Néo-nazisme en phase 1

Par Lucien Oulahbib

  • Construction d’un groupe bouc émissaire (« anti/non/Vax= sous citoyens ») sur lequel le Guide (le « Président ») lâche les chiens :
  • Expérimentations médicales à raison de quatre doses par an pour un produit, de fait (vu le nombre de « rappels ») guère efficace :
  • Suspension d’activité, et radiation, sans indemnité pour les « soignants et assimilés » mis au banc, car refusant ces injections :
  • Constitution d’un PaSS dit « sanitaire » puis « vaccinal » : *
  • Durcissement de l’obtention du PaSS avec doses effectives d’injections + « concordances de documents prouvant l’identité » :
  • Élargissement du PaSS avec vérification d’identité pour l’alimentation de base : (en cours : Leclerc a commencé, certains restaurants également)
  • Réquisition de locaux désaffectés pour interner le groupe bouc émissaire : à faire (mais déjà en cours dans certains pays)
  • Subordination progressive de diverses activités dans le PaSS comme le nombre de voyages en avion et en voiture : en cours
  • Subordination des allocations diverses (et à terme l’allocation universelle dans les tuyaux) à la détention du PaSS : en cours
  • Pour ce faire, suppression à terme de l’argent liquide afin de pouvoir mieux bloquer les personnes récalcitrantes : en cours (Chine)
  • constitution d’une Secte globale : trans-courant, transnationale, « trans » en tant que telle (journaux, académies, institutions) :

On est environ en 1934 (1938 — nuit de cristal) donc (« p… encore ») 4 ans devant nous… Soit 4 fois 4 doses = 16 doses : bonjour les dégâts !

* Deux failles relevées :

  • l’on peut présenter si l’on est un homme le PaSS de sa sœur en prétextant la « dysphorie de genre »… : en cours
  • Un vigile d’origine étrangère censé vérifier la « concordance des documents d’identité » peut être lui-même en situation irrégulière…
  • L’on peut être donc bien plus considéré comme non-citoyen que l’irrégulier injecté (avec un bonus s’il fait partie d’une « minorité ») :



Au Québec en 1989, dénonciation des vaccins et de l’ordre des médecins comme faisant partie du business de Big Pharma, mais ne relevant pas de science. Mise à jour

[Source : OrandiaTV]

[À partir de la minute 46 :]

[Mise à jour :]

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Créateur du « Vitalium » composé congelé à base de cellules souches

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D’origine française, P.D.G du Laboratoire Cryolab en Suisse, le docteur Bontemps a débuté ses recherches en 1958 dans le service du Professeur Bordet à l’école vétérinaire de Maison Alfort à Paris et, jusqu’en 1967, a terminé la mise au point de sa technique en Mésenchymothérapie appliquée en médecine vétérinaire.

Il a collaboré avec de nombreuses sommités du monde scientifique dont le Dr. Rouif du service de santé des armées, Division de radio-Biologie Expérimentale, Professeur Debrot de Lausanne, Dr. P. Loron, Médecin des hôpitaux de Paris, Dr. Jean Valnet, autorité mondialement connue en phyto et aromathérapie. Le Docteur L. Rolland, vétérinaire, et un très grand nombre de professionnels médicaux qui ont collaboré avec lui. Après avoir complété ses recherches sur la thérapie des grands brûlés et irradiés nucléaires, technique maintenant reconnue par l’élite médicale internationale, il met au point la ligne de soin esthétique Cryos, faisant faire un pas de géant au marché de la cosmétique.

Le Dr. Raymond Bontemps était un de nos plus grands biologistes contemporains et les résultats de ses travaux ont amorcé une ère nouvelle vers une cosmétologie naturelle, efficace et sans adjuvants chimiques qui, tout en éliminant les allergies et les effets secondaires indésirables, repousse plus loin les limites des soins esthétiques modernes. Sa Mort est survenu le 20 mars, à l’âge de 81 ans. Décédé à Templeuve (7520, Belgique) le mercredi 1 février 2012.

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VITALIUM ou cryoesthétique – du grec « cryo » : froid – est une technique de cosmétologie externe qui utilise le froid, de -18 à -20 °C, pour sa supraconductivité (stimulant de la microcirculation).

Elle a été mise au point et développée par le Professeur Raymond Bontemps.

Après avoir complété ses recherches sur la thérapie des grands brûlés et irradiés nucléaires, (technique maintenant reconnue par l’élite médicale internationale,) il a mis au point la ligne de soins esthétique Cryos, faisant faire un pas de géant au marché des cosmétiques.

Le Docteur Bontemps était un de nos plus grand biologiste contemporains et les résultats de ses travaux ont amorcés une ère nouvelle vers une cosmétologie naturelle, efficace et sans adjuvants chimiques qui, tout en éliminant les allergies et les effets secondaires indésirables, repousse plus loin les limites des soins esthétiques modernes.

Cette technique simple, facile et agréable permet de nourrir les tissus SANS conservateur, tout en éliminant les allergies et les effets secondaires indésirables, de retarder le vieillissement de la peau et même d’effacer les traces de détérioration en lui donnant une nouvelle jeunesse.

(Source : orandia.com)




Matrix n’est pas un film, c’est une initiation !

[Source : Damien Maya]

Plongez dans une analyse profonde de l’univers de Matrix !

➤ « Avez-vous déjà expérimenté un état ou une sensation difficile à décrire ?

Avez-vous tout de même essayé d’en parler ? »

Si oui, vous vous êtes sans doute confronté à une limite et vous avez réalisé que les mots ne peuvent pas tout dire.

Alors implicitement, vous avez compris le sens de « ésotérisme ».

Souvent interprété comme une manière de cacher un enseignement réservé à des initiés, l’ésotérisme est davantage un moyen de transmettre des connaissances avec des images, des symboles et des paraboles ce qui ne peut l’être qu’avec des mots.

Si vous me suivez jusqu’ici, c’est peut-être parce que vous pensez que le film Matrix introduit des vérités mystérieuses, ce qui en ferait en ce sens, une œuvre ésotérique.

Et peut-être que votre désir de connaître ses vérités pourrait être intimement lié à la raison pour laquelle vous cherchez irrémédiablement à apporter du sens à votre vie.

Ce que le film ne vous a pas clairement dit, il vous l’a sans doute montré, imagé ou supposé…

Mais l’avez-vous seulement remarqué ?

Bon visionnage !

✤✤✤ Approfondir :

Une partie de cette vidéo est inspirée des analyses de Rafik Djoumi dont le talentueux travail d’analyse est synthétisé dans un livre dédié à la saga Matrix.

Si cette vidéo vous a plu, je vous recommande vivement sa lecture !

Rockyrama hors-série Matrix : https://amzn.to/3yQ73RS


➤ A voir aussi sur la Chaîne ! :

✩ Avatar, l’histoire d’un monde plus sage que le nôtre ! : https://youtu.be/JXyH8UR30jc
✩ Comment faire face aux Jugements ! : https://youtu.be/KBNm8Alm04I
✩ Pourquoi nos émotions nous font faire des erreurs ? : https://youtu.be/FEEsRSOkuKs

✤ Cette VIDÉO : https://youtu.be/APUqSLm3uZI
@ Hashtags : #Matrix #Réel #Initiation


🚩 Suivre Damien MAYA :

Instagram : https://bit.ly/2Y2m94l
Facebook : https://bit.ly/2pGXCF0


✤✤ SAFE, L’architecte sonore de cette vidéo !

Mes remerciements tout particuliers à SAFE qui a conçu sur mesure plusieurs titres pour cette vidéo.

« J’espère que cette collaboration créative vous a emporté ! »

Je vous recommande de vous rendre sur sa chaîne pour écouter ses dernières créations et de le suivre pour vous imprégner de sa pédagogie et de sa passion !

➜ Sa Chaîne : https://www.youtube.com/channel/UCkHdU0IzWDBdMKctDQmoNuA

Ou bien de le contacter pour vous aussi, bénéficier de sa créativité ! En tant que professionnel du son, il vous aidera à concevoir une véritable identité sonore pour vos projets.

« Personnellement, je recommande son expertise et son talent et suis conquis autant par la compétence que par l’humain ! »

➜ Son Site – BE SAFE SOUND : https://besafe-sound.com/

➜ Son Contact : contact@besafe-sound.com


🎵 Crédit musique :

SAFE ~ The Matrice Has You
COAG ~ Phantom of the Flannans
COAG ~ I am Blessed
SAFE ~ Revelation
SAFE ~ Civilization
COAG ~ Orchestral Cinematic
SAFE ~ The Deep Black Cave
COAG ~ 5500°C
COAG ~ End Things Fell Into Chaos
SAFE ~ Silent Romance
COAG ~ Chernobyl Approaching Desaster
COAG ~ The Rake
COAG ~ The UFO
Arthur Vyncke ~ The Uprising
COAG ~ Smugglers
COAG ~ Ghost Story
COAG ~ The Dark Sanctum
COAG ~ On the Road from Gethsemane to Calvary


[Voir aussi, concernant la philosophie du Bouddha :
Note sur la recherche du bonheur
et sur l’unité :
Réflexion sur la vie, la matière et la conscience]




Reiner Fuellmich : « nous avons affaire à des psychopathes et des sociopathes »

[Source : Quantumleap]






PCB : Message du Nouvel An pour les évêques de l’Église catholique

Par Patriarcat Catholique Byzantin



Quelle est la situation actuelle, dans le monde et dans l’Église, et quelle est la solution ? L’analyse a été effectuée par l’ancien nonce apostolique américain, l’archevêque Carlo Maria Viganò. En bref, l’Église Profonde (Deep Church), dirigée par le pape non valable Bergoglio, coopère avec l’Etat Profond (Deep State) en ce qui concerne l’affaire du covid. C’est un coup d’État planétaire qui est censé conduire à l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial, dont le but est l’enfer sur terre et l’enfer après la mort.

D’où provient cette affaire du covid ? Il semble paradoxal que les racines spirituelles de cette crise profonde soient intimement liées au Concile de Vatican II et à son esprit. Étant donné le système et l’esprit qu’il a introduits dans l’Église, ce Concile ne peut pas simplement être révisé, mais il doit être rejeté comme étant hérétique. La restauration intérieure de l’Église par la repentance, c’est-à-dire par l’acceptation et par l’accent mis sur les vérités fondamentales de la foi et de la moralité, est impossible tant que l’esprit de Vatican II continue de régner au sein de l’Église. Cet esprit protège et privilégie les hérésies du néo-modernisme et du syncrétisme.

Le syncrétisme a provoqué l’invasion du paganisme et l’islamisation de l’Europe. La conséquence de la promotion des religions païennes et de l’amoralisation qui y est associée, fut la légalisation de l’homosexualité dans la législation des nations chrétiennes. Aujourd’hui, le réseau homo est déjà présent jusque dans les plus hauts lieux de l’Église. C’est un mépris flagrant pour l’avertissement de Dieu contre le feu temporel (2P 2:6) et éternel (Jud 1:7). La légalisation de la sodomie est étroitement liée au vol d’enfants par les services dits sociaux. Sous le couvert d’une soi-disant adoption, qui favorise les couples de même sexe, les enfants volés sont maltraités et démoralisés. Rien qu’en Norvège, avec une population de 5,5 millions d’habitants, 70 à 100 de ces enfants se suicident chaque année.

Le Vatican reste notoirement silencieux à propose de ces crimes ! Si seulement il était au moins silencieux sur la vaccination, mais il n’en est rien ! Le Vatican impose aux peuples avec véhémence la vaccination criminelle à ARN messager ! Comment le Vatican apostat et Bergoglio pourraient-ils défendre l’humanité s’ils ne défendent pas les enfants innocents contre la folie du genre ? La promotion intense de la sodomie par Bergoglio fut accompagnée du geste consistant à embrasser les pieds d’un transsexuel. Il a créé le précédent pour un respect extraordinaire pour la pensée perverse et l’immoralité. L’établissement légal d’un mensonge selon lequel un homme est une femme, a marqué un tournant dans la pensée, où chaque réalité a été remise en question. Cela a maintenant culminé avec la mise en place d’un système de mensonges à travers l’affaire du covid et la vaccination génocidaire de masse.

Peu de temps auparavant, le pseudo–pape avait commis une idolâtrie publique avec des sorciers et sorcières amazoniens au Vatican. Il a même intronisé le démon Pachamama dans la basilique principale de Rome. Ce culte païen de la soi-disant Terre Mère est associé à la diabolisation et à l’anéantissement de la planète.

La vaccination à ARNm altère le génome humain, ce qui conduit à l’extinction de la race humaine. C’est un crime contre Dieu le Créateur. De plus, cette vaccination est associée au processus de puçage, qui vise à transformer les gens en robots biologiques et à les priver du libre-arbitre, et donc de la possibilité de repentance et de salut. La Bible met en garde contre le puçage en parlant du châtiment dans l’étang de feu. En même temps, cette vaccination fait partie de l’agenda de dépeuplement, c’est-à-dire du génocide de l’humanité. Cela a été admis par Gates lui-même, le promoteur de la vaccination, qui a déclaré qu’elle devrait contribuer à la réduction de la population de 10 à 15 % au cours de la première étape.

De plus, cette vaccination est associée au crime brutal par lequel un bébé vivant à naître se fait arracher des tissus rénaux du corps, puis est tué. En termes spirituels, le sang de ces enfants assassinés place les gens sous la domination de Satan. C’est donc un anti-baptême satanique. Utiliser une sorte de lignée cellulaire éloignée comme excuse, et ainsi détourner l’attention de l’essence de cet acte, constitue une grossière tromperie du public de la part des autorités ecclésiastiques, et est un crime.

L’archevêque Viganò, d’autre part, a prophétiquement montré l’inadmissibilité absolue du vaccin à ARNm reçu par les chrétiens car il est associé à l’effusion du sang d’enfants à naître assassinés de manière sadique, et il représente spirituellement l’anti-baptême satanique !

L’appel de l’archevêque Viganò à une alliance anti-mondialiste globale avant que l’enfer prévu sur terre ne soit établi, est très opportun et prophétique.

La malédiction qui s’est abattue sur nous en ce moment, est survenue à cause de la trahison de l’Église, donc l’Église doit être la première à se repentir ! Comment ? Elle doit appeler le faux Pape un faux Pape, et se séparer de lui. Il devrait y avoir au moins une poignée d’évêques qui reconnaîtront comme nouveau pape une personne qui a une idée claire de la cause de la catastrophe spirituelle et physique actuelle. Le nouveau pape doit être un homme de Dieu qui a déjà fait ses preuves et s’est bravement opposé au réseau ‘homosexuel dans la hiérarchie de l’église, ainsi qu’à l’idolâtrie publique associée au démon Pachamama.

Mais surtout, le nouveau pape doit être un homme qui s’est héroïquement opposé à la fraude organisée concernant l’affaire du covid et de la vaccination génocidaire. L’archevêque Carlo Maria Viganò est une personne éprouvée. Il est le seul aujourd’hui qui puisse apporter l’Esprit de vérité pour restaurer l’Église. Mais il est impuissant, tout seul ! Il a besoin d’être rejoint par des évêques sincères avec leurs diocèses. Dans ces conditions extraordinaires, la responsabilité d’élire le Pape incombe aux braves évêques, plutôt qu’au conclave officiel qui est entre les mains de la secte Bergoglienne et des francs-maçons. Il n’y a pas d’autre solution dans cette situation.

Bergoglio a abusé de la structure de l’église, et a entraîné l’Église catholique dans un processus rapide d’autodestruction de la doctrine et de la morale. Il transforme l’Église du Christ, par étapes, en une prostituée de l’Antéchrist et une synagogue de Satan. Aujourd’hui, il clair qu’un pape orthodoxe ne puisse pas être officiellement élu. Le Vatican apostat, sous l’influence des francs-maçons, élira François n°2, n°3… continuant dans la ligne de l’autodestruction de l’Église et de l’humanité.

Cher évêque, à moins que vous ne défendiez Carlo Maria Viganò dans cette situation, vous resterez sous la malédiction et, après votre mort, vous serez tenu responsable de ne pas avoir fait ce que vous étiez obligé de faire, et par rapport à ce que la volonté de Dieu était pour vous en ce moment critique ! Vous serez alors tenu pour responsable de tout le mal que vous avez causé par votre trahison et votre lâcheté, et vous perdrez également la couronne de gloire éternelle !

Chers évêques, vous avez maintenant le devoir de séparer l’Église du Christ du système archi-hérétique et autodestructeur. Ce n’est pas un schisme ! C’est une condition pour franchir l’étape du salut, c’est-à-dire pour réunir l’Église du Christ avec le Christ et avec son vrai Vicaire, qui est actuellement Carlo Maria Viganò.

Nous sommes dans une situation d’urgence qui nécessite des mesures de secours d’urgence. Il y a un grand espoir que Carlo Maria Viganò soit suivi par une lignée de papes orthodoxes, bien que ces derniers puissent exister dans une église des catacombes et mourir en martyrs, comme ce fut le cas pour la plupart des papes des trois premiers siècles.

Dans la situation donnée, défendre Carlo Maria Viganò et l’élire en tant que Pape légitime, constitue une condition préalable non seulement pour restaurer l’Église, mais également pour sauver l’humanité.

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr                     + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires




Les malades imaginaires de Molière et la crise sanitaire

Par Nicolas Bonnal

Vains et peu sages médecins ;
Vous ne pouvez guérir par vos grands mots latins
La douleur qui me désespère :
Votre plus haut savoir n’est que pure chimère.

J’ai écrit ce texte il y a dix ans, bien avant cette crise sanitaire-totalitaire. Je ne faisais que méditer Molière. J’y parlais de masque sanitaire, de Boulgakov et j’oubliais de citer Watzlawyck, l’auteur du livre immortel : « faites vous-même votre malheur » à coups de dépenses de santé et de terrorisme médical façon Knock. Je recommanderai aussi le film The Road to Wellville d’Alan Parker. Mais citons-nous :

Je me suis levé au milieu de la nuit, j’avais comme un malaise. « Un vent frais m’éveilla, je sortis de mon rêve ». J’ai allumé la télé et au milieu d’autres horreurs je suis tombé sur une émission sur les centenaires. On fait pédaler des petits vieux avec des masques à oxygène, et on nous promet des merveilles. On ne nous promet jamais que des merveilles. Sans parler chiffres, comme toujours. Les gérontologues sont satisfaits et vont filer en première classe à un autre congrès. Dans cinquante ans j’aurai cent ans ! Et dans cent ?

Ce que je vois m’effare. Le monde entier crève comme Argan sous les dépenses de santé. Elles ont explosé en Chine et dans les pays du tiers-monde (j’ai été une fois hospitalisé, et très bien, pour six euros la nuit, en Bolivie !). Elles sont de mille milliards ici, de deux mille milliards là. N’importe quelle opération coûte dix ou cent mille euros, n’importe quelle chambre d’hôpital coûte deux mille euros, et je ne vous parle pas des ambulances ou du prochain forfait — c’est le cas de le dire ! Quant à la consultation à cent euros chez l’éminent spécialiste du coin, j’y ai renoncé.

 J’ai par ailleurs vu assez d’amis mourir et souffrir pour rien dans les chambres des hôpitaux les plus divers et les plus multiculturels pour daigner accorder de l’importance à la médecine d’aujourd’hui qui est en train de ruiner la planète comme elle ruinait la poche des bourgeois au temps de Louis XIV. Au train où cela va, grâce à la dette et tout le reste, nous serons deux milliards d’octogénaires en l’an 2100, bravo le monde moderne et tout son dynamisme ! L’historien chrétien Philippe Ariès nous prévenait déjà il y a quarante ans : on nous privera de notre mort. Et on aura siphonné la société. Le pronom indéfini « on » aura accompli cette énième merveille.

 J’en reviens à Molière, car on a oublié de quoi parle son malade imaginaire, qui a fasciné le grand Boulgakov dans son essai superbe : d’argent.

 Le monde de Molière est un monde bourgeois, et c’est déjà le nôtre : on n’y parle que d’argent, de manières branchées, mariage intéressé, et bien sûr de la santé. On ne croit plus en Dieu, mais on ne veut plus mourir ! On n’aime pas sa femme, mais on ne veut pas vivre seul ! On comprend pourquoi plus nous dégénérons plus nous nous reconnaissons dans ce théâtre de la Fin. Mais laissons parler le maître :

 « Trois et deux font cinq, et cinq font dix, et dix font vingt. Trois et deux font cinq. “Plus, du vingt-quatrième, un petit clystère insinuatif, préparatif, et rémollient, pour amollir, humecter, et rafraîchir les entrailles de Monsieur.” Ce qui me plaît de Monsieur Fleurant, mon apothicaire, c’est que ses parties sont toujours fort civiles : “les entrailles de Monsieur, trente sols.” Oui, mais, Monsieur Fleurant, ce n’est pas tout que d’être civil, il faut être aussi raisonnable, et ne pas écorcher les malades. »

 Argan n’oublie pas son pharmacien au passage. En attendant Homais… Parler de maladie et de santé, c’est parler chiffres et pognon. Il n’y a que l’argent qui les intéresse, et c’est bien vu de Molière. C’est pourquoi le glissement technologique de la médecine moderne, qui a succédé aux économes vaccins (les médecins aux pieds nus en Chine avaient fait tripler l’espérance de vie, et c’était une bonne espérance de vie, pas une espérance de géronte), a permis de multiplier par dix, parfois par cent, les dépenses de médecine. On ne va pas s’en plaindre, mais c’est comme ça !

 Argan est comme l’homme sans qualité, l’homme qui ne peut plus dormir parce qu’il a quelque chose à se reprocher : sa conscience. Il n’oublie pas d’être un peu scabreux au passage et poursuit son monologue festif et très technique.

 « Avec votre permission, dix sols. “Plus, dudit jour, le soir, un julep hépatique, soporatif, et somnifère, composé pour faire dormir Monsieur, trente-cinq sols.” Je ne me plains pas de celui-là, car il me fit bien dormir. Dix, quinze, seize et dix-sept sols, six deniers. “Plus, du vingt-cinquième, une bonne médecine purgative et corroborative, composée de casse récente avec séné levantin, et autres, suivant l’ordonnance de Monsieur Purgon, pour expulser et évacuer la bile de Monsieur, quatre livres.”

 J’ignore jusqu’où ira la médecine et son humanité de vieilles carcasses retapées qui roule avec, et s’en fait tourner. On me parle d’opérations à 300 000 euros, de couvertures à quinze cents milliards… La limite comme toujours, ce sera l’argent, sauf si indéfiniment les as de Goldman Sachs aux commandes en Europe comme en Amérique arrivent à faire bonne impression et à financer nos bicentenaires, comme il est bientôt prévu de le faire. Dette publique à 2 ou 400 % ? En attendant 3000 ? Tout est de toute manière lié à de la bonne volonté mutuelle. Mais continuons, comme dirait l’autre, le génial début de cette pièce sans égale.

 “Ah ! Monsieur Fleurant, tout doux, s’il vous plaît ; si vous en usez comme cela, on ne voudra plus être malade : contentez-vous de quatre francs. Vingt et quarante sols.”

 Il me semble que dans sa géniale exclamation Molière met le doigt sur la cible : nous jouons au malade, nous voulons être malades, nous voulons dépenser cet argent, nous doublons ou triplons des dépenses qui pourraient sans cela être maîtrisées. La maladie est un job à plein temps. C’est un hobby, une passion. Mais par ailleurs on sait très bien en plus qu’à part la réparation de garage avec les pièces détachées prélevées sur des morts, en attendant les clones, tout repose sur du vent dans la dépense de santé.

 “Je ne m’étonne pas si je ne me porte pas si bien ce mois-ci que l’autre. Je le dirai à Monsieur Purgon, afin qu’il mette ordre à cela. Allons, qu’on m’ôte tout ceci. Il n’y a personne : j’ai beau dire, on me laisse toujours seul ; il n’y a pas moyen de les arrêter ici.”

 90 % est dans le psychique. Les progrès de la médecine moderne sont les progrès de la dépense publique et donc les progrès de la bêtise humaine, celle qui se sert de la technologie comme de la télévision, parce qu’elle ne veut plus être seule et parce qu’elle a peur. L’homme n’a plus été capable de s’adresser à Dieu, il s’est déshumanisé et technicisé. Et grâce au diable, il est trop tard pour qu’il s’en rende compte. Il mourra inconscient, hagard, perclus de tubes partout, devant une webcam. On comprend pourquoi les zombis sont à la mode dans l’anticulture contemporaine.

 “Est-il possible qu’on laisse comme cela un pauvre malade tout seul ? Drelin, drelin, drelin : voilà qui est pitoyable ! Drelin, drelin, drelin : ah, mon Dieu ! Ils me laisseront ici mourir. Drelin, drelin, drelin.”




La thérapie génique ou le modèle machine de la biologie, la négation du mystère, le réductionnisme biologique et le scientifique qui a tenté de nous mettre en garde

[Source : Sott.net]

Entretien avec Richard Strohman

Par Celia Farber — Substack

Je savais que cette interview était importante, j’en ai régulièrement parlé au fil des années. Aujourd’hui, je considère Richard Strohman comme le George Orwell de la tyrannie génomique naissante.

[Photo : © Robert Holgren
Richard Strohman]

Si nous pensons que le monde des organismes est un monde de machines, nous commencerons à nous traiter mutuellement comme des machines. C’est l’énorme danger de tout ce modèle mécaniste des organismes. C’est ce terrible cauchemar qui devient réalité. Mon inquiétude à ce sujet correspond à celle exprimée par William Blake :

« Ce qui semble être, est, à ceux à qui cela semble être, productif des conséquences les plus épouvantables, jusqu’aux tourments, au désespoir, à la mort éternelle. »

Richard Strohman, Professeur émérite — Source

Pour ceux qui ont lu ce [précédent – NdT] article, dans lequel j’ai assimilé le Covid à la biologie luciférienne — vous vous souvenez peut-être que j’ai cité une interview du regretté professeur Richard Strohman, dont je n’avais à l’époque pas donné le lien. Eh bien, je l’ai retrouvée. En la lisant aujourd’hui, les mots et les mises en garde de Strohman sont bien plus saisissants que ce que j’ai été capable de comprendre à l’époque, il y a plus de vingt ans.

C’est toujours l’une des interviews que je chéris le plus.

En préambule à cette interview, je dois dire que j’avais compris, à l’époque, le quoi mais pas le pourquoi. Je savais que les choses étaient très bizarres, et malfaisantes, mais je ne comprenais pas de quelle dimension idéologique tout cela émergeait — à savoir quelle en était l’origine. J’ai fait une mise au point post-facto et ajouté quelques liens et mises à jour. J’espère que vous prendrez le temps de lire les avertissements prophétiques du Dr Strohman sur la génomique technocratique.

Il existe d’ailleurs des personnes qui revendiquent de grands domaines de pensée et qui ont le sens des relations publiques — trop pour citer les géants qui ont tracé les chemins permettant à leurs idées d’exister. C’est la raison pour laquelle je ressens un besoin impérieux de pénétrer dans ma forêt d’anciens géants — tous méconnus — et de leur donner la parole. J’ai été témoin du fait que Kary Mullis [inventeur du test PCR et dissident du VIH] et Peter Duesberg [formulateur de la théorie du cancer de l’aneuploïdie, père de la dissidence du VIH] sont devenus des noms familiers, en dépit de l’existence depuis trente ans d’un dispositif mondial consacré à immoler leur « crédibilité ». Je pense que Richard Strohman devrait être le prochain, tout comme le seront particulièrement des héros scientifiques plus connus tels que Barbara McClintock et Lynn Margulis — dont les travaux ont joué un rôle déterminant dans l’opposition au déterminisme génétique, au réductionnisme biologique et, in fine, au génocide qui ne dit pas son nom.

Une brève note, comme une luciole dans ma mémoire — authentique, mais me croirez-vous ?

En 1988, après avoir réalisé ma première interview avec Peter Duesberg, il m’a demandé de téléphoner à Barbara McClintock. J’avais peut-être 22 ans. Je ne savais pas qui elle était, mais je savais qu’elle était lauréate du prix Nobel. Tout ce dont je me souviens est ceci : une voix très faible au téléphone a dit : « Oui, Peter a raison ».

L’histoire exige des fouilles, du temps, de la patience et, dans certains cas, des miracles.

Je viens de découvrir que Richard Strohman était né le même jour que mon père Barry — le 5 mai — alors je me réjouis que ce soit la fête des pères aujourd’hui.

Bonne fête des pères, Pères, que vous soyez les pères de vos propres enfants, des enfants d’autres hommes ou, d’ailleurs, de formes de pensée, d’animaux, de champs, de tout ce qui exige un dévouement sacrificiel à la protection de la vie biologique [texte récupéré écrit par Celia Farber, 2009, The Truth Barrier, les parties du texte en gras sont de moi, pour l’emphase].

Richard Strohman, professeur émérite de biologie moléculaire et cellulaire à l’université de Californie à Berkeley, est décédé le 4 juillet 2009, à l’âge de 82 ans.

Je me suis sentie profondément reconnaissante du privilège qui m’a été donné d’avoir, à deux reprises, pu m’entretenir avec lui au cours de la dernière décennie de sa vie. Il incarnait l’une des anciennes voix scientifiques les plus poignantes que j’aie jamais rencontrées, dans ce que j’ai fini par nommer la tradition « éplorée » de la science, laquelle contraste avec celle plus révolutionnaire, zélée et lucrative.

Strohman, 2003, sur l’échec et le danger du déterminisme génétique.

De 1973 à 1976, Strohman avait été président du département de zoologie de Berkeley à l’université de Californie, et de 1976 à 1979, directeur du programme de santé et des sciences médicales, toujours à Berkeley. Il étudiait « […] la régulation de la croissance des cellules et des tissus et la différenciation cellulaire en utilisant des approches moléculaires et cellulaires ». Il fut l’un des premiers signataires du Groupe pour la réévaluation scientifique de l’hypothèse du VIH/Sida, et avait qualifié le paradigme du VIH/Sida de « désastreux ».

Après avoir pris sa retraite de Berkeley, il a parcouru le monde pour donner des conférences sur les dangers du déterminisme génétique et du réductionnisme biologique.

En 2000, dans le cadre d’une mission pour le TALK Magazine, j’ai pour la première fois interviewé le professeur Strohman. Le professeur Strohman m’avait été recommandé par Harvey Bialy, alors rédacteur en chef de Nature Bio/Technology, après avoir confié à ce dernier que j’avais été chargé d’une mission étrange, qui semblait exiger un article positif, voire euphorique, sur la « thérapie génique ». J’avais en effet été contacté par un rédacteur en chef pour m’informer du souhait de Tina Brown que j’écrive un article sur le sujet pour le magazine. J’ai décliné l’invitation, parce qu’il existait très peu sinon aucune chance que je puisse le présenter comme étant « de bon augure », mais le rédacteur en chef a insisté.

Pour vous donner une idée de l’engouement de l’époque, lisez cette présentation informative, qui date de 1999 :

Imaginez un monde où une personne pourrait modifier sa structure génétique et réorienter le cours futur de l’évolution chez son enfant et chez elle-même. Grâce à la thérapie génique, c’est une possibilité très réelle. À l’avenir, il pourrait être aussi facile de modifier sa santé physique ou mentale que de se faire vacciner contre la grippe aujourd’hui. Mais les effets de la thérapie génique sont durables et pourraient affecter votre future progéniture ainsi que votre propre santé.

Découverte au milieu des années 1970, la thérapie génique a permis aux chercheurs d’isoler certains gènes de l’ADN. Dans les années 1980, le terme thérapie génique a fait son entrée sur la scène scientifique et a fait avancer la recherche.

La définition de la thérapie génique est la suivante :

« technique dans laquelle les gènes responsables d’un défaut sont eux-mêmes remplacés par des gènes corrects chez le patient afin de guérir une maladie (Macer, 1990). »

[!]

Note du traducteur : La « thérapie génique » est le terme qui a remplacé celui d’eugénisme, lequel devait faire peau neuve après la Seconde Guerre mondiale et le Nazisme, mais son idéologie sous-jacente est restée la même.

En raison de mon déni du VIH (définition de la maladie ici – Hyperlien en français – NdT]), je ne voulais rien avoir à faire avec la « thérapie génique », et ce, même avant d’avoir entendu parler de Jesse Gelsinger.

Qui était Jesse Gelsinger ?

Jesse GelsingerJesse Gelsinger avait 18 ans lorsqu’il s’est porté volontaire pour un essai clinique à Penn State [université en Pennsylvanie – NdT] afin de tester l’effet de la thérapie génique sur un trouble métabolique rare appelé déficience en OTC [le déficit en ornithine transcarbamylase est une maladie héréditaire qui entraîne une accumulation d’ammoniac dans le sang – NdT]. Quelques heures après avoir été perfusé avec des « gènes correcteurs » contenus dans un adénovirus affaibli, Jesse a souffert d’une défaillance de plusieurs organes, et quelques jours plus tard, son sang était presque totalement coagulé, il était boursouflé au point d’être méconnaissable et en état de mort cérébrale — avant d’être débranché.

Sa mort a provoqué un silencieux arrêt brutal des recherches alors en plein essor en thérapie génique. Quand je suis allé à Penn, première étape de ma tournée d’interviews pour l’article du TALK, le responsable des relations publiques m’a confié :

« Je ne sais pas trop quoi vous dire. Nous avons tué un jeune de 18 ans. »

Permettez-moi de souligner :

« Ces mots ont été prononcés par le responsable des relations publiques du centre médical où le meurtre a eu lieu. J’ai également interviewé de manière exhaustive le père endeuillé de Jesse, Paul. Il m’aura fallu attendre 20 ans pour apprendre que non, la thérapie génique ne s’est pas arrêté net, comme le veut le mythe. Au contraire, en 2000, le scientifique qui était chargé de l’essai clinique et qui a, dans son zèle inconsidéré, causé la mort de Jesse, a été discrètement et secrètement financé par une subvention de 29,4 millions de dollars versée par GlaxoSmithKline, pour continuer à travailler sur la thérapie génique — juste après le drame. Vous pouvez lire l’histoire de la « rédemption » du Dr James Wilson et l’histoire de GlaxoSmithKline, ainsi que d’autres histoires de gros sous ici. »

Note du traducteur : Jesse Gelsinger est décédé le 17 septembre 1999. Voir ce lien pour comprendre ce qu’est et ce qu’implique un déficit en ornithine transcarbamylase.

Au fait, quand des gens sont tués dans leurs « essais cliniques », ils ont une expression très précise pour ça : « Leçons apprises ».

La troublante actualité d’alors concernant la thérapie génique auraient pu devenir le nouveau sujet de mon article pour TALK — mais non, ils n’en voulaient pas. Après de nombreuses réécritures et tentatives linguistiques pour ne pas faire de ce drame une chose sans importance, l’article a été enterré.

Lors de la conférence « Repenser le sida » qui s’est tenue à Oakland en 2009, j’ai rencontré le petit-fils de Richard Strohman, Josh Nicholson, et je lui ai dit que j’avais cette interview quelque part, que je la retrouverai, la transcrirai et la publierai. Je lui ai dit que son grand-père était un grand homme.

Je suis également redevable à Harvey Bialy pour m’avoir remis dans le droit chemin, alors que mes éditeurs m’envoyaient dans un abîme abject. Merci encore à Harvey. [La nouvelle m’est parvenue que Harvey Bialy est mort en 2020, mais personne dans mon entourage ne me l’a dit, je ne suis donc pas sûr que cela soit vrai].
© InconnuL’interview avec Richard Strohman, professeur émérite

[Entretien réalisé en 2000 ; l’original a été précédemment publié sur Truth Barrier, 2009].

Q :Je crois savoir que la thérapie génique, en tant que domaine, a connu une crise après la mort de Jesse Gelsinger, mais qu’elle reprend de l’élan…

R : Oui. Le drame a vite été oublié. Notre mémoire de ces choses est si vite dépassée par le battage médiatique suivant sur le tout nouveau gène et le tout nouveau traitement potentiel. Le monde est plein de remèdes potentiels qui n’arrivent jamais.

Q :Vous donnez des conférences sur les interprétations erronées de la médecine génétique, c’est bien cela ?

R : Ma perspective sur ce sujet est un peu plus large. C’est ma nouvelle vocation, examiner les limites du déterminisme génétique, examiner les lacunes de la science que j’ai moi-même pratiquée pendant 30 ans.

J’ai beaucoup travaillé sur la sclérose en plaques, qui est une véritable maladie génétique. Mon point de vue est qu’il existe des maladies génétiques. La thérapie génique est en théorie quelque chose à examiner, mais en même temps nous devons dire qu‘il n’existe pas un seul cas de thérapie génétique qui ait jamais fonctionné avec succès. Pas un seul.

Q :Mais l’autre camp revendique des succès en France, etc.

R : Je ne sais pas où se trouvent les données. Dans les journaux ? Tous ces gens à Penn se sont totalement laissés emportés par leur propre battage médiatique. Il y a toujours, dans ces centres médicaux, un bio-éthicien attitré qui n’est rien d’autre qu’un manipulateur, et dont le rôle est de reconnaître les difficultés et de les expliquer.

Mais ces personnes supposent que la génétique moléculaire peut réellement faire ce qu’elle dit pouvoir faire. Ils nous préparent à ce qu’ils pensent être inévitable. Puis ils affutent leurs patins pour que tout cela avance plus vite.

J’ai été interviewé par la télévision suédoise au sujet de Gelsinger.

La critique qui en est habituellement faite est que si l’on prend un cas simple, l’introduction de gènes dans des plantes, des plantes génétiquement modifiées, où les tests peuvent être effectués sur un grand nombre de personnes sans avoir à se soucier de l’éthique, ce que l’on voit c’est la chose suivante : si on introduit le gène à l’aide d’un vecteur viral et que le vecteur est là parce qu’il — et nous revenons ici à notre vieil ami Peter Duesberg — constitue un puissant facteur, le gène sélectionné sera exprimé à des niveaux qu’il n’atteint jamais dans la Nature, donc… ce robinet d’expression génétique qui est ouvert en permanence pour exprimer la protéine en question est en lui-même un phénomène totalement anormal. Il y a un autre problème. En laboratoire, on constate que le gène est activé [pour rendre la] plante résistante au pesticide. Dans le cadre de cette étroite analyse du succès attendu, on constate que le transfert de gène a réussi, qu’il a été incorporé dans le génome de l’hôte, qu’il est stable, qu’il peut être hérité, et enfin que la protéine pour laquelle le gène code est bien présente, qu’elle est exprimée. Le caractère non naturel tend à disparaître. Les questions qui ne sont pas posées sont les suivantes : Quels sont les autres effets secondaires de ce transfert de gènes ? C’est comme si l’on entrait dans une pièce remplie de gens et que l’on y insérait une opinion qu’ils n’ont jamais entendue auparavant, et que l’on s’attendait à ce qu’elle disparaisse comme si elle n’avait jamais été prononcée. À New York, par exemple. Cela n’arrive jamais. Et ça n’arrive jamais dans ces cellules non plus.

Monsanto sait que tout cela est bien réel. Toutes ces entreprises de technologies agricoles sont conscientes du processus, mais elles choisissent délibérément — et c’est là le profond problème éthique que la science devrait examiner et [qu’elle ignore] — elle choisit en toute connaissance de cause les limites les plus étroites pour estimer qu’il s’agit d’un succès. Il s’agit d’un acte criminel. Et je pense que la FDA y adhère.

Lorsque l’on doit utiliser ces méthodes en laboratoire, et appliquer vos critères de réussite, puis prendre ces mêmes critères de réussite et les appliquer aux biens et services qui sortent du laboratoire et qui se retrouvent sur des milliers d’hectares de terres cultivées ou dans les organismes des jeunes hommes hospitalisés à Philadelphie, ces critères étroits sont dépassés par les réalités du monde réelCe qui se produit ici est un acte criminel entièrement imputable à l’impudence de ces scientifiques et à leur ignorance de la complexité biologique. Pour eux, rien de mieux ne peut en être dit, en raison du fait que la majorité d’entre eux sont conscients des mesures qui pourraient être effectuées pour vérifier tout cela, mais qui sont trop coûteuses à réaliser.

Ces personnes ne veulent pas que la FDA approuve un quelconque inventaire de ces produits. Nous avons beaucoup à apprendre des aliments génétiquement modifiés que nous pouvons transposer dans les cas très rares de modifications génétiques chez l’homme.

La biologie de l’ADN comporte toute une palette de nouvelles connaissances dont ces personnes ne sont pas conscientes. C’est en cela que dans le processus de transfert de gènes, la moindre perturbation environnementale des caractères liquide et fluide du génome lui-même change tout.

C’est la métaphore de la machine appliquée à la biologie. La biologie est dominée par un point de vue mécaniste. Et c’est l’une des plus grandes erreurs. Les êtres vivants [rires] ne sont pas des machines. Ils peuvent agir comme des machines, mais ils n’en sont pas.

La science, à laquelle nous devons attribuer une certaine qualité, a complètement capitulé devant les intérêts des entreprises, et comment s’en sortir ? Il s’agit d’un sujet très difficile.

Q :Comment pouvons-nous retracer le fil de cette histoire ? Où cela commence-t-il ?

R : Tout a commencé lorsque Barbara McClintock [dans les années 1940 et 1950] a montré que les gènes pouvaient être transférés de manière transversale entre les organismes, et même entre les espèces, mais lorsque la technologie s’est améliorée, il est devenu évident que l’on pouvait manipuler les gènes en laboratoire et transférer des gènes normaux. Nous participions à ces recherches dans le cadre de la sclérose en plaques ; nous avions des modèles animaux et nous pouvions réaliser des expériences très simples et transférer des gènes normaux dans des cellules qui contenaient la mutation. C’est ce qui a alimenté ce battage médiatique selon lequel on pouvait guérir des êtres humains ou des organismes entiers, et que l’on pouvait faire des choses très intéressantes avec des cellules individuelles, mais c’était en culture et donc dans des conditions limitées.

Donc, oui, il y avait beaucoup d’excitation autour de tout cela, mais ce n’était pas très élaboré. Nous ne savions pas grand-chose de ce que nous saurions cinq ans plus tard sur la complexité du génome et sa capacité à être déstabilisé lorsque ce genre de choses était réalisé. On pouvait obtenir un effet positif en introduisant un bon gène, mais on n’était pas capable de mesurer le revers de la médaille. Quelle était la réponse de la cellule, que se passerait-il si cela concernait le corps entier, et quelle serait les interactions avec cet énorme éventail de possibilités computationnels.

C’est la raison pour laquelle les entreprises ne veulent pas s’y intéresser, car c’est trop complexe. La quantité d’argent et d’efforts qu’il faudrait investir dans cette technologie revient à la rendre impossible. Vous ne pouvez pas vous le permettre ; vous devez prendre ces raccourcis.

[Ces choses sont] transcalculatives [au-delà de la capacité humaine à configurer un ordinateur pour le calculer – NdT].

Tout le concept relatif à la capacité de l’organisme vivant le plus simple qui soit à résister à notre interprétation scientifique de manière complète est, je pense, bien acceptée.

Ce sont des interactions qui atteignent ce que l’on appelle une catastrophe de calcul. Les informaticiens disent qu’il n’y a pas d’ordinateur qui pourrait faire le calcul et qu’il n’y en aura jamais.

Q :Mais la thérapie génique repose sur le fait que ce n’est pas le cas, n’est-ce pas ?

R : Oui, il y a deux choses. Premièrement, il ne faut pas s’attendre à ce que nous puissions déterminer ce qu’est l’organisme à partir du génome, parce que l’organisme lui-même ne le fait pas.

L’organisme se détermine lui-même à partir d’une vaste gamme de données, y compris les données génétiques. L’idée du succès de la thérapie génique est qu’en plaçant un seul gène, il sera exprimé et que l’insertion et l’adaptation à l’insertion seront normales à tous les autres égards. Il s’agit d’une hypothèse et c’est une énorme supposition.

Q :Mais c’est pourtant ce sur quoi tout repose.

R : C’est en effet là-dessus que tout repose ! Et ils évitent tous les autres [aspects].

La seule avancée que j’ai vue, c’était le comité AAA sur la thérapie de la lignée germinale qui a publié un rapport la semaine dernière dans lequel ils déclarent que c’est trop dangereux, que cela ne devrait pas être fait avec des œufs et des cellules. Il y a trop de choses que nous ignorons et que nous ne pouvons probablement pas savoir.

Le transfert de gènes d’une manière telle qu’ils ne peuvent être hérités.

Le transfert de gènes ne devrait pas se faire dans les cellules de la lignée germinale, dans les œufs et les spermatozoïdes. C’est la première fois que le comité a donné des signes de contrainte aux intérêts des entreprises en leur disant qu’elles doivent ralentir. Que les chercheurs doivent ralentir.

