Guide juridique pour la liberté vaccinale

[Source : Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (infovaccin.fr)]

06.08.2021 – GUIDE JURIDIQUE LOI PASS SANITAIRE

Publication d’un Guide juridique pour la liberté vaccinale et contre le pass sanitaire

La Ligue nationale pour la liberté des vaccinations (LNPLV) vient de publier un « Guide juridique pour la liberté vaccinale » pour aider les Français à contrer par des moyens légaux une ségrégation sanitaire manifestement hors-la-loi. 

La nouvelle loi instaurant le pass sanitaire pour les activités du quotidien et l’obligation vaccinale, bien qu’adoptée par les deux assemblées le 25 juillet dernier , puis validée par le Conseil Constitutionnel le 5 août 2021, entre en totale contradiction avec tous les textes de Droit, qu’ils soient nationaux, européens ou internationaux. 

Conformément à sa mission et ses statuts, la Ligue entend contribuer à faire respecter les droits et libertés des citoyens, notamment leur intégrité physique.

Face au désarroi manifeste des Français confrontés à un Etat désormais sans foi ni loi, nous mettons à disposition un guide juridique de 40 pages qui rassemble : 

– les avis juridiques de plusieurs cabinets d’avocats
– des modèles de courrier à adresser aux employeurs ou aux institutions
– un « rappel à la loi » vis-à-vis de toute personne qui obligerait à la vaccination ou interdirait l’accès à un lieu, comme les hôpitaux
– un mémo récapitulatif à joindre à vos courriers, réalisé par Me de Araujo-Recchia

C’est un devoir citoyen urgent de se défendre par tous les moyens juridiques possibles contre cette nouvelle discrimination !
Nous appelons donc nos concitoyens à se saisir massivement de cette boîte à outils juridique en la partageant avec le plus grand nombre et en passant rapidement à l’action !

GUIDE JURIDIQUE pour la LIBERTE VACCINALE.V1.0.pdf




250 manifestations très importantes un peu partout en France encore ont eu lieu pour le sixième samedi consécutif en plein été

[Source : qactus.fr]

Vu en manif ! Sympa !!

Martine Wonner : Nice #21Aout

Les manifestants ont débordé les policiers devant le musée du Louvre à Paris lors de la manifestation contre le Pass Sanitaire




Une foule impressionnante scande Raoult, Raoult devant l’IHU Marseille. À envoyer à BFMTV de toute urgence




Une manifestation pro-vaccins avait lieu aujourd’hui aussi également le 21 août :




Nice

Nissa la Bella jusqu’à la victoire finale !

L’hymne des Niçois rebelles a retenti une nouvelle fois Samedi dernier dans les rues de la ville




Manifestations très importantes un peu partout en France. Images des manifestants à Bordeaux, Rouen, Angers, Chambéry, Besançon, Paris












Manifestation monstre à Toulon

Les pompiers de Toulon en grève avec un message pour l’élite parisienne.

Des manifestations ont lieu dans plus de 250 villes de France pour ce sixième samedi de manifestation contre le pass sanitaire.




Des milliers de personnes ont manifestés à Nantes, Marseille, Lille, Valence, Narbonne, Metz pour le sixième samedi consécutif contre le pass sanitaire.




Les expériences hors du corps de Madame Zürcher

[Source : Témoignages]

[Voir aussi :
Témoignages de Mort imminente
La science peut-elle expliquer les expériences de mort imminente ?
Expériences de mort provisoire et mémoire extracérébrale, par le Dr Jean Jacques Charbonier
La Revue de l’Au-delà – Dr Jean-Jacques Charbonier (larevuedelaudela.com)
Technique, secrets et dangers d’un voyage astral (astrocenter.fr)]




Témoignage d’un Gendarme en août 2021 qui refuse de participer à l’expérimentation des thérapies géniques anti COVID

[Source : @GaumontRene]

https://twitter.com/GaumontRene/status/1429412321420578816?s=20



Némésis — Ou l’inéluctable triomphe des lois naturelles

Par Zénon − juillet 2021

« La Bête de l’Évènement est là, et elle arrive. »

E.M. (Entretien au Financial Times, 16 avril 2020)

Voici maintenant plus de dix-huit mois que le coronacircus, élu égrégore de l’année dernière par les consommateurs, a préparé l’avènement d’une nouvelle religion scientiste, avec son clergé, ses rituels, ses prophètes et ses hérétiques. Dix-huit mois au cours desquels une immense partie des peuples occidentaux sont littéralement passés de l’hypnose à l’état de possession. Je ne sais pas si vous aurez ressenti la même chose que moi en marchant dans vos rues : les personnes que l’on peut croiser ont de moins en moins l’air de s’appartenir.

Il faut dire que la mafia globaliste s’est bien démenée pour obtenir ce degré de soumission chez des populations prétendument si attachées à leur liberté. Plus que jamais déterminée dans son projet de transformation de l’Humanité en une espèce hybride bio-numérique, l’autoproclamée « élite » technocratique s’est fendue d’un machiavélique scénario pour atteindre au contrôle des corps à travers celui des esprits. Tout y est passé : terreur médiatique, claustration contrainte et isolement des individus, menaces, amendes, décisions arbitraires et injonctions contradictoires permanentes… Ceci ne relève ni d’une incompétence ni d’un sadisme ordinaire, mais constitue la base d’une ingénierie sociale visant à nous faire accepter la violation de notre intégrité physique.

Qui aurait accepté de son plein-gré de participer à ce programme « vaccinal », ou l’aurait même trouvé pertinent sans leurs mensonges incessants ? Qui aurait considéré comme normal le passe « sanitaire » si nous avions massivement refusé le premier confinement ?

Beaucoup de réfractaires ou même d’inoculés le pressentent confusément, mais peu vont jusqu’à se le représenter ainsi : les injections massives actuellement pratiquées ne sont qu’une première étape. Un cheval de Troie nécessaire à l’aboutissement d’un plan plus vaste. La dépopulation en est une des composantes mais non la finalité. Comme je le détaillais dans un texte de juillet 2016, l’objectif à plus long terme de tous les programmes en cours (terrestres et spatiaux) est de créer un continuum électromagnétique depuis la haute-atmosphère jusqu’à nos cellules. D’exercer un contrôle numérique total des survivants, et de déporter la mémoire des autres dans un « nuage » virtuel.

Ce projet transhumaniste est antinaturel par essence. Son dessein affirmé consiste à permettre à une poignée d’illuminés triés sur le volet d’accéder à une immortalité supposément apportée par la fusion du cerveau humain avec la machine. Il s’agit ici d’une négation du plus élémentaire des principes spirituels, antérieur même aux religions : celui de considérer la mort comme une part intégrante de la vie.

Cela devient, même à l’observateur le moins averti, de plus en plus évident : nous avons affaire à une caste dirigeante prête à toutes les transgressions possibles pour atteindre son but. À ce titre, l’actuelle campagne d’injections transgéniques constitue non seulement un crime d’une ampleur inégalée dans l’Histoire, mais également, par la modification de notre ADN, une atteinte à ce que les croyants nommeraient « l’Arbre de Vie », ou en d’autres termes, à la souche originelle depuis laquelle nous nous sommes développés.

Il serait erroné de croire que nos « illuminés » méconnaissent les lois qu’ils violent. Ils le font en parfaite connaissance de cause. Si leur agenda se déroule pour le moment comme prévu, ce n’est qu’en raison du consentement, explicite ou non, des populations à ce programme exposé sous de nombreuses formes, littéraires ou cinématographiques, vouées à faire inconsciemment admettre au public la réalité future qu’ils auront choisie. Cette notion de libre-arbitre est centrale, car elle conditionne et conditionnera chaque jour davantage notre sort à venir. Mais j’aurai l’occasion d’y revenir.

Ce plan, élaboré de longue date, se fonde sur le postulat que l’Esprit humain puisse être contrôlé, voire littéralement reprogrammé au moyen du numérique. Ceci constitue le talon d’Achille d’une conception de la Vie et de l’Homme uniquement quantitative et utilitariste. L’erreur de fond dont il s’agit réside en cette extraordinaire confusion entre l’intellect et la conscience, dont le siège ne saurait être attaché à aucun organe, et dont l’origine n’est pas de ce Monde… La conséquence en est que le futur Golem, cette créature hybride dont les globalistes projettent l’avènement, ne sera tout simplement pas viable.

Cette entité est en réalité déjà mort-née, car dépourvue de connexion à la source, à l’intelligence universelle ou quel que soit le nom qu’on lui donne. Celle-ci nous unit plus profondément que le langage ou la culture, et fait de nous ce que nous sommes au-delà de la personnalité à laquelle nous nous identifions. Rompre ce lien ne saurait donner lieu à la création de l’homme-machine parfaitement docile tant espéré, mais plutôt à l’équivalent d’un poulet sans tête errant quelques instants au hasard de ses influx nerveux avant de s’effondrer. Souvenez-vous du conte de Mary Shelley, et des déboires du docteur Frankenstein dont la créature finit par lui échapper. C’est une assez bonne image du seul résultat que ces apprentis-sorciers pourront obtenir.

Cela ne signifie pas pour autant, loin s’en faut, la victoire des peuples du Monde dans ce combat multidimensionnel. Dans leur rage de ne pouvoir parvenir à leurs fins, les transhumanistes vont déployer tout leur arsenal pour tenter de détruire ce qui est. Le processus est déjà bien entamé, avec la présence d’innombrables poisons dans l’air, l’eau et la nourriture, par le déploiement de technologies mortifères comme la 5G ou encore l’usage d’armes psychotroniques. Nous verrons bien d’autres ignominies commises à l’encontre du vivant, perdrons sans doute beaucoup de nos proches et assisterons de toute façon à la chute de l’« ancien Monde ».

Chaque chose, chaque phénomène ou évènement se trouve cependant compensé dans l’Univers. Et la loi de causalité s’opère, sinon sur le plan matériel, d’ores et déjà dans l’Esprit. En tentant de nous entraîner dans leur folie autodestructrice, les tenants du « Grand Reset » sont tombés dans leur propre piège : celui de se révéler pour ce qu’ils sont à bon nombre d’âmes jusque-là restées insouciantes. Certes bien trop peu pour inverser la tendance. Cette manifestation vitale n’en est qu’à ses balbutiements. Beaucoup succomberont aux chants des sirènes. Mais ils ne feront au fil du temps qu’ajouter au retour de bâton cosmique auquel s’exposent les transgresseurs des lois éternelles.

Et nos maîtres-chanteurs sont ainsi pris dans une course contre-la-montre dont ils n’auront pas le souffle de tenir la durée. Le fait d’avoir recouru à l’adhésion sous contrainte d’une bonne part de la population est déjà un aveu d’échec. Un accord obtenu sous chantage a moins de valeur vis-à-vis de l’astral qu’un pacte faustien signé en bonne et due forme. S’ils accélèrent le processus au mépris de tous les signaux d’alerte, c’est car ils savent que la vérité éclatera et que leur temps est compté.

Ainsi donc sonne le glas d’une emprise multiséculaire sur l’esprit des populations. Le scientisme forcené de ces derniers siècles rencontre dorénavant notre souvenir des lois naturelles, et notre irrépressible instinct de survie. Ce qui n’est encore, pour beaucoup, qu’un léger frémissement de conscience amorce un bouleversement dont nul ne peut à l’heure actuelle sonder la profondeur : l’avènement aussi tardif que douloureux d’une véritable souveraineté individuelle. La remise en question des discours officiels n’en est qu’un signe avant-coureur. Une force inconcevable est en train de renaître du fond des âges pour nous rappeler quels sont notre essence et nos origines.

Cette souveraineté intérieure induit de retrouver le plein usage du libre-arbitre dont je parlais. De demeurer assez alignés pour ne laisser que notre conscience guider nos choix et nos actes. La liberté ne s’achète pas. Elle peut certes parfois coûter cher, mais ceux qui la connaissent peuvent témoigner qu’elle n’a pas de prix. Et n’est-ce pas la condition dans laquelle et pour laquelle nous nous sommes incarnés ?

Chacun de nous se déterminera selon des parts de lui-même et des héritages peut-être encore ignorés. Nul n’échappera quoiqu’il en soit à la grande Révélation, dont nous n’assistons pour le moment qu’aux prémices. Violences et chaos iront crescendo à mesure que l’agenda génocidaire mondial sera dévoilé. Les gens s’en prendront les uns aux autres au sein des nations, des clans, des familles… Il n’existe aucun vocabulaire pour décrire ce au-devant de quoi nous allons. Mais ceci ne doit pourtant pas nous faire dévier d’un iota de ce que nous avions choisi d’éprouver bien avant de venir au Monde. Beaucoup d’entre vous connaissent déjà ce lâcher-prise, et nous serons tous, l’un après l’autre, appelés à nous défaire de l’illusion du contrôle sur quelque aspect que ce soit de l’existence physique. Il s’agira de renaître à nous-mêmes, enfin adultes. Reconnectés aux mondes spirituels dont le confort et les habitudes nous aurons si longuement aliénés.

Beaucoup recherchent cette révélation toute leur vie. Peu réussissent à dompter leur intellect au point d’y parvenir. Mais nous possédons tous la faculté innée de pénétrer les mondes supérieurs. De connaître l’éternité depuis le plan matériel. Il suffit d’habiter pleinement chaque instant pour découvrir que l’infini réside en chaque interstice entre deux pensées. Et pour y ressentir la force d’un Amour si profond, d’une intelligence telle que nous sommes envahis du sentiment de notre petitesse devant l’Univers. Les larmes de joie qui nous viennent alors arrosent la Terre de ce que nous avons de plus pur et de plus magnifique. Je vous l’annonce dès aujourd’hui : du tréfonds de la nuit la plus noire où nous nous apprêtons à entrer brillera plus intensément que jamais notre lumière intérieure. Les circonstances apparentes ne doivent pas nous leurrer. Nous sommes déjà sur le chemin de la Grâce.

Zénon


[Voir aussi :
Note sur le mental et l’astral
Note sur les émotions et les pensées
Réflexion sur la vie, la matière et la conscience
Note sur les problèmes et les opportunités
Sortir de la crise
L’enjeu majeur de notre époque
Un choix déterminant
L’épée, le bon grain et l’ivraie
La clef de la libération
L’avenir se crée maintenant
Note sur l’avenir
L’Effet Jupiter et la purification de l’Humanité
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le Dr Louis Fouché alerte sur l’agenda transhumaniste de la tyrannie sanitaire
Végano-écologisme et transhumanisme : l’union sacrée dans la haine de l’homme et donc dans la haine de Dieu
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Michel Maffesoli : « Le transhumanisme est l’aboutissement de la paranoïa moderne » [Interview]
Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
Du confinement à la Grande réinitialisation
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
La fin de la mondialisation
Après le Nouvel Ordre Mondial
Note sur les mouvements humains et la sagesse du Tao
Vie et mort des systèmes
NOM : qui tire les ficelles ?
La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos
Souveraineté
Effets nocifs des ondes pulsées (Wi-Fi, cellulaires, compteurs intelligents…)
La faillite de la science matérialiste ?
La pandémie des ondes ?
Dossier 5G et ondes pulsées
La religion de l’Antéchrist
La Loi de Karma]




Ce que Véran n’a pas osé vous dire en face sur le danger des vaccins

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Le danger des vaccins est le grand tabou de la communication gouvernementale. Il n’est en effet pas facile d’expliquer qu’on s’apprête à sacrifier consciemment une partie de sa population pour satisfaire à un programme d’obligation vaccinale dont chaque jour montre qu’il n’est pas exempt de calculs économiques. Donc, officiellement, c’est du circuler, y a rien à voir ! les vaccins sont sûrs ! Sauf que… la communication gouvernementale laisse transpirer de terribles aveux sur les sacrifices qui se préparent. Il est désormais de notre devoir de les relever et de les porter à la connaissance du public, égarés par des médias subventionnés aux ordres.

Les dangers des vaccins, vous le remarquerez, ne sont que très mollement niés par le gouvernement. On ne trouvera (étonnamment) nulle part une campagne claire pour “rassurer”, ce qui est en soi à la fois l’une des explications du malaise actuel de la société française, et l’un des plus terribles aveux de cynisme commis par l’équipe de guignols au pouvoir. 

Ce silence gêné du gouvernement sur les dangers du vaccin s’explique assez simplement par le fait que personne, dans les allées du pouvoir, ne doute de la nocivité des produits que les Français sont supposés se faire inoculer dans une obéissance aveugle. 

Quand la loi reconnaît les dangers des vaccins

Aucun journaliste subventionné (trop occupé à dénoncer les complots sans doute) n’a pris le temps de le noter, mais la loi du 5 août 2021 ne comporte aucune ambiguïté sur les dangers des vaccins. Son article 18 écrit ceci :

La loi a donc pris soin de régler la question de la “réparation intégrale des préjudices directement imputables” aux vaccins que les soignants vont recevoir pour le bien du groupe, de la société et de l’immunité collective. Elle annonce, de façon “classique”, dirait-on, que les réparations seront décidées par l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales, qui est un établissement public en charge des accidents médicaux

Autrement dit, c’est l’Etat qui sera chargé d’établir la faute de l’Etat qui a ordonné des injections dangereuses avec une légèreté confondante, et c’est l’Etat qui fixera lui-même le montant des réparations qu’il doit aux victimes. 

La précision n’est pas anodine : s’agissant de vaccins expérimentaux, on aurait pu imaginer un cadre d’indemnisation relevant directement des juridictions civiles. Mais le gouvernement a pris soin, par avance, de modérer l’addition qu’il s’attend à payer. 

Véran anticipe des décès

Je recommande vraiment à tout le monde de lire attentivement cet article L 3111-9 du code de la santé publique, qui fut créé… par Agnès Buzyn pour maîtriser les coûts d’indemnisation dus à la campagne de vaccination obligatoire aux onze vaccins pour les enfants. Le texte apporte cette terrible précision :

L’offre d’indemnisation adressée à la victime ou, en cas de décès, à ses ayants droit est présentée par le directeur de l’office.

Si un infirmier meurt demain quelques heures après avoir reçu une injection, sa femme aura le plaisir de recevoir un courrier du directeur de l’office lui proposant une petite gratification pour Noël, à prendre ou à laisser. C’est de la procédure classique. 

Il était utile de la rappeler pour redire que, lorsque Véran exhorte la moitié du pays à passer à la piqûre, il n’a aucune illusion sur le fait que des gens mourront. Tout cela est écrit, prévu, administré.

Les explications emberlificotées sur les femmes enceintes : Véran, ton nez s’allonge !

Une autre farce cynique officielle qui mérite d’être retenue tient à la vaccination des femmes enceintes. Selon Olivier Véran, vacciner une femme enceinte dès les premiers jours de grossesse ne pose pas de problème. Il est sûr qu’on dispose forcément de beaucoup de recul sur le sujet, et que le ministre pouvait, sans complexe, mettre en scène la vaccination de sa collègue Olivia Grégoire. 

Les esprits un peu rigoureux auront noté que ces discours officiels reposent sur une étude publiée par le New England Journal of Medicine, qui dit en réalité le contraire des propos qu’on lui prête

On relira ici sa conclusion :

Preliminary findings did not show obvious safety signals among pregnant persons who received mRNA Covid-19 vaccines. However, more longitudinal follow-up, including follow-up of large numbers of women vaccinated earlier in pregnancy, is necessary to inform maternal, pregnancy, and infant outcomes.

(Les découvertes préliminaires ne montrent pas d’alarmes de sécurité évidentes parmi les femmes enceintes qui ont reçu des vaccins à ARN messager. Cependant, des suivis plus longs, incluant des suivis sur un plus grand nombre de femmes vaccinées précocement dans leur grossesse, est nécessaire pour collecter des éléments sur les mères, la maternité et les enfants). 

Voilà qui aurait dû tempérer fortement les ardeurs inoculantes d’Olivier Véran. Mais les médecins de l’hôpital de Grenoble savent mieux que le reste du monde ! Donc, Véran a dit que les femmes enceintes ne prenaient aucun risque en recevant leur vaccin dès les premiers jours de grossesse. 

Sauf que… ce n’est pas exactement ce qui est dit par le conseil d’orientation stratégique sur la vaccination anti-COVID (si, si, ça existe !), dans son brillant avis putassier du 21 juillet 2021 : 

On vous recommande de bien lire ce tissu (dont la concision étonne) de circonvolutions purulentes, concentré en quelques lignes (vu l’absence d’importance du sujet, pourquoi se fatiguer à argumenter et à analyser, un torchon suffit) :

1) il n’y a aucun argument pour parler d’un danger de la vaccination pendant les premiers jours de la grossesse

2) les femmes qui le souhaitent peut donc être vaccinées dès le premier jour

3) mais s’il s’agit de les obliger, rien avant le quatrième mois. 

Mais si ces vaccinologues sont si sûrs de leur fait et de l’innocuité des vaccins, pourquoi n’assument-ils pas d’imposer le vaccin dès le début de la grossesse ? Seraient-ce parce qu’ils savent qu’en réalité, c’est dangereux, mais qu’ils ne veulent pas le dire pour ne pas mettre leur ministre en porte-à-faux (et ne pas rater une promotion) ? D’ailleurs ne rappellent-ils pas dans leur premier paragraphe qu’une vaccination précoce peut donner lieu à des “complications obstétricales” et des “conséquences pour le foetus” au cours du 3è trimestre ?

Je ne sais pas vous, mais moi, quand je lis un texte plein d’embrouilles sur un sujet aussi sensible, je suis tout de suite en alerte et je regarde les nez s’allonger. Il y a du mensonge dans l’air !

Véran connaît les dangers des vaccins

N’ayez en tout cas aucune illusion sur le cynisme gouvernemental. Personne n’a le moindre doute sur le fait que l’obligation vaccinale fera des victimes, des handicapés à vie, des morts. Tout cela est déjà budgété et préparé. Y compris chez les foetus. 




Kaboul: un tournant dans l’Histoire

[Source : investigaction.net]

Afghanistan : 20 ans de désinformation massive, et ça continue aujourd’hui. Pourquoi les USA se fichent du sort des femmes. Et de Ben Laden aussi. L’invasion de l’Afghanistan n’avait rien à voir avec le 11/9. Ce que nous apprennent Brzezinski et Kissinger et quelques autres stratèges US. Liens cachés entre les États-Unis et le terrorisme. Le déclin, voir la chute, de l’empire américain (et français aussi), une bonne chose ? Panorama des rapports de force en Asie, Afrique, Amérique latine et au Moyen-Orient. Ce qui se passe au tiers monde aura-t-il des conséquences sur l’économique et le social en Europe ? Comment chacun peut-il jouer un rôle important dans la bataille contre la désinformation ? Pourquoi les livres sont indispensables…




William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui

[Source : Sott.net]

Par Cynthia Chung — The Saker Blog

« Mais je ne veux pas aller parmi les fous », fait remarquer Alice.
« Oh, tu n’y peux rien », dit le chat, « nous sommes tous fous ici. Je suis fou. Tu es folle. »
« Comment sais-tu que je suis folle ? », demande Alice.
« Tu dois l’être », répond le chat, « sinon tu ne serais pas venue ici. »

Lewis Carroll, Alice au Pays des Merveilles

Nous vivons dans un monde où le degré de désinformation et de mensonge pur et simple a atteint un niveau tel que peut-être pour la première fois, la majorité du monde occidental commence à s’interroger sur son propre niveau de santé mentale et sur celui de son entourage. La méfiance croissante et frénétique à l’égard de tout ce qui fait « autorité », mêlée à l’incrédulité désespérée que « tout le monde ne peut pas être dans le coup ! », pousse lentement de nombreuses personnes à s’enfermer dans une camisole de force de plus en plus serrée. « Tout remettre en question » est devenu la nouvelle devise, mais sommes-nous capables de répondre à ces questions ?

