Comment le corona a tué Pasteur

[Source : neosante.eu via santeglobale.world]

Par Yves RASIR

[NDLR Les liens vers des articles sur Nouveau Monde sont ajoutés]

Il y a trois ans, le 29 janvier 2020 exactement, je publiais ma première infolettre sur ce qui ne s’appelait pas encore le covid-19. Dans ce billet, je déplorais déjà la psychose délirante qui allait entraîner, sous prétexte sanitaire, un déferlement totalitaire hallucinant. Dès ce premier édito consacré au Corona Circus (*), j’exprimais cependant ma conviction qu’à toute chose malheur est bon. Le monde allait enfin réaliser que la médecine pasteurienne fait fausse route, que sa théorie du germe ne tient pas debout et que les virus sont innocents des méfaits qu’on leur impute. Trente-six mois plus tard, force est de reconnaître que mon optimisme était quelque peu béat. Même chez les résistants à la mascarade coronavirale et au traquenard vaccinal, il y a une grande majorité de gens qui continuent de penser que les microbes sont la cause des maladies infectieuses et que celles-ci sont incontestablement contagieuses. Ce double mythe introduit par Louis Pasteur au 19e siècle n’en finit plus d’empoisonner les esprits. Ce ne sont pourtant pas les preuves de son inanité qui manquent ! Durant ces trois années, nous avons collecté quantité d’indices indiquant que le virus couronné n’était pour rien dans cette pseudo-pandémie. Le vrai coupable reste à identifier, mais il y a toute une série d’éléments permettant de disculper l’hypothétique sars-cov-2 dans la survenue de grippes légèrement atypiques et de leurs complications pneumopathiques. (…) Pour nous, le corona n’a jamais tué personne, si ce n’est le saint patron de la virophobie et sa fausse théorie.

1) L’introuvable patient zéro

Dès l’entame de l’opération plandémique, les médias aux ordres nous l’ont répété à l’envi : les autorités sanitaires de chaque pays étaient sur pied de guerre pour retrouver les « patients zéro », c’est-à-dire leurs premiers contaminés nationaux. Le but de cette traque était bien sûr de remonter la chaîne de transmission du virus afin de stopper sa progression. Les épidémiologistes se sont donc mis en chasse pour retracer les contacts des malades et coincer le gibier, à savoir les tout premiers covidés arrivés ou infectés sur le sol national. Le hic, c’est que les chasseurs sont toujours rentrés bredouilles. En Chine, ils ne sont pas arrivés à dénicher le patient zéro malgré une longue enquête concentrée autour du marché aux animaux de Wuhan, pourtant épicentre de l’épidémie. En Italie, la piste d’un migrant chinois ou d’un touriste italien débarquant de Chine a été évoquée, mais le « coupable » n’a pas été identifié. Idem en Belgique, idem en France, idem en fait partout dans le monde. Les enquêteurs n’ont jamais réussi à remonter les filières jusqu’au cas initial, car il manquait toujours des maillons dans les chaînes de transmission. Les premiers malades ne se connaissaient pas et il n’y avait pas eu de possibilité de contact entre eux. Ça la fout un peu mal pour la théorie du virus made in China se disséminant facilement avant les masques, gestes barrières et autres confinements. Une chauve-souris ou un pangolin aurait donc pris l’avion et débarqué incognito ? Les gardiens du dogme pasteurien s’en tirent en expliquant qu’une personne sans symptômes a très bien pu refiler le virus tueur à un autre porteur qui a lui-même essaimé pendant la période d’incubation. C’est pratique, l’asymptomatologie, pour voler au secours de la virologie. Mais c’est aussi se tirer une balle dans le pied comme nous allons le voir au point suivant.

2) La prolifération des asymptomatiques

Des microbes sans malade et des malades sans microbe, ce n’est pas nouveau. Pour chaque maladie dite infectieuse, il est notoire que la présence du germe n’est pas forcément pathogène et que son absence n’empêche pas toujours le stade pathologique. Par exemple, une majorité d’entre nous héberge la bactérie Helicobacter Pylori, mais une toute petite minorité va déclencher un ulcère ou un cancer de l’estomac, tandis que l’agent bactérien n’est pas toujours retrouvé chez les ulcéreux et les cancéreux gastriques. C’est déjà une fameuse faille du narratif pasteurien faisant du micro-organisme le principal fautif. Le sida est arrivé à point nommé, car on nous a alors expliqué que les assaillants pouvaient rester cachés ou s’endormir avant d’attaquer. Avec le corona, cette pirouette n’est cependant pas valable puisque l’intrus est censé entrer par le nez, progresser vers les poumons s’il surmonte l’immunité locale et déclencher presque à coup sûr une infection respiratoire, comme le virus de la grippe. Or il s’est avéré que la proportion de covid asymptomatiques était très importante. Les estimations ont varié entre 15 et 70 % au fil du temps, mais la plus sérieuse étude sur la question a évalué le pourcentage à 40,5 %. Il y a donc plus de quatre cas sur dix qui ne sont précisément que des cas, c’est-à-dire des tests PCR positifs ne reflétant même pas un nez qui coule ou une petite toux. C’est logique puisque cette technique de dépistage génère une myriade de faux positifs et qu’elle n’a pas été inventée pour poser un diagnostic. Cet instrument a cependant été employé pour accuser le virus et c’est même le seul « témoin » de l’accusation, laquelle n’a jamais dénoncé la trop grande sensibilité du test. Grâce à la PCR et à la pullulation de contaminés non malades, on a eu l’éclatante démonstration que les fondations du paradigme pasteurien sont pour le moins branlantes. La corrélation entre virus et maladie, qui n’est déjà pas un lien de causalité, est loin d’être évidente !

3) Les soignants pas plus touchés

La théorie virale est d’autant plus bancale que le personnel soignant n’a pas été décimé par le supposé fléau infectieux. Les autorités sanitaires ont prétendu le contraire, nous ont fait applaudir les héroïques médecins et infirmières « en première ligne sur le front », mais n’ont jamais apporté la preuve que leurs troupes étaient davantage concernées par l’épidémie. En Belgique comme en France, les chiffres de décès par métier ont toujours été cachés et ce n’est que par la presse ou via des mutuelles que des cas ont sporadiquement été rapportés. Rien de statistiquement anormal. Côté belge, je n’ai pour ma part identifié qu’une dizaine de soignants dont la mort a été attribuée au covid. Et j’ai fait remarquer à l’époque que quatre d’entre eux étaient d’origine africaine, ce qui n’est pas anodin puisque les Noirs et métis vivant en Occident sont à risque de carence en vitamine D au sortir de l’hiver, les peaux foncées synthétisant moins bien cette précieuse alliée de l’immunité. À défaut de « payer un lourd tribut », les héros ont-ils davantage été exposés au virus ? Même pas ! Certaines études ont bien conclu que les professionnels du soin étaient proportionnellement plus nombreux parmi les contaminés, mais ce sont des trompe-l’œil puisque les pros se sont évidemment testés plus souvent et que la méthode PCR génère plein de faux positifs. Bien plus intéressant de ce point de vue, le test sérologique n’a montré aucune différence entre les soignants et la population générale selon une étude menée en Belgique par l’Institut Sciensano. Avec ou sans blouse blanche, les Belges ont rencontré le virus dans des proportions équivalentes. L’Institut en a déduit que les toubibs et le personnel infirmier s’étaient bien protégés, mais l’on se souviendra que ces deux corporations se plaignaient du manque d’équipements avant et durant la première vague. Pour intégrer que le récit pasteurien est mensonger, il suffit de se rappeler les temps précovidiens et les épidémies de grippe annuelle. Bien que non masqués et serrant les mains de leurs patients sans arroser les leurs de gel hydroalcoolique, les médecins de terrain n’ont jamais massivement succombé à l’influenza censée se transmettre, lui aussi, par les contacts cutanés ou les microgouttelettes en suspension dans l’air. On n’a jamais vu les rangs des généralistes être décimés par la pourtant réputée contagieuse grippe saisonnière, et ce n’est pas le corona qui a changé la donne. Allô Pasteur ?

4) Les omniprésentes comorbidités

Le microbe n’est rien, le terrain est tout. Jamais cette phrase attribuée à Antoine Béchamp ou Claude Bernard et qu’aurait admise Louis Pasteur sur son lit de mort n’a été plus conforme à la réalité. Pour autant qu’il existe, le sars-cov2 a très bien révélé que son rôle était nul ou infime en regard du terrain, c’est-à-dire de la santé et de la vitalité du patient en amont de l’épisode infectieux. À Wuhan déjà et en Italie surtout, il est très vite apparu que cette grippe à corona — famille de particules impliquée, je vous le rappelle, dans 13 à 18 % des syndromes grippaux hivernaux habituels — épargnait totalement les enfants et accablait très préférentiellement les aînés porteurs de comorbidités. Selon les données italiennes observées partout ailleurs, pas moins de 94 % des « covidécédés » souffraient préalablement d’obésité, de diabète et/ou d’hypertension. Chez les 6 % restants, on pouvait encore soupçonner un cancer sous-jacent ou une autre maladie chronique non diagnostiquée. Bref, « il y avait toujours quelque chose quand on cherchait un peu », comme l’a déclaré le Dr Louis Fouché lors de sa toute première vidéo enregistrée à l’IHU de Marseille. Certes, l’anesthésiste-réanimateur s’est lui aussi farci le covid par la suite, à l’automne 2021, et « ce n’était pas rien » comme il l’a confié après sa convalescence. Comme lui, des centaines de milliers de gens pas vieux et en apparente bonne santé ont également été frappés et secoués par cette grippe à l’impact extrêmement variable : rhinite légère chez les uns et pneumonie sévère chez les autres, avec toute la palette de gravité entre ces deux pôles. Est-ce pour autant la revanche de la théorie du germe ? Pas du tout selon nous. Dans la vision qui est la nôtre, l’agent infectieux est soit endogène et produit par l’individu (théorie des microzymas), soit exogène et « téléchargé » par les patients dont l’immunité laisse à désirer. Au début, il était logique que les plus fragiles tombent les premiers. Ensuite, il n’était pas moins logique que l’infection survienne sur d’autres terrains. Comme nous l’avons maintes fois souligné, l’infectiologie classique a comme axiome que les agents infectieux les plus virulents sont aussi les moins contagieux et qu’inversement, les plus transmissibles sont aussi les plus inoffensifs. Cela s’est encore vérifié spectaculairement puisque les chiffres de mortalité se sont tassés à mesure que le covid gagnait en popularité. Autrement dit, les gens en bonne santé ont « fait » la maladie quand elle ne présentait plus guère de danger. Pourquoi l’affection en a-t-elle néanmoins affecté beaucoup ? C’est ici qu’il faut prendre en compte la médecine du Dr Hamer et bien comprendre le rôle auxiliaire des agents infectieux qui viennent participer au processus de guérison. En d’autres termes, le virus couronné s’est probablement invité chez tous ceux qui, à des degrés très divers, avaient déjà une faiblesse réclamant correction. Le surpoids, même modéré, est l’un de ces handicaps répertoriés. Les subcarences en vitamines et minéraux en sont un autre, de même que la sédentarité. Il est archiprouvé que le manque d’activité physique et le déficit micronutritionnel (en zinc et vitamine D essentiellement) sont des facteurs favorisants prépondérants de la grippe classique comme de la grippe covid. De notre point de vue, les conflits relationnels et la perte d’équilibre émotionnelle ne sont évidemment pas à négliger et ils constituent même une « comorbidité » décisive. Même s’il incarne la sérénité, Louis Fouché a quand même somatisé après avoir perdu son poste hospitalier. Bref, la théorie du terrain sort à nos yeux consolidée par ces trois années plutôt mortelles pour le modèle pasteurien.

5) Les clusters aux abonnés absents

Le grand méchant loup n’effrayant pas assez, il fallait agiter le spectre de meutes entières attaquant férocement les humains sans défense. Et comme le mot « foyer » ne permet pas de jargonner en faisant le malin à la télé, les politiciens et leurs conseillers ont sorti l’anglicisme « cluster » de leur trousse MacKinsey. Signifiant « groupe » ou « grappe », ce terme désigne les foyers épidémiques apparaissant lorsque le cruel virus se propage et contamine des individus réunis dans un même endroit. Selon le récit covidiste, tout rassemblement aurait été un terrain de jeu pour l’agent infectieux et il fallait à tout prix éviter la multiplication des clusters. Cette autre forme de modélisation mathématique s’est cependant avérée aussi foireuse que les prévisions de mortalité et les foyers de contagion n’ont pas du tout répondu aux pronostics. Certes, l’étude française Épi-Phare a mis en évidence que le lieu de travail et le foyer familial étaient le point de départ de petites flambées épidémiques. C’est facilement explicable du fait que ces deux milieux de vie sont propices aux conflits relationnels et que les personnes en présence subissent les mêmes influences environnementales. Les bars et restaurants ? Comme l’a exposé le mathématicien Vincent Pavan, le seul travail scientifique qui a servi à justifier leur fermeture était en réalité un piètre sondage truffé de manquements méthodologiques. Rien ne prouve que les bistrots et les restos soient des clusters en puissance parce qu’on y ouvre la bouche. Le plus ennuyeux pour la théorie pasteurienne, c’est que les contaminations ont complètement déserté les transports en commun. Même agglutinés dans des wagons bondés, les usagers du train ou du métro n’y auraient pas « chopé » le covid parce qu’ils étaient masqués. La bonne blague, alors que ces lieux clos sont de véritables bouillons de culture paradisiaques pour les germes de toute nature ! La preuve la plus flagrante que la hantise des clusters ne repose sur rien, c’est que les grands rassemblements de 2020, comme le salon du bâtiment en Belgique ou les fêtes de la musique en France, n’ont donné lieu à aucune vague d’infections parmi les participants. Idem en 2021 pour les raves-parties sauvages et les « boums » des jeunes Bruxellois au Bois de la Cambre. Les médias et les médecins de plateau avaient prédit le pire, mais le virus a boudé les joyeux fêtards. Cherchez l’erreur !

6) Une symptomatologie non spécifique

Un microbe pour chaque maladie, une maladie pour chaque microbe : c’est le rêve et le « business model » des plandémistes catastrophistes. Selon leur credo, chaque virus émergent va donner lieu à une pathologie particulière se distinguant par des symptômes particuliers. Avec le sars-cov2, on allait voir que le covid était du jamais vu, du parfaitement inédit ! Hélas pour les faux prophètes, les signes cliniques de la grippe classique et de la grippe covid sont tellement ressemblants qu’aujourd’hui encore, les quatre principaux (toux, fièvre, fatigue, courbatures) ne permettent pas de faire la différence. Même Bill Gates vient de reconnaître que son fléau chéri avait tout l’air d’une grippe pas bien méchante. La détresse respiratoire aiguë ? Ça peut arriver après tout refroidissement assorti de complications. La perte provisoire du goût et de l’odorat ? Elles ont sans doute été plus fréquentes, mais ce n’est pas une exclusivité covidienne. C’était aussi la première fois que des milliards de gens acceptaient de se faire farfouiller le nez avec un long coton-tige porteur de nanoparticules toxiques. Les pneumopathies atypiques ? Comme nous l’avons signalé, cette catégorie existait déjà dans la nomenclature pour désigner certaines bronchopneumonies bactériennes. Le covid a été une grande coque-vide dans laquelle on a mis toutes les autres maladies respiratoires (3 millions d’hospitalisations chaque année en France) soudainement disparues ou en nette régression. Même les non infectieuses comme l’emphysème ou le cancer du poumon ont mystérieusement reflué ! Les troubles de la coagulation et les hypoxies silencieuses ? Ils ne sont pas non plus l’apanage du covid et peuvent être imputables à diverses intoxications, notamment au cyanure ou au mercure. Bref, on ne voit toujours pas ce qui permet d’incriminer un « nouveau corona » plus dangereux que ses cousins et que l’influenza. Comme d’habitude, ce sont les surinfections bactériennes qui ont tué et non un virus plus virulent qu’un autre. La symptomatologie du covid est d’ailleurs si peu spécifique qu’il a fallu le test PCR pour décréter qu’une nouvelle maladie avait débarqué. Trois ans plus tard, les tableaux cliniques de la grippe normale et de sa rivale coronavirale demeurent tellement similaires qu’un nouveau test de dépistage vient d’être commercialisé pour les différencier. Et le fabricant promet déjà un test trivalent permettant de faire le tri entre grippe, covid et bronchiolite. Il n’y a pas aveu plus clair que les médecins pasteuriens y perdent leur latin et que les génomes viraux ne peuvent être reliés à des symptômes spéciaux. 

7) La propagation démentie par les statistiques

C’est la grenade dernièrement dégoupillée par le statisticien Pierre Chaillot : les courbes épidémiques ne confirment absolument pas la thèse d’un virus arrivant quelque part et se propageant progressivement. Et ceci est vrai pour toutes les épidémies grippales ! Pour examiner cet argument de poids, je vous renvoie au livre récemment publié par le jeune scientifique français et à l’interview qu’il a accordée au mensuel Néosanté dans son numéro de janvier. Je l’ai déjà partagé dans ma lettre du 14 décembre, mais voici un extrait particulièrement percutant de cet entretien démystifiant : « Mes rencontres avec d’autres chercheurs ont contribué à modifier mes croyances sur la genèse des épidémies. Denis Rancourt, chercheur canadien, a contribué à m’ouvrir les yeux : aucune mortalité hivernale ne s’est jamais propagée. Tous les pays de l’hémisphère nord ont des pics de mortalité simultanés. Il n’y a pas de « propagation » épidémique expliquant la mortalité, il y a une apparition, partout en même temps, de malades, suivie d’une hausse des décès. S’il y avait propagation, on observerait nécessairement sur les courbes de mortalité des décalages de plusieurs semaines à plusieurs mois entre les pics de décès de deux pays. Or les décès sont parfaitement synchronisés tous les ans, tous les hivers pour tous les pays. Différents échanges stimulants avec d’autres scientifiques, comme Eusèbe Rioché et Jacques Colin de Verdière, qui ont contribué à la rédaction du livre, m’ont conduit à abandonner des présupposés que je croyais « scientifiques ». Pierre Chaillot ne nie pas catégoriquement que des particules virales puissent se propager dans la population. Ce n’est pas son domaine de compétence et il ne prend pas parti dans ce débat. En revanche, son analyse statistique infirme totalement que « ce quelque chose » qui se propagerait a un impact sur la mortalité ou les hospitalisations. Or si la maladie et la mort ne sont pas corrélées à la circulation du virus accusé, que reste-t-il de sa culpabilité ? Et au-delà, que reste-t-il du paradigme pasteurien inculpant les microbes et oubliant le terrain ? J’ai beau chercher, je ne vois rien.

8) La saisonnalité de l’infection

Pour autant qu’il existe et qu’il soit réellement émergent, le sars-cov2 fait incontestablement partie des virus dits hivernaux. Ça ne veut pas dire que ces particules roupillent en été et se réveillent aux premiers frimas, ça signifie que leur activité et leur supposée nocivité sont fonction du climat. Souvenez-vous de la première vague : elle a déferlé en mars 2020 et refluait déjà mi-avril. La seconde vague, elle, a débuté à la rentrée et a culminé en fin de saison automnale. Il est très vite apparu que le covid était une maladie saisonnière et qu’à l’instar de la grippe annuelle, elle sévissait plus ou moins sévèrement selon qu’il faisait chaud ou froid. C’est ce que des épidémiologistes compétents comme Jean-François Toussaint ou Laurent Toubiana ont rapidement expliqué en s’attirant pourtant les foudres des télétoubibs et des modélisateurs fous comme Martin Blachier. C’est aussi ce que le statisticien Pierre Chaillot démontre imparablement dans son bouquin : les courbes épidémiques de la virose corona ont épousé très étroitement celles des températures. Comme je l’ai relaté dans ma lettre « Coup de froid pour la doxa », ce constat est accablant pour la religion covidiste et pour la doctrine pasteurienne faisant du germe le facteur pathogène principal. Attention : l’analyse de Chaillot ne montre pas que le froid mérite à son tour d’être pointé du doigt. Elle montre uniquement que l’élément causal est à chercher dans les conditions de vie, et notamment dans celles liées aux saisons. Et le jeune statisticien de mentionner une piste, celle de l’assèchement de l’air qui peut favoriser la pénétration de particules fines au fond des bronches. Ces particules ne sont pas forcément virales et peuvent aussi provenir d’une pollution de l’air ambiant, comme c’était le cas à Wuhan en 2019. En début d’été 2021, la saisonnalité du covid ne semblait plus aussi évidente, car beaucoup ont contracté la maladie en juillet. On se souviendra toutefois que le printemps avait été pourri et que l’entame des vacances n’était pas non plus des plus chaleureuses. De plus, c’est en mai-juin que la première vague d’injections expérimentales s’était abattue sur les moins de 60 ans ne voulant plus manquer leurs transhumances estivales. Simple coïncidence ? Plusieurs études scientifiques, dont celle de la microbiologiste Hélène Banoun, ont suggéré que les fraîchement vaccinés étaient contagieux en excrétant soit l’ARN messager, soit leurs protéines spike, soit encore leurs anticorps facilitateurs d’infection. Cette hypothèse du « vaccine shedding » ne fait pas consensus, mais elle apporterait une explication à ce pic de juillet 2021 qui fait figure d’exception confirmant la règle, celle-ci étant que les syndromes grippaux, covid compris, frappent très préférentiellement en automne et en hiver. Si les virus détalent dès que le mercure remonte, doit-on encore en avoir peur et les juger responsables de nos maux ? Il me semble que la question induit la réponse.

9) Notre suspect l’est plus que jamais

C’est dans notre infolettre du 25 mars 2020 que nous avons lancé ce pavé dans la mare : nous tenions un suspect ! Grâce aux recherches du « journaliste citoyen » Dominique Guillet, nous avons en effet révélé la raison très probable pour laquelle l’Italie du Nord, et la Lombardie en particulier, était sévèrement frappée par la « première vague » de covid. C’est en effet dans cette région que deux mois auparavant, les autorités avaient procédé à une grande campagne de vaccination contre la méningite. Suite à une mini-épidémie ayant fait deux morts, elles avaient décidé de vacciner gratuitement toute la population vulnérable, c’est-à-dire les personnes âgées. Voilà sans doute pourquoi les séniors de Bergame ou de Brescia tombaient comme des mouches tandis que leurs homologues de Bologne ou de Turin étaient peu frappés par le fléau prétendument importé de Chine. En Lombardie, c’est parfois d’un village à l’autre que la situation sanitaire et le taux de remplissage du cimetière variaient fortement, ce qui est incompatible avec la thèse d’un virus qui se propage, mais qui se comprend aisément si le vaccin anti-méningocoque est en cause. Pour vérifier la corrélation, il suffisait de superposer la carte des décès avec celle de la couverture vaccinale, ce qui n’a pas été fait par les épidémiologistes italiens trop occupés à traquer l’introuvable patient zéro chinois. Notre suspect était d’autant plus à soupçonner qu’à Madrid, épicentre espagnol de la flambée de covid, on avait également vacciné contre la méningite à l’automne 2019. Mais n’oublions pas non plus le vaccin antigrippal ! Dans ses numéros 100 (mai 2020), 103 (septembre 2020) et 107 (janvier 2021), la revue Néosanté a pointé les effets délétères de ces injections en exposant, nombreuses sources scientifiques à l’appui, qu’elles avaient certainement fait le lit des pneumopathies atypiques attribuées au coronavirus. Certes, aucun « grand » média ni aucun gouvernement n’ont exploré cette piste. Mais ça ne veut pas dire qu’elle n’est pas sérieuse. Je pense même que c’est l’inverse et que le suspect n’a pas été inquiété en raison de son évidente culpabilité. Pour notre part, nous restons en tout cas convaincus que les campagnes vaccinales contre la méningite et contre la grippe sont liées aux ravages de l’hypothétique virus couronné. En juillet dernier, des chercheurs allemands ont encore publié une étude qui confirme nos soupçons. Elle montre clairement qu’au printemps 2020, la vaccination antigrippale était le facteur de risque numéro un face à la « pandémie ». Un risque encore plus important que la carence en vitamine D !

10) L’échec des mesures sanitaires

L’innocence de la particule baptisée sars-cov2 dans l’éclosion de la pseudo-épidémie de covid est d’autant plus patente qu’aucune mesure destinée à l’endiguer n’a été efficace. Faut-il vous égrener tous les articles et travaux scientifiques que nous avons mentionnés dans nos billets durant trois ans parce qu’ils montraient l’inefficacité de la distanciation sociale, des confinements ou du port du masque ? Concernant la muselière, il y avait à un moment donné plus de 130 études attestant de sa parfaite incapacité à museler le virus, mais nous avons arrêté de les compter. Inutile de continuer à canarder l’ambulance des croyances pasteuriennes puisqu’elle est complètement hors d’usage. Histoire de l’envoyer définitivement à la casse, citons toutefois cette récente méta-analyse de la prestigieuse Collaboration Cochrane. Selon ce réseau de chercheurs indépendants, qui a analysé 78 études de qualité, il n’y a absolument aucune preuve que les bâillons buccaux permettent et ont jamais permis d’enrayer les épidémies d’infections respiratoires. Qu’ils soient chirurgicaux ou industriels, les masques ne marchent tout simplement pas. La seule règle d’hygiène qui semble avoir un modeste effet protecteur, c’est le lavage des mains. Aucune autre « barrière » physique érigée contre les présumés assaillants viraux n’a satisfait aux essais rigoureusement contrôlés. Mais a-t-on encore besoin de tester les « stratégies non pharmaceutiques » quand nous avons eu l’éclatante démonstration de leur inutilité ? Énorme caillou dans la chaussure covido-pasteurienne, la Suède a sauvegardé la vérité en ne cédant pas à la terreur. Sans fermer ses écoles, magasins ou restaurants, et sans imposer le port du masque, ce pays a pourtant échappé aux scénarios apocalyptiques qu’on lui avait prédits. Et il s’en est plutôt bien sorti en termes de mortalité par habitant. A contrario, les pays européens et les états américains qui ont été le plus loin dans le délire liberticide ont à rougir de leurs statistiques pandémiques. La Chine ? Tout en la soupçonnant de dissimuler ses morts, les experts occidentaux nous ont expliqué que ce pays devait l’endiguement du fléau infectieux à sa stricte politique « zéro covid ». Or l’année 2022 a fait crouler ce mythe puisque les confinements impitoyables n’ont pas empêché l’envol des contaminations. L’abandon de cette politique début décembre allait-il conduire à la catastrophe ? Caramba, encore raté pour les modélisateurs : les hôpitaux et cimetières chinois ont bien été débordés de mi-décembre à mi-janvier, mais pas plus qu’ailleurs. En France ou en Angleterre, les morgues et les funérariums étaient même davantage saturés, comme l’ont rapporté plusieurs médias invoquant le grand retour de la grippe influenza. Bref, on chercherait en vain un quelconque lien entre l’action d’un coronavirus létal et les décisions adoptées pour éloigner le péril viral. Leur échec magistral signe à nos yeux la cuisante déroute du paradigme pasteurien.

11) Le plantage des vaccins

Faut-il tirer sur cette autre ambulance ? Quand ils nous ont vendu le vaccin, les labos pharmafieux et leurs délégués commerciaux politiciens avaient fait miroiter que le virus allait s’arrêter de circuler. Or il est désormais allègrement prouvé que les injections géniques n’ont pas empêché leurs bénéficiaires d’être « contaminés » par l’ennemi public ni de le « transmettre » à autrui. Vaccinés ou pas à l’ARN messager, des millions d’Occidentaux ont « fait le covid » en 2021 et 2022. En évitant les formes graves ? Si cette foutaise était vraie, on aurait dû voir un « effet vaccin » dans les chiffres de mortalité. Or comme le souligne le général Delawarde dans son dernier rapport, on ne voit aucune trace d’un « miracle vaccinal » s’étant produit dans le monde depuis l’arrivée du messie en seringue. En 2021, le nombre officiel de décès covid (3,62 millions) a même été supérieur à celui de 2020 (1,83 million). Selon Dominique Delawarde, il est manifeste que les vaccins Pfizer et Moderna ont une efficacité négative puisque sur la seule année 2022, les 30 pays de l’OTAN, très vaccinés, ont eu un taux de mortalité covid 7,4 fois supérieur à celui du reste du monde pour la même période. Tous les pays de l’OTAN, sans aucune exception, ont un taux de mortalité par millier d’habitants supérieur à la moyenne du monde non otanien. D’où vient ? C’est à tout le moins la preuve chiffrée que les vaccins expérimentaux occidentaux ont échoué à combattre la maladie ciblée. Les vaccins classiques ont-ils fait mieux ? On peut en douter puisque 90 % des Chinois ont reçu le vaccin développé en Chine et que cette couverture optimale n’a pas permis d’éviter de nouvelles flambées épidémiques. Il faudrait voir ce qu’il en est en Russie et à Cuba, deux autres pays « inventeurs » de vaccins anticovid, mais il serait de toute façon difficile de distinguer le ralentissement naturel de l’épidémie d’un éventuel impact des valences locales. En revanche, il y a un continent entier qui fait office de groupe témoin : vu que l’Afrique est très peu vaccinée et qu’elle reste très peu concernée par le covid, on peut rationnellement postuler qu’aucun vaccin n’était nécessaire pour affronter le cataclysme. En continuant à bien se porter sans se faire piquer, les Africains torpillent le dogme pasteurien selon lequel un nouveau virus couronné aurait pris la planète d’assaut en 2020.

12) L’immunité collective, on l’attend toujours

La vision pasteurienne des maladies infectieuses est d’autant plus révolue qu’un autre mythe fondateur venant de Pasteur s’est fracassé à l’occasion de la « crise sanitaire » : celui de l’immunité collective. Quand ils ont vu que cette protection de troupeau faisait défaut, les prélats de l’église vaccinaliste se sont vite rabattus sur le taux d’infections naturelles. Celui-ci grimpant en flèche « grâce » aux nouveaux variants, la collectivité serait bientôt immunisée par l’effet cumulé des campagnes vaccinales et de la propagation virale. Las, la réalité est encore venue démentir les modèles et le Graal de l’immunité grégaire n’a jamais été atteint. Tout le monde connaît quelqu’un qui, vaxxé ou pas, a contracté plusieurs fois la maladie. Et c’est bien normal puisque la notion de bouclier collectif est une fumisterie totale. Elle a été inventée en son temps pour expliquer la décélération progressive des épidémies et leur disparition, mais cette mythologie n’a jamais été scientifiquement validée. Les maladies infectieuses ont toujours disparu bien avant que le seuil théorique de contamination ou de vaccination pour les faire cesser ne soit atteint. Certes, le covid se singularise puisque ce stade est allègrement dépassé (selon les estimations, près de 90 % de la population auraient déjà rencontré le virus d’une manière ou d’une autre) et que des « vagues » continuent à déferler. Mais c’est justement une preuve supplémentaire que cette fable de l’immunité collective ne repose sur rien. Comme nous l’avons étayé dans un dossier de Néosanté (N° 126 d’octobre 2022), l’immunité est par nature individuelle, car elle dépend du terrain de chacun (physique, psychologique, génétique…) et non de celui du voisin. Les micro-organismes sont innocents des pathologies dont on les accuse, car le système immunitaire lui-même n’a rien à voir avec un dispositif militaire chargé de mener une guerre. Ça, c’est ce que Néosanté avait expliqué en octobre 202 dans un dossier sur « La symbiose ignorée » rédigé par le Dr Éric Ancelet. Depuis lors, le parapluie commun promis en vain se fait toujours attendre…

13) Les anticorps ne veulent rien dire

Dans la mythologie pasteurienne, le système immunitaire est un champ de bataille opposant perpétuellement des microbes hostiles à de vaillants défenseurs qui ne font que riposter à l’agression. Un peu comme une guerre d’Ukraine permanente avec les vils Russes dans le rôle des virus et les cellules de l’immunité dans le rôle des braves Occidentaux qui n’ont rien fait de mal et cherchent simplement à protéger leur camp de l’ennemi féroce. Lorsque ce dernier utilise de nouvelles armes, le corps humain s’adapte et mobilise des troupes appelées anticorps ou immunoglobulines. Selon la Sainte Église de Vaccinologie, il suffit de stimuler la production de ces protéines défensives en mimant une attaque pour que l’organisme soit dorénavant immunisé contre l’agresseur. Certes, depuis deux ans, le clergé pasteurien a appris à nuancer sa doctrine. Devant l’échec des vaccins rédempteurs et l’absence d’immunisation par infection, les prélats de cette religion sont bien obligés de reconnaître que le système immunitaire est plus compliqué que ça, que l’immunité humorale n’est qu’une fraction de la réponse et que les agents de l’immunité innée (macrophages, cellules NK…) ne font pas de la figuration. Il n’empêche que pour les gardiens de la Foi, le dogme des anticorps demeure coulé dans le bronze : s’ils sont présents dans le sang, c’est qu’ils ont rencontré l’assaillant et sont aptes à l’éliminer. Une importante minorité de patients infectés par le coronavirus (8 % selon certaines études) développe zéro anticorps ? On ferme les yeux. Plus de 99 % des vaccinés ont développé des anticorps, mais la plupart d’entre eux ont quand même fait la maladie ? Circulez, y’a rien à voir. Des tests sérologiques reviennent positifs alors que les testés n’ont jamais été malades ? Faisons semblant de rien. Les anticorps ne sont pas spécifiques au sars-cov2 et leur dosage n’est donc pas plus fiable qu’un dépistage PCR ? Chut, ne l’ébruitez surtout pas ! Avec le sida, ce secret est resté bien gardé. Très peu de gens savent que le test HIV peut réagir à 70 situations pathologiques autres que l’immunodéficience acquise, par exemple au palu, à la tuberculose ou.. à l’état de grossesse. Grâce au covid, on sait désormais que la séropositivité peut aussi découler d’une ancienne grippe ou d’un bête nez qui coule. La présence d’anticorps est d’autant moins significative que le procédé de détection, explique le biologiste Stefano Scoglio dans le Néosanté de février, consiste à faire réagir l’individu à une « protéine recombinante », autrement dit à un antigène trafiqué en laboratoire et qui n’existe pas dans la nature. En vérité, toute cette patascience des anticorps ne mérite qu’un sort : la poubelle.

14) La grippe n’existe pas

C’est un argument que j’ai soulevé dès ma deuxième lettre consacrée à la « pandémie » débutante : la grippe de Wuhan ne serait probablement pas plus réelle que la grippe habituelle qui, elle non plus, n’existe pas. On peut bien sûr souffrir de syndromes grippaux, c’est-à-dire d’un ensemble de symptômes classables dans un tableau clinique appelé « grippe ». Mais il est faux de croire que ce tableau signale la présence problématique de telle ou telle particule virale. Dans un article retentissant paru dans le British Medical Journal en 2013, le Dr Peter Doshi a révélé qu’aux États-Unis, 84 % des diagnostics de grippe étaient erronés puisque le virus Influenza n’était retrouvé que dans 16 % des échantillons. Pour leur étude publiée en 2017, des chercheurs néerlandais ont voulu évaluer la contribution du virus influenza et des autres pathogènes respiratoires dans les syndromes grippaux. Pour ce faire, ils ont suivi une cohorte d’adultes de plus de 60 ans pendant deux saisons hivernales. Ils ont trouvé que le virus de la grippe était responsable de seulement 18 à 34 % des épisodes fébriles accompagnés des autres symptômes caractéristiques de la maladie (céphalées, courbatures, maux de gorge, rhinite, toux et douleurs thoraciques). Certes, les scientifiques se sont empressés de pointer d’autres coupables du doigt : ils ont détecté d’autres micro-organismes réputés pathogènes (bactéries, rhinovirus, coronavirus, pneumovirus et autres « para-influenzae ») dans 60 % des cas au cours de la première saison et dans 44 % des cas la saison suivante. Mais ça ne suffit pas à dissimuler sous le tapis que la grande majorité des grippes surviennent en l’absence de leur virus attitré et qu’au moins 20 % des épisodes grippaux se déroulent SANS présence virale détectée. Au passage, vous aurez noté que le vaccin est une belle arnaque puisqu’il ne contient que le seul Influenza et que ce dernier est de toute façon très minoritaire chez les personnes grippées. A fortiori, l’immunisation artificielle NE PEUT PAS marcher quand ces dernières n’hébergent aucun agent infectieux. On comprend dès lors mieux que la réalité des « maladies virales sans virus » soit entourée d’une telle discrétion : ça fout par terre le mythe vaccinal et la légende pasteurienne du germe causal. Avec le covid, on a eu la démonstration supplémentaire que seuls les tests de dépistage rendent possible un tri entre syndromes grippaux. Dans la vie réelle, le médecin est bien incapable de distinguer une grippe d’une autre…

15) La guerre biologique, c’est de la science-fiction

Dans son discours-fleuve à la nation, Vladimir Poutine l’a encore répété hier : les laboratoires de recherche ukrainiens financés par les Américains avaient pour mission de fabriquer des armes biologiques dirigées contre la Russie. Selon les documents trouvés par l’armée russe, le projet était de rendre des virus hautement pathogènes et de les disséminer vers l’Est, par exemple via des oiseaux migrateurs. Personnellement, je pense que cette accusation est plausible et crédible. Quand il peut mettre au point un arsenal illégal, mais très létal, l’Oncle Sam ne se gêne jamais. On l’a vu notamment en Serbie et en Irak avec l’usage de bombes à uranium appauvri qui ont fait et continuent de faire des ravages dans la population civile. Il y a donc certainement des chercheurs qui cherchent obstinément à détourner la vie microcosmique pour semer la mort. Mais a-t-on la moindre preuve qu’ils aient trouvé et qu’ils soient parvenus à leurs fins ? Pas à ma connaissance. Jusqu’à démonstration du contraire, la guerre biologique est un oxymore et une fiction qui n’existe qu’au cinéma. Certes, il est possible d’empoisonner de l’eau ou de la nourriture avec des bactéries et de contaminer quelques personnes mises en contact tactile ou aérien avec des bacilles dangereux. Mais à part dans les films hollywoodiens, qui a jamais vu un microbe manipulé avec succès pour en faire une arme de destruction massive ? Dans une interview récente, le très pasteurien Christian Perronne affirme que les Japonais y sont arrivés au siècle dernier et que leurs armes bactériologiques ont fait des « millions de morts » en Chine. Ah bon ? Le professeur prend ses fantasmes biophobiques pour la réalité, car cet article très documenté raconte tout autre chose. Le Japon a bien fait des expériences cruelles sur des prisonniers chinois et tenté de provoquer des épidémies de peste ou de choléra, mais avec des résultats très limités et décevants de leur point de vue. Les virus ? N’en déplaise au général russe Igor Kirillov, convaincu que celui du covid vient des labos ukrainiens, il n’y a pas non plus d’élément probant démontrant qu’ils ont déjà servi militairement. Ni civilement, d’ailleurs. Depuis trois ans, la thèse selon laquelle le corona aurait été manufacturé dans un laboratoire de haute sécurité puis relâché accidentellement ou intentionnellement dans la nature a fait beaucoup d’adeptes. Ceux-ci croient mordicus qu’un virus inoffensif a été tripatouillé à Wuhan ou ailleurs et que les « gains de fonction » obtenus sont à l’origine de la tragédie covidienne. L’inconvénient de ce scénario, c’est que l’hypothétique virus mutant a fait chou blanc et que la tragique pandémie virale n’a jamais eu lieu. Comme il l’a raconté la semaine dernière à Luxembourg, l’épidémiologiste Laurent Toubiana a obtenu les chiffres 2020 de mortalité par cancer et maladies cardiovasculaires : ils ont également et très étrangement chuté cette année-là ! Cela confirme clairement que la coque vide-19 a été fabriquée à partir de rien, ou plutôt à partir de toutes les autres pathologies rebaptisées pour les besoins de la psychose. Perso, je ne pige pas pourquoi beaucoup de résistants s’accrochent à ce récit improuvé du virus échappé d’un labo. Ni pourquoi nombre d’entre eux souscrivent si facilement à la fiction de la « guerre biologique ». Si de telles armes étaient disponibles, m’est avis que l’empire étasunien les aurait déjà larguées sans état d’âme…

16) Le virus est seulement… informatique

Et si les virus eux-mêmes n’existaient pas ? Si vous lisez régulièrement Néosanté, vous savez que cette question insolente est posée par des scientifiques sérieux et que plusieurs d’entre eux y répondent par la négative. Le « nouveau » coronavirus a relancé la controverse et ces mêmes trublions virosceptiques (Andrew Kaufman, Stefan Lanka, Thomas Cowan, Stefano Scoglio, Sam Bailey…) proclament que l’agent infectieux n’a jamais été inculpé dans les règles de l’art, c’est-à-dire prélevé chez un malade, isolé et cultivé sans artifices puis réintroduit dans un organisme sain en réussissant à le rendre malade. Je ne suis pas qualifié pour prendre part à ce débat, mais ça ne m’empêche pas de le suivre attentivement. Or récemment, une pièce saisissante a émergé dans le dossier sous forme d’un article de The Exposé. Il s’agit en fait d’un échange de mails entre la blogueuse britannique Frances Leader et la MHRA (Medicine and Healthcare products Regulatory Agency), l’agence qui contrôle les médicaments au Royaume-Uni. Dans ces courriels datant de fin 2020, les responsables de l’agence confessent que la séquence génomique qui a servi à la mise au point du vaccin Pfizer ne provient pas d’un prélèvement chez une personne infectée, mais qu’elle a été générée par ordinateur. Autrement dit, le virus utilisé n’a pas de réalité matérielle prouvée, il émane d’un modèle informatique lui-même alimenté par une banque de gènes viraux séquencés de main d’homme. Et le vaccin non plus n’a pas été conçu sur base de particules virales trouvées chez un patient, mais obtenu par « combinaison de synthèse génique et de technologie recombinant l’ADN ». Lorsqu’elle a divulgué ces échanges, Frances Leader a été immédiatement censurée par Twitter, mais leur contenu est toujours lisible sur son blog personnel. On comprend que les censeurs ont vite réagi, car c’est de la dynamite, ces aveux de la MHRA. Au-delà de la grande coronarnaque, ils pourraient faire s’écrouler tout le château de cartes pasteurien déjà copieusement lézardé…




Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit

[Source : expose-news.com]

Poornima Wagh fait partie d’un groupe de 18 scientifiques de 7 pays qui ont analysé 2 305 échantillons de « vaccins » Covid provenant de douze marques différentes. Jeudi, elle a discuté de leurs conclusions dans la troisième partie de sa série Scamdemic lors d’un podcast Global Conversations animé par Regis Tremblay.

Comme le rapporte Business Insider, le cofondateur de BioNTech, Ugur Sahin, a conçu les injections de Pfizer en janvier 2020 en quelques heures. Et la conception du vaccin de Moderna n’a également pris que deux jours.

Comment faire un vaccin pour un virus qui n’a jamais été isolé ou purifié ou même connu avant la date officielle de la pandémie en mars 2020 ? « Vous ne le faites pas », a déclaré Wagh, « tout cela a été planifié des années à l’avance ».

[Note de Joseph : de plus et jusqu’à preuve scientifique véritable du contraire, aucun virus pathogène d’aucune sorte n’a jusqu’à maintenant pu être isolé, purifié et caractérisé. Voir le dossier Vaccins et virus.]

Nous n’avons pas pu trouver de biographie de Mme Wagh en utilisant les moteurs de recherche habituels, mais elle a fourni un résumé au début de sa présentation :

Fin janvier 2021, un groupe de quatre scientifiques, dont Wagh, a relevé le défi d’analyser le contenu des « vaccins » Covid. D’autres scientifiques ont rejoint le groupe et, au 23 août 2022, ils étaient 18 dans 7 pays. Ensemble, ils ont maintenant analysé un total de 2 305 échantillons obtenus auprès de 12 marques, à savoir :

  • Pfizer/BioNTech/Cominarty,
  • Moderna,
  • Johnson & Johnson (J&J),
  • Novavax,
  • AstraZeneca,
  • Sinopharm (Chine),
  • Sinovac (Chine),
  • Covishield (AstraZeneca fabriqué en Inde),
  • Soberana 02 (Cuba),
  • Pasto Covac (Iran),
  • CanSino (Chine),
  • ZifiVax (Chine)

« Tous les membres de notre groupe ont utilisé des techniques de toxicologie pour étudier les produits biologiques et la biochimie dans les injections, comme l’ARNm, les protéines de pointe et les sous-unités, les concentrations d’acides aminés, la concentration de protéines, les émulsifiants, les lipides, les pseudovirus et les vecteurs viraux, etc.

Nous avons utilisé des formes spécialisées de microscopie en direct chaque fois que possible pour voir l’oxyde de graphène nanoparticulaire et réduit. Dans certains cas, nous avons eu recours à la microscopie électronique à balayage (MEB) pour obtenir des formes d’agrandissement plus efficaces à un grossissement de 12 000 à 15 000 fois pour plus de clarté.

Mais nous avons surtout utilisé une technique appelée microscopie Raman, qui est un microscope à laser. Très efficace pour étudier des molécules comme le graphène.

D’après nos tests sur toutes ces injections depuis février 2021, et même avant avec certains scientifiques de notre groupe, le contenu réel de toutes ces injections est identique.

Toutes les injections sont identiques, mais avec des noms de marque différents comme Pfizer, Moderna etc. avec des différences mineures dans les adjuvants et les nanoparticules lipidiques synthétiques.

Il n’y avait aucun produit biologique dans aucune des injections testées, ce qui signifie qu’aucun matériel biologique n’a été trouvé, comme de l’ARNm, des sous-unités de protéines de pointe, des vecteurs pseudovirus, etc.

Ces injections sont des COCKTAILS CHIMIQUES mortels, pas une arme biologique, mais une arme chimique. »

Le groupe a trouvé les ingrédients suivants dans tous les échantillons qu’il a analysés :

  1. Des adjuvants (conservateurs), principalement de l’hydroxyde d’aluminium, mais il y en a quelques autres.
  2. Saccharose (sucre)
  3. Chlorure de sodium (sel)
  4. Eau
  5. Nanoparticules lipidiques synthétiques telles que PEG et SM 102
  6. Hydrogel
  7. Trillions de nanoparticules d’oxyde de graphène réduit
  8. Des trillions de nanoparticules de contamination par des métaux lourds

Wagh a souligné qu’il est crucial de se rappeler que chaque injection administrée présente des niveaux de toxicité différents :

« Notre équipe a actuellement trouvé 35 variations différentes dans les niveaux de toxicité des injections, allant d’une toxicité légère à une toxicité élevée et tout ce qui se trouve entre les deux. »

Wagh a également testé un lot de 15 injections contre la grippe en 2021 et 2022 et a constaté qu’elles contenaient des ingrédients identiques à ceux des injections de Covid-19.

« Nous avons également testé quelques injections de Covid-19 pour enfants (10 flacons pour être précis). Les enfants reçoivent l’injection IDENTIQUE pour adultes. Il n’y a AUCUNE DIFFÉRENCE dans les ingrédients. Dans de rares cas, l’enfant reçoit la même dose de 0,5 ml que celle administrée à un adulte », a déclaré M. Wagh.

Hydrogel et oxyde de graphène

[Voir aussi
Comment éliminer l’oxyde de graphène des vaxins
et liens inclus]

Elle a expliqué que les polymères et les hydrogels sont utilisés comme nanoantennes, car ils ont des propriétés magnétiques. « Ils ont également la capacité de s’autocristalliser en nanostructures en quelque sorte ».

L’oxyde de graphène réduit est un composé stable qui ne se désintègre pas en particules plus petites dans l’organisme. Il est hautement magnétique, thermodynamique et possède une charge piézo-électrique positive, a déclaré Wagh.

« L’oxyde de graphène réduit, en raison de sa charge magnétique et électrique positive, court-circuite littéralement l’intérieur du corps humain, provoquant une inflammation et une dégénérescence massives des tissus… C’est pourquoi nous constatons une augmentation considérable des myocardites, péricardites, accidents vasculaires cérébraux, caillots, crises cardiaques et crises d’épilepsie chez les personnes vaccinées. L’activité électrique de l’organisme est complètement perturbée et, dans la plupart des cas, le corps réagit par une inflammation systémique massive qui finit par provoquer la dégénérescence et la mort. »

L’oxyde de graphène est activé par les fréquences électromagnétiques, spécifiquement les fréquences qui font partie du spectre 5 G. L’oxyde de graphène est le principal ingrédient des hydrogels brevetés par la DARPA. Ce sont ces hydrogels qui se trouvent dans les injections de Covid, les tampons de test PCR et les masques.

L’hydrogel que Wagh et son groupe ont trouvé confirme ce contre quoi le Dr Carrie Madej a mis en garde. Depuis qu’elle a assisté à une conférence techno-transhumaine en 2013 à Atlanta, le Dr Madej a essayé de faire éclater la vérité sur les vaccins et, par conséquent, est devenue connue comme la « lanceuse d’alerte du transhumanisme. » Dès le début de la « pandémie » de Covid, elle a lancé des avertissements sur les ingrédients du « vaccin » Covid, dont l’hydrogel, et sur leur utilité. Dans une vidéo de juillet 2020 [horodatage 17:31], le Dr Madej met en garde :

La DARPA a financé une société qui produit des hydrogels souples et flexibles … injectés sous la peau pour surveiller la santé … ils se synchronisent avec une application pour smartphone afin de donner à l’utilisateur des informations immédiates sur sa santé. Cependant, la nanotechnologie des hydrogels se développe et se répand dans le corps une fois implantée. Nous ne savons pas comment cela affecte notre ADN. Nous savons qu’elle peut envoyer des informations directement et en continu par le biais de l’intelligence artificielle.

[

Sonnette d’alarme sur le vaccin covid-19, le transhumanisme et la nanotechnologie – Carrie Madej



]

Contamination par des métaux lourds

Récemment, des chercheurs allemands et Mike Adams ont tous deux découvert une contamination aux métaux lourds dans des échantillons de vaccins. Les conclusions de Wagh, mais sur un échantillon beaucoup plus important, servent de confirmation :

« Il y avait une contamination MASSIVE dans les injections de Covid-19 par des particules de métaux lourds tels que le tungstène, le chrome, le fer, le sodium (hautement électro-conducteur), le strontium, le magnésium, les nanoparticules d’or et d’argent, le plomb, l’antimoine, l’aluminium, l’étain et bien d’autres. Ces boues de métaux lourds, très stables, sont attirées par les tissus adipeux du corps et s’y déposent, provoquant des irritations et des inflammations répétées dans l’organisme, ce qui entraîne des maladies et la dégénérescence du corps. Voir cet article sur la contamination des vaccins pour enfants par des nanométaux lourds : Nouvelles enquêtes sur le contrôle de la qualité des vaccins : micro et nanocontamination ».

Une note positive

Mme Wagh termine sa présentation sur une note positive :

« Covid-19 a été une bénédiction déguisée. Je le dis avec la plus grande sincérité, car maintenant nous pouvons vraiment nous attaquer à la nature horrible de sujets tels que les dommages causés par les vaccins, la mort par les vaccins, le monopole de Big Pharma sur la santé humaine, la destruction de la santé humaine au cours des 120 dernières années ou plus uniquement à cause des dommages générationnels causés par les vaccins à nos corps, chromosomes et mitochondries.

Chaque escroquerie est la même histoire d’effacer et de recommencer. En fin de compte, il s’agit d’une ÉLIMINATION MASSIVE et d’une RÉINITIALISATION complète par la dépopulation et la dévastation économique et sociale. Cependant, cette fois-ci, le RESET est du côté de l’humanité et les PARASITES sont sur leur dernière jambe de désespoir. S’il vous plaît, tenez bon, battez-vous avec acharnement, ne vous laissez JAMAIS abattre, soyez résilients et sachez que nous avons un ÂGE D’OR devant nous dans un TRÈS COURT délai. Ce n’est pas le moment d’abandonner ! »

Une copie de toutes les diapositives dont Wagh a parlé dans sa présentation, y compris une version texte de celles-ci, est jointe ci-dessous :

Vidéo Rumble (anglais) : L’injection – C’est du poison et elle vous tuera


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Rumble("play", {"video":"v1enjml","div":"rumble_v1enjml"});

Vous pouvez trouver Scamdemic Partie 1 « SARS-COV-2 le virus qui n’a JAMAIS existé » ICI.
et Scamdemic Partie 2 « Mensonges pandémiques, masques et tests Covid-19 », téléchargé en deux parties, ICI et ICI.
Et une copie PDF des diapositives de la présentation de la partie 2 de Poornima Wagh peut être trouvée ICI.




Comment éliminer l’oxyde de graphène des vaxins

[Source : profession-gendarme.com.
+ Liens vers articles complémentaires sur Nouveau Monde]

Surtout commencer à diminuer l’exposition aux O.E.M. [ondes électromagnétiques (Wi-Fi, 4G, 5G, Bluetooth…)]

Comment éliminer l’oxyde de graphène du corps, l’ingrédient dangereux et non divulgué des vaccins COVID-19 !

L’oxyde de graphène, une substance toxique pour l’homme, a été trouvé dans les « vaccins » Covid 19, dans l’approvisionnement en eau, dans l’air que nous respirons à travers les chemtrails, et même dans notre alimentation.
L’oxyde de graphène interagit et est activé par les fréquences électromagnétiques (« EMF »), en particulier la gamme plus large de fréquences trouvées dans la 5G qui peut causer encore plus de dommages à notre santé. Les symptômes de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et de la maladie des rayonnements électromagnétiques sont similaires à ceux décrits comme Covid.

La bonne nouvelle est que, maintenant que l’oxyde de graphène a été identifié comme un contaminant, il existe des moyens d’éliminer l’oxyde de graphène de notre corps et de restaurer votre santé. Il s’agit d’une approche holistique consistant à utiliser simultanément plusieurs méthodes différentes pour obtenir le meilleur effet. Y compris des suppléments spécifiques pour dégrader l’oxyde de graphène dans le corps et contrôler les CEM dans l’environnement pour minimiser l’activation de l’oxyde de graphène.

Ces informations proviennent de plusieurs sources et sont basées sur des études scientifiques. Les liens sont référencés ci-dessous.

Comprendre le glutathion !

Le glutathion est une substance fabriquée à partir des acides aminés : glycine, cystéine et acide glutamique.
Il est produit naturellement par le foie et est impliqué dans de nombreux processus de l’organisme, notamment la formation et la réparation des tissus, la fabrication des produits chimiques et des protéines nécessaires à l’organisme et au système immunitaire. Nous avons une réserve naturelle de glutathion dans notre corps. C’est ce qui nous donne un système immunitaire fort.

Lorsque les niveaux de glutathion sont élevés dans le corps, nous n’avons aucun problème et notre système immunitaire fonctionne bien. Mais lorsque la quantité d’oxyde de graphène dans le corps dépasse la quantité de glutathion, cela provoque l’effondrement du système immunitaire et déclenche une tempête de cytokines. La façon dont l’oxyde de graphène peut croître rapidement pour dépasser le glutathion dans le corps est par excitation électronique. C’est-à-dire des champs électromagnétiques qui bombardent le graphène pour l’oxyder, ce qui déclenche rapidement la maladie.

À l’âge de 65 ans, les niveaux de glutathion chutent drastiquement dans le corps. Cela peut expliquer pourquoi la population la plus touchée par le Covid-19 est celle des personnes âgées. Les niveaux de glutathion sont également très bas chez les personnes souffrant de maladies préexistantes telles que le diabète, l’obésité, etc. De même, les niveaux de glutathion sont très élevés chez les nourrissons, les enfants et les athlètes. Cela peut expliquer pourquoi le Covid-19 n’a pas touché ces personnes.

L’oxyde de graphène, lorsqu’il est oxydé ou activé par des fréquences électromagnétiques spécifiques, dépasse la capacité du corps à créer suffisamment de glutathion, ce qui détruit le système immunitaire et provoque la maladie.
En cas de maladie (comme les symptômes de Covid et toutes les « variantes »), il est nécessaire d’augmenter les niveaux de glutathion dans le corps afin de faire face à la toxine (oxyde de graphène) qui a été introduite ou activée électriquement.

Les patients Covid intubés aux soins intensifs guéris en quelques heures lorsqu’ils sont traités avec du glutathion et du NAC, exemple de Ricardo Delgado :

« Nous avons vu des essais cliniques avec des centaines de patients qui étaient aux soins intensifs, sous respirateur et intubés, pratiquement au bord de la mort. Avec des pneumonies bilatérales causées par la propagation de l’oxyde de graphène et le rayonnement 5G ultérieur dans les plaques pulmonaires. Eh bien, cette coloration diffuse chez ces patients est symétrique, ce qui n’arriverait pas avec un agent biologique puisque ce serait plutôt asymétrique, comme par exemple lorsqu’il y a une infection à pneumocoque, non ? Eh bien, dans ce cas, une tache diffuse apparaît généralement dans une partie du poumon, mais pas dans une autre, pas dans les deux de manière symétrique.
Ainsi, lorsqu’ils sont traités avec du glutathion par voie intraveineuse directe — ou même par voie orale — ou avec de la N-acétylcystéine (NAC) à des doses de 600 mg ou plus, les personnes en quelques heures ont commencé à récupérer leur saturation en oxygène »

Ricardo Delgado, La Quinta Colmuna

La N-acétylcystéine (« NAC ») est un supplément qui amène le corps à produire du glutathion, il est connu comme le précurseur du glutathion et amène le corps à sécréter du glutathion de manière endogène, tout comme il le fait lorsque vous faites du sport intensément. La NAC provient de l’acide aminé L-cystéine et est utilisée par le corps pour fabriquer des antioxydants. Les antioxydants sont des vitamines, des minéraux et d’autres nutriments qui protègent et réparent les cellules contre les dommages.

Vous pouvez obtenir du NAC sous forme de supplément ou de médicament sur ordonnance.
Le zinc en combinaison avec le NAC est des antioxydants essentiels utilisés pour dégrader l’oxyde de graphène.
Ricardo Delgado déclare qu’avec ces deux antioxydants, il a personnellement aidé des personnes atteintes de magnétisme après l’inoculation. C’est chez les personnes avec deux doses de Pfizer qui sont devenues magnétiques et après ces suppléments elles n’ont plus ce symptôme.

D’autres suppléments qui peuvent être pris pour aider à l’élimination de l’oxyde de graphène sont :

  • Astaxanthine
  • Mélatonine
  • Chardon Marie
  • Quercétine
  • Vitamine C
  • Vitamine D3

Pour plus d’informations sur ces suppléments pour l’élimination de l’oxyde de graphène, lien pour recevoir la liste produits qui détoxifient.

Comprendre le lien entre EMF, 5G, oxyde de graphène, hydrogels et Covid !

L’oxyde de graphène est activé par les champs électromagnétiques, en particulier les fréquences faisant partie du spectre 5G. Tous les matériaux ont ce qu’on appelle une bande d’absorption électronique. Une bande d’absorption est une gamme de longueurs d’onde, de fréquences ou d’énergies dans le spectre électromagnétique qui sont caractéristiques d’une transition particulière de l’état initial à l’état final dans une substance. Il s’agit d’une fréquence spécifique au-dessus de laquelle une substance est excitée et s’oxyde très rapidement. Les fréquences transmises aux êtres humains qui ont une accumulation d’oxyde de graphène dans leur corps peuvent provoquer une multiplication très rapide de l’oxyde de graphène, rompant l’équilibre du glutathion et provoquant une tempête de cytokines en quelques heures.

L’oxyde de graphène est l’ingrédient principal des hydrogels brevetés DARPA. Ce sont ces hydrogels qui se trouvent dans les injections Covid, les écouvillons de test PCR et les masques. Un hydrogel conducteur est un matériau de type polymère qui a des qualités et des applications substantielles.

Ils développent différents types d’hydrogels conducteurs qui sont utilisés dans de nombreuses choses, dans notre nourriture, notre eau et injectés dans notre corps dans les vaccins. Les hydrogels conducteurs contiennent des nanotechnologies qui se verrouillent sur votre ADN et peuvent être contrôlées par des capteurs 5G.
Ils permettent la collecte et la manipulation de l’ADN. Les hydrogels conducteurs permettent le suivi et le traçage des êtres humains.

Il existe des milliers d’études et d’articles scientifiques évalués par des pairs sur les hydrogels conducteurs.
Nous avons dressé une courte liste de certaines études relatives comme documentation de sauvegarde.

Résumé des caractéristiques de l’hydrogel et de la nanotechnologie à points quantiques

C’est à partir de ces études que nous pouvons résumer certaines des caractéristiques des hydrogels conducteurs.
Caractéristiques des hydrogels conducteurs : autorécupération, conductivité électrique, transparence, résistance au gel, étirement, autoguérison, réactivité aux stimuli, ce qui signifie qu’il fait certaines choses lorsque la 5G le frappe (ou d’autres fréquences d’ailleurs).

Nous sommes entourés de rayonnement EMF provenant des téléphones portables (ou téléphones portables), des téléviseurs et du Wi-Fi. De nombreuses zones activent également la 5G et des enquêtes ont été menées montrant la corrélation entre les réseaux 5G et les épidémies de Covid dans une zone.

Pour vous protéger au mieux contre l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et l’activation de l’oxyde de graphène dans votre corps, il est nécessaire de faire plusieurs choses pour limiter votre exposition aux CEM.

Voici quelques suggestions sur la façon de procéder : ne vivez pas dans une ville avec beaucoup de tours si vous pouvez l’aider, éteignez votre Wi-Fi la nuit et restez à l’écart des compteurs intelligents et autres appareils intelligents si possible. Une autre option consiste à utiliser des produits de protection EMF tels que des dispositifs d’énergie orgonique pour aider à transformer le rayonnement EMF afin d’atténuer les effets nocifs.

Énergie d’orgone, protection EMF et oxyde de graphène !

Étant donné que l’oxyde de graphène est activé par les CEM, vous souhaitez créer une barrière protectrice dans votre environnement immédiat qui atténue les CEM afin qu’elle n’active pas l’oxyde de graphène. Dans les années 1930, une découverte a été faite qui peut être appliquée aujourd’hui pour aider à la protection contre les champs électromagnétiques.

Au cours d’une série d’expériences, le regretté Dr Wilhelm Reich a découvert que des échantillons vivants placés dans des conteneurs faits de couches alternées d’acier et de matière organique non conductrice étaient capables d’exploiter une « énergie cosmique » saine de l’environnement. Il appela cette énergie « orgonique ». Ces accumulateurs d’orgone avaient la capacité de : conserver les échantillons de sang pendant de plus longues périodes ; faire germer des semis de plantes plus sains ; et, soulager la douleur de ses patients qui étaient assis à l’intérieur.

Aujourd’hui, au lieu d’utiliser des feuilles d’acier et de plastique, nous utilisons un composite composé d’un mélange d’oxyde de fer, d’acier, de laiton, de shungite et de poudres de cristal enrobées de résine époxy. Le résultat final est un harmoniseur capable de transformer les champs sans fil nocifs des tours cellulaires, des compteurs intelligents, des smartphones, du routeur Internet et de votre télévision, en une énergie plus bénéfique pour vous, vos plantes et vos animaux de compagnie.

Les effets de ce phénomène scientifique ont été reproduits et bien documentés dans des études menées par l’Université de Pennsylvanie et le laboratoire de recherche microscopique Heraclitus.

Ressemblance frappante entre le test sanguin de Reich et les récents échantillons de sang d’oxyde de graphène EMF !

L’étude la plus frappante à la lumière des découvertes récentes de l’oxyde de graphène se trouve dans le « Reich Blood Test » réalisé par le Heraclitus Microscopic Research Laboratory. Dans ce test, ils montrent l’efficacité de l’énergie orgonale sur le sang. Ils ont prélevé deux échantillons de sang et en ont placé un dans une boîte de contrôle et l’autre dans une boîte d’énergie d’orgone. Au fil du temps, ils ont pris des photos microscopiques des échantillons de sang et ont constaté que l’échantillon d’énergie orgonale était capable de maintenir sa force vitale pendant une plus longue période (c’était comme la fontaine de jouvence pour le sang).

Lorsqu’un globule rouge présente des défauts et commence à mourir, il peut développer ce qu’on appelle la formation d’acanthocytes, où de multiples projections épineuses de longueurs variables dépassent de la cellule.
Les images ci-dessous montrent à quoi cela ressemble quand une cellule sanguine meurt.

Test sanguin expérimental Reich — Désintégration du sang

Des cellules sanguines en décomposition se transformant en ce que le Dr Reich a appelé des « bions » à partir des travaux de test sanguin du Reich effectués par Hericlitus Labs.

La cellule la plus saine a une membrane plus solide entourée d’une lumière bleue. Cette lumière bleue est en fait la force vitale ou « Aura » de la cellule. C’est ce que le Dr Reich a appelé l’énergie « orgonique ». Au fur et à mesure que la cellule meurt et se désintègre, la paroi de la membrane forme des saillies pointues qui en sortent.

Les nanoparticules à base d’oxyde de graphène utilisées dans les injections Covid sont conçues pour pénétrer la membrane des cellules afin d’y faire pénétrer l’ARNm. Cette pénétration constante de la paroi de la membrane cellulaire pourrait être à l’origine de ces déformations de la membrane.

Selon A Laboratory Guide to Clinical Hematology de l’Open Education of Alberta :

« La formation d’acanthocytes se produit à la suite de défauts membranaires héréditaires ou acquis. Les défauts qui provoquent un déséquilibre entre le cholestérol membranaire et la teneur en lipides affectent la capacité des globules rouges à se déformer, ce qui entraîne une membrane plasmique plus rigide. »

Vous trouverez ci-dessous trois photos prises à partir d’analyses sanguines récentes [mises à jour le 1er octobre 2021] du Dr Robert Young.

Sa conclusion est que ce que nous voyons dans ces cellules sanguines provient de l’effet de l’empoisonnement aux rayonnements électromagnétiques, l’empoisonnement à l’oxyde de graphène.
Il appelle la formation des membranes des cellules sanguines “l’effet corona” et “l’effet des protéines Spike”.

Cela semble identique au comportement des cellules sanguines mourantes dans l’expérience Reich Blood Test.
Ce que nous voyons ici, ce sont des cellules qui ont été empoisonnées et qui meurent. Nous voyons également la formation de la protéine de pointe dans la dernière diapositive.

Une découverte frappante se trouve dans le Reich Blood Test qui montre comment les dispositifs d’énergie orgonique ralentissent et arrêtent cette décomposition des cellules sanguines. Cela montre, au niveau cellulaire, comment les dispositifs énergétiques orgonaux protègent le corps humain des CEM nocifs.

La diapositive ci-dessous montre les résultats du test sanguin Reich. L’échantillon de gauche est celui qui se trouvait à l’intérieur de la boîte de l’accumulateur d’orgone. Le taux de mort et de décomposition cellulaire est de 5 %.
L’échantillon de droite est celui qui n’était pas dans la boîte de l’accumulateur d’orgone. Le taux de dégradation est de 50 %.

De toute évidence, l’énergie de l’orgone fait quelque chose pour aider à préserver la force vitale et la santé du sang.

P.S. Ndlr : À la fin du mois de juillet 2022, nous disposerons d’une Chambre à Ondes scalaires qui permettra de syntoniser les produits détoxifiant le Graphène afin d’avoir un résultat amplifié !

[NDLR L’existence de l’orgone et des ondes scalaires est très controversée et pour l’instant nullement reconnue par la science universitaire.]

Les Ondes scalaires semblent proches des ondes Orgoniques !

Pour obtenir plus d’informations sur les produits neutralisant le Graphène et les Protéines Spikes, et la Chambre à Ondes scalaires, contacter filibert82@yahoo.fr.

Source : https://expose-news.com/2022/07/15/how-to-remove-graphene-oxide-the-dangerous-undisclosed-ingredient-in-covid-vaccines-from-the-body/




Un avocat révèle les projets de pouvoir de l’OMS

[Source : kla.tv]

L’avocat Philipp Kruse explique, dans une conférence, comment procède l’OMS, financée par des fonds privés et basée à Genève. Celle-ci publie ce qu’on appelle le « Règlement sanitaire international ». Il y est stipulé que « les mesures sanitaires ne sont autorisées que dans le respect des droits de l’homme en vigueur, de la dignité et des libertés fondamentales des personnes. » Or, on s’efforce aujourd’hui de supprimer cette formulation.

[NDLR La vidéo n’est que partielle par rapport à la transcription qui suit]

[Voir aussi :
OMS et Nouvel Ordre Mondial]

« L’OMS et la Suisse — quelle suite ? » C’est sous ce titre qu’une manifestation organisée par Urs Hans de « Public Eye on Science » a eu lieu le 13 janvier 2023 à Turbenthal dans le canton de Zurich. Dans la première conférence, Astrid Stuckelberger, ancienne collaboratrice de l’OMS, a présenté les principales questions fondamentales relatives à la pandémie dite de « Covid ». Ensuite, l’avocat zurichois Philipp Kruse a résumé les événements depuis 2020. Il a remis en question les mesures relevées depuis le début de leur déclaration, par exemple : sur quelles bases la pandémie s’appuie-t-elle ? Quels ont été les effets des mesures prises ?

Kruse se penche ensuite sur l’OMS, une organisation privée dont le siège est à Genève. Celle-ci publie ce qu’on appelle le « Règlement sanitaire international », auquel la plupart des États se sont conformés. Dans sa version actuelle, les mesures ne sont par exemple autorisées que dans le respect des droits de l’homme en vigueur, de la dignité et des libertés fondamentales des personnes. Or il est aujourd’hui envisagé de supprimer, entre autres, cette formulation.

Qu’est-ce qui se cache derrière ces propositions d’amendement ?

Quelles en seraient les conséquences ?

Découvrez dans l’exposé suivant l’analyse de l’expert juridique Philipp Kruse.

Exposé : Philipp Kruse

Bonsoir à tous. Cher Urs, merci beaucoup pour l’invitation, pour l’excellente organisation et merci à tous d’être non seulement venus, mais d’être encore là. Il est déjà 22 h 14, le vendredi 13 janvier 2023.

Urs, tu as dit que je me serais réveillé lorsque Kennedy était venu en Suisse en novembre 2021. C’était bien sûr beaucoup plus tôt, bien avant. Ma première action a eu lieu le 18 juin 2020. Je me suis rendu au Parlement, alors encore improvisé — son installation Expo à Berne — et j’ai remis physiquement aux parlementaires la lettre que je leur avais envoyée en deux exemplaires, également par e-mail. Elle avait été cosignée par des scientifiques et un avocat, mon collègue Heinz Raschein. Ensemble, nous y avions déjà expliqué au Parlement qu’il n’y avait absolument aucune cause, aucune raison à une épidémie. Qu’il n’y avait pas de menace, qu’il était urgent de revenir à la situation normale et que toutes les mesures étaient plus nuisibles que bénéfiques et devaient donc immédiatement être annulées. C’était le 18 juin 2020, j’avais essayé de joindre chaque parlementaire pour que cela arrive vraiment, et depuis, je n’ai plus abandonné.

L’idée, j’aimerais faire écho à ce qu’Astrid Stuckelberger vient d’exposer de manière fort remarquable. Merci beaucoup, je peux vraiment souligner tout ce que tu as dit.

Je suis heureux qu’Astrid ait dit si clairement à quel point il est important qu’il y ait des preuves d’une menace et que quelqu’un fasse une véritable analyse des risques. La particularité des menaces est qu’elles doivent toujours être réanalysées et vérifiées à nouveau. C’est d’ailleurs ce qui est écrit à deux endroits dans la loi sur les épidémies : réexaminer régulièrement la situation. C’est pourtant une évidence. Mais ici, cela n’a jamais été fait. C’était d’ailleurs la principale exigence de cette lettre du 18 juin, et elle l’est restée jusqu’à aujourd’hui. La caractéristique essentielle d’un État de droit démocratique est qu’il se compose de trois pouvoirs, afin que ces pouvoirs puissent se contrôler mutuellement et qu’ils puissent réparer des erreurs le cas échéant. C’était l’idée de base de Montesquieu, qui, après la Révolution française, a été mise en œuvre dans toute l’Europe. Une telle révision des questions les plus importantes n’a pas eu lieu depuis janvier 2020 jusqu’à aujourd’hui. Quelles sont les questions les plus importantes ? Astrid Stuckelberger les a toutes très bien énumérées, à savoir : sommes-nous réellement menacés par un virus ? Où se trouve ce virus ? Existe-t-il une chaîne de causalités qui créent une maladie et quelle est la gravité de cette maladie qu’elle provoque ?

Je renvoie ici, pour balayer cela d’un trait, à l’intervention spectaculaire, mais tout aussi scandaleuse, du conseiller fédéral Ignazio Cassis le 7 janvier 2021 dans Arena (émission de la télévision suisse), où on lui avait demandé : « Est-il possible que les gens soient simplement tous considérés comme hospitalisés pour Covid-19, même si les causes sont différentes ? » Et il a dit textuellement — et nous avons toujours bien intégré tout cela dans nos cahiers de doléances, avec un lien YouTube, parce qu’un jour ou l’autre, il faut bien que les choses soient mises sur la table, — il a dit en substance : « Oui, regardez, si quelqu’un a un accident de moto, qu’il est emmené à l’hôpital et qu’il y meurt, et qu’on fait ensuite un test PCR, et que ce test est positif, alors c’est un mort du Covid » !

Ensuite, Sandro Protz lui a encore posé la question, très attentivement, et correctement : « Oui, mais dites-moi, M. Cassis, ce n’est pas un peu bizarre : pourquoi peut-on alors le déclarer comme mort du Covid ? » « Oui, c’est parce que l’OMS le demande ». Et ça, c’est un scandale !

Et c’est sous ce régime que nous vivons encore aujourd’hui, trois ans après ! C’est une insulte à l’esprit humain, c’est une violation de la Constitution, c’est une déraison sans pareille et ce n’est toujours pas terminé à ce jour ! Nous avons toujours le même concept de base, à savoir que nous mesurons cette « menace » exclusivement avec le test PCR. Du point de vue de l’OMS, c’est toujours le seul « étalon-or » acceptable. Et les médecins, comme l’a bien dit Astrid, ils restent tous sur la touche. Ce n’est pas possible, cela fait trois ans que nous devons avaler ça, c’est un scandale d’importance historique. C’est pourquoi nous continuerons tous, nous tous, à faire ce que nous faisons ici, jusqu’à ce que ce scandale soit éradiqué en profondeur. Et c’est pourquoi nous allons par exemple signer le référendum contre la prolongation de la loi Covid-19. Nous tous, parce que cette loi Covid-19 est basée sur la fiction du sacro-saint test PCR. Nous ne l’acceptons pas, c’est dégoûtant !

Allez, on y va, c’est parti ! De quoi s’agit-il ? Je voudrais tout d’abord évoquer brièvement la motivation de base à l’aide d’un cas exemplaire, et pourquoi il est vraiment important de ne pas penser maintenant que nous pourrons revenir à la normalité.

Il s’agit de l’OMS — un poids lourd (!) — et j’essaie de situer le tout. Je tiens compte de l’heure tardive, 22 h 20, et de la complexité des choses. Je veux simplement souligner quelques points, actuellement parmi les plus importants. Car, il y a peu de temps, l’OMS a publié des changements qu’elle propose concrètement pour les prescriptions sanitaires internationales. Je voudrais en parler, comme Astrid tout à l’heure, bien sûr ; quelles sont les prochaines étapes qui en découleront ? Que pouvons-nous faire, que devrions-nous faire ?

Alors, commençons brièvement, jusqu’ici, nous sommes au courant. L’avantage, quand on fait du droit fiscal, ce que j’ai fait pendant environ 20 ans, on a affaire à une matière qui se caractérise par le fait qu’en fin de compte, l’État vous prend toujours quelque chose. Cela signifie qu’il s’agit d’une sorte d’administration d’intervention. Et justement, le droit fiscal — il n’y a guère une autre matière réglée de manière aussi précise en Suisse — contient tous les principes de base que l’on peut également appliquer à la période de l’intervention administrative Covid. C’est pourquoi j’ai tout de suite posé le système de coordonnées du droit fiscal sur le système de coordonnées de l’administration d’intervention Covid et j’ai remarqué que cela ne pouvait pas du tout fonctionner. Ceci est une remarque pour tous ceux qui travaillent également dans le domaine du droit fiscal. Faites-le pour voir, placez-y votre réseau de coordonnées de la vie quotidienne et vous remarquerez où ça ne marche pas.

Très brièvement les cas. J’ai engagé environ 20, 22 procédures judiciaires ordinaires contre les mesures — non pas parce que je suis opposé aux mesures par principe, mais parce que je suis opposé aux méthodes erronées, aux méthodes d’investigation erronées. Je voudrais que les tribunaux soient enfin convaincus que la méthode d’enquête, la méthode d’analyse de la menace virale est erronée.

Nous avons fait un premier grand pas – arrêt du Tribunal fédéral de novembre 2021, c’est l’affaire 2C_228/2021, et là, le Tribunal fédéral a dit, un peu agacé, en considérant 5.2 : les plaignants amènent tellement d’évidences – ils n’auraient pas eu besoin de le faire – parce que les plaignants veulent dire que le test PCR n’est pas valable. Le Tribunal fédéral a encore dit : il est tout de même notoire (noté officiellement par le tribunal) que le test PCR n’est pas approprié pour prouver une maladie. C’était en novembre 2021. Combien de journaux, croyez-vous, ont rapporté cette affaire depuis ? Pas un seul des médias d’État ! Pas un seul ! Ce n’était pas dans le NZZ. Pourtant j’ai donné deux interviews à la NZZ et j’ai dit à plusieurs reprises : « Parlez de ce cas, c’est important. Vous pourrez ainsi apaiser la peur des gens. » Non. Ensuite, nous avons également présenté ce cas au Parlement, en répétant sans cesse : « Chers parlementaires, veuillez en prendre connaissance. Le Tribunal fédéral s’est beaucoup investi dans cette affaire et a fait un travail très sérieux. » Cela n’a pas non plus intéressé les parlementaires, de sorte qu’à ce jour, nous avons toujours la méthode PCR comme base pour la loi Covid-19.

Ensuite, la plainte pénale a été mentionnée — nous avons fait une petite conférence de presse le 14 novembre. Quelle en sera la suite ? Bien sûr, nous ne voulons pas simplement jeter la balle dans l’eau, mais nous poursuivons cela avec la plus grande vigueur. Vous savez que ces substances ARNmessager ont été autorisées pour une durée limitée de deux ans. Nous avons donc dit : nous ne laisserons pas à Swissmedic le soin d’évaluer l’évidence de ces deux années et de nous dire à la fin, dans la procédure pénale ; oui, mais il y a eu une étude en novembre, décembre 2022, où l’efficacité est quand même apparue, ou la sécurité est finalement apparue. Non, donc nous disons : avec nos scientifiques, avec nos collaborateurs — mais avec le soutien de très nombreux experts dans le monde entier — nous nous sommes penchés sur toutes les études, sur toutes les preuves de toute la période d’autorisation ; et nous allons les remettre intégralement au ministère public — c’est-à-dire notre rapport actualisé sur les preuves, pour qu’il n’y ait vraiment plus d’excuses possibles. Et où on pourrait dire, oui, mais il y a là encore une petite étude factice qui prouve la sécurité. Et ça, nous allons le faire avec beaucoup d’insistance.

Aujourd’hui, quelque chose de tout à fait nouveau : pour la première fois, une plainte a été déposée par du personnel navigant contre le licenciement, parce qu’une hôtesse de l’air a refusé obstinément de se faire vacciner et a été licenciée pour cette raison. Nous apporterons également un soutien très fort à cette affaire. Une compagnie aérienne qui, à l’heure actuelle, n’engage ses collaborateurs que s’ils sont vaccinés contre le Covid-19 devrait se voir retirer la croix suisse de son aileron arrière.

[beaucoup d’applaudissements]

J’en viens au cas type. Nous voyons une jeune femme en bonne santé, 28 ans, footballeuse professionnelle, qui profite de sa vie, indépendante, autonome — elle prend en octobre 2021, sous la pression de la Swiss Football League, un vaccin Johnson & Johnson, une simple injection. À partir de là, collapsus immédiat, fatigue permanente, ne peut plus exercer son métier de footballeuse et son autre métier, cinquante consultations en un an. Cela peut se résumer en un mot très simple : les médecins ont dit : « Nous ne pouvons pas dire ce que c’est, mais nous pouvons exclure une chose : cela n’a aucun rapport avec la vaccination. Voyez avec un psychiatre ! » – oui, c’est ce qu’on lui a dit : « Voyez ça avec un psychiatre. »

La jeune femme, quand elle est venue nous voir, suicidaire, dans un hôpital psychiatrique. Quel est le schéma derrière tout cela ? Le schéma est le suivant : nous avons des personnes en bonne santé, des personnes saines qui ne sont pas menacées par le Covid, et elles sont mal informées et subissent des pressions pour qu’elles acceptent une substance qui leur fait du mal, qui leur cause des dommages à long terme. Ensuite, ils vont voir des médecins et leur expliquent la situation, mais les médecins ne leur apportent aucune aide. Une aide consisterait à rechercher toutes les causes possibles sans préjuger des résultats et à ne pas exclure d’emblée une cause bien précise. Non-assistance à personne en danger. Enfin, la non-assistance à personne en danger aggrave encore la situation des personnes concernées. C’est là que s’applique une grande partie du droit. Je résume très brièvement, mais nous avons la violation d’une série de normes impératives de protection de l’individu, issues du droit pénal : je l’ai dit, non-assistance à personne en danger ; du droit civil : atteinte à la personnalité (CO 28) — avec droit à des dommages et intérêts (CO 41) et, bien entendu, du droit constitutionnel et du droit international qui s’appliquent également ici, car nous savons depuis l’introduction du Code de Nuremberg que personne ne peut être amené à se faire injecter quoi que ce soit sans son consentement volontaire et sans une base d’information correcte. Et le tout sur une longue période.

Eh bien, le problème concerne l’ensemble de la population et la question est — beaucoup disent : « Euh, Philipp, détends-toi, c’est fini, va au “Sprüngli”, bois un chocolat chaud — ça fait des miracles. »

À ceux-là, je réponds : « Pas de fin en vue ». L’OMS continue d’entretenir la pandémie. Nous sommes toujours officiellement en Public Health Emergency of International Concern. (Urgence de santé publique de portée internationale.)

L’OMS a toujours pour objectif de vacciner 70 % de la population. Pire encore : l’OMS a déclaré cette technologie de ces substances vaccinales — nous savons qu’il ne s’agit pas de substances vaccinales — comme la norme, la technologie standard pour tous les vaccins contre la grippe et de nombreux autres vaccins — comme la norme, l’étalon-or ! Et, comme nous le savons aussi, le G20 a proclamé : Carnet de vaccination digital et carte d’identité digitale. Cela signifie qu’il faut le promouvoir. Et cela signifie qu’au lieu que l’OMS s’arrête et dise : stop, regardons l’effet, regardons les effets secondaires, faisons le point sur les dommages. Elle dit : non, nous faisons le contraire. Nous accélérons et voulons envoyer encore plus de substances vaccinales.

Tout cela a un caractère expérimental — pourquoi ? Nous avons affaire à une nouvelle technologie de traitement. L’effet exact de cette injection d’ARNm n’est pas connu, on ne sait toujours pas exactement quelle quantité de protéines spike est produite dans le corps, sur quelle durée cette substance active est produite et avec quelle qualité. En bon français il s’agit du plus grand aveuglement qu’on puisse imaginer. Diverses normes n’ont pas été respectées et il n’existe pas d’études contrôlées à long terme pour un grand groupe de personnes, mais en revanche, un nombre extraordinairement élevé d’indices de dommages et les personnes concernées n’ont pas été correctement informées de tout cela.