Q :Pourquoi leur alarmisme s’est-il limité à la thérapie génique de la lignée germinale ?

R : C’est une bonne question. Je n’en sais rien.

Si l’on comprend l’hypothèse qui est faite, il n’existe pas pour autant de réponse scientifique qui soit appropriée. Il n’existe aucun moyen pour eux de dire « Ne vous inquiétez pas, nous allons arranger ça ».

Et s’ils le disent, on peut alors leur poser cette question : « Voulez-vous dire que vous ne savez vraiment pas ce que vous faites ? ».

Ils ne savent pas ce qu’ils font.

Ils se sont mis à penser que ce que nous devons savoir, c’est qu’il existe des programmes génétiques responsables des traits les plus complexes des êtres humains et d’autres organismes, et que si nous pouvions vraiment comprendre le génome humain dans sa totalité, si nous pouvions savoir ce qu’est le génome humain juste en l’imprimant sur papier, alors tout à coup, d’une manière ou d’une autre nous aurions, grâce à cette version imprimée, une sorte d’illumination. C’était presque comme si on en attendait une sorte d’expérience religieuse.Une certaine épiphanie viendrait une fois que cette image d’ensemble serait publiée. Il y a dix ans, nous en étions tous béats, ou du moins la plupart d’entre nous l’étaient, mais pas dans les classes d’étude, pas dans la formation des étudiants, ces laboratoires moléculaires sont allés de l’avant avec toute cette notion que d’une manière ou d’une autre, tout serait compris et qu’il fallait attendre et voir, et ne pas sous-estimer la science et toute l’importance de la patience, et bla bla bla et c’était ça, et c’est toujours ça, et ces gars sont là avec leurs gros ordinateurs et ils ne comprennent pas les limites comme le font les physiciens. Et les physiciens semblent rester silencieux sur tout cela, vous l’avez remarqué. C’est ainsi que le Projet génome humain cherche maintenant désespérément un moyen d’expliquer ce qu’il va faire avec les données qu’il a collectées et l’humiliation qui s’annonce est presque du même ordre que le phénomène du VIH/SIDA. Ces gens-là ne savent pas comment passer du génome à l’organisme, point final. Ils ne peuvent rien faire et la raison pour laquelle ils ne peuvent rien faire est la raison que Tom Kuhn a expliquée : Si vous avez un paradigme qui s’essouffle, vous ne pouvez pas le remplacer par un nouveau tant que ce dernier n’est pas opérationnel. Nous n’avons pas de nouveau paradigme opérationnel, et nous sommes donc coincés et il est très difficile de s’en sortir.

Étant donné le pouvoir et l’argent des multinationales intéressées, cette affaire se réglera d’elle-même. Tout se joue autour des applications. Le Projet génome humain est financé — et il l’a été dès le début — afin de guérir les maladies humaines et de fournir les moyens d’augmenter l’espérance de vie.

Les Japonais vont bientôt vivre jusqu’à 90 ans, les gènes ne sont même pas mentionnés.

C’est un autre problème : l’espérance de vie n’a rien à voir avec la génétique.

Toute l’excitation est venue du fait qu’il y a quinze ans, certains parmi les biologistes s’accrochaient à l’idée qu’il existait quelque chose appelé « programmes génétiques ».

La seule chose qui leur restait à découvrir était cette thérapie génique, en utilisant les résultats du Projet génome humain et les outils moléculaires pour alimenter ce battage médiatique et tenter de devenir une industrie majeure. Il s’agit là de servir la recherche fondamentale.

Ils n’ont tout simplement pas anticipé cette réalité. En fait, ils l’ont fait mais… ils ont décidé d’ignorer les inquiétudes qu’ils pouvaient avoir. Il y avait d’autres patients qui montraient des signes de sensibilité. Il y avait des signaux d’alarme qui clignotaient. Ce qui a tué Jesse Gelsinger, c’est cette insistance du laboratoire à vouloir se concentrer sur la computation.

Ils ne savent pas ce qui s’est passé.

Ils ne savent pas ce qui s’est passé !

Il existe beaucoup de rapports sur toutes les différentes choses qui peuvent se produire lorsque l’on introduit de l’ADN étranger dans une cellule, mais ils sont tous ignorés. Il existe des articles qui montrent que quand on prend des cellules en culture et qu’on y introduit de l’ADN pour les mettre dans l’organisme d’un animal, des choses bizarres se produisent.

Q :Quelles genres de choses ?

A :Les cellules deviennent sensibles, elles présentent une réponse d’hypersensibilité, toute séquence d’ADN aussi petite que 25 paires de bases environ va générer des réactions vraiment imprévisibles de la part des cellules. Le simple fait de mettre des cellules en culture afin de procéder à cette manipulation crée des instabilités génétiques, qui sont héritées. On le voit très clairement dans les cellules végétales. Le fait que l’expérience ne génère rien et que c’est dû à l’énorme quantité de variabilité dont vous ne savez rien est… tout cela est négligé au grand péril de tout le monde.

Q :Une industrie naît grâce à un quelconque moment d’eurêka, n’est-ce pas ?

R : Oui.

Q :Comment expliquer les raisons pour lesquelles ils ont pensé que cela fonctionnerait ?

R : C’est tellement simple, c’est comme pour le VIH, on ne peut pas à y croire.

Ils ont fait toutes leurs expériences dans des conditions contrôlées en laboratoire, ce qui les a fait fonctionner, les résultats étaient visibles. Tout a changé d’une manière prévisible. Bien sûr, ce qu’ils n’ont pas montré, ce sont les choses qui se sont produites et qui n’était pas prévisibles. Mais toutes ces données sont justement celles qu’ils ont jetées à la poubelle. Et on continue à faire les expériences de différentes manières jusqu’à trouver la méthode qui donne la réponse souhaitée.

Q :Puis le filon a commencé à être exploité ?

R : Oui. Autrefois, la science aurait pu trouver une solution, mais elle a tellement été accaparée par les relations avec les entreprises et la hâte de transposer au marché les résultats obtenus en laboratoire qu’elle a créé tout cela. Donc la [vraie] méthode de la science est ancienne.

[Par le passé], nous n’avons jamais eu cette pression incessante pour produire quelque chose d’utile — utile dans le sens rentable. Et dans ces circonstances, tout le monde est pris dans l’engrenage. Tout le monde s’y laisse prendre, et les subventions et les millions de dollars affluent dans les laboratoires, et des carrières se créent.

Q :Le battage médiatique autour de la thérapie génique n’est-il pas venu du sida et du cancer ?

R : Oh oui, tout est dû aux gènes, que ce soit un gène humain, un gène normal ou un gène viral. Toute causalité commence par le gène.

Q :Et d’où vient cette croyance ?

R : Cela vient, ma chère, de Gregor Mendel. Une ligne droite et une ligne droite simple, c’est absurdement, grotesquement simple. Passer de Mendel aux centres médicaux est la chose la plus absurde du monde.

Note du traducteur : Gregor Johann Mendel était un météorologue, mathématicien, biologiste, frère augustin et abbé de l’abbaye Saint-Thomas de Brno, dans le Margraviat de Moravie. Né dans une famille germanophone de la partie silésienne de l’Empire autrichien (l’actuelle République tchèque), il a été reconnu à titre posthume comme le fondateur de la science moderne de la génétique.

Q :Pourquoi ?

R : Parce que Mendel a décrit des caractéristiques très simples chez les plantes.

C’est ce que j’ai publié il y a un an, les données sont qu’il y a ces maladies chez les humains auxquelles on peut attribuer une causalité à un seul gène, et on peut avoir un certain espoir de faire quelque chose contre ces maladies. Mais si l’on cherche dans l’almanach mondial dans quelle mesure l’une de ces maladies génétiques ou toutes ces maladies génétiques combinées entrent en jeu dans l’espérance de vie ou les taux de mortalité, on ne trouverez rien. Il existe des milliers de maladies génétiques, mais elles ne représentent que moins de 2 pour cent de notre charge de morbidité. Maintenant, on prend cette même logique infructueuse et on l’applique aux maladies complexes, on parle maintenant des maladies cardiaques et du cancer, et c’est totalement étrange — c’est une science bizarre et terrible. Quiconque dit que ça ne fonctionnera pas est un Luddite, un anti-intellectuel et un anti-scientifique.

Note du traducteur : Un Luddite était, à l’époque de la révolution industrielle, un membre d’une des bandes d’ouvriers du textile anglais, menés par Ned Ludd, qui, de 1811 à 1813 et en 1816, s’organisèrent dans un mouvement clandestin pour détruire les machines, accusées de provoquer le chômage.

Ils pensent qu’ils font de la science pour le plaisir de la science. Ils pensent que si leurs travaux nous mènent dans un tunnel obscur, ils trouveront la sortie et la lumière, etc. La question est de savoir ce que nous faisons dans le monde réel en attendant que tout le monde découvre où se trouve la lumière. Il s’agit d’une autre question éthique à laquelle la science n’a pas de réponse et nous devons envisager la question du point de vue de l’élaboration de lignes directrices pour la science, ce qui suscite également une forte résistance. C’est comme un déni du premier amendement ou quelque chose comme ça. J’appelle cette technologie une invitation au diable. Un des phénomènes les plus destructeurs de l’histoire du monde.

Q :Le paradigme dans lequel nous nous trouvons actuellement s’appelle comment ?

R :Le modèle machine de la biologie. La vie est une machine, les éléments de la machine sont les gènes et les protéines, et nous pouvons réduire la machine à ses parties. C’est l’idée que nous pouvons contrôler la vie.

Q :Et quel est le paradigme qui a été remplacé par ce modèle ?

R : C’est une question intéressante. Il n’y a jamais eu de paradigme monolithique autre que l’évolution, qui fait ces temps-ci l’objet de nombreuses critiques. Je pense que nous sommes en pleine révolution. Lilly Kay, du MIT, a écrit un livre à ce sujet il y a quelques années.

Il y a 50 ou 60 ans, il existait un pluralisme dans les sciences de la vie, nous pouvions avoir un paradigme évolutionniste ou un paradigme holistique… mais les pouvoirs en place, même avant la Seconde Guerre mondiale, ont décidé que la direction que nous allions prendre serait la biologie moléculaire et une voie déterministe. Que la vie était contrôlée par ces structures que nous pouvions maîtriser et donc que nous pouvions de cette façon contrôler la vie.

Je ne sais pas s’ils étaient assez machiavéliques pour se dire « voilà comment nous pourrions tous nous enrichir ». Mais [dans le passé], il existait un pluralisme au sein de la science, et de nombreuses directions différentes, [cela a disparu]. Aujourd’hui, rien n’est scientifique en biologie à moins qu’il ne s’agisse de génétique. C’est ce qui s’est produit. On le voit dans l’évolution structurelle de l’université. Il y a 50 ans, nous avions des départements dédiés aux organismes, zoologie et botanique. Dans la plupart des grandes universités, ces départements ont été supprimés. J’étais le président du département de zoologie ; maintenant, il a disparu. J’appelle cela le programme de rénovation urbaine intellectuelle, ils ont démoli les quartiers et construit tous ces gratte-ciel et personne ne se parle.

Toutes ces directions de recherche sont peut-être encore là, mais elles suivent néanmoins la même musique. Les anciennes idées métaphysiques, selon lesquelles la vie n’était que partiellement matérialiste et qu’il fallait quelque chose appelé force vitale pour expliquer complètement la vie… C’était obscur à bien des égards, et la biologie tentait depuis longtemps de s’en libérer lorsque Mendel est arrivé avec les particules héréditaires. Au début du XXe siècle, nous avons commencé à associer les particules conceptuelles de Mendel à des éléments appelés chromosomes, puis aux gènes, d’une manière qui a permis à l’ensemble de la structure de la biologie de se rapporter à la grande question cosmologique de l’évolution. C’était la fin de toute forme d’étroitesse d’esprit. Un passage en force vers le matérialisme et le déterminisme.

Dick Rowan a déclaré dans un de ses articles publiés dans la New York Review of Books :

« Vous devez comprendre que la biologie moderne est matérialiste. Nous sommes acquis au matérialisme. Et nous n’allons pas laisser Dieu revenir s’immiscer dans la partie. »

Au nom de ne pas laisser Dieu revenir s’immiscer dans la partie, nous ne faisons pas face à la réalité. Ce que l’on pourrait considérer comme mystique est simplement quelque chose que d’autres personnes appellent complexité et la complexité est scientifique, elle ne coïncide tout simplement pas avec cette pensée linéaire qui caractérise la majeure partie de la génétique.

L’épigenèse est tout ce qui concerne le génome et qui n’est pas le gène. C’est un vieux mot. La forme moderne de l’épigenèse est la découverte scientifique dont ne parlent pas ces sociétés… si vous perturbez une cellule en culture, le génome répondra à ce changement de façon très spécifique, une partie de la réponse d’une cellule aux stimuli, beaucoup de choses changeront dans la façon dont les gènes sont exprimés. Les gènes qui étaient silencieux avant que vous ne leur donniez un stimulus sont maintenant amenés à s’exprimer selon un schéma différent de celui que vous veniez d’utiliser. Et ce n’est pas tout, les gènes seront marqués par des voies chimiques que désormais nous connaissons mais dont nous ne comprenons pas le schéma.

On change les structures organisationnelles des gènes sans changer les gènes eux-mêmes, car l’idée que l’on puisse changer les gènes autrement que par mutation aléatoire serait hérétique [en référence au néo-darwinisme – NdT].

Tous ces changements compliqués [se produisent] lors de l’exposition du génome de la cellule à un certain nombre de stimuli, et particulièrement par l’intervention d’un ADN étranger.Les gènes fabriquent des protéines, les protéines interagissent les unes avec les autres. Ils forment des réseaux et ces réseaux acquièrent une vie qui leur est propre. Ils ont une logique qui fait défaut au génome. Ils n’existent que dans le monde réel de l’expression. [C’est le] phénomène épigénétique, et l'[immense] complexité n’apparaît nulle part dans cette impulsion des entreprises qui veulent tout soigner par le biais de l’interventionnisme.

Q :Quels sont vos motifs d’inquiétude ? Quel est le scénario le plus dangereux qui peut découler de tout cela ?

R :Je crains que nous ne contaminions la planète entière avec des plantes génétiquement modifiées. Et que cela soit irréversible. Et nous n’avons même pas la moindre idée de ce qui pourrait s’en suivre.

Le PDG de Sun Microsystems, Bill Joy, a publié un article important dans Wired, en mars de cette année. Bill Joy appelle à un ralentissement de la technologie. Le co-fondateur de Sun Microsystems. Vous savez de quoi il a peur ? Il a peur que ce que nous allons faire… ça fait déjà partie de toute cette affaire de manipulation génétique des humains, des embryons… Joy a peur que nous commencions à créer des hybrides, entre les êtres humains et les circuits nanotechnologiques fabriqués dans des endroits comme Sun Microsystems, et que ces hybrides prennent le dessus. C’est le dirigeant, il parle sérieusement. C’est un gars sérieux. Et nous, les biologistes… Je crains qu’avant de fabriquer les robots, nous ayons déjà créé les conditions qui exigeront les robots, car il n’y aura plus rien d’appelé agriculture.

[Mention d’un bulletin d’information sur l’eugénisme technocratique.]

Q : Est-ce la perte potentielle de la vie organique sur notre planète Terre ?

R :Oui.

Q : Qu’est-ce qui vous inquiète le plus quand vous pensez à la soi-disant thérapie génique ?

R : Ce qui m’inquiète, c’est l’inquiétude exprimée par William Blake :

« Ce qui semble être, est, à ceux à qui cela semble être, productif des conséquences les plus épouvantables, jusqu’aux tourments, au désespoir, à la mort éternelle. »

Si nous pensons que le monde des organismes est un monde de machines, nous commencerons à nous traiter mutuellement comme des machines. C’est l’énorme danger de tout ce modèle mécaniste des organismes. C’est ce terrible cauchemar qui devient réalité.

Source de l’article initialement publié en anglais le 20 juin 2021 : celiafarber.substack.com
Traduction et emphases : Sott.net




Les «complots de panurges», cancer de la résistance.

[Source : lesmoutonsenrages.fr]

Par Jean Pierre Aussant

Il y avait déjà le « prêt-à-penser ». Nous avons maintenant le « prêt-à-découvrir ».

Les faux complots que je qualifierais de complots «prêts-à-découvrir» comme le virus «fabriqué en Chine» (s’il est fabriqué en Chine, c’est qu’il existe…) ou encore l’efficacité de la chloroquine (si elle est efficace, c’est que là aussi, le virus existe, car rien n’est efficace contre rien…), sont souvent sinon créés par la dictature elle-même, au moins encouragés par elle, et ce dans le but d’entraîner la population (en lui donnant un peu d’avoine à ruminer) dans des réflexions «cul-de-sac» et sans danger pour elle. C’est qu’il s’agit avant tout d’empêcher le peuple de comprendre que le seul vrai complot à découvrir, est que le corona n’est que la « dramatisation sémantique » d’une simple grippe. Et rien d’autre…

En clair, les opposants à la dictature de l’hygiène ont le droit de tout dire, y compris que le virus a été balancé sur terre par les extra-terrestres, mais en revanche, ils n’ont pas le droit de nier son existence. Bref, tout dire sauf……la vérité. La dictature nous autorise pour ainsi dire à donner notre opinion, à condition toutefois de faire quelques concessions au mensonge. Elle nous dit : « accepte le mensonge, et après dis ce que tu veux ».

Force est de constater hélas, que l’immense majorité des « résistants » plus ou moins médiatisés qui pullulent désormais dans les réseaux sociaux (à coups de vidéos « regarde, c’est du lourd ») se vautrent tête première dans ce piège (et avec eux les revues en ligne de résistances plus ou moins catholiques comme….(ils se reconnaîtront). Ainsi, quand bien même sans le savoir et quand bien même en étant bien intentionnés, ces gens contribuent « en creux » à propager le mensonge de la dictature qu’ils essayent pourtant de combattre.

Dans cet esprit, je ne peux que réitérer ce que voici deux ans j’écrivais déjà dans mon essai «l’instrumentalisation du corona»: la condition sine qua non à toute résistance crédible est de manifester une tolérance zéro contre la plus grande fakenews de tous les temps. Toute autre approche ne pourra que générer à plus ou moins long terme encore plus de trouble et de confusion.

Jean Pierre Aussant


[Voir aussi :
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
L’effondrement de l’hypothèse virale. Mise à jour]




Pétition pour la destitution du président Macron

[Source : leslignesbougent.org]

Pétition pour la destitution du président Macron

Nous,
citoyens français, demandons une motion de censure à l’Assemblée nationale en vue de la destitution du président Macron et de son gouvernement pour manquement grave à sa fonction présidentielle, maintient d’une population dans un état d’urgence sanitaire abusif, mensonge d’état, corruption, mauvaise gestion de crise, détournement d’argent public à des fins personnelles de campagne électorale, prise d’intérêt, mise en danger de la vie d’autrui, abus de pouvoir, népotisme, cloisonnement et discrimination d’une partie éclairée de la population, décohésion sociale, gouvernement par la peur et la répression, désorganisation de l’appareil constitutif et administratif de la France, accusations calomnieuses à l’égard des services sanitaires du pays, pillage en règle et en bande organisée des richesses de la nation, détournement des médias à des fins de propagande coercitive et nuisible au bien être physique et psychique de ses administrés, empoisonnement par abus et usure d’ustensiles non appropriés au bien-être de tous (masques inutiles et polluants), incitation à l’ostracisme et à la violence, tentative de génocide par obligation d’utilisation de produit non réglementés et dont la dangerosité est avérée (thérapie génique), mensonge par omission et manipulation de masse par des personnes détenant autorité, élitisme, bafouement de la constitution de la 5e république, promulgation par décrets de lois iniques en vue d’asservissement des citoyens, décrédibilisation et destruction du système de santé, utilisation des pouvoirs publics et des forces de l’ordre à des fins de répression, privation des citoyens de leurs libertés fondamentales d’expression, de pensée, de mouvement et d’épanouissement.

Nous demandons également la mise sous tutelle populaire du Sénat, du Conseil Constitutionnel et de l’Assemblée nationale pour prise d’intérêts ainsi que le Conseil de l’ordre médical, la faculté de médecine, la magistrature et les différentes académies qui se sont portés caution de ces agissements.

Nous demandons que ce président restitue les pouvoirs que le peuple lui a confiés au début de son mandant.

Qu’il soit saisi de tous ses biens et avoirs pour rembourser tout ou partie du préjudice susnommé.

De même une interdiction électorale et également une interdiction de pratiquer sur le territoire.

Qu’il soit également dessaisi de ses appointements de retraité de la haute fonction publique après son mandat.

L’abrogation et l’annulation pure et simple de tout son mandat y compris l’annulation des ventes des fleurons technologiques du pays à des puissances étrangères et soit poursuivit pour haute trahison.

Auteur : Luqy

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L’effondrement de l’hypothèse virale. Mise à jour

[Source : Jérémie Mercier]

Pour ce 19e numéro de « Science en Conscience » pour ReinfoCovid, Jérémie Mercier reçoit Urmie Ray, docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment.

Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » [Sur la science : concepts, cultures et limites] (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles.

Crédit musique générique : Erik Baroux

► Retrouvez Urmie Ray sur son site : https://urmieray.com/fr/

► Retrouvez ReinfoCovid sur le site : http://reinfocovid.fr/

► Retrouvez Jérémie Mercier sur son site : https://www.jeremie-mercier.com/
et sur son groupe Telegram : https://t.me/DeconfineTaSante

[Ndlr: à partir de 9 min 50 pour ce qui concerne l’hypothèse virale]



[Voir aussi :
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
et liens annexes]

[Mise à jour : la démonstration scientifique s’appuie sur la logique. En logique pure, pour qu’un phénomène, un événement, un objet ou un être vivant soit la cause unique d’un autre phénomène, événement, objet ou être vivant, il doit respecter les conditions logiques suivantes :
Il est suffisant que la présence de la cause entraîne la présence de la conséquence prévue
ou inversement que l’absence de la conséquence implique l’absence de la cause.
Si la cause est effectivement unique, il n’y a bien sûr aucune autre cause systématiquement présente.

Il est par contre nécessaire que l’absence de la cause entraîne l’absence de la conséquence prévue, ou qu’inversement la présence du phénomène prévu implique la présence de la cause.

Exemple en climatologie :

Si les nuages étaient la cause unique de la pluie, il serait suffisant que la présence de nuages entraîne celle de la pluie
et inversement l’absence de pluie impliquerait l’absence de nuages.

Or, on observe assez souvent la présence de nuages sans qu’il y ait de pluie du tout et dans certains cas, au lieu de pluie, on a plutôt de la neige ou de la grêle.

De plus, il serait nécessaire que l’absence de nuages entraîne l’absence de la pluie
ou inversement que la présence de la pluie implique celle des nuages.

Mais dans la pratique, on a pu pourtant observer de la pluie fine en certains lieux et circonstances sans nuages visibles, par phénomène de condensation localisée de vapeur d’eau.

Donc, tout cela montre logiquement que les nuages ne sont pas la cause unique de la pluie et que d’autres facteurs (ou éléments causaux) interviennent, comme la température et la pression de l’atmosphère.

Exemple en virologie :

Si un virus donné (comme le supposé SRAS-CoV-2 pourtant jamais physiquement isolé) était la cause unique de la maladie Covid-19 qu’on lui attribue, alors il serait suffisant que sa présence entraîne la maladie associée, et inversement l’absence de la maladie impliquerait l’absence du virus.

Or, on observe assez souvent que des personnes auraient prétendument le SRAS-CoV-2 dans leur organisme alors qu’elles ne sont pas malades et n’ont aucun symptôme, au point qu’on les appelle « malades asymptomatiques ».

De plus, il serait nécessaire que l’absence du virus entraîne l’absence de la maladie ou qu’inversement la présence de la maladie entraîne celle du virus.
Or, comme les symptômes de cette maladie couvrent d’autres maladies ou phénomènes (comme les symptômes de la grippe ou comme les effets sur la santé d’ondes électromagnétiques pulsées) et que l’on a pu les observer sans le moindre lien avec le SRAS-CoV-2, on peut dire que l’on a des personnes qui aujourd’hui seraient diagnostiquées Covid-19 sans pour autant que l’on y détecte de SRAS-CoV-2.

Donc tout cela montre qu’au mieux le SRAS-CoV-2 n’est pas la cause unique de la Covid-19, mais que d’autres facteurs doivent logiquement intervenir s’il a quelque chose à y voir (et si par hasard il existe vraiment, mais n’est pas un simple artefact virtuel produit d’une méthodologie qui n’a rien de scientifique comme cela est démontré dans la vidéo).

Exemple en électricité :

Si le courant électrique est la cause unique de la lumière d’une lampe, il est suffisant que la présence du courant dans le filament de l’ampoule entraîne son éclairage et inversement, l’absence de courant implique l’absence de lumière.

Ceci est effectivement observé à partir du moment où le courant est d’intensité suffisante. (En toute rigueur, on pourrait toutefois ici invoquer une cause secondaire, à savoir l’existence d’une résistance électrique au passage du courant dans le filament. Et donc en toute rigueur le courant électrique est la cause principale, mais pas unique de l’éclairage de la lampe.)

De plus, il est nécessaire que l’absence de courant entraîne l’absence de lumière dans l’ampoule
ou inversement que la présence de lumière implique celle du courant.

On n’observe effectivement pas de lampes électriques allumées sans qu’elles soient parcourues par un courant électrique.]

[Ndlr : ceci réfute également la théorie selon laquelle des virus se seraient incorporés à l’ADN humain pour faire de l’Homme ce qu’il est aujourd’hui]




David Pujadas s’attaque frontalement au mirage Omicron, preuves à l’appui

[Source : lemediaen442.fr]

Rien ne va plus, Pujadas commence à s’énerver. L’agacement face aux mensonges n’est plus tenable. (…) Une chose est certaine, il en a gros sur la patate et n’est certainement pas le seul journaliste à être agacé.


Nous sommes jeudi 30 décembre 2021 et le journaliste de LCI a décidé de s’attaquer frontalement au tsunami Omicron, afin de montrer aux téléspectateurs qu’il n’est en réalité qu’un mirage. Les arguments sont là, les chiffres, les preuves et face à ce constat sans appel, David Pujadas commence par cette phrase :

« l’Apocalypse Omicron, alors je dis Apocalypse, parce que c’est couramment admis. On ne peut pas dire Omicron sans dire tsunami, raz-de-marée, la falaise, le mur qui va tous nous ensevelir. C’est ce qu’on entend dans les médias. C’est ce qu’on entend chez les médecins. Vous lisez dans la presse, vous l’entendez à la radio, vous le voyez à la télévision. Bref, la peur, l’inquiétude. »

.

Le Média en 4-4-2




La forteresse Macron se lézarde ! infligez-lui la déroute qu’il mérite

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

La forteresse Macron se lézarde plus vite et plus profondément que nous ne pouvions l’imaginer. Après une nouvelle offensive éclair menée entre Noël et Nouvel An (dont le mauvais effet psychologique sur ses soutiens a probablement été sous-estimé par son entourage), Macron enchaîne désormais les déconvenues. Après avoir renoncé au passe sanitaire en entreprise, avoir concédé le retour du certificat du rétablissement, le gouvernement doit composer avec des députés qui se rebellent, et des fissures partout dans l’édifice et dans la « narration » qui lui sert à justifier sa politique de ségrégation. C’est le moment d’intensifier la pression pour infliger une dérouté à ce président scélérat.



La forteresse Macron n’est pas encore tombée, mais des fissures, et mêmes des brèches s’ouvrent dans l’édifice, qui laissent à penser que tout est désormais possible. 

Travail de sape dans la forteresse Macron

Hier, les députés se sont rebellés contre le mépris présidentiel pour le débat parlementaire. Il faut dire que les couleuvres commencent à être trop grosses à avaler, même pour un député grouillot qui doit son élection au Président (et qui lui devra, en juin, si les choses continuent, son élimination au premier tour des législatives). 

Déjà, cet été, le Président avait attendu la veille de la Fête Nationale pour annoncer la vaccination obligatoire des soignants et le passe sanitaire. Attendre que les Français soient en vacances pour prendre ce genre de mesure autoritaire n’a rien de glorieux. 

Déjà, cet été, le Président avait exigé des députés qu’ils votassent sans broncher un texte qui en a fait vaciller plus d’un. 

Mais cet hiver, rebelotte. Et cette fois, ce ne sont pas les séjours à la plage qui ont morflé. C’est la trêve sacrée entre le renouveau de la lumière et le changement d’année. 

Il est probable que très peu de conseillers autour d’Emmanuel Macron aient un sens sacré suffisant pour comprendre combien ce genre d’habitude devient déplacée lorsqu’elle touche aux fondements spirituels de la société. Mais nous sommes convaincus que cette maladresse a un impact beaucoup plus important qu’on ne le pense. 

Mais Macron ne s’est pas contenté du prétexte d’une prétendue cinquième vague pour imposer des mesures copiées de l’Italie. Il ne s’est pas contenté de faire travailler les conseillers d’Etat entre Noël et Nouvel An. Il a aussi exigé des députés qu’ils accélèrent les débats jusqu’à ne plus débattre… pour pouvoir tenir un calendrier dont on mesure les sous-entendus politiques. 

Tout ce que Pfizer prend n’est plus à prendre

Qui est dupe, désormais, de la soumission du pouvoir en France aux intérêts de Pfizer ?

L’ampleur des effets secondaires est de plus en plus difficile à nier. Même dans les beaux quartiers parisiens, l’affaire prend une tournure inattendue, comme le montre ce message sur les réseaux sociaux :

Peu à peu, le “narratif” gouvernemental prend l’eau. Les doutes viennent à un nombre grandissant de personnes sur l’empressement que Macron met à refourguer du Pfizer à tour de bras. 

Dans la rue, on entend partout que la troisième dose passe mal. Ceux qui la subissent prennent de façon fréquente de plein fouet des effets secondaires extrêmement désagréables. Il devient difficile de les cacher, et la cécité du ministre de la Santé sur ce point est suspecte. 

Lorsque les “complotistes” en parlaient, on pouvait ricaner. Mais lorsque soi-même on fait l’épreuve de ce moment difficile, l’esprit s’ouvre…

L’annonce d’une quatrième dose, dans ces conditions, a beaucoup fragilisé la crédibilité de la politique menée par Macron. Beaucoup en viennent à se demander ce que cela cache vraiment !

Profitons-en pour contre-attaquer de façon unie

C’est le moment de passer à l’action !

Nous vous proposons une action commune entre Rester libre ! et Bon Sens, l’association créée par Christian Perronne et quelques autres. 

Il s’agit d’expliquer à votre député que vous ferez ce qu’il faut pour qu’il ne soit pas réélu s’il vote le passe sanitaire. 

Je suis très heureux de cette alliance avec Bon Sens pour mener cette action de dissuasion. 

Vous trouverez ici tous les détails sur cette action qui vous prendra 5 minutes. Ces 5 minutes sont vitales pour la démocratie.

De toutes les manières, passez à l’action. Sortez de la mine, descendez des collines. Tout ce que vous ferez ira dans le bon sens. 

Figurez-vous que 2022 peut nous réserver d’excellentes surprises ! et figurez-vous que vous pouvez contribuer à les créer !




Italie : la mairie de Naples avait interdit aux habitants de tirer des feux d’artifice ; ils risquaient 500 euros d’amende… Mais…

[Source : Qactus]

La mairie de Naples avec son maire, Gaetano Manfredi, a décidé d’interdire les feux d’artifice et les pétards. Celui-ci avait interdit aux habitants de tirer des feux d’artifice le soir du 31 décembre dans le cadre du programme sécurité covid. Les habitants napolitains risquaient 500 euros d’amende…

Résultat ? La réponse de la ville a été magique : elle s’est embrasée comme jamais à minuit.

Bravo les Italiens ! 14 vrais blessés enfin à l’hôpital ?? Dommage pour eux bien sûr !! Mais au moins pas du COVID…







https://twitter.com/MichaelPSenger/status/1477349404365393920
https://twitter.com/CarolWood777/status/1477044541681188871



Luxembourg — Lettre ouverte contre l’obligation vaccinale

[Transmis par Christine Côte]

E F V V – European Forum for Vaccine Vigilance
Jean-Pierre EUDIER, Président,
7, Rue des Maximins
8247 MAMER

Commission Consultative Nationale d’Éthique
Madame la Présidente
Julie-Suzanne BAUSCH
18-20, Montée de la Pétrusse
L-2327 Luxembourg

LETTRE OUVERTE

Luxembourg, le 3 janvier 2022

Conc. : Votre rapport du 8 décembre 2021 sur l’obligation vaccinale des majeurs

Madame la Présidente,

Dans votre rapport du 8 décembre 2021, vous ouvrez la porte à la vaccination des enfants ainsi qu’à l’obligation vaccinale des majeurs.

La Commission semblait naguère hostile à la vaccination obligatoire, peut-être reviendra-t-elle de nouveau sur cette opinion dans six mois. Vous avez avec vous votre conscience, votre morale et votre responsabilité.

Vos considérations semblent préparer l’opinion publique à briser le tabou de l’inviolabilité du corps humain et du droit de la personne, de refuser, d’interrompre ou de s’abstenir d’un soin.

Tout comme les membres de la Commission, nous sommes des membres de la société civile, comptant parmi nous des juristes, des médecins, des fonctionnaires concernés par la vie de la cité.

Nous sommes tout d’abord au regret de devoir évoquer la question des liens éventuels de certains membres de la Commission avec les membres du Gouvernement et d’autres personnalités du monde politique.

En particulier, nous vous prions de nous confirmer que l’homonymie de votre patronyme avec Monsieur le vice premier Ministre François BAUSCH, n’est qu’une pure coïncidence.

Votre Commission étant un rouage de la démocratie, cette question doit pouvoir être évoquée en toute quiétude et objectivité.

Votre confirmation nous suffira.

Nous nous devons de combattre votre point de vue.

En laissant disparaître la pensée individuelle, le conformisme favorise les dérives d’un processus de négation des libertés individuelles et d’acceptation d’une politique de ségrégation.

Aussi, nous nous permettons de vous adresser la présente lettre ouverte en vous invitant à venir débattre sachant que le travail de la Commission doit obéir à l’exigence systématique de « recherches et débats pluralistes, objectifs qui tiennent compte de la complexité de l’horizon normatif de notre société. »

« À qui est persuadé détenir une vérité universelle, il est indécent d’oser demander des preuves. C’est le principe de l’intégrisme religieux. La peur de la maladie et de la mort nous rendent vulnérables face aux marchands d’espoir. La démarche scientifique n’échappe pas aux règles de la psyché humaine. La science nous a sorti de l’obscurantisme, veillons à ce qu’elle ne nous y replonge pas. Ce n’est pas au réel de se plier à nos croyances. »

Peut-être n’y prêterez-vous aucune attention.

Il nous importe aussi de laisser le témoignage que nous nous y sommes opposés, l’avenir jugera ensuite de l’opinion et de l’attitude de chacun.

Il s’agit encore de faire prendre conscience à nos concitoyens que l’oppression et le chantage à la vaccination ne sont pas des choses normales et de leur donner les arguments juridiques afin de s’y opposer.

Nous évoquons ici non seulement les mesures liberticides sous prétexte de la crise sanitaire mais aussi et surtout au regard de la stigmatisation et la pression exercées sur une partie de la population.

La science et la rationalité ont disparu faisant place à une idéologie politique assumée visant à vacciner à tout prix l’ensemble de la population.

Le passage du système 3G au système 2G dans les cinémas et les restaurants en est l’exemple le plus éloquent. Cette politique apparaît ici contre-productive, voire potentiellement favorable à la diffusion du virus.

L’avis du Collège médical du 8 décembre 2021 est particulièrement éloquent dans ce contexte :

« le collège médical constate avec satisfaction que le gouvernement se propose donc de suivre cet avis d’augmenter la pression sur les non-vaccinés et même de façon renforcée (seuls les certificats de vaccination et de rétablissement 2G sont admis pour les activités et les établissements dits de loisirs) ».

Le Collège médical appelle ainsi à des « mesures coercitives renforcées » sur les récalcitrants à la vaccination.

Ces termes sont terribles car ils opèrent un glissement dans une logique qui justifie l’exercice de la violence sur la population.

Vous l’admettez d’ailleurs vous-même dans votre rapport en stigmatisant ceux qui n’ont « pas fait leur devoir de citoyen ».

Jusqu’où irons-nous ? Après les avoir privés de leurs moyens de subsistance, faut-il enfermer les réfractaires ? Faudra-t-il même les priver de l’autorité parentale ? De leurs comptes bancaires ? Faudra-t-il aller jusqu’à les condamner pour mise en danger de la vie d’autrui ?

Tout est possible dans cette logique qui veut qu’ils soient les responsables de la pandémie !

La minorité est déjà fortement marginalisée par des communications agressives de personnalités influentes du monde politique, n’hésitant pas à la décrire comme complotiste et inconsciente des risques qu’elle fait encourir aux autres.

Après avoir été stigmatisés, culpabilisés puis privés de leurs droits, les réfractaires à la vaccination seront désormais « hors la loi » avec l’obligation déjà programmée à la vaccination, à en croire votre rapport.

Toutes ces annonces accentuent la dangereuse dérive vers une stratégie de désignation d’un bouc émissaire. Quand on désigne un groupe de personnes comme coupable de tous les maux d’un pays, l’Histoire nous montre que c’est non seulement toujours faux et qu’ensuite cela finit toujours très mal.

Vous rétorquerez très certainement que tel est le jeu de la démocratie et que la majorité des citoyens approuvent la politique du gouvernement.

L’anomalie devient la norme.

Des bonnes fois sont abusées, des mauvaises fois abusent.

Les citoyens ont l’impression d’être les jouets d’un scénario absurde. L’école est désorganisée, le monde économique est sur les nerfs. La science, la rationalité et le droit ont disparu, place aux passions.

La politique de ségrégation du laissez-passer vaccinal est présentée comme la seule alternative au confinement.

Près de deux ans après la sidération du confinement, les citoyens constatent à présent que nous n’avons ni la liberté, ni la sécurité et que nos enfants en subissent en première ligne les conséquences.

Nous ne concevons pas la démocratie comme la tyrannie de la majorité.

Il y a lieu de respecter les institutions gardiennes de la démocratie et notamment la Constitution mais aussi les traités internationaux comme la Convention européenne des Droits de l’Homme.

Le justiciable doit, en outre, pouvoir faire usage d’un recours effectif de constitutionnalité et non pas plusieurs mois ou même années après lorsqu’il est exposé à la suspension de ses revenus.

Or, les pouvoirs publics semblent miser sur la durée des procès tout en prenant de court le justiciable en transférant de surcroît la responsabilité de l’application de la loi sur les opérateurs économiques.

Il n’est donc pas surprenant qu’en se coupant des conseils de sagesse et de pondération que la constitution luxembourgeoise et européenne lui permettrait de conserver, il s’insinue une forme très archaïque de pouvoir dans une vision unilatérale de l’ordre social arrêtée depuis le choix de l’état d’urgence sanitaire.

Le Grand-Duché du Luxembourg doit respecter les engagements dont il est signataire et notamment la résolution 2361 de l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe votée le 27 janvier 2021 par tous les pays de la communauté laquelle prescrit une attitude respectueuse des libertés qu’elle énonce clairement dans les paragraphes suivant :

7.3.1 « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement; »

et 7.3.2 « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner; »

Les principes définis dans la résolution 2361 doivent être respectés.

Le respect de la parole donnée est une valeur essentielle qui fonde la confiance nécessaire à l’exercice du pouvoir.

Même sur le site Internet du Ministère de la Santé, à la question : est-ce que la vaccination contre la COVID-19 sera obligatoire, il est répondu : « Comme pour la plupart des vaccins dans notre pays, la vaccination contre la COVID-19 sera effectuée sur base volontaire »(https://covid19.public.lu/fr/vaccination.html).

Les citoyens se sentent trahis par l’application insidieuse du système « CovidCheck », d’abord sur une base volontaire, puis réservée aux manifestations nocturnes et à présent généralisée sous contrainte à une grande partie des activités sociales.

Un État qui ne respecte pas les obligations internationales qu’il a signées, pour imposer par la force un vaccin démontre qu’il remplace son devoir de convaincre par l’autoritarisme et rompt ainsi le contrat social.

Nous vous invitons également à la lecture de l’article 5 de la Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine signée le 4 avril 1997 à Oviedo (Espagne). Cette Convention est le seulinstrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’Homme dans le domaine biomédical.

Elle reprend les principes développés par la Convention européenne des Droits de l’Homme dans le domaine de la biologie et de la médecine.

Ce texte est une Convention cadre visant à protéger la dignité et l’identité de tous les êtres humains et à garantir à toute personne, sans discrimination, le respect de son intégrité et de ses autres droits et libertés fondamentales à l’égard des applications de la biologie et de la médecine.

Nous reproduisons ici son article 5 qui prévoit :

« Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé.

Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques.

La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. »

Un vaccin ou une injection dite « vaccinale » est bien évidemment « une intervention dans le domaine de la santé » au sens de la Convention.

Par conséquent la convention d’Oviedo telle qu’interprétée par le Conseil de l’Europe, interdit aux États signataires, le vaccin obligatoire, la contrainte et la discrimination des personnes non vaccinées.

Plus généralement, la convention d’Oviedo prohibe implicitement la politique du laissez-passer vaccinal, beaucoup ayant été contraints à la vaccination pour pouvoir retrouver leur vie sociale ou simplement travailler.

Il est vrai que l’article 26-1 de la Convention d’Oviedo prévoit une exception :

« L’exercice des droits et les dispositions de protection contenues dans la présente Convention ne peuvent faire l’objet d’autres restrictions que celles qui, prévues par la loi, constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sûreté publique, à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé publique ou à la protection des droits et libertés d’autrui. »

Toutefois, celle-ci ne s’applique pas en l’espèce.

La recherche médicale ne peut cependant pas faire l’objet de restrictions au libre consentement, conformément à l’article 16 de la Convention :

« Les restrictions visées à l’alinéa précédent ne peuvent être appliquées aux articles 11, 13, 14, 16, 17, 19, 20 et 21. »

Article 16 : Protection des personnes se prêtant à une recherche

« Aucune recherche ne peut être entreprise sur une personne à moins que les conditions suivantes ne soient réunies :

i. il n’existe pas de méthode alternative à la recherche sur des êtres humains, d’efficacité comparable ;

ii. les risques qui peuvent être encourus par la personne ne sont pas disproportionnés par rapport aux bénéfices potentiels de la recherche ;

iii. le projet de recherche a été approuvé par l’instance compétente, après avoir fait l’objet d’un examen indépendant sur le plan de sa pertinence scientifique, y compris une évaluation de l’importance de l’objectif de la recherche, ainsi que d’un examen pluridisciplinaire de son acceptabilité sur le plan éthique ;

iv. la personne se prêtant à une recherche est informée de ses droits et des garanties prévues par la loi pour sa protection ;

v. le consentement visé à l’article 5 a été donné expressément, spécifiquement et est consigné par écrit. Ce consentement peut, à tout moment, être librement retiré. »

Les vaccins disponibles sont en phase 3 d’essais cliniques, jusqu’au 27 octobre 2022 pour MODERNA et au 2 mai 2023 pour PFIZER. Jusqu’à ces dates, il ne s’agit que de médicaments expérimentaux. Les termes utilisés pour le vaccin PFIZER est « Investigational medicinal product » (IMP) (médicament expérimental) ; Protocole Pfizer pp. 46,139 clinicaltrialsregister.eu

Il s’agit d’essais cliniques au sens de l’article 2 du règlement UE 536/2014 pour lesquels l’Agence européenne du médicament n’a délivré qu’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle au sens de l’article 4 du Règlement 507/2006.

L’application de ces normes interdit l’obligation ou la contrainte vaccinale car les vaccins ne sont pas définitivement agréés puisque les essais cliniques continuent.

Pour autant, même à supposer pour les besoins de notre raisonnement que les vaccins en question seraient définitivement agréés, les restrictions à l’article 5 de la Convention d’Oviedo doivent être proportionnelles et mesurées en tenant compte des droits fondamentaux.

Si suspendre les contrats de travail pourrait correspondre à un simple sentiment de protection de la santé publique liée à une épidémie qui fait plusieurs fois le tour du monde, laisser les travailleurs sans revenus de substitution, est un acte inhumain et dégradant.

La CEDH a constaté dans un arrêt de Grande Chambre que laisser des individus sans revenus pendant plusieurs mois, est bien un acte inhumain et dégradant au sens de l’article 3 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.