Gaslighting
Photo du film Gaslight, 1944
[Hantise pour la version sortie dans les salles françaises en 1947 – NdT]

Actuellement, la réponse est un non catégorique.

La mauvaise blague des comportementalistes sociaux, qui ont rendu tout le monde obsédé par le papier toilette au début de ce que l’on croyait être une période de crise, est un exemple du contrôle qu’ils exercent sur le bouton rouge intitulé « déclencher une panique massive de niveau 4 ».

Et peut-on blâmer le peuple ? Après tout, si on nous ment, comment pouvons-nous nous rassembler et pointer du doigt la racine de cette tyrannie, ne sommes-nous pas arrivés au point où elle est partout ?

Comme Goebbels l’a tristement déclaré,

« Si vous dites un mensonge suffisamment gros et que vous le répétez sans cesse, les gens finiront par le croire. Le mensonge ne peut être maintenu que tant que l’État peut protéger la population des conséquences politiques, économiques et/ou militaires de ce mensonge. Il devient donc d’une importance vitale pour l’État d’utiliser tous ses pouvoirs pour réprimer la dissidence, car la vérité est l’ennemi mortel du mensonge, et donc par extension, la vérité est le plus grand ennemi de l’État [sous le fascisme]. »

Et nous nous trouvons aujourd’hui au seuil du fascisme. Cependant, avant que le fascisme ne puisse dominer complètement, nous devons d’abord accepter de renoncer à nos droits civils en tant que collectivité. Autrement dit, le grand mensonge ne peut réussir que si la majorité ne le dénonce pas, car si la majorité le reconnaissait pour ce qu’il est, il n’aurait vraiment aucun pouvoir.

La bataille pour gagner le contrôle de votre esprit

« Les politiciens, les prêtres et les psychiatres sont souvent confrontés au même problème : comment trouver le moyen le plus rapide et le plus permanent de changer la croyance d’un homme… Le problème du médecin et de son patient souffrant de névrose, et celui du chef religieux qui entreprend de gagner et de retenir de nouveaux convertis, est maintenant devenu le problème de groupes entiers de nations, qui souhaitent non seulement confirmer certaines croyances politiques à l’intérieur de leurs frontières, mais aussi faire du prosélytisme à l’extérieur. »

William Sargant, La bataille de l’esprit

Dans le passé, on pensait couramment, et non sans fondement, que la tyrannie ne pouvait exister qu’à condition que le peuple soit maintenu dans l’analphabétisme et l’ignorance de son oppression. Pour reconnaître que l’on est « opprimé », encore faut-il d’abord avoir une idée de ce qu’est la « liberté », et si l’on a le « privilège » d’apprendre à lire, cette découverte est inévitable.

Si l’éducation des masses pouvait alphabétiser la majorité d’une population, on pensait que les idées supérieures, le genre d’« idées dangereuses » que Mustapha Menier par exemple exprime dans Le meilleur des mondes, permettraient aux masses de rapidement s’organiser et rendraient inévitable une révolution contre « ceux qui les contrôlent ». En d’autres termes, la connaissance est la liberté, et l’on ne peut pas asservir ceux qui apprennent à « penser ».

Note du traducteur : Dans l’ouvrage de Aldous Huxley, Mustapha Menier est un Alpha plus et l’un des dix administrateurs mondiaux, qui sont les individus les plus importants de la société ; il a en charge l’Europe occidentale, l’une des dix zones de l’État mondial.

Cependant, ce n’est pas exactement ce qui s’est produit, n’est-ce pas ?

La grande majorité d’entre nous est libre de lire ce que bon lui semble, en ce qui concerne les livres autrefois « interdits », tels que ceux répertoriés par l’Index Librorum Prohibitorum.(([1] L’Index Librorum Prohibitorum était une liste de livres interdits, jugés dangereux pour la foi et la morale des catholiques romains, dont beaucoup étaient de manière suspecte des ouvrages humanistes platoniciens. Parmi les œuvres interdites figurent celles de Dante, d’Érasme et tous les livres de Machiavel. Pour en savoir plus, consultez mon article sur ce sujet.)) Nous pouvons lire tous les textes qui sont interdits dans Le meilleur des mondes, notamment les œuvres de Shakespeare qui y sont désignées comme des formes de « connaissance » absolument dangereuses.

Nous sommes maintenant tout à fait libres de nous « éduquer » sur les « idées » mêmes qui étaient reconnues par les tyrans du passé comme « l’antidote » à une vie d’esclavage. Et pourtant, aujourd’hui, la majorité choisit de ne pas le faire…

Il est reconnu, bien que superficiellement, que celui qui contrôle le passé, contrôle le présent et donc le futur. Le livre de George Orwell, 1984, le martèle comme la caractéristique essentielle qui permet à l’appareil de Big Brother de maintenir un contrôle absolu sur la peur, la perception et la loyauté à la cause du Parti, et pourtant, malgré sa popularité, il subsiste un manque d’intérêt pour réellement s’informer sur le passé.

Qu’importe de toute façon, si le passé est contrôlé et réécrit pour s’adapter au présent ? Comme l’interrogateur de Big Brother, O’Brien, le déclare à Winston :

« Nous, le Parti, contrôlons tous les dossiers et nous contrôlons tous les souvenirs. Alors nous contrôlons le passé, n’est-ce pas ? [Et donc, nous sommes libres de le réécrire comme bon nous semble…]. »

Bien sûr, nous ne sommes pas dans la même situation que Winston… nous sommes bien mieux lotis. Nous pouvons étudier et apprendre sur le « passé » si nous le désirons, malheureusement, il s’agit d’un choix possible que bien des personnes n’apprécient pas à sa juste valeur.

En fait, beaucoup ne sont probablement pas pleinement conscients qu’il se déroule actuellement une bataille pour savoir qui va « contrôler le passé » d’une manière qui ressemble beaucoup à ce qui s’apparente à un « effacement de la mémoire ».


William Sargant était un psychiatre britannique et, pourrait-on dire, le père du « contrôle mental » en Occident. Il avait des liens avec les services secrets britanniques et l’Institut Tavistock, qui influencerait plus tard la CIA et l’armée des États-Unis via le programme MK Ultra. Sargant a également été conseiller pour les travaux d’Ewen Cameron sur les esprits d’individus « déconstruits » sous LSD, à l’université McGill, financés par la CIA.

Note du traducteur : Ewen Cameron était un psychiatre d’origine écossaise et directeur de l’Allan Memorial Institute de l’université McGill, à Montréal. Il fut aussi président de l’Association psychiatrique des États-Unis, de l’Association psychiatrique du Canada et de l’Association psychiatrique mondiale.

Sargant justifie une des raisons pour lesquelles il a étudié et utilisé des formes de « contrôle de l’esprit » sur ses patients, lesquels étaient pour la majorité des soldats britanniques rapatriés du champ de bataille pendant la Seconde Guerre mondiale avec diverses formes de « psychose », en arguant qu’il s’agissait du seul moyen de réhabiliter des formes extrêmes de syndrome de stress post-traumatique.

L’autre raison était que les Soviétiques étaient apparemment devenus des « experts » dans ce domaine et que, pour des raisons de sécurité nationale, les Britanniques devaient à leur tour devenir des experts… pour des raisons d’autodéfense, bien sûr.

Les travaux d’Ivan Pavlov, un physiologiste russe, ont permis d’obtenir des informations intéressantes sur quatre formes primaires de systèmes nerveux chez les chiens, lesquelles combinaient des tempéraments inhibiteurs et excitateurs : « fortement excitateur », « équilibré », « passif » et « calme imperturbable ». Pavlov a découvert qu’en fonction de la catégorie de tempérament du système nerveux du chien, cette dernière déterminait la forme de « conditionnement » la plus efficace pour « reprogrammer le comportement ». La pertinence du « conditionnement humain » n’a échappé à personne.

Les pays occidentaux craignaient que ces techniques ne soient pas seulement utilisées contre leurs soldats pour que l’ennemi obtienne facilement des « confessions », mais que ces soldats puissent être renvoyés dans leur pays d’origine, sous la forme d’assassins et d’espions zombifiés susceptibles d’être mentalement activés par un simple mot de code. En tout cas, ce sont ces scénarios qui ont été propagés dans les populations à travers les films et les romans à suspense. C’est vraiment horrible ! Que l’ennemi puisse apparemment pénétrer dans ce que l’on considérait comme le seul terrain sacré qui nous appartenait… notre « esprit » même !

Cependant, pour ceux qui étaient à la pointe de la recherche sur le contrôle mental, comme William Sargant, il était entendu que le contrôle mental ne fonctionnait pas exactement de cette manière.

D’une part, la question du « libre arbitre » était un obstacle.

Peu importe la durée ou le degré des électrochocs, de la « thérapie » à l’insuline, des cocktails de tranquillisants, des comas provoqués, de la privation de sommeil, de la famine, etc., il a été découvert que si le sujet avait une « forte conviction » et une « forte croyance » en quelque chose, celle-ci ne pouvait pas être simplement supprimée, elle ne pouvait pas être remplacée par quelque chose d’arbitraire. Il fallait plutôt que le sujet ait l’illusion que son « conditionnement » relevait en fait de son « choix ». Il s’agissait d’une tâche extrêmement difficile, et les conversions à long terme (mois ou années) étaient rares.

Cependant, Sargant y a vu une opportunité. Il était entendu que l’on ne pouvait pas créer un nouvel individu à partir de rien, mais qu’avec un conditionnement adéquat, censé conduire à un effondrement physique par le biais d’un stress anormal ( en fait, un redémarrage du système nerveux), on pouvait sensiblement augmenter la « suggestibilité » des sujets.

Sargant a écrit dans son livre Bataille de l’esprit :

« Les descriptions cliniques de Pavlov des « névroses expérimentales » qu’il pouvait induire chez les chiens se sont avérées, en fait, correspondre étroitement aux névroses provoquées par la guerre que nous étudiions à l’époque. »

En outre, Sargant a découvert qu’un souvenir faussement implanté pouvait contribuer à induire un stress anormal conduisant à un épuisement émotionnel et à une dépression physique à même de susciter cette « suggestibilité ». En d’autres termes, il n’était même pas nécessaire de vivre un « stress réel », et un « stress fictif » était tout aussi efficace.

Sargant poursuit en déclarant dans son livre :

« Il n’est pas surprenant qu’une personne ordinaire, en général, soit bien plus facilement endoctrinée qu’une personne atypique… Une personne est considérée comme « ordinaire » ou « normale » par la communauté simplement parce qu’elle accepte la plupart de ses normes sociales et de ses modèles de comportement ; ce qui signifie, en fait, qu’elle est sensible à la suggestion et qu’elle a été persuadée d’aller dans le sens de la majorité dans la plupart des occasions ordinaires ou extraordinaires. »

Sargant aborde ensuite le phénomène du Blitz londonien, une période de huit mois de bombardements intensifs sur la ville de Londres pendant la Seconde Guerre mondiale. Au cours de cette période, pour faire face et rester « sain d’esprit », les gens se sont rapidement habitués à l’idée que leurs voisins pouvaient être et étaient enterrés vivants dans les maisons bombardées autour d’eux. La pensée était la suivante : « Si je ne peux rien y faire, à quoi bon me tourmenter ? ». On a donc constaté que « ceux qui s’en sortaient le mieux » étaient ceux-là mêmes qui acceptaient ce nouveau « cadre de vie » sans chercher à le contester, et qui se concentraient simplement sur leur « survie ».

Sargant remarque que c’est justement cette « adaptabilité » à un contexte environnemental en mutation qui fait partie de l’instinct de « survie » et qui est très ancrée chez l’individu « sain » et « normal », lequel est capable d’apprendre à faire face et continue donc à être « fonctionnel » en dépit du perpétuel changement de son environnement.

C’est donc notre « instinct de survie » profondément ancré dans notre inconscient qui s’est révélé être la clé de la suggestibilité de notre esprit. Et les meilleurs « survivants » se prêtent donc en quelque sorte à un meilleur « lavage de cerveau ».

Sargant cite les travaux de Hecker, qui étudiait le phénomène de l’épidémie dansante qui s’est développée pendant la période de la peste noire. Hecker a observé qu’une suggestibilité accrue pouvait amener une personne à

« minimiser l’éloge de la vertu aussi bien que la criminalité du vice en embrassant avec la même force, raison et folie, bien et mal. »

Et qu’un tel état d’esprit était comparable aux premiers efforts de l’esprit du nourrisson

« cet instinct d’imitation, lorsqu’il existe à son plus haut degré, se conjugue aussi avec une perte de tout pouvoir sur la volonté, qui se produit dès que l’empreinte sur les sens est bien installée, laquelle entraîne un état semblable à celui des petits animaux lorsqu’ils sont fascinés par l’aspect d’un serpent. »

Je me demande si Sargant s’imaginait être le serpent…

Sargant admet finalement :

« Cela ne signifie pas que toutes les personnes peuvent être véritablement endoctrinées par de tels moyens. Certaines ne se soumettent que temporairement aux exigences qui leur sont imposées, et luttent à nouveau lorsque revient la force du corps et de l’esprit. D’autres y échappent en surmontant leur folie. Ou encore, la volonté de résister peut céder, mais pas l’intellect lui-même. »

Mais il se console, en réponse à cette résistance obstinée, en affirmant que

« Comme nous l’avons mentionné dans un contexte précédent, le bûcher, la potence, le peloton d’exécution, la prison ou l’asile d’aliénés, sont généralement là pour les défaillants. »

Comment résister à la déconstruction de votre esprit

« Celui que les dieux veulent détruire, ils le rendent d’abord fou. »

Henry Wadsworth Longfellow, Le masque de Pandore et autres poèmes, 1875

Pour ceux qui n’ont pas vu le thriller psychologique de 1944 Gaslight, réalisé par George Cukor, je vous recommande vivement de le faire, car il contient une leçon inestimable, qui s’applique tout particulièrement à ce que je soupçonne que beaucoup d’entre nous vivent aujourd’hui.

Note du traducteur : Le film est sorti dans les salles françaises en 1947 sous le titre Hantise. La performance d’Ingrid Bergman sera saluée par un Oscar de la meilleure actrice dans un rôle principal.

L’histoire commence avec Paula, 14 ans (jouée par Ingrid Bergman), qui est emmenée en Italie après que sa tante Alice Alquist, célèbre chanteuse d’opéra et protectrice de Paula, a été retrouvée assassinée dans sa maison à Londres. Paula est celle qui a trouvé le corps et, frappée d’horreur, elle ne sera plus jamais la même. Sa tante était la seule famille qui lui restait. La décision est prise de l’envoyer loin de Londres, en Italie, afin qu’elle poursuive ses études pour devenir une chanteuse d’opéra de renommée mondiale comme sa tante Alice.

Les années passent, Paula vit une vie très protégée mais elle est toujours en proie à une sombre mélancolie et ne semble jamais pouvoir ressentir une quelconque forme de bonheur. Pendant ses études de chant, elle rencontre un homme mystérieux (son accompagnateur au piano pendant ses cours) et en tombe profondément amoureuse. Cependant, elle ne sait presque rien de cet homme, Gregory.

Après une romance de deux semaines, Paula accepte de l’épouser et se laisse rapidement convaincre de retourner vivre dans la maison de sa tante à Londres, laissée à l’abandon pendant toutes ces années. Dès qu’elle y pénètre, le souvenir de la nuit du meurtre la hante à nouveau et elle est prise de panique et de peur. Gregory tente de la calmer et lui dit que la maison a besoin d’un peu d’air et de soleil. Paula tombe alors sur une lettre adressée à sa tante par un certain Sergis Bauer, lettre qui confirme qu’il était en contact avec Alice quelques jours avant son meurtre. À cette découverte, Gregory devient étrangement agité et s’empare de la lettre. Il tente rapidement de justifier sa colère en attribuant à la lettre la responsabilité de ce qui a bouleversé Paula. Gregory décide alors d’enfermer toutes les affaires de la tante de Paula dans le grenier, pour apparemment lui épargner toute angoisse supplémentaire.

C’est à ce moment-là que Gregory commence à changer radicalement de comportement. Toujours sous le prétexte du « bien de Paula », tout ce qui est considéré comme une source de « contrariété » pour elle doit lui être soustrait. Et ainsi, rapidement, la maison se transforme en une forme de prison. On dit à Paula qu’il vaut mieux qu’elle ne sorte pas de la maison sans être accompagnée, qu’elle ne reçoive pas de visite et que l’auto-isolement est le meilleur remède à ses « angoisses » qui s’aggravent. Au début, Paula n’est jamais soumise à une interdiction stricte, mais on lui dit plutôt qu’elle doit obéir à ces restrictions pour son propre bien.

Avant une promenade, il lui fait cadeau d’une magnifique broche qui appartenait à sa mère. Comme le fermoir doit être remplacé, il demande à Paula de la garder dans son sac à main, et dit ensuite, plutôt hors contexte : « N’oublie pas où tu l’as mise, Paula, je ne veux pas que tu la perdes. » Paula se dit en elle-même que l’avertissement est absurde, « Bien sûr que je n’oublierai pas ! ». Lorsqu’ils reviennent de leur promenade, Gregory demande la broche, Paula cherche dans son sac à main mais elle n’y est pas.

Le scénario se poursuit ainsi, Gregory multipliant les avertissements et les rappels, apparemment pour aider Paula à surmonter ses « oublis » et ses « angoisses ». Paula commence à douter de son propre jugement et de sa santé mentale, car ces événements deviennent de plus en plus fréquents. Elle n’a personne d’autre à qui parler que Gregory, qui est le seul témoin de ces incidents apparents. On en arrive à un point où Gregory attribue à Paula un comportement complètement absurde. Un soir, on découvre qu’un tableau a disparu d’un mur. Gregory parle à Paula comme si elle était une enfant de cinq ans et lui demande de le remettre en place. Paula insiste sur le fait qu’elle ne sait pas qui l’a enlevé. Après avoir insisté avec passion sur le fait que ce n’était pas elle, elle monte les escaliers comme si elle était dans un rêve et sort le tableau de derrière une statue. Gregory demande pourquoi elle a menti, mais Paula insiste sur le fait qu’elle n’a pensé à regarder là que parce que c’est à cet endroit qu’il a été retrouvé les deux dernières fois que cela s’est produit.

Depuis des semaines, Paula pense qu’elle voit des choses, les lampes à gaz de la maison s’éteignent sans raison [ce qui a donné au film son titre : Gaslight – NdT], elle entend aussi des bruits de pas au-dessus de sa chambre. Personne d’autre ne semble s’en apercevoir. Gregory raconte également à Paula qu’il a découvert que sa mère, décédée alors qu’elle était très jeune, était en fait devenue folle et était morte dans un asile.

Bien que Paula soit réduite à un état de stupeur permanent, elle décide un soir de faire front et de reprendre le contrôle de sa vie. Paula est invitée, par l’une des amies proches de sa tante Alice, Lady Dalroy, à assister à une soirée mondaine organisée pour un concert musical. Rappelons qu’avant sa rencontre avec Gregory, la vie de Paula gravitait autour de la musique. La musique était sa vie. Paula se pare de vêtements somptueux pour la soirée et, en sortant, dit à Gregory qu’elle se rend à cet événement. Gregory tente de la convaincre qu’elle est trop fragile pour assister à une réception aussi mondaine. Lorsque Paula insiste calmement sur le fait qu’elle ira et que cette femme qui l’a invitée est une amie chère à sa tante, Gregory lui répond qu’il refuse de l’accompagner (à l’époque, c’était un gros problème). Paula se range à cet avis et marche avec une solide dignité, sans se décourager, vers la calèche. Dans une scène très révélatrice, Gregory est laissé momentanément seul et, pris de panique, les yeux exorbités, il referme son étui à cigares et court après Paula. Il l’interpelle en riant : « Paula, tu n’as pas cru que j’étais sérieux ? Je ne savais pas que cette réception était si importante pour toi. Attends, je vais me préparer. » Alors qu’il se prépare devant le miroir, un sourire diabolique apparaît.

Paula et Gregory arrivent en retard chez Lady Dalroy, le pianiste est au milieu du 1er mouvement de la Sonate pour piano n°8 en do mineur de Beethoven. Ils sont rapidement escortés vers deux sièges vides. Paula est immédiatement captivée par la musique et Gregory se rend compte qu’il perd le contrôle. Après seulement quelques minutes, il regarde sa montre à gousset mais elle n’est pas dans sa poche. Il chuchote à l’oreille de Paula : « Ma montre a disparu ». Immédiatement, Paula a l’impression qu’elle va être malade. Gregory prend son sac à main et Paula le regarde avec horreur en sortir sa montre à gousset, insinuant que Paula l’avait mise là. Aussitôt, elle perd le contrôle et craque en public. Gregory l’emmène, tout en faisant remarquer à Lady Dalroy que c’est pour cette raison qu’il ne voulait pas que Paula vienne.

Lorsqu’ils arrivent chez eux, Paula a maintenant complètement succombé à l’idée qu’elle est effectivement frappée de folie. Gregory déclare qu’il serait préférable qu’ils partent quelque part pour une période indéterminée. Nous apprendrons plus tard que Gregory a l’intention de la faire interner dans un asile. Paula accepte de quitter Londres avec Gregory et remet entièrement son destin entre ses mains.

Dans le cas de Paula, les choses sont claires. Elle soupçonne que Gregory a quelque chose à voir avec sa « situation », mais il a très habilement créé un environnement dans lequel Paula elle-même doute que cette situation puisse relever d’une méchanceté insondable ou découler du fait qu’elle devient effectivement folle.

C’est plutôt parce qu’elle n’est pas folle qu’elle doute d’elle-même, car aucune raison ne semble pouvoir expliquer pourquoi Gregory consacrerait autant de temps et d’énergie à faire croire qu’elle est folle, du moins en apparence. Mais qu’en est-il si l’objectif consistant à lui faire croire à sa folie était simplement une question de contrôle ?

Dans cette lutte pour le pouvoir, Paula a presque réussi à prendre le dessus le soir où elle a décidé de sortir seule, même si Gregory a insisté pour lui conseiller de ne pas le faire et qu’ c’était pour son bien. Si elle avait tenu bon chez Lady Dalroy et avait simplement répondu : « Je n’ai aucune idée de la raison pour laquelle votre stupide montre s’est retrouvée dans mon sac à main et je m’en désintéresse complètement. Maintenant arrêtez d’interrompre ce concert, vous vous donnez en spectacle ! » Elle aurait pu rompre l’emprise de Gregory aussi simplement que cela. S’il avait dû se plaindre de la situation auprès d’autres personnes, celles-ci auraient pu aussi lui rétorquer : « Qui s’en soucie cher Monsieur, pourquoi êtes-vous à ce point obnubilé par votre stupide montre ? ».

