Le modèle Kubler-Ross et la grande fatigue des résistants au passe sanitaire

Par Nicolas Bonnal

Il y a quelques mois le Saker a énervé bien des opposants au système et à la tyrannie vaccinale en se moquant cruellement d’eux, présumés complotistes et débiles : il semble d’ailleurs qu’il était sur cette affaire comme sur d’autres plus royaliste que le roi (à force de défendre un camp présumé du bien et un gouvernement…). Je n’ai aucune envie de polémiquer avec lui : s’il ignore ce que Reset, Schwab, Gates, Yellen, Leyen (anagramme), Green Deal et Black Rock veulent dire, c’est son affaire.

Par contre il évoquait le modèle Kubler-Ross. Et alors que nous voyons la résistance à son étiage, le passe imposé partout, on peut se poser la question : ce modèle tant critiqué par des psychiatres aux ordres est-il d’actualité ? Il semblerait que oui. Car après l’emballement de cet été on voit que nos résistants commencent à être fatigués ; je ne vais pas les nommer. Les manifs systématiques et brouillonnes agonisent. Lucien Cerise disait récemment dans une interview :

 « Il faut sortir du spontanéisme révolutionnaire, qui est une forme d’analphabétisme politique. Les manifestations ne servent strictement à rien si elles n’ont pas un débouché institutionnel, par la conquête du pouvoir, c’est-à-dire la conquête de la bureaucratie et de la technocratie administrative d’État… »

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[Voir aussi : Sortir de la crise]
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Or à multiplier des manifs chaque samedi, Philippot et les siens fatiguent le monde et donc renforcent un pouvoir qui a été patient. Philippot ne cesse de vanter son succès alors que les troupes se délitent (contrairement à une idée reçue il faut faire les révolutions l’été, pas à la rentrée, voyez 1789 ou 1830). Je ne sais pas si Philippot, que j’ai soutenu faute de grives, est une opposition contrôlée : je ne crois pas à cette notion galvaudée (Eric Zemmour, opposition contrôlée !!!), je constate qu’il est impossible de s’opposer à ce système mondialiste-tyrannique qui s’écroulera ou triomphera totalement.

Hier Avic écrivait justement (et courageusement) ici même [Sur Réseau International] à propos des événements de Melbourne :

« Nous sommes loin des gentilles petites manifestations à la française bien balisées, bien réglementées, infiltrées par un réseau dense de policiers chargés de surveiller les faits et gestes de chaque participant, de sorte que le moindre éternuement non autorisé est aussitôt étouffé et le coupable maitrisé sans ménagement et escorté vers le camion de police le plus proche par deux ou trois individus sortis de nulle part.

Des décennies de défilés derrière des leaders syndicaux, dont le rôle est précisément de calmer et canaliser les colères, a fini par enfermer les Français dans cette façon soumise de protester. D’où la volonté des médias de masse et du gouvernement de vouloir absolument doter le mouvement des Gilets Jaunes de chefs fabriqués de toutes pièces dans leurs officines de communication. »

Mais comme me le disait Lucien cette manif australienne n’a pas débouché sur grand-chose non plus. Le Nouvel Ordre Mondial a de beaux jours devant lui jusqu’à son écroulement énergétique total (voyez mon livre collectif sur grand reset et grand effondrement vendu aussi à prix coûtant) et surtout prochain. Le fascisme vert et le Green Deal vont accélérer le grand effondrement occidental qui veut encore en plus faire la guerre à tout le monde (Chine, Russie, Iran, en attendant le reste).

Pour être sincère j’ai vécu une jeunesse entourée de manifs autrement fortes que nos petites manifs estivales, festives et coloriées, organisées par la CGT ou le PCF ; elles n’ont pas servi à grand-chose non plus. Davos s’est imposé partout avec ses oligarques et son totalitarisme étatique.

Ce qui nous guette, c’est le recul et la résignation ; voyons notre modèle Kubler-Ross :

Les cinq étapes du modèle sont :

Déni (denial). Exemple : « Ce n’est pas possible, ils ont dû se tromper. »

Colère (anger). Exemple : « Pourquoi moi et pas un autre ? Ce n’est pas juste ! »

Marchandage (bargaining). Exemple : « Laissez-moi vivre pour voir mes enfants être diplômés, se marier… », « Je ferai ce que vous voudrez, faites-moi vivre quelques années de plus. »

Dépression (depression). Exemple : « Je suis si triste, pourquoi se préoccuper de quoi que ce soit ? », « Je vais mourir… Et alors ? », « Je vais bientôt mourir, alors à quoi tout cela sert-il ? »

Acceptation (acceptance). Exemple : « Maintenant, je suis prêt, j’attends mon dernier souffle avec sérénité. », « Ça va aller. », « Je ne peux pas le combattre; je fais aussi bien de me préparer. »

Ce modèle est bon selon moi à rappeler pour la résistance : il s’agit de comprendre les reculades des uns, la lassitude des autres. De cette manière, on peut préparer une contre-attaque. Mais pas mal de mes lecteurs (ceux qui travaillent) me disent que tout le monde est vacciné autour d’eux, et que les terrasses sont pleines, comme disait déjà Ortega Y Gasset dans son livre sur la rébellion des masses.

Car on n’est pas encore sortis de l’auberge.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mod%C3%A8le_de_K%C3%BCbler-Ross

https://www.zerohedge.com/economics/skyrocketing-energy-prices-could-cripple-europes-economy

https://www.dedefensa.org/article/ortega-y-gasset-et-la-montee-eschatologique-de-la-stupidite




Macron, Véran et consorts… ignorants ou comploteurs ? Une réponse claire en treize points essentiels

Par les Gilets Jaunes de la Victoire

Tous les citoyens conscients doivent se poser cette question à propos notamment des plus en vues des covidistes en France, Macron et Véran*.

Point 1, la quarantaine.

Depuis plusieurs siècles, on sait que la méthode la plus efficace pour stopper une épidémie est la quarantaine. Quarantaine, XII siècle, dérivé de quarante d’abord au sens de « espace de quarante jours » ; au XVII siècle, isolement de quarante jours des contaminés pour éviter la contagion des sujets sains. De nombreux pays dans le monde ont utilisé ce processus très simple avec un franc succès. Ils ont testé les malades (avec des tests fiables) et les ont immédiatement isolés de la population, cassant ainsi la chaîne de propagation du virus.

Commentaire : la quarantaine, même les ânes la connaissent.

Point 2, des tests sérologiques efficaces et sûrs.

Des tests sérologiques précis et rapides (30 min) existaient avant l’épidémie, ils furent utilisés depuis le début de la crise par plusieurs pays, au début en Asie, Japon, Corée du Sud, Hong-kong… puis en Europe, Luxembourg, Allemagne, Autriche… ils permirent de détecter rapidement les positifs et de les isoler pour éviter la contagion.
ASIE — ÉPIDÉMIE : Sortir du confinement par les tests sérologiques d’immunité au Covid 19

Commentaire : la France de Macron à la ramasse.

Point 3 : les frontières comme des passoires.

Le point de départ de l’épidémie a été très rapidement circonscrite à la région de Wuhan en Chine, c’était dans tous les médias, personne ne pouvait échapper à cette information, pourtant le gouvernement n’a pas hésité à faire rentrer pendant de nombreux jours tous les avions qui venaient de cette région et de Chine, avec eux les contaminés. Idem pour l’Italie, le premier foyer épidémique en Europe, qui s’était déclaré en Lombardie fut annoncé rapidement par les médias. Pourtant pendant plusieurs jours les autorités françaises n’ont pas cherché à freiner l’arrivée des personnes venant de ces régions. Elles ont même autorisé les supporters du PSG à aller voir un match de leur équipe favorite à Milan et bien sûr à revenir, certains avec le virus.

Commentaire : même les ânes auraient été plus prudents.

Point 4, les tests PCR imposés.

Article France Soir : La grande supercherie des tests PCR, 90 % des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux.

Les tests PCR n’isolent pas et ne détectent pas le covid-19 comme tel, ils montrent simplement que les testés ont toute une série de virus et de bactéries dans leur corps, ceux-ci n’ont peut-être aucun rapport avec le covid-19. Cependant, quand l’individu est déclaré positif (après un délai), il est déclaré systématiquement positif au covid-19 ce qui fausse et amplifie les cas.

Confirmé par plusieurs articles publiés par divers médias comme Paris-Match,
https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Covid-19-les-tests-PCR-contestes-1713289 ou Businesstravel.fr, 
https://www.businesstravel.fr/les-tests-pcr-actuels-sont-peu-fiables-pour-detecter-une-infection-virale.html

Commentaire : malgré que les premières informations sur ce sujet furent publiées dès septembre/octobre 2020 le gouvernement a continué sans vergogne à les mettre en avant, curieux, non !

Point 5, un conseil scientifique créé par Macron avec plusieurs membres ayant des liens rémunérés avec l’industrie pharmaceutique

Un Conseil Scientifique dont plusieurs membres ont des liens avec des entreprises pharmaceutiques. Cette collusion a été dénoncée par le Pr Raoul lors de son audition par le Parlement, le 24 juin 2020. Malgré cette dénonciation faite il y a plusieurs mois déjà aux yeux de tous, ce Conseil Scientifique continue toujours de fonctionner en l’état comme si de rien n’était, en donnant son avis au gouvernement qui le suit.

Article de France Soir : Top 13 du classement des revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique
ou de La Croix : Crise sanitaire : le retour des accusations de conflit d’intérêt

Conflit d’intérêt strictement interdit par la loi.(([1] Les documents officiels français : Légifrance

LOI n° 2013-907 du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique (1)
Chapitre Ier : La prévention des conflits d’intérêts et la transparence dans la vie publique (Articles 1 à 24)
Article 1
Modifié par LOI n°2016-1691 du 9 décembre 2016 — art. 29 (V)

Les membres du Gouvernement, les personnes titulaires d’un mandat électif local ainsi que celles chargées d’une mission de service public exercent leurs fonctions avec dignité, probité et intégrité et veillent à prévenir ou à faire cesser immédiatement tout conflit d’intérêts. Les membres des autorités administratives indépendantes et des autorités publiques indépendantes exercent également leurs fonctions avec impartialité.

Section 1 : Obligations d’abstention (Articles 2 à 3)
Article 2
Modifié par LOI n°2017-1339 du 15 septembre 2017 — art. 6

))

Commentaire : Macron et son gouvernement prouvent par ce premier manquement très grave à la loi qui perdure depuis, son mépris des lois républicaines confirmé par la suite par de très nombreuses décisions illégales.(([2] Macron et sa Dictature en Marche, en trois preuves et quelques faits incontestables — Profession Gendarme))

Point 6, masques ou pas masques ?

Le gouvernement français, s’appuyant sur les recommandations du conseil scientifique, décide le confinement de l’ensemble de la population, avant le confinement le port du masque est déconseillé, après le confinement il est imposé !!!

De nombreuses études scientifiques de haut niveau ont été réalisées depuis le début de la crise sur l’utilité du port du masque par les adultes et les enfants selon le niveau de protection des masques et les circonstances de leurs utilisations. Aucune de ces études n’a été portée à la connaissance du grand public par le gouvernement et les médias subventionnés qui laissent ainsi la population dans l’ignorance. Aussi il faut que les citoyens se posent la question suivante : les masques sont-ils toujours vraiment utiles ou sont-ils devenus au fil du temps un signe de soumission à un pouvoir corrompu ?

Commentaire : une communauté d’ignorants, vraiment ?

Point 7, des vaccins  produits en un peu plus d’un an, recherches comprises, peuvent-ils être sûrs ?

Extrait de l’article  « Pourquoi je ne me ferai pas vacciner. » du Docteur italien S. R. Valli, diplômé en médecine et en chirurgie à La Sapienza à Rome, et spécialiste en médecine interne et en allergologie et immunologie cliniques, publié en septembre 2021 sur le site web Benoitetmoi.fr dans Mes pièces.

« En général, un médicament (mais aussi un vaccin) doit passer par plusieurs phases d’étude :

la phase préclinique sur les animaux, qui sert essentiellement à établir la toxicité éventuelle de la molécule sur un organisme vivant complexe, puis certains paramètres pharmacocinétiques : voie d’administration privilégiée, absorption, distribution, métabolisme et élimination ;

la phase 1, c’est-à-dire sur des volontaires sains, qui permet de s’assurer que les résultats obtenus chez l’animal sont confirmés chez l’homme ;

la phase 2, celle des volontaires “malades”, qui sert à vérifier l’efficacité thérapeutique du médicament, ou l’efficacité préventive du vaccin chez les sujets exposés à la contagion ;

la phase 3, la plus importante. Ici, les études sont multicentriques, c’est-à-dire réalisées dans différents hôpitaux, et doivent être en double aveugle et contrôlées par placebo. Dans cette phase, il est obligatoire d’obtenir le consentement éclairé, car le patient doit savoir qu’il est soumis à un essai clinique et qu’il peut donc recevoir soit le médicament actif, soit le placebo, sans que ni lui ni son médecin ne le sachent (c’est la signification du double aveugle). La phase 3 doit durer de 3 à 5 ans (et il se trouve que les vaccins contre le SARSCoV-2 sont testés jusqu’en décembre 2023 !)

La phase 4, ou pharmacovigilance, qui est la phase à laquelle sont soumis les médicaments une fois qu’ils sont mis sur le marché. La pharmacovigilance (ou surveillance) peut être active ou passive : elle est active lorsque le médecin visite périodiquement le patient qui a reçu le médicament et signale tout effet indésirable ; elle est passive lorsque le patient signale un événement indésirable au médecin, qui doit le signaler aux autorités sanitaires qui doivent en prendre note.

On estime que les événements indésirables signalés dans le cadre de la surveillance active sont 100 fois plus nombreux que ceux signalés dans le cadre de la surveillance passive. Ces vaccins font uniquement et exclusivement l’objet d’une surveillance passive et, d’après l’expérience directe, presque aucun des effets indésirables signalés par les patients n’est signalé ! Enfin, les effets à long terme : c’est là que réside la question la plus critique.

Nous (et Pfizer, Moderna, Astra Zeneca) ne savons absolument rien de ce que le vaccin pourrait provoquer dans un, deux, cinq ou dix ans. En effet, pour qu’une étude clinique soit fiable, deux critères fondamentaux doivent être respectés : la taille de l’échantillon et la durée d’observation. Une étude portant sur cinquante millions de personnes pendant un mois ne peut que nous dire que le médicament est sûr dans les situations aiguës, tandis qu’une étude sur une personne suivie pendant vingt ans ne nous donne aucune information, car tout peut être ramené à des variables individuelles.

Dans le cas de ces vaccins, le nombre de sujets ne dépasse pas 70 000 (contre 2,5 milliards de vaccinations effectuées !), et la période d’observation à ce jour ne dépasse pas un an. Je rappelle que des médicaments utilisés depuis plus de quarante ans comme antiulcéreux (ranitidine, cimétidine) ont été suspendus du marché, car on a découvert en 2018 qu’ils avaient un composant potentiellement cancérigène ! “ 

Commentaire : comment se fait-il que le conseil scientifique n’ait pas tenu compte de ce que tout médecin digne de ce nom a appris sur le ban de la fac ? N’est-ce pas docteur Véran !!!!

Point 8, des vaccins ne bénéficiant que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.  

Autorisation de mise sur le marché conditionnelle. Début de l’article publié sur le site web de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé.)

‘Les Autorisations de mises sur le marché (AMM) seront délivrées par la Commission Européenne à l’issue de cette évaluation et seront valables dans tous les États membres de l’UE. Dans le contexte de la pandémie et de l’urgence de santé publique, les AMM seront dites conditionnelles.

En effet, une AMM conditionnelle permet l’autorisation de médicaments qui répondent à un besoin médical non satisfait avant que des données à long terme sur l’efficacité et la sécurité ne soient disponibles. Cela est possible uniquement si les bénéfices de la disponibilité immédiate du médicament l’emportent sur le risque inhérent au fait que toutes les données ne sont pas encore disponibles. L’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients.

Une fois qu’une AMM conditionnelle a été accordée, les laboratoires doivent fournir les données complémentaires provenant d’études nouvelles ou en cours dans des délais fixés par l’EMA pour confirmer le rapport bénéfice/risque positif.

Une AMM conditionnelle est accordée pour un an et peut être renouvelée. Lorsque les autorités européennes ont reçu et évalué toutes les données complémentaires exigées, l’AMM conditionnelle peut être convertie en une AMM standard.’

Commentaire : actuellement on ignore donc bien les effets sur le long terme de la vaccination.

Point 9, malgré ce qui précède, pour Macron et son gouvernement, la vaccination est l’unique solution contre le covid, c’est clair, c’est net

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/04/24/la-vaccination-seule-solution-face-a-la-covid-19

Pour tous les vaccins, les fioles contenant les injections ne comportent aucune mention, à part le nom du produit. Pour Macron ce n’est pas un problème.

Mais pour ceux qui ont reçu, par exemple le vaccin Pfizer, vous a-t-on montré ceci ?

Commentaire : faisant abstraction du principe de précaution, contre tout bon sens, Macron et son gouvernement proposent quasiment une vaccination obligatoire avec des produits pour le moins incertains. Avec les points précédents nous avons déjà vu une cascade d’inepties qui, trop nombreuses, paraissent très suspectes, mais à ce stade, on est en droit de se demander si Macron, le bon samaritain qui ne vous veut que du bien, et son gouvernement à sa botte, ne nous mène pas en bateau.

L’ENVERS DU DÉCOR

Macron et son théâtre d’ombres

Deux interventions de Macron que vous n’avez pas vues dans les médias.

Point 10, discours de Macron en ouverture du sommet des banques publiques de développement finance en commun, novembre 2020.

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2020/11/12/discours-du-president-emmanuel-macron-en-ouverture-du-sommet-des-banques-publiques-de-developpement-finance-en-commun.

Commentaire : tranquillement et en douce il nous vend à ses collègues de la finance, n’oublions pas qu’il a travaillé plusieurs années à la banque Rothchild.

Point 11, intervention de Macron avec Klaus Schwab au Forum virtuel de Davos janvier 2021.

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2021/01/26/intervention-du-president-emmanuel-macron-dans-le-cadre-de-lagenda-de-davos-organise-par-le-world-economic-forum

Commentaire : incontestablement ils se croient tout permis et ils décident pour nous.

+ Point 12, le parrain et un de ses hommes de main.

https://by-jipp.blogspot.com/2021/09/vers-une-gouvernance-medico-genocidaire.html

No comment.

Et pour finir, Point 13, un drôle de paroissien.

Pour ceux qui ne la connaisse pas voici l’œuvre de Shepard Fairey (Obey) que Macron a derrière son bureau de l’Élysée, une Marianne où est inclus MANIFESTEMENT un pentagramme noir :

De plus près :

No comment

Conclusion

Face à cette monstruosité, la destruction de l’intérieur de la Démocratie et de la République, très bien explicitée par le dialogue aux enfers de Macron et de Schwab, les Gilets Jaunes de la Victoire et tous les citoyens conscients, se lèvent et s’unissent pour dénoncer le projet démoniaque des mondialistes. Ce projet à déjà reçu un coup en partie mortel par Vladimir Poutine,(([3] C’est pour cette raison que Biden l’a qualifié de tueur.)) grâce son intervention percutante qui à remis les choses en perspectives — faite après celle de Macron et de Schwab — lors de ce même Forum de Davos. La voici :
https://nouveau-monde.ca/discours-de-vladimir-poutine-au-forum-de-davos-2021-lhomme-ne-doit-pas-etre-un-moyen-mais-un-but-de-leconomie/

Remarquez le Haut symbolisme de l’architecture et de la décoration de la salle du Kremlin où Poutine à fait son discours.

Quoiqu’ils fassent à l’avenir, Macron, Véran et consort, cela ne les dédouaneront pas de leurs responsabilités passées.

Grâce à l’union des forces populaires conscientes, nous vaincrons.


* et consort… seront prochainement nommés.




Témoignages exclusifs sur les refus de soin par l’administration

Par Nicole Delépine

SOINS ANNULÉS PAR L’ADMINISTRATION POUR CAUSE DE PASSE DIT SANITAIRE

De nombreuses familles racontent des refus de soins à l’entrée de la clinique ou de l’hôpital public gardés par des vigiles. Pourtant ces derniers n’ont pas le droit de voir les papiers d’identité des demandeurs et donc la vérification du passe sanitaire n’est qu’une lutte d’influence, une manipulation.

Certains plus solides que d’autres arrivent avec un avocat ou un huissier, refusent de partir et demandent
 qu’un directeur ou en tous cas un responsable les rejoigne et montre les décrets ou circulaires qui justifieraient de refuser à Madame X. de venir faire sa chimiothérapie prévue (donc non urgente vue par un énarque) ou de venir accoucher sur rendezvous prévu… Tant pis pour les pertes des eaux précoces, le bébé attendra ou verra le jour dans la voiture du père ou de l’ambulancier.

Ceux venus accompagnés ont toujours eu gain de cause, car bien malin celui qui trouve le document administratif clair, à l’heure où la loi du 7 août n’aurait pas été suivie du décret la rendant utilisable. Les avis sont partagés sur ce point, mais j’imagine qu’un DRH ou un directeur de clinique aura du mal à affirmer ce qui est légal ou non et encore plus à le prouver…

D’autres, repoussés, contiennent leur colère et décident finalement de mettre en cause ces petits kapos qui pensent pouvoir imposer leur propre loi au nom de décisions indignes mettant en jeu la vie des patients parfois, leur confort et la qualité des soins toujours.

Tel ce monsieur qui nous fait partager sa lettre à la direction de la polyclinique du nord de la France où il devait conduire sa vieille maman, à 70 km de chez lui.

« Objet : À transmettre à la directrice Mme N pour mise en danger d’autrui pour rupture de continuité des soins, nous avons dû annuler par force nos rendez en ORL

Madame la Directrice N,

Aujourd’hui lundi 13/09/2021 nous avions rendez-vous, pour ma maman en ORL avec le DR G à 16 h 40, pour des suivis médicaux, j’ai téléphoné ce matin au secrétariat pour avertir que nous annulions nos rendez-vous, pour les raisons suivantes imposées par votre clinique.

Nous refusons le passe sanitaire illégal et discriminant et reposant sur des PCR qui donnent des données fausses.

Je rappelle que selon son fabricant, il n’est pas fait pour détecter les virus, mais détourné de sa fonction officielle et rien ne prouve scientifiquement que le faux virus covid 19 synthétique est encore là.

Les vigiles que vous avez mis aux entrées de votre établissement pour contrôler le passe sanitaire ne sont pas habilités à contrôler nos identités, et que seule la police judiciaire est habilitée à contrôler nos papiers et le passe sanitaire.

En conséquence, ma mère est privée de soins et j’ai l’intention de vous poursuivre pour mise en danger d’autrui par manque de soins, de suivi médical et de traitements, dans un but de nous contraindre à nous faire injecter des injections géniques, poison expérimental, avec des risques non négligeables de décès (près de 25 000 en UE) ou d’accidents de gravité variable (deux millions environ en UE dont la moitié reconnue comme graves par l’agence du médicament elle-même).

J’ai contacté mon avocat pour les démarches à suivre contre vous, l’ARS, et éventuellement les vigiles complices de ce détournement de la loi.

Sans modification des conditions anormales d’accueil, nous serons dans l’obligation d’annuler les RV suivants cardiologiques et pneumologiques.

Dans l’espoir que vous ferez votre possible pour améliorer l’accueil des patients, recevez mes salutations.

Un ancien employé des hôpitaux en tant que ASH.

  1. Cette plainte sera adressée au Procureur de la République à visée pénale avec des preuves, vidéos et documents à l’appui.

Il est bien triste que les patients soient conduits à en arriver là et que tout dialogue social soit interdit avec application des lois sans interprétation intelligente.

La vie d’exclu des non-vaccinés

D’autres témoignages du même genre nous parviennent et les plus inquiets sont évidemment les personnes déjà touchées dans leur passé par un cancer guéri, en rémission ou encore en traitement.

Et ils ont raison d’être inquiets, car s’ils refusent la voie de la tyrannie et de son passe sanitaire pour consulter ou pour recevoir des visites en cas d’hospitalisation ou même pendant l’accouchement (!), ils sont gravement discriminés et tous les défenseurs de l’égalité entre les humains auraient dû déjà se lever bruyamment…

L’enfer d’angoisse des vaccinés, l’épée de Damoclès

Ou bien ils acceptent cette injection génique et toutes ses inconnues, à court terme entre effets nocifs graves (voire décès) ou désagréables, et pire les effets inconnus à long terme sur leur fertilité, leurs défenses immunitaires et le risque de modifier le génome humain, tous risques possibles non calculés.

Les essais toujours en cours ne seront achevés au minimum dans un an pour les effets à court terme. Pour l’évaluation des effets à long terme, il faudra attendre et encore attendre.

Un antécédent sordide que racontent bien « les filles du Distilbène » exemplaire

Rappelez-vous que nous en sommes à la quatrième génération d’effets délétères pour le Distilbène, pilule toute bête donnée aux femmes enceintes pour limiter nausées et vomissements. Et après les effets sur la fertilité de la deuxième génération, les malformations utérines, etc., on découvre des troubles psychiques chez les petits-enfants des parturientes nauséeuses de 1948…

Imaginez-vous tout cela et le combat des « filles » et petites-filles de ces malheureuses ?

(([1] Le DES est l’abréviation du diéthylstilbestrol, un œstrogène de synthèse commercialisé dans les années 1940 aux États-Unis et en Europe sous plusieurs noms différents : par exemple Distilbène pour le laboratoire Ucepha (plus tard racheté par UCB Pharma) ou Stilbeostrol pour la firme Borne (aujourd’hui Novartis). À l’époque, ce médicament était prescrit pour prévenir les fausses couches chez les femmes confrontées à ce risque.

Pendant des années, le DES a fait figure de « pilule miracle » jusqu’à ce qu’au début des années 1970 aux États-Unis, quelques cas de cancers du vagin chez de jeunes filles attirent l’attention. Les spécialistes américains ont alors fait le lien entre ces cancers et une exposition de ces jeunes filles in utero au DES délivré à leurs mères enceintes.

En 1971, les autorités américaines ont recommandé aux médecins d’arrêter de prescrire du DES aux femmes enceintes. Une recommandation qui ne sera appliquée qu’en 1997 en France.

L’alerte venue des États-Unis était sérieuse, mais un certain nombre de médecins français n’y ont pas cru. Ils minimisaient le problème en disant qu’en France, les prescriptions étaient différentes et sans risque.

Cf. la croix 9 AVRIL 2009 la douloureuse histoire des filles du distilbène.

))

Comme nous dit un de ces professeurs omniprésents sur les plateaux, après trois mois, on ne voit plus d’effets secondaires nouveaux d’un vaccin qui n’est qu’un médicament… Il a oublié — entre autres — les narcolepsies du vaccin H1N1 (pourtant stoppé après 53 morts) qui handicapent à vie 2 500 personnes en Europe dont 800 en France (demande d’indemnisation toujours en cours pour une majorité des victimes(([2] Plusieurs ont néanmoins reçu des indemnisations atteignant plus de 600 000 euros et le tribunal administratif de Rennes a dédommagé la famille à hauteur de 1,39 million d’euros, au regard notamment des « conséquences métaboliques et cardiovasculaires tout cela à nos frais par l’Omniam.))) apparus plus de six mois plus tard…

Vaccin anticovid et cancer : une enquête à mener

Et parmi les vaccinés, au-delà des effets secondaires déjà amplement décrits en particulier sur les sites des agences comme l’EMA Eudravigilance pour l’Europe (UE), on voit apparaître d’autres « coïncidences » chez les cancéreux et anciens cancéreux guéris de longue date.

Et les effets du vax sur les pathologies antérieures ou dormantes ?

Par exemple ce généraliste, qui m’envoie un mail pour me demander ce que dit la littérature jusque-là bien silencieuse à propos des cancers et du vax, est très inquiet.

On le comprend, car chaque patient qui pose la question dans son centre s’entend répondre qu’évidemment, il y a aucun lien… Donc encore moins d’études sérieuses sur tous leurs patients vaccinés ou non.

Il raconte ses inquiétudes sur quelques patients récents. Cette jeune femme jeune encore de 45 ans chez laquelle on découvre un cancer du sein deux mois après son vaccin Pfizer et pourtant très « sérieuse » : elle ne manquait pas une mammographie et la dernière datait de trois mois… Coïncidence possible bien sûr, ces cancers de l’intervalle entre deux mammos sont connus.

Cet homme valide, âgé de 75 ans en pleine forme sportif. Mince musclé. Pas l’obèse caricatural des comorbidités devenues célèbres avec le covid qui culpabilisent le malade et exonèrent le médecin du décès sous ventilateur.

Non, un bel homme encore profitant de la vie de retraité bien méritée, comme on dit. Quelle idée saugrenue l’a-t-il pris de se faire injecter le fameux vax en février 21 ? La pression bienveillante de ses enfants ?

Qui feraient bien de s’occuper de leur santé et qui trop jeunes n’ont pas connu les affres de la désinformation habituelle en temps de guerre (même celle d’Algérie pour cette génération, ou du Vietnam, ou d’Irak avec les armes de destruction massive et les frappes chirurgicales sans victimes collatérales, et aussi les faux charniers de Timisoara).

Peut-être certains « vieux » ont-ils pu échapper, sauf en EHPAD où la piqûre à risque est le prix à payer pour ne pas être enfermé dans sa chambre, seul, même si PCR négatif. Punition du kapo obéissant aux ordres venus d’en haut, même si on ne sait pas pourquoi…

Mais les enfants insistent trop souvent pour leurs parents, leur fratrie, etc.

Pour jouer à la roulette russe, on rigole plus tous ensemble, ou bien est-ce l’espoir de l’héritage ?

Ne soyons pas méchants, ou la peur ou la jalousie de ne pas avoir de retraite, la guerre des générations voulue et réussie par le pouvoir ?

En tous cas, le nombre de transactions viagères est en hausse notable. Tout d’abord sous l’effet d’une offre plus abondante. La population est vieillissante. En France, un peu moins de 5 millions de personnes auraient dû avoir plus de 85 ans en 2050, plus de trois fois le chiffre actuel.

Or selon l’Insee, près des trois quarts des seniors sont propriétaires de leur résidence principale. Ajoutez à cela la baisse du pouvoir d’achat des retraites, et tous les ingrédients sont réunis pour stimuler l’offre en viager. La Covid-19 n’a fait qu’accélérer la tendance.

Bon nombre de seniors ont préféré continuer à vivre chez eux plutôt que de déménager dans un EHPAD où ils auraient été emprisonnés et menacés d’une injection de Rivotril à la moindre toux… Ils ont donc eu recours au viager pour rester chez eux et assurer leur train de vie. De l’autre, on peut suspecter que certains acquéreurs ont misé sur une hausse soudaine de la mortalité chez les personnes âgées. Belle époque…

Bref ce monsieur sportif de 75 ans, dès son retour de l’injection en février 2021 se plaint de sensation de malaise avec AVC probable : le médecin dit que ça ne peut pas être le vaccin. ÉVIDEMMENT ; il reçoit Saint Doliprane et… vieillit à toute allure.

« Il faisait 60 ans, il en fait 90 ».

Malgré tout, incroyable de la part du médecin, du patient et de la famille il reçoit le 2e vaccin et en quelques jours on constate une aggravation neurologique et psychique. Finalement il aura une IRM sur la pression de ses enfants qui découvre un glioblastome IV, 5 cm… Hasard bien sûr. Phase terminale. Personne ne peut exclure que cette tumeur se trouvait là, mais ne se manifeste-t-elle pas à l’occasion d’un déséquilibre induit par l’injection ?

C’est l’histoire récurrente d’une petite tumeur silencieuse qui brutalement explose. Nous en voudra-t-on d’évoquer des modifications immunitaires décisives à l’occasion du vaccin ? Complotiste ? En tous cas d’autres confrères signalent l’aggravation brutale d’une pathologie connue antérieurement à l’occasion du vax. Sclérose en plaques, leucémie, etc.

Ce généraliste a rencontré aussi dans les semaines récentes une patiente de 84 ans qu’il connaissait, guérie d’un cancer du corps de l’utérus sans aucune extension. Elle est obligée de se faire vacciner pour pouvoir être opérée en février 2021. QUI A INVENTÉ CETTE OBLIGATION INSENSÉE ? QUEL TEXTE ?  QUELLE RESPONSABILITÉ MÉDICOLÉGALE ?

Aucune démonstration scientifique ! Il n’y eu que le Pr Raoult à devoir démontrer l’absence de toxicité de la chloroquine sur le marché depuis 70 ans.

De fait pour une pathologie habituellement curable, la voici décédée en août 2021. Coïncidence ?

Enfin notre médecin inquiet se pose des questions sur la flambée rapide d’un homme stabilisé d’un cancer abdominal et qui a évolué très vite après la vaccination de son épouse. Lui a-t-elle cédé quelques protéines Spike ?

Des questions sans réponses, mais auxquelles on aurait dû répondre AVANT la généralisation du vaccin et AVANT toute obligation vaccinale.

Comme aurait dit Raoult, il n’est pas interdit d’être intelligent et surtout il ne devrait pas être interdit de se poser des questions ! Eh bien si ! Et c’est peut-être cela que voulait nous dire le patron de l’IHU en début de crise covid. Il avait compris que le pire fléau ne serait pas ce petit virus sensible aux traitements précoces, mais bien la perversité des gouvernants, et la crédulité d’une trop grande partie de la population à l’intoxication médiatique mondiale.

Bravo aux marcheurs du samedi qui tentent de faire cesser cette guerre !





Israël : La catastrophe sanitaire récurrente de l’injection Pfizer

Par Gérard Delépine

L’analyse de l’évolution de l’épidémie en Israël, champion mondial de l’injection Pfizer permet d’évaluer son efficacité en population réelle qui est à l’opposé de ce qu’annoncent les communiqués de leurs fabricants, les gouvernants et les médias complices.

La réussite de la campagne d’injection Pfizer

En termes de vitesse de vaccinations, le succès de la campagne d’injection est remarquable. Au 11 septembre 2021, 14 392 024 doses de vaccin de doses ont été administrées(([1] D’après OMS covid Dashbord du16/9)) et plus de 70 % de la population auraient reçu au moins une dose de vaccin.

Mais on ne juge pas un traitement préventif au nombre de personnes traitées, mais uniquement à ses conséquences sur l’évolution du nombre de contaminations journalières, de la mortalité quotidienne et des complications post médicamenteuses observées.

Évolution du nombre des contaminations
Accroissement post « vaccination » immédiat des cas(([2] Ibid D’après OMS covid Dashbord du16/9))

Les deux mois et demi qui ont suivi les premières injections Pfizer ont été marqués par une augmentation considérable des contaminations journalières (463 000), leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. Elles ont abouti à plus que doubler le nombre (370 000) total de cas observés pendant les 9 mois précédant les injections.

Ces 2 mois post injections Pfizer ont établi les records mensuels mondiaux de contaminations depuis le début de l’épidémie.

Cette évolution paradoxale montre que le pseudo-vaccin Pfizer est incapable d’empêcher la transmission de la maladie.

L’augmentation post vaccinale précoce des contaminations ne s’est calmée qu’avec la pause de l’épidémie dans presque tous les pays, vaccinés ou pas, confinés ou pas.

Certains avancent que c’est seulement le développement naturel de l’épidémie qui avait commencé avant la campagne d’injection Covid qui expliquerait la gravité de cette hausse.

Mais la comparaison des évolutions des nouveaux cas journaliers entre Israël très vacciné et ses voisins alors peu vaccinés (Liban) ou très peu vaccinés (Jordanie, Palestine) est en faveur de la responsabilité de l’injection Pfizer

D’autant plus que cette forte augmentation post injection des cas durant plusieurs semaines ou mois est observée dans plus de 90 % des pays qui ont beaucoup vacciné.

Si elle avait permis d’assurer l’immunité définitive de la population contre le Covid19, le coût humain aurait pu éventuellement paraître acceptable, mais ce n’est malheureusement pas le cas, la hausse immédiate des contaminations n’a pas apporté de protection aux Israéliens.

La vaccination Covid Pfizer n’évite pas la reprise de l’épidémie

6 mois plus tard, depuis fin juin 2021, l’injection Pfizer se révèle incapable d’éviter une reprise exponentielle de l’épidémie et actuellement 80 % des nouvelles personnes contaminées ont reçu deux doses de Pfizer.

Les chiffres publiés par le ministère de la Santé israélien en août reconnaissent que le vaccin contre le coronavirus n’est efficace qu’à 39 % pour prévenir la transmission du coronavirus,(([3] I24 Israël/Covid : le vaccin efficace qu’à 39 % pour arrêter la transmission)) ce qui est cohérent avec les faits observés, mais très inférieur aux communiqués de victoire de Pfizer (>90 %) diffusés si complaisamment par les médias et par nos autorités.

Il est incroyable de constater que certains provax se félicitent que les vaccinés double dose puissent être infectés et y voient « la preuve que les vaccins fonctionnent ».(([4] La tribune juive « Les vaccinés infectés en Israël sont la preuve que les vaccins fonctionnent »
https://www.tribunejuive.info/2021/08/22/les-vaccines-infectes-en-israel-sont-la-preuve-que-les-vaccins-fonctionnent/)) Absurdité digne des pires antivax pourtant reprise en chœur par l’express,(([5] https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/oui-des-personnes-vaccinees-meurent-du-covid-19-et-c-est-mathematique_2154072.html)) 20 minutes Santé Fr,(([6] https://www.20minutes.fr/sante/3118523-20210907-vaccination-pourquoi-cas-personnes-vaccinees-positives-coronavirus-si-surprenants)) Le Parisien,(([7] Covid-19 : non, la part croissante de vaccinés parmi les cas infectés ne remet pas en cause l’efficacité du vaccin Le Parisien
https://www.leparisien.fr/societe/sante/covid-19-non-la-part-croissante-de-vaccines-parmi-les-cas-infectes-ne-remet-pas-en-cause-lefficacite-du-vaccin-29-06-2021-WV3GF2TSJJHDDLKHOL5JPGSOHY.php)) Emergency Live,(([8] Cristiano Antonino L’apparent Paradoxe Des Vaccinés Positifs Au Covid-19 : Une Histoire De Tromperie Statistique
https://www.emergency-live.com/fr/la-sant%C3%A9-et-la-s%C3%A9curit%C3%A9/le-paradoxe-apparent-des-vaccin%C3%A9s-positifs-au-covid-19-une-histoire-de-tromperie-statistique/)) l’agence Santé Presse(([9] https://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/detecteur-rumeurs/2021/06/30/non-vaccines-testes-positifs-covid-ne-prouvent-inefficacite))…

Savent-ils qu’un vaccin est conçu pour prévenir la maladie, et que tout vacciné qui tombe malade constitue un échec qui, s’il n’est pas rarissime, interroge sur l’intérêt même de la vaccination ?

Pour tenter d’enrayer la reprise de l’épidémie, les autorités israéliennes imposent actuellement de nouvelles restrictions sanitaires : quarantaine pour les personnes revenant de l’étranger vaccinés ou non, port du masque obligatoire, passe sanitaire à partir de 3 ans, nouvelle injection pour les personnes à risques. Et ils envisagent un nouveau confinement…

En Israël, les injections Pfizer ne constituent manifestement pas la solution du Covid, mais plutôt un problème supplémentaire. Que vaut un traitement préventif qui dans un premier temps entraîne une flambée de la maladie et qui plus tard se révèle incapable d’éviter une forte récidive de l’épidémie ?

Dans l’histoire des vaccinations, aucune ne s’est montrée aussi inefficace sur la propagation de la maladie cible. Le vaccin contre la fièvre jaune protège totalement à vie et sans rappel contre la maladie, comme le vaccin contre la poliomyélite, ou comme celui contre la variole qui a permis l’éradication de la maladie. Il n’y a guère que le vaccin contre la grippe dont l’efficacité est variable selon les années et aussi faible (de l’ordre de 20 %).

Mortalité liée au Covid19 : l’hécatombe post vaccinale précoce

En Israël, malgré un confinement strict, la première campagne d’injections a été suivie d’une véritable hécatombe. Le mois de janvier 2021 a établi le record mensuel de la mortalité, regroupant à lui seul près de 30 % de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays. Entre mi-décembre et mi-février, on dénombre 2337 des 5351 morts alors attribuées au COVID-19 (43,7 %.).

Parmi celles-ci 1271 sont survenues chez des personnes dont le statut vaccinal était connu et le ministère de la Santé a précisé le 10 février 2021 que 660 d’entre elles (51,9 %) faisaient partie des 1,3 million de vaccinés de l’époque qui ne représentaient que 12,5 % de la population totale.

Un excellent article paru sur Agoravox(([10] Les leçons à tirer d’Israël par Décoder l’éco mardi 14 septembre 2021 Agoravox
https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/les-lecons-a-tirer-d-israel-235688)) analyse finement cette hausse de la mortalité survenue durant la première campagne de vaccination :

« Toutes les tranches d’âge sans exception ont présenté une hausse de mortalité les mois d’injections. Nous observons que les plus âgés ont reçu massivement des injections en janvier et présentent en pic de mortalité en janvier. Les plus jeunes ont reçu des injections plus tard, à partir du mois de février et présentent un pic de mortalité en février. Ce lien est un fort indice de causalité supplémentaire entre les injections et la hausse de la mortalité. »

La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé durant cette période. Haim Yativ, ingénieur, et le Dr docteur Hervé Seligmann, de l’unité de recherche sur les maladies infectieuses et tropicales émergentes de la faculté de médecine de l’université d’Aix-Marseille, analysant ces chiffres officiels et concluent(([11] he uncovering of the vaccination data in Israel reveals a frightening picture
http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?p=276314)):

« les vaccins Pfizer, pour les personnes âgées, ont tué au cours de la période de vaccination de 5 semaines environ 40 fois plus de personnes que la maladie elle-même en aurait tué, et environ 260 fois plus de personnes que la maladie parmi les plus jeunes (les moins de 65 ans). »

Selon les données du Bureau Central des Statistiques israélien, en janvier-février 2021, au plus fort de la campagne israélienne de vaccination de masse, on a constaté une augmentation de 22 % de la mortalité globale (toutes causes confondues) en Israël par rapport à l’année précédente.

Janvier-février 2021 ont été les mois les plus meurtriers de la dernière décennie, avec les taux de mortalité globale les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années. Dans le groupe d’âge des 20-29 ans, l’augmentation du taux de mortalité global est encore plus spectaculaire, au cours de la même période de vaccination, entre janvier et mars 2021, on observe une augmentation de 30 % de la mortalité globale par rapport à la mortalité moyenne trimestrielle en 2020.

Il existe une forte corrélation entre le nombre de personnes vaccinées par jour et le nombre de décès par jour, jusqu’à 10 jours après la vaccination dans tous les groupes d’âge. Pour les 20-49 ans — une fourchette de 8 jours entre la date de la vaccination et le décès ; pour les 50-69 ans — 5 jours entre la date de la vaccination et le décès ; pour les 70 ans environ 3 jours entre la date de la vaccination et le décès.

Une semblable hécatombe post vaccinale précoce ne peut pas être attribuée au seul hasard : elle a été également observée avec des délais identiques dans la quasi-totalité des pays qui ont beaucoup vacciné (Grande-Bretagne, Émirats Arabes Unis, Gibraltar, Seychelles..)

Les vaccinés ne sont pas protégés des formes graves de la maladie

Depuis la reprise récente de l’épidémie, contrairement aux déclarations officielles non étayées par des études publiées, les vaccinés ne sont protégés ni des formes graves ni de la mort, bien au contraire.

Selon le ministère israélien, rapporté par le Jerusalem Post,(([12] https://www.jpost.com/health-science/coronavirus-in-israel-what-do-we-know-about-the-143-hospitalized-people-674508)) le 21 juillet,

« sur les 143 hospitalisés, 58 % étaient totalement vaccinés, 3 % partiellement, 39 % non vaccinés. Sur les 64 patients graves du pays… le pourcentage de cas vaccinés était élevé. »

Le 5 août, sur Chanel 13, le Dr Kobi Haviv, Directeur du Herzog Hospital de Jérusalem, constatait(([13] https://ugetube.com/watch/dr-kobi-haviv-earlier-today-on-chanel-13-newsisrael13-quot-95-percent-of-the-severe-patients-are-vac_raEmhKdAhmGoFHB.html?__cf_chl_jschl_tk__=pmd_SVqTdednujFjXZKnCQV_EPl1benoTf.YGKw2jlE3Ai4-1631865254-0-gqNtZGzNArujcnBszQil)):

95 % des patients sévères sont vaccinés

90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées

Pareilles constatations ont été aussi faites en Grande-Bretagne. Il est donc très étonnant que pareil phénomène ne soit pas observé en France. Comme le nuage de Tchernobyl qui ne pouvait pas franchir nos frontières, du moins d’après nos agences officielles…

Inefficaces et dangereuses

Ces injections ont été de plus sources d’effets secondaires importants : AVC, thromboses et phlébites, mais aussi péri et myocardites en particulier chez les jeunes qui n’étaient pas menacés par la maladie ; elles s’accompagnent de plus de modifications virales qui menacent les enfants classiquement épargnés avant la pseudo-vaccination.

Un traitement préventif se juge à l’évolution observée de la maladie cible. En Israël, l’évolution post vaccinale précoce a été catastrophique tant sur les contaminations que sur l’évolution des formes graves.

Comment expliquer cet échec cuisant ?

Cet échec massif et précoce constitue une première dans l’histoire des vaccinations et s’explique peut-être par le fait que l’injection expérimentale Pfizer n’est pas un vrai vaccin, car elle ne contient ni antigène ni virus atténué, mais un ARN messager, technique qui n’avait jusqu’ici jamais été utilisée en pathologie infectieuse.

En attendant que des travaux scientifiques expliquent les causes de cet échec, de nombreuses hypothèses peuvent être soulevées. L’une des plus probables est que la vaccination Pfizer se heurte au phénomène d’anticorps facilitants déjà responsable de l’échec du Dengvaxia aux Philippines et des vaccins contre les précédentes épidémies à coronavirus (SRAS en 2003 et MERS en 2012).

La possibilité de cette complication avait été soulevée par l’Académie de médecine française, dans son communiqué du 11 janvier 2021.(([14] Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages 11 janvier 2021))

Le trop faible niveau d’immunité observée après la première injection, accusée de pouvoir faciliter l’émergence de variants et l’échec de la vaccination ont été signalés par 5 membres du comité scientifique français, dont le Pr Delfraissy dans une courte lettre au BMJ.(([15] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy laetitia.atlan Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Public Health 2021
Published Online Februar y 18, 2021
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0))

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible à court terme, en Israël comme en France, car complètement pollué par la situation politique. Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup aux gouvernements qui l’ont conseillée.

Il faut donc s’attendre à ce que les gouvernements et les médias qui leur sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le méchant virus. Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ,(([16] Covid-19: Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant
BMJ 2021; 372
doi: https://doi.org/10.1136/bmj.n314)) quel que soit le pays « quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou « radical » est complotiste ».





Mercredi 15 septembre, triomphe « du droit et de la justice »

Par Alain Tortosa

Merci au chef de l’État, au gouvernement, à la majorité des députés, aux médias nationaux et la majorité des Français d’avoir permis et soutenu cette belle France démocratique et « saine » que nous aimons tous.

Que l’odeur de l’apartheid est bonne au petit matin !

Enfin le « bien » a triomphé !

Le chef de l’État, le gouvernement, les médias affirment qu’il est « moral » de faire pression, menacer, terroriser, ostraciser, parquer, exclure toutes les personnes qui refusent l’injection ! Et ils ne se privent pas de le dire et le faire depuis des mois…

J’approuve évidemment sans réserve cette politique solidaire et novatrice ! Pourquoi de mauvais Français égoïstes auraient le droit de nous nuire ouvertement ? Ils n’ont que ce qu’ils méritent !

Harceler un non-vacciné, faire pression, le menacer, lui pourrir la vie, en faire un paria, y compris avec les enfants, c’est « bien » et « solidaire ».

Attention, il ne s’agit pas d’être des monstres, nous avons nos valeurs !
Pour nous autoriser à nous comporter ainsi, y compris avec les enfants, il faut une « noble cause »… Nous savons bien que « la fin justifie les moyens » et que le « bien commun » transforme l’inhumanité et l’immonde en bonne action.

Depuis plusieurs mois il est devenu « moral » et « solidaire » de prendre le risque de tuer un enfant en lui injectant une substance expérimentale, censée lutter contre un virus qui ne le concerne pas, pour espérer peut-être éventuellement avec un peu de chances protéger des vieux malades ou en fin de vie. Après tout, le risque statistique est tellement infime, ça vaut bien de tuer ne serait qu’un enfant par million d’injections ! Et puis les vieux ne sont pas interdits de traitements, nous savons tous qu’il n’existe aucun traitement hors de prix qui fonctionne.

Ils sont d’ailleurs parfaitement protégés par leur « vaccin efficace » et c’est bien pour cela que les enfants doivent absolument se vacciner et porter un masque « pour ne pas tuer papi et mamie ». Et qui pourrait douter de l’efficacité des injections au regard des résultats, notamment en Israël ?

C’est donc au nom de ladite « solidarité », au nom du « groupe » qu’il devient indispensable de mettre en œuvre des pass sanitaires et des vaccinations quasi forcées pour les enfants et ce n’est pas se comporter en vraie pourriture que de leur faire, vu que c’est au nom de la « solidarité ».

Mais le monde n’est pas joli, joli… Rendez-vous compte que certains complotistes pensent que la vaccination est dangereuse, que les vaccinés favorisent les variants, que les vaccinés seraient dangereux, etc.

Ils s’arrogent même le droit de harceler ou menacer de pauvres employés innocents qui auraient fait leur première dose. Ces fous imaginent leur acte « moral » dès lors que nous, les bons, agissons de même en ostracisant de la sorte les non-vaccinés ce qui, évidemment, n’a rien à voir !

Les lois actuelles n’autorisent pas et ne favorisent pas la dis-cri-mi-na-tion, l’apartheid ou la suppression des droits des personnes non vaccinées.

Non elles autorisent uniquement la communauté à se protéger quoi qu’il en coûte.

Les non-vaccinés doivent-ils avoir la vie la plus pourrie ? Question idiote s’il en est… « Of course » [« Bien sûr »], sinon comment les « convaincre » ?

Suppression des loisirs, suppression des possibilités de voyager et même du droit de travailler et de toucher un salaire.

C’est bien grâce à ces mesures justes que de nombreux Français ont été « convaincus » de s’injecter !

Un chef d’entreprise qui « au nom de la loi », prive une mère antivax célibataire avec deux enfants en bas âge, de salaire, ne fait que protéger sa société et LA société.

Il est totalement légitime de se comporter ainsi, y compris avec des enfants (je ne le répéterai jamais assez), parce qu’une « majorité » (de façade) a voté des lois qui le permettent avec la complicité d’un Conseil Constitutionnel à l’indépendance vaporeuse,

Nous assumons que pour le bien de tous, une « démocratie » doit être l’outil de la dictature de la majorité.

« Si tu veux des droits, appartiens à la majorité sinon paye le prix et accepte d’être dans la sous-caste des intouchables, c’est ton choix, assume-le. ! »

Ça valait vraiment le coup de faire la révolution pour en arriver là et je n’ai jamais été autant fier d’être un « bon » français.

Nous les pro-vaccins Covid, nous les pro-pass sanitaire, avons la morale avec nous, nous n’avons pas à rougir de lois pour le bien de tous, nous pouvons être fiers de ces textes qui nous débarrassent des brebis galeuses, fiers d’être complices ou acteurs de ces lois nullement scélérates.

D’autant plus que ces mesures ne sont pas bien méchantes et même un peu timorées. Comme je peux le lire ici et là, et notamment sur les réseaux sociaux, il faudrait enfermer les antivax dans des camps de travail (on ne va pas les nourrir à ne rien foutre), leur supprimer tous droits et allocations et bien entendu leur retirer leurs enfants qui sont sous emprise de ces monstres.

Dire que certains imaginent une démocratie dans laquelle il y aurait les mêmes droits et devoirs pour tout le monde, quelles que soient leurs opinions, et en fonction de leurs capacités. Pire encore, une démocratie dans laquelle celui qui aurait le plus de pouvoir aurait le plus d’obligations et, paradoxalement, le moins de droits.

Et puis quoi encore ?

Alors je dis :

« Oui à l’obligation vaccinale, oui au pass sanitaire, oui à l’apartheid, oui à la discrimination, oui au marquage sur la peau, oui à l’internement pour les mauvais Français ! »

Merci

Alain Tortosa pour « dictature égalité fraternité magazine »

15 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210915-que-l-odeur-de-l-apartheid-est-bonne.pdf




En France aussi ils ont menti pour faire croire que la majorité des décès Covid étaient des non-vaccinés

Par Patrice Gibertie et Pierre de « Décoder l’éco« 

[Voir aussi, pour les USA : La « pandémie de personnes non vaccinées » est un mensonge — en voici la preuve]

[Source : pgibertie.com]

1)- LE GOUVERNEMENT A PLANQUÉ 50% des décès pour sous évaluer la part des vaccinés décédés

Les preuves de la magouille, le gouvernement communique 926 décès covid entre le 31 mai et le 11 juillet , il précise 720 non vaccinés, les chiffres officiels que l’on retrouve sur Geodes sont différents : il y a eu en réalité 1880 décès covid sur la même période. Pourquoi avoir triché et magouillé ?

On apprend que  les 926 décès correspondent à des personnes ayant un test PCR avant ou après l’entrée à l’hôpital. Étrange quand on sait que les vaccinés malades sont le plus souvent non testés, consignes obligent…

Soit la France est le seul pays au monde  dans lequel les vaccinés deux doses représentent 2% des décès (partout ailleurs, Israël, UK, [etc.] c’est plus de la moitié) , soit c’est du truandage et les décès planqués sont dans leur immense majorité des vaccinés…

EN Israel 86% des décédés de plus de 60 ans en juillet sont vaccinés deux doses ( ce qui correspond à leur part dans la population). En France …2%…Les propagandistes ont la main lourde.

La « disparition  » concerne peu les cas de contamination 145000 sur Geodes, 138000 pour la DREES, plus les hospitalisations ou même les réas 2084 sur Geodes et 1696 dour la DREES, Le mystère est total pour les décès: un sur deux escamoté.

Les données internationales donnent toujours plus de contaminations parmi les non vaccinés car nous savons que les vaccinés sont plus souvent asymptomatiques ( mais contagieux) et donc non testés.

Les vaccinés connaissant des formes graves sont proportionnellement plus nombreux

L’étude n’est pas crédible:on ne peut pas parler d’échantillon car ils prennent pratiquement tous les cas ,encore 80% des cas graves mais seulement 50% des décès

C’est une manipulation.

LES SOURCES MERCI AU TRAVAIL D’ENQUÈTE @NiusMarco

https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/2021-07-23_-_sivic-sidep-vacsi_premiers_resultats_-_drees-2.pdf…

https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=home

À TITRE DE COMPARAISON, LES CHIFFRES DE DÉCÈS EN GRANDE Bretagne : 34 non vaccines sur 72 décès

toujours pour comparer les chiffres en israel


[Source : francesoir.fr]

2)- Statistiques officielles, « oublis » : la DREES a-t-elle reconnu son erreur ? « Décoder l’éco » débriefe

Auteur(s): FranceSoir

Les prétendus « complotistes » avaient-ils raison ? Une fois n’est pas coutume, suite à une analyse de Patrice Gibertie au coeur de l’été, le désormais bien connu de nos lecteurs Pierre, de « Décoder l’éco« , s’était installé en verificateur de sa déclaration. En effet, Patrice Gibertie avait écrit que la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du ministère de la Santé, oubliait 50% des décès dans son analyse qui a servi de base à la justification d’un message sur l’efficacité vaccinale.

Tout l’été, nous avons entendu que les cas covid dans les hôpitaux étaient principalement des non-vaccinés. Pierre s’est intéressé en statisticien à la validité des déclarations de Patrice Gibertie… pour les confirmer !

Il y a quelques jours, la DREES s’est fendue d’un addendum donnant raison au travail de « Décoder l’eco ». Il manquait bien 900 décès dans l’analyse, ce qui entraîne une inversion du message que 85% des hospitalisés étaient des non-vaccinés. Une correction qui fait un peu tache pour l’organisme se présentant comme « l’expertise statistique publique en santé et en social ».

Cette erreur a été justifiée par la DREES : cependant l’explication n’est pas convaincante pour le statisticien : il nous explique pourquoi en détail dans ce debriefing.

La DREES devra se fendre d’analyses supplémentaires pour fournir une analyse compléte de l’effet de la vaccination. Les données sont là, et cela ne prendrait que quelques semaines pour une bonne équipe.

Les conséquences de cette erreur sont complexes à analyser, mais sans doute importantes : elles peuvent par exemple avoir affecté le consentement libre et éclairé des personnes qui auront été se faire vacciner sur la base de la déclaration du ministre.

Il devient critique pour les médias de questionner les chiffres et communiqués de presse du ministre : le diable est vraiment dans le détail et c’est la précision, l’intelligence collective et le travail de citoyens qui tentent de rebâtir une confiance. Comme le dit Pierre, « c’est facile de vérifier, faites-le » !

Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org :




[Source : pgibertie.com]

3)- Le mythe des 85 % explose en plein vol : les services gouvernementaux avouent avoir « oublié » la moitié des décès (et 20 % des cas graves)…

Vous les avez tous entendus se gargariser de statistiques fabuleuses sur l’efficacité vaccinale ! « On peut débattre de tout sauf des chiffres ! » Oui mais quand les chiffres sont pipés ! La DREES finit par reconnaitre mais la propagande se poursuit…

Depuis des mois je passe en revue toutes les informations  officielles  et je débusque les magouilles :

Le 31 juillet :

LE GOUVERNEMENT A PLANQUE 50% des décès pour sous évaluer la part des vaccinés décédés

Les preuves de la magouille, le gouvernement communique 926 décès covid entre le 31 mai et le 11 juillet , il précise 720 non vaccinés, les chiffres officiels que l’on retrouve sur Geodes sont différents : il y a eu en réalité 1880 décès covid sur la même période. Pourquoi avoir triché et magouillé ?

On apprend que  les 926 décès correspondent à des personnes ayant un test pcr  avant ou après l’entrée à l’hôpital . Etrange quand on sait que les vaccinés malades sont le plus souvent non testés, consignes obligent…

Soit la France est le seul pays au monde  dans lequel les vaccinés deux doses représentent 2% des décès ( partout ailleurs, Israel UK, c’est plus de la moitié) , soit c’est du truandage et les décès planqués sont dans leur immense majorité des vaccinés…

https://pgibertie.com/2021/07/31/le-gouvernement-a-planque-50-des-deces-pour-sous-evaluer-la-part-des-vaccines-decedes/

Décoder l’info et France SOIR VOUS EXPLIQUENT

Tout l’été, nous avons entendu que les cas covid dans les hôpitaux étaient principalement des non-vaccinés. Pierre s’est intéressé en statisticien à la validité des déclarations de Patrice Gibertie… pour les confirmer !

Il y a quelques jours, la DREES s’est fendue d’un addendum donnant raison au travail de « Décoder l’eco ». Il manquait bien 900 décès dans l’analyse, ce qui entraîne une inversion du message que 85% des hospitalisés étaient des non-vaccinés. Une correction qui fait un peu tache pour l’organisme se présentant comme « l’expertise statistique publique en santé et en social ».

Cette erreur a été justifiée par la DREES : cependant l’explication n’est pas convaincante pour le statisticien : il nous explique pourquoi en détail dans ce debriefing.

La DREES devra se fendre d’analyses supplémentaires pour fournir une analyse compléte de l’effet de la vaccination. Les données sont là, et cela ne prendrait que quelques semaines pour une bonne équipe.

Les conséquences de cette erreur sont complexes à analyser, mais sans doute importantes : elles peuvent par exemple avoir affecté le consentement libre et éclairé des personnes qui auront été se faire vacciner sur la base de la déclaration du ministre.

Il devient critique pour les médias de questionner les chiffres et communiqués de presse du ministre : le diable est vraiment dans le détail et c’est la précision, l’intelligence collective et le travail de citoyens qui tentent de rebâtir une confiance. Comme le dit Pierre, « c’est facile de vérifier, faites-le » 

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/la-drees-oubli-erreur-pierre-decoderleco

À QUOI DOIT CORRESPONDRE LA SITUATION DE LA France ? 

La France a quelques semaines de retard sur Israël ou la Grande Bretagne , ainsi en aout, en Israel, 390 personnes vaccinées  deux ou trois doses sont décédées  soit 58 ,5% des décès pour une population vaccinée qui représente à cette date 62% DES HABITANTS

Présenté ainsi l’avantage vaccinal serait très très faible.

Calculés en décès pour 100 000 habitants on obtient 8 décés pour 100 000  non vaccinés contre 7 pour 100 000 deux ou trois doses…

https://pgibertie.com/2021/09/14/israel-60-des-decedes-de-la-covid-etaient-vaccines/




Des journalistes présentent leurs 10 théories du complot préférées les plus fausses et les plus débiles

Par Nicolas Bonnal

Nous vivons une époque où les débiles vous accusent de débilité. Après Kaboul nos mabouls s’en donnent à cœur joie. Un canard féminin résume ces théories :

1. Bill Gates aurait créé ce virus pour vacciner la population mondiale et lui implémenter une micro-puce dans la foulée. Le fondateur de Microsoft a été contraint de démentir, tant les vidéos l’accusant de vouloir «contrôler les masses» sont devenues virales. Les accusations sont parties de conférences datant de 2015, et repartagées, dans lesquelles le milliardaire annonçait que le monde n’était pas prêt pour la prochaine épidémie. Il faisait référence à Ebola.

2. Il s’agirait d’un programme d’armes biologiques chinois, conçu dans le laboratoire de Wuhan, d’où l’épidémie est partie. La moitié des adhérents veulent que la propagation soit un acte volontaire, l’autre moitié parlant plutôt d’un accident.

3. En Chine aussi, on accuse les autres pays d’être responsables du virus, dont… les Etats-Unis, qui l’auraient créé pour «cibler précisément le peuple chinois». En mars, l’ambassadeur chinois à Washington
a été convoqué par le gouvernement américain pour s’expliquer.

4. Après la chauve-souris et le pangolin, le raton laveur est aussi devenu persona non grata, puisque, en anglais, racoon est l’anagramme de corona. De plus, il passe son temps à se laver les mains et porte un masque…

5. La mouvance d’extrême droite américaine QAnon a affirmé que Donald Trump avait planifié la pandémie pour ordonner un confinement. Il aurait eu pour but de procéder à une «arrestation massive de pédophiles, de politiciens, de personnalités comme Tom Hanks ou Hillary Clinton et d’acteurs hollywoodiens».

6. Selon certains, la 5G propagerait le virus; selon d’autres, elle serait même à l’origine du virus. Des antennes ont été détruites aux Pays-Bas et au Royaume-Uni où ces théories sont très populaires.

7. Dans un post Facebook viral, des internautes avancent que Nostradamus avait prédit la pandémie. Or, les textes partagés… n’ont jamais été écrits par l’auteur français.

8. La Corona a été désertée par les amateurs de bières – on n’est jamais trop prudent, n’est-ce pas. Un sondage publié en mars aux Etats-Unis a montré que 38% des sondés ne boiraient plus de Corona. Parmi eux, 16% soupçonnent un lien entre le virus et la bière. Quand le Covid était encore un sujet de plaisanterie, en janvier et février, les ventes de Corona avaient augmenté de 5%.

9. Par peur de se faire griller les neurones par les pistolets thermomètres (ce qui évidemment n’arrive pas), au Mexique, les clients des magasins ont réussi à faire plier les vigiles: ces derniers prennent désormais leur température au poignet.

10. Fake news encore, des recettes permettraient de se prémunir contre le virus, parmi lesquelles se laver à l’huile de sésame ou à l’urine d’enfant, manger de l’ail ou du foie de bœuf, boire de la Javel (attention, ce peut être mortel), du jus de fenouil ou de gingembre.

On commente ?

https://www.femina.ch/societe/actu-societe/comment-parler-a-un-ami-complotiste?


[NDLR en comparaison, voici quelques éléments factuels :

  • La plupart des pays du monde (194 pays membres) s’en remettent à l’OMS pour ce qui concerne la gestion des pandémies et d’autres phénomènes médicaux supposés de grande ampleur, ceci du fait de leur adhésion signée à cet organisme.
  • Bill Gates est le plus grand contributeur privé au financement de l’OMS, loin devant la plupart des pays
    (voir notamment 
  • Lors de l’épidémie initiale de Covid, la Grippe a pratiquement disparu des radars.
  • La 5G a été initialement installée à Wuhan, en Corée du Sud et Saint-Marin, pays qui ont vu naître l’épidémie.
  • Le Laboratoire P4 de Wuhan a été financé en partie par la France (par le biais de l’Institut Pasteur). Ce laboratoire travaillait sur des coronavirus issus notamment de chauves-souris
    (voir : 
  • L’OMS a recommandé initialement les mesures sanitaires Covid-19 reprises en chœur par la plupart des pays membres, sans preuve scientifique suffisante de leur validité et alors que jamais dans l’Histoire humaine de telles mesures n’avaient été prises (distanciation sociale, port du masque obligatoire, confinement de biens portants, etc.).
  • Les courbes de mortalité des différents pays ne montrent généralement aucune incidence favorable de ces mesures sur l’évolution de la situation (voir notamment les données de l’OMS et OurWorldinData).
  • Une pandémie très similaire a été simulée quelques semaines avant celle attribuée à la Covid-19, lors de lEvent 201 en fin 2019.
  • Il existe des composants biologiques minuscules d’aspect similaire dans les cellules humaines et animales, dont certains sont appelés « endosomes » (ou « exosomes » lorsqu’ils en sortent) et d’autres « virus » ou « rétrovirus » et dont on ne connaît pas en toute certitude la fonction ou les fonctions exactes.
  • Alors que l’hypothèse d’une origine humaine du SRAS-CoV-2 était décriée pendant près d’un an comme étant purement « complotiste », bien qu’elle soit soutenue comme hautement probable par le Professeur Montagnier et quelques autres sommités, elle circule maintenant sur les médias mainstream en tant qu’hypothèse réaliste et assez probable, surtout depuis que le gouvernement américain a commencé à investiguer sur cette question.
  • Les symptômes attribués à la maladie Covid-19 sont le plus souvent
    (voir Maladie à coronavirus (COVID-19) : Symptômes et traitement — Canada.ca) :
    • apparition ou aggravation de toux
    • essoufflement ou difficulté respiratoire
    • température égale ou supérieure à 38 °C
    • sensation de fièvre
    • frissons
    • fatigue ou faiblesse
    • douleurs musculaires ou courbatures
    • perte de l’odorat ou du goût
    • mal de tête
    • symptômes gastro‑intestinaux (douleur abdominale, diarrhée, vomissements)
    • malaises intenses.
  • Les symptômes attribués aux ondes pulsées (Wi-Fi, Bluetooth, 3G, 4G, 4G+…), similaires à ceux attribués à d’autres agents tels que chimiques en raison notamment des phénomènes de résonance et d’induction électromagnétique qui peuvent être induits par ces ondes à des fréquences particulières correspondant aux fréquences propres (notamment d’absorption) de ces agents
    (voir Diagnostic, traitement, ressources — ASEQ-EHAQ) :
    • Symptômes neurologiques : maux de tête, vertiges, nausées, difficultés de concentration, perte de mémoire, irritabilité, dépression, anxiété, insomnie, fatigue, faiblesse, spasmes musculaires, altération des réflexes, douleurs articulaires, douleurs dans les jambes, fièvre, ainsi que des symptômes plus sévères pouvant inclure des paralysies ou encore des psychoses.
    • Symptômes cardiaques : palpitations, arythmie, douleur dans la poitrine, modification de la pression sanguine, modification du rythme cardiaque, manque de souffle.
    • Symptômes respiratoires : sinusites, bronchites, pneumonies, asthme.
    • Symptômes dermatologiques : rougeurs, démangeaisons, sensation de brûlure.
    • Symptômes ophtalmologiques : douleurs et sensations de brûlure, tension oculaire, détérioration de la vision, cataracte.
    • Autres symptômes : problèmes digestifs, douleur abdominale, problème de thyroïde, douleurs aux ovaires ou aux testicules, sécheresse de la bouche, de la langue, des yeux, grande soif, déshydratation, saignements du nez, saignements, modification dans l’assimilation de sucre, problèmes immunitaires, perte de cheveux, douleurs dans les dents, détérioration des sens, perte d’odorat, bourdonnement dans les oreilles.
  • Symptômes grippaux 
    (voir Les symptômes et l’évolution de la grippe:
    • une forte fièvre (autour de 39 °C) ;
    • des frissons ;
    • une fatigue intense (asthénie), une sensation d’abattement avec perte d’appétit ;
    • des douleurs musculaires (courbatures) et articulaires diffuses ;
    • des maux de tête (céphalées) ;
    • puis une toux sèche et douloureuse.
  • Symptômes de l’action de la protéine Spike des « vaccins » à ARNm et du SRAS-CoV-2 
    (voir : SARS-CoV2 : alertes sur les potentialités toxiques de la protéine Spike (francesoir.fr)):
    • microthromboses et saignements, etc.
  • Ondes électromagnétiques et corps humain
    • Le Wi-Fi, la 3G, la 4G, la 4G+, la 5G, etc. sont des ondes électromagnétiques pulsées.
    • Le corps humain est aussi de nature électrique (influx nerveux et neuronaux, courants électriques dans les mitochondries pour la transformation du glucose en ATP, etc.) et magnétique (présence de magnétite dans les cellules).
    • Même à très faible intensité, les cellules humaines peuvent subir des effets de la part des ondes électromagnétiques (spécialement lorsqu’elles sont pulsées, à cause de l’équivalence des impulsions et de la superposition d’un très grand nombre d’ondes de fréquences différentes — cf. la transformée de Fourier d’un pic de Dirac), ceci notamment par les phénomènes physiques de résonance et d’induction magnétique :

]




Fortes tensions, séismes dans le monde de l’anal

Par Alain Tortosa

Le hors-série semestriel de « anal magazine » fait voler en éclat le consensus sur les mesures (dans le cul) de lutte contre le Covid

Tremblements, secousses, explosions et ondes de choc dans le monde de l’anal !

Le dernier numéro hors série de « anal magazine », celui dont nous attendons tous avidement la parution, du fait du poster en page centrale au format A3 que nous nous empressons d’afficher sur le mur de notre salon, a fait voler en éclat le consensus scientifique sur le Covid.

Tels un éclair ou des coups de tonnerre, la nouvelle est tombée !

Alors que les spécialistes étaient tous d’accord pour dire que le test PCR anal(([1] https://www.futura-sciences.com/sante/breves/coronavirus-test-anal-covid-19-plus-fiable-test-nasal-3852/)) était une grande avancée dans la lutte contre le Covid…
Test qui était unanimement reconnu comme étant moins invasif, plus efficace (et surtout plus agréable) que le test PCR nasal.

À ce titre, le courrier des lecteurs de « anal magazine » ne tarissait pas d’éloges sur celui-ci… des clubs avaient d’ailleurs été créés dans toute la France.
En revanche nous avions reçu à la rédaction de nombreuses lettres de présidents de clubs de bridge ou de scrabble qui dénonçaient les clubs « anal PCR » comme étant une concurrence déloyale.
Il est en effet évident de constater qu’ils ne faisaient pas le poids face à une nouvelle source de plaisirs immédiats et conviviaux.

Le test PCR anal faisait donc partie de l’arsenal de lutte contre le Covid avec son fameux slogan :

« Une tige dans le cul, une vie sauvée ! »

Slogan qui valut à ses auteurs le grand prix du concours annuel de « anal magazine », et dont le court métrage dans lequel apparaissent les fesses d’une star de cinéma fut diffusé en avant-première lors de la biennale de Venise sous les acclamations du public qui était… sur le cul.

Bien vite, le test PCR anal fut complété par la plus grande invention que le siècle ait connue pour lutter contre le Fléau.
Son génial inventeur, dont la modestie est telle qu’il a toujours désiré flouter son arrière-train, avait théorisé, testé, évalué la fameuse plume dans le cul.(([2] https://7milliards.fr/tortosa20210904-plume-dans-le-cul.pdf
ou Face au variant Delta une seule solution : la plume dans le cul ! – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))
Comme toutes les inventions géniales, le public et les scientifiques ont tout de suite considéré que cette invention était évidente et naturelle…

Il est vrai que les premiers essais furent sources de quelques irritations, mais largement compensées par le sentiment d’agir pour le bien de l’humanité, mais aussi, parfois, ne le cachons pas, pour le sien propre.

Ah ! Je me rappelle quand Marcel, pour faire avancer la science, s’enfonça totalement une plume d’albatros dans le cul,… sous notre regard médusé, mais pour autant admiratif.

Mais bon, redevenons un peu sérieux, c’est quand même grâce à la plume dans le cul (je vous invite à lire le dossier scientifique à l’occasion) que l’épidémie marqua le pas, sauvant des centaines de millions de personnes à travers le monde, condamnées sans cela à une mort tragique… et bien triste.

Aujourd’hui strictement personne n’oserait remettre en question l’efficacité et l’utilité de la plume dans le cul pour se protéger du Covid. Sans compter que le monde a gagné en beauté et en couleurs !
Qui pourrait ne pas se réjouir, en voyant des centaines de personnes sortir précipitamment d’une rame de RER avec une plume dans le cul…
On pourrait s’imaginer dans la savane africaine avec l’envol de milliers d’oiseaux dans le soleil couchant…

Bref tout était pour le mieux et tout n’était qu’harmonie dans la lutte contre le Covid.
Mais voilà que l’Institut Pasteur, probablement aigri et relégué au rôle de simple prévisionniste dont le personnel avait été recruté dans les hippodromes, se contentait de lire l’avenir dans les entrailles de poissons.

Bon ne soyons pas trop dur quand même, force est de constater que leurs prévisions ont « toujours » été fausses, ce qui est une preuve de leur « justesse ».

Je vous explique :
Si vous dites à quelqu’un qu’il va se faire écraser par un camion en traversant la rue, il va bien évidemment faire attention et donc ne pas se faire écraser.
C’est donc grâce à la fausse prédiction qu’il ne s’est pas fait écraser.

Si les prévisions de l’Institut Pasteur (et de tous les autres) se sont révélées fausses, c’est la preuve qu’elles étaient justes !
Des mesures totalement « efficaces » comme le masque ou la plume dans le cul ont été mises en œuvre et ainsi permis de sauver des vies. Les prévisions ne se sont pas réalisées et donc c’est bien la preuve qu’elles étaient justes…
Fin de la parenthèse.

Donc, cet Institut Pasteur, qui n’a pas été reconnu pour le « génie de ses fausses prévisions » a voulu frapper un grand coup dans la lutte contre le virus.

Il a donc fait (et fait encore) des essais sur un médicament pour lutter contre le Covid, mais, voulant surfer sur la vague, il a décidé non pas que celui-ci serait administré par injection, solution buvable ou gélule à avaler, mais sous forme de suppositoire(([3] https://www.huffingtonpost.fr/entry/lessai-clinique-de-suppositoires-anti-covid-19-a-linstitut-pasteur-manque-de-patients_fr_61366b54e4b0f1b97064a459)) dans le cul !

J’entends qu’ils avaient compris que l’orifice a une importance capitale dans la lutte contre le virus, mais pour autant cela ressemble vraiment à du plagiat.

Attention, il ne s’agit pas pour nous ou pour « anal magazine » de remettre en question l’efficacité d’un suppositoire dans le cul, il faudrait être débile ou complotiste pour imaginer qu’elle ne serait pas décuplée en passant par ledit orifice.

Néanmoins, il faut se rendre à l’évidence, le suppo n’est PAS compatible avec la plume dans le cul !

En effet le suppositoire entraîne une lubrification de l’anus qui, quand bien même source de plaisir, rend quasi impossible la tenue dans le temps d’une plume.

Je vous rappelle que l’objet de la plume dans le cul est de filtrer nos flatulences afin de retenir l’odieux virus et ainsi sauver des vies.
Mais lorsque vous utilisez un suppositoire, l’orifice est à ce point lubrifié, que lorsque vous en lâchez une, l’énergie déployée expulse la plume !

Nous avons ainsi assisté à de nombreux accidents, heureusement sans gravité… mais plusieurs personnes qui admiraient les superbes oscillations des plumes dans le cul de leur voisin ont failli avoir un œil crevé par ces jets de plumes, telle la flèche d’un arc.

Autant le consensus demeure pour affirmer unanimement qu’il faut nous la mettre bien profond et même de plus en plus profond, autant il y a désormais divergence sur le contenu à insérer !

Nous assistons désormais à ce qui pourrait s’apparenter à un « schisme » dans le monde scientifique et c’est d’autant plus déplorable qu’il y avait un consensus total depuis le début de la crise du Covid…

100 % des scientifiques de la planète étant bien évidemment totalement en accord avec les mesures prises par le gouvernement et l’analyse de la situation.
Je ne parlerai pas ici de la dizaine de malades mentaux à travers le monde qui véhiculent des théories complotistes totalement délirantes comme le fait que le confinement, le masque dans une population générale ou les injections expérimentales ne seraient pas efficaces et même seraient dangereuses.

Ces mêmes fous allant jusqu’à véhiculer des idées comme quoi des molécules vétérinaires du siècle dernier seraient inoffensives et efficaces !

Comme l’explique si bien l’article « d’anal magazine », nous avons désormais les « pro-plumes dans le cul » versus les « pro-suppo dans le cul » et force est de constater que les deux ne sont pas compatibles.

Dans un souci de démarche scientifique, nous nous sommes donc attelés à faire un tableau comparatif des deux méthodes en soulignant le pour et le contre pour chacune d’entre elles :

Vous voyez bien qu’il n’y a pas photos.
Objectivement la plume dans le cul est largement supérieure au suppo dans le cul…
Soyons optimistes et voyons donc dans le suppo un épiphénomène qui ne tardera pas à passer aux oubliettes.

Nous pouvons nous réjouir, le gouvernement n’a pas fini de vouloir nous la mettre le plus profond possible et nous ne pouvons que le remercier pour cela.

Alain Tortosa pour « anal magazine ».

14 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210914-plume-cul-vs-suppo-cul-anal-mag.pdf




Lettre ouverte et pétition nationale de soutien au Dr Amine UMLIL

[Source : Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)]

13 septembre 2021 / Commentaires ferméssur Lettre ouverte et pétition nationale de soutien au Dr Amine UMLIL

Le 15 septembre prochain, le Dr Amine UMLIL, responsable de l’unité de pharmacovigilance du centre hospitalier (CH) de Cholet et plusieurs professionnels de la santé et autres professionnels risquent la suspension de leurs fonctions avec une interruption immédiate de leur rémunération, et sans possibilité d’exercer une autre activité rémunérée.

La lettre ouverte ci-dessous constitue le fondement d’une pétition nationale de soutien à l’excellent travail de vigilance pharmacologique du Dr Amine UMLIL, et de protestation contre la menace de suspension de ses fonctions. Elle vient en complément d’un dépôt d’une requête en Référé liberté au tribunal administratif de Nantes demandant notamment la suspension en urgence de l’obligation vaccinale (contre la Covid-19), avec une QPC (question prioritaire de constitutionnalité) à titre subsidiaire et une question préjudicielle à titre encore plus subsidiaire. Elle fait également suite à la suppression abusive et scandaleuse de la page web du Centre Territorial d’Information et d’Avis Pharmaceutiques (CTIAP), jusqu’alors incluse dans le site du centre hospitalier de Cholet. Cet événement grave de par sa symbolique constitue le point d’orgue d’une campagne de harcèlement et d’intimidation contre la personne et le travail légitime de veille et d’information accompli par le Dr UMLIL au sein du CTIAP du centre hospitalier de Cholet. Par ailleurs, cette lettre ponctue elle-même une série de lettres ouvertes du Dr UMLIL, qui pour la grande majorité sont restées sans réponses :

–    la première était adressée au Ministre des solidarités et de la santé, M. Olivier VERAN, et l’interpellait sur l’illégalité du projet de vaccination obligatoire, lettre restée sans réponse ;

–    la seconde invitait son contradicteur, le Dr Jean-Michel DEBARRE, à un débat télévisé public à une heure de grande écoute. Cette seconde est également restée sans réponse et n’a même pas, du reste, été relayée par le Courrier de l’Ouest, comme s’il y avait une volonté manifeste d’enterrer à tout prix le débat scientifique et de faire taire les voix dissidentes courageuses. En tout état de cause, il est certain qu‘un refus de débattre publiquement peut être interprété, comme l’écrit le Dr UMLIL, “comme une reconnaissance du bien-fondé de l’intégralité de [m]ses réflexions publiées” ;

–    la troisième lettre ouverte adressée à la direction du centre hospitalier de Cholet marquait une étape supplémentaire dans le combat du Dr UMLIL pour faire triompher la science, la raison et le droit contre la pseudoscience, la folie, les mensonges, les conflits d’intérêt et collusions entre les groupes pharmaceutiques, le monde politique et les organismes de santé publique. Il y révélait les jacasseries, puérilités et mesquineries d’un directeur d’hôpital davantage effrayé par les insinuations de “complotisme” d’un critique anonyme sur Twitter que par les avertissements d’un scientifique professionnel qualifié au sujet de l’illégalité de l’obligation vaccinale et des effets indésirables potentiels des vaccins. Il y révélait de savoureux détails sur des pratiques inimaginables dans un établissement hospitalier qui datent d’une époque révolue et montrent les dessous de la “science” officielle.

Dans cette lettre ouverte, nous présentons l’activité de vigilance pharmacologique et argumentons sur un de ses apports déterminants lorsqu’elle est exercée librement, c’est-à-dire dans un climat de confiance réciproque avec le système. Nous mettons ensuite en avant la contribution particulière du CTIAP avec à sa tête le serviteur exceptionnel de son métier en la personne du Dr Amine UMLIL. Les obstacles rencontrés lors de ce service de vigilance sont énumérés et étayés de façon à permettre au lecteur d’évaluer le niveau de déstabilisation et de sabotage subis. Finalement, un appel légitime au soutien du Dr Amine UMLIL est lancé, manifesté par la signature d’une pétition.

Sur la nature de la pharmacovigilance et ses apports (en exercice libre) : cas de la Covid-19

Le travail de vigilance pharmacologique est essentiel pour un fonctionnement sain du système pharmaceutique. D’après la définition indiquée sur le site du ministère français des solidarités et de la santé, il “a pour objet la surveillance des médicaments et la prévention du risque d’effet indésirable résultant de leur utilisation, que ce risque soit potentiel ou avéré. Elle constitue une garantie qui s’exerce tout au long de la vie d’un médicament”.

Cela est simple à comprendre. Par exemple, lorsque m’approchant d’une destination identifiée, je n’en sais pas le chemin sur le dernier kilomètre, je peux me faire aider par un passant. Si ce dernier m’indique la direction, je me mets ensuite en marche dans cette direction suivant un ordre du cerveau à mes muscles ; mais ce sont mes yeux ou à défaut un bâton qui m’aident à détecter et contourner les obstacles plus ou moins dangereux pendant ce parcours. De façon analogue, les terminaisons nerveuses de la peau vous permettent d’éviter de vous brûler au troisième degré, même si prendre et transporter la tasse de thé chaud sont bien les gestes que vous aviez décidé de faire. Les fonctions de contrôle et de régulation des systèmes, parties intégrantes même de l’organisme, sont donc nécessaires et même vitales. Le système pharmaceutique ne fait pas exception.

L’un des impacts majeurs de ce travail de pharmacovigilance est de générer la confiance des usagers dans le bon fonctionnement de l’écosystème pharmaceutique. Les tensions actuelles qui traversent notre nation illustrent intensément les menaces graves que fait peser l’étouffement ou le dysfonctionnement de tout mécanisme régulateur – générateur de confiance – sur l’équilibre sociétal. Voici un échange entre le Courrier de l’Ouest et le directeur du CH Cholet, datant de décembre 2020, rapporté par le Dr UMLIL et concernant la 7e réunion d’information indépendante destinée au public. Elle portait justement sur le sujet des vaccins contre la Covid-19. Cet échange expose la pertinence de l’activité du CTIAP comme instrument de vulgarisation dans le contexte actuel :

« Bonjour,

Nous avons pris connaissance de l’organisation d’une soirée d’information du CTIAP jeudi prochain autour des questions liées à la vaccination contre le Covid-19. Sujet qui intéresse évidemment nos lecteurs. Dans le doute, faute de communication officielle de l’hôpital, peut-on savoir si la direction de l’établissement cautionne sa tenue ? (…) »

Courrier de l’Ouest.

“À cette question du journal, vous le directeur avez répondu ceci :

« Monsieur [un journaliste du Courrier de l’Ouest],

La vaccination est un enjeu majeur pour limiter, voire supprimer l’impact de la COVID. Le Centre Hospitalier de CHOLET souhaite la réussite des opérations de vaccination qui seront menées dès que les autorisations sanitaires indépendantes en France et en Europe auront validé ces vaccins. La réussite de ces opérations suppose l’adhésion et la confiance de la population, qui, passe par une information claire et transparente sur le sujet. C’est pourquoi l’initiative du CTIAP est la bienvenue. (…) »

Pierre VOLLOT, directeur du centre hospitalier (CH) de Cholet.

C’est certainement sur la confiance (légitime) en une information claire et transparente provenant de la pharmacovigilance que veut s’appuyer notre premier ministre, M. Jean CASTEX [JC, ci-dessous] lorsqu’il l’évoque dans cette interview :

– JC : Ce vaccin présente une certaine efficacité notamment pour les formes les plus graves de la maladie. Donc, nous avons un système qui s’appelle la pharmacovigilance où on suit cela de très près ; de façon extrêmement rigoureuse. Je peux vous assurer que si j’avais le moindre doute, si j’avais le moindre doute…

– Animateur : Vous demanderiez la suspension.

– JC : Absolument ! Parce que c’est mon devoir, c’est ma responsabilité. Mais à ce stade, il faut avoir confiance en ce vaccin.

Extrait à retrouver dans cette vidéo, à l’instant 17’15.

La question légitime que l’on serait naturellement porté à se poser est la suivante :

La pharmacovigilance française ou internationale a-t-elle à ce jour produit, agrégé et délivré une information claire et transparente relative aux solutions pharmaceutiques à la pandémie de Covid-19 ?

Nous croyons que les quelques éléments rapportés ci-dessous permettront au lecteur de pouvoir répondre sans ambiguïté à cette dernière question.

Rappelons, s’il en est besoin, que la résolution du volet sanitaire de la crise que nous vivons aujourd’hui se dessine à l’échelle mondiale autour d’une campagne quasi globale de vaccination, avec principalement des vaccins dits à ARN/ADN. Ces vaccins, divergeant du principe habituel de conception de vaccins, s’appuient sur l’émission de message ADN/ARN ordonnant à la machinerie de l’expression génique cellulaire de synthétiser massivement la protéine spike (qui caractérise le virus) ; une réponse immunitaire est ainsi forcée en réaction à cette apparition. Le principe habituel, consistant aussi à forcer une réponse immunitaire, la favorise par une injection d’un échantillon inoffensif du virus isolé, sans intrusion autoritaire dans la machinerie génique cellulaire.

Dans ce premier article, l’auteur(([1] Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherches au CNRS (Centre Méditerranéen de Sociologie, de Science Politique et d’Histoire.) )) élabore une surveillance des vaccins ARN/ADN au travers de leurs impacts relatifs sur la propagation du virus qu’ils doivent combattre. Il s’appuie sur des données nationales issues de sources étatiques ou d’organisations internationales officielles (compilées et traitées par ourworldindata.org, voir au bas de la page Web), et portant sur le nombre de personnes testées positives à la Covid-19 et le nombre de personnes décédées de la Covid-19. Ces données couvrent la période allant de décembre 2020 au 16 juillet 2021 – correspondant à la campagne globale de vaccination. Pour les 15 pays les plus vaccinés, ces données permettent une conclusion que l’on peut considérer comme une connaissance certaine :

La vaccination n’a pas empêché l’émergence de nouveaux cas ni la contamination, puisque des phases épidémiques tardives ont été observées dans les 15 pays les plus vaccinés (> 50 % de moyenne) à la date du 16 juillet 2021.

Cette conclusion et toutes celles que l’on peut tirer de ces données-là ouvrent le champ de réflexion sur d’autres interrogations, dont la question principale suivante : quelle est la proportion de vaccinés/non-vaccinés parmi les nouveaux cas ? Nous y revenons plus bas.

Dans un séminaire donné à l’Institut Hospitalier Universitaire (IHU) Méditerranée tenu le 29 juin 2021, le Pr Peter McCullough, qui a « traité des personnes de plus de 90 ans à la maison qui ont été malades, mais sans être hospitalisées », a rassemblé les données de plusieurs dizaines d’études ayant élaboré une surveillance de la valeur thérapeutique de plusieurs traitements anti-Covid : ivermectine et hydroxychloroquine pour les plus connus, mais également infusions d’anticorps anti-protéine spike, favipiravir, corticostéroïdes, colchicine, anticoagulants. Les méta-études (résumés synthétiques des études) concernant en particulier l’ivermectine et l’hydroxychloroquine révèlent les données suivantes :

Phase/Type d’essais Nombre d’essais Amélioration en %
IVERMECTINE pour Covid-19 au 26 août 2021
63 essais, 613 scientifiques, 26 398 patients
Traitement prophylactique 14 86
Traitement précoce 27 72
Traitement tardif 22 40
Nombre de décès survenus 25 58
Essai randomisé 31 58
HYDROXYCHLOROQUINE pour Covid-19 au 26 août 21
279 essais, 4555 scientifiques, 398 331 patients
Traitement précoce 30 65
Traitement précoce RCT 7 48
Traitement tardif 190 21
Nombre de décès survenus après traitement précoce 13 75
Essai randomisé 43 23

Les données présentées ont conduit le Pr McCullough aux conclusions suivantes :

  • La période de maladie avant l’hospitalisation est LA période favorable d’intervention.
  • L’hospitalisation et le traitement tardif correspondent à une sûreté faible des médicaments avec une mortalité intolérablement haute.
  • Le traitement ambulatoire précoce, réalisé séquentiellement avec un panache de médicaments a un profil bénéfice-risque positif (risques réduits d’hospitalisation et de décès.)

Relativement à ces traitements, le docteur Harvey Risch de l’université de Yale a affirmé dans un article-témoignage que la clé pour vaincre la Covid-19 existe déjà : il y mentionne de nombreuses études sur des traitements avec zéro mort sur des quantités importantes de patients à haut risque atteints de la Covid-19, et provenant d’Israël, des États-Unis, du Brésil. Il rapporte aussi qu’en Suisse, autour de la période allant du 27 mai au 11 juin 2020, un pic de 400 % du nombre de morts de la Covid-19 s’est intercalé entre une interdiction gouvernementale de prescription libre d’hydroxychloroquine et la levée de cette interdiction.

Justement, le Pr McCullough a aussi présenté des indicateurs qui permettent d’évaluer très objectivement les effets indésirables des vaccins à ARN/ADN. Sachant que par exemple, en 1976, la surveillance avait conduit à l’arrêt du programme de vaccination contre la grippe porcine après (seulement) 25 morts enregistrés, il est rapporté par le Pr McCullough les données suivantes :

Au 11 juin 2021, le VAERS [Vaccine Adverse Event Reporting System] – plateforme de collecte des événements adverses liés aux vaccins – affichait pour les seuls vaccins à ARN/ADN 5993 morts et 20 737 hospitalisations pour 358 379 signalements. En comparaison, le cumul de ces mêmes indicateurs avant les vaccins ARN/ADN produit une moyenne d’environ 158 morts par an pour 16 320 signalements annuels : ces dernières données portant sur un total de 70 vaccins différents et 500 millions d’injections. L’on peut donc observer, à part les hausses explosives des nombres absolus d’événements rapportés et de décès (2 200 % et 3 700 % respectivement), une hausse de 72 % de la proportion de décès parmi les événements rapportés.

Ces données ont conduit le professeur à la conclusion suivante :

Les vaccins à ARN/ADN ont un profil de sûreté défavorable, et ne peuvent dès lors pas être approuvés pour un usage clinique.

Cette conclusion est partagée par un très grand nombre de spécialistes de ce domaine, et s’appuie, comme mentionné précédemment, sur des dizaines d’études produites par des scientifiques du monde entier. Un article datant de mai 2021 présente les questions urgentes que posent 57 médecins et spécialistes de 17 pays différents, et met littéralement en demeure les régulateurs nationaux et internationaux de suspendre incessamment la campagne courante de vaccinations, afin de « commencer des évaluations critiques indépendantes » et un « dialogue pluraliste » portant sur des questions critiques nécessitant des réponses urgentes si l’on souhaite particulièrement « éviter une érosion à l’échelle mondiale de la confiance du public dans la science et dans la santé publique ». Et cette érosion ne menace pas seulement le grand public, mais s’attaque aux corps constituants du système médical et paramédical. À titre d’exemple, ce témoignage viral d’un sapeur-pompier lyonnais qui découvre avec beaucoup d’émotion que les nombreux AVC qu’il a observés récemment dans l’exercice de sa fonction « ont bien un lien avec » l’injection des vaccins à ARN/ADN, et qu’il n’y a « rien qui ne remonte » malgré le fait que les infirmières « alertent tout le monde »…

L’émergence de toutes ces données ainsi que les conclusions logiques qui en ont découlé ont conduit le Pr McCullough à entreprendre de les vulgariser largement, jusque devant une commission sénatoriale du Texas, aux États-Unis, dont la présidente a été directement impactée par le traitement et la guérison de son époux à domicile. Il s’est impliqué, avec des partenaires de l’Association des médecins et chirurgiens américains, dans l’édition – salutaire pour des milliers d’autres – du guide de traitement de la Covid-19 à domicile.

Sur les causes d’une pharmacovigilance qui dysfonctionne et ses graves conséquences

« La justice ne viendra pas à Athènes jusqu’à ce que ceux qui ne sont pas blessés soient aussi indignés que ceux qui sont blessés. »

Thucydides

En France, nous pourrions (presque) tous avoir oublié les récents et moins récents scandales sanitaires. Est-ce que l’on devrait attendre d’être soi-même victime directe ou indirecte dans l’un de ces scandales, avant de joindre sa voix à celles et ceux qui exigent les garanties d’un fonctionnement plus clair, transparent et sain des organes publics et des système médicaux et paramédicaux qu’ils sont censés surveiller ?

Dans un récent article intitulé « Médicaments, argent et faits trompeurs », la journaliste Laura Spinney réaffirme qu’il “est plus que jamais essentiel que la société puisse faire confiance aux entreprises pharmaceutiques qui cherchent à obtenir une approbation règlementaire”. Or, en citant dans son article les travaux du pédopsychiatre Jon Jureidini et du philosophe Leemon McHenry, elle rapporte que ceux-ci “contestent l’hypothèse selon laquelle tous les médicaments et appareils médicaux approuvés sont sûrs et efficaces. Ils avertissent que lorsque la science clinique s’accroche à la course aux profits de l’industrie pharmaceutique, la méthode scientifique est sapée par les effets de marketing et le tri sélectif des données. Ils proposent une solution inspirée par le philosophe des sciences Karl Popper : retirer les essais des médicaments des mains des fabricants”. Cette solution forte s’appuie sur le constat par les auteurs de “déformations volontaires de données de sécurité et d’efficacité” lors d’essais sur la paroxétine et le citalopram, respectivement objets des études 329 de GlaxoSmithKline et CIT-MD-18 de Forest Laboratories.

Peter C. Gotzche, dans son livre Remèdes mortels et crimes organisés, particulièrement étayé de preuves détaillées, constate que l’une des causes de cette atrophie de l’action de pharmacovigilance réside dans le fait que « les patients ont confiance (aveuglément ! NDLR) dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… » Avis bien résumé par lui par ces mots : “Tout ce que nous savons sur leur compte (c’est-à-dire sur les médicaments), c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins…”

Concernant les conséquences de ces actions, nous avons déjà mentionné l’effet dévastateur de la perte de confiance du public, et surtout – dans la crise actuelle – du personnel médical et paramédical. Le système, qui se veut vigilant et se dote d’organes consacrés, apparaît comme schizophrène puisqu’il s’emploie à asphyxier méthodiquement ces organes. En ce qui concerne la confiance, notamment dans les acteurs industriels de production et de vente de médicaments, il existe une liste de condamnations(([2] Les liens donnés plus bas apparaissant dans l’histoire fictive extraite des réseaux sociaux. Les sites sont en anglais.)) dont la longueur est tout simplement choquante ! En fait, la violence du choc est renforcée à la lecture des motifs de condamnation (falsifications volontaires, etc.) et surtout au constat de la forte proportion de récidive. Qualifieriez-vous de responsable une attitude qui consisterait à exiger des garanties claires et fortes face à une proposition d’injection d’un vaccin provenant de l’un de ces acteurs industriels, dont l’utilisation est frappée de surcroît d’une autorisation de mise sur le marché dite conditionnelle (AMM) ? Et comment qualifieriez-vous l’attitude d’un chef de famille qui n’exigerait pas ces garanties ? Une histoire – (probablement) fictive – publiée(([3] Pseudonyme Anna-Lyse sur Twitter.)) sur un réseau social illustre bien ce questionnement :

Suis-je une mère irresponsable ?
Pfizer…

15 sept. 1825. Une mère, 3 enfants. Accusée à tort d’irresponsabilité, elle a été éloignée, retenue loin de ceux-ci, dès lors en situation de grande détresse. Le plus âgé avait 15 ans.
AstraZeneca… 

Une lettre, dans laquelle elle rassure, et décrit comment ils vont pouvoir affronter l’année à venir sans elle (la cachette de la bourse, la tante à 3 j de charrette, etc.)
Johnson & Johnson…

Ce jour-là, la prison ne lui a proposé, comme messager de la lettre, nul autre qu’un abuseur récidiviste, sortant de prison du fait d’un aménagement de peine “opportun”.

Avec tout ça, Moderna devrait-elle garder son SM-102 secret ? 

Ils ont insisté, affirmant qu’ils n’avaient pas le choix…

Finalement, nous ne mentionnerons pas le nombre de décès et autres destructions physiologiques et psychologiques vécues par les victimes d’un consentement non éclairé à exposer leurs êtres à des substances ou des protocoles de traitement. L’absence de cette lumière éclairante étant fortement favorisée par l’absence d’exercice libre ou la défaillance orchestrée des systèmes de régulation, et particulièrement la pharmacovigilance. À ce sujet, des réseaux sociaux ont incompréhensiblement et, semble-t-il, abusivement censuré un groupe destiné à recenser les victimes d’effets indésirables en France. Mais sur d’autres plateformes plusieurs témoignages sont apparus ; et ceux-ci ne décrivent probablement qu’une partie émergée de l’iceberg, tant la censure sur les réseaux sociaux apparaît anormalement intense contre les témoignages de ce type. Quelques-uns, très emblématiques, apparaissent dans ce documentaire sur AstraZeneca.

Sur les obstacles à l’exercice libre de la pharmacovigilance et le rapport positif à la contradiction du Dr UMLIL

Si les huit (8) ans de « gestation administrative » du CTIAP – dont le projet était prêt dès le 10 décembre 2007 – pouvaient déjà interpeller, la litanie d’obstacles de toutes sortes qui se succèdent depuis les premières prises de positions critiques émanant de cet organisme dans la crise actuelle doit interpeller encore davantage le lecteur de cette lettre. Et ce au regard, d’une part, de la reconnaissance profonde, unanime et prolongée dans le temps de la qualité du travail accompli par le Dr UMLIL avant ces dites prises de position ; et d’autre part, du fait de la qualité de l’approche du CTIAP et de son directeur le Dr Amine UMLIL face aux objections exprimées sur le fond : cette approche consistait à ouvrir systématiquement une discussion publique à travers des lettres ouvertes, des droits de réponse au médias relais des opinions de ses contradicteurs, et même des débats télévisés censés présenter les preuves contradictoires. Dans ces différents courriers, il ne nous a pas été donné de trouver ni propos offensants sur la forme, ni arguments de fond qui n’aient été étayés par une preuve documentaire. De plus, il apparaît à notre lecture que les réponses et propositions du Dr UMLIL n’étaient que peu frappées de l’horizontalité stérile, de la plate – et souvent puérile – mise en défaut du contradicteur, mais tendaient toujours à viser la prise en compte de l’enjeu ultime de sa fonction, qui est de faire émerger et s’imposer le factuel et l’information utiles pour l’usager du système pharmaceutique, même à travers l’épreuve de la contradiction.

Les obstacles à l’exercice libre de pharmacovigilance opposés au CTIAP ainsi qu’au Dr UMLIL reproduisent les formes qu’il est possible d’observer concernant plusieurs chercheurs ou praticiens ayant exprimé des opinions divergentes : sources d’origines collégiale, institutionnelle et médiatique, telle une hydre à 3 têtes. Nous faisons remarquer qu’une quatrième tête judiciaire est malheureusement plutôt rare, sinon elle aurait eu la vertu de susciter un apport de preuves probantes de la part des deux parties, permettant ainsi à l’opinion de juger plus justement de la pertinence des positions respectives.

D’un point de vue collégial, le principal obstacle provient de l’attitude de la direction du centre hospitalier de Cholet, avec en tête son directeur Pierre VOLLOT. Ce sont principalement des dénis de compétences ou de légitimité injustifiés au regard des faits, tendant à décrédibiliser l’action ou la personne du Dr UMLIL. Or la conséquence logique principale de la décrédibilisation d’une action ou d’une personne est l’affaiblissement de son impact dans l’atteinte des objectifs de sa mission. L’on peut même se questionner sur la profondeur de ce que subit personnellement le Dr UMLIL en coulisse lorsque ce dernier révèle, preuve à l’appui, avoir été informé par sa direction de l’envoi d’une lettre adressée à un organe disciplinaire contre lui, au travers d’un recommandé avec accusé de réception “adressé alors que j’étais en congé”. Le chapelet des obstacles, manquements, et – il faut le dire – sabotages, est égrené par le docteur, dans sa réponse au directeur Pierre VOLLOT du 23 août 2021, et sa réponse à la direction du centre hospitalier de Cholet du 10 avril 2021.

D’un point de vue institutionnel, c’est le docteur UMLIL qui a été personnellement visé par une lettre adressée au centre national de gestion des praticiens hospitaliers et des personnels de direction de la fonction publique hospitalière (CNG), organe disciplinaire consacré. Dans cette lettre de dénonciation, à laquelle le Dr UMLIL a répondu par une lettre ouverte au CNG du 10 août 2021 (avec ampliation adressée à la tutelle), Pierre VOLLOT évoque un droit de réserve qu’il oppose à la diffusion d’avis critiques et d’analyses proposées par le Dr UMLIL à travers le canal du CTIAP.
Or, sur la forme, le recours à ce droit de réserve à l’encontre d’un pharmacien des hôpitaux s’évapore devant plusieurs dispositions du Code de santé publique qui enjoignent, par exemple, de ne « se soumettre à aucune contrainte financière, commerciale, technique ou morale, de quelque nature que ce soit, qui serait susceptible de porter atteinte à son indépendance dans l’exercice de sa profession » (R. 4235-18 du CSP). Sur le fond, et en cohérence avec ce que nous avons pu constater continuellement dans l’action du Dr UMLIL, sa réponse fut adressée via un avocat sous forme de « lettre – recommandée avec avis de réception – l’invitant [Pierre VOLLOT] à formuler, de façon précise, ses griefs à l’encontre des analyses proposées par le CTIAP et concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19 ».La réponse de Pierre VOLLOT ne contenait « aucun reproche envers les analyses publiées sur le site du CTIAP ».

Le dernier champ d’obstacles, de véhicule médiatique, nous apparaît revêtir une violence particulière, du fait de l’amplification par le nombre et les réseaux sociaux. Il nous est apparu comme constitué d’amalgames, d’omissions, d’enquêtes à charge omettant de consulter les sujets avant publication et ignorant les droits de réponse, et quelques fois de censures grossières et surtout injustifiées, au regard du principe d’équité.

Il s’y trouve en particulier l’évolution plutôt déroutante de la couverture du travail et de l’impact du CTIAP et du Dr UMLIL par le journal Le Courrier de l’Ouest. Toujours avec coupures de presses et autres preuves renseignées, le Dr UMLIL fait constater que :

« le Courrier de l’Ouest, ainsi qu’Ouest-France, avaient toujours relayé l’information selon laquelle les analyses du CTIAP sont « fiables ». Comme le montrent leurs anciens et nombreux articles tels que ceux d’octobre 2017 concernant l’« affaire LÉVOTHYROX® »… Ces anciens articles admettent notamment l’indépendance et la rigueur des analyses proposées.

[…]

Mais, brusquement, les analyses proposées concernant le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, avec la même indépendance et la même rigueur, deviendraient celles d’un « antivax »« complotiste », pourvoyeur de « fausses informations »

Le positionnement initial était aligné sur celui de plusieurs confrères généralistes et spécialisés par lesquels les « réflexions et alertes ont été également relayées » : Le PointLe MondeLe NouvelObsLe Quotidien du PharmacienHospimedia, parmi d’autres.

Mais un article du 14 août dernier – publié sur le Web par Ouest France –  intitulé « Amine Umlil de nouveau en conflit avec l’hôpital », réunit dans son contenu un ensemble de déclarations tendancieuses et peu empreintes de la neutralité promue par la déclaration de Munich. Extrait :

« Le pharmacien est très actif sur son blog et sur les réseaux sociaux. Résolument opposé à la vaccination contre le Covid-19, le Choletais est cité en référence par de nombreux « antivax ». Il a aussi son rond de serviette sur le site internet FranceSoir.fr. Un média sans journaliste, relais de thèses complotistes et de fausses informations. »

De plus, ici encore, le professionnalisme et a minima la déontologie, sinon la probité du journal sont sérieusement défiés par un fait marquant. En effet, à la lecture de la fermeture de l’article :

« Contacté, Amine UMLIL n’était pas disponible, hier »,

La banalité que transporte cette mention n’aurait pas permis de découvrir, sinon de par la révélation par le Dr UMLIL des échanges constituant ce contact, que deux informations avaient été données par le journaliste : (i) seulement un « mot, bref » devait paraître le lendemain, en attendant (ii) d’être « contacté par un ou une de mes collègues » la semaine suivante ; réponses à valeur de promesses, que l’on peut considérer comme logiques, puisqu’à la sollicitation du journaliste le matin même pour l’après-midi (c’est-à-dire la veille de la publication), le Dr UMLIL avait répondu :

« Bonjour Monsieur [nom du journaliste],

Merci pour votre message.

Je ne peux pas cet après-midi.

La semaine prochaine, si vous pouvez.

Bien à vous,

(…) »

Un certain surplus d’honnêteté intellectuelle ou de devoir d’équité envers le Dr UMLIL, sachant le contenu – à charge – de ce qui était attendu comme « mot bref », aurait favorisé cette autre écriture de la fermeture de l’article, par exemple :

« Contacté hier, Amine UMLIL n’était pas disponible. »

Dans une publication dans laquelle le Dr UMLIL dénonce cet article et plusieurs autres meurtrissures publiques contre son image, l’on énumère plusieurs des procédés médiatiques subis par beaucoup trop de chercheurs, scientifiques et praticiens à travers le monde, qui sont passés de la reconnaissance élargie de leurs mérites vers la mise au banc et les injures du fait de l’expression légitime, raisonnée et lucide de questionnements légitimes et de divergences de points de vue.

Sur la reconnaissance de la qualité des contributions particulières du CTIAP et du Dr UMLIL et leur efficacité mesurable

D’abord comme responsable de la pharmacovigilance depuis son recrutement en septembre 2002, ayant mis en place la coordination des vigilances sanitaires en 2007 au centre hospitalier de Cholet, et enfin comme fondateur et acteur majeur du CTIAP dès 2015, le Dr UMLIL a réalisé un travail excellent et reconnu comme tel ; et ce, partant de ses collègues (éventuellement hiérarchiques) jusqu’aux médias locaux et nationaux, généraux ou spécialisés.

Le Point avait qualifié le CTIAP de « structure originale qui pourrait servir d’exemple », et le Quotidien du Pharmacien avait salué « la pédagogie d’un pharmacien ».

Un « Docteur en médecine »« psychiatre des hôpitaux »« praticien hospitalier au centre hospitalier de Cholet depuis 1980 », « ancien président de sa commission médicale d’établissement ». Ce médecin « atteste » ce qui suit :

« Je soussigné (…), atteste, en ce qui concerne mon collègue, Monsieur Amine UMLIL, pharmacien des hôpitaux,

1. Celui-ci apporte au centre hospitalier de Cholet un potentiel de connaissances, de compétences, d’exigences, nouvelles et de nature à constituer une contribution extrêmement positive au fonctionnement de l’hôpital ; il y a lieu de relever en particulier :

— des connaissances scientifiques et méthodologiques rares, une aptitude concrète à l’évaluation des produits et des procédures pharmaceutiques conformes aux exigences actuelles de la science, et surtout : cette évaluation indépendante des actions commerciales des firmes pharmaceutiques ;

— une connaissance précise, détaillée, actuelle de la réglementation relative à l’exercice de sa profession et, ce qui est encore plus important, un rapport positif à la loi et aux règlements ;

— une référence constante aux règles de métier de sa profession, en entendant par là non pas seulement les us-et-coutumes et les habitudes de celle-ci, mais les normes constitutives de l’excellence, d’où, chez mon collègue, un rapport spontanément sincère et sérieux, mais méthodique, aux procédures des démarches qualité ;

— une mise en œuvre effective, chaque fois qu’il n’y a pas été mis obstacle, de ces compétences en termes de performance, en particulier au service des patients grâce à sa disponibilité efficace et rapide auprès des médecins cliniciens, grâce à la qualité et à l’actualité de son information (et de la diffusion de cette information) relative aux risques liés à la pharmacothérapie fondée scientifiquement et non simple relais des messages commerciaux des firmes pharmaceutiques ;

— un respect de principe, sans doute excessif, parce que systématique, pour ses aînés et pour les détenteurs de l’autorité, de nature à lui rendre totalement inintelligible que ceux-ci ne s’illustrent pas par leur exemplarité en termes relationnels, professionnels, déontologiques et éthiques.  (…) ».

L’actuel directeur du centre hospitalier de Cholet, Pierre Vollot, attestait en 2017, auprès du ministère public d’Angers :
« […] Monsieur le Docteur UMLIL a acquis une expertise technique incontestable, renforcée par des capacités pédagogiques certaines. »

D’autre part, quand le législateur mosaïque recommandait, dans une loi sociale du texte biblique, de ne pas craindre le service prophétique de l’individu dont les oracles ne s’accomplissent pas, il ne croyait peut-être pas si bien fournir un indicateur objectif de mesure pour tout service de vigilance. Ici, et en l’espèce, dans une lettre ouverte datant du 12 mars 2021, le Dr UMLIL avertissait déjà de la nécessité d’un « recueil de consentement libre et éclairé », dénonçant alors le « projet d’obligation vaccinale » comme contrevenant aux articles 7.3.1 et 7.3.2 de « la résolution 2361 » du Conseil de l’Europe « adoptée le 27 janvier 2021 – alors même que même la loi introduisant le pass sanitaire n’allait intervenir que deux mois plus tard. Propos conclus à l’époque en qualifiant ledit projet de « faute juridique, morale, éthique et politique notamment ». Si six mois plus tard l’atmosphère sociale est saturée de ces sujets-là précisément, c’est bien dire que depuis sa vigie – le CTIAP, la sentinelle UMLIL avait bien vu ! Sinon cela révèle tout au moins la fiabilité de ses sources et une fatale efficacité du travail de vigilance effectué à ce moment-là, qui consiste à (pré)voir et signaler les anormalités et menaces perçues.

Appel final à manifester son adhésion à la nécessité de l’exercice libre de la vigilance pharmacologique et son soutien au CTIAP et au Dr UMLIL

Sur la base de ce qui précède, nous, signataires rassemblés par le collectif Vigilance Pandémie, appelons à exprimer concrètement l’adhésion à l’exercice libre de la pharmacovigilance, fonction vitale de notre système de santé, et ce en signant la pétition de soutien à l’un de ses fleurons nationaux, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet, et au Dr Amine UMLIL son fondateur et dont il est une principale figure active. Ce dernier est particulièrement menacé aujourd’hui par la perte de son poste du fait d’une obligation vaccinale dont la teneur sanitaire et juridique a été l’objet de ses critiques ordonnées.

La toile, à travers plusieurs médias, des sites internet ainsi que les réseaux sociaux, révèle une multiplication d’obstacles et sabotages de plusieurs scientifiques et praticiens en médical, biomédical et paramédical. Mais nous nous sommes focalisés sur le cas du CTIAP et du Dr UMLIL du fait de la fonction stratégique qu’ils occupent en faveur de la santé de tout le système en France. C’est ce que nous nous sommes employés à démontrer et à étayer dans cette lettre. Le soutien au Dr UMLIL et à son travail va unir et cristalliser toutes nos affirmations individuelles de la nécessité d’une pharmacovigilance forte en France. C’est donc là une démarche d’engagement nécessaire et stratégique dans le processus d’assainissement du système pharmaceutique et sanitaire en France.

Engageons-nous donc résolument à signer cette pétition dès maintenant !

Signataires :

Dominique TASSOT,

Ancien directeur R&D d’un groupe pharmaceutique

Alexandra HENRION CAUDE,

Directrice de recherche, spécialiste de l’ARN

Edouard HUSSON,

Professeur des universités

Gérald PECH,

Ingénieur dans l’industrie, ancien chercheur

Didier MAGNE,

Directeur industriel chez Symbiose SE2D

Agnès D’AMILLY,

Directrice administrative et financière

Maître Virginie DE ARAUJO RECCHI,

Avocate au Barreau de Paris, membre de l’Institut Art & Droit et de l’American Bar Association

Nicole DELEPINE,

Cancérologue, ancienne chef de service d’oncologie pédiatrique


Notes




Le test de résilience au covidisme d’État

[Source : (plumenclume.org]

Par Sébastien Renault

L’avantage des dictateurs, c’est qu’ils incitent à une mise à jour régulière de la santé mentale des peuples qu’ils victimisent, contribuant par-là, malgré eux, à la réviviscence de la conscience de leurs victimes et à la réappropriation des principes moraux qui président toujours à la construction individuelle et sociale d’êtres rationnels et libres. Macron et consorts ne font pas exception, il faut les en remercier.

La société dans laquelle nous vivons depuis des décennies était mûre pour une prise de contrôle dictatoriale des esprits bien avant l’émergence de la grande supercherie covidique d’État. La lucidité et l’honnêteté intellectuelle nous forcent à le reconnaître.  

Les malfaiteurs en chef, nouveaux dictateurs patentés à la solde de l’idéologie mondialiste et auxquels nous avons nous-mêmes donné le pouvoir, sont devenus de plus en plus puissants, sans rencontrer la moindre opposition notable, en raison de notre propre lâcheté et complicité consommatrices vis-à-vis d’un système pourtant frauduleux et pourri jusqu’à la moelle. Le problème de fond ne découle donc pas seulement des criminels qui sont derrière la « Grande Réinitialisation », mais bien de notre propre concours, jusqu’à une date récente au moins.

