ?
Ce que planifient les banquiers centraux d’après Catherine Austin Fitts]

L’infrastructure d’un État policier verrouillé est déjà en place

Il y a 1 milliard de caméras de surveillance numériques connectées à Internet dans le monde. Et 50 millions d’entre elles sont aux États-Unis. C’est plus par habitant qu’en Chine, selon Jabbi.

La différence est qu’en Chine, les gens savent qu’ils sont surveillés 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 et qu’ils se conforment, car ils savent qu’il y aura des sanctions en cas de violation des règles. Ils savent qu’ils sont esclaves et ils l’acceptent.

« Aux États-Unis, ils font déjà cela (la surveillance) », dit Jabbi. « La seule différence est qu’ils ne nous l’ont pas encore dit… Nous sommes déjà dans le même système mondial de surveillance. »

Certains l’appellent « l’Internet des yeux ». Mais la Bête a aussi des oreilles.

Ce ne sont pas les yeux et les oreilles humaines qui suivent tout ce que nous faisons, comme dans l’Allemagne nazie ou dans l’ancienne Union soviétique. Non, c’est l’intelligence artificielle, l’IA, qui veille désormais sur la prison.

Contrairement à la Chine, où les esclaves connaissent leur sort dans la vie, la plupart des Américains sont encore inconscients des murs de la prison qui se dressent autour d’eux.

Cette prison est construite sur l’oppression et la collecte. La Bête se nourrit de données. Vos données.

Nous ne le voyons pas parce que les outils d’oppression, les mêmes outils utilisés en Chine, sont présentés différemment ici en Amérique. On nous dit que les caméras de surveillance sont toutes là pour attraper les méchants.

C’est pour notre sûreté et notre sécurité.

Sûreté
Sécurité
Commodité

Ce sont les trois mots clés utilisés pour nous attirer.

Si vous savez que vous n’êtes pas un méchant, mais que vous aimez la commodité, il est tentant de vous dire : « Je n’ai rien à cacher ». Si vous avez encore ces pensées, vous avez une vision très naïve du fonctionnement de ces systèmes et de ce que leur programme ultime implique.

Il ne s’agit pas seulement d’attraper les méchants et les mauvaises personnes.

Bien qu’elles [les données] puissent être utilisés à cette fin, il se passe beaucoup plus de choses.

Les données qu’ils recueillent sur vous sont jugées précieuses pour une et une seule raison : pour vous amener à changer votre comportement et à vous soumettre au système de la Bête – un système qui sait où vous êtes à tout moment, ce que vous faites, comment vous dépensez votre argent, votre temps, et même ce que vous pensez.

En leur donnant vos données, vous leur donnez la possibilité de surveiller et d’évaluer votre comportement, qui peut désormais être converti en un score de crédit social. Ce score est ensuite utilisé pour déterminer les privilèges auxquels vous avez droit et ceux auxquels vous n’avez pas droit dans la nouvelle société esclavagiste.

Vivez-vous un mode de vie durable et contribuez-vous à lutter contre le changement climatique ? Êtes-vous un joueur d’équipe ? Sinon, vous ne serez pas autorisé à participer à la société.

C’est exactement ainsi que le vax Covid-19 a été déployé, par le biais de politiques coercitives appliquées non seulement par le gouvernement, mais aussi par ses partenaires commerciaux, et John Kerry a déclaré lors de la conférence COP27 en Égypte  que c’est le modèle qu’ils utiliseront pour faire respecter le programme de développement durable poussé par les Nations Unies et ses innombrables partenaires du secteur privé, dirigé par le Forum Économique Mondial.

Si votre score de crédit social descend en dessous d’un certain niveau, vous perdez vos privilèges, peut-être que vos enfants n’entrent pas dans les meilleures écoles ou que vous perdez des promotions professionnelles. Vous ne pouvez pas aller au restaurant ni participer aux événements publics. Vous êtes mis à l’écart par le nouveau système d’apartheid supervisé par l’intelligence artificielle.

Maintenant, une fois que l’argent numérique programmable est en place, vous ne pouvez pas dépenser votre argent pour certaines choses et il est limité à certains domaines.

Une fois ce système en place, vous aurez une identification numérique requise pour TOUT.

À terme, vous ne pourrez plus accéder à aucun service gouvernemental ou public, vous ne pourrez plus traverser les frontières nationales ni accéder aux soins de santé ou à Internet sans identification numérique.

Ils pensent pouvoir s’en tirer parce que 5,5 milliards des 7,5 milliards d’habitants de la planète se sont déjà conformés à la répétition générale, c’est-à-dire à l’utilisation du badge et à son acceptation comme passeport pour entrer dans les lieux publics.

Vous devrez prouver votre identité par le biais d’un programme numérique contenant vos marqueurs biométriques uniques, une empreinte du pouce ou un scan facial. Les téléphones portables nous demandent et nous poussent déjà à obtenir ces informations. Les nouveaux permis de conduire veulent tous des marqueurs biométriques.

Votre visage sera lié à une nouvelle monnaie numérique [des banques centrales] CBDC. Sans cela, vous serez exclu du système : pas d’emploi, pas de soins de santé, pas de contrôle de sécurité sociale, pas d’achats ni de ventes, rien. C’est le plan, les gars. Et ils veulent y parvenir d’ici 2030 au plus tard. Ils nous imposeront probablement le nouveau système de monnaie numérique en 2023 et élimineront progressivement l’argent dans quelques années après cela.

Nous pouvons encore riposter, mais nous devons nous endurcir et nous résoudre à ne pas devenir un esclave numérique. Comment fait-on cela?

Solutions

Abandonnez tous les appareils inutiles. Apple Watches, sonnettes RING, Alexa, robots aspirateurs, babyphones, réfrigérateurs high-tech. Ce sont tous des yeux et des oreilles à l’intérieur de votre maison !

Achetez vos légumes chez des agriculteurs locaux, ainsi que votre viande et vos produits laitiers. Utilisez les friperies et les petites stations-service indépendantes (oui, vous payez généralement un peu plus). Il est toujours préférable d’acheter en espèces auprès d’un commerçant local qui n’a pas de caméras sur vous depuis le moment où vous entrez dans son magasin jusqu’au moment où vous en sortez.

Éteignez les routeurs avant d’aller vous coucher le soir [NDLR ou préférez les connexions filaires, par ailleurs bien moins nocives pour la santé que ne peut l’être le Wi-Fi. Déconnectez ce dernier de tous vos appareils, si la possibilité est encore offerte par le fabricant.]

Utilisez des sacs faraday pour les téléphones lorsque vous voyagez, mais soyons honnêtes, nous devrons tous désactiver nos téléphones portables à un moment donné si nous voulons rester libres. [NDLR le mieux, notamment pour la santé est de ne pas en utiliser. Voir le dossier 5G et ondes pulsées]

Développer des systèmes parallèles, en se concentrant sur des alternatives low-tech.

Avez-vous d’autres idées sur la façon de perturber et de désactiver l’appétit de la Bête pour la collecte de données ? Veuillez partager dans les commentaires ci-dessous.

[Voir aussi :
Ne plus nourrir la Bête
L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources
Vie et mort des systèmes
Les villes sont le cancer de la Terre
Retour à la nature
Réenchanter le monde]

Bottom Line : Il s’agit d’une guerre spirituelle menée avec des outils de haute technologie entre les mains d’élites lucifériennes très riches.

Source News Punch Nov 2022




Inversion des valeurs et corruption juridique au cours de la crise Covid

[Source : anthropo-logiques.org]

Depuis le début de cette crise « sanitaire » qui aura vu les méthodes totalitaires chinoises être substituées aux bonnes réponses en santé publique (comme le Dr Fauci vient de l’admettre dans une déposition sous serment aux États-Unis !), l’avocate de Araujo-Recchia se bat pour faire connaître l’absolue gravité des transgressions en cours, lesquelles menacent littéralement la sécurité de l’état de droit.

Dans cette présentation, elle passe implacablement en revue les principales facettes de cette réalité que la plupart des gens (et des juristes !) préfèrent ne pas voir. Quelle absence en effet des professeurs de droit constitutionnel par exemple, mais aussi des juristes au service des gouvernements et même des cours de justice face à la redoutable gravité de cette inversion de la norme des hiérarchies juridiques !


Corruption juridique au cours de la crise Covid

Par Me Virginie de Araujo-Recchia, avocate

Partie prenante à la procédure du Grand Jury du Dr Reiner Füllmich., Virginie de Araujo-Recchia a déposé de nombreuses plaintes dont une plainte pour « dérives sectaires », impliquant des faits « d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse », ainsi que de « complicité d’empoisonnement et de génocide ».

Liste de ses actions : https://dar-avocats.com/actualites/

[Voir aussi :
La liberté d’expression des médecins, enseignants et chercheurs est-elle protégée en temps de crise sanitaire ? Me de Araujo-Recchia répond
Me Virginie de Araujo-Recchia communique suite à sa mise en garde à vue par la DGSI
Lettre d’informations sur les actions juridiques menées contre les mesures sanitaires par Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris
Pass sanitaire et injection obligatoire : les conseils de « guerre » de Me de Araujo-Recchia et Me di Vizio
Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Résumé de la conférence par Mme Tatiana Tislenkoff.

https://www.youtube.com/embed/JoPdWCMTpW4

Autant nous assistons à l’inversement des valeurs au sein de nos sociétés occidentales, autant nous assistons à l’inversement de la hiérarchie des normes juridiques.

En effet, force est de constater que les grands principes juridiques applicables, en toutes circonstances, au sein/au cœur de toute société civilisée, sont désormais foulés au pied au détriment de l’intérêt des peuples et corrélativement au seul profit de la finance internationale mondialiste détenant notamment les groupes pharmaceutiques impliqués.

La fraude est commise sous l’égide de fondations, d’agences et de groupes de réflexion internationaux et au travers de la corruption des médias grand public et des plateformes numériques complices du cloisonnement de l’information et par conséquent d’un obscurantisme décomplexé.

Ainsi, une réglementation technocratique pullulante, incohérente et déracinée se substitue aux normes supérieures avec les conséquences désastreuses que nous connaissons.

Règne désormais un mépris total du droit à la vie, du principe de la dignité humaine, de la sacralité de l’esprit et du corps jusqu’à atteindre l’environnement du fœtus et le génome de l’être humain.

Ces questions nous mènent à la croisée du droit et de la philosophie.

I. Négation des lois non-écrites de la nature humaine et inversion de la hiérarchie des normes juridiques

I.1  Négation des lois non écrites

LE PRINCIPE DU RESPECT DE LA DIGNITÉ HUMAINE

Le principe de dignité exige de sauvegarder la personne humaine « contre toute forme d’asservissement ou de dégradation ».

La dignité implique que la personne reste maître de son corps et d’elle-même, ce qui suppose qu’elle ne se trouve pas aliénée ou asservie à des fins étrangères à elle-même.

Les textes de lois ont essayé de définir cette vie digne : une vie indépendante qui permet l’autonomie de choix et la participation à la vie sociale et culturelle.

D’ailleurs, la définition de la santé en tient compte : « La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité.»(([1] Extrait de la Constitution de l’Organisation mondiale de la santé, adoptée en 1946 à New-York et entrée en vigueur en 1948.))

Kant distingue ce qui a un prix et ce qui a une dignité : « Dans les règne des fins tout à un prix ou une dignité. Ce qui a un prix peut-être aussi bien remplacé par quelque chose d’autre, d’équivalent ; au contraire, ce qui est supérieur à tout prix, ce qui par suite n’admet pas d’équivalent, c’est ce qui a une dignité.»(([2] Dans les Fondements de la Métaphysique des Mœurs de Kant.))

Par conséquent, toute violence, toute discrimination à l’encontre des personnes qui refusent de se faire injecter une substance expérimentale, surtout lorsque le produit pharmaceutique en question est inefficace et nocif, voire mortel, viole tous les principes rattachés au respect de la dignité humaine.

LE PRINCIPE DU RESPECT DE LA DIGNITE HUMAINE A SON COROLLAIRE : LA RESISTANCE A L’OPPRESSION EN CAS D’ATTEINTE À CE MÊME PRINCIPE

Le principe de résistance à l’oppression appartient aux lois non-écrites de la nature humaine et préexiste logiquement à l’État et à sa norme fondamentale suprême.

En effet, lorsque les institutions d’un État, dont la vocation première est d’assurer la protection de l’ordre public, la sauvegarde des principes fondamentaux, de la liberté et des droits du peuple, ne font plus obstacle à la dérive des régimes totalitaires, il est du devoir de chaque individu de résister à l’oppression.

« Le moteur de la résistance ce n’est ni la foule, ni la tribune, c’est l’individu qui a le goût politique et qui juge ; c’est le citoyen qui ne se laisse pas fasciner par « l’hypnose exercée par le pouvoir » ; celui qui refuse d’être dupe ». Parce qu’il faut qu’il y ait « au début du mouvement populaire, une réaction des consciences individuelles », sinon « ce sera une émeute ou une révolte, ce ne sera pas, dans le plein sens du mot, ce refus d’accepter plus longtemps l’arbitraire des gouvernants qui caractérise la résistance à l’oppression. »

« La résistance à l’oppression n’est pas révolutionnaire. Au contraire, elle est de nature conservatrice, sa mission étant de défendre l’ordre constitutionnel établi et de contribuer au retour du statu quo ante ».

I.2. Inversion de la hiérarchie des normes juridiques

Les mesures prises par le pouvoir exécutif français ont été à l’origine d’atteintes aux droits fondamentaux et libertés publiques sans précédent.

Des lois, décrets et arrêtés préfectoraux ont prévalu sur les normes du bloc constitutionnel sans que ces textes ne soient jamais remis en cause ou invalidés tant par le Conseil constitutionnel, que par les juridictions judiciaires et administratives, alors que lesdites mesures étaient clairement disproportionnées et contraires à bon nombre de textes conventionnels et européens ainsi qu’aux normes suprême du corpus constitutionnel.

L’ÉTAT DE DROIT A CÉDÉ LA PLACE A L’ARBITRAIRE

J’ai pu relever les atteintes majeures suivantes :

  • Atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation.
  • Violation du droit à la vie et atteinte à l’intégrité des personnes.
  • Violation de la liberté individuelle au mépris de l’Habeas Corpus qui prévoie le contrôle du juge judiciaire à bref délai lorsque les mesures privatives de liberté sont appliquées.(([3] Confinements forcés de l’ensemble de la population.))
  • Violation du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation.
  • Violation de la liberté de circuler/liberté d’aller et venir.
  • Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction de visiter des proches à l’hôpital, d’assister à des funérailles, de se réunir en famille.
  • Violation du droit de manifester et de se rassembler.
  • Violation du droit à l’éducation.
  • Violation de la liberté de culte.

Nous assistons à :

  • Une manipulation de l’opinion afin de faire régner la terreur et troubler l’ordre public.
  • Une gestion de crise disproportionnée et non conforme aux pratiques habituelles en la matière.
  • Une « épidémie » de tests RT-PCR qui ne permettent pas de déterminer si le patient est malade.
  • Une interdiction de traitements disponibles contre la Covid-19 en violation des droits du patient et de la liberté de prescrire.
  • Un homicide par administration de Rivotril dans les EHPAD.
  • Des crimes contre l’humanité.
  • Des actes de maltraitance et torture à l’égard des enfants.

Or, les magistrats de l’ordre administratif et les membres du Conseil constitutionnel ont utilisé le principe constitutionnel de protection de la santé pour entériner les mesures les plus iniques et les plus nocives pour la santé des français.

Pour le moment, il est devenu quasiment impossible d’échanger de manière objective devant les Cours et tribunaux français concernant les dommages causés par les mesures telles que les confinements forcés, les masques, les tests et la dangerosité des injections expérimentales.

Le principe constitutionnel de protection de la santé a été érigé en principe suprême, afin d’avaliser toutes les mesures prises par le pouvoir exécutif depuis mars 2020.

AFFAIRES DEVANT LES INSTANCES ADMINISTRATIVES, JUDICIAIRES, EUROPÉENNES ET INTERNATIONALES

À compter du mois de décembre 2020, des associations m’ont accompagné dans le cadre d’une action civile collective. Malgré la production de nombreuses études scientifiques dont la crédibilité ne peut être remise en cause, le tribunal judiciaire a refusé la discussion.

Il s’avère aujourd’hui que d’autres études scientifiques sont venues depuis confirmer la nocivité de la mesure de confinement forcé et le président du Conseil scientifique l’a reconnu publiquement.

Nous avons engagé d’autres actions devant les juridictions pénales, la Cour de Justice de la République, la Cour Européenne des Droite de l’Homme, à l’encontre des membres du gouvernement, de certains parlementaires, des médias grand public, des plateformes de réseaux sociaux ainsi que des intervenants propagandistes de plateau radio et télévision, notamment sur la base des chefs d’accusation suivants :

  • Abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse des français en état de sujétion psychologique résultant de techniques propres à altérer leur jugement.
  • Complicité d’extorsion et de tentative d’extorsion de consentement.
  • Tromperie aggravée et tentative de tromperie aggravée commise en bande organisée.
  • Escroquerie et tentative d’escroquerie.
  • Complicité d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement.
  • Participation à une association de malfaiteurs.
  • Crime contre l’humanité – génocide et complicité de génocide.

J’ai également réclamé l’expertise des solutions injectables expérimentales contre la Covid-19, étant donné de fortes suspicions relatives à la présence de nanotechnologies, d’oxyde de graphène et autres substances toxiques, ce qui n’a pas encore été traité par les magistrats en charge de ces dossiers.

En parallèle, j’ai rejoint un groupe d’avocats et juges internationaux travaillant avec mon confrère Reiner Fuellmich. Nous avons créé la Cour internationale de l’opinion publique, afin de présenter publiquement les témoignages d’experts essentiels ainsi que l’ensemble des éléments que nous présentons régulièrement devant les tribunaux nationaux et qui ne sont pas pris en compte actuellement.

II. Le cartel « Finance/Pharma/Médias »

II.1 L’Oligopole

Le rapport intitulé Génocide économique des Nations de Juliette Marin détaille la mainmise des fonds d’investissement américains sur les sociétés françaises du CAC40. Ces mêmes fonds détiennent ainsi directement et indirectement les médias dominants ainsi que les laboratoires pharmaceutiques.

Je cite :

« Selon nos informations, les dix plus grands investisseurs institutionnels contrôlent à eux seuls environ 22’000 milliards de dollars et sont également présents en Europe.

Parmi ces investisseurs, beaucoup sont à la fois grands et diversifiés, comme BlackRock ou Vanguard.(…)

Même s’ils se retrouvent rarement actionnaires majoritaires d’une seule et même société, les effets de cette situation sur la concurrence sont semblables à ceux d’une situation d’oligopole.

(…)

L’étude de l’architecture du réseau de propriétés internationales et nationales, ainsi que le calcul du contrôle exercé par chaque acteur mondial dans son ensemble nous révèle un monopole de fait sur l’économie des nations du monde entier avec un accent sur l’analyse des sociétés françaises cotées en Bourse (CAC40). Nous constatons que les sociétés transnationales formant une structure géante de nœuds papillons et qu’une grande partie du contrôle se dirige vers un petit noyau d’institutions financières très unies.

Ce noyau peut être considéré comme une « super-entité » économique qui soulève de nouveaux problèmes importants pour les chercheurs et les décideurs. »

Le rapport relève les dirigeants impliqués dans le secteur des médias et également dans le secteur des biotechnologies.

II.2. L’Organisation Mondiale de la Santé

Le rapport n°12283 intitulé « La gestion de la pandémie H1N1 : nécessité de plus de transparence » de M. Paul Flynn en date du 7 juin 2010 est édifiant :

Je cite :

« De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence du processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer eu égard aux principales décisions relatives à la pandémie. Il est à craindre que ce manque de transparence et de responsabilité ne fasse chuter la confiance accordée aux conseils émis par les grands organismes de santé publique. (…)

L’Assemblée a noté que les activités de lobbying non réglementées ou occultes peuvent constituer un danger et miner les principes démocratiques et la bonne gouvernance. (…) »

Les liens capitalistiques entre les médias grand public, les géants du numérique, les géants américains de la finance et l’OMS démontrent une réelle situation de collusion.

II.3 Le World Economic Forum (WEF)/Young Global Leaders a infiltré les pouvoirs publics

Depuis plus de cinquante ans, les principaux responsables économiques et politiques de la planète se retrouvent fin janvier à Davos pour la réunion annuelle du WEF.

Pour Kees van der Pijl, le WEF succéderait à d’autres organisations qui l’ont précédé, comme la franc-maçonnerie, le réseau gravitant autour de la Round Table à l’apogée de l’Empire britannique ou les conférences Bilderberg tout au long de la guerre froide et au-delà. Mais selon lui, à la fin des années 90, le WEF constituait bel et bien « le groupe de planification transnational le plus accompli, […] une véritable Internationale du capital ».(([4] Kees van der Pijl, Transnational Classes op. cit., p. 133.))

Son fondateur Klaus Schwab est un partisan de l’eugénisme et du transhumanisme. Il défend et promeut l’avènement de l’intelligence artificielle pour nos vies dans son ouvrage « La quatrième révolution industrielle » paru en 2017 et publie l’ouvrage intitulé « Le Great Reset » en 2019.

Je cite :

« Le Great Reset, c’est l’appel officiel à utiliser la pandémie et les confinements pour changer les comportements sociaux et sociétaux, une occasion historique d’accélérer la quatrième révolution industrielle, celle de la digitalisation. C’est aussi un éloge de l’intervention de l’État pour imposer la transition écologique et l’économie circulaire. C’est encore une justification à la surveillance de tous les individus grâce à Internet et à la reconnaissance faciale ».(([5] Eric Verhaeghe, ancien élève de l’ENA, haut fonctionnaire, auteur du livre « Le Great Reset : Mythes et réalités », 2021.))

Or dans le cadre d’un article en date du 28 octobre 2021, Éric Verhaeghe fait le constat suivant :

« Entre Emmanuel Macron et Mario Draghi, nul ne sait quel est le meilleur agent du Great Reset, et il n’est pas impossible que l’un et l’autre se tirent la bourre aujourd’hui pour en être les héros. Pour tous ceux qui se demandent encore si Emmanuel Macron est de gauche ou de droite, il n’est en tout cas pas inutile de comparer son œuvre politique déployée depuis un an avec le projet du Great Reset de Klaus Schwab. Les ressemblances sont si frappantes qu’on se demande même si la France n’est pas le champ d’expérimentation d’une doctrine que nous avons commentée en son temps dans notre ouvrage consacré au sujet.

Macron met en œuvre le Great Reset depuis un an. »(([6] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/10/28/comment-macron-a-mis-en-place-le-great-reset-en-france/))

En effet, Klaus Schwab décrit comment son mouvement subversif a infiltré avec succès les cabinets de plusieurs gouvernements mondiaux.

« Quand je mentionne des noms comme Angela Merkel et même Vladimir Poutine, et ainsi de suite, ils ont tous été des Young Global leaders du Forum économique mondial. Mais ce dont nous sommes très fiers aujourd’hui, c’est la jeune génération comme le premier ministre Justin Trudeau, le président de l’Argentine, etc. Nous pénétrons les cabinets gouvernementaux. ».

Il ajoute que « ceci est aussi vrai en France, le président était un Young Global Leader ».(([7] https://humansbefree.com/2022/01/Klaus-schwab-brags-about-controlling-western-governments.htmlhttps://banned.video/watch?id=61f0562d17dfec17f412cd00))

II.4. Infiltration des pouvoirs publics par les consultants privés reliés au cartel

La commission d’enquête sénatoriale a publié en 2022 un rapport sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques.(([8] Rapport n°578 de la Commission d’enquête sénatoriale présidée par M. Arnaud Bazin, publié le 17 mars 2022 intitulé Un phénomène tentaculaire : l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques.))

Dans ce rapport, on peut lire les propos de M. Frédéric Pierru, sociologue chargé de recherche au CNRS et spécialiste du secteur de la santé dont voici un extrait(([9] Op. cit. p. 32.)):

« Ce qui m’a étonné, c’est de voir un cabinet comme McKinsey, qui ne connaît rien à la vaccination, assister un ministre, alors que des spécialistes de la question sont disponibles à l’intérieur de l’État. L’administration de santé publique est capable d’élaborer logistiquement une campagne de vaccination, et on va chercher un consultant de McKinsey. »

McKinsey couramment appelé « La Firme » est non seulement tentaculaire mais elle est également reliée aux laboratoires pharmaceutiques ainsi qu’à certaines Fondations « lucratives », ce qui expliquerait pourquoi différents États occidentaux ont adopté les mêmes mesures liberticides et criminelles lors de la crise Covid-19.

McKinsey et Boston Consulting Group semblent avoir un impact démesuré sur le secteur mondial de la santé(([11] Comment McKinsey s’est infiltré dans le monde de la santé publique mondiale, article paru dans Vox le 13 décembre 2019. https://www-vox-com.translate.goog/science-and-health/2019/12/13/21004456/bill-gates-mckinsey-global-public-health-bcg?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp)). En effet, les deux entreprises ont toujours figuré parmi les cinq principaux prestataires de services professionnels de la Fondation Gates, selon les déclarations de revenus de la fondation, même après que l’organisation se soit engagée à réduire les dépenses de consultants à partir de 2015.

Comme l’a déclaré Devi Sridhar, titulaire de la chaire de santé publique mondiale à l’Université d’Edimbourg :

« Le défi est d’essayer de suivre l’argent et de comprendre les relations entre les bailleurs de fonds comme Gates, les sociétés de conseil et l’OMS. 

Comme Gates a commencé à payer régulièrement des consultants pour le compte d’institutions comme l’OMS, cela a créé une « dépendance » vis-à-vis des entreprises. Ensuite, il est devenu plus courant de faire appel à ces mêmes consultants pour la stratégie » (…)

Au total, la Fondation Gates a dépensé plus de 300 millions de dollars pour McKinsey et BCG entre 2006 et 2017 (…). C’est plus que le budget national de la santé pour tout un pays à faible revenu, comme Haïti.(…)

L’agence UNITAID a également été financée par la Fondation Gates, qui, dès le premier jour, a payé le travail de conseil de McKinsey, selon les procès-verbaux du conseil d’administration d’UNITAID de 2006 accessibles au public. (…)

Considérez le rôle de McKinsey dans l’épidémie d’opioïdes, qui a coûté la vie à près d’un million d’Américains depuis 1999. Les documents judiciaires qui ont fait surface dans le cadre d’un litige comprenait des allégations selon lesquelles McKinsey aurait conseillé deux sociétés sur la manière d’augmenter les ventes d’opioïdes sur ordonnance, du début des années 2000 jusqu’en 2014 au moins – lorsque l’épidémie de surdose était déjà bien connue. Une plainte alléguait que McKinsey avait conseillé à Johnson & Johnson de « faire prendre aux patients des doses plus élevées d’opioïdes » et d’étudier des techniques « pour garder les patients sous opioïdes plus longtemps », a rapporté le New York Times (…) »

Comme nous pouvons le constater, McKinsey et BCG travaillent étroitement avec Bill Gates, lequel affiche publiquement ses objectifs eugénistes et transhumanistes, qu’il partage avec Klaus Schwab, Henri Kissinger, Warren Buffet, tout comme les fondations Rockefeller, Rotschild, Open Society de Soros etc.

Toute cette oligarchie mondialiste considère que l’«hyper-class » doit inventer des technologies destinées à asservir les classes subalternes, réduire la population et faire scission avec cette majorité de sous-humains.(([12] Jacques Attali, Les clefs du XXIème siècle, édition avril 2000, p. 497s.))

À ce titre, un rapport(([13] https://twoplustwoequalsfournews-wordpress-com.translate.goog/2022/02/19/update-rockefeller-foundation-1968-annual-report-we-need-vaccines-to-reduce-fertility-and-address-the-population-problem/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp)) de la Fondation Rockefeller datant de 1968 décrit parfaitement la peur des oligarques concernant l’accroissement de la population et les solutions envisagées, notamment par la vaccination.

Un autre rapport(([14] https://archive.org/details/scenarios-for-the-future-of-technology-and-international-development-rockefeller-foundation)) de la Fondation Rockefeller datant de mai 2010, proposait entre autres, l’utilisation des confinements forcés.

Un article(([15] https://www-rockefellerfoundation-org.translate.goog/news/mercury-project-to-boost-covid-19-vaccination-rates-and-counter-public-health-mis-and-disinformation-in-17-countries-worldwide/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc)) du 23 août 2022, publié sur le site de la Fondation Rockefeller nous apprend que :

 « Le Social Science Research Council fournit 7,2 millions de dollars à 12 équipes qui font progresser des sciences sociales et comportementales ambitieuses et appliquées pour lutter contre la menace mondiale croissante posée par les faibles taux de vaccination contre le Covid-19 ainsi que la mésinformation et la désinformation en matière de santé publique. »

Pour aller plus loin, un article résume bien l’action de la Fondation Rockefeller contre la médecine naturelle, à partir de 1910, avec le rapport Flechner(([16] https://fr.sott.net/article/40467-Toxicologie-contre-Virologie-L-Institut-Rockefeller-et-la-fraude-criminelle-de-la-polio)) et le financement des écoles de médecine occidentales. On notera que l’École de médecine de Lyon fut créée à la demande du Dr Alexis Carrel, prix Nobel de son Institut new-yorkais, eugéniste.

III. Censure des véritables experts et des lanceurs d’alerte

III.1. La dépendance des médias grand public vis-à-vis des géants financiers américains entraine une disqualification des informations qui pourraient aller à l’encontre du plan mondialiste

Voici les propos très éclairants tenus par le journaliste enquêteur Laurent Mauduit, dans un article(([17] https://www.mediapart.fr/journal/economie/130218/les-milliardaires-de-la-presse-gaves-d-aides-publiques-et-privees?onglet=full)) datant du 13 février 2018, concernant les partenariats entre les médias grand public et les plateformes numériques dans le but de censurer l’information indépendante.

À propos du fact-checking :

« Ce type de nouvelle servitude acceptée par la presse française pose deux problèmes majeurs. Le premier est le lien de dépendance renforcé au plan financier vis-à-vis des géants américains de l’Internet dans lequel la presse française se place. Car accepter que Google et Facebook jouent ainsi un rôle majeur dans les circuits de l’information ne sera naturellement pas sans conséquence dans l’avenir :

Terrible situation de la presse française, sur laquelle une dizaine de milliardaires ont fait main basse et qui, comme cela ne suffisait pas, se jette dans les bras des oligopoles américains. (…)

En parallèle, une autre plateforme dont Google est partie prenante, et soutenue par Facebook, a également annoncé son lancement prochain : CrossCheck, au sein du projet First Draft. CrossCheck permettra au public de soumettre des questions et rassemblera les informations fournies par les seize médias français partenaires, dont à nouveau l’AFP, Le Monde, Libération, France Télévisions et France Médias Monde. (…)

Dans le cas du partenariat avec Facebook noué par ces journaux, un autre danger majeur plane : la transformation de la presse en auxiliaire ou en force supplétive des géants américains de l’Internet ; voire la constitution d’une sorte de police éditoriale, ayant un étrange pouvoir d’agrément ou de disqualification de certaines informations sensibles. ».

III.2. Le soutien des médias grand public au pouvoir politique

Les principaux détenteurs des médias grand public soutiennent le pouvoir politique pour des raisons économiques et financières.

Les médias grand public reçoivent les informations de Reuters ou de l’AFP. Cette dernière semble avoir reçu des fonds à hauteur de 45 millions de dollars de la part de la Fondation Bill & Melinda Gates, laquelle est au capital des sociétés pharmaceutiques Pfizer, BioNTech et Moderna.

Les géants du numérique tels que par exemple Google, Youtube, Facebook et Twitter, vérifient les faits et censurent les propos qui ne vont pas dans le sens des intérêts de leurs actionnaires, des géants financiers tels que Black Rock, Vanguard, la Fondation Bill & Melinda Gates, lesquels sont également au capital des laboratoires pharmaceutiques Pfizer et BioNTech.

La Fondation Bill & Melinda Gates, qui est au capital des laboratoires Pfizer et BioNTech est désormais le plus grand contributeur de l’OMS, laquelle force les populations à participer aux essais cliniques des laboratoires pharmaceutiques cités plus haut.(([18] https://youtu.be/BrHVeHGgg2Y))

Le professeur Mark qui a enseigné les médias, culture et communication à l’Université de New York pendant des années. Au cours de son témoignage devant le Grand Jury (session n°7, ce professeur a pu confirmer ces mécanismes de censure et a détaillé les modalités de financementles mécanismes de la propagande des médias et leur responsabilité dans le cadre de cette crise.(([19] https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/Mark-Crispin-Miller:d))

L’intervention de Mark Sharman, ancien directeur information Sky News, le 1er avril 2022, dans le cadre de l’émission « The Lockdown Inquiry » de la chaîne britannique GBN, corrobore les affirmations du Professeur Mark Crispin Miller.(([20] https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1/trim.0DE51587-9F25-44BB-9432-2C78AB0EA2C4:b))

Nous pouvons en déduire que les médias dominants et les plateformes de réseaux sociaux sont responsables :

  • de l’absence délibérée de pluralité des sources d’information et de la non application du principe du contradictoire afin de traiter de l’opportunité des mesures prises par le pouvoir exécutif et les instances internationales ;
  • de la censure, la stigmatisation, la discrimination et la disqualification soigneusement organisée à l’encontre des voix discordantes, dont les réels experts, les lanceurs d’alerte et les victimes.

Conclusion

Cet oligopole tentaculaire détient un pouvoir extraordinairement démesuré et abusif sur les nations et donc une emprise ô combien dangereuse et nocive pour les peuples.

En suivant cette idéologie mortifère, le pouvoir exécutif de chacun des États impliqués porte actuellement atteinte aux intérêts fondamentaux de leur Nation et mène le peuple au suicide collectif, ce qui nous a d’ailleurs amené à déposer une plainte contre ces dérives sectaires en France.





NON au retour du Passeport vaccinal !

[Source : leslignesbougent.org]

Déjà plus de 130 280 signatures

Par Florent Cavaler

Destinataire(s) : Emmanuel Macron, Président de la République

Madame, Monsieur, 

Les 15 et 16 novembre dernier, le G20 a eu lieu à Bali.(([1] https://ue.delegfrance.org/sommet-du-g20-a-bali))

Emmanuel Macron s’y est rendu pour représenter la France. 

Les chefs d’Etat ont discuté pendant deux jours des grandes orientations qu’ils souhaitent pour le monde. 

Ils ont ainsi signé une déclaration commune.(([1] https://ue.delegfrance.org/sommet-du-g20-a-bali))

L’article 23 de ce document officiel précise que les Etats du G20 soutiennent la création d’une identité numérique internationale vaccinale pour l’ensemble des citoyens du monde.  

Le texte précise même que ce passeport vaccinal numérique peut être fait à partir des pass vaccinaux nationaux créés lors de l’épidémie de COVID-19.(([1] https://ue.delegfrance.org/sommet-du-g20-a-bali))(([]2] https://sociable.co/business/g20-who-vaccine-passports-digital-identity-b20/))

Tout cela doit se faire en prévision des pandémies futures. 

“C’est pour votre bien” 

L’information a immédiatement été confirmée par un communiqué de la Maison Blanche qui dit ceci :

“ Nous soutenons la poursuite du dialogue international et de la collaboration sur la mise en place de réseaux mondiaux de confiance en matière de santé numérique dans le cadre des efforts visant à renforcer la prévention et la réponse aux futures pandémies, qui devraient capitaliser et s’appuyer sur le succès des normes existantes et des certificats numériques COVID-19 ”.(([3] https://juste-milieu.fr/g20-le-passeport-vaccinal-bientot-en-place-dans-le-monde-entier/))

Si Joe Biden a prévu d’imposer ce pass vaccinal aux Américains, vous pouvez être certains qu’Emmanuel Macron fera exactement la même chose en France. 

Vous serez soumis au pass vaccinal international à moins que vous ne vous y opposiez. 

Ensemble, OPPOSONS-NOUS au projet de passeport vaccinal international !

Sans le passeport vaccinal international, vous ne pourrez plus :  

  • voyager d’un pays à l’autre ;
  • accéder à certains espaces internationaux : gares, aéroports, ambassades, etc. 
  • voter dans le pays où vous résidez si ce n’est pas votre pays d’origine.

Et ce n’est qu’un début. 

Avec un tel pass, votre accès aux magasins, aux restaurants, aux centres sportifs, aux hôpitaux, ou à l’ensemble des services culturels et de santé pourraient être remis en cause. 

Vous serez bannis du monde !

C’est le retour du pass sanitaire, en PIRE. 

Pire parce qu’il s’appliquerait partout dans le monde et pour un nombre illimité de situations. 

Votre liberté serait totalement entre les mains des dirigeants internationaux. 

C’est juste INACCEPTABLE

Nous devons dire NON pour nous-mêmes et pour nos enfants et petits-enfants. 

Les enfants de demain ne peuvent pas grandir entre des grilles. 

Ils ne peuvent pas vivre dans l’effroi constant des pandémies à venir.

Rappelez-vous du mur de Berlin !

Il est tombé alors que personne n’y croyait. 

Là aussi, faisons tomber le mur du pass vaccinal obligatoire. 

Disons NON à la volonté de toute puissance de nos dirigeants

Si nous ne le faisons pas maintenant, après il sera trop tard. 

Vous ne pourrez plus donner votre avis. 

Un grand merci pour votre soutien. 

Je signe la pétition

Sources



Explications biologiques du mécanisme des effets indésirables des vaccins anti-COVID-19

[Source : aimsib.org]

Dans cette guerre de l’information tant dissymétrique que criminelle voulant pousser à une vaccination prétendument aussi utile que sans risque, voici la contribution de l’AIMSIB à la réflexion de ceux qui ont encore accès à nos textes. Hélène Banoun s’est surpassée dans la qualité des sources pendant qu’Emma Kahn s’appliquait à rendre son propos limpide… Au final, un torrent ininterrompu d’effets indésirables post-vaccinaux graves, rythmé par des articles plus dérangeants que les autres mais que l’industrie des vaccins a réussi à faire supprimer. Voici probablement l’article le plus complet, le plus abouti et le plus accusatoire qu’il ne nous est jamais été donné de publier. Bonne lecture.  

Par Emma Kahn et Hélène Banoun

(Ce texte a été présenté initialement le 17 septembre 2022 à l’UER de Villeneuve-Les-Avignons dont nous reproduisons ici le haut de l’affiche, le document complet se situe en bas de l’article)

Résumé :
Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent.
Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.
La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non.
La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins.
De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COVID-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination.
Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humaines, la biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prion. L’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins.
Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement.

Introduction

Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent. Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.
La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non.
La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins.
De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COIVD-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination. Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humainesla biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prionL’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins. Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement.

Principe des vaccins utilisés dans les pays occidentaux

Les effets toxiques délétères de la spike ont été énoncés dès le printemps 2020 par Jean-Marc Sabatier (2) : il prévoyait des effets délétères de l’infection par SARS-CoV-2 résultant de la fixation de la protéine spike du coronavirus sur le récepteur cellulaire humain ACE2. Les vaccins sont tous fondés sur la protéine spike qui a depuis été reconnue comme la principale responsable (si ce n’est l’unique cause) de la pathogénicité du virus SARS-CoV-2 (3)(4)(5)(6)(7), donc les EIs des vaccins vont être en rapport avec la toxicité de la spike. (8)

  • Les plus utilisés sont les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna qui injectent le code modifié de la protéine spike de surface du virus et transforment ainsi le vacciné en usine à spike toxique.
  • Les vaccins à adénovirus modifié injectent de l’ADN qui est aussi le code de la spike (Astra Zeneca, Janssen)
  • Les vaccins inactivés type Valneva contiennent la totalité de l’agent infectieux qui est inactivé chimiquement et donc contiennent la spike ainsi qu’un adjuvant jamais expérimenté.
  • Les vaccins dits classiques sont constitués de la protéine spike injectée avec un adjuvant (qui est en général nouveau ou ayant prouvé sa toxicité) : Novavax, Sanofi, Hipra, …

Donc théoriquement, on injecte une quantité fixe de spike avec ces vaccins « classiques » et on devrait avoir moins d’EI qu’avec l’usine à spike constituée par les vaccins ARN ou ADN mais en fait les mêmes EIs sont détectés et semble-t-il en même quantité, ceci pourrait être dû aux adjuvants qui stimulent exagérément la réaction immunitaire à cette spike déjà capable de déréguler le système Immunitaire ; il se peut qu’intervienne ici le mécanisme des anticorps anti-idiotypes.

En plus de la toxicité de la spike, il faut aussi signaler les phénomènes de facilitation de l’infection par le vaccin qui sont bien connus et ont été soulignés dès le début 2020 par les experts officiels : ils sont spécialement documentés pour les vaccins anti-coronavirus chez les animaux (au cours d’essai clinique et en utilisation commerciale ; et en post-commercialisation chez l’homme pour d’autres virus, par exemple le vaccin contre la dengue).

Les EIs du vaccin reproduisent les pathologies associées à la COVID-19

Risques toxiques comparés de la spike virale et de la spike vaccinale

Les promoteurs de la vaccination ont tendance à exagérer la pathogénicité du virus pour accroître le bénéfice risque du vaccin : ils oublient que toutes les personnes qui rencontrent le virus ne développent pas de COVID-19 sévère, loin de là, et que, par contre, tous les vaccinés sont susceptibles de fabriquer de grandes quantités de spike toxique à l’intérieur de tout l’organisme, voir la conférence des pathologistes allemands, les Prs Arne Burkhardt et Walter Lang (9). Lors d’une infection COVID-19, les effets systémiques du SARS-CoV-2 ne se manifestent qu’en cas de maladie symptomatique sévère et pas chez les personnes infectées légèrement : celles-ci éliminent le virus au niveau des voies respiratoires supérieures grâce à leur immunité innée et ne permettent pas au virus de se multiplier dans l’organisme et donc d’y répandre la spike toxique.(10)

Pourquoi les enfants et beaucoup d’adultes ne sont pas atteints par la COVID-19 ? Le rôle de la réponse immunitaire de l’hôte y est prépondérante. (11) Il faut aussi insister sur les différences d’exposition à la spike toxique selon la gravité de l’infection COVD-19, d’une part, et en comparaison avec la vaccination, d’autre part. Et en effet chez les personnes infectées mais n’ayant pas développé de Covid-19 sévère, on n’observe pas les pathologies associées à la COVID-19. Par contre, les vaccins injectent tous soit de la spike, soit l’ARNm de la spike dans l’organisme et tous les vaccinés seront confrontés plus ou moins aux effets toxiques de cette protéine en fonction de la pharmacodynamie du vaccin qui n’a pas été étudiée malheureusement.

Une étude de cohorte prospective et longitudinale a permis de suivre les jeunes membres des Forces armées suisses (FAS). Elle a permis de quantifier l’impact de l’infection par le SRAS-CoV-2 sur la santé cardiovasculaire, pulmonaire, neurologique, rénale, ophtalmologique, reproductive masculine, psychologique et générale, en plus des paramètres de laboratoire. Il n’y avait pas de différences significatives dans les scores du questionnaire psychosocial, les résultats ophtalmologiques, la qualité ou la motilité des spermatozoïdes entre les témoins et les personnes infectées plus de 6 mois auparavant par le SRAS-CoV-2.
Conclusions : Les personnes jeunes, auparavant en bonne santé, se remettent largement d’une infection légère et l’impact multi-système de l’infection est moindre que celui observé chez les patients plus âgés ou hospitalisés. Ces résultats peuvent être extrapolés au personnel de santé et à d’autres jeunes adultes en activité. (12)

Malgré les altérations de la substance blanche du cerveau observées dans une autre étude, une infection légère à modérée par le SRAS-CoV-2 n’était pas associée à une dégradation des fonctions cognitives au cours de la première année suivant la guérison. (13)

ACE et le SRA

Le récepteur ACE2 constitue l’un des maillons du système rénine angiotensine (SRA), un système hormonal essentiel à notre organisme. Le SARS2 suractive le SRA. Le SRA est considéré comme l’un des principaux régulateurs de la physiologie cardiovasculaire en contrôlant l’homéostasie du sodium, le remodelage cardiovasculaire, le maintien du tonus vasculaire et la régulation de la pression artérielle.

En occupant ACE2, le virus de la Covid l’empêcherait de jouer correctement son rôle de régulateur de l’angiotensine 2, un peptide (courte chaine d’acide aminés) qui arriverait ainsi trop massivement sur le récepteur suivant du SRA, AT1R, et pourrait donc susciter des réactions en chaine impactant de nombreux organes, notamment au niveau inflammatoire. La suractivation du SRA provoque également l’induction de signalisations profibrotiques, proapoptotiques et pro-inflammatoires dans les poumons et d’autres organes. Ce mécanisme se caractérise par une tempête massive de cytokines, une hypercoagulation, un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) et de multiples lésions organiques ultérieures.

Le récepteur ACE2 est essentiel pour l’expression des transporteurs d’acides aminés dans l’intestin : il module l’immunité innée et influence la composition du microbiote intestinal.(14) Dans cet article de 2020, JM Sabatier et ses coauteurs avaient ainsi prévu les maladies liées à la Covid et que l’on retrouve en tant qu’EI des vaccins :
– Hypertension artérielle
– Athérosclérose
– Dysfonctionnement, insuffisance et arrêt cardiaque
– Hypertrophie cardiaque
– Fibrose cardiaque
– Maladie rénale chronique
– Fibrose pulmonaire idiopathique
– Hypertension artérielle pulmonaire
– Lésions pulmonaires aiguës
– Diabète de type 2 / résistance à l’insuline intolérance au glucose / action sur le métabolisme du glucose
– Anosmie / perte d’odorat
– Agueusie / perte de goût
– Inflammation auto-immune du système nerveux central
– Diarrhée
– Glaucome / action sur l’humeur aqueuse
– Thrombose / coagulopathie
– Lésions cutanées / dermatite
– Rétinopathie diabétique / action sur l’humeur aqueuse
– Dysfonctionnement du métabolisme lipidique
– Dysfonctionnement de l’immunité / différenciation et activation des cellules immunitaires
– Maladies auto-immunes (par exemples, sclérose-en-plaques, poly-neuropathie inflammatoire démyélinisante chronique, syndrome de Miller-Fisher)
– Cancer
– Fibrose hépatique / hypertension portale / cirrhose
– Lésion testiculaire

Mise en garde contre l’ADE

Comme je l’écrivais en mai 2020 (15), tous les experts s’accordaient déjà en 2020 :
–  » Le plus gros problème est la crainte d’un ADE (antibody dependant enhancement, facilitation de l’infection par le vaccin, médiée par les anticorps induits par la vaccination) : facilitation de la pénétration du virus dans les cellules par le récepteur du fragment Fc des immunoglobulines ».
– « Un vaccin pourrait potentiellement induire des infections COVID-19 plus graves ».

L’ADE est un cas particulier de ce qui peut se produire lorsque des taux faibles et non neutralisants d’anticorps spécifiques ou à réaction croisée contre un virus sont présents au moment de l’infection. Ces anticorps peuvent être présents en raison d’une exposition antérieure au virus, d’une exposition à un virus apparenté ou d’une vaccination antérieure contre le virus. Lors d’une réinfection, des anticorps en nombre insuffisant pour neutraliser le virus se lient néanmoins au virus. Ces anticorps se fixent alors au récepteur Fc sur les surfaces cellulaires, facilitant l’entrée du virus dans la cellule et augmentant par la suite l’infectivité du virus.

On ne peut pas différencier une manifestation d’ADE d’une infection virale sans ADE. Donc, quand des maladies ou de décès se produisent dans un court délai après vaccination, on ne peut pas exclure le vaccin comme cause proximale. L’ADE a été démontré dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1 de 2003 sur les animaux. Les données publiées concernant les vaccins anti-COVID-19 montrent la facilitation et l’aggravation de l’infection juste après l’injection, aussi bien sur les essais cliniques que dans les études observationnelles post-commercialisation et ceci avec tous les types de vaccins (ARN, adenovirus, virus inactivé et vaccin recombinant).

Le mécanisme biologique de l’ADE après infection par le virus a été démontré : les anticorps facilitants sont trouvés chez les patients atteints de COVID-19 graves. (16) Avec l’évolution du virus et l’apparition successive des variants du SARS-CoV-2, les épitopes facilitants sont conservés et les épitopes neutralisants mutent et permettent l’échappement des variants aux anticorps neutralisants, ceci renforçant la possibilité d’ADE après infection ou vaccination contre la souche originelle. (17) Les vaccins ARNm induisent des anticorps plus fortement capables d’interagir par leur fragments Fc que ceux induits par l’infection naturelle : ces anticorps vaccinaux seraient susceptibles de provoquer l’ADE. (18)

Il a été montré, par ailleurs, que les sérums de patients vaccinés par le vaccin Pfizer perdent leur activité neutralisante et acquièrent des propriétés facilitant l’infection avec des variants Delta. (19)
Très récemment, un nouvel article japonais montre que certains sérums provenant de personnes vaccinées avec le vaccin à ARNm ciblant la protéine S ont présenté un potentiel d’ADE contre l’infection par la souche originale. Tous les sérums examinés, y compris les sérums présentant une activité neutralisante contre la souche originale de Wuhan du SRAS-CoV-2, n’ont présenté aucune activité neutralisante contre Omicron. Au contraire, une certaine activité ADE a été observée dans certains sérums. (20) Un article de S Seneff et G Nigh détaillait en 2021 les autres mécanismes biologiques pouvant expliquer les effets indésirables des vaccins à ARNm (21), voir l’analyse en français (22)

L’ARNm des vaccins a été modifié par rapport à celui du virus : il est plus résistant à la dégradation, il code pour une protéine spike modifiée (stabilisée en conformation de pré-fusion ce qui va augmenter la production d’anticorps anti-spike car celle-ci va rester plus longtemps présente dans l’organisme ; cette stabilisation repose sur une mutation proline mais cette proline augmente sa capacité de liaison à l’ACE2), l’expression de la protéine est augmentée par la proportion augmentée de nucléotides CG dans l’ARN par rapport à un ARN viral classique.

Anaphylaxie et auto-immunité

Le PEG qui compose les LNP est capable de provoquer un choc anaphylactique (une proportion notable de la population possède des anticorps anti-PEG).
Certaines protéines virales possèdent des homologies avec des protéines humaines, en particulier la spike et la NSP3. Parmi ces protéines humaines homologues, 1/3 sont associées au système immunitaire adaptatif et donc des auto-anticorps induits pourraient affaiblir ce système ; d’autres protéines pourraient être associées à la maladie cœliaque, la thyroïdite de Hashimoto, la sclérose en plaques. L’auto-immunité a été rapportée comme séquelle de la Covid mais les asymptomatiques infectés par le virus résistent à la maladie grâce à leur système immunitaire inné et éliminent le virus sans produire beaucoup d’anticorps ; le vaccin outrepasse cette barrière par l’injection IM. Les personnes saines qui échappent à la Covid peuvent, de ce fait, faire des réactions auto-immunes après vaccination par production excessive d’anticorps non nécessaires.

Des maladies auto-immunes ont aussi été annoncées par d’autres études sur le mimétisme moléculaire : il existe des similitudes entre les protéines du virus SARS-CoV-2 et les protéines humaines. Par exemple, 29 pentapeptides sont communs entre la spike et la protéine cardiaque Titin, dont les altérations sont liées à la mort subite par arrêt cardiaque. (23)

Des auto-anticorps ont été trouvés chez les patients Covid (anti-nucléaires, anti-coagulant du lupus, anti-IFN, anti-MDA5 associés à la dermatomyosite amyopathique. (24) Le mimétisme moléculaire avec les protéines de choc thermique pourrait expliquer les syndromes de Guillain-Barré (25). Il existe également un mimétisme entre des épitopes de la spike protéine et certaines protéines neuronales humaines qui font craindre des maladies auto-immunes. (26)

Il existe un mimétisme peptidique massif entre l’homme et la souris, c’est-à-dire des organismes qui subissent des conséquences pathologiques à la suite d’une infection par la COVID-19. Au contraire, aucun peptide commun ou un nombre très faible de peptides communs sont présents chez les mammifères qui n’ont pas de séquelles pathologiques majeures une fois infectés par la COVID-19 (27).

Pour anticiper les EIs des vaccins, il fallait aussi s’intéresser à la biodistribution des LNP (nanoparticules lipidiques) vectrices de l’ARNm des vaccins. D’après Seneff et Nigh, on savait par des études sur un vaccin expérimental anti-grippe à ARNm que celui-ci se répand dans le muscle, les ganglions, la rate, le foie principalement. D’après le rapport EMA sur Moderna, on détecte de l’ARNm dans le cerveau à un taux de 2% de celui retrouvé dans la circulation sanguine. Pour Pfizer, on le retrouve aussi dans la moelle osseuse, les glandes surrénales et les ovaires. (Les études de pharmacocinétique ont été menées avec une formulation différente du vaccin commercialisé).