ARRÊT DE LA GRANDE CHAMBRE M.S.S contre Grèce et Belgique requête 30696/09 du 21 janvier 2011

« 263. Au vu de ce qui précède et compte tenu des obligations reposant sur les autorités grecques en vertu de la directive européenne « Accueil » (paragraphe 84 ci-dessus), la Cour est d’avis qu’elles n’ont pas dûment tenu compte de la vulnérabilité du requérant comme demandeur d’asile et doivent être tenues pour responsables, en raison de leur passivité, des conditions dans lesquelles il s’est trouvé pendant des mois, vivant dans la rue, sans ressources, sans accès à des sanitaires, ne disposant d’aucun moyen de subvenir à ses besoins essentiels. La Cour estime que le requérant a été victime d’un traitement humiliant témoignant d’un manque de respect pour sa dignité et que cette situation a, sans aucun doute, suscité chez lui des sentiments de peur, d’angoisse ou d’infériorité propres à conduire au désespoir. Elle considère que de telles conditions d’existence, combinées avec l’incertitudeprolongée dans laquelle il est resté et l’absence totale de perspective de voir sa situation s’améliorer, ont atteint le seuil de gravité requis par l’article 3 de la Convention.

Il s’ensuit que le requérant s’est retrouvé, par le fait des autorités, dans une situation contraire à l’article 3 de la Convention. Dès lors, il y a eu violation de cette disposition. »

Nous vous invitons à considérer encore le règlement (UE) 2021/953 du Parlement européen et du Conseil du 14 juin 2021 relatif à un cadre pour la délivrance, la vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE).

Celui-ci interdit clairement la discrimination à l’encontre des personnes ne souhaitant pas se faire vacciner :

« la délivrance de certificat en vertu du paragraphe 1 du présent article ne peut entraîner de discrimination fondée sur la possession d’une catégorie spécifique de certificats visées à l’article 5, 6 et 7 »

Il prohibe implicitement mais nécessairement l’obligation vaccinale. Nous vous rendons attentif au considérant 36 dudit règlement :

« Il y a lieu d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple pour des raisons médicales, parce qu’elles ne font pas partie du groupe cible auxquelles le vaccin contre la Covid 19 est actuellement administré ou pour lequel il est actuellement autorisé, comme les enfants, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité de se faire vacciner ou ne souhaitent pas le faire. »

Pour revenir à la vaccination des enfants :

Votre Commission admet elle-même dans son rapport que le risque est « assez limité » pour l’enfant de tomber malade mais que la vaccination des plus petits « augmente en chiffres absolus le taux de vaccination de la population » (sic).

Tout d’abord, il faut avoir bien peu de cœur pour imputer la propagation du virus à des enfants.

C’est l’intérêt personnel de nos enfants qui nous importe et non pas les objectifs d’augmentation du taux de vaccination.

Suivant la Convention internationale des droits de l’enfant, c’est d’ailleurs sur le seul critère de l’intérêt supérieur de l’enfant que doit être prise toute décision qui concerne un mineur.

La même notion est reprise au terme de la Charte des Droits fondamentaux de l’Union européenne en son article 24 :

« dans tous les actes relatifs aux enfants, qu’ils soient accomplis par des autorités publiques ou des institutions privées, l’intérêt supérieur de l’enfant doit être une considération primordiale. »

Nous estimons que des enquêtes sérieuses devraient être lancées avant de continuer la campagne de vaccination, ou du moins qu’il est impératif d’informer de manière claire le public du risque significatif d’apparition d’effets secondaires, y compris de décès.

Nous nous permettons de vous rappeler la campagne de vaccination de sinistre mémoire contre le papillomavirus.

Un article du 27 mars 2008 du journal « Le Jeudi », bien moins complaisant avec les autorités, dénonçait le manquement au devoir d’information du Ministre quant à l’efficacité du vaccin et les effets secondaires :

« Ce que le ministre de la santé n’a pas dit. Le ministre de la santé a failli dans sa mission d’information. Les parents doivent être mis en garde sur le fait que les signataires de cette lettre ne leur ont pas tout dit et même que certaines de leurs affirmations deviennent fausses par omission. »

La Cour européenne des Droits de l’Homme s’est prononcée au sujet de la légitimité de l’obligation vaccinale des enfants aux termes d’un arrêt du 8 avril 2021 (VAVRICKA c/ REP. TCHÈQUE).

Si la Cour européennes des Droits de l’Homme n’a pas sanctionné l’obligation vaccinale tchèque pour la vaccination traditionnelle, il ne s’agit pour autant en aucun cas d’une légitimation juridique de la vaccination obligatoire contre la COVID.

La Cour rappelle que, selon sa jurisprudence, la vaccination obligatoire, en tant qu’intervention médicale non volontaire, constitue une ingérence dans l’exercice du droit au respect de la vie privée tirée de l’article 8 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.

La Cour européenne des Droits de l’Homme a donc rendu une décision in concreto en tenant compte de plusieurs éléments comme :

  • la vaccination existe depuis de nombreuses années,

    Ce n’est pas le cas du vaccin COVID élaboré dans un temps record et qui est encore en phase d’essai.

  • les maladies contre lesquelles le vaccin lutte sont graves,

    Dans l’immense majorité des cas de COVID-19, l’infection est bénigne. Les statistiques officielles ne montrent pas une surmortalité significative en 2020. Selon les statistiques officielles luxembourgeoise, 85 % des décès concernent des personnes âgées de plus de 60 ans. Après plus de deux ans de lutte, nous savons donc quelle doit être la cible prioritaire des soins.

  • les effets secondaires sont connus et peu significatifs,

    En décidant de vacciner une population en bonne santé face à un virus qui ne la tuera pas, il est indispensable d’avoir un très haut niveau de qualité du vaccin, ce qui est contredit par les chiffres officiels du ministère de la santé et les suspensions et retraits de vaccin pourtant déjà administrés.

    Surtout, une méfiance existe compte tenu des suspensions et interdictions de vaccins en cours (Johnson&Johnson et Astra Zeneca). Des cas de thrombose ont été révélés et il convient de déterminer s’ils sont sans lien avec les vaccins réalisés.

    Les 11 décès reconnus à Luxembourg sur une période de moins d’un an de vaccination constituent un chiffre considérable qui ne peut être passé sous silence.

  • les conséquences de la non-vaccination sont temporaires et limitées,

    Les conséquences de la non-vaccination sont extrêmement violentes allant jusqu’à la suspension des moyens de subsistances et l’exclusion des activités sociales et de loisirs.

  • la vaccination obligatoire n’entraînait pas de contrainte physique.

    Ce n’est pas encore le cas mais nous ne pouvons pas exclure une telle dérive au train où vont les choses.

Une lecture mesurée et raisonnable de la motivation de l’arrêt VAVRICKA ne plaide guère pour la légalité de l’obligation vaccinale pour le cas de la COVID-19.

Le temps du droit n’est pas le temps des médias et de la politique, il est d’ailleurs possible qu’une initiative si téméraire soit tuée dans l’œuf avant même sa mise effective en application.

Nous oublions nos principes, les engagements politiques et nos traités au profit d’une idéologie politique assumée visant à vacciner l’ensemble de la population.

Au nom de quels principes ?

Est-ce au nom du « bien commun » de la mythique immunité collective ?

Au Grand-Duché de Luxembourg, malgré un taux de vaccination de près de 80 %, nous atteignons des records de contamination, à savoir un taux quasi équivalent à celui de l’année précédente lorsque nous ne disposions pas du vaccin.

On promettait la liberté au Danemark en septembre dernier avec des taux record de vaccination. En décembre 2021, le pays est de nouveau confiné…

Un confinement a été décrété pour les fêtes de Noël aux Pays-Bas, dont le taux de vaccination de la population avoisine les 80%.

Malgré un taux de vaccination de quelques 80%, l’Islande connaît depuis novembre 2021 un pic de contamination inouï, deux fois supérieur à l’année précédente lorsque la population ne disposait pas du vaccin.

Voici la définition du mot « vaccin » dans le dictionnaire LAROUSSE :

« Substance d’origine microbienne (microbes vivants atténués ou tués, substances solubles) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l’immunité à l’égard de l’infection déterminée par les microbes mêmes dont elle provient et parfois à l’égard d’autres infections. »

Il est désormais clair que la vaccination n’empêche pas la transmission du virus, rendant illusoire la mythique immunité collective.

Le vaccin ne peut tout au plus constituer un traitement prophylactique potentiel contre des formes graves.

Les études scientifiques et notamment la référence « LANCET » dans un article de Günter KAMPF du 19 novembre 2021 intitulé « The epidemiological relevance of the COVID-19-vaccinated population is increasing » et une multitude d’autres recherches de la même teneur démontrentclairement que la vaccination n’empêche pas la propagation du virus.

Nous citons l’article scientifique précité :

Many decision makers assume that the vaccinated can be excluded as a source of transmission. It appears to be grossly negligent to ignore the vaccinated population as a possible and relevant source of transmission when deciding about public health control measures”.

Il faudrait donc multiplier les « boosters » (quel mot horrible !) à l’apparition d’un nouveau variant, sous peine de se voir privé de vie sociale et professionnelle, toujours sans garantie quant à l’efficacité, ni quant au danger potentiel du vaccin.

A cette course absurde, mais fort lucrative pour l’industrie pharmaceutique, nous serons toujours en retard d’une bataille.

D’ailleurs, qui en décidera ?

Délèguerons-nous à l’industrie pharmaceutique le pouvoir de décider du nombre de doses à administrer ?

Au-delà de la question des primo-vaccinés, cette pression intolérable concerne l’ensemble de la population, vaccinée ou non.

Si deux vaccins ont déjà échoué, on aura besoin d’urgence d’une troisième dose, puis d’une quatrième et ainsi de suite.

Combien de doses faudra-t-il encore avant d’admettre que les vaccins n’ont pas l’efficacité voulue ?

Les sources officielles révèlent que Commission européenne a 4,6 milliards de doses de vaccins contre la COVID-19 et des négociations sont en cours pour obtenir des doses supplémentaires,soit quelques 10 doses par personnes, enfants compris, en tenant compte de la population totale de l’Union européenne.

Tout vacciné est un futur non-vacciné s’il décide de ne plus se soumettre aux différents rappels de vaccination programmés.

La création d’un laissez-passer vaccinal, voire l’obligation vaccinale ne sont pas des réponses sérieuses pour lutter contre la pandémie quand près de 80 % des luxembourgeois sont déjà vaccinés.

Il y a un manque de proportion évident entre la lutte contre la pandémie de la COVID-19 et les droits fondamentaux des citoyens qui vont vivre une « mort sociale », alors que les mutations du virus, rendent la multiplication des doses vaccinales moins efficaces.

D’ailleurs, de plus en plus de scientifiques, voire même de politiques, prennent leurs distances avec la politique du tout vaccinal.

En Angleterre, le comité de la Chambre des Lords s’est déclaré hostile à l’obligation vaccinale et fustige les essais :

« il existe une incertitude considérable quant à l’efficacité des vaccins contre le covid, certaines complications graves à court terme et un manque de données sur les méfaits à long terme. »

Une information relayée par le « British Medical Journal » BMJ dont voici un extrait traduit :

« En tant que médecins et professionnels de la santé, dont beaucoup travaillent dans le NHS, nous tenons à exprimer notre opposition à ce que la vaccination anti-SRAS-CoV-2 soit obligatoire pour tout groupe de personnes, y compris les travailleurs de la santé et les soignants. Nous convenons avec le comité de la Chambre des Lords que les preuves sont insuffisantes pour justifier cette mesure, mais le gouvernement et le Parlement ne semblent pas être à l’écoute et les vaccins obligatoires pour lepersonnel du NHS devraient être promulgués cette semaine.

Nous ne contestons pas que le covid-19 peut être et a été une infection dangereuse, et nous convenons que les vaccins sont efficaces dans de nombreuses situations. Cependant, il existe une incertitude considérable quant à l’efficacité des vaccins contre le covid, certaines complications graves à court terme et un manque de données sur les méfaits à long terme. Dans cette situation, il est impératif queles gens soient en mesure de faire un choix en toute connaissance de cause quant à l’opportunité de se faire vacciner ou non. »

Dans son rapport de surveillance du vaccin COVID-19 de la semaine 42, l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni admet à la page 23 que les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination :

« (…) recent observations from UK Health Security Agency (UKHSA) surveillance data that N antibody levels appear to be lower in individuals who acquire infection following 2 doses of vaccination. »

L’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni poursuit en expliquant que cette baisse d’anticorps est pratiquement permanente.

A l’opposé, près de 140 publications scientifiques attestent l’efficacité de l’immunité naturelle à long terme après l’infection COVID-19 :

L’immunité est apparemment étudiée non seulement sous l’aspect des anticorps mais également des T cells (immunité à plus long terme), car l’immunité existe même en l’absence d’anticorps.

Elle est bien supérieure à la protection vaccinale.

L’immunité naturelle est occultée au Luxembourg, si bien que des personnes présentant un taux élevé d’anticorps doivent se soumettre à la vaccination après une période qui n’est pas déterminée par une consultation médicale individuelle préalable.

Alors qu’elle est parfaitement ignorée au Luxembourg, l’immunité naturelle fait l’objet d’un projet de loi aux États-Unis dénommé « Natural Immunity is real Act » :

« The applicable agency shall acknowledge, accept, agree to truthfully present, and incorporate, the consideration of natural immunity as it pertains to COVID–19 with respect to the individuals subject to the applicable regulations. »

Est-ce au nom de la préservation du système hospitalier ?

Nous observons que des épisodes grippaux d’une ampleur supérieure à la crise actuelle étaient relativement banalisés par le passé.

Nous nous permettons de citer ici la réponse de Madame la Ministre de la santé à la question parlementaire numéro 2697 du 25 janvier 2017 de Monsieur le Député Halsdorf concernant l’épidémie de grippe :

« La grippe causée par le virus influenza survient le plus souvent au Luxembourg vers janvier et février. Cet épisode est d’une durée d’environ deux mois (…) Cette saison-ci, la grippe a débuté au Luxembourg fin décembre 2016 et a atteint son pic à la mi-janvier 2017. Le nombre de cas semble actuellement aller en diminution. En parallèle à cet épisode, on constate une augmentation du nombre de décès toutes pathologies confondues.

L’inspection sanitaire de la direction de la santé suit le nombre hebdomadaire de décès et a constaté que ce nombre est passé d’une moyenne hebdomadaire d’environ 80 décès à 120 décès par semaine à la mi-janvier 2017. Ce phénomène est constaté tous les ans lors de l’épisode grippal. Le surplus de décès survient principalement auprès de personnes ayant des problèmes de santé graves et qui se trouvent en fin de vie. Les décès ne sont souvent pas directement dus à la grippe elle-même mais la conséquence de l’infection virale aggravant les problèmes de santé préexistants (…) »

Permettez-nous de reprendre les données figurant dans un avis juridique du cabinet d’avocats

« FRANK, COHRS & BOCK » en date du 14 octobre 2021 : « selon la carte sanitaire de 2019 du Ministère de la Santé (sortie en 2021), le nombre de lits disponibles s’élève à un total de 2.644 lits (2.221 dans les

4 centres hospitaliers et 423 dans les établissements hospitaliers spécialisés). Il s’avère que moins d’un pour cent (1%) des lits disponible est pris par des patients hospitalisés à cause ou avec le COVID-19 ».

D’après les données officielles du site du Ministère de la Santé, 51 personnes se trouvaient hospitalisées pour raisons de COVID-19 en date du 20 décembre 2021, soit moins de 2% du total des lits disponibles.

Nous devons également reprendre une statistique encore moins réjouissante, celle du nombre de décès et d’effets secondaires liés à l’administration du vaccin.

La communication gouvernementale prétendant que les vaccins sont sûrs, efficaces et sans dangers apparaît en contradiction avec les clauses d’exonération des contrats relatifs aux vaccins, mais aussi des données de la pharmacovigilance.

Suivant le rapport officiel du 1er novembre 2021 émis par le Ministère de la Santé, on recense quelques 1.940 cas d’effets secondaires immédiats des vaccins dont 430 cas graves et 11 décès.

Parmi les 430 cas, on recense 286 cas médicalement significatifs, 115 cas de recours à une hospitalisation, 18 cas de mise en jeu du pronostic vital et 11 décès.

Si une entreprise avait tué 11 personnes avec son produit, nous tenterions de mettre les responsables en prison.

On ne sait strictement rien du contenu des seringues vendues par Pfizer mais il nous est demandé de faire confiance à cette firme qui s’est précisément distinguée par son passé de malfaiteur et de charlatan.

Outre les effets secondaires thrombo-emboliques décrits en début de campagne de vaccination, d’autres pathologies inflammatoires se sont manifestées.

L’exemple le plus connu est celui de la découverte récente des problèmes de myocardite et péricardite et l’inclusion de ces signaux de sûreté (quoique tardive) dans les rapports de l’Agence Européenne du Médicament, dont on ne citera que celui lié au myocardites et péricardites et qui peut être consulté en suivant le lien ci-après :

https://www.ema.europa.eu/en/documents/prac-recommendation/updated-signal-assessment-report-myocarditis-pericarditis-tozinameran-covid-19-mrna-vaccine_en.pdf

Pour reprendre juste quelque lignes de ce document, contrairement à ce que la presse voudrait faire croire, les effets indésirables de ces produits ne sont pas du tout anodins allant jusqu’aux séquelles permanentes et irréversibles, une mortalité précoce ou même à la mort immédiatement après l’injection :

« In 50% of cases, acute myocarditis resolves quickly within 2-4 weeks, however 25% may develop persistent cardiac dysfunction and 25% may deteriorate to end-stage dilated cardiomyopath (p. 4/86, Updated Signal assessment report on Myocarditis, pericarditis withTozinameran (COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) – COMIRNATY) (…).

3.1.2.1. MYOCARDITIS As of 31 May 2021, in Eudravigilance were received 145 cases reporting myocarditis with Comirnaty vaccine in the EEA. In these 145 cases, 143 cases were assessed as serious for which the seriousness criteria was ticked 172 times as follows: 5 times‘Death’, 18 times Life-threatening, 104 times Hospitalization, 2 times Disablingand 43 times ‘Seriousness Other (p.34/86, Updated Signal assessment report on Myocarditis, pericarditis with Tozinameran (COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) – COMIRNATY) »

De plus, ces mêmes documents montrent clairement que les problèmes relatifs au profil de sûreté de ces produits sont loin d’être résolus, même dans le cas de signaux déjà documentés et acceptés par l’Agence Européenne du Médicament:

« Comment PRAC Rapporteur: The MAH (Marketing Autorisation Holder, dans ce cas ci Pfizer Biontech) did not provide the requested age strata under 25 years of age: 12-15, 16-19, 20-24. This is not acceptable as the current signal is strongest in those age groups. Moreover, the same predominance within these age groups is consistent in several other O/E analysis conducted by Israel, USA, UK and the WHO. Question 2 is not resolved.” (p. 18/86, Updated Signal assessment report on Myocarditis, pericarditis with Tozinameran (COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) – COMIRNATY,) »

De nouveaux effets secondaires apparaissent régulièrement.

Les nanoparticules lipidiques des vaccins à ARN-messager ont été pointées du doigt dans le risque de développer des maladies auto-immunes et allergiques.

Il est impossible de prévoir exactement à ce jour quels types de désordres immunitaires pourraient émerger à l’avenir pour chaque type de vaccin mis sur le marché.

Pourtant la campagne de vaccination bat son plein sans que nous ne puissions poser la moindre question et, les mêmes causes produisant les mêmes effets, elle fera encore immanquablement des décès.

Qui en assumera la responsabilité morale et judiciaire ? Souvenons-nous du « responsable mais pas coupable » lors du procès qui a suivi l’affaire du sang contaminé chez nos voisins?

Quant à la responsabilité financière, qui l’assumera sinon le contribuable ?

Compte tenu des risques qu’elle fait peser sur la santé de la population, nous estimons qu’il est très grave d’imposer la vaccination tant que nous ne disposons pas d’une information loyale et objective, telle que décrite par de nombreuses sources indépendantes, de tous les effets secondaires potentiels réparables ou irréparables à court, moyen et long terme, avec certification que tous les paramètres médicaux concernant les essais et les études requis ont été satisfaits.

Il ressort de ce qui précède que l’obligation vaccinale générale de la population n’est pas juridiquement défendable.

Dans le cadre de la vaccination contre la COVID-19, aucun des critères de proportionnalité et d’efficacité visés aux termes des Traités et principes européens, par rapport à l’objectif de santé suivi, n’apparait rempli compte tenu de :

  • La connaissance relativement incomplète de la maladie,
  • La capacité de mutation du virus,
  • La circonstance que les personnes à risque sont majoritairement vaccinées,
  • La vaccination diminue en efficacité avec le temps,
  • La vaccination n’arrête pas la propagation ni la contamination par le virus,
  • Les effets secondaires existent et restent inconnus à long terme,
  • Nous sommes toujours en phase d’essais cliniques,
  • Le vaccin n’empêche pas de tomber parfois sévèrement malade à cause des variants,
  • Aucun objectif d’éradication ne peut être scientifiquement avancé par rapport à un virus qui a déjà fait plusieurs fois le tour du monde.

Nous sommes partisans du principe de la vaccination, sous réserve que celle-ci soit sûre, efficace et nécessaire et qu’elle tienne compte de l’identité biologique de chaque individu, paramètre dangereusement oublié par le principe de l’obligation.

Tous ceux qui souhaitent être vaccinés contre la COVID -19 doivent pouvoir le faire, y compris en choisissant le vaccin approprié, notamment le vaccin chinois SINOVAC réalisé avec un virus désactivé sur base de la méthode traditionnelle.

Nous ne comprenons pas pourquoi le principe de la liberté de choix du vaccin approprié est ignoré au mépris des pétitions publiques.

La pétition publique n°1827 demande la distribution au Luxembourg du vaccin russe Sputnik V contre la COVID-19.

La pétition publique n°2141 demande à repousser la date des mesures « CovidCheck » au travail jusqu’à la disponibilité du nouveau vaccin « NOVAVAX ».

La pétition publique n°1950 plaide pour ne pas rendre la vaccination COVID-19 obligatoire et de ne pas instaurer, avec le temps, de discriminations entre les personnes vaccinées et les personnes non-vaccinées.

Elle a recueilli la signature de 11.456 (mauvais ?) citoyens.

La pétition publique n°2078 demande l’égalisation des mesures « CovidCheck » à l’ensemble de la population afin de lever les contraintes et discriminations qui se mettent en place pour forcer les non-vaccinés à céder et se laisser vacciner.

Elle a été signée par 5.722 citoyens.

S’agit-il de mauvais citoyens car ils ont osé émettre des réserves quant à la politique du tout vaccinal ?

Nous sommes inquiets de la violence du discours à l’encontre de la population non-vaccinée ou qui décidera de ne plus se soumettre aux injections à venir.

Subissant déjà une forte pression sociale en raison d’un choix personnel, nous craignons d’être soumis à la vindicte populaire devant un discours de plus en plus agressif, haineux et radical jusque dans les termes de votre rapport.

Nous estimons que, le traitement par l’anathème, la peur et la contrainte visant à imposer à tout prix la vaccination au mépris des droits fondamentaux issus des engagements internationaux, par :

  1. la radicalisation du discours des pouvoirs publics contre les réfractaires,
  2. la multiplication progressive des restrictions serrant comme dans un étau les réfractaires,
  3. les mesures discriminatoires imposées afin « d’augmenter la pression sur les non-vaccinés et même de façon renforcée »,
  4. La mise en œuvre du laissez-passer vaccinal sur le lieu de travail sous peine de suspension des moyens de subsistance au mépris notamment du droit au travail garanti par la Constitution aux termes de son article 11: « la loi garantit le droit au travail et l’État veille à assurer à chaque citoyen l’exercice de ce droit. La loi garantit les libertés syndicales et organise le droit de grève » et du respect du principe de « l’égalité de traitement en matière d’emploi et de travail » (article L-251.1 du Code du Travail).

CONSTITUENT un traitement INHUMAIN et DÉGRADANT au sens de l’article 3 de la Convention européenne des Droits de l’Homme.

La finalité idéologique des mesures visant à « augmenter la pression sur les non-vaccinés et même de façon renforcée » (sic) n’est en aucun cas une justification sanitaire, tout au plus un grave abus de droit sanctionné par l’article 54 de la Charte des Droits fondamentaux de l’Union européenne :

« Aucune des dispositions de la présente Charte ne doit être interprétée comme impliquant un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits ou libertés reconnus dans la présente Charte ou à des limitations plus amples des droits et libertés que celles qui sont prévues par la présente Charte. »

Nous comprenons certes la tentation accessoire d’instaurer un modèle de société de « la solidarité et de la responsabilité » en tirant les leçons de la crise COVID comme une « destruction créatrice » pour reprendre l’expression de Schumpeter.

Nous ne pouvons qu’être sceptiques face à ceux qui voient la crise sanitaire comme une « fenêtre d’opportunités » pour la transition vers la « société numérique », impliquant la numérisation de nos vies jusque dans notre for intime, la géolocalisation, l’inspection et, à terme, l’aliénation de l’individu et la servitude.

Beaucoup parmi nous sont issus des pays totalitaires de l’ancien bloc soviétique et sont légitimement hostiles aux modèles préfabriqués qui s’apparentent en réalité à une « construction destructrice ».

Les dispositions inédites dans l’histoire récente du Grand-Duché prennent des proportions totalitaires dans le sens premier et original du terme, à savoir une intrusion étatique sur la totalité des activités individuelles.

Certes, nous n’avons pas l’écho du bruit des bottes, mais les réfractaires à la vaccination verront leurs moyens de subsistance suspendus ou devront accepter un chantage à leur vie familiale et position sociale.

Beaucoup d’entre nous se sont battus pour leur liberté dans leur pays d’origine et ne sauraient à présent accepter de s’engouffrer vers un totalitarisme « soft » par confort ou par paresse.

Nous serions ravis d’échanger avec vous et nous vous montrerons que nous ne sommes nullement des irresponsables, des extrémistes « anti-vax » ou d’autres caricatures médiatiques, mais de simples citoyens.

Votre commission étant ouverte à l’échange et aux débats d’idées, nous nous permettons de vous inviter à débattre publiquement avec nous, avec nos juristes, avec nos médecins, nos comptables et nos fonctionnaires.

YES, WE CARE !

Nous vous prions d’agréer, Madame la Présidente, l’expression de nos sentiments très distingués.

Pour EFVV

Jean-Pierre Eudier

Président

Copie de ce courrier à :

  • Son Altesse Royale le Grand-Duc Henri
  • Xavier Bettel, Premier ministre, Ministre d‘Etat
  • Paulette Lenert, Ministre de la Santé
  • Fernand Etgen, Président de la Chambre des Députés

Copie de ce courrier par e-mail à :

  • Mesdames et Messieurs les Députés
  • Mesdames et Messieurs les Conseillers d’Etat
  • Représentants des organes de presse Grand-Ducale



« Je ne suis pas grossier, du moins c’est ce que je pense, mais… Covid : ta gueule ! »

[Source : bvoltaire.fr]

Par Jean-Pierre Pélaez

[Ndlr : au concours de la phrase la plus longue, l’auteur a des chances de gagner. 🙂 ]

Je ne suis pas grossier – du moins, c’est ce que je pense – et jamais personne ne m’a fait ce reproche, mais lorsque, depuis une ou deux heures et plus, cherchant à obtenir sur une télévision ou une radio quelque information digne de ce nom sur ce qui se passe dans le monde et que l’on n’entend parler que du Covid et de la vaccination nécessaire et vitale pour se protéger et pour protéger les autres, et de tous les Français qui ne l’ont pas faite, et qui sont encore trop nombreux, car il est impératif de se vacciner parce que le nouveau variant Omicron est arrivé en plus du Delta et que la cinquième vague se propage à une vitesse record et qu’il faut donc se vacciner pour l’arrêter, et que les pharmacies sont prises d’assaut et que les Français font la queue sur les trottoirs, alignés comme des sardines pour se faire tester trois fois par jour, et qu’il faut se vacciner et que les services de réanimation à quatre lits sont pleins et qu’il n’y a là que des non-vaccinés qui sont des inconscients, des complotistes et des égoïstes qui mettent en danger la vie de leurs semblables, et qu’on entend proposer de ne plus leur rembourser leurs soins quand ils seront malades, mais pas leurs cotisations, que l’hystérie est à son comble et qu’on nous fait, heure par heure, le décompte des contaminés, qui ne sont pas nécessairement malades, mais ça fait rien car ils pourraient l’être, et que, pour beaucoup, ils n’auront rien, mais qu’il vaut mieux quand même être vacciné pour éviter les formes graves du Covid, dont personne ne sait vraiment ce qu’il est, même pas Delfraissy qui se prend pour Socrate et qui sait seulement qu’il ne sait rien, et que l’on nous annonce tous les jours la prochaine intervention de Castex et Véran qui vont annoncer de nouvelles mesures comme l’obligation de s’assoir pour boire un café ou de porter un masque dans les îles désertes et surtout redire qu’il faut se vacciner, et qu’on les voit brasser du vent pour faire croire qu’ils servent à quelque chose, et que tous les Diafoirus de France et de Navarre, aux termes techno-médicaux les plus pédants, défilent dans les radios et sur les écrans pour nous expliquer ce qu’il faut faire pour ne pas mourir et que l’on se dit que tous ces journalistes, au lieu de faire les perroquets, pourraient nous parler d’autre chose et que, certes, ce sont des chargés de propagande et du discours officiel puisqu’ils sont là, mais je me dis qu’ils ne sont pas obligés d’y rester, et même qu’ils feraient mieux d’aller aider Gabrielle en tant que rédacteurs adjoints et que c’est ça du matin au soir et que, passant d’une chaîne ou d’une station à l’autre, je n’entends parler que du Covid et de la vaccination, qu’enfin un énième extrait d’un discours de Castex-Véran ou Gabriel Attal vient conclure et multiplier cette insupportable litanie, avant qu’on ne commente ce qui vient d’être dit, et que je crois m’être embarqué sur une nef de fous, il arrive toujours un moment où, exaspéré, sonné, laminé, excédé, j’appuie rageusement sur le bouton pour arrêter ce flot de bêtises et retrouver le silence, le merveilleux silence mais, ce faisant, et malgré la bonne éducation que j’ai reçue de mes parents — et je prie les lecteurs de me pardonner -, je ne peux m’empêcher d’ajouter à ce coup d’index rageur les mots affreux de « Ta gueule » et autres exclamations du même acabit. Pardon !




La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins

[Source : Recherches Covid-19]

[Ndlr : de nombreux articles présentés par Nouveau Monde autour des approches alternatives à la théorie virale et à celle, plus générale, des germes proviennent du site Recherches Covid-19 qui effectue un remarquable travail de collecte d’informations dans ce domaine.]

Dans cette vidéo Stefan Lanka présente l’avancée de ses travaux sur les expériences témoins qui permettront de réfuter les affirmations des virologues qui affirment avoir découvert le génome du SARS-CoV-2 chez un patient à Wuhan, en démontrant que les méthodes utilisées sont à l’origine des résultats obtenus et qu’il est possible d’obtenir exactement les mêmes résultats à partir de prélèvements humains sains en reproduisant les mêmes méthodes et techniques.

[Voir aussi :
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
et ses liens annexes.]

Il explique également les mécanismes qui conduisent les scientifiques à rechercher la cause d’une maladie sous la forme d’un élément matériel, dans ce cas d’un virus contagieux, avant même de se questionner sur les autres causes possibles, et la raison pour laquelle ce concept est majoritairement accepté sans être remis en cause.

Il évoque aussi les bases de la virologie avec la découverte du virus de la mosaïque du tabac et de la rage, et avertit sur les dangers potentiels des nanoparticules lipidiques présentes dans les vaccins, sujet occultés par l’engouement autour des innovations en biotechnologie et des craintes concernant le graphène dans les vaccins Covid.

Vidéo disponible intégralement ou en extraits courts :

Stefan Lanka – La vérité sur le graphène
Stefan Lanka – La vérité sur le virus de la mosaïque du tabac
Stefan Lanka – La vérité sur le virus de la rage
Stefan Lanka – 2e phase des expériences témoins (génétique)



Rapport de l’Institut Max Planck d’histoire des sciences de 1999 dont il est fait mention (traduction automatique en français)

Transcription interview complète

Vidéo originale sans sous-titres




La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité

[Source : cv19.fr (Recherches Covid-19)]

[Ndlr : de nombreux articles présentés par Nouveau Monde autour des approches alternatives à la théorie virale et à celle, plus générale, des germes proviennent du site Recherches Covid-19 qui effectue un remarquable travail de collecte d’informations dans ce domaine.]

Les docteurs Mark Bailey et John Bevan-Smith viennent de publier un article choc intitulé “La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité”.
Ils couvrent tout ce qui se cache derrière la fraude – y compris les acteurs, la PCR, la virologie, la modélisation et plus encore.


Contenus

Résumé

Première partie

L’agenda mondialiste
Le cheval de Troie
La double tromperie de la virologie
Les quatre piliers de la fraude COVID-19
Le premier pilier : L’isolement

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique
Le troisième pilier : La PCR
Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Troisième partie

En résumé
Conclusion
POST-SCRIPTUM
Crimes contre l’humanité
L’insulte finale
A propos des auteurs

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Résumé

Le COVID-19 est une fraude parce que son agent causal présumé, un prétendu nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2, n’a pas été prouvé comme existant dans la nature et n’a donc pas été établi comme la cause du COVID-19, la maladie et la pandémie inventées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Pour la même raison, il n’y a pas de variants du “virus”, qui n’existent que de manière hypothétique dans les ordinateurs, les banques de gènes en ligne et dans l’esprit de personnes innocentes qui ont été complètement bernées par leurs gouvernements.

La fraude du COVID-19, avec ses nombreuses allégations grotesques, ne constitue rien de moins qu’une guerre contre l’humanité menée par des organisations telles qu’Anser, Fors Marsh et Palantir qui mènent l’escroquerie par l’intermédiaire de Big Pharma, avec ses soutiens et ses complices, notamment le Forum économique mondial, la Fondation Bill et Melinda Gates, l’OMS, les conglomérats technologiques, les médias de masse, les gouvernements complices et les “pirates” du COVID tels que l’UNC Chapel Hill et l’Imperial College London, pour ne citer que quelques bénéficiaires de la fraude.

Le COVID-19 est une guerre contre l’humanité parce que les politiciens et leurs gouvernements continuent d’utiliser cette maladie imaginaire pour terroriser et emprisonner leurs citoyens, en les privant de leurs droits fondamentaux et de leurs libertés, et en violant leurs corps autrefois inviolables par des injections expérimentales et dangereuses contenant une séquence d’ARNm de protéine spike générée par ordinateur qui ordonne au corps de s’empoisonner. Ces injections infâmes, qui contiennent également des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées, affectent des millions de personnes et en tuent plusieurs milliers dans le monde entier, dont 218 Néo-Zélandais au 2 octobre 2021.[1]

Une fraude virologique est au cœur de ces crimes contre l’humanité : le SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé physiquement ni démontré comme étant l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Dans cet article, les auteurs examinent le monde illusoire de la virologie pour expliquer comment un virus que personne n’a vu ni ne sait d’où il vient, dont personne ne sait ce qu’il fait ni où il va, traverse, selon les fraudeurs, les frontières et les barrières et vient vous chercher où que vous soyez. Comment se fait-il, demandent les auteurs, que cette folie fantasmagorique se soit transformée en un monde empreint de peur, dans lequel les gouvernements démocratiques ont abandonné les principes démocratiques pour s’engager dans le contrôle et la “suppression d’êtres humains”, ce qui pourrait simplement se transformer en une “variante” de la troisième guerre mondiale ?[2]


[Voir aussi :
L’effondrement de l’hypothèse virale
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey

Sur le graphène :
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

Sur le magnétisme dans les vaccins anti-Covid :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

Sur les nanoparticules et l’hydrogel :
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur la protéine spike :
Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike
Dr Antoine Achram : traitement préventif covid, et antidote contre la molécule Spike produite par les vaccinés
“La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme” déclare le Pr Bridle

Sur l’inefficacité des “vaccins” anti-covid :
L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !
“Vaccins” anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US
Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulé

Sur la vaccination :
Citations médicales sur les vaccinations
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Dossier Vaccins

Sur l’écouvillon du test PCR :
Oui les écouvillons nasaux sont dangereux !
Les écouvillons du test PCR pourraient contenir des « microdispositifs en forme d’étoile » délivrant un vaccin
Test PCR et écouvillons : attention si vous prenez des anti-coagulants!
Ce que cache le test PCR ?

Sur la fraude des tests PCR :
Précisions scientifiques sur l’arnaque du test PCR
Les implications capitales de la jurisprudence portugaise concernant les tests PCR
Union Européenne — TESTS PCR ET AFFAIRE COVID : UN SCANDALE INTERNATIONAL
Tests PCR condamnés en justice, mais toujours imposés à répétition aux hospitalisés et aux soignants !
Des experts internationaux suggèrent que jusqu’à 90 % des cas canadiens de COVID pourraient être des faux positifs

Sur le dépeuplement possible :
Le dépeuplement et le vaccin à ARNm
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves
Les médias alternatifs sont-ils des oiseaux de mauvais augure ? Les vaccinés contre la Covid-19 seraient-ils prédisposés à mourir dans les mois suivants ?
Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale]


Première partie

L’agenda mondialiste

Ne vous méprenez pas, nous sommes actuellement assaillis par une fraude mondiale d’une telle ampleur et d’une telle malveillance qu’elle menace notre existence même telle que nous la connaissons sur cette planète.

L’escroquerie concerne un prétendu nouveau coronavirus, inventé et non découvert par la virologie, qui a permis à Bill Gates de prédire une pandémie unique en son genre, nécessitant des milliards de vaccins pour la combattre, ce qui lui permet d’augmenter considérablement les actifs du Bill and Melinda Gates Trust qui se trouve aux côtés de la Bill and Melinda Gates Foundation (BMGF).[3]

Un autre qui se préparait avec impatience au déploiement de ces ” vaccins ” de masse, qui ne sont pas des vaccins mais des armes biologiques, était Peter Daszak de EcoHealth Alliance. Comme il l’a déclaré en 2015, “nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité des MCM [Contre-mesures médicales], comme un vaccin pan-influenza ou pan-coronavirus. Les médias sont un facteur clé, et l’économie suit le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront s’ils voient des bénéfices à la fin du processus.”[4]

En septembre 2019, le Global Preparedness Monitoring Board, une création de l’OMS et de la Banque mondiale, a conseillé aux pays de se préparer à un potentiel “pathogène respiratoire mortel” en investissant dans “des vaccins et des thérapeutiques innovants, une augmentation de la capacité de fabrication, des antiviraux à large spectre et des interventions non pharmaceutiques appropriées”. [5] Ils ont également conseillé que “tous les pays doivent développer un système pour partager immédiatement les séquences génomiques de tout nouveau pathogène”.[6]

Le monde était préparé à une ” pandémie ” et le 4 décembre 2019, le Dr Anthony.
Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré que son agence ” menait et soutenait des recherches pour développer des technologies de plateforme vaccinale de pointe qui pourraient être utilisées pour développer des vaccins antigrippaux universels ainsi que pour améliorer la vitesse et l’agilité du processus de fabrication des vaccins antigrippaux “. Ces plates-formes technologiques comprennent l’ADN, l’ARN messager (ARNm), les particules de type viral, les vaccins à base de vecteurs et les nanoparticules auto-assemblées.[7] Tout était donc prêt pour libérer les technologies génétiques et les nanoparticules sur des populations sans méfiance, sous couvert d’une crise sanitaire à quelques semaines de distance. Il suffisait de remplacer la grippe, qui n’avait plus réussi à effrayer le monde depuis longtemps, par un “nouveau” coronavirus mortel imaginaire.

Les événements qui se sont déroulés au cours des 20 derniers mois auraient semblé inconcevables il y a encore deux ans, sauf dans l’esprit de personnes comme Gates et Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial, qui avaient déjà imaginé de détruire la démocratie de l’intérieur par une réponse autodestructrice induite par la peur d’un tel virus. Comme Schwab l’a écrit dans La Grande Réinitialisation, semant les graines de son programme mondial : “Depuis qu’il a fait son entrée sur la scène mondiale, le COVID-19 a radicalement bouleversé la façon de gouverner les pays, de vivre avec les autres et de prendre part à l’économie mondiale. “[8] C’était une affirmation extraordinaire pour un coronavirus si “nouveau” que les séquences des protéines de pointe (spike) étaient déjà brevetées par leurs inventeurs et, dans le cas du brevet américain 7279327 B2, attribué à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, aux États-Unis, en 2007, et prétendument fourni à Moderna en novembre 2019, un mois avant que le COVID-19 ne fasse son entrée sur la scène mondiale à Wuhan.[9] C’est la chanson que Schwab aime chanter avec Thierry Malleret : ” La crise mondiale déclenchée par la pandémie de coronavirus n’a pas de parallèle dans l’histoire moderne. Nous ne pouvons pas être accusés d’hyperbole lorsque nous disons qu’elle plonge notre monde dans son ensemble et chacun d’entre nous individuellement dans les moments les plus difficiles que nous ayons connus depuis des générations. C’est un moment décisif pour nous – nous aurons à faire face à ses retombées pendant des années, et beaucoup de choses changeront à jamais”.[10] La choriste mondialiste, ancienne Premier ministre néo-zélandaise, Helen Clark, coprésidente du Groupe indépendant de l’OMS pour la préparation et la réponse à la pandémie, reprend le même refrain hyperbolique : “En moins d’un an et demi, le COVID-19 a infecté au moins 150 millions de personnes et en a tué plus de trois millions. Il s’agit de la pire crise sanitaire et socio-économique combinée de mémoire d’homme, et d’une catastrophe à tous les niveaux… Le COVID-19 est le Tchernobyl du XXIe siècle – non pas parce qu’une épidémie est comparable à un accident nucléaire, mais parce qu’il a montré si clairement la gravité de la menace qui pèse sur notre santé et notre bien-être. Elle a provoqué une crise si profonde et si étendue que les présidents, les premiers ministres et les responsables d’organismes internationaux et régionaux doivent maintenant accepter d’urgence leur responsabilité de transformer la manière dont le monde se prépare et réagit aux menaces sanitaires mondiales.”[11]

Ces affirmations absurdes et non fondées des mondialistes constituent une source de peur sur laquelle s’appuient les entreprises pharmaceutiques telles que Pfizer pour soutirer de vastes sommes d’argent aux États-nations qui vendent leur peuple pour une bouchée de pain. Cette pratique d’extorsion est à la base de l’accord de fabrication et de distribution qui a fait l’objet d’une fuite entre Pfizer et l’Albanie, en vertu duquel la première exigeait de la seconde qu’elle accepte que le “vaccin” Pfizer soit soumis à des “risques et incertitudes significatifs”, qu’il “puisse ne pas réussir pour” un large éventail de raisons, et que Pfizer n’ait “aucune responsabilité pour tout échec … dans le développement ou l’obtention de l’autorisation du produit conformément aux dates estimées décrites dans cet accord.[12]

Derrière les “leurres”, comme David Martin décrit les principaux acteurs pharmaceutiques – Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, Merck Ridgeback, Gilead Sciences – se trouvent les criminels parrainés par l’État, les “corsaires” : Anser, “le plus grand contractant de toute la campagne terroriste COVID”, qui gère l’opération Warp Speed ; Fors Marsh, l’agence qui a créé le label COVID-19 et qui est chargée de veiller à ce que le message COVID-19 soit le même dans le monde entier ; Palantir, de Peter Thiels, qui vous suit par téléphone où que vous soyez grâce à Gotham Data Tracking ; et Publicis Sapient, qui coordonne toutes les données COVID-19 et dit au monde entier combien il y a de cas COVID, bien qu’il n’y ait pas de cas COVID à compter.[13] Puis il y a les pirates, parmi lesquels on peut compter : Ralph Baric et son Chimera Laboratory à l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill, qui a reçu plus de 100 millions de dollars depuis 1999 pour transformer en armes les particules du coronavirus, dont 28 millions de dollars du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci pour transformer en armes la protéine spike ; Vanderbilt ; Emory ; Johns Hopkins University ; University of California System ; Massachusetts Institute of Technology ; New York University Langone ; German Centre for Infection Research ; Imperial College London ; Institute for Health Metrics and Evaluation ; et Erasmus.[14]

Le bouton “go” a été poussé sur cette fraude mondialiste lorsqu’un ouvrier de 41 ans s’est présenté à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec des symptômes indiscernables des autres maladies respiratoires courantes parmi les 11 millions de résidents qui subissent une pollution asphyxiante dans la capitale de la province chinoise du Hubei. Le génome d’un virus que personne n’avait vu, et encore moins isolé et purifié, a été publié début janvier 2020, rebaptisé SRAS-CoV-2 par le Comité international de taxonomie des virus le 11 février, le jour même où le chef d’orchestre de la fraude, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus (Tedros), a annoncé son compagnon conséquent : “nous avons maintenant un nom pour la maladie : COVID-19. Je vais l’épeler : C-O-V-I-D trait d’union 1 9 – COVID-19”.[15]

À la fin du mois de mars 2020, la démocratie était à genoux, le peuple en tant que peuple exclu de la vie publique, emprisonné dans ses foyers. Les camps d’exclusion étaient désormais nos maisons. Et puis l’impensable : les politiciens ont annoncé qu’ils allaient inoculer à leurs populations des injections génétiques codées hautement expérimentales, jamais utilisées auparavant sur des humains, et dont les essais cliniques, déjà tronqués et grotesques, devaient encore durer des années.[16] Nos représentants élus n’ont pas pris la peine de nous le dire. Ils ne nous ont pas dit non plus que ceux qui semblaient tolérer l’inoculation initiale pouvaient transporter dans leur corps des bombes à retardement de maladies neurodégénératives et auto-immunes potentielles ainsi que des objets non biologiques non déclarés à des fins non déclarées.[17]

Le cheval de Troie

Tout tourne autour de ces deux concepts : absence et présence. De quoi est fait le SARS-CoV-2 : d’absence ou de présence ? Telle est la question que nous devons trancher. Car sans la présence instanciée du SARS-CoV-2, il n’y a pas de cas de COVID-19 à compter, et donc pas de motif ou de justification pour la réponse d’un gouvernement à une pandémie fantôme.