Dans un premier temps, l’esprit sainement septique, face aux escrocs politico-médiatiques en charge du discours officiel dogmatique, s’est développé sur le terrain délétère et contagieux de la peur, et nous avons vu la tromperie reprendre de plus belle.

D’où la pertinence de l’analogie du terrain et du virus, qui s’appuie sur la différence de paradigmes fondamentaux pour l’étude des maladies infectieuses, paradigme de l’origine interne de la maladie d’un côté ; paradigme canonique de son origine extrinsèque par l’intermédiaire de micro-organismes de l’autre. À la vue de ce qui se passe depuis maintenant un an et demi, on peut faire valoir que si les populations, analogues du terrain, n’étaient pas des proies aussi faciles, alors les élites et l’empire GAFAM, analogues du virus, ne pourraient pas si aisément les infecter.

Le déphasage fondamental entre la perception et la réalité de ce qu’on appelle, depuis début 2020, la « pandémie Covid-19 », continue de rendre possible ce phénomène psychoculturel que nous avons baptisé, dès les premiers mois de focalisation sanitaire monomaniaque et de sécuritarisme auto-aliénateur, le COVID-isme.

Le covidisme rime avec travestissement éhonté de la science. Il rime également avec hygiénisme scientiste – qui n’est évidemment pas la science (la science n’étant pas fanatique, comme le sont au contraire l’hygiénisme et le scientisme). Il rime encore avec lâcheté collaboratrice, qui sait toujours se présenter sous des airs de supériorité vertueuse et éclairée. Il rime, de surcroît, avec redéfinition de la santé par l’absence fantasmagorique d’influence virale (par-dessus tout du coronavirus), culpabilisation des innocents, interventionnisme étatique, obligation vaccinale, effémination de la société, nouvel obscurantisme, éclipse de la raison, dogmatisation de l’absurde sanitaire, …

[Note de Joseph :
Là société est-elle vraiment rendue « efféminée » (comme le pensent notamment ceux qui l’ont comparée à une jeune fille) ou plutôt infantilisée ?
Pour déterminer laquelle des analogies est la plus fidèle à la réalité observée, il est nécessaire de rappeler au moins brièvement les caractéristiques masculine, féminine et de l’enfant, adolescent y compris.
Le comportement et le tempérament de l’être humain découlent en grande partie de la biologie et des traditions ancestrales depuis notamment les sociétés primitives de chasseurs-cueilleurs.
Le masculin se caractérise ainsi plutôt par l’usage de la force physique, la tendance à l’action impulsive (par réflexe plutôt que sous l’effet d’une longue réflexion), l’exploration du monde, le goût pour la lutte et la compétition, l’esprit de conquête ou de domination, l’agressivité, la brutalité, le courage physique, la détermination, la prédation, la bestialité, le goût pour le bricolage, l’agitation, etc.
Le féminin se caractérise plutôt par la douceur, la tendresse, la réceptivité, la sensibilité, l’attention, les aptitudes éducatives, la fragilité, la tendance à protéger, le goût pour la décoration, la possessivité, la patience, le dévouement, la frivolité, la coquetterie, le courage moral, etc.
Si, dans la ligne ou la logique de l’inversion des valeurs et des choses, les femmes, sous l’impulsion du féminisme, ont tendance à développer des caractéristiques masculines, et, par réaction, les hommes ont tendance à développer des caractéristiques féminines, les deux polarités ont globalement tendance à trouver un certain équilibre, même si celui-ci reste instable et peut être dans certains pays plus marqué vers le féminin.
L’enfant lui est plutôt caractérisé par l’insouciance, le goût pour les jeux, le besoin d’être rassuré, le besoin d’attention, l’irrationalité, la curiosité, l’égocentrisme, le développement émotionnel, l’immaturité, la recherche des limites, les caprices, le manque ou la recherche de confiance en soi, etc.
L’adolescent y ajoute la rébellion, l’affirmation de soi, la recherche d’émancipation, l’angoisse existentielle, les changements rapides d’humeur, le développement mental et du raisonnement, etc.
Maintenant, quelles sont les caractéristiques de nos sociétés, au moins dans le monde occidental ?
Elles sont plutôt caractérisées de nos jours par l’irresponsabilité, l’égoïsme, le matérialisme, la recherche d’émotions fortes, la tendance aux loisirs, le goût pour la facilité, l’absence d’efforts, l’individualisme tout en recherchant le contact des foules ou des autres par instinct grégaire, la tendance à s’en remettre aux gouvernements et aux pouvoirs locaux, le manque de volonté, l’alignement sur la pensée unique ou commune, l’absence de questionnements, la faiblesse morale, la légèreté, la superficialité, l’absence de profondeur, le conformisme, etc.
De telles caractéristiques se rapprochent davantage de celles que l’on trouve chez l’enfant ou éventuellement l’adolescent et ne sont pas vraiment liées aux différenciations entre le masculin et le féminin ou au contraire peuvent parfois puiser dans les deux polarités, plutôt d’ailleurs par le manque que par la présence des caractères. Ainsi en est-il notamment de l’absence de courage. La masse des individus, et donc la société en général, tend à manquer à la fois de courage physique (caractère plutôt masculin) et de courage moral (caractère plutôt féminin). Par ailleurs, entre les tendances infantiles et celles de l’adolescence, le grand conformisme civilisationnel et la tendance à suivre les consensus et la pensée unique sont plutôt à l’opposé des tendances rebelles d’un adolescent et auraient bien plus à voir avec l’enfance. La forte et croissante tendance ludique et frivole se trouve elle autant chez le jeune enfant que chez l’ado.]

Ces derniers mois, tous ceux qui se sont courageusement évertués à mettre en garde les populations à la fois contre les dangers d’injections en phase expérimentale (alors qu’il existe déjà, comme nous le savons tous, des médicaments efficaces pour traiter les patients atteints du SARS-CoV-2) et contre la duperie de leur efficacité à triompher du virus, ont été censurés et ridiculisés comme des complotistes et des propagateurs de désinformation.

Après la proscription de traitements comme l’hydroxychloroquine [1] et l’ivermectine [2] (qui auraient pu sauver des centaines de milliers de vies), l’abolition pratique du serment d’Hippocrate et celle du consentement éclairé, voici donc venue la canonisation du « vaccin » mondialiste sous autorisation conditionnelle de mise sur le marché… Autant de faits vastement documentés et criants de scandale qui serviront, en son temps, au jugement de l’histoire.      

En attendant, que nous disent les faits du phénomène Covid politico-sanitaire à l’heure d’aujourd’hui ? En cette fin d’été 2021, la contagiosité grandissante des personnes complètement « vaccinées » parle d’elle-même. Après les flots d’aboiements accusatoires par les divers porte-drapeaux de l’autoritarisme sanitaire inflexible à l’encontre des pestiférés non-vaccinés, retour à la réalité parfaitement prévisible : le phénomène de transmissibilité aggravée du virus, en ces dernières semaines d’été, est principalement vectorisé par les vaccinés contaminés.

En appliquant à cette situation factuelle une manière toute covidique de raisonner, il faudra donc dire que ce sont ces nouveaux vecteurs vaccinés qui représentent aujourd’hui la principale menace pour la santé publique. Ce que confirment par ailleurs les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC), qui les ont récemment identifiés comme des « super-diffuseurs » de nouveaux « variants » du SARS-CoV-2 [3].

Le 30 juillet dernier, les CDC ont publié un rapport d’enquête faisant état des nouvelles émergences d’infection vraisemblablement conditionnées dans le cadre d’importants rassemblements publics (où l’on suppose que le phénomène dit de « super-diffusion » se produit. Le document commence par admettre ce qui suit [4] :

« […] Environ trois quarts (346 ; 74 %) des cas sont survenus chez des personnes entièrement vaccinées (celles qui avaient complété un traitement de 2 doses de vaccin ARN messager [Pfizer-BioNTech ou Moderna] ou bien n’avaient reçu qu’une seule dose du vaccin Janssen [Johnson & Johnson] ≥14 jours avant l’exposition). […] Dans l’ensemble, 274 (79 %) patients vaccinés présentant une infection émergente étaient symptomatiques. Parmi les cinq patients atteints de la maladie COVID-19 qui ont dû être hospitalisés, quatre étaient complètement vaccinés… »

Les efforts déployés par le lobbying vaccinal absolutiste en vue d’inoculer le plus grand nombre de personnes possibles lors d’une pandémie à peine définissable comme telle (à la lumière de l’estimation du taux d’incidence des cas de SARS-CoV-2 en France à l’heure d’aujourd’hui [5] et de la spécification française du seuil épidémique des syndromes grippaux [6]), finissent toujours par déboucher sur des mutations virales qu’aucun vaccin, pas même au sens propre du terme, ne peut efficacement juguler. Encore moins des « vaccins » dont l’efficacité et la sécurité à long terme n’ont pas encore été testées (puisqu’il faut des années de recul pour parvenir à des conclusions probantes), sinon sur les populations elles-mêmes…

La mise en échec par les faits de la religion covidico-vaccinale absolue

En jouant comme toujours sur la peur et les sentiments, le gouvernement et ses relayeurs médiatiques habituels ont continué à pousser coûte que coûte la stratégie du radicalisme vaccinal comme solution consacrée, dans leur narrativité mystificatrice, par son « efficacité ». Les incompétents au pouvoir, dans leur folie covidique avancée, ont ainsi persévéré dans l’incompétence et l’arrogance qui les caractérisent depuis le début de la crise, oubliant que l’OMS elle-même a souligné à plusieurs reprises que la « vaccination » ne supprime pas le virus. 

Les médias se sont gargarisés tout l’été du slogan flagellateur de « pandémie des personnes non-vaccinées ». Sous-entendu, dans leur narrativité mystificatrice et détractrice : les personnes qui n’ont pas reçu l’injection expérimentale mondialiste constituent la majorité des personnes hospitalisées et des décès dus à la propagation du « variant delta ». Un mensonge éhonté !

Il s’agit toujours des mêmes procédés d’intimidation par les détenteurs de la bonne conscience extrémiste scientiste et humanitaire. Pour eux, toutes les contrevérités se justifient, puisque l’intégrisme de leur proposition, « hors du vaccin, pas de salut », ne saurait souffrir le doute des gens suffisamment éclairés. Tous les moyens sont donc légitimes, y compris l’atteinte aux libertés fondamentales, la diffusion de fausses nouvelles et la promotion discriminatoire, même s’ils plaident par ailleurs en faveur de tout ce qui est « antidiscriminatoire » – bienséance politicienne oblige (ne relevez pas ici la contradiction, même si elle est évidente, car elle est, elle aussi, « justifiée »).

En réalité, le nombre de cas positifs chez les personnes ayant reçu une ou plusieurs doses de l’injection expérimentale augmente régulièrement depuis la mi-juillet, comme l’attestent notamment les données de santé publique d’outre-Manche, d’Israël et d’Islande.

Au 21 août dernier, 62 % des patients britanniques hospitalisés et âgés de plus de 50 ans avaient reçu deux doses de l’injection expérimentale AstraZeneca-Oxford, contre 13 % n’en ayant reçu qu’une seule. Au total, les personnes « partiellement » ou « complètement » inoculées représentaient donc 75 % des nouvelles hospitalisations outre-Manche.

Il en va de même pour les personnes malheureusement décédées. Dans le groupe des plus de 50 ans, la nette majorité des patients (70 %) avaient reçu soit une ou deux doses du composé à vecteur adénovirus d’AstraZeneca-Oxford.

On ne sait pas si les hôpitaux britanniques désignent encore comme « patient Covid » toute personne ayant été admise et dont le test PCR est déclaré « positif ». Si tel était encore le cas (comme ça l’est, notamment dans de nombreux établissements aux États-Unis), les personnes souffrant de pathologies ne présentant aucun symptôme du SARS-CoV-2 pourraient être indûment comptées dans la catégorie des « patients non vaccinés » (histoire de maintenir aussi longtemps que possible le statu quo narratif).

En Israël, où l’adoption de l’injection expérimentale a été très élevée en raison des restrictions draconiennes de liberté imposées aux personnes qui ne s’y soumettraient pas, les données montrent que les personnes ayant reçu au moins deux doses du cocktail mondialiste sont 6 à 7 fois plus susceptibles d’être infectées que les personnes bénéficiant d’une immunité naturelle [7].

Le fameux laboratoire israélien grandeur nature n’entend d’ailleurs pas en rester là, puisque plus d’un million de ses citoyens âgés de 50 ans et plus ont déjà reçu un troisième rappel de l’injection à ARN messager concoctée par Pfizer-BioNtech. Les nouveaux cas de contamination ne s’en multiplient pas moins à l’heure actuelle à une vitesse croissante.

Selon Uri Shalit, bio-informaticien au Technion (l’Institut israélien de technologie) :

« Il y a tellement d’infections émergentes qu’elles s’avèrent prédominantes, et la plupart des patients hospitalisés sont en fait vaccinés. » [8]

Dvir Aran, expert en données biomédicales également au Technion, avertit les autres nations tentées de s’inspirer du modèle israélien pourtant catastrophique :

« Ne pensez pas que les rappels soient la solution. »

Dans leur étude mise en ligne le 25 août 2021 [9], Sivan Gazit et coauteurs montrent, comme nous l’avons pointé plus haut, que la protection naturellement conférée par une infection antérieure est largement supérieure à ce que peut conférer l’injection de Pfizer-BioNTech.

Ces chercheurs ont également suivi de près l’évolution récente des infections dites « émergentes », et leurs études indiquent que les personnes « vaccinées » sont jusqu’à 13 fois plus susceptibles de contracter le variant covidien « delta » que les personnes « non-vaccinées » et déjà rétablies d’une infection par le SARS-CoV-2.

L’étude indique également que les personnes « vaccinées » présentent toujours un risque plus élevé d’hospitalisations liées au SARS-CoV-2 par rapport aux personnes « non-vaccinées » ayant déjà été contaminées par le virus. Plus précisément, les personnes « vaccinées » qui n’ont pas été infectées auparavant par le SARS-CoV-2 présentent désormais un risque près de 6 fois plus élevé de vectoriser l’infection dans sa nouvelle forme dite « delta » …

D’après ces données, il semble assez clair que les différentes injections « miracles » des grands cartels pharmaceutiques à la tête de la « guerre » génique expérimentale anti-Covid ne protègent pas les personnes de plus de 50 ans (sans entrer ici dans les détails des effets indésirables graves et non graves par tranches d’âge [10] potentiellement liés aux produits dits « vaccinaux » anti-Covid). De sorte que le déploiement des injections de rappel dans ces pays (pour une quatrième, puis une cinquième, puis une sixième dose, etc.) ne fait pas l’ombre d’un doute (car l’évidence de l’échec ici n’entrave nullement la détermination covidique officielle vis-à-vis de l’efficacité des « vaccins », porteurs contemporains du salut). Et il y a tout lieu de penser que les mêmes tendances apparaîtront prochainement dans d’autres pays, à commencer par la France (chose déjà en vigueur pour ce qui est de la troisième dose [11]).

Comme toujours depuis que le monde entier est en proie à un projet d’essai « vaccinal » unidimensionnel sous prétexte dela propagation du SARS-CoV-2, il est de mise de rappeler qu’un vaccin, au sens propre du terme, doit non seulement stimuler une réponse immunitaire chez le patient qui le reçoit, mais encore perturber la transmission de tel ou tel pathogène x ou y.

Ce n’est pas ce que fait l’ARN messager des injections dites « anti-Covid », dont l’information entre directement dans les cellules des personnes aujourd’hui inoculées en masse. Ce produit est un traitement synthétique (au sens où il consiste fondamentalement en la synthétisation de nanoparticules toxiques, appelées protéines de pointe), qui n’est pas conçu pour faire obstacle à la transmission du virus. Outre le mécanisme spécifique de l’ARN messager dans la production de protéines de pointe conformes au principe actif du SARS-CoV-2, la présence attestée d’oxyde de graphène, sur laquelle nous allons succinctement revenir ci-dessous, est fortement susceptible d’expliquer la montée actuelle de multiplication des nouveaux cas d’infection comprenant un grand nombre de personnes déjà plusieurs fois inoculées.  

À noter enfin qu’en Italie, l’extrémisme vaccinal n’est pas non plus en reste, avec la récente menace émise par l’ancien président de la Banque centrale européenne, l’actuel Premier ministre Mario Draghi, de rendre l’inoculation anti-Covid obligatoire pour tous [12]. Draghi attend de l’Agence européenne des médicaments (AEM) le feu vert de leur accord complet pour faire sauter la liberté au nom du covidisme qu’il professe. Le gouvernement italien, comme en France, a déjà rendu obligatoire la « vaccination » des travailleurs médicaux s’ils veulent être rémunérés.

Divergence de base virale : « en guerre » contre « quoi » ?  

Dans leur bienveillance affectée, les pouvoirs publics accordent aujourd’hui au peuple une liberté conditionnelle, qui n’est donc plus un droit naturel (au sens de droit fondamental et inaliénable), mais plutôt un privilège qui s’octroie ou non – cela dépend de la volonté des citoyens de se conformer à ce qui a été décidé pour eux par le « Conseil de défense et de sécurité nationale » (puisque nous serions « en guerre »), pour leur « plus grand bien » (c’est évident, il faudrait être tombé dans le piège du complotisme pour penser le contraire).

En guerre, mais contre qui exactement ? Ou plutôt, contre quoi ? Contre la liberté certes, cela est désormais explicitement entériné par les mesures en place, notamment un apartheid sanitaire. Mais en « guerre » déclarée, en premier lieu, sous prétexte de la mener à l’encontre d’un certain virus (chose en soi des plus absurdes), dont l’identité aurait néanmoins peut-être échappé aux va-t-en-guerre patentés de la nouvelle sanitocratie universelle.

Que voulons-nous dire ? Que Fauci et ses acolytes des CDC et de l’Institut Pasteur sont soupçonnés, non sans raison, de ne pas avoir disposé de la base virale entièrement développée du SARS-CoV-2 ; base à partir de laquelle il serait possible de calibrer un test de dépistage standard propre à la détection de ce virus particulier.

Un document [13] mis en ligne le 21 juillet dernier par l’Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux (la FDA) semble en effet indiquer que les CDC et la FDA, faute d’échantillons physiques du SARS-CoV-2, ont échafaudé un protocole de test destiné à la détection massive du « coronavirus » sur la base de cellules humaines immunitaires et épithéliales combinées à des fragments de rhinovirus (d’où procèdent les formes annuelles de la rhinopharyngite).

Or, sans matériel génétique de référence pour calibrer et confirmer le PCR, le test n’a aucune base scientifique dans le domaine de la réalité physique proprement dite. Par conséquent, si la chose était corroborée, la crédibilité matricielle de l’analyse PCR basée sur ledit protocole serait des plus douteuses (avant même de parler des amplifications de cycles qui ont eu cours sans vergogne dans le monde entier depuis plus d’un an). Car nous aurions alors affaire à une méthode falsifiée à la racine même de ce qui est devenu le test standard de dépistage PCR.

L’avantage de cette falsification est bien sûr facile à comprendre, si l’objectif était de répertorier le plus grand nombre de personnes possibles comme patients ayant été testés « positifs », donc infectés par le SARS-CoV-2, quand bien même elles ne présenteraient rien d’autre que d’infimes quantités de fragments d’ARN issues d’autres souches des Coronaviridae – d’infections virales révolues des mois auparavant, mais encore détectables au sein de l’appareil respiratoire des patients testés tous azimuts depuis le début de la crise sanitaire Covid-19.

Si, comme le document semble l’indiquer, les chercheurs travaillant au sein de l’orbite « faucien » ne purent fournir « d’isolats quantifiés du 2019-nCoV à l’usage des CDC » lors de la mise au point de ce qui allait devenir le test standard universel de dépistage PCR (à noter que la défectuosité du protocole du test PCR est désormais admise par les CDC, qui l’interdiront en conséquence d’ici la fin de l’année, affaire à suivre), c’est qu’en lieu et place de tels échantillons de référence proprement isolés, le profil de base de la maladie virale « faucienne » ne présente rien d’autre qu’un composé multicellulaire de souches de virus grippaux et de rhumes banals.

Dans la logique interne de cette histoire somme toute curieuse, les tests de dépistage PCR ont donc été configurés de manière à détecter chez les patients testés les séquences génétiques obtenues initialement à partir de banques de données numériques artificielles (donc plus ou moins forgées à partir de cellules épithéliales alvéolaires et de fragments d’ARN inventoriés de quelques picornaviridés et autres virus grippaux saisonniers communs).

Aucun médecin ou chercheur n’ayant isolé le SARS-CoV-2 à partir d’un patient infecté et symptomatique, aucun instrument de laboratoire ne peut être proprement calibré contre les caractéristiques dictées par son statut référentiel physique. En conséquence, les tests s’appuient simplement sur les propriétés des bases de données diffusées par les CDC et l’OMS, en utilisant le terme « Covid » comme étiquette numérique de référence ubiquitaire.

Cela expliquerait par ailleurs pourquoi la grippe saisonnière a quasiment disparu en 2020… Tous ceux ou presque qui en sont réellement tombés malades se sont vus attribuer, par défaut, le diagnostic « Covid » …

Il est vain de faire la guerre à un virus, puisqu’un virus ne fait qu’exécuter un programme naturel de perpétuation de lui-même, sans intelligence réflexive libre ni la moindre volonté de détruire qui que ce soit. Oui, le virus de Fauci et consorts est bien là, fabrication mondialiste au service d’un plus grand projet mondialiste. Son identité réelle (variée et variante) demeure néanmoins évasive, quoiqu’inscrite, d’abord, dans un profil de bases virales connues. Tout semble avoir été pensé pour protéger les différents coupables à court et à long terme, et finalement les exonérer (comme on le fait déjà aujourd’hui en accordant l’immunité aux consortiums pharmaceutiques), alors qu’on pénalise collectivement les victimes de cette grande expérimentation covidique mortifère.

Oxyde de graphène : confirmation (dans le silence médiatique)

À la fin du mois d’août, les résultats d’un chercheur américain, le docteur Robert O. Young, ont été rendus publics sous la forme d’un article approfondi intitulé Scanning & Transmission Electron Microscopy Reveals Graphene Oxide in CoV-19 Vaccines (une traduction en a été relayée ici sur ce site).

Nous conseillons fortement la lecture de cet article, ainsi que l’examen attentif des diverses images provenant de la microscopie électronique en transmission, des tableaux, des schémas et des graphiques particulièrement intelligibles que fournit l’auteur.

Il ne s’agit nullement de « complotisme », mais bien de science et de recherche protocolaire détaillée, faisant certes dissensus par rapport au discours public ambiant (lequel se fait l’écho du chantage gouvernemental à la liberté pour engendrer un alignement anti-libéral collectif).

Ce n’est pas notre propos de récapituler ici le contenu de cet article. Mais nous en prenons acte pour mettre en exergue les résultats remarquables de cette enquête scientifique (contre l’omission prévisible de la part des médias globaux) et ajouter quelques réflexions complémentaires. Le principal résultat que confirme cette étude, et qu’il convient de souligner en premier lieu, est le suivant : le signal d’absorption des faisceaux nanoparticulaires identifiés dans les flacons d’injections « vaccinales » (de Pfizer, de Moderna, d’AstraZeneca et de Janssen), lorsqu’on l’analyse au moyen de la microscopie électronique en transmission, indique que ces produits contiennent des quantités importantes d’oxyde de graphène, un composé carbonique caractérisé par sa très haute conductivité électrique. Chose qui avait déjà été esquissée et observée il y a plusieurs semaines par des chercheurs espagnols, mais qui nécessitait un protocole et des outils technologiques particuliers pour être corroborée par différents chercheurs dans différentes régions du monde. C’est désormais le cas. On notera au demeurant que le problème, en tant que tel, de la toxicité des nanoparticules d’oxyde de graphène, a été traité auparavant et diffusé dans le domaine public à travers diverses publications scientifiques [14].

Autre élément notoire, le fait que l’oxyde de graphène tient lieu d’ingrédient « masqué » dans les produits géniques expérimentaux présentés au public comme « vaccins » (les brevets ne le divulguent pas, contrairement à tous les autres ingrédients). Pourquoi une telle dissimulation ?

Or, on constate que les troubles de coagulation (sous forme de micro-caillotages tout-à-fait symptomatiques), plus encore que les myocardites, les maladies à prions, les divers problèmes de reproduction et autres complications à foison, sont non seulement les plus fréquents, mais également les plus directement mis en corrélation avec les propriétés thrombogènes de l’oxyde de graphène. Il y aurait donc matière à vigilance ici, si du moins la déraison covidique ne s’était pas implantée si profondément au sein de nos sociétés décadentes et subjuguées par la peur.

Il est également indiqué ici de souligner que les électro-fréquences et les phénomènes magnéto-biologiques particuliers induits par l’intermédiaire de l’oxyde de graphène dans les injections anti-Covid ont de fortes chances de modifier de manière significative les propriétés conductrices des fluides et des tissus corporels (nous ne prétendons pas avoir observé et mesuré un tel phénomène, mais soumettons simplement ici nos réflexions, à titre d’hypothèse). Le contenu ionique intracellulaire et extracellulaire d’un système biologique détermine en premier lieu les propriétés conductrices de ses organes et fluides constitutifs. Ce qui a été observé, à l’intérieur comme à l’extérieur de structures bio-corporelles animales, c’est que la résistance diminue progressivement à mesure que la fréquence augmente. Bien sûr, si l’on considère le profil conducteur interne d’un système biologique donné, la résistivité va varier d’un organe à l’autre. La question est donc de déterminer dans quelle mesure la résistance et la capacitance de structures corporelles internes sont sujettes aux fluctuations des fréquences d’éléments complexes absorbés (tels que l’oxyde de graphène) et des radiations environnementales.

Une chose semble certaine, c’est qu’après inoculation, l’oxyde de graphène ainsi biologisé acquiert une excitation électronique et une résonance magnétique qui s’alignement précisément sur la troisième bande de fréquence du rayonnement des technologies 5G.

Rappelons par ailleurs que les cellules du corps humain sont spécifiquement conçues pour conduire des courants électriques. Le flux intra-somatique d’électricité est indispensable au système nerveux pour assurer l’émission de signaux à travers tout le corps, crucialement vers le cœur et le cerveau. La membrane cellulaire elle-même fonctionne comme un dispositif de séparation ionique permettant à la cellule de générer des courants électriques. La stimulation d’une cellule permet notamment aux charges positives d’en pénétrer la structure par le biais de ce qu’on appelle des canaux ioniques. Lorsque la cellule se charge positivement, elle génère d’autres courants électriques qui vont à leur tour produire des impulsions électriques, influx neveux indispensables à la mise en action de nos mouvements et gestes moteurs quotidiens, de nos pensées et autres comportements coutumiers au jour le jour.

En outre, les réactions d’oxydoréduction revêtent une grande importance au sein des systèmes électro-biologiques, tels que le corps humain. Le processus d’oxydation biologique repose fondamentalement sur le transfert (libération et capture) de protons et d’électrons d’une molécule (dite « oxydée », par perte d’électrons) à une autre (dite « réduite », par gain d’électrons). Les processus biologiques d’oxydoréduction présentent un certain nombre de caractéristiques bien définies. Ils font partie intégrante de la préservation du bon fonctionnement et de la santé d’un organisme. Nous n’y reviendrons pas ici, mais voulons simplement rappeler que l’altération de ces processus (telles que la respiration tissulaire, la phosphorylation oxydative, les réactions constituant le cycle de Krebs, etc.) est à l’origine de perturbations métaboliques et de maladies très graves pouvant entraîner la mort (les symptômes de maladies graves associées à l’altération des processus d’oxydoréduction peuvent inclure faiblesse musculaire, tremblements incontrôlés, manque de coordination, accidents vasculaires cérébraux, diverses paralysies, …).

De ces réflexions de base, retenons et appliquons les deux principaux objets d’analyse que nous avons ici brièvement abordés: 1) l ’incidence de la fonction de fréquence par rapport à la résistivité organique, et 2) l’induction d’un déséquilibre du mécanisme de transfert des électrons inhérent aux réactions d’oxydation et de réduction dans l’organisme; appliquons-les donc à la présence électriquement active d’oxyde de graphène chez les milliards de patients aujourd’hui inoculés à travers le monde « contre » le SARS-CoV-2. 1) Lorsqu’il est excité par truchements électromagnétiques ambiants, l’oxyde de graphène multiplie en conséquence ses propres fréquences. 2) En fonction de l’intensité du signal incident, il s’oxyde beaucoup plus vite et finit notamment par rompre l’équilibre entre les niveaux (naturellement bénéfiques) de glutathion et la toxicité dont il est lui-même l’élément déclencheur une fois intégré à l’organisme au moyen d’une des quatre injections mondialistes. C’est en cela qu’il peut entraîner toute une panoplie d’altérations métaboliques redoutables et de modifications très sérieuses du comportement du système immunitaire.   

Objectif perpétuation pathogénique indéfinie, régulation démographique, et neuromodulation des peuples… On peut certainement le craindre, en prenant acte de ces découvertes, quand bien même (et surtout !) puisqu’elles ne seront pas ébruitées par les maîtres du discours.

Récapitulation : comprendre le covidisme en fonction du tout globaliste

Nous vivons une époque sans précédent de mensonges, de négation de la vérité, de propagande et de violence systémique sans précédent. Cela est d’autant plus attesté et pernicieux que cette même époque aime par-dessus tout se parer des apparences de l’illumination intellectuelle, du progrès, de la compassion inclusive à toute épreuve (sauf quand il s’agit des brebis galeuses non-vaccinées), de la philanthropie (du moins, lorsqu’elle est rentable), de l’œcuménisme non dogmatique (dont le seul dogme n’est autre que l’absence de dogme, opinionisme oblige), de la liberté de choisir (par exemple d’en terminer avec une grossesse encombrante, mais certainement pas de mettre en doute et de rejeter les nouveaux « vaccins » mondialistes), etc.

L’hypocrisie est pour le moins flagrante, d’où la violence fondamentale, à la fois intériorisée et de plus en plus extériorisée, qui caractérise notre situation historique et culturelle en ce premier quart du XXIe siècle.

Mais il fallait, semble-t-il, redonner une épaisseur nouvelle à l’hypnose collective bêtifiante. Car les récents « travers » populistes (principalement le Brexit et l’élection de Trump en 2016) indiquaient qu’une prise de conscience des peuples allait dans le sens d’un mouvement de réluctance opiniâtre capable d’interférer avec les principes et les tactiques politiques des forces organisées du mondialisme.  

Entrent en scène la peur (outil de choix des despotes), la panique mimétique, la surenchère de dépistage et de chiffres falsifiés (fraude des tests PCR, statistiques de décès des plus douteuses), l’effondrement économique, les élections américaines piratées et dérobées au profit de Biden, l’isolement forcé des peuples limitant l’accès à l’air frais et à la lumière du soleil… Entrent donc dans notre champ visuel les conditions d’existence du monde covidique façonné en 2020.

La censure technocratique, la lutte contre le changement climatique (objectif « Pacte vert mondial », au nom de la « santé publique »), la numérisation de l’éducation et de l’interaction sociale, le « vaccin » universel (comprenant, dans sa confection, des produits génétiques dérivés de lignées cellulaires d’enfants avortés), la mise en place d’une monnaie numérique mondiale, comptent parmi les principaux piliers impérieux de la refonte escomptée par les partenaires mondiaux du Forum de Davos. Les retournements orwelliens de définition et autres détournements linguistiques (« neutralité climatique », « pandémie », « seuls ensemble », « nouvelle normalité », « le pass = liberté », « vaccins », « nouveaux variants ») sont aussi au programme de la fraude épistémique généralisée – au service du dressage et de la conquête des esprits – et de la grande reconfiguration du monde, selon le projet pan-numérique de la caste technocratique.

D’où l’énumération non exhaustive suivante du programme de « Grande Réinitialisation », plus violemment que jamais à l’ordre du jour, que nous proposons ici pour mieux situer le phénomène du covidisme d’État dans son rapport au grand Léviathan du tout globaliste (le lecteur sera libre de peaufiner et de compléter la liste) :

  • un gouvernement mondial ;
  • une monnaie numérique mondiale ;
  • une banque centrale mondiale ;
  • une armée mondiale ;
  • la fin de la souveraineté nationale ;
  • la fin des races (selon la logique interne du racisme suprême de l’antiracisme institutionnalisé) ;
  • la fin de toute propriété privée (maisons, voitures, petits commerces…) ;
  • la fin de la cellule familiale traditionnelle ;
  • la fin de la conjugalité et de la fécondité naturelles ;
  • la prise en charge éducationnelle des enfants par le gouvernement ;
  • ’éradication « compassionnelle » des personnes âgées (euthanasie universelle) ;
  • la dépopulation eugénique au profit du culte néopaïen de la planète (rappelons, par contraste, ce que disait un saint Jean de la Croix, qui scandaliserait les nouveaux fondamentalistes de la révérence écologique absolue : « Une seule pensée de l’homme vaut mieux que tout l’Univers, et Dieu seul en est digne ») ;
  • la mise en place d’une sanitocratie universelle ;
  • les vaccins obligatoires partout (canonisation universelle des principes de l’Alliance globale pour les vaccins et l’immunisation, en anglais GAVI) ;
  • l’interdiction de la naturopathie et des médecines naturelles alternatives ;
  • perpétuation indéfinie des masques faciaux (suppression des visages) ;
  • l’allocation universelle ou revenu de base (l’austérité généralisée) ;
  • le sécuritarisme omniprésent ;
  • la surveillance de masse : basée sur la pan-connexion 5G (un réseau d’ondes millimétriques universalisé), les QR codes, et les micropuces ;
  • le système de crédit social (à la chinoise) ;
  • la fin des entreprises indépendantes ;
  • la fin des combustibles fossiles ;   
  • la restriction des voyages aériens non essentiels ;
  • la fin de l’irrigation, des fermes et des pâturages privées ;  
  • la concentration de la population dans les zones de peuplement ;
  • l’utilisation restreinte des terres ;

Réflexions conclusives

En 2021, la vertu maîtresse est de garantir la santé publique et le « bien-être » des peuples sous tutelle étatique, quand bien même les moyens d’y parvenir seraient irrationnels et liberticides.

Dans le prolongement de l’effémination de la société et de l’élévation désormais obligatoire de la figure homosexuelle bienpensante en Occident, la castration de l’homme covidique contemporain, par la peur et l’infantilisation, fait le jeu d’un remodelage complètement contre nature de l’humanité et des valeurs qui sous-tendent toujours l’édification et le développement de toute authentique civilisation. Aujourd’hui sous régime de liberté surveillée, l’homme covidique contemporain s’accommode très bien des prémisses émasculateurs de l’État-providence et de la destruction des valeurs, en premier lieu des valeurs masculines de courage, de résilience, de persévérance dans l’adversité, y compris face à la mort, inéluctable pour tous ici-bas.

Les mesures sanitaires prises par les autorités françaises n’ont eu aucune incidence jugulatrice sur l’épidémie, tout le monde le sait très bien (même ceux qui font semblant de ne pas le savoir). Plutôt que d’en prendre acte, ces mêmes autorités ont diffusé sans vergogne l’idée que la responsabilité de nouveaux développements et cas d’infection devait être imputée aux comportements déviationnistes des Français, particulièrement des « anti-vax complotistes » …

L’utilisation de la force et de la culpabilisation contre les citoyens pour se dédouaner de ses responsabilités colossales dans la gestion désastreuse de la crise sanitaire est une stratégie que le gouvernement français a systématiquement adoptée depuis un an et demi. Par son comportement répressif, accusateur et bien souvent bricoleur, il a fait le lit d’un vaste sinistre aussi bien économique que sanitaire et social. La dogmatisation de l’absurde sanitaire qu’il continue de professer et d’imposer au peuple est un scandale sans précédent.

La débâcle gestionnaire que nous avons vue à l’œuvre et malheureusement subie relève à la fois de ce scandale et de ce qui caractérise le plus distinctement cette ère hystérique du covidisme d’État : l’abdication de la rationalité.

Le type de rationalité qui perdure, par nécessité, nonobstant l’élaboration de politiques sécuritaires irrationnelles par nos instances étatiques entièrement soumises au covidisme, est celui qui soutient le projet aujourd’hui presque entièrement actualisé d’une hégémonie technocratique (vaccinale et numérique). Sans rationalité découlant d’abord de la technè, impossible de concevoir et de finalement mettre en œuvre le Nouvel Ordre civilisationnel de l’inoculation génique et de la surveillance universelle qui s’impose aujourd’hui.

C’est contre ce dévoiement totalitaire que continue de se lever aujourd’hui la France courageuse, la France qui fait aujourd’hui des émules dans le monde entier.  

Les représentants du pouvoir, de leur côté, restent enfermés dans leur déni péremptoire et autoritaire, coutumiers indécrottables de tactiques violant toute éthique médicale digne de ce nom. Ils se sont fourvoyés depuis le début, et l’entêtement persiste, comme si de rien n’était.

L’inversion accusatoire qui consiste à faire porter le fardeau de l’immoralité sur le dos des défenseurs des libertés fondamentales est la marque immanquable de cet orwellisme pharisaïque des détenteurs contemporains du pouvoir politico-médiatique. Dans leur suffisance « anti-complotiste » et donneuse de leçons de morale sanitaire, les accusateurs covidistes vont aujourd’hui jusqu’à faire passer les conditions d’existence en société pour un crime contre celle-ci. À commencer par le simple fait d’interagir avec autrui (sans faire de concession à l’irrationalité covidique de la peur d’autrui), parce que cela pourrait impliquer la possibilité de transmettre le virus à d’autres personnes… La logique de l’inversion morale, derrière cette manière démentielle de raisonner, pose pour prémisse que la transmission du virus, en soi, constitue un crime sans équivoque. Les restrictions en place sont dès lors moralement justifiables et justifiées. On trouve la même forme de raisonnement vicié depuis un an et demi au fondement des stratégies de contrainte préventive, d’infantilisation des peuples et d’utilisation de la force constitutionnelle et exécutive pour asseoir un monopole sanitaire illégitime.

Lorsque les exceptions qu’un État impose par rapport aux libertés et aux droits fondamentaux de ses citoyens peuvent être mises en avant et promulguées sans honte comme « libératrices », il est clair que l’inversion morale est allée beaucoup, beaucoup trop loin.

Dans ces conditions, se défendre du sécuritarisme tyrannique d’État, du covidisme hystérique et délateur, et des intimidations coercitives « légales » du pouvoir face à une menace aussi peu meurtrière que celle du coronavirus devient un devoir incontournable, une obligation morale interne surgissant de la conscience de tout homme encore rationnel et libre.

Pénaliser par « précaution », voilà une démarche qui ne pouvait tenir (on l’a vu dès l’an dernier). Le chantage à la liberté, intrinsèquement contradictoire, ne peut non plus tenir. Nous sommes une majorité à abominer la surveillance universelle, dont le « pass sanitaire » est le marchepied. Le glissement totalitaire est désormais consommé. Mais il s’agit d’un échec gouvernemental en tous points, et le grondement légitime des peuples se fait entendre des quatre points cardinaux.

Gardons espoir que la rentrée et les semaines à venir vont fournir la poussée supplémentaire à la levée de boucliers de tous les amis de la civilisation et de la loi naturelle.

Notes

[1] Et le procès condamnateur particulièrement avilissant à l’endroit du professeur Didier Raoult.

[2] Qui, entre autres effets bénéfiques, renforce de manière prouvée l’activité cellulaire antivirale naturelle en augmentant la production naturelle d’interféron. En d’autres termes, il ne s’agit pas seulement d’un médicament antiparasitaire à l’usage des vétérinaires (comme d’aucuns propagandistes du pouvoir l’ont répété à l’envi), mais bien d’un inhibiteur avéré (et sans effets secondaires) de l’activité du SARS-CoV-2.

[3] https://www.businessinsider.com/cdc-fully-vaccinated-people-can-spread-delta-variant-2021-7.

[4] Outbreak of SARS-CoV-2 Infections, Including COVID-19 Vaccine Breakthrough Infections, Associated with Large Public Gatherings — Barnstable County, Massachusetts, July 2021 | MMWR (cdc.gov).

Il convient de signaler ici un article de recherche de 2015 qui examine si les vaccins pourraient en fait favoriser l’évolution d’agents pathogènes plus virulents que le virus de base : 
Imperfect Vaccination Can Enhance the Transmission of Highly Virulent Pathogens (plos.org).  

[5] https://www.sentiweb.fr/document/5398 (« Situation observée pour la semaine 35 de l’année 2021, du 30/08 au 05/09/21 », voir p. 2/3).

[6] De 173 cas pour 100 000 habitants (ratio du seuil épidémique établi en 2016).

[7] Voir l’étude intitulée 
Comparing SARS-Cov-2 natural immunity to vaccine-induced immunity: reinfections versus breakthrough infections, par les docteurs Sivan Gazit et son équipe de recherche au 
Maccabi Research and Innovation Center (nous allons y revenir quelque peu ci-dessous). 

[8] https://www.science.org/news/2021/08/grim-warning-israel-vaccination-blunts-does-not-defeat-delta

[9] Voir en note [7].

[10] Thromboses (artérielles, veineuses, cérébrales), ischémies, myocardites, péricardites, cas d’hyperperméabilité capillaire, pneumopathies, fausses-couches spontanées, cas de syndrome de Guillain-Barré, …

Voir, par exemple en France, d’après les données répertoriées par l’ansm (et, plus spécifiquement, 
https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins), les enquêtes de pharmacovigilance pour l’injection de Pfizer-BioNTech
(le rapport nº 17 : période du 28 mai 2021 au 1er juillet 2021, ce qui date déjà quelque peu), notamment les pages 8 et 9, ainsi que les tableaux récapitulatifs des cas non graves et graves en pages 43 à 51 ; et pour l’injection Vaxzevria/AstraZeneca
(le rapport nº 14 : période du 04 juin au 08 juillet 2021).

[11] https://www.vie-publique.fr/en-bref/280887-covid-19-la-has-rend-son-avis-sur-une-3e-dose-de-vaccin

[12] https://francais.rt.com/international/90331-covid-19-mario-draghi-pret-imposer-vaccination-obligatoire-italie

[13] https://www.fda.gov/media/134922/download

[14] Voir le bulletin d’alerte du 21 juillet 2021 : 
https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html   

Une étude de 2016 sur les nanomatériaux dérivés du graphène et sur leur toxicité in vivo et in intro : 
Toxicity of graphene-family nanoparticles: a general review of the origins and mechanisms | Particle and Fibre Toxicology (biomedcentral.com).

Une autre étude, datant de 2014, sur les nanoparticules magnétiques (à l’œuvre dans les thérapies géniques) : Superparamagnetic nanoparticle delivery of DNA vaccine – PubMed (nih.gov).

Également cette étude de 2010 portant spécifiquement sur la toxicité provoquée par les nanoparticules lipidiques chargées positivement : The systemic toxicity of positively charged lipid nanoparticles and the role of Toll-like receptor 4 in immune activation – ScienceDirect.




Pseudovaccin COVID : secret organisé pour les adolescents vis-à-vis de leurs parents par l’État

Par Nicole Delépine

Chaque jour apporte son décret ou sa circulaire, pire que les précédents, mais parfois on est encore surpris de leur perversité. Telle cette note de la DGS adressée à tous les personnels autorisés à injecter cette substance génique aux composants variés le 8 septembre 21.(([1] 08/09/2021 RÉFÉRENCE : DGS-URGENT N°2021-95
TITRE : VACCINATION DES MINEURS — RÈGLES DE BON REMPLISSAGE DE VACCIN COVID))

L’Essai thérapeutique à grande échelle violant le consentement éclairé explicite de la loi

Au passage, vous découvrirez que votre nutritionniste ou podologue ou orthoptiste(([2]
▪Chirurgien-dentiste
▪Audioprothésiste
▪Podo-Orthésiste
▪Ergothérapeute
▪Autre professionnel de santé
▪Sage-femme
▪Manipulateur ERM
▪Orthopédiste-Orthésiste
▪Diététicien
▪Médecin-autre spécialiste
▪Pédicure-Podologue
▪ Pharmacien
▪Infirmier
▪Opticien-Lunetier
▪Psychomotricien
▪Masseur Kinésithérapeute
▪Orthoptiste
▪Orthoprothésiste
▪Médecin généraliste
▪Orthophoniste
▪Technicien de laboratoire médical)) sont autorisés à vous faire ce geste médical aux conséquences possibles immédiates, à court et à long terme multiples, et à vous faire signer IMPLICITEMENT ce consentement éclairé sur tous les inconvénients possibles. Aucun problème de désert médical en France, chaque professionnel, de métier respectable par ailleurs, peut décider de participer à cet essai clinique à ciel ouvert sans en mesurer les conséquences possibles et parfois gravissimes.

Et les enseignements et lois, issus de la seconde guerre mondiale sur les essais thérapeutiques chez l’Homme, résumés dans le code de Nuremberg de 1947 sont enterrés. Pourtant les lois qui protègent l’humanité de la pratique sauvage des essais sont encore en vigueur, mais piétinées sans vergogne, telle la loi Kouchner de 2002 qui exige le libre consentement éclairé pour tout geste médical même non expérimental (information sur une coloscopie ou une intervention ou une prescription médicamenteuse, la loi Huriet 1988 sur les essais thérapeutiques et les multiples lois internationales qui priment sur le droit français.

Mais où est passé le respect du droit en France depuis quelques années ? Que les politiques à tous niveaux qui imposent ces lois, décrets, circulaires contraires au Droit et à tous ceux qui rivalisent de zèle pour plaire au Prince de l’Élysée pour les appliquer, ne s’étonnent pas de se retrouver un jour dans la désagréable position d’Agnès Buzyn en ce 10 septembre 2021, mise en examen pour « mise en danger de la vie d’autrui ».

Et quoiqu’en disent beaucoup, même si à terme elle est lavée (responsable et pas coupable par exemple), ce qui est possible, cette expérience pour une ancienne ministre qui se croyait tout permis est bien difficile.

Jérôme Salomon pourtant dans le même bateau signe encore cette circulaire toxique pour les jeunes. Pourquoi ? Qu’on ne me dise pas qu’il soigne son dossier pénal (comme a dit E. Macron concernant Édouard Philippe). Est-ce de l’inconscience d’une petite caste vivant sur une autre planète ?

Voici les principaux éléments de cette circulaire de la Direction Générale de la Santé signée le 8 septembre par Jérôme Salomon,(([3] Et Bernard Celli, président de la Task Force de la vaccination)) grand prêtre de nos soirées du printemps 2020 annonçant le nombre de décès officiellement attribués au virus SARS-CoV-2 (dont on saura plus tard qu’ils ont été largement surestimés) et poursuivis à la cour de justice de la République comme Agnès Buzyn.

DEPUIS JUIN L’AUTORISATION D’UN SEUL PARENT SUFFIT

« Madame, Monsieur, La vaccination contre la COVID-19 est ouverte à tous les adolescents de 12 ans et plus depuis le 15 juin 2021. Jusqu’à présent, la signature des deux parents exerçant l’autorité parentale était exigée pour la vaccination d’un mineur. La loi du 5 août 2021 modifie doublement le cadre de l’autorisation parentale en vigueur. D’une part, seule l’autorisation de l’un ou l’autre des titulaires de l’autorité parentale est requise pour la réalisation d’une vaccination contre la COVID19 pour les adolescents de moins de 16 ans ».

Notons à ce propos le nombre croissant de drames familiaux engendré par cette décision illustrant parfaitement la technique du « diviser pour régner », utilisée partout par le gouvernement pour faire passer ses décisions iniques. Les parents se déchirent et les enfants impuissants assistent à ces scénarios tragiques non conçus pour leur bien — être manifestement. Les procès entre parents s’accumulent.

MAIS LE PIRE ARRIVE : PARENTS DÉCHUS DE L’AUTORITÉ PARENTALE POUR L’INJECTION GÉNIQUE

Les parents sont, à ma connaissance, responsables pénalement et civilement (financièrement) des dégâts causés par leurs enfants mineurs (moins de 18 ans) lors d’accidents, ou de dégradations volontaires. Cependant, concernant la mascarade covid dont on ne dira jamais assez qu’elle ne tue aucun enfant ou adulte jeune sans comorbidité, et que seulement 0,003 % français sont actuellement en réanimation pour covid (et pas morts° pour 67 millions d’habitants), les parents sont déchus de leur autorité parentale !

Un adolescent de plus de 16 ans qui le souhaite peut désormais se faire vacciner sans autorisation parentale.(([4] « Concernant l’enregistrement de la vaccination de l’adolescent dans Vaccin Covid, les modalités de remplissage de Vaccin Covid restent les mêmes et vous sont rappelées ci-dessous. Le respect des règles suivantes est particulièrement nécessaire (en centre de vaccination, en ville, en équipe mobile…) au moment où la vaccination de ces adolescents progresse rapidement. 1. Tous les adolescents de 12 ans et plus qui se présentent pour se faire vacciner doivent être en possession du NIR (Numéro de sécurité sociale) de l’un des deux parents, ou de leur propre NIR. Ce NIR doit être le même pour la 1re et la 2e injection »))

En pratique la circulaire précise pour les vaccinateurs :

« a. Si l’adolescent dispose du NIR (numéro de sécurité sociale) de l’un de ses deux parents, ce dernier est utilisé pour saisir la vaccination dans Vaccin Covid. L’adolescent est retrouvé sous le NIR du parent, en cliquant sur « rechercher les autres membres de la famille ».

« b. Dans le cas où l’adolescent dispose d’un NIR personnel, celui-ci peut désormais être utilisé pour rechercher l’adolescent et saisir la vaccination dans le logiciel. NB : dans un cas comme dans l’autre, les parents pourront avoir accès à son certificat incluant le QR-Code au travers du téléservice attestations »

évidemment si l’adolescent se cache de ses parents, il n’a pas forcément leur carte de sécurité sociale et donc le ministère ne s’embête pas pour si peu.

SE VACCINER CONTRE L’AVIS DE SES PARENTS !

2. Si et seulement si le NIR ne peut être communiqué, ou lorsque l’adolescent de 16 ans ou plus souhaite se faire vacciner contre l’avis de ses parents, ou dans toute autre situation rendant impossible l’utilisation du NIR de l’un des deux parents ou celui de l’adolescent : a. La procédure de saisie dite « NIR d’urgence » peut être utilisée.

La vaccination contre la Covid-19 prime, en dernier recours, sur l’exigence d’utiliser le NIR de l’un des deux parents. b. Dans ce cas de figure, il est impératif d’indiquer aux adolescents qui se font vacciner sous le NIR d’urgence de conserver très précieusement le code patient qui se présente sous la forme d’une série de trois fois trois lettres (XXX-YYY-ZZZ). Ce code figure sur la synthèse de vaccination, et non sur l’attestation certifiée de vaccination. Il est donc également impératif de remettre à l’adolescent cette synthèse en plus de son attestation certifiée. En cas de perte par l’adolescent ou d’oubli de remettre à l’adolescent la synthèse de sa vaccination par les personnels compétents, il sera difficile de retrouver le dossier de l’adolescent, sauf à passer par le tableau de bord de celui qui a réalisé la vaccination. »

LE MANTRA OFFICIEL COMME SEULE INFORMATION

Imaginez bien l’adolescent seul ou avec des copains du même âge, le plus souvent peu informé, et dont l’orthoptiste ou le podologue du centre de vaccination ne sauront que répéter le mantra officiel : aucun risque et tu seras libre enfin de sortir, d’aller au café, au cinéma ou au concert, de t’inscrire au sport, etc. Quid des discussions et informations à donner aux jeunes sur leurs risques éventuels, sur les effets secondaires déjà répertoriés dans les banques de données officielles, sur les risques de troubles des règles chez les jeunes filles et un point d’interrogation sur les dangers éventuels de stérilité. Personne ne leur dit rien et quand ils en parlent parfois avec des amis plus âgés qui informent sur l’existence de ces banques officielles, ils demandent pourquoi ils n’en sont pas informés.

Comme dit fort justement un correspondant, la pression est énorme :

« Tout ceci permettra d’injecter les ados « sur un coup de tête » lors d’une sortie scolaire dans un centre de vac’ par exemple. La pression psychologique est rude et sournoise »

Jean-Marc.
Et chacun connaît la fragilité des ados souvent en conflit avec leur famille à cette période de la vie, il n’est pas nécessaire de mesurer la perversité de cette mesure. Jérôme Salomon est-il papa ?

HEUREUSEMENT DE NOMBREUSES VOIX SE LÈVENT POUR TENTER DE PROTÉGER NOS JEUNES 

L’association Enfance & Libertés prépare des recours juridiques devant le Conseil d’État pour protéger les droits et la santé des enfants

N’hésitez pas à les rejoindre pour étendre la toile des recours sur l’ensemble de la France. En résumé voici ce que dit leur site(([5] Enfance & Libertés prépare des recours juridiques devant le Conseil d’État pour protéger les droits et la santé des enfants — Enfance et libertés (enfance-libertes.fr) )):

« La récente loi de gestion de la crise sanitaire met à risque les droits des enfants ainsi que leur santé émotionnelle, psychologique et physique. Elle constitue en outre une entorse au principe d’autorité parentale.
Aussi, Enfance & Libertés déposera très prochainement avec l’assistance de l’avocat Me David Guyon des recours devant le Conseil d’État, en particulier contre les dispositions suivantes :
• La possibilité pour un jeune de 16-18 ans de se faire vacciner sans consentement parental
• La possibilité pour un jeune de 12-15 ans de se faire vacciner avec le consentement parental d’un seul parent
• La discrimination induite par l’éviction des élèves non vaccinés lors de l’apparition d’un cas contact dans la classe
• La possible discrimination des non-vaccinés lors de sorties scolaires • L’extension du pass sanitaire aux enfants dès 12 ans à compter du 30 septembre 2021.

https://enfance-libertes.fr/enfance-libertes-prepare-des-recours-juridiques-devant-le-conseil-detat/ »

Insistons aussi sur les programmes de propagande à l’École imposés par le pouvoir

Un professeur d’espagnol au lycée Raymond Naves de Toulouse est suspendu à Toulouse: il est accusé de relayer des idées « complotistes » :

« concernant le vaccin anti-Covid après avoir montré une vidéo du site France Soir à une classe de seconde.
Signalé par ses supérieurs hiérarchiques, il était entendu ce jeudi matin au Rectorat qui a déclaré « qu’il n’est pas acceptable, qu’un professeur exprime ses opinions personnelles auprès de ses élèves, la décision a été de le suspendre par mesure conservatoire ».

https://www.ladepeche.fr/2021/09/09/toulouse-un-professeur-despagnol-du-lycee-raymond-naves-est-suspendu-pour-apologie-du-complotisme-9778798.php

Mais des parents conscients et courageux réagissent et vont discuter calmement avec les chefs d’établissement leur faisant toucher du doigt leur responsabilité pénale personnelle à la suite de leurs décisions. Contrairement à Big Pharma et aux dirigeants politiques couverts par les clauses des contrats ils ne sont pas à l’abri de poursuites. Écoutez par exemple ce père qui a constaté que la peur peut changer de camp :

Et voyez la lettre dont il propose un exemple :

Contenu de cette lettre RAR à l’attention de ……….

1. Lettre au responsable de l’établissement de la part des responsables et tuteurs légaux.
2. Annexe 1. Rappel à la Loi concernant le secret médical.
3. Annexe 2. Communiqué du Syndicat Action et Démocratie.
4. Annexe 3. Fiche dérogatoire à l’infirmerie : refus catégorique et intemporel de soins Covid.
5. Annexe 4. Non-autorisation de sortie scolaire dans tout centre de vaccination.

Nom et Prénom du/des Responsable(s) de l’enfant

Préciser l’adresse postale du domicile principal de l’enfant

Responsables et Tuteurs Légaux de …………………., élève de ……. à ………………………

À Monsieur/Madame …………………

Chef d’établissement du collège/lycée………..

À ………, le 30 août 2020

Madame/Monsieur,

Nous accusons réception de vos emails datant des … et … août 2021 nous encourageant à effectuer la démarche de « vaccination » de notre enfant « dès à présent ». Encouragement soutenu par le courrier officiel de votre Rectrice/Recteur d’Académie, Madame/Monsieur……………………..

Nous aimerions, tout d’abord, vous informer que l’« encouragement » très orienté dans vos courriels, lettres PDF et notice explicative du protocole de vaccination mis en place au sein du collège/lycée, portent atteinte à plusieurs titres, et d’un point de vue juridique, au secret médical de notre enfant, tel qu’établi par la Loi (Cf. Annexe 1. Rappel à la Loi). En effet, ce protocole que vous mettez en place interroge sur son statut médical, protégé par la Loi.

Nous considérons que cette démarche, qui viole le secret médical de notre fils est illicite, selon ce qui est du Droit.

De plus, et de façon évidente, ce protocole de vaccination mis en place par abus de pouvoir au sein du collège/lycée………………….. dont vous êtes le chef d’établissement par le ministère de l’éducation, et donc par extension directe de la voie hiérarchique mis en place par la rectrice et par vous-même au collège/lycée………………., n’a aucune portée ni validité juridique au regard de la Loi. Il n’a jamais été publié au Journal Officiel, et pour cause, aucun texte ne donne au ministre de l’Éducation de compétence en matière sanitaire et donc le droit de déroger à la loi. Il en va de même pour vous en tant que Principal/Proviseur. Vous n’avez donc par extension aucune compétence dans la mise en place et l’application d’un protocole de vaccination purement hors la loi. Ce protocole illégal engage les responsabilités civiles et pénales de ce qui y croient, le mettent en place par vulgaire publication sur le Web, et vont l’appliquer à l’école. Nul n’est censé ignorer la Loi. Comment comptez-vous informer de façon transparente et sans parti pris du fait de votre fonction l’ensemble des familles sur l’aspect illégal de ce protocole que vous avez déjà envoyé ? Comment comptez-vous faire la mise à jour de ces informations cruciales pour ne pas avoir à engager votre responsabilité civile et pénale et celle de vos enseignants qui participeront à ce protocole ?