Le Dr Robert W. Malone avait expliqué que cette bio-distribution faisait craindre des problèmes de fertilité et de maladies du sang (28).

Ovaires
Deux articles publiés avant la COVID, dont un avec de solides expériences d’immunofluorescence, ont démontré que l’on pouvait s’attendre à ce que les nanoparticules lipidiques (à base de PEG) soient absorbées à des concentrations élevées dans les ovaires. Chez les animaux, la concentration était si élevée que les ovaires étaient « illuminés » au moment de la dissection.

Testicules
L’ACE2 est hyper exprimé dans les testicules, la Spike pourrait endommager les testicules. Le vaccin Pfizer diminue la concentration et la mobilité des spermatozoïdes dans le sperme (29) et, contrairement à la conclusion des auteurs, si on se réfère aux résultats du tableau 2 de cette publication, il est clair que cette réduction n’est pas transitoire pour tous les hommes : elle persiste 7 mois après la vaccination.

Nouvel article de 2022 de JM Sabatier sur l’effet de la spike sur la fertilité (30) :

L’ACE2 est impliquée dans la régulation des systèmes reproducteurs masculin et féminin, ce qui suggère que l’infection par le SRAS-CoV-2 et le dysfonctionnement associé du SRA pourraient affecter la reproduction.

Les patients Covid sévères ont des taux d’hormones sexuelles modifiés. Concernant la reproduction chez l’homme, le SRA et l’ACE2 régulent la stéroïdogeneèse, la production de testostérone et la spermatogenèse dans le testicule. L’ACE2 est largement exprimée dans l’ovaire, l’utérus, le vagin et le placenta. L’ACE2 contrôle le développement folliculaire et l’ovulation, ainsi que l’angiogenèse et la dégénérescence lutéale, de même que les altérations du tissu endométrial et le développement de l’embryon. L’ensemble de ces résultats suggère que le système reproducteur féminin, qui exprime l’ACE2, est vulnérable à l’infection par le SRAS-CoV-2, et que la fertilité pourrait donc être affectée. L’expression dynamique du SRA dans les cellules stromales et épithéliales de l’endomètre au cours du cycle pourrait expliquer les modifications du cycle menstruel observées pendant l’infection par le SRAS-CoV-2. La spike vaccinale pourrait reproduire ces altérations du métabolisme reproducteur.

Interaction de la spike avec les récepteurs aux œstrogènes

Des données de bioinformatique ainsi que l’étude de hamsters infectés ont montré que la spike se lie au récepteur des œstrogènes. Les œstrogènes sont responsables de la maturation et du fonctionnement du système reproducteur féminin mais jouent aussi un rôle immunitaire, en particulier dans les voies de signalement utilisées par les macrophages (intervenant dans l’immunité innée anti-infectieuse).

Ceci pourrait aussi expliquer la prédominance de la maladie COVID-19 chez les hommes et l’effet protecteur rapporté d’un traitement anti-oestrogénique sur la prévalence de COVID-19 chez les femmes atteintes d’un cancer de l’ovaire ou du sein. (31)

Covid et grossesse, rappel

Aucune des complications obstétriques, n’a montré de différence statistiquement significative entre les femmes enceintes SARS-CoV-2-positives et SARS-CoV-2-négatives admises à l’accouchement. notamment l’anémie, le diabète gestationnel, l’hypertension gravidique, la cholestase intrahépatique, l’hémorragie ante-partum et l’hémorragie post-partum. (32)

À propos de la question de la vaccination des femmes enceintes contre la Covid-19, des chercheurs néo-zélandais ont réinterprété les données d’un article du CDC et montré que l’incidence cumulée des avortements spontanés chez les femmes vaccinées avant 20 semaines de gestation est 7 à 8 fois supérieure à la moyenne habituellement observée, mais ils ont dû retirer leur article sous la pression (33).

Moelle osseuse : leucémies, anémies

Le deuxième organe où la concentration augmente et où cela est inquiétant c’est la moelle osseuse d’où des risques de leucémie et anémies en particulier. Il y a aussi passage dans les ganglions, donc risque de lymphomes.

Purpura thrombopénique
Les LNPs se concentrent dans la rate qui est le principal réservoir de plaquettes et le lieu de leur élimination et aussi un organe lymphoïde important. Le PTI (purpura thrombopénie idiopathique) est une complication de la Covid, on peut le retrouver après élimination du virus suggérant un phénomène auto-immun. La migration de l’ARNm vaccinal dans la rate peut générer des cellules B produisant IgG anti-spike : même après élimination de ces IgG on peut trouver un PTI par défaut de production de plaquettes (destruction des mégacaryocytes -cellules souches des plaquettes- par autophagie). Les plaquettes jouent aussi un rôle dans l’élimination du virus par phagocytose.

Maladies à prion

S Seneff alertait également sur le lien possible avec les maladies neurodégénératives dues au prion, ce sont des maladies provoquées par un mauvais repliement des protéines humaines.

La S contient 5 motifs GxxxG (glycine) favorables au repliement en feuillet β des hélices α comme la protéine prion qui en contient seulement 4. La S vaccinale a deux résidus proline pour empêcher la fusion membranaire qui la rendent encore plus capable de se transformer en prion. Dans le vaccin, il peut y avoir des fragments d’ARNm induisant la synthèse d’une S incomplète de structure imprévisible et d’impact physiologique inconnu.

L’EMA avait noté qu’il y avait plus d’ARNm fragmentaire dans le produit commercialisé que dans celui ayant servi aux essais cliniques ; le fabricant suppose que ces fragments ont une courte durée de vie, sans plus de preuves. (34)

Diabète

Le mécanisme biologique par lequel la spike interagit avec le métabolisme glucidique a été étudié. (35)
Les trois principaux mécanismes qui influencent la manifestation de la maladie COVID-19 chez les diabétiques sont les suivants :

  • (a) l’entrée du virus par les récepteurs ACE-2
  • (b) l’action par la Dipeptidyl-peptidase-4, et
  • (c) l’élévation de la concentration de glucose dans les voies respiratoires par une glycémie élevée.

L’ACE-2 est exprimé dans les cellules épithéliales alvéolaires, le cœur, les épithéliums rénaux-tubulaires et intestinaux et le pancréas. La S-Glycoprotéine à la surface du SRAS-CoV-2 se lie à cette ACE-2 et subit un changement de conformation. Cela permet sa digestion protéolytique par les protéases des cellules hôtes TMPRSS2 et Furin, ce qui entraîne l’internalisation du virus. L’entrée du virus dans les cellules déclenche une réponse inflammatoire des cellules T auxiliaires et, parfois, une « tempête de cytokines », entraînant des lésions organiques.

Le vaccin Covid exacerbe l’hyperglycémie chez les diabétiques, d’après une étude de cas et ce serait dû à l’inflammation induite par le vaccin. (36)

Le vaccin provoque des modifications métaboliques chez des sujets sains et jeunes ne se manifestant pas cliniquement : « La vaccination a influencé divers indicateurs de santé dont ceux liés au diabète, au dysfonctionnement rénal, au métabolisme du cholestérol, aux problèmes de coagulation, au déséquilibre électrolytique, de la même manière que si les volontaires avaient subi une infection.  »  [Liu et al., 2021, p. 9], des altérations cohérentes de l’hémoglobine A1c, des taux sériques de sodium et de potassium, des profils de coagulation et des fonctions rénales ont été notées chez des volontaires sains après la vaccination avec un vaccin inactivé contre le SRAS-CoV-2. Des changements similaires avaient également été signalés chez les patients atteints de l’infection COVID-19, suggérant que la vaccination imitait une infection.  » ([Liu et al., 2021, p. 1] (37)

Manifestations gastro-intestinales, neurologiques, hépatiques

Les récepteurs de l’ACE2 sont surexprimés dans la paroi intestinale, ce qui entraîne une forte perméabilité intestinale aux agents pathogènes étrangers. Une interconnexion entre les poumons, le cerveau et le tractus gastro-intestinal lors d’un COVID-19 sévère a été mentionnée. (38) De nombreux chercheurs ont fait état de troubles intestinaux et neuraux induits par le SRAS-CoV-2. Certains symptômes, notamment les vomissements et les nausées, pourraient être des signes de troubles du système digestif ou du système nerveux. Le SRAS-CoV-2 provoque des symptômes du système nerveux central et périphérique, tels que l’hyposmie/anosmie, les céphalées, les nausées, les vomissements et les symptômes psychiatriques et psychologiques, chez un pourcentage élevé de patients atteints de COVID-19.

Effet de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 sur les cellules endothéliales et la barrière hémato-encéphalique

La spike du SRAS-CoV-2 stimule une réponse pro-inflammatoire dans les cellules endothéliales du cerveau qui peut avoir un effet négatif sur l’intégrité de la barrière hémato-encéphalique et perturber sa fonction. L’altération de la fonction de la barrière hémato-encéphalique augmente considérablement la possibilité d’une invasion neurologique par ce virus, offrant une explication au risque de dommages neurologiques chez les patients atteints de COVID-19. L’une des raisons des complications neurologiques observées chez les patients atteints du COVID-19 est une interaction de la protéine spike ou, plus précisément, du domaine de liaison du récepteur de la protéine spike S1 (SARS-CoV-2 S1 RBD), avec des protéines amyloïdogènes dans le cerveau. Il a récemment été démontré par docking moléculaire que ce domaine peut interagir avec le peptide β-amyloïde, l’α-synucléine, la protéine tau et la protéine prion.

Cancer et spike

Il existe des similitudes cliniques et moléculaires entre le cancer et le COVID-19 : les quatre principales voies de signalisation à l’intersection du COVID-19 et du cancer sont la signalisation des cytokines, de l’interféron de type I (IFN-I), du récepteur des androgènes (AR) et des points de contrôle immunitaire. (39)

Interaction de spike avec les systèmes de réparation de l’ADN humain :
La sous-unité S2 de spike interagit in vitro avec des protéines anti-tumorales comme p53 et BRCA, selon une analyse bioinformatique pour étudier l’interaction de la protéine de la sous-unité S2 du SARS-nCoV-2 avec les protéines suppresseuses de tumeurs p53 et BRCA-1/2. (40)

Angiogenèse
D’après des autopsies de patients décédés de COVID-19 sévère, la spike favoriserait l’angiogenèse (la prolifération de vaisseaux sanguins). Cette angiogenèse est indispensable à l’oxygénation et à la prolifération des tumeurs malignes. (41)

Analyse de quelques publications d’effets indésirables dûs au vaccin

Cancer

Selon une pathologiste, les caractéristiques des cancers du sein qu’elle observe depuis la vaccination ont évolué : (42)
– Âge – L’âge moyen des échantillons a chuté, avec une augmentation du nombre d’échantillons de personnes âgées de 30 à 50 ans.
– Taille – Habituellement, il était rare de trouver une tumeur de 3 cm. Dans ce nouvel environnement, elle voit régulièrement des tumeurs de 4 cm, 8 cm, 10 cm et parfois de 12 cm, elle a trouvé une tumeur de 16 cm qui prenait un sein entier.
– Tumeurs multiples se développent en même temps dans les 2 seins et même dans plusieurs organes. On avait des tumeurs dans le sein, le pancréas et les poumons quelques mois après avoir été vacciné.
– Récidive – Il y a eu une augmentation du nombre de patients qui sont en rémission de leur cancer depuis de nombreuses années, ayant soudainement une récidive agressive de leur cancer peu de temps après la vaccination.

Des études de cas de prolifération de lésions lymphomateuses après vaccin sont publiées (43), un hypermétabolisme des ganglions après vaccin (qui est attendu) a été noté également (44)

Dérèglement immunitaire induit par le vaccin

1) Suppression immunitaire non spécifique

Dans la maladie- COVID-19, une importante lymphopénie est trouvée chez de nombreux patients atteints de Covid sévère. Avec une perte pouvant aller jusqu’à 80% des cellules T du sang, concomitante avec une prolifération intense du pool de CD8+, cellules T. (45) On a noté une réactivation d’herpès post vaccination Pfizer en Israël chez des patients avec une maladie inflammatoire rhumatologique (cf Seneff et Nigh). Au printemps 2022, la varicelle (due aussi au virus herpès-zona) a connu un pic jamais atteint en France (46).

  • Les vaccins ARNm induisent la production d’anticorps anti-IFN I (anti-interféron). L’interféron participe à l’activité anti-virale du système immunitaire (47)
  • Les vaccins ARNm induisent une chute du taux de lymphocytes cytotoxiques CD8 (48)
  • Dérèglement de l’immunité adaptative (génération aléatoire des parties variables des Ig)

Un article gênant a été retiré (sous le prétexte d’une expérience mal conduite).

Il montrait que la protéine spike du SRAS-CoV-2 inhibe de manière significative la réparation des dommages à l’ADN, qui est nécessaire pour une recombinaison V(D)J efficace dans l’immunité adaptative. La protéine spike se localise dans le noyau et inhibe la réparation des lésions de l’ADN en empêchant le recrutement des protéines clés de réparation de l’ADN, BRCA1 et 53BP1, au site des lésions. Ce serait un mécanisme moléculaire potentiel par lequel la protéine spike pourrait entraver l’immunité adaptative et occasionner des EIs potentiels des vaccins à base de spike pleine longueur. (49)

  • Décès par tempête cytokinique après vaccination. (50) Dans 4 cas de décès suivant une seconde dose de vaccin Covid à ARNm, le sang des victimes a été prélevé dans les 24h après la mort et a montré une augmentation de l’expression des gènes liés à l’hyperinflammation : les victimes seraient décédées d’une tempête cytokinique. La fonction immunitaire avait été sensibilisée par la première vaccination et la seconde a pu provoquer un SIRS (Syndrome de réponse inflammatoire systémique)
  • Dérèglement immunitaire induit par les nanoparticules lipidiques (LNPs). Le composant synthétique lipidique et ionisable des LNPs est hautement inflammatoire. Il est connu que certains vaccins et infections peuvent affecter à long terme la réponse innée en augmentant ou diminuant l’activation des cellules effectrices. Une étude sur les souris montre que les LNP d’un vaccin ARNm inhibent les réponses anticorps et augmentent la réponse innée. Le composant lipidique des LNPs Pfizer a une demi-vie de 20 à 30 jours in vivo. L’exposition primaire à des LNPs vides d’ARNm ou codant pour une protéine quelconque inhibe la réponse anticorps lors d’une seconde injection de LNPs vectrices d’un ARNm codant pour l’hémagglutinine du virus grippal. Les niveaux d’anticorps, ainsi que le nombre de centres germinaux de cellules B, sont diminués par cette première sensibilisation. Par contre, la pré-exposition à des LNPs portant un ARNm de protéine sans intérêt augmentent la protection contre une infection grippale ou à Candida chez les souris : les LNPs-ARNm augmenteraient la réponse innée ?

On ne sait pas dans quelle mesure les vaccinations réitérées peuvent aggraver cette dégradation de l’immunité immune. Les données sont contradictoires. Le dérèglement non spécifique de l’immunité induit par les LNP-ARNm est transmissible à la progéniture des souris, sans doute par un phénomène épi-génétique. (51)

2) Dérèglement immunitaire spécifique

Ce sont les conséquences de l’immunosuppression et de l’ADE (elles sont alors immédiates : Covid post injection). On retrouve de nombreux exemples (essai cliniques et études observationnelles post commercialisation)

  • Suppression immunitaire spécifique par le vaccin : en 2021, il avait été montré qu’après une infection par le variant alpha chez un vacciné, la prévalence d’anticorps anti-N détectable est inférieure à celle des non vaccinés. Pour le variant delta, on n’observait pas cette réduction de prévalence mais les taux d’anti-N étaient réduits chez les vaccinés 1 ou 2 doses infectés par les variants alpha et delta par rapport aux taux d’anti-N observés chez les non vaccinés convalescents. (52) Déjà en 2021, Allen et al. avaient noté que chez les vaccinés, après une infection Covid, les taux d’ac anti-N étaient soit nuls, soit inférieurs à ceux des non vaccinés ; cependant cette étude ne concernait que 23 infections post-vaccinales. (53) En octobre 2021, un rapport du gouvernement du Royaume Uni avait aussi noté cette diminution d’anti-N chez les vaccinés infectés. (54)

Les chercheurs du gouvernement britannique affirmaient (p. 23) que leurs tests sérologiques sous-estimaient le nombre de personnes ayant une infection antérieure en raison des « observations récentes des données de surveillance de l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) selon lesquelles les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination ». Pour info, les « experts » avaient traité de désinformateurs ceux qui avaient remarqué ces données en prétendant que l’absence d’anti-N était due à l’absence de réplication du virus (55) voir ci-dessous, essai Moderna. À nouveau en 2022, une publication d’avril 2022 du NIH et de Moderna vient confirmer ces données dans l’essai clinique Moderna donc avec la souche de Wuhan. (56)

La réponse est orientée vers la spike chez les vaccinés et moins vers la N qui est pourtant moins susceptible de muter et confère une bonne immunité. Les spikes des variants successifs, s’éloignant de plus en plus de la spike originelle de Wuhan sur laquelle sont fondés les vaccins, il aurait été fort utile que les vaccinés développent des anti-N aux mêmes taux (ou plus) que les non-vaccinés. Il se produit l’inverse.

Les auteurs ont analysé « les données de 1 789 participants (1 298 receveurs du placebo et 491 receveurs du vaccin) atteints d’une infection par le SRAS-CoV-2 pendant la phase en aveugle (jusqu’en mars 2021). Parmi les participants présentant une maladie de type Covid-19 confirmée par PCR, une séroconversion vers des anticorps anti-N au cours d’un suivi médian de 53 jours après le diagnostic est survenue chez 21/52 (40 %) des personnes ayant reçu le vaccin mRNA-1273 contre 605/648 (93 %) des personnes ayant reçu le placebo (p < 0,001). » Les participants infectés après avoir été vaccinés par le Moderna sont plus de 2 fois moins susceptibles de présenter une réponse anti-N que les non vaccinés. Et ceci n’est pas dû à une moindre réplication du virus chez les vaccinés car à charge virale équivalente, les vaccinés produisent moins d’anti-N.

Chez les personnes infectées avant d’avoir été vaccinées, les taux d’anti-N étaient comparables à ceux des non vaccinés. La protéine N peut générer une réponse cellulaire T robuste, elle est bien conservée et ne se recombine pas fréquemment. L’immunité anti-N est probablement importante. On ne sait pas si les tendances sont les mêmes avec l’omicron ou avec d’autres vaccins COVID.

Le vaccin pourrait empêcher l’acquisition d’une immunité contre la protéine nucléocapside du virus.

L’implication de cette étude serait que plus on vaccine, plus on efface l’immunité naturelle, de sorte que non seulement on attrape toujours le virus, mais qu’on continuera à l’attraper parce qu’on ne peut jamais atteindre une immunité complète, comme on pourrait le faire avec une infection naturelle, sans avoir été inoculé par une thérapie génique qui pousse l’organisme à réagir de manière inappropriée. Il s’agit d’une injection qui empêche l’immunité collective !

La réduction de la capacité à produire des anti-N a été observée après la dose 2 seulement, et non après la dose 1. Que se passe-t-il donc après les doses 3 et 4 ? L’émoussement est-il maintenu, accru ?
Il semble bien que plus on injecte la thérapie génique à ARNm aux gens, plus le virus circule et plus ils sont infectés. Toutes les données provenant du Royaume-Uni (57) semblent indiquer que plus on vaccine, plus on est infecté (les non vaccinés sont plus testés que les vaccinés, sans doute car les employeurs exigent plus de tests chez eux).

Les vaccinés sont plus à risque d’être testés positifs alors qu’ils sont moins testés !
Figure tirée de : https://www.walgreens.com/businesssolutions/covid-19-index.jsp (Walgreens est une entreprise qui vend des tests Covid).

Les dernières données de Walgreens concernent les résultats de 66 000 tests effectués dans tout le pays pendant la semaine du 17 avril 2022. Bien que les personnes non vaccinées aient été soumises au plus grand nombre de tests de toutes les cohortes (probablement en raison des obligations de test des employeurs), elles représentent la plus faible part des résultats positifs hebdomadaires. Il semble que la situation s’aggrave à mesure que l’on augmente les doses et la durée d’exposition à la dose !
Article des CDC de 2022 : Dosage des anticorps-anti-N (dus à infection et pas vaccination) :

Les vaccinés séroconvertissent moins : c’est sans doute dû au péché originel antigénique et non à une quelconque protection. (58)

Quelques exemples d’effets indésirables trouvés dans les publications scientifiques

  • Hépatites : réactivation de virus HBC (59)
  • Hépatite auto-immune, nbx cas, Modification paramètres hépatiques
  • Anémie (60)
  • Aggravation diabète (61)
  • Apparition diabète type 1
  • Myopathie immune nécrosante (62)
  • Thrombose coronarienne (63)
  • AVC (64)
  • Vascularite rénale auto-immune (65)
  • Vascularite nécrosante (66)
  • Thrombose cérébrale veineuse (67)
  • Guillain Barré
  • Hépatite auto-immune
  • Hypertension artérielle
  • Suppression de moëlle osseuse
  • Pemphigoïde bulleux
  • polyneuropathie
  • Altération du sperme
  • Thrombocytopénie (68)
  • Encephalite, épilepsie (69)
  • Myocardites
  • Zona (70)
  • Manifestations oculaires, auditives, neurologiques
  • SEP
  • Venous sinus thrombosis
  • Thyroïdite subaigüe , auto-immune
  • Réaction amyloïde, CJD
  • Défaut du contrôle de la coagulation chez patients sous anti-coagulants AVK
  • Inflammation généralisée

Comparaison des EIG entre vaccins anti-Covid et anti-grippaux : Les risques absolus les plus importants ont été observés pour les réactions allergiques, constitutionnelles, dermatologiques, gastro-intestinales, neurologiques et les douleurs localisées et non localisées. Les risques relatifs les plus importants entre COVID-19 et les vaccins antigrippaux ont été observés pour les réactions allergiques, l’arythmie, les événements cardiovasculaires généraux, la coagulation, les hémorragies, les réactions gastro-intestinales, oculaires, des organes sexuels et la thrombose. (71)

Hélène Banoun
Octobre 2022




A. Houpert et M. Wonner victimes de la chasse aux sorcières. Faire taire les parlementaires est une insulte à leurs électeurs et à la démocratie

Par le Dr Nicole Delépine

Après le sénateur Alain Houpert sanctionné de 18 mois d’interdiction d’exercice, dont neuf avec sursis1, c’est l’ex-députée Martine Wonner qui est scandaleusement suspendue par le conseil de l’ordre du Bas-Rhin2.

Les conséquences de ces décisions vont au-delà du cas personnel de nos représentants, d’autant plus que les conseillers ordinaux qui condamnent les médecins qui parlent ou qui soignent ne font pas la chasse aux conflits d’intérêts non déclarés alors que la loi transparence-santé les en a chargés.

Les Français rejettent les politiques comme en témoigne le taux d’abstention aux dernières élections. Comment pourraient-ils encore croire au jeu représentatif quand ceux qui détournent leurs mandats comme les conseillers de l’ordre des médecins bâillonnent ouvertement les élus courageux qui informent et font leur travail ?

On avait bien compris les jeux d’influence, le politiquement correct, le pas de vague, les discussions de couloir et les pressions pour limiter l’expression de parole des opposants au sein des groupes. Mais réprimer ouvertement la libre expression d’un parlementaire est un pas supplémentaire qui ouvrira peut-être quelques consciences supplémentaires de la marche vers le totalitarisme qui s’installe et dont la seule limite est évidemment le peuple.

🔴🇫🇷 L’ex-députée Martine Wonner, a été suspendue un an par le conseil de l’ordre des médecins.

L’ex-députée du Bas-Rhin entre 2017 et 2022 Martine Wonner, psychiatre de profession a été suspendue vendredi 25 novembre par le conseil de l’ordre des médecins du Grand Est pour une durée d’un an. Elle va faire appel de cette sanction.

L’ancienne députée avait affirmé que le masque « ne servait strictement à rien » et que les vaccins contre le Covid-19 pouvaient déclencher « des fausses couches », de « multiples cancers » et transmettre « le sida ».

Martine Wonner, qui compte faire appel de cette suspension, a jugé vendredi cette décision « scandaleuse ».3

Que peut conclure un lecteur de cet article de la radio progouvernementale ? La députée s’est opposée au port du masque : on savait déjà qu’elle avait raison, mais la confirmation, par de multiples études internationales de l’inutilité de l’obligation généralisée du port du masque a démontré son rôle de lanceur d’alerte précoce et qu’on aurait dû l’écouter et la remercier.4 5 6

Martine Wonner, fine psychiatre avait compris avant beaucoup d’autres la signification sociétale du port du masque :

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ».7

Que ne l’a-t-on pas écouté au lieu de l’humilier dans l’hémicycle comme s’est permis l’ex-ministre Véran ? L’inefficacité antivirale et les innombrables effets pervers du masque, connus d’emblée, se sont malheureusement confirmés dans la pratique. 8

« Jacinda Ardern se dit “déconcertée” par le fait que la Nouvelle-Zélande enregistre le plus grand nombre de décès et d’infections par le virus Covid que tous les pays voisins sans masque, et ce malgré le fait que la Nouvelle-Zélande maintienne des obligations strictes de port de masque. »

« Selon les rapports, les pays voisins sans masque, comme l’Australie, ne comptent qu’une infime partie des infections par rapport à la Nouvelle-Zélande.

Par coïncidence, Singapour est le seul autre pays où le port du masque est obligatoire et ce pays connaît également des niveaux records d’infections et de décès ».

LE PORT DU MASQUE, UNE CATASTROPHE POUR UNE GÉNÉRATION

Quant aux conséquences majeures chez les plus jeunes, elles ont été envisagées d’emblée et confirmées dans la réalité 9 :

« Selon un rapport officiel, les mesures de confinement, y compris le port de masques par les adultes, ont laissé une génération de bébés et d’enfants en bas âge avec des difficultés d’élocution et de socialisation.

Les inspecteurs travaillant pour l’Ofsted ont constaté que le fait que les enfants en bas âge soient entourés d’adultes portant des masques pendant de longues périodes au cours des deux dernières années a nui à leurs capacités d’apprentissage et de communication.

Ceux qui atteignent l’âge de deux ans “auront été entourés d’adultes portant des masques pendant toute leur vie et n’auront donc pas pu voir les mouvements des lèvres ou les formes de la bouche aussi régulièrement”, selon le rapport.

Certains prestataires ont signalé que des retards dans le développement de la parole et du langage des enfants les empêchaient de se socialiser avec d’autres enfants aussi facilement qu’ils l’auraient souhaité auparavant”, ajoute le rapport.

En raison de ces restrictions, les tout-petits ont également du mal à ramper, à utiliser les toilettes de manière autonome et à se faire des amis.

Les retards d’apprentissage ont également fait régresser certains enfants au point qu’ils avaient besoin d’aide pour des tâches de base comme mettre leur manteau ou se moucher ».

Une autre étude, menée en Allemagne, a révélé que la capacité de lecture des enfants s’est effondrée par rapport à l’époque pré-COVID, en raison des politiques de fermeture des écoles.

L’orthophoniste Jaclyn Theek a déclaré :

« Le port du masque pendant la pandémie a entraîné une augmentation de 364 % des demandes de consultation de bébés et de jeunes enfants. Ils ne tentent pas de parler et ne communiquent pas du tout avec leur famille », a-t-elle déclaré, ajoutant que les symptômes de l’autisme sont également en forte hausse.

A speech therapist says her clinic has seen a « 364% increase in patient referrals of babies and toddlers.» « It’s very important kids do see your face to learn, so they’re watching your mouth. » What the hell have we done?! End this cruel insanity10.

Peut-on reprocher à une parlementaire, psychiatre de surcroit d’avoir averti ses collègues de faits avérés par de très nombreuses études et de l’avoir fait dans le cadre de son activité parlementaire pour laquelle elle a été élue ?

« Selon un psychiatre clinicien pour enfants et adolescents, les récentes politiques de confinements et de masques imposés par la nation vont créer une génération d’enfants présentant un QI inférieur et des signes de lésions cérébrales sociales. »

Son devoir n’était-il pas justement d’alerter comme elle l’a fait ?

« Le Dr Mark McDonald a cité une étude réalisée le 11 août par l’Université Brown (PDF), selon laquelle « les enfants nés pendant la pandémie ont des performances verbales, motrices et cognitives globales considérablement réduites par rapport aux enfants nés avant la pandémie », lors d’un entretien avec l’animatrice Cindy Drukier dans l’épisode du 25 décembre de l’émission The Nation Speaks“ dNTD. NTD est un média frère de The Epoch Times.

Les masques, les « écoles Zoom » et les confinements ont conduit à « une privation générale de contact social, [à] ne pas pouvoir voir les visages, à être coincé à la maison toute la journée, [et cela] a effectivement causé des dommages au cerveau des jeunes », a-t-il déclaré.

Dans une autre interview de l’épisode, le professeur Carl Heneghan, directeur du Centre for Evidence-Based Medicine de l’université d’Oxford, a cité des preuves que les restrictions liées à la pandémie et la« peur que nous inspirons aux enfants » ont entraîné une aggravation des problèmes psychologiques.

Heneghan a cité son étude du 2 octobre, qui conclut que« huit enfants et adolescents sur dix signalent une aggravation du comportement ou de tout symptôme psychologique ou une augmentation des sentiments négatifs en raison de la pandémie de COVID-19 ».11

Même Facebook a reconnu son erreur concernant les masques12. Il y aurait beaucoup à dire sur la censure par fb des informations exactes.13

Errare humanum est, perseverare diabolicum

Tous ces faits avérés et ces drames ne peuvent être ignorés des « juges » de Mme le dr Wonner, ni de France info. Comment osent-ils après deux et demi de recul ? L’erreur est humaine, mais persévérer est diabolique.

LES PSEUDOVACCINS ENTRAÎNENT DES FAUSSES COUCHES, DES TURBOCANCERS ET UNE BAISSE DE L’IMMUNITÉ et DES MORTS

Le second reproche cité par France info serait le suivant :

Les vaccins contre le Covid-19 pouvaient déclencher « des fausses couches », de « multiples cancers » et transmettre « le sida ».

Eh bien oui, malheureusement Mme le DR Wonner avait raison de le dire. Elle avait simplement consulté les publications du VAERS agence américaine dépendante de la FDA chargée de collecter les effets secondaires qui ont révélé très tôt l’augmentation considérable des fausses couches chez les femmes enceintes malencontreusement vaccinées. Les données d’EUDRAVIGILANCE ont malheureusement confirmé et on se demande comment la direction générale de la santé se permet encore de conseiller l’injection génique aux femmes enceintes après l’accumulation mondiale de données cohérentes sur les risques des pseudovaccins.14 15

LES TURBOCANCERS

Les cancers se sont malheureusement multipliés chez les injectés avec le nombre de rappels : non seulement le réveil de cancers en rémission longue depuis plusieurs années, parfois plus de quinze ans, mais aussi l’apparition de cancers chez des jeunes comme des lymphomes, des cancers du pancréas en particulier. La particularité de tous ces cancers, récidivés ou nouvellement apparus, est leur évolution très rapide et leur insensibilité aux traitements proposés. Ils sont qualifiés de « turbocancers ». La découverte de ces complications terribles au temps où les cancérologues se permettent d’exiger l’injection pour prendre en charge le patient date de plus d’un an déjà et se confirme mois après mois par de nouvelles publications. Comment les médecins juges du Conseil de l’ordre peuvent-ils reprocher cette mise en garde de notre clairvoyante députée ?

Selon une pathologiste, les caractéristiques des cancers du sein qu’elle observe depuis la vaccination ont évolué, plus gros, plus rapides, plus récidivants16. « Des études de cas de prolifération de lésions lymphomateuses après vaccin sont publiées, un hypermétabolisme des ganglions après vaccin (qui est attendu) a été noté également », selon l’article de l’AIMSIB qui correspond aux observations de très nombreux médecins.

L’IMMUNODÉPRESSION ET SON TRAIN DE CONSÉQUENCES AUGMENTENT AVEC LE NOMBRE DES INJECTIONS

Quant au SIDA il s’agit du syndrome de déficience immunitaire acquise, donc de perte de l’immunité, suivant une ou plusieurs injections géniques dont la réalité est malheureusement avérée par la pratique clinique et les publications.17

« Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent. Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non. La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins. De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COIVD-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination. Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humainesla biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prion. L’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins. Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement. »

En résumé, les inquiétudes et avertissements de Mme Wonner étaient largement justifiés et on s’étonne que les conseillers ordinaux dûment informés ? Ne serait-ce que par sa longue audition aient pu prendre une telle décision. Quel est leur degré de liberté ? Comment acceptent-ils de se transformer en simples inquisiteurs chargés de condamner les hérétiques qui mettent en doute le dogme gouvernemental ?

Au-delà de la véracité et de l’importance des déclarations de Mme la Députée, le sujet récurrent est celui de la LIBERTÉ, et singulièrement de la liberté d’expression tant bafouée et menacée par les projets de la Milivudes, via une ancienne scientologiste, tentant de faire dénoncer les opposants traités de complotistes.

La liberté d’expression18

Elle fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et est consacrée depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« C’est la liberté la plus fondamentale, car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. »

Or depuis deux ans et demi, on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

Éloge du doute et des débats

Ce qui sépare la science de la religion est le doute.

Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés ; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés.

Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelle découverte scientifique. Pour ces raisons, la censure qui vise à supprimer le doute est profondément antidémocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.

Dès le 21 avril 2020, l’éditorial du Dagens Nyheter mettait les Suédois en garde : « si on abandonne une partie de la démocratie maintenant, on ne sait jamais vraiment quand on la récupérera » faisant preuve d’un courage qu’aucun journal français n’a montré à l’exception de France Soir. Ils avaient raison !

Pour l’anniversaire des 70 ans de l’UNESC0, on peut lire ces phrases fondamentales :

La liberté d’expression : Un droit humain fondamental, pilier de toutes les libertés civiques

© AFP

La liberté d’expression est le fondement de toute démocratie. Le mandat de l’UNESCO repose sur la protection et la promotion de la liberté d’expression, que ce soit en ligne ou hors ligne. L’Acte constitutif de l’Organisation invite les États membres à travailler ensemble pour promouvoir la connaissance et la compréhension mutuelles des peuples à travers la libre circulation des idées, par le mot et par l’image.

La liberté d’expression est un droit humain fondamental énoncé à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme. De même que la liberté d’information et la liberté de la presse, la liberté d’expression pose la base de tous les autres droits. L’Organisation reconnaît que les droits de l’homme s’appliquent aussi bien en ligne que hors ligne. Par conséquent, l’UNESCO s’engage à étudier les questions liées à la liberté d’expression et à la vie privée, à l’accès, et à l’éthique sur l’Internet.

L’Organisation s’implique depuis longtemps dans des questions relatives à l’Internet, par exemple à travers le Sommet mondial sur la société de l’information et le Forum sur la gouvernance de l’Internet. Les journalistes et professionnels des médias sont indispensables au plein exercice de notre « droit de savoir. »

« De ce fait, ils doivent pouvoir travailler dans un environnement propice à un journalisme libre et indépendant. L’UNESCO soutient les médias indépendants en zones de conflit et pays en transition, afin de leur permettre de jouer un rôle actif dans la prévention et la résolution des conflits et dans la transition vers une culture de paix. »

Le Prix mondial de la liberté de la presse UNESCO/Guillermo Cano a été créé en 1997 afin de sensibiliser le monde au rôle fondamental de la presse en société et au besoin de garantir la sécurité des professionnels des médias. Nommé en l’honneur de Guillermo Cano, l’éditeur colombien assassiné en 1986 par les mafias de narcotrafiquants dont il dénonçait courageusement les exactions, le Prix distingue une personne, une organisation ou une institution qui a contribué d’une manière notable à la défense et/ou à la promotion de la liberté de la presse.

L’UNESCO soutient activement la sécurité des journalistes : ils doivent pouvoir exercer leur profession dans un environnement libre de tout risque de violence et défendre le droit à la liberté d’opinion et d’expression pour tous. L’Organisation défend donc le Plan d’action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question de l’impunité (Plan d’action des Nations Unies), premier effort concerté au sein de la famille onusienne pour traiter de ces questions par le biais d’une approche holistique et multipartite. Il sert désormais de référence mondiale, mise en évidence dans de nombreuses résolutions et politiques de l’Assemblée générale de l’ONU, du Conseil des droits de l’homme, et de l’Union européenne.

Le Plan d’action des Nations Unies est le résultat d’un processus initié par le Programme international pour le développement de la communication (PIDC). Le PIDC s’engage à promouvoir l’indépendance et le pluralisme des médias, à contribuer au développement durable, à la démocratie et à la bonne gouvernance en renforçant les capacités des médias libres et indépendants, ainsi qu’au développement des médias. Depuis sa création en 1980, le PIDC a appuyé plus de 1 700 projets dans quelque 140 pays.

La liberté d’expression et celle d’information constituent les piliers d’une société saine et démocratique sur lesquels repose la croissance sociale et économique : ils permettent la libre circulation des idées — nécessaire à l’innovation — et renforcent la responsabilité et la transparence. « Le journalisme prospère lorsque les médias sont libres et indépendants, lorsque les journalistes peuvent exercer leur métier en toute sécurité, lorsque l’impunité est l’exception, » a déclaré la Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova.

Relisons tous ces textes et faisons-les appliquer. Et plutôt que de critiquer René Chiche tentons de retrouver l’esprit philosophe de nos 17 ans et de se demander ce que voulait dire Blaise Pascal par « se moquer de la philosophie » :

« C’est bien relever d’une indépendance d’esprit dont fait preuve le véritable philosophe, celui qui pense par lui-même, libre des opinions et des pressions socioreligieuses de son environnement. »

Cette liberté d’expression est de plus en plus mise en cause, des condamnations de l’ordre des médecins aux convocations par des commissariats de soignants vaccino prudents.
Récemment le Dr Julien Devilleger a été convoqué par le commissariat local écoutez son interview récente Julien Devilléger cardiologue. — CrowdBunker2

Il est intolérable que cet ordre des médecins (créé par vichy et dont les premières mesures ont constitué à exclure les médecins juifs et à demander aux médecins de dénoncer les résistants blessés par balle) ose poursuivre des médecins pour l’expression d’opinions scientifiquement étayées par des faits avérés, alors qu’il ne poursuit presque jamais les médecins de plateau télé qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts violant ainsi totalement ainsi la loi transparence santé que ce même conseil est chargé d’appliquer.

Le Conseil de l’Ordre a ainsi rétabli le délit d’opinion qui lui paraît constitué dès qu’un médecin dément un élément de propagande gouvernementale, et se comporte donc en grand inquisiteur de la Pensée unique.

Cette suppression de la liberté d’expression touche les autres professions comme l’attaque du professeur de philosophie René Chiche ou du mathématicien Vincent Pavan suspendu de ses fonctions et privé de la moitié de son salaire l’ont prouvé récemment.19

Surtout, ne croyez pas le gouvernement qui tente à nouveau de nous faire peur avec une pseudo nouvelle vague.

Reprise de la propagande mensongère fondée sur un nombre stratosphérique de « cas » obtenus à partir du test PCR qui n’est pas fait pour le dépistage selon son inventeur Karry Mullis lui-même et, qui chez les asymptomatiques est faux dans 97 % des cas.20

France-Désinfo martèle : « L’épidémie repart à la hausse avec 40 000 “cas” quotidiens. » Sauf que… les « cas » ne sont pas des « malades » ! Et seuls les nombres de malades et de morts permettent de mesurer l’évolution d’une épidémie.

La vérité est ici : https://covid.irsan.eu. Il y a eu 29 « malades » pour 100 000 habitants pour cette semaine ! Il n’y a donc aucun redémarrage de l’épidémie de covid !





Le lien avec la nature favorise la santé

[Source : anguillesousroche.com]

L’argent ne pousse peut-être pas dans les arbres, mais quelque chose d’encore mieux y pousse.

Dans une nouvelle étude menée par le service des forêts du ministère américain de l’agriculture (USDA), des chercheurs ont constaté que chaque arbre planté dans une communauté était associé à une réduction significative de la mortalité non accidentelle et cardiovasculaire chez les personnes vivant à proximité.

En outre, les auteurs de l’étude concluent que les avantages économiques annuels de la plantation d’arbres dépassent largement le coût de leur entretien, par un facteur de plus de 1 000.

Des études antérieures ont établi un lien entre l’exposition à la nature et toute une série d’avantages pour la santé humaine. L’accès à la nature est un facteur important pour la santé mentale, et il n’est pas nécessaire que la verdure soit une nature vierge. Les recherches montrent que les forêts urbaines et les arbres des rues peuvent offrir des avantages comparables.

Plusieurs études longitudinales ont montré que l’exposition à une végétation plus abondante est associée à une baisse de la mortalité non accidentelle, notent les auteurs de la nouvelle étude, et certaines ont également lié l’exposition à la verdure à une réduction de la mortalité cardiovasculaire et respiratoire.

« Toutefois, la plupart des études utilisent l’imagerie satellitaire pour estimer l’indice de végétation, qui ne distingue pas les différents types de végétation et ne peut être directement traduit en interventions tangibles »explique Payam Dadvand, chercheur à l’Institut de santé mondiale de Barcelone (ISGlobal) et auteur principal de la nouvelle étude.

Pour leur étude, Payam Dadvand et ses collègues se sont appuyés sur une campagne de plantation d’arbres bien documentée qui s’est déroulée à Portland, dans l’Oregon, entre 1990 et 2019. Au cours de ces trois décennies, le groupe à but non lucratif Friends of Trees a planté 49 246 arbres dans les rues de Portland.

Fait crucial, ils ont tenu des registres indiquant où et quand chaque arbre a été planté. Les chercheurs ont ainsi pu examiner le nombre d’arbres plantés dans un quartier particulier, ou dans un secteur de recensement américain – chacun abritant environ 4 000 personnes – au cours des cinq, dix ou quinze années précédentes.

À l’aide des données de l’autorité sanitaire de l’Oregon, ils ont ensuite associé les données sur les arbres de chaque secteur de recensement à son taux de mortalité, dû à des causes cardiovasculaires, respiratoires ou non accidentelles.

Les résultats révèlent des taux de mortalité plus faibles dans les quartiers où il y a plus d’arbres plantés, et les chercheurs indiquent que cette association négative est significative tant pour la mortalité cardiovasculaire que pour la mortalité générale non accidentelle, en particulier chez les hommes et les personnes âgées de plus de 65 ans.

Selon l’étude, cette association se renforce également avec la taille des arbres. Les arbres plantés au cours des cinq années précédentes étaient liés à une baisse de 15 % de la mortalité, tandis que les arbres plantés au cours des 11 à 15 années précédentes étaient liés à une baisse de 30 %.

Les arbres plus anciens et plus grands étaient donc associés à une plus grande réduction de la mortalité. Ainsi, si planter de nouveaux arbres est une bonne chose, cette découverte suggère que la préservation des grands arbres existants est encore plus importante pour la santé publique (comme pour le bien-être de la faune et de la flore).

Bien que ces liens n’expliquent pas exactement comment les arbres sont bénéfiques pour la santé humaine, la protection apparemment plus grande des grands arbres serait logique, soulignent les chercheurs, puisque la taille augmente la capacité d’un arbre à modérer des facteurs de mortalité connus comme la pollution atmosphérique, la température et le bruit.

« Nous avons observé cet effet à la fois dans les quartiers verts et dans les quartiers moins verts, ce qui suggère que la plantation d’arbres dans les rues est bénéfique pour les uns comme pour les autres »explique Geoffrey H. Donovan, économiste à l’USDA et premier auteur de l’étude.

Si la valeur d’une vie humaine adulte statistique est de 10,7 millions de dollars, comme l’ont déterminé certaines agences fédérales américaines, les chercheurs ont calculé que la plantation d’un arbre dans chacune des 140 zones de recensement de Portland générerait environ 14,2 millions de dollars par an en vies sauvées.

L’entretien de ces 140 arbres coûterait entre 3 000 et 13 000 dollars par an, estiment les auteurs de l’étude.

« Nos résultats fournissent une base de preuves importante pour des interventions tangibles (par exemple, la plantation d’arbres) visant à accroître la longévité des résidents urbains »déclare M. Dadvand.

L’étude a été publiée dans Environment International.

Lire aussi : Passer du temps dans la nature en tant qu’enfant est lié à une meilleure santé mentale à l’âge adulte

Source : Science Alert – Traduit par Anguille sous roche




Corruption philosophique et psychologique au cours de la crise Covid

[Source : anthropo-logiques.org]

Par Jean-Dominique Michel

C’est une nouvelle présentation exceptionnelle que nous avons le plaisir de partager avec vous aujourd’hui. Dans l’insensé de ce qui nous arrive depuis trois ans, deux problèmes majeurs auront en effet été d’une part la corruption du langage et de la logique, et de l’autre le manque collectif de concepts et d’un vocabulaire suffisamment précis pour faire cas des phénomènes.

Que l’on pense par exemple à l’indignation de certains politiciens face à l’usage par des esprits critiques des mots « dictature » ou « tyrannie » sanitaires…

Pourtant, la dictature est bien depuis la Rome antique cette suspension (normalement temporaire) des droits et libertés habituelles. Un état d’urgence ou d’exception qui court-circuite les processus habituels de la démocratie et de l’état de droit est bien techniquement un régime de dictature.

Et piloter la soi-disant réponse à un phénomène (présenté de manière fallacieuse comme les présentations précédentes l’ont montré) depuis un « Conseil défense » militaire, protégé par un secret n’ayant aucune raison valable d’exister, relève bel et bien de la tyrannie. Là encore au sens précis du terme, qui décrit la captation du pouvoir exécutif par une personne ou un petit groupe mettant en échec le fonctionnement institutionnel normal.

Toutes ces réalités — déjà bien problématiques —, il fallait la connaissance et l’expertise d’une personne comme Ariane Bilheran pour nous éclairer à leur sujet.

Normalienne, philosophe (avec une spécialisation en philosophie politique et morale), Ariane est de surcroît docteur en psychopathologie. Ses thématiques de recherche dans cette discipline ont couvert (en autres) la psychopathologie de l’autorité et de la paranoïa ainsi que les phénomènes de manipulation et d’emprise, à petite comme à large échelle.

C’est dire si elle possédait en amont de ce qui nous est arrivé toutes les clés de lecture et de compréhension nécessaires à porter une analyse précise et pertinente.

Elle l’a fait en publiant plusieurs séries d’articles (dont Chroniques du totalitarisme et Psychopathologie du totalitarisme) et différents ouvrages qui feront date (dont bien sûr Le débat interdit, rédigé en tandem avec Vincent Pavan) ainsi qu’en donnant de nombreuses interviews et conférences.

Car le problème ne s’arrête pas à une question de corruption du régime politique de la république. Nous sommes en effet en outre embarqués dans une dérive de nature totalitaire. Le totalitarisme constitue quant à lui un système, délirant (c’est-à-dire ayant perdu le sens de la réalité) et maltraitant, de nature paranoïaque, visant à prendre le pouvoir sur la société et la population de manière absolue.

L’obsession d’imposer des règles arbitraires et abusives à la population, la marche forcée vers un gouvernement mondial que personne ne souhaite avec des moyens de contrôle illimités, avec la mise en place annoncée d’une identité et d’une monnaie numérique permettant l’imposition d’un système de crédit social à la chinoise, ne doit nous laisser aucune illusion : il ne s’agit pas d’un aimable projet pour améliorer nos conditions de vie en protégeant la planète !

Cette réalité intrinsèquement difficile à penser, nous avons besoin du bon vocabulaire, des bons concepts et des bonnes compréhensions pour les penser. C’est cela qu’Ariane Bilheran nous offre sur un plateau avec des contributions d’une limpidité et d’une lucidité qui forcent l’admiration, mais sont surtout d’une urgente utilité publique !


Le totalitarisme sous l’angle de la philosophie morale et politique et de la psychopathologie

par Ariane Bilheran, Lisbonne & Marseille, septembre 2022

Résumé réalisé par Tatiana Tislenkoff

La dérive totalitaire — généralités

Il ne peut y avoir de dérive totalitaire sans endoctrinement des masses.

L’histoire racontée aux peuples en mars 2020 fut la suivante : « Un ennemi visible ou invisible nous persécute. Nous devons entrer en guerre contre cet ennemi ». Cette fausse justification a permis l’utilisation du harcèlement de la population. Cela s’appelle un délire de persécution qui a pour effet de traumatiser les individus, de les dissocier et de les faire entrer dans une psychose de masse qui les conduit à des comportements nuisibles, haineux et dangereux qu’ils n’auraient pas commis en d’autres circonstances. Dans le système totalitaire, le contenu du délire peut changer (l’ennemi désigné peut changer), mais sa structure reste identique.

Pour obtenir un endoctrinement des masses, il faut utiliser un harcèlement constant afin d’entretenir un état constant de peur chez l’individu.

Les pauses apparentes dans le harcèlement font partie de la manipulation, tout comme le bourreau qui propose un verre d’eau et prononce une phrase amicale avant de recommencer.

La dérive totalitaire — les techniques utilisées dans la « crise covid »

Le sectarisme

Les méthodes employées sur les populations sont sectaires. Exemple : « Un virus extrêmement dangereux veut nous tuer ! »

Les séquestrations

Atteintes à la liberté de mouvement/à l’égalité devant la loi/aux droits inaliénables naturels en général.

L’exclusion et la maltraitance généralisée

Refus de soins, transgression de la vie intime, désorganisation des repères spatiaux et temporels.

En particulier, les citoyens à l’esprit critique sont considérés comme mauvais. Certains discours politiques suscitant même des appels au meurtre à leur encontre jusqu’à rétablir les chambres à gaz.

Le conflit de loyauté

Qui consiste à obliger les individus à faire de faux choix (choix impossible). Exemple : entre le droit au travail et le droit à l’intégrité corporelle.

La suggestion hypnotique

Matraquage d’informations mortifères par les médias.

L’intimidation, la menace, la censure

Toutes formes de questionnement, d’esprit critique et donc de désaccord rencontrent calomnies, censures et répressions. Nul n’a le droit de réfuter la narration dogmatique.

Les chocs traumatiques

Par le moyen de discours paradoxaux (dire tout et son contraire) destinés à sidérer chaque personne.

Les anomalies généralisées et faits de corruption.

Les professionnels non habilités à pratiquer des injections se sont vus accorder cette possibilité moyennant des tarifications juteuses tout en interdisant les professionnels formés de pouvoir exercer leur métier dans les règles de l’art.

Le système totalitaire et l’idéologie

Une idéologie est une croyance délirante qui n’a plus de lien avec la réalité logique ni avec la réalité de l’expérience et qui a besoin de se renouveler sans cesse dans son contenu pour maintenir son pouvoir illégitime.

Il s’agit de maintenir les populations dans une croyance anxieuse qui excite et inquiète les esprits.

  • Un système totalitaire ne peut exister sans idéologie(s)
  • Le support de l’idéologie est l’endoctrinement des masses (condition sine qua non).

L’endoctrinement des masses est une corruption morale, psychique, intellectuelle et émotionnelle.

  • L’idéologie ne peut fonctionner sans la participation/l’obéissance de gens de bien dans le système corrompu.

La corruption — la soumission en toute bonne foi — l’endoctrinement

La corruption : rappel sémantique

Le mot corruption vient du latin corrumpere (rompre avec, briser totalement). Pour Cicéron, la corruption est une rupture de ce qui lie les êtres entre eux. Avec la corruption, c’est un gouffre qui s’instaure entre l’autre et moi, entre l’État et son peuple, c’est un gouffre qui divise les familles, les amis, les professions et tout simplement l’humanité.

De tout temps le pouvoir est lié à la corruption (« Antigone » d’Anouilh)

  • Corruption par l’argent individuelle et institutionnelle
  • Corruption en haut lieu (laboratoires/institutions/dirigeants) et au sein de certains corps de métiers (professionnels de la santé)
  • Des hôpitaux ont reçu des primes pour déclarer des « cas » covid.
  • Les faux experts sur les plateaux TV
  • La soumission en toute bonne foi

Des gens de bien se soumettent sans le voir à un système corrompu en toute bonne foi.

On assiste à une obéissance aveugle, une naïveté, une passivité, une crédulité et une honnêteté sans bornes de tous les acteurs subalternes, qui ne reçoivent pas d’argent du système totalitaire, mais qui sont prêts à sacrifier père, mère et enfants au nom de l’idéologie dans laquelle ils sont endoctrinés. En cela consiste la banalité du mal que décrit Hannah Arendt dans « Eichmann à Jérusalem » en 1963 ).