Cet assaut contre l’humanité s’appuie sur un cheval de Troie pour introduire la tromperie dans nos esprits et nos corps, rendant possible la réalisation de l’agenda mondialiste d’un réseau de contrôle de la population dans le but ultime apparent de contrôler les populations de toutes les manières possibles.[18]

Alors que les débats se poursuivent dans le monde entier sur les origines du COVID-19, le nombre de cas les plus récents, sa létalité et l’efficacité des prétendus vaccins, les participants à ces débats semblent tenir pour acquis qu’un virus existe réellement. La grande majorité du public et du corps médical ignore que le cheval de Troie est la virologie moderne et ses méthodes antiscientifiques qui affirment l’existence de virus tels que le SARS-CoV-2. La plupart seraient surpris d’apprendre que le “virus” n’a jamais été trouvé à l’intérieur d’un seul être humain et qu’il n’a jamais été démontré qu’il était la cause d’une quelconque maladie.

La double tromperie de la virologie

Le crime contre l’humanité COVID-19 exige l’absence de ce virus. Il n’existe donc aucune référence matérielle permettant de recouper le génome fictif, afin d’établir, par exemple, si les prétendues protéines du SARS-CoV-2 proviennent spécifiquement du prétendu virus.

Ce tour illusoire repose sur la double tromperie de la virologie : (a) la substitution de la signification du dictionnaire et du postulat scientifique du substantif “isolement” par son contraire ; et (b) la substitution de la fausse procuration consistant à induire des effets cytopathiques (CPE) en inoculant des lignées cellulaires typiquement anormales in vitro par la procuration postulée consistant à infecter un hôte sain ou non malade in vivo pour établir la causalité entre le pathogène supposé et la maladie. Cependant, même l’utilisation de lignées cellulaires “normales” ne permettrait pas d’établir la causalité selon les postulats de Koch ou tout autre postulat scientifique, puisqu’il s’agit simplement d’observations en éprouvette impliquant des virus présumés.

Cette double tromperie constitue une violation des postulats sur lesquels la communauté scientifique s’appuie depuis longtemps. Cette absence physique fait du SARS-CoV-2 une fraude sans faille, que les virologues financés par l’industrie applaudissent et que le complexe médico-pharmaceutique exploite et récompense. Cet art noir est si obscur et son langage si ardu que peu de gens dans le grand public s’arrêteraient pour le remettre en question. Même Stephen Bustin, expert en réaction en chaîne par polymérase (PCR) et créateur des protocoles MIQE conçus pour dompter le “Far West” de la RT-PCR, se laisse prendre à cette fraude virologique, comme il l’a révélé dans son interview avec Eric Coppolino :

Eric Coppolino (EFC) : Mais il y a deux définitions différentes de l’isolement qui circulent. L’une est que vous le séparez de tout le reste, et l’autre est que vous le mettez dans un bouillon et vous le trouvez.
Stephen Bustin (SB) : Oui. Eh bien, ce n’est pas vraiment mon domaine d’expertise. En ce qui me concerne, j’ai lu les articles et si c’est la façon standard d’isoler un pathogène, alors je n’ai aucun problème avec cela.
EFC : Eh bien, c’est la façon actuelle qui est utilisée, je dirais, que l’idée d’une véritable purification vous le séparez dans une centrifugeuse, et vous savez que vous avez un échantillon de seulement cela. Et c’est ce qui est séquencé et utilisé pour amorcer la PCR. Il ne semble pas que ce soit ce qui se passe…
SB : Eh bien, la façon dont la séquence a été établie, en prenant les échantillons du patient original, en cultivant quelque chose, puis en le séquençant, puis en désassemblant la séquence, et ce qui en est ressorti, c’est le virus du SRAS.[19] Qui ressemblait alors de très près à un virus du SRAS de chauve-souris. Et qui était évidemment différent. Donc, ça… Eh bien, vous savez, c’est une façon standard de faire les choses, donc je ne peux pas vraiment faire d’autres commentaires à ce sujet, sauf que pour moi, c’est parfaitement acceptable et c’est la façon de faire.[20]

Les quatre piliers de la fraude COVID-19

Si p, alors q ; maintenant q est vrai ; donc p est vrai. Par exemple : “Si les porcs ont des ailes, alors certains animaux ailés sont bons à manger ; maintenant certains animaux ailés sont bons à manger ; donc les porcs ont des ailes. Cette forme de déduction est appelée méthode scientifique. “[21] Bertrand Russell, 1946

La fraude mondiale COVID-19 repose sur quatre piliers, tous interdépendants.

Le premier pilier : L’isolement

La théorie des virus pathogènes remonte au XIXe siècle et les virologues ont passé la première moitié du XXe siècle à essayer d’extraire ces virus présumés directement d’hôtes vivants. Les échecs répétés les ont amenés à changer de cap dans les années 1950 afin de conserver une quelconque crédibilité. Les virologues devaient fournir quelque chose à montrer à leurs investisseurs potentiels, y compris à l’industrie pharmaceutique en plein essor qui s’impatientait de développer des vaccins et des traitements antimicrobiens.

En 1954, des scientifiques ont rapporté qu’ils avaient des preuves de la présence du virus de la rougeole en se basant sur l’observation qu’un échantillon provenant d’un patient atteint de la rougeole avait tué certaines cellules dans un tube à essai. Ces phénomènes sont connus sous le nom d’”effets cytopathiques”.[22] Les auteurs ont admis que “bien qu’il n’y ait aucune raison de conclure que les facteurs in vivo [chez l’homme] sont les mêmes que ceux qui sous-tendent la formation de cellules géantes et les perturbations nucléaires in vitro [dans le tube à essai], l’apparition de ces phénomènes … pourrait être associée au virus de la rougeole. “[23]

L’apparition du CPE (effet cytopathique) est à la base des allégations frauduleuses d’isolement et de pathogénicité de la virologie moderne : un échantillon (par exemple, un écouvillon nasal) est prélevé sur un patient et mélangé à des cellules dans un tube à essai, les cellules meurent et l’on déclare qu’un virus a été “isolé”. Ce que les virologues ne veulent pas que vous sachiez, c’est que les mêmes résultats peuvent être obtenus sans ajouter de prétendus échantillons de virus dans le tube à essai – en d’autres termes, c’est le processus lui-même, la privation de nourriture de la cellule et l’ajout de diverses substances toxiques telles que des antibiotiques et des antifongiques, qui provoquent la réaction et la mort des lignées cellulaires déjà anormales, sans qu’aucun virus ne soit nécessaire. (Des photographies d’infections “factices” sont parfois fournies, mais les détails de ces expériences se distinguent par leur absence).

Il y a, bien sûr, les images de ce qu’on prétend être le virus à l’origine de tous nos problèmes. Cependant, ces images 3D colorées ne sont rien d’autre que des images générées par ordinateur constituant une représentation artistique.[24] Elles ont été utilisées par les médias du monde entier pour alimenter l’imagination du public sur l’existence d’un minuscule microbe ressemblant à une mine marine qui pourrait le frapper et le couler à tout moment. Quant aux images de micrographie électronique mises en avant dans les publications scientifiques, elles montrent simplement des nanoparticules dans et autour de cellules de culture, comme décrit dans les expériences de laboratoire ci-dessus.

Schéma 1. ” Effets cytopathiques – aucun virus requis”[25]

Elles sont censées être les virus du SARS-CoV-2 sur la base de déclarations arbitraires. Par définition, un virus est une particule infectieuse qui peut provoquer une maladie chez un hôte vivant. Aucune de ces propriétés essentielles n’a été démontrée dans les expériences virologiques décrivant l’isolement et la pathogénicité prétendus.

Les virologues ont passé des décennies à tenter de le faire sans succès et, au lieu d’admettre qu’il pouvait y avoir un problème avec la théorie des virus, ils ont simplement changé le sens du mot. C’est un état de fait scandaleux. Le monde est actuellement pris en otage parce que les virologues n’isolent pas réellement les virus, ils se contentent de dire qu’ils le font, et ne semblent pas s’inquiéter du fait que l’assaut actuel contre l’humanité repose sur cette fraude scientifique évidente.

La première fraude, fondamentale, consiste à affirmer que le virus a été isolé et qu’il est l’agent étiologique (causal) du COVID-19. Si cette affirmation (toujours non fondée) n’était pas acceptée, la fraude du COVID-19 imploserait, tout comme la “pandémie du siècle” de Gates. En d’autres termes, la fraude de l’isolement repose sur la violation du sens accepté pour tromper, alors que, par exemple, un “isolat” n’a pas plus été isolé que de simples pensées. Cela met en place un discours circulaire vicieux auquel il est impossible d’échapper : la prémisse de l’existence est établie par le mensonge, et par son insistance absolue, l’existence du virus est “confirmée” de manière concluante et répétée. La virologie se nourrit de cette insistance, car sans elle, il n’y a pas de virus, pas de virologie, pas de “tests” PCR “positifs”, et plus d’emplois pour les virologues qui inventent des virus que Big Pharma combat avec des “vaccins” miraculeux. C’est également la raison pour laquelle les idées qui vont à l’encontre de ce récit sont censurées par le gouvernement et par les grands médias, et pourquoi les agences de sécurité de ce pays terrorisent les personnes qu’elles prétendent protéger, en leur imposant la fraude virologique sur laquelle repose toute la mascarade. L’ensemble de l’appareil d’État est actuellement dédié à cette cause.

Fan Wu et al.[26]

Plutôt que de recourir à la méthode largement utilisée par les virologues pour affirmer l’isolement et la pathogénicité par l’induction de CPE (effet cytopathique), Fan Wu et al, les premiers inventeurs du génome du SARS-CoV-2, ont envoyé l’échantillon extrait du liquide pulmonaire du patient directement au séquençage pour deux plateformes d’assemblage de novo afin de rechercher de courts fragments génétiques ou “reads”.[27] Il est important de noter que les échantillons envoyés pour le séquençage n’étaient pas des virus physiquement isolés mais des échantillons bruts contenant des millions de fragments génétiques uniques provenant du patient lui-même, d’innombrables microbes, et même de l’air que le patient avait respiré sur le chemin de l’hôpital. Plus de 56,5 millions de “reads” ont été produites à partir de cette “soupe” génétique et assemblées pour créer 384 096 contigs (longues séquences génétiques) sur Megahit, et 1,32 million de contigs sur Trinity.[28] Peut-être avec une prédisposition à prouver leur canular infondé selon lequel il existe “la capacité continue de la propagation virale de l’animal à causer une maladie grave chez les humains”, Fan Wu et al. ont choisi la plus longue (30 474 nucléotides) qui, selon eux, avait une identité de nucléotides de 89,1 % avec le génome in silico du coronavirus de la chauve-souris (SL-CoVZC45) inventé en 2018.[29] Ainsi, un “génome” aussi proche génétiquement qu’un humain l’est d’un chat domestique abyssinien est devenu le modèle utilisé pour la conception d’amorces pour la méthode RT-PCR afin de soi-disant détecter un virus dont l’existence n’avait pas été démontrée.[30] Par la suite, il a été décidé que le génome avait besoin d’un couper-coller, peut-être pour le faire paraître encore plus proche des 29 802 nucléotides du modèle de chauve-souris SL-CoVZC45 et il a été réduit à 29 875 nucléotides dans la version suivante sur GenBank.[31] Mais les artistes n’en avaient pas fini avec leur création et un troisième et dernier modèle a été dessiné avec une séquence terminale complètement différente comportant 23 bases adénines consécutives, ce qui ressemblait davantage au modèle de chauve-souris qui comportait 26 bases adénines consécutives en queue.[32] On ne sait pas très bien comment les virologues ont pu savoir quel “génome” choisir alors que toutes les options étaient des constructions informatiques hypothétiques. Il devient donc rapidement évident que l’anti-science de la virologie et la perversion du mot “isolement” sont non seulement délirantes mais aussi très trompeuses et qu’elles ne peuvent servir de base à quoi que ce soit, et encore moins à la santé et au bien-être de populations entières.

Un an plus tard, le Dr Wu Zunyou, du CDC chinois, dans une interview avec Janis Mackey-Frayer, déclarait que l’isolement n’avait jamais eu lieu : “Ils n’ont pas isolé le virus”, a-t-il déclaré. “C’est la question [pourquoi aucune donnée n’a été partagée]. Je ne soupçonne pas que cela provienne de ce à quoi nous pensions au départ.”[33]

Cette fraude fondatrice a été récompensée par des subventions en 2020 d’un montant total de 900 000 dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates accordées aux deux institutions auxquelles 14 des 19 coauteurs de la fraude étaient affiliés : L’Université Fudan a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-006277 ” pour soutenir l’étude épidémiologique et identifier les risques élevés d’infection par le COVID-19, ce qui contribuera à la stratégie d’intervention de santé publique nationale et internationale et au développement de produits “, pour un montant total de 300 000 dollars ; et le China CDC a reçu une subvention dans le cadre du programme INV-005832 ” pour soutenir la réponse d’urgence et l’évaluation, et préparer la Chine à la pandémie potentielle, ce qui contribuera non seulement à contrôler et à contenir la maladie, mais aussi à apporter l’expérience de la Chine à la santé mondiale “, pour un montant total de 600 000 dollars.[34]

Peng Zhou et al.

Des méthodes pseudo-scientifiques similaires et la même fausse revendication d’isolement se retrouvent dans l’article de Peng Zhou et al. reçu par Nature 13 jours après celui de Fan Wu et al. mais publié en ligne dans le même volume, 579, le même jour, le 3 février 2020.[35] Ces auteurs revendiquent également l’isolement réussi de ce qu’ils appellent “2019-nCoV BetaCoV/Wuhan/WIVO4/2019” (EPI_ISL_402124) mais sur la base des CPE (effets cytopathiques) qu’ils ont observés dans trois lignées cellulaires.[36] Cependant, il s’agit de substituts illégitimes de l’infection postulée d’un animal ou d’un hôte sain (non malade). Les trois lignées cellulaires utilisées étaient les suivantes : Les cellules Vero E6 (aneuploïdes) dérivées du rein d’un singe vert africain ; Huh7, une lignée cellulaire d’hépatocytes humains prélevée sur une tumeur du foie en 1982 et cultivée par la suite ; et les cellules HeLa humaines dérivées d’une femme humaine en 1951 souffrant d’un carcinome cervical et cultivées par la suite.[37] Aucune de ces lignées cellulaires ne répond au critère postulé d’un hôte sain avec lequel on peut tester la pathogénicité, mais elles sont privilégiées car elles produisent les effets recherchés, c’est-à-dire un effet cytopathique et l’apparition de vésicules extracellulaires. Aux lignées cellulaires ont été ajoutés, entre autres, des sels inorganiques, du sérum bovin fœtal pour nourrir les cellules, et un ensemble d’éléments cytotoxiques tels que l’amphotéricine B – un antifongique, la trypsine – qui hydrolyse les protéines, la pénicilline – un antibiotique, la streptomycine – un autre antibiotique, le glutaraldéhyde – un désinfectant et un fixateur, le tétroxyde d’osmium – un agent oxydant à toxicité aiguë, et la résine époxy – pour créer un substrat solide pour le découpage en tranches ultrafines.[38] Bizarrement, en se basant sur le fait qu’un ARN de provenance inconnue faisait partie de la culture dans laquelle de nombreuses cellules sont mortes à la suite d’une famine induite et d’un stress avec des ingrédients cytotoxiques, les auteurs ont affirmé qu’ils avaient réussi à isoler leur virus, 2019-nCoV BetaCov, et non que le cocktail d’ingrédients cytotoxiques avait décimé leurs lignées cellulaires anormales.

En bref, Peng Zhou et al. n’ont rempli aucun des postulats permettant d’identifier le virus ou de confirmer qu’il est à l’origine d’une quelconque maladie. Le prétendu virus n’avait même pas été physiquement isolé et purifié pour une caractérisation biochimique et restait donc entièrement théorique.

Cela n’a apparemment pas inquiété la Fondation Bill et Melinda Gates, la fondation qui fournit à l’Académie chinoise des sciences, à laquelle 24 des 27 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19, sous le numéro INV-006377, d’un montant total de 359 820 USD, dans le but suivant : “Soutenir le développement d’une plateforme d’essais pour la sélection de médicaments et de vaccins sous-unitaires contre le coronavirus, qui contribuera à l’innovation de produits pour le contrôle de la pandémie de COVID-19”.[39]

Na Zhu et al.

Publiés dans The New England Journal of Medicine le 20 février 2020, Na Zhu et ses collaborateurs décrivent leur étude des échantillons des voies respiratoires inférieures, y compris le liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA), prélevés chez quatre patients atteints de pneumonie de cause inconnue, qui s’étaient tous rendus au Huanan Seafood Market de Wuhan peu avant leur tableau clinique.[40]

Bien qu’ils affirment avoir isolé le virus, il est clair que les auteurs n’entendent pas le terme “isolement” dans le sens du dictionnaire et du principe, mais dans le sens antonymique de la virologie et dans celui de la substitution de cellules hôtes malades à des cellules non malades pour établir la causalité entre un prétendu virus et la maladie du patient.[41] Dans ce cas, le surnageant centrifugé à partir du LBA du patient “a été inoculé sur des cellules épithéliales humaines… réséquées à partir de patients subissant une chirurgie pour un cancer du poumon”, bien que prétendument exemptes d’agents pathogènes.[42] En tout état de cause, des cellules cancéreuses seraient présentes dans ces cellules et, comme elles ont l’habitude de le faire, ces cellules produiraient une abondance d’exosomes, qui seraient visibles par le biais de la microscopie électronique à transmission.[43] Contrairement à Fan Wu et al et Peng Zhou et al, Na Zhu et al ont bien produit des images de ce qu’ils ont décrit comme des “particules de 2019-nCoV” mais sans aucune vérification de leur composition biochimique à partir d’un spécimen purifié.[44] Il est tout simplement impossible d’établir, à partir des images proposées, que les particules sont des virus (c’est-à-dire infectieux et pathogènes) ou qu’elles contiennent le prétendu génome du SARS-CoV-2.

Pourtant, malgré cette double tromperie qui hante la virologie, les virologues s’accrochent à leurs convictions et à leur métier. Car comme le disent Na Zhu et al : “Bien que notre étude ne réponde pas aux postulats de Koch, nos analyses fournissent des preuves de l’implication du 2019-nCoV dans l’épidémie de Wuhan.”[45] La base de cette affirmation semble être que les auteurs ont placé des pointes en forme de flèche sur des vésicules extracellulaires de composition inconnue et les ont baptisées “2019-nCoV”.

L’implication et la composition inconnue étaient toutefois suffisantes pour la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a accordé à l’Institut national de contrôle et de prévention des maladies virales, auquel 13 des 18 co-auteurs étaient affiliés, une subvention 2020 liée au COVID-19 sous le numéro INV-019121 pour un montant de 71 700 dollars US “pour aider le CDC chinois à évaluer la qualité des réactifs de diagnostic sérologique du COVID-19 en Chine et fournir des preuves de l’utilisation scientifique des réactifs dans le diagnostic clinique et l’enquête épidémiologique”.[46]

Leon Caly et al.

Leon Caly et al. ont produit leur propre version sous le titre “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia” (isolement et partage rapide du nouveau coronavirus de 2019 (SRAS-CoV-2) chez le premier patient diagnostiqué avec COVID-19 en Australie) lorsqu’ils ont fait état d’un homme de 58 ans originaire de Wuhan qui s’est “senti mal” à son arrivée à Melbourne le 19 janvier 2020.[47]

Lorsqu’ils ont affirmé que les cellules Vero “présentaient des vésicules liées à la membrane cytoplasmique contenant des particules de coronavirus”, Caly et al. n’ont pas pu trouver de “virions” avec la prétendue protéine spike, ils ont donc ajouté de la trypsine au milieu de culture cellulaire, et avant qu’ils aient pu dire “Jack Robinson”, la trypsine, dont la fonction est de digérer les protéines, avait englouti la couche protéique externe d’un “virion” sphérique de 100 nm pour révéler “la frange caractéristique en forme de couronne des protéines spike”, ce qui, ajoutent-ils sans la moindre ironie, “a immédiatement amélioré la morphologie du virion”.[48] En d’autres termes, lorsque les exosomes ne ressemblaient pas au virus qu’ils souhaitaient, ils leur ont donné un petit coup de pouce trypsinisé. Les prétendus virions n’ayant pas été purifiés, leur composition biochimique n’a pas pu être établie : le “génome” proposé a en fait été constitué après avoir généré “environ 30 000 000 de “reads”” à partir du mélange de cultures de tissus.[49] Comme pour tous les autres articles de cette nature, aucune explication n’a été fournie quant à la manière dont ces particules seraient à l’origine de maladies ou si ces mêmes particules existent dans l’organisme humain. Là encore, on ne peut parler que de vésicules extracellulaires de signification inconnue, produites à partir de cellules rénales anormales de singe dans une éprouvette. Le problème supplémentaire de savoir si les images de micrographie électronique de tissus préparés in vitro ressemblent même à celles de cellules vivantes dépasse le cadre de cet essai.

Il n’est pas nécessaire d’en dire plus sur les folies de cet article et sur les absurdités virologiques qui le sous-tendent, si ce n’est pour ajouter que le ministère néo-zélandais de la santé (MOH) déclare qu’il s’agit d’un exemple “d’isolement et de culture du virus en laboratoire”.[50]

Deuxième partie

Le deuxième pilier : Séquençage génomique

Cette tragédie mondiale a été en grande partie rendue possible par le déclin de la science ” – l’étude systématique de la nature et du comportement de l’univers matériel et physique, basée sur l’observation, l’expérience et la mesure ” – vers le scientisme, “l’application non critique des méthodes scientifiques à des domaines d’étude inappropriés “.[51] Cela est devenu un système de croyance sécularisé dont l’autorité repose sur sa propre performativité et sur la présupposition d’une préexistence phénoménologique dans laquelle les suppositions et les hypothèses sont considérées comme concluantes et les abstractions sont traitées comme des répliques du réel.

Le deuxième pilier de la fraude COVID-19 est celui du séquençage génomique.

Les virologues prétendent avoir établi la structure génétique complète de virus tels que le ” SARS-CoV-2 ” et l’avoir téléchargée dans des banques de données, comme Fan Wu, Peng Zhou, Na Zhu, Leon Caly et leurs équipes l’ont fait au début de 2020, et comme beaucoup l’ont fait depuis. Là encore, ils affirment avoir un “isolat” du virus, mais cette déclaration est faite après avoir “construit” le génome à partir de leur mélange contenant des fragments génétiques de provenance inconnue. Dans le cas de Fan Wu et al, bien qu’il n’y ait pas de chauves-souris en vente dans le marché couvert de fruits de mer où le patient travaillait, et bien que les auteurs n’aient pas été en mesure de confirmer un hôte intermédiaire ou un réservoir pour leur virus, ils ont néanmoins choisi in silico (par ordinateur) un autre coronavirus de chauve-souris comme modèle pour créer WH-Human 1 (SARS.-CoV-2).[52] Tout cela, sans doute, fait partie intégrante du besoin de validation scientifique de la virologie, qui s’exprime dans sa quête depuis 20 ans de l’eldorado des chauves-souris où, selon elle, se trouvent tous les trésors du monde en matière de coronavirus.[53] En attendant, elle continue d’inventer des virus pour nourrir Big Pharma et se maintenir à flot.

Le processus utilisé par la virologie pour prétendre à “l’isolement” peut être résumé comme suit. À partir de la “soupe” biologique prélevée dans les poumons ou les écouvillons nasaux des patients, qui contient toutes sortes de matériel provenant du sujet humain, d’innombrables microbes commensaux et de contaminants potentiels, les plates-formes d’assemblage de novo recherchent de courts fragments génétiques. Après avoir trouvé des millions de fragments uniques dans le mélange, ces logiciels assemblent un “génome” (un long morceau) en fonction des paramètres définis dans le programme. En cours de route, il y a un peu de couper-coller et si des morceaux sont “manquants”, d’autres modèles prêts à l’emploi peuvent être ajoutés pour combler les lacunes. Cependant, les algorithmes, les modèles de probabilité et les sélections arbitraires créés par l’homme ne peuvent pas répondre par “oui” ou par “non” à la question de son existence physique dans la nature, notamment parce que tout “génome” de coronavirus utilisé comme modèle dans sa production sera également propositionnel, la méthodologie n’offrant aucun lien confirmable avec l’univers matériel ou physique, faisant du nouveau membre du genre Coronavirus un simple produit supplémentaire des processus sui-référentiels de la virologie.

Une analogie pour ces processus serait que vous trouviez un million de cartes sur le sol, chacune avec des phrases partielles. Vous commencez à les arranger pour en faire des phrases complètes, puis finalement une histoire. Si certaines parties ne correspondent pas, vous les jetez, et si des parties semblent manquer, vous empruntez un paragraphe d’une autre histoire. Mais comment savoir s’il s’agit d’une histoire existante et non d’une invention de votre part ? Et pourquoi n’y aurait-il pas dix petites histoires, ou pas d’histoire du tout ? En bref, vous ne pouvez pas prétendre connaître l’histoire si vous n’avez pas accès à l’histoire complète avant de commencer. Et c’est là que réside la tromperie de la virologie – les virologues ne travaillent pas avec un génome complet parce qu’ils ne travaillent pas avec un virus complet. Ils travaillent avec des morceaux aléatoires de matériel biologique et nous disent ensuite que cela constitue la preuve d’un virus. Cependant, ceux d’entre nous qui examinent attentivement leurs expériences peuvent voir qu’il y a un problème : il n’y a aucune preuve matérielle d’un quelconque virus.

En effet, ce que l’on ne dit pas au public, c’est qu’aucun virus appelé SARS-CoV-2 n’a jamais été réellement isolé et purifié en tant que structure unique. Ce qui se passe, c’est simplement le séquençage à l’aveugle d’échantillons bruts qui contiennent des fragments génétiques de provenance inconnue. Par conséquent, il n’existe aucune preuve, pas même la plus vague garantie, que le “génome” in silico qui en résulte existe dans la nature ou a quelque chose à voir avec un “virus”. De cette façon, cependant, l’invention du “virus” est présentée comme une découverte, son faux statut étant assuré rétroactivement par l’acte de dénotation par lequel sa dénomination prétend à son existence antérieure et à sa pathogénicité.

Qu’un génome hypothétique fictif inventé par une telle anti-science soit au cœur de cet assaut contre l’humanité est un scandale scientifique et éthique. C’est cette fausse science qui a mis le monde sens dessus dessous. C’est là le caractère insidieux du crime de la virologie, une version généralisée de la fausse revendication de l’isolement qui donne aux politiciens la “permission” de violer ceux qu’ils emploient, et d’étendre leur programme systématique de violation corporelle au secteur privé, les dernières victimes étant les travailleurs du commerce au détail et de l’hôtellerie.[54]

Pour le reste, le crime s’insinue dans notre conscience sous couvert de devoir et de bienfaisance, amenant nombre d’entre nous à accepter dans notre corps le contenu inconnu de flacons que le gouvernement n’a apparemment pas pris la peine de vérifier, produits par un fabricant ayant un palmarès spectaculaire de fraude médicale criminelle, contenu qui, en outre, introduit clandestinement dans notre corps des vecteurs génétiques aux effets mal déterminés, tout cela pour le plus grand bien de la protection de la société contre une maladie mortelle qui n’existe pas.[55]

La façon dont une démocratie contemporaine a pu se laisser prendre à une telle absurdité grotesque mais mortelle dépasse le cadre de cet essai. Il suffit de dire que c’est la raison pour laquelle le gouvernement néo-zélandais n’est pas “votre unique source de vérité”, mais un pourvoyeur criminel de mensonges monumentaux qu’il utilise pour couvrir ses lâches crimes contre l’humanité, ses actes de terreur et de démocide, ainsi que le carnage socio-économique généralisé et la dislocation qu’il continue d’infliger à la population de cette whenua [terre en Maori], reproduisant les circonstances antérieures à l’établissement des pires régimes totalitaires.

Le troisième pilier : La PCR

Le troisième pilier de la fraude COVID-19 concerne la mauvaise application de la PCR (modifiée en RT-PCR, reverse-transcriptase-PCR afin de détecter l’ARN monocaténaire, car la PCR ne peut qu’amplifier l’ADN avec précision). Cette application erronée porte sur l’amplification de séquences d’ARN prélevées sur des sujets humains qui appartiendraient au SARS-CoV-2 et à une maladie appelée COVID-19. Or, la PCR ne peut confirmer ni l’un ni l’autre de ces éléments ; sa capacité se limite uniquement à l’amplification des séquences nucléotidiques sélectionnées, et non à la détermination de leur provenance ou de leur signification. Cette fraude repose donc sur l’attribution d’une signification aux séquences amplifiées, qui est fournie par : (a) la référence au génome imaginaire in silico et non à une entité physique prouvée appelée SARS-CoV-2 ; et (b) une “maladie” qui, par un raisonnement circulaire absurde, a été définie par le résultat de la PCR lui-même. Le SARS-CoV-2 n’a jamais été localisé chez un sujet humain, isolé, purifié, puis photographié et caractérisé biochimiquement comme une structure unique. Il n’a pas été prouvé qu’il existe dans la nature ; en fait, des composants clés ont été brevetés en 2007, ce qui, par définition, signifierait qu’ils sont fabriqués par l’homme.[56] En ce qui concerne les courtes séquences nucléotidiques détectées par les kits PCR utilisés, elles existent mais proviennent d’ailleurs, et non d’un virus étiqueté ” SARS-CoV-2 ” (si la PCR est mal faite ou à des nombres de cycles élevés, comme c’est le cas habituellement, la séquence cible peut même ne pas exister dans l’échantillon et un résultat ” positif ” est simplement un artefact du processus). En outre, la PCR ne peut pas diagnostiquer le statut infectieux d’un humain de manière avérée et aucun lien cohérent n’a jamais été trouvé entre un état pathologique et les résultats de la PCR. En bref, la mauvaise application de la PCR signifie que le COVID-19 est une construction scientifiquement dénuée de sens qui ne représente rien de plus qu’une illusion référentielle.

Dès le départ, le but de cette application erronée était de fournir la base statistique d’une pandémie basée sur une maladie inventée par l’OMS au profit de l’élite et de certains membres de l’industrie pharmaceutique, et non pour l’humanité. Au 3 janvier 2020, avec seulement ” 44 cas-patients atteints de pneumonie d’étiologie inconnue “, il n’y avait aucune base pour amorcer le bouton de démarrage de la pandémie que l’OMS et l’industrie pharmaceutique recherchaient désespérément ; Moderna et BioNTech, le partenaire de Pfizer, avaient par exemple perdu près d’un milliard de dollars à eux deux en 2,5 années financières entre 2016 et 2019.[57]

Dr Kary Mullis, l’inventeur de la réaction en chaîne par polymérase (PCR) : “Cela ne vous dit pas que vous êtes malade.” (Photo : LA Times 13 août 2019)

Cependant, après la publication sur le site Internet de l’OMS, les 13 et 17 janvier 2020, de séquences de tests PCR non évaluées par des pairs, conçues par Christian Drosten et al. pour détecter le prétendu virus, des tests conçus, comme l’ont reconnu les auteurs, ” sans disposer de matériel viral “, le nombre de cas de COVID-19 a commencé à augmenter.[58]

Entre le 22 et le 24 janvier, l’OMS a convoqué une réunion d’urgence pour suivre la situation internationale, alors que seuls 17 décès et 581 cas avaient été signalés à ce stade.[59] Cette absence de cas posait un problème aux entreprises pharmaceutiques désireuses de mettre sur le marché leurs dispositifs hautement expérimentaux de codage génétique, déguisés en vaccins, sans avoir à passer par les processus d’approbation normaux, qu’elles doutaient de pouvoir satisfaire. [60] Une urgence de santé publique pourrait être le moyen de contourner les conditions d’autorisation rigoureuses des autorités réglementaires.[61] Les “tests” RT-PCR ont atteint leur objectif, produisant suffisamment de cas pour que Tedros déclare “une urgence de santé publique de portée internationale” (PHEIC), et pour alimenter la rhétorique : “L’heure est aux faits, pas à la peur. L’heure est à la science, pas aux rumeurs. L’heure est à la solidarité et non à la stigmatisation.”[62] En effet, en sept jours seulement, à partir du 24 janvier, le nombre de cas de COVID-19 a augmenté de 1 245,61 % dans le monde, passant de 581 à 7 818, dont 98 seulement en dehors de la Chine.[63] Le lendemain, le nombre total de cas était passé à 9 826.[64] La fraude internationale était là, au grand jour, avec la croissance astronomique d’un virus fantôme qui n’avait pas été isolé et dont on n’avait pas encore démontré qu’il était à l’origine d’une quelconque maladie. Tedros recommandait d’accélérer le “développement de vaccins, de thérapies et de diagnostics”, ce qui était encore plus important que “l’urgence de santé publique de portée internationale”.[65]

L’odeur de la fraude était partout. Drosten a omis de déclarer qu’il était membre du comité éditorial d’Eurosurveillance lorsque son article et celui de ses co-auteurs ont été publiés dans Eurosurveillance le 23 janvier, deux jours après avoir été soumis.[66] Il est également apparu que Drosten serait “probablement poursuivi en justice pour détention d’un titre de doctorat frauduleux”.[67] Un autre co-auteur, Chantal Reusken, a également omis de déclarer qu’elle faisait partie du comité éditorial d’Eurosurveillance, et un autre co-auteur de Drosten, Olfert Landt, PDG de TIB Molbiol, a omis de déclarer son conflit d’intérêts jusqu’au 29 juillet 2020, alors que sa société fabriquait un kit PCR basé sur les séquences de test publiées.[68] Pour Landt, la tromperie s’est avérée très payante, comme son entreprise l’indiquera plus tard : “TIB Molbiol … fournit des kits de test PCR COVID-19 depuis début janvier 2020. Au cours des 12 derniers mois, nous avons livré plus de 60 millions de tests.”[69]

Soudain, le monde a été plongé non pas dans une pandémie virale mais dans une pandémie de PCR générant la peur dans le monde entier. Mais la peur paie et paie bien. L’institution à laquelle les créateurs les plus éminents de cet article étaient associés, l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin, a reçu une subvention 2020 du BMGF sous le numéro INV-005971 “pour développer des outils de diagnostic et de virologie permettant une réponse rapide au nouveau coronavirus 2019” pour un montant total de 249 550 dollars.[70]

La pandémie de tests PCR a maintenant soutenu la pandémie fantôme de COVID-19 pendant presque deux ans. On prétend que la PCR peut détecter un virus et une infection, mais ce n’est qu’une tromperie de plus. La méthode PCR amplifie simplement des fragments génétiques, c’est tout. Comme nous l’avons établi, personne n’a de spécimen physiquement isolé ni même prouvé l’existence du virus. C’est pourquoi les séquences des tests PCR de Drosten ont été conçues sans virus, tout comme les séquences des tests des centres américains de contrôle et de protection des maladies (CDC).[71] En d’autres termes, la PCR a été calibrée pour détecter les séquences génétiques d’un “virus” dont l’existence dans la nature n’a pas été démontrée. Au lieu de cela, elle détecte des séquences de provenance inconnue que l’on trouve chez certains humains et, semble-t-il, chez certaines chèvres, une caille et un jaquier.[72] Comme l’a souligné Kary Mullis, l’inventeur de la PCR, lauréat du prix Nobel, la PCR “ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé va vous faire du mal ou quoi que ce soit de ce genre”.[73] En effet, bien qu’il se présente comme un “flux de travail diagnostique pour le 2019-nCoV”, l’article de Drosten décrit simplement la sensibilité analytique et la spécificité de leur protocole PCR pour amplifier les séquences nucléotidiques sélectionnées, il n’établit aucune spécificité diagnostique pour une quelconque condition clinique.[74] Ainsi, bien que les autorités sanitaires affirment que la PCR est adaptée au diagnostic du COVID-19, un tribunal autrichien a confirmé le contraire en mars 2021, son jugement faisant écho à celui de Mullis : “‘un test PCR n’est pas adapté au diagnostic et ne dit donc rien en soi sur la maladie ou l’infection d’une personne’”.[75] Le partenaire complémentaire dans le crime de la PCR est la définition de l’OMS d’un cas de “COVID-19”.[76] Essentiellement, un cas confirmé peut être et sera très probablement “une personne ayant un test d’amplification de l’acide nucléique (TAAN) positif”, c’est-à-dire un test PCR, que la personne soit malade ou non.[77] Cela a créé une situation absurde où un cas de “COVID-19” n’est rien d’autre que le résultat du test PCR d’un test qui n’en est pas un, car le test PCR n’a aucune capacité de diagnostic à cet égard, puisqu’il s’agit simplement d’un outil d’amplification. Les tests PCR “positifs” sont ensuite affichés par des organisations telles que l’Université et la Médecine John Hopkins qui présentent des statistiques dénuées de sens comme si elles étaient légitimes. En d’autres termes, aucun des 243 554 336 cas de COVID-19 affichés sur le tableau de bord du coronavirus de Johns Hopkins au 25 octobre 2021 n’existe en dehors du discours vicieusement circulaire qui repose uniquement sur la double prémisse non prouvée selon laquelle le SARS-CoV-2 a été isolé et est à l’origine du COVID-19.[78]

En conséquence, nous vivons aujourd’hui une tyrannie médicale, déconnectée du monde naturel et tellement absurde que la détection de quelques fragments génétiques chez une personne peut servir d’excuse pour enfermer une nation entière.

Le quatrième pilier : Modélisation des épidémies

Les nombres astronomiques de cas produits par la méthode PCR sont devenus la base du nombre de reproduction (R0) qui a initialisé tous les modèles épidémiologiques du COVID-19. Pourtant, même en s’appuyant sur ces chiffres sans valeur, la modélisation des épidémies, connue depuis longtemps pour sa faillibilité prédictive, a quand même réussi à produire des prédictions spectaculairement grotesques.

Le plus grand pourvoyeur de cette absurdité spéculative est Neil Ferguson de l’Imperial College London (ICL), auteur principal du rapport 9 de l’ICL, publié sans examen par les pairs le 16 mars 2021, qui prédit que 550 000 personnes au Royaume-Uni et 2,2 millions de personnes aux États-Unis mourraient dans un délai d’environ trois mois sans intervention non pharmacologique (masque, confinement…)[79] Ses prédictions catastrophiques ont amené les gouvernements à changer de cheval à mi-chemin et ont provoqué, comme on pouvait s’y attendre, une panique généralisée parmi un public non averti, créant un environnement de peur et une volonté de se conformer aux politiques de “santé” publique dans de nombreux pays. Lorsqu’il a finalement publié les programmes du rapport 9 pour les soumettre à l’examen du public, Ferguson a constaté qu’ils étaient ridiculisés par les experts commerciaux et universitaires. Un expert commercial a estimé qu’il s’agissait d’un “désordre bogué qui ressemble plus à un bol de pâtes aux cheveux d’ange qu’à une pièce de programmation finement réglée”, tandis que des scientifiques de l’université d’Édimbourg ont signalé qu’il échouait “au test scientifique de base consistant à produire les mêmes résultats à partir du même ensemble initial de paramètres”.[80] Dix jours plus tard, Ferguson, qui estime que les modèles sont des “versions simplifiées de la réalité”, prédit, dans un autre article cosigné par l’ICL, que 40 millions de personnes pourraient mourir dans le monde à cause du COVID-19.[81]

La modélisation du chaos en Nouvelle-Zélande a été largement le domaine de trois groupes. Le premier à publier son rapport, daté du 27 février 2020, a été le groupe de modélisation commandé par le gouvernement, l’University of Otago Wellington COVID-19 Response Group (UOWCRG). Dans ce rapport, les modélisateurs “estiment que le nombre de décès probables se situe entre 12 600 et 33 600”, ce qui correspond à 0,67 % de la population néo-zélandaise et à plus de 52 millions de décès dans le monde.[82] N’ayant effectué aucun contrôle préalable sur les circonstances de l’origine du SARS-CoV-2, mais ayant recueilli diverses informations à son sujet de toutes parts, y compris ses données de reproduction (R0) provenant de quatre sources différentes et le nombre de cas d’infection en Australie, l’UOWCRG a prédit que le système hospitalier du pays serait submergé par “336 000 personnes” nécessitant une “hospitalisation”, et entre 67 000 et 79 000 patients nécessitant des unités de soins intensifs dans le pire des cas.[83]

Cependant, la fantasmagorie de mort massive sur laquelle l’état d’exception a été décidé ne repose pas sur les modélisateurs mandatés par le gouvernement, mais sur deux rapports de modélisation non mandatés et non évalués par des pairs, dont les huit auteurs, quatre pour chaque rapport, n’avaient aucune qualification en épidémiologie ni aucune expérience préalable de la modélisation d’une épidémie humaine. Leurs prédictions astronomiques n’étaient pas le fruit d’une rigueur scientifique mais d’une spéculation algorithmique fondée sur des chiffres de cas provenant du ministère de la santé pour l’un des rapports, et pour l’autre, sur des “comparaisons avec des données internationales sur les parcours des cas et des études de modélisation pour les épidémies au Royaume-Uni et aux États-Unis (Ferguson et al 2020)” afin de calibrer leur “nombre de reproduction avec contrôle (Rc)”.[84] Le premier de ces rapports provient de Wigram Capital Advisors, une petite société de conseil en macroéconomie spécialisée dans la Chine et l’Asie.[85] L’autre, Te Pūnaha Matatini (TPM), qui se décrit comme un “Centre d’excellence en recherche sur les systèmes complexes”, est rattaché à l’université d’Auckland.[86] Les modèles de Wigram ont été “exécutés autour du 22 mars” et prévoyaient 4 000 cas de COVID-19 pour le 3 avril et 10 000 pour le 9 avril.[87] C’est à la modélisation de Wigram que le gouvernement s’est référé le 23 mars quand il a affirmé : “Si la transmission dans la communauté décolle, le nombre de cas doublera tous les cinq jours.”[88] Si l’Australie avait connu le même nombre de cas le même jour, doublant tous les cinq jours, sa population de 25,5 millions d’habitants aurait été infectée à la mi-juin et, sur la même base, la population mondiale de 7,8 milliards d’habitants aurait été infectée à la fin de juillet 2020.[89]

L’auteur principal de TPM est intervenu de manière spectaculaire le dimanche 22 mars, en s’adressant aux médias avec l’affirmation alarmante que sa modélisation provisoire, réalisée sur la table de sa cuisine, suggérait que 60 000 personnes allaient mourir à moins qu’une “stratégie de suppression agressive” ne soit mise en œuvre “dès que possible”, ce qui, par miracle, permettrait de sauver 50 000 de ces vies.[90] Les modélisateurs n’avaient aucun précédent auquel se référer concernant les effets d’une telle stratégie, mais surtout, ils n’avaient aucune idée de l’existence même du virus. Comme l’a admis l’auteur principal, ces résultats ont été produits avec “beaucoup d’approximation” en se basant sur des données provenant de l’étranger, tandis que la modélisation elle-même traitait “la Nouvelle-Zélande comme une grande ville où tout le monde a la possibilité d’infecter quelqu’un d’autre”, une erreur fondamentale qui a contribué aux prévisions de mortalité grotesques du rapport.[91] Le lendemain matin, les 60 000 de TPM étaient passés à 1,67 % de la population, soit 83 500 personnes qui pourraient mourir sans aucune mesure d’intervention de “santé” publique, une histoire fantaisiste sans fondement dans la réalité mais qui a fait trembler les parlementaires et à laquelle les apprentis sorciers croient encore un an plus tard.[92] Extrapolé à la population mondiale, “le ministère de I’autopromotion de TPM” venait de prédire que 130 260 000 personnes allaient mourir dans le monde. Le petit groupe TPM a été richement récompensé par le gouvernement avec un prix de 6 millions de dollars pour l’avoir aidé à promouvoir un récit absurde et à susciter une peur sans fondement dans la population de la Nouvelle-Zélande.[93] Si TPM a remporté le prix de la prédiction la plus grotesque, l’ICL de Neil Ferguson a été le grand gagnant. Gates, qui apprécie une histoire effrayante qui confirme ses “prédictions”, qui ferme une grande partie du monde et qui décide que seuls les “vaccins” peuvent le rouvrir, a puisé dans ses réserves pour son frère d’armes de l’ICL, sortant de sa poche arrière un ensemble de subventions pour 2020 d’un montant total de 91 494 791 dollars.[94] Parmi ces subventions, citons INV-016635, d’un montant total de 1 080 771 USD, pour “évaluer l’efficacité potentielle d’un vaccin à base d’acide ribonucléique (ARN) contre le COVID-19”, INV-023013, d’un montant total de 140 041 USD, pour “modéliser l’impact potentiel des diagnostics rapides pour le COVID-19”, et INV-023210, d’un montant total de 1 487 605 USD, pour comprendre comment les impacts sociaux et autres impacts indirects du COVID-19 (distanciation sociale, quarantaine, etc.) et les perceptions du risque influencent les comportements sexuels à risque qui pourraient conduire au VIH.[95] Si l’année 2020 a été une année record pour l’ICL, M. Gates s’occupait depuis longtemps de l’ICL, la Fondation Bill et Melinda Gates lui ayant accordé des subventions depuis 2002 pour un montant total de 302 164 640 USD, soit environ 16 000 000 USD par an au cours des 19 dernières années.[96]

Alors que la confusion et le débat font rage sur ces modèles, sur les raisons pour lesquelles le “virus” se comporte si différemment selon les endroits, sur l’existence d’une surmortalité et sur l’efficacité des “vaccins”, tout cela n’est qu’une distraction. Si l’on examine l’article d’origine de Fan Wu et al. et tous ceux qui ont suivi, la vérité est que l’existence du “SARS-CoV-2” n’a pas été démontrée. Il n’y a pas de “COVID-19” en dehors d’un récit malveillant imposé à l’humanité.