Cet « encouragement » à la vaccination suscite de notre part de nombreuses interrogations, ce pour quoi nous avons donc souhaité vous rencontrer en personne ce lundi 30 août 2021. Et nous avons bien entendu que vous ne partagez pas nos questionnements par manque d’information. De par votre fonction, l’heure n’est pas au partage d’un avis personnel pour la vaccination des élèves, mais à la responsabilité civile et pénale de chacun dont la vôtre, face à une situation où le principe de précaution dans l’intérêt de nos enfants qui ne sont pas concernés par cette situation sanitaire doit prévaloir en tout temps.

Nous sommes en effet désireux de savoir, et dans l’attente de réponses écrites :

  • Sur quelle base légale fondez-vous votre « encouragement », sachant qu’il n’y a aucune loi qui exige cette incitation vaccinale pour les enfants qui ont plus de 12 ans ? Il n’existe donc, au jour où nous vous écrivons, aucune disposition légale susceptible de fonder une telle demande pour un chef d’établissement et un enseignant, ainsi qu’un établissement d’enseignement ayant pour seule mission la pédagogie.
  • Pour Pfizer BioNTech, période du 28/05 au 1/07/2021, 31 389 Effets indésirables, 8689 cas graves, dont 761 décès. (Page 8/57)
  • Pour Moderna, période du 28/05 au 1/07/2021, 5665 Effets indésirables, 1050 cas graves, dont 44 décès. (Page 6/30)

En tant que Chef d’établissement, comment envisagez-vous de rectifier cette notice explicative erronée et trompeuse afin d’informer pleinement et en toute transparence, sans parti pris, mais dans un principe de précaution, les parents de ces données officielles publiques ? Car non, les effets secondaires indésirables graves ne sont pas « extrêmement rares ». Les chiffres publics officiels ANSM sont bien là et sans mises à jour disponibles depuis ce 1er juillet 2021. 761 décès, 2551 mises en jeu du pronostic vital, 5384 cas non rétablis/non résolus (que sont-ils devenus ?), pour le seul Pfizer.

Cela étant posé, comment comptez-vous concilier votre protocole de vaccination avec les principes issus des textes suivants, présentés dans un ordre décroissant de force obligatoire au regard de la hiérarchie des normes juridiques ? :

Et comment comptez-vous engager votre responsabilité civile et pénale au regard de ces mêmes textes ? :

Ces dispositions internationales ne peuvent pas être modifiées unilatéralement par le gouvernement français, même au bénéfice d’une « urgence » qui resterait pour le surplus à démontrer, et de surcroît pour une catégorie d’âge non concernée comme l’attestent l’ensemble des données de santé.

  • Article L1111-4 du Code de la Santé publique (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000041721056/) et l’article R4127-36 du Code de la santé publique (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000032973595) imposant de respecter le consentement de la personne concernée soumise à un traitement médical.
  • Notez par ailleurs qu’une protection toute particulière est instaurée au profit des mineurs en vertu de l’article R4127-42 du Code de la santé publique (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043588175/).
  • Au regard des données officielles nationales disponibles publiquement de l’ANSM, de la Haute Autorité de Santé, des données européennes d’EudraVigilance, et de l’ensemble des données au niveau international, il apparaît très clairement que les enfants de 12 à 17 ans ne sont absolument pas concernés par le SARS-CoV-2, autrement appelé Covid19. (https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins), comment comptez-vous engager votre responsabilité civile et pénale, ainsi que celles de vos enseignants qui vont participer à cette incitation vaccinale ?
  • Si, après une éventuelle injection des produits expérimentaux, certain(e)s élèves du collège/lycée…… étaient amené(e)s à présenter des effets secondaires graves pouvant aller jusqu’au décès, êtes-vous en mesure d’en supporter, tant personnellement qu’au nom de l’établissement que vous dirigez, les conséquences d’un point de vue civil et pénal, et d’y engager par écrit votre responsabilité dès aujourd’hui ?

En effet, les fabricants des produits injectés ayant obtenu de l’Union européenne une immunité civile totale, l’incitation organisée par vos soins au sein de l’Institution Sévigné d’un produit en phase d’essai clinique expérimental pourrait avoir des conséquences potentiellement dramatiques. Et ce d’autant plus en l’absence d’études précliniques de toxicité, de génotoxicité sur l’organisme humain et donc sur les enfants dont vous avez la charge.

Nous aimerions également vous rappeler que le protocole sanitaire des établissements scolaires n’a aucune valeur légale ni réglementaire (voir Annexe 2. Communiqué du Syndicat Action et Démocratie). Nous nous permettons de vous rappeler que :

  1. L’Article 225-1 du Code pénal : (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000033461473 interdit toute discrimination ou distinction entre les personnes physiques notamment en fonction de leur état de santé, de leurs caractéristiques génétiques ou de leurs opinions. En vertu de
  2. L’article 225-2 du même Code pénal : (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000033975382)

Ces discriminations sont punies de 3 ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende lorsqu’elles consistent notamment à refuser la fourniture d’un service (Art. 225-2-1°), à refuser d’embaucher ou à sanctionner ou licencier une personne (Art. 225-2-3°) ou à subordonner une offre d’emploi, une demande de stage ou une période de formation à une condition constituant une discrimination (Art. 225-2-6° du Code pénal).

  1. En résumé, selon le Code pénal, les collégiens et lycéens ne peuvent faire l’objet d’une discrimination fondée sur leur état de santé (art. 225-1). En outre, cette mesure porte atteinte à la dignité humaine que garantit le Conseil constitutionnel (déc. n°94-343/344 du 27 juillet 1994) et dont l’article 16 du Code civil affirme la protection.
  2. D’ailleurs, le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels du 16 décembre 1966, que la France a ratifié, affirme non seulement « le droit de toute personne à l’éducation », mais le fait qu’elle « doit viser au plein épanouissement de la dignité humaine et du sens de sa dignité » (art. 13). La convention internationale des droits de l’enfant du 20 novembre 1989, également ratifiée par la France, prévoit que « le droit de l’enfant à l’éducation » s’exerce « sur la base de l’égalité des chances » (art. 28-1) et que « l’enfant doit être « effectivement protégé contre toutes formes de discrimination ou de sanction motivées par la situation juridique » (art. 2-2). Or, le statut vaccinal fondé sur la détention d’un document administratif est bien une « situation juridique » définie par une attestation.

Nous réservons le droit, en tant que Responsables et Tuteurs Légaux de notre enfant …………….., et selon ces lois citées ci-dessus, de saisir le Défenseur des Droits et d’agir selon ce qui est de droit au cas où notre enfant soit « évincé » (selon la déclaration publique de Monsieur Jean Michel Blanquer, Ministre de l’Éducation Nationale sur France Info le 28 juillet 2021) de votre établissement en fonction de son statut vaccinal.

Par la voie légale de cette lettre RAR, nous nous permettons de vous communiquer également en Annexe 3 la Lettre dérogatoire à destination de l’infirmerie de l’établissement, dans laquelle, exerçant notre autorité parentale en plein droit, nous vous informons de notre refus catégorique et intemporel de soins Covid (Test PCR, Test antigénique, Vaccins Covid) pour notre enfant ………………………………..

Au regard de tous ces éléments, nous vous informons de notre refus catégorique et intemporel de toute démarche visant à la vaccination sur notre enfant ………………………….

Nous refusons toute démarche de quelque personne physique et/ou morale que ce soit, d’incitation à la vaccination.

Nous refusons toute démarche d’intimidation, mise sous pression, manipulation par abus de pouvoir, par abus de faiblesse, par abus d’influence, toute discrimination à l’encontre de notre enfant.

Nous refusons, au regard de la « notice explicative — vaccination contre la Covid19 des collégiens et lycéens » de participer à toute démarche de recensement comme le précise le formulaire 1 que nous ne « devons » pas remplir. Nous ne transmettrons donc aucun document à l’infirmière sous pli cacheté, ni aucune fiche au professeur principal à venir de notre enfant, comme à toute autre personne physique et/ou morale.

Nous restons bien sûr à votre entière écoute pour évoquer tous ces sujets ensemble, tout en attirant à nouveau votre attention sur la gravité particulière des mesures à caractère essentiellement politiques annoncées et non encore inscrites dans le marbre de la loi eu égard au nombre de dispositions normatives supérieures que ces obligations violeraient.

Finalement, nous vous invitons à prendre connaissance de l’Annexe 5. Non-autorisation de sortie scolaire. Par moyen de cette annexe, nous vous informons que nous n’autorisons pas notre fils à participer quelconque sortie scolaire que ce soit en centres de vaccination, que ce soit à l’extérieur comme à l’intérieur du collège/lycée……………………………

Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, à l’expression de nos salutations distinguées, préoccupées et déterminées.

Nul n’est censé ignorer la Loi. Vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas.

Pour faire valoir ce que de droit. Dans l’intérêt des enfants.

Nom parent 1 Nom parent 2

Signatures :

Merci à tous de diffuser ces informations, de ne pas rester passifs, soumis devant cette attaque en règle de nos enfants, de la génération future. On ne parle que de sauver la planète, eh bien oui sauvons nos enfants qui pourront alors s’occuper de la planète Bleue.





Quand Bruno Toussaint (BFMTV) s’habille en Pravda

Par Lucien Samir Oulahbib

Lors d’un entretien avec Didier Raoult, ce sire sournois ([Bruno Toussaint] cachant hypocritement ses serres fallacieuses sous une physionomie bonhomme) a insisté, lourdement, (et à deux reprises) pour proposer, littéralement, à Raoult de s’associer à son attaque en dessous de la ceinture envers cette tribune de FranceSoir (qui fait décidément réagir puisqu’elle appuie là où cela fait mal) en lui demandant de lui retirer officiellement son soutien (Raoult l’ayant relayée via « tweeter »). Cette insistance sourde, ce chantage tout en filigrane dévoile la réalité sordide de « notre » gabegie politico-hygiéniste (dans sa faction franco-française) que les Toussaint et Cie veulent à tout prix masquer, entraînant alors dans leur chute aujourd’hui si visible y compris ceux qui ont été les premiers à vouloir l’empêcher, tel Didier Raoult.

Or, lorsqu’il a été question lors de cet « entretien » (cet interrogatoire plutôt) de cet énorme scandale, si mortifère, que fut le LancetGateToussaint l’écarte d’un revers de main et à plusieurs reprises, alors que ce fait crucial fut un élément pivot fondamental de l’impasse sanitaire actuelle que lui rappelle pourtant Raoult lorsqu’il compare la tribune controversée de FranceSoir, somme toute liée à la liberté d’exposer les faits comme on l’entend, à la monstruosité encore impensée que fut cette manipulation gravissime opérée par le LancetGate. Rien n’y fait pourtant. Toussaint regarde en l’air, puis s’obstine à revenir sur FranceSoir qu’il traite bien sûr de « complotiste », faute de mieux, etc., sans avancer l’ombre d’une preuve, ce qui est de la diffamation à l’État PUR (et le directeur de FranceSoir devrait en tirer toutes les conséquences idoines…).

Car le LancetGate a empêché, littéralement, la mise en place de traitements précoces (du moins en Occident) qui auraient sauvé des dizaines, voire des centaines, de milliers de viespuisque toutes les expérimentations furent arrêtées et jamais reprises, ou alors en suivant un mauvais protocole. Voilà ce qui, semble-t-il, EST grave, voire criminel, et non pas une tournure de phrase telle que « la Veuve s’impatiente » qui indique seulement que la Justice doit en effet passer, ce qui peut seulement troubler ceux qui se sentent de plus en plus coupables (du fait des piètres résultats actuels, y compris aux Antilles, et du manque crucial de lits, sans oublier la raréfaction de stocks d’ivermectine toujours « déconseillée » malgré des dizaines d’études favorables). Ce qui fait que ces irresponsables commencent déjà à sentir sur leur cou coupable le souffle, sinon du couperet, du moins du Glaive de la Justice. Et « Le glaive de la justice n’a pas de fourreau ».




La Suisse défigurée

[Source : Anthropo-logiques]

Par Jean-Dominique Michel

L’impensable s’est produit : dans une décision qu’absolument rien ne justifie (nous le verrons plus bas) en termes de santé publique, le Conseil fédéral vient à son tour d’imposer un pass sécuritaire (et en aucun cas sanitaire) violant la Constitution ainsi que les fondements de notre démocratie et de notre état de droit.

Instaurant un véritable apartheid sur la base de la soumission à une injonction vaccinale scientifiquement et éthiquement indéfendable, le gouvernement suisse, à la suite de nombreux autres, emporte avec lui sa population dans une fuite en avant vers un univers orwellien fait de contrôle social, de soumission à l’autorité, de stigmatisation et de discrimination massive des citoyens faisant usage de leur liberté de conscience et de leurs droits fondamentaux dès lors qu’ils osent s’opposer aux dogmes gouvernementaux.

Reprenons les choses dans le bon ordre : le pass dit sanitaire est en réalité inutile face à l’épidémie, comme le résume sans ambiguïté un des meilleurs épidémiologistes au monde, le Pr Martin Kulldorf de la Harvard Medical School, dans une formule lapidaire : « Les dernière données scientifiques démolissent les arguments en faveur des pass vaccinaux » (à lire ici).

Le pass sanitaire non seulement ne sert à rien pour juguler la circulation du Sars-CoV-2, mais il est en outre injuste, antisocial, discriminatoire et non-éthique.

Qualifiant la gestion de l’épidémie par nos pays de « fiasco de santé publique », le Pr Kulldorff rappelle que « la réponse à la pandémie a été vraiment horrible et est allée à l’encontre des principes de base de la santé publique que nous suivons depuis de nombreuses décennies. »

Les citoyens sont désormais pris dans une « double-contrainte » perverse faisant croire que nous aurions le choix entre la vaccination généralisée et les confinements à répétition. Cette doxa, assénée en continu depuis 18 mois par les gouvernements, des « autorités de santé » arrosées par les firmes pharmaceutiques et une presse subventionnée interdisant désormais tout débat digne de ce nom, est purement et simplement fausse.

Certes, il se trouve des sectateurs zélés pour l’affirmer en abusant de leur crédibilité institutionnelle. Seulement voilà : ce n’est pas juste que le Pr Kulldorff tiendrait des thèses bizarres dans son coin. Un nombre impressionnant d’épidémiologistes les plus renommés, travaillant au sein des meilleures facultés de médecine, essayent désespérément de faire entendre ce message depuis une année.

Le parti-pris de nos gouvernements d’imposer des confinements qui créent des dégâts majeurs sans permettre de se protéger de la circulation du virus, l’imposition de mesures absurdes et vexatoires comme le port du masque (inutile face aux virus), et maintenant la coercition (directe ou indirecte) exercée pour pousser la population à se faire vacciner sont rien de moins que des abominations en termes de santé publique. Des initiatives absurdes, contraires à toute la science accumulée au long des dernières décennies, et qui sapent (à juste titre) la confiance de la population.

Elles sont de surcroît profondément antisociales puisqu’elles privilégient les classes sociales qui peuvent travailler à domicile et jouissent de bons salaires alors qu’elles font s’abattre un vent de désolation sur les groupes précaires ou démunis de la population.

Elles maltraitent, abusent et traumatisent les groupes les plus vulnérables mais aussi la population dans son entier sans le moindre bénéfice sanitaire, si l’on s’en tient à ce que montre la science.

Alors ?

Alors il faudra bien que les naïfs et les crédules (notamment dans nos affligeants parlements) commencent à entendre que si nos gouvernements infligent cette maltraitance et ces dégâts à la population, c’est bien parce qu’ils poursuivent un autre agenda.

Le premier est évident : en exigeant par exemple que les personnes immunisées suite à une infection au Sars-CoV-2 reçoivent malgré tout une dose de « vaccin génique » pour avoir droit au pass dit sanitaire, les autorités prouvent si besoin était qu’elles servent bel et bien les intérêts des firmes pharmaco-vaccinales et non la protection de la santé de la population. Comme avec toutes les maladies infectieuses, l’immunité naturelle (rayée de ses définitions par l’OMS !) est de loin la plus puissante et la plus durable. Un vaccin supplémentaire n’apporte aucun bénéfice autre que pour le trésor des pharmas. L’exiger est une hérésie, certes pas perdue pour tout le monde.

Mais il y a sans doute beaucoup plus que cela. En conclusion des investigations de son comité d’enquête, l’avocat allemand Reiner Fuellmich rappelle que depuis le début, cette crise n’a rien de sanitaire. Elle est avant tout économique et probablement financière : les états (à l’exception frappante de la Suisse !) sont aujourd’hui endettés au-delà de leur capacité de remboursement et avec des fonds de pension en quasi-faillite. Le « Great Reset » abondamment invoqué (allant de pair avec l’imposition d’un système de surveillance numérique des individus « à la chinoise ») viserait à ponctionner l’épargne des particuliers, opération requérant un prétexte impérieux.

Ces questions sont trop éloignées de mon domaine d’expertise pour que j’ose m’y aventurer. A d’autres, qui en ont les compétences, de continuer à le faire. Par contre, je ne vois aucune raison au monde qui puisse expliquer rationnellement à partir de la situation sanitaire la décision honteuse du Conseil fédéral d’instaurer cet apartheid inutile, injuste et immoral, alors que la situation épidémique est actuellement calme et maîtrisées dans notre pays.

Sachant que si elle devait par malheur se péjorer, le pass sécuritaire n’aiderait de toute manière en rien.

Trahison

Nous sommes donc devant une véritable trahison. Trahison de notre identité nationale. Trahisons des intérêts du peuple – que nos Conseillers fédéraux ont fait le serment de servir,  de protéger et de défendre. Trahison de nos valeurs, de nos us et coutumes, de notre génie qui a permis au cours des siècles à des groupes diversifiés de cohabiter et de collaborer sans que les minorités se retrouvent écrasées sous le joug des majorités.

Ces temps sont désormais révolus. Pour puiser dans ce bel et grand imaginaire patriotique, notre pays est né de ce que des communautés rurales des vallées alpines ont refusé de se soumettre à la brutalité et à l’arbitraire de puissances étrangères. Elles se sont battues pour être maîtres chez elles, décider de leur destin en leur âme et conscience, élire leurs propres juges, cultiver leurs valeurs dans le respect envers la Création tout entière.

Je l’avais souligné lors d’une conférence de presse à Berne au printemps (censurée sur YouTube en dépit que tout ce que j’y avançais était documenté) : le mât dressé par un bailli étranger sur la place centrale d’Altdorf, au sommet duquel était placé le chapeau de l’Empereur et devant lequel tout citoyen était forcé à s’agenouiller est désormais celui dressé par notre propre gouvernement.

Guillaume Tell passant par-là refusa de se prosterner devant cette idole. Rudoyé par les gardes, il affirma fièrement qu’il ne s’agenouillait que devant Dieu.

On peut bien sûr faire de cette légende une question religieuse. Ou choisir une lecture symbolique, et donc universelle. « On ne peut servir en même temps Dieu et Mammon » dira Celui devant qui Tell acceptait de s’agenouiller selon ses convictions religieuses. Ce qui veut dire bien sûr : « vous ne pouvez servir en même temps l’intérêt commun, la cause de notre humanité, et les intérêts privilégiés de quelques-uns ».

Nos autorités politiques, tout comme les autorités scientifiques, médicales et médiatiques hélas, se révèlent brutalement prostituées à d’autres intérêts que celui souverain de la population. Elles se rendent coupables, je l’avais indiqué au printemps, ni plus ni moins que de haute trahison.

Dans une salutaire prise de conscience, le Conseiller fédéral Ueli Maurer partageait il y a quelques jours ses doutes sur le pass autoritaire, soulignant qu’il allait dans le sens d’une soumission des citoyens à l’état profondément contraire à nos us et coutumes ainsi qu’à nos valeurs.

Malgré le travail de propagande honteux des médias pour faire passer ceux qui se réfèrent encore à la science non-prostituée pour des « complotistes » des « antivaxx » ou des « imposteurs », il faut croire -parce que notre devenir en dépend- que le rude bon sens de nos aïeux, préservé sur la haute crête des cimes, saura voir la nature de ce nouvel ennemi, un ennemi de l’intérieur vendu à des intérêts extérieurs, et lui réserver le sort qu’il mérite.

Tout ce que j’avance ici est évidemment à nouveau documenté.

J’invite ainsi toute personne ayant des doutes ou voulant en avoir le cœur net à lire les deux articles -re-publiés ici et ici– présentant les analyses du Pr Kulldorff. Une objection que j’entends souvent est en effet : « mais, si vous aviez raison, pourquoi nos professeurs des hôpitaux disent-ils le contraire ? »

Objection valide !

En lisant les propos de Martin Kulldorff, ils découvriront comment les meilleurs épidémiologistes au monde, travaillant dans les meilleures universités, se sont vus combattre, censurer et même calomnier parce qu’ils rappelaient simplement l’état de la science et la réalité des connaissances en santé publique.

Ce qui pose de vraies questions !

  • Quand Kulldorff dit que la gestion mondiale du Covid est un fiasco horrible et sans précédent alors que Didier Pittet nous explique qu’on a à peu près tout bien fait, grâce à lui notamment, et qu’il a même trouvé plutôt réussie la gestion désastreuse du gouvernement français…
  • Quand Samia Hurst, vice-présidente de la Task Force affirme que si on n’avait pas imposé de confinements, il y aurait eu des dizaines de milliers de morts en plus alors que John Ioannidis, l’épidémiologiste le plus cité au monde, conclut de ses recherches que les confinements n’ont pas montré d’utilité avérée…
  • Quand le Pr Pollard (du Groupe vaccinal d’Oxford) explique à la mi-août qu’à la lumière des dernières données sur l’efficacité vaccinale, l’objectif d’une immunité vaccinale est un mirage, et que Didier Pittet et Mauro Poggia viennent sur le plateau de la RTS trois semaines plus tard affirmer avec arrogance le contraire…
  • Quand Antoine Flahaut réclame le masquage et la vaccination forcée des enfants alors que le Pr Kulldorff montre que ces deux mesures sont injustifiées, inutiles et non-éthiques…
  • Quand la Conférence des directeurs cantonaux de la santé ne cesse de demander des mesures de plus en plus coercitives et abusives alors que les meilleurs épidémiologistes réclament depuis des mois qu’on laisse vivre le plus normalement possible la société dans son ensemble tout en protégeant diligemment les groupes à risque, ce qui correspond à ce qu’on a toujours su devoir faire et qui était prévu dans TOUS les plans pandémie nationaux…

Eh bien oui, on a alors bel et bien un problème. Des points de vue aussi contradictoires ne peuvent être vrais simultanément.

Si les Suisses en avaient eu le courage, nous aurions créé une Commission d’enquête, honnête et indépendante, sur les mesures dites sanitaires depuis longtemps. Soit, nous en avons alors manqué.

Il est heureusement encore temps de nous souvenir de l’ouverture magistrale de notre Constitution et de mettre hors d’état de nuire (par tous les moyens légaux) ceux qui cherchent ni plus ni moins qu’à la détruire :

(…)

Le peuple et les cantons suisses,

conscients de leur responsabilité envers la Création,

résolus à renouveler leur alliance
pour renforcer la liberté, la démocratie, l’indépendance et la paix dans un esprit de solidarité et d’ouverture au monde,

déterminés à vivre ensemble leurs diversités
dans le respect de l’autre et l’équité,

conscients des acquis communs et de leur devoir d’assumer leurs responsabilités envers les générations futures,

sachant que seul est libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres,

arrêtent la Constitution que voici : …

J’ai mal à ma Suisse aujourd’hui, comme tant d’autres de mes compatriotes. Une Suisse actuellement trahie, bafouée, violentée, défigurée par ses autorités et son gouvernement.

Tous ceux qui participent à cette dérive scandaleuse feraient bien s’y réfléchir à deux fois.

Nous leur ferons échec.




Réponse astucieuse d’un parent aux autorités provax

[Source : Profession Gendarme (profession-gendarme.com)]

Une idée de courrier  de type arroseur arrosé,  à soumettre aux parents désemparés à la réception d’injonctions vaccinales de la part des autorités académico-sanitaires.


Bonjour,

J’ai reçu, il y a 48 heures, comme de nombreux parents, une invitation à faire vacciner mon enfant avant la rentrée scolaire. Cette invitation est accompagnée d’un courrier cosigné du Recteur et du Directeur de l’ARS…le contenu de ce courrier m’a affligée. Mais ce n’est que la suite (il)logique de ces 18 derniers mois…

Et après avoir tourné plusieurs réponses possibles dans mon cerveau en alerte, j’ai envoyé la réponse qui suit (de façon anonyme pour ne pas stigmatiser mon enfant…).

Madame, Monsieur,

Je vous remercie vivement pour cette invitation à faire vacciner mon enfant. C’est beaucoup plus appréciable qu’une obligation vaccinale comme se permettent d’en envoyer certains employeurs du privé. Je retrouve là tous les motifs de mon attachement au service public qui sait raison et décence garder.

Je répondrais volontiers favorablement à votre invitation car si cela ne tenait qu’à moi, il y aurait bien longtemps que mon enfant serait vacciné. Hélas cet adolescent refuse catégoriquement cette vaccination salvatrice. Je suis désemparé quand il m’affirme que le vaccin n’en est pas un, qu’il est toujours en phase expérimentale, qu’il ne protège ni de la transmission, ni de la contamination et que la balance bénéfices/risques est défavorable pour sa tranche d’âge. Je me demande où il va chercher tout ça !

Il ose prétendre que ces données sont disponibles sur enfance-libertés.fr ou sur d’autres sites complotistes comme toutvabien44.fr ou Réinfocovid. Il a même lu un article sur anthropo-logiques.org qui démontre que la Suède qui n’a ni confiné, ni imposé le port du masque à son peuple s’en trouve très bien aujourd’hui.

Je trouve très grave que des jeunes soient exposés à des informations aussi dangereuses, mais en tant que parent je n’arrive pas à contrôler les risques d’internet.

Je vous l’ai dit, je suis désemparé. L’ambiance à la maison est devenue infernale.

Quand je tente de le raisonner en disant que ce qu’il avance, c’est tout l’inverse de ce que je vois à la télévision, il ricane. J’ai bien essayé de le menacer concernant le risque d’éviction scolaire si un petit camarade choppe un rhume avec PCR positif, ou bien se retrouve avec ce même test positif en dépistage avant une sortie scolaire…Mon adolescent est intraitable ! Il ose rétorquer que sur le plan juridique il s’agit de discrimination ! Et que c’est un crime qui est puni par la loi.

Alors j’ai besoin de votre aide en urgence pour régulariser sa situation. Je ne souhaite qu’une chose, qu’il accepte le vaccin et rentre dans le rang.

Pourriez-vous m’adresser les documents scientifiques qui permettent de démentir le délire complotiste de mon enfant ? Je ne trouve pas ces informations dans le courrier cosigné par Monsieur le Recteur et Monsieur le Directeur de L’ARS.

C’est regrettable. Je n’ai aucun argument solide pour faire obéir cet adolescent qui est si exigeant sur le plan intellectuel. Seuls des documents scientifiques sourcés et indépendants sauraient le convaincre.

Dans l’attente anxieuse de votre réponse, je vous d’agréer Madame, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.

Un parent au bord de la crise de nerf


Voir également le Kit Parents à télécharger ci-dessous

Kit Parents (17 pages au format.pdf) à télécharger




Un nouveau « Peuple de Vaccinés »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Marilis Valo, pour FranceSoir

TRIBUNE – C’est Ernest Renan qui, le premier, a émis l’idée qu’une religion est à l’origine « une secte qui a largement réussi ».

Nous sommes maintenant nombreux à remarquer que nos élites affichent un comportement qui s’éloigne de plus en plus du rationnel, et qu’elles tiennent des propos qu’on accepterait plus facilement s’ils sortaient de la bouche de gourous de sectes. D’ailleurs, depuis peu, j’entends régulièrement s’exprimer tout haut l’idée que ce que M. Macron a nommée une « guerre », en est bien une, et non des moindres : une guerre de religions.

Il est de fait que les médias « mainstream » ont tendance à mettre systématiquement en relief le conflit plus ou moins larvé, opposant ceux qui professent une foi indéfectible dans le discours scientifique politiquement correct, et ceux qui remettent ce discours en question. Ceci, bien sûr, ne contribue pas à apaiser les esprits, car ces mêmes médias oublient de mentionner que la plupart de ceux qui expriment leurs doutes le font en termes mesurés et raisonnables, dans le but justement d’éviter d’entrer dans le jeu pervers de la dualité : « J’ai raison et ils ont tort ». Ces nouveaux « incroyants » sont couramment catalogués comme complotistes sans cervelle, « magma » qui ne connaît rien à la science, et plus récemment : personnes vulnérables sombrant dans des dérives sectaires.closevolume_off

En parallèle, que ce soit sur la toile ou dans le monde réel, j’entends maintenant des personnes de tous âges et de tous milieux exprimer leur malaise face à la violence avec laquelle nous est assenée la doctrine prêchée par nos « élites » scientifiques et politiques actuelles. Une doctrine que beaucoup osent désormais nommer sans ambage : la nouvelle religion mondiale. 

Du reste, nombre de fidèles de religions traditionnelles bien établies, se sentent moralement obligés de passer par un baptême d’un nouveau genre, celui de la vaccination, pour obéir aux injonctions de leur hiérarchie spirituelle. Ces croyants sincères pensent ainsi protéger leur prochain et se protéger eux-mêmes. Ils ne réalisent pas le risque qu’ils encourent de glisser insidieusement d’une foi pure en un Dieu qui leur demande de sauver leur âme, à une foi aveugle en une technologie dont d’aucuns prétendent qu’elle sauvera leur corps. Alors, nous sommes en droit de nous poser la question : assistons-nous à l’émergence de la nouvelle Église de l’immunité artificielle ? Une Église qui exigerait du croyant qu’il adore une substance créée par l’homme, en lieu et place d’adorer un Dieu ? Et qui demanderait au croyant de communier régulièrement avec ce produit tout droit sorti d’un laboratoire en le faisant pénétrer dans son corps, corps qui deviendrait alors le temple de la sainte Substance ?

Et la vie intérieure dans tout cela ? Eh bien, elle semble avoir totalement disparu de l’équation. Car, par définition, une religion vouée à la technologie ne peut s’intéresser qu’au corps, qu’à la forme extérieure et matérielle de notre être.

Reprenant et élargissant l’idée originale d’Ernest Renan, J.F Kahn l’a fait suivre par cette petite phrase : « On donne d’ailleurs le nom de secte à toute église non officielle qui concurrence les églises officielles » (Dictionnaire incorrect, éditions Plon).

Il se trouve que depuis quelques temps, les disciplines qui mettent en avant l’importance de la vie et de la progression intérieures, réfutant l’idée que seule compte la survie du corps, se voient qualifiées de sectes par les médias mainstream : à commencer par Le Monde dans un article du 22 août : « Complotisme, développement personnel : à quoi ressemblent les nouvelles sectes ? » Mieux encore, des disciplines millénaires comme le yoga et la méditation se voient accusées d’être le prélude à de dangereuses dérives complotistes et sectaires. Le Point n’y va pas par quatre chemins et affirme : « Jeûne, crudivorisme, méditation : ces nouvelles dérives sectaires » (avril 2021). Plus révélateur encore, cet article de l’Alsace du 24 août 2021 intitulé : « L’univers du yoga vulnérable aux théories complotistes » dans lequel on y lit que la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) s’inquiète du fait que certains pratiquants de cette discipline expriment un net «scepticisme à l’égard de la médecine conventionnelle ». En d’autres termes, douter de la valeur de la médecine conventionnelle suffit à rendre un yogi suspect de complotisme et de sectarisme.

Quant à ceux qui protestent contre l’instauration du « passe » en invoquant une violation des droits de l’homme, ils ne sont pas épargnés : « Les renseignements inquiets des dérives sectaires des anti-passe sanitaire », nous apprend en août dernier RTL, qui déplore que « les thèses sur la dictature sanitaire mondiale (…) risquent de déboucher sur des phénomènes de sujétion psychologique ».

Cerise sur ce millefeuille de récriminations, le site gouvernemental vie-publique.fr nous assenait une brève étonnante datée du 3 mars dernier, que je ne peux résister à l’envie de citer dans son intégralité :

« Covid-19 : de nouvelles dérives sectaires en 2020

140 000 personnes touchées par des dérives sectaires. Entre thérapies “parallèles” et « défiance » à l’égard de la vaccination, ce phénomène constitue un point de vigilance majeur dans le contexte de la pandémie du Covid-19. C’est ce qui ressort en particulier d’un récent rapport sur les dérives sectaires. »

Pour toute personne ayant vécu l’enfer d’une véritable emprise sectaire, ces mots pourraient porter à rire – s’ils ne révélaient pas une intention sous-jacente : le culte voué à la toute-puissante substance qu’on inocule aux populations doit, « quoi qu’il en coûte », s’imposer dans nos vies, et quiconque doute du dogme officiel doit être stigmatisé, considéré comme un hérétique et traité comme tel.

Comme l’histoire des dictatures nous l’a souvent montré, un culte d’État a toujours besoin d’hérétiques, car sans eux, qui porterait le poids de la culpabilité ?

C’est curieux comme ceci me rappelle la déclaration faite par M. Véran le 26 août dernier : « Le doute [vis-à-vis du vaccin] aura tué et continue de tuer ».

Marilis Valo est écrivain.

Auteur(s): Marilis Valo, pour FranceSoir

[Voir aussi :
Virus, climat, Hongrie : la malignité perverse de la Secte au pouvoir
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Les amateurs de confinement présentent les symptômes de l’appartenance à une secte
Les « brebis galeuses » répondent à la secte des Covidistes
Sur la toxicité de la Secte HA! : contribution à sa décantation
La Secte « en marche » joue son va-tout
L’insanité « sanitaire » de la Secte Delta
Comment la science devient une religion
La religion de l’Antéchrist]




Que pouvons-nous apprendre de l’Australie et de l’Afghanistan sur la tyrannie Covid ?

[Source : Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith − Source alt-market

Les personnes despotiques ont tendance à télégraphier leurs actions futures tout comme les combattants inexpérimentés ont tendance à télégraphier leurs coups de poing ; ce n’est pas comme si les intentions des totalitaires étaient obscures ou difficiles à prévoir. Dans certains cas, ils peuvent même croire qu’ils peuvent être aussi transparents qu’ils le souhaitent, car ils supposent que personne ne tentera jamais de les arrêter. Ils détruisent des vies depuis si longtemps qu’ils adoptent un sentiment de supériorité, comme s’ils étaient intouchables.

Dans mon étude approfondie de la psychopathie, je constate que, malheureusement, le principal catalyseur de l’exploitation et de la victimisation de vastes populations est le fait que nombre d’entre elles ne parviennent pas à se faire à l’idée d’une conspiration organisée de monstres humains. Ils refusent de reconnaître l’existence du mal qui se trouve juste devant eux, ce qui permet au mal de rester sans opposition pendant de longues périodes. Il y a TOUJOURS un moment, cependant, où les psychopathes poussent les mauvaises personnes trop loin. Ils ne peuvent pas s’en empêcher, et c’est à ce moment-là qu’ils se retrouvent au bout d’un nœud coulant ou dans la ligne de mire du canon d’une arme.

Lorsqu’il s’agit d’organisations de psychopathes, le même moment finit par arriver, il faut simplement plus de temps pour que le public comprenne que c’est nécessaire.

En ce qui concerne l’agenda du « Grand Reset », la tyrannie médicale utilisant la Covid comme justification est clairement un ingrédient clé des objectifs futurs de l’élite du pouvoir. Au début des confinements pandémiques l’année dernière, j’ai fait plusieurs prédictions et émis des avertissements. J’ai dit que les obligations et les confinements pour la plupart des gens dans le monde ne disparaîtraient jamais, et j’ai appelé cela la « théorie des vagues » ; l’utilisation de moments intermittents de liberté limitée suivis de restrictions de plus en plus agressives.

Ce cycle est destiné à conditionner le public à l’idée que les gouvernements sont « autorisés » à microgérer notre vie quotidienne, que c’est « normal », que c’est pour notre bien et que nous devrions profiter des courts moments de liberté ou de normalité qu’ils nous laissent si gracieusement.

J’ai toujours prévenu que tous les gouvernements du monde finiraient par adopter des exigences en matière de preuve de vaccination pour que les gens puissent participer aux activités quotidiennes telles que se rendre dans des lieux publics, aller à l’école, faire des achats dans des magasins ou même trouver un emploi. L’année dernière, les médias grand public et les gouvernements n’ont cessé d’affirmer que les passeports vaccinaux « n’allaient pas exister » et que cette notion même était une théorie du complot. Aujourd’hui, les passeports vaccinaux sont mis en place dans de nombreux pays, y compris dans certaines régions des États-Unis, et toute personne qui s’y oppose est traitée de « théoricien de la conspiration ».

Vous voyez comment cela fonctionne ? Si vous exposez la vérité d’un complot autoritaire, l’establishment ment et vous traite de « théoricien du complot ». Une fois que l’establishment admet le complot et que vous refusez de vous y conformer, ces mêmes menteurs vous traitent de nouveau de théoricien du complot, ainsi que de « terroriste ».

Oui, cela a également été prédit par moi-même et d’autres au début de la pandémie. Nous avions dit que les personnes qui luttent contre la tyrannie du passeport vaccinal seraient rapidement qualifiées de traîtres et de terroristes « mettant les autres en danger » parce que nous sommes trop « égoïstes » pour nous incliner et prendre le vaccin expérimental ou nous soumettre aux confinements. C’est exactement ce qui s’est passé, le DHS ayant récemment annoncé que l’un des signes avant-coureurs d’un terroriste potentiel est l’opposition aux obligations Covid et aux vaccins.

J’ai également prédit que le but ultime de l’agenda Covid sera de créer des restrictions de voyage à l’intérieur du pays et des points de contrôle dans les États et les villes, sans parler des « camps » ou des prisons Covid pour les personnes non vaccinées. Aux États-Unis, le DHS admet qu’il envisage de limiter les déplacements entre les États et d’instaurer un système de « papiers s’il vous plaît » pour empêcher les Américains de se déplacer librement. L’État de New York a fait allusion à des camps Covid il y a plusieurs mois, mais le véritable plan est révélé à l’étranger, dans d’autres nations occidentales comme l’Australie et la Nouvelle-Zélande.

Et c’est ici que nous trouvons les coups de poing télégraphiés…

J’ai spécifiquement examiné les plans de tyrannie Covid accélérée de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande il y a un an dans mon article « L’avenir totalitaire que les globalistes veulent pour le monde entier est en train d’être révélé«  et j’ai noté que tout ce qui se passe dans ces pays ainsi que dans certains pays d’Europe va être essayé aux États-Unis à court terme. La principale différence est que ces mesures ne peuvent pas être mises en œuvre rapidement de la même manière aux États-Unis, car les Américains sont lourdement armés et ont la capacité d’enterrer l’establishment six pieds sous terre si nous nous organisons pour le faire.

C’est pourquoi les passeports vaccinaux ne sont encore qu’une mesure progressive aux États-Unis et ne sont pas mis en place dans la grande majorité du pays. C’est pourquoi, en dehors des grandes villes, la plupart des Américains ignorent complètement les obligations et ce, depuis de nombreux mois.

Dans ma région, je ne pense pas avoir vu plus de deux personnes par jour porter un masque, où que ce soit. La vue du masque est si bizarre qu’il se remarque presque immédiatement. Une fois, j’ai même vu une femme avec un masque (une touriste évidente) dans la file d’attente de l’épicerie regarder autour d’elle et réaliser que personne d’autre n’en portait. Elle a soudain commencé à trouver des excuses bizarres et très bruyantes pour son masque devant tous les gens dans la file, affirmant qu’elle « déteste l’odeur des détergents » et que c’était pour cela qu’elle le portait.

La différence entre les zones rurales libres et les villes dystopiques est frappante.

Franchement, je me fiche que quelqu’un porte un masque ou non. C’est un placebo qui ne fait rien pour arrêter la transmission du virus, mais si cela les fait se sentir mieux, alors tant mieux pour eux. Le problème est que ces personnes effrayées et pathétiques essaient de projeter leurs illusions sur tout le monde. Le taux de mortalité médian de 0,26% pour la Covid est si faible que je n’arrive pas à croire que tant de personnes dans les états et comtés bleus en soient terrifiées. Je ne pense pas qu’ils comprennent les statistiques de base de la situation – 99,7% de la population a peu à craindre de la Covid.

C’est ce que disent les CDC et des dizaines d’études médicales indépendantes, mais vous n’entendrez jamais ces chiffres dans les médias. Ils parleront du nombre d’infections et de décès, mais ils refusent de mettre les décès en perspective avec les statistiques. Pourquoi ? Parce qu’alors la peur du public disparaîtrait, et l’establishment a besoin d’augmenter la peur pour pouvoir continuer à nous priver de nos libertés au nom de la « sécurité ».

J’ai entendu récemment un argument plutôt naïf selon lequel des pays comme la France font honte aux Américains parce qu’ils sont dans les rues pour protester contre les confinements et les passeports. Ils disent que les Américains « ne se défendront jamais ». Ce que ces gens ne comprennent pas, c’est que dans la plupart des États-Unis, il n’y a PAS de confinements et il n’y a pas d’obligations. Le gouvernement les déclare, bien sûr, et nous les ignorons. Il n’y a que des poches de gauchistes dans certains états et comtés qui suivent et appliquent réellement ces règles. La population conservatrice est tout à fait prête à stopper net cet agenda lorsque le gouvernement essaiera de le faire respecter, et elle essaiera certainement.

C’est ici que nous devons comprendre les développements horribles en Australie et en Nouvelle-Zélande : Les confinements sont maintenant normalisés dans ces pays et les gouvernements n’ont pas besoin d’une réelle excuse pour les justifier. Ils annoncent simplement qu’il y a une poignée de cas de Covid et que les confinements doivent revenir. Les voyages sont étranglés et les droits et libertés fondamentaux sont inexistants. Le dernier discours du Premier ministre néo-zélandais sur les restrictions en dit long :

Le message principal étant que l’interaction sociale est interdite. Il suffit de rester dans sa bulle et de suivre les obligations sans poser de questions. Et, même si vous êtes vacciné, ces règles s’appliquent toujours à vous. La beauté des restrictions Covid est qu’elles sont une excuse parfaite pour un gouvernement tyrannique pour bloquer les rassemblements publics, ce qui permet d’empêcher l’organisation de la résistance.

Les globalistes ont besoin que les confinements durent éternellement. En Australie et en Nouvelle-Zélande, on affirme que toute personne qui enfreint ces restrictions sera la cible de sanctions pouvant aller jusqu’à l’enfermement dans un camp Covid géré par l’armée. Ce sont les mêmes mesures que Biden et les globalistes de l’establishment voudraient pour les États-Unis. Ce n’est pas une théorie du complot, c’est la réalité du complot.

Cela m’amène à la situation en Afghanistan, et certains pourraient suggérer qu’elle n’a rien à voir avec la tyrannie Covid, mais suivez-moi. Encore une fois, il s’agit de prédire les événements futurs en fonction de coups de poing télégraphiés ainsi que d’exemples historiques.

La question que j’entends le plus souvent lorsqu’il s’agit de l’Afghanistan est « comment est-il possible pour un groupe d’hommes des cavernes tribales de vaincre l’armée la plus avancée du monde ». Je pense que cette énigme doit être explorée lorsqu’il s’agit de la tyrannie Covid, car si la puissance épique de l’armée américaine n’a pas suffi à retenir les Talibans, comment les globalistes prévoient-ils de faire respecter les confinements Covid en Amérique ?

Soyons d’abord clairs : nombreux sont ceux qui affirment que l’armée américaine n’avait pas le droit de gagner en Afghanistan. Il s’agit d’une déformation de la réalité. Le fait est que gagner a TOUJOURS été IMPOSSIBLE en Afghanistan. L’establishment le savait il y a 20 ans lorsqu’il a envoyé les premières troupes américaines. Ils n’avaient pas besoin de saboter la mission américaine en Afghanistan, car perdre en Afghanistan était de toute façon inévitable.

L’occupation d’une nation entière afin de réduire une insurrection importante et d’imposer un changement culturel est un effort qui doit être accompli rapidement ou pas du tout. Le coût financier est écrasant, le coût humain est stupéfiant et la quantité de ressources nécessaires pour maintenir la subjugation est exponentielle. En vérité, plus une occupation se prolonge sans l’élimination totale de l’insurrection, moins elle a de chances de réussir. Le problème est que, pour éliminer complètement l’insurrection, il faudrait anéantir la majeure partie de la population en utilisant des tactiques grotesques, qui ne font qu’inspirer davantage d’insurrection.

Je vais répéter le message ici car je pense que certaines personnes ne le comprennent pas : La conspiration visant à piéger les États-Unis dans l’échec a été achevée il y a 20 ans, au moment où nous nous sommes engagés dans l’invasion de l’Afghanistan. À partir de là, tout s’est dégradé et il n’y avait aucun moyen de gagner.

J’ai également entendu dire qu’il n’est pas pratique de comparer une insurrection afghane à une rébellion américaine contre la tyrannie parce que les Talibans sont composés de combattants dont les capacités sont bien supérieures à celles des patriotes américains. En d’autres termes, certaines personnes pensent que les talibans sont des sortes de super soldats. C’est une vision idiote. Je pense que la vidéo suivante illustre bien mon propos :

Ces soldats ne sont pas les plus brillants de la bande et ne sont pas non plus des berserkers inarrêtables. Leur entraînement est médiocre et la majorité des incidents de combat avec les talibans font état de leur habitude de ne même pas regarder le viseur de leur fusil lorsqu’ils tirent. Cela nous amène à une question logique concernant le goulag Covid que les globalistes veulent transplanter aux États-Unis : si les combattants à bas prix des talibans peuvent repousser la puissance militaire moderne des États-Unis, comment diable les globalistes comptent-ils contrôler une insurrection américaine composée de vétérans entraînés au combat et de tireurs civils expérimentés utilisant des tactiques de guérilla ?

Qui vont-ils charger de cette tâche ? Qui est assez stupide pour exiger des papiers, faire respecter les points de contrôle et arrêter ceux qui ne s’y conforment pas dans des régions majoritairement conservatrices où il y a plus d’armes que de personnes et assez de munitions pour combattre au moins deux guerres mondiales ? Je soupçonne que des mercenaires coûteux payés par des entreprises privées seraient la seule réponse en dehors des forces étrangères, et même dans ce cas, je ne voudrais pas être à leur place lorsque le géant endormi de la rébellion américaine se réveillera.

Je suppose que la leçon que je tire de ces exemples est que les globalistes vont essayer d’appliquer l’agenda Covid et la tyrannie du passeport quoi qu’il arrive. Ils ne peuvent pas arrêter le processus qu’ils ont mis en marche. Les événements en Australie et en Nouvelle-Zélande montrent que leur addiction au totalitarisme est insatiable et qu’elle exige qu’ils poursuivent un contrôle croissant quel qu’en soit le coût. Ils nous disent exactement ce qu’ils sont sur le point de faire.

Les événements en Afghanistan montrent qu’un tel contrôle est presque impossible à maintenir sur une population armée et que, du moins aux États-Unis, ils finiront par perdre… gravement. Même s’ils utilisent des tactiques de terreur absolue, ils perdront toujours tant que les Américains continueront à se battre. Les lois de l’usure prévalent toujours, et la supériorité technologique ne signifie rien. Pour résumer, le combat est déjà gagné, mais la lutte ne fait que commencer.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Un collectif de psychologues demande l’arrêt immédiat de chantage et de discriminations du gouvernement

[Source : lemediaen442.fr]

Voici la lettre d’un collectif de psychologues qui demande l’arrêt immédiat de toutes les formes de pression, de violences économiques, sociales et psychologiques, de chantage et de discriminations sur la population française. N’oubliez pas de signer la pétition et de partager autour de vous.

LETTRE OUVERTE

COLLECTIF DE PSYCHOLOGUES INDÉPENDANTS

31/08/2021

Impactés en tant que citoyens français, en première ligne pour observer, analyser et accueillir les effets psychoaffectifs, psychosociaux et psychosomatiques sur le public dont nous prenons soin dans le cadre de nos activités professionnelles, bousculés et malmenés par nos instances dirigeantes, après presque deux ans de gestion de cette « crise Covid-19 », nous, psychologues, avons décidé de partager nos observations, nos interrogations, nos doutes et nos colères entre collègues.

Le constat est sans appel pour le collectif que nous avons constitué. En effet, la situation inédite que nous traversons et les réponses de nos dirigeants sont en opposition totale avec les valeurs et l’éthique que nous défendons quotidiennement dans notre profession.

Nous sommes alarmés par l’impact de cette gestion de crise sur la santé psychique et le bien-être de la population. Bien sûr, personne ne s’attend à ce qu’une crise soit un moment particulièrement heureux et s’il existe des façons d’accompagner sa famille, son clan, son groupe, ses compatriotes, à passer une crise et à en ressortir grandi, il en existe d’autres qui alimentent la crise, affaiblissent et annihilent les capacités psychiques d’adaptation et de résilience.

Les médias de toutes sortes ont déjà détaillé à maintes reprises les difficultés matérielles rencontrées dans la gestion de cette épidémie, ce n’est pas notre champ d’expertise. Nous ne reviendrons pas dessus même si beaucoup d’entre nous assistent impuissants à la dégradation des moyens humains et matériels donnés aux hôpitaux pour soigner les personnes avec la dignité qu’elles méritent et ce, depuis bien avant l’arrivée du virus Sras-cov-2.

Laissons donc de côté l’aspect de destruction du système de santé et concentrons-nous sur la gestion humaine de cette crise et ses effets délétères sur la population, comme les troubles psychiques impactant toutes les classes d’âge, ainsi que toutes les catégories socioprofessionnelles. Dépression, burn-out et stress post-traumatique en sont les maîtres mots. Il ne suffit pas de proposer de rembourser quelques séances de thérapie à des personnes qu’on a angoissées, enfermées, contrôlées et désorientées dans un moment de vulnérabilité extrême pour les réparer en 3 à 10 séances.

Au lieu d’humanité et d’aide soutenante apportées à la population, nous avons repéré l’utilisation de techniques de persuasion, et même de manipulation, issues du management, du marketing et de la technocratie, qui peuvent être qualifiées de perverses, voire cyniquement harceleuses, si jamais elles se révélaient être utilisées à dessein pour poser les jalons d’un régime totalitaire.

Injonctions paradoxales, discours alarmistes s’appuyant sur une énumération de faits ou de statistiques décontextualisés, renversement en son contraire ou inversion des valeurs morales, attaque des besoins primaires (tant sur le plan physiologique, du sentiment de sécurité que du lien social), chantage et menaces, instauration de clivages (en bon/mauvais, vax/antivax, responsables/complotistes, etc.), iniquité des décisions, culpabilisation, aboutissent à l’augmentation de vécus dissociatifs tel que la déréalisation et la dissonance cognitive, résultant de la croyance en des idées ou des valeurs contradictoires, et engendrent un mal-être difficilement surmontable et pathogène.

C’est ainsi qu’en mobilisant principalement les émotions sidérantes comme la peur, la culpabilité et la honte plutôt que les capacités cognitives et intellectuelles des individus, les discours médiatiques et officiels obtiennent l’adhésion à des idéologies et à des comportements auxquels les individus n’adhéreraient probablement pas si seules leurs capacités d’analyse et de discernement étaient sollicitées. Le système actuel entretient une régression vers un fonctionnement infantile, dans lequel le chantage, la peur et l’intrusion perverse permettent d’obtenir l’obéissance.

Nous ne pouvons manquer de repérer aussi, dans les différents aspects de cette gestion de crise, les principes et les mécanismes identifiés par le sociologue Albert D. Biderman pour faire plier psychologiquement un individu.

L’isolement en est la première composante. Il engendre repli et préoccupation excessive centrée sur soi, rupture avec le soutien social permettant de résister et dépendance à l’autorité. Associé à la médiatisation d’une pensée narrative unique considérée comme la seule valable, l’isolement annihile l’esprit critique et accentue la réticence à s’exprimer et à s’interroger, de peur d’être stigmatisé, considéré comme “complotiste” et exclu de son clan familial, amical ou professionnel.

L’isolement physique et psychologique, la confusion, le doute, la peur et la tension permanente que la gestion de cette crise a fait vivre aux Français ont fragilisé leur santé psychique mais aussi leur santé physique. Que penser de ces choix stratégiques qui, pour sauver des vies, en sacrifient tant d’autres par ailleurs ? En effet, parmi les dommages collatéraux des confinements successifs, nous observons dans nos consultations une augmentation des suicides, y compris chez les enfants, des violences intrafamiliales, des pratiques incestueuses, des troubles anxio-dépressifs, des syndromes de glissement massifs dans les Ehpad et les hôpitaux, etc.

Aujourd’hui, le gouvernement rajoute encore à nos concitoyens une épreuve supplémentaire, en choisissant de les diviser par la stigmatisation de la vaccination et de l’obéissance.

Nous n’acceptons pas qu’un schéma vaccinal, à partir de techniques expérimentales aux résultats discutables, puisse être imposé à notre profession et à nos collègues soignants, obligeant ceux qui refusent de s’y soumettre à renoncer à leur métier. En l’état actuel de la loi du 5 août 2021, les psychologues faisant usage du titre, quel que soit leur lieu d’exercice, y compris en libéral et par téléconsultation, perdent leur droit d’exercer et leur rémunération s’ils ne satisfont pas à l’obligation vaccinale.

Nous exigeons l’arrêt immédiat de toutes les formes de pression, de violences économiques, sociales et psychologiques, de chantage et de discriminations exercées sur nous, nos collègues et les concitoyens ne souhaitant pas se faire vacciner. Nous demandons le rétablissement d’une stratégie favorisant le choix et l’implication individuelle et ce, à partir d’une information libre et éclairée.

Nous ne pouvons pas plus cautionner le passe sanitaire ou la diffusion des données biomédicales pour accéder à la vie quotidienne, du fait non seulement de son caractère discriminant et asservissant mais également à cause du manque de respect du secret médical. A ceux qui pourraient nous opposer ici la dangerosité du virus et la prévalence de la santé publique sur l’atteinte aux libertés individuelles, nous répondons que toutes les options de prophylaxie et de traitements ne sont pas étudiées pour nous permettre de vivre avec, en pleine conscience et responsabilité.

Aujourd’hui, les citoyens qui se croyaient protégés par des lois acquises et essentielles à la garantie de leurs libertés et de leur égalité, se retrouvent à nu et en perte de repères dans un monde qu’ils ne reconnaissent plus. Nous avons tous à redouter les conséquences de cette inversion des valeurs que cette nouvelle donne politique érige en modèle sociétal.

Dans ce contexte inédit où les principes fondamentaux de notre code de déontologie sont mis à mal, nous lançons aussi un appel à tous nos collègues psychologues.

N’ayez pas peur de prendre position pour le respect des « libertés et droits fondamentaux garantis par la loi et la Constitution, par les principes généraux du Droit communautaire et par les conventions et traités internationaux.” Restons attachés « à respecter l’autonomie de la personne et en particulier son droit à l’information, sa liberté de jugement et de décision »? Tout ce qui constitue le premier principe du code de déontologie des psychologues parce que : « Le respect de la personne dans sa dimension psychique est un droit inaliénable. Sa reconnaissance fonde l’action des psychologues. »

Nous devons comprendre là qu’il ne peut s’aliéner sous aucun prétexte, ni même aucun régime dit d’exception. En aucun cas un psychologue ne saurait être l’instrument d’un pouvoir qui devient pathologique, malsain, intrusif et traumatique, puisque sa fonction au contraire, c’est bien d’en émanciper les individus.

Engageons-nous ensemble pour le respect de nos choix concernant notre intégrité physique et psychique.

Interrogeons notre posture professionnelle et déontologique en nous demandant comment continuer d’accompagner des personnes vers une meilleure autonomie de pensée si nous sommes nous-mêmes assujettis à une pensée unique ?

Cette question se pose de la même façon que celle concernant la restriction de nos pratiques à des outils ou des méthodes imposées par décret, à la volonté de nous soumettre à l’allégeance à la pensée étatique par un ordre professionnel, ou à celle de la pensée médicale par la paramédicalisation de notre profession, tel que nous le dénoncions en nombre en manifestant le 10 juin dernier.

Comment garder notre propre autonomie de penser et d’agir, en dehors de toute contrainte normative, pour nous-mêmes et pour les personnes que nous accompagnons, d’autant plus lorsque cette dernière est changeante, aléatoire et arbitraire ?

Nous invitons donc tout collègue, tout professionnel du soin et de l’accompagnement et plus largement toute personne se reconnaissant dans ces principes, à nous soutenir, à réagir et à s’organiser.

Signez cette Lettre ouverte et partagez-la au maximum !

Un collectif de psychologues indépendants issus d’un Réseau de Solidarité Active.




Covid – Le miracle africain

[Source : Covid faits et chiffres (covid-factuel.fr)]

Par Zola

Le continent africain, malgré des conditions sanitaires qui n’ont rien à voir avec les nôtres, semble très bien se sortir de la situation. Selon l’Université John Hopkins, depuis 18 mois, il y a 14,5 fois moins de cas déclarés en Afrique que dans l’Union Européenne, rapporté au nombre d’habitants. On ne peut malheureusement pas comparer comme cela, car les Africains testent moins, donc ont moins de “cas positifs”. Ces déclarations sont plus à rapprocher du nombre de vrais patients.