  • Eichmann n’était nullement un personnage corrompu, mais un fonctionnaire zélé, soumis à l’autorité et qui ne cherchait aucun bénéfice personnel immédiat.

Les peuples frondeurs où règne une corruption endémique, avec un respect tout relatif pour la loi, où l’on pratique les dessous de table et les petits arrangements sont des peuples où l’air devient plus respirable lorsqu’il y a dérive totalitaire. Ainsi, les peuples qui ont une culture de la corruption résistent beaucoup mieux à la corruption totalitaire (exemple des pays d’Amérique du Sud).

Au contraire, il était impossible sous le nazisme de graisser la patte d’un fonctionnaire allemand, pays où le respect de la loi se place au-dessus de tout même lorsque cette dernière est devenue déviante.

De la même manière pour le covid, le patron de restaurant qui s’applique avec zèle à contrôler le « pass sanitaire » n’est nullement corrompu. Au contraire, son intérêt financier aurait consisté à ne pas appliquer la loi.

Dans le même ordre d’idée, les millions de militants communistes, qui dans le monde soutenaient le pouvoir stalinien n’étaient pas des corrompus, mais des idéalistes parfaitement désintéressés.

  • Le pouvoir totalitaire est la rencontre entre un pouvoir cynique et corrompu au sommet de la pyramide qui nomme ses experts, ses faux intellectuels et ses dirigeants corrompus et une masse d’individus crédules et obéissants, qui au contraire ne sont pas assez corrompus pour faire valoir leur intérêt personnel au détriment du sacrifice idéologique invoqué par le supposé bien commun.

L’endoctrinement

La fraude, le mensonge, la ruse et l’escroquerie sont les leviers de l’endoctrinement des masses.

  • Le délire de la psychose de masse qui ne correspond pas à la réalité de l’expérience correspond, sur le plan de la psychologie, au délire paranoïaque.
  • Ce délire s’enracine dans des premiers principes qui sont faux ou erronés.
  • Il en résulte un discours d’apparence rationnel, mais dont les hypothèses de départ prises pour des vérités sont des erreurs logiques.

Exemple avec le délire de l’idéologie nazie :

–  Les juifs sont des parasites (premier principe majeur) ;

–  Les parasites sont nuisibles ;

–  par conséquent les juifs sont nuisibles.

Or la majeure du raisonnement est fausse. Les juifs ne sont pas des parasites.

Si on admet la véracité de cette majeure, le délire paranoïaque commence et entraîne les masses dans des passages à l’acte violents.

  • Les conditions de la raison ne sont pas aléatoires. Il existe des règles de langage, de langue et de logique. La recherche de la vérité doit répondre à des principes rigoureux (« Le débat interdit » d’Ariane Bilheran et Vincent Pavan).

La fraude mathématique

Dans la narration covid, tout a commencé par un dévoiement des mathématiques. La fraude mathématique entraînant des décisions politiques désastreuses sur les peuples.

La fraude langagière

La fraude langagière dans les médias de masse. Le langage totalitaire utilise des euphémismes et des litotes. Le but étant de rendre acceptable une moralité condamnable ou désagréable. Si après tout isoler c’est protéger ; personne ne se formalisera d’abandonner les autres à leur sort ou de les envoyer dans des camps de quarantaine si c’est pour le bien de la personne.

La langue totalitaire devient un outil de persécution de certains citoyens : ils ont un mauvais comportement, ils sont irresponsables…

Dans le même temps, des mots comme soigner, diagnostiquer, guérir, remède, traitements ont disparu.

D’autres mots comme écouvillon, traçage ont revêtu un sens inattendu.

Des expressions dénuées de sens sont utilisées : le porteur sain, le malade asymptomatique.

  • On assiste à un ensauvagement des mots, comme le souligne Klemperer à propos de la langue du IIIe Reich.
  • Des amalgames entre porteurs du virus et testés positif ou négatif, entre malades contagieux et assassins…
  • La criminalisation de tout individu qui ne fait pas confiance aveuglément au pouvoir et de tout individu comme potentiellement malade justifie et justifiera de fait une répression sur la base de sanctions exemplaires, de camps d’internement…
  • La langue comme outil de sidération en utilisant des paradoxes (France Info le 10/03/2021 a titré « confiner sans enfermer ».
  • Les mots sont surinvestis [discours de Macron du 31/03/2021 où il appelle les citoyens à « se mobiliser tout en restant chez eux »]. Or mobiliser vient du latin « movere » qui signifie se mouvoir. Il fallait donc « Se mouvoir dans l’immobilité ».
  • L’introduction de néologismes : covidiste, complotiste…
  • Les mots savants méconnus du grand public : charge virale, variant, asymptomatique, agent infectieux, cellule hôte….
  • La langue n’est plus un outil de relations entre individus, mais un outil de séparation et de confusion.
  • Le vocabulaire devient volontairement mécaniste et hygiéniste.
  • Et par effet de langage, chacun devient médecin de son voisin, épidémiologiste, contrôleur, diagnostiqueur, policier — la santé c’est le contrôle !
  • La langue reconstruite par l’idéologie permet d’accomplir la dimension organique et mécanique dans la langue pour mécaniser le vivant (Klemperer). L’objectif est de déshumaniser l’être humain et d’humaniser ce qui ne l’est pas.

« En cas d’urgence caractérisée par l’apparition d’un variant susceptible de présenter un risque de transmissibilité accru ou d’échappement immunitaire, le mécanisme de frein d’urgence sera activé et le pays sera alors classé en liste rouge avec des mesures de rétorsion sur la population »

(site du gouvernement français de l’Intérieur sur les déplacements internationaux).

  • La répétition de mantra : protégez-vous, protégez les autres ; protégez les jeunes en confinant les vieux ; quand on aime ses proches, on ne s’approche pas ; la responsabilité c’est la confiance nous a dit Macron le 31/03/2021.

Le viol politique de la langue est sans doute la fraude la plus dangereuse, car la langue trafiquée perd toute une gamme d’émotions dans le but de manipuler, culpabiliser et terroriser.

Les mots qui ne veulent plus rien dire conduisent aux pires tragédies de l’Histoire. Staline avait appelé la Constitution de 1936 la Constitution la plus démocratique du monde tout en procédant aux rafles arbitraires et aux liquidations sauvages de ses généraux.

La fraude épistémologique

L’épistémologie consiste pour la philosophie à étudier les conditions d’exercice de la science.

  • Les premiers principes ayant entraîné les décisions politiques sur les confinements et autres mesures supprimant nos droits fondamentaux sont des mensonges qui subvertissent la science et trahissent la logique en instrumentalisant les mathématiques.
  • La science n’est plus un outil de discernement et de recherche, mais devient un instrument politique de contrôle au fonctionnement inquisitorial.
  • La science n’est plus le lieu du doute et du débat, mais le lieu de la certitude idéologique et du dogme religieux. D’ordinaire la science avance par des hypothèses/paradigmes qui évoluent et que nous appelons des révolutions scientifiques. Cela démontre notre impuissance dans la complexité du monde qui nous entoure.

Le scientisme, quant à lui, se débarrasse de la complexité et proclame une vérité qui est un dogme et évacue le débat de la controverse.

  • La confusion entre la matière morte et la matière vivante. Appliquer des mathématiques au vivant est une fraude. On a oublié dans l’ensemble de l’analyse le paramètre du vivant. Cela conduit logiquement à traiter les êtres vivants comme des matières mortes. Cette imposture intellectuelle est connue dans la philosophie depuis l’Antiquité.
  • La confusion entre les sciences opératives et les sciences spéculatives. Nous devons cette distinction au philosophe Boèce au Vème siècle apr. J.-C. En effet la médecine opère sur le réel, elle interagit avec le patient et la réalité de son expérience. La médecine ne fonctionne pas comme les sciences spéculatives, qui elles, restent dans le pur concept comme les mathématiques ou la philosophie.

La fraude a consisté à rester dans le pur concept pour parler de maladie et de santé. Plus généralement on ne peut pas traiter l’humain selon des sciences dures. Ce réductionnisme est une imposture.

Appuyer la science spéculative au détriment de la science opérative a tout simplement permis de soumettre le politique à la science ou la science à la politique.

Confondre la médecine avec une science spéculative a permis aussi de s’exonérer de toute boucle rétroactive avec l’expérience, avec les faits.

Le philosophe italien Giorgio Agamben a rappelé que le dévoiement de la pratique médicale constitue le principe par excellence du totalitarisme.

Les régimes totalitaires utilisent toujours le scientisme et en particulier la médecine qui permet un contrôle sur les corps pour asseoir une pseudo légitimité à leur existence et ils exigent une sorte de ferveur religieuse envers ce scientisme.

  • En résumé, il est impossible d’appliquer des concepts scientifiques issus des sciences dures, qui sont des sciences de la matière morte, à l’expérience politique, morale et spirituelle humaine. La démarche scientifique portée au-delà des limites qui sont les siennes est alors utilisée pour tenter de justifier des démarches qui ne sont en réalité ni scientifiques ni humaines.
  • Ces fraudes réductionnistes en cascade ont conduit au réductionnisme de l’individu à un état viral, une unité mathématique, un cas positif, un cas négatif, à un code-barre. La définition de la santé s’est insidieusement transformée en « absence de maladie potentielle » ce qui réduit le corps humain à une nature inerte pure qui devrait se défendre contre des virus externes qui eux seraient impurs. Les virus ne sont pas des menaces pour l’être humain dans la mesure où ils servent à renforcer les anticorps.

Le philosophe G. Canguilhem proposait une tout autre définition de la santé, qui si elle avait été suivie aurait changé l’orientation politique qui a été prise.

« La santé c’est le luxe de pouvoir tomber malade et de s’en relever. Toute maladie est au contraire la réduction du pouvoir d’en surmonter d’autres. Vivre, pour l’animal déjà, et à plus forte raison pour l’homme, ce n’est pas seulement végéter et se conserver, c’est affronter des risques et en triompher ».

La maladie n’est pas un ennemi à abattre en tant que guerre, mais un déséquilibre interne qu’il convient de comprendre pour pouvoir œuvrer à rétablir l’équilibre.

La fraude politique et juridique

La philosophie juridique réfléchit aux conditions du pouvoir et du droit. Dans la crise covid, la fraude politique et juridique a très bien été mise en lumière par le philosophe italien G. Agamben et elle consiste dans la problématique suivante : il a fallu légitimer l’état d’exception.

L’État nazi qu’Hitler promulgua le 28/02/1933 par un décret pour la protection du peuple et de l’État, suspendait les articles de la Constitution de Weimar relatif aux libertés personnelles. Le décret ne fut jamais révoqué, si bien que tout le IIIe Reich peut être considéré d’un point de vue juridique comme un état d’exception qui a duré 12 ans.

Citation d’Agamben dans « État d’exception » :

« Le totalitarisme peut être défini en ce sens comme l’instauration, par l’état d’exception, d’une guerre civile légale qui permet l’élimination physique, non seulement des adversaires politiques, mais de catégories entières de citoyens, qui, pour une raison ou une autre semblent non intégrables dans le système politique ».

Dès lors, la création volontaire d’une urgence permanente est devenue l’une des pratiques essentielles des États contemporains. L’urgence sanitaire a justifié la mise en œuvre de cette situation politique extraordinaire qui est l’état d’exception.

Qu’est-ce que c’est ? C’est le moment qui permet de suspendre l’ordre juridique et où le pouvoir est donné à l’exécutif. Le parlement devient un instrument de l’exécutif qui ratifie les décrets promulgués par le pouvoir exécutif. En clair, c’est la fin de la séparation des pouvoirs qui sont pourtant la règle absolue pour éviter tout glissement vers l’arbitraire (cf. Montesquieu).

Agamben précise qu’une situation où l’urgence est devenue la règle et où la distinction même entre la paix et la guerre, entre paix extérieure et guerre civile mondiale devient impossible.

C’est exactement ce que nous traversons.

Deux problématiques à discuter :

  • L’invocation de la nécessité justifie-t-elle une transgression de l’ordre juridique et du droit en général ?

Dante y a répondu dans le « De Monerchia ». Il est impossible d’atteindre l’objectif du droit sans le droit. Quiconque se propose d’atteindre l’objectif du droit doit procéder selon le droit. Donc on ne peut pas invoquer une suspension de l’ordre juridique au motif de la nécessité.

  • La nécessité qui a été invoquée dans la crise covid, en était-elle vraiment une ?

À en croire les études concernant la manipulation des chiffres, le danger a été largement exagéré. Donc l’état de nécessité a été créé artificiellement pour justifier une suspension de l’ordre juridique. D’ordinaire, la loi a une fonction symbolique, qui à travers le Code pénal pose les bases d’une civilisation, en tant que protection de l’intégrité des individus.

La fraude juridique a autorisé la suspension de l’ordre juridique pour lui en substituer un autre, soumis à l’urgence, à l’état d’exception.

En résumé, la loi a été enfreinte pour violer les droits des individus au nom de la loi !

C’est un tour de passe-passe des systèmes totalitaires qui consiste à transgresser la loi pour en faire un instrument de persécution et d’intimidation.

  • Faire valoir ses droits naturels est aujourd’hui une transgression de l’ordre juridique totalitaire.

La fraude morale

Elle a consisté à faire admettre aux populations par la manipulation des esprits la légitimité de cet adage politique : « La fin justifie les moyens ».

Les consciences ont été manipulées par des cabinets influenceurs au nom du bien commun. Au nom de ce bien commun, il est dès lors devenu acceptable :

  • De ne pas soigner les gens ;
  • D’ostraciser des personnes en leur ôtant leurs moyens d’existence ;
  • D’insécuriser les populations ;
  • De créer la panique ;
  • D’utiliser les chantages et les conflits de loyauté ;
  • De ne pas honorer nos devoirs anthropologiques et spirituels envers nos morts ;
  • D’abandonner nos anciens ;
  • D’euthanasier une partie de la population considérée comme inutile ;
  • De faire le tri entre les patients ;
  • De maltraiter les enfants et les adolescents ;
  • D’arracher les nouveau-nés de leur mère, interdits d’allaitement, mis dans des box fermées au sein de grandes salles déshumanisées.

« La fin justifie les moyens » signifie qu’il devient acceptable de sacrifier des individus au nom de la quantité et l’individu est dépossédé de ses droits humains.

Les discours politiques n’ont pas cessé de parler de sacrifice. E. Macron, dans un discours nous a expliqué : « rien n’est obtenu, si rien n’est sacrifié ». Quelle étrange proposition. Est-il raisonnable d’y consentir ? Les considérations morales n’entrent plus en ligne de compte dans le discours sauf pour être utilisées en termes de chantage et de manipulation.

Ce serait pour le bien du groupe que l’individu devrait se sacrifier. Avec cette logique sacrificielle, les individus ne comptent plus et peuvent servir d’objets d’expérimentation jusqu’au génocide.

Il n’y a plus aucune limite juridique ou morale.

Le citoyen est traité comme un prisonnier sous liberté conditionnelle.

On nous parle de bracelet électronique…




France — « IVG dans la Constitution : l’Assemblée nationale a voté le texte »

Par Alain Tortosa

Texte uniquement compilé de citations, chacun se fera son opinion.

1

Politique :

« Les députés ont largement adopté, en première lecture, la proposition de loi visant à inscrire le droit à l’interruption volontaire de grossesse dans la Constitution.
Le texte, présenté par La France insoumise dans le cadre de sa journée d’initiative parlementaire, a été voté par les députés de la Nupes et de la majorité, mais aussi avec un certain nombre de voix venues des Républicains et du Rassemblement national.
Le parcours législatif de cette proposition de loi ne fait cependant que commencer2. »

« Un “signal historique”. C’est en ces termes que, non sans émotion, Mathilde Panot (La France insoumise), rapporteure3 de la proposition de loi visant à inscrire l’IVG dans la Constitution, a qualifié le vote de l’Assemblée nationale.
Par 337 voix “Pour”, 32 “Contre”, l’adoption — si ce n’est unanime, en tous cas très large —, du texte, a été saluée par le ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti, qui avait estimé un peu plus tôt “nécessaire” de “graver dans le marbre de notre Constitution le droit fondamental à l’IVG”. »

« Au nom de toutes nos mères qui se sont battues, au nom de toutes nos filles qui n’ont plus jamais à devoir se battre je l’espère, oui, je suis ici pour voter ce texte, et j’espère qu’il sera voté de manière très large aujourd’hui. » Aurore Berger.

« Je suis très très émue à la fois de ce vote et de ce signal historique.

Que l’Assemblée nationale s’honore pour notre pays, mais aussi l’ensemble des femmes du monde… Persuadé que nous faisons acte de progrès pas seulement pour nous-même, mais aussi pour les générations à venir.

Aujourd’hui collègues, l’Assemblée nationale parle au monde, aujourd’hui collègues notre pays parle au monde.
La France en introduisant le droit à l’avortement dans la constitution serait la nation première en matière des droits des femmes. Il est temps que notre pays s’affirme comme à l’avant-garde de la protection des droits sexuels et reproductifs4 ».

Droit :

« Une femme enceinte, y compris mineure, qui ne souhaite pas poursuivre une grossesse peut en demander l’interruption. La pratique de l’avortement est réglementée et plusieurs étapes doivent être respectées, avant et après l’intervention. Lors de la consultation, la femme enceinte doit être informée sur les méthodes abortives et a le droit d’en choisir une librement.
Il n’y a pas de condition d’âge à respecter.

Si vous êtes mineure, vous pouvez choisir de demander le consentement de vos parents ou de votre représentant légal et ainsi être accompagnée dans votre démarche d’IVG.
Cependant, si vous souhaitez garder le secret, l’IVG est pratiquée à votre seule demande. Dans ce cas, vous devez vous faire accompagner dans votre démarche par une personne majeure de votre choix.

Les délais dépendent de la méthode choisie :
* L’IVG chirurgicale peut être pratiquée jusqu’à la fin de la 14e semaine de grossesse, soit 16 semaines après le début des dernières règles.
* L’IVG médicamenteuse est pratiquée jusqu’à la fin de la 7e semaine de grossesse, soit au maximum 9 semaines après le début des dernières règles5. »

« L’IMG (Interruption médicale de grossesse) peut être réalisée dans l’un des cas suivants :
* La poursuite de la grossesse met gravement en péril la santé de la femme.
* Il existe une forte probabilité que l’enfant à naître soit atteint d’une affection d’une particulière gravité reconnue comme incurable6. »

« L’interruption médicalisée de grossesse (IMG) est une interruption de grossesse pratiquée pour des raisons médicales concernant le fœtus ou la mère, sans restriction de délai. Sa réalisation nécessite une attestation médicale et l’accord de la femme enceinte7. »

« La loi française protège l’être vivant qu’est l’homme et interdit de procéder activement au décès de celui-ci (Article L2211-1).
Elle nomme l’Interruption Médicale de Grossesse (IMG), l ’Interruption Volontaire de Grossesse pour motif Médical.
Elle n’a pas de délai et peut être pratiquée à n’importe quel moment de la grossesse.

La loi de modernisation du système de santé supprime le délai pour cause maternelle psychiatrique et Étude de Cas obligatoire de réflexion d’une semaine. En août 2014 est supprimée la notion de « détresse avérée » que la loi VEIL exigeait pour avoir accès à l’Interruption Volontaire de Grossesse (loi VALLAUD-BELKACEM).
Bien que la loi ne reconnaisse pas de droit avant la naissance, elle ne définit pas clairement ce qu’est « le commencement de la vie ». Il reste alors libre à interprétation.
Aujourd’hui en France, le statut du fœtus n’est pas reconnu au niveau juridique.
Il est défini par le Code Civil comme une « Pars Viscerum Matris » (une partie des entrailles de sa mère)

(IMG) Les indications pour motif maternel se divisent en 3 catégories d’après l’Agence de Biomédecine :

– Les pathologies obstétricales (38,9 % des attestations).
– Les pathologies maternelles diagnostiquées avant et pendant la grossesse (33,3 % — incluant les pathologies psychiatriques qui représentent 12,1 % de ces cas).
– Les détresses psychologiques maternelles avec ou sans anomalie fœtale (22,4 %) 4,4 % des attestations délivrées en 2016 pour motifs maternels concernaient des grossesses.
dont le terme était supérieur à 32 semaines d’aménorrhée…

B. BRANGER et coll. (20) comptent que sur 122 demandes faites de 2005 à 2009 dans un établissement privé, que les motifs médicaux représentent 2,4 % des motifs de demande d’IMG ; que 28,6 % des motifs sont psychiatriques et psychologiques en précisant le diagnostic (dépression, trouble bipolaire, tentatives de suicide avant ou pendant la grossesse, vécu difficile de la grossesse dont 1 cas dans un contexte d’antécédent de viol, handicap mental, contexte de suivi psychologique et psychiatrique et d’anorexie mentale) ; et que 5,7 % des motifs sont pour des problématiques addictives8. »

Le fœtus à 14 semaines de grossesse, 16 semaines d’aménorrhée SA

« En cette 14e semaine de grossesse, la taille du bébé de 16 SA est de 14 cm et son poids de 110 g.

Sa croissance va désormais prendre un rythme très rapide. En une semaine seulement, il aura quasiment doublé son poids.
Tous ses principaux organes sont en place et commencent à fonctionner, individuellement pour commencer, puis au fil des semaines, de façon coordonnée.
Lorsque le fœtus a 14 semaines, son apparence se rapproche de plus en plus de celle d’un petit homme, tant au niveau de la position que des proportions des différentes parties de son anatomie. Son corps n’est plus courbé comme un petit haricot : sa tête est droite et ses jambes sont désormais plus longues que les bras. L’intestin commence à réintégrer l’abdomen.

Son visage s’humanise avec de petites mimiques : il fronce les sourcils, tourne les yeux.
L’ossification de son squelette se poursuit.
Il alterne des périodes de veille et de sommeil. Et lorsqu’il est éveillé, il bouge de plus en plus, pliant les bras et les jambes, serrant les poings. Mais à 16 semaines d’aménorrhée (14 SG), impossible encore pour la future maman de ressentir ces mouvements.
Le cœur du fœtus de 16 SA est parfaitement formé, il se contracte et se dilate, envoyant le sang dans les veines qui parcourent son corps.

La circulation du fœtus répond à celle de la maman : si celle-ci a une brusque montée de tension, l’afflux d’hormones maternelles entraîne chez le bébé un afflux de sang. Les veines gonflent, créant des reliefs sur sa peau9 . »

« Le fœtus commence à expérimenter son potentiel. Il peut plier ses membres et se mouvoir.
Il esquisse déjà le traditionnel geste de la succion de son pouce.
Quant à son visage, il est capable d’exprimer certaines mimiques.
Ses sens apparaissent. Son goût, son odorat, son ouïe et son toucher se développent. Il est maintenant capable de ressentir les caresses prodiguées sur votre ventre, tout comme les douces paroles qui lui sont chuchotées10. »

« Sa tête s’est vraiment relevée et son visage est très clairement celui d’un petit humain, d’autant plus que, désormais, les muscles faciaux se contractent et provoquent des mimiques semblables à des expressions. Ainsi, le fœtus arrive à froncer les sourcils et peut même ouvrir la bouche. Il fait aussi bouger ses petits doigts et peut serrer ses poings. S’il s’agit d’une fille, des millions d’œufs bourgeonnent dans ses ovaires (ce sont les follicules). Chez les garçons, le gland et le prépuce sont formés11. »

«Un vrai petit bébé !

À ce stade de la grossesse, le développement de votre bébé est bien visible. Si dans les premières semaines, vous aviez du mal à bien le distinguer, au cours de la 14e semaine, les premiers contours de votre enfant se dessinent assez clairement. En d’autres termes, votre bébé grandit.
Il grandit tellement que son poids tourne maintenant autour de 100 g. Il est aussi lourd qu’une tomate, si vous avez besoin de repères visuels.
Sa taille est de 14 cm. C’est encore petit à vos yeux, mais assez grand tout de même pour donner du volume à votre utérus.
Rien à voir donc avec cette image de « têtard » qui vous était servie pendant les premières échographies.

Vous pouvez à présent nettement distinguer les différents membres de votre bébé ; ses jambes étant plus grandes que ses bras. Quant à sa tête, elle est plus élevée que d’habitude, ce qui lui donne plus l’allure du nourrisson que vous tiendrez dans vos bras d’ici peu !
Par ailleurs, même sous ces airs de fragilité, votre bébé développe déjà certaines facultés “d’adulte”. Il peut ainsi serrer le poing comme un “grand”, avaler la salive et bouger ses lèvres. Il développe même déjà le sens du toucher. Lorsqu’il se cogne à la paroi de l’utérus, par exemple, le futur bébé a un mouvement de recul. Il a déjà quelques réflexes lorsqu’il est confronté à l’inconnu ! Car il ne voit pas encore, mais il sent ce qui l’entoure. De même, il commence déjà à bouger dans tous les sens, même si vous ne pouvez pas encore sentir ses coups de pied12. »

Cerveau :

« À 8 semaines
Le risque de perte du fœtus est fortement diminué au début de cette étape.
À ce stade, toutes les structures majeures, incluant les mains, les pieds, la tête, le cerveau, et d’autres organes, sont présentes, mais ils continuent à se développer et deviennent de plus en plus fonctionnels.
Quand l’étape fœtale débute, un fœtus mesure environ 30 millimètres de long, et son cœur bat déjà. Le fœtus arrive à plier la tête, et effectue des mouvements qui impliquent tout le corps.

Le cerveau montre des signes d’activité dès le 54e jour.13 »

« Une forme de conscience, qui n’est pas nécessairement liée à des perceptions extérieures, pourrait même exister chez le fœtus dès la 24e semaine de gestation, comme le suggèrent certaines expériences sur les grands prématurés14. »

« On sait pourtant que les bases du cerveau de l’embryon sont en place très tôt. Dès la quatrième semaine, le tube neuronal préfigurant le système nerveux s’est formé, et les premiers neurones apparaissent : leur nombre explose vers le quatrième mois pour attendre les 100 milliards, à raison de 5 000 nouveaux neurones par seconde15. »

« Au cours du premier trimestre, le cerveau se développe rapidement et représente près de la moitié du poids du fœtus. À titre de comparaison, au moment de la naissance de votre bébé, le cerveau ne représente que 10 % de son poids corporel. Au cours du premier trimestre, le cerveau développera des millions de neurones, qui se connectent à travers les synapses pour diriger le mouvement et la croissance.
La communication entre les neurones est ce qui aide le fœtus à apprendre à bouger, même si pendant le premier trimestre, vous ne sentirez probablement aucun mouvement.

Au deuxième trimestre, le cerveau fœtal commence à diriger la compression des muscles de la poitrine et le mouvement du diaphragme.
Ce sont un peu comme des respirations d’entraînement et sont contrôlées par le tronc cérébral. La succion et la déglutition commencent vers la semaine 16, et à la semaine 21, le fœtus peut avaler du liquide amniotique16. »

« L’ACPeds passe en revue les preuves de laboratoire et cliniques qui indiquent que dès 12 semaines de gestation (et peut-être plus tôt) l’exposition à des stimuli nocifs affecte négativement les êtres humains immatures.
En raison des réponses au stress aigu qui en résultent et des effets négatifs potentiels à long terme qui en résultent, l’ACPeds soutient qu’éviter, atténuer et traiter directement la douleur fœtale, néonatale et pédiatrique est une obligation médicale et éthique…
Beaucoup se sont demandé si la douleur existe pour les êtres humains neurologiquement immatures.
Bien que cette question puisse être controversée lorsqu’elle est soulevée dans le contexte de l’avortement électif, il existe un consensus scientifique important concernant la neuroanatomie et la physiologie fœtales précoces.
La définition de la douleur ne fait cependant pas l’objet d’un consensus similaire.
Certains soutiennent que pour que la douleur soit ressentie, elle nécessite deux composants, un composant sensoriel et un composant émotionnel/conscient.
2 Si cela est vrai, alors la capacité des êtres humains à ressentir la douleur est limitée de la conception aux deux premières années après la naissance en raison de l’immaturité…
Il y a quatre décennies, le consensus médical était que les bébés ne ressentent pas la douleur.
“Jusqu’à la fin des années 1980, les interventions chirurgicales sur les nouveau-nés étaient principalement réalisées sans anesthésie pour des raisons de sécurité et parce qu’on supposait que le nouveau-né n’était pas suffisamment sophistiqué sur le plan neurologique pour ressentir de la douleur”.
Mais en 1987, le New England Journal of Medicine (NEJM) a publié L’article historique des Drs Anand et Hickey montrant des preuves du contraire. Dans la biologie du nouveau-né. »

En d’autres termes, la question de savoir si la douleur peut être perçue par une personne qui n’a pas encore une conscience mature et consciente a obscurci les preuves réelles que la physiologie d’une personne immature est modifiée par la douleur…
Poussée par les données, la pratique médicale en néonatologie, pédiatrie et anesthésiologie a changé ; aujourd’hui, les bébés nés à terme, prématurés ou opérés in utero reçoivent une anesthésie appropriée…
Les bébés prématurés qui avaient déjà été exposés à une stimulation douloureuse montraient des signes d’être plus stressés lorsque la même procédure était répétée que ceux du même âge gestationnel qui n’avaient pas d’expérience préalable…

Des études humaines in vivo réalisées alors qu’elles étaient encore in utero fournissent des preuves supplémentaires que la stimulation nocive n’est pas bloquée.
Gitau et al ont étudié les réponses de fœtus humains qui ont nécessité des transfusions sanguines in utero.
Les niveaux d’hormones de stress lors de l’accès à leur abdomen pour atteindre la veine intrahépatique (IHV) pour leur transfusion sanguine in utero ont été comparés aux niveaux d’hormones de stress de ceux qui ont reçu leur transfusion par le site d’insertion du cordon placentaire (ICP), un site c’est-à-dire sans innervation.
Des augmentations statistiquement significatives des niveaux d’hormones de stress ont été documentées dans le groupe dont la veine intrahépatique était accessible par l’abdomen, avec des « réponses fœtales d’endorphine B apparentes à partir de 18 semaines de gestation et des réponses de cortisol fœtal apparentes à partir de 20 semaines de gestation… cohérentes avec la maturation de l’hypophyse fœtale avant la [glande] surrénale fœtale »…

Malgré les nombreuses preuves et les changements qui en résultent dans la pratique médicale, la définition de la douleur de l’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP) mise à jour en 2020 continue d’exclure les êtres humains immatures…

Derbyshire et Bockmann sont d’accord, déclarant que la définition de l’IASP « restreint la douleur presque exclusivement aux êtres humains assez matures » et que « les preuves… indiquent une expérience de douleur immédiate et irréfléchie médiée par le développement de la fonction du système nerveux dès 12 semaines…

Il est contraire à l’éthique de nuire intentionnellement à un être humain innocent, quelle que soit sa capacité à percevoir la douleur. Cependant, un grand nombre de preuves scientifiques démontrent que la stimulation douloureuse ou nocive affecte négativement les êtres humains immatures, à la fois avant et après la naissance. Cet article met en évidence à la fois où se situait autrefois la norme de soins pour la gestion de la douleur dans cette population, où elle se trouve maintenant, et les preuves qui sous-tendent les changements17. »

Techniques d’IMG ou d’IVG

« 1. La méthode médicamenteuse au 1er et 2e trimestre
a) Le fœticide18
Il est réalisé et recommandé par le CNGOF à partir de 22-24 SA.(36) (16)
L’injection du produit anesthésique intra cordonale est préférable à l’injection intracardiaque,
car elle est indolore. En cas de difficulté technique pour aborder le cordon, l’injection intracardiaque reste une option.
La narcose est obtenue par un barbiturique, le thiopental (Penthotal®) adapté au poids fœtal estimé (10 mg/kg) associé à un analgésique le Sufentanyl (1 μg/kg).
Le fœticide a proprement dit est ensuite réalisé en utilisant soit du Chlorure de potassium à 10 % (KCl) (5 ml par voie funiculaire, 10 ml par voie intracardiaque) soit de la lidocaïne 1 % 10 à 20 ml en intra cordonale ou en intracardiaque.
c) La gestion en salle de travail
Pour diminuer la durée du travail, une attitude active d’amniotomie est recommandée dès que les membranes sont accessibles, quels que soient le terme et la présentation, et même si le col est encore long et postérieur.

2.1 La technique : le curetage
Elle consiste en une dilatation du col suivi d’une évacuation rapide du contenu utérin.
Indication
C’est une technique rapide qui évite à la patiente de vivre un processus d’expulsion.
Elle est donc la technique de choix pour les IMG du premier trimestre ou, la plupart du temps,
la pathologie fœtale est certaine (aneuploïdie, maladie génétique…) et l’examen fœtopathologique n’apporte pas d’information supplémentaire.

Elle reste possible pour des opérateurs entraînés jusqu’à 18-19 SA.(26).
Cependant, les difficultés techniques augmentant proportionnellement avec l’âge gestationnel du fait du volume plus important du fœtus et notamment de son pôle céphalique, la plupart des équipes préfèrent l’induction médicamenteuse passé le terme de 14 SA.

Une bonne préparation cervicale est indispensable afin d’obtenir une dilatation suffisante et de réduire les difficultés d’extraction.
L’anesthésie générale est préférée à la loco régionale.
Après rupture artificielle des membranes, l’extraction se fait à la pince à faux-germes, sous guidage échographique. On peut aussi utiliser une curette pour extraire des fragments fœtaux.
Inconvénients :
Elle ne permet pas au couple de voir le corps du fœtus et ne permet pas non plus d’analyse fœtopathologique du fait du morcellement. Cette technique n’est donc envisageable que si l’examen fœtopathologique n’est pas nécessaire pour le diagnostic…


1.1 Enfant né sans vie

L’état civil
La déclaration à l’état civil n’est pas obligatoire dans le cas des enfants nés sans vie. Elle dépend de la volonté des parents.
Elle n’est cependant possible qu’à partir de 15 SA (ceci excluant alors les IVG et les fausses couches précoces19).
1.2 Enfant né vivant puis décédé : cas de l’accompagnement palliatif.

1.3

L’équipe de Rennes de Mr. Chappé publie en 2015 un article portant sur l’IMG sans fœticide ou 7 centres en France sur 37 participants rapportent leurs expériences de “l’accompagnement palliatif”.
Cet article suscite une vive réaction de la part du bureau Fédération française des centres pluridisciplinaires de diagnostic prénatal.
L’équipe de Mr. Jouannic rappelle en effet que cette situation doit rester de l’ordre de l’exceptionnel et que cette demande parentale ne peut être acceptée que si la pathologie et le terme assurent un décès au cours ou au décours rapide de la naissance, après discussion en staff CPDPN et validation auprès de l’équipe médicale20.(61) »

« Consultations avant l’acte d’IMG
Consultation d’anesthésie…
En fin de consultation, une procédure ayant l’accord du couple sera consignée sur la feuille d’anesthésie comportant notamment la réponse à ces quatre questions :
* Désir d’analgésie : Oui/Non,
* Désir de Péridurale et PCEA : Oui/Non,
* Désir de sédation pour le fœticide : Oui/Non,
* A priori désir d’anesthésie générale d’expulsion : Oui/Non,

Recommandations obstétricales
* 1er Trimestre (< 14 SA)
        * Technique médicale (à privilégier si examen fœto-pathologique souhaité)
                * Expulsion spontanée,
        * Technique chirurgicale
                * Aspiration sous anesthésie générale

* De 14 à 22 SA,
        * Rupture artificielle des membranes dès que possible,
        * Expulsion spontanée,
* Après 22 SA

        * Foeticide
        * Rupture artificielle des membranes dès que possible
        * Délivrance dirigée21. »

Lien vers un site américain anti-avortement montrant des photos de fœtus avortés. J’invite les personnes sensibles à ne pas regarder, chacun est libre de consulter le site ou pas.
De plus je ne suis pas en capacité de prouver si ces photos sont véridiques ou pas.
Enfin je ne suis en rien responsable des publications de ce site22.

Alain Tortosa23.

25 novembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221125-projet-loi-avortement-constitution.pdf




Comment l’argent de Bill Gates et de FTX a acheté le silence scientifique

[Source : aubedigitale.com]

Par Jeffrey A. Tucker Jeffrey A. Tucker

Avec du recul, il est tout à fait étrange que le monde de la science ait pu rester si silencieux alors même que le monde se verrouillait et que des milliards de vies étaient brisées par les gouvernements du monde entier. Le silence était assourdissant. 

Nous sommes passés d’une lettre du 2 mars 2020 signée par 800 experts en santé publique associés à l’université de Yale – qui mettait en garde contre les quarantaines et les fermetures – à une étrange disparition de presque toutes les voix claires quelques semaines plus tard. Et les choses en sont restées là pendant la majeure partie de deux ans.

Les gouvernements ont été autorisés à créer un vaste carnage sur la base d’une expérience inédite n’ayant absolument aucun précédent dans l’histoire et aucune littérature scientifique ne l’étayant. Même le plan de lutte contre la pandémie de l’Organisation mondiale de la santé ne prévoyait rien de tel que le confinement comme solution à un agent pathogène répandu. À l’époque, il était évident pour moi et pour d’autres que ce silence n’était pas dû à un large accord avec les politiques mais à quelque chose d’autre.

Ce quelque chose, malheureusement, c’était l’argent.

Nous découvrons de plus en plus le rôle accru que la bourse de crypto-monnaies FTX a joué dans l’acheminement de l’argent vers les principaux avant-postes de santé publique et les universitaires des universités Johns Hopkins et Stanford, ainsi que ses liens familiaux avec le département de santé publique de l’université Columbia. Et avant l’ouverture de ce robinet de financement, il y avait la Fondation Gates, qui était clairement passée d’une recherche apparemment non partisane à un soutien total aux confinements.

[Voir aussi :
Les responsables de la santé admettent que Bill Gates dirige le monde
Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges — Bill Gates est aux commandes »
Coup d’État furtif de l’OMS pour dicter le programme de santé mondial de Gates et Big Pharma
Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma
Le monstre de la vaccination GAVI : immunité juridique totale !
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !]

Bien sûr, il n’y a pas une seule explication à ce désastre. L’ensemble de la profession avait déjà été infecté par le virus intellectuel du rationalisme mécaniste et de la modélisation. L’idée était qu’il suffisait d’assembler quelques mathématiques et équations et de laisser l’ordinateur prendre le relais pour obtenir une image de l’évolution de la maladie selon divers scénarios. Ces modèles sont facilement manipulables par de petites modifications des variables.

Deborah Birx s’est entièrement appuyée sur ces modèles pour obtenir de l’administration Trump le feu vert pour le confinement. Et il n’y a plus aucun doute sur cette histoire maintenant que le compte Twitter de Trump est à nouveau vivant. La fin de la censure nous permet de voir comment il a été poussé à rejeter ses meilleurs instincts et à adopter au contraire une politique de confinement, non seulement pendant deux semaines, mais aussi pendant les mois qui ont suivi, jusqu’à critiquer le gouverneur Brian Kemp de Géorgie pour une ouverture que Trump considérait comme « trop précoce. »

(Pour l’anecdote, la restauration du compte de Trump nous permet également de voir que ses deux derniers tweets exhortaient tous les manifestants du 6 janvier 2021 au Capitole à rester pacifiques et à respecter le bleu. Il n’est pas étonnant que l’ancien régime de Twitter ait voulu bloquer son compte et le faire disparaître).

Après avoir étudié de près cette trajectoire, il semble impossible de négliger les motifs politiques ici. Il ne fait aucun doute que de nombreuses élites, en de nombreux endroits, se sont déchaînées au point d’être prêtes à écraser l’ensemble de la société et même à renoncer à deux ans d’éducation pour les enfants afin de chasser Trump du pouvoir. Le complot consistait à l’amener à faire lui-même l’appel initial en lui racontant des mensonges sur la gravité du virus et l’efficacité des confinements. Il ne fait aucun doute qu’il a été trompé.

Cependant, en plus de ces facteurs, on ne peut négliger les facteurs financiers. Il est clair que les subventions accordées à l’époque et pendant les deux années suivantes étaient clairement en faveur des confinements et du Parti démocrate, ainsi que des médias d’élite et de leur ligne narrative selon laquelle l’ouverture équivaut à la mort et les confinements/port de masques/obligations relèvent de l’esprit public.

Un grand nombre de scientifiques qui auraient pu et dû s’exprimer se sont tus ou, pire, ont prêté leur voix pour soutenir le scandale. Cela s’explique en grande partie par le mode de financement de la science au niveau universitaire. Il s’agit d’obtenir la prochaine subvention. C’est tragique, mais il y a là une forte motivation à formuler ses opinions d’une manière qui ouvre la voie à de futures sources de financement.

C’est pourquoi il n’est pas nécessaire que chaque scientifique vendu reçoive des fonds directs de Gates, FTX ou de l’industrie pharmaceutique. Pour contrôler tout un secteur de l’opinion, il suffit de faire courir le bruit qu’une source de financement est là, avec d’innombrables millions, et qu’elle est prête à passer à la caisse.

En conséquence, même les personnes les plus intelligentes et les plus crédibles peuvent être facilement mises au pas. Et il ne fait aucun doute que FTX a rapidement acquis la réputation d’être en quelque sorte préoccupé par la « planification de la pandémie » et que l’ensemble de l’industrie s’est aligné, la main dans le sac. Après tout, FTX a promis 100 millions de dollars de subventions !

C’est pourquoi, selon le Washington Post :

« L’onde de choc de la chute libre de FTX s’est propagée dans le monde de la santé publique, où de nombreux leaders de la préparation à la pandémie avaient reçu des fonds des bailleurs de fonds de FTX ou cherchaient à en obtenir. »

La partie recherche est essentielle ici. Mais la piste de l’argent l’est tout autant. Le FTX a financé les dernières étapes des plus grands essais de thérapies réadaptées pour le COVID. D’innombrables vies étaient en jeu dans ces essais. De nombreux médecins du monde entier avaient obtenu d’excellents résultats dans des circonstances difficiles grâce à des médicaments génériques tels que l’HCQ, l’Ivermectine, la fluvoxamine et d’autres, en particulier lorsqu’ils étaient utilisés avec d’autres vitamines et du zinc. Il était crucial de les tester.

Les résultats ont été soutenus par un blitz médiatique prévisible : ces thérapeutiques ne fonctionnent pas. Entre-temps, l’étude a été sévèrement critiquée, non seulement pour la mauvaise construction de l’étude, mais aussi pour les conflits d’intérêts des chercheurs de haut niveau qui ont également consulté des sociétés pharmaceutiques.

Tout cela est très important, car on a le sentiment que la raison pour laquelle les Instituts nationaux de la santé, la Fondation Gates et les grands médias ont négligé la thérapeutique, en dénigrant tous ceux qui suggéraient qu’il y avait peut-être une meilleure solution, pourrait être liée à la motivation économique de la fermeture des alternatives bon marché aux vaccins.

Le journaliste indépendant Alexandros Marinos a retracé la chronologie de l’étude :

La Fondation Gates a été la première à intervenir, suivie de Rainwater et de FastGrants. FastGrants est un programme établi par la Fondation Charles G. Koch qui a également fini par donner de l’argent au modélisateur Neil Ferguson de l’Imperial College, qui a été le premier à faire la propagande du confinement au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. FTX a calqué son propre programme d’octroi de subventions sur FastGrants, puis a repris le financement plus tard dans le processus. (Il y a une ironie suprême ici : le mensonge partout sur internet était que la Déclaration de Great Barrington était financée par Koch, alors qu’en fait ce flux d’argent allait à l’opposition !).

En outre, le Post note que FTX « a accordé 1,5 million de dollars au Center for Innovation in Global Health de l’Université de Stanford en juillet pour des subventions de démarrage destinées à « catalyser la recherche et les innovations qui préparent et aident à prévenir la prochaine pandémie ».

Également :

« Les engagements du Future Fund comprenaient 10 millions de dollars à HelixNano, une start-up de biotechnologie cherchant à développer un vaccin de nouvelle génération contre le coronavirus ; 250 000 dollars à un scientifique de l’Université d’Ottawa cherchant comment éradiquer les virus des surfaces en plastique ; et 175 000 dollars pour soutenir l’emploi d’un récent diplômé de la faculté de droit au Johns Hopkins Center for Health Security. »

Nous ne savons pas combien d’argent Gates/FTX a donné au Center for Health Security de JHU (qui avait sponsorisé l’événement 201), mais c’était suffisant pour que le directeur du centre, Tom Inglesby, revienne complètement sur sa position antérieure contre les confinements pour en devenir un grand défenseur.

« Dans l’ensemble, le Future Fund [FTX] était une force du bien », a déclaré Inglesby au Post. « Le travail qu’ils faisaient essayait vraiment d’amener les gens à penser à long terme… à renforcer la préparation à la pandémie, à diminuer les risques de menaces biologiques. »

Suivre la piste de l’argent de FTX jusqu’à l’établissement de la santé publique révélera sans doute davantage d’informations, surtout si l’on considère que Gabe, le frère de Sam Bankman-Fried, dirigeait une organisation de lobbying entièrement consacrée à la « planification des pandémies. »

Il ne fait aucun doute que toute cette machine est devenue un mastodonte industriel en deux ans. Lorsque j’ai lancé le Brownstone Institute, mon téléphone et mes e-mails ont commencé à exploser d’offres d’argent et de financement, mais toujours avec une condition. Je devais connecter nos scientifiques avec leur réseau de scientifiques dans un système déjà établi.

Il n’y avait aucun doute dans mon esprit sur ce qui se passait : On me demandait de jouer le jeu en échange de gros chèques pour faire fonctionner cette jeune organisation à but non lucratif. D’une certaine manière, cela m’a étonné : On m’offrait un chemin vers la richesse à condition que je vide la mission de son contenu ! Et cela se passait avant même que nous ayons publié la moindre de nos recherches !

Donc, oui, j’ai vu comment ce système fonctionne de première main. Bien sûr, j’ai complètement rejeté l’idée, tout simplement parce qu’y adhérer aurait été contraire à l’objectif premier de la création d’un institut. Et pourtant, mes interlocuteurs présumaient qu’il ne s’agissait là que d’un autre racket dans un espace qui en regorgeait et que je serais heureux de renoncer à tous mes principes en échange d’un financement généreux. Je ne l’ai jamais envisagé, même un seul instant.

Il y a une tragédie grotesque dans tout cela. De grandes personnes ont renoncé à tous leurs principes et à leur intégrité en échange de subventions et de graisses de la part de gros bonnets qui ont utilisé leur argent et leur pouvoir pour détruire le monde en deux ans, et ils ont pu le faire avec très peu d’opposition professionnelle. Et pourtant, nous en sommes là aujourd’hui. Qui sont les véritables stars du monde scientifique aujourd’hui ? Pas ceux qui sont à la remorque de Gates/FTX. Ce sont les hommes et les femmes qui ont pris leur courage à deux mains pour faire ce qui est juste.

Traduction de The Epoch Times par Aube Digitale




Le collectif ou l’humain ?

Les personnels non vaccinés et la voix de la « raison »

(Traces « éventuelles » de complotisme et de second degré dans le texte.)

Qui n’est pas horrifié par toutes ces personnes qui ne pensent qu’à leur petit confort ?
Le Covid aurait dû réveiller les consciences, mais il a été un révélateur d’une insouciance et d’une inconscience coupable.

Comment peut-on encore se réclamer des « droits de l’homme » ou du « droit de chacun à disposer de son corps » en ce début de 21e siècle rayonnant, tout en ignorant les dangers qui nous guettent ?

Ne serait-il pas temps d’oublier les slogans de mai 68 qui dénotaient un égoïsme et un individualisme forcené ?

Que dire de ces parents déconnectés de la « réalité » qui ne voulaient pas que leurs enfants portent un masque.
Au nom de quoi :

  • D’un prétendu droit à respirer librement ?
  • D’un prétendu risque sur la santé que ferait courir ce qu’ils nomment un préservatif facial ?
  • De problèmes d’apprentissage, de gestion des émotions, de dépressions ou de tentatives de suicides ?

Mais ressaisissez-vous !
Qu’est-ce que ces problèmes rarissimes ou imaginaires comparés au risque qu’ils faisaient et font encore courir aux adultes et à nos aînées ?!

Est-ce la société que nous voulons ?

Une société dans laquelle les enfants ne devraient surtout pas sacrifier
leur petit confort pour protéger les anciens.

Vous, oui vous les parents irresponsables, qu’avez-vous dit à votre enfant coupable d’avoir tué ses grands-parents dans la force de l’âge ?
Pourtant, c’est bien vous, parents, les coupables, coupables d’avoir fêté Noël avec eux au lieu de les parquer dans la cuisine, coupables de ne pas avoir porté de masque pendant le repas et coupables d’avoir laissé vos enfants les embrasser !

Ah ! vous me dites qu’ils voulaient serrer dans leurs bras leurs petits enfants, qu’ils étaient enfermés depuis des mois dans leur EHPAD, qu’ils ne voyaient personne, que les visages des personnels étaient masqués, qu’ils déprimaient, n’avaient pas le droit de se rendre dans le jardin, etc.
La belle affaire !
C’est vous les parents, c’était à vous de les protéger, d’imposer le masque jour et nuit à vos enfants.

Qui va vivre désormais avec la culpabilité d’avoir tué leurs grands-parents, c’est bien vos enfants, non1 ?

La liberté de l’individu doit s’effacer au nom du collectif en toutes circonstances !

Voulons-nous d’une société communiste d’entraide obligatoire pour le bien de tous ou pas ?

Les personnels non vaccinés

Je parle un peu durement, mais je vous avoue que c’est pour cacher ma colère vis-à-vis des soignants non vaccinés.

Rendez-vous compte ! Des soignants, des personnels qui sont là pour prendre soin des plus fragiles et qui refusent une petite piquousette !
Ma pensée est bien entendu la même concernant les pompiers qui ont fait de même au mépris de toute vie humaine.

Ah ils ont beau jeu de nous parler de serment d’Hippocrate, de consentement libre et éclairé ou de « Primum non nocere ».

Je suis d’accord, mais dans notre société ce qui compte avant tout c’est le :

En premier lieu, ne pas nuire aux autres !

La santé de chacun doit passer après la santé du groupe si nous voulons faire société.

Celles et ceux qui s’y opposent doivent bien évidemment être exclus pour maltraitance collective !

Maltraitance, maltraitance, je devrais plutôt dire « comportements criminels ».

Le passe vaccinal est souhaitable et moral et il en sera demain de même du passe carbone.

Les égoïstes en bonne santé, asymptomatiques, qui refusaient le masque et la vaccination Covid seront les mêmes qui refuseront de rester chez eux, de se chauffer à 19 °C maximum, renoncer à leur liberté de mouvement ou d’acheter une voiture électrique pour sauver la planète.

Il n’est pas acceptable, par des comportements égoïstes et irresponsables,
de répandre la mort au nom d’une prétendue liberté.

J’en reviens donc à ces soignants et pompiers criminels qui n’ont pas hésité à tuer pour ne pas se vacciner.

Quels sont leurs arguments fallacieux ?

  • Un prétendu droit à disposer de son corps arguant qu’une vaccination ne peut être défaite.
  • Une prétendue absence de recul quant aux éventuels effets secondaires alors que des milliards de personnes sont vaccinées et que tout va bien.
  • Une prétendue inquiétude quant à la technologie novatrice à ARNm et la prétendue utilisation de graphène.
  • Une prétendue absence d’efficacité contre la contagion alors même qu’il ne pouvaient disposer d’aucune preuve de non-efficacité, cela ayant été confirmé récemment par un représentant de Pfizer précisant que cela n’avait jamais été testé.

Nous voyons bien que ces arguments ne font pas le poids au regard de la mortalité terrible de ce Covid pour lequel il n’existe toujours pas de traitement efficace.

Je vous rappelle que d’un point de vue légal, aucun vaccin n’aurait pu voir le jour s’il y avait eu des traitements au moins aussi efficaces que ces vaccins…

Le fait que l’on ait dépensé des milliards pour les mettre au point alors que l’on aurait pu utiliser
des médicaments génériques est bien la « preuve » qu’aucun traitement ne pouvait fonctionner.

Il y a un autre point que ces soignants complotistes n’arrivent pas à appréhender.

C’est parce que le masque protège, que les gestes barrières protègent,
que l’aération des locaux protège, que le lavage des mains protège et que le vaccin protège.
Pour toutes ces raisons, le soignant DOIT AUSSI faire de même,
au risque de mettre en danger le malade protégé, masqué et vacciné.

N’importe quel primitif pourrait comprendre.

Réintégrer les personnels non vaccinés ?

