Les chauffeurs routiers australiens s’engagent à bloquer toutes les routes principales dans le cadre d’une grève radicale contre le confinement

[Source : Aube Digitale]

Alors que les Australiens descendent dans la rue pour protester contre les mesures de confinement prises par le pays, et qu’ils ont récemment affronté la police au cours du week-end, les chauffeurs routiers australiens prévoient de fermer toutes les routes principales du pays et ont conseillé aux gens de faire des provisions.

Un chauffeur, selon le Daily Mail, a déclaré dans une vidéo que les camionneurs « prévoient de fermer le pays » pour « supprimer le gouvernement de m*rde » le 31 août à partir de 9 heures du matin.

« C’est parti. Les camionneurs le font. Les camionneurs vont fermer le pays », dit l’homme, ajoutant : « Ce que cela signifie, c’est que vous devez faire vos courses maintenant, prendre ce que vous pouvez pour la semaine ou les deux semaines à venir, remplissez votre réfrigérateur, vos congélateurs ».

Il a déclaré que les chaînes d’approvisionnement seraient bientôt interrompues et a exhorté les Australiens à faire le plein de produits d’épicerie pour leur permettre de passer les deux prochaines semaines.

Une page GoFundMe a depuis été lancée pour soutenir financièrement les camionneurs qui se préparent à faire grève à partir de 9 heures le mardi 31 août, ce qui impliquera « le blocage de toutes les autoroutes entrant dans chaque État en même temps »

Daily Mail

Selon l’homme, les camionneurs ont discuté avec des personnes du « monde entier » et ont travaillé avec des vétérans de guerre pour mener à bien la manifestation.

« Les camionneurs sont partants, les vétérans sont partants, je suis partant. Je suis prêt à aller en prison pour sauver mon pays et mes enfants », a déclaré l’homme.



On ignore combien de camionneurs sont impliqués dans la manifestation, mais des camionneurs du monde entier ont mis en ligne des conseils sur la manière d’entraver les efforts des autorités pour remorquer leurs véhicules.

Une page GoFundMe, qui semble avoir été retirée, avait recueilli près de 4 000 dollars pour cette action.

Si la manifestation a lieu, ce ne sera pas la première fois que des camionneurs bloquent des routes pour protester contre les restrictions liées à la pandémie. Le mois dernier, plusieurs camions ont protesté contre la fermeture temporaire d’un chantier à Sydney en garant leurs véhicules sur l’autoroute et en faisant retentir leurs klaxons.

Un convoi de camions proteste contre la fermeture temporaire d’un chantier à Sydney le mois dernier.




Piqûre de rappel : Pfizer et les pharmaceutiques au pouvoir

[Source : journaldemontreal.com]

CA_LeoPaul_Lauzon

Par
LÉO-PAUL LAUZON
 
24 octobre 2013

La société américaine Pfizer est la plus grosse compagnie pharmaceutique au monde et elle n’est pas mal plus importante et plus riche que le Canada. En termes de ressources économiques, le Québec est un nain par rapport à Pfizer et à la tyrannie du cartel pharmaceutique qui font la pluie et le beau temps dans le monde grâce à leurs milliers de lobbyistes, d’universitaires franchisés, de groupes de recherches commandités et d’ex-politiciens à leur emploi. Comme pour les pétrolières, les banques, les chemins de fer, les firmes de génie, etc., et on repassera pour la supposée vive concurrence qu’est censée se livrer les agents économiques de tout marché. Dans plusieurs secteurs économiques, la concurrence et de ce fait l’économie de marché ne sont que des vues de l’esprit.

Mentionnons aussi que comme à l’accoutumée, Québec est chiche envers le monde ordinaire mais très généreux avec la caste supérieure, ce qui se concrétisera par le versement annuel de plusieurs centaines de milliers par année en fonds publics versés par la province à des pharmaceutiques milliardaires. Ça fait que c’est le Québec qui est le plus généreux en aide gouvernementale et où le prix des médicaments est le plus élevé au Canada. Même en leur donnant notre chemise, les mammouths pharmaceutiques en veulent toujours immonde et à flusher des milliards d’employés.

L’éthique et Pfizer

Commençons par une «joke» à vous faire mourir de rire. Elle vient de Scott Wilks, un haut dirigeant de Pfizer Canada, qui a dit très sérieusement, en entrevue au journal Les Affairesdu 7 avril 2012 que : «Il faut payer les médicaments à un prix équitable». Imaginez, faut avoir du front, et un gros en plus de ça, tout le tour de la tête pour nous parler de «prix équitable» des médicaments en particuliers et «d’équité» en général. Franchement, les pharmaceutiques qui détournent des milliards de dollars annuellement dans les paradis fiscaux par le biais de leurs filiales qui y logent et de leurs prix de transfert; des cadeaux princiers qu’ils distribuent aux médecins, aux pharmaceutiques et aux chercheurs universitaires pour services rendues à leur publicité trompeuse et mensongère, etc.

Tiens, prenons le titre de cet article de journal du 8 août 2012 : «Pfizer versera 60 millions$ US pour une affaire de corruption» et de celui-ci du 3 septembre 2009 : «Pfizer paie une amende record pour publicité abusive». Un petit 2,3 milliards$ US en amende auquel, selon moi, il aurait fallu aussi condamner les dirigeants de l’entreprise à la prison. Il y a aussi cet article du 10 décembre 2010 qui nous signale que «Pfizer a embauché des enquêteurs privés chargés de trouver des informations incriminantes sur le ministre de la justice du Nigéria qui poursuivait le géant pharmaceutique pour 75 millions de dollars» et également cet autre du 31 mai 2008 intitulé «Depo-Provera. Le recours collectif contre Pfizer peut aller de l’avant». Et après, ils ont le culot de se faire les apôtres de l’éthique et de la responsabilité sociale.

À genoux devant Pfizer

Contrairement à son engagement pris en 1987 d’investir 10% de leurs revenus en recherche au pays, en échange de subventions et de faveurs comme la durée prolongée de vie des brevets, de façon unilatérale et en vrai petit dictateur, Pfizer met fin à ses belles promesses : «Pfizer remet en question son engagement» (La Presse, 8 décembre 2010). Et nos élus affranchis s’écrasent face à ce comportement despotique.

Et même si c’est le Québec qui leur en donne le plus sur le bras de la population, Pfizer ne fait «pas de promesse pour le Québec» (16 mai 2012). Pfizer peut toutefois aider les provinces à «mieux gérer et prévoir ses coûts lorsque de nouveaux médicaments sont inscrits sur les listes». On appelle ça du mépris. Ce sont ces mêmes canailles qui provoquent intentionnellement des pénuries de médicaments moins rentables afin de vendre au gros prix leurs nouveaux médicaments qui sont quasi identiques aux vieilles pilules.

Des promesses de pertes d’emplois

Contrairement à ce que disent les boss de Pfizer, oui, ils peuvent faire des promesses de…. Pertes d’emplois et soyez assurés qu’ils tiennent parole. Tiens, prenons le titre de ces articles de journal récents : «Autre coup dur pour la recherche à Montréal. Pfizer élimine 150 postes» (3 février 2011). Puis, Pfizer dans Saint-Laurent : Quarante postes abolis» (26 mai 2012) et enfin : «Hémorragie dans l’industrie pharmaceutique. Pfizer sabre 300 emplois, dont la majorité à Montréal» (29 octobre 2012). Pourtant, Stephen Harper nous avait juré que les importantes baisses d’impôt sur le revenu consenties aux entreprises allaient créer des jobs, stimuler l’investissement et la croissance et créer beaucoup de richesse. Un autre mensonge des politiciens.

La recherche fondamentale sous-traitée

Et dire que nos gouvernements récidivent et nous enfoncent encore plus dans les entrailles du cartel pharmaceutique en sortant la recherche fondamentale pour de nouveaux médicaments des universités afin de les sous-traiter à des bineries biotechnologiques privées subventionnées à fonds par des fonds publics et à des fonds d’investissement spéculatifs qui s’associent aux transnationales pharmaceutiques. Ça, ça fait que les affairistes, les spéculateurs et les multinationales s’enrichissent et la population s’appauvrit et devient toujours à la merci du diktat des géants pharmaceutiques. Faut faire comme plusieurs pays et compte tenu de l’importance des médicaments pour le bien-être et la souveraineté de tout peuple et de leurs prix sur les budgets des familles et de la santé publique, faut remettre dans les institutions publiques la recherche fondamentale en santé. C’est trop important pour laisser ça à des gens qui sont principalement guidés par la cupidité bien avant le bien commun et la santé des gens. On a qu’à voir comment l’industrie pharmaceutique est peu émue par les millions de décès reliés aux VIH, s’est comportée en Afrique, ce qui fait dire que dans certains pays on meurt plus du sida que ou, encore, les profits avant la santé.




Toxicité du sans-fil : jugement américain historique

[Source : La Maison du 21e siècle]

La Cour d’appel des États-Unis pour le circuit du District de Columbia se prononce en faveur des groupes de santé environnementale et des pétitionnaires ; elle estime que la FCC a violé la loi sur la procédure administrative et n’a pas répondu aux commentaires sur les dommages environnementaux. 

Source : Communiqué de l’Environmental Health Trust (EHT)

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Ce vendredi 13 août, la Cour d’appel des États-Unis pour le circuit du District de Columbia a statué dans l’affaire historique EHT et al. v. the FCC que la décision de décembre 2019 de la Federal Communications Commission (FCC) de conserver ses limites de sécurité de 1996 pour l’exposition humaine aux radiations sans fil était « arbitraire et capricieuse. »

Le tribunal a estimé que la FCC n’avait pas répondu aux « preuves documentaires selon lesquelles l’exposition aux rayonnements RF à des niveaux inférieurs aux limites actuelles de la Commission peut avoir des effets négatifs sur la santé sans rapport avec le cancer ». En outre, l’agence a fait preuve d’une « absence totale de réponse aux commentaires concernant les dommages environnementaux causés par les rayonnements RF ».

« Nous sommes ravis que le tribunal ait confirmé la règle de droit et ait estimé que la FCC doit fournir un dossier d’examen raisonné pour les milliers de pages de preuves scientifiques soumises par Environmental Health Trust et de nombreuses autres autorités expertes dans cette affaire qui fait jurisprudence. Aucune agence n’est au-dessus de la loi. Le peuple américain est bien servi », a déclaré le Dr Devra Davis, président de Environmental Health Trust.
Environmental Health Trust tiendra une conférence de presse lundi. Heure à déterminer.

Edward B. Myers, avocat de Environmental Health Trust, le principal requérant dans l’affaire EHT et al. v. the FCC, a déclaré :

« Le tribunal a accordé les demandes de révision parce que, contrairement aux exigences de la loi sur la procédure administrative (APA), la commission n’a pas fourni d’explication motivée pour son affirmation selon laquelle ses lignes directrices protègent adéquatement contre les effets nocifs de l’exposition aux rayonnements de radiofréquence ».

« Je suis très heureux de voir que la Cour d’appel américaine pour le circuit du District de Columbia a statué que la FCC a ignoré des décennies d’études sur les effets nocifs potentiels des radiations des téléphones cellulaires sur la santé et qu’elle doit examiner adéquatement ce matériel avant de prendre une décision sur une nouvelle réglementation des téléphones cellulaires », a déclaré le Dr Jerome Paulson, ancien président du Conseil de la santé environnementale de l’Académie américaine de pédiatrie et maintenant professeur émérite de pédiatrie et de santé environnementale et professionnelle à l’École de médecine et des sciences de la santé de l’Université George Washington et à l’École de santé publique de l’Institut Milken.

« Il est très important que le tribunal ait décidé que la FCC doit se pencher sur les impacts des rayonnements de radiofréquences sur la santé des enfants accumulés depuis 1996. » 

La soumission de l’American Academy of Pediatrics (APA) à la FCC demandait une révision des limites de sécurité pour protéger les enfants et les femmes enceintes.

En annulant la détermination de la FCC pour son manque de décision raisonnée, le tribunal a écrit que la commission ne peut pas s’appuyer sur des agences comme la Food and Drug Administration (FDA) si les conclusions de la FDA sont fournies sans explication.

« Si l’imitation peut être la plus haute forme de flatterie, elle n’atteint même pas le faible seuil d’analyse raisonnée requis par l’APA en vertu de la norme d’examen déférente qui régit ici. L’adoption inexpliquée par une agence d’une analyse déraisonnable ne fait qu’aggraver le vide analytique au lieu de le vider. En d’autres termes, deux maux ne font pas un bien », a écrit la Cour.

Le tribunal a également noté que la FCC n’a pas répondu à environ 200 commentaires versés au dossier par des personnes ayant souffert de maladies ou de blessures dues aux rayonnements électromagnétiques.
Le tribunal a ordonné à la commission de

« (i) fournir une explication motivée de sa décision de conserver ses procédures de test pour déterminer si les téléphones cellulaires et autres appareils électroniques portables sont conformes à ses lignes directrices,

(ii) aborder les impacts des rayonnements RF sur les enfants, les implications pour la santé d’une exposition à long terme aux rayonnements RF, l’omniprésence des appareils sans fil et d’autres développements technologiques qui ont eu lieu depuis la dernière mise à jour des lignes directrices de la commission,

et (iii) aborder les impacts des rayonnements RF sur l’environnement. »

Télécharger la décision du 13 août 2021 de la Cour d’appel des États-Unis, District of Columbia Circuit ENVIRONMENTAL HEALTH TRUST, ET AL, PETITIONNAIRES c. FEDERAL COMMUNICATIONS COMMISSION ET ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE

Cette affaire historique porte sur la décision de la FCC de ne pas mettre à jour les limites d’exposition aux rayonnements sans fil des téléphones cellulaires, des tours de téléphonie cellulaire et des appareils sans fil qu’elle avait fixées en 1996. Les experts de l’Environmental Health Trust soutiennent depuis longtemps que les limites dépassées de la FCC font courir des risques aux Américains partout dans le monde, surtout à l’ère de la 5G. En réponse à la décision historique du tribunal, l’Environmental Health Trust et les pétitionnaires ont publié les déclarations supplémentaires suivantes : Devra Davis PhD, MPH, présidente de l’Environmental Health Trust, auteure de Disconnect : The Truth About Cell Phone Radiation, What the Industry Is Doing to Hide It and How to Protect Your Family.

Si les téléphones portables étaient une drogue, ils auraient été interdits il y a des années. La 5G n’aurait jamais été autorisée à être commercialisée. Un nombre sans cesse croissant d’études publiées – ignorées par la FCC – indique clairement que l’exposition aux rayonnements sans fil peut entraîner de nombreux effets sur la santé, en particulier chez les enfants. La recherche indique que le rayonnement sans fil augmente le risque de cancer, endommage la mémoire, altère le développement du cerveau, a un impact sur la santé reproductive, et bien plus encore. De plus, la façon dont la FCC mesure notre exposition quotidienne aux rayonnements des téléphones cellulaires et des tours de téléphonie cellulaire est fatalement erronée et donne un faux sentiment de sécurité. 

L’Environmental Health Trust a soumis des centaines de pages de preuves scientifiques à la FCC au cours des dernières années, documentant les données scientifiques montrant les dommages, la nécessité pour les agences de santé de créer des limites de sécurité qui protègent contre les effets biologiques, et l’urgence d’une politique d’infrastructure qui donne la priorité aux communications câblées plutôt qu’aux communications sans fil pour réduire l’exposition du public. Bien qu’il reste beaucoup de travail à faire, la décision d’aujourd’hui est une étape importante dans la protection des personnes contre les dommages causés par l’exposition aux rayonnements sans fil.

Malheureusement, l’industrie des télécommunications est en train de pousser des millions de nouvelles antennes sans fil 5G dans les quartiers et des milliards de nouveaux appareils sans fil, mettant chaque jour davantage de personnes en danger.

Alors que nous célébrons la victoire d’aujourd’hui, nous devons regarder vers l’avenir. Que faisons-nous à partir de maintenant ? Nous avons besoin d’une audience du Congrès sur la façon dont cette agence a opéré au-dessus de la loi pour s’assurer que cela ne se reproduira plus jamais. S’engager dans la 5G ne fait qu’assurer le succès commercial de la vente de nouveaux appareils et ne peut pas combler la fracture numérique où de nombreux groupes défavorisés n’ont pas accès aux technologies de base. Comme nous l’expliquons en détail dans la lettre de l’EHT au président Biden, la priorité en matière d’infrastructure devrait être accordée aux connexions Internet câblées plutôt que sans fil. Les États-Unis ont besoin d’un plan d’action fédéral sur la question du rayonnement sans fil qui devrait être informé par les dernières données scientifiques montrant que les niveaux actuels de rayonnement peuvent nuire à la santé humaine et à l’environnement.  

Theodora Scarato MSW, directrice exécutive de Environmental Health Trust et pétitionnaire dans cette affaire

C’est une victoire pour nos enfants, notre avenir et notre environnement. La décision de la Cour devrait être un signal d’alarme dans le monde entier. Les téléphones cellulaires et les réseaux sans fil n’ont fait l’objet d’aucun test de sécurité avant leur mise sur le marché il y a plusieurs décennies. Comme le souligne la Cour dans son arrêt, le silence des agences fédérales de la santé et de l’environnement « ne constitue pas une explication motivée de la décision de la Commission ». Cet arrêt souligne l’absence d’examen scientifique de l’ensemble des recherches scientifiques visant à garantir la protection des personnes et de l’environnement. Aucune agence fédérale n’a examiné la science indiquant des impacts sur le cerveau, la reproduction, les arbres ou la faune – ni la Food and Drug Administration, ni les Centers for Disease Control, ni le National Cancer Institute, ni l’Environmental Protection Agency. Pendant des décennies, chacune de ces agences a minimisé les effets sur la santé des radiations sans fil sur leurs sites Web publics. Un scientifique financé par les télécoms a rédigé des pages web qui seront mises en ligne par notre gouvernement fédéral. Lorsque les gens essaient d’empêcher la construction d’une tour cellulaire devant chez eux, leurs élus leur répondent qu’ils ne peuvent pas prendre en compte la question des effets sur la santé en raison de la loi sur les télécommunications de 1996. Il faut que cela cesse.

Nous avons besoin d’une enquête sur la façon dont notre pays s’est retrouvé dans cette situation et d’un plan d’action fédéral pour veiller à ce que cela ne se reproduise plus jamais. Il est impératif que nos agences fédérales agissent immédiatement pour protéger la santé humaine et l’environnement.  

Déclaration de Cindy Franklin de Consumers for Safe Cell Phones, une organisation qui était un pétitionnaire dans l’affaire

La FCC doit maintenant admettre que ses directives d’exposition vieilles de 25 ans sont bidons. Nos agences de réglementation fédérales sont mandatées pour protéger les personnes et l’environnement des dommages biologiques connus résultant de l’exposition aux rayonnements de radiofréquences micro-ondes. Cette décision montre qu’elles n’ont pas réussi à faire leur travail. L’industrie du sans-fil ne peut plus se cacher derrière les soi-disant directives d’exposition « sûres » de la FCC. 

Déclaration de Liz Barris de la fondation People’s Initiative

Ce jour est attendu depuis longtemps ! Tant de gens souffrent des effets des radiations sans fil et tant de gens ne font même pas le lien entre leurs symptômes, leurs maladies, leurs cancers et même leurs décès et les radiations qui en sont la cause parce qu’ils font confiance à leur gouvernement ! La FCC n’a répondu à AUCUN des documents qui lui ont été soumis et qui montrent que les gens sont blessés par TOUS les types de radiations sans fil, des téléphones cellulaires et du Wi-Fi aux compteurs intelligents et aux tours de téléphonie cellulaire. Nous avons besoin de limites, soutenues par la science, qui ne nuisent pas aux personnes ni à notre environnement et, jusqu’à présent, la science montre que le seul rayonnement sans fil sûr est l’absence de rayonnement sans fil. Des connexions ethernet câblées avec des portails de prise partout pour les téléphones cellulaires et l’internet pourraient être notre meilleure option.  

Déclaration d’Ellen Marks, présidente de la California Brain Tumor Association

Nous sommes ravis que le tribunal se soit prononcé contre la FCC et ait mis en lumière la collusion entre l’industrie des télécommunications, la FCC et la FDA. Trop de personnes ont souffert inutilement et cette folie doit cesser. C’est sans aucun doute un pas dans la bonne direction et j’apprécie le travail acharné de toutes les personnes impliquées.  

Extrait de la déclaration du Dr Joel Moskowitz de l’Université de Californie, Berkeley

Aujourd’hui, le barrage du déni a commencé à se fissurer. Une cour d’appel fédérale s’est prononcée contre la Federal Communications Commission (FCC) en faveur des défenseurs de la sécurité des communications sans fil. Cette décision représente une victoire dans le combat mené depuis des décennies pour que notre gouvernement adopte des limites d’exposition aux rayonnements sans fil qui protègent notre santé et l’environnement. La Cour a statué que la FCC doit « fournir une explication motivée de sa détermination que ses directives protègent adéquatement contre les effets nocifs de l’exposition aux rayonnements de radiofréquences non liés au cancer » et justifier ses procédures de test pour les téléphones cellulaires et autres appareils sans fil.

J’espère que cette décision servira de signal d’alarme au Congrès et à l’administration. En 2015, une publication du Centre d’éthique de l’Université Harvard, Captured Agency, résultant d’une enquête sur le contrôle de l’industrie sur la FCC, concluait : « En tant qu’agence capturée, la FCC est un exemple parfait de corruption institutionnelle. Les fonctionnaires de ces institutions n’ont pas besoin de recevoir des enveloppes gonflées d’argent liquide. Mais même leurs efforts les mieux intentionnés sont souvent écrasés par un système qui favorise de puissantes influences privées, généralement au détriment de l’intérêt public. »  La FCC n’a pas d’expertise en matière de santé et doit s’en remettre aux agences sanitaires fédérales pour obtenir des conseils sur l’établissement de limites de sécurité sans fil. Cependant, le Congrès a financé les recherches de l’Agence de protection de l’environnement sur le rayonnement sans fil dans les années 1990. Le CDC s’est appuyé sur des scientifiques affiliés à l’industrie pour formuler des recommandations sur les rayonnements sans fil. Bien que la FDA se soit rangée du côté de la FCC, l’agence a rejeté à tort les résultats des recherches qu’elle avait demandées, à savoir l’étude de 30 millions de dollars du National Toxicology Program qui a trouvé des « preuves évidentes » d’une augmentation de l’incidence du cancer due aux radiations des téléphones portables chez les rats mâles et des dommages à l’ADN chez les rats et les souris mâles et femelles dus à l’exposition aux radiations des téléphones portables. 

À propos de l’affaire

Dans l’affaire EHT et al. v. the FCC, les pétitionnaires ont fait valoir que la FCC a ignoré des milliers de pages de recherches et de témoignages d’experts montrant les effets nocifs des rayonnements de radiofréquences sans fil sur les humains, la faune et l’environnement lorsqu’elle a décidé que les limites des rayonnements sans fil de 1996 n’avaient pas besoin d’être mises à jour avec un examen complet de la santé et de la sécurité.

L’Environmental Health Trust a déposé son dossier devant la Cour d’appel avec Consumers for Safe Cell Phones, Elizabeth Barris et Theodora Scarato, MSW. Ils étaient représentés par l’avocat Edward B. Myers. L’affaire d’EHT a ensuite été consolidée avec une affaire distincte déposée par Children’s Health Defense, Michelle Hertz, Petra Brokken, Dr. David O. Carpenter, Dr. Toril Jelter, Dr. Paul Dart, Dr. Ann Lee, Virginia Farver, Jennifer Baran, et Paul Stanley M.Ed. Children’s Health Defense était représenté par les avocats Scott McCollough et Robert Kennedy Jr. Les preuves ont été déposées conjointement. Scott McCullough a représenté Environmental Health Trust, Children’s Health Defense, et les pétitionnaires lors des arguments oraux.

Les plaidoiries ont eu lieu le 25 janvier 2021 devant un panel de trois juges de la Cour d’appel des États-Unis pour le circuit du District de Columbia, dont les juges Karen Henderson, Patricia Millett et Robert Wilkins.

Edward B. Myers, avocat de l’Environmental Health Trust, est déjà intervenu dans l’affaire opposant le Natural Resources Defense Council (NRDC) et plusieurs tribus amérindiennes à la FCC. Dans cette affaire antérieure, le tribunal a confirmé la pertinence de la loi sur la politique environnementale nationale (NEPA). Le NRDC a également déposé un mémoire d’amicus curiae dans l’affaire EHT et al. contre FCC.

La FCC est représentée en interne par William J. Scher, Ashley Stocks Boizelle, Jacob M. Lewis et Richard Kiser Welch. 

Décision finale du tribunal

Lire le 13 août 2021 United States Court of Appeals, District of Columbia Circuit ENVIRONMENTAL HEALTH TRUST, ET AL, PETITIONERS v. FEDERAL COMMUNICATIONS COMMISSION AND UNITED STATES OF AMERICA,

Lire les mémoires et preuves sur le site de l’EHT.

À propos de l’Environmental Health Trust

L’Environmental Health Trust, un organisme scientifique à but non lucratif, travaille sur les radiations sans fil et la santé depuis une décennie. Les scientifiques de l’EHT ont publié de nombreuses études sur les effets nocifs des rayonnements électromagnétiques sur la santé et organisé des conférences scientifiques nationales et internationales sur la question.

La cofondatrice et présidente de l’EHT, Devra Davis PhD, MPH, a été l’une des directrices fondatrices du Board on Environmental Studies and Toxicology du National Research Council, National Academy of Sciences (NAS) des États-Unis, et a travaillé sur de nombreuses expositions environnementales, des produits chimiques au plomb en passant par la pollution atmosphérique. Parmi les rapports de la NAS qu’elle a dirigés figurent ceux qui recommandent de supprimer la fumée de tabac des avions et de l’environnement des jeunes enfants. Elle a également été nommée par le président Clinton au Chemical Safety and Hazard Investigation Board, a été conseillère principale du secrétaire adjoint à la santé du ministère américain de la santé et des services sociaux et a fait partie de l’équipe de scientifiques du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat qui a reçu le prix Nobel de la paix avec l’honorable Al Gore, en 2007.

Le Dr Ronald Herberman, cofondateur de l’EHT, a fondé l’Institut du cancer de l’université de Pittsburgh (UPCI) et a contribué à la découverte de cellules tueuses naturelles capables de tuer le cancer. En 2008, Herberman, alors directeur de l’UPCI, a émis les premières recommandations d’une institution médicale américaine à sa faculté et à son personnel pour qu’ils réduisent les radiations des téléphones portables dans un mémo de l’UPCI présenté dans l’article du New York Times Researcher warns of brain cancer risk from cell phones.

La note de Herberman de 2008 a été incluse dans la première des 27 ébauches du guide sur les téléphones cellulaires du Département de la santé publique de Californie, finalement publié en 2017 après une action en justice intentée contre l’État par le Dr Joel Moskowitz de l’Université de Californie Berkeley qui en a forcé la publication.

Le Dr Davis a témoigné lors de l’audience de la sous-commission du Sénat américain de 2009 sur les effets de l’utilisation des téléphones portables sur la santé, non seulement sur les données scientifiques, mais aussi sur les attaques de l’industrie contre les scientifiques qui ont découvert des effets nocifs à des niveaux non thermiques. Elle a également expliqué en détail aux sénateurs les avertissements en petits caractères des fabricants de téléphones portables, qui recommandent de garder le téléphone à distance du corps. (Transcription complète de l’audition et vidéo du Cable-Satellite Public Affairs Network ou C-SPAN) Le Dr Ronald Herman a témoigné lors de l’audition du Congrès de 2008 Tumeurs et utilisation des téléphones portables : Ce que dit la science, sur les preuves scientifiques indiquant que les enfants sont plus vulnérables aux radiations des téléphones portables et reçoivent des expositions plus élevées que les adultes. (Transcription complète de l’audition et vidéo C-SPAN). 

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Theodora Scarato

Theodora Scarato

Theodora est directrice générale de l’Environmental Health Trust (EHT) où elle dirige les programmes et coordonne les programmes scientifiques aux États-Unis et à l’étranger avec les conseillers scientifiques de cet organisme. Elle est l’analyste politique principale et la chercheuse de la base de données de l’EHT sur la collection la plus complète d’informations sur les actions politiques concernant les téléphones cellulaires et le sans fil.

Mme Scarato a publié un document de référence sur les raisons et les moyens de réduire les radiofréquences sans fil dans les bâtiments et a fait des présentations aux National Institutes of Health, à la Commission 5G de l’État du New Hampshire, au San Francisco Teachers Union, à l’Université de Californie à San Francisco et à l’American Federation of Teachers. Elle siège au conseil d’administration de PhoneGate Alert.

Elle a cofondé plusieurs organisations, tant au niveau local que national, qui s’intéressent aux questions de santé et de sécurité environnementales. En tant que psychothérapeute clinique, elle a travaillé pendant vingt ans avec des enfants et des adolescents, notamment en dirigeant un programme de thérapie intensive pour l’éducation spécialisée dans les écoles du comté de Montgomery et en travaillant comme psychothérapeute dans une clinique spécialisée dans le traitement du TDAH. Ses recherches portent non seulement sur les effets de l’exposition aux rayonnements, mais aussi sur les effets socio-affectifs de la surutilisation des technologies.




Norbert Bolz, scientifique des médias, répond à la question : a-t-on raison de dire « Je ne crois plus les médias » ?

[Source : lemediaen442.fr]

Lors de l’émission de Peter Hahne du 01.05.2017, Norbert Bolz, scientifique des médias, répond à la question : a-t-on raison de dire : « Je ne crois plus les médias » ?

« La presse mensongère est en fait une abréviation inexacte. Je voudrais dire quelque chose : c’est bien pire : ils dissimulent. Ils ne font pas ce que l’on attend d’eux, à savoir informer sur la réalité. »

« À cet égard, la véritable catastrophe est que les personnes qui se comptent parmi une élite autoproclamée croient que la vérité est bénéfique pour elles-mêmes, mais visiblement pas pour les autres. »



Transcription :

2017, Norbert Bolz, scientifique des médias, répond à la question: a-t-on raison de dire : « Je ne crois plus les médias » ?

Émission de Peter Hahne du 01.05.2017.