Troisième partie

En résumé

La fraude du COVID-19 est l’œuvre d’élites internationales, de l’industrie pharmaceutique et de politiciens complices travaillant à un programme mondialiste, dont l’objectif semble être l’extinction des droits de l’homme et des libertés et le démantèlement de la démocratie dans le but de contrôler les populations et d’extorquer de vastes sommes d’argent aux pays sur la base qu’une maladie, le COVID-19, inventée par l’OMS, représente une menace sérieuse pour leurs populations.

Le fondement de cet agenda est la fraude selon laquelle un nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2 a été trouvé et isolé chez des sujets humains et qu’il a été démontré qu’il était la cause d’une maladie appelée COVID-19. Rien de tout cela ne s’est produit.

Le remède proposé pour ce supposé virus tueur est une protéine de pointe (spike) produite par une séquence génétique qui ne se trouve pas dans la nature mais dans un brevet américain de 2007. Les “vaccins” basés sur cette séquence ont tué plusieurs milliers de personnes dans le monde et en ont mutilé et blessé des millions d’autres.

La base statistique de cette pandémie fantôme a été déterminée par l’application erronée d’une méthode PCR qui n’a aucune spécificité diagnostique (clinique) établie. Elle n’a pas permis de diagnostiquer un seul cas d’une nouvelle maladie et n’a produit que des nombres de cas “COVID-19” sans signification.

En conséquence, le gouvernement néo-zélandais est complice de la fraude mondiale du COVID-19 et est donc accusé de crime inconsidéré, notamment de violation des droits de l’homme, de crimes contre l’humanité, de démocide, d’actes de terreur et de meurtre de masse.

Conclusion

Depuis l’entrée en vigueur, le 25 mars 2020, de l’Avis de préparation aux épidémies (COVID-19) 2020, nous vivons dans l’état d’urgence, que l’on peut décrire comme un espace liminal entre la loi et la vie, où la loi ne s’applique plus et où la force pure s’approprie l’anarchie pour se faire la loi.[97] Positionné dans une sorte de “no man’s land entre le droit public et le fait politique”, l’état d’urgence “n’est pas une dictature (qu’elle soit constitutionnelle ou inconstitutionnelle, commissariale ou souveraine) mais un espace dépourvu de droit, une zone d’anomie dans laquelle toutes les déterminations juridiques – et surtout la distinction même entre public et privé – sont désactivées.”[98] Nos maisons sont devenues des prisons, nos corps ne sont plus inviolables, la marque de l’aiguille détermine qui est inclus et qui est exclu, tout cela incarne l’état d’urgence et peut être considéré comme un signe avant-coureur de ce qui nous attend.

Pour conclure, nous espérons que cet essai pourra à la fois vous encourager et vous aider à vous préparer à ce qui nous attend. Car dans le climat actuel, dans ce contexte politique, les circonstances ne feront que continuer à se détériorer si nous ne nous soulevons pas en masse pour réclamer ce que nous avons appris qu’il est si facile de perdre mais volé par ce gouvernement en moins de deux ans, le tout sur la base d’une fraude imbécile qui a néanmoins terrorisé et divisé le peuple de Nouvelle-Zélande au point de le rendre dysfonctionnel, divisant les familles et les amis, les amants, les âmes sœurs, les collègues et les meilleurs amis.

Cet essai vise également à encourager la poursuite des recherches sur la légitimité des méthodologies employées par les virologues établis, ainsi que sur la mauvaise application de la PCR dans les diagnostics cliniques. Si ces méthodes anti-scientifiques continuent à être largement acceptées, nous risquons de voir encore plus de “pandémies” sans fondement, nécessitant encore plus de “vaccins”, se poursuivre indéfiniment dans le cadre de la “nouvelle normalité”. En fait, un fabricant a déjà fait part de son intention de “développer un vaccin combiné à ARNm “afin que les gens puissent recevoir une injection chaque automne pour une protection très efficace contre les virus respiratoires les plus problématiques”.[99]

Il n’y a rien de normal à ce que l’industrie pharmaceutique et les organisations mondialistes créent une demande de thérapies géniques inutiles par la peur et la création de pseudo-pandémies. Il n’y a rien de normal en ce qui concerne la censure sans précédent du débat scientifique et l’empêchement des praticiens médicaux de fournir un consentement éclairé à leurs communautés. Seuls les plus naïfs pourraient croire que, dans cet environnement artificiel, une cabale d’élites et une industrie ayant un bilan effroyable de préjudices et de décès font du monde un endroit plus sain pour ses habitants.

Les tyrannies naissent et disparaissent. Celle-ci, dans son ascension, est déjà en train de s’étouffer de son propre orgueil. Les façades scientifiques et idéologiques sur lesquelles cette escroquerie s’appuie entraîneront sa propre chute et, avec elle, une nouvelle ère dont nous hériterons tous. Les tyrans cachés, lorsqu’ils finissent par émerger, sont toujours nus, des vaisseaux vides remplis des idées des autres, faisant la guerre aux innocents pour se cacher de ce qui leur manque. Ils n’ont pas encore appris que le contrôle est une voie sans issue ou que ce qui fait s’élever l’esprit humain n’est rien d’autre que l’acceptation.

POST-SCRIPTUM

Dans le cadre du processus de reprise pacifique de ce qui appartient au peuple néo-zélandais, Heterodoxies Society Incorporated a déposé une procédure le 6 août 2021 devant la Haute Cour d’Auckland, CIV-2021-4041599. Malheureusement, depuis lors, sur la base d’un artifice juridique qui n’a aucune base statutaire apparente ou valeur juridique, l’affaire a été suspendue, c’est-à-dire confinée dans un équivalent de quarantaine juridique. Voici une partie de ce que la Cour a récemment refusé d’entendre.

Crimes contre l’humanité

“Il est question de bio-armement intentionnel de protéines de pointe à injecter aux gens pour les rendre dépendants d’un vaccin contre les ”pancoronavirus”. Cela n’a rien à voir avec un agent pathogène qui a été libéré… Il s’agit d’injecter aux gens une protéine S1 connue pour être nocive… La tragédie, c’est que nous sommes dans un monde où des centaines de millions de personnes se voient injecter une séquence informatique stimulant un agent pathogène… qui est vendue sous ce que l’office des brevets, la profession médicale et la FDA et ses propres normes cliniques ne considèrent pas comme un vaccin, mais en utilisant ce terme, nous soumettons maintenant des centaines de millions de personnes à ce que l’on savait être, en 2005, une arme biologique. ” Dr David Martin, 12 juillet 2021[100]

Le 20 septembre 2021, une conférence de presse s’est tenue à l’Institut de pathologie de Reutlingen, en Allemagne, afin de présenter, dans la première partie intitulée “Cause du décès après une vaccination Covid-19”, les conclusions des pathologistes Arne Burkhardt et Walter Lang qui avaient enquêté sur dix décès de personnes de plus de 50 ans décédées dans le contexte chronologique de l’administration de soi-disant vaccins COVID-19, dont le Comirnaty de Pfizer. Dans la deuxième partie, “Composants non déclarés des vaccins Covid-19”, les éléments non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits ont été présentés et discutés par divers participants, dont des médecins d’Allemagne et d’ailleurs.[101]

Le professeur Dr Burkhardt a enseigné pendant de nombreuses années aux universités de Hambourg, Berne et Tübingen, et a également été professeur invité/visiteur dans un certain nombre d’universités du monde entier. Il a dirigé l’Institut de pathologie de Reutlingen pendant 18 ans, après quoi il a exercé en tant que pathologiste. Il a publié plus de 150 articles dans des revues spécialisées. Le professeur Dr Walter Lang a travaillé comme pathologiste à la faculté de médecine de Hanovre de 1968 à 1985, puis a fondé un institut privé de pathologie à Hanovre où il a travaillé pendant 25 ans. De 1985 à 2020, il a effectué des examens de consultation pour la pathologie de la clinique pulmonaire de Herner. Ils étaient accompagnés dans cette présentation par le professeur Dr Werner Bergholz, ancien professeur d’électrotechnique spécialisé dans la gestion de la qualité et des risques à l’université Jacobs de Brême, qui avait travaillé pendant 17 ans dans la gestion de la production de puces chez Siemens avant cette nomination.[102]

Sur les dix personnes décédées qui ont subi un examen post mortem, Burkhardt et Lang, se fondant sur le matériel tissulaire obtenu auprès des médecins légistes qui avaient d’abord examiné les cas, ont estimé que cinq des décès étaient très probablement liés aux “vaccins” COVID-19, deux probablement, un n’était pas clair et ils ont considéré que deux n’avaient aucun lien de causalité.[103] “Dans trois cas, ils ont trouvé des maladies auto-immunes rares ; l’une d’entre elles était si rare qu’ils ne l’ont découverte qu’en regardant de près l’image numérisée. Il s’agissait de la maladie de Hashimoto, une hypothyroïdie déclenchée par une réaction auto-immune ; de la vascularite leucoclastique, une réaction inflammatoire dans les capillaires qui entraîne des saignements de la peau ; et du syndrome de Sjögren, une inflammation des glandes salivaires et lacrymales.”[104] On a observé un large éventail de maladies, certaines communes, d’autres rares. Les trouver dans un collectif de dix patients était “très extrême”, a déclaré Burkhardt.[105] Comme il le dit : “Nous sommes en présence d’un système immunitaire qui dépasse complètement les limites, qui s’attaque de lui-même à lui-même, et l’inflammation a lieu dans chaque organe, dans chaque vaisseau… et cela conduit à une forte réaction auto-immune et à des maladies. Ce sont des maladies, je dirais, qui sont de 1 pour 100 000 normalement.”[106]

Selon les pathologistes, les lymphocytes avaient afflué et causé une destruction cellulaire massive. Ils ont montré des images d’accumulations de lymphocytes dans une grande variété de tissus, du muscle cardiaque au rein, au foie, à la rate et à l’utérus”, et aussi “des images dans lesquelles le tissu a été massivement attaqué en conséquence, et toute une série de follicules lymphocytaires … au mauvais endroit, par exemple dans le tissu pulmonaire”.[107] Ils “ont également montré des détachements de cellules endothéliales – qui sont les cellules lisses qui forment la paroi des vaisseaux sanguins – des amas de globules rouges qui finissent par provoquer une thrombose, et des cellules géantes qui [s’étaient] formées autour des corps étrangers piégés”.[108] Burkhardt l’a décrit comme suit dans ce résumé paraphrasé de ses conclusions générales : “J’ai beaucoup réfléchi à ce que j’ai vu et je n’ai pu voir qu’une seule chose, à savoir des lymphocytes déchaînés (devenus fous furieux) dans tous les organes et tous les tissus. Nous assistons à une réaction immunitaire extrême, une attaque de soi-même contre soi-même (déclenchée par le vaccin). J’ai été témoin de l’hyperplasie (croissance excessive) et de l’activation des organes lymphatiques, des ganglions lymphatiques et de la rate, ainsi que de l’infiltration des lymphocytes dans les organes non lymphatiques. Le résultat (de cette tempête lymphocytaire) est la perte de la capacité et de la fonction immunitaires externes, combinée à une inflammation et une destruction des tissus causées par les lymphocytes, avec le risque d’une réaction auto-immune prolongée. Personne ne peut dire si et combien de temps il faudra à ces tissus pour se régénérer et retrouver leur état normal et sain.”[109]

Vous trouverez ci-dessous des diapositives représentatives préparées et présentées par le Dr Burkhardt lors de la conférence de presse :

Figure 2. Légende pour le cas 7 : C’est une image à plus haute résolution d’un follicule lymphatique dans le tissu alvéolaire pulmonaire. On voit également ces follicules lymphatiques autour des vaisseaux sanguins pulmonaires. Il s’agit d’une preuve évidente de dommages alvéolaires (dans les poumons). Ce qui se passe ici, c’est que l’appareil immunitaire d’une personne attaque ses propres tissus. Ainsi, les vaccins déclenchent des maladies auto-immunes qui peuvent ne pas se manifester avant plusieurs années. L’infiltration massive de lymphocytes dans les tissus cérébraux, cardiaques, pulmonaires et rénaux est un signal d’alarme pour les maladies auto-immunes et le cancer. Attendez-vous à voir les taux de cancer augmenter considérablement dans les années à venir.”
Figure 3. Légende pour le cas 2 : Cette diapositive montre des vaisseaux sanguins du tissu pulmonaire avec un amas d’érythrocytes (globules rouges).”
Figure 4. Légende : Le syncytium a englouti et tente de digérer une de ces structures non biologiques (identifiées par la flèche jaune) dans le tissu pulmonaire. Le syncytium va échouer dans sa tentative de digestion.”

Dans la deuxième partie, un large éventail d’images de corps étrangers trouvés dans les flacons des fabricants a été photographié et leurs mouvements enregistrés par vidéo. Selon les présentateurs, aucun de ces objets n’a jamais été trouvé dans les vaccins traditionnels et ne devrait se trouver dans le corps humain. Leurs formes vont de l’apparence d’une carte SIM à des filaments en forme de perles et à de grandes formes rocheuses. Ils semblent être des structures métalliques. Aucun des experts ne savait à quoi elles servaient. “Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience”, et pourtant “ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes”.[110]

Comme l’a dit Holger Fischer, avocat allemand et membre du panel, “nous n’avons pas à avoir la charge de la preuve. Si vous aviez une limonade présentant ce type de contamination, elle serait immédiatement retirée du marché.”[111] Maria Hubmer-Mogg, un médecin autrichien, a abondé dans le même sens. “Ces vaccins doivent être retirés immédiatement et leur utilisation d’urgence révoquée”.[112] Faisant référence au récit de la peur, elle a ajouté : “les gens veulent maintenant vacciner leurs enfants, même leurs tout-petits. C’est quelque chose d’inimaginable, c’est de la pure folie, et cette folie doit être arrêtée immédiatement.”[113]

Après plus de deux heures et demie, Fischer a clôturé la conférence de presse par la déclaration suivante : “Une chose est claire, quiconque persiste à poursuivre en connaissance de cause à partir d’aujourd’hui est légalement punissable ; ils ne peuvent pas dire qu’ils ne l’ont pas fait délibérément ou du moins en partie délibérément. Il s’agit d’un crime contre l’humanité que l’on appelle ” élimination d’êtres humains “, et les partis éliminent leur électorat ici … Beaucoup de gens ne savent pas à quel point ils sont malades. Beaucoup vont peut-être découvrir ce soir [qu’ils ont besoin] de se faire aider … Nous voulons sauver ce qui peut l’être chez ceux qui sont déjà vaccinés.”[114]

Vous trouverez ci-dessous une sélection d’images, présentées lors de la conférence, de nombreux objets non biologiques trouvés dans les flacons de ces produits. Ces images devraient suffire à elles seules à mettre un terme immédiat au déploiement criminel du Comirnaty en Nouvelle-Zélande.

Figure 5. Légende : Le reste des diapositives montre des corps étrangers non biologiques trouvés dans les vaccins. Ces matériaux non biologiques ont manifestement été injectés à des centaines de millions de personnes. (Plusieurs des diapositives ont été fournies par d’autres médecins en Allemagne ou en Autriche). Ni le Dr Burkhardt ni le Dr Lang n’avaient jamais vu ces objets au cours de leurs nombreuses décennies d’expérience.”
Figure 6. Légende : OVNIs trouvés dans les vaccins.”
Figure 7. Légende : (On dirait un téléphone portable pour moi !)”
Figure 8. Légende : Salamandre ?”
Figure 9. Légende : Un OVNI dans le sérum du vaccin.” Le Dr Burkhardt affirme en avoir vu des centaines dans des cellules, mais cette image est celle “d’une gouttelette de liquide vaccinal fortement agrandie par microscopie à champ sombre.”
Figure 10. Légende : Un autre filament perlé.”
Figure 11. Légende : Burkhardt remarque les rangées d’objets bleus sur la plus grande tache. Il se demande si ce ne sont pas des nanopuces en quelque sorte.” Ceci montre le corps étranger non biologique dans le liquide vaccinal.
Figure 12. Légende : “Burkhardt se demande si ceci est aussi une puce de graphène.” Est-ce qu’elle “transporte on ne sait quelle information vers l’appareil de fabrication des protéines dans les cellules.”

L’insulte finale

Alors que l’accord conclu par Pfizer avec le gouvernement néo-zélandais reste caché aux yeux du public, et que le contenu des flacons de Pfizer reste occulté par un gouvernement aveugle à sa propre perfidie, une fuite du contrat de fabrication et de fourniture de Pfizer avec l’Albanie ouvre une fenêtre sur le monde infâme dans lequel ce géant pharmaceutique exerce son pouvoir sur les Etats-nations et leur extorque de l’argent sur la base de la fraude COVID-19. Ce contrat, signé par trois fonctionnaires albanais, fait de leur gouvernement une partie au fait que “les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont pas actuellement connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas actuellement connus.”[115] Pourtant, les énormes profits de Pfizer, qui s’élèvent à 12 dollars par flacon selon ce contrat, sont garantis même si une multitude de décès et de blessures surviennent, pour lesquels le gouvernement acheteur doit “indemniser, défendre et dégager de toute responsabilité Pfizer … contre tout procès, toute réclamation, toute action, toute demande, toute perte, tout dommage, toute responsabilité, tout règlement, toute pénalité, toute amende, tout coût et toute dépense … découlant du vaccin, s’y rapportant ou en résultant”.[116] S’agit-il du même type d’arrangement que celui auquel le ministre néo-zélandais des Finances a consenti lorsqu’il a accordé à Pfizer-BioNTech l’immunité de poursuites le 5 octobre 2020, un arrangement qui doit être notifié à la Chambre parce que l’indemnité dépasse 10 millions de dollars ?[117] Si c’est le cas, alors le gouvernement néo-zélandais est également lié par un contrat méprisable, qui sera caché au public pendant dix ans, pour l’achat d’un produit dont il sait et accepte qu’il est “sujet à des risques et des incertitudes significatifs… [et] peut ne pas être efficace”, mais qu’il n’a cessé de promouvoir comme “sûr et efficace”, qu’il a imposé à de larges pans de la population active et qu’il insiste pour que sa séquence de fabrication de poison et ses corps étrangers non déclarés soient introduits dans le corps de nos enfants.”[118]

À propos des auteurs

Dr Mark Bailey MB ChB (Bachelier en médecine et en chirurgie), PGDipMSM (Diplôme de troisième cycle en médecine musculo-squelettique), MHealSc (Maîtrise en sciences de la santé) (Otago)
Est un chercheur en microbiologie, industrie médicale et santé qui a travaillé dans la pratique médicale, y compris les essais cliniques, pendant deux décennies.

Dr John Bevan-Smith BA (Hons) First Class (Licence de lettres (4 ans) avec mention très bien), PhD (doctorat) (Auckland)
Est un chef d’entreprise, auteur et chercheur, qui a entrepris des recherches pour le Tribunal de Waitangi Te Rōpū Whakamana i te Tiriti o Waitangi/The Ministry of Justice Te Tāhū o te Ture.


Essai original (anglais) : https://drsambailey.com/2021/11/11/the-covid-19-fraud-war-on-humanity/
Présentation vidéo de la partie 1 de l’essai par le Dr. Samantha Bailey (anglais) : The COVID-19 Fraud & War On Humanity (Part 1)
Traduction française : https://cv19.fr

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Références

↑1 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Conférence de presse, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 1:27:20 : https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/ ; Au 25/9/21, un total de 2 448 262 événements indésirables et 26 041 décès avaient été signalés à l’Agence européenne des médicaments (Europe) ; au 15/9/21, un total de 1 204 555 événements indésirables et 1 662 décès avaient été signalés à Yellow Card (Royaume-Uni) ; au 1/10/21, un total de 2 826 646 événements indésirables et 16 310 décès avaient été signalés à VAERS (États-Unis). Le nombre total d’événements indésirables signalés dans ces trois régions s’élève à 6 479 563 et le nombre total de décès à 44 013. Compte tenu de la sous-déclaration connue de ces événements, il est prévu que les chiffres réels pourraient être au moins cinq fois plus élevés.
Voir : America’s Frontline Doctors et al. v Xavier Becerra, Secretary of the U.S. Department of Health and Human Services, et al., Civil Action No. 2:21-cv-00702-CLM, dépôt le 19 juillet 2021, 41 ; Citizens’ Adverse Events register.
↑2 Holger Fischer, in Burkhardt et al., “Cause of death after Covid-19 vaccination”, 2:19:13.
↑3 Bill Gates, “Responding to Covid-19 – A Once-in-a-Century Pandemic ?”, The New England Journal of Medicine (28 février 20) : https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762#article_references ; interview de Bill Gates par Ellen DeGeneres, “Bill Gates on Finding a Vaccine for COVID-19, the Economy, and Returning to ‘Normal Life’”, YouTube (14 avril 20) : https://www.youtube.com/watch?v=5oEcxMfwJnw
↑4 “Developing MCMs for Coronaviruses”, dans Rapid Medical Countermeasure Response to Infectious Diseases : Enabling Sustainable Capabilities Through Ongoing Public- and Private-Sector Partnerships : Workshop Summary (Washington DC : National Academies Press, 12 février 2021) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/books/NBK349040/
↑5 Global Preparedness Monitoring Board, “A World at Risk”, (Sept 2019), https://constitutionwatch.com.au/wpcontent/uploads/A-world-at-risk-WHO.pdf
↑6 Ibid.
↑7 Anthony S. Fauci, “The Role of the National Institutes of Health in Research Addressing Seasonal and Pandemic Influenza”, témoignage devant le House Committee on Energy and Commerce Subcommittee on Oversight and Investigations (4 déc. 2019) :
https://energycommerce.house.gov/sites/democrats.energycommerce.house.gov/files/documents/Testimony%20-%20Fauci%20%28NIH%29%2012.04.2019.pdf
↑8 Klaus Schwab et Thierry Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation (Forum Publishing, Genève, 2020), Couverture arrière
↑9 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No. : US 7,279,327 9 Oct 2007) ; Témoignage du Dr David Martin, “CDC Fraud”, audition de la commission d’enquête extraparlementaire German Corona (12 Jul 21) : https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/.
↑10 Schwab et Malleret, COVID-19 : La grande réinitialisation, 11.
↑11 Helen Clark et S.E. Ellen Johnson Sirleaf, coprésidentes du Groupe indépendant pour la préparation et la réponse aux pandémies, “COVID-19 : Make it the Last Pandemic”, OMS (mai 2021), 4.
↑12 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidentiel Protection Sociale, le Ministre d’Etat pour la Reconstruction et l’Institut de Santé Publique”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 7 (2.1 [b]-[d]) : http://ti-health.org/wp-content/uploads/2021/05/AlbaniaPfizer.pdf
↑13 Dr David Martin, Wise Traditions Conference 2021, “Follow the Patents, Then You Will Understand Covid”, (5 Nov 21) : https://rumble.com/vov60h-dr.-david-martin-follow-the-patents-then-you-will-understand-covid.html
↑14 Ibid, 25:11
↑15 “Remarques du Directeur général de l’OMS lors de la réunion d’information à l’intention des médias sur 2019-nCoV le 11 février 2020”, OMS (11 févr. 20), 2/4 : https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-remarks-at-the-mediabriefing-on-2019-ncov-on-11-february-2020 ; “Pourquoi le virus et la maladie ont-ils des noms différents ?”, OMS (11 févr. 20) : https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/technical-guidance/namingthe-coronavirus-disease-(covid-2019)-et-le-virus-qui-cause-it ; Fan Wu et al, “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank : MN908947.3, GenBank (18 mars 20, soumis le 5 janvier 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947
↑16 Paul D Thacker, “Covid-19 : un chercheur dénonce les problèmes d’intégrité des données dans l’essai vaccinal de Pfizer”, BMJ, 375/n2635 (2 Nov 21), 1-3 : https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2635
↑17 Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause de la mort après la vaccination Covid-19”, Conférence de presse Conférence, Institut de pathologie, Reutlingen, Allemagne, (20 Sep 21), 2:19:13.
↑18 James Corbett, “Bill Gates et la grille de contrôle de la population”, The Corbett Report, (18 mai 20) :
https://odysee.com/@corbettreport:0/gatespopulation:b
↑19 Remarque : Bustin s’est trompé dans ses souvenirs. Comme nous l’expliquons ci-dessous, cette étape non valide n’a pas été effectuée par les inventeurs du SARS-CoV-2.
↑20 Stephen A Bustin, “Why the need for qPCR publication guidelines?-The case for MIQE”, Methods, 50 (16 Dec 2009), 218 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19246619/ ; Interview de Stephen Bustin par Eric Coppolino, “Planet Waves FM Interview with Stephen Bustin conducted by Eric F Coppolino”, transcription par Joshua Halinen, New York 1er février 2021), 01:02:00 : https://cormandrostenreview.com/wp-content/uploads/2021/02/bustintranscript.pdf
↑21 Bertrand Russell, The Basic Writings of Bertrand Russell 1903-1959 (Londres : Routledge, 1992, publié pour la première fois 1961), 200
↑22 John F Enders et William C Peebles, “Propagation in Tissue Cultures of Cytopathogenic Agents from Patients with Measles”, Proceedings of the Society for Experimental Biology and Medicine (PSEBM), 86 (reçu le 16 mai 1954), 277-286.
↑23 Ibid., 287.
↑24 https://www.qwant.com/?client=brz-brave&q=SARS-CoV-2+images&t=images
↑25 La méconnaissance du virus – La rougeole comme exemple; Wissenschafftplus Magazin 01/2020; https://cv19.fr/2021/03/07/la-meconnaissance-du-virus-la-rougeole-comme-exemple/
↑26 Fan Wu, ISPOR Summit (2018): https://www.ispor.org/conferences-education/conferences/past-conferences/ispor-summit-2018/program/speakers/speaker/fan-wu-md-phd
↑27 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, Nature, Vol 579 (3 Feb 20, author correction 2 Apr 20), 266, Methods page: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3
↑28 Ibid. Megahit et Trinity sont les noms de deux plateformes d’assemblage de novo.
↑29 bid., 265-6, Methods page.
↑30 Joan Pontius et al, “Initial sequence and comparative analysis of the cat genome”, Genome Research, 17 (2007), 1680.
↑31 Fan Wu et al., “Wuhan seafood market pneumonia virus isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.2, GenBank (14 Jan 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.2/ ; Dan Hu et al., “Bat SARS-like coronavirus isolate bat-SL-CoVZC45, complete genome”, GenBank : MG772933.1, GenBank (29 sept. 2020) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MG772933.
↑32 Fan Wu et al., “Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 isolate Wuhan-Hu-1, complete genome”, GenBank MN908947.3, GenBank (18 Mar 20) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/MN908947.3.
↑33 Interview par Janis Mackey-Frayer du Dr Wu Zunyou, “Wuhan maintenant un an après”, NBC Nightly News Broadcast (Full) – 23 janvier 2021 | NBC Nightly News, NBC (23 Jan 21), 13:30-13:50 : https://www.youtube.com/watch?v=TjjA-8JXzYI
↑34 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑35 Peng Zhou et al., “A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin”, Nature, 579 (12 Mar 20), 270-273 plus 16 unnumbered supplementary papers: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2012-7.pdf
↑36 Ibid., 272.
↑37 Ibid, Résumé du rapport, deuxième page non numérotée.
↑38 Ibid, “Methods”, première page non numérotée.
↑39 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021): https://http://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑40 Na Zhu et al., “A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China, 2019”, The New England Journal of Medicine, 382 (20 Feb 20, first published 24 Jan 20, updated 29 Jan 20), 728.
↑41 Ibid., 728, 730-31.
↑42 Ibid., 728.
↑43 Ibid., 731.
↑44 Ibid.*
↑45 Ibid., 733. Emphasis added.
↑46 Bill & Melinda Gates Foundation (hereinafter Gates Foundation) (accessed 7 May 2021).
↑47 Leon Caly et al., “Isolation and rapid sharing of the 2019 novel coronavirus (SARS-CoV-2) from the first patient diagnosed with COVID-19 in Australia”, MJA, 212/10 (1 Jun 20, received 25 Feb 20, accepted Mar 20, published 9 Mar 20), 459 : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.5694/mja2.50569.
↑48 Ibid., 461-62.
↑49 Ibid., Supplementary methods: https://onlinelibrary.wiley.com/action/downloadSupplement?doi=10.5694%2Fmja2.50569&file=mja250569-sup-0001-Supinfo.pdf
↑50 Letter of Rebecca Drew, Group Manager, Science and Insights, COVID-19 Health System Response, undated OIA letter Ref: H202008345, Ministry of Health. https://fyi.org.nz/request/14170-request-for-records-held-by-ministry-of-health-describing-the-isolation-of-a-sars-cov-2-virus-directly-taken-from-a-symptomatic-patient-of-covid-19
↑51 Jeremy Butterfield, Editorial Director, Collins Concise Dictionary Fifth Edition (Glasgow: HarperCollins, 2003), 1348.
↑52 Fan Wu et al., “A new coronavirus associated with human respiratory disease in China”, 265, 268-9.
↑53 David Cyranoski, “SARS outbreak linked to Chinese bat cave”, Nature, 552 (7 Dec 17), 15-16.
↑54 Rahul Battharai, épidémie de Covid 19 Delta : Businesses welcome vaccine certificates for retail and hospitality ” NZ Herald (26 Oct 21) : https://www.nzherald.co.nz/business/covid-19-delta-outbreak-businesses-welcome-vaccine-certificates-for-retail-and-hospitality/WB2WIX4KHGR27ZZNS6JJXFIGKQ/
↑55 “Le ministère de la Justice annonce le règlement le plus important de son histoire en matière de fraude aux soins de santé”, ministère de la Justice des États-Unis (2 septembre 2009), 2 : https://www.justice.gov/opa/pr/justice-department-announces-largest-health-care-fraud-settlement-its-history.
↑56 Curtis et al., “Methods for producing recombinant coronavirus”, United States Patent No.: US 7,279,327 9 OcT 2007).
↑57 ” Novel Coronavirus (2019-nCoV) Situation Report – 1 “, OMS (21 jan 20), 1 : https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/330760/nCoVsitrep21Jan2020-eng.pdf?sequence=3&isAllowed=y . Moderna, Inc, ” United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement ” (9 nov 2018), 12, 94 ; BioNTech SE, United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement “, (sans date, supposé 2019), 5, F-7 : https://investors.biontech.de/static-files/0eb8771c-1cda-4868-bb9f-bdb22dfd29e4 . Les pertes de Moderna se sont élevées à 230 314 000 dollars pour 2016, 255 916 000 dollars pour 2017 et 243 308 000 dollars pour les neuf mois à fin septembre 2018, et auraient besoin de plus d’investissements. Bien qu’ayant levé 1,1 milliard de dollars depuis 2008 dans le cadre de placements privés de leurs actions, BioNTech a tout de même enregistré une perte avant impôts de 85 950 000 € pour 2017 et de 48 262 000 € pour 2018.
↑58 Victor Corman, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Christian Drosten Charité Virology, Berlin, Germany; Olfert Landt, Tib-Molbiol, Berlin, Germany; Marion Koopmans, Erasmus MC, Rotterdam, The Netherlands; Maria Zambon, Public Health England, London. Additional advice by Malik Peiris, University of Hong Kong, “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor Corman, et al., “Diagnostic detection of Wuhan coronavirus 2019 by real-time RT- PCR”, WHO, 17 Jan 20: https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/protocol-v2-1.pdf?sfvrsn=a9ef618c_2 ; Victor M Corman, Olfert Landt, Marco Kaiser, Richard Molenkamp, Adam Meijer, Daniel KW Chu, Tobias Bleicker, Sebastian Brünink, Julia Schneider, Marie Luisa Schmidt, Daphne GJC Mulders, Bart L Haagmans, Bas van der Veer, Sharon van den Brink, Lisa Wijsman, Gabriel Goderski, Jean-Louis Romette, Joanna Ellis, Maria Zambon, Malik Peiris, Herman Goossens, Chantal Reusken, Marion PG Koopmans, Christian Drosten, “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23: https://doi.org/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045
↑59 Bloomfield Affidavit, (13 Jul 20), 8; “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21): https://en.wikipedia.org/wiki.COVID-19_pandemic_cases_in_January_2020
↑60 Moderna, Inc., “United States Securities and Exchange Commission, Form F-1 Registration Statement” (9 Nov 2018), 12.
↑61 James Delingpole interview of Reiner Fuellmich, The Delingpod (23 May 21): http://www.odysee.com/@JamesDelingpoleChannel:0/feullmich:8
↑62 “WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20): https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general-s-statement-on-ihr-emergency-committee-on-novel-coronavirus-(2019-ncov)
↑63 “COVID-19 pandemic cases in January 2020”, Wikipedia (accessed 17 Jun 21); Andrew Joseph, “WHO declare coronavirus outbreak a global health emergency”, STAT (30 Jan 20).
↑64 Ibid.**
↑65 “WHO Director-General’s statement on IHR Emergency Committee on Novel Coronavirus (2019-nCoV)”, WHO (30 Jan 20), 3.
↑66 Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 January 2020), 23.
↑67 William Engdahl, “Coronavirus Scandal Breaking in Merkel’s Germany”, (10 Dec 20): http://www.williamengdahl.com/englishNEO10Dec2020.php
↑68 Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, 29.
↑69 “RT-PCR test kits and VirSNiP Mutation Assays for strain surveillance”, TIB Molbiol (accessed 6 May 20): https://www.tib-molbiol.de/covid-19
↑70 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021).
↑71 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel: For Emergency Use Only Instructions for Use Catalog # 2019-nCoVEUA-01 1000 reactions”, 40: https://www.fda.gov/media/134922/download
↑72 Jesús García Blanca, “The scam has been confirmed: PCR does not detect SARS-CoV-2”, D-Salud-Discovery, 242 (8 Nov 20): https://www.dsalud.com/reportajes/fraudes-y-falsedades-en-el-ambito-medico/ ; English trans.: http://philosophers-stone.info/wp-content/uploads/2020/11/The-scam-has-been-confirmed-Dsalud-
November-2020.pdf ; Jerry Fisayo-Bambi, “Tanzania: goat, paw paw, jackfruit test positive for coronavirus”, Morning Call (6 May 20): https://www.africanews.com/2020/05/06/tanzania-how-can-goat-papaya-pawpaw-test-positive-to-corona-morning-call/
↑73 David James, “PCR Inventor: “It doesn’t tell you that you are sick”, OffGuardian (5 Oct 20): https://off-guardian.org/2020/10/05/pcr-inventor-it-doesnt-tell-you-that-you-are-sick/
↑74 Christian Drosten et al., “Detection of 2019 novel coronavirus (2019-nCoV) by real-time RT-PCR”, Eurosurveillance, 25/3 (23 Jan 20), 23.
↑75 “Austrian Court Rules PCR Test Not Suitable For COVID-19 Diagnosis And That Lockdowns Has No Legal Basis”, GreatGameIndia (8 Apr 21): https://greatgameindia.com/austria-court-pcr-test/
↑76 “WHO COVID-19 Case definitions: Updated in Public health surveillance for COVID-19 | COVID-19: Surveillance, case investigation and epidemiological protocol” (16 Dec 20): https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-Surveillance_Case_Definition-2020.2
↑77 Ibid.***
↑78 Johns Hopkins University & Medicine Coronavirus Resource Center (accessed 25 Oct 21): https://coronavirus.jhu.edu/map.html
↑79 Neil M Ferguson et al., “Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID- 19 mortality and healthcare demand”, Imperial College London (16 Mar 20), 6, 7, 13: DOI: https://doi.org/10.25561/77482
↑80 Hannah Boland and Ellie Zolfagharifard, “Coding that led to lockdown was ‘totally unreliable’ and a ‘buggy mess’, say experts”, The Telegraph (16 May 20): https://www.telegraph.co.uk/technology/2020/05/16/coding-led- lockdown-totally-unreliable-buggy-mess-say-experts/ ; Ram Sagar, “The most devastating software mistake of all time. Why is the Imperial model under criticism?”, AIM (24 May 20): https://analyticsindiamag.com/the-most-devastating-software-mistake- of-all-time-why-is-the-imperial-model-under-criticism/
↑81 Neil M Ferguson et al., “Report 12: The Global Impact of COVID-19 and Strategies for Mitigation and Suppression “, Imperial College London (26 Mar 20), 1: https://doi.org/10.25561/77735
↑82 Lucy Barnard, Nick Wilson, Amanda Kvalsvig, Michael Baker, “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand: Revised Preliminary Report for the NZ Ministry of Health”, University of Otago Wellington (27 February 2020), 1, 5, 11, 12: https://www.health.govt.nz/publication/covid-19-modelling-reports; Bloomfield, Affidavit (13 Jul 20), 101.4.
↑83 Barnard et al., “Modelled Estimates for the Spread and Health Impact of Covid-19 in New Zealand”, 1, 2, 5; Denis Glover, “The Magpies”, in Enter Without Knocking (Christchurch: The Pegasus Press, 1971, first published 1964), 34; “Ventilators and ICU bed capacity”, Ministry of Health (11 May 20); Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501
↑84 Alex James, Shaun C Hendy, Michael J Plank, Nicholas Steyn, “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4: https://www.tepunahamatatini.ac.nz/2020/03/26/suppression-and- mitigation-strategies-for-control-of-covid-19-in-new-zealand/
↑85 “Wigram Capital Advisors Limited”, Dun & Bradstreet: https://www.dnb.com/business-directory/company-profiles.wigram_capital_advisors_limited.218e802dadfa3ba161e5a098660e33ed.html
↑86 “Our Story”, Te Pūnaha Matatini: https://www.tepunahamatatini.ac.nz/about-us/
↑87 Jaijus Pallippadan-Johny, John McDermott, Rodney Jones and Michael Duddin, “Monitoring and Forecasting the COVID-19 Pandemic in New Zealand Including the Successful Impact of the Lockdown”, Public Health Expert (22 May 20): https://blogs.otago.ac.nz/pubhealthexpert/tag/pandemic/
↑88 “Post-Cabinet press conference”, Beehive (23 Mar 20), 1-3; “Prime Minister: COVID-19 Alert Level increased”, Beehive (23 Mar 20); “Post-Cabinet Press Conference 23 March 2020 on COVID19”, YouTube (23 Mar 20), 10:55.
↑89 Ashley Bloomfield, “COVID-19 media update, 24 March”, Ministry of Health (24 Mar 20), 5:08: https://www.health.govt.nz/news-media/news-items/covid-19-media-update-24-march#vid
↑90 Kate Newton, “The man modelling NZ’s Covid-19 spread from his kitchen table”, Radio NZ (27 Mar 20): https://www.rnz.co.nz/news/in- depth/412744/the-man-modelling-nz-s-covid-19-spread-from-his-kitchen- table; Jamie Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20, 12:30 PM): https://www.nzherald.co.nz/nz/news/article.cfm?c_id=1&objectid=1231 8501 ; Nikki Macdonald, “Coronavirus: Controls could cut Kiwi deaths from 60,000 to 10,000”, Stuff (22 March 20): https://www.stuff.co.nz/national/health/coronavirus/120455106/corona virus-controls-could-cut-kiwi-deaths-from-60000-to-10000
↑91 Morton, “Coronavirus: ICU overload risks ‘thousands’ more NZ deaths – model”, NZ Herald (22 March 20).
↑92 Alex James et al., “Suppression and Mitigation Strategies for Control of COVID-19 in New Zealand”, Te Pūnaha Matatini (25 Mar 20), 4.
↑93 New Zealand Tax Payers Union, “Why Is Sean Hendy’s Modelling Group Getting $6m For Advice Treasury Is Paying $30k For Elsewhere?”, Community.Scoop (Oct 11 2021): https://community.scoop.co.nz/2021/10/why-is-sean-hendys-modelling-group-getting-6m-for-advice-treasury-is-paying-30k-for-elsewhere/
↑94 Bill and Melinda Gates Foundation (accessed 7 May 2021): https://www.gatesfoundation.org/-/media/files/-bmgf-grants.csv
↑95 Ibid.****
↑96 Ibid..
↑97 Epidemic Preparedness (COVID-19) Notice 2020, New Zealand Gazette (25 March 2020).
↑98 Giorgio Agamben, trans. Kevin Attell, State of Exception (Chicago: The University of Chicago Press: 2005), 1, 50.
↑99 Phil Taylor, “Moderna plans triple vaccine targeting flu, COVID and RSV”, Pharmaphorum, (8 Jul 20): https://pharmaphorum.com/news/moderna-plans-triple-vaccine-targeting-flu-covid-and-rsv/
↑100 Evidence of Dr David Martin, “CDC Fraud”, Hearing of the German Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee (12 Jul 21): https://www.bitchute.com/video/yf4HNBenoWcN/
↑101 Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑102 Ibid.*****
↑103 Ibib., 15:50 to 26:20; “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination” (21 Sep 21)”, 1: Source: https://de.rt.com/inland/124390-lymphozyten-laufen-amok-pathologen-untersuchen-todesfaelle-nach-impfung/. Translated from German by http://www.DeepL.com/Translator.
↑104 Ibid.******
↑105 bid., 27:45 on.
↑106 Ibid., 53:00
↑107 “‘Lymphocytes Run Amok’: Pathologists Investigate Deaths after COVID-19 Vaccination”, 1-2.
↑108 Ibid., 2.
↑109 Dr Calvin Luther Martin, “Close paraphrase of Dr Burkhardt’s overall conclusions” (accessed 13 Oct 21): https://rivercitymalone.com/health/pathologists-investigate-deaths-after-covid-vaccination/
↑110 Dr Burkhardt, “Slideshow presentation”, Dr Arne Burkhardt, Dr Walter Lang, Dr Werner Bergholz, “Cause of death after Covid-19 vaccination”, Press Conference, Institute of Pathology, Reutlingen, Germany, (20 Sep 21); Ibid., 1:53:
↑111 2:19:13.
↑112 Ibid.*******
↑113 Ibid…
↑114 Ibid., 2:34:30.
↑115 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 2.1 “Agreement to Supply”, 19 (5.5).
↑116 Ibid., Attachment B – Delivery Schedule and Price, 22 (8.1).
↑117 Ben Strang, “Government grants vaccine suppliers indemnity against claims”, Stuff via Radio NZ (25 Jan 21): https://www.rnz.co.nz/news/alert-top/435107/government-grants-vaccine-suppliers-indemnity-against-claims
↑118 Manufacturing and Supply Agreement By and Among Pfizer Export B.V., Albania Ministry of Health and Social Protection, Minister of State for Reconstruction and Institute of Public Health”, Pfizer Draft 1.6.2021 Confidential (1 Jun 21), 7 (2.1 [b]-[c]); “Dr Ashley Bloomfield and MedSafe’s Chris James talk about vaccine approvals”, Ministry of Health (4 Feb 21): https://www.youtube.com/watch?v=th4U_9Ddk4s



Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey

[Source : cv19.fr]

Le Dr Mark Bailey rejoint Kelvyn Alp pour discuter des détails de la fraude du “virus Covid 19”.