Nous nous trouvons aujourd’hui dans une situation très similaire à celle de Paula. Et la voix de Gregory est incarnée par les discours médiatico-politiques mensongers et la programmation socio-comportementale apocalyptique contenue dans différents types de divertissement. Des choses auxquelles la plupart des gens se soumettent volontairement tous les jours, voire toutes les heures, ce qui les conditionnent socialement, comme une meute de chiens pavloviens salivants, à penser que la fin du monde est proche et qu’au premier coup de cloche de leur maître… ils se boufferont les uns les autres.

Paula est finalement sauvée par un homme du nom de Joseph Cotten (un détective), qui a remarqué et rapidement discerné que quelque chose n’allait pas. Gregory est finalement arrêté. Il est révélé que Gregory est en fait Sergis Bauer. Qu’il a tué Alice Alquist et qu’il est revenu sur les lieux du crime après toutes ces années à la recherche des fameux bijoux de la chanteuse d’opéra. Les bijoux étaient en fait sans valeur, car ils étaient trop célèbres pour être vendus, mais Gregory n’a jamais eu l’intention de les vendre, il était plutôt obsédé par le simple désir de les posséder.

En d’autres termes, celui qui pendant tout ce temps était complètement fou, c’était Gregory.

Une personne du type de Gregory est extrêmement dangereuse. Si rien n’avait entravé son chemin, il aurait eu raison de Paula. Cependant, le pouvoir qu’il détenait n’existait que parce que Paula le laissait la contrôler. La désintégration extrême de Paula dépendait donc entièrement de son propre choix de permettre à la voix de Gregory de l’atteindre. En d’autres termes, un Gregory n’est dangereux que si nous nous soumettons au cauchemar qu’il a construit pour nous.

« Quand j’utilise un mot », dit Humpty Dumpty d’un ton plutôt méprisant, « il signifie exactement ce que je choisis qu’il signifie — ni plus ni moins. »
« La question est », dit Alice, « de savoir si l’on peut faire en sorte que les mots signifient tant de choses différentes. »
« La question est », dit Humpty Dumpty, « de savoir qui est le maître — c’est tout. »

Lewis Carroll, De l’autre côté du miroir

Source de l’article initialement publié en anglais le 8 août 2021 : The Saker Blog
Traduction : Sott.net

Note




Un activiste pro-vax reçoit une réplique cinglante d’un citoyen autrichien vacciné

[Source : Sott.net]

Quand un activiste pro-vax reçoit la réplique cinglante d’un citoyen autrichien vacciné, il n’a plus aucun argument à faire valoir !

Gerald Grosz, auteur et ancien politicien autrichien, s’est fait vacciner deux fois et le regrette ! Il expose son point de vue et remet en cause Merkel (Allemagne), Kurz (Autriche) et les présentateurs des médias mainstream :

« Il me semble donc que si j’avais pris des fleurs de Bach ou des globules homéopathiques, je serais mieux protégé qu’avec votre soi-disant « game changer ». »

« Cela signifie que leur vaccination ne change pas la donne, mais qu’elle est la plus grande lanceuse de fake news qui ait été offerte à l’homme au XXIe siècle. »

vaccin ou pas



Source : E&R




Vaccins COVID – des millions d’effets secondaires

[Source : @Vivresainement]

Capsule à voir absolument :
https://odysee.com/@Vivresainement:f/film-covid-26-raisons-pour-refuser-les-vaccins:8

Voici le lien pour vous inscrire à la plateforme Odysee afin d’éviter la censure et obtenir une récompense :
https://odysee.com/$/invite/@Vivresainement:f

Sur Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCPc4qwIJsi4KPJCtjxdogiQ

Abonnez-vous à ces associations pour entrer dans la résistance :
https://reaction19.fr/
http://www.bonsens.info/
https://reinfocovid.fr/
https://www.divizio.fr/recours/

Questionnaire pour signaler des effets secondaires :
https://bonsens.info/actualites-bonsens-n-2021-21-du-24-mai-2021/

Regardez ces sites pour suivre tous les soldats digitaux :
https://infovf.com/
https://www.launetv.com/

Merci spécial, abonnez-vous à leur chaînes SVP
https://odysee.com/@UnEtreHumain:8
https://odysee.com/@ExcaliburTraduction:4
https://rumble.com/user/Quantumleap
https://odysee.com/@falazone:0
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a

Sources :
https://www.worldometers.info/coronavirus/
https://www.timesofisrael.com/tv-14-israelis-who-got-3rd-shot-later-infected-with-covid-19/
https://www.lci.fr/sante/covid-corse-33-cas-positifs-dans-une-colonie-de-vacances-de-sagone-malgre-des-pass-sanitaires-valides-2192316.html?utm_medium=Social&utm_source=Twitter&Echobox=1627287925#xtor=CS5-113
https://reseauinternational.net/derive-liberticide-des-avocats-montent-au-front/
https://www.washingtonpost.com/health/2021/07/30/provincetown-covid-outbreak-vaccinated/
https://animap.fr/
http://u.osmfr.org/m/641821/
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/covid-19-l-oms-critique-la-strategie-des-pays-riches-et-appelle-a-ne-pas-vacciner-les-plus-jeunes-20210728






L’OMS a récemment supprimé TOUS les articles favorables à la vitamine D sur son site

[Source : fawkes-news.com]

Ces articles étaient encore en ligne au mois d’avril 2021 et ils ont depuis mystérieusement disparus. Cela semble peu probable que ce soit un hasard que tous les articles mentionnant un effet préventif sur les maladies virales aient disparu du site de l’OMS à peu près dans la même période. 

Le premier datait de 2017 et s’intitulait « La vitamine D pour la prévention des infections des voies respiratoires » (lien vers la dernière archive du mois de mai). Il indiquait notamment que « la carence en vitamine D peut affecter le système immunitaire car la vitamine D joue un rôle immunomodulateur (6), renforçant l’immunité innée en régulant à la hausse l’expression et la sécrétion des peptides antimicrobiens (7-8), ce qui stimule les défenses muqueuses. De plus, des méta-analyses récentes ont rapporté un effet protecteur de la supplémentation en vitamine D sur les infections des voies respiratoires ». Article envolé.


Un autre article de 2011 intitulé « Supplémentation en vitamine D visant à améliorer les effets du traitement chez les enfants atteints d’infections respiratoires » (lien vers la dernière archive) a également été supprimé récemment. L’article affirmait que « Une carence en vitamine D est fortement associée au risque d’infections aiguës des voies respiratoires inférieures dans un certain nombre de contextes » et que  » La supplémentation en vitamine D semble réduire l’incidence et les effets délétères de ces affections ou d’autres, telles que les infections aiguës des voies respiratoires inférieures, ainsi que la mortalité toutes causes confondues ».


En faisant une recherche sur leur site sur le sujet de la vitamine D, c’est le néant. On ne trouve plus qu’une seule mention et il s’agit d’un article sur la prévention des chutes en français. Plus rien sur le sujet de la prévention des maladies virales.


Rien non plus sur la version anglaise du site:

L’OMS s’est donc auto-censurée sur un sujet actuel et critique qui pourrait sauver de nombreuses vies. En effet, plus d’une centaine d’études se sont penchées sur l’intérêt de cette vitamine pour le COVID et de nombreux spécialistes plaident pour une utilisation généralisée de celle-ci pour prévenir les formes graves. 
Dès le mois de mai 2020, une étude montrait que la vitamine D peut réduire de moitié la mortalité COVID. Depuis, les études se sont enchaînées, quasiment toujours positives. Pourtant, à ce jour le gouvernement n’a toujours rien fait pour combler les carences des français (notamment les personnes âgées qui se trouvent être la population à la fois la plus à risque de formes graves de COVID mais aussi la plus à risque de carence en vitamine D) préférant tout miser sur la vaccination.
Il est certain que les décès de nombreuses personnes auraient pu être évités si une supplémentation généralisée en vitamine D avait été faite pendant l’automne/hiver. Malheureusement, contrairement à ce qu’il tente de nous faire croire, le gouvernement ne cherche pas à sauver des vies.




Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition

[Source : breizh-info.com]

En fréquentant des milieux transactivistes, Clément a transitionné d’homme à femme pendant quelques mois. Constatant qu’il avait pu être fortement influencé, il a décidé de revenir en arrière en arrêtant ses traitements hormonaux et d’accepter en tant qu’homme la part de féminité de sa personne. Il décrit l’endoctrinement du milieu LGBT sur la question de la transidentité et du manque de jugements de certains médecins face à la dysphorie de genre.

https://youtu.be/Vc27c3WTvLk [Lien non fonctionnel. Autre source :]

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Covid-19 : Les autorités, via les chaînes d’info en continu, utilisent-elles des acteurs pour jouer les antivax repentis ?

[Source : ZEjournal]

Par JF.Kersca

Si véritablement la vaccination est une formidable réussite et qu’un bon nombre de personnes s’est fait injecter la potion magique, plus de la moitié des français selon les politiques, médecins de plateaux, scientifiques stipendiés et journalistes obéissants, alors dites moi pourquoi aller chercher un intermittent du spectacle pour jouer le rôle d’un malade agonisant sur un lit d’hôpital ? Il existe même un site spécialisé dans le domaine. Bien sûr, tous ces acteurs interprètent des non-vaccinés qui regrettent amèrement d’avoir soit trop attendu pour se faire inoculer, soit regrettent purement et simplement d’avoir refusé la potion magique (la télé-réalité des antivax repentants). Ce n’est plus un cirque, mais une pièce de théâtre ultra propagandiste à ciel ouvert.

Pourquoi des meRdias joueraient-ils ce jeu extrêmement dangereux ? Parce qu’ils n’ont pas le choix, car soit ils sont tenus par des idéologues milliardaires – psychopathes mondialistes -, soit ils sont directement financés par l’état – les deux dans la plupart des cas. Peu importe qui signe le gros chèque, le torchon, la télé poubelle, la radio complice, etc. sont sous perfusion vitale. Si la perfusion mécénique et étatique n’est plus administrée au malade, le meRdia décède inévitablement et quasiment sur le champ. Les journalistes étant formés par l’oligarchie globaliste, à l’instar des médecins formés dans les écoles de Rockefeller (le tout chimique), ils ne font que leur travail : relayer l’information officielle sans se poser la moindre question.

Certains journalistes, Emmanuelle Ducros et les ménages par exemple, sont carrément financés par divers lobbies, selon, évidemment, la notoriété et le poids de leur parole ou de leurs écrits sur une grande partie des lecteurs, téléspectateurs ou auditeurs. Cela porte un nom : corruption. Lorsqu’un médecin passe son temps dans le poste, plutôt que dans son service à l’hôpital, a vanter les mérites d’un médicament inutile et dangereux, le Remdesivir par exemple, produit par un laboratoire, Gilead par exemple, alors qu’il est financé par le labo qui produit ce médicament, comment peut-on encore penser que ce toubib cathodique puisse être objectif. Des Lacombe et Blachier ont défendus bec et ongles ce traitement onéreux et ont touché des dizaines voire centaines de milliers d’euros de Gilead (Martin Blachier, Public Health Expertise : 882 205 euros de divers laboratoires pharmaceutiques, dont 120 600 euros de Gilead). Peut-on légitimement penser qu’ils aient été impartiaux ?  Ce n’est qu’une question.

Tout est bon pour nous inoculer la mixture ARNm et OGM de ces laboratoires criminels condamnés à de nombreuses reprises à des amendes faramineuses. Chaque pays récite inlassablement la même rengaine, le même texte, les mêmes directives pondues par Davos et son gourou Klaus Schwab et orchestrées par les fondations Bill et Mélinda Gates et Rockefeller. Ce que nous vivons en temps réel, c’est un plan savamment mis en place par une élite dictatoriale et eugéniste pour changer de paradigme. Ce qui arrive à grands pas, c’est le crédit social à la chinoise. Cette pièce de théâtre à ciel ouvert n’a absolument rien à voir, vous l’avez bien compris, avec une crise sanitaire.


Covid-19 : la télé-réalité rend malade !

Pas facile la vie des acteurs  en ces temps de coronavirus. Heureusement, ils arrivent à trouver de petits rôles dans la vraie vie. Nous l’avons vu en France, là. Voyons comment trois acteurs de télé-réalité au chômage se sont débrouillés en Grande-Bretagne. La pièce, dans laquelle ils ont joué avec beaucoup de réalisme, a pour titre « Covid-19 : vaccinez-vous ! »

Ils jouent le rôle de leur vie

Tara Langstone

« Tara Jane Langston, mère de deux enfants, a contracté le Covid-19. Depuis son lit d’hôpital, en mars 2020, la maman de 39 ans a mis en garde contre les dangers de ce virus dans une vidéo effrayante ». 

Tara s’adresse à la caméra en haletant pour respirer. Diagnostiquée positive au coronavirus la semaine dernière, elle a décrit son calvaire sur Facebook : « Si quelqu’un pense à prendre des risques, regardez-moi. Je suis aux soins intensifs. Je ne peux pas respirer sans ça. S’il vous plaît, ne prenez aucun risque. Parce que si ça devient vraiment grave, vous allez finir ici. C’est comme avoir du verre dans les poumons, c’est difficile à expliquer, mais chaque respiration est une bataille. C’est absolument horrible et je ne voudrais plus jamais revivre une telle chose. J’ai été malade pendant environ cinq jours avant d’être transportée à l’hôpital en ambulance ».

Tara Jane Langston, après avoir été une star de la télé-réalité britannique (Channel 4, « The Bridge »), est devenue serveuse et cosmétologue.

Matthew Roche

« Un homme de 38 ans a passé cinq semaines en soins intensifs avec le coronavirus après avoir refusé d’être vacciné. Matthew Roche est toujours en convalescence à l’hôpital de Whiston et a subi des dommages permanents aux poumons ».

Il a déclaré à Good Morning Britain  (ITV) : « Je me suis dit : “Je vais me faire vacciner, mais j’aimerais voir ce qui se passe au niveau des effets secondaires.” Personne ne prend cela au sérieux tant que ce ne lui est pas arrivé. J’ai perdu 10 % de mon poids, mes poumons ont subi des modifications permanentes et importantes, et il se pourrait bien que ma vie soit changée à jamais. Cela a été l’expérience la plus terrifiante de ma vie ».

Matthew Roche a joué en 2020 dans « Captain Bluebeard » et dans  « Charity collector » en 2019. Lors d’une simulation d’attaque terroriste dans un centre commercial, il a tenu le rôle d’un civil victime d’une explosion simulation de choc : pleurs, vomissements, il a apporté tout le réalisme possible à ce rôle, afin de mettre au défi les intervenants et les acteurs bénévoles. 

Marcus Birks

« Marcus Birks, 40 ans, un fou de gym qui se croyait à l’abri du Covid et qui a “repoussé” l’idée de se faire vacciner se bat pour sa vie. Il se trouve dans l’unité de soins intensifs d’un hôpital des West Midlands. Il exhorte les gens à se faire vacciner, après avoir pensé qu’il était à l’abri du virus ».

Le 11 août 2021, il déclare à BBC News : « Si vous n’avez pas été malade, vous ne pensez pas que vous allez l’être, alors vous écoutez les trucs [anti-vaccins]. Quand vous avez l’impression de ne pas pouvoir respirer assez, c’est le sentiment le plus effrayant du monde. La première chose que je vais dire à toute ma famille, c’est de se faire vacciner, ainsi qu’à tous ceux que je vois. Et dès que je pourrai l’avoir, je le ferai ».

Marcus Birks a joué dans de nombreuses séries de télé-réalité, dont « Odd One In » (2010), et  a été gagnant de Lads Army (2002). Depuis il s’oriente vers la chanson.

Nouveau job en Grande-Bretagne : vaccinateur

L’épidémie de coronavirus a créé l’emploi de vaccinateur. Une offre — en CDI ! — fait augurer d’un métier d’avenir !

« Une opportunité passionnante s’offre à vous pour rejoindre une nouvelle équipe dynamique chargée de fournir une gamme de vaccins à la population de l’Aberdeenshire dès la naissance et au-delà.  

Ce poste offre une grande variété, allant de la vaccination des enfants d’âge préscolaire, des écoles primaires et secondaires à celle des adultes. Ces vaccinations seront effectuées dans divers environnements, des foyers aux écoles, en passant par les lieux de rassemblement ou les centres de traitement et de soins communautaires, ce qui favorisera une culture du travail en équipe et de l’agilité. 

Le poste est actuellement ouvert aux personnes inscrites au NMC [infirmiers et aide-soignants] et, bien qu’une expérience préalable de la vaccination soit bénéfique, elle n’est pas essentielle car une formation complète sera fournie. Les candidats doivent faire preuve d’innovation, d’amabilité et d’adaptabilité ».

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.


« Tiens bon, on les aura ces connards »

(SMS de notre président à notre ministre de la Santé*)

Les jeunes se vaccinent pour voyager, les anciens ont cru la télé. Il reste la tranche 35-55 ans à convaincre. CNews met le paquet avec son Covid-fiction de l’été.

Marseille : Episode 1 Saison 1 : le non-vacciné repenti

Et le même jour aux États-Unis…

La même scène, mais cette fois le mourant a ses lunettes, son téléphone en main et rassemble toute son énergie pour prévenir qu’il ne faut pas faire comme lui, qui n’a pas voulu se vacciner.

En Guadeloupe aussi

Les journalistes là aussi peuvent entrer en salle de réanimation photographier un patient atteint du Covid-19 à l’hôpital Les Abymes (Centre hospitalier universitaire) à Pointe-à-Pitre, sur l’archipel de la Guadeloupe, le 6 août 2021.

Le 20 mars 2021 déjà, CNews avait employé un comédien

* La citation dans le titre a été relayée par divers médias dignes de la confiance gouvernementale : 
Valeurs actuellesLa Charente Libre20 minGala

– Source : JF.Kersca




Qu’est-ce que le Great Reset recherche vraiment avec le passe sanitaire ?

Qu’est-ce que le Great Reset recherche vraiment avec le passe sanitaire ?

parÉric Verhaeghe

20 août 2021

Mais en quoi le Great Reset a-t-il vraiment besoin du passe sanitaire pour se mettre en place ? Cette question dont on pressent l’importance grandissante depuis plusieurs semaines, et qui s’impose aujourd’hui comme la charnière explicative des politiques publiques, donne lieu à de nombreuses supputations. Il ne suffit en effet pas d’écouter les discours de la caste appelant tous à une ségrégation contre les non-vaccinés pour comprendre l’intention fondamentale de cette innovation. C’est en plongeant dans l’un de tes blogs de l’entreprise transnationale française Thalès que l’on comprend la stratégie d’ensemble qui se met en place, et les étapes qui suivront.

https://youtu.be/nLeqNOfOKKg

Peut-être vous êtes-vous demandé, comme moi, quelle mouche avait brutalement piqué Emmanuel Macron le 12 juillet lorsqu’il a annoncé la mise en place d’un passe sanitaire restreint dès le mois d’août. Il est encore trop tôt pour avoir toutes les réponses aux questions qui peuvent se poser, notamment sur le poids exact de l’industrie pharmaceutique dans les décisions politiques (on pense ici aux disparitions étonnantes de certains chefs d’Etat hostiles à la vaccination, qui laissent à penser que des méthodes de persuasion parfois assez violentes sont utilisées dans le milieu… l’Histoire éclaircira ces affaires). 

Les langues commencent toutefois à se délier dans les milieux industriels, et ce qu’on apprend ne manque pas d’intérêt. 

Thalès au cœur du passe sanitaire

C’est en allant sur le blog de l’entreprise Thalès (en anglais) qu’on comprend dans quelle cohérence d’ensemble s’inscrit cette première étape du capitalisme de surveillance qui s’appelle le passe sanitaire. Thalès entend en effet proposer une solution globale d’identité numérique et nous expose avec une forme de naïveté comment ce projet va se décliner. 

Thalès écrit donc :

So-called digital ‘vaccination passports’ will play a key role in enabling citizens to access all manner of services and will act as a precursor to the rollout of mobile digital IDs.

(Les passeports vaccinaux joueront un rôle-clé dans la capacité des citoyens à accéder à toutes sortes de services et agiront comme des précurseurs au passage vers l’identité numérique sur téléphone portable).

Le passe sanitaire est donc un “précurseur” ! L’anticipation d’un système généralisé où l’identité ne sera plus établie par un document officiel “autonome” comme une carte d’identité, mais bien par un “portefeuille” numérique conservé sur un cloud et une application dont l’archivage échappera à l’utilisateur. 

Autrement dit, il s’agit de nous habituer à changer de mode d’établissement de notre identité. 

Un portefeuille digital pour accéder aux services publics

Sur le fond, Thalès ne cache pas l’ambition “centrale” du passe sanitaire, qui est de devenir une plate-forme d’accès aux différents services publics disponibles sur Internet. Pour ce faire, le passe-sanitaire repose sur un “wallet”, un portefeuille numérique, pour lequel la Commission Européenne a d’ores et déjà posé les bases

In both cases, the deployment of a digital wallet – primarily for digital driving licenses – will act as a gateway and the foundations for other vital government services, such as health passes.

(Dans tous les cas, le déploiement du portefeuille digital – initialement pour le permis de conduire – fonctionnera comme une plateforme d’accès et des piliers pour d’autres services publics vitaux, comme les passes sanitaires”. 

On comprend donc que le passe sanitaire est la face émergée d’un iceberg technique qui se constitue progressivement, et qui va bouleverser la notion d’identité “administrative”. Désormais, les citoyens seront directement gérés par un Big Data qui permettra de leur donner accès à certains lieux ou à certains services par le contrôle de l’intelligence numérique. 

Quand le portefeuille digital remplacera le passeport

Dans la palette de services que “l’ID numérique” devra rendre, on trouve en particulier le remplacement en bonne et due forme du bon vieux passeport actuel. Celui-ci sera bientôt rangé aux oubliettes de la préhistoire et remplacé par une application sur un téléphone, où toutes les données individuelles seront centralisées. 

Last butcertainlynot least, the EU Digital Identity will allow citizens to use their documentation across the entire region.

(Enfin et pas des moindres, l’identité digitale européenne permettra aux citoyens d’utiliser leurs documents à travers tout le continent). 

On se souvient que l’Europe s’était fondée sur l’aspiration à un continent sans frontière et sans contrôles d’identité. Subrepticement, on est passé à une Europe avec des contrôles universels poussés à un point inconnu jusqu’ici. C’est sans doute le progrès des Lumières qui veut ça. 

Portefeuille digital et euro numérique

Mais c’est une autre fonctionnalité du “wallet” qui doit retenir l’attention, car elle rejoint le projet d’euro numérique que nous avons évoqué cette semaine. Il s’agit de l’utilisation du portefeuille digital comme moyen de paiement. 

It gets really exciting when you realise that the wallet can host both digitalised identity and payment credentials. This could allow people, for example, to pay a deposit on a new apartment or settle an outstanding speeding fine directly from their smartphone. 

(Cela devient exaltant de penser que le portefeuille digital peut héberger à la fois une identité numérique et des moyens de paiement. Ceci permettrait aux gens, par exemple, de payer une caution pour un nouvel appartement ou de régler une amende pour excès de vitesse directement depuis un smartphone). 

On y vient, donc : le passe sanitaire devrait déboucher sur une ramification future, le paiement en ligne, par exemple des impôts ou des amendes. Ou du loyer. Ou des traites sur en emprunt bancaire…

Bref, si l’on se souvient que l’euro numérique serait à la main complète de la Banque Centrale Européenne, l’espace de liberté qui restera au consommateur pour arbitrer ses dépenses va devenir de plus en plus contraint. Du propre aveu de Thalès, en effet, l’Etat saura tout de vous, y compris de votre situation financière ou bancaire. 