Oui, c’est tout à fait une tentative, une expérimentation humaine, et c’est interdit par le code de Nuremberg et par le Pacte international relatif aux droits civils et politiques. Là il est dit… (C’est un pacte de l’ONU, qui est donc valable pour pratiquement tous les pays du monde…) Il y est écrit, première phrase : « Nul ne sera soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants ». Et comme exemple d’application de la torture, il est écrit : « En particulier, nul ne peut être soumis à des expériences médicales ou scientifiques sans son libre consentement » — et cela inclut l’information complète et correcte. C’est ce que l’OMS pousse à faire, contrairement à cette disposition précisément.

Il est également important de noter que « cette disposition s’applique, précisément selon ce même pacte international, même pendant les pandémies ». C’est explicitement écrit là. Très remarquable. Je vais un peu plus vite, car j’ai déjà mentionné que l’ARNm doit rester le grand succès étalon en tant que technologie de base et plate-forme. Va tout de suite plus loin. Et Tedros — lui, comme toujours — dit : « C’est tellement bien qu’au moins 70 % devraient être inoculés ». Et c’est le point de départ.

La question se pose maintenant, après trois ans, qu’il faut poser à l’OMS : « Monsieur Tedros, Monsieur Tedros, dites-moi pourquoi il ne vous est pas encore venu à l’esprit, jusqu’à aujourd’hui, de vous faire vraiment une idée des conséquences, du rapport bénéfice/risque de ces substances ? Était-ce même nécessaire d’introduire ces substances ? Quelle est la validité de votre test PCR de gestion des risques ? Dans quelle mesure avez-vous respecté les méthodes traditionnelles d’analyse des risques de l’OMS, telles qu’Astrid Stuckelberger les a présentées tout à l’heure et qu’elle a elle-même enseignées par le passé ? Pourquoi vous en écartez-vous à ce point ? » Et cette dynamique incroyable de l’OMS d’utiliser cette technologie ARNm, c’est l’une des raisons pour lesquelles nous mettons un accent très, très fort sur cette plainte pénale et que nous allons continuer à mettre les gaz ici. Ensuite… [grands applaudissements], ce n’est pas grave si personne ne peut lire ça (sur le web), c’est tellement important qu’on peut le résumer très simplement. Il s’agit de l’article 1 de la Constitution de l’OMS. Et si nous nous rendons compte maintenant de ce qui s’est passé au cours des trois dernières années. Combien de souffrances ont été causées sous le titre de « santé » ? Et si on lit ensuite ce que l’OMS s’est elle-même fixé comme objectif, en 1948, dans sa propre constitution, à l’article 1, on ne peut que secouer la tête et dire : « Un instant, vous ne lisez donc pas votre propre constitution ? » À savoir, il y est bien écrit à l’article 1 : « L’objectif de l’Organisation mondiale de la santé doit être d’atteindre le niveau de santé le plus élevé possible pour tous les êtres humains… » Et ensuite, ils définissent même la santé en disant : « La santé, c’est un état de complet bien-être physique, mental et social, et pas seulement l’absence de maladie ou de handicap. » Donc avec cet objectif, il aurait fallu, comme un… comment dire, comme un « Häftlimacher » dit-on en Suisse, c’est-à-dire comme un comptable, dès le premier jour du lancement de la vaccination, former des groupes d’expérimentation dans tous les pays et au premier signe de problème, il aurait fallu arrêter tout ça. Et c’est pareil pour toutes les mesures, c’est pareil pour le confinement, c’est pareil pour les tests, bien sûr. Et en se contentant d’avancer droit comme un char d’assaut en ce qui concerne ses mesures et ses méthodes, l’OMS montre qu’elle ne se préoccupe pas de la santé. Elle se préoccupe d’autres choses, mais pas de la santé, oui.

Bon, je vais accélérer un peu, je vais sauter quelques feuilles.

Il est important de savoir qu’il existe des cadres juridiques incroyablement importants que l’OMS et tous les États membres doivent continuer à respecter. Tout à fait éminent : la Charte des Nations unies. Le principe de la souveraineté et de l’autodétermination des peuples y est ancré. Les droits fondamentaux y sont inscrits aux articles 1 et 2.

On peut y lire par exemple : « Nous, peuples des Nations Unies, sommes fermement résolus à préserver les générations futures du fléau de la guerre… à réaffirmer dans toutes les nations notre foi dans les droits fondamentaux de l’homme, dans la dignité et la valeur de la personnalité humaine, dans l’égalité des droits des hommes et des femmes, grands et petits… »

Et très important l’article 1 — je le répète simplement encore une fois — l’égalité des droits et l’autodétermination de tous les peuples. Il n’est pas contenu dans le programme de l’ONU de mettre les peuples sous un joug, sous une direction dictatoriale. Ce n’est pas contenu dans ce programme.

Ensuite, les droits fondamentaux — je passe sur ce point — font partie du cadre juridique. Et j’ai déjà mentionné le « Pacte international de l’ONU relatif aux droits civils et humains ».

Il est important de le savoir si on considère brièvement les modifications proposées qui n’ont été rendues publiques que récemment (mais elles avaient déjà été publiées fin novembre, début décembre). Je traduis très brièvement : l’article 1 dit — il s’agit ici du règlement sanitaire international — il y était écrit jusqu’à présent que les recommandations n’avaient pas de caractère obligatoire. Les États n’étaient pas obligés de suivre ces recommandations.

Attendez, quelqu’un qui réfléchit à cela me dira : « Mais Monsieur Kruse, que s’est-il passé au cours des trois dernières années ? Si l’OMS disait quelque chose, nous le mettions en pratique. » Exactement ! Jusqu’à présent, nous avions déjà la pensée que les propositions de mesures, les recommandations étaient contraignantes et étaient comme des ordres.

C’est pourquoi un comité de juristes… quelques juristes et moi-même avons créé un comité, nous avons fait cela, afin de pouvoir offrir au Parlement — je le dis de manière un peu désinvolte — « un cours de rattrapage en droit constitutionnel ». Nous avons dit au Parlement : « Regardez, ce ne sont que des recommandations. Vous n’êtes pas obligés de les mettre en pratique. Ce ne sont pas des ordres, ils ne sont pas juridiquement contraignants. » Mais on l’a fait quand même, et pour qu’on ne puisse pas s’y opposer verbalement plus tard, on dit maintenant : toutes les recommandations doivent rester contraignantes à l’avenir ! Le « non contraignant » a été supprimé.

Et voici l’article qui a fait parler de lui au début de cette année. L’article 3 de ce règlement sanitaire, il bat tous les records. Jusqu’à présent, il y était écrit que, lors de la mise en œuvre de ces dispositions sanitaires, les États devaient respecter la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales des personnes. Tel était le texte jusqu’à présent — et il doit être supprimé ! Et on peut à nouveau objecter comme un auditeur critique attentif : « Mais Monsieur Kruse, ils ont déjà été piétinés jusqu’à présent, les droits de l’homme. » C’est exact, ils ont été piétinés. Là encore, nous avons dit : « Mais voilà, Parlement, regardez, vous n’avez pas le droit de le faire. Dans le Règlement sanitaire international, les droits de l’homme sont protégés ! » – cela n’a intéressé personne non plus. Les parlementaires ne lisent pas les papiers qui font plus d’une page et qui ne contiennent pas d’images. C’est comme ça !

N’ayez pas peur, je ne suis pas un politicien, je suis un citoyen. Mais je me permets une chose, après ces trois ans. Je suis déçu par nos parlementaires — à quelques exceptions près, je nomme ici Pirmin Schwander pour représenter les bonnes exceptions — je suis déçu par nos autres représentants du peuple. À l’heure actuelle, il n’y a absolument plus aucune raison de penser que le test PCR puisse mesurer quoi que ce soit d’utile en rapport avec l’épidémie et il n’y a absolument aucune raison de penser que les mesures prises aient apporté quoi que ce soit de positif.

Il n’y a absolument aucune raison d’adopter cette loi Covid-19. Je suis énormément déçu par les parlementaires. [Applaudissements]

Et je pense que c’est excellent, excellent qu’il y ait plusieurs citoyens de chez nous qui se soient dit : « J’en ai assez, nous en avons tous assez, ça ne peut pas continuer comme ça » et qu’ils vont se présenter aux élections et nous devons les soutenir afin d’occuper le plus de sièges parlementaires possible.

Et je voudrais le dire plus clairement, le plus grand risque pour la Suisse vient de notre Parlement ! Voilà, je me suis un peu défoulé…

Quelqu’un du public : je dis « bibliquement criminel »

Kruse : Bibliquement criminel, oui c’est vrai, je suis d’accord, opinion personnelle, mais c’est ainsi.

Selon ces propositions d’amendement, les États doivent être contraints de signaler à l’OMS dans les 48 heures toute mutation virale susceptible de se transformer en épidémie (aussi de manière bibliquement criminelle, d’ailleurs).

Dans une telle situation de pression psychologique, quelle sera la décision de Monsieur Berset ? « Je préfère attendre encore un peu, jusqu’à ce que j’aie plus de preuves » ou va-t-il dire : « 48 heures, et hop, délai expiré, maintenant ! »

Il est écrit : l’État a 48 heures pour évaluer cela, puis 24 heures après cette évaluation, il faut le signaler à l’OMS. Rien que ça, c’est déjà criminel, car nous savons tous très bien que pour pouvoir évaluer le risque d’une éventuelle évolution pandémique, il faut du temps. Il faut étudier, il faut regarder de près, certainement pas en premier lieu appeler Tedros [Ghebreyesus] tout de suite.

Ensuite, ce que je trouve le plus grave, le plus menaçant et qui doit être le plus clair dans notre esprit à tous, c’est ce bouton d’alarme d’urgence de la pandémie. Le terme technique : Public Health Emergency of International Concern (urgence de santé publique de portée internationale). C’est très facile de s’en souvenir, car le sigle PHEIC donne « Fake ».

Donc, on peut s’en souvenir facilement : « Fake », c’est-à-dire faux. Tedros, en vertu de l’article 6 de ce règlement sanitaire international, pouvait jusqu’à présent déclarer ce « fake ». Et ce qui est remarquable maintenant, c’est que les possibilités, les conditions, le champ d’application pour déclarer un tel fake ont été élargis, et il ne s’agit pas seulement de pandémies réelles, mais aussi de développements qui pourraient potentiellement, potentiellement mettre en danger la santé publique. Il peut décider seul : L’État c’est moi. Il peut consulter le Comité d’urgence, mais — comme ça s’est déjà produit en juillet de l’année dernière — il peut mettre en minorité son Comité d’urgence, ses conseillers. Il peut décider seul si le monde entier se trouve dans cet état légal de pandémie. Cela signifie qu’il peut supprimer d’un coup le règne du droit et de l’ordre constitutionnel fondamental et passer aux règles d’urgence, c’est-à-dire à un état de droit où l’exécutif est aux commandes, en s’appuyant sur les directives de l’OMS — j’y reviendrai. C’est prévu, et il y a une annexe très importante avec un arbre de décision selon lequel — en théorie du moins — l’OMS devrait procéder pour déterminer : y a-t-il une pandémie ? Oui ou non ? On peut y jeter un coup d’œil. L’OMS y a ajouté d’autres exemples d’application. On y lit en effet — et c’est également nouveau — qu’est-ce qui doit conduire à une telle pandémie : « Cluster(s) of other severe infections in which human to human transmission cannot be ruled out. » Ouf ! Donc, si on ne peut pas exclure qu’une transmission humaine puisse se produire à partir de ces cas d’infections. Maintenant, trouvez un scientifique qui se tienne devant Tedros et qui dise : « Je peux exclure cela. » Non, ce n’est pas du tout possible. Ce sont des termes alibi, c’est — bibliquement criminel — quel est le mot-clé ? Exactement ! Disons que je ne dois pas le dire de façon aussi pathétique. Mais je voudrais souligner ici que nous pouvons, par l’intermédiaire d’un seul homme qui n’est pas contrôlé, qui ne peut être arrêté par personne, qui n’a de compte à rendre à personne, mettre le monde entier en état de pandémie sous un prétexte complètement futile. Et je me demande ce qu’il faut de plus pour qu’une telle chose se retrouve en première page du Neue Züricher Zeitung, du Tagesanzeiger et du Blick en même temps ? Que leur faut-il de plus ?

Oui, là aussi, je double un peu la mise. Je suis sans voix parce que partout dans les bureaux de direction, il y a des gens qui sont allés à la même école que moi. Ils ont eu les mêmes professeurs, ils ont lu les mêmes livres, et ils sont maintenant incapables d’additionner un et un. Je suis indigné ! Heureusement, je peux toujours canaliser l’énergie de mon indignation dans des écrits juridiques. Ça a un effet thérapeutique.

Et bon ça pourrait continuer indéfiniment, il est bientôt onze heures — il n’y a pas de bouton Stop. Il n’y a pas de bouton Stop pour la pandémie. Nous sommes maintenant — oui, toujours (selon le statut officiel) toujours en pandémie. Il faut y penser. Et ces possibilités de pandémie sont maintenant encore élargies, elles doivent être élargies. Et c’est littéralement la dernière chose qu’on doit attendre de l’OMS après trois ans de cette expérience, de toute cette expérience Covid, en tant qu’entité raisonnable et responsable. Or c’est tout le contraire. Cela signifie que si cela entre en vigueur, et c’est déjà le cas de facto, il faut parler d’un monopole de fait de l’OMS. De facto, et ce, contrairement aux règles de base qui ont été intégrées par l’ONU dans les principales chartes de l’ONU après la Seconde Guerre mondiale. Et l’idée initiale — on s’en est beaucoup éloigné. Et le résultat, c’est quoi ? Le résultat est que l’organisation la plus puissante du monde — je sais qu’il y a des gens qui sont derrière, il y a le FEM et il y a d’autres organisations — mais appelons-la l’une des organisations les plus importantes et les plus puissantes du monde — peut, sans aucune difficulté, sans aucune possibilité de vérification, sans mécanisme d’arrêt, appuyer sur un simple bouton et s’autoriser à déclencher tout le jeu de cette pandémie, avec toutes les conséquences économiques que ça implique, à savoir des conséquences économiques mauvaises et terribles pour nous, mais des conséquences économiques très positives pour l’industrie pharmaceutique, pour l’industrie de l’informatique, pour mettre tout cela en route — en appuyant sur un simple bouton !

Et cela — vous pouvez emporter cette image chez vous aujourd’hui — il faut y mettre fin. Il faut enfoncer un coin dans ce cercle vicieux, en s’appuyant sur nos Constitutions, sur le droit à l’autodétermination des personnes et sur le droit à l’autodétermination des peuples selon l’ONU. [Applaudissements]

Car ce que nous voyons aujourd’hui — depuis des années déjà — c’est que l’Organisation mondiale de la santé s’est éloignée de sa bonne idée de base initiale — une idée de base noble et fondamentale — pour devenir une entreprise de marketing globale pour Big Pharma, Big IT, et ne se soucie absolument plus de la santé et du bien-être des gens. Et oui, je dois le dire, l’OMS est, sinon un pilote, du moins un complice de l’un des plus grands crimes contre l’humanité depuis la Seconde Guerre mondiale. C’est ainsi qu’il faut classer l’OMS. Juste pour que nous puissions voir cela à la bonne échelle.

Et nous voyons une rupture fondamentale avec les propres bases constitutionnelles de l’OMS, où, en principe, la gestion des grippes et des pandémies reste l’exception. Cela doit devenir la règle et les droits fondamentaux ne seront plus valables — c’est ce que j’ai dit. Et ce qui devrait tous nous inquiéter, et nous allons maintenant arrêter tout le sarcasme. Cela devrait vraiment nous inquiéter et nous concerner en tant qu’êtres humains, quelle que soit notre couleur politique, quelle que soit notre condition. Il ne peut être dans l’intérêt de personne d’avoir une situation d’urgence factuelle et éternelle et des inconnus à la barre qui peuvent déterminer combien de temps cette situation d’urgence durera et avec quelles mesures nous devrons compter et finalement vivre. Ce n’est pas possible. Et vraiment, le seul point positif de ces propositions d’amendement, à mon avis, c’est qu’on peut l’expliquer très simplement à toute personne un tant soit peu intelligente, il y a donc une chance que même les parlementaires suisses puissent le comprendre.

Je continue un peu, parce que je voudrais aussi montrer très brièvement les zones de conflit concernant le droit constitutionnel suisse, où nous l’avons vu particulièrement clairement. J’ai mentionné que le 18 juin 2020, j’ai été prié très poliment — j’ai mis un costume exprès — de me présenter devant le Palais fédéral — pardon, devant le bâtiment provisoire du Parlement à Berne – BEA, terrain EXPO — et justement devant le Parlement, j’ai écrit : S’il vous plaît, vérifiez, assumez votre obligation constitutionnelle de surveillance — c’est écrit dans l’art. 169, art. 170 de la Constitution fédérale. Et, comme je l’ai également dit, nous n’avons cessé de le souligner en tant que comité de juristes : s’il vous plaît, procédez à cette révision, à cette révision attendue depuis longtemps. Et nous avons reçu une réponse, il y a un an à peu près. Le 21 février 2021, la Commission de gestion du Conseil national nous a écrit une lettre. Elle contenait les lignes suivantes : tant que la pandémie de l’OMS se poursuit, il n’est pas possible de procéder à une vérification finale des mesures. C’est la preuve que sur ordre de l’OMS — en appuyant sur ce bouton — sur le bouton fake — par cette pression simple et bon marché, notre démocratie parlementaire avec les mécanismes de séparation des pouvoirs qui y sont ancrés de manière tout à fait centrale — je n’ai maintenant montré que l’exemple le plus important — notre démocratie peut être désactivée — en appuyant sur un bouton. C’est l’un des points. J’ai peut-être déjà suffisamment mentionné les autres points au début, à savoir les tribunaux.

Jusqu’à présent, jusqu’à aujourd’hui, aucun tribunal ne s’est vraiment penché sur le fond, sur une révision efficace. Donc les tribunaux n’ont pas procédé à un examen, le Parlement n’a pas procédé à un examen, et le Conseil fédéral n’a pas non plus procédé à une adaptation de ses méthodes — des erreurs. Et cela veut dire que parce que tout vient de l’OMS, nous devons à l’avenir nous familiariser avec une disposition pénale du Code pénal. Il y est en effet écrit : quiconque se livre à un acte visant à troubler ou à modifier de manière illicite l’ordre constitutionnel de la Confédération ou des cantons est passible d’une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d’une peine pécuniaire.

Donc, bien sûr, ce n’est pas depuis hier matin que nous ne sommes pas impliqués dans toute cette affaire, c’est-à-dire depuis toutes ces procédures judiciaires, et nous avons des preuves qui s’accumulent à peu près aussi haut. Et je voudrais simplement mettre en garde par ce biais ceux qui, à Genève, pensent qu’ils doivent continuer à faire avancer ces développements. Car même si, formellement, il y a une immunité, le peuple est en général intelligent et le remarque — il remarque ce qui se joue ici. Et le peuple remarquera — à grande échelle — que notre ordre constitutionnel suisse est saboté — depuis Genève ! Et c’est l’un des titres pour lesquels nous pouvons clairement nous défendre en Suisse, ou que nous pouvons citer comme critère pour donner quelques indications aux représentants juridiques à Berne. J’ai délibérément choisi d’être un peu général, car il y a là un besoin d’agir et une grande possibilité d’action.

Oui, je m’arrête là. Nous sommes arrivés à 11 heures exactement, et je voudrais conclure en exprimant ma grande inquiétude que nous en soyons arrivés là. Mais je suis convaincu que grâce à ce formidable travail d’information qui s’étend maintenant lentement grâce au travail de très, très nombreuses personnes qui, depuis deux ans, ou même trois ans, veillent inlassablement, sans relâche, à ce que les personnes de toute la Suisse comprennent ce qui se joue, et surtout grâce à cette approche ouverte, disons non camouflée, de l’OMS — ils font tout cela ouvertement — je suis confiant que, en lien aussi avec les dommages de plus en plus manifestes causés par les vaccins, la balance penchera lentement de notre côté. Il est très important que nous ne perdions pas courage et que nous assumions nos tâches de citoyens responsables, que nous nous informions, que nous informions les autres et que nous soyons conscients d’une chose : la démocratie part de la base. Les politiciens à Berne doivent faire ce dont nous, les gens de la base, avons besoin, ce que nous souhaitons et ce que nous leur demandons de faire. Et nous devons travailler dans ce sens. [Applaudissements]

Et il y a un article qui correspond à ça — l’article 6 de la Constitution fédérale — qui souligne notre propre responsabilité en tant qu’êtres humains, en tant que citoyens de ce grand pays, et qui nous dit : N’attendons pas que ceux d’en haut nous envoient des cadeaux à la maison, mais prenons notre destin en main — ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous — demandez ce que vous pouvez faire pour votre pays et pour notre peuple… C’est l’approche décisive — nous le faisons pour nous. Et nous allons continuer. Je vous remercie tous très chaleureusement pour votre longue persévérance et votre grande patience. Astrid a déjà présenté de très nombreuses et très bonnes propositions, dont certaines que j’aurais également présentées. C’est pourquoi je peux ici remercier Astrid de tout cœur — vous remercier de tout cœur pour votre attention — et je vais maintenant terminer mon exposé. Je vous souhaite à tous un bon retour chez vous !




« Dieu et la Vraie Science. »

« La crise du Saint Covid a enfin permis de les réconcilier. Amen ! »

Par Alain Tortosa

Il fut un temps lointain où chacun regardait l’autre d’un sale œil.
Le bon vieux temps où l’église brûlait des « scientifiques » est révolu.

Puis vint le temps où la « science » s’est vengée et a tué Dieu à coup d’équations différentielles.

Étions-nous condamnés à les voir s’entre-déchirer pour l’éternité ?

Nous aurions pu le craindre, mais c’était sans compter la venue du Saint Covid. Amen mes frères !

Ses débuts ont été difficiles, au point que les mécréants et les impies s’en donnaient à cœur joie.

Mais quelle est cette nouvelle Religion dont la Sainte Parole est répandue par les membres de l’Église du Coronavirus ?

Voici les principales Tables de la loi que je rappelle aux âmes égarées :

  • Le coronavirus tu craindras.
  • Hommes femmes et enfants il détruira.
  • Le Saint Masque te protégera.
  • L’isolement social tu chériras.
  • Les faux dieux, vendeurs de remèdes miracles, tu rejetteras.
  • La Sainte Ampoule tu t’injecteras jusqu’à trépas
  • Les impies tu terrasseras.
  • Le blasphème tu chasseras.

Cette nouvelle Religion intégrative, qui n’est qu’Amour, a immédiatement connu impiété et sacrilèges.

Sachez que je répugne à les citer, mais comment combattre le Malin sans le nommer ?

Ces profanateurs de Vérité ont tout osé :

  • Affirmer que le coronavirus n’était pas plus dangereux qu’un autre virus.
  • Certains illuminés sont même allés à affirmer qu’il n’existait pas, pas plus que les autres virus.
  • Leur folie est telle qu’ils ont crié haut et fort que non seulement le Saint Masque ne protégeait pas du Malin, mais que celui-ci était dangereux. Allant même jusqu’à traiter de malveillante la maman aimante qui protégeait son enfant des griffes du diable.
  • Aveuglement sans limites, bascule dans un univers totalement incohérent dans lequel le Saint Confinement ne servirait à rien et aurait des conséquences dramatiques.
  • Pire encore, ces adorateurs de divinités païennes faisaient la promotion de pilules miracles, quasi gratuites tels les bonimenteurs du passé.
  • L’inimaginable, le summum de l’horreur fut franchi quand ils accusèrent la Sainte Ampoule de n’avoir aucun effet protecteur et pire encore, qu’elle pouvait rendre stérile ou tuer les personnes jeunes en bonne santé, y compris des enfants.

Nous aurions pu nous croire au siècle des Lumières ainsi nommé par des historiens alors qu’il n’était que ténèbres.

Nous savons tous que ces assassins, ces incroyants ont du sang d’innocents sur les mains.

La situation aurait pu basculer dans le chaos, l’Armageddon était à nos portes !

Allions-nous assister à la fin de l’humanité du fait de ces hordes barbares adoratrices du démon et de l’ogre Poutine ?

Les Saints hommes qui nous protègent, nos fous de Dieux comme Bill Gates, Georges Soros, Klaus Schwab, David Salomon1, ou notre bon Monarque Emmanuel premier, seraient-ils impuissants à les combattre et les renvoyer dans la fange dont ils n’auraient jamais du sortir ?

Allions-nous assister à la victoire du Mal contre le Bien ?

Je vais être honnête avec vous.

Nous sommes passés à deux doigts de l’Apocalypse.

Mais c’est dans les situations les plus désespérées que le meilleur de l’humain se révèle.

Toutes les bonnes volontés de notre chère planète se sont mises à travailler ensemble, main dans la m…
Non, pardon, j’oubliais les gestes barrières et la distanciation.
Accolades, embrassades et serrages de mains appartiennent à l’obscurantisme du monde d’avant.

Cela me fait penser aux orgies, comment les nommer autrement, organisées par ces monstres qui en plein Saint Confinement se réunissaient sans porter le Saint Masque pour ripailler dans des parcs sans le moindre geste barrière.
J’étais horrifié en les apercevant et en même temps terrifié qu’ils ne provoquent la mort de mes enfants protégés par leurs deux Saint Masques.

Ces « choses » — comment les appeler des hommes ? — se faisaient la bise et des câlins pour défier Dieu.
Auraient-ils oublié la Tour de Babel ?
Nul doute que celui-ci a dû les rappeler à lui depuis, à Satan devrais-je dire !
Comment un être d’amour pourrait-il accueillir de telles immondices en son royaume de bonté ?

Alors que la fin était proche, les hommes politiques, prêts à sacrifier leur carrière comme à leur habitude, n’ont pas hésité une seule seconde.
Ils se sont levés tel un seul homme, la main ne tremblant pas, pour balayer en une seconde des siècles de Constitution, de Droits de l’Homme et de Code civil pour protéger les citoyens d’eux-mêmes.
Adieu codes, traités internationaux, lois, jurisprudences et prétendus droits de l’homme !

J’en avais la larme à l’œil…
Quel merveilleux spectacle de voir la Cour européenne des droits de l’homme, le Conseil constitutionnel, le Conseil d’État, tous les députés, sénateurs, juges, policiers, et j’en passe, tous unis dans un objectif commun, faisant table rase du passé et de sa dysharmonie !

Que ceux que j’oublie me pardonnent, nous saurons nous les remémorer quand cela sera rendu possible.
Oui, tous ont été unis pour nous sauver malgré nous, unis comme jamais.

Ce merveilleux travail, pardon, cet acte d’amour, n’aurait été rien sans l’action admirable de mes amis, pardon de mes frères, journalistes.
Ici aussi seule la solidarité a joué.

Il n’y avait plus de grands propriétaires de groupes de presse et d’obscurs pigistes.
La communion était parfaite, une harmonie que l’on ne peut voir qu’une fois par millénaire ou au jardin d’Éden.
De AP, de l’AFP, de Reuters, tous tenaient ce même discours d’amour responsable entonné par les politiques.
Comment rester de marbre avec cette disparition totale de la concurrence et de la critique ?
Plus de journaux d’extrême gauche, de gauche, de droite ou d’extrême droite.
Non, tous unis pour répandre la bonne parole, la parole de la Sainte Église de la Vérité et aider les âmes perdues.

Je remercie spécialement les vérificateurs de l’information, les factcheckers qui ont fait et font un travail formidable pour lutter contre ces immondes complotistes qui se repaissent du malheur des autres et de la souffrance.
C’est aussi en voyant le Diable que l’Amour avec un grand « A » prend tout son sens. Amen !

Il y a aussi les petites mains, minuscules et pour autant vitales qui ont répondu à l’appel de la Foi et de la solidarité.
Comment ne pas remercier tous ces héros de l’ombre ?

Je pourrais vous citer tous les patrons de bar, les restaurateurs, petits commerçants, cinémas, théâtres, je ne peux tous les bénir, tant ils sont nombreux.

Tous ont fièrement interdit l’accès à leurs établissements aux criminels non masqués, adultes et enfants, empêché quiconque de rentrer sans pass sanitaire, test PCR ou preuve d’injection de la Sainte Ampoule.
Sans eux, nous aurions assisté à des scènes d’horreur et de carnage faisant passer le Bataclan ou les Walking-Dead pour une kermesse bon enfant.

Je vous rappelle que ces pourritures d’antivax n’avaient et n’ont aucune conscience.

Ils sont prêts à voler, tuer, violer au nom de leur prétendue « liberté » comme nous l’a rappelé Saint Michel d’Onfray lors d’un prêche.
Comment oser revendiquer le droit de tuer son voisin innocent désarmé, protégé uniquement d’un Saint Masque et de multiples doses de la Sainte Ampoule ?!

Jamais je ne pourrais pardonner la sauvagerie de leurs crimes tel ce pauvre homme entièrement vacciné et protégé par la Sainte Ampoule, tué froidement par un chauffagiste antivax2 (fait divers largement relayé par la presse).
Sans ces assassins le Malin eut été vaincu en quelques semaines…

Nous le savons tous !
Nous ne pouvons blâmer nos autorités, nos gouvernements qui faisaient leur possible pour nous protéger, nous les brebis égarées.
Chaque échec est 100 % imputable aux mauvais citoyens et certainement pas à notre bon clergé.

Nous savons que le Saint Confinement, le Saint Masque, la Sainte Mixture Divine a sauvé des millions de vies, mais ces monstres continuent de nier la Vérité !

Mais je digresse, je digresse et j’oublie l’essentiel.
La science !

Oui la science nous a sauvé mes frères et mes sœurs. Amen !

« Gloire au tout puissant, gloire à la Sainte Ampoule ! »

La Sainte Science qui hier combattait farouchement la Foi
telle une âme errante est venue à notre secours. Amen !

Merci l’OMS, merci Pfizer, merci Moderna, merci le ministère des Solidarités et de la Santé, merci les ARS, merci l’Ordre des médecins, merci l’Ordre des pharmaciens, merci le ministère de la Vérité, merci les médecins de plateau, merci mes frères. Amen !

Vous nous avez permis d’accéder à la Vérité, au Consensus Scientifique, à la Lumière divine !

Vous êtes sortis de ce sectarisme, de cette stupidité, de ces dogmes dans lesquels vous étiez enfermés.
Vous étiez aveuglés par la « preuve », aveuglés par l’hypothèse, aveuglés par l’expérimentation, aveuglés par l’absence d’a priori, aveuglés par une neutralité objective et aveuglés par des dogmes d’honnêteté ou d’absence de conflits d’intérêts…

Mais la lumière divine vous est enfin apparue et vous avez ouvert les yeux, compris que la Science était au service de la Foi, de la Vérité et non l’inverse.

La Vérité ne dépend plus des scientifiques, mais de la parole sacrée de l’Église du Coronavirus

La Science n’est que le doigt, l’instrument du Divin. Amen mes frères !

Quel pas immense pour notre démocratie !
Nous ne sommes plus esclaves de leurs fausses vérités païennes.
La Vérité est proclamée par la Foi qui guide le peuple !

Alors vous, les vrais scientifiques, vous vous êtes mis au travail afin de démontrer la Vérité.
Vous avez conduit de nombreuses études et expériences pour prouver par exemple l’efficacité du Saint Masque.

Un être de Foi n’a pas besoin de démonstrations, s’il en est, mais vous avez travaillé pour sauver les âmes perdues des incroyants.

Vous avez étudié le plus honnêtement possible l’efficacité du Saint Masque.

Ne riez pas mes frères qui avaient été touchés par la grâce divine, vous SAVEZ qu’il protège, nul besoin de démonstration scientifique pour accéder à la Vérité.
Mais je vous rappelle que ces Saints hommes travaillaient à apporter la lumière à ces ordures de complotistes, corps biologiques vivants, mais sans âme.

Quel courage, quelle abnégation !
Oh ! la vie n’a pas été un long fleuve tranquille, croyez-moi.
Tantôt il leur fallait balayer des siècles de recherches, d’expériences et d’études publiées.
Tantôt leurs recherches ne donnaient pas les résultats escomptés et ils parvenaient à des résultats apparemment opposés aux Tables de la Loi, preuve de quelque erreur, nul n’est parfait en ce monde hormis la Sainte Ampoule !

Croyez-vous qu’ils ont baissé les bras ?
Croyez-vous qu’ils ont renoncé ?
Non, mes frères :

  • Au nom de la vraie Science, ils ont rédigé des conclusions à l’opposé de leurs trouvailles, conscients de leurs erreurs évidentes.
  • Au nom de la vraie Science, ils ont éliminé les données erronées qui contrariaient les dogmes de la Foi.
  • Au nom de la vraie Science, ils ont publié, de vraies études avec des données divines.

Les Scientifiques de l’Église n’ont pas œuvré dans le vide.
Enfin la Science et la Foi parlaient à l’unisson. Amen mes frères !

Mais ils ne se sont pas arrêtés sur le chemin pour transmettre la bonne parole et répandre la Vérité.

Si d’aventure ils ne disposaient d’aucune étude publiée, par exemple qui prouve que la Sainte Injection protège des contaminations…

  • Allaient-ils annoncer sur les plateaux télé qu’ils ignoraient si cela fonctionnait ?
  • Allaient-ils battre retraite ?
  • Allaient-ils fuir tels des lâches ?
  • Allaient-ils renoncer ?
  • Allaient-ils donner du grain à moudre aux complotistes ?

Non, mes frères !
En gardiens fidèles de la Foi et des Écritures Sacrées, ceux-ci n’ont pas hésité à piétiner leurs serments et affirmer :

« Les études prouvent. »
Amen !

Et ce quand bien même nulle ne l’indiquait.
Ils sont allés au-delà de l’orgueil des hommes voulant défier Dieu.
Ces Scientifiques, ces médecins, ces héros, ces Saints Hommes, nous ont sauvés du mécréantisme.

Il n’est que justice qu’ils soient aujourd’hui récompensés par des Légions d’honneur, bien maigre récompense au regard de leur héroïsme !

Et c’est là la beauté de l’histoire, la morale de la vie, le jugement de Dieu !

Les grands hommes, les grands scientifiques sont récompensés pour avoir mis leur Science au service de la Vérité tandis que les pourritures de complotistes sont exclus ou condamnées par leur ordre.

Ces médecins véreux qui n’affirment qu’en se référant à des études…
Cela pourrait passer encore.
Mais non !
Ces athées ne croient qu’aux études dans lesquelles les auteurs n’ont aucun conflit d’intérêts et pour lesquelles il n’existe aucun biais majeur.
Qu’ils ne s’étonnent pas de devoir subir les foudres du Créateur de la Sainte Ampoule !

Ceci relève de la même absence de déontologie que les prétendus journalistes de France-soir pour ne citer qu’eux, qui diffusent des informations après avoir enquêté par eux-mêmes.
Ne riez pas, je n’invente rien.
On croit rêver, les bras m’en tombent !

Rendez-vous compte qu’ils ne font pas comme leurs collègues croyants qui, avec professionnalisme et déontologie, ne publient QUE des informations vérifiées relayées par l’AFP !
Une information garantie estampillée « approuvée par le ministre de la Vérité » compatible avec les Saintes Écritures.
Certaines âmes perdues se demandent si les vrais journalistes vérifient les dépêches AFP.
Blasphémateurs, la Vérité de la Foi n’est pas source de questionnements ou de doutes.

J’ai honte quand je pense à ces malades qui publient n’importe quoi.

Nous vivons une époque formidable.

J’espère que vous êtes conscients de la chance que vous avez de participer à ce Grand Tout.

C’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que nous pouvons assister à une telle solidarité, à une telle fraternité d’action et de pensée.

La vraie Science et les Saintes Écritures avancent de front vers la Lumière. Amen !

Tous unis dans un seul but : répandre la Vérité.

Merci aux hommes d’influence, merci aux autorités scientifiques, merci aux hommes de sciences, merci aux médecins, merci aux politiques, merci aux autorités judiciaires indépendantes de tout libre arbitre, merci à tous du plus grand au plus petit pour votre action au service de la Foi et de la Vérité de la Sainte Ampoule.

  • Sans vous, nous aurions étés balayés par le Coro-Malin.
  • Sans vous, ce serait le chaos instauré par les complotistes.
  • Sans vous, l’immonde Poutine rayerait la planète.
  • Sans vous, mon petit neveu prisonnier d’un corps de fille, victime du satanisme de ses géniteurs, ne pourrait pas changer de sexe à 4 ans.
  • Sans vous, des femmes, pardon des individus au sexe non déterminé par la naissance, qui ne veulent plus de leur futur bébé conçu lors d’un acte contre nature avec un complotiste, ne pourraient avorter à 8 mois de grossesse et seraient obligées d’enfanter une créature satanique.
  • Sans vous, les hommes de valeur, les Saints gardiens de la Foi, dont la vie est si chère dans nos cœurs, ne pourraient pas se servir en organes en Ukraine.
  • Sans vous, l’amour si pur entre un homme de la Sainte Église du Coronavirus et un enfant ne pourrait être légalisé.
  • Sans vous, le changement climatique, avertissement divin, ne saurait être inversé et supprimerait toute vie sur Terre.

Alors
Merci, merci, merci mes frères.
Amen !

Mais attention le combat contre les forces du mal est sans fin.
Les complotistes, les faux « scientifiques » espèrent convaincre que leur « vérité scientifique » a une valeur et qu’elle pourrait fragiliser les Tables de la Foi !
Leur naïveté est pitoyable…

Ils continuent à lutter, jour après jour, depuis des mois, sans relâche, tels des rats dans une cave cherchant à grignoter les doigts d’un jeune enfant, pour « démontrer ».

Mais bande de fous païens inconscients, la Foi, la Vérité de la Sainte Ampoule ne peut avoir tort !

Quand allez-vous ouvrir les yeux et le comprendre ?
Vos gesticulations et vos « démonstrations » sans fin ne touchent que vous !
Alors, ouvrez les yeux, abandonnez votre combat pitoyable, et rejoignez la lumière.

Alain Tortosa3 croyant de la première heure.
9 février de l’an IV de la Vérité Révélée.
Https://7milliards.fr/tortosa20230209-dieu-lascience-covid.pdf





« Virus », des décennies d’escroqueries ?

Couvertes pas l’industrie, les facultés de médecine, pharmacie, les médias et les politiques…

Par Alain Tortosa

Le Covid est-il le mensonge de trop ?

Préambule :

J’invite les lecteurs qui chercheraient des éléments de « preuve » aux thèses ou interrogations introduites dans ce texte à se référer à mes précédentes publications et notamment :

« Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus1 ? »

(document de 23 pages).

« Gober sans questionner. Quid de la preuve de l’existence des virus ? Postulats de Koch et Rivers2. »

Vous pouvez aussi vous procurer le livre :

« Virus mania. »
« Virus Mania – Corona/Covid-19, rougeole, grippe porcine, grippe aviaire, cancer du col de l’utérus, SARS, ESB »
« Comment l’industrie médicale invente sans cesse des épidémies et réalise des milliards de dollars de bénéfices à nos dépens3 »

Ainsi que celui de Marc Menant :

« L’inquiétante histoire des vaccins4 »
« Une éclairante et nécessaire histoire d’éminents chercheurs et de leurs impostures dûment établies, dont la première, celle du légendaire, du mythique Pasteur ! Car tout commence avec lui. »

Je précise ne pas être devenu « antivax ».

Je suis anti-obligations, anti-ségrégation, antiapartheid, anti-destruction de l’économie, anti-destruction du vivre-ensemble, anti-paranoïa, anti-destruction des droits de l’homme, anti-suppression du libre arbitre, anti-dictature sanitaire (ou autre), anti-ministère de la Vérité, anti-réécriture de l’histoire, anticorruption de la science, etc.

Les « vaccins » relevant de la foi en l’absence de preuves du contraire, je ne suis pas anti-foi.

  • Libre à chacun de croire, la foi ne relevant ni de la science ni de la preuve.
  • Libre aux croyants de croire, libre à eux de s’injecter ce que je pense être des placebos (pour le croyant) toxiques.

En revanche, obligation pour eux de ne pas faire de prosélytisme et de respecter les non-croyants dont je fais partie.

Ce faisant, je vais pouvoir déverser mes questions ou « vérités » qui, elles, ont le mérite de ne pas faire consensus, à la différence de la doxa.

Aux débunkers de me prouver le contraire et non de se contenter de l’affirmer ou de citer un témoin qui l’affirmerait !
Produisez les études et statistiques qui démontent mes propos.
Je précise :

« Produisez les études indépendantes dans lesquelles les auteurs n’ont aucun conflit d’intérêts. »

Nous connaissons tous les centaines d’études publiées sur l’innocuité du tabac et financées plus ou moins directement par son industrie.
Je rappelle aussi à mes lecteurs que la commercialisation du « vaccin » anti-Covid a été faite sur les seules données fournies par les laboratoires pharmaceutiques et donc en l’absence totale d’études indépendantes.
Je rappelle que Pfizer a été condamné par le passé à des milliards de dollars pour tromperie, corruption, et manipulation.

Voici donc une liste non exhaustive

Ma première question étant donc :

  • Comment les autorités sanitaires ont-elles pu commercialiser et généraliser à l’ensemble du public des produits en phase expérimentale sur une technologie elle aussi expérimentale sur les seules données de laboratoires largement condamnés par le passé pour mensonges ?

  • Comment les autorités ont-elles pu rendre obligatoire ou introduire une extorsion de consentement sur ces injections expérimentales ?
  • Comment être certain de l’existence de « virus » alors qu’aucun n’a jamais été isolé « proprement » ?
  • Comment peut-on avoir la preuve de leur existence et de leur mode de reproduction ou de destruction des cellules vivantes dès lors que cela n’a jamais pu être observé (in vivo) ?
  • Les photos ou animations de « virus » ne sont que des créations artistiques.
  • Comment peut-on affirmer avoir vu des « virus » dès lors que la méthode d’isolation oblige l’utilisation de cellules de singes ou autres, de produits toxiques et autres antibiotiques qui permettraient de faire apparaître ces cadavres de cellules nommés « virus » ?
  • Comment être certain de leur existence, de leur pathogénicité dès lors que les postulats de Koch n’ont JAMAIS été vérifiés (cf. mon texte) ? Raison pour laquelle les débunkers affirment que ces postulats ne sont ni utiles ni « éthiques » ? (Il ne serait ainsi pas « éthique » de rendre malade une personne en bonne santé en lui injectant un « virus » isolé, mais en revanche il est « éthique » de « vacciner » des milliards de personnes avec une substance dont ni le principe actif, ni l’efficacité n’ont été prouvés.)
  • Comment peut-on affirmer l’existence de certains « virus » dès lors qu’ils n’ont jamais pu être isolés (par la méthodes de « la soupe » biologique ou autres méthodes) ?
  • Comment avoir la preuve de l’existence du « virus » du SIDA dès lors qu’il n’a jamais été observé ?
  • Le « virus » de l’hépatite G n’a jamais pu être isolé non seulement in vivo, mais aussi in vitro (en laboratoire). Jamais vu, jamais isolé… Cela gêne-t-il pour affirmer son existence ? En rien !
  • Comment avoir la preuve que ces prétendus « virus » seraient pathogènes dès lors que l’on n’a jamais pu voir le processus théorique in vivo ?
  • Comment pouvons-nous les désigner comme coupables de provoquer des symptômes, des maladies pour lesquelles ils sont réputés, alors que cela n’a jamais été prouvé ?
  • Comment peut-on les accuser de créer des pandémies par contagion dès lors que les études n’ont jamais pu prouver la réalité de la contamination par des « virus » ?
  • Comment des personnes asymptomatiques, qui ne toussent pas, qui ne crachent pas, dont les « virus » ne sont pas détectables dans la bouche au point de faire un PCR au fond de la gorge par une amplification de matériel génétique, pourraient contaminer qui que ce soit ? L’asymptomatique contaminateur par un virus aérien est une nouveauté du 21e siècle.
  • Existe-t-il des études en double aveugle de cette contamination par des personnes asymptomatiques qui provoquerait des malades symptomatiques à leur contact ? La réponse est non, bien entendu.
  • Où les « virus » respiratoires passent leurs vacances en été ? D’aucuns disent qu’ils « circulent à bas bruit », mais comment pourraient-ils survivre jusqu’à l’hiver prochain sans rendre malade leur hôte alors qu’ils ont obligation de se reproduire pour survivre, qu’ils sont combattus par le système immunitaire de leur hôte et contraints d’en contaminer d’autres pour survivre ? A-t-on des preuves de ces théories ? (Au moyen-âge, peu de personnes prenaient l’avion pour se reposer aux Bahamas.)
  • Comment les laboratoires de type Wuhan pourraient manipuler des « virus » s’ils n’existent pas ?
  • Comment pourrait-il exister des « gains de fonctions » sur des « virus » qui n’existent pas ?
  • Pourquoi ces laboratoires qui manipulent des « virus » existent ? Ils ont probablement plusieurs objectifs :
  • Comment avoir la preuve que le « SARSCoV-2 » existe vraiment s’il n’a jamais été observé ?
  • L’inventeur du test PCR a avoué que son invention est totalement bancale et permet de trouver n’importe quoi.
  • Comment le prétendu code génétique — de ce « virus » issu de deux malades chinois présentant des symptômes et — reconstitué par tests PCR successifs et collage par un logiciel de séquences génétiques pourrait être pertinent ?
  • Comment affirmer l’existence du Covid alors que les études n’ont pas permis d’éclairer sur un ensemble de symptômes pouvant le différencier de maladies existantes ?
  • Comment expliquer la disparition de la grippe en 2020 au profit du Covid ? Une année sabbatique dans les îles avant de revenir en pleine forme ?
  • Comment ne pas avouer que le Covid est simplement la codification utilisée (imposée politiquement ou économiquement par rémunération supérieure dans les hôpitaux et en cabinet libéral) à la place de toutes les maladies respiratoires et donc qu’il n’existe pas en tant que tel ?
  • Comment affirmer qu’un patient est « Covid » uniquement en se contentant de correspondances positives à quelques parties du prétendu code génétique du « SARSCoV-2 » via des tests PCR quand bien même il serait asymptomatique ? (Et ce contrairement aux directives de l’OMS qui précisent bien que le test PCR peut être un accompagnant diagnostic et certainement pas se suffire à lui-même.)
  • Comment y trouver une pertinence alors que les spécialistes affirment que le « virus » aurait muté et que celui d’origine n’existerait plus ?
  • Comment croire en l’existence et à l’exactitude du code génétique de la protéine Spike qui aurait été isolée par les mêmes principes de PCR et de comparaison à des bases existantes ?
  • Comment ignorer le fait historique que Pasteur était un escroc, un menteur, un tricheur ? Qui n’est pas allé en prison grâce à un soutien politique, l’idée étant que si Pasteur était dénigré, les Allemands rafleraient le marché de l’escroquerie.
  • Comment croire en l’efficacité des « vaccins » dès lors qu’aucun n’a permis d’éradiquer la moindre maladie ?
  • Comment se servir aujourd’hui encore de la prétendue éradication de la variole par les « vaccins » alors même que l’OMS précise que la campagne de vaccination fut un échec et que celle-ci a pu être éradiquée par l’isolement des malades symptomatiques ?
  • La polio était-elle causée par un « virus » ou liée à un empoisonnement au DDT ?
  • A-t-elle été éradiquée par un « vaccin » ou par l’arrêt de l’utilisation du DDT ? (Et est-elle apparue suite à son utilisation ?)
  • Comment affirmer l’efficacité, mais aussi l’innocuité des « vaccins », dès lors qu’il n’existe aucun essai en double aveugle versus placebo le prouvant ?
  • Pourquoi les vaccins bénéficient-ils d’un mode dérogatoire de mise sur le marché avec moins de contraintes que pour un médicament alors qu’il est censé ne pas pouvoir être « enlevé » ?
  • Comment préconiser le « vaccin » Covid alors qu’il n’existe aucune preuve de son efficacité en termes de contamination et que le nombre de décès dans le groupe injecté était supérieur à celui du groupe témoin selon les données Pfizer ?
  • Comment Moderna aurait-il pu créer un « vaccin efficace » contre le « SARSCoV-2 » dès lors que selon son représentant, ils ont fabriqué celui-ci informatiquement à partir de la séquence « officielle » fournie par les Chinois et qu’ils ne l’ont jamais eu dans les mains pour sa fabrication ? (Et donc sans vérifier si les données chinoises étaient exactes.)
  • Dès lors que le code génétique de la Spike est au pire imaginaire et au mieux totalement aléatoire, car une juxtaposition de séquences hypothétiques par test PCR. Et en partant de l’hypothèse théorique que la Spike existerait, comment serait-il possible que sa séquence génétique soit identique à celle du « vrai virus » ? « Virus » qui selon la théorie tout aussi non vérifiée muterait régulièrement. Les mutations étant elles-mêmes détectées par d’autres tests PCR sur d’autres séquences. Comment serait-il alors possible de créer une séquence ARNm qui ferait produire la « vraie » Spike par un « vaccin » ?
  • Si le « vaccin » contient de l’ARNm, par quel miracle pourrait-il faire générer la « bonne » Spike dont le génome connu relèverait plus de la loterie que de la science ? La plus forte probabilité serait alors qu’il fasse fabriquer n’importe quoi par nos cellules. L’autre hypothèse la plus raisonnable serait qu’il ne contienne strictement aucune séquence ARNm.
  • Pourquoi différents laboratoires ou le même laboratoire n’ont pas extrait eux-mêmes le génome du SARS-CoV-2 et le code génétique de la Spike à partir de la même souche ? (Et ce en utilisant différents logiciels de « Lego » et différentes amorces ?) Si cette méthodologie ne relève pas du hasard pour ne pas dire de l’escroquerie, le génome obtenu serait alors exactement le même et permettrait d’apporter un élément de preuve sur la fiabilité du processus. Il faudrait ensuite reproduire l’expérience avec plusieurs malades afin de déterminer s’ils souffrent tous du « SARS-CoV-2 ».
  • Comment ces « vaccins » pourraient-ils (encore) contenir de l’ARNm au moment de l’injection dès lors qu’ils exigeaient à leurs débuts une conservation à -80 °C et que les brins d’ARNm sont réputés extrêmement fragiles et se décomposent très vite ?
  • Comment peut-on affirmer que les patients bénéficient de la même injection, du même produit dès lors qu’il est de notoriété publique que l’ARNm aurait une tendance à se recombiner ? La probabilité que le « vaccin » génère la même Spike ou même une Spike relève de la loterie.
  • Les vidéos qui circulent montrant le contenu d’un « vaccin » ARNm ne semblent pas contenir la moindre capsule d’ARNm.
  • Comment les « vaccins » dit classiques, ceux censés contenir du « virus » atténué par un procédé magique, pourraient avoir une « efficacité » dès lors qu’ils ne provoquent aucune réponse immunitaire ni production d’anticorps par l’organisme en cas d’injection seule ?
  • Comment serait-il possible de prouver leur efficacité et non l’efficacité d’une autre substance dans le « vaccin » dès lors qu’il est impossible d’isoler des « virus » dans leur « soupe » ?
  • Comment affirmer l’action d’un « vaccin » dès lors que les adjuvants sont indispensables pour provoquer cette fameuse « réponse immunitaire » ? Dans le cas d’un « vaccin » dit classique, c’est l’aluminium qui est couramment utilisé.
  • L’aluminium est un produit extrêmement toxique et à l’origine d’effets secondaires graves.
  • Comment prouver que les anticorps détectés sont la conséquence du « virus atténué » dans le « vaccin » et ne seraient pas des déchets issus de la défense de l’organisme face à l’empoissonnement du système sanguin par l’aluminium et les autres adjuvants toxiques utilisés dans le « vaccin » ?
  • Dans le cadre du « vaccin » Covid, l’adjuvant principal serait le graphène dont la toxicité serait inédite dans l’histoire des « vaccins ». Graphène qui est officiellement interdit dans l’alimentation humaine.
  • Les effets secondaires et les décès dus au « vaccin » ne seraient-ils que les conséquences de l’empoisonnement aux nouveaux adjuvants et non au prétendu ARNm ?
  • Comment peut-on affirmer que l’on retrouve de la Spike vaccinale dans tel ou tel organe dès lors que l’on utilise le test PCR comme preuve de sa présence ?
  • Le « Covid », ainsi nommé, se contente de « tuer » des personnes en fin de vie, malades ou très âgées, mais épargne totalement les personnes jeunes en bonne santé. En revanche le « vaccin » tue des jeunes sans antécédents médicaux si l’on en croit les données officielles. De fait si la prétendue « Spike SARS-CoV-2 » était nocive, elle devrait tuer non seulement les « vaccinés », mais aussi les « malades du Covid ». Dans cette hypothèse, les jeunes en bonne santé devraient aussi mourir du Covid, ce qui n’est pas le cas. Deux hypothèses :
  • Je ne sais pas si le corps humain apprendra à se défendre contre ces nouveaux adjuvants, mais il est possible que leurs effets inédits aussi bien directs que sur l’infertilité ou les fausses couches soient le fruit de la première « rencontre » entre le poison et les humains. Il serait alors possible que le corps apprenne à se défendre contre ces nouveaux agresseurs.
  • Pourquoi ces questions relèvent du « complotisme » ou du « délire » et n’ont pas de réponses ?
  • Pourquoi n’y a-t-il pas débat ?
  • Pourquoi les spécialistes et scientifiques qui défendent d’autres thèses sont muselés et ne peuvent pas s’exprimer dans des médias mainstream ?

Pour résumer :

  • Pas de preuve de l’existence des virus, de la contagion et de leur dangerosité. On tombe malade par des empoisonnements et d’autres processus qu’il est interdit d’étudier depuis plus d’un siècle.
  • Qui dit « pas de virus » et donc « pas de contamination » dit bien évidemment, pas de « vaccins » possibles. Ni même de gestes barrière, de masques, de confinements, de tests PCR, de passe sanitaire, etc.
  • Toutes les grandes maladies de ce monde ont diminué avant le début de la commercialisation des « vaccins ».
  • Une industrie pharmaceutique, dont les bénéfices sont supérieurs à ceux de l’industrie pétrolière, construite sur un mensonge, une escroquerie.
  • L’affirmation de l’allopathie, de la maladie, du médicament pour combattre l’ennemi extérieur et la maladie ? Baliverne !
  • L’existence du « virus » permet d’entretenir la peur, l’existence de l’ennemi invisible et ainsi contrôler les masses par des mesures liberticides les plus délirantes.
  • Des facultés de médecine ou de pharmacie sponsorisées par l’industrie qui transmettent le mensonge génération après génération sans la moindre remise en question. Il n’y a pas que des corrompus, mais des répétants. Ceci relève uniquement de la foi, du dogme et non de la science.
  • La main mise de l’industrie dans toutes les sphères de pouvoir y compris à la tête de l’OMS. L’impossibilité pour un chercheur de faire la moindre étude sans financement de l’industrie. Il devient de fait impossible de tester l’efficacité d’une molécule ou d’un « vaccin ».
  • Un train fou lancé impossible à arrêter sans des conséquences apocalyptiques ! « Les gars, on se fout de votre gueule depuis plus d’un siècle. On vous a menti, trompé, injecté des substances toxiques inutiles et inefficaces. On a fait taire les voix discordantes. Le silence a été acheté. Tout ce que vous pensez sur la médecine est faux. Votre savoir repose sur un Pasteur qui aurait eu sa place en prison. Toute notre vie nous avons étudié des chimères. Oubliez tout, on recommence ! »
  • Une chasse aux sorcières qui balaye toutes les théories alternatives et les méthodes de soin naturelles.
  • Une classe politique stupide, naïve, complice et corrompue.
  • Des médias larbins, lâches, consensuels, mais aussi corrompus.

Bienvenue au 21e siècle !

Merci

Alain Tortosa5.
5 février 2023
Https://7milliards.fr/tortosa20230205-virus-decennies-escroquerie.pdf





« Primum non nocere » : que nenni ! Un coup d’État politico-financier sous prétexte sanitaire ?

Par Catherine Teilhet, retraitée des services informatiques de la Ville de Paris.

2020-2021

2022




La vérité sur le Covid avec Jean-Michel JACQUEMIN-RAFFESTIN

[Source : Nicolas Dupont-Aignan]

Jean-Michel JACQUEMIN-RAFFESTIN est l’auteur de « Ne leur pardonnez pas ! Ils savent très bien ce qu’ils font ». Il dévoile le résultat de son travail sur les sujets suivants :
– La vérité sur l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine ;
– La manipulation des tests covid ;
– Y a-t-il eu une épidémie ?
– Les conséquences de la vaccination.




L’état de contrôle – Le film

[Source : Vivre sainement via Profession Gendarme]

Carte d’identité et passeport numériques, CBDCs, contrôle total.






Vœux de Joseph pour 2023

Par Joseph Stroberg

Un édifice ou un système, comme le Nouvel Ordre Mondial, peut être détruit d’au moins trois manières :

  1. en enlevant sa pierre angulaire, sa clef de voûte, ce qui produit son effondrement depuis le haut et est l’équivalent d’une décapitation ;
  2. en s’en prenant à ses fondations, ce qui peut être facilité lorsque le système ressemble à un château de cartes ;
  3. en le rongeant partout avec l’équivalent d’un acide (ou en cessant de l’alimenter).

Ronger le Nouvel Ordre Mondial partout simultanément ne peut se faire que par une prise de conscience massive de sa réalité et de son fonctionnement. L’acide est la Conscience éclairée. Il semble bien que l’Humanité en soit actuellement loin, encore trop soumise à la peur (notamment de la mort), ce qui fait qu’elle continue d’alimenter ce système au lieu d’en ronger, désagréger tous les aspects par un changement de mode de vie.

Le Nouvel Ordre Mondial est construit sur le principe de l’inversion de la Création, d’où en particulier l’énorme intérêt des élites pour le transhumanisme, l’artificiel et le renversement naturel de la biologie avec notamment la théorie du genre. Poutine tente de s’attaquer à ces fondations pour rétablir les principes traditionnels accordés sur la Création, mais même avec ses énormes moyens militaires, il n’est pas certain qu’il puisse aboutir.

Quelle est la pierre angulaire du Nouvel Ordre Mondial ?
Ce sans quoi les élites mondialistes n’auraient jamais pu imposer mondialement la distanciation sociale, les confinements, les masques, les tests PCR, les QR codes et les vaccinations : la théorie virale. Or, de plus en plus d’éléments factuels démontrent que celle-ci ne relève pas de science, mais de scientisme, de mauvaise cuisine ou de mauvaise religion, comme le lecteur pourra en avoir un bon aperçu en se plongeant dans les articles du dossier Vaccins et virus, ceci à condition qu’il accepte de remettre en question les croyances massivement entretenues par l’industrie pharmaceutique (qui contrôle notamment l’enseignement des médecins à l’université) et de s’ouvrir aux éléments démonstratifs et révélateurs proposés dans ces articles.

En lisant ces articles, le lecteur découvrira notamment les points suivants :

Les virus pathogènes n’ont jamais été scientifiquement isolés et caractérisés.
À ceux qui répondent que l’absence de la preuve de l’existence de virus pathogènes n’est pas la preuve de leur inexistence, je réponds :

l’absence de la preuve de l’existence d’éléphants roses n’est pas non plus la preuve de leur inexistence,
et l’absence de la preuve de l’existence de Dieu n’est pas non plus la preuve de son inexistence.
Dans le premier cas (celui des éléphants roses), nous avons cependant affaire à du delirium tremens ou à des théories purement fantaisistes, même pour ceux qui pensent qu’il suffit de peindre en rose un éléphant réel pour démontrer l’existence d’éléphants roses.
Dans le second cas, il s’agit d’une croyance d’ordre purement religieux qu’il n’est pas possible de démontrer scientifiquement.

L’effet cytopathique qui prétend démontrer la culture virale s’obtient pareillement sans la moindre présence de tissus biologiques supposés infectés par un virus pathogène, ce qui démontre implacablement que cet effet n’est nullement la démonstration de la présence d’un tel virus, la mort des cellules dites de culture ne résultant que des poisons inclus dans le milieu (antibiotiques et nombreux toxiques censés favoriser la multiplication virale, mais qui en fait tuent les cellules de culture).

Les séquençages de seconde génération qui prétendent ensuite reconstituer le matériel génétique dudit virus sont de véritables farces. Ils partent d’une soupe génétique indifférenciée et non caractérisée qui peut mêler aussi bien des bouts de gènes en provenance du prétendu tissu infecté que des cellules de cultures et d’autres composants biologiques présents dans le milieu. Et cerise sur le gâteau, ils coupent ces bouts de gènes en séquences de quelques cinquantaines ou centaines de codons (ou de bases) et moulinent tant et aussi longtemps qu’ils ne s’approchent pas d’un modèle théorique servant de référence à la reconstitution du puzzle. C’est exactement la même situation grotesque et non scientifique qui consisterait à tenter de reconstituer le roman Germinal de Zola (le modèle, tel que SRAS-CoV-2) à partir du découpage en petits morceaux de papier de milliers de romans pris au hasard dans une bibliothèque. Avec un peu de chances et suffisamment de patience (en faisant tourner suffisamment longtemps la moulinette du séquençage génétique — opération purement logicielle), en collant les petits bouts de papier adéquatement, en reconstituant ainsi des phrases (génétiques), on finira par retrouver 99,7 % du roman Germinal et on prétendra qu’il était bien présent dans la bibliothèque au départ, alors qu’il ne s’y trouvait pas nécessairement.

Le fait que les « virus » soient visuellement semblables aux exosomes ou à d’autres composants cellulaires (par ailleurs eux scientifiquement caractérisés) ne démontre par ailleurs pas qu’ils soient responsables de maladies, pas davantage que la présence de mouches sur des cadavres ne démontre que ces dernières seraient les responsables de la mort des animaux ou des êtres humains concernés.

La théorie virale s’est vue coller tellement de rustines pour tenter d’éviter son éclatement (alors qu’elle aurait dû disparaître il y a près de 70 ans) qu’elle en est devenue incontestable, ce qui de fait la déplace hors du cadre de la science (puisque le propre de toute véritable théorie scientifique est d’admettre ses limites et la possibilité d’être contestée).

Les rares contagions effectives (en dehors de l’exposition à une cause commune, comme le sont les champs électriques et les ondes électromagnétiques, sachant que le corps lui-même est de nature électrique, magnétique et électromagnétique, jusqu’aux niveaux cellulaires et moléculaires) peuvent s’expliquer par la communication et l’influence expérimentalement démontrée entre organismes vivants, par les biophotons.
(Voir Communication entre organismes vivants par biophotons et Sensibilité de l’eau morphogénique aux ondes électromagnétiques.)

En réponse à l’argument des labos P4, voir C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !.

Mon vœu est que les êtres humains, et spécialement s’ils sont médecins ou travaillent dans le domaine de la Santé, se penchent sérieusement et avec ouverture d’esprit sur la contestation de la théorie virale afin qu’ensuite la pierre angulaire du Nouvel Ordre Mondial soit détruite et que ce dernier s’effondre dans la foulée. Un vœu alternatif est qu’à défaut ils soutiennent Poutine face à l’inversion occidentale. Cependant l’approche de la pierre angulaire peut être plus rapide et surtout éviterait bien des morts.

Joseph Stroberg

P.S.

Les prix Nobel, y compris en médecine, sont délivrés à des êtres humains qui ont été particulièrement utiles aux élites mondialistes en vue de l’édification du Nouvel Ordre Mondial, même si leur aide est purement involontaire.
Montagnier a ainsi reçu son prix pour avoir permis de renforcer la légende urbaine des virus pathogènes et Kary Mullis pour l’invention du test PCR qui est bien utile pour inventer des épidémies, spécialement depuis l’invention du concept scientifiquement frauduleux et fallacieux de « malades asymptomatiques ».
(Voir :
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Repenser le SIDA
Dr. Claus Köhnlein – Du SIDA au Covid-19 : une arnaque qui dure depuis plus de 40 ans
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
SIDA : le doute — Film documentaire RTS, ARTE France, TVE, Histoire TV. 1997
Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki
Pas de fleurs pour le sidarnarqueur
La virologie et le test PCR
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid-19 »
La mystification par le test PCR pour créer le mythe de la pandémie et entretenir la peur
Dr Kary Mullis : Pourquoi j’ai commencé à remettre en question le VIH
L’inventeur du test PCR avait bien dit que celui-ci ne permet pas de savoir si vous êtes malade
La fraude des anticorps
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies)




L’invention du « virus Ebola »

Par Jean Bitterlin

Voici le travail de recherche de Mike Stone sur l’arnaque du « virus Ebola ». Les articles provenant de l’OMS ou d’autres sources que l’analyse de l’auteur sont sur fond coloré.

[Voir aussi :
Ebola : briser les mensonges et la supercherie]

Quel que soit le « virus » sur lequel on se penche, on retrouve toujours le même narratif :

  1. L’émergence de « l’épidémie » se fonde sur des maladies préexistantes que l’on attribue à un « nouveau virus ». Pour Ebola il s’agissait du paludisme, de la fièvre typhoïde, de la méningite, de l’hépatite, etc., pour le VIH il s’agissait du sarcome de Kaposi, de la pneumonie cystite carinii auxquels se sont rajoutées près d’une trentaine d’autres maladies et pour le Covid-19 les pneumonies)
  2. Le « virus » en question n’est et n’a jamais été isolé (ce qui rend d’ailleurs impossible la mise au point d’un test) et personne ne l’a jamais vu.
  3. La « preuve de la présence du virus » est toujours indirecte : c’est la présence d’anticorps que l’on prétend être, sans aucun fondement scientifique, spécifiques au « virus ».
  4. Des malades qui ne sont pas porteurs de ces anticorps dits spécifiques et des bien-portants chez lesquels on trouve ces anticorps. Ces bien-portants sont alors appelés porteurs asymptomatiques du « virus », situation qui peut durer des années ! (On peut se demander alors ce que « foutent » ces virus pendant tout ce temps, doivent s’emmerder tapis dans des cellules et prêts à passer à l’attaque.)
  5. Des remèdes ou médicaments qui ont les mêmes effets pathogènes, effets pouvant aller jusqu’au décès, que l’on attribuera au « virus ». Dans le cas d’Ebola il s’agit de la chloroquine, dans le cas du VIH il s’agit de l’AZT…

Voici également une vidéo qui bien que datant mérite d’être visionnée même si les intervenants se situent dans l’hypothèse virale : https://www.dailymotion.com/video/xmq1ka

Le professeur De Harven qui est interviewé dans la vidéo est malheureusement décédé en mars 2019.

Dès le début de cette escroquerie phénoménale qu’est le « virus du SIDA » des voix se sont élevées pour dénoncer les graves incohérences de l’hypothèse d’une épidémie qui allait éradiquer l’Humanité. Qu’un Luc Montagnier ait persisté dans la fraude, n’ait jamais douté et n’ait jamais fait amende honorable malgré les décennies où aucun fait scientifique n’a pu corroborer cette hypothèse me fait dire qu’il est à classer dans la catégorie des pires criminels que l’Humanité ait connue.

Dès le début des années 1990 des voix se sont élevées (le groupe de Perth en Australie, le professeur Stefan Lanka en Allemagne) pour dénoncer l’hypothèse virale qui ne repose sur aucun fondement scientifique. Tous ceux qui, tout en restant dans cette hypothèse virale, ont combattu le narratif officiel du SIDA ont bien malgré eux contribué à la mise en œuvre de l’escroquerie Covid-19. Ne perdons pas 40 années supplémentaires en restant dans cette hypothèse virale. Je suis persuadé que nous devons nous concentrer que sur un seul objectif : balayer cette hypothèse, tout le reste n’a guère d’importance.

À vous de vous impliquer dans cette lutte en diffusant l’information autour de vous et de mettre à la poubelle tout ce qui provient des idiots utiles (à Big Pharma) tels que Perronne, Stuckelberger, Henrion-Caude… et bien d’autres


[Source : https://viroliegy.com/2022/09/26/the-ebola-virus-part-1/]

Par Mike Stone

Mon voyage pour découvrir les mensonges de la théorie du germe

Il y a quelques années, un de mes proches a été mal diagnostiqué et maltraité par notre système médical. Il a été victime de nombreux médicaments toxiques et de procédures médicales invasives inutiles qui lui ont malheureusement coûté la vie après des années de souffrance dans des conditions horribles.

En essayant de découvrir les meilleurs moyens de l’aider à traverser cette difficile crise sanitaire, je suis tombé sur les mensonges de la théorie des germes et sur l’état désastreux de notre système de « santé ». J’ai découvert la bataille entre Antoine Béchamp et le plagiaire Louis Pasteur. J’ai commencé à étudier les différences entre la théorie des germes et la théorie du terrain. J’ai pris conscience de l’influence des Rockefeller sur la création de notre establishment médical. Je me suis plongé dans les travaux de David Crowe, Stefan Lanka, Roberto Giraldo, du Groupe de Perth, de Liam Scheff, Celia Farber et bien d’autres.

En 2020, il est devenu évident que je ne pouvais plus rester sur la touche tout en accumulant ces informations pour moi-même. Le monde s’est passionné pour une « pandémie » fondée sur de nombreux faux prétextes et une désinformation/propagande délibérée. Nous nous sommes retrouvés dans une pandémie de tests entretenue par la PEUR. De trop nombreuses personnes ont agi sur la base d’informations inexactes provenant de sources grand public contrôlées par l’industrie pharmaceutique, sans jamais être conscientes du fait qu’il existe un côté beaucoup plus logique à ce débat. Un côté basé sur la connaissance et non sur la PEUR.

J’ai décidé qu’il était temps de partager cette information sur Facebook avec mes amis, ma famille et tous ceux qui avaient besoin de l’entendre. Malheureusement, cela est devenu de plus en plus difficile face à la censure actuelle. Ce paysage orwellien m’a conduit à la création de ce blog. J’ai l’intention de partager les articles que j’ai rédigés sur les méthodes fallacieuses utilisées en virologie, l’absence de preuves scientifiques valables concernant les « virus » et les anticorps, la supercherie de la génomique, les dangers des vaccins et de diverses interventions médicales, ainsi que de fournir des informations sur les meilleures façons de prendre soin de sa santé naturellement.

Je ne suis pas médecin, virologue, microbiologiste, scientifique, etc. Beaucoup s’en serviront contre moi. J’ai fait des études en sciences de la santé et de l’exercice. J’ai été entraîneur personnel, nutritionniste, et je suis actuellement coach en santé et bien-être. Ce que je partage ici est basé sur des années de recherche et de lecture d’études ou de sources originales. Je ferai toujours de mon mieux pour fournir les sources d’où proviennent les informations. C’est le meilleur conseil que j’ai reçu de Kary Mullis, l’inventeur du test PCR actuellement utilisé à tort dans le monde entier :

« Je pense que c’est de la simple logique. Cela ne nécessite pas que quelqu’un ait une connaissance spécialisée du domaine. Le fait est que s’il existait des preuves que le VIH cause le SIDA — si quelqu’un qui était en fait un spécialiste dans ce domaine pouvait écrire une analyse de la documentation, dans laquelle seraient citées un certain nombre d’études scientifiques qui, seules ou en groupe, pourraient soutenir l’hypothèse que le VIH est la cause probable du SIDA — quelqu’un l’aurait écrite. Il n’y a pas d’article, ni d’analyse de documentation mentionnant un certain nombre d’articles qui, pris ensemble, pourraient soutenir cette affirmation. »

Kary Mullis

J’espère que les informations que j’ai acquises au cours de mon voyage vous aideront dans le vôtre.

Le « virus » Ebola — 1re partie

Un commentaire a récemment été laissé sur l’un de mes articles et a attiré mon attention :

Si vous bande d’idiots (traduction libre !) êtes si sûrs que les virus n’existent pas, allez dans un pays d’Afrique et exposez-vous à Ebola. Faites-moi savoir comment ça se passe pour vous. J’attendrai. Mais encore une fois vous êtes tous trop idiots pour me prouver que j’ai tort.

Pour une raison quelconque, il y a des personnes qui semblent croire que pour prouver que les « virus » n’existent pas (sophisme de la non-existence), il faut soit s’injecter du sang « infecté » soit s’exposer à des individus « infectés ». Ces personnes estiment que la dissection des études qui ont été présentées comme des preuves de l’existence de ces entités pathogènes fictives n’est pas suffisamment convaincante. Dans ce cas précis, on m’a dit d’aller en Afrique et de m’exposer à un patient atteint d’Ebola. Cette personne a fièrement déclaré : « Prouve-moi que j’ai tort en te contaminant toi-même ». Bien sûr, si je tombais malade après m’être exposé à un patient atteint d’Ebola, cela ne prouverait en aucun cas qu’un « virus » en est la cause, car les toxines environnementales, le stress et la fatigue dus aux voyages, les changements dans les habitudes alimentaires et de sommeil, etc. pourraient tous être des facteurs potentiels conduisant à la maladie. Si je ne tombais pas malade, ces personnes se rabattraient sur des dispositifs de secours tels que les anticorps naturels ou les infections asymptomatiques comme explication probable de l’absence de maladie. Ce serait en fin de compte un exercice infructueux.

Malheureusement pour ceux qui font des demandes illogiques comme l’exemple ci-dessus, la charge de la preuve incombe à celui qui fait la déclaration positive. Si quelqu’un affirme qu’un « virus » existe, c’est à cette personne qu’il incombe de prouver l’existence de ce « virus » particulier. La meilleure façon de le faire serait de présenter les études fondamentales relatives à ce « virus ». Je trouve intéressant que ces personnes ne se tournent jamais vers la littérature scientifique pour tenter d’établir que l’existence de ces « virus », tels qu’Ebola, a été prouvée en premier lieu comme on le prétend. Cependant, je comprends leur frustration lorsqu’ils essaient de présenter les études originales comme preuve, car la preuve scientifique n’existe tout simplement pas dans aucun de ces documents.

Quoi qu’il en soit, Ebola est l’un de ce que je considère généralement comme les trois principaux « virus » avec lesquels les gens aiment défier ceux qui critiquent la virologie, les deux autres étant le VIH et la rage, dont j’ai parlé précédemment. Selon leurs exigences, pour réfuter la virologie, nous devons surmonter l’obstacle des « trois grands » en nous exposant physiquement à des patients malades. Malheureusement, même si j’adorerais faire un safari, tout laisser tomber et m’envoler pour l’Afrique afin de m’exposer à des « virus » imaginaires n’est pas vraiment une option réaliste pour moi en ce moment. Cependant, pourquoi engager des frais de voyage alors que je peux simplement démonter les preuves pseudo-scientifiques utilisées pour prouver l’existence dudit « virus » (que ces personnes ne veulent pas regarder et soumettre elles-mêmes) ?

Cet effondrement de la fraude Ebola sera présenté en deux parties. La première partie se concentre sur « l’isolement » du « virus » Ebola par trois groupes de chercheurs en 1976. J’ai fourni les trois documents soumis, un de chaque groupe, pour voir s’il existe des preuves scientifiques de l’existence d’un « virus » Ebola dans ces documents. Les chercheurs ont-ils respecté la méthode scientifique ? Ont-ils essayé de purifier et d’isoler correctement les particules supposées être le « virus » Ebola directement à partir des fluides d’un hôte malade ? Ces particules purifiées ont-elles été utilisées pour exposer un hôte sensible de manière naturelle ? Les images obtenues au microscope électronique ne montraient-elles que les particules supposées « virales » et rien d’autre ? Les chercheurs ont-ils effectué les expériences de contrôle appropriées ? C’est ce que nous allons découvrir.

La deuxième partie explore les incohérences du rapport de 23 pages publié par l’OMS en 1978, qui résume les recherches menées en 1976. Le récit comporte de nombreuses lacunes qui nécessitent un examen plus approfondi. Nous examinerons également d’autres causes potentielles des symptômes ressentis par les patients qui ont été bizarrement négligées par l’OMS.

C’est quoi le « virus » Ebola ?

Traduction du document du CDC :

Écologie et transmission du virus Ebola

La maladie du virus Ebola est une maladie zoonotique. Les zoonoses concernent les animaux et les humains.

1re colonne : Transmission d’animal à animal

Les preuves suggèrent que les chauves-souris sont les hôtes réservoirs pour le virus Ebola (satanée bestiole — la même qui nous a transmis le virus du Covid-19 !! – NdT). Les chauves-souris porteuses du virus peuvent le transmettre à d’autres animaux, les grands singes, les singes et les duikers (antilopes), tout comme elles peuvent le transmettre aux humains.

2colonne : Événement de débordement

Un « événement de débordement » se produit lorsqu’un animal (chauve-souris, singe, antilope) ou humain devient infecté par le virus Ebola par contact avec l’hôte réservoir. Ce contact pourrait se produire lors d’une chasse ou lors de la préparation de la viande de l’animal pour la manger.

3colonne : Transmission d’humain à humain

Une fois que le virus Ebola a infecté le premier humain, la transmission d’un humain à l’autre peut se produire par contact avec le sang et les fluides du corps des personnes malades ou par contact avec les corps de ceux qui sont décédés d’Ebola (p….. même les morts sont dangereux !!! – NdT)

4colonne : Survivants

Les survivants d’Ebola affrontent de nouveaux défis après la guérison. Certains survivants rapportent des effets tels que la fatigue et des douleurs musculaires et peuvent avoir à affronter la stigmatisation lorsqu’ils retournent dans leurs communautés.

Au milieu : Pratiques funéraires traditionnelles — Travailleurs de la Santé non protégés – Contacts non protégés avec le sang et les fluides corporels.

D’après le CDC, le « virus » Ebola a été découvert au Zaïre en 1976 (après une épidémie de fièvre hémorragique). De temps en temps le « virus » aime occasionnellement faire des apparitions en Afrique. L’on dit qu’il s’est d’abord transmis à l’homme par contact avec un animal infecté. Ensuite, le « virus » se transmet d’homme à homme par contact avec les fluides corporels d’une personne infectée :

« Le virus Ebola a été découvert pour la première fois en 1976 près de la rivière Ebola, dans ce qui est aujourd’hui la République Démocratique du Congo. Depuis lors, le virus infecte de temps en temps des personnes, ce qui a entraîné des épidémies dans plusieurs pays africains. Les scientifiques ne savent pas d’où vient le virus Ebola. Sur la base de virus similaires, ils pensent que la maladie du virus Ebola est transmise par les animaux, les chauves-souris ou les primates non humains étant la source la plus probable. Les animaux infectés porteurs du virus peuvent le transmettre à d’autres animaux, comme les grands singes, les singes, les antilopes et les humains.

Le virus se transmet d’abord à l’homme par contact direct avec le sang, les fluides corporels et les tissus des animaux. Le virus Ebola se transmet ensuite à d’autres personnes par contact direct avec les fluides corporels d’une personne malade ou décédée de la maladie du virus Ebola. Cela peut se produire lorsqu’une personne touche ces fluides corporels infectés ou des objets contaminés par eux. Le virus pénètre ensuite dans l’organisme par les lésions cutanées ou les muqueuses des yeux, du nez ou de la bouche. On peut contracter le virus par contact sexuel avec une personne malade ou guérie de l’EVD. Après la guérison de la maladie, le virus peut persister dans certains fluides corporels comme le sperme. » (NdT : EVD pour Ebola Virus Disease, Maladie due au Virus Ebola)

https://www.cdc.gov/vhf/ebola/about.html

Ministère de la Santé de la République d’Uganda — OMS — Unicef

(Ebola : Signes et symptômes
Fièvre – Vomissements – Sang lors de diarrhée ou dans l’urine – Maux de tête – Affaiblissement du corps – Maux de gorge – Douleur musculaire – Saignements des orifices corporels.)
OMS, l’image du gars qui vomit sur le sol est-elle vraiment nécessaire ?

Selon l’OMS, nous constatons que cette « maladie rare, mais grave, souvent mortelle » ne peut être transmise que par les personnes qui présentent des symptômes. Le « virus » Ebola est associé à une liste de symptômes non spécifiques, et est souvent confondu lors du diagnostic avec de nombreuses autres maladies et même avec une grossesse (!) :

Symptômes

La période d’incubation, qui est l’intervalle de temps entre l’infection par le virus et l’apparition des symptômes, est de 2 à 21 jours. Une personne infectée par Ebola ne peut pas transmettre la maladie avant qu’elle ne présente les symptômes.

Les symptômes de la maladie du virus Ebola peuvent être soudains et incluent :

  • Fièvre
  • Fatigue
  • Douleur musculaire
  • Maux de tête
  • Maux de gorge

Ceci est suivi de :

  • Vomissements
  • Diarrhées
  • Éruptions cutanées
  • Symptômes d’altération des fonctions rénales et hépatiques
  • Dans certains cas saignements internes et externes (par exemple suintements des gencives ou sang dans les selles)
  • Les résultats des laboratoires comprennent un faible nombre de globules blancs et de plaquettes et des enzymes hépatiques élevées.

Diagnostic

Il peut s’avérer difficile de distinguer cliniquement la maladie du virus Ebola d’autres maladies infectieuses telles que la malaria, la fièvre typhoïde et la méningite. De nombreux symptômes de la grossesse et la maladie Ebola sont également assez similaires. En raison des risques pour la grossesse, les femmes enceintes devraient idéalement être testées rapidement en cas de suspicion d’Ebola.

https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/ebola-virus-disease?gclid=Cj0KCQjwj7CZBhDHARIsAPPWv3cNnRDMQ6A8_meGwLE7XzuMOX1WvF97TctCB1A3nu1AfVv0MxnTwi4aAimkEALw_wcB

Le Dr Piot et les chasseurs du « virus » !

Indépendamment des symptômes non spécifiques et des similitudes de la maladie avec la grossesse, les chercheurs de 1976, constatant les mêmes signes et symptômes de fièvre hémorragique associés à de nombreuses affections, ont eu le sentiment, pour une raison quelconque, qu’ils avaient un nouveau « virus » sur les bras. Pour déterminer s’il s’agissait d’une nouvelle épidémie « virale » au Zaïre, des échantillons prélevés sur une infirmière malade ont été envoyés au Dr Peter Piot en Belgique, un homme qui venait de terminer ses études de médecine en 1976 et qui suivait une formation de microbiologiste clinique. Il est considéré comme l’un des chercheurs qui ont finalement découvert le nouveau « virus », quand bien même si le « virus » qu’il a « trouvé » ressemblait exactement au « virus » de Marburg, un autre « virus » découvert en 1967 qui présente une série de symptômes similaires :

Le scientifique qui a découvert Ebola

« Alors qu’il travaillait dans un laboratoire de l’Institut de Médecine Tropicale d’Anvers, en Belgique, Piot a reçu un thermos en plastique bon marché contenant deux flacons de sang et de la glace fondue. À l’intérieur se trouvait également une note manuscrite d’un médecin belge basé au Zaïre (aujourd’hui la République Démocratique du Congo). La note expliquait que le sang avait été prélevé sur une religieuse belge travaillant au Zaïre. Elle et deux cents autres personnes vivant dans une région reculée du Zaïre avaient été gravement atteintes d’une maladie mystérieuse. Le thermos avait été transporté sur un vol commercial en provenance de la capitale du Zaïre dans l’un des bagages accompagnés du passager ! En ouvrant le thermos, Piot et ses collègues ont été accueillis par un mélange gluant de glace fondue et de sang. Des deux flacons, un seul était resté intact, tandis que l’autre s’était brisé en route.