Le Dr Bailey démonte la fausse science et le faux récit qui a été déployé comme étant une “pandémie”.

Le seul virus qui existe est un virus mental entretenu par les grands médias.

Le Dr Bailey et sa femme, le Dr Sam Bailey, ont pris conscience de la vérité sur les virus et parlent courageusement au monde de leurs recherches des deux dernières années et de la façon dont ils s’opposent au système pour sauver l’humanité.

La Nouvelle-Zélande a la chance d’avoir deux experts aussi éloquents et compétents, prêts à s’aventurer là où peu de membres de la communauté médicale sont allés.

Découvrez le Dr Sam Bailey sur Odysse (vidéo en français) et sur son site Web http://www.drsambailey.com

Retrouvez également l’article co-écrit par Mark Bailey intitulé “La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité”.



Interview complète (en anglais) : https://freeworldnews.tv/watch?id=61cc2cc9e21b29401529d82e


[Voir aussi :
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie]




Philippe de Villiers : Ce que je ne savais pas… et vous non plus, sur « Le jour d’après »

[Source : profession-gendarme.com]

Avez vous 01 heure de votre temps à consacrer à l’écoute de cette vidéo ? Si oui vaus saurez tout sur la PLANDEMIE…

Conférence enregistrée à notre université d’été 2021 qui avait pour thème: Naissance d’une nouvelle religion, l’écolo-hygiénisme. https://renaissancecatholique.fr/

Source : Youtube

Si vous n’avez pas regardé jusqu’au bout nous pouvons en conclure que vous faites partie du “Troupeau” hypnotisé par les “Médias Mainstream” qui eux réfléchissent à votre place…




Le premier ministre canadien Justin Trudeau : « Les non-vaccinés sont des extrémistes racistes et misogynes »

[Source : anguillesousroche.com]

Dans une diatribe désordonnée, Trudeau a déclaré à une chaîne de télévision québécoise que, selon lui, les personnes non vaccinées ne devraient plus être tolérées.

« Nous allons mettre fin à cette pandémie en procédant à la vaccination », a déclaré Trudeau en français.

https://youtu.be/Ko3VqL5xLOo

« Nous connaissons tous des personnes qui sont en train de décider si elles sont prêtes ou non à se faire vacciner, et nous ferons tout notre possible pour essayer de les convaincre. Cependant, il existe toujours une partie de la population qui s’y oppose farouchement. »

« Ils ne croient pas en la science et au progrès et sont très souvent misogynes et racistes. C’est un tout petit groupe de personnes, mais cela n’empêche pas qu’ils prennent de la place. »

« Cela nous amène, en tant que dirigeant et en tant que pays, à faire un choix : Est-ce que nous tolérons ces gens-là ? Plus de 80% de la population du Québec a fait son devoir en se faisant vacciner. Ils ne sont évidemment pas le problème dans cette situation. »




Après avoir été suspendu sur Twitter, le Dr R. Malone inventeur des vaccins ARN explique pourquoi les thérapies préventives sont supprimées

[Source : Qactus]

Bientôt, ils brûleront les livres ! Après avoir suspendu son compte sur Twitter le Dr Robert Malone, décide de faire une vidéo avec Joe Rogan dans son émission et nous explique beaucoup chose de très intéressantes et vous dit tout ce que vous devez savoir.

Voici les Tweets qui ont suspendu le Dr Malone de Twitter, ci-dessous la traduction :

Robert W. Malone, MD @RWMaloneMD 5h
Les inoculations Pfizer pour la COVID-19 — Plus de mal que de bien — VIDÉO
Les données de Pfizer sur 6 mois montrent que les inoculations de Pfizer pour la COVID-19 causent plus de maladies qu’elles n’en préviennent. De plus, une vue d’ensemble des défauts de l’essai de Pfizer en ce qui concerne conception et de l’exécution.
canadiancovidcarealliance.org/media-resource…

Robert W Malone, MD @RWMaloneMD — 5h
on vous a menti. Encore, et encore, et encore.


Entretien de Joe Rogan avec le Dr Malone qui est un des inventeurs des vaccins ARN. Le Dr Malone explique pourquoi les thérapies préventives sont supprimées.

Les quelques passages principaux, des grandes annoncent en vidéos ci-dessous détaillés :

Ci-dessous, le Dr Robert Malone explique comment l’Uttar Pradesh a écrasé la COVID avec un traitement précoce, Joe Biden a rencontré Narendra Modi et une décision a été prise de ne pas divulguer le contenu du traitement. Pourquoi ? Joe Biden représente Pfizer.



Ci-dessous, le Dr Robert Malone sur la chasse aux médecins, « Le Dr McCullough a 150 000 $ de dettes en ce moment même, j’essaie de défendre sa licence médicale. C’est l’un des auteurs les plus publiés au monde. »



Ci-dessous, le Dr Malone parle de la propriété commune entre Pfizer et Reuters, qui fournit des services de « vérification des faits » à Twitter.



Ci-dessous, le Dr Robert Malone explique à Joe Rogan quels avantages financiers les hôpitaux reçoivent pour les patients COVID et les décès. Si une personne est tuée par une blessure par balle et a eu la COVID, l’hôpital considérera qu’il s’agit d’un décès de la COVID.



Ci-dessous, le Dr Robert Malone explique comment la principale organisation de vérification des faits de Twitter a des liens financiers avec Pfizer. Cela représente un grave conflit d’intérêts, car ils aident à déterminer quelles informations médicales sont autorisées à être entendues et discutées.



Ci-dessous, le Dr Robert Malone donne son avis sur ce qui pourrait être à l’origine du ciblage de médecins, comme Peter McCullough, qui préconisent un traitement précoce par Covid pour éviter que les gens ne soient hospitalisés.

Il dit à Joe Rogan de suivre l’argent.



Ci-dessous, le Dr Robert Malone donne à Joe Rogan les détails de l’article sur l’attaque de l’Atlantique, financé par Facebook et Johnson & Johnson ont financé.



Ci-dessous, le Dr Malone fait remarquer qu’Israël, qui en est à sa quatrième dose, a un taux de mortalité plus élevé que les États palestiniens environnants.




USA le 31/12/21, L’interview complète de Joe Rogan / Dr Robert Malone est en ligne ! Nous partagerons des extraits de cette interview importante, connaissant les risques. Entretien complet la vidéo complète en anglais ci-dessous.


Ci-dessous le Dr Robert Malone suggère que nous vivons une psychose de formation de masse. Il explique comment et pourquoi cela peut arriver et ses effets. Il fait une analogie avec l’Allemagne des années 1920/30 « ils avaient une population très intelligente et très instruite, et ils sont devenus fous ».



Ci-dessous, le Dr Robert Malone met en accusation la réponse de notre gouvernement à la Covid « Ils sont sans foi ni loi. Ils ignorent complètement la bioéthique. Ils ont enfreint toutes les règles que je connais, sur lesquelles j’ai été formé pendant des années ».



Ci-dessous, Le Dr Robert Malone et Joe Rogan expliquent en quoi Omicron est une variante d’évasion du vaccin. Recevoir plusieurs injections maintenant, c’est « comme prendre à plusieurs reprises un vaccin contre la grippe s’il y a deux saisons et espérer qu’il protégera contre cette grippe ».



Ci-dessous, Joe Rogan et le Dr Robert Malone discutent de la façon dont les personnes dotées d’une immunité naturelle à la COVID courent un risque plus élevé d’événements indésirables dus au vaccin.



Ci-dessous, le Dr Robert Malone sur la méchanceté de l’ivermectine. Dr Robert Malone : « Il existe de bonnes études de modélisation, qui montrent qu’un demi-million de décès excessifs se sont produits aux États-Unis, à cause du blocage intentionnel du traitement COVID précoce par le gouvernement américain ».



Ci-dessous, Joe Rogan et le Dr Robert Malone soulignent qu’une discussion sur les risques des vaccins COVID n’est PAS autorisée. Le Dr Robert Malone croit que les gens devraient avoir la liberté de choix et cela inclut de connaître les risques.



Ci-dessous, le Dr Robert Malone propose les deux tweets potentiels qui auraient pu conduire à son interdiction de Twitter. Il explique à Joe Rogan que la censure des grandes technologies vise tout ce qui pourrait amener les gens à hésiter à se vacciner.



Ci-dessous, Joe Rogan interroge les grandes technologies pour avoir censuré « l’une des personnes les plus qualifiées au monde pour parler de vaccins », Le Dr Robert Malone répond à la censure des grandes technologies.



Ci-dessous, Joe Rogan discute avec le Dr Malone du miracle de l’Uttar Pradesh où la Covid a pratiquement disparu.



Malone:

« L’Uttar Pradesh (N.B: une grande région d’Inde) comme vous le savez a éliminé le Covid ! »

Rogan:
« Vous pouvez nous dire comment ils ont fait parce que c’est assez fascinant. »

Malone:

« Ce n’est pas très clair concernant les médicaments.
Mais ce que nous sommes certain c’est qu’il y a une histoire cachée derrière tout ça.
Il y a eu une décision de prise.

Donc on sait que le Covid faisait beaucoup de dégâts dans l’Uttar Pradesh.
Ils ont une population assez proche de celle des USA,c’est énorme OK? Et avec tous les différents types de classes sociales.

Et le Covid causait beaucoup de morts et de maladies.
Et ils ont pris cette décision comme une solution ultime et désespérée de déployer des thérapies préventives en packages.
Et de façon accélérée à travers toute la région.
Et cela comprend plusieurs produits.La composition n’a pas été entièrement dévoilée.
Cela a été fait en coordination avec l’OMS
Et peu importe ce qu’il y avait dans ce package,il y a des rumeurs que ça inclut l’ivermectine.
Mais il y a eu une rencontre de Biden avec Modi.
Et il y a eu une discussion et une décision prise de ne pas dévoiler le contenu des kits qui ont été déployés dans cette région et qui y sont toujours.
Et le virus a quasi disparu là-bas,le reste du Monde se plaint de l’Omicron et des hospitalisations,l’Afrique du Sud exceptée,mais l’Uttar Pradesh est très bas en termes de décès. »

Rogan:
« Donc il y a eu une rencontre avec Biden ? »

Malone:

« Il y avait Joe Biden et Modi…
Je ne sais pas de quoi ils ont discuté, mais ce que je sais c’est qu’immédiatement après, il y a eu la décision de ne pas dévoiler le contenu de ces kits et ce qui a été déployé dans la région. »

Rogan:
« C’est fou de penser qu’en pleine pandémie il y a une partie du Monde en Inde qui est très compétente pour éliminer le virus.
Et ils ne vont pas dire comment ils ont fait.
C’est fou! »

Malone:

« Mon opinion sur tout ça c est que je dis: Voilà les faits,ce sont des données vérifiables.
Tirez-en vos propres conclusions. »

Malone:

« De ce que je peux observer si l’on regarde qui finance… C’est que les hôpitaux sont encouragés à traiter les patients Covid.

Ce qui relie les différentes parties de l’histoire,et qui inclue la suppression par le gouvernement des thérapies préventives,c’est que les hôpitaux sont encouragés financièrement à soigner les patients Covid.

Si les patients Covid sont soignés en dehors de l’hôpital et empêchés d’y aller,comme c’est le cas à l’Imperial Valley (N.B: près de la frontière mexicaine) où les Drs Brian Tyson et George Fareed ont sauvé des milliers de vies d’indigènes latinos,qui passent la frontière pour bosser dans les champs,vraiment ils se démènent pour sauver les pauvres,il y a des histoires incroyables là bas avec les thérapies préventives…

Mais on ne cherche pas à savoir ce qu’ils font, car ils soignent des pauvres et ils sont mis de côté.
Et si l’on donne ces thérapies en ville,les hôpitaux n’auront plus d’argent, car les gens seront guéris avant d’y aller.
(…)
Ce que j’observe c’est que les hôpitaux sont encouragés financièrement et aussi à laisser mourir… »

Rogan le coupe:
« Ils sont dissuadés de donner des traitements préventifs ? »

(Malone confirme)




Une nouvelle étude scientifique révèle qu’au moins 400.000 Américains sont morts à cause des vaccins Covid-19

[Source : La cause du peuple]

Des chercheurs de l’Université de Columbia ont découvert que le nombre réel de personnes décédées aux États-Unis et dans d’autres territoires à la suite de l’une des injections expérimentales de Covid-19 est nettement plus élevé que les chiffres officiels des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ( CDC).
Le CDC affirme qu’un peu plus de 20.000 personnes sont décédées à la suite de la vaccination contre Covid-19, mais le facteur de sous-déclaration de Columbia estime à 20 fois ce nombre, soit environ 400.000 décès, ce qui est beaucoup plus précis.
Les mêmes causes (vaccins ARNm) produisant les mêmes effets, nous pouvons en déduire le nombre de décès et d’effets indésirables pour chaque pays, en proportion du  nombre d’individus vaccinés.

Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) indique actuellement environ 20.000 décès et près de 103.000 hospitalisations ont été signalées comme effets indésirables des injections de Covid-19 aux États-Unis et dans d’autres territoires.

Nombre de décès suite à la vaccination Covid-19 dans le VAERS

Le problème avec le VAERS est qu’il n’enregistre qu’un très petit pourcentage – aussi peu que 1% – des effets indésirables et des décès liés au vaccin. Pour cette raison, les scientifiques utilisent souvent des multiplicateurs pour estimer le nombre réel.

Un résumé de cette dernière étude sur les décès par injection de Covid-19 explique que « des estimations précises des événements indésirables graves et des taux de mortalité induits par le vaccin Covid-19 sont essentielles pour les analyses du rapport risque-bénéfice de la vaccination et des rappels contre le coronavirus SARS-CoV-2 dans différents groupes d’âge. »

Source

Pour la recherche, les scientifiques de Columbia ont utilisé la variation régionale des taux de vaccination pour prédire la mortalité toutes causes confondues et les décès non liés à la covid au cours des périodes ultérieures. Ceci était basé sur deux ensembles de données indépendants et accessibles au public des États-Unis et de l’Europe.

Ils ont découvert que plus de six semaines après l’injection, les injections de Covid-19 avaient une corrélation négative avec la mortalité. Durant cinq semaines, cependant, les injections ont prédit la mortalité toutes causes confondues dans presque tous les groupes d’âge avec un schéma temporel lié à l’âge cohérent avec le déploiement du vaccin aux États-Unis.

En comparant le taux de mortalité par vaccin estimé de l’étude avec le taux signalé par le CDC, les chercheurs ont conclu que les décès indiqués dans VAERS sont sous-déclarés d’un facteur 20, ce qui est « cohérent avec le biais de sous-détermination connu du VAERS ». Sur cette base, les scientifiques ont déclaré que jusqu’à 187.000 personnes pourraient être décédées à cause des vaccins Covid-19 entre février et août 2021 aux seuls États-Unis.

L’équipe de l’Université de Columbia a également conclu que les risques associés aux injections de Covid-19, y compris les rappels, « l’emportent sur les avantages chez les enfants, les jeunes adultes et les personnes âgées présentant un faible risque professionnel ou une exposition antérieure au coronavirus« .

Ils ont en outre souligné qu’il existe un « besoin urgent d’identifier, de développer et de diffuser des diagnostics et des traitements pour les effets indésirables et débilitants causées par les vaccins, et qui bouleversent la vie de tant de gens ».

Cependant, une analyse plus approfondie menée par Steve Kirsch et Jessica Rose suggère que cette nouvelle étude pourrait encore sous-estimer le nombre réel de décès suite à la vaccination contre le Covid-19, après que son équipe a découvert que le véritable nombre de décès dus aux injections pourrait être 41 fois plus élevé que ce qui a été signalé au VAERS. Cela porterait le nombre total de décès à 820.000.

Mais un calcul plus récent effectué par Wayne à VAERS Analysis suggère que le taux de sous-déclaration réel pourrait atteindre 44,64, ce qui porterait le nombre réel de décès suite à la vaccination contre Covid-19 à 893.000.

Calcul du véritable taux de sous-déclaration de 44,64

Les données CMS sur la diapositive ci-dessous (données pertinentes encerclées) montrent 52.030 décès survenus dans les 14 jours suivant l’injection dans une population de 27.431.845 bénéficiaires de Medicare. Cela équivaut à un taux de mortalité de 189 pour cent mille (ou 1.890 par million) :

Il faut noter qu’il s’agit de personnes recevant n’importe quelle dose, pas seulement des personnes « complètement vaccinées » avec 2 doses.

Étant donné que Medicare n’est disponible que pour le groupe d’âge des 65 ans et plus (bien qu’il existe quelques exceptions que nous considérerons comme négligeables), nous devrons extraire les données du même groupe d’âge du VAERS.

Si nous effectuons une requête sur les rapports VAERS américains pour la tranche d’âge de 65 ans et plus et pour les décès dans les 14 jours suivant l’injection, nous obtenons 2.369 décès. Pour obtenir le nombre total de personnes vaccinées avec au moins une dose dans ce groupe d’âge, nous devons télécharger les données à partir de cette page CDC – https://covid.cdc.gov/covid-data-tracker/#vaccination-demographic::

Une fois que nous avons ouvert le fichier csv téléchargé, nous additionnons ensuite le nombre de vaccinations indiqué pour le groupe d’âge des 65-74 ans et le groupe d’âge des 75+ ans pour obtenir 55.949.565.

Enfin, nous prenons les décès et divisons par le nombre de vaccinations (2 369/55 949,565), ce qui donne un taux de mortalité de 42,34 décès par million. En comparant le taux de mortalité CMS de 1.890/million au taux de mortalité VAERS, nous voyons que le ratio est de 1.890/42,34, ce qui nous donne un facteur de sous-déclaration pour le VAERS de 44,64. Cela correspond à un véritable taux de notification dans le VAERS de 2,2 % de tous les événements indésirables.

Source :  The Exposé on December 31, 2021

Estimation du nombre de décès
et d’effets indésirables (E.I.) 
causés par les vaccins covid pour quelques pays 

Millions Vaxxés taux décès Taux E. I. Milliers décès Milliers E.I.
France 49 0,20% 1,01% 97 499
Canada 29 0,20% 1,01% 58 297
États-Unis 204 0,20% 1,01% 400 2060
Algérie 6 0,20% 1,01% 11 57
Belgique 9 0,20% 1,01% 17 89
Tunisie 6 0,20% 1,01% 11 59
Suisse 6 0,20% 1,01% 11 59
Monde 3770 0,20% 1,01% 7392 38070

Jusqu’à ce jour, il y aurait eu
7,392 millions de morts causées par les vaccins Covid,
et 38 millions d’effets indésirables.




Quelles actions résistantes mener en 2022 ?

Par Joseph Stroberg

2021 a pratiquement démontré que divers types d’actions entreprises pour tenter de se libérer de la tyrannie covidienne, voire de certains gouvernements, n’ont pour l’instant pas donné grand-chose et se sont même révélées dans certains cas relativement futiles ou stériles. Plusieurs raisons peuvent expliquer ces échecs (notamment des manifestations) ou ces retards dans l’obtention de résultats lorsque ceux-ci sont encore possibles (comme dans le cas de certaines procédures judiciaires). Pour espérer mieux en 2022, nous gagnons à commencer par reconsidérer le tableau des forces en présence dans cette nouvelle forme de guerre, un conflit dont la véritable cible n’est pas un virus, mais l’Humanité.

Comme pour toute action sur le plan physique, tout l’art de la guerre se ramène en définitive à trouver, puis à mettre en œuvre les moyens qui permettent d’obtenir le résultat optimal avec la dépense minimale d’énergie. En d’autres termes, l’art le plus fin respecte le principe physique de « moindre action » et l’on découvrira peut-être un jour que l’art sublime est celui qui se trouve en plein accord des lois physiques et métaphysiques de l’univers (ceci incluant alors les dimensions psychologiques, psychiques et spirituelles). Cela vaut donc notamment pour la guerre et l’art de la mener avec le minimum de pertes, mais le maximum de résultats dans le temps minimal possible.

L’idée de cet article est venue de la suggestion d’un lecteur, Bernard, qui propose le type d’action suivante pour 2022 :

« Il ne s’agirait pas de manifester lors des déplacements des dirigeants, mais lors de leurs déclarations à la télévision. En effet, à chaque fois qu’ils font une déclaration, c’est pour nous annoncer des contraintes supplémentaires. Une manifestation sur les balcons serait une façon concrète de réagir pour leur dire NON tout de suite, les désapprouver et leur faire savoir immédiatement.

À la réflexion, je me demande même si ça ne serait pas plus efficace de renouveler cette manifestation tous les soirs à 20 h (l’heure du début des journaux télévisés en France). On l’a bien fait pendant le confinement pour applaudir les soignants tous les soirs à 20 h, et même dans une petite ville de 4300 habitants passifs comme la mienne, on entendait la clameur des manifestants.

Je pense qu’une manifestation facile à mettre en œuvre par chacun individuellement pourrait devenir massive. Dans ces conditions, elle permettrait aux indécis et aux endormis de prendre conscience de la force que nous représentons en étant solidaires dans la contestation.

De plus, je crois que cela constituerait une manifestation non violente, mais très forte si elle prend de l’ampleur. Beaucoup d’activistes insistent sur la nécessité d’actions non violentes pour éviter de tomber dans un piège qui conduirait aussitôt le gouvernement à décréter la loi martiale. Et ils ont raison, le pouvoir n’attend que ça ! »

Nous examinerons donc ici si ce mode d’action ou d’autres sont susceptibles de respecter ou non un minimum le principe de moindre action et par conséquent s’ils font ou non honneur à l’art de la guerre et auront des chances faibles ou fortes de faire tomber l’arnaque plandémique ou même le Nouvel Ordre Mondial.

En physique, il existe des phénomènes qui permettent d’obtenir de grands effets avec une faible dépense d’énergie, ceci parce que les efforts sont soit diffusés dans le temps (cas de la résonance), soit démultipliés par le jeu de la mécanique (comme pour l’effet de levier) ou d’autres lois. Ainsi, lorsque des soldats marchent sur un pont à sa fréquence propre exacte, ils le font entrer en vibration, en « résonance » de manière de plus en plus forte et peuvent finir par dépasser la limite de résistance de ses matériaux, puis donc le briser. En économie, ils parlent d’effet de levier lorsque certaines formes d’action ou d’investissement relativement faibles permettent d’obtenir de grands rendements et donc un bon retour sur investissement. De nouveau en mécanique, un moteur électrique bien huilé engendre peu de frottements et tourne donc plus rapidement, avec moins de pertes d’énergie sous forme de chaleur. Par analogie, on peut chercher sur le plan sociétal, les types d’actions qui sont susceptibles de respecter au mieux ces grands principes physiques extrapolables sur d’autres plans.

Les actions les plus efficaces pour faire tomber le Nouvel Ordre Mondial, doivent tenir compte à la fois de tels principes et lois universelles, mais aussi bien sûr de la nature même de ce Système (voir Vie et mort des systèmes). Le Nouvel Ordre Mondial est un système organisé autour de concepts et d’idéologies matérialistes qui découlent ultimement de la peur de la mort physique. C’est pour cette raison essentielle que notamment ses promoteurs et ses valets cherchent l’immortalité par le biais des machines, de l’IA (Intelligence Artificielle) et du transhumanisme, après l’avoir illusoirement et vainement cherchée via l’alchimie incomprise et ne l’avoir toujours pas trouvée par le biais des manipulations génétiques. Leur présente quête est pareillement vouée à l’échec, car la matière elle-même n’est pas immortelle, mais périssable, limitée dans le temps et dans l’espace.

Pour espérer faire durer leur vie sur Terre, les mondialistes cherchent à se ménager un paradis confortable en réduisant la population terrestre à cinq cents millions d’individus (voir Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial), en contrôlant le climat (au moins selon leurs croyances par la diminution de la production de CO2 — dioxyde de carbone, voire par l’utilisation d’installations telles que HAARP), en parquant le commun des mortels dans les villes pendant qu’ils se réserveront les vastes territoires sauvages et la campagne, selon les vœux du Forum Économique Mondial et de l’Agenda 2030 de l’ONU. (Voir par exemple Le « Great Reset » n’est pas du complotisme, « L’Agenda 2030 » [vert] de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !, et But des Agendas 21 et 2030)

Pour mener à bien leur programme qui date de plusieurs décennies et même possiblement d’au moins quelques siècles (se le transmettant alors de génération en génération), ils disposent maintenant des ressources suivantes :

  • au moins 90 % de la finance mondiale ;
  • la mainmise sur les multinationales ;
  • le contrôle des médias « mainstream » (dominants) ;
  • les organismes internationaux qu’ils ont créés de manière non démocratique (ONU, OMS, OMC…) ;
  • l’appui des grandes institutions religieuses (le faux pape actuel étant par exemple un fervent promoteur du N.O.M., de la vaccination, de la réduction du CO2, etc.) ;
  • le contrôle de la médecine via les entreprises pharmaceutiques, l’OMS, la GAVI et les ordres professionnels des personnels de la Santé (médecins, infirmiers…) ;
  • le contrôle de la plupart des ressources minérales, pétrolières et énergétiques exploitées, au moins dans les pays sous leur influence directe, éventuellement par la corruption des hommes politiques lorsque ces ressources sont étatiques ;
  • même chose pour les ressources agroalimentaires, de plus en plus d’agriculteurs et de petits producteurs étant réduits à la faillite ou au suicide ;
  • le contrôle des juges les plus influents (par le chantage, les menaces de mort ou la corruption), spécialement au niveau des plus hautes juridictions nationales et internationales ;
  • etc. ?

Connaissant les caractéristiques fondamentales et les forces du Nouvel Ordre Mondial, quelles stratégies, méthodes et actions ont des chances d’aboutir ? Si le point de vue exposé plus haut est réaliste, alors ce seront celles qui respectent le mieux le principe de moindre action et l’art de la guerre qui en découle en ce qui concerne la gestion victorieuse des conflits (dans le cas, comme ici, où il n’existe pour l’instant aucune conciliation possible, tant et aussi longtemps qu’il n’apparaîtrait pas un conciliateur d’envergure et d’impartialité suffisantes pour être reconnu par les deux parties en conflit).

Et elles devront bien sûr pouvoir être menées réellement par les résistants, c’est-à-dire qu’elles devront d’abord compter sur leurs propres ressources qui sont dérisoires sur le plan matériel par rapport à celles de l’adversaire. Chercher à l’affamer, comme il avait été notamment proposé dans Ne plus nourrir la Bête, demanderait beaucoup trop de temps et de cohésion internationale pour être réaliste à ce stade de la situation. Le gros monstre plein de graisse tiendrait bien plus longtemps que les petites bestioles malingres à un tel jeu. Ces dernières ne peuvent guère non plus espérer pouvoir voler la nourriture du premier, car elles auraient bien plus de chances de se faire écraser face à la puissance de feu de l’assaillant lors de toute tentative d’un tel ordre. Alors quoi d’autre, lorsque l’on dispose de peu de ressources face à un puissant adversaire ?

Pour le Nouvel Ordre Mondial, la lutte est apparemment très facile, au point que ses promoteurs et ses agents ne se cachent même plus (voir Nos bourreaux ne se cachent même plus ! et Les Peuples et les États piétinés, les comploteurs ne se cachent même plus). En cas de tentative de rébellion de la populace, ils n’ont qu’à viser les têtes et les décapiter. Sans leader, la résistance devient aussi forte et opérante qu’un poulet sans tête. Cependant, il existe diverses stratégies en cas de conflit asymétrique, comme c’est le cas de la présente guerre menée par l’élite contre l’Humanité. L’une d’elles est la guérilla, mais encore une fois, c’est une approche longue et nous n’avons plus le temps pour ce genre de chose. De plus, habituellement la guérilla n’a des chances de succès que si elle s’appuie sur une aide étrangère ou à la rigueur sur l’ensemble de la population opprimée. Ici, l’équivalent du support étranger serait une aide extraterrestre ou surnaturelle. Aucune de ces deux sortes n’est pour l’instant visible à l’horizon. Quant au soutien du peuple, avec les deux tiers en état hypnotique pro N.O.M., il est plutôt vain de le chercher.

Oublions la guérilla et la tentative d’affamer ! Ne comptons pas trop non plus sur les approches juridiques alors même que la justice est probablement aussi corrompue que le monde politique et les médias, et qu’en plus l’adversaire peut s’ingénier à faire durer les procédures et à jouer sur les myriades de lois pour aboutir au final à un non-lieu. Quoi d’autre ? Eh bien il existe aussi la stratégie de certains arts martiaux, comme le Judo, qui consiste à retourner la force de l’adversaire contre lui. La technique est voisine de l’effet de levier et fait purement appel aux lois physiques de la mécanique. On utilise par exemple l’élan de l’adversaire pour le déséquilibrer ou pour dévier ses coups et les rendre inopérants, voire retournés contre lui-même. Les deux forces principales de l’adversaire dans la phase actuelle du conflit sont les médias qui sont utilisés par l’« hypnotiseur », contrôleur mental des foules, et la théorie virale qui donne le crédit à l’hypnose par sa justification des pseudo vaccins. (Voir Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin)

Retourner les médias contre l’adversaire nécessite de parvenir à d’abord retourner certains journalistes mainstream, ceci grâce à une relativement grande puissance démonstrative déjà présente dans de nombreux médias alternatifs. Cela ne peut bien sûr fonctionner que sur des journalistes, assez rares, qui ne soient pas déjà hypnotisés et qui ne soient pas non plus corrompus. Et il faut sans doute aussi qu’ils soient prêts à perdre leur emploi. Ce n’est pas gagné. Et ça peut aussi prendre du temps pour atteindre un pouvoir d’influence suffisant dans ces médias dominants. Quant à convaincre du caractère possiblement ou probablement frauduleux et fallacieux de la théorie virale, ceci relève pour l’instant de « Mission impossible », au moins tant et aussi longtemps qu’un nombre significatif de médecins et/ou de chercheurs en médecine ne se penchent pas sérieusement et sans a priori sur la question.

Si l’on peut difficilement actuellement attaquer l’idée germe utilisée pour engendrer la psychose de masse Covid (à savoir l’existence d’un méchant virus qui leur donne une explication de leur angoisse existentielle), est-il possible de renverser cette sorte d’hypnose collective d’une autre manière ?

Annuler une hypnose se fait plus simplement par l’hypnotiseur lui-même. Cependant, comme ici ce dernier est l’assaillant, il n’a aucun intérêt à détruire son arme. Par contre, un autre hypnotiseur peut éventuellement produire une contre hypnose, c’est-à-dire implanter de nouvelles instructions ou croyances dans l’esprit de l’hypnotisé, mais dans ce cas il ne vaut pas mieux que son adversaire qui a perdu tout sens moral. Toute hypnose ou intervention similaire devrait se faire, comme pour tout acte médical, avec un consentement libre et éclairé du patient. Donc, oublions aussi cette possibilité ! Néanmoins, le réveil d’une hypnose peut aussi être produit par un choc salutaire du genre d’une douche froide ou par un bruit soudain qui fait sortir l’individu de sa torpeur. Une conséquence probable est alors malheureusement un état de déséquilibre psychologique plus ou moins marqué, l’individu perdant son centrage ou son alignement intérieur entre ses différentes composantes de personnalité (physiques, émotionnelles et mentales). Le « charme » est rompu, mais rien n’est venu le remplacer. Ce n’est guère mieux.

Revenons maintenant à la proposition de Bernard. Elle revient à utiliser les médias contre le Système, en permettant à ce type de démonstration d’être largement connu, un peu comme au temps initial des Gilets Jaunes. Elle coûte peu d’énergie et se trouve reliée au phénomène de résonance évoqué plus haut, par son côté cyclique (la répétition de l’action chaque jour à heure fixe). Cependant, pour être efficace et agir dans un sens de réveil de l’hypnose, le « bruit » provoqué, la parole prononcée, le discours proposé… doit être porteur d’un message fort, capable d’offrir une meilleure réponse que le virus à l’angoisse existentielle, au vide intérieur ressenti par les individus… Les participants doivent eux-mêmes éviter tout signe reliant au mensonge colporté par l’hypnotiseur et doivent dont refuser masque, distanciation et confinement, au moins à l’heure de leur démonstration. Sortir alors dehors et s’y réunir à plusieurs qui se serrent les coudes ou se tiennent par la main et non masqués pendant qu’une partie d’entre eux tape sur des casseroles ou joue du tambour en rythme aurait sans doute plus de poids qu’isolés sur des balcons. Reprendre en chœur la chanson des partisans (par exemple, ou un chant équivalant qui puisse être porteur d’au moins une partie du message à passer) serait sans doute mieux que des casseroles et des tambours ou pourrait accompagner ces derniers. (Voir aussi Ami entends-tu les sanglots longs des violons de l’automne ? L’heure est venue de passer à l’action !). Bien sûr l’efficacité potentielle de cette approche sera au moins proportionnelle au nombre de participants.

L’approche qui vient d’être succinctement présentée réunit plusieurs éléments compatibles avec l’art de la guerre, particulièrement contre un adversaire à la puissance disproportionnée. Si elle implique un nombre suffisant de Français (ou d’autres nations), elle pourrait à un moment donné aussi être suivie d’une autre démonstration de grande ampleur qui elle serait la preuve d’une cohésion suffisante de la Résistance, comme proposé dans l’article France — Une croix pour faire tomber le régime. Les personnes qui trouvent l’idée intéressante et faisable gagneront à rapidement se contacter pour organiser concrètement les premières démonstrations et si possible simultanément dans plusieurs villes de France. Il n’est probablement pas nécessaire que chaque jour cela dure plus de 30 minutes, voire même plus de 10.


Note : par ailleurs, ce n’est pas parce que certaines actions semblent bien moins efficaces que d’autres et ont peu de chances a priori d’aboutir à des résultats concrets qu’il faut pour autant y renoncer si l’on sent devoir les mener à bien. Il est déjà arrivé de nombreuses fois dans l’Histoire humaine où une réussite est intervenue (dans un projet donné ou lors de la tentative de relever un défi particulier), ceci même contre toute attente.




Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie

[Source : cv19.fr]

Par Antonin Pimousse

C’est établi, tout le monde le sait, il y a des milliers d’études, le SARS-CoV-2 est le virus responsable de la grille de symptômes appelée COVID-19. [Ndlr : selon le récit officiel.]

Il y a des doutes sur l’efficacité des masques, des confinements, des passes sanitaires, de la distanciation sociale, des vaccins, des modes de transmissions, de la période d’incubation, de l’infectiosité des asymptomatiques, de la pertinence des tests PCR, mais le fondement, le virus, est inattaquable [Ndlr : selon le récit officiel].

Il y a d’ailleurs trois études qui affirment démontrer que ce virus est contagieux et responsable d’une maladie, chez l’animal certes, éthique oblige, mais s’il fallait une preuve pour ceux qui douterait (qui douterait d’une évidence ?), c’est bien dans ces articles que nous la trouverons.

Souris

Le premier est une étude chinoise publiée le 07 mai 2020 dans la revue Nature, La pathogénicité du SARS-CoV-2 chez les souris transgéniques hACE2, elle affirme “confirmer la pathogénicité du SARS-CoV-2 chez les souris hACE2”.

Les souris hACE2 sont modifiées génétiquement pour qu’elles expriment l’ACE2 humain (hACE2), enzyme de conversion de l’angiotensine 2, présente dans pratiquement tous les organes chez l’homme et identifiée comme le récepteur fonctionnel du SRAS.

L’expérience est simple, il y a trois groupes de souris :

Le premier groupe est constitué des souris transgéniques (hACE2) à qui on inocule nasalement après anesthésie avec Avertin l’isolat du SARS-CoV-2 (un isolat en virologie n’est pas un isolat comme en bactériologie, l’isolat est ici une culture cellulaire sur cellules rénales de singes Vero contenant de la L-glutamine, du glucose, du pyruvate de sodium, du bicarbonate de sodium, du sérum bovin fœtal, de la pénicilline et de la streptomycine) ;

Le deuxième groupe est constitué de souris sauvages normales à qui on inocule l’isolat de la même manière ;

Le troisième groupe est constitué de souris transgéniques à qui on inocule nasalement une solution saline (tampon phosphate salin).

De légers poils hérissés et une perte de poids a été observé uniquement chez les souris hACE2 inoculée, atteignant 8% 5 jours après l’infection puis revenant rapidement à la normale, aucun autre signe clinique n’a été détecté.

Si des poils hérissés et une perte de poids ne correspond pas forcément aux symptômes observés chez l’homme, il s’agit de souris et on peut envisager qu’elles réagissent différemment.

Cette expérience présente néanmoins certaines lacunes qui peuvent faire douter de la pertinence des résultats obtenus.

Premièrement l’expérience témoin, les scientifiques déclarent utiliser un isolat, mais le terme n’est pas approprié puisque la solution s’apparente plus à une soupe de matériels génétiques provenant de trois espèces différentes et de produits toxiques, cette solution ne contient pas uniquement le virus. Il serait très simple de reproduire la même culture cellulaire sans y ajouter l’isolat de SARS-CoV-2 et de l’inoculer au groupe témoin, pourtant, seule une solution saline est utilisée.

Aurait-on obtenu les mêmes résultats si les souris du groupe témoin avaient été traitées de la même manière ?

Les scientifiques n’ont peut-être pas jugé utile de pratiquer cette expérience, car ils inoculaient également les souris sauvages de la même manière que les souris transgéniques, elles n’ont d’ailleurs pas présenté de symptômes (perte de poids et fourrure hérissée). Mais comme l’expérience témoin sur les souris transgéniques est questionnable, il n’est pas établi que les produits de la culture cellulaire seuls ne provoquent pas une réaction différente entre souris sauvages et souris hACE2.

Toute modification génétique entraîne des réactions imprévisibles, on sait par exemple que les souris transgéniques surexprimant l’ACE2 dans le cœur présentent une mort subite due à des arythmies cardiaques. L’explication possible de ce phénotype défavorable peut être liée à un rôle non défini de l’ACE2 au cours du développement. Il est probable que la surexpression chronique de l’ACE2 et/ou de l’Ang-(1-7) puisse induire des anomalies du développement chez les souris transgéniques.

Les résultats de cette étude utilisant des souris génétiquement modifiées sont donc difficilement interprétables, il est possible que les méthodes seules utilisée dans cette expérience, en dehors du virus fourni par une autre équipe de chercheurs, conduisent aux mêmes résultats.

Cette étude avait également fait scandale à sa première parution, car des manipulations au niveau des photographies histopathologiques avaient été détectées par Elisabeth Bik, une consultante en microbiome et intégrité scientifique.

Ce n’est pas super. Un article de @Nature sur la pathogénicité du SARS-CoV-2 avec un chevauchement possible des photos représentant les différents groupes traités.
https://twitter.com/MicrobiomDigest/status/1260030238987128833

La figure 3 pose aussi question,

“nous avons démontré la colocalisation de la protéine S du SARS-CoV-2 (Fig. 3f) et du récepteur humain ACE2 (Fig. 3g) dans les cellules épithéliales alvéolaires des souris hACE2 infectées par HB-01 en utilisant l’immunofluorescence, à 3 dpi (Fig. 3h). Ce phénomène n’a pas été observé chez les souris hACE2 traitées par tampon phosphate salin (PBS) (Fig. 3a-d) ou chez les souris de type sauvage infectées par HB-01 (données non présentées), ce qui indique que le SARS-CoV-2, comme le SARS-CoV, utilise l’ACE2 humain comme récepteur d’entrée.”

Il aurait été plus pertinent de comparer les résultats des souris sauvages inoculées avec ceux des souris transgéniques pour démontrer ce point, il est tout à fait possible que la protéine S soit détectée simplement par ce qu’elle a été inoculée, indépendamment du récepteur hACE2, et dans ce cas une image d’une souris sauvage inoculée chez qui on ne détecterait pas la protéine S donnerait plus de crédibilité à l’étude.

Cette étude apporte donc difficilement une preuve irréfutable du lien entre le matériel génétique utilisé et la perte de poids et la fourrure hérissée des souris transgéniques, mais d’autres études de ce type pourront peut-être répondre aux différents points soulevés.

Hamsters

Le deuxième article est une étude chinoise publiée le 3 décembre 2020, “Simulation des manifestations cliniques et pathologiques de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) dans un modèle de hamster doré syrien : Implications pour la pathogenèse et la transmissibilité de la maladie

Cette race de hamster a été choisie en raison de la similarité entre l’ACE2 humain et celui de l’animal.

L’expérience utilise des méthodes similaires à la première sur les souris, un groupe de 11 est inoculé intranasalement avec “l’isolat” du SARS-CoV-2, et un groupe de 3 avec une solution saline. Seuls les anesthésiants changent, ici de la kétamine et de la xylazine.

En noir le groupe inoculé avec la solution saline,
en rouge avec l’isolat du SARS-CoV-2 et l’évolution du poids.

“Les animaux exposés au SARS-CoV-2, mais pas ceux inoculés avec la solution saline (PBS), ont présenté une perte de poids corporel moyenne progressive allant jusqu’à environ 11 % de 1 à 6 jours, puis ont progressivement repris leur poids à 14 jours (figure 2A). Ils ont développé une léthargie, une fourrure ébouriffée, une posture de dos voûté et une respiration rapide depuis 2 dpi et ont commencé à se rétablir à 7 dpi. Aucun des animaux infectés par le SARS-CoV-2 et des animaux infectés par le virus fictif n’est mort.”

Cette étude présente donc les mêmes défauts que la première concernant l’expérience témoin, il y a aussi une différence importante de hamsters utilisés (11 contre 3) induisant une variation des paramètres de poids plus important entre la moyenne des deux groupes et une absence de groupe témoin pour les images histopathologiques des voies respiratoires (disponible pour la rate et l’intestin, ce qui représente peu d’intérêt).

Dans la deuxième partie de l’étude, des hamsters inoculés (n=3) avec l’isolat sont mis dans la même cage que des hamsters sains non inoculés (n=3) pour étudier l’infectiosité.

En noir les hamsters “contact”,
en rouge les hamsters inoculés et l’évolution du poids.

Le groupe inoculé présente une perte de poids corporel moyenne progressive allant jusqu’à environ 15 % de 1 à 6 jours, le groupe contact naïf ne montre pas de perte de poids moyenne plus importante que le groupe inoculé avec solution saline, en fait ils gagnent même beaucoup plus de poids après 14 jours.

Il est noté : “Il est intéressant de noter que les animaux index ont présenté une perte de poids significativement plus importante (P < 0,05) que les animaux contacts entre 2 et 8 dpi.”
“La perte de poids minime chez les animaux contacts naïfs pourrait être liée à un inoculum viral plus faible par rapport à la dose intranasale unique élevée de virus reçue par les animaux index stimulés.”

Les scientifiques ne mentionnent à aucun moment les signes cliniques des hamsters contacts naïfs, peut-être n’en ont ils pas observés.

Ils concluent que l’expérience à marché, car les deux groupes de hamsters ont été testés positifs par test PCR, mais rien ne montre que les hamsters contacts soient tombés malades. Il est possible qu’une partie du matériel génétique inoculé aux hamsters index se soit répandu aux hamsters contacts sans induire le moindre symptôme, et que les hamsters index aient présenté des symptômes à cause des méthodes et produits contenus dans l’isolat.

Il est également précisé que “Les modifications histopathologiques et l’expression de la protéine virale N dans les cornets nasaux, la trachée, les poumons et les tissus extrapulmonaires des animaux de contact étaient similaires à celles des animaux contaminés (figure supplémentaire 5).”

La figure supplémentaire 5 en question :

Aucune précision sur la partie des voies respiratoires représentée, et le gène S semble être présent à l’état de trace par rapport aux autres images.