La porte ouverte au crédit social

On va bien dans quel état de dépendance ce système entreprend, sans que ce projet ne soit publiquement explicité auprès des citoyens, de placer les individus. Se met en place une architecture qui rendra possible le “crédit social” à la chinoise : le wallet contiendra des marqueurs indiquant qui n’a pas payé ses impôts, ou ses dettes, qui a roulé trop vite, qui a tardivement réglé sa pension alimentaire. Et si le marquer apparaît, l’individu sera interdit d’accès à certains services, ou à certains achats. 

Peu à peu, il sera marginalisé, sans possibilité de s’y opposer. 

C’est bien à cela que sert le passe sanitaire. Il n’est pas une fin en soi. Il est un début, un précédent, une mise en bouche. Vous savez désormais dans l’attente de quoi il sera maintenu après le 15 novembre.  


[Voir aussi Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire et les liens annexes en fin d’article.]




Les « pseudovaccins » anticovid ne marchent pas, les « décodeurs » nient l’évidence de l’expérience israélienne

Par le docteur Gérard Delépine

Les « vaccinés » qui sont malgré tout malades du covid sont de plus en plus nombreux en Grande-Bretagne comme en Israël où l’ancien directeur général de la santé a reconnu que près de 50 % des nouveaux cas concernaient des personnes complètement vaccinées.

Pour discréditer cette information avérée les décodeurs de tous les médias dont Guy Dagorn décodeur du Monde et Quang Pham de Huffpost(([1] Quang Pham Des vaccinés meurent du Covid, mais voici la preuve que ce serait pire sans vaccin Huffpost 29/06/2021 Le HuffPost vous explique mathématiquement pourquoi ce n’est pas à cause d’une moindre efficacité des vaccins.)) se livrent à de savants calculs et prétendent que ce serait une bonne nouvelle(([2] Guy Dagorn le Monde 2 juillet 2021))! Et leurs élucubrations sont ensuite diffusées par les médias dominants. Leur seule excuse est de ne pas être médecin, car aucun docteur n’oserait prétendre que l’échec, même partiel, d’un traitement préventif est un succès.

Un vrai vaccin prévient l’infection

Entendre qu’un vaccin serait seulement destiné à éviter les formes graves de la maladie est une ineptie et un mensonge. Un vaccin est destiné à prévenir la maladie qu’il combat et si possible à l’éradiquer. Les vaccinés à jour contre la diphtérie, la poliomyélite, la fièvre jaune et bien d’autres maladies sont totalement protégés à vie comme 95 % des vaccinés contre la rougeole (aux USA on constate un nouveau foyer touchant les vaccinés tous les 3-4 ans). À l’opposé, les vaccins contre la grippe saisonnière sont peu efficaces (20 à 40 %), car il s’agit chaque année d’un nouveau variant du virus grippal de l’année précédente et d’un vaccin élaboré en quelques mois pour s’adapter à la nouvelle souche. Cela explique sa trop faible efficacité et que le vaccin grippal est relativement peu utilisé (20 % de la population) malgré les campagnes de promotion permanentes et que les agences sanitaires ne le rendent pas obligatoire.

En Israël, le 18 août 2021, le nombre de nouveaux cas atteignait 6279, dépassant le record d’avant la campagne de vaccination (6272 le 27 septembre 2020), alors que près de 85 % des adultes sont totalement vaccinés. Cela confirme une fois de plus(([3] Cette inefficacité à empêcher l’épidémie a déjà été observée à Gibraltar (115 % de vaccinés), Grande-Bretagne, Émirats Arabes Unis, et dans tous les pays qui ont largement vacciné.)) que l’injection Pfizer n’est pas efficace pour protéger les vaccinés ni pour empêcher la transmission de la maladie.

Prétendre comme Guy Dagorn ou Quang Pham que « cela ne remet en aucun cas l’efficacité des vaccins à endiguer l’épidémie » constitue un refus de considérer les faits avérés et/ou une désinformation manifeste.

Un vrai vaccin évite les hospitalisations

Mais pas l’injection Pfizer !

Depuis près juillet le nombre d’hospitalisations ne fait que monter et dépasse les 150 par jour.

Un vrai vaccin évite les séjours en réanimation

Mais pas l’injection Pfizer.

Depuis la reprise de l’épidémie, les admissions en réa augmentent rapidement. Le 11 août le ministre de la Santé israélien précisait que 64 % des 400 cas graves hospitalisés avaient été complètement vaccinés. Ce pourcentage correspond aussi à celui des vaccinés dans la population prouvant que l’injection Covid ne diminue en rien le risque de faire une forme grave.

Actuellement, le nombre quotidien de nouveaux admis en réa avoisine 100.

Il est donc mensonger de prétendre que l’injection Pfizer protège des formes graves de Covid.

Un vrai vaccin évite la mort

Mais pas l’injection Pfizer.

Depuis la reprise de l’épidémie en Israël, la mortalité liée au Covid19 augmente, atteignant actuellement 20 par jour le 20/8/2021.

Il est donc mensonger de prétendre que l’injection Pfizer permet d’éviter de mourir de Covid

Les décodeurs auraient dû être plus prudents avant de se féliciter publiquement : « depuis le 1er juin, Israël n’a enregistré “que” 21 décès dus au Covid-19 et n’en a plus recensé aucun depuis le 25 juin dernier. »

Conclusions

Prétendre : c’est une bonne nouvelle « que les vaccinés représentent 40 % des nouveaux cas en Israël » représente vraiment une aberrante et absurde bêtise qu’il fallait démentir.

On n’ose imaginer que Guy Dagorn ou Quang Pham puissent être anti- sémites (ils se réjouiraient des malheurs de nos amis israéliens) ou antivax (ils se réjouiraient de l’échec de l’injection Pfizer), une telle affirmation témoigne vraisemblablement de leur inculture médicale et/ou de leur appartenance à des groupes financés par l’industrie pharmaceutique.





Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire

[Source : LeoHohmann.com]

Par John Gideon Hartnett

Plusieurs nouvelles technologies qui semblent distinctes et non liées vont bientôt converger, créant un piège numérique géant qui attirera facilement les masses non informées.

Le piège numérique est déjà tendu et les élites mondialistes utilisent la COVID pour accélérer le processus de convergence. La plupart des gens tomberont dans le piège, ce qui les réduira finalement à un code QR humain – repérable, traçable et dépendant à 100% des Big Tech et du grand gouvernement pour leur existence.

Je vais défaire chacun de ces fils apparemment séparés qui seront progressivement fusionnés en une seule grille de contrôle socio-financière globale.

L’élément du programme le plus imminent nécessaire pour relancer ce système est le lancement réussi des passeports sanitaires numériques.

La France, l’Italie, l’Irlande, l’Allemagne, la Grèce et de nombreux autres pays ont commencé à imposer ces passeports à leurs citoyens, dont beaucoup envahissent les rues pour protester

Les citoyens protestent contre les pass sanitaires dans plus de 150 villes à travers la France.

Le mouvement vers les passeports sanitaires numériques aux États-Unis se fait plus progressivement, mais il prend de l’ampleur.  

Dans un briefing le lundi 2 août, le coordinateur de la réponse au coronavirus de Biden, Jeffrey Zients, a annoncé « qu’il est temps d’imposer certaines exigences » en ce qui concerne les vaccins anti-COVID.

Lorsqu’on lui a demandé des éclaircissements sur les règles COVID qui pourraient être mises en œuvre, l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a déclaré que rien n’est exclu.

Souvenez-vous de cette phrase : Rien n’est exclu.

Cela pourrait impliquer de rassembler les non vaccinés et de les placer dans des camps d’isolement et de quarantaine.

Un consortium universitaire composé de six universités a déjà un contrat avec le département américain de la Sécurité intérieure pour fournir une formation aux parties prenantes du gouvernement, des forces de l’ordre, des soins de santé et du secteur privé sur la façon de mettre en quarantaine « de grandes parties » des communautés rurales.

Mais la volonté de numériser la vie des Américains commencera dans les villes et se déplacera vers l’extérieur.

Le maire de New York, Bill de Blasio, est devenu le premier homme politique à saisir l’occasion d’exiger des passeports vaccinaux.

Malgré ce que l’on essaie de vous dire, séparer les Américains par statut vaccinal est une première historique. Cela n’a jamais été tenté auparavant, pas à travers les épidémies de polio ou de variole des années 1920, 30 et 40, pas pendant la grippe espagnole. Jamais.

De Blasio a ordonné aux entreprises de refuser le service aux non vaccinés, qui représentent 30 % de la population de la ville. Il reste à voir comment de Blasio appliquera cet édit. Appelera-t-il la police pour qu’elle ferme les entreprises qui n’exigent pas de leurs clients qu’ils montrent leurs papiers ?

Le gouverneur de New York Andrew Cuomo vise également des mandats de passeport vaccinal dans tout l’État, mais sait qu’il doit être un peu plus diplomatique dans son approche.

« Les entreprises privées, je leur demande et leur suggère de passer à l’admission uniquement pour les vaccinés. Passez à l’admission uniquement pour les vaccinés », a déclaré Cuomo lors d’une conférence de presse le 2 août.

« Je crois qu’il est dans votre propre intérêt commercial », a-t-il dit, « de gérer un établissement réservé aux vaccinés…. Nous avons des applications, dites simplement « vous devez montrer que vous avez été vacciné lorsque vous franchissez la porte. » »

En d’autres termes, « Montrez vos papiers ».

Pensez à ce que Cuomo dit ici.

Il « demande » avec force aux propriétaires d’entreprise d’éliminer 30 pour cent de la population de l’État de leur champ de clients potentiels et de les traiter comme des non-personnes.

Ceci est du pur fascisme et rappelle la propagande nazie qui a contraint les Allemands à refuser de faire des affaires avec les Juifs.

Si les propriétaires d’entreprise de New York écoutaient Cuomo, ils rendraient impossible aux personnes non vaccinées de nourrir leurs enfants.

Apprenez vos droits médicaux en tant qu’employé, étudiant, etc., et comment « dire non à l’aiguille » sur HealthyAmerican.org de Peggy Hall 

Les passeports numériques exigent que les gens téléchargent un code QR numérisable sur leur téléphone portable qui permettra aux entreprises de savoir qu’elles ont été vaccinées avant d’être autorisées à entrer et à recevoir le service [acheter ou vendre].

Cela nous amène à la deuxième étape du piège numérique qui cuit dans le four technologique – un nouveau système d’identification numérique mondial capable de fonctionner conjointement avec les passeports sanitaires numériques et le nouveau complexe médico-vaccinal.

Le leader de ce courant technologique est l’Alliance ID2020, une collaboration de plus de 35 membres dont Accenture, Microsoft, la Fondation Rockefeller, MasterCard, IBM, la Chambre de commerce internationale, MIT SafePaths et GAVI Global Vaccines Alliance de Bill Gates.

En février 2021, ID2020 a lancé le Good Health Pass Collaborative pour encourager une convergence transparente de toutes les applications d’accréditation des vaccins anti-COVID-19 développées par de nombreuses organisations différentes.

« Les certificats vaccinaux en papier peuvent être facilement falsifiés », prévient l’Alliance ID2020 dans un communiqué. « Le but des informations d’identification de santé est de prouver en toute sécurité qu’une personne a reçu un vaccin ou un test PCR. La nouvelle alliance cible particulièrement les voyages pour garantir que les informations d’identification fonctionnent de manière transfrontalière, intersectorielle et sans friction. »

L’alliance a publié un livre blanc sur le sujet pour ceux qui recherchent plus de détails.

Une autre pièce du puzzle techno-fasciste en évolution est la nouvelle monnaie numérique.

Les banques centrales du monde travaillent sur une monnaie numérique programmable basée sur la technologie de la chaîne de blocs. Cela signifie qu’ils seront en mesure de suivre vos dépenses et de vous couper les vivres pour quelque raison que ce soit.

Le Fonds monétaire international a publié un article sur son site Web en juillet, saluant l’Inde comme un leader mondial dans la lutte pour éliminer les espèces. Et bien sûr, la COVID a été mentionnée comme accélérant l’abandon du papier-monnaie. Le FMI a noté :

« La COVID-19 a accéléré l’utilisation des paiements numériques sans contact pour les petites transactions alors que les gens essaient de se protéger du virus. Ces avancées s’appuient sur India Stack, un système complet d’identité numérique, de paiement et de gestion des données sur lequel nous écrivons dans un nouvel article (Carrière-Swallow, Haksar et Patnam 2021). »

Comme vous pouvez le voir dans la déclaration ci-dessus, l’objectif est une identité numérique complète, combinant ses données de santé et son statut vaccinal avec des données bancaires et d’autres données personnellement identifiables.

Klaus Schwab nous a prévenus à l’avance du piège que lui et ses copains élitistes nous tendaient.

« La quatrième révolution industrielle conduira à une fusion de nos identités physique, biologique et numérique », a déclaré Schwab au Chicago Council on Global Affairs en novembre 2020.

Même avant cela, dans son livre de 2018, Shaping the Future of The Fourth Industrial Revolution, Schwab a écrit :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle ne s’arrêteront pas de faire partie du monde physique qui nous entoure, elles feront partie de nous.

« En effet, certains d’entre nous ont déjà le sentiment que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes d’aujourd’hui, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront presque certainement implantables dans notre corps et notre cerveau.

Lorsqu’il a écrit ces idées grandioses en 2018, cela ressemblait à la tarte dans le ciel des rêveries d’un futuriste déconnecté et peu y ont prêté attention. Post COVID, c’est sous notre nez et prêt à être mis en œuvre.

La dernière étape du programme technologique pour contrôler l’humanité est que les géants de la Big Tech travaillent ensemble pour éliminer toutes les voix dissidentes d’Internet. Leur objectif ultime est de créer un système où tous les utilisateurs ont un passeport Internet, sous réserve d’un examen périodique de votre activité en ligne.

Les géants de la Big Tech ont déjà déclaré qu’ils partageaient activement des informations dans le but de réprimer les « suprémacistes blancs » dans le cadre du Global Internet Forum to Counter Terrorism, un organisme auparavant réservé pour cibler les talibans et al-Qaïda. 

PayPal a annoncé qu’il travaillerait avec l’Anti-Defamation League notoirement marxiste pour parcourir l’Internet, à la recherche de voix « extrémistes » et « anti-gouvernementales » afin de rendre inactif leurs boutons de don PayPal.

Dans le cadre de ce système de notation sociale à la chinoise, les coupables d’infractions en ligne sont publiquement humiliés et réduits au silence. Les collecteurs d’informations sont payés pour dénoncer leurs voisins et les membres de leur famille. Une fois que votre pointage de crédit social descend en dessous d’un certain niveau, vous devenez tellement discrédité qu’il devient de plus en plus difficile de trouver un emploi, de voyager en avion, en train, en bus ou en voiture, d’obtenir des prêts ou d’inscrire vos enfants dans les meilleures écoles.

Ceux qui fournissent des informations qui vont à l’encontre le narratif seront signalés, avertis, et finalement bloqués en tant que diffuseurs de « désinformation ».

Vous perdez votre liberté d’expression, mais ce n’est pas tout.

Dans la société d’aujourd’hui, être retiré d’Internet signifie que vous ne pourrez pas acheter ou vendre en ligne ou effectuer un travail nécessitant une connexion Internet.

Ainsi, les passeports sanitaires, actuellement en cours de déploiement dans le monde entier, vous empêcheront d’acheter en personne de la nourriture et des produits de première nécessité, tandis que le prochain passeport Internet vous empêchera de commander vos produits de première nécessité en ligne. Vous vous retrouverez essentiellement avec le marché noir, en supposant qu’il y en ait un pour ceux qui sont jugés « impurs » et « impropres » pour le monde moderne en raison de leurs opinions dissidentes.

Toutes ces technologies fusionneront à l’intersection du Big Data, des grandes banques, de la Big Tech et du grand gouvernement. Votre pointage de crédit social sera désormais lié non seulement à votre activité sur Internet, mais aussi à votre compte bancaire et à votre statut vaccinal. Bienvenue dans la Grande réinitialisation, alias Nouvel Ordre Mondial.

Ajoutez les avancées de l’IA et de la reconnaissance faciale et des millions de caméras de surveillance et vous parlez d’un État esclavagiste verrouillé qui fait ressembler 1984 de George Orwell à un club de vacances.

Mais ne vous plaignez pas. Tout cela est « pour notre sécurité ».

On ne peut pas faire confiance aux gens pour faire ce qu’il faut, croire aux faits réels, mener le genre de vie qui aboutit à une société paisible et heureuse. Tous doivent se conformer aux nouveaux maîtres.

Il est maintenant temps de combattre ce système. Mais pour le combattre, vous devez reconnaître son existence et garder une longueur d’avance sur la stratégie maléfique de la cabale.

À un moment donné, la trappe se refermera. Il sera trop tard pour se retirer. Vous vous conformez ou devenez une non-personne. Un ennemi de l’État.

Ces voies distinctes d’évolution technologique finiront par fusionner pour créer une société dans laquelle tout, et chaque personne, est suivi numériquement. Pas seulement le mouvement de leur corps physique, mais leurs actions, leurs comportements et même leurs pensées.

Les élites comptent sur nous pour accepter ce système à ses débuts, fragmentés. La plupart des gens pensent de manière compartimentée. Ils ne relient pas les points. Ils seront trompés.

Les élites ne vont pas vous dire d’emblée tout ce qui est impliqué dans la quatrième révolution industrielle. Ils vont juste vous dire les parties qui semblent bonnes – commodité, inclusion, sûreté, sécurité.

Regardez la vidéo effrayante de 42 secondes publiée par le gouvernement australien exhortant les gens à créer une identité numérique (en anglais).

Une fois cette trappe fermée, il sera très difficile de sortir de ses griffes. Ne téléchargez pas d’applications, payez en espèces chaque fois que c’est possible, et arrêtez de marcher en somnambule vers le Nouvel Ordre Mondial.

Lisez l’article complet sur LeoHohmann.com.

[HGJ :] Ce que j’ai fait pour réduire mon empreinte numérique, c’est que j’ai acheté un téléphone « stupide » et ai désactivé le paramètre de localisation qui fonctionne sur les téléphones mobiles. Il n’a pas de fonction GPS et ne peut donc pas me suivre. J’ai acheté le livre de cartes à l’ancienne et j’apprends à naviguer à l’ancienne. Le téléphone stupide ne peut pas prendre d’applications et ne peut donc jamais être utilisé pour la lecture de code QR.

Pour faire mes courses, je sors une liasse d’espèces au guichet automatique à l’extérieur d’un centre commercial et n’utilise que de l’argent liquide dans n’importe quel magasin, n’importe où. Recommençons tous à utiliser de l’argent liquide, partout.


[Voir aussi, en vrac :
Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »
Un passeport vert pour un État mondial numérisé
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Qui est l’Antéchrist ?
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier
Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?
Les micropuces de Bill Gates
L’après COVID-19: la médecine des ASSASSINS FINANCIERS par l’ÉTAT PROFOND, pour toutes les Nations ?
Pourquoi les mondialistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vaccination de 100 % ?
Le pass sanitaire et son QR Code associé permettront à terme de faire accepter aux gens la puce RFID
Note sur les manifestations sous le règne du NOM
L’opération Covid-19 met à nu le “Nombre de la Bête”
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Les 13 étapes machiavéliques !
Les pensées sont libres – mais avec la digitalisation mondiale, c’est fini !
Les camps FEMA, les sans domicile fixe et la puce RFID
Nous nous dirigeons à présent vers la tyrannie totale en Occident
Le passeport sanitaire est-il un prélude à l’apartheid ?
Accepter ou refuser l’implant
Bitcoin et autres monnaies cryptées : instruments de libération ou de contrôle ?
Pourquoi le NOM nous fragilise ?
Catherine Austin Fitts, ancien membre de l’administration Bush (père) : « Un virus magique pour un coup d’État parfait »
Si, Bill Gates a bien dit que nous aurions besoin de passeports numériques pour les vaccins
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
L’entreprise Citrix s’attend à ce que les travailleurs aient des « puces implantées » d’ici l’année 2035
Dr Joseph Mercola : Une biopuce injectable pour la détection du SARS-CoV-2 sera prochainement approuvée par la Food and Drug Administration
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le langage humain bientôt obsolète, prédit Elon Musk]




Prochaine émission de Radio-Courtoisie avec l’avocat allemand Reiner Fuellmich

[Source : courriel]

Par Olivier Tournafond

« Notre prochaine émission sur Radio-Courtoisie aura lieu mardi prochain 24 août en direct de 18 h à 21 h depuis la Suisse sur le thème « La résistance à l’oppression sanitaire ». 

Nous pourrons pendant la première heure et demi interroger l’avocat allemand Reiner Fuellmich qui a instruit une plainte pour crime contre l’humanité à l’encontre des principaux responsables politiques occidentaux. 

La seconde heure et demi nous permettra de faire ensuite le point avec le docteur Godeau, ancien directeur de recherche à l’Inserm, le docteur Rouyer psychiatre et mon collègue Cyrille Dounot professeur de droit à Clermont-Ferrand.

L’entretien avec Reiner Fuellmich aura lieu en français et en allemand grâce à deux intervenants polyglottes qui ont accepté très aimablement de nous aider. Maître Pierre Favrod-Coune, docteur en droit et notaire en Suisse et Elisabeth DUBOIS [pseudonyme] docteur ès-science. L’un comme l’autre parlent parfaitement l’allemand et ont une excellente connaissance de la crise qui se déroule en ce moment. Ils servirons d’interprètes tout au long de l’émission et nous vous invitons à faire de la publicité pour celle-ci auprès du public suisse germanophone et aussi allemand. 

Les auditeurs sont encouragés à poser des questions à Reiner Fuellmich et aux différents intervenants. »




Manifs, grèves, blocages, boycott… quelle solution pour sortir de ce cauchemar ?

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Pierre-Émile Blairon

Portrait d’une bobo décervelée

J’ai lu récemment l’article d’une journaliste, rédactrice en chef (adjointe) d’un quotidien luxembourgeois, lequel a la grande intelligence de revendiquer clairement sa périodicité puisqu’il s’appelle Le Quotidien ; c’est sans doute la limite de son engagement déontologique. La dame de s’extasier sur le fait que les Européens, et surtout les Européennes (puisqu’elle semble être une féministe convaincue) ne sont pas à plaindre puisque notre société européenne privilégiée ne leur impose qu’un tout petit pass sanitaire pour des démarches autrefois évidentes et naturelles, obligation qui n‘existait pas avant l’invention du Covid 19.

Cette brave petite bourgeoise hédoniste, dont la vie semble s’être coincée béatement dans un épisode de l’interminable feuilleton américain Les Feux de l’amour, de nous décrire avec effroi la condition de la femme partout ailleurs dans le monde, en Hongrie (l’homosexualité), en Iran (la répudiation), en Pologne (l’avortement), en Chine, en Inde, en Corée du Nord, etc… J’ai noté en esquissant un sourire narquois que les deux seuls pays européens où la liberté de la femme n’existe pas pour la donzelle sont la Pologne et la Hongrie. Avec ça, c’est une « femme libre » qui ne prend pas ses directives au… Luxembourg, siège des institutions de l’Union européenne.