Piot et son équipe ont soupçonné la maladie inconnue d’être la fièvre jaune. L’Institut de Médecine Tropicale était qualifié pour traiter la fièvre jaune. Ils étaient loin de se douter que ce qui devait être appelé virus Ebola se cachait dans le thermos. À cette époque, les protocoles de biosécurité n’étaient pas aussi stricts qu’ils le sont aujourd’hui. Ne portant que de fins gants en latex, les scientifiques ont prélevé un échantillon de sang dans la fiole intacte et ont procédé à des tests standard. L’échantillon de sang a été soumis à des tests de dépistage de microbes connus, celui de la fièvre jaune et de plusieurs virus de fièvre hémorragique tels que Lassa, Marburg et dengue. Aucun des microbes ou virus potentiels n’a été trouvé dans le sang. Piot a également injecté à des souris des échantillons du sang de la nonne. Au bout d’une semaine, toutes les souris étaient mortes.

Lorsque les scientifiques ont examiné le sang au microscope, ils ont été surpris par ce qu’ils ont vu. « Nous avons vu une structure vermineuse gigantesque, gigantesque par rapport aux normes virales », explique Piot. Le seul autre virus connu qui avait une taille et une forme similaires était le virus de Marburg. Ce virus est apparu pour la première fois en 1967, lorsque 31 employés de laboratoire ont été atteints de fièvre hémorragique après avoir été en contact avec des singes infectés. En 1976, seules trois installations en dehors de l’Union soviétique étaient qualifiées pour traiter les virus mortels en toute sécurité : Porton Down près de Londres, Fort Detrick dans le Maryland et ce qui est aujourd’hui le CDC à Atlanta. L’Organisation Mondiale de la Santé a ordonné aux scientifiques belges d’envoyer leurs échantillons de sang au laboratoire du CDC, qui était à l’époque le centre de référence mondial pour les virus hémorragiques. Après avoir analysé le virus, le CDC a confirmé que l’échantillon contenait un tout nouveau virus hémorragique. Le Dr Piot dit avoir éprouvé un sentiment « d’excitation incroyable » avec la découverte d’Ebola.

Rétrospectivement, le Dr Piot dit qu’il a eu « de la chance de ne pas être infecté, non seulement dans le laboratoire, mais plus tard, lorsque je prélevais du sang sur les patients et que je les touchais. » Après son travail sur Ebola, le Dr Piot a mené des recherches sur l’épidémie de SIDA en Afrique, puis est devenu le directeur exécutif fondateur d’ONUSIDA, le programme commun des Nations Unies sur le VIH/SIDA. Le Dr Piot est actuellement directeur de l’Ecole d’Hygiène et de Médecine Tropicale de Londres.

https://www.nature.com/scitable/blog/viruses101/the_scientist_who_discovered_ebola/

Le Dr Piot surpris dans l’art de dormir tout en étant debout.

Il est intéressant de noter que si le Dr Piot a été largement crédité de la découverte du « virus » Ebola, cette affirmation a fait l’objet d’une certaine controverse, car de nombreuses autres personnes auraient été impliquées dans le processus de découverte. Même si le Dr Piot et ses collaborateurs ont affirmé avoir « isolé » le « virus » identique à celui de Marburg dans tous les sens du terme, ils ne savaient pas s’il s’agissait en fait d’un nouveau « virus ». Après l’insistance de l’OMS, des chercheurs du CDC ont reçu des échantillons pour vérifier si l’équipe de Piot avait trouvé quelque chose de nouveau :

L’histoire attribue à cet homme le mérite d’avoir découvert Ebola par lui-même. L’histoire a tort

Mais Pattyn et ses collègues ne savaient pas ce qu’ils regardaient. Ils ont vu un virus en forme de lasso qui ressemblait au virus de Marburg — la cause d’un type similaire de fièvre hémorragique découvert neuf ans plus tôt — mais n’avaient pas la capacité de déterminer avec certitude si ce qu’ils observaient était quelque chose de nouveau.

Comme le laboratoire d’Anvers n’était pas équipé pour travailler sur des virus mortels comme celui de Marburg, l’Organisation mondiale de la santé a demandé à Pattyn d’envoyer les échantillons aux laboratoires militaires britanniques de Porton Down. Les scientifiques ont commencé à l’étudier, mais ont également envoyé un échantillon au CDC.

L’équipe d’Atlanta a pu démontrer que l’épidémie de Yambuku était causée par un virus inconnu jusqu’alors, et non par Marburg. Webb a effectué les tests critiques.

« Il est certain que ceux qui devraient avoir le mérite de la découverte savaient en fait qu’ils avaient découvert quelque chose de nouveau », se souvient le Dr Joel Breman, épidémiologiste du CDC en 1976, qui avait dirigé l’enquête de terrain sur l’épidémie à Yambuku. « Savoir ce que c’est, différent de tout le reste — c’est ça la découverte d’un nouvel organisme ».

« Les équipes d’Anvers, de Porton Down et du CDC ont copublié des articles décrivant leur rôle dans la découverte d’Ebola dans le numéro du 12 mars 1977 du Lancet. Il y avait 15 auteurs en tout. »

« Dans l’interview accordée à STAT, Piot a reconnu que le mérite de la découverte effective revient à Johnson et à l’équipe du CDC.

Il a toutefois noté que lui et d’autres membres du laboratoire de Pattyn estimaient avoir le droit de se décrire comme codécouvreurs, en raison du travail qu’ils ont accompli pour isoler le virus à partir de l’échantillon de sang original. »

Qui mérite d’être crédité de la découverte du « virus » Ebola ?
Personne. 

Trois équipes distinctes composées de 15 chercheurs auraient été impliquées dans le processus de découverte du « virus » Ebola. Il y avait le groupe du Dr Piot à Anvers, le groupe militaire britannique à Porton Down et le groupe du CDC à Atlanta. Il a été décidé que le groupe du Dr Piot pouvait prétendre avoir « isolé » le « virus » semblable à celui de Marbourg, tandis que le CDC a eu le dernier mot pour déterminer que « l’isolat » était un nouveau « virus » et non le même vieux Marbourg de 1967. Malgré le drame lié à l’attribution correcte du mérite de la découverte d’Ebola aux bonnes personnes, lorsqu’on examine les trois études soumises au Lancet en 1977 par tous les chercheurs impliqués, on se rend compte que la question ne devrait pas du tout être de savoir qui a le mérite de la découverte d’un nouveau « virus ». Il apparaît clairement à la lecture de ces études qu’aucun de ces chercheurs ne mérite cette reconnaissance, car nulle part dans les articles, les particules supposées être le « virus » Ebola ne sont pas correctement purifiées et isolées directement à partir des fluides d’un hôte malade, et ensuite prouvées être pathogènes de manière naturelle.

Par exemple, dans l’étude du Dr Piot, ce que nous constatons c’est que le sang qu’il a reçu de l’infirmière malade ne contient jamais de « virus ». À aucun moment, l’article ne décrit un quelconque processus de purification (c’est-à-dire centrifugation, filtration, précipitation, etc.), et il n’y a donc aucune preuve de la présence de présumées particules « virales » directement dans les fluides de l’infirmière. Tout ce qui est décrit est le processus habituel de culture cellulaire utilisant des cellules Vero de singes verts africains, du milieu 199 et 7,5 % de sérum de veau. C’est exactement le contraire de la purification et de l’isolement, car de nombreux matériaux étrangers et contaminants ne sont pas séparés, mais au lieu de cela sont ajoutés ensemble dans une boîte de Petri. L’effet cytopathogène (ECP) observé dans les cultures cellulaires a d’abord été considéré comme non spécifique jusqu’à ce que les chercheurs changent le milieu au cinquième jour pour un milieu plus susceptible de produire un ECP et incubent la culture pendant une semaine supplémentaire, créant ainsi l’effet qu’ils voulaient voir. Les études de pathogénicité ont consisté à injecter du sang dans le cerveau et l’estomac de souris nouvellement nées et à affirmer que tout décès était dû au « virus » plutôt qu’à la méthode non naturelle d’injection du sang dans les animaux. Les résultats des anticorps indirects n’étaient pas spécifiques non plus et ont en fait déclenché la fièvre jaune, c’est ce le Dr Piot a déclaré être sa suspicion initiale. Les particules observées en microscopie électronique n’étaient pas de nouvelles entités distinctes et étaient en fait identiques à celles associées au « virus » de Marburg. Aucun contrôle n’a été effectué à l’aide de matériel provenant d’hôtes sains ou de personnes présentant des symptômes similaires de la maladie. En conclusion, le Dr Piot et ses collaborateurs ont déclaré qu’il était possible que tout ce qu’ils avaient fait c’était d’avoir « isolé » le « virus » de Marbourg, mais il a émis l’hypothèse qu’il s’agissait peut-être d’un parent distinct d’un point de vue sérologique ou peut-être d’un nouveau « virus » appartenant au même groupe de « virus » que la rage. En d’autres termes, ils ont utilisé les mêmes méthodes indirectes et obtenu des résultats non spécifiques, ce qui a en quelque sorte alerté l’OMS qu’un nouveau « virus » était en cause :

Isolation d’un virus de type Marburg à partir d’un cas de fièvre hémorragique

Une femme de 42 ans (la patiente M. E.) est tombée malade le 23 septembre 1976 à Yambuku, dans la province de l’Équateur, au Zaïre. Elle a été transportée par avion le 25 septembre à Kinshasa, où un syndrome hémorragique s’est progressivement développé. Du sang coagulé prélevé le 5e jour de la maladie a été envoyé sur glace à l’Institut de Médecine Tropicale d’Anvers. L’échantillon est arrivé dans la soirée du 29 septembre et a été conservé au réfrigérateur.

Le lendemain matin, le sérum a été inoculé à 6 souris jeunes adultes par voie intracérébrale et intrapéritonéale, à 2 portées de souris nouveau-nées par voie intracérébrale et à 10 tubes de cultures de cellules Vero (cultivées dans du milieu 199 contenant 7,5 % de sérum de veau).

Le sérum a été testé par fixation du complément pour les anticorps du virus de Lassa (le résultat était négatif) et par neutralisation sur cellules Vero pour les anticorps du virus de la fièvre jaune (les anticorps étaient présents à une dilution de 1/30).

Résultats des inoculations

Chez les souris

Un animal a été trouvé mort au 4jour et un second au 5e. Au 5jour les cerveaux ont été prélevés sur ces animaux et sur les survivants.

Chez les souris nouveau-nées

Au 5jour d’observation, un animal a été retrouvé mort et partiellement mangé dans chaque portée. Dans une portée, plusieurs souris avaient disparu les jours 6 et 7, ne laissant qu’un seul animal. En revanche, dans la deuxième portée, dont les animaux avaient été très sains pendant toute la période d’observation, il ne restait que trois jeunes souris : une morte, une paralysée et une très malade. Les cerveaux de ces animaux ont été prélevés et envoyés à l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton Down pour une étude plus approfondie.

Cellules Véro

Au cours des 4 premiers jours d’observation, certaines cellules du fond de la plupart des tubes se sont détachées de la surface du verre. Bien que ce phénomène ait d’abord été interprété comme un effet cytopathique partiel, il n’a pas augmenté au cours des jours suivants et a donc été considéré comme non spécifique. Au 5jour, le milieu de culture tissulaire a été remplacé par le milieu tamponné au succinate/acide succinique (tel que décrit par Plaisner et al.1) sans sérum. Selon notre expérience, ce milieu permet l’observation des cellules Vero pendant plusieurs semaines, alors que de nombreux arbovirus produisent un effet cytopathique dans ces conditions. Au 11e jour, un effet cytopathique très frappant a été observé dans ces cultures, la plupart des cellules étant encore attachées au verre. L’effet cytopathique était presque complet au 12e jour. (NdT : effet cytopathique ce sont les altérations métaboliques, biochimiques et morphologiques attribuées à un « virus » qui « infecterait » une cellule hôte)

Résultats de la microscopie électronique

Fig. 1 : Particules virales extracellulaires droites et croisées (agrandies x 112 000)

Le liquide surnageant de trois tubes a été décanté et ceux-ci ont été remplis de glutaraldéhyde à 3 % pendant 30 min. Les cellules ont ensuite été raclées dans une petite quantité de glutaraldéhyde, rincées avec du saccharose tamponné au cacodylate (7,5 %), postfixées dans du tétroxyde d’osmium tamponné au phosphate à 1 % et préparées par la méthode de coagulation à l’albumine. Une coloration de blocage a été effectuée avec de l’acétate d’uranyle à 0,5 %, suivie d’une déshydratation et d’une inclusion dans le milieu à faible viscosité de Spurr. L’examen au microscope électronique de coupes ultrafines de ce matériel a révélé des particules virales extracellulaires droites et croisées morphologiquement similaires au virus de Marburg (fig. 1). Des nucléocapsides intracellulaires ont également été observées, certaines d’entre elles semblant provenir de vésicules (fig. 2 et 3).

Figure 2 : particules virales provenant des membranes intracellulaires. (Agrandies de x 112 000)
Figure 3 : Particules virales intracellulaires en coupe transversale. (Agrandies de x 112 000)

Au même moment, des sections du foie du patient chez qui ce virus avait été isolé et qui était décédé le 1er octobre sont devenues disponibles. Bien que l’ultrastructure de ce tissu soit très mal conservée, des particules virales similaires ont été observées.

Conclusion

Il a été conclu que l’agent responsable de l’épidémie de fièvre hémorragique en Afrique centrale était soit le virus de Marburg, soit un virus différent de celui-ci d’un point de vue sérologique, mais appartenant au même groupe de virus, soit le rhabdovirus ou le torovirus.

C’est lui Anthony Fauci ?

L’OMS souhaitant que les résultats soient examinés séparément par des laboratoires mieux équipés pour traiter le « virus » le plus dangereux supposé avoir été identifié à Anvers, il a été fait appel aux militaires britanniques de Porton Down pour confirmer les résultats. Dans le document de Porton Down, nous constatons une fois de plus l’absence de toute mention de la purification et d’isolement des particules supposées être un « virus ». On retrouve les mêmes expériences de culture cellulaire utilisant des cellules Vero que celles de l’équipe de Piot, allant même jusqu’à utiliser du matériel envoyé par Anvers. Porton Down s’est procuré à Anvers le sang de patients en phase aiguë, le matériel de culture cellulaire et les cerveaux de souris inoculées pour ses propres expériences de science folle. Aucun des ingrédients utilisés pour le processus de culture n’a été détaillé et même s’il est fait mention de contrôles, ceux-ci restent indéfinis. Au cours de leurs expériences de culture cellulaire, les chercheurs ont noté de légers effets cytopathogènes qu’ils ont attribués aux matériaux toxiques utilisés pour l’inoculation. Finalement, trois des cultures ont pris une couleur plus acide et ont provoqué des maladies lorsqu’elles ont été injectées dans l’estomac de jeunes cobayes, signalant ainsi aux chercheurs la présence d’un « virus ». Les autres études de pathogénicité réalisées comprenaient l’injection des cerveaux des souris tuées à Anvers dans le cerveau et l’estomac de souris nouveau-nées à Porton Down et la revendication d’un succès lorsque les souris finissaient par mourir.

Bien que les chercheurs aient supposé qu’ils étaient en présence d’un nouveau « virus », les structures observées par microscopie électronique des foies de cochons d’Inde étaient identiques à celles observées chez les cochons d’Inde et les singes inoculés lors des expériences sur le « virus » de Marburg en 1967 et 1975. Le surnageant de la culture cellulaire contenait des structures sinueuses allongées qui ressemblaient aux structures observées dans les cellules rénales de bébé hamster après infection par le « virus » de Marburg. En fait, les chercheurs ont admis que la maladie et les lésions produites chez les cobayes par les nouveaux agents ressemblaient à celles des cobayes inoculés avec les premiers niveaux de passage du « virus » de Marburg. À toutes fins utiles, les chercheurs auraient dû conclure qu’ils avaient « isolé » le « virus » de Marburg. Bien que cette conclusion aurait été tout aussi frauduleuse, elle aurait au moins correspondu à ce que les preuves pseudo-scientifiques indirectes indiquaient :

Fièvre hémorragique virale dans le sud du Soudan et le nord du Zaïre

Entre juillet et septembre 1976, des cas sporadiques de fièvre avec manifestations hémorragiques ont été signalés dans les régions de Nzara, Maridi et Lirangu dans le sud du Soudan. On pense que les premiers cas se sont produits dans des établissements agricoles. Un foyer d’une maladie similaire a également été signalé dans la zone de Bumba, dans le nord du Zaïre. Alors que l’épidémie s’intensifiait, le pourcentage inquiétant de cas signalés parmi le personnel hospitalier a suggéré une propagation directe de l’infection de personne à personne. La maladie commençait par une fièvre aiguë, des malaises, des maux de gorge, des douleurs musculaires, des vomissements et des diarrhées. Les personnes gravement touchées ont présenté des épistaxis, des hémorragies sous-conjonctivales, des hémoptysies, des hématémèses et le méléna. Certains patients ont également présenté des éruptions cutanées, des tremblements et des convulsions.

Provenance des spécimens

Des spécimens provenant de l’épidémie du nord du Zaïre ont été envoyés à l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton, par le professeur S. R. Pattyn de l’Institut de Médecine Tropicale d’Anvers. Il s’agissait d’un sérum en phase aiguë (n° 718), de matériel de culture cellulaire et de cerveaux de souris qui allaitaient et qui avaient déjà été inoculés avec le sérum. Nous avons reçu plus tard un spécimen de foie du même patient et également 5 spécimens de sang en phase aiguë du Zaïre par l’intermédiaire du professeur Pattyn. Les spécimens provenant du sud du Soudan ont été principalement collectés à l’hôpital de Maridi et nous ont été envoyés directement par le Dr Babiker el Tahir, le Dr D. H. Smith, le Dr K. Jones et le Dr M. Cornet, qui étaient sur place pour enquêter. Ils consistaient en 3 prélèvements de gorge, 3 échantillons d’urine, 6 échantillons de sang en phase aiguë et des échantillons de sérum de personnes en convalescence. Ces spécimens ont été envoyés sur de la glace sèche ou dans de l’azote liquide. Trois laboratoires engagés dans des études préliminaires sur l’agent étiologique ont rapporté l’isolement d’un virus qui était morphologiquement similaire au virus de Marburg.

Les résultats des tentatives d’isolement du virus

L’isolement du virus à partir du matériel humain original a été tenté dans : (1) des préparations de culture de cellules Vero ; (2) des souris allaitantes inoculées par voie intraparentérale (i.p.) et intracérébrale (i.c.) ; et (3) de jeunes cobayes (200-250g) inoculés par voie i.p.

L’isolement chez les cobayes

Jusqu’à présent, 5 isolations de l’agent étiologique ont été obtenues chez le cochon d’Inde : 4 provenant de spécimens du nord du Zaïre et 1 d’un spécimen du sud du Soudan. Les cobayes inoculés par ces spécimens sont devenus fébriles à 40,5 °C après une période d’incubation de 4 à 7 jours. La maladie fébrile a duré 4 à 5 jours pendant lesquels les cochons d’Inde ne se développaient pas et avaient l’air malade. Un des 12 cochons d’Inde inoculés avec le matériel original est mort le 12jour après l’inoculation. Les 11 autres cochons d’Inde se sont lentement rétablis et ont ensuite présenté des anticorps détectables par des tests d’anticorps fluorescents à des titres allant de 1/64 à 1/128. Lorsque du sang hépariné entier provenant de cochons d’Inde fébriles a été inoculé par voie i.p. à d’autres cochons d’Inde, cela a entraîné une maladie fébrile similaire chez ces derniers.

Résultats histopathologiques

Foie — Il y avait de nombreux foyers de nécrose qui n’avaient pas de distribution lobulaire cohérente et consistaient en des groupes de cellules hépatiques subissant une dégénérescence hyaline et une nécrose. Dans certaines des cellules en dégénérescence, de petits corps éosinophiles pléomorphes étaient présents dans le cytoplasme qui étaient positifs à l’acide périodique/Schiff et se coloraient en rouge vif avec la technique de Machiavello, mais ne se coloraient pas en métachromie avec le Giemsa. Les cellules de Kupffer étaient hypertrophiées, certains sinusoïdes contenaient des lymphocytes et les zones périportales étaient fortement infiltrées par des cellules lymphoréticulaires.

La rate et les ganglions lymphatiques – Il y avait un appauvrissement généralisé du tissu lymphoïde des follicules, qui contenait de petites zones de nécrose. De nombreux macrophages se sont accumulés dans les sinus.

Poumons — Les changements dans les poumons étaient légers : épaississement localisé et infiltration des septa inter alvéolaires par des cellules lymphoréticulaires.

Autres organes : aucune lésion n’a été détectée dans le cerveau, les reins ou les glandes surrénales.

Microscopie électronique du foie

Figure 1 : Foie de cobaye infecté, canalicules biliaires (réduit de x 40 000) : particules virales bourgeonnant hors de la membrane cellulaire.

De petits morceaux de foie d’un cobaye tué 5 jours après l’inoculation ont été fixés dans du tétroxyde d’osmium à 1 %. Des coupes ultrafines ont été colorées à l’acétate d’uranyle et au citrate de plomb et examinées au microscope électronique. La figure 1 montre des structures étonnamment similaires à celles observées dans les foies de cobayes et de singes infectés expérimentalement par le virus de Marburg.

Isolation chez les souris

Les cerveaux de souris de lait qui sont tombées malades après avoir été inoculées avec du sérum en phase aiguë par le professeur Pattyn à Anvers ont été réinoculés dans quatre portées de souris nouveau-nées. Les souris ont commencé à mourir le 5jour et étaient toutes mortes au 9jour. Ce matériel de passage chez les souris n’a pas encore été étudié plus profondément. Nous proposons d’inoculer ce matériel à des cochons d’Inde pour voir si l’infection caractéristique se développe avant que nous ne tentions d’autres études chez la souris.

Études sur les cultures cellulaires

L’isolement à partir des échantillons originaux de sérum et de sang a également été tenté dans des préparations de cellules Vero en culture. Un effet cytopathique partiel a été observé sous examen microscopique à faible puissance. Cet effet n’a pas progressé jusqu’à la destruction complète de la membrane cellulaire et pourrait être attribué à un effet toxique des spécimens inoculés. On a toutefois observé un net changement de couleur dans le milieu de trois de ces cultures. Au 6e ou 7e jour après l’inoculation, elles sont devenues nettement plus acides que les cultures témoins. Lorsque de jeunes cobayes ont été inoculés avec ces trois cultures cellulaires, une maladie fébrile s’est développée après 4 à 6 jours.

Figure 2 : fluides de culture de tissus infectés à partir de cellules Vero (agrandis de x 110 000) : aspect interne des particules virales avec une structure en forme d’épaulement.

Figure 3 : Liquide de culture tissulaire infectée de cellules Vero (agrandi x 139 000) particules virales ramifiées.

L’examen au microscope électronique du liquide de culture cellulaire a révélé des structures sinueuses allongées (figures 2 et 3) qui ressemblaient aux structures observées dans les cellules rénales de baby-hamster après infection par le virus de Marburg ».

Conclusion

La microscopie électronique de foies de cobayes infectés et de matériel de culture cellulaire a révélé des structures présentant une ressemblance frappante avec le virus de Marburg. La maladie et les lésions produites chez les cobayes par les nouveaux agents ressemblent à celles des cobayes inoculés avec des niveaux de passage précoce du virus de Marburg. Les lésions d’un échantillon de foie prélevé lors de l’autopsie d’un des patients du Zaïre étaient très similaires à celles produites dans le foie de cochons d’Inde infectés expérimentalement. Jusqu’à présent, nous ne disposons d’aucun élément positif permettant de penser que les virus isolés dans le nord du Zaïre et le sud du Soudan sont sérologiquement apparentés à la souche du virus de Marburg isolée en 1967. 18 sérums de convalescents collectés au Soudan présentaient des titres d’anticorps fluorescents allant de 1/4 à 1/128 contre l’un des isolats du virus du Zaïre. Bien que cette preuve soit faible, elle suggère que les deux épidémies ont été causées par des virus apparentés, sinon identiques. Des études sont en cours pour déterminer la relation entre les nouveaux isolats du Zaïre et du Soudan et la souche de Marburg isolée en 1967.

Une recherche active du « virus »

L’insistance de l’OMS pour un réexamen des preuves a finalement conduit l’équipe du CDC d’Atlanta à s’impliquer afin d’avoir le dernier mot sur la question de savoir si les « isolats » d’Anvers étaient constitués d’un nouveau « virus » ou non. Dans le document du CDC, il est indiqué que Porton Down a envoyé un aliquot (NdT : petit échantillon) de sang au CDC. Comme dans les études précédentes, ce spécimen a également été inoculé sur des cellules Vero. Une fois de plus, aucune procédure de purification n’a été détaillée et la composition exacte des matériaux utilisés pour la culture des cellules n’a jamais été fournie. Après avoir observé un ECP (NdT : rappel — effet cytopathique) « distinct », le liquide surnageant non purifié a été utilisé pour l’imagerie EM (NdT : Electron Microscopy ou microscopie électronique). Les chercheurs ont déclaré avoir observé un grand nombre de particules filamenteuses, d’un diamètre d’environ 100 nm et d’une longueur variant de 300 nm à plus de 1500 nm. Il s’agit d’une différence assez importante dans la gamme de tailles des particules, ce qui montre qu’elles ne sont pas homologues et qu’il pourrait s’agir de nombreux « virus » et/ou microbes différents. Les chercheurs ont également noté que, dans tous les détails, ces particules ne se distinguaient pas de celles observées lors des précédentes épidémies de « virus » de Marbourg. Même l’examen des tissus hépatiques a révélé les mêmes structures que celles observées dans les foies des humains et des cobayes lors des épidémies de Marbourg de 1967 et 1975. Les seules preuves d’une différence proposée entre ce qui a finalement été déclaré Ebola et le « virus » de Marbourg étaient les résultats des tests d’immunofluorescence indirecte des anticorps qui, comme son nom l’indique, est une forme de preuve INDIRECTE utilisant des réactions chimiques non spécifiques. En fait, les chercheurs admettent qu’il y avait une faible réaction entre les échantillons de Marburg et du Zaïre. Cependant, sur la base des faibles preuves sérologiques (qui contredisaient les résultats antérieurs concernant le « virus » de Marbourg) et malgré les nombreux aveux d’identification des mêmes particules que celles associées au « virus » de Marbourg, le CDC a eu le dernier mot en déclarant que le « virus » Ebola était en fait un nouveau « virus ». Ils l’ont déclaré en dépit du fait qu’il est clair que pas un seul des trois groupes de chercheurs n’a vraiment purifié et isolé un « virus » Ebola pour commencer :

Isolation et caractérisation d’un nouveau virus responsable de la fièvre hémorragique aiguë au Zaïre

Une épidémie de fièvre hémorragique avec un taux de mortalité exceptionnellement élevé s’est produite dans le sud du Soudan et le nord du Zaïre avec un pic de cas en septembre 1976. Une commission internationale de l’OMS a opéré au Soudan et au Zaïre à partir d’octobre. Des échantillons de sang et de tissus provenant de personnes atteintes de la maladie hémorragique ont été envoyés à des laboratoires en Belgique et en Angleterre, et les résultats de ces laboratoires figurent dans les rapports ci-joints. Pendant que ces spécimens étaient étudiés, Monsieur E. T. W. Bowen (du Microbiological Research Establishment de Porton Down) a envoyé un aliquot d’un spécimen de sang aigu provenant d’un patient du Zaïre (n° 718, patient M. E.) au CDC d’Atlanta, pour une étude complémentaire.

Ce spécimen et tous les spécimens aigus ultérieurs ont été inoculés dans des cellules Vero (singe vert africain). Trois jours plus tard, un changement cytopathique distinct (arrondi focal et réfractivité) était évident, et un aliquot du liquide surnageant a été prélevé pour une microscopie électronique à contraste négatif.

La microscopie électronique des cultures cellulaires

Des grilles recouvertes de carbone ont été successivement mises à flotter sur des gouttelettes de liquide de culture cellulaire, puis sur du silicotungstate de sodium à 2 % de pH 7. De grandes quantités de particules virales filamenteuses ont été observées (fig. 1). Leur diamètre était d’environ 100 nm et leur longueur variait de 300 nm à plus de 1500 nm. Un grand nombre d’entre elles présentaient des boursouflures terminales. Les particules avaient des projections régulières à la surface d’environ 10 nm de long et, après coloration, elles présentaient des stries transversales internes indiquant une structure centrale hélicoïdale (fig. 2). Dans tous les détails, ces particules ne se distinguaient pas des particules du virus de Marburg étudiées en 1967 (isolats d’Allemagne) et en 1975 (isolat d’Afrique du Sud). Deux caractéristiques étaient plus marquées dans l’isolat du Zaïre de 1976 : les particules filamenteuses étaient plus ramifiées (fig. 1) et la continuation de l’enveloppe au-delà des extrémités de la structure interne plus rigide était plus évidente (fig. 1, flèche).

Des cellules Vero infectées par le même isolat du Zaïre ont également été examinées par microscopie électronique à coupe fine. On a trouvé des particules virales filamenteuses bourgeonnant de la membrane plasmique des cellules (fig. 3), et de nombreuses cellules contenaient des corps d’inclusion. Ces inclusions intracytoplasmiques étaient complexes et distinctes, et consistaient en une substance finement fibrillaire ou granulaire qui se condensait en structures tubulaires. Ces dernières ont été considérées comme la structure hélicoïdale interne des particules virales matures. Ces tubules ont été sectionnés au hasard, certains en coupe transversale, d’autres linéairement. Les particules virales dans ces sections étaient identiques à celles observées dans les isolats de 1967 et 1975.

SPÉCIMENS DE FOIE POST-MORTEM

Des signes d’infection ont été observés par microscopie optique dans trois échantillons de foie humain post-mortem provenant du Zaïre (reçus dans du formol). L’infection de deux d’entre eux a été confirmée par microscopie électronique. Une nécrose hépatocellulaire éosinophile focale avec une infiltration inflammatoire modeste était proéminente. De grandes inclusions cosinophiles étaient présentes dans de nombreux hépatocytes intacts, en particulier près des sites de nécrose sévère (fig. 4). Ces inclusions plutôt lisses et réfractives étaient si caractéristiques qu’elles ont une signification diagnostique. Les spécimens de nécropsie fixés au formol et inclus dans du plastique ont été examinés au microscope électronique. Bien que le tissu hépatique ait été mal conservé, on a trouvé un grand nombre de particules virales filamenteuses et de corps d’inclusion (masses de tubules) (fig. 5) qui ne se distinguaient pas de ceux présents dans les foies humains et de cobayes infectés par le virus de Marburg étudiés en 1967 et 1975.

Comparaison antigénique avec Marburg

Une différence antigénique entre cet isolat et Marburg 67 a été mise en évidence par immunofluorescence indirecte (I.F.A.). Une suspension de cellules Vero infectées a été placée en gouttes sur des lames, séchée à l’air, puis fixée à l’acétone pendant 10 minutes à température ambiante. Les lames ont été conservées à -70 °C jusqu’à ce qu’elles soient testées. Des lames d’antigène Marburg 67, préparées de la même manière, ont été utilisées pour la comparaison. Les titres réciproques obtenus avec des sérums humains convalescents prélevés au cours des épidémies de 1967, 1975 et 1976 sont indiqués dans le tableau I. À l’exception d’une faible réaction à l’antigène de Marburg à une dilution de 1/4 du sérum de convalescent zaïrois, le nouvel isolat était distinct du virus de Marburg. Les titres homologues de Marburg de 128 et 64 obtenus avec les antigènes et antisérums de 67 et 75 étaient comparables à ceux rapportés par Wulff et Conrad.

Un sérum immunisé contre le nouvel agent a été préparé en une seule injection chez le cochon d’Inde, et des tests d’immunofluorescence réciproques ont été effectués avec des réactifs similaires disponibles pour le virus de Marburg. Les titres réciproques (tableau 2) ont confirmé par la suite la distinction entre les deux virus. Bien qu’un des deux sérums de convalescence précoce provenant du Soudan ait donné une réaction positive à l’antigène du Zaïre (tableau I), des travaux supplémentaires sont nécessaires pour déterminer si les agents de la maladie hémorragique provenant des deux pays sont identiques.

Le Virus Ebola

Avec l’accord du Prof. S. R. Pattyn de l’Institut de Médecine Tropicale et de E. T. W. Bowen de l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton Down, le nom de virus Ebola est proposé pour ce nouvel agent. Ebola est une petite rivière du Zaïre qui coule vers l’ouest, au nord de Yambuku, le village d’origine du patient dont le premier isolat a été obtenu. Par respect pour les pays concernés et en raison du manque de connaissances spécifiques sur la source naturelle originale du virus, il est également suggéré de ne pas utiliser de noms de pays ou de villes spécifiques.

Ils cherchent beaucoup ou peu ?

En résumé

  • Le « virus » Ebola a été découvert pour la première fois en 1976 près de la rivière Ebola, dans ce qui est aujourd’hui la République démocratique du Congo.
  • Depuis lors, le « virus » infecterait de temps en temps des personnes, ce qui a entraîné des épidémies dans plusieurs pays africains.
  • Le « virus » se transmet d’abord à l’homme par contact direct avec le sang, les fluides corporels et les tissus d’animaux.
  • Le « virus » Ebola se transmet ensuite à d’autres personnes par contact direct avec les fluides corporels d’une personne malade ou décédée de la maladie.
  • Cependant, une personne infectée par le virus Ebola ne peut pas propager la maladie tant qu’elle n’a pas développé de symptômes.
  • Il peut être difficile de distinguer cliniquement la maladie d’Ebola d’autres maladies infectieuses telles que le paludisme, la fièvre typhoïde et la méningite.
  • De nombreux symptômes de la grossesse et de la maladie à virus Ebola sont également très similaires.
  • Les symptômes habituels sont les suivants :
  • Fièvre

    • – Fatigue
    • – Douleurs musculaires
    • – Maux de tête
    • – Maux de gorge
    • – Vomissements
    • – Diarrhée
    • – Éruption cutanée
    • – Symptômes d’altération des fonctions rénale et hépatique. Dans certains cas, saignement interne et externe (par exemple, suintement des gencives ou sang dans les selles).
    • – Les résultats de laboratoire comprennent une faible numération des globules blancs et des plaquettes et une élévation des enzymes hépatiques.

  • En 1976, le Dr Peter Piot a reçu une bouteille thermos contenant des flacons de sang avec une note expliquant que le sang avait été prélevé sur une religieuse belge travaillant au Zaïre.
  • Elle et deux cents autres personnes vivant dans une région reculée du Zaïre étaient gravement atteintes d’une maladie mystérieuse.
  • Piot et ses collègues ont trouvé un mélange gluant de glace fondue et de sang, car des deux flacons, un seul était resté intact, tandis que l’autre s’était brisé lors du voyage.
  • Le Dr Peter Piot et son équipe ont soupçonné la maladie inconnue d’être la fièvre jaune.
  • Portant uniquement de fins gants en latex, les scientifiques ont prélevé un échantillon de sang de la fiole intacte et ont effectué des tests standards sur celui-ci.
  • L’échantillon de sang a été analysé pour détecter des microbes connus, la fièvre jaune et plusieurs « virus » de fièvre hémorragique tels que Lassa, Marburg et la dengue.
  • Aucun des microbes ou « virus » potentiels n’a été trouvé dans le sang.
  • Au microscope électronique, le Dr Piot a déclaré : « Nous avons vu un ver gigantesque comme structure — gigantesque par rapport aux normes virales. »
  • Le seul autre « virus » connu qui avait une taille et une forme similaires était le « virus » de Marburg.
  • En d’autres termes, Piot et ses collègues ont trouvé exactement les mêmes particules que celles que l’on prétend être du Marburg, mais ont déclaré qu’ils n’avaient pas trouvé de Marburg dans les échantillons de sang…
  • Rétrospectivement, le Dr Piot a déclaré qu’il avait eu de la chance de ne pas être infecté, non seulement au laboratoire, mais aussi plus tard, lorsqu’il prélevait du sang sur des patients et les touchait…
  • Piot et ses collègues ont vu un « virus » en forme de lasso qui ressemblait au « virus » de Marburg — à cause d’un type similaire de fièvre hémorragique découvert neuf ans plus tôt — mais n’avaient pas la capacité de déterminer avec certitude si ce qu’ils observaient était quelque chose de nouveau.
  • Les scientifiques de Porton Down ont commencé à étudier l’échantillon, mais ont également envoyé un échantillon au CDC après avoir été sollicités par l’OMS.
  • L’équipe du CDC d’Atlanta aurait démontré que l’épidémie de Yambuku était causée par un « virus » inconnu jusqu’alors, et non par le Marburg.
  • Les équipes d’Anvers, de Porton Down et du CDC ont copublié des articles décrivant leur rôle dans la découverte du virus Ebola dans le numéro du 12 mars 1977 du Lancet.
  • Dans l’interview accordée à STAT, Piot a reconnu que le mérite de la découverte effective revient à Johnson et à l’équipe du CDC.

  • Le sérum de l’infirmière malade a été inoculé à 6 jeunes souris adultes par voie intracérébrale et intrapéritonéale, à 2 portées de souris nouveau-nées par voie intracérébrale et intrapéritonéale (NdT : injection par le péritoine) et à 10 tubes de cultures de cellules Vero (cultivées dans un milieu 199 contenant 7,5 % de sérum de veau).
  • Le sérum a été testé par fixation du complément pour la recherche d’anticorps contre le « virus de Lassa » (le résultat était négatif) et par neutralisation sur cellules Vero pour la recherche d’anticorps contre le « virus » de la fièvre jaune (des anticorps étaient présents à une dilution de 1/30).
  • Au cours des 4 premiers jours d’observation, certaines cellules du fond de la plupart des tubes se sont détachées de la surface du verre et, bien que ce phénomène ait d’abord été interprété comme un effet cytopathique partiel, il n’a pas augmenté au cours des jours suivants et a donc été considéré comme non spécifique.
  • Au 5jour, le milieu de culture tissulaire a été remplacé par un milieu tamponné au succinate/acide succinique (comme décrit par Plaisner et al.1) sans sérum.
  • Au 11jour, un effet cytopathique très frappant a été observé dans ces cultures, la plupart des cellules étant encore attachées au verre et l’effet cytopathique était presque complet au 12jour.
  • En d’autres termes, Piot et ses collègues n’obtenaient pas l’ECP qu’ils voulaient voir, alors le milieu a été changé pour un milieu connu pour produire l’ECP avec des « arbovirus » et au 12e jour, ils ont obtenu l’effet qu’ils voulaient voir.
  • L’examen au microscope électronique de coupes ultrafines de ce matériel a révélé des particules virales extracellulaires droites et transversales morphologiquement similaires au « virus » de Marburg.
  • Bien que l’ultrastructure du tissu hépatique s’était très mal conservée, des particules de « virus » similaires ont été observées.
  • Il a été conclu que l’agent responsable de l’épidémie de fièvre hémorragique en Afrique centrale était soit le « virus » de Marburg, soit un « virus » sérologiquement différent de celui-ci, mais appartenant au même groupe de « virus », soit le « rhabdovirus », soit le « torovirus ».

  • Des spécimens provenant de l’épidémie du nord du Zaïre ont été envoyés à l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton Down par le professeur S. R. Pattyn de l’Institut de médecine tropicale d’Anvers. Il s’agissait d’un sérum en phase aiguë (n° 718), de matériel de culture cellulaire et de cerveaux de souris de lait qui avaient déjà été inoculés avec le sérum.
  • Trois laboratoires engagés dans des études préliminaires sur l’agent étiologique ont rapporté l’isolation d’un « virus » qui était morphologiquement similaire à celui de Marburg.
  • « L’isolation du virus » à partir du matériel humain original a été tentée dans :

    • des préparations de culture de cellules Vero
    • des souris de lait inoculées par voie intrapéritonéale (i.p.) et intracérébrale (i.c.)
    • de jeunes cobayes (200-250g) inoculés par voie i.p.

  • Chez les cobayes inoculés, une maladie fébrile a duré 4-5 jours pendant lesquels les cobayes ne se développaient pas et avaient l’air malades.
  • 1 des 12 cobayes inoculés avec le matériel original est mort le 12jour après l’inoculation, tandis que les 11 autres cobayes ont lentement récupéré.
  • De petits morceaux de foie d’un cobaye tué 5 jours après l’inoculation ont été fixés dans du tétroxyde d’osmium à 1 % et des structures étonnamment similaires à celles observées dans les foies de cobayes et de singes infectés expérimentalement par le « virus » de Marburg ont été observées.
  • Les cerveaux de souris de lait qui sont tombées malades après avoir été inoculées avec un sérum en phase aiguë par le professeur Pattyn à Anvers, ont été réinoculés dans quatre portées de souris de lait.
  • Les souris ont commencé à mourir au 5jour et étaient toutes mortes au 9e jour, mais ce matériel de passage de souris n’avait pas encore été davantage étudié.
  • Dans des expériences de culture cellulaire impliquant des cellules Vero, un effet cytopathique partiel a été observé sous un examen microscopique à faible puissance.
  • Cet effet n’a pas progressé jusqu’à la destruction complète du feuillet cellulaire et pourrait être attribué à un effet toxique des spécimens inoculés.
  • On a cependant observé un net changement de couleur dans le milieu de trois de ces cultures et, au 6e ou 7jour après l’inoculation, elles sont devenues nettement plus acides que les cultures témoins (qui n’ont pas été définies).
  • La microscopie électronique de foies de cobayes infectés et du matériel de culture cellulaire a révélé des structures présentant une ressemblance frappante avec le « virus » de Marburg.
  • Les chercheurs ont déclaré qu’ils n’avaient aucune preuve positive pour suggérer que les « virus isolés » du nord du Zaïre et du sud du Soudan étaient sérologiquement liés à la souche du « virus » de Marburg isolée en 1967.
  • En d’autres termes, ils n’avaient aucune preuve positive pour suggérer que le « virus », qui était identique à Marburg à tous les autres égards, n’était pas non plus exactement le même « virus », car ils ont simplement supposé que leurs nouveaux « isolats » étaient différents.
  • Les chercheurs ont admis que, même si leurs preuves étaient minces, elles suggéraient que les deux épidémies étaient causées par des « virus » apparentés, ou même identiques.

  • E. T. W. Bowen (de l’Établissement de Recherche Microbiologique de Porton Down) a envoyé un aliquot d’un échantillon de sang aigu provenant d’un patient du Zaïre (n° 718, patient M. E.) au CDC d’Atlanta, pour une étude complémentaire.
  • Ce spécimen et tous les spécimens aigus suivants ont été inoculés dans des cellules Vero (singe vert africain).
  • Trois jours plus tard, un changement cytopathique distinct (arrondissement focal et réfractivité) était évident, et un aliquot du liquide surnageant a été prélevée pour une microscopie électronique à contraste négatif.
  • Au microscope électronique, on a observé un grand nombre de particules « virales » filamenteuses d’un diamètre d’environ 100 nm et d’une longueur variant de 300 nm à plus de 1500 nm.
  • Dans tous les détails, ces particules ne se distinguaient pas des particules du « virus » de Marburg étudiées en 1967 (isolats d’Allemagne) et en 1975 (isolat d’Afrique du Sud).
  • Les cellules Vero infectées par le même « isolat » du Zaïre ont également été examinées par microscopie électronique en coupe fine et les particules de « virus » dans ces coupes étaient identiques à celles observées dans les « isolats » de 1967 et 1975.
  • Bien que le tissu hépatique ait été mal conservé lors de l’examen, on a trouvé un grand nombre de particules de « virus » filamenteux et de corps d’inclusion (masses de tubules) qui ne se distinguaient pas de ceux présents dans les foies humains et de cobayes infectés par le « virus » de Marburg étudiés en 1967 et 1975.
  • Une différence antigénique entre cet isolat et le Marburg « 67 a été mise en évidence par immunofluorescence indirecte (I.F.A.).
  • À l’exception d’une faible réaction à l’antigène de Marburg à une dilution de 1/4 du sérum de convalescence du Zaïre, le nouvel isolat était distinct du « virus » de Marburg.

Lorsque l’on cherche soit à prouver soit à réfuter une affirmation positive, telle que l’existence d’un « virus » Ebola, comme c’était le cas dans ce cas particulier, il faut toujours se tourner vers les documents de base originaux et voir si les preuves scientifiques qui soutiennent l’affirmation existent réellement. En remontant aux origines du « virus » Ebola, j’ai trouvé trois articles différents rédigés par trois équipes de chercheurs différentes dans trois régions différentes du monde. Quiconque comprend les méthodes pseudo-scientifiques employées par la virologie ne sera pas surpris de constater qu’à aucun moment les articles présentés ne respectent la méthode scientifique. Cette dernière est absolument essentielle pour qu’une étude soit considérée comme scientifique. Nulle part dans les articles, le « virus » Ebola n’est correctement purifié et isolé directement à partir des fluides d’un hôte malade et donc il n’existe aucune variable indépendante que les chercheurs peuvent faire varier et manipuler afin de déterminer la cause et l’effet. Sans une variable indépendante valide de particules purifiées/isolées, il ne peut y avoir de véritables études de pathogénicité utilisant une voie d’exposition naturelle, et il ne peut donc y avoir aucune allégation de pathogénicité. Sans contrôles appropriés, il n’y a aucun moyen de déterminer quels autres cofacteurs pourraient aussi potentiellement causer l’effet recherché par l’expérimentation, ce qui rend les résultats obtenus invalides et sans signification.

Ce que font ces chercheurs pseudo-scientifiques, c’est tenter de contourner la méthode scientifique en présentant des preuves indirectes fabriquées à la place des vraies preuves. Ce sont des escrocs qui vendent des résultats contrefaits. Au lieu d’un « virus » correctement purifié et isolé, nous obtenons une soupe de culture cellulaire non purifiée mélangée à de nombreux ingrédients toxiques tels que des cellules Vero, du milieu 199 et du sérum de veau à 7,5 %. Au lieu d’observer le « virus », nous obtenons une mort cellulaire non spécifique, connue sous le nom d’effet cytopathogène, imputée à un agent pathogène invisible qui peut être le résultat de bien d’autres choses qu’un « virus », comme le changement de milieu à mi-parcours pour un milieu plus approprié à la production de l’effet cytopathique désiré. Au lieu de ne visualiser que les particules censées être le nouveau « virus », nous obtenons des images par microscopie électronique de particules filamenteuses non purifiées et non isolées, de forme et de taille très variables, qui étaient auparavant associées au « virus » de Marburg. Nous obtenons des résultats histopathologiques de laboratoire montrant les mêmes résultats que ceux obtenus lors de l’investigation du « virus » de Marburg une décennie auparavant. Nous obtenons des résultats d’anticorps indirects non spécifiques utilisés pour affirmer que le « virus » est un nouveau « virus » de la même famille que le « virus » de Marburg, même si les autres résultats indirects auraient dû conduire à la conclusion qu’ils avaient soit découvert le même « virus » soit que les résultats dans les deux cas étaient frauduleux. En d’autres termes, les chercheurs ont trouvé exactement les mêmes particules dans des images par microscopie électronique associées à des cas présentant exactement les mêmes symptômes de la maladie attribuée à Marburg (et à de nombreuses autres maladies). Pourtant, comme les résultats des anticorps ne concordaient pas, plutôt que de remettre en question la crédibilité des résultats précédents concernant Marburg, les chercheurs ont décidé que ce qu’ils avaient découvert était un nouveau « virus ». Tout pour que l’histoire continue à vivre.

Cependant, si l’on revient en arrière pour enquêter sur le « virus » de Marburg, on constaterait que les mêmes pratiques pseudo-scientifiques ont été employées : aucun « virus » n’a jamais été purifié et isolé et les mêmes particules appartenant à la rage ont été identifiées comme étant celles du Marburg. Si l’on se penche sur le « virus » de la rage, on constate que le même schéma se répète, et ainsi de suite, en remontant aussi loin que possible dans le temps. Le même cycle de tromperie persiste : les mêmes symptômes de la maladie reçoivent un nouveau nom associé à des particules similaires et/ou identiques, sur la base de résultats d’anticorps indirects et contradictoires. Ce que l’on ne trouvera jamais, c’est une preuve directe de l’existence d’un « virus » qui adhère à la méthode scientifique. Tout ce que l’on trouvera c’est une fiction pseudo-scientifique présentée comme un fait scientifique.

Traduction du document ci-dessus :

À qui revient la charge de la preuve ?

Dire que la charge de la preuve n’incombe pas à la personne qui affirme, mais à quelqu’un d’autre qui doit la réfuter.

La charge de la preuve incombe à l’auteur d’une affirmation et ce n’est à personne d’autre de la réfuter. L’incapacité, ou le manque de volonté, de réfuter une affirmation ne la rend pas valide (cependant, nous devons toujours nous baser sur les meilleures preuves disponibles).

Bertrand déclare que la théière est, en ce moment même, en orbite autour du Soleil, entre la Terre et Mars, et que, puisque personne ne peut lui donner tort, son affirmation est donc valable.

Ceci étant dit, je répondrai à tous ceux qui prétendent que nous devons d’abord nous infecter intentionnellement pour pouvoir affirmer qu’il n’existe aucune preuve scientifique de l’existence d’un quelconque « virus ». C’est absurde et complètement à l’envers. La charge de la preuve incombe à toute personne qui affirme qu’un « virus » existe et c’est à elle de fournir les preuves à l’appui de son affirmation afin de la justifier. Cela exige logiquement que les preuves scientifiques de l’existence du « virus » Ebola soient contenues dans les documents de recherche originaux. J’ai fait le travail difficile pour ces personnes et j’ai retrouvé les études originales utilisées pour prouver l’existence du « virus » Ebola. J’ai montré qu’à aucun moment, la méthode scientifique n’a été respectée et que les particules supposées être Ebola n’ont jamais été correctement purifiées et isolées, ni prouvées pathogènes de manière naturelle. Si quelqu’un n’est pas d’accord avec cette affirmation, j’ai une proposition à faire. Montrez-moi, dans les trois articles que j’ai cités plus haut, où la méthode scientifique a été appliquée et respectée dès le début. Montrez-moi où les chercheurs ont purifié et isolé le « virus » directement de l’hôte malade. Montrez-moi que les particules dans les images de microscopie électronique ne sont que le « virus » et rien d’autre. Montrez-moi que ces particules purifiées et isolées peuvent rendre un hôte approprié malade de manière naturelle et non par des injections de toxines non purifiées directement dans le cerveau. Montrez-moi où les résultats sont reproduits et répliqués à grande échelle en utilisant les contrôles appropriés comme on devrait s’y attendre dans toute tentative scientifique. Si une personne prétendant l’existence du « virus » Ebola peut me montrer où, dans ces documents, il a été scientifiquement prouvé que le « virus » Ebola existe en suivant la méthode scientifique, alors j’irai en Afrique pour m’infecter intentionnellement à mes frais. Il est vrai qu’à ce moment-là, ils auront prouvé ce qu’ils avancent, ce qui rendra mon voyage en Afrique coûteux, inutile et potentiellement dangereux pour moi. Cependant, s’ils ne peuvent pas démontrer que cette preuve est contenue dans ces trois documents, ils concéderont que la preuve scientifique de l’existence du « virus » Ebola est introuvable et j’envisagerai un voyage gratuit en première classe pour un safari en Afrique.

Y a-t-il des preneurs ?

Le « Virus » Ebola — Partie 2

Dans la première partie de cette analyse de la fraude qu’est le « virus » Ebola, j’ai examiné les trois principales publications de trois équipes de chercheurs différentes qui ont été soumises à The Lancet en 1977 comme preuve de l’existence d’un nouveau « virus » provoquant une fièvre hémorragique en 1976. Les trois équipes, dont l’une était basée au CDC d’Atlanta, se sont coordonnées avec l’OMS afin d’associer le nouveau « virus » aux symptômes non spécifiques de la maladie survenue au Zaïre. Elles ont agi de la sorte alors que toutes les informations obtenues dans le cadre de leurs investigations pointaient vers le « virus » de Marburg, lui-même basé sur l’acquisition de preuves indirectes frauduleuses en 1967.

L’OMS ayant été intimement impliquée dans la coordination de ces trois équipes et dans la détermination du « virus » Ebola comme agent causal, j’ai pensé qu’il serait amusant de parcourir leur propre récit des événements qui ont conduit à cette conclusion. En 1978, l’OMS a eu la gentillesse de publier un rapport de 23 pages qui a servi de résumé des informations recueillies lors de l’enquête sur l’épidémie de fièvre hémorragique survenue dans un hôpital du Zaïre. Comme le rapport est assez long, je vais en donner les points les plus importants. Afin de faciliter la décomposition et la mise en évidence des informations pertinentes, je procède un peu différemment cette fois-ci. Au lieu de présenter les points saillants sous la forme d’un texte continu, les sections fournies du rapport seront séparées par des commentaires et des informations supplémentaires seront insérées en cours de route. Vous trouverez toujours le résumé habituel à la fin ainsi qu’un lien permettant de télécharger le rapport complet pour que chacun puisse le lire s’il le souhaite. Ceci étant dit, allons-y et voyons ce que nous pouvons découvrir sur ce « virus » directement auprès de l’OMS :

La fièvre hémorragique au Zaïre de 1976

« Entre le 1er septembre et le 24 octobre 1976, 318 cas de fièvre hémorragique virale aiguë sont survenus dans le nord du Zaïre. L’épidémie était centrée sur la zone de Bumba de la région de l’Équateur et la plupart des cas ont été enregistrés dans un rayon de 70 km autour de Yambuku, bien que quelques patients aient consulté à Bumba, Abumombazi et dans la capitale Kinshasa, où des cas individuels secondaires et tertiaires sont apparus. Il y a eu 280 décès et seulement 38 survivants confirmés sérologiquement. »

Je tiens tout d’abord à souligner que dans la section suivante, nous verrons que le dénominateur commun observé dans la grande majorité de ces cas de fièvre hémorragique était l’injection de médicaments comme la chloroquine, un antipaludéen, dans un hôpital du Zaïre. Je discuterai de l’utilisation de la chloroquine un peu plus tard, mais notez que le patient initial a reçu cette injection, car on présumait qu’il était atteint de paludisme en raison de ses symptômes. Après l’injection, ses symptômes sont entrés en rémission clinique, mais il a de nouveau eu de la fièvre 5 jours après le traitement. Alerte spoiler (NdT : avertissement indiquant qu’un détail important du développement de l’intrigue est sur le point d’être révélé) : nous apprendrons plus tard que le patient a subi une hémorragie gastro-intestinale après avoir reçu de la chloroquine et qu’il est finalement décédé le 8 septembre 1976 :

Le cas index de cette épidémie a présenté des symptômes le 1er septembre 1976, cinq jours après avoir reçu une injection de chloroquine pour un paludisme présumé à la clinique externe du Yambuku Mission Hospital (YMH). Il a eu une rémission clinique de ses symptômes de paludisme. Dans la semaine qui a suivi, plusieurs autres personnes qui avaient reçu des injections au même hôpital ont également souffert de la fièvre hémorragique Ebola, et presque tous les cas ultérieurs avaient soit reçu des injections à l’hôpital, soit eu un contact étroit avec un autre cas. La plupart de ces cas sont survenus au cours des quatre premières semaines de l’épidémie, après quoi l’hôpital a été fermé, 11 des 17 membres du personnel étant morts de la maladie. Tous les âges et les deux sexes ont été touchés, mais les femmes de 15 à 29 ans ont eu la plus forte incidence de la maladie, un phénomène fortement lié à la fréquentation des cliniques prénatales et ambulatoires de l’hôpital où elles recevaient des injections. Le taux global d’attaque secondaire était d’environ 5 %, bien qu’il ait atteint 20 % chez les proches parents tels que le conjoint, le parent ou l’enfant, le frère ou la sœur.

Notez ci-dessus que les femmes enceintes étaient parmi celles qui présentaient le plus de symptômes de la maladie dite d’Ebola. Vous vous souvenez de cette information de l’OMS dans la première partie ?

« Il peut être difficile de distinguer cliniquement la MVE (NdT : Maladie à Virus Ebola) d’autres maladies infectieuses telles que le paludisme, la fièvre typhoïde et la méningite. De nombreux symptômes de la grossesse et de la maladie à virus Ebola sont également très similaires. »

https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/ebola-virus-disease?gclid=Cj0KCQjwj7CZBhDHARIsAPPWv3cNnRDMQ6A8_meGwLE7XzuMOX1WvF97TctCB1A3nu1AfVv0MxnTwi4aAimkEALw_wcB

Sur le schéma ci-dessous :

EBOLA : Hoquet — Difficulté à avaler. Le hoquet est un symptôme d’Ebola ?!?!

OVERLAPPING SYMPTOMS (Symptômes qui se chevauchent) : Fièvre – Saignements — Maux de tête – Douleurs articulaires et musculaires – Faiblesse et fatigue – Douleurs abdominales, douleurs dans le quadrant supérieur droit – Difficultés à respirer – Vomissements – Diarrhées.

COMPLICATED LABOR (Accouchement compliqué) : Vision floue — Convulsions.

Selon l’OMS, les symptômes de la grossesse imitent ceux d’Ebola. Curieusement, c’est en 1976 que l’incidence de la maladie a été la plus élevée chez les femmes enceintes, qui ont reçu des injections (vraisemblablement de chloroquine, mais ce n’est pas directement indiqué) dans les cliniques prénatales et ambulatoires. Quelle coïncidence !

La surveillance active a révélé que des cas sont apparus dans 55 des quelque 550 villages qui ont été examinés maison par maison. La maladie était jusqu’à présent inconnue des habitants de la région touchée. Les recherches intensives de cas dans la région du nord-est du Zaïre, entre la zone de Bumba et la frontière soudanaise, près de Nzara et de Maridi, n’ont pas permis de trouver des preuves définitives d’un lien entre une épidémie de la maladie dans ce pays et le foyer près de Bumba. Néanmoins, il a été établi que les gens peuvent faire et font le voyage entre Nzara et Bumba en quatre jours au maximum : il a donc été considéré comme tout à fait possible qu’une personne infectée ait voyagé du Soudan à Yambuku et ait transféré le virus à une aiguille de l’hôpital alors qu’elle recevait une injection à la clinique externe.

Dans ce paragraphe suivant, l’OMS souligne que les symptômes d’Ebola ne sont pas spécifiques. Elle a tenté d’ajouter d’autres affections sous la marque Ebola, telles que l’hépatite, la pancréatite et la coagulation intravasculaire disséminée (un trouble de la coagulation sanguine entraînant des saignements massifs associés à une inflammation, une infection ou un cancer), mais les résultats de laboratoire n’étaient pas concluants :

La période d’incubation et la durée de la maladie clinique étaient en moyenne d’une semaine. Après 3 à 4 jours de symptômes et de signes non spécifiques, les patients ont généralement souffert d’un mal de gorge de plus en plus sévère, ont développé une éruption maculopapuleuse (NdT :type d’éruption cutanée caractérisé par une zone plate et rouge sur la peau, couverte de petites bosses confluentes), ont eu des douleurs abdominales rebelles et ont commencé à saigner de plusieurs endroits, principalement du tractus gastro-intestinal. Bien que les analyses de laboratoire aient été limitées et non concluantes, on a conclu que la pathogenèse de la maladie comprenait une hépatite non ictérique et peut-être une pancréatite aiguë ainsi qu’une coagulation intravasculaire disséminée.

Comme je l’ai montré dans la première partie, les particules que l’on prétend être le « virus » Ebola ont été reconnues comme étant morphologiquement identiques à celles associées au « virus » Marburg. Pourtant, l’OMS et leurs homologues du CDC ont déclaré que ces « virus » étaient immunologiquement différents sur la base de résultats d’anticorps indirects non spécifiques (antibody results.). Il est intéressant de noter que le « virus » n’a été « isolé » que dans 8 des 10 cultures cellulaires (cell cultures) réalisées et que les particules n’ont été trouvées que dans les échantillons de foie de trois cas :

Ce syndrome était causé par un virus morphologiquement similaire au virus de Marburg, mais immunologiquement distinct. Il a été nommé virus Ebola. L’agent a été isolé à partir du sang de 8 des 10 cas suspects en utilisant des cultures de cellules Vero. Les titrages d’échantillons en série obtenus chez un patient ont révélé une virémie persistante de 106,5 à 104,5 unités infectieuses du troisième jour de la maladie jusqu’à la mort au huitième jour. Des particules de virus Ebola ont été trouvées dans des échantillons de foie fixés au formol provenant de trois cas. Les survivants de l’infection présentaient des anticorps à fluorescence indirecte contre le virus Ebola à des titres de 1:64-1:256 dans les trois semaines suivant le début de la maladie et ces titres sériques ont persisté avec une légère diminution pendant une période de 4 mois.

Au total, 201 unités (200-300 ml chacune) de plasma contenant des anticorps du virus Ebola à des titres d’au moins 1:64 ont été obtenues et congelées. Deux de ces unités ont été utilisées pour traiter un employé de laboratoire infecté par le virus Ebola. Cette personne s’est rétablie, ce qui suggère que les anticorps ont pu être utiles sur le plan thérapeutique.

Notez que dans ce paragraphe suivant, l’OMS admet que la transmission du « virus » s’est arrêtée lors de l’arrêt des injections à l’hôpital.

Comme c’est étrange.

La transmission du virus a été interrompue par l’arrêt des injections et par l’isolement des patients dans leurs villages. L’utilisation de vêtements de protection et de respirateurs, l’isolement strict des patients et l’élimination soigneuse des excréments et des fomites (NdT : objets susceptibles d’être « contaminés » tels que les habits,…) potentiellement contaminés permettront presque certainement de prévenir de futures épidémies majeures. Le virus est probablement rarement transmis par des aérosols infectieux, bien que l’infection par de grosses gouttelettes reste une possibilité.

Nous apprenons également que des anticorps anti-Ebola ont été trouvés chez cinq personnes qui n’ont jamais été malades et n’ont jamais été en contact avec des personnes infectées. Ce que cela signifie en fin de compte, c’est que l’OMS a stratégiquement préparé le terrain afin d’avoir une excuse toute prête pour les cas asymptomatiques d’Ebola lorsque les anticorps dits « spécifiques » sont trouvés chez des personnes chez qui ils ne sont pas censés être trouvés :

Seules des enquêtes écologiques limitées ont été menées, car l’épidémiologie de l’épidémie suggérait fortement que le virus avait été importé dans la zone de Bumba. Le virus Ebola n’a pas été retrouvé dans des échantillons représentatifs de punaises de lit ou de rongeurs (Rattus rattus et Mastomys spp.) ayant un contact plus ou moins étroit avec l’homme. Des anticorps au virus Ebola ont cependant été trouvés chez cinq personnes qui n’étaient pas malades et n’avaient pas eu de contact avec les villages « infectés » ou l’hôpital de Yambuku pendant l’épidémie. Si ces résultats peuvent être confirmés par une méthode de test indépendante, ils suggèrent que le virus est en fait endémique dans la région et devraient conduire à des efforts supplémentaires pour découvrir un réservoir viral au Zaïre. »

Si l’on en croit les conclusions telles que présentées par l’OMS, le « virus » Ebola provient d’une personne infectée voyageant du Soudan au Zaïre. Cette personne non identifiée a été soignée à l’hôpital de Yambuku au moyen d’une injection parentérale. La même aiguille n’a pas été stérilisée et a ensuite été réutilisée sur un autre patient sans méfiance, ce qui a entraîné la propagation de la maladie de patient à patient par l’utilisation continue des mêmes aiguilles non stérilisées.

Dans le paragraphe qui suit, l’OMS plante la graine pour le récit qui va suivre. Il est affirmé que seulement 5 seringues et aiguilles ont été utilisées pour chaque patient tout au long de la journée. Si l’OMS affirme que les aiguilles n’ont pas été stérilisées, elle précise qu’elles ont été rincées dans des casseroles d’eau chaude et/ou bouillies.

Cinq seringues et aiguilles étaient remises chaque matin au personnel infirmier pour être utilisées dans le service de consultations externes, la clinique prénatale et les unités pour patients. Ces seringues et aiguilles n’étaient apparemment pas stérilisées entre leurs utilisations sur différents patients, mais rincées dans une casserole d’eau chaude. À la fin de la journée, elles étaient parfois bouillies. Le bloc opératoire disposait de ses propres instruments, seringues et aiguilles, qui étaient conservés séparément et autoclavés après usage.

Contrairement à ce qu’affirme l’OMS, l’utilisation de la chaleur est une forme courante de stérilisation dans les hôpitaux :

« La stérilisation est le processus qui consiste à tuer les micro-organismes et bactéries nocives présents sur un objet en les soumettant à un environnement qu’ils ne peuvent pas supporter.

« La stérilisation peut être effectuée par deux voies principales : l’application de chaleur et les moyens chimiques.

La chaleur est la forme la plus courante de stérilisation et est utilisée dans la plupart des hôpitaux et des cabinets médicaux via un autoclave. »

https://study.com/academy/lesson/how-to-sterilize-a-needle.html

L’OMS indique également que le service de chirurgie a utilisé des seringues et des aiguilles qui sont autoclavées après usage. Nous sommes donc censés croire que l’hôpital du Zaïre avait apparemment des protocoles différents pour la stérilisation des seringues et des aiguilles selon qu’il s’agissait de patients externes, de patients hospitalisés ou du service prénatal, par rapport au service de chirurgie. Bien que possible, est-ce probable ? Est-ce même important ? Comme nous l’avons appris précédemment, l’OMS a déclaré que la transmission « virale » s’est arrêtée lorsque les injections ont cessé à l’hôpital. Elle n’a pas parlé d’injections avec des aiguilles non stérilisées. Ce que l’OMS veut nous faire croire, c’est que la transmission du « virus » s’est arrêtée parce que le « virus » n’a pas été transféré par des injections avec des aiguilles non stérilisées entre les patients. Cependant, comme c’est toujours le cas, il existe un scénario beaucoup plus plausible et probable.

Le patient index a reçu une injection de chloroquine après avoir été diagnostiqué avec le paludisme. En fait, son hémorragie gastro-intestinale n’est apparue qu’après l’utilisation de la chloroquine. Cet antipaludéen est bien connu pour ses effets secondaires toxiques et graves. Pour une liste complète des effets secondaires signalés, vous pouvez cliquer ici, mais je souhaite mettre en évidence quelques-uns des plus importants :

  • douleurs au dos, aux jambes ou à l’estomac
  • selles noires et goudronneuses (NdT : des selles noires ou goudronneuses avec une odeur nauséabonde sont le signe d’un problème dans le tube digestif supérieur. Elles indiquent le plus souvent un saignement dans l’estomac, l’intestin grêle ou le côté droit du côlon.)
  • sang dans l’urine ou les selles
  • fièvre
  • éruption cutanée, urticaire ou démangeaisons
  • mal de gorge
  • saignement ou ecchymose inhabituels,
  • douleur dans la partie supérieure droite de l’abdomen ou de l’estomac,
  • vomissements

Relisez maintenant ce paragraphe du rapport de l’OMS :

« Après 3 à 4 jours de symptômes et de signes non spécifiques, les patients ont généralement souffert d’un mal de gorge progressivement sévère, ont développé une éruption maculopapulaire, ont eu des douleurs abdominales intraitables et ont commencé à saigner de plusieurs sites, principalement du tractus gastro-intestinal. »

On dirait que les symptômes de l’Ebola sévère correspondent parfaitement aux effets secondaires de l’injection de chloroquine. Allez savoir.

Il est intéressant de noter que la chloroquine a été étudiée comme médicament pour traiter les patients atteints d’Ebola, néanmoins sur des modèles animaux elle a entraîné une aggravation de la maladie et la mort :

« Cependant, alors que la chloroquine inhibait la réplication du virus Ebola in vitro, elle a provoqué une aggravation rapide de l’infection par Ebola chez les cobayes et ne faisait aucune différence sur la mortalité chez les souris ou les hamsters. »

« Lorsque la même dose (90 mg/kg) de chloroquine a été administrée à des hamsters infectés par le virus MA EBOV, l’étude a dû être interrompue le deuxième jour après le traitement. Presque tous les animaux traités, aussi bien dans le groupe MA EBOV que dans le groupe simulé, sont morts de toxicité aiguë après l’administration de chloroquine par voie intrapéritonéale, généralement dans les 30 minutes suivant le traitement (Figure 2, panneau B). »

https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/21/6/15-0176_article

Nous devons donc nous demander ce qui est le plus logique. Était-ce les aiguilles « non stérilisées » qui ont propagé un nouveau « virus » ou les effets secondaires des injections de médicaments toxiques qui ont entraîné les symptômes que l’on prétend être ceux d’Ebola ?

Injection mortelle

Le paragraphe suivant détaille ce qu’est un cas probable, possible et avéré d’Ebola. Selon l’OMS :

– Probable : vivre dans une zone endémique, avoir reçu une injection ou côtoyé un cas probable ou avéré et être décédé après avoir ressenti 2 symptômes ou plus.

– Prouvé : le « virus » a été « isolé » ou mis en évidence par microscopie électronique, ou les titres d’anticorps ont été produits dans les trois semaines suivant les symptômes.

– Possible : une personne présentant des maux de tête ou de la fièvre avec ou sans autres symptômes et ayant été en contact avec un cas probable ou avéré.

Il est intéressant de noter que l’OMS note que les cas possibles ont été traités avec des antipaludéens, des antibiotiques et des antipyrétiques afin d’exclure d’autres maladies communes à la région. En d’autres termes, s’ils n’étaient pas un cas probable/prouvé avant le traitement, ils l’étaient très probablement après :

« Un cas probable de fièvre hémorragique Ebola était une personne vivant dans la zone épidémique qui est décédée après un ou plusieurs jours avec deux ou plusieurs des symptômes et signes suivants : maux de tête, fièvre, douleurs abdominales, nausées et/ou vomissements, et saignements. Le patient doit avoir, au cours des trois semaines précédentes, reçu une injection ou été en contact avec un cas probable ou avéré, la maladie n’ayant pas été diagnostiquée autrement pour des raisons cliniques. Un cas avéré est une personne chez qui le virus Ebola a été isolé ou mis en évidence par microscopie électronique ou qui présentait un titre d’anticorps à fluorescence indirecte (IFA) d’au moins 1:64 contre le virus Ebola dans les trois semaines suivant l’apparition des symptômes. On a considéré qu’une infection par le virus Ebola était survenue chez des personnes qui présentaient un titre d’anticorps IFA similaire, mais qui n’avaient pas été malades entre le 30 août et le 15 novembre 1976.

Un cas possible était une personne présentant des maux de tête et/ou de la fièvre depuis au moins 24 heures, avec ou sans autres signes et symptômes, et ayant été en contact avec un cas probable ou avéré au cours des trois semaines précédentes. Ces patients ont été traités avec des antipaludéens, des antibiotiques et des antipyrétiques pour exclure d’autres maladies communes à la région. Les personnes signalant de tels symptômes ont eu un prélèvement sanguin rétrospectivement et leurs sérums ont été testés pour la recherche d’anticorps au virus Ebola. De même, tout cas de fièvre avec hémorragie signalé au ministère de la Santé dans n’importe quelle partie du Zaïre, quelle que soit l’issue clinique, était considéré comme un cas possible, et tous les efforts étaient faits pour établir un diagnostic par des moyens virologiques ou histopathologiques. »

Ce qui est intéressant dans le paragraphe qui suit, c’est la façon dont les équipes de surveillance ont entrepris de trouver des cas de la nouvelle maladie et comment elles ont apparemment éduqué les villageois au sujet d’une maladie qu’ils étaient censés encore essayer d’étudier et de comprendre eux-mêmes. Les équipes auraient été formées au diagnostic différentiel entre Ebola et d’autres maladies :

« Les objectifs des équipes de surveillance étaient de trouver les cas passés et actifs de fièvre hémorragique Ebola, de détecter les éventuels cas convalescents, d’éduquer le public sur la nature de la maladie et les moyens de la prévenir, et d’établir de manière incontestable la fin de l’épidémie. Dix équipes spéciales de surveillance active ont été recrutées et formées. Chacune était composée de quatre personnes : un chef d’équipe (médecin ou infirmier), deux infirmiers et un chauffeur. Les thèmes abordés lors de la formation étaient le diagnostic différentiel de la fièvre hémorragique Ebola, son épidémiologie (y compris les modes de transmission possibles), les moyens de protection du personnel, les méthodes de recensement des familles et d’enregistrement des cas probables et possibles. Les équipes ont reçu des formulaires standard, un calendrier écrit et des cartes détaillées montrant les villages qu’elles devaient couvrir pendant une période de deux semaines. Chaque équipe s’est vu attribuer un véhicule à quatre roues motrices, dont certains étaient équipés de radios, et a reçu de la nourriture, de l’eau, des blouses, des casquettes, des gants, des bottes, des respirateurs et du matériel pour prélever des échantillons de sang. La chloroquine, la tétracycline, l’aspirine et un médicament contre les parasites intestinaux étaient tous fournis sous forme de comprimés. Un médecin supervisait cinq équipes par de fréquentes visites sur le terrain et des examens administratifs. »

Selon le dictionnaire médical, le diagnostic différentiel est défini comme suit :

1. Une liste de maladies qui peuvent causer un signe clinique ou un symptôme particulier.

2. L’établissement d’un diagnostic par la comparaison des similitudes et des différences entre divers signes cliniques.

https://medical-dictionary.thefreedictionary.com/differential+diagnosis

Traduction du document : Le diagnostic différentiel d’une maladie fébrile aiguë, sévère, à courte incubation, en provenance d’Afrique subsaharienne, comprend :

Paludisme, autres entérites bactériennes, leptospirose, infections à rickettsies, peste, hépatite virale, dengue, Chikungunya, fièvre jaune, fièvre de la vallée du Rift, fièvre de Lassa, fièvre hémorragique de Marburg, grippe sévère, trypanosomiase africaine, pneumonie bactérienne, méningococcie (NdT : infection du sang), EVD (maladie à virus Ebola).

« Beaucoup de ces maladies se présentent de manière non spécifique, souvent avec de la fièvre et des malaises. Dans les cas avancés, l’hémorragie est fréquente, mais elle ne peut être présente que dans environ 50 % des cas d’EVD. Il y a eu au moins 20 cas suspects d’EVD aux États-Unis ; cependant, seul un cinquième de ces cas répondait aux critères de dépistage. Néanmoins, ces cas suspects drainent des ressources limitées en matière de soins de santé en raison de la crainte accrue de l’EVD. Certains des patients ont finalement souffert de paludisme et de grippe ».

https://westjem.com/perspective/ebola-virus-disease-essential-public-health-principles-clinicians.html

Pour diagnostiquer une maladie, il faut qu’il y ait des différences dans les signes et symptômes cliniques. Cela pose un sacré problème, car les symptômes d’Ebola ressemblent à ceux de nombreuses autres maladies plus courantes, comme la grippe, le paludisme, la fièvre typhoïde, la méningite, la fièvre jaune et même la grossesse. Il n’y a pas de différences évidentes dans la symptomatologie, c’est pourquoi le CDC (CDC) et l’OMS (WHO) déclarent tous deux que le diagnostic basé sur les seuls symptômes est difficile (c’est-à-dire impossible) et nécessite des méthodes indirectes de laboratoire pour confirmer l’infection. Les CDC affirment que le diagnostic d’Ebola nécessite l’utilisation de la PCR (requires use of PCR in order to “confirm” a case) pour « confirmer » un cas, ce qui n’était pas à la portée des chercheurs en 1976, la PCR n’ayant été inventée qu’en 1983. Dans le document de l’OMS d’août 2014 intitulé Ebola and Marburg virus disease epidemics : preparedness, alert, control, and evaluation (épidémies des maladies à virus Ebola et Marburg : préparation, alerte, contrôle et évaluation), il est indiqué que les cas doivent être confirmés en laboratoire, en rappelant que cela se fait soit par le biais de la PCR, soit par des tests d’anticorps IgM non spécifiques :

« CAS CONFIRMÉS EN LABORATOIRE :

Tout cas suspect ou probable dont le résultat de laboratoire est positif. Les cas confirmés en laboratoire doivent tester positif pour l’antigène du virus, soit par la détection de l’ARN du virus par la réaction en chaîne de la transcriptase inverse (RT-PCR), soit par la détection d’anticorps IgM dirigés contre le virus de Marburg ou d’Ebola. »

Il est absolument impossible que l’une de ces équipes ait pu établir un diagnostic différentiel sur la base des seuls symptômes cliniques. En fait, les chercheurs de 1976 avaient 15 cas possibles de fièvre hémorragique qui imitaient Ebola :

« Quinze cas possibles de fièvre hémorragique survenus en dehors de la zone épidémique principale ont été investigués à partir de Kinshasa. La fièvre hémorragique Ebola a été exclue dans chaque cas pour des raisons cliniques, virologiques ou pathologiques. Les diagnostics finaux comprenaient la fièvre typhoïde, l’hépatite virale, l’amibiase, l’œdème pulmonaire aigu et l’intoxication au monoxyde de carbone. »

Ils ont finalement décidé que ces 15 cas de fièvre hémorragique n’étaient pas de véritables cas d’Ebola, car les résultats des méthodes indirectes précédemment établies ont conduit à des diagnostics tels que la fièvre typhoïde, l’hépatite « virale », l’amibiase, l’œdème pulmonaire aigu et l’empoisonnement au monoxyde de carbone. La seule méthode permettant de « diagnostiquer » un cas d’Ebola était soit l’élimination basée sur ces méthodes indirectes précédemment établies pour d’autres maladies associées aux mêmes symptômes, soit les résultats d’anticorps indirects non spécifiques. Il s’agissait de la méthode circulaire permettant de prétendre qu’une personne présentant un ensemble de symptômes est un malade d’Ebola dans un cas, tandis qu’une autre personne présentant les mêmes symptômes est un malade du paludisme dans l’autre (NdT : astuce habituelle utilisée par les autorités sanitaires. Un malade vacciné a forcément une autre pathologie que celle contre laquelle il a été vacciné tandis que le non-vacciné, qui présente les mêmes symptômes, est étiqueté de la maladie). Ils aiment ignorer le fait que, pour que ces tests soient précis, il faut non seulement purifier et isoler le « virus » en question afin de calibrer et de valider les tests, mais aussi connaître la prévalence de la maladie. La prévalence de la maladie ne peut être déterminée que par le diagnostic clinique, en différenciant les symptômes entre ces maladies, ce qui est une impossibilité avouée, et les résultats des cas de 1976 à aujourd’hui sont donc totalement dénués de sens.

Origine et évolution de l’épidémie

Comme je l’ai déjà dit, nous apprenons ici que le premier patient atteint d’Ebola a été diagnostiqué comme souffrant de malaria, qu’il a reçu une injection de chloroquine et que ses symptômes se sont atténués pendant quelques jours avant de réapparaître plus graves qu’auparavant. Le patient est finalement décédé d’une hémorragie gastro-intestinale quelques jours plus tard :

« Le premier cas connu, un homme de 44 ans, instructeur à l’école de la mission, s’est présenté de lui-même à la clinique externe de l’hôpital de la mission de Yambuku (YMH) le 26 août 1976 avec une maladie fébrile que l’on pensait être le paludisme. Cet homme avait parcouru en voiture la zone de Mobaye-Bongo, dans le nord de la région de l’Équateur, du 10 au 22 août, avec 6 autres travailleurs de la mission. Le groupe a visité certaines des plus grandes villes (Abumombazi, Yakoma, Katokoli, Wapinda) le long de la route de Yambuku à Badolit, mais n’est jamais arrivé à ce village, car un pont avait été emporté par les eaux à quelques kilomètres à l’est de la ville. Le 22 août, de la viande d’antilope et de singe fraîche et fumée a été achetée sur la route à environ 50 km au nord de Yambuku. Le patient et sa famille ont mangé de l’antilope en ragoût à son retour, mais pas la viande de singe. Il a reçu de la chloroquine par injection parentérale le 26 août. Sa fièvre a rapidement disparu et il est resté sans fièvre jusqu’au 1er septembre, date à laquelle il est de nouveau monté à 39,2 °C. D’autres symptômes et signes ont suivi et il a été admis à l’YMH le 5 septembre pour une hémorragie gastro-intestinale. Il est décédé le 8 septembre. »

On note également que 9 autres cas de fièvre hémorragique sont survenus au cours de la première semaine et qu’ils avaient tous été traités pour d’autres maladies à l’hôpital. Aucun des diagnostics initiaux de ces 9 cas n’a été enregistré.

Au moins 9 autres cas sont survenus au cours de la première semaine de septembre, tous parmi des personnes qui avaient reçu un traitement pour d’autres maladies à la clinique externe de l’hôpital YMH. Les noms des personnes traitées à la clinique externe et les diagnostics spécifiques n’ont pas été enregistrés. Il a donc été impossible de déterminer si des personnes fiévreuses s’étaient rendues à YMH fin août. Il est toutefois intéressant de noter qu’un homme d’environ 30 ans a été admis dans le service médical le 28 août pour « dysenterie et épistaxis », un diagnostic qui n’avait pas été mentionné au cours des huit mois précédents. Cet homme, répertorié comme résidant à Yandongi, le village chef-lieu de la collectivité situé à environ 7 km de Yambuku, a quitté l’hôpital deux jours plus tard. Il s’est avéré être une personne totalement inconnue des habitants et des autorités de Yandongi.

Toutefois, il a été indiqué que l’injection parentérale était le principal mode d’administration de presque tous les médicaments :

Les histoires de cas ont rapidement suggéré que YMH était une source majeure de dissémination de la fièvre hémorragique Ebola. On a appris que l’injection parentérale était le principal mode d’administration de presque tous les médicaments. »

Pour ceux qui ne le savent pas, les injections parentérales sont administrées à travers la peau, généralement de l’une des cinq manières suivantes : sous-cutanée (dans la graisse), intrapéritonéale (dans l’estomac), intraveineuse (dans les veines), intradermique (sous la peau) et intramusculaire (dans le muscle). Ce processus contourne la peau et les muqueuses, ce qui entraîne certains inconvénients notables pour ce mode de traitement, notamment :

  1. L’administration de médicaments par ces voies est irréversible et présente plus de risques que les autres voies.
  2. Il s’agit d’une voie invasive d’administration de médicaments et, par conséquent, elle peut provoquer de la peur, de la douleur, des lésions tissulaires et/ou des infections.
  3. Les injections ont des limites pour l’administration de produits protéiques, en particulier ceux qui nécessitent des niveaux soutenus.
  4. Elle est généralement plus risquée.
  5. La préparation à injecter doit être stérile.
  6. Le médicament administré par voie parentérale, à l’exception de la voie intra-artérielle, peut encore être éliminé par un métabolisme de premier passage dans le foie avant d’être distribué dans le reste de l’organisme.
  7. Une aide est toujours nécessaire pour administrer une forme de dosage parentérale (NdT : le terme « parentéral » décrit toute administration de médicament autre que par voie orale).

https://www.pharmapproach.com/parenteral-route-of-drug-administration-advantages-and-disadvantages/

Cela confirme que les interventions médicales utilisant des injections risquées avec des effets secondaires toxiques connus étaient la source la plus probable de la maladie, y compris des symptômes tels que des saignements gastro-intestinaux. Bien sûr, aux yeux de l’OMS, il n’est pas possible que les injections de médicaments toxiques soient capables de produire lesdits symptômes et qu’elles soient la cause probable de la maladie, car il doit s’agir d’un nouveau « virus ». Cependant, comment ils ont pu conclure cela après aveux ci-dessous me dépasse :

« Tous les âges et les deux sexes ont été touchés (tableau 3), mais les femmes ont légèrement prédominé. Les taux d’attaque par âge/sexe, en utilisant la collectivité de Yandongi comme dénominateur de la population, ont montré que les femmes adultes avaient le taux d’attaque le plus élevé. Une grande partie de cet excès de maladie était associée à la réception d’injections parentérales à l’YMH ou dans l’une de ses cliniques. La distribution de la maladie par groupe d’âge et par type de transmission était essentiellement la même pour les deux sexes, sauf pour la maladie associée à l’injection chez les personnes âgées de 15 à 29 ans. Les femmes représentaient 22 des 24 cas de ce type dans l’étude menée dans 21 villages.