Cette deuxième étude montre donc difficilement le lien entre SARS-CoV-2 et une maladie chez le hamster, l’expérience de transmissions entre hamsters inoculés et hamsters contacts tend même à démontrer une absence d’infectiosité entre contacts (chez le hamster).

Macaques

La troisième étude, publiée le 12 mai 2020 par une équipe aux États-Unis, “Maladie respiratoire chez les macaques rhésus inoculés avec le SARS-CoV-2” est le modèle parfait pour étudier la contagiosité du SARS-CoV-2 sur un modèle non-humain, car l’ACE2 du macaque rhésus est 100 % identique à l’ACE2 humaine au niveau de la région d’interface.

8 macaques (4 mâles et 4 femelles) sont inoculés avec une culture cellulaire de compositions similaires aux isolats de la première et deuxième étude via une combinaison d’administration intranasale (0,5 ml par narine), intratrachéale (4 ml), orale (1 ml) et oculaire (0,25 ml par œil), cette fois aucune anesthésie n’est effectuée.

“Nous avons inoculé à huit macaques rhésus adultes l’isolat nCoV-WA1-202014 du SARS-CoV-2. Le premier jour après l’inoculation (dpi), tous les macaques ont montré des changements dans leur schéma respiratoire et leur piloérection (hérissement des poils), comme le reflètent leurs scores cliniques (Fig. 1a). Les autres signes de maladie que nous avons observés comprenaient une diminution de l’appétit, une posture voûtée, une apparence pâle et une déshydratation (Tableau 1 des données étendues). La toux a été entendue occasionnellement dans la pièce où les macaques étaient logés, mais n’a pas pu être attribuée à des macaques individuels. Les signes de la maladie ont persisté pendant plus d’une semaine, tous les macaques étant complètement guéris entre 9 et 17 dpi (Fig. 1a, Données étendues Tableau 1). Nous avons observé une perte de poids chez tous les macaques (Fig. 1b) ; la température corporelle a atteint un pic à 1 dpi mais est revenue à des niveaux normaux par la suite (Fig. 1c). Sous anesthésie, les macaques n’ont pas montré une respiration accrue ; cependant, tous les macaques ont montré des schémas respiratoires irréguliers (Fig. 1d).”

Nous noterons d’abord qu’aucune expérience témoin n’est effectuée, “Un système en double aveugle n’a pas été utilisé dans cette étude car tous les macaques ont été soumis au même traitement.”, une logique questionnable, le traitement auquel les macaques sont soumis étant potentiellement traumatique (les macaques ne sont pas anesthésiés et sûrement contentionné pour l’inoculation) et la culture cellulaire utilisée contenant beaucoup d’autres substances que le virus SARS-CoV-2, elle pourrait potentiellement induire une réaction toxique ou allergique.

Les scientifiques pointent eux-mêmes que le schéma respiratoire des macaques revient à la normale après anesthésie (pour euthanasie), indiquant que la modification de la respiration, ainsi que les autres symptômes, pourraient également être liés au stress induit par les méthodes physiques utilisées pour l’inoculation.

Les macaques sont également testés par PCR :

“L’excrétion virale était la plus élevée dans le nez (figure 2a) ; le virus a pu être isolé dans des écouvillons prélevés à 1 et 3 dpi, mais pas par la suite. Les charges virales étaient élevées dans les écouvillons de gorge immédiatement après l’inoculation, mais elles étaient moins constantes que dans les écouvillons de nez par la suite ; chez un macaque, les écouvillons de gorge étaient positifs à 1 dpi et à 10 dpi, mais pas entre les deux (Fig. 2a).”

Ces données semblent indiquer que la culture cellulaire inoculée rend positif le test PCR s’il est effectué sur les tissus inoculés. En mettant du matériel génétique chez les macaques et en retrouvant ce matériel génétique chez eux, on prouve donc que du matériel génétique a été inoculé à des macaques. La “charge virale” ne semble pas non plus augmenter comme on pourrait le penser si le virus se répliquait dans les cellules, il semble être excrété comme une particule exogène non-assimilable par l’organisme (du macaque).

Les images histopathologiques et des poumons sont difficilement interprétables en l’absence de groupe témoin soumis au même traitement (mais sans virus). Une inhalation pulmonaire de la culture cellulaire pourrait également provoquer les “changements” observés.

Nous avons donc revu ici les trois articles scientifiques majeurs utilisés pour démontrer la pathogénicité du SARS-CoV-2 et son lien de causalité avec la maladie Covid-19.

S’ls présentent quelques défauts méthodologiques, cela ne prouve toujours pas que le SARS-CoV-2 n’est pas contagieux et responsable du COVID-19 chez l’homme.

Pourquoi ?

Par ce que nous n’avons pas d’autres modèles pour expliquer la maladie, la biologie et la vie.

[Note de Joseph : si, il existe un tout autre modèle. Voir notamment :

Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
La théorie des exosomes contre celle des virus

Sur la contagion :
La contagion : quelques éléments de réponse, a contrario de la funeste doxa actuelle
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
La théorie des germes : Une erreur fatale
Fauci et la grande arnaque du sida
L’outil statistique maîtrisé démontre que la Covid et les maladies hivernales telles que la grippe ne sont pas des phénomènes de contagion, mais sont fortement corrélées à la température
Épidémies et contagions :

Selon une nouvelle approche théorique, les phénomènes de contagion épidémique n’impliqueraient jamais de bactéries et de virus naturels en tant que causes initiales (mais tout au plus comme conséquences, le rôle des bactéries et virus étant notamment de décontaminer, nettoyer, purifier, éliminer des déchets, permettre l’assimilation de certaines substances…). Ils proviendraient en réalité de diverses autres causes, éventuellement combinées :
►environnement pollué (air, eau, aliments contenant notamment pesticides et additifs alimentaires, électromagnétisme, radioactivité, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins (avec notamment les adjuvants),
►etc.
Concernant les causes électromagnétiques (notamment le Wi-Fi, le Bluetooth, la 3G, la 4G, la 4G+ et la 5G), électriques (par les champs en provenance des lignes électriques, spécialement à haute tension) et magnétiques (par les conducteurs électriques dès qu’ils sont parcourus par des courants), il est utile de se rappeler que le corps humain est électrique, parcouru en permanence par de minuscules courants (dans les influx nerveux, dans les mitochondries lors de la production d’ATP à partir du glucose, etc.), et magnétique, et qu’il suffit de très faibles valeurs de champs électriques ou magnétiques ou d’intensité d’ondes électromagnétiques pour perturber plus ou moins gravement ces délicats processus.

Sur le non isolement du SRAS-CoV-2 et des virus :
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Sur la théorie de l’évolution et d’autres approches :
La théorie de l’évolution : un camouflet pour la science
La théorie incohérente de l’évolution et ses effets pernicieux sur notre mode de pensée
Créationnisme, darwinisme… Pourquoi pas ni l’un ni l’autre ?
Âme génétique et résonance morphique
Catastrophes naturelles et pollution mentale
Deux visions de la maladie et de la santé
Vie et mort des systèmes
Terre vivante ?
Réflexion sur la vie, la matière et la conscience

De plus le modèle viral apparaît frauduleux, puisqu’on ne trouve apparemment aucune étude qui respecte intégralement la démarche scientifique avec les expériences de contrôle ou contre-expériences que l’on devrait pourtant logiquement mener pour établir la réalité du lien de cause à effet entre le virus et la maladie qu’il est supposé provoquer. Notamment les virus devraient respecter les postulats de Koch et de Rivers (voir en particulier Déclaration sur l’isolement des virus).

Question subsidiaire concernant cette étude particulière : si le SRAS-CoV-2 est censé être la cause de la Covid via les récepteurs ACE2, et sachant que le singe n’est pas si éloigné que ça de l’Homme sur le plan génétique, pourquoi les présents symptômes pour les macaques seraient la démonstration que ces derniers ont eu la Covid alors qu’ils n’ont aucun rapport avec les symptômes humains ? La réponse logique est la suivante : en fait ils ne démontrent rien, parce que le matériel injecté n’est pas la cause de la Covid, mais d’un empoisonnement à cause des produits toxiques présents dans l’isolat. Et la Covid humaine est quant à elle le résultat d’autres types d’intoxication du corps, particulièrement ceux produits par des ondes électromagnétiques pulsées, comme la 4G, le Wi-Fi et la 5G.

Sur la 5G :
Graphène et 5G
Étude sur les liens entre le Covid-19 et les rayonnements électromagnétiques, y compris la 5G
PhoneGate, l’enquête sur un scandale sanitaire mondial
Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?]

Une maladie dite infectieuse doit être causée par un agent matériel unique, et l’élimination de cet élément d’origine inconnue (une chauve-souris, un pangolin, le voisin, qui ont eux même “attrapé ce virus” suite à sa formation par le biais de réactions chimiques aléatoires de la nature et de l’univers) ne peut être aboutie que par sa recherche et sa destruction. Le virus est une entité unique, aléatoire, sans but, que les cellules du corps répliquent jusqu’à leur éclatement, c’est ainsi.

Si l’alimentation, les carences, l’état psychique, le microbiome, les toxines et polluants ont un rôle sur la santé, c’est avant tout en jouant sur le système immunitaire qui permet de se battre contre les virus et bactéries pathogènes. L’homme a évolué depuis des milliers d’années en s’adaptant aux virus, à tel point que 8 % de son ADN en serait composé, il fait partie intégrante de notre code génétique.

Il est donc impossible que le SARS-CoV-2 ne soit pas contagieux, il est impossible que le SARS-CoV-2 ne soit pas responsable de la grille de symptômes appelée COVID-19, par ce qu’il est impossible que nous pensions autrement.
[Ndlr : selon le récit officiel.]

Antonin Pimousse




Psychologie des foules : le désir de croire plutôt que de savoir

[Source : contrepoints.org]

[Crédit photo : 1984 by Oscar Martinez Ciuro (CC BY-ND 2.0).]

Par Yannick Harrel

À la suite des analyses portant sur les techniques de manipulation des masses dans une démocratie libérale puis sur un antécédent historique de manipulation réussie de la foule, il est possible de déterminer quel est le ressort de celle-ci au regard de la crise actuelle. Sans guère de surprise, l’irrationalité peut se déverser sans retenue une fois les digues morales et légales levées ou effondrées.

Les libertés, premières victimes expiatoires de la psychologie des foules

Dans toute situation d’urgence la première victime ce sont les libertés : le réflexe est bien connu, et toujours employé par tous les régimes avec l’assentiment, voire l’appui, des populations administrées. C’est une première constante qui ne s’est jamais démentie au fil des épreuves passées et présentes. Comme si les libertés étaient, plus encore que la variable d’ajustement, la cause de tous les malheurs de ce monde. Cela révèle en sus la profondeur des convictions libérales des dirigeants occidentaux actuels. L’autre constante est la suspension souvent pérenne desdites libertés. Une fois la victoire obtenue (et l’on sait que celle-ci est souvent différée à dessein), les libertés sont rarement rendues ou si tel est le cas, elles sont d’office placées sous tutelle (administrative et/ou technologique). Comme si les libertés étaient l’arme de l’ennemi alors qu’elles sont précisément le révélateur de qui est notre ennemi.

Curieuse approche de régimes souvent prompts à invoquer des droits fondamentaux lorsque leur emprise commerciale et militaire est menacée en quelque point du monde mais bien plus lents à les restaurer ou à les étendre en leur propre domaine. Sur ce point, le principe mimétique semble particulièrement absent : telle pourrait être la parabole de la baïonnette (à l’extérieur des frontières) et du bâillon (à l’intérieur d’icelles).

L’autre limitation à ce retour des libertés ou à leur extension tient à la désagrégation de l’universalité de ces libertés au profit de libertés redistribuées sur des bases professionnelles, linguistiques, ethniques, confessionnelles, politiques, biologiques, médicales etc. Ce saucissonnage des libertés est matois car par pure stratégie politique, il crée une scission artificielle en rompant le contrat social tout en dissolvant la notion de droits fondamentaux. De la sorte, en situation d’urgence les libertés peuvent être réduites, suspendues ou augmentées à la carte selon le bon vouloir des autorités et le degré d’allégeance du groupe bénéficiaire.

C’est ce qui peut expliquer que dans le cas où les autorités publiques désignent un corps d’individus responsable de tous les maux, les libertés peuvent être levées à son encontre sans objection par les autres composantes de la population. Une fois la situation bien en main, l’hallali peut être sonné comme annonçant le rituel sacrificiel accepté par tous ceux n’étant pas concernés par la mise à mort (sociale dans un premier temps puis physique dans son aboutissement ultime). Mieux encore, la majorité de la population, travaillée par le processus de déshumanisation du groupe visé, est appelée à participer à cet élan purificateur.

Les individus, secondes victimes expiatoires de la psychologie des foules

C’est de la sorte que s’exprimait si bien le philosophe français René Girard (1923-2015) :

Les persécuteurs finissent toujours par se convaincre qu’un petit nombre d’individus, ou même un seul peut se rendre extrêmement nuisible à la société tout entière, en dépit de sa faiblesse relative.

Car lorsque par ses représentants, principaux ou secondaires, un régime conditionne des individus pour les manipuler en flattant leurs instincts les plus primaires et brutaux, aucune limite légale et morale à ses excès ne saurait dès lors exister. A fortiori lorsque les tenants de l’État ont déjà prévu de se déresponsabiliser des conséquences sur leurs servants fanatiques. Combien il est commode pour ce même régime de masquer, d’étouffer ou encore d’éradiquer les contestataires privés de représentativité et encore moins de dignité.

Dans une situation où l’ordre ordinaire est bouleversé, où le pire est préparé par ceux qui devraient nous en préserver, les quelques îlots d’intelligence et de sagesse sont peu de chose face à une folie d’essence mystique.

C’est ce qu’assène une fois encore le penseur français :

La foule tend toujours vers la persécution car les causes naturelles de ce qui la trouble, de ce qui la transforme en turba ne peuvent pas l’intéresser.

Car les individus ordinaires veulent croire plus que savoir. Il est nécessaire de répéter pour que ce point central soit bien assimilé par tout lecteur : les individus ordinaires veulent croire, non point savoir.

L’existence d’une société baignant dans la surabondance informationnelle est sans effet sur cet invariant de l’humanité : glissant de la vie au trépas sans y avoir eu quelque prise, le superfétatoire nourrit l’existence de l’individu ordinaire. Mais c’est aussi l’essence de la valeur du principe fondamental de liberté, celle du choix.

Être un libéral humaniste, c’est être conscient de cette réalité intemporelle et intangible aux fins de n’en louer que davantage les individus éclairés formant l’avant-garde d’une société reposant sur le libre arbitre et l’acceptation de la responsabilité de ses choix.

Or, l’Histoire nous apprend douloureusement que les sociétés humaines s’en remettent rarement à de tels hommes et femmes, et préfèrent confier leur destinée à des êtres vils, cupides et cruels mais parfaitement aptes à dompter la foule, quitte à la dresser contre une partie d’elle-même pour s’éviter un sort funeste. Ce sont souvent de très fins psychologues des foules.

Et qui mieux que Gustave Le Bon (1841-1931) pour disserter sur cette vérité faisant écho à des siècles de distance à Étienne de la Boétie (1530-1563) ?

Ce n’est pas le besoin de la liberté, mais celui de la servitude qui domine toujours dans l’âme des foules. Elles ont une telle soif d’obéir qu’elles se soumettent d’instinct à qui se déclare leur maître.

La double erreur des instruits

Les êtres instruits sont parfois aveuglés par des biais qui leur font omettre la réalité des affaires politiques. Une double erreur est généralement à l’œuvre dans leur cécité.

La première erreur est d’ordre juridique. Elle consiste pour les constitutionnalistes à affirmer qu’un carcan de règles puisse entraver cette réalité historique cyclique. Désapprenant qu’une démocratie libérale est tout autant corruptible que tout autre régime si ses éléments de vie, les électeurs en ce cas précis, sont démissionnaires ou pervertis dans leur rôle de sentinelles.

L’autre erreur est d’ordre technologique. Elle consiste à s’illusionner qu’une innovation ou un niveau technologique est à lui seul à même de garantir la prospérité et la stabilité d’une société. C’est par cette certitude d’une supériorité sur les invariants humains que les régimes même libéraux peuvent s’enfoncer précisément là où la technologie devait les en éloigner.

La logique des constitutionnalistes et des technophiles trouve précisément sa limite en ce point : l’absence du versant émotionnel dans le contrôle des foules comme déjà explicité en une analyse précédente.

Le contrôle des foules nécessite de procéder obligatoirement par le canal émotionnel, et non le canal rationnel. Ce dernier est entièrement inefficace pour disposer à sa guise d’une population, et encore moins pour les opposants de la modifier.

Croire plutôt que savoir, une fois encore.

C’est ce qu’énonçait en une formule lapidaire le romancier américain Charles Bukowski (1920-1994) :

Le problème avec ce monde c’est que les gens intelligents sont pleins de doutes alors que les imbéciles sont pleins de certitudes.

Dans les moments de crise agissant comme une loupe psychosociale, la médiocrité et la sublimité des individus est démultipliée.

Mieux qu’un esprit libre : une confédération d’esprits libres

La plus grande croyance de ce début de XXIe siècle est celle de se persuader que les démocraties libérales sont encore vivantes. Elles ne sont en réalité que des régimes zombies dont l’état de décomposition résulte moins de l’action des dirigeants qu’à l’impassibilité et la crédulité des populations et plus encore, à l’inaction des gens de bien comme l’énonçait avec grande justesse le penseur anglais John Stuart Mill (1806-1873).

Le plus dangereux dans ce type de situation est l’excitation des foules, lesquelles reporteront leurs frustrations diverses sur les cibles que l’on aura pris soin de leur présenter (par les titulaires de la puissance publique suppléés par le clergé médiatique). Dans un régime zombie, les garanties juridiques sont inexistantes, la parole publique sans valeur et les forces aux ordres sans pitié.

Le paradoxe est que si l’esprit libre répugne à manipuler les foules, il se met en danger par son isolement et sa position de victime toute désignée face à une foule excitée par des dirigeants sans scrupules. Chaque esprit libre doit se regrouper en confédération avec ses frères et ses sœurs, investir les citadelles du pouvoir et du savoir, questionner les individus pour instiller le doute dans la foule, rallier les forces intérieures et mobiliser les forces productives, en somme créer les conditions de sa survie dans un premier temps et du succès de la lutte dans un second.

La vulgate marxiste a longtemps fait accroire au rôle central et moteur du peuple dans les changements historiques majeurs. Pourtant même le révolutionnaire Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine (1870-1924), prônait le concept d’avant-garde menée par des professionnels de la révolution, ce qui en faisait, soit dit en passant, un féroce contempteur du gauchisme opposé à cette approche (il y dédia par ailleurs un ouvrage intitulé La maladie infantile du communisme).

En 1775 lorsque les Insurgents américains se dressèrent contre la puissante monarchie britannique, les notables, les manufacturiers, les savants et les artisans d’Amérique étaient soudés par l’esprit des Lumières, avec en toile de fond le désir de justice fiscale. Ce corpus philosophique joua énormément dans la solidité des liens et la résilience de ses membres face à un adversaire numériquement supérieur et entraîné professionnellement mais dont le seul objectif demeurait le rétablissement de l’ordre, fut-il le plus injuste possible. Quelle meilleure preuve que ces loyalistes marchant aux côtés des Britanniques, autrement bien plus nombreux que les rebelles à la couronne ? Ce qui ne les empêcha pas au sortir du conflit de déposer les armes aux pieds de ces volontaires levés au cri de « Liberté ».

Un homme animé par le désir de liberté pour lui, ses frères et ses sœurs, aura toujours l’ascendant sur celui qui ne lutte que pour garantir la stabilité d’un régime inique : le premier sait pourquoi il lutte, le second croit en celui ou ce pourquoi il lutte. Le sachant contre le croyant.

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[Voir aussi :
Boris Cyrulnik : Pourquoi dire non — Langage totalitaire et résistance (conférence)
Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin
Conférence – les mensonges du COVID
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Covid-19 : dérive totalitaire et psychopathologie collective
Crise Covid : comment sortir de l’hypnose négative ? – Du problème aux solutions
LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse
Alexandre Boisson, ex-policier du GSPR : Covid-19, manipulation des foules & résilience alimentaire
Comment la peur court-circuite le raisonnement
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mécanismes des régimes totalitaires
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Comment on manipule pour avoir le consentement
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes
Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés
Le cerveau électronique
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population]
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Magà Ettori : « Le combat de ma vie, c’est la liberté d’expression ». (Mise à jour)

[Source : journal-lepetitcorse.fr]

Depuis deux mois le Préfet de Corse interdisait toutes manifestations et débats en Corse concernant le pass sanitaire et la vaccination. Pour Magà Ettori, président de « l’Institut Bella Ciao » cette censure est intolérable alors que le besoin de s’informer n’a jamais été aussi grand. Il a donc pris la liberté d’organiser deux manifestations en Corse, sous le signe de la résistance.

L’Institut Bella Ciao présidé par le journaliste, cinéaste et activiste Magà Ettori, organise tous les ans depuis 10 ans la « Journée Mondiale de la Résistance », une manifestation qui se déroule le 22 décembre. C’est dans un contexte particulier, et dans le cadre de cette date anniversaire, que l’Institut Bella Ciao a décidé d’organiser une manifestation à Ajaccio (où est née l’organisation il y a 27 ans), et une autre le 23 à Bastia. De nombreux Collectifs ont été invités à prendre la parole, sur des thèmes différents liés à l’enfance et à la liberté d’expression. Alors que la question de la vaccination générale des enfants de 5 à 11 ans est à l’ordre du jour, des Collectifs comme « Inseme » ou « Créons du lien 2A » ont enfin pu exprimer publiquement leur point de vue.

« Une victoire pour la démocratie et les libertés fondamentales », annonce au micro Magà Ettori lors de la projection de son film « Liberté » (liberté-le film.fr) projeté au Studio Cinéma à Bastia, juste après la manifestation, ajoutant :

« je suis engagé dans de nombreuses causes, mais la liberté d’expression est le combat de ma vie car il est impossible de lutter pour des idées si on ne peut pas les exprimer ».

” Face aux contraintes et aux peurs de toutes sortes, le simple courage individuel prend cette dimension de résistance, comme l’engagement des consciences émancipées face à toutes les confusions générées par les pressions multiples de la désinformation. La parole de résistance n’est pas une parole acquise, c’est une parole conquise : les forces à laquelle elle veut s’opposer ne céderont pas facilement, au contraire.

Avec la confiance en un idéal de citoyenneté responsable, nous assumons la notion de résistance comme un héritage. Celui qui y adhère développe de fait, au sein d’une liberté revendiquée, sa capacité d’indignation et de refus.

La 10e « Journée Mondiale de la Résistance » où se sont retrouvées les consciences éprises de vérité et de progrès qui se veulent affranchies des contraintes pesantes, des dépendances que l’autorité présente comme nécessaires.

La « Journée Mondiale de la Résistance », dans un rapport de cause à effet, a motivé en Corse en cette période de Noël son existence par la légitimité de la lutte contre les capitulations et les dévalorisations, car l’oppression, au sens large du terme, n’a besoin que de vaincus. Qu’elle s’affiche ou qu’elle avance masquée, elle sait isoler, déposséder, forcer au consentement aliénant. Y résister passe par une prise de conscience qui se traduit en actes, comme autant de conquêtes à mettre en œuvre. Les puissances dirigeantes, sûres d’elles-mêmes, savent se jouer des oppositions quand elles sont trop crispées ou revendicatives.

« La Journée Mondiale de la Résistance », ce n’est pas cela conclut Magà Ettori « sa capacité de réaction s’inscrit dans une identité bienveillante et constructive. Si on lutte contre le pire, ce n’est pas par désespoir ou en anticipant l’échec, c’est parce qu’on sait que le meilleur est possible – et peut-être plus près qu’on ne le pense. »

Site : institut-bellaciao.fr
Film : liberte-le film.fr

[Mise à jour :]

TRILOGIE LIBERTE – LA MORT D’UN ENFANT (extrait)

entretien avec Gisèle Souchon, philosophe, enseignante

LIBERTE (avant-première cinéma le Studio à Bastia – 23 décembre 2021 – 
http://studiocinema.fr/FR/fiche-film-cinema/MIWXB9/liberte-blouses-blanches-avec-le-realisateur.html)

Un documentaire de Magà Ettori et Ariakina Ettori

► LES ENFANTS DE LA LIBERTE ► IMPORTANT ► nous soutenir sur cette page :
https://www.helloasso.com/associations/insave/collectes/les-enfants-de-la-liberte-le-film

https://youtu.be/o-slftgwRf4



Covid-19 : des voix dissimulées de spécialistes (Rétrospective 2021)

[Source : www.kla.tv/21171]

Des voix dissimulées de spécialistes ̶ en exclusivité sur Kla.TV (Rétrospective 2021)

L’année dernière, en 2021, les médias d’État financés par contribution obligatoire se sont encore plus enfoncés dans le marasme. Ils passent catégoriquement sous silence les avis spécialisés les plus importants de médecins, microbiologistes, chercheurs, scientifiques, avocats et témoins oculaires de haut niveau. Un discours ouvert n’est plus possible depuis longtemps. Le grand public n’est plus informé que de manière unilatérale par les principaux médias et est acculé par la peur, l’incitation à la division et les géants de l’industrie pharmaceutique avides de profits. En 2021, kla.tv a répondu au grand besoin de l’humanité en donnant la parole à des experts de tous les domaines importants de la science, de l’éducation et de la médecine. Pour vous, en exclusivité aujourd’hui, une rétrospective des principales voix professionnelles qui peuvent enfin transmettre leur savoir révélateur au monde entier sur Kla.TV …

Le Dr Sucharit Bhakdi est spécialiste en microbiologie et en épidémiologie infectieuse et ancien professeur à l’université Gutenberg de Mayence. Il y a dirigé pendant 22 ans l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène. Il a été l’une des premières voix spécialisées à remettre en question les mesures Covid19 et les restrictions massives des droits fondamentaux qu’elles impliquent, et a écrit une lettre ouverte à la chancelière allemande Angela Merkel à ce sujet. Avant même le début des vaccinations, il a été l’un des premiers à mettre en garde contre les dommages massifs causés par les vaccins, tels que les accidents vasculaires cérébraux, les hémorragies cérébrales et les décès dus à la vaccination. Lorsque ceux-ci se sont produits en grand nombre et dans toute leur tragédie, il a expliqué de manière compréhensible pour tous et sans relâche les tenants et les aboutissants afin de préserver la population mal orientée de dommages encore plus graves. Selon le Dr Bhakdi, les vaccins basés sur les gènes sont totalement différents des vaccins ordinaires et mille fois plus dangereux. Pour le Dr Bhakdi, la campagne de vaccination est le plus grand crime possible.

Me Reiner Fuellmich, avocat, résume ainsi les conclusions de la commission d’enquête extraparlementaire Covid19, dans laquelle plus de 150 experts ont déjà pris la parole :

  • Avec Covid19, il n’a jamais été question de santé.
  • Le virus n’est pas plus dangereux qu’une grippe, avec un taux de mortalité de 0,14 à 0,15 %.
  • Les prétendus vaccins sont en réalité des expériences de thérapie génique. Elles sont extrêmement dangereuses.
  • Selon une estimation conservative, il y aurait au moins 500 000 morts après le début de la vaccination.
  • Nos gouvernements n’agissent pas dans le meilleur intérêt de leur peuple, mais sont largement sous le contrôle des hommes de main des entreprises multinationales et des ONG.
  • Bill Gates parle depuis de nombreuses années de la nécessité de réduire de manière draconienne la population mondiale.
  • Klaus Schwab demande en outre un gouvernement mondial sous l’égide de l’ONU. Celui-ci doit être atteint par un chaos mondial sous forme de pandémies, de guerres et de catastrophes naturelles, afin que la population mondiale croie que seul un gouvernement mondial pourra encore l’aider.
    Me Fuellmich, avec l’aide de collègues internationaux, engage également des actions juridiques sous forme de recours collectifs contre les mesures Covid19 ».

Le Dr Wolfgang Wodarg est pneumologue, professeur contractuel en école supérieure, a dirigé pendant de nombreuses années un service de santé publique en tant que médecin officiel, a été pendant de nombreuses années député du SPD au Bundestag et président de la commission de la santé au Bundestag allemand, etc.
Il avait déjà mis en garde contre l’alarmisme alimenté par l’industrie pharmaceutique lors de la grippe porcine. Le Dr Wodarg a montré, preuves à l’appui, que le professeur Drosten s’est trompé dans son alarmisme de l’époque sur la grippe porcine. Il a vivement conseillé d’éviter les vaccins qui provoquent de graves effets secondaires. Selon lui, il n’y a pas lieu de s’alarmer outre mesure. Le Dr Wodarg a montré que l’OMS avait modifié la définition de la pandémie, de sorte que toute grippe peut aujourd’hui être déclarée pandémique. Ainsi, l’exigence d’un nombre élevé de décès ou de maladies graves a été supprimée de la définition.
Au sujet du vaccin ARNm-Covid, le Dr Wodarg déclare :

« Ce vaccin modifie génétiquement la personne qui est vaccinée. […] Des milliards de personnes doivent maintenant être vaccinées. C’est totalement irresponsable. Je ne peux que recommander aux gens : Ne vous faites pas […] vacciner avec un vaccin produit avec une telle négligence en si peu de temps ».

[Voir aussi :
Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses
Coronavirus : Une maladie respiratoire comme chaque hiver ? (du Dr. Wolfgang Wodarg)]

Le Dr Werner Bergholz, ancien professeur à l’Université Jakobs de Brême a travaillé pendant de nombreuses années dans le management de la qualité. En été 2021, il tire un bilan provisoire de la vaccination Covid : de 2000 à 2020, pour environ 40 millions de vaccinations, on a enregistré environ 20 décès par an. En 2021, jusqu’au mois de juillet inclus, il y a déjà eu 1 230 décès. Il ne s’agit donc pas d’une légère augmentation, mais d’une hausse dramatique. Selon la base de données de l’EMA, plus de 14 000 personnes sont déjà décédées en Europe. Cela signifie au moins dix fois plus de personnes gravement atteintes. Concernant la valeur d’incidence constamment utilisée, le professeur Bergholz déclare : « Cette incidence est une bêtise sur le plan physique, statistique et métrologique. »

[Voir aussi :
Vaccins Covid 19 : effets secondaires alarmants, découverte de constituants non déclarés
Les soupçons de crime vaccinal anti-Covid se confirment]

En septembre 2021, lors de la conférence de pathologie de Reutlingen, le professeur Arne Burkhardt, expert en la matière, s’est penché avec des scientifiques, des médecins et des juristes sur les effets secondaires des vaccins Covid-19 pouvant entraîner la mort et sur des composants non déclarés des vaccins. Il a attiré l’attention sur des corps étrangers métalliques qui ont été identifiés dans les vaccins Covid-19 de différents fabricants. Il a également indiqué qu’au Japon, des particules métalliques avaient été trouvées dans le vaccin Moderna.

[Voir aussi :
Pr Arne Burkhardt : « Sur 10 autopsies, 5 décès sont très probablement liés à la vaccination »
Des médecins allemands confirment à nouveau la corrélation entre vaccin et surmortalité]

Lors du même congrès de pathologie de Reutlingen, Madame Dr Uta Langer a montré des clichés pris au microscope en champ sombre sur des restes de vaccins de la société BioNtech Pfizer. On y voyait des substances non organiques dont la taille variait entre 40 micromètres et 0,5 millimètres. Elle n’a pas pu déterminer avec certitude ce qu’étaient ces corps étrangers, mais il pourrait s’agir de micropuces. Des structures similaires ont pu être mises en évidence avec le vaccin Johnson & Johnson. Sur des prises de vue du sang de personnes vaccinées, Uta Langer a mis en évidence des amas de globules rouges en forme de rouleaux. En plus de cet effet, des corps étrangers semblables à des filaments et n’étant pas d’origine organique ont pu être identifiés dans les clichés.

Le Dr Bolland et d’autres médecins ont observé que des tumeurs cancéreuses se sont développées de manière explosive après une vaccination anti-Covid. Il parle spontanément de turbo-cancer et pose la question suivante : Est-il possible que cela soit lié à la vaccination ? Est-il possible que la question de la dégradation du système immunitaire par la vaccination, discutée dans les milieux spécialisés, joue un rôle dans ce cas ?

Le Dr Carrie Madej, spécialiste en médecine interne et ostéopathe, a dirigé pendant 19 ans deux cliniques dans l’État de Géorgie, aux États-Unis. Selon elle, les gens doivent savoir que le vaccin anti-Covid n’est pas un vaccin sûr. Cette campagne de vaccination serait une grande expérience publique sur l’humanité. Elle rappelle que ce type de vaccin utilise une technologie qui peut modifier génétiquement les organismes. Il n’existe pas d’études probantes pour ce vaccin. Toutes les expériences menées sur des animaux au cours des 20 dernières années avec des sérums vaccinaux à ARN-messager ou à ADN- modifié ont échoué. Lorsque les animaux vaccinés entraient en contact avec des agents pathogènes du rhume ou de la grippe, ils avaient plus de pneumonies, de problèmes de foie et il y avait plus de décès. Elle fait remarquer qu’en cas de décès ou d’effets secondaires après une vaccination, les fabricants n’assument aucune responsabilité ou indemnisation. Elle demande un moratoire sur ces nouveaux vaccins qui ont le potentiel de modifier durablement le génome humain.

[Voir aussi :
Quelle humanité pour demain ? Dr. Carrie Madej]

Le Dr Heiko Schöning est médecin et analyste à Hambourg, cofondateur de l’organisation « Ärzte für Aufklärung », de la « commission d’enquête extraparlementaire Covid » (ACU), vice-président de la « World Doctors Alliance » et cofondateur de la « World Freedom Alliance ». Grâce à ses recherches, il a pu démontrer que la pandémie de Covid répète une stratégie criminelle. Ces stratégies ont toujours été précédées de tests qui ont abouti à de nouvelles structures de pouvoir. C’est exactement selon le même schéma que les criminels d’aujourd’hui ont déjà commis un crime similaire avec des bactéries mortelles de l’anthrax en 2001. Des détails criminels et un sens aigu de la déduction l’ont amené à la conclusion suivante : ce sont toujours les mêmes instituts et clans qui sont impliqués dans ce jeu détestable. Lors de conférences de presse et d’interviews, il démontre que les chiffres du Covid publiés sur les infections et les décès sont falsifiés et gonflés par des astuces rhétoriques et mathématico-statistiques. Le Dr Schöning démontre que beaucoup de choses autour des mesures de la pandémie relèvent d‘un crime mafieux visant à remodeler le monde selon des règles totalitaires. Dans son livre « Game over », il a exposé par écrit ses connaissances, montré les structures et désigné les auteurs. Selon lui, nous sommes confrontés à une mafia internationale à laquelle appartiennent également des chefs d’État et des hommes politiques. Il encourage les gens à s’unir pour dénoncer ces crimes organisés à l’échelle mondiale et ainsi y mettre fin.

[Voir aussi :
Le crime organisé : COVID-19 et ANTHRAX-01 — Interview avec Heiko Schöning]

Le Dr Andreas Heisler est médecin généraliste à Ebikon Lucerne et a été médecin de garde pendant de nombreuses années. Depuis le début de la pandémie de Covid, il s’engage pour un discours ouvert entre les médecins, les scientifiques et les politiques. Avec des collègues médecins, il a fondé l’association Aletheia, « Médecine et science pour la proportionnalité ». Plus de 600 médecins sont déjà membres d’Aletheia, qui compte plus de 2 500 membres issus du secteur de la santé. Contrairement à la surpopulation des hôpitaux prévue par les médias au printemps 2020 en raison du Covid-19, le Dr Heisler a observé que l’hôpital cantonal de Lucerne, aménagé comme un hôpital de guerre, restait vide. Il l’a signalé dans une lettre adressée au ministère de la Santé à Berne, mais n’a reçu aucune réaction.
Le Dr Heisler considère la campagne de vaccination comme une expérimentation humaine et à propos de ses collègues médecins vaccinateurs, il dit : « Ce que vous faites va à l’encontre du code de Nuremberg qui stipule que nous ne pouvons participer à des expérimentations sur l’homme ! » D’autant plus si les gens ne sont pas mis au courant. Par ailleurs, le Dr Heisler fait état de graves effets secondaires liés à la vaccination.

Le scientifique et homme politique indo-américain Shiva Ayyadurai détient quatre diplômes d’ingénieur du prestigieux Massachusetts Institute of Technology. En tant que biologiste des systèmes, il qualifie cette crise de « la plus grande escroquerie anxiogène de tous les temps ». Il explique cette affirmation en comparant le nombre de décès dus au Covid-19 avec le nombre de décès aux États-Unis dus à d’autres causes, telles les maladies cardiovasculaires ou le cancer par exemple. Ceux-ci sont bien plus élevés – mais aucune panique n’est provoquée et aucune mesure n’est introduite.
M. Ayyadurai est convaincu que seule une approche holistique et des soins particuliers du système immunitaire peuvent être la réponse aux épidémies. De plus en plus de gens vivent sainement et comprennent que les médicaments sont toxiques. L’industrie pharmaceutique se concentre uniquement sur la production de vaccins et ouvre un nouveau champ d’activité avec la maladie du Covid. Sa conclusion est la suivante : dans cette crise du Covid, de nombreux médecins et scientifiques ne disent plus la vérité par peur de perdre leur emploi et par souci pour leur famille et, au contraire, courbent l’échine.

Le Dr Michael Yeadon a obtenu un doctorat avec mention en biochimie et toxicologie dans le domaine de la pharmacologie respiratoire. Il a ensuite passé sa vie à faire de la recherche dans l’industrie pharmaceutique, en se concentrant sur l’inflammation, l’immunologie et l’allergie en rapport avec les maladies respiratoires, ce qui fait de lui un expert dans ce domaine. Dès le début de la crise du Covid, il a été extrêmement préoccupé par les fausses informations diffusées par les politiques et les médias et par les mesures anti-Covid complètement inadaptées et exagérées. Le Dr Yeadon est horrifié par l’utilisation et l’interprétation totalement erronées des tests PCR et demande l’arrêt immédiat de ces tests. Au vu des dommages horribles et des décès causés par la vaccination, l’initié Yeadon qualifie les vaccins Covid de crime contre l’humanité et met expressément en garde contre leur utilisation. Il qualifie de meurtre le fait de vacciner des enfants, compte tenu des dommages à long terme et des taux de mortalité élevés.

[Voir aussi :
Dr YEADON : Nous allons nous interposer entre ces criminels et nos enfants
L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves. MàJ : vidéo]

Le Dr Christian Zürcher est spécialiste de la douleur et médecin généraliste qui possède son propre cabinet en Suisse. Il rapporte que de nombreux patients ont présenté les troubles les plus divers après avoir été vaccinés par le vaccin anti- Covid : maux de tête, fatigue, modifications de la peau, lassitude, mais aussi changements de caractère. Des patients lui ont rapporté que des proches étaient en parfaite santé avant la vaccination et qu’ils sont ensuite tombés gravement malades, ont subi des attaques cérébrales ou sont décédés. Lors de l’interview, le Dr Zürcher a montré, à l’aide d’une étude de l’Université d’Oxford, que les « vaccinés » avaient une charge 251 fois plus élevée de virus COVID-19 dans leurs narines par rapport aux « non vaccinés ». Cette étude a été publiée dans la prestigieuse revue médicale « The Lancet ».

Le Dr Claus Köhnlein est médecin et auteur du célèbre livre « Virus-Wahn – Wie die Medizin-Industrie ständig Seuchen erfindet und auf Kosten der Allgemeinheit Milliarden-Profite macht » (La folie des virus – Comment l’industrie médicale invente constamment des épidémies et fait des milliards de profits sur le dos de la collectivité). Il a souligné d’emblée que le Covid-19 était une pandémie test. Comme pour la grippe porcine, une nouvelle épidémie est pour ainsi dire initiée afin de mettre des médicaments sur le marché et de faire en sorte que des vaccins apparaissent à l’horizon. « Il suffirait de bannir le test du marché pour que la vie reprenne son cours normal. L’activité de la maladie serait alors comme elle l’a toujours été ». Le Dr Köhnlein a encore connu personnellement Kary Mullis, l’inventeur du test PCR. Mullis disait lui-même que cette méthode PCR ne permettait pas de diagnostiquer une maladie. Mais c’est exactement ce qui est fait aujourd’hui avec ce test. Et c’est sur cette base que se déroulent toutes nos mesures aberrantes.
Le Dr Köhnlein a expliqué la surmortalité momentanée en avril 2020 par le mauvais traitement initial des patients. C’est justement cette augmentation de la surmortalité en avril qui a répandu cette peur démesurée, avec des images soutenues par la presse comme les fosses communes à New York.

[Voir aussi :
Épidémies et contagions
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies]

Le Dr Rashid A. Buttar a suivi une formation en chirurgie générale et en médecine d’urgence. Il est toxicologue certifié pour les métaux et médecin préventif. Il est aujourd’hui directeur médical de la médecine avancée avec des cliniques en Californie et en Caroline du Nord. Le Dr Rashid Buttar révèle les activités criminelles de Bill Gates et d’Anthony Fauci. Il révèle également les mises en scène des urgences, les faux diagnostics délibérés, les certificats de décès et les taux d’occupation des hôpitaux falsifiés sur lesquels se basent les chiffres de la pandémie. Il montre également que la pandémie a été mise en place sur le long terme. Il démontre que les aspects fondamentaux du fonctionnement du système humain, tous les aspects de la viralité et des maladies infectieuses, ainsi que les postulats de Koch sont tout simplement ignorés.
Le Dr Buttar souligne que le test PCR n’est pas adapté à des fins de diagnostic. Le Dr Buttar est convaincu que des dizaines de milliers de médecins et de scientifiques savent parfaitement qu’il s’agit d’une fraude. Mais ils ne diraient rien parce qu’ils ont peur d’être dénoncés, d’être socialement exclus et de perdre leur licence.

[Voir aussi :
Ce que cache le test PCR ?]

Marcel Barz, informaticien économique et ex-officier de l’armée nationale allemande, a examiné de plus près les chiffres de l’année 2020 publiés par les autorités publiques, comme l’Institut Robert Koch, et par les médias publics. Ses analyses statistiques ont révélé que 2020 était une année tout à fait banale en termes de mortalité. Dans aucun groupe d’âge, la mortalité n’a été particulièrement élevée par rapport aux années 2012 à 2020. Sur la base du nombre de décès en Allemagne, il n’a donc pas pu prouver l’existence d’une pandémie. Il a ensuite examiné l’occupation des unités de soins intensifs en 2020. En résumé, il a constaté qu’en Allemagne le nombre de lits de soins intensifs occupés était resté largement inchangé en l’espace de 15 mois. Seul le nombre de lits libres a été réduit de plus de 6 000 pendant la pandémie. De ce fait, le pourcentage d’occupation des lits de soins intensifs a faussement augmenté. Il en conclut que nous sommes ici trompés et abusés.

[Voir aussi :
« Je n’en peux plus »]

John O’Looney, entrepreneur de pompes funèbres au Royaume-Uni, a indiqué qu’il n’y avait pas d’augmentation du taux de mortalité avant la vaccination. Il a vu des personnes décédées qui ont été délibérément marquées comme mortes du COVID. Parmi eux, il y avait des patients atteints de cancer en phase terminale, des personnes ayant subi une crise cardiaque ou même des personnes accidentées. Mais il n’y a pas eu d’augmentation du nombre de décès, et c’était le cas dans tout le secteur. Dans aucune des entreprises de pompes funèbres avec lesquelles il a parlé et dans aucune des morgues où il est entré, on ne voyait rien correspondant aux chiffres de la pandémie. Mais avec la vaccination, le taux de mortalité a augmenté de manière exceptionnelle. O’Looney a déclaré :

« Je n’ai jamais rien vu de tel en 15 ans. Nous avons affaire à un programme de dépopulation ».

[Voir aussi :
Covid-19 : témoignage d’un directeur de pompes funèbres]

Le Dr Peter McCullough est cardiologue au Texas. Il est en première ligne dans le débat sur la sécurité des vaccins contre le Covid. Il s’oppose à la vaccination des enfants parce que des études indiquent qu’un enfant est plus susceptible d’être hospitalisé avec une inflammation du cœur comme effet secondaire qu’avec le Covid-19. Concernant le port du masque, il affirme qu’aucune étude n’a pu démontrer que les masques protègent les enfants.
Selon le Dr McCullough, une étude a démontré qu’une vaccination répétée a pour effet de charger l’organisme en protéine spike. Des études montrent que la protéine spike s’accumule notamment dans le cœur, la moelle osseuse et le système immunitaire. Ainsi, les vaccinations répétées peuvent entraîner des maladies chroniques en raison de l’accumulation de protéine spike dans l’organisme. La FDA (agence américaine des médicaments) a déjà mis en garde contre diverses maladies neurologiques consécutives à la vaccination, entre autres le syndrome de Guillain-Barré.