« Par chance », dit-elle, « je suis une femme libre, vivant en France et travaillant au Luxembourg. Avec mes privilèges. Avec pour seul souci aujourd’hui d’avoir à présenter un QR code à l’entrée d’un restaurant ou d’un cinéma […] Se comparer aux victimes de dictature et de génocide, c’est indécent […] Allez savoir pourquoi, quand on a des problèmes de riches, on se fout éperdument de la misère des autres », conclut-elle avec une totale hypocrisie et une désinvolture assumée qui illustre bien l’adage : Après moi, le déluge.

Il convient de remarquer que le petit État du Luxembourg est le plus riche d’Europe (125 000 dollars de revenus annuels par habitant), que les seuls immigrés qu’il accueille sont de richissimes évadés fiscaux et que le seul acte de délinquance notable en 2021 a été le vol d’une serviette de bain au Sofitel local.
J’ai voulu avec cet exemple haut en couleurs (celles de l’arc-en-ciel LGBT ?) vous donner la mesure du niveau d’inconscience, d’égoïsme, d’incompétence, d’inculture et de stupidité des bobos covidistes.

Georges Bernanos - France contre robots

Oui, c’est vrai, désormais, deux peuples s’affrontent dans notre pays et dans tous les pays du monde : celui des lobotomisés et celui des éveillés.
Il faut rappeler à ce sujet les propos visionnaires de Georges Bernanos dans son livre, La France contre les robots (1974) :

« Je pense depuis longtemps que, si un jour, les méthodes de destruction de plus en plus efficaces finissent par rayer notre espèce de la planète, ce ne sera pas la cruauté qui sera la cause de notre extinction, et moins encore, bien entendu, l’indignation qu’éveille la cruauté, ni même les représailles et la vengeance qu’elle s’attire, mais la docilité, l’absence de responsabilité de l’homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public. Les horreurs auxquelles nous avons assisté, les horreurs encore plus abominables auxquelles nous allons maintenant assister, ne signalent pas que les rebelles, les insubordonnés, les réfractaires sont de plus en plus nombreux dans le monde, mais plutôt qu’il y a de plus en plus d’hommes obéissants et dociles. »

Que faire ?

Dix-huit mois maintenant que les lanceurs d’alerte ont prévenu les populations du projet maléfique en cours : Employer tous les moyens pour réduire drastiquement la population planétaire, qui est l’un des buts principaux de l’instauration de cette dictature mondiale pseudo-sanitaire.
L’un de mes premiers articles sur le sujet s’intitulait : Objectif Covid : soumission et robotisation de la population planétaire (publié dans ces colonnes le 1er août 2020). Il manquait un terme pour définir plus précisément le projet, qui, nous le savons maintenant comportait trois phases et non deux : c’était le mot : réduction, c’était même le plus important à insérer chronologiquement entre le mot soumission et le mot robotisation. Nous sommes en effet entrés en phase 2 de l’opération. La phase 1 : soumission est une réussite (presque) totale du pouvoir mondial. C’est dans ce « presque » que nous nous situons : le petit grain de sable qui vient détraquer la machine.

Nous avons largement expliqué tout au long de ces dix-huit mois, le processus satanique engagé par la caste ploutocratique au pouvoir dans le monde (voir les articles de mes confrères et les miens sur ce même site, et mon livre(1) qui recueille les articles que j’ai écrits sur le sujet). Nous avons mis à jour les modalités de mise en place de cette manipulation et dénoncé cette tyrannie qui n’a jamais caché ses objectifs les plus effrayants. Nos pires craintes, auxquelles nous avions du mal à croire nous-mêmes, se confirment jour après jour. Il est désormais trop tard pour tenter de convaincre qui que ce soit.

Pour prouver nos dires, il nous a souvent suffi de simplement citer les paroles ou les écrits des représentants de la secte qui, nous ne le dirons jamais assez, ne cachent pas leurs intentions comme s’ils voulaient ajouter une dose de sadisme à leur projet diabolique.

La secte mondiale qui dirige la guerre contre les peuples tire ses ficelles avec méthode, appliquant à la lettre le programme qu’elle s’était fixé.

Comment la combattre ? Le premier stade consiste, en l’état actuel de la situation, à employer tous les moyens légaux à disposition des citoyens, ce qui se définit globalement par l’expression « résistance passive ». Ces moyens doivent être utilisés simultanément, ce qui implique l’investissement actif de chaque citoyen responsable, de manière constante. Cette démarche a été pertinemment décrite par Georges Gourdin dans son livre Sabotage, appel à la grève des consommateurs(2).

Les manifestations

Les Français ont mis un temps fou à se réveiller ; c’en était désespérant surtout à cause du manque de communication ; les personnes éveillées, qui ont rapidement compris l’arnaque globaliste, ne pouvaient se connaître que par les réseaux sociaux jusqu’à ce que Florian Philippot organise un peu partout en France des rassemblements qui ne réunissaient au tout début de l’opération que quelques dizaines de personnes ; il faut saluer la lucidité et la détermination du seul personnage politique en France qui a eu le courage de ne pas se soumettre aux diktats de la caste mondiale représentée en France par celui qui nous sert accessoirement de Président.

Florian Philippot a tellement réussi dans son entreprise que, désormais, ce sont des centaines de milliers de personnes qui défilent en France chaque samedi pour réclamer l’abrogation de ce pass sanitaire.
Il nous faut remarquer qu’un nombre non négligeable de manifestants porte le masque, symbole de soumission, ce qui prouve que ces personnes ne rejettent pas en bloc la Grande Manipulation, et qui démontre donc aussi la force des méthodes de conditionnement qui permet d’arriver à ce stade d’incohérence.

Ces rassemblements ont le mérite de révéler l’ampleur du mécontentement, même en l’absence de toute retombée médiatique, puisque les médias entièrement soumis au Pouvoir, évitent soigneusement de parler de ce mouvement de contestation de fond ou bien le minimisent. Les défilés, organisés dans la quasi-totalité des villes françaises de plus de 5 000 habitants, interrogent la population française passive, spectatrice de ces mouvements de foule, qui prend conscience que les médias subventionnés lui cachent la vérité quant à l’importance de la contestation. Mais l’expérience malheureuse des Gilets Jaunes nous apprend qu’un mouvement populaire et patriote qui ne se manifeste que par la puissance du nombre ne peut durer bien longtemps pour quatre raisons :

  1. Il sera dans un premier temps nié par la presse aux ordres ; nous venons d’en parler et on sait la puissance, à l’heure actuelle, des méthodes de conditionnement employées par les gouvernants.
  2. Il sera rapidement récupéré politiquement par les « résistants de la dernière heure » qui accrochent leur wagon à la locomotive (LFI, RN, syndicats…) et vont donc casser l’unité du mouvement.
  3. Le Pouvoir va monter en épingle et détourner certains comportements pour discréditer le mouvement quant à ses revendications légitimes (affaire Cassandre).
  4. Et, en dernier lieu, il va envoyer ses chiens de garde semer le chaos et la terreur (meutes gauchistes, black blocs, faux policiers, etc…) pour enterrer définitivement la contestation.

Continuons cependant à manifester tant qu’il est possible de le faire ; la fronde peut reposer son organisation sur un leader dynamique, ce qui n’était pas le cas du mouvement des Gilets Jaunes. Il sera tant de prévoir des mesures de contournement quand on sera arrivé au stade(4).

En ce qui concerne ces mesures de contournement, les autres moyens d’action donc, reportons-nous à nouveau au livre de Georges Gourdin avec, cependant, une remarque : la caste mondiale impose un train d’enfer (sic) à la mise en place de son projet ; elle essaie de verrouiller le processus avant que l’ensemble des peuples, ou tout au moins une masse critique de citoyens, ne se rende compte de la manipulation. Il nous faut donc privilégier les mesures de rétorsion dont la mise en œuvre est immédiate.

Georges Gourdin préconise la grève des consommateurs qui s’articule autour d’un changement des mentalités et des habitudes de consommation : le retour aux produits de qualité (qui ne sont pas nécessairement les plus chers), le recours aux déplacements brefs favorisés par le choix des achats chez des commerçants, artisans ou producteurs locaux (localisme), ou la création des conditions de sa propre autonomie, alimentaire (potager) ou autre lorsqu’on dispose des moyens et des compétences nécessaires à mettre en œuvre cette autosuffisance.

Boulangerie traditionnelle

Dans l’immédiat, il faut profiter des failles et des incohérences du Système ; juste deux exemples :

• ainsi, pour punir les non-vaccinés, le gouvernement leur interdit l’accès aux grands centres commerciaux. Chouette ! 
L’occasion ou jamais de faire connaissance avec son boulanger au coin de la rue (celui qui ne demande pas le pass) et boycotter le rayon de la grande surface ; pourtant, il entre dans le projet du Pouvoir de faire disparaître tous les petits indépendants, et ce sont, au contraire, les grandes surfaces qui seront pénalisées. Tout au moins si les non-vaccinés n’entrent pas dans la logique idiote des gouvernants. En effet, ces derniers pensent que ces réfractaires ne le resteront pas longtemps parce qu’ils les jugent assez stupides pour se faire injecter n’importe quel produit dans le corps pour conserver leur habitude du samedi matin, celle qui consistait à faire leurs courses à Carrefour dans une ambiance de « fête » pour « profiter » des promotions…

• Autre exemple : tout le monde a pu remarquer la marche arrière du gouvernement sur les contraintes initialement imposées au routiers (dont les restaurants attitrés ne sont pas soumis à l’obligation du pass) et aux motards (dont la prescription du contrôle technique pour leurs véhicules a été retirée, à peine évoquée). Ces deux catégories de Français ont au moins un point commun : ils sont capables de tenir la route, expression prise dans les deux sens ; les routiers et les motards sont suffisamment solidaires et motivés pour déclencher, par exemple, le blocage des voies de communication à l’appel de leurs représentants, syndicaux ou pas, blocage qui mettrait rapidement toute l’économie du pays en panne alors qu’il serait difficile aux forces de police d’agir par la force sans provoquer un surcroît de tension et la production de l’étincelle qui mettrait le feu aux poudres.

Il existe vraisemblablement d’autres actions intelligentes et efficaces à mener. Le Pouvoir est un colosse aux pieds d’argile car la vanité de ses représentants leur cache les réalités du monde vrai, tel qu’il est, et non pas tel qu’ils aimeraient qu’il soit.

Pierre-Émile Blairon


(1)

Pierre-Émile Blairon - Iceberg
L’Iceberg : la Tradition primordiale contre le Titanisme (2021)
Éditions : La diffusion du lore

(2)

Couverture - une - Dualpha
Sabotage ! Sabordons la société de consommation !
Éditions FrancePhi Diffusion



Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Par Hannibal Genséric

Il existe un exemple célèbre de Derren Brown utilisant la programmation neurolinguistique (« PNL ») pour influencer la sélection d’un cadeau par Simon Pegg. Brown est un illusionniste, mentaliste, hypnothérapeute et auteur britannique bien connu.

Sur la base du scénario – « Imaginez, au lieu d’essayer de déterminer ce que votre amie compliquée veut pour son anniversaire, vous pourriez simplement sortir, acheter ce que vous voulez et la convaincre ensuite que c’est ce qu’elle veut, la vie serait beaucoup plus facile » – Brown démontre l’hypnose conversationnelle utilisant des techniques telles que l’ancrage, les repères visuels, la suggestion et le remplacement.

En tant que technologie, la PNL a une feuille de route incroyable pour initier un changement rapide et efficace chez les individus et les groupes.

Si vous demandez à 10 personnes, vous obtiendrez 10 réponses différentes mais quand vous arrivez au point crucial : la PNL est là, une forme secrète d’hypnose directe. Comme pour toutes choses, la PNL peut être utilisée pour le bien ou pour le mal. Cela dépend de l’intention de ceux qui l’utilisent. L’utilisation néfaste des techniques de la PNL, le côté obscur de la PNL, peuvent, selon toute probabilité, être utilisés à la fois pour le contrôle de l’esprit et le lavage de cerveau.

Les hypnothérapeutes ont remarqué des techniques flagrantes d’hypnose et de PNL utilisées par le gouvernement britannique et les médias contrôlés/hérités par l’État pendant la « pandémie ». Miss Anthropist 2.0 résume ces techniques dans un fil Twitter :

Le Fractionnement. Vous leur faites faire quelque chose non pas une fois, mais encore et encore, en augmentant le niveau d’intensité à chaque fois. Habituellement, vous le faites 3 fois (remarque : nous avons eu 3 blocages/enfermements). Cela augmente la conformité – vous êtes beaucoup plus susceptible de les amener à faire ce que vous voulez.

Un ensemble de « oui ». Faites-leur dire « Oui » à quelque chose de petit au début (2 semaines pour « aplatir la courbe »), puis augmentez progressivement (des mois de verrouillage, Noël annulé, contraignez-les socialement/économiquement à se faire vacciner). De cette façon, ils sont beaucoup plus susceptibles de continuer à dire oui.

La Confusion. Gardez-les dans un état constant d’incertitude. L’esprit conscient répond en « se déconnectant » alors qu’il recherche la réponse appropriée pour quelque chose pour laquelle il n’a aucun précédent. Il est alors beaucoup plus facile pour le manipulateur d’accéder à l’inconscient et de changer les systèmes de croyances. Par exemple, les règles de verrouillage changent pratiquement au jour le jour ; nous vivons dans un monde dans lequel nous n’avons jamais vécu auparavant, tout le monde trébuche sans savoir comment se comporter. Nous n’avons plus d’énergie pour combattre nos oppresseurs.

La Répétition. Répétez les mêmes informations encore et encore.

L’Illusion du choix. Faites-leur croire qu’ils ont le contrôle en leur donnant 2 choix, qui conduisent tous deux au même résultat. Par exemple, « Voulez-vous le Pfizer ou l’Oxford ? » ou « Vous pouvez choisir d’être bon ou mauvais. Mauvais = plus de verrouillage. Bon = plus de verrouillage ».

La preuve sociale. Images et vidéos de stars de cinéma et de télévision, de musiciens et de sportifs recevant leur piquouze. « Regardez, toutes ces grandes célébrités la prennent et  soutiennent ! »

La Rareté. « Vous devrez attendre votre tour pour le vaccin… nous en allons peut-être en manquer ! », pour créer une augmentation du nombre de personnes qui s’inscrivent pour leur vaccin, augmentant ainsi l’adoption ».

Le Groupe consultatif scientifique pour les Urgences (Scientific Advisory Group for Emergencies « SAGE »), qui conseille le gouvernement britannique, s’appuie également sur des sous-comités d’experts pour des conseils spécifiques Covid-19. Ces sous-comités comprennent : NERVTAG ; SPI-M ; et, Scientific Pandemic Influenza Group on Behaviors (« SPI-B »). Le groupe scientifique sur la grippe pandémique sur le comportement et les communications (« SPI-B&C ») a conseillé SAGE lors de la « pandémie falsifiée » de grippe porcine de 2009/10. Bien que la grippe porcine de 2009/10 soit « l’un des plus grands scandales médicaux du siècle », le SPI-B&C s’est réuni de nouveau en février 2020, cette fois, son mandat était limité au comportement et il a été renommé SPI-B.

Lors d’une réunion le 22 mars 2020, le SPI-B a proposé l’utilisation de la peur – « sentiment de menace personnelle » – par le biais des médias et de l’intimidation – « l’utilisation de la désapprobation sociale en cas de non-respect » – contre le public britannique confiant. Le rapport du SPI-B indiquait également : « Il existe neuf grandes manières de parvenir à un changement de comportement : éducation, persuasion, incitation, coercition, habilitation, formation, restriction, restructuration environnementale et modélisation ». Après quoi, nous avons assisté à une campagne médiatique unifiée conforme à ces techniques, suivie d’un changement radical dans la perception et le comportement du public. Comment pouvons-nous appeler cela autrement que du lavage de cerveau ?

L’année dernière, la BBCCBCRadio Canada, le New York Times (alias Jew York Times) et Microsoft ont collaboré au projet Origin pour lutter contre la désinformation en utilisant une collaboration multipartite et inter-organisationnelle axée sur le contenu d’actualités et d’informations. De plus, plus tôt cette année, la BBC et Microsoft se sont associés à Adobe, Arm, Intel et Truepic pour créer la Coalition pour la provenance et l’authenticité du contenu (Coalition for Content Provenance and Authenticity (« C2PA ») : un organisme de normalisation bout-en-bout pour lutter contre la « désinformation , le mensonge et la fraude au contenu en ligne ».

C’est vraiment inquiétant étant donné que la BBC, qui a mis en œuvre les stratégies psychologiques de « pandémie » du SPI-B, est la plus grande machine de propagande que le monde ait jamais vue. Nous ne devrions pas croire tout ce que dit la BBC sans le vérifier auprès d’une autre source.

Des dizaines de psychologues ont depuis accusé le gouvernement britannique d’utiliser des « stratégies psychologiques secrètes ». En avril 2021, ils étaient tellement préoccupés par le fait que le public britannique avait fait l’objet d’une expérience de masse dans l’utilisation de stratégies qui fonctionnaient « en dessous de leur niveau de conscience » qu’ils ont déposé une plainte formelle auprès de leur organisme professionnel, pour décider si le gouvernement conseillers s’étaient rendus coupables d’un manquement à l’éthique.

Comme si SAGE et BBC ne suffisaient pas à faire face à la psyché du public, il est de notoriété publique depuis au moins mai de l’année dernière que la 77e brigade, qui fait partie de l’armée britannique, fait partie de la stratégie de communication de Covid-19. Les activités de la 77e brigade comprennent la guerre de l’information et le « soutien à l’activité d’information contre-accusatoire », qui comprend « la création et la diffusion de contenu multimédia numérique et du contenu média plus large à l’appui de tâches désignées ».

Depuis au moins avril 2020, Google et le GCHQ, l’organisation britannique de renseignement sur les transmissions, travaillent au sein du National Health Service (« NHS »). Nous devons nous demander pourquoi les compétences de l’armée et des agences de renseignement sont nécessaires pour « servir et protéger » la population britannique contre un coronavirus, dont plusieurs peuvent infecter les humains comme ils l’ont fait, chaque année, pendant des décennies.

L’utilisation de techniques de PNL contre la population britannique par ses propres institutions publiques peut, pour certains, sembler de la folie, comme si le « monde est devenu fou ».

Mais « ce n’est pas de la folie. Ce à quoi nous sommes confrontés est calculé et c’est une erreur de l’appeler « folie », car c’est très précis ; c’est très calculé », a déclaré Brian Gerrish lors d’un entretien avec Stiftung Corona Ausschuss (ou Comité d’enquête Corona). Gerrish, après avoir passé vingt et un ans dans la Royal Navy, a fondé avec Mike Robinson la UK Column (colonne britannique). Ensemble, ils étudient l’utilisation de la psychologie comportementale appliquée par le gouvernement britannique depuis plus de 20 ans.

Depuis 2010/11, une équipe de psychologues, la Behavioral Insights Team (« BIT »), travaille directement aux côtés non seulement du processus politique, mais aussi du processus d’élaboration des politiques au sein du gouvernement britannique. Dans un document de 2010, « Mindspace », le gouvernement britannique s’est vanté de pouvoir changer la façon dont les gens pensent et se comportent, et que les gens ne savent pas que cela leur a été fait.

Le Franco-British Council, une organisation caritative créée pour « améliorer les relations entre la Grande-Bretagne et la France », a en réalité servi de façade pour rassembler les équipes de psychologie politique de la Grande-Bretagne et de la France afin de produire des plans communs. « Il était très clair qu’il y avait eu des efforts concertés pour étendre l’utilisation de ces techniques : non seulement de la Grande-Bretagne et de la France, mais l’implication à l’époque était que ces techniques allaient être utilisées à travers la base de pouvoir plus large de l’Union européenne », a déclaré Gerrish.

Avançons rapidement jusqu’en 2019. Très tôt lors de la « pandémie de Covid », SAGE a eu une réunion interne avec des éléments du TBI du gouvernement. Une fiche d’information de la réunion « a admis que l’équipe SAGE et la politique du gouvernement sur le coronavirus allaient utiliser la psychologie appliquée afin d’intensifier la peur dans la population, afin d’amener la population à adhérer plus étroitement à la politique du gouvernement sur la réponse au coronavirus », a déclaré Gerrish.

Le BIT a utilisé, entre autres, la PNL afin d’influencer pratiquement tous les documents produits par le gouvernement. « Chaque déclaration faite par le gouvernement, chaque morceau de papier qui sort, est invariablement très soigneusement conçu, il est très soigneusement assemblé », a déclaré Gerrish.

Enfin, mais certainement non négligeable, il y a le Common Purpose : une organisation profondément sinistre avec des milliers d’agents disposant de pouvoir et d’influence au Royaume-Uni. La formation, qui utilise la PNL, est conçue pour donner aux gens un nouvel ensemble de valeurs pour « conduire au-delà de l’autorité » et leur permettre d’assumer le pouvoir dans ce qu’ils appellent « une société post-démocratique ». Common Purpose a des membres dans le NHS, la BBC, la police, la profession juridique, l’église, bon nombre des 7 000 quangos britanniques (quango pour « quasi non-governmental organisation » est un organisme étatique plus ou moins indépendant du pouvoir exécutif), les conseils locaux, la fonction publique, les ministères du gouvernement, le Parlement, et il contrôle de nombreuses agences de développement régional.

Tout au long de la « pandémie », la plupart des pays ont suivi le même « script ». Quant à savoir où ce « script » a été écrit, Gerrish a déclaré : « Je suis très gêné de dire que je crois que [le siège] est au Royaume-Uni ».

Pour regarder le témoignage complet de Gerrish devant le comité d’enquête Corona, suivez ce LIEN, et la transcription peut être trouvée ICI

Comment pouvons-nous cesser d’être hypnotisés et nous libérer de leur charme ? Commencez par éteindre la télévision et sachez quelles ressources en ligne « les endoctrineurs » utilisent – ​​Google, YouTube, Facebook, Instagram, Twitter, « les vérificateurs de faits », etc. – et comment elles sont utilisées.

Faites vos propres recherches. Trouvez des sources médiatiques fiables et indépendantes à suivre. Rejoignez des groupes locaux qui se rencontrent et n’ont pas peur de discuter de la vérité. Ensuite, partagez, parlez ouvertement. En exposant et en diffusant des informations, nous pourrons peut-être aider les autres à « voir la lumière ». La vraie connaissance tue l’illusion qu’ils ont créée. Et en ce sens, la « pandémie » qui nous a été lancée pour nous faire peur pourrait en fait être la chose même qui va faire que les gens redeviennent des êtres humains.