Le seul facteur de risque commun par rapport aux témoins appariés de la famille et du village pour 85 des 288 cas où le mode de transmission a été déterminé était la réception d’une ou plusieurs injections à l’YMH. Les injections reçues en dehors de l’YMH étaient très inhabituelles. D’autres facteurs tels qu’un cas-contact antérieur, une exposition à de la nourriture, à l’eau, aux bâtiments de l’hôpital, aux animaux domestiques et sauvages, ou un voyage dans les trois mois précédant l’apparition de la maladie, n’ont pas été associés à ce type de transmission. En outre, 149 autres personnes ont contracté la maladie après avoir été en contact avec des patients, généralement dans leur village d’origine, et 43 cas avaient des antécédents de contact avec des patients et d’injection dans les trois semaines précédant le début de la maladie. Dix-sept personnes qui vivaient en dehors de Yambuku ont eu des contacts à YMH et ont pu y recevoir des injections sans le signaler à leur famille.

La plupart des cas liés à l’injection sont survenus au cours des 4 premières semaines de l’épidémie (Fig. 4). En effet, il semble probable que la fermeture de l’YMH ait été l’événement le plus important dans l’éventuelle fin de l’épidémie.

Plusieurs paramètres ont été comparés pour les personnes ayant respectivement contracté l’infection par contact et par injection. Bien qu’aucune différence statistiquement significative n’ait été constatée en termes de durée des symptômes et des signes de la maladie (tableau 4), aucune personne dont le contact s’est fait exclusivement par injection parentérale n’a survécu à la maladie. »

Selon l’OMS, l’excès de maladie observé était lié aux injections. La maladie chez les femmes de 15 à 29 ans était plus élevée chez celles qui avaient reçu des injections pendant la grossesse. On a appelé ces cas « maladies associées aux injections ». Le seul dénominateur commun à tous les cas était la réception d’une ou plusieurs injections de médicaments capables de produire les symptômes associés à la maladie. Il n’y a eu aucun survivant parmi ceux qui ont reçu les injections et l’épidémie a pris fin après l’arrêt de ces traitements. Même après avoir résumé ces événements, l’injection invasive et les médicaments toxiques n’étaient apparemment pas une préoccupation pour l’OMS. Comme c’est toujours le cas, toutes les autres causes potentielles beaucoup plus logiques ont été écartées au profit de l’ennemi invisible illogique.

« Cinq générations consécutives de transmission de la fièvre hémorragique Ebola ont été documentées dans un cas. Aucun cas probable sporadique, apparemment spontané, n’a été enregistré. Lorsque la “famille” était définie comme l’ensemble des personnes vivant dans des logements contigus et partageant des cuisines communes, les taux d’attaque secondaire n’ont jamais dépassé 8 % (tableau 6). »

« En décembre 1976 et janvier 1977, des sérums ont été sollicités auprès du plus grand nombre possible de personnes ; 236 au total ont été obtenus. Trois personnes, dont 2 appartenant à des ménages cliniquement non infectés, qui n’avaient pas présenté de symptômes pendant ou depuis l’épidémie, ont présenté des titres IFA du virus Ebola d’au moins 1:64. Toutes les 3 avaient été en contact avec des cas mortels. » (NdT : IFA pour Indirect Immunofluorescence Assay. Il s’agit d’un test pour déterminer la présence d’anticorps)

Études sérologiques et écologiques

Le test porte la mention « Virus Ebola », il doit donc être spécifique.

Dans les quelques points marquants qui suivent, nous constatons que les mesures d’anticorps, dites spécifiques et utilisées pour le diagnostic, ne le sont pas tant que cela et étaient sujettes à caution. L’OMS a même déclaré qu’elle attendait le développement d’une méthode spécifique au type pour l’interprétation finale des résultats des anticorps. Il est également démontré que des réactions positives aux anticorps ont été trouvées chez des personnes en bonne santé qui n’avaient pas été malades récemment, n’avaient pas eu de contact avec des cas probables ou avérés et n’avaient pas d’antécédents de visite à l’hôpital. En d’autres termes, l’OMS a prétendu avoir trouvé des cas asymptomatiques d’Ebola en utilisant des tests d’anticorps dont elle admet qu’ils ont donné des résultats douteux.

« Des échantillons de sérum ont été obtenus en novembre et décembre 1976 et en janvier 1977 auprès de 984 personnes résidant dans 48 des 55 villes et villages ayant signalé des cas probables de la maladie. Ces personnes ont été classées comme malades cliniquement, non malades, mais en contact avec un cas, ou ni malades ni en contact. Plus de la moitié des sujets résidaient dans 8 villages, chacun ayant plus de 5 cas probables. Ces personnes ont été classées comme étant malades d’un point de vue clinique, non malades, mais ayant été en contact avec un cas ou ni malades ni cas contact. Plus de la moitié des sujets résidaient dans 8 villages, chacun de ces villages ayant au moins 5 cas probables. Des prélèvements de sang ont été effectués sur ces personnes lors de rapides sorties d’enquête, en prenant la famille entière comme unité d’étude. La composition de ces groupes par âge, sexe et caractéristique épidémiologique est donnée dans le tableau 7 ainsi que le nombre et la catégorie de personnes ayant des titres IFA du virus Ebola d’au moins 1:64. Les données de Yamolembia I sont incluses. Trente-huit positifs ont été trouvés. Vingt (16,5 %) des 121 personnes malades ont été confirmées comme ayant eu la fièvre hémorragique Ebola, et 10 (2,5 %) des 404 personnes en contact avec les cas avaient également de tels anticorps. Il y avait 4 personnes positives aux anticorps qui ont admis être ni malades ni avoir été en contact avec des malades. Ces personnes ont été interrogées une deuxième fois et ont subi un nouveau prélèvement sanguin, et il a été confirmé qu’elles avaient des anticorps Ebola IFA. Des anticorps ont également été trouvés dans les sérums de 4 personnes dont l’histoire n’était pas claire et qui n’ont pas pu être retrouvées une seconde fois pour une étude de confirmation.

Dans un effort supplémentaire pour documenter une infection asymptomatique simultanée ou une possible infection passée par le virus Ebola, on a prélevé du sang chez 442 personnes dans 4 villages voisins qui n’avaient pas connu de cas mortels de la maladie. Les sérums de 5 personnes âgées de 8 à 48 ans contenaient des anticorps IFA à des titres de 1:64. Aucune de ces personnes n’était malade, n’avait eu de contact avec des personnes dans d’autres villages ou n’avait visité l’hôpital YMH pendant l’épidémie.

Les sérums de 58 personnes appartenant à diverses catégories d’exposition présentaient des titres IFA anti-Ebola de 1:4 à 1 h 32. La spécificité de ces réactions a été mise en doute lorsqu’on a constaté que les échantillons de 4 des 200 Indiens San Blas au Panama présentaient également de tels « anticorps » pour le virus Ebola, mais pas pour le virus Marburg. L’interprétation finale de ces données attend la mise au point d’une autre méthode de mesure des anticorps spécifiques de type contre ces agents. »

L’excuse de l’infection asymptomatique est encore utilisée aujourd’hui pour dissimuler la découverte de résultats d’anticorps dits « spécifiques » chez des personnes en bonne santé. Extrait d’une étude du Lancet de 2014 :

« Les preuves suggèrent que de nombreuses infections à Ebola sont asymptomatiques, un facteur négligé par les résumés et les projections récentes de l’épidémie. En particulier, les résultats d’une enquête sérologique menée après l’épidémie d’Ebola ont montré que 71 % des personnes séropositives n’avaient pas la maladie ; une autre étude a signalé que 46 % des contacts étroits asymptomatiques de patients atteints d’Ebola étaient séropositifs. »

https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(14)61839-0/fulltext

Patients hospitalisés

Nous constatons ici que, dans 3 cas d’EBV à l’hôpital de Ngaliema, les patients ont tous présenté des symptômes similaires dans les premiers temps, notamment de la fièvre, des maux de tête, de l’anorexie, des vomissements, une éruption cutanée, des hémorragies et un mal de gorge sévère. Cependant, après quelques jours, les symptômes ont varié entre les trois patients. Cela peut s’expliquer par le fait que chaque patient a été soumis à des cocktails de traitements toxiques différents, décrits dans le paragraphe ci-dessous. Sans surprise, les trois patients ont succombé à leurs affections après le traitement. Il a été déterminé qu’ils ont tous souffert d’un choc hypovolémique, c’est-à-dire d’une perte de sang soudaine et importante qui empêche le cœur de pomper suffisamment de sang dans tout le corps, ce qui entraîne finalement la défaillance de plusieurs organes. L’une des causes possibles de ce choc est une lésion de l’estomac. Qu’est-ce qui pourrait conduire à un tel résultat chez ces patients ? Peut-être un traumatisme des organes gastro-intestinaux par le biais d’injections multiples de cocktails de médicaments toxiques connus pour endommager l’estomac ?

« Les premiers symptômes et signes chez les 3 patients de l’hôpital de Ngaliema comprenaient de la fièvre, des céphalées, de l’anorexie et des vomissements. Une éruption morbilliforme (NdT : une éruption cutanée qui ressemble à la rougeole) est apparue sur la partie antérieure du tronc chez chacun de ces patients au cinquième ou sixième jour, s’est étendue au dos et aux membres, puis s’est estompée dans les 48 heures. Les hémorragies et les maux de gorge sévères ont commencé entre le quatrième et le septième jour de la maladie.

Un patient a présenté des pétéchies buccales et conjonctivales à partir du quatrième jour, une hématémèse et un melæna à partir du quatrième jour, un saignement gingival le septième jour et un saignement des sites d’injection le huitième jour. Un autre patient n’a présenté que du melæna, à partir du sixième jour de la maladie. Le troisième patient a eu un seul épisode d’hématémèse le 7jour, suivi d’un melæna et d’ecchymoses le jour suivant. Une glossite et une pharyngite progressives débutant le troisième jour ont été notées chez un patient qui a développé un érythème et un œdème sévères du palais mou et du pharynx entraînant une dysphagie prononcée. Les trois patients ont été fébriles pendant toute la durée de la maladie, avec des températures fréquemment supérieures à 39 °C. Deux patients présentaient une tachycardie terminale. Un patient est décédé le 7jour et deux autres le 8jour de la maladie.

Des tests de laboratoire clinique ont été effectués sur le premier patient, mais seules quelques mesures ont été réalisées sur les deux autres cas afin d’éviter une exposition excessive du personnel de laboratoire de l’hôpital au virus. La numération leucocytaire du premier patient était de 7600 et 8900/mm3 respectivement aux 5e et 7jours. Les plaquettes aux 4e, 6e et 7jours étaient de 162 000, 150 000 et 150 000/mm; ce sont les jours où une hémorragie franche s’est produite. Pendant ce temps, le SGOT (NdT : enzyme du foie) sérique est passé de 90 à plus de 200 unités/ml et le SGPT (NdT : également enzyme du foie) est passé de 40 à plus de 200 unités/ml. La bilirubine sérique est passée de 25,6 tmol/l au jour 5 à 59,8 tmol/l au 7jour. Le temps de thromboplastine partielle (TTP) était de 47 secondes le cinquième jour. Cette patiente n’a produit que 200 ml d’urine le septième jour et aucune le lendemain, jour de son décès. La deuxième patiente, sur laquelle aucun test de laboratoire n’a été effectué, est devenue anurique au cours des deux derniers jours de sa vie.

Le troisième patient avait un nombre de globules blancs de 9 400 et 12 300/mm3 respectivement aux 7e et 8jours. Le nombre de plaquettes ces jours-là était de 253 000 et 205 000/mm3, tandis que les valeurs P17 étaient de 45 et 50 secondes, respectivement. Les produits de dégradation de la fibrine, mesurés à l’aide d’un kit commercial (Burroughs-Wellcome) ont été enregistrés comme 1+ et 2+ aux 7e et 8jours.

Le premier cas a été traité avec de l’aspirine, des antibiotiques, des corticostéroïdes, une transfusion sanguine et des fluides intraveineux. Le second patient a reçu de l’aspirine, de l’hydrocortisone, de l’immunoglobuline, des fluides intraveineux et un médicament expérimental, la moroxydine. De l’entérovioform a été administré pour contrôler la diarrhée, mais sans succès. Le troisième patient a été traité pour une malaria non confirmée pendant les deux premiers jours de la maladie. Lorsqu’il a été démontré que l’agent étiologique de l’épidémie était un virus de type Marburg, le 4jour on lui a administré 500 ml de plasma humain Marburg obtenu à partir d’un patient guéri en Afrique du Sud. Ce plasma avait un titre IFA de 1 h 32. En prévision d’une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD – NDT La coagulation intravasculaire disséminée se traduit par un excès de génération de thrombine et de fibrine dans la circulation), elle a reçu 16 000 unités d’héparine le sixième jour et 30 000 unités par jour par la suite. Bien que l’anticoagulation n’ait pas été satisfaisante, comme le montre le TCA normal (NdT : TCA ou Temps de Céphaline Activé est le temps de coagulation d’un plasma pauvre en plaquettes, recalcifié en présence de phospholipides et d’un activateur du système contact de la coagulation.) aux 7e et 8jours, elle a présenté moins de saignements cliniques que les deux autres patients. La veille de son décès, elle s’est plainte d’une douleur thoracique substernale et a présenté une tachycardie de 136 avec un rythme de galop. La digitalisation n’a que légèrement ralenti ce rythme. Elle présentait un œdème marqué du visage et des membres supérieurs.

Bien qu’aucune autopsie n’ait été pratiquée, il est apparu cliniquement que ces patients sont morts d’un choc hypovolémique (NdT : baisse du volume total de sang circulant dans l’organisme). Les preuves de la CIVD (NdT : voir ci-dessus) étaient fragmentaires, mais ce syndrome pourrait bien avoir précipité l’hémorragie et le choc dans tous les cas. La biopsie post-mortem du foie dans le premier cas a révélé une nécrose focale marquée des cellules hépatiques avec de grandes inclusions éosinophiles intracytoplasmiques. Des particules semblables au virus de Marburg ont été visualisées au microscope électronique (2).

Le virus Ebola a été retrouvé au jour 6 dans des échantillons de sang du patient 1 et aux jours 3 et 6 chez le patient 2. Les analyses quantitatives du virus sur le sang du troisième patient sont présentées dans le tableau 8. Aucun anticorps IFA contre les virus Ebola ou Marburg n’était présent.

Études rétrospectives sur le terrain

(Échantillon de sérum – Conjugués nanométriques d’anticorps étalon or – Antigènes virus Ebola – Anticorps de contrôle)
Comment ils veulent vous faire croire que les tests d’anticorps sont faits.

Si vous aviez besoin d’une raison supplémentaire pour douter des résultats des anticorps, ne cherchez pas plus loin. Dans cette étude portant sur 231 cas probables, 34 avaient des anticorps IFA. 59 % de ceux qui avaient des anticorps présentaient des symptômes, ce qui laisse 41 % de ces cas probables asymptomatiques. De nombreuses autres personnes qui ont eu un contact direct avec des cas mortels ont déclaré avoir eu des symptômes, mais pas d’anticorps. En d’autres termes, beaucoup de ceux qui étaient malades n’avaient pas d’anticorps et près de la moitié de ceux qui avaient des anticorps n’ont jamais été malades.

Des questionnaires ont été remplis pour 231 cas probables âgés d’un an ou plus, 34 personnes chez qui on a découvert des anticorps IFA du virus Ebola et 198 témoins. Le nombre de réponses obtenues pour chaque symptôme et les pourcentages de réponses positives dans ces groupes sont présentés dans le tableau 9. La fièvre et les maux de tête étaient presque invariablement présents. Le mal de tête irradiait souvent vers la colonne cervicale et était associé à des douleurs lombaires irradiant dans les jambes. Le mal de gorge était souvent signalé en association avec une sensation de « boule » dans la gorge. Les douleurs thoraciques et la pleurite étaient rares. Parmi les personnes présentant des anticorps, 59 % avaient un ou plusieurs symptômes, les plus importants étant la fièvre, les maux de tête, les douleurs abdominales et l’arthralgie. De nombreuses autres personnes qui avaient été en contact avec des cas mortels ont signalé des symptômes, mais ne présentaient pas d’anticorps au virus Ebola. La maladie chez les personnes porteuses d’anticorps était, en général, marquée par une profonde prostration, une perte de poids et une période de convalescence de 1 à 3 semaines. »

Selon l’OMS, un test de protéine urinaire, qui n’est plus utilisé comme diagnostic aujourd’hui, a été utilisé au début de l’épidémie pour diagnostiquer les cas. Combien de ces patients ont été mal diagnostiqués sur la base d’un test défectueux ?

« Le seul test de laboratoire clinique effectué sur les patients admis à l’hôpital de Yambuku était la protéine urinaire. Ce test a été rapporté comme étant uniformément positif et a été utilisé comme un critère de diagnostic majeur par les sœurs infirmières au début de l’épidémie.

L’OMS admet que les études virologiques, qui constituent sans doute la partie la plus importante des preuves (pseudo)scientifiques nécessaires pour comprendre un nouveau « virus », étaient limitées. Cela est évident puisqu’elles ont utilisé des échantillons de petite taille où « l’isolement du virus » n’a été tenté que dans 10 cas et où seules 4 biopsies du foie ont été réalisées :

Les études virologiques étaient limitées. Le virus Ebola a été isolé dans des cellules de rein de singe vert africain (Vero) à partir d’échantillons de sang dans 8 des 10 cas tentés. Ces spécimens ont été prélevés 2 à 13 jours après l’apparition des symptômes. Il est intéressant de noter la détection simultanée du virus et d’anticorps Ebola IFA à un titre de 1 h 32 chez un patient. Cet homme en était au 13e et avant-dernier jour de sa maladie. Des particules de virus Ebola ont également été visualisées dans 3 des 4 biopsies hépatiques post-mortem obtenues à partir de cas cliniquement suspects. »

Le « virus » Ebola aurait eu le taux de mortalité le plus élevé depuis la rage. Peut-être les cocktails toxiques injectés à ces patients ont-ils contribué à ce taux de mortalité élevé ?

« Aucune épidémie plus spectaculaire ou potentiellement explosive d’une nouvelle maladie virale aiguë ne s’est produite dans le monde au cours des 30 dernières années. Le taux de mortalité de 88 % de la fièvre hémorragique Ebola au Zaïre est le plus élevé jamais enregistré, à l’exception de l’infection par la rage. Dans ces circonstances, il n’est pas surprenant que de nombreuses informations souhaitées n’aient jamais été obtenues. Les retards dans la reconnaissance, la notification aux agences sanitaires internationales et le diagnostic spécifique de la maladie ont largement contribué à ce résultat. Aucun meilleur exemple ne vient à l’esprit pour illustrer la nécessité d’une surveillance nationale des maladies et d’une sollicitation rapide de l’aide internationale, ni la nécessité de développer des ressources internationales, comprenant du personnel, de l’équipement, des transports, des communications et des finances, qui peuvent être mises à disposition en quelques jours pour faire face à de telles urgences.

Il est intéressant de noter que le virus Ebola et la rage sont tous deux liés à des injections dangereuses. Dans le cas de la rage, jusque dans les années 1980, le traitement consistait en une série de piqûres dans l’estomac :

« Il y a eu une confusion parmi le grand public en raison des craintes historiques et des douloureuses injections de vaccin antirabique (vaccin à base de tissu nerveux administré sur l’abdomen) effectuées dans le passé. »

https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://www.who.int/docs/default-source/searo/india/health-topic-pdf/b5010.pdf%3Fsfvrsn%3D619e77a3_2&ved=2ahUKEwian7aUorb6AhXdkIkEHWPEBOg4ChAWegQIFRAB&usg=AOvVaw2S3jACpOqMEg9qBA6fmZj_

En fait, il pourrait y avoir jusqu’à 21 injections dans l’abdomen pour la rage :

« Il y a plusieurs années, le traitement contre la rage comprenait 21 injections dans l’estomac d’une personne. C’était extrêmement douloureux et nécessitait une longue aiguille. Cependant, depuis le début des années 1980, il existe un vaccin antirabique très différent pour traiter les humains exposés à la rage. »

https://www.oklahoman.com/story/lifestyle/health-fitness/2013/07/14/whats-it-like-to-get-a-rabies-shot/60899910007/

Les injections intrapéritonéales (dans la cavité de l’estomac) étant l’une des 5 voies utilisées pour le traitement parentéral, se pourrait-il que ces patients atteints d’Ebola en 1976 aient pu recevoir les médicaments toxiques de cette manière, comme on le faisait pour la rage jusque dans les années 1980 ? L’injection de médicaments toxiques directement dans l’estomac pourrait expliquer l’augmentation des hémorragies gastro-intestinales. Les dommages causés à l’estomac par un traumatisme sont également un facteur de risque de choc hypovolémique comme celui dont ont souffert les patients de l’hôpital de Ngaliema. Malheureusement, l’OMS ne définit pas la voie d’injection parentérale et nous ne pouvons donc que spéculer.

Les quelques paragraphes suivants présentent des éléments d’information aléatoires qui percent des trous dans l’histoire de l’OMS. Tout d’abord, vous verrez l’OMS admettre que les données de laboratoire étaient pratiquement inexistantes pour cette épidémie, mais elle confirme que le tableau clinique ressemblait au « virus » de Marburg. L’OMS pensait que les agents « isolés » au Soudan et au Zaïre étaient identiques, mais elle n’avait pas encore effectué les tests d’anticorps (précédemment admis comme douteux) pour le confirmer. L’OMS a affirmé que la virémie (présence de « virus » dans le sang) était une caractéristique constante du « virus », en se fondant sur une seule étude portant sur un seul patient. Toutefois, l’OMS a ensuite déclaré qu’aucune preuve n’avait été obtenue quant à la persistance du portage du « virus » dans les cas d’infection à Ebola au Zaïre, un phénomène documenté à deux reprises pour le « virus » de Marburg, mais elle a averti que cette information était basée sur un échantillon de petite taille. Il semble très clair que l’OMS aime avoir le beurre et l’argent du beurre :

Bien que les données de laboratoire soient pratiquement inexistantes, le tableau clinique observé lors de cette épidémie ressemblait à la maladie produite par le virus Marburg, un virus apparenté. En fait, l’évolution de la fièvre hémorragique Ebola semblait plus inexorable et moins variable que celle de l’infection par le virus de Marburg. Bien que cela soit loin d’être prouvé, nous soupçonnons que le syndrome de défibrination aiguë et la pancréatite étaient les principales caractéristiques du syndrome et qu’une grave maladie du foie était évidente.

Contrairement aux observations faites simultanément au Soudan, la maladie au Zaïre présentait moins de symptômes respiratoires, une évolution clinique plus courte et un taux de mortalité plus élevé (4). On ne sait pas si cela était dû à des différences dans la virulence du virus en soi ou à des variables relatives à l’hôte et à l’écologie, comme le climat (humidité relative). À l’heure actuelle, on pense que les agents récupérés au Soudan et au Zaïre sont identiques, bien que des tests de neutralisation définitifs n’aient pas encore été effectués.

La virémie semble être une caractéristique constante de l’infection par le virus Ebola chez l’homme. Le virus a persisté en grande quantité dans le sang dans le seul cas bien étudié. La découverte à la fois du virus et d’anticorps dans le sang d’un autre cas agonal 13 jours après l’apparition des symptômes soulève la possibilité, considérée comme improbable, que des complexes antigène-anticorps puissent contribuer à la pathologie de l’infection. Cette question, ainsi qu’un certain nombre d’autres questions virologiques importantes, ne peut être traitée pour l’instant que par des études sur des singes. L’une des nécessités les plus urgentes est de trouver un moyen de poser un diagnostic rapide dans les cas suspects de la maladie en recherchant des cellules contenant un antigène viral. Le diagnostic spécifique rétrospectif des cas mortels par examen au microscope électronique de biopsies hépatiques fixées au formol semble très prometteur et devrait être tenté dans tous les cas de maladie hémorragique fébrile aiguë en Afrique.

Aucune preuve de portage viral persistant n’a été obtenue dans les cas d’infection à Ebola au Zaïre, un phénomène documenté à deux reprises pour le virus de Marburg (5, 6). Mais il faut se rappeler que le nombre de sites appropriés et immuno-séquestrés échantillonnés était très faible. Cependant, le sperme d’un patient infecté par une souche zaïroise du virus Ebola au Royaume-Uni contenait du virus pendant plus de deux mois après l’apparition des symptômes (3).

Dans les derniers points saillants, nous obtenons la version simplifiée des événements de l’OMS qui réitère des points antérieurs qui auraient dû mettre en doute leurs conclusions selon lesquelles un nouveau « virus » était la cause de l’apparition d’une nouvelle maladie. Tout d’abord, l’OMS admet que le « virus » Ebola a un faible taux de transmission secondaire de personne à personne, ce qui signifie qu’il ne se propage pas facilement, même en cas de contact étroit avec des personnes « infectées ». Ils déclarent que l’on ne saura jamais comment le nouveau « virus » est arrivé à l’hôpital, mais ils pensent qu’il a été apporté du Soudan par un être humain. Il a été décidé que le « virus » se propageait par les aiguilles et les seringues contaminées utilisées pour les injections aux patients malades. Une fois que ces injections ont cessé, l’épidémie s’est arrêtée elle aussi :

L’épidémie du Zaïre présentait tous les attributs d’une épidémie de source commune, ainsi qu’un taux heureusement faible de transmission secondaire de personne à personne. Les moyens par lesquels le virus a été introduit dans l’Hôpital de la Mission de Yambuku ne seront probablement jamais connus avec précision, mais il semble possible qu’il ait été apporté directement du Soudan par un être humain. La dissémination de l’agent dans les villages de la région s’est faite principalement par le biais de matériel contaminé utilisé pour les injections parentérales. L’épidémie s’est calmée lorsque l’hôpital a été fermé par manque de personnel médical. Il a été démontré, lors de la petite épidémie de Kinshasa, qu’une élimination soigneuse des excréments et des fomites contaminés, ainsi que des soins infirmiers stricts utilisant des respirateurs, pouvaient rompre la chaîne de transmission. Des précautions d’isolement encore plus simples et un changement des coutumes culturelles lors des funérailles semblent avoir contribué à l’extinction de l’infection dans les villages.

Il est intéressant de noter que l’OMS a admis que les cas provoqués par l’injection étaient différents et plus susceptibles d’être mortels que ceux qui, selon elle, étaient des cas secondaires contractés sans injection. Ceci est évidemment logique si l’on considère que les symptômes non spécifiques de la maladie étaient le résultat de l’injection contre nature de divers médicaments toxiques directement dans les patients et non l’effet d’un nouveau « virus ». Les cas secondaires n’étaient rien d’autre que la recherche de symptômes similaires chez les villageois et l’utilisation de résultats d’anticorps frauduleux pour prétendre que les symptômes étaient causés par le même « virus » imaginaire.

Bien que les données ne soient pas toujours statistiquement convaincantes, nous avions la forte impression que la fièvre hémorragique Ebola acquise par injection différait de celle due au contact avec un autre cas. La mortalité était plus élevée. Dans une étude, les taux de transmission secondaire étaient également plus élevés à partir de cas index qui avaient été induits par voie parentérale. Il se peut que l’augmentation de la réplication et de l’excrétion du virus à la suite d’une infection parentérale explique tout ou partie de ces différences, mais d’autres causes n’ont nullement été exclues.

L’OMS a ensuite admis que les cas « néonatals » n’étaient pas complètement élucidés. En d’autres termes, elle n’a pas pu expliquer comment les bébés ont contracté la maladie de leur mère. On ne s’est apparemment pas interrogé sur les injections de médicaments nocifs dans les femmes enceintes, susceptibles de provoquer la mort et la maladie chez les nourrissons. Il fallait que ce soit ce « virus » magique qui traverse le placenta et infecte l’enfant à naître :

Les cas « néonatals » observés de la maladie n’ont pas été complètement élucidés. On souhaite savoir si le virus Ebola peut traverser le placenta et infecter le fœtus, et si le virus est présent dans le lait maternel et est infectieux s’il est ingéré.

Enfonçant une fois de plus le dernier clou dans le cercueil du « virus » Ebola, l’OMS nous a rappelé que de meilleurs tests d’anticorps étaient nécessaires pour pouvoir interpréter les résultats. Bien que les résultats frauduleux des tests d’anticorps ne doivent jamais être considérés comme des preuves, ces résultats étaient le seul moyen pour les chercheurs de différencier Ebola de « Marburg » et de nombreux autres « virus », et leur « exactitude » douteuse en dit long. Les résultats de l’IFA étaient essentiels pour démontrer que Marburg et Ebola étaient des « virus » différents, mais l’OMS n’était pas certaine de l’exactitude de ces résultats. Elle ajoute que, comme pour le « virus » Marburg, la source du « virus » Ebola était inconnue. Cela devrait vous dire tout ce que vous avez besoin de savoir :

Enfin, une meilleure méthode de mesure des anticorps du virus Ebola est nécessaire pour interpréter les résultats sérologiques rapportés ici. Le fait que moins de 20 % des personnes aient donné des antécédents de maladie aiguë après un contact avec un cas mortel n’est pas surprenant. La plupart de ces personnes avaient des maladies légères et spontanées, celles-ci étant hautement endémiques dans la région. Mais si les données de l’IFA sont correctes, au moins 2,5 % des personnes en contact avec des cas mortels ont connu une infection subclinique. En outre, la découverte d’anticorps chez quelques individus en l’absence de tout contact connu avec le virus Ebola pendant l’épidémie soulève la possibilité que l’agent est en fait endémique dans la région de Yambuku et est occasionnellement transmis à l’homme. Une réponse définitive est essentielle pour poursuivre l’exploration écologique de ce qui est maintenant un agent très mystérieux. Comme dans le cas du virus de Marburg, la source du virus Ebola est totalement inconnue au-delà du simple fait qu’il est d’origine africaine. »

EBOLA
Ce qu’on ne vous dit pas

En résumé

  • Entre le 1er septembre et le 24 octobre 1976, 318 cas de fièvre hémorragique « virale » aiguë (supposée) sont survenus dans le nord du Zaïre.
  • Il y a eu 280 décès et seulement 38 survivants confirmés sérologiquement (c’est-à-dire des résultats d’anticorps non spécifiques).
  • Le patient zéro de cette épidémie a présenté des symptômes le 1er septembre 1976, cinq jours après avoir reçu une injection de chloroquine pour un paludisme présumé à la clinique externe du Yambuku Mission Hospital (YMH).
  • Il a eu une rémission clinique de ses symptômes de paludisme.
  • Dans la semaine qui a suivi, plusieurs autres personnes qui avaient reçu des injections à l’hôpital YMH ont également souffert de la fièvre hémorragique Ebola, et presque tous les cas ultérieurs avaient soit reçu des injections à l’hôpital ou avaient été en contact étroit avec un autre cas.
  • Tous les âges et les deux sexes ont été touchés, mais les femmes de 15 à 29 ans ont eu la plus forte incidence de la maladie, un phénomène fortement lié à la fréquentation des cliniques prénatales et ambulatoires de l’hôpital où elles ont reçu les injections.
  • La recherche intensive de cas dans la région du nord-est du Zaïre, entre la zone de Bumba et la frontière soudanaise, près de Nzara et Maridi, n’a pas permis de détecter des preuves définitives d’un lien entre une épidémie de la maladie dans ce pays et le foyer près de Bumba.
  • Néanmoins, il a été établi que des personnes peuvent faire et font le voyage entre Nzara et Bumba en moins quatre jours : il a donc été considéré comme tout à fait possible qu’une personne infectée ait voyagé du Soudan à Yambuku et ait transféré le « virus » à une aiguille de l’hôpital alors qu’elle recevait une injection à la clinique externe.
  • En d’autres termes, ils n’ont pas pu établir de lien entre les deux épidémies, mais ont tout de même supposé qu’il était possible comme scénario hypothétique qu’un individu inconnu « infecté » porteur d’un nouveau « virus » se rende à l’hôpital et transmette sans le savoir le nouveau « virus » par le biais de la même aiguille utilisée avec d’autres patients.
  • Après 3 à 4 jours de symptômes et de signes non spécifiques, les patients présentent généralement un mal de gorge de plus en plus sévère, une éruption cutanée maculo-papuleuse, des douleurs abdominales irréductibles et des saignements en de multiples endroits, principalement dans le tractus gastro-intestinal.
  • Bien que les analyses de laboratoire aient été limitées et non concluantes, il a été conclu que la pathogenèse de la maladie comprenait une hépatite non ictérique et peut-être une pancréatite aiguë ainsi qu’une coagulation intravasculaire disséminée.
  • Ce syndrome a été causé par un « virus » morphologiquement similaire au « virus » de Marburg, mais immunologiquement distinct (c’est-à-dire que tout était identique à part les résultats des anticorps non spécifiques).
  • L’agent a été « isolé » du sang de 8 des 10 cas suspects à l’aide de cultures de cellules Vero. (NdT : aucun « virus » n’a jamais été isolé, les débris des cellules Vero utilisées ne permettent pas de dire que le « virus » a été isolé)
  • Des particules du « virus » Ebola ont été trouvées dans des échantillons de foie fixés au formol provenant de trois cas. (NdT : le « virus » n’ayant pas été isolé on peut se demander comment ce « virus » a pu être trouvé).
  • Les survivants de l’infection présentaient des anticorps fluorescents indirects contre le « virus » Ebola.
  • Un total de 201 unités (200-300 ml chacune) de plasma contenant des anticorps contre le « virus » Ebola à des titres d’au moins 1:64 ont été obtenues et congelées et utilisées sur une personne « infectée » qui s’est rétablie, ce qui leur a suggéré que les anticorps ont pu être utiles sur le plan thérapeutique (et les anticorps invisibles peuvent n’avoir absolument rien fait pendant que la personne se rétablissait malgré leur utilisation, ce qui revient donc à une spéculation inutile)
  • La transmission du « virus » a été interrompue par l’arrêt des injections et par l’isolement des patients dans leurs villages (c’est-à-dire que l’arrêt des injections de chloroquine a mis fin à la propagation du « virus »…).
  • Ils ont décidé, d’une manière ou d’une autre, que le « virus » est probablement rarement transmis par des aérosols infectieux, bien que l’infection par de grosses gouttelettes reste une possibilité (encore une spéculation sans preuve et sans fondement).
    (NdT : l’explication officielle de la « Science » sur la transmission par aérosol est la suivante : les « virus » sont transportées par de minuscules gouttelettes d’eau exhalées qui peuvent « voyager » grâce aux courants d’air. Ces gouttelettes sont soumises à la gravitation terrestre et finissent par retomber au sol ; leur « voyage » dans l’air est estimé à 1 min 50 s environ (en horizontal). En hiver l’air est plus sec et les gouttelettes sont donc plus rares et plus petites. Les « virus » peuvent donc être emportés plus facilement par les courants d’air, d’où une « transmission » plus facile et les « épidémies » !!!!)
  • Des anticorps au « virus » Ebola ont été trouvés chez cinq personnes qui n’étaient pas malades et n’avaient pas eu de contact avec les villages « infectés » ou l’hôpital de Yambuku pendant l’épidémie (en d’autres termes, soit les anticorps étaient soit non spécifiques et/ou il y a des patients Ebola asymptomatiques qui se promènent… ou le scénario le plus probable est que tout cela est frauduleux).
  • Cinq seringues et aiguilles ont été distribuées chaque matin au personnel infirmier pour être utilisées dans le service de consultation externe, la clinique prénatale et les salles d’attente.
  • Ces seringues et aiguilles n’étaient apparemment pas stérilisées entre leurs utilisations sur différents patients, mais rincées dans une casserole d’eau chaude et, à la fin de la journée, elles étaient parfois bouillies.
  • Cela a conduit les chercheurs à conclure qu’il s’agissait d’un « virus » transmis de personne à personne en raison de l’utilisation de l’aiguille plutôt que du contenu de l’injection.
  • Par ailleurs, les injections de chloroquine, comme celles qui ont été administrées aux patients, sont connues pour provoquer exactement les mêmes symptômes que ceux associés à Ebola : douleurs au dos, aux jambes ou à l’estomac – selles noires et goudronneuses – sang dans l’urine ou les selles – fièvre – éruption cutanée, urticaire ou démangeaisons – mal de gorge – saignement ou ecchymose inhabituels – douleur dans la partie supérieure droite de l’abdomen ou de l’estomac – vomissements.
  • Un cas probable de fièvre hémorragique Ebola est une personne vivant dans la zone épidémique qui est décédée après un ou plusieurs jours avec deux ou plusieurs des symptômes et signes suivants : maux de tête, fièvre, douleurs abdominales, nausées et/ou vomissements et saignements.
    Le patient doit avoir, au cours des trois semaines précédentes, reçu une injection ou été en contact avec un cas probable ou avéré, la maladie n’ayant pas été diagnostiquée autrement pour des raisons cliniques.
  • Un cas avéré est une personne sur laquelle le « virus » Ebola a été « isolé » ou mis en évidence par microscopie électronique ou qui présentait un titre d’anticorps fluorescent indirect (IFA) d’au moins 1:64 contre le « virus » Ebola dans les trois semaines suivant l’apparition des symptômes.
    On a considéré qu’une infection par le « virus » Ebola était survenue chez des personnes qui avaient un titre d’anticorps IFA similaire, mais qui n’avaient pas été malades entre le 30 août et le 15 novembre 1976.
  • Un cas possible était une personne présentant des maux de tête et/ou de la fièvre depuis au moins 24 heures, avec ou sans autres signes et symptômes, et ayant été en contact avec un cas probable ou avéré au cours des trois semaines précédentes.
    Ces patients ont été traités avec des antipaludéens, des antibiotiques et des antipyrétiques pour exclure d’autres maladies communes à la région.
  • En d’autres termes, dès lors que vous avez présenté un ou deux des symptômes non spécifiques et que vous avez reçu une injection ou que vous avez côtoyé des personnes dont la présence a été jugée probable/prouvée au moyen d’une microscopie électronique indirecte ou de résultats d’anticorps non spécifiques, vous êtes considéré comme un patient Ebola.
  • Les objectifs des équipes de surveillance étaient de trouver les cas passés et actifs de fièvre hémorragique Ebola, de détecter les éventuels cas convalescents afin d’éduquer le public sur la nature de la maladie et les moyens de la prévenir, et d’établir de manière incontestable la fin de l’épidémie (comment ont-ils éduqué le public sur la nature et les moyens de prévenir un « virus » qu’ils étaient encore censés identifier et étudier ?)
  • Les sujets abordés lors de la formation ont été le diagnostic différentiel de la fièvre hémorragique Ebola, son épidémiologie (y compris les modes de transmission possibles), les moyens de protéger le personnel, les méthodes pour obtenir les données de recensement des familles et enregistrer les cas probables et possibles (comment diagnostiquer de manière différentielle une maladie qui imite de nombreuses autres maladies partageant exactement les mêmes symptômes… et même la grossesse ?)
  • La chloroquine, la tétracycline, l’aspirine et un médicament contre les parasites intestinaux ont tous été fournis sous forme de comprimés (parce que si on ne peut pas trouver des cas naturellement, autant les créer).
  • Quinze cas possibles de fièvre hémorragique survenus en dehors de la zone épidémique principale ont été examinés à partir de Kinshasa et la fièvre hémorragique Ebola a été exclue dans chaque cas pour des raisons cliniques, virologiques ou pathologiques (c’est-à-dire que les preuves indirectes indiquaient d’autres causes supposées).
  • Les diagnostics finaux étaient les suivants : Fièvre typhoïde —Hépatite « virale » —Amibiase —Œdème pulmonaire aigu —Empoisonnement au monoxyde de carbone.
  • Le premier patient a reçu de la chloroquine par injection parentérale le 26 août. Sa fièvre a rapidement disparu et il est resté afébrile jusqu’au 1er septembre, date à laquelle il a de nouveau eu de la fièvre à 39,2 °C.
  • D’autres symptômes ont rapidement suivi et il a été admis au YMH le 5 septembre pour une hémorragie gastro-intestinale et est décédé le 8 septembre.
  • On a appris que l’injection parentérale (injections dans le corps par différentes voies) était le principal mode d’administration de presque tous les médicaments.
  • Le seul facteur de risque commun par rapport aux témoins appariés de la famille et du village pour 85 des 288 cas où le mode de transmission a été déterminé était la réception d’une ou plusieurs injections à l’hôpital YMH.
  • D’autres facteurs tels qu’un contact antérieur, l’exposition à la nourriture, à l’eau, aux bâtiments de l’hôpital, aux animaux domestiques et sauvages, ou un voyage dans les trois mois précédant l’apparition des symptômes, n’ont pas été associés à ce type de transmission.
  • D’autres facteurs tels qu’un contact antérieur avec un cas, une exposition à la nourriture, à l’eau, aux bâtiments de l’hôpital, aux animaux domestiques et sauvages, ou un voyage dans les trois mois précédant l’apparition de la maladie, n’ont pas été associés à ce type de transmission.
  • 43 cas avaient des antécédents de contact avec un patient et de réception d’une injection dans les trois semaines précédant le début de la maladie.
  • Dix-sept personnes qui vivaient en dehors de Yambuku ont été en contact avec l’hôpital de YMH et il est possible qu’elles aient eu des injections sans le signaler à leur famille.
  • Aucune personne dont le contact était exclusivement une injection parentérale n’a survécu à la maladie.
  • En fait, il semble probable que la fermeture de l’hôpital de Yambuku ait été le seul événement le plus important dans la fin éventuelle de l’épidémie.
  • En d’autres termes, le mode d’injection risqué et non naturel ainsi que les médicaments toxiques capables de produire exactement les mêmes symptômes sont les seuls éléments nécessaires pour expliquer ces cas, et non un nouveau « virus » invisible.
  • Aucun cas probable sporadique, apparemment spontané, n’a été enregistré.
  • Lorsque la « famille » a été définie comme l’ensemble des personnes vivant dans un logement contigu et partageant des cuisines communes, les taux d’attaque secondaire n’ont jamais dépassé 8 %.
  • Des efforts ont été faits pour documenter une infection asymptomatique simultanée ou une possible infection antérieure par le « virus » Ebola.
  • Les sérums de 5 personnes âgées de 8 à 48 ans contenaient des anticorps IFA à des titres de 1:64 et aucune de ces personnes n’était malade, n’avait eu de contact avec des personnes dans d’autres villages ou n’avait visité YMH pendant l’épidémie (c’est-à-dire qu’elles étaient asymptomatiques).
  • Les sérums de 58 personnes appartenant à diverses catégories d’exposition présentaient des titres IFA anti-Ebola compris entre 1:4 et 1:32. Néanmoins la spécificité de ces réactions a été mise en doute lorsqu’il a été constaté que des échantillons provenant de 4 des 200 Indiens San Blas du Panama présentaient également de tels « anticorps » contre le virus Ebola, mais pas contre le « virus » Marburg.
  • L’interprétation finale de ces données attendait la mise au point d’une autre méthode de mesure des anticorps spécifiques de ces agents.
  • En d’autres termes, les résultats des anticorps prétendument spécifiques n’étaient pas si spécifiques que cela et les résultats des anticorps devaient être confirmés par une méthode « plus spécifique » qui n’avait pas encore été mise au point.
  • Les premiers symptômes et signes observés chez les trois patients à l’hôpital Ngaliema comprenaient de la fièvre, des maux de tête, de l’anorexie et des vomissements, mais les autres symptômes variaient d’un patient à l’autre.
  • Des tests de laboratoire clinique ont été effectués sur le premier patient, mais seules quelques mesures ont été réalisées sur les deux autres cas afin d’éviter une exposition excessive du personnel de laboratoire de l’hôpital au « virus ».
  • Le premier patient a été traité avec de l’aspirine, des antibiotiques, des corticostéroïdes, une transfusion sanguine et des fluides intraveineux.
  • Le deuxième patient a reçu de l’aspirine, de l’hydrocortisone, des immunoglobulines, des liquides intraveineux, un médicament expérimental, la moroxydine, et de l’entérovioform pour contrôler la diarrhée, mais sans succès.
  • La troisième patiente a été traitée pour un paludisme non confirmé pendant les deux premiers jours de la maladie et, lorsqu’il s’est avéré que l’agent étiologique de l’épidémie était un « virus » de type Marburg, elle a reçu, le quatrième jour, 500 ml de plasma humain Marburg obtenu à partir d’un patient guéri en Afrique du Sud.
  • Les trois patients sont morts après le traitement.
  • Bien qu’aucune autopsie n’ait été pratiquée, il est apparu cliniquement que ces patients sont morts d’un choc hypovolémique (perte rapide de sang pouvant être causée par une hémorragie interne dans les organes abdominaux et le tube digestif).
  • Des particules ressemblant au virus de Marbourg ont été visualisées au microscope électronique dans un cas.
  • Aucun anticorps IFA contre les « virus » Ebola ou Marburg n’était présent chez les 3 victimes.
  • Des questionnaires ont été remplis pour 231 cas probables âgés d’un an ou plus, on a trouvé chez 34 personnes des anticorps IFA contre le « virus » Ebola, et 198 témoins parmi les personnes présentant des anticorps, 59 % avaient un ou plusieurs symptômes (41 % n’avaient apparemment aucun symptôme), les plus importants étant la fièvre, les maux de tête, les douleurs abdominales et l’arthralgie.
  • De nombreuses autres personnes qui avaient été en contact avec des cas mortels ont signalé des symptômes, mais n’avaient aucun anticorps du « virus » Ebola.
  • Nous pouvons voir ici à quel point les résultats des tests d’anticorps ne sont pas fiables lorsque 41 % des personnes ne présentaient aucun symptôme de la maladie et que celles qui ont eu des symptômes après avoir été en contact avec des cas mortels n’avaient aucun anticorps.
  • Le seul test de laboratoire clinique effectué sur les patients admis à l’hôpital de Yambuku était la protéine urinaire, qui a été signalée comme étant uniformément positive et utilisée comme critère de diagnostic majeur par les sœurs infirmières au début de l’épidémie (remarque : ce n’est pas un diagnostic utilisé aujourd’hui, ce qui amène à se demander combien de cas précoces ont été mal diagnostiqués en utilisant une méthode défectueuse qui n’est plus utilisée ?).
  • Les études virologiques ont été dites limitées.
  • Le « virus » Ebola a été « isolé » dans des cellules de rein de singe vert africain (Vero) provenant d’échantillons de sang dans 8 des 10 cas tentés.
  • Des particules de « virus » Ebola ont également été visualisées dans 3 des 4 biopsies hépatiques post-mortem obtenues à partir de cas cliniquement suspects.
  • Le taux de mortalité de 88 % de la fièvre hémorragique Ebola au Zaïre est le plus élevé jamais enregistré, à l’exception de l’infection par la rage.
  • Bien que les données de laboratoire soient pratiquement inexistantes, le tableau clinique observé lors de cette épidémie ressemblait à la maladie produite par le « virus » Marburg, un virus apparenté.
  • À cette époque, on pensait que les agents retrouvés au Soudan et au Zaïre étaient identiques, bien que des tests de neutralisation définitifs n’aient pas encore été effectués.
  • La virémie semblait être une caractéristique constante de l’infection par le « virus » Ebola chez l’homme, car le « virus » persistait en grande quantité dans le sang dans le seul cas bien étudié (un cas).
  • L’OMS a déclaré qu’un certain nombre d’autres questions virologiques importantes ne peuvent être abordées pour l’instant que par des études sur des singes.
  • Aucune preuve n’a été obtenue quant à la persistance du portage du « virus » dans les cas d’infection à Ebola au Zaïre, un phénomène documenté à deux reprises pour le « virus » de Marburg.
  • L’épidémie du Zaïre présentait tous les attributs d’une épidémie de source commune, ainsi qu’un taux heureusement faible de transmission secondaire de personne à personne (c’est-à-dire qu’elle n’était ni infectieuse ni transmissible).
  • Selon l’OMS, on ne saura probablement jamais avec précision par quel moyen le « virus » a été introduit dans l’hôpital de la mission de Yambuku, mais il semblait possible qu’il ait été apporté directement du Soudan par l’homme.
  • La dissémination de l’agent dans les villages de la région s’est faite principalement par le biais de matériel contaminé utilisé pour les injections parentérales (vous voyez comment ils ont parlé d’aiguilles « contaminées » plutôt que du mode d’injection avec de nombreuses toxines ?).
  • L’épidémie a reculé lorsque l’hôpital a été fermé par manque de personnel médical (et donc par l’arrêt des injections de médicaments toxiques).
  • L’OMS avait la forte impression que la fièvre hémorragique Ebola acquise par injection différait de celle due au contact avec un autre cas, car la mortalité était plus élevée.
  • Les cas « néonataux » observés n’ont pas été définitivement élucidés.
  • L’OMS a de nouveau admis qu’une meilleure méthode de mesure des anticorps du « virus » Ebola était nécessaire pour interpréter les résultats sérologiques rapportés ici (ce qui est un aveu assez troublant lorsque le seul moyen qui leur permettait d’affirmer l’existence d’un nouveau « virus » ainsi que de cas passés et présents était basé sur les résultats des anticorps).
  • Le fait que moins de 20 % des personnes aient donné des antécédents de maladie aiguë après avoir été en contact avec un cas mortel n’est apparemment pas une surprise.
  • L’OMS a déclaré que si les données de l’IFA sont correctes, au moins 2,5 % des personnes en contact avec des cas mortels ont souffert d’une infection subclinique (ces résultats d’anticorps semblent plutôt vagues si l’on en croit l’hésitation constante de l’OMS quant à leur exactitude).
  • En outre, la découverte d’anticorps chez quelques individus en l’absence de tout contact connu avec le « virus » Ebola pendant l’épidémie a soulevé la possibilité que l’agent soit en fait endémique dans la région de Yambuku et soit occasionnellement transmis à l’homme.
  • Comme dans le cas du « virus » de Marburg, la source du « virus » Ebola est totalement inconnue au-delà du simple fait qu’il est d’origine africaine.

Si l’on en croit les conclusions présentées par l’OMS, le « virus » Ebola provient d’une personne infectée qui a voyagé du Soudan au Zaïre. Cette personne non identifiée a été soignée à l’hôpital de Yambuku au moyen d’une injection parentérale. La même aiguille n’a pas été stérilisée et a ensuite été réutilisée sur un autre patient non suspect, ce qui a entraîné la propagation des symptômes non spécifiques de la maladie de patient à patient par l’utilisation continue des mêmes aiguilles non stérilisées. Cela peut avoir un certain sens pour ceux qui sont encore sous le charme « viral » et qui ne sont pas disposés à creuser un peu plus profondément que le simple fait de gratter la surface. Cependant, pour quiconque examine les preuves présentées de manière critique et logique, il existe une explication beaucoup plus raisonnable à l’apparente épidémie de maladie, autre qu’un « virus » Ebola récemment découvert.

Les symptômes associés au « virus » Ebola ne sont pas spécifiques et imitent d’autres maladies courantes dans la région, notamment la grippe, le paludisme, la fièvre jaune, la typhoïde et même la grossesse ; les symptômes n’étaient donc ni nouveaux ni inédits. Le patient initial a été traité pour le paludisme par une injection de chloroquine. Alors que les symptômes du paludisme disparaissaient cliniquement après le traitement, des symptômes plus graves sont apparus quelques jours plus tard et le patient a finalement succombé à une hémorragie gastro-intestinale. La chloroquine est un médicament toxique connu dont les effets secondaires connus sont des problèmes gastro-intestinaux et des saignements inhabituels. Le mode d’injection parentérale est réputé risqué et, s’il est effectué par la cavité abdominale, il peut entraîner des lésions des organes de l’abdomen. D’autres patients traités à l’hôpital pour des affections non liées présentant des symptômes similaires, y compris des femmes enceintes, ont également reçu des injections de différents médicaments et ont eux aussi développé les symptômes associés à une fièvre hémorragique sévère. De nombreux patients ont reçu des cocktails de nombreux médicaments et antibiotiques par injection parentérale. Toutes les personnes ayant reçu des injections à l’hôpital ont fini par mourir de leur maladie. L’OMS a même noté que les personnes ayant reçu les injections présentaient une présentation différente de la maladie par rapport aux cas n’ayant pas reçu d’injections, la principale différence étant une mortalité plus élevée chez les personnes traitées à l’hôpital. Il a été observé qu’une fois que les injections ont cessé, la transmission de la maladie s’est également arrêtée. Pour quiconque examine cette question de manière logique, il n’est pas difficile de voir le lien entre l’injection de médicaments toxiques et les symptômes de la maladie qui y sont associés. Il n’est pas nécessaire de trouver un nouveau « virus » pour expliquer ce phénomène, mais l’OMS a ignoré la possibilité de chercher du côté des injections parentérales de chloroquine et d’autres médicaments toxiques (et expérimentaux dans un cas au moins) dans le cadre de ses enquêtes.

Si l’on ajoute à cela le fait que les chercheurs n’ont jamais purifié ni isolé de « virus » directement à partir du sang d’un patient malade au Zaïre et que tous les résultats des concoctions de cultures cellulaires qu’ils ont créées en laboratoire présentaient les mêmes preuves indirectes associées au « virus » de Marburg découvert moins de dix ans auparavant, il est tout simplement étonnant qu’ils aient pu conclure à l’existence d’un nouveau « virus ». La seule preuve utilisée par les chercheurs pour affirmer que le « virus » Ebola était en quelque sorte un nouveau « virus » distinct de celui de Marbourg était les résultats du test des anticorps à fluorescence indirecte, dont l’OMS a admis qu’ils étaient loin d’être idéaux. En fait, les résultats des tests d’anticorps étaient très variables, de nombreuses personnes, n’ayant jamais eu de contact avec un patient atteint d’Ebola et n’ayant jamais été malades d’aucune manière, ayant été testées positives pour les anticorps censés être spécifiques au « virus ». Dans le même temps, de nombreuses personnes présentant des symptômes et ayant eu un contact direct avec des malades d’Ebola ne présentaient aucun anticorps. Comment les résultats de ces tests pouvaient-ils indiquer aux chercheurs qu’ils avaient un « virus » unique ? Lorsque l’on comprend la fraude de la recherche sur les anticorps et que l’existence de ces entités théoriques n’a jamais été scientifiquement prouvée, tout comme les « virus », il est facile de voir comment les résultats inexacts peuvent être utilisés pour affirmer ce que les chercheurs veulent bien leur faire dire. Lorsque l’on réalise que les résultats des tests d’anticorps contredisent directement les résultats de la recherche sur le virus de Marburg, démontrant ainsi que ces résultats sont également frauduleux, on comprend que le CDC et l’OMS n’avaient pas d’autre choix que d’essayer de prétendre qu’un nouveau « virus » lié au virus de Marburg était à blâmer afin de maintenir le mensonge sur la « précision » des résultats des tests d’anticorps.

Il est assez clair que toute l’affaire Ebola n’était qu’une gigantesque opération de camouflage des effets secondaires des médicaments toxiques injectés par voie parentérale. Comme les symptômes n’étaient pas spécifiques et correspondaient à de nombreuses autres maladies courantes dans la région, il était facile pour les chercheurs de trouver des personnes présentant des symptômes similaires afin de prétendre qu’elles étaient elles aussi victimes du « virus » pathogène nouvellement « découvert ». Ce schéma consistant à dissimuler des injections toxiques par la découverte d’un nouveau « virus » a été observé une décennie plus tôt avec le « virus » Marburg associé à l’expérimentation de la vaccination contre la polio. Ils ont également utilisé cette même tactique pour dissimuler des empoisonnements au moyen de produits chimiques, comme dans le cas de la polio et du DDT/arséniate de plomb. Lorsque tout le monde reconnaîtra ce schéma, il sera en mesure de voir clair dans la fraude et nous pourrons alors commencer à travailler ensemble pour faire en sorte que ces astuces ne soient plus utilisées pour tromper les crédules et les amener à avoir peur et à s’empoisonner davantage avec des médicaments et des injections toxiques. Ensemble, nous pouvons briser ce cercle vicieux une fois pour toutes.

Traduction Jean Bitterlin 31.12.2022




La virologie et le test PCR

[Source : bioanalyticx.com]

[Traduction : Jean Bitterlin]

Virus, COVID, pandémie, vaccin et tests : fiction, ni réalité ni science !

Par Saeed A. Qureshi, Ph. D. (principal@pharmacomechanics.com)

Salutations d’Ottawa, Canada !

Mon nom est Saeed Qureshi. Je suis un chercheur scientifique à la retraite qui a travaillé pour Santé Canada pendant 30 ans à l’évaluation de la qualité des produits pharmaceutiques à usage humain. En tant que scientifique de laboratoire à Santé Canada, j’étais considéré comme un expert résident chargé de fournir des conseils sur les demandes de commercialisation de produits pharmaceutiques, principalement en ce qui concerne les aspects qualitatifs.

Ces rôles m’ont permis d’interagir avec d’autres organismes de réglementation internationaux, dont la FDA (Food and Drug Administration, organisme fédéral américain qui supervise les autorisations de mise sur le marché des aliments et des médicaments), afin de développer et d’appliquer des normes réglementaires pour évaluer la qualité des produits pharmaceutiques.

J’ai une qualification universitaire avec un doctorat en chimie, plus précisément en chimie organique analytique, ce qui me donne une solide expérience dans le développement, la validation et l’application de tests pour l’évaluation de produits.

J’ai travaillé de façon indépendante dans les domaines de la toxicologie, de la pharmacologie et des produits pharmaceutiques à Santé Canada. J’ai appris la plupart de ces sujets en suivant des cours de premier cycle et de deuxième cycle dans différentes universités. La combinaison de cette formation avec mon expertise en chimie et mes recherches en laboratoire me donne une perspective unique des sujets médicaux et pharmaceutiques, rarement disponible à l’heure actuelle.

En tant que scientifique, j’ai, comme prévu, publié de nombreux articles de recherche et de synthèse dans des revues internationales révisées par des pairs et participé à de nombreuses conférences internationales, dont l’organisation de deux d’entre elles en Amérique du Nord et en Europe.

Depuis cinq ans, j’apporte ma contribution en tant que scientifique indépendant, en faisant des suggestions pour améliorer la qualité des produits et leur mise à disposition efficace au public. Je le fais principalement par le biais de mon blog.

Il y a quelques semaines, j’ai été interviewé sur le thème du coronavirus et du COVID-19, ce qui a été bien accueilli et apprécié. Cependant, il a été suggéré qu’une version plus courte serait également souhaitable pour transmettre le message au public avec peu de détails techniques.

Cette présentation est une réponse à cette demande. Par conséquent, pour cette présentation, je me limiterai aux principes scientifiques de base. Je décrirai ces principes dans un langage simple et un raisonnement logique pour faire comprendre que la science a été déformée pour la pandémie, ce qui a conduit à la peur et à l’alarmisme d’un virus et d’une maladie inexistants.

Mon intérêt pour les pandémies a commencé par l’observation de la peur de contracter la maladie et de la mort potentielle chez les gens. Pour moi, il était clair que la situation était exagérée. À mon avis, le nombre de décès signalés se situait bien dans le taux d’attrition moyen. Cependant, les patients étaient étiquetés COVID sur la base de tests. Comme je l’ai indiqué plus haut, étant un développeur et un utilisateur de tests au cours de ma carrière, le fait d’entendre le mot « test » a naturellement attiré mon attention et ma curiosité pour approfondir l’aspect « test ».

Pour clarifier, je me concentre ici sur le virus, communément appelé SAR-CoV-2 et sur la maladie étiquetée COVID-19 qui lui est associée.

Deux types de tests différents sont couramment mentionnés pour le dépistage du COVID ou du virus. Les tests d’anticorps, qui consistent en un test sanguin et un test par écouvillonnage, avec un prélèvement nasal ou de la gorge. Un test d’anticorps établit vraisemblablement si une infection due au virus s’est produite, il s’agit donc d’un test de suivi. D’autre part, le test sur écouvillon est un test supposé vérifier la présence du virus.

Le test sur écouvillon est généralement appliqué à des fins de dépistage. Par conséquent, je limiterai la suite de ma description au seul test sur écouvillon. Toutefois, les limites et les inconvénients de ce test seront également valables pour les tests d’anticorps.

Le test sur écouvillon est appelé test sur écouvillon, car il commence par le prélèvement d’un échantillon sur écouvillon. Sinon, techniquement, il s’agit d’un test PCR. Il n’est pas essentiel pour un utilisateur quotidien du test de connaître l’aspect détaillé du test PCR, tout comme les détails techniques ne sont pas nécessaires pour un utilisateur de test de grossesse à domicile. Une légère variante du test PCR, connue sous le nom de test RT-PCR, est également couramment citée. Toutefois, à toutes fins utiles, il reste fondamentalement le même que tout test PCR standard.

L’élément essentiel à noter ici est que le test est basé sur la chimie. Notez la mention de la chimie et du test ici ; c’est là que mon expertise entre en jeu. Je peux certainement comprendre et expliquer la pertinence et la validité du test avec un haut degré de précision et de confiance.

À cet égard, pour tout test, l’important est qu’il doit être validé, c’est-à-dire qu’il ait été soumis à un essai avant son utilisation commerciale ou générale pour montrer qu’il est capable de faire ce qu’il est censé faire ou tester.

Pour la validation du test, il y a au moins quatre exigences principales à respecter : (1) il doit être suffisamment sensible pour détecter l’élément qu’il est censé détecter ; (2) le test doit être répétable ou reproductible ; (3) il doit être spécifique, c’est-à-dire qu’il doit être capable de voir l’élément sans l’interférence d’autres impuretés coexistantes ; (4) un produit de référence pur et certifiable doit être disponible, dans ce cas, le virus. L’aspect critique à noter ici est que si la référence ou l’étalon n’est pas disponible, les trois autres éléments mentionnés, c’est-à-dire la spécificité, la sensibilité et la reproductibilité, ne peuvent être établis.

Par conséquent, pour que le test PCR soit valide, il faut un virus de référence (isolé et purifié de manière indépendante).

Or, voilà le problème ! Il n’y a pas d’échantillon isolé et purifié du virus pur disponible auprès d’une tierce partie. Par conséquent, d’un point de vue scientifique, un test PCR valide ne peut être développé.

Autrement dit, le test ne peut pas montrer la présence ou l’absence du virus — point final. Je tiens à souligner et à être direct ici que dire le contraire serait soit le reflet de l’incompétence du sujet, soit une déformation de la science des tests. Une chose est sûre, c’est que la PCR est un test scientifiquement non valable pour le dépistage du virus.

En réalité, cependant, le test PCR est décrit pour tester l’ARN ou l’ADN, c’est-à-dire tester l’ARN/ADN comme marqueur du virus. Que sont l’ARN et l’ADN ? Ce sont des composés chimiques à longue chaîne, comme les protéines, présents dans l’organisme et qui sont également considérés comme étant des parties de virus.

Encore une fois, supposons que l’on affirme que le test PCR mesure l’ARN. Dans ce cas, le test PCR doit répondre aux quatre critères susmentionnés de validation du test avec l’ARN, en particulier la disponibilité de l’ARN du virus. Comme indiqué ci-dessus, le virus n’étant pas disponible, on ne peut pas obtenir son ARN. Par conséquent, le test PCR ne peut être un test valide pour l’ARN et pour le virus par extension.

Par conséquent, la conclusion indiscutable est que nous n’avons pas de test pour le virus parce que le virus n’est pas disponible, qui à son tour n’a jamais été isolé d’aucune source, en particulier des humains.

Avant d’aller plus loin, permettez-moi d’expliquer un concept fantaisiste présenté dans le monde scientifique. Je devrais dire plus précisément dans le monde médical et virologique que la combinaison du test PCR et du séquençage de l’ARN établit la présence du virus et/ou de la maladie.

Permettez-moi d’expliquer ce concept par une analogie. Supposons que l’on trouve des échantillons de caoutchouc sur le lieu d’un accident (d’ailleurs, le caoutchouc est aussi un composé chimique à longue chaîne comme l’ARN ou l’ADN). Après avoir analysé l’échantillon, en trouvant une structure ou une séquence chimique unique du caoutchouc, on considère qu’il peut provenir du pneu d’un véhicule blindé. Une extrapolation est donc faite pour conclure qu’une armée illégale ou une activité armée a pu se produire dans la région. Par conséquent, une telle activité illégale doit être surveillée et contrôlée.

La recherche de virus à l’aide d’un test PCR est similaire, c’est-à-dire qu’il s’agit de trouver des éléments sans rapport entre eux et de construire une histoire à partir de ceux-ci. Ne riez pas, s’il vous plaît. L’analogie que j’ai fournie pourrait avoir une certaine force par rapport au test de virus ou au test PCR, car la substance chimique de l’échantillon de caoutchouc pourrait correspondre à une norme de référence réelle en caoutchouc pur. Le test PCR ou ARN ne dispose jamais d’un échantillon pur d’ARN du virus auquel se comparer.

Le fait est que le test PCR et le séquençage de l’ARN qui lui est associé ne sont pas pertinents et/ou valides pour surveiller le virus. Il ne peut pas détecter ou surveiller le virus ou ses éléments connexes, comme l’ARN, avec précision et validité.

Les gens suggèrent souvent le terme « nombre de cycles », qui reflète le nombre de répétitions de la réaction chimique lors de la réalisation d’un test PCR. En ce qui concerne la précision du test PCR, c’est-à-dire qu’un nombre plus élevé de cycles peut entraîner un problème de faux positifs. Par conséquent, la réduction du nombre de cycles peut résoudre le problème des résultats faussement positifs ou plus positifs. Bien sûr que non. Le problème n’est pas le ou en raison du nombre de cycles, mais le test lui-même. Le test n’a jamais été validé, et il ne peut pas surveiller un virus — Point final. Dieu sait ce qu’un test PCR détecte et surveille — c’est absolument inconnu. Très probablement rien.

Donc, en résumé, le test de virus ou de PCR n’a aucune signification, et à l’heure actuelle, personne ne surveille le virus. Il est essentiel de noter que l’utilisation et/ou la promotion de tests non validés peuvent être considérées comme de la négligence et de l’incompétence et pourrait conduire à des enquêtes aux conséquences graves.

Il est peut-être nécessaire de préciser ici que la littérature scientifique fait souvent référence à l’isolement du virus. Les gens devraient être attentifs aux déformations de la terminologie dans les domaines de la microbiologie et de la virologie. Le mot « isolement » n’est pas utilisé ici dans le vrai sens du terme, mais représente l’obtention d’un mélange de plusieurs ingrédients qui peut éventuellement contenir le virus. Par conséquent, il doit être clair qu’un virus pur n’a jamais été isolé, identifié de manière positive ou disponible sous forme pure.

Et maintenant, qu’en est-il de la maladie qui est vraisemblablement causée par le virus ? Je ne pense pas avoir besoin de répondre à cette question. Il devrait être assez clair qu’il ne peut pas y avoir de maladie liée au virus parce qu’il n’existe pas ou on n’a pas prouvé l’existence. Alors comment peut-il causer la maladie ou être lié à la maladie ? S’il n’y a pas de maladie, alors il ne peut y avoir de pandémie.

Quelques mots sur l’utilisation des masques comme protection contre le virus ou la pandémie : il faut noter qu’il n’y a pas eu de preuve, scientifique ou expérimentale, en faveur de la protection ou non de l’utilisation du masque. Une expérience simple et directe pourrait être menée afin d’établir la pertinence et le bénéfice promu.

Par exemple, on souffle de l’air contenant un virus dans un tube à deux sections séparées par un masque ou son matériau. Il suffit de mesurer le virus des deux côtés du masque pour voir si le virus le traverse ou non. Personne n’a réalisé une expérience aussi simple et ne peut le faire. La raison en est qu’une telle enquête nécessiterait l’échantillon de virus et un test valide pour contrôler le virus. Ces deux éléments n’existant pas, l’utilité des masques ne peut être établie.

Cela devrait être considéré comme une preuve directe et sans détour pour nier l’existence du virus et la validité du test ; cependant, même une expérience aussi simple ne peut être réalisée pour établir la présence et la propagation du virus.

Alors que dire des traitements tels que la vaccination pour lutter contre la maladie. Des vaccins ont été mis au point pour nous protéger du virus. Cependant, comme je l’ai décrit ici, personne ne trouve le spécimen du virus, comment ces vaccins ont été développés et comment a-t-on établi qu’ils tueront le virus et nous protégeront du virus.

La littérature ne fournit pas un seul exemple où il a été démontré que les vaccins tuent effectivement le virus, du moins chez l’homme. Cela ne peut être dû au fait que les spécimens de virus ne sont pas disponibles pour tester les vaccins. Il faudrait un échantillon physique pur du virus, qui n’est pas disponible ou qui n’existe pas.

Il est embarrassant de constater que la science a été banalisée et dégradée pour faire des affirmations aussi fausses. Il est urgent de mener une enquête sérieuse sur l’aspect scientifique du dépistage du virus.

Un autre aspect qui requiert l’attention est que les gens prétendent que les maladies graves et les décès observés sont des preuves de la pandémie virale. Ceci est étrange, car les experts, en particulier les médecins, soutiennent une telle affirmation pour convaincre le public de l’existence du virus et de la pandémie. En réalité, les décès ne sont pas des indicateurs du virus ou de la pandémie. Ce devrait être l’inverse, c’est-à-dire que les tests et les preuves cliniques de la maladie devraient décrire la cause du décès. Si une cause spécifique, confirmée par un test valide, est liée à de nombreux décès, au-delà du taux d’attrition normal, cela devrait indiquer un signe de pandémie. Comme il n’existe pas de test valide pour le virus et sa maladie associée COVID-19, les décès ne peuvent être classés dans la catégorie COVID-19 ou de sa pandémie.

Il semble presque certain que la maladie ou la pandémie n’est pas causée par le virus (SRAS-CoV-2) comme on le suppose généralement. Les raisons en sont les suivantes : (1) le test (PCR) souvent utilisé pour surveiller la maladie/pandémie n’a aucune pertinence ni crédibilité scientifique pour détecter ce virus ou la maladie qui lui est associée, (2) aucune autre preuve n’a été fournie pour établir l’existence du virus.

Alors, comment expliquer le nombre élevé de décès survenus au cours de l’année dernière ? Il est possible qu’ils résultent des conseils peu judicieux donnés par les scientifiques et les experts aux dirigeants politiques. En particulier, les mesures de confinement avec des conseils ou des ordres de rester à la maison et des suggestions de choix de vie malsains. Par exemple :

Concernant, les conseils ou ordres de rester à la maison :

En supposant que, selon l’avis des « scientifiques » et des « experts », la pandémie est une maladie virale, par défaut, les conseils devraient viser à renforcer l’immunité. Les conseils de rester à la maison et les couvre-feux doivent être considérés comme contre-intuitifs, improductifs et restrictifs pour le développement de l’immunité dans la lutte contre le virus. Il est tout à fait possible que l’impact négatif de la politique du « restez à la maison », qui a entraîné une baisse de l’immunité, ait conduit à des taux d’infection généraux plus élevés et peut-être à une augmentation du nombre de décès.

Annulation de chirurgies et de diagnostics électifs :

Il est toujours possible que des retards dans de tels diagnostics et traitements « électifs » puissent entraîner des résultats désastreux, y compris des décès s’ils ne sont pas pris en charge à temps. Dans l’attente d’un nombre plus élevé de « patients pandémiques », la plupart des hôpitaux ont limité leurs services au strict minimum. Pensez-y : cela ne pousserait-il pas les patients vers la mort, en particulier les personnes âgées souffrant de pathologies préexistantes, qui ne pourraient pas convaincre les hôpitaux de programmer les urgences et autres soins médicaux nécessaires ?

Mauvais diagnostic et/ou mauvais traitement :

Il est bien connu qu’une fois que les résultats du test PCR sont positifs, le traitement devient quasiment un non-traitement (c’est-à-dire une quarantaine ou un isolement). Même les traitements prophylactiques avec des médicaments bien connus (avec des profils de sécurité et d’efficacité élevés) sont pratiquement interdits ou bannis. Il est interdit à de nombreux médecins d’utiliser leur expertise et leur jugement professionnels pour prescrire des médicaments appropriés à leurs patients. Apparemment, sur les conseils de certains scientifiques et « experts », les autorités nationales ont interdit ou restreint l’utilisation de médicaments potentiellement pertinents. Ces décisions politiques peuvent avoir provoqué une augmentation des décès, du moins dans une certaine mesure. Il existe une forte possibilité d’erreur de diagnostic, ce qui peut évidemment entraîner des décès injustifiés.

Il s’agit certainement d’un échec colossal de la science médicale, de sa pratique et de la gestion des autorités réglementaires correspondantes. Il est à espérer que quelqu’un assumera la responsabilité de cette mésaventure médicale afin d’éviter qu’elle ne se reproduise à l’avenir.

En conclusion, le test par écouvillonnage ou PCR couramment utilisé pour détecter le virus et sa maladie associée COVID-19 est un test non validé, qui ne peut fournir de résultats pertinents et précis. Le virus n’a jamais été isolé, identifié avec certitude et/ou disponible sous une forme purifiée ; on ne peut donc pas dire qu’il existe. De plus, aucun traitement, y compris un vaccin, ne peut être développé ou utilisé pour quelque chose qui n’existe pas. Il est fort possible qu’un mauvais diagnostic et un mauvais traitement aient entraîné des décès supplémentaires. Cela peut être évité si les médecins ont la liberté d’utiliser leur expertise sans biaiser leur jugement par des rapports de tests PCR erronés.

À l’heure actuelle, le test n’a, d’un point de vue scientifique, aucun sens. Par conséquent, il devrait être abandonné immédiatement. Cela permettra de faire face à l’impact immédiat de la pandémie. (NdT : l’auteur se contredit puisqu’il dit qu’il n’y a pas de virus, il ne peut donc pas y avoir de pandémie)

Le sujet des tests, y compris la PCR et l’isolement du virus, relève de la chimie et devrait être traité selon les principes de la chimie pour évaluer et valider ces techniques. Afin qu’à l’avenir, il sera possible d’éviter de telles mésaventures lors d’une pandémie. (NdT : même remarque que précédemment)

Si vous souhaitez obtenir plus de détails sur la plupart des aspects que j’ai décrits ici, vous pouvez les trouver en visitant mon blog Web. (https://www.drug-dissolution-testing.com/). Je vous remercie de votre attention.

Traduction Jean Bitterlin le 22.12.2022

[Voir aussi :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments]




LE MONDE CHANGE : GRAND RÉVEIL EN MARCHE

Par Nicole Delépine

Reprenons le moral avec le père Noël en avance ! Informons, entre autres, nos politiques en retard d’une guerre qui n’acceptent pas la réintégration des soignants. Et pourtant :

https://www.lefigaro.fr/flash-eco/le-congres-americain-supprime-l-obligation-vaccinale-pour-les-militaires-20221216

Chers collègues, il faudra bien reconnaître vos torts, cette injection était une énorme arnaque et il est temps d’aider les victimes de dégâts plutôt que de se cacher.

Ainsi en Allemagne :

Allemagne : des milliers de victimes de la « vaccination » Covid appellent à l’aide

« Ils voulaient faire preuve de solidarité, mais maintenant ils sont abandonnés. Grande ruée vers la hotline d’une association médicale, le MWGFD (Médecins et Scientifiques pour la Santé, la Liberté et la Démocratie) pour les victimes de la vaccination en Allemagne.

La Hotline a tout de suite été renforcée, car l’affluence est énorme. Les gens sont désespérés. Alors qu’ils étaient accueillis avec joie par les médecins lorsqu’ils voulaient se faire vacciner, maintenant qu’ils sont aux prises avec des problèmes de santé après l’injection, ils sont froidement ignorés. L’association fait le point — et tire une conclusion : l’accompagnement des victimes de la vaccination Covid sera désormais l’un des principaux sujets des médecins critiques.

En effet les médecins disent :

« nous sommes au milieu d’une nouvelle pandémie, une pandémie de dommages causés par les vaccins dont on a longtemps été averti. La souffrance des personnes atteintes de dommages causés par les vaccins s’est vraiment abattue sur nous. Entendre les histoires de malheur dans un volume aussi dense vous fait crier de colère ou vous taire de désespoir. »

« Les gens se plaignent de symptômes neurologiques, de fatigue chronique, de problèmes cardiaques, de problèmes de coagulation, de sensations de brûlure dans tout le corps, de picotements nerveux et de douleurs chroniques. Beaucoup sont incapables de travailler depuis des mois et ont de grands besoins financiers.

En plus des plaintes physiques, la déception et la perplexité face à l’ignorance dont ils font preuve sont particulièrement perceptibles. »

https://www.bvoltaire.fr/mckinsey-et-covid-letau-judiciaire-se-resserre-sur-letat-macroniste/

« Quelques chiffres ? L’État avait prévu pour McKinsey 604 000 euros de budget en 2021. Le cabinet, véritable cerveau de cette crise, a finalement facturé, l’an dernier… 4,4 millions d’euros pour ses précieux conseils en « stratégie vaccinale ». Plus de sept fois la somme prévue ! À lui seul, le cabinet chéri de la Macronie a englouti près de la moitié du budget de consulting prévu par la Direction générale de la santé (DGS) au titre de la crise du Covid-19 (9,5 millions au total). Résultat : les stocks de masques et autres matériels sont énormes… »

https://www.lematin.ch/story/macron-en-hitler-condamnation-annulee-263479768215

La Cour de cassation, la plus haute juridiction française, a annulé mardi la condamnation d’un afficheur qui avait publié des affiches représentant le président Emmanuel Macron en Hitler, estimant qu’il n’a « pas dépassé les limites admissibles de la liberté d’expression ».

il faut poursuivre l’État et les autres pour publicités mensongères (à nos frais)

ET après la vice-présidente (grecque) du Parlement européen derrière les barreaux, la membre de la Commission européenne chargée de la santé, prise sur le fait :

@roger_mm1 sur tweeter (non censuré !)‬‬

EU Health Commissionner Stella Kyriakides (yes, the one signant the Covid deals) received money from Pfizer, AstraZeneca and Johnson&Johnson. Also her account “unexpectedly ended up” with 4 Mio Euros. #Covid19 #NoVaccinePassports #CORRUPTION 11/12/2022 22:35

La commissaire UE à la santé Stella Kyriakides qui a signé les accords Covid a reçu de l’argent de Pfizer, AstraZeneca, Johnson & Johnson. Et son compte « a terminé de manière inattendue » avec 4 millions d’euros. #Covid19 #NoVaccinePassports #CORRUPTION

https://en.rua.gr/2021/05/05/vaccine-makers-bribed-the-european-commissioner/

MAIS IL FAUT CONTINUER À AVERTIR

Pourquoi les personnes vaccinées meurent ? (reseauinternational.net)

Car les mondialistes en déroute se battent bec et ongles pour poursuivre leur tragique scénario. Le pseudovax covid étant démasqué, un « vaccin » antigrippal à ARNm est déjà autorisé avec évidemment les mêmes inconvénients majeurs que celui anticovid. ET :

Sucharit Bhakdi, qui est venu à la conférence de presse « A Better Way Forward ». Extraits. Mais prenez le temps de lire la conférence dans sa totalité.

« Je suis venu à cette conférence, qui est la première (sur ce sujet), car je sentais que c’était nécessaire, car les choses évoluent dans une direction si alarmante.

 L’OMS, le CDC, la FDA, toutes les agences font pression pour un vaccin basé sur les gènes qui remplacera tous les autres vaccins actuellement utilisés dans le monde : rougeole, oreillons, rubéole, tous les autres vaccins, grippe.

Quand nous avons entendu cela, nous avons pensé “oh mon dieu, c’est ce que nous craignons depuis juin” lorsque j’ai exprimé pour la première fois ma crainte que cela ne se produise.

Ce qui se passe maintenant, c’est que le vaccin corona est lentement, lentement tombé en disgrâce parce que les gens ont vu les effets secondaires graves. Ce qui se passe maintenant, c’est que l’attention est attirée sur la protéine de pointe du vaccin lui-même, qui est le coupable. Et ils disent : “Oh, c’est parce que le vaccin corona code pour la protéine de pointe, et c’est dangereux”, et bla, bla, bla.»

(…)Il ne fait aucun doute que cette protéine de pointe est dangereuse, c’est vrai. Mais ne tombez pas dans le panneau, les amis ! Vous devez comprendre que tout vaccin génétiquement modifié sera dangereux.

« Ce que les gens ne comprennent pas, c’est que ces anticorps qui apparaissent à la suite de la vaccination ne sont pas là pour attraper le virus à l’entrée, car le virus ne pénètre pas dans le sang, mais à la porte d’entrée (c’est-à-dire dans les voies respiratoires), et les anticorps ne sont tout simplement pas là. Ils ne sont pas là. C’est pourquoi toutes ces vaccinations contre le virus corona et aussi contre la grippe ne fonctionneront pas. Ils ne peuvent pas travailler, n’ont jamais travaillé et ne travailleront jamais.

La seule chose qu’ils peuvent faire, c’est vous tuer. Pourquoi ?

Ceci est un vaisseau sanguin. L’un est une paroi vasculaire intacte. »

« Pfizer, Moderna, ont ouvert le système vasculaire créé par la nature, de sorte que des gènes étrangers peuvent pénétrer dans les tissus, le cerveau, le cœur, le foie, les poumons, n’importe quel organe et passer par le même processus, et de bien sûr, c’est le début d’une autre attaque contre vos propres cellules, une autoattaque, un processus auto-immun qui ne peut pas être arrêté. Il ne peut pas être arrêté ! »…

« Il existe maintenant des preuves sans équivoque que les protéines de pointe provoquent une inflammation et des dommages aux parois des plus petits vaisseaux du corps. Lorsque cela se produit dans le cerveau et le cœur, des défauts irréversibles subsistent. »…

« Les médecins remarquent maintenant des changements dans la psyché qu’ils n’ont jamais vue auparavant. La perte d’empathie, m’a-t-on dit, a été remarquée. Les gens perdent le contrôle de leur propre esprit, de leur volonté. L’humanité est brisée. L’essence de l’homme est le cerveau.

Et puis il y a le cœur. Vous voyez tous ces athlètes de haut niveau mourir ou abandonner et vous dites qu’ils ne reviendront jamais. Quand on voit tous ces athlètes, on se rend compte qu’ils ont des problèmes cardiaques ».

Sergio Aguero (star argentine) a été éliminé à la 41e minute lors du dernier match contre Barcelone. Le footballeur souffrait de problèmes respiratoires. En septembre, il recommandait fortement de vacciner les enfants de 12 ans avec le sérum Covid.

« Cela arrive parce que ces athlètes poussent leur cœur au-delà de leurs limites absolues, et comme nous le savons, chaque cellule est soumise à un stress énorme et brûle beaucoup d’oxygène, l’épuisant. Et si vous commencez à obstruer les plus petits vaisseaux, ces cellules mourront. Il n’y a pas beaucoup de cellules qui meurent dans une zone, mais plutôt des îlots de cellules qui meurent occasionnellement ».