Les gens ont-ils raison lorsqu’ils disent : « Je ne crois plus les médias ? »

Norbert Bolz : En tout cas, il y a de bonnes raisons de le dire. Ce n’est pas parce que les médias mentiraient. La presse mensongère est en fait une abréviation inexacte. Je voudrais dire quelque chose : c’est bien pire : ils dissimulent. Ils ne font pas ce que l’on attend d’eux, à savoir informer sur la réalité. Et ils le font, comme vous l’avez dit à juste titre dans l’autre modération, par considération mal comprise. Et apparemment, le sentiment que l’on ne peut pas imposer la vérité aux Allemands, qu’ils réagissent mal à ce qui est vrai, et que nous devons donc l’emballer et la formuler soigneusement.

Moderator : Vous avez également fait des recherches à ce sujet pendant plusieurs décennies, que peut-on attendre de la population ? Combien de vérité le peuple peut-il supporter ?

Norbert Bolz : Je suppose que nos citoyens sont des citoyens matures, qu’ils sont adultes. Et c’est aussi la condition préalable à la démocratie. Si nous n’acceptons plus vraiment et ne partageons plus ce préalable, nous devrons vivre ensemble d’une manière complètement différente. Et je pense que personne ne veut ça.

À cet égard, la véritable catastrophe est que les personnes qui se comptent parmi une élite autoproclamée croient que la vérité est bénéfique pour elles-mêmes, mais visiblement pas pour les autres. Et que les citoyens sont pris pour des imbéciles, ou simplement considérés comme stupides, incapables de faire face à la vérité. Une arrogance incroyable émane de certaines élites, qu’il s’agisse de journalistes ou de politiciens, et l’on constate également une tendance croissante au paternalisme dans d’autres domaines de la vie. En d’autres termes, ils veulent prendre les citoyens par la main d’en haut et leur dire ce qu’il est bon de vivre, au lieu de les laisser décider par eux-mêmes.

À l’époque, il y avait une proportion extrêmement élevée d’Albanais du Kossovo dans certains actes criminels. Le problème est même que l’on y pense, – et je pense que c’est incontestable dans les rédactions; pensez à Cologne, la veille du Nouvel An – que l’on réfléchisse au fait que l’on communique ou non certaines informations vraiment extrêmement pertinentes pour la seule raison – et c’est le motif permanent dans toutes ces situations – de la crainte que l’on attise la xénophobie avec ces informations. Et je pense que cela signifie simplement déclarer les gens immatures.

Certaines personnes, notamment à la télévision publique, dans les grands programmes d’information, ne se contentent pas de proposer des informations, mais les présentent de telle manière que l’on ne peut avoir qu’une seule opinion à leur sujet. Et c’est précisément le problème central. Lorsque vous avez dit tout à l’heure qu’il serait possible d’écouter différentes sources d’information, différentes opinions, afin de se forger la sienne – parfait, ce serait bien. Mais nous sommes de plus en plus souvent confrontés à des sujets, notamment avec le problème des réfugiés, où l’on ne peut avoir qu’une seule opinion si l’on ne veut pas être de droite, voire d’extrême droite, c’est-à-dire nazi.




Le psychiatre Alessandro Meluzzi : « Les VIP reçoivent de “faux vaccins”, je le jure sur la tête de ma fille ! »

[Source : lemediaen442.fr]

Par Marcel D. 

Lors d’un cycle de conférences « De la Santé et de la Liberté » organisé par l’Association Santé Active, au Parc Ausa près de Serravalle, Saint-Marin, Alessandro Meluzzi, célèbre médecin italien, psychiatre, essayiste, a parlé des thèmes de l’Information-Communication, Liberté Individuelle-Liberté Sociale et des effets psychologiques des limitations aux libertés individuelles, en relation avec la santé.

Dans un extrait de son discours circulant sur les médias sociaux, qui est devenu viral, Meluzzi affirme que « La plupart de ceux qui ont été vaccinés, à partir d’une certaine sphère, ont fait de faux vaccins. J’en suis sûr, ils me l’ont aussi proposé ! Je le jure sur ma fille adorée. »

À cette occasion, nous demandons à nos lecteurs de se remémorer le scandale de la première tentative de vaccination de masse — qui avait échouée — avec le H1N1. Le gouvernement allemand avait un vaccin spécial contre la grippe, réservé au gouvernement. Le quotidien Bild détenait une bombe et avait cité des experts accusant le gouvernement d’ « offrir une médecine de seconde classe à ses citoyens ». Un vaccin qui ne contient pas d’adjuvants pour les VIP et un vaccin-merdasse pour la populace.

Qu’est-ce qui a changé aujourd’hui ? Rien ! Il reste toujours des privilégiés, comme les députés et sénateurs qui votent le pass sanitaire, donc l’obligation vaccinale pour les Français et s’en exemptent pour eux-mêmes. Ils ne sont pas soumis à ce qu’ils imposent au peuple.

Florian Philippot : « Richard Ferrand a refusé le pass sanitaire pour accéder à l’Assemblée nationale. Eh oui, tout ça c’est pour les gueux ! » a réagi le président des Patriotes.

Marcel D. pour Le Média en 4-4-2.




Bill Gates détient des actions importantes à la fois dans Pfizer et BioNTech, et il est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des produits de santé et de médecine

[Source : ZEjournal]

Une enquête a révélé que la Fondation Bill & Melinda Gates est le principal bailleur de fonds de l’Agence britannique de réglementation des produits de santé et de médecine, et que la Fondation détient également des actions importantes dans Pfizer et BioNTech.

La médecine et les produits de soins de santé Regulatory Agency (MHRA) a prolongé l’autorisation d’urgence de l’ARNm Pfizer / BionTech Commission paritaire de recours au Royaume – Uni pour lui permettre de donner aux enfants âgés de 12 – 15 sur le 4 e Juin ici 2021.

À l’époque, le directeur général de la MHRA, le Dr June Raine, a déclaré que la MHRA avait « examiné attentivement les données d’essais cliniques chez les enfants âgés de 12 à 15 ans et a conclu que le vaccin Pfizer est sûr et efficace dans ce groupe d’âge et que les avantages l’emportent sur tout risque ».

Nous nous demandons si le Dr June Raine et la MHRA ont même lu les résultats de l’étude extrêmement courte et petite. S’ils l’avaient fait, ils auraient vu que 86% des enfants de l’étude ont subi une réaction indésirable allant de légère à extrêmement grave.

Seulement 1 127 enfants ont participé à l’essai, mais seulement 1 097 enfants ont terminé l’essai, dont 30 n’ont pas participé après avoir reçu la première dose du vaccin Pfizer. Les résultats n’indiquent pas pourquoi les 30 enfants n’ont pas terminé l’essai.

Les informations sont accessibles au public et contenues dans une fiche d’information de la FDA qui peut être consultée  ici  ( voir page 25, tableau 5 et suite ).

Il ne faisait aucun doute que la MHRA autoriserait d’urgence l’utilisation du vaccin Pfizer/BioNTech chez les enfants si l’on considère qu’un certain M. Bill Gates détient des actions à la fois dans Pfizer et BioNTech et est le principal bailleur de fonds de la MHRA .

La Fondation Bill & Melinda Gates a acheté des actions de Pfizer en 2002, et en septembre 2020, Bill Gates a veillé à ce que la valeur de ses actions augmente en annonçant aux médias grand public dans une interview à CNBC qu’il considérait le coup de Pfizer comme le leader du Course au vaccin contre le Covid-19.

« Le seul vaccin qui, si tout se passait parfaitement, pourrait demander la licence d’utilisation d’urgence d’ici la fin octobre, serait Pfizer. »

La Fondation Bill & Melinda Gates a également acheté « par coïncidence » pour 55 millions de dollars d’actions de BioNTech en septembre 2019, juste avant que la prétendue pandémie de Covid-19 ne frappe.

La MHRA a reçu une subvention de la Fondation Bill & Melinda Gates en 2017 à hauteur de 980 000 £ pour une « collaboration » avec la fondation. Cependant, une demande d’accès à l’information à laquelle la MHRA a répondu en mai 2021 a révélé que le niveau actuel des subventions reçues de la Fondation Gates s’élève à 3 millions de dollars et couvre « un certain nombre de projets ».

Pouvons-nous vraiment faire confiance à la MHRA pour rester impartiale alors que son principal bailleur de fonds est la Fondation Bill & Melinda Gates, qui détient également des actions dans Pfizer et BioNTech ? Nous ne le pensons pas.
– Source : The Daily Expose (Royaume-Uni)




Le rapport de Graphika : soft power et guerre de 4e génération contre l’Algérie

[Source : ahmedbensaada.com]

Par Ahmed Bensaada

Contrairement au hard power qui est basé sur la force coercitive classique, le soft power utilise l’attraction positive et la persuasion pour atteindre des objectifs de politique étrangère. Il s’agit donc d’une capacité d’influence susceptible d’imposer, en douceur, un comportement ou une façon de penser identiques ou similaires à celles de celui qui utilise cette technique. Son succès repose donc sur l’impression de ne pas y avoir pas été contraint. Ainsi, le soft power n’atteint ses objectifs que s’il n’est pas perçu comme de la manipulation ou de la propagande.

Selon son concepteur, le très influent Joseph Nye, le soft power est soutenu par trois piliers : les valeurs politiques, la culture et la politique étrangère. Commentant cette théorie, le professeur G. John Ikenberry donne les précisions suivantes dans la célèbre revue Foreign Affairs:

« Les États-Unis peuvent dominer les autres, mais ils ont également excellé dans la projection du soft power, avec l’aide de leurs entreprises, fondations, universités, églises et autres institutions de la société civile; la culture, les idéaux et les valeurs des États-Unis ont été extrêmement importants pour aider Washington à attirer des partenaires et des partisans ».

L’exportation de la démocratie, qui est un champ établi et prépondérant de la politique étrangère américaine, utilise évidemment le soft power. Dans son article traitant du soft power américain dans les révolutions colorées, l’anthropologue Boris Pétric mentionne que des « ONG américaines sont les principaux acteurs de cette promotion de la démocratie, des droits de l’homme et de la liberté […] ».

Cette relation entre les ONG et le soft power est très bien explicitée par Susan Liautaud dans son article « Soft Power of NGOs: Hard Responsibility, Hard Strategy, and Hard Accountability » dans lequel elle note que « les ONG et les autres acteurs du secteur à but non lucratif sont tenus d’utiliser le soft power de façon responsable et de rendre compte des conséquences induites par cette utilisation »

Il a été aussi montré que ces mêmes ONG américaines, étatiques ou non, ont joué le même rôle dans ce qui est abusivement appelé le « printemps » arabe. La printanisation de certains pays arabes ciblés à l’aide du soft power américain a été réalisé par l’intermédiaire de la formation et du réseautage de cyberactivistes « autochtones », c’est-à-dire provenant des pays visés. Ces révoltes qui ont été présentées et vendues comme une « belle saison » se sont avérées n’être que des « regime change » accompagnés de chaos, de destruction et de désolation.

Une décennie plus tard, ces ONG sont encore actives, tout particulièrement dans le Hirak algérien.

Tel que noté par Albert A. Nofi, le soft power est une des ressources sur lesquelles s’appuient la guerre de 4e génération (G4G), cette guerre moderne qui, d’après François-Bernard Huyghe, « correspondrait à la révolution de l’information » tout en précisant qu’elle « mobiliserait des populations entières en un antagonisme gagnant tous les domaines politique, économique, social, culturel ».

En ce qui concerne l’utilisation militaire de l’information, Christina M. Knopf et Eric J. Ziegelmayer nous expliquent que :

« l’information est un produit qui se prête à l’arsenalisation et l’environnement informationnel est devenu vital pour le succès des opérations militaires. Le domaine de l’information, l’Internet en particulier, est aujourd’hui un terrain crucial à saisir pour exercer une influence économique et diplomatique dominante.  C’est la raison pour laquelle les États-Unis ont officiellement incorporé à leur doctrine […] la « guerre des communications » ».

Cette « arsenalisation » de l’information a été rendue efficace grâce à l’essor fulgurant de l’Internet et des médias sociaux. À ce sujet, Waseem Ahmad Qureshi donne quelques précisions :

« Les progrès technologiques actuels (accès plus facile aux blogs médiatiques et à Internet) rendent la propagande et la manipulation des faits plus facilement accessibles tout en élargissant les conséquences des opérations de guerre de l’information en provoquant des effets dommageables massifs »

La recherche qui sera exposée dans cet article montre de manière explicite que l’Algérie fait actuellement l’objet d’une G4G qui a profité des remous du Hirak pour se déployer insidieusement.

Hirak, soft power et guerre de 4e génération

Un livre et de très nombreux articles ont été consacrés au rôle des organismes américains d’exportation de la démocratie et leurs relations avec le Hirak et ses « ténors ». Cet aspect du soft power ne sera pas traité dans ce travail, mais les lecteurs intéressés sont invités à consulter les liens suggérés.

Il faut cependant préciser que le soft power utilisé dans les G4G possède d’autres techniques aussi efficaces les unes que les autres.

Il a été fait mention d’une de ces techniques dans un de mes articles datant de décembre 2019. Il s’agit de mandater un universitaire crédible pour écrire, dans une revue crédible, un texte complétement fallacieux afin de suggérer un comportement donné et le présenter comme étant juste et approprié alors que, dans la réalité, il est complétement déraisonnable. Un exemple typique est celui du professeur Robert Zaretsky, professeur d’histoire de France à l’université de Houston qui s’est fait remarquer par un texte abracadabrantesque dans Foreign Affairs. En effet, le 26 novembre 2019, c’est-à-dire à peine deux semaines avant l’élection présidentielle algérienne, le professeur écrivait: « An Election’s Failure Will Be a Democratic Success » (L’échec de l’élection sera un succès démocratique).

Hallucinant! D’après ce professeur vivant dans un pays supposé être démocratique « ne pas voter est un acte démocratique »! Mais quel genre de démocratie désire exporter ce professeur loufoque?

L’histoire retiendra néanmoins l’odieuse campagne d’intimidation des électeurs lors de ce scrutin, ignominie qui a dû tellement faire plaisir à M. Zaretsky, certainement commandité pour nuire à l’Algérie.

Plus récemment, c’est dans un petit encadré publié par le journal français Le Figaro en date du 31 juillet 2021 qu’apparut une nouvelle technique encore plus insidieuse que celle de notre professeur de Houston. Celle-ci est destinée à persuader le public que l’État algérien utilise des cybermanipulations malhonnêtes « pour défendre les intérêts du président algérien », tout en parrainant des « campagnes de harcèlement » contre des opposants politiques.

Le Figaro précise que ces informations proviennent d’un rapport élaboré par une société américaine nommée Graphika, « spécialisée dans les nouvelles technologies et l’analyse des réseaux sociaux ». Personne n’est dupe. Cette mention cherche évidemment à donner de la crédibilité à cette compagnie et, par conséquent, conférer de la véracité à son rapport.

Encore un organisme américain qui s’attaque à l’État algérien en général et aux institutions présidentielle et militaire en particulier! Décidément, ils ne lâcheront jamais ces Américains!

Mais qui est donc Graphika? Qui est derrière ce joli nom, quels sont ses champs d’intérêts et qui la finance?

Contrairement à Émilien Hertement, le journaliste du Figaro qui a bêtement rapporté la nouvelle, nous allons nous intéresser, dans un premier temps, à cette société pour comprendre ses motivations et nous enquérir de son sérieux. Ensuite, nous étudierons en détail son rapport cité par Le Figaro.

Graphika et ses connexions sulfureuses

D’après les informations figurant sur son site officiel, Graphika est

« une société d’analyse de réseau, fondée en 2013 par le Dr. John Kelly qui a étudié, dans sa thèse, l’essor fulgurant des conversations sur Internet en utilisant l’analyse de réseau des relations entre les auteurs en ligne, et pas seulement le contenu de leurs messages ».

Toujours selon son site, Graphika est financé par la DARPA, la « Minerva Initiative », l’« US Senate Select Committee on Intelligence » et la « Knight Foundation ».

DARPA est l’acronyme de la « Defense Advanced Research Projects Agency » (Agence pour les projets de recherche avancée de défense) qui est une agence du ministère de la Défense des États-Unis chargée de la recherche et du développement des nouvelles technologies destinées à l’usage militaire.

La « Minerva Initiative » est une initiative de recherche universitaire en sciences sociales parrainée par le ministère de la Défense des États-Unis axée sur des domaines d’importance stratégique pour la politique de sécurité nationale des États-Unis. Lancée en 2008 par Robert Gates, le secrétaire à la Défense de l’époque, elle a pour objectif d’améliorer la compréhension de base du ministère de la Défense en ce qui concerne les forces sociales, culturelles, comportementales et politiques qui façonnent les régions du monde d’importance stratégique pour les États-Unis. Dès le début, le programme s’est focalisé , entre autres, sur les recherches universitaires traitant de la Chine, de l’Irak, du terrorisme et de l’islam radical. À son lancement, le projet a reçu 50 millions de dollars du ministère de la Défense des États-Unis pour financer ces recherches.

Les subventions de recherche sont supervisées par des gestionnaires de programme affiliés à deux organisations militaires de recherche fondamentale : le Bureau de la recherche scientifique de l’Armée de l’air (AFOSR) et le Bureau de la recherche navale (ONR).

L’«US Senate Select Committee on Intelligence » (SSCI) est un comité créé par le Sénat américain en 1976 pour superviser et faire des études continues sur les activités et programmes de renseignement du gouvernement des États-Unis.

La « Knight Foundation » se présente comme une fondation nationale américaine qui investit dans le journalisme et les arts et dont l’objectif est de favoriser des communautés informées et engagées qu’elle croit essentielles à une démocratie saine. Cette fondation collabore cependant activement avec l’Open Society de George Soros, la National Endowment for DemocracyFreedom House et l’USAID.

Ces quatre organisations forment la colonne vertébrale du dispositif américain pour l’exportation de la démocratie dont il a été question précédemment.

Et ce n’est pas tout. Graphika déclare être associé avec des groupes de défense des Droits de l’homme du monde entier « pour surveiller les menaces numériques ciblant les utilisateurs vulnérables ».

En fait, il s’agit de Human Rights Watch (HRW), Amnesty International (AI) et « The Syria Campaign ». Il est de notoriété publique que les deux premières organisations (HRW et AI) sont largement financées par l’Open Society.  Et il ne faut surtout pas oublier qu’elles ont été toutes deux (avec d’autres entités droitdelhommistes) derrière la résolution du Parlement européen contre l’Algérie, juste quelques jours après le référendum sur la nouvelle Constitution algérienne. Drôle de coïncidence, n’est-ce pas? Comme la coïncidence de l’article de notre pitoyable professeur Zaretsky, un an plus tôt.

L’association de Graphika avec « The Syria campaign » est très révélatrice du rôle de désinformation, de propagande et d’étroite collaboration de cette société avec les gouvernements américains et britanniques.

« The Syria campaign » qui se dit « organisation à but non lucratif enregistrée au Royaume-Uni » est étroitement lié aux « White Helmets » (casques blancs), organisme de protection civile syrien qui a défrayé la chronique en 2016 (lire mon article sur ce sujet, rédigé à l’époque).

En fait, ces « secouristes » présentés comme des héros en occident, sont financés par l’USAID (United States Agency for International Development), le plus important des organismes américains d’« exportation » de la démocratie. Un document de l’USAID datant de 2018 précise qu’une subvention de 6,25 millions de dollars a été octroyée aux « White Helmets », en plus des 33 millions de dollars qui leur ont été versés depuis 2013. Ces « casques blancs » ont aussi été très largement financés par la Grande-Bretagne via le « Foreign and Commonwealth Office ». En date du 31 mars 2018, le montant total du financement que le gouvernement britannique leur a fourni s’élevait à 38 425 591,23 £. Ce qui fit dire à Julie Hyland, journaliste et militante britannique :

« Financés par le « Conflict, Stability and Security Fund » du gouvernement britannique et le programme USAID du gouvernement américain, ils [les « White Helmets »] font partie d’un réseau de forces djihadistes soutenues par l’Occident pour organiser un changement de régime ».

The White Helmets: The greatest scandal to hit Syria

Selon Vanessa Beeley, journaliste indépendante qui a beaucoup travaillé sur le terrain en Syrie et dans de nombreux autres pays de la région, les « White Helmets » « étaient liés financièrement à Londres et à Washington (entre autres), principaux belligérants occidentaux sans mandat en Syrie […] et que des membres des Casques blancs entretenaient des liens avec des groupes djihadistes rebelles, tels que Fatah Al-Cham, résultat de la fusion d’Al-Nosra et de Ahrar Al-Cham ».

Le mythe des « casques blancs » a été démoli par un grand nombre de journalistes et chercheurs de renom dont Eva BartlettJohn PilgerGareth Porter,Phillip GiraldiCraig Murrayet l’ancien inspecteur des armements de l’ONU Scott Ritter.

Graphika et ses figures publiques

Parmi les figures publiques de Graphika, on retrouve les noms de l’anglais Ben Nimmo (directeur des recherches) et de la française Camille François (directrice de l’innovation).

Ben Nimmo a rejoint Graphika en 2019, pourtant, rien ne le prédestinait à ce poste. Son parcours singulier a été décrit dans un article détaillé du New York Times (NYT).

En effet, il a étudié la littérature à l’Université de Cambridge, a travaillé comme instructeur de plongée sous-marine en Égypte, ainsi qu’écrivain et journaliste de voyage en Europe. En 2011, il a été recruté par l’OTAN comme attaché de presse principal sur la Russie et l’Ukraine jusqu’en 2014. Ensuite, il est devenu chercheur indépendant et a commencé à travailler sur la Russie sous contrat pour des think tanks pro-démocratie comme l’« Institute for Statecraft » qui pilote un projet  financé par le « Foreign and Commonwealth Office » nommé « The integrity initiative ». Créé en 2015, ce programme avait pour objectifs de contrer et sensibiliser à la désinformation provenant de pays comme la Russie et la Chine ainsi que de groupes extrémistes comme Daech. Comme par hasard, il s’agit de pays et ou organismes ciblés aussi par la « Minerva Initiative ».

Au cours de la campagne électorale américaine de 2016, M. Nimmo a collaboré avec l’Atlantic Council, le think tank non officiel de l’OTAN.

Pour se faire une idée de l’importance de ce « groupe de réflexion », il n’y a qu’à consulter l’impressionnante liste des membres de son Conseil d’administration. On y trouve, entre autres, Henry Kissinger, Joseph Nye (le concepteur du soft power), le général David H. Petraeus (commandant de la coalition militaire sous Bush fils et chef des troupes de l’OTAN ainsi que Directeur de la CIA sous Obama), Stephen Hadley (conseiller à la sécurité nationale de Bush fils), Robert Gates (cité précédemment – Directeur de la CIA sous Bush père et Secrétaire à la défense sous Bush fils et Obama). On y trouve aussi James Baker, Léon Panetta, Colin Powell, James Woosley, Peter Ackerman et j’en passe car la liste donne le tournis (le lecteur est invité à consulter ces pages pour plus de détails: lien 1 et lien 2). Pour la petite histoire, James Woosley a été directeur de la CIA sous Bill Clinton et a dirigé Freedom House . De son côté, Peter Ackerman a aidé à la création de l’Albert Einstein Institution dirigé par son professeur, l’illustre Gene Sharp, le théoricien de la « lutte non-violente » qui a été utilisée dans les révolutions colorées et le « printemps » arabe. Sa théorie a été développée dans de nombreux livres et tout particulièrement dans « De la dictature à la démocratie », ouvrage qui est devenu le livre de chevet de tous les révolutionnaires en herbe à travers le monde.

Revenons maintenant à Ben Nimmo. Il a aidé à fonder le Digital Forensic Research Lab (DFRLab) de l’Atlantic Council, un groupe basé à Washington qui étudie la désinformation en ligne.

En 2018, Facebook a annoncé un partenariat avec DFRLab pour « identifier, exposer et expliquer la désinformation lors des élections dans le monde », accordant à l’Atlantic Council et à Nimmo l’accès aux données privées de milliards d’utilisateurs de Facebook.

Facebook a fait de lui et du laboratoire les premiers étrangers autorisés à étudier les réseaux de désinformation sur son site avant que l’entreprise ne ferme les réseaux.

À la fin de son article, le NYT précise que Graphika et DFRLab ont tous deux reçu un financement de Facebook.

Le 5 février dernier, Ben Nimmo annonçait son départ de Graphika pour rejoindre Facebook où il aiderait « à diriger la stratégie mondiale de renseignement sur les menaces contre les opérations d’influence ». Sans oublier, bien sûr, de faire « coucou » à sa collègue et collaboratrice, Camille François.

Cette nouvelle n’est pas passée inaperçue, bien au contraire. Sur The Grayzone, par exemple, on pouvait lire un article intitulé « Facebook hires ex-NATO press officer and social media censor Ben Nimmo as intel strategist » (Facebook embauche Ben Nimmo, ancien attaché de presse de l’OTAN et censeur des médias sociaux, en tant que stratège du renseignement), alors que Mint Press News titrait « Facebook partners with Hawkish Atlantic Council, a NATO lobby group, to “protect democracy” » (Facebook s’associe au belliciste Atlantic Council, un groupe de pression de l’OTAN, pour « protéger la démocratie »).

Passons maintenant à la seconde figure publique de Graphika qui se nomme Camille François. Diplômée de Sciences-Po et boursière Fulbright, elle a été membre de la « New America’s Cybersecurity Initiative » (NACI), chercheure principale chez Jigsaw, a dirigé des projets de recherche sur la cybersécurité et les droits de l’homme pour la « Defence Advanced Research Projects Agency », et a travaillé pour l’équipe « Market Insights » de Google (consulter ce lien).

La « New America’s Cybersecurity Initiative » est un organisme financé (entre autres) par le Département d’état américain, la Knight Foundation, Open Society, Google, Microsoft, Apple et Facebook.

Jigsaw (anciennement Google Ideas) est un groupe de réflexion et un incubateur technologique au sein de Google/Alphabet dirigé par Jared Cohen. Ce dernier a travaillé au Département d’État américain comme membre du comité de planification des politiques du département d’État américain, puis a été très proche conseiller des secrétaires d’État Condoleezza Rice et Hillary Clinton. C’est, par exemple, lui qui avait personnellement contacté le cofondateur et président de Twitter, Jack Dorsey, pour lui demander de reporter les travaux de maintenance des serveurs de Twitter afin de ne pas perturber les activités des cyberactivistes iraniens lors de leurs manifestations antigouvernementales en 2009.

Mais ce qui attire le plus l’attention, c’est son rôle dans la formation des cyberactivistes arabes en préparation du « printemps » arabe. En effet, Jared Cohen fut un des fondateurs de AYM « Alliance of Youth Movements » (rebaptisée Movements.org) qui se définit comme une organisation américaine à but non lucratif (d’après leur site) qui affiche clairement sa mission : i) identifier des cyberactivistes dans des régions d’intérêt ; ii) les mettre en contact entre eux, avec des experts et des membres de la société civile ; et iii) les soutenir en les formant, en les conseillant et en leur procurant une plateforme pour initier les contacts et les développer dans le temps (pour plus de détails, consulter mon article sur le sujet).

Comme expliqué précédemment, la « Defence Advanced Research Projects Agency » (DARPA) est l’agence du ministère de la Défense des États-Unis qui finance Graphika. Comme le monde est petit!

D’après ce qui est mentionné sur son CV, Camille François a été aussi recrutée par Google, dans l’équipe de « Market Insights ». Directrice de recherche associée, elle s’est spécialisée dans la recherche en ligne sur les PME françaises et a géré les trackers de marque et de confidentialité de Google pour la perception parmi le public et les faiseurs d’opinion clés.

Pour boucler la boucle, Mme François s’est formée, en 2014, à l’École de l’OTAN d’Oberammergau (Allemagne) sur les « cyber-opérations » tel que précisé également sur son CV.

Graphika, la main dans le sac

La société Graphika a été impliquée dans de nombreuses controverses en relation avec i) le « repérage » d’un type particulier et ciblé de désinformation sur les médias sociaux et ii) son rôle de « chien truffier » dressé pour servir des commanditaires militaristes, atlantistes et occidentalistes.

Pour clarifier ce point, nous allons citer deux exemples pédagogiques.

1- L’affaire Jeremy Corbyn

La très large élection de Jeremy Corbyn à la tête du parti travailliste britannique avec près de 60% des voix en 2015 a été suivie par une campagne médiatique « mainstream » ayant pour but de diaboliser sa personne et de lui ôter toute légitimité politique de premier plan.

Tout d’abord, ses positions pro-palestiniennes lui ont valu des attaques du lobby sioniste pour des allégations d’antisémitisme après son succès électoral. Quelques années plus tard, à l’approche des élections législatives de 2019, les accusations sont montées d’un cran, devenant plus incisives. Il n’était pas question qu’un socialiste « antisémite » soit logé au 10, Downing Street.

En plus de ces accusations fallacieuses, une autre affaire a été planifiée pour porter le coup de grâce à la possibilité que Corbyn puisse, un jour, occuper le fauteuil de Premier ministre britannique : sa « collusion » avec la Russie. Cette accusation, mêlée avec ce « sport » occidental communément appelé « Russia Bashing », allaient être, ni plus ni moins, un coup de grâce à ce projet.

À ce sujet, les journalistes d’investigation Ben Norton et Max Blumenthal écrivaient le 8 décembre 2019:

« À quelques jours des élections nationales britanniques du 12 décembre, les agences de renseignement britanniques et les organisations soutenues par le gouvernement américain ont intensifié leurs attaques contre Corbyn, empruntant des tactiques à l’hystérie américaine du Russiagate et faisant de grands efforts pour le présenter – sans aucune preuve substantielle – comme une supposée marionnette de l’ignoble Kremlin ».

Le journaliste Matt Kennard a, quant à lui, publié une enquête détaillée au titre très explicite : « Comment l’establishment militaire et du renseignement britannique s’efforce d’empêcher Jeremy Corbyn de devenir Premier ministre ».

Il y mentionna que des responsables de l’armée et du renseignement britanniques ont été à l’origine d’au moins 34 reportages majeurs publiés dans les médias nationaux présentant Jeremy Corbyn comme un danger pour la sécurité britannique.