Sources :




Monstrueux : l’Australie va « vacciner » de force 24000 enfants dans un stade

[Source : ripostelaique.com]

Par Martin Moisan

La symbolique nous glace d’effroi. L’information nous vient d’Australie où le gouvernement annonce qu’au cours d’un week-end, il va faire vacciner 24 000 enfants dans un stade placé sous protection policière afin d’en interdire l’accès aux parents. 

https://twitter.com/OSTERElizabeth1/status/1427541293320785920?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1427541293320785920%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.businessbourse.com%2F2021%2F08%2F17%2Fen-australie-24-000-enfants-seront-amenes-dans-un-stade-pour-les-vacciner-les-parents-nayant-pas-le-droit-dentrer-le-tout-sous-controle-policier-experimentation-de-therapie-genique-en-cours%2F
https://twitter.com/Elanders_Voice/status/1427384722490105856?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1427384722490105856%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fripostelaique.com%2Fvaccination-forcee-des-enfants-le-temps-est-au-rapport-de-force.html

https://www.businessbourse.com/2021/08/17/en-australie-24-000-enfants-seront-amenes-dans-un-stade-pour-les-vacciner-les-parents-nayant-pas-le-droit-dentrer-le-tout-sous-controle-policier-experimentation-de-therapie-genique-en-cours/

Plus aucun argument sanitaire ne tient pour justifier une telle mise en scène. On voit bien là que le gouvernement australien met en oeuvre et à dessein les pires méthodes totalitaires jamais vues dans l’Histoire. La symbolique parle d’elle-même. Pourquoi un stade, pourquoi une telle opération de masse, pourquoi cette mobilisation policière, pourquoi arracher ces enfants à leurs parents et les isoler dans une enceinte close, pourquoi cette mise en scène qui renvoie au pire de ce qu’a jamais connu la mémoire de l’humanité ? Pourquoi, si ce n’est pour affirmer une autre intention que la simple justification sanitaire ? A-t-on jamais vu une chose pareille autrement que sous la pire terreur des pires régimes totalitaires ? Jamais. C’est donc que la justification de la vaccination de masse n’est pas d’ordre sanitaire, mais d’un tout autre ressort.

Cette mise en scène démontre le caractère terroriste et absolument totalitaire de la vaccination de masse imposée par les mondialistes. Et du coup elle annule tout l’habillage sanitaire qui jusqu’ici justifiait la vaccination. Pourquoi devoir recourir à une telle brutalité et à une telle théâtralisation, si ce n’est parce que les intentions des promoteurs de cette gigantesque manipulation sont tout autres que simplement sanitaires ? A-t-on jamais vu une campagne de vaccination s’accompagner de telles mesures ?

La piquouze symbole de la folie nazie. Voyez la seringue sur le mémorial contre la guerre et le fascisme de Vienne. Voyez la mémoire qu’a laissée le nazisme : une seringue dans un bras supplicié par un médecin fou. L’expérience sur la personne humaine était une des folies des nazis, une folie matérialiste et prométhéenne. On sait quel était leur projet : l’éradication des races inférieures, des inutiles, la libération de l’espace vital pour les seuls Aryens. Quel est aujourd’hui le projet des mondialistes pour qu’ils emploient de telles méthodes et qu’ils affichent un telle référence ? En tout cas sûrement pas la seule lutte contre un quelconque virus.

“Schmattes”, les victimes des nazis, des loques. Quelle est la conception de l’homme que porte le projet mondialiste ? Pour parler des corps suppliciés de leurs victimes, les nazis employaient le mot yiddish de “Schmattes”, les chiffons, ou mieux, les loques… Pour les Allemands, les corps des Juifs étaient des poupées de chiffon, des loques qu’il fallait brûler. Épouvantable conception matérialiste, épouvantable déni d’humanité pour les siècles des siècles. Quelle est la conception de l’Homme que portent les mondialistes pour qu’ils recourent à leur tour aux mêmes symboles que les nazis ?

La personne humaine considérée par les mondialistes comme de la matière indifférenciée, la référence à la Shoah parfaitement justifiée. 24 000 innocents dans un stade… Le caractère massif de l’opération et sa symbolique épouvantable renvoient à la pire conception matérialiste de la personne humaine. Les mondialistes nous traitent, ils traitent nos enfants comme de la viande, comme les nazis traitaient les “Schmattes”, les loques. Il n’y a plus aucun doute là-dessus, et les victimes de la Shoah et leurs descendants ne devraient pas revendiquer l’exclusivité de la mémoire pour vitrifier tout débat sur ce point. Au contraire, car la comparaison est parfaitement fondée. Tout indique en effet qu’on est dans le même genre de processus, non encore complètement abouti certes, non encore complètement compréhensible, mais de même nature contre ce qu’il y a de plus fondamental dans l’Homme et dans l’humanité. Par ailleurs, la Shoah est désormais tombée en quelque sorte dans le domaine public. L’obligation de mémoire rendue universelle autorise de fait et comme par prolongement, l’utilisation de cette référence pour des analyses et des comparaisons historiques justifiées ; notamment quand les enfants sont séparés de force de leurs parents pour leur inoculer une substance inconnue et non testée. Car c’est bien de cela qu’il s’agit, et cette fois-ci de manière ostensiblement massive. Les victimes de la Shoah et leurs descendants, si elles veulent que jamais ces choses ne se reproduisent, devraient ouvrir le débat et ne pas figer la référence pour finalement la rendre stérile pour le reste de l’humanité. L’utilité de la mémoire humaine c’est de protéger l’humanité, pas seulement les descendants de telle catégorie de victimes.

L’épouvantable intention sous l’habillage sanitaire. Rien pour le moment, du moins dans l’information officielle disponible, ne permet de prouver de manière absolument certaine l’intention génocidaire, ou du moins un projet global de transformation massive de l’anthropologie humaine. Les méthodes, en revanche, et ce qu’il nous est possible de constater de la réalité du processus confirment qu’il s’agit bien d’autre chose que d’une simple lutte contre une quelconque pandémie. L’accumulation, le faisceau d’indices concordants, tout indique que le processus est d’une tout autre nature. Pire, la revendication totalitaire nettement affirmée par le pouvoir australien, mais aussi français et derrière la France, par un cartel de pays, démontre qu’il s’agit bien d’une entreprise qui ne pourrait pas se réaliser autrement que par l’emploi de moyens totalitaires. À moyens totalitaires, entreprise et projet totalitaires. Qui peut dire le contraire ?

L’affichage du caractère totalitaire de l’obligation vaccinale, preuve de l’intention mortifère. L’Australie assume la barbarie vaccinale comme les nazis assumaient l’holocauste. La vaccination massive et forcée des enfants est un signe très net de cette assumation. Il ne peut plus y avoir de doute, les méthodes confirment le caractère totalitaire du projet et donc son intention mortifère, contraire à la nature de l’Homme et à son caractère sacré.

Le temps n’est plus au prêche, il est au rapport de force et à l’action.

Martin Moisan




Le Calcul ou le Secret

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Alain Leduc, pour FranceSoir

TRIBUNE – « Seul un dieu peut encore nous sauver… » Nur noch ein Gott kann uns retten, cette phrase, le philosophe Martin Heidegger l’a prononcée lors de sa célèbre interview au journal allemand der Spiegel en 1966 (elle ne sera publiée que dix ans plus tard). Elle conclut son analyse pessimiste et résignée du destin de l’homme occidental(isé) au vingtième siècle, tout entier sous l’emprise de la technique et en particulier de ce que le philosophe appelle la cybernétique. À l’époque, l’informatique n’en était encore qu’à ses débuts et sans doute utiliserait-il aujourd’hui des termes plus familiers à nos oreilles tels que technologie numérique, monde virtuel ou encore I.A. (Intelligence Artificielle).

Si la pensée de Heidegger dans son ensemble ne suscite pas mon enthousiasme du fait notamment de son anthropologie « destinale » qui fait de l’être humain le sujet impuissant de forces historiques qui le dépassent, il faut tout de même rendre hommage à sa vision prophétique qui, loin de se borner à une conception purement instrumentale de la technique, entrevoit les terribles implications psychosociales de celle-ci sur le devenir même de l’homme, son créateur. La technique numérique, ce n’est pas seulement l’outil (hardware + software) qui rend une grande partie du travail humain superflu, qui oblige ceux qui l’utilisent à de permanentes mises à jour génératrices de stress, d’angoisse, de dépressions et qui permet insidieusement le traçage et le contrôle à distance des populations ; ce n’est pas une simple machine dont nous ne parviendrions pas encore à maîtriser toute la puissance. C’est bien plus que cela. L’informatique, en effet, ne se contente pas de rester à l’extérieur de nous-mêmes ou de modifier notre rapport au monde, comme l’ont fait avant elle la roue, l’écriture, l’imprimerie, la machine à vapeur ou le chemin de fer. Elle pénètre en nous. Elle infiltre jour après jour un peu plus notre esprit, nos modes de vie, notre relation aux autres, au monde et à nous-mêmes, nous incitant, sans que nous en ayons bien conscience, à nous comporter, à agir et à penser sur un mode binaire, algorithmique, calculateur, comme de petits robots. Et c’est pourquoi elle est, selon Heidegger, notre possible destin.

On pourrait bien sûr, à ce stade, opposer au pessimisme du philosophe tout ce que la technique informatique a rendu possible en matière de démocratisation des échanges, de diffusion des connaissances et de diversification des sources d’information. Ceux qui liront ces lignes sont bien placés pour le savoir. Mais ces apports incontestables, liés à un usage éclairé et maîtrisé de l’outil informatique, n’invalident malheureusement pas le phénomène massif d’aliénation des esprits et de formatage des comportements que l’on peut observer partout où cette technologie s’est implantée.

Pour comprendre l’origine de ce pouvoir sans précédent de fascination et d’imprégnation, il convient de revenir au fondement même de cette technique qui est de reconstituer le réel à partir du calcul. Cette définition permet à la fois de mesurer la vocation démiurgique de la technologie informatique, puisqu’il s’agit bel et bien de concurrencer la Création, mais aussi sa consubstantielle limitation. Le calcul suppose en effet une pensée froide, analytique, incapable d’insuffler la vie à sa re-création. Cette machine à calculer ne peut que copier, reproduire en le codant le matériau qu’on lui demande de traiter ; elle constitue en soi une approche appauvrie, simplifiée, stéréotypée du réel, ne serait-ce déjà que parce qu’elle fait fi du temps et de l’espace où se réalise pourtant notre humanité. Le monde qu’elle génère ne peut donc être qu’une surface, un reflet à deux dimensions, sauf si bien sûr elle parvient à persuader ses utilisateurs que ce n’est pas le cas, sauf si elle parvient à infiltrer suffisamment les esprits pour qu’ils finissent par lui reconnaître une sorte d’existence autonome, susceptible de cohabiter avec le monde réel, voire de rivaliser avec lui. Là se situe l’aspect diabolique de cette « méta-technique » et le grand danger qu’elle fait peser sur l’humanité.

Confrontée à cette menace, une société véritablement guidée par la sagesse et le souci de l’intérêt commun aurait pris d’infinies précautions. Elle aurait d’abord veillé à développer chez ses citoyens de solides capacités de réflexion critique en leur garantissant une éducation sainement enracinée dans l’expérience du réel, en les rendant sensibles à l’infinie beauté de la Création. Et elle aurait dans le même temps pris toutes les mesures techniques et législatives nécessaires pour empêcher que quiconque puisse utiliser cette puissance informatique à des fins de manipulation. Sur de pareilles bases, l’idolâtrie de la machine, les conduites addictives et l’empire de Big Brother auraient beaucoup de mal à prospérer. Mais la plupart des puissances politico-économiques des pays industrialisés n’ont pas fait ce choix, encourageant au contraire, via une ingénierie sociale de plus en plus performante, une confusion permanente entre le réel et le virtuel, laissant penser que ce qui se passe sur l’écran et dans les circuits intégrés possède plus d’efficience et donc plus d’intérêt que le détour fastidieux par le monde réel. Elles ont donc tout fait pour amplifier le pouvoir de fascination du virtuel dans lequel elles ont vu le moyen idéal de renforcer et d’étendre leur mainmise sur les peuples. Dans ce processus, il est à noter qu’à l’uniformisation des masses de plus en plus soumises à la gestion et au contrôle hypercentralisés de l’Intelligence Artificielle, répond celle des élites, désormais sans racines, sans attache territoriale, sans culture la plupart du temps, mais solidaires dans leur fantasme de domination absolue.

Dieu merci, cette infiltration, cette injonction subliminale à devenir des individus adaptés, stéréotypés et donc classables n’a pas fonctionné pleinement pour tout le monde. Beaucoup ont su résister, garder leur liberté intérieure, leur recherche de sens, leur élan vers la beauté, vers la nature, vers autrui, bref vers cette zone extérieure, non quantifiable et non numérisable, qui existe toujours déjà au delà de l’horizon que nous imposent nos PC et autres objets connectés. Beaucoup d’autres, hélas, se sont laissés séduire par le chant des sirènes, mettant progressivement leur pensée et leurs actes au diapason de cette nouvelle religion techno-centrée et de ses commandements, du genre : tu t’adapteras. Tu participeras activement au flux matriciel.(([1] Pour ceux qui savent déchiffrer les symboles, le « programme » du candidat Macron était de ce point de vue extrêmement explicite : soit vous êtes en marche, i. e. en fonctionnement (position « on »), soit vous êtes à l’arrêt (« off »).)) Tu préfèreras la compétition au partage et à la solidarité. Au lieu de perdre du temps à chercher le sens de ta vie, tu poursuivras des objectifs. Tu travailleras jour après jour à améliorer ton image. Même dans ta vie privée, tu t’efforceras de rester connecté, etc., etc. On pourrait synthétiser toutes les atteintes portées par la technologie numérique à notre humanité profonde sous le terme de dépossession. Dépossession instrumentale (perte du sens de nos métiers, dépendance croissante à toutes sortes d’applications chargées de nous simplifier la vie), et, bien plus grave, dépossession de notre autonomie de pensée : normes intégrées, « valeurs » intériorisées, réflexes conditionnés, velléités critiques autocensurées (le politiquement correct)… Tous, à différents degrés, nous avons été amenés à subir cette dépossession de nous-mêmes, phénomène pouvant aller dans certains cas jusqu’aux addictions les plus destructrices.

Quand la crise du covid a éclaté, le dispositif d’asservissement était donc déjà bien en place à l’extérieur comme à l’intérieur des esprits, avec son cortège d’effets néfastes pour notre humanité : individualisme, indifférence, fragilité psychologique, stress et angoisse de fond… Et il suffira d’une manœvre extrêmement habile et perverse pour donner à son déploiement un formidable coup d’accélérateur. Cette manœuvre est l’instrumentalisation de la peur collective face à l’épidémie. Elle a permis, au nom de l’impératif de protection des populations, à la fois de mettre celles-ci en ordre de marche, d’amplifier le processus de contrôle et de traçage global des individus et de faire, au passage, des États démocratiques des outils de répression au service des puissances transnationales. Jusqu’à présent, le discours de la pensée unique était plutôt de postuler un État impuissant face aux forces du marché et donc essentiellement appelé à garantir la paix sociale en faisant ce qu’il faut de concessions (toujours minimes) pour empêcher que les peuples deviennent trop remuants. Cette nouvelle vocation répressive, dont les Gilets Jaunes ont eu à subir l’extrême violence depuis l’arrivée au pouvoir de M. Macron, semble désormais devenue, au motif de protection sanitaire, un fait acquis et même légitime aux yeux de nombreux citoyens. Si la manœuvre covid a si bien réussi, c’est que la très grande majorité des gens « connectés » ont pris depuis longtemps l’habitude, conformément aux directives implicites de la technosphère, de gérer seuls leur carrière et leur destin individuels et d’abandonner les affaires du monde à la seule compétence supposée des spécialistes de l’économie et des personnes censées les représenter au niveau politique. Cette dépolitisation volontaire et massive des citoyens a laissé les mains libres aux vrais détenteurs du pouvoir.

Enfin, à toute cette liste des dépossessions engendrées par la technologie numérique et l’idéologie déshumanisante qui l’accompagne, il faut ajouter la dépossession thérapeutique. Sans remonter jusqu’à Molière, on peut dire qu’elle a été, elle aussi, encouragée depuis longtemps par une industrie pharmaceutique profondément gangrenée par les puissances de l’argent avant de se réaliser, lors de la crise, dans des proportions proprement ahurissantes. Il aura suffi d’un an de stratégie de la terreur pour que la population, ici comme ailleurs, se déclare prête à recevoir une pseudo-vaccination, sans avoir la moindre idée du produit qu’on lui injecte, tout cela dans l’espoir de retrouver « la vie d’avant ». Là encore, ce qui se manifeste est une sorte de fascination superstitieuse pour la technique, censée être la solution à tous nos maux, alors qu’à y regarder de plus près elle en est le plus souvent la cause.

La crise que nous traversons apparaît donc comme une étape décisive vers la réalisation de la prophétie heideggérienne. La technique et la technocratie mondiale qui en ont pris les commandes semblent sur le point de conduire l’homme vers un total oubli de lui-même, vers une nouvelle ère dite « transhumaniste » où nous n’aurions plus d’existence légitime, voire autorisée, que comme éléments constitutifs d’un système. C’est cette vision de cauchemar qu’on retrouve dans un grand nombre de romans de science-fiction mettant en scène des personnages singuliers, marginaux et en quête de sens confrontés à des univers totalitaires, hyper-technicisés et ultra-centralisés, comme s’il fallait toujours conjurer par l’écriture cette crainte récurrente d’un avenir sans au-delà et sans espoir. En sommes-nous déjà là ? Notre monde est-il condamné à devenir celui de Brave new World, de Fahrenheit 451 ou de Matrix ? Devons-nous, dès lors, comme le suggère, sans doute ironiquement, la phrase de Heidegger, placer notre dernier et unique espoir dans la venue d’un dieu providentiel ?

… Mais ce dieu est en nous

Pour répondre à cette question, je commencerai par une remise en perspective. Tout ce qui vient d’être dit du pouvoir déshumanisant de la machine informatique ne constitue pas une absolue nouveauté. La pulsion de domination, le matérialisme aliénant, le repli « petit-bourgeois » sur sa sphère de confort ou encore la servitude volontaire sont autant de tendances régressives présentes dans la psyché humaine depuis la nuit des temps. L’I.A., de ce point de vue, n’est sans doute que la possibilité d’une maximisation sans précédent de ces tendances, voire leur aboutissement : du fait que cette technologie ne se contente pas de rester à l’extérieur de nous-mêmes et qu’elle tend à reconfigurer notre « appareil psychique », elle peut apparaître comme une sorte de suprême mise à l’épreuve de notre humanité.

Mais, à moins d’être techniquement modifié dès l’enfance ou pire dès la conception,(([2] Terrifiante possibilité évoquée par Huxley dans Le meilleur des Mondes ou encore par Michael Ende dans son chef d’oeuvre, lui aussi au combien prophétique, Momo. Tout projet totalitaire perçoit spontanément l’enfant comme le danger n° 1.)) aucun être humain n’est réductible à un fonctionnement, à une place et un rôle déterminés dans un système, serait-il le plus vertueux du monde. Il y a en lui quelque chose qui excède les limites d’une organisation sociale, quelle qu’elle soit. Cette chose, c’est par exemple « l’étincelle divine » dont parle le vicaire savoyard, porte-parole de Rousseau dans Emile, pour évoquer la conscience (morale), cette voix qui résonne au plus profond de notre être à la manière d’un tribunal intérieur ; c’est aussi l’appel que nous ressentons, pour peu que nous nous libérions de nos entraves quotidiennes, devant la souffrance d’autrui, devant l’injustice ; c’est l’émotion qui s’empare de nous face à l’infini du ciel étoilé ou face à l’œuvre d’art ; c’est le désir, souvent enfoui certes, mais toujours prêt à remonter à la surface, de comprendre ce que nous sommes, de trouver un sens à notre vie ; c’est encore ce sentiment, qui nous saisit parfois, d’être mystérieusement rattachés à tout ce qui vit et même à tout ce qui est… Cette étincelle, ces appels, ces élans existent en chacun d’entre nous. Ils sont la partie complémentaire de notre existence contingente, liée au hasard de notre naissance et de notre cadre de vie. Ils sont la manifestation de ce que certains appellent l’âme et d’autres notre part de mystère ou le dieu qui est en nous. Personnellement, j’aime appeler cette chose le Secret. Les mots sont ici de toute façon de pâles simplifications et il ne faut pas en abuser. C’est à chacun de trouver sa propre réponse, sa propre voie vers le sens d’une vie qui n’appartient qu’à lui.

« Là où est le danger, croît aussi ce qui sauve(([3] Wo aber Gefahr ist, wächst / Das Rettende auch.))» écrit le poète Hölderlin dans son hymne Patmos. Il est bon de se souvenir de ces paroles d’espoir à l’heure où un suprême déracinement menace l’essence même de notre humanité. Le projet totalitaire en cours consiste précisément à couper l’homme de sa part « secrète » afin de le réduire à sa dimension exclusivement matérielle, à en faire une entité entièrement déterminée par des forces ou plutôt des rapports de forces qu’un savant calcul permettrait de maîtriser. Naturellement pour le bien de tous ! Ce projet n’est pas nouveau, lui non plus ; on le retrouve dans toute l’histoire de l’humanité, partout où ont germé des utopies ou des idéologies considérant l’homme comme un problème en soi, comme un être non rationnel, non scientifique, dangereusement imprévisible et nécessitant donc, à l’image de l’enfant qui résiste spontanément aux lois du monde des adultes, un bon encadrement d’experts (politiques, scientifiques) et un système d’éducation et d’information centré sur le culte de l’adaptation, afin qu’il reste sur le droit chemin. Nous avons tous appris à détester ce genre d’organisation humaine quand elle prend les traits du fascisme, du nazisme ou du communisme stalinien ou maoïste ; mais nous avons baissé la garde devant la pensée unique qui, depuis des décennies, avançait jour après jour sous le masque de la démocratie et de la science experte. Beaucoup se sont laissés imprégner de l’idée que le monde devenu global irait vers le chaos, si rien n’était fait pour lui imposer un ordre et une organisation froidement rationnels, où notre part subjective et émotive (considérée par les scientolâtres comme un pur enchaînement de réactions chimiques) serait savamment canalisée et contrôlée par le biais de l’Intelligence Artificielle. Cela afin qu’aucune déviance n’advienne.

Aujourd’hui, la profonde crise politique que nous traversons marque le point critique d’une évolution globale de nos sociétés vers un matérialisme absolu, vers une conception purement mécaniste de l’homme : un homme sans secret, entièrement déterminé par le milieu et par le siècle. Conséquence directe de cette rupture : la disparition irréversible du sacro-saint clivage gauche/droite. Ce n’est en effet pas un hasard si les forces traditionnelles de gauche (partis, syndicats, associations, une bonne partie du monde enseignant et des intellectuels) sont restées totalement inertes durant cette crise, devenant même de facto, par leur silence ou leur appel à la vaccination massive, des complices de la Grande Manipulation. Elles ont toutes en commun une vision de l’histoire et de la société qui refuse de penser l’individu dans sa singularité et ne lui accorde de valeur qu’en tant que représentant d’une classe, d’un milieu ou d’une catégorie socio-professionnelle. L’idée que l’individu armé de sa richesse intérieure, de son lien avec la nature et le cosmos, guidé par une foi sincère, habité de sa seule soif d’amour et d’authenticité, ou parfois même de son simple bon sens, puisse être le dernier rempart face à la terreur collective et à l’asservissement des peuples qu’elle sert à justifier, ne leur est même pas venue à l’esprit. Au point que beaucoup de leurs représentants regardent à présent les foules défiler dans les rues de France sans comprendre ce qui est en train de se passer.

Mais, patience. Pour nombre d’entre eux aussi sonnera l’heure du réveil.

Tel est l’enjeu.

Nous sommes à la croisée des chemins.

Irons-nous vers cette société du fonctionnement généralisé où chacun, en échange d’une petite part – illusoire et conditionnelle – de sécurité, de confort et de reconnaissance sociale, devra passer sa vie assujetti aux caprices d’une élite devenue démente à force de se prendre pour Dieu ? Ou choisirons-nous au contraire la voie d’une société d’individus libres, uniques et épanouis dans leur humanité parce que conscients de leur part secrète et divine ?