ET le virologue termine ainsi :

Comme vous le savez peut-être, le premier vaccin à ARN messager contre la grippe a maintenant été approuvé pour une utilisation en association avec Corona.

Si cela ne peut pas être considéré comme une minute après minuit (c’est-à-dire trop tard), alors je ne sais pas ce que c’est.

EXIGEONS L’ARRÊT IMMÉDIAT DES INJECTIONS
ET INFORMONS NOS AMIS, FAMILLES, ETC. !

GARDONS LE MORAL ET L’ÉNERGIE POUR COMBATTRE :
MÊME DANS LES PIRES DICTATURES LE COMBAT PAYE

LES INFOS SE MULTIPLIENT PROVENANT D’INSTANCES OFFICIELLES

https://www.judicialwatch.org/mrna-test-rats-born-with-skeletal-deformations/

Judicial Watch a annoncé aujourd’hui avoir reçu 699 pages de dossiers du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) concernant les données que Moderna a soumises à la Food and Drug Administration (FDA) sur son vaccin ARNm COVID-19, qui indique un nombre « statistiquement significatif » de rats sont nés avec des déformations squelettiques après l’injection du vaccin à leurs mères. Les documents révèlent également que Moderna a choisi de ne pas mener un certain nombre d’études pharmacologiques standard sur les animaux de laboratoire.

Le « Résumé » indique :

  • Aucune étude d’absorption avec l’ARNm-1273 [utilisé dans le vaccin COVID de Moderna] n’a été réalisée.
  • Aucune étude de métabolisme avec l’ARNm-1273 n’a été réalisée.
  • Aucune étude d’excrétion avec l’ARNm-1273 n’a été réalisée.
  • Aucune étude PK [pharmacocinétique] avec l’ARNm-1273 n’a été réalisée.
  • Aucune autre étude pharmacocinétique avec l’ARNm-1273 n’a été réalisée.

Donc si je résume, les rats de laboratoires à l’échelle mondiale, cette fois, c’était des milliards d’humains.

Et certains continuent…

https://www.judicialwatch.org/mrna-test-rats-born-with-skeletal-deformations/ ?

MÊME EN DICTATURE LE COMBAT PAYE : LE GRAND RETOURNEMENT EN CHINE

Après plusieurs semaines de violentes protestations de la part des citoyens chinois, le gouvernement a fini par lâcher sa politique zéro-Covid abandonnée depuis longtemps par tous les autres pays qui l’avaient tentée.

Du jour au lendemain, les Chinois, dont la vie avait été mise en suspens pendant près de trois ans, ont obtenu :

  • L’abandon des mesures de confinement,
  • La réouverture de nombreux magasins, d’hôtels, de restaurants, de cinémas, de banques ou encore de parcs,
  • L’arrêt des placements systématiques de personnes positives dans des centres de confinement,
  • L’abandon des tests PCR « obligatoires » à grande échelle dans plusieurs localités,
  • La possibilité de retourner dans des lieux publics sans devoir présenter un test PCR négatif de moins de 48 heures,
  • L’arrêt de l’application de traçage des déplacements des citoyens,
  • La possibilité de voyager dans le pays sans test PCR requis

Et surtout, un changement radical dans le discours officiel !

Les Chinois y sont parvenus !

En France, par nos combats nous parviendrons aussi à obtenir :

  • La suppression des obligations d’injection covid inutiles de toutes les professions
  • La réintégration des soignants suspendus
  • L’abandon des tests PCR trompeurs et inutiles chez les asymptomatiques
  • La suppression des fichiers de traçage des citoyens
  • L’arrêt des tentatives d’identité numérique des citoyens
  • L’arrêt des mensonges d’état permanents

LE COMBAT PAYE ! Continuons le combat.




Chine — Machine arrière sur la politique sanitaire pour éviter la révolution ?

[Source : Le Grenier de l’éco] (Il y a neuf jours)

« Dans cette vidéo je vous parle de ce qu’il se passe en Chine à savoir les plus grosses protestations depuis les affrontements de la place Tian’amen et le bain de sang répressif qui avait suivi. Potentiellement, ce qui se passe en Chine peut déstabiliser le pouvoir en place, car là, la population ne comprend plus pourquoi elle est à ce point maltraitée par ses propres dirigeants. »

Charles Sannat


[Source : insolentiae.com]

Par Charles Sannat

Finalement contrairement à ce que titrait le Canard Enchaîné avec cet humour légendaire du palmipède, sur Xi Jinping qui ne ferait jamais « ma Chine arrière » et bien si !

Le président chinois est sans doute moins prétentieux que le grand timonier français et dispose finalement d’un sens de la survie.

C’est heureux pour le peuple chinois qui n’en pouvait plus des délires du 0 Covid.

La Chine annonce un assouplissement général des règles sanitaires contre le Covid-19 d’après le journal le Monde !

« La Chine abandonne son approche stricte de lutte contre le coronavirus après des manifestations historiques de colère à travers le pays. Alors que le quotidien de centaines de millions de Chinois continue d’être marqué par les contraintes sanitaires, la Chine a annoncé mercredi 7 décembre un assouplissement général des règles sanitaires contre le Covid, autorisant certains cas positifs à effectuer leur quarantaine à domicile.

Selon les nouvelles consignes « les personnes infectées asymptomatiques et les cas légers qui peuvent être isolés à domicile le seront de manière générale ». C’est un changement radical par rapport à la norme en vigueur depuis presque trois ans, qui exigeait que tout cas positif soit emmené dans un centre de quarantaine. Il ne sera plus nécessaire d’afficher un code de santé vert sur son téléphone pour accéder à la majorité des bâtiments publics.

Par ailleurs, le pays va « réduire davantage la portée des tests à l’acide nucléique et en réduire la fréquence », alors qu’il demandait jusque-là aux habitants de se tester plusieurs fois par semaine pour pouvoir accéder à tout lieu public. L’annonce de mercredi comprend aussi la limitation de l’ampleur du confinement aux étages d’appartements touchés et aux immeubles individuels, plutôt qu’à des quartiers.

Autre nouveauté : il sera désormais possible de voyager d’une province chinoise à l’autre sans avoir à présenter un test PCR négatif de moins de quarante-huit heures, et aucun test ne sera non plus exigé à l’arrivée. »

Il y a pourtant de plus en plus de cas de Covid en Chine… et ils ne manqueront pas de croître puisque nous en sommes déjà chez nous à la 9ème vague, alors les Chinois ont du retard de variants à rattraper !

Il suffira au gouvernement de Pékin de ne plus compter les cas et tout se passera bien.

Avec la coupe du monde retransmise en Chine où le parti faisait rajouter des masques informatiquement sur chaque visage, cela ne passait plus et la population en Chine comprenait bien que le monde entier vit désormais non masqué. La bonne nouvelle c’est que même en Chine la liberté avance. En Iran aussi.

Charles SANNAT

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »

Source Le Monde.fr ici




Propagande Covid délirante pour des masques inefficaces

Par Dr Gérard Delépine

Depuis quelques jours le gouvernement et les médias tentent de raviver la peur à l’aide d’une épidémie de tests et de réimposer le port de masques alors que l’expérience des 30 mois d’épidémie a prouvé :

  • 1°) Que chez les asymptomatiques les tests ne servent à rien ;
  • 2°) Que le port généralisé du masque n’empêche pas les contaminations.

Rappelons que l’évolution d’une épidémie se mesure seulement aux nombres de malades et de morts et que les masques sont incapables de limiter la progression des épidémies virales.

Il n’y a plus d’épidémie Covid menaçante en France

Pour surveiller objectivement l’évolution d’une épidémie, il faut se fier uniquement au nombre de malades (personnes qui souffrent de symptômes) et au nombre de décès quotidiens occasionnés par la maladie.

Dans le monde, l’épidémie covid est en voie d’extinction : le premier décembre 2022 d’après l’OMS moins de 800 décès lui ont été attribués (0,4 % de la mortalité toutes causes confondues) :

Le ministre tente d’effrayer la population en agitant l’augmentation des cas, personnes asymptomatiques qui ont eu le malheur de faire un test PCR revenu positif. Mais un test positif ne signifie pas que l’on est malade du covid, ni porteur de virus, ni contaminant12.

Chez les asymptomatiques, les tests PCR réalisés avec plus de 30 séquences d’amplification sont des faux positifs dans 97 % des cas34.

Le réseau sentinelle5 estime l’incidence des malades covid à 57 cas pour 100 000 très loin des seuils d’alerte6 alors qu’elle dépasse les 300/100000 pour la grippe actuellement en poussée épidémique saisonnière.

De même, la mortalité covid pourtant largement surestimée diminue depuis plus de 6 mois et atteint à peine le quinzième de ce qu’elle était en mars 2020 :

Le 2 12 2022 le directeur de l’OMS a déclaré7 « L’OMS estime qu’au moins 90 % de la population mondiale présente actuellement une certaine forme d’immunité face au virus SARS-CoV-2 ». 

Ne craignez pas l’épidémie de tests PCR faux positifs que nos gouvernants et les médias agitent ! En France comme partout dans le monde la maladie ne tue presque plus.

Le masque est incapable d’empêcher les contaminations virales8 9

Le Dr Colin Axon, membre du conseil scientifique britannique (Scientific Advisory Group for Emergencies ou SAGE)10 a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pas grand-chose pour freiner la propagation du covid, rappelant que la taille du virus COVID-19 est 5 000 fois plus petite que les trous des masques et précisant :

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers ».11

Le port généralisé du masque ne protège donc pas de la contamination virale. L’analyse des 3365 articles de la littérature internationale référencés sur PubMed le 1/12/2022 sous la dénomination « facial mask for Covid » confirme ce fait : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque en population générale protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui et beaucoup démontrent le contraire12.

L’exemple du Brigham and Women’s Hospital de Boston qui a souffert d’une forte poussée de covid-1913, malgré l’emploi systématique des équipements de protection dont les masques, est révélateur.

L’exemple du Meir Medical Center 14 est encore plus frappant, car, outre le port de masques, 92 % des contaminés avaient reçu deux doses de Pfizer. De même le port du masque chez 30 074 athlètes du Visconsin15 s’est révélé inefficace.

Dans le comté texan de Brexar16 :

« Il n’y a pas eu de réduction de la mortalité quotidienne par population, des lits d’hôpital, des lits de soins intensifs ou de l’occupation des ventilateurs des patients positifs au COVID-19 attribuable à la mise en œuvre d’une obligation de port de masques ».

L’étude de Zacharias Fögen, comparant au Kansas (États-Unis) les 17 districts qui imposaient le port du masque aux non masqués (88) entre le 1er août et le 15 octobre 2020, conclut :

« Les résultats de cette étude suggèrent fortement que le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50 % par comparaison avec les comtés qui n’ont pas adopté cette mesure. »

et envisage le mécanisme par lequel le port du masque agit. 17

Initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité, conclusion tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté18 19 20 21 22.

La révision de ses recommandations s’est appuyée sur une revue de simples études observationnelles qui concluaient au conditionnel : « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». En recommandant le masque, l’OMS reconnaissait d’ailleurs :

« À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée de masques par des personnes en bonne santé dans le cadre de la communauté n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes de haute qualité ».

Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour éviter de s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévenait :

« Le masque peut créer un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».

Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais, même dans ces conditions particulières à haut risque, il n’existe pas d’étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination23.

La seule étude prospective randomisée évaluant l’utilité du port du masque généralisé contre le covid, Danmasq1924 25, pourtant réalisée par des partisans du port du masque, ne retrouve aucune baisse significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas : le masque ne protège pas celui qui le porte.

Le Dr Fauci, interrogé sous serment le 23 novembre 2020, n’a pu présenter aucune étude qui plaiderait pour l’utilité des masques26. Le procureur général du Missouri, Éric Schmitt, présent lors de la déposition dans le Maryland, a confirmé sur les médias sociaux que le Dr Fauci « ne pouvait pas citer une seule étude » pour étayer son affirmation selon laquelle les masques étaient efficaces contre le Covid-19.

Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, et sur l’avis d’experts « qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique concrète.

Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques, habituées au masque, seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens.

Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations Omicron par million d’habitants en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque interdit seulement lors des manifestations27) montre que le masquage généralisé de la population asiatique n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations est deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !

Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :

Comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire honnêtement en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune démonstration scientifique, et que de nombreux faits avérés, militent pour son inefficacité ?

En réalité le masque, parfaitement incapable de limiter les contaminations covid, ne constitue qu’une muselière symbolique des pouvoirs désireux de contrôler leur population28.

Si les obligations de port du masque ont été si largement imposées par les politiciens, c’est que le masque représente une forme visible du théâtre d’hygiène, qu’il véhicule un sentiment intuitif de sécurité et transfère la responsabilité du contrôle de la pandémie sur la population.

La surpopulation des unités de soins intensifs peut être ainsi imputée au mauvais comportement des « anti-masques », plutôt qu’à l’allocation insuffisante et mal ciblée des ressources par les gouvernements et les bureaucrates des hôpitaux. Lorsque les cas et les décès augmentent, c’est la faute des citoyens, pas des dirigeants.

Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et doit être respecté, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux et particulièrement nocifs chez les enfants innocents du covid.

Le port généralisé du masque est source de nombreuses complications29

Au 5 décembre 2022, la base de données PubMed recense 1118 articles décrivant des complications du port de masques faciaux. Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.

Une rapide revue des articles publiés30 31 32 33 34 35 met en évidence les cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. La dermatite de contact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente.

Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI. La symptomatologie varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %).

Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques. Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.

En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène, la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.

Beder et coll.36 ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans. Kisielinski K et ses coauteurs37 montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.

L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).

Les complications physiologiques, psychologiques et sociales associées au port du masque sont nombreuses. La perception des émotions est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère. La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique.

Les enfants en sont particulièrement victimes38 39.

Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage de la reconnaissance des émotions et de la parole est particulièrement menacé. Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.

Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui. En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ?

Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent. Les orthophonistes sont débordés40.

La brimade inutile du masque a suscité le mouvement « Saturnay burning » (« brûlez les masques ») qui a enflammé l’Idaho41.

Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge où ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.

Les troubles psychologiques et psychiatriques sont favorisés par le port du masque, facteur de stress et de morosité..

Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque.

Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux lits de psychiatrie générale à l’hôpital (atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS) et fuite des psychiatres de l’hôpital public (30 % des postes de titulaires sont vacants).

Les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes. Les enfants ont été particulièrement touchés et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province. D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.

Les masques usagés constituent aussi un fléau pour la planète et les animaux42 43

Les masques à usage unique sont jetés sur les trottoirs, dans les rivières et sur les plages de tous les pays où ils ont été rendus obligatoires dans les espaces publics. Fabriqués à base de polyester et polypropylène, ils peuvent mettre plusieurs centaines d’années avant de se décomposer et menacent l’environnement et les animaux.

Avoir imposé une telle mesure si totalement inutile, si inconfortable, si toxique en particulier pour les jeunes est une véritable barbarie. Et s’être inspiré pour notre stratégie Covid de celle de la Chine est malheureusement révélateur des valeurs démocratiques de nos dirigeants.

Vive nos libertés. À bas les masques !





Mme V. De Marval de l’AFP, les tests PCR faux positifs sont légion !

Par Dr Gérard Delépine

Dans une tribune trompeuse de l’AFP1 Mme V. De Marval prétend que « la spécificité des tests PCR rendrait rarissimes les résultats faux positifs ».

Certes on ne peut pas reprocher à cette personne, probablement non-médecin, de ne pas savoir ce qu’est un faux positif, mais il est dommage que cette « fast checkeuse » embauchée par l’AFP claironne de manière si péremptoire une telle désinformation. Si elle avait effectué un travail de journaliste et consulté la littérature internationale au lieu de répéter de simples avis de fabricants de tests ou de virologues liés à l’industrie des vaccins, elle aurait certainement été plus prudente.

Car la littérature internationale (consultable par tous et gratuitement sur Pubmed) et les avis récents de l’OMS confirment que les tests PCR faux positifs sont très fréquents.

Qu’entend-on par « test PCR faux positif » ?

On définit comme faux positif un test positif alors que la personne testée ne porte pas le virus, et ne peut donc ni donner des cultures virales actives ni excréter le virus, donc ni contaminer personne ni devenir malade dans les jours qui suivent.

Dans le cas où le résultat est utilisé pour avertir du danger de contamination (détection des personnes contaminantes), un faux positif est une fausse alarme2 dont les conséquences sont lourdes tant pour la personne testée (mise en quarantaine ou en arrêt de travail) que pour le fonctionnement de la société (privée inutilement d’une personne active) et les proches inutilement inquiétés.

Or de nombreux articles signalent la fréquence des faux positifs :

« Jusqu’à 54 % des patients COVID-19 peuvent avoir une RT-PCR initiale faussement négative »3 dès 2020.

Un trop grand nombre de séquences d’amplification crée des faux positifs

Une étude parue en 20204 a montré que la prédiction de l’infectiosité, affirmée par la capacité à récupérer le virus en culture selon le postulat de Koch, est considérablement altérée lorsque les valeurs du seuil de cycle (Ct) sont supérieures à 24.

AVIS DE L’OMS

« L’OMS rappelle d’ailleurs5 dans son document d’orientation sur les tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 que « les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence. La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente… »

L’étude de 3790 tests positifs chez des asymptomatiques6 a montré qu’un test positif obtenu avec le nombre trop élevé de cycles d’amplification, supérieur à 30 (comme cela est habituellement pratiqué en France) est faux dans 97 % des cas. Cette étude de Jafar and co de juin 2021 aurait dû clore le débat…

ÉTUDE DE WUHAN SUR DIX MILLIONS DE TESTÉS

Le dépistage réalisé autour de Wuhan (10 millions de testés)7 a démontré que les tests de dépistage chez les asymptomatiques étaient médicalement inutiles : 300 personnes asymptomatiques ont été testées PCR positives. Leurs cultures de virus, systématiques, ont toutes été négatives ; aucun de ces cas n’a été malade et aucun n’a contaminé quiconque. La Chine n’inclut d’ailleurs pas les cas asymptomatiques dans son décompte des infections confirmées. Tous ces articles ont été largement diffusés de par le monde et la France n’en tient toujours aucun compte. Pourquoi ?

LA FDA VIA LES CDC ORGANISMES OFFICIELS DES USA DEMANDE DE RENONCER AUX TESTS À PARTIR DE DÉCEMBRE 2021

Nous sommes fin 2022 !

Le CDC lui-même a déclaré en juillet 2021 que les tests PCR classiques ne devaient plus être utilisés au-delà du 31/12/2021.

« Après le 31 décembre 2021, le CDC retirera la demande d’Autorisation d’Utilisation d’Urgence (EUA) auprès de la Food and Drug Administration (FDA) du kit de diagnostic RT-PCR en temps réel du nouveau coronavirus (2019-nCoV), le test introduit pour la première fois en février 2020 pour la détection du SRAS-CoV-2 uniquement. Le CDC fournit cet avis préalable afin que les laboratoires cliniques disposent de suffisamment de temps pour sélectionner et mettre en œuvre l’une des nombreuses alternatives autorisées par la FDA ».89

La cour d’appel de Lisbonne avait d’ailleurs rappelé dès 2020 dans un jugement10 qui fait jurisprudence dans ce pays que « le diagnostic de Covid ne pouvait en aucun cas être affirmé sur la positivité d’un test PCR, mais devait être établi par un médecin après examen clinique éventuellement complété par des examens complémentaires » ordonnant la libération immédiate de touristes allemands mis en quarantaine sur un la foi d’un test PCR faussement positif.11

En l’absence de symptômes les tests PCR sont trompeurs et rendent donc les dépistages généralisés inefficaces, trompeurs, voire nuisibles. Ils ne servent qu’à créer et à entretenir la peur d’une épidémie fantôme dans la population et leur instrumentalisation a causé d’énormes dommages à la société (tant économiques que psychologiques en particulier).

Quand la maladie est rare, les faux positifs sont légion

Or quand ce que l’on recherche est rare, et que le test utilisé n’est pas parfaitement spécifique, il est généralement beaucoup plus probable qu’un cas déclaré positif soit en réalité un faux positif.

En médecine, plus une maladie est rare, plus le risque de surdiagnostic est élevé. Ainsi, si l’on teste 1000 personnes au hasard avec un test produisant 5 % de faux positifs, on annonce à 50 personnes que le test est positif. Si la maladie ne touche que 1 personne sur 1 000 dans la population générale, on peut montrer par le théorème de Bayes que la personne n’a en moyenne que 2 % de chances d’être effectivement atteinte (donc on l’annonce à 51 personnes dont une seule est atteinte).

Dans l’avis précédemment cité, l’OMS a attiré l’attention sur la fréquence des faux positifs lorsque la prévalence de la maladie est faible.

« L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente12. Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test. »

Cet appel à la prudence est rappelé dans beaucoup des 783 articles référencés par Pubmed le 3/12/2022 en réponse à la recherche « false positive covid test » dont nous citerons quelques conclusions :

« Les tests disponibles doivent être interprétés à la lumière de l’incidence de fond de l’infection par le SRAS-CoV-2 dans les communautés dans lesquelles ils sont utilisés, afin de minimiser le nombre de faux cas positifs. »13

« On ne sait pas s’ils sont contagieux, car un test positif de transcriptase inverse – réaction en chaîne par polymérase (RT-PCR) n’indique pas nécessairement la présence de virus réplicatif et transmissible »14.

« La validité incertaine des tests de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse combinée à une population à faible prévalence prédispose à des résultats faussement positifs »15.

Or dans le monde l’épidémie s’éteint, représentant au 1/12/22 moins de 0,05 % de la mortalité globale (800 morts de covid sur les 1,8 million de décès mondiaux quotidiens).

Fin novembre 2022, l’incidence du Covid19 en France était faible : le réseau sentinelle officiel l’estimait la semaine dernière (2022s47) à 57 cas pour 100 000 habitants. Pour une spécificité de 97 % dépister par tests PCR 100 000 habitants aboutirait à annoncer à 3057 personnes qu’elles sont positives (3000 tests faussement positifs et 57 malades) avec des conséquences directes pour 88 % des testés et indirectes pour le reste de la population à laquelle la propagande annoncerait une incidence de 3057 pour 100 000.

Les faux positifs sont responsables de dommages individuels et sociétaux importants16

Pour l’individu

Complications sanitaires lors de tests effectués avant des procédures ou des chirurgies électives : annulation ou report inutile du traitement ou lors d’admissions urgentes à l’hôpital 17: exposition potentielle à une infection suivant une mauvaise voie en milieu hospitalier en tant que patient hospitalisé. Mais aussi : pertes financières liées à la mise autoritaire en quarantaine ou à l’auto-isolement, aux pertes de revenus et aux voyages annulés, ou dommages psychologiques dus à un diagnostic erroné ou à la peur d’infecter les autres, à l’isolement ou à la stigmatisation.

Pour la société 

Gaspillage de l’argent public et des ressources humaines employées pour les tests et la traçabilité, coût des remplacements en milieu de travail, pertes commerciales diverses,

Mauvaise performance épidémiologique : surestimation de l’incidence de la COVID-19 et de l’étendue de l’infection asymptomatique ainsi que le souligne Kumleben 18

« Donner de fausses assurances sur lesquelles des décisions personnelles ou sociétales pourraient être fondées pourrait être préjudiciable pour les individus, saper la confiance du public et favoriser de nouvelles épidémies. » 19 « Nous démontrons la valeur de la déclaration de la probabilité de résultats faux positifs, de la probabilité de résultats faux négatifs et des coûts pour les patients et les soins de santé. »

Performances de diagnostic trompeuses, pouvant conduire à des décisions d’achat ou d’investissement erronées si un nouveau test montre des performances élevées en identifiant des échantillons de référence négatifs comme positifs (c’est-à-dire, s’agit-il d’un faux positif ou le test montre-t-il une sensibilité plus élevée que les autres tests de comparaison utilisés pour établir la négativité de l’échantillon d’essai ?)

Mauvaise orientation des politiques concernant les confinements, les diverses restrictions d’activité et les fermetures d’écoles avec leurs conséquences délétères.

Augmentation de la dépression et de la violence domestique (par exemple, en raison du confinement, de l’isolement et de la perte de revenus après un test positif).

Non Mme de Marval, et l’AFP, les résultats faux positifs ne sont pas rarissimes, mais au contraire de plus en plus nombreux et ont causé des dommages sanitaires et économiques considérables aux individus et à la société.

Avant d’affirmer une telle contre-vérité, vous auriez dû faire un travail de journaliste défini par Charte mondiale d’éthique des journalistes20 : enquêter à charge et à décharge, consulter la littérature internationale et interroger ceux qui ont publié des articles démentant vos croyances dans des revues à comité de lecture.

À quelles fins de tels mensonges ?





Refuser la marche forcée pour injecter petits et femmes enceintes par un médicament génique expérimental

Par Nicole Delépine, pédiatre cancérologue

En Californie, l’échec du gouvernement et des associations provax à faire vacciner les enfants malgré toutes leurs pressions et leur propagande nous réjouit. Le mythe covid commence à ne plus fonctionner, même dans les pires États comme la Californie ou New York qui réintègre et indemnise les suspendus, soignants et autres.

« Contrairement aux prévisions de Rochelle Walensky, directrice du centre de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), il semblerait que la vaccination des enfants suscite peu d’engouement. À ce jour, près de 70 % des enfants américains âgés de 5 à 11 ans ne sont toujours pas vaccinés. En Californie, l’Association médicale de Californie, l’Académie américaine de pédiatrie, l’Académie californienne des médecins de famille et la Coalition californienne pour l’immunisation ont demandé à tous les prestataires de services pédiatriques de recommander la vaccination contre le Covid-19 et la grippe pour protéger les enfants. Pourtant jusqu’à ce jour, aucun variant agressif pour les enfants n’est apparu. Aussi est-on en droit de s’interroger sur les raisons réelles de cette propagande pour la vaccination, qui soulève de nombreuses questions. »1

Des chiffres d’origine incertaine sans mise en perspective pour effrayer les parents : « Selon l’Association médicale de Californie et ses partenaires, même si les cas de Covid-19 grave sont rares chez les enfants, la maladie a causé 122 000 hospitalisations et 1500 décès aux États-Unis. On aimerait connaître la source de ces données, car parmi les 0-17 ans, malgré de fortes incertitudes2 au 1/12/2022, le CDC recensait moins de 1000 décès attribués au covid3.

Pour illustrer le faible risque vital que courent les enfants le Dr Daniel Rauch, chef du service pédiatrique au Tufts Children’s Hospital de Boston prend en exemple la coupe du monde :

« Pensez-y en termes de stades de football : sur 100 000 enfants, l’un d’eux ne s’en sortira pas avec COVID. Tous les autres qui sont entrés vont sortir. »

De plus, on aimerait aussi vérifier les dossiers médicaux pour voir si ces petits sont morts malades du covid ou le plus souvent morts d’une autre cause avec seulement avec un test PCR positif comme la Société française de pédiatrie a pu le démontrer en France :

« Pour 21 décès avec une investigation qui a pu être menée à son terme, il a été retrouvé pour 17 enfants des comorbidités très sévères »… “dans certains cas, l’infection était de découverte fortuite et le décès était en lien avec un accident ou une autre pathologie ».

Enfin, ce chiffre étonnamment élevé de 50 morts d’enfants par mois brandi par l’association médicale de Californie doit être comparé aux autres causes de décès d’enfants aux USA : par arme à feu : 358 par mois4, par accident de la route : 325 par mois. La troisième cause de décès est la mort par surdose et empoisonnement et en 2021, le National Cancer Institute estime que 15 590 enfants et adolescents âgés de 0 à 19 ans ont souffert de cancer et que 1800 en sont morts,5 permettant de chiffrer à 150 le nombre mensuel moyen de décès d’enfants par cancer.

Chacun avertit, mais il y a encore trop de sourds et aveugles au danger encouru par l’Humanité.

👉IMPARDONNABLE – 125 enfants morts, 1 000 handicapés et 50 000 lésés à cause de la vaccination Covid-19 aux USA au 3 juin 2022

« Les derniers chiffres publiés par les Centres américains de contrôle des maladies révèlent que 50 000 enfants ont été affectés par la vaccination contre le Covid-19 aux États-Unis. Malheureusement, 1 112 de ces enfants ont souffert d’une complication mettant leur vie en danger ou d’un handicap permanent, tandis que 125 autres enfants ont malheureusement perdu la vie. »6

LES PARENTS OUVRENT LES YEUX 7 ET LES MENSONGES ACCUMULÉS SUR L’INJECTION COVID JETTENT LE TROUBLE SUR LES AUTRES VACCINS

16/11/2022

Dr McCullough (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/9495) explique à Robert Kennedy Jr (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6891) que les parents sont beaucoup plus réticents à faire des vaccins depuis le “désastre de l’injection Covid19” :

« On a ouvert la boîte de Pandore et les gens examinent tous les vaccins avec attention. Et nous comprenons le sens d’essais de contrôle appropriés. Nous voyons maintenant des vaccins administrés pour des maladies facilement traitables comme la coqueluche ou la diphtérie et nous assistons maintenant à une attaque incroyable ! Nous voyons maintenant des enfants recevoir plus de 17 injections. Quand j’étais petit, il n’y en avait que 3 ! Et il y a probablement eu une attribution inappropriée du succès de ces vaccins.

Ainsi, même certains des premiers succès jamais revendiqués par les vaccins sont probablement davantage attribuables à l’assainissement ou à d’autres formes de soins médicaux.

Donc, ce qui se passe maintenant, c’est qu’ils avaient l’habitude de recenser un taux de réticence à la vaccination ce qu’on appelle : ‘l’hésitation aux vaccins’ aux États-Unis. Ce taux était d’environ 2,5 % de la population avant. Actuellement, du fait des mensonges permanents constatés par la population, la confiance en la parole de l’état a fortement chuté et l’hésitation aux vaccins dépasse les 25 %.

J’ai fait une excellente interview avec le Dr Sherri Tenpenny (https://www.tenpennyimc.com/sherri-tenpenny-bio) récemment.

Moi je suis un médecin entièrement vacciné et elle est un médecin entièrement non vacciné, elle n’a jamais pris un seul vaccin de sa vie !

Nous avions donc deux perspectives différentes, mais ce sur quoi nous nous sommes mis d’accord, c’est que les vaccins, comme toute thérapie médicale, méritent une réévaluation dans le temps.

Rien n’a de permanence, rien n’a de talisman, rien n’a une existence basée sur la foi. Tout a un état dans le temps. Les médicaments que nous utilisons maintenant ne sont pas les mêmes que ceux que nous utilisions l’année dernière. Et si les médicaments sont retirés, les vaccins devraient être retirés. Tout doit faire l’objet d’une évaluation critique.

Et la catastrophe du vaccin Covid-19 a ouvert la boîte de Pandore et maintenant, selon des estimations récentes, environ 30 % des parents sont maintenant très préoccupés par l’ensemble du calendrier vaccinal. »8

MORTINAISSANCES AVOUÉES EN AUSTRALIE

Voici un graphique intéressant sur les mortinaissances australiennes. Pourquoi y aurait-il un bond aussi astronomique des mortinaissances à partir de 2021-2022 ?

AUX USA, FAUSSES COUCHES ET MORTALITÉ PÉRINATALE IMPORTANTES

Même si VAERS est connu pour avoir supprimé de grandes quantités de données rapportées, celle-ci affiche encore suffisamment de chiffres pour susciter de sérieuses inquiétudes.9

VAERS COVID Vaccine Reproductive Health Related Reports

LA DUPERIE COMMENCE À ÊTRE RÉVÉLÉE : SCOOP !

Les remarques du Dr Bourla sur le vaccin des enfants étaient « honteusement trompeuses » et « de nature extrêmement promotionnelle » 10

ET LA MORTALITÉ GLOBALE AUGMENTE

🔵🌍Nos enfants meurent du vaccin covid
Les données recueillies dans 24 pays montrent le dépassement de surmortalité.
Dépassement du pic hebdomadaire des enfants de 0 à 14 ans :
215 morts en 2020
Autorisation vaccinale des enfants de 12 à 5 ans de l’EMA.
481 morts
2022 : Vaccinations et rappels des enfants
+ de 807 morts
C’est un record absolu.
Pour les enfants de 0 à 14 ans, la probabilité de mourir du covid est très proche de zéro.11

EUDRAVIGILANCE POUR UE

EudraVigilance data updates

Data status 19/11/2022

– EMA data update (Cf. z. data status 11/14/2022):
→ 2,120,667 cases (+13,852)
→ 26,870 deaths (+32)
→ 610,753 serious adverse events (+3,248).

– Affected children:
→ 40,567 cases (+242)
→ 243 deaths (+0)
→ 14,501 serious adverse events (+56)

Et si vous souhaitez écouter une vidéo sur les problèmes des fœtus :

Et globalement en UE effets toxiques des pseudovax anticovid comparés à ceux des effets des vaccins administrés en UE de 2010 à 2022 NOV :

Au niveau mondial, les données de mortalité de l’OMS montrent que l’épidémie est en voie d’extinction :

NE VACCINEZ NI LES ENFANTS,
NI LES FEMMES ENCEINTES,
NI TOUTE PERSONNE JEUNE OU VIEILLE QUE VOUS AIMEZ !





A. Houpert et M. Wonner victimes de la chasse aux sorcières. Faire taire les parlementaires est une insulte à leurs électeurs et à la démocratie

Par le Dr Nicole Delépine

Après le sénateur Alain Houpert sanctionné de 18 mois d’interdiction d’exercice, dont neuf avec sursis1, c’est l’ex-députée Martine Wonner qui est scandaleusement suspendue par le conseil de l’ordre du Bas-Rhin2.

Les conséquences de ces décisions vont au-delà du cas personnel de nos représentants, d’autant plus que les conseillers ordinaux qui condamnent les médecins qui parlent ou qui soignent ne font pas la chasse aux conflits d’intérêts non déclarés alors que la loi transparence-santé les en a chargés.

Les Français rejettent les politiques comme en témoigne le taux d’abstention aux dernières élections. Comment pourraient-ils encore croire au jeu représentatif quand ceux qui détournent leurs mandats comme les conseillers de l’ordre des médecins bâillonnent ouvertement les élus courageux qui informent et font leur travail ?

On avait bien compris les jeux d’influence, le politiquement correct, le pas de vague, les discussions de couloir et les pressions pour limiter l’expression de parole des opposants au sein des groupes. Mais réprimer ouvertement la libre expression d’un parlementaire est un pas supplémentaire qui ouvrira peut-être quelques consciences supplémentaires de la marche vers le totalitarisme qui s’installe et dont la seule limite est évidemment le peuple.

🔴🇫🇷 L’ex-députée Martine Wonner, a été suspendue un an par le conseil de l’ordre des médecins.

L’ex-députée du Bas-Rhin entre 2017 et 2022 Martine Wonner, psychiatre de profession a été suspendue vendredi 25 novembre par le conseil de l’ordre des médecins du Grand Est pour une durée d’un an. Elle va faire appel de cette sanction.

L’ancienne députée avait affirmé que le masque « ne servait strictement à rien » et que les vaccins contre le Covid-19 pouvaient déclencher « des fausses couches », de « multiples cancers » et transmettre « le sida ».

Martine Wonner, qui compte faire appel de cette suspension, a jugé vendredi cette décision « scandaleuse ».3

Que peut conclure un lecteur de cet article de la radio progouvernementale ? La députée s’est opposée au port du masque : on savait déjà qu’elle avait raison, mais la confirmation, par de multiples études internationales de l’inutilité de l’obligation généralisée du port du masque a démontré son rôle de lanceur d’alerte précoce et qu’on aurait dû l’écouter et la remercier.4 5 6

Martine Wonner, fine psychiatre avait compris avant beaucoup d’autres la signification sociétale du port du masque :

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ».7

Que ne l’a-t-on pas écouté au lieu de l’humilier dans l’hémicycle comme s’est permis l’ex-ministre Véran ? L’inefficacité antivirale et les innombrables effets pervers du masque, connus d’emblée, se sont malheureusement confirmés dans la pratique. 8

« Jacinda Ardern se dit “déconcertée” par le fait que la Nouvelle-Zélande enregistre le plus grand nombre de décès et d’infections par le virus Covid que tous les pays voisins sans masque, et ce malgré le fait que la Nouvelle-Zélande maintienne des obligations strictes de port de masque. »

« Selon les rapports, les pays voisins sans masque, comme l’Australie, ne comptent qu’une infime partie des infections par rapport à la Nouvelle-Zélande.

Par coïncidence, Singapour est le seul autre pays où le port du masque est obligatoire et ce pays connaît également des niveaux records d’infections et de décès ».

LE PORT DU MASQUE, UNE CATASTROPHE POUR UNE GÉNÉRATION

Quant aux conséquences majeures chez les plus jeunes, elles ont été envisagées d’emblée et confirmées dans la réalité 9 :

« Selon un rapport officiel, les mesures de confinement, y compris le port de masques par les adultes, ont laissé une génération de bébés et d’enfants en bas âge avec des difficultés d’élocution et de socialisation.

Les inspecteurs travaillant pour l’Ofsted ont constaté que le fait que les enfants en bas âge soient entourés d’adultes portant des masques pendant de longues périodes au cours des deux dernières années a nui à leurs capacités d’apprentissage et de communication.

Ceux qui atteignent l’âge de deux ans “auront été entourés d’adultes portant des masques pendant toute leur vie et n’auront donc pas pu voir les mouvements des lèvres ou les formes de la bouche aussi régulièrement”, selon le rapport.

Certains prestataires ont signalé que des retards dans le développement de la parole et du langage des enfants les empêchaient de se socialiser avec d’autres enfants aussi facilement qu’ils l’auraient souhaité auparavant”, ajoute le rapport.

En raison de ces restrictions, les tout-petits ont également du mal à ramper, à utiliser les toilettes de manière autonome et à se faire des amis.

Les retards d’apprentissage ont également fait régresser certains enfants au point qu’ils avaient besoin d’aide pour des tâches de base comme mettre leur manteau ou se moucher ».

Une autre étude, menée en Allemagne, a révélé que la capacité de lecture des enfants s’est effondrée par rapport à l’époque pré-COVID, en raison des politiques de fermeture des écoles.

L’orthophoniste Jaclyn Theek a déclaré :

« Le port du masque pendant la pandémie a entraîné une augmentation de 364 % des demandes de consultation de bébés et de jeunes enfants. Ils ne tentent pas de parler et ne communiquent pas du tout avec leur famille », a-t-elle déclaré, ajoutant que les symptômes de l’autisme sont également en forte hausse.

A speech therapist says her clinic has seen a « 364% increase in patient referrals of babies and toddlers.» « It’s very important kids do see your face to learn, so they’re watching your mouth. » What the hell have we done?! End this cruel insanity10.

Peut-on reprocher à une parlementaire, psychiatre de surcroit d’avoir averti ses collègues de faits avérés par de très nombreuses études et de l’avoir fait dans le cadre de son activité parlementaire pour laquelle elle a été élue ?

« Selon un psychiatre clinicien pour enfants et adolescents, les récentes politiques de confinements et de masques imposés par la nation vont créer une génération d’enfants présentant un QI inférieur et des signes de lésions cérébrales sociales. »

Son devoir n’était-il pas justement d’alerter comme elle l’a fait ?

« Le Dr Mark McDonald a cité une étude réalisée le 11 août par l’Université Brown (PDF), selon laquelle « les enfants nés pendant la pandémie ont des performances verbales, motrices et cognitives globales considérablement réduites par rapport aux enfants nés avant la pandémie », lors d’un entretien avec l’animatrice Cindy Drukier dans l’épisode du 25 décembre de l’émission The Nation Speaks“ dNTD. NTD est un média frère de The Epoch Times.

Les masques, les « écoles Zoom » et les confinements ont conduit à « une privation générale de contact social, [à] ne pas pouvoir voir les visages, à être coincé à la maison toute la journée, [et cela] a effectivement causé des dommages au cerveau des jeunes », a-t-il déclaré.

Dans une autre interview de l’épisode, le professeur Carl Heneghan, directeur du Centre for Evidence-Based Medicine de l’université d’Oxford, a cité des preuves que les restrictions liées à la pandémie et la« peur que nous inspirons aux enfants » ont entraîné une aggravation des problèmes psychologiques.

Heneghan a cité son étude du 2 octobre, qui conclut que« huit enfants et adolescents sur dix signalent une aggravation du comportement ou de tout symptôme psychologique ou une augmentation des sentiments négatifs en raison de la pandémie de COVID-19 ».11

Même Facebook a reconnu son erreur concernant les masques12. Il y aurait beaucoup à dire sur la censure par fb des informations exactes.13

Errare humanum est, perseverare diabolicum

Tous ces faits avérés et ces drames ne peuvent être ignorés des « juges » de Mme le dr Wonner, ni de France info. Comment osent-ils après deux et demi de recul ? L’erreur est humaine, mais persévérer est diabolique.

LES PSEUDOVACCINS ENTRAÎNENT DES FAUSSES COUCHES, DES TURBOCANCERS ET UNE BAISSE DE L’IMMUNITÉ et DES MORTS

Le second reproche cité par France info serait le suivant :

Les vaccins contre le Covid-19 pouvaient déclencher « des fausses couches », de « multiples cancers » et transmettre « le sida ».

Eh bien oui, malheureusement Mme le DR Wonner avait raison de le dire. Elle avait simplement consulté les publications du VAERS agence américaine dépendante de la FDA chargée de collecter les effets secondaires qui ont révélé très tôt l’augmentation considérable des fausses couches chez les femmes enceintes malencontreusement vaccinées. Les données d’EUDRAVIGILANCE ont malheureusement confirmé et on se demande comment la direction générale de la santé se permet encore de conseiller l’injection génique aux femmes enceintes après l’accumulation mondiale de données cohérentes sur les risques des pseudovaccins.14 15

LES TURBOCANCERS

Les cancers se sont malheureusement multipliés chez les injectés avec le nombre de rappels : non seulement le réveil de cancers en rémission longue depuis plusieurs années, parfois plus de quinze ans, mais aussi l’apparition de cancers chez des jeunes comme des lymphomes, des cancers du pancréas en particulier. La particularité de tous ces cancers, récidivés ou nouvellement apparus, est leur évolution très rapide et leur insensibilité aux traitements proposés. Ils sont qualifiés de « turbocancers ». La découverte de ces complications terribles au temps où les cancérologues se permettent d’exiger l’injection pour prendre en charge le patient date de plus d’un an déjà et se confirme mois après mois par de nouvelles publications. Comment les médecins juges du Conseil de l’ordre peuvent-ils reprocher cette mise en garde de notre clairvoyante députée ?

Selon une pathologiste, les caractéristiques des cancers du sein qu’elle observe depuis la vaccination ont évolué, plus gros, plus rapides, plus récidivants16. « Des études de cas de prolifération de lésions lymphomateuses après vaccin sont publiées, un hypermétabolisme des ganglions après vaccin (qui est attendu) a été noté également », selon l’article de l’AIMSIB qui correspond aux observations de très nombreux médecins.

L’IMMUNODÉPRESSION ET SON TRAIN DE CONSÉQUENCES AUGMENTENT AVEC LE NOMBRE DES INJECTIONS

Quant au SIDA il s’agit du syndrome de déficience immunitaire acquise, donc de perte de l’immunité, suivant une ou plusieurs injections géniques dont la réalité est malheureusement avérée par la pratique clinique et les publications.17

« Les vaccins anti-COVID-19 utilisés sont tous fondés sur la spike ou la contiennent. Les vaccins reproduisent les effets pathogènes de la spike virale toxique.La plupart des mécanismes biologiques qui expliquent les effets indésirables des vaccins ont été anticipés par des experts officiels ou non. La spike du SARS-CoV-2 interagit avec le système rénine-angiotensine (via sa liaison à l’ACE2) et va le déréguler : ce mécanisme permet d’anticiper la pathogénicité du virus et des vaccins. De plus, l’ADE est connu pour les vaccins anti-coronavirus et a été noté dans les essais de vaccins contre le SARS-CoV-1. L’ADE a été démontré dans la COIVD-19 et les anticorps facilitants trouvés après vaccination. Les autres mécanismes biologiques concernent l’effet allergisant du PEG des nanoparticules (LNPs), les homologies de la spike avec les protéines humainesla biodistribution des LNPs dans le foie, la rate, les ovaires et testicules, la moelle osseuse, en particulier, la capacité de la spike de se transformer en prion. L’immunosuppression aspécifique et spécifique sont aussi explorées dans ce texte ainsi que l’effet cancérogène des vaccins. Les myocardites et thromboses seront abordées ultérieurement. »

En résumé, les inquiétudes et avertissements de Mme Wonner étaient largement justifiés et on s’étonne que les conseillers ordinaux dûment informés ? Ne serait-ce que par sa longue audition aient pu prendre une telle décision. Quel est leur degré de liberté ? Comment acceptent-ils de se transformer en simples inquisiteurs chargés de condamner les hérétiques qui mettent en doute le dogme gouvernemental ?

Au-delà de la véracité et de l’importance des déclarations de Mme la Députée, le sujet récurrent est celui de la LIBERTÉ, et singulièrement de la liberté d’expression tant bafouée et menacée par les projets de la Milivudes, via une ancienne scientologiste, tentant de faire dénoncer les opposants traités de complotistes.

La liberté d’expression18

Elle fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et est consacrée depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789 :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier :

« C’est la liberté la plus fondamentale, car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. »

Or depuis deux ans et demi, on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

Éloge du doute et des débats

Ce qui sépare la science de la religion est le doute.

Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés ; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés.

Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelle découverte scientifique. Pour ces raisons, la censure qui vise à supprimer le doute est profondément antidémocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.

Dès le 21 avril 2020, l’éditorial du Dagens Nyheter mettait les Suédois en garde : « si on abandonne une partie de la démocratie maintenant, on ne sait jamais vraiment quand on la récupérera » faisant preuve d’un courage qu’aucun journal français n’a montré à l’exception de France Soir. Ils avaient raison !

Pour l’anniversaire des 70 ans de l’UNESC0, on peut lire ces phrases fondamentales :

La liberté d’expression : Un droit humain fondamental, pilier de toutes les libertés civiques

© AFP

La liberté d’expression est le fondement de toute démocratie. Le mandat de l’UNESCO repose sur la protection et la promotion de la liberté d’expression, que ce soit en ligne ou hors ligne. L’Acte constitutif de l’Organisation invite les États membres à travailler ensemble pour promouvoir la connaissance et la compréhension mutuelles des peuples à travers la libre circulation des idées, par le mot et par l’image.

La liberté d’expression est un droit humain fondamental énoncé à l’article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme. De même que la liberté d’information et la liberté de la presse, la liberté d’expression pose la base de tous les autres droits. L’Organisation reconnaît que les droits de l’homme s’appliquent aussi bien en ligne que hors ligne. Par conséquent, l’UNESCO s’engage à étudier les questions liées à la liberté d’expression et à la vie privée, à l’accès, et à l’éthique sur l’Internet.

L’Organisation s’implique depuis longtemps dans des questions relatives à l’Internet, par exemple à travers le Sommet mondial sur la société de l’information et le Forum sur la gouvernance de l’Internet. Les journalistes et professionnels des médias sont indispensables au plein exercice de notre « droit de savoir. »

« De ce fait, ils doivent pouvoir travailler dans un environnement propice à un journalisme libre et indépendant. L’UNESCO soutient les médias indépendants en zones de conflit et pays en transition, afin de leur permettre de jouer un rôle actif dans la prévention et la résolution des conflits et dans la transition vers une culture de paix. »

Le Prix mondial de la liberté de la presse UNESCO/Guillermo Cano a été créé en 1997 afin de sensibiliser le monde au rôle fondamental de la presse en société et au besoin de garantir la sécurité des professionnels des médias. Nommé en l’honneur de Guillermo Cano, l’éditeur colombien assassiné en 1986 par les mafias de narcotrafiquants dont il dénonçait courageusement les exactions, le Prix distingue une personne, une organisation ou une institution qui a contribué d’une manière notable à la défense et/ou à la promotion de la liberté de la presse.

L’UNESCO soutient activement la sécurité des journalistes : ils doivent pouvoir exercer leur profession dans un environnement libre de tout risque de violence et défendre le droit à la liberté d’opinion et d’expression pour tous. L’Organisation défend donc le Plan d’action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question de l’impunité (Plan d’action des Nations Unies), premier effort concerté au sein de la famille onusienne pour traiter de ces questions par le biais d’une approche holistique et multipartite. Il sert désormais de référence mondiale, mise en évidence dans de nombreuses résolutions et politiques de l’Assemblée générale de l’ONU, du Conseil des droits de l’homme, et de l’Union européenne.

Le Plan d’action des Nations Unies est le résultat d’un processus initié par le Programme international pour le développement de la communication (PIDC). Le PIDC s’engage à promouvoir l’indépendance et le pluralisme des médias, à contribuer au développement durable, à la démocratie et à la bonne gouvernance en renforçant les capacités des médias libres et indépendants, ainsi qu’au développement des médias. Depuis sa création en 1980, le PIDC a appuyé plus de 1 700 projets dans quelque 140 pays.

La liberté d’expression et celle d’information constituent les piliers d’une société saine et démocratique sur lesquels repose la croissance sociale et économique : ils permettent la libre circulation des idées — nécessaire à l’innovation — et renforcent la responsabilité et la transparence. « Le journalisme prospère lorsque les médias sont libres et indépendants, lorsque les journalistes peuvent exercer leur métier en toute sécurité, lorsque l’impunité est l’exception, » a déclaré la Directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokova.

Relisons tous ces textes et faisons-les appliquer. Et plutôt que de critiquer René Chiche tentons de retrouver l’esprit philosophe de nos 17 ans et de se demander ce que voulait dire Blaise Pascal par « se moquer de la philosophie » :

« C’est bien relever d’une indépendance d’esprit dont fait preuve le véritable philosophe, celui qui pense par lui-même, libre des opinions et des pressions socioreligieuses de son environnement. »

Cette liberté d’expression est de plus en plus mise en cause, des condamnations de l’ordre des médecins aux convocations par des commissariats de soignants vaccino prudents.
Récemment le Dr Julien Devilleger a été convoqué par le commissariat local écoutez son interview récente Julien Devilléger cardiologue. — CrowdBunker2

Il est intolérable que cet ordre des médecins (créé par vichy et dont les premières mesures ont constitué à exclure les médecins juifs et à demander aux médecins de dénoncer les résistants blessés par balle) ose poursuivre des médecins pour l’expression d’opinions scientifiquement étayées par des faits avérés, alors qu’il ne poursuit presque jamais les médecins de plateau télé qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts violant ainsi totalement ainsi la loi transparence santé que ce même conseil est chargé d’appliquer.

Le Conseil de l’Ordre a ainsi rétabli le délit d’opinion qui lui paraît constitué dès qu’un médecin dément un élément de propagande gouvernementale, et se comporte donc en grand inquisiteur de la Pensée unique.

Cette suppression de la liberté d’expression touche les autres professions comme l’attaque du professeur de philosophie René Chiche ou du mathématicien Vincent Pavan suspendu de ses fonctions et privé de la moitié de son salaire l’ont prouvé récemment.19

Surtout, ne croyez pas le gouvernement qui tente à nouveau de nous faire peur avec une pseudo nouvelle vague.

Reprise de la propagande mensongère fondée sur un nombre stratosphérique de « cas » obtenus à partir du test PCR qui n’est pas fait pour le dépistage selon son inventeur Karry Mullis lui-même et, qui chez les asymptomatiques est faux dans 97 % des cas.20

France-Désinfo martèle : « L’épidémie repart à la hausse avec 40 000 “cas” quotidiens. » Sauf que… les « cas » ne sont pas des « malades » ! Et seuls les nombres de malades et de morts permettent de mesurer l’évolution d’une épidémie.

La vérité est ici : https://covid.irsan.eu. Il y a eu 29 « malades » pour 100 000 habitants pour cette semaine ! Il n’y a donc aucun redémarrage de l’épidémie de covid !





Ne réintégrons pas les personnels suspendus !

À quoi bon, les hôpitaux ou les casernes de pompiers n’en manquent pas1 !

Par Alain Tortosa

[NRLR Texte utilisant le second degré.]

2

Je ne comprends pas pourquoi des politiques parlent encore des personnels soignants suspendus suite à l’obligation vaccinale, un non-sujet par excellence.

Vous me direz que la France est un des seuls, voir le seul pays qui ne les a pas réintégrés.
Mais ce n’est pas une raison, si les autres pays font n’importe quoi, devrions-nous faire de même ?

Nous n’avons pas à suivre les autres, je vous rappelle que la France, patrie de Rousseau, mère des droits de l’homme, est un phare dans la nuit.

Ayant fait mes armes auprès de France Info « la chaîne de la vérité », je vais vous narrer les faits de telle manière que même Rudy Reichstadt3 serait fier de moi.

Je ne résiste d’ailleurs pas au plaisir de le citer4 :

« Le complotisme est un révisionnisme en temps réel. »

Whaouh !!!

Revenons donc sur les « faits » et uniquement les « faits ».

Tout a débuté lorsque notre gouvernement, dans sa grande sagesse, a décidé de rendre obligatoire la vaccination Covid pour tous les personnels en contact avec les plus fragiles d’entre-nous.

Une raison de se réjouir ?
Absolument pas car cela dénote la déliquescence de notre société !
Rendez-vous compte, en arriver à obliger des soignants à se vacciner alors que cela va de soi.

Tout fout l’camp comme dirait l’autre.
Imaginez que pour leur soit disant « liberté », certains décidaient de ne pas se laver les mains en sortant des toilettes !
Cela dépasse l’entendement.

Leur refus de vaccination était, et est, d’autant plus ridicule que le vaccin Covid était, et est, l’unique solution pour se débarrasser définitivement du fléau.

Calamité qui aurait pu décimer la moitié (riche) de la population mondiale si nous n’avions pas usé de mesures de bon sens.

Maladie dont il n’existe à ce jour strictement aucun traitement efficace comme nous avons pu vous le démontrer maintes fois.
J’invite les crédules à regarder l’hécatombe dans des pays comme le Brésil qui ont traité leur population avec des médicaments vétérinaires douteux et freiné la vaccination.

Ne tombez pas dans le piège en vous référant à d’autres contrées sauvages comme la Suède.
Nous savons tous qu’ils comptent très très mal et qu’il est impossible de comparer leur résultats aux nôtres du fait du différentiel de température mais surtout du nombre d’élans.
Rappelons qu’il y en aurait 300 000 en Suède5 versus quelques dizaines en France, c’est dire à quel point il serait ridicule de comparer les deux pays.
Une fois de plus nous touchons du doigt le coté manipulateur et la stupidité des complotistes.

Un vaccin sûr et efficace !

Un vaccin qui, nous ne le dirons jamais assez, ne présente quasi aucun effet secondaire.
Ici encore je me permets de vous remémorer le b-a-ba :

  • Un non-vacciné qui meurt ne peut décéder QUE du Covid dès lors qu’il positif à un test PCR basé sur la (prétendue?) souche canal historique de Wuhan.
  • Un vacciné qui meurt ne peut décéder QUE de maladies autres que le Covid. Qui plus est, il est inutile de faire un test PCR du fait de la preuve de l’efficacité du vaccin ET son décès est dû à toutes les pathologies (connues et non connues) qu’il pouvait avoir et NON du fait de l’injection.

Vous voyez bien que nous disposons de la preuve de la non-dangerosité du produit.

Et comment pourrait-il en être autrement lorsque le docteur Jérôme Marty, président de l’UFML6, Union Française pour une Médecine Libre, affirme le 14 juillet 20217 :

« Il faut pas tomber dans la facilité, jamais… Il faut se baser sur les vrais lectures scientifiques, savoir qu’on a jamais eu autant de recul sur un vaccin que celui là… il y a 3 milliards de personnes vaccinées… ce qui donne un recul extrêmement important sur les effets secondaires éventuels »

Et de préciser sur RMC :

« On a des milliers d’années de recul sur ce vaccin en fait quand on additionne en quelque sorte le temps de chaque personne qui a été vaccinée. »

À cette date selon le site Ourworldindata8, il y avait 2,03 milliards de vaccinés (et non 3).
2 milliards en 6 mois, on peut dire que c’est l’équivalent de 1 milliard de vaccinés avec un recul de 3 mois. Si l’on multiplie un milliard par 3 mois alors cela fait un recul non pas de quelques milliers d’années mais de 249 millions d’années !

Aujourd’hui selon le même site et avec la même méthode éprouvée de calcul, 5,44 milliards d’individus auraient reçu une dose (nombre dont nous ne pouvons pas douter) après 22 mois depuis le début de la vaccination.

Jérôme Marty continuant à être invité dans les médias sérieux, je peux affirmer sans aucune crainte du ridicule que ;

« Aujourd’hui, nous avons 2,4 milliards d’années de recul sur les effets secondaires des vaccins Covid. »

Si après ça Julien9 et Rudy ne sont pas fiers de moi, c’est à désespérer d’être un scientifique rigoureux.

De la performance du vaccin

Produit efficace à plus de 90% pour empêcher les contaminations et la propagation comme cela a été maintes fois expliqué par nos élites depuis la commercialisation.

Ceci n’a pas été démenti par la représentante de Pfizer au parlement européen10 il y a quelques semaines.
Certains complotistes ont détourné ses propos laissant entendre que Pfizer aurait caché l’inefficacité du produit concernant la transmission.

Mais que nenni !
Elle a simplement répondu :

« Non ! » (le vaccin n’a pas été testé sur sa capacité à stopper la transmission du virus).

Le fait qu’il n’y ait eu strictement aucun test ne prouve en rien l’inefficacité du vaccin dans la transmission, soyons un peu rigoureux que diable !
Bien au contraire même.
La technologie ARNm associée au graphène est tellement novatrice que l’efficacité en devient triviale au même titre qu’une Ferrari EST performante, tests ou pas.

Que faire des « soignants » suspendus ?

Nous devons cesser de les nommer « soignants », ces criminels qui ont refusé l’injection de la vie.

Sans le courage de nos autorités et de notre bien aimé Président qui n’a pas hésité à mouiller sa chemise, ils auraient probablement tués sans vergogne des milliers de petits vieux dans nos hôpitaux.

Le prestigieux Impérial Collège of Médecine11 a démontré en juin 2022 que le vaccin avait sauvé 20 millions de vies !

Je mets au défit quiconque de prouver le contraire.

En revanche je m’étonne d’un chiffre aussi bas, ce qui démontre que les auteurs ont fait preuve d’une extrême prudence.
Un élément de plus, s’il en fallait, montrant que ces irresponsables non vaccinés auraient pu décimer la population hospitalière.

Parler de les réintégrer est totalement indécent !

À mon sens il faudrait plutôt les radier à vie, les déchoir de leur nationalité et les priver de tous les droits (assurance médicale, chômage, etc).

Je vous rappelle que les devoirs de chacun passent avant les libertés individuelles et il n’y a que James Bond qui possède un permis de tuer.

Rappelons quelques données sur l’obligation vaccinale

Elle aurait concerné en France environ 2,7 millions de personnes12.
Parmi lesquelles 1 150 000 personnels soignants.
Il se sont quasi tous vaccinés spontanément comme nous le savons tous.

Le Parisien13 l’a fort bien expliqué dans une publication appelée « Pourquoi la vaccination obligatoire n’a pas provoqué de pénurie de soignants à l’hôpital ».

Ne pouvons-nous pas être un peu rationnel pour une fois ?

Si la suspension de soignants avait pu engendrer la moindre incidence négative dans notre pays en amplifiant une crise de l’hôpital, qui pourrait imaginer qu’il puisse exister un tel taré pour agir de la sorte et imposer leur radiation ?

Ce seul fait de pure logique devrait être de nature à vous démontrer que l’hôpital ne manque pas de personnels ou que les déserts médicaux relèvent du mythe.

Sans compter une prétendue fermeture de services hospitaliers ou d’urgences.

Si nous avons assisté ici ou là à quelques fermetures totales ou tranches horaires, c’est bien la preuve que la population française se porte de mieux en mieux et que cette offre est devenue inutile.

Avouez qu’il faudrait être sacrément con pour imaginer que des soignants en moins pourraient avoir la moindre incidence sur les soins au regard d’une situation totalement objective.

C’est aussi débile que d’imaginer le gouvernement faire appel à des pompiers étrangers non vaccinés pour éteindre des incendies de foret cet été en France alors que des pompiers non vaccinés ne seraient pas réintégrés.
Comment pouvez vous gober de telles inepties ?!

Vous et moi savons bien que les un ou deux pompiers non vaccinés de France ne voulaient tout simplement plus exercer leur beau métier et nous pouvons nous réjouir de leur départ.

Donc concernant les soignants, les vrais chiffres sont connus et ne sont nullement contestés par quiconque de sérieux.
Il y a, inutile d’employer le conditionnel, 15000 personnels non vaccinés, soit 5000 soignants14.
Vous noterez ainsi que deux tiers des personnels employées dans des structures médicales sont donc des administratifs, preuve d’une excellente gestion financière.

La déclaration du Ministre de la Santé, François Braun15 n’est donc que du bon sens.

« Je le redis, la réintégration des soignants non-vaccinés n’est pas une solution.
Elle est d’ailleurs rejetée par leurs collègues et leurs patients. »

La composante psychologique est importante !
Réfléchissez un peu, comment de vrais soignants qui n’ont pas hésité une seconde à se faire injecter pour protéger leurs collègues et leurs patients d’une mort quasi certaine, pourraient à nouveau travailler avec ces monstres d’égoïsme et de cruauté.

Alors même que nous étions en guerre contre le Covid, ces déserteurs ont déclaré « Non, pas pour moi ! »

Ceci a été rappelé hier 16 novembre lors de l’excellentissime émission animée par Cyril Hanouna dans laquelle un courageux directeur d’Ehpad (hélas minoritaire et dont je tairais le nom pour ne pas heurter sa modestie) était là pour rappeler des vérités bien peu mises en avant par les médias mainstream.

Le fait est que la réintégration des soignants suspendus en Italie est un échec total !

Et c’est logique, comment des vrais soignants pourraient leur pardonner le trahison mais aussi mettre en péril tout le processus visant à éradiquer le virus maléfique.

Peut-être avez-vous le sentiment que je radote mais toutes les vérités sont bonnes à répéter :

Les « soignants » non vaccinés sont une menace mortelle aussi bien pour les patients que les soignants qui portent un masque et qui en sont à leur quatrième ou cinquième dose d’un vaccin efficace et sans danger.

Ce directeur a bien fait de rappeler que ces non-vaccinés sont des criminels qui devraient être radiés à vie.

Il est donc totalement logique que les services se trouvent totalement perturbés par la réintégration de ces mauvaises personnes qui ne méritent plus le nom de « soignants ».
Je lui suis d’autant plus reconnaissant de ces informations sur l’Italie que je n’ai pu les retrouver dans la presse française bien complaisante à l’égard des non-vaccinés.

Pour celles et ceux qui l’auraient oublié, je vous rappelle l’enthousiasme des soignants et les queues monstres devant les centres de vaccination.
Ici encore ce grand directeur d’Ehpad n’a pas reculé face aux mensonges d’Hanouna laissant entendre que nombre d’entre-eux se sont vaccinés le couteau sous la gorge de peur de perdre leur emploi ou auraient produit de faux passes.
Mais quelle honte de jeter l’opprobre sur ces héros de l’ombre !

Ne croyez pas ces complotistes qui affirment qu’ils auraient été extrêmement nombreux à avoir fait semblant de se vacciner ou que certains regretteraient amèrement leur injection.
Ceci n’est que délire et désinformation.

Comptons

Soyons purement pragmatiques, 5000 soignants sur environ 100 départements cela fait une moyenne de 50 soignants par département français.
Le ministre Braun16 a justement et humainement rappelé le 8 novembre :

« Ce n’est pas un sujet, c’est peanuts. »

Si on regarde le nombre d’établissements17 en France, soit environ 3000, vous voyez bien que cela ne fait qu’un peu plus d’une personne par centre de soins (1,67 pour être précis).

C’est là que l’on se dit que cette vaccination a vraiment fait l’unanimité.

Prenez conscience de cette réalité totalement crédible :

« UNE seule brebis galeuse par établissement ! »

Cela prouve bien que c’est une idée d’extrême droite de vouloir les réintégrer comme l’a rappelé le ministre.

Moi-même, je serais horrifié à l’idée d’être hospitalisé et manipulé par un non-être non-injecté quand bien même je porte un masque et que j’ai mes quatre doses efficaces plus le numéro complémentaire, la grippe !

Désinformation

Mais pour des raisons purement électoralistes des députés comme Mme Rivasi n’hésitent pas à f aire dans le mensonge en affirmant le 14 novembre dernier le nombre délirant de 130 000 personnels suspendus18

Si l’on prêtait foi à ces mensonges, cela correspondrait à 55000 soignants ou personnels hospitaliers.

En revanche, il y a un problème.
Le ministre affirme que 15000 personnels hospitaliers suspendus correspond à 5000 soignants.

D’aucuns disent19 que la proportion de non-soignants/soignants n’est pas de deux-tiers/un tiers mais l’inverse, soit un tiers de non soignants pour deux-tiers de soignants.
De fait il y aurait à minima selon la député, 36 000 soignants suspendus.

Bien évidemment, ne sont cités que les personnels qui sont suspendus c’est à dire, ni ceux qui ont pris une retraite anticipée, ni ceux qui ont démissionné pour pouvoir continuer à travailler, ni ceux qui ont été mis en arrêt maladie.

Nous ne voyons pas en quoi ces quelques dizaines de milliers de personnels en plus ou en moins pourraient avoir la moindre incidence sur les soins et constituer un soutien à une profession qui ne manque pas de personnels, ainsi que je l’ai démontré.

Il y aurait donc en France, 1 150 000 soignants.

Selon la fédération hospitalière, la profession d’infirmier comporterait 6,6% de postes vacants20. Imaginons que la moyenne soit de 5% toutes professions médicales confondues, ce qui correspondrait à environ 57 000 postes vacants.

Si l’on prête foi aux affirmations foireuses de la député il y aurait à minima plus de 50 000 soignants suspendus, démissionnaires ou en maladie qui auraient été contraints de quitter leur poste.

Si c’était vrai, et bien heureusement tout ceci n’est que manipulation, la réintégration des soignants serait de nature à résoudre le manque de personnels.

Mensonges comme cela est confirmé par cette même fédération qui affirme que les non-vaccinés représentent 0,3% du personnel (donc environ 3400 soignants).
Soit encore moins que les données annoncées par le ministre.

Ce genre de nouvelles ne peut que réchauffer mon cœur meurtri.
C’est quand même merveilleux, non ?

Un seul non vacciné par établissement de santé et on fait des histoires !

C’est bien la raison pour laquelle je vous confirme qu’il n’y a strictement aucun intérêt à les réintégrer.
Cela n’apporterait strictement rien en terme de personnels mais en revanche serait de nature à perturber les bons soignants.

Une personne qui à elle seule pourrait perturber tout un hopital au point de refuser sa réintégration ? Un peu bizarre, non ?

Merci

Alain Tortosa21

17 novembre 2022
https://7milliards.fr/tortosa20221117-ne-pas-reintegrer-les-non-vaccines.pdf





Il est inutile d’isoler les asymptomatiques PCR positifs ! FAITS AVÉRÉS

Par Dr Gérard Delépine

Depuis plus de 30 mois, le gouvernement confond volontairement personnes testées PCR positifs et malades et prétend, contre toute logique scientifique, qu’il faudrait qu’elles s’isolent. Une nouvelle affirmation officielle toute récente de cette aberration médicale1 justifie le rappel des faits scientifiques avérés concernant les tests.

Les tests PCR n’ont pas été conçus pour porter un diagnostic de maladie

La Polymerase Chain Reaction consiste à reconnaître un fragment d’ARN d’un virus par la multiplication du matériel génétique recueilli. Kary Mullis, couronné en 1993 par l’académie Nobel inventeur de cette technique d’amplification l’a conçue pour préciser un diagnostic de maladie porté cliniquement et non pas pour permettre à lui seul d’affirmer qu’une personne est malade.

Lors du Corporate Greed & Aids qui a eu lieu le 12 juillet 1997 à Santa Monica Kary Mullis précisa :

« Le PCR est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malade. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire… »

Pour que ce test conserve une spécificité réelle, il faut qu’il porte sur un fragment d’ARN spécifique et que sa réalisation se limite à un nombre raisonnable de cycles d’amplification. Malheureusement les tests PCR pratiqués en France comme dans de nombreux autres pays pour soi-disant surveiller l’épidémie n’ont pas respecté ces limites.

Un nombre trop élevé de cycles d’amplifications crée des faux positifs

On entend par faux positif un test positif chez une personne qui n’est pas malade (et ne le sera pas à court terme) et qui ne peut contaminer personne, car elle n’est pas porteuse de virus.

La puissance des amplifications est telle qu’un nombre trop élevé de cycles permet de détecter des quantités infimes de matériel, aboutissant à des faux positifs. Les tests standard comportent un nombre de séquences d’amplification supérieur à 30 et déclarent comme positives un grand nombre de personnes incapables de contaminer quiconque.

Le professeur d’épidémiologie Michael Mina (Harvard) a ainsi déclaré au New York Times le 29 aout 2021 que :

« 85 % à 90 % des tests qui se sont révélés positifs en juillet dans le Massachusetts ne l’auraient pas été si le nombre de cycles avait été abaissé de 40 à 30. »

Yazdan Yazdanpanah, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital Bichat (AP-HP) et membre du Conseil scientifique a d’ailleurs reconnu lors d’un entretien au Monde :

« Il est presque acquis actuellement qu’au-dessous d’une valeur CT de 24, “on est contagieux” et que le risque diminue progressivement au-delà. On pourrait donc considérer que les personnes testées positives avec une valeur CT supérieure à 30 sont très peu, voire pas contagieuses. »

Ce qu’ont confirmé de nombreux spécialistes américains au New York Times qui ne font que rappeler l’article princeps de Rita Jaafar :

« On observe qu’à Ct = 25, jusqu’à 70 % des patients restent positifs en culture et qu’à Ct = 30 cette valeur tombe à 20 %. À Ct = 35, la valeur que nous avons utilisée pour rapporter un résultat positif pour la PCR, <3 % des cultures sont positives »2

L’OMS a mis en garde contre les erreurs des tests PCR lorsque le nombre de séquence d’amplification dépasse les 30 et rappelé que la positivité d’un test ne permet pas à elle seule d’affirmer qu’une personne est malade ou contagieuse. Elle a précisé que les asymptomatiques sont rarement contaminants et conseille de n’utiliser les tests que pour confirmer un diagnostic suspecté sur des signes cliniques (chez des malades), car les tests sont inadaptés au dépistage de masse.

Malheureusement, en France, les dépistages sont conseillés, voire imposés (passe sanitaire) chez les asymptomatiques, et réalisés, selon le conseil scientifique, avec entre 40 et 45 cycles d’amplification. Ainsi la quasi-totalité des asymptomatiques dépistés positifs ne sont pas susceptibles d’être contagieux. Leur identification et la recherche de leurs contacts mobilisent inutilement les efforts publics retardant ainsi la mise en quarantaine des malades réellement contagieux3.

Pour connaître le statut contaminant d’une personne, il faudrait effectuer des cultures virales, analyse plus complexe et plus coûteuse qui ne se pratique absolument pas en examen de routine.

Les tests actuels ne portent pas sur un fragment d’ARN spécifique du SARS-CoV-2

Un document publié par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis admet ouvertement que le fameux test PCR pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) a été mis au point non pas à partir d’échantillons réels du virus chinois, mais plutôt à partir de ce qui semble être du matériel génétique d’un virus du rhume.

Dans ce document de la FDA, il est clairement indiqué que le matériel génétique ordinaire de la grippe saisonnière a été utilisé comme marqueur de test dans les kits de test PCR :

« Étant donné qu’aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n’était disponible pour une utilisation par les CDC au moment où le test a été développé et que cette étude a été menée, des tests conçus pour la détection de l’ARN 2019-nCoV ont été testés avec des stocks caractérisés d’ARN transcrit in vitro sur toute la longueur (gène N ; Accession GenBank : MN908947.2) de titre connu (copies d’ARN/μL) enrichi en un diluant constitué d’une suspension de cellules A549 humaines et d’un milieu de transport viral (VTM) pour imiter l’échantillon clinique. »[11]

Un asymptomatique PCR positif n’est pas un malade ni ne le deviendra : il ne porte pas le virus et n’est pas contagieux !

Un dépistage gigantesque réalisé à l’échelle de la Chine et publié déjà en novembre 2020 confirme définitivement ces données4. Ce dépistage, portant sur près de 10 millions d’habitants de Wuhan a permis de repérer 430 asymptomatiques positifs dont seulement 60 % d’entre eux présentaient aussi des anticorps contre le Covid19 et aucun d’entre eux n’excrétaient de virus entier (tous les positifs ont subi des cultures de virus et aucune n’a poussé). Tous les asymptomatiques positifs et leurs contacts ont été mis en quarantaine ; aucun n’est devenu malade. Si ce dépistage a permis de faire progresser les connaissances scientifiques, il n’a servi à rien pour limiter l’épidémie.

Les dépistages systématiques des asymptomatiques par le test PCR n’ont donc aucun intérêt médical.

Ils sont en réalité conseillés ou imposés pour entretenir la fiction de la poursuite d’une épidémie et terroriser la population afin de la pousser à se faire injecter les faux vaccins expérimentaux.

Un asymptomatique PCR positif n’a aucune raison d’être isolé5

Cela a été jugé officiellement par le tribunal d’appel de Lisbonne6 7 8 9.

À leur arrivée au Portugal quatre touristes allemands avaient été isolés sous contrainte dans un hôtel sous le prétexte que l’un d’entre eux avait un test PCR positif à l’atterrissage de l’avion (alors qu’il était négatif au départ). La plainte de ces personnes retenues et isolées de force en raison d’un simple test positif a été jugée fondée par un premier tribunal, mais les autorités sanitaires, voulant maintenir l’isolement, ont fait appel.

Les principales conclusions juridiques du tribunal d’appel de Lisbonne sont sans ambiguïté :

  • – le diagnostic d’une infection doit être posé par un médecin inscrit à l’ordre et seulement par un médecin après examen clinique et examens paracliniques prescrits par lui s’il le juge nécessaire.
  • – le test PCR retenu n’est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins.
  • – le diagnostic posé sur un test PCR viole l’article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme signée par le Portugal et autres pays européens (dont la France). Elle n’est pas respectée, car il n’y a pas eu de consentement éclairé des personnes.

La justice a donc jugé illégal l’enfermement des plaignants, et ordonné leur libération.

Comment notre ministre de la Santé peut-il ignorer les attendus et les conclusions de ce tribunal, largement publiées, et prétendre publiquement le contraire ?

Les traitements précoces permettent de limiter les contaminations

Plutôt que de tester inutilement les asymptomatiques et de les isoler, il est beaucoup plus efficace, pour limiter les contaminations, de conseiller les traitements précoces aux malades et à leurs contacts.

Pour le démontrer, il suffit de comparer le nombre global de contaminations recensées en France à celui des pays qui ont utilisé systématiquement les traitements précoces tels que l’Algérie, la Cote d’Ivoire, Madagascar ou l’Inde :

Les pays adeptes des traitements précoces ont drastiquement limité les contaminations (18 à 200 fois moins que la France) et aussi la mortalité :

Les pays adeptes des traitements précoces bénéficient d’une mortalité 7 à 80 plus faible qu’en France !

Au total

Isoler les asymptomatiques positifs est scientifiquement infondé, médicalement inutile et jugé illégal au Portugal. Il est incompréhensible que le ministre de la Santé prétende le contraire ! Est-il mal renseigné ? Ignorance ? Mensonge d’état ?

La poursuite d’une telle propagande mensongère sape profondément la confiance de la population en ses dirigeants.





Débarrasser le corps du graphène

[Source : anna-bellas.com]

[NDLR Les liens renvoient à des pages en anglais.]

Un guide sur la façon d’éliminer de votre corps le graphène, la substance transmise par les vaccinés du COVID aux non-vaccinés…

L’oxyde de graphène, une substance toxique pour l’homme, aurait été trouvé dans les « vaccins » Covid 19, dans les réserves d’eau, dans l’air que nous respirons grâce aux chemtrails, et se trouve même dans notre alimentation.

Il interagit et est activé par les fréquences électromagnétiques (« EMF »), spécifiquement la gamme plus large de fréquences trouvées dans la 5G qui peut causer encore plus de dommages à notre santé.

Les symptômes de l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et de la maladie des rayonnements CEM sont similaires aux symptômes décrits dans le Covid.

[Voir aussi :
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Nouveau rapport alarmant du groupe de travail sur l’analyse des vaccins en Allemagne et dans d’autres pays]

La mauvaise nouvelle pour ceux qui ont jusqu’à présent refusé de recevoir une seule dose de l’injection de Covid-19 est que certains médecins pensent que le graphène est transmis des vaccinés au Covid-19 aux non-vaccinés.

Mais la bonne nouvelle est que, maintenant que l’oxyde de graphène a été identifié comme un contaminant, il existe des moyens d’éliminer l’oxyde de graphène de votre corps et de rétablir votre santé.

Il s’agit d’une approche holistique consistant à utiliser plusieurs méthodes différentes simultanément pour obtenir le meilleur effet. Notamment, des suppléments spécifiques pour dégrader l’oxyde de graphène dans le corps, et le contrôle des CEM dans l’environnement pour minimiser l’activation de l’oxyde de graphène.

Ces informations proviennent de plusieurs sources et sont basées sur des études scientifiques. Les liens sont référencés ci-dessous.

Comprendre le glutathion

Le glutathion est une substance fabriquée à partir des acides aminés : glycine, cystéine et acide glutamique. Il est produit naturellement par le foie et participe à de nombreux processus de l’organisme, notamment la construction et la réparation des tissus, la fabrication des substances chimiques et des protéines nécessaires à l’organisme, et le système immunitaire. Nous disposons d’une réserve naturelle de glutathion dans notre corps. C’est ce qui nous permet d’avoir un système immunitaire fort.

Lorsque les niveaux de glutathion sont élevés dans l’organisme, nous n’avons aucun problème et notre système immunitaire fonctionne bien. Mais lorsque la quantité d’oxyde de graphène dans l’organisme dépasse la quantité de glutathion, elle provoque l’effondrement du système immunitaire et déclenche une tempête de cytokines. La façon dont l’oxyde de graphène peut se développer rapidement pour dépasser le glutathion dans le corps est par excitation électronique. Autrement dit, les CEM bombardent le graphène pour l’oxyder, ce qui déclenche rapidement la maladie.

À l’âge de 65 ans, les niveaux de glutathion chutent radicalement dans l’organisme. Cela peut expliquer pourquoi la population la plus touchée par le Covid-19 est celle des personnes âgées. Les niveaux de glutathion sont également très bas chez les personnes présentant des conditions préexistantes telles que le diabète, l’obésité, etc. De même, les niveaux de glutathion sont très élevés chez les nourrissons, les enfants et les athlètes. Cela peut expliquer pourquoi le Covid-19 n’a pas affecté ces personnes.

L’oxyde de graphène, lorsqu’il est oxydé ou activé par des fréquences CEM spécifiques, dépasse la capacité du corps à créer suffisamment de glutathion, ce qui détruit le système immunitaire et provoque la maladie. En cas de maladie (comme les symptômes du Covid et toutes ses « variantes »), il est nécessaire d’augmenter les niveaux de glutathion dans le corps afin de faire face à la toxine (oxyde de graphène) qui a été introduite ou activée électriquement.

Des patients Covid intubés en soins intensifs ont guéri en quelques heures lorsqu’ils ont été traités avec du glutathion et de la NAC, exemple de Ricardo Delgado

« Nous avons assisté à des essais cliniques avec des centaines de patients qui étaient aux soins intensifs, sous respirateur et intubés, pratiquement au bord de la mort. Avec des pneumonies bilatérales causées par la propagation de l’oxyde de graphène et des radiations 5G ultérieures dans les plaques pulmonaires. Eh bien, cette tache diffuse chez ces patients est symétrique, ce qui n’arriverait pas avec un agent biologique puisqu’elle serait plutôt asymétrique, comme par exemple lorsqu’il y a une infection pneumococcique, n’est-ce pas ? Eh bien, dans ce cas, une tache diffuse apparaît généralement dans une partie du poumon, mais pas dans une autre, pas dans les deux de manière symétrique. Ainsi, lorsqu’ils sont traités avec du glutathion par voie intraveineuse directe – ou même par voie orale – ou avec de la N-acétylcystéine (NAC) à des doses de 600 mg ou plus, les gens commencent en quelques heures à récupérer leur saturation en oxygène »

Ricardo Delgado, La Quinta Colmuna

La N-acétylcystéine (« NAC ») est un complément qui amène l’organisme à produire du glutathion, elle est connue comme le précurseur du glutathion et amène l’organisme à sécréter du glutathion de manière endogène, comme c’est le cas lorsque vous faites du sport de manière intense. La NAC provient de l’acide aminé L-cystéine et est utilisée par l’organisme pour fabriquer des antioxydants. Les antioxydants sont des vitamines, des minéraux et d’autres nutriments qui protègent et réparent les cellules contre les dommages. Vous pouvez obtenir la NAC sous forme de supplément ou de médicament sur ordonnance.

Le zinc, associé à la NAC, est un antioxydant essentiel utilisé pour dégrader l’oxyde de graphène. Ricardo Delgado affirme qu’avec ces deux antioxydants, il a personnellement aidé des personnes atteintes de magnétisme après inoculation. Il s’agit de personnes ayant reçu deux doses de Pfizer qui sont devenues magnétiques et qui, après avoir pris ces suppléments, ne présentent plus ce symptôme.

D’autres suppléments qui peuvent être pris pour aider à l’élimination de l’oxyde de graphène sont :

  • Astaxanthine
  • Mélatonine
  • Chardon Marie
  • Quercétine
  • Vitamine C
  • Vitamine D3

[Voir aussi :
Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre]

Pour plus d’informations sur ces suppléments pour l’élimination de l’oxyde de graphène, veuillez consulter ce LIEN.

Comprendre le lien entre les CEM, la 5G, l’oxyde de graphène, les hydrogels et Covid

L’oxyde de graphène est activé par les CEM, en particulier les fréquences qui font partie du spectre 5G. Tous les matériaux ont ce que l’on appelle une bande d’absorption électronique. Une bande d’absorption est une gamme de longueurs d’onde, de fréquences ou d’énergies dans le spectre électromagnétique qui sont caractéristiques d’une transition particulière de l’état initial à l’état final dans une substance. Il s’agit d’une fréquence spécifique au-dessus de laquelle une substance est excitée et s’oxyde très rapidement. Les fréquences envoyées aux êtres humains qui ont une accumulation d’oxyde de graphène dans leur corps peuvent provoquer une multiplication très rapide de l’oxyde de graphène, rompant l’équilibre du glutathion et provoquant une tempête de cytokines en quelques heures.