J’en entends des absurdités, mais celle-ci est totalement délirante.
Je veux bien être bon prince et que l’on réintègre celles et ceux qui reconnaîtraient leur faute sur la place publique en reprenant le parcours vaccinal de la première à la cinquième dose…

Encore faudrait-il que l’on nous explique si les soignants doivent d’abord prendre 3 ou 4 doses du vaccin pour la souche qui n’existe plus puis prendre le bivalent pour une souche plus récente qui n’existerait pas non plus.
Mais si les soignants non vaccinés n’ont pas obligation de se faire injecter le vaccin bivalent, pourquoi les non-vaccinés le devraient-ils ?
Mais si les non-vaccinés n’ont pas obligation de se faire injecter le bivalent pourquoi devraient-ils être vaccinés pour une souche qui a disparu depuis longtemps et qui ne protège pas ou plus ?

Quoiqu’il en soit, ce n’est pas le problème, ils doivent se soumettre à l’obligation même si elle est incompréhensible, point final.

Quant aux autres, ceux qui veulent persister dans leur crime, pourquoi devrions-nous les réintégrer ?

Le Président de la République a confié au ministre de la Santé la décision de les réintégrer ou pas, ministre nommé par le 1er ministre, lui-même nommé par le Président.
Dans sa grande sagesse le ministre de la Santé a dit que sa décision reposerait sur le conseil de la Haute Autorité de la Santé, organisme totalement indépendant s’il en est, dont le directeur est nommé par le Président de la République.
Il n’y a donc strictement aucun doute sur le fait que les recommandations de la HAS seront déconnectées de toute pression politique.

Revenons si vous le voulez bien au fond du problème.

On dit ici et là que le Covid est derrière nous alors que nous allons entamer la 8e vague, comme le temps passe…
On dit ici et là que le vaccin ne protégerait pas de la transmission.
Mais quand bien même il ne la bloquerait qu’à 0,3 %, c’est déjà 0,3 % de gagné et comme en plus le produit semble 100 % sans danger, à quoi bon hésiter.

Je vous rappelle que les autorités de santé avaient décrété à juste titre que le rapport bénéfice vs risque pour les enfants était positif quand bien même le risque n’avait pas été évalué spécifiquement pour eux.
Ce qui est logique, le produit étant inoffensif pour les adultes, les enfants étant des mini adultes, il va de soi qu’il était sans danger aussi pour les enfants.
Et quand bien même le risque d’avoir une forme grave pour un enfant en bonne santé était quasi nul, le rapport bénéfice risque était donc positif pour les enfants.
(Le risque est QUASI nul. Il y a donc un risque, et comme le produit est sans danger, CQFD).

Quid de la morale ?

Nous avons de bons soignants qui se sont spontanément injectés par devoir et qui devraient reprendre le travail avec ces monstres d’égoïsme ?

C’est comme si ces non-vaccinés portaient un tee-shirt en salle de soin « rien à branler des autres ».

Vous imaginez l’exemple délétère pour notre belle jeunesse qui a été la première à se masquer et à renoncer à ses interactions sociales pour sauver leurs grands-parents qui seraient par la suite assassinés par des personnels non injectés ?!

Et puis, vous pensez un peu aux patients qui devraient avoir affaire à ces inconscients.

Si vous les réintégrez sans signe distinctif alors les malades vont vivre dans l’angoisse permanente.

« Cette infirmière qui s’approche de moi, qui me soigne,
est-elle vaccinée ou risque-t-elle de me donner la mort ? »

Vous imaginez l’enfer de leur séjour à l’hôpital, un risque d’être tué pendant son sommeil ?

Il existe une alternative qui consisterait à obliger
les soignants non vaccinés réintégrés à porter une blouse jaune.

De fait tout un chacun serait informé de la dangerosité de la personne qui s’approcherait d’elle.

Cette technique éprouvée et séduisante a pourtant ses limites.

Quelle personne saine d’esprit (soignant ou malade vacciné) accepterait
d’être approchée par un non-vacciné ?!

Attendez, je m’emballe.

Vous et moi savons que les hôpitaux sont saturés par les non-vaccinés, bien évidemment.
Vous n’allez quand même pas croire les complotistes qui disent n’importe quoi.
Les médecins qui étaient invités (une fois) puis réinvités (des dizaines de fois) nous disaient bien que seuls les non-vaccinés saturaient leur service.

De fait il y a pléthore de non-vaccinés dans les services qui, débilité oblige, préfèrent être soignés par des non-vaccinés.
Vous voyez où l’extrémisme, la folie devrais-je dire, peut vous amener… attendez ils pourraient même refuser d’être touché par un soignant vacciné !
Ce que je peux vous dire c’est que ce type de complotistes allumés existe et j’en connais.

Il existerait donc une solution parce que nos dirigeants et nos soignants demeurent bons par nature.

J’ai entendu ici ou là quelques colères légitimes de soignants.

« On se casse le cul à sauver la planète de la pandémie,
au début on avait des blouses en sac poubelle,
on a maintenant un vaccin efficace et inoffensif
et ces irresponsables de non-vaccinés vont tout foutre en l’air !
À cause d’eux, on va être obligé de laisser mourir des gens biens (vaccinés)
du fait de la saturation des services par les non-vaccinés. »

De fait, « Laisser crever les non-vaccinés » semblait une hypothèse séduisante et morale.

Je reviens donc à mon idée.
Les non-vaccinés étant légions, il ne serait que justice d’ouvrir dans chaque hôpital un service réservé aux non-vaccinés.
Ce qui n’aurait que des avantages :

  • Permettre aux soignants non vaccinés d’être réintégrés et de s’occuper de ces sous humains.
  • Permettre aux malades et aux soignants vaccinés de ne pas les côtoyer (attention, il faudrait quand même garder la blouse jaune aux soignants non vaccinés et un logo canard jaune pour les malades non vaccinés afin d’éviter tout accident).
  • Permettre aux non-vaccinés de ne pas côtoyer des soignants vaccinés.

Bref du merveilleux pour tout le monde :

Une société inclusive, mais avec des castes.

Aucune indulgence pour les criminels

Certaines voix timides et bien heureusement muselées par les médias sociaux ou la presse mainstream s’élèvent pour « alerter » sur la situation des personnels non vaccinés.

« Les pauvres, ils n’ont plus le droit de travailler depuis plus d’un an. »
« Les pauvres, ils ne touchent plus aucun salaire. »
« Les pauvres, ils n’ont pas droit au chômage. »
« Les pauvres, ils vivent dans une incertitude totale. »

et patati et patata…

Mais pourquoi devrions-nous nous en émouvoir ?
Ils l’ont bien cherché !
Ce n’est pas moi qui les oblige à ne pas travailler, c’est eux qui refusent !

La preuve ?
Il suffit qu’ils remplissent leur devoir, se vaccinent, et ils peuvent recommencer à travailler dès demain !

Ils payent leur obstination et leur manque de civisme et ce n’est que justice.

De toutes les façons, nous voyons bien qu’ils n’ont rien à faire dans cette profession.
Leur égoïsme intégriste prouve à quel point ils ne pensent qu’à eux et que le bien être du patient passe bien après.

Attendez l’autre jour, j’en ai entendu une oser dire « j’ai refusé de vacciner mes patients pour les protéger. »
Elle se fait passer pour une bonne personne arguant qu’ils n’avaient pas reçu « une information juste et exhaustive » et que leur état de santé ne leur permettait pas de donner un « consentement libre et éclairé ».
C’est n’importe quoi !

Il est du devoir de l’État et des soignants de protéger les plus faibles y compris d’eux-mêmes.

Seuls l’État et son bras armé, les soignants, savent
ce qui est bon pour la population et les malades.

Un bon soignant n’a pas la connaissance, l’intelligence, le savoir pour prendre les bonnes décisions, raison pour laquelle les instructions doivent venir d’en haut.

Un bon soignant est là pour obéir, fermer sa gueule
et suivre à la lettre les protocoles.

En l’occurrence, protéger autrui, c’est lui injecter le vaccin Covid quand bien même il est expérimental.

Je ne comprends pas pourquoi il y en a qui n’ont toujours pas démissionné,
Ce geste aurait un minimum de noblesse pour ce qui leur en reste.

La « souffrance » des soignants ?

Nous avons de nombreux témoignages de personnels non vaccinés qui n’en peuvent plus.
Je viens d’apprendre le décès de l’une d’entre-elles qui « se serait suicidée ».

Même si nous ne pouvons pas affirmer que sa suspension en est la cause principale, il nous est impossible de nier que cela aura été de nature à dégrader son état psychologique.

Est-ce à dire que ce que nous pourrions nommer leur interdiction d’exercice et sans salaire une « torture mentale » à leur encontre ?
Notamment le fait qu’ils n’aient aucune projection… « Vais-je être réintégré, vais-je être licencié, cela va se poursuivre combien de temps ? »

Cela pose un problème.

Nous avons vu que l’intérêt du collectif DOIT passer avant l’intérêt de l’individu.

Il ne s’agit pas ici de dire si les mesures prises sont bonnes ou pas, là n’est pas le sujet.

Quand bien même la vaccination serait efficace,
quand bien même le vaccin serait sans effet secondaire,
cela est-il une donnée nécessaire et suffisante
pour imposer la vaccination et suspendre les non-vaccinés ?

Une société qui prône le collectif avant l’individuel ne doit pas se poser cette question !

Imaginez une inondation avec une digue qui a cédé, ce qui pourrait entraîner une coulée de boue pouvant tuer potentiellement 10 000 personnes.
Par « miracle » une voiture s’encastre dans le trou et fait barrage protégeant ainsi la vallée.
Malheureusement il y a dans la voiture une famille avec 3 enfants, dont un bébé de 6 mois.

Ils vont se noyer de façon certaine avec la montée des eaux.
Le seul et unique moyen de les sauver est d’hélitreuiller l’auto avec ses occupants.
Si cela est fait alors la famille est sauvée, mais une coulée de boue risque de tuer 10 000 personnes dont des enfants en bas âge.

Que faites-vous ?

  • Si vous raisonnez en termes de collectif la question ne se pose pas, on laisse la famille se noyer sous nos yeux et le crépitement des flashs des journalistes.
  • Si vous êtes dans l’auto ou de la famille des occupants, vous seriez plutôt pour que l’on vienne les sauver ou au moins les enfants.
  • Si vous êtes dans la vallée, l’idée d’enlever l’auto et de sauver ses occupants ne vous tente guère.

Bien entendu l’idéal serait de sauver tout le monde, mais ce n’est pas toujours possible.

J’en reviens donc aux soignants et en particulier à ce drame
de cette mère qui laisse derrière elle
des enfants en bas âges devenus orphelins « pour le collectif ».

Si nous ne l’avions pas suspendu, on peut raisonnablement supposer qu’elle n’aurait pas mis fin à ses jours et raisonnablement supposer que ses enfants ne seraient pas orphelins.
Est-ce un simple « dommage collatéral » ?

Vous me direz que pour eux le drame est déjà écrit, mais quid des autres ?
Quid de tous ces pères ou mères qui n’en peuvent plus et dont certains vont peut-être passer à l’acte ?
Ils sont comme cette famille dans l’auto.

S’il y avait toujours le Covid, si le vaccin était efficace, s’il avait une mortalité importante, s’il n’y avait pas de traitements ou de possibilités de protéger les plus faibles autrement, si, si, alors on pourrait peut-être se poser la question.

Doit-on suspendre les non-vaccinés au risque de… ?
Ou
doit-on les laisser exercer et voir ce que l’on peut faire autrement ?

Je vous rappelle que depuis l’obligation vaccinale
un médecin n’a même pas le droit de faire de la télémédecine.
Des administratifs non vaccinés qui ne voient jamais les patients sont aussi interdits de travail.

Où est l’intérêt collectif ?

Enfin toutes les affirmations précédentes sur le Covid n’ont pas (ou plus) lieu d’être.
Cela veut dire que ces personnels ne sont pas ou plus une menace pour la société.

Doit-on les pendre en primetime pour l’exemple ?
Doit-on laisser leur corps pourrir et bouffé aux corbeaux pour que lorsque le problème de vaccination obligatoire se posera à nouveau, les soignants soient bien conscients de ce qui les attend s’ils refusent ?

Je vous laisse méditer.

Merci

Alain Tortosa2

23 novembre 202
https://7milliards.fr/tortosa20221123-collectif-ou-individu-obligation-vaccinale.pdf





Qu’est-ce que l’éthique en médecine ?

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

Jusqu’à récemment l’éthique en médecine semblait concerner le respect du serment d’Hippocrate, le respect des conventions signées par la France comme la convention d’Oviedo, le respect du consentement éclairé. L’académie de médecine nous avait déjà surpris en juillet 2022 en disant que ne pas CROIRE en la science ne serait pas éthique… La religion scientiste et son intolérance inquisitoriale pointaient déjà le bout de son nez…

Est-ce éthique de faire soigner les hospitalisés par des soignants malades sous prétexte qu’ils ont accepté une injection expérimentale qui ne les empêche pas d’être contaminants ? Ou bien de respecter la liberté de choix de tout citoyen y compris celle des Blouses blanches qui ne sont pas des antivax (ils ont tous été vaccinés dans le passé et ont, presque tous, largement vacciné leurs patients) et qui sont généralement mieux informés que nos dirigeants de la balance avantages/risques des médicaments mis à leur disposition ?

On est interloqué par la prise de parole du nouveau ministre sur la réintégration des soignants :

« la réintégration des soignants non vaccinés au Covid-19 reste à ce stade en suspens. Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, le ministre Braun a assuré qu’il rendrait son avis dans les mois à venir. Mais il prévient : cette situation pose deux problèmes, l’un sanitaire, l’autre d’“éthique professionnelle”.

« Accepte-t-on que des gens qui ne sont pas suffisamment protégés soient à proximité des gens les plus fragiles ? » Voilà la question soulevée par le ministre pour ce qui est de l’ordre sanitaire. « On meurt encore du Covid, tous les jours en France »

Lequel s’est ensuite longuement arrêté sur le second aspect, celui du « problème d’éthique professionnelle ».

Le même qui est « revenu » au ministre (une rumeur) « aussi par les soignants qui se sont fait vacciner », ont « tenu la ligne pendant deux ans » et ne comprendraient visiblement pas que leurs collègues non vaccinés puissent faire leur retour.

Pour démêler ce nœud, François Braun a expliqué avoir saisi la Haute Autorité de Santé, notamment sur la question des vaccinations obligatoires, ainsi que le Conseil national d’éthique. Ce n’est qu’en possession de ces deux avis que le ministre prendra sa décision, d’ici plusieurs mois.

Dans ce contexte, François Braun a aussi tenu à préciser que la situation ne concerne en vérité que « très peu de médecins » et « 1 050 infirmiers sur les 300 000 ». Il l’a donc assuré : ce n’est pas avec leur retour « qu’on va résoudre les problèmes de l’hôpital ».

Il est ahurissant de lire ces lignes semblant démontrer que le ministre est pour le moins mal informé1, en refusant l’hypothèse qu’il nous mentirait sciemment.2

Non, Mr le ministre, l’injection expérimentale ne protège pas du covid, voire rend plus fragile puisque tous les pays vaccinés sont beaucoup plus contaminés que ceux qui ont refusé la pseudovax de masse. Chacun en fait l’expérience avec ses proches injectés qui font un « covid » après chaque injection et le repasse généreusement à toute la famille. Non cette injection n’a jamais protégé personne comme la littérature internationale et les données officielles de l’OMS le démontrent abondamment.

Le même ministre qui prononce cette phrase : « Accepte-t-on que des gens qui ne sont pas suffisamment protégés soient à proximité des gens les plus fragiles ? » autorise les soignants injectés malades du covid « légèrement » à travailler… De qui se moque-t-on ? Les ARS n’en ont-elles pas averti le ministre ? Il est peu probable qu’un directeur d’hôpital autorise de son propre chef les soignants malades du covid même « légèrement » symptomatiques à approcher les patients, sans l’aval du directeur d’ARS, le grand manitou.

Le ministre a dit :

« On meurt tous les jours en France du covid ».

D’une part, les chiffres déclarés à l’OMS sont très bas avec une moyenne inférieure à 70 patients par jour déclarés covid, donc bien inférieurs par exemple à la mortalité des cancéreux de l’ordre de 500 par jour. De plus faudrait-il encore que ces morts affichés du covid ne soient pas simplement des morts d’autre chose AVEC le covid, et d’autre part que ce covid ne soit pas de fait un spike protéine syndrome, complication de plus en plus connue de l’injection et évidemment contagieuse3.

Pour affirmer ses dires, le ministre devrait exiger de ses services que soient communiqués au public les chiffres de mortalité covid19 chez les vaccinés en fonction du nombre de doses reçues, et chez les non vax. Pourquoi ce refus de transmission des résultats que communiquent les autres pays aux citoyens ?

On peut lire sur Telegram ce tweet hallucinant :

« Braun ment, il n’existe aucune statistique covid sur les morts :

Christine Cotton OFFICIEL (@StatChrisCotton) a tweeté à 4:14 PM on dim., nov. 20, 2022 :

Réponse EFFARANTE de la CADA commission accès aux doc administratifs au Pr Toubiana

Il n’existe aucune donnée relative au statut vaccinal covid des personnes décédées ?

Comment font-ils leurs études PROUVANT que le vaccin ⬇️la mortalité ?4

Mais Christine Cotton affirme :

« Une étude de plus qui prouve que le statut vaccinal des personnes décédées est bien disponible » 5

Le deuxième point abordé par le ministre est l’éthique. Parlons-en. Qu’est-ce que l’éthique médicale ?

On peut lire la définition du Larousse :

Les règles déontologiques, édictées dès le Ve siècle av. J.-C. (serment d’Hippocrate), en appellent aux notions de compétence, de générosité, de dévouement, de désintéressement et de secret médical. Les règles morales protègent le malade de la dérive que pourraient introduire en ce début de xxie siècle les grandes évolutions des sciences de la vie…6

Ou encore la mise au point du Pr Régis dans un journal féminin en juillet 2022 pour les citoyens 7 :

« Les lois permettent de maintenir des limites, des interdits, car ce qui est admissible pour un individu ne l’est pas forcément pour la société.

On parle d’éthique médicale lorsque les acteurs de la santé sont confrontés à la question des limites du supportable, de la vie ou encore du savoir”, 8

Quels sont les principes de l’éthique médicale ?

L’éthique est fondée autour de quatre grands principes :

1. L’autonomie :le respect de la personne de son autonomie, sa capacité à être acteur et à décider de sa propre santé.

2. La bienfaisance : faciliter et faire le bien, contribuer au bien-être du patient. “Il est nécessaire de bien peser le rapport entre les bénéfices et les risques potentiels.”

3. La non-malfaisance : l’obligation de ne pas nuire. “Ne pas intervenir sur le corps du patient dans son accord libre et éclairé”.

4. La justice : apporter le même traitement de façon juste et/ou équitable à tous les patients. “Tout ce qui est possible d’être fait doit l’être pour tous et pas seulement pour certaines catégories de personnes.”

Qui doit respecter une éthique médicale ?

L’ensemble des partenaires, qu’il s’agisse des professionnels de santé ou toute personne intervenant auprès de la personne malade, y compris le malade lui-même”, explique le membre du CCNE.

L’éthique appelle à réfléchir sur les valeurs autour d’un acte médical à l’inverse de la déontologie qui fixe des règles claires. (…)

La bioéthique concerne davantage les conflits de valeurs autour de l’avancée techno-scientifique dans le domaine du vivant comme la procréation médicalement assistée (PMA), la gestation pour autrui (GPA), le don d’organes… »

En bref, car la liste pourrait être longue. Qui a violé les règles d’éthique médicale depuis bientôt trois ans si ce ne sont les grandes organisations internationales qui ont imposé au monde des mesures coercitives, et des injections toujours expérimentales (jusqu’en 2023 au moins), et tous les gouvernements qui les ont diffusés dans les pays occidentaux essentiellement et tous les suiveurs muets comme en particulier, trop de médecins français, trop de journalistes incultes et soumis, associations, éditorialistes désinformés et/ou subventionnés par le pouvoir, etc..

Médecins muets ou, pire, assez fous pour critiquer les vrais savants du domaine à commencer par le PR Raoult, Montagnier, Henrion — Caude, Péronne, etc. Médecins violant la convention d’Oviedo et les principes éthiques de l’Association Médicale Mondiale en proposant aux citoyens un traitement expérimental sans le consentement libre et éclairé sanctifié par le code de Nuremberg après les drames des essais nazis dans les camps et qui devait garantir que jamais au grand jamais on ne referait dans les pays des essais sans consentement.

Le code de Nuremberg et toutes les conventions qui le rappelaient ont été violés par ceux qui ont « imposé » l’injection et tous ceux qui ont obéi en injectant ce produit génique aux citoyens en leur affirmant qu’il était sans danger ÉTHIQUE ? .

Les médecins et soignants qui ont injecté des résidents d’EHPAD par du Rivotril sur injonction des autorités sanitaires sous prétexte de symptômes compatibles avec un covid ont effectivement violé l’éthique la plus minimaliste et tué, en plus des 10 000 personnes non traitées, de nombreux soignants cassés à tout jamais après ce geste infâme.

L’éthique a été violée tout au long des 30 mois de ce faux récit covid sur l’absence de fiabilité des tests PCR fondés sur des taux d’amplification trompeurs, sur l’efficacité du confinement jamais démontrée depuis le Moyen-âge et de la fermeture des écoles, et pire encore sur la colossale exagération de la mortalité covid19 qu’un ministre a osé comparer à la peste pour affoler la population, sur l’interdiction faite aux médecins d’examiner et traiter leurs patients en les menaçant de sanctions de l’ordre instrumentalisé dans ce but.9 10

Des pages entières, et de nombreux livres 11 12 13 14 15 ont été écrits avec d’innombrables références de travaux universitaires démontrant les mensonges répétés auprès des patients et la violation permanente de l’éthique médicale depuis bientôt trois ans.

LA RÉACTION DES AUTRES SOIGNANTS

Autre stupéfaction dans les propos de Mr Braun sur le prétendu refus des soignants injectés de recevoir du renfort des non injectés et du chiffre ridicule de mille soignants empêchés.



Comment un ministre peut — il être si mal informé par ses services ?

Voici les informations en direct du parlement européen :

Le chiffre annoncé par Michèle Rivasi est encore très en dessous de la réalité, mais il est devenu officiel !

Par Médecine du Sens Canal Info

« Une grave menace plane sur quiconque ne salue résigné, tête basse et dos voûté, les ignominies bavées par celui censé nous gouverner. Pris à la gorge, il a été décidé en haute instance que l’instinct de vie concourant à la sociabilité la plus primaire de chacun soit suspendu à la condition d’être vacciné et, pire encore, que soit humilié en son intimité et éloigné de la vie en société tout citoyen non vacciné ! Plus de 1 an ! Suspendu sans salaire, sans chômage ! Il est historique que des soignants soient suspendus pour leur refus d’un vaccin en phase d’expérimentation. Les gens ignorent-ils que des médecins, infirmières, soignants sont toujours suspendus, QUAND BIEN MÊME RIEN n’atteste de l’efficacité de leur mise à pied prolongée ? »

Plus de 240 témoignages dans ce film :



Les soignants sont en lutte pour la réintégration de leurs collègues

Courrier déposé à l’HAS par Huissier le 17/11/2022 : Pourquoi faut-il supprimer l’obligation de vaccination Covid des soignants et assimilés ? Par le Syndicat Liberté Santé

La lettre ICI
L’argumentaire scientifique ICI
Annexe « Obligation vaccinale en Europe » ICI
Annexe « Évaluation vaccins bivalents » ICI

Et rappelons les mots du Dr Hodkinson ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d’Ottawa, spécialiste en pathologie, y compris en virologie, formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni

Pour mémoire, en août 2021, dans son débriefing FranceSoir BonSens.org, il revenait sur les discours de peur utilisés pour encourager la vaccination et évoquait entre autres, les différents scandales autour de Covid-19. « C’est scandaleux. C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance. La Covid n’est rien d’autre qu’une mauvaise grippe saisonnière. Ce n’est pas le virus Ebola. Ce n’est pas le SRAS.

C’est de la politique qui joue à la médecine, et c’est un jeu très dangereux. LES VACCINÉS SONT DES INNOCENTS QUI VONT AU MASSACRE », disait-il…17

Des sénateurs s’engagent >

Soignants suspendus : des sénateurs accusent le gouvernement « d’obstination coupable » malgré « l’agonie » des hôpitaux (le 20 novembre 2022)18

« Les personnels concernés par cette mesure sont bien plus importants que vous ne le prétendez : à côté des personnels suspendus, combien de libéraux interdits d’exercice, non comptabilisés parmi les “suspendus” ? Combien de demandes de mise en disponibilité ou de démission de la fonction publique par suite de cette mesure non comptabilisées parmi les “suspendus” ? Combien d’étudiants en médecine empêchés de poursuivre leurs études ? », lit-on encore.

Le document, qui cite également les personnels interdits d’exercer en téléconsultation et même de trouver un remplaçant durant leur suspension, qualifie ces mesures de « punitives » et « d’humiliantes » et non pas de « sanitaires ».

Et terminons par ce témoignage de Betty Infirmière, qui est suspendue depuis 431 jours par suite de son refus de vaccination :

15 sept 2021 – 20 Nov 2022

« J’espère un jour pouvoir me dire que ce n’était qu’un cauchemar. »

Elle est syndiquée, Déléguée du Personnel, membre CSE, CHSCT (Comité Hygiène et Sécurité au Travail) et Commission de Soins Infirmiers. Refusant la vaccination covid, elle convient, avec sa direction, d’une rupture conventionnelle.

« En mars 2020, j’ai vu tous mes collègues s’organiser, se rendre disponibles, volontaires, ne comptant pas leurs heures.

Nous avons tout donné de nos personnes, de notre temps. Tous, nous sommes fatigués.

Alors quand cette obligation d’être vacciné pour avoir le droit de continuer à travailler nous est tombée dessus, alors que nous côtoyons quotidiennement de nombreux virus, de maladies, et que nous sommes conscients que nous devons garder tout le temps un système immunitaire au top, nous n’avons pas compris.

Perso, je n’ai pas compris non plus le refus catégorique de la médecine du travail de ne pas me recevoir. Alors que mon médecin lui-même, ainsi que mon employeur, l’ont réclamé.

J’ai rencontré de nombreux soignants suspendus, ou en arrêt maladie, ou qui ont démissionné.

À l’unanimité il en ressort une très grande souffrance, parce que oui, cette pression et cette culpabilité que l’on veut nous faire porter sont insupportables, inhumaines.

Comment peut-on accepter que la France “vire” des pompiers, Médecins spécialisés, Médecins généralistes, Kinés, Sage-femmes, Puéricultrices, Infirmiers, Aide-soignants, ASH, Secrétaires médicales, Techniciens, Aides médico-psychologiques, Éducateurs, Laborantin, Ophtalmo, Opticiens… Et on nous accuse d’être des personnes irresponsables ? C’est le monde à l’envers et ce monde-là je n’en veux pas.

J’espère un jour pouvoir digérer ce que la France fait à tous ces professionnels de santé. »

Betty Infirmière 19


1 Covid-19 : la réintégration des soignants non vaccinés pose un problème d’« éthique professionnelle », selon Braun Par Dinah Cohen Publié le 20 novembre 2022 à 14 h 45 le figaro

2 https://youtu.be/mfOBQiw3b8w 19 nov. 2022
En direct de la table ronde « Justice pour les suspendus : Réintégrons les intégrés ! » du réseau « On sans pass » avec la sénatrice Laurence Muller-Bronn

3 Spike Protein Syndrome. News | ImunoMedica Clinic (imuno-medica.ro) «  il a été largement identifié ce que le Dr Thomas Levy appelle le “syndrome de la protéine Spike”, une pathologie causée par la propagation de la protéine Spike dans tout le corps, soit à la suite de la maladie COVID-19, soit à la suite de la vaccination COVID. Les symptômes sont principalement des réactions auto-immunes et peuvent inclure : insuffisance cardiaque, lésions cardiaques, crise cardiaque, myocardite ; hypertension pulmonaire, thromboembolie et thrombose pulmonaire, lésions du tissu pulmonaire, fibrose pulmonaire possible ; augmentation des événements thromboemboliques veineux et artériels ; Diabète ; les complications neurologiques, y compris l’encéphalopathie, les convulsions, les maux de tête et les maladies neuromusculaires, ainsi que l’hypercoagulabilité et les accidents vasculaires cérébraux ; dysbiose intestinale, maladie inflammatoire de l’intestin et intestin perméable ; lésions rénales ; altération de la capacité de reproduction masculine ; lésions cutanées ; maladies auto-immunes générales, anémie hémolytique auto-immune ; dommages au foie. »

4 @MullerBronnL @noel_sylviane @SGoyChavent https://t.co/KvjloMKU1w

5 https://ansm.sante.fr/uploads/2021/09/24/20210921-cada21v210-covid-diapo3-2021.pdf

6 Komplette Liste auf larousse.fr

7 https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-sante-du-quotidien/2835237-ethique-medicale-definition-exemple-pour-qui-principe/

8 décrit le Pr Régis Aubry, Président la Plateforme national de recherche sur la fin de vie et membre du Comité Consultatif National d’Éthique.

9 EN 2020 LA COVID A BIEN MOINS TUÉ QUE LE DÉFAUT DE SOINS ET LE RIVOTRIL, en 2021 et 2022 arrive le SURMORTALITE VACCINALE, toutes les preuves statistiques d’une pandémie médicamenteuse | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)

10 L’académie de médecine a introduit cette notion d’éthique « En conséquence, l’objectif du maintien de leur suspension ne peut être que l’expression d’une volonté politique. Il faut à cet égard écouter l’Académie de Médecine qui considère que, “le refus de se faire vacciner est incompatible avec le métier de soignant”, mais surtout que “réintégrer les soignants non vaccinés serait une faute” et “compromettrait le climat de confiance et la cohésion qui doivent exister entre (les membres de l’équipe soignante) et avec les malades” (avis du 19 juillet 2022). Pour les opposants à la réintégration des personnels non vaccinés, on ne pourrait laisser des personnes soigner alors qu’elles ne croient pas en la science, mettant en doute l’efficacité des vaccins ou encore, parce qu’il serait normal d’exiger de ceux qui prennent soin des autres qu’ils prennent soin d’eux-mêmes. Certains vont jusqu’à dire qu’en refusant de se faire vacciner, ces personnels auraient démontré qu’ils n’adhéraient pas aux valeurs du soin. » « Le refus de réintégrer les soignants non vaccinés trahit une conception scientiste et puritaine de notre droit » (marianne.net)

On peut s’étonner que l’académie transforme la « science » en une croyance !

11 Christian Perronne, Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? Poche 6 janvier 2021, Décidément, Ils n’ont toujours rien compris ! Livre grand format, 31 mars 2021, Les 33 questions auxquelles ils n’ont toujours pas répondu — Livre grand format, 2 novembre 2022

12 Laurent Toubiana, covid 19 — Une autre vision de l’épidémie : Les vérités d’un épidémiologiste

13 Jean-Loup Isambert, Le scandale Ivermectine, Comment et pourquoi ils ont bloqué l’anti-covid19 22 octobre 2021

14 Didier Raoult Epidémies : vrais dangers et fausses alertes 26 mars 2020 (Michel Lafon), Carnets de guerre — Covid-19 —, 11 février 2021, Au-delà de l’affaire de la chloroquine Broché – Livre grand format, 14 octobre 2021

15 Nicole Delépine et Gérard Delépine : Autopsie d’un confinement aveugle, paru le 15 septembre 2020 ; Les enfants sacrifiés du covid, paru le 24 janvier 2022 et tellement d’autres auteurs et livres importants que nous n’avons pas la place de citer.

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18 Soignants suspendus : des sénateurs accusent le gouvernement « d’obstination coupable » malgré « l’agonie » des hôpitaux | FranceSoir

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https://t.me/LaVeriteCensureeoff




C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !

[Source : viroliegy.com]

[*« Gain de Fiction » : jeu de mot avec « Gain de Fonction ».]

[Voir aussi :
Ça sent la mort pour la pseudoscience qu’est la virologie (qui présente des expériences de contrôle — jamais réalisées par les virologues — permettant de réfuter la supposée présence de virus pathogènes dans les soupes toxiques de culture virale) ;
Aveuglés par la pseudoscience (qui démontre que les virologues ne suivent en rien la méthode scientifique) ;
L’enterrement de la théorie virale (qui rappelle la méthode scientifique et les conditions nécessaires et suffisantes pour établir la causalité entre deux phénomènes) ;
UN ADIEU À LA VIROLOGIE(ÉDITION POUR EXPERT) (qui réfute en détail la virologie et attend toujours une éventuelle contradiction scientifique solide) ;
La nature et le but de la maladie (qui présente une approche bien plus cohérente et sensée de la santé et de la maladie).
Dr Mike Yeadon : « Qu’est-ce que la recherche sur le gain de fonction ? »]

Par Mike Stone

Après le 11 septembre, les armes biologiques sont devenues une préoccupation majeure avec des histoires effrayantes sur la possibilité que des échantillons de variole soient diffusés par aérosol contre des citoyens américains, obligeant l’administration Bush à stocker des vaccins. Il y avait des histoires terrifiantes de chercheurs recréant avec succès le génome de la grippe espagnole grâce à l’ingénierie inverse, ce qui était considéré comme une certitude de tomber accidentellement entre de mauvaises mains. Des mémos secrets ont été dévoilés de scientifiques recherchant la possibilité qu’al-Qaida ou ISIS utilise d’une manière ou d’une autre Ebola pour le bioterrorisme. Des rapports de laboratoires bricolant et modifiant génétiquement certains « virus » afin de les rendre plus mortels ont commencé à remplir les ondes des médias grand public. Les gens étaient conditionnés à se recroqueviller à l’idée que le terroriste acharné sécurise d’une manière ou d’une autre une arme biologique « virale » et déchaîne un fléau contagieux sur le monde. Les mini épidémies se produisent presque tous les deux ans depuis l’introduction du SRAS en 2003, préparant stratégiquement les masses pour l’événement du siècle avec le « SRAS-COV-2 ». Des théories ont été brandies sur le fait que les coupables invisibles impliqués dans ces épidémies étaient des créations concoctées en laboratoire et lâchées sur la population sans méfiance. Ainsi, avec l’incertitude entourant l’origine animale du « SRAS-COV-2 », ce n’était qu’une question de temps avant que l’idée ne soit émise que ce n’était pas l’œuvre d’un « virus » naturel sautant d’un animal à l’autre et faisant des ravages à travers le monde avec une grippe légère. Ce « virus », associé à aucun nouveau symptôme de maladie, avait dû être créé de manière diabolique par des scientifiques fous dans les laboratoires de Wuhan.

Bien sûr, c’est un scénario qui est parfaitement logique pour les non informés, car l’Institut de virologie de Wuhan est en plein centre de Wuhan et ils ont une longue histoire d’expérimentation avec des « coronavirus » et des chauves-souris. Peu importe que les preuves du « SRAS-COV-2 » soient inexistantes, car dans ce scénario les virologues de Wuhan ont génétiquement conçu un tout nouveau « virus » à partir des restes d’autres « virus », conduisant ainsi à la « pandémie » même qui y est née. Ce « virus », créé grâce à des recherches secrètes sur le gain de fonction, avait dû s’échapper accidentellement du laboratoire ou être délibérément libéré à des fins néfastes. Cette intrigue de science-fiction conçue pour les films est défendue par ceux qui n’ont jamais remis en question le manque de preuves scientifiques de l’existence de « virus ». Cependant, pour ceux qui ont étudié ce sujet en profondeur, il est absolument clair que le récit du gain de fonction/de l’arme biologique/de la fuite de laboratoire est un appât basé sur la peur utilisé pour maintenir ceux qui remettent en question le scénario pharmaceutique officiel accrochés aux mensonges du complexe médico-industriel.

Cependant, ce scénario de « gain de fiction » prend de l’ampleur et est malheureusement fortement promu par des personnes influentes au sein de la communauté de la liberté de la santé. Ces personnes prêchent régulièrement les dangers des vaccins et des traitements pharmaceutiques toxiques ainsi que le piétinement de nos droits et libertés par des mesures draconiennes. Pourtant, malgré cela, elles avancent toujours l’idée qu’il existe des envahisseurs invisibles qui flottent et qui peuvent provoquer des maladies nécessitant ces mêmes mesures. Ils continuent de souscrire à ce récit malgré les preuves accablantes que ce n’est pas le cas. Il n’y a pas de « virus » et donc aucun des divers protocoles imposés au public pour contenir les agents pathogènes « mortels ». Cependant, si l’on devait défier ces « dirigeants » du mouvement sur le fait qu’il n’y a aucune preuve scientifique de l’existence d’un « virus », l’une des façons dont ils tentent de défendre leur croyance en ces entités est de pointer avec défi le génie génétique et les études de gain de fonction. Ils utilisent les affirmations des institutions de virologie selon lesquelles ce type de recherches expérimentales a lieu comme preuve que les « virus » existent bel et bien et que c’est ainsi que le « SRAS-COV-2 » a été créé, pas par la nature, mais par l’homme. Ils vendent cette histoire d’armes biologiques artificielles basée sur la peur à leur public sur la base des preuves les plus fragiles, dont aucune n’est scientifiquement valable.

Pour ceux qui ne sont peut-être pas familiers, les études de gain de fonction sont celles dont on dit qu’elles modifient génétiquement un « virus » ou un autre micro-organisme afin d’augmenter d’une manière ou d’une autre sa pathogénicité supposée. Les chercheurs prétendent manipuler ou combiner des « virus » pour les rendre plus mortels et plus infectieux. Cependant, il y a un léger problème, car pour manipuler un « virus », le « virus » en question doit d’abord être scientifiquement prouvé. Cela n’a jamais été fait en plus de 100 ans de virologie. En réalité, ce que cette recherche implique est de créer les mêmes concoctions toxiques cultivées sur des cellules utilisées dans les études de virologie régulières avec la mise en garde supplémentaire qu’ils utilisent plus d’additifs et d’ingrédients synthétiques, ce qui les rend plus mortels pour les animaux de laboratoire auxquels on injecte anormalement les soupes toxiques. Aucun « virus » n’est jamais correctement purifié, isolé et scientifiquement prouvé dans ces expériences par l’adhésion à la méthode scientifique. Ces entités sont simplement supposées exister dans l’échantillon au moyen de résultats de PCR frauduleux. Cependant, cela n’a pas empêché un certain groupe d’individus de prétendre que ces études prouvent l’existence de « virus » pathogènes et que ces recherches ont conduit à la création du « SARS-COV-2 ». Ils ont sauté sur l’occasion de promouvoir cette fiction fondée sur la peur sans la moindre validation scientifique crédible à l’appui. Voici quelques exemples des déclarations faites par les personnes en position d’influence qui mettent en avant ce récit de fuite d’arme biologique/laboratoire à leur public :

Leur conclusion : le SRAS-CoV-2 est sorti de la nature.

Ma conclusion : c’était définitivement une fuite de laboratoire.

Steve Kirsch 
https://stevekirsch.substack.com/p/the-wet-market-theory-re-emerges

La totalité des preuves disponibles aujourd’hui s’explique en effet mieux par l’hypothèse de l’origine du laboratoire.

Jeremy Hammond
https://www.jeremyrhammond.com/2021/06/18/interview-origin-of-sars-cov-2-lockdowns-covid-19-vaccines/

Cela a permis au Dr Fauci, au NIAID, au DTRA et au NIH d’ignorer l’interdiction de la recherche sur le gain de fonction et de poursuivre cette recherche. Comme nous le savons maintenant, c’est ainsi que le SRAS-CoV-2 a été créé puis accidentellement diffusé sur le peuple chinois. Au moins, nous espérons que c’était un accident.

Robert Malone
https://rwmalonemd.substack.com/p/ebola-this-is-not-over

La volonté des autorités américaines de dissimuler l’origine du SRAS-CoV-2 signifie que les pays peuvent désormais nous attaquer avec des armes biologiques indéfiniment, en toute impunité.

Dr. Joseph Mercola
https://childrenshealthdefense.org/defender/fauci-collins-evidence-covid-lab-leak/

Je suis maintenant convaincu qu’il s’agit d’un virus créé par l’homme.

Del Bigtree
https://www.podchaser.com/podcasts/the-highwire-with-del-bigtree-519460/episodes/is-covid-19-a-bio-weapon-91383003

Le monde a maintenant la preuve positive que le SRAS-CoV2 est une création de laboratoire d’ingénierie générée avec la technologie développée par Ralph Baric avec un financement du gouvernement américain.

Robert Kennedy Jr.
https://childrenshealthdefense.org/defender/covid-pandemic-nih-unc-fauci-baric/

Comme on peut le voir, de Kirsch à Kennedy, les histoires de science-fiction de gain de fonction est la conclusion la plus « logique » quant à la façon dont les gens ont contracté les mêmes symptômes de maladie que ceux que nous observons chaque année. Dans ce récit, Anthony Fauci a ignoré l’interdiction gouvernementale des recherches sur les gains de fonction et travaillait secrètement avec des laboratoires en Chine pour transformer le « coronavirus » plutôt inoffensif, associé au rhume, en un cas de grippe bénigne avec une survie évaluée à 99 %. Cette entité « renforcée » a été soit délibérément libérée par Fauci et compagnie, soit elle s’est échappée accidentellement du laboratoire de Wuhan en Chine. Dans les deux scénarios, nous devons croire que Fauci est un agent voyou finançant des expériences scientifiques folles créant et combinant des « virus » afin de les transformer en armes biologiques. Les courriels « fuités » de Fauci sur le gain de fonction sont souvent cités comme preuve de ce récit.

RKF Jr. et Del Bigtree s’en souviennent.

Voici un exemple de l’un des e-mails obtenus que certains ont pris comme preuve de l’origine de la fuite de laboratoire/arme biologique du « SARS-COV-2 » :

Pistolet fumant ? Non.

Fait intéressant, les informations énumérées ci-dessus sur la création du « virus » de l’arme biologique proviennent d’une étude publiée en août 2005 qui examinait le processus d’entrée théorique de la « protéine S du SRAS-CoV » dont l’existence n’a jamais été prouvée et les inhibiteurs de ce processus :

Les inhibiteurs de la cathepsine L empêchent l’entrée du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère

« Intervirion Fusion. HIV-luc(ACE2) (500 ng de p24) a été mélangé avec 1 000 ng de p24 de particules HIV-gfp incorporant l’enveloppe de l’ASLV-A, la protéine S du SARS-CoV, ou les deux enveloppes dans du PBS à 4°C pendant 30 min pour permettre la liaison. Les échantillons ont été portés à 37°C pendant 15 minutes pour permettre des réarrangements conformationnels. Les virus ont été ajustés au pH souhaité avec de l’acide citrique 0,1M. La PBS, la TPCK-trypsine (concentration finale 10 μg/ml), la CTSL, la cathepsine B (CTSB) (concentrations finales 2 μg/ml) ou le tampon CTSL seul ont ensuite été ajoutés. La CTSL recombinante (R & D Systems) a été préactivée par incubation pendant 15 min à 10 μg/ml dans 50 mM Mes, pH 6,0, sur glace. La CTSB recombinante (R & D Systems) a été préactivée dans 25 mM Mes, 5 mM DTT, pH 5.0, pendant 30 min à 25°C. Après une incubation de 10 min à 25°C, la protéolyse a été arrêtée par l’ajout de 300 μl de DMEM10 contenant de la leupeptine (25 μg/ml) et de l’ITS (75 μg/ml). Les virions ont ensuite été incubés à 37°C pendant 30 min pour permettre la fusion membranaire. 100 μl du mélange de virions ont été ajoutés en quadruplicat à des cellules HeLa-Tva prétraitées pendant 1 h avec de la leupeptine (20 μg/ml). Les cellules ont été infectées par centrifugation et incubées à 37 °C pendant 5 h. Le milieu a été remplacé par du DMEM10 frais et les cellules ont été testées pour l’activité luciférase 40 h plus tard. »

https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.0505577102

Le fait que Fauci ait eu besoin de quelqu’un pour fournir la section « méthodes » d’une étude de 2005 contenant l’« origine » du « SRAS-COV-2 », laissant ainsi une trace de courrier électronique avec le titre « Méthode de production d’une arme biologique à base de coronavirus » alors qu’il aurait pu tout aussi facilement consulter l’étude lui-même, n’a pas beaucoup de sens logique. La découverte de ce copier-coller dans la section des méthodes d’une étude de 2005 m’a en fait laissé croire que ces e-mails étaient trafiqués et/ou faux lorsque j’ai initialement examiné cette histoire. Cependant, cet e-mail particulier peut être trouvé parmi le trésor des e-mails Fauci stratégiquement « divulgués » (ils ont en fait été publiés en raison d’une demande FOIA par ICAN et Buzzfeed), vus à la page 2286 dans ce lien. Ce qui est encore plus intéressant, c’est que cet e-mail a été envoyé à Fauci par une personne nommée Adam Gaertner, une personne totalement indépendante de l’étude de 2005 qui semble être un chercheur indépendant faisant pression pour l’ivermectine comme traitement du « Covid-19 ». D’une manière ou d’une autre, les personnes qui font avancer ce récit d’armes biologiques semblent toujours avoir des thérapies pharmaceutiques alternatives qu’elles promeuvent comme un remède. À un moment donné, Gaertner avait un compte Twitter appelé « veryvirology » qui semble maintenant être suspendu. Il avait également un site Web connu sous le nom de covidcandy.net qui semble ne plus être utilisé, la dernière entrée trouvée sur la Wayback Machine étant répertoriée le 19 mai 2022. Il semble que cette personne ait contacté Fauci de manière non sollicitée avec la section des méthodes tirée d’une ancienne étude affirmant que c’était ainsi que le « SRAS-COV-2 » avait été créé. En d’autres termes, ce n’est pas une preuve très crédible d’un point de vue fuite de laboratoire/arme biologique.

Joseph Mercola a couvert l’histoire de l’arme biologique de Fauci/EcoHealth.

Un autre exemple qui est utilisé comme preuve d’une origine de fuite de laboratoire/d’arme biologique pour le « SRAS-COV-2 » est une proposition de subvention non publiée qu’EcoHealth Alliance a déposée auprès de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses de Fauci :

https://www.google.com/amp/s/nypost.com/2021/09/07/wuhan-lab-documents-show-fauci-untruthful-about-research-critics/amp/

Apparemment, obtenir du financement pour la recherche est maintenant considéré comme une preuve que la recherche est valide, que les chercheurs peuvent faire ce qu’ils prétendent et que la recherche a effectivement été effectuée. Le problème ? Au-delà des e-mails et des subventions, il n’y a aucune publication scientifique montrant que des expériences GOF [Gain Of Fonction : Gain de fonction] aient jamais eu lieu ni abouti au « SRAS-COV-2 ». Les études publiées qui ont découlé de cette subvention, intitulées « Comprendre le risque d’émergence du coronavirus de la chauve-souris », ne répondent pas à la définition de ce qui est considéré comme de la recherche GOF. En fait, il y avait une lettre soumise par le NIH aux membres du Congrès enquêtant sur cette affaire qui a finalement été utilisée comme un aveu qu’EcoHealth Alliance avait effectué et réalisé des études GOF à Wuhan. Cependant, le directeur adjoint principal Lawrence Tabak a spécifiquement déclaré dans la lettre que la recherche menée ne répondait pas à la définition de GOF et que les expériences n’auraient pas pu aboutir à un « SRAS-COV-2 » en raison des génomes non apparentés des « virus » en question.

C’est peut-être le pistolet fumant… ?

Si l’on soumet cela comme la preuve d’une origine de fuite de laboratoire, la conclusion devrait être que le « SRAS-COV-2 » n’a pas été créé dans un laboratoire à moins que ceux qui le prétendent ne soient en mesure de présenter l’étude réelle décrite dans le courriel détaillant les méthodes et montrant les données tirées de l’étude. Cependant, pour autant que je sache, il n’y a pas une telle publication. En fin de compte, tout ce que nous avons pour poursuivre, en ce qui concerne les preuves, est cette lettre affirmant que certaines expériences ont été réalisées et qu’un résultat inattendu s’est produit. Ce n’est pas une preuve scientifique. Si la lettre est tout ce dont nous disposons, nous devons alors conclure que les expériences, si elles ont été réalisées, ne répondaient pas à la définition du GOF et n’ont pas donné lieu à un « SARS-COV-2 » créé en laboratoire. Par conséquent, quiconque utilise ce document comme preuve de l’origine du gain de fonction du « SARS-COV-2 » le fait en dépit des informations fournies dans la lettre et fonde son hypothèse non pas sur des preuves scientifiques réelles, mais sur de pures spéculations. Même si les preuves avaient pointé dans la direction que le « SRAS-COV-2 » a été créé dans les expériences GOF, cela ne remplacerait toujours pas le fait que, pour que ces expériences GOF aient une quelconque légitimité, les « virus » étudiés et soi-disant manipulés doivent d’abord voir leur existence scientifiquement prouvée. Cela n’a jamais été démontré pour le « SARS-COV-2 » ni pour aucun autre « virus », ce qui n’est qu’un des nombreux problèmes liés aux études considérées comme GOF. Celles correspondant réellement à la définition GOF qui finissent par voir le jour sont extrêmement défectueuses, comme le montrera la dernière publication dite GOF un peu plus loin dans cet article. Dans tous les cas, les e-mails « divulgués » de Fauci, les propositions de subventions non publiées et les lettres au Congrès ne répondent pas aux preuves scientifiques de base requises pour prouver l’existence d’un « SARS-COV-2 » créé en laboratoire.

Maintenant, cela ne veut pas dire que Fauci soit propre de quelque manière que ce soit. Bien sûr, il est indéniable que Fauci est un monstre qui est fortement impliqué dans l’arnaque qu’est le « SARS-COV-2 ». Il a également été un acteur clé dans le canular du VIH/SIDA. Ainsi, il est facile de simplement accepter cette narration de gain de fonction et de se détourner de toute question quant à savoir si des « virus » existent ou non. Si les « virus » n’existent pas, comment Fauci aurait-il pu fabriquer son « virus » Frankenstein de grippe bénigne ? Que se passe-t-il dans ces laboratoires sinon la fabrication de « virus » plus meurtriers ? À quoi servent tous nos dollars durement gagnés par les contribuables si ce n’est dans le seul but de bricoler ces entités invisibles ? C’est ce à quoi les personnes au sommet du mouvement pour la liberté de la santé veulent apparemment que vous croyiez si vous vous retrouvez à remettre en question le paradigme « viral » répandu. Si vous ne me croyez pas, jetons un coup d’œil à Robert Kennedy Jr., sans doute le leader le plus connu du mouvement pour la liberté en matière de santé, et à son dernier roman de science-fiction pour voir ce que cela implique :

« The Wuhan Cover-Up lève le voile sur la manière dont l’augmentation des dépenses du gouvernement américain en matière de biosécurité après les attentats terroristes de 2001 — facilitée par le Dr Anthony Fauci, directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) — a déclenché un plan visant à transformer le NIAID en une agence de facto du ministère de la Défense.

Alors que le Dr Fauci finançait et poursuivait avec zèle la recherche sur le gain de fonction, certains scientifiques et responsables gouvernementaux s’inquiétaient de la possibilité d’une libération accidentelle ou délibérée de virus militarisés par des laboratoires qui pourraient déclencher des pandémies mondiales. Un moratoire a été mis sur cette recherche, mais fidèle à lui-même, le Dr Fauci a trouvé des moyens de continuer sans être perturbé — externalisant certaines des expériences les plus controversées à l’étranger en Chine et fournissant un financement fédéral aux principaux chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) pour des études de gain de fonction en partenariat avec l’armée chinoise et le Parti communiste chinois.

Robert F. Kennedy Jr. dont l’analyse, méticuleusement documentée et rigoureusement sourcée, entraîne les lecteurs dans un voyage stupéfiant pour découvrir :
• les principaux facilitateurs et sbires qui poussent à la recherche sur les gains de fonction ;
• les motifs économiques qui sous-tendent la recherche par gain de fonction ;
• les “virus chimériques” conçus avec succès et capables d’infecter et de tuer des humains ;
• l’effort coordonné pour faire taire les spéculations sur la genèse du COVID-19 en laboratoire ;
• la complicité des revues scientifiques pour cacher les origines du COVID-19 ;
• le rôle de l’Institut de virologie de Wuhan dans le programme de guerre biologique et de biodéfense de la Chine ;
• les relations entre les bureaucraties et les scientifiques américains de la santé, de l’armée et du renseignement et leurs homologues chinois ;
• les rôles de Bill Gates et de Sir Jeremy Farrar dans l’orchestration de la dissimulation mondiale de la Chine.
The Wuhan Cover-Up dévoile une conspiration mondiale aux proportions épiques et aux conséquences mortelles. »

https://www.simonandschuster.com/books/The-Wuhan-Cover-Up/Robert-F-Kennedy/Children-s-Health-Defense/9781510773998

Selon l’enquête de Kennedy, Anthony Fauci a dirigé la transition du NIH en un DOD [Departement Of Defense: Département de la Défense] de facto après le 11 septembre. Fauci a fait du « zèle » pour financer les expériences de science folle sur le gain de fonction à gauche et à droite jusqu’à ce qu’il soit stoppé par le gouvernement. Cependant, Fauci avait d’autres plans et a trouvé des moyens de contourner le système en poursuivant son escapade dans la ville des fous. Qui aurait cru que le journaliste d’investigation de renommée mondiale Robert Kennedy Jr. était capable de découvrir un vaste complot mondial impliquant Anthony Fauci et l’ingénierie du « SARS-COV-2 » à Wuhan ? Bien sûr, il serait facile de croire RFK Jr., car il a été du bon côté de ce débat en dénonçant constamment les dangers des vaccins. Eh bien… tant que vous ne tenez pas compte du fait qu’il ne se considère pas comme un anti-vax et qu’il préconise en fait des vaccins « plus sûrs » plutôt que d’éliminer complètement la vaccination en tant que pratique :

Nous voulons des vaccins sûrs, une science solide et transparente et une agence de réglementation honnête et indépendante axée étroitement sur la santé publique plutôt que sur le profit de l’industrie.