Si cette comparaison présente un biais trop important, qu’en est-il des décès, qui eux ne dépendent pas du nombre de tests ? Depuis 18 mois, toujours chiffres John Hopkins, l’Afrique a 12 fois moins de décès que l’Union Européenne, rapporté au nombre d’habitants. Là encore, la comparaison brute n’est pas possible. En effet, chez nous ce sont surtout des plus de 70 ans qui meurent, chez eux cette population est très faible. Leur population est bien plus jeune que la nôtre et les jeunes ne meurent pas du Covid. Ceci dit, il y a 6 fois moins de plus de 70 ans en Afrique, et 12 fois moins de décès, avec pourtant des patients graves peu ou pas soignés qui devraient aggraver cette mortalité.

Alors si on ne peut se comparer, comment étudier ce qui se passe en Afrique ? Pourquoi si peu de cas, si peu de décès ? Pourquoi n’a-t-on pas vu l’hécatombe projetée par l’OMS il y a 18 mois ? Pour le savoir, il faut comparer ce qui est comparable, c’est à dire les États Africains entre eux et non avec nous. C’est ce qui a été fait par Hisaya Taniokla, Sayaka Tanioka et Kimitaka Kaga, dans cette étude.

Les auteurs ont fait une analyse statistique de l’impact de l’Ivermectine, utilisée pour l’onchocercose, sur les taux de morbidité, de mortalité, de guérison et de létalité causés par le COVID-19, dans les 31 pays endémiques de l’onchocercose, utilisant le traitement. Ils ont comparé, pays par pays (voir leur étude détaillée), avec le taux de mortalité causé par le COVID-19 donné par l’OMS en Afrique.

Plus de 99% des cas d’onchocercose en Afrique ont lieu dans ces 31 pays ( Angola, Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Afrique centrale, République du Congo, Côte d’Ivoire, République démocratique du Congo, Éthiopie, Gabon, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Guinée équatoriale, Kenya, Liberia, Malawi, Mali, Mozambique, Niger, Nigeria, Rwanda, Sénégal, Sierra Leone, Soudan du Sud, Tchad, Togo, Ouganda, Tanzanie, soit 973 millions d’habitants), qui font l’objet d’une campagne massive de l’OMS avec l’Ivermectine, en vue d’éradiquer la maladie. Les 22 autres pays (« groupe placebo » de 357 Millions d’habitants) ne l’utilisent pas.

Leur résultat principal est bien résumé par un graphique publié par un média Autrichien que voici. Il se passe quasiment de légende, la différence entre pays sous Ivermectine pour l’Onchocercose, et ceux qui n’en ont pas, est éloquente : 8 fois moins de cas pour chacune des 3 vagues qu’a connu l’Afrique.

Leur conclusion : « la morbidité et la mortalité dans les pays endémiques de l’onchocercose sont inférieures à celles des pays non endémiques. Le traitement communautaire de l’onchocercose par l’ivermectine est l’explication la plus raisonnable de la diminution du taux de morbidité et de mortalité en Afrique. Dans les zones où l’ivermectine est distribuée et utilisée par l’ensemble de la population, elle entraîne une réduction significative de la mortalité. »

Les chiffres de l’étude sont du même ordre de grandeur que les chiffres de John Hopkins cités en début de billet., avec une comparaison des décès pour 100 000 habitants entre les groupes avec et sans ivermectine, qui montre une différence de 13,3 fois moins de décès. Intéressant, ils ont également comparé les taux de vaccination dans les deux groupes : 1,94% dans le groupe ivermectine, contre 12,4% dans le groupe sans.

Je mettrai un bémol : cette étude a été faite avec les pays utilisant l’ivermectine, il aurait été intéressant de la faire aussi avec ceux qui utilisent l’hydroxychloroquine, tout autant utilisée en Afrique, pour le paludisme. Les cartes géographiques doivent se superposer, et ces résultats ne sont peut-être pas à attribuer en totalité à l’ivermectine, mais à ces deux molécules utilisées « accidentellement » en prophylaxie contre la covid 19.

Ces résultats sont tout à fait cohérents avec l’étude d’Hector Carvallo en Argentine, étude en prophylaxie portant sur 1200 soignants au contact de patients covids dans 4 hôpitaux, affichant 100% d’efficacité dans le groupe de 800 traités, n’ayant constaté aucun cas après 2 mois et demi, alors qu’il y avait 56% de contaminés dans le groupe non traité.

Avec ce qui s’est passé en Inde, ces constatations grandeur nature, portent sur 2,7 milliards d’individus. Des faits et des chiffres, publiés par les autorités, tellement indiscutables que nos « autorités scientifiques » (qui ne le sont plus) refusent d’en discuter. Voici la courbe des décès covid par million d’habitants, pour l’Afrique, l’inde et l’Europe et les Etats Unis. Notons que l’Afrique a fait (inconsciemment) du préventif, et l’Inde du curatif.

Si il faut interpréter ces courbes en fonction du nombre de plus de 70 ans (6 fois moins en Afrique, 5 fois en Inde), ce n’est pas le cas pour la comparaison entre Etats Africains (8 fois moins de décès sous ivermectine).

Nos politiques, nos autorités sanitaires, notre presse, refusent de voir cela, opposant une seule étude in vitro alors que nous parlons de résultats in vivo, voire l’étude Medina où des patients du groupe placebo ont reçu de l’ivermectine, pour dire que cela ne marche pas et clore un débat gênant. Ce constat portant sur 2,7 milliards d’individu vaut toutes les études à 200 cas, faites par des individus payés par on ne sait qui, à la recherche d’on ne sait quelle notoriété ou carrière, et dont beaucoup n’ont jamais traité un seul patient covid.

Si en traitant à titre préventif l’Afrique n’a probablement pas acquis d’immunité collective, la population étant alors peu malade, ce n’est pas le cas de l’Inde. Selon une étude du Conseil indien de la recherche médicale (Indian Council of Medical Research, ICMR) faite sur un échantillon de 29 000 personnes après leur vague delta, 67,6% des indiens avaient des anticorps. Immunité collective acquise naturellement, par contamination, seulement 3% des indiens étant vaccinés à l’époque (par contre 13% dans l’étude, les vaccinations ayant augmenté après la troisième vague). Cette immunité est, de plus, bien plus durable que celle temporaire acquise par les vaccins. Sur ce blog, on a avancé ici que ce variant delta était peut-être une aubaine si on l’attrapait et si on le traitait, il semble que les 1,4 milliards d’indiens en ont fait la démonstration. Cette semaine l’Inde (l’ICMR cité ci-dessus) vient pas ailleurs de classer l’Ivermectine dans la liste des médicaments essentiels (Indian National List of Essential Medicines (NLEM).

Pour cacher ces résultats, le complot anti ivermectine continue. La semaine dernière, elle a été dénoncée comme produit vétérinaire et non humain, et potentiellement mortelle. C’est une reprise des perroquets de la presse, animal qui, on le sait, sait répéter mais pas réfléchir, suite à un communiqué du CDC américain (Centers for Disease Control & Prevention), lui-même suite à une vaste farce que personne n’est allé vérifier, pas même ce “Centre de Contrôle” des maladies, pourtant autorité sanitaire, sans doute composée des mêmes compétences que chez nous. En effet, un américain avait prétendu voir dans son hôpital défiler nombre d’intoxiqués graves à l’Ivermectine et encombrant tous les lits. L’hôpital en question vient de faire un communiqué pour signaler que cet individu ne fait plus partie de l’établissement depuis des mois, et surtout qu’il n’est pas possible d’avoir nombre de complications dues à l’ivermectine, celle-ci n’étant pas utilisée dans l’établissement. Ne comptons pas sur notre presse pour rétablir la vérité et conter cette histoire qu’ils ont largement repris.

En ce qui concerne l’innocuité de l’Ivermectine, rappelons que vigibase, base de donnée des effets indésirables de l’OMS, comptabilisait en 30 ans 16 décès (dont 15 d’un coup, plus que discutables, dans une Ehpad où les patients ont eu en même temps deux insecticides mortels), pour 4 milliards de prises. Au cours des 12 derniers mois, la base en signale 4 de plus, et près de 200 de plus pour le paracétamol (Doliprane). Rappelons aussi cette tentative de suicide infructueuse avec 100 fois la dose.




Attali souhaite que les complotistes soient pourchassés pour les « mensonges qu’ils véhiculent »

[Source : Aube Digitale]

Par Jade

Jacques Attali a un nouveau souhait : pourchasser les complotistes pour leurs mensonges. Sachant que les complotistes ont raison depuis le début, ils ont annoncé la vaccination obligatoire, les multiples doses, et ont été réprimés sévèrement par les médias sociaux, la junte médiatique et les politiciens de tous bords.

Voici ce que ce triste sir a à dire :

Il rêve également que notre identité numérique soit injectée dans notre corps sous la forme d’une « puce électronique ». Là également les complotistes ont vu juste.

[Voir aussi :
Preuves que le pass sanitaire et les vaccins COVID étaient prévu depuis 2019. Attali en parlait même en…1979 !]




Face au variant Delta une seule solution : la plume dans le cul !

Par Alain Tortosa

Face au variant Delta une seule solution : la plume dans le cul ! L’heure n’est plus à la frilosité, mettons une plume dans le cul à nos enfants !

Dès septembre 2020 je suggérais que nous luttions efficacement comme le « Fléau » en nous mettant une plume dans le cul… Hélas, les autorités qui ont toujours une longueur de retard face à ce virus « diabolique », comme le disait si justement le professeur Delfraissy, ne prennent pas les bonnes décisions en temps et en heure.

Et cela se confirme avec cette explosion de tests effectués pour lutter contre le variant Delta, qui, selon les dernières données officielles du réseau sentinelle, se traduit par un taux d’incidence de 19 malades pour 100 000 habitants.

Rendez-vous compte que si nous avions 10 fois plus de cas, nous pourrions vivre une épidémie de Covid !

Ceci sans compter sur le fait que 2221 personnes sont comptabilisées en soin critique en France au 4 septembre (données geodes).

Nous sommes au bord de la saturation ! Les personnes positives au variant Delta, qu’elles soient en soin critique pour des raisons de Covid ou autres pathologies, occupent officiellement désormais un peu plus de 11 %, rendez-vous compte, 11 % des lits de soins critiques disponibles en France, c’est dire l’urgence de la situation.

Je ne résiste pas non plus au plaisir de faire référence aux « excellents journalistes » de Libération qui ont eu une analyse extrêmement fine, intelligente et honnête de la situation. Ils nous ont brillamment expliqué que plus il y aura de vaccinés et plus, mathématiquement, il y aura de personnes vaccinées hospitalisées pour Covid… Et c’est logique, car plus il y a de personnes protégées et plus il y a d’hospitalisations de vaccinés pour Covid et d’autant plus que le vaccin est efficace à 90 %, non ?

Il faudrait vraiment être stupide et de mauvaise foi pour ne pas comprendre que plus on augmente le nombre de vaccinés, plus les non-vaccinés menacent les vaccinés dont le vaccin est efficace.

C’est ce que vit Israël, le vaccin est tellement « efficace », le nombre de vaccinés est tellement important que la proportion et le nombre absolu de vaccinés à l’hôpital ne fait que croître !

Je dois avouer humblement que je n’ai pas leur intelligence et je n’aurais pas eu l’idée lumineuse de me dire :

« Les gars, vous voyez bien que plus nous vaccinons et plus nous avons de malades, nous allons donc imposer une 3e dose ! »

Et là où ça touche au génie, c’est que c’est le même vaccin que pour les deux premières doses !

C’est comme si les spécialistes du vaccin contre la grippe annonçaient :

« Nous avons un nouveau variant qui arrive pour la prochaine saison de grippe, nous allons donc resservir le vaccin de l’année dernière, mais en augmentant les tarifs de 20 % pour frais d’adaptation que nous n’avons pas fait. »

Voilà je voulais donc profiter de mon texte pour remercier Libé qui nous éclaire chaque jour…

J’ai bien compris que si demain 100 % de la population était vaccinée, alors « nos hôpitaux seraient saturés de malades Covid protégés par un vaccin efficace à 90 % ».  Tous les spécialistes médiatiques et au-delà de tout soupçon de conflits d’intérêts et qui nous avaient vendu le vaccin comme le « retour à la vie normale » sont unanimement d’accord pour dire qu’il faut plus que jamais appliquer les gestes barrières et bien sûr porter le masque dont nous ne pouvons pas douter de « l’efficacité ».

Il suffit pour cela de regarder l’historique de l’obligation de port du masque en France pour constater que plus il a été obligatoire et plus les contaminations se sont mises à croître, preuve de « l’efficacité » dont nous ne pourrions pas douter !

Donc l’heure est grave mes amis ! Nous ne sommes plus là à rigoler ! Nous devons prendre le taureau par les cornes !

Certains d’entre-vous, naïfs, avaient souri, voire s’étaient moqué de moi, lorsque l’année dernière j’avais suggéré que l’on impose le port de la plume dans le cul pour faire reculer l’épidémie.

Ah ! vous rigolez moins maintenant que la situation est devenue d’autant plus catastrophique que la vaccination a massivement progressé !

Voici donc un rappel de mon texte de septembre 2020

Plusieurs études suggèrent qu’il pourrait y avoir une transmission fécale du Covid et même qu’elle serait possible par les flatulences… (voir sources).

Des études suggèrent que l’électricité statique pourrait jouer un rôle dans l’efficacité de filtration des virus (voir sources).

Nous savons tous que les plumes, lorsqu’elles sont agitées, génèrent de l’électricité statique… (voir sources).

« On estime qu’un être humain produit entre 10 et 25 flatulences, soit 0,5 à 1,5 litre de gaz par jour. Il s’agit d’une estimation moyenne »

Source allodocteur.

Je veux apporter ma pierre à l’édifice. Je veux participer à cette noble lutte contre ce virus qui ne tue que les personnes ayant des pathologies très graves ou à l’espérance de vie de quelques mois à qui l’on refuse tout traitement…

Je comprends bien qu’il serait ridicule de prendre des mesures pour protéger les personnes à risque et qu’il est totalement logique de faire porter le masque aux personnes en bonne santé et limiter au maximum leurs libertés, les injecter et tuer l’économie et les droits de l’homme…

Il faudrait être sacrément stupide pour imaginer une politique inverse…

Vous imaginez une politique dans laquelle :

  • Les personnes qui ne sont pas à risque sont invitées à faire circuler le virus, ne doivent surtout pas porter de masque, doivent vivre normalement et sauver l’économie et les droits de l’homme ?
  • Et dans le même temps, tester, isoler, protéger, faire des campagnes de prévention, soigner, les personnes à risque ?

RI-DI-CU-LE…

J’ai donc eu l’idée d’étudier d’un point de vue scientifique le dispositif suivant pour lutter contre cet odieux virus pour lequel, rappelons-le « il n’existe AUCUN traitement » (Si, si, les « vrais » experts le disent).

Certains internautes avaient d’instinct imaginé que la plume dans le cul pouvait être une solution et j’ai donc « creusé » l’idée d’un point de vue scientifique.

Je pense qu’il faudrait étudier puis imposer dès 6 ans la plume dans le cul avec, pour les plus de 11 ans, obligation en plus de la faire bouger afin de générer un maximum d’électricité statique.

Cette électricité statistique agirait selon le même principe que la filtration des masques qui ont des trous béants et attirerait donc les particules virales issues de nos flatulences, qui représentent plus d’un litre de gaz mortel par jour.

Il suffirait ensuite de jeter sa plume ou de la laver avec son linge de maison afin de la réutiliser.

À quoi bon porter un masque dans un lieu clos si dans le même temps nous répandons le virus par nos flatulences comme le suggèrent les études ?

Bien entendu il faudrait respecter un protocole strict lors du remplacement de la plume et la changer toutes les 4 heures.

Mais je pense comme certains médecins très « compétents » l’affirment pour le masque « même mal mis, même souillé, même ramassé dans une poubelle, le masque c’est mieux que rien » (ils n’ont pas écrit dans une poubelle, mais c’est l’esprit).

Donc même mal mise, même si on l’échange avec son voisin et qu’on la porte à la bouche, la plume dans le cul devrait, selon exactement la même logique, protéger !

Dans ces temps d’incertitude et de risque d’extinction totale de l’espèce humaine, face à cet odieux virus dons nous ne savons toujours RIEN (dixit les « experts »), je pense qu’il serait criminel de passer à côté d’une mesure qui pourrait sauver des millions de vie…

Ainsi j’apporterais ma contribution afin d’ajouter aux politiques généreuses mises en place par les experts. Experts au-delà de tout soupçon (sourire) et à l’intelligence supérieure (si,si) qui nous disent que nous sommes dans une nouvelle vague d’un virus au moins aussi mortel.

Mais ceux-ci sont plus malins que le virus !

Ils développent des trésors d’ingéniosité pour nous aider en nous disant :

  • Il a été « prouvé » que le virus s’attaque aux foules qui font la fête, mais pas dans un métro bondé.
  • De même il n’est pas capable de contaminer dans des manifestations uniquement si elles sont contre le racisme, mais c’est une catastrophe sur les plages en septembre après 20 h.
  • En Suède il est blasé, il y a de moins en moins de cas alors que presque personne ne porte de masque alors qu’en France il aime bien les compétitions « même avec un masque je vais les contaminer ».
  • Il circule fortement dans certaines rues françaises, mais pas d’autres où il s’arrête net à l’entrée.
  • Dans certains départements, c’est l’enfer, mais dans d’autres, limitrophes… rien…
  • Il a ses heures durant lesquelles il est dehors ou pas.
  • Il s’attaque à nous lorsque nous entrons dans un restaurant, mais cesse d’attaquer quand nous nous asseyons.
  • Il attaque les enfants assis dans une classe, mais pas au réfectoire.
  • Les enfants qui pratiquent la lutte pendant le sport (véridique) peuvent le faire sans masque, le virus n’aime pas la violence.
  • À Cagnes-sur-Mer par exemple si vous couriez le virus ne vous attrapait pas, mais dès que vous vous arrêtiez il vous sautait dessus (voir arrêté préfectoral). En revanche comme certains chiens il déteste les vélos et n’hésitera pas à vous attraper en vélo.
  • Il est beaucoup plus dangereux en septembre quand les touristes sont partis.
  • En région toulonnaise, en revanche, le virus déteste les moyens de transport individuels. En vélo, skate, trottinette, rollers,… vous ne craignez rien, le virus n’ose pas vous attaquer sauf si vous êtes dans un marché de plein air où là, la trottinette ne vous sera d’aucun secours et le virus sera impitoyable.
  • Dans certaines villes si vous fumez, grignotez en marchant, le virus vous épargnera, mais en revanche il sera impitoyable dans d’autres villes.
  • Dans certains endroits il est un peu sourd, vous devez chuchoter et ne surtout pas chanter si vous tenez à la vie. Bref, il est malin ce virus…

La plume dans le cul, ne serait pas LA solution, soyons raisonnables, mais serait un plus à ajouter aux gestes barrières dont nul ne peut douter qu’ils sont efficaces, à moins d’être un crétin complotiste.

Passer à côté d’un dispositif efficace « sans aucune contre-indication » (comme le masque) et qui ne pourrait QUE sauver des vies supplémentaires serait criminel, non ?

Non au coronavirus ! Oui à la plume dans le cul !

Rejoignez-moi dans la lutte contre le virus, militez pour la plume dans le cul.

Réclamons une étude randomisée sur l’efficacité de la plume dans le cul dans la population générale !

L’heure n’est plus à la rigolade, des experts nous disent qu’il faut siffler la fin de la récréation. Je suis d’accord avec eux.

Et entre nous, on va quand même pas faire des histoires pour une plume dans cul.. ce n’est pas si grave, on s’y fait très bien, c’est une question d’habitude.

Tout de suite les grands mots, « atteinte à ma liberté », « droits de l’homme », tout ça pour une simple petite plume dans le cul sans la moindre contre-indication… ridicule…

Je n’ai strictement aucun doute que si la mesure était bien expliquée et qu’il y avait le même « consensus » scientifique que sur le port du masque, les Français adhéreraient majoritairement à cette mesure qui ne relève que du bon sens !

Flyer pour la promotion de la plume dans le cul

Pour se protéger du virus, n’oublions pas le masque, les gestes barrières, mais SURTOUT la plume dans le cul.
Ludique, esthétique, efficace, la plume dans le cul nous protège du virus et comme pour le masque, sans la moindre contre-indication.

La plume dans le cul s’ajoute à l’ensemble des gestes barrières. Elle est un symbole fort de solidarité envers nos anciens qui n’ont plus la souplesse pour se la mettre.

La plume dans le cul existe en différentes couleurs pour être en harmonie avec ses différents habits, elle permet aussi d’afficher son émotion du jour.

Soyons solidaires organisons des distributions gratuites de plumes dans le cul pour aider les plus démunis.

« je pense aux autres, je suis solidaire, j’ai une plume dans le cul »

Mise en garde : Des irresponsables, complotistes, révisionnistes, néonazis, adorateurs de Satan, ou faisant du Yoga, font circuler de fausses informations sans fondement laissant entendre que la plume dans le cul ne protégerait pas et qu’elle pourrait entraîner certains effets secondaires.

Tout ceci n’est que fakenews, vous pouvez être rassurés, les mêmes experts qui ont étudié le port du masque et la sécurité des vaccins ont évalué l’efficacité de la plume dans le cul.

Merci.

Alain Tortosa.

PS Attention la plume dans le cul est un dispositif médical, demandez son avis à votre médecin. Tenir hors de portée des enfants de moins de 3 ans.

5 septembre 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210904-plume-dans-le-cul.pdf


Sources

J Med Virol 2020 Apr « Fecal transmission in COVID-19: A potential shedding route »

Acta Biomed 2020 Sep « Possible modes of transmission of Novel coronavirus SARS-CoV-2: a review » « Besides, some of the other possible modes of transmission are being explored by the researchers, with some studies suggesting the viral spread through fecal-oral, conjunctival secretions, flatulence (farts)… »

ACS Nano 2020 May « Aerosol Filtration Efficiency of Common Fabrics Used in Respiratory Cloth Masks » « We speculate that the enhanced performance of the hybrids is likely due to the combined effect of mechanical and electrostatic-based filtration. Cotton, the most widely used material for cloth masks… »

teslabel.be « Lorsqu’une plume est agitée dans l’air, elle se charge d’électricité statique, pourvu que des porteurs de charge soient présents dans l’air. »




Pass-sanitaire — « Tant que cette monstruosité perdurera, je renoncerai à tout voyage en train ou avion, dussè-je en pâtir pour mes activités » (Jean-Pierre Luminet, astrophysicien)

[Source : lereveilcitoyen.fr]

L’astrophysicien Jean-Pierre Luminet renonce à ouvrir la conférence de la Société Astronomique de France où un prix prestigieux devait lui être décerné.

La raison : « seules pourront y accéder les personnes munies de l’infâme passe sanitaire, qui sera dûment contrôlé à l’entrée.

Tant que cette monstruosité perdurera, je renoncerai à tout voyage en train ou avion, dussè-je en pâtir pour mes activités.

Je refuse de me faire marquer comme du bétail et de me laisser introduire dans le nez toutes les 72 heures un bâton, dont les personnes honnêtement informées savent en outre qu’il ne sert strictement à rien.

Quant aux partisans de l’infâmie (je parle du pass, pas du vaccin encore une autre problématique) qu’ils songent plutôt à se réveiller de leur ahurissante léthargie ».

Ca va être compliqué de le traiter d’imbécile et de complotiste aculturé … Jean-Pierre Luminet est un astrophysicien, conférencier, écrivain et poète français, spécialiste de réputation internationale des trous noirs et de la cosmologie.

Il est directeur de recherche au CNRS, membre du Laboratoire d’astrophysique de Marseille (LAM), après avoir été longuement membre du Laboratoire Univers et Théories (LUTH) de l’observatoire de Paris-Meudon, auquel il reste affilié.

Il est également chercheur associé au Centre de Physique Théorique2 de Marseille (CPT). Membre de plusieurs académies et sociétés savantes, il est lauréat de nombreux prix (voir Distinctions), notamment le Prix Européen de la Communication Scientifique 20073. L’astéroïde (5523) Luminet, découverte à l’observatoire Palomar en 1991, porte son nom en hommage à ses travaux.

Astrid Manfredi




Grand entretien avec Monseigneur Athanasius Schneider sur le passe sanitaire : « Une préfiguration de la marque de la Bête »

[Source : reinformation.tv via LHK]

Tenture de l’Apocalypse, XIVe, château d’Angers.

Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six.

Apocalypse 13,16-18

Mgr Athanasius Schneider, évêque auxiliaire de Sainte-Marie d’Astana (aujourd’hui Noursoultan) au Kazakhstan, a accordé à reinformation.tv une interview essentielle sur le passe sanitaire et l’obligation vaccinale, dont l’emprise ne cesse de croître en France – avec peu d’espoir d’en sortir, dans l’état actuel des choses. Il aborde ces questions dans les lignes ci-dessous du point de vue spirituel mais aussi dans leurs répercussions sur les droits fondamentaux – ces « droits de l’homme » qui trouvent leur source non dans une sorte de contrat social ou dans l’expression de la volonté majoritaire, mais dans notre statut de créatures de Dieu dotées d’une âme immortelle et unique. L’agression et sa nature sont telles que nous avons demandé à Mgr Schneider s’il ne s’agit pas d’une préfiguration, au moins, de la « marque de la Bête » annoncée par l’Apocalypse.
 
Mgr Schneider ne l’exclut pas. Lui qui a grandi au Kirghizistan, sous le pouvoir totalitaire de l’Union soviétique, reconnaît dans les événements qui se produisent aujourd’hui une nouvelle forme de communisme qui voudrait faire du corps de l’homme la « propriété de l’Etat ». Et il invite clairement à y résister, avec tous les hommes de bonne volonté.

Monseigneur Schneider fait la relation entre le passe sanitaire et la tyrannie communiste

Voilà qui tranche avec le discours officiel ambiant, qu’il soit politique, médiatique… ou religieux ? Se faire « vacciner » contre le COVID serait, nous dit-on, un acte de charité. Imposer ouvertement l’injection Spike par une obligation vaccinale, ou indirectement par un « passe sanitaire » serait, nous dit-on encore, une réponse correcte du pouvoir à une exigence du bien commun de la santé.
 
La revue des Jésuites des Etats-Unis, America Magazine, vient même de publier un article qualifiant le refus du « vaccin » anti-COVID du « pire des péchés d’omission » pour les catholiques d’aujourd’hui. Et même des catholiques en vue dans le mouvement traditionnel en viennent à tenir cette sorte de propos, accusant de « libéralisme » et d’« individualisme » ceux qui invoquent les libertés individuelles pour dire leur refus du « vaccin ».

Athanasius Schneider appelle à la résistance

Mgr Schneider n’est pas de ceux-là. Il se fonde à la fois sur le caractère immoral des injections anti-COVID actuellement autorisées en Europe, toutes développées d’une façon ou d’une autre à l’aide de lignées cellulaires obtenues à la suite d’avortements pratiqués aux fins de les obtenir, et sur la liberté et la dignité des êtres humains, maîtres de leur corps et responsables de leur santé.
 
A l’heure où tant de Français se lèvent pour dire « non » aux nouveaux dictateurs, Mgr Schneider leur apporte un vrai réconfort. Car c’est un entretien plein d’espérance surnaturelle. – J.S.


Excellence, le gouvernement français a mis en place l’obligation vaccinale pour les professions de santé et toutes les personnes qui travaillent avec les personnes âgées. Cela va des pompiers aux assistants à domicile. Il y a une très forte mobilisation contre cela. Aux autres personnes, le gouvernement impose un passe sanitaire ; pour en disposer les non vaccinés doivent se faire tester et avoir un test valide depuis moins de 72 heures pour prouver qu’ils ne sont pas positifs au COVID-19. En fait il s’agit de les empêcher de vivre normalement puisque, sans ce test, qu’il faudrait refaire tous les trois jours, on n’a pas accès aux grands centres commerciaux, aux cafés, aux restaurants, à un grand nombre d’hôtels, aux concerts, aux cinémas… Heureusement les églises sont exclues ce dispositif, mais la visite à une personne qui est à l’hôpital est interdite sans passe, ainsi que le fait d’accéder à l’hôpital pour des soins non urgents. Avec l’exigence de ce QR code, on fait en réalité du non vacciné un paria, qui est menacé de très forte amendes à chaque écart. Que pensez-vous de ce type de mesures ?

Je pense que cela va fondamentalement à l’encontre des droits de l’homme et de la dignité humaine, car comme vous l’avez dit, deux classes de personnes seront établies dans la société, et ceux qui ne sont pas vaccinés finiront par ne pas avoir les mêmes droits que les autres. Cela signifie que ces personnes deviendront comme des esclaves parce qu’elles n’ont aucun droit : substantiellement, elles n’ont aucune liberté. Je considère que c’est très dangereux d’établir une société avec deux classes de personnes. Comme je l’ai dit, cela est fondamentalement contraire aux droits de l’homme et à la dignité humaine : nous revenons aux sociétés du totalitarisme. Nous ne connaissons que trop ces systèmes totalitaires où certaines personnes, pour diverses raisons, raciales ou autres, étaient marquées d’un signe extérieur, et n’avaient pas les mêmes droits civils que les autres.
 
Il s’agit donc d’un phénomène vraiment dangereux. Nous nous en approchons actuellement sous le prétexte de mesures sanitaires et de soins de santé. Ce n’est qu’un prétexte car il n’y a pas de preuve certaine que la vaccination soit réellement efficace pour prévenir la contamination par le COVID. Il existe même des cas avérés – il ne s’agit pas d’une théorie du complot – de personnes dont les dossiers et les noms sont vérifiables, qui ont contracté le virus alors même qu’elles avaient été vaccinées contre le COVID ; elles ont été testées positives et, dans certains cas, leur état de santé s’est même aggravé. Le fait que de tels cas existent déjà devrait être un signe que cette vaccination ne peut pas être une exigence absolue, et que nous devons donc protester contre ces violations évidentes des droits fondamentaux, et même contre ces violations de preuves existantes. Lorsque notre société se transforme en un lieu où les preuves sont simplement niées, c’est le signe que nous sommes dans une dictature, car seul un système politique dictatorial nie les évidences afin de promouvoir son programme. Il est clair qu’il existe un programme visant à vacciner toute la population afin d’atteindre un objectif politique, social ou idéologique concret.

Le Tribunal constitutionnel espagnol, saisi d’une question sur l’obligation vaccinale théorique, a décidé il y a un peu plus d’un mois que, pour quelque vaccin que ce soit, y compris dans le cas d’une forte épidémie, une telle obligation ne peut pas être jugée conforme à la Constitution. Qu’en pensez-vous ?
C’est au moins une bonne nouvelle : personne ne peut être contraint par un gouvernement à se faire vacciner. Une décision similaire a été adoptée par le Conseil de l’Europe. C’est déjà un bon signe car si le gouvernement a le pouvoir absolu de vous contraindre, et de dire comment doit être votre corps, alors vous perdez le dernier élément de votre vie privée, car votre corps vous appartient. Avec cette vaccination forcée, le gouvernement déclare, non pas en théorie mais de facto, que c’est lui qui deviendra le propriétaire de votre corps. Pour moi, c’est l’expression ultime du communisme extrême, car le communisme vise à dire que tout appartient à l’État, comme les moyens de production et ainsi de suite – l’éducation, la famille, tout y est commun. Mais à présent, même le corps, votre propre corps, devient la propriété de l’État.

C’est au moins une bonne nouvelle : personne ne peut être contraint par un gouvernement à se faire vacciner. Une décision similaire a été adoptée par le Conseil de l’Europe. C’est déjà un bon signe car si le gouvernement a le pouvoir absolu de vous contraindre, et de dire comment doit être votre corps, alors vous perdez le dernier élément de votre vie privée, car votre corps vous appartient. Avec cette vaccination forcée, le gouvernement déclare, non pas en théorie mais de facto, que c’est lui qui deviendra le propriétaire de votre corps. Pour moi, c’est l’expression ultime du communisme extrême, car le communisme vise à dire que tout appartient à l’État, comme les moyens de production et ainsi de suite – l’éducation, la famille, tout y est commun. Mais à présent, même le corps, votre propre corps, devient la propriété de l’État.
 
Les communistes avaient déjà commencé à arracher les enfants à leurs propres parents, afin de les emmener dans des camps d’éducation, lorsque les parents n’obéissaient pas à l’idéologie de l’État. Ces parents ont été privés de leurs enfants ! Aujourd’hui, certains pays d’Europe occidentale font de même, en retirant les enfants à leur famille lorsque celle-ci s’oppose à l’enseignement de l’idéologie du genre dans les écoles. Nous assistons maintenant à quelque chose de similaire avec la vaccination forcée de facto. Lorsque vous devez avoir ces passes verts en passant des tests tous les trois jours, il s’agit d’une violation pratique des droits, très astucieuse et cynique, visant à forcer les gens à se faire vacciner. Je me demande : maintenant que le Conseil de l’Europe et le Tribunal espagnol ont rendu cette décision disant que l’État n’a pas le droit d’obliger une personne à se faire vacciner, les gouvernements vont-ils appliquer ces décisions ? Qui aura le pouvoir de nous donner la garantie que ces décisions seront appliquées ? Mais au moins, c’est un début.

En France, il existe déjà onze vaccins obligatoires pour les enfants de moins de deux ans, tel le vaccin contre la rubéole dont on sait que plusieurs références sont fabriquées à partir de cellules obtenues par avortement. Or ces vaccinations ne sont pas associées à un passe sanitaire ou à un QR code. Pensez-vous qu’avec l’imposition d’un QR code, nous entrons dans quelque chose de différent ?

Bien sûr, parce que par là, vous êtes complètement contrôlé. Vous n’avez plus aucune liberté, même en ce qui concerne l’intimité de votre corps. Les informations sur votre corps sont dans ce code, donc oui, c’est une différence substantielle, et donc nous devons protester contre ce code qui affectera la vie privée du corps.

Vous vous êtes élevé avec force contre le recours aux cellules fœtales obtenues à la suite d’avortement à la fois pour le développement, la production et les tests sur les vaccins anti-COVID. Comme on le sait beaucoup de spécialistes de la morale ont expliqué qu’il s’agirait pour le particulier qui aurait recours à ces vaccins d’une simple coopération lointaine au mal, et qu’au vu des enjeux on peut accepter cette piqûre. Vous leur avez déjà répondu sur le fond très souvent ; vous avez exposé votre pensée et votre avis. Je voudrais vous demander aujourd’hui si vous ne pensez pas que ces responsables privent les catholiques du soutien de l’Eglise par rapport à leur droit – pour ne pas dire leur devoir – d’objection de conscience, qui doit pouvoir aller jusqu’au refus ?

C’est évident, parce que lorsque l’autorité ecclésiastique affirme : d’accord, vous pouvez vous faire vacciner parce qu’il y a une théorie morale qui dit que c’est une coopération matérielle éloignée, elle tranquillise et calme ce faisant les consciences ; elle affaiblit ainsi considérablement toute résistance que nous devons opposer.
 
Nous devons résister et protester contre l’horrible phénomène qui existe dans notre société, à savoir l’« industrie des fœtus ». Nous devons faire la distinction entre deux industries différentes, qui sont bien sûr intimement liées : l’industrie de l’avortement elle-même, qui est horrible, et l’autre : ce qu’on appelle l’industrie des fœtus, l’utilisation des tissus des bébés avortés et la commercialisation de parties du corps des bébés avortés. Ces « produits » sont utilisés pour la recherche ou pour la production de plusieurs médicaments, dont des vaccins. Ainsi, les vaccins produits à partir de ces lignées cellulaires, ou testés sur elles, font de facto partie de ce que l’on appelle l’industrie des fœtus. Cette industrie des fœtus doit être distinguée de l’industrie de l’avortement, même si les deux sont liées ; l’industrie du fœtus est plus proche de nous, donc lorsque l’on en utilise le produit, le vaccin est un produit direct de l’industrie des fœtus. Nous ne sommes donc plus éloignés de cette industrie des fœtus, et il est gravement immoral de participer en toute connaissance de cause et en toute liberté à ce phénomène horrible de notre société. Pour un catholique, l’industrie des fœtus est immorale et très grave car nous collaborons de facto avec elle, et surtout nous commettons un grand péché d’omission, en ne protestant pas clairement et fortement, au moins contre l’utilisation des lignées cellulaires dans l’industrie des fœtus et dans la vaccination.
 
Il s’agit là d’une grande irresponsabilité de l’Église, y compris du Vatican et des théologiens qui tranquillisent et calment la conscience des gens, et qui, de cette façon, paralysent la résistance. Cela est très grave.
 
Je dois ajouter un autre phénomène. J’ai récemment parlé avec une femme qui s’est profondément convertie à Dieu. Au cours de sa vie passée, elle a commis des avortements, et après s’être convertie, elle a compris toute l’horreur de l’avortement. J’ai parlé avec elle des vaccins contaminés par l’avortement et elle m’a dit qu’elle pouvait mieux comprendre cette situation horrible des produits et des médicaments contaminés par l’avortement que moi, ou qu’une autre femme n’ayant jamais vécu un avortement. Elle m’a dit : « Je peux dire que tout ce qui est lié à l’avortement dans les médicaments et dans leur production est affreux pour moi parce que j’ai été très profondément blessée par l’avortement. » Elle m’a affirmé qu’elle ne pourra jamais accepter un médicament, un produit ou une vaccination qui soit lié d’une manière ou d’une autre à l’origine de l’assassinat d’un enfant.

Je rencontre actuellement beaucoup de personnes qui pour diverses raisons sont absolument opposées au vaccin mais qui risquent de perdre leur emploi, les moyens de subsistance pour leur famille. Elles disent : mon devoir d’état est d’assurer la survie de ma famille et je ne peux pas faire autrement que de recevoir ce vaccin même si j’y suis totalement opposé. A cela s’ajoute le fait que de nombreux médicaments et d’autres vaccins que tout le monde en France a reçus sont déjà touchés par cela. Que voudriez-vous leur dire ?

Pour ce qui est d’autres vaccins et médicaments contaminés par l’avortement, nous devons avoir la preuve : les entreprises pharmaceutiques doivent donner la preuve que ce médicament a été contaminé par des cellules fœtales ou testé sur elles. En ce qui concerne les vaccins anti-COVID actuellement bien connus, comme Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson, Sputnik, l’industrie pharmaceutique l’a reconnu. Pour les autres médicaments, nous n’avons pas encore de reconnaissance publique, donc nous pouvons les utiliser car nous n’avons pas de preuves. Mais nous devrions poser cette question pour chaque médicament. À partir du moment où je reçois de l’entreprise pharmaceutique la preuve qu’un médicament est entaché par l’avortement, j’ai l’obligation de ne pas l’utiliser et de recourir à un autre médicament. Nous devons choisir de bonnes entreprises et de bons médecins qui peuvent nous fournir une médecine alternative qui ne soit pas entachée d’avortement, ou au moins la médecine naturelle que Dieu nous a donnée – et qui pourrait éventuellement nous être plus utile.
 
Le deuxième point est plus difficile, il concerne les personnes qui savent qu’elles vont perdre leur emploi – en particulier les parents qui doivent subvenir aux besoins de leur famille. Il s’agit, bien sûr, d’une question très difficile. Mais ces personnes devraient au moins faire tout ce qui est possible pour éviter de recevoir un tel vaccin. Elles peuvent faire une objection de conscience ; peut-être même peuvent-elles obtenir un document de leur médecin attestant que, pour une raison médicale, cette personne ne peut pas recevoir un vaccin, en raison d’une allergie par exemple. Dans de tels cas, elles doivent essayer de trouver tous les moyens possibles pour éviter de recevoir l’injection, ou même changer de travail, même si cela les rend plus pauvres. Elles doivent choisir cela plutôt que le vaccin à cause du soutien étroit apporté à l’industrie du fœtus – non aux avorteurs mais à l’industrie du fœtus.
 
Je pense que Dieu récompensera ces personnes par de nombreux dons spirituels si elles choisissent de vivre plus pauvrement plutôt que de coopérer avec l’industrie du fœtus. Elles ne mourront certainement pas de faim, Dieu ne le permettra jamais ! Telle était notre expérience à l’époque communiste. Mes parents ne collaboraient pas avec le parti communiste, par exemple ; par conséquent ils ne pouvaient pas avoir de profession, cela leur était interdit. Et donc, simples travailleurs, ils avaient un petit salaire et nous vivions de façon vraiment simple. Mais Dieu ne nous a pas abandonnés, nous étions heureux dans notre foi et cela nous a donné des richesses pour toute notre vie – même quand les autres qui avaient accepté les conditions du parti communiste avaient de meilleures conditions de vie que nous. Je pense donc que nous devons redonner la primauté à la vie éternelle, que nous avons si largement oubliée au cours des dernières décennies. Même l’Église, même les bons catholiques, nous avons été envahis par une sorte de matérialisme : nous étions tellement attachés à la vie matérielle que nous lui donnions la primauté sur l’éternel et le spirituel.
 
C’est donc un principe : je dirais de changer de travail, et même si je dois faire un travail simple comme balayer les rues, j’aurai quand même quelques moyens pour faire vivre ma famille, mais de façon plus pauvre. C’est une décision de conscience, je pense, mais Dieu récompensera ces personnes, bien sûr, et ce sera un signe de protestation, et le témoignage de ce que nous ne collaborons pas avec l’horrible industrie des fœtus.

Que répondez-vous à ceux qui affirment que de telles mesures, le passe sanitaire, par exemple, et la vaccination sont absolument indispensables pour que tous puissent ensemble retrouver les libertés publiques, et que refuser le vaccin est faire preuve d’égoïsme ?

Non, ce n’est pas de l’égoïsme. Si vous vous faites vacciner, vous ne trouverez qu’une liberté apparente, parce que ce soi-disant passe sanitaire vous transforme en esclave. Avec ce passe, votre corps appartiendra d’une certaine manière à l’État et non plus à vous-même. Avec ces codes et tout le reste, vous perdez votre liberté. Comment peut-on appeler cela de l’égoïsme alors qu’il n’est pas prouvé que le vaccin protège de la contamination du virus, et qu’il n’est pas prouvé que lorsque vous avez reçu le vaccin vous ne pourrez pas développer ou transmettre le COVID ? Nous préservons plus de libertés lorsque nous ne le recevons pas.

Ce QR code est-il une tentative d’imposer la marque de la bête dont parle l’Apocalypse, ou une sorte de préfiguration de celle-ci, dans la mesure où les non-vaccinés risquent de se retrouver victimes d’une sorte de confinement qui privera un grand nombre de la possibilité de gagner leur vie ou de poursuivre leurs études ?

On peut dire que c’est peut-être déjà une sorte de préfiguration de la marque de la Bête. Peut-être ne dirais-je pas moi-même, directement, que c’est déjà la marque de la Bête, je n’ai pas encore tous les éléments pour le dire. Mais au moins peut-on dire que c’est une sorte de préfiguration parce que l’Apocalypse indique que celui qui n’a pas la marque sur sa main, sur son corps, ne pourra ni acheter ni vendre. Cela se rapproche beaucoup de la situation où les personnes qui ne sont pas marquées dans leur corps par le vaccin – et c’est une marque – ne peuvent pas aller dans certains magasins ou supermarchés : elles ne peuvent pas y entrer, elles ne peuvent pas y acheter ou vendre, et cela est littéralement déjà mis en œuvre.

« Déjà une sorte de préfiguration de la marque de la Bête »

Je pense que nous devons être prêts à nous trouver exclus. Peut-être peut-on établir des systèmes alternatifs : par exemple, ceux qui sont contre la vaccination peuvent peut-être faire une nouvelle filière d’échanges, l’échange privé de produits de manière plus modeste, avec des petites boutiques qui ne sont pas soumises au passe, ou en plein air, ou par le biais de filières privées d’échange de produits. Je pense qu’il est possible d’établir cela. En France, il y a de grandes protestations contre la vaccination forcée : je pense que ces protestations pourraient conduire à de nouveaux systèmes mutuels d’achat et de vente de produits dont les gens ont besoin, car beaucoup de monde y participe. J’espère que de tels systèmes de vente de produits pourront être créés dans d’autres lieux, dans d’autres pays.
 
Nous devons trouver des solutions de rechange, c’est très important y compris pour l’achat et la vente de produits. Lorsque nous sommes exclus des transports publics, comme les trains, les cars, etc., nous pouvons créer un système pour voyager avec des voitures privées. Nous devons dès maintenant chercher toutes les possibilités pratiques pour éviter cette nouvelle dictature forcée sur notre corps et sur notre liberté. Si nous ne le faisons pas, il y aura un totalitarisme qui sera complet, et ce sera la fin de toute société humaine.
 
J’en appelle même aux non-croyants, à toutes les personnes de bonne volonté : commencez déjà à élaborer des systèmes alternatifs, dans les transports, pour l’achat et la vente de produits, peut-être aussi pour étudier, en créant des centres d’études privés. Nous devons les développer au moins théoriquement et ensuite pratiquement, avec toutes ces bonnes personnes qui manifestent : il faut préparer un système de survie. Nous devons créer une alliance mondiale de protestation et solutions alternatives ; si nous ne le faisons pas, nous aurons un système totalitaire complet. Et cela, nous devons l’éviter.

Un code par lequel le gouvernement prend complètement possession de votre corps

Le code contiendra toutes vos informations privées sur votre santé, qui sont déjà sous le contrôle de l’État. Ce code est lié, si j’ai bien compris, au vaccin. La vaccination contient au moins quelques « empreintes », même si elles sont très éloignées, de l’horrible assassinat d’enfants qui est déjà en soi un acte satanique. L’utilisation de leur corps, de leurs tissus, est aussi en soi satanique car elle est une révolte contre Dieu, Celui qui donne la vie. Alors, les vaccins contaminés par l’avortement portent des empreintes sataniques, même si elles sont lointaines, de la Bête. Le vaccin, avec son numéro de code correspondant, est donc une préfiguration du signe de la Bête. Je ne dis pas que c’est le signe direct de la Bête, pour être clair, mais il pourrait être déjà en partie une préfiguration de ce signe et donc nous devons éviter cela aussi. En outre ce code est immoral d’une certaine manière car, je le répète, par lui le gouvernement prend complètement possession de votre corps.

Sans encourager personne à entre dans l’illégalité, considérez-vous que cette loi oblige moralement ?

L’obligation vaccinale de facto est un abus de pouvoir de la part du gouvernement, ce qui est en soi immoral. Dieu a ordonné la structure de la société, ce que le gouvernement n’a pas le pouvoir de faire. La loi intrinsèquement mauvaise de la vaccination forcée, qui est d’une manière ou d’une autre liée à l’avortement et à l’industrie des fœtus, est immorale. Parce qu’il s’agit d’un acte forcé, je pense que résister à cette loi peut être considéré comme un acte d’auto-défense.

Quel serait votre conseil spirituel pour les catholiques qui sont inquiets ? J’en vois beaucoup qui ont très peur, désormais, de la situation qui se dessine. Que leur diriez-vous de faire ?

D’abord, je leur donnerais la parole de Notre Seigneur Jésus-Christ dans l’Évangile. Il dit : ne craignez pas ceux qui tuent votre corps, mais craignez ceux qui perdent votre âme, ou lui nuisent. Nous ne devons pas craindre le gouvernement, nous devons donner la primauté à notre âme, à notre vie spirituelle, à la vie de prière, avec les sacrements, et donc nous devons être profondément enracinés dans notre prière quotidienne. Nous devons être enracinés dans notre foi, dans notre conviction que notre vie est en définitive entre les mains de Dieu et non entre les mains du gouvernement, même dans une dictature, même dans un système totalitaire ! Notre vie est en définitive entre les mains de Dieu qui est notre Père céleste. Il est notre Père y compris au cours de certaines périodes de l’histoire, Il l’est quand nous sommes dans la détresse, persécutés et humiliés comme dans le cas de cette vaccination forcée. C’est un temps relativement court, donc nous devons regarder plus haut et plus loin, car Dieu ne permet cela, finalement, que pour le bien de notre âme. Saint Paul dit que tout contribuera au plus grand profit de ceux qui aiment Dieu, toute chose contribuera au profit d’un plus grand bien pour ceux qui aiment Dieu. Si nous sommes enracinés dans notre foi, dans la confiance en la Providence de notre Père céleste, sachant que notre vie est entre ses mains, cela devrait nous donner confiance. Nous savons que la dictature sanitaire actuelle du COVID, ce totalitarisme, sera de courte durée, relativement courte car ce n’est pas l’éternité ! L’histoire a toujours montré que les dictatures ne duraient pas si longtemps, et Dieu montrera même à ces nouveaux « dictateurs sanitaires » que leur pouvoir est limité. Nous devons croire que Dieu interviendra dans l’histoire.

« Un appel de Dieu pour approfondir notre vie de prière »

Nous devons également nous focaliser sur le fait qu’il s’agit peut-être d’un appel de Dieu pour que nous approfondissions notre vie de prière : nous devons approfondir notre vie sacramentelle avec des confessions plus régulières, des communions plus régulières, et des prières. Peut-être devrions-nous être plus unis avec tous ceux qui s’opposent à cette dictature, pour faire une chaîne. Peut-être que ces temps difficiles sont une occasion de confesser Dieu, de lui être fidèle. Mais Dieu est si bon, qu’Il donne toujours les grâces nécessaires et Il nous récompense dans les moments difficiles, et nous donne ses consolations. C’est mon conseil et mon avis.

On a l’impression de se trouver confronté à une volonté de s’emparer du corps humain, une volonté transhumaniste qui se met en place et même se réalise. Est-il concevable que Dieu permette que l’humanité – sans le vouloir pour la plupart – tombe dans quelque chose d’aussi contraire ce qu’Il veut pour l’homme ?

Je ne le pense pas, car Dieu se réserve les pouvoirs divins de création et il n’y aura donc pas d’être humain substantiellement nouveau comme le voudraient les transhumanistes. Ils ne réussiront pas, Dieu ne le permettra pas. Il est le Seigneur, nous devons le croire. Ils produiront peut-être certaines choses mais ce ne sera jamais un être humain, jamais, parce que c’est Dieu qui crée l’âme, qui est la partie essentielle de l’être humain. Je le répète : je ne crois pas que Dieu permettra cela. Il a les pouvoirs du Créateur, et ils lui sont réservés. S’ils continuent à faire ces choses horribles qui blasphèment Dieu, la fin des temps aura lieu, comme nous le lisons dans l’Apocalypse, et aussi le Jugement dernier. Et pour nous, Jésus a dit : Quand ce temps viendra, relevez la tête car votre salut est proche, relevez la tête avec confiance, votre salut est proche ! Encore une fois, nous devons prendre cette situation comme une occasion d’approfondir notre foi, notre prière, et pour être plus enracinés dans la vision de la vie éternelle, pour être plus orientés surnaturellement vers notre vie éternelle. Car nous vivons ici dans une vallée de larmes, comme nous le chantons dans le Salve Regina : hac lacrimarum valle. Telle est notre situation, mais nous avons aussi la joie profonde d’avoir une Mère. Elle ne nous abandonne jamais, et elle est toujours proche de nous. C’est mon conseil : elle ne nous abandonnera jamais, elle est la Toute-Puissante de l’intercession pour nous. Elle prendra soin de nous ; toujours, nous devons nous réfugier sous son manteau, surtout en ces temps, et nous devons prier : Sub tuum praesidium confugimus, Sancta Dei Genitrix. Nous fuirons sous sa protection.

Propos recueillis par Jeanne Smits




Nos bourreaux ne se cachent même plus !

[Source : zonefr.com]

Par Christine Deviers-Joncour

Je n’ai pas de mots assez forts pour dire ma colère et mon dégoût ! 

Toutes nos institutions sont prises en otages et vérolées ! Nous sommes cernés par ces menteurs corrompus que ce soit l’Assemblée nationale, le Sénat, le Conseil d’État, le Conseil Constitutionnel ! Jamais la France n’aura connu une telle situation.

Une mafia qui mène à son terme une destruction totale de notre pays et de son peuple ! Plus aucune liberté, plus de soins, plus de possibilité de sortir de chez nous, de travailler, de bouger si nous n’acceptons pas cette injection qui à terme nous tuera ! Toutes nos lois, nos protections sont démolies, effacées. Ceux qui se sont battus pour nous, doivent se retourner dans leurs tombes !

Peuple de France lève toi !!! Ils ont décidé de mener à son terme ce projet immonde d’anéantissement. Ils sont déterminés à nous anéantir, à nous supprimer et ils ne reculeront pas !

https://ripostelaique.com/le-massacre-continue-20-595-deces-dans-lue-et-toujours-ce-silence.html

Un peu d’histoire pour comprendre qui sont ces dingues meurtriers

Les sociétés secrètes telles que la franc-maçonnerie, le Prieuré de SionSkull and Bones, le Bohemian Club et bien d’autres, ont été infiltrées par des gens malveillants, dangereux et démoniaques, certaines de ces sociétés secrètes ont aussi été fondées dans le seul but d’amener le monde à un gouvernement mondial.

Si vous pensez que la franc-maçonnerie est « clean » et qu’elle n’a rien à voir avec cet agenda occulte, vous vous trompez. La franc-maçonnerie est responsable de cet agenda ésotérique. Les francs-maçons sont en grande majorité ignorants et incapables de penser par eux-mêmes, ils sont manipulés par un groupe occulte supérieur qui réside dans la franc-maçonnerie sans que les maçons des loges bleues n’en sachent quoi que se soit. Ils sont même convaincus qu’il n’existe pas de chef dans la franc-maçonnerie et que tous les complots sont des mythes.

Leur Nouvel Ordre Mondial n’est pas seulement une guerre physique, c’est une guerre psychique, c’est ce que David Icke appelle « un coup d’état sur l’âme humaine« , ces attentats terroristes sont réels…

Bien sur, ils existent dans le monde en trois dimensions (3D), mais ils existent aussi pour vous choquer spirituellement, pour arriver à l’état où vous pouvez regarder ces atrocités, guerres, génocides, problèmes mondiaux tout en mangeant à 8h du soir, avec votre famille devant la télévision.

Le Nouvel Ordre Mondial a pour but de lobotomiser la population mondiale, de l’exploiter, et de traiter n’importe quel individu comme un vulgaire animal, ce qui est déjà le cas.

Il s’agit de centraliser les populations dans les villes, d’où le but de détruire l’environnement, c’est aussi à propos de vous faire manger des OGMs, de se brosser les dents avec du dentifrice au fluor et de boire de l’eau contenant de la fluorine.

C’est simplement de l’esclavage moderne déguisé en démocratie. Et bien sur, pour arriver à un tel niveau, il faut des guerres, des crimes, de la violence, du chaos et du désordre.

Pourquoi est-ce que les informations en France, aux USA et partout dans le monde de l’Ouest sont si déprimantes, négatives, toujours axées sur les guerres ? C’est pour que vous soyez mentalement effrayé, c’est simplement pour contrôler votre esprit, parce que la vraie réalité n’existe pas dans ce monde que vous voyez en 3D ! La réalité existe dans votre esprit, et ils comptent sur vous pour ne pas utiliser votre esprit et votre potentiel d’intelligence. Ils attendent de vous que vous écoutiez tout ce qu’ils ont à vous dire via les merdias mainstream, et ils espèrent que vous allez gober tous ces mensonges, ce qui est le plus souvent le cas.

C’est aussi l’installation de milliers de caméras de surveillance partout dans vos villes. C’est aussi l’instauration de la loi martiale partout sur la planète pour soi-disant « se protéger contre le terrorisme« , ou n’importe quelle autre force utilisée et manipulée afin d’avoir des guerres, des menaces et des conflits sans fin !

C’est aussi pouvoir vous embaucher et vous renvoyer sans préavis, c’est aussi vous faire payer très cher pour obtenir un appartement ou un logement médiocre dans une banlieue médiocre. C’est instaurer des taxes sur tout et n’importe quoi, même sur l’eau, la nourriture, et même notre protection…

C’est surtout vous contrôler vous et votre âme.

Mais qui sont-ils et d’où viennent-ils ? Pyramide Illuminatis, franc maçonne !

Gouvernement dans le gouvernement qui n’a qu’un seul but, amener le monde à un gouvernement mondial.

Les Illuminati sont une « élite dans l’élite« .

C’est la plus ancienne et la plus secrète des organisations des « Maîtres du Monde« . La plupart de ces organisations ont un siège social et des membres dont on connaît l’identité. Mais les membres des Illuminati ne sont pas connus de manière certaine, même si certains noms circulent avec insistance. Il s’agit de grandes familles capitalistes ou issues de la noblesse, comme par exemple les Rothschild, les Harriman, les Russel, les Dupont, les Windsor, ou les Rockefeller, notamment l’incontournable David Rockefeller, également co-fondateur du Groupe de Bilderberg et du CFR (Council of Foreign Relations).

Les Illuminati existent sous leur forme actuelle depuis 1776, date de fondation de l’Ordre des Illuminati en Bavière par Adam Weishaupt, un ancien Jésuite. (J’ai eu l’occasion de corriger des textes anciens de Weishaupt,  il y a trois ans en tant que correctrice et croyez-moi je sais de quoi je parle !!)

À cette époque, leur projet était de changer radicalement le monde, en anéantissant le pouvoir des régimes monarchiques qui, à cette époque, entravaient la légalisation de l’usure, le progrès de la société et des idées. La Révolution Française et la fondation des États-Unis auraient été des résultats de leur stratégie.

Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée. Au fil du temps, les membres de ce groupe sont passés du statut de conspirateurs subversifs à celui de dominateurs implacables dont le but essentiel est de conserver leur pouvoir sur la population.

Leur création marquait le lancement d’un Plan conçu pour se dérouler sur plusieurs siècles, en utilisant le contrôle du système financier naissant pour parvenir à une domination totale sur le monde.

La réalisation du Plan s’est ensuite transmise comme un flambeau de génération en génération, au sein d’une élite héréditaire d’initiés qui ont su adapter le Plan aux évolutions technologiques, sociales, et économiques.

Contrairement aux autres organisations des Maitres du Monde, les Illuminati ne sont pas un simple « club de réflexion » ou « réseau d’influence« . Il s’agit d’une organisation dont la véritable nature est ésotérique ou « occulte ».

Les dirigeants politiques ou économiques se présentent au public comme des personnes éminemment rationnelles et matérialistes. Mais le public serait étonné d’apprendre que certaines de ces personnes participent à des cérémonies étranges, dans des sociétés secrètes où se perpétuent le culte des dieux égyptiens et babyloniens: Isis, Osiris, Baal, Moloch, ou Sémiramis.

Les Illuminati se considèrent en effet comme détenteurs d’une connaissance et d’une sagesse supérieure, héritées de la nuit des temps, et qui leur donne une légitimité pour gouverner l’humanité. Les Illuminati sont la forme moderne d’une société secrète très ancienne, la « Fraternité du Serpent » (ou « Confrérie du Serpent« ), dont l’origine remonte aux racines de la civilisation occidentale, à Sumer et Babylone il y a plus de 5000 ans.

La civilisation qui domine le monde aujourd’hui est en effet la prolongation de la civilisation Sumérienne, qui a inventé tout ce qui caractérise la civilisation occidentale : l’administration d’état, l’argent, le commerce, les taxes et les impôts, l’esclavage, les armées organisées, et une expansion fondée sur des guerres perpétuelles et l’asservissement des autres peuples. Ce fut aussi la première civilisation à détruire son environnement. Pratiquant une agriculture intensive après avoir inventé l’irrigation, les civilisations Sumérienne et Babylonienne ont transformé des prairies verdoyantes en un désert qui est aujourd’hui l’Irak.

Depuis Sumer et Babylone, la Fraternité du Serpent s’est perpétuée en prenant des formes et des noms multiples à travers les époques, exerçant son influence sur les religions et les pouvoirs politiques successifs, dans une longue filiation qui inclut les « écoles de mystère » égyptiennes et grecques, l’église chrétienne de Rome (utilisée comme « véhicule » par la « Fraternité » pour s’implanter en Europe), les Mérovingiens (d’où le personnage « Mérovingien » dans le film « Matrix »), les Templiers (et leurs nombreuses ramifications – Franc- Maçons, Rose-Croix, Prieuré de Sion, Ordre Militaire et Hospitalier de St Jean de Jérusalem, Ordre de Malte…), et enfin les « Illuminati » et les organisations qui y sont rattachées.

Le symbole des Illuminati est présent sur les billets de 1 dollar: une pyramide dont le sommet (l’Elite) est éclairé par l’oeil de la conscience et domine une base aveugle, faite de briques identiques (la population).

Changer notre monde commence ici. (Jacques Desrosiers)   

Le Nouvel Ordre Mondial (N.O.M ou N.W.O pour New World Order en anglais) est officiellement un terme qui est employé pour parler de la mondialisation, mais pas la mondialisation économique du style OMC, pas la mondialisation de la sécurité mondiale du genre ONU, ou la mondialisation de la force genre OTAN, mais bien une mondialisation politique, religieuse, avec des caractères économiques et culturels, c’est ça le Nouvel Ordre Mondial.

Mais c’est aussi un plan, que les sociétés secrètes tentent de mettre en application depuis des millénaires (depuis Babylone).

Le Nouvel Ordre Mondial est la mise en place d’une dictature internationale de type communiste déguisée sous le mot « humanisme« , où les peuples seront sommés d’obéir à la loi internationale de force sous peine d’être nettoyés.

Pour ce faire, ils ont : La « solution finale »

Une guerre d’élimination contre la population mondiale a donc commencé.

Les humains devenus inutiles ne sont pas éliminés dans des camps de concentration, mais en leur supprimant progressivement l’accès à l’espace vital, à la nourriture, à la santé, à l’éducation, à l’information, et à l’énergie.

L’envolée des prix alimentaires, la suppression ou la réduction de l’allocations-chômage, la baisse des retraites, le démantèlement des systèmes d’éducation et de santé publique, et la privatisation du marché de l’électricité, sont autant de mesures récentes qui vont dans ce sens. Ils appellent cela leur arme silencieuse : un type d’arme biologique. Elle attaque la vitalité, les options, et la mobilité des individus d’une société, en connaissant, comprenant, manipulant, et attaquant leurs sources d’énergie sociales et naturelles, ainsi que leur forces et faiblesses physiques, mentales, et émotionnelles.

Les pauvres, les précaires et les exclus sont condamnés à une mort lente et discrète, par la misère, la malnutrition, la maladie, ou le suicide.

Le 5 mai 2009, un groupe de milliardaires s’était réuni dans la maison de Sir Paul Nurse, un biochimiste britannique Prix Nobel et Président de l’Université privée Rockefeller, à Manhattan.

Ils étaient invités par Warren Buffet et Bill Gates.

Les échanges de vues portaient sur la façon d’optimiser les dons de bienfaisance au cours d’une période de bouleversements financiers. Ultimement, 

« ils sont arrivés à un consensus selon lequel ils cautionneraient une stratégie où la croissance de la population serait taxée de potentielle menace environnementale, sociale et industrielle désastreuse… ils doivent être indépendants des agences gouvernementales, lesquelles sont incapables de contrer le désastre imminent [qu’ils] voient tous« .

Quelle est la philosophie qui sous-tend leurs engagements ?

Bien que des reportages sur de telles réunions ne puissent être vérifiés, les sources du journaliste d’investigation Daniel Estulin, ainsi que celles de Jim Tucker, traqueur vétéran du Groupe Bilderberg, ont fait preuve d’une extrême justesse par le passé.

Le journal Times du Royaume-Uni rapportait que ces

« éminents milliardaires se sont rencontrés en secret pour envisager la façon dont leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale [et qu’ils] avaient parlé de joindre leurs forces pour surmonter les obstacles politiques et religieux au changement« . En outre, « on a alloué 15 minutes à chacun des milliardaires afin qu’ils présentent leur cause favorite. Pendant le dîner, ils ont discuté de la manière dont ils pourraient choisir une “cause ombrelle“ pouvant servir leurs intérêts. » Ils ont « convenu que la surpopulation était une priorité ».

Un des invités a déclaré qu’

« ils désiraient discuter de riche à riche sans craindre que ce qu’ils disent se retrouve dans les journaux, les dépeignant comme un gouvernement mondial de rechange« .

La population en excès est maintenant éliminée par des épidémies à répétition !!

Depuis quelques années ils ont décidé d’accélérer l’attaque. C’est là leur dernière carte : Covid19, élaboré et planifié depuis  déjà quelques années pour finir leur sale boulot !

Réduire cette population mondiale et contrôler la planète !

L’ordre mondial actuel ne peut plus se perpétrer de la sorte !!! Il est un problème crucial pour l’humanité, un problème qui doit être impérativement et au plus vite résolu. Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, à se battre pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés.

Il s’agit là de leur fameuse guerre contre les peuples annoncée par Warren Buffet : Le milliardaire américain Warren Buffet a déclaré il y a quelques années, non sans humour, qu’il existait

« bel et bien une guerre des classes mais c’est ma classe, la classe des riches qui fait la guerre et c’est nous qui gagnons ».

Ils l’ont ont méticuleusement préparée et mise en œuvre pour nous éliminer et pour soumettre les survivants, leurs futurs esclaves.

Aux Armes citoyens !

La guerre est l’acte par lequel le peuple résiste à l’injustice au prix de son sang ! 

(Henri Lacordaire)

[Note de Joseph : Cependant, s’il s’agit bien d’une guerre, elle est avant tout d’essence spirituelle et doit se maintenir sur ce plan, car la faire descendre sur le plan physique ne ferait que satisfaire ces élites autoproclamées en accélérant la mise en œuvre de leur plan.]

Christine Deviers-Joncour
Source : MédiaZone


[Voir aussi :
C. Deviers-Joncour : Aucune injustice ne peut durer pour l’éternité
La guerre du Bien contre le Mal
Les dessous nauséabonds de la République — L’indécente arrogance des riches et des puissants…]




DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò. MàJ

[Source : medias-presse.info]

Traduction de ©Francesca de Villasmundo pour MPI

Source : Mgr Viganò pour MPI – Traduction – de l’original italien – autorisée et vérifiée par l’auteur


Depuis plus d’un an et demi, nous assistons impuissants à la succession d’événements incongrus auxquels la plupart d’entre nous n’est pas en mesure de donner une justification plausible. L’urgence pandémique a mis en évidence les contradictions et l’illogisme des mesures visant nominalement à limiter les contagions –confinement, couvre-feu, fermetures d’activités commerciales, limitations des services publics et des cours, suspension des droits des citoyens– mais qui sont quotidiennement désavouées par des rumeurs discordantes, des preuves évidentes d’inefficacité, des contradictions de la part des autorités sanitaires elles-mêmes. Inutile d’énumérer les mesures que presque tous les gouvernements du monde ont prises sans obtenir les résultats promis. Si nous nous limitons aux avantages supposés que le sérum génétique expérimental aurait dû apporter à la communauté – en premier lieu l’immunité contre le virus et la liberté de mouvement retrouvée – nous constatons qu’une étude de l’Université d’Oxford publiée dans  The  Lancet  (ici) a déclaré que la charge virale des vaccinés à double dose est 251 fois supérieure aux premières souches du virus (ici), en dépit des proclamations des dirigeants mondiaux, à commencer par le Premier ministre italien Mario Draghi, selon lequel « ceux qui se font vacciner vivent, ceux qui ne se font pas vacciner meurent ». Les effets secondaires du sérum génétique, habilement dissimulés ou délibérément non enregistrés par les autorités sanitaires nationales, semblent confirmer le danger de son administration et les inconnues inquiétantes pour la santé des citoyens auxquelles nous devrons bientôt faire face.

De la science au scientisme

L’art médical – qui n’est pas de la science, mais l’application de principes scientifiques à des cas différents, sur une base expérientielle et expérimentale – semble avoir renoncé à sa prudence, au nom d’une urgence qui l’a mise au rang de sacerdoce d’une religion – la science, précisément – qui, pour être telle s’est voilée d’un dogmatisme à la limite de la superstition. Les ministres de ce culte se sont constitués en une caste d’intouchables, exempts de toute critique, même lorsque leurs affirmations sont réfutées par l’évidence des faits. Les principes de la médecine, jugés universellement valables jusqu’en février 2020, ont succombé à l’improvisation, au point de nous entendre recommander la vaccination en pleine pandémie, l’obligation de masques déclarés inutiles, le recours à des distanciations alambiquées, l’interdiction de traitements médicamenteux efficaces et l’imposition de thérapies géniques expérimentales qui dérogent aux protocoles de sécurité normaux. Et comme il y a de nouveaux prêtres du Covid, il y a aussi de nouveaux hérétiques, c’est-à-dire ceux qui rejettent la nouvelle religionpandémique et veulent rester fidèles au serment d’Hippocrate. Il n’est pas rare que l’aura d’infaillibilité entourant les virologues et autres scientifiques plus ou moins titrés ne soit pas remise en cause par leurs conflits d’intérêts ni par les prébendes considérables des sociétés pharmaceutiques, ce qui, dans des conditions normales, seraitscandaleuse et criminelle.

Ce que beaucoup ne comprennent pas, c’est l’incongruité entre les objectifs déclarés et les moyens qui sont adoptés à l’occasion pour les obtenir. Si, en Suède, l’absence de confinement et de masques n’a pas entraîné de contagion supérieure à celle des pays où les gens se sont confinés chez eux ou là où les masques ont également été obligatoires dans les écoles primaires, cet élément n’est pas considéré comme la preuve de l’inefficacité des mesures. Si, en Israël ou en Grande-Bretagne, la vaccination de masse a accru les infections et les a rendues plus virulentes, leur exemple n’amène pas les dirigeants d’autres pays à faire preuve de prudence dans la campagne de vaccination, mais les incite à évaluer l’obligation l’administrer. Si l’ivermectine ou le plasma hyperimunne s’avèrent des traitements valables, cela ne suffit pas à les autoriser et encore moins à les recommander. Et quiconque se demande la raison de cette irrationalité déconcertante finit par suspendre le jugement, acceptant avec une sorte d’adhésion fidéiste les déclarations des prêtres du Covid, ou vice versa en considérant les médecins comme des sorciers peu fiables.

Un seul scénario sous une seule direction

Comme je l’ai déjà dit, nous sommes confrontés à une tromperie colossale, fondée sur le mensonge et la fraude. Cette tromperie part du principe que les justifications invoquées par l’autorité à l’appui de son action à notre égard sont sincères. Plus simplement, l’erreur consiste à considérer les dirigeants comme honnêtes et à supposer qu’ils ne nous mentent pas. Nous nous obstinons donc à trouver des justifications plus ou moins plausibles, dans le seul but de ne pas reconnaître que nous faisons l’objet d’une conjoncture planifiée dans les moindres détails. Et tandis que nous essayons d’expliquer rationnellement des comportements irrationnels ; alors que nous attribuons une logique à l’action illogique de ceux qui nous gouvernent, la dissonance cognitive nous amène à fermer les yeux sur la réalité et à croire aux mensonges les plus éhontés.

Nous aurions dû comprendre – je l’écrivais dans le passé – que le plan du Great Reset [de la Grande Réinitialisation] n’était pas le fruit des divagations de quelques  « complotistes », mais la preuve brute d’un dessein criminel, conçu depuis des décennies et visant à l’instauration d’une dictature universelle dans laquelle une minorité de personnes incommensurablement riches et puissantes entend asservir et soumettre toute l’humanité à l’idéologie mondialiste. Parce que l’accusation de « conspirationnisme » pouvait peut-être avoir un sens alors que la conspiration n’était pas encore évidente, alors qu’aujourd’hui nier ce que l’élite a conçu depuis les années cinquante est injustifiable. Ce que Kalergi, les Rothschild, les Rockefeller, Klaus Schwab, Jacques Attali et Bill Gates ont dit après la guerre a été publié dans des livres et des journaux, commenté et repris par des organismes et fondations internationaux, réalisé précisément par des partis et des majorités gouvernementales. Les États-Unis d’Europe, l’immigration incontrôlée, la réduction des salaires, l’annulation des garanties syndicales, la renonciation à la souveraineté nationale, la monnaie unique, le contrôle des citoyens sous prétexte d’une pandémie, la réduction de la population par l’utilisation de vaccins avec de nouvelles technologies ne sont pas des inventions récentes, mais le fruit d’une action planifiée, organisée, coordonnée. Une action qui de toute évidence colle parfaitement à un seul scénario sous une seule direction.

La mentalité criminelle

Une fois qu’il a été compris que les événements présents ont été voulus pour obtenir certains résultats – et donc pour poursuivre certains intérêts d’une partie minoritaire de l’humanité, avec un préjudice incalculable pour la majorité – nous devons également avoir l’honnêteté de reconnaître la mentalité criminelle des auteurs de ce plan. Ce dessein criminel nous fait aussi comprendre la malveillance de l’autorité en présentant certaines mesures comme une réponse inéluctable à des événements imprévisibles, lorsque les événements ont été habilement créés  et grossis dans le seul but de légitimer une révolution  –  que Schwab identifie comme une quatrième révolution industrielle – voulue par l’élite au détriment de toute l’humanité. L’asservissement de l’autorité est d’ailleurs le résultat d’un processus entamé encore plus tôt, avec la Révolution française, et qui a rendu la classe politique servante non pas de Dieu (dont elle méprise dédaigneusement la Seigneurie) ni du peuple souverain (qu’elle méprise et utilise uniquement pour se légitimer), mais des potentats économiques et financiers, de l’oligarchie internationale des banquiers et des usuriers, des multinationales et des sociétés pharmaceutiques. En réalité, à y regarder de plus près, tous ces sujets relèvent d’un petit nombre de familles très riches bien connues.

Un même asservissement est également évident dans l’information : les journalistes ont accepté – sans aucun scrupule de conscience – de se prostituer au puissant, allant même jusqu’à censurer la vérité et à diffuser des mensonges éhontés sans même essayer de leur donner un semblant de crédibilité. Si, jusqu’à l’année dernière, les journalistes comptaient le nombre de « victimes » du Covid en présentant les positifs comme des malades en phase terminale, aujourd’hui, ceux qui meurent après le vaccin ne sont que saisis d’un « malaise » et, avant même les examens post mortem, ils décident d’office qu’il n’y a aucune corrélation avec l’administration du sérum génétique. Ils subvertissent la vérité en toute impunité, quand celle-ci ne confirme pas le récit,  la pliant à leurs fins.

Ce qui se passe depuis un an et demi avait été largement annoncé, dans les moindres détails, par les artisans du Great Reset eux-mêmes ; tout comme on nous avait annoncé les mesures qui auraient dû être prises. Le 17 février 1950, devant le Sénat des États-Unis, le célèbre banquier James Warburg a déclaré : « Nous aurons un gouvernement mondial, que cela vous plaise ou non. La seule question qui se pose est de savoir si ce gouvernement mondial sera établi par consensus ou par la force. » Quatre ans plus tard, le groupe Bilderberg est né, qui compte parmi ses membres des personnalités telles que Gianni Agnelli, Henry Kissinger, Mario Monti et Mario Draghi, l’actuel Premier ministre italien. En 1991, David Rockefeller écrivait : « Le monde est prêt pour parvenir à un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. » Il a ajouté : « Nous sommes au bord d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est de la « juste » crise mondiale et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial. » Nous pouvons affirmer, aujourd’hui, que cette « bonne » crise  coïncide avec l’urgence pandémique et avec le Lock step décrit depuis 2010 par le document de la Fondation Rockefeller, Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international, qui prévoyait tous les événements auxquels nous assistons  (ici).

En bref, ils ont créé un faux problème pour pouvoir imposer comme solution apparente les mesures de contrôle de la population, supprimer avec les confinements et le green pass la petite et moyenne entreprise au profit de quelques groupes internationaux, supprimer l’enseignement par l’enseignement à distance, réduire le coût de la main d’œuvre et du travail salarié grâce au smart working [travail intelligent]privatiser la santé publique au profit de Big Pharma, permettre aux gouvernements d’utiliser l’état d’urgence pour légiférer par dérogation au droit et imposer des vaccins à l’ensemble de la population, en rendant les citoyens  traçables dans tous leurs mouvements, malades chroniques ou stériles.

Tout ce que l’élite voulait faire, elle l’a fait. Et ce qui est incompréhensible, c’est que face à la preuve de la préméditation de ce grand crime contre l’humanité, qui voit les dirigeants de presque le monde entier complices et traîtres, il n’y a pas un seul magistrat qui ouvre un dossier contre eux pour découvrir la vérité et condamner les coupables et les complices. Le dissident n’est pas seulement censuré, mais désigné comme un ennemi public, comme un propagateur, comme une non-personne à qui aucun droit ne doit être reconnu.

Deep state [État profond] et deep church [église profonde]

Maintenant, face à un plan criminel, il serait au moins logique de le dénoncer et de le faire connaître, pour pouvoir ensuite l’éviter et juger les coupables. La liste des traîtres devrait commencer par les chefs de gouvernement, les  ministres et les députés, puis se poursuivre avec les virologues et les médecins corrompus, avec les fonctionnaires complices, avec les hauts gradés des forces armées  incapables de s’opposer à la violation de la Constitution, avec les journalistes vendus, avec les magistrats lâches et avec les syndicats courtisans. Dans cette longue liste qui sera peut-être un jour dressée, il faudrait également énumérer les hauts dirigeants de l’Église catholique, à commencer par Bergoglio, et de nombreux évêques, zélés exécuteurs de la volonté du prince contre le mandat reçu par le Christ. Certes, dans cette liste, on aurait connaissance de l’extension du complot et du nombre des comploteurs, confirmant la crise de l’autorité et la perversion du pouvoir civil et religieux. Bref, on comprendrait que la partie corrompue de l’autorité civile – l’État profond – et de l’autorité ecclésiastique – l’église profonde – sont les deux faces d’une même médaille, toutes les deux instruments de l’instauration du Nouvel Ordre Mondial.

Mais pour comprendre cette alliance entre le pouvoir civil et le pouvoir religieux, il faut reconnaître la dimension spirituelle et eschatologique du conflit présent, en l’encadrant dans la guerre que Lucifer, depuis sa chute, a déclenchée contre Dieu. Cette guerre, dont les conséquences sont décidées ab aeterno avec la défaite inexorable de Satan et de l’Antéchrist et la victoire écrasante de la Femme entourée d’étoiles, s’approche désormais de l’épilogue : c’est pourquoi les forces des ténèbres sont si déchainées, si impatientes d’effacer le nom de Notre Seigneur de la terre, de détruire non seulement la présence tangible dans nos villes en démolissant les églises, en abattant les croix, en supprimant les fêtes chrétiennes ; mais aussi en en supprimant le souvenir, en effaçant la civilisation chrétienne, en en falsifiant l’enseignement, en dégradant son culte. Et pour ce faire, la présence d’une hiérarchie fidèle et courageuse, disposée au martyre pour défendre la foi et la morale chrétienne, est certainement une entrave. C’est pourquoi, dès le début du plan mondialiste, il était indispensable de corrompre la hiérarchie dans la morale et la doctrine, de l’infiltrer avec des cinquièmes colonnes et des cellules dormantes, de la priver de tout désir surnaturel, de la rendre vulnérable au chantage par des scandales financiers et sexuels ; en vue de l’exclure et de l’éliminer une fois son but atteint, selon la pratique en cours.

La fin des années cinquante, lorsque le projet du Nouvel Ordre prenait forme, signa cette opération d’infiltration qui a commencé la propre œuvre de subversion quelques années plus tard, avec le Concile œcuménique Vatican II, par rapport à laquelle l’élection de Roncalli et l’éviction du papable Siri, « dauphin » de Pacelli, ont représenté une raison d’enthousiasme tant pour la composante progressiste et moderniste interne à l’Église que pour la composante communiste, libérale et maçonnique du monde civil. Vatican II représentait au sein du corps ecclésiastique ce que le serment du Jeu de Paume était pour la société civile : le début de la Révolution. Et si j’ai voulu à plusieurs reprises souligner le caractère subversif du Concile, je crois qu’aujourd’hui une analyse historique se rend nécessaire, grâce à laquelle des faits apparemment déconnectés acquièrent une signification inquiétante et expliquent beaucoup de choses.

Liaisons dangereuses

Comme Michael J. Matt l’a rapporté dans une vidéo récente sur The Remnant (ici), aujourd’hui nous commençons à assembler tous les carreaux de la mosaïque et à découvrir – de l’aveu même de l’un des protagonistes – que Mgr Hélder Câmara, archevêque d’Olinda et Recife au Brésil, a rencontré le jeune Klaus Schwab, fondateur du  Forum économique mondial et théoricien de la Grande Réinitialisation. Schwab, ayant connu le Prélat pour son opposition à l’Église traditionnelle et ses thèses révolutionnaires et paupéristes, l’a invité au Forum de Davos, considérant sa participation à cet événement comme extrêmement importante en vue du projet du Nouvel Ordre. Nous savons qu’Hélder Câmara faisait partie des organisateurs du Pacte des Catacombes qui, quelques jours avant la clôture du Concile, le 16 novembre 1965, fut signé par une quarantaine d’évêques ultraprogressistes. Parmi les thèses hérétiques de ce document, il y a aussi la collaboration à l’instauration d’un « autre ordre social, nouveau » (ici, n°9) fondé sur la justice et l’égalité. Et nous ne sommes pas surpris d’apprendre que, parmi les signataires, il y avait aussi Mgr Enrique Angelelli, auxiliaire de Cordoue en Argentine, « point de référence pour celui qui était à l’époque, Jorge Mario Bergoglio » (ici).  Bergoglio lui-même a déclaré, dès le début du Pontificat, qu’il partageait les instances du Pacte des Catacombes. Le 20 octobre 2019, à l’occasion du Synode pour l’Amazonie, a été reproduite la célébration du pacte parmi les conjurés aux catacombes de Santa Domitilla, confirmant que le plan lancé au Concile avait trouvé son accomplissement précisément dans Jorge Mario Bergoglio. Loin de prendre ses distances avec les ultra-progressistes qui le soutiennent et qui ont décidé de son élection au dernier Conclave, il ne manque pas de donner la preuve d’une parfaite cohérence avec le plan du Nouvel Ordre Mondial, à commencer par la collaboration d’organismes et de dicastères du Vatican avec l’environnementalisme de matrice malthusienne et par la participation au Council For Inclusive Capitalism, une alliance globale avec Rothschild, la Fondation Rockefeller et les grandes banques.  Ainsi, d’une part, David Rockefeller avec la Commission trilatérale et, d’autre part, Klaus Schwab, lié aux Rothschild (ici), au Forum économique mondial, se retrouvent bras dessus bras dessous avec le chef de l’Église catholique pour établir le Nouvel Ordre par le biais de la Grande Réinitialisation, comme prévu depuis les années 50.

Le plan mondial de dépopulation

Dans ce pactum sceleris,  il faut également compter quelques représentants de l’Académie Pontificale pour la Vie, récemment bouleversée dans son organigramme précisément par Bergoglio, qui en a éloigné les membres les plus fidèles au Magistère en les remplaçant par des théoriciens de la dépopulation, de la contraception et de l’avortement. Rien d’étonnant donc au soutien du Saint-Siège aux vaccins : le Sovereign Independent de juin 2011 reportait en Une : « Dépopulation par vaccination forcée : la solution du zéro dioxyde de carbone » (ici). A côté du titre, une photo de Bill Gates était accompagnée de ce commentaire : « Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de personnes. Cela portera à 9 milliards. Si nous faisons un travail vraiment bien fait avec les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductrice [c’est-à-dire l’avortement et la contraception], nous pouvons réduire la population de 10 ou 15 %. » Il y a onze ans, Bill Gates, qui fait aujourd’hui partie des actionnaires du groupe Black Rock qui finance les sociétés pharmaceutiques qui fabriquent les vaccins, faisait partie des principaux commanditaires de l’OMS et d’une myriade d’organismes publics et privés liés à la santé. À ses côtés, curieusement, nous trouvons George Soros, le « philanthrope » de l’Open Society qui, avec la Fondation Bill et Melinda Gates, a récemment investi dans une société britannique qui fabrique des tampons pour révéler le Covid (ici). Et comme nous parlons de questions économiques, je voudrais rappeler que le Saint-Siège a détenu des actions d’une valeur d’environ 20 millions d’euros dans deux industries pharmaceutiques qui fabriquaient un médicament contraceptif (ici) et, plus récemment, a investi dans un fonds qui garantissait des bénéfices très élevés en cas de crise géopolitique ou pandémique grâce à la spéculation sur les monnaies internationales, le Geo-Risk géré par la banque d’affaires Merril Lynch, qui après les premiers mois de pandémie avec des rendements qui sont montés en flèche, a dû le fermer (ici). D’autres capitaux, provenant de l’Obole de Saint Pierre, avaient servi à financer diverses initiatives, y compris en collaboration avec Lapo Elkann, dont le film autobiographique Rocketman d’Elton John. Sans évoquer la spéculation immobilière et l’achat du manoir de Londres, au numéro 60 Sloane Avenue, dont la chronique nous a largement informés, qui, d’une source sûre, je sais a été décidé par Bergoglio lui-même. Encore : toujours au nom de la cohérence et de l’ « Église pauvre pour les pauvres » si chère à Bergoglio, il y a ceux qui pensent que l’accord avec la Chine préparé par les jésuites et l’ex-cardinal McCarrick a rapporté un financement important du régime communiste de Pékin, en échange du silence du Vatican sur la persécution des catholiques et la violation des droits de l’homme (ici).

Ce n’est pas bien différent pour le racket de l’immigration : parmi ceux qui profitent de l’accueil, il y a, outre les coopératives de gauche, les organismes du Vatican et les Conférences épiscopales, auxquels les États donnent des financements importants pour l’accueil des clandestins. L’horrible monument avec le bateau en bronze érigé par Bergoglio sur la Place Saint Pierre est la représentation plastique d’une hypocrisie qui est la  marque de ce pontificat. Lors d’une récente audience du mercredi, nous avons pu entendre ces mots : « L’hypocrite est une personne qui simule, flatte et trompe parce qu’elle vit avec un masque sur le visage, et n’a pas le courage de faire face à la vérité.  […] L’hypocrisie dans l’Église est particulièrement détestable. Malheureusement, l’hypocrisie existe dans l’Église : il y a tant de chrétiens et de ministres hypocrites » (ici). Il me semble qu’il n’y a pas lieu de commenter.

Interférences de l’État profond

Les interférences de l’État profond sur la vie de l’Église catholique ont été multiples. Nous ne pouvons pas oublier les mails de John Podesta à Hillary Clinton, qui montrent son intention d’évincer Benoît XVI de la papauté et de commencer ainsi un nouveau « printemps de l’Église », progressiste et mondialiste, puis réalisé avec la démission de Benoît XVI et l’élection de l’Argentin. Nous ne pouvons pas non plus laisser de côté les ingérences d’organismes et d’institutions loin d’être proches de la religion, comme par exemple le B’nai B’rith, dictant la ligne du « renouvellement » de l’Eglise après Vatican II et massivement sous ce pontificat. Enfin, il convient de rappeler, d’une part, les refus dédaigneux d’audience à des personnalités politiques et institutionnelles d’orientation conservatrice et, d’autre part, les rencontres passionnées souriantes avec des représentants de la gauche et du progressisme, ainsi que les expressions de satisfaction enthousiaste lors de leur élection. Beaucoup d’entre eux doivent leur succès à avoir fréquenté des universités dirigées par la Compagnie de Jésus ou des milieux du catholicisme que l’on pourrait qualifier en Italie de « dossettiens » [1], où le réseau de relations sociales et politiques constitue une sorte de franc-maçonnerie progressiste et assure des carrières fulgurantes aux soi-disant « catholiques adultes », c’est-à-dire à ceux  qui se vantent du nom chrétien sans se comporter au service de la chose publique conformément à la foi et à la morale : Joe Biden et Nanci Pelosi ; Romano Prodi, Mario Monti, Giuseppe Conte et Mario Draghi pour ne citer qu’eux. Comme on le voit, la coopération entre l’État profond  et  l’église profonde est de longue date et a donné les résultats souhaités par ses partisans, au détriment très grave de l’État et de la Religion.

La fermeture des églises au début de 2020, avant même que les autorités civiles n’imposent des confinements ; l’interdiction de la célébration des messes et de l’administration des sacrements pendant l’urgence pandémique ; la performance grotesque du 27 mars sur la place Saint-Pierre (ici) ; l’insistance sur les vaccins et leur promotion comme moralement licites bien qu’ils soient produits avec des lignées cellulaires provenant de fœtus avortés ; les déclarations de Bergoglio selon lesquelles le sérum génétique représenterait un « devoir moral» pour tout chrétien ; l’introduction du passeport sanitaire au Vatican et plus récemment dans les écoles catholiques et dans certains séminaires ; l’interdiction faite par le Saint-Siège aux évêques de se prononcer contre l’obligation de vaccination, rapidement exécutée par certaines Conférences épiscopales, sont autant d’éléments qui démontrent la subordination de l’église profonde  aux ordres de l’État profond et l’organicité de l’Église bergoglienne au plan mondialiste. Si l’on y associe le culte idolâtre de la  pachamama  sous les voûtes de saint Pierre ; l’insistance sur l’œcuménisme irénique, le pacifisme, le paupérisme ; la morale de la situation et la légitimité substantielle de l’adultère et du concubinage  d’Amoris lætitia ; la déclaration d’illégalité de la peine de mort ; l’appui  aux hommes politiques de gauche, aux dirigeants révolutionnaires, aux avorteurs convaincus ; les mots de compréhension pour les instances LGBT, les homosexuels et les transsexuels ; les silences sur la légitimité des unions homosexuelles et ceux encore plus déconcertants sur la bénédiction des couples sodomites par les évêques et prêtres allemands ; l’interdiction de la messe tridentine avec l’abolition du Motu Proprio  Summorum Pontificum de Benoît XVI, nous nous rendons compte que Jorge Mario Bergoglio est en train de mener la mission qui lui est confiée par l’élite mondialiste, qui le voit en liquidateur de l’Église catholique et en fondateur d’une secte philanthropique et œcuménique d’inspiration maçonnique qui devrait constituer la Religion universelle à l’appui du Nouvel Ordre. Que cette action soit menée avec pleine conscience, par peur ou sous chantage, n’enlève rien à la gravité de ce qui se passe, ni à la responsabilité morale de ceux qui en sont les promoteurs.

La matrice luciférienne du Nouvel Ordre Mondial

À ce stade, il faut préciser ce que l’on entend par Nouvel Ordre Mondial, ou plutôt ce que ses artisans entendent, indépendamment de ce qu’ils affirment publiquement. Comme il est vrai, d’une part, qu’il y a un projet, celui qui l’a conçu et celui qui est chargé de l’exécuter, d’autre part, il est vrai que les principes inspirants de ce projet ne sont pas toujours avouables, ou du moins qu’en étroite relation avec ce qui se passe aujourd’hui ils ne peuvent être énoncés ouvertement, puisque cet aveu susciterait une opposition même chez les plus pacifiques et modérés. C’est en effet une chose d’imposer le green pass sous prétexte de pandémie ; une autre de reconnaître que le but du passeport sanitaire est de s’habituer à être tracés ; une autre de dire que ce contrôle total est la « marque de la Bête » dont parle l’Apocalypse (Ap 13, 16-18). Le lecteur me pardonnera si, pour argumenter mes affirmations, je devrais recourir à des citations d’une telle gravité et d’une telle méchanceté, au point de susciter la perplexité et l’horreur : il est nécessaire de comprendre quelles sont les intentions des artisans de ce complot, et quelle est la bataille historique qu’ils lancent contre le Christ et son Église.

Pour comprendre les racines ésotériques de la pensée qui sous-tend les Nations Unies déjà évoquées par Giuseppe Mazzini, nous devons prendre en considération des personnages comme Albert Pike, Eliphas Levi, Helena Blavatsky, Alice Ann Bailey ou d’autres adeptes des sectes lucifériennes. Leurs écrits, publiés depuis la fin du XIXe siècle, sont largement révélateurs.

Albert Pike, ami de Mazzini et comme lui franc-maçon, dans un discours prononcé en France en 1889 aux plus hauts degrés de la franc-maçonnerie, puis repris le 19 janvier 1935 par le magazine anglais The Freemason, affirma :

« Ce que nous devons dire aux foules, c’est que nous adorons un dieu, mais c’est le dieu qui s’adore sans superstition […]. La Religion maçonnique doit être maintenue, par nous tous initiés de haut degrés, dans la pureté de la doctrine luciférienne. Si Lucifer n’était pas Dieu, Adonaï [le Dieu des chrétiens] dont les actions prouvent sa cruauté, sa perfidie, sa haine de l’homme, sa barbarie et sa révulsion pour la science, l’aurait-il calomnié avec ses prêtres ? Oui, Lucifer est dieu et malheureusement Adonaï est Dieu aussi. Pour la loi éternelle, de sorte qu’il n’y a pas de lumière sans ombre, de beauté sans laideur, de blanc sans noir, l’absolu ne peut exister que comme deux divinités : l’obscurité étant nécessaire à la lumière pour lui servir de contraste, comme le piédestal est nécessaire à la statue et le frein à la locomotive… la doctrine du Satanisme est une hérésie ; et la vraie et pure religion philosophique est la foi en Lucifer, l’égal d’Adonaï ; mais Lucifer, dieu de lumière et dieu du bien, lutte pour l’humanité contre Adonaï, le  Dieu des ténèbres et du démon. »

Cette profession de foi en la divinité de Satan n’est pas seulement un aveu de qui est le vrai Grand Architecte qu’adore la franc-maçonnerie, mais un projet politique blasphématoire qui passe par l’œcuménisme conciliaire, dont la franc-maçonnerie est le premier théoricien : « Le Chrétien, le Juif, le Musulman, le Bouddhiste, le disciple de Confucius et de Zoroastre peuvent s’unir en tant que frères et s’unir dans la prière au seul  dieu qui est au-dessus de tous les autres dieux » (cf.  Albert Pike, Morals and Dogma, ed. Bastogi, Foggia 1984, vol. VI, p. 153). Et qui est le « seul dieu qui est au-dessus de tous les autres dieux » nous a été bien expliqué dans la citation précédente.

Et encore :

« Nous déclencherons les nihilistes et les athées et provoquerons un formidable cataclysme social qui montrera clairement, dans toute son horreur, aux nations, l’effet de l’athéisme absolu, origine de la barbarie et de la subversion sanguinaire. Alors, partout, les citoyens, obligés de se défendre contre une minorité mondiale de révolutionnaires, […] recevront la vraie lumière par la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée à la vue du public ; manifestation à laquelle suivra la destruction du christianisme et de l’athéisme conquis et écrasés en même temps ! » (cf. Lettre du 15 août 1871 à Giuseppe Mazzini, Bibliothèque du British Museum de Londres).

Il n’échappera pas que la « grande hérésie de la séparation » sonne curieusement en résonance avec l’œcuménisme condamné par Pie XI dans l’Encyclique  Mortalium animos, réalisée précisément par la déclaration conciliaire  Dignitatis humanæ  et récemment intégrée dans la doctrine de l’ « inclusivité » formulée par ceux qui ont permis qu’il soit rendu un culte idolâtre à la pachamama dans Saint-Pierre. Et il est clair qu’avec séparation on veut désigner avec une clé d’interprétation négative la consciencieuse séparation du bien du mal, du vrai du faux, du juste de l’injuste, qui constitue le critère de jugement moral du comportement humain. Elle s’oppose à l’inclusivité, c’est-à-dire à se laisser délibérément contaminer par le mal pour adultérer le bien, à assimiler le vrai et le faux pour corrompre le premier et donner une légitimité au second.

Les racines idéologiques communes de l’œcuménisme

Si l’on ne comprend pas que les racines idéologiques de l’œcuménisme sont intrinsèquement liées à l’ésotérisme luciférien maçonnique, on ne peut pas saisir le lien qui lie les déviations doctrinales de Vatican II au plan du Nouvel Ordre Mondial. La révolution de Soixante-huit fut le triste exemple de ces velléités pacifistes et œcuménistes, dans lequel l’ère du Verseau fut célébrée en musique par les Hair in Aquarius (1969) puis par John Lennon avec Imagine  (1971).

« Imaginez qu’il n’y ait pas de paradis. Si vous essayez, c’est facile. Pas d’enfer en dessous de nous. Au-dessus de nous, seul le ciel, imaginez tous les gens qui ne vivent que pour aujourd’hui. Imaginez qu’il n’y ait pas de patries. Ce n’est pas difficile. Rien pour quoi tuer ou mourir et même pas de religion. Imaginez tous les gens qui vivent en paix. On pourrait dire que je suis un rêveur, mais je ne suis pas le seul. J’espère qu’un jour vous vous joindrez à nous et que le monde sera une seule entité. Imaginez qu’il n’y ait pas de propriété. Je me demande si vous pouvez : pas besoin de cupidité ou de convoitise, une fraternité d’hommes. Imaginez que tous les gens partagent le monde entier. » 

Ce manifeste du nihilisme maçonnique peut être considéré comme l’hymne du mondialisme et de la nouvelle religion universelle. Une âme non égarée ne peut que ressentir de l’horreur face à ces paroles blasphématoires. Ainsi que pour celles non moins blasphématoires de God (1970) :  « Dieu est un concept avec lequel nous mesurons notre douleur. […] Je ne crois qu’en moi. »

Je comprends qu’il soit affligeant pour beaucoup d’accepter que la hiérarchie catholique se soit laissée tromper par ses ennemis, faisant siennes leurs revendications sur des questions touchant l’âme même de l’Église. Certes, il y avait des prélats maçons qui ont réussi à introduire leurs idées au Concile en les dissimulant, mais en sachant qu’elles conduiraient inexorablement à la réalisation de cette démolition de la Religion qui est la prémisse de l’instauration de la Nouvelle Ère – l’Age du Verseau – dans laquelle Notre Seigneur est banni de la société pour y accueillir l’Antéchrist. On comprend alors cette indulgence bienveillante de tant de personnalités ecclésiastiques – je pense aux cardinaux Martini et Ravasi, parmi tant d’autres – à l’égard de la franc-maçonnerie, et leur opposition aux excommunications que les papes ont renouvelées contre la secte. On comprend aussi la raison de l’enthousiasme des Loges à l’élection de Bergoglio, et vice versa leur haine mal dissimulée à l’égard de Benoît XVI, considéré comme le kathèkon à éliminer.

Il faut cependant rappeler, avec un certain embarras, que certaines affirmations de Ratzinger font penser à une tentative de « christianiser » le projet mondialiste, sans le condamner comme anti-christique et anti-chrétien :  « Laisse-toi prendre par la main de l’Enfant de Bethléem, ne crains pas, fais-lui  confiance, la force vivifiante de Sa lumière t’encourage à t’engager dans l’édification d’un Nouvel Ordre Mondial » (ici). Ces mots confirment malheureusement l’erreur de la pensée hégélienne, qui a influencé le professeur de Tübingen jusqu’au Seuil. Certes, cette non-prise de position du Pontife a permis de le considérer d’une manière ou d’une autre comme un allié du plan mondialiste, si le président de la République italienne Giorgio Napolitano a pu affirmer, dans son discours de fin d’année 2006  aux Italiens : « Il  y a une harmonie entre moi et le pape Benoît XVI dans le soutien au Nouvel Ordre Mondial » (31 décembre 2006). D’autre part, le processus hégélien de la thèse-antithèse-synthèse fait écho à la devise Solve et coagula de l’alchimie, adoptée par la franc-maçonnerie et l’ésotérisme luciférien. Devise apparaissant sur les bras de Baphomet, idole infernale adorée par les hauts dirigeants de la secte de l’aveu même de ses membres les plus autorisés. Philip Jones, dans son essai Lucifer rising, précisa que la dialectique hégélienne « combine une forme de christianisme comme thèse avec un spiritualisme païen comme antithèse, avec le résultat d’une synthèse très similaire aux religions à mystères babyloniennes ». 

Le panthéisme mondialiste de Teilhard de Chardin

L’œcuménisme est l’un des thèmes clés de la pensée mondialiste. C’est ce que confirme Robert Muller, qui fut assistant du secrétaire des Nations Unies : « Nous devons aller le plus vite possible vers un gouvernement mondial unique, une religion mondiale unique et un leader mondial unique. » Avant lui, l’un des promoteurs de la Société des Nations, Arthur Balfour, a créé la Syntethic Society, qui avait pour but de créer la « religion unique mondiale ».  Pierre Teilhard de Chardin s.j. lui-même, jésuite hérétique, condamné par le Saint Office et aujourd’hui célèbre théologien du progressisme, considérait les Nations Unies comme  « l’incarnation institutionnelle progressiste de sa philosophie », souhaitant « une convergence générale des religions sur un Christ universel qui les satisfasse toutes… Il me semble que c’est la seule conversion possible du monde, et la seule forme sous laquelle une religion de l’avenir peut être conçue» pour « réduire le fossé entre le panthéisme et le christianisme en faisant ressortir ce que l’on pourrait appeler l’âme chrétienne du panthéisme ou l’aspect panthéiste du christianisme ». Il n’échappera pas que la pachamama et l’attribution de connotations mariales à la Terre-Mère concrétisent de façon inquiétante ces concepts de Teilhard de Chardin. Mais cela ne suffit pas : Robert Muller, théoricien du gouvernement mondial et adepte de la théosophe Alice A. Bailey, déclara : « Teilhard de Chardin a influencé son compagnon [le jésuite Emmanuel Saguez de Breuvery, qui a occupé d’importantes fonctions à l’ONU], lequel inspira ses collègues, qui ont commencé un riche processus de pensée globale et à long terme au sein des Nations Unies, qui a concerné de nombreuses nations et personnes à travers le monde. J’ai été profondément influencé par Teilhard. » Dans The future man, Teilhard écrit : « Même si sa forme n’est pas encore visible, demain l’humanité se réveillera dans un monde pan-organisé. » Muller a été fondateur du World Core Curriculum, qui visait à « orienter nos enfants vers la citoyenneté mondiale, les croyances centrées sur la terre, les valeurs socialistes et la mentalité collective, qui deviennent une condition préalable à la main d’œuvre du XXIe siècle. » (New Man Magazine). Et s’il revendique fièrement parmi ses propres inspirations Alice A. Bailey, nous découvrons que la théosophe était une disciple du Mouvement théosophique fondé par Helena Blavatsky, ouvertement luciférienne. Juste pour encadrer le personnage, voici quelques citations de Blavatsky : « Lucifer représente la Vie, la Pensée, le Progrès, la Civilisation, la Liberté, l’Indépendance… Lucifer est le Logos, le Serpent, le Sauveur. » Et, anticipant presque la pachamama : « La Vierge céleste  devient ainsi, en même temps, la Mère des Dieux et des Démons, car elle est la Divinité bénéfique toujours aimante… mais dans l’antiquité et dans la réalité Lucifer est le nom. Lucifer est Lumière divine et terrestre, l’Esprit Saint et Satan en même temps. » Pour finir par : « C’est Satan qui est le dieu de notre planète et l’unique dieu. » Bailey fonda la Lucifer publishing company, maintenant connue sous le nom de Lucis publishing company, étroitement liée au Lucis Trust, anciennement Lucifer Trust, reconnu comme ONG par les Nations Unies. Si l’on ajoute à cet ensemble de divagations infernales les paroles de David Spangler, directeur du projet Planetary Initiative des Nations Unies, nous nous rendons compte à quel point la menace qui pèse sur nous tous est terrible : « Personne ne fera partie du Nouvel Ordre Mondial tant qu’il n’aura pas accompli un acte de culte à Lucifer. Personne n’entrera dans la Nouvelle Ère tant qu’il n’aura pas reçu l’initiation luciférienne. » (Reflections on the Christ, Findhorn, 1978).

Alice A. Bailey écrit à propos du New Age : « Les acquis de la science, les conquêtes des nations et les conquêtes du territoire sont tous révélateurs de la méthode de l’ère des poissons [l’ère du Christ], avec son idéalisme, son militantisme et sa séparation dans tous les domaines – religieux, politiques et économiques. Mais l’âge de la synthèse, de l’inclusivité et de la compréhension est au-dessus de nous, et la nouvelle éducation de l’ère du Verseau [l’ère de l’Antéchrist] doit commencer très doucement à pénétrer dans l’aura humaine. » Aujourd’hui, nous voyons comment les méthodes d’enseignement théorisées par Muller dans le programme d’études de base sont adoptées par presque tous les États, avec l’idéologie LGBT, la théorie du genre et toutes les autres formes d’endoctrinement. L’ancien directeur de l’OMS, le Docteur Brook Chisolm, nous le confirme en expliquant ce que la politique éducative des Nations Unies voudrait réaliser : « Pour parvenir à un gouvernement mondial, il faut retirer de l’esprit des hommes leur individualisme, leur fidélité aux traditions familiales, leur patriotisme national et leurs dogmes religieux. » (cf. Christian World Report, Mars 1991, Vol. 3).

Voici encore le fil rouge qui lie non seulement Klaus Schwab à Hélder Câmara, mais aussi Robert Muller et Alice A. Bailey à Pierre Teilhard de Chardin et Emmanuel Saguez de Breuvery, toujours dans une ligne mondialiste et sous l’inspiration perverse de la pensée luciférienne. Une analyse approfondie de ces aspects troublants permettra de faire la lumière sur la vérité et de révéler les complicités et les trahisons de nombreux hommes d’Église asservis à l’ennemi.

Notre réponse face à la crise de l’autorité

La corruption de l’autorité est telle qu’il est très difficile, du moins en termes humains, d’imaginer une issue pacifique. Au cours de l’histoire, les régimes totalitaires ont été abattus de force. Il est difficile de penser que la dictature sanitaire qui s’installe ces derniers mois peut être combattue différemment, puisque tous les pouvoirs de l’État, tous les médias, toutes les institutions internationales publiques et privées, tous les potentats économiques et financiers sont complices de ce crime.

Face à ce sombre scénario de corruption et de conflit d’intérêts, il est indispensable que tous ceux qui ne sont pas asservis au plan mondialiste s’unissent dans un front compact et cohésif, pour défendre les droits naturels et religieux, leur santé et celle de leurs proches, leur liberté, leurs biens. Lorsque l’autorité manque à ses devoirs, et trahit au contraire le but pour lequel elle est constituée, la désobéissance n’est pas seulement légale, mais aussi un devoir. Désobéissance non violente, du moins pour l’instant, mais déterminée et courageuse. Désobéissance aux diktats illégitimes et tyranniques de l’autorité civile, et opposition farouche aux diktats de l’autorité ecclésiastique, là elle se montre complice du plan infernal du Nouvel Ordre Mondial.

Conclusion

Permettez-moi de conclure cette réflexion par une brève pensée spirituelle. Tout ce que nous savons, que nous découvrons et que nous comprenons du complot global en cours nous montre une réalité énorme mais à la fois nette et claire : il y a deux camps, celui de Dieu et celui de Satan, celui des enfants de la Lumière et celui des enfants des ténèbres. Il n’est pas possible de se réconcilier avec l’Ennemi, et on ne peut pas servir deux maîtres (Mt 6, 24). Les paroles de Notre Seigneur doivent être gravées dans notre esprit : « Celui qui n’est pas avec Moi est contre Moi ; et ceux qui ne ramassent pas avec moi dispersent. » (Mt 12, 30). Espérer construire un gouvernement mondial dans lequel la royauté divine de Jésus-Christ est interdite est fou et blasphématoire, et personne qui a un tel projet ne réussira jamais. Là où règne le Christ, règne la paix, la concorde, la justice ; où le Christ ne règne pas, Satan est tyran. Réfléchissons bien, quand au nom d’une coexistence pacifique, nous devons choisir de nous réconcilier avec l’adversaire ! Et qu’ils y pensent aussi ces prélats et ces dirigeants qui pensent que leur complicité ne touche qu’aux questions économiques ou de santé, prétendant ne pas savoir ce qu’il y a derrière tout cela.

Revenons au Christ, au Christ Roi des cœurs, des familles, des sociétés et des nations. Proclamons-Le notre Roi, et Marie très Sainte notre Reine. Ce n’est qu’ainsi que ce projet infâme du Nouvel Ordre Mondial pourra être vaincu. Ce n’est qu’ainsi que la Sainte Église pourra se purifier des traîtres et des renégats. Et que Dieu écoute notre prière.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

28 août 2021 – S. Augustini Episcopi et Confessoris et Ecclesiae Doctoris 

Note de bas de page :

[1] Le père Giuseppe Dossetti (1913-1996) est considéré comme le fondateur de « l’école de Bologne » et le père du « catholicisme progressiste ». Il a servi de peritus à Vatican II au cardinal Giacomo Lercaro, archevêque de Bologne, et a été très influent dans le contrôle des procédures du Concile]


[Voir aussi :
L’archevêque Carlo Maria Viganò envoie une lettre ouverte au Président des Etats-Unis Donald Trump concernant le « Great reset »
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles
Mgr Vigano écrit à Trump : la lutte contre l’État profond est de nature biblique et les émeutes au nom de George Floyd sont provoquées par les enfants des Ténèbres
La vérité contre la peur
Deep State et Deep Church: le programme commun
Qui est l’Antéchrist ?
La religion de l’Antéchrist]




L’Histoire et l’hypothèse de la résurrection du Christ

[Source : y-jesus.org]

Jésus est-il ressuscité ?

Nous nous demandons tous ce qui doit nous arriver après la mort. Quand un proche meurt, nous désirons ardemment le (ou la) revoir quand ce sera notre tour. Serons-nous glorieusement réunis avec ceux que nous aimons, ou bien la mort est-elle la fin de tout ?

Jésus a enseigné que la vie ne s’achève pas à la mort de notre corps.  Il a fait cette déclaration stupéfiante :

” Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort. ” Selon les témoins oculaires les plus proches de Jésus, il démontra alors sa puissance sur la mort en se relevant des morts après avoir été crucifié et enterré pendant trois jours. C’est cette croyance qui procure l’espérance aux Chrétiens depuis près de 2000 ans.

Mais certains ne partagent pas cet espoir de vie après la mort. Bertrand Russell, le philosophe athée, a écrit :

” Je crois que quand je mourrai, je pourrirai et rien de mon ego ne survivra. ” [1] Il est évident que Russell n’a pas cru les paroles de Jésus.

Les fidèles de Jésus ont écrit qu’il leur apparut vivant après sa crucifixion et son enterrement. Ils ont prétendu non seulement l’avoir vu, mais aussi avoir mangé avec lui, l’avoir touché, et avoir passé 40 jours avec lui.

Alors, est-ce que ceci pourrait être seulement une histoire qui s’est élaborée au fil du temps, ou est-ce basé sur une preuve solide ? La réponse à cette question est fondamentale au christianisme. Car si Jésus s’est relevé d’entre les morts, cela confirme la validité de tout ce qu’il a dit à son propre sujet, sur la signification de la vie, et sur notre destin après la mort.

Si Jésus s’est effectivement relevé d’entre les morts, alors lui seul possède les réponses concernant le but de la vie et ce qui nous attend après la mort. Par contre, si le récit de la résurrection est faux, alors le christianisme est fondé sur un mensonge. Le théologien R. C. Sproul l’exprime ainsi :

” La revendication de la résurrection est vitale au christianisme. Si Christ a été relevé des morts par Dieu, alors Il possède les qualifications et le titre qu’aucun autre chef religieux ne possède. Bouddha est mort. Mohammed est mort. Moïse est mort. Confucius est mort. Mais, selon le…christianisme, Christ est vivant. ” [2]

De nombreux sceptiques ont tenté de réfuter la résurrection. Josh McDowell était l’un de ces sceptiques, ayant consacré plus de sept cents heures d’étude sur les preuves de la résurrection. McDowell a déclaré ce qui suit sur l’importance de la résurrection :

” J’en ai conclus que la résurrection de Jésus Christ est le canular le plus méchant, vicieux, cruel jamais imposé au cœur de l’homme, OU BIEN c’est le fait le plus fantastique de toute l’histoire. ” [3]

Alors, la résurrection de Jésus est-elle un fait fantastique ou un mythe vicieux ? Pour le découvrir, nous devons examiner les preuves historiques et en tirer nos propres conclusions. Voyons ce que les sceptiques qui ont fait des recherches sur la résurrection ont eux-mêmes trouvé.

 Les cyniques et les sceptiques

Tous ne s’entendent pas pour examiner les preuves de façon objective. Bertrand Russell reconnaît que son opinion sur Jésus ” ne se préoccupe pas ” des faits historiques.[4] L’historien Joseph Campbell a déclaré calmement à son audience de la chaîne de télévision PBS, et sans citer de preuve, que la résurrection de Jésus n’était pas un événement factuel.[5] D’autres intellectuels, tels que John Dominic Crossan du Jesus Seminar, sont d’accord avec lui.[6] Aucun de ces sceptiques ne présente la moindre preuve pour défendre leur point de vue.

Les vrais sceptiques, contrairement aux cyniques, s’intéressent aux preuves. Dans un éditorial du magazine Skeptic, intitulé ” Qu’est-ce qu’un sceptique ? “, la définition suivante est donnée :

” Le scepticisme est… l’application de la raison à toute idée—aucune vache sacrée n’est admise. En d’autres mots… les sceptiques ne s’engagent pas dans une enquête avec l’esprit fermé à la possibilité qu’un phénomène puisse être réel ou qu’une revendication puisse être correcte. Quand nous disons que nous sommes ” sceptiques “, nous voulons dire que nous avons besoin de voir des preuves convaincantes avant de croire. ” [7]

A la différence de Russell et Crossan, beaucoup de vrais sceptiques ont examiné les preuves de la résurrection de Jésus. Dans cet article, nous entendrons l’opinion de certains d’entre eux et nous verrons comment ils ont analysé les preuves de ce qui est peut-être la question la plus importante de l’histoire du genre humain : Jésus est-il vraiment ressuscité des morts ?

Il prophétise à son propre sujet

En avance de sa mort, Jésus dit à ses disciples qu’il allait être trahi, arrêté et crucifié, et qu’il reviendrait à la vie trois jours plus tard. C’était un drôle de plan !  Que se cachait-il là-derrière ? Jésus n’était pas un artiste de spectacle qui se produisait sur demande devant le monde ; mais plutôt, il promettait que sa mort et sa résurrection prouveraient au monde (si leur esprit et leur cœur étaient réceptifs) qu’il était en fait le Messie.

Wilbur Smith, un étudiant de la Bible, a fait la remarque suivante sur Jésus :

” Quand il a déclaré qu’il se relèverait lui-même d’entre les morts, le troisième jour après sa crucifixion, il dit quelque chose que seul un fou aurait osé avancer en s’attendant toujours à la fidélité de quiconque parmi ses disciples—à moins qu’il ne fût certain de se relever. Aucun fondateur d’une religion du monde connue par l’homme  n’a jamais osé déclarer une chose pareille. ” [8]

En d’autres mots, puisque Jésus avait clairement expliqué à ses disciples qu’il se relèverait après sa mort, son échec à le faire l’aurait exposé comme un menteur. Mais nous nous devançons. Comment Jésus est-il mort avant de se relever (s’il l’a fait) ?