L’oxyde de graphène est le principal ingrédient des hydrogels brevetés par la DARPA. Ce sont ces hydrogels qui se trouvent dans les injections de Covid, les tampons de test PCR et les masques. Un hydrogel conducteur est un matériau de type polymère qui présente des qualités et des applications substantielles. Ils développent différents types d’hydrogels conducteurs qui sont utilisés dans de nombreux domaines, dans notre alimentation, dans notre eau, et injectés dans nos corps dans les vaccins. Les hydrogels conducteurs contiennent des nanotechnologies qui s’accrochent à votre ADN et peuvent être contrôlés par des capteurs 5G. Ils permettent de collecter et de manipuler l’ADN. Les hydrogels conducteurs permettent de suivre et de tracer les êtres humains. Il existe des milliers d’études et d’articles scientifiques évalués par les pairs qui traitent des hydrogels conducteurs. Nous avons rassemblé une courte liste d’études relatives comme documentation de secours.

Résumé des caractéristiques des hydrogels et de la nanotechnologie des points quantiques – Cliquez pour télécharger

C’est à partir de ces études que nous pouvons résumer certaines des caractéristiques des hydrogels conducteurs.

Caractéristiques des hydrogels conducteurs : auto-récupérabilité, conductivité électrique, transparence, résistance au gel, étirement, auto-guérison, réactivité aux stimuli, ce qui signifie qu’ils font certaines choses lorsqu’ils sont touchés par la 5G (ou d’autres fréquences, d’ailleurs).

Nous sommes entourés de rayonnements CEM provenant des téléphones cellulaires (ou téléphones mobiles), des téléviseurs et du Wi-Fi. De nombreuses régions se mettent également à la 5G et des enquêtes ont été menées pour montrer la corrélation entre les réseaux 5G et les épidémies de Covid dans une région. Pour se protéger au mieux contre l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et l’activation de l’oxyde de graphène dans votre corps, il est nécessaire de faire plusieurs choses pour limiter votre exposition aux CEM.

Voici quelques suggestions pour y parvenir : ne vivez pas dans une ville où il y a beaucoup de tours si vous pouvez l’éviter, éteignez votre Wi-Fi la nuit et restez à l’écart des compteurs et autres appareils intelligents si possible. Une autre option consiste à utiliser des produits de protection contre les CEM, tels que les appareils à énergie orgonique, qui aident à transformer les rayonnements CEM pour en atténuer les effets nocifs.

Énergie Orgone, protection contre les CEM et oxyde de graphène

Puisque l’oxyde de graphène est activé par les CEM, vous voulez créer une barrière protectrice dans votre environnement immédiat qui atténue les CEM afin qu’ils n’activent pas l’oxyde de graphène. Dans les années 1930, une découverte a été faite qui peut être appliquée aujourd’hui pour aider à la protection contre les CEM. Au cours d’une série d’expériences, le regretté Dr Wilhelm Reich a découvert que des échantillons vivants placés dans des récipients constitués de couches alternées d’acier et de matériau organique non conducteur étaient capables de capter une « énergie cosmique » saine provenant de l’environnement. Il a appelé cette énergie « orgone ». Ces accumulateurs d’orgone avaient la capacité de conserver des échantillons de sang plus longtemps, de faire germer des semis de plantes plus saines et de soulager la douleur des patients qui s’y asseyaient.

Aujourd’hui, au lieu d’utiliser des feuilles d’acier et de plastique, nous utilisons un composite fait d’un mélange d’oxyde de fer, d’acier, de laiton, de shungite et de poudres de cristal, le tout enrobé de résine époxy. Le résultat final est un harmonisateur capable de transformer les champs sans fil nocifs des tours cellulaires, des compteurs intelligents, des smartphones, des routeurs Internet et de votre télévision, en une énergie plus bénéfique pour vous, vos plantes et vos animaux domestiques. Les effets de ce phénomène scientifique ont été reproduits et bien documentés dans des études réalisées par l’Université de Pennsylvanie et le laboratoire de recherche microscopique Heraclitus.

Ressemblance frappante entre le test sanguin de Reich et les récents prélèvements sanguins d’oxyde de graphène EMF

L’étude la plus frappante à la lumière des récentes découvertes sur l’oxyde de graphène se trouve dans le  « test sanguin de Reich  » réalisé par le laboratoire de recherche microscopique Heraclitus. Dans ce test, ils montrent l’efficacité de l’énergie orgone sur le sang. Ils ont prélevé deux échantillons de sang et en ont placé un dans une boîte de contrôle et l’autre dans une boîte d’énergie orgonale. Au fil du temps, ils ont pris des photos microscopiques des échantillons de sang et ont constaté que l’échantillon d’énergie orgonale était capable de maintenir sa force vitale pendant une période plus longue (c’était comme la fontaine de jouvence du sang).

Lorsqu’un globule rouge est défectueux et commence à mourir, il peut développer ce que l’on appelle la formation d’acanthocytes, où de multiples projections en forme de pics de différentes longueurs dépassent de la cellule. Les images ci-dessous montrent à quoi ressemble la mort d’un globule rouge.

http://wilhelmreich.gr/en/research/microscopic-research/reich-blood-test-blood-disintegration/

Les diapositives ci-dessus montrent la désintégration bionique de la matière vivante et non vivante. La cellule saine possède une membrane plus solide entourée d’une lumière bleue. Cette lumière bleue est en fait la force vitale ou « Aura » de la cellule. C’est ce que le Dr Reich appelait l’énergie « orgone ». Au fur et à mesure que la cellule meurt et se désintègre, la paroi de la membrane forme des protubérances pointues qui en sortent.

Les nanoparticules à base d’oxyde de graphène utilisées dans les injections de Covid sont conçues pour pénétrer la membrane des cellules afin d’y faire pénétrer l’ARNm. Cette pénétration constante de la paroi de la membrane cellulaire pourrait être à l’origine de ces déformations membranaires. Selon l’ouvrage A Laboratory Guide to Clinical Haematology de l’Open Education of Alberta :

« La formation d’acanthocytes est le résultat de défauts membranaires héréditaires ou acquis. Les défauts qui entraînent un déséquilibre entre le contenu en cholestérol et en lipides de la membrane affectent la capacité des GR à se déformer, ce qui se traduit par une membrane plasmique plus rigide. »

Vous trouverez ci-dessous trois photos prises lors d’une récente analyse de sang [mise à jour le 1er octobre 2021] effectuée par le Dr Robert Young.

Sa conclusion est que ce que nous voyons dans ces cellules sanguines provient de l’effet de l’empoisonnement par les radiations CEM, l’empoisonnement par l’oxyde de graphène. Il appelle la formation des membranes des cellules sanguines « l’effet corona » et « l’effet protéine de pointe ».

https://www.drrobertyoung.com/post/transmission-electron-microscopy-reveals-graphene-oxide-in-cov-19-vaccines

Ce comportement est identique à celui des cellules sanguines mourantes dans l’expérience du test sanguin de Reich. Ce que nous voyons ici, ce sont des cellules qui ont été empoisonnées et qui meurent. Nous voyons également la formation de la protéine de pointe dans la dernière diapositive.

Le test sanguin de Reich a permis de faire une découverte frappante : les dispositifs d’énergie orgoniques ralentissent et arrêtent la dégradation des cellules sanguines. Cela montre, au niveau cellulaire, comment les dispositifs d’énergie orgoniques protègent le corps humain des CEM nocifs.

La diapositive ci-dessous montre les résultats du test sanguin de Reich. L’échantillon de gauche est celui qui se trouvait dans la boîte de l’accumulateur d’orgone. Le taux de mort et de dégradation des cellules est de 5 %. L’échantillon de droite est celui qui n’était pas dans la boîte de l’accumulateur d’orgone. Le taux de décomposition est de 50 %. Il est clair que l’énergie d’orgone contribue à préserver la force vitale et la santé du sang.

[Article source en anglais :]



La virologie : pseudoscience au service de la domination

[Source : unpeudairfrais.org]

Par Jan Morvan, Fortuné Roussel et Patrick Visconti

Le spectacle se présente comme une énorme positivité indiscutable et inaccessible. Il ne dit rien de plus que « ce qui apparaît est bon, ce qui est bon apparaît ». L’attitude qu’il exige par principe est cette acceptation passive qu’il a déjà en fait obtenue par sa manière d’apparaître sans réplique, par son monopole de l’apparence.

La société du spectacle, Guy Debord, 1967

Il y a plus de cent ans, le Nouveau Dictionnaire des Synonymes français d’A.-L. Sardou définissait les nuances qu’il faut saisir entre : 

fallacieux, trompeur, imposteur, séducteur, insidieux, captieux ; et qui ensemble constituent aujourd’hui une sorte de palette des couleurs qui conviennent à un portrait de la société du spectacle.

Commentaires sur la société du spectacle, Guy Debord, 1988

Tout d’abord, nous reconnaissons le rôle important de l’association RéinfoCovid dans la résistance à l’oppression covidiste que nous subissons depuis mars 2020. Ce collectif a, en effet, réalisé un travail de contre-propagande qui a permis à de nombreux francophones d’entrer dans une forme de résistance et de préserver leur corps d’une injection toxique (qui aux dernières nouvelles contient de nombreux composés toxiques, principalement métalliques, tels que baryum, chrome, titane, gadolinium, aluminium(([1] « Des composés métalliques toxiques ont été trouvés dans tous les échantillons de vaccins contre la COVID analysés par des scientifiques allemands », 25/08/2022, The Defender, https://childrenshealthdefense.org/defender/des-composes-metalliques-toxiques-ont-ete-trouves-dans-tous-les-echantillons-de-vaccins-contre-la-covid-analyses-par-des-scientifiques-allemands/?lang=fr)) ).

Cependant, la majeure partie des articles et vidéos de RéinfoCovid supposent l’existence des virus. Nous prétendons que cette théorie n’est étayée par aucun argument scientifique valable. Les analyses de contradiction de la version officielle des évènements qui, dans leur immense majorité partent de cette hypothèse virale, ne permettent pas une compréhension de la situation et sont parfois même contre-productives pour la résistance. RéinfoCovid n’est qu’un exemple parmi d’autres et nous précisons que nous n’avons pas d’hostilité particulière pour ce collectif, car notre critique est tout aussi valable pour tous les autres acteurs de la résistance au covidisme qui adhèrent à l’hypothèse virale.

Les tests PCR

Les critiques remettant en cause la pertinence des tests PCR (Polymerase Chain Reaction) sont la plupart du temps focalisées sur le nombre de cycles d’amplification. Or, la réalité n’est pas que le nombre de faux positifs augmente lorsque l’on s’approche des 35 cycles, mais que ce test n’a aucune pertinence dès le premier cycle.

Les tests PCR « COVID » sont basés sur l’article Corman-Drosten de janvier 2020 ; article publié deux jours après sa soumission au journal Eurosurveillance (deux auteurs de l’article étant membres du comité éditorial du journal).

En novembre 2020, vingt-deux auteurs dont Mike Yeadon (ancien vice-président de la Division recherche en maladies allergiques et respiratoires chez Pfizer) et Stefano Scoglio (expert en microbiologie et en naturopathie, candidat au prix Nobel de médecine en 2018, et coauteur du livre « Virus Mania »), publient un rapport(([2] « Review report Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020 », 27/11/2020, https://cormandrostenreview.com/report/)) démontant point par point l’article de Drosten. Dans un résumé de ce rapport, publié sur le site de RéinfoCovid, il est écrit : « Les preuves irréfutables présentées par les auteurs rendent le test PCR du SRAS-CoV-2 inutile. »(([3] « Le test PCR actuel a-t-il une utilité ? », décembre 2020, https://reinfocovid.fr/science/utilite-test-pcr-actuel/))

L’analyse statistique réalisée par Pierre Chaillot (statisticien de formation et animateur de la chaîne YouTube Décoder l’éco) a démontré que les résultats de ces tests n’ont aucun lien avec le nombre de malades et que le taux de positivité a été augmenté artificiellement par l’élargissement du nombre de « variants » recherchés(([4] « Y a-t-il eu un déferlement de malades ? », 3e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/y-a-t-il-eu-un-d%C3%A9ferlement-de-malades:e)).

L’inventeur de la méthode PCR en 1983, Kari Mullis, est souvent cité pour avoir affirmé que ces tests ne permettent pas de détecter des virus libres et infectieux ; mais il a également expliqué son étonnement de n’avoir trouvé aucun article scientifique démontrant l’existence du virus du SIDA(([5] https://cv19.fr/2021/11/18/dr-kary-mullis-pourquoi-jai-commence-a-remettre-en-question-le-vih/)). Ajoutons que l’existence d’un seul virus n’a jamais été démontrée à ce jour.



Aucun virus n’a jamais été isolé

En mai 2020, la biostatisticienne canadienne Christine Massey a commencé à soumettre des demandes d’information de type FOIA (liberté de l’information, dans le cadre des lois de Freedom Of Infomation Act) à des organismes et agences de santé publique au Canada et de par le monde, pour tout document détenu décrivant l’isolement/la purification du prétendu « virus du COVID-19 », le SARS-COV-2. À ce jour, elle a collecté les réponses de 208 organisations de 35 pays, et aucune d’entre elles n’a cité un seul document décrivant la purification du prétendu virus à partir d’un seul échantillon de patient(([6] https://www.fluoridefreepeel.ca/fois-reveal-that-health-science-institutions-around-the-world-have-no-record-of-sars-cov-2-isolation-purification/, lire également cet interview https://cv19.fr/2021/10/13/le-virus-inexistant-une-interview-explosive-de-christine-massey/)).

Dans une forme d’activisme ironique, on trouve également cette invitation de Samuel Eckert, restée sans réponse malgré l’offre alléchante : « Vous n’y croyez pas et avez la preuve de l’existence du ”SARS-COV-2” ? Alors, empressez-vous de l’envoyer au Isolate Truth Found et vous gagnerez 1,5 million d’euros »(([7] https://samueleckert.net/isolate-truth-fund/ site censuré par Google mais pas par duckduckgo.com, idem pour les sites des docteurs en médecine Andrew Kaufman et Tom Cowan)).

En effet, si l’on s’en remet aux articles publiés (Matériel et méthodes) en décembre 2019/janvier février 2020 par les équipes chinoises et coréennes, le procédé présenté par les virologistes comme un « isolement du virus » ne correspond pas à une méthode scientifique valable. Cela a amplement été démontré par les travaux d’Andrew Kaufman, Tom Cowan, Stefan Lanka, Sam Bailey et bien d’autres(([8] https://unpeudairfrais.org/declaration-sur-lisolement-des-virus-par-morell-cowan-et-kaufman/https://unpeudairfrais.org/ressources-sur-linexistence-des-virus/)).

Les exosomes sont indiscernables des « virus »

Citons cette interview de Stefano Scoglio d’octobre 2020(([9] https://cv19.fr/2021/10/15/candidat-italien-au-prix-nobel-il-nest-pas-sur-que-ce-virus-existe/)) :

« La réalité est que le virus du SARS-COV-2 n’a jamais été isolé et testé. J’ai examiné toutes les études qui prétendent avoir isolé et même testé le virus, mais toutes ont fait quelque chose de très différent : ils ont pris le liquide pharyngé ou broncho-alvéolaire des patients, puis ils l’ont centrifugé pour séparer les molécules plus grosses et plus lourdes des molécules plus petites et plus légères, comme les prétendus virus ; ils ont ensuite pris le surnageant (la partie supérieure du matériel centrifugé) et ont appelé cette matrice extrêmement complexe « virus isolé » à laquelle ils ont ensuite appliqué la RT-PCR ».

« C’est assez technique, mais je vais essayer de simplifier : le surnageant contient de nombreux types de molécules, des milliards de micro et nanoparticules différentes, y compris ce qu’on appelle les vésicules extracellulaires (VE) et les exosomes, des particules utiles produites par notre corps et absolument indiscernables des « virus » ».

« Aujourd’hui, c’est une mission presque impossible de séparer les vésicules extracellulaires et les « virus » par les méthodes canoniques d’isolement des vésicules, comme l’ultracentrifugation différentielle, car ils sont souvent copelletés (rassemblés ensemble) en raison de leur taille similaire. »(([10] Giannessi F. et al., The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses, 2 Viruses 2020, 12, 571 ; doi:10.3390/v12050571, p.4, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7291340/)).

Les exosomes sont dotés d’une membrane du même type que celle des cellules. Véhicules de transport et d’expulsion de composants cellulaires, ils servent notamment à la communication cellulaire en transférant des ARN messagers d’une cellule l’autre (Wikipédia).

La « méthode » des virologistes

La lecture de la partie « Materials and methods » des articles de virologie laisse pantois. Les auteurs inoculent un surnageant éventuellement issu de liquide broncho-alvéolaire d’un patient aux symptômes de pneumonie, échantillon non purifié censé contenir un virus, dans une boîte de Petri en présence de cellules étrangères au prélèvement (la plupart du temps, il s’agit de cellules à capacité illimitée de division, disons tumorales de la lignée VERO issue d’un prélèvement d’épithélium de rein de singe vert africain en 1962 et répliquée depuis). Il est ajouté à cette culture : des antibiotiques toxiques particulièrement pour le tissu rénal tels que l’amphotericine B ou la gentamicine, du sérum fœtal bovin, et autres types de matériel biologique qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce qu’on appelle un « virus », et en outre dans des conditions de concentrations de milieux de culture cellulaire appauvris en substances nutritives. Le fait que ces cellules présentent des anomalies et une cytolyse élevée (effet cytopathique) à l’observation en microscopie électronique est ensuite présenté comme la preuve de la présence de virus.

De nombreux articles scientifiques présentent des micrographies censées représenter des virus, mais comment savoir s’il ne s’agit pas d’exosomes ou de cellules en dégénérescence, en sachant que le traitement des tissus pour l’analyse en microscopie électronique peut aussi largement induire des artefacts ?

Illustration tirée de l’article « Covid-19 : des images inédites du coronavirus SRAS-CoV-2 » publié en mars 2020 par Sciences et Avenir(([11] https://www.sciencesetavenir.fr/sante/le-coronavirus-covid-19-en-images_141916#animatedModal)).

Le « séquençage » génétique

Une autre « preuve » de l’existence des « virus », utilisée par les virologistes est le séquençage génétique. Pour comprendre comment est réalisé ce « séquençage des virus » à partir de cette soupe de surnageant évoquée plus haut, de ce véritable brouet grossier, nous vous recommandons cette conférence d’Andrew Kaufman(([12] Andrew Kaufman — Red Pill Expo — June 2021, https://odysee.com/@Scamdemic:7/Andrew-Kaufman-Red-Pill-Expo-2021)) qui présente la « méthode » décrite par les virologistes, censés avoir séquencé les premiers le SARS-COV-2 dans cet article intitulé « A new coronavirus associated with human respiratory disease in China » publié le 3 février 2020 dans le journal Nature(([13] https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3)).

Bien qu’il suffise de prendre connaissance de cette « méthode » pour comprendre que la virologie est une pseudoscience, Stefan Lanka a démontré son absurdité en reproduisant ce protocole fallacieux. Il a reproduit le procédé décrit dans les publications « d’isolement supposé », c’est-à-dire en présence des cellules VERO avec tous les traitements cytotoxiques pratiqués, mais cette fois sans y ajouter de prélèvement censé contenir un virus, et il a retrouvé les mêmes résultats que les virologistes (cytolyse cellulaire, micrographies censées représenter des virus, « séquençage »). En réalisant ces expériences témoins qui représentent le véritable contrôle nécessaire à toute expérimentation (qu’aucun virologiste ne prend la peine de faire), il a démontré à quel point la virologie était basée sur une fraude scientifique complète, une réelle imposture(([14] Stefan Lanka: « Virus, It’s Time To Go. », https://odysee.com/@Hmanpro:e/Time_To_Go:b, L’enterrement de la théorie virale par Joseph Stroberg, https://cv19.fr/2022/02/03/lenterrement-de-la-theorie-virale/)).

Plusieurs expériences pourraient être menées pour trancher le débat sur l’existence des « virus », une proposition a d’ailleurs été faite par plusieurs des auteurs cités précédemment en juillet 2022(([15] https://drsambailey.com/resources/settling-the-virus-debate/)). Elle reste sans réponse, ignorée et non médiatisée.

N’oublions pas, d’autre part, que l’hypothèse virale n’a aucune cohérence avec l’analyse des statistiques de la mortalité. Pierre Chaillot a démontré que le phénomène de contagion d’un département ou d’un pays à l’autre était inexistant(([16] Le mythe de la contamination épidémique, 5e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/le-mythe-de-la-contamination:e. Voir également sur la contagion interhumaine : Quelques études ayant tenté de prouver la contagion interhumaine, https://cv19.fr/2022/02/20/quelques-etudes-ayant-tente-de-prouver-la-contagion-interhumaine/)).

Certains pourraient rétorquer à ces considérations critiques en citant, par exemple, cet article de l’IHU de Marseille trouvant une corrélation entre le nombre de cycles PCR et la prétendue positivité de la mise en culture du virus(([17] Jaafar et al. 2021, Correlation Between 3790 Quantitative Polymerase Chain Reaction–Positives Samples and Positive Cell Cultures, Including 1941 Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Isolates, https://academic.oup.com/cid/article/72/11/e921/5912603)). Mais l’apparente cohérence des résultats ne démontre en rien l’existence d’un « virus », la méthode étant fondée sur une théorie qui n’a jamais été démontrée. De la même manière, l’efficacité des traitements dits « antiviraux » contre la maladie dite COVID-19 n’est pas une preuve qu’elle est provoquée par un virus.

On peut ajouter que la présentation par de nombreuses équipes de supposés « variants » avec à chaque fois une séquence nucléotidique différente ne permet en aucune manière de conclure à l’existence des « virus ». En effet, on notera que dans ce cas, c’est la technique de séquençage des acides nucléiques (méthode de Sanger ou de Gilbert par exemple) qui prend le pas sur la notion essentielle d’isolement en amont qui se trouve de fait occultée. Une séquence d’acide nucléique et même un catalogue de séquences ne disent rien sur leur origine, par conséquent c’est la procédure d’isolement qui est essentielle et déterminante pour pouvoir conclure. Le phénomène des » variants » correspond en réalité à l’incapacité des virologistes à reproduire l’expérience de séquençage.

Reconstruction de la phylogénie basée sur les « génomes » du « SRAS-CoV-2 » récupérés chez 1041 patients. Graphique tiré de l’article : « Clinical outcomes in patients infected with different SARS-CoV-2 variants at one hospital during three phases of the COVID-19 epidemic in Marseille », France, Hoang et al. 2021. doi: 10.1016/j.meegid.2021.105092

La virologie est une pseudoscience. Et il n’y a pas besoin d’être virologiste pour le comprendre. Pas plus qu’il ne faut être expert en licornes, pour savoir qu’elles n’existent pas. Il y a un « consensus scientifique » des virologistes sur l’existence des « virus » tout comme il y a un consensus des multimilliardaires sur les bienfaits du capitalisme. Un chercheur payé pour développer des plantes OGM croit que ces plantes sont un progrès pour l’humanité, sinon il aspire à changer de métier.

[Voir aussi le dossier Vaccins et virus]

Mais alors, de quoi ces gens sont-ils malades ?

La première réponse est fournie par Pierre Chaillot : il n’y a pas eu d’augmentation extraordinaire de malades ou de décès avant l’arrivée des vaccins.

Si l’on tient compte de l’évolution de la pyramide des âges, on constate que l’année 2020 est la 6e année la moins mortelle de l’histoire de France(([18] « Y a-t-il eu une hécatombe quelque part ? », 1er épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/y-a-t-il-eu-une-h%C3%A9catombe-quelque-part:5)). Il n’y a pas eu de saturation hospitalière(([19] « Y a t il eu la saturation hospitalière annoncée ? », 2e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/y-a-t-il-eu-la-saturation-hospitali%C3%A8re:0)), mais c’est la codification des malades de l’OMS utilisée à l’hôpital et la tarification à l’acte qui expliquent ces pseudo chiffres à propos desquels le gouvernement nous ordonne de ne pas débattre(([20] La bureaucratie sanitaire au centre de la fraude, 4e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/la-bureaucratie-sanitaire-au-centre-de:e)).

Sur la période du premier confinement, on constate des augmentations anormales de la mortalité qui peuvent être expliquées par les mesures gouvernementales : la surmortalité à domicile (5000 décès) par l’abandon de soin, la surmortalité hospitalière (7000 décès) par une prise en charge trop tardive, et la surmortalité dans les EHPAD (5000 décès) par l’augmentation de l’utilisation de molécules pour « accompagner » la fin de vie du type Rivotril(([21] « Morts sous protection sanitaire », 6e épisode de la série Décoder l’éco/Kairos, https://odysee.com/@decoderleco:c/morts-sous-protection-sanitaire:e)).

Deuxièmement, il ne faut pas inverser la charge de la preuve. Ce n’est pas à ceux qui prétendent que la théorie virale est une imposture de présenter une théorie alternative expliquant la maladie, mais aux virologistes de démontrer que la leur est juste.

Enfin, s’il fallait creuser une autre piste, on pourrait par exemple s’interroger sur le fait que les symptômes attribués au « virus » qui n’existe pas sont identiques à ceux d’une exposition aux ondes électromagnétiques, dont la 5G(([22] Rubik et Brown 2021, Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5G, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/)). D’autre part, il existe une corrélation temporelle et géographique entre les lieux d’apparition de ces malades et l’implantation de la 5G(([23] voir le livre de Tom Cowan à partir de la page 21, https://unpeudairfrais.org/wp-content/uploads/2022/06/Le-mythe-de-la-contagion-Tom-Cowan.pdf)).

[Voir aussi :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Paquet d’ondes radio
La maladie des ondes radio : l’histoire de l’électrohypersensibilité
Plus de 2 000 études documentaient les effets nocifs des ondes avant 1972]

Correspondance entre les effets biologiques de l’exposition aux rayonnements de communication sans fil et les manifestations de la COVID-19. Tableau tiré de l’article de Rubik et Brown 2021, Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5Ghttps://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/.

Mais à n’en pas douter, il ne faut pas s’attendre à des financements publics ou autres permettant d’orienter les recherches vers ce type d’explication de la santé dégradée des populations. L’occasion est trop belle avec cette hypothèse virale pour ceux qui dirigent le monde de pouvoir ainsi exercer un contrôle renforcé totalitaire des populations, de trouver un débouché illimité pour les injections de BigPharma par la production d’une sorte de marché captif et aussi d’occulter toutes les agressions de la société industrielle sur la santé des peuples par les innombrables pollutions dont elle est à l’origine.

L’ultime soutien à la thèse virale : le gain de fonction

De quoi s’agit-il ? La recherche médicale en « gain de fonction » consiste à modifier le génome d’un agent pathogène afin d’en augmenter la transmissibilité et la virulence, en l’occurrence il s’agira, dans la situation actuelle, de supposés « virus ». L’objectif annoncé est de mieux comprendre la pathogénicité de ces organismes, de leur interaction avec des hôtes potentiels et l’environnement et par cette stratégie, d’être prêts de manière plus efficace à faire face à de nouvelles pandémies. En clair, l’objectif déclaré est de créer des agents plus pathogènes que ceux présents hypothétiquement dans la Nature afin de produire des vaccins par anticipation censés protéger au mieux les populations. Ainsi, on n’hésiterait pas à modifier un » virus » de chauve-souris afin de le rendre transmissible à l’homme (zoonose) et à éventuellement lui adjoindre des séquences d’autres » virus » très délétères afin de le rendre plus agressif avec l’objectif d’avoir à disposition le plus souvent un vaccin où sera prévue cette évolution naturelle potentiellement menaçante de la pathogénicité(([24] Gain-of-Function Research: Ethical Analysis, Selgelid 2016, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4996883/.)).

Le prix Nobel de médecine 2008, Luc Montagnier, fut un des premiers à déclarer sur Cnews en avril 2020 que, grâce aux travaux d’un de ses collègues mathématicien, Jean-Claude Pérez, et à ceux de chercheurs indiens qui avaient étudié de très près la séquence du SARS-COV2, il s’avérait que des séquences du HIV y étaient présentes, allant donc dans le sens d’une création humaine dans le laboratoire P4 de Wuhan(([25] https://www.leparisien.fr/societe/coronavirus-et-vih-pourquoi-la-theorie-du-pr-luc-montagnier-est-invraisemblable-17-04-2020-8301387.php)).

Nous ne tiendrons pas compte du dénigrement méprisant des commentaires journalistiques à l’égard de Luc Montagnier dans ses affirmations, ce n’est bien sûr pas le sens de notre propos. Notre mépris à l’égard de cette profession sous contrôle oligarchique ne doit pas faire de doute, et l’objet de notre critique se situe ailleurs : l’hypothèse virale sous-jacente.

Aux États-Unis, cette affirmation d’un « virus » produit artificiellement par gain de fonction, selon toute probabilité dans le laboratoire de Wuhan, acquit de plus en plus de poids au niveau des courants d’opinion critiques de la version officielle de la pseudo pandémie ou « plandémie ». Il s’agit des courants d’opinion, animés par des personnalités qui ont en effet très tôt courageusement dénoncé la dramatisation de la présentation officielle de la « plandémie ». Ils se sont faits l’avocat des traitements précoces et des prises en charge alternatives de la maladie « COVID », et surtout ont dénoncé le caractère criminel des vaccinations et les tendances totalitaires des États qui les mettaient en place de manière toujours plus coercitive. Et il faut admettre que c’est tout à leur honneur et que cela permit en partie de mettre en garde une fraction des populations.

Exemple de 2 épisodes de l’émission « The Highwire » présentée par Del Bigtree dans lesquelles il est question de « gain de fonction »(([26] https://thehighwire.com/videos/the-investigation-into-covid-19s-origin-takes-new-twist/https://thehighwire.com/videos/shocking-gain-of-function-admission-by-faucis-nih/)).

L’organisation de Robert Kennedy Jr, Children Health Defense(([27] https://childrenshealthdefense.org/defender/documents-reveal-disturbing-details-gain-of-function-experiments/)), et de nombreux médecins et chercheurs tels que Robert Malone, Steve Kirsch, Joseph Mercola ou encore des journalistes critiques à forte audience tels que Matthew Del Bigtree avec son site The Highwire, Joe Rogan et son podcast à succès, ou encore Jeremy Hammond ont contribué à développer cette vision alternative à la version officielle. Cette dénonciation a connu un aspect plus strictement politique avec par exemple les auditions du Sénateur Rand Paul à l’encontre d’Anthony Fauci, l’ancien directeur du CDC, qui aurait délibérément aidé à financer ce type de recherche à Wuhan. Nul doute évidemment du caractère criminel de ce Fauci et de son organisation en lien avec la Fondation Gates et des forces qui n’œuvrent pas vraiment au bien de l’Humanité.

La seule question à poser à toutes ces personnalités, engagées de manière très honorable dans la dénonciation des dangers de la vaccination (innombrables effets secondaires pouvant mener à de graves infirmités, pathologies chroniques, voire la mort), c’est d’accepter d’apporter la preuve de la validité de cette notion de « virus » produit artificiellement par gain de fonction (échappé par accident ou volontairement selon les interprétations) dès lors qu’aucun « virus » n’a jamais pu être isolé. Par conséquent, puisqu’il n’y a pas eu d’isolement de « virus », comment peut-on produire ce type de recherche à partir de « virus » identifiés antérieurement, pour les rendre plus agressifs et délétères avec une stratégie qui sera honnête ou criminelle.

Il y a un réel problème de logique de base dans cette conception et il est à craindre que cette vision ne fasse, parmi les rangs des gens qui se posent des questions à travers le monde, que renforcer la terreur en validant de nouveau et en renforçant l’hypothèse virale. L’aspect ouvertement contre-productif de ces présentations des faits ne peut qu’éloigner toujours plus de la conscience de l’aspect central de l’imposture virologique qui pourra continuer ainsi à perdurer et nous entraîner toujours plus vers un monde de contrôle totalitaire à la déshumanisation accélérée pour le plus grand profit d’une pseudo élite criminelle.

Nous nous ne prononcerons pas, à ce stade, sur l’honnêteté intellectuelle de ces personnalités d’ailleurs aux caractéristiques fort diverses : manipulation/opposition contrôlée ou ingénuité par absence de curiosité et ignorance ou encore crainte de se décrédibiliser aux yeux du plus grand nombre(([28] https://viroliegy.com/2022/10/24/its-gain-of-fiction-story-time-with-rfk-jr-and-friends/)). Mais la question mérite d’être posée, elle est essentielle à la production d’un examen critique solide dans un monde où la fausse science sacralisée est l’outil majeur de la coercition.

La jeune fille à la licorne — 1604-1605 — Le Dominiquin.

Jan Morvan, Fortuné Roussel et Patrick Visconti.





Nanotechnologie et « vaccins »

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

Nanotechnologie et « vaccins » : ou bien nous sommes informés ou bien nous ne voulons pas être informés !

Adresse MAC

Nous avons examiné, dans un article précédent, ce que voulait dire l’adresse MAC. MAC = Media Access Control. C’est un code de 48 bits, permettant d’identifier un appareil qui se connecte à un réseau IG local ou à Internet. Ce code est divisé en 6 blocs de 2 caractères décimaux d’accès. Les trois premiers sont connus sous le nom de O.U.I. (Organisation Unique Identifiée)

[Voir aussi :
Les vaxinés Bluetooth : explications et conséquences probables
Précisions sur les codes Bluetooth émis par des vaccinés
Projet Bluetooth Expérience X]

Les trois suivants sont appelés NICS (Network Interface Controller Specific). Tout cela constitue le numéro de série ou l’identifiant de l’appareil lui-même. Dans le contexte des « vaccins anti Covid », le code MAC signifie le code qui valide des adresses MAC sur un réseau sans fil Bluetooth.

Ces adresses MAC, contrairement à celles d’un appareil normal, se caractérisent par l’absence d’identifiant connu du fabricant. En d’autres termes, ils sont inconnus. Cela peut être vérifié en consultant toutes les bases de données des fabricants d’appareils électroniques. Ces adresses MAC n’existent donc chez aucun des fabricants.

En activant la fonction Bluetooth de votre téléphone portable, vous pouvez constater qu’apparaissent des codes MAC des appareils qui se trouvent dans votre environnement, des appareils connus et aussi des inconnus… On retrouve donc éventuellement son imprimante, son casque, une enceinte acoustique, d’autres téléphones… Quant aux adresses MAC inconnues, elles sont dynamiques ou variables. Leur période de diffusion est également variable. Des spécialistes de ces questions, comme Germàn Sarlangue, Julien Devilleger et d’autres, ont observé que ces codes étaient à mettre en lien avec les injections d’ARNm de Pfizer et Cie… Ils ont également remarqué que ce phénomène MAC n’existait pas lorsqu’il était recherché sur les personnes non « vaccinées ».

Il est à remarquer que les dernières mises à jour d’Androïde, désactivent dans certains cas, cette fonction sur le téléphone. Pour inverser ce phénomène, vous devez désactiver les options de développement du téléphone et vérifier en revanche que les options liées à Bluetooth ne sont pas désactivées, en particulier l’option d’affichage MAC sans nom. Sur les téléphones Apple, vous pouvez également vérifier si les applications du scanner BLI sont installées.

Maintenant, faites cette expérience : recherchez un tronçon de route à faible trafic et à faible vitesse et où il n’y a pas de circulation piétonne dans la zone.

Activez la fonction Bluetooth de votre téléphone en bordure de cette route. Vous allez découvrir qu’une adresse MAC va apparaître sur l’écran de votre téléphone, lorsque la personne présente dans son véhicule a été « vaccinée » ; puis, cette adresse va progressivement disparaître avec l’éloignement de son véhicule. Si, dans certains cas, l’adresse MAC n’apparaît pas, c’est que la personne présente dans son véhicule n’a pas été « vaccinée » ou que la dose d’oxyde de graphène n’a pas encore été suffisante pour déclencher l’autofabrication du système intracorporel de nanocommunication…

En 2021, un ami était convié aux obsèques d’une personne que l’on enterrait suite à une mort brutale par AVC. Arrivé au cimetière où avait lieu la cérémonie, il recevait une alerte sur son téléphone portable lui indiquant la détection d’adresses MAC : il y en avait cinq ! Il conservait une sauvegarde de cette preuve pour un article qu’il devait publier lui aussi sur un média indépendant. Vaccinés, même si vous êtes morts et enterrés, le code MAC continue d’émettre ses chiffres jusqu’au moment où le graphène sera dégradé par le temps, les substances environnementales, ou le feu d’une crémation future !

Comme la plupart des lecteurs, je me suis interrogé sur la réelle capacité des nanotechnologies à pouvoir constituer un véritable réseau fonctionnel et suffisamment indépendant en énergie pour fonctionner. Les découvertes dans le domaine de l’infiniment petit et l’alimentation électromagnétique à partir d’ions et non plus d’électrons — comme pour notre cerveau qui consomme très peu d’énergie — nous font entrer dans un monde que peu de personnes soupçonnent. L’ignorance est la première force de ceux qui ont fomenté ce plan machiavélique. 

Outre l’oxyde de graphène qui a été observé dans les 4 vaccins mentionnés, le Dr Campra a identifié, dans ces produits expérimentaux à ARNm, environ 110 éléments différents par l’observation microscopique et la spectrométrie des sérums.  

Des nanorouteurs ou nanosenseurs 

[Voir aussi :
Nouveau dossier : Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés
Nanoréseau intégré au corps humain. Extraordinaire dossier réalisé par un scientifique]

Définition : Le routeur est un appareil permettant la communication entre un objet connecté et Internet. Dans ce cas qui nous intéresse ici, l’objet connecté n’est autre que la personne inoculée puisque le routeur a été introduit dans son corps par la « vaccination ». On dit « Nano », parce qu’il s’agit d’un objet miniaturisé capable de passer par l’aiguille d’une seringue.

Les routeurs observés dans les sérums fonctionnent sans fil et peuvent être connectés à des appareils compatibles. Les routeurs sans fil font office d’interrupteurs réseau permettant aux appareils de communiquer entre eux et d’échanger des informations. 

Ils émettent des adresses MAC qui peuvent être enregistrées via des technologies sans fil Bluetooth sur des téléphones portables et à l’aide d’une application, comme on l’a vu. L’adresse MAC permet d’identifier l’objet — ici la personne — qui est porteuse du nanorouteur. À partir d’expertises contrôlées, Maître Brusa confirme que les personnes vaccinées sont porteuses d’une adresse MAC évolutive. Le lecteur pourra également visionner le film produit par Pierre Barnérias, Hold On, qui met en exergue une expérience montrant la présence de nanorouteurs chez les personnes vaccinées. 

[Voir :
Maître Brusa a fait confirmer par constat d’huissier la présence de code alphanumérique chez les vaccinés]

Le Dr Campra nous a donné une collection d’images de nanorouteurs/nano senseurs capturés à partir de son travail sur les vaccins Pfizer et Cie… et datées de novembre 2021. 

Pourquoi les personnes non injectées, mais testées ont-elles fait également l’objet de cette étude ? Parce que la suspicion de présence de nanotechnologies dans les écouvillons destinés au prélèvement nasal pour effectuer un test PCR Covid était importante. Les tests réalisés sur certaines personnes non vaccinées, mais prélevées pour un test PCR ont émis également un code MAC, mais il faut noter que tout dépend de la façon dont ont été réalisés ces tests. Dans tous les cas, les signaux alphanumériques ne se sont pas révélés comme constants dans le temps et leur apparition s’est avérée brève. 

Comme à chaque fois, les médias subventionnés dénigrent ces informations, sans enquêter, sans aucune expérimentation, mais seulement sur la base de ce qui est officiellement déclaré par les laboratoires, fabricants, commerçants et indirectement décisionnaires publics sur les AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) à travers les ex-employés qui sont disponibles dans les agences de régulation sanitaire partout dans le monde (pantouflage). 

Des nanoantennes et des nanoantennes plasmoniques 

Définition : Les nanoantennes permettent notamment de détecter des biomolécules avec une sensibilité exaltée, de contrôler les processus d’émission moléculaire, d’induire des élévations locales de température ou de piéger des micro-organismes vivants. 

Les points quantiques, utilisés dans l’industrie pharmaceutique « aussi appelés boîtes quantiques », sont des nanocristaux semiconducteurs, faisant généralement de 2 à 10 nanomètres de diamètre (10-50 atomes), qui sont capables de convertir un spectre de lumière entrant en une fréquence d’énergie différente. 

« Ces cristaux artificiels sont fabriqués à une échelle suffisamment petite pour faire émerger des effets de mécanique quantique. Les points quantiques ont des propriétés électroniques et optoélectroniques uniques qui permettent d’ajuster leurs niveaux d’énergie avec leur longueur d’onde ou leur couleur ». 

Les antennes plasmoniques/optiques permettent une localisation de l’énergie électromagnétique à l’échelle du nanomètre, bien en dessous de la limite de diffraction. Cette propriété ouvre de nouvelles voies pour la manipulation de la lumière aux échelles nanométriques, et porte de nombreuses promesses pour exalter les efficacités d’émission optique et de photodétection, notamment pour les applications de l’optique vers la biologie : la biophotonique. 

Les nanoantennes servent à la fois de capteur et sont aussi destinées à amplifier les signaux de communication pour transmission de données à un serveur extérieur, celui qui est précisément contrôlé par ceux qui ont introduit ces biotechnologies dans les sérums. 

« Les nanoantennes de large bande jouent un rôle potentiel dans le champ nanophotonique. Récemment, les nanoantennes optiques plasmodiques fabriquées à l’aide de nouvelles nanoparticules métalliques ont engendré un grand intérêt, pour la recherche, eu égard à leur capacité de positionner et d’améliorer, drastiquement, les champs électromagnétiques à leur surface ».

On peut en déduire que ce sont des antennes conçues spécifiquement pour le contexte des réseaux de nanocommunications intracorporelles et qui corroborent parfaitement les découvertes antérieures portant sur les nanorouteurs et le domaine des biosenseurs (Cf. : Haes, AJ, Van Duyne RP, 2002). 

Les vaccins permettraient donc d’injecter un nanopuzzle de nanotechnologies pouvant servir d’interface pour un réseau de nanocommunications introduit dans le corps humain. 

Il est techniquement possible aujourd’hui d’absorber et d’utiliser des ondes électromagnétiques produites par le corps humain.

Ces antennes peuvent également agir comme ponts rectificateurs du courant alternatif/continu et impliqueraient un autoassemblage pour interagir avec d’autres nanotechnologies présentes dans les sérums vaccinaux. 

Il est également possible de fabriquer un hydrogel pour nanotechnologies, à savoir une solution aqueuse qui permet de protéger les nanotechnologies contre une dégradation trop rapide par le système immunitaire. Il offre potentiellement un second avantage, celui de créer un environnement favorable pour faciliter la communication entre les différents éléments (nanotechnologies) contenus dans les « vaccins ».

[Voir aussi :
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux]

Les codecs – codeurs-décodeurs et les portes logiques

Dans le cas d’un nanoréseau intracorporel, les nanocodecs ont pour fonction de communiquer avec le nanoréseau de l’extérieur, c’est-à-dire au travers d’une plateforme où sont transmises les informations dans un réseau sans fil. 

Les (nano) portes logiques sont généralement des composants élémentaires d’un circuit numérique. Il existe usuellement sept portes logiques de base (AND, OR, XOR, NOT, NAND, NOR et XNOR) qui fonctionnent sur une base binaire (0 ou 1) et qui peuvent permettre, dans le cas qui nous intéresse, de crypter les nanocommunications entre les nanotechnologies inoculées aux personnes et un serveur à distance. Elles fonctionnent donc en réseau avec les codecs.

Oxyde de graphène 

L’oxyde de graphène supplante le silicium utilisé dans les semi-conducteurs, car sa capacité de conduire le courant électrique et sa capacité à capter ou à émettre un rayonnement électromagnétique focalisent les recherches et placent le graphène au cœur de la 4e révolution industrielle. Il représente le matériau idéal pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme humain, vont permettre de mesurer des critères biologiques préprogrammés et transmettre le résultat sans connexion filaire. 

Comme le rappelle le docteur en physique Gabriel Baumgartner, voici quelques caractéristiques des nanoparticules de graphène : 

Très grande résistance mécanique et grande capacité à conduire le courant (100 fois plus conducteur que le cuivre) et l’énergie thermique.

La nanoparticule de graphène monocouche peut franchir n’importe quelle barrière (hématoencéphalique, placentaire…) du fait de son épaisseur infinitésimale et s’intercaler dans n’importe quel tissu biologique.

Ses particules ont la capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique. Cette propriété permet de comprendre pourquoi le graphène constitue le matériau idéal pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer des paramètres biologiques et transmettre le résultat sans connexion filaire.

La matière première pour élaborer ces complexes microstructurés que l’on retrouve dans les vaccins contre Covid est l’oxyde de graphène dont la présence est essentielle pour l’autoassemblage de ces complexes, mais également pour la communication sans fil avec un serveur externe. 

Les corps flagellaires

À l’occasion de ces travaux de recherche pour comprendre la présence de ces substances non déclarées dans les « vaccins » antiCovid, on a également observé des corps flagellaires composés de perles, des petites sphères de taille similaire, surmontées d’une sphère plus grande. La forme de ces corps flagellaires rappelle celle d’une bactérie de type « Streptococcus », cependant, après avoir comparé toutes les espèces du genre, aucune ressemblance concluante n’a été trouvée. C’est en réalité des nanorobots autonomes autopropulsés, plus précisément il s’agit de « nageurs de rotors colloïdaux anisotropes » liés à l’ADN, composés de particules colloïdales paramagnétiques de taille différente ou similaire, comme indiqué dès 2008 par Tierno, P et al. dans leur publication Magneticly Actuated Colloidal Microswimmers ou encore en 2010 dans Controlled Swimming in Confined Fluids of Magnetically Actuated Colloidal Rotors. La littérature scientifique abondante ne manque pas sur ces sujets qui sont pourtant globalement ignorés du grand public. 

Les nanopoulpes de graphène ou hydres 

Les Docteurs Franc Zalewski en Pologne et Dr Carrie Madej aux États-Unis ont tous deux observé dans les vaccins à ARNm un organisme qui s’apparente à un parasite, surnommé respectivement « La chose » et « Hydra Vulgaris ».

Dr Franc Zalewski en Pologne et Dr Carrie Madej aux USA ont…


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Ces chercheurs ont finalement compris qu’il s’agissait d’un autoassemblage de nanotubes de carbones via un phénomène appelé la teslaphorèse, à savoir un assemblage réalisé à partir d’ondes électromagnétiques (comme par exemple celles de la téléphonie mobile). 

Ces formes de vie artificielle ne sont pas uniquement composées de graphène (carbone), mais s’apparentent à une forme de vie hybride qui fait intervenir une structure ADN. 

En 2013, Dasgupta, K. et coll. expliquaient qu’au cours de leurs travaux cherchant à mettre au point une méthode économique de production de nanotubes de carbone (NTC) à partir de carbone, ils avaient observé que dans leur synthèse en « lit fluidisé », le graphène se « transformait en structures de type pieuvre de carbone »…

Il est donc probable que l’utilité de ces nanopoulpes dans les vaccins consiste à fournir des relais électromagnétiques de communication. Il est également possible qu’ils aient d’autres fonctions qui restent à découvrir, notamment si leur composition est hybride à base de carbone et d’ADN. 

Les particularités de la bio-informatique, qui nous intéressent pour ce dossier, relèvent de la capacité à programmer des cellules pour une fonction particulière. L’utilisation d’une puce à ADN ou biopuce est en plein développement comme le disait Baptiste Waldner dans son ouvrage « Nano-informatique et Intelligence Ambiante : Inventer l’Ordinateur du XXIe Siècle ». Le principe d’une telle puce repose sur la particularité de reformer spontanément la double hélice de l’acide désoxyribonucléique (ADN) face au brin complémentaire. Les quatre molécules de base de l’ADN ont en effet la particularité de s’unir deux à deux. Si un patient est porteur d’une maladie, les brins extraits de l’ADN d’un patient, vont hybrider avec les brins d’ADN synthétiques représentatifs de la maladie. 

Mais, il faut le souligner ici, cette biotechnologie utilisée pour le traitement de pathologies graves, peut également être détournée pour pirater le programme de la vie. Et c’est bien de cela dont il est question avec la « vaccination » de masse. 

Le média Technocracy News publiait il y a un an une information retrouvée dans un Talk Show (Ted Talk) daté de 2017 où le Dr Zaks — médecin chef de Moderna — expliquait la nécessité de « pirater le logiciel de la vie » en modifiant le code génétique des êtres humains. Cette logique transhumaniste qui paraît si claire à ceux qui, unilatéralement, ont décidé de la promouvoir et de l’imposer aux autres choque les esprits conscients et responsables. 

Un serveur relié à un superordinateur quantique du type D-Wave, récemment acquis par la Commission Européenne ou encore par Google, est en mesure de suivre 7 milliards d’individus injectés et ayant embarqué des nanotechnologies via la « vaccination » pour créer un WBAN. 

Les nanobatteries injectées dans le corps évoluent dans les fluides corporels et utilisent les ions disponibles dans le corps humain. 

Mais les nanobatteries au graphène peuvent fonctionner de manière différente notamment grâce aux ondes électromagnétiques que l’on retrouve partout dans notre environnement, particulièrement celles produites par les réseaux téléphoniques sans fil. Un corps biologique situé dans un environnement électromagnétique va voir apparaître en son sein des courants induits correspondants aux fréquences de cet environnement. Certaines personnes y sont par ailleurs très sensibles, nous le savons. 

Si l’oxyde de graphène offre une bonne capacité d’absorption des ondes 5G, comme l’a prouvé Mik Andersen, il s’appuie sur les travaux de Ameer et Gul (2016) intitulés « Influence of Reduced Graphene Oxide on Effective Absorption Bandwidth Shift of Hybrid Absorbers », pour conclure également d’une bonne absorption des ondes 2G, 3G et 4G. 

Il existe une abondante littérature scientifique qui démontre l’implication directe de l’ADN autoassemblé pour créer des systèmes informatiques et nanotechnologiques, également à travers des cristaux d’ADN. Jackson T et coll. expliquent qu’il est permis de construire de nouvelles nanoparticules qui jouent des rôles intermédiaires entre les ordinateurs électroniques et les systèmes biologiques. 

Des dispositifs nanoélectroniques basés sur l’ADN synthétique sont bien embarqués dans les vaccins Pfizer et Cie… Bien que non mentionnés dans la composition du vaccin, en raison d’un vide juridique probablement entretenu (La législation n’a pas évolué depuis 20 ans), ces dispositifs sont inoculés à l’insu des personnes « vaccinées ». 

Nanotechnologie et « vaccins » : ou bien nous sommes informés ou bien nous ne voulons pas être informés : transhumanisation et nanoréseaux…

Il existe une connivence évidente entre les fabricants qui ont bénéficié des autorisations de mise sur le marché pour leurs produits, et un projet mondialiste piloté par un petit nombre de personnes influentes qui mettent en œuvre un projet longuement préparé et sans limites de moyens.

Composants du nanoréseau au plan intracorporel

  1. Nanotubes de carbone (CNT) et dérivés (SWCNT, MWCNT) 
  2. Points quantiques de graphène (GQD) 
  3. Nageurs hydrogels 
  4. Nanoantennes fractales en graphène 
  5. Nanorouteurs ou nanocontrôleurs 
  6. CODEC ou Nanointerface 

Topologie de nanoréseau 

  1. Nanonodes (GQD, Hydrogel nageurs, Nanotubes, Fibres) 
  2. Nanocapteurs (circuits de nanotubes, nanofeuillets de graphène) 
  3. Nanocontrôleurs (circuits de nanorouteurs QCA) 
  4. Nanointerface (circuits QCA nanoCODEC) 

Les GQD (points quantiques de graphène) 

« Les points quantiques de graphène sont des morceaux de graphène ou d’oxyde de graphène à l’échelle micro-nanométrique avec des formes circulaires, hexagonales, triangulaires qui résultent de la décomposition ou de l’oxydation de nanofeuillets de graphène. Loin d’être un défaut du réseau, ils jouent un rôle fondamental, puisque leur taille leur permet de fonctionner ou d’opérer comme des nanoantennes. De plus, ils circulent à travers le système sanguin, les artères, les veines, capillaires, servant de marqueurs électriques, mais aussi biologiques, car ils absorbent les protéines et autres composants présents dans le sang. » 

(source : lilianeheldkhawam.files.wordpress.com)

Un fichier externe contenant une image, une illustration, etc. Le nom de l'objet est fchem-07-00399-g0001.jpg

L’interface humain-machine avec transmission de données est une nano-interface dotée d’un circuit QCA (quantum-dot cellular automata) plus complexe, qui contient une nanoantenne pour émettre et recevoir des signaux TS-OOK (On Off Keying). Avec une forte probabilité, ils disposent d’un codec pour crypter les paquets de données et les retransmettre à l’extérieur grâce aux nanocapteurs et nanorouteurs. 

Le nanorouteur n’a pas besoin de processeur pour fonctionner, car l’architecture QCA (points quantiques) lui permet de fonctionner à une fréquence d’horloge tout comme le ferait un processeur d’ordinateur. De cette façon, les signaux sont transmis au nanorouteur le plus proche afin d’optimiser le nanoréseau et d’éviter la saturation du signal. Pour cette raison, plusieurs de ces composants sont protégés grâce à l’hydrogel qui se trouve dans les sérums.

 Du point de vue fonctionnel, les propriétés semi-conductrices, des points quantiques de graphène, leur permettent d’élaborer un réseau sans fil au travers duquel ils peuvent moduler et, encore plus, réussir à neuro-moduler — tels des nanotransducteurs — avec une plus grande efficacité que les feuilles d’oxyde de graphène, les schémas de comportements humains. 

Selon Andersen, les photographies obtenues, à partir des analyses de sang, démontrent la présence de nanoantennes fractales de graphène cristallisé, de nanonageurs en forme de rubans d’hydrogel, l’oxyde de graphène, et finalement, de points quantiques de graphène. Conformément à toutes les preuves produites et à tous les faits déclinés, il peut être affirmé que cet écosystème de graphène, dans le corps humain, est conçu pour la réception de signaux électromagnétiques au travers des nanoantennes fractales de graphène et de leur propagation au travers des points quantiques de graphène avec un double objectif. 

Le premier : l’administration potentielle de substances étrangères et leur libération en fonction de cibles biologiques — à savoir, des organes déterminés du corps humain. 

Le second : la modulation des neurones et d’autres tissus du corps humain sont ciblés afin qu’ils puissent être télécontrôlés au moyen de micro-ondes et d’émissions d’ondes (5G). 

Finalement, les nageurs, en forme de rubans d’hydrogel, possèdent une fonction motrice reconnue qui opère en couplage avec des ondes électromagnétiques ou des champs électromagnétiques — afin de libérer leur charge pharmacologique ou pharmacogénétique. 

En d’autres termes, les dominants léo Straussiens du NOM, cherchent à prendre le contrôle totalitaire de chaque personne, en utilisant des biotechnologies totalement inconnues du public. Puisque la plupart de ces éléments se dégradent dans la durée, notamment sous l’effet du système défensif de l’organisme, les promoteurs du transhumanisme ont donc prévu des « vaccinations » à répétition, sous prétexte sanitaire, invoquant l’arrivée de nouveaux variants toujours plus dangereux et menaçants les uns que les autres ! 

La solution radicale au problème consiste donc à refuser la « vaccination ». Bien entendu, vous êtes « libre » de choisir de rester un esclave lié à sa chaîne numérisée, intracorporelle.

« Ils cherchent à prendre le contrôle de chaque personne en utilisant des biotechnologies inconnues du public » 

Ceux qui pensent que les épisodes de Covid ou d’une autre épidémie relèvent du passé, vont être surpris dans les semaines et mois à venir. Bill Gates qui fait partie des instigateurs de ce projet, annonce de nouvelles épidémies, non parce qu’il prophétise, mais parce qu’il en est assurément l’un des instigateurs. 

Ces faits étant inavouables, les maîtres du jeu devaient s’appuyer sur la manipulation de l’opinion publique. Beaucoup se sont longtemps demandé pourquoi Bill Gates qui n’a aucune compétence en matière de santé avait investi à ce point, comme on l’a vu dans un autre article, dans les vaccins. Décidément, on comprend mieux le lien entre biologie et informatique — dont il est professionnel — lorsqu’on sait ce que contiennent les vaccins. 

Communication avec l’extérieur et utilisation du protocole OS TOOK 

Toujours à partir des travaux de Mik Andersen dont une traduction est proposée sur le site de Xochipelli dans la section intitulée « Réseaux de nano-communications sans fil pour les nanotechnologies dans le corps humain », nous proposons quelques explications. 

Akyildiz, I.F. ; Jornet, J.M. ; Pierobon, M. (2010) ont montré que les points quantiques de graphène servent à propager des communications sans fil dans le corps humain et à moduler le système nerveux central. Ils affirment que :

« Réduire l’antenne d’un dispositif sans fil classique à quelques centaines de nanomètres nécessitait l’utilisation de fréquences de fonctionnement extrêmement élevées, ce qui compromettrait la faisabilité de la communication électromagnétique sans fil entre nanodispositifs. C’est pour cette raison que fut adoptée l’utilisation du graphène afin de fabriquer des nanoantennes capables de surmonter cette limitation ». 

Cela confirmait dès 2010 que le graphène était le bon matériau pour propager des signaux dans ce contexte de la communication sans fil à l’intérieur du corps humain. De plus, les basses fréquences sont moins nocives que les hautes fréquences pour l’organisme et le métabolisme. Aussi, les nanoantennes en graphène fractal observées dans les échantillons de sang permettent la réception et la transmission des signaux de communication avec le réseau de points quantiques GQD en graphène, dispersés dans le corps via la circulation sanguine. 

La propagation des réseaux de nanocommunication sans fil, des nanoantennes et des nanocapteurs requiert des protocoles de routage pour les réseaux de nanocapteurs sans fil dans l’IoNT (The Internet of Nano Things) ou l’internet des nano-objets.

Le schéma de routage IoNT (Internet of Nanothings) assure la livraison des paquets de données à la nano-interface de la passerelle, qui est chargée de transmettre/répéter les informations à l’extérieur du corps, en incluant dans son en-tête l’identification MAC, nécessaire pour différencier l’origine des données. La traçabilité de chaque individu était donc possible, de même que l’action sur un dispositif individuel, c’est-à-dire que ce qui survient chez un individu peut ne pas survenir chez un autre équipé du même dispositif. Nous connaissons encore peu ce qu’il est possible de réaliser avec ces dispositifs, mais rendre les gens malades de manière ciblée et différente (cœur, cerveau, foie, système immunitaire…) est techniquement possible, ce qui permet de mieux dissimuler des actes illicites, immoraux et meurtriers. Mais lorsqu’on en vient à considérer la vie comme un simple matériau, la suppression de la vie n’est alors plus considérée comme immorale par ceux-là mêmes qui tiennent les commandes numériques d’un tel système !

Le graphène peut être programmé et contrôlé comme s’il s’agissait d’un logiciel.

Sources : Abadal, S. ; Liaskos, C. ; Tsioliaridou, A. ; Ioannidis, S. ; Pitsillides, A. ; Solé-Pareta, J. ; Alarcon E. ; Cabellos-Aparicio, A., 2017 

Puisque la vaccination ne pouvait être rendue obligatoire, il était donc prévu de la coupler à un pass identitaire et à la suppression de la monnaie scripturale envisagée pour la fin 2022. Enfin, coupler le pass à un moyen unique de paiement numérique via un dispositif intracorporel (micropuce/Tag) supprimerait toute possibilité d’achat ou de vente à ceux qui refuseraient la « vaccination ». Le marquage du bétail humain est un système qui contrôle infailliblement la vie de l’esclave soumis et la mort de celui qui veut passer dans le « camp » des rebelles ! 

Explication de la neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain 

Qu’entend-on par neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain. Les nanotubes de carbone et l’oxyde de graphène traversent la barrière hématoencéphalique et contribuent à modifier les synapses ainsi que la croissance des cellules neuronales. L’oxyde de graphène a une affinité avec les cellules du cerveau et avec le cœur, car ces deux organes, de par leur activité, génèrent un faible champ électromagnétique. Ces champs méritent encore d’être explorés, de même que la toxicité de ces nanotechnologies sur le cerveau humain. 

Mik Andersen nous explique que la neuromodulation et la neurostimulation sont possibles grâce aux nanotubes de carbone (graphène sous forme tubulaire), qui agissent comme des électrodes activant des régions spécifiques du cerveau ; ils peuvent également être utilisés comme une interface neuronale capable de se connecter à des réseaux de nanocommunication sans fil inoculés, dont les points quantiques de graphène (GQD), les nanoantennes en graphène et tout un réseau pour lequel il existe un logiciel de simulation, des protocoles de routage, des protocoles MAC. Les WBAN utilisent déjà ces technologies et il existe une littérature abondante sur le sujet.

La communication moléculaire intégrée avec des nanotubes de carbone ayant la capacité d’interagir dans des nanoréseaux sans fil de capteurs neuronaux est une réalité scientifique comme le montrent notamment les travaux de Abd-El-atty, SM et coll. en 2018 : « la communication moléculaire (CM) est considérée comme une approche prometteuse pour transmettre des informations dans le nanoréseau intracorporel. Dans ce contexte, l’utilisation de nanomachines dans le nanoréseau facilite les opérations de traitement, d’actionnement de logique et de détection. En outre, les nanomachines ont la capacité d’échanger des informations lorsqu’elles sont interconnectées par le biais du nanoréseau. Un simple nanoréseau intracorporel peut être réalisé en connectant un groupe de nanomachines artificielles/synthétiques ou biologiques pour exécuter des tâches et des fonctions complexes dans le corps humain, telles que le diagnostic et les traitements biomédicaux, ou la transduction des signaux neuronaux et le contrôle neuronal… Les nanotubes de carbone facilitent l’interaction moléculaire entre les cellules vivantes, y compris les neurones, par une interconnexion basée sur des commutateurs stables pour l’amarrage des molécules… Les nanotubes de carbone (NTC) ont la capacité de reconnaître la libération de molécules de neurotransmetteurs dans le système nerveux du nanoréseau. »

« Un simple nanoréseau intracorporel peut être réalisé en connectant un groupe de nanomachines artificielles/synthétiques ou biologiques pour exécuter des tâches et des fonctions complexes dans le corps humain. » 

La seule communication électromagnétique pour la surveillance du système nerveux central et particulièrement du tissu neuronal n’est pas suffisante. Pour le bon fonctionnement du réseau intracorporel et de cette surveillance de l’activité neuronale, il faut lier la communication moléculaire et électromagnétique dans une approche hybride. 

En 2004, Roman C et coll. expliquaient :

« Nous proposons et simulons un capteur à nanotube de carbone très sensible, capable de transposer la liaison protéine-ligand, ou plus généralement la reconnaissance macromoléculaire, à une variation de fréquence d’un courant électrique ».

Il s’agit de la base sur laquelle est construit le modèle hybride de communication moléculaire-électromagnétique, démontrant que leur interaction, leur transduction ou, si vous préférez, la traduction des signaux moléculaires en fréquences et en impulsions de courant électrique est possible. 

Andersen conclut que « cela permet de déduire que le but ultime d’une partie importante des recherches sur les nanotubes de carbone et leurs dérivés est la neurostimulation/neuromodulation. Autrement dit ces technologies présentes, mais non déclarées dans les pseudos vaccins contre la Covid, ont pour but de contrôler — au moins partiellement — le fonctionnement du cerveau des personnes inoculées. Il ne s’agit en rien, ni de santé, ni de science-fiction, mais d’une réalité technologique bien réelle. »

Avec la découverte des nanotechnologies dans les « vaccins anti Covid » (à ARNm et à adénovirus), on peut affirmer que la « vaccination » de masse contre la Covid n’était qu’un prétexte et un moyen de contourner le consentement libre et éclairé des personnes. Le contenu des produits injectés aux populations représente un viol de la personne, une menace contre l’intégrité physique et psychologique et contre la liberté de penser et d’agir. 

Conclusion 

A la lecture de ce dossier, on comprend que l’épidémie de SARS-COV-2 n’était pas un accident, mais un événement volontairement provoqué, pour l’introduction de ces biotechnologies dans les « vaccins » disponibles en Occident. Cela requerrait, en effet, des années de recherche et de minutieuse préparation. L’épidémie (et non la « pandémie »), a été créée de mains d’hommes et propagée de manière volontaire dans le seul but de faire « vacciner » la population mondiale. 

Il s’agit d’une arme biotechnologique qui a deux fonctions majeures : 

La première était certainement, de tuer aléatoirement, par l’incompatibilité naturelle des organismes qui réagiraient aux contenus des « vaccins ». Ces personnes seraient tout bonnement jugées indésirables, voire, opposantes au système, selon des critères, eux aussi aléatoires, définis par ceux-là même qui ont mis en place cette horreur. Dans ce lot, les plus fragiles seraient également menacés, à savoir les personnes âgées, les personnes malades et les enfants, en un mot : les « inutiles » ou les « substituables ». 

La seconde fonction consistait à prendre le contrôle des survivants en faisant d’eux les « transhumains », une nouvelle génération d’esclaves, par la prise de contrôle de leur cerveau, en manipulant leurs pensées et leurs émotions. Il ne s’agit pas d’un scénario de science-fiction, mais bien d’une réalité technologique financée par la troïka dominante, riche, puissante et assoiffée de domination sur ses congénères. 

En couplant la « vaccination » au mode de paiement numérique, qui deviendra le seul mode de paiement théoriquement prévu à la fin 2022, ils rendront obligatoire de manière indirecte, la « vaccination » et l’empoisonnement des personnes.

Tout cela n’aurait pas été possible si les individus libres et conscients, refusant d’être les jouets de la manipulation par la peur, avaient d’emblée contesté cette stratégie : tout le système de santé, les écoles, les administrations, les entreprises, l’armée, la police ont collaboré comme un seul homme, à ce plan machiavélique ! Les acteurs du monde médical intervenant dans les médias inféodés pour les besoins de la propagande, seraient grassement payés par l’immense fortune des maîtres qui engageaient ce plan de mise au pas de toute l’humanité ainsi dressée à sa complète soumission… Certains d’entre eux seraient même décorés de la Légion d’honneur ! Plus qu’aucune guerre, ce plan était fait pour répandre la mort déclinée en plusieurs versions (santé, économie, répression) et ferait un nombre de victimes qui allait se chiffrer par des millions d’individus.

L’instauration d’une dictature mondiale reste la finalité d’une humanité dénaturée et sous contrôle technologique. Humainement parlant, les chances de sortir de ce piège sont infimes, car elles reposent sur le réveil des populations qui n’a pas encore eu lieu massivement. L’humanité n’a jamais été autant menacée que par elle-même…

Ceux qui ont entrepris cela ont profité de l’ignorance et d’une énorme méconnaissance de la part de la communauté médicale et sanitaire en matière de bio-informatique, de nanotechnologies et de chimie quantique pour mettre en œuvre l’agenda 2030. 

Cependant, nous disposons de suffisamment d’éléments dans ce dossier pour comprendre ce qui se trame. Il reste pourtant difficile au plus grand nombre d’admettre qu’une telle entreprise soit possible et c’est de cela que nos oppresseurs tirent un énorme avantage. J. Edgar Hoover, directeur du FBI de 1924 à 1972, affirmait : « L’individu est handicapé en se retrouvant face à face avec une conspiration si monstrueuse qu’il ne peut croire qu’elle existe ». C’est précisément sur la base de ce constat qu’ils comptent réussir l’imposition de la « vaccination » mondiale et ses conséquences funestes. La dissimulation, le mensonge et la technologie sont au cœur de cette manipulation sans précédent dans l’Histoire. 

Si l’on souhaite vraiment connaître le fond de la pensée de nos « nouveaux maîtres », il est impératif d’examiner celle, toxique, de l’historien Yuval Noah Hariri, un des acteurs et grand partisan du « Great Reset » mis en avant sur la scène internationale — qui justifie « la surveillance biométrique de l’être humain » et affirme avoir « besoin de réécrire le code du vivant » ou encore que « les humains sont des animaux que l’on peut pirater ». De l’eugénisme aux thèses totalitaires, il n’y a qu’un pas très vite franchi !

Avec l’Hybridation de l’ADN synthétique et du graphène dans le corps humain, des preuves commencent à pointer et nous espérons qu’elles inciteront les citoyens à ne pas se faire « vacciner ». Car une chose est certaine — alors que nous ne sommes plus en phase épidémique — c’est que la « vaccination » de masse va repartir de plus belle en France et partout ailleurs et qu’elle prendra une forme indirecte obligatoire, car ce rituel de « vaccination » est destiné à devenir permanent, définitif. Sachons-le une bonne fois pour toutes : la « vaccination » sera finalement obligatoire, répétitive et permanente, faute de quoi, le système immunitaire naturel pourrait à tout moment compromettre ce marquage du « bétail humain ».

C’est la raison pour laquelle une guerre civile sera, elle aussi, obligatoire, inévitable : on ne peut pas obliger quelqu’un à mourir ou à porter dans son corps une chaîne invisible le maintenant dans un esclavage irréversible, sans s’attendre à ce qu’il cherche à défendre sa vie et sa liberté ! Tous ces criminels qui ont pensé une telle horreur sont de parfaits inconscients : ils s’imaginent qu’ils vont triompher sans problèmes alors qu’ils vont entraîner dans leur délire une destruction totale de leur monde pervers ! Que ce moment vienne sans tarder afin de retrouver la liberté sacrée de la vie qui est une manifestation de la conscience intériorisée.

[Voir aussi :
À quoi pourraient bien servir des bio-nanocapteurs en oxyde de graphène ?
La microscopie électronique à balayage et à transmission révèle la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins contre le CoV-19
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Les nanoparticules de graphène : Propriétés, applications, toxicité et réglementations
Technologie de « neuromodulation » à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G]

Sources : Se reporter pour plus de détails et pour les photos au « Dossier N°4, Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés », de Laurent Aventin, Santé publique, PhD Mai 2022.

DOSSIER n°4 — Kaya Team Universe

Voir également : « Les implications de l’adresse MAC des injectés aux vaccins covid », 10 octobre 2022 : Mik Andersen, auteur de Corona2Inspect.net

www.bitchute.com

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




COVID19 = ARNAQUE UNIVERSELLE

[Source : businessbourse.com]

Pourquoi les chercheurs et les journalistes ont-ils autant traîné pour poser les bonnes questions ? Vous aurez bientôt tous les détails, c’est affligeant !!!

« À une époque de tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire »

George Orwell

Alors que nous approchons de la troisième année de la « crise de Covid », l’histoire de Covid autrefois inattaquable — rapportée et répétée par les politiciens, les mandarins de la santé publique et tous les médias grand public — a été remplacée par des contradictions et des incohérences.

L’histoire originale de Covid, racontée par des « experts » de la santé et des représentants du gouvernement, a parlé d’un agent pathogène particulièrement virulent qui a assiégé la planète en 2020 et s’est propagé très rapidement, terrorisant, infectant et tuant des gens en masse.

C’était l’histoire d’un « événement de niveau pandémique » au cours duquel les gens ont été invités à rester chez eux, des secteurs entiers de la société ont été contraints de fermer et les humains ont été invités à faire tout leur possible pour éviter tout contact les uns avec les autres.

C’était une histoire d’écoles fermées, d’entreprises fermées, d’églises fermées et d’hôpitaux complètement débordés.

Dans les chapitres suivants, l’histoire de Covid est passée de vérités à toute épreuve, « Suivez la science », à des définitions en constante évolution, « La science évolue ». D’innombrables aspects du récit « officiel » ont changé du jour au lendemain. Peu à peu, l’histoire est devenue pleine de pages de statistiques douteuses et d’intrigues toujours changeantes.
Que penser de toutes ces contradictions et mutations ministérielles ?

Bientôt, la seule certitude dans le récit de Covid est devenue son incertitude.

Tenter de donner un sens à l’énigme Covid a rapidement nécessité de naviguer dans un labyrinthe complexe de tromperies, de manipulations, d’obscurcissements et de dissimulations. Séparer les faits de la fiction devenait chaque jour plus difficile.

Alors que la plupart ont persisté avec le scénario médiatique et les décrets gouvernementaux, certains ont commencé à remarquer les nombreuses anomalies et ont commencé à poser des questions.

La question la plus criante était simplement : « Pourquoi personne n’a-t-il été autorisé à poser des questions ? » Une fois cette boîte de Pandore a été ouverte, un flot de questions a fusé.

Pourquoi les médias ne posaient-ils aucune question ? Pourquoi tous les pays riches fonctionnent-ils tous de manière très coordonnée ?

Avons-nous été alertés de cet « événement de niveau pandémique » par nos observations et expériences directes ?

Étions-nous entourés de personnes malades, dans nos maisons, nos quartiers et nos lieux de travail, qui succombaient à un virus à propagation rapide et dangereux ?

Si nous étions vraiment dans une pandémie aux proportions bibliques, y aurait-il autant de discussions sur les détails épidémiologiques ?

« Si vous devez être persuadé, rappelé à l’ordre, mis sous pression, incité, contraint, intimidé, abusé socialement, culpabilisé, menacé, puni et criminalisé. Si tout cela est considéré comme nécessaire pour obtenir votre conformité, vous pouvez être absolument certain que ce qui est promu n’est pas dans votre meilleur intérêt ».

Ian Watson

Pour vendre la « Covid Story », une campagne de marketing de masse dotée de sa propre nomenclature a été lancée. Le battement de tambour constant du cri de bataille de Covid est devenu incontournable, ressemblant à de la propagande de qualité militaire plutôt qu’à des messages de santé publique.

  • Ces mots d’ordre et cris de ralliement Covid étaient-ils destinés à servir la santé publique ou étaient-ils simplement conçus pour être obéis ? D’où viennent ces idées et ces phrases ?
  • Pourquoi les médias et le gouvernement ont-ils attisé sans relâche la peur et l’anxiété du public ?
  • Pourquoi des millions ont-ils été dépensés pour des équipes de gestion comportementale ?
  • Comment l’expression « la nouvelle normalité » est-elle apparue dans les premières semaines de la pandémie ?
  • Une manipulation psychologique soutenue a-t-elle été utilisée pour créer la peur et contraindre le public ?
  • Les symptômes de Covid étaient-ils vraiment uniques ou étions-nous conditionnés à croire qu’il y avait une nouvelle maladie ?
  • Les statistiques sur les décès de Covid ont-elles été manipulées pour créer la perception d’une crise ?
  • Les confinements étaient-ils une question de protection ou de contrôle social ?
  • Les confinements ont-ils réduit les décès ou provoqué une augmentation de la mortalité ?
  • Y a-t-il jamais eu des preuves de « propagation asymptomatique » ou cela a-t-il été exagéré pour effrayer le public ?
  • Comment est-on passé de « deux semaines pour aplatir la courbe » à des « lois d’urgence permanentes » ?

« Les hôpitaux et les médecins s’enrichissent d’une population de masse malade. »

L’une des premières méthodes de la campagne Covid utilisée pour alerter le public de la prochaine tempête de maladies graves était centrée sur la conviction que les hôpitaux allaient être submergés par une cascade de personnes infectées par le Covid.

« Deux semaines pour aplatir la courbe » est devenu un cri de ralliement national.

Le public a été inondé d’histoires de couloirs d’hôpitaux débordés et d’unités de soins intensifs submergées. Des hôpitaux de fortune ont été rapidement construits pour accueillir les infectés excédentaires. Les médias inconditionnels ont amplifié ces histoires créant un climat de panique et d’hystérie généralisé.

Était-ce vrai ?

  • Les hôpitaux américains étaient-ils vraiment débordés ? Que disent les données ?
  • Les hôpitaux de NYC ont-ils été débordés au printemps 2020 ?
  • L’hôpital d’Elmhurst, « l’épicentre de l’épicentre », débordait-il au printemps 2020 ?
  • Les unités de soins intensifs étaient-elles submergées de patients ?
  • Les hôpitaux américains étaient-ils plus occupés en 2020 qu’ils ne l’étaient en 2019 ?
  • Les hôpitaux sont-ils régulièrement débordés pendant la saison du rhume et de la grippe ?

« La peur est un marché. Instiller la peur chez les gens a aussi des avantages. Pas seulement en termes de consommation de drogue. Les personnes anxieuses sont plus faciles à gouverner. »

Au fur et à mesure que la pandémie s’accélérait, le « bilan des morts de Covid » est devenu un marqueur quotidien martelé par les mégaphones des médias corrompus et les tableaux de bord de la mortalité.

Des récits horribles de la « première vague » de décès de Covid ont été diffusés sur tous les canaux médiatiques au même rythme. Des histoires poignantes de morgues débordantes et de camions réfrigérés remplis de cadavres de Covid ont saturé les nouvelles du soir. Alors qu’une explication plus simple pour ces camions était facilement disponible, un média docile et complice s’est bouché les oreilles et a continué à fabriquer l’hystérie de masse.

Là encore, toutes les questions susceptibles de semer le scepticisme ont été tenues à l’écart du débat public.

Mais cette marche de la mort annoncée était-elle vérifiable ou était-ce encore une autre caractéristique de la campagne sur la peur du Covid ?

  • Le nombre de décès et les certificats de décès de Covid étaient-ils exacts ou les décès de Covid ont-ils été artificiellement gonflés ?
  • Quel était l’âge moyen des décès de Covid et comment cela se compare-t-il à l’espérance de vie normale ?
  • Quel pourcentage de décès de Covid provenaient de personnes qui avaient déjà plusieurs comorbidités ?
  • Les photos de cercueils de Bergame, en Italie, en mars 2020, utilisées pour terrifier le monde, étaient-elles authentiques ?
  • Pourquoi CNN a-t-elle rapporté qu’un garçon géorgien de 7 ans est mort de Covid lorsqu’il s’est noyé dans une baignoire après une crise ?
  • Combien de décès de Covid dus à des « blessures intentionnelles et non intentionnelles, empoisonnements et autres événements indésirables » ont été placés dans le décompte des décès du CDC COVID ?
  • Pourquoi 14 369 décès par blessures, 1 265 décès dus à des chutes, des décès par noyade et des suicides ont-ils été répertoriés dans le décompte des décès de Covid-19 ?
  • Pourquoi le CDC a-t-il changé les méthodes d’enregistrement exclusivement pour les décès de Covid et cela a-t-il gonflé le nombre de décès de Covid ?

« L’une des leçons les plus tristes de l’histoire est la suivante : si nous avons été dupés assez longtemps, nous avons tendance à rejeter toute preuve de la tromperie. Nous ne sommes plus intéressés à découvrir la vérité. »

Alors que le prétendu naufrage de la « première vague » s’est calmé et que le nombre de corps n’a pas atteint les totaux prévus, le récit a brusquement changé.

« The Covid Death » a été remplacé par « The Covid Case » comme principal vecteur de peur. Ce qui définissait un « cas Covid » semblait généralement à gagner. Les définitions de « cas » allaient de toute personne « suspectée d’avoir Covid » à celles qui étaient « positives », comme établi par les tests PCR.

Nulle part dans les médias, on ne pouvait trouver un journaliste curieux qui remettrait en question ce que cela signifiait d’être un « cas probable ». Même lorsque la PCR est devenue une caractéristique courante de la vie quotidienne, la validité de son utilisation en tant qu’outil de diagnostic n’a jamais été examinée par aucune source grand public.
Ces comptages de cas et les méthodes utilisées étaient-ils fondés sur une base scientifique solide ?

  • Le Covid-19 était-il un nouveau virus ?
  • Comment le processus d’examen par les pairs de la publication critique sur les tests PCR Covid n’a-t-il duré qu’une journée ?
  • Les résultats du test PCR Covid étaient-ils exacts ?
  • Le nombre de cas et les diagnostics de Covid étaient-ils exacts ?
  • Les tests PCR ont-ils été utilisés de manière trompeuse pour inventer des « cas » Covid ?
  • Pourquoi la définition d’un « cas » Covid a-t-elle été modifiée ?

« La grande industrie pharmaceutique a besoin de personnes malades pour prospérer. Les patients, et non les personnes en bonne santé, sont leurs clients. Si tout le monde était guéri d’une maladie ou d’une maladie particulière, les sociétés pharmaceutiques perdraient 100 % de leurs bénéfices sur les produits qu’elles vendent pour cette maladie. Cela signifie que c’est parce que la médecine moderne est si étroitement liée à la culture des profits financiers, c’est une industrie de la maladie plus qu’une industrie de la santé. »

Une fois qu’il a été fermement établi dans l’esprit du public qu’une menace pathogène se cachait juste devant leur porte, un barrage incessant de messages, d’éclairage au gaz et de coercition a éclaté sous tous les angles.

Le monde entier a été informé à plusieurs reprises que le seul salut pour l’espèce humaine était un produit médical expérimental génétiquement modifié, concocté à « Warp Speed » par des sociétés pharmaceutiques géantes. Ceci, seulement ce médicament pourrait sauver l’humanité de la catastrophe.

Comme de nombreuses autres facettes de l’histoire de Covid, l’histoire de Big Pharma et de leurs potions magiques s’est révélée après un examen plus approfondi. Plusieurs questions se sont posées :

  • Si Big Pharma est vraiment dans le domaine de la santé publique, quel est son bilan historique en matière de protection de la santé publique ?
  • Quels sont les antécédents de Pfizer en matière de fraude et de corruption ?
  • Est-ce que Big Pharma a recueilli tous les processus de la FDA et a vérifié s’ils étaient réglementaires ou orientés politiquement ?
  • Big Pharma contrôle-t-il le CDC ?
  • Big Pharma influence-t-il les essais cliniques ?
  • Les essais cliniques de Pfizer pour les vaccins Covid ont-ils été correctement menés ?
  • Pourquoi la FDA a-t-elle tenté de dissimuler les données des essais du vaccin Covid pendant 75 ans ? Qu’ont révélé les données de l’essai ?
  • Pourquoi la FDA a-t-elle refusé de rendre publique sa surveillance de la sécurité des vaccins ?
  • Comment le CDC a-t-il décidé que les essais cliniques de Pfizer s’avéraient un vaccin « sûr et efficace » ?

« Je suis pour la vérité, peu importe qui la dit. Je suis pour la justice, peu importe qui est pour ou contre. Je suis un être humain, avant tout, et en tant que tel, je suis pour qui et quoi que ce soit qui profite à l’humanité dans son ensemble. »

Malcolm X

Lorsque le déploiement à très grande échelle des vaccins expérimentaux contre le Covid a été lancé, une campagne obligatoire faisant taire toutes les voix qui osaient remettre en cause l’impératif vaccinal a été mise en place. Même ainsi, certaines voix d’appréhension se sont glissées entre les mailles du filet. Beaucoup de ces voix étaient parmi les praticiens médicaux les plus renommés dans leur domaine.

Pourquoi leurs voix n’ont-elles pas été autorisées dans les conversations grand public ?

  • Pourquoi des milliers de médecins dissidents ont-ils été censurés et réduits au silence ?
  • Pourquoi les médecins qui ont parlé du traitement précoce ont-ils été vilipendés et censurés ?
  • Les vaccins Covid étaient-ils nécessaires, efficaces ou sûrs ?
  • Les vaccins Covid arrêteraient-ils les hospitalisations ou les décès ?
  • Les preuves de préjudices et d’événements indésirables graves des essais cliniques ont-elles été dissimulées ?
  • Pourquoi les médias ont-ils gardé le silence sur les dangers potentiels du vaccin Covid ?
  • Les gens ont-ils reçu un consentement éclairé approprié pour les vaccins Covid ?
  • Que disaient plusieurs études dès 2020 sur les vaccins Covid et les lésions microvasculaires ?
  • Pourquoi des scientifiques indépendants n’ont-ils pas été autorisés à examiner les flacons de vaccin à ARNm ?
  • Y avait-il un lien entre l’inflammation cardiaque et les vaccins Covid ?
  • Pourquoi les enfants ont-ils été ciblés pour la vaccination alors qu’on savait qu’ils étaient à risque zéro de la maladie en question ?
  • Y avait-il des médecins qui appelaient à l’arrêt du programme de vaccination contre le Covid ?