Robert Kennedy Jr.
https://childrenshealthdefense.org/about-us/mercury-vaccines-cdcs-worst-nightmare/

À son crédit, Kennedy a régulièrement fustigé Anthony Fauci et a récemment exposé les actes pervers de cet homme à la vue de tous dans son best-seller de novembre 2021 The Real Anthony Fauci :

En tant que directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), le Dr Anthony Fauci a distribué 6,1 milliards de dollars de fonds annuels fournis par les contribuables pour des recherches scientifiques truquées, ce qui lui a permis de dicter le sujet, le contenu et les résultats de la recherche scientifique sur la santé dans le monde entier — un véritable programme sombre. Fauci utilise l’influence financière dont il dispose, de manière détournée, pour exercer une influence extraordinaire sur les hôpitaux, les universités, les revues et des milliers de médecins et de scientifiques influents — il a le pouvoir de ruiner, de faire progresser ou de récompenser les carrières et les institutions de manière autoritaire.

Pendant plus d’un an de recherches minutieuses et méticuleuses sur son ordinateur portable et par le biais d’interviews, Robert F. Kennedy Jr. a déterré une histoire choquante qui réduit à néant la manipulation des médias sur le Dr Fauci… et qui alertera tous les Américains — démocrates ou républicains — qui se soucient de la démocratie, de notre Constitution et de l’avenir de la santé de nos enfants.

Le vrai Anthony Fauci révèle comment « America’s Doctor » a lancé sa carrière au début de la crise du sida en s’associant à des sociétés pharmaceutiques pour saboter des traitements thérapeutiques sûrs et efficaces non brevetés contre le sida. Fauci a orchestré des études frauduleuses ne donnant rien, puis a fait pression sur les régulateurs de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour qu’ils approuvent un traitement de chimiothérapie mortel qu’il avait de bonnes raisons de savoir sans valeur contre le sida. Fauci a fait l’impensable et a violé à plusieurs reprises les lois fédérales pour permettre à ses partenaires pharmaceutiques d’utiliser des enfants pauvres et à la peau foncée comme rats de laboratoire dans des expériences mortelles sur le SIDA et les chimiothérapies anticancéreuses.

Au début de 2000, Fauci a serré la main de Bill Gates dans la bibliothèque du manoir Gates de 147 millions de dollars à Seattle, cimentant un partenariat qui viserait à contrôler une entreprise mondiale de vaccins de plus en plus rentable de 60 milliards de dollars avec un potentiel de croissance illimité. Grâce à un effet de levier financier et à des relations personnelles soigneusement entretenues avec les chefs d’État et les principaux médias et institutions de médias sociaux, l’alliance Pharma-Fauci-Gates exerce une domination sur la politique de santé mondiale et sur notre beau pays.

https://www.simonandschuster.com/books/The-Real-Anthony-Fauci/Robert-F-Kennedy/Children-s-Health-Defense/9781510766808

Il est plutôt étrange que Kennedy Jr. ait découvert que Fauci finançait des « études frauduleuses ne donnant rien » en ce qui concerne le VIH dans les années 1980, mais qu’il avance le récit selon lequel Fauci finance actuellement des études GOF qui ne sont soi-disant pas des études frauduleuses ne donnant rien. Si nous nous basons sur le passé de Fauci pour juger de ses actions dans le présent, il serait beaucoup plus logique de conclure qu’il a l’habitude de financer des études frauduleuses ne donnant rien et que la piste GOF n’est rien de plus qu’une émanation de ce comportement. Cette prémisse est facile à voir quand on comprend que toute l’histoire des études sous l’égide de la virologie repose sur une fondation frauduleuse vieille d’un siècle. Pistes d’argent, e-mails « fuités », subventions non publiées, et les lettres au Congrès ne sont rien de plus que des distractions indirectes inutiles qui nous éloignent du manque sous-jacent de validation scientifique de la virologie. Le récit GOF/armes biologiques est un faux-fuyant conçu pour maintenir les gens dans un état chronique de peur d’une attaque terroriste biologique potentielle dans la même veine que les Russes avec des armes nucléaires pendant la guerre froide ou que Sadam Hussein et ses « armes de destruction massive ». C’est un écran de fumée pour les non informés afin de les empêcher de creuser encore plus profondément.

En ce qui concerne la poursuite continuelle par Kennedy Jr. de quelqu’un dont il a montré qu’il a des antécédents de fraude avérée, il est tout à fait clair qu’il n’y a pas d’amour éperdu entre ces deux hommes influents. Une grande partie des informations que Kennedy a « découvertes » dans son livre sur Anthony Fauci étaient déjà bien connues de tous ceux qui avaient prêté une attention particulière au canular du VIH/SIDA. En fait, il est facile de voir qu’une grande partie de l’escroquerie « Covid » suit exactement le même scénario que celui mis en place par Fauci et compagnie dans les années 1980. Kennedy a raison pour beaucoup d’informations sur les activités néfastes de Fauci. Cependant, il ignore la question la plus importante au cœur des stratagèmes frauduleux de Fauci : les « virus » existent-ils vraiment ? Ces escroqueries pourraient-elles être commises avec succès sur la seule base d’une propagande de peur efficace et de tests inexacts ? Malheureusement, il semble que Kennedy Jr. ne soit même pas prêt à envisager sérieusement de telles pensées, comme le montre son échange avec le véritable journaliste d’investigation Eric Coppolino en avril 2022 :

« Ouais, je ne suis vraiment pas qualifié pour commenter, mais je… mon penchant s’il y a des gens qui disent que les virus n’existent pas, qu’il n’y a pas de virus… je ne, vous savez, mon penchant est que, euh, c’est simplement n’est pas, vous savez, ce n’est pas vrai.

« Et je suis un peu amusé à lire les échanges et mon penchant est que les virus existent et qu’ils rendent les gens malades. Je peux me tromper. Tout cela pourrait être un gros canular, mais pour moi, tout semble comme, vous savez, les virus sont réels, et euh, écoutez, j’aurais dû me taire dès le début et dire que je ne vais pas répondre à cette question. »

« Encore une fois, je ne suis pas un bon un bon par… — je ne suis pas un scientifique. Je ne prétends pas l’être. Je trouve ces arguments intéressants.

Robert Kennedy Jr.
https://chironreturn.org/rfk-jr-acknowledges-controversy-over-existence-of-sars-cov-2-and-of-all-viruses/

Kennedy Jr. a affirmé qu’il n’était pas qualifié pour parler de l’existence de « virus », car il n’était pas un scientifique. Pourtant, il a quand même conclu que ces entités fictives existent telles qu’elles sont vendues sans faire aucune enquête indépendante de sa part. D’une manière ou d’une autre, il s’est jugé suffisamment qualifié pour comprendre la « science » derrière les études de gain de fonction afin de vendre le récit du mégalomane Fauci créant des « virus » améliorés à Wuhan. Cependant, ne lui demandez pas si ces entités existent réellement, car c’est un peu trop au-dessus de son niveau de rémunération. C’est parfaitement logique, non ?

Je tiens à préciser que cet article n’a pas pour but d’attaquer RFK Jr. Lui et les autres personnes citées ici ont fourni des informations qui ont aidé beaucoup de gens à voir les dangers des mesures utilisées contre nous pendant cette « pandémie ». Cependant, il est très clair qu’il y a un effort concentré de la part de ceux qui sont en position d’influence pour amener toute personne qui remet en question le paradigme « viral » à faire un détour par le récit de l’arme biologique et du gain de fonction, malgré l’absence de toute preuve scientifique crédible à l’appui. Ceux d’entre nous qui contestent l’absence de preuves scientifiques de l’existence des « virus » font l’objet d’une forte répression. Nous devons nous demander pourquoi ces personnes réellement intelligentes sont prêtes à remettre en question l’origine naturelle d’un « virus », mais ne sont pas disposées à remettre en question les preuves fondamentales qui étayent l’existence de ce concept fictif [NDLR En d’autres termes, il n’existe aucune preuve scientifique réelle de l’existence de virus pathogènes pouvant provoquer des maladies. Mais les preuves établies tendent au contraire à démontrer que ce que la virologie a pris pour de tels virus ne correspond en réalité qu’à des composants cellulaires (éventuellement dégradés)]. Pourquoi sont-ils prêts à promouvoir un récit d’armes biologiques fondé sur la peur, alors que les seules preuves qui l’étayent proviennent de courriels « fuités », de subventions non publiées et de lettres adressées au Congrès, sans aucune preuve scientifique crédible à l’appui ?

Serait-ce dû à des intérêts particuliers ?

Steve Kirsh

« Steve est un entrepreneur et philanthrope de la Silicon Valley qui a fondé le COVID-19 Early Treatment Fund (CETF) au début de la pandémie. Steve et le CETF ont financé la recherche qui a montré des résultats prometteurs de la fluvoxamine comme traitement précoce du COVID-19. »

https://www.vacsafety.org/about

« L’équipe du COVID-19 Early Treatment Fund est composée d’experts issus d’un large éventail de domaines, notamment la médecine, la technologie, la philanthropie et les affaires. Ensemble, nous sommes rapidement devenus le premier fonds mondial axé sur les traitements précoces du COVID-19 qui tirent parti des médicaments réutilisés. »

https://www.treatearly.org/our-team

Robert Malone

« Le Dr. Malone détient de nombreux brevets nationaux et étrangers fondamentaux dans les domaines de la délivrance de gènes, des formulations de délivrance, des vaccins à ADN et des vaccins à ARNm. »

« Depuis janvier 2020, le Dr Malone dirige une grande équipe axée sur la conception de la recherche clinique, le développement de médicaments, la modélisation informatique et les mécanismes d’action des médicaments réutilisés pour le traitement du COVID-19. »

https://www.vacsafety.org/about

Peut-être vendent-ils des suppléments censés traiter la maladie ?

Jérémy Hammond

L’oxyde nitrique, la N-acétyl-L-cystéine, la quercétine avec du zinc et la vitamine D3 ont tous été proposés comme traitements pour « Covid ».
https://www.jeremyrhammond.com/shop/

Dr Joseph Mercola

Mercola a sa propre marque vendant des produits similaires.
https://drjosephmercola.com/market/

Ou peut-être ont-ils de puissants partenaires financiers à qui ils doivent rendre compte :

Del Bigtree

« Selon le Washington Post, la Fondation Selz fournit environ 75 % du financement de l’Informed Consent Action Network, une organisation caritative dont Lisa Selz est la présidente et dont la mission est décrite comme « la promotion de la sécurité des médicaments et des vaccins et du choix des parents dans les décisions relatives aux vaccins ». »

https://www.google.com/amp/s/www.vanityfair.com/news/2019/06/bernard-selz-lisa-selz-vaccines/amp

Quoi qu’il en soit, la remise en question de l’absence de preuves scientifiques de l’existence de « virus » se heurte soit à des attaques furieuses (comme celles de Kirsch et Hammond), soit à des excuses telles que le public n’est pas prêt à s’engager dans cette voie (comme proposé par Del Bigtree), soit à des tentatives de convaincre les lecteurs que la remise en question de l’existence de « virus » entravera le mouvement de la « vérité » (comme le suggère Mercola), soit encore à l’ignorance feinte et au manque de références nécessaires comme on le voit dans le cas de la réponse de Kennedy Jr. à Eric Coppolino. D’une manière ou d’une autre, les personnes ayant le plus grand impact et les voix les plus fortes ont sauté à la conclusion, sur la base des e-mails « divulgués » de Fauci, que le « SRAS-COV-2 » a été créé dans un laboratoire. Ils sont complètement vendus sous la menace d’une arme biologique « virale » sans aucune preuve scientifique crédible qu’une arme biologique « virale » ait jamais été fabriquée. Ils écriront des articles et des livres pour alerter le public sur la menace de ces études de gain de fonction, mais ils n’examineront pas les preuves fondamentales quant à savoir si l’existence de ces « virus » a déjà été scientifiquement prouvée. En réalité, ils sont tellement sûrs que les études du GOF sont des expériences scientifiques légitimes qu’ils vont promouvoir auprès de leur public les résultats d’une étude préimprimée non évaluée par des pairs datant d’octobre 2022, comme si cet article contenait des preuves scientifiques réelles soutenant leur position sur les armes biologiques :

L’Université de Boston crée une nouvelle souche SARS-CoV-2 mortelle à 80 %

« Vraisemblablement, il y a un avantage à créer une nouvelle souche de SARS-CoV-2 qui a un taux de létalité (CFR) de 80 % (contre le CFR moyen de 0,2 % pour les variantes actuelles) et qui est très contagieuse.
Je suis perplexe quant à ce que c’est. »

« Le travail a été soutenu par une subvention du NIH, en particulier du NIAID, l’organisation dirigée par Anthony Fauci. »

https://stevekirsch.substack.com/p/bu-creates-new-sars-cov-2-strain

« Insensé » : des chercheurs de Boston créent une souche « plus mortelle » de COVID, incitant à des appels pour arrêter la recherche risquée sur le gain de fonction

« Une équipe de 14 scientifiques des Laboratoires nationaux des maladies infectieuses émergentes (NEIDL) de l’Université de Boston a développé une nouvelle souche de COVID-19 qui a tué 80 % des souris infectées par le virus en laboratoire, selon une étude préimprimée publiée le 14 octobre. Suite à l’annonce, de nombreux reportages sur les résultats de l’étude se sont concentrés sur le taux de mortalité observé chez les souris de laboratoire utilisées dans l’étude.

Cependant, derrière les gros titres, certains scientifiques et d’autres ont soulevé des inquiétudes quant à la nature de la recherche et au fait qu’elle était partiellement financée par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), dirigé par le Dr Anthony Fauci.

La recherche a été menée en utilisant ce que certains scientifiques ont appelé la recherche de “gain de fonction”, soulevant des inquiétudes quant au fait que ce type de recherche — qui, selon certains, a conduit à la création et à la fuite de la souche originale de Wuhan de COVID-19 — est toujours en cours, malgré les inquiétudes que cela pourrait conduire à plus d’évasions de laboratoire et à plus de pandémies. »

https://childrenshealthdefense.org/defender/new-covid-strain-risky-gain-of-function-research/

Boston U tente de reculer les rapports d’expériences dangereuses

« Quelques jours seulement après l’annonce de la nouvelle selon laquelle l’Université de Boston avait créé une souche mortelle de SRAS-CoV-2 dans ses laboratoires, l’institution essaie de colporter son annonce, affirmant que les médias d’information se sont non seulement trompés, mais qu’ils interprètent mal ce que l’institution a vraiment fait. Mais est-ce vrai ? Selon l’épidémiologiste et microbiologiste des maladies infectieuses Marc Lipsitch, l’université peut déformer les rapports de leurs découvertes comme elle le souhaite, mais ce qu’elle a fait est toujours un gain de fonction… »

https://blogs.mercola.com/sites/vitalvotes/archive/2022/10/19/boston-u-tries-to-back-peddle-out-of-dangerous-experiment-reports.aspx

Qu’est-ce qui pourrait être plus insensé que le fait que Fauci finance davantage d’expériences sur le gain de fonction afin d’évaluer la létalité d’un coronavirus au milieu d’une pandémie causée par un coronavirus amélioré qui a tué des millions de personnes ?

Pour un bon aperçu de la façon dont des études telles que celle réalisée par Boston U sont rapportées comme étant la vérité avec l’utilisation de tactiques alarmistes, le battage médiatique et le sensationnalisme, n’hésitez pas à regarder le clip de près de 10 minutes (aimablement édité par Bill Houston) du dernier The Highwire de Del Bigtrees épisode présenté ci-dessous. Il est clair que Del et l’invité Jefferey Jaxen n’ont pas lu l’étude et n’ont pas réfléchi de manière critique à la question de savoir si les résultats et les conclusions de cette étude préimprimée et non évaluée par des pairs sont même scientifiquement valides. Ils déclarent simplement que c’est vrai et utilisent les conclusions pour renforcer leur message basé sur la peur des menace d’armes biologiques. Del termine même le segment avec le remorqueur approprié sur les vieilles cordes de peur en déclarant « Au centre-ville de Boston, nous pourrions avoir la même fuite parce que les gens ne respectent pas les règles. » Fait de main de maître par les médias « alternatifs ».



RFK Jr. a également publié un article quelques jours après la publication de l’étude de Boston U faisant la promotion d’une autre étude préimprimée et non évaluée par des pairs comme preuve que le « SRAS-COV-2 » était un « virus » créé en laboratoire :

Cette étude, intitulée « L’empreinte digitale de l’endonucléase indique une origine synthétique du SRAS-CoV2 » a été publiée sur le serveur de préimpression bioRxiv et ne consiste en rien d’autre que des comparaisons de données génomiques. Il n’y a aucun « virus » impliqué dans l’étude autre que les A, C, T, G [NDT Les quatre nucléotides composant l’ADN :  adénine (A), cytosine (C), guanine (G) ou thymine (T).] aléatoires présentés sur un écran d’ordinateur comme remplaçants. Il n’y a aucune description de la manière dont ont été obtenus les génomes utilisés dans la comparaison. Essentiellement, les chercheurs ne font que regarder des données informatiques. Rien de physique n’existe, juste les données. Malheureusement pour RFK Jr., l’accumulation et l’analyse de données ne relèvent pas de la science. Cela n’a cependant pas empêché RFK Jr. de déclarer que « le monde a maintenant la preuve positive que le SRAS-CoV2 est une création de laboratoire d’ingénierie générée avec la technologie développée par Ralph Baric avec un financement du gouvernement américain ». Fait intéressant, quelques paragraphes plus loin, il déclare ceci :

La responsabilité de l’UNC et du NIAID est maintenant claire. Mais avons-nous des preuves positives que le laboratoire de Wuhan a créé la monstruosité qui a causé le COVID-19 ?

Les preuves cumulatives suggèrent fortement que le laboratoire de Wuhan a utilisé les méthodologies de Baric pour bricoler le virus chimérique qui a causé la pandémie de COVID-19. Mais quelques pièces de puzzle manquantes nous empêchent encore de prouver définitivement que ce projet de construction dangereux a eu lieu au laboratoire de Wuhan.

Robert Kennedy Jr.

Le dernier que j’ai vérifié, « suggère fortement », « pièces de puzzle manquantes » et « nous empêche de prouver définitivement » ne ressemble pas à une « preuve positive » que « SARS-COV-2 » était une création de laboratoire d’ingénierie. Ainsi, cette preuve que Kennedy Jr. jette là-bas s’apparente à ceci est la façon dont ils l’ont fait, mais nous ne savons pas encore s’ils l’ont fait. C’est comme être excité à l’idée d’acheter la guitare à air [NDT Un instrument de musique rare ?] de quelqu’un sur eBay. Bien sûr, la transaction peut être là, mais rien de physique n’existe réellement. Néanmoins, dans sa hâte de diffuser le dernier élément de preuve indirecte pour promouvoir un programme fondé sur la peur, RFK Jr. a négligé d’attendre la confirmation par une reproduction indépendante des résultats et, plus important encore, d’avoir des preuves de particules de « virus » correctement purifiées et isolées au lieu de A, C, T, G aléatoires dans une base de données informatique. À la place, il a rapidement rédigé un article vendant cette comparaison préimprimée de génomes générés par ordinateur comme une « preuve » supplémentaire de l’existence d’une arme biologique à gain de fonction.

Si RFK Jr. et ses amis prenaient le temps de lire réellement ces études sur le « gain de fonction », ils constateraient qu’il n’y a aucune science réelle dans aucune d’entre elles. Dans le cas de la dernière tentative de GOF alarmiste de Boston U, ceux qui mettent en avant ce récit découvriraient qu’aucun « virus » purifié et isolé n’a jamais été utilisé à aucun moment et que les résultats derrière les conclusions sont très discutables. Tout ce qui serait nécessaire pour voir cela est que RFK Jr. et ses amis lisent la section des méthodes qui démontre facilement que l’article n’implique rien d’autre qu’une expérimentation chimique grandiose impliquant de nombreux produits chimiques et substances étrangères combinés et cultivés ensemble qui ont été utilisés pour justifier la mise à mort des animaux expérimentés.

Par exemple, les auteurs ont affirmé avoir créé une version recombinante chimérique du « SARS-COV-2 ». Selon Merriam-Webster, chimérique signifie que la substance contient du tissu avec deux ou plusieurs populations de cellules génétiquement distinctes, tandis que recombinant concerne le fait de contenir de l’ADN génétiquement modifié. Essentiellement, les chercheurs ont mélangé de nombreuses sources de matériel génétique avec des produits chimiques synthétiques ajoutés dans une boîte de Petri et ont affirmé qu’un nouveau « virus » modifié existait dans la soupe de culture cellulaire. Pour ce faire, ils ont utilisé :

  • Cellules HEK293T de rein embryonnaire humain

    • Une lignée cellulaire immortalisée prélevée sur des fœtus avortés dans les années 1970.

  • Cellules d’adénocarcinome pulmonaire humain A549

    • Cellules dérivées d’une tumeur pulmonaire primaire d’un homme de 58 ans en 1972.

  • Adénocarcinome colorectal humain Cellules Caco-2

    • Cellules dérivées du tissu cancéreux du côlon d’un homme de 72 ans en 1977.

  • Cellules Vero E6 de rein de singe vert d’Afrique

    • Comme son nom l’indique, les cellules de reins de singe qui sont la lignée cellulaire la plus couramment utilisée pour la culture.

De nombreux produits chimiques et substances ont été ajoutés à des fins de culture, tels que :

  • Milieu d’aigle modifié de Dulbecco

    • Contient divers ingrédients, notamment des acides aminés, des vitamines, du glucose, du sodium, de la glycine, de la sérine, du nitrate ferrique, du pyruvate et du bicarbonate de sodium.

  • Sérum bovin fœtal

    • Le sang prélevé du cœur d’un veau à naître.

  • Acides aminés non essentiels

    • Cela peut inclure la L-alanine, la L-asparagine, l’acide L-aspartique, la L-glycine, la L-sérine, la L-proline et l’acide L-glutamique.

  • Avicel

    • Selon le fabricant DuPont, il s’agit d’un excipient d’alphacellulose purifiée, partiellement dépolymérisée, fabriquée par hydrolyse acide de pâte de bois spécialisée, qui produit rapidement des granules robustes qui restent stables dans des environnements à fort cisaillement.

Il existe divers autres additifs synthétiques utilisés tout au long de ce processus, tels que le chromosome artificiel bactérien (BAC), l’ADN polymérase PrimeStar GXL, le volume de réaction CPER avec 250 µl d’Opti-MEM et le système de distribution dynamique TransIT-X2. Ce qui s’est passé au cours de cette expérience (et d’expériences similaires) n’était rien de plus que la création d’une recette qui a abouti à une soupe toxique. Cette soupe a ensuite été injectée de force dans les voies nasales de bébés souris sous anesthésie à l’isoflurane. Les souris ont été contrôlées régulièrement pour voir si elles présentaient des signes des symptômes que les chercheurs voulaient voir, tels qu’une perte de poids de 10 à 19 %, une fourrure ébouriffée et/ou une posture voûtée, une insensibilité faible à modérée et des tremblements, c’est-à-dire les signes classiques associés à la « Covid-19 » chez l’homme (notez le sarcasme). Il n’a jamais été considéré si le mode d’injection et/ou l’utilisation de l’anesthésie à l’isoflurane avaient pu ou non entraîner des symptômes. Il n’a jamais été considéré si le stress de l’expérimentation ou les conditions de vie artificielles affectaient la santé des souris. Tous les signes et symptômes étaient supposés être causés par un « virus » invisible dont l’existence n’a jamais été directement démontrée. Dans les cas où une perte de poids supérieure ou égale à 20 % survenait ou si les souris recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs, les souris étaient alors considérées comme moribondes et euthanasiées.

En d’autres termes, les chercheurs ont recherché des signes subjectifs de maladie, ont affirmé qu’elle était due à un « virus », puis ont tué les animaux s’ils atteignaient un certain seuil subjectif. C’est ainsi que le taux de mortalité de 80 % a été évoqué. Tout cela peut être vu à partir de quelques faits saillants tirés de cette étude :

Rôle de [la protéine] spike dans le comportement pathogène et antigénique du SARS-CoV-2 BA.1 Omicron

« Le variant SARS-CoV-2 Omicron (BA.1) récemment identifié et prédominant dans le monde est hautement transmissible, même chez les individus entièrement vaccinés, et provoque une maladie atténuée par rapport aux autres variants viraux majeurs reconnus à ce jour. La protéine Omicron spike (S), avec un nombre inhabituellement élevé de mutations, est considérée comme le principal moteur de ces phénotypes. Nous avons généré un SARS-CoV-2 recombinant chimérique codant pour le gène S d’Omicron dans le squelette d’un isolat ancestral de SARS-CoV-2 et avons comparé ce virus avec le variant Omicron circulant naturellement. Le virus porteur d’Omicron S échappe de manière robuste à l’immunité humorale induite par le vaccin, principalement en raison de mutations dans le motif de liaison au récepteur (RBM), mais contrairement à l’Omicron naturel, il se réplique efficacement dans les lignées cellulaires et les cellules pulmonaires distales de type primaire. Chez les souris K18-hACE2, alors qu’Omicron provoque une infection bénigne et non mortelle, le virus porteur d’Omicron S inflige une maladie grave avec un taux de mortalité de 80 %. Cela indique que si l’évasion vaccinale d’Omicron est définie par des mutations dans S, les principaux déterminants de la pathogénicité virale résident en dehors de S. »

MATÉRIAUX ET MÉTHODES

Cellules, anticorps et plasmides

« Les lignées cellulaires ont été incubées à 37 °C et 5 % de CO2 dans un incubateur humidifié. Des cellules HEK293T de rein embryonnaire humain (ATCC ; CRL-3216), des cellules d’adénocarcinome pulmonaire humain A549 (ATCC ; CCL—185), des cellules d’adénocarcinome colorectal humain Caco-2 (ATCC ; HTB-37) et des cellules Vero E6 de rein de singe vert d’Afrique ont été maintenues dans du DMEM (Gibco ; #11995-065) contenant 10 % de FBS et 1X acides aminés non essentiels. Le système de délivrance lentiviral a été utilisé pour générer des cellules exprimant de manière stable l’ACE2 et le TMPRSS2 humains. Le statut négatif pour les mycoplasmes de toutes les lignées cellulaires a été confirmé.

Un anticorps anti-protéine de la nucléocapside (N) du SARS-CoV (Rockland; #200-401-A50) a été utilisé pour la détection de la protéine SARS-CoV-2 N par IF. Le plasmide d’expression codant pour la protéine de pointe de l’isolat SARS-CoV-2 Wuhan, pCSII-SARS-CoV-2 F8, était un cadeau aimable de Yoshiharu Matsuura. Nous avons remplacé la pointe de Wuhan dans ce plasmide par une version synthétisée chimiquement de la pointe d’Omicron et avons appelé le plasmide résultant pCSII-SARS-CoV-2 F8_Omicron. Les vecteurs lentiviraux, pLOC_hACE2_PuroR et pLOC_hTMPRSS2_BlastR, contenant respectivement l’ACE2 humain et le TMPRSS2, ont été décrits précédemment.

Préparation et titrage du stock Omicron

Le stock de virus SARS-CoV-2 BA.1 Omicron a été généré dans des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2. En bref, 5 x 105 cellules, cultivées pendant la nuit dans DMEM/10 % FBS/1X NEAA dans un puits d’une plaque à 6 puits, ont été inoculées avec le milieu de collecte dans lequel l’écouvillon nasal d’un patient SARS-CoV-2 a été immergé. Le matériel de l’écouvillon a été obtenu auprès du Département de la santé publique du Massachusetts et il contenait le virus Omicron dont la séquence a été vérifiée (numéro d’accès NCBI : OL719310). Vingt-quatre heures après l’infection des cellules, le milieu de culture a été remplacé par 2 ml de DMEM/2 % FBS/1X NEAA et les cellules ont été incubées pendant 72 h supplémentaires, moment auquel le CPE est devenu visible. Le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et conservé à -80 °C en tant que stock de virus P0. Pour générer un stock P1, nous avons infecté 1 x 107 cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2, ensemencées la veille dans un flacon T175, avec le virus P0 à un MOI de 0,01. Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par 25 ml de milieu contenant 2 % de FBS. Trois jours plus tard, lorsque les cellules présentaient un CPE excessif, le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et stocké à -80 °C en tant que stock P1.

Pour titrer le stock de virus, nous avons ensemencé des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2 dans une plaque à 12 puits à une densité de 2 x 105 cellules par puits. Le lendemain, les cellules ont été incubées avec des dilutions en série de 10 fois du stock de virus (volume de 250 µl par puits) pendant 1 h à 37 °C, recouvertes de 1 ml par puits de milieu contenant un mélange 1 : 1 de 2X DMEM/4 % FBS et 1,2 % d’Avicel (DuPont; RC-581), et incubés à 37 °C pendant trois jours supplémentaires. »

Génération SARS-CoV-2 recombinante par CPER

« Les virus recombinants SARS-CoV-2 ont été générés en utilisant une forme modifiée du protocole CPER récemment publié. L’ADNc complet du SARS-CoV-2 cloné sur un chromosome artificiel bactérien (BAC) a été utilisé comme matrice pour amplifier le génome viral en huit fragments qui se chevauchent (F1, F2, F3, F4, F5, F6, F7 et F9). Les plasmides pCSII-SARS-CoV-2 F8 et pCSII-SARS-CoV-2 F8_Omicron, qui ont été utilisés pour générer des mutants de Spike, ont servi de matrices pour l’amplification du fragment 8 (F8). Un lieur UTR contenant un ribozyme du virus de l’hépatite delta (HDVr), la séquence signal de polyadénylation de l’hormone de croissance bovine (BGH-polyA) et un promoteur du cytomégalovirus (CMV) a été cloné sur un vecteur pUC19 et utilisé comme matrice pour amplifier la séquence de liaison. Les extrémités 5′ des dix fragments d’ADN (F1-F9 et le lieur) ont été phosphorylées en utilisant T4 PNK (NEB; #M0201), et les quantités équimolaires (0,05 pmol chacune) des fragments résultants ont été soumises à une réaction CPER dans un volume de 50 µl en utilisant 2 µl d’ADN polymérase PrimeStar GXL (Takara Bio ; #R050A). Les conditions de cycle suivantes ont été utilisées pour la CPER : une dénaturation initiale à 98 °C pendant 2 min ; 35 cycles de dénaturation à 98 °C pendant 10 s, annelage à 55 °C pendant 15 s et extension à 68 °C pendant 15 min ; et une extension finale à 68 °C pendant 15 min. Les entailles dans le produit circulaire ont été scellées en utilisant de l’ADN ligase.

Pour transfecter des cellules avec le produit CPER, nous avons ensemencé des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2 dans une plaque à 6 puits à une densité de 5 x 105 cellules par puits. Le mélange de transfection a été préparé en mélangeant 26 µl du volume de réaction CPER original de 52 µl avec 250 µl d’Opti-MEM (Thermo Fisher Scientific; # 31985070) et 6 µl de TransIT-X2 Dynamic Delivery System (Mirus Bio ; #MIR 6000). Après incubation à température ambiante pendant 25 minutes, le mélange de transfection a été ajouté aux cellules. Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par du DMEM frais contenant 2 % de FBS. Le CPE est devenu visible en 3-4 jours, moment auquel le milieu de culture a été collecté et stocké en tant que stock de virus P0. Le stock P0 a été utilisé pour les expériences décrites dans ce manuscrit. La région de Spike de tous les virus générés par CPER a été séquencée soit par séquençage Sanger, soit par séquençage de nouvelle génération pour confirmer la présence des modifications souhaitées et l’absence de modifications accidentelles.

Des souris K18-hACE2 mâles et femelles âgées de douze à vingt semaines ont été inoculées par voie intranasale avec 104 PFU de SARS-CoV-2 dans 50 µl de PBS 1X stérile. Les inoculations ont été réalisées sous anesthésie à 1-3 % d’isoflurane.

Le score de 1 a été attribué pour chacune des situations suivantes : poids corporel, perte de 10 à 19 % ; respiration, rapide et peu profonde avec un effort accru ; apparence, fourrure ébouriffée et/ou posture voûtée ; réactivité, insensibilité faible à modérée ; et signes neurologiques, tremblements. La somme de ces scores individuels constituait le score clinique final. Les animaux étaient considérés comme moribonds et humainement euthanasiés en cas de perte de poids supérieure ou égale à 20 %, ou s’ils recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs. Le poids corporel et le score clinique ont été enregistrés une fois par jour pendant toute la durée de l’étude. Pour les besoins des courbes de survie, les animaux euthanasiés un jour donné ont été comptés morts le lendemain. Les animaux trouvés morts en cage ont été comptés morts le même jour. Pour l’euthanasie, une surdose de kétamine a été administrée suivie d’une méthode secondaire d’euthanasie. »

Cliquez pour accéder à 2022.10.13.512134v1.full.pdf

Le cercle de la science-fiction.

Il aurait été douloureusement évident pour RFK Jr. et ses amis, s’ils avaient été intellectuellement honnêtes, qu’à aucun moment cette étude préimprimée non évaluée par des pairs n’a démontré l’ingénierie d’une nouvelle souche de « SARS-COV-2. » Pourtant, d’une manière ou d’une autre, ils s’accrochent à des études comme celle-ci pour montrer que non seulement les « virus » existent, mais qu’ils sont génétiquement modifiés par Anthony Fauci et sa joyeuse bande de cohortes qui libèrent ces entités invisibles sur le monde. Alors que RFK Jr. et ses amis dénoncent les vaccins et les mesures draconiennes mises en place durant cette pandémie, leur croyance en ces entités fictives génétiquement modifiées leur permet de justifier leurs quêtes continues pour trouver des vaccins « plus sûrs » et vendre des traitements pharmaceutiques alternatifs alors qu’aucun traitement n’est nécessaire ni une alternative « plus sûre », car pour commencer il n’y a pas de « virus » causant une nouvelle maladie. Leur promotion de ce concept frauduleux maintient le train de la propagande basée sur la peur et ramène dans la toile des mensonges quiconque cherche à se libérer du récit de la théorie des germes élaborée par la pharmacie. Intentionnellement ou non, RFK Jr. et ses amis sont les joueurs de flûte de l’industrie pharmaceutique qui ramènent les souris errantes dans le giron.

Cependant, s’ils épluchaient un peu plus l’oignon et regardaient l’origine des « coronavirus » (comme je l’ai fait ici), ainsi que les preuves fondamentales pseudoscientifiques de tous les « virus », ils verraient à quel point leur position est vraiment illogique. Pour que la recherche sur le gain de fonction soit légitime, il faut d’abord prouver scientifiquement l’existence du ou des « virus » prétendument manipulés et fabriqués. Cela nécessite l’adhésion à la méthode scientifique et l’établissement d’une variable indépendante valide qui serait des particules correctement purifiées et isolées supposées être des « virus » trouvés directement dans les fluides d’un hôte malade. Une fois obtenues en étant séparées de tous les autres contaminants et microbes potentiels, il faudrait ensuite démontrer que ces particules provoquent la maladie en question de manière naturelle, c’est-à-dire en respirant les particules diffusées par aérosol plutôt qu’en utilisant des fluides toxiques issus de cultures cellulaires versés directement dans les narines ou injectés d’une manière ou d’une autre.

Des Expériences de contrôle appropriées utilisant des fluides provenant d’hôtes sains ou de personnes présentant des symptômes similaires, mais déclarés ne pas avoir le « virus » doit également être effectuée. Ce processus devrait être répété à grande échelle et démontré comme reproductible et réplicable par divers chercheurs indépendants. Ce n’est qu’une fois que le « virus  aura été soumis à un processus aussi rigoureux et que son existence aura été scientifiquement prouvée qu’il sera possible de déterminer comment « cultiver » cette entité et comment la modifier génétiquement d’une manière ou d’une autre afin de la rendre plus mortelle. Ce n’est qu’alors que des études de gain de fonction et une origine d’arme biologique ou de fuite de laboratoire pour tout « virus  seraient hypothétiquement possibles. Cependant, ce processus scientifique n’a jamais été réalisé au cours des plus de 100 ans d’existence de la virologie. Il faut d’abord prouver l’existence des particules « virales ». On ne peut pas [seulement] supposer qu’elles existent.

Robert F. Kennedy Jr. et les joueurs de flûte

avec June Hutton

Équipe de rêve

En résumé :

  • De nombreux dirigeants de la communauté de la liberté de la santé préfèrent s’accrocher à des études pseudoscientifiques sur le gain de fonction comme preuve de l’existence de « virus » plutôt que d’examiner si un « virus » a déjà été scientifiquement prouvé en adhérant à la méthode scientifique.
  • Ils avancent un récit, basé sur des e-mails, des demandes de subvention et des lettres au Congrès officiellement publiés, selon lesquels Anthony Fauci finance secrètement des études GOF en Chine qui ont abouti à l’origine du « SARS-COV-2 ».
  • Robert Kennedy Jr. a écrit un nouveau livre, The Wuhan Cover-up, avançant cette spéculation sur les fuites d’armes biologiques/laboratoires GOF.
  • Il a également détaillé les activités néfastes de Fauci dans son livre The Real Anthony Fauci, y compris le financement d’études frauduleuse « ne donnant rien » à l’ère du VIH/sida. (Ceci semble être un modèle dans lequel les études du GOF s’inscrivent).
  • Kennedy Jr. et ses amis mettent également en avant une nouvelle étude préimprimée non évaluée par des pairs de l’Université de Boston, affirmant que c’est la preuve que Fauci finance la recherche GOF et le « SARS-COV-2 » génétiquement modifié.
  • Cependant, s’ils lisaient au moins la section des méthodes de cette étude, il serait évident pour eux que ce n’est pas du tout le cas.

  • Les auteurs ont affirmé avoir généré un recombinant chimère « SARS-CoV-2 » codant pour le gène S d’Omicron dans le squelette d’un isolat ancestral « SARS-CoV-2 » et ont comparé ce « virus » avec le variant d’Omicron circulant naturellement.
  • Chez les souris K18-hACE2, alors qu’Omicron provoque une infection bénigne et non mortelle, le « virus » porteur d’Omicron S a infligé une maladie grave avec un taux de mortalité de 80 %.
  • Les chercheurs ont utilisé des souris génétiquement modifiées pour des expériences sans mentionner les procédures qui ont été suivies pour les modifier génétiquement.
  • Des cellules rénales embryonnaires humaines HEK293T, des cellules d’adénocarcinome pulmonaire humain A549, des cellules d’adénocarcinome colorectal humain Caco-2 et des cellules Vero E6 de rein de singe vert africain ont été maintenues dans du DMEM contenant 10 % de FBS et 1X acides aminés non essentiels.
  • Le système de livraison « lentiviral » a été utilisé pour générer des cellules exprimant de manière stable l’ACE2 humain et le TMPRSS2.
  • L’anticorps anti-protéine de la nucléocapside (N) « Anti-SARS-CoV » a été utilisé pour la détection de la protéine N « SARS-CoV-2 » par IF.
  • En d’autres termes, ils ont utilisé des anticorps invisibles non spécifiques jamais correctement purifiés/isolés pour détecter une protéine pour un « virus » jamais correctement purifié/isolé, utilisant ainsi une création fictive pour déterminer l’existence d’une autre.
  • Le plasmide d’expression codant pour la protéine de pointe de l’isolat de Wuhan « SARS-CoV-2 », « pCSII-SARS-CoV-2 F8 », était un aimable cadeau de Yoshiharu Matsuura.
  • Les chercheurs ont affirmé avoir remplacé la Spike de Wuhan dans ce plasmide par une version synthétisée chimiquement de celle d’Omicron et ont appelé le plasmide résultant « pCSII-SARS-CoV-2 F8_Omicron ».
  • Le stock « SARS-CoV-2 » BA.1 Omicron « virus » a été généré dans des cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2
  • En bref, 5 x 105 cellules, cultivées pendant une nuit dans du DMEM/10 % FBS/1X NEAA dans un puits d’une plaque à 6 puits, ont été inoculées avec le milieu de collecte dans lequel l’écouvillon nasal d’un patient « SRAS-CoV-2 » a été immergé.
  • vingt-quatre heures après l’infection des cellules, le milieu de culture a été remplacé par 2 ml de DMEM/2 % FBS/1X NEAA et les cellules ont été incubées pendant 72 h supplémentaires, moment auquel le CPE est devenu visible.
  • Le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et conservé à -80 °C en tant que stock de « virus » P0.
  • Comme on peut le voir, il s’agit de la soupe de culture cellulaire non purifiée habituelle qui est censée avoir un « virus » en raison de l’apparition de l’effet cytopathogène qui peut être causé par de nombreuses choses autres qu’un « virus ».
  • Pour générer un stock P1, ils ont infecté 1 x 107 cellules ACE2/TMPRSS2/Caco-2, ensemencées la veille dans un flacon T175, avec le « virus » P0 à un MOI de 0,01.
  • Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par 25 ml de milieu contenant 2 % de FBS et trois jours plus tard, lorsque les cellules présentaient un CPE excessif, le milieu de culture a été récolté, passé à travers un filtre de 0,45 µ et stocké à -80 °C sous une action P1.
  • Passé à travers un filtre signifie qu’il a été minimalement « purifié », car la filtration est connue pour ne pas être en mesure de séparer tous les contaminants/microbes.
  • Les cellules ont été incubées avec des dilutions en série de 10 fois du stock de « virus » (volume de 250 µl par puits) pendant 1 h à 37 °C, recouvertes de 1 ml par puits de milieu contenant un mélange 1 : 1 de 2X DMEM/4 % de FBS et 1,2 % Avicel, et incubé à 37 °C pendant encore trois jours.
  • Des « virus recombinants SARS-CoV-2 » ont été générés en utilisant une forme modifiée du protocole CPER récemment publié.
  • L’ADNc complet du « SARS-CoV-2 » cloné sur un chromosome artificiel bactérien (BAC) a été utilisé comme matrice pour amplifier le génome viral en huit fragments qui se chevauchent.
  • Un lieur UTR contenant un ribozyme du « virus » de l’hépatite delta (HDVr), la séquence signal de polyadénylation de l’hormone de croissance bovine (BGH-polyA) et un promoteur du cytomégalovirus (CMV) a été cloné sur un vecteur pUC19 et utilisé comme matrice pour amplifier le lieur séquence.
  • Le mélange de transfection a été préparé en mélangeant 26 µl du volume de réaction CPER original de 52 µl avec 250 µl d’Opti-MEM et 6 µl de TransIT-X2 Dynamic Delivery System.
  • Le lendemain, le milieu de culture a été remplacé par du DMEM frais contenant 2 % de FBS.
  • Chaque étape de ce processus est un mélange de produits humains et animaux étrangers avec des produits chimiques synthétiques afin de produire la réaction souhaitée afin de prétendre qu’un « virus » est présent.
  • Des souris K18-hACE2 mâles et femelles âgées de douze à vingt semaines ont été inoculées par voie intranasale avec 10 4 PFU de « SARS-CoV-2 » dans 50 µl de PBS 1X stérile et les inoculations ont été réalisées sous anesthésie à 1-3 % d’isoflurane.
  • La note de 1 a été attribuée pour chacune des situations suivantes :

    • Poids corporel : perte de 10 à 19 % ;
    • Respiration : rapide et peu profonde avec un effort accru ;
    • Apparence : fourrure ébouriffée et/ou posture voûtée ;
    • Réactivité : absence de réponse faible à modérée ;
    • Signes neurologiques : tremblements.

  • La somme de ces scores individuels constituait le score clinique final et les animaux étaient considérés comme moribonds et humainement euthanasiés en cas de perte de poids supérieure ou égale à 20 %, ou s’ils recevaient un score clinique de 4 ou plus pendant deux jours consécutifs.
  • En d’autres termes, le taux de mortalité de 80 % était une considération subjective basée sur un système de notation arbitraire conduisant à l’euthanasie inutile des animaux et à la responsabilité du « virus ».
« Le Virus
Pandémie post-apocalyptique de science-fiction »

Idée de prochain livre ?

Lorsque nous tentons de déterminer la vérité sur quelque chose, nous devons retracer les preuves aussi loin que possible pour vérifier l’exactitude des informations présentées. Si nous ne le faisons pas, nous parlons d’un sujet du point de vue de l’ignorance. En ce qui concerne les « virus », cela signifie parcourir plus de 100 ans de recherche afin de savoir si l’existence des particules invisibles supposées causer la maladie a déjà satisfait à la charge de la preuve scientifique en accomplissant les étapes requises de la méthode scientifique. Quiconque examine la virologie ouvertement et honnêtement arrivera à la conclusion que cette tâche indispensable n’a jamais été assumée pour aucun « virus ». Tout ce que l’on a à faire est de choisir un « virus » et de regarder les preuves du document fondamental présenté pour voir si c’est le cas ou non. J’ai fait ce travail pendant les 5 dernières années. J’ai lu les études originales pour voir si jamais les chercheurs ont rempli les exigences scientifiques. Beaucoup de mes pairs ont fait de même. Pour cette raison, nous sommes tous arrivés à la même conclusion que la preuve scientifique de l’existence d’un « virus » n’existe tout simplement pas. Ainsi, nous parlons sur ce sujet non par ignorance, mais par connaissance.

Lorsque Robert Kennedy Jr. a été interrogé sur l’existence de « virus », il a raté le passage de relais et a précipitamment renvoyé la balle. Il a affirmé qu’il n’était pas un scientifique et qu’il n’était pas qualifié pour s’exprimer sur le sujet. Pourtant, RFK a écrit un livre sur l’existence et les origines d’un « virus » dont il a lui-même admis ne pas être qualifié pour discuter ni déterminer. Comment Kennedy Jr. s’est-il soudainement qualifié pour pouvoir écrire un livre entier et de nombreux articles sur le sujet ? Cela ne peut certainement pas provenir de la science, car RFK Jr. a admis ne pas avoir examiné l’histoire des preuves « scientifiques » derrière les « virus ». S’il l’avait fait, il se rendrait compte qu’il n’y a pas de science à trouver, seulement de la pseudoscience. Il ne pourrait provenir d’aucune étude prétendant montrer le génie génétique d’un « SARS-COV-2 », car aucune étude de ce type n’existe. Apparemment, il suffit d’une « fuite » d’e-mails et de pures spéculations pour être qualifié pour parler de la mystérieuse origine artificielle d’un « virus ».

Malheureusement, cela ne se limite pas à RFK Jr. Aucun de ceux mentionnés précédemment dans cet article (et beaucoup d’autres non inclus) n’est disposé à examiner l’existence de « virus » ouvertement et honnêtement, ni avec une pensée et une logique critiques. On se heurte régulièrement à des excuses liées au gain de fonction et à la génomique, des « avancées » récentes qui ne pourraient avoir de légitimité que si l’existence du « virus » en question avait été scientifiquement prouvée au préalable. Certains essaient même de justifier l’abâtardissement du mot « isolement » par la virologie. Le plus souvent, on nous dit que les « virus » ne peuvent pas être trouvés directement dans les fluides humains, car il n’y en a pas assez (pourtant il y a suffisamment de « virions » pour provoquer des symptômes) et que les « virus » ont besoin d’une cellule hôte (pour une raison pour laquelle l’hôte malade réel ne compte pas) afin de se répliquer. En quelque sorte, la logique échappe à ces personnes que ces informations sur la façon dont les « virus » fonctionnent et se développent ne pourraient pas être obtenues sans avoir trouvé le « virus » dans la nature et/ou dans les fluides d’un humain malade d’abord afin qu’« il » soit étudié. Évoquer une soupe de culture cellulaire dans un laboratoire et prétendre que les effets prouvent une cause n’est pas la façon dont la science fonctionne. C’est cependant ainsi que fonctionne la pseudoscience et ces personnes feraient bien d’apprendre la différence.

Il n’y a pas que le « virus » qui manque ici…

Si RFK Jr. et ses amis arrêtaient de chasser et de promouvoir la science-fiction et apprenaient à comprendre les sciences naturelles, ils se rendraient compte que la vérité sur le manque de preuves scientifiques des « virus » n’entrave pas ce mouvement de liberté de la santé, mais le renforce plutôt énormément. Une fois qu’ils auront réalisé que les « virus » n’existent pas et ne peuvent donc pas être fabriqués comme des armes biologiques, ils peuvent arrêter de se battre pour des vaccins « plus sûrs », car ils comprendront qu’il n’y a aucune nécessité pour la pratique toxique. Ils verront qu’il n’y a pas de traitements pharmaceutiques alternatifs nécessaires, car ces produits ne font que favoriser une toxicité supplémentaire à laquelle le corps doit alors faire face. Ils pourront avoir un message beaucoup plus puissant contre les confinements, les quarantaines, la distanciation sociale, le masquage, etc. une fois qu’ils concluent que les infections contagieuses ne se produisent pas, ces mesures sont complètement illogiques et totalement inutiles. Ils argumenteront à partir d’une position de connaissance et de force, car il incombera à ceux qui font les affirmations positives de prouver qu’elles sont correctes conformément à la méthode scientifique. RFK Jr. et ses amis seront libres de sortir du paradigme pharmaceutique et de le considérer comme le système de cycle de maladie basé sur la peur pour lequel il a été conçu.

Cependant, cela ne se produit que s’ils sont prêts à être intellectuellement honnêtes. Pour ceux qui sont prêts à admettre qu’ils ne sont peut-être pas qualifiés pour parler de l’existence de « virus », nous sommes nombreux à vouloir les aider à les éduquer ou à les orienter dans la bonne direction afin qu’ils puissent se faire une opinion éclairée. Pour ceux qui ne veulent pas faire une telle reconnaissance et qui veulent continuer à promouvoir la pseudoscience comme s’il s’agissait de preuves scientifiques légitimes, nous avons une mesure conçue pour résoudre ce problème tout en respectant le plus possible la méthode scientifique. S’ils sont vraiment intéressés par la validation scientifique réelle, il n’y a aucune raison de ne pas la soutenir. Le temps est venu d’abandonner le livre de science-fiction, d’arrêter de raconter des histoires effrayantes au public et d’exiger que la vraie science soit réalisée.




Pour bénéficier de médecins, il faut les libérer ! Les contraintes les font fuir

Par le Dr Gérard Delépine

La liberté est le meilleur stimulant de l’activité médicale et de toute activité. Maintenir l’exclusion des soignants non vaccinés et supprimer la liberté d’installation ne peuvent qu’augmenter le nombre des déserts médicaux.

La tyrannie politique et bureaucratique décourage les médecins

Depuis plus de 20 ans, le mépris des autorités et les contraintes bureaucratiques imposées aux médecins par les ARH puis les ARS, la sécurité sociale ou l’ordre des médecins n’ont cessé de s’alourdir les détournant progressivement de leur sacerdoce.

Durant ces 3 dernières années, les mensonges officiels, les contraintes sans fondement scientifique et les poursuites contre les résistants ont culminé avec des déclarations officielles telles que « En cas de symptômes qui pourraient évoquer le coronavirus, quels qu’ils soient, ne sortez pas, ni pour aller chez le médecin »1, l’interdiction de certaines prescriptions par le ministère de la Santé comme la chloroquine 27 mai 2020 puis de certains antibiotiques, les recommandations voire injonctions du Rivotril pour nos aînés, les poursuites de l’ordre contre les médecins qui ont guéri des malades de covid ou qui ont simplement présenté des faits démentant la propagande officielle.

L’autoritarisme anti-scientifique a atteint un sommet avec l’exclusion des soignants et pompiers non vaccinés, puis son maintien en France alors que tous les autres pays européens l’ont abandonnée.

Récemment France Assos Santé2, qui collabore avec les agences régionales de santé dont la HAS3, a montré son ignorance des faits avérés et joué le rôle de supplétif du gouvernement en demandant la prolongation de l’obligation vaccinale pour les soignants et pompiers et en réclamant l’assignation autoritaire du lieu de première installation des médecins. Deux grosses erreurs.