Le 27 novembre 2019, en pleine campagne électorale, l’équipe de Jeremy Corbyn présenta un imposant dossier traitant de négociations secrètes entre le gouvernement conservateur de Boris Johnson et l’administration américaine dans le but de privatiser le National Health Service (NHS) britannique, démentant ainsi les promesses de son rival conservateur.

Moins d’une semaine plus tard, l’artillerie lourde fut sortie pour faire face à l’accusation.

Ben Wallace, le Secrétaire d’État à la Défense britannique, déclara que 

« Jeremy Corbyn a joué le rôle d' »idiot utile » pour le Kremlin en minant l’OTAN pendant des décennies et cela le rend inapte à être Premier ministre ».

Comme pour confirmer ses dires, le journal pro-conservateur The Daily Telegraph titrait à la Une « Le dossier de Corbyn pointe du doigt les Russes ».

The Guardian emboîta le pas en précisant que les documents de Corbyn ont été « mis en ligne par des affiches utilisant des méthodes russes ». D’autres médias comme The Daily Beast, la BBC ou le Washington Post reprirent également la nouvelle.

Ce n’est pas le « clonage » de cette information qui attire l’attention mais le fait que tous les médias se sont basés sur une et une seule source : Graphika et son directeur des recherches, Ben Nimmo. Tiens donc!

Extrait de l’article du Guardian :

« Ben Nimmo, le chef des enquêtes chez Graphika, a déclaré : « Ce que nous disons, c’est que les efforts initiaux pour amplifier la fuite du NHS ressemblent beaucoup aux techniques utilisées par Secondary Infektion dans le passé, une opération russe connue. Mais nous n’avons pas toutes les données qui nous permettent de prendre une décision finale dans cette affaire » ».

Une accusation aussi grave, reprise par des médias lourds et influents, basée sur une seule source et…du vent.

Ce qui fit dire à Norton et Blumenthal :

« Pas un seul article couvrant l’histoire n’a pris la peine d’informer les lecteurs qui était Nimmo, ni n’a offert de détails sur les puissantes forces étatiques derrière Graphika ».

Et d’ajouter :

« En fait, Nimmo n’est pas un expert en données ou un journaliste, mais un ancien attaché de presse de l’OTAN qui a précédemment travaillé pour l’usine de propagande secrète « Integrity Initiative », qui était financée par le ministère britannique des Affaires étrangères et dédiée à engendrer des conflits avec la Russie ».

La suite de l’histoire vous la devinez certainement : Jeremy Corbyn a évidemment perdu les élections du 12 décembre 2019.

2- Le Russiagate

Le Russiagate est l’affaire politico-judiciaire qui a été invoquée pour qualifier les allégations d’ingérence de la Russie dans les élections présidentielles américaines de 2016. Un branle-bas de combat médiatique a été orchestré afin de démontrer que la défaite de Hillary Clinton n’était due qu’à une collusion entre l’équipe de Donald Trump et le Kremlin via une armée de trolls russes écumant les médias sociaux, en particulier Facebook et Twitter.

Comme on peut s’y attendre, la démonstration a été confiée à une équipe de l’Université d’Oxford et …la société Graphika. Cette dernière était représentée par son fondateur, John Kelly, et Camille François.

Le rapport, commandité en 2018 par l’«US Senate Select Committee on Intelligence » (SSCI) dont il a été question auparavant, confirme évidemment les allégations. On peut y lire :

« L’Agence russe de recherche Internet (IRA) a lancé une attaque prolongée contre les États-Unis en utilisant une propagande informatique pour désinformer et polariser les électeurs américains ».

« Les données sur l’IRA fournies au SSCI par les plateformes américaines de médias sociaux et Internet démontrent un effort soutenu pour manipuler le public américain et saper la démocratie. Avec des années d’expérience dans la manipulation de l’opinion publique en Russie, l’IRA a utilisé les principales plateformes de médias sociaux, notamment Facebook, Instagram et Twitter, pour cibler les électeurs américains et polariser les utilisateurs des médias sociaux américains ».

Une année plus tard, le rapport du procureur Robert Mueller, procureur spécial chargé d’enquêter sur les ingérences russes dans les élections présidentielles de 2016, était publié. La principale conclusion stipulait qu’il n’y a pas eu d’entente entre les membres de l’équipe de Trump et la Russie.

Le Monde diplomatique qualifia le Russiagate de « débâcle » et commenta le rapport ainsi :

« Les premiers éléments connus du Rapport Mueller représentent une défaite pour la fraction la plus modérée du parti démocrate, pour le parti de la guerre à la Russie, pour les médias. […] Enfin, ce rapport constitue une gifle spectaculaire pour la quasi-totalité des grands médias américains qui, depuis deux ans, avaient fait du « Russiagate » leur commerce à plein temps ».

Une gifle aussi à Graphika et ses « experts ».

La chasse aux sorcières s’est poursuivie jusqu’aux élections présidentielles américaines de 2020. Graphika produisit un autre rapport en septembre 2020 signé par, entre autres, Ben Nimmo et Camille François ciblant un site nommé PeaceData supposément financé par l’Agence russe de recherche Internet (IRA).

À ce sujet, le New York Times écrivit :

« Le groupe russe qui s’est immiscé dans l’élection présidentielle de 2016 est de retour, utilisant un réseau de faux comptes et un site Web conçu pour ressembler à un site d’information de gauche, ont déclaré mardi Facebook et Twitter. La campagne de désinformation menée par le groupe soutenu par le Kremlin, connu sous le nom d’Internet Research Agency, est la première preuve publique que l’agence essaie de répéter ses efforts d’il y a quatre ans et d’éloigner les électeurs du candidat démocrate à la présidentielle, Joseph R. Biden Jr., pour aider le président Trump ».

PeaceData a vivement réagi à ces accusations les qualifiant de calomnies et de mensonges.

En effet, certains observateurs perspicaces notèrent que, contrairement à ce qui était dit par Graphika et NYT, le site web PeaceData avait publié plusieurs articles critiquant durement Trump, dont un qui l’a qualifié de « instable et déséquilibré ». D’autre part, Graphika ne donna aucune preuve du financement du site par l’IRA dans son rapport.

Les comptes Facebook et Twitter de PeaceData ont évidemment été fermés sur la base du rapport de Graphika et de ses « experts », Ben Nimmo et Camille François.

Graphika et l’Algérie

Après avoir passé en revue l’imposant réseau de connexions politico-militaires dont dispose Graphika et ses « experts » ainsi que les « missions » de haut niveau dont ils ont été chargés, plusieurs questions viennent à l’esprit : Pourquoi l’Algérie? Pourquoi maintenant? Quel est le but recherché? Qui a commandé l’étude? Qui l’a financée? Et qui a collaboré avec eux pour leur fournir les détails nécessaires?

Tout d’abord, il faut reconnaître que si Graphika s’est intéressée à l’Algérie, c’est que ce pays représente un enjeu géostratégique important pour les États-Unis. Cela confirme ce qui a été avancé dans mes nombreux articles et mes récents livres sur le sujet.

Le timing est lui aussi important. En effet, comme le Hirak « frelaté » bat de l’aile, cette évidente ingérence dans la politique intérieure de l’Algérie cherche à créer une nouvelle agitation malsaine dans la vie politique du pays.  En plus, il est quand même étrange que sa publication intervienne juste après le scandale Pegasus qui a ciblé l’Algérie. De victime, l’Algérie est présentée comme coupable par Graphika.

Pour tenter de répondre plus amplement aux questions, revenons au rapport de Graphika sur l’Algérie.

Le résumé du rapport donne le ton :

« Facebook a partagé un ensemble de comptes, de pages et de groupes avec Graphika pour une analyse plus approfondie avant de les supprimer de ses plateformes. Notre enquête a révélé un effort multiplateforme sur plusieurs années pour faire avancer les intérêts du président algérien Abdelmadjid Tebboune, depuis sa candidature à la présidentielle de 2019, jusqu’à un référendum constitutionnel l’année dernière et des élections législatives largement boycottées en juin. Cette activité s’est entrelacée avec une campagne soutenue de harcèlement et d’intimidation visant le mouvement de protestation du Hirak en Algérie, qui, au cours des deux dernières années, a rassemblé des milliers de personnes dans les rues du pays pour demander que l’élite dirigeante soit chassée et la fin de la corruption. Ces tentatives combinées pour manipuler, déformer et polariser la conversation politique en ligne en Algérie doivent être considérées dans le contexte de la répression signalée par le gouvernement contre les voix de l’opposition et de l’impact de la pandémie de Covid-19 qui a contraint de nombreux Algériens à déplacer leurs manifestations en ligne ».

On en tire les conclusions suivantes :

  • Comme expliqué précédemment, Facebook travaille avec Graphika;
  • Les sites jugés « indésirables » sont supprimés sur recommandation de Graphika;
  • Graphika fait de la politique et non de l’analyse de réseaux;
  • La démarche constitutionnelle adoptée par l’État algérien pour sortir de l’impasse ne plait pas à Graphika;
  • Graphika supporte la politique du « Yetnahaw Gaa » prônée en particulier par les ongistes (formés et financés par les organismes américains d’« exportation » de la démocratie), les islamawistes « offshore » et les makistes séparatistes;
  • Graphika se positionne contre les institutions de l’État algérien et soutient les groupes cités précédemment, dont deux sont considérés comme des organisations terroristes;
  • L’État algérien manipule l’information, mais aucun mot sur l’incommensurable manipulation des trois groupes cités;
  • Facebook (et les autres médias sociaux) autorise (encourage?) les manifestations en ligne pour ceux qui militent pour la phase de transition, mais ferme les comptes de ceux qui soutiennent la démarche constitutionnelle.

Passons maintenant à ce que Graphika appelle des preuves à ses allégations. Le rapport commence avec un article concernant Noureddine Boukrouh qui est commenté comme suit :

« Dans l’ensemble, les comptes et les pages identifiés par Facebook ont montré des signes clairs de coordination, ainsi que l’utilisation de fausses identités et d’autres pratiques trompeuses pour induire les utilisateurs en erreur. Dans une illustration particulièrement frappante en juin de cette année, 42 des pages identifiées ont publié la même photo avec des légendes identiques attaquant des opposants au gouvernement algérien. Beaucoup de ces pages se sont présentées comme des groupes pro-démocratie ou des médias indépendants »

Quel niveau d’analyse! Hercule Poirot en aurait perdu sa moustache!

Mensonge et inversion des rôles:

1- Graphika prétend que Noureddine Boukrouh a été qualifié de « fou » alors que c’est lui qui a traité le Président de la république algérienne de la sorte.

2- En plus, Graphika affirme qu’il s’agit d’une « attaque coordonnée contre un opposant » alors qu’il s’agit d’un de mes articles, publié sur mon site, en réponse au sien.

Il s’avère qu’il s’agit de MON article intitulé « Un goujat nommé Boukrouh » qui a été publié sur mon site avec la même photo, mais qui a aussi été repris par d’autres sites (site 1site 2site 3, etc.). Il est donc normal que des pages Facebook le reprennent comme c’est le cas de tous mes articles. Mon récent poème en hommage à Djamel Bensmaïl, par exemple, a été repris intégralement par des dizaines de pages. Où est le problème? Les réseaux sociaux ne servent-ils pas à cela? Ou alors c’est halal pour certains et haram pour d’autres?

Au-delà de cet aspect, ce qui attire l’attention, c’est la légende :

« Captures d’écran montrant la publication coordonnée d’une attaque décrivant la figure de l’opposition Noureddine Boukrouh comme « folle » peu de temps après avoir critiqué Tebboune ».

Il s’agit d’un pur mensonge! C’est M. Boukrouh qui a traité le président Abdelmadjid Tebboune de fou dans un post sur Facebook! En toute lettre dans le titre!

Question pour Graphika et Facebook : accuser fallacieusement un président en exercice de folie ne mérite pas la fermeture du compte de M. le « sain d’esprit »?

En plus de l’institution présidentielle, c’est l’institution militaire algérienne qui a été dénigrée, comme si ces mêmes institutions, aux États-Unis ou en Occident n’avaient pas le droit de s’exprimer sur l’état de la Nation. Comme tous les pays du monde, l’Algérie a ses institutions étatiques et s’exprime dans les médias qu’elles jugent adéquat à son message.

Aussi bizarre que cela puisse paraître, le rapport de Graphika critique le droit à l’institution militaire de faire des reportages sur les « fake news » et de dénoncer les agissements de certains groupes qui menacent la sécurité et la souveraineté de l’Algérie.

Le rapport cite nommément « Karim Tabbou » (cité 3 fois), « Amir DZ » (cité 4 fois), « Rachad » (cité 4 fois), « Mohamed Larbi Zitout » (cité 5 fois) et Mourad Dhina.

« Les cibles clés depuis 2019 comprenaient : Karim Tabou – une figure de l’opposition qui a été arrêtée par la police algérienne en 2020 et 2021 ; Amir Boukhors (« Amir DZ »), un dissident anti-régime en France ; et deux co-fondateurs du groupe politique « Rachad » – Mohamed Larbi Zitout, qui vit en exil à Londres, et Mourad Dhina, qui vit en Suisse. En mars 2021, un tribunal algérien aurait émis des mandats d’arrêt contre Boukhors et Zitout pour « terrorisme » ».

Les « ténors autoproclamés du Hirak », en l’occurrence Mostefa Bouchachi, Zoubida Assoul et Karim Tabbou, sont aussi présentés comme des « critiques du régime algérien ».

Comme par hasard, toutes les personnes citées, sans aucune exception, collaborent ensemble tel qu’expliqué dans mon livre sur le Hirak et sont, bien évidemment, toutes pour la phase de transition.

Décidément, la vision de Graphika (et de ses commanditaires) est dichotomique :  il y a des bons et des mauvais. Les bons sont ceux qu’elle nomme « les figures de l’opposition » et les mauvais sont les institutions étatiques, présidentielle et militaire.

Par contre, aucun mot n’est prononcé sur le nombre incalculable de comptes Facebook qui sont, directement ou indirectement, liés à ces « figures » et qui, nuit et jour, dénigrent ces mêmes institutions.

Pour plus de détails et pour comprendre le rôle de ces groupes qui ont surfé sur le Hirak algérien, le lecteur est invité à consulter mon interview sur le sujet.

Il faut dire que certains passages du rapport Graphika frôlent la dérision. Jugez-en.

« Les pages et les comptes du réseau ont constamment fait l’éloge de l’Armée nationale populaire algérienne (الجيش الوطني الشعبي الجزائري). Le réseau a amplifié des images d’exercices d’entraînement et d’autres événements, ainsi que des mèmes et des dessins animés pro-militaires, présentant tous l’armée algérienne comme des protecteurs forts et bien équipés du peuple algérien ».

Est-il donc interdit de faire l’éloge de l’armée de son pays? N’en déplaise à Graphika, l’institution militaire protège non seulement le peuple algérien, mais aussi l’intégrité et la souveraineté de son pays.

Encore une ineptie racontée dans le rapport : Graphika reproche à certaines pages d’avoir fait la promotion des élections législatives du 12 juin 2021.  Mais qu’y a-t-il de mal à vouloir encourager les citoyens à accomplir leur devoir électoral? Pourquoi alors n’avoir rien dit sur ces « grands démocrates », vulgaires factotums de ces « figures de l’opposition » qui, à l’étranger, empêchaient violemment les personnes de voter? Il est clair que les informateurs « autochtones » ne leur ont pas raconté toute l’histoire aux « experts » de Graphika. Ou alors est-ce cette dernière qui a filtré les informations pour diaboliser les institutions étatiques algériennes et sanctifier cette « opposition » qui travaille à la destruction du pays avec la bénédiction de l’Oncle Sam et de l’OTAN?

Il faut le dire clairement : un travail scientifique crédible doit nécessairement analyser les activités des deux protagonistes et non faire preuve de cécité sélective en faveur de celui qu’on veut soutenir. Le rapport de Graphika montre une faiblesse méthodologique si flagrante que son soi-disant travail « scientifique » n’est en réalité que de la propagande pour un camp choisi, le même qui a été sélectionné par les organismes américains d’« exportation » de la démocratie dans le but de réaliser un « regime change » en Algérie par le biais du soft power.

Graphika ne s’arrête pas là. Elle va jusqu’à consacrer une section sur le Maroc et la France intitulée « Maroc malveillant, France traîtresse ».

Elle y prétend que les médias de ces deux pays sont des bisounours et que l’Algérie les calomnie. Alors qu’elle attaque les chaines de télévision étatiques algériennes, Graphika présente France 24 comme une chaine inoffensive, ne précisant pas qu’il s’agit d’une des chaines étatiques françaises qui travaille directement avec le Quai d’Orsay  et dont le rôle dans le Hirak a été très partial (pour ne pas dire hostile à l’Algérie) comme expliqué dans un de mes articles publié en 2019. Ce n’est d’ailleurs pas par hasard que son accréditation en Algérie lui a été retirée en juin 2021.

Quant au Maroc, son action belliqueuse et agressive sur les réseaux sociaux contre l’Algérie est passée, elle aussi, sous silence. Il faudrait peut-être rappeler à Graphika l’affaire Pegasus dont elle n’a, bien sûr, pas soufflé mot. Le Maroc n’a-t-il pas espionné 6000 personnes en Algérie, ou est-ce encore une « fake News » des institutions présidentielle ou militaire?

Il fallait s’y attendre. Mohamed Larbi Zitout, un des membres du mouvent Rachad cité dans le rapport Graphika, en a fait ses choux gras dans une de ses interminables logorrhées cyberspatiales.

Ce qui répond tout naturellement à l’importante question : Cui Bono?

Conclusion

Cette étude nous permet de tirer les conclusions suivantes :

  • La société Graphika est financée par des entités directement ou indirectement reliées à l’administration américaine, à l’administration britannique, à l’OTAN et à des organismes américains d’« exportation » de la démocratie;
  • La société Graphika ne fait pas d’études pour informer les citoyens. Elle ne s’intéresse qu’aux médias sociaux de pays ciblés par les États-Unis ou par certains pays membres de l’OTAN comme la Grande-Bretagne;
  • Ces dernières années, les principaux pays ciblés par les études de la société Graphika sont la Russie, la Chine et l’Iran.
  • Les études sur la Russie sont très nombreuses et très agressives, ce qui confirme l’influence de l’Atlantic Council, le think tank non officiel de l’OTAN;
  • La société Graphika possède des relations avec certains géants du Web, soit directement, soit à travers ses « experts »;
  • La société Graphika collabore directement avec Facebook et lui fournit la liste des pages à supprimer;
  • Ce faisant, Facebook n’est pas indépendante, mais se comporte comme une entreprise impliquée dans la mise en œuvre de la politique étrangère étasunienne et de l’OTAN (Ceci n’est pas nouveau : la collusion entre certains géants du Web et l’administration américaine a été longuement discutée dans mon livre « Arabesque$ » et certains de mes articles);
  • La société Graphika n’a pas étudié les médias sociaux algériens fortuitement. Le timing, le parti pris et les attaques frontales contre les institutions fondamentales de l’État algérien indiquent que cette étude a été commanditée par des groupes ou des états qui favorisent un « regime change » en Algérie et qui y travaillent;
  • Ce dernier point est évident à la lecture du rapport qui présente négativement les institutions étatiques algériennes et positivement ce qu’il appelle « les figures de l’opposition »;
  • Aucune étude n’a par contre été réalisée sur l’utilisation des médias sociaux par « les figures de l’opposition », ce qui enlève toute scientificité au rapport et en fait, par voie de conséquence, un pur outil de propagande contre l’Algérie;
  • Les relations entre certaines « figures de l’opposition » et l’administration américaine (explicitées dans mon livre sur la question) ayant été complètement occultées dans le rapport, on en déduit que Graphika joue un rôle analogue et complémentaire aux organismes américains d’« exportation » de la démocratie;
  • Ces trois derniers points indiquent que Graphika, ainsi que les diverses institutions (étatiques ou non) avec lesquelles elle collabore, supportent et soutiennent activement « les figures de l’opposition » contre l’État algérien;
  • Tout cela nous amène à conclure que Graphika est un outil de plus dans l’arsenal du soft power américain, spécialisé dans un nouveau « champ de bataille » qui n’est autre que le monde virtuel des médias sociaux.
  • Les actions menées de manière agressive par les organismes américains d’« exportation » de la démocratie, combinées à celles des ONG droitdelhommistes ainsi que les attaques de la société Graphika montrent, de manière non équivoque, que l’Algérie est actuellement sous le feu nourri d’une guerre de quatrième génération.



Les CDC enterrent une étude selon laquelle le port du masque par des élèves ne présente « aucun avantage statistiquement significatif »

[Source : Aube Digitale]

Il y a moins de trois mois, les Centers for Disease Control (CDC) ont publié une étude à grande échelle, pour la plupart ignorée, sur la transmission du virus Covid-19 dans les écoles américaines. Cette étude a conclu que si le fait de masquer les enseignants alors non vaccinés et d’améliorer la ventilation était associé à une baisse des niveaux de transmission du virus dans les écoles – la distanciation sociale, les barrières dans les salles de classeles filtres HEPA et le fait d’obliger les élèves à porter des masques n’ont pas entraîné de bénéfice statistiquement significatif.

Quelques grands médias ont couvert sa publication en rappelant brièvement le résumé de l’étude : le fait de masquer les enseignants non vaccinés et d’améliorer la ventilation en augmentant la quantité d’air frais était associé à une moindre incidence du virus dans les écoles. Ce sont des mesures de bon sens, et le fait qu’elles semblent fonctionner est rassurant mais pas surprenant. D’autres résultats tout aussi importants de l’étude ont cependant été absents du résumé et n’ont pas été largement rapportés. Ces conclusions jettent un doute sur l’impact de bon nombre des mesures d’atténuation les plus courantes dans les écoles américaines. La distanciation, les modèles hybrides, les barrières dans les salles de classe, les filtres HEPA et, surtout, l’obligation de masquer les élèves n’ont pas eu d’effet bénéfique statistiquement significatif. En d’autres termes, on ne peut pas dire que ces mesures soient efficaces.

NYMag

Selon le rapport, les scientifiques estiment que la décision des CDC d’omettre intentionnellement les conclusions sur le masquage des élèves dans un résumé de l’étude équivaut à une « mise sous pli » des conclusions – la pratique consistant à enterrer les études qui n’ont pas de résultats statistiquement significatifs.

« Le fait qu’une exigence de masquage des étudiants n’ait pas permis de démontrer un bénéfice indépendant est une conclusion importante et très intéressante », selon Vinay Prasad, professeur associé au département d’épidémiologie et de biostatistique de l’université de Californie à San Francisco. « Elle aurait dû être incluse dans le résumé ».

L’épidémiologiste Tracy Hoeg, auteur d’une autre étude des CDC sur la transmission du Covid-19 dans les écoles, a déclaré que « le résumé donne l’impression que seul le masquage du personnel a été étudié », ajoutant « alors qu’en réalité, il y avait cette détection supplémentaire importante sur une exigence de masquage des étudiants n’ayant pas d’impact statistique. »

Comme le note Twitchy, David Zweig du NYMag s’est demandé pourquoi les États-Unis exigent le port de masques alors que d’autres pays ne le font pas.

David a été rejoint par d’autres personnes soulignant des faits similaires :

Plus d’informations via Twitchy :

Mais il n’y a pas que cette étude des CDC. Il n’y a aucune étude que Zwieg – ou qui que ce soit – puisse trouver qui « montre de manière concluante que le port de masques par les enfants à l’école a un quelconque effet sur leur propre morbidité ou mortalité ou sur le taux d’hospitalisation ou de décès dans la communauté qui les entoure » :

En attendant, comme nous l’avons noté à plusieurs reprises la semaine dernière, de nombreuses études concluent que les masques n’offrent qu’une protection minimale, voire nulle.

  1. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.05.18.21257385v1.full-text
  2. https://swprs.org/face-masks-evidence/
  3. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29395560/
  4. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32590322/
  5. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15340662/
  6. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26579222/
  7. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31159777/
  8. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4420971/
  9. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.01.20049528v1
  10. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.03.30.20047217v2
  11. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2006372
  12. https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2749214
  13. https://www.cmaj.ca/content/188/8/567
  14. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5779801/
  15. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19216002/
  16. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4420971/
  17. https://academic.oup.com/cid/article/65/11/1934/4068747
  18. https://www.jstage.jst.go.jp/article/bio/23/2/23_61/_pdf/-char/en
  19. https://link.springer.com/article/10.1007/BF01658736
  20. https://www.journalofhospitalinfection.com/article/0195-6701(91)90148-2/pdf90148-2/pdf)
  21. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2493952/pdf/annrcse01509-0009.pdf
  22. https://web.archive.org/web/20200717141836/https://www.cidrap.umn.edu/news-perspective/2020/04/commentary-masks-all-covid-19-not-based-sound-data
  23. https://www.nap.edu/catalog/25776/rapid-expert-consultation-on-the-effectiveness-of-fabric-masks-for-the-covid-19-pandemic-april-8-2020
  24. https://www.nap.edu/read/25776/chapter/1#6
  25. https://wwwnc.cdc.gov/eid/article/26/5/19-0994_article
  26. https://academic.oup.com/annweh/article/54/7/789/202744
  27. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6599448/
  28. https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/M20-1342
  29. https://link.springer.com/article/10.1007/s00392-020-01704-y
  30. https://clinmedjournals.org/articles/jide/journal-of-infectious-diseases-and-epidemiology-jide-6-130.php?jid=jide
  31. https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1130147308702355

Alors pourquoi fait-on porter aux enfants américains des sacs d’avoine tous les jours ?

Traduction de Zero Hedge par Aube Digitale


[Voir aussi :
Covid : la validité de l’imposition du port du masque s’effondre à son tour !
Effets nocifs des masques]




Traitement Covid-19 : première étude scientifique sur l’homme avec du dioxyde de chlore à usage thérapeutique

[Source : Andreas Kalcker – Site officiel]

[Ndlr : le dioxyde de chlore est un produit chimique plutôt dangereux.]

Andreas Kalcker

ÉTUDES CLINIQUES AVEC LE DIOXYDE DE CHLORE

Un espoir de mettre fin à la pandémie de COVID-19.

L’étude clinique a montré que le dioxyde de chlore est efficace chez les patients traités par ClO2 par voie orale et que son utilisation dans la pandémie COVID-19 devient et se positionne comme un grand espoir de le contrôler, sur la base des fondements scientifiques révélés dans des recherches antérieures.

Le dioxyde de chlore s’est avéré bénéfique dans le traitement du COVID-19, rendant la RT-PCR négative à 7 jours chez cent pour cent des patients qui l’ont pris pendant l’étude clinique, atténuant rapidement leurs symptômes associés à cette maladie et réduisant considérablement les paramètres de laboratoire à la normale dans un espace de 14 à 21 jours.

En outre, les chercheurs ont observé que les patients qui consommaient du dioxyde de chlore comme traitement du COVID-19 réduisaient également considérablement les symptômes post-maladie, par rapport aux patients non traités avec ClO2.

Nous sommes confrontés à une solution qui peut mettre fin à la pandémie, désormais scientifiquement prouvée.

CDS sauve des vies ! Vous avez maintenant l’occasion de lire la première étude clinique multicentrique réalisée dans plusieurs pays d’Amérique latine qui démontre clairement que le dioxyde de chlore est un traitement totalement efficace contre le COVID-19

Voir l’étude clinique




Le chercheur Walter Chesnut prévient: “Les injections répétées seront mortelles”

[Source : 1scandal.com]

La protéine de pointe du vaccin covid détruit l’immunité naturelle et la Télomérase

Une analyse indépendante de l’échec immunitaire qui a tendance à se produire après qu’une personne se soit “vaccinée” pour le coronavirus a révélé qu’au moins l’une des causes est une accumulation de protéines de pointe induites par le vaccin à l’intérieur du corps.

Walter Chesnut de WMCResearch.org prévient que la “réponse immunitaire robuste” déclenchée par les injections “peut avoir un coût mortel”, que cela se manifeste immédiatement ou plus tard.

Après avoir examiné une étude scientifique évaluée par des pairs et une conférence informative, Chesnut a découvert qu’une fois que les protéines de pointe du vaccin s’installent vraiment et commencent à faire ce pour quoi elles ont été conçues, la télomérase d’une personne injectée devient inactivée.

La télomérase, au cas où vous ne la connaîtriez pas, est une enzyme de l’ADN humain qui régule le vieillissement. À mesure que les télomères qui encapsulent l’ADN se raccourcissent avec le temps, le vieillissement commence vraiment à s’accélérer.

Cela suggérerait que les injections COVID accélèrent le processus de vieillissement.

https://twitter.com/Parsifaler/status/1426720994367057920?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1426720994367057920%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2F1scandal.com%2Fle-chercheur-walter-chesnut-previent-les-injections-repetees-seront-mortelles%2F

L’étude dont Chesnut a tiré ses conclusions, publiée dans le Journal of Bacteriology & Parasitology , “démontre de manière convaincante” que les protéines de pointe du vaccin ont “des effets délétères sur la télomérase , altérant sa synthèse”, explique Chesnut.

« quand cette activité est inhibée, il faut du temps pour que l’épuisement inévitable des cellules immunitaires apparaisse », ajoute-t-il. « Cela peut être le « cadeau » caractéristique du cheval de Troie de la protéine de pointe. Quelle que soit la réponse immunitaire de courte durée, c’est de l’or du fou qui remplace la capacité du système immunitaire à se reconstituer. »

Les vaccins Covid détruisent la télomérase des gens tout comme la chimiothérapie, les faisant vieillir rapidement

Ce phénomène est déjà observé en Israël, l’un des pays les plus vaccinés au monde. contre le Covid.  Les effets à long terme des injections s’accélèrent dans leur manifestation, montrant que les protéines de pointe du vaccin “peuvent être chroniquement présentes” dans le corps des personnes où elles “suppriment continuellement la télomérase”.

Sans télomérase, prévient la conférencière Elizabeth Blackburn, « les cellules clés du corps sont incapables de se reconstituer et « s’épuisent » bien avant qu’elles ne le devraient au cours d’une vie normale. »

Vous pouvez regarder la conférence de Blackburn ci-dessous :

« Nous voyons essentiellement les effets de la CHIMIOTHÉRAPIE avec la protéine de pointe. Mais d’une manière tout à fait unique », dit Chesnut. « Les cellules à réplication rapide sont épuisées. Nous pouvons maintenant expliquer les rapports trop courants de perte de cheveux, par exemple. »

En d’autres termes, les vaccins contre le Covid bombardent le corps des gens avec des protéines de pointe qui agissent de la même manière que la chimiothérapie, provoquant l’effondrement de leur système immunitaire et le non-renouvellement. Ce ne sont rien de plus que des injections mortelles déguisées en « médicaments ».