Alors que les employés des hôpitaux étaient idolâtrés comme des héros, des rapports ont commencé à fuir laissant entendre que ce qui s’était réellement passé à l’intérieur de ces établissements médicaux était contraire au récit soutenu des médias. Au fur et à mesure que de plus en plus d’histoires faisaient surface, les soupçons se sont intensifiés selon lesquels cela faisait également partie de la mythologie de Covid.

Des questions concernant les traitements dans les hôpitaux et les maisons de retraite ont émergé et des allégations d’intérêts financiers se sont matérialisées.

  • Les hôpitaux ont-ils été incités à fabriquer des patients Covid ?
  • Quels étaient les protocoles de traitement de l’hôpital Covid ?
  • Les hôpitaux ont-ils été incités à mettre les patients Covid sous ventilateurs et à utiliser le Remdesivir ?
  • Ces incitations et protocoles ont-ils mis les gens en danger ?

« Le silence face au mal est en soi un mal. »

Dietrich Bonhoeffer

Dans les premiers chapitres de l’histoire de Covid, peut-être qu’aucun autre scénario n’a piégé notre imagination et tiré sur nos cordes sensibles comme le schibboleth « Sauver grand-mère ». On nous a dit que « Covid-19 » ciblait les personnes âgées et les malades et de multiples rapports du monde entier ont révélé un schéma cohérent de la façon dont les situations horribles se sont déroulées dans les établissements de soins de longue durée.

Au fur et à mesure que de plus amples informations sur cette pièce du puzzle sordide de Covid faisaient surface, de plus en plus de questions se sont posées.

Des milliers de personnes âgées sont-elles décédées à cause du Covid ou à cause de la gestion de leur traitement de fin de vie a-t-elle été retirée les mettant activement dans une situation qui a assuré leur mort ?

  • Qu’est-ce qu’ils voulaient dire quand ils ont dit « prendre soin des personnes âgées ? »
  • Comment ont-ils « pris soin des personnes âgées au Canada ? » Au Royaume-Uni ? En France ? Dans le Maryland ? Dans le Massachusetts ? À Washington DC ? Au Mississippi ? À New York ? Dans le New Jersey ? Au Minnesota ? Dans l’Indiana ? En Louisiane ? Au Michigan ? À Rhode Island ?
  • Les conditions pour des taux de mortalité élevés dans les foyers de soins ont-elles été créées exprès ?

« Je vis à l’ère de la gestion, dans un monde d’“administrateurs”. Le plus grand mal ne se fait plus maintenant dans ces sordides “tanières du crime” que Dickens aimait à peindre. Il ne se fait même pas dans les camps de concentration et de travail. Dans ceux-ci nous voyons son résultat final. Mais il est conçu et ordonné (ému, secondés, portés et minutés) dans des bureaux propres, tapissés, chauffés et bien éclairés, par des hommes tranquilles au col blanc, aux ongles coupés et aux joues bien rasées, qui n’ont pas besoin d’élever la voix. »

CS Lewis

Toutes les histoires complexes nécessitent un casting de personnages et la Chronique de Covid n’était pas différente. Neil Ferguson et Christian Drosten ont joué des rôles de soutien importants dans les coulisses tandis que d’autres, comme Anthony Fauci et Bill Gates, ont occupé le devant de la scène. Au fur et à mesure que nous avancions dans le récit de Covid, nous avons « appris à connaître » ces personnalités à travers les portraits peints par des médias uniformément déférents.

Ces images de notre casting de personnages de Covid étaient-elles des représentations exactes ? Que savions-nous vraiment d’eux ?

  • Que prédisaient les modèles informatiques originaux de Neil Ferguson sur les décès de Covid et quel était son bilan bien documenté ?
  • Comment ses prédictions calamiteuses et inexactes ont-elles joué un rôle aussi central dans la détermination de la politique gouvernementale ?
  • Qui est Christian Drosten et comment a-t-il développé le désormais célèbre test Covid PCR ?
  • Qui est le vrai Anthony Fauci ?
  • Quel rôle Anthony Fauci a-t-il joué dans la crise du VIH/sida ?
  • Étant donné que Bill Gates n’a aucune formation médicale, pourquoi a-t-il joué un rôle aussi central dans la détermination de la politique gouvernementale ?
  • Comment Bill Gates a-t-il su en 2019 que les vaccins seraient « l’un des meilleurs achats » en 2020 ?
  • Comment Bill Gates a-t-il utilisé les investissements médicaux pour transformer 10 milliards de dollars en 200 milliards de dollars ?
  • Pourquoi la Fondation Bill et Melinda Gates a -t-elle investi 55 millions de dollars dans les actions de BioNTech en août 2019 ?

« Ils n’ont pas vu que la mondialisation n’était qu’une tactique pour arracher le pouvoir des États-nations aux conglomérats internationaux. Une fois que le pouvoir a été siphonné au peuple et que le contrôle démocratique a été contourné, la capacité d’affirmer la gouvernance mondiale sans aucune retenue démocratique était disponible. »

James Tunney

Enfin, pour comprendre la totalité de l’histoire de Covid, il est nécessaire de comprendre comment l’industrie de la santé publique est inextricablement liée aux marchés financiers mondiaux et fonctionne en fonction des exigences de ces conglomérats financiers. Les pandémies fabriquées sont désormais considérées comme l’une des plus grandes opportunités d’investissement pour accroître la richesse des milliardaires et consolider leur pouvoir.

L’industrie médicale n’est plus un système dont l’objectif principal est de servir la santé et le bien-être du public. C’est un système dont la fonction principale est d’être un instrument financier pour les investisseurs. Les politiques actuelles qui définissent l’industrie médicale sont conçues pour servir des agendas socio-économiques et politiques qui profitent à ces mêmes élites financières.

L’ensemble de la « crise de Covid » était-il une véritable urgence sanitaire ou était-ce un programme ancré dans la peur d’enrichir les poches de Big Pharma et de leurs investisseurs riches ?
Là encore, les médias grand public restent consciencieusement silencieux, refusant de poser les questions les plus élémentaires :

  • À qui appartient Big Pharma ?
  • Est-ce une coïncidence si l’urgence de santé publique de Covid a créé plus de 500 nouveaux milliardaires et coïncidé avec l’un des plus grands transferts de richesse vers le haut de l’histoire de l’humanité ?
  • Pourquoi les grandes banques ont-elles été renflouées à l’époque de Covid alors que les petites entreprises ont été laminées ?
  • Comment les travailleurs du monde entier ont-ils perdu 3,7 billions de dollars pendant la pandémie tandis que les milliardaires du monde entier ont gagné 3,9 billions de dollars pendant la pandémie ?
  • Est-il possible de « suivre la science » si la science est contrôlée par l’argent ?
  • Qu’a dit le chef du FMI sur le sort de l’économie mondiale et des vaccins ?
  • Qu’est-ce que la Grande Réinitialisation ?
  • Que sont les monnaies numériques des banques centrales ?

Après une plongée plus profonde dans l’histoire du Covid, on se demande si même un seul volet de l’histoire résiste à l’examen. Trois ans plus tard et les débris de la fusillade des politiques de Covid continuent de s’accumuler. Chaque jour qui passe, de plus en plus de trous apparaissent dans le récit officiel et de plus en plus d’admissions sont révélées alors que les responsables se précipitent pour éviter de rendre des comptes.

Alors que la poussière retombe à la suite du carnage de Covid, nous nous posons une dernière question :

« Est-ce que l’intégralité de l’histoire du Covid était un mensonge ? »

Source : zerohede




Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux

[Source : lesmoutonsenrages.fr]

[Traduction automatique révisée.]

Par Mark Steele pour GlobalResearch (Première publication le 20 juillet 2022)

Introduction

J’écris ce rapport d’expert en tant qu’ingénieur britannique, inventeur, rédacteur de brevets et chercheur en armement ; un ingénieur avec une formation en science des matériaux et inventeur des premiers guides d’ondes optiques binoculaires au monde, des systèmes de visée d’armes, des affichages tête haute à imagerie thermique infrarouge, des réacteurs moléculaires, du traitement du signal et de la conception de transducteurs, pour n’en nommer que quelques-uns.

En tant que directeur de la technologie (CTO) de l’entreprise qui a conçu et mis sur le marché le premier produit d’affichage tête haute (HUD) au monde approuvé à l’échelle internationale, accrédité par un certain nombre de prix d’innovation, mais surtout réglementé par un certain nombre de normes internationalement reconnues, y compris Department of Transport (DOT) ECE 22.05, ainsi que ANSI et d’autres, on m’a fait confiance dans l’établissement de normes internationales pour les systèmes HUD de réalité augmentée (AR) et de réalité virtuelle (VR).

Reportez-vous à la pièce 2a, du conseil en brevets, Ex. 2b de Recorder Nolan, ex. 2c Cyber ​​Command, Ex. Normes 2d pour les systèmes HUD, Ex. annexe 2di.

Cyber ​​Command USA avait été mis au courant de mon expertise et avait spécifiquement demandé mon avis concernant une conception d’antenne 5G inhabituelle déployée à travers les États-Unis. J’ai été extrêmement chanceux que la plupart (mais pas la totalité) de mes travaux de recherche et de développement de produits aient été effectués en dehors de la législation sur les secrets officiels (OSA).

J’ai agi en tant que témoin et fourni des déclarations dans plusieurs affaires judiciaires, exposant l’absence de toute preuve crédible que le réseau de diodes électroluminescentes (DEL) 5G et la connexion neuronale prévue au réseau 5G sont sûrs.

Cela inclut les technologies de nano-métamatériaux qui contaminent les vaccinations, qui ne sont pas légales ni licites, et qui enfreignent un certain nombre de lois internationales et nationales.

Le juge Nolan du Newcastle Crown Court a déclaré que « le risque 5G doit être débattu » et que  « c’est une démocratie et le public a le droit de savoir ».

Les preuves que j’ai présentées au tribunal ont mis en échec la tentative des autorités locales et des acteurs de l’establishment britannique de m’empêcher de fournir les preuves scientifiques publiées sur les risques posés au public et à l’environnement par le réseau de radars urbains 5G et son objectif final.

L’échec de l’action en justice intentée par l’autorité locale a créé une tempête publicitaire qui a contribué à mettre en évidence les risques réels du déploiement de la 5G à travers le monde, ainsi que le manque total de précautions prises par les régulateurs autorisant ce déploiement de la 5G.

Ma participation à plusieurs projets de recherche et développement s’étend sur toute ma carrière professionnelle et comprend certains projets de nature sensible en raison des restrictions imposées par l’Official Secrets Act 1911. Je ne suis donc pas libre de les divulguer dans un domaine public ; il suffit [cependant] de dire que ce travail a conduit à une compréhension des contrats du Département de la défense (DOD), de la compartimentation des projets de conception de produits d’armement et des armes à énergie dirigée (DEW), dont l’existence a jusqu’à récemment été occultée et parfois niée.(([1] https://info.publicintelligence.net/USAF-DEW.pdf))

L’utilisation d’armes à rayonnement micro-ondes directionnel par des acteurs inconnus dans les ambassades américaines à Cuba, en Chine et en Russie, connue sous le nom de syndrome de La Havane, n’est toujours pas pleinement reconnue par les autorités. Le syndrome de La Havane porte toutes les caractéristiques des émissions de rayonnement micro-ondes, qui ont causé aux victimes des dommages neurologiques importants et irréparables, entre autres blessures. Le gouvernement américain a été incapable de garder ces armes secrètes et a récemment adopté un projet de loi pour indemniser les victimes du personnel de l’ambassade.(([2] https://thehill.com/homenews/house/573302-house-passes-bill-to-compensate-havana-syndrome-victims))

Les agences de renseignement américaines, dans leurs communications avec le gouvernement russe, confirment qu’elles connaissaient déjà l’existence et la capacité des armes à rayonnement micro-ondes et leur appel à leurs supposés adversaires russes était pour la cessation de l’utilisation de ces armes contre leurs ambassades.(([3] https://usareally.com/11737-cia-director-tells-russia-not-to-use-microwave-radiation-against-american-spies))

Mon domaine de recherche couvre également d’autres systèmes d’interrogation et d’armes sur le champ de bataille, y compris les systèmes d’armes létales autonomes (LAWS)(([4] https://css.ethz.ch/content/dam/ethz/special-interest/gess/cis/center-for-securities-studies/pdfs/CSSAnalyse164-EN.pdf)), les véhicules sous-marins autonomes (AUV), la détection et la télémétrie légères (LIDAR), les technologies de radar à balayage électronique, y compris la 5G pour le suivi des plates-formes d’armement, ainsi que les moyens biologiques sur et hors du champ de bataille qui sont de plus en plus utilisés dans un cadre civil pour inclure les technologies de reconnaissance faciale, les véhicules électriques autonomes, les drones, dont aucun n’a fait l’objet d’une évaluation environnementale complète quant aux dommages causés par leurs émissions de rayonnements au grand public ou à la faune.(([5] https://idstch.com/technology/photonics/critical-technologies-lidar-developed/))

Radar urbain 5G, rayonnements ionisants et risques des infrastructures critiques

La 5G, contrairement à toutes les autres générations [1G, 2G, 3G, 4G et 4G+] de télécommunications, est techniquement identifiée comme une émission d’énergie dirigée dans l’air par un radar urbain, ce qui nécessite que l’antenne soit conçue pour amener l’énergie focalisée dans l’air pour la compression à grande vitesse des données à et d’antennes conçues pour envoyer et recevoir de l’énergie dirigée à travers un signal théoriquement collimaté et cohérent.(([6] https://www.sbir.gov/node/2005877))

L’onde de formation du faisceau dans l’émission du lobe principal enfreint la directive de la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP) de 61 V pour une exposition maximale de 6 minutes.(([7] https://www.icnirp.org/cms/upload/publications/ICNIRPrfgdl2020.pdf))

Cette directive de l’ICNIRP est contraire à la résolution 1815 du Conseil de l’Europe (COE) et à la directive européenne de 2016, qui confirment la science publiée et évaluée par des pairs selon laquelle tout ce qui dépasse 600 mV/m doit être limité à une exposition à court terme. Et à long terme l’exposition ne doit pas dépasser 200 mV/m. Ce sont des ordres de grandeur inférieurs à la directive ICNIRP de 6 minutes et 61 000 mV, qui est une valeur de cuisson biologique. L’ICNIRP est largement reconnue comme une « agence capturée », comme l’ont confirmé les tribunaux italiens.(([8] https://www.radiationresearch.org/wp-content/uploads/2020/01/Turin-Verdict-ICNIRP_Judgment-SUMMARY-of-the-Turin-Court-of-Appeal-9042019_EN-min.pdf))

Le mouvement de balayage de l’onde rayonnée à plus de 13,6 V provoque la charge positive de l’air, qui est nocive pour toute vie biologique à des distances importantes entre l’émission de l’antenne et la zone d’acquisition de la cible. Telle est la capacité de la 5G (matériel et logiciel) et c’est la raison même pour laquelle cet équipement est, et a été, largement utilisé sur le champ de bataille comme radar environnemental à balayage et armes à énergie dirigée (DEW) dans le but de perturber et de désactiver le matériel ennemi, ainsi que les actifs biologiques, c’est-à-dire les humains.(([9] https://crsreports.congress.gov/product/pdf/IF/IF11882))

En général, la conception de l’antenne 5G utilise une entrée de puissance plus importante et une sortie dirigée pour délivrer des signaux de compression de données focalisés et de grande puissance, mesurés en watts ou en électrons-volts.

L’industrie aéronautique, notamment Boeing et Airbus, a récemment exprimé ses inquiétudes concernant la 5G en raison de sa capacité à mettre en danger les avions de transport de passagers qui, dans un cadre civil, ne disposent pas des technologies d’atténuation militaires pour protéger leurs pilotes ou les systèmes de contrôle de vol des avions contre les émissions d’énergie dirigée.(([10] https://www.theguardian.com/science/2021/dec/21/airbus-and-boeing-express-concerns-over-5g-interference-in-us))

L’industrie des télécommunications et d’autres organismes de réglementation ont continuellement nié le véritable objectif et l’existence des dangers de rayonnement posés par le déploiement des technologies 5G. Ils ont activement induit le public en erreur en publiant des communiqués de presse manifestement faux dans les médias locaux et nationaux, ainsi qu’en faisant de fausses déclarations devant les tribunaux dans des tentatives infructueuses de discréditer des experts, y compris moi-même, même s’ils avaient été informés par leurs propres agences de renseignement que le la technologie expérimentale et non assurable était et est extrêmement dangereuse pour la sécurité de l’État.(([11] https://o5g.cz/2021/11/30/mi6-chief-warns-that-a-tech-revolution-over-next-ten-years-could-pose-major-threat-to-world-order/?nowprocket=1))

« Backhaul » dans le contexte de la 5G est le terme utilisé pour désigner l’avancée technologique qui permet d’interroger et de remonter simultanément les données à partir de plusieurs appareils et environnements (en d’autres termes, espionner dans toute la zone, ne laissant aucune chance d’intimité).

La capacité d’interrogation et de numérisation des renseignements recueillis enfreint un certain nombre de lois sur les droits de l’homme. Ce brevet(([12] https://patents.google.com/patent/US20050220310A1/e)), l’un des nombreux qui confirment la capacité d’interroger les émissions sonores et vocales à travers les bâtiments pour recueillir des données sur une population sans méfiance à l’aide de systèmes matériels et logiciels électromagnétiques, fait partie de la vaste boîte à outils 5G.

La dominance spectrale du réseau 5G de moins de 3 GHz à 300 GHz [comprenant les ondes millimétriques en plus d’une grande partie des ondes de la gamme des micro-ondes] pose un risque réel de lésions corporelles à partir de fréquences de valeur d’énergie photonique plus élevée qui sont des émissions de rayonnement cohérentes, dont l’impact est actuellement inconnu (car elles ne sont pas testées et ne se sont pas avérées sûres), ainsi que non assurable, avec des niveaux d’émissions de rayonnement dépassant tout ce qu’imaginaient les technologues antérieurs. Les valeurs de rayonnement des lignes directrices de l’ICNIRP ne s’appliquent qu’aux émetteurs de dispositifs à antenne unique et ne tiennent pas compte de l’augmentation et de la multiplication massives des dispositifs d’émission de rayonnement proposés dans toutes les villes et villages pour le réseau 5G qui est destiné à tout interconnecter simultanément en utilisant des rayonnements micro-ondes hautement complexes, biologiquement toxiques, et en particulier modulés.(([13] https://www.ceragon.com/what-you-need-to-know-about-5g-wireless-backhaul))

Le déploiement de la 5G est en cours par les gouvernements du monde entier dans toutes les villes et villages sans aucune analyse préalable [pourtant] obligatoire de l’impact environnemental et sans assurance publique contre ces instruments de préjudice(([14] https://principia-scientific.com/lloyds-insurers-refuse-to-cover-5g-wi-fi-illnesses/)), faisant de l’ensemble du déploiement du réseau un acte illégal et illicite par les autorités agissant « ultra vires » [au-delà, en dehors des lois] en permettant aux émissions connues de rayonnements ionisants et non ionisants biologiquement toxiques un accès sans entrave à l’environnement. Les entreprises de télécommunications certifient généralement elles-mêmes avoir respecté les directives (obsolètes) de l’ICNIRP, ce qui leur permet d’enfreindre ces directives sans sanction, car aucun organisme de réglementation ne procède à des évaluations indépendantes du respect des directives de l’ICNIRP.(([15] https://www.caav.org.uk/news/beware-dangers-of-telecoms-masts))

Ce sont les mêmes directives de l’ICNIRP qui se sont avérées être à l’origine de problèmes de santé et de cancers dans la population générale à proximité des réseaux 4G existants.(([16] https://ecfsapi.fcc.gov/file/107222548308131/Cell%20Tower%20Transmitter%20Studies-28%20Summary%20Findings.pdf))

Un autre facteur troublant est que l’industrie des télécommunications responsable du déploiement a confirmé qu’elle, l’industrie, n’a effectué aucune recherche scientifique et n’a donc aucune donnée de recherche scientifique publiée sur l’impact réel des réseaux 5G sur l’environnement.

Des études de recherche indépendantes sur le sujet réfutent la propagande de l’industrie et du gouvernement sur la sécurité du réseau 5G.(([17] https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0013935118300161?via%3Dihub))

Les organismes gouvernementaux chargés de protéger la population contre les propriétés cancérigènes confirmées des rayonnements non ionisants et ionisants n’ont pas réussi à fournir un cadre réglementaire de normes de sécurité ou de lignes directrices pour protéger l’environnement, exposant ainsi un public sans méfiance à des niveaux de rayonnement qui sont nocifs et mettent la vie en danger.(([18] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1469943/))

De graves risques pour les infrastructures critiques ont été ignorés dans la ruée non réglementée vers le déploiement du réseau 5G. Les régulateurs industriels et gouvernementaux du monde entier ont ignoré un certain nombre de risques sérieux scientifiquement établis découlant de la densification massive de la 5G, de l’Internet des objets (IOT) et des avions SMART, des communications Internet par réseaux électriques, des systèmes d’antennes urbaines, qui nécessitent des milliards d’émetteurs de rayonnement micro-ondes modulés en amplitude en quadrature (QAM) à large spectre.

Le réseau cellulaire du Canada en 2018 était soutenu par environ 33 000 grandes tours d’une hauteur maximale de 200 pieds. Le nouveau protocole 5G nécessitera beaucoup plus d’émissions d’ondes de faisceau de rayonnement plus élevées en utilisant des tours situées avec précision dans les villes du Canada – environ 273 000 – à une hauteur beaucoup plus courte avec des demandes d’énergie beaucoup plus importantes sur le réseau électrique et le réseau [sans fil].(([19] https://canada.constructconnect.com/dcn/news/associations/2018/07/constructing-5g-wireless-network-will-require-plenty-skilled-tradespeople))

La propagande de l’industrie et des agences qui prétendent que ces réseaux 5G utilisent moins d’énergie est manifestement fausse. L’augmentation massive des antennes MIMO (multiple-in multiple-out) pour la 5G, plus les mini et micro réseaux relais, ainsi que l’augmentation de l’utilisation des données par les appareils nécessitent tous une consommation d’énergie supplémentaire en watts. Le radar à balayage continu, non à la demande, conçu pour repérer la zone cible, fonctionne en permanence, avec en plus la superposition de multiples faisceaux d’ondes focalisés à haute énergie, créés par les antennes d’émission déphasées. Ces faisceaux d’ondes focalisés à haute énergie, fonctionnant sur une plus grande partie du spectre, utilisent des photons à plus haute énergie dans le spectre comprimé des ondes millimétriques pour fournir des faisceaux de compression de données à haute puissance dans les zones urbaines. C’est la raison pour laquelle l’industrie aéronautique est très préoccupée par les risques posés à ses systèmes de communication essentiels à la sécurité des avions en vol.

Les installations massives d’antennes 5G prévues et actuellement déployées s’ajoutent toutes à un besoin toujours croissant d’énergie pour produire le transfert accru de données par le biais d’émissions de rayonnement dans les villes et villages. Les émissions de rayonnement micro-ondes sont connues pour augmenter les températures thermiques, contribuant aux défis du changement climatique et aux effets potentiellement mortels de l’augmentation des températures dans les villes. Les impacts des îlots de chaleur sont définis comme de grandes zones urbaines qui sont affectées par des augmentations des températures urbaines qui ont été reconnues par l’Environmental Protection Agency (EPA) comme causant des effets néfastes sur la santé et des augmentations de la consommation d’énergie.(([20] https://www.epa.gov/heatislands/heat-island-impacts))

La consommation d’énergie dans les îlots de chaleur augmente la demande de climatisation pour refroidir les bâtiments. Dans une évaluation d’études de cas couvrant des emplacements dans plusieurs pays, la demande d’électricité pour la climatisation a augmenté d’environ 1 à 9 % pour chaque augmentation de température de 2 °F [moins de deux degrés Celsius]. Les pays où la plupart des bâtiments sont climatisés, comme les États-Unis, ont enregistré la plus forte augmentation de la demande d’électricité. Les îlots de chaleur contribuent à des températures diurnes plus élevées, à un refroidissement nocturne réduit et à des niveaux de pollution atmosphérique plus élevés. Ceux-ci, à leur tour, contribuent aux décès et aux maladies liés à la chaleur tels que l’inconfort général, les difficultés respiratoires, les crampes de chaleur, l’épuisement par la chaleur et les coups de chaleur non mortels.

Le rayonnement micro-ondes affectera également un grand nombre de structures moléculaires dans les matériaux, ce qui augmente le risque d’incendie des bâtiments. Cela est dû aux éléments hydrocarbures dans les bâtiments qui se décomposent en raison du rayonnement micro-ondes modulé, ce qui provoque un échauffement localisé et la dégradation des matériaux. Le rayonnement micro-ondes à certaines fréquences excitera les molécules d’eau et s’il n’y a pas d’humidité disponible, d’autres molécules moins volatiles absorberont le rayonnement et commenceront à chauffer. Par conséquent, tout matériau qui a séché peut surchauffer et s’enflammer plus facilement dans un champ de micro-ondes, [ce qui représente] un type d’amorçage [de feu]. Les risques particuliers aux émissions de rayonnement 5G sont dus à la densification de masse proposée et à la dominance spectrale des émissions de rayonnement. En outre, tout objet métallique à l’intérieur d’un champ de micro-ondes peut présenter des propriétés diélectriques susceptibles de provoquer des étincelles, qui pourrait provoquer un incendie ; ceci est causé par une accumulation de particules chargées, une énergie qui produit un champ électrique concentré au bord du métal.(([21] https://engineering.mit.edu/engage/ask-an-engineer/why-cant-we-put-metal-objects-in-a-microwave/))

Ce sont tous des phénomènes scientifiques qui ont été ignorés par les régulateurs et l’industrie, mais le problème le plus alarmant, non reconnu et non réglementé est la fatigue des matériaux causée par le bombardement continu de la compression des données 5G et des champs d’énergie micro-ondes modulés (QAM) focalisés. La 5G nécessite une compression d’énergie beaucoup plus complexe et focalisée des paquets de données.

On ne saurait trop insister sur le fait qu’une fréquence spécifique pourrait provoquer la dissociation des structures moléculaires de matériaux de construction solides, d’œuvres d’art inestimables et de collections de vins, entre autres, en raison des impacts d’ondes croisées, actuellement non étudiés, de ces niveaux élevés d’émissions de rayonnement modulé en énergie dans l’air. Cette cacophonie de pollution par les rayonnements micro-ondes pourrait entraîner de graves pannes d’équipements plus importants, y compris le réseau électrique.  Les infrastructures critiques actuelles n’ont jamais été évaluées ou conçues avec cette valeur énergétique de vibrations pulsées dans l’air ajoutée au calcul de la fatigue des matériaux et à l’espérance de vie finale de l’infrastructure établie, y compris le réseau électrique.(([22] https://user.eng.umd.edu/~vlg/MSIC%20lectures.pdf))

Voir aussi : Dangers 5G, technologie sans fil de 5e génération. Impacts sur la santé et l’environnement.

Ce qui a également été découvert, c’est une capacité d’énergie latente inutile intégrée dans le réseau matériel 5G SMART IOT. Cette grande capacité pourrait facilement être utilisée pour une éventuelle attaque par impulsion électromagnétique (IEM) sur les villes et les populations.(([23] https://www.dhs.gov/news/2020/09/03/dhs-combats-potential-electromagnetic-pulse-emp-attack))

Cela dépendrait de l’interconnectivité connue et de l’accès à distance d’un réseau facilement piratable à tous les dispositifs d’émission dans le réseau 5G sans fil construit.(([24] https://www.itpro.co.uk/mobile-security/34807/5g-networks-are-vulnerable-to-hacking))

Les systèmes d’exploitation 5G ont déjà été compromis et pourraient poser un risque de sécurité important, car les IEM peuvent provoquer une perturbation majeure des systèmes de communication électromagnétique, du réseau électrique et du matériel électronique. Elles proviennent généralement de sources telles que le Soleil et un certain nombre d’armes développées.(([25] https://energsustainsoc.biomedcentral.com/articles/10.1186/s13705-019-0199-y))

Il a été démontré que l’onde d’impulsion électromagnétique des essais de bombes nucléaires provoquait d’importantes perturbations du réseau électrique à de grandes distances. Quelque chose de similaire s’est produit lorsque la 5G a été activée en Corée du Sud en avril 2019 : elle a provoqué un certain nombre d’incendies dans la ville en raison de la défaillance documentée des transformateurs du réseau électrique. Le gouvernement et les médias sud-coréens ont fait passer cela comme ayant été causé par des incendies de forêt dans cinq villes distinctes simultanément dans tout le pays lorsque la 5G a été activée, mais cette cause présumée n’explique pas la perturbation du réseau électrique et la destruction du matériel critique du réseau électrique. Les risques IEM identifiés aux États-Unis démontrent que ce type de technologie 5G mal réglementée présente un risque potentiel dans le monde entier.(([26] https://www.doh.wa.gov/Portals/1/Documents/Pubs/320-090_elecpuls_fs.pdf))

Le récit des télécommunications pour la 5G n’est qu’une couverture de sa capacité et de son objectif futurs réels, comme le confirme l’absence totale de recherche sur les risques environnementaux et l’absence de couverture de responsabilité par les assurances pour les dommages. Le futur domaine de champ de bataille et le déploiement en cours de l’avancée technologique 5G incluent les armes 5G pour la guerre dans les villes et les campagnes. Le domaine comprend les technologies de guerre psychologique, y compris le contrôle et la diffusion d’informations via les médias sociaux pour masquer le véritable objectif de la 5G en tant que système de guerre.

« L’espace de mission de cinquième génération représente un nouvel environnement dans lequel les opérations futures auront lieu. La complexité du domaine est exacerbée par des acteurs incontrôlés et indéfinis qui dirigent ou influencent le récit. Le plus grand défi du nouvel espace de mission est l’érosion totale des concepts d’ennemi et de guerre elle-même. L’adversaire sera beaucoup plus ambigu et la guerre deviendra un processus insidieux conçu pour dégrader de l’intérieur plutôt que d’attaquer de l’extérieur ». (soulignement ajouté)(([27] https://irp-cdn.multiscreensite.com/26db15ee/files/uploaded/5GW%20Section1.pdf))

Les forces d’opérations spéciales débattent déjà des opportunités et des risques des réseaux IOT 5G, avec des assassinats par le biais des LOIS qui peuvent être utilisés pour éliminer des individus ciblés.

« L’adoption des métamatériaux a été la plus importante dans les communications, les antennes et les systèmes radar, avec les applications d’identification par radiofréquence (RFID) associées pour le marquage, le suivi et la localisation. Le passage aux communications 5G et aux capacités radar extraordinaires accélérera encore les développements, avec des ventes commerciales qui devraient dépasser 10 milliards de dollars par an d’ici 2030. Les métamatériaux font partie intégrante des futures antennes hautes performances, haute impédance, profil bas, conformes et fractales pour systèmes de communication et de radar. Il existe un potentiel immense pour des changements révolutionnaires dans les communications militaires et les systèmes radar grâce aux métamatériaux. En effet, à mesure que les métamatériaux s’intègrent de plus en plus dans les technologies d’antenne, ils réduiront les coûts du système, permettront des appareils plus petits avec des besoins en énergie réduits, faciliteront de nouvelles formes et facteurs de forme, et offrir des capacités de formation et de mise en forme de faisceaux plus agiles. »(([28] https://cgsr.llnl.gov/content/assets/docs/StratLatUnONLINE.pdf))

Le complexe militaro-industriel à travers le monde ne connaît que trop bien les avantages de l’utilisation de systèmes d’armes électromagnétiques pour l’interrogation du champ de bataille, à savoir la 5G, et ce depuis l’émergence de la technologie pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce qui est également bien compris, c’est le vaste corpus de données scientifiques publiées montrant les effets néfastes sur la santé et l’environnement des réseaux de télécommunications actuels. La 5G ajoute toute une série de risques supplémentaires pour l’environnement et la santé de la population.(([29] https://apps.dtic.mil/dtic/tr/fulltext/u2/a282886.pdf))

Ce n’est pas un argument qui peut être contesté aujourd’hui. La dérive des missions et la planification d’une guerre asymétrique et non conventionnelle dans les villes devraient être très préoccupantes, en particulier pour la population civile au cas où elle deviendrait la cible d’un régime technocratique et fasciste orwellien. Qui contrôlerait les radars d’interrogation urbaine et les systèmes d’armes aériennes à énergie dirigée ?(([30] https://media.defense.gov/2019/Apr/03/2002109302/-1/-1/0/DIB_5G_STUDY_04.03.19.PDF))

De nombreuses opportunités sont actuellement en cours de discussion dans l’industrie de la défense, en se concentrant sur la capacité des réseaux urbains 5G à étiqueter la population avec des antennes métamatérielles, tandis que les préoccupations et les risques sérieux sont apparemment ignorés.(([31] https://www.airuniversity.af.edu/Portals/10/AUPress/Papers/LP_0004_ELECTROMAGNETIC_DEFENSE_TASK_FORCE_2_2019.PDF))

Ces programmes et plans futurs présentent un risque important pour les libertés civiles, les infrastructures essentielles et l’État de droit.

Métamatériaux de vaccination — Champs magnétiques provenant de contamination par nanoparticules

Il a été démontré dans un certain nombre d’études que les vaccins contiennent des contaminants métalliques toxiques, y compris des niveaux «inexplicables» de contamination par les nanométaux.(([32] https://medcraveonline.com/IJVV/IJVV-04-00072.pdf))

Ce phénomène est loin d’être inexplicable si les chercheurs qui ont mené cette étude avaient eu connaissance des objectifs de l’industrie de la défense et des ingrédients métamatériaux pouvant être utilisés pour améliorer les technologies d’interrogation urbaine 5G, ainsi que divers autres projets de développement de nanomatériaux.(([33] https://link.springer.com/article/10.1007/s42452-019-0592-3))

Les métaux sont presque universellement réfléchissants par radar et sont donc visibles pour être utilisés comme moyen de détection d’objets. « Wetware » est le nom donné aux structures biologiques opérant dans l’espace du champ de bataille qui sont beaucoup plus difficiles à suivre et à tracer ou à attaquer à l’aide de LIDAR, de RADAR ou de DEW. Les métaux sont de puissants réflecteurs d’ondes électromagnétiques et permettent une détection et une résolution accrues des technologies d’interrogation sur le champ de bataille. Des formes métalliques spécifiques dans les polymères peuvent être utilisées pour leurs propriétés diélectriques afin de dévier et d’absorber la capacité de réflexion et d’interrogation des systèmes radar actuels.(([34] https://www.sciencedirect.com/topics/materials-science/radar-absorbing-material))

Cependant, sans utiliser cette forme précise et cette encapsulation polymère, la contamination métallique sous forme de métamatériaux permet une résolution plus élevée de la cible. Une fois la technologie du vaccin Covid-19 injectée dans le corps, l’acquisition cible de wetware est beaucoup plus précise et le domaine technologique peut être utilisé pour collecter des données biométriques. Il est envisagé que les appareils électroniques portables et qui peuvent être portés sur soi [comme une montre intelligente] qui sont actuellement utilisés pour connecter la personne au Cloud deviendront redondants en raison de ces avancées technologiques et d’autres. Le réseau de contrôle Neuralink utilise des antennes de nanotechnologie implantées qui peuvent collecter ces données et les télécharger sur le Cloud. Ces innovations vont bien au-delà de la phase de planification et font toutes partie du futur espace du champ de bataille.(([35] https://www.sciencealert.com/scientists-say-a-human-brain-cloud-interface-is-coming-this-is-what-it-could-be-like))

Les recherches du Dr Robert O. Young confirment que les injections de Covid-19 ont été entièrement chargées de métamatériaux, à savoir du graphène, des nanoparticules d’oxyde ferreux.(([36] https://www.drrobertyoung.com/post/transmission-electron-microscopy-reveals-graphene-oxide-in-cov-19-vaccines))

Cette découverte choquante est confirmée par nos propres recherches menées sur les victimes, ainsi que par des milliers de vidéos anecdotiques montrant des émissions de rayonnement électromagnétique, ainsi que des aimants et des objets métalliques réagissant aux sites d’injection des personnes vaccinées avec le sérum Covid-19. Parmi les autres biomarqueurs utilisés, citons le SM-102, qui est un phospholipide toxique présent dans les vaccins Moderna Covid-19, une luciférine synthétique qui améliore la luciférase d’imagerie par bioluminescence.(([37] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4026177/))

Les luciférines peuvent être activées à l’aide d’un rayonnement électromagnétique pour créer une bioluminescence du sujet. Les technologies de reconnaissance faciale, qui font partie de la boîte à outils de la technologie 5G, peuvent ensuite être utilisées pour suivre et tracer le sujet contaminé dans l’espace environnemental.

Les décès et les dommages biologiques importants dans la population causés par l’intervention médicale du vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ont maintenant été documentés dans près d’un millier d’articles scientifiques publiés.(([38] https://www.saveusnow.org.uk/covid-vaccine-scientific-proof-lethal/))

Les injections de Covid-19 sont désormais liées à la coagulation sanguine, à la myocardite, à la péricardite, à la thrombose, à la thrombocytopénie, à l’anaphylaxie, à la paralysie de Bell, au syndrome de Guillain-Barré et au cancer, entre autres. Ceci est confirmé par des données scientifiques irréfutables et recueillies par le gouvernement auprès de la UK Health and Security Agency, qui montrent que les vaccins Covid-19 sont dangereux et inefficaces.

Symptômes du coronavirus COVID-19 radio-induit

La grande majorité des populations à travers l’Occident, en particulier celles de la communauté Five Eyes, l’alliance du renseignement Anglosphere regroupant l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni et les États-Unis, ont été injectées à leur insu avec des antennes en nano métamatériaux et vont malheureusement subir des taux de mortalité accrus en raison des émissions de rayonnement réfléchissantes localisées du radar urbain 5G. Tous les symptômes connus du coronavirus peuvent être attribués à la pollution par les rayonnements ionisants et non ionisants.(([39] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30998908/))(([40] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3426842/))

La 5G a été identifiée dans un certain nombre d’articles publiés comme la cause réelle de la pandémie, dont le début a coïncidé avec la mise en marche du réseau 5G dans la province de Wuhan, dont la population venait d’être vaccinée contre la grippe obligatoire. La 5G a le potentiel de fournir des niveaux d’énergie ionisants qui entraîneraient une suppression du système immunitaire, laissant le corps à risque de maladie.(([41] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/#))

L’agent pathogène Covid-19 n’a pas été isolé ou purifié et actuellement aucune agence gouvernementale ne peut fournir l’isolat ou la preuve de son existence réelle, à l’exception de la modélisation in silico [Par informatique] créée par l’Institut de Wuhan, qui est officiellement reconnu comme le complexe de laboratoires de recherche sur les virus le plus avancé de Chine. La Chine est signataire de la Convention sur les armes biologiques (BWC) depuis 1985 et, en 1993, a déclaré l’Institut des produits biologiques de Wuhan comme l’une des huit installations de recherche sur la guerre biologique couvertes par la BWC. Toute personne travaillant sur ou sur ce site serait légalement tenue de ne divulguer aucun secret survenant dans le cadre de son emploi dans cette installation et n’est donc pas libre de s’exprimer. Le laboratoire national de niveau 4 de sécurité biologique de Wuhan (BSL-4) est dédié à la recherche sur les maladies infectieuses graves. Il a le plus haut niveau de sécurité biologique et couvre de nombreuses biotoxines et des développements illégaux d’armes biologiques SARS-Cov-2 à gain de fonction, et a été la source des données initiales sur les agents pathogènes pour l’existence de Covid-19 et la réponse du programme de vaccination des entreprises pharmaceutiques internationales qui en a résulté. Par coïncidence, le test PCR n’a jamais été en mesure d’identifier un virus ou un agent pathogène vivant et constitue la base fondamentale des blocages à travers le monde, qui ont été utilisés avec un grand effet pour terroriser la population mondiale en lui faisant croire que Covid-19 existe en tant que virus vivant et que la seule stratégie de survie consiste à utiliser une technologie d’arme biologique déguisée en vaccin.(([42] https://telegra.ph/The-scam-has-been-confirmed-PCR-does-not-detect-SARS-CoV-2-02-08))

[Voir aussi :
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
The Big Reset – Le documentaire non censuré sur la vérité de la pandémie
La Fin de la Théorie des Germes — Documentaire
Démantèlement de l’hypothèse virale
Les coupables de la crise corona sont clairement identifiés
Démontage de la théorie virale
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
et plus généralement les articles du dossier Vaccins et virus]

Les Centers for Disease Control (CDC) ont maintenant retiré le test PCR en tant qu’outil de diagnostic, après qu’il ait été mal utilisé, ce qui prouve son utilisation délibérée pour créer la peur et la détresse parmi une population mal informée.(([43] https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html))

Des chercheurs et des médecins du monde entier ont été bâillonnés, menacés et vilipendés dans les médias et discrédités en tant que théoriciens du complot par les gouvernements et leurs agents lorsqu’ils se sont prononcés pour s’opposer à ce programme transmondialiste. La déclaration de Great Barrington, avec plus de 800 000 signataires, a été ignorée et vilipendée par ceux qui poussent leur récit terrorisant. Il a été ignoré de manière déraisonnable afin que les populations occidentales puissent être terrorisées pour participer à la plus grande expérience médicale illégale et illicite de l’histoire du monde.(([44] https://gbdeclaration.org/))

Les humains augmentés augmentent la mortalité dans les champs de rayonnement 5G

Les humains augmentés et leur soi-disant amélioration biologique font déjà partie de l’agenda mondial connecté des gouvernements et des industries de la défense.(([45] https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/986301/Human_Augmentation_SIP_access2.pdf))

Il est étonnant de constater que, dans les démocraties représentatives du monde entier, cela se passe sans aucune consultation publique, sans aucun débat public de la part des participants à qui on a proposé cet agenda idéologique, technologique et politique.(([46] https://augmented-humans.org/))

On peut postuler que la seule raison que l’élite technocratique — y compris les forces motrices du Forum Économique Mondial (FEM) et des Nations unies (ONU) avec son Agenda 2030 — pourrait avoir pour cacher cet agenda numérique mondial connecté au public est qu’il la condamnerait et refuseraient d’y participer. Bien qu’il y ait des implications juridiques et légales évidentes et sérieuses autour de ce programme, l’accent devrait être mis sur les implications juridiques de l’utilisation de technologies biologiquement nocives qui auront un impact néfaste sur la santé, l’environnement et la mortalité. Il n’existe actuellement aucune donnée ou recherche crédible sur la sécurité montrant que le déploiement de cette technologie est sûr. Un autre exemple choquant de produit mis sur le marché sans normes de sécurité optique ni protocoles de test est celui des casques de réalité virtuelle (VR). Malgré le fait que le rayonnement optique artificiel est un danger environnemental et humain connu, ces casques nécessitent un grossissement du rayonnement optique comme affichage rétinien et confirment le mépris total de la sécurité et de la loi. Un autre exemple : la technologie montante de liaison neuronale nécessite l’insertion ou l’injection de nano-métamatériaux dotés d’une capacité d’antenne dans le cerveau et le corps des humains à travers la planète.(([47] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33431878/))

Il a déjà été démontré dans la littérature publiée que les nanomatériaux produisent des effets biologiques néfastes provoquant la mort cellulaire et des problèmes potentiels de fertilité.(([48] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30587973/))(([49] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19652459/))

Il est suggéré d’utiliser des nano-antennes pour recevoir et répondre à l’aide d’une compression cohérente de données QAM dans le corps, sans aucune donnée de sécurité correspondante, créant ainsi une population d’entités émettrices de rayonnements qui, selon certaines définitions légales, deviendraient des appareils électriques et ne seraient donc pas considérés comme humains. Les niveaux d’énergie de ces signaux cohérents proposés en provenance et à destination d’antennes placées dans le corps et le cerveau augmenteront les dommages cellulaires causés par les impacts des rayonnements provenant de l’extérieur du corps, dont la génotoxicité a déjà été démontrée.(([50] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/em.22343))

Il a été démontré que les niveaux de modulation des appareils de communication mobiles de faible puissance fonctionnant dans le spectre des énergies non ionisantes provoquent des espèces réactives de l’oxygène (ERO) et sont génotoxiques pour les animaux dans la plus grande étude indépendante réalisée, l’étude du National Toxicology Program (NTP), dont les résultats sont soutenus par le plus grand nombre de publications scientifiques indépendantes. Ces études confirment l’effet génotoxique sur les animaux des expositions subchroniques au niveau des lignes directrices de l’ICNIRP. Les émissions urbaines de la 5G sont conçues pour fournir une exposition chronique aux rayonnements qui augmentera sans aucun doute les effets génotoxiques sur toute la vie biologique avec laquelle les rayonnements entrent en contact. Ces émissions de rayonnements dépassent largement le seuil de contamination de 6 minutes recommandé par l’ICNIRP pour certains spectres. Des preuves provenant de zones couvertes par les émissions de rayonnement moins puissantes et moins densifiées des réseaux 4G ont déjà montré des effets néfastes importants sur la faune et la flore.(([51] https://ehtrust.org/wp-content/uploads/Mt-Nardi-Wildlife-Report-to-UNESCO-FINAL.pdf))

Les organismes biologiques plus petits qui composent l’ensemble de l’écosystème sont moins protégés contre les émissions de rayonnement d’origine humaine et peuvent donc montrer des effets d’une manière plus visible et incontestable. Il a été démontré que le manque aigu de petits insectes est principalement causé par de nouvelles émissions de rayonnement artificielles expérimentales, y compris des diodes électroluminescentes (DEL) qui ont été peu étudiées pour leurs effets néfastes sur l’environnement.(([52] https://esajournals.onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1890/14-0468.1))

L’ajout de nano-métamatériaux par le biais d’implants, d’injections et de contamination environnementale créera un environnement cytotoxique préjudiciable à toute vie biologique. La réflexion localisée des antennes de métamatériaux ou des entités vaccinées contaminées par des nanomatériaux s’ajoutera à une augmentation substantielle des expositions aux rayonnements, notamment dans les villes. La technologie de raccordement 5G peut désormais capturer et interroger de multiples points de données, des conversations, ainsi que des données biométriques corporelles et des mouvements 24 heures sur 24, tous les jours, au détriment des personnes vaccinées par le Covid-19 pour le reste de ce qui sera probablement une espérance de vie limitée, ainsi que des personnes incapables de se retirer de ces réseaux de rayonnement 5G et des environnements pollués par les nanoparticules.

Des champs magnétiques artificiels accompagnent l’onde du faisceau numérisé (QAM), ce qui augmente les émissions et crée une perturbation par vibration énergétique des particules de nano-métamatériaux dans le corps vacciné contaminé. Cela augmentera considérablement la cytotoxicité des technologies sur une population massive de personnes vaccinées qui ne se doute de rien.

Le mandat de cette expérience technologique sous la forme d’un vaccin qui augmente la stérilité et provoque la mort prématurée est une entreprise criminelle d’organisations et d’individus qui n’ont pas reconnu le développement compartimenté des systèmes d’armes nécessaires au programme de contrôle et de dépopulation planifiée. Les renseignements sur le dépeuplement massif ont été confirmés dans les cercles de la défense dès 2017 par le groupe de renseignement sur le matériel d’armement Deagel, qui a prédit plusieurs millions de victimes dans les pays occidentaux d’ici 2025.

L’ignorance ne devrait pas servir de défense à ces criminels, qui participent à une guerre asymétrique contre une population ignorante et terrorisée.

Les criminels peuvent être identifiés par leur mépris total des évaluations obligatoires des risques environnementaux et des normes de sécurité standard en ce qui concerne les technologies expérimentales et les principes de précaution qui devraient leur être appliqués.

Les données du gouvernement britannique montrent clairement que les vaccins expérimentaux ne fonctionnent pas comme un vaccin et présentent un risque important pour la population par des millions de réactions indésirables graves, y compris la mort. Bien qu’il n’y ait aucun avantage pour les enfants à leur injecter ce poison, les acteurs derrière cet événement meurtrier planifié ignorent la science et les données irréfutables alors qu’ils poursuivent leur programme de guerre secrète contre les plus vulnérables de nos sociétés.(([53] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/04-COVID-Lee-508.pdf))

Le CDC admet les dangers mortels actuels posés aux jeunes par cette technologie expérimentale, sans données à long terme sur les dangers posés par ce déploiement d’armes biochimiques. À l’origine du mépris flagrant de toutes les obligations éthiques et juridiques se trouve l’ordre du jour primordial du champ de bataille militaire, qui dicte que la guerre doit maintenant être menée contre les populations civiles.

Conclusion

Pour citer Martin L Pall, PhD, professeur émérite de biochimie et de sciences médicales à l’Université de l’État de Washington, « Mettre des dizaines de millions d’antennes 5G, sans un seul test biologique de sécurité, doit être l’idée la plus stupide que quiconque ait eue dans l’histoire. du monde ». Le professeur Pall a cependant tort : ce n’est pas une idée stupide mais un crime odieux si l’on comprend le mobile de ce déploiement. La 5G est un déploiement d’armes compartimenté se faisant passer pour une avancée technologique bénigne pour des communications améliorées et des téléchargements plus rapides. La fausse propagande mondialiste s’effondre avec un simple fait incontesté : leur brevet de test PCR pour Covid-19, qui a été déposé en 2015, n’a jamais été en mesure d’identifier un virus vivant, de sorte qu’il puisse être utilisé pour terroriser des populations ignorantes et sans méfiance à travers le monde pour qu’elles prennent un vaccin Covid-19 pollué par une technologie de nano-antenne pour connecter les victimes au réseau 5G.

Les technologies émergentes 5G, autonomes et de réalité augmentée, souvent qualifiées par les fabricants de « technologie tueuse », se révéleront être exactement cela. L’approche de laisser-faire adoptée par les organismes de réglementation et l’industrie des télécommunications a encouragé le mépris total des dommages biologiques connus causés par les niveaux croissants de rayonnements ionisants et non ionisants résultant du déploiement massif de ces technologies, qui ont été développées pour une utilisation sur le champ de bataille. Les organisations non gouvernementales, les individus et les groupes ont dû intenter une action en justice contre les organismes gouvernementaux de réglementation de la sécurité car ceux-ci ont ignoré le principe de précaution et ignoré l’exigence de normes qui sont indispensables en droit pour le développement de produits nouveaux et expérimentaux.

Toute la base de l’existence des organismes de réglementation a été corrompue par des criminels au sein de ces organisations qui ont détruit la confiance du public éduqué en eux.

Les exigences de sécurité de base ont été délibérément ignorées par l’industrie des télécommunications et les directives de l’ICNIRP ont été délibérément conçues pour semer la confusion chez ceux qui manquent de connaissances techniques.

Les données sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 ressemblent à la destruction de l’Humanité alors que des millions de citoyens nord-américains meurent et sont blessés dans cette expérience médicale qui enfreint le Code de Nuremberg et le Statut de Rome de la Cour pénale internationale.

Les niveaux d’émissions de rayonnement du réseau 5G dépassent empiriquement la résolution COE 1815 et confirment l’agression, causant des lésions corporelles réelles aux populations du monde entier. Le fait que les données vectorielles des vaccins Covid-19 aient été développées dans des laboratoires d’armes chimiques biologiques prouve qu’elles ne font que se faire passer pour des vaccins, les données émergentes sur la stérilisation, la mauvaise santé et la mort à travers l’Occident révélant leur véritable objectif. Le dépeuplement de ceux qui n’ont aucune connaissance de l’agenda meurtrier se poursuivra jusqu’à ce que les criminels impliqués dans ce meurtre de masse soient traduits en justice. Le réseau 5G a la capacité de cibler, d’acquérir et d’attaquer les vaccinés grâce à leur vaccin Covid-19 à antenne nano métamatériau.

Les systèmes d’armes létales autonomes (LAWS) exigent que les réseaux 5G maintiennent leur géopositionnement et naviguent dans leur environnement jusqu’à la cible ; ces armes ne peuvent pas compter sur les communications par satellite en raison du potentiel d’événements météorologiques défavorables et de la latence du signal pour perturber leurs signaux. Elles doivent donc disposer de réseaux 5G localisés pour l’environnement de champ de bataille urbain à venir, pour la capacité d’assassinat et pour la domination du champ de bataille dans les guerres futures prévues. Des acteurs voyous mettent en œuvre la Solution finale, un concept du Troisième Reich désormais actualisé par le FEM « Build Back Better », quatrième révolution industrielle contre les populations civiles, tel que proposé par l’industrie de la défense en violation des Conventions de Genève, ainsi que des lois et traités nationaux et internationaux .

Pour éviter tout doute, la définition d’une arme est un dispositif, un outil ou une action qui a été conçu pour causer des dommages physiques ou psychologiques en violation de la législation primaire.

La compartimentation du développement des systèmes d’armes a joué un rôle crucial en n’alertant pas les membres des autorités de réglementation et de l’industrie des télécommunications sur le véritable objectif et les intentions de ceux qui conduisent et financent en fin de compte le déploiement de la 5G et des armes chimiques biologiques se faisant passer pour des vaccins Covid-19 pour un grille de contrôle et de commande planifiée.

Le monde suit aveuglément les plans de l’élite technocratique et du complexe militaro-industriel-pharmaceutique pour éliminer un grand nombre de populations à travers le monde sans tenir compte de la législation primaire.

Les droits donnés par Dieu et les lois consacrées pour la protection des hommes et des femmes ont été ignorés par ces forces sectaires dans leur programme de dépeuplement, de stérilisation et de meurtres de masse.

La 5G est un système d’armes, un crime contre l’humanité si monstrueux que même une personne instruite trouverait cela incroyable au premier examen des faits.

La preuve prima facie [à première vue] de ce programme de dépopulation mondialiste est sans équivoque et devrait être testée devant les tribunaux afin que les conspirateurs impliqués dans ce plan meurtrier puissent être traduits en justice. C’est le plus grand crime jamais perpétré contre l’humanité et toute la création de Dieu.

Déclaration de vérité

Je crois que les faits énoncés dans cette déclaration de témoin sont vrais. Je comprends qu’une poursuite pour outrage au tribunal peut être intentée contre quiconque fait ou fait faire une fausse déclaration dans un document vérifié par une déclaration véridique sans une croyance sincère en sa véracité.

[Rapport original en anglais]


Mark Steele est directeur de la technologie chez www.saveusnow.org.uk, un parti de résistance à cette attaque criminelle contre l’humanité.

Il est l’inventeur et le rédacteur de brevets de l’affichage tête haute et des systèmes de visée d’armes. Il est ingénieur en développement de produits et expert en systèmes d’armes à énergie directe.

Cet article a été initialement publié sur For Life on Earth.

La source originale de cet article est Global Research
Copyright © Mark Steele , Recherche mondiale, 2022





Merci à Reiner Fuellmich et ensemble continuons le combat de l’information vraie

Par Nicole Delépine

Au cours des deux dernières années, les analyses de l’avocat Reiner Fuellmich nous ont éclairés et soutenus. Comprenant grâce à lui et de rares auteurs comme Pascal Sacré ou Denis Rancourt (articles sur les tests PCR sur mondialisation.ca dès juillet 2020) ce qu’il se passait en particulier sur les faux tests PCR dès juillet 2020, nous avons pu résister, car la connaissance aide à rester debout et à travailler dans le sens de la vérité.

Comme énormément de personnes perdues dans le monde, Reiner F. nous a permis de comprendre et donc de résister sans tomber dans la panique, le désespoir, la dépression voire le suicide pour certains. Nous avons pu grâce à lui donner de l’espoir à nos correspondants par mail et téléphones, et en publiant en France les résultats de son combat.1

Nous écrivions en octobre 2020 grâce à ses éclairages :

Vers la mise en place d’un Nuremberg du 2

Un grand motif d’espoir : des juristes préparent les fondements d’un procès Covid-Nuremberg international

Le scandale du coronavirus

Nous avons découvert avec joie la vidéo de Reiner Fullmich, juriste au barreau en Allemagne et en Californie, mise en ligne le 3 octobre 2020, traduite en français par le « fils du Pangolin ». Profitez-en avant qu’elle ne disparaisse de YouTube… Il est un des quatre membres de la commission allemande d’enquête sur le coronavirus.

https://www.youtube.com/watch?v=UQFZHtnW8DY (évidemment indisponible aujourd’hui !)

Enfin de bonnes nouvelles !

Un réseau international se forme contre « les crimes contre l’humanité » en cours, liés aux mesures totalitaires et complètement irresponsables eu égard à la santé de la population mondiale. Les mesures liberticides telles que le confinement aveugle, puis le port obligatoire du masque, dedans, dehors, partout, bientôt en famille, et dans les moments tendres, et les tests délirants car non fiables et multipliés à l’envi, imposés par les écoles, les entreprises et les hôpitaux qui les répètent de façon anarchique laissant le patient « urgent » dans un lit pendant plusieurs semaines attendant que le test d’entrée positif (évidemment trop souvent, pour être fiable) se négative. Mais s’il se négative, il faut vérifier trois jours plus tard et ainsi de suite.

Des sketchs ubuesques si la vie de patients et le moral des troupes n’étaient pas en jeu, avec leurs conséquences délétères sur l’immunité et l’apparition de maladies auto-immunes, cancers, sans parler de toutes les affections psychosomatiques.

Présentation de l’avocat allemand parlant au nom des 4 membres de la commission d’enquête allemande sur le coronavirus :

« Bonjour, je m’appelle Reiner Fuellmich et je suis admis au barreau en Allemagne et en Californie depuis 26 ans. J’ai pratiqué le droit principalement en tant qu’avocat plaidant contre des sociétés frauduleuses telles que la Deutsche Bank, autrefois l’une des plus grandes banques du monde et des plus respectées, aujourd’hui l’une des organisations criminelles les plus toxiques au monde. VW, l’un des constructeurs automobiles les plus importants et les plus respectés au monde, aujourd’hui connu pour sa fraude géante sur le diesel et Kuehne and Nagel, la plus grande compagnie maritime du monde, que nous poursuivons dans une affaire de corruption de plusieurs millions de dollars.

Je suis également l’un des quatre membres de la commission d’enquête allemande sur le Corona. Depuis le 10 juillet 2020, ce comité écoute un grand nombre de témoignages de scientifiques et d’experts internationaux pour trouver des réponses aux questions sur la crise du Corona, que de plus en plus de personnes dans le monde entier se posent. Tous les cas de corruption et de fraude commis par les entreprises allemandes mentionnés ci-dessus sont dérisoires en comparaison de l’ampleur des dommages que la crise du Corona a causés et continue de causer.

Cette crise du Corona, selon ce que nous savons aujourd’hui, doit être rebaptisée “scandale du Corona”. Et les responsables de cette crise doivent être poursuivis pénalement et pour dommage civil. Sur le plan politique, tout doit être fait pour que plus jamais personne ne soit en position de pouvoir tromper l’humanité ou tenter de nous manipuler avec ses programmes corrompus.

C’est pourquoi je vais maintenant vous expliquer comment et où un réseau international d’avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps : le scandale de la fraude Corona, qui s’est entre-temps transformée en probablement le plus grand crime contre l’humanité jamais commis.

Les crimes contre l’humanité ont été définis pour la première fois dans le cadre des procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, c’est-à-dire lorsqu’ils ont concerné les principaux criminels de guerre du Troisième Reich.

Aujourd’hui, les crimes contre l’humanité sont régis par l’article 7 du Code pénal international.(…) »

Nuremberg-Covid : un crime contre l’humanité qui doit être jugé !

18 octobre 2020 Nicole Delépine

Suite du premier volet.

Le combat se développe. Il faut en parler autour de vous, faire connaître cette enquête internationale, car curieusement les mails concernant ce scandale sont bloqués, comme si un algorithme très performant refusait qu’on le fasse connaître.
On peut aussi revenir au bon vieux temps et imprimer un maximum de « tracts » reprenant les idées majeures de ce texte à lire en totalité.

Quelques extraits de « scandale de fraude du coronavirus – Le plus important combat commence juste ». 18 Octobre 2020

« PROBABLEMENT LE PLUS GRAND CRIME CONTRE L’HUMANITÉ JAMAIS COMMIS »

  • – La commission d’enquête extraparlementaire allemande Corona (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss), lancée le 10 juillet 2020, a été fondée par quatre avocats pour enquêter et poursuivre les responsables de la mise en œuvre de confinements dévastateurs sur le plan économique dans le monde, ainsi que de l’utilisation de tests frauduleux pour faire croire à une pandémie dangereuse.
  • – les avocats soutiennent que les mesures pandémiques étaient destinées à semer la panique afin que les industries pharmaceutiques et technologiques puissent générer d’énormes profits grâce à la vente de tests PCR, de tests d’antigènes et d’anticorps et de vaccins, et de la récolte de nos empreintes génétiques.
  • – Les confinements n’étaient pas nécessaires et tout argument contraire est erroné,
    « Le virus était déjà en retrait et les taux d’infection commençaient à baisser lorsque des confinements furent imposés ; des preuves scientifiques montrent qu’une majorité de personnes sont déjà immunisées contre le virus en raison de l’immunité des cellules T à réactivité croisée, et le test PCR ne peut pas être utilisé pour identifier une infection active par le SRAS-CoV-2 ou tout autre virus. »

La pandémie n’a pas entraîné un nombre supplémentaire de décès ou un nombre de morts plus élevé que la normale, les dommages collatéraux des mesures de riposte à la pandémie sont presque incalculables.

Toutes les réunions sont diffusées en direct et disponibles sur la chaîne YouTube du Comité11 (du moins pour le moment).

Selon Fuellmich, un recours collectif international sera intenté contre les personnes responsables de la mise en œuvre des confinements économiquement dévastateurs dans le monde, ainsi que de l’utilisation de tests frauduleux pour créer l’apparence d’une pandémie dangereuse.

Cela inclut tout le monde, des décideurs politiques locaux à l’Organisation Mondiale de la Santé et aux laboratoires pharmaceutiques. Il affirme que plus de 50 autres pays suivront.

Fuellmich souligne qu’au plan politique, des efforts tous azimuts doivent être faits pour garantir que « personne ne sera plus jamais en mesure de frauder l’humanité ou de tenter de nous manipuler avec des projets corrompus. »

Un second Nuremberg

Les crimes contre l’humanité, définis pour la première fois lors des procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, sont aujourd’hui réglementés à l’article 7 du Code pénal international.

Les trois questions auxquelles le comité cherche à répondre par voie judiciaire sont :

  1. Y a-t-il une pandémie de COVID-19 ou y a-t-il seulement une pandémie de test de réaction en chaîne par polymérase (PCR) ?
    Plus précisément, un résultat de test PCR positif signifie-t-il que l’individu est infecté par le SRAS-CoV-2 et a le COVID-19, ou cela ne signifie-t-il absolument rien en relation avec l’infection COVID-19 ?
  2. Les mesures de riposte à la pandémie telles que les confinements, les masques obligatoires, la distanciation sociale et les réglementations de quarantaine servent-elles à protéger la population mondiale du COVID-19, ou ces mesures ne servent-elles qu’à semer la panique ?
  3. Est-il vrai que le gouvernement allemand a fait l’objet de pressions massives — plus que tout autre pays — par les principaux protagonistes de cette pandémie de COVID-19 ?

Selon Fuellmich, l’Allemagne « est connue comme un pays particulièrement discipliné et devait donc devenir un modèle pour le reste du monde pour son adhésion stricte et, bien sûr, réussie » aux mesures contre la pandémie.

Le COVID CONTINUE A SEMER LA PANIQUE — IL FAUT DÉNONCER LES MENSONGES

Des réponses à ces questions sont nécessaires de toute urgence, car le SRAS-CoV-2, présenté comme l’une des menaces à la vie les plus graves de l’histoire moderne, « n’a causé aucune surmortalité nulle part dans le monde ».

Les mesures de pandémie, en revanche, ont « causé la perte d’innombrables vies humaines et détruit l’existence économique d’innombrables entreprises et individus dans le monde », dit Fuellmich.

Deux responsables de la panique, Ferguson et Drosten

(…) Le virologue allemand Christian Drosten est responsable des ordonnances de confinement en Allemagne.

Le virologue allemand Christian Drosten avait déjà semé la panique en 2009 avec des prophéties apocalyptiques pour la grippe porcine. Dans ces prévisions terrifiantes récurrentes, il semble bien le pendant de l’épidémiologiste Neil Ferguson dont les prévisions de décès ont servi d’excuses aux gouvernements de trop de pays pour imposer leurs mesures liberticides, en particulier en France.
Le moment venu de décider d’une réponse pour COVID-19, le gouvernement allemand s’est appuyé sur l’avis de Drosten uniquement.

« Dans une violation scandaleuse du principe universellement accepté d’auditor at ultra parse, ce qui signifie qu’il faut également entendre l’autre côté, la seule personne qu’ils ont écoutée était M. Drosten, c’est-à-dire la personne même dont l’horrible pronostic panique s’était avéré catastrophiquement faux 12 ans plus tôt », dit Fuellmich.

« De nombreux “scientifiques hautement renommés” ont brossé un tableau complètement différent de la pandémie du COVID-19. Parmi eux, le professeur John Ioannidis de l’Université de Stanford en Californie, le professeur Michael Levitt, biophysicien à l’Université de Stanford et lauréat du prix Nobel de chimie ; les professeurs allemands Karin Mulling, Sucharit Bhakdi, Klud Wittkowski et Stefan Homburg. »

AUCUNE SECONDE VAGUE EN VUE, SEULEMENT DE L’INTOXICATION VIA LES TESTS TROMPEURS

Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, figure également sur cette liste. Yeadon a récemment déclaré publiquement qu’il n’y a aucune science suggérant qu’une deuxième vague devrait se produire » et que les résultats faussement positifs de tests PCR non fiables sont utilisés pour « fabriquer une » deuxième vague » à partir de « nouveaux cas ». 

« Ils ont estimé, et estiment toujours, qu’il n’y avait pas de maladie allant au-delà de la gravité de la grippe saisonnière ; que la population avait déjà acquis une immunité croisée ou des cellules T contre ce prétendument nouveau virus ; et qu’il n’y avait donc aucune raison pour des mesures spéciales et certainement pas pour les vaccinations », dit Fuellmich.

Il cite également un article scientifique publié en septembre 2020 par Yeadon et ses collègues, dans lequel ils déclarent :

« Nous fondons notre politique gouvernementale, notre politique économique et la politique de restriction des droits fondamentaux vraisemblablement sur des données et des hypothèses complètement fausses concernant le coronavirus.

Sans les résultats des tests qui sont constamment rapportés dans les médias, la pandémie serait finie, parce que rien ne s’est vraiment passé. »

Analyse de la situation

Commentant « la situation actuelle et réelle concernant le danger du virus, l’inutilité totale des tests PCR pour la détection des infections et les verrouillages basés sur des infections inexistantes », Fuellmich déclare :

« Nous savons que les systèmes de santé n’ont jamais risqué d’être submergés par le COVID-19. Au contraire, de nombreux hôpitaux restent vides à ce jour et certains sont aujourd’hui menacés de faillite. »

Le navire-hôpital Comfort qui ancré à New York à l’époque aurait pu accueillir un millier de patients n’a jamais hébergé plus d’une vingtaine de patients.

Nulle part il n’y a eu de surmortalité.

Des études menées par le professeur Ioannidis et d’autres ont montré que la mortalité du corona est équivalente à celle de la grippe saisonnière ; même les images de Bergame et de New York qui ont été utilisées pour démontrer au monde que la panique était de rigueur se sont avérées délibérément trompeuses.

Ensuite, le soi-disant « article de panique » a été divulgué, rédigé par le ministère allemand de l’Intérieur. Son contenu classifié montre sans l’ombre d’un doute qu’en fait la population a délibérément été amenée à paniquer par les politiciens et les médias traditionnels. »

À Bergame, en Italie, 94 % des décès n’étaient pas le résultat d’une infection au COVID-19 se propageant sans limites, mais plutôt la conséquence de la décision du gouvernement de transférer les patients malades des hôpitaux vers les maisons de retraite, où ils propageaient l’infection — rhume, grippe et SRAS-CoV-2 — parmi les personnes âgées et fragiles.

Cela a également été fait par le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, en violation directe des directives fédérales ainsi que dans le Minnesota, l’Ohio, en Pennsylvanie, dans le New Jersey, au Michigan et en Californie.

Fuellmich souligne également la faute professionnelle courante qui s’est produite dans certains des hôpitaux de New York, où tous les patients suspectés de COVID-19 ont été placés sous ventilateur mécanique, ce qui s’est avéré être une condamnation à mort.

Cependant, comme l’ont montré les autopsies, qui ont été effectuées en Allemagne, en particulier par le médecin légiste le professeur Klaus Püschel à Hambourg, les décès qu’il a examinés avaient presque tous été causés par des maladies préexistantes graves et presque toutes les personnes qui étaient décédées, décédées très vieilles, tout comme en Italie, c’est-à-dire qu’elles avaient vécu au-delà de leur espérance de vie moyenne.

Le RKI allemand, qui est encore l’équivalent du CDC, avait initialement, assez étrangement, recommandé qu’aucune autopsie ne soit pratiquée

Et il existe de nombreux rapports crédibles selon lesquels des médecins et des hôpitaux du monde entier ont été payés pour déclarer une personne décédée était victime du COVID-19 plutôt que d’écrire la véritable cause du décès sur le certificat de décès, par exemple une crise cardiaque ou une blessure par balle.

À Paris, des employés des pompes funèbres racontent maintenant comment ils furent choqués que les corps leur soient livrés, « non préparés, même pas lavés » et donc jamais revus par leurs familles, sans la possibilité de les préparer avant enterrement ou incinération. Ils précisent : tous les morts étaient « covid ». Aucune autre cause de décès déclaré. Ce fut un phénomène mondial et heureusement quelques légistes désobéirent aux USA, en Italie, en Allemagne (France ?) et effectuèrent des autopsies découvrant des morts par balle classés covid…

Nicole Delépine

Rendez-vous compte : nous savions tout ce qui s’est avéré vrai, en 2020 avant la campagne cruelle de vaccination que nous aurions pu éviter si la population n’avait été sous l’emprise mortifère du gouvernement et des médias

Il n’est pas étonnant que l’état profond tente de le décrédibiliser, car son travail est tellement important qu’il ne servirait à rien de l’éliminer et tenter de faire croire qu’il a menti ou triché est plus astucieux. Néanmoins ils n’y arriveront pas et comme conclut Reiner dans son mémoire à notre usage :

« Et enfin, bien sûr, nous gagnerons cette guerre qui est menée contre toute l’humanité. Il n’y a aucun doute dans mon esprit que ceux qui essaient de détruire l’humanité et qui essaient de jouer à Dieu sont condamnés ».

Restons forts ensemble.

Certaines personnes craquent sous la pression. Je ne le fais pas et je ne le ferai pas.

Et j’aimerais ajouter, la même chose est vraie pour les travailleurs de la santé grecs, et la même chose est vraie pour chacun d’entre vous.

Voici l’intégrale de sa mise au point :

Reiner Fuellmich : Mise à jour encourageante après de fausses allégations

Reiner Fuellmich: Encouraging update after false allegations (stopworldcontrol.com)

Au cours des derniers mois, une attaque vicieuse et perfide a été lancée contre l’une des personnes les plus influentes de tout le mouvement mondial pour la justice et un monde meilleur: le Dr Reiner Fuellmich.

Le Dr Fuellmich a travaillé sans relâche avec le Comité d’enquête Corona pour découvrir toutes les preuves qui révèlent comment la pandémie était une opération criminelle à grande échelle.

L’objectif de cette opération était double :

1) réduire considérablement la population mondiale par la guerre biologique, à la fois avec une maladie artificielle, et par des injections armées

2) soumettre ceux qui survivent à une tyrannie mondiale sans précédent, par le biais de passeports vaccinaux, d’identifications numériques, de surveillance 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, etc. 

Le Dr Fuellmich a réalisé plus de 400 entrevues, avec des experts de tous les domaines de la science, pour révéler ce programme néfaste.

Son travail pour l’humanité a été inestimable et est totalement inégalé dans l’histoire de notre monde. À ma connaissance, personne sur la surface de la Terre, depuis toujours, n’a jamais recueilli autant de données qui dévoilent comment des entités financières criminelles — qui opèrent derrière l’OMS, l’ONU, etc. — collaborent pour s’emparer de tous les droits et libertés de toute l’humanité, sous couvert de crises orchestrées.

Le Dr Fuellmich a également organisé un grand jury où les meilleurs experts de ces mêmes entités qui planifient la domination du monde ont témoigné devant 11 avocats et un juge. Ils ont présenté un aperçu clair de ce qui se passe, dans le but d’informer l’humanité et de donner aux gens les moyens de se défendre.

[Voir Grand Jury / Tribunal de l’Opinion Publique — Conclusions finales]

Le travail accompli par cet homme, par l’intermédiaire du Comité d’enquête Corona, est indescriptible. 

Tout au long de l’horrible découverte de ces événements terrifiants et dévastateurs dans notre monde, il a également continué à encourager et à donner aux gens l’espoir d’un avenir meilleur.

Le Dr Fuellmich n’a pas seulement exposé à quel point ce réseau maléfique est énorme dans le monde entier, il a également continuellement renforcé des millions de personnes dans le monde entier avec l’assurance que les bonnes personnes, avec l’aide de Dieu, seront victorieuses.

À travers cette tempête, notre monde entrera dans une nouvelle ère.

En raison de l’énorme influence de ce courageux enquêteur dans le monde entier, il n’est pas surprenant qu’il ait été sévèrement attaqué.

Sachant à quel point il est un avocat compétent, les élites savent qu’elles ne peuvent pas simplement l’arrêter. Par conséquent, l’attaque contre Reiner Fuellmich devait venir de l’intérieur, par l’intermédiaire de quelqu’un de proche.

Malheureusement, cela s’est effectivement produit, et au cours des derniers mois, la cofondatrice du CIC a commencé à accuser faussement le Dr Fuellmich.

Cela a causé de la confusion et du découragement chez de nombreuses personnes éveillées dans le monde entier, qui considèrent Fuellmich comme l’un de leurs dirigeants.

Quand j’ai appris ces allégations, j’ai appelé Reiner, et nous avons eu une bonne conversation. Il m’a assuré que les allégations étaient entièrement fausses. Cela a été confirmé par le procureur du district de Berlin qui a publiquement déclaré qu’il n’y avait aucune raison d’enquêter. Plusieurs psychologues se sont penchés sur la situation, exprimant des préoccupations quant au bien-être mental de l’accusateur.

Le Dr Reiner Fuellmich a accepté une entrevue avec Stop World Control pour en savoir plus sur cette situation.

Au cours de cette conversation — comme toujours, inspirante et encourageante — Reiner révèle également sa nouvelle organisation, qui sera plus professionnelle, avec une portée plus large: COMITÉ D’ENQUÊTE SUR LES CRIMES INTERNATIONAUX.

REGARDEZ CETTE MISE À JOUR
ENCOURAGEANTE DU DR REINER FUELLMICH

Déclaration officielle du Dr Reiner Fuellmich

[Pour voir la vidéo :
https://nouveau-monde.ca/mise-au-point-de-reiner-fuellmich-28-septembre-2022/]

Chers amis,

Maintenant que j’ai repris le contrôle de mes chaînes de télégrammes, il est temps d’envoyer un court message à ceux qui sont confus à cause des récentes rumeurs entourant le Comité d’enquête corona de Berlin.

Dans une longue interview avec la chaîne suisse de médias alternatifs Bitle.tv, qui a été interrompue par une déclaration troublante de la cofondatrice du Comité d’enquête Corona, j’ai déjà dit ce que j’avais à dire.

Les allégations de cette cofondatrice du Corona Investigative Committee sont complètement fabriquées et fausses.

En conséquence, les grands médias allemands viennent de rapporter que le bureau de la DA de Berlin a explicitement déclaré qu’il n’y avait aucune raison pour une enquête criminelle. Alors, faites confiance à votre instinct et regardez les faits qui sont disponibles.

En outre, je poursuivrai les travaux du Comité avec ma propre version, beaucoup plus professionnelle. Cette poursuite des travaux du Comité élargira la portée de l’enquête et montrera les concepts permettant de surmonter le système corrompu et en train de s’effondrer. Son nouveau nom sera International Crimes Investigative Committee, ICIC (I See, I See!)

Cependant, il y a trois choses qui, à mon avis, méritent une attention particulière dans cette lutte continue pour l’humanité. Premièrement, malgré le fait que travailler au sein du Comité d’enquête sur Corona a toujours été très difficile, nous avons, je crois, fait un assez bon travail pour obtenir la vérité sur Corona. Il ne s’agit pas d’une pandémie, mais plutôt d’une plandémie. Il est motivé par la panique intentionnelle et l’utilisation abusive du test PCR pour créer des cas qui n’ont jamais existé.

Cette pandémie n’est qu’un outil parmi les outils de ceux qui sont derrière cela. Et derrière cela, il y a quelques super-riches, des psychopathes mégalomanes, comme nous l’ont expliqué les experts en psychologie et en psychiatrie que nous avons interviewés.

Ils ont utilisé et utilisent des entreprises mondiales et des ONG mondiales qui se réunissent une fois par an à Davos sur la plate-forme du Forum économique mondial comme un moyen de mener à bien une prise de contrôle hostile de nos politiciens et de nos organismes publics sous le couvert du terme agréable de partenariats public-privé.

L’autre côté, comme je les appelle, ou M. Global, comme les appelle Catherine Austin Fitz, savent que beaucoup de gens ne croient plus à l’histoire dangereuse du virus. La variole du singe s’est avérée être un échec complet, un non-démarreur. Ils sont sur la défensive. Mais ils ont plus dans leur boîte à outils pour nous garder en mode panique, c’est-à-dire dans un état mental qui fera que beaucoup d’entre nous suivront n’importe quel ordre qui leur est donné. La crise ukrainienne, le réchauffement climatique, les pénuries alimentaires et les pénuries d’énergie ne sont que les outils les plus connus de leur panique.

Le but ultime de ces mégalomanes psychopathes est de prendre le contrôle total de nous tous en réduisant la population et en asservissant les survivants grâce à l’introduction d’un gouvernement mondial unique et d’une monnaie numérique mondiale unique, tous deux sous leur contrôle, bien sûr.

Les sujets mentionnés ci-dessus sont les sujets dont nous devrions nous inquiéter et qui doivent être exposés afin que même ceux qui ont d’abord été victimes de leur terrorisme psychologique, mais qui commencent maintenant à poser des questions. Nous obtiendrons des réponses et de l’aide, si cela devient nécessaire.

Ne nous laissons pas distraire par des spectacles secondaires non pertinents, surtout quand il ne s’agit que d’une autre illusion, bien que soigneusement créée, sans aucune substance.

Et enfin, bien sûr, nous gagnerons cette guerre qui est menée contre toute l’humanité. Il n’y a aucun doute dans mon esprit que ceux qui essaient de détruire l’humanité et qui essaient de jouer à Dieu sont condamnés.

Mais il n’y a pas une seule personne ou une seule institution qui sera en mesure de mettre fin à elle seule à cela. Cette fois, nous tous les humains ensemble, allons devoir être la cavalerie. Et il n’y a que deux choses qui comptent vraiment. La première est que nous devons comprendre que ce ne sont pas les Russes contre les Américains, les Français contre les Allemands, les Noirs contre les Blancs, les femmes contre les hommes ou les vaccinés contre les non-vaccinés.

Au lieu de cela, c’est nous tous les humains contre les criminels monstrueux qui faisons tout ce qu’ils peuvent pour nous pousser les uns contre les autres afin que notre attention soit distraite de leurs mauvaises actions.

La deuxième chose qui compte, c’est, je crois, que nous sommes vraiment proches d’un point de basculement et que nous avons peut-être même déjà gagné la guerre. C’est pourquoi l’autre côté, M. Global, est maintenant hors de contrôle, se déchaînant littéralement.

Mais nous devons être clairs à ce sujet : l’autre partie ne peut pas et ne veut pas abandonner, car il y a deux créanciers qui exigent le paiement de leurs crimes contre l’humanité. L’un des deux créanciers, c’est nous et notre système judiciaire, qui, si cela s’avère nécessaire, sera le nôtre, c’est-à-dire la propre création du peuple en dehors de son système corrompu.

L’autre créancier est ce que j’appelle les puissances spirituelles supérieures. D’autres l’appellent Dieu. C’est probablement la même chose. Et ceux qui jouent à Dieu ne sont jamais restés impunis, si je me souviens bien.

Oh, et encore une chose, comme Colombo avait l’habitude de dire. Le week-end dernier, le professeur Sushiri Bakti et moi-même avons eu le privilège et l’honneur d’être invités à Athènes, berceau de la démocratie, par les travailleurs de la santé grecs qui ont refusé de participer à ces crimes contre l’humanité et ont perdu leur emploi en conséquence. Le professeur Bakhti a expliqué en détail à quel point la situation est grave qu’il s’agit d’une question de vie ou de mort et de changements graves dans notre personnalité, en particulier en ce qui concerne les effets des injections d’ARNm. J’ai résumé les conclusions du Corona Investigative Committee et comment les efforts juridiques d’un nombre croissant d’avocats combatifs sont maintenant, dans certaines parties du monde, de plus en plus fructueux.

J’ai terminé ma présentation avec les mêmes mots que j’utilise ici :

certaines personnes craquent sous la pression. Je ne le fais pas et je ne le ferai pas.

Et j’aimerais ajouter, la même chose est vraie pour les travailleurs de la santé grecs, et la même chose est vraie pour chacun d’entre vous.

Faites confiance à votre instinct. Regardez les faits et vous verrez à travers tout cela, à travers chaque masque.

Dr Reiner Fuellmich
Comité d’enquête sur les crimes internationaux

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1 Nuremberg-Covid : un crime contre l’humanité qui doit être jugé ! — Riposte Laique

2 Vers la mise en place d’un Nuremberg du Covid — Riposte Laique




Les responsables de la santé admettent que Bill Gates dirige le monde

[Source : takecontrol.substack.com]

Dans un rapport publié dans Politico, des responsables américains et européens et des spécialistes de la santé mondiale ont admis que Bill Gates dirigeait la réponse mondiale au COVID

Par Dr Joseph Mercola



L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL

  • Le 14 septembre 2022, Politico a publié un rapport spécial basé sur quatre douzaines d’entretiens avec des responsables américains et européens et des spécialistes de la santé mondiale, qui admettent que Bill Gates dirige la réponse mondiale au COVID.
  • Quatre organisations de santé — la Fondation Bill & Melinda Gates, GAVI, la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) et le Wellcome Trust — ont rapidement pris les devants dans la riposte mondiale à la pandémie, et bien que toutes les quatre prétendent être des organisations indépendantes, elles sont toutes effectivement fondées et/ou financées par Gates.
  • Au cours des premiers jours de l’épidémie, la Fondation Gates, la GAVI, le CEPI et le Wellcome Trust ont lancé un effort coordonné pour identifier les fabricants de vaccins, financer des tests, des traitements médicamenteux et des injections d’ARNm, et élaborer un plan de distribution mondial en collaboration avec l’Organisation Mondiale de la Santé. En fin de compte, ils n’ont pas réussi à atteindre leurs propres objectifs sur tous les fronts.
  • Gates n’est pas qualifié pour faire des recommandations en matière de santé et il n’a jamais été élu pour représenter le public.
  • Gates a utilisé sa richesse, son influence et sa perspicacité pour se mettre dans une position où il peut dicter la politique de santé mondiale pour son propre avantage financier.