L’obligation vaccinale de certaines professions n’a aucun intérêt médical, nous prive de soignants aguerris, et décourage les autres

Les pseudo vaccins actuels sont incapables d’empêcher quiconque d’attraper la maladie et de la transmettre. L’évolution de l’épidémie, décrite par les données de l’OMS, montre en effet qu’on a observé 3,5 fois plus de nouveaux cas mensuels depuis les larges campagnes d’injection (en moyenne 1000 nouveaux cas mensuels avant les injections contre 3500 depuis les larges campagnes de pseudo vaccination)

De même les pseudo vaccins sont incapables de protéger des formes graves contrairement aux affirmations répétitives du pouvoir et collabos, puisque la mortalité mensuelle attribuée au Covid a augmenté depuis les injections alors qu’elle est restée stable ou a diminué dans les pays peu vaccinés.

Comment peut-on prétendre que l’administration de pseudo vaccins inefficaces serait capable de protéger les personnes fragiles au contact des soignants 4 ?

En Europe, tous les autres pays ont officiellement reconnu l’inutilité de cette mesure et l’ont supprimée.

Pourquoi une association qui prétend défendre les patients nie-t-elle la réalité des faits et réclame-t-elle la prolongation de cette obligation dont le seul résultat est de nous priver de soignants et pompiers dont nous manquons si cruellement et de désespérer les autres ?

Par ses déclarations France Assos Santé contribue à aggraver le manque de soignants compétents, responsable de l’état catastrophique de l’hôpital5 et des déserts médicaux !

Combien de temps encore nos autorités nieront-elles les faits avérés reconnus par les autorités sanitaires de la totalité des pays voisins et maintiendront-elles cette mesure politique de censure6 destinée à empêcher que les soignants vaccino prudents trop honnêtes7 puissent faire part de leurs doutes et constatations cliniques aux patients ?

La fin de la liberté d’installation entraînera de nouveaux déserts médicaux

Un médecin, par ses obligations professionnelles et en particulier les consultations urgentes, est contraint d’habiter près de son lieu d’exercice. Lui assigner un lieu d’exercice revient à l’assigner à résidence, mesure normalement décidée jusqu’ici par un juge et qui concerne habituellement une personne mise en examen dans le cadre d’une instruction.

Assimiler les nouveaux médecins à des mis en examen ne constitue pas vraiment un signal encourageant de bienvenue.

France Assos Santé prône l’assignation à résidence des nouveaux médecins sans réaliser qu’une telle mesure peut dissuader de faire des études de médecine et inciter davantage de soignants déjà formés à fuir encore plus vers l’étranger.

Ces annonces impactent fortement le bien-être des étudiants. Quatre étudiants sur cinq (81,1 %) ont l’impression de ressentir davantage d’anxiété. 35 % estiment avoir une santé mentale mauvaise ou plutôt mauvaise alors qu’ils n’étaient que 20 % auparavant et un étudiant sur trois (32,7 %) a pensé à arrêter ses études.

On n’attire pas les mouches avec du vinaigre

Le 17/11/22, à l’occasion de la 4e journée de mobilisation contre la création d’une « dixième année » d’études médicales affectées à des stages dans les déserts médicaux initiée par l’ensemble des syndicats médicaux étudiants (Isnar-IMG, Anemf), et des jeunes médecins (ReAGJIR), soutenus par des syndicats seniors (MG France, CSMF, FMF, SML), Yaël Thomas, président de l’Association Nationale des Étudiants en Médecine de France (Anemf)8 rapporte que 54 % des étudiants réfléchissent de plus en plus à exercer en dehors de la France, quand 5,3 % sont sûrs d’exercer ailleurs. Seuls 11,1 % se disent sûrs de rester dans l’Hexagone

Dr Agnès Giannotti, présidente de MG France :

« Nous avons besoin de jeunes médecins, mais les mesures prises ne peuvent que les faire fuir ! »

Dr Corinne Le Sauder, présidente de la FMF :

« Des médecins qui ont beaucoup donné à ce beau métier vont quitter la profession en raison des mesures toujours plus contraignantes. »

Barbara Begault, porte-parole de l’Isnar-IMG :

« Ça fait deux mois que nous sommes ignorés ! Aux yeux du gouvernement, nous ne sommes pas des étudiants, mais juste de la monnaie d’échange. »

« Et quand on fait valoir notre droit de grève, on nous insulte de terroristes. »

« Malgré le mépris et les menaces, nous ne fléchissons pas !’ »

« Non à la coercition ! »9

Comment éviter que notre médecine ressemble à celui des pays pauvres ?

Ce n’est pas défendre les patients que de prôner des mesures autoritaires qui feront fuir encore plus de soignants. Pour reconstruire l’hôpital et obtenir un maillage national équilibré de médecins, il faut écouter leurs revendications.

Halte aux mesures autoritaires !

Réintégration de tous les suspendus avec paiement des arriérés.

Annulation des jugements iniques du conseil de l’Ordre envers les médecins qui n’ont fait que leur devoir en soignant effectivement les malades et/ou en informant la population.

Honorons dignement les soignants avec des salaires et honoraires proches de ceux pratiqués dans les pays voisins.

Dégraissage de la bureaucratie hospitalière et des agences régionales de santé en renvoyant au chevet des malades les médecins qui s’en sont détournés.

Confirmation des libertés de s’exprimer, de soigner, de prescrire des médecins et pour les malades de choisir leur traitement après un consentement libre et éclairé.

Sans soignants, il n’y a pas de médecine ni de soins. France Assos Santé ne l’a malheureusement pas compris et milite avec le gouvernement pour des mesures qui nuiront à terme aux patients.





Le Great Reset cible les enfants. La mode trans lancée

[Source : LHK]

Le président Biden s’exprime sur les enfants trans.

C’est la RTBF-Info belge qui rapportait en 2018 cette vidéo tournée dans une classe avec un titre alléchant : Les enfants aussi aiment les drag queens. Vidéo qui n’a fait que quelques milliers de vues :

« Depuis 2011, les besoins, enjeux et protocoles de soins destinés aux jeunes trans sont largement documentés et il ressort des travaux récents que ces jeunes sont plus à risque de suicide, discrimination, dépression, que leurs pairs. Or, la compréhension des facteurs causaux a changé, il devient évident que les expériences négatives liées à la discrimination sont responsables de ces difficultés psychiques et relationnelles. Lorsque les enfants sont acceptés et soutenus dans leur genre trans, ils ne diffèrent pas des autres enfants. Les structures de soins adaptées offrant un accompagnement respectueux et acceptant la différence de genre sont nécessaires. Trois axes d’intervention sont identifiés : les traitements hormonaux de retard de puberté, voire de puberté croisée, l’accompagnement des familles et la lutte contre le harcèlement scolaire. »

https://www.revmed.ch/revue-medicale-suisse/2018/revue-medicale-suisse-621/un-futur-pour-les-enfants-et-les-jeunes-transgenres-que-savons-nous-sur-les-besoins-et-les-solutions

Le vernis scientifique est indispensable au programme de l’élite globaliste. Il est tout de suite suivi par des statistiques qui valent ce qu’elles valent :

Curieusement, la Suisse, très active en matière de bricolage de l’humain et de la législation qui l’accompagne, ne figure pas dans ce tableau.

[Voir aussi :
Biden approuve les opérations de changement de sexe et l’hormonothérapie pour les mineurs transgenres
Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE
MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie
Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
« Une femme est une femme, un homme est un homme » : Poutine s’engage à protéger la Russie de « l’obscurantisme de genre » de l’Occident]]

La Suisse, toujours première de classe s’est préparée dès 2007.

En quoi consistent les traitements hormonaux ? À quel âge commence-t-on le traitement ? Comment s’assure- t- on du bienfondé du diagnostic ? Quel recul a-t-on sur la santé psychologique des enfants traités ?…

Une fondation, Agnodice, qui s’occupe en Suisse de transgenres et de non binaires de moins de 18 ans a été créée dès 2007.

https://agnodice.ch/wp-content/uploads/2021/08/Position_Agnodice_2021_Therapie_transaffirmative_vs-AMQG.pdf
But: la fondation a pour but de promouvoir en Suisse une société considérant la pluralité des genres et de leurs expressions comme une richesse relevant de la diversité humaine: une société qui réponde aux besoins spécifiques des personnes trans, non-binaires ou en questionnement de genre et qui leur offre l’intégralité des droits, responsabilités et opportunités reconnus aux personnes cisgenres. Pour réaliser ce but, la fondation s’efforce notamment de: – Proposer éducation et formation – Faciliter l’accès des personnes concernées aux meilleurs services – Répondre aux demandes des médecins, soignant.x.es, psychothérapeutes, enseignant.x.es, juristes et autres professionnel.x.les – Contribuer au soutien psychologique des personnes concernées et de leurs proches – Protéger la vie privée et professionnelle des personnes concernées – Prévenir et lutter contre l’exclusion sociale, l’exploitation sexuelle et les autres vulnérabilités susceptibles d’affecter les personnes concernées.

Le site de Agnodice a le mérite de jouer la transparence. Et il y est question d’hormonothérapie remboursée par les assurances (l’équivalent de la Sécu française):

Il s’agit d’administrer les hormones sexuelles afin de déclencher la puberté et les changements physiques correspondant au genre désiré. Cette hormonothérapie est précédée d’un bilan sanguin complet et peut prendre différentes formes. Elle est à discuter avec l’endocrinologue ou l’endocrinologue pédiatre. Les effets commencent à se faire ressentir après 2-3 mois et se développent sur plusieurs années. Ce traitement doit être suivi durant toute la vie. Les différentes étapes de ce traitement sont remboursées par l’assurance de base. Si vous rencontrez des problèmes de remboursement, n’hésitez pas à nous contacter rapidement.https://agnodice.ch/portail-enfants-adolescents-proches/vos-droits-suisse/prise-charge-medicale/

Et à qui s’adresse cette fondation? A tous finalement puisque l’âge de leur public-cible est 0 an. Cela va jusqu’à 18 ans. Ca passe forcément par le système scolaire!

https://agnodice.ch/bienvenue/fondation/pour-qui/

La Théorie du genre n’existe pas! Parole de Najat Vallaud-Belkacem.

De l’autre côté de la frontière, on joue la montre politique en jouant sur les mots. Souvenez-vous de M Peillon en 2014.

Les parents d’élèves qui ont osé manifesté sont traités d’intégristes et proches de l’extrême-droite. https://www.lexpress.fr/education/peillon-pas-de-theorie-du-genre-mais-une-education-a-l-egalite-a-l-ecole_1318058.html 2014

Puis en 2016, le pape François met les pieds dans le plat de l’Education française. Selon lui, les manuels scolaires de l’Education nationale française étaient truffés de Théorie du genre.

Le pape François avait déclaré que les manuels scolaires français promouvaient la théorie du genre. La classe politique française lui répond.https://www.tf1info.fr/societe/theorie-du-genre-les-politiques-francais-recadrent-le-pape-francois-2005759.html

Montée au créneau de la ministre de l’éducation de l’époque qui s’est dit choquée de pareille affirmation.

Au micro de France Inter, Najat Vallaud-Belkacem, « s’est dite « en colère » contre « la parole légère et infondée » du pape François, qui accusait dimanche les manuels scolaires français de propager la théorie du genre. »https://www.tf1info.fr/societe/theorie-du-genre-les-politiques-francais-recadrent-le-pape-francois-2005759.html

Puis on s’en prend à ceux qui ont envie d’en savoir plus sur l’éducation reçue par les enfants.

« Je n’imaginais pas que le pape François se laisserait embarquer par des intégristes et leur folie mensongère. Ca me met en colère »Najat Vallaud-Belkacem, octobre 2016

La ministre de l’Education a par ailleurs invité le pape à se renseigner d’avantage sur le sujet. « Je conseille au pape de venir à la rencontre d’enseignants de l’école française et de feuilleter les manuels scolaires ». Dire que le Vatican est mal informé… Bon bref, le public est sommé de laisser tomber le sujet.

« Il faut cesser avec ces inepties », a conclu la ministre de l’Education, réaffirmant que « ce sujet n’existe pas ». 

Soutien total de sa collègue Mme Kosciusko-Morizet :

« Les manuels scolaires je les regarde de près, j’ai deux petits garçons qui ont 11 ans et 7 ans (…) et je n’ai jamais rien trouvé qui ressemble à la théorie du genre ».

Ceux qui veulent voir dans ces thèmes des sujets droite-gauche sont mal informées ou ne veulent pas s’informer. Il y a la Haute finance internationale . Point.

Je retiendrai cette phrase de l’ancienne responsable politique:« Les innovations liées aux transitions énergétique et numérique sont là. Mais elles exigent de nouvelles infrastructures pour répondre aux attentes croissantes de proximité et d’autonomie. Nous devons les anticiper dès maintenant pour rendre possible leur déploiement à grande échelle » https://www.lesechos.fr/finance-marches/ma/nkm-se-lance-dans-le-capital-investissement-1314528
Un manifeste à découvrir
https://comitecedif.wordpress.com/qui-sommes-nous/

Et que veut la haute finance internationale pour vos enfants?

Une action planétaire frappe le secteur des jouets. Influencer l’enfant devient un objectif clairement affiché sous des allures d’innocentes poupées

https://www.santeplusmag.com/les-poupees-transgenres-arrivent-desormais-dans-les-magasin-de-jouets/
https://www.femina.fr/article/barbie-sort-sa-premiere-poupee-transgenre-a-l-effigie-de-l-actrice-laverne-cox?fbclid=IwAR3w5SoshDrawolAYpPzti3OWZJ7FdcA8-TIs-YisEwxEzDLpkrM5GXerbc
https://blogs.lexpress.fr/chica-de-paris/2014/12/22/une-poupee-trans-fait-polemique-en-argentine/

Repenser le genre par National geographic

Version Atlantico.

Des enfants de 3 ans sont recrutés pour étudier la santé des transgenres! 3 ans! Le petit garçon qui enfile les escarpins de sa maman ou le collier de sa grande soeur sont ciblés par ce genre de « scientifiques ».

Depuis 2013,
Kristina Olson , psychologue à l’Université de Washington, mène
une vaste étude à long terme pour suivre la santé et le bien-être des enfants transgenres, ceux qui s’identifient comme un sexe différent de celui qui leur a été attribué. naissance.
Depuis le lancement de l’étude, Olson a également entendu parler des parents d’enfants non conformes au genre, qui défient systématiquement les stéréotypes de genre mais n’ont pas fait la transition sociale.
Il peut s’agir de garçons qui aiment porter des robes ou de filles qui jouent avec des camions, mais qui n’ont pas, par exemple, changé les pronoms qu’ils utilisent.
Ces parents ont demandé si leurs enfants pouvaient participer à l’étude.
Olson a accepté.
Au bout d’un moment, elle s’est rendu compte qu’elle avait recruté par inadvertance un groupe important de 85 participants non conformes au genre, âgés de 3 à 12 ans. Et alors qu’elle restait en contact avec les familles au fil des ans, elle a appris que certains de ces enfants avaient fini par faire la transition.
« Suffisamment d’entre eux le faisaient pour que nous ayons cette occasion unique de revoir nos données pour voir si les enfants qui ont fait la transition étaient différents de ceux qui ne l’ont pas fait », dit Olson. https://www.theatlantic.com/science/archive/2019/01/young-trans-children-know-who-they-are/580366/

Promotion active du concept transgenre par les transhumanistes globalistes

McKinsey

https://www.weforum.org/agenda/2021/11/diversity-inclusion-transgender-workplace/

World economic Forum

Jacques Attali vous explique ce thème du great reset

La convergence de ces trois tendances est claire: nous allons inexorablement vers une humanité unisexe, sinon qu’une moitié aura des ovocytes et l’autre des spermatozoïdes, qu’ils mettront en commun pour faire naitre des enfants, seul ou à plusieurs, sans relation physique, et sans même que nul ne les porte. Sans même que nul ne les conçoive si on se laisse aller au vertige du clonage. https://www.slate.fr/story/67709/humanite-unisexe-biologie-immortalite

LHK

Rappel utile

https://lilianeheldkhawam.com/2020/07/17/un-lobbying-pro-pedophilie-qui-fait-fi-de-la-legislation-une-tolerance-problematique-dossier-vincent-held/
https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/20/onu-oms-une-education-sexuelle-explosive-pour-revolutionner-lhumain-dossier-vincent-held/

Bonus

https://video.wordpress.com/embed/MJjCO6ew?cover=1&preloadContent=metadata&useAverageColor=1&hd=1

AJOUT

https://www.lepoint.fr/societe/l-experience-tragique-du-gourou-de-la-theorie-du-genre-31-01-2014-1786513_23.php?fbclid=IwAR1x7EG3PDpKBL33BE7sadanIWgKkk74dyRYqUINpJipy7nRwUDB2_DzT-M

Qu’est-ce que le genre, ce drôle de mot pratiqué des seuls grammairiens ? Il est un complexe outil intellectuel à double face. D’un côté, une grille de lecture pertinente qui questionne les rôles que la société impose à chaque sexe, le plus souvent au détriment des femmes. De l’autre, il abrite une réflexion militante… D’après elle, l’identité sexuelle ne saurait se résumer à notre sexe de naissance ni se restreindre à notre rôle sexuel social. Chacun doit devenir libre de son identité, se choisir, se déterminer, expérimenter… Et basta, l’humanité est arbitrairement divisée en masculin ou féminin.

Les « études de genre », terme traduit de l’anglais gender studies, ne sont pas récentes. Explorées par la fameuse universitaire américaine Judith Butler dans les années 70, elles naissent sous la plume et le bistouri d’un sexologue et psychologue néo-zélandais, John Money. C’est lui qui, en 1955, définit le genre comme la conduite sexuelle qu’on choisira d’habiter, hors de notre réalité corporelle. Or le personnage est controversé. Spécialiste de l’hermaphrodisme à l’université américaine Johns Hopkins, il y étudie les enfants naissant intersexués et s’interroge sur le sexe auquel ils pourraient appartenir. Lequel doit primer ? Celui mal défini que la nature leur a donné ? Celui dans lequel les parents choisiront de les éduquer ? Il est rarement mis en avant par les disciples des études de genre de quel drame humain et de quelle supercherie scientifique le père du genre, John Money, se rendit responsable.

« Lavage de cerveau »

En 1966, le médecin est contacté par un couple effondré, les époux Reimer. Ils sont parents de jumeaux âgés de 8 mois, qu’ils ont voulu faire circoncire. Las, la circoncision de David par cautérisation électrique a échoué, son pénis est brûlé. Brian, son jumeau, n’a, lui, pas été circoncis. Que faire de ce petit David dont la verge est carbonisée ? Money voit dans cette fatale mésaventure l’occasion de démontrer in vivo que le sexe biologique est un leurre, un arbitraire dont l’éducation peut émanciper. Il convainc les parents d’élever David comme une fille, de ne jamais lui dire – ni à son frère – qu’il est né garçon. Le médecin administre à l’enfant, rebaptisé Brenda, un traitement hormonal et, quatorze mois plus tard, lui ôte les testicules. Ses parents la vêtent de robes, lui offrent des poupées, lui parlent au féminin.




REVUE DE PRESSE DU 21 NOVEMBRE 2022

Par MF

ÉDITORIAL
La vaccination pour l’exemple

On aura donc tout lu, tout vu, tout entendu en matière de justification des mesures dites sanitaires, injections comprises, car le déni l’emporte sur la logique et la science, quand la corruption s’empare du monde de la santé au niveau international. La France est donc l’un des derniers pays à s’arc-bouter sur la non-réintégration des personnels suspendus, alors même que la situation des hôpitaux est catastrophique. L’Ordre continue de s’acharner sur des médecins compétents et intègres, tandis que les injections diminuent l’immunité ou qu’on découvre les graves nodules pulmonaires qui peuvent être causés par les microfibres des masques. Pendant ce temps l’épidémie régresse globalement dans le monde, ainsi que la vaccination, sauf en France qui injecte 4 fois plus que la moyenne.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Confinement, inégalités et psychologie des foules pendant la crise Covid

https://qg.media/blog/laurent-mucchielli/confinements-inegalites-et-psychologie-des-foules-pendant-la-crise-du-covid-19/

« Les processus de groupe et la psychologie des foules prédisent que, particulièrement en temps de crise, les gens seront enclins à s’en remettre aux gouvernements et aux autorités pour guider leur comportement.

Il existe également des données montrant que la crise COVID-19 a augmenté la détresse psychologique qui pourrait être liée aux défenses proximales et distales contre les pensées liées à la mort.

Historiquement, le mélange d’idéologie politique et de science, lorsque l’État réglemente la science, a conduit à des résultats désastreux.

La situation actuelle nécessite une guérison collective ».

Les politiques sanitaires ont été imposées à partir de fraudes scientifiques massives

« Corruption mathématique et épidémiologique », par Vincent Pavan, docteur en mathématiques.

« La question se pose maintenant de savoir, quelles décisions les autorités auraient prises en mars 2020, septembre 2020 et juin 2021, sachant que les modèles n’existent pas, que les paramètres ne sont pas connus et qu’on ne peut rien prédire. Car en soi, le Sars-Cov-2 n’est pas grave, le taux de létalité est le même qu’une grippe saisonnière d’intensité moyenne, les hôpitaux n’ont pas été saturés/ 

En France (et dans tous les pays occidentaux) TOUTES les décisions politiques majeures (confinement, passe sanitaire) ont été décidées et justifiées par des études mathématiques. SANS AUCUNE EXCEPTION, toutes ces études mathématiques et numériques reposent sur des escroqueries mathématiques qu’on peut démontrer. Des plaintes sont en cours, malgré une résistance évidente du parquet à mener des enquêtes. Cédric Villani — pourtant alerté et sans doute conscient des escroqueries mathématiques de par son niveau scientifique dans ce domaine — a collaboré à leur diffusion et a refusé de mener les enquêtes nécessaires. »

L’art de faire mentir les chiffres

https://www.covidhub.ch/la-fabrique-dune-pandemie/

« Pas d’hécatombe. Pas d’hôpitaux engorgés par le Covid. Pas de vague de malades/à peine 2 % des hospitalisations en 2020/5000 personnes tuées au Rivotril. / La soi-disant efficacité vaccinale s’est effondrée avec la fin du passe sanitaire/lien entre surmortalité et campagne de vaccination »

Dire la vérité, un préalable à la réconciliation

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/jean-dominique-michel-le-prealable-a-la-reconciliation

Un anthropologue de la santé analyse la crise Covid à l’aune de la corruption systémique du système de santé.

La punition pour l’exemple

« Mme FIRMIN ministre déléguée à la santé, refuse la réintégration des personnels non injectés, non parce qu’ils peuvent contaminer, mais parce qu’ils donnent un mauvais exemple aux personnes fragiles »

Soignants suspendus, des sénateurs accusent le gouvernement

https://www.francesoir.fr/politique-france/reintegrations-des-soignants-suspendus-des-senateurs-accusent-le-gouvernement-d

« “obstination coupable alors que l’hôpital est à l’agonie”

mesurespunitives” et « humiliantes » et en rien « sanitaires ».

Appel aux parlementaires

« Les gens pourraient apprendre de leurs erreurs s’ils n’étaient pas si occupés à les nier. »

Une conception scientiste et puritaine du droit

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/jean-dominique-michel-le-prealable-a-la-reconciliation

« Ce sont… des arguments principalement moraux qui sont avancés. Ils… traduisent une certaine conception de la santé et de la science. La santé, ce serait avant tout des valeurs du soin — on retrouve en filigrane la théorie du care — et non plus des compétences de soin. Et la science serait une croyance. »

ÉTRANGER

La crise Covid, une hallucination planétaire ?

https://www.aimsib.org/2022/10/30/la-covidomuraille-se-lezarde/

« Mise en examen du PDG de l’AFP pour diffamation envers les réalisateurs du documentaire “Hold-Up”/Ouverture d’une enquête Européenne sur l’illégalité supposée des achats de vaccins anti-Covid par l’Union. / La révolte de certains Députés Européens »

AUSTRALIE, les autorités de santé ne recommandent pas la 5e dose

https://www.francesoir.fr/societe-sante/les-responsables-australiens-de-la-sante-rejettent-une-5e-dose-de-vaccin-anti-covid

En raison de son faible impact sur la transmission.

CANADA, Toronto abandonne l’obligation vaccinale

 « La Ville a déclaré qu’elle réviserait continuellement cette politique, guidée par la science et les preuves »

ITALIE, fin de l’interdiction pour les agents de santé non vaccinés

https://www.reuters.com/business/healthcare-pharmaceuticals/italy-end-ban-health-workers-not-vaccinated-against-covid-2022-10-28/

JUSTICE

Victoire pour le Pr Perronne

« La Chambre Disciplinaire considère que le Pr PERRONNE, au regard de sa qualité d’infectiologue internationalement reconnu avait “l’obligation de s’exprimer dans le domaine qui relève de sa compétence”, durant la crise du COVID. »

Son interview « au défi de la vérité »

https://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite/perronne-decision-chambre-disciplinaire-ordre-medecin-retour

Cette victoire mènera-t-elle à la réintégration des soignants suspendus ?

https://www.francesoir.fr/tribunes/decision-chambre-disciplinaire-perronne-consequences-soignants-suspendus

« La liberté d’expression est un droit fondamental de tous les citoyens. / Durant la crise Covid, l’Ordre n’a pas respecté ses missions. »

Rien n’est moins sûr, le Pr Stéphane GAYET a été radié par le Conseil de l’Ordre

« J’ai été radié de l’Ordre des médecins pour des prescriptions faites qui n’ont causé aucun accident médicamenteux, ont amélioré la santé des patients, étaient peu onéreuses et ne m’ont rien rapporté. »

Et

https://docteur.nicoledelepine.fr/nouvelle-victime-du-conseil-de-lordre-le-dr-s-gayet-pour-avoir-gueri-ses-patients/

Un blâme pour un médecin ayant compromis la « sécurité » des patients

https://t.palace.legal/nl3/typVXMyPwNNkBzNBiY8A4g

La faiblesse de la sanction prononcée trahit la faiblesse des reproches qui avaient été faits à ce médecin.

Loi à caractère criminel, plainte contre X

http://ctiapchcholet.blogspot.com/2022/11/obligation-vaccinale-contre-la-covid-19.html

Extrait de la lettre du Dr Amine UMLIL :

« Il est aussi constant que l’administration, tout comme le juge, doit lire la loi et le règlement à la lumière du bloc de constitutionnalité, du droit européen et des conventions internationales. En l’espèce, cette loi, instaurant ladite obligation vaccinale est illégale. »

USA, la Cour suprême de New-York réintègre tous les personnels suspendus, avec rattrapage des salaires non versés

https://www.reuters.com/business/healthcare-pharmaceuticals/italy-end-ban-health-workers-not-vaccinated-against-covid-2022-10-28/

« Car le vaccin n’empêche pas un individu de contracter ou de transmettre le virus » 

COVID

Le point sur le Covid et ses variants dans le monde

https://www.covid-factuel.fr/2022/11/19/covid-situation-mondiale-et-variants/

« Un essaim de sous-variants étroitement liés, dérivant tous de la souche omicron/évolution depuis un an avec peu de soucis.

Cela se vérifie par les chiffres.

Ces dix-huit derniers mois, la mortalité aura été divisée par 10. Seule la vague Omicron dépasse la courbe d’évolution, non par sa virulence, mais par sa contagiosité : 3 à 4 fois plus, plus de cas, donc plus de décès, mais pas 3 ou 4 fois plus. »

Courbe des décès dans le monde 

« On vaccine de moins en moins dans le monde, sauf en France, 4 fois plus que la moyenne ! »

STRATÉGIES et TRAITEMENT

Syndrome d’épuisement induit par les masques et leur rôle dans les Covid longs

https://www.epochtimes.fr/comment-les-masques-ont-contribue-au-covid-long-2140451.html

« Dans plusieurs pays, les masques et les tests nasopharyngés fournis par les gouvernements ont été retirés du marché. Des microplastiques, des nanoparticules (de l’oxyde de graphène, du dioxyde de titane, de l’argent, de l’oxyde d’éthylène, des composés de colorants et du PFAS fluorés) et des métaux lourds ont été trouvés dans les masques et dans les tests nasopharyngés./Les masques et les tests ne font pas tous l’objet de contrôles systématiques. Un rapport de l’Institut néerlandais de santé publique (RIVM) publié en novembre 2021 indique que la sécurité des masques ne peut être garantie”. »

La liberté de soins

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/11/18/rendez-nous-la-liberte-de-soins-par-patrick-de-casanove/

« Soigner ne fait pas partie de la stratégie gouvernementale. »

La fin d’un mythe

https://www.francesoir.fr/entretiens/la-fin-d-un-mythe-si-c-est-un-virus-pas-d-antibiotique-interview-du-dr-claude-escarguel

« L’existence des bactéries “coopérantes” à la réplication d’un virus dans le corps humain est déterminante, avait été découverte par le Pr Montagnier et vient d’être confirmée par le Dr Carlo Brogna, du laboratoire italien CRANIOMED ».

Ceci explique l’efficacité des macrolides et cyclines.

Voir le lien ci-dessous :

Heurs et malheurs de l’hydroxychloroquine au fil de la chronologie du Covid

https://www.covid-factuel.fr/2022/11/11/hydroxychloroquine-petit-retour-historique/

Au début, l’HCQ fonctionne en ambulatoire. Le politique s’en mêle, la réserve aux hôpitaux (erreur funeste) et l’échec, logique, jette le discrédit sur la molécule. La messe est dite.

INJECTIONS

Les injections diminuent l’immunité

https://www.francesoir.fr/societe-sante/etude-du-lancet-montre-erosion-immunitaire-vaccines-au-fil-des-mois

Étude parue dans le Lancet :

« La fonction immunitaire des individus vaccinés huit mois après l’administration de deux doses de vaccin Covid-19 était inférieure à celle des individus non vaccinés ».

Et analyse de Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS.

Feu vert de l’agence européenne du médicament pour les vaccins dès 6 mois

https://www.francesoir.fr/politique-france/feu-vert-de-l-agence-europeenne-du-medicament-pour-les-vaccins-anti-covid-des-l

Absence de fondement scientifique, le Danemark et la Suède ne recommandent plus les injections chez les enfants.

USA, des enfants de 6 mois à 4 ans, cobayes pour le vaccin bivalent.

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/11/18/des-enfants-cobayes-pour-le-vaccin-bivalent-aux-usa/

« le Dr John Moore, immunologiste à la Weill Cornell Medicine, avait déjà déclaré que les nouveaux vaccins seraient “peu ou pas du tout meilleurs” que les formulations précédentes. Pour autant, les autorités sanitaires ferment les yeux, les commandes de vaccin ont été passées et continuent de l’être. »

Un premier vaccin sans aiguille

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/11/17/hexapro-premier-patch-vaccin-anti-covid-teste-en-australie/

« La société de biotechnologie Vaxxas a annoncé le lancement de l’essai clinique de phase I de son premier vaccin sans aiguille nommé HexaPro. La sécurité et l’innocuité du patch font partie des principaux critères d’évaluation. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Contamination par les produits d’excrétion des vaccins

https://www.aimsib.org/2022/11/20/la-contamination-par-les-vaccins-a-arnm-est-elle-biologiquement-plausible-a-partir-dun-sujet-vaccine/

« Il existe de nombreux témoignages de personnes non vaccinées ayant présenté des symptômes identiques aux effets indésirables du vaccin après contact avec des personnes fraîchement vaccinées.

Une étude montre un excès de mortalité dans les classes d’âge non vaccinées au début des campagnes de vaccination, qui pourrait s’expliquer par un phénomène de transmission du vaccin ou de ses produits.

les études requises de pharmacocinétique et notamment d’excrétion du vaccin et de ses produits n’ont pas été réalisées malgré la réglementation en vigueur pour les thérapies géniques.

Les vaccins sont tous basés sur la protéine spike, reconnue depuis comme la principale responsable de la pathogénicité du virus SRAS-CoV-2 : si la transmission du vaccin ou du spike est possible, il est logique de retrouver les effets indésirables du vaccin chez des personnes non vaccinées en contact avec des personnes vaccinées. »

Une dose de plus, c’est une dose de trop

« Pour la 2ème fois en une semaine, les meilleurs scientifiques ont rapporté que les boosters d’ARNm Covid “spécifiques à Omicron” sont un gadget marketing. »

RÉSISTANCES

CSI du 10 novembre 2022

https://crowdbunker.com/v/tv1TKqie :



Invité : Denis Rancourt, PhD, Canada

Sujet : Les statistiques, la mort, et leurs manipulations

CSI 17 novembre 2022

https://crowdbunker.com/v/bzrQ1P8r :



Invité : Amine Umlil, pharmacien et responsable de la pharmacovigilance à l’hôpital de Cholet

Sujet : Protection du lanceur d’alerte : quelques règles à connaître

Le véritable Anthony Fauci



Film documentaire tiré du livre de Robert F Kennedy Jr, Le véritable Anthony Fauci, censuré, boycotté des librairies et des bibliothèques, est cependant un best-seller avec plus d’un million d’exemplaires vendus. Pendant plus d’un an de recherches et d’entretiens minutieux et méticuleux, Robert F. Kennedy Jr a mis au jour des vérités choquantes sur la collusion, la tromperie et la manipulation qui affectent la liberté, la santé et la sécurité de nos familles.

Ce documentaire donne la parole à différents experts qui prennent position contre le système de santé actuel, considéré comme criminel et nuisible, et plus particulièrement contre le Dr Anthony Fauci et son rôle dans les épidémies de SIDA et de COVID-19.

HOLD-OUT



« Ce qui est arrivé est impensable, le plus mauvais scenario de science-fiction, et ennuyeux en plus ! »




Les sénatrices Sylviane Noël et Laurence Muller-Bronn envoient une lettre au ministre François Braun pour exiger la réintégration des soignants suspendus

[Source : dissidentofficiel.com]

Les sénatrices Sylviane Noël et Laurence Muller-Bronn, qui sont intervenues de nombreuses fois au Sénat en faveur de la réintégration des soignants et autres personnels suspendus, réitèrent leur appel en adressant cette fois-ci une lettre directement au ministre de la Santé actuel, François Braun. Le moins que l’on puisse dire en lisant celle-ci est que leurs arguments sont franchement imparables, au point que le ministre n’aura pas le choix d’ignorer le message s’il souhaite persister dans le choix funeste de son prédécesseur Olivier Véran. Malheureusement, le fait que les personnes possédant de hautes responsabilités ne soient jamais confrontées frontalement sur leurs arguments est un problème. Cela ne nous empêche pas toutefois d’apprécier la mobilisation et la continuation du combat pour les libertés par les quelques figures du débat public qui ne cèdent pas à la tyrannie.

C’est le cas des deux sénatrices, qui dans cette lettre, fournissent des arguments très forts en faveur de la réintégration des soignants et des pompiers suspendus. Leur lettre a d’ailleurs été cosignée par plusieurs autres sénateurs de tous bords politiques.




Sans réglementation, les aliments OGM — génétiquement « modifiés » — sont progressivement remplacés par des aliments génétiquement « édités »

[Source : geopolitique-profonde.com]

L’édition de gènes, une technologie médicale appliquée à la nourriture, sans règlementation

L’édition de gènes est depuis longtemps utilisée principalement pour la recherche, le traitement et la prévention des maladies.

Actuellement, cette technologie est de plus en plus appliquée pour modifier les produits agricoles, afin de créer des espèces plus « parfaites ». De plus en plus d’aliments « génétiquement modifiés » apparaissent sur le marché, notamment des tomates à haute teneur en nutriments et de l’huile de soja à teneur nulle en graisses trans.

Certains affirment que les aliments génétiquement édités sont plus sûrs que les aliments génétiquement modifiés [OGM] (pdf).

Le ministère américain de l’Agriculture (USDA) a précisé en 2018 que la plupart des aliments génétiquement édités n’ont pas besoin d’être réglementés.

Cependant, ces aliments qui apparaîtront de plus en plus sur les tables sont-ils vraiment sans risque ?

Modification génétique 2.0 : des aliments introduits depuis 2021 à l’insu du consommateur?

En septembre 2021, les premiers aliments génétiquement édités – les tomates siciliennes souges – fabriqués avec la technologie CRISPR-Cas9 ont été officiellement mis en vente.

Cette tomate génétiquement éditée contient des niveaux élevés d’acide gamma-aminobutyrique (GABA), qui contribue à réduire la pression artérielle et à favoriser la relaxation.

Des chercheurs japonais retirent un gène du génome de la tomate commune. Après l’élimination du gène, l’activité d’une enzyme dans les tomates augmente, favorisant la production de GABA. La teneur en GABA de cette tomate est quatre à cinq fois plus élevée que celle d’une tomate ordinaire.

Warren H. J. Kuo, professeur émérite du département d’agronomie de l’université nationale de Taïwan, explique que l’édition de gènes et les OGM constituent tous deux une modification génétique, également appelée génie génétique.

La technique la plus ancienne était la modification génétique [OGM], c’est-à-dire la transgénèse, qui consiste à insérer dans une plante ou un animal un gène d’une autre espèce, par exemple un gène bactérien spécifique.

L’objectif de la modification artificielle des plantes et des animaux est :

  • D’améliorer leur résistance aux maladies et aux sécheresses,
  • De favoriser leur taux de croissance,
  • D’augmenter leur rendement,
  • D’améliorer leur teneur en nutriments.

Toutefois, le produit fini présentera les gènes de l’espèce étrangère.

Selon Kuo, la modification transgénique est une « modification génétique 1.0 », tandis que l’édition génétique est une « modification génétique 2.0 ».

L’édition de gènes modifie directement les gènes de l’organisme lui-même, de sorte que la plupart d’entre eux ne présentent pas de gènes étrangers.

Cependant, la technique d’édition de gènes la plus courante, CRISPR-Cas9, introduit des gènes étrangers comme outil d’édition, puis supprime les gènes étrangers transplantés.

Alors que les tomates génétiquement éditées ont été mises sur le marché, le Japon a également approuvé deux types de poissons génétiquement édités par CRISPR : le poisson-tigre et la dorade rouge.

Ces poissons sont génétiquement édités pour accélérer la croissance musculaire. Parmi eux, le poisson-tigre génétiquement édité pèse près de deux fois le poids que l’espèce ordinaire.

En 2019, les États-Unis avaient déjà utilisé une autre technique d’édition génétique pour créer une huile de soja sans gras trans et l’avaient mise sur le marché.

Les aliments génétiquement édités dont la vente a également été approuvée dans le monde entier à ce jour comprennent le soja, le maïs, les champignons, le canola et le riz.

Leur nombre sur le marché est susceptible de fortement augmenter. Les demandes de CRISPR, relatives aux brevets de « produits agricoles commerciaux édités » sont montées en flèche depuis la période 2014/2015.

Les aliments génétiquement édités présentent deux risques majeurs

Les partisans de la modification génétique estiment qu’il s’agit d’une méthode [l’édition de gène CRISPR] permettant de perfectionner les produits agricoles et de résoudre des problèmes tels que les parasites, les sécheresses et les carences nutritionnelles. Mais cette technologie reste une arme à double tranchant.

« Le génie génétique présente effectivement des avantages à court terme, mais il peut entraîner des écueils à long terme », a déclaré Joe Wang, biologiste moléculaire. Wang est actuellement chroniqueur pour The Epoch Times.

Les bovins sans cornes étaient autrefois la célébrité du règne animal, apparaissant dans de nombreux reportages.

De nombreuses races de vaches laitières ont des cornes, mais elles sont écornées pour les empêcher de nuire aux humains et aux autres animaux, et pour gagner de la place dans les mangeoires.

Pour résoudre le « problème » des cornes, la société Recombinetics, spécialisée dans l’édition de gènes, a réussi à produire des bovins sans cornes grâce à des techniques d’édition de gènes il y a plusieurs années.

La société a simplement ajouté quelques lettres d’ADN au génome de bovins ordinaires et leur progéniture n’a pas eu de cornes non plus.

Cependant, quelques années plus tard, un accident s’est produit.

La FDA a découvert que la séquence génétique modifiée d’un taureau contenait une portion d’ADN bactériens comprenant un gène conférant une résistance aux antibiotiques, qui a été l’une des crises sanitaires mondiales de ces dernières années.

Les scientifiques ignorent si ce gène présent dans le bétail génétiquement édité posera ou non un risque plus important que prévu, et la FDA a souligné qu’il ne présentait aucun danger.

Toutefois, John Heritage, microbiologiste retraité de l’université de Leeds, a déclaré au MIT Technology Review que le gène de résistance aux antibiotiques pourrait être absorbé par les bactéries intestinales des bovins et créer des possibilités imprévisibles de propagation.

En réalité, c’est l’un des risques couramment admis des aliments génétiquement modifiés.

Accidents génétiques, de nouvelles sources de toxines

Le problème des accidents imprévus dans le processus de modification génétique se pose pour les aliments génétiquement modifiés, car les techniques transgéniques ne peuvent pas contrôler l’endroit où le gène étranger est intégré dans le chromosome.

Kuo a utilisé l’exemple d’une étude qui a comparé les protéines de soja transgénique et de soja non transgénique.

Ces graines de soja transgéniques étaient initialement dotées d’un seul gène étranger et auraient dû contenir une seule protéine inexistante auparavant.

Or, la comparaison a montré qu’il existait une différence d’environ 40 protéines entre les deux : la moitié des protéines étaient présentes à l’origine, mais ont disparu après la modification transgénique ; l’autre moitié n’était pas présente, mais a été ajoutée après la modification transgénique.

En revanche, les techniques émergentes d’édition de gènes permettent une modification plus précise de gènes spécifiques (pdf). C’est comme si un tailleur modifiait une section d’une fermeture éclair en coupant un segment spécifique et en le remplaçant par un nouveau. Cependant, il peut y avoir des erreurs et des changements inattendus dans le processus de coupe et de réparation, et une autre section similaire de la fermeture éclair peut également être coupée.

Selon Kuo, ce processus peut avoir des effets secondaires imprévus, par exemple si de nouvelles protéines allergisantes ou de nouvelles toxines sont produites.

« La procédure de génie génétique, et cela inclut l’édition de gènes, a le potentiel d’endommager l’ADN »a déclaré le Dr Michael Antoniou, généticien moléculaire, chef du groupe d’expression et de thérapie génétique au King’s College de Londres, dans une interview en avril 2022.

« Si vous modifiez la fonction d’un gène, vous modifiez automatiquement la biochimie de la plante …Cette modification de la biochimie peut entraîner la production de nouvelles toxines et de nouveaux allergènes… c’est ma principale préoccupation. »

L’utilisation des herbicides en augmentation constante

Les résidus d’herbicides constituent une autre préoccupation majeure concernant les aliments génétiquement modifiés.

Culture pulvérisée aux herbicides

La plupart des cultures, qu’elles soient génétiquement éditées ou génétiquement modifiées, comporte des gènes de résistance aux herbicides. Ainsi, lorsque des herbicides sont appliqués aux cultures pour lutter contre les mauvaises herbes, les cultures elles-mêmes ne sont pas endommagées.

Lorsqu’ils plantent des cultures résistantes aux herbicides, les agriculteurs peuvent utiliser ceux-ci « assez généreusement ».

Mais, à long terme, les mauvaises herbes que les agriculteurs ciblent, deviennent elles aussi de plus en plus résistantes aux herbicides, ce qui entraîne un accroissement de leur utilisation et de la résistance des végétaux ciblés.

Depuis l’introduction des cultures génétiquement modifiées résistantes aux herbicides en 1996, l’utilisation de ces derniers a connu une croissance significative chaque année. Les résidus d’herbicides dans les cultures augmentent également.

Des herbicides pourtant reconnus cancérogènes et toxiques à long terme

L’un des herbicides les plus utilisés est le glyphosate sous le nom commercial de Roundup.

Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) classe le glyphosate parmi les substances cancérigènes du groupe 2A, probablement cancérigènes pour l’homme.

Stephanie Seneff, chercheuse au Massachusetts Institute of Technology (MIT), et Anthony Samsel, consultant scientifique, ont déclaré dans leur étude, que 80 % des cultures génétiquement modifiées, notamment le maïs, le soja, le canola, le coton, la betterave à sucre et la luzerne, sont spécifiquement introduites avec des gènes de résistance au glyphosate.

En plus des problèmes de cancérogénicité, le glyphosate pourrait avoir des effets plus nocifs.

Ils ont rassemblé et examiné 286 études et ont indiqué que le glyphosate inhibe l’activité d’une enzyme dans les mitochondries des cellules du foie – le cytochrome P450 – qui a la capacité de détoxifier et de décomposer les substances toxiques étrangères.

En outre, le glyphosate a également des effets négatifs sur le microbiote intestinal.

Ces effets ne sont pas immédiatement apparents, mais à long terme, ils peuvent contribuer:

  • Aux maladies inflammatoires de l’intestin,
  • À l’obésité,
  • À la dépression,
  • Au trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH),
  • À l’autisme,
  • À la maladie d’Alzheimer,
  • À la maladie de Parkinson,
  • À la sclérose latérale amyotrophique (SLA),
  • À la sclérose en plaques, au cancer
  • À l’infertilité
  • Aux anomalies du développement.

Une étude animale publiée dans Environmental Health montre que l’exposition à long terme à des doses ultra-faibles de glyphosate provoque des maladies du foie et des reins chez les rats.

Les aliments génétiquement édités doivent-ils être réglementés ?

Le débat sur la question de savoir si les aliments génétiquement modifiés sont sûrs ou non n’est pas encore tranché.

De nombreux défenseurs de la modification transgénique et de l’édition de gènes estiment que les gens mangent des cultures génétiquement modifiées depuis plus de 20 ans et qu’il n’y a toujours pas de preuve qu’elles aient causé des problèmes de santé humaine.

D’autres soutiennent qu’elles contribuent à des dommages à long terme qui sont encore en train d’être mesurés.

Kuo a déclaré que les aliments génétiquement modifiés ne sont pas des médicaments hautement toxiques causant des problèmes immédiats.

Les problèmes de santé peuvent être le résultat d’un phénomène cumulatif, et il est difficile de les relier à une cause alimentaire unique. Il n’a pas été prouvé, ni exclu, que les aliments génétiquement modifiés soient à l’origine de ces problèmes de santé.

À l’heure actuelle, plusieurs pays ont adopté un principe d’alerte précoce pour les aliments génétiquement modifiés, stipulant que les commerçants doivent étiqueter leurs produits. C’est au consommateur de décider de les acheter ou non.

Les aliments génétiquement édités nécessiteront-ils un étiquetage spécifique ?

Certains affirment que, puisque ces aliments ne présentent pas de gènes étrangers, il ne devrait pas y avoir une telle réglementation.

M. Kuo estime qu’il s’agit d’un argument fallacieux, étant donné que l’outil utilisé pour modifier les gènes originaux était en fait des gènes étrangers, et que la méthode comporte le risque que ces gènes étrangers ne soient pas complètement éliminés.

Il est important de soulever, que les réglementations relatives aux aliments modifiés par édition de gènes sont beaucoup plus souples dans les différents pays que celles relatives aux OGM.

L’USDA [Département de l’Agriculture des États-Unis] a toujours déclaré que les produits agricoles génétiquement édités ne sont pas réglementés.

Les technologues des plantes reçoivent généralement le feu vert quelques mois après avoir soumis leurs demandes à l’agence, ce qui leur permet de cultiver des aliments génétiquement édités sans surveillance.

Outre les États-Unis, le Brésil et l’Australie, ainsi que d’autres pays, ont également adopté des approches réglementaires similaires.

La réglementation européenne est plus stricte. [Pour le moment?]

M. Antoniou affirme que, puisque ces produits agricoles génétiquement édités ne sont pas surveillés, les gènes inattendus qu’ils portent sont libérés dans l’environnement et lui causeront des dommages.

Ils peuvent également nuire au public en raison de la compréhension insuffisante de leurs risques par la communauté scientifique.

Wang a déclaré que les scientifiques qui soutiennent l’édition de gènes pensent que ce qu’ils font maintenant se produira également dans la nature, bien qu’à un rythme plus lent. Ils se contentent de l’accélérer.

« Cependant, les humains ne sont pas des dieux et ne peuvent pas tout contrôler. Lorsque les humains font de telles choses, les chances d’erreurs et de dangers sont définitivement plus élevées que ce qui se passe naturellement », a déclaré Wang.

« Nous, les humains, violons les lois de la nature depuis longtemps », a déclaré Kuo.




Le véritable Anthony FAUCI — Partie 1

[Source : Quantum Leap Traduction]

Film documentaire tiré du livre de Robert F Kennedy Jr, Le véritable Anthony Fauci, censuré, boycotté des librairies et des bibliothèques, est cependant un best-seller avec plus d’un million d’exemplaires vendus.

[Voir Fauci et la grande arnaque du SIDA]

Pendant plus d’un an de recherches et d’entretiens minutieux et méticuleux, Robert F. Kennedy Jr. a mis au jour des vérités choquantes sur la collusion, la tromperie et la manipulation qui affectent la liberté, la santé et la sécurité de nos familles.

Ce documentaire donne la parole à différents experts prenant position contre le système de santé actuel, considéré comme criminel et nuisible, et plus particulièrement contre le Dr Anthony Fauci et son rôle dans les épidémies de SIDA et de COVID-19.

Participants a ce projet :
Quantum Leap Traduction
https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2

Quadrillage Traduction
https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1

Le Déclencheur
https://odysee.com/@Q…uestions:6

Elo Trad
https://odysee.com/@Elo:84

Quartz Traduction
https://odysee.com/@Quartz:1

Viviane
https://odysee.com/@vcuendet:1

L’Aile à Stick
https://odysee.com/@laileastick:4

Jeanne Traduction
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a

Motous
https://odysee.com/@laurent.scalet:b

Akina
https://odysee.com/@AKINA:7

Ainsi que Mika pour sa participation à la traduction






CBDC : Comment le COVID est devenu la voie de la surveillance financière mondiale

[Source : aubedigitale.com]

Par JOSHUA STYLMAN

Il semble évident depuis un certain temps que le système monétaire actuel est, au mieux, instable. Au pire, c’est un système de Ponzi dont le temps a expiré. Si c’est le cas, je soupçonne les banquiers centraux et les 0,1 % de le savoir et d’être prêts à introduire le nouveau système avant que l’ancien ne s’effondre sur lui-même – même s’ils le pillent au passage avec le transfert de richesse le plus important de l’histoire humaine.

Pour quiconque prête attention à ces tendances, il semble évident que les monnaies numériques des banques centrales (CBDC) seront ce nouveau système.

[Voir aussi :
Les monnaies numériques des banques centrales arrivent — Quelles en seront les conséquences ?
Ce que planifient les banquiers centraux d’après Catherine Austin Fitts
Enjeu stratégique COVID-19: La gouvernance mondiale, la « tyrannie digitale » et le projet de dépopulation]

Tout porte à croire que l’arrivée des CBDC est imminente. Mardi, plusieurs banques mondiales ont annoncé un partenariat avec la Réserve fédérale de New York pour piloter des dollars numériques. Étant donné l’omniprésence des cartes de crédit et de débit, des applications de paiement et d’autres systèmes de paiement en ligne, l’argent numérique ne pouvait que se produire depuis un certain temps. Le risque n’est pas la partie électronique, qui est inévitable – c’est le fait qu’une banque centrale supervisera la monnaie numérique.

De mon point de vue, il est impossible de surestimer le risque présenté par les CBDC. Qu’il s’agisse d’une vision utopique fondée sur de bonnes intentions ou d’un sinistre complot visant à écraser notre souveraineté, le résultat peut être le même : le contrôle. Une monnaie numérique de banque centrale présente tous les inconvénients de la monnaie fiduciaire, plus les couches supplémentaires de surveillance et de programmabilité supervisées par l’État.

De nombreuses personnes de l’équipe Reality se sont probablement senties comme des dissidents au cours des dernières années, simplement parce qu’elles remettaient en question la mentalité du troupeau. Poser des questions ou parler à contre-courant de sujets tels que les origines probables du Covid, l’utilité de la méthode PCR, le risque pour la majorité de la population, les avantages d’un traitement précoce, les avantages de l’immunité naturelle, la sécurité et l’efficacité des vaccins, les avantages et les inconvénients des masques et des confinements, et l’utilité des passeports vaccinaux a créé un environnement où les gens étaient stigmatisés, aliénés ou carrément censurés. Imaginez un système monétaire doté de caractéristiques permettant de modifier socialement notre mode de vie. Par exemple :

  • La santé : « Vous n’avez pas pris votre dose de rappel… désolé, vous n’êtes pas autorisé dans les espaces publics. »
  • Énergie : « Vous avez utilisé votre quota énergétique ce mois-ci… désolé, votre voiture électrique ne démarrera pas. »
  • Alimentation : « Vous avez mangé trop de viande cette semaine… désolé, votre argent n’est bon que pour les plantes (ou les insectes). »
  • Épargne : « Si vous ne prenez pas vos rations bientôt… désolé, votre argent expirera à la fin du mois. »
  • Liberté d’expression : « Vous avez partagé une info avec laquelle nous ne sommes pas d’accord… désolé, notre algorithme vous met à l’amende ». (PayPal s’y met déjà).