Cela expliquerait pourquoi la grande majorité des nouveaux patients « covid » admis dans les hôpitaux sont des personnes qui ont reçu les injections par obéissance au gouvernement et paient désormais le prix de leur erreur.

Rien de tout cela n’est une surprise pour quiconque a prêté attention à tout ce que les experts indépendants ont mis en garde concernant les vaccins et leurs protéines de pointe. 

“Ils vont bientôt mendier un remède contre cette nouvelle peste qu’ils ont invitée dans leur corps”, a écrit un commentateur d’ Infowars sur ce qui deviendra finalement de tous ceux qui ont pris le jab.

« Peut-être que les ‘morts vaccinés’ seront le groupe qui se soulèvera et détruira leurs créateurs, un peu comme dans le livre « Frankenstein ». Ce serait ironique, mais je suis sûr que ces salauds qui ont fabriqué le « vaccin » ont déjà envisagé ce scénario comme une possibilité. »

Un autre commentateur a demandé pourquoi les Américains permettaient à des gens comme Fauci de s’en tirer en poussant ouvertement ces injections de génocide alors qu’il menaçait de fermer à nouveau le pays si les réfractaires «non vaccinés» refusaient d’obéir à ses ordres.

Il semble de plus en plus que la véritable “pandémie” se cache à l’intérieur des vaccins et que le virus n’était qu’une ruse pour amener les gens à faire la queue et à recevoir des injections mortelles, dont le contenu serait ensuite “déversé” sur d’autres, y compris des personnes qui a refusé les vaccins en premier lieu.

Dans un tweet plus récent sur la façon dont les gens peuvent faire face à la destruction des télomères induite par le vaccin, qui est associée à la maladie d’Alzheimer, à la maladie de Parkinson, à la ferroptose, à l’hypothalamus et à l’autophagie, Chesnut a tweeté un lien vers un article sur le champignon reishi – voir ci-dessous :

https://twitter.com/Parsifaler/status/1427711144605667333?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1427711144605667333%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2F1scandal.com%2Fle-chercheur-walter-chesnut-previent-les-injections-repetees-seront-mortelles%2F

La protéine de pointe du vaccin covid « désactive la transcription de / épuise les télomères AUF1 et WRN », a écrit Chesnut dans un autre tweet. « C’est une catastrophe. C’est ce dont vous ne voyez maintenant que le début. »

« Vous pouvez SUPPRIMER LES TELOMERES », prévient en outre Chesnut. « Nous rapportons ici que les cellules dépourvues de WRN présentent une SUPPRESSION DES TÉLOMÉRES. Une forme de mort cellulaire que vous ne connaissez peut-être pas : la létalité synthétique. Épuisement du WRN induit. »

N’oubliez pas de consulter le site Web de Chesnut pour vous tenir au courant de ses dernières recherches.

Vous trouverez plus d’informations sur le programme de vaccination contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sur ChemicalViolence.com .

Les sources de cet article incluent :
Infoguerres.com
WMCResearch.org
Archive.is
NaturalNews.com




250 manifestations très importantes un peu partout en France encore ont eu lieu pour le sixième samedi consécutif en plein été

[Source : qactus.fr]

Vu en manif ! Sympa !!

Martine Wonner : Nice #21Aout

Les manifestants ont débordé les policiers devant le musée du Louvre à Paris lors de la manifestation contre le Pass Sanitaire




Une foule impressionnante scande Raoult, Raoult devant l’IHU Marseille. À envoyer à BFMTV de toute urgence




Une manifestation pro-vaccins avait lieu aujourd’hui aussi également le 21 août :




Nice

Nissa la Bella jusqu’à la victoire finale !

L’hymne des Niçois rebelles a retenti une nouvelle fois Samedi dernier dans les rues de la ville




Manifestations très importantes un peu partout en France. Images des manifestants à Bordeaux, Rouen, Angers, Chambéry, Besançon, Paris












Manifestation monstre à Toulon

Les pompiers de Toulon en grève avec un message pour l’élite parisienne.

Des manifestations ont lieu dans plus de 250 villes de France pour ce sixième samedi de manifestation contre le pass sanitaire.




Des milliers de personnes ont manifestés à Nantes, Marseille, Lille, Valence, Narbonne, Metz pour le sixième samedi consécutif contre le pass sanitaire.




Les expériences hors du corps de Madame Zürcher

[Source : Témoignages]

[Voir aussi :
Témoignages de Mort imminente
La science peut-elle expliquer les expériences de mort imminente ?
Expériences de mort provisoire et mémoire extracérébrale, par le Dr Jean Jacques Charbonier
La Revue de l’Au-delà – Dr Jean-Jacques Charbonier (larevuedelaudela.com)
Technique, secrets et dangers d’un voyage astral (astrocenter.fr)]




Témoignage d’un Gendarme en août 2021 qui refuse de participer à l’expérimentation des thérapies géniques anti COVID

[Source : @GaumontRene]

https://twitter.com/GaumontRene/status/1429412321420578816?s=20



Némésis — Ou l’inéluctable triomphe des lois naturelles

Par Zénon − juillet 2021

« La Bête de l’Évènement est là, et elle arrive. »

E.M. (Entretien au Financial Times, 16 avril 2020)

Voici maintenant plus de dix-huit mois que le coronacircus, élu égrégore de l’année dernière par les consommateurs, a préparé l’avènement d’une nouvelle religion scientiste, avec son clergé, ses rituels, ses prophètes et ses hérétiques. Dix-huit mois au cours desquels une immense partie des peuples occidentaux sont littéralement passés de l’hypnose à l’état de possession. Je ne sais pas si vous aurez ressenti la même chose que moi en marchant dans vos rues : les personnes que l’on peut croiser ont de moins en moins l’air de s’appartenir.

Il faut dire que la mafia globaliste s’est bien démenée pour obtenir ce degré de soumission chez des populations prétendument si attachées à leur liberté. Plus que jamais déterminée dans son projet de transformation de l’Humanité en une espèce hybride bio-numérique, l’autoproclamée « élite » technocratique s’est fendue d’un machiavélique scénario pour atteindre au contrôle des corps à travers celui des esprits. Tout y est passé : terreur médiatique, claustration contrainte et isolement des individus, menaces, amendes, décisions arbitraires et injonctions contradictoires permanentes… Ceci ne relève ni d’une incompétence ni d’un sadisme ordinaire, mais constitue la base d’une ingénierie sociale visant à nous faire accepter la violation de notre intégrité physique.

Qui aurait accepté de son plein-gré de participer à ce programme « vaccinal », ou l’aurait même trouvé pertinent sans leurs mensonges incessants ? Qui aurait considéré comme normal le passe « sanitaire » si nous avions massivement refusé le premier confinement ?

Beaucoup de réfractaires ou même d’inoculés le pressentent confusément, mais peu vont jusqu’à se le représenter ainsi : les injections massives actuellement pratiquées ne sont qu’une première étape. Un cheval de Troie nécessaire à l’aboutissement d’un plan plus vaste. La dépopulation en est une des composantes mais non la finalité. Comme je le détaillais dans un texte de juillet 2016, l’objectif à plus long terme de tous les programmes en cours (terrestres et spatiaux) est de créer un continuum électromagnétique depuis la haute-atmosphère jusqu’à nos cellules. D’exercer un contrôle numérique total des survivants, et de déporter la mémoire des autres dans un « nuage » virtuel.

Ce projet transhumaniste est antinaturel par essence. Son dessein affirmé consiste à permettre à une poignée d’illuminés triés sur le volet d’accéder à une immortalité supposément apportée par la fusion du cerveau humain avec la machine. Il s’agit ici d’une négation du plus élémentaire des principes spirituels, antérieur même aux religions : celui de considérer la mort comme une part intégrante de la vie.

Cela devient, même à l’observateur le moins averti, de plus en plus évident : nous avons affaire à une caste dirigeante prête à toutes les transgressions possibles pour atteindre son but. À ce titre, l’actuelle campagne d’injections transgéniques constitue non seulement un crime d’une ampleur inégalée dans l’Histoire, mais également, par la modification de notre ADN, une atteinte à ce que les croyants nommeraient « l’Arbre de Vie », ou en d’autres termes, à la souche originelle depuis laquelle nous nous sommes développés.

Il serait erroné de croire que nos « illuminés » méconnaissent les lois qu’ils violent. Ils le font en parfaite connaissance de cause. Si leur agenda se déroule pour le moment comme prévu, ce n’est qu’en raison du consentement, explicite ou non, des populations à ce programme exposé sous de nombreuses formes, littéraires ou cinématographiques, vouées à faire inconsciemment admettre au public la réalité future qu’ils auront choisie. Cette notion de libre-arbitre est centrale, car elle conditionne et conditionnera chaque jour davantage notre sort à venir. Mais j’aurai l’occasion d’y revenir.

Ce plan, élaboré de longue date, se fonde sur le postulat que l’Esprit humain puisse être contrôlé, voire littéralement reprogrammé au moyen du numérique. Ceci constitue le talon d’Achille d’une conception de la Vie et de l’Homme uniquement quantitative et utilitariste. L’erreur de fond dont il s’agit réside en cette extraordinaire confusion entre l’intellect et la conscience, dont le siège ne saurait être attaché à aucun organe, et dont l’origine n’est pas de ce Monde… La conséquence en est que le futur Golem, cette créature hybride dont les globalistes projettent l’avènement, ne sera tout simplement pas viable.

Cette entité est en réalité déjà mort-née, car dépourvue de connexion à la source, à l’intelligence universelle ou quel que soit le nom qu’on lui donne. Celle-ci nous unit plus profondément que le langage ou la culture, et fait de nous ce que nous sommes au-delà de la personnalité à laquelle nous nous identifions. Rompre ce lien ne saurait donner lieu à la création de l’homme-machine parfaitement docile tant espéré, mais plutôt à l’équivalent d’un poulet sans tête errant quelques instants au hasard de ses influx nerveux avant de s’effondrer. Souvenez-vous du conte de Mary Shelley, et des déboires du docteur Frankenstein dont la créature finit par lui échapper. C’est une assez bonne image du seul résultat que ces apprentis-sorciers pourront obtenir.

Cela ne signifie pas pour autant, loin s’en faut, la victoire des peuples du Monde dans ce combat multidimensionnel. Dans leur rage de ne pouvoir parvenir à leurs fins, les transhumanistes vont déployer tout leur arsenal pour tenter de détruire ce qui est. Le processus est déjà bien entamé, avec la présence d’innombrables poisons dans l’air, l’eau et la nourriture, par le déploiement de technologies mortifères comme la 5G ou encore l’usage d’armes psychotroniques. Nous verrons bien d’autres ignominies commises à l’encontre du vivant, perdrons sans doute beaucoup de nos proches et assisterons de toute façon à la chute de l’« ancien Monde ».

Chaque chose, chaque phénomène ou évènement se trouve cependant compensé dans l’Univers. Et la loi de causalité s’opère, sinon sur le plan matériel, d’ores et déjà dans l’Esprit. En tentant de nous entraîner dans leur folie autodestructrice, les tenants du « Grand Reset » sont tombés dans leur propre piège : celui de se révéler pour ce qu’ils sont à bon nombre d’âmes jusque-là restées insouciantes. Certes bien trop peu pour inverser la tendance. Cette manifestation vitale n’en est qu’à ses balbutiements. Beaucoup succomberont aux chants des sirènes. Mais ils ne feront au fil du temps qu’ajouter au retour de bâton cosmique auquel s’exposent les transgresseurs des lois éternelles.

Et nos maîtres-chanteurs sont ainsi pris dans une course contre-la-montre dont ils n’auront pas le souffle de tenir la durée. Le fait d’avoir recouru à l’adhésion sous contrainte d’une bonne part de la population est déjà un aveu d’échec. Un accord obtenu sous chantage a moins de valeur vis-à-vis de l’astral qu’un pacte faustien signé en bonne et due forme. S’ils accélèrent le processus au mépris de tous les signaux d’alerte, c’est car ils savent que la vérité éclatera et que leur temps est compté.

Ainsi donc sonne le glas d’une emprise multiséculaire sur l’esprit des populations. Le scientisme forcené de ces derniers siècles rencontre dorénavant notre souvenir des lois naturelles, et notre irrépressible instinct de survie. Ce qui n’est encore, pour beaucoup, qu’un léger frémissement de conscience amorce un bouleversement dont nul ne peut à l’heure actuelle sonder la profondeur : l’avènement aussi tardif que douloureux d’une véritable souveraineté individuelle. La remise en question des discours officiels n’en est qu’un signe avant-coureur. Une force inconcevable est en train de renaître du fond des âges pour nous rappeler quels sont notre essence et nos origines.

Cette souveraineté intérieure induit de retrouver le plein usage du libre-arbitre dont je parlais. De demeurer assez alignés pour ne laisser que notre conscience guider nos choix et nos actes. La liberté ne s’achète pas. Elle peut certes parfois coûter cher, mais ceux qui la connaissent peuvent témoigner qu’elle n’a pas de prix. Et n’est-ce pas la condition dans laquelle et pour laquelle nous nous sommes incarnés ?

Chacun de nous se déterminera selon des parts de lui-même et des héritages peut-être encore ignorés. Nul n’échappera quoiqu’il en soit à la grande Révélation, dont nous n’assistons pour le moment qu’aux prémices. Violences et chaos iront crescendo à mesure que l’agenda génocidaire mondial sera dévoilé. Les gens s’en prendront les uns aux autres au sein des nations, des clans, des familles… Il n’existe aucun vocabulaire pour décrire ce au-devant de quoi nous allons. Mais ceci ne doit pourtant pas nous faire dévier d’un iota de ce que nous avions choisi d’éprouver bien avant de venir au Monde. Beaucoup d’entre vous connaissent déjà ce lâcher-prise, et nous serons tous, l’un après l’autre, appelés à nous défaire de l’illusion du contrôle sur quelque aspect que ce soit de l’existence physique. Il s’agira de renaître à nous-mêmes, enfin adultes. Reconnectés aux mondes spirituels dont le confort et les habitudes nous aurons si longuement aliénés.

Beaucoup recherchent cette révélation toute leur vie. Peu réussissent à dompter leur intellect au point d’y parvenir. Mais nous possédons tous la faculté innée de pénétrer les mondes supérieurs. De connaître l’éternité depuis le plan matériel. Il suffit d’habiter pleinement chaque instant pour découvrir que l’infini réside en chaque interstice entre deux pensées. Et pour y ressentir la force d’un Amour si profond, d’une intelligence telle que nous sommes envahis du sentiment de notre petitesse devant l’Univers. Les larmes de joie qui nous viennent alors arrosent la Terre de ce que nous avons de plus pur et de plus magnifique. Je vous l’annonce dès aujourd’hui : du tréfonds de la nuit la plus noire où nous nous apprêtons à entrer brillera plus intensément que jamais notre lumière intérieure. Les circonstances apparentes ne doivent pas nous leurrer. Nous sommes déjà sur le chemin de la Grâce.

Zénon


[Voir aussi :
Note sur le mental et l’astral
Note sur les émotions et les pensées
Réflexion sur la vie, la matière et la conscience
Note sur les problèmes et les opportunités
Sortir de la crise
L’enjeu majeur de notre époque
Un choix déterminant
L’épée, le bon grain et l’ivraie
La clef de la libération
L’avenir se crée maintenant
Note sur l’avenir
L’Effet Jupiter et la purification de l’Humanité
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le Dr Louis Fouché alerte sur l’agenda transhumaniste de la tyrannie sanitaire
Végano-écologisme et transhumanisme : l’union sacrée dans la haine de l’homme et donc dans la haine de Dieu
Le masque, premier pas vers le transhumanisme
Michel Maffesoli : « Le transhumanisme est l’aboutissement de la paranoïa moderne » [Interview]
Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire
Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
La grande réinitialisation selon un ancien officier du KGB, le Dr Igor Shepherd : Le nouvel ordre mondial communiste post-Covid 19
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
Du confinement à la Grande réinitialisation
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
La fin de la mondialisation
Après le Nouvel Ordre Mondial
Note sur les mouvements humains et la sagesse du Tao
Vie et mort des systèmes
NOM : qui tire les ficelles ?
La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos
Souveraineté
Effets nocifs des ondes pulsées (Wi-Fi, cellulaires, compteurs intelligents…)
La faillite de la science matérialiste ?
La pandémie des ondes ?
Dossier 5G et ondes pulsées
La religion de l’Antéchrist
La Loi de Karma]




Ce que Véran n’a pas osé vous dire en face sur le danger des vaccins

[Source : Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Éric Verhaeghe

Le danger des vaccins est le grand tabou de la communication gouvernementale. Il n’est en effet pas facile d’expliquer qu’on s’apprête à sacrifier consciemment une partie de sa population pour satisfaire à un programme d’obligation vaccinale dont chaque jour montre qu’il n’est pas exempt de calculs économiques. Donc, officiellement, c’est du circuler, y a rien à voir ! les vaccins sont sûrs ! Sauf que… la communication gouvernementale laisse transpirer de terribles aveux sur les sacrifices qui se préparent. Il est désormais de notre devoir de les relever et de les porter à la connaissance du public, égarés par des médias subventionnés aux ordres.

Les dangers des vaccins, vous le remarquerez, ne sont que très mollement niés par le gouvernement. On ne trouvera (étonnamment) nulle part une campagne claire pour “rassurer”, ce qui est en soi à la fois l’une des explications du malaise actuel de la société française, et l’un des plus terribles aveux de cynisme commis par l’équipe de guignols au pouvoir. 

Ce silence gêné du gouvernement sur les dangers du vaccin s’explique assez simplement par le fait que personne, dans les allées du pouvoir, ne doute de la nocivité des produits que les Français sont supposés se faire inoculer dans une obéissance aveugle. 

Quand la loi reconnaît les dangers des vaccins

Aucun journaliste subventionné (trop occupé à dénoncer les complots sans doute) n’a pris le temps de le noter, mais la loi du 5 août 2021 ne comporte aucune ambiguïté sur les dangers des vaccins. Son article 18 écrit ceci :

La loi a donc pris soin de régler la question de la “réparation intégrale des préjudices directement imputables” aux vaccins que les soignants vont recevoir pour le bien du groupe, de la société et de l’immunité collective. Elle annonce, de façon “classique”, dirait-on, que les réparations seront décidées par l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales, qui est un établissement public en charge des accidents médicaux

Autrement dit, c’est l’Etat qui sera chargé d’établir la faute de l’Etat qui a ordonné des injections dangereuses avec une légèreté confondante, et c’est l’Etat qui fixera lui-même le montant des réparations qu’il doit aux victimes. 

La précision n’est pas anodine : s’agissant de vaccins expérimentaux, on aurait pu imaginer un cadre d’indemnisation relevant directement des juridictions civiles. Mais le gouvernement a pris soin, par avance, de modérer l’addition qu’il s’attend à payer. 

Véran anticipe des décès

Je recommande vraiment à tout le monde de lire attentivement cet article L 3111-9 du code de la santé publique, qui fut créé… par Agnès Buzyn pour maîtriser les coûts d’indemnisation dus à la campagne de vaccination obligatoire aux onze vaccins pour les enfants. Le texte apporte cette terrible précision :

L’offre d’indemnisation adressée à la victime ou, en cas de décès, à ses ayants droit est présentée par le directeur de l’office.

Si un infirmier meurt demain quelques heures après avoir reçu une injection, sa femme aura le plaisir de recevoir un courrier du directeur de l’office lui proposant une petite gratification pour Noël, à prendre ou à laisser. C’est de la procédure classique. 

Il était utile de la rappeler pour redire que, lorsque Véran exhorte la moitié du pays à passer à la piqûre, il n’a aucune illusion sur le fait que des gens mourront. Tout cela est écrit, prévu, administré.

Les explications emberlificotées sur les femmes enceintes : Véran, ton nez s’allonge !

Une autre farce cynique officielle qui mérite d’être retenue tient à la vaccination des femmes enceintes. Selon Olivier Véran, vacciner une femme enceinte dès les premiers jours de grossesse ne pose pas de problème. Il est sûr qu’on dispose forcément de beaucoup de recul sur le sujet, et que le ministre pouvait, sans complexe, mettre en scène la vaccination de sa collègue Olivia Grégoire. 

Les esprits un peu rigoureux auront noté que ces discours officiels reposent sur une étude publiée par le New England Journal of Medicine, qui dit en réalité le contraire des propos qu’on lui prête

On relira ici sa conclusion :

Preliminary findings did not show obvious safety signals among pregnant persons who received mRNA Covid-19 vaccines. However, more longitudinal follow-up, including follow-up of large numbers of women vaccinated earlier in pregnancy, is necessary to inform maternal, pregnancy, and infant outcomes.

(Les découvertes préliminaires ne montrent pas d’alarmes de sécurité évidentes parmi les femmes enceintes qui ont reçu des vaccins à ARN messager. Cependant, des suivis plus longs, incluant des suivis sur un plus grand nombre de femmes vaccinées précocement dans leur grossesse, est nécessaire pour collecter des éléments sur les mères, la maternité et les enfants). 

Voilà qui aurait dû tempérer fortement les ardeurs inoculantes d’Olivier Véran. Mais les médecins de l’hôpital de Grenoble savent mieux que le reste du monde ! Donc, Véran a dit que les femmes enceintes ne prenaient aucun risque en recevant leur vaccin dès les premiers jours de grossesse. 

Sauf que… ce n’est pas exactement ce qui est dit par le conseil d’orientation stratégique sur la vaccination anti-COVID (si, si, ça existe !), dans son brillant avis putassier du 21 juillet 2021 : 

On vous recommande de bien lire ce tissu (dont la concision étonne) de circonvolutions purulentes, concentré en quelques lignes (vu l’absence d’importance du sujet, pourquoi se fatiguer à argumenter et à analyser, un torchon suffit) :

1) il n’y a aucun argument pour parler d’un danger de la vaccination pendant les premiers jours de la grossesse

2) les femmes qui le souhaitent peut donc être vaccinées dès le premier jour

3) mais s’il s’agit de les obliger, rien avant le quatrième mois. 

Mais si ces vaccinologues sont si sûrs de leur fait et de l’innocuité des vaccins, pourquoi n’assument-ils pas d’imposer le vaccin dès le début de la grossesse ? Seraient-ce parce qu’ils savent qu’en réalité, c’est dangereux, mais qu’ils ne veulent pas le dire pour ne pas mettre leur ministre en porte-à-faux (et ne pas rater une promotion) ? D’ailleurs ne rappellent-ils pas dans leur premier paragraphe qu’une vaccination précoce peut donner lieu à des “complications obstétricales” et des “conséquences pour le foetus” au cours du 3è trimestre ?

Je ne sais pas vous, mais moi, quand je lis un texte plein d’embrouilles sur un sujet aussi sensible, je suis tout de suite en alerte et je regarde les nez s’allonger. Il y a du mensonge dans l’air !

Véran connaît les dangers des vaccins

N’ayez en tout cas aucune illusion sur le cynisme gouvernemental. Personne n’a le moindre doute sur le fait que l’obligation vaccinale fera des victimes, des handicapés à vie, des morts. Tout cela est déjà budgété et préparé. Y compris chez les foetus. 




Kaboul: un tournant dans l’Histoire

[Source : investigaction.net]

Afghanistan : 20 ans de désinformation massive, et ça continue aujourd’hui. Pourquoi les USA se fichent du sort des femmes. Et de Ben Laden aussi. L’invasion de l’Afghanistan n’avait rien à voir avec le 11/9. Ce que nous apprennent Brzezinski et Kissinger et quelques autres stratèges US. Liens cachés entre les États-Unis et le terrorisme. Le déclin, voir la chute, de l’empire américain (et français aussi), une bonne chose ? Panorama des rapports de force en Asie, Afrique, Amérique latine et au Moyen-Orient. Ce qui se passe au tiers monde aura-t-il des conséquences sur l’économique et le social en Europe ? Comment chacun peut-il jouer un rôle important dans la bataille contre la désinformation ? Pourquoi les livres sont indispensables…




William Sargant, MK Ultra, conditionnement — Le détournement cognitif ou la psychologie qui consiste à façonner la réalité d’autrui

[Source : Sott.net]

Par Cynthia Chung — The Saker Blog

« Mais je ne veux pas aller parmi les fous », fait remarquer Alice.
« Oh, tu n’y peux rien », dit le chat, « nous sommes tous fous ici. Je suis fou. Tu es folle. »
« Comment sais-tu que je suis folle ? », demande Alice.
« Tu dois l’être », répond le chat, « sinon tu ne serais pas venue ici. »

Lewis Carroll, Alice au Pays des Merveilles

Nous vivons dans un monde où le degré de désinformation et de mensonge pur et simple a atteint un niveau tel que peut-être pour la première fois, la majorité du monde occidental commence à s’interroger sur son propre niveau de santé mentale et sur celui de son entourage. La méfiance croissante et frénétique à l’égard de tout ce qui fait « autorité », mêlée à l’incrédulité désespérée que « tout le monde ne peut pas être dans le coup ! », pousse lentement de nombreuses personnes à s’enfermer dans une camisole de force de plus en plus serrée. « Tout remettre en question » est devenu la nouvelle devise, mais sommes-nous capables de répondre à ces questions ?

Gaslighting
Photo du film Gaslight, 1944
[Hantise pour la version sortie dans les salles françaises en 1947 – NdT]

Actuellement, la réponse est un non catégorique.

La mauvaise blague des comportementalistes sociaux, qui ont rendu tout le monde obsédé par le papier toilette au début de ce que l’on croyait être une période de crise, est un exemple du contrôle qu’ils exercent sur le bouton rouge intitulé « déclencher une panique massive de niveau 4 ».

Et peut-on blâmer le peuple ? Après tout, si on nous ment, comment pouvons-nous nous rassembler et pointer du doigt la racine de cette tyrannie, ne sommes-nous pas arrivés au point où elle est partout ?

Comme Goebbels l’a tristement déclaré,

« Si vous dites un mensonge suffisamment gros et que vous le répétez sans cesse, les gens finiront par le croire. Le mensonge ne peut être maintenu que tant que l’État peut protéger la population des conséquences politiques, économiques et/ou militaires de ce mensonge. Il devient donc d’une importance vitale pour l’État d’utiliser tous ses pouvoirs pour réprimer la dissidence, car la vérité est l’ennemi mortel du mensonge, et donc par extension, la vérité est le plus grand ennemi de l’État [sous le fascisme]. »

Et nous nous trouvons aujourd’hui au seuil du fascisme. Cependant, avant que le fascisme ne puisse dominer complètement, nous devons d’abord accepter de renoncer à nos droits civils en tant que collectivité. Autrement dit, le grand mensonge ne peut réussir que si la majorité ne le dénonce pas, car si la majorité le reconnaissait pour ce qu’il est, il n’aurait vraiment aucun pouvoir.

La bataille pour gagner le contrôle de votre esprit

« Les politiciens, les prêtres et les psychiatres sont souvent confrontés au même problème : comment trouver le moyen le plus rapide et le plus permanent de changer la croyance d’un homme… Le problème du médecin et de son patient souffrant de névrose, et celui du chef religieux qui entreprend de gagner et de retenir de nouveaux convertis, est maintenant devenu le problème de groupes entiers de nations, qui souhaitent non seulement confirmer certaines croyances politiques à l’intérieur de leurs frontières, mais aussi faire du prosélytisme à l’extérieur. »

William Sargant, La bataille de l’esprit

Dans le passé, on pensait couramment, et non sans fondement, que la tyrannie ne pouvait exister qu’à condition que le peuple soit maintenu dans l’analphabétisme et l’ignorance de son oppression. Pour reconnaître que l’on est « opprimé », encore faut-il d’abord avoir une idée de ce qu’est la « liberté », et si l’on a le « privilège » d’apprendre à lire, cette découverte est inévitable.

Si l’éducation des masses pouvait alphabétiser la majorité d’une population, on pensait que les idées supérieures, le genre d’« idées dangereuses » que Mustapha Menier par exemple exprime dans Le meilleur des mondes, permettraient aux masses de rapidement s’organiser et rendraient inévitable une révolution contre « ceux qui les contrôlent ». En d’autres termes, la connaissance est la liberté, et l’on ne peut pas asservir ceux qui apprennent à « penser ».

Note du traducteur : Dans l’ouvrage de Aldous Huxley, Mustapha Menier est un Alpha plus et l’un des dix administrateurs mondiaux, qui sont les individus les plus importants de la société ; il a en charge l’Europe occidentale, l’une des dix zones de l’État mondial.

Cependant, ce n’est pas exactement ce qui s’est produit, n’est-ce pas ?

La grande majorité d’entre nous est libre de lire ce que bon lui semble, en ce qui concerne les livres autrefois « interdits », tels que ceux répertoriés par l’Index Librorum Prohibitorum.(([1] L’Index Librorum Prohibitorum était une liste de livres interdits, jugés dangereux pour la foi et la morale des catholiques romains, dont beaucoup étaient de manière suspecte des ouvrages humanistes platoniciens. Parmi les œuvres interdites figurent celles de Dante, d’Érasme et tous les livres de Machiavel. Pour en savoir plus, consultez mon article sur ce sujet.)) Nous pouvons lire tous les textes qui sont interdits dans Le meilleur des mondes, notamment les œuvres de Shakespeare qui y sont désignées comme des formes de « connaissance » absolument dangereuses.

Nous sommes maintenant tout à fait libres de nous « éduquer » sur les « idées » mêmes qui étaient reconnues par les tyrans du passé comme « l’antidote » à une vie d’esclavage. Et pourtant, aujourd’hui, la majorité choisit de ne pas le faire…

Il est reconnu, bien que superficiellement, que celui qui contrôle le passé, contrôle le présent et donc le futur. Le livre de George Orwell, 1984, le martèle comme la caractéristique essentielle qui permet à l’appareil de Big Brother de maintenir un contrôle absolu sur la peur, la perception et la loyauté à la cause du Parti, et pourtant, malgré sa popularité, il subsiste un manque d’intérêt pour réellement s’informer sur le passé.