L’idée que Bill Gates exerce une influence indue sur la santé mondiale a toujours été niée et rejetée comme une théorie du complot loufoque. Mais comme pour tant d’autres choses, cette théorie du complot s’avère maintenant être une conspiration de facto.

Le 14 septembre 2022, Politico a publié un rapport spécial détaillé basé sur « quatre douzaines d’entretiens avec des responsables américains et européens et des spécialistes de la santé mondiale », intitulé « Comment Bill Gates et ses partenaires ont pris le contrôle de la réponse mondiale au COVID ».1

Comme l’a noté Igor Chudov sur Substack,2 en quelques heures, le titre a été modifié pour se lire : « Comment quatre groupes privés ont utilisé leur influence pour contrôler la réponse mondiale au COVID — avec peu de surveillance »,3 comme illustré dans les captures d’écran de Chudov ci-dessous :

Article politique

Curieusement, cinq heures après cette modification, Politico a changé le titre, donc au moment d’écrire ces lignes, il se lit comme suit :4 « Comment Bill Gates et associés ont utilisé leur influence pour contrôler la réponse mondiale de Covid — avec peu de surveillance. » Le seul mot qui manque maintenant dans le titre original est « ses ». Vous pouvez voir comment le titre s’est déplacé d’avant en arrière au cours de 15 heures sur archive.today.5

Les organisations Four Gates monopolisent la réponse mondiale au COVID

Selon Politico,6 quatre organisations de santé – la Fondation Bill & Melinda Gates, GAVI, la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) et le Wellcome Trust – ont rapidement pris les devants dans la riposte mondiale à la pandémie, et bien que toutes les quatre prétendent être des organisations indépendantes, elles sont toutes fondées et/ou financées par Gates.

« Lorsque la Covid-19 a frappé, les gouvernements du monde n’étaient pas préparés », écrit Politico. « Alors que les nations les plus puissantes regardaient vers l’intérieur, quatre organisations non gouvernementales mondiales de santé ont commencé à élaborer des plans pour une lutte à mort contre un virus qui ne connaîtrait pas de frontières.

Ce qui a suivi a été un changement de pouvoir constant, presque inexorable, des gouvernements débordés vers un groupe d’organisations non gouvernementales, selon une enquête de sept mois menée par des journalistes de POLITICO basés aux États-Unis et en Europe et le journal allemand WELT.

Armées d’expertise, renforcées par des contacts aux plus hauts niveaux des nations occidentales et renforcées par des relations bien ancrées avec les fabricants de médicaments, les quatre organisations ont assumé des rôles souvent joués par les gouvernements – mais sans la responsabilité des gouvernements. »

Six points à retenir de l’enquête de Politico

Au cours des premiers jours de l’épidémie, alors que les gouvernements débattaient encore de la gravité de celle-ci, la Fondation Bill & Melinda Gates, la GAVI, le CEPI et le Wellcome Trust ont lancé un effort coordonné pour identifier les fabricants de vaccins, financer des tests, des traitements médicamenteux et des injections d’ARNm, et élaborer un plan de distribution mondial en collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé. Dans une barre latérale, Politico met en évidence six points clés de son enquête :7

« Les quatre organisations ont dépensé près de 10 milliards de dollars pour la COVID depuis 2020 – le même montant que la principale agence américaine chargée de lutter contre la COVID à l’étranger.

Les organisations ont collectivement donné 1,4 milliard de dollars à l’Organisation Mondiale de la Santé, où elles ont aidé à créer une initiative essentielle pour distribuer des outils COVID-19. Ce programme n’a pas atteint ses objectifs initiaux.

Les dirigeants des organisations ont eu un accès sans précédent aux plus hauts niveaux de gouvernement, dépensant au moins 8,3 millions de dollars pour faire pression sur les législateurs et les fonctionnaires aux États-Unis et en Europe.

Des fonctionnaires des États-Unis et de l’Union européenne, ainsi que des représentants de l’OMS, sont passés par ces quatre organisations en tant qu’employés, ce qui leur a permis de consolider leurs relations politiques et financières à Washington et à Bruxelles.

Les dirigeants des quatre organisations se sont engagés à combler le déficit d’équité. Cependant, pendant les pires vagues de la pandémie, les pays à faible revenu se sont retrouvés sans vaccins vitaux.

Les dirigeants de trois des quatre organisations ont soutenu qu’il n’était pas nécessaire de lever les protections de la propriété intellectuelle pour augmenter l’approvisionnement en vaccins – ce qui, selon les militants, aurait permis de sauver des vies. »

Non qualifié et non élu

Comme l’a détaillé Politico, grâce au lobbying et à la puissance financière de Gates, la réponse internationale à la COVID est rapidement passée des gouvernements individuels à « un groupe mondial d’experts non gouvernementaux sous surveillance privée ».

« Qu’est-ce qui rend Bill Gates qualifié pour donner des conseils et conseiller le gouvernement américain sur où il devrait mettre… d’énormes ressources ? » ~ Kate Elder, conseillère politique principale pour la campagne d’accès de Médecins sans frontières

Aux États-Unis, le président Biden a affecté 500 millions de dollars au seul CEPI dans son budget COVID de 5 milliards de dollars, qui n’a pas encore été approuvé par le Congrès. Mais, comme l’a noté Kate Elder, conseillère principale en politique vaccinale pour la campagne d’accès de Médecins sans frontières :8

« Qu’est-ce qui rend Bill Gates qualifié pour donner des conseils et conseiller le gouvernement américain sur où il devrait mettre … d’énormes ressources? »

Lawrence Gostin, professeur à l’Université de Georgetown spécialisé dans le droit de la santé publique, a déclaré à Politico :

« Je pense que nous devrions être profondément inquiets. Pour le dire de manière très grossière, l’argent achète de l’influence. Et c’est la pire des influences. Pas seulement parce que c’est de l’argent — même si c’est important, parce que l’argent ne devrait pas dicter la politique — mais aussi parce que c’est un accès préférentiel, à huis clos.

[C’est] antidémocratique, parce que c’est extraordinairement non transparent et opaque [et] laisse derrière les gens ordinaires, les communautés et la société civile. »

Gates « possède » l’OMS

Beaucoup ont souligné que Gates, grâce à ses milliards de dons à l’OMS, a une influence significative sur les décisions de l’OMS. En septembre 2021, Astrid Stuckelberger, Ph.D., une initiée de l’OMS, a dénoncé Gates, expliquant comment l’OMS est, en fait, contrôlée par Gates, qui à son tour dicte la politique pour son avantage financier personnel.

Des quatre organisations sur lesquelles Politico se concentre, la GAVI, l’Alliance du vaccin, est peut-être la plus importante. La GAVI, fondée par Gates, a son siège en Suisse. En 2009, la GAVI a été reconnue comme une institution internationale et a accordé une immunité générale totale, y compris une immunité diplomatique qualifiée, ce qui est extrêmement étrange étant donné que l’organisation n’a aucun pouvoir politique qui justifierait l’immunité diplomatique.9

Plus étrange encore est que les clauses d’immunité de la GAVI vont au-delà même de celles des diplomates. L’immunité de la GAVI couvre tous les aspects de l’engagement, y compris les transactions commerciales criminelles. Tout aussi étrange est le fait qu’ils sont complètement exonérés d’impôt.

La GAVI peut faire ce qu’elle veut sans aucune répercussion. La police ne peut même pas enquêter ou recueillir des preuves auprès de la GAVI si celle-ci devait être impliquée dans une enquête criminelle. C’est comme ça qu’ils sont bien protégés. Et, selon Stuckelberger, La GAVI est l’entité qui dirige vraiment l’OMS.

[Voir aussi :
Une lanceuse d’alerte de l’OMS : « Nous vivons une pandémie de mensonges — Bill Gates est aux commandes »
Coup d’État furtif de l’OMS pour dicter le programme de santé mondial de Gates et Big Pharma
Partenariats Public-Privé : de la Fondation Bill et Melinda Gates à Big Pharma
Le monstre de la vaccination GAVI : immunité juridique totale !
GAVI et Bill Gates plus puissants que l’ONU !]

Selon Stuckelberger, Gates a demandé, en 2017, d’être nommé au conseil d’administration de l’OMS – comme un État membre – apparemment parce qu’il leur donne tellement d’argent. Il n’y a aucune preuve que Gates ait jamais officiellement obtenu le statut d’État membre, mais il semble qu’il ait trouvé un jeu de pouvoir alternatif.

Stuckelberger a souligné que Gates et l’OMS avaient conclu un accord contractuel tripartite avec Swissmedic, la Food and Drug Administration of Switzerland, ce qui est très inhabituel. Donc, essentiellement, alors que Gates n’a pas été élu en tant qu’État-nation à un seul homme, il a créé des contrats tripartites avec les États membres et l’OMS, le plaçant essentiellement à égalité avec l’OMS !

[Voir aussi, à titre spéculatif :
Qui est l’Antéchrist ?]

Une curiosité qui soutient l’idée que Gates est soit le véritable pouvoir derrière l’OMS, soit a le même pouvoir que l’OMS, est le fait que Gates a été à plusieurs reprises le premier à annoncer ce que le monde doit faire pour faire face à la pandémie, puis l’OMS sortait un message identique que les États membres devaient ensuite suivre.

Mais qui diable est Gates pour diriger la santé mondiale et les réponses à la pandémie ? Ce n’est personne. Il n’a aucune formation médicale. Il n’est absolument pas qualifié pour parler de quelque problème de santé que ce soit. Il n’a même pas obtenu son diplôme universitaire. Et il n’a jamais été élu pour représenter le peuple à quelque titre que ce soit.

Fondamentalement, ce que nous avons ici est un individu riche qui a trouvé un moyen de monopoliser officieusement la capacité de prise de décision d’une autorité sanitaire mondiale afin de s’enrichir, ce qui est au-delà de la folie.

L’OMS a joué un rôle déterminant dans la montée au pouvoir de Gates

L’influence de Gates sur l’OMS est sans aucun doute la raison pour laquelle l’OMS a permis à ces quatre groupes financés par Gates de diriger la réponse mondiale au COVID en premier lieu. Tel que rapporté par Politico :10

« L’OMS a joué un rôle crucial dans la montée en puissance des groupes. Tous avaient des liens de longue date avec l’Organisme Mondial de la Santé. Les conseils d’administration du CEPI et de la GAVI ont un représentant spécialement désigné de l’OMS.

Il y a aussi une porte tournante entre l’emploi dans les groupes et le travail pour l’OMS : d’anciens employés de l’OMS travaillent maintenant à la Fondation Gates et au CEPI ; certains, comme Chris Wolff, directeur adjoint des partenariats avec les pays à la Fondation Gates, occupent des postes importants.

Une grande partie de l’influence des groupes auprès de l’OMS découle simplement de l’argent. Depuis le début de la pandémie en 2020, la Fondation Gates, La GAVI et le Wellcome Trust ont fait don collectivement de plus de 1,4 milliard de dollars à l’OMS — un montant nettement supérieur à la plupart des autres États membres officiels, y compris les États-Unis et la Commission européenne, selon les données fournies par l’OMS. »

Ce serait une chose si ces organisations faisaient vraiment un excellent travail. Mais ils ne l’ont pas fait. Un examen indépendant11 par Dalberg Global Development Advisors, une société de conseil en politique de New York, a révélé que l’initiative créée par les groupes de Gates, l’Access to COVID-19 Tools Accelerator (ACT-A), a échoué sur tous les fronts.

Malgré un budget de 23 milliards de dollars,12  ACT-A n’a acheté que 16 % de son nombre cible de tests pour les pays à revenu faible et intermédiaire, et sur les 245 millions de traitements qu’il était censé fournir aux pays à revenu faible et intermédiaire, ils n’en ont attribué que 1,8 million. De même, sur les 2 milliards de piqûres de COVID qui devaient être livrées d’ici à la fin 2021, seules 319 millions de doses ont été livrées.

Bien sûr, on pourrait affirmer que le fait de ne pas fournir de tests de RCR frauduleux, de traitements dangereux et d’injections d’ARNm était une bénédiction déguisée. Mais le fait demeure que ces organisations sont loin d’être excellentes et échouent lamentablement à atteindre bon nombre de leurs objectifs déclarés.

Ils sur-promettent et sous-livrent. Ils sont prêts à sacrifier des vies pour garder le contrôle sur des brevets lucratifs. Et, alors qu’ils façonnent plus ou moins à eux seuls la réponse mondiale aux pandémies, il n’y a personne pour les tenir responsables de leurs performances.

Ce que Politico a laissé de côté

Bien que le rapport de Politico ait une portée considérable, il n’inclut toujours pas un certain nombre de pièces de puzzle importantes répertoriées dans l’article Substack de Chudov. Par exemple :13

Comme l’a noté Chudov dans ses remarques finales :18

« Néanmoins, la simple publication de cet article a une importance énorme. Les choses que la plupart d’entre nous connaissent et dont nous parlons apparaissent dans la soi-disant “presse grand public” — après que tout le mal a été fait, bien sûr.

Le virus a été libéré; des millions sont morts [Note de Joseph : sans les médias, il est très probable que rien de nouveau par rapport aux maladies déjà connues n’aurait été relevé. On a systématiquement déclaré atteintes de covid toutes les personnes ayant eu un résultat positif au Test PCR qui ne permet aucunement de diagnostiquer une maladie donnée. Voir notamment :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Mise au point de Reiner Fuellmich — 28 septembre 2022
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de ‘virus covid-19’… le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments]
; plus d’un milliard de jeunes ont été vaccinés de force sous de faux prétextes. Quand il est trop tard pour changer quoi que ce soit, Politico énonce enfin l’évidence. Pourtant, c’est mieux que rien.

Presque tout dans l’article de Politico était connu il y a un an. Où était Politico alors ? Occupé à prendre l’argent de la publicité du vaccin COVID du gouvernement. La pandémie était un crime, pas un accident. »

Le programme Gates-Fauci pour vacciner le monde

Gates est cependant loin d’être le seul ennemi de ce drame orchestré. Le Dr Anthony Fauci est un autre acteur clé. Ironiquement, Gates affirme qu’il a « pris le poids de l’abus du complotisme COVID » parce que les Européens ne connaissent pas Fauci. Il a récemment déclaré au magazine Fortune :19

« C’était tout un phénomène; ici aux États-Unis, cela s’est concentré sur moi et Tony Fauci, et à l’international, c’était plus juste moi parce qu’ils ne savaient pas qui était Tony – celui-ci a vraiment raté ça ! »

Mais alors que Gates essaie de faire passer les inquiétudes des gens concernant son influence indue sur leur santé comme une blague, on ne manque pas de preuves qu’il tire vraiment les ficelles qu’il est loin d’être qualifié pour tirer.

Dans « Bill Gates Lays Out Plan for Global Takeover » [Bill Gates expose son plan pour une prise de contrôle mondiale], je passe en revue le rôle de Gates dans l’OMS et le plan de l’OMS pour, en fin de compte, prendre le contrôle de toutes les décisions en matière de soins de santé, dans le monde entier. J’ai également passé en revue la manière dont Gates et Fauci ont collaboré, formant un formidable partenariat public-privé qui exerce un pouvoir incroyable sur le public américain.

Dès 2000, Fauci et Gates ont conclu un accord pour contrôler et étendre l’entreprise mondiale de vaccins , qui a abouti en 2021 à un plan visant à injecter à chaque homme, femme et enfant de la planète un vaccin expérimental COVID. La collaboration de Gates et Fauci est détaillée dans le livre à succès de Robert F. Kennedy Jr., « The Real Anthony Fauci ». La vidéo en haut de cet article résume leur schéma commun.

[Voir aussi :
L’histoire sombre de Fauci — Entretien avec Robert F. Kennedy Jr]





The Big Reset – Le documentaire non censuré sur la vérité de la pandémie

[Source : Infos et Culture via PG]

Liste des participants : Rashid Buttar, Christian Perronne, Heiko Schöning, Chinda Brandolino, Nadiya Popel, Wolfgang Wodard, Alexandre Juving-Brunet, Alexandra Henrion-Caude, Alfonso Longo, Carlos Vara De Rey, Cristina Martin Jiménez, Luis Miguel Benito, Carlos Astiz, Fernando Lopez Mirones, Gerard Guillaume, German Sarlangue, Grégory Catteau, Javier Villamor, Jean-Dominique Michel, Jon Ander Etxebarria, Louis Aubouin, Luc Montagnier, Michel Maffesoli, Oscar Aguilera, Pablo Campra, Pierre Jovanovic, Pierre Barnérias, Vincent Pavan, Steve Ohana, Valérie Bugault, Xavier Azalbert, Reiner Fullmich. Thebigresetmovie, le 11/09/22 – Version française.






Les injections sont-elles sûres et efficaces ?

[Source : Décoder l’éco ou @decoderleco]

[Vidéos réalisées avec Kairos]

Aucune hécatombe Covid-19 nulle part en Europe, ni en 2020, ni en 2021



Absence de saturation hospitalière par la Covid-19



Absence d’un « déferlement » de malades par rapport aux épisodes « grippaux », mais épidémie de tests



Le moteur même de la fraude : l’utilisation de codes spécifiques par les hôpitaux de façon à produire les « bonnes » statistiques



Le socle de l’idéologie sanitaire actuelle qui ne repose sur aucune expérience et est contredite par les statistiques : la contamination



Tour des causes de décès depuis le début de la crise sanitaire

À l’aide des rapports du Sénat, de Santé Publique France, de l’ATIH et des statistiques de décès de l’INSEE pour découvrir le lien entre les mesures et les hausses de mortalité.



Analyse des injections pour voir ce qu’il se cache derrière le mot « efficace »



Analyse des injections pour voir ce qu’il se cache derrière le mot « sûr »



[Voir aussi :
dossier Vaccins et virus]




Coronavirus — La stratégie utilisée : celle du cheval de Troie

[Source : mondialisation.ca]

Par Jean-Yves Jézéquel

C’est un cheval de Troie qui trompe nos esprits et nos corps, dans le but de rendre possible la réalisation de l’agenda mondialiste sur la mutation du Génome humain dont la finalité est celle d’un contrôle radical de toutes les populations du Globe !

Le fameux virus n’a jamais été isolé dans une partie quelconque du corps humain : celui qui prétend le contraire serait bien incapable d’apporter les preuves scientifiques d’une telle affirmation qui serait tout à fait mensongère !

L’absence physique comme l’isolement du virus ou le séquençage de ce théorique SARS-CoV-2 est une fraude spectaculaire à toute épreuve, car elle est de plus cautionnée par des virologues qui, bien entendu, ont été grassement financés par le complexe médico-pharmaceutique…

On doit également signaler plus de deux siècles d’impostures : un historien comme Marc Menant, a édité chez Plon en 2022 une étude approfondie sur « L’inquiétante histoire des vaccins ». La critique historique permet aujourd’hui de connaître dans le détail l’imposture de Pasteur avec laquelle commençait ce comportement sectaire de la médecine allopathique… Je recommande vivement la lecture de ce livre de Marc Menant qui remet les pendules à l’heure sur la vérité scientifique et historique concernant les vaccins.

Les virus pathogènes n’ont jamais été clairement identifiés : lorsqu’on nous bombarde les modèles graphiques du « coronavirus », les gens ne se rendent pas compte que cette représentation imagée du virus est née d’une image générée par un ordinateur. Les médias du monde entier ont ensuite divulgué cette représentation qui passe pour la visibilité du virus invisible afin d’alimenter le délire hystérique et la peur pathologique…

Les populations ont réellement été prises en otages, car les virologues n’isolent pas le virus en ajoutant « qu’ils le font » et ne sont pas troublés par le fait que la « guerre » actuelle contre l’humanité repose entièrement sur cette fraude scientifique flagrante !

Lorsque les autorités imposent « l’isolement », cet isolement repose intégralement sur la violation et la volonté délibérée de tromper les personnes ainsi maltraitées !

La prémisse de l’existence du virus est établie sur un mensonge et son affirmation continue confirme l’existence d’un virus inexistant…

La virologie prospère sur cette affirmation, car sans elle il n’y aurait pas de virus, pas de virologie pas de tests PCR positifs non plus et donc pas de Jackpot pour Big Pharma…

Il est clair que tout ce qui va à l’encontre du récit « officiel » de l’État mafieux se voit censuré impitoyablement par les commis du système, ainsi que par les médias inféodés. Les agences de sécurité terrorisent toutes les personnes qu’elles prétendent protéger !

Tout l’appareil d’État est dédié actuellement au service de cette fraude virologique.

Il est possible de trouver l’explication de la fraude scientifique sur le site NIH.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19246619/#affiliation-1

Il n’existe pas de consensus sur la meilleure façon d’effectuer et d’interpréter les expériences quantitatives de PCR en temps réel (qPCR).

Les chercheurs qui ont prétendu avoir « isolé » le virus ont fait une déclaration mensongère, car aucun d’entre eux n’a été capable d’en apporter la preuve. Fan Wu a choisi un coronavirus de chauve-souris « in silico », comme le modèle qui permettrait de créer le WH-Human 1 ou SARS-CoV-2. « In silico » signifie une méthode d’étude réalisée par ordinateur qui analyse des données et axiomatise des phénomènes biologiques générés par la bio-informatique.

Des fragments d’ADN permettent de reconstruire peu à peu un contig. Un contig est une séquence génomique continue et ordonnée générée par l’assemblage des clones d’une bibliothèque génomique. Puis, l’assemblage des contigs entre eux permet d’obtenir un « scaffold » ou une sorte d’échafaudage de virus. Lorsque des millions de fragments uniques ont été trouvés, des programmes informatiques prennent le relais pour reconstituer le génome basé sur des paramètres définis par le programme utilisé… Les virologues ne travaillent pas avec un génome complet puisqu’ils ne travaillent pas avec un virus complet, c’est là qu’est essentiellement la tromperie… Ils travaillent avec des morceaux aléatoires de matériel biologique et disent ensuite que cela constitue la preuve de l’existence d’un virus donné ! La seule chose qui existe, c’est le séquençage d’échantillons bruts qui contiennent des fragments génétiques de provenance « inconnue » ! Il n’y a aucune preuve que le « génome » in silico qui en résulte existe réellement dans la nature ou même qu’il ait quoi que ce soit à voir avec un virus ! Cette falsification opérée par une fausse science a permis aux politiciens de se transformer en dictateurs et en tyrans, cette version généralisée de l’isolement du virus donnant l’occasion aux politiciens de violer nos libertés.

Le chercheur chinois Fan Wu s’est révélé être un imposteur tout comme cet autre chercheur Peng Zhou ! Fan Wu a été le premier inventeur du SARS-CoV-2 après avoir envoyé un échantillon extrait du liquide pulmonaire d’un patient, directement au séquençage sur deux plateformes d’assemblage de novo afin de rechercher de courts fragments génétiques appelés « lit ».

Dans cet échantillon il y avait des millions de fragments génétiques du patient lui-même, d’innombrables microbes et pour finir l’air pollué que le patient avait respiré…

C’est à partir de cette « soupe » génétique à la chinoise qu’il a prétendu reconstituer 384 096 contigs sur Megahit et 1,32 million de contigs sur Trinity ! À partir de là Fan Wu a choisi la plus longue séquence, celle de 30 474 nucléotides qui correspondait à 89,1 % au génome in silico du coronavirus de la chauve-souris le SL-CoVZC45 inventé en 2018 !

Conclusion : un génome qui était aussi proche génétiquement qu’un humain l’est d’un chat domestique abyssin est devenu le modèle utilisé pour la conception de l’amorce de la méthode RT-PCR pour détecter le CORONAVIRUS, dont l’existence n’a pas encore été démontrée !

Un autre médecin chinois, le Dr Zunyou rétablissait l’équilibre rompu par son collègue. Il démontrait durant toute l’année 2020 que personne n’avait jamais prouvé l’existence du SARS-CoV-2, qui n’avait encore jamais été isolé. De plus, dire que le SARS-CoV-2 avait croisé des espèces animales et humaines sur le marché de Wuhan était une affirmation pour le moins fantaisiste, cocasse ou délirante !

Le Dr Zunyou expliquait pourquoi les gens mourraient, pourquoi le test PCR était un non-sens, inutile, trompeur, abusif ; Il expliquait comment les chiffres des morts par « COVID-19 » étaient falsifiés et les raisons pour lesquelles ce mensonge était imposé à la population mondiale ! De nombreux scientifiques ont été largement payés pour affirmer qu’ils avaient isolé le SARS-CoV-2. Il fallait ajouter que ces scientifiques peu scrupuleux, avaient torturé, déformé, inversé le sens du verbe « isoler ». 

Ce sont ces gens qui ont fourni le modèle de verrouillage à l’Occident, où Bill Gates, le CDC (Centers for Disease Control and Prevention), et l’OMS ont fait l’éloge du Régime chinois et y ont adopté leur stratégie de confinement, étant certains que de cette manière ils détruiraient assurément les économies nationales et locales ainsi que des centaines de millions de vies !

Une opération « couverte » !

Toute cette histoire, qui serait la même pour tous, était basée sur la vente d’une affaire de virus ! La communication sur cette histoire unanime de virus non encore isolé, dont l’existence n’était toujours pas prouvée, a été orchestrée par Anser. C’est Anser qui a été l’entreprise majeure de la communication sur la campagne de peur autour de la COVID-19.

http://www.anser.org/about/

Comme vous le voyez, cette société de communication n’a pas son site Internet sécurisé : on pouvait s’attendre à un https://

Ainsi, ni la FDA (Food and Drug Administration), ni le CDC (centre américain pour le contrôle des maladies) n’ont la preuve que la COVID-19 existe et encore moins que le SARS-CoV-2 existe !

Cette fraude monumentale a été récompensée par la Fondation Bill & Melinda Gates, en 2020, par 900.000 dollars donnés aux deux institutions américaines. Or, 14 des 19 co-auteurs de cette fraude étaient affiliés à la Fondation Bill & Melinda Gates !

L’Université Fudan au titre de l’INV-006277, 2021 = 300.000 dollars

Le CDC chinois recevait au titre de l’INV-005832 = 600.000 dollars

Peng Zhou faisait partie de ceux qui disaient avoir « isolé le virus responsable de la COVID-19 », mais ce virus était resté entièrement théorique. Pourtant, la Fondation Bill & Melinda Gates n’hésitait pas à donner à l’Académie chinoise des sciences à laquelle 24 des 27 co-auteurs étaient affiliés, une subvention pour les travaux sur la COVID-19, en 2020, et dans le cadre de l’INV-006377, de 359.820 dollars avec les conditions de la destination suivante : « soutenir le développement d’une plateforme de tests de dépistage, de médicaments et de vaccins sous-unitaires contre le coronavirus, qui contribuera à l’innovation des produits de lutte contre la pandémie de COVID-19. »

La liste des imposteurs s’est considérablement allongée, au fur et à mesure que les financements étaient gracieusement offerts à tous ceux qui défendaient le narratif mensonger de la propagande sur la « crise pandémique » et les « vaccins » !

Sous prétexte du devoir de protéger « les autres », de la « responsabilité » humaine et de la « conscience morale », comme des « obligations sanitaires », ce mensonge criminel allait pénétrer les consciences encore vulnérables, aidé par la peur, afin que beaucoup d’entre nous finissent par accepter de recevoir dans leur corps une substance dont la nature réelle était absolument inconnue ! Les Gouvernements, sachant parfaitement quel en était le but réel soigneusement caché aux peuples, n’avaient pas besoin de contrôler les laboratoires pharmaceutiques, comme Pfizer qui avait pourtant été condamné à des milliards de dollars d’amendes pour fraude marketing ! 

La « pandémie de la COVID-19 » a été la plus grande escroquerie de toute l’histoire sanitaire du monde. Le SARS-CoV-2 n’a toujours pas été isolé, ses petits frères les « Variants » n’existent que dans les ordinateurs, les banques de gènes, dans le Cloud et dans l’esprit abusé d’innocentes personnes qui se laissent volontiers tromper par leurs « élites » politiques…

L’histoire de la COVID-19 est une véritable guerre déclarée contre l’humanité et menée par Anser, Fors Marsh, Palantir, propageant cette escroquerie planétaire à travers Big Pharma avec ses bailleurs de fonds et ses facilitateurs comme le FEM, L’OMS, La Fondation Bill & Melinda Gates, les conglomérats technologiques, les médias inféodés au système, les Gouvernants complices, certaines Universités comme celle de Chapel Hill, EcoHealth Alliance ainsi que l’Imperial College London…

Le 11 mars 2020, l’OMS inventait une « pandémie » inexistante, sous l’influence du généreux donateur Bill Gates !

Le docteur Astrid Stuckelberger de la Faculté de Médecine de Genève, experte en santé publique à l’OMS, dévoilait sur L’Info en question #73, le 4 novembre 2021, que Bill Gates et ses associés étaient à l’origine de ce plan de « vaccination létale mondiale » et qu’ils savaient parfaitement ce qu’ils faisaient !

C’est pourquoi, les Instituts de pharmacovigilance de certains pays, avaient beau alerter les gouvernements du désastre qui se déroulait dans l’ombre, suite aux « vaccinations » anti-Covid-19, cela ne changeait absolument rien aux décisions prises, car le but était bien de détruire une bonne partie de l’humanité « inutile » et en surnombre, comme de pouvoir achever le plus tôt possible le programme élaboré par le Nouvel Ordre Mondial sur le Tout numérique (y compris la monnaie) et le passage au transhumanisme. 

Tout a commencé en 2011/2012, avec le plan d’Action Mondial pour les Vaccins (GVAP) du SAGE. 194 États membres de l’OMS ont approuvé ce plan. Il s’agissait de donner un accès plus équitable aux vaccins pour éviter des millions de décès avant 2020 !

Or, le GVAP est le résultat des travaux d’experts sur la vaccination : les dirigeants de la Fondation Bill & Melinda Gates, l’Alliance GAVI, l’UNICEF, l’OMS, Universités, fabricants, agences mondiales, société civile, médias et secteur privé…

Les signataires de ce plan Mondial de Vaccination sont : le Dr Seth Berkley responsable de GAVI, fonctionnant grâce au généreux donateur, la Fondation Bill & Melinda Gates, encore elle ! Le Dr Christophe Elias, Président de Global Development Program de la Fondation Bill & Melinda Gates, encore elle ! Le Dr Margaret Chan, Directeur Général de l’OMS dont le sponsor principal et majoritaire est la Fondation Bill & Melinda Gates, encore elle ! Le Dr Antony Fauci, directeur du NIAID américain.

Ces gens-là veulent absolument « vacciner » la totalité de la population mondiale, pour la contrôler (sauf eux-mêmes) ; Ils sont donc prêts à inventer tous les « faux variants » que vous voulez, du moment que cela permet d’entretenir la peur, le traumatisme du confinement et du masquage dans le but de jeter les braves gens sur les seringues des génocidaires…

L’escroquerie vaccinale est au cœur de ces crimes contre l’humanité. Sur le site de l’OMS, vous trouvez des « techniques de l’évaluation du virus » alors qu’il n’y a strictement rien sur son séquençage ! Faut-il encore en rajouter pour ouvrir les yeux des traumatisés de la propagande !?

L’hécatombe est énorme : les chiffres officiels ne recensent pas les effets collatéraux destructeurs comme les pertes d’emploi pour cause de non-vaccination, les nombreux suicides d’étudiants, des entrepreneurs, des soignants, des forces de l’ordre et des enfants…

Au 15 septembre 2021, le Yellow Card, Grande-Bretagne, signale 1.204.555 événements d’effets destructeurs sur les personnes « vaccinées », 1662 décès suite aux « vaccins » anti-covid.

Au 25 septembre 2021, l’AEM (Agence Européenne du Médicament) signalait 2.690.019 effets indésirables graves sur la santé de gens « vaccinés » et 26.061 décès, 30.402 handicaps irréversibles…

Au 1er octobre 2021, le VAERS (USA) totalisait 2.826.646 effets indésirables et 16.310 décès dus aux « vaccins ».

Les statistiques publiées en France démontrent que c’est une pathologie cardiaque associée aux symptômes grippaux qui entraîne 73% des décès.

https://fr.statista.com/statistiques/1183996/victimes-coronavirus-comorbidite-france/

Le 20 septembre 2021, à l’Institut de pathologie de Reutlingen en Allemagne, les professeurs Walter Lang et Burkhardt présentaient une enquête qu’ils avaient réalisée sur 10 décès de personnes ayant reçu le « vaccin » anti Covid-19, le Cominarty de Pfizer : les décès étaient liés aux « vaccins ». Les substances inoculées avaient provoqué des maladies auto-immunes rares pour trois d’entre eux.  L’une des maladies auto-immunes était si rare qu’il a fallu qu’ils regardent de près l’image numérisée : il s’agissait de la maladie auto-immune de Hashimoto. Puis, ils ont également trouvé une vascularité leuco clastique entraînant des saignements cutanés. Puis le syndrome de Sjögren qui est une inflammation de la salive et des glandes lacrymales… etc. Ils ont observé de même que les lymphocytes inondaient les cellules en les détruisant massivement. Ils ont observé des images qui montraient une accumulation de lymphocytes dans une grande variété de tissus (muscle cardiaque, foie, rein, rate et utérus) ; du coup ces tissus étaient massivement attaqués par les lymphocytes donnant à voir une série de follicules lymphocytaires dans des endroits inappropriés comme le tissu pulmonaire… Ils ont également remarqué des détachements de cellules endothéliales, des amas de globules rouges provoquant des thromboses, ainsi que des cellules géantes qui s’étaient formées autour de corps étrangers piégés. Une véritable tempête lymphocytaire avait annihilé la fonction immunitaire externe combinée à une inflammation et à une destruction des tissus par les lymphocytes et la réaction auto-immune prolongée… ! Ces injections à ARNm sont une bombe immunologique à retardement, concluait le Professeur Arne Burkhardt, pathologiste.

De plus, des images d’objets non biologiques étaient trouvées dans le liquide vaccinal injecté. C’est l’appareil immunitaire des personnes « vaccinées » qui s’attaque aux tissus de ces personnes ! Ces « vaccins » déclenchent donc des maladies auto-immunes qui peuvent très bien ne pas se manifester avant des années. Les professeurs allemands concluaient en disant qu’il fallait s’attendre à une explosion des cancers dans les années à venir.

Jean-Yves Jézéquel

À suivre

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Jean-Yves Jézéquel, Mondialisation.ca, 2022




Le but démontré des injections antiCovid

[Source : profession-gendarme.com]

La Quinta Columna est une organisation internationale qui est composée de scientifiques de toutes disciplines et du plus haut niveau…
Les conclusions qu’elle révèle aujourd’hui sont sans appel et collent parfaitement avec le projet mondialiste du WEF dirigé par Monsieur Klaus Schwab et aussi à ce qu’ont découvert d’autres scientifiques n’appartenant pas à ce groupe…
Exemple en SUISSE/Le Dr.J.BAUER. Ce qu’il a découvert dans les vaccins
https://rumble.com/v13yjt7-suisse-dr.j.bauer.ce-quil-a-dcouvert-dans-les-vaccins-hd-720.html
Voir aussi les liens qui y sont indiqués…

Dépopulation et Transhumanisation sont au cœur de leur projet pour que les « survivants post-vaccinaux » soient des objets 100 % connectés
et donc100 % contrôlés…

Voir Preuve que ce « vaccin de type ARNm » est au coeur du « plan de dépopulation » exposé en 2015 au WEF (World Economic Forum)
https://rumble.com/v1ddn61-vaccin-au-coeur-du-plan-de-dpopulation-expos-en-2015-au-wef.html

Notons qu’ils sont pour l’instant sur la bonne voie vu le « taux de population vacciné » de par le monde, mais il n’est pas sûr que ça dure bien longtemps, sauf s’ils créent de nouvelles peurs avec de nouveaux virus encore plus inquiétants, pour justifier de nouvelles injections…
… Ou s’il est démontré que pour avoir des défenses immunitaires face aux infections même les plus bénignes (les vaccins ayant eux-mêmes supprimé tout ou partie de nos défenses naturelles), les doses de « rappel » soient essentielles à la survie des concernés… On parle déjà de « rappels » tous les 6 mois pour éviter par exemple qu’une simple grippe se transforme en pneumonie…

Quoiqu’il en soit, « le mal », d’évidence dûment programmé, est en grande partie déjà fait.
Il semble irréversible… Ce serait donc déjà pour eux une première et grande victoire !!!

En face la vérité émerge peu à peu, mais il est clair que son chemin est pavé de très mauvaises intentions (crimes contre l’humanité) soutenues par tous les grands médias de la planète « vendus » à cette cause….C’est la raison pour laquelle, elle est si lente à se révéler…
De plus et en la circonstance beaucoup de gens préfèrent ne pas savoir, ce que l’on peut aussi comprendre…

[Voir aussi :
La nanotechnologie dans les vaccins (Communication antérieure de La quinta columna)
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
Sur le graphène :
La nanotechnologie dans les vaccins
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Sur la 5G et ondes em :
Faut-il se méfier de la 5G ?
La maladie des ondes radio : l’histoire de l’électrohypersensibilité
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?
►Etc. (dossiers 5G et ondes pulsées et Vaccins et virus)]


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Source : Rumble




« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »

Par Arthur Firstenberg

« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! », cria Chicken Little.

Et le ciel est tombé, et personne n’a écouté, et tout était calme.

Une recherche dans la littérature scientifique sur les mots « électromagnétique » + « effets biologiques » donne le nombre étonnant de 76 400 études, plus d’études que pour la plupart des autres menaces environnementales, et pourtant le monde continue, regardant, mais aveugle, écoutant, mais sourd, prenant le silence pour du confort, les flammes qui avancent pour un avenir radieux.

Sur l’île néerlandaise de Texel, qui se trouve à l’extrémité sud d’une ligne d’îles séparant la mer des Wadden de la mer du Nord, une importante colonie de reproduction d’oiseaux marins appelés sternes de Sandwich (« grandes sternes » en néerlandais) a fait la une des journaux le mois dernier en mourant. Sur les 7 000 oiseaux qui nichaient dans la réserve naturelle de De Petten jusqu’à la fin mai, il n’en restait plus aucun à la mi-juin. 3 000 cadavres d’oiseaux ont été collectés, les autres étant morts ou ayant abandonné leur nid.

La correspondante qui m’a envoyé cette nouvelle, Antonia, aux Pays-Bas, m’a également renvoyé à un site web néerlandais qui surveille toutes les tours et antennes cellulaires du pays. On attribuait la catastrophe des sternes à la « grippe aviaire », mais elle soupçonnait qu’il pouvait s’agir d’autre chose. Lorsque j’ai consulté le site, j’ai été stupéfait. Les 35 premières sternes mortes à De Petten ont été trouvées le 29 mai 2022. Il y a trois tours de téléphonie mobile en bordure de la réserve, et en fait sur le territoire où vivent les sternes. Selon le site web, 18 nouvelles antennes 4G viennent d’être ajoutées à ces tours — 6 par Vodafone à sa tour de 83 pieds le 25 mai 2022, et 12 par KPN à sa tour de 108 pieds le 29 mai 2022. Le nombre de fréquences émises par ces deux tours est passé en une nuit de 5 à 11.

En plus d’avoir toutes ces antennes à proximité immédiate de la réserve, De Petten est situé sur le bord nord d’une voie navigable qui sépare la mer du Nord de la mer des Wadden, et un grand nombre d’antennes des deux côtés de cette voie navigable — les antennes de Den Helden au sud et les antennes de Texel au nord — sont orientées vers cette voie navigable très fréquentée, intensément utilisée par les navires qui y passent continuellement. Par conséquent, d’après mes recherches, il y a un total de 105 antennes 4G dans un rayon de 7 miles autour de De Petten qui sont directement orientées vers cette voie d’eau.

Les sternes grises de Texel étaient-elles déjà en mauvais état à cause de toutes les radiations auxquelles elles avaient été exposées ces dernières années ? Et l’augmentation soudaine du nombre d’antennes et de fréquences les a-t-elle finalement tuées ?

J’ai décidé d’approfondir mes recherches. Ce que j’ai découvert, tant aux Pays-Bas qu’ailleurs, est cohérent, mais pas simple. Voici quelques règles approximatives :

(a) Une augmentation soudaine et spectaculaire du nombre d’antennes et de fréquences dont la source se trouve à l’intérieur d’une colonie de reproduction ou à sa frontière est mortelle. Les oiseaux nicheurs ne peuvent éviter le rayonnement : ils doivent soit abandonner leur nid, soit mourir.

(b) L’effet des antennes dirigées à distance vers une colonie de reproduction dépend de la population humaine. Dans une région peu peuplée, les antennes émettent peu de rayonnements et peu de fréquences, car peu de personnes les utilisent. En revanche, les antennes relais situées dans les grands ports sont très utilisées, tant par les habitants que par les navires, et émettent un rayonnement maximal. Il en va de même pour les antennes orientées vers des voies de navigation très fréquentées.

(c) La distance n’a pas autant d’importance que le terrain et la hauteur des tours. Le rayonnement d’une tour plus haute se propage plus loin. Et lorsqu’il n’y a rien d’autre que de l’eau entre le pylône et la colonie d’oiseaux, l’eau réfléchit et amplifie le signal et la distance importe très peu.

(d) Les pylônes 4G sont généralement pires que les pylônes 5 G. Cela s’explique par le fait que les tours 4G diffusent leurs rayonnements dans toutes les directions, tandis que les tours 5G émettent la plupart de leurs rayonnements dans des faisceaux focalisés, visant directement les personnes tenant des téléphones 5G dans leurs mains.

En gardant ces règles à l’esprit, examinons quelques autres colonies de reproduction de sternes Sandwich et voyons ce qui leur est arrivé cette année :

Une autre grande colonie de reproduction de sternes Sandwich a fait les gros titres un peu plus tard, et pour la même raison : celle de Waterdunen, à l’autre bout des Pays-Bas, dans la province de Zélande. Comme De Petten, la réserve naturelle de Waterdunen est située sur une voie de navigation très fréquentée, à l’entrée d’un port très actif. Plus grande colonie de ces oiseaux aux Pays-Bas, Waterdunen a accueilli 7 000 couples de sternes venus d’Afrique pour s’y reproduire ce printemps. Mais le 24 juin 2022, il a été signalé que 4 600 sternes Sandwich adultes et jeunes morts y avaient été recueillis au cours des deux semaines précédentes. À la fin du mois de juin, cette colonie n’existait plus non plus.

La réserve naturelle de Waterdunen compte 318 antennes 4G très utilisées, orientées dans sa direction à des distances allant de 0,5 à 8 miles. La plupart d’entre elles émettent entre 1 000 et 2 000 watts de rayonnement chacune. 46 de ces antennes sont nouvelles, ayant été ajoutées à des tours existantes en avril, mai et juin 2022. Un pylône de 55 pieds situé à moins de 3 km de la plage de Waterdunen est passé le 18 mai 2022 de 6 à 12 antennes et de 2 à 4 fréquences. Un autre pylône de 40 pieds situé au même endroit est passé le 22 juin 2022 de 6 à 18 antennes et de 2 à 6 fréquences. Comme les sternes de Sandwich se nourrissent de poissons, cette tour se trouve dans la zone de recherche de nourriture de cette colonie.

La même chose est-elle arrivée à toutes les sternes Sandwich qui nichent aux Pays-Bas ? Non. À seulement 30 km de Waterdunen se trouvait une petite colonie de sternes en bonne santé dans une réserve naturelle appelée Yerseke Moer. Et d’avril à juillet, c’est-à-dire pendant toute la saison de nidification de 2022, cette colonie a prospéré et aucun oiseau mort n’y a été trouvé. Contrairement à De Petten et Waterdunen, cette réserve est située dans un endroit relativement isolé, n’est pas proche d’un grand port et ne se trouve pas sur une voie de navigation. Au total, 35 antennes 4G sont dirigées vers cette réserve à des distances allant jusqu’à 8 miles. Seules deux de ces antennes ont été ajoutées depuis avril.

De même, en France, deux très grandes colonies de sternes ont vécu deux expériences complètement différentes. Dans la réserve naturelle du Platier d’Oye, près du port de Calais, une colonie de 3 000 sternes de Sandwich a commencé à nicher en avril. Les 100 premiers oiseaux morts ont été découverts le 20 mai et, en quelques semaines, la colonie a été presque entièrement décimée.

La situation au Platier d’Oye est similaire à celle qui prévaut plus au nord à Texel : des dizaines de nouvelles antennes 4G et 5G ont été ajoutées près de la réserve au cours des mois de mai et juin. 3 nouvelles antennes 4G et 6 nouvelles antennes 5G ont été ajoutées à une tour cellulaire existante de 90 pieds bordant la réserve. Six autres nouvelles antennes 4G et six nouvelles antennes 5G ont été ajoutées à un pylône existant de 140 pieds, à environ trois kilomètres au sud-est. Six autres nouvelles antennes 4G et six nouvelles antennes 5G ont été ajoutées à une tour existante de 95 pieds à environ trois kilomètres à l’est. À l’heure où nous écrivons ces lignes, il y a le nombre stupéfiant de 355 antennes de toutes sortes sur 26 tours à 13 endroits allant de 10 pieds de haut à 255 pieds de haut dans un rayon de 4 miles de cette réserve naturelle.

Une colonie encore plus importante — la plus grande colonie de reproduction de sternes Sandwich en France — n’a connu aucune maladie pendant la saison de reproduction 2022. Elle s’appelle le Polder de Sébastopol et accueillait plusieurs milliers de couples d’oiseaux nicheurs. Mais comme Yerseke Moer, elle se trouve sur une île isolée avec peu de résidents humains. La superficie de l’île est en grande partie consacrée à des parcs, des réserves naturelles et des hébergements pour les visiteurs. Aucune des antennes des deux tours de téléphonie cellulaire situées à un demi-mile à l’ouest du Polder n’est dirigée vers lui. Et même si un grand nombre d’antennes situées entre un et quatre milles de là sont dirigées directement vers le Polder, aucun navire ne passe au large et ces antennes sont peu utilisées, sauf par les visiteurs de la réserve qui se promènent sur ses sentiers.

En examinant les détails et les différentes expériences vécues dans des colonies de reproduction particulières de ces oiseaux, l’histoire officielle s’effondre. Comment comprendre l’extermination d’un si grand nombre de ces oiseaux en l’espace de quelques semaines dans des endroits aussi dispersés ? Selon les organisations de protection des oiseaux, la grippe aviaire est si contagieuse qu’elle se propage en quelques jours parmi les sternes Sandwich dans toute l’Europe, alors qu’elle est si peu contagieuse qu’une petite colonie de sternes située à 30 km de là s’en sort indemne. La grippe aviaire se propage d’un bout à l’autre des Pays-Bas en quelques jours, mais pas entre deux colonies néerlandaises distantes de 30 km, ni entre les deux plus grandes colonies françaises ?

Apparemment, les organisations de protection de la nature ne trouvent pas non plus étrange que, soudainement et pour la première fois, en 2022, la grippe aviaire (a) tue des sternes Sandwich et (b) survienne pendant leur saison de reproduction. Depuis des décennies que nous les surveillons, la grippe aviaire n’a jamais touché les sternes Sandwich dans le monde. Il s’agit d’une maladie saisonnière, qui ne se manifeste qu’en automne et en hiver, et qui n’a jamais touché aucun type d’oiseau sauvage au printemps et en été jusqu’en 2022. Elle n’a également jamais touché autant de types d’oiseaux sauvages en même temps : sternes, mouettes, avocettes, fous de Bassan, labbes, guillemots, macareux, huîtriers, canards, oies, bécasses, faisans, pies, sanderlings, cigognes, grues, pélicans, hérons, cygnes, plongeons, moineaux, pigeons, carouges à épaulettes, hiboux, cormorans, grèbes, bécasseaux, corbeaux, corneilles, aigles à tête blanche, faucons, vautours. Les organisations [de protection] d’oiseaux et les autorités réagissent par réflexe en portant des masques et des combinaisons de protection lorsqu’elles visitent ces colonies et manipulent des oiseaux morts. Mais ils devraient commencer à s’interroger sur la cause d’une telle catastrophe sans précédent.

Il ne fait aucun doute que les oiseaux malades ont été testés positifs à un virus appelé H5N1. Mais lorsque chaque laboratoire d’analyse amplifie constamment des fragments de ce virus dans un nombre incalculable de tests PCR, on doit soupçonner que les murs, les sols, l’air, les équipements et le personnel des laboratoires d’analyse sont contaminés par ce virus. Lorsque l’on se souvient que les échantillons d’une chèvre, d’une caille et d’une papaye, envoyés au Laboratoire national de santé de Tanzanie, sont tous revenus positifs pour le COVID-19, les résultats des tests PCR, qu’ils concernent des personnes, des oiseaux ou des fruits, doivent être considérés avec prudence. Oui, les oiseaux et les humains tombent malades et meurent, mais il y a un autre facteur évident qui est ignoré. La tendance à imputer toutes les maladies aux micro-organismes est en train de détruire notre monde.

[Voir notamment :
Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
La mystification par le test PCR pour créer le mythe de la pandémie et entretenir la peur
L’inventeur du test PCR avait bien dit que celui-ci ne permet pas de savoir si vous êtes malade
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs
Une véritable bombe : Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les « cas confirmés de Covid-19 »
Sur la théorie virale fallacieuse :
Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?
La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple
L’interprétation erronée du virus — 2e partie
La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2
VIRUS TUEUR ??
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
L’invention du SARS-CoV-2
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Démontage de la théorie virale
Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
Toxicologie contre Virologie : L’Institut Rockefeller et la fraude criminelle de la polio
Fauci et la grande arnaque du sida
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Ebola : briser les mensonges et la supercherie
L’enterrement de la théorie virale
(Sur épidémies et contagion : voir plus bas.)
Sur les effets nocifs des ondes électromagnétiques et des champs électriques :
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
Plus de 2 000 études documentaient les effets nocifs des ondes avant 1972
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Ondes électromagnétiques : le grand complot contre les peuples
5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil
Rayonnements sans fil et ostéoporose
Questions relatives à la 5G
La technologie la plus dangereuse jamais inventée
5G : réponse à un pseudo « vérificateur de faits »
L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie
Chronique de l’opposition mondiale à la 5G en 2019: Comment les télécoms sont en train de perdre la bataille pour imposer la 5G contre la volonté de la population
Fake News de la BBC sur la 5G décodés : Impacts sur la santé niés malgré des preuves scientifiques accablantes
La guerre de la 5G – L’homme vs la technologie
APPEL INTERNATIONAL – Stop à la 5G sur Terre et dans l’espace
Un important professeur de biochimie met en garde: La 5G est « l’idée la plus stupide de l’histoire du monde »
Le réseau 5G utilise les mêmes ondes EMF que le «système de contrôle de foule» du Pentagone
Effets nocifs des ondes pulsées (Wi-Fi, cellulaires, compteurs intelligents…)
Les armes électromagnétiques ne sont pas de la science fiction
Les cellulaires endommagent l’ADN radicalement plus que les lignes à haute tension]

C’est l’irradiation incontrôlée de notre monde qui nous tue et qui fait disparaître tous les oiseaux. Les antennes 4G et 5G sont érigées plus rapidement et en plus grand nombre que jamais, non seulement sur terre, mais même à la surface de la mer. Partout où il y a des parcs éoliens en mer, les compagnies de téléphonie cellulaire placent des tours cellulaires sur ces plateformes. Les oiseaux de mer n’auront bientôt plus d’endroit pour pondre leurs œufs et élever leurs petits, mais ils ne pourront même plus chasser leur nourriture et nourrir leurs petits sans être irradiés. La plus grande entreprise qui construit des tours de téléphonie cellulaire à la surface de la mer s’appelle Tampnet. Voici une carte de toutes leurs tours et de leurs zones de couverture en mer du Nord et dans le golfe du Mexique : https://www.tampnet.com/coverage-maps.

En 1918, au plus fort de la grippe espagnole, des équipes médicales de Boston et de San Francisco ont tenté de démontrer la nature contagieuse de la grippe, mais elles ont essuyé un échec total et retentissant. Ils ont recueilli des sécrétions muqueuses de la bouche, du nez, de la gorge et des bronches de malades de la grippe à différents stades de la maladie et ont transféré ces sécrétions dans le nez, la gorge et les yeux de centaines de volontaires sains. Ils ont injecté du sang de malades de la grippe à des volontaires sains. Ils ont fait asseoir des volontaires sains nez à nez avec des patients grippés gravement malades pendant qu’ils se parlaient, puis le patient a toussé cinq fois directement dans le visage du volontaire. Aucun des volontaires n’a été malade d’aucune manière. Ces expériences ont été publiées dans le Journal of the American Medical Association, le Boston Medical and Surgical Journal et Public Health Reports.

[Voir :
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS]

Des chevaux ont également contracté la grippe, et les tentatives de transfert de la grippe d’un cheval à un autre se sont soldées par un échec similaire. À la suite de ces expériences, le lieutenant-colonel Herbert Watkins-Pitchford a écrit qu’il ne pouvait trouver aucune preuve que la grippe se soit jamais transmise directement d’un cheval à un autre.

Nombreux sont les scientifiques qui, au fil des ans, ont observé que la grippe, qu’elle touche les humains, les chevaux, les oiseaux ou les porcs, est une maladie extrêmement étrange. Personne n’a jamais expliqué pourquoi la grippe est saisonnière, par exemple. Ou pourquoi les épidémies de grippe prennent fin. Ou pourquoi les épidémies hors saison ne se propagent pas. Ou pourquoi les épidémies de grippe explosent sur des pays entiers en une seule fois, et disparaissent tout aussi miraculeusement, comme si elles étaient soudainement interdites. Ou comment la grippe humaine peut se propager dans le monde entier en quelques jours, et l’a toujours fait, même il y a des siècles, lorsque ni les avions, ni les automobiles, ni les chemins de fer, ni les bateaux à vapeur n’existaient. Au moins 23 scientifiques au fil des ans, dont Richard Shope, le scientifique qui a identifié pour la première fois le virus de la grippe en 1931, ont publié des articles remettant en question la nature contagieuse de la grippe et/ou suggérant une cause électrique.

[Voir aussi :
Épidémies et contagions
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Le mythe de la contamination épidémique]

Les chapitres 7, 8 et 9 de mon livre d’une importance capitale, The Invisible Rainbow : A History of Electricity and Life [L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie], sont consacrés à un examen complet et détaillé de l’histoire et de la science de la grippe. Le chapitre 16, le plus long du livre, est consacré en partie aux effets des rayonnements électromagnétiques sur les oiseaux. Je suggère à toutes les organisations de protection des oiseaux d’acquérir mon livre et de le lire attentivement.




REVUE DE PRESSE DU 27 JUILLET 2022

Par MF

ÉDITO
Le plus grand canular jamais perpétré sur un public peu méfiant

Phrase choc extraite des premières conclusions de l’enquête menée sous la direction de Me Reiner Fuellmich, tandis qu’un autre article rappelle que le test PCR n’est qu’une mascarade, ou encore un autre qui prouve un lien entre la 5G et la gravité de la « pandémie » de Covid-19, tandis que de nouvelles preuves d’efficacité négative des vaccins sont mises en évidence aux USA, où Fauci et des hauts responsables sont cités à comparaître ou à produire des documents sous 30 jours, tandis que les « rats » quittent le navire dans les CDC, NIH et autre FDA, par exigence morale ou crainte de poursuites ??

En France un comité scientifique chasse l’autre, et lave plus propre (indépendance, transparence, on attend de voir), tandis que l’OMS met à jour sa stratégie vaccinale et recrute la plus intransigeante des défenseurs de restrictions du Royaume-Uni, et que la Chine commence à utiliser un médicament anti-VIH dans le traitement de la Covid.

Et tandis qu’un médecin italien est réintégré en Sardaigne, trois autres meurent mystérieusement après la 4e injection au Canada.

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

Fin des mesures d’exception au 31 juillet 2022

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/Covid-19-le-parlement-vote-la-fin-des-mesures-d-exception-dont-le-passe-sanitaire_2177637.html

« En cas de crise sanitaire à l’avenir, si le gouvernement a besoin de pouvoirs exceptionnels, il devra les négocier un par un avec le Parlement »

Nouveau comité scientifique « commando »

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/Covid-19-le-ministre-de-la-sante-annonce-la-mise-en-place-d-un-nouveau-comite-scientifique-commando-dans-les-10-jours-qui-viennent_5279884.html

« Mis en place dans les 10 jours qui viennent pour pouvoir alerter le gouvernement en cas de nouveau risque sanitaire, équipe commando de scientifiques de très haut niveau, indépendant, transparent dans ses avis et extrêmement réactif ». Pas facile de trouver des scientifiques réellement indépendants, sans conflit d’intérêts. Quant à la réactivité, elle risque d’être encore synonyme de précipitation.

Le sénateur Bas reconnaît que les vaccinés meurent du Covid

https://reseauinternational.net/le-senateur-bas-reconnait-que-les-vaccines-meurent-massivement-du-virus/

Prise de conscience tardive, qui aboutit à ce que la commission donne plus d’importance aux tests qu’aux vaccins, ce qui montre qu’ils n’ont compris qu’une partie de la vérité (voir le chapitre « test » plus loin).

Deuxième dose de rappel pour les soignants et professionnels du médico-social

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/Covid-19-les-professionnels-de-sante-et-du-secteur-medico-social-peuvent-desormais-beneficier-de-la-deuxieme-dose-de-rappel_5278564.html

Mais pas obligatoire, pour l’instant !

Faut-il suivre encore les PU-PH ?

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/C97-7e-vague-faut-il-suivre-les-pu-ph

Une interview du Pr Gilles Pialoux contrée point par point, arguments à l’appui, et cerise sur le gâteau à la fin, les conflits d’intérêts de ce médecin.

ÉTRANGER

L’OMS met à jour sa stratégie de lutte contre le Covid

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/27/loms-met-a-jour-sa-strategie-de-lutte-contre-le-Covid/

Une mise à jour basée uniquement sur la vaccination et en aucun cas sur les soins aux malades en particulier les traitements ambulatoires précoces. Consciente de l’inefficacité des vaccins actuels, l’OMS s’entête et attend des vaccins « actualisés » !

Et recrute une extrémiste des mesures restrictives

https://www.anguillesousroche.com/sante/un-professeur-du-parti-communiste-britannique-qui-a-soutenu-les-methodes-de-surveillance-pendant-la-periode-Covid-rejoint-loms/

Mme Susan Michie est en faveur du maintien « pour toujours » des masques et des mandats de distanciation sociale !!!

USA — Démissions massives des experts des CDC, NIH et FDA

https://www.francesoir.fr/politique-monde/Covid-19-demissions-en-cascade-des-experts-en-sante-des-nih-et-des-cdc-americains

« Ces démissions font suite à celles des deux principaux responsables de la réglementation des vaccins à la FDA, le Dr Marion Gruber, directrice du bureau des vaccins de la FDA, et son directeur adjoint, le Dr Philip Krause en raison des pressions politiques visant à autoriser les rappels de vaccins chez les jeunes. Peu à peu, il semble que l’exigence morale des scientifiques et médecins ait pris le pas sur la peur à mesure qu’ils prenaient conscience de la dangerosité de ces politiques sanitaires inefficaces et délétère »

JUSTICE

ITALIE — le premier médecin réintégré en Sardaigne du Nord

https://resistance-mondiale.com/italie-medecin-non-vaccine-reintegre-le-premier-cas-en-sardaigne-du-nord

Le juge a également ordonné que lui soient versés les salaires accumulés depuis le jour de la suspension

USA — Fauci et des hauts responsables du gouvernement cités à comparaître ou à produire des documents sous 30 jours

https://www.anguillesousroche.com/technologie/fauci-et-de-hauts-responsables-de-biden-sont-cites-a-comparaitre-dans-le-cadre-dune-action-en-justice-alleguant-quils-ont-collabore-avec-les-medias-sociaux-pour-supprimer-la-liberte-dexpression/

« La présidente de Children’s Health Defense (CHD), Mary Holland, a salué ce jugement. Maintenant, grâce au processus que le juge DOUGHTY a autorisé, nous allons découvrir comment Meta, Instagram, Twitter et YouTube ont été de connivence avec le gouvernement fédéral pour freiner la soi-disant “désinformation” et “mésinformation”. C’est un nouveau jour. »

COVID

USA — Lien entre Covid et 5G dans une étude gouvernementale

https://geopolitique-profonde.com/2022/07/19/explosif-une-etude-gouvernementale-prouve-le-lien-entre-le-Covid-19-et-la-5g/

« le rayonnement de communication sans fil est devenue un facteur de stress environnemental omniprésent qui pourrait avoir contribué aux résultats négatifs sur la santé des patients infectés par le SRAS-CoV-2 et augmenté la gravité de la pandémie de Covid-19 »

Premières conclusions de l’enquête mondiale sur la crise sanitaire

L’essentiel est qu’il y a une hystérie publique totalement infondée, alimentée par les médias et les politiciens. C’est scandaleux.

C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public peu méfiant.

Le [Covid-19] n’est rien de plus qu’une mauvaise grippe saisonnière. Ce n’est pas Ebola. Ce n’est pas le SRAS. C’est la politique qui joue à la médecine, et c’est un jeu très dangereux. Des milliers de décès et d’effets secondaires graves sont rapportés à l’issue de la campagne en masse d’injection Covid. Il est presque certain que la vaccination de masse avec le Covid-19 est nuisible à la santé de la population générale. Les principes scientifiques dictent que la vaccination de masse avec les vaccins Covid-19 doit être arrêtée immédiatement, car nous sommes confrontés à une catastrophe de santé publique induite par les vaccins. Les quatre grandes entreprises qui ont mis au point ces vaccins génétiques (…) ont toutes décidé de choisir les parties les plus inappropriées du virus pour fabriquer un vaccin. Alors comment ces quatre sociétés ont-elles pu indépendamment, à moins d’être de connivence, faire exactement les mêmes erreurs ? Eh bien, non, elles n’ont pas pu. « Ce type de produit pharmaceutique n’était pas la spécialité de Pfizer mais “ILS” ont dit qu’il fallait le faire. Le code de Nuremberg stipule que “le consentement volontaire du sujet humain est absolument indispensable”. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques s’est fait l’écho de cette interdiction de l’expérimentation involontaire dans son texte de 1966, qui stipule : “Nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique ». Cette interdiction est désormais si universellement reconnue que certains tribunaux et universitaires ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier.

TESTS

Renonçons à la mascarade du test PCR

« Aux États-Unis le CDC ne reconnaît plus le test PCR comme une méthode valide pour détecter les “cas” confirmés de Covid-19. »

TRAITEMENTS et STRATÉGIES

CHINE Traitement antiVIH contre le Covid

https://www.francesoir.fr/societe-sante/chine-approuve-un-traitement-anti-VIH-contre-Covid

« l’Histoire donne-t-elle raison au défunt professeur Montagnier ? »

INJECTIONS

Code de la Santé publique et cas des vaccins Covid

https://reinfocovid.fr/science/article-r4127-39-du-code-de-sante-publique-cas-des-vaccins-Covid/

« il est évident que la recommandation, de décembre 2020, des vaccins ARNm n’était aucunement scientifique et encore moins en accord avec l’article r4127-39 du CSP.

Il est difficile de comprendre que le ministre, le Directeur Général de la Santé, les Agence Régionales de Santé et autant de médecins aient décidé de ne pas respecter ce point du code de santé publique et de se mettre dans l’illégalité. »

EFFETS INDÉSIRABLES

Vaccins anti-Covid, alerte rouge !

https://infodujour.fr/sante/59038-vaccins-anti-Covid-alerte-rouge

De nouvelles études mettent gravement en cause les vaccins anti-Covid, comme l’a révélé ici même Jean-Marc Sabatier, redoutant une « catastrophe sanitaire sans précédent ». La police néo-zélandaise envisage d’ouvrir une enquête sur les dégâts des vaccins.

Vaccin à ARNm, efficacité négative, selon le Pr Risch professeur d’épidémiologie à Yale

https://www.epochtimes.fr/face-aux-mutations-de-la-proteine-spike-les-anticorps-produits-par-les-vaccins-sont-davantage-interferents-que-neutralisants-explique-le-pr-risch-2077045.html

« Après la deuxième dose des vaccins à ARNm, il apparaît qu’ils offrent un intérêt contre l’infection symptomatique pour… la plupart des personnes pendant peut‑être 10 à 12 semaines. Après le premier rappel (la troisième dose), ce délai tombe à six ou huit semaines. Après la quatrième dose, il peut suffire de quatre semaines pour que l’efficacité s’estompe et commence à devenir négative. »

Les injections géniques inefficaces et dangereuses

https://docteur.nicoledelepine.fr/les-injections-geniques-sont-inefficaces-et-dangereuses-25-07-22/

Une image qui vaut mille mots, les décès liés à tous les vaccins en 33 ans, dans la base américaine des effets indésirables

Trois jeunes médecins meurent en trois jours dans le même hôpital, peu après la 4e injection

https://noqreport.com/2022/07/24/three-doctors-die-within-four-days-shortly-after-hospital-begins-injecting-staff-with-fourth-Covid-shots/

Quelle est la probabilité que ce soit une coïncidence dans cet hôpital canadien ?? « Cela s’ajoute à la montagne de preuves qu’il y a une véritable conspiration en jeu avec les piqûres de Covid. La vérité doit continuer à se frayer un chemin. »

RÉSISTANCES

Les non-vaccinés sont les héros de ces deux dernières années

https://lemediaen442.fr/le-producteur-de-cinema-del-bigtree-les-non-vaccines-sont-les-heros-de-ces-deux-dernieres-annees/

« Ils nous ont tous permis d’avoir un groupe témoin dans la grande expérience et de mettre en évidence la carence des vaccins Covid. Nous devrions tous essayer de trouver une certaine gratitude intérieure pour les non-vaccinés, car nous avons mordu à l’appât en les haïssant parce que leur persévérance et leur courage nous ont donné le temps de voir que nous avions tort. »




Pour Bill Gates, la variole du singe c’est « Moneypox »

Urgence sanitaire mondiale due à la variole du singe. Pour Bill Gates, c’est « Moneypox » : Simulation d’une pandémie fictive du virus de la variole du singe en mars 2021, mise en service en mai 2022.

Par Prof Michel Chossudovsky

Note de l’auteur et mise à jour

L’OMS déclare une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC)

Dans les derniers développements, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, est allé à l’encontre du vote majoritaire du comité d’experts de l’OMS (9 contre 6 en faveur) : c’est-à-dire CONTRE la déclaration d’une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC).

« Nous avons une épidémie qui s’est propagée rapidement dans le monde entier grâce à de nouveaux modes de transmission », a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, lors d’un point de presse à Genève, samedi 22 juillet. « J’ai décidé que la flambée mondiale de variole du singe représente une urgence de santé publique de portée internationale. » 

Les preuves sont minces, la motivation est politique.

L’objectif non avoué est de soutenir la campagne de peur.

Selon Bloomberg, « la déclaration de Tedros… souligne les divisions au sein de l’organisation sur la gravité de la menace. L’agent pathogène provoque généralement des symptômes semblables à ceux de la grippe, suivis d’une éruption cutanée qui commence souvent sur le visage et se propage sur le ventre. » (Bloomberg)

Le Dr Tedros est-il en conflit d’intérêts, allant à l’encontre d’un comité de médecins et de scientifiques ? L’OMS est financée par la Fondation Gates. Et Bill Gates est au centre de l’attention. Il fait pression pour le scénario de la variole du singe depuis 2017. (voir l’analyse ci-dessous).

Et devinez quoi : c’est le test PCR en temps réel que les CDC ont déclaré invalide pour détecter le SRAS-CoV-2 (à compter du 31 décembre 2021) qui est maintenant utilisé pour « détecter l’agent pathogène de la variole du singe ».

L’avis du CDC de juillet 2021 relatif aux échecs du test RT-PCR se lit comme suit :

« Les CDC encouragent les laboratoires à envisager l’adoption d’une méthode multiplexée qui puisse faciliter la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et de la grippe ».

Et maintenant, le CDC a mis en avant une procédure « utilisée pour la détection de l’ADN du virus de la variole du singe dans les spécimens cliniques par PCR en temps réel » :

« Ce test [RT-PCR] détecte l’ADN à des concentrations variables, fournissant un résultat qualitatif soit positif, soit négatif, soit non concluant dans l’identification des infections par le virus Monkeypox. » (CDC)

Si votre test RT-PCR est positif pour le Covid-19, il peut être comptabilisé « par erreur » comme une infection « positive » au virus Monkeypox.

La polyvalence du test RT-PCR ! Tout est permis. SARS-CoV-2, grippe, MonkeyPox. Il est également appliqué pour détecter les « dangereux » variants omicron de Covid et les sous-variants BA 4 et 5.

Michel Chossudovsky


Cet article a été publié initialement le 25 mai 2022.

Un autre chapitre de la « fausse science » se déroule

Dites au revoir au SRAS-CoV-2, dites bonjour à l’agent pathogène de la variole du singe.

Bill Gates nous met en garde contre des attaques terroristes à la variole et invite les dirigeants à se préparer au moyen de « germ games » (jeux de germes).
Le fondateur de Microsoft a également appelé à la création d’un nouveau groupe de travail sur les pandémies de l’Organisation mondiale de la santé, doté d’un budget de plusieurs milliards de dollars.
Capture d’écran 4 novembre 2021 Article publié sur Evening Standard

En novembre 2021, Bill Gates annonce de possibles « attaques terroristes à la variole »

Dans une interview télévisée avec Jeremy Hunt début novembre 2021Bill Gates a averti les gouvernements de se préparer à des attaques terroristes simultanées à la variole dans 10 aéroports :

« Vous dites, OK, et si un bioterroriste apportait la variole dans 10 aéroports ? Vous savez, comment le monde réagirait-il à cela ? Il existe des épidémies d’origine naturelle et des épidémies provoquées par le bioterrorisme qui pourraient même être bien pires que ce que nous avons connu aujourd’hui », a-t-il déclaré (c’est nous qui soulignons).

Dix pays, dix aéroports. (C’est là que se déroulent les tests)

Comparez cela au dernier bulletin d’information du 19 mai 2022, soit plus de six mois plus tard (c’est nous qui soulignons) :

Une épidémie sans précédent de virus de la variole du singe s’est officiellement propagée à 10 pays en dehors de l’Afrique, avec 107 cas confirmés ou suspects signalés à ce jour, au Royaume-Uni (9 cas), au Portugal (34), en Espagne (32), en France (1), en Belgique (2), en Suède (1), en Italie (3), au Canada (22), aux États-Unis (2) et en Australie (1). (WSWS, 19 mai 2022)

Pour regarder l’interview vidéo de Bill Gates, cliquez ici


 Video: Variole du singe et traité pandémie de l’OMS. Michel Chossudovsky




« Investir des milliards dans la recherche ». Pour Bill Gates, c’est « Moneypox »

Selon l’Evening Standard (4 novembre 2021), Bill Gates a mis en garde les gouvernements « pour qu’ils se préparent aux futures pandémies et aux attaques terroristes de la variole en investissant des milliards dans la recherche et le développement ».

M. Gates a lancé cet avertissement lors d’une interview accordée à Policy Exchange par le président de la commission d’enquête sur la santé, Jeremy Hunt.

Le fondateur de Microsoft a également appelé à la création d’un nouveau groupe de travail sur les pandémies de l’Organisation mondiale de la santé, doté d’un budget de plusieurs milliards de dollars.

Il a déclaré que des pays comme les États-Unis et le Royaume-Uni doivent dépenser des « dizaines de milliards » pour financer la recherche.

J’espère que dans cinq ans, je pourrai écrire un livre intitulé « Nous sommes prêts pour la prochaine pandémie, mais il faudra des dizaines de milliards en R&D – les États-Unis et le Royaume-Uni y participeront », a-t-il déclaré.

Il faudra probablement environ un milliard par an pour un groupe de travail sur les pandémies au niveau de l’OMS, qui se chargera de la surveillance et de ce que j’appelle des « jeux de germes » où l’on s’entraîne.
lEWvening SDtandrad cliquez ici pour lire l’article en entier.

Mais il y a plus dans cette saga de plusieurs milliards de dollars sur la variole du singe. Une nouvelle campagne de peur est-elle en préparation ?

L’agenda au sujet de la variole du singe e été planifié bien à l’avance. Cela a commencé en décembre 2020. La chronologie est la suivante :

  • Décembre 2020 : Réunion d’experts américains en matière de sécurité nationale sous les auspices de l’Initiative sur la menace nucléaire (NTI). Planification et formulation d’une simulation d’une pandémie de variole du singe.
  • Mars 2021 : Simulation sur table d’une pandémie fictive de variole du singe à la conférence sur la sécurité de Munich.
  • Novembre 2021. Bill Gates met en garde les gouvernements
  • Mai 2022. Vers une pandémie de variole du singe. Campagne « Unfolding Fear ».
  • Mai 2022. La commercialisation des vaccins antivarioliques, efficaces contre la variole du singe.

Décembre 2020 : La planification experte d’une simulation d’une pandémie de virus de la variole du singe

Dès décembre 2020, une simulation d’une pandémie de variole du singe avait été envisagée par la NTI.

L’ITN a réuni un groupe d’experts pour le conseiller sur le scénario de l’exercice de simulation. Parmi ces experts figuraient des hauts fonctionnaires, des scientifiques et des experts, entre autres, provenant exclusivement d’entités américaines, dont le ministère de la Sécurité intérieure, l’USAID, le département d’État, l’université de la Défense, John Hopkins, l’école de santé publique T.H. Chan de Harvard, le ministère de la Santé et des Services sociaux, etc.

« Ces experts ont participé à titre individuel – et non en tant que représentants de leurs organisations respectives – et ils n’approuvent pas nécessairement les recommandations de ce rapport. »
Voir le rapport page 27

Mars 2021 : Scénario d’exercice fictif d’une pandémie mortelle du virus de la variole du singe

Quelques mois plus tard, après les consultations de décembre 2020, une simulation sur table d’un : « scénario d’exercice fictif décrivant une pandémie mondiale mortelle impliquant une souche inhabituelle du virus de la variole du singe » a été organisée par la NTI lors de la conférence sur la sécurité de Munich en mars 2021 :

Le rapport suivant du NTI intitulé :

Strengthening Global Systems to Prevent and Respond to High-Consequence Biological Threats: Results from the 2021 Tabletop Exercise Conducted in Partnership with the Munich Security Conference

parJaime M. Yassif, Ph.D., Kevin P. O’Prey, Ph.D., and Christopher R. Isaac, M.Sc.

a été réalisé par le Global Biological Policy and Programs, de la Nuclear Threat Initiative (NTI). Le rapport résume les principales conclusions de l’exercice qui a été généreusement financé par Open Philanthropy.

Note sur l’histoire des simulations de scénarios de pandémie

Les simulations de scénarios de pandémies ont été initiées par le « Lock Step Scenario » de Rockefeller en 2010, qui consistait à utiliser la « planification de scénarios » comme un moyen de réaliser la « gouvernance mondiale ». Dans le rapport Rockefeller de 2010 intitulé « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international », des scénarios de gouvernance mondiale et les mesures à prendre en cas de pandémie mondiale ont été envisagés.

Plus précisément, le rapport envisageait (p 18) la simulation d’un scénario Lock Step incluant une souche virulente de grippe mondiale. Le rapport Rockefeller de 2010 a été publié dans le sillage immédiat de la pandémie de grippe porcine H1N1 de 2009.

Et puis, en 2018, la simulation Clade X (The Clade X Table Top Simulation) a été réalisée sous les auspices du John Hopkins Center for Health Security.

Clade X a été décrit par ses organisateurs comme un exercice de simulation de pandémie d’une journée dont le but « était d’illustrer des décisions stratégiques de haut niveau aux États-Unis et dans le monde … pour prévenir une pandémie ».

Il a été « joué par des personnes éminentes dans les domaines de la sécurité nationale ou de la réponse aux épidémies ».

Événement 201

Clade X a été suivie d’une autre simulation [pandemic tabletop exercise] intitulée Event 201 (également sous les auspices du Johns Hopkins Center for Health Security en octobre 2019). L’événement 201 concernait une épidémie de coronavirus intitulée 2019-nCoV.

Parmi les 201 « joueurs » du scénario de table John Hopkins figuraient des personnalités clés occupant des postes consultatifs et de direction dans un certain nombre d’organisations centrales. Moins de trois mois plus tard, ces 201 « joueurs » ont été activement impliqués dans la réponse politique à la pandémie de Covid-19.

Résumé de l’exercice du scénario du Monkeypox [variole du singe]

Vous trouverez ci-dessous le résumé de la simulation NTI de mars (c’est nous qui soulignons), suivi d’extraits pertinents ainsi que de la liste des participants.

Il convient de noter que si l’équipe de décembre 2020 qui a formulé le projet de simulation était exclusivement américaine et se concentrait sur les questions de sécurité nationale, les participants au scénario de table étaient issus de Big Pharma, de la Fondation Gates, du Wellcome Trust, de l’OMS, de l’ONU, ainsi que des représentants de l’UE, de la Chine et de l’Afrique. (Voir liste ci-dessous)

En mars 2021, l’Initiative sur la menace nucléaire (NTI) s’est associée à la Conférence sur la sécurité de Munich (CSM) pour réaliser un exercice sur table sur la réduction des menaces biologiques de haute gravité. Réalisé virtuellement, l’exercice a permis d’examiner les lacunes des architectures nationales et internationales de biosécurité et de préparation aux pandémies et d’explorer les possibilités d’améliorer les capacités de prévention et de réaction aux événements biologiques de haute gravité. Parmi les participants figuraient 19 hauts responsables et experts venus d’Afrique, des Amériques, d’Asie et d’Europe et possédant des décennies d’expérience combinée dans les domaines de la santé publique, de l’industrie biotechnologique, de la sécurité internationale et de la philanthropie.

Le scénario de l’exercice décrivait une pandémie mondiale mortelle impliquant une souche inhabituelle du virus de la variole du singe, apparue dans la nation fictive de Brinia et qui s’est propagée dans le monde entier en 18 mois. En fin de compte, le scénario de l’exercice a révélé que l’épidémie initiale avait été causée par une attaque terroriste utilisant un agent pathogène fabriqué dans un laboratoire dont les dispositions en matière de biosécurité et de sûreté biologique étaient inadéquates et dont la surveillance était faible.

À la fin de l’exercice, la pandémie fictive a entraîné plus de trois milliards de cas et 270 millions de décès dans le monde.

La nature de la simulation frise le ridicule : Les « terroristes de l’Arnica » attaquent le Brinia

Annexe B. Résumé du modèle épidémiologique

Développé par le Dr Ellie Graeden Trae Wallace, Talus Analytics

Les éléments épidémiologiques du scénario de l’exercice ont été développés à l’aide d’un modèle standard compartimenté Susceptible-Exposé-Infectieux-Récouvert (SEIR). Le modèle suppose l’absence de propagation asymptomatique. La structure du modèle est résumée à la figure B-1. Une version modifiée en laboratoire de la variole du singe a été intentionnellement diffusée par aérosols dans les gares du pays fictif de Brinia (250 millions d’habitants) par des agents d’un groupe terroriste opérant dans le pays voisin, Arnica (75 millions d’habitants). [L’arnica est un médicament homéopathique].

Grâce à des modifications intentionnelles effectuées par des scientifiques du laboratoire de virologie d’Arnica sympathisant avec les terroristes d’Arnica, cette souche de variole du singe est supposée être plus contagieuse que la variole du singe naturelle – avec un nombre de reproduction de base (R0) pour la souche modifiée de 3, contre 2,13 pour la souche sauvage11.

La souche modifiée en laboratoire est également conçue pour être résistante au vaccin antivariolique.

On suppose que la résistance au vaccin est due à l’introduction du gène de l’interleukine-4, comme cela a été démontré dans des études antérieures sur la variole des souris.12 Nous supposons un taux de létalité d’environ 10 %, ce qui correspond aux épidémies de variole des singes précédemment décrites.13

Pour répondre à ces conclusions fictives concernant les « attaques terroristes à l’Arnica », les joueurs ont élaboré une série de recommandations de grande portée :

  • L’OMS devrait mettre en place un système international d’alerte sanitaire gradué et transparent.
    Développer et instituer des déclencheurs au niveau national pour une réponse précoce et proactive à la pandémie.
  • Les gouvernements nationaux doivent adopter une approche « sans regrets » de la réponse à la pandémie, en prenant des mesures anticipées.
  • Créer une entité internationale chargée de réduire les risques biologiques émergents liés aux progrès technologiques rapides.
  • Créer un fonds catalytique pour la sécurité sanitaire mondiale afin d’accélérer le renforcement des capacités de préparation à la pandémie dans les pays du monde entier.
  • Ces recommandations vont dans le sens d’un soutien au traité de l’OMS sur les pandémies (couplé au QR Code) qui consiste à établir une banque de données numériques mondiale qui déroge aux droits des différents États membres.

Et actuellement, George Fu Gao joue un rôle clé dans la mise en œuvre de la stratégie chinoise « Zéro Covid », qui a conduit au verrouillage de Shanghai fin mars 2022, ainsi que de plusieurs autres grandes zones urbaines.

Remarques finales. Une nouvelle campagne de peur est-elle lancée ?

Les gouvernements ont déjà passé des commandes pour la livraison de vaccins contre la variole.

La préparation à la pandémie aux États-Unis

Aux États-Unis, selon un rapport de Forbes du 19 mai 2022, le gouvernement américain a déjà commandé « des millions de doses d’un vaccin qui protège contre le virus ».

Bavarian Nordic, la société de biotechnologie qui fabrique le vaccin, a annoncé une commande de 119 millions de dollars passée par les États-Unis, avec la possibilité d’acheter 180 millions de dollars supplémentaires s’ils le souhaitent. Si cette deuxième option était exercée, cela représenterait environ 13 millions de doses.

La commande permettra de convertir les vaccins antivarioliques existants, qui sont également efficaces contre la variole du singe, en versions lyophilisées, qui ont une durée de conservation plus longue. Les vaccins convertis seront fabriqués en 2023 et 2024, précise la société.

Selon un rapport de presse publié le 19 mai, seuls deux cas de variole du singe ont été confirmés aux États-Unis.

En Chine, les médias sociaux se sont emballés

According to a Daily Mail Report

Des théories du complot circulent en Chine, selon lesquelles les États-Unis auraient délibérément propagé le virus de la variole, suite à la désinformation généralisée sur le Covid-19.
Les utilisateurs des médias sociaux chinois se sont emparés du rapport d’une ONG qui a modélisé un scénario fictif d’épidémie de variole du singe pour prouver que les États-Unis ont propagé le virus.
La Nuclear Threat Initiative présente des scénarios sur la manière dont les pays peuvent se préparer aux retombées nucléaires, aux armes chimiques, aux cyberattaques et aux épidémies biologiques.
Dans le scénario hypothétique publié en novembre 2021, une souche modifiée de la variole du singe entraîne plus de trois milliards de cas et 270 millions de décès.

Article original en anglais :

For Bill Gates, It’s “Moneypox”: Simulation of Fictitious Monkeypox Virus Pandemic in March 2021, Goes Live in May 2022

Traduit par Mondialisation.ca (traduction révisé par l’auteur)
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2022