À l’heure où tout indique qu’un grand bouleversement de nos repères traditionnels est en cours, je suis sûr que c’est cette dernière voie que nous choisirons, car elle est portée par une onde généreuse et créatrice sur laquelle toutes les stratégies, toutes les pensées « calculantes », faute d’énergie vitale, finiront par se briser.

Auteur(s): Alain Leduc, pour FranceSoir


[Voir aussi :
Vers l’IA ou vers l’Humanité
Note sur l’illusion de l’« information »
Vie et mort des systèmes
Note sur la science, la magie et la religion
Les machines pour jouer à Dieu
La faillite de la science matérialiste ?
Prise de conscience et autisme
L’Homme programmé ou l’Homme libre ?
La vue, la vision et la vie
Ce que crée l’Homme et le sens de la mesure
Réflexion sur la vie, la matière et la conscience]





Une troisième dose de vaccin contre le coronavirus recommandée pour 300 à 400 000 personnes en Belgique: voici les groupes concernés

[Source : sudinfo.be]

Une troisième dose d’un vaccin à ARN-messager contre la Covid-19 semble appropriée pour certaines catégories de personnes immunodéprimées, selon un rapport du Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) et de la task-force vaccination publié mardi. Selon le ministre fédéral de la Santé, Frank Vandenbroucke, cela concerne de 300 à 400.000 personnes.

L’Allemagne, Israël et les États-Unis, notamment, ont déjà donné leur feu vert à une troisième dose, pour certaines catégories de personnes, des vaccins Pfizer ou Moderna. Chez nous, la question figure au menu de la conférence interministérielle Santé prévue ce mercredi.

Selon le rapport, une troisième dose est utile pour certaines catégories de personnes, comme celles souffrant de troubles de l’immunité innés, les patients en dialyse rénale chronique, certains patients VIH positifs, les patients ayant subi une transplantation ou encore ceux souffrant de maladies inflammatoires traitées par des immunosuppresseurs.

Lire aussi Vaccination obligatoire du personnel soignant: le ministre de la Santé Frank Vandenbroucke s’est exprimé, «il faut franchir une nouvelle étape»

Pour les personnes âgées, il n’y a pas encore de résultats d’études publiés sur l’administration d’une troisième dose, constate le rapport. La task-force vaccination conseille dès lors d’attendre les analyses prévues dans les prochaines semaines sur les infections dites de percée (qui touchent des personnes entièrement vaccinées) et les résultats d’études cliniques sur l’administration d’une troisième dose.

Une extension par étapes à d’autres groupes à risque est possible aux yeux de la task-force mais seulement sur la base de recherches nationales et internationales solides et de preuves scientifiques.

La task-force rappelle enfin l’importance de mesures « non-pharmacologiques » comme la ventilation, la distance physique et le port du masque buccal mais aussi l’importance de la vaccination de base des Belges de plus de 12 ans.




PCB : le Vatican lance un processus synodal aux proportions inédites

[Source : vkpatriarhat.org]

Le 6 juin 2021

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) a dénoncé le fait que François Bergoglio est un archi-hérétique, et n’est pas un pape légitime. Par conséquent, l’Église est actuellement dans un état de Sede Vacante ! Selon la Bible (Gal 1:8-9) et selon la Bulle Dogmatique Cum Ex Apostolatus… , toutes les actions d’un hérétique sont sans force, et il ne doit être obéi par personne.



Regardez cette vidéo sur: 
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https://rumble.com/vj0pep-vatican-lance-un-processus-synodal.html   
https://gloria.tv/post/uPbfoGiEYaSq2DVaTXVNJ1HAX   

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Citation des médias : Le pape François a approuvé le lancement d’un chemin synodal aux proportions inédites. Cela débutera en octobre 2021, et culminera à Rome deux ans plus tard…

Commentaire : Que signifie un chemin synodal aux proportions inédites ? L’Allemagne nous a déjà montré une voie synodale d’élimination sans précédent des dogmes fondamentaux et des principes moraux. Cette fois, nous pouvons nous attendre à ce que l’empoisonnement spirituel atteigne des proportions inédites, et affecte l’ensemble de l’Église catholique.

Citation des médias : Vendredi 21 mai, le Saint-Siège a officiellement présenté un nouveau processus synodal, qui durera deux ans et sera divisé en trois étapes, d’octobre 2021 à octobre 2023, afin de garantir « une véritable écoute du Peuple de Dieu ».

Commentaire : Nous demandons ce que signifie une véritable écoute du Peuple de Dieu. Le Saint-Siège nous l’a déjà montré. Bergoglio boycotte totalement la voix des catholiques sincères qui souffrent pour leur foi. D’autre part, il recherche et favorise littéralement tous les maniaques et hérétiques amoraux. Bergoglio écoute leurs attitudes erronées et perverties en tant que voix du Peuple de Dieu. Mais c’est une grossière tromperie.

Exemple : un cardinal orthodoxe chinois de 90 ans a fait la queue pour une audience dans le froid pendant deux jours, mais Bergoglio lui a finalement refusé cette audience. Ce Cardinal n’appartient-il peut-être pas au Peuple de Dieu ? Comment se fait-il alors que Bergoglio passe des week-ends entiers avec des sodomites ou toutes sortes de déviants, et les écoute volontiers ?

Citation des médias : Ce chemin synodal passera d’abord par une phase diocésaine puis une phase continentale qui donnera vie à deux « Instrumentum Laboris » différents.

Commentaire : On peut supposer que ces deux Instrumentum Laboris ont déjà été rédigés. Ce sera encore une farce. Le document Instrumentum Laboris a été élaboré par le groupe de Bergoglio, et doit servir de base au Document Final. Cependant, ils claironneront hypocritement que c’est le résultat de prétendues consultations et de la voix du Peuple de Dieu. En fait, c’est la voix de la secte bergoglienne qui occupe l’Église.

L’Amazonie était une farce similaire. Il y avait aussi un Instrumentum Laboris élaboré à l’avance, qui, selon certains cardinaux, n’était pas seulement de l’apostasie, mais aussi la plus grande stupidité. Bergoglio, cependant, qui dit qu’il écoute le Peuple de Dieu, n’a pas changé un seul point dans ce document, et l’a mis en œuvre au Synode. Il l’a ensuite confirmé avec le Document Final.

Des manipulations de documents ont également été observées lors du Synode des jeunes. Pour la première fois, ces documents incluaient le terme LGBT. En raison des évêques africains, ce terme n’a pas été mentionné dans le document final. Cependant, il est resté dans le document supplémentaire, comportant la note selon laquelle ce document final n’était pas valable sans lui. Donc, en fin de compte, le document final contenait l’approbation du terme LGBT, bien qu’implicitement. Manipulation et ingéniosité incroyables dans la promotion du crime !

Citation des médias : Pour le Saint-Siège, l’articulation de ces différentes phases assurera « la participation de tous au processus synodal ». Il est clair que : « ce n’est pas seulement un événement, mais aussi un processus qui implique, en synergie, le Peuple de Dieu, le Collège des Évêques et l’Évêque de Rome, chacun selon sa propre fonction ».

Commentaire : En fait, il ne s’agit pas de la participation de tous, mais de jouer une farce devant tous. En fait, le soi-disant Peuple de Dieu sera constitué des grands gueules provenant des rangs des sodomites et des hérétiques. Le Collège des évêques, au Synode, sera constitué par les représentants du réseau homosexuel et par les laquais de Bergoglio qui ont renié le Christ et l’Église. Et à la place de l’évêque de Rome, il n’y a plus qu’un usurpateur : l’archi-hérétique Bergoglio. Ils agiront selon un programme préétabli, défini par l’élite maçonnique dont Bergolio met fidèlement en pratique l’agenda, ne laissant rien s’opposer à lui.

Citation des médias : Ce processus devrait commencer très bientôt, puisque le Synode d’une « nouvelle génération » s’ouvrira dès le mois d’octobre. Il se déroulera au Vatican – le Pape l’inaugurera les 9 et 10 octobre – et dans chaque diocèse la semaine suivante, le 17 octobre, comme indiqué dans le document. La phase diocésaine de consultation avec le Peuple de Dieu durera six mois, jusqu’en avril 2022. La synthèse de ces contributions sera envoyée à Rome, où le Secrétariat général du Synode des évêques procédera à la rédaction du premier Instrumentum Laboris avant septembre 2022.

Commentaire : Il ressort clairement de ce projet qu’il s’agit d’un processus pré-arrangé ayant un objectif clair, et aucun Peuple de Dieu ne pourra ajouter ou supprimer quoi que ce soit. En substance, c’est un plan pour la transition vers une pseudo-Église antichristique du Nouvel Âge.

Citation des médias : Après cela, débutera la phase continentale qui durera de septembre 2022 jusqu’à mars 2023. Le but de cette phase est de favoriser le dialogue autour du texte du premier Instrumentum Laboris, et de procéder à un nouveau discernement.

Commentaire : Le propos n’est ni le dialogue ni le discernement, car tout a été préparé d’avance. Nous demandons ce que signifie procéder à un nouveau discernement. Bergoglio a déjà lancé un nouveau discernement : l’idolâtrie – c’est-à-dire le péché le plus grave contre le Premier Commandement – n’est plus considérée comme un péché. C’est ce que nous avons vu lorsqu’il a intronisé le démon Pachamama en octobre 2019. La prochaine étape d’un nouveau discernement est l’élimination des commandements de Dieu et moraux, et la promotion de la légalisation des unions de sodomites, qui est une rébellion contre Dieu. Aujourd’hui, ce soi-disant Saint-Siège promeut la vaccination génocidaire pour tous. Pour cette raison, une action en justice a été déposée contre Bergoglio auprès du Tribunal de Nuremberg 2.0 pour crimes contre l’humanité. Si Bergoglio réussit à conduire ce nouveau discernement sans d’abord être lui-même discerné comme un hérétique plutôt qu’un Pape, son nouveau discernement entraînera tous (les catholiques romains) en enfer.

Citation des médias : Un document final sera à nouveau envoyé à Rome. Le Secrétariat général du Synode des évêques procédera à la rédaction du deuxième Instrumentum Laboris avant juin 2023. Enfin, la troisième et dernière phase du chemin synodal débutera en octobre 2023 : la phase de l’Église universelle.

Commentaire : Le but a été défini avec précision, et les moyens et méthodes pour y parvenir ont été bien pensés : manipulation, tromperie et farce. C’est le terrorisme spirituel de Bergoglio dans le but non seulement d’éliminer la papauté, mais de détruire totalement l’Église catholique.

Conclusion:

Chers évêques catholiques, notre Patriarcat s’est adressé aux évêques américains dans une lettre datant du 30 mai, dans laquelle il évaluait la situation catastrophique dans l’Église sous la direction destructrice du pseudo-pape Bergoglio. Il a également indiqué la solution, à savoir : se séparer de l’archi-hérétique occupant le Saint-Siège, et accepter et proclamer un Pape légitime. À l’heure actuelle, l’Église est dans un état de Sede Vacante, parce qu’un archi-hérétique qui nie l’essence de l’Église et s’en est exclu, ne peut en être le chef. En cette époque, le Patriarcat Catholique Byzantin est la voix de celui qui crie dans le désert : « Repentez-vous, car le royaume de Dieu est proche ! Couvée de vipères, pharisiens et sadducéens bergogliens ! Qui vous a averti de fuir la colère de Dieu à venir ? Portez des fruits dignes de la repentance… La hache est déjà à la racine des arbres. Tout arbre qui ne portera pas de fruits dignes de la repentance sera coupé et jeté dans le feu éternel (cf. Mt 3,2-10). Qu’au moins deux d’entre vous, vrais évêques catholiques, s’unissent dans chaque nation et acceptent et proclament un véritable pape catholique. Un vrai pape catholique est celui qui a appelé Bergoglio, ainsi que tout le réseau homosexuel, à démissionner. C’est lui qui a à cœur la véritable restauration de l’Église. Défendez la doctrine orthodoxe, qui garantit le salut éternel. Levez-vous aujourd’hui pour sauver l’institution de la papauté. Franchissez cette étape, même au prix de la persécution ou, peut-être, du martyre.

Chers Evêques, appelez les fidèles de votre diocèse, dans une lettre pastorale, à établir des veilles de prière. Cela créera une prière continue dans chaque paroisse de tout le diocèse. Dieu sauvera alors Son peuple. (Voir http://vkpatriarhat.org/fr/?p=13731). Le Patriarcat appelle également tout prêtre sincère à soutenir son évêque dans cette démarche radicale, qui arrêtera la catastrophe déjà programmée. Pour ceux d’entre vous, vrais évêques catholiques, qui resteront lâchement, vous devez comprendre que votre passivité injustifiable ne vous sauvera pas. Qui plus est, vous ferez tomber sur vous le châtiment de Dieu pour votre complicité dans la destruction de l’institution de la papauté et dans la diabolisation de l’Église du Christ. Bergoglio utilisera votre passivité afin de faire respecter ses mauvaises intentions. Finalement, vous serez de toute façon expulsé de votre résidence épiscopale. Mais le pire de tout, c’est que vous serez condamné par le jugement de Dieu pour lâcheté, pour ne pas avoir fait ce que vous deviez faire à un moment donné. Vous avez peur de Bergoglio, mais vous n’avez pas peur du juste châtiment de Dieu qui est éternel ? Dieu veut que vous fassiez un pas radical pour vous sauver vous-mêmes, et pour sauver toute l’Église !

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr               + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires

Téléchargement : PCB : le Vatican lance un processus synodal aux proportions inédites (6/6/2021)


Voir aussi : Certains évêques américains sont impliqués dans des crimes contre l’humanité. Qu’est-ce que Dieu exige des évêques fidèles, aujourd’hui ? | (vkpatriarhat.org)




France : à compter du 16 octobre 2021, les professionnels de santé libéraux non vaccinés ou dont le schéma vaccinal n’est pas complet seront interdits d’exercer

[Source : Assurance Maladie (ameli.fr)]

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Madame, Monsieur,

Face à la reprise de l’épidémie de Covid-19 liée au variant Delta, la vaccination est primordiale pour protéger la population et notre système de soins.

En tant que professionnel de santé, vous êtes en première ligne et, de fait, engagé dans la stratégie collective de lutte contre l’épidémie.

Les dispositions législatives et réglementaires qui encadrent la mise en place de l’état d’urgence sanitaire permettent aux pouvoirs publics de prendre les mesures de prévention nécessaires pour concilier reprise généralisée des activités et maitrise de l’épidémie.

La loi n°2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire instaure l’obligation vaccinale des personnes travaillant dans les secteurs sanitaire, social et médico-social, et concerne les professionnels de santé libéraux conventionnés ou non. Cette obligation concerne aussi les salariés travaillant dans les mêmes locaux que les professionnels de santé libéraux. Pour continuer leur activité professionnelle, ces personnes ont donc l’obligation : soit de se faire vacciner contre la Covid-19, soit de présenter un certificat de rétablissement valide ou un certificat médical de contre-indication à la vaccination contre la Covid-19 établi par un médecin.

Concernant l’obligation vaccinale, elle est mise en place en plusieurs étapes :

Depuis le 9 août et jusqu’au 14 septembre 2021 inclus, les personnes soumises à l’obligation vaccinale n’ayant pas un schéma vaccinal complet peuvent continuer à exercer, mais elles doivent pouvoir présenter, à tout moment de leur exercice, un résultat de test négatif datant de moins de 72 heures (PCR, test antigénique ou autotest supervisé).

À partir du 15 septembre et jusqu’au 15 octobre 2021 inclus, les professionnels de santé et les personnes soumises à l’obligation vaccinale non vaccinés seront autorisés à exercer à condition qu’ils aient débuté leur schéma vaccinal (au moins une dose pour un schéma vaccinal à plusieurs doses) et qu’ils présentent le résultat d’un test négatif.

À compter du 16 octobre 2021, les professionnels de santé libéraux non vaccinés ou dont le schéma vaccinal n’est pas complet seront interdits d’exercer.

Pour obtenir votre justificatif :

  • l’attestation certifiée de vaccination contre la Covid-19 est téléchargeable à partir du téléservice : 
    https://attestation-vaccin.ameli.fr/ ;
  • le certificat de rétablissement après infection ou le résultat de test négatif (PCR/TAG ou autotest supervisé de moins de 72h) sont téléchargeables sur SI-DEP : 
    https://sidep.gouv.fr/cyberlab/patientviewer.jsp ;
  • le certificat de contre-indication à la vaccination est établi par un médecin.

L’agence régionale de santé est en charge des contrôles de l’obligation vaccinale et pourra saisir le procureur de la République, l’Ordre dont dépend le professionnel ainsi que l’Assurance Maladie.

Pour les personnes salariées travaillant dans les mêmes locaux, que les professionnels de santé libéraux, le respect de l’obligation vaccinale relève de la responsabilité de l’employeur.

Jusqu’au 16 octobre, les différentes étapes de mise en oeuvre de l’obligation vaccinale permettront à toutes personnes concernées d’initier et de terminer leur schéma vaccinal dans un double objectif de santé publique et de préservation du système de soins.

Pour toute question, vous pouvez consulter le site du ministère de la santé accessible www.solidarites-sante.gouv.fr.

Je vous remercie très sincèrement pour votre engagement face à cette épidémie.

Thomas FATOME
Directeur général de l’Assurance Maladie

Pour plus d’actualités concernant votre profession, rendez-vous sur ameli.fr

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Le médecin-réanimateur Louis Fouché n’exerce plus à l’hôpital de la Conception et ne sera plus salarié de l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille à compter du 19 octobre

[Source : Marsactu]

Par Jean-Marie Leforestier

Le médecin-réanimateur Louis Fouché n’exerce plus à l’hôpital de la Conception et ne sera plus salarié de l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille à compter du 19 octobre, annonce son directeur François Crémieux. En quelques mois, Louis Fouché est devenu une figure de la contestation de la politique sanitaire du gouvernement, s’opposant au port du masque comme au vaccin, notamment. Une position qui déplaisait fortement au nouveau patron de l’AP-HM : “Ses prises de parole n’étaient pas en adéquation avec les valeurs de l’hôpital public fondées sur le caractère collégial de toute réflexion scientifique d’une part, le code la santé publique et la déontologie médicale d’autre part”, lui avait-il signifié par écrit.

À LIRE ; DERRIÈRE LE MASQUE DE LOUIS FOUCHÉ, MÉDECIN ANTI-VACCIN

Le communiqué que signe ce dernier, le président de la commission médiale d’établissement et les chefs de service de réanimation précise que c’est bien Louis Fouché qui a manifesté son envie de mise en disponibilité début juin. Une mesure que, malgré la pandémie, l’hôpital a bien vite acceptée.




Des patrons d’établissements refusent de contrôler le passe sanitaire de leurs clients et le font savoir

[Source : Epoch Times)]

[Illustration (LOIC VENANCE/AFP via Getty Images)]

Par EMMANUELLE BOURDY

Une centaine de bistrots et restaurants de l’ouest de la France se sont réunis en collectifs. Leur but : refuser de contrôler le passe sanitaire de leurs clients, et ce, même s’ils savent qu’ils s’exposent à des sanctions.

Réunissant une centaine d’établissements, notamment de Bretagne et des Pays-de-la-Loire, les collectifs « Bistrotiers bretons » et « Bienvenue ici, contrôler n’est pas notre métier » refusent le passe sanitaire, rapporte 20 Minutes.

« Nous sommes contre le fait d’exclure qui que soit »

« Nous sommes des lieux ouverts à tous sans distinction. L’accueil sans condition, l’entraide et l’échange sont des notions fondamentales, inscrites dans notre socle de valeurs », est-il mentionné dans le texte explicatif de ces collectifs. « Nous refusons de jouer le rôle de police sanitaire et ainsi de contrôler, de trier et de séparer les usagers de nos lieux », est-il encore précisé.

Leur démarche s’est imposée à eux car ces gérants ne voulaient pas contrôler leur client et de ce fait, devoir refuser l’entrée à certains d’entre eux. Mais ils sont toutefois conscients des risques encourus. Tristan Crosnier, le patron du bar à jeux Pioche à Nantes, explique à 20 Minutes : 

« Nous sommes contre le fait d’exclure qui que soit, y compris des personnes en précarité éloignées du système santé et qui se retrouvent aujourd’hui encore plus à l’écart. »

« Mais on a bien conscience que l’équilibre est fragile. Les clients vaccinés qui se sentiraient inquiets, je ne veux pas non plus les bloquer, je leur propose des espaces isolés », poursuit-il. Sans compter que « nous n’avons, de plus, pas tous les effectifs permettant de le faire », se défend encore Tristan Crosnier.

La patronne du bar culturel le Ty Coz, à Morlaix (Finistère), explique quant à elle faire ce métier « pour rassembler », et non pas pour « diviser en acceptant certains clients et en fermant la porte à d’autres »« Donc on ne vérifie pas leur document, on se met hors la loi, mais ça ne nous empêche pas de faire de la prévention, de parler du vaccin, de faire attention aux gestes barrière », prévient-elle.

Les gérants de ces établissements, mais aussi les clients, s’exposent à des sanctions…

Effectivement, les collectifs tiennent à préciser qu’ils ne souhaitent pas que leurs établissements deviennent un « repaire des antivax », ainsi que le souligne Tristan Crosnier. Car le débat ne porte pas sur « la pertinence du vaccin », déclarent les membres du collectif.

Quoi qu’il en soit, agir ainsi expose les gérants de ces établissements à des sanctions. Pour cette raison, d’autres, qui partagent pourtant le même avis sur le sujet et agissent de même, préfèrent rester discrets. « Je ne sais pas à quelle sauce on va être mangés. Ça m’inquiète un peu, forcément, d’autant plus que je me sens un peu seule dans ma ville », confie la gérante du Ty Coz. « Une fermeture administrative de quelques jours je suis prête, mais au-delà je ne pourrai pas. J’ai huit salariés, je dois aussi penser à eux », poursuit-elle.

Le gérant du Pioche reste lui aussi sur le qui-vive. « On se doute que ça va tomber […]. Si la police arrive, je serai honnête, j’expliquerai ma démarche, ce que je mets en place, et on verra bien. On appréhende mais on doit rester cohérent », concède-t-il.

Les clients qui ne sont pas en règle avec le passe sanitaire s’exposent eux aussi à des sanctions. Mais ceux qui mettent les pieds dans ces établissements en sont conscients et assument, comme c’est le cas de Jean, un Nantais. Ce dernier déclare comprendre « les arguments du bar »« Je les soutiens, donc si la police arrive, j’assumerai l’amende », avance-t-il. En cas de contrôle, les clients qui ne sont pas en possession du passe sanitaire risquent une amende forfaitaire de 135 €.

D’autres gérants préfèrent carrément fermer…

D’autres gérants ont opté pour la fermeture de leur établissement, une autre manière de rester en accord avec leurs convictions sans craindre des verbalisations. Ce qui n’est pas sans « conséquences économiques » non plus, ainsi que le souligne Yann, le patron du Temps des Cerises à Tonquédec (Côtes d’Armor), qui a fermé son restaurant dès le lundi 9 août.