Qu’importe de toute façon, si le passé est contrôlé et réécrit pour s’adapter au présent ? Comme l’interrogateur de Big Brother, O’Brien, le déclare à Winston :

« Nous, le Parti, contrôlons tous les dossiers et nous contrôlons tous les souvenirs. Alors nous contrôlons le passé, n’est-ce pas ? [Et donc, nous sommes libres de le réécrire comme bon nous semble…]. »

Bien sûr, nous ne sommes pas dans la même situation que Winston… nous sommes bien mieux lotis. Nous pouvons étudier et apprendre sur le « passé » si nous le désirons, malheureusement, il s’agit d’un choix possible que bien des personnes n’apprécient pas à sa juste valeur.

En fait, beaucoup ne sont probablement pas pleinement conscients qu’il se déroule actuellement une bataille pour savoir qui va « contrôler le passé » d’une manière qui ressemble beaucoup à ce qui s’apparente à un « effacement de la mémoire ».


William Sargant était un psychiatre britannique et, pourrait-on dire, le père du « contrôle mental » en Occident. Il avait des liens avec les services secrets britanniques et l’Institut Tavistock, qui influencerait plus tard la CIA et l’armée des États-Unis via le programme MK Ultra. Sargant a également été conseiller pour les travaux d’Ewen Cameron sur les esprits d’individus « déconstruits » sous LSD, à l’université McGill, financés par la CIA.

Note du traducteur : Ewen Cameron était un psychiatre d’origine écossaise et directeur de l’Allan Memorial Institute de l’université McGill, à Montréal. Il fut aussi président de l’Association psychiatrique des États-Unis, de l’Association psychiatrique du Canada et de l’Association psychiatrique mondiale.

Sargant justifie une des raisons pour lesquelles il a étudié et utilisé des formes de « contrôle de l’esprit » sur ses patients, lesquels étaient pour la majorité des soldats britanniques rapatriés du champ de bataille pendant la Seconde Guerre mondiale avec diverses formes de « psychose », en arguant qu’il s’agissait du seul moyen de réhabiliter des formes extrêmes de syndrome de stress post-traumatique.

L’autre raison était que les Soviétiques étaient apparemment devenus des « experts » dans ce domaine et que, pour des raisons de sécurité nationale, les Britanniques devaient à leur tour devenir des experts… pour des raisons d’autodéfense, bien sûr.

Les travaux d’Ivan Pavlov, un physiologiste russe, ont permis d’obtenir des informations intéressantes sur quatre formes primaires de systèmes nerveux chez les chiens, lesquelles combinaient des tempéraments inhibiteurs et excitateurs : « fortement excitateur », « équilibré », « passif » et « calme imperturbable ». Pavlov a découvert qu’en fonction de la catégorie de tempérament du système nerveux du chien, cette dernière déterminait la forme de « conditionnement » la plus efficace pour « reprogrammer le comportement ». La pertinence du « conditionnement humain » n’a échappé à personne.

Les pays occidentaux craignaient que ces techniques ne soient pas seulement utilisées contre leurs soldats pour que l’ennemi obtienne facilement des « confessions », mais que ces soldats puissent être renvoyés dans leur pays d’origine, sous la forme d’assassins et d’espions zombifiés susceptibles d’être mentalement activés par un simple mot de code. En tout cas, ce sont ces scénarios qui ont été propagés dans les populations à travers les films et les romans à suspense. C’est vraiment horrible ! Que l’ennemi puisse apparemment pénétrer dans ce que l’on considérait comme le seul terrain sacré qui nous appartenait… notre « esprit » même !

Cependant, pour ceux qui étaient à la pointe de la recherche sur le contrôle mental, comme William Sargant, il était entendu que le contrôle mental ne fonctionnait pas exactement de cette manière.

D’une part, la question du « libre arbitre » était un obstacle.

Peu importe la durée ou le degré des électrochocs, de la « thérapie » à l’insuline, des cocktails de tranquillisants, des comas provoqués, de la privation de sommeil, de la famine, etc., il a été découvert que si le sujet avait une « forte conviction » et une « forte croyance » en quelque chose, celle-ci ne pouvait pas être simplement supprimée, elle ne pouvait pas être remplacée par quelque chose d’arbitraire. Il fallait plutôt que le sujet ait l’illusion que son « conditionnement » relevait en fait de son « choix ». Il s’agissait d’une tâche extrêmement difficile, et les conversions à long terme (mois ou années) étaient rares.

Cependant, Sargant y a vu une opportunité. Il était entendu que l’on ne pouvait pas créer un nouvel individu à partir de rien, mais qu’avec un conditionnement adéquat, censé conduire à un effondrement physique par le biais d’un stress anormal ( en fait, un redémarrage du système nerveux), on pouvait sensiblement augmenter la « suggestibilité » des sujets.

Sargant a écrit dans son livre Bataille de l’esprit :

« Les descriptions cliniques de Pavlov des « névroses expérimentales » qu’il pouvait induire chez les chiens se sont avérées, en fait, correspondre étroitement aux névroses provoquées par la guerre que nous étudiions à l’époque. »

En outre, Sargant a découvert qu’un souvenir faussement implanté pouvait contribuer à induire un stress anormal conduisant à un épuisement émotionnel et à une dépression physique à même de susciter cette « suggestibilité ». En d’autres termes, il n’était même pas nécessaire de vivre un « stress réel », et un « stress fictif » était tout aussi efficace.

Sargant poursuit en déclarant dans son livre :

« Il n’est pas surprenant qu’une personne ordinaire, en général, soit bien plus facilement endoctrinée qu’une personne atypique… Une personne est considérée comme « ordinaire » ou « normale » par la communauté simplement parce qu’elle accepte la plupart de ses normes sociales et de ses modèles de comportement ; ce qui signifie, en fait, qu’elle est sensible à la suggestion et qu’elle a été persuadée d’aller dans le sens de la majorité dans la plupart des occasions ordinaires ou extraordinaires. »

Sargant aborde ensuite le phénomène du Blitz londonien, une période de huit mois de bombardements intensifs sur la ville de Londres pendant la Seconde Guerre mondiale. Au cours de cette période, pour faire face et rester « sain d’esprit », les gens se sont rapidement habitués à l’idée que leurs voisins pouvaient être et étaient enterrés vivants dans les maisons bombardées autour d’eux. La pensée était la suivante : « Si je ne peux rien y faire, à quoi bon me tourmenter ? ». On a donc constaté que « ceux qui s’en sortaient le mieux » étaient ceux-là mêmes qui acceptaient ce nouveau « cadre de vie » sans chercher à le contester, et qui se concentraient simplement sur leur « survie ».

Sargant remarque que c’est justement cette « adaptabilité » à un contexte environnemental en mutation qui fait partie de l’instinct de « survie » et qui est très ancrée chez l’individu « sain » et « normal », lequel est capable d’apprendre à faire face et continue donc à être « fonctionnel » en dépit du perpétuel changement de son environnement.

C’est donc notre « instinct de survie » profondément ancré dans notre inconscient qui s’est révélé être la clé de la suggestibilité de notre esprit. Et les meilleurs « survivants » se prêtent donc en quelque sorte à un meilleur « lavage de cerveau ».

Sargant cite les travaux de Hecker, qui étudiait le phénomène de l’épidémie dansante qui s’est développée pendant la période de la peste noire. Hecker a observé qu’une suggestibilité accrue pouvait amener une personne à

« minimiser l’éloge de la vertu aussi bien que la criminalité du vice en embrassant avec la même force, raison et folie, bien et mal. »

Et qu’un tel état d’esprit était comparable aux premiers efforts de l’esprit du nourrisson

« cet instinct d’imitation, lorsqu’il existe à son plus haut degré, se conjugue aussi avec une perte de tout pouvoir sur la volonté, qui se produit dès que l’empreinte sur les sens est bien installée, laquelle entraîne un état semblable à celui des petits animaux lorsqu’ils sont fascinés par l’aspect d’un serpent. »

Je me demande si Sargant s’imaginait être le serpent…

Sargant admet finalement :

« Cela ne signifie pas que toutes les personnes peuvent être véritablement endoctrinées par de tels moyens. Certaines ne se soumettent que temporairement aux exigences qui leur sont imposées, et luttent à nouveau lorsque revient la force du corps et de l’esprit. D’autres y échappent en surmontant leur folie. Ou encore, la volonté de résister peut céder, mais pas l’intellect lui-même. »

Mais il se console, en réponse à cette résistance obstinée, en affirmant que

« Comme nous l’avons mentionné dans un contexte précédent, le bûcher, la potence, le peloton d’exécution, la prison ou l’asile d’aliénés, sont généralement là pour les défaillants. »

Comment résister à la déconstruction de votre esprit

« Celui que les dieux veulent détruire, ils le rendent d’abord fou. »

Henry Wadsworth Longfellow, Le masque de Pandore et autres poèmes, 1875

Pour ceux qui n’ont pas vu le thriller psychologique de 1944 Gaslight, réalisé par George Cukor, je vous recommande vivement de le faire, car il contient une leçon inestimable, qui s’applique tout particulièrement à ce que je soupçonne que beaucoup d’entre nous vivent aujourd’hui.

Note du traducteur : Le film est sorti dans les salles françaises en 1947 sous le titre Hantise. La performance d’Ingrid Bergman sera saluée par un Oscar de la meilleure actrice dans un rôle principal.

L’histoire commence avec Paula, 14 ans (jouée par Ingrid Bergman), qui est emmenée en Italie après que sa tante Alice Alquist, célèbre chanteuse d’opéra et protectrice de Paula, a été retrouvée assassinée dans sa maison à Londres. Paula est celle qui a trouvé le corps et, frappée d’horreur, elle ne sera plus jamais la même. Sa tante était la seule famille qui lui restait. La décision est prise de l’envoyer loin de Londres, en Italie, afin qu’elle poursuive ses études pour devenir une chanteuse d’opéra de renommée mondiale comme sa tante Alice.

Les années passent, Paula vit une vie très protégée mais elle est toujours en proie à une sombre mélancolie et ne semble jamais pouvoir ressentir une quelconque forme de bonheur. Pendant ses études de chant, elle rencontre un homme mystérieux (son accompagnateur au piano pendant ses cours) et en tombe profondément amoureuse. Cependant, elle ne sait presque rien de cet homme, Gregory.

Après une romance de deux semaines, Paula accepte de l’épouser et se laisse rapidement convaincre de retourner vivre dans la maison de sa tante à Londres, laissée à l’abandon pendant toutes ces années. Dès qu’elle y pénètre, le souvenir de la nuit du meurtre la hante à nouveau et elle est prise de panique et de peur. Gregory tente de la calmer et lui dit que la maison a besoin d’un peu d’air et de soleil. Paula tombe alors sur une lettre adressée à sa tante par un certain Sergis Bauer, lettre qui confirme qu’il était en contact avec Alice quelques jours avant son meurtre. À cette découverte, Gregory devient étrangement agité et s’empare de la lettre. Il tente rapidement de justifier sa colère en attribuant à la lettre la responsabilité de ce qui a bouleversé Paula. Gregory décide alors d’enfermer toutes les affaires de la tante de Paula dans le grenier, pour apparemment lui épargner toute angoisse supplémentaire.

C’est à ce moment-là que Gregory commence à changer radicalement de comportement. Toujours sous le prétexte du « bien de Paula », tout ce qui est considéré comme une source de « contrariété » pour elle doit lui être soustrait. Et ainsi, rapidement, la maison se transforme en une forme de prison. On dit à Paula qu’il vaut mieux qu’elle ne sorte pas de la maison sans être accompagnée, qu’elle ne reçoive pas de visite et que l’auto-isolement est le meilleur remède à ses « angoisses » qui s’aggravent. Au début, Paula n’est jamais soumise à une interdiction stricte, mais on lui dit plutôt qu’elle doit obéir à ces restrictions pour son propre bien.

Avant une promenade, il lui fait cadeau d’une magnifique broche qui appartenait à sa mère. Comme le fermoir doit être remplacé, il demande à Paula de la garder dans son sac à main, et dit ensuite, plutôt hors contexte : « N’oublie pas où tu l’as mise, Paula, je ne veux pas que tu la perdes. » Paula se dit en elle-même que l’avertissement est absurde, « Bien sûr que je n’oublierai pas ! ». Lorsqu’ils reviennent de leur promenade, Gregory demande la broche, Paula cherche dans son sac à main mais elle n’y est pas.

Le scénario se poursuit ainsi, Gregory multipliant les avertissements et les rappels, apparemment pour aider Paula à surmonter ses « oublis » et ses « angoisses ». Paula commence à douter de son propre jugement et de sa santé mentale, car ces événements deviennent de plus en plus fréquents. Elle n’a personne d’autre à qui parler que Gregory, qui est le seul témoin de ces incidents apparents. On en arrive à un point où Gregory attribue à Paula un comportement complètement absurde. Un soir, on découvre qu’un tableau a disparu d’un mur. Gregory parle à Paula comme si elle était une enfant de cinq ans et lui demande de le remettre en place. Paula insiste sur le fait qu’elle ne sait pas qui l’a enlevé. Après avoir insisté avec passion sur le fait que ce n’était pas elle, elle monte les escaliers comme si elle était dans un rêve et sort le tableau de derrière une statue. Gregory demande pourquoi elle a menti, mais Paula insiste sur le fait qu’elle n’a pensé à regarder là que parce que c’est à cet endroit qu’il a été retrouvé les deux dernières fois que cela s’est produit.

Depuis des semaines, Paula pense qu’elle voit des choses, les lampes à gaz de la maison s’éteignent sans raison [ce qui a donné au film son titre : Gaslight – NdT], elle entend aussi des bruits de pas au-dessus de sa chambre. Personne d’autre ne semble s’en apercevoir. Gregory raconte également à Paula qu’il a découvert que sa mère, décédée alors qu’elle était très jeune, était en fait devenue folle et était morte dans un asile.

Bien que Paula soit réduite à un état de stupeur permanent, elle décide un soir de faire front et de reprendre le contrôle de sa vie. Paula est invitée, par l’une des amies proches de sa tante Alice, Lady Dalroy, à assister à une soirée mondaine organisée pour un concert musical. Rappelons qu’avant sa rencontre avec Gregory, la vie de Paula gravitait autour de la musique. La musique était sa vie. Paula se pare de vêtements somptueux pour la soirée et, en sortant, dit à Gregory qu’elle se rend à cet événement. Gregory tente de la convaincre qu’elle est trop fragile pour assister à une réception aussi mondaine. Lorsque Paula insiste calmement sur le fait qu’elle ira et que cette femme qui l’a invitée est une amie chère à sa tante, Gregory lui répond qu’il refuse de l’accompagner (à l’époque, c’était un gros problème). Paula se range à cet avis et marche avec une solide dignité, sans se décourager, vers la calèche. Dans une scène très révélatrice, Gregory est laissé momentanément seul et, pris de panique, les yeux exorbités, il referme son étui à cigares et court après Paula. Il l’interpelle en riant : « Paula, tu n’as pas cru que j’étais sérieux ? Je ne savais pas que cette réception était si importante pour toi. Attends, je vais me préparer. » Alors qu’il se prépare devant le miroir, un sourire diabolique apparaît.

Paula et Gregory arrivent en retard chez Lady Dalroy, le pianiste est au milieu du 1er mouvement de la Sonate pour piano n°8 en do mineur de Beethoven. Ils sont rapidement escortés vers deux sièges vides. Paula est immédiatement captivée par la musique et Gregory se rend compte qu’il perd le contrôle. Après seulement quelques minutes, il regarde sa montre à gousset mais elle n’est pas dans sa poche. Il chuchote à l’oreille de Paula : « Ma montre a disparu ». Immédiatement, Paula a l’impression qu’elle va être malade. Gregory prend son sac à main et Paula le regarde avec horreur en sortir sa montre à gousset, insinuant que Paula l’avait mise là. Aussitôt, elle perd le contrôle et craque en public. Gregory l’emmène, tout en faisant remarquer à Lady Dalroy que c’est pour cette raison qu’il ne voulait pas que Paula vienne.

Lorsqu’ils arrivent chez eux, Paula a maintenant complètement succombé à l’idée qu’elle est effectivement frappée de folie. Gregory déclare qu’il serait préférable qu’ils partent quelque part pour une période indéterminée. Nous apprendrons plus tard que Gregory a l’intention de la faire interner dans un asile. Paula accepte de quitter Londres avec Gregory et remet entièrement son destin entre ses mains.

Dans le cas de Paula, les choses sont claires. Elle soupçonne que Gregory a quelque chose à voir avec sa « situation », mais il a très habilement créé un environnement dans lequel Paula elle-même doute que cette situation puisse relever d’une méchanceté insondable ou découler du fait qu’elle devient effectivement folle.

C’est plutôt parce qu’elle n’est pas folle qu’elle doute d’elle-même, car aucune raison ne semble pouvoir expliquer pourquoi Gregory consacrerait autant de temps et d’énergie à faire croire qu’elle est folle, du moins en apparence. Mais qu’en est-il si l’objectif consistant à lui faire croire à sa folie était simplement une question de contrôle ?

Dans cette lutte pour le pouvoir, Paula a presque réussi à prendre le dessus le soir où elle a décidé de sortir seule, même si Gregory a insisté pour lui conseiller de ne pas le faire et qu’ c’était pour son bien. Si elle avait tenu bon chez Lady Dalroy et avait simplement répondu : « Je n’ai aucune idée de la raison pour laquelle votre stupide montre s’est retrouvée dans mon sac à main et je m’en désintéresse complètement. Maintenant arrêtez d’interrompre ce concert, vous vous donnez en spectacle ! » Elle aurait pu rompre l’emprise de Gregory aussi simplement que cela. S’il avait dû se plaindre de la situation auprès d’autres personnes, celles-ci auraient pu aussi lui rétorquer : « Qui s’en soucie cher Monsieur, pourquoi êtes-vous à ce point obnubilé par votre stupide montre ? ».

Nous nous trouvons aujourd’hui dans une situation très similaire à celle de Paula. Et la voix de Gregory est incarnée par les discours médiatico-politiques mensongers et la programmation socio-comportementale apocalyptique contenue dans différents types de divertissement. Des choses auxquelles la plupart des gens se soumettent volontairement tous les jours, voire toutes les heures, ce qui les conditionnent socialement, comme une meute de chiens pavloviens salivants, à penser que la fin du monde est proche et qu’au premier coup de cloche de leur maître… ils se boufferont les uns les autres.

Paula est finalement sauvée par un homme du nom de Joseph Cotten (un détective), qui a remarqué et rapidement discerné que quelque chose n’allait pas. Gregory est finalement arrêté. Il est révélé que Gregory est en fait Sergis Bauer. Qu’il a tué Alice Alquist et qu’il est revenu sur les lieux du crime après toutes ces années à la recherche des fameux bijoux de la chanteuse d’opéra. Les bijoux étaient en fait sans valeur, car ils étaient trop célèbres pour être vendus, mais Gregory n’a jamais eu l’intention de les vendre, il était plutôt obsédé par le simple désir de les posséder.

En d’autres termes, celui qui pendant tout ce temps était complètement fou, c’était Gregory.

Une personne du type de Gregory est extrêmement dangereuse. Si rien n’avait entravé son chemin, il aurait eu raison de Paula. Cependant, le pouvoir qu’il détenait n’existait que parce que Paula le laissait la contrôler. La désintégration extrême de Paula dépendait donc entièrement de son propre choix de permettre à la voix de Gregory de l’atteindre. En d’autres termes, un Gregory n’est dangereux que si nous nous soumettons au cauchemar qu’il a construit pour nous.

« Quand j’utilise un mot », dit Humpty Dumpty d’un ton plutôt méprisant, « il signifie exactement ce que je choisis qu’il signifie — ni plus ni moins. »
« La question est », dit Alice, « de savoir si l’on peut faire en sorte que les mots signifient tant de choses différentes. »
« La question est », dit Humpty Dumpty, « de savoir qui est le maître — c’est tout. »

Lewis Carroll, De l’autre côté du miroir

Source de l’article initialement publié en anglais le 8 août 2021 : The Saker Blog
Traduction : Sott.net

Note




Un activiste pro-vax reçoit une réplique cinglante d’un citoyen autrichien vacciné

[Source : Sott.net]

Quand un activiste pro-vax reçoit la réplique cinglante d’un citoyen autrichien vacciné, il n’a plus aucun argument à faire valoir !

Gerald Grosz, auteur et ancien politicien autrichien, s’est fait vacciner deux fois et le regrette ! Il expose son point de vue et remet en cause Merkel (Allemagne), Kurz (Autriche) et les présentateurs des médias mainstream :

« Il me semble donc que si j’avais pris des fleurs de Bach ou des globules homéopathiques, je serais mieux protégé qu’avec votre soi-disant « game changer ». »

« Cela signifie que leur vaccination ne change pas la donne, mais qu’elle est la plus grande lanceuse de fake news qui ait été offerte à l’homme au XXIe siècle. »

vaccin ou pas



Source : E&R




Le Pacte Secret

Par Christine Côte

Chers amis,

Je tombe juste là-dessus [21 Octobre 2020]. Il n’y a pas de hasard. Certains ne seront pas encore mûrs pour comprendre et accepter, cependant, parmi nous beaucoup le seront, car les consciences, grâce à l’information, s’élèvent et croissent.

Je vous en prie, ne dites pas « je n’aime pas la source », « je n’y crois pas », « ce sont des fake news » : lisez simplement et vous verrez. La vérité c’est la liberté, le mensonge, c’est la prison.

En lisant cela, l’on ne peut avoir aucun doute sur la sinistre réalité de ce plan en pleine réalisation. Je vous recommande de faire suivre cela à tous ceux et celles, parmi votre entourage, susceptibles de se réveiller.

C’est plus facile pour ceux qui savent depuis longtemps, mais rien n’empêche de prendre le train en marche…

Il est déjà presque impossible de nous libérer, cependant, si une grande quantité de gens se réveillaient, ce serait encore possible, car leur arme véritable, ce sont les victimes de la télé et des mass medias qu’ils incitent sciemment à la haine. Puisqu’il est marqué que le peuple ne doive jamais en avoir connaissance, la meilleure solution est de diffuser et de publier très largement. Montrez-le sur vos vidéos.

Bien à vous,

Christine


[Source : http://projectavalon.net/lang/fr/Le_pacte_secret_fr.html]

Le Pacte secret

C’est un texte à la résonance inhabituelle que nous vous proposons aujourd’hui [en 2011]. Il est apparu sur Internet il y a 9 ans, un certain 21 juin 2002, jour du solstice d’été, détail qui est loin d’être anodin quand on connaît la passion des Illuminati pour la symbolique et les rituels. Son auteur en est inconnu, mais une chose est sûre : en choisissant cette date, il avait bien l’intention de « leur » gâcher la fête. Nous vous en offrons ici la traduction française.

Ce qui y est décrit pourra paraître excessif à certains et presque dépassé à d’autres et pourtant, force est de constater que les points qui y sont évoqués font écho aux interviews des lanceurs d’alerte publiées sur Project Avalon et ailleurs [Comme Les Protocoles de Toronto du journaliste Serge Monast, mort en 1996]. On verra également que le « Menu » exposé semble chaque jour se concrétiser davantage… au rythme du conte de la grenouille d’Olivier Clerc qui ne savait pas qu’elle était déjà cuite.
Pour notre part, nous ne sommes certes pas encore « cuits », mais ça chauffe… et c’est la raison pour laquelle nous avons décidé consensuellement à Avalon de vous faire partager ce document.
Est-il authentique — soit l’œuvre d’un véritable « insider illuminati » qui se serait désolidarisé de ses maîtres — ou non ? À vrai dire, cela importe peu. Ce qui compte en échange c’est qu’il nous invite à ouvrir les yeux et à nous poser les questions qui s’imposent face aux immenses dérives dont nous sommes tous les jours spectateurs, voire davantage. C’est donc à point nommé que ce texte est arrivé jusqu’à nous.

À titre d’exemple, tout récemment (16/5/2011), le journaliste et historien américain Webster Tarpley (auteur entre autres choses de la « Biographie non autorisée de George W. Bush ») révélait le contenu des écrits de John P. Holdren, l’actuel conseiller scientifique de la Maison-Blanche, et la « recommandation » de l’élite en vue d’une population mondiale optimale d’un milliard d’habitants… des chiffres écrits noir sur blanc.


Le Pacte secret Anonyme, 21 juin 2002 Traduction française : Mai 2011

• L’illusion créée par notre pacte sera si énorme, si vaste, qu’elle échappera à leur perception.

Ceux qui la verront passeront pour fous.

• Nous créerons des fronts séparés pour les empêcher de voir les liens qui existent entre nous. Nous nous comporterons comme si nous n’étions pas connectés pour garder l’illusion bien vivante. Nous distillerons nos objectifs au goutte-à-goutte pour ne pas éveiller les soupçons. Ceci les empêchera également de distinguer les changements à mesure qu’ils se produisent.

• Nous nous placerons toujours au-dessus du champ relatif de leur expérience parce que nous connaissons les secrets de l’absolu.

• Nous travaillerons toujours ensemble et demeurerons liés par le sang et le secret. La mort viendra à celui qui parlera.

• Nous ferons en sorte que leur espérance de vie soit brève et leur intellect faible tout en prétendant faire le contraire.

• Nous utiliserons notre connaissance de la science et de la technologie de manière subtile afin qu’ils ne se rendent jamais compte de rien.

• Nous utiliserons les métaux, accélérateurs de vieillissement et des sédatifs dans leur nourriture et leur eau ainsi que dans l’air.

Ils seront entourés de poison de toutes parts.

• Les métaux occasionneront leur dégénérescence intellectuelle. Nous promettrons de trouver des traitements en nous mobilisant sur tous les fronts, mais nous les empoisonnerons toujours plus.

Lesdits poisons seront absorbés par la peau, par la bouche, et détruiront leur esprit et leur système de reproduction.

Pour toutes ces raisons, leurs enfants seront mort-nés, et nous occulterons cette information.
• Les poisons seront dissimulés dans tout ce qui les entoure, dans ce qu’ils boivent, ingèrent, respirent et dans les vêtements qu’ils portent.

• Nous devons nous montrer ingénieux à cet égard, car ils ont la capacité de voir loin.

Nous leur enseignerons que les poisons sont bons en diffusant des images amusantes et des tonalités musicales.
• Ceux qu’ils respectent nous aideront, car nous les enrôlerons pour faire progresser nos poisons.

Ils verront nos produits utilisés dans des films et s’y accoutumeront sans jamais connaître leurs effets véritables.
Dès la naissance, leurs enfants recevront des injections de poison dans le sang et nous les convaincrons que c’est pour leur bien.

• Nous commencerons quand les enfants sont tout petits, que leur esprit est jeune et nous les ciblerons avec ce que les enfants préfèrent, les sucreries.

• Lorsque leurs dents commenceront à se détériorer, nous les remplirons de métaux, ce qui détruira leur mental et anéantira leur avenir.

• Une fois leur capacité d’apprendre affectée, nous créerons des médicaments qui les rendront plus malades encore et causeront d’autres pathologies pour lesquelles nous inventerons d’autres remèdes.
• Nous les rendrons faibles et dociles par la force de notre pouvoir.

Ils deviendront dépressifs, attardés et obèses et, quand ils viendront solliciter notre aide, nous leur donnerons toujours plus de poison.
Nous les focaliserons sur l’argent et les biens matériels pour qu’ils ne puissent jamais se relier à leur Soi intérieur. Nous les distrairons par la fornication, les plaisirs et les jeux extérieurs pour que jamais ils ne deviennent un avec le Tout.

• Leurs esprits nous appartiendront et ils feront ce que nous leur dirons. S’ils s’y refusent, nous trouverons le moyen d’implanter des technologies susceptibles d’affecter leurs perceptions.

• Nous utiliserons la peur comme une arme.

• Nous établirons leurs gouvernements ainsi que les partis d’opposition. Les deux côtés nous appartiendront.

• Nous dissimulerons toujours nos objectifs, mais notre Plan sera mené à son terme.

Ils travailleront à notre place, mais nous en récolterons les fruits.
Nos familles ne se mélangeront pas aux leurs, notre sang doit toujours demeurer pur, car là est la formule.
Nous les ferons s’entretuer quand cela nous conviendra.
• Nous les maintiendrons éloignés de l’Unité par le dogme et la religion.

• Nous contrôlerons tous les aspects de leurs vies et leur dirons ce qu’ils doivent penser.
• Nous les guiderons gentiment et délicatement en leur laissant croire que cela vient d’eux.
• À travers nos factions, nous fomenterons l’animosité entre eux.
Quand une lumière brillera au milieu d’eux, nous la ferons s’éteindre par le ridicule ou par la mort, ce qui nous conviendra le mieux.

Nous les pousserons à déchirer le cœur de leurs conjoints et à tuer leurs propres enfants.

• Pour cela, notre alliée sera la haine et la colère notre amie. La haine les aveuglera totalement et ils ne se rendront jamais compte que leurs conflits font de nous leurs dirigeants. Ils seront bien trop occupés à s’entretuer.

• Ils baigneront dans leur propre sang et tueront leurs voisins jusqu’au moment que nous considérerons propice à notre assaut.

• Nous en tirerons le plus grand bénéfice, car ils ne nous verront pas, car ils ne peuvent pas nous voir.

• Leurs guerres et leurs morts nous permettront de prospérer toujours plus.

• Nous recommencerons, encore et encore jusqu’à l’accomplissement de notre but ultime.

Nous continuerons à les faire vivre dans la peur et la colère par la diffusion d’images et de sons. Nous utiliserons tous les outils dont nous disposons pour arriver à nos fins.

• Les outils nous seront fournis par leur travail.

Nous ferons en sorte qu’ils se détestent eux-mêmes et leurs voisins.

Nous leur cacherons toujours la vérité divine, le fait que NOUS SOMMES TOUS UN, ça, ils ne doivent jamais le savoir !

• Ils ne doivent jamais découvrir que la couleur de peau n’est qu’une illusion, ils doivent toujours penser qu’ils ne sont pas égaux.

• Pas à pas, insensiblement, nous ferons avancer notre objectif.

Nous prendrons leurs terres, leurs ressources et leurs biens, leur santé, pour exercer sur eux un contrôle total.
• Nous les abuserons en les incitant à accepter des lois qui les priveront du peu de liberté qui leur reste encore.