[Voir aussi :
Analyse des assertions scientifiques d’Emmanuel Macron par le Pr Peter McCullough
Selon le Dr. McCullough, les vaccins COVID représenteraient la seconde étape d’une attaque bio-terroriste]

Le Dr Toku Takahashi, ancien professeur et directeur de clinique au Japon, a rapporté dans une interview avec Kla.TV :

« En 2018, il y a donc 3 ans, seules trois personnes au total sont décédées au Japon des suites du vaccin contre la grippe. Mais plus de 1 300 personnes, sans compter les cas non déclarés, sont déjà décédées (jusqu’à mi-2021 environ) des suites de la vaccination Covid 19. C’est une énorme différence. »

Lui aussi cite les vaccins à ARNm comme étant la cause de décès dus à la vaccination, car ils produisent la protéine spike qui est toxique dans le corps des personnes vaccinées et qui peut provoquer des inflammations dans les vaisseaux, pouvant éventuellement entraîner diverses embolies comme des thromboses ou des infarctus pulmonaires. Le Dr Takahashi rapporte qu’en raison du manque de couverture médiatique, une grande partie de la population japonaise ne sait pas que les vaccins Covid n’ont pas été entièrement testés et qu’il ne s’agit pas d’un vaccin traditionnel, tel un vaccin antigrippal ordinaire.

Mesdames et Messieurs, il est scandaleux que les médias publics que nous finançons par contribution obligatoire en tant que peuple, censurent ces voix d’experts dans le monde entier et ne leur donnent pas la parole. Malgré les attaques et les calomnies massives des médias publics et les attaques d’associations professionnelles de hackers, Kla.TV s’est continuellement et pleinement engagé quotidiennement pour vous en 2021.
Diffusez nos émissions dans toutes les langues disponibles et faites connaître Kla.TV. Nous concluons avec les paroles courageuses d’Ole Skambrax, un rédacteur de l’ARD qui a appelé le scandale par son nom et a été licencié peu après par la chaîne SWR de l’ARD :

« Je ne peux plus me taire. Je ne peux plus accepter sans rien dire ce qui se passe depuis maintenant un an et demi chez mon employeur, le service public de radiodiffusion. Les statuts et les traités d’État pour les médias stipulent « pondération », « cohésion sociale » et « diversité » dans les reportages. C’est exactement le contraire qui est pratiqué. Il n’existe pas de véritable discours et d’échange dans lequel toutes les parties de la société se retrouvent. »



de ls/ts/ch/hm

Sources / Liens :




Boris Cyrulnik : Pourquoi dire non — Langage totalitaire et résistance (conférence)

[Source : Université Clermont Auvergne]

Boris Cyrulnik, Docteur en médecine, Neuropsychiatre, Neurologue, auteur de nombreux livres grands publics et professionnels a animé le 21 octobre 2021 une conférence intitulée « Pourquoi dire non, langage totalitaire et résistance » dans les locaux de l’Université Clermont Auvergne.

Pourquoi lors de catastrophes (naturelles, sociales, ou dictature, etc.), certaines personnes ont le courage ou la force de dire non, alors que d’autres ont le plaisir de se soumettre ?

[Voir aussi Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin
et lien annexes]




Parlement européen : un député français s’élève contre la tyrannie Covid

[Source : Ninechat]




Dr Robert Malone : « Psychose de formation de masse COVID-19 » — Pourquoi tant de gens croient au mensonge du vaccin

[Source : La cause du peuple]

La plupart des gens n’arrivent pas à comprendre ce dans quoi nous sommes réellement engagés. Dans un état d’esprit présentant les caractéristiques croisées d’un état hypnotique et psycho-traumatique (allant jusqu’au fameux « syndrome de Stockholm »), ils s’illusionnent majoritairement sur le fait que nous sommes dans une simple parenthèse de limitation de nos droits fondamentaux due à une terrible pandémie. Cette limitation et les mesures de contrainte, brutales, qui nous sont imposées servant à nous protéger le temps que passe cette menace et que nous puissions revenir « au monde d’avant. ».
Or, nous sommes d’ores et déjà profondément engagés dans une dérive totalitaire, accompagnée d’un véritable génocide, bien pire que ce que  la plupart d’entre nous le pensent.

Ce qui suit a été écrit par le docteur Robert Malone, MD, MS, l’inventeur du vaccin ARNm, concernant la psychose de masse entourant les «vaccins» COVID-19 et l’incapacité ou le refus du public de voir la mort et la destruction causées par ces vaccins.

H. Genséric

Dr Malone :

Comme beaucoup d’entre vous le savent, j’ai passé du temps à faire des recherches et à parler de la théorie de la psychose de masse. La plupart de ce que j’ai appris est venu du Dr Mattias Desmet, qui s’est rendu compte que cette forme d’hypnose de masse, de la folie des foules, peut expliquer l’étrange phénomène d’environ 20-30% de la population du monde occidental devenant fasciné par les Nobles Mensonges et le récit dominant concernant la sécurité et l’efficacité des vaccins génétiques, et propagés et appliqués à la fois par les politiciens, les bureaucrates scientifiques, les sociétés pharmaceutiques et les médias traditionnels.

Ce que l’on observe avec l’hypnose de masse, c’est qu’une grande partie de la population est totalement incapable de traiter de nouvelles données et faits scientifiques démontrant qu’elle a été induite en erreur sur l’efficacité et les effets néfastes de l’utilisation obligatoire du masque, des enfermements et des vaccins génétiques qui obligent le corps à fabriquer de grandes quantités de protéine Spike de coronavirus biologiquement active.

Ceux qui sont hypnotisés par ce processus sont incapables de reconnaître les mensonges et les fausses déclarations dont ils sont bombardés quotidiennement et ils attaquent activement quiconque a la témérité de partager avec eux des informations qui contredisent la propagande qu’ils ont appris à adopter. Et pour ceux dont les familles et les réseaux sociaux ont été déchirés par ce processus, et qui constatent que des parents et amis proches les ont ignorés parce qu’ils remettent en question la « vérité » officiellement approuvée et suivent en fait la littérature scientifique, cela peut être une source de angoisse profonde, de chagrin et de douleur psychologique.

C’est avec ces âmes à l’esprit que j’ai inclus une discussion sur la théorie de la formation de masse du Dr Mattias Desmet lors d’une récente conférence que j’ai donnée à Tampa, en Floride, devant un auditoire d’environ 2000 personnes. Alors que je regardais le public et que je parlais, je pouvais voir du soulagement sur de nombreux visages, et même des larmes couler des yeux d’hommes stoïques.

[Voir aussi :
Conférence – les mensonges du COVID
Dr Reiner Fuellmich et Ariane Bilheran sur le délire paranoïaque des élites mondialistes derrière la plandémie
Covid-19 : dérive totalitaire et psychopathologie collective
Crise Covid : comment sortir de l’hypnose négative ? – Du problème aux solutions
LE MEURTRE DE L’ESPRIT ou comment la peur mène à la psychose de masse
Alexandre Boisson, ex-policier du GSPR : Covid-19, manipulation des foules & résilience alimentaire
Comment la peur court-circuite le raisonnement
William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
Ariane Bilheran : « La crise sanitaire est un prétexte pour exercer une domination sur l’humanité »
Ariane Bilheran : « L’idéologie sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire »
Le moment paranoïaque (le déferlement totalitaire) face à la dialectique du maître et de l’esclave (arianebilheran.com)
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
« Covid 19, un virus et des hommes » : petit essai de psychopathologie apocalyptique
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mécanismes des régimes totalitaires
Psychose collective — Comment une population entière devient psychiquement malade
La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Comment on manipule pour avoir le consentement
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie
De l’eugénisme à l’hygiène sociale ou le contrôle mental comme moyen de gérer les masses
Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes
Soumission à l’autorité : l’obéissance n’est pas ce que Stanley Milgram croyait
Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés
Le cerveau électronique
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Covid-19 : La destruction systématique de la psyché humaine
Crise du covid : les scientifiques britanniques admettent avoir utilisé la peur pour aider leur gouvernement à contrôler la population]

À mon insu, quelqu’un a enregistré le discours et a ajouté la piste vocale à une série d’images apaisantes de paysages naturels, produisant une vidéo qui est devenue virale dans le monde entier. Un lien vers la vidéo, ainsi que quelques notes pour clarifier et compléter l’exposé sont annexés ci-dessous. Beaucoup m’ont dit qu’ils trouvaient cela très guérissant. J’espère que ça pourra t’aider aussi :

Un bref aperçu de Mass Formation, qui a été développé par le Dr Mattias Desmet. Il est psychologue et statisticien. Il est à l’Université de Gand en Belgique. Je pense que le Dr Mattias est au courant de ce qui se passe et il appelle ce phénomène : PSYCHOSE DE FORMATION DE MASSE

Ainsi, quand il parle de formation de « masse », vous pouvez considérer cela comme l’équivalent de la formation de « foule ». On peut penser à cela comme : PSYCHOSE DE LA FOULE

Les conditions pour mettre en place une psychose de formation de masse incluent le manque de connexion sociale et de création de sens ainsi que de grandes quantités d’anxiété latente et d’agressivité passive. Lorsque les gens sont inondés d’un récit qui présente un « objet d’anxiété » plausible et une stratégie pour y faire face, alors de nombreux individus se regroupent pour lutter contre l’objet avec une détermination collective. Cela permet aux gens de cesser de se concentrer sur leurs propres problèmes, évitant ainsi une angoisse mentale personnelle. Au lieu de cela, ils concentrent toute leur pensée et leur énergie sur ce nouvel objet.

Au fur et à mesure que la formation de masse progresse, le groupe devient de plus en plus lié et connecté. Leur champ d’attention se rétrécit et ils deviennent incapables d’envisager des points de vue alternatifs. Les dirigeants du mouvement sont vénérés, car on les considère incapables de faire des erreurs.

Sans relâche, une société sous le charme de la formation de masse soutiendra une structure de gouvernance totalitaire capable d’atrocités autrement impensables afin de maintenir la conformité . Une note : la formation de masse est différente de la pensée de groupe. Il existe des moyens simples de corriger la pensée de groupe en faisant simplement appel à des voix dissidentes et en vous assurant de leur donner des plates-formes. Ce n’est pas si facile avec la formation de masse. Même lorsque le récit s’effondre, des fissures dans la stratégie ne résolvent clairement pas le problème, la foule hypnotisée ne peut pas se libérer du récit. C’est ce qui semble se produire actuellement dans le monde avec COVID-19 [et en France avec Zemmour]. La solution pour ceux qui contrôlent le récit est de produire des mensonges de plus en plus gros pour étayer la solution. Ceux qui sont contrôlés par la formation de masse ne sont plus capables d’utiliser la raison pour se libérer du récit de groupe.

Bien sûr, l’exemple évident de formation de masse est l’Allemagne dans les années 30 et 40. Comment le peuple allemand, très instruit, très libéral au sens classique du terme ; les gens à l’avant-garde de la pensée l’occidentale… comment ont-ils pu devenir si fous et faire ce qu’ils ont fait?  

Comment cela pourrait-il arriver à un peuple civilisé ?

Le leader d’un mouvement de formation de masse utilisera sa plate-forme pour continuer à fournir au groupe de nouvelles informations sur lesquelles ses fans vont se concentrer [comme Moïse Yehouda Z]. Les dirigeants, à travers les principaux médias et les canaux à leur disposition, alimentent en permanence la « bête » avec plus de messages qui focalisent et hypnotisent davantage leurs adhérents.

Des études suggèrent que la formation de masse suit une distribution générale :

  • 30% sont soumis à un lavage de cerveau, et sont hypnotisés et endoctrinés par le récit de groupe
  • 40 % au milieu sont perméables au récit et peuvent suivre si aucune alternative valable n’est perçue
  • 30% luttent contre le récit.

Ceux qui se rebellent et se battent contre le récit, deviennent l’ennemi de ceux dont le cerveau a été lavé et deviennent la cible principale de ces derniers pour des agressions [à l’image des singes[1]].

L’un des meilleurs moyens de contrer la formation de masse est que ceux qui s’opposent au récit continuent de s’y opposer, ce qui sert à briser l’hypnose de certains membres du groupe ayant subi un lavage de cerveau et à persuader le milieu perméable de choisir la raison plutôt que l’inconscience.

Le Dr Desmet suggère que pour quelque chose d’aussi gros que COVID-19, le seul moyen de briser la psychose de formation de masse est de donner à la foule quelque chose de plus grand sur lequel se concentrer. Il pense que le totalitarisme est peut-être ce plus gros problème. Bien sûr, après COVID-19, le totalitarisme mondial peut être le plus gros problème de notre temps.

Source :  https://www.thetruthseeker.co.uk/?p=247495


Transcription courte de la vidéo (https://crowdbunker.com/v/aIJpNp94uV) du Dr Mattias Desmet

Si vous avez ces 4 éléments :  

  • le manque de liens sociaux, [Ndlr : ce qui est favorisé par les « Réseaux Sociaux » qui ne remplacent pas les contacts réels.]
  • le manque de sens dans la vie [Ndlr : les religions et la spiritualité apportent un sens à la vie, mais l’individu qui s’en est éloigné devient vide, déconnecté de son âme. Voir aussi Le secret de l’exil juif et le dévoilement du messie],
  • une « anxiété flottante »
  • et un mécontentement psychologique [de type] « anxiété flottante »,

alors la société est à haut risque en ce qui concerne la naissance d’un phénomène de masse [auquel il faut ajouter un média de diffusion de masse pour parvenir à ses fins].

[Ndlr : L’anxiété flottante désigne un trouble mental dans lequel l’attaque d’anxiété ou de panique est générée sans une situation ou un objet spécifique qui le déclenche (c’est-à-dire une anxiété sans cause discernable. L’individu n’arrive pas à trouver d’où peut venir son anxiété). Le trouble d’anxiété généralisée, ou DAG, est le terme médical utilisé pour désigner l’anxiété flottante.]

Et ces 4 conditions étaient présentes peu avant la crise du corona. Il y avait comme une épidémie de burnouts. Il y avait entre 40% à 70% des gens qui considéraient leur travail comme n’ayant aucun sens comme cela est décrit dans le livre « Bullshit Jobs » de David Graeber. Et aussi lorsqu’on regarde la consommation des produits psychotropes. C’était énorme et cela montre à quel point le mécontentement était présent dans notre société.
Par exemple en Belgique qui représente environ 11 millions de personnes, il est consommé jusqu’à 300 millions de doses d’anti-dépresseurs par année. C’est énorme.

On voit que ces 4 conditions étaient réunies, le manque de sens, de liens sociaux, anxiété et mécontentement « librement suspendus dans l’air ».

Vous devez savoir que l’anxiété « flottante » est le phénomène psychologique le plus douloureux qu’une personne puisse expérimenter. Cela mène à des attaques de panique et à des expériences psychologiques de toutes sortes très douloureuses.

Et donc, ce que les gens veulent dans ce cas-là, est de connecter cette anxiété à quelque chose. Ils cherchent une explication à leur anxiété. Si cette anxiété « flottante » est hautement présente au sein de la population, et si les médias fournissent un narratif qui pointe vers un objet d’anxiété, et, en même temps, fournissent une stratégie qui permette de gérer cet objet d’anxiété, alors toute l’anxiété se connecte à cet objet et les gens acceptent de suivre la stratégie pour gérer cet objet peu importe le coût, les conséquences. C’est ce qui se produit au début d’une formation de masse.

Ensuite, lors de la 2e étape, les gens démarrent une bataille collective et héroïque contre cet objet d’anxiété. De cette manière, un nouveau type de lien social et un nouveau sens de la vie émergent.
Soudainement, la vie est dirigée vers cette bataille contre l’objet d’anxiété et, de ce fait, il y a établissement d’une nouvelle connexion avec d’autres gens. Et le basculement soudain d’un état négatif, d’un manque radical de connexion sociale, vers l’opposé, vers une connexion sociale massive qui est expérimenté au sein d’une foule, ce « switch » soudain mène vers une sorte d’intoxication mentale et c’est ce qui fait que la formation de masse ou la formation de foule est l’exact équivalent de l’hypnose [« switch » qui fait oublier le manque de sens, l’anomie & l’angoisse, et qui donne en même temps une réponse concrète au mécontentement, est le caractère presque magique du switch].

Donc, toutes les personnes qui ont étudié ce phénomène de formation de masse, comme Gustave Lebon, McDougal, Canetti, ont remarqué que la formation de masse n’était pas similaire à l’hypnose mais était son exact équivalent. La formation de masse est un genre d’hypnose.

Donc, ce qu’il se passe à ce moment où les gens expérimentent cette intoxication mentale est que le fait que le narratif soit incorrect, même de manière flagrante, n’a plus d’importance. Ce qui compte est qu’il mène vers cette intoxication mentale.
Et c’est pourquoi ils continuent à suivre le narratif malgré le fait qu’ils pourraient se rendre compte de son absurdité en y réfléchissant brièvement. C’est le mécanisme central de la formation de masse et c’est ce qui le rend si difficile à contrer.

Parce que, pour les gens, ça n’a pas d’importance que le narratif soit erroné. Et ce que nous essayons de faire constamment est de montrer que le narratif est absurde mais, pour les gens, ce n’est pas ce qui compte. Ce qui compte est qu’ils ne veulent pas revenir à cet état précédent douloureux d’anxiété « flottante ».

Ce dont nous devons nous rendre compte, si nous voulons changer la donne, est que la première chose que nous devons faire est de reconnaître cette anxiété douloureuse, de réfléchir à ce qui nous a mené à cet état de  manque de sens de la vie, de manque de liens sociaux, d’anxiété et de massif mécontentement « flottant » [Ndlr : sans cause discernable ou reconnue par l’individu qui la subit], et d’essayer de dire aux gens que nous n’avons pas besoin d’une crise corona pour établir de nouveaux liens sociaux entre-nous. Nous devons trouver d’autres manières qui puissent nous permettre de gérer tous ces problèmes psychologiques qui existaient avant la crise et essayer de trouver d’autres solutions.

Nous n’avons pas besoin de ce type de phénomène massif pour résoudre le problème. La formation de masse est, en fait, une solution symptomatique à un problème psychologique réel.
Et, selon moi, cette crise est avant tout une large crise sociétale et psychologique, bien plus qu’une crise biologique par exemple, ou sanitaire.

Et donc, à partir de cet état d’intoxication mentale, vous pouvez expliquer tous les autres phénomènes liés au totalitarisme. L’intoxication mentale mène à un rétrécissement du champ de l’attention, elle fait en sorte que les gens ne font que ce qui est indiqué par le narratif.

Par exemple, les gens voient les victimes du coronavirus mais semblent incapables de voir, à un niveau corrélatif, les dommages collatéraux sociaux et leurs victimes. Ils sont également incapables, au niveau émotionnel, de ressentir de l’empathie pour les victimes sociales indirectes de la crise sanitaire et y compris davantage touchées directement par le virus d’ailleurs [ces victimes son invisibilisées car hors cadre du narratif].

Ce n’est pas par égoïsme, c’est un des effets de ce phénomène psychologique. Et, en fait, la formation de masse n’entraine pas du tout d’égoïsme, bien au contraire. La formation de masse focalise tellement fort l’attention sur un point unique que vous pouvez prendre tout aux gens, leur bien-être physique, matériel et psychologique, ils ne le remarqueront même pas. Et c’est l’une des conséquences majeures de la formation de masse.

Et c’est exactement la même chose qu’avec l’hypnose classique. Lorsque, durant l’hypnose, l’attention de quelqu’un est focalisée sur un point particulier, vous pouvez lui couper dans la chair à vif sans que la personne ne le remarque. C’est ce qui se passe lorsque l’hypnose est utilisée comme type d’anesthésie durant une opération chirurgicale. Une simple procédure d’hypnose est suffisante pour rendre les gens complètement insensibles à la douleur.

Cela démontre que la focalisation de l’attention est tellement forte, que ce soit en formation de masse ou en hypnose, que les personnes sont complètement insensibles à toutes les pertes qu’ils subissent en conséquence.

Une autre conséquence qui est typique des états totalitaires est que les gens deviennent radicalement intolérants à toute voix dissonante. Si quelqu’un raconte une autre histoire ou bien si quelqu’un dit que cette histoire officielle est fausse, alors cette personne menace de réveiller les gens et ils se mettront en colère parce qu’ils seront confrontés avec l’anxiété et le mécontentement psychologique initiaux et donc ils vont diriger toute leur agressivité contre toute voix dissonante. Et, en même temps, ils sont radicalement tolérants par rapport à leurs leaders, les gens qui représentent la voix du narratif mainstream.

Ils [les leaders] peuvent tricher, mentir, manipuler, et faire tout ce qu’ils veulent, ils seront toujours pardonnés par la foule, parce que la foule semble penser qu’ils le font pour leur bien. Cela fait également partie des mécanismes de la formation de masse.

[Je me suis arrêté à 13:40 environ]

NOTES de H. Genséric

[1] Théorème du singe

Le conditionnement mental est le processus menant le cerveau à adopter certains modèles de pensée, tendances ou état mental. Le conditionnement mental peut être d’origines diverses : les mass-média, la société, les pairs, la famille, la religion ou le système éducatif. Le conditionnement mental peut être illustré par le fameux «Théorème du singe » qui se rapporte à une expérience faite à l’Université de San Diego (USA).

Plus d’infos »

VOIR AUSSI :




L’appel solennel du « Collectif des maires résistants »

[Source : FranceSoir]

[Illustration tirée de :
Les maires Fabrice Marchand et Thierry Renaux, sur le plateau du « Défi de la véritéF.
Froger / D6, pour FranceSoir / AFP]

Auteur(s): FranceSoir

« L’heure est grave », lance le « Collectif des maires résistants » en introduction d’un appel solennel qu’ils lancent aux Français. [texte intégral ci-après]

Fabrice Marchand et Thierry Renaux sont tous deux maires de petites communes rurales dans les Ardennes. Ils étaient venus nous présenter leur collectif il y a un mois et demi. 

Voir aussi : « On ne croit plus dans les partis », les maires se rebellent et soutiennent un parti du peuple

Aujourd’hui, le projet gouvernemental de pass vaccinal les conduit à passer la vitesse supérieure. Leur constat d’une démocratie confisquée, et même « trahie », d’un pays dans lequel Emmanuel Macron instaure un « pouvoir absolu », avec le concours d’une partie des médias qui alimentent une « vérité sous influence », les conduit à appeler leurs concitoyens à « redevenir les maîtres de leur destin, les capitaines de leurs âmes ».

Quels sont leurs constats ? Leurs revendications ? La traduction concrète de cet appel ? Leurs projets pour peser dans la vie publique, alors que s’ouvre la campagne présidentielle ?

Les deux maires ont relevé « le Défi de la vérité » :



L’appel du Collectif des maires résistants :

Nous, le Collectif Des Maires Résistants, forts du soutien de nos concitoyens, nous adressons aux Français et aux Françaises, car l’heure est grave.

En effet, le projet de loi déposé par Jean Castex le 27 décembre 2021 est l’acte de trop d’une série de décisions iniques au cours des 18 derniers mois, entraînant la confiscation des libertés fondamentales des Français, sur la base d’une information déloyale.

Par ailleurs ce projet de loi est sciemment déposé dans l’urgence au moment des fêtes.

Il comporte des obligations et privations de liberté inacceptables dans une démocratie.

En effet, ce projet viole les principes les plus fondamentaux de droit, tels que l’égalité des citoyens et le respect de la dignité humaine pourtant protégés par notre droit et de très nombreuses conventions internationales.

LES FAITS

En détail, voici le constat que nous établissons.

Le 17 mars 2020, Emmanuel Macron a déclaré qu’il était en guerre et que rien ne serait plus jamais comme avant. Quoi qu’il en coûte

Depuis cette date, la démocratie a été confisquée aux Français au motif d’une urgence sanitaire établie et maintenue avec des données mensongères et trompeuses.

En 18 mois, Emmanuel Macron et ses gouvernements ont réussi à tout anéantir, ils ont bafoué les institutions démocratiques de France, ils ont renié les conventions internationales signées par la France, notamment en matière de droit à librement disposer de son corps.

Le 12 juillet dernier, Emmanuel Macron a définitivement déchiré le contrat sociétal en instaurant la discrimination comme principe de gouvernance, en faisant ressurgir les démons des pires heures de notre Histoire, divisant les Français, les dressant les uns contre les autres. Selon que vous êtes vaccinés ou non, vous n’aurez plus les mêmes droits.

Le 15 octobre dernier, les députés ont trahi le peuple de France en prolongeant la loi d’urgence jusqu’en juillet 2022, refusant délibérément tout débat scientifique et arguments objectifs et indépendants pour lui préférer l’information biaisée et parcellaire communiquées par le gouvernement qui ressemble désormais à une croyance plus qu’à de la science. En ignorant les scientifiques indépendants et objectifs qui prônent les traitements précoces, la représentation nationale a contribué à priver de soins de nombreux Français, entraînant de nombreux décès.

Au cours des derniers mois, le Conseil d’Etat a gravement failli à sa mission et n’a servi que de chambre d’enregistrement des décisions du gouvernement, refusant délibérément de relever les nombreux mensonges et contradictions des mémoires du gouvernement, mises en évidence par les nombreuses procédures initiées par des collectifs de citoyens.

Le Conseil constitutionnel, empêtré dans les conflits d’intérêts de son président, dont le fils travaille pour Emmanuel Macron au sein d’un cabinet de conseil américain, a lui aussi détourné l’esprit et la lettre de sa mission, trahissant ainsi les Françaises et les Français.

Jamais dans l’histoire de notre pays, un dirigeant n’a, comme Emmanuel Macron, voulu imposer le pouvoir absolu, sans contrôle indépendant des institutions parlementaires et judiciaires, qui sont devenues de facto inexistantes car capturées et sous influence.

Or, l’article 16 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 rappelle que « Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution ».

 A l’évidence, les Maires de France SONT le dernier rempart de notre démocratie.

LA VERITÉ NE DOIT PLUS ÊTRE SOUS INFLUENCE

Le seul enjeu aujourd’hui est de retrouver nos droit et libertés et notamment :

  • La liberté de conscience qui est le droit accordé à chaque citoyen de conduire son existence selon les valeurs, les principes, les opinions, les religions et les croyances de son choix
  • Le droit à l’autonomie personnelle qui s’exprime particulièrement dans le droit de l’individu à disposer de son corps et au respect de la dignité humaine en toutes circonstances.

Cette liberté nous a été soustraite par une poignée de médecins, de scientifiques et de haut-fonctionnaires, dont chaque jour nous dévoile l’absurdité de leurs décisions prises sur la base d’études frauduleuses et guidées par de nombreux conflits d’intérêts.

La science a été instrumentalisée comme une croyance par un petit groupe d’individus, qui se sont octroyé le privilège du savoir scientifique et se sont érigés en tribunal de l’obscurantisme.

Avec la collaboration des médias, ils ont distillé méthodiquement, jour après jour, sur tous les plateaux télé sans contradiction, des informations fausses, soutenues par les journalistes qui manquent ainsi à l’article 1er de la charte de Munich.

Nous savons aujourd’hui que :

  • Ils ont biaisé des informations, qu’ils se sont arrangés avec la vérité de manière à manipuler les Français, en jouant sur l’émotionnel, comme l’instrumentalisation de la peur, diminuant l’esprit critique et refusant tout questionnement de bon sens, pour extorquer le consentement et inciter sous contrainte à l’injection d’un traitement expérimental, faussement appelé vaccin.
  • Contrairement à ce qu’ils ont affirmé, le vaccin ne protège ni de la contamination, ni de la contagion.
  • Contrairement à ce qu’ils ont affirmé, l’immunité naturelle est plus efficace que l’immunité vaccinale.
  • Contrairement à ce qu’ils ont affirmé, les vaccins à ARN messager ont de nombreux effets indésirables, dont certains sont graves, dans des proportions jamais connues dans l’histoire des vaccins.
  • Deux doses ne suffisent pas à maintenir l’immunité et que ceux qui se sont fait vacciner ont souscrit à un abonnement vaccinal : trois doses, puis quatre doses, puis cinq doses.
  • Le rapport bénéfice / risque de l’injection pour les enfants est en leur défaveur.
  • La vaccination de masse en période de pandémie est une hérésie scientifique car elle favorise la mutation de variants résistants à la vaccination.
  • Des traitements précoces existent et fonctionnent, entrainant la nullité des autorisations temporaires pour ces pseudo-vaccins.
  • Le bon sens au service de l’intérêt général est de laisser les médecins prescrire, et de faire confiance à nos soignants.

NOTRE APPEL

En conséquence, nous appelons solennellement toutes les Françaises et tous les Français à redevenir « les maîtres de leur destin, les capitaines de leurs âmes » en soutenant le mouvement du Collectif des maires Résistants, qui n’a pour seul et unique objectif que de restaurer la démocratie et l’Etat de droit pour le bien commun.

Pour cela, nous invitons tous les mouvements engagés pour le respect des libertés fondamentales, qui souhaitent mettre un terme définitif au simulacre de démocratie mis en scène par Emmanuel Macron, ses acolytes et commanditaires, à rejoindre le CDMR dans une démarche apolitique et non partisane

Nous appelons solennellement toutes les Françaises et tous les Français à prendre contact avec chaque maire, chaque élu, local ou régional, pour les inciter à défendre la démocratie et à rejoindre le mouvement.

Nous appelons solennellement toutes les Françaises et tous les Français à prendre contact avec chaque membre de la représentation nationale, députés ou sénateurs, pour les mettre face à leur responsabilité dans l’hypothèse où ils s’essaieraient à voter une loi substituant un régime d’exception non démocratique puisque sans séparation véritable des pouvoirs, à l’Etat de droit pour imposer de facto la vaccination obligatoire.

Nous appelons solennellement toutes les Françaises et tous les Français à rappeler à ces élus qu’il est de leur devoir de voter, après s’être assurés d’avoir pris connaissance de toute information disponible. En faillissant à cette obligatoire morale et à ce devoir, tout élu qui contribuerait à mettre en danger la vie d’autrui par les effets indésirables causés par l’injection d’un produit toujours en phase expérimentale, s’exposerait à des poursuites judiciaires en vertu des lois nationales et des traités internationaux auxquels la France est assujettie, notamment en matière de santé des populations. Le Collectif des maires Résistants veillera à ce que la responsabilité individuelle des élus soit engagée.

Nous appelons solennellement toutes les Françaises et tous les Français à se rapprocher de leurs médecins et à les encourager à s’informer pleinement sur les alternatives thérapeutiques de traitements précoces prouvés scientifiquement et observés sur le terrain dans de nombreux pays. De nombreux médecins prescrivent ces traitements avec succès, parfois hors AMM, dans le plus grand respect de leur serment d’Hippocrate et droit d’ordonnance.

Fort du soutien des Françaises et des Français, dans un premier temps, nous saisirons les diverses instances nationales (Assemblée nationale, Sénat, Conseil d’Etat, Conseil constitutionnel) internationales, avec le soutien d’associations de citoyens et d’avocats pour faire à nouveau respecter les libertés fondamentales.

Nous demanderons à être auditionnés avec nos experts scientifiques et juridiques dans le cadre de l’évaluation du projet de loi inique déposé par Jean Castex.

A l’instar des plus éminents scientifiques dans le monde, nous demandons un moratoire sur la vaccination obligatoire, afin d’évaluer objectivement et indépendamment les choix de politique sanitaire du gouvernement.

Nous sommes la France, celle que nous construisons chaque jour avec courage et par amour pour nous enfants, comme les cathédrales en commençant par les fondations.  

Le Collectif Des Maires Résistants de France et chacun d’entre nous sommes les fondations de notre Etat démocratique et nous veillerons, avec une détermination sans faille, à ce que celui-ci ne soit plus jamais confisqué !

Le Collectif Des Maires Résistants.

Auteur(s): FranceSoir




Comment le système nous a rendus si mous

[Source : bvoltaire.fr]

Par Nicolas Bonnal

Il faut subjuguer l’ennemi sans lui livrer bataille.

Sun Tzu, 3 [L’art de la guerre]

PrisonPlanet montre que quand un flic noir tue une petite fille noire, personne ne réagit là-bas. On ne réagit que contre les flics blancs ; Fdesouche montre qu’un policier blanc s’est laissé désarmer et massacrer par un truand black parce qu’il avait peur de passer pour raciste. Enfin Merkel, sans enfants mais adorée par ses retraités, devenue plus molle que jamais, décide de faire entrer 800.000 colibris chassés de leurs terres par ses maîtres américains et de les imposer aux Européens assoupis.

Le tout comme à la parade.

La nonchalance avec laquelle nous nous laissons effacer par le Nouvel ordre mondial est fascinante. Mais ce n’est pas la première fois qu’une population se laisse anéantir sans réagir.

Dans mon inutile Lettre ouverte à la vieille race blanche, j’avais rappelé ce chef-d’œuvre de La Boétie, écrit à seize ans, sur la servitude volontaire : « Une population nourrie sous la tyrannie devient lâche et efféminée », disait sans ciller ce jeune homme épris de république virile.

L’abandon de l’étalon-or (sic), la désindustrialisation aussi nous auront dévirilisés, désoutillés. La société de service est une société de l’esclave cosmopolite, du servus, castrat serviable et gentiment soumis.

Que s’est-il passé d’autre ?

  • L’engraissement de notre population, notre vieillissement aussi, redoutés par Rousseau et par Sauvy.
  • La montée continue de la consommation via la dette – et du parasitisme collectif.
  • La propagande humanitaire et ses idées chrétiennes devenues folles : s’il y a un milliard de pauvres hères sur la Terre, alors ils doivent venir vivre à nos crochets.
  • La désinformation absolue reposant sur le pilier télé et sur notre paresse. Bernays disait que la première page du New York Times est en soi un outil de propagande ; car il n’y a pas d’information, il n’y a que de la propagande.
  • Les années Internet et smartphone ont accéléré un processus entropique de déshumanisation. La « Jeune Fille » au pif déjà refait et posé sur son téléphone, au short serré sur des fesses bien rembourrées, devient le paradigme globalisé de l’individu isolé et contrôlable, hébété et stérile.
  • Enfin, le retournement des élites et la trahison des femmes et hommes politiques vendus pour un plat de lentilles. On ne les a jamais beaucoup estimés depuis notre de Gaulle ou le chancelier Adenauer, mais ils ne nous offrent même plus le minimum syndical pour lequel on les avait payés. C’est qu’ils gagnent mieux ailleurs, avant ou après leur mandat. On ne les nommera pas ; ils sont tous au service de l’OTAN et de ses guerres, de Goldman Sachs et de sa stratégie de liquidation du vieil Occident, des tenanciers de la théorie du chaos qui croient qu’en détruisant tout au passage ils produiront un processus créateur : mais nous les réélisons puisqu’ils passent pour de grands responsables !

Nietzsche s’est trompé : ce qui ne nous tue pas nous rend plus mous.




Un journaliste brise l’omerta sur la mafia d’État en France

[Source : BLAST, Le souffle de l’info]




Meurtre par injection

[Source : kontrekulture.com]

« Le présent ouvrage, fruit d’une quarantaine d’années de recherches et d’investigation, est une suite logique de mes ouvrages précédents : l’exposition du contrôle international de l’émission monétaire et des pratiques bancaires aux États-Unis ; un travail ultérieur révélant le réseau secret d’organisations à travers lesquelles ces forces étrangères exercent un pouvoir politique ; les comités secrets, les fondations et les partis politiques à travers lesquels leurs plans cachés sont mis en œuvre ; et maintenant, à la question la plus vitale de toutes, la manière dont ces déprédations affectent la vie quotidienne et la santé des citoyens américains. »

Eustace Mullins

Ainsi débute Meurtre par injection : histoire de la conspiration mondiale contre la santé, où l’auteur décrit, preuves à l’appui, la prise de contrôle par un groupe privé aux mains des Rockefeller de toute l’organisation de la santé aux États-Unis, depuis les facultés de médecine jusqu’aux organismes dits caritatifs, en passant par l’industrie pharmaceutique et les assurances médicales. Mais il y a pire dans ce qu’a découvert l’auteur : cette mainmise a été permise grâce à la complaisance, voire la complicité d’agents fédéraux censés œuvrer pour le bien commun et non pour les intérêts d’une petite élite financière aux visées messianiques et impérialistes.

Eustace Mullins (1923-2010) est un essayiste américain et activiste politique. Il travailla comme chercheur à la bibliothèque du Congrès, puis comme rédacteur dans plusieurs revues et journaux tout en se consacrant à l’étude de thèmes majeurs, comme la banque, l’ordre mondial ou l’histoire de la bombe atomique. Ami du poète Ezra Pound, c’est sous son impulsion qu’il s’attaqua à son premier ouvrage dénonçant la puissance d’intérêts privés dans la sphère publique, Les Secrets de la Réserve fédérale.

https://youtu.be/kIu-4kGunfw

[Source : profidecatholica.com]

Ce remarquable ouvrage nous interpelle sur les réalités cachées d’une santé américaine en déclin.

Il faut comprendre que le système de santé américain est entre les mains des Rockefeller depuis plus d’un siècle, ayant réussi, à la manière de la mafia, à créer un monopole médical en infiltrant toutes les organisations fonctionnelles de la pharmacologie.

Tout d’abord, l’AMA (American Medical Association) est dirigée par deux sbires des Rockefeller, à savoir Simmons et Fishbein.

Rockefeller finance le New York Cancer Hospitalqui devient l’ASFCC (American Society For the Control of Cancer). Notez bien le mot « Control » ! Tous les membres du conseil d’administration de l’ASFCC sont liés de près ou de loin à Rockefeller.

Eustace Mullins nous informe du danger des vaccins à ARN qui sont de véritables bombes à retardement et des campagnes mensongères contre la polio. De fait, l’auteur nous fait entrer dans l’ignominie des hommes du pouvoir, et expose le scandale du fluor ou fluorure de sodium, issu de la fabrication de l’aluminium.

Ces pages nous apprennent également que la famille Rockefeller, William, le père de David, a vendu des bouteilles de pétrole Rock Oil ou Seneca Oil à prix d’or pour soi-disant lutter contre le cancer. David Rockefeller a toujours promu la révolution communiste (c’est lui qui versera personnellement quelques milliers de dollars à Léon Bronstein Trosky avant son départ en Russie… Rockefeller est un fervent soutien au système communiste, car c’est le monopole ultime de toutes les organisations qui gèrent un pays : le contrôle des écoles et particulièrement de médecine, l’énergie, la santé, l’argent avec le détournement astucieux de l’argent public qui octroie celui-ci à des consultants parasites, les fondations dont les dons ne servent jamais le bien commun.

Enfin, ce livre est bourré de révélations portant sur les liens de la CIA, du trafic de drogue et de Big Pharma, sur les tests vaccinaux et médicamenteux effectués sur les soldats et dans les prisons. Il est à rappeler que les médecins de l’Allemagne national-socialiste jugés au procès de Nuremberg ont affirmé avoir copié sur les médecins américains qui ont pratiqué dès 1915 des expérimentations sur des prisonniers sans leur consentement ! Et, dans ce schéma mentionnons Louis Pasteur aussi, qui selon le Dr Ancelet, dans Pour en finir avec Pasteur, l’accuse d’expérimentations dans les prisons du Brésil.


Extrait de la préface d’une autre édition

Eustace Clarence était d’origine française, et à travers les générations et l’anglicanisme, son nom de famille dérivait de “Moulins”. Son aïeul était venu aux Amériques à bord du May Flower; donc embarqué de l’Angleterre, qu’il avait rejointe après avoir quitté la France. Le terme “May Flower” réfère à la poignée de familles anglaises qui ont bâti la colonie “New England” autour de Boston qui deviendra le fleuron de l’industrie et de l’économie nord-américaine. En 2002 j’avais entamé la traduction du premier livre de Mullins, “Les Secrets De La Réserve Federale”, qu’il avait écrit fin des années quarante, sous la direction d’Ezra Pound; le seul livre jamais brûlé en Allemagne sous ordres du Juge Katz.

Le projet n’aboutira jamais, car suite à une maladie terrible qui l’emmènera en 2010, Eustace avait légué tous ses droits et finances aux membres de sa famille.

En 2003, sa maladie fut contractée ironiquement alors qu’il visitait le fameux hôtel du Jekyl Island, ou il écrivait une suite à son tout premier livre. Ironiquement encore l’Hotel l’avait forcé à prendre la Suite John Pierpont Morgan, ou une bouteille d’eau ouverte était posée. Et le sort fut qu’il tomba gravement malade après en avoir bu un verre.

Clarence ne sera plus jamais le même physiquement après cet épisode. J’avais l’habitude de le visiter chez lui et on pouvait voir le terrible coup qu’il lui était assené. Incapable de se déplacer librement il ne dépendait que de ses amis pour la moindre nécessité. J’avais entendu parler de Mullins en tant que jeune ingénieur pétrolier. Je revoyais les archives des publications de l’API (American Petroleum Institute) ou pendant quelques années Clarence écrivait comme éditorialiste. Il dut quitter cette fonction comme toutes celles qu’il avait depuis 1948, année où il avait commencé à travailler sous Ezra Pound, emprisonné sans jugement. À chaque fois, le FBI avait la manie de venir voir le directeur et d’ordonner que Mullins soit limogé sur le champ.

Il ne put jamais conserver une profession quelconque et s’était même résigne à vivre du commerce des marchés aux puces.

Ironiquement encore, son premier boulot fut à la Library Of Congress où il occupait le bureau d’Edgar Hoover qui y était avant de devenir le chef du FBI. Accusé par ce même Edgar Hoover d’être l’ennemi public numéro un; pendant les années cinquante, il fut presque jeté en prison pour atteinte à la sûreté de l’État.

La seule chose qui l’avait sauvé était le fait qu’il connaissait la mère de Hoover, une sainte femme. Encore de l’ironie.

Au côté du jeune Robert Kennedy, il fut le bras droit de Joe McCarthy, assassiné dans la même chambre ou James Forrestal, ministre de la Défense de Truman, fut défenestré. Le point commun était qu’ils s’opposaient tous deux quoiqu’à une décade d’intervalle, au même ennemi, en l’occurrence les propriétaires d’Israël.

Ce qui n’est pas de l’ironie c’est que Joe McCarthy ouvrit les yeux sur la menace communiste seulement à la lecture du rapport de 50 pages de Mullins. Il fut stupéfié de découvrir que le Communisme n’avait rien à voir avec la Russie ou la classe ouvrière. Il fut convoqué et menacé par Bernard Baruch de taire toute l’histoire et de virer Mullins.

Le rapport de Mullins sur le Krash boursier de 1929 est unique au monde. Aucune université ou école de Business ne le présente. Tout comme ses révélations sur le monopole médicamenteux contrôlé par les banques internationales. En pleine folie du Covid-19 qui n’a de logique que l’intérêt vénal, son ouvrage prend tout son sens.

Ce qu’il fait savoir pour la compréhension du livre est que bon nombre de biologistes et médecins ont tout simplement révélé que le niveau technique de cet ouvrage est très élevé. Même le Docteur en Biologie, William Deagle a reconnu qu’il faut s’accrocher pour comprendre, assimiler et digérer toutes les technicités et informations rapportées par Mullins. Il a également décrit à merveille dans ses différents articles les découvertes sur le Cancer établi dès les années trente par le Professeur Otto Warburg, ou il suffit seulement d’avoir un métabolisme neutre [Voir Épidémies et contagions], milieu où les cellules cancéreuses ne peuvent pas subsister. Mullins avait un Quotien Intellectuel très élevé (rapport militaire fait durant la 2iem GM) et il s’était spécialisé très jeune dans le “speed reading”, une technique de lecture en diagonale qui permet en même temps de mémoriser le texte par coeur selon un procédé de mémoire photographique.

(…)

Aladin Belarbi


[Note de Joseph Stroberg : l’industrie pharmaceutique apparaît comme un sous-produit de la pétrochimie, développée en partie par Rockefeller pour écouler des produits chimiques dérivés du pétrole. Sous l’influence de l’empire Rockefeller et des États-Unis dans le monde occidental, les théories médicales alternatives à celle des infections microbiennes et virales comme cause de la plupart des maladies ont été étouffées et la théorie virale est devenue indiscutable, donc ne relève pas de science, mais de scientisme, puisque le propre de la science est le doute permanent et la remise en question des théories à la lumière de nouvelles expériences et de nouvelles découvertes.]