Une mort atroce et ensuite. . . ?

Vous savez à quoi les dernières heures de la vie terrestre de Jésus ont ressemblé si vous avez regardé le film du guerrier de route/Brave Heart (Cœur vaillant), Mel Gibson. Si vous avez raté des passages de La passion de Christ parce que vous vous cachiez les yeux (il aurait été plus simple de tourner le film avec un filtre rouge sur la caméra), consultez les dernières pages des Évangiles dans votre Nouveau Testament pour voir ce que vous avez raté.

Comme Jésus l’avait prédit, il fut trahi par l’un de ses disciples, Judas Iscariote, et il fut arrêté. Lors d’un faux procès auquel présidait le gouverneur romain, Ponce Pilate, il fut accusé de trahison et condamné à mourir sur une croix en bois. Avant d’être cloué sur la croix, Jésus fut brutalement battu au moyen d’un chat à neuf queues romain, un fouet à neuf lanières dont les extrémités étaient nouées avec des morceaux d’os et de métal qui accrochaient la chair pour la déchirer. Il reçut des coups de poing répétés, des coups de pied et on lui cracha dessus.

Ensuite, à l’aide de maillets, les bourreaux romains enfoncèrent les gros clous de fer forgé dans les poignets et les pieds de Jésus. Finalement, ils plantèrent la croix dans un trou au sol entre deux autres croix sur lesquelles étaient cloués des bandits.

Jésus pendit de cette croix pendant environ six heures. Puis, à trois heures de l’après-midi—c’est-à-dire à l’instant même où l’agneau de Pâque était sacrifié en offrande expiatoire des péchés (il y a un peu de symbolisme ici, non ?)—Jésus s’écria (en araméen) :

” Tout est accompli “, puis il mourut. Soudain, le ciel devint sombre et un tremblement de terre secoua la terre. [9]

Pilate voulait vérifier que Jésus était mort avant de d’autoriser la mise en tombe de son corps crucifié. Donc un garde romain plongea une lance dans le côté de Jésus. Le mélange de sang et d’eau qui s’échappa fut une indication nette que Jésus était mort. Le corps de Jésus fut alors descendu de la croix et placé dans la tombe de Joseph d’Arimathée. Les gardes romains scellèrent alors la tombe et y postèrent une garde de 24 heures.

Pendant ce temps, les disciples de Jésus étaient en état de choc. Dr. J. P. Moreland explique à quel point ils étaient frappés et confus après la mort de Jésus sur la croix.

” Ils ne croyaient plus fermement que Jésus avait été envoyé par Dieu. Ils avaient appris, par ailleurs, que Dieu ne permettrait pas que son Messie souffre la mort. Alors ils se dispersèrent. Le Mouvement Jésus en arrivait pratiquement à une fin brutale. ” [10]

Tout espoir s’était évanoui. Rome et les chefs juifs avaient gagné—ou, du moins, c’est ce qu’il semblait.

Quelque chose se produisit

Mais ce n’était pas la fin. Le Mouvement Jésus ne disparut pas (à l’évidence) et, en fait, le christianisme existe aujourd’hui comme la plus grande religion du monde. Donc, nous devons savoir ce qui s’est produit après que le corps de Jésus a été descendu de la croix et placé dans la tombe.

Dans un article du New York Times, Peter Steinfels cite les événements stupéfiants qui eurent lieu trois jours après la mort de Jésus : ” Peu après l’exécution de Jésus, ses fidèles furent soudain galvanisés d’un groupe déconcerté et tremblant en ceux dont le message concernant un Jésus vivant et un royaume approchant, prêché au risque de leur vie, parvint à changer un empire. Quelque chose s’était produit. … Mais quoi exactement? ” [11] C’est la question à laquelle nous devons répondre par un examen des faits.

Il n’existe que cinq explications plausibles pour la résurrection supposée de Jésus, telle qu’elle est présentée dans le Nouveau Testament :

1. Jésus n’est pas vraiment mort sur la croix.

2. La ” résurrection ”  était un complot.

3. Les disciples hallucinaient.

4. Le récit est une légende.

5. Cela s’est vraiment produit.

Considérons chacune de ces options et voyons laquelle correspond le mieux aux faits.

Jésus était-il mort?

” Marley était mort, pour commencer. Là-dessus, pas l’ombre d’un doute. ” C’est ainsi que Charles Dickens entame son conte Un chant de Noël, car l’auteur veut que personne ne se méprenne sur le caractère surnaturel de ce qu’il va se passer. De la même manière, avant de jouer le rôle des Experts CSI et de recueillir les preuves d’une résurrection, nous devons premièrement déterminer qu’il y a bien eu un cadavre. Après tout, on voit occasionnellement un article de journal racontant comment un ” cadavre ” quelconque dans une morgue s’est mis à bouger et s’est rétabli. Est-ce qu’un cas du même type pourrait s’être produit avec Jésus ?

Certains ont avancé que Jésus aurait survécu la crucifixion et serait revenu à lui-même dans l’air frais et humide de la tombe – ” Eh bien, pendant combien de temps j’ai été dans les pommes ? ” Mais cette hypothèse ne semble pas correspondre à l’évidence médicale. Un article figurant dans le Journal of the American Medical Association (Journal de l’Association médicale américaine) explique pourquoi cette hypothèse du soi-disant ” comma ” n’est pas défendable :

” Il est clair que le plus gros de la preuve historique et médicale indique que Jésus était mort. …La lance, enfoncée entre ses côtes droites, perfora probablement, non seulement le poumon droit, mais aussi le péricarde et le cœur et, par conséquent, garantit sa mort. ” [12]

Mais le scepticisme de ce verdict pourrait bien être fondé, car cette affaire date d’il y a 2000 ans. Nous devons, au moins, nous procurer une seconde opinion.

Nous allons trouver cette autre opinion dans les rapports des historiens non-chrétiens de l’époque à laquelle Jésus a vécu. Trois de ces historiens mentionnent la mort de Jésus.

  • Lucien (env.120 à après 180 A.D.) a fait allusion à Jésus comme un sophiste (philosophe) crucifié.[13]
  • Josèphe (env.37 à env.100 A.D.) a écrit : ” En ce temps-là paraît Jésus, un homme sage ; c’était un faiseur de prodiges […]. Et quand Pilate, sur la dénonciation des premiers parmi nous le condamna à la croix, ceux qui l’avaient aimé précédemment ne cessèrent pas. ” [14]
  • Tacite (env. 56 à env.120 A.D.) a écrit : ” Le nom de Chrétiens leur vient du nom de Christ, qui fut condamné sous le règne de Tibère, par le procureur Ponce Pilate. ” [15]

C’est un peu comme si nous allions à la bibliothèque nationale et que nous découvrions qu’un matin de printemps au premier siècle, le Jerusalem Post avait publié en première page un article disant que Jésus était crucifié et mort. Ce n’est pas mal pour un travail de détective, et c’est plutôt concluant.

En réalité, il n’existe aucun rapport historique, émanant de Chrétiens, Romains ni Juifs, contredisant soit la mort de Jésus, soit sa mise en tombe. Même Crossan, un sceptique de la résurrection, reconnaît que Jésus a véritablement vécu et est mort.  ” Le fait qu’il a été crucifié est aussi certain que tout autre fait historique peut l’être. “[16] A la lumière de telle preuve, il semble que nous ayons de bonnes raisons de rejeter la première de nos cinq options. Jésus était clairement mort, ” pas l’ombre d’un doute “.

La question de la tombe vide

Aucun historien sérieux ne doute vraiment que Jésus était mort lorsqu’il a été descendu de la croix. Toutefois, bon nombre ont questionné la manière dont le corps de Jésus a disparu de la tombe. Le journaliste anglais, Dr. Frank Morison, a d’abord pensé que la résurrection était un mythe ou une tromperie, et il a commencé une étude en vue d’écrire un livre la réfutant.[17] Le livre devint célèbre, mais pour des raisons autres que son intention première, comme nous allons le voir.

Morison commença par tenter de résoudre le cas de la tombe vide. La tombe appartenait à un membre du Conseil du Sanhédrin, Joseph d’Arimathée. En Israël, en ce temps-là, faire partie du Conseil était équivalent à être une rock star d’aujourd’hui. Tout chacun savait qui faisait partie du Conseil. Joseph doit avoir été une vraie personne. Autrement, les chefs juifs auraient exposé l’histoire comme un faux dans leurs efforts de réfuter la résurrection. Par ailleurs, la tombe de Joseph aurait été située dans un lieu connu et facile à identifier, de sorte que toute idée de Jésus ” perdu dans le cimetière ” aurait été éliminée.

Morison se demanda pourquoi les ennemis de Jésus auraient permis au ” mythe de la tombe vide ” de persister s’il n’était pas vrai. La découverte du corps de Jésus aurait mis fin instantanément à tout le complot.

Et ce qui est connu historiquement des ennemis de Jésus, c’est qu’ils accusèrent les disciples d’avoir volé le corps, une accusation clairement basée sur une conviction partagée que la tombe était vide.

Dr. Paul L. Maier, un professeur d’histoire antique à l’université de Western Michigan, a aussi déclaré : ” Si toute la preuve est soigneusement et objectivement évaluée, il est vraiment justifiable … de conclure que la tombe dans laquelle Jésus fut placé était en fait vide au matin de la première Pâque. Et aucune trace de preuve n’a encore été découverte … qui puisse réfuter cela. ” [18]

Les chefs juifs étaient stupéfaits, et accusèrent les disciples d’avoir dérobé le corps de Jésus. Mais les Romains avaient affecté une garde de 24 heures à la tombe, avec un détachement de gardes bien entraînés (entre 4 et 12 soldats). Morison demande :

” Comment ces professionnels ont-ils pu laisser vandaliser le corps de Jésus ? “

Il aurait été impossible à qui que ce soit d’échapper à l’attention des gardes romains et d’avoir déplacé une pierre de deux tonnes. Et pourtant, la pierre était déplacée et le corps de Jésus était manquant.

Si le corps de Jésus avait pu se trouver quelque part, ses ennemis auraient rapidement exposé la résurrection comme un mensonge. Tom Anderson, ancien président de la California Trial Lawyers Association (Association californienne des avocats plaidants), résume l’essentiel de cet argument :

” Avec un événement recevant une telle publicité, ne pensez-vous pas qu’il eût été raisonnable qu’un historien, un témoin oculaire ou un antagoniste ait noté pour les temps à venir qu’il avait vu le corps de Jésus ?  …Le silence de l’histoire est assourdissant quant au témoignage contre la résurrection. ” [19]

Alors, faute de preuve, et avec une tombe connue vide de toute évidence, Morison considéra solide la preuve que le corps de Jésus avait en quelque sorte disparu de la tombe.

Vandalisme de tombe?

Comme Morison poursuivit son enquête, il commença à examiner les motifs des fidèles de Jésus. Peut-être que la supposée résurrection était en fait un corps dérobé. Mais alors, si c’était le cas, comment justifier toutes les apparitions documentées de Jésus ? L’historien Paul Johnson, dans History of the Jews (L’histoire des Juifs), a écrit :

” Ce qui comptait, ce n’était pas les circonstances de sa mort, mais le fait qu’un groupe sans cesse plus grand de gens croyaient tout à fait et obstinément qu’il était ressuscité. ” [20]

La tombe était bien vide. Mais ce n’était pas la simple absence d’un corps qui pourrait avoir galvanisé les fidèles de Jésus (notamment s’ils étaient ceux qui l’avait volé). Quelque chose d’extraordinaire devait avoir eu lieu, car les fidèles de Jésus cessèrent d’avoir du chagrin, cessèrent de se cacher, et commencèrent à proclamer audacieusement qu’ils avaient vu Jésus vivant.

Chacun des témoignages oculaires rapporte que Jésus apparut soudain en chair et en os à ses fidèles, aux femmes d’abord. Morison se demanda pourquoi des comploteurs auraient donné un rôle prépondérant à des femmes dans leur histoire. Au premier siècle, les femmes n’avaient pratiquement aucun droit, aucune personne, aucun état. Si le complot devait réussir, Morison raisonna, les conspirateurs auraient mis en avant des hommes, non pas des femmes, comme étant les premiers à voir Jésus vivant. Pourtant, nous entendons que des femmes le touchèrent, parlèrent avec lui, et furent les premières à trouver la tombe vide.

Plus tard, selon les récits des témoins, tous les disciples ont vu Jésus en plus de dix occasions distinctes. Ils écrivirent qu’il leur montra ses mains et ses pieds et leur dit de le toucher. Et ils dirent qu’il mangea avec eux et, plus tard, apparut vivant à plus de 500 fidèles dans un cas.

John Warwick Montgomery, un érudit du droit, a déclaré :

” En 56 A.D., l’apôtre Paul a écrit que plus de 500 personnes avaient vu le Jésus ressuscité et que la plupart d’entre elles étaient encore vivantes (1 Corinthiens 15, 6 et suivants). Cela dépasse les limites de la crédibilité, que les premiers Chrétiens aient pu fabriquer une histoire semblable, puis la prêcher au milieu de ceux qui auraient facilement pu la réfuter en produisant simplement le corps de Jésus. ” [21]

Les érudits de la Bible, Geisler et Turek sont d’accord :

” Si la résurrection n’avait pas eu lieu, pourquoi l’apôtre Paul aurait-il donné une telle liste de supposés témoins ? Il aurait immédiatement perdu toute crédibilité auprès de ses lecteurs corinthiens en mentant aussi effrontément. ” [22]

Pierre expliqua à une foule à Césarée pourquoi lui-même et les autres disciples étaient si convaincus que Jésus était vivant.

” Nous sommes témoins de tout ce qu’il a fait dans le pays des Juifs et à Jérusalem. Ils l’ont tué, en le pendant au bois. Dieu l’a ressuscité le troisième jour, et il a permis qu’il apparût […] à nous qui avons mangé et bu avec lui, après qu’il fut ressuscité des morts. ” (Actes 10, 39 à 41)

Michael Green, un érudit britannique de la Bible fait remarquer : ” Les apparitions de Jésus sont aussi bien authentifiées que toute autre chose de l’antiquité…Il ne peut y avoir aucun doute rationnel qu’elles ont eu lieu. ” [23]

Cohérent jusqu’au bout

Comme si les rapports des témoins oculaires étaient insuffisants pour provoquer le scepticisme de Morison, le comportement des disciples le laissa également perplexe. Le fait historique, qui a fait trébucher aussi bien les historiens que les psychologues et les sceptiques, est que ces onze anciens lâches s’exposèrent soudain volontairement à souffrir l’humiliation, la torture et la mort. Tous les disciples de Jésus, à l’exception d’un seul, moururent en martyres. Est-ce qu’ils se seraient engagés de la sorte pour un mensonge, sachant qu’ils avaient eux-mêmes dérobé le corps de Jésus ?

Les martyres islamiques du 11 septembre ont prouvé que certains sont d’accord de mourir pour une fausse cause en laquelle ils croient. Pourtant, c’est de la folie de se prêter volontairement au martyre pour un mensonge évident. Comme l’a écrit Paul Little :

” Les hommes sont d’accord de mourir pour ce qu’ils croient être vrai, bien que cela puisse en réalité être faux. Ils ne meurent pas, toutefois, pour ce qu’ils savent être un mensonge. “[24]

Les disciples de Jésus se sont comportés d’une manière cohérente avec une conviction profonde que leur chef était vivant.

Personne n’a clairement expliqué pourquoi les disciples auraient voulu mourir pour un mensonge évident. Mais, même s’ils avaient tous comploté de mentir sur la résurrection de Jésus, comment auraient-ils pu prolonger ce complot pendant des décennies sans que l’un d’eux au moins ne vende la mèche pour de l’argent ou un titre ? Moreland écrit :

” Ceux qui mentent en perspective d’un gain personnel ne restent pas longtemps unis, notamment quand les difficultés dépassent les avantages. “

L’ancien ” homme à la hache ” du gouvernement de Nixon, Chuck Colson, impliqué dans le scandale de Watergate, fit remarquer combien plusieurs personnes éprouvèrent des difficultés à soutenir le mensonge pendant une période de temps prolongée.

” Je sais que la résurrection est un fait, et Watergate me l’a prouvé. Comment ? Parce que 12 hommes témoignèrent qu’ils avaient vu Jésus relevé des morts, et ensuite proclamèrent cette vérité pendant 40 ans, sans jamais la renier une seule fois. Chacun à son tour fut battu, torturé, lapidé et jeté en prison. Ils n’auraient pas pu endurer cela si ce n’était pas vrai. Watergate impliqua 12 des hommes les plus puissants du monde—et ils furent incapables de soutenir un mensonge pendant trois semaines. Vous me dites que 12 apôtres furent capables de soutenir un mensonge pendant 40 ans ? Absolument impossible. ” [25]

Quelque chose a dû se produire, qui a tout changé dans la vie de ces hommes et de ces femmes. Morison a reconnu :

” Quiconque aborde ce problème doit tôt ou tard faire face à un fait sans explication… Ce fait est… qu’une conviction profonde touche ce petit groupe de gens—un changement qui témoigne du fait que Jésus s’est relevé de la tombe. ” [26]

Les disciples étaient-ils victimes d’une hallucination ?

Des gens croient toujours qu’ils voient un Elvis gras, aux cheveux gris, entrer furtivement chez Dunkin Donuts (chaîne de pâtisserie américaine). Et puis il y a ceux qui croient qu’ils ont passé la nuit dernière avec des extraterrestres, dans leur vaisseau, comme l’objet d’essais innommables. Quelquefois, certaines gens peuvent ” voir ” les choses qu’ils veulent voir, des choses qui n’existent pas vraiment. Et c’est pourquoi certains ont prétendu que les disciples étaient si désespérés de la crucifixion que leur désir de revoir Jésus vivant aurait provoqué une hallucination de masse. Est-ce plausible ?

Le psychologue Gary Collins, ancien président de l’American Association of Christian Counselors (Association américaine des conseillers chrétiens), a été questionné sur la possibilité que des hallucinations aient motivé le changement de comportement radical des disciples. Collins fit la remarque suivante :

” Les hallucinations sont des phénomènes individuels. De par la nature-même des hallucinations, une seule personne à la fois ne peut en voir une. Ce n’est pas quelque chose qui peut être vu par un groupe de gens. ” [27]

L’hallucination n’est pas même une possibilité, selon le psychologue Thomas J. Thorburn :

” Il est absolument inconcevable que… cinq cents personnes, d’une clarté d’esprit moyenne… puisse faire l’expérience de toutes sortes d’impressions sensorielles—visuelle, auditoire, tactile—et que toutes ces… expériences reposent entièrement sur…  une hallucination. ” [28]

Par ailleurs, dans la psychologie des hallucinations, la personne a besoin de se trouver dans une certaine disposition d’esprit qui lui fait souhaiter de voir la personne au point que son esprit la fabrique. Deux chefs importants de la première église, Jacques et Paul, ont tous les deux rencontré un Jésus ressuscité, sans qu’aucun des deux ne s’attende à en avoir le plaisir, ni ne l’espère. L’apôtre Paul, en fait, menait les premières persécutions des Chrétiens, et sa conversion reste inexplicable en dehors de son propre témoignage que Jésus lui est apparu, ressuscité.

Du mensonge à la légende

Certains sceptiques sans conviction attribuent l’histoire de la résurrection à une légende qui commença avec une ou deux personnes mentant ou pensant qu’elles avaient vu le Jésus ressuscité. Au fil du temps, la légende aurait grandi et aurait été embellie en se transmettant. Selon cette théorie, la résurrection de Jésus est comparable à la table ronde arthurienne, à l’incapacité du petit Georgie Washington de dire un mensonge, et à la promesse que la Sécurité sociale deviendra solvable à temps pour satisfaire nos besoins.

Mais cette théorie contient trois problèmes importants.

1. Les légendes se développent rarement alors qu’il existe plusieurs témoins oculaires pour les démentir. Un historien de la Rome et de l’Athènes antiques, A. N. Sherwin-White, a posé l’argument que les nouvelles de la résurrection se sont répandues trop tôt et trop vite pour que celle-ci puisse avoir été une légende.[29]

2. Les légendes se développent par tradition orale et ne s’accompagnent pas de documents historiques contemporains vérifiables. Pourtant, les Évangiles furent écrits en l’espace des trois décennies suivant la résurrection.[30]

3. La théorie de la légende n’explique pas bien le fait de la tombe vide, ni la conviction historiquement vérifiée des apôtres selon laquelle Jésus était vivant.[31]

Pourquoi le christianisme a-t-il prévalu ?

Morison était perplexe du fait qu’un ” mouvement minuscule et insignifiant fût capable de prévaloir sur le contrôle étroit et rusé de l’établissement juif, ainsi que sur la puissance de Rome. ” Pourquoi a-t-il gagné, en dépit de tous ces obstacles s’y opposant ?

Il écrit :

” En l’espace de vingt ans, la revendication de ces paysans galiléens avait bouleversé l’église juive.… En moins de cinquante ans, elle avait commencé à menacer la paix de l’Empire romain. Une fois que le dernier mot a été dit… nous demeurons devant le plus grand mystère de tous. Pourquoi a-t-elle prévalu ? ” [32]

Selon toute logique, le christianisme aurait dû disparaître à la croix, lorsque les disciples s’enfuirent pour sauver leur propre vie. Mais les apôtres procédèrent à l’établissement d’un mouvement chrétien croissant.

J. N. D. Anderson écrit : “

Pensez à l’absurdité psychologique d’imaginer une petite bande de lâches vaincus, se cachant dans une salle à l’étage un jour et, quelques jours plus tard, étant transformés en une compagnie qu’aucune persécution ne parvenait à faire taire—et puis de tenter d’attribuer ce changement catégorique à rien de plus convaincant qu’une invention de misère.…Cela n’aurait simplement aucun sens. ” [33]

De nombreux intellectuels croient (selon les paroles d’un ancien commentateur) que ” le sang des martyres fut la semence de l’église. ” L’historien Will Durant fit observer :

” César et Christ se rencontrèrent dans l’arène, et Christ l’emporta. ” [34]

Une conclusion surprenante

Une fois que le mythe, l’hallucination et l’autopsie fautive furent éliminés, considérant la preuve irréfutable de la tombe vide, le groupe important de témoins oculaires de sa réapparition, et la transformation inexplicable, ainsi que l’impact sur le monde de ceux qui prétendaient l’avoir vu, Morison devint convaincu que son préjudice contre la résurrection de Jésus Christ était faux. Il commença à écrire un livre différent—intitulé Qui a déplacé la pierre ? —pour présenter en détail ses nouvelles conclusions. Morison suivit simplement le sentier de la preuve, indice par indice, jusqu’à ce que la vérité de l’affaire lui semble claire. Sa surprise fut que la preuve menait à la croyance en la résurrection.

Dans son premier chapitre, ” Le livre qui refusait d’être écrit “, cet ancien sceptique expliqua comment la preuve l’avait convaincu que la résurrection de Jésus était un fait historique réel.  ” C’était comme si un homme avait entrepris de traverser une forêt en empruntant un sentier bien battu et en était ressorti là où il ne s’attendait pas à en ressortir. ” [35]

Morison n’est pas seul. D’innombrables autres sceptiques ont examiné les preuves de la résurrection de Jésus, et l’ont acceptée comme le fait le plus stupéfiant de toute l’histoire humaine. Mais la résurrection de Jésus Christ soulève la question suivante : en quoi le fait que Jésus a vaincu la mort affecte-t-il ma propre vie ? La réponse à cette question fait l’objet du christianisme du Nouveau Testament.

Jésus a-t-il parlé de ce qu’il nous arrive après la mort ?

Si Jésus est véritablement ressuscité des morts, alors il doit savoir ce qui se trouve de l’autre côté. Qu’a dit Jésus sur la signification de la vie et sur notre avenir ? Y a-t-il une quantité de chemins qui mènent à Dieu ou Jésus a-t-il déclaré qu’il est le seul chemin ? Lire les réponses étonnantes dans “Jésus est-il pertinent à notre époque?”

Notes de fin

  1. Paul Edwards, “Great Minds: Bertrand Russell,” Free Inquiry, December 2004/January 2005, 46.
  2. R. C. Sproul, Reason to Believe (Grand Rapids, MI: Lamplighter, 1982), 44.
  3. Josh McDowell, The New Evidence That Demands a Verdict (San Bernardino, CA: Here’s     Life, 1999), 203.
  4. Bertrand Russell, Why I Am Not a Christian (New York: Simon & Schuster, 1957), 16.
  5. Joseph Campbell, an interview with Bill Moyers, Joseph Campbell and the Power of Myth, PBS TV special, 1988.
  6. Michael J. Wilkins and J. P. Moreland, eds, Jesus Under Fire (Grand Rapids, MI: Zondervan, 1995), 2.
  7. “What Is a Skeptic?” editorial in Skeptic, vol 11, no. 2), 5.
  8. Wilbur M. Smith, A Great Certainty in This Hour of World Crises (Wheaton, ILL: Van Kampen Press, 1951), 10, 11
  9. Historian Will Durant reported, “About the middle of this first century a pagan named Thallus … argued that the abnormal darkness alleged to have accompanied the death of Christ was a purely natural phenomenon and coincidence; the argument took the existence of Christ for granted. The denial of that existence never seems to have occurred even to the bitterest gentile or Jewish opponents of nascent Christianity.” Will Durant, Caesar and Christ, vol. 3 of The Story of Civilization (New York: Simon & Schuster, 1972), 555.
  10. Quoted in J. P. Moreland interview, Lee Strobel, The Case for Christ (Grand Rapids, MI: Zondervan, 1998), 246.
  11. Peter Steinfels, “Jesus Died—And Then What Happened?” New York Times, April 3, 1988, E9.
  12. William D. Edwards, M.D., et al., “On the Physical Death of Jesus Christ,” Journal of the American Medical Association 255:11, March 21, 1986.
  13. Lucian, Peregrinus Proteus.
  14. Josephus, Flavius, Antiquities of the Jews, 18. 63, 64. [Although portions of Josephus’ comments about Jesus have been disputed, this reference to Pilate condemning him to the cross is deemed authentic by most scholars.]
  15. Tacitus, Annals, 15, 44. In Great Books of the Western World, ed. By Robert Maynard Hutchins, Vol. 15, The Annals and The Histories by Cornelius Tacitus (Chicago: William Benton, 1952).
  16. Gary R. Habermas and Michael R. Licona, The Case for the Resurrection of Jesus (Grand Rapids, MI: Kregel, 2004), 49.
  17. Frank Morison, Who Moved the Stone? (Grand Rapids, MI: Lamplighter, 1958), 9.
  18. Paul L. Maier, Independent Press Telegram, Long Beach, CA: April 21, 1973.
  19. Quoted in Josh McDowell, The Resurrection Factor (San Bernardino, CA: Here’s Life, 1981), 66.
  20. Paul Johnson, A History of the Jews (New York: Harper & Row, 1988), 130.
  21. John W. Montgomery, History and Christianity (Downers Grove, ILL: InterVarsity Press, 1971), 78.
  22. Norman L. Geisler and Frank Turek, I Don’t Have Enough Faith to Be an Atheist (Wheaton, IL: Crossway, 2004), 243.
  23. Michael Green, The Empty Cross of Jesus (Downers Grove, IL: InterVarsity, 1984), 97, quoted in John Ankerberg and John Weldon, Knowing the Truth about the Resurrection (Eugene, OR: Harvest House), 22.
  24. J. P. Moreland, Scaling the Secular City, (Grand Rapids, MI: Baker Book House, 2000), 172.
  25. Charles Colson, “The Paradox of Power,” Power to Change, www.powertochange.ie/changed/index_Leaders.
  26. Morison, 104.
  27. Gary Collins quoted in Strobel, 238.
  28. Thomas James Thorburn, The Resurrection Narratives and Modern Criticism (London: Kegan Paul, Trench, Trubner & Co., Ltd., 1910.), 158, 159.
  29. Sherwin-White, Roman Society, 190.
  30. Habermas and Licona, 85.
  31. Habermas and Licona, 87.
  32. Morison, 115.
  33. J. N. D. Anderson, “The Resurrection of Jesus Christ,” Christianity Today, 12. April, 1968.
  34. Durant, Caesar and Christ, 652.
  35. Morison, 9.

Permission de reproduire cet article : L’éditeur accorde la permission de reproduire et distribuer ce document sans permission écrite, pour une utilisation à but non lucratif. Aucune partie ne peut être modifiée ou utilisée hors-contexte sans permission écrite. Des copies imprimées de Y-Origins et de Y-Jesus magazine peuvent être commandées à : www.JesusOnline.com/product_page

© 2010 JesusOnline Ministries (Ministères de Jésus en ligne). Cet article est un supplément du magazine  Y-Jesus  publié par Bright Media Foundation & B&L Publications : Larry Chapman, éditeur-en-chef. Pour lire d’autres articles sur les preuves de l’existence de Jésus Christ, voir : www.y-jesus.com.




Particules métalliques dans les vaccins : les complotistes ont encore frappé !

[Source : Michel de Lorgeril]

Par Michel de Lorgeril – Docteur en Médecine, Chercheur au CNRS
Expert international en cardiologie et nutrition – Membre de la Société Européenne de Cardiologie

L’été 2021 a été marqué par une étrange information, confirmée par de multiples sources conspirationnistes, stipulant que les vaccins antiCOVID contenaient des particules métalliques qui excitaient les aimants.

[Voir :
Vaccins covid aimantés, l’incroyable scandale arrive
Actionner un interrupteur dans la tête
Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm
The Guardian, 2016 : Une protéine « Magneto » génétiquement modifiée contrôle à distance le cerveau et le comportement
Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes]

Évidemment, bandes d’idiots, cette information n’avait aucun sens : pourquoi y aurait-il des particules métalliques dans les seringues vaccinales ?

Encore une idée de quelques zombies qui voient le mal partout. Les autorités sanitaires, les scientistes de service et les médias ont aussitôt [et à juste raison] rejeté ces théories farfelues.

Par exemple, le subtile Figaro est allé interviewé des gens sérieux…

Et l’incomparable crétin-décodeur du journal du soir des gens accomplis (le fameux Adrien Sénécat) s’est précipité pour nous informer que ces informations… étaient bien sûr des fake news !

Seulement voilà, le Ministère Japonais de la Santé (ou quelque chose d’équivalent) est lui-aussi complotiste : ses experts ont identifié des particules métalliques dans les vaccins Moderna.

Beaucoup plus ennuyeux pour le déconneur du Monde (payé pour mentir) et l’experte du Figaro (payée pour quoi ?), Moderna l’a implicitement confirmé.

Ce n’est plus une fake news, c’est une enquête à diligenter…

C’est encore plus ennuyeux pour les Agences sanitaires internationales (payées pour quoi ?) qui vont devoir expliquer à quoi elles servent… sinon à faire génuflexion devant les stars du grand Kapital Pharma, comme dirait un célèbre Karl…

Que va dire le Grand manitou qui gouverne le Ministère de la Santé en France ?

Tout cela devient quelque peu nauséabond.

Outre que les informateurs des grands médias s’avèrent n’être que des vulgaires propagateurs de fausses informations, il semblerait que les conspirationnistes aient eu raison avant tout ce « sale petit monde » de la désinformation organisée.

Ne pourraient-ils pas, de temps en temps, dire vrai ?

Ils viendront ensuite se plaindre de faire faillite parce que le public va s’informer sur les réseaux sociaux.

Ils n’ont pas encore compris que les médias conventionnels et les réseaux sociaux sont des vases communicants : plus les médias officiels sont mauvais et menteurs et plus les réseaux sociaux enflent !

La jeunesse l’a compris ; la jeunesse ne lit pas le Figaro et encore moins Le Monde !




À tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner

[Source : Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)]

Par Reza Moghaddassi

Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.

Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.
Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.
Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.
Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.
Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.
Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du Covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.

Pardonnez-moi d’exister.

Vous avez raison, je ne suis qu’un insolent. Après tout nous sommes dans l’urgence et nous n’avons pas le temps de nous encombrer de la réflexion et de la morale. Ne brisons pas l’unité du troupeau et laissons-nous guider par les « experts » honnêtes et fiables qui nous gouvernent. L’important, ce n’est pas la vérité, ce n’est même pas la réalité, c’est d’être uni dans la guerre contre le virus.
Vous avez raison, le plus grand danger, ce sont les « complotistes », c’est-à-dire tous ceux qui osent remettre en cause l’intégrité des autorités politiques et scientifiques ou des médias de masse. Ces vilains conspirationnistes vont semer les germes du doute et de la division. Ils risquent, par leur impudence, de pousser les gens à réfléchir.

Merci en revanche à Pfizer et à Moderna, et à tous les autres, de penser à nous et de nous proposer une offre d’abonnement à vie.
Merci à leurs amis de longue date dès les bancs de l’université de médecine, puis à travers une collaboration étroite de devenir leurs relais et contribuer ensemble à construire une science véritable au service de la santé.
Merci aux médias dominants, neutres et indépendants de faire un travail si important de réinformation des masses incultes dont je fais partie.
Merci bien évidemment aussi à toute l’équipe dirigeante de faire de son mieux, pour notre bien.

C’est pour notre bien.

Oui, c’est pour notre bien en effet que les autorités ont continué depuis un an et demi à supprimer des lits à l’hôpital
C’est pour notre bien qu’ils nous ont imposé le port du masque à l’extérieur sans aucun fondement scientifique.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander de la vitamine D et du zinc en prévention pour renforcer nos défenses immunitaires malgré toutes les études qui confirment leur rôle.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander des traitements précoces peu onéreux malgré l’abondante littérature scientifique et les expériences de terrain qui en montrent l’efficacité et qu’ils recommandent seulement du doliprane et de rester à la maison.
C’est pour notre bien qu’ils menacent et suspendent tous les médecins qui ont soigné leurs patients avec des résultats époustouflants au lieu de les renvoyer chez eux avec du doliprane.
C’est pour notre bien qu’ils commandent des millions de dose de remdesivir à 3000 euros la dose en intraveineuse sans études validant ces effets et malgré un retour sur le terrain qui a conclu à son inefficacité, sa toxicité pour les reins et son rôle mutagène.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de s’intéresser au vaccin chinois ou russe, (uniquement pour des raisons sanitaires ! ), même quand on ne disposait pas d’assez de vaccins.
C’est pour notre bien qu’ils terrorisent et menacent la population pour aller se faire injecter un médicament expérimental sur lequel nous n’avons aucun recul à moyen et long termes.
C’est pour notre bien que le pouvoir exécutif a créé un conseil de défense totalement secret (pour 50 ans) avec une haute autorité de santé composée d’acteurs en conflits d’intérêt.
C’est pour notre bien qu’ils incitent les enfants à se faire vacciner alors qu’ils risquent davantage de souffrir des effets secondaires des « vaccins » que du Covid.
C’est pour notre bien qu’ils lancent une vaccination de masse en pleine pandémie contrairement aux règles habituelles de prudence.
C’est pour notre bien qu’ils piétinent les libertés les plus fondamentales et scindent à présent le peuple en deux avec deux régimes de droits.
C’est pour notre bien qu’ils ont interdit la prescription d’hydroxychloroquine jusque-là en vente libre par les médecins.
C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander l’usage de l’ivermectine, de macrolides et du zinc.
C’est pour notre bien qu’ils ont méprisé tout le travail de l’IHU méditerranée, le lieu le plus à la pointe de la recherche en France en infectiologie et dont les résultats ont été bien meilleurs qu’ailleurs.
C’est pour notre bien qu’ils mobilisent et financent des tests PCR peu fiables avec des cycles d’amplifications si nombreuses que le test perd de toute sa pertinence.
C’est pour notre bien qu’ils comptabilisent comme morts du Covid une majorité de gens morts avec le Covid.
C’est pour notre bien qu’ils se sont associés avec les GAFAM pour censurer les lanceurs d’alerte sur YouTube, sur Twitter, sur Facebook.
C’est pour notre bien qu’ils acceptent de décharger les industries pharmaceutiques de toute responsabilité juridique en cas d’effets secondaires des vaccins et qu’ils nous font signer une déclaration de consentement.
C’est pour notre bien qu’il a été décidé de créer une scission en France entre les vaccinés et les non-vaccinés alors même que les vaccinés peuvent être contaminants.
C’est pour notre bien qu’on a déclaré comme fous, gâteux, dangereux tous les scientifiques parmi les plus brillants et aux titres académiques les plus prestigieux qui ont eu le malheur de contester la narration officielle sur les évènements.
Pardonnez-moi de finir par me méfier de ceux qui veulent mon bien. Je suis trop bête pour comprendre.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on a dû changer la définition de ce qu’est un vaccin pour pouvoir dire que ces expériences géniques sont des vaccins.
  • Que nous sommes face à un vaccin si nouveau et si révolutionnaire qu’il n’empêche pas de tomber malade ni d’être contaminant.
  • Que nous prétendons « vacciner » les gens avec des techniques inédites qui sont en phase expérimentale et dont nous ne connaissons pas les conséquences à moyen terme et à long terme, mais que ceux qui se font vacciner ne seraient pas des cobayes.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on ne connaît pas exactement l’intégralité de la composition des vaccins au nom du secret industriel, mais qu’on ne peut pourtant affirmer qu’il n’y a pas de problèmes.
  • Que les industries pourvoyeuses des vaccins dont Pfizer ont été condamnés à plusieurs milliards d’amendes pour fraude scientifique, mais qu’on peut s’appuyer sur leurs seules études pour lancer la campagne vaccinale.
  • Que si des spécialistes de la vaccination et des scientifiques dans le monde entier mettent en garde contre les risques de ces vaccins à adénovirus ou à ARN messager, c’est parce qu’ils sont devenus fous ou séniles.
  • Que si une personne âgée meurt en ayant le Covid, elle meurt du Covid, mais que si une personne âgée meurt après s’être fait vaccinée elle meurt de vieillesse.
  • Que le nombre de morts et d’effets indésirables officiellement signalés par les agences de pharmacovigilance chez les « vaccinés » est sans commune mesure par rapport aux vaccins habituels, mais que nous devons fermer les yeux.

Trop bête pour comprendre

  • Que ces injections géniques évitent les formes graves alors que pourtant en Israël et en Angleterre ultra vaccinés une partie non négligeable des personnes en réanimation sont doublement vaccinés.
  • Que ce vaccin est tellement protecteur qu’il faut continuer les gestes barrières, continuer à porter les masques et surtout continuer à craindre les non-vaccinés.
  • Qu’il est tellement efficace qu’on parle déjà de « baisse immunitaire », de troisième ou de quatrième doses et pourquoi pas d’un abonnement annuel ou biannuel.

Trop bête pour comprendre

  • Qu’on n’a jamais mis fin aux épidémies de grippe, mais qu’on prétend qu’en « vaccinant » tout le monde nous allons vaincre le coronavirus.
  • Que nous faisons partie des pays au monde qui ont le plus de morts par millions d’habitants, mais que nous sommes pourtant les meilleurs et que nous pouvons continuer à nous fier à la même équipe scientifico-politique.
  • Que les pays les plus vaccinés sont ceux qui sont les plus touchés par les nouveaux variants, mais que c’est parce que nous ne sommes pas suffisamment vaccinés.
  • Que si les vaccinés tombent malades, c’est à cause des non-vaccinés.
  • Que l’État est surendetté et n’a pas d’argent, mais qu’il peut débloquer des milliards et des milliards pour financer sa politique sanitaire.
  • Que les tests et les vaccins sont gratuits, mais que ce sont les contribuables qui vont devoir les payer.
  • Qu’en prétendant sauver une partie infime de la population, nous allons sacrifier la vie de beaucoup d’autres et détruire l’avenir de la nation.

Oui, je suis trop bête pour comprendre tout cela.
Je dois avoir l’esprit tellement confus que tout semble s’inverser dans ma tête.
Je dois apprendre grâce à vous à remettre les choses dans le bon ordre.

Inversion

Je dois, en effet, comprendre que :

  • La liberté, c’est de se soumettre au pass sanitaire.
  • L’immunité artificielle est meilleure que l’immunité naturelle.
  • Si les gens vaccinés tombent malades ou développent des formes graves, c’est la preuve que le vaccin marche.
  • Si le vaccin fonctionne moins bien contre un nouveau variant, c’est qu’il faut reprendre une dose du même vaccin.
  • Toute personne testée positive à un test PCR est une personne malade.
  • Toute personne en bonne santé est un malade qui s’ignore et dont il faut se méfier.

Je suis désolé, je suis un peu lent et il va falloir que je me répète souvent tout cela pour réussir à l’intégrer. Heureusement que les journalistes sont là pour faire preuve de pédagogie et de répétition.
Merci à vous, tous les gens raisonnables et très intelligents, de veiller sur nous.
Merci de nous dispenser de penser.

Reza Moghaddassi, le 23 juillet 2021.


À propos de l’auteur

Reza Moghaddassi

Jeune agrégé de philosophie – matière qu’il enseigne au Gymnase Jean-Sturm à Strasbourg –, Reza Moghaddassi est d’origine franco-iranienne. Né d’un père musulman et d’une mère catholique, il a embrassé le bouddhisme pendant dix ans. Ces trois traditions spirituelles nourrissent en profondeur sa vie intérieure, animée par une quête d’absolu qu’il a évoquée dans son premier ouvrage, La Soif de l’essentiel (Marabout, 2018).

Son dernier livre, Les murs qui séparent les hommes ne montent pas jusqu’au ciel (Marabout), interroge notre rapport à la vérité dans une période où les convictions s’entrechoquent. « On ne possède pas la vérité, on est tout au plus possédé par elle », souligne le philosophe, qui cherche à sortir de l’opposition des contraires. Selon lui, si chacun détient la vérité, il n’y a plus de vérité. « Le chaos naît de l’incapacité, comme dirait Héraclite, de faire du jeu des contraires l’équilibre qui rend possible la splendeur du monde. » [Le Monde.] Vigilance Pandémie ne partage pas ses convictions au sujet de la vérité.




Tribune : « A-t-on encore le droit d’exercer son esprit critique en France? »

[Source : QG – Le média libre]

Dans une tribune exclusive publiée par QG, plus de 400 chercheurs, universitaires, soignants, juristes, artistes et enseignants, dénoncent la censure inédite opérée autant par les médias que par les GAFAS au sujet de tout ce qui contredit le discours officiel sur le Covid. Chasse aux sorcières, règlements de compte, rien n’est épargné aux personnes qui contestent le bien-fondé du pass sanitaire, et réclament simplement plus de transparence concernant le processus vaccinal, ainsi qu’un débat contradictoire sur la stratégie sanitaire nationale.

Aucun d’entre nous n’aurait cru possible ce que nous voyons se dérouler sous nos yeux depuis un an et demi. Non pas qu’une nouvelle épidémie vienne mettre à l’épreuve nos systèmes immunitaires individuels et nos structures collectives de santé. Cela, c’était prévisible. Mais que la gestion de cette épidémie vienne mettre en péril des valeurs démocratiques, des libertés et des droits humains acquis de haute lutte depuis la Révolution française, cela, c’était impensable. Et pourtant.

Liberté d’aller et venir, liberté d’expression, liberté de commerce, liberté syndicale, droit au travail, égalité des droits de tous les citoyens, non-discrimination dans l’accès aux biens, lieux et services de la société (dont l’accès aux soins et l’accès à l’éducation), confidentialité des données de santé… la liste est longue, très longue.

Les états d’urgence s’empilent les uns sur les autres. Le Parlement est traité comme une simple chambre d’enregistrement. Le Président de la République gère seul la situation avec un « Conseil de défense sanitaire » dont aucun compte rendu de réunions n’est consultable. Les médias de toutes tendances ne laissent quasiment aucune place au débat contradictoire et ils répercutent la communication gouvernementale sans distance. Les réseaux sociaux ne sont plus du tout le support de la liberté d’expression qu’ils vantaient à leurs débuts. Google (propriétaire de YouTube) et Facebook ne se contentent plus d’orienter nos pensées à l’aide d’algorithmes. Avec d’autres (Twitter, Linkedin, etc.), ils opèrent désormais une censure massive de tout ce qui contredit le discours officiel sur le Covid.

Dans un tel contexte, certains se croient tout permis. Les influenceurs se déchainent, les attaques ad hominem pleuvent, les règlements de compte s’étalent. On voudrait non seulement discréditer à coups d’amalgames infantiles (complotistes ! complices de l’extrême droite !), mais aussi radier, démissionner, évincer, en un mot faire taire. Beaucoup de celles et ceux qui – de par leurs emplois – constituent les élites se taisent, souvent par peur d’être à leur tour ostracisés. Tout ceci rappelle à certains égards l’époque de la chasse aux sorcières sous le Maccarthysme.

Par ce texte, nous (professionnels et bénévoles de la recherche, de la santé, de l’éducation, du droit et de la culture) appelons toutes les femmes et tous les hommes qui ont encore un fort attachement à la démocratie à la défendre de toutes leurs forces. Non, il ne saurait être interdit de discuter les origines du Sars-Cov-2. Ni interdit d’interpréter les statistiques de mortalité autrement que pour dire que nous risquons tous de mourir (discours de la peur). Ni interdit de dire que le refus de soigner précocement les personnes contaminées est un dogme imbécile qui, pour le coup, pourrait donner lieu à des poursuites en justice. Ni interdit de dire que les confinements font plus de mal que de bien aux sociétés. Ni interdit de questionner l’influence des richissimes industries pharmaceutiques sur le monde scientifique et médical, sur les gouvernements, sur les organismes supranationaux (OMS, UE) et sur les médias. Ni interdit de constater que si la vaccination ARNm protège en partie des formes graves de Covid, en revanche, comme le variant dit Delta le montre partout dans le monde, elle ne garantit ni d’attraper ni de transmettre le virus, ce qui invalide le principe même du « passe sanitaire ». Ni interdit de contester que l’on vaccine par contrainte ou par chantage les enfants et les adolescents pour qui la balance risque/bénéfice est très défavorable. Ni interdit de demander que l’on attende, pour vacciner certaines catégories de personnes à risque (les femmes enceintes par exemple), d’avoir plus de transparence et de données de pharmacovigilance. Ni interdit de manifester tous les samedis si l’on considère qu’il est intolérable de discriminer massivement les citoyens par le biais d’un laisser-passer sanitaire.

Les principes de liberté et d’égalité, de même que les droits humains fondamentaux, ne se discutent pas, ne se compromettent pas. Ils sont les socles de notre société politique et le vrai fondement de la cohésion sociale. La liberté d’expression est l’un de ces droits fondamentaux. Ceux qui tentent d’une façon ou d’une autre d’en empêcher l’exercice agissent contre la démocratie.

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Voici l’adresse mail où le faire :

tribune.liberte.expression@gmail.com
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Les 400 premiers signataires:

  • Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS
  • Jean Roudier, professeur de médecine à Aix-Marseille Université
  • Christian Vélot, généticien, maître de conférences à l’Université Paris-Saclay
  • Jean-Paul Bourdineaud, microbiologiste, professeur à l’Université de Bordeaux
  • Jean-Michel Claverie, virologue, professeur émérite à Aix-Marseille Université
  • Aurélia Vessière, virologue et épidémiologiste à l’Université de Bordeaux
  • Philippe Balcou, directeur de recherche, sciences physiques
  • Juliette Rouchier, directrice de recherche au CNRS, économie et environnement
  • Jean Chéry, directeur de Recherche au CNRS, géophysique
  • Claude Escarguel, microbiologiste, ancien président du Syndicat national des praticiens des hôpitaux généraux, porte-parole du collectif de médecins « Azi-Thro-d’hospitalisations »
  • Gérard Maudrux, médecin, président honoraire de la caisse maladie des professions libérales et de la caisse de retraite des médecins
  • Paul Touboul, professeur de médecine à l’Université de Lyon, ancien chef de service à l’hôpital de Lyon
  • Michel Drancourt, professeur de microbiologie médicale à Aix-Marseille Université
  • Philippe Brouqui, professeur de médecine à Aix-Marseille Université
  • Xavier Pin, professeur de droit pénal à l’Université Lyon 3
  • Philippe Ségur, professeur de droit public à l’Université de Perpignan
  • Élise Carpentier, professeur de droit public à l’Université d’Aix-Marseille
  • Rafaëlle Maison, professeur des universités en droit public
  • David Lepoutre, professeur de sociologie à l’Université de Paris-Nanterre
  • Geneviève Massard-Guilbaud, directrice d’études à l’EHESS, chercheuse au CIRED
  • Manuel Zacklad, professeur en Sciences de l’Information et de la Communication au CNAM
  • Laurent Toubiana, épidémiologiste, chercheur à l’INSERM
  • Michel Deshaies, professeur de géographie à l’Université de Lorraine
  • Yannick Bruneton, professeur d’histoire à l’Université de Paris
  • Joëlle Le Marec, professeur de Sciences de l’information et de la communication au Museum National d’Histoire naturelle
  • Jean-Jacques Lottin, ancien vice-président de la Société Française de Santé Publique
  • Hélène Palma, maîtresse de conférences à Aix-Marseille Université, secrétaire générale de l’association « Enseignement, Recherche et Libertés »
  • Philippe Pognonec, directeur de Recherche au CNRS, Université de Nice
  • Claudie Rey, maître de conférences en sociologie à l’Université de Tours
  • Fabrice Colomb, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay
  • Gaëtan Flocco, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay
  • Guillaume Zambrano, maître de conférences en droit à l’Université de Nîmes
  • Bertrand Charrier, professeur des universités, directeur de l’IUT des Pays de l’Adour
  • Christopher Pollmann, professeur de droit public à l’Université de Lorraine
  • Serge Katz, maître de conférences en sciences de l’éducation à l’Université de Picardie Jules Verne
  • Thierry Oblet, maître de conférences en sociologie à l’Université de Bordeaux
  • Mélanie Guyonvarch, enseignant-chercheur en sociologie à l’université Evry-Paris Saclay
  • Nicolas Sembel, professeur de sociologie à Aix-Marseille Université
  • Nathalie Chapon, enseignante-chercheuse en sociologie à Aix-Marseille Université
  • Arnaud Rey, chercheur en psychologie au CNRS
  • Isabelle Aubert, maîtresse de conférences en sciences de l’ingénierie et du numérique à l’Université de Bordeaux
  • Patrick Martin, chargé de recherche (R) au CNRS, Université de Nice
  • Madalina Calamaz, maître de conférences à l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts et Métiers
  • Sylvie Bordère, physico-chimiste, chargée de recherche au CNRS
  • Dan Ioan Muresan, maître de conférences en histoire à l’université
  • Nathalie Leroux, maîtresse de conférences en sociologie, Université Paris Nanterre
  • Christophe Brochier maître de conférences en sociologie à l’Université Paris 8
  • Igor Babou, professeur en Sciences de l’information et de la communication à l’université Paris Diderot
  • Carole Groussard, maitresse de conférences HDR en STAPS à l’Université de Rennes 2
  • Renaud Gabet, maître de Conférences, HDR, Institut Polytechnique de Paris
  • Agnès Lainé, historienne, membre de l’Institut des Mondes Africains
  • Colette Anné, mathématicienne au CNRS
  • Mathias Delori, chargé de recherche CNRS au Centre Marc Bloch de Berlin
  • Marianne Bordenave-Jacquemin, maître de conférences à Sorbonne Université
  • Jean-Christophe Cousin, maître de conférences à Telecom Paris
  • Hélène Banoun, pharmacien biologiste, PhD, ancienne chercheuse à l’INSERM
  • Chantal Carpentier, docteur d’Etat en droit international public, maîtresse de conférences retraitée
  • Alain Deville, physicien, professeur émérite à l’Université d’Aix-Marseille
  • Jean Louis Rouvillain, professeur émérite d’orthopédie et traumatologie
  • Dominique Harmand, professeur émérite à l’Université de Lorraine
  • Caroline Petit, chercheuse au CNRS
  • Béatrice Pastre-Belda, maître de conférences de droit public HDR à l’Université de Montpellier
  • Aude Saint Pierre, maître de conférences en statistique à l’Université de Brest
  • Monique Plaza, chercheur HDR en neuropsychologie
  • Annie Notelet, présidente de l’Union pour la Prévention et la Gestion des Crises Sanitaires
  • Anne-Typhaine Bouthors, docteur en microbiologie médicale, Ph D Université Paris VI
  • Richard Refuggi, enseignant en STAPS à l’Université Grenoble-Alpes
  • Guy Bensimon, maître de conférences honoraire en sciences économiques à l’université
  • Dominique Labbé, enseignant-chercheur (R) à l’Université Grenoble-Alpes
  • Jean-Jacques Wunenburger, professeur émérite de philosophie à l’Université Lyon 3
  • Emmanuelle Darles, enseignante-chercheuse à Aix-Marseille Université
  • Vincent Pavan, maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université
  • Philippe Rogeon, maitre de conférences à l’Université de Bretagne Sud
  • Bernard Lamizet, ancien professeur d’université à Sciences Po Lyon
  • Éric Chabrière, professeur de médecine à Aix-Marseille Université
  • Alain Chatelet, biologiste, professeur (R) à l´École Nationale Supérieure d´Architecture de Toulouse (ENSA Toulouse)
  • Benoit Marpeau, maître de conférences en Histoire contemporaine à l’Université de Caen-Normandie
  • François Saint-Pierre, professeur (R) des universités, Labex « Structurations des Mondes Sociaux », Université de Toulouse
  • Yves André, docteur en astrophysique, prix Servant de l’Académie des Sciences de Paris
  • Thierry Godefroy, économiste, ingénieur de recherche (R) au CNRS
  • Anne Fremaux, agrégée de philosophie et docteure en écologie politique
  • Pascal Touhari, docteur en droit, enseignant à l’Université de Montpellier
  • Gérard Lehmann, maître de conférences à l’Université de Sud Danemark
  • René Chiche, professeur agrégé de philosophie, vice-président Action et Démocratie/CFE-CGC, membre du Conseil supérieur de l’éducation
  • Jacques Pollini, PhD, chercheur indépendant, anthropologie de la santé
  • Alexandra Henrion Caude, généticienne, directrice de l’Institut de recherche SimplissimA
  • Christian Ghasarian, professeur d’ethnologie à l’université de Neuchâtel
  • Valérie Lowit, ingénieur d’études, Université de Paris
  • Damien Jeanne, enseignant en histoire à l’université de Caen et du Havre
  • Emmanuelle Duchez, chargée de communication à l’Université Côte d’Azur
  • Eloi Buat-Ménard, magistrat
  • Jean-Claude Berlioz, Avocat Général honoraire
  • Clément Schouler, magistrat, membre du Syndicat de la Magistrature
  • Jean-Christophe Berlioz, magistrat, membre du Syndicat de la Magistrature
  • Pierre Soler-Couteaux, avocat au Barreau de Strasbourg, professeur agrégé de droit public
  • Caroline Mecary, avocate 
  • Sendegul Aras, avocat
  • Bruno Raffi, avocat
  • Elizabeth Oster, avocat à la Cour
  • Nicole Foulquier, avocat
  • Sarah Scalbert, avocate au barreau de Paris
  • Maryse Pechevis, avocate au barreau de Montpellier
  • Corinna Kerfant, avocat au barreau de Versailles 
  • Evie Jaumary-Lapeyre, avocat
  • Evelyne Carbonnell, avocate
  • Elodie Menant, comédienne, auteur
  • Grégori Baquet, comédien
  • Clémence Thioly, comédienne
  • Herrade Von Meier, comédienne
  • Nathalie Mann, comédienne
  • Hugues Leforestier, auteur, comédien
  • Myriam Boyer, comédienne
  • Fanny Cabon, comédienne
  • Lionel Gedebe, réalisateur
  • Samuel Ternoy, musicien
  • Béatrice Charrié, éditrice
  • Patricia Halmone, artiste peintre
  • Marc Menant, journaliste et écrivain
  • Benoit Ducene, traducteur et musicien
  • Elena Ducene, professionnelle de la culture
  • Anne Marie Begué-Simon, céramiste
  • Caroline Mollie, architecte-paysagiste, auteure
  • Marie-José Minassian, philosophe, écrivain
  • Marie-Laure Cadart, médecin et anthropologue
  • Stéphane Gayet, médecin infectiologue et hygiéniste au CHU de Strasbourg
  • Benoit Bataille, médecin anesthésiste réanimateur
  • Bernard Marsigny, médecin anesthésiste réanimateur
  • Agnès Koenig, médecin anesthésiste réanimateur
  • Isabelle Curtet, médecin anesthésiste-réanimateur
  • Georgi Radev, médecin urgentiste SAU/SMUR
  • Nelly Blanchet, médecin inspecteur de santé publique
  • David Esfandi, psychiatre et addictologue
  • Marie Estelle Dupont, psychologue clinicienne et auteur 
  • Jean-Louis Rouvillain, médecin généraliste à Fort-de-France
  • Véronique Orth Weyers, médecin généraliste à Fort-de-France
  • Eric Reboli, médecin urgentiste
  • Jean-Paul Ricci, chirurgien-dentiste
  • Laurent Huillard, médecin généraliste
  • Gérard Vigneron, médecin
  • Bernadette Meignan, médecin
  • Béatrice Fort, médecin hospitalier
  • Cyril Lecomte, psychiatre des Hôpitaux
  • Didier Delaitre, médecin légiste, Le Bourget
  • Xavier Larvor, médecin généraliste
  • Françoise Douady, médecin généraliste
  • Pierre Quentel, chirurgien urologue
  • Roseline Marie, médecin généraliste
  • Marie-Christine Rabut, médecin généraliste
  • Hubert Sroussi, médecin généraliste
  • Philippe de Chazournes, médecin généraliste
  • Jeanine Jemet, médecin généraliste
  • Chlotilde Véron, médecin généraliste
  • Robert Le Texier, médecin généraliste
  • Véronique Ahari, médecin
  • Monique Sroussi, médecin
  • Monique Lamizet, médecin
  • Cyril Loubradou, ostéopathe
  • Pierre Bonhoure, kiné ostéopathe
  • Aurore Dessus, ostéopathe
  • Dominique Domergue-Anguis, médecin gynécologue
  • Marie-Carole Fleury-Munier, médecin, rhumatologue
  • Dominique Ricci Cagnol, médecin, ORL
  • Gisèle blanc, médecin
  • Cécile Loth, médecin du sport
  • Jean-Baptiste Mouzet, médecin
  • Bertand Jop, médecine, cardiologue
  • Maryline Costagliola, médecin pédopsychiatre hospitalier
  • Soraya Berreghis Mazery, médecin généraliste
  • Malina Canolle, médecin généraliste
  • Gilles Spagnolo, médecin gynécologue-obstétricien
  • Catherine Raulin, médecin ostéopathe
  • Pascale Chandy, médecin à l’hôpital de Challans
  • Francoise Douady, médecin
  • Francine Barouch, médecin 
  • Laurent Hervieux, médecin
  • Claude Chiche, médecin généraliste
  • Hélène Roux, médecin généraliste
  • Philippe Lefebvre, médecin généraliste
  • Anne-Marie Begue-Simon, médecin
  • Isabelle de la Chaussée-Ruzzica, médecin
  • Jean-Paul Guérard, médecin
  • Christophe Leroy, docteur en biologie moléculaire et cellulaire
  • Thi Linh Hoang, médecin acupuncteur
  • Virginie Thomas-Haag, médecin d’urgence
  • Pierre-Laurent Vidal, médecin généraliste
  • Catherine Delmas, médecin
  • Christine Calatayud, infirmière
  • Jocelyne Cortier infirmière
  • Nathalie Hannhart, psychologue
  • Florie Gaeta, infirmière au Centre hospitalier de Bourges
  • Soizic Noël-Bourgois, infirmière, docteure en ethno-anthropologie
  • René Messagier, docteur en médecine, médecin généraliste
  • Corinne Reverbel, docteur en biochimie
  • Janine Nazaire, docteur en chirurgie dentaire
  • Idriss Abiola, infirmier anesthésiste
  • Frédérique Pegeot, pharmacien
  • Rémi Saudax, pharmacien
  • Christine Fernandez, infirmière
  • Justine Lewna, infirmière
  • Alice Uwamwezi, infirmière
  • Carole Jolly, infirmière
  • Pauline Ledoux, infirmière
  • Emmanuelle Mesmacque, Infirmière
  • Nathalie Loizeau infirmière santé travail
  • Romy Roudier, pharmacienne
  • Daniel Robinson, médecin généraliste
  • Anne Maynadié, médecin généraliste
  • Richard Simon, cadre de santé
  • Ingrid Labbé, cadre de santé hospitalier
  • Leïla Gofti-Laroche, praticien Hospitalier, PharmD, PhD Epi
  • Michel Ternoy, psychologue retraité de la Fonction Publique Hospitalière, docteur d’Etat
  • Vincent Reliquet, médecin, rédacteur en chef de l’Association Internationale pour une médecine scientifique, indépendante et bienveillante
  • François Gastaud, médecin, chirurgien orthopédiste
  • Nicolas Tetaz ingénieur spatial
  • Laurent Durinck, anesthésiste
  • Olivier Lhoest, anesthésiste-réanimateur
  • Florence Lair, médecin radiologue
  • Christiane Lassalle, médecin généraliste
  • Claire Paris, médecin généraliste
  • Françoise Giorgetti-d’Esclercs, médecin ORL
  • Éric Portes, médecine générale
  • Valérie Papapietro, médecin généraliste
  • Catherine Solignac, médecin généraliste
  • Philippe Cliquet, médecin généraliste
  • Véronique Chevalier, infirmière
  • Guillaume Renouf, infirmier
  • Marguerite Schnell, infirmière
  • Valérie Nesme, infirmière 
  • Nathalie Devaucoup, infirmière
  • Brigitte Agostini, infirmière libérale
  • Christine Wahl, kinésithérapeute
  • Nathalie De Vliegher, kinésithérapeute
  • Cindy Gual, ostéopathe
  • Léa B. Blanchet, ostéopathe
  • Alain Joseph, médecin généraliste
  • Francois Serres, médecin généraliste
  • Josiane Martelin, pharmacienne libérale
  • Anna Torra Campos, kinésithérapeute à l’hôpital Edouard Herriot
  • Rik Verhellen, chirurgien orthopédique
  • Éric Ménat, docteur en médecine, médecin généraliste
  • Marie Hélène Lottin, médecin psychiatre
  • Céline Mouillon, pharmacienne et thérapeute
  • François de Chabalier, psychiatre
  • Delphine Rive, médecin généraliste
  • Jean-Jacques Coulon, médecin généraliste
  • Sophie Conord, médecin radiologue
  • Françoise Robinson, médecin
  • Thuy Chi Nguyen, médecin
  • Anne Crepy, médecin
  • Jean-Luc Boesch, médecin généraliste
  • Raphaële Vangrevelinghe, médecin, chirurgie dentaire, pédiatrie
  • Paul-André Bellot, chirurgien-dentiste
  • Paul Bousquet, docteur en médecine, évaluateur de risques sanitaires
  • Jean-Christian Prévost, ostéopathe
  • Valérie Giraud, sage-femme, sexologue
  • Cléchet Sylvie, infirmière
  • Sonia Joyeux-Bouillon, radiologie médicale
  • Youssouf Djonouma, médecin généraliste
  • Béatrice Mullie, médecin généraliste
  • Alain-Philippe Maniette, médecin généraliste
  • Eric Delcour, médecin généraliste
  • Marc Arer, médecin généraliste
  • Hélène De Cristoforo, docteur en médecine, médecin généraliste
  • Claire Delval, médecin généraliste
  • Christiane Renard, médecin généraliste
  • Geneviève Gueymard, médecin généraliste
  • Béatrice Petit, médecin généraliste
  • Romain Dupont, médecin interniste à l’Hôpital Joseph Ducuing
  • Bénédicte Dassonville, médecin Ingénieur ENSH, psychothérapeute
  • Stéphane Ottin Pecchio, médecin rhumatologue
  • Pascale Allanic Gabsi, psychologue
  • Laurence Maury, psychologue
  • Mathieu Goldstein, masseur-kinésithérapeute
  • Gérard Martinez, psychologue clinicien
  • Sylvie Blasquez, psychologue clinicienne 
  • Muriele Savigny, médecin psychiatre
  • Juliette Bianchi, médecin psychiatre
  • Vladislav Lebedko, médecin psychiatre
  • Sarah Loyer, psychologue
  • Anne-Marie Bras Le Coadout, psychologue
  • Aurélie Vantard, masseur-kinésithérapeute, ostéopathe
  • Alain Picard, pharmacien
  • Valérie Lecomte, infirmière
  • Khadidja Meziani, infirmière
  • Jean-Roch Aubertein, infirmier
  • Jocelyn Croze, praticien hospitalier en Odontologie
  • Alain Brunel, docteur en biologie, enseignant
  • Céline Grenier, infirmière
  • Françoise Rodary, médecin généraliste
  • Béatrice Georget-Tard, médecin généraliste
  • Michel Thomas, médecin généraliste
  • Horia Far, aide-soignante au CHU de Nice
  • Mathilde Taverne, masseur-kinésithérapeute
  • Benoît Quentin, kinésithérapeute
  • Christelle Guicherd, psychologue clinicienne
  • Nathalie Pilot-Maier, préparatrice en pharmacie
  • Béatrice Stantina, aide-soignante/auxiliaire de vie
  • Valérie Perrochet, assistante sociale en hospitalisation à domicile
  • Fausto Lanzeroti, masseur-kinésithérapeute
  • Sandrine Cauvin, masseur kinésithérapeute
  • Élisabeth Angoujard, radiologue 
  • Hélène Debruyne, orthophoniste 
  • Renée Marx, orthophoniste
  • Julie Croze, orthophoniste
  • Sylvie Ruiz, infirmière
  • Christine Keiser, sage-femme
  • Sandrine Mathieu, sage-femme
  • Mathieu Armessen, ostéopathe
  • Pauline Rigollier, masseur kinésithérapeute 
  • Jocelyne Ndoye, psychologue
  • Sandra Rayer, psychologue
  • Viviane Truel, psychologue clinicienne
  • Dominique Porquez, aide-soignante à l’hôpital
  • Anne-Claire Monfroy Gauchier, masseur-kinésitherapeute
  • Anne-Elisabeth Migeon, diététicienne-nutritionniste
  • Lidwine Loire, aide-soignante, services de soins infirmiers à domicile
  • Catherine Vincent, aide-soignante
  • Renaud Vidal, chercheur en gestion de crise
  • Samuel Reslinger, aumônier hospitalier 
  • Françoise Gaillard, aide-soignante
  • Hervé Bery, auxiliaire de vie
  • Rose-Marie Castello, médecin
  • Jeanne-Marie Brossollet, chirurgien-dentiste
  • Soisik Ghesquières, masseur-kinésithérapeute
  • Vanessa Girard, ostéopathe
  • Nathalie Caradot, médecin généraliste
  • Bernard Verdoux, médecin généraliste
  • Patrick Frayssinet, médecin, docteur ès sciences, directeur de recherche dans l’industrie
  • Julie Lioré, anthropologue
  • Laurent Trémel, sociologue
  • Thierry Raffin, sociologue et historien, docteur de l’EHESS
  • Christophe Andréo, docteur en sociologie, conseiller au Pôle Emploi
  • Mathias Teichner, agrégé de sciences économiques et sociales
  • Catherine Lucquiaud, ingénieur de recherche
  • Hervé Laloy, professeur de philosophie
  • Françoise Marie, éducatrice spécialisée
  • Franck Lepage, militant d’éducation populaire à l’Ardeur
  • Thierry Rouquet, éducateur populaire à l’Ardeur
  • Gérard Masselin, enseignant en CPGE
  • Pascal Borde, enseignant en CPGE
  • Sophie Thoron-Salert, enseignante
  • Emmanuelle Azevedo, professeur des écoles
  • Cécile Mencaglia, professeur des écoles
  • Sandrine Barbelin, professeur des écoles
  • José Mata Diaz, professeur d’Espagnol
  • Lys Sanagustin, professeur d’Espagnol
  • Charles-Emeric Gauthier, professeur d’Anglais
  • Christelle Pangallo, professeur d’Anglais
  • Alice Ageron, professeur d’Anglais
  • Pete Barker, professeur d’Anglais
  • Franck Jean-Albert, professeur agrégé de Mathématiques
  • Sophie Amand, professeur de sciences économiques et sociales
  • Marie Vantis, enseignant/formateur d’arts appliqués
  • Jean-Louis Delahaut, professeur d’enseignement artistique
  • Gilles Plunian, enseignant EPS et psycho-ergonome 
  • Raphaël Leloup, professeur d’EPS
  • Christine Zeppenfeld, proviseure-adjointe
  • Joëlle Goudineau, conseillère d’orientation, psychologue
  • Martine Boury, cadre supérieur de la fonction publique
  • Jésus Sanchez, docteur en psychologie sociale, ancien directeur de recherche au CTNERHI
  • Christine Pinard, professeure de lettres modernes 
  • Jean-Marc Gringoz, enseignant d’EPS
  • Frédéric Gobert, enseignant
  • Alain Letombe, enseignant
  • Christianne Joubert, enseignante
  • Tony Marzucchetti, professeur des écoles 
  • Julie Raveau, professeure des écoles
  • Michèle Rey, professeur des écoles retraitée
  • Heike Freire, philosophe et psychologue
  • Valérie Pradier, professeur des écoles
  • Sophie Melilli, professeur des écoles
  • Anne-Léa Le Goff, professeur d’espagnol
  • Monique Bernardini, enseignante et responsable associative
  • Danielle Deville, professeur CPGE Sciences Physiques, retraitée
  • Isabelle Pruvot, enseignante en lycée
  • Fatma Djoubri, professeure de SES
  • Thierry Flaget, conseiller d’éducation
  • Nadine Mauviel, professeur (R) d’histoire-géographie
  • Sandrine Napoléone, professeur des écoles
  • Franck Jean-Albert, professeur agrégé de mathématiques
  • Joseph Rivière, professeur d’histoire-géographie
  • Angélique Silva, enseignante spécialisée dans le 1er degré
  • Jean Charles Renavot, retraité de l’éducation nationale
  • Marie-Pierre Larras, ancienne professeur de lettres
  • Nicolas Vantis, docteur ingénieur, enseignant en mathématiques et sciences
  • Arthur Roncetto, bibliothécaire
  • Camille Secret, enseignante en CFA
  • Catherine Avice, enseignante
  • Sabine Calvino, enseignante
  • Françoise Ternoy, éducatrice spécialisée, psychomotricienne
  • Carole Jensen, AESH en classes ULIS
  • Marc Lepoivre, professeur de culture générale en BTS
  • Alaric Titeux, enseignant de la conduite
  • Anne Pajard, ingénieure d’étude
  • Guillaume Saint Pierre, statisticien, chargé de recherche du développement durable
  • Pierre-Olav Lego, ingénieur
  • Bernard Cornut, ingénieur
  • Rosolino Lionti, Ingénieur
  • Djamil Ramdane, ingénieur du contrôle de la navigation aérienne
  • Pascale Moro, ingénieur dans le spatial
  • Paolo Musardo, ingénieur électronicien
  • Luc Petitnicolas, référent Mastère Entrepreneuriat Numérique Responsable R&D en projet numérique
  • Danièle Guéguen, inspectrice à la CAF
  • Pauline De Castro, conseillère sociale
  • Angélique Leblanc, surveillante en Maison d’Accueil Spécialisée
  • Jacques Quach, consultant Systèmes d’Information
  • Sophie Rey, éducation nationale
  • Luc Baillet, architecte, sécurité sanitaire environnementale
  • Marion Baillet, architecte
  • Rémi Astier, actuaire



Les scientifiques ayant des avis divergents à propos de la vaccination des enfants doivent-ils se taire ?

[Source : lalibre.be]

Non. Prendre de bonnes décisions nécessite un débat public ouvert. Réaction à l’opinion de M. Heynen qui a écrit – merci à lui – ce que beaucoup pensent [Ndlr : pensent à tort, selon le point de vue exposé dans l’article.] sans oser le dire.

Les scientifiques ayant des avis divergents à propos de la vaccination des enfants doivent-ils se taire ?

Une carte blanche de Vincent Laborderie (UCLouvain), Christine Dupont (UCLouvain), Irène Mathy (Université Saint-Louis), Elisabeth Paul (ULB), Bernard Rentier (ULiège), Erik Van den Haute (ULB), Nicolas Vermeulen (UCLouvain).

Dans une tribune libre, M. François-Xavier Heynen met en cause la légitimité des scientifiques à avancer des éléments scientifiques et à remettre en cause la doxa. Il y aurait beaucoup à dire sur les arguments avancés et leur légèreté, mais il nous apparaît plus utile d’aborder la thèse centrale qui consiste à intimer l’ordre de se taire aux scientifiques ayant des avis divergents. Cet élément est en effet bien plus essentiel que n’importe quel débat sur la question de savoir s’il faut ou non vacciner les enfants.

S’il ne s’agit pas de reprendre toutes les erreurs et raccourcis présents dans ce texte, pointons tout de même une phrase qui, à elle seule, en contient un certain nombre :

« Mobiliser des universitaires pour la remise en question des mesures sanitaires va immanquablement alimenter un discours antiscientifique et générer une récupération politique. »

Sujet : la vaccination des enfants

Il y a d’abord une globalisation du terme « mesures sanitaires » : on confond tout en assimilant la vaccination des enfants aux mesures de confinement. Si l’on suit le raisonnement, tout ce qui est labellisé (et par qui ?) comme « mesure sanitaire » devrait être accepté, sans remise en question et quelle que soit la nature de la mesure. On en arrive donc à accepter toutes les dérives, comme une discrimination assumée entre les citoyens telle que l’expérimentent aujourd’hui nos voisins Français.

Sous le terme « discours antiscientifique », on voit bien que c’est le discours « antivax » qui est visé. Or comment ne pas comprendre que si l’on écrit un argumentaire concernant la seule vaccination des enfants, c’est que l’on fait une distinction avec la vaccination des adultes ? Distinction que les antivax ne font évidemment pas. Au passage, on peut se demander si les plus grands promoteurs de ce discours anti-science ne sont pas ceux qui prônent la vaccination pour tous et pour tout, sans tenir compte des risques différenciés liés au Covid selon les classes d’âges. Différence de risque qui, au passage, constitue une vérité scientifique établie, mais trop souvent occultée. Enfin, concernant la « récupération politique », il s’agit là d’un pur fantasme. Quel parti belge s’est opposé aux « mesures sanitaires » ou, pour reprendre le cas précis, à la vaccination des enfants contre le Covid ?

Remettre en cause les idées

Puisque le doute est au centre de l’article et de la démarche scientifique, attardons-nous d’abord sur ce terme et la signification qu’en donne l’auteur. Il distingue le doute du soupçon, le premier serait légitime et le second condamnable. Mais le problème est que la distinction qu’il opère entre les deux ne repose sur rien. Surtout, rien n’indique que les positions dénoncées appartiennent à l’une ou l’autre catégorie.

Cette mise en cause du doute sert en réalité l’objectif central de l’article, qui consiste à faire l’éloge du consensus. On lit ainsi cette affirmation péremptoire : « la division est le contraire du véritable fondement de la démarche scientifique, le consensus ». On se demande où l’auteur est allé chercher cette idée selon laquelle la démarche scientifique nécessite le consensus. Si les savants avaient suivi ce précepte, il y a fort à parier que l’on croirait encore que la terre est plate et que le soleil lui tourne autour. Toute la démarche scientifique consiste au contraire à remettre en cause les idées établies en se basant – et ce qui la distingue de l’opinion – sur des faits ou des recherches scientifiques.

Mais là où l’opinion de M. Heynen est intéressante, c’est qu’elle nous révèle un attrait certain pour le consensus. Quel confort intellectuel de penser que tous les savants sont d’accord et que nos politiques agissent éclairés par la science infaillible ! On peut alors se dispenser de réfléchir et, tout doute écarté, accéder à un certain bonheur.

Quel consensus scientifique ?

Pour revenir au fond du problème, M. Heynen parle de consensus entre les pairs. Or le fait est qu’il n’existe aucun consensus scientifique autour de la nécessité, ni même de l’utilité, de vacciner les enfants pour enrayer l’épidémie de Covid-19. Le fait que les quelques scientifiques belges présents dans le comité chargé de conseiller nos gouvernants sur ce sujet aient rendu un avis favorable ne produit pas un consensus scientifique. Surtout quand cet avis est à la fois discutable sur le fond, mais apparemment impossible à discuter dans quelque enceinte que ce soit.

Pour justifier l’absence de débat scientifique, il est révélateur de voir l’auteur citer Descartes parlant d’un groupe perdu dans les bois. Serions-nous à ce point ignorants de ce qu’est le Covid-19 ? On pouvait encore le concevoir en mars-avril 2020 lorsqu’une maladie nouvelle a déferlé sur le monde. Mais croire qu’il en est de même 18 mois – et quelques dizaines de milliers d’articles scientifiques – plus tard en dit long sur l’obscurantisme dans lequel certains nous croient plongés.

Démocratie et nécessité du débat

L’auteur développe également une bien curieuse conception de la démocratie, qui serait menacée par le doute scientifique. Une fois que le gouvernement aurait pris une décision, il serait illégitime de la contester ni même de la questionner, en tout cas jusqu’à la prochaine campagne électorale. On se demande dès lors pourquoi les Parlements régionaux ou fédéraux siègent et débattent entre les élections. Ou même pourquoi les hommes politiques donnent des interviews hors campagne électorale, parfois pour oser critiquer les décisions prises. Ou bien faut-il comprendre que seuls les élus et professionnels de la politique ont droit à la parole ? Une telle conception correspond bien à un climat ambiant présent depuis le début de la pandémie, qui vise à proscrire les opinions divergentes ou à les renvoyer à des étiquettes comme « rassuriste » ou « complotiste ». Pour revenir à la vaccination des enfants, on attend toujours le moindre débat contradictoire sur le sujet, que ce soit dans un cadre universitaire, politique ou simplement médiatique. Celui-ci aurait l’avantage de convaincre de la nécessité de cette vaccination. Mais aucune parole n’a été accordée à la contradiction, ni avant ni après la prise de décision. Selon M. Heynen, le point de vue défendu par Bernard Rentier et nous-mêmes ne doit pas seulement être absent du débat public. Il ne doit même pas circuler sur Internet via son blog personnel. Une bien belle conception de la démocratie qui, rappelons-le, n’est pas la dictature de la majorité, mais nécessite un débat permanent, ouvert, et argumenté.

Merci à lui

S’il nous a paru utile de répondre à l’opinion de M. Heynen, c’est qu’il écrit ce que beaucoup pensent sans oser le dire. Qu’il soit donc remercié d’exprimer clairement une opinion largement répandue depuis le début de la crise sanitaire : les voix dissidentes doivent se taire. Pour le bien-être général.




Pour gagner en liberté, il faut agir librement. La liberté doit être prise, pas mendiée, et cela ne nécessite même aucune violence ou agression

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Par Guy Boulianne

Henry Makow écrit dans son article en date du 24 août dernier : « Les Américains sont pour la plupart complaisants et dociles face à leur disparition imminente. Une pandémie avec un taux de survie de 99,7 % n’est pas une pandémie. Une maladie sans symptômes n’est pas une maladie. À moins que nous ne retrouvions notre bon sens et que nous réalisions que le Covid est une opération psychologique politique et un canular, nous sommes finis. » Je partage avec vous le dernier article du conseiller financier et planificateur successoral à la retraite, aujourd’hui chroniqueur, Gary D. Barnett. Celui-ci écrit : « L’intention des maîtres choisis et non choisis qui ont été autorisés à régner sur cette population faible et pathétique est maintenant devenue si audacieuse qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent sans examen minutieux. L’ignorance des Américains [Canadien, Québécois, etc.] a atteint un tel niveau que pratiquement tout ce que l’État fait pour gagner plus de pouvoir et de contrôle est applaudi et immédiatement accepté par cette foule de serfs effrayés qui se croient toujours libres. » 

Je vous souhaite une bonne lecture.


Gary D. Barnett : Pourquoi je fais ça ?

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J’écris sur ces questions concernant l’indépendance, la liberté et la souveraineté de l’individu depuis plus de deux décennies, et regardez où nous en sommes aujourd’hui. J’ai vu ce pays continuer à empirer chaque année depuis ma naissance, et maintenant nous sommes confrontés au défi ultime, et la seule défense évidente est les efforts d’un petit nombre. Oui, on parle de refoulement et de menaces de ne pas se conformer, mais ce n’est rien de plus que des paroles. Il y a aussi plus de protestations, du moins dans d’autres parties du monde, mais ce qui est nécessaire, ce n’est pas protester après tout, car protester dans la plupart des cas n’est rien de plus qu’un effort futile. Cela dépend de la dépendance d’une population faible à l’égard de leurs geôliers qui les gouvernent, ce qui leur donne un certain soulagement. Pour gagner en liberté, il faut agir librement.

La liberté doit être prise, pas mendiée, et cela ne nécessite même aucune violence ou agression ; cela nécessite juste de la désobéissance et de la dissidence, et un refus de se conformer aux ordres, mandats et tentatives de corruption de ce gouvernement odieux pour vous contrôler.

L’intention des maîtres choisis et non choisis qui ont été autorisés à régner sur cette population faible et pathétique est maintenant devenue si audacieuse qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent sans examen minutieux. L’ignorance des Américains [Canadien, Québécois, etc.] a atteint un tel niveau que pratiquement tout ce que l’État fait pour gagner plus de pouvoir et de contrôle est applaudi et immédiatement accepté par cette foule de serfs effrayés qui se croient toujours libres. La stupidité d’esprit qui est nécessaire pour que cette prise de contrôle de la société ait lieu dépasse l’imagination de toute gauche capable de penser même en termes simples. Je suis abasourdi par cette posture, mais je ne suis pas du tout surpris.

Beaucoup m’ont insulté, m’ont dit que j’étais trop dur et brutal dans mon approche, ont dit que je ne parlais que de malheur et ont tenté de me réprimander pour avoir dit la vérité qu’ils ne voulaient pas entendre. J’ai été censuré, menacé, rejeté et maudit, simplement pour avoir mis en garde contre ce qui est maintenant bien en vue. J’ai été étiqueté comme un cinglé du complot et ignoré au milieu des yeux qui roulent. A quoi pensent tous ces gens aujourd’hui en voyant leur vie disparaître ?

Avec la collusion massive de Bill Gates et de la Fondation Gates, de l’industrie pharmaceutique, du gouvernement et des organisations mondiales de « santé », et des autres pires éléments criminels de la société, la FDA a approuvé ce que l’on appelle ridiculement les « vaccins Covid » chez Pfizer et BioNTech, le premier de beaucoup, et maintenant le début de la fin est certainement là pour rester. En quelques instants, New York, la Californie, Porto Rico, et probablement plus au moment où j’écris ceci, exigent que tous se fassent injecter ou sinon. C’est peut-être le bon moment pour dire que je vous l’avais dit !

Préparez-vous, si vous ne voulez pas être un esclave, à recevoir une injection complète de poison mortel pour survivre. Ceux d’entre nous qui ne veulent pas suivre maintenant sont les cibles non seulement de la dictature criminelle et meurtrière des États-Unis, mais de tous nos voisins et soi-disant amis. Bientôt, toute possibilité de voyager, toute entrée dans les magasins, les restaurants, les épiceries, les écoles et un certain nombre de lieux « publics » seront fermés à ceux qui choisissent de ne pas se faire piquer, mais à ce stade, l’agression contre les vrais dissidents intelligents sera portée à un niveau très élevé. Il pourrait facilement devenir — dans un avenir très proche — presque impossible de fonctionner sans conformité. Mais cela ne se terminera pas avec des mandats de « vaccination », cela se terminera par une tyrannie totale et la mort.

La frustration est exaspérante, car savoir où cela se dirigeait depuis des années n’est pas une consolation compte tenu de l’enfer auquel nous sommes confrontés maintenant. Dans les jours, les semaines et les mois à venir, ce pays se sera transformé en un cauchemar totalitaire jamais vécu auparavant dans l’histoire. Tous vos enfants courent de grands risques, et je dis cela non pas pour être sensationnel, mais pour mettre en garde contre la destruction de l’esprit et du corps de tous les jeunes qui a été planifiée et ouvertement annoncée pendant toute cette fausse « pandémie » par cet État méchant, et bien sûr, il a été promu une fois de plus aujourd’hui par le diabolique Biden.

Alors pourquoi je fais ça ? Pourquoi j’écris ? Pourquoi est-ce que je continue mes tentatives pour réveiller les masses pathétiques ? À quoi bon, quand la plupart sont encore endormis et n’ont aucun désir de se protéger ou de protéger leur famille ? Je le fais pour moi et ma famille, parce que si je ne fais rien, ma vie n’aura aucun sens, tout comme la majeure partie de la vie des masses n’aura aucun sens. Je vais donc continuer, mais je crois que plus cette parodie est autorisée à continuer, plus ce sera un grand risque. J’écrirai et je me battrai pour moi-même, ma famille et tous ceux qui ont le courage de défendre ce qui est juste. Je me défendrai à tout prix contre l’agression de l’État et n’acquiescerai jamais à cet État. Quant à ceux qui s’apitoient sur leur sort, refusent de s’exprimer et désobéissent, se cachent de la vérité et s’attendent à être protégés par les autres, vous êtes livrés à vous-même.

Cette société est malade mentalement au point de confusion totale apathique

« Ce n’est pas pour rien que notre époque réclame la personnalité rédemptrice, celle qui peut s’émanciper de l’emprise de la psychose collective et sauver au moins sa propre âme, celle qui allume un phare d’espoir pour les autres, proclamant qu’il y a ici au moins une personne qui a réussi à extirper son identité de l’attachement funeste de la psyché de groupe. »

Carl Jung

LawrenceArabie


À propos de Gary D. Barnett

Gary Barnett est un conseiller financier et planificateur successoral à la retraite, et il a géré l’argent des clients de son entreprise pendant plus de trente ans. Il a également possédé deux autres entreprises au cours de sa vie et a parfois eu une course folle.

Gary a écrit sur une gamme complète de sujets concernant la liberté pendant de nombreuses années, et a écrit pour lewrockwell.comThe Future of Freedom Foundation et plusieurs autres publications au cours de cette période. Il considère que c’est une grande passion dans la vie d’apprendre et de continuer à s’éduquer, de promouvoir et de diffuser les idées de liberté à tous ceux qui sont prêts à écouter. La liberté n’est pas due à la politique ou aux constitutions, elle ne peut exister que dans l’esprit des individus.

Gary est apparu en tant qu’invité dans plusieurs émissions de radio Internet et nationales, notamment Freedom Watch avec le juge Andrew Napolitano, le Brian Wilson Show, Antiwar Radio, le Karen Kwiatkowski Radio Show, Liberty News Radio et Radio Liberty.

Il vit actuellement à Lewistown, dans le Montana, avec sa merveilleuse épouse Yoshie et son fils Leo. Il aime le plein air, la cuisine et la gastronomie, les chiens, les plages, la musique, la pêche à la mouche et les voyages exotiques.

En ce qui concerne sa philosophie, c’est un anarchiste pacifique qui croit en la loi naturelle sans restriction de l’État. Bien que Gary comprenne le scepticisme de la plupart concernant la mise en œuvre de ce type de structure politique individuelle, c’est le seul système où la liberté peut être pleinement atteinte. L’anarchie pacifique est basée sur la responsabilité individuelle, l’autonomie, l’échange volontaire sur les marchés libres, la non-agression et la liberté individuelle ; tout ce qui est nécessaire pour atteindre la paix et l’harmonie. Le collectivisme, le gouvernement central et la guerre ne sont pas et ne seront jamais la réponse.

L’écriture est la passion de Gary, et maintenant qu’il est à la retraite, il peut se concentrer à plein temps sur cette entreprise. Écrire depuis une plage chaude serait préférable, mais vivre dans le Montana ne permet pas ce luxe. Il peut cependant, enfiler son short et ses tongs assis devant son ordinateur pendant les blizzards et le froid brutal des hivers du Montana, et rêver.


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[Voir aussi : La clef de la libération]
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Némésis — Ou l’inéluctable triomphe des lois naturelles

Par Zénon − juillet 2021

« La Bête de l’Évènement est là, et elle arrive. »

E.M. (Entretien au Financial Times, 16 avril 2020)

Voici maintenant plus de dix-huit mois que le coronacircus, élu égrégore de l’année dernière par les consommateurs, a préparé l’avènement d’une nouvelle religion scientiste, avec son clergé, ses rituels, ses prophètes et ses hérétiques. Dix-huit mois au cours desquels une immense partie des peuples occidentaux sont littéralement passés de l’hypnose à l’état de possession. Je ne sais pas si vous aurez ressenti la même chose que moi en marchant dans vos rues : les personnes que l’on peut croiser ont de moins en moins l’air de s’appartenir.

Il faut dire que la mafia globaliste s’est bien démenée pour obtenir ce degré de soumission chez des populations prétendument si attachées à leur liberté. Plus que jamais déterminée dans son projet de transformation de l’Humanité en une espèce hybride bio-numérique, l’autoproclamée « élite » technocratique s’est fendue d’un machiavélique scénario pour atteindre au contrôle des corps à travers celui des esprits. Tout y est passé : terreur médiatique, claustration contrainte et isolement des individus, menaces, amendes, décisions arbitraires et injonctions contradictoires permanentes… Ceci ne relève ni d’une incompétence ni d’un sadisme ordinaire, mais constitue la base d’une ingénierie sociale visant à nous faire accepter la violation de notre intégrité physique.

Qui aurait accepté de son plein-gré de participer à ce programme « vaccinal », ou l’aurait même trouvé pertinent sans leurs mensonges incessants ? Qui aurait considéré comme normal le passe « sanitaire » si nous avions massivement refusé le premier confinement ?

Beaucoup de réfractaires ou même d’inoculés le pressentent confusément, mais peu vont jusqu’à se le représenter ainsi : les injections massives actuellement pratiquées ne sont qu’une première étape. Un cheval de Troie nécessaire à l’aboutissement d’un plan plus vaste. La dépopulation en est une des composantes mais non la finalité. Comme je le détaillais dans un texte de juillet 2016, l’objectif à plus long terme de tous les programmes en cours (terrestres et spatiaux) est de créer un continuum électromagnétique depuis la haute-atmosphère jusqu’à nos cellules. D’exercer un contrôle numérique total des survivants, et de déporter la mémoire des autres dans un « nuage » virtuel.

Ce projet transhumaniste est antinaturel par essence. Son dessein affirmé consiste à permettre à une poignée d’illuminés triés sur le volet d’accéder à une immortalité supposément apportée par la fusion du cerveau humain avec la machine. Il s’agit ici d’une négation du plus élémentaire des principes spirituels, antérieur même aux religions : celui de considérer la mort comme une part intégrante de la vie.

Cela devient, même à l’observateur le moins averti, de plus en plus évident : nous avons affaire à une caste dirigeante prête à toutes les transgressions possibles pour atteindre son but. À ce titre, l’actuelle campagne d’injections transgéniques constitue non seulement un crime d’une ampleur inégalée dans l’Histoire, mais également, par la modification de notre ADN, une atteinte à ce que les croyants nommeraient « l’Arbre de Vie », ou en d’autres termes, à la souche originelle depuis laquelle nous nous sommes développés.

Il serait erroné de croire que nos « illuminés » méconnaissent les lois qu’ils violent. Ils le font en parfaite connaissance de cause. Si leur agenda se déroule pour le moment comme prévu, ce n’est qu’en raison du consentement, explicite ou non, des populations à ce programme exposé sous de nombreuses formes, littéraires ou cinématographiques, vouées à faire inconsciemment admettre au public la réalité future qu’ils auront choisie. Cette notion de libre-arbitre est centrale, car elle conditionne et conditionnera chaque jour davantage notre sort à venir. Mais j’aurai l’occasion d’y revenir.

Ce plan, élaboré de longue date, se fonde sur le postulat que l’Esprit humain puisse être contrôlé, voire littéralement reprogrammé au moyen du numérique. Ceci constitue le talon d’Achille d’une conception de la Vie et de l’Homme uniquement quantitative et utilitariste. L’erreur de fond dont il s’agit réside en cette extraordinaire confusion entre l’intellect et la conscience, dont le siège ne saurait être attaché à aucun organe, et dont l’origine n’est pas de ce Monde… La conséquence en est que le futur Golem, cette créature hybride dont les globalistes projettent l’avènement, ne sera tout simplement pas viable.

Cette entité est en réalité déjà mort-née, car dépourvue de connexion à la source, à l’intelligence universelle ou quel que soit le nom qu’on lui donne. Celle-ci nous unit plus profondément que le langage ou la culture, et fait de nous ce que nous sommes au-delà de la personnalité à laquelle nous nous identifions. Rompre ce lien ne saurait donner lieu à la création de l’homme-machine parfaitement docile tant espéré, mais plutôt à l’équivalent d’un poulet sans tête errant quelques instants au hasard de ses influx nerveux avant de s’effondrer. Souvenez-vous du conte de Mary Shelley, et des déboires du docteur Frankenstein dont la créature finit par lui échapper. C’est une assez bonne image du seul résultat que ces apprentis-sorciers pourront obtenir.

Cela ne signifie pas pour autant, loin s’en faut, la victoire des peuples du Monde dans ce combat multidimensionnel. Dans leur rage de ne pouvoir parvenir à leurs fins, les transhumanistes vont déployer tout leur arsenal pour tenter de détruire ce qui est. Le processus est déjà bien entamé, avec la présence d’innombrables poisons dans l’air, l’eau et la nourriture, par le déploiement de technologies mortifères comme la 5G ou encore l’usage d’armes psychotroniques. Nous verrons bien d’autres ignominies commises à l’encontre du vivant, perdrons sans doute beaucoup de nos proches et assisterons de toute façon à la chute de l’« ancien Monde ».

Chaque chose, chaque phénomène ou évènement se trouve cependant compensé dans l’Univers. Et la loi de causalité s’opère, sinon sur le plan matériel, d’ores et déjà dans l’Esprit. En tentant de nous entraîner dans leur folie autodestructrice, les tenants du « Grand Reset » sont tombés dans leur propre piège : celui de se révéler pour ce qu’ils sont à bon nombre d’âmes jusque-là restées insouciantes. Certes bien trop peu pour inverser la tendance. Cette manifestation vitale n’en est qu’à ses balbutiements. Beaucoup succomberont aux chants des sirènes. Mais ils ne feront au fil du temps qu’ajouter au retour de bâton cosmique auquel s’exposent les transgresseurs des lois éternelles.

Et nos maîtres-chanteurs sont ainsi pris dans une course contre-la-montre dont ils n’auront pas le souffle de tenir la durée. Le fait d’avoir recouru à l’adhésion sous contrainte d’une bonne part de la population est déjà un aveu d’échec. Un accord obtenu sous chantage a moins de valeur vis-à-vis de l’astral qu’un pacte faustien signé en bonne et due forme. S’ils accélèrent le processus au mépris de tous les signaux d’alerte, c’est car ils savent que la vérité éclatera et que leur temps est compté.

Ainsi donc sonne le glas d’une emprise multiséculaire sur l’esprit des populations. Le scientisme forcené de ces derniers siècles rencontre dorénavant notre souvenir des lois naturelles, et notre irrépressible instinct de survie. Ce qui n’est encore, pour beaucoup, qu’un léger frémissement de conscience amorce un bouleversement dont nul ne peut à l’heure actuelle sonder la profondeur : l’avènement aussi tardif que douloureux d’une véritable souveraineté individuelle. La remise en question des discours officiels n’en est qu’un signe avant-coureur. Une force inconcevable est en train de renaître du fond des âges pour nous rappeler quels sont notre essence et nos origines.

Cette souveraineté intérieure induit de retrouver le plein usage du libre-arbitre dont je parlais. De demeurer assez alignés pour ne laisser que notre conscience guider nos choix et nos actes. La liberté ne s’achète pas. Elle peut certes parfois coûter cher, mais ceux qui la connaissent peuvent témoigner qu’elle n’a pas de prix. Et n’est-ce pas la condition dans laquelle et pour laquelle nous nous sommes incarnés ?

Chacun de nous se déterminera selon des parts de lui-même et des héritages peut-être encore ignorés. Nul n’échappera quoiqu’il en soit à la grande Révélation, dont nous n’assistons pour le moment qu’aux prémices. Violences et chaos iront crescendo à mesure que l’agenda génocidaire mondial sera dévoilé. Les gens s’en prendront les uns aux autres au sein des nations, des clans, des familles… Il n’existe aucun vocabulaire pour décrire ce au-devant de quoi nous allons. Mais ceci ne doit pourtant pas nous faire dévier d’un iota de ce que nous avions choisi d’éprouver bien avant de venir au Monde. Beaucoup d’entre vous connaissent déjà ce lâcher-prise, et nous serons tous, l’un après l’autre, appelés à nous défaire de l’illusion du contrôle sur quelque aspect que ce soit de l’existence physique. Il s’agira de renaître à nous-mêmes, enfin adultes. Reconnectés aux mondes spirituels dont le confort et les habitudes nous aurons si longuement aliénés.

Beaucoup recherchent cette révélation toute leur vie. Peu réussissent à dompter leur intellect au point d’y parvenir. Mais nous possédons tous la faculté innée de pénétrer les mondes supérieurs. De connaître l’éternité depuis le plan matériel. Il suffit d’habiter pleinement chaque instant pour découvrir que l’infini réside en chaque interstice entre deux pensées. Et pour y ressentir la force d’un Amour si profond, d’une intelligence telle que nous sommes envahis du sentiment de notre petitesse devant l’Univers. Les larmes de joie qui nous viennent alors arrosent la Terre de ce que nous avons de plus pur et de plus magnifique. Je vous l’annonce dès aujourd’hui : du tréfonds de la nuit la plus noire où nous nous apprêtons à entrer brillera plus intensément que jamais notre lumière intérieure. Les circonstances apparentes ne doivent pas nous leurrer. Nous sommes déjà sur le chemin de la Grâce.

Zénon


[Voir aussi :
Note sur le mental et l’astral
Note sur les émotions et les pensées
Réflexion sur la vie, la matière et la conscience
Note sur les problèmes et les opportunités
Sortir de la crise
L’enjeu majeur de notre époque
Un choix déterminant
L’épée, le bon grain et l’ivraie
La clef de la libération
L’avenir se crée maintenant
Note sur l’avenir
L’Effet Jupiter et la purification de l’Humanité
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le Dr Louis Fouché alerte sur l’agenda transhumaniste de la tyrannie sanitaire
Végano-écologisme et transhumanisme : l’union sacrée dans la haine de l’homme et donc dans la haine de Dieu
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Michel Maffesoli : « Le transhumanisme est l’aboutissement de la paranoïa moderne » [Interview]
Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
Du confinement à la Grande réinitialisation
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
La fin de la mondialisation
Après le Nouvel Ordre Mondial
Note sur les mouvements humains et la sagesse du Tao
Vie et mort des systèmes
NOM : qui tire les ficelles ?
La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos
Souveraineté
Effets nocifs des ondes pulsées (Wi-Fi, cellulaires, compteurs intelligents…)
La faillite de la science matérialiste ?
La pandémie des ondes ?
Dossier 5G et ondes pulsées
La religion de l’Antéchrist
La Loi de Karma]




Ce que Véran n’a pas osé vous dire en face sur le danger des vaccins

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Le danger des vaccins est le grand tabou de la communication gouvernementale. Il n’est en effet pas facile d’expliquer qu’on s’apprête à sacrifier consciemment une partie de sa population pour satisfaire à un programme d’obligation vaccinale dont chaque jour montre qu’il n’est pas exempt de calculs économiques. Donc, officiellement, c’est du circuler, y a rien à voir ! les vaccins sont sûrs ! Sauf que… la communication gouvernementale laisse transpirer de terribles aveux sur les sacrifices qui se préparent. Il est désormais de notre devoir de les relever et de les porter à la connaissance du public, égarés par des médias subventionnés aux ordres.

Les dangers des vaccins, vous le remarquerez, ne sont que très mollement niés par le gouvernement. On ne trouvera (étonnamment) nulle part une campagne claire pour “rassurer”, ce qui est en soi à la fois l’une des explications du malaise actuel de la société française, et l’un des plus terribles aveux de cynisme commis par l’équipe de guignols au pouvoir. 

Ce silence gêné du gouvernement sur les dangers du vaccin s’explique assez simplement par le fait que personne, dans les allées du pouvoir, ne doute de la nocivité des produits que les Français sont supposés se faire inoculer dans une obéissance aveugle. 

Quand la loi reconnaît les dangers des vaccins

Aucun journaliste subventionné (trop occupé à dénoncer les complots sans doute) n’a pris le temps de le noter, mais la loi du 5 août 2021 ne comporte aucune ambiguïté sur les dangers des vaccins. Son article 18 écrit ceci :

La loi a donc pris soin de régler la question de la “réparation intégrale des préjudices directement imputables” aux vaccins que les soignants vont recevoir pour le bien du groupe, de la société et de l’immunité collective. Elle annonce, de façon “classique”, dirait-on, que les réparations seront décidées par l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales, qui est un établissement public en charge des accidents médicaux

Autrement dit, c’est l’Etat qui sera chargé d’établir la faute de l’Etat qui a ordonné des injections dangereuses avec une légèreté confondante, et c’est l’Etat qui fixera lui-même le montant des réparations qu’il doit aux victimes. 

La précision n’est pas anodine : s’agissant de vaccins expérimentaux, on aurait pu imaginer un cadre d’indemnisation relevant directement des juridictions civiles. Mais le gouvernement a pris soin, par avance, de modérer l’addition qu’il s’attend à payer. 

Véran anticipe des décès

Je recommande vraiment à tout le monde de lire attentivement cet article L 3111-9 du code de la santé publique, qui fut créé… par Agnès Buzyn pour maîtriser les coûts d’indemnisation dus à la campagne de vaccination obligatoire aux onze vaccins pour les enfants. Le texte apporte cette terrible précision :

L’offre d’indemnisation adressée à la victime ou, en cas de décès, à ses ayants droit est présentée par le directeur de l’office.

Si un infirmier meurt demain quelques heures après avoir reçu une injection, sa femme aura le plaisir de recevoir un courrier du directeur de l’office lui proposant une petite gratification pour Noël, à prendre ou à laisser. C’est de la procédure classique. 

Il était utile de la rappeler pour redire que, lorsque Véran exhorte la moitié du pays à passer à la piqûre, il n’a aucune illusion sur le fait que des gens mourront. Tout cela est écrit, prévu, administré.

Les explications emberlificotées sur les femmes enceintes : Véran, ton nez s’allonge !

Une autre farce cynique officielle qui mérite d’être retenue tient à la vaccination des femmes enceintes. Selon Olivier Véran, vacciner une femme enceinte dès les premiers jours de grossesse ne pose pas de problème. Il est sûr qu’on dispose forcément de beaucoup de recul sur le sujet, et que le ministre pouvait, sans complexe, mettre en scène la vaccination de sa collègue Olivia Grégoire. 

Les esprits un peu rigoureux auront noté que ces discours officiels reposent sur une étude publiée par le New England Journal of Medicine, qui dit en réalité le contraire des propos qu’on lui prête

On relira ici sa conclusion :

Preliminary findings did not show obvious safety signals among pregnant persons who received mRNA Covid-19 vaccines. However, more longitudinal follow-up, including follow-up of large numbers of women vaccinated earlier in pregnancy, is necessary to inform maternal, pregnancy, and infant outcomes.

(Les découvertes préliminaires ne montrent pas d’alarmes de sécurité évidentes parmi les femmes enceintes qui ont reçu des vaccins à ARN messager. Cependant, des suivis plus longs, incluant des suivis sur un plus grand nombre de femmes vaccinées précocement dans leur grossesse, est nécessaire pour collecter des éléments sur les mères, la maternité et les enfants). 

Voilà qui aurait dû tempérer fortement les ardeurs inoculantes d’Olivier Véran. Mais les médecins de l’hôpital de Grenoble savent mieux que le reste du monde ! Donc, Véran a dit que les femmes enceintes ne prenaient aucun risque en recevant leur vaccin dès les premiers jours de grossesse. 

Sauf que… ce n’est pas exactement ce qui est dit par le conseil d’orientation stratégique sur la vaccination anti-COVID (si, si, ça existe !), dans son brillant avis putassier du 21 juillet 2021 : 

On vous recommande de bien lire ce tissu (dont la concision étonne) de circonvolutions purulentes, concentré en quelques lignes (vu l’absence d’importance du sujet, pourquoi se fatiguer à argumenter et à analyser, un torchon suffit) :

1) il n’y a aucun argument pour parler d’un danger de la vaccination pendant les premiers jours de la grossesse

2) les femmes qui le souhaitent peut donc être vaccinées dès le premier jour

3) mais s’il s’agit de les obliger, rien avant le quatrième mois. 

Mais si ces vaccinologues sont si sûrs de leur fait et de l’innocuité des vaccins, pourquoi n’assument-ils pas d’imposer le vaccin dès le début de la grossesse ? Seraient-ce parce qu’ils savent qu’en réalité, c’est dangereux, mais qu’ils ne veulent pas le dire pour ne pas mettre leur ministre en porte-à-faux (et ne pas rater une promotion) ? D’ailleurs ne rappellent-ils pas dans leur premier paragraphe qu’une vaccination précoce peut donner lieu à des “complications obstétricales” et des “conséquences pour le foetus” au cours du 3è trimestre ?

Je ne sais pas vous, mais moi, quand je lis un texte plein d’embrouilles sur un sujet aussi sensible, je suis tout de suite en alerte et je regarde les nez s’allonger. Il y a du mensonge dans l’air !

Véran connaît les dangers des vaccins

N’ayez en tout cas aucune illusion sur le cynisme gouvernemental. Personne n’a le moindre doute sur le fait que l’obligation vaccinale fera des victimes, des handicapés à vie, des morts. Tout cela est déjà budgété et préparé. Y compris chez les foetus. 




La dictature sanitaire aura une fin

[Source : Kernews via nicolasbonnal.com]

Connu sur le plan international pour ses nombreuses vidéos diffusées sur Internet avec ses cours sur la Torah, le Rav Dynovisz aborde à nouveau la question de l’autodestruction de l’Occident, le mondialisme, la stratégie du chaos et la volonté de domination des peuples dans le cadre de cette crise sanitaire. Le Rav Dynovisz, maître de la Torah, nous accorde un entretien exceptionnel dans lequel il livre des clés essentielles pour appréhender le monde qui se prépare.




Pourquoi les intellectuels de gauche ont-ils eux aussi viré hygiénistes totalitaires ?

Par Lucien Samir Oulahbib

La riposte de Jean-Paul Bourdineaud(([1] Professeur à l’Université de Bordeaux, où il enseigne la biochimie, la microbiologie et la toxicologie environnementale tout en étant chercheur dans ces divers domaines)) à l’attaque en dessous de la ceinture de Charlie Hebdo et de Libération qui ont franchi allègrement le point Godwin (« à droite d’Hitler » en gros) en présentant les contestataires de l’actuelle politique dite « sanitaire » comme étant(([2] selon ce qu’en rapporte Bourdinaud)) « une bande d’obscurantistes totalement déraisonnables, anti-scientifiques, voire sectateurs, et penchant vers l’extrême-droite (celle trumpienne, au minimum) » en dit long sur les prétentions (non étonnantes à vrai dire) de toute une frange de pseudo-intellectuels tels Enthoven, Naulleau, Onfray, BHL, Ferry (le journal Marianne et le site Mediapart ostracisant on l’a déjà dit ici Mucchielli) et cherchant obstinément à continuer de donner le La (malgré leurs échecs retentissants dans tous les domaines), comme ils l’ont toujours fait en réalité, y compris et surtout en matière de santé si l’on entend par là (suivant ici Descartes dans la 6° partie du Discours de la Méthode, 192-193*) une certaine manière de penser notre corps dans le monde.

Ils en sauraient plus, en soi, comme ça, et c’est dit, un point c’est tout, en tout cas bien plus, mais oui, que tout le monde, en particulier à « droite » (qui a trop confiance en la « nature », en son système immunitaire, car celui-ci semble être [pour ces intellectuels] une relique, un dernier terrain vague…). D’où cette prégnance présente d’histrions et d’écrivaillons qui bien qu’étant complètement incompétents en matière de santé (ne parlons pas d’économie, de politique étrangère, mais aussi de philosophie, de littérature, d’arts…) viendront railler un Raoult, un Perronne, une Henrion-Caude, parce que pour eux, mais oui, la messe est dite face à ce virus présenté façon nouveau conte de Grimm comme étant effroyablement monstrueux, pire que la peste, bien sûr ma bonne dame, qui ravage jusqu’aux jeunes (un ici et là), d’où la nécessité « vaccinale », solution unique au-dessus de tout (über alles), alors que pour les corona aux variants innombrables, même les vétérinaires ont abandonné, par exemple s’agissant des chats, tant l’hécatombe des effets secondaires s’avérait pire que le mal. Mais que nenni ! mon bon monsieur. Taïaut, taïaut, à cheval sur son baudet, Don Quichotte armé de sa seringue bionique vient ainsi épauler les nouveaux dragons déguisés en moulins à paroles. Peu importe si cela touche plutôt certaines catégories et les pays dits « développés » (l’hécatombe prévue en Afrique et en Asie ne vient pas. qu’à cela ne tienne, fourguons-leur le Remdesivir et les « vaccins » quitte à graisser la patte de dirigeants déjà corrompus) et en avant pour l’injection des… bambins (nouveaux babouins) !…

Cette génération « je sais tout », à force de réagir dans les émissions d’opinion sur n’importe quoi, s’est (dé)construit un ego si hypertrophié que toiser de haut un spécialiste critique s’avère être une billevesée, une chiquenaude, surtout lorsque l’on trône dans les Salons qui comptent sur des milliers de « followers » (ex-groupies). Et puis une piquouse de plus ou de moins, entre deux shoots de coke, d’amphé, d’opioïdes et quelques bidouillages « high tech », tous azimuts (insémination, blocage hormonal…), what a big deal my dear fellow… [« quelle grosse affaire mon cher ami !… »]

Si l’on creuse un peu maintenant, quoique toujours trop rapidement, vers quelques profondeurs analytiques, il s’avère que toutes ces prétentions en matière de santé sont la continuité quasi directe de toutes les vieilles railleries possibles et inimaginables sur lesdites bondieuseries « réactionnaires, obscurantistes » — aujourd’hui « complotistes » — (telles les méditations, recherches de sérénité via la sophrologie, l’homéopathie) et autres « remèdes de bonne femme » dans lesquels sont de plus en plus catalogués ces savoirs ancestraux (jusqu’à traquer la lavande désormais) qui soignaient bon an mal an les maux physiques et mentaux (au-delà des manques évidents en matière de conservation de la nourriture, de lutte contre les mauvaises moisissures, contaminations liées aux égouts à ciel ouvert). Tous ces remèdes ressurgissent aujourd’hui cependant depuis les années « new Age » par toute une naturopathie et autres « médecines douces », les ayant désormais triés avec le bon dosage. Or la pensée dite « logique » (puis « matérialiste ») et se prétendant issue des « Lumières » a toujours choisi les remèdes académiques normés (que raillèrent Molière et Romains…) et écarté les gêneurs (Pasteur [Ndlr : Pasteur semble pourtant, au contraire d’un Béchamp tombé dans l’oubli, être très encensé par le côté académique ou matérialiste.], Mendel, Einstein…) suivant ici les « scolastiques » (Galilée, Bruno…), hormis un très bref intermède de sympathie avec les mouvements « romantiques » à la suite de Rousseau et Goethe (alliant Poésie et Science) et autres « symbolistes (les Parnassiens), jusqu’aux « surréalistes », alors que la plupart de ces « éclairés » aura peu à peu arrimé son supposé « réalisme » (pétri de biais idéalistes) vers un naturalisme physicaliste qui circonscrit les phénomènes charnels, y compris « inconscients », a des « forces » forcément obscures qu’il s’agit de dompter, canaliser, éradiquer, aseptiser, telles ces eaux sauvages que les barrages savants des « castors » labellisés made in Science viennent domestiquer

Le tout en reproduisant tous les travers pourtant dénoncés par une innombrable littérature à propos de « l’absolutisme », de « l’ordre moral », de la « dictature bourgeoise » sur les cœurs, les corps et leurs esprits, déployant ainsi sous nos yeux toute une panoplie inquisitrice que l’on croyait révolue à l’heure du « relativisme post-moderne ». Aujourd’hui celui-ci s’avère encore pire que l’absolutisme d’antan (y compris au niveau « écologique », sommant certaines tribus africaines d’abandonner leurs coutumes afin de sauver des « espèces en danger » — ne parlons pas du climat ni des rapports politiques du GIEC, nouveaux contes de Grimm là aussi), ayant cependant, il est vrai, substitué la mort sociale à la mort physique, cette dernière étant cependant pourtant là, mais cela ne se voit pas, tant les corps réduits aux choix « multiplex » manifestent encore leur « esprit critique » par des variations insignifiantes au sein d’une culture de plus en plus réduite à l’état de ruines, mais illuminées (dernier « cri » de l’Aufklärung)…

Au fond, que serait une « riposte laïque » dans sa profondeur de champ sinon renouer avec cet esprit que la gauche comme la droite ont « détruit » ? Ou comment permettre à tout un chacun d’avoir l’audace de penser hors des tutelles thuriféraires ? Sapere aude ! disait le vieux Kant, ce « questionniste » complotiste avant l’heure, selon nos grands penseurs (de TPMP à l’Institut)…

Descartes, Discours de la Méthode, 192/193 :

« (…) sitôt que j’ai eu acquis quelques notions générales touchant la physique, et que, commençant à les éprouver en diverses difficultés particulières, j’ai remarqué jusques où elles peuvent conduire, et combien elles diffèrent des principes dont on s’est servi jusques à présent, j’ai cru que je ne pouvois les tenir cachées sans pécher grandement contre la loi qui nous oblige à procurer autant qu’il est en nous le bien général de tous les hommes : car elles m’ont fait voir qu’il est possible de parvenir à des connoissances qui soient fort utiles à la vie ; et qu’au lieu de cette philosophie spéculative qu’on enseigne dans les écoles, on en peut trouver une pratique, par laquelle, connoissant la force et les actions du feu, de l’eau, de l’air, des astres, des cieux, et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connoissons les divers métiers de nos artisans, nous les pourrions employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature. Ce qui n’est pas seulement à désirer pour l’invention d’une infinité d’artifices, qui feroient qu’on jouiroit sans aucune peine des fruits de la terre et de toutes les commodités qui s’y trouvent, mais principalement aussi pour la conservation de la santé, laquelle est sans doute le premier bien et le fondement de tous les autres biens de cette vie ; car même l’esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps, que, s’il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu’ils n’ont été jusques ici, je crois que c’est dans la médecine qu’on doit le chercher. Il est vrai que celle qui est maintenant en usage contient peu de choses dont l’utilité soit si remarquable : mais, sans que j’aie aucun dessein de la mépriser, je m’assure qu’il n’y a personne, même de ceux qui en font profession, qui n’avoue que tout ce qu’on y sait n’est presque rien à comparaison de ce qui reste à y savoir ; et qu’on se pourroit exempter d’une infinité de maladies tant du corps que de l’esprit, et même aussi peut-être de l’affoiblissement de la vieillesse, si on avoit assez de connoissance de leurs causes et de tous les remèdes dont la nature nous a pourvus. (…) »