Nous établirons un système monétaire qui les emprisonnera à tout jamais et les endettera, eux ainsi que leurs enfants.

• Quand ils réussiront à unir leurs forces pour s’opposer à nous, nous les accuserons de crimes et présenterons au monde une histoire différente, car alors tous les médias nous appartiendront.

Nous utiliserons la presse et son sentiment en notre faveur pour contrôler le flux de l’information.

Quand ils se soulèveront contre nous, nous les écraserons comme des insectes, car ils sont encore moins que ça.
• Ils seront dans l’incapacité de faire quoi que ce soit, car ils n’auront pas d’armes.
Nous recruterons certains d’entre eux pour exécuter nos plans, nous leur promettrons la vie éternelle, mais de vie éternelle ils n’auront jamais, car ils ne sont pas des nôtres.
• Les recrues se feront appeler « initiés » et elles seront endoctrinées pour croire en de faux rituels, de faux rites de passage vers de plus hautes sphères. Des membres de ces groupes penseront qu’ils sont un avec nous, mais ne connaîtront jamais la vérité. Ils ne doivent jamais connaître cette vérité ou bien ils se retourneraient contre nous.

• Ils seront récompensés pour leur travail avec des biens terrestres et des titres honorifiques, mais jamais ils ne deviendront immortels ni ne nous rejoindront. Jamais ils ne recevront la Lumière ni ne voyageront vers les étoiles.

• Ils n’atteindront jamais les Sphères supérieures, car les crimes commis contre des membres de leur propre espèce les empêcheront de passer au royaume de l’Illumination. Ça, ils ne le sauront jamais.

• La vérité, bien que sous leurs yeux, leur sera cachée. Elle sera si proche d’eux qu’ils ne pourront pas se focaliser sur elle et que quand ils seront enfin en mesure de la voir, il sera trop tard.

• Oh oui, la grande illusion de la liberté sera si grande, que jamais ils ne sauront qu’ils sont nos esclaves.

• Une fois que tout sera en place, la réalité que nous aurons créée pour eux les possédera. Cette réalité sera leur prison. Ils vivront dans le déni et le refus de voir.

• Quand notre objectif sera atteint, commencera une Nouvelle Ère de Domination.

• Leurs esprits seront entravés par leurs croyances, ces croyances que nous avons établies depuis la nuit des temps.

• Mais, si jamais ils parviennent à découvrir qu’ils sont nos égaux, alors nous périrons. ILS NE DOIVENT JAMAIS SAVOIR CELA. Si jamais, ils découvrent qu’ensemble ils peuvent nous vaincre, ils agiront.

• Ils ne doivent jamais, jamais découvrir ce que nous avons fait, car autrement, nous n’aurons nulle part où nous cacher. Une fois le voile tombé, il leur sera facile de voir qui nous sommes. Nos actions auront révélé qui nous sommes, ils nous traqueront et personne ne nous viendra en aide.

• Ceci est le pacte secret par lequel nous vivrons pour le reste de nos vies présentes et futures, car cette réalité transcendera de nombreuses générations et espérances de vie.

• Le pacte est scellé dans le sang, notre sang. Nous sommes ceux qui sont venus du Ciel sur la Terre.

• L’existence de ce pacte ne doit JAMAIS, JAMAIS être révélée. Il ne devra JAMAIS, JAMAIS être rédigé ou commenté, car cela engendrerait une prise de conscience telle qu’elle attirerait sur nous la fureur du GRAND CRÉATEUR et nous serions renvoyés aux profondeurs dont nous venons pour y rester jusqu’à la fin des temps, pour l’éternité elle-même.

Auteur : Inconnu (Évidemment. il n’allait pas dire son nom, il n’aurait pas survécu 48 h).


Et pour que personne ne perde son temps en partant à la chasse aux fact checkers : voici l’original de la citation de Juncker.

https://www.spiegel.de/politik/die-bruesseler-republik-a-3d75c854-0002-0001-0000-000015317086

Quant « aux cimetières de soldats » les injections corona s’en chargeront bientôt.

Le cynisme de Jean-Claude Juncker, président de la Commission Européenne.
( Citation.) | Librinfo74

(9 mai 2021)

Voilà, près de 7 mois plus tard, tout le monde aura compris que c’est malheureusement vrai…

[Ndlr : source anglaise à trouver]

Ainsi la citation de Kissinger prend tout son sens. (J’ai eu rapport d’un destinataire de l’une de nos compagnes d’Armes, qui se serait précipité sur un fact checker. N’en tenez AUCUN compte. Ces gens-là agissent ainsi pour se « prouver » à eux-mêmes qu’ils ont raison de soutenir le gouvernement, ou bien que ce n’est « pas si terrible que ça ». Ces gens-là ont encore bien du chemin à faire, et leur réveil n’en sera que plus dur.

(…) Malheureusement en janvier 2020… tout le monde préférait écouter la télé.

(…) Les gens ne croient les choses que lorsqu’elles sont déjà arrivées, donc bien trop tard.

Bien à vous,

Christine




Que faire face à la police dans les manifestations ?

Démonstration ?




IEF — Instruction En Famille — école à la maison

Par Alain Tortosa

Pas de précipitation

La rentrée scolaire approche en France et, officiellement, il est obligatoire de déclarer l’école à la maison avant le 2 septembre 2021.

Oui, mais tout ceci n’est que théorie…

Dans les faits, croyez bien que si vous la déclarez le 15 octobre ou le 22 janvier cela ne changera probablement pas grand-chose :

  • En premier lieu parce que vous pourrez faire valoir des raisons légitimes. Refus de protocole sanitaire, refus de vaccination, raisons médicales physiologiques ou psychologiques.
  • Mais aussi parce que le chef d’établissement et l’académie seront bien contents de se débarrasser du problème. N’oublions pas que nous ne leur simplifions pas la vie en résistant et que si nous allons nous réfugier dans une grotte, cela les arrange bien.

Vous pourriez me parler d’enfants rescolarisés « de force » ou d’enfants retirés à leurs parents, mais dès lors que vous n’êtes pas maltraitants, qu’il n’y a pas de problèmes délirants de parents séparés ou de problèmes antérieurs à cet IEF, il est évident que vous ne risquez strictement rien.

Évidemment, l’arme de la dictature est la peur et la menace, elle en fait régulièrement usage.

Une solution transitoire

Nous devons être conscients que retirer nos enfants de l’école ne peut qu’être une solution transitoire…

Quid du passage au collège, au lycée, en apprentissage, en fac ou en école d’ingénieur ?

Il y a bien un moment où, sauf exception, notre enfant devra reprendre le cycle « standard » pour la simple et bonne raison que nous vivons dans un monde avec diplômes.

Le fameux « passeport » qui nous rassure !

Alors quand je dis que les diplômes ne servent à rien, on me souffle généralement la phrase « Tu te ferais opérer par un médecin sans diplôme » et ma réponse est toujours la même.

« Je préférerais 1000 fois me faire opérer par un boucher charcutier de formation qui pratique la chirurgie depuis 15 ans, dont le savoir a été transmis par un apprentissage de ses pairs, que par un jeune interne diplômé qui n’a pas la moindre compétence pratique. »

Quand je vois comment les médecins (dans leur immense majorité) sont à la fois incompétents, ignorants, méchants, maltraitants et débiles ou lâches pour le Covid, leur diplôme n’est pas de nature à me rassurer.

Et vous pouvez vérifier ma conviction dans le monde du travail où les entreprises demandent, certes, un diplôme parce que c’est obligatoire, mais surtout 15 ans d’expérience pour les jeunes diplômés, car elles savent bien que les diplômés (hormis les filières d’apprentissage) ne savent rien faire !

Bref je m’écarte de mon sujet, mais ceci pour dire que dans notre société que j’exècre, il est difficile d’échapper au parcours scolaire classique et que l’obtention de diplômes en candidat libre n’est pas si aisée…

Une morale discutable

Nous avons à titre personnel fait le choix de retirer nos enfants l’année dernière pour qu’ils n’aient pas à porter le masque, mais aussi pour qu’ils n’aient pas à vivre dans cet environnement carcéral.

Néanmoins, et comme je pense qu’un retour au cursus classique est quasi obligatoire, ce retour peut être psychologiquement fort perturbant.

Pour moi, c’est de même nature que d’accueillir en France un enfant sri-lankais pendant un an puis le renvoyer dans son usine et son bidonville au terme de son séjour.

L’école à la maison, pour nous, est fort différente de l’école en établissement.

L’enfant a plus d’autonomie, il dispose du temps nécessaire pour chaque apprentissage, il peut se faire aider, aller plus vite sur ce qu’il assimile…

Bref, exactement le contraire de l’usine à fabriquer des clones crétins et obéissants !

L’école de la république, en France, n’est qu’un outil pour gaver et formater de futurs esclaves pour lesquels il faut tout faire pour les empêcher de devenir des êtres pensants et autonomes.

Comprenez bien que lorsque, élève, on a goûté à cette liberté, goûté à la réflexion et à l’intelligence, revenir au système le plus con qui puisse exister au monde ne peut qu’être déstabilisant, déprimant et démotivant !

Et je pense que plus la parenthèse aura été longue et plus le retour dans un cycle « standard » sera violent et plus le risque d’échec scolaire sera important.

De « l’efficacité » de la mesure

Retirer ses enfants de l’école c’est comme déserter… cela permet de sauver sa vie, mais pas de gagner la guerre.

C’est d’ailleurs ce que j’ai fait à titre personnel depuis l’année dernière en ne portant pas de masque et en boycottant les enseignes. OK j’ai protégé ma santé, OK j’ai gardé ma dignité, mais cela n’a pas gêné la dictature en quoique que ce soit.

Vous pourriez me rétorquer à juste titre que si nous sommes très nombreux (par exemple 10 %) à retirer nos enfants de l’école alors cela va mettre un bordel pas possible.

Je suis tout à fait d’accord avec vous, mais je vous rétorquerais que si nous sommes 10 % à refuser la dictature, la maltraitance et le protocole sanitaire pour nos enfants alors nous avons les moyens de faire plier l’établissement, le système et faire tomber le protocole sanitaire.

Et c’est donc là que je veux en venir…

On ne peut pas d’un côté retirer nos enfants et d’un autre se battre pour supprimer le protocole sanitaire !

Ce n’est que de l’intérieur, par des actions de résistance ou par des actions juridiques que nous pourrons faire admettre nos enfants dans des établissements dès cette rentrée sans protocoles sanitaires.

Nous avons bien compris que si nous restons passifs, cette dictature va s’installer pour de nombreuses années. Quand ils auront épuisé le Covid, ils passeront à la dictature climatique pour laquelle ils nous préparent quasi tous les jours dans les médias.

Retirer nos enfants aujourd’hui sans combattre activement le système, c’est les réintégrer dans un, deux,… dix ans dans un système qui sera encore plus liberticide et maltraitant que celui qui nous est proposé aujourd’hui.

Je ne suis pas en train de dire que nous ne devons pas faire l’école à la maison.

Je serais d’autant plus mal placé que je les ai retirés l’année dernière.

En revanche, j’affirme que les retirer de l’école avant la rentrée, sans mener bataille, c’est faire le plus beau des cadeaux à la dictature enfin débarrassée des résistants et libre de maltraiter les autres comme elle l’entend.

Merci

Alain Tortosa

https://7milliards.fr/tortosa20210821-ecole-a-la-maison-impasse.pdf




Vaccins COVID – des millions d’effets secondaires

[Source : @Vivresainement]

Capsule à voir absolument :
https://odysee.com/@Vivresainement:f/film-covid-26-raisons-pour-refuser-les-vaccins:8

Voici le lien pour vous inscrire à la plateforme Odysee afin d’éviter la censure et obtenir une récompense :
https://odysee.com/$/invite/@Vivresainement:f

Sur Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCPc4qwIJsi4KPJCtjxdogiQ

Abonnez-vous à ces associations pour entrer dans la résistance :
https://reaction19.fr/
http://www.bonsens.info/
https://reinfocovid.fr/
https://www.divizio.fr/recours/

Questionnaire pour signaler des effets secondaires :
https://bonsens.info/actualites-bonsens-n-2021-21-du-24-mai-2021/

Regardez ces sites pour suivre tous les soldats digitaux :
https://infovf.com/
https://www.launetv.com/

Merci spécial, abonnez-vous à leur chaînes SVP
https://odysee.com/@UnEtreHumain:8
https://odysee.com/@ExcaliburTraduction:4
https://rumble.com/user/Quantumleap
https://odysee.com/@falazone:0
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a

Sources :
https://www.worldometers.info/coronavirus/
https://www.timesofisrael.com/tv-14-israelis-who-got-3rd-shot-later-infected-with-covid-19/
https://www.lci.fr/sante/covid-corse-33-cas-positifs-dans-une-colonie-de-vacances-de-sagone-malgre-des-pass-sanitaires-valides-2192316.html?utm_medium=Social&utm_source=Twitter&Echobox=1627287925#xtor=CS5-113
https://reseauinternational.net/derive-liberticide-des-avocats-montent-au-front/
https://www.washingtonpost.com/health/2021/07/30/provincetown-covid-outbreak-vaccinated/
https://animap.fr/
http://u.osmfr.org/m/641821/
https://www.lefigaro.fr/flash-actu/covid-19-l-oms-critique-la-strategie-des-pays-riches-et-appelle-a-ne-pas-vacciner-les-plus-jeunes-20210728






L’OMS a récemment supprimé TOUS les articles favorables à la vitamine D sur son site

[Source : fawkes-news.com]

Ces articles étaient encore en ligne au mois d’avril 2021 et ils ont depuis mystérieusement disparus. Cela semble peu probable que ce soit un hasard que tous les articles mentionnant un effet préventif sur les maladies virales aient disparu du site de l’OMS à peu près dans la même période. 

Le premier datait de 2017 et s’intitulait « La vitamine D pour la prévention des infections des voies respiratoires » (lien vers la dernière archive du mois de mai). Il indiquait notamment que « la carence en vitamine D peut affecter le système immunitaire car la vitamine D joue un rôle immunomodulateur (6), renforçant l’immunité innée en régulant à la hausse l’expression et la sécrétion des peptides antimicrobiens (7-8), ce qui stimule les défenses muqueuses. De plus, des méta-analyses récentes ont rapporté un effet protecteur de la supplémentation en vitamine D sur les infections des voies respiratoires ». Article envolé.


Un autre article de 2011 intitulé « Supplémentation en vitamine D visant à améliorer les effets du traitement chez les enfants atteints d’infections respiratoires » (lien vers la dernière archive) a également été supprimé récemment. L’article affirmait que « Une carence en vitamine D est fortement associée au risque d’infections aiguës des voies respiratoires inférieures dans un certain nombre de contextes » et que  » La supplémentation en vitamine D semble réduire l’incidence et les effets délétères de ces affections ou d’autres, telles que les infections aiguës des voies respiratoires inférieures, ainsi que la mortalité toutes causes confondues ».


En faisant une recherche sur leur site sur le sujet de la vitamine D, c’est le néant. On ne trouve plus qu’une seule mention et il s’agit d’un article sur la prévention des chutes en français. Plus rien sur le sujet de la prévention des maladies virales.


Rien non plus sur la version anglaise du site:

L’OMS s’est donc auto-censurée sur un sujet actuel et critique qui pourrait sauver de nombreuses vies. En effet, plus d’une centaine d’études se sont penchées sur l’intérêt de cette vitamine pour le COVID et de nombreux spécialistes plaident pour une utilisation généralisée de celle-ci pour prévenir les formes graves. 
Dès le mois de mai 2020, une étude montrait que la vitamine D peut réduire de moitié la mortalité COVID. Depuis, les études se sont enchaînées, quasiment toujours positives. Pourtant, à ce jour le gouvernement n’a toujours rien fait pour combler les carences des français (notamment les personnes âgées qui se trouvent être la population à la fois la plus à risque de formes graves de COVID mais aussi la plus à risque de carence en vitamine D) préférant tout miser sur la vaccination.
Il est certain que les décès de nombreuses personnes auraient pu être évités si une supplémentation généralisée en vitamine D avait été faite pendant l’automne/hiver. Malheureusement, contrairement à ce qu’il tente de nous faire croire, le gouvernement ne cherche pas à sauver des vies.




Idéologie LGBTQ+… Un Transgenre raconte sa détransition

[Source : breizh-info.com]

En fréquentant des milieux transactivistes, Clément a transitionné d’homme à femme pendant quelques mois. Constatant qu’il avait pu être fortement influencé, il a décidé de revenir en arrière en arrêtant ses traitements hormonaux et d’accepter en tant qu’homme la part de féminité de sa personne. Il décrit l’endoctrinement du milieu LGBT sur la question de la transidentité et du manque de jugements de certains médecins face à la dysphorie de genre.

https://youtu.be/Vc27c3WTvLk [Lien non fonctionnel. Autre source :]

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Covid-19 : Les autorités, via les chaînes d’info en continu, utilisent-elles des acteurs pour jouer les antivax repentis ?

[Source : ZEjournal]

Par JF.Kersca

Si véritablement la vaccination est une formidable réussite et qu’un bon nombre de personnes s’est fait injecter la potion magique, plus de la moitié des français selon les politiques, médecins de plateaux, scientifiques stipendiés et journalistes obéissants, alors dites moi pourquoi aller chercher un intermittent du spectacle pour jouer le rôle d’un malade agonisant sur un lit d’hôpital ? Il existe même un site spécialisé dans le domaine. Bien sûr, tous ces acteurs interprètent des non-vaccinés qui regrettent amèrement d’avoir soit trop attendu pour se faire inoculer, soit regrettent purement et simplement d’avoir refusé la potion magique (la télé-réalité des antivax repentants). Ce n’est plus un cirque, mais une pièce de théâtre ultra propagandiste à ciel ouvert.

Pourquoi des meRdias joueraient-ils ce jeu extrêmement dangereux ? Parce qu’ils n’ont pas le choix, car soit ils sont tenus par des idéologues milliardaires – psychopathes mondialistes -, soit ils sont directement financés par l’état – les deux dans la plupart des cas. Peu importe qui signe le gros chèque, le torchon, la télé poubelle, la radio complice, etc. sont sous perfusion vitale. Si la perfusion mécénique et étatique n’est plus administrée au malade, le meRdia décède inévitablement et quasiment sur le champ. Les journalistes étant formés par l’oligarchie globaliste, à l’instar des médecins formés dans les écoles de Rockefeller (le tout chimique), ils ne font que leur travail : relayer l’information officielle sans se poser la moindre question.

Certains journalistes, Emmanuelle Ducros et les ménages par exemple, sont carrément financés par divers lobbies, selon, évidemment, la notoriété et le poids de leur parole ou de leurs écrits sur une grande partie des lecteurs, téléspectateurs ou auditeurs. Cela porte un nom : corruption. Lorsqu’un médecin passe son temps dans le poste, plutôt que dans son service à l’hôpital, a vanter les mérites d’un médicament inutile et dangereux, le Remdesivir par exemple, produit par un laboratoire, Gilead par exemple, alors qu’il est financé par le labo qui produit ce médicament, comment peut-on encore penser que ce toubib cathodique puisse être objectif. Des Lacombe et Blachier ont défendus bec et ongles ce traitement onéreux et ont touché des dizaines voire centaines de milliers d’euros de Gilead (Martin Blachier, Public Health Expertise : 882 205 euros de divers laboratoires pharmaceutiques, dont 120 600 euros de Gilead). Peut-on légitimement penser qu’ils aient été impartiaux ?  Ce n’est qu’une question.

Tout est bon pour nous inoculer la mixture ARNm et OGM de ces laboratoires criminels condamnés à de nombreuses reprises à des amendes faramineuses. Chaque pays récite inlassablement la même rengaine, le même texte, les mêmes directives pondues par Davos et son gourou Klaus Schwab et orchestrées par les fondations Bill et Mélinda Gates et Rockefeller. Ce que nous vivons en temps réel, c’est un plan savamment mis en place par une élite dictatoriale et eugéniste pour changer de paradigme. Ce qui arrive à grands pas, c’est le crédit social à la chinoise. Cette pièce de théâtre à ciel ouvert n’a absolument rien à voir, vous l’avez bien compris, avec une crise sanitaire.


Covid-19 : la télé-réalité rend malade !

Pas facile la vie des acteurs  en ces temps de coronavirus. Heureusement, ils arrivent à trouver de petits rôles dans la vraie vie. Nous l’avons vu en France, là. Voyons comment trois acteurs de télé-réalité au chômage se sont débrouillés en Grande-Bretagne. La pièce, dans laquelle ils ont joué avec beaucoup de réalisme, a pour titre « Covid-19 : vaccinez-vous ! »

Ils jouent le rôle de leur vie

Tara Langstone

« Tara Jane Langston, mère de deux enfants, a contracté le Covid-19. Depuis son lit d’hôpital, en mars 2020, la maman de 39 ans a mis en garde contre les dangers de ce virus dans une vidéo effrayante ». 

Tara s’adresse à la caméra en haletant pour respirer. Diagnostiquée positive au coronavirus la semaine dernière, elle a décrit son calvaire sur Facebook : « Si quelqu’un pense à prendre des risques, regardez-moi. Je suis aux soins intensifs. Je ne peux pas respirer sans ça. S’il vous plaît, ne prenez aucun risque. Parce que si ça devient vraiment grave, vous allez finir ici. C’est comme avoir du verre dans les poumons, c’est difficile à expliquer, mais chaque respiration est une bataille. C’est absolument horrible et je ne voudrais plus jamais revivre une telle chose. J’ai été malade pendant environ cinq jours avant d’être transportée à l’hôpital en ambulance ».

Tara Jane Langston, après avoir été une star de la télé-réalité britannique (Channel 4, « The Bridge »), est devenue serveuse et cosmétologue.

Matthew Roche

« Un homme de 38 ans a passé cinq semaines en soins intensifs avec le coronavirus après avoir refusé d’être vacciné. Matthew Roche est toujours en convalescence à l’hôpital de Whiston et a subi des dommages permanents aux poumons ».

Il a déclaré à Good Morning Britain  (ITV) : « Je me suis dit : “Je vais me faire vacciner, mais j’aimerais voir ce qui se passe au niveau des effets secondaires.” Personne ne prend cela au sérieux tant que ce ne lui est pas arrivé. J’ai perdu 10 % de mon poids, mes poumons ont subi des modifications permanentes et importantes, et il se pourrait bien que ma vie soit changée à jamais. Cela a été l’expérience la plus terrifiante de ma vie ».

Matthew Roche a joué en 2020 dans « Captain Bluebeard » et dans  « Charity collector » en 2019. Lors d’une simulation d’attaque terroriste dans un centre commercial, il a tenu le rôle d’un civil victime d’une explosion simulation de choc : pleurs, vomissements, il a apporté tout le réalisme possible à ce rôle, afin de mettre au défi les intervenants et les acteurs bénévoles. 

Marcus Birks

« Marcus Birks, 40 ans, un fou de gym qui se croyait à l’abri du Covid et qui a “repoussé” l’idée de se faire vacciner se bat pour sa vie. Il se trouve dans l’unité de soins intensifs d’un hôpital des West Midlands. Il exhorte les gens à se faire vacciner, après avoir pensé qu’il était à l’abri du virus ».

Le 11 août 2021, il déclare à BBC News : « Si vous n’avez pas été malade, vous ne pensez pas que vous allez l’être, alors vous écoutez les trucs [anti-vaccins]. Quand vous avez l’impression de ne pas pouvoir respirer assez, c’est le sentiment le plus effrayant du monde. La première chose que je vais dire à toute ma famille, c’est de se faire vacciner, ainsi qu’à tous ceux que je vois. Et dès que je pourrai l’avoir, je le ferai ».

Marcus Birks a joué dans de nombreuses séries de télé-réalité, dont « Odd One In » (2010), et  a été gagnant de Lads Army (2002). Depuis il s’oriente vers la chanson.

Nouveau job en Grande-Bretagne : vaccinateur

L’épidémie de coronavirus a créé l’emploi de vaccinateur. Une offre — en CDI ! — fait augurer d’un métier d’avenir !

« Une opportunité passionnante s’offre à vous pour rejoindre une nouvelle équipe dynamique chargée de fournir une gamme de vaccins à la population de l’Aberdeenshire dès la naissance et au-delà.  

Ce poste offre une grande variété, allant de la vaccination des enfants d’âge préscolaire, des écoles primaires et secondaires à celle des adultes. Ces vaccinations seront effectuées dans divers environnements, des foyers aux écoles, en passant par les lieux de rassemblement ou les centres de traitement et de soins communautaires, ce qui favorisera une culture du travail en équipe et de l’agilité. 

Le poste est actuellement ouvert aux personnes inscrites au NMC [infirmiers et aide-soignants] et, bien qu’une expérience préalable de la vaccination soit bénéfique, elle n’est pas essentielle car une formation complète sera fournie. Les candidats doivent faire preuve d’innovation, d’amabilité et d’adaptabilité ».

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.


« Tiens bon, on les aura ces connards »

(SMS de notre président à notre ministre de la Santé*)

Les jeunes se vaccinent pour voyager, les anciens ont cru la télé. Il reste la tranche 35-55 ans à convaincre. CNews met le paquet avec son Covid-fiction de l’été.

Marseille : Episode 1 Saison 1 : le non-vacciné repenti

Et le même jour aux États-Unis…

La même scène, mais cette fois le mourant a ses lunettes, son téléphone en main et rassemble toute son énergie pour prévenir qu’il ne faut pas faire comme lui, qui n’a pas voulu se vacciner.

En Guadeloupe aussi

Les journalistes là aussi peuvent entrer en salle de réanimation photographier un patient atteint du Covid-19 à l’hôpital Les Abymes (Centre hospitalier universitaire) à Pointe-à-Pitre, sur l’archipel de la Guadeloupe, le 6 août 2021.

Le 20 mars 2021 déjà, CNews avait employé un comédien

* La citation dans le titre a été relayée par divers médias dignes de la confiance gouvernementale : 
Valeurs actuellesLa Charente Libre20 minGala

– Source : JF.Kersca




Passeports de santé numériques : le piège qui attirera de nombreuses personnes dans le système mondial sans numéraire

[Source : LeoHohmann.com]

Par John Gideon Hartnett

Plusieurs nouvelles technologies qui semblent distinctes et non liées vont bientôt converger, créant un piège numérique géant qui attirera facilement les masses non informées.

Le piège numérique est déjà tendu et les élites mondialistes utilisent la COVID pour accélérer le processus de convergence. La plupart des gens tomberont dans le piège, ce qui les réduira finalement à un code QR humain – repérable, traçable et dépendant à 100% des Big Tech et du grand gouvernement pour leur existence.

Je vais défaire chacun de ces fils apparemment séparés qui seront progressivement fusionnés en une seule grille de contrôle socio-financière globale.

L’élément du programme le plus imminent nécessaire pour relancer ce système est le lancement réussi des passeports sanitaires numériques.

La France, l’Italie, l’Irlande, l’Allemagne, la Grèce et de nombreux autres pays ont commencé à imposer ces passeports à leurs citoyens, dont beaucoup envahissent les rues pour protester

Les citoyens protestent contre les pass sanitaires dans plus de 150 villes à travers la France.

Le mouvement vers les passeports sanitaires numériques aux États-Unis se fait plus progressivement, mais il prend de l’ampleur.  

Dans un briefing le lundi 2 août, le coordinateur de la réponse au coronavirus de Biden, Jeffrey Zients, a annoncé « qu’il est temps d’imposer certaines exigences » en ce qui concerne les vaccins anti-COVID.

Lorsqu’on lui a demandé des éclaircissements sur les règles COVID qui pourraient être mises en œuvre, l’attachée de presse de la Maison Blanche, Jen Psaki, a déclaré que rien n’est exclu.

Souvenez-vous de cette phrase : Rien n’est exclu.

Cela pourrait impliquer de rassembler les non vaccinés et de les placer dans des camps d’isolement et de quarantaine.

Un consortium universitaire composé de six universités a déjà un contrat avec le département américain de la Sécurité intérieure pour fournir une formation aux parties prenantes du gouvernement, des forces de l’ordre, des soins de santé et du secteur privé sur la façon de mettre en quarantaine « de grandes parties » des communautés rurales.

Mais la volonté de numériser la vie des Américains commencera dans les villes et se déplacera vers l’extérieur.

Le maire de New York, Bill de Blasio, est devenu le premier homme politique à saisir l’occasion d’exiger des passeports vaccinaux.

Malgré ce que l’on essaie de vous dire, séparer les Américains par statut vaccinal est une première historique. Cela n’a jamais été tenté auparavant, pas à travers les épidémies de polio ou de variole des années 1920, 30 et 40, pas pendant la grippe espagnole. Jamais.

De Blasio a ordonné aux entreprises de refuser le service aux non vaccinés, qui représentent 30 % de la population de la ville. Il reste à voir comment de Blasio appliquera cet édit. Appelera-t-il la police pour qu’elle ferme les entreprises qui n’exigent pas de leurs clients qu’ils montrent leurs papiers ?

Le gouverneur de New York Andrew Cuomo vise également des mandats de passeport vaccinal dans tout l’État, mais sait qu’il doit être un peu plus diplomatique dans son approche.

« Les entreprises privées, je leur demande et leur suggère de passer à l’admission uniquement pour les vaccinés. Passez à l’admission uniquement pour les vaccinés », a déclaré Cuomo lors d’une conférence de presse le 2 août.

« Je crois qu’il est dans votre propre intérêt commercial », a-t-il dit, « de gérer un établissement réservé aux vaccinés…. Nous avons des applications, dites simplement « vous devez montrer que vous avez été vacciné lorsque vous franchissez la porte. » »

En d’autres termes, « Montrez vos papiers ».

Pensez à ce que Cuomo dit ici.

Il « demande » avec force aux propriétaires d’entreprise d’éliminer 30 pour cent de la population de l’État de leur champ de clients potentiels et de les traiter comme des non-personnes.

Ceci est du pur fascisme et rappelle la propagande nazie qui a contraint les Allemands à refuser de faire des affaires avec les Juifs.

Si les propriétaires d’entreprise de New York écoutaient Cuomo, ils rendraient impossible aux personnes non vaccinées de nourrir leurs enfants.