Il explique néanmoins être vacciné et « bien conscient de la situation sanitaire », pour autant, il estime que « la demi-jauge, les gestes barrière, d’accord. Mais refuser de servir des habitués, ou voir débarquer les forces de l’ordre, je ne supporterai pas ». Il a cependant trouvé un compromis et veut mettre en place de façon momentanée la « vente à emporter », confie-t-il à 20 Minutes.




L’Homme génétiquement modifié devient-il brevetable ?

[Source : euronews (en français)]

L’ADN humain naturel ne peut pas être breveté, c’est ce qu’a tranché la Cour suprême des Etats-Unis dans une décision très attendue jeudi 13 juin. Les neuf Sages ont débouté à l’unanimité la société de biotechnologies Myriad, qui revendiquait la propriété de deux gènes défectueux liés à des cancers, sur laquelle elle avait deposé neuf brevets, sous prétexte de les avoir isolé dans les années 90.

« Cependant, l’ADN complémentaire, c’est-à-dire synthétisé artificiellement, peut lui être breveté. »


Dr Chinda Brandolino : « Si l’ADN est génétiquement modifié il peut être breveté »




[Source : Scandal (1scandal.com)]

Nous savons déjà que le vaccin imposé à la population en ce moment est suffisamment nocif car il contient effectivement de l’oxyde de graphène.

ANNONCE: COVID-19 est causé par l’oxyde de graphène introduit de plusieurs manières dans le corps – Scandal (1scandal.com)

Mais il s’avère qu’il s’agit d’un véritable cauchemar si l’on considère que ceux qui utilisent la technologie de l’ARNm modifient l’humain, l’ADN, transformant les gens en transhumains.

Orwell City a traduit pour vous les propos du Dr Chinda Brandolino sur le sujet :

Eh bien, vous savez qu’en 2013, aux États-Unis, la Cour suprême a statué que l’ADN humain, le génome humain, ne peut pas être breveté car il est un produit de la nature. Mais s’il est génétiquement modifié, il est breveté.

Lorsque vous modifiez le génome avec un vaccin adénoviral, cette personne vaccinée est déjà une personne transgénique et transhumaine.

Et, selon ce qui est légalement établi en droit international, il sera la propriété du titulaire du brevet.

Mais la chose la plus dramatique de toutes est que, lorsqu’elle est transhumaine, cette personne ne sera pas considérée comme humaine selon les droits de l’homme que nous connaissons.

Je n’ai pas encore eu le temps de vous le dire, mais la situation est extrêmement grave et j’ai le sentiment que même notre peuple, comme cela nous est arrivé récemment, ne se rend pas compte de la gravité à laquelle nous sommes confrontés. Ce n’est pas seulement la maladie qu’elle va produire, souvent mortelle, mais aussi le fait que les survivants auront un génome modifié et que cette modification sera transmise à leurs descendants .

Et que parce que leur génome est modifié, cette modification est brevetée. Et tout ce qui est breveté appartient au titulaire du brevet.

Je ne sais pas si vous comprenez ce que je dis. Et cela doit vous faire partir d’ici aujourd’hui, aujourd’hui, avec toute la force de recourir à tous les moyens pour alerter la population, car c’est la dernière possibilité que nous ayons. Où, comme l’a dit récemment Maria José : ‘transmets-le et combats-le’.

Ces gens ont assez d’argent pour accomplir, peu importe à quel point c’est mal fait, pour donner l’approbation définitive à cela. Nous sommes perdus aujourd’hui.

Vous devez être des soldats. Nous devons être des soldats.

Il faut alerter la population.

Je ne sais pas si vous m’avez compris. Je ne vais pas étendre scientifiquement la synthèse.

Et j’ai vu les morts et j’ai vu les causes de la mort.

Mais ce n’est pas le plus grave, mais qu’arrivera-t-il aux survivants?

Donc la seule chose que je demande et vous rappelle, c’est que nous sommes des soldats de la vie et des défenseurs de l’espèce humaine. C’est tout.

Dr. Chinda Brandolino

Plus d’informations sur l’affaire :

Dans une affaire judiciaire en 2013, dans laquelle l’Association of Molecular Pathology v Myriad Genetics, Inc était impliquée, la Cour suprême des États-Unis a statué que l’ADN humain ne pouvait pas être breveté car il était «un produit de la nature». Mais à la fin de la décision, la Cour suprême a statué que si un génome humain était modifié par des vaccins à ARNm (qui sont actuellement utilisés), alors le génome peut être breveté.

Supreme court pdf

[Ndlr : ce document est tiré de la section « Opinions » du site de la Cour suprême et mentionne lui-même au tout début du texte : « (Slip Opinion) », soit « (Opinion préliminaire) » en français.]

Cela signifie que toutes les personnes qui ont reçu le vaccin sont désormais techniquement « brevetées » et que quelque chose qui est breveté est une « propriété » et relèvera de la définition de « transhumain ». Les personnes qui sont légalement identifiées comme « transhumains » n’ont pas accès aux droits de l’homme ou aux droits accordés par l’État. C’est parce qu’ils ne sont pas classés comme 100% biologiques ou humains .

Par conséquent, techniquement, toute personne ayant ce vaccin ne pourrait plus avoir accès aux droits de l’homme. Il y a eu des documents juridiques sur ce sujet récemment, donc des éclaircissements devraient être disponibles bientôt.

L’ARNm est la technologie CRISPR (Moderna l’a décrit comme son « système d’exploitation ») et étudie la technologie pour inverser les effets secondaires, comme vous le feriez avec un ordinateur. Il existe actuellement un brevet lié à cette technologie :

WO2020060606 – SYSTÈME DE CRYPTO -MONNAIE UTILISANT DES DONNÉES D’ACTIVITÉ CORPORELLE

La technologie sera placée sur votre corps, puis assignée à un code-barres et attachée à la crypto-monnaie. La technologie suit votre activité corporelle et lorsque vous atteignez un « niveau d’activité satisfaisant », vous recevrez votre crypto-monnaie. Il s’agit de la version courte du brevet, mais vous devez l’examiner correctement.

Si vous voulez en savoir plus sur le sujet, regardez la vidéo suivante :

Source


Question

Si un « vaccin » anti-Covid peut effectivement modifier l’ADN humain du noyau ou des mitochondries (ne serait-ce qu’accidentellement à cause de la présence naturelle de transcriptase inverse dans l’organisme), est-ce que l’entreprise pharmaceutique qui l’a produit devient propriétaire du vacciné ?




Communiqué de presse de Maître Philippe Krikorian — Lutte contre la pandémie Covid-19 et Liberté au-delà de la loi : Tant qu’il y aura du droit !

[Source : courriel]

:




La Réunion : Alerte Rouge avec des Hôpitaux Vides !

[Source : E&R via changera.blogspot.com]

Nous sommes au CHU de Bellepierre, à La Réunion. Il s’agit de vérifier les dires des autorités politico-médicales, qui parlent d’un tsunami de malades et de morts. Voici les mots de Véran, le relais du Big Pharma au gouvernement :

« La situation sanitaire, je le dis et pèse mes mots, est sans commune mesure avec ce que j’ai pu voir jusqu’ici. La virulence des variants, la puissance de l’épidémie, les jeunes patients sont une réalité que chacun doit regarder en face. Avec courage, sang froid et détermination. »

Un commentaire parmi d’autres sous ces vidéos :

Ma femme travaille au chu de Nîmes nous sommes en soi-disant alerte rouge en Occitanie.
Sur 20 lit de réanimation seulement 8 sont occupé avec seulement moitié covid (+de 70 ans avec comorbidité)
Voilà la réalité sur le terrain.

Sur CNews, on en apprend de belles, dans le genre fabrique de la saturation :

[Vidéo censurée]

Si la vidéo ne s’affiche pas, cliquez ici.

En Guadeloupe, ce sont les pompiers qui deviennent les lanceurs d’alerte pour la population à propos des mensonges du gouvernement :

[Vidéo censurée]

Si la vidéo ne s’affiche pas, cliquez ici, comme toujours avec ce réseau social qui censure tout ce qui dépasse du mondialisme zuckerbergien.

Et dans la série fake news gouvernementale et psychose bidonnée avec la complicité de BFM TV, on a encore mieux :




Entrevue québécoise avec Alexandra Henrion-Caude

[Source : André Lafrance]

https://youtu.be/GDunt-81hhc



Serait-il imaginable que l’élite globale ait déclaré la guerre à l’humanité ?

[Source et auteur : Liliane Held-Khawam]

Deloitte ne met pas au conditionnel le modèle de la nouvelle médecine. Il vous l’affirme en invitant ses clients à se mettre à jour avec ce qui s’en vient. Écoutez plutôt. (Comme ce genre de vidéos n’est pas censuré, profitez de la traduction offerte par YouTube).

Deloitte, en champion des cabinets de conseil, qui couvre le secteur de la santé, nous offre cette vidéo qui remonte à mars 2019. Bien avant les histoires covidiennes donc.

Dans ce document, nous démontrons que l’individu sain devient, par une volonté de mettre en place une autre forme de médecine, un malade qui s’ignore et que les appareils vont prédire ses maladies avant même que les symptômes apparaissent. Pour ce faire, le personnel de santé est invité à faire évoluer ses compétences pour être capable de répondre à la demande. Le contrôle sera sévère, n’en doutons pas.

Ainsi, les populations humaines sont sommées d’accepter un nouveau paradigme techno-médico-sanitaire qui doit changer en profondeur leur identité, leur droit à disposer de leur corps, ET de leur intimité. Sont-elles consentantes ou pas est le dernier des soucis de ces individus qui s’acharnent à modifier la nature humaine afin de réaliser leur rêve, au minimum centenaire : contrôler la vie sur terre par la technologie.

Dans une étude sur la surveillance sanitaire permanente d’un individu connecté, les auteurs ont eu un sursaut d’inquiétude au niveau éthique. Ils y soulignent en passant les problèmes que poserait la collecte massive de données.

« Des quantités considérables de données seront générées avec le développement des technologies de capteurs et de la science des matériaux en raison de la détection omniprésente allant de l’Internet des objets (IoT) aux soins de santé. Ainsi, des méthodes statistiques et informatiques, telles qu’une gamme de techniques d’apprentissage automatique, peuvent être utilisées dans le traitement des données et l’extraction efficace d’informations. Des capacités d’analyse de données en temps réel sont souhaitées pour une gestion robuste des données (Paulovich et al., 2018). Les problèmes éthiques et moraux dans la collecte, l’analyse et le stockage des données, en particulier les données concernant la santé personnelle, doivent être correctement résolus pour protéger la vie privée. » 

Dans la même étude, on a une représentation d’un individu infiltré de capteurs à base de graphène qui permettent la surveillance permanente de la santé.

… Voici en écho une représentation compatible de l’humain posé sur un téléphone portable qui semble scanné et dont les données sont numérisées et donc récupérées par le Big data.

Regardez cette image incroyable publiée début 2019 par le numéro1 des consultants (secteur de santé inclus). L’individu est représenté sur son cellulaire avec une lumière qui sert à décoder les informations sur sa santé qui sont par la suite numérisées et transmises à un centre de gestion (envie d’écrire plutôt commandement) sanitaire. Vous constaterez le biocapteur au niveau du front. Image déjà présente en mai 2019

the-future-of-health-deloitte-us (Télécharger)

Une étude de Nature confirme que la technologie et son Big Data représentent une dimension incontournable de la Nouvelle médecine (envoyée 7 avril 2020)

Fig. 1 : The interconnected digital technologies used in the public-health response to COVID-19.

En avril 2020, ce schéma était prêt avec tout le protocole que nous connaissons aujourd’hui ! Bluetooth du smartphone au centre du processus. Comme sur l’image de Deloitte d’avant 2019 !

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L’élite globalisée livre sa guerre contre le virus

Larry Summers, président du panel de hauts responsables (comprenez de délégués de la Planète finance) pour la prévention des pandémies, appelle la communauté internationale à investir 15 milliards de dollars par an dans des fonds supplémentaires et pour une refonte majeure de l’infrastructure mondiale de gouvernance de la santé.

« C’est un moment profond dans les relations internationales et dans la politique étrangère », a déclaré Summers plus tôt cette semaine.

« Pour la première fois dans l’histoire, la sécurité de la plupart des peuples du monde dépendra moins de la résistance aux adversaires étrangers et de l’équilibre des pouvoirs que de la réponse à des menaces communes et de la promotion de la coopération.» 

https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/22/devinez-qui-dicte-les-ordres-a-vos-autorites-sanitaires/

On voit la terminologie liée à la sécurité, ou à la résistance aux adversaires. Et même si elle n’est utilisée que dans un but rhétorique, elle interpelle et renvoie à cette phrase du président Macron qui avait dit ‘Nous sommes en guerre face à un ennemi invisible’.

Et maintenant, regardez cette présentation de Bill Gates qui use de visuel digne des militaires. Sauf que dans son cas, il a remplacé les soldats de plomb en miniatures en blouse blanche. La nouvelle armée du Nouveau Monde.

Les soldats ont été remplacés par le personnel de santé pour faire face à une promesse de pandémies à répétition.

L’Onu a entendu les responsables des cordons de la bourse sans lesquels les salaires onusiens risqueraient d’avoir quelques petits soucis. Ainsi en mai 2021, le chef de l’ONU lança lui aussi un : ‘Nous sommes en guerre’ contre le Covid. Et de préciser : le monde est ‘en guerre’ contre le Covid-19, appelant la communauté internationale à aller au-delà de la solidarité et à entrer en ‘économie de guerre’ pour stopper le virus.
https://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/nous-sommes-en-guerre-contre-le-covid-dit-le-chef-de-l-onu_2151430.html

Gates mandate les consultants dans le cadre de sa guerre sanitaire

Gates mandate des consultants que l’on retrouve en train de coacher des gouvernants, voire plus si entente.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/08/09/jusquou-va-linfluence-de-la-firme-mckinsey-en-france-dans-la-promotion-du-vaccin-et-de-la-mise-en-place-du-pass/

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À noter que McKinsey ne pointe qu’à la 6e place dans le classement Gartner. Deloitte est le numéro 1

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Et en bons généraux, les gouvernants se chargent du terrain

Afin de réaliser sur le terrain la formation d’une armée de personnel médical soumis aux ordres, il va falloir restreindre les libertés individuelles par un contrôle piloté par l’État. Tout comme le sont les soldats militaires. Les médecins et autres infirmiers doivent devenir des gens qui appliquent des protocoles/règlements/procédures/etc. sans trop se poser de questions. Mais ils doivent aussi s’adapter à la médecine personnalisée et prédictive hautement connectée comme vu ci-dessus dans la vidéo de Deloitte.

Les médecins contemporains et autres intervenants dans le domaine médical doivent se former et s’adapter à la techno-médecine, ou disparaître.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/25/nanosante-le-metier-de-medecin-voue-a-disparaitre-changement-du-paradigme-medical/.

C’est à cela que servira le Conseil national de certification. À faire changer les mentalités des médecins qui veulent encore soigner avec des molécules. Ils doivent passer à la technologie. Et c’est un ordre.

Ainsi, en France, sous le titre de Conseil national de certification, le Conseil des ministres du 19 juillet 2021 a ordonné la mise en place d’une Certification périodique de certains professionnels de santé. Et voici en quoi elle consiste :

Le ministre des Solidarités et de la Santé a présenté une ordonnance relative à la certification périodique de certains professionnels de santé. L’article 5 de la loi n° 2019-774 du 24 juillet 2019 relative à l’organisation et à la transformation du système de santé habilite le Gouvernement à prendre par ordonnance toute mesure relevant du domaine de la loi afin, d’une part, de créer une procédure de certification indépendante de tout lien d’intérêt permettant, à échéances régulières au cours de la vie professionnelle, de garantir le maintien des compétences, la qualité des pratiques professionnelles, l’actualisation et le niveau des connaissances, et, d’autre part, de déterminer les professionnels concernés par cette procédure de certification, les conditions de sa mise en œuvre et de son contrôle, les organismes qui en sont chargés, les conséquences de la méconnaissance de cette procédure ou de l’échec à celle-ci, ainsi que les voies de recours ouvertes à l’encontre de ces conséquences.
L’ordonnance détermine les principes structurants applicables à la certification périodique, dont les modalités d’application seront largement définies par voie réglementaire après concertation avec l’ensemble des parties prenantes.

Elle complète le titre II du livre préliminaire de la quatrième partie du code de la santé publique consacré au « Développement professionnel continu ». Un chapitre II relatif à la certification périodique des professionnels de santé est ainsi ajouté :

https://www.vie-publique.fr/discours/280808-conseil-des-ministres19072021-certification-periodique-professions-sante

  • il définit les objectifs de la certification périodique, le champ des actions qui participent à celle-ci (actualisation des connaissances et des compétences, amélioration de la qualité des pratiques professionnelles et de la relation avec le patient, prise en compte de la santé individuelle du praticien), la périodicité de l’obligation (tous les six ans), ainsi que les sept professions qui sont assujetties à l’obligation de certification (médecins, chirurgiens-dentistes, sages-femmes, pharmaciens, infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes et pédicures-podologues) ;
  • il crée un Conseil national de la certification périodique chargé de définir la stratégie, la promotion, le déploiement ainsi que les orientations scientifiques de la certification périodique ;
  • il prévoit que les actions de certification sont librement choisies par le professionnel de santé, le cas échéant en lien avec son employeur, parmi une liste figurant dans un référentiel national de certification périodique ;
  • les référentiels sont élaborés par les conseils nationaux professionnels, sur la base d’une méthode arrêtée par le ministre chargé de la santé sur proposition de la Haute Autorité de santé et après avis du Conseil national de la certification périodique. Ces référentiels sont approuvés par arrêté du ministre chargé de la santé, qui peut saisir au préalable pour avis la Haute Autorité de santé ;
  • il confie le contrôle du respect de l’obligation de certification périodique aux ordres professionnels ;
  • il instaure, au bénéfice de chaque professionnel, des comptes individuels qui retracent les actions de certification périodique suivies. Il prévoit que ces comptes seront gérés par une autorité administrative qui sera désignée par voie réglementaire. (lire la suite sur le site de vie-publique.fr

Un cabinet d’avocat traduit cette décision. Ainsi, le texte définit la notion de certification, crée une instance nationale de pilotage, prévoit la création de référentiels et institue un dispositif de contrôle.
https://accens-avocats.com/blog/2021/07/22/professions-de-sante-creation-dun-dispositif-obligatoire-de-certification-individuelle-periodique-des-competences/

Cette décision a amené le site ‘Observatoire du mensonge’ à publier un article qui est devenu viral et qui est combattu par les médias du système :

Bref, nous retiendrons 2 données incompressibles. D’abord, l’élite se sent en guerre, ensuite le nouveau paradigme qui change la pratique médico-sanitaire doit changer la nature humaine, la vie en société, en famille, ainsi que l’intrusion dans la sphère intime du couple, des toilettes, etc.

Ce changement de paradigme, s’il était expliqué clairement, serait probablement rejeté par tout un chacun. Alors, comment le mettre en place sans faire la guerre aux populations ?

Liliane Held-Khawam




Le vaccin adoucit la mort

[Source : Victoire de la vérité]

Bravo M.Asselineau pour ce commentaire publié sur Facebook. Nous devrions tous apprendre par coeur ce court réquisitoire tant il est édifiant et terrible pour le narratif officiel.

👍 👍 👍

Réquisitoire

LE VACCIN ADOUCIT LA MORT

ℹ️ Le site américain The Hill cite le cas d’un double vacciné, cloîtré chez lui avec masque, mort de la #COVID19.

👉 Pour sa fille, vacciner reste essentiel car « elle ne peut même pas imaginer combien il aurait souffert s’il n’avait pas été vacciné »

Les arguments en faveur des vaccins évoluent donc.⤵️

1️⃣ D’abord, il était efficace à plus de 95%, n’avait aucun effet secondaire, et il empêchait l’infection et la transmission.

2️⃣ Puis son efficacité a été revue à la baisse.

3️⃣ Puis on a découvert qu’il n’empêchait ni infection ni transmission

4️⃣ On nous a alors dit qu’il empêchait seulement les formes graves et qu’il permettait d’atteindre l’immunité de groupe.

5️⃣ Puis on a vu s’accumuler des déclarations d’effets secondaires nocifs mais les « autorités » nous ont assuré qu’il n’y avait aucun rapport de cause à effet.

6️⃣ Puis on a reconnu du bout des lèvres qu’il y avait en effet des effets nocifs (myocardites/AVC/zonas/allergies..) mais qu’ils étaient statistiquement négligeables.

7️⃣ Puis on a découvert que l’efficacité baissait rapidement, au point qu’il faut injecter une 3ème dose au bout de 8 mois.

8️⃣ Puis on a découvert que la pandémie flambait dans les pays les plus vaccinés (Israël, Islande, Seychelles, Royaume-Uni…).

9️⃣ Puis les autorités de ces pays ont commencé à déclarer que l’immunité de groupe ne pouvait pas être atteinte par le vaccin mais par l’immunité naturelle.

1️⃣0️⃣ Puis on a découvert des double-vaccinés qui souffrent de formes graves et même en meurent.

1️⃣1️⃣ On nous alors a expliqué alors que les double-vaccinés :

✔️ ont statistiquement beaucoup moins de formes graves que les non-vaccinés

✔️ lorsqu’ils meurent de la Covid 19, c’est en souffrant moins.

🚨 CONCLUSION 🚨

Le narratif change sans cesse sur les bienfaits des vaccins Pfizer et Moderna, mais il ne change jamais pour

✔️ les vaccins russe, chinois, cubain et français(Valneva), qui restent interdits dans l’Union européenne

✔️ les traitements, dont l’Ivermectine, qui restent interdits malgré l’accumulation d’études positives




Un policier syndicaliste soutient les manifestations anti-Pass (France)

[Source : L’Échelle de Jacob]






Exemple d’action antivax contre-productive : Covid-19 — Un centre de vaccination vandalisé et 500 doses détruites près de Toulouse

[Source : ouest-france.fr]

Dans la nuit du lundi 16 au mardi 17 août, un centre de vaccination a été vandalisé à Saint-Orens-de-Gameville (Haute-Garonne), près de Toulouse. Des doses de vaccins contre le Covid-19 ont été détruites.

[Ndlr : c’est une action contre-productive de la part de personnes antivax, mais qui peut être un « faux drapeau » très utile pour le gouvernement, puisque cela peut ensuite faciliter l’accusation de terrorisme domestique contre les personnes hostiles à la vaccination.]

Un centre de vaccination contre le Covid-19 situé près de Toulouse a été vandalisé dans la nuit du lundi 16 au mardi 17 août. 500 doses de vaccins ont été détruites.

Aucune inscription ou revendication n’a été observée sur place, a indiqué à l’AFP la maire de Saint-Orens-de-Gameville (Haute-Garonne), Dominique Faure.

« Il s’agit de vandalisme classique : des tables et des chaises ont été cassées ainsi que deux écrans d’ordinateurs », a-t-elle précisé, ajoutant que le système d’alarme dont est dotée la salle associative transformée en centre de vaccination n’avait pas fonctionné.

Cinq cent doses de vaccin ont également été détruites sur place, selon une source proche de l’enquête.

Une plainte déposée par la mairie

Une plainte a été déposée par la mairie de la commune. L’enquête est confiée à la section de recherches de la gendarmerie de Toulouse et à la brigade des recherches de Villefranche-de-Lauragais, a indiqué à l’AFP le parquet de Toulouse.

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