Si les CBDC deviennent finalement le nouveau système monétaire, leurs caractéristiques essentielles feront en sorte que les gouvernements mondiaux n’auront plus besoin d’un événement tel qu’une crise sanitaire mondiale pour imprimer de la monnaie ou fermer la société. Des lignes de code peuvent façonner notre comportement et faire en sorte que nous soyons obligés de rester chez nous. La plateforme entière sera conçue pour expulser le travail qui n’est plus jugé nécessaire. Alors que je croyais initialement que les interventions pharmacologiques dirigées par l’État étaient une menace isolée et aiguë à cette époque, il est devenu évident qu’elles n’étaient qu’un tentacule d’une bête beaucoup plus grande. Quelles que soient les forces qui insinuent cette direction dans le monde (je t’observe, Davos), elles se sont révélées être implacables dans leur poursuite de la perpétuation de la peur et du pouvoir.

Je suis bien conscient que cela peut sembler insensé, surtout pour ceux qui n’ont pas prêté attention à cette tendance depuis un certain temps. Il y a quelques années, j’aurais pensé que c’était absurde, mais après avoir été témoin des mensonges, des tromperies et des tentatives de contrôle du gouvernement, je crains que ce ne soit la direction que nous prenons. Si l’on considère que les obligations en matière de vaccins n’avaient aucun objectif médicalement justifiable, il est tout à fait plausible qu’elles n’aient été qu’une rampe de lancement pour normaliser une société « papiers s’il vous plaît ». À New York, où je vivais jusqu’à récemment, la plupart des gens acceptaient les passeports vaccinaux et adoraient l’application mobile Excelsior Pass parce qu’elle était pratique. Combien de personnes éprouveront le même sentiment à l’égard de la monnaie numérique, qui apportera sans aucun doute son lot d’avantages ?

La monnaie numérique de la banque centrale permettra aux gouvernements d’imposer un contrôle du haut vers le bas, à la manière du score de crédit social chinois. Certains banquiers centraux disent tout haut ce qu’ils pensent tout bas. Que ce soit ou non l’objectif du programme, y a-t-il déjà eu un moment dans l’histoire où les gouvernements ont rejeté le pouvoir qui leur est donné ? À ce stade, il ne s’agit pas non plus d’une théorie de chapeaux en alu. Il existe de nombreux exemples montrant que ce type de coercition financière est déjà en cours.

  • Le gouvernement demande maintenant aux gens de demander des cartes plastiques « My Number » équipées de puces électroniques et de photos, qui seront liées aux permis de conduire et aux régimes publics d’assurance maladie. Les cartes d’assurance maladie actuellement utilisées, dépourvues de photo, seront supprimées à la fin de 2024. Les personnes devront utiliser les cartes My Number à la place. »
    Source
  • « Le nouveau laissez-passer garantira l’attribution de quotas de carburant sur une base hebdomadaire. Un code QR sera attribué pour chaque numéro de carte nationale d’identité (CNI), une fois que le numéro d’identification du véhicule et d’autres détails auront été vérifiés. »
    Source
  • « Selon un rapport de 9News Queensland, le ministère a décidé que les enseignants non vaccinés qui ont été autorisés à reprendre leur emploi ce trimestre après avoir été placés en congé sans solde, subiront un autre coup financier, avec une ‘réduction de la rémunération’ pour une période de 18 semaines. »
    Source
  • « L’essai, qui est volontaire, utilisera la reconnaissance faciale pour identifier les personnes et le nombre de billets qu’elles possèdent. La technologie pourrait être étendue pour couvrir les achats automatisés aux stands de concession, aux restaurants et aux bars. »
    Source
  • « Dans le cadre des plans récemment annoncés par le gouvernement, l’Ouganda commencera à récolter les données ADN et biométriques de ses citoyens lorsque leurs cartes expireront en 2024, afin de les utiliser dans son programme d’identité numérique remanié. »
    Source

Ce n’est que la partie émergée de l’iceberg, et c’est mondial. Comme nous l’avons vu avec les confinements, la Chine est le modèle imité en Occident. Comme la progression vers des mesures autoritaires liées à la santé, des mondialistes non élus ayant des intérêts financiers se cachent en arrière-plan.

J’aimerais bien me tromper sur tout cela. Cependant, jusqu’à preuve du contraire, nous devons nous méfier de tous ceux qui perpétuent cette voie dangereuse, quelles que soient leurs motivations.

Pour approfondir ce sujet, je recommande vivement cet essai de Fabio Vighi sur la politique monétaire du covid à long terme. Edward Dowd a également beaucoup parlé de la relation entre le système monétaire et le Covid, notamment lors de cette présentation qui ouvre les yeux. Ensuite, l’excellent Maajid Nawaz a traité des moteurs des CBDC. D’autres, comme Marty BentSaifedean Ammous et Allen Farrington, ont été les premiers à identifier ces risques. Je partage leur évaluation en réalisant que le bitcoin est susceptible de résoudre ce problème.

Si vous ne l’avez pas encore remarqué, l’un des principaux thèmes de ces trois dernières années (au moins) est « liberté contre contrôle ». Ce n’est donc pas une hyperbole de suggérer que l’avenir doit être décentralisé si nous voulons que nos enfants grandissent dans un monde libre.

Traduction du Daily Sceptic par Aube Digitale




La France rétrogradée en musée baisodrome et pétaudière : jusqu’à quand ?

Par Lucien SA Oulahbib

Olivier Passet (sur Xerfi Canal) se demande « comment la France s’évertue à pénaliser le travail qualifié ? »… N’est-ce pas parce qu’il aura été décidé dans les très hautes sphères de la Globalisation FTN que la France serait principalement comme la Grèce, la Tunisie, la Thaïlande un lieu touristique (hot spot) nécessitant des métiers peu qualifiés ?…

Dans ce contexte, rappelons que la Chine reste, on le sait, l’Atelier (avec ses propres sous-traitants) l’Allemagne et l’Italie (en excédent primaire et commercial) fournissant les machines-outils…

D’où la nécessité de réduire le coût des cotisations sociales pour « ces métiers en tension » selon la nouvelle formule désormais consacrée. Ceci implique alors d’importer beaucoup d’immigration, car les salaires sont médiocres pour les autochtones, mais ceci nécessite aussi de reporter les cotisations sur les moyens et hauts salaires restants encore en France (avant que le distanciel intégral ne les fasse également fuir en permettant, mais dans une certaine mesure, la gestion de la logistique) et que cette immigration accepte dans sa majorité de travailler, ce qui n’est pas le cas. Elle préfère attendre d’avoir le statut adéquat qui nécessite cependant d’avoir des enfants pour toucher en priorité les allocations et le logement social ad hoc. D’où la quadrature du cercle actuel : cette situation au bout du bout ne suffit pas à redresser les comptes sociaux malgré les gestions comptables à couteaux tirés de la santé, la justice, l’école, la police, l’armée…

D’où, donc, le déficit chronique du budget global (fonctionnement et social) soutenu certes par la Banque centrale européenne et en sous-main par l’Allemagne, et ce même aujourd’hui (contrairement au théâtre soi-disant de la « mésentente » franco-allemande) malgré l’accident « industriel » de la guerre en Ukraine qui au fond l’arrange bien pour vendre son éolien et son solaire (avec la complicité chinoise, d’où le voyage du chancelier allemand en Chine) sachant qu’elle pourra toujours pomper de l’électricité française, acheter US plutôt que français en matériel militaire, en échange de ce déficit global chronique, quitte même à lui revendre de l’électricité (bientôt hydrogène compris) via le marché européen de l’énergie (même Ubu n’y aurait pas pensé).

Comment faire maintenant pour s’en sortir sur le court et moyen terme si une équipe réellement alternative venait au pouvoir suite à des élections législatives anticipées ?

Il ne sera pas plus possible de sortir, d’entrée de jeu, de la globalisation, tant la dépendance et le déficit commercial sont désormais abyssaux (le Venezuela n’est pas loin en fin de compte), que de réorganiser sur le champ les comptes en particulier sociaux vu le poids grandissant des intérêts de la dette. Néanmoins il serait possible pour y arriver et sans en appeler à la banqueroute (et autres « assignats ») comme le préconisent certains (sans être ni Robespierre ni Bonaparte pour compenser, juste Lénine…) de s’appuyer, immédiatement, sur de réels fonds de pension fonctionnant en blockchain garanti (évitant les risques inconsidérés et les captations bureaucratiques propres aux « cavaleries » diverses…) permettant ainsi d’élargir l’assiette de financement à la fois des diverses assurances sociales et des investissements structuraux pour remettre à flot les Fondamentaux comme le nucléaire, la justice, l’enseignement, la recherche, police et armée….

Cela permettrait également de réduire le taux de prélèvement pour les moyens et hauts salaires (ce qui les ferait rester en France) surtout en cas de « salaire complet », le tout avec un Fonds Commun de Solidarité (FCS) pour les plus démunis et en vue d’amoindrir les coûts onéreux en matière de soins et de formation…

Tout se tient : c’est bien parce que l’on a laissé faire, laissé passer les actions d’une élite ignare et avare compensant sa niaiserie en affaires (nucléaire, sous-marins, hydrogène…) par un excès narcissique et autoritaire à tics totalitaires que l’on se retrouve, citoyens français et amis de la France, en position de rétrogradation d’un pays autrefois puissant et respecté, malgré ses échecs, en république de plus en plus bananière (à l’instar de ce qui se passe désormais en Belgique et aux Pays-Bas).




France — Linky non merci !

Site gratuit pour demander le remplacement du Linky par un compteur ordinaire

[Source : retrait-du-linky.org]

Enedis ou ses sous-traitants vous ont mis un compteur communicant Linky alors que vous n’en vouliez pas, ou bien vous avez changé d’avis et vous n’en voulez plus : ce site est fait pour vous. Site gratuit uniquement destiné à demander le retrait des compteurs Linky.

1098 signataires sur la liste

DEMANDER LE REMPLACEMENT DE VOTRE LINKY

POURQUOI LE DEMANDER ?


Modèle de lettre de refus du Linky

Nom, Prénom,

Adresse postale

Lettre Recommandée avec AR

Références Client : à relever sur votre facture EDF

Objet : Signification valant mise en demeure de refus d’installation du compteur connecté numérique Linky.

Votre lettre : réf xxxxxxxxxxxxxxx en date du xx xx xxxx

Bonjour,

Par la présente j’accuse réception de votre courrier en date du xx xx xxxx d’une demande relative au changement de mon système de comptage actuel d’énergie électrique par l’installation d’un nouveau compteur numérique connecté.

Je constate que ce type de comptage numérique connecté nécessite l’injection sur l’énergie électrique 50 Hz que vous me fournissez actuellement d’une nouvelle Fréquence additive appelée Fréquence Intermédiaire en KHz connue sous les termes de Dirty Electricity.

Que l’adjonction de cette fréquence n’est non seulement absolument pas conforme aux termes explicites de mon contrat opposable, mais de plus elle engendre un rayonnement électromagnétique artificiel, de surcroît en champs proches ou très proches ce qui n’est absolument pas compatible avec mon état d’Électro Hyper Sensible (EHS).

En conséquence je vous signifie par la présente que je refuse et m’oppose à l’installation de ce système de comptage connecté par CPL appelé Linky qui porte atteinte à ma santé et à celle de ma famille que je suis obligé de par la loi de protéger car toute mon installation n’est pas blindée contre ce nouveau type de pollution radiative artificielle Electromagnétique en champs proches, ce qui est fondamental et majeur en terme de santé publique.

L’étude des émissions EM du CPL de l’Université Européenne Télécom de Bretagne étant très explicite à ce sujet. http://www.next-up.org/pdf/Linky_Alerte_Sanitaire.pdf

Par contre conformément aux termes de mon contrat actuel opposable, ceci tacitement, je ne m’oppose pas à l’installation de ce système de comptage numérique connecté si vous réalisez préventivement les travaux de mise en conformité de mon installation aux normes CENELEC ENV 50166-2 transcrites et adoptées au Journal Officiel n°C 293 du 13/10/1999 de l’Union Européenne concernant les installations électrodomestiques sans nuisance.
http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX:51998IR0399
http://www.next-up.org/pdf/PirenneOomsCahierDesChargesSuccinctInstallationElectroDomestiqueSansNuisance022008.pdf

J’attire aussi votre attention que votre responsabilité civile est engagée par rapport à la biocompatibilité de la Dirty Electricity du Linky qui nécessite une mise en conformité des installations par rapport à la Directive Européenne CEE 336/86 concernant la Compatibilité Electromagnétique et au Décret n°2006-1278 du 18 octobre 2006 relatif à la Compatibilité Electromagnétique des équipements électriques et électroniques. Comme le mot « compatibilité » l’indique, il s’agit tout d’abord de deux choses qui peuvent exister simultanément et qui peuvent s’accorder entre elles.

http://www.next-up.org/pdf/Decret_2006_1278_Compatibilite_Electromagnetique_18_octobre_2006.pdf

(Éventuellement rajouter ce paragraphe concernant les servitudes des câbles électriques extérieurs si vous êtes concernés)

Je rajoute que j’ai constaté que la SA Electricité De France (EDF) ou la SA ERDF a engagé depuis le déploiement du système de comptage Linky d’importants travaux dans ses postes de transformations, pour enlever notamment les bouchons destinés à l’injection de la nouvelle fréquence radiative en KHz du CPL du Linky sur la fréquence unique du courant électrique (50 Hz), de plus statutairement ERDF a interdiction de devenir un opérateur télécom via le CPL.

En conséquence je vous signifie que cette opposition est aussi transposable aux câbles électriques des postes sources et postes de transformations (HTB/HTA) assurant la liaison entre les réseaux HTB (225 et 63 kV) et les réseaux HTA (20 ou 15 kV) pour satisfaire aux exigences du système de comptage dit Linky d’ERDF qui alimentent mon quartier et qui sont en servitudes sur la façade de mon habitation pour lesquels j’exige un blindage afin que mes lieux de vie privés ne soient pas soumis à une nouvelle pollution électromagnétique artificielle en KHz non conforme au contrat de servitude, ceci fussent-elles en deçà des normes transposées de l’organisation privée ICNIRP.

Vous en souhaitant bonne réception et compréhension, veuillez agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.

Fait à xxxxxxxxxx

Le (en lettres) Deux mille xxxxxx pour faire valoir et servir ce que de droit

Nom et prénom

Signature


Communiqué de presse conjoint du 27 janvier 2022 – Justice & “Linky”

Cabinet d’avocats
33 rue du Petit Musc
75004 Paris
contact@lexprecia.com
https://linky.palace.legal
01.75.432.432

Association loi 1901 de défense des victimes d’électrohypersensibilité
37A boulevard Léon Gambetta – 68100 Mulhouse
contact@robindestoits.org
https://www.robindestoits.org/
09.70.15.57.21

Victimes des ondes et LINKY :
ENEDIS déclare forfait en cassation

Paris, le 27 janvier 2022. Treize victimes des ondes avaient obtenu la condamnation d’ENEDIS à dépolluer leur électricité, en première instance(([1] https://linky.palace.legal/ressources/TGI-de-Bordeaux.pdf)) comme en appel(([2] https://linky.palace.legal/ressources/linky-ca-bordeaux.pdf)). ENEDIS en avait saisi la Cour de cassation. Mais après analyse de l’argumentaire des victimes – soutenues par l’association Robin des Toits – le promoteur du LINKY annule son recours(([3] https://www.robindestoits.org/attachment/2262542/)) pour éviter un rejet. Sa condamnation est ainsi confirmée.

Une victoire par trois fois

Le distributeur d’électricité avait été condamné à dépolluer l’électricité des victimes d’électrohypersensibilité (EHS) sous peine de leur devoir 500 Euros par jour de retard(([2] https://linky.palace.legal/ressources/linky-ca-bordeaux.pdf)). Après son échec en première instance, puis devant la Cour d’appel de Bordeaux, ENEDIS déclare forfait devant la Cour de cassation(([3] https://www.robindestoits.org/attachment/2262542/)).

L’épuisement des victimes était en jeu

ENEDIS allait bénéficier de l’épuisement des victimes, lesquelles hésitaient à investir dans une défense devant la Cour de cassation(([4] https://www.robindestoits.org/attachment/2262543/)). C’était sans compter sur l’intervention de l’association Robin des Toits qui décida de les soutenir moralement et financièrement, compte tenu des enjeux sanitaires pour l’ensemble des personnes victimes d’EHS(([5] https://www.robindestoits.org/EHS-ROBIN-DES-TOITS-SOUTIENT-DES-PLAIGNANTS-EHS-EN-CASSATION-23-10-2021_a3084.html)).

Un espoir pour la protection des victimes d’EHS

Pour l’association Robin des Toits :

« Nous ne pouvons que nous réjouir de cette avancée majeure, laquelle nous l’espérons, fera date. Toutefois il s’agit d’une victoire d’étape, et nous devons obtenir non seulement la dépollution des logements d’EHS, mais aussi le remplacement de leurs compteurs Linky abusivement installés, par des compteurs non communicants. Par extension, ces mesures devraient être applicables à tout usager, même non EHS, qui en ferait la demande. »

Patrice Goyaud, Secrétaire de l’association Robin des Toits

L’une des victimes, défendue dans le cadre de cette action en justice, ajoute :

« Alors que notre monde se retrouve aux prises de sociétés ne s’intéressant qu’à leur profit et jamais l’humain et sa pluralité, cette victoire sur Enedis, même si elle semble une goutte d’eau dans l’océan, est porteuse d’espoir pour tous ceux, EHS ou pas, qui souhaitent voir leurs choix en matière de qualité de vie et santé respectés. »

Odile Lurton, victime des ondes ayant gagné contre ENEDIS

Une chance dans la persévérance

Les victimes des ondes doivent ainsi persévérer et exiger la dépollution de leur courant contre les forts champs magnétiques causés par les courant porteurs en ligne(([6] https://linky.palace.legal/ressources/communique-de-presse-linky-fraudes-majeures-moratoire.pdf)). Ces « CPL » sont ajoutés par ENEDIS dans le réseau électrique, via le compteur du client si c’est un LINKY, mais aussi et surtout pour tous les usagers, équipés ou non d’un compteur Linky, via les concentrateurs de quartier, du fait de la circulation des nouveaux CPL sur environ 2400 mètres(([7] https://docplayer.fr/5081565-Specifications-fonctionnelles-du-profil-cpl-linky.html (p. 17) )).

Contacts presse

Association Robin des Toits : Patrice Goyaud contact@robindestoits.org– 09 70 15 57 21
Cabinet Lexprecia : Me Arnaud Durand – contact@lexprecia.com– 01 75 432 432





Ne réintégrons pas les personnels suspendus !

À quoi bon, les hôpitaux ou les casernes de pompiers n’en manquent pas1 !

Par Alain Tortosa

[NRLR Texte utilisant le second degré.]

2

Je ne comprends pas pourquoi des politiques parlent encore des personnels soignants suspendus suite à l’obligation vaccinale, un non-sujet par excellence.

Vous me direz que la France est un des seuls, voir le seul pays qui ne les a pas réintégrés.
Mais ce n’est pas une raison, si les autres pays font n’importe quoi, devrions-nous faire de même ?

Nous n’avons pas à suivre les autres, je vous rappelle que la France, patrie de Rousseau, mère des droits de l’homme, est un phare dans la nuit.

Ayant fait mes armes auprès de France Info « la chaîne de la vérité », je vais vous narrer les faits de telle manière que même Rudy Reichstadt3 serait fier de moi.

Je ne résiste d’ailleurs pas au plaisir de le citer4 :

« Le complotisme est un révisionnisme en temps réel. »

Whaouh !!!

Revenons donc sur les « faits » et uniquement les « faits ».

Tout a débuté lorsque notre gouvernement, dans sa grande sagesse, a décidé de rendre obligatoire la vaccination Covid pour tous les personnels en contact avec les plus fragiles d’entre-nous.

Une raison de se réjouir ?
Absolument pas car cela dénote la déliquescence de notre société !
Rendez-vous compte, en arriver à obliger des soignants à se vacciner alors que cela va de soi.

Tout fout l’camp comme dirait l’autre.
Imaginez que pour leur soit disant « liberté », certains décidaient de ne pas se laver les mains en sortant des toilettes !
Cela dépasse l’entendement.

Leur refus de vaccination était, et est, d’autant plus ridicule que le vaccin Covid était, et est, l’unique solution pour se débarrasser définitivement du fléau.

Calamité qui aurait pu décimer la moitié (riche) de la population mondiale si nous n’avions pas usé de mesures de bon sens.

Maladie dont il n’existe à ce jour strictement aucun traitement efficace comme nous avons pu vous le démontrer maintes fois.
J’invite les crédules à regarder l’hécatombe dans des pays comme le Brésil qui ont traité leur population avec des médicaments vétérinaires douteux et freiné la vaccination.

Ne tombez pas dans le piège en vous référant à d’autres contrées sauvages comme la Suède.
Nous savons tous qu’ils comptent très très mal et qu’il est impossible de comparer leur résultats aux nôtres du fait du différentiel de température mais surtout du nombre d’élans.
Rappelons qu’il y en aurait 300 000 en Suède5 versus quelques dizaines en France, c’est dire à quel point il serait ridicule de comparer les deux pays.
Une fois de plus nous touchons du doigt le coté manipulateur et la stupidité des complotistes.

Un vaccin sûr et efficace !

Un vaccin qui, nous ne le dirons jamais assez, ne présente quasi aucun effet secondaire.
Ici encore je me permets de vous remémorer le b-a-ba :

  • Un non-vacciné qui meurt ne peut décéder QUE du Covid dès lors qu’il positif à un test PCR basé sur la (prétendue?) souche canal historique de Wuhan.
  • Un vacciné qui meurt ne peut décéder QUE de maladies autres que le Covid. Qui plus est, il est inutile de faire un test PCR du fait de la preuve de l’efficacité du vaccin ET son décès est dû à toutes les pathologies (connues et non connues) qu’il pouvait avoir et NON du fait de l’injection.

Vous voyez bien que nous disposons de la preuve de la non-dangerosité du produit.

Et comment pourrait-il en être autrement lorsque le docteur Jérôme Marty, président de l’UFML6, Union Française pour une Médecine Libre, affirme le 14 juillet 20217 :

« Il faut pas tomber dans la facilité, jamais… Il faut se baser sur les vrais lectures scientifiques, savoir qu’on a jamais eu autant de recul sur un vaccin que celui là… il y a 3 milliards de personnes vaccinées… ce qui donne un recul extrêmement important sur les effets secondaires éventuels »

Et de préciser sur RMC :

« On a des milliers d’années de recul sur ce vaccin en fait quand on additionne en quelque sorte le temps de chaque personne qui a été vaccinée. »

À cette date selon le site Ourworldindata8, il y avait 2,03 milliards de vaccinés (et non 3).
2 milliards en 6 mois, on peut dire que c’est l’équivalent de 1 milliard de vaccinés avec un recul de 3 mois. Si l’on multiplie un milliard par 3 mois alors cela fait un recul non pas de quelques milliers d’années mais de 249 millions d’années !

Aujourd’hui selon le même site et avec la même méthode éprouvée de calcul, 5,44 milliards d’individus auraient reçu une dose (nombre dont nous ne pouvons pas douter) après 22 mois depuis le début de la vaccination.

Jérôme Marty continuant à être invité dans les médias sérieux, je peux affirmer sans aucune crainte du ridicule que ;

« Aujourd’hui, nous avons 2,4 milliards d’années de recul sur les effets secondaires des vaccins Covid. »

Si après ça Julien9 et Rudy ne sont pas fiers de moi, c’est à désespérer d’être un scientifique rigoureux.

De la performance du vaccin

Produit efficace à plus de 90% pour empêcher les contaminations et la propagation comme cela a été maintes fois expliqué par nos élites depuis la commercialisation.

Ceci n’a pas été démenti par la représentante de Pfizer au parlement européen10 il y a quelques semaines.
Certains complotistes ont détourné ses propos laissant entendre que Pfizer aurait caché l’inefficacité du produit concernant la transmission.

Mais que nenni !
Elle a simplement répondu :

« Non ! » (le vaccin n’a pas été testé sur sa capacité à stopper la transmission du virus).

Le fait qu’il n’y ait eu strictement aucun test ne prouve en rien l’inefficacité du vaccin dans la transmission, soyons un peu rigoureux que diable !
Bien au contraire même.
La technologie ARNm associée au graphène est tellement novatrice que l’efficacité en devient triviale au même titre qu’une Ferrari EST performante, tests ou pas.

Que faire des « soignants » suspendus ?

Nous devons cesser de les nommer « soignants », ces criminels qui ont refusé l’injection de la vie.

Sans le courage de nos autorités et de notre bien aimé Président qui n’a pas hésité à mouiller sa chemise, ils auraient probablement tués sans vergogne des milliers de petits vieux dans nos hôpitaux.

Le prestigieux Impérial Collège of Médecine11 a démontré en juin 2022 que le vaccin avait sauvé 20 millions de vies !

Je mets au défit quiconque de prouver le contraire.

En revanche je m’étonne d’un chiffre aussi bas, ce qui démontre que les auteurs ont fait preuve d’une extrême prudence.
Un élément de plus, s’il en fallait, montrant que ces irresponsables non vaccinés auraient pu décimer la population hospitalière.

Parler de les réintégrer est totalement indécent !

À mon sens il faudrait plutôt les radier à vie, les déchoir de leur nationalité et les priver de tous les droits (assurance médicale, chômage, etc).

Je vous rappelle que les devoirs de chacun passent avant les libertés individuelles et il n’y a que James Bond qui possède un permis de tuer.

Rappelons quelques données sur l’obligation vaccinale

Elle aurait concerné en France environ 2,7 millions de personnes12.
Parmi lesquelles 1 150 000 personnels soignants.
Il se sont quasi tous vaccinés spontanément comme nous le savons tous.

Le Parisien13 l’a fort bien expliqué dans une publication appelée « Pourquoi la vaccination obligatoire n’a pas provoqué de pénurie de soignants à l’hôpital ».

Ne pouvons-nous pas être un peu rationnel pour une fois ?

Si la suspension de soignants avait pu engendrer la moindre incidence négative dans notre pays en amplifiant une crise de l’hôpital, qui pourrait imaginer qu’il puisse exister un tel taré pour agir de la sorte et imposer leur radiation ?

Ce seul fait de pure logique devrait être de nature à vous démontrer que l’hôpital ne manque pas de personnels ou que les déserts médicaux relèvent du mythe.

Sans compter une prétendue fermeture de services hospitaliers ou d’urgences.

Si nous avons assisté ici ou là à quelques fermetures totales ou tranches horaires, c’est bien la preuve que la population française se porte de mieux en mieux et que cette offre est devenue inutile.

Avouez qu’il faudrait être sacrément con pour imaginer que des soignants en moins pourraient avoir la moindre incidence sur les soins au regard d’une situation totalement objective.

C’est aussi débile que d’imaginer le gouvernement faire appel à des pompiers étrangers non vaccinés pour éteindre des incendies de foret cet été en France alors que des pompiers non vaccinés ne seraient pas réintégrés.
Comment pouvez vous gober de telles inepties ?!

Vous et moi savons bien que les un ou deux pompiers non vaccinés de France ne voulaient tout simplement plus exercer leur beau métier et nous pouvons nous réjouir de leur départ.

Donc concernant les soignants, les vrais chiffres sont connus et ne sont nullement contestés par quiconque de sérieux.
Il y a, inutile d’employer le conditionnel, 15000 personnels non vaccinés, soit 5000 soignants14.
Vous noterez ainsi que deux tiers des personnels employées dans des structures médicales sont donc des administratifs, preuve d’une excellente gestion financière.

La déclaration du Ministre de la Santé, François Braun15 n’est donc que du bon sens.

« Je le redis, la réintégration des soignants non-vaccinés n’est pas une solution.
Elle est d’ailleurs rejetée par leurs collègues et leurs patients. »

La composante psychologique est importante !
Réfléchissez un peu, comment de vrais soignants qui n’ont pas hésité une seconde à se faire injecter pour protéger leurs collègues et leurs patients d’une mort quasi certaine, pourraient à nouveau travailler avec ces monstres d’égoïsme et de cruauté.

Alors même que nous étions en guerre contre le Covid, ces déserteurs ont déclaré « Non, pas pour moi ! »

Ceci a été rappelé hier 16 novembre lors de l’excellentissime émission animée par Cyril Hanouna dans laquelle un courageux directeur d’Ehpad (hélas minoritaire et dont je tairais le nom pour ne pas heurter sa modestie) était là pour rappeler des vérités bien peu mises en avant par les médias mainstream.

Le fait est que la réintégration des soignants suspendus en Italie est un échec total !

Et c’est logique, comment des vrais soignants pourraient leur pardonner le trahison mais aussi mettre en péril tout le processus visant à éradiquer le virus maléfique.

Peut-être avez-vous le sentiment que je radote mais toutes les vérités sont bonnes à répéter :

Les « soignants » non vaccinés sont une menace mortelle aussi bien pour les patients que les soignants qui portent un masque et qui en sont à leur quatrième ou cinquième dose d’un vaccin efficace et sans danger.

Ce directeur a bien fait de rappeler que ces non-vaccinés sont des criminels qui devraient être radiés à vie.

Il est donc totalement logique que les services se trouvent totalement perturbés par la réintégration de ces mauvaises personnes qui ne méritent plus le nom de « soignants ».
Je lui suis d’autant plus reconnaissant de ces informations sur l’Italie que je n’ai pu les retrouver dans la presse française bien complaisante à l’égard des non-vaccinés.

Pour celles et ceux qui l’auraient oublié, je vous rappelle l’enthousiasme des soignants et les queues monstres devant les centres de vaccination.
Ici encore ce grand directeur d’Ehpad n’a pas reculé face aux mensonges d’Hanouna laissant entendre que nombre d’entre-eux se sont vaccinés le couteau sous la gorge de peur de perdre leur emploi ou auraient produit de faux passes.
Mais quelle honte de jeter l’opprobre sur ces héros de l’ombre !

Ne croyez pas ces complotistes qui affirment qu’ils auraient été extrêmement nombreux à avoir fait semblant de se vacciner ou que certains regretteraient amèrement leur injection.
Ceci n’est que délire et désinformation.

Comptons

Soyons purement pragmatiques, 5000 soignants sur environ 100 départements cela fait une moyenne de 50 soignants par département français.
Le ministre Braun16 a justement et humainement rappelé le 8 novembre :

« Ce n’est pas un sujet, c’est peanuts. »

Si on regarde le nombre d’établissements17 en France, soit environ 3000, vous voyez bien que cela ne fait qu’un peu plus d’une personne par centre de soins (1,67 pour être précis).

C’est là que l’on se dit que cette vaccination a vraiment fait l’unanimité.

Prenez conscience de cette réalité totalement crédible :

« UNE seule brebis galeuse par établissement ! »

Cela prouve bien que c’est une idée d’extrême droite de vouloir les réintégrer comme l’a rappelé le ministre.

Moi-même, je serais horrifié à l’idée d’être hospitalisé et manipulé par un non-être non-injecté quand bien même je porte un masque et que j’ai mes quatre doses efficaces plus le numéro complémentaire, la grippe !

Désinformation

Mais pour des raisons purement électoralistes des députés comme Mme Rivasi n’hésitent pas à f aire dans le mensonge en affirmant le 14 novembre dernier le nombre délirant de 130 000 personnels suspendus18

Si l’on prêtait foi à ces mensonges, cela correspondrait à 55000 soignants ou personnels hospitaliers.

En revanche, il y a un problème.
Le ministre affirme que 15000 personnels hospitaliers suspendus correspond à 5000 soignants.

D’aucuns disent19 que la proportion de non-soignants/soignants n’est pas de deux-tiers/un tiers mais l’inverse, soit un tiers de non soignants pour deux-tiers de soignants.
De fait il y aurait à minima selon la député, 36 000 soignants suspendus.

Bien évidemment, ne sont cités que les personnels qui sont suspendus c’est à dire, ni ceux qui ont pris une retraite anticipée, ni ceux qui ont démissionné pour pouvoir continuer à travailler, ni ceux qui ont été mis en arrêt maladie.

Nous ne voyons pas en quoi ces quelques dizaines de milliers de personnels en plus ou en moins pourraient avoir la moindre incidence sur les soins et constituer un soutien à une profession qui ne manque pas de personnels, ainsi que je l’ai démontré.

Il y aurait donc en France, 1 150 000 soignants.

Selon la fédération hospitalière, la profession d’infirmier comporterait 6,6% de postes vacants20. Imaginons que la moyenne soit de 5% toutes professions médicales confondues, ce qui correspondrait à environ 57 000 postes vacants.

Si l’on prête foi aux affirmations foireuses de la député il y aurait à minima plus de 50 000 soignants suspendus, démissionnaires ou en maladie qui auraient été contraints de quitter leur poste.

Si c’était vrai, et bien heureusement tout ceci n’est que manipulation, la réintégration des soignants serait de nature à résoudre le manque de personnels.

Mensonges comme cela est confirmé par cette même fédération qui affirme que les non-vaccinés représentent 0,3% du personnel (donc environ 3400 soignants).
Soit encore moins que les données annoncées par le ministre.

Ce genre de nouvelles ne peut que réchauffer mon cœur meurtri.
C’est quand même merveilleux, non ?

Un seul non vacciné par établissement de santé et on fait des histoires !

C’est bien la raison pour laquelle je vous confirme qu’il n’y a strictement aucun intérêt à les réintégrer.
Cela n’apporterait strictement rien en terme de personnels mais en revanche serait de nature à perturber les bons soignants.

Une personne qui à elle seule pourrait perturber tout un hopital au point de refuser sa réintégration ? Un peu bizarre, non ?

Merci

Alain Tortosa21

17 novembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221117-ne-pas-reintegrer-les-non-vaccines.pdf





Appel aux parlementaires et hommes politiques de bonne volonté

Par Karen Brandin

Chère Madame, cher Monsieur,

Vous avez été nombreux en avril dernier à nous exhorter à aller voter et nous nous sommes rendus aux urnes, même si ce n’est pas aussi massivement qu’attendu.

Vous nous avez ensuite encouragés à écouter attentivement les débats à l’Assemblée Nationale et comme vous, avec vous, nous avons veillé parfois jusque tard dans la nuit, tant nous étions désireux de rester au chevet d’une démocratie que l’on savait depuis des mois déjà, agonisante.

Comme vous nous y aviez encouragés aussi, nous avons joint, écrit à nos députés et nos sénateurs respectifs pour les mobiliser, les assurer de notre vigilance, de notre clairvoyance et les rappeler à leur rôle, leur devoir de porte-voix comme à celui de porte-parole.

En vain trop souvent.

Enfin, lorsque nous avons appris qu’en Italie les soignants non vaccinés allaient être réintégrés puisque c’est le mot consacré, nous avons naïvement cru que la France aurait la décence de ne pas s’entêter dans sa décision inique en plus d’être dégradante de bêtise, de priver un personnel simplement vaccino-prudent, de toute existence sociale. Nous avons naïvement espéré que la France aurait la décence de ne pas s’entêter dans sa décision absurde de SE priver d’un personnel dévoué et ô combien indispensable.

Nous avons eu la faiblesse de penser un instant que la liberté, l’égalité et la fraternité, à force d’être portées, d’être nourries par des voix discordantes exceptionnelles de courage, d’intelligence aussi, celles de médecins magnifiques dont certains ont abattu pour nous servir un travail d’exégèse titanesque de la littérature scientifique, auraient finalement raison de l’idéologie de l’injection génique, devenue injection magique.

Malheureusement, un an et deux mois plus tard, c’est-à-dire une éternité, la situation semble figée et le temps, comme ces soignants, ces pompiers, bel et bien suspendus. À croire que Carl Gustav Jung avait eu une prémonition et évoquait le gouvernement actuel lorsqu’il déclarait :

« Les gens pourraient apprendre de leurs erreurs s’ils n’étaient pas si occupés à les nier. »

Pire, nous apprenions hier via une communication de l’avocat David Guyon que certains praticiens ont été convoqués dans les commissariats, car suspectés de travail dissimulé. C’est-à-dire que l’on reproche finalement à ces citoyens d’oser survivre quand on souhaiterait de toute évidence les voir agoniser, expiant leur faute dans un dernier râle, suppliant qu’on les pardonne d’avoir osé défendre leur intégrité physique.

Faut-il rappeler qu’un soignant est avant tout un citoyen et qu’en tant que tel, il doit pouvoir, avant de se soumettre à un acte médical intrusif et définitif, donner son consentement « libre et éclairé » ?

Faut-il rappeler que ces soignants n’ont commis aucune faute professionnelle en faisant simplement montre d’une prudence et d’un esprit critique qui les honorent au contraire ? or :

« Si j’exécute ce serment et ne l’enfreins pas, qu’il me soit donné de jouir de ma vie et de mon art, honoré de tous les hommes pour l’éternité. »

(Hippocrate)

« Suspendus ; » le mot est terrible mais tellement réaliste dans un monde désormais de marionnettistes car la vie de ces femmes, de ces hommes de conviction continue bel et bien d’être « suspendue » à un fil : celui du bon vouloir d’un ministre de la santé sous influence de la HAS dont on peut d’ailleurs légitimement douter de l’indépendance. L’argumentaire avéré et désormais trans-partisan selon lequel la vaccination ne protège ni de l’infection, ni de la transmission est pourtant largement admis, mais rien n’y fait : pas davantage les tribunes, les témoignages que les manifestations organisées dans la capitale, rassemblements que le gouvernement semble percevoir comme une curiosité sans importance, un débordement marginal, voire tout au plus un simple gravillon dans sa chaussure. Rien de suffisamment gênant en somme, de suffisamment « collectif » non plus sans doute, pour entraver sa marche funeste.

Il faut bien avoir à l’esprit que parmi ces personnes empêchées de travailler, il y a des personnels de haute technicité engagés dans des domaines pointus (urgences, chirurgie, anesthésie) qui, en plus d’être indispensables puisque coutumiers des gestes qui sauvent, doivent impérativement avoir la possibilité d’exercer pour assurer leurs pratiques, affermir leur art et les techniques de prise en charge.

En plus d’une expropriation de biens puisque ces personnes ont été amputées de la totalité de leur salaire, il y a donc une expropriation des savoirs, des savoir-faire et des compétences. C’est inadmissible. C’est inadmissible depuis un an et deux mois.

Bien sûr, des vagues d’indignation naissent aux quatre coins d’une mer déjà tourmentée par un quotidien devenu difficile pour la plupart d’entre-nous, mais malheureusement, elles viennent toutes se briser sur le rivage de nos lâchetés, de notre individualisme.

La France des Lumières devenue France des Ténèbres est donc désormais plongée dans une insondable obscurité qui ne nous honore pas. Alors non, « ce n’est plus Versailles ici ». Ici désormais, c’est la France du mensonge avec sa litanie : « Tous vaccinés, tous protégés, » et celle des rituels, avec : « Je baisse, j’éteins, je décale. »

Il est donc urgent d’agir. Une poignée d’employés de l’entreprise Total a bien réussi le pari de bloquer tout un pays sur des revendications salariales. Comment imaginer, alors que nous sommes des millions, qu’il ne soit pas possible de décider d’une journée France morte où nous porterions collectivement le deuil de notre humanité ; une France figée, silencieuse, recueillie, jusqu’à l’obtention de la réintégration de l’ensemble de ces personnels ? Je compte sur vous et la nécessité de nous rassembler pour que cette action solidaire, loin de toute considération de parti, ne reste pas un vœu pieux.

J’ai conclu ma précédente tribune (https://nouveau-monde.ca/la-parole-en-danger/) par un extrait du célèbre film : « Le cercle des poètes disparus » ; c’est une autre réplique qui me vient aujourd’hui, oh capitaine, mon capitaine :

« Sommes-nous homme ou amibe ? »

Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur l’expression de mes sentiments, les plus respectueux.

Karen Brandin

Citoyenne — Enseignante – Docteure en mathématiques




Le B20 invite le G20 à adopter des passeports vaccinaux internationaux et une identité numérique

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

Vous avez cru que la pandémie covidienne avec toutes ses folies liberticides, restrictions drastiques, passes sanitaires et Green Pass vaccinal, était derrière vous ? Que nenni, les puissants de ce monde, réunis à Bali pour le sommet annuel du G20, le groupe de 19 pays « aux économies les plus développées » plus l’Union Européenne, en collaboration avec le B20, The Business 20, le forum officiel de dialogue du G20 avec le monde des affaires, vous tiennent et ne veulent pas vous lâcher. La transformation du monde doit s’opérer que les peuples le veuillent ou non ! 

Le B20 a ainsi demandé au G20 d’adopter des passeports vaccinaux selon les normes de l’OMS et de promouvoir les systèmes d’identité numérique. Compte tenu du sommet du Groupe des 20 (G20) du 15 novembre, le Business 20 (B20) a tenu son sommet à Bali, en Indonésie, du 13 au 14 novembre.

Le premier jour du sommet B20, le ministre indonésien de la Santé, Budi Gunadi Sadikin, a déclaré que les pays du G20 devraient adopter un certificat de santé numérique « qui utilise les normes de l’OMS » et qu’il faut essayer d’introduire ce type de passeport vaccinal dans « les réglementations sanitaires internationales » lors de la prochaine Assemblée mondiale de la Santé à Genève.

Les futurs déplacements soumis à la détention d’un passeport vaccinal

« Nous avons un certificat de santé numérique reconnu par l’OMS. Si vous avez été vacciné ou testé correctement, vous pouvez vous déplacer », telle est son idée.

« Les pays du G20 se sont mis d’accord sur ce certificat numérique en utilisant la norme OMS et nous le présenterons à la prochaine Assemblée mondiale de la santé à Genève en tant que révision de la législation sanitaire internationale » continue Budi Gunadi Sadikin. « Pour la prochaine pandémie, au lieu de bloquer le mouvement des personnes à 100% […] il sera possible de garantir un certain mouvement de personnes, de biens et de l’économie », a-t-il conclu lors du sommet B20.

Avant de devenir ministre indonésien de la Santé, Sadikin a occupé de hauts postes, non pas dans le milieu médical comme on pourrait s’y attendre, mais dans le milieu bancaire : à la Banque de Bali, à la Banque Mandiri, à l’ABN AMRO Bank Indonesia, à PT Bank Danamon et à IBM. C’est étonnant cette volonté des banquiers de contrôler les déplacements des personnes…

La demande du ministre indonésien de la Santé concernant un certificat sanitaire numérique, qui fait office de passeport pour les vaccins, fait désormais partie des recommandations de politique officielle du B20 au G20.

Selon le communiqué de presse final du B20 Indonesia 2022, de 132 pages, dans le chapitre des Recommandations politiques au G20, les pays membres devraient « promouvoir de nouveaux échanges et une utilisation stratégique et un partage de la science, de la technologie et des données appropriées pour la détection des crises, créant un cadre de coordination mondial pour l’atténuation future des crises ». En clair, voici écrites quelques-unes des dispositions nécessaires pour mettre en place une gouvernance mondiale à l’échelle supranationale. Un nouvel ordre mondial en somme…

Un Nouvel Ordre Mondial en marche 

Ces recommandations politiques comprennent, sans s’y limiter : l’adoption de la documentation numérique des certificats COVID-19 ; la création de directives solides sur la préparation aux urgences sanitaires pour garantir une réponse coordonnée au niveau mondial aux crises futures, renforcées par une infrastructure sanitaire mondiale « toujours active » et rendue possible par la technologie, la mise en place et l’extension de la reconnaissance mutuelle des vaccins covid-19.

Pourtant l’OMS elle-même conteste la fiabilité des vaccins covid-19, et donc des passeports vaccinaux, pour ralentir et contenir une épidémie de coronavirus : en août 2021, elle a publié un guide de 99 pages sur la mise en œuvre de la documentation numérique des certificats COVID-19, alias passeports vaccinaux, indiquant que « un laissez-passer de santé basé uniquement sur le statut de vaccination individuel peut augmenter le risque de propagation de maladies ».

En effet, il n’a jamais été démontré que les « vaccins contre la covid empêchent la transmission ou l’infection, et il est récemment apparu au Parlement européen que Pfizer n’a jamais testé son produit comme moyen de bloquer la transmission.

Mais bien que ces connaissances soient du domaine public, le B20 continue de recommander des preuves de vaccination comme moyen de voyager.

« Ces passeports vaccinaux servent par nature de forme d’identité numérique » soulignait le Forum économique mondial en février 2022. Et peut-être est-ce bien là l’objectif qui pousse ces puissants à imposer des passeports vaccinaux pour voyager.

« Le G20 devrait soutenir la conception de politiques visant à promouvoir les identités numériques en tant qu’élément constitutif de la confidentialité des données et de la confiance numérique » est d’ailleurs une des recommandations politiques du B20 réuni à Bali en cette année 2022.

Une identité numérique comprend tout ce qui vous rend unique dans le domaine numérique et est un système capable de consolider toutes vos données intimes les plus personnelles, y compris les sites Web que vous visitez, vos achats en ligne, vos dossiers médicaux, vos comptes financiers et les personnes avec lesquelles vous êtes ami sur les réseaux sociaux.

Identité Numérique = crédit social

Ce système d’identité numérique, via le passeport vaccinal universel voulu par le B20 peut donner aux gouvernements et aux entreprises le pouvoir d’inciter, de forcer ou de manipuler autrement le comportement humain au sein d’un système de crédit social.

Les identités numériques peuvent être utilisées pour déterminer quels produits, services et informations sont à la disposition du citoyen lambda et peuvent certainement être utilisées par des organismes publics et privés pour lui refuser l’accès à certains biens. Alors que le B20 promeut cette « recommandation politique » au G20 en soutenant que « le G20 devrait demander aux BMD [Banques multilatérales de développement] d’aider les gouvernements à développer et à mettre en œuvre des systèmes d’identité numérique afin de renforcer l’inclusion », le Forum économique mondial, qui ne cache plus son but de contrôle admet :

« Cette identité numérique détermine les produits, services et informations auxquels nous pouvons accéder – ou, au contraire, ce qui nous est exclu ».




Le Tétralogue — Roman — Chapitre 14

[Voir :
Le Tétralogue — Roman — Prologue & Chapitre 1
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 2
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 3
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 4
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 5
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 6
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 7
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 8
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 9
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 10
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 11
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 12
Le Tétralogue — Roman — Chapitre 13]

Par Joseph Stroberg

​14 — Les larmes de la sorcière

Une fois ravitaillés, les trois Véliens abandonnèrent le reste du gibier grillé aux divers carnassiers des environs. Le chasseur eut des difficultés à retrouver la trace de la survivante, et partagea sa crainte de la perdre s’ils ne se hâtaient pas. Ils pressèrent donc le pas, augmentant du même coup la probabilité d’incidents. Tulvarn ne manquerait sans doute pas de se prendre de nouveau les pieds dans une racine ou dans un trou, puis de s’étaler brusquement sur le sol. Il en était assez coutumier ces derniers temps. Il suffisait qu’il se laisse aller sur les ailes de l’imagination ou de la réflexion pour oublier le monde extérieur, fonctionnant alors en automate. Il ne devait alors sa survie qu’à la chance ou au Grand Satchan qui devait avoir prévu une autre fin pour lui. Il se demandait comment les autres moines et ses présents compagnons faisaient. Peut-être que leurs pensées ne se formaient pas en images mentales aussi denses et prenantes. Ou ils étaient capables de davantage de concentration sur leur tâche du moment. Lui ne parvenait à se concentrer profondément que lorsqu’il combattait (ce qui valait mieux d’ailleurs), mais pas toujours. S’il était trop préoccupé par certains problèmes ou quelques questions, il n’y parvenait guère et manquait alors rarement de se faire blesser par son adversaire pourtant armé de bois et non de métal. Il avait ainsi acquis une certaine réputation, celle du moine ayant le plus de blessures à son actif ! Pour autant, ses collègues ne riaient pas de lui, car il était aussi le seul qui parvenait à combattre les yeux fermés ! Il ignorait pourquoi et même comment. Tous en faisaient simplement le constat : ses mouvements le dirigeaient exactement où il convenait pour parer ou éviter les coups, comme pour en porter de mortels.

Dans de telles circonstances, son esprit se montrait alors parfaitement fusionné avec son corps. Tout se passait comme si sa propre étincelle du grand feu cosmique l’éclairait, depuis l’intérieur de son corps ou de son être, sur les gestes et les postures à adopter. C’était plus efficace que la lumière de Dévonia pouvait le faire en pénétrant par ses yeux. Plusieurs moines seraient morts s’il avait alors disposé de son sabre actuel au lieu d’une bête réplique en bois. En y repensant, Tulvarn se disait qu’il aurait probablement dû fermer les yeux lors de son récent combat contre cet étrange recruteur de guerriers. Il ne serait ainsi pas laissé abuser par ce qui semblait être une capacité d’illusion. Nul sorcier ne pouvait agir sur la plus profonde nature des êtres vivants, leur « étincelle » centrale. Les mages noirs agissaient sur les corps, sur la matière, éventuellement sur les émotions et les pensées, mais ne pouvaient pas toucher ce qui par nature était bien plus subtil. Une étincelle du Grand Satchan n’était bien sûr pas matérielle, ni même de nature émotionnelle. Elle n’avait pas non plus besoin de penser pour être, mais seulement pour prendre conscience. Les mages noirs pouvaient maintenir un certain temps les Véliens dans l’ignorance, les envelopper d’un voile d’illusion, les empêcher de prendre conscience de certains faits, mais ils ne pouvaient pas plus.

La lumière de Dévonia pouvait se refléter sur la forme réelle ou fantomatique d’un sorcier et parvenir ainsi dans les yeux de Tulvarn pour le renseigner sur la présence de ce dernier ou sur la menace éventuelle qu’il représentait. Son mental l’amenait alors à réfléchir sur la situation et à en comprendre certains aspects. Mais seule la lumière de son étincelle centrale, de son « Esprit » éternel lui permettrait la perception et la compréhension exacte de la nature du sorcier, notamment de ce recruteur particulier auquel il eut à faire face. Elle le ferait sans critiques, sans jugement et sans aucune condamnation, car sa principale fonction était alors d’éclairer, d’apporter la lumière, la compréhension, mais nullement de détruire ou d’éliminer. Aussi sûrement que la lumière de Dévonia éclairait Veguil pour lui fournir chaleur et vie, indépendamment des actions entreprises par les Véliens à sa surface, celle de l’étincelle centrale de Tulvarn éclairait ce dernier pour lui donner vie et compréhension, indépendamment des actions qu’il menait et indépendamment de ce que les autres Véliens lui faisaient.

Tulvarn se disait donc que plus il saurait laisser son étincelle l’éclairer, sans lui opposer divers obstacles tels que l’orgueil, la superstition, l’étroitesse d’esprit, le manque de confiance ou de foi… et plus il serait capable d’interagir de manière sage avec les autres êtres, comme tel un moine devrait savoir le faire. Et, surtout, moins il se prendrait les pieds dans les racines ! À cette pensée, il se mit à sourire et redevint plus attentif au monde extérieur.

La forêt se présentait ici bien moins dense, ayant laissé place à une étendue de buissons et de plantes de moindre dimension, parsemée de quelques arbres. Gnomil marchait en tête, observant rapidement à droite, devant et à gauche pour déceler d’éventuels pièges et de rusés prédateurs. Pour l’instant, ils n’en rencontraient aucun. La chance les accompagnait. Reevirn se tenait en léger retrait, attentif au faible signal qu’il recevait de la Vélienne survivante et soucieux de ne pas le perdre.

Le terrain descendait maintenant légèrement, devenant de plus en plus humide au fur et à mesure de leur progression. Le sol devenait nettement irrégulier et spongieux. Les trois compères réalisèrent rapidement qu’ils marchaient en fait sur une colonie de gnarls, êtres circulaires mi-végétaux, mi-animaux gorgés d’eau, hauts de quelques pouces et larges d’un pied. Ceux-ci se déplaçaient si lentement qu’il fallait les observer une journée entière pour s’en rendre compte. Ils glissaient à l’aide de micro reptations ventrales. Ils ne possédaient ni membre ni tête, mais une couronne dorsale de mini tentacules capteurs. Ils se nourrissaient grâce à leur peau gluante et acide, collant puis digérant lentement les insectes qui s’y posaient. Les nutriments y pénétraient ensuite par de minuscules pores. Leur corps souple et résistant se déformait légèrement sous le poids d’un Vélien. Si le cuir de ce dernier représentait une protection à peine suffisante contre l’acide, ses sandales ou autres couvertures de pieds lui évitaient en général de connaître le moindre désagrément. Cependant, ce n’était pas le cas ici du simple tissu dont était enveloppé Tulvarn et celui-ci commençait à ressentir légèrement la brûlure des sucs digestifs gnarls. Il hâta le pas pour sortir de la zone colonisée, plus loin en contrebas, dépassant rapidement le voleur qui se demanda ce qu’il lui prenait :

— Hey ! Que t’arrive-t-il tout d’un coup ?