Apprenez vos droits médicaux en tant qu’employé, étudiant, etc., et comment « dire non à l’aiguille » sur HealthyAmerican.org de Peggy Hall 

Les passeports numériques exigent que les gens téléchargent un code QR numérisable sur leur téléphone portable qui permettra aux entreprises de savoir qu’elles ont été vaccinées avant d’être autorisées à entrer et à recevoir le service [acheter ou vendre].

Cela nous amène à la deuxième étape du piège numérique qui cuit dans le four technologique – un nouveau système d’identification numérique mondial capable de fonctionner conjointement avec les passeports sanitaires numériques et le nouveau complexe médico-vaccinal.

Le leader de ce courant technologique est l’Alliance ID2020, une collaboration de plus de 35 membres dont Accenture, Microsoft, la Fondation Rockefeller, MasterCard, IBM, la Chambre de commerce internationale, MIT SafePaths et GAVI Global Vaccines Alliance de Bill Gates.

En février 2021, ID2020 a lancé le Good Health Pass Collaborative pour encourager une convergence transparente de toutes les applications d’accréditation des vaccins anti-COVID-19 développées par de nombreuses organisations différentes.

« Les certificats vaccinaux en papier peuvent être facilement falsifiés », prévient l’Alliance ID2020 dans un communiqué. « Le but des informations d’identification de santé est de prouver en toute sécurité qu’une personne a reçu un vaccin ou un test PCR. La nouvelle alliance cible particulièrement les voyages pour garantir que les informations d’identification fonctionnent de manière transfrontalière, intersectorielle et sans friction. »

L’alliance a publié un livre blanc sur le sujet pour ceux qui recherchent plus de détails.

Une autre pièce du puzzle techno-fasciste en évolution est la nouvelle monnaie numérique.

Les banques centrales du monde travaillent sur une monnaie numérique programmable basée sur la technologie de la chaîne de blocs. Cela signifie qu’ils seront en mesure de suivre vos dépenses et de vous couper les vivres pour quelque raison que ce soit.

Le Fonds monétaire international a publié un article sur son site Web en juillet, saluant l’Inde comme un leader mondial dans la lutte pour éliminer les espèces. Et bien sûr, la COVID a été mentionnée comme accélérant l’abandon du papier-monnaie. Le FMI a noté :

« La COVID-19 a accéléré l’utilisation des paiements numériques sans contact pour les petites transactions alors que les gens essaient de se protéger du virus. Ces avancées s’appuient sur India Stack, un système complet d’identité numérique, de paiement et de gestion des données sur lequel nous écrivons dans un nouvel article (Carrière-Swallow, Haksar et Patnam 2021). »

Comme vous pouvez le voir dans la déclaration ci-dessus, l’objectif est une identité numérique complète, combinant ses données de santé et son statut vaccinal avec des données bancaires et d’autres données personnellement identifiables.

Klaus Schwab nous a prévenus à l’avance du piège que lui et ses copains élitistes nous tendaient.

« La quatrième révolution industrielle conduira à une fusion de nos identités physique, biologique et numérique », a déclaré Schwab au Chicago Council on Global Affairs en novembre 2020.

Même avant cela, dans son livre de 2018, Shaping the Future of The Fourth Industrial Revolution, Schwab a écrit :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle ne s’arrêteront pas de faire partie du monde physique qui nous entoure, elles feront partie de nous.

« En effet, certains d’entre nous ont déjà le sentiment que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes d’aujourd’hui, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront presque certainement implantables dans notre corps et notre cerveau.

Lorsqu’il a écrit ces idées grandioses en 2018, cela ressemblait à la tarte dans le ciel des rêveries d’un futuriste déconnecté et peu y ont prêté attention. Post COVID, c’est sous notre nez et prêt à être mis en œuvre.

La dernière étape du programme technologique pour contrôler l’humanité est que les géants de la Big Tech travaillent ensemble pour éliminer toutes les voix dissidentes d’Internet. Leur objectif ultime est de créer un système où tous les utilisateurs ont un passeport Internet, sous réserve d’un examen périodique de votre activité en ligne.

Les géants de la Big Tech ont déjà déclaré qu’ils partageaient activement des informations dans le but de réprimer les « suprémacistes blancs » dans le cadre du Global Internet Forum to Counter Terrorism, un organisme auparavant réservé pour cibler les talibans et al-Qaïda. 

PayPal a annoncé qu’il travaillerait avec l’Anti-Defamation League notoirement marxiste pour parcourir l’Internet, à la recherche de voix « extrémistes » et « anti-gouvernementales » afin de rendre inactif leurs boutons de don PayPal.

Dans le cadre de ce système de notation sociale à la chinoise, les coupables d’infractions en ligne sont publiquement humiliés et réduits au silence. Les collecteurs d’informations sont payés pour dénoncer leurs voisins et les membres de leur famille. Une fois que votre pointage de crédit social descend en dessous d’un certain niveau, vous devenez tellement discrédité qu’il devient de plus en plus difficile de trouver un emploi, de voyager en avion, en train, en bus ou en voiture, d’obtenir des prêts ou d’inscrire vos enfants dans les meilleures écoles.

Ceux qui fournissent des informations qui vont à l’encontre le narratif seront signalés, avertis, et finalement bloqués en tant que diffuseurs de « désinformation ».

Vous perdez votre liberté d’expression, mais ce n’est pas tout.

Dans la société d’aujourd’hui, être retiré d’Internet signifie que vous ne pourrez pas acheter ou vendre en ligne ou effectuer un travail nécessitant une connexion Internet.

Ainsi, les passeports sanitaires, actuellement en cours de déploiement dans le monde entier, vous empêcheront d’acheter en personne de la nourriture et des produits de première nécessité, tandis que le prochain passeport Internet vous empêchera de commander vos produits de première nécessité en ligne. Vous vous retrouverez essentiellement avec le marché noir, en supposant qu’il y en ait un pour ceux qui sont jugés « impurs » et « impropres » pour le monde moderne en raison de leurs opinions dissidentes.

Toutes ces technologies fusionneront à l’intersection du Big Data, des grandes banques, de la Big Tech et du grand gouvernement. Votre pointage de crédit social sera désormais lié non seulement à votre activité sur Internet, mais aussi à votre compte bancaire et à votre statut vaccinal. Bienvenue dans la Grande réinitialisation, alias Nouvel Ordre Mondial.

Ajoutez les avancées de l’IA et de la reconnaissance faciale et des millions de caméras de surveillance et vous parlez d’un État esclavagiste verrouillé qui fait ressembler 1984 de George Orwell à un club de vacances.

Mais ne vous plaignez pas. Tout cela est « pour notre sécurité ».

On ne peut pas faire confiance aux gens pour faire ce qu’il faut, croire aux faits réels, mener le genre de vie qui aboutit à une société paisible et heureuse. Tous doivent se conformer aux nouveaux maîtres.

Il est maintenant temps de combattre ce système. Mais pour le combattre, vous devez reconnaître son existence et garder une longueur d’avance sur la stratégie maléfique de la cabale.

À un moment donné, la trappe se refermera. Il sera trop tard pour se retirer. Vous vous conformez ou devenez une non-personne. Un ennemi de l’État.

Ces voies distinctes d’évolution technologique finiront par fusionner pour créer une société dans laquelle tout, et chaque personne, est suivi numériquement. Pas seulement le mouvement de leur corps physique, mais leurs actions, leurs comportements et même leurs pensées.

Les élites comptent sur nous pour accepter ce système à ses débuts, fragmentés. La plupart des gens pensent de manière compartimentée. Ils ne relient pas les points. Ils seront trompés.

Les élites ne vont pas vous dire d’emblée tout ce qui est impliqué dans la quatrième révolution industrielle. Ils vont juste vous dire les parties qui semblent bonnes – commodité, inclusion, sûreté, sécurité.

Regardez la vidéo effrayante de 42 secondes publiée par le gouvernement australien exhortant les gens à créer une identité numérique (en anglais).

Une fois cette trappe fermée, il sera très difficile de sortir de ses griffes. Ne téléchargez pas d’applications, payez en espèces chaque fois que c’est possible, et arrêtez de marcher en somnambule vers le Nouvel Ordre Mondial.

Lisez l’article complet sur LeoHohmann.com.

[HGJ :] Ce que j’ai fait pour réduire mon empreinte numérique, c’est que j’ai acheté un téléphone « stupide » et ai désactivé le paramètre de localisation qui fonctionne sur les téléphones mobiles. Il n’a pas de fonction GPS et ne peut donc pas me suivre. J’ai acheté le livre de cartes à l’ancienne et j’apprends à naviguer à l’ancienne. Le téléphone stupide ne peut pas prendre d’applications et ne peut donc jamais être utilisé pour la lecture de code QR.

Pour faire mes courses, je sors une liasse d’espèces au guichet automatique à l’extérieur d’un centre commercial et n’utilise que de l’argent liquide dans n’importe quel magasin, n’importe où. Recommençons tous à utiliser de l’argent liquide, partout.


[Voir aussi, en vrac :
Philippe Guillemant : « Si on accepte l’identité numérique, ça sera trop tard »
Un passeport vert pour un État mondial numérisé
La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai problème est « l’Agenda ID2020 »
Qui est l’Antéchrist ?
Si le vaccin anti-Covid n’empêche pas l’infection, l’hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier
Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?
Les micropuces de Bill Gates
L’après COVID-19: la médecine des ASSASSINS FINANCIERS par l’ÉTAT PROFOND, pour toutes les Nations ?
Pourquoi les mondialistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vaccination de 100 % ?
Le pass sanitaire et son QR Code associé permettront à terme de faire accepter aux gens la puce RFID
Note sur les manifestations sous le règne du NOM
L’opération Covid-19 met à nu le “Nombre de la Bête”
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Nous nous dirigeons à présent vers la tyrannie totale en Occident
Le passeport sanitaire est-il un prélude à l’apartheid ?
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Bitcoin et autres monnaies cryptées : instruments de libération ou de contrôle ?
Pourquoi le NOM nous fragilise ?
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Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?
L’entreprise Citrix s’attend à ce que les travailleurs aient des « puces implantées » d’ici l’année 2035
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Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »
5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
Le langage humain bientôt obsolète, prédit Elon Musk]




Prochaine émission de Radio-Courtoisie avec l’avocat allemand Reiner Fuellmich

[Source : courriel]

Par Olivier Tournafond

« Notre prochaine émission sur Radio-Courtoisie aura lieu mardi prochain 24 août en direct de 18 h à 21 h depuis la Suisse sur le thème « La résistance à l’oppression sanitaire ». 

Nous pourrons pendant la première heure et demi interroger l’avocat allemand Reiner Fuellmich qui a instruit une plainte pour crime contre l’humanité à l’encontre des principaux responsables politiques occidentaux. 

La seconde heure et demi nous permettra de faire ensuite le point avec le docteur Godeau, ancien directeur de recherche à l’Inserm, le docteur Rouyer psychiatre et mon collègue Cyrille Dounot professeur de droit à Clermont-Ferrand.

L’entretien avec Reiner Fuellmich aura lieu en français et en allemand grâce à deux intervenants polyglottes qui ont accepté très aimablement de nous aider. Maître Pierre Favrod-Coune, docteur en droit et notaire en Suisse et Elisabeth DUBOIS [pseudonyme] docteur ès-science. L’un comme l’autre parlent parfaitement l’allemand et ont une excellente connaissance de la crise qui se déroule en ce moment. Ils servirons d’interprètes tout au long de l’émission et nous vous invitons à faire de la publicité pour celle-ci auprès du public suisse germanophone et aussi allemand. 

Les auditeurs sont encouragés à poser des questions à Reiner Fuellmich et aux différents intervenants. »




Manifs, grèves, blocages, boycott… quelle solution pour sortir de ce cauchemar ?

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Pierre-Émile Blairon

Portrait d’une bobo décervelée

J’ai lu récemment l’article d’une journaliste, rédactrice en chef (adjointe) d’un quotidien luxembourgeois, lequel a la grande intelligence de revendiquer clairement sa périodicité puisqu’il s’appelle Le Quotidien ; c’est sans doute la limite de son engagement déontologique. La dame de s’extasier sur le fait que les Européens, et surtout les Européennes (puisqu’elle semble être une féministe convaincue) ne sont pas à plaindre puisque notre société européenne privilégiée ne leur impose qu’un tout petit pass sanitaire pour des démarches autrefois évidentes et naturelles, obligation qui n‘existait pas avant l’invention du Covid 19.

Cette brave petite bourgeoise hédoniste, dont la vie semble s’être coincée béatement dans un épisode de l’interminable feuilleton américain Les Feux de l’amour, de nous décrire avec effroi la condition de la femme partout ailleurs dans le monde, en Hongrie (l’homosexualité), en Iran (la répudiation), en Pologne (l’avortement), en Chine, en Inde, en Corée du Nord, etc… J’ai noté en esquissant un sourire narquois que les deux seuls pays européens où la liberté de la femme n’existe pas pour la donzelle sont la Pologne et la Hongrie. Avec ça, c’est une « femme libre » qui ne prend pas ses directives au… Luxembourg, siège des institutions de l’Union européenne.

« Par chance », dit-elle, « je suis une femme libre, vivant en France et travaillant au Luxembourg. Avec mes privilèges. Avec pour seul souci aujourd’hui d’avoir à présenter un QR code à l’entrée d’un restaurant ou d’un cinéma […] Se comparer aux victimes de dictature et de génocide, c’est indécent […] Allez savoir pourquoi, quand on a des problèmes de riches, on se fout éperdument de la misère des autres », conclut-elle avec une totale hypocrisie et une désinvolture assumée qui illustre bien l’adage : Après moi, le déluge.

Il convient de remarquer que le petit État du Luxembourg est le plus riche d’Europe (125 000 dollars de revenus annuels par habitant), que les seuls immigrés qu’il accueille sont de richissimes évadés fiscaux et que le seul acte de délinquance notable en 2021 a été le vol d’une serviette de bain au Sofitel local.
J’ai voulu avec cet exemple haut en couleurs (celles de l’arc-en-ciel LGBT ?) vous donner la mesure du niveau d’inconscience, d’égoïsme, d’incompétence, d’inculture et de stupidité des bobos covidistes.

Georges Bernanos - France contre robots

Oui, c’est vrai, désormais, deux peuples s’affrontent dans notre pays et dans tous les pays du monde : celui des lobotomisés et celui des éveillés.
Il faut rappeler à ce sujet les propos visionnaires de Georges Bernanos dans son livre, La France contre les robots (1974) :

« Je pense depuis longtemps que, si un jour, les méthodes de destruction de plus en plus efficaces finissent par rayer notre espèce de la planète, ce ne sera pas la cruauté qui sera la cause de notre extinction, et moins encore, bien entendu, l’indignation qu’éveille la cruauté, ni même les représailles et la vengeance qu’elle s’attire, mais la docilité, l’absence de responsabilité de l’homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public. Les horreurs auxquelles nous avons assisté, les horreurs encore plus abominables auxquelles nous allons maintenant assister, ne signalent pas que les rebelles, les insubordonnés, les réfractaires sont de plus en plus nombreux dans le monde, mais plutôt qu’il y a de plus en plus d’hommes obéissants et dociles. »

Que faire ?

Dix-huit mois maintenant que les lanceurs d’alerte ont prévenu les populations du projet maléfique en cours : Employer tous les moyens pour réduire drastiquement la population planétaire, qui est l’un des buts principaux de l’instauration de cette dictature mondiale pseudo-sanitaire.
L’un de mes premiers articles sur le sujet s’intitulait : Objectif Covid : soumission et robotisation de la population planétaire (publié dans ces colonnes le 1er août 2020). Il manquait un terme pour définir plus précisément le projet, qui, nous le savons maintenant comportait trois phases et non deux : c’était le mot : réduction, c’était même le plus important à insérer chronologiquement entre le mot soumission et le mot robotisation. Nous sommes en effet entrés en phase 2 de l’opération. La phase 1 : soumission est une réussite (presque) totale du pouvoir mondial. C’est dans ce « presque » que nous nous situons : le petit grain de sable qui vient détraquer la machine.

Nous avons largement expliqué tout au long de ces dix-huit mois, le processus satanique engagé par la caste ploutocratique au pouvoir dans le monde (voir les articles de mes confrères et les miens sur ce même site, et mon livre(1) qui recueille les articles que j’ai écrits sur le sujet). Nous avons mis à jour les modalités de mise en place de cette manipulation et dénoncé cette tyrannie qui n’a jamais caché ses objectifs les plus effrayants. Nos pires craintes, auxquelles nous avions du mal à croire nous-mêmes, se confirment jour après jour. Il est désormais trop tard pour tenter de convaincre qui que ce soit.

Pour prouver nos dires, il nous a souvent suffi de simplement citer les paroles ou les écrits des représentants de la secte qui, nous ne le dirons jamais assez, ne cachent pas leurs intentions comme s’ils voulaient ajouter une dose de sadisme à leur projet diabolique.

La secte mondiale qui dirige la guerre contre les peuples tire ses ficelles avec méthode, appliquant à la lettre le programme qu’elle s’était fixé.

Comment la combattre ? Le premier stade consiste, en l’état actuel de la situation, à employer tous les moyens légaux à disposition des citoyens, ce qui se définit globalement par l’expression « résistance passive ». Ces moyens doivent être utilisés simultanément, ce qui implique l’investissement actif de chaque citoyen responsable, de manière constante. Cette démarche a été pertinemment décrite par Georges Gourdin dans son livre Sabotage, appel à la grève des consommateurs(2).

Les manifestations

Les Français ont mis un temps fou à se réveiller ; c’en était désespérant surtout à cause du manque de communication ; les personnes éveillées, qui ont rapidement compris l’arnaque globaliste, ne pouvaient se connaître que par les réseaux sociaux jusqu’à ce que Florian Philippot organise un peu partout en France des rassemblements qui ne réunissaient au tout début de l’opération que quelques dizaines de personnes ; il faut saluer la lucidité et la détermination du seul personnage politique en France qui a eu le courage de ne pas se soumettre aux diktats de la caste mondiale représentée en France par celui qui nous sert accessoirement de Président.

Florian Philippot a tellement réussi dans son entreprise que, désormais, ce sont des centaines de milliers de personnes qui défilent en France chaque samedi pour réclamer l’abrogation de ce pass sanitaire.
Il nous faut remarquer qu’un nombre non négligeable de manifestants porte le masque, symbole de soumission, ce qui prouve que ces personnes ne rejettent pas en bloc la Grande Manipulation, et qui démontre donc aussi la force des méthodes de conditionnement qui permet d’arriver à ce stade d’incohérence.

Ces rassemblements ont le mérite de révéler l’ampleur du mécontentement, même en l’absence de toute retombée médiatique, puisque les médias entièrement soumis au Pouvoir, évitent soigneusement de parler de ce mouvement de contestation de fond ou bien le minimisent. Les défilés, organisés dans la quasi-totalité des villes françaises de plus de 5 000 habitants, interrogent la population française passive, spectatrice de ces mouvements de foule, qui prend conscience que les médias subventionnés lui cachent la vérité quant à l’importance de la contestation. Mais l’expérience malheureuse des Gilets Jaunes nous apprend qu’un mouvement populaire et patriote qui ne se manifeste que par la puissance du nombre ne peut durer bien longtemps pour quatre raisons :

  1. Il sera dans un premier temps nié par la presse aux ordres ; nous venons d’en parler et on sait la puissance, à l’heure actuelle, des méthodes de conditionnement employées par les gouvernants.
  2. Il sera rapidement récupéré politiquement par les « résistants de la dernière heure » qui accrochent leur wagon à la locomotive (LFI, RN, syndicats…) et vont donc casser l’unité du mouvement.
  3. Le Pouvoir va monter en épingle et détourner certains comportements pour discréditer le mouvement quant à ses revendications légitimes (affaire Cassandre).
  4. Et, en dernier lieu, il va envoyer ses chiens de garde semer le chaos et la terreur (meutes gauchistes, black blocs, faux policiers, etc…) pour enterrer définitivement la contestation.

Continuons cependant à manifester tant qu’il est possible de le faire ; la fronde peut reposer son organisation sur un leader dynamique, ce qui n’était pas le cas du mouvement des Gilets Jaunes. Il sera tant de prévoir des mesures de contournement quand on sera arrivé au stade(4).

En ce qui concerne ces mesures de contournement, les autres moyens d’action donc, reportons-nous à nouveau au livre de Georges Gourdin avec, cependant, une remarque : la caste mondiale impose un train d’enfer (sic) à la mise en place de son projet ; elle essaie de verrouiller le processus avant que l’ensemble des peuples, ou tout au moins une masse critique de citoyens, ne se rende compte de la manipulation. Il nous faut donc privilégier les mesures de rétorsion dont la mise en œuvre est immédiate.

Georges Gourdin préconise la grève des consommateurs qui s’articule autour d’un changement des mentalités et des habitudes de consommation : le retour aux produits de qualité (qui ne sont pas nécessairement les plus chers), le recours aux déplacements brefs favorisés par le choix des achats chez des commerçants, artisans ou producteurs locaux (localisme), ou la création des conditions de sa propre autonomie, alimentaire (potager) ou autre lorsqu’on dispose des moyens et des compétences nécessaires à mettre en œuvre cette autosuffisance.

Boulangerie traditionnelle

Dans l’immédiat, il faut profiter des failles et des incohérences du Système ; juste deux exemples :

• ainsi, pour punir les non-vaccinés, le gouvernement leur interdit l’accès aux grands centres commerciaux. Chouette ! 
L’occasion ou jamais de faire connaissance avec son boulanger au coin de la rue (celui qui ne demande pas le pass) et boycotter le rayon de la grande surface ; pourtant, il entre dans le projet du Pouvoir de faire disparaître tous les petits indépendants, et ce sont, au contraire, les grandes surfaces qui seront pénalisées. Tout au moins si les non-vaccinés n’entrent pas dans la logique idiote des gouvernants. En effet, ces derniers pensent que ces réfractaires ne le resteront pas longtemps parce qu’ils les jugent assez stupides pour se faire injecter n’importe quel produit dans le corps pour conserver leur habitude du samedi matin, celle qui consistait à faire leurs courses à Carrefour dans une ambiance de « fête » pour « profiter » des promotions…

• Autre exemple : tout le monde a pu remarquer la marche arrière du gouvernement sur les contraintes initialement imposées au routiers (dont les restaurants attitrés ne sont pas soumis à l’obligation du pass) et aux motards (dont la prescription du contrôle technique pour leurs véhicules a été retirée, à peine évoquée). Ces deux catégories de Français ont au moins un point commun : ils sont capables de tenir la route, expression prise dans les deux sens ; les routiers et les motards sont suffisamment solidaires et motivés pour déclencher, par exemple, le blocage des voies de communication à l’appel de leurs représentants, syndicaux ou pas, blocage qui mettrait rapidement toute l’économie du pays en panne alors qu’il serait difficile aux forces de police d’agir par la force sans provoquer un surcroît de tension et la production de l’étincelle qui mettrait le feu aux poudres.

Il existe vraisemblablement d’autres actions intelligentes et efficaces à mener. Le Pouvoir est un colosse aux pieds d’argile car la vanité de ses représentants leur cache les réalités du monde vrai, tel qu’il est, et non pas tel qu’ils aimeraient qu’il soit.

Pierre-Émile Blairon


(1)

Pierre-Émile Blairon - Iceberg
L’Iceberg : la Tradition primordiale contre le Titanisme (2021)
Éditions : La diffusion du lore

(2)

Couverture - une - Dualpha
Sabotage ! Sabordons la société de consommation !
Éditions FrancePhi Diffusion



Les cinq phases de la conformité vaccinale : nous sommes actuellement dans la phase 3, et la dernière phase implique l’arrestation de ceux qui refusent les injections de protéines de pointe

[Source : Natural News]

Par Mike Adams

Grâce à de nouvelles informations fournies par un contact au sein du gouvernement fédéral, j’ai pu affiner la hiérarchie de l’escalade de la conformité des vaccins poursuivie par le régime Biden. Il y a cinq phases distinctes dans cette escalade :

Phase 1 – Volontaire (poussée par la propagande des médias, le paiement des influenceurs des médias sociaux, les médecins, etc.) ). Cette phase piège ceux qui sont assez crédules pour penser que l’injection d’armes biologiques à base de protéines de pointe les « sauvera » ou les libérera.

Phase 2 – Incitations (billets de loterie, bières gratuites, beignets gratuits, etc.) Cette phase prend au piège ceux qui sont assez stupides pour échanger leur vie contre de la bière et des beignets. Ces personnes sont nombreuses, et même les mondialistes se rendent compte que des personnes au QI aussi bas n’ont rien à apporter à la civilisation humaine.

Phase 3 – Les punitions du secteur privé – dans cette phase, ils utilisent les entreprises pour refuser aux gens l’accès à des services (comme les voyages en avion, les bateaux de croisière, les restaurants, les événements sportifs, les concerts, etc.) Cette phase vise à rendre le fait de ne pas être vacciné extrêmement gênant. NOUS SOMMES ICI MAINTENANT.

Phase 4 – Amendes pénales ou peines de prison (secteur public) – Cette phase se déclenchera après que les médias d’information bidon auront accusé les non-vaccinés d’être responsables de l’augmentation continue des épidémies de protéines qui tuent des gens. Des lois seront adoptées dans certaines juridictions pour exiger des vaccins et des rappels constants. Ceux qui refuseront de s’y soumettre seront condamnés à une amende ou à une peine de prison. Vous pouvez vous attendre à ce que cette poussée provienne des états bleus.

Phase 5) – Cinétique (secteur militaire) – guerre biologique et cinétique ouverte contre le peuple américain, menée par les militaires « woke » contre les citoyens. Cette phase se déroulera après que l’État profond vaccinal aura collaboré avec le régime Biden/Obama pour mettre en scène une tragédie massive sous faux drapeau qui pourra être imputée aux antivax et aux propriétaires d’armes à feu. Une fois que cet événement aura eu lieu, Biden et les démocrates demanderont à ce que l’armée américaine se retourne contre les citoyens pour confisquer les armes à feu dans tout le pays et imposer les vaccins covid-19 sous la menace d’une arme.

Comme me l’a dit un initié du gouvernement, le régime de Biden a reçu l’ordre d’atteindre un taux de vaccination de 70 % parmi les adultes américains, quoi qu’il en coûte. L’attaque sous faux drapeau mise au point par l’État profond servira de « justification morale » pour violer la moindre parcelle restante de droits civils, de droits de l’homme ou d’éthique médicale en agressant des Américains innocents avec des injections mortelles de protéines de pointe (également appelées « vaccins »).

En substance, le plan consiste en un holocauste vaccinal.

La dépopulation est le résultat souhaité de ce plan infâme, suivie de l’effondrement économique et de la destruction des États-Unis d’Amérique. Les personnes qui exécutent ce plan sont les mêmes qui ont truqué les élections de 2020 et réalisé un coup d’État politique pour prendre illégalement le pouvoir. Maintenant, ils utilisent ce pouvoir pour retourner l’Amérique contre elle-même dans un acte de suicide national.

Le podcast Situation Update d’aujourd’hui explique ces cinq phases plus en détail, révélant comment l’État profond vaccinal fera semblant d’être « les bons » jusqu’au jour où il se présentera à votre porte et vous collera un fusil sur la figure. Et n’oubliez pas : La confiscation des armes à feu est leur étape la plus importante, car les injections forcées de vaccins ne peuvent réussir que si la population est d’abord désarmée.




Éteignez la télévision – La programmation neurolinguistique a été utilisée contre les populations dans de nombreux pays et le Royaume-Uni pourrait être aux commandes

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Par Hannibal Genséric

Il existe un exemple célèbre de Derren Brown utilisant la programmation neurolinguistique (« PNL ») pour influencer la sélection d’un cadeau par Simon Pegg. Brown est un illusionniste, mentaliste, hypnothérapeute et auteur britannique bien connu.

Sur la base du scénario – « Imaginez, au lieu d’essayer de déterminer ce que votre amie compliquée veut pour son anniversaire, vous pourriez simplement sortir, acheter ce que vous voulez et la convaincre ensuite que c’est ce qu’elle veut, la vie serait beaucoup plus facile » – Brown démontre l’hypnose conversationnelle utilisant des techniques telles que l’ancrage, les repères visuels, la suggestion et le remplacement.

En tant que technologie, la PNL a une feuille de route incroyable pour initier un changement rapide et efficace chez les individus et les groupes.

Si vous demandez à 10 personnes, vous obtiendrez 10 réponses différentes mais quand vous arrivez au point crucial : la PNL est là, une forme secrète d’hypnose directe. Comme pour toutes choses, la PNL peut être utilisée pour le bien ou pour le mal. Cela dépend de l’intention de ceux qui l’utilisent. L’utilisation néfaste des techniques de la PNL, le côté obscur de la PNL, peuvent, selon toute probabilité, être utilisés à la fois pour le contrôle de l’esprit et le lavage de cerveau.

Les hypnothérapeutes ont remarqué des techniques flagrantes d’hypnose et de PNL utilisées par le gouvernement britannique et les médias contrôlés/hérités par l’État pendant la « pandémie ». Miss Anthropist 2.0 résume ces techniques dans un fil Twitter :

Le Fractionnement. Vous leur faites faire quelque chose non pas une fois, mais encore et encore, en augmentant le niveau d’intensité à chaque fois. Habituellement, vous le faites 3 fois (remarque : nous avons eu 3 blocages/enfermements). Cela augmente la conformité – vous êtes beaucoup plus susceptible de les amener à faire ce que vous voulez.

Un ensemble de « oui ». Faites-leur dire « Oui » à quelque chose de petit au début (2 semaines pour « aplatir la courbe »), puis augmentez progressivement (des mois de verrouillage, Noël annulé, contraignez-les socialement/économiquement à se faire vacciner). De cette façon, ils sont beaucoup plus susceptibles de continuer à dire oui.

La Confusion. Gardez-les dans un état constant d’incertitude. L’esprit conscient répond en « se déconnectant » alors qu’il recherche la réponse appropriée pour quelque chose pour laquelle il n’a aucun précédent. Il est alors beaucoup plus facile pour le manipulateur d’accéder à l’inconscient et de changer les systèmes de croyances. Par exemple, les règles de verrouillage changent pratiquement au jour le jour ; nous vivons dans un monde dans lequel nous n’avons jamais vécu auparavant, tout le monde trébuche sans savoir comment se comporter. Nous n’avons plus d’énergie pour combattre nos oppresseurs.

La Répétition. Répétez les mêmes informations encore et encore.