— Les gnarls. Je n’ai pas de sandales contrairement à vous deux. Ils me digèrent les pieds !

— Oh ! C’est vrai, reconnut le voleur en observant le tissu rongé par l’acide, avant de forcer l’allure pour suivre le moine.

Dès qu’ils se trouvèrent sur un sol plus stable et moins agressif, Tulvarn s’empressa de sortir ses cristaux afin d’utiliser celui qui permettrait une régénération plus rapide de son cuir plantaire. Il déchira à cette fin le tissu dégradé qui entourait encore ses pieds puis procéda aux lentes passes sur les zones lésées afin de déclencher le processus de guérison. Enfin, il sortit de son sac un morceau de rechange pour remplacer tant bien que mal les pièces déchirées à l’aide de ficelles végétales. L’opération complète dura un peu plus d’une heure galactique standard, moment de répit mis à profit par ses deux compères pour faire une sieste.

Après ce repos forcé, le trio se remit en route pour continuer sa descente dans ce qui apparaissait de plus en plus comme une vaste tranchée naturelle, un genre de profonde et large faille rocheuse aux pentes de plus en plus escarpées. Vu du ciel, l’endroit représentait une sorte de cicatrice terrestre gigantesque en plein milieu des plaines de l’Ouest. Les trois Véliens l’ignoraient, mais le lieu jouissait d’une sinistre réputation. Il s’agissait de Gnémar’obal, surnommé « les Larmes de la sorcière ». Il abritait des centaines de grottes et de gouffres de tailles et profondeurs diverses, et des milliers de pièges disposés par de lointains ancêtres lors de leur lutte contre d’anciens envahisseurs. La plupart étaient encore fonctionnels. Les autres pouvaient malgré tout se révéler dangereux par leur nature même. Les talents de Gnomil risquaient fort d’être mis à contribution. En attendant, Tulvarn, relativement insouciant, plongeait une fois de plus dans ses pensées, abandonnant l’attention de la route à ses deux compagnons.

Récapitulant les événements depuis son fameux rêve, le moine constata qu’il ne se trouvait guère plus avancé aujourd’hui, bien au contraire. Il ne savait toujours pas si le Tétralogue existait. Si c’était le cas, il ne connaissait même pas l’emplacement du tombeau du Saint-Homme. Il ne connaissait pas non plus l’éventuel assassin susceptible de se joindre à eux. Il s’interrogeait aussi sur cette légende évoquée par Jiliern. De plus, il ignorait si celle-ci était vivante et où alors elle se trouvait en ce moment. Et pour finir, il existait dorénavant la menace représentée par cet étranger que faute de mieux il qualifiait de sorcier. Celui-ci était-il d’ailleurs responsable de l’assassinat des deux collègues de Reevirn ? Tulvarn en venait à le suspecter. L’individu était parvenu à le blesser alors que lui-même avait bien davantage l’habitude des combats que les chasseurs. Quelle chance avaient pu avoir ces derniers, surtout s’ils avaient été pris par surprise ? Pratiquement aucune. Il était alors miraculeux que Reevirn ne soit pas mort.

Le trio se trouvait maintenant très proche de la partie la plus pentue des Larmes de la sorcière. La vaste faille leur barrait le chemin de manière plus évidente, les obligeant à s’arrêter. La déclivité devenait trop accentuée pour continuer simplement en marchant. Il leur fallait trouver un passage qui leur permette de rejoindre le fond de la cicatrice naturelle avant de remonter de l’autre bord. Tulvarn déposa alors son chargement pour établir un campement pendant que ses deux acolytes exploreraient la bordure de la fosse, l’un vers le sud et l’autre vers le nord. Ces derniers espéraient découvrir un sentier praticable qui puisse les mener sans danger jusqu’en bas. Comme ils ne disposaient d’aucun matériel d’escalade, la seule alternative envisagée par les trois aventuriers consistait à se servir du sabre du moine pour tailler des appuis sommaires dans la roche. Ils pourraient ainsi créer un très long et étroit escalier rudimentaire. Le fond paraissait situé à plus de cinq cents pas en contrebas. Il leur faudrait alors plusieurs jours pour mener à bien un tel projet. Et pendant ce temps, Reevirn risquait de perdre la trace de la Vélienne. Une telle perspective ne les réjouissait pas. Aussi, le chasseur et le voleur s’acharnèrent à découvrir au pire un genre d’escalier naturel en explorant minutieusement les environs immédiats de Gnémar’obal.

Après une heure d’exploration de la bordure, Gnomil découvrit une ouverture inattendue dans le sol, à une dizaine de pas du bord de la tranchée. Elle était assez grande pour laisser passer même le moine. Il s’y engagea prudemment pour tenter d’en déterminer la profondeur et la nature. L’endroit semblait être une espèce de boyau souterrain étroit creusé par l’eau dans un sol calcaire. Celui-ci était très irrégulier, contrastant avec la couverture végétale et le sol terreux environnant. Plus ou moins pentu, il permettait néanmoins une descente assez peu risquée, grâce à de nombreux appuis et une inclinaison globalement douce. Cependant, le voleur ne s’y enfonça pas très loin, car il n’y vit bientôt plus rien. Il décida alors de rebrousser chemin pour faire part de sa trouvaille potentiellement prometteuse.

Pendant ce temps, Reevirn ne découvrit rien de bon dans un paysage de plus en plus dégagé au fur et à mesure de sa progression. Assez bizarrement, la végétation devenait plus chétive, sèche et clairsemée. Peut-être le devait-elle à son rapprochement du sud ? La conséquence en était la plus grande facilité à repérer un éventuel chemin vers le fond des Larmes de la sorcière. Mais rien de tel n’apparut devant les yeux vigilants du chasseur. Aucun passage ne se découpait dans la falaise. Pas le moindre indice de commencement de l’un d’eux ne se manifestait. La pente restait désespérément abrupte partout où portait son regard. Contourner l’obstacle qui semblait s’étendre bien trop loin au sud demanderait de trop nombreux jours. Il ne lui restait qu’à faire demi-tour et à annoncer la mauvaise nouvelle à ses deux compagnons.

Lorsque les deux éclaireurs furent de retour près de Tulvarn, celui-ci écouta attentivement leur compte-rendu puis leur suggéra de tenter la descente dans le gouffre découvert par Gnomil. Quelque chose lui disait que celui-ci les rapprocherait de leur but, même s’il n’avait pour l’instant pas la moindre idée du comment. Le voleur et le chasseur n’avaient pas d’arguments notables à opposer, en dehors du fait que le boyau pouvait aussi bien aboutir à un cul-de-sac. La grande inconnue était sa longueur. Si celle-ci devait excéder celle de la faille, son exploration risquait de leur faire perdre définitivement la trace de la Vélienne. Le trio se remit donc en route, vers le nord de la tranchée. Marchant plus lentement à cause des sacs portés par le moine, il leur faudrait deux bonnes heures pour parvenir à l’entrée du gouffre.

En chemin, Tulvarn ne put manquer de s’interroger sur le bien-fondé de leur décision. Objectivement, les chances que le boyau aboutisse à une ouverture qui les rapprocherait du fond de la faille étaient a priori bien faibles. Il pouvait au contraire dévier loin de la falaise ou ne pas avoir d’autre issue à l’air libre. Cependant, l’aventure elle-même pouvait être un fiasco complet. Ce serait spécialement le cas si ses intuitions se révélaient en définitive totalement illusoires. Devait-il leur faire confiance, au risque de les mettre tous en péril ? Son maître lui avait conseillé maintes fois de le faire, mais le moine guerrier manquait encore de confiance en elles et en lui-même. Pourtant aguerri par un entraînement intensif, de difficiles stages de survie et des séances de jeûne prolongé, il se sentait vulnérable. Ce sentiment s’était récemment exacerbé après sa rencontre avec le sorcier recruteur. Sa maladresse presque légendaire ne l’aidait pas non plus. Pour surmonter cet état qu’il ressentait comme une faiblesse, il ne voyait pas d’autre voie que celle d’affronter directement ses doutes et ses peurs en faisant usage de sa volonté. Ses intuitions ne pourraient être confirmées qu’en les suivant avec force et foi. Ou bien elles se révéleraient vides, sans le moindre fondement, mais il ne pouvait lever le doute sans tenter l’aventure. Si le Tétralogue existait, il devait le trouver et retrouver avant cela la cristallière. S’il n’existait pas, il devrait apprendre encore et encore à mieux discerner entre intuitions et illusions. La réponse ne pourrait venir que par l’action. Et il devait s’y lancer avec toute son énergie, en utilisant au mieux ses capacités et en acceptant l’aide de ses compagnons. Dans l’immédiat, si son intuition lui disait de suivre la piste entrevue par Gnomil, et par conséquent de s’enfoncer dans un gouffre inconnu, alors il devait le faire avec confiance, ouverture et persévérance. Si ce chemin ne conduisait nulle part, au moins il le saurait et disposerait du même coup d’un indice puissant de ce qui ne relevait pas d’intuition, mais de leurres ou de mirages. Il existait même la possibilité qu’un cul-de-sac représente finalement un atout, pour une raison qu’il restait alors à découvrir. Quoi qu’il en fût, il gagnait à considérer qu’il n’y aurait pas d’échec. L’action conduirait à la démonstration d’un résultat, d’une réalité. Il n’aimerait peut-être pas cette conséquence, mais il devait tout tenter pour lever le doute. Tulvarn en était là de ses réflexions lorsqu’il se prit une fois de plus les pieds dans un trou masqué au regard vague et automatique qu’il portait sur les alentours. Il s’étala une fois de plus de tout son long, sa tête atterrissant sur un tapis de mousses et de formations herbeuses. S’il avait été plus concentré sur sa marche, il aurait presque certainement évité l’écueil. Mais voilà, il n’était pas encore guéri de ses incursions dans l’univers de ses pensées, de son imagination et de ses images mentales lorsque la situation ne s’y prêtait pas !

— Hey, Sieur Tulvarn ! Que vous arrive-t-il encore, demanda vivement Gnomil ?

— Mmm… Désolé ! Rien. Je ne regardais pas où je marchais, tout simplement et malheureusement. Une fois de plus !

— Je vois ça, en effet ! Cette habitude pourrait pourtant vous causer de gros ennuis, du genre de tomber au bas d’une falaise.

— Je sais… souffla Tulvarn sur un ton désabusé. C’est une maladie dont je ne parviens pour l’instant pas à guérir. Ce n’est pas faute d’avoir reçu maints conseils de la part de mon maître. Pour l’instant ceux-ci sont pratiquement restés infructueux. Parfois, ça me désespère.

— Comment cela se fait-il, interrogea Reevirn ?

— Je l’ignore. Du moins, je le sais, je connais le mécanisme intérieur qui conduit à cela. Mais j’ignore pourquoi j’utilise un tel mécanisme, pourquoi j’ai cette tendance depuis mon plus jeune âge. Qu’ai-je donc fait dans une vie antérieure pour cela ? Ou bien encore, pourquoi avoir choisi cette tendance en m’incarnant cette fois-ci ?

— Pour ma part, je n’ai jamais trop compris ces affaires de réincarnation, intervint Gnomil. Pourquoi par exemple se choisirait-on volontairement des conditions de vie difficiles ?

— Ou de dures leçons à apprendre, ajouta Reevirn ?

— Pour tenter de mieux appréhender tout cela, répondit Tulvarn, j’en reviens souvent à mon « étincelle ». Celle-ci est une partie du feu cosmique et suit donc par nature les grandes lois ou les desseins qui ont engendré les mondes de matière sous l’impulsion de ce feu primordial. Celui-ci avait un but, même si on ignore précisément lequel. On peut supposer que l’acquisition de la Conscience et l’expression concrète de l’Amour en font partie. Et l’infini potentiel du feu cosmique ne peut probablement s’exprimer qu’au travers d’une infinité de situations.

— Ouf, ça devient déjà compliqué, reprocha quelque peu le voleur !

— Entendu. Essayons de le rendre plus simple ! Pour aboutir à un nouvel arbre, un fruit doit d’abord tomber sur le sol et s’y retrouver enfoncé d’une manière ou d’une autre, n’est-ce pas ?

— Oui, bien sûr, répondirent ensemble le Gnomil et Reevirn !

— Eh bien, pour aboutir à une nouvelle incarnation, l’étincelle doit d’abord s’enfoncer dans la matière.

— Ça paraît complètement évident, Sieur Tulvarn !

— Ça semble en effet couler de source, ajouta le chasseur.

— Très bien ! Continuons ! La graine ne pourra pousser que sous certaines conditions. Selon la nature de l’arbre, il lui faudra telle quantité de lumière plutôt qu’une autre, tel sol plutôt qu’un autre, tel taux d’humidité plutôt que tel autre, telles plantes voisines plutôt que telles autres, et ainsi de suite…

— D’accord, et puis ? interrogea le voleur légèrement intrigué, ne sachant pas où le moine voulait en venir.

— Maintenant, envisageons que l’étincelle souhaite savoir ce que c’est que d’être un menuisier. Elle devra alors choisir une graine de menuisier, être plantée peut-être dans une famille de menuisiers ou dans un village ayant besoin d’un menuisier. La graine en développement devra se trouver à un moment en situation pour apprendre son métier particulier. Elle devra aussi permettre que l’arbre, ou le corps, soit celui d’un menuisier plutôt que d’un chasseur ou d’un assassin. La forme et les aptitudes du corps devront être adaptées au rôle souhaité. Si la graine se trouve semée dans un milieu aisé, elle se développera plus vite et mieux que si elle se trouve dans un milieu aride ou pauvre…

— Oh ! je comprends mieux, reconnut Gnomil, étonné et légèrement ébahi par la démonstration. Alors, si je ne me trompe pas, mes conditions de vie le doivent essentiellement à ce qu’a voulu faire, expérimenter ou découvrir mon étincelle en s’incarnant de nouveau.

— Tout à fait !

— Mais pourquoi se choisir des conditions de vie difficiles ? Ça, je ne comprends toujours pas !

— Lorsque l’étincelle sème une graine, elle est un peu comme ces Véliens qui font pousser des arbres ici et là. Ils ne savent pas au départ si cela va marcher ou non sur le sol et à l’endroit particulier choisis. Parfois l’expérience rate et la graine ne donnera aucun arbre. Parfois l’arbre est chétif et malade. D’autres fois, il est en pleine santé et il fournit de beaux fruits. Est-ce que l’étincelle sait automatiquement le résultat de l’incarnation avant de l’avoir tentée ? Elle peut se douter que certaines tentatives seront plus difficiles que d’autres, que tel sol est plus dur que tel autre, mais elle apprend davantage par chaque nouvelle expérience, par chaque nouvelle vie incarnée. Et l’on peut supposer que plus dur pour elle est le défi, plus grande est la joie de l’avoir surmonté. Plus dure est l’épreuve ou la leçon, et plus forte la pousse engendrée. Un arbre qui résiste au gel, aux tempêtes, à la grêle, aux champignons… sera d’autant plus fort. L’étincelle bénéficiera de cette expérience fructueuse pour ses prochaines incarnations.

— Mais alors, qu’est-ce qui fait qu’un arbre chétif peut parfois malgré tout survivre, même sur un sol aride, au point de donner un jour des fruits, et que d’autres fois un arbre qui poussait sur un sol facile peut soudain devenir malade et mourir ?

— La différence vient probablement de la volonté de l’arbre lui-même, cette volonté dont une partie a pu être communiquée ou favorisée par le semeur d’arbres, par l’étincelle du feu cosmique. Il existe une grande différence entre la volonté de vivre et celle de mourir, entre celle d’assumer le rôle voulu par le semeur et celle de le refuser, de se rebeller, ou d’y renoncer. Si ta volonté de vivre est puissante, même si au départ le sol qui t’a vu naître était aride, tu produiras de beaux fruits, de belles actions, au point que tu pourras devenir un exemple, puis une légende pour les autres arbres.

— Oh ! Je vois, répondit simplement le voleur rempli d’un sentiment de gratitude. Son ami le chasseur y ajouta lui un étonnement candide.

— Si vous n’avez pas d’autres questions, il vaudrait mieux que je me concentre de nouveau sur le trajet, car autrement je risque encore de tomber.

— J’en ai encore une, si vous permettez, Sieur Tulvarn.

— Oui, vas-y !

— Pourquoi est-ce qu’on ne se rappelle pas des vies antérieures ?

— Est-ce que le nouvel arbre semé quelques années auparavant par le semeur peut se rappeler de la vie de l’arbre semé avant lui ?

— Euh… ! Ce n’est pas le même… Si un arbre a une mémoire, ce n’est pas la même que celle de l’autre avant, je pense.

— Je crois aussi, approuva le Reevirn.

— Est-ce que ma mémoire est celle du Vélien ou de la Vélienne que j’ai pu être dans une vie antérieure, poursuivit Tulvarn ?

— Je ne pense pas non plus, admirent simultanément le chasseur et le voleur.

— Alors, vous avez trouvé vous-mêmes votre réponse.

— Mais, je ne veux pas notre réponse, mais « la » réponse, maugréa le voleur.

— Oh, mais celle-là, seul le Grand Satchan la connaît, j’en ai bien peur, répondit le moine.

— Mais si nous en sommes une étincelle, n’est-il pas possible pour nous aussi de la connaître, interrogea le chasseur ?

— Nous sommes surtout en ce moment l’arbre poussé depuis la graine semée par l’étincelle. Après avoir semé sa graine, cette dernière y plonge pour lui communiquer sa vie et sa volonté. Elle se trouve donc en nous, du moins selon ce qu’en disaient plusieurs anciens maîtres. Mais rien ne prouve par ailleurs qu’ils aient vu juste. Et pour en revenir à ta question, dans l’optique de ces anciens sages, nous pourrions connaître nos vies antérieures en réalisant un contact conscient avec notre étincelle, ce pourvoyeur de vie et de volonté enfoui en nous, ceci bien sûr en admettant que l’étincelle soit dotée d’une mémoire.

— Pourquoi n’en serait-elle pas dotée, demanda le voleur ?

— Pourquoi en serait-elle dotée, répliqua le moine ?

— Eh bien, pour se rappeler les précédentes expériences de semailles de graine, non, hasarda le chasseur ?

— Bon argument, le félicita Tulvarn ! Cependant, je vous rappelle qu’un argument ne représente pas pour autant la réalité du fait qu’il évoque et qu’en définitive dès que nous abordons de tels sujets, nous plongeons dans des domaines hautement spéculatifs. Mon maître avait coutume de dire que seul le doute était certain.

— Mais, ça ne veut rien dire, ça, « seul le doute est certain », rétorqua Gnomil !

— Cela a le sens que tu veux bien lui donner ou lui découvrir, pourtant. Pour mon maître, cela signifiait en quelque sorte qu’il n’était certain de rien et qu’il devait apprendre à vivre avec le doute. Je dois avouer que pour l’instant ça me dépasse encore. Je n’aime pas vraiment vivre dans l’incertitude et j’ai l’impression que pour l’instant, je dois plutôt apprendre à éliminer le doute qui m’assaille en permanence.

— En fait, si je peux me permettre, intervint timidement Reevirn, je ne suis pas sûr que dans votre cas il s’agisse du même genre de doute.

— Peux-tu préciser ta pensée, demanda le moine ?

— Oui. J’ai l’impression que le doute qui t’assaille est lié à un manque de confiance, alors que le doute mentionné par ton maître serait plutôt la capacité à accepter de ne pas savoir avec certitude, alors que seul le Grand Satchan pourrait tout savoir.

— Eh bien, je vais finir par croire que soit tu avais raté ta vocation, soit nous nous sommes trompés en pensant que tu étais un chasseur et tu es en fait un moine ou éventuellement un érudit. En tout cas, je te remercie.

— Ce n’était pas grand-chose.

— Au contraire, pour moi tes paroles revêtent une grande importance et vont m’être très utiles.

Le trio poursuivait sa marche vers l’entrée du gouffre et s’en trouvaient maintenant tout proche, à charge pour Gnomil d’en retrouver l’emplacement exact. Celui-ci se mit donc en quête des repères visuels gravés dans sa mémoire. Explorant méticuleusement le rebord de la faille à une distance d’environ vingt pas, il devait normalement redécouvrir facilement le trou dans le sol partiellement couvert de broussailles. Il se trouvait proche d’un grand arbre aux feuilles épineuses et dentelées. Pourtant, après deux nouvelles heures à tourner en rond près de l’endroit supposé, les trois compères ne détectèrent pas la moindre ouverture dans le sol, les amenant à s’interroger :

— Es-tu vraiment sûr de n’avoir pas rêvé, commença par demander le moine au voleur ?

— Je finissais moi aussi par me questionner sur ce que tu avais vu.

— Eh bien pour tout dire, j’en viens à douter de mes souvenirs. Pourtant habituellement, j’ai plutôt une très bonne mémoire, ce qui me permet notamment de me repérer lorsque je prépare mes coups pour pouvoir ensuite m’enfuir plus facilement en cas de problèmes.

— Il vaudrait pourtant mieux que tu n’aies pas rêvé, assura Tulvarn. Faisons donc une pause pour nous changer les idées. De plus, avec un peu de chances, ça te permettra ensuite de mieux te rappeler l’aspect du terrain près du gouffre.

— D’accord, répondirent ses deux compères simultanément, avant de s’allonger sur le dos sous deux arbres de taille moyenne présents à quelques pas de distance. Tulvarn les rejoignit quelques instants plus tard après avoir déposé son chargement à droite et à gauche.

Après seulement quelques instants, Reevirn se redressa soudain avant de s’adresser timidement à ses deux compères qui commençaient à somnoler :

— Quelque chose me turlupine de plus en plus depuis que nous avons décidé de traverser cette énorme dépression. C’est bien beau de trouver un moyen d’y descendre, mais comment allons-nous remonter de l’autre bord ?

— Je n’en sais rien, avoua le moine. Je m’étais dit que si nous avions la chance de trouver le moyen de descendre, pourquoi n’aurions-nous pas ensuite celle de trouver comment grimper sur l’autre versant ?

— C’est bien beau, intervint Gnomil, mais ça commence à faire une certaine accumulation de chances. Et si le fait que je ne retrouve pas l’entrée du gouffre signifiait que nous devons trouver autre chose ?

— Comme quoi, demanda le moine ?

— Eh bien, au lieu de perdre un temps fou à trouver comment traverser, ce qui implique la descente puis la remontée, pourquoi ne pas contourner l’obstacle ?

— J’y ai songé aussi, mais sait-on sur combien de milliers ou de centaines de milliers de pas cette faille se poursuit ? S’il nous fallait plusieurs dizaines de jours pour la contourner, serions-nous gagnants ?

— Et s’il nous fallait autant de temps pour la traverser ?

— Je reconnais que dans un cas comme dans l’autre, nous sommes ignorants de la durée possible. Aussi, je pensais suivre mon intuition qui m’invitait à descendre. Mais maintenant, j’en suis encore moins sûr. Que préférez-vous ?

— Je n’en sais rien, répondit le chasseur.

— Moi non plus, reconnut à contrecœur le voleur. J’espère que ton intuition est fiable.

— Si l’on en croit mon maître, elle l’est.

— Si tu me permets, rétorqua Gnomil quelque peu énervé, ton maître, je ne le connais pas. Et tu ferais bien de ne pas toujours t’en remettre à lui comme s’il s’agissait de ton père et que tu étais encore un enfant !

— Désolé, je ne voulais pas t’indisposer en le mentionnant. Pour moi, il a effectivement été un père au début, lorsque je suis arrivé jeune au temple. Cependant, ensuite, il a été bien plus que cela. Il représente pour moi un véritable modèle. En me laissant aller, j’ajoute qu’il est comme une lumière dans la nuit. Je n’ai jamais vu ses paroles mises en défaut. Il avait toujours le mot juste, la question qui t’amenait à de bonnes réflexions, le réconfort dans les périodes de doute… Et le Grand Satchan sait combien souvent j’ai pu douter et combien je doute encore !

— En tout cas, il semble que tu le vénères presque autant que le Grand Satchan lui-même.

— Oh non ! Je n’oserais pas ! Non, je l’admire, simplement. Et j’aimerais lui ressembler. J’en suis malheureusement encore loin. Encore une fois, excuse-moi de le mentionner si souvent. Il m’a tellement appris ! Si je suis ce que je suis aujourd’hui, c’est en grande partie grâce à lui, même si je trimballe encore une ribambelle de défauts.

— Puis-je suggérer quelque chose, intervint le chasseur ?

— Bien sûr, mon ami, répondit le moine !

— En grande partie grâce à lui ? Ou au moins autant grâce à toi qui auras su habilement tirer profit de ce que ton maître t’apportait ?

— Tu me surprends encore, mon ami. Tu vas finir par m’amener à te suspecter d’être un maître caché. Tu ne parles pas souvent, mais ce que tu dis alors sonne toujours très juste. Et si tu étais bien un chasseur, tu avais peut-être raté ta vocation. Tu représentes pour moi une énigme.

— Oh, pour ça, j’en suis aussi une à mes yeux, car j’ignore toujours même mon propre nom ! Si nous en revenions plutôt à notre préoccupation immédiate et urgente ?

— Oui, il nous faut décider si nous traversons ou si nous contournons, ajouta Gnomil. Et je ne sais toujours pas ce qu’il vaut mieux !

— Je propose de nous en remettre à l’intuition de Tulvarn, car je n’ai rien de mieux à offrir.

— Alors, remettons-nous en recherche du gouffre ! conclut le moine en se relevant avant de prendre de nouveau ses quatre sacs.

(Suite : Le Tétralogue — Roman — Chapitre 15)




Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

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Un nouveau drame appelle notre vigilance : les malheurs de Chloé « TRANSGENRISME »

Une adolescente ex-trans poursuit les médecins qui l’ont mutilée alors qu’elle était mineure. Chloé Cole a reçu des bloqueurs de puberté, des hormones transsexuelles, et subi une ablation de la poitrine à l’âge de 15 ans. Elle a décidé de poursuivre le groupe médical et l’hôpital qui ont facilité sa transition de genre alors qu’elle était mineure. Car aujourd’hui elle regrette profondément ses choix.1 2

[Voir aussi :
MAUVAIS GENRE chapitre 1 UNE ÉPIDÉMIE MONDIALE
Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition
La transsexualité dénoncée par une transgenre repentie
Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres
La théorie du genre a-t-elle transformé en profondeur nos sociétés occidentales ?
Dysphorie de GENRE : le mirage de la TRANSITION
« Une femme est une femme, un homme est un homme » : Poutine s’engage à protéger la Russie de « l’obscurantisme de genre » de l’Occident]

L’histoire de Chloé3

« Dès l’âge de neuf ans, Chloé Chole a commencé à “se questionner sur son genre”. À douze ans, elle dit à ses parents qu’elle veut “changer de sexe”. Ne sachant pas quoi faire, ces derniers sollicitent une aide médicale.

Un traitement “radical”

À aucun moment les médecins ne repoussent son “désir de transition”. De 13 à 17 ans, Chloé Cole subit un “traitement radical”, hors autorisation de mise sur le marché et “insuffisamment étudié”, comprenant des bloqueurs de la puberté, un traitement par hormones sexuelles croisées et une double mastectomie.

Devenue adulte, elle regrette d’avoir subi “un traitement médical expérimental et irréversible”. “J’ai pris une décision d’adulte quand j’étais enfant” déclare-t-elle ».

Elle va poursuivre l’hôpital et les professionnels qui « ont effectué, supervisé et, ou, conseillé une hormonothérapie transgenre et une intervention chirurgicale ». Elle demande des dommages-intérêts punitifs. Les adultes m’ont mis en danger.

De fait ils ont manipulé les parents par le mythe du suicide qui menace et qui « serait évité » par ce long parcours médical, radical, irréversible qui pourtant mène plus souvent à l’issue fatale que l’inverse. En effet une étude canadienne montre que le taux de tentatives de suicide est de 3 % chez les hétérosexuels, 15 à 25 % chez les gays, lesbiennes et bi, mais dépasse les 45 % chez les trans comme l’illustre le graphique qui suit.

Chloé se bat pour elle, mais surtout pour tous les autres : « Je veux tenir responsables les adultes qui m’ont mis en danger, parce que ce qui m’est arrivé est horrible, mais cela n’est pas arrivé qu’à moi », insiste la jeune femme. « Cela arrive aux enfants partout aux Etats-Unis, partout en Occident, et cela se répand dans le monde entier »

LE TEMPS DES PROCÈS EST ARRIVÉ

Les procès apparaissent en Californie, en Angleterre et des cliniques jusqu’ici fort rentables sont obligées de fermer.

Comment en sont-ils arrivés là dans les pays anglo-saxons, et comment éviter chez nous les mêmes déviances ?. Aujourd’hui en France allons-nous tenter une nouvelle fois de copier, et reproduire les délires d’outre-Atlantique, d’outre-Manche ou scandinaves, alors même que ces pays commencent à en prendre conscience des dangers que leur permissivité fait courir aux adolescents mal dans leur peau. En France toujours deux décennies de retard…

Un rapport de janvier 2022 remis au ministre Véran montre que le nombre de personnes se disant trans ou en parcours de transition représente 0,013 % de la population (8952 personnes parmi plus de 67 millions de Français). Mais la publicité redondante à la télévision, la formation des petits à l’école à leur soi-disant libre choix entraînent des conséquences…

D’après les données de l’Assurance maladie :

« Les demandes de prise en charge de chirurgie mammaire et pelvienne de réassignation ont quant à elles été multipliées par quatre entre 2012 et 2020, avec respectivement 113 et 462 demandes ».

Par ailleurs :

« Le nombre de séjours en établissements de médecine, chirurgie et obstétrique pour transsexualisme a été multiplié par trois entre 2011 et 2020, passant de 536 à 1 615. »

On se demande pourquoi actuellement un feuilleton ou film récent se croit obliger d’insérer un trans dans le scénario, pourquoi le ministre de l’Éducation nationale semble vouloir traiter ces domaines en priorité et pourquoi de multiples articles de journaux pleurent sur ces pauvres soi-disant « victimes de leur sexe » alors qu’ils le deviendront à coup sûr par l’utilisation généralisée de leur drame privé ;

Pourquoi les dirigeants politiques se croient-ils obligés d’afficher la caractéristique trans de tel ou tel ministre alors que cela ne devrait relever que de leur domaine privé.4

Ils ou elles (iel ?) deviendront victimes à coup sûr si elles sombrent dans ce parcours du combattant qui les rendra à jamais dépendants du système médical (par ailleurs défaillant)…

Pour combien de « satisfaits » ? Et pour combien de temps ? L’idée n’est pas de refuser à quelques rares adultes cette reconnaissance et ces actes médicaux, mais d’informer, avertir enfants et adultes de la terrifiante manipulation qui mène des enfants en bonne santé, mais qui se posent avec plus d’acuité que la moyenne leur devenir sexuel à plonger dans ce parcours médical, ce petit monde fermé dans lequel ils trouvent au début une communauté accueillante, mais qui se transforme selon leurs confidences progressivement en un enfermement pour la plupart.

L’argent : cherchez l’argent, toujours

Malheureusement la soi-disant humanité dont on multiplie les faux sens télévisés en mettant in fine sur le trottoir ou dans la drogue des êtres humains, « migrants » désinformés sur les conditions de vie occidentales, et dépouillés de leurs économies pour payer les passeurs, cette soi-disant humanité est la même qui pousse des enfants à la mutilation, pour satisfaire des prédateurs avides d’argent ou de « belles » interventions de modelage d’un pénis chez une femme ou d’un vagin chez un homme… Appât du gain et distraction de la routine de l’appendicite ou du cancer du côlon d’un chirurgien blasé ou les deux ou encore envie de notoriété ? En tous cas le sort de « l’objet » à remodeler, du patient devenu objet n’a probablement pas grand-chose à voir avec la compassion pour l’enfant ou l’adulte angoissé par sa sexualité, du moins dans la majorité des cas…

Le lobby trans affirmatif a de gigantesques moyens

Soutenu notamment par la fondation Thomson Reuters, la société mondiale de services d’information, et par l’un des plus gros cabinets internationaux d’avocats, Dentons5.

On se demande pourquoi les pouvoirs publics accordent une telle importance aux militants trans-affirmatifs qui ne représentent que très peu de personnes. Pourquoi leur ouvre-t-on les portes des ministères (en premier lieu santé, éducation, etc.), des collectivités locales qui financent abondamment leurs projets 6 ou des autorités administratives comme le Défenseur des droits ou le Contrôleur général des lieux de privation de liberté ?

Les rapports censés orienter les choix de la HAS en matière de recommandations sont confiés à des personnes, tout sauf indépendantes et objectives.7 Plaidant pour leur paroisse et ne tenant aucun compte de l’expérience acquise par les pays pionniers des traitements de transition médicale, et qui justement en reviennent comme la Suède.8

Depuis une vingtaine d’années, la folie du « genre » avait atteint le monde anglo-saxon et scandinave, nous épargnant relativement (en dehors des séries…). Mais récemment la mode « de changer de sexe » dès l’école primaire s’est installée officiellement en imposant aux enseignants d’accepter que l’élève choisisse un nouveau prénom sans l’accord de ses parents.

Le ministre de l’Éducation prétend que l’éducation sexuelle est une priorité dans un pays où les jeunes ne savent plus ni écrire, ni compter, ni calculer même à l’entrée de prépas réputées…

Nous devons nous préoccuper de cette nouvelle dérive pour savoir comment aborder ces sujets délicats, sans braquer, avec nos jeunes, proches, amis, familles, soumis à la pensée unique des réseaux sociaux colonisés par des « militants » d’un seul discours renchéri par France info et co…

Ainsi trop d’adolescents, en recherche d’eux-mêmes se trouvent embarqués dans un parcours de genre, tout malaise étant interprété comme une « dysphorie »9 pourtant rarissime. Les médecins consultés choisis pour leurs « compétences » autoproclamées sont le plus souvent des militants de la transition et orientent systématiquement d’emblée les enfants vers ce type de réponse, oubliant toutes les autres causes de mal être de cette tranche d’âge pour peut traiter moins brutalement.

Un marché juteux et trop de victimes embarquées sans réel diagnostic, sans précaution

Ce serait le règne de l’autodiagnostic ! Une enfant de quatre ans qui se dit garçon a forcément raison et il faut aller dans son sens, c’est ce qu’on explique aux parents perdus et pas préparés à ce genre de déviance, et les enfants de quatorze ans peuvent imposer leur « transition » dans le secret, sans en informer leurs parents.

ON FAIT VOTER AUX DÉPUTÉS LA DÉPATHOLOGISATION DE LA TRANS-IDENTITÉ

Comme si on pouvait choisir son sexe ! Le sexe est une constance biologique déterminée lors de la fécondation par la loterie du mélange des gênes X et Y des parents. Cette reproduction sexuée apporte un avantage biologique à l’espèce qui l’adopte et pour cette raison se retrouve chez toutes les espèces vivantes évoluées. Prétendre qu’on pourrait choisir son sexe ou que celui-ci est uniquement la conséquence d’un apprentissage social est un mensonge éhonté véhiculé parmi les députés, mais surtout les jeunes en souffrance et leurs parents qui ne peuvent plus donner de nécessaires « limites » aux jeunes sans se sentir ou être traités de parents indignes. On ne pourra jamais changer que l’apparence, mais jamais le sexe chromosomique ! Le changement de sexe promis aux jeunes gens est une imposture.

Société de la folie. Essayons de sortir du délire ambiant !

De la loi du 31 janvier 2022 interdisant les pratiques visant à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne10 qui ont répété à l’envi que « la transidentité n’était pas une maladie » et « que chacun devait être libre de choisir son identité de genre, sans se laisser imposer “un modèle hétéronormé binaire”11. » Cette revendication n’est pas propre à la France. La dernière version de la classification internationale des maladies éditée par l’OMS (CIM 11) vient de transférer « l’incongruence de genre » du chapitre des affections psychiatriques vers celui de la santé sexuelle.

Alors que les soins à la vue de tous sont de plus en plus compromis par le délabrement continu de notre système de santé, la disparition des médecins de famille, la fermeture récurrente des urgences hospitalières et des blocs opératoires repoussant aux calendes grecques une intervention urgente, l’objectif du gouvernement et de ses instances telles la HAS est de créer un HOMME NOUVEAU avec tous les moyens y compris financiers détournés de la sécurité sociale.

Ainsi pour ces avocats d’un nouveau monde rêvé par Huxley et exposé par Laurent Alexandre, le sexe n’existe plus, c’est un fantasme que vous pensez voir à l’échographie prénatale et à la naissance et seul le GENRE existe… Et c’est bien sûr la sécurité sociale, la solidarité nationale qui doit assumer vos fantasmes ou plutôt vos pseudo-fantasmes bien utilisés par les lobbies fournisseurs de clients à la filière transhumaniste.

Ainsi est affirmé le droit à réquisitionner la médecine et la solidarité nationale afin de transformer et mutiler son corps pour le faire correspondre à ses fantasmes :

« Nous passons à un modèle dans lequel la personne détermine librement et elle-même son genre ainsi que le recours à tel ou tel traitement (…) ». « Il s’agit là aussi de mettre en œuvre des moyens du champ médical non pas pour soigner une pathologie, mais pour concrétiser le droit à disposer de soi-même »

Ainsi alors que le choix revient en totalité à la personne, c’est la société qui doit rembourser à 100 % les frais induits chez un être humain considéré comme normal, non malade, mais classé en affection de longue durée pour remboursement total des interventions et autres traitements médicaux.

Il semble bien que le médecin généraliste soit sommé « d’établir un protocole de soins de transition médicale à la demande de son patient non malade (ne pas confondre, sous peine de sanction pour discrimination), c’est-à-dire de lui prescrire les produits hormonaux réclamés et lui fournir des ordonnances nécessaires à la chirurgie. Pourra-t-il s’y refuser ? Avec la loi du 31 janvier 2022, rien n’est moins sûr ».

En résumé un diagnostic établi par la personne (considérée comme non malade, y compris mineure) sans confirmation médicale et un accès AUTOMATIQUE A LA TRANSITION MÉDICALE ET/OU CHIRUGICALE. !

Un drame social et financier,12 mais surtout individuel d’une personne en souffrance, en mal être13 en raison de ce qu’elle pense suite à ses lectures internet, ses participations à des forums influencés par les lobbies très riches, et la confirmation ou l’acceptation quasi automatique des médecins consultés qui appartiennent automatiquement aux lobbies, puisque la personne est orientée vers les « spécialistes ».

Imaginez un instant : je décrète avoir un cancer des ovaires et me fais enlever les gonades et prescrire un traitement hormonal sans avis médical et avec obligation pour le corps médical de me prescrire ces traitements qui seront automatiquement remboursés.

On peut décliner ce modèle pour se sentir avoir une sclérose en plaques et exiger les traitements ou un lymphome… Cela paraît exagéré, mais c’est exactement cela qui se passe en matière de changement de sexe et de son effroyable parcours qui transforme définitivement la personne en malade chronique, tant les traitements hormonaux à vie et la surveillance des sites opératoires s’imposent à vie, sans même parler de ceux, nombreux, qui feront le chemin inverse (détransition et rebelote pour les hormones inverses et les interventions…).

La prudence minimale enterrée

Des vies perturbées, gâchées au nom d’une pseudo liberté et de décisions privées de la plus élémentaire prudence ne respectant même plus, dans le cadre particulier du changement de sexe, des dispositions protectrices du Code civil et du code de santé publique interdisant les interventions mutilantes14 et les prescriptions hors AMM.

Notre société avide de copier les délires new-yorkais ou californiens est entrée dans un nouveau monde, « le meilleur des mondes » d’Huxley15, où au nom d’une pseudo liberté individuelle accrue, on soumet en réalité les esclaves du net et de la propagande télévisuelle via Netflix et autres, à un avenir lourd de drames personnels via les traitements médicaux lourds et les mutilations irréversibles menant trop souvent au suicide.

CHANGEMENT DE PARADIGME IMPOSÉ PAR NOS GOUVERNANTS

Voici la justification de la détermination du gouvernement à imposer ces pratiques qu’on pourrait aussi considérer comme barbares vers un changement de paradigme :

« Les nombreux échanges réalisés par la mission, les évolutions du contexte international (CIM 11) l’ont convaincue qu’un changement de paradigme dans les parcours de soins des personnes trans est à la fois nécessaire, attendu et possible.

Les changements doivent reposer sur des principes éthiques et politiques : dépathologisation de la transidentité, autodétermination des personnes seules à même de définir leur identité de genre, non-discrimination, égalité géographique et sociale d’accès aux soins. Les travaux à venir de la HAS doivent par ailleurs contribuer à intégrer l’état des connaissances, dans les pratiques de soins »16.

Donc la HAS n’aura aucun autre choix que mettre en pratique l’avis du ministre.

On a, dans le même temps, privé les parents de toute autorité, par conditionnement social et menaces pénales pour une fessée, donnant ainsi la toute-puissance sur les cerveaux de nos petits à une école qui n’enseigne plus le français ni le calcul, mais la sexualité, priorité avouée de notre actuel ministre de « l’éducation nationale »17.

Le rapport de janvier 2022 18 qui sert de base à la réflexion de la HAS sur les recommandations qui seront publiées en septembre 2023 est orienté par les lobbies qui l’ont rédigé et fait cruellement la place centrale au modèle « trans-affirmatif » immédiat, y compris pour les mineurs. Est-ce l’avenir que vous voulez pour vos enfants ? Et pourtant la maturité cérébrale ne serait acquise qu’à 24 ans…

Ces rapports préliminaires de janvier 2022 ainsi que le rapport de la HAS de septembre 2022 sur les futures recommandations ne font guère référence aux drames vécus par ces victimes de la mode et des médecins et seulement de façon insuffisante. La note de cadrage de la HAS de septembre 2022 19 avoue qu’elle a peu d’informations sur les « détransitions ». C’est pourtant un point fondamental, ainsi que la comparaison des suicides dans les tranches d’âge comparables et celles des sujets trans ou en parcours de transition.

Rappelons enfin la « définition du parcours de transition », d’après le rapport de l’IGAS 2022.

Les parcours de transition se déclinent en transition sociale, administrative, et médicale.

La transition sociale est le fait de vivre dans son environnement dans un genre social autre que son genre de naissance (de fait sexe de naissance !).

La transition administrative porte sur la modification du prénom et/ou de la mention de sexe à l’état civil.

« La transition médicale concerne l’ensemble des soins médicaux liés à la transition de genre (hormonothérapie, chirurgies). »

Les parcours de transition médicale désignent les parcours au sein du système de santé d’une personne transgenre, visant à d’obtenir les modifications corporelles souhaitées, à l’aide de soins délivrés par des médecins (hormonothérapie, épilation laser) et/ou chirurgiens (plasties de la poitrine, chirurgie pelvienne, etc.) et/ou d’autres professionnels de santé (orthophonie pour féminisation de la voix).

Ces parcours de transition devraient reconnaître l’autodétermination des personnes, permettre un choix éclairé en améliorant l’accès à l’information, rendre possibles des parcours de transition médicale diversifiés dans leur contenu et leurs modalités, faisant une plus grande place à la médecine de 1er recours et au travail en réseau, dépsychiatriser l’entrée dans les parcours, tout en permettant un accompagnement en santé mentale si nécessaire. La doxa officielle ne veut surtout pas « psychiatriser » alors que tous professionnels et proches conviennent que ces personnes ont besoin de soutien psychologique et souvent psychiatrique.

Dans ce rapport de l’IGAS, on note encore que la prévalence de cette dite dysphorie de genre chez les mineurs n’est pas établie.

« Selon une revue systématique de la littérature, à ce jour, la prévalence de la dysphorie de genre chez l’adolescent (âgés de 12 à 18 ans) ne peut pas être établie. Il y a des preuves d’une augmentation de la fréquence de consultation des adolescents pour traitement ces dernières années et les adolescents de sexe féminin à la naissance sont maintenant majoritaires ».

Enfin les troubles associés sont tout de même reconnus par l’IGAS. D’après une revue générale, la vulnérabilité des jeunes transgenres inclut les risques suicidaires, la dépression, l’anxiété, et l’auto-agressivité, ainsi qu’une persécution à l’école autant chez les garçons que chez les filles. » On aimerait des statistiques !

IL EST CLAIR QUE CES SUJETS MÉRITERONT APPROFONDISSEMENT ET SURVEILLANCE POPULAIRE

En effet dans notre société, est passée subrepticement la légalisation de l’avortement devenu infanticide puisqu’autorisée jusqu’à l’âge de neuf mois en août 2021 au sein de la loi dite de bioéthique, sans prise de conscience populaire qui s’étonne aujourd’hui de cette possibilité en Californie, sans savoir que la disposition existe en France.

Est passée également l’autorisation de fabrication de chimères homme-animal dans la même loi passée en catimini.

Peut-on citer également l’expérimentation à grande échelle d’une substance génique expérimentale, appelée fallacieusement vaccin, pour tromper les foules, mais évitée chez les animaux en raison de trop de mortalité dans les premiers essais ?

Alors laisserons — nous sans rien dire des enfants se faire martyriser, mutiler, transformer à un âge où la sexualité est silencieuse chez les plus jeunes, puis questionnable chez les adolescents, sans tenter de les protéger d’une idéologie mondialiste et d’un lobby extraordinairement lucratif…

Les parents ont été dépouillés de leur droit de regard : nous devons le leur rendre.


1 13.11.22 https://m.epochtimes.fr/une-adolescente-ex-trans-poursuit-les-medecins-qui-lont-mutilee-alors-quelle-etait-mineure-2158461.html

2 https://www.foxnews.com/media/detransitioned-teen-hold-gender-affirming-surgeons-accountable

3 Transition de genre chez une mineure : des médecins poursuivis. Publié le 15 novembre 2022, revue de presse génétique.

4 Voir par exemple une ministre de Biden dont l’objectivité sera questionnable en ce domaine

Joe Biden nomme Rachel Levine, première femme transgenre ministre adjointe de la Santé

Cette pédiatre devient ainsi la personne transgenre la plus haut placée au sein du gouvernement américain, une première historique. Joe Biden nomme Rachel Levine, première femme transgenre ministre adjointe de la Santé — Allo Docteurs

5 « Seulement les adultes ? Bonnes pratiques en matière de la reconnaissance légale du genre pour les jeunes ; un rapport sur l’état actuel des lois et du plaidoyer des ONG dans huit pays d’Europe, en mettant l’accent sur les droits de jeunes » : https://www.iglyo.com/wp-content/uploads/2019/11/IGLYO_v3-1.pdf

6 Cf par exemple le site de l’association lyonnaise Chrysalide dont les publications sont subventionnées par le ministère des Solidarités et de la Santé, la région Aura, la Métropole de Lyon, alors qu’elles sont très contestables : https://chrysalide-asso.fr/nos-documents/

7 Voir article La fragile protection des enfants face aux lobbies trans-affirmatifs,

Publié le 25 mars 2022, revue Gènéthique

8 https://www.socialstyrelsen.se/om-socialstyrelsen/pressrum/press/uppdaterade-rekommendationer-for-hormonbehandling-vid-konsdysfori-hos-unga/

9 Le DSM-5 (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux — 5e édition) publié en 2015 en version française, définit la dysphorie de genre par : A : la non-congruence marquée entre le genre vécu/exprimé par la personne et le genre assigné, d’une durée minimale de 6 mois et B : le trouble est accompagné d’une détresse cliniquement significative ou d’une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.

10 Article 225-4-13 du Code pénal : « Les pratiques, comportements ou propos répétés visant à modifier ou à réprimer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne et ayant pour effet une altération de sa santé physique ou mentale sont punis de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende ».

11 M. Bastien Lachaud, Compte-rendu de la deuxième séance du 5 octobre 2021

 L’ensemble du parcours médico-chirurgical est financé par l’assurance maladie au titre de la prise en charge d’une affection de longue durée (ALD)

12 « Les soins de transition peuvent, contrairement à ce qu’on observe dans d’autres pays, être pris en charge par la sécurité sociale, pour certains à 100 % en cas d’accès à l’ALD (affection de longue durée). Le nombre de bénéficiaires de l’ALD au titre d’un diagnostic de transidentité ou dysphorie de genre a fortement augmenté depuis 10 ans, tout en restant relativement modeste : 9 000 personnes sont concernées en 2020 dont 3 300 admises dans l’année (soit 10 fois plus d’admissions qu’en 2013 selon la CNAM). 70 % des bénéficiaires ont entre 18 et 35 ans. En 2019, le nombre de demandes et d’avis favorables d’ALD concernant des hommes trans (FtM) a rejoint celui des femmes trans (MtF) » rapport au ministre 2022 ibid 9

13 A-t-on encore le droit de le dire ou de l’écrire sans être accusé de discrimination ?

14 Female to Male (FtM) désigne une femme qui devient homme ; Male to Female (MtF), un homme qui devient femme.

La chirurgie d’affirmation de genre recouvre des interventions de féminisation (création d’un néo-vagin, augmentation mammaire, féminisation du visage…) ; la chirurgie de masculinisation recouvre des interventions des organes génitaux (hystérectomie, métaoidioplastie, phalloplastie…) ou de la poitrine, mastectomie.

15 Le Meilleur des mondes (titre original : Brave New World) est un roman d’anticipation dystopique, écrit en 1931 par Aldous Huxley. Le récit évoque une société futuriste et eugéniste, très hiérarchisée, divisée en différentes castes dont les individus, conçus artificiellement, sont conditionnés biologiquement et psychologiquement afin de garantir la stabilité et la continuité du système.

16 Rapport ibid11 page 6 objectifs imposés : « L’enjeu prioritaire est de renouveler l’organisation des parcours de transition, avec pour principes clefs l’autodétermination, le consentement éclairé, la reconnaissance de la diversité des parcours, une place renforcée des professionnels de santé de premier recours, un travail en réseau et un repositionnement du rôle de la psychiatrie. »

17 Les mesures devraient a priori concerner tous les niveaux scolaires. Elles viseront à lutter contre les « stéréotypes de genre » ainsi que les LGBT-phobies et les violences sexuelles et sexistes.

18 Remis au ministre début 22 rapport_sante_des_personnes_trans_2022.pdf (solidarites-sante.gouv.fr) répond à une saisine du ministre des Affaires sociales et de la Santé faite à deux acteurs de terrain de la prise en charge des personnes, le Dr Hervé Picard, médecin généraliste et médecin de santé publique et Simon Jutant de l’association ACCEPTESS-T, avec l’appui de Geneviève Gueydan de l’IGAS. « Ce rapport intervient un moment qui laisse espérer des progrès possibles ; si la situation et les parcours de soins des personnes trans ont été, et restent encore trop, marqués du sceau de la pathologisation de la transidentité et de sa stigmatisation, des évolutions majeures du contexte peuvent en effet contribuer à de profonds changements. »

19 Parcours de transition des personnes transgenres (has-sante.fr) note de cadrage de la HAS de septembre 2022 en préparation des recommandations prévues pour sept 2023.




La fin du Sacré et du patriarcat

[Source : lesmoutonsenrages.fr]

Par Franck Pengam

Auteur, réalisateur de documentaire et éditeur aux « Éditions du Verbe Haut », Sylvain Durain est spécialisé dans les thématiques du patriarcat et du matriarcat, des systèmes familiaux, politiques et religieux, et du retour du sacrifice humain dans nos sociétés modernes.

La fin du Sacré qui est l’évènement majeur de notre post-histoire n’est pas tant un déclin du spirituel qu’un retour à l’indifférencié matriarcal du monde païen. Voici la thèse que défend Sylvain Durain dans son nouveau livre.

Dans ce monde moderne victime de son entropie, nous avons besoin de comprendre ce qui a permis de construire la civilisation et nous mener vers le Beau et l’Universel, soit le Sacré.




LA MINUTE DE RICARDO — LE FRANC LIBRE : Questions/Réponses

[Source : ALEXANDRE JUVING-BRUNET]

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[Voir aussi :
Les Francs Libres sont prêts
Quelle souveraineté sans liberté ?
Lancement de la BFL — Banque de France Libre
Le Franc Libre : présentation de la série fiduciaire
Le FRANC LIBRE : deux mois plus tard. Point de situation et perspectives
Devenez la Force qui se dressera quand le vent de l’Histoire va souffler
Franc Libre et tournée CSP : point de situation
Résilience et Résistance pour la France]