L’Illusion du choix. Faites-leur croire qu’ils ont le contrôle en leur donnant 2 choix, qui conduisent tous deux au même résultat. Par exemple, « Voulez-vous le Pfizer ou l’Oxford ? » ou « Vous pouvez choisir d’être bon ou mauvais. Mauvais = plus de verrouillage. Bon = plus de verrouillage ».

La preuve sociale. Images et vidéos de stars de cinéma et de télévision, de musiciens et de sportifs recevant leur piquouze. « Regardez, toutes ces grandes célébrités la prennent et  soutiennent ! »

La Rareté. « Vous devrez attendre votre tour pour le vaccin… nous en allons peut-être en manquer ! », pour créer une augmentation du nombre de personnes qui s’inscrivent pour leur vaccin, augmentant ainsi l’adoption ».

Le Groupe consultatif scientifique pour les Urgences (Scientific Advisory Group for Emergencies « SAGE »), qui conseille le gouvernement britannique, s’appuie également sur des sous-comités d’experts pour des conseils spécifiques Covid-19. Ces sous-comités comprennent : NERVTAG ; SPI-M ; et, Scientific Pandemic Influenza Group on Behaviors (« SPI-B »). Le groupe scientifique sur la grippe pandémique sur le comportement et les communications (« SPI-B&C ») a conseillé SAGE lors de la « pandémie falsifiée » de grippe porcine de 2009/10. Bien que la grippe porcine de 2009/10 soit « l’un des plus grands scandales médicaux du siècle », le SPI-B&C s’est réuni de nouveau en février 2020, cette fois, son mandat était limité au comportement et il a été renommé SPI-B.

Lors d’une réunion le 22 mars 2020, le SPI-B a proposé l’utilisation de la peur – « sentiment de menace personnelle » – par le biais des médias et de l’intimidation – « l’utilisation de la désapprobation sociale en cas de non-respect » – contre le public britannique confiant. Le rapport du SPI-B indiquait également : « Il existe neuf grandes manières de parvenir à un changement de comportement : éducation, persuasion, incitation, coercition, habilitation, formation, restriction, restructuration environnementale et modélisation ». Après quoi, nous avons assisté à une campagne médiatique unifiée conforme à ces techniques, suivie d’un changement radical dans la perception et le comportement du public. Comment pouvons-nous appeler cela autrement que du lavage de cerveau ?

L’année dernière, la BBCCBCRadio Canada, le New York Times (alias Jew York Times) et Microsoft ont collaboré au projet Origin pour lutter contre la désinformation en utilisant une collaboration multipartite et inter-organisationnelle axée sur le contenu d’actualités et d’informations. De plus, plus tôt cette année, la BBC et Microsoft se sont associés à Adobe, Arm, Intel et Truepic pour créer la Coalition pour la provenance et l’authenticité du contenu (Coalition for Content Provenance and Authenticity (« C2PA ») : un organisme de normalisation bout-en-bout pour lutter contre la « désinformation , le mensonge et la fraude au contenu en ligne ».

C’est vraiment inquiétant étant donné que la BBC, qui a mis en œuvre les stratégies psychologiques de « pandémie » du SPI-B, est la plus grande machine de propagande que le monde ait jamais vue. Nous ne devrions pas croire tout ce que dit la BBC sans le vérifier auprès d’une autre source.

Des dizaines de psychologues ont depuis accusé le gouvernement britannique d’utiliser des « stratégies psychologiques secrètes ». En avril 2021, ils étaient tellement préoccupés par le fait que le public britannique avait fait l’objet d’une expérience de masse dans l’utilisation de stratégies qui fonctionnaient « en dessous de leur niveau de conscience » qu’ils ont déposé une plainte formelle auprès de leur organisme professionnel, pour décider si le gouvernement conseillers s’étaient rendus coupables d’un manquement à l’éthique.

Comme si SAGE et BBC ne suffisaient pas à faire face à la psyché du public, il est de notoriété publique depuis au moins mai de l’année dernière que la 77e brigade, qui fait partie de l’armée britannique, fait partie de la stratégie de communication de Covid-19. Les activités de la 77e brigade comprennent la guerre de l’information et le « soutien à l’activité d’information contre-accusatoire », qui comprend « la création et la diffusion de contenu multimédia numérique et du contenu média plus large à l’appui de tâches désignées ».

Depuis au moins avril 2020, Google et le GCHQ, l’organisation britannique de renseignement sur les transmissions, travaillent au sein du National Health Service (« NHS »). Nous devons nous demander pourquoi les compétences de l’armée et des agences de renseignement sont nécessaires pour « servir et protéger » la population britannique contre un coronavirus, dont plusieurs peuvent infecter les humains comme ils l’ont fait, chaque année, pendant des décennies.

L’utilisation de techniques de PNL contre la population britannique par ses propres institutions publiques peut, pour certains, sembler de la folie, comme si le « monde est devenu fou ».

Mais « ce n’est pas de la folie. Ce à quoi nous sommes confrontés est calculé et c’est une erreur de l’appeler « folie », car c’est très précis ; c’est très calculé », a déclaré Brian Gerrish lors d’un entretien avec Stiftung Corona Ausschuss (ou Comité d’enquête Corona). Gerrish, après avoir passé vingt et un ans dans la Royal Navy, a fondé avec Mike Robinson la UK Column (colonne britannique). Ensemble, ils étudient l’utilisation de la psychologie comportementale appliquée par le gouvernement britannique depuis plus de 20 ans.

Depuis 2010/11, une équipe de psychologues, la Behavioral Insights Team (« BIT »), travaille directement aux côtés non seulement du processus politique, mais aussi du processus d’élaboration des politiques au sein du gouvernement britannique. Dans un document de 2010, « Mindspace », le gouvernement britannique s’est vanté de pouvoir changer la façon dont les gens pensent et se comportent, et que les gens ne savent pas que cela leur a été fait.

Le Franco-British Council, une organisation caritative créée pour « améliorer les relations entre la Grande-Bretagne et la France », a en réalité servi de façade pour rassembler les équipes de psychologie politique de la Grande-Bretagne et de la France afin de produire des plans communs. « Il était très clair qu’il y avait eu des efforts concertés pour étendre l’utilisation de ces techniques : non seulement de la Grande-Bretagne et de la France, mais l’implication à l’époque était que ces techniques allaient être utilisées à travers la base de pouvoir plus large de l’Union européenne », a déclaré Gerrish.

Avançons rapidement jusqu’en 2019. Très tôt lors de la « pandémie de Covid », SAGE a eu une réunion interne avec des éléments du TBI du gouvernement. Une fiche d’information de la réunion « a admis que l’équipe SAGE et la politique du gouvernement sur le coronavirus allaient utiliser la psychologie appliquée afin d’intensifier la peur dans la population, afin d’amener la population à adhérer plus étroitement à la politique du gouvernement sur la réponse au coronavirus », a déclaré Gerrish.

Le BIT a utilisé, entre autres, la PNL afin d’influencer pratiquement tous les documents produits par le gouvernement. « Chaque déclaration faite par le gouvernement, chaque morceau de papier qui sort, est invariablement très soigneusement conçu, il est très soigneusement assemblé », a déclaré Gerrish.

Enfin, mais certainement non négligeable, il y a le Common Purpose : une organisation profondément sinistre avec des milliers d’agents disposant de pouvoir et d’influence au Royaume-Uni. La formation, qui utilise la PNL, est conçue pour donner aux gens un nouvel ensemble de valeurs pour « conduire au-delà de l’autorité » et leur permettre d’assumer le pouvoir dans ce qu’ils appellent « une société post-démocratique ». Common Purpose a des membres dans le NHS, la BBC, la police, la profession juridique, l’église, bon nombre des 7 000 quangos britanniques (quango pour « quasi non-governmental organisation » est un organisme étatique plus ou moins indépendant du pouvoir exécutif), les conseils locaux, la fonction publique, les ministères du gouvernement, le Parlement, et il contrôle de nombreuses agences de développement régional.

Tout au long de la « pandémie », la plupart des pays ont suivi le même « script ». Quant à savoir où ce « script » a été écrit, Gerrish a déclaré : « Je suis très gêné de dire que je crois que [le siège] est au Royaume-Uni ».

Pour regarder le témoignage complet de Gerrish devant le comité d’enquête Corona, suivez ce LIEN, et la transcription peut être trouvée ICI

Comment pouvons-nous cesser d’être hypnotisés et nous libérer de leur charme ? Commencez par éteindre la télévision et sachez quelles ressources en ligne « les endoctrineurs » utilisent – ​​Google, YouTube, Facebook, Instagram, Twitter, « les vérificateurs de faits », etc. – et comment elles sont utilisées.

Faites vos propres recherches. Trouvez des sources médiatiques fiables et indépendantes à suivre. Rejoignez des groupes locaux qui se rencontrent et n’ont pas peur de discuter de la vérité. Ensuite, partagez, parlez ouvertement. En exposant et en diffusant des informations, nous pourrons peut-être aider les autres à « voir la lumière ». La vraie connaissance tue l’illusion qu’ils ont créée. Et en ce sens, la « pandémie » qui nous a été lancée pour nous faire peur pourrait en fait être la chose même qui va faire que les gens redeviennent des êtres humains.

Sources :




PCB : le Vatican lance un processus synodal aux proportions inédites

[Source : vkpatriarhat.org]

Le 6 juin 2021

Le Patriarcat Catholique Byzantin (PCB) a dénoncé le fait que François Bergoglio est un archi-hérétique, et n’est pas un pape légitime. Par conséquent, l’Église est actuellement dans un état de Sede Vacante ! Selon la Bible (Gal 1:8-9) et selon la Bulle Dogmatique Cum Ex Apostolatus… , toutes les actions d’un hérétique sont sans force, et il ne doit être obéi par personne.



Regardez cette vidéo sur: 
https://the-name.wistia.com/medias/cwt7uf022k   
https://www.bitchute.com/video/c84KL3nls1VF/    
https://cos.tv/videos/play/28855542741767168   
https://ugetube.com/watch/oTZqWh5WK3eWoSB   
https://rumble.com/vj0pep-vatican-lance-un-processus-synodal.html   
https://gloria.tv/post/uPbfoGiEYaSq2DVaTXVNJ1HAX   

Téléchargement de vidéo: 415,6 MB, 1280×720 / 126,6 MB, 768×432

Citation des médias : Le pape François a approuvé le lancement d’un chemin synodal aux proportions inédites. Cela débutera en octobre 2021, et culminera à Rome deux ans plus tard…

Commentaire : Que signifie un chemin synodal aux proportions inédites ? L’Allemagne nous a déjà montré une voie synodale d’élimination sans précédent des dogmes fondamentaux et des principes moraux. Cette fois, nous pouvons nous attendre à ce que l’empoisonnement spirituel atteigne des proportions inédites, et affecte l’ensemble de l’Église catholique.

Citation des médias : Vendredi 21 mai, le Saint-Siège a officiellement présenté un nouveau processus synodal, qui durera deux ans et sera divisé en trois étapes, d’octobre 2021 à octobre 2023, afin de garantir « une véritable écoute du Peuple de Dieu ».

Commentaire : Nous demandons ce que signifie une véritable écoute du Peuple de Dieu. Le Saint-Siège nous l’a déjà montré. Bergoglio boycotte totalement la voix des catholiques sincères qui souffrent pour leur foi. D’autre part, il recherche et favorise littéralement tous les maniaques et hérétiques amoraux. Bergoglio écoute leurs attitudes erronées et perverties en tant que voix du Peuple de Dieu. Mais c’est une grossière tromperie.

Exemple : un cardinal orthodoxe chinois de 90 ans a fait la queue pour une audience dans le froid pendant deux jours, mais Bergoglio lui a finalement refusé cette audience. Ce Cardinal n’appartient-il peut-être pas au Peuple de Dieu ? Comment se fait-il alors que Bergoglio passe des week-ends entiers avec des sodomites ou toutes sortes de déviants, et les écoute volontiers ?

Citation des médias : Ce chemin synodal passera d’abord par une phase diocésaine puis une phase continentale qui donnera vie à deux « Instrumentum Laboris » différents.

Commentaire : On peut supposer que ces deux Instrumentum Laboris ont déjà été rédigés. Ce sera encore une farce. Le document Instrumentum Laboris a été élaboré par le groupe de Bergoglio, et doit servir de base au Document Final. Cependant, ils claironneront hypocritement que c’est le résultat de prétendues consultations et de la voix du Peuple de Dieu. En fait, c’est la voix de la secte bergoglienne qui occupe l’Église.

L’Amazonie était une farce similaire. Il y avait aussi un Instrumentum Laboris élaboré à l’avance, qui, selon certains cardinaux, n’était pas seulement de l’apostasie, mais aussi la plus grande stupidité. Bergoglio, cependant, qui dit qu’il écoute le Peuple de Dieu, n’a pas changé un seul point dans ce document, et l’a mis en œuvre au Synode. Il l’a ensuite confirmé avec le Document Final.

Des manipulations de documents ont également été observées lors du Synode des jeunes. Pour la première fois, ces documents incluaient le terme LGBT. En raison des évêques africains, ce terme n’a pas été mentionné dans le document final. Cependant, il est resté dans le document supplémentaire, comportant la note selon laquelle ce document final n’était pas valable sans lui. Donc, en fin de compte, le document final contenait l’approbation du terme LGBT, bien qu’implicitement. Manipulation et ingéniosité incroyables dans la promotion du crime !

Citation des médias : Pour le Saint-Siège, l’articulation de ces différentes phases assurera « la participation de tous au processus synodal ». Il est clair que : « ce n’est pas seulement un événement, mais aussi un processus qui implique, en synergie, le Peuple de Dieu, le Collège des Évêques et l’Évêque de Rome, chacun selon sa propre fonction ».

Commentaire : En fait, il ne s’agit pas de la participation de tous, mais de jouer une farce devant tous. En fait, le soi-disant Peuple de Dieu sera constitué des grands gueules provenant des rangs des sodomites et des hérétiques. Le Collège des évêques, au Synode, sera constitué par les représentants du réseau homosexuel et par les laquais de Bergoglio qui ont renié le Christ et l’Église. Et à la place de l’évêque de Rome, il n’y a plus qu’un usurpateur : l’archi-hérétique Bergoglio. Ils agiront selon un programme préétabli, défini par l’élite maçonnique dont Bergolio met fidèlement en pratique l’agenda, ne laissant rien s’opposer à lui.

Citation des médias : Ce processus devrait commencer très bientôt, puisque le Synode d’une « nouvelle génération » s’ouvrira dès le mois d’octobre. Il se déroulera au Vatican – le Pape l’inaugurera les 9 et 10 octobre – et dans chaque diocèse la semaine suivante, le 17 octobre, comme indiqué dans le document. La phase diocésaine de consultation avec le Peuple de Dieu durera six mois, jusqu’en avril 2022. La synthèse de ces contributions sera envoyée à Rome, où le Secrétariat général du Synode des évêques procédera à la rédaction du premier Instrumentum Laboris avant septembre 2022.

Commentaire : Il ressort clairement de ce projet qu’il s’agit d’un processus pré-arrangé ayant un objectif clair, et aucun Peuple de Dieu ne pourra ajouter ou supprimer quoi que ce soit. En substance, c’est un plan pour la transition vers une pseudo-Église antichristique du Nouvel Âge.

Citation des médias : Après cela, débutera la phase continentale qui durera de septembre 2022 jusqu’à mars 2023. Le but de cette phase est de favoriser le dialogue autour du texte du premier Instrumentum Laboris, et de procéder à un nouveau discernement.

Commentaire : Le propos n’est ni le dialogue ni le discernement, car tout a été préparé d’avance. Nous demandons ce que signifie procéder à un nouveau discernement. Bergoglio a déjà lancé un nouveau discernement : l’idolâtrie – c’est-à-dire le péché le plus grave contre le Premier Commandement – n’est plus considérée comme un péché. C’est ce que nous avons vu lorsqu’il a intronisé le démon Pachamama en octobre 2019. La prochaine étape d’un nouveau discernement est l’élimination des commandements de Dieu et moraux, et la promotion de la légalisation des unions de sodomites, qui est une rébellion contre Dieu. Aujourd’hui, ce soi-disant Saint-Siège promeut la vaccination génocidaire pour tous. Pour cette raison, une action en justice a été déposée contre Bergoglio auprès du Tribunal de Nuremberg 2.0 pour crimes contre l’humanité. Si Bergoglio réussit à conduire ce nouveau discernement sans d’abord être lui-même discerné comme un hérétique plutôt qu’un Pape, son nouveau discernement entraînera tous (les catholiques romains) en enfer.

Citation des médias : Un document final sera à nouveau envoyé à Rome. Le Secrétariat général du Synode des évêques procédera à la rédaction du deuxième Instrumentum Laboris avant juin 2023. Enfin, la troisième et dernière phase du chemin synodal débutera en octobre 2023 : la phase de l’Église universelle.

Commentaire : Le but a été défini avec précision, et les moyens et méthodes pour y parvenir ont été bien pensés : manipulation, tromperie et farce. C’est le terrorisme spirituel de Bergoglio dans le but non seulement d’éliminer la papauté, mais de détruire totalement l’Église catholique.

Conclusion:

Chers évêques catholiques, notre Patriarcat s’est adressé aux évêques américains dans une lettre datant du 30 mai, dans laquelle il évaluait la situation catastrophique dans l’Église sous la direction destructrice du pseudo-pape Bergoglio. Il a également indiqué la solution, à savoir : se séparer de l’archi-hérétique occupant le Saint-Siège, et accepter et proclamer un Pape légitime. À l’heure actuelle, l’Église est dans un état de Sede Vacante, parce qu’un archi-hérétique qui nie l’essence de l’Église et s’en est exclu, ne peut en être le chef. En cette époque, le Patriarcat Catholique Byzantin est la voix de celui qui crie dans le désert : « Repentez-vous, car le royaume de Dieu est proche ! Couvée de vipères, pharisiens et sadducéens bergogliens ! Qui vous a averti de fuir la colère de Dieu à venir ? Portez des fruits dignes de la repentance… La hache est déjà à la racine des arbres. Tout arbre qui ne portera pas de fruits dignes de la repentance sera coupé et jeté dans le feu éternel (cf. Mt 3,2-10). Qu’au moins deux d’entre vous, vrais évêques catholiques, s’unissent dans chaque nation et acceptent et proclament un véritable pape catholique. Un vrai pape catholique est celui qui a appelé Bergoglio, ainsi que tout le réseau homosexuel, à démissionner. C’est lui qui a à cœur la véritable restauration de l’Église. Défendez la doctrine orthodoxe, qui garantit le salut éternel. Levez-vous aujourd’hui pour sauver l’institution de la papauté. Franchissez cette étape, même au prix de la persécution ou, peut-être, du martyre.

Chers Evêques, appelez les fidèles de votre diocèse, dans une lettre pastorale, à établir des veilles de prière. Cela créera une prière continue dans chaque paroisse de tout le diocèse. Dieu sauvera alors Son peuple. (Voir http://vkpatriarhat.org/fr/?p=13731). Le Patriarcat appelle également tout prêtre sincère à soutenir son évêque dans cette démarche radicale, qui arrêtera la catastrophe déjà programmée. Pour ceux d’entre vous, vrais évêques catholiques, qui resteront lâchement, vous devez comprendre que votre passivité injustifiable ne vous sauvera pas. Qui plus est, vous ferez tomber sur vous le châtiment de Dieu pour votre complicité dans la destruction de l’institution de la papauté et dans la diabolisation de l’Église du Christ. Bergoglio utilisera votre passivité afin de faire respecter ses mauvaises intentions. Finalement, vous serez de toute façon expulsé de votre résidence épiscopale. Mais le pire de tout, c’est que vous serez condamné par le jugement de Dieu pour lâcheté, pour ne pas avoir fait ce que vous deviez faire à un moment donné. Vous avez peur de Bergoglio, mais vous n’avez pas peur du juste châtiment de Dieu qui est éternel ? Dieu veut que vous fassiez un pas radical pour vous sauver vous-mêmes, et pour sauver toute l’Église !

+ Élie

Patriarche du Patriarcat Catholique Byzantin

+ Méthode OSBMr               + Timothée OSBMr

Evêques secrétaires

Téléchargement : PCB : le Vatican lance un processus synodal aux proportions inédites (6/6/2021)


Voir aussi : Certains évêques américains sont impliqués dans des crimes contre l’humanité. Qu’est-ce que Dieu exige des évêques fidèles, aujourd’hui ? | (vkpatriarhat.org)




France : à compter du 16 octobre 2021, les professionnels de santé libéraux non vaccinés ou dont le schéma vaccinal n’est pas complet seront interdits d’exercer

[Source : Assurance Maladie (ameli.fr)]

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Madame, Monsieur,

Face à la reprise de l’épidémie de Covid-19 liée au variant Delta, la vaccination est primordiale pour protéger la population et notre système de soins.

En tant que professionnel de santé, vous êtes en première ligne et, de fait, engagé dans la stratégie collective de lutte contre l’épidémie.

Les dispositions législatives et réglementaires qui encadrent la mise en place de l’état d’urgence sanitaire permettent aux pouvoirs publics de prendre les mesures de prévention nécessaires pour concilier reprise généralisée des activités et maitrise de l’épidémie.

La loi n°2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire instaure l’obligation vaccinale des personnes travaillant dans les secteurs sanitaire, social et médico-social, et concerne les professionnels de santé libéraux conventionnés ou non. Cette obligation concerne aussi les salariés travaillant dans les mêmes locaux que les professionnels de santé libéraux. Pour continuer leur activité professionnelle, ces personnes ont donc l’obligation : soit de se faire vacciner contre la Covid-19, soit de présenter un certificat de rétablissement valide ou un certificat médical de contre-indication à la vaccination contre la Covid-19 établi par un médecin.

Concernant l’obligation vaccinale, elle est mise en place en plusieurs étapes :

Depuis le 9 août et jusqu’au 14 septembre 2021 inclus, les personnes soumises à l’obligation vaccinale n’ayant pas un schéma vaccinal complet peuvent continuer à exercer, mais elles doivent pouvoir présenter, à tout moment de leur exercice, un résultat de test négatif datant de moins de 72 heures (PCR, test antigénique ou autotest supervisé).

À partir du 15 septembre et jusqu’au 15 octobre 2021 inclus, les professionnels de santé et les personnes soumises à l’obligation vaccinale non vaccinés seront autorisés à exercer à condition qu’ils aient débuté leur schéma vaccinal (au moins une dose pour un schéma vaccinal à plusieurs doses) et qu’ils présentent le résultat d’un test négatif.

À compter du 16 octobre 2021, les professionnels de santé libéraux non vaccinés ou dont le schéma vaccinal n’est pas complet seront interdits d’exercer.

Pour obtenir votre justificatif :

  • l’attestation certifiée de vaccination contre la Covid-19 est téléchargeable à partir du téléservice : 
    https://attestation-vaccin.ameli.fr/ ;
  • le certificat de rétablissement après infection ou le résultat de test négatif (PCR/TAG ou autotest supervisé de moins de 72h) sont téléchargeables sur SI-DEP : 
    https://sidep.gouv.fr/cyberlab/patientviewer.jsp ;
  • le certificat de contre-indication à la vaccination est établi par un médecin.

L’agence régionale de santé est en charge des contrôles de l’obligation vaccinale et pourra saisir le procureur de la République, l’Ordre dont dépend le professionnel ainsi que l’Assurance Maladie.

Pour les personnes salariées travaillant dans les mêmes locaux, que les professionnels de santé libéraux, le respect de l’obligation vaccinale relève de la responsabilité de l’employeur.

Jusqu’au 16 octobre, les différentes étapes de mise en oeuvre de l’obligation vaccinale permettront à toutes personnes concernées d’initier et de terminer leur schéma vaccinal dans un double objectif de santé publique et de préservation du système de soins.

Pour toute question, vous pouvez consulter le site du ministère de la santé accessible www.solidarites-sante.gouv.fr.

Je vous remercie très sincèrement pour votre engagement face à cette épidémie.

Thomas FATOME
Directeur général de l’Assurance Maladie

Pour plus d’actualités concernant votre profession, rendez-vous sur ameli.fr

Rendez-vous sur ameli.fr l’Assurance Maladie en ligne




Le médecin-réanimateur Louis Fouché n’exerce plus à l’hôpital de la Conception et ne sera plus salarié de l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille à compter du 19 octobre

[Source : Marsactu]

Par Jean-Marie Leforestier

Le médecin-réanimateur Louis Fouché n’exerce plus à l’hôpital de la Conception et ne sera plus salarié de l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille à compter du 19 octobre, annonce son directeur François Crémieux. En quelques mois, Louis Fouché est devenu une figure de la contestation de la politique sanitaire du gouvernement, s’opposant au port du masque comme au vaccin, notamment. Une position qui déplaisait fortement au nouveau patron de l’AP-HM : “Ses prises de parole n’étaient pas en adéquation avec les valeurs de l’hôpital public fondées sur le caractère collégial de toute réflexion scientifique d’une part, le code la santé publique et la déontologie médicale d’autre part”, lui avait-il signifié par écrit.

À LIRE ; DERRIÈRE LE MASQUE DE LOUIS FOUCHÉ, MÉDECIN ANTI-VACCIN

Le communiqué que signe ce dernier, le président de la commission médiale d’établissement et les chefs de service de réanimation précise que c’est bien Louis Fouché qui a manifesté son envie de mise en disponibilité début juin. Une mesure que, malgré la pandémie, l’hôpital a bien vite acceptée.




Des patrons d’établissements refusent de contrôler le passe sanitaire de leurs clients et le font savoir

[Source : Epoch Times)]

[Illustration (LOIC VENANCE/AFP via Getty Images)]

Par EMMANUELLE BOURDY

Une centaine de bistrots et restaurants de l’ouest de la France se sont réunis en collectifs. Leur but : refuser de contrôler le passe sanitaire de leurs clients, et ce, même s’ils savent qu’ils s’exposent à des sanctions.

Réunissant une centaine d’établissements, notamment de Bretagne et des Pays-de-la-Loire, les collectifs « Bistrotiers bretons » et « Bienvenue ici, contrôler n’est pas notre métier » refusent le passe sanitaire, rapporte 20 Minutes.

« Nous sommes contre le fait d’exclure qui que soit »

« Nous sommes des lieux ouverts à tous sans distinction. L’accueil sans condition, l’entraide et l’échange sont des notions fondamentales, inscrites dans notre socle de valeurs », est-il mentionné dans le texte explicatif de ces collectifs. « Nous refusons de jouer le rôle de police sanitaire et ainsi de contrôler, de trier et de séparer les usagers de nos lieux », est-il encore précisé.

Leur démarche s’est imposée à eux car ces gérants ne voulaient pas contrôler leur client et de ce fait, devoir refuser l’entrée à certains d’entre eux. Mais ils sont toutefois conscients des risques encourus. Tristan Crosnier, le patron du bar à jeux Pioche à Nantes, explique à 20 Minutes : 

« Nous sommes contre le fait d’exclure qui que soit, y compris des personnes en précarité éloignées du système santé et qui se retrouvent aujourd’hui encore plus à l’écart. »

« Mais on a bien conscience que l’équilibre est fragile. Les clients vaccinés qui se sentiraient inquiets, je ne veux pas non plus les bloquer, je leur propose des espaces isolés », poursuit-il. Sans compter que « nous n’avons, de plus, pas tous les effectifs permettant de le faire », se défend encore Tristan Crosnier.

La patronne du bar culturel le Ty Coz, à Morlaix (Finistère), explique quant à elle faire ce métier « pour rassembler », et non pas pour « diviser en acceptant certains clients et en fermant la porte à d’autres »« Donc on ne vérifie pas leur document, on se met hors la loi, mais ça ne nous empêche pas de faire de la prévention, de parler du vaccin, de faire attention aux gestes barrière », prévient-elle.

Les gérants de ces établissements, mais aussi les clients, s’exposent à des sanctions…

Effectivement, les collectifs tiennent à préciser qu’ils ne souhaitent pas que leurs établissements deviennent un « repaire des antivax », ainsi que le souligne Tristan Crosnier. Car le débat ne porte pas sur « la pertinence du vaccin », déclarent les membres du collectif.

Quoi qu’il en soit, agir ainsi expose les gérants de ces établissements à des sanctions. Pour cette raison, d’autres, qui partagent pourtant le même avis sur le sujet et agissent de même, préfèrent rester discrets. « Je ne sais pas à quelle sauce on va être mangés. Ça m’inquiète un peu, forcément, d’autant plus que je me sens un peu seule dans ma ville », confie la gérante du Ty Coz. « Une fermeture administrative de quelques jours je suis prête, mais au-delà je ne pourrai pas. J’ai huit salariés, je dois aussi penser à eux », poursuit-elle.

Le gérant du Pioche reste lui aussi sur le qui-vive. « On se doute que ça va tomber […]. Si la police arrive, je serai honnête, j’expliquerai ma démarche, ce que je mets en place, et on verra bien. On appréhende mais on doit rester cohérent », concède-t-il.

Les clients qui ne sont pas en règle avec le passe sanitaire s’exposent eux aussi à des sanctions. Mais ceux qui mettent les pieds dans ces établissements en sont conscients et assument, comme c’est le cas de Jean, un Nantais. Ce dernier déclare comprendre « les arguments du bar »« Je les soutiens, donc si la police arrive, j’assumerai l’amende », avance-t-il. En cas de contrôle, les clients qui ne sont pas en possession du passe sanitaire risquent une amende forfaitaire de 135 €.

D’autres gérants préfèrent carrément fermer…

D’autres gérants ont opté pour la fermeture de leur établissement, une autre manière de rester en accord avec leurs convictions sans craindre des verbalisations. Ce qui n’est pas sans « conséquences économiques » non plus, ainsi que le souligne Yann, le patron du Temps des Cerises à Tonquédec (Côtes d’Armor), qui a fermé son restaurant dès le lundi 9 août.

Il explique néanmoins être vacciné et « bien conscient de la situation sanitaire », pour autant, il estime que « la demi-jauge, les gestes barrière, d’accord. Mais refuser de servir des habitués, ou voir débarquer les forces de l’ordre, je ne supporterai pas ». Il a cependant trouvé un compromis et veut mettre en place de façon momentanée la « vente à emporter », confie-t-il à 20 